La guerre civile occidentale dans le monde multipolaire

[Source : strategika.fr]

Discours de Youssef Hindi à la conférence internationale sur la multipolarité (version française)

Sous le regard du géopoliticien, l’Occident semble ne faire qu’un. Ce n’est que la surface apparente de la réalité. Il y a bien un alignement des dirigeants européens sur la politique extérieure des États-Unis, mais l’Occident n’existe pas en tant que civilisation une.

L’intégration de l’Europe au « grand espace » (grossraum) des États-Unis est la conséquence ultime de profondes transformations qui ont eu lieu à partir du XVIe siècle : la réforme protestante, l’affaiblissement de l’Église catholique romaine, la sécularisation, la transformation de l’Angleterre calviniste en hêgemôn planétaire, et les deux guerres mondiales qui ont mis sous la tutelle de Washington l’Europe de l’Ouest.

L’anglosphère ne s’est toutefois jamais confondue avec l’Europe continentale. Les États-Unis, n’étant pas un empire au sens traditionnel, ne considèrent pas le Vieux Continent comme un prolongement de leur nation. Les pays européens ne sont pas non plus des vassaux au sens classique du terme. L’Amérique est un hêgemôn inégalitaire, contrairement à l’Empire romain qui considérait les peuples comme égaux. Les États-Unis ne se comportent pas comme un empire envers ses vassaux, dans un rapport mutuellement profitable. Ils dévorent leurs esclaves européens, comme Kronos mange ses enfants, de peur que l’un d’entre eux ne les supplante, ou, du moins, ne s’émancipe. Washington préfère sacrifier les pays d’Europe, brûler ses propres vaisseaux, plutôt que de les voir se rapprocher de la Russie, quitte à s’affaiblir lui-même.

L’Occident n’est donc pas « collectif ». Outre les différences anthropologiques et culturelles, il est traversé par une grave fracture, depuis plusieurs décennies, qui s’est mue en guerre civile. L’ultralibéralisme anglo-américain et judéo-protestant a détruit le tissu industriel des sociétés occidentales et les a fracturées géographiquement, culturellement, économiquement et sociologiquement. La bourgeoisie des grandes villes, sur lesquelles s’appuient les classes dirigeantes, a fait sécession d’avec les catégories populaires de la périphérie.

Mais la lutte dépasse de loin celle des classes. Elle met face à face la haute finance et l’économie réelle, la spéculation et la production, le fictif et le réel. C’est une guerre existentielle qui, en s’accentuant, agrège au noyau dur populaire les classes moyennes menacées de disparition.

Le capitalisme productiviste n’est plus, il a changé de nature. Il est aujourd’hui sacrificiel, il consume les sociétés et les peuples occidentaux. C’est une véritable guerre d’extermination à petit feu que mènent les tenants de ce néo-capitalisme dans un Occident gravement atteint par l’athéisme, terreau du nihilisme. Toutefois, le suicide n’est pas collectif. Les mouvements de révolte qui se multiplient sont la preuve que l’instinct de survie et de conservation des peuples occidentaux n’a pas disparu.

Ainsi, l’oligarchie et la caste dirigeante de l’Ouest mènent une double guerre : contre leurs propres peuples en révolte et contre la Russie. C’est plus qu’une guerre civile mondiale, c’est un pan-polemos. Une guerre interétatique, intraétatique, socio-économique, biologique, religieuse, existentielle. C’est une guerre contre la vie, une guerre contre la création, une guerre contre la Loi naturelle.

La guerre civile mondiale et le pan-polemos ont été répandus par les États-Unis qui ont instauré l’état d’exception permanent en Occident et violent systématiquement le droit international.

Dans ce contexte anomique, la violation de la Loi naturelle est devenue la règle. L’autorisation du mariage homosexuel, de l’inceste, du changement de sexe des adultes et des enfants, fait de l’Occident le foyer de l’antinomisme, pour parler en termes théologico-juridiques. C’est un mouvement entropique, dont l’épicentre est l’anglosphère judéoprotestante qui détruit toutes les sociétés où s’impose son hégémonie.

Les révoltes populaires en Occident, et la contre-attaque russe en Ukraine contre l’OTAN, doivent ainsi être interprétées comme des réactions néguentropiques face aux forces entropiques. Le nomos (la loi) contre l’antinomisme, l’ordre contre le chaos nihiliste.

La Russie se bat, comme les peuples occidentaux, pour son existence, pour repousser le Mal et l’expulser de son propre corps. Elle mène une guerre extérieure, par les armes, et une lutte intérieure, spirituelle. Plus la guerre extérieure s’intensifie et plus la Russie se radicalise, au sens latin ; elle tente d’extirper les virus tenaces du progressisme.

Dans cette guerre civile mondiale, dans ce pan-polemos, les peuples européens et la Russie sont des alliés objectifs face à ceux qui se sont désignés comme leur ennemi commun.

L’avènement de la multipolarité ne se réduit pas à un nouveau partage du monde et la fin de l’hégémonisme planétaire des États-Unis. La guerre Russie/OTAN en Ukraine n’est pas exclusivement matérielle, et les révoltes populaires en Occident ne sont pas circonscrites à une lutte socio-économique.

La coïncidence historique de ces différents phénomènes n’est pas fortuite. L’identification de l’ennemi auquel résistent les peuples européens, la Russie, les pays d’Afrique, la Chine, doit nous faire méditer sur la nature de ce combat global. Le projet politique totalitaire de l’ennemi, ses méthodes et son caractère nihiliste placent le pan-polemos qui nous est imposé sur le terrain eschatologique.

Les dirigeants américains, qu’ils soient croyants ou athées, considèrent les États-Unis comme une nation messianique dont la politique est toujours justifiée, au sens religieux, même si elle doit conduire le monde à l’Armageddon. Le danger, dans un futur plus ou moins proche, est la confrontation directe des puissances nucléaires sur le territoire européen, contre la volonté des peuples enfermés dans des structures supranationales étasuniennes. À ce stade, les Européens n’ont pas encore trouvé leurs champions, leurs véritables représentants capables de reprendre les rênes des États amputés de leur souveraineté politique.

L’espoir est dans la rapide délégitimation des dirigeants européens avec l’accélération de l’Histoire. Dans ce contexte, la Russie tient un rôle important. La guerre d’attrition qu’elle est en train de remporter face à l’OTAN peut à terme précipiter la chute de plusieurs gouvernements européens. Précipitant ainsi la guerre civile occidentale vers son dénouement.

Il est donc nécessaire que la Russie ne se coupe pas totalement de l’Europe et construise des ponts avec la société civile où se trouvent les véritables élites et d’où émergeront les futurs dirigeants. La multipolarité doit se bâtir avec les peuples, et par-delà les pouvoirs politiques si nécessaire.




Pour en finir avec les plandémies

[Source : Vidéos du net]

Dr Sam Bailey et les Coronavirus de Reiner Fuellmich



La virologie pour les pays en développement… et les fanatiques du virus



[Voir aussi :]

40 faits à connaître : la véritable histoire de la « Covid »

Voici tous les faits et sources clés actualisés concernant la prétendue « pandémie », pour vous aider à comprendre ce qui s’est passé dans le monde depuis janvier 2020 et à éclairer ceux de vos amis qui seraient encore prisonniers du brouillard de la « nouvelle normalité ».


Commentaires sur le VIH de Montagnier

« Nous remercions Djamel Tahi et Huw Christie de nous avoir demandé de commenter les réponses données par le Professeur Luc Montagnier dans son interview avec Djamel Tahi. Avant de commenter, nous avons pensé qu’il serait utile de commencer par un bref rappel des méthodes utilisées pour prouver l’existence des rétrovirus, et des preuves apportées par Montagnier et coll. 1983 de l’existence du “VIH”. »

Un groupe de scientifiques australiens affirme que personne jusqu’à présent n’a isolé le virus du SIDA, le VIH. Pour eux, les règles d’isolement des rétrovirus n’ont pas été soigneusement respectées pour le VIH. Ces règles sont les suivantes : culture, purification du matériel par ultracentrifugation, photographies au microscope électronique (ME) du matériel qui présente des bandes à la densité du rétrovirus, caractérisation de ces particules, preuve de l’infectivité des particules.


À quel point les virus sont-ils morts ?

Voici une interview de Stefan Lanka par un magazine allemand traitant de la Santé, interview qui permet de mieux intégrer des points fondamentaux sur l’arnaque virale.

Toutes les affirmations sur l’existence du virus sont réfutées.


L’invention du « virus Ebola »

Voici le travail de recherche de Mike Stone sur l’arnaque du « virus Ebola ».


Qu’est-ce qui nous rend réellement malades ?

Brève présentation de l’ouvrage.


Un nouveau paradigme médical

La médecine d’aujourd’hui se préoccupe d’éventuels dépistages précoces et dépense des millions d’euros pour éventuellement trouver un traitement pour tous les cancers ; pourtant, des millions de personnes meurent encore des cancers. Est-ce la bonne voie ? Ne devrions-nous pas plutôt nous préoccuper de comprendre pourquoi un cancer se déclenche ? Comment notre mode de vie est concerné ? Quel est le rôle de la génétique ? Pourquoi le cancer touche-t-il telles personnes et pas telles personnes ? Si une substance est cancérigène pourquoi ne tue-t-elle pas toutes les personnes en contact avec elle ? On comprend bien que le cancer est relié à l’histoire personnelle de l’individu. Elle touche tous les niveaux de son être : physiques, physiologiques et spirituelles. La médecine d’aujourd’hui ne peut répondre à cette nouvelle approche.


Go Virus Go !

Le Dr Stefan Lanka (…) raconte le « Procès du virus de la rougeole ». Stefan Lanka avait promis 100 000 euros à qui prouverait de manière scientifique l’existence du virus de la rougeole. Suite à l’action du Robert Koch Institut (équivalent allemand de l’Institut Pasteur) par l’intermédiaire d’un médecin (le Dr Bardens) Lanka a été traduit en justice et sommé de payer les 100 000 euros. Après un premier jugement, en sa défaveur, car bâclé et rempli de vices de forme, il a porté l’affaire devant la Cour d’Appel de Stuttgart qui lui a donné raison, jugement confirmé par la plus haute juridiction allemande, la Cour Fédérale de Justice de Karlsruhe.

Ce jugement, qui disait textuellement qu’aucune étude scientifique n’avait prouvé l’existence du virus de la rougeole — et plus généralement l’existence des virus, aurait dû être un coup de tonnerre dans le monde médical et dans tous les médias. À cette occasion, ces derniers se sont révélés être ce qu’ils sont réellement : des merdias qui ignorent tout simplement ce qui les dérange et pourrait les empêcher de profiter des offrandes versées par les laboratoires. Il va sans dire qu’aucun laboratoire ou institution de santé publique ne s’est hasardé, et pour cause, à « remettre le couvert » lors d’un autre procès.


« Virus », des décennies d’escroqueries ?

Couvertes pas l’industrie, les facultés de médecine, pharmacie, les médias et les politiques…

Le Covid est-il le mensonge de trop ?


Le Covid à travers la théorie des germes, 150 ans d’escroquerie scientifique sur les virus ?

Le dérèglement climatique au secours de Big Pharma ?

Tour d’horizon des problèmes autour de la théorie virale.
Et la prochaine étape probable quand la vaccination ne fera plus recette.


La Fin de la Théorie des Germes — Documentaire

Ce documentaire aborde en détail les différents mythes et procédures sur lesquels repose la théorie des germes pathogènes, prétendument à l’origine de phénomènes de contagion, aussi appelée théorie des germes ou théorie microbienne.

L’histoire des épidémies telle que la poliomyélite, la variole et la grippe espagnole est retracée et le jargon des virologues et leurs techniques comme la PCR, le séquençage, l’effet cytopathique, le microscope électronique, les cultures cellulaires, l’isolement, la purification ou encore le concept d’anticorps sont analysés pour mieux comprendre sur quoi repose la virologie moderne et la théorie des germes dans son ensemble.

(Vidéo > 2 h 30)


Toxicologie contre Virologie : L’Institut Rockefeller et la fraude criminelle de la polio

L’un des résultats du prétendu nouveau coronavirus qui a émergé publiquement en 2019 est que la spécialisation médicale de la virologie a été élevée à une stature presque divine dans les médias. Peu de gens comprennent les origines de la virologie et son élévation à un rôle de premier plan dans la pratique de la médecine d’aujourd’hui. Pour cela, il faut se pencher sur les origines et la politique du premier institut de recherche médicale américain, l’Institut Rockefeller pour la recherche médicale, aujourd’hui l’Université Rockefeller, et ses travaux sur ce qu’il prétendait être un virus de la polio.


Le mythe de la contamination épidémique

Examen du socle de l’idéologie sanitaire actuelle qui ne repose sur aucune expérience et est contredite par les statistiques : la contamination
(Vidéo 1 h 25)


Confirmation écrite : les scientifiques ne peuvent apporter aucune preuve de l’existence d’un virus pathogène

La vision du monde de tous ceux qui défendaient avec véhémence que l’existence du coronavirus avait été démontrée scientifiquement doit et va s’effondrer.


Démontage de la théorie virale

L’existence des virus de la polio, de la rougeole, du VIH, du CMV, de l’EBV, de l’hépatite C, de l’Ebola, de la grippe, du Zika et maintenant du coronavirus a-t-elle été démontrée et scientifiquement prouvée ?


Covid-Arnaque. L’HISTOIRE de la grippe. UNE HISTOIRE IMPORTANTE POUR EN PARLER AUTOUR DE VOUS

Le mot « influenza » (« grippe ») est originaire d’Italie. Le premier enregistrement de cette maladie étrange et inexplicable s’est produit vers l’année 1580. Alors que le phénomène se reproduisait, des observateurs perspicaces ont reconnu qu’il avait tendance à « apparaître » simultanément à plusieurs endroits, parfois sur plusieurs continents. Afin d’expliquer ce fait cognitivement dissonant, les « scientifiques » italiens ont examiné les enregistrements des taches solaires et ont remarqué que les épidémies semblaient toujours coïncider avec des pics d’activité des taches solaires.


Vous aviez raison, Président Thabo Mbeki

L’histoire du VIH/SIDA. Le scandale a débuté le 23 avril 1984. L’histoire qui était « trop grosse pour échouer » était remplie de lacunes et cela devint clair lorsqu’en 1992 une Enquête Fédérale américaine a révélé que le Dr Robert Gallo avait commis une fraude scientifique.


Terrain Le Film – Partie 1 : La Grippe Des Cigognes

TERRAIN expose le canular tyrannique de la pandémie mondiale, construite sur le modèle erroné de la maladie, connu sous le nom de “théorie des germes”. Ce documentaire en deux parties explore la théorie du terrain, un modèle de santé fonctionnant en symbiose avec la nature pour promouvoir le bien-être et la guérison, sans recourir à un paradigme médical corrompu et défaillant. TERRAIN motive et inspire les spectateurs à comprendre le pouvoir et la responsabilité du consentement. La première partie de TERRAIN remet en question la théorie des germes, un système de croyance obsolète et non scientifique basé sur des fraudes et des mauvaises interprétations. (Vidéo 55 min)


Comment reconnaître que les virologues nous ont trompés ?

La question de l’existence de virus pathogènes reste importante, car la croyance en de tels virus mobilise des milliards de dollars de ressources et de fonds de recherche. Ces deux dernières années, nous avons également vu comment un prétendu virus peut être utilisé comme un outil politique pour mettre les populations au pas. Ce n’est pas la première fois que cela se produit : par exemple, la “découverte” du VIH dans les années 1980 a donné naissance à une industrie de plusieurs milliards de dollars et a également été utilisée à des fins politiques dans la plupart des régions du monde.


L’invention du SARS-CoV-2

Un mathématicien allemand travaillant avec le Dr Stefan Lanka vient de publier un rapport intitulé “Analyse structurelle des données de séquençage en virologie – Une approche élémentaire à l’aide de l’exemple du SARS-CoV-2FR“. Il fournit encore plus de preuves que les virologues sont pris dans un monde de simulations informatiques – des simulations qui ne sont pas fiables même selon leurs propres termes, sans compter qu’elles sont déconnectées de la réalité. Cette analyse est une contribution importante qui expose un autre élément de l’anti-science utilisée pour soutenir cette fausse pandémie. En outre, il s’agit d’un démantèlement technique de la manière dont tous les “virus” sont inventés et ensuite “trouvés”, dans un jeu de tromperie permanent.


Analyse structurelle des données de séquençage en virologie — Une approche élémentaire à l’aide de l’exemple du SARS-CoV-2

Stefan Lanka, en collaboration avec un mathématicien anonyme, a rendu publiques ses recherches sur l’analyse du génome du SARS-CoV-2 et des techniques et méthodes questionnables utilisées par les virologues.


L’interprétation erronée du virus — 2e partie

Début et fin de la crise corona, par le Dr Stefan Lanka. (…) Un des deux faits décisifs pour le SARS et la crise corona c’est qu’au moins 20 à 30 % de toutes les pneumonies sont atypiques. Les causes de la pneumonie atypique sont clairement connues et par conséquent on ne doit PAS affirmer qu’elles sont dues à un nouveau virus. Cette information est censurée par les infectiologues et virologues et est le fondement des peur et panique actuelles, parce que l’on crée l’impression chez ceux qui sont affectés, dans le public et chez les responsables politiques que la pneumonie atypique serait particulièrement dangereuse et souvent fatale (…)


Articles sur la théorie virale :
La vérité sur la rage, le virus de la mosaïque du tabac, le graphène et les résultats de la 2e phase des expériences témoins
La fraude du Covid-19 et la guerre contre l’humanité
Un virus ? Quel virus ? – Dr Mark Bailey
Pourquoi il n’y a aucune preuve que le “SARS-CoV-2” soit contagieux et responsable d’une maladie
Dr Valentina Kiseleva – Le virus et autres mythes
Le SIDA et la Renaissance de l’Hypothèse de Duesberg
Le SIDA depuis 1984 : Aucune preuve d’une nouvelle épidémie virale – même pas en Afrique
Fauci et la grande arnaque du SIDA

Sur le non isolement du SRAS-CoV-2 et des virus :
Déconstruction de l’arnaque Covid : les documents Ministère de la Santé admettent que le CDC n’a jamais isolé de « virus covid-19 » … le test PCR ne détecte que le BRUIT des instruments
Virus fantôme : à la recherche du SARS-CoV-2
Virus Mania : Comment Big Pharma et les médias inventent les épidémies
Comment l’analyse du génome crée des virus fictifs
87 institutions sanitaires/scientifiques du monde entier n’ont pas réussi à citer un seul cas d’isolement et de purification du “SARS-COV-2”, par qui que ce soit, où que ce soit, jamais
Comment créer votre propre “nouveau virus” généré par ordinateur
Pour en finir avec les virus et le Nouvel Ordre Mondial

Sur la contagion :
La contagion : quelques éléments de réponse, a contrario de la funeste doxa actuelle
Le mythe de la contagion virale — Pourquoi les virus (incluant les « coronavirus ») ne sont pas la cause des maladies
La microbiophobie ambiante est hors de contrôle ! De nouvelles perspectives sur la véritable nature des virus
Le culte de la virologie – Documentaire
Réfutation de la virologie par le Dr Stefan Lanka
La théorie des germes : Une erreur fatale
Épidémies et contagions :

Selon une nouvelle approche théorique, les phénomènes de contagion épidémique n’impliqueraient jamais de bactéries et de virus naturels en tant que causes initiales (mais tout au plus comme conséquences, le rôle des bactéries et virus étant notamment de décontaminer, nettoyer, purifier, éliminer des déchets, permettre l’assimilation de certaines substances…). Ils proviendraient en réalité de diverses autres causes, éventuellement combinées :
►environnement pollué (air, eau, aliments contenant notamment pesticides et additifs alimentaires, électromagnétisme, radioactivité, etc.) ;
►information microzymienne et cellulaire perturbées ;
►hygiène de vie déplorable, misère, famine, peur, détresse affective, psychosomatique (somatisation du mal mental matérialisée en mal physique) ;
►modification des paramètres bioélectroniques ;
►influences cosmo-telluriques, électromagnétiques, saisonnières, cycliques ;
►causes iatrogènes, vaccins (avec notamment les adjuvants),
►etc.
Concernant les causes électromagnétiques (notamment le Wi-Fi, le Bluetooth, la 3G, la 4G, la 4G+ et la 5G), électriques (par les champs en provenance des lignes électriques, spécialement à haute tension) et magnétiques (par les conducteurs électriques dès qu’ils sont parcourus par des courants), il est utile de se rappeler que le corps humain est électrique, parcouru en permanence par de minuscules courants (dans les influx nerveux, dans les mitochondries lors de la production d’ATP à partir du glucose, etc.), et magnétique, et qu’il suffit de très faibles valeurs de champs électriques ou magnétiques ou d’intensité d’ondes électromagnétiques pour perturber plus ou moins gravement ces délicats processus.

Sur la fraude des tests PCR :
Des courriels de 2020 font voler en éclats l’escroquerie du test PCR covid
Précisions scientifiques sur l’arnaque du test PCR
Les implications capitales de la jurisprudence portugaise concernant les tests PCR
Union Européenne — TESTS PCR ET AFFAIRE COVID : UN SCANDALE INTERNATIONAL
Tests PCR condamnés en justice, mais toujours imposés à répétition aux hospitalisés et aux soignants !
Des experts internationaux suggèrent que jusqu’à 90 % des cas canadiens de COVID pourraient être des faux positifs

Sur la théorie de l’évolution et d’autres approches :
La théorie de l’évolution : un camouflet pour la science
La théorie incohérente de l’évolution et ses effets pernicieux sur notre mode de pensée
Créationnisme, darwinisme… Pourquoi pas ni l’un ni l’autre ?
Âme génétique et résonance morphique
Catastrophes naturelles et pollution mentale]

Et aussi les autres articles du dossier Vaccins et virus

Les jeux sont faits : la véritable origine de ce qu’ils appellent Covid-19

Ricardo Delgado : « Malgré les preuves, ils continuent de nier. »

Des milliers de personnes, certaines vivant dans la ville de Séville (Espagne) et d’autres en streaming dans le reste du monde, ont pu contempler au microscope le contenu des vaccins, gardés secrets comme n’importe quelle arme de guerre.
Cet événement a eu lieu juste au troisième anniversaire de cette période de dystopie qu’ils ont appelée pandémie, causée par un virus tueur et contagieux qui n’existe pas, pas plus que les vagues épidémiques et les variants. Et oui, à la place, des milliers d’antennes 5G irradient des corps humains innocents, victimes du grand mensonge du système, inoculés avec une substance appelée vaccin qui contient de l’oxyde de graphène réduit, un nanomatériau qui marque l’avenir de l’humanité sur son chemin vers le transhumanisme.


Rappel — La Chine, la 5G et le coronavirus de Wuhan : le nouveau virus de l’empereur

Y aurait-il un lien entre le Coronavirus et la 5G ? Le chercheur et biologiste du bâtiment Paul Doyon a écrit un article brillant exposant les preuves. Et comment vous pouvez vous protéger : une stratégie de protection basée sur les champs électromagnétiques. Avertissement : il s’agit d’un article basé sur la science lourde avec près de 100 références à des études.


C’est l’heure du conte « Gain de Fiction »* avec RFK Jr. et ses amis !

Après le 11 septembre, les armes biologiques sont devenues une préoccupation majeure avec des histoires effrayantes sur la possibilité que des échantillons de variole soient diffusés par aérosol contre des citoyens américains, obligeant l’administration Bush à stocker des vaccins. Il y avait des histoires terrifiantes de chercheurs recréant avec succès le génome de la grippe espagnole grâce à l’ingénierie inverse, ce qui était considéré comme une certitude de tomber accidentellement entre de mauvaises mains. Des mémos secrets ont été dévoilés de scientifiques recherchant la possibilité qu’al-Qaida ou ISIS utilise d’une manière ou d’une autre Ebola pour le bioterrorisme. Des rapports de laboratoires bricolant et modifiant génétiquement certains « virus » afin de les rendre plus mortels ont commencé à remplir les ondes des médias grand public. Les gens étaient conditionnés à se recroqueviller à l’idée que le terroriste acharné sécurise d’une manière ou d’une autre une arme biologique « virale » et déchaîne un fléau contagieux sur le monde. Les mini épidémies se produisent presque tous les deux ans depuis l’introduction du SRAS en 2003, préparant stratégiquement les masses pour l’événement du siècle avec le « SRAS-COV-2 ». Des théories ont été brandies sur le fait que les coupables invisibles impliqués dans ces épidémies étaient des créations concoctées en laboratoire et déchaînées sur la population sans méfiance. Ainsi, avec l’incertitude entourant l’origine animale du « SRAS-COV-2 », ce n’était qu’une question de temps avant que l’idée ne soit émise que ce n’était pas l’œuvre d’un « virus » naturel sautant d’un animal à l’autre et faisant des ravages à travers le monde avec une grippe légère. Ce « virus », associé à aucun nouveau symptôme de maladie, avait dû être créé de manière diabolique par des scientifiques fous dans les laboratoires de Wuhan.

Bien sûr, c’est un scénario qui est parfaitement logique pour les non informés, car l’Institut de virologie de Wuhan est en plein centre de Wuhan et ils ont une longue histoire d’expérimentation avec des « coronavirus » et des chauves-souris. Peu importe que les preuves du « SRAS-COV-2 » soient inexistantes, car dans ce scénario les virologues de Wuhan ont génétiquement conçu un tout nouveau « virus » à partir des restes d’autres « virus », conduisant ainsi à la « pandémie » même qui y est née. Ce « virus », créé grâce à des recherches secrètes sur le gain de fonction, avait dû s’échapper accidentellement du laboratoire ou être délibérément libéré à des fins néfastes. Cette intrigue de science-fiction conçue pour les films est défendue par ceux qui n’ont jamais remis en question le manque de preuves scientifiques de l’existence de « virus ». Cependant, pour ceux qui ont étudié ce sujet en profondeur, il est absolument clair que le récit du gain de fonction/de l’arme biologique/de la fuite de laboratoire est un appât basé sur la peur utilisé pour maintenir ceux qui remettent en question le scénario pharmaceutique officiel accrochés aux mensonges du complexe médico-industriel.


La virologie : pseudoscience au service de la domination

Tests PCR, absence de virus isolés, existence des exosomes, la « méthode » des virologues, le « séquençage » génétique… : un tour d’horizon des preuves du caractère non scientifique de la virologie.


Le docteur Julien Devilléger nous présente une synthèse qui expose des preuves : Le « Virus SARS-CoV-2 » est-il responsable du COVID-19 ?

Voici une synthèse du Dr Julien Devilléger, exposant les « preuves » fournies à ce jour d’un « virus SARS-CoV-2 » prétendument responsable du Covid, mais qui relèvent d’une farce.


Big Pharma (ô surprise !) a créé de toutes pièces la peur de l’hépatite B… pour vendre ses nouveaux vaccins

C’est l’une des interviews les plus révélatrices de l’histoire de l’industrie pharmaceutique.

En 1997, la revue Sciences et Avenir a publié un entretien avec un cadre du grand laboratoire pharmaceutique qui produisait le vaccin contre l’hépatite B.


Démantèlement de l’hypothèse virale

Le « virus de la rougeole » comme exemple. Les raisons pour lesquelles on devrait douter au sujet des affirmations concernant les virus. Que sont les virus et que ne sont-ils pas ? Comment l’existence des virus est-elle expérimentalement prouvée ?

Les scientifiques doivent douter. Ils doivent même douter de tout. Surtout de ce qui leur est cher, à savoir leurs propres découvertes et représentations. Cette règle de base du travail scientifique a pour but d’éviter les dérives et de mettre en évidence celles qui existent. De même, tout le monde a le droit de douter, si ce n’était pas le cas nous serions en dictature. De plus, la science n’est pas limitée à quelques institutions et spécialistes. Toute personne, disposant des connaissances nécessaires et des méthodes appropriées, peut et a le droit de pratiquer la science.

La science n’est science que si les affirmations sont vérifiables et compréhensibles et permettent des prédictions.


Les coupables de la crise corona sont clairement identifiés

Voici un article fondamental qui montre bien que toute la virologie est une escroquerie.

Les virologues qui prétendent que des virus entraînent la maladie sont des fraudeurs scientifiques et doivent être poursuivis devant des tribunaux.


VIRUS TUEUR ??

Qu’est-ce qu’un virus ? Descendez au fond de l’antre où se cache le mystérieux virus et remettez tout en question. La pandémie bidon de coronavirus est une mystification monumentale, bien au-delà de ce que vous pourriez imaginer.


Épidémies et contagions

Il n’y a pas d’épidémie au sens généralement entendu, c’est-à-dire par contagion microbiologique. Il y a des gens malades avec des symptômes plus ou moins semblables au même moment. Nous sommes 7,7 milliards d’êtres humains sur Terre (beaucoup trop), il n’est absolument pas étonnant d’avoir quelques centaines de milliers d’individus avec des symptômes similaires dans une même période… Surtout que les causes sont toujours identiques (Voire fiche : Les 9 paramètres de la santé ou de la maladie). La moyenne pour une grippe est 1 personne sur 1000 qui a des symptômes grippaux. Pour l’obésité aux USA c’est 350 personnes sur 1000.


Déclaration sur l’isolement des virus

La controverse sur la question de savoir si le virus du SRAS-CoV-2 a jamais été isolé ou purifié se poursuit. Toutefois, en se fondant sur la définition du mot “isolement”, le bon sens, les lois de la logique et les impératifs de la science, toute personne impartiale doit arriver à la conclusion que le virus SRAS-CoV-2 n’a jamais été isolé ou purifié. Par conséquent, on ne peut trouver aucune confirmation de l’existence du virus. Les conséquences logiques, de bon sens et scientifiques de ce fait sont les suivantes :


Virus Mania : Comment Big Pharma et les médias inventent les épidémies

Nous ne vivons pas une épidémie, nous vivons une épidémie de peur.
“La Virus Mania est une maladie de la société moderne. Pour la guérir, il faudra vaincre la peur, la peur étant le virus contagieux le plus mortel, le plus efficacement transmis par les médias… l’erreur est humaine, mais entretenir l’erreur est diabolique”.(…)
Le Dr Kohnlein réfute scientifiquement les idées reçues selon lesquelles le SARS Coronavirus, le SIDA, la grippe asiatique, l’hépatite, la polio et le cancer du col de l’utérus sont causés par un virus.


Pasteur versus Béchamp – La crise du coronavirus relance une controverse vieille de 150 ans

“Je ne perçois pas la crise du coronavirus de la même façon que la plupart des gens. Pour moi, elle constitue plutôt l’occasion d’ouvrir à nouveau une controverse scientifique vieille de 150 ans que la plupart des pays occidentaux ont oubliée.
Le scientifique français Louis Pasteur (1822-1895) est largement célébré comme « le père de la théorie des germes » — l’idée que nous devenons malades lorsque notre corps est envahi par des organismes étrangers tels que des bactéries, des moisissures, des champignons(…)
Ce que l’on sait moins, c’est que d’autres scientifiques français œuvrant à cette époque dans le même domaine avaient des convictions pour le moins différentes, connues sous le nom de « théorie du terrain ».”


Fauci et la grande arnaque du sida

Le tout nouveau livre de Robert F. Kennedy Jr., « Le vrai Anthony Fauci : Bill Gates, Big Pharma, et la guerre mondiale contre la démocratie et la santé publique », n’est pas le livre d’un politicien qui cherche à attirer l’attention. C’est le livre d’un homme déterminé à mettre sa réputation, sa carrière et sa vie en jeu dans la lutte contre le bioterrorisme des gouvernements captifs de l’industrie pharmaceutique. Il appelle à l’insurrection de masse, et son dernier mot est : « On se retrouvera sur les barricades ! »


Anthrax, Arsenic, Pasteur et ses moutons

L’anthrax est officiellement une infection causée par la bactérie Bacillus anthracis. Elle peut se manifester sous quatre formes : cutanée, pulmonaire, intestinale et par injection. Les symptômes commencent entre un jour et plus de deux mois après que la personne ait contracté l’infection.
La forme cutanée se présente sous la forme d’une vésicule noire caractéristique. La forme par inhalation se manifeste par de la fièvre, des douleurs thoraciques et un essoufflement. La forme intestinale se manifeste par une diarrhée (qui peut contenir du sang), des douleurs abdominales, des nausées et des vomissements. La forme injectable se manifeste par de la fièvre et un abcès au point d’injection du médicament.(…)
Les symptômes de l’empoisonnement à l’arsenic sont remarquablement similaires à ceux de l’”anthrax”, notamment l’apparition de lésions cutanées noires. Comme l’anthrax, l’arsenic peut empoisonner par contact avec la peau, par inhalation et par le tube digestif. Si une injection contient de l’arsenic, elle provoquera une lésion au niveau du site.(…)
Le véritable mystère est de savoir pourquoi les scientifiques de l’époque n’ont pas fait le lien entre l’anthrax et l’arsenic.


La microbiophobie ambiante est hors de contrôle ! De nouvelles perspectives sur la véritable nature des virus

Vous pensez que le coronavirus s’est échappé d’un laboratoire de Wuhan ? Vous pourriez souffrir de microbiophobie. Espérez-vous qu’un vaccin vous protégera contre le coronavirus ? Vous êtes probablement microbiophobe. Vous sentez-vous à l’abri du coronavirus en portant un masque, en vous isolant et en gardant une distance sociale ? Vous êtes certainement atteint de microbiophobie. La microbiophobie rampante – qui perturbe nos vies en raison de peurs irrationnelles des micro-organismes tels que les virus – est hors de contrôle dans nos sociétés ! Mais que sont exactement ces microbes terrifiants appelés virus ? D’où viennent-ils dans la nature ? Que font-ils et où vont-ils quand ils ont fini de faire ce qu’ils font ? Malgré la microbiophobie de notre société liée aux pandémies, toutes les tentatives visant à éviter le quadrillion [un million de milliards] de virus (1 000 000 000 000 000) qui se cachent dans et sur le corps humain sont vaines.


Le mythe de la contagion virale — Pourquoi les virus (incluant les « coronavirus ») ne sont pas la cause des maladies

Traduction de la table des matières et d’extraits du livre The Contagion Myth.
(Partie 1 : EXPOSER LA THÉORIE DU GERME
CHAPITRE 1 : CONTAGION
CHAPITRE 2 : ÉLECTRICITÉ ET MALADIE
CHAPITRE 3 : PANDÉMIES
CHAPITRE 4 : DU SIDA AU COVID
CHAPITRE 5 : TESTER L’ARNAQUE
CHAPITRE 6 : EXOSOMES
CHAPITRE 7 : RÉSONANCE
Partie 2 : QU’EST-CE QUI CAUSE LA MALADIE?
CHAPITRE 8 : L’EAU
CHAPITRE 9 : ALIMENTATION
CHAPITRE 10 : TOXINES
CHAPITRE 11 : L’ESPRIT, LE CORPS ET LE RÔLE DE LA PEUR
Partie 3: CHOIX…)


Ebola : briser les mensonges et la supercherie

Nous sommes avertis, de temps en temps, qu’une nouvelle épidémie d’Ebola (ou de Marburg) pourrait se propager. C’est l’une de ces attractions à venir dans le théâtre qui montre un film de virus après l’autre. (…) La campagne massive pour faire croire que le virus Ebola peut attaquer à tout moment, après le moindre contact, est plutôt réussie. (…) Pour ne pas résoudre les problèmes du peuple, une histoire servant de couverture est nécessaire, une histoire qui disculpe la structure du pouvoir.


La fin de la virologie : la 3e phase des expériences témoins du SARS-CoV-2

Après les deux clous précédents enfoncés dans le cercueil de la théorie virale, dans cette troisième phase, le Dr Stefan Lanka montre qu’en appliquant la même technique que celle utilisée par les virologues, en utilisant les acides nucléiques qui ne proviennent pas de matériel supposé infectieux, mais de tissus humains, d’animaux et de plantes sains, vous pouvez construire le génome de n’importe quel « virus ». (Vidéo 8 min)


Dr. Andrew Kaufman – La théorie virale mise à mal

Après avoir étudié la biologie moléculaire au MIT, le Dr Kaufman a obtenu son diplôme de médecine à l’université de Caroline du Sud, puis s’est spécialisé en psychiatrie au centre médical de l’université de Duke. Des virus aux injections et aux médicaments, cette vidéo (> 1 h 20) aborde les hypothèses de base qui sous-tendent l’ensemble du récit sur le covid.


L’effondrement de l’hypothèse virale

Urmie Ray est docteur puis chercheur en mathématiques de l’Université de Cambridge, ancienne professeur de mathématiques à l’université de Reims, et associée à diverses périodes avec l’Institut Max Planck de Bonn (Allemagne) notamment. Urmie a démissionné de son poste de professeur d’université afin de se consacrer pleinement à l’étude de questions culturelles et historiques et ainsi mieux comprendre l’époque actuelle. Après une analyse de la déformation de la science en dogme dans son dernier livre : « On Science : Concepts, Cultures, and Limits » (Routledge, 2021), elle s’est depuis 2020 intéressée notamment à « l’hypothèse virale », sur laquelle est basée toute la justification des mesures inédites actuelles. (Vidéo > 1 h 40)


La fausse idée appelée virus — La rougeole à titre d’exemple

Contrairement à ce que croient la majorité des gens, il n’y a pas de virus pathogène. Les affirmations au sujet de l’existence des virus et des maladies virales sont basées sur de mauvaises interprétations historiques et non, comme on le pensait dans le passé, sur des fraudes ou des tromperies délibérées. Nous avons maintenant du mieux, dans le sens positif des découvertes « scientifiques » et des explications pour l’origine, la thérapie et la prévention des maladies, et pas seulement des maladies « virales ».


L’enterrement de la théorie virale

Pour déterminer la validité d’une théorie scientifique touchant une discipline particulière, il est bien davantage utile de connaître la démarche scientifique et le propre de la science que d’être un expert du domaine en question. Le propre de la science est le doute, la remise en question des connaissances acquises à la lumière de nouvelles données ou informations, par exemple suite à l’exploration de nouvelles voies ou à l’observation du réel sous un nouvel angle de vue ou selon une nouvelle perspective. Une théorie explicative de phénomènes observés ne peut être véritablement d’ordre scientifique que si elle est contestable par l’argumentation ou l’expérimentation dans le cadre de la démarche scientifique. Si a contrario elle se pose en vérité absolue ou définitive, alors elle ne relève pas de science, mais de superstition ou de croyances religieusement ou affectivement entretenues. À la lumière de nombreux faits et constats, nous allons tenter de montrer ici en quoi la théorie virale ne relève pas de science, mais de scientisme et de croyances erronées.




Le ministère de la Défense de la Russie a publié la correspondance de Hunter Biden sur le financement des biolaboratoires en Ukraine

[Source : Profession Gendarme]

Par Guy Boulianne

Le 31 mars 2022, le ministère de la Défense de la fédération de Russie a publié une correspondance entre le fils du président américain Joseph Robinette Biden (c’est-à-dire Joe Biden) et des employés du département de réduction des menaces du Pentagone et ses sous-traitants de biolaboratoires en Ukraine. Le contenu des lettres montre que Hunter Biden a joué un rôle important dans la création d’opportunités financières pour le travail sur les agents pathogènes en Ukraine, malgré les accords internationaux sur la non-prolifération des armes biologiques. La menace d’une utilisation à grande échelle d’armes biologiques contre la Russie, et donc contre le monde, est bien réelle et constitue un crime de guerre en soi. Afin de bien informer mes lecteurs à la source, j’ai traduit ci-dessous le discours du lieutenant-général Igor Kirillov, directement à partir du site Web du ministère de la Défense. [1] Les lecteurs pourront comparer et authentifier ma traduction avec celle qui a été faite par le ministère russe. [Consultez le PDF]

Écusson de la Moscovie

Les médias propagandistes tentent par tout les moyens de faire croire que Vladimir Poutine est l’incarnation du mal et un dictateur impitoyable. Laissez-moi vous dire que le Mal ne se situe pas là où on pourrait le croire, mais qu’il est à nos portes … il est chez nous. Ces nouveaux dictateurs qui se lèvent à travers le monde — lorsqu’ils auront perdu la grande bataille — se rabattront et feront périr leurs propres populations avec un esprit de vengeance effroyable. Là se situe le danger réel.

Il est clair pour celles et ceux qui savent voir et entendre que nous sommes en train de vivre les temps eschatologiques. Deux forces antagonistes s’affrontent actuellement : les tenants du Nouvel Ordre Mondial « unilatéral », souhaitant asservir l’humanité sous le joug de leur dictature, contre les défenseurs d’un ordre mondial « multipolaire, juste et démocratique ». C’est ce que fait actuellement le président Vladimir Poutine au sein du format Russie-Inde-Chine (RIC), contribuant à l’établissement de la multipolarité et à la suprématie du droit international sur la scène mondiale. J’ai écrit dans la présentation de mon dernier livre intitulé “L’Arche de Gabriel : de La Mecque à l’Antarctique” :

« L’humanité vit dans un combat perpétuel entre ceux qui sont de la “race de vipères” et ceux qui sont les “fils de Dieu”. Cette race de vipères se cache sous la dénomination contemporaine de « Nouvel Ordre Mondial ». Il s’agit pour cette engeance de prendre possession et d’asservir les humains dans un système babylonien en leur injectant le venin du serpent et en leur ôtant toute parcelle divine qui était déjà en eux. Dans ce contexte, il semble que le président de la Russie, Vladimir Poutine, soit l’un des derniers remparts contre cette Cabale maléfique. C’est ce qui expliquerait que la mission de transporter l’Arche de Gabriel aux confins de l’Antarctique lui fut confiée. C’est aussi ce qui expliquerait la raison pour laquelle les forces obscures mondialistes le combattent avec autant d’ardeur et d’acharnement. »

Cela pourra surprendre certaines personnes, mais le rabbin Haïm Dynovisz [2] et M Hababou n’hésitent pas à dire dans une vidéo qui fut rapidement censurée par Youtube que les dirigeants qui sont au pouvoir ne sont pas des humains, mais qu’ils sont plutôt des reptiliens, descendants du serpent originel. (Vidéo à 35:06 min.

« Ils ont pris une forme humaine mais ce ne sont pas du tout des descendants de Adam et Eve. Le monde est partagé soit en singes devenus des hommes,— donc qui n’ont rien à voir avec Adam et Eve —, soit des démons qui sont descendus dans ce monde et qui sont généralement les grands dictateurs, les grands assassins, les grands violeurs, les grands criminels, etc. » (Vidéo à 28:28 min.)

Pouvons-nous retrouver quelques vérités dans la symbolique ancestrale ? Je vous rappelle que les armoiries de la Russie portent en leur centre l’écusson de la Moscovie qui se blasonne ainsi : « de gueules représentant Saint Georges terrassant la Dragon, sur son destrier d’argent (de la Moscovie). »


« Quand les mille ans seront accomplis, Satan sera relâché de sa prison. Et il sortira pour séduire les nations qui sont aux quatre coins de la terre, Gog et Magog, afin de les rassembler pour la guerre. » (Apocalypse 20:7-8)

Discours du lieutenant-général Igor Kirillov - 1

Le ministère de la Défense a montré la correspondance du fils de Biden sur les laboratoires biologiques en Ukraine

Le ministère russe de la Défense a organisé une autre réunion d’information sur les résultats de l’analyse des documents liés aux activités biologiques militaires américaines sur le territoire de l’Ukraine. Igor Kirillov, chef des troupes de défense contre les radiations, chimiques et biologiques des forces armées russes (RCBZ), a fait des déclarations qui transforment en fait les pays hébergeant des laboratoires biologiques américains en cibles pour les frappes préventives des forces stratégiques russes.

Lire la suite : Guy Boulianne

Copyright © Guy Boulianne

Guy Boulianne, auteur, éditeur et journaliste indépendant, membre de la General News Service Network Association (GNS Press) et de l’International Association of Press Photographers (IAPP) Il est aussi membre de la Society of Professional Journalists (SPJ). Il est le fondateur et l’éditeur en chef des Éditions Dédicaces LLC : http://www.dedicaces.ca.




Les racines nazies de l’UE et de l’OTAN

Adolf Heusinger : Chef des opérations de l’état-major de la Wehrmacht (l’armée du IIIᵉ Reich à partir du 21 mai 1935 et jusqu’à sa dissolution officielle en août 1946) – Président du Comité militaire de l’OTAN, 1961-1964.

Hans Speidel : Chef d’état-major du groupe d’armées «V» de Rommel. (officier dont la carrière se déroule dans l’armée de terre allemande au service des régimes politiques qui se succèdent alors : Empire allemand, république de Weimar, Troisième Reich. – 1957-1963, commandant de l’OTAN en Europe centrale.

Johann Steinhof : As de la Luftwaffe (armée de l’air) sur le front de l’Est Militaire allemand, as de la Seconde Guerre mondiale. Il est considéré par beaucoup comme un des plus efficaces chefs de la Luftwaffe, – 1971-1974, président du Comité militaire de l’OTAN.

Johann von Kleimanseg : Officier d’état-major général au sein du haut commandement dela Wehrmacht – 1967-1968 Commandant de l’OTAN en Europe centrale.

Ernst Ferber : Inspecteur du haut commandement de la Wehrmacht. – 1973-1975: Commandant de l’OTAN en Europe centrale.

Karl Schnell : Officier d’état-major général dans le corps de chars de la Wehrmacht – 1975-1977 : commandant de l’OTAN en Europe centrale.

Franz-Josef Schultze : Officier de la Luftwaffe, croix de chevalier. – 1977-1979 : Commandant de l’OTAN en Europe centrale.

Ferdinand von Saenger und Etterlin : Adjudant du haut commandement de la Wehrmacht 1979-1983 Commandant de l’OTAN en Europe centrale.


https://www.chasse-aux-livres.fr/prix/9076332673/les-racines-nazies-de-l-union-europeenne-de-bruxelles-paul-anthony-taylor?query=Isbn%20978.90.76332.67.3

[Source : Lucien Pons]

Par Serge FOURNIER

Sur L’UNION EUROPÉENNE DE BRUXELLES

1— Ce que vous aviez toujours voulu savoir, mais que personne n’osait vous dire !

Et donc sans grande surprise, les architectes principaux de l’Union Européenne de Bruxelles furent recrutés parmi les technocrates qui avaient déjà conçu les projets d’une Europe d’après guerre placée sous le contrôle de la coalition des nazis et du Cartel IG Farben et ses successeurs, Bayer, BASF et HOECHST.

En 1950, après avoir menti aux alliés concernant son passé de nazi, Hallstein devint conseiller du chancelier d’Allemagne de l’Ouest, Adenauer, et le principal coordinateur de sa politique étrangère. En raison de sa vaste expérience précédente concernant la planification d’une Europe placée sous la domination du Cartel et des nazis, il devint l’architecte principal de l’UE de Bruxelles.

Le 25 mars 1957, Hallstein fut l’un des 12 signataires du traité de Rome. Le document fondateur de l’UE de Bruxelles. En 1958, il fut nommé premier président de la Commission Européenne, un poste qu’il avait détenu pendant une décennie entière.

Nous les peuples de l’Europe, devons réaliser que la fondation de la Cour Européenne de justice, l’organe le plus élevé de L’UE de Bruxelles, aujourd’hui a été élaborée et est entrée en vigueur via des acteurs de la coalition des nazis et du Cartel, y compris par des membres affiliés au parti nazi. Les héritiers des architectes d’Auschwitz sont devenus les promoteurs principaux de « l’Union Européenne de Bruxelles ». Angela Merkel en 1992, et en 2009. Son mentor, Helmut Kohl, présenta la jeune Merkel comme étant « sa fille ».

Sarkozy et Merkel sont devenus les exécutants politique de la loi d’habilitation de Lisbonne ainsi que la tentative suivante du Cartel du pétrole et des médicaments pour conquérir et contrôler L’Europe, et à partir de là, le reste du monde.

2— Les Racines nazies de l’Union Européenne de Bruxelles

Depuis que leurs deux tentatives précédentes de conquête mondiale, les première et deuxième guerres mondiales avaient échoué, les acteurs du Cartel savaient que la seule façon dont une troisième tentative pourrait réussir, consisterait à ce que son implication dans les deux tentatives précédentes puisse être fondamentalement éliminée de la mémoire de l’humanité. Sinon, comment expliquez-vous que plus de soixante mille pages provenant du tribunal de Nuremberg contre le Cartel d’IG Farben aient été dissimulées pendant plus de six décennies dans les archives internationales ?

Alors que les acteurs militaires et politiques du Cartel durant la Seconde Guerre mondiale furent reconnus comme responsables de la mort et de la destruction qu’ils avaient causées, leurs maîtres économiques poursuivirent leurs efforts inlassables afin d’atteindre leur objectif ultime. Dans ce but, ils financèrent tout simplement la montée d’une nouvelle génération d’acteurs politiques dans les pays principaux.

Helmut Kohl, un ancien employé de chez BASF, fut promu afin de devenir chancelier d’Allemagne, un poste qu’il détint pendant 16 ans.

Pendant cette période, il dépensa des milliards de dollars provenant de l’argent des contribuables afin de financer la Construction de L’UE de Bruxelles. Angela Merkel, sa protégée politique, détient ce poste aujourd’hui. En parallèle en France, les héritiers des architectes d’Auschwitz amenèrent Nicolas Sarkozy au pouvoir. Après le rejet de l’UE de Bruxelles par les populations de France et des Pays-Bas en 2005, ces deux exécutants politiques du Cartel forcèrent les dirigeants du reste de l’Europe à signer la « loi d’habilitation » de Lisbonne.

3— Les populations de l’Europe. Ont-elles abandonné volontairement des siècles de démocratie ?

Pour le Cartel du pétrole et des médicaments, « l’UE de Bruxelles » est simplement une base de manœuvre à partir de laquelle il projette de conquérir le monde en utilisant la force politique, économique, et si cela s’avère nécessaire la force militaire. À cette fin, le Cartel est actuellement en train d’essayer d’exporter le concept antidémocratique de « l’UE de Bruxelles » vers d’autres régions du monde. L’Union africaine (ua) est déjà modelée d’après l’UE de Bruxelles avec, y compris, une « Commission de l’UA » !

Les acteurs politiques du Cartel, de façon trompeuse, font étalage de « l’UE de Bruxelles » comme un modèle de démocratie et de paix pour le 21e siècle. En partant de la simple portée de cette campagne de promotion mondiale, les populations du monde pourraient avoir l’impression que « l’UE de Bruxelles » fut approuvée par les peuples d’Europe au cours d’une élection démocratique, et que son corps politique reflète leur volonté.

Mais rien ne pourrait être plus éloigné de la vérité. Les faits réels jettent une lumière révélatrice sur la nature fondamentalement antidémocratique de l’UE de Bruxelles-ce qui constitue un signe d’avertissement pour le monde : le seul pays où les citoyens furent autorisés à voter concernant le « traité de Lisbonne » la loi d’habilitation pour l’UE de Bruxelles fut l’Irlande, dont la population constitue moins de 1 % de la population totale de l’Europe. Et même ce vote fut le résultat d’un mépris pour la démocratie : en juin 2008, les citoyens d’Irlande avaient rejeté le concept de l’UE de Bruxelles par un non retentissant. Mais les acteurs politiques du Cartel à Bruxelles décidèrent d’ignorer ce vote. Ils soudoyèrent le gouvernement irlandais, afin qu’il tienne un second référendum et qu’il force le vote du oui, avec une quantité d’argent phénoménale canalisée depuis les acteurs du Cartel vers Dublin.

Plus de 99 % des populations d’Europe, qui comptent plus de 500 millions de personnes ont été privés du droit démocratique de voter par référendum concernant le traité de Lisbonne.

4— La planète est au bord d’une dictature globale, et de la troisième guerre mondiale.

L’histoire nous montre qu’il y a eu deux conditions préalables aux tentatives de conquête mondiale menées par le Cartel :

a— l’établissement d’une dictature dans le territoire à partir duquel cette conquête mondiale est lancée. Le traité de Lisbonne fournit la base juridique pour ceci.

b— la planification systématique d’actions militaires, comprenant une nouvelle guerre mondiale. La constitution d’une armée européenne, l’lorsqu’elle est combinée à des menaces ouvertes effectuées par les principaux acteurs politiques du Cartel afin d’utiliser des armes nucléaires, est une étape indubitable vers ceci.

Ainsi, le parallèle historique de la saisie du pouvoir par le Cartel du pétrole et des médicaments via L’UE de Bruxelles, est la prise de pouvoir du gouvernement allemand par les mêmes groupes d’intérêt il y a 75 ans. L’année 1933 est le parallèle de l’année 2009, où le Cartel du pétrole et des médicaments imposa sa « loi d’habilitation ».

L’année 1934 est le parallèle de l’année 2010, où la dictature montrera son véritable visage en soumettant les secteurs importants à sa domination. Le projet soutenu par Sarkozy et de Hollande pour un contrôle central de l’économie européenne n’est que le début.

À la lumière de ces faits, les populations d’Europe et du monde doivent réagir. Le succès de leurs efforts dépendra des conditions préalables suivantes :

c— la bonne analyse politique. Ce livre a été écrit pour la fournir.

d— La dissémination efficace de ces informations aux populations du monde.

e— L’organisation d’un mouvement de personnes qui se sont engagées à protéger la démocratie et la paix en Europe et dans le reste du monde.

Ce livre relate une histoire que de nombreux lecteurs pourraient dire que si l’information de portée historique capitale documentée ici était vraie, ils en auraient certainement entendu parler auparavant. Conscients de cela, nous en tant qu’auteurs, considérons qu’il est de notre responsabilité d’encourager nos lecteurs non seulement à lire ce livre, mais aussi de les encourager à visiter et étudier la source des documents.


1— Quelques extraits de ce livre

La plupart de ces documents pourraient avoir été obtenus par quiconque étant intéressé par le fait d’apprendre la vérité concernant les origines de « l’Union européenne de Bruxelles » et les rôles de ses « pères fondateurs » autodésignés. Le fait que le « discours de conquête » d’Hallstein était inconnu jusqu’à la publication de ce livre est tout simplement inexcusable.

Cette omission essentielle vous dit, à vous lecteurs, que soit vos dirigeants politiques ne sont pas informés sur Hallstein et les sombres racines de « l’Union Européenne de Bruxelles » liées à IG Farben ou, s’ils étaient au courant, qu’ils n’ont pas osé vous informer de ces faits.

Suite à la publication de ce livre, les dirigeants politiques de l’Europe ne peuvent plus se cacher derrière l’excuse qu’ils ne « savaient pas ». À présent, il dépendra de vous, lecteur, de confronter vos représentants politiques, grands et petits, aux faits historiques.

Nous devons tirer les leçons des erreurs du passé, éviter que l’histoire se répète, et aider à construire une nouvelle Europe démocratique.

Ce livre constitue également une occasion unique pour tous les politiciens et partis politiques qui ont été leurrés afin de soutenir l’UE de Bruxelles sans en connaître le fond ou sans en comprendre le véritable but. Ceci inclut les 27 chefs d’État qui ont signé le « traité de Lisbonne », et dont la majorité n’a pas compris que leurs signatures constituaient une « loi d’habilitation » ou « loi des pleins pouvoirs » pour que le Cartel et ses acteurs prennent le contrôle de l’Europe. Ces politiciens de ces partis politiques ont à présent la chance de faire demi-tour et de révoquer publiquement leur appui à un modèle européen qui a été construit sur des décennies de mensonges et de tromperies.

2— La démocratie se transforme en dictature. La façon dont l’Union Européenne est contrôlée par les intérêts industriels

L’UE de Bruxelles se présente au monde comme un brillant exemple de démocratie du 21e siècle. En réalité, cependant, rien ne pourrait être plus éloigné de la vérité.

Dans une démocratie véritable, tout le pouvoir appartient au peuple. Le principe de séparation des pouvoirs entre les trois niveaux du gouvernement exécutif législatif et judiciaire établit, vérifie et équilibre afin de protéger contre les excès. Ce principe a été universellement accepté après que l’humanité se soit battue pendant des milliers d’années en faveur de cette valeur. En revanche, l’UE de Bruxelles ne possède pas ce principe fondamental de « séparation des pouvoirs ». De plus, les populations de l’Europe n’exercent de contrôle ni sur le pouvoir exécutif ni sur le processus législatif. Pire : le parlement qu’elles élisent ne possède pas, lui non plus, les moyens de contrôler efficacement ces branches du pouvoir.

Afin de cacher cette impuissance, l’article 225 surnommé « l’article feuille de vigne » fut inséré dans le « traité de Lisbonne. » Cette clause offre une possibilité pour le parlement européen « demande à la Commission de soumettre une proposition » pour la législation. La Commission, bien sûr, peut simplement refuser de le faire.

Œuvrant en dehors des principes démocratiques élémentaires, l’UE de Bruxelles par définition est une dictature. Le pouvoir que le peuple possédait afin de choisir son gouvernement a été transféré à des intérêts industriels.

3— La façon dont le Cartel essaie de contrôler l’Europe

L’UE de Bruxelles se présente à la face du monde comme une démocratie parlementaire, avec le Parlement européen qui joue un rôle décisif. Cependant, les décisions exécutives et l’élaboration de toutes les lois sont effectuées par la Commission européenne et son personnel de bureaucratie. Des carriéristes et bien payés élaborent les lois européennes au nom des intérêts industriels. En revanche, les 754 membres du Parlement européen se composent de politiciens provenant des 27 pays et qui ne possèdent aucun pouvoir de contrôle sur cette armée de bureaucrates. Le Parlement n’est à peine plus qu’une vitrine, dont le but est de présenter l’UE de Bruxelles aux peuples de l’Europe sous le masque d’une démocratie parlementaire.

4— Hallstein et le Projet « Terre brûlée »

Comment Hallstein a-t-il pu, avec son passé ténébreux lié à l’histoire des nazis et du Cartel, devenir l’architecte en chef de l’UE de Bruxelles, et le premier président de la Commission européenne ? La réponse à cette question est étonnamment simple : d’abord Hallstein, dans l’Allemagne d’après guerre, a dû s’assurer que ses nombreuses publications et présentations en tant que croisé de la conquête européenne des nazis et du Cartel, étaient détruites.

La page suivante reprend une impression provenant de la bibliothèque nationale allemande après avoir utilisé, pour une recherche, les mots-clés « Walter Hallstein » cette bibliothèque qui est la bibliothèque en ligne la plus complète de toute l’Allemagne énumère les publications suivantes rédigées par celui-ci.

De façon étonnante, en 1933 et 1945, durant le régime de terreur de la coalition des nazis et du Cartel, on ne peut trouver qu’une seule publication rédigée par Hallstein. Cette liste ridiculement courte d’une publication en 12 (!) ans mérite une explication en particulier si l’on tient compte du fait que, durant cette période, Hallstein était le doyen de la faculté de droit de deux grandes universités allemandes.

5— Il n’y a qu’une explication à ce fait

Hallstein et ses complices du Cartel ont essayé de s’assurer qu’aucun de ses discours et publications en tant que défenseur de la coalition des nazis du Cartel et de sa prise de pouvoir de l’Europe, n’aient survécu. Cette politique de la terre brûlée constituait une condition préalable pour l’ascension politique d’Hallstein, afin qu’il devienne le père fondateur de l’UE de Bruxelles.

6— Dévoiler un demi-siècle de tromperie

Si le rôle capital du Cartel qui se trouve derrière la Première et la Seconde Guerre mondiale avait été dénoncé par le passé, ces intérêts industriels n’auraient jamais eu la chance de lancer une autre tentative de conquête de l’Europe et du monde.

En tant que telle, la dissimulation du passé criminel du Cartel fut une condition préalable pour la construction de son « UE de Bruxelles. »

Dans les pages précédentes de ce livre, nous avons dévoilé la stratégie perfide du Cartel. La page suivante résume les faits essentiels : alors que les acteurs politiques et militaires du Cartel étaient condamnés à Nuremberg, ses acteurs juridiques et économiques étaient chargés de préparer et de mettre en application la troisième tentative de conquête européenne et mondiale du Cartel.

7— Le projet principal de la coalition de nazis et du Cartel : un plan directeur pour mener à l’Union européenne de Bruxelles

En 1957 à peine 18 ans après son « discours de conquête », Haslltein incorpora ce « principe de Leadership » dans les « traités de Rome », les documents fondateurs de l’Union européenne de Bruxelles.

La « Commission européenne » des bureaucrates engagés au nom du Cartel devint le nouveau « Leadership » dictatorial de l’État (du Cartel européen), et possédant un pouvoir inconditionnel et définitif dans toutes les décisions s’apparentant à l’architecture de cette communauté (européenne).

En 2009, 27 dirigeants politiques européens adoptèrent la « loi d’habilitation de Lisbonne », complétant ainsi les projets de conquête d’Hallstein. 70 après son discours en 1939 et faisant avancer la troisième tentative de conquête européenne du Cartel.

8— La tradition des symboles

En tant que récompenses pour avoir complété les missions du Cartel durant son premier mandat de 5 ans comme chef du poli-bureau, les acteurs du Cartel commandèrent, pour le « nouveau roi de l’Europe », un « château » approprié et un « personnel royal » se composant de plusieurs milliers de bureaucrates serviles.

La construction du bâtiment du Berlaymont qui, encore aujourd’hui, reste le quartier général de la « Commission européenne », commença en 1963 et marqua le début du second mandat de 5 ans d’Hallstein en tant que son chef.

Lorsque l’on regarde les plans de son futur château, Hallstein doit avoir été fou de joie : la forme du quartier général de la « Commission européenne » ressemble de façon frappante à l’emblème situé sur le badge qu’il porta avec fierté pendant de nombreuses années, et seulement deux décennies auparavant.

9— Les traités de l’Union européenne

Les tentatives du Cartel du pétrole et des médicaments visant à consolider son pouvoir politique sur l’Europe.

Dans l’arène politique, les années 1990 ainsi que la première décennie du 21e siècle virent le Cartel du Pétrole et des médicaments prendre des mesures de plus en plus ambitieuses afin de consolider son pouvoir politique sur l’Europe. Le but ultime étant la création d’un poli-bureau mondial afin de protéger le Cartel de la menace provenant des médecines naturelles, et afin d’assurer un monopole mondial de ce Cartel avec des médicaments brevetés. Les principales étapes de ce mouvement impliquèrent la signature du traité de Maastricht, en 1992 ; traité d’Amsterdam, en 1997 ; traité de Nice, en 2001 ; et du traité de Lisbonne, qui entra en vigueur en décembre 2009.

Il devrait être souligné que, pour chacun de ces traités, on ne donna aucune possibilité à la grande majorité des peuples d’Europe de rejeter les décisions de leurs gouvernements, décisions visant à supprimer les droits et libertés de ces peuples via les traités en question. Si l’Union européenne de Bruxelles était une véritable démocratie, bien sûr, tous les citoyens européens auraient d’abord eu le droit d’exprimer leur volonté par des référendums publics et, selon toute vraisemblance, ces traités n’auraient jamais été signés.

10— UN MONDE POUR LE PEUPLE ET PAR LES PEUPLES

Puisqu’il est évident que les représentants politiques d’un continent entier, l’Europe, ont échoué à protéger la démocratie, nous, les peuples du monde, devons prendre conscience de nos responsabilités et agir. Ce dont nous avons besoin à présent, c’est d’un mouvement mondial qui protégera les habitants de cette planète, aujourd’hui et à l’avenir, d’être sacrifiés sur l’autel des intérêts du Cartel du pétrole et des médicaments. L’essence même de ce mouvement consiste à protéger la santé et la vie de millions de personnes ; par conséquent, ce sera un « mouvement de vie ».

Ce livre fournit l’analyse historique expliquant la nécessité et l’urgence d’un tel mouvement. Les leçons d’histoire documentées dans ce livre mettront fin aux décennies de tromperies qui ont constitué la base du règne du Cartel du pétrole et des médicaments jusqu’à présent.

Ce livre montre que les efforts désespérés, effectués par le Cartel afin de consolider l’UE de Bruxelles et afin d’étendre son influence autour du globe, ne relèvent pas du hasard. Ils reflètent la peur des défenseurs du statu quo, peur selon laquelle ils pourraient perdre le contrôle politique et économique de notre planète. Des formes alternatives d’énergie menacent de mettre fin à la « tyrannie du pétrole ». De façon similaire, des approches efficaces de santé naturelle sont sur le point de mettre fin à la dépendance de l’humanité aux médicaments brevetés, chimiques et toxiques.

Les parties prenantes du statu quo ont pris conscience qu’elles ne peuvent plus préserver leurs intérêts économiques en démocratie. La seule façon dont leurs marchés — qui pèsent des milliards de dollars et qui comportent des technologies largement obsolètes — peuvent se maintenir consiste à avoir recours à des formes totalitaires de gouvernement. Donc, les tentatives du Cartel visant à prendre le pouvoir en Europe et dans le monde, comme cela est documenté dans ce livre, ne sont pas un signe de force, mais de désespoir.

FOURNIER Serge

Nota :

Les auteurs de ce livre sont : Paul Anthony Taylor, Aleksandra Niedzwiecki, Matthias Rath et August Kowalczyk.

Pour acheter ce livre intitulé « Les racines nazies de l’Union européenne » :

DR. Rath EDUCATION SERVICES B.V
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Ce livre est au prix de 12 euros, 80 plus 4 euros de frais de port.

  • Pour commander par fax : 0031-457-111-229.
  • Par téléphone : 0031-457-111-225.
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Ce livre parle de la Première et Deuxième Guerre mondiale, des camps de concentration et de la construction de l’Union européenne. 


[Source : memoiresdeguerre.com]

Opération Paperclip

L’opération Paperclip (originellement appelée « Opération Overcast ») fut menée à la fin de la Seconde Guerre mondiale par l’état-major de l’armée des États-Unis afin d’exfiltrer et de recruter près de 1 500 scientifiques allemands issus du complexe militaro-industriel de l’Allemagne nazie pour lutter contre l’URSS et récupérer les armes secrètes du Troisième Reich. Ces scientifiques effectuèrent des recherches dans divers domaines, notamment sur les armes chimiques (Zyklon B), sur l’usage des psychotropes, sur la conquête spatiale, sur les missiles balistiques et sur les armes à longue portée (bombes volantes V1 et V2).

Loin de les affecter à des postes subalternes, le département de la Défense des États-Unis leur confia la direction d’une part de ses programmes de recherches. Ils furent affectés aux bases de White Sands, dans le Nouveau-Mexique, et à Fort Bliss, au Texas. Grâce en partie à l’aide de ces scientifiques, l’avancée technologique des États-Unis fut considérable pendant la guerre froide. Elle est arrêtée en 1957, lorsque l’Allemagne de l’Ouest proteste auprès du gouvernement des États-Unis qui la dépouille de ses compétences scientifiques. L’opération Paperclip est rendue publique en 1973. 

Préambule

Avec l’entrée en guerre des États-Unis, est créé un camp d’internement à Fort Hunt près d’Alexandria en Virginie en 1942 pour interroger les prisonniers de guerre allemands ayant des connaissances techniques et scientifiques sur le complexe militaro-industriel allemand et ses systèmes d’armes perfectionnés tels les officiers de U-Boot, officiers de l’Afrika Korps ou scientifiques. Près de 3 400 détenus sont ainsi passés par Fort Hunt entre 1942 et 1946 ; 600 interrogateurs avaient pour mission de leur soutirer des informations, en particulier sur les avancées technologiques du Reich. Une partie de ceux-ci rejoindra la Joint Intelligence Objectives Agency chargée de l’opération Paperclip. En juillet 1945, un mémorandum confidentiel de l’état-major américain recommande que « ces esprits talentueux et rares, à la productivité intellectuelle hors du commun, soient placés à notre service », prédisant une « guerre totale » contre l’URSS d’ici 1952, anticipant donc la future confrontation entre les deux grands vainqueurs de la guerre. Une dizaine de scientifiques, jugés lors du procès des savants au sein des procès de Nuremberg, voient ainsi leurs peines atténuées, malgré leur évidente responsabilité dans certains crimes (à l’image de Theodor Benzinger). 

Des « rockets men » sont chargés d’aller récupérer, sur leurs confidences, leurs matériel, plans, machines et formules encore enfouis dans leurs laboratoires en Allemagne, et de les expédier aux États-Unis. Plusieurs oppositions se sont exprimées au nom du respect de la démocratie et de l’éthique, notamment du New York Times, de l’ancienne Première dame Eleanor Roosevelt, du scientifique Albert Einstein ou encore du docteur Léopold Alexander, un médecin juif d’origine autrichienne exilé aux États-Unis en 1933. La société américaine ignore toutefois ces opérations jusqu’à leur révélation dans les années 1970. Le président Harry Truman, mis tardivement dans la confidence, décide de médiatiser uniquement leurs inventions « utiles » dans la vie quotidienne : « la stérilisation des jus de fruits et du beurre, les collants féminins qui ne glissent plus, les thermomètres auriculaires », etc. Outre les avancées considérables que ces savants ont apportées à l’armée américaine en ce qui concerne son programme balistique, ceux-ci ont également mis au point des combinaisons anti-G pour les pilotes de chasse (à l’origine de cette découverte, le scientifique Sigmund Rascher avait immergé des déportés du camp de Dachau, nus dans de l’eau glaciale afin de tester leur résistance). 

Quelques scientifiques et responsables allemands

Photo des membres de l’équipe de Werner Von Braun à Fort Bliss en 1946.

Opérations parallèles à l’Est, en Europe, en Argentine

L’Union soviétique chercha aussi à récupérer le savoir des spécialistes allemands (surtout pour les moteurs d’avions et de fusées) encore présents sur le territoire qu’elle occupait. Ce fut le Département 7 (opérations scientifiques) qui fut chargé de l’opération. Tout d’abord, les personnels furent regroupés et purent continuer leurs recherches. Au bout d’un certain temps, ils furent tous emmenés avec leurs familles dans le cadre d’un déménagement surprise dans plusieurs villes d’Union soviétique où tout avait été préparé pour les recevoir. L’opération Alsos permit l’exploitation d’une installations atomiques allemandes, du savoir intellectuel associé, des ressources matérielles et du personnel scientifique au profit du projet de bombe atomique soviétique. 

Ils furent cependant renvoyés en République démocratique allemande à partir de 1952, lorsque les spécialistes russes qui les entouraient eurent rattrapé leur retard technologique. Le Royaume-Uni et la France menèrent des opérations similaires avec des moyens plus limités pour récupérer le savoir technologique de l’Allemagne. Par exemple, plusieurs installations d’essais aéronautiques furent démontées en Allemagne et reconstruites en France (dont, par exemple, la soufflerie S1MA de Modane, encore unique au monde). En Normandie à Vernon (Eure), au Laboratoire de recherches balistiques et aérodynamiques créé en 1946, une soixantaine de techniciens et ingénieurs allemands issus de la base militaire de Peenemünde, installés avec femmes et enfants dans une cité provisoire, le Buschdorf, travaillèrent à la mise au point des premiers moteurs à réaction de la chasse française (SNECMA Atar), du premier Airbus et des premières fusées françaises. 

De même, le premier hélicoptère construit dans l’usine devenue plus tard Eurocopter à Marignane, le SNCASE SE.3000, était une évolution d’un modèle récupéré en Allemagne, le Focke-Achgelis Fa 223 Drachen. L’Argentine fut aussi dans la course et ses services secrets proposèrent à partir de 1944 à des ingénieurs allemands comme Kurt Tank, le concepteur du Focke-Wulf Fw 190, de travailler dans son industrie aéronautique. Quand le président Juan Perón perdit le pouvoir en 1955, l’équipe des anciens de Focke-Wulf se dispersa, beaucoup partant aux États-Unis ou en Inde. Tardifs, ces départs pour les États-Unis seraient les premiers signes du phénomène de la fuite des cerveaux. 




Affaire René Chiche : si la France n’est pas devenue une dictature, c’est à s’y méprendre…

[Source : pgibertie.com]

René Chiche est responsable du syndicat CGE CGC pour l’Éducation. Les vidéos résument ses crimes.

Je suis exclu de fonctions pendant trois mois pour mes propos publics en qualité de professeur de philosophie et de représentant syndical sur les réseaux sociaux, à la radio et à la télévision. On n’est pas en dictature, mais c’est bien imité. Je ne me tairai pas.

Mes premières pensées vont à mes élèves, que le ministère de l’Éducation nationale prive de leur professeur à deux mois de l’épreuve de philosophie du baccalauréat. On leur dira que je suis « absent pour raison administrative ». C’est inexact. Je leur dois cependant la vérité.

Je publierai l’ensemble de cette procédure disciplinaire après consultation de mes avocats et en concertation avec mon syndicat

@ad_cfe_cgc, également attaqué par une sanction qui constitue de surcroît une entrave à l’exercice du droit syndical et à la liberté d’expression.

René Chiche




Barrez-vous…

Par Lucien SA Oulahbib

Face aux périls, les supplétifs de la Secte — gaute et droiche — ne servent à rien sinon répandre ceux-ci et ensuite faire mine de s’en occuper pour justifier leur présence sonnante et trébuchante. Ils le sentent bien d’ailleurs en traînant savates et guêtres dans les officines parlementaires universitaires et médiatiques qui ne méritent pourtant pas une telle pestilence, elle-même tant injustement récompensée par des émoluments inconsidérés.

Ce n’est en effet plus tenable : qu’il s’agisse de la soumission française à l’Allemagne en matière énergétique et de celle-ci aux USA sur le même point, et également de tout ce qui se passe à Mayotte, dans les écoles et hôpitaux, les finances publiques, la retraite, divers conflits mondiaux, etc., l’incompétence se conjugue avec l’insolence avec tout ce fumet de totalitarisme mou, mais étouffant, faisant de la France actuelle une sorte de démocrature. On croyait que celle-ci était seulement l’apanage des pays corrompus, entraînés ainsi par ceux-là mêmes qui font ainsi la leçon au nom de la lutte contre le « complotisme » et les « cake news », cuisine peu ragoûtante qu’ils sont les premiers à essaimer.

Il peut être en effet observé que lorsque le mot « complotiste » ou « extrême-droite » est avancé (termes synonymes pour les Miliciens de la Secte), il s’agit précisément d’une gestuelle sectaire au sens d’exclure, immédiatement, toute question du champ même de ce qu’ils pensent être la « Raison » ; alors que celle-ci, par définition questionne le sens donné à telle ou telle in/formation : si a alors b si et seulement si a peut (doit) être lié à b…

Ainsi, lorsqu’un certain « Pain » se targue dans une vidéo d’associer Trump et « fake news » alors que celui-ci nie précisément le fait qu’il aurait été un agent russe en 2016 lors de sa première campagne électorale (le dossier s’avérant vide ou trafiqué) ou encore lorsque l’on sait maintenant que le contenu du « laptop » appartenant au fils Biden aura été délibérément étouffé par le FBI lors de la seconde campagne électorale de 2020, il s’avère que loin d’être du « pain » béni genre « conspi » ces deux exemples montrent surtout le degré de mensonge et du renversement de la preuve moulés dans de la crasse intellectuelle, le tout prétendument présenté en nouvelle cuisine symbolique alors qu’il s’agit des vieux plats rabougris de la propagande hitléro-stalinienne (celle du Pacte germano-soviétique par exemple) :

  • « plus c’est gros plus ça passe » (toute critique anti-injection expérimentale EST « antivax ») ;
  • ou « tous ceux qui ne sont pas d’accord sont des socio-traîtres des fascistes » (toute critique de l’immigration imposée EST raciste) ;
  • et autres sophismes et syllogismes qui apparaissent aussi gentils que les vœux pieux de Miss France (tendance historique) sur « la paix dans le monde ».

Leur virulence surmultipliée par l’écran en cinémascope et l’effet de résonance des médias serviles est surtout symptômes de cette malice absolue qui a pignon sur rue dans les milieux politiques universitaires et journalistiques dont les diplômes sont en réalité semblables à ceux délivrés en URSS ou chez les maoïstes : du copié-collé d’un catéchisme anti-conspi de base qu’il suffit de débiter pour obtenir subsides et « honneurs » (par légion…) et devenir ainsi membres de la Secte qui se distingue d’une Caste ou d’une Oligarchie en ce que s’agissant de ces deux dernières l’adhésion se fait par cooptation alors que pour la première il s’agit d’une adhésion au sens fort de se fondre dans la masse de la Milice pour être débité ensuite en éléments fanatiques qu’il est impossible par ailleurs de quitter sans tout perdre alors qu’un membre d’une Caste garde une relative autonomie.

Son but ultime ? Maquiller le réel de ce qui devrait être une « démocratie souveraine » qui ne sort pas seulement du cerveau d’un Poutine mais… de la Constitution française : Titre premier : De la souveraineté (Articles 2 à 4)…

Pour y arriver, tout un travail de sape se déploie façon novlangue, ces officines se drapant même du nom de « Marianne » pour se légitimer, ce qui est une honte absolue, le tout pour enfoncer des portes ouvertes du genre « regardez nous dénonçons ceux qui disent que nous sommes gouvernés par des lézards et que la Terre est plate “, alors que nous savons bien qu’ils se servent de ces impérities pour masquer leur réelle fonction : celle de travestir le réel tout en prétendant le révéler ; ils sont à chaque instant un oxymore assumé ; théorisé d’ailleurs par un Foucault lorsqu’il s’appropria le Paradoxe du Menteur, de même que Derrida remettant en cause la notion même de référent (dans Positions… également analysé dans Éthique et épistémologie du nihilisme).

“Barrez-vous plutôt”, pourrait-on leur dire. Vous ne servez à rien sinon à répandre celui-ci et en vivre. Vous êtes surtout un obstacle pour la recherche de “la” vérité, celle-ci entendue plutôt comme ce qui s’avère solidement établi, ainsi cette nécessité qu’est la liberté de penser et d’entreprendre dans des limites négociées démocratiquement, tout en étant continuellement perfectible, alors que vous n’êtes que le surgelé d’un réchauffé de vieilles pratiques totalitaires et que vous avez en plus le toupet d’appeler “progrès” un peu à la façon d’une guillotine qui prendrait de haut son ancêtre la hache, pour arriver au même résultat : la Terreur.

La Milice d’aujourd’hui ne fait qu’en accélérer le Retour. C’est tout. Aussi mieux vaut-il qu’elle se barre, laissez tomber, barrez-vous, vous ne faites pas le poids face aux périls qui sont déjà là….




Marche de la Fierté Française

[Source : place-armes.fr]

Il y a quelque temps, j’ai diffusé un mail intitulé « mise au point » ; j’ai reçu de très nombreuses réponses en accord avec mon écrit, en dehors de la personne dont j’avais joint les récriminations.

Cela prouve que les Français comprennent que l’armée d’active n’a pas actuellement la possibilité d’agir. D’autant, comme je l’ai déjà évoqué, que les hauts gradés sont désignés par le pouvoir politique, qui fait ses choix en fonction de la « docilité » des officiers supérieurs susceptibles d’atteindre ces grades.

Par ailleurs, on ne peut pas compter sur les élus, incapables de s’entendre pour voter une motion de censure.

C’est donc le peuple qui doit mener le combat.

Dans ce cadre, je joins l’invitation du président de « place d’Armes » qui appelle à la participation, à la Marche de Fierté Francaise du 13 mai à Paris, de toutes les associations, personnalités… qui s’opposent à la dictature actuelle (voir la courte vidéo ci-dessous).

Cette initiative s’inscrit dans un projet fédérateur : la création d’un « collectif » qui regrouperait un grand nombre d’associations, groupements…, hostiles au pouvoir macronien ; chaque association gardant bien sûr son autonomie.

En effet, je reçois de nombreux mails émanant de structures diverses opposées au gouvernement, qui, à mon avis, gagneraient à travailler ensemble.

Reste à définir les modalités pratiques.

Jacques Amiot

[Voir aussi :
APPEL AU PEUPLE DE FRANCE]

LE SITE ENGAGÉ DE LA COMMUNAUTÉ MILITAIRE

Unis le 13 mai pour sauver la France

Notre pauvre France va mal.

Des idéologies mortifères l’attaquent et la confusion y règne.

Moralement, socialement, économiquement, sécuritairement, démographiquement, elle s’effondre et a perdu sa souveraineté par la mauvaise gouvernance et l’irresponsabilité d’une partie corrompue de ses élus. De plus notre nation est inféodée aux institutions d’une Union Européenne gangrénée par une oligarchie financière et marchande dont la finalité est la dissolution de l’âme des peuples libres.

Peuple de France, lève-toi ! Reprends ta liberté !

C’est en ton nom que Place d’Armes organise la Marche de la Fierté Française, à Paris, le 13 mai prochain. C’est en ton nom que nous demandons aux amoureux de la France, à tous ceux qui sont fiers de leur pays, à tous les mouvements et associations patriotiques de se joindre à ce rassemblement sous un florilège de drapeaux tricolores, symboles exclusifs de notre patrie et de la liberté.

La Patrie est en danger !

Ensemble, le 13 mai,

   Pour la fidélité à nos ancêtres !

   Pour nos familles !

   Pour nos villages et nos villes !

   Pour lutter contre la précarité où nous plonge l’Etat macronien !

Levons nous et sauvons la France et les Français !

Jean-Pierre Fabre-Bernadac Président de Place d’Armes

L’appel en vidéo de Jean-Pierre FABRE-BERNADAC Président de Place d’armes

Pour des raisons de logistique et d’organisation, il est nécessaire de vous inscrire si vous souhaitez participer à la 2ème Marche de la Fierté Française.

L’itinéraire précis vous sera communiqué ultérieurement.

https://www.place-armes.fr/





L’OMS s’apprête-t-elle à prendre définitivement le contrôle sur les États pour la politique de santé ?

[Source : Virginie Joron]

Conférence sur le Traité de l’OMS sur les pandémies organisée par les députés européens Francesca DONATO, Stasys JAKELIŪNAS, Virginie JORON, Mislav KOLAKUŠIĆ, Sylvia LIMMER, Ivan Vilibor SINČIĆ et Cristian TERHEŞ avec la participation des experts de CHD Europe, Silvia BEHRENDT, David BELL, Philipp KRUSE et Wolfgang WODARG.




Protocoles de Toronto et Aurore Rouge — L’agenda élitiste

[Sources : Crick Nerwald, nom666 et lumieresurgaia.com]

Disciple de l’essayiste québécois René Bergeron et de l’ancien commandant de la marine canadienne William Guy Carr, Serge Monast fut également proche des défenseurs du crédit social (Parti Crédit social du Canada).

Au début des années 1990, il se consacre à la rédaction d’ouvrages sur le thème du Nouvel Ordre Mondial et de conspirations ourdies par des sociétés secrètes, en particulier par les Illuminati. Il est particulièrement inspiré par les travaux de William Guy Carr.

Il fonde l’Agence Internationale de Presse libre (AIPL) où il publie la plupart de ses enquêtes.

En 1995, il fait paraître un document intitulé les « Protocoles de Toronto », un livre fait selon le modèle des Protocoles des sages de Sion où il dévoile l’activité secrète d’un groupe maçonnique, les « 666 », rassemblant tous les vingt ans les puissants de ce monde en vue de l’établissement du Nouvel Ordre Mondial et du contrôle mental des individus.


Serge Monast
Serge Monast

Serge Monast, journaliste d’enquêtes et membre de l’Agence Internationale de Presse Libre – International Free Press Agency – est mort le 5 décembre 1996 d’une « crise cardiaque », dans les bras de son épouse (russe). Victime d’armes psychotroniques ?

Serge Monast se disait traqué par les forces policières et militaires nord-américaines pour avoir trempé dans des dossiers interdits qu’il avait décidé de publier à son corps défendent. Pour Serge, l’histoire aurait mal tournée.

[Voir aussi :
« CIA, Vaccins, Médecine militaire expérimentale et Cristaux liquides » par Serge Monast
Ce que nous vivons était décrit par le journaliste Serge Monast en 1994]

Par Serge Monast

PROTOCOLE DE TORONTO (6.6.6.)

FICTION OU RÉALITÉ ? Qui peut dire ? Quoi qu’il en soit, selon certaines informations obtenues en provenance de France, mais surtout, à la révision des événements survenus depuis les vingt-cinq dernières années, il apparaît que le scénario décrit dans ce « Document » nous permet de mieux comprendre ce qui, jusqu’à aujourd’hui, paraissait des plus incompréhensibles à plus d’un.

Nous livrons en entier ce « Document » avec, en plus, une analyse des nouvelles conditions économiques actuelles qui, en elles-mêmes, semblent plus que confirmer l’authenticité de ce dernier.

Fin juin 1967 : À Montréal, c’est l’Expo 67 ; à Ottawa, ce sont les derniers préparatifs du « Centenaire de la Confédération » ; aux États-Unis, c’est la contestation à la Guerre du Vietnam et, à travers le pays, le « Flower Power ». Nous sommes près des événements de Mai 68 en France, de l’explosion du Nationalisme au Québec, du Festival Woodstock aux États-Unis… mais en même temps, cette fin juin de 1967 marque les derniers préparatifs de la mise au point du Plan de la « Chute des Nations » par les hautes instances de la Franc-Maçonnerie anglo-saxonne à Toronto (Canada).

Cette réunion secrète, hautement « Confidentielle », est organisée par les « 6.6.6. » (c’est ainsi qu’ils se nomment eux-mêmes), c’est-à-dire ceux qui dirigent les 6 plus grandes banques mondiales, les 6 plus grands consortiums énergétiques de la planète (dont le pétrole fait partie), et les 6 plus grands consortiums de l’agroalimentaire (dont fait partie le contrôle des principales routes alimentaires du monde).

Ces 6.6.6. étant les plus hauts responsables de la finance internationale vont définir, à l’intérieur de leur réunion, une « Stratégie commune » en vue de la mainmise absolue sur le « Commerce mondial » ; sur la possession de l’Arme énergétique (porte ouverte sur le XXIe siècle) ; et sur le contrôle international de l’agroalimentaire (lequel comprend aussi, pour eux, les consortiums pharmaceutiques comprenant, à leur tour, le marché mondial des « Vitamines » et des « Vaccins »).

Leur « plan » se résume à trois orientations majeures : « L’économique, le Politique et le Social pour les années 70 et 80. S’il réussit, il doit irrémédiablement déboucher sur la prise du « Pouvoir mondial » par la mise en place du « Nouvel Ordre Mondial » ; le même dont le Président américain George Bush fera tant la promotion au début des années 90.

Titre du Document des 6.6.6. : « PANEM ET CIRCENSES » :

(Du pain et des Jeux du Cirque)

But du Projet mondialiste : Le « Génocide du Vital au Profit du Rentable Occulte ».

Moyens de Financement du Projet : Entre autres :

  • – se servir de l’Aide Humanitaire,
  • – de l’Aide Alimentaire internationale,
  • – afin de financer les « Multinationales » des 6.6.6.

LE DOCUMENT :

Toutes les périodes historiques ayant mené à la décadence des civilisations étaient toutes marquées, sans exception, par « L’Esprit d’Errance des Hommes ». Aujourd’hui, nous devons faire en sorte que cet « Esprit » se traduise par une « Société Mondiale du Loisir » sous toutes ses formes. Ce « Loisir » doit se composer du [Sexe], des [Drogues], du [Sport], des [Voyages/l’Exotisme], et des [Loisirs] en général, mais accessibles à toutes les couches de la Société. L’Homme doit arriver à croire qu’il est « Moderne », et que sa modernité est composée de sa capacité, et de sa possibilité de pouvoir jouir largement, et maintenant de tout ce qui l’entoure.

Pour parvenir à cet objectif, il est impératif de pouvoir infiltrer les Médias (Radio, Télévision, Journaux), les milieux de la « Mode » et la « Culture » (les milieux de la Nouvelle Musique) par lesquels nous influencerons, à coup sûr, toutes les couches des Sociétés occidentales. Ainsi en tenant sous la coupe des « Sens » la jeunesse (les adultes de demain), nous aurons par conséquent la voie libre pour infiltrer, et transformer en profondeur, sans être inquiétés, le Politique, le Système légal et l’Éducation ; ce qui nous permettra de modifier en profondeur le cours, l’orientation future des Sociétés visées par notre « Plan ».

Les populations, nous le savons, n’ont pas de mémoire historique. Ils répètent inlassablement les erreurs du passé sans se rendre compte que ces mêmes erreurs avaient conduit leurs pères, avant eux, aux mêmes déchéances qu’ils vivront en pire avant la fin de ce siècle. Voyez, par exemple, ce que leurs grands-pères ont vécu au début de ce siècle grâce au travail acharné de nos prédécesseurs. Après avoir connu, sans limites, la libération des mœurs, l’abolition de la morale (en d’autres mots, l’errance de l’esprit), ils expérimentèrent la « Crise économique », puis la « Guerre ». Aujourd’hui leurs petits-enfants et leurs enfants se dirigent droit vers un aboutissement semblable, pire encore, car cette fois-ci, il nous permettra enfin de mettre sur pied notre « Nouvel Ordre Mondial » sans qu’aucun d’entre eux ne soit à même de s’en rendre compte, trop préoccupés qu’ils seront tous à satisfaire exagérément leurs besoins sensuels les plus primaires.

Une « Norme » générale plus qu’importante, et qui a déjà fait ses preuves au début de ce présent siècle dans la construction, et la mise en place du [Système communiste] par les regrettés Hauts Officiers de nos loges, est la rentabilité de « l’Exception ». En principe, nous le savons, l’Exception prouve la Règle générale qui lui est contraire. Mais dans notre vocabulaire, l’Exception c’est ce qui doit être imposé à tous. Nous devons faire en sorte de faire des « Exceptions » dans différentes sphères de la Société, comme devant être de nouvelles « Règles » générales applicables à tous, un objectif premier de toutes les futures contestations sociales menées par la Jeunesse des Nations.

Ainsi l’Exception deviendra le détonateur par lequel toute la société historique s’effondrera sur elle-même dans un essoufflement et une confusion sans précédent.

Les fondements de la « Société occidentale », dans leur essence, proviennent en droite ligne, de l’héritage judéo-chrétien. C’est précisément ce même héritage qui fit de la « Famille », le « Noeud », la « Pierre angulaire » de tout l’édifice social actuel. Nos prédécesseurs qui avaient financé les écrivains révolutionnaires de la fin du XIXe siècle et du début du XXe siècle avaient compris l’importance de fractionner, puis de faire éclater ce « Noyau vital » s’ils voulaient, en Russie, parvenir à mettre en place le nouveau « Système communiste » d’alors. Et c’est précisément ce qu’ils firent en faisant minutieusement produire par les philosophes et les écrivains non conformistes de l’époque : « Un Manifeste à la gloire de l’Etat-Dieu » ; celui-ci ayant la primauté absolue sur l’individu, sur la « Famille ».

Pour aboutir avec certitude à la construction d’un Gouvernement Mondial, [Un Nouvel Ordre Mondial Communautaire] où tous les individus, sans exception, seront soumis à « l’État Mondial » de « l’Ordre Nouveau », nous devons, en premier lieu, faire disparaître la « Famille » (ce qui entraînera, du même coup, la disparition des enseignements religieux ancestraux), et en deuxième lieu, niveler tous les individus en faisant disparaître les « Classes sociales », en particulier, les « Classes moyennes ». Mais nous devons procéder de manière à ce que tous ces changements apparaissent comme étant issus de la volonté populaire ; qu’ils aient l’apparence de la « Démocratie ».

En nous servant de cas isolés, mais en les amplifiant à l’extrême avec l’aide de contestations étudiantes noyautées par nous, de journalistes favorables à notre cause et de politiciens achetés, nous parviendrons à faire mettre en place de nouveaux Organismes ayant toutes les apparences de la « Modernité », tel un « Bureau de la Protection de l’Enfance » protégé par une « Charte des Droits et Libertés ».

Pour la réussite de notre “Plan mondial : [Le Plan Rouge]”, il nous faut faire implanter dans toutes les Sociétés occidentales des années 70’, des « Bureaux pour la Protection de l’Enfance » dont les fonctionnaires (de jeunes intellectuels sans expérience, fraîchement sortis d’Universités où sont mis en évidence nos principes mondialistes), feront respecter à la lettre, sans discernement, la « Charte des Droits de l’Enfant ». Qui osera s’opposer à cela sans en même temps être identifié aux barbaries du Moyen Âge ?

Cette « Charte » laborieusement mise au point dans nos « Loges » nous permettra enfin de réduire à néant toute autorité parentale en faisant éclater la famille en individus farouchement opposés les uns aux autres pour la protection de leurs intérêts personnels. Elle encouragera les enfants à dénoncer des parents trop autoritaires parce que trop traditionnels, trop religieux. Elle contribuera ainsi à soumettre les parents à une « Psychose collective de la peur » ; ce qui provoquera inéluctablement, d’une manière générale dans la société, un relâchement de l’autorité parentale. Ainsi nous aurons réussi, dans un premier temps, à produire une société semblable à celle de la Russie des années 50’ où les enfants dénonçaient à l’État leurs parents, et cela sans que personne ne s’en aperçoive.

En transférant ainsi à l’État le « Rôle parental », il nous sera plus facile, par la suite, d’accaparer, une par une, toutes les responsabilités qui avaient été, jusqu’à date, du ressort exclusif des parents. C’est ainsi que nous pourrons faire considérer par tous comme étant un abus contre l’enfant, l’enseignement religieux traditionnel d’origine judéo-chrétienne.

Dans un même temps, mais à un autre niveau, nous ferons inscrire dans les plus hautes Lois des Nations, que toutes les Religions, les Cultes et les Pratiques religieuses de tous genres, y compris la « Sorcellerie et la Magie » doivent toutes être respectées au même titre les unes que les autres.

Ce sera par la suite d’une aisance déconcertante que de transférer ce rôle de l’État par rapport à l’enfant aux plus hautes instances internationales, telles les Nations Unies.

Comprenons bien ceci : “Notre but n’est pas de protéger les enfants ou qui que ce soit d’autre, mais bien de provoquer l’éclatement, puis la chute des Nations qui sont un obstacle majeur à la mise en place de notre « Nouvel Ordre Mondial ». C’est la raison pour laquelle les « Bureaux de Protection de l’Enfance » doivent être investis d’une autorité légale absolue. Ils doivent être en mesure, comme bon leur semblera, mais toujours sous le prétexte de la protection de l’enfant, de pouvoir retirer ces derniers de leurs milieux familiaux originels, et les placer dans des milieux familiaux étrangers ou des Centres gouvernementaux déjà acquis à nos principes mondialistes et a-religieux. Par conséquent, sera ainsi achevée la brisure définitive de la « Cellule familiale occidentale ». Car sans la protection et la surveillance de leurs parents originaux, ces enfants pourront ainsi être définitivement handicapés dans leur développement psychologique et moral, et représenter, par voie de conséquence naturelle, des proies facilement adaptables à nos visées mondialistes.

Pour la réussite assurée d’une telle entreprise, il est primordial que les fonctionnaires travaillant dans ces « Bureaux » au service de l’État, soient jeunes, sans expérience passée, imbus de théories que nous savons vides et sans efficacité, et surtout, soient obsédés par l’esprit missionnaire de grands protecteurs de l’enfance menacée. Car pour eux, tous les parents doivent représenter des criminels en puissance, des dangers potentiels au bien-être de l’enfant ici considéré comme étant un « Dieu ».

Un « Bureau de la Protection de l’Enfance » et une « Charte des Droits de l’Enfant » n’ont aucune raison d’être sans enfants menacés. De plus, les exceptions et les exemples historiques utilisés pour leur mise en place finiraient, tôt ou tard, par disparaître s’ils n’étaient pas constamment alimentés par de nouveaux cas se produisant sur une base continue. En ce sens, nous devons infiltrer le « Système d’éducation » des Nations pour y faire disparaître, sous le couvercle de la « Modernité » et de « l’Évolution », l’enseignement de la Religion, de l’Histoire, de la Bienséance tout en diluant, en même temps, sous une avalanche d’expérimentations nouvelles dans le milieu de l’Éducation, celui de la langue et des mathématiques. De cette manière, en enlevant aux jeunes générations, toute base et toute frontière morales, toute connaissance du passé (donc toute fierté nationale), donc tout respect d’autrui, tout pouvoir par la connaissance du langage et des sciences (donc sur la réalité), nous contribuerons à fabriquer une jeunesse largement disposée à toutes les formes de délinquance. Dans ce nouvel univers morcelé par la peur des parents, et leur abandon de toute responsabilité face à leurs enfants, nous aurons la voie libre pour former, à notre manière et selon nos objectifs premiers, une jeunesse où l’arrogance, le mépris, l’humiliation d’autrui seront considérés comme étant les nouvelles bases de « l’Affirmation de Soi » et de la « Liberté ». Mais nous savons, à même l’expérience du passé, qu’une jeunesse semblable est d’ores et déjà condamnée à son autodestruction, car celle-ci est foncièrement « Individualiste », donc « Anarchiste » par définition. En ce sens, elle ne peut aucunement représenter une base solide pour la continuité de quelque société que ce soit, et encore moins une valeur sûre pour la prise en charge de ses vieillards.

Dans la même foulée, il est aussi impératif de faire créer une « Charte des Droits et Libertés individuelles », et des « Bureaux de Protection du Citoyen » en faisant miroiter aux masses, que ces innovations font partie intégrante de la « Modernité » des « Sociétés Nouvelles » du XXe siècle. De la même manière, et en même temps, mais à un autre niveau, faire voter de nouvelles Lois pour le « Respect et la Liberté individuelles ». Comme dans le cas de la « Famille », mais sur le plan de la « Société », ces Lois entreront en conflit avec les Droits de la Collectivité, menant ainsi les sociétés visées, droit à leur autodestruction. Car ici, l’inversion est totale : “Ce n’est plus la société (le droit de la majorité) qui doit être protégée contre des individus pouvant la menacer, mais bien plutôt (le Droit de l’Individu) qui se doit d’être protégé contre les menaces possibles de la majorité”. Voilà le but que nous nous sommes fixé.

Pour achever l’éclatement de la famille, du système d’éducation, donc de la Société en général, il est primordial d’encourager la « Liberté sexuelle » à tous les échelons de la Société occidentale. Il faut réduire l’individu, donc les masses, à l’obsession de satisfaire leurs instincts primaires par tous les moyens possibles. Nous savons que cette étape représente le point culminant par lequel toute Société finira par s’effondrer sur elle-même. N’en a-t-il pas été ainsi de l’Empire romain à son apogée, et de toutes civilisations semblables à travers l’histoire ?

Par des hommes de Science et des laboratoires financés par nos Loges, nous avons réussi à faire mettre au point un procédé chimique qui révolutionnera toutes les Sociétés occidentales, et reléguera aux oubliettes pour toujours, les principes moraux et religieux judéo-chrétiens. Ce procédé, sous forme de pilule, ouvrira la voie toute grande à la « Liberté sexuelle » sans conséquences, et poussera les « Femmes » des Nations à vouloir briser avec ce qui sera alors perçu comme étant le joug du passé (l’esclavage des femmes soumises à l’homme et à la famille traditionnelle judéo-chrétienne). Jadis « Centre et pivot de la cellule familiale », la femme moderne, maintenant en tant qu’individu indépendant, voudra briser avec son rôle traditionnel, se détacher de la famille, et mener sa vie selon ses aspirations personnelles. Rien de plus naturel, nous le savons, mais là où nous interviendrons fortement, ce sera d’infiltrer tous les nouveaux « Mouvements de contestation féminins » en poussant leur logique jusqu’à ses extrêmes limites de conséquence. Et ces limites se trouvent déjà inscrites dans l’éclatement définitif de la famille traditionnelle et de la Société Judéo-Chrétienne.

Cette « Libération Sexuelle » sera le moyen ultime par lequel il nous sera possible de faire disparaître de la « Conscience populaire » toute référence au « Bien et au Mal ». L’effondrement de cette barrière religieuse et morale nous permettra d’achever le processus de la fausse « Libération de l’Homme de son Passé », mais qui, en réalité, est une forme d’esclavage qui sera profitable à nos « Plans Mondialistes ».

Cette porte ouverte pour l’encouragement à la « Liberté sexuelle », au « Divorce », à « l’Avortement » sur demande, à la reconnaissance légale des diverses formes d’homosexualité nous aidera à modifier en profondeur les bases historiques du « Droit légal » des Sociétés. Elle sera un atout majeur pour pousser l’ensemble des individus à un relâchement général des mœurs ; pour diviser les individus les uns par rapport aux autres, selon leur instinct et leurs intérêts propres ; pour détruire l’avenir de la jeunesse en la poussant aux expériences néfastes de la sexualité hâtive et de l’avortement ; et pour briser moralement les générations futures en les poussant à l’alcoolisme, aux drogues diverses (dont nos Officiers supérieurs des Loges internationales se chargeront d’en prendre le contrôle au niveau mondial), et au suicide (celui-ci considéré par une jeunesse désabusée et abandonnée à elle-même, comme étant une fin chevaleresque).

Décevons la jeunesse des Nations en lui montant ses parents comme étant irresponsables, irréligieux, immoraux ; ne cherchant, en définitive, que le plaisir, l’évasion et la satisfaction effrénée de leurs instincts au prix du mensonge, de l’hypocrisie et de la trahison. Faisons du divorce et de l’avortement une nouvelle coutume sociale acceptée par tous. Poussons-la ainsi à la criminalité sous toutes ses formes, et à se réfugier en groupes distincts, hors d’atteinte du milieu familial qu’elle percevra, inévitablement, comme étant une menace pour sa propre survie. Le tissu social étant ainsi bouleversé à jamais, il nous sera dès lors possible d’agir sur le Politique et l’Économique des Nations afin de les soumettre à notre merci ; pour en venir à accepter de force, nos Plans d’un Nouvel Ordre Mondial. Car, il faut bien se l’avouer, les Nations, dépourvues qu’elles seront alors de pouvoir compter sur une jeunesse forte, sur une Société où les individus, regroupés autour d’un idéal commun, renforcé par des remparts moraux indéfectibles, auraient pu lui apporter son soutien historique, ne pourront qu’abdiquer à notre volonté mondiale. Ainsi pourrons-nous alors inaugurer ce qui fut tant annoncé par nos créations passées : « Le système communiste qui prophétisait une révolution mondiale mise en branle par tous les rejetés de la terre », et le « Nazisme par lequel nous avions annoncé un Nouvel Ordre Mondial pour 1000 ans ». Voilà notre but ultime ; le travail récompensé de tous les valeureux morts au labeur pour son accomplissement depuis des siècles. Disons-le haut et fort : « Tous les Frères des Loges passées, morts dans l’anonymat pour la réalisation de cet Idéal qu’il nous est maintenant possible de toucher du bout des doigts ».

Il est bien reconnu par tous que l’Homme, une fois après avoir assuré ses besoins primaires (nourriture, habillement et gîte), est beaucoup plus enclin à être moins vigilant. Permettons-lui d’endormir sa conscience tout en orientant à notre guise son esprit en lui créant, de pure pièce, des conditions économiques favorables. Donc, pendant cette période des années 70 où nos Agents s’infiltreront partout dans les différentes sphères de la Société pour faire accepter nos nouvelles normes dans l’Éducation, le Droit légal, le Social et le Politique, nous veillerons à répandre autour de lui un climat économique de confiance. Du Travail pour tous, l’ouverture du Crédit pour tous, des Loisirs pour tous seront nos tandems pour la création illusoire d’une nouvelle classe sociale : « la Classe moyenne ». Car une fois nos objectifs atteints, cette « Classe » du milieu, située entre les pauvres séculaires, et nous les riches, nous la ferons disparaître en lui coupant définitivement tout moyen de survie.

En ce sens, nous ferons des États-nations, les nouveaux « Parents » des individus. À travers ce climat de confiance où nos « Agents internationaux » auront fait le nécessaire pour écarter tout spectre de guerre mondiale, nous encouragerons la « Centralisation » à outrance pour l’État. De cette manière, les individus pourront acquérir l’impression d’une liberté totale à explorer pendant que le fardeau légendaire des responsabilités personnelles sera transféré à l’État. C’est ainsi qu’il nous sera possible de faire augmenter d’une manière vertigineuse le fardeau de l’État en multipliant sans limites aucune la masse des fonctionnaires-intellectuels. Assurés pour des années à l’avance d’une sécurité matérielle, ceux-ci seront par conséquent, de parfaits exécutants du « Pouvoir gouvernemental » ; en d’autres mots, de notre « Pouvoir ».

Créer ainsi une masse impressionnante de fonctionnaires qui, à elle seule, formera (un Gouvernement dans le gouvernement), quel que soit le parti politique qui sera alors au pouvoir. Cette machine anonyme pourra nous servir un jour de levier, lorsque le moment sera venu, pour accélérer l’effondrement économique des États-nations ; car ceux-ci ne pourront pas indéfiniment supporter une telle masse salariale sans devoir s’endetter au-delà de leurs moyens. D’un autre côté, cette même machine qui donnera une image froide et insensible de l’appareil gouvernemental ; cette machine complexe et combien inutile dans beaucoup de ses fonctions nous servira de paravent et de protection contre les populations. Car qui osera s’aventurer à travers les dédales d’un tel labyrinthe en vue de faire valoir ses doléances personnelles ?

Toujours pendant cette période d’étourdissement général, nous en profiterons aussi pour acheter ou éliminer, selon les nécessités du moment, tous les dirigeants d’entreprises, les responsables des grands Organismes d’État, les Centres de Recherche scientifique dont l’action et l’efficacité risqueraient de donner trop de pouvoir aux États-nations. Il ne faut absolument pas que l’État devienne une force indépendante en elle-même qui risquerait de nous échapper, et de mettre en danger nos « Plans » ancestraux.

Nous veillerons aussi à avoir une mainmise absolue sur toutes les structures supranationales des Nations. Ces Organismes internationaux doivent être placés sous notre juridiction absolue.

Dans le même sens, et pour garantir la rentabilité de notre influence auprès des populations, nous devrons contrôler tous les Médias d’Information. Nos Banques verront donc à ne financer que ceux qui nous sont favorables tandis qu’elles superviseront la fermeture des plus récalcitrants. Cela devrait en principe passer presque inaperçu dans les populations, absorbées qu’elles seront par leur besoin de faire plus d’argent, et de se divertir.

Nous devrons nous occuper à finaliser, dès maintenant, la phase de dérégionalisation des régions rurales amorcée au début de la « Crise économique » de 1929. Surpeupler les villes était notre tandem de la « Révolution industrielle ». Les propriétaires ruraux, par leur indépendance économique, leur capacité à produire la base de l’alimentation des États, sont une menace pour nous, et nos Plans futurs. Entassés dans les villes, ils seront plus dépendants de nos industries pour survivre. Nous ne pouvons nous permettre l’existence de groupes indépendants de notre « Pouvoir ». Donc, éliminons les propriétaires terriens en faisant d’eux des esclaves obéissants des Industries étant sous notre contrôle. Quant aux autres, permettons-leur de s’organiser en Coopératives agricoles que nos Agents infiltreront pour mieux les orienter selon nos priorités futures.

À travers l’État, attachons-nous à bien mettre en évidence le « Respect » obligatoire de la diversité des « Cultures », des « Peuples », des « Religions », des « Ethnies » qui sont autant de moyens, pour nous, pour faire passer la « Liberté individuelle » avant la notion « d’Unité nationale » ; ce qui nous permettra de mieux diviser les populations des États-nations, et ainsi les affaiblir dans leur autorité, et dans leur capacité de manœuvrer. Poussé à ces extrêmes limites, mais sur le plan international, ce concept, dans le futur, poussera les ethnies des différentes Nations à se regrouper pour revendiquer, individuellement, chacune leur propre part du « Pouvoir » ; ce qui achèvera de ruiner les Nations, et les fera éclater dans des guerres interminables.

Lorsque les États-nations seront ainsi affaiblis par autant de luttes intestines, toutes fondées sur la reconnaissance des « Droits des Minorités » à leur Indépendance ; que les nationalistes divisés en différentes factions culturelles et religieuses s’opposeront aveuglément dans des luttes sans issue ; que la jeunesse aura totalement perdu contact avec ses racines ; alors nous pourrons nous servir des Nations Unies pour commencer à imposer notre Nouvel Ordre Mondial.

D’ailleurs, à ce stade-là, les « Idéaux humanitaires, sociaux et historiques » des États-nations auront depuis longtemps éclaté sous la pression des divisions intérieures.

Fin du Document des 6.6.6. daté de fin juin 1967.

Dix-huit ans plus tard, soit (6.6.6.) dans le temps, se tint une autre Réunion d’importance au Canada. Le Groupe des 6.6.6. se réunit encore une fois à Toronto, à la fin de juin 1985, mais cette fois-ci afin de finaliser les dernières étapes devant déboucher, et sur la chute des États-nations, et sur la prise du Pouvoir international par les Nations Unies.

DOCUMENT : « L’AURORE ROUGE »

Titre du document des 6.6.6. : L’AURORE ROUGE.

But du Projet mondialiste : ÉTABLISSEMENT DE L’OCCULTE MONDIAL

Moyens de Financement du Projet : Contrôle du F.M.I., du G.A.T.T., de la Commission de Bruxelles, de l’OTAN, de l’O.N.U. et d’autres Organismes internationaux.

Les dernières dix-huit années furent très profitables pour l’avancement de nos projets mondiaux. Je peux vous dire, Frères, que nous touchons maintenant presque au but. La chute des États-nations n’est plus qu’une question de temps, assez court, dois-je vous avouer en toute confiance.

Grâce à nos Agents d’infiltration et à nos moyens financiers colossaux, des progrès sans précédent ont maintenant été accomplis dans tous les domaines de la Science et de la Technologie dont nous contrôlons financièrement les plus grandes corporations. Depuis les réunions secrètes avec M. de Rotchild dans les années 56, et qui avaient pour but de mettre au point le développement, et l’implantation mondiale des « Ordinateurs », il nous est maintenant possible d’entrevoir la mise en place d’un genre « d’Autoroute internationale » où toutes ces machines seraient reliées entre elles. Car, comme vous le savez déjà, le contrôle direct et individuel des populations de la planète serait à tout le moins totalement impossible sans l’usage des Ordinateurs, et leur rattachement électronique les uns par rapport aux autres en un vaste « Réseau Mondial ». Ces machines d’ailleurs ont l’avantage de pouvoir remplacer des millions d’individus. De plus, elles ne possèdent ni conscience, ni morale aucune ; ce qui est indispensable pour la réussite d’un projet comme le nôtre. Surtout, ces machines accomplissent, sans discuter, tout ce qui leur est dicté. Elles sont des esclaves parfaits dont ont tant rêvé nos prédécesseurs, mais sans qu’ils aient été à même de se douter qu’un jour, il nous serait possible d’accomplir un tel prodige. Ces machines sans patrie, sans couleur, sans religion, sans appartenance politique, sont l’ultime accomplissement et outil de notre Nouvel Ordre Mondial. Elles en sont la « Pierre angulaire » !

L’organisation de ces machines en un vaste « Réseau mondial » dont nous contrôlerons les leviers supérieurs nous servira à immobiliser les populations. Comment ?

Comme vous le savez, la structure de base de notre Nouvel Ordre Mondial est composée, dans son essence, d’une multitude de « Réseaux » divers couvrant chacun toutes les sphères de l’activité humaine sur toute l’étendue de la planète. Jusqu’à ce jour, tous ces « Réseaux » étaient reliés entre eux par une base idéologique commune : celle de l’Homme comme étant le « Centre » et « l’Ultime Accomplissement » de l’Univers. Ainsi, grâce à tous ces « Réseaux » unis par le lien de la « Nouvelle Religion de l’Homme pour l’Homme », nous avons pu facilement infiltrer tous les secteurs humains dans tous les pays occidentaux, et en modifier la base « Judéo-Chrétienne ». Le résultat est qu’aujourd’hui, cet Homme, qu’il fasse partie du Politique, de l’économique, du Social, de l’Éducation, du Scientifique ou du Religieux, a déjà, depuis notre dernière Réunion de fin juin 67, abandonné son héritage passé pour le remplacer par notre idéal d’une Religion mondiale basée uniquement sur l’Homme. Coupé ainsi qu’il est dorénavant de ses racines historiques, cet Homme n’attend plus, en définitive, que lui soit proposée une nouvelle idéologie. Celle-ci, bien entendu, est la nôtre ; celle du « Village Communautaire Global » dont il sera le « Centre ». Et c’est précisément ce que nous lui apporterons en l’encourageant à faire partie, « Corps et Âme », de ce « Réseau Électronique Mondial » où les frontières des États-nations auront été à tout jamais abolies, anéanties jusqu’à leurs racines les plus profondes.

Pendant que cet homme égaré sera absorbé par son enthousiasme aveugle à faire partie de sa nouvelle « Communauté mondiale » en faisant partie de ce vaste « Réseau d’Ordinateurs », pour notre compte, nous verrons, à partir des leviers supérieurs qui lui seront cachés, à le ficher, à l’identifier, à le comptabiliser, et à le rentabiliser selon nos propres objectifs. Car à l’intérieur de cette « Nouvelle Société Globale », aucun individu ayant un potentiel de « Rentabilité » pour nous, ne pourra nous échapper. L’apport constant de la « Technologie électronique » devra nous assurer de tous les moyens pour ficher, identifier, et contrôler tous les individus des populations de l’Occident. Quant à ceux qui ne représenteront aucune « Rentabilité exploitable » par nous, nous verrons à ce qu’ils s’éliminent d’eux-mêmes à travers toutes les guerres intestines locales que nous aurons pris soin de faire éclater ici et là en nous ayant servi, et de la « Chute de l’Économie » des États-nations, et des « Oppositions et des Revendications » des divers groupes composant ces mêmes États.

Voici donc la manière détaillée par laquelle nous procéderons d’ici 1998 pour paver la route à la naissance de notre « Gouvernement mondial ».

1 — Décupler la « Société des Loisirs » qui nous a été si profitable à date. En nous servant de l’invention du « Vidéo » que nous avons financé, et des jeux qui lui sont rattachés, finissons de pervertir la morale de la jeunesse. Offrons-lui la possibilité de satisfaire maintenant tous ses instincts. Un être possédé par ses sens, et esclave de ceux-ci, nous le savons, n’a ni idéal ni force intérieure pour défendre quoi que ce soit. Il est un « Individualiste » par nature, et représente un candidat parfait que nous pouvons modeler aisément selon nos désirs et nos priorités. D’ailleurs, rappelez-vous avec quelle facilité nos prédécesseurs ont pu orienter toute la jeunesse allemande au début du siècle en se servant du désabusement de cette dernière !

2 — Encourager la « Contestation étudiante » pour toutes les causes rattachées à « l’Écologie ». La protection obligatoire de cette dernière sera un atout majeur le jour où nous aurons poussé les États-nations à échanger leur « Dette intérieure » contre la perte de 33 % de tous leurs territoires demeurés à l’état sauvage.

3 — Comblons le vide intérieur de cette jeunesse en l’initiant, dès son tout jeune âge, à l’univers des Ordinateurs. Utilisons, pour cela, son système d’éducation. Un esclave au service d’un autre esclave que nous contrôlons.

4 — Sur un autre plan, établissons le « Libre-Échange international » comme étant une priorité absolue pour la survie économique des États-nations. Cette nouvelle conception économique nous aidera à accélérer le déclin des « Nationalistes » de toutes les Nations ; à les isoler en factions diverses, et au moment voulu, à les opposer farouchement les uns aux autres dans des guerres intestines qui achèveront de ruiner ces Nations.

5 — Pour nous assurer à tout prix de la réussite d’une telle entreprise, faisons en sorte que nos Agents déjà infiltrés dans les ministères des Affaires intergouvernementales et de l’Immigration des États-nations fassent modifier en profondeur les Lois de ces ministères. Ces modifications viseront essentiellement à ouvrir les portes des pays occidentaux à une immigration de plus en plus massive à l’intérieur de leurs frontières (immigrations que nous aurons d’ailleurs provoquées en ayant pris soin de faire éclater, ici et là, de nouveaux conflits locaux). Par des campagnes de Presse bien orchestrées dans l’opinion publique des États-nations ciblés, nous provoquerons chez celles-ci un afflux important de réfugiés qui aura pour effet de déstabiliser leur économie intérieure, et de faire augmenter les tensions raciales à l’intérieur de leur territoire. Nous verrons à faire en sorte que des groupes d’extrémistes étrangers fassent partie de ces afflux d’immigrants ; ce qui facilitera la déstabilisation politique, économique et sociale des Nations visées.

6 — Ce « Libre-Echange » qui, en réalité, n’en est pas un car il est déjà contrôlé par nous tout au sommet de la hiérarchie économique, noyautons-le en « Trois Commissions latérales » : [celle de l’Asie, celle de l’Amérique, celle de l’Europe]. Il nous apportera la discorde à l’intérieur des États-nations par la hausse du chômage relié aux restructurations de nos Multinationales.

7 — Transférons lentement, mais sûrement, nos multinationales dans de nouveaux pays acquis à l’idée de « l’Économie de Marché », tels les pays de l’Est de l’Europe, en Russie et en Chine par exemple. Nous nous fichons bien, pour l’instant, si leur population représente ou non un vaste bassin de nouveaux consommateurs. Ce qui nous intéresse, c’est d’avoir accès, en premier lieu, à une « Main-d’œuvre-Esclave » (à bon marché et non syndiquée) que nous offrent ces pays et ceux du Tiers-monde. D’ailleurs, leurs gouvernements ne sont-ils pas mis en place par nous ? Ne font-ils pas appel à l’aide étrangère, et aux prêts de notre « Fond Monétaire International » et de notre « Banque Mondiale » ? Ces transferts offrent plusieurs avantages pour nous. Ils contribuent à entretenir ces nouvelles populations dans l’illusion d’une « Libération économique », d’une « Liberté politique » alors qu’en réalité, nous les dominerons par l’appétit du gain et un endettement dont ils ne pourront jamais s’acquitter. Quant aux populations occidentales, elles seront entretenues dans le rêve du [Bien-Être économique], car les produits importés de ces pays ne subiront aucune hausse de prix. Par contre, sans qu’elles s’en aperçoivent au début, de plus en plus d’industries seront obligées de fermer leurs portes à cause des transferts que nous aurons effectués hors des pays occidentaux. Ces fermetures augmenteront le chômage, et apporteront des pertes importantes de revenus pour les États-nations.

8 — Ainsi nous mettrons sur pied une « Économie globale » à l’échelle mondiale qui échappera totalement au contrôle des États-nations. Cette nouvelle économie sera au-dessus de tout ; aucune pression politique ou syndicale ne pourra avoir de pouvoir sur elle. Elle dictera ses propres « Politiques mondiales », et obligera à une réorganisation politique, mais selon nos priorités à l’échelle mondiale.

9 — Par cette « Économie indépendante » n’ayant de Lois que nos Lois, nous établirons une « Culture de Masse mondiale ». Par le contrôle international de la Télévision, des Médias, nous instituerons une « Nouvelle Culture », mais nivelée, uniforme pour tous, sans qu’aucune « Création » future ne nous échappe. Les artistes futurs seront à notre image ou bien ne pourront survivre. Fini donc ce temps où des « Créations culturelles indépendantes » mettaient à tout moment en péril nos projets mondialistes comme cela fut si souvent le cas dans le passé.

10 — Par cette même économie, il nous sera alors possible de nous servir des forces militaires des États-nations (telles celles des États-Unis) dans des buts humanitaires. En réalité, ces « Forces » nous serviront à soumettre des pays récalcitrants à notre volonté. Ainsi les pays du Tiers-Monde et d’autres semblables à eux ne pourront pas être en mesure d’échapper à notre volonté de nous servir de leur population comme main-d’œuvre-esclave.

11 — Pour contrôler le marché mondial, nous devrons détourner la productivité de son but premier (libérer l’homme de la dureté du travail). Nous l’orienterons en fonction de la retourner contre l’homme en asservissant ce dernier à notre système économique où il n’aura que le choix de devenir notre esclave, et même un futur criminel.

12 — Tous ces transferts à l’étranger de nos Multinationales, et la réorganisation mondiale de l’économie auront pour but, entre autres, de faire grimper le chômage dans les pays occidentaux. Cette situation sera d’autant plus réalisable parce qu’au départ, nous aurons privilégié l’importation massive des produits de base à l’intérieur des États-nations et, du même coup, nous aurons surchargé ces États par l’emploi exagéré de leur population à la production de services qu’ils ne pourront plus payer. Ces conditions extrêmes multiplieront par millions les masses d’assistés sociaux de tous genres, d’illettrés, de sans-abri.

13 — Par des pertes de millions d’emplois dans le secteur primaire ; à même les évasions déguisées de capitaux étrangers hors des États-nations, il nous sera ainsi possible de mettre en danger de mort l’harmonie sociale par le spectre de la guerre civile.

14 — Ces manipulations internationales des gouvernements et des populations des États-nations nous fourniront le prétexte d’utiliser notre F.M.I. pour pousser les gouvernements occidentaux à mettre en place des « Budgets d’Austérité » sous le couvercle de la réduction illusoire de leur « Dette nationale » ; de la conservation hypothétique de leur « Cote de Crédit internationale » ; de la préservation impossible de la « Paix sociale ».

15 — Par ces « Mesures budgétaires d’urgence », nous briserons ainsi le financement des États-nations pour tous leurs « Méga-Projets » qui représentent une menace directe à notre contrôle mondial de l’économie.

16 — D’ailleurs toutes ces mesures d’austérité nous permettront de briser les volontés nationales de structures modernes dans les domaines de l’Énergie, de l’Agriculture, du Transport et des Technologies nouvelles.

17 — Ces mêmes mesures nous offriront l’occasion rêvée d’instaurer notre « Idéologie de la Compétition économique ». Celle-ci se traduira, à l’intérieur des États-nations, par la réduction volontaire des salaires, les départs volontaires avec [Remises de Médailles pour Services rendus] ; ce qui nous ouvrira les portes à l’instauration partout de notre « Technologie de Contrôle ». Dans cette perspective, tous ces départs seront remplacés par des « Ordinateurs » à notre service.

18 — Ces transformations sociales nous aideront à changer en profondeur la main-d’œuvre « Policière et militaire » des États-nations. Sous le prétexte des nécessités du moment, et sans éveiller de soupçons, nous nous débarrasserons une fois pour toutes de tous les individus ayant une « Conscience judéo-chrétienne ». Cette « Restructuration des Corps policiers et militaires » nous permettra de limoger sans contestation, le personnel âgé, de même que tous les éléments ne véhiculant pas nos principes mondialistes. Ceux-ci seront remplacés par de jeunes recrues dépourvues de « Conscience et de Morale », et déjà toutes entraînées, et favorables à l’usage inconsidéré de notre « Technologie de Réseaux électroniques ».

19 — Dans un même temps, et toujours sous le prétexte de « Coupures budgétaires », nous veillerons au transfert des bases militaires des États-nations vers l’Organisation des Nations Unies.

20 — Dans cette perspective, nous travaillerons à la réorganisation du « Mandat international des Nations Unies ». De « Force de Paix » sans pouvoir décisionnel, nous l’amènerons à devenir une « Force d’Intervention » où seront fondues, en un tout homogène, les forces militaires des États-nations. Ceci nous permettra d’effectuer, sans combat, la démilitarisation de tous ces États de manière à ce qu’aucun d’entre eux, dans l’avenir, ne soit suffisamment puissant (indépendant) pour remettre en question notre « Pouvoir mondial ».

21 — Pour accélérer ce processus de transfert, nous impliquerons la force actuelle des Nations Unies dans des conflits impossibles à régler. De cette manière, et avec l’aide des Médias que nous contrôlons, nous montrerons aux populations l’impuissance et l’inutilité de cette « Force » dans sa forme actuelle. La frustration aidant, et poussée à son paroxysme au moment voulu, poussera les populations des États-nations à supplier les instances internationales de former une telle « Force Multi-Nationale » au plus tôt afin de protéger à tout prix la « Paix ».

22 — L’apparition prochaine de cette volonté mondiale d’une « Force militaire multinationale » ira de pair avec l’instauration, à l’intérieur des États-nations, d’une « Force d’Intervention Multi-Juridictionnelle ». Cette combinaison des « Effectifs policiers et militaires », créée à même le prétexte de l’augmentation de l’instabilité politique et sociale grandissante à l’intérieur de ces États croulant sous le fardeau des problèmes économiques, nous permettra de mieux contrôler les populations occidentales. Ici, l’utilisation à outrance de l’identification et du fichage électronique des individus nous fournira une surveillance complète de toutes les populations visées.

23 — Cette réorganisation policière et militaire intérieure et extérieure des États-nations permettra de faire converger le tout vers l’obligation de la mise en place d’un « Centre Mondial Judiciaire ». Ce « Centre » permettra aux différents « Corps policiers des États-nations » d’avoir rapidement accès à des « Banques de Données » sur tous les individus potentiellement dangereux pour nous sur la planète. L’image d’une meilleure efficacité judiciaire, et les liens de plus en plus étroits créés et entretenus avec le « Militaire » nous aideront à mettre en valeur la nécessité d’un « Tribunal international » doublé d’un « Système judiciaire mondial » ; l’un pour les affaires civiles et criminelles individuelles, et l’autre pour les Nations.

24 — Au cours de la croissance acceptée par tous de ces nouvelles nécessités, il sera impérieux pour nous de compléter au plus tôt le contrôle mondial des armes à feu à l’intérieur des territoires des États-nations. Pour ce faire, nous accélérerons le « PLAN ALPHA » mis en œuvre au cours des années 60 par certains de nos prédécesseurs. Ce « Plan » à l’origine visait deux objectifs qui demeurent encore aujourd’hui : par l’intervention de « Tireurs fous », créer un climat d’insécurité dans les populations pour amener à un contrôle plus serré des armes à feu. Orienter les actes de violence de manière à en faire porter la responsabilité par des extrémistes religieux, ou des personnes affiliées à des allégeances religieuses de tendance « Traditionnelle », ou encore, des personnes prétendant avoir des communications privilégiées avec Dieu. Aujourd’hui, afin d’accélérer ce « Contrôle des Armes à Feu », nous pourrons utiliser la « Chute des Conditions économiques » des États-nations qui entraînera avec elle, une déstabilisation complète du Social ; donc augmentation de la violence. Je n’ai pas besoin de vous rappeler ni de vous démontrer, Frères, les fondements de ce « Contrôle » des armes à feu. Sans celui-ci, il deviendrait presque impossible pour nous de mettre à genoux les populations des États visés. Rappelez-vous avec quel succès nos prédécesseurs ont pu contrôler l’Allemagne de 1930 avec les nouvelles « Lois » mises en application à l’époque ; Lois d’ailleurs sur lesquelles sont fondées les Lois actuelles des États-nations pour ce même contrôle.

25 — Les dernières « Etapes » se rapportent à la « PHASE OMÉGA » expérimentée à partir des expérimentations effectuées au début des années 70. Elles renferment la mise en application, à l’échelle mondiale, des « Armes électromagnétiques ». Les « Changements de Climat » entraînant la destruction des récoltes ; la faillite dans ces conditions, des terres agricoles ; la dénaturation, par moyens artificiels, des produits alimentaires de consommation courante ; l’empoisonnement de la nature par une exploitation exagérée et inconsidérée, et l’utilisation massive de produits chimiques dans l’agriculture ; tout cela, Frères, mènera à la ruine assurée des industries alimentaires des États-nations. L’avenir du « Contrôle des Populations » de ces États passe obligatoirement par le contrôle absolu, par nous, de la production alimentaire à l’échelle mondiale, et par la prise de contrôle des principales « Routes Alimentaires » de la planète. Pour ce faire, il est nécessaire d’utiliser l’électromagnétique, entre autres, pour déstabiliser les climats des États les plus productifs sur le plan agricole. Quant à l’empoisonnement de la nature, elle sera d’autant plus accélérée que l’augmentation des populations l’y poussera sans restriction.

26 — L’utilisation de l’électromagnétique pour provoquer des « Tremblements de Terre » dans les régions industrielles les plus importantes des États-nations contribuera à accélérer la « Chute Économique » des États les plus menaçants pour nous ; de même qu’à amplifier l’obligation de la mise en place de notre Nouvel Ordre Mondial.

27 — Qui pourra nous soupçonner ? Qui pourra se douter des moyens utilisés ? Ceux qui oseront se dresser contre nous en diffusant de l’information quant à l’existence et au contenu de notre « Conspiration » deviendront suspects aux yeux des autorités de leur Nation et de leur population. Grâce à la désinformation, au mensonge, à l’hypocrisie et à l’individualisme que nous avons créé au sein des peuples des États-nations, l’Homme est devenu un Ennemi pour l’Homme. Ainsi ces « Individus indépendants » qui sont des plus dangereux pour nous justement à cause de leur « Liberté », seront considérés par leurs semblables comme étant des ennemis et non des libérateurs. L’esclavage des enfants, le pillage des richesses du Tiers-Monde, le chômage, la propagande pour la libération de la drogue, l’abrutissement de la jeunesse des Nations, l’idéologie du « Respect de la Liberté individuelle » diffusée au sein des Églises judéo-chrétiennes et à l’intérieur des États-nations, l’obscurantisme considéré comme une base de la fierté, les conflits interethniques, et notre dernière réalisation : « les Restrictions budgétaires » ; tout cela nous permet enfin de voir l’accomplissement ancestral de notre « Rêve » : celui de l’instauration de notre « NOUVEL ORDRE MONDIAL ».]

Fin du Document de Fin juin 1985.

CONCLUSION…

Alors, le « PROTOCOLE DE TORONTO (6.6.6.) », mythe ou réalité ? Ce serait comme de demander si « Le Meilleur des Mondes » est lui aussi un mythe ou une réalité même s’il s’agit d’un roman. Pourtant, son auteur a lui aussi eu accès à des « Documents » d’époque pour le créer. Son auteur savait bien que la révélation, la diffusion des informations qu’il possédait, mais sous une autre forme que celle du roman, aurait éveillé chez les populations, beaucoup plus de méfiance que d’acceptation. Et combien d’autres auteurs ont dû, eux aussi, user du même stratagème pour avertir leurs contemporains, et les générations futures ?

Alors, le « PROTOCOLE DE TORONTO (6.6.6.) », mythe ou réalité ?

L’urgence de la situation actuelle, celle engendrée par le début des « Restrictions budgétaires » qui marque le commencement de la fin, la réalisation proche du « Nouvel Ordre Mondial Occulte », ne permettait pas la rédaction d’un roman (ce qui aurait pris trop de temps dans le contexte présent).

Mais l’impact provoqué quant à la révélation de ces « Documents » est tout de même important, car, leur publication, aura pour effet de placer sur la défensive ceux qui en sont à l’origine.

Ce qui est souhaité, ici, c’est qu’au-delà de la désinformation véhiculée, et entretenue par des politiciens sans scrupules, et par des gens apeurés face à la possibilité de perdre des intérêts personnels, chaque lecteur puisse réfléchir, se regrouper avec d’autres, semblables à lui, et prendre maintenant des moyens pour survivre face à ce qui vient.

Même si ma vie est en danger à cause de la diffusion d’informations comme celles-ci, la vôtre l’est encore plus par l’ignorance de ces mêmes informations.

Alors, le « PROTOCOLE DE TORONTO (6.6.6.) », mythe ou réalité ?

À vous de répondre…

À vous de voir, dans les événements récemment passés et futurs, si ces « Documents » appartiennent au domaine de la fiction ou de la réalité.

À vous de réaliser que la peur n’a d’autre objet que de vous paralyser, et de vous placer à la merci de ceux qui ne veulent que vous contrôler pour mieux vous asservir selon leurs intérêts qui, en fin de compte, ne sont pas les vôtres.

Alors, le «  PROTOCOLE DE TORONTO (6.6.6. ) » , mythe ou réalité ?






Lancement du processus de déploiement de l’euro numérique






Délire covidiste (ou climatique), fluidification de la société, déconstruction de l’homme

[Source : lesakerfrancophone.fr]

« Les gens de gauche pensent que je suis une conservatrice, les conservateurs pensent que je suis de gauche, que je suis un franc-tireur ou dieu sait quoi. Je dois dire que ça m’est complètement égal. »

Hannah Arendt

Par Pierre Le Vigan

Depuis Le Grand Empêchement est intervenue l’organisation d’une panique collective à partir d’un virus transgenre (le covid devenu la covid, le virus devenu la maladie alors que le [supposé] virus ne tue que très rarement sans comorbidité), un fort peu létal et à l’origine discutée (humaine ? animale ?)1 [voire purement inexistant, la cause de la Covid étant alors à chercher ailleurs. Voir les dossiers Vaccin et virus et 5G et ondes pulsées]. S’en est suivi une folie d’enfermement à l’intérieur des populations (dit confinement), de couvre-feu, des obligations vaccinales sans cesse répétées et renforcées, et dont l’inefficacité est flagrante (le « vaccin », qui n’en est pas un, mais est un produit à ARN ou à OGM, n’empêchant ni d’être contaminé ni de contaminer les autres), ainsi qu’un fichage et flicage numérique généralisé. Cela confirme l’existence d’une nouvelle étape du libéralisme, et accélère celle-ci. Délire covidiste par la production d’un récit hallucinatoire, tétanisation par les mesures dites anti-covid généralement d’une totale irrationalité (ne pas se promener en forêt…), faux vaccins, vraie sidération du peuple, vrais profits et authentique connivence oligarchique : tout cela forme un tout.

Le libéralisme voit ses limites : il ne fait pas demi-tour, il repousse les limites

Le libéralisme est fondé sur une erreur d’analyse anthropologique. Il suppose que l’homme n’est qu’un être d’intérêt. Or, ce n’est qu’en partie le cas. Mais le libéralisme va désormais beaucoup plus loin, et il se retourne contre les libertés, ce qui explique que les vieux libéraux, contrairement aux néolibéraux (de même que l’on parle des paléo-conservateurs par opposition aux néoconservateurs) ne reconnaissent pas leur enfant. C’est pourtant le leur. Plus il y a de dépolitisation et de technicisation soi-disant « neutre », plus il y a de mesures liberticides dans nos sociétés.

Le libéralisme ultime a compris son erreur d’analyse. Il ne veut pas revenir sur son erreur, mais corriger sa méthode. Il veut plus de passage en force. Plus de violence antisociale. Et il veut la liquidation des évolutions correctrices, que ce soit la retraite des vieux travailleurs de Pétain ou le programme du Conseil National de la Résistance. Contre ce qui a pu être le meilleur de la droite et le meilleur de la gauche, le libéralisme veut imposer le pire du règne de l’argent-roi.

Voilà le constat que fait le libéralisme : l’homme résiste à l’anthropologie libérale. Le musulman consommateur de séries américaines reste musulman. L’hindouiste reste hindouiste. Le libéralisme est donc devenu constructiviste. Et même ultra-constructiviste, comme le communisme soviétique, avec plus de moyens que n’en avait Staline. Explication. Puisque l’homme n’est pas interchangeable dans une société normale, il faut le rendre interchangeable. Il faut changer ce qui est normal (la norme). Il faut déconstruire l’homme normal, c’est-à-dire différencié selon les sexes, les cultures, les héritages de civilisation, pour le rendre homogène, fluide, et en faire une farine dont on puisse faire ce qu’on veut, créant de micro-niches de consommation, mais aussi une masse manipulable qui l’on peut affoler nerveusement par le contrôle des médias, par des injonctions contradictoires, par le terrorisme mental. Une masse que l’on peut faire courir dans un sens ou dans un autre. Une « grande ferme » orwellienne des animaux humains.

Quelques décapitations aussi terribles que médiatisées nous font oublier a) que, historiquement, la guillotine était considérée comme partie intégrante des conditions de défense de la République en 1793-94 b) que nous sommes tous voués par le pouvoir profond (l’oligarchie) à être transformés en « canards sans tête » qui continuent à courir mécaniquement, objet de l’organisation du « progrès fébrile de la bêtise humaine » dont parlait déjà Karl Kraus en 1909.

Le libéralisme veut des canards sans tête

Tout ce qui est pensé échappe au rien. « Penser et être : une même chose », dit Parménide (Hermann Diels et Walther Kranz, fragm. 8, 34-6). C’est pourquoi penser le rien (comme j’ai essayé de le faire dans Achever le nihilisme, Sigest, 2020), c’est déjà nier le nihilisme. Mais le libéralisme ne veut pas que nous pensions. Il ne veut pas que nous soyons conscients du rien dans lequel il nous précipite, avec la « netflicisation » de nos imaginaires. Le libéralisme ultime veut donc nous reprogrammer. Il s’agit pour lui de déconstruire ce qui reste de l’homme normal, qui était un être de transmission, pour reconstruire un homme nouveau, transgenre bien entendu, mais aussi transnational et transreligieux.

L’identité de cet homme nouveau consistera justement à ne plus avoir d’identité, à pouvoir opter indéfiniment pour des identités nouvelles et transitoires, toujours réversibles. C’est ainsi que l’on en arrive à définir, avec Sandrine Rousseau (un nom et un prénom très français de souche pourtant) les femmes comme « personnes en capacité de porter un enfant ». On se demande : quel nom faudra-t-il donner aux femmes de plus de 49 ans ?

La fin des identités collectives et des « grands récits »

Le refuge dans des micro-identités

Alors, vivons-nous la fin des identités ? Oui et non. Oui, les identités transmissibles, culturelles tendent à être éradiquées et à être ramenées à des versions simplifiées : un islamo-mondialisme s’instaure à la place de l’islam traditionnel ou plutôt, des islams traditionnels, un occidentalo-mondialisme monte à la place de ce que l’on appelait Occident dans les années 1920 et 1930 (avec des interprétations différentes du reste). C’est sous cet angle que le grand remplacement doit être vu, et qu’il existe comme corollaire du grand effacement des mémoires et des transmissions : il s’agit de ne garder que des religions sans culture, des langues sans culture, des « peuples » muséifiés sans culture, des décors de théâtre sans culture (voir ce que sont devenues les villes « d’art et d’histoire », et écoutons ce que dit Nicolas Bonnal de Tolède). Il s’agit d’être fluide. Soluble comme du café soluble.

Le libéralisme et la fin des identités collectives

Nous ne vivons pas la fin des identités au sens où tout doit être bagué, pucé, numérisé : nous-mêmes, les animaux, le vivant, et même l’inerte. Mais nous vivons le travestissement des identités, car leur fichage les réduit à de l’identité morte. C’est le grand référencement de tout. Dans la logique du libéralisme, c’est justement parce que tout est susceptible de changer, d’être changé, ce qui n’était pas le cas au temps de Carl von Linné, que tout doit être référencé, pour que ces changements soient tous contrôlés. On identifie par une référence ce qui n’a plus d’identité indiscutable.

L’identité humaine au sens d’Aristote et de Hannah Arendt, c’est-à-dire l’homme comme animal social et politique, est donc effacée et remplacée par des identités attribuées par le libéralisme ultime, qui devient un totalitarisme extrême.La raison en est que le libéralisme veut désormais produire (ou construire) l’homme conforme à sa théorie. Or, la théorie libérale suppose l’homme interchangeable. C’est pourquoi il ne faut lui laisser comme identité que son identité numérique, permettant de le contrôler, de l’asservir, de lui donner, via par exemple le revenu universel, des droits sous contrôle, une citoyenneté « à points », en fonction de son degré d’alignement sur le modèle désormais « normal » : la fluidité identitaire dans laquelle la notion de vrai, d’authentique, de juste et d’injuste a perdu toute signification. Ce que vise le libéralisme, c’est la réversibilité de tout par la fluidité identitaire. Ce qui veut dire qu’un homme pourrait devenir une femme, un blanc devenir un noir, et réciproquement, ou n’être ni l’un ni l’autre. Fluidité identitaire et, en même temps, « dictature des identités » comme dit Alain Finkielkraut, au sens où les identités sont ramenées à « être blanc », ou « être femme », ou « être une lesbienne ». Assomption de micro-identités hystériques qui se traduit par la revendication de réunions non mixtes (sans blancs, ou sans hommes, etc.), par le wokisme, véritable religion de substitution (comme quoi nous sommes toujours dans l’âge du théologico-politique), c’est-à-dire sur-attention délirante à tout ce qui serait discrimination, y compris dans le simple fait de nommer les choses comme elles sont ou les gens tels qu’ils sont. Hypersensibilité généralisée à toutes les différences qui pourraient exclure. « La surenchère perpétuelle transforme le souci des victimes en une injonction totalitaire, une inquisition permanente », disait René Girard. Il s’agit de savoir qui est le plus à plaindre : c’est la compétition victimaire de tous contre tous.

Surenchère victimaire et suppression des différences

Pour éviter toute « discrimination » (devenu un mot-valise), se fait jour l’idée qu’il faut une égalité parfaite entre tout et tous. Alain Finkielkraut note :

« L’individu démocratique, érigeant l’égalité comme finalité de l’action politique, non seulement ne supporte plus l’inégalité, mais considère la moindre différence comme une offense. Même si l’égalité semble réalisée, l’apparence d’une inégalité injurie en quelque sorte la conscience collective. Ainsi, il n’est plus question de veiller au respect de l’égalité, mais de scruter ce qui pourrait représenter une esquisse de divergence, jugée forcément discriminante »

(Conversations Tocqueville, 17-18 septembre 2021).

Ce wokisme est dans le droit fil de la cancel culture, qui est la liquidation de tout ce qui liait la culture à des transmissions.

Les identités deviennent à la fois choisies, transitoires, transparentes (pas question de ne pas faire son « outing ») et surdéterminantes. Choisies : ce ne sont pas les plus fragiles des identités. Mais à condition de ne pas changer tout le temps de choix. À condition que ce choix soit un vrai engagement. On se construit et on se choisit : c’est exact, mais ce n’est pas à partir de rien. Le nihilisme contemporain réside en cela : dire que l’on construit à partir de rien. Alors, il y a l’hypertrophie d’identités factices. Identités réduites à celles de « racisés » dans le jargon des wokistes, tristes identités numériques pour ceux qui n’existent qu’en fonction des réseaux sociaux.

Déconstruction des identités nationales, mais assignations aux identités de genre ou de race

Prenons conscience de ce paradoxe : au moment où la notion d’identité est déconstruite, devient réversible et sans héritage et à multiples options (raciales, sexuelles, etc.), cette notion d’identité renaît sous la forme d’une assignation identitaire d’une pauvreté existentielle difficilement imaginable. Un noir est ainsi censé s’identifier à un descendant d’esclaves, en oubliant que bien des esclavagistes ont aussi été noirs. Plus encore, des réunions non « mixtes » sont censées être nécessaires pour éviter tout regard infériorisant, toute discrimination, en oubliant que même entre noirs, même entre gays, même entre lesbiennes, la crainte des différences pourra toujours trouver à s’alimenter : pourront être hiérarchisantes les différences de physique (les plus ou moins beaux, les plus ou moins gros), de mental (les plus ou moins intelligents), de milieu social (les plus ou moins aisés), etc.

Le processus de non « mixité » pour éviter les sentiments d’infériorité est donc sans fin et ne peut aboutir qu’au solipsisme, seule solution pour éviter le regard des autres. La cancel culture (culture de l’annulation de tous les héritages culturels) et le wokisme (suspicion paranoïaque visant toutes les différences susceptibles d’être des supériorités) s’apparentent donc à une « destruction de la raison » (Georg Lukacs), ou, au moins, à une « éclipse de la raison » (Max Horkheimer), en allant encore plus loin que l’irrationalisme des années 1920 et 30. C’est une intolérance à l’intelligence qui est promue et devient obligatoire, afin de tout aligner par le bas. Intolérance à l’intelligence dont le revers est une tolérance infinie à la bêtise. « La tolérance atteindra un tel niveau que l’on interdira aux personnes intelligentes d’émettre des réflexions pour ne pas offenser les imbéciles », dit Mikhaïl Boulgakov. Nous en sommes là. C’est pourquoi il est temps de redonner ses droits à la raison, rien que sa place, mais toute sa place.

Lutter pour les libertés

Se libérer de la sidération totalitaire

C’est pourquoi la lutte pour les libertés supprimées par le pouvoir au nom de l’idéologie covidiste (qui est : il n’y a pas d’autre alternative face au virus, indéfiniment vigoureux et mutant, que le « vaccin » et les mesures coercitives comme le confinement, le couvre-feu, le passe, le masque, la revaccination perpétuelle) et demain au nom d’autres idéologie, comme le « réchauffisme » ou le « dérèglement » climatique (comme si la nature avait jamais obéi à un quelconque « règlement ») est la condition première de la survie mentale et morale de notre peuple.

Car il s’agit bien pour le pouvoir totalitaire du libéralisme ultime de nous précipiter dans le puits sans fond de la non-pensée, du non-esprit, de la fin de la littérature écrite, de la numérisation de tout. De nous précipiter dans le nihilisme. Car tuer l’humain n’empêche pas, bien au contraire, la marchandisation de toute la terre. C’est même ce qui la facilite. Dans le monde du libéralisme terminal, l’individu tout comme le collectif sont morts. C’est le libéralisme de la dernière marche.

La tyrannie vaccinale est au bout de tout un travail de sidération mentale, en filiation directe, mais en plus sophistiquée, d’Edward Bernays, fondateur de la propagande moderne dès 1916, sidération qui laisse chacun seul face à l’État (État à la fois tyran et nounou abusive : Big mother) et face aux GAFAM.

Faire face au désarmement de nos âmes

Bilan : après le « désenchantement du monde » (Max Weber), le désarmement de l’âme de l’homme. Allan Bloom parlait de « L’âme désarmée » dans un « essai sur le déclin de la culture générale », sous-titre qui vaut la peine d’être cité, car il indique bien comment la sidération progresse : par l’inculture, aujourd’hui par l’oubli de ce que le covid est l’un des moins graves des virus ayant existé, de ce que le climat a tout le temps changé (Emmanuel Leroy-Ladurie)2, etc.

Sous le flux de trop d’informations et de fausses informations, l’intelligence humaine est tétanisée, et les débats sereins deviennent impossibles par diabolisation des pensées dissidentes. Au bout du compte : le repli sur soi de chacun, l’enfermement dans sa bulle. « Ce ne sont pas des communautés rassemblant des individus, mais des clans composés de particules de foule. On n’y trouve pas des semblables, mais des hologrammes, pas de différences, mais des doublons, pas d’altérité, mais de la mêmeté », écrivent Ruben Rabinovitch et Renaud Large (Le Figaro, 18 septembre 2021). On ne peut mieux dire.

Refuser le règne des âmes froides, affirmer la chaleur des liens

Notre avenir vu par l’oligarchie, c’est un monde entièrement digitalisé. Des âmes froides et mortes. « La véritable fin du monde est l’anéantissement de l’esprit », disait Karl Kraus. C’est la question essentielle : si l’homme est robotisé comme nos maîtres le souhaitent, il n’y aura plus aucune lutte possible, ni contre le grand remplacement (démographique), ni contre le grand effacement (de notre histoire). Pas non plus de lutte contre la grande expropriation, celle des classes moyennes. Le libéralisme aura tout horizontalisé. Les pays bas pour tous.

Pierre Le Vigan



Derniers livres de l’auteur : Éparpillé façon puzzle (Libres, 2022), La planète des philosophes (Dualpha, 2022), Métamorphoses de la ville (La barque d’or, 2021).

Notes

1 Plus grand monde parmi les scientifiques ne défend la thèse de l’origine animale.

2 Ce qui n’exclut pas une influence humaine, mais devrait amener à être attentif à d’autres facteurs.




Le nouveau piège Kennedy

[Source : MPI]

Par Pierre-Alain Depauw

Apprécié pour son combat contre la dictature sanitaire durant l’épisode Covid 19, Robert F. Kennedy Jr., a annoncé mercredi qu’il se présentait à l’investiture présidentielle démocrate, avec l’engagement de « mettre fin à la fusion corrompue » du pouvoir de l’État et des entreprises.

[Voir aussi :
Robert F. Kennedy, Jr candidat aux élections américaines!]

Kennedy, neveu de feu le président John F. Kennedy et fils de feu le procureur général Robert Kennedy, est le fondateur du groupe Children’s Health Defence, qui a pris de l’importance ces dernières années en raison de la controverse sur les « vaccins » contre le COVID-19. Dans ce domaine, il avait tenu des propos intéressants, dénonçant notamment le rôle de la Fondation Bill et Melinda Gates dans des campagnes de vaccination aux graves conséquences sur la santé et la fertilité.

Pour autant, il ne faut pas s’illusionner sur Robert F. Kennedy Jr.

« Toute ma famille, y compris moi-même, entretient de longues relations personnelles avec le président Biden », a déclaré Kennedy lors de son annonce de candidature au Park Plaza Hotel dans le Massachusetts.

Ses positions d’extrême gauche pourraient surprendre ses fans les plus récents.

En 2014, il a déclaré que ceux qui nient le réchauffement climatique sont des criminels qu’il faut punir :

« J’aimerais qu’il y ait une loi pour les punir ».

Il a déclaré dans le passé qu’il était favorable à l’avortement, s’oppose à l’abrogation d’Obamacare et soutient la redéfinition du mariage pour inclure les unions homosexuelles. Il soutient également le lobby transgenre.

Il avait soutenu la candidature d’Hillary Clinton à la présidentielle de 2016.

Il soutient François et critique une Église catholique trop « verticale ».






Le Dr Michael Yeadon sur la crise Covid : Le message le plus important que j’aie jamais écrit

[Source : Exposing The Darkness via globalresearch.ca]

Chers tous ceux qui regardent nerveusement autour d’eux et qui se demandent « Qu’est-ce qui se passe ? »

J’espère que ce n’est pas trop controversé. C’est certainement effrayant, mais je crois que nous sommes encore du bon côté du désastre et que si nous sommes suffisamment nombreux à prendre conscience de ce qui se passe ici et partout dans le monde démocratique, nous pourrons redresser la situation. Nous n’avons vraiment pas beaucoup de temps. Je pense qu’il est probable que les choses changeront irrémédiablement au cours de l’hiver prochain. D’où cette demande urgente et inhabituelle.

Tout ce qui s’est passé et tout ce qui se passe devient beaucoup plus simple et n’a de sens que si l’on se force à penser l’impossible.

Si vous adoptez expérimentalement la position selon laquelle NOTRE GOUVERNEMENT TRAVAILLE ACTIVEMENT À NOUS NUIRE, À DÉMANTELER LA SOCIÉTÉ MODERNE ET À ASSERVIR TOUT LE MONDE DANS UN MONDE TOTALITAIRE CONTRÔLÉ PAR LE NUMÉRIQUE, tout rentre dans l’ordre. Rien n’est en trop.

Même si votre réaction immédiate est que c’est absurde, essayez-le pendant un jour ou deux.

Je vous demande ensuite d’adopter la position expérimentale selon laquelle les médias, contrôlés par seulement six entreprises mondiales, toutes alliées à une organisation mondiale unique dont vous avez tous entendu parler, vous mentent sans relâche, et ce depuis plus de deux ans et demi. Il en va de même pour l’Internet, contrôlé par un nombre réduit d’entreprises mondiales, elles aussi alliées à cette même organisation mondiale.

Parce que je suis certain que c’est vrai. J’en suis certain parce que tout cela a commencé par une fraude scientifique liée à un virus, fraude qu’on l’a augmentée d’une campagne de peur implacable, parce qu’on a imposé des mesures dont on savait qu’elles étaient inutiles, qui ont ruiné l’économie et brisé la société civile, puis parce qu’on a contraint la plupart des gens à accepter des injections inutiles, superflues, inefficaces et délibérément dangereuses. Il s’agit évidemment d’un crime odieux. Rien de tel ne s’était jamais produit auparavant.

J’ai passé 41 ans dans les sciences de la vie, de la formation à la direction réussie d’une entreprise de biotechnologie, et j’ai été responsable mondial de la recherche et vice-président de l’unité respiratoire de Pfizer (1995-2011).

Je n’ai absolument aucune raison de dire tout cela si je n’en suis pas certain.

J’en suis certain. Tout cela s’est déroulé « dans ma zone de confort », mon domaine d’expertise.

Réfléchissez à ce que j’ai dit.

J’ai donné plus de 70 interviews, toutes censurées. J’ai été sali de façon répugnante. C’est de la propagande. Cela vous montre de quoi ils sont capables.

Voici ce que l’ancien membre du conseil d’administration de Pfizer a écrit à propos de mes réalisations : Transformer les déchets de Pfizer en or pour Novartis : L’histoire de Ziarco

Ai-je l’air d’un imbécile ?

Beaucoup se sont demandé pourquoi les gens n’ont pas résisté aux tyrans dans le passé. C’est en partie dû à la peur. Mais ce n’est pas tout. C’est que les gens normaux, comme vous et moi, ne peuvent tout simplement pas imaginer être aussi méchants. Nous avons confiance en l’humanité. Et c’est normal. La plupart des gens sont bons. Peu d’entre eux sont vraiment terrifiants et horribles. Mais certains le sont. C’est l’incapacité à croire que cela se produit qui a vraiment empêché les gens de s’opposer lorsqu’ils le devaient, lorsque les preuves étaient indubitables, mais n’avaient pas encore atteint leur porte, leur famille.

Ils viennent pour vous et vos enfants. Cela se reproduit. Il existe de nombreuses preuves d’une planification patiente et à long terme. Je suis vraiment désolé.

C’est maintenant à vous de jouer. Je ne vois vraiment pas ce que je peux faire d’autre.
Meilleurs vœux et sincères remerciements,

Dr Michael Yeadon






Comme Macron-Jupiter est en visite dans le département de l’Hérault, les gendarmes y sont chargés de saisir les casseroles

Les casseroles des manifestants ont été saisies ce jeudi matin en marge du déplacement d’Emmanuel Macron à Ganges, dans l’Hérault. Dans le cadre de l’arrêté préfectoral encadrant la venue du président de la République, « l’usage de dispositifs sonores portatifs » est interdit. Et visiblement, les casseroles en font partie.

(([1] https://rmc.bfmtv.com/actualites/economie/travail/emmanuel-macron-dans-l-herault-les-manifestants-prives-de-casseroles-saisies-par-les-gendarmes_AP-202304200430.html))

Emmanuel Macron est donc en visite à Ganges, dans l’Hérault, ce jeudi 20 avril dès la fin de matinée. Un déplacement qui nécessite évidemment un dispositif policier particulièrement bien huilé. Comme l’a documenté LCI, les gendarmes confisquent aux manifestants qui veulent entrer dans le village… les casseroles qu’ils transportaient pour exprimer leur mécontentement. Et la maréchaussée de se prévaloir d’un arrêté préfectoral leur en donnant l’autorisation. Dans l’arrêté en question, sont interdits les «objets susceptibles de constituer une arme [par destination] ou pouvant servir de projectile présentant un danger». Mais aussi, beaucoup plus surprenant, «l’usage de dispositifs sonores portatifs». D’où l’illégalité des casseroles ? Méfiance aussi pour tous ceux qui se promènent munis d’un dangereux kazoo, de castagnettes et autres vuvuzelas : ils sont hors-la-loi…

(([2] https://www.liberation.fr/politique/macron-dans-lherault-les-gendarmes-confisquent-les-casseroles-des-manifestants-20230420_MQ6YMBX4RNFH7PHFFQDNWS7VPE/))




France — Le Dr Umlil est révoqué de l’hôpital de Cholet et interdit de faire appel pour avoir contesté les mesures sanitaires covidiennes !

[Source : resistancerepublicaine.com]

[Illustration : Docteur Umlil, directeur directeur du Centre territorial d’information indépendante et d’avis pharmaceutiques du centre hospitalier de Cholet, qui a passé 2 années à protester, enquêter, mettre en doute une politique sanitaire abominable et sans aucun sens.]

Par Christine Tasin

Rappel du combat incessant du Docteur Umlil contre l’imposture vaxxinale

Il avait fait des pieds et des mains pour être entendu au Sénat, épouvanté par la vaxxination des enfants, faite avant même l’autorisation de mise sur le marché !

Les premiers mots de sa déposition disaient tout :

« On ne serait pas là si ce débat avait eu lieu depuis plusieurs mois. »

Déposition choc au Sénat du Docteur Amine Umlil : 22 000 enfants ont été vaccinés avant l’autorisation de mise sur le marché !

Mais Macron et ses séides ont tous les moyens de briser ceux qui osent dire non, ceux qui osent parler de raison, de vraie science, d’imposture Covid.

– Les soignants non vaxxinés ont payé très cher leur insoumission. Et continuent de payer, attendant le décret de réintégration… Si c’est comme le héros du Rivage des Syrtes, ils sont voués à attendre jusqu’à la mort… Ils étaient 15 000, ils ne sont plus que 2 000… les 13 000 restants ont changé de métier, abandonnant les urgences, les hôpitaux qui ferment, les services qui ferment, les gens qui meurent dans les couloirs. C’est abominable, c’est la faute à Macron, pas aux soignants.

Il fallait briser tous ceux qui mettaient en échec le but de Macron et ses amis comme Bill Gates, vaxxiner tout le monde, histoire de nous faire disparaître… Ne manquez pas le lien que Paco a déniché, lisez…

https://resistancerepublicaine.com/2023/04/19/pfizernocide/

– Il fallait briser Raoult… trop gros morceau pour Macron. Il n’a pas pu le faire taire, pas plus que Perronne ou Henrion-Caude, mais il a tout fait pour les salir, aidé par des journaleux complaisants et haineux. Et Macron, en manœuvrant pour que Raoult prenne sa retraite plus vite que prévu nous a privés, délibérément d’un des plus grands médecins du monde entier. Minable Macron, tu mériterais de finir comme le Chevalier de la Barre qui était innocent, lui…

– Il fallait aussi briser le docteur Umlil qui avait notamment courageusement et publiquement exigé la démission de Véran.

https://resistancerepublicaine.com/2021/07/11/vaccins-contre-la-covid-19-je-demande-jexige-la-demission-immediate-du-ministre-de-la-sante-veran/

– Il fallait aussi briser le docteur Umlil qui avait transmis au Sénat un rapport de 92 pages dont les données étaient tirées des organismes officiels de santé de la France, de l’UE… et notamment celles qui montrent que les injections Pfizer faites ont une autre composition que celles qui ont servi à l’étude randomisée !!!! Il a fait un livre de ce rapport, plus qu’explosif : Vaccins contre la Covid-19 : L’impossible consentement. 

92 pages d’analyses, de témoignages… au vitriol :

« Malgré l’absence de données, on a injecté ce produit, y compris aux plus de 75 ans, aux immunodéprimés, aux femmes enceintes, aux femmes qui allaitent, aux enfants. Le 21 avril 2021, on reçoit un mail de la DGS urgent qui nous demande de prescrire trois doses chez les immunodéprimés. Or dans les documents de Pfizer pour l’AMM conditionnelle, cette population figure dans une mise en garde spéciale. Il s’agit donc d’une mauvaise pratique. L’urgence ne justifie pas tout. On n’exige pas autant de précautions pour les vaccins que pour les vieilles molécules comme l’hydroxychloroquine. »

Je vous invite à lire l’article et à visionner l’entretien entre Bercoff et Umlil. J’en ai transcrit une partie.

Qu’arriva-t-il ? Enquête ? Mise en accusation de Véran-Macron et toute la clique ? Vous n’y pensez pas ! Ils ont carrément révoqué le docteur UMLIL, pharmacien et spécialiste de pharmacovigilance de ses fonctions !

Le 27 janvier 2023, le Dr Umlil, pharmacien et spécialiste de pharmacovigilance, a été révoqué de ses fonctions de pharmacien de l’hôpital de Cholet. Carrément.

Mais ce n’est pas fini, il fallait l’achever en l’empêchant même de faire appel ! Macron qui n’a que les mots « droit » et « démocratie » à la bouche interdit aux citoyens qui ne pensent pas comme lui d’utiliser les recours prévus par la loi.

« Le Dr Umlil et son avocat, Me Thomas Benages, ont fait un recours contre cette révocation. L’audience du référé suspension s’est tenue le 7 avril 2023 à Nantes. Ce 14 avril 2023, Me Benages a informé que « la décision du référé est tombée, le tribunal n’a pas donné droit au recours du docteur Umlil de suspendre la décision de révocation au motif que la réintégration immédiate du Dr Umlil ferait peser un risque pour le bon fonctionnement du service public hospitalier. »

C’est une décision surprenante, que Maître Thomas Benages a commentée dans ce débriefing. Le Dr Umlil envisage d’ores et déjà de faire appel devant le Conseil d’État.

https://www.francesoir.fr/videos-les-debriefings/suspension-du-dr-umlil-le-tribunal-rejette-son-droit-au-recours

Vous avez dit « dictature » ? Vous avez dit Macron-Ceaucescu ?






La dystopie totalitaire est déjà là

[Source : marie-claire-tellier via RI]

Par Caitlin Johnstone

Traduction MCT

J’ai fait un cauchemar dans lequel j’ai divulgué des informations classifiées et j’ai été arrêté et torturé par des journalistes du New York Times.

L’objectif est de nous faire combattre avec le plus d’hostilité possible sur des questions qui dérangent le moins possible nos dirigeants. Il est vraiment étonnant de voir à quel point ils y parviennent.

L’autre jour, j’ai vu une vidéo d’un type qui écrasait rageusement une caisse de Budweiser avec un monster truck pour des raisons qui n’avaient aucun sens pour moi, et tout le monde criait avec enthousiasme son opinion à ce sujet, et je me suis dit : « Oh, mon Dieu, nous sommes vraiment baisés ». Ils nous ont complètement emballés.

Il est impossible de concevoir une dystopie totalitaire plus efficace que celle dans laquelle nous nous trouvons actuellement. Une dystopie où tout le monde subit un lavage de cerveau par la propagande sans même le savoir, où tout le monde pense, agit, vote et fait ses courses exactement comme leurs dirigeants le veulent, tout en pensant qu’ils sont libres.

[Voir aussi :
La bureaucratie contre la liberté]

Les gens s’inquiètent à juste titre des escalades technocratiques telles que la surveillance accrue, les cartes d’identité numériques, les monnaies numériques des banques centrales, etc. Mais beaucoup imaginent à tort qu’une future dystopie technocratique créée par ces mesures serait très différente de la dystopie dans laquelle nous nous trouvons actuellement, ce qui n’est tout simplement pas le cas. Ces mesures seraient utilisées pour aider à maintenir le système actuel en place, et non pour en créer un nouveau.

Les gens imaginent la dystopie totalitaire comme une sombre menace se profilant à l’horizon parce qu’ils ne comprennent pas à quel point nous sommes déjà profondément privés de liberté à l’heure actuelle. Ils pensent que nous sommes libres parce que nous pouvons choisir ce que nous achetons au supermarché et appeler le président « Brandon », mais ce n’est pas le cas. Ils imaginent que nos dirigeants ont une grande conspiration pour créer une dystopie où ils peuvent nous forcer à faire ce qu’ils veulent, sans se rendre compte que nous sommes déjà dans une dystopie où nous faisons exactement ce qu’ils veulent. Il n’y a vraiment pas d’amélioration possible. Ils ne font que la verrouiller.

Sérieusement, réfléchissez : qu’est-ce que les dirigeants de la société occidentale pourraient bien nous soutirer qu’ils n’obtiennent pas déjà ? Il n’y a pas d’opposition politique significative, pas de mouvement antiguerre, pas de mouvement anti-capitaliste, très peu de pensée critique — ils ont le contrôle total. Tout ce que nous faisons dans cette dystopie est conçu pour faire entrer le profit dans les coffres des oligarques et le pouvoir dans les mains des impérialistes, et tous les efforts pour résister et changer ces systèmes d’entonnoir ont été écrasés avec succès par une manipulation psychologique à grande échelle.

Cette dystopie totalitaire ressemble à la liberté parce qu’elle nous laisse plus ou moins faire ce que nous voulons, tout en contrôlant ce que nous voulons faire au moyen d’une manipulation à grande échelle. Ils renforcent encore cette idée en créant des systèmes dans lesquels ce que nous faisons n’a que peu ou pas d’effet significatif. Même si notre cerveau était doté d’un véritable logiciel permettant à nos dirigeants de contrôler totalement et entièrement notre esprit, les masses penseraient et se comporteraient plus ou moins de la même manière qu’à l’heure actuelle.

L’arme principale de nos dirigeants totalitaires n’est pas la surveillance, les robots policiers, les cartes d’identité numériques ou les CBDC — leur arme principale est la propagande. Le système de conditionnement psychologique à grande échelle qu’ils ont créé ne ressemble à rien de ce qui a existé dans l’histoire. La capacité à détecter et à réprimer une révolution naissante est largement inférieure à la capacité à utiliser le conditionnement psychologique pour empêcher les gens de penser à se révolter. Voilà à quoi ressemble le vrai pouvoir. C’est le contrôle total.

Il s’agit d’une dystopie dont les habitants s’alignent tous sur la volonté de leurs dirigeants, sans même penser qu’ils ne sont pas libres ou qu’ils devraient essayer de le devenir.

Essayez de concevoir une dystopie totalitaire plus efficace que celle-ci.

C’est impossible. Elle est parfaite.

La propagande est le véritable mécanisme de contrôle, et c’est ce que nous allons devoir combattre si nous voulons un jour devenir libres. Le seul moyen de sortir de cette gigantesque matrice de contrôle psychologique est de montrer aux gens à quel point nous ne sommes pas libres, à quel point ils sont trompés, à quel point les choses pourraient être meilleures. Réveillez les gens aux mensonges, à la vraie nature des institutions politiques, éducatives et médiatiques conçues pour nous maintenir en esclavage, affaiblissez la confiance du public dans la machine de propagande, et alors nous aurons peut-être les prémices de la possibilité d’un véritable changement. En attendant, nous sommes enfermés.

[Voir aussi :
Changer le Système ?]

La personne que vous considérez comme un héros antiautoritaire en dit long sur vous en tant que personne. Si je vous demande d’imaginer quelqu’un qui lutte contre le pouvoir et que vous pensez à Tank Man ou à Navalny ou à un autre personnage historique au lieu des personnes vivantes qui luttent contre la structure du pouvoir sous laquelle vous vivez réellement, cela signifie que vous avez avalé le mensonge selon lequel votre propre gouvernement et ses alliés sont bons et vertueux ici et maintenant, et que « lutter contre le pouvoir » est quelque chose qui ne peut se produire que pour de nobles raisons dans d’autres pays ou à d’autres époques de l’histoire.

En réalité, la nécessité de « combattre le pouvoir » est plus grande sous l’empire centralisé des États-Unis qui règne sur tous ceux qui sont susceptibles de lire ces mots, parce que l’empire centralisé des États-Unis est la structure de pouvoir la plus meurtrière et la plus tyrannique du monde à l’heure actuelle.

Ainsi, lorsque je vous demande d’imaginer une figure antiautoritaire qui vous vient à l’esprit, si vous êtes lucide, vous n’imaginerez pas quelqu’un comme Tank Man, Navalny, Gandhi, Mandela ou MLK. Vous imaginerez quelqu’un comme Julian Assange : quelqu’un qui combat le vrai pouvoir là où il se trouve, ici et maintenant.

Source






La véritable histoire du Dalaï Lama

[Source : Quantum Leap Traduction]

« Votre image est celle du Dalaï-Lama, votre bouche est celle du Mahatma Gandhi et votre cœur est celui d’un dictateur religieux »…

À Dharamsala, personne n’est autorisé à remettre en question ou à critiquer le Dalaï-Lama et ceux qui ne le vénèrent pas sont menacés, harcelés et parfois tués…

La vérité sur le passé du Tibet, les castes des moines et leurs horribles pratiquent sur le petit peuple.

Qui est vraiment le Dalaï-Lama ?



Reportage de FRANCE 24 :






Les jeux sont faits : la véritable origine de ce qu’ils appellent Covid-19

[Source : gibraltar-messenger.net via nicolasbonnal]

Ricardo Delgado :

« Malgré les preuves, ils continuent de nier. »

Entretien avec Ricardo Delgado, biostatisticien, fondateur et directeur de La Quinta Columna
(à propos de l’oxyde de graphène dans les « injectables » et de son utilité).

Par Magdalena del Amo

Des milliers de personnes, certaines vivant dans la ville de Séville (Espagne) et d’autres en streaming dans le reste du monde, ont pu contempler au microscope le contenu des vaccins, gardés secrets comme n’importe quelle arme de guerre.
Cet événement a eu lieu juste au troisième anniversaire de cette période de dystopie qu’ils ont appelée pandémie, causée par un virus tueur et contagieux qui n’existe pas, pas plus que les vagues [épidémiques] et les variants. Et oui, à la place, des milliers d’antennes [5G] irradient des corps humains innocents, victimes du grand mensonge du système, inoculés avec une substance appelée vaccin qui contient de l’oxyde de graphène réduit, un nanomatériau qui marque l’avenir de l’humanité sur son chemin vers le transhumanisme.

[Voir aussi :
TROIS ANS D’AVENTURE COVID résumés en 1600 mots,
40 faits à connaître : la véritable histoire de la « Covid »,
La « maladie mystérieuse » de Wuhan est le mensonge fondamental de la Covid,
Le dossier Vaccins et virus avec notamment ses nombreux articles qui déglinguent la théorie virale,
Le dossier 5G et ondes pulsées dont
Rappel — La Chine, la 5G et le coronavirus de Wuhan : le nouveau virus de l’empereur,
Très important — Émissions de rayonnements à énergie dirigée de cinquième génération (5G) dans le contexte des vaccins Covid-19 à nanométaux contaminés avec des antennes en oxyde de graphène ferreux.]


Introduction spéciale de la Conférence –
Conférence de La Quinta Columna : Les jeux sont faits (19 mars 2023)
Liens directs plus bas, après l’interview.




Ricardo Delgado nous [à Gibraltar Messenger] a aimablement accordé cette interview qui, nous l’espérons, éclaircira certains doutes de nos lecteurs.

Magdalena del Amo : Au début de cette situation appelée pandémie, vous avez cru, comme beaucoup d’autres personnes, que la cause était un virus très contagieux et que la réponse nous viendrait des biologistes. En fait, ils ont commencé à nous mettre en garde contre l’ARNm et les protéines de pointe. Quand avez-vous compris qu’il fallait changer d’optique, que la vérité était ailleurs ?

Ricardo Delgado : Nous avons compris que les réponses directes ne pouvaient venir que d’un seul endroit : l’observation directe par l’analyse des « vaccins ». La médecine et la biologie ne pouvaient guère expliquer les dommages, car elles ne connaissaient pas la véritable cause qui en était à l’origine. En revanche, des disciplines comme l’épidémiologie nous ont donné les clés. Cela a été confirmé par le fait que la « maladie à la mode » et les premiers cas de ce qu’ils ont appelé « coronavirus » ont été enregistrés dans la ville chinoise de Wuhan, à partir du 30 novembre 2019 ; précisément, la première ville du monde choisie en temps et en lieu pour l’allumage technologique du réseau 5 G.

À ce jour, nous savons, grâce à l’analyse pionnière des produits injectables réalisée par La Quinta Columna et d’autres analyses ultérieures, ainsi qu’à celles effectuées dans d’autres parties du monde, que les échantillons ne contiennent AUCUN matériel biologique. Il est évident que la plate-forme ARNm et l’affectation de la fameuse protéine spike n’étaient que des écrans de fumée destinés à détourner les recherches de tous ceux qui ont analysé les « vaccins » in situ.

[Voir aussi :
La nanotechnologie dans les vaccins
L’oxyde de graphène présent dans tous les vaccins fait des vaccinés des bombes à retardement ambulantes
Vaccin anti-Covid ou arme biotechnologique ?]

Ricardo Delgado explique au public : « Ce qu’ils ont appelé Covid-19
est l’interaction de ce matériau non déclaré avec la biologie. »

Lorsque le graphène, inoculé et étiqueté comme « vaccin », entre en contact avec le sang, il génère la formation d’une couronne biomoléculaire de protéines. La fonction de cette couronne de protéines est de protéger notre biologie de l’introduction de matériel étranger pour le faire passer inaperçu. Cependant, certains groupes la qualifient de toxique et l’associent à la protéine spike. Une fois de plus, dans le seul but de détourner l’attention de l’origine de tous les dommages en biologie, puisque le mal est causé par la cause — le graphène — et non par sa conséquence — la couronne de protéines.

[Voir aussi :
Sources d’Anti-Oxydants pour Détruire la Couronne Nécro-Moléculaire d’Oxyde de Graphène]

M del A : Partant du principe que la grande majorité des lecteurs abordent cette information pour la première fois, je voudrais décomposer les points les plus importants de la situation que nous vivons et, en particulier, du contenu des « vaccins ». Ce qu’ils ont découvert dans La Quinta Columna est alarmant. Comment en sont-ils arrivés à ces conclusions et sur quelles bases ?

R D : Nous nous appuyons sur les preuves corroborées par l’observation, sur le principe directeur de la méthode scientifique, sur l’utilisation d’outils scientifiquement validés pour connaître et caractériser ce que nous observons. Nos recherches ont été corroborées dans différentes parties du monde, ce qui nous a permis d’établir un modèle prédictif qui nous a même permis d’anticiper plus facilement ce qui allait se passer.

M del A : Ils ont trouvé de l’oxyde de graphène réduit dans les flacons, mais beaucoup en doutent et d’autres le nient. Pourquoi est-ce devenu un sujet tabou ?

R D : Les preuves de l’existence de l’oxyde de graphène réduit dans les inocula sont claires et ont été corroborées dans d’autres parties du monde par différents types de caractérisation, tels que la microscopie optique en champ clair et en champ sombre, les tests électroniques SEM et TEM, les tests de compatibilité avec l’absorption ultraviolette, la diffraction des rayons X, la comparaison optique avec les images du motif, les techniques de fluorescence et, surtout, la caractérisation par vibration RAMAN par balayage électronique, offrant la vibration RAMAN ou les pics caractéristiques de l’oxyde de graphène réduit.

Ricardo ouvre un flacon de Pfizer scellé et dépose une goutte
sur la plaque de verre du microscope, puis l’observe, devant le public.

M del A : Tout ceci est très technique et il faudrait suivre un cours pour le comprendre ; mais venons-en à la pratique : nous sommes face à un matériau quasi magique, inconnu jusqu’à récemment, doté de caractéristiques spectaculaires. Quelles sont ces qualités ?

R D : Lorsque l’on passe en revue la toxicité ou la biocompatibilité présumée du matériau en biologie humaine, la littérature scientifique est également très claire. Le graphène ou ses dérivés, comme l’oxyde de graphène réduit, possède des propriétés intrinsèques, notamment supraconductrices, magnétiques au contact des cellules vivantes, piézoélectriques, de haute capacité, radiomodulables, flexibles et transparentes.

[Voir aussi :
Les nanoparticules de graphène : Propriétés, applications, toxicité et réglementations]

Sa capacité supraconductrice explique son affinité pour les organes éminemment électriques, tels que le système cardiaque et le système nerveux central, lire les neurones et la moelle épinière.
Le magnétisme acquis au contact des molécules organiques explique le phénomène magnétique apparu chez les personnes à qui l’on a inoculé le matériau.
En raison de sa qualité piézoélectrique, l’excitation du matériau pour générer de l’électricité sous n’importe quelle pression, qu’elle soit acoustique, de poids de l’eau ou autre, est expliquée.

[Voir aussi :
Vaccins covid aimantés, l’incroyable scandale arrive]

La capacité du matériau est telle qu’il est actuellement utilisé pour la construction de batteries de pointe. Cette qualité lui permet de condenser l’énergie obtenue à partir de foyers externes. Ceci, ajouté à sa présence dans des organes vitaux comme le cœur, signifie que les décharges électriques que le matériau condense peuvent interrompre le tissu de conduction électrique cardiaque, générant des arythmies et l’évanouissement classique (dû à un manque d’apport sanguin cérébral) qui, dans de nombreux cas, se termine par une mort subite.

Le fait que ce matériau soit radiomodulable indique clairement qu’il est excité par les micro-ondes. En bref, il agit comme un amplificateur ou un catalyseur de signaux de rayonnement électromagnétique, comme la 5G actuelle. Sa dureté extraordinaire — 200 fois plus dur que l’acier — fait que notre biologie choisit de l’expulser au lieu de le dégrader.

M del A : Expliquez la toxicité de l’oxyde de graphène, étayée par les multiples dommages qu’il produit dans l’organisme : curieusement, ce sont les mêmes que ceux attribués au Covid.

R D : Je dois souligner que nous devons tous comprendre que ce métamatériau étranger à la biologie ne peut être inoffensif en son sein. D’abord, le système immunitaire le traite comme s’il s’agissait d’un agent pathogène. Selon leur voie d’entrée dans la biologie, leur toxicité est relative.

M del A : Que voulez-vous dire exactement ?

R D : Lorsque l’oxyde de graphène pénètre dans notre biologie par voie intramusculaire, le système immunitaire agit contre lui avec un maillage de neutrophiles et de globules blancs. Lorsqu’il se retrouve dans le poumon, qui est une des voies d’élimination, il est attaqué par des enzymes comme la myéloperoxydase. Au contact du sang, il est enveloppé d’une couronne protéique appelée couronne biologique ou couronne de biodistribution moléculaire. La fonction de ces protéines structurelles est de l’envelopper pour qu’il passe inaperçu par la biologie humaine en raison de sa haute toxicité.

L’oxyde de graphène est un coagulant et, en fait, les éponges d’oxyde de graphène sont utilisées dans les traitements hémostatiques pour guérir les blessures. La coagulation facilite également l’effet Rouleaux de l’action des micro-ondes elle-même. (L’effet Rouleaux est un empilement littéral de globules rouges [érythrocytes] et une déformation de ceux-ci que nous observons actuellement dans le sang des personnes inoculées lors de séances de microscopie optique). Évidemment, après la coagulation, nous obtenons, en conséquence, tous les types de thrombogénicité, ce qui a contribué à la thromboembolie et aux accidents vasculaires cérébraux, ainsi qu’aux attaques ischémiques, aux accidents vasculaires cérébraux, aux crises cardiaques et à d’autres troubles.

La qualité radiomodulable de l’oxyde de graphène doit également être prise en compte. En amplifiant le rayonnement micro-ondes entrant, nous amplifions également les dommages qu’il cause à l’organisme.

M del A : Quelle est la première réaction de l’organisme à l’entrée du graphène ?

Delgado parle au public du Covid-19 et de l’inflammation.

R D : Le premier mécanisme de réponse est l’inflammation partout où le matériau passe dans notre biologie. C’est pourquoi on observe des myocardites, des péricardites, des myopéricardites, des inflammations pulmonaires… Il traverse également les systèmes d’épuration tels que le foie et les reins. Dans le foie, il génère une inflammation du foie (hépatite) et d’importants problèmes dans les reins — où il reste longtemps — lorsqu’ils filtrent le sang contaminé par le matériau. Il imprègne également le système nerveux central, par affinité supraconductrice, où il altère son fonctionnement, générant des paralysies de toutes sortes. Il enflamme les neurones, entraînant divers types de neuropathies, dont la perte de mémoire initiale, l’inattention, le brouillard cérébral ou les difficultés de concentration.

En amplifiant les dégâts des rayonnements micro-ondes non ionisants, il augmente considérablement le stress oxydatif, ce qui contribue au vieillissement prématuré et à l’apparition de divers types de cancers et de tissus tumoraux.

Dans les cellules reproductrices — et selon la littérature scientifique elle-même — il affecte la motilité et la mobilité des spermatozoïdes humains, réduisant drastiquement la fertilité masculine.

Il affecte également la régulation hormonale chez les femmes, contribuant ainsi à leur infertilité et générant le syndrome post-ménopausique.

M del A : Il est entendu que ce n’est pas la même chose de recevoir un « vaccin » que d’en recevoir quatre, puisque l’organisme élimine le graphène.

R D : C’est exact. Les dommages sont directement proportionnels au nombre de doses et à la quantité de radiations électromagnétiques que le matériau absorbe, ou à la quantité d’exposition ciblée aux micro-ondes que l’inoculé reçoit.

Tous ces dommages, et d’autres que nous n’avons pas mentionnés, ne sont pas seulement la cause de la surmortalité actuelle due à ces pathologies, mais ont été clairement identifiés dans la littérature scientifique depuis des années, lorsque la cytotoxicité, la génotoxicité, la biocompatibilité et la biodistribution de l’oxyde de graphène en biologie sont passées en revue. Y compris le fameux « poumon Covid » qui n’est qu’une pneumopathie ou une inflammation pulmonaire, comme l’un des moyens d’éliminer le matériau, contribuant à la dyspnée — difficulté à respirer — et à la bronchiolite que nous voyons tous les jours.

M del A : Et tandis que la société continuait à s’effrayer d’un virus inexistant, médiatisé par des politiciens et des journalistes, La Quinta Columna, avec vous à sa tête, avait déjà découvert le véritable meurtrier de ce complot.

R D : En effet, La Quinta Columna a découvert et démontré cet empoisonnement prémédité de toute la société avec de l’oxyde de graphène réduit, alors que les institutions parlaient d’un « coronavirus » que, jusqu’à ce jour, personne n’a vu.

[Voir aussi :
Le docteur Julien Devilléger nous présente une synthèse qui expose des preuves : Le « Virus SARS-CoV-2 » est-il responsable du COVID-19 ?
L’invention du SARS-CoV-2
Confirmation écrite : les scientifiques ne peuvent apporter aucune preuve de l’existence d’un virus pathogène]

M del A : Il ne fait aucun doute que nous parlons d’une étape importante, d’une découverte vitale et transcendante, non seulement pour l’humanité actuelle, mais aussi pour celle de l’avenir dans sa transition vers le transhumanisme. Mais pourquoi cela ne parvient-il pas à la connaissance du grand public ou, si c’est le cas, c’est accompagné d’un certain scepticisme ?

Au cours de la conférence, Richard Delgado fait le lien
entre les décès dans les maisons de retraite et la campagne.

R D : Les preuves présentées sont connues d’un grand nombre de personnes dans le monde, mais il est vrai qu’elles n’ont pas pénétré la société dans la mesure nécessaire. Nous avons montré que ce matériel a été introduit massivement lors de la campagne de grippe de 2019, dont la population directe était les personnes âgées des résidences ou les gériatres, ce qui a contribué à la grande extermination des personnes âgées, qui faisait partie de ce qu’ils ont appelé la « première vague ».

Nous avons également démontré que ce qu’ils ont appelé « épidémies » et « vagues » n’est rien d’autre que la conséquence de l’augmentation des radiations environnementales au moyen d’antennes téléphoniques [3G, 4G, 5G…], dont les micro-ondes excitent l’oxyde de graphène (radiomodulable) pour générer davantage de stress oxydatif et, en fin de compte, tous les dommages précédemment observés en biologie. Et, malgré tout, une grande partie de la société ne le sait toujours pas.

M del A : Pensez-vous qu’il s’agit d’une pure dissonance cognitive ou d’autre chose ? Y a-t-il quelque chose qui nous échappe ?

R D : À mon avis, il y a des facteurs importants qui expliquent que ces preuves n’aient pas été mises en lumière par leur propre poids, mais permettez-moi de laisser cela pour la fin.

M del A : Comme vous voulez. Continuons à parler du matériau : pourquoi introduisent-ils de l’oxyde de graphène réduit dans cette « chose » qu’ils appellent vaccin ?

R D : C’est la grande question à laquelle nous trouvons également une réponse, précisément par le biais d’institutions officielles de très haut niveau et par l’examen de la littérature scientifique elle-même.

Nous avons mentionné précédemment la nature magnétique du graphène en contact avec des molécules organiques, n’est-ce pas ? Eh bien, si nous disposons d’un support magnétique en biologie et, de surcroît, supraconducteur — en affinité avec le cœur et les neurones —, nous avons la possibilité d’y lire et d’y écrire des informations, comme sur un disque dur (d’ordinateur*). Au niveau neuronal et dans le domaine des neurosciences, la lecture d’informations est un contrôle ou une supervision neuronale. L’écriture d’informations sur ce support magnétique — qui est de l’oxyde de graphène réduit — imprégnant les neurones est connue sous le nom de neuromodulation ou neurostimulation. Il s’agit de la capacité d’introduire ou d’insérer des pensées (instructions) ou de modifier des modèles de comportement humain à distance et sans fil (micro-ondes scalaires et millimétriques). Au niveau du système cardiaque, on parle également de biocapteur du cœur ou de stimulation du cœur à distance.

[Voir aussi :
Technologie de “neuromodulation” à base de graphène : des biocircuits contrôlent le cerveau à l’aide de graphène piloté par l’IA
Biocontrôle : du cauchemar à la réalité
Selon le Dr Ana Mihalcea, ils veulent nous transformer en automates sans libre arbitre, grâce à la technologie des vaccins
Nanotechnologie et « vaccins »
Transformation cybernétique de l’Humanité
Le but démontré des injections antiCovid]

* Note du Messager de Gibraltar :

Le chemin du retour ou l’affrontement du feu

3:31 Le corps humain n’est rien d’autre qu’un ordinateur organique vivant très sophistiqué (selon les normes humaines), qui s’autoreproduit et s’autorépare (s’il n’est pas trop endommagé). Il s’agit d’une combinaison d’ordinateurs plus petits, par exemple le cerveau, les reins, le foie, etc., qui constituent collectivement l’ensemble, préprogrammé pour avoir des instincts animaux égoïstes, que votre âme doit apprendre à surmonter. Le cerveau humain physique fait fonctionner le corps et ses émotions, mais l’esprit et les sentiments appartiennent à l’âme. C’est pourquoi Jésus a dit que la chair n’a aucune valeur et que seul l’esprit (l’âme — le VRAI vous) a de la valeur (Jean 3:6 ; Jean 6:63).

3:34 Le Saint-Esprit, ou voix g(o)od [« good » : bon. Et « god » : dieu.], est implanté à l’intérieur du corps animal humain, avec l’âme et relié à elle. C’est la connexion télépathique de l’âme avec Dieu. Pour essayer de simplifier les choses, pour que vous puissiez comprendre plus facilement, si vous pouvez penser, pour un moment, à Dieu comme étant comme un maître-ordinateur et une banque de mémoire (fontaine de connaissance) ; avec le Saint-Esprit, comme la connexion de l’âme et le terminal d’ordinateur personnel, relié au maître ; par lequel, chaque âme est informée et enseignée en privé, individuellement et personnellement, ce qui est bon et ce qui est mauvais, par le Seigneur ; alors vous aurez une meilleure compréhension de la façon dont les choses fonctionnent.

[Voir aussi :
Mettez au régime votre IA (Intelligence Artificielle)]

3:35 Vous pouvez demander et recevoir des informations de Dieu en apprenant à utiliser votre connexion télépathique (le Saint-Esprit — 1 Jean 2:27). « Cherchez et vous trouverez », mais SEULEMENT si vous cherchez de TOUT votre cœur (Jér. 29:13), et avec l’humilité d’un enfant.

3:36 Malheureusement, tout ce que vous faites, c’est de lui demander de vous donner ceci ou cela, ou de faire ceci ou cela pour vous. Vous ne lui demandez JAMAIS ce que VOUS pouvez faire pour lui, n’est-ce pas ? N’est-ce pas très égoïste et unilatéral ?

3:37 L’autre voix, que tout le monde a dans la tête et sait parfaitement que c’est le mal, est évidemment la voix du Diable.

M del A : Apparemment, tout cela éclot soudainement, mais il semble qu’il y ait un plan méticuleusement établi qui synchronise plusieurs fronts.

R D : En effet. Toute cette recherche et sa propre littérature scientifique sont présentes au moment même où des personnages tels que l’ancien président du Chili, Sebastian Piñera, parlent d’« insertion de pensées, d’insertion de sentiments et de surveillance neuronale » le jour de l’appel d’offres pour le réseau 5 G. Dans le même temps, la Constitution chilienne est modifiée pour tenir compte de la « loi sur les droits neuronaux », et des dizaines de millions de stations de base et d’antennes téléphoniques sont déployées dans le monde entier. Et, entre autres événements, le directeur du Forum Économique Mondial lui-même nous parle des biocapteurs dans le cerveau d’ici 2030, de la « montée du transhumanisme » ou du nouvel être humain « Human 2.0 », du « cloud » et de « l’intelligence artificielle ».

[Voir aussi :
À quoi sert la vaccination de masse ? De l’infertilité au transhumanisme…
Le Nouvel ordre mondial poursuit son œuvre — Le « Grand Reset du Monde », le transhumanisme et la Quatrième révolution industrielle
Intelligence Artificielle : Un regard séculaire sur l’antéchrist numérique
Le support philosophique de la Grande Réinitialisation
Une emprise sur l’Humanité]

M del A : Tout indique que nous sommes sur la voie du transhumanisme, ou de la fin de « l’ère humaine », comme le dit José Luis Cordeiro. Ne trouvez-vous pas cela terrifiant ?

R D : En effet, c’est terrifiant, c’est la pire chose qui soit arrivée aux êtres humains dans toute leur histoire. L’objectif est plus que clair : transhumaniser tous les êtres humains en un minimum de temps, malgré les graves dommages et effets secondaires de cette technologie sur les comportements neuromodulaires et de neurostimulation, en plus de la supervision de tous les individus directement à partir de leurs neurones. Bref, la perte totale de l’espèce humaine actuelle. C’est-à-dire la disparition de l’humain actuel pour le transformer en « autre chose », privé de son essence, de son libre arbitre, de sa capacité à penser par lui-même et de sa tendance naturelle à la spiritualité. Et pour cela, le matériau qui sert d’INTERFACE est l’oxyde de graphène réduit. C’est la grande CLÉ. C’est pourquoi ils essaient de le nier ou de l’ignorer de toutes sortes de manières.

M del A : Nous avions laissé pour la fin sa réponse sur les raisons pour lesquelles cette importante découverte n’a pas été révélée, qui plus est, sous la forme d’un grand scandale. Quels sont les facteurs qui ont influencé et continuent d’influencer cette dissimulation ?

R D : Il y a plusieurs facteurs. Le premier et le plus évident est le contrôle que les gouvernements exercent sur les institutions dont ils ont la charge, notamment les médias, les établissements de santé, le système judiciaire, les syndicats, etc. Cela leur permet de mener à bien leurs programmes, parfaitement planifiés à l’avance. Mais il y a un autre facteur clairement exposé et que certains, apparemment dissidents, ne veulent même pas mentionner.

Il s’agit du concept de dissidence contrôlée, de fausse dissidence ou de faux dissidents. Il s’agit de personnes qui prétendent œuvrer pour la dissidence et la clarification de la Vérité, mais qui, néanmoins, introduisent toutes sortes d’obstacles pour qu’elle ne soit pas mise en lumière. Ce phénomène a été introduit dans toutes sortes de guerres. Et je ne dévoile rien de nouveau si je dis que nous sommes dans la pire des guerres, où l’ennemi à abattre est l’être humain lui-même.

[Voir aussi :
L’opposition contrôlée, selon Stanislas Berton
Opposition contrôlée et infiltration : comment les reconnaître ?
L’illusion du choix et de la liberté — L’opposition contrôlée est un mouvement de protestation dirigé par des agents du gouvernement]

M del A : Peut-on dire qu’il s’agit d’une action de contre-espionnage et qu’il existe un protocole d’action qui, dans ce cas précis, fonctionne ?

Ricardo Delgado sur le mal qui se cache derrière l’intention.

R D : C’est exact. Et dans cette façon d’agir, il y a plusieurs stratégies que je vais énumérer, en me référant au cas en question :

En général, les T.H.E.Y. The Hierarchy Enslaving You » : La Hiérarchie qui vous asservit. Et THEY : EUX] font tout leur possible pour retarder une première découverte, ou éliminer tous les « bons indices » qui arrivent, permettant la mise en œuvre de l’objectif qu’ils ont. Dans ce cas particulier, il s’agit de dissimuler l’utilité de l’oxyde de graphène en tant qu’interface.

— Ils se caractérisent par la négation des preuves ou des propriétés qu’elles présentent. Par exemple, ils nient l’existence du graphène dans les « vaccins », ainsi que le phénomène magnétique de l’inoculé ou l’émission d’adresses MAC détectées par Bluetooth.

[Voir aussi :
Les vaxinés Bluetooth : explications et conséquences probables]

— Ils s’infiltrent dans les bonnes recherches pour tenter de les retarder, en utilisant toutes sortes de stratégies.

— Ils introduisent de nouveaux foyers, supposés nocifs, pour neutraliser les dommages générés par la véritable cause, mais qu’ils doivent couvrir à tout prix. Par exemple, ils essaient d’envelopper l’oxyde de graphène avec du venin de serpent, des isotopes radioactifs, du venin d’abeille, des métaux lourds ou la fameuse protéine Spike (qui est précisément la réponse à l’introduction du graphène dans la biologie).

— Ils essaient d’envelopper la CLÉ avec n’importe quel élément distrayant afin qu’elle perde sa force.

— Ils recourent à la violence et aux attaques personnelles, manipulant ou déformant même la vie personnelle de ceux qui découvrent les preuves qui doivent être dissimulées.

— Normalement, ils sont financés économiquement par le système lui-même, ou bénéficient de promesses de promotions sociales dans le même domaine ou d’autres types d’avantages.

— Les groupes de dissidence contrôlée ont été créés avant que de véritables collectifs de dissidents n’apparaissent naturellement face à l’avancée de la situation qui commençait à nous affecter tous. Comme dans toute guerre, l’ennemi dispose de ces groupes, créés dans différentes parties du monde et avec des étiquettes similaires pour contrecarrer, capturer, effondrer et neutraliser les découvertes des groupes humains qui cherchent la vérité. Un exemple très significatif de ces groupes est celui des collectifs « pour la vérité », créés a priori dans différentes parties du monde et qui ont tenté de discréditer toute recherche, preuve ou découverte générée à partir de l’observation par des groupes véritablement dissidents.

— Comme la version officielle elle-même, ils utilisent dans leurs noms et leurs slogans des attributs dont la signification réelle est juste à l’opposé de la façon dont ils sont étiquetés. La véritable signification de « par la vérité » est « dissimuler la vérité ».

— Ils sont généralement actifs dans le Système lui-même, soit dans le domaine de la santé, soit dans le milieu universitaire ou autre (médecins, collèges officiels de biologistes, etc.).

— Ils sont organisés de manière hiérarchique, de sorte que leurs sommets sont occupés par des « porte-parole » qui gouvernent et parasitent tout le discours du collectif, de sorte que personne n’a d’opinion individuelle, et s’il en a une, elle est éclipsée par le sommet lui-même. Ainsi, ils dirigent le message où ils veulent et cachent les preuves.

— Ils introduisent des bots et des adeptes fictifs, ainsi que des trolls agressifs, sur diverses plateformes pour donner l’impression qu’ils bénéficient d’un soutien humain inconditionnel. En réalité, pratiquement personne ne les suit. Ce fait est évident lorsqu’ils donnent des conférences en public, qui sont suivies par un petit nombre de personnes.

— Ils sont chargés de capturer les personnes qui doutent de la version officielle (médecins, universitaires, avocats, journalistes, etc.) et de les introduire dans des collectifs, préalablement créés, pour éclipser le message qu’ils pourraient transmettre. Une fois à l’intérieur du collectif, ils sont liés aux directives du porte-parole de celui-ci. Par exemple : Avocats pour la vérité, ou Journalistes pour la vérité. Ils ont tendance à baser leurs « recherches » sur les « papiers » eux-mêmes, qui sont rédigés dans la version officielle, contre laquelle ils sont censés s’opposer.

— Ils ne font jamais de véritables analyses à l’aide d’outils scientifiques, car cela les obligerait à manipuler les résultats, à cacher ce qu’ils ont découvert. Au lieu de faire des recherches, ils préfèrent dire : « L’analyse des vaccins est une perte de temps » ; « Ne regardez pas au microscope, car vous ne verrez rien », ou « Obtenir des vaccins est très difficile ».

— Les travaux de ceux qui analysent au RAMAN, au microscope optique, au microscope électronique ou à toute autre technique permettant de SAVOIR comment caractériser le composant clé des « vaccins » sont ridiculisés et attaqués par cette fausse dissidence avec des arguments de pacotille. La plupart de ces attaques sont virulentes et personnelles.

— Ils utilisent leurs titres pour parler par « principe d’autorité » donné par la même institution ou celle à laquelle ils appartiennent, mais pas par « principe scientifique de preuve ».

— Ils utilisent les arguments de la version officielle — contre laquelle ils luttent apparemment — pour discréditer des travaux sérieux et indépendants. Par exemple, en s’appuyant sur les brochures officielles des « vaccins », alors que, précisément, des composants NON déclarés dans ces derniers sont dénoncés et pourraient faire tomber toute l’opération.

— Ils s’approchent des découvertes prouvées, avec lesquelles ils parviennent à capter un certain nombre d’honnêtes gens, puis se débarrassent de ce paradigme et reviennent à d’autres centres d’intérêt. Par exemple, ils admettent l’existence du graphène, mais soutiennent qu’il y en a très peu dans les « vaccins », ou reconnaissent que les vaccinés émettent des adresses MAC, mais rejettent le graphène.

— Ils se targuent de phrases telles que « Nous devons tous être unis » ou « Ensemble, nous sommes plus forts », précisément pour s’infiltrer.

— Ils se concentrent sur les dommages, mais pas sur la cause réelle qui en est à l’origine.

— Ils s’emploient à dénoncer des problèmes mineurs, afin de minimiser l’impact de ce qui est le plus dommageable. Par exemple, dénoncer les masques, la perte de libertés et de droits, ou l’inefficacité du test PCR, tout en dissimulant l’introduction de l’interface dans les produits injectables, qui est l’objectif pour atteindre le transhumanisme.

M del A : S’il en est ainsi, le citoyen ordinaire a la vie dure. D’une part, il est trompé par le système, et d’autre part, par ceux qu’il croit chercher la vérité. Avez-vous un dernier conseil à donner pour terminer ?

Richard Delgado explique au public comment nous pourrions mettre un terme
à cette évolution vers le transhumanisme.

R D : L’identification de ces « personnes » est vitale pour continuer à avancer, mettre en lumière les PREUVES et arrêter ou prévenir l’opération. La fausse dissidence est la première ligne de bataille que l’ennemi envoie dans nos rangs. Il y a des gens de bonne foi, qui n’ont pas appris à les identifier, et qui « font semblant d’avoir raison avec tout le monde », mais c’est tout simplement impossible, parce qu’ils font confiance et communiquent avec des traîtres, tous les jours et sans le savoir. Ils doivent choisir et abandonner tout autre intérêt que la Vérité, avant tout. Il n’y a pas de place pour les demi-mesures, en raison de la gravité à laquelle nous nous exposons. Nous ne pouvons pas permettre que la fausse dissidence continue à essayer de discréditer les preuves, et que celles-ci ne soient pas mises en lumière avec suffisamment de force, assurant ainsi la poursuite de l’opération contre l’être humain. C’est-à-dire la fin de l’ère humaine par le transhumanisme.

La conférence sur la chaîne Odysee de La Quinta –
Conference of La Quinta Columna: The game is over (19 March 2023)
(Aussi sur DGTV.)



Source : En espagnol : Periodista Digital – Ricardo Delgado: «A pesar de la evidencia, lo siguen negando»




La débâcle occidentale ?

[Source : AVATAR Media]






Suite de l’Appel au peuple de France, chez Bercoff

Certains de mes correspondants estiment que c’est bien que des militaires de réserve mènent ce type d’action, mais déplorent « l’inaction » de l’armée d’active.

Je crois l’avoir déjà écrit, mais je rappelle qu’à mon avis, il ne faut rien espérer dans l’immédiat, car les hauts gradés des armées (généraux 5,4, voire 3 étoiles) sont choisis et désignés par le pouvoir politique, qui bien entendu fait les choix qui lui conviennent.

Les officiers et sous-officiers d’un grade inférieur, certainement en très grande majorité hostiles au pouvoir actuel, sont en fait coincés et doivent obéir ou démissionner.

Les fautifs sont en fait les politiques d’opposition incapables de s’entendre pour voter une motion de censure, ou mieux, destituer le président (article 68 de la constitution), et éliminer tout ce qui gravite autour.

Je reviens sur un point qui me paraît essentiel en commençant par une petite citation d’Étienne Chouard :

« Les politiques ne sont pas incompétents, ils sont intelligents et corrompus. Ils font leur job parfaitement contre l’intérêt général et pour les plus riches qui les ont portés au pouvoir pour ça. Dire qu’ils sont incompétents empêche de diagnostiquer la trahison ».

Contrairement à ce que j’entends souvent, Macron n’est pas incompétent. Il n’aime pas la France et s’applique à détruire notre pays en appliquant les directives de ses maîtres mondialistes, par l’intermédiaire de l’UE, dirigée par la garce Von der Leyen.

Bonne fin de week-end de Pâques.

Jacques Amiot

[Source : Place d’armes]






Réintégration des soignants en France : « On est toujours dans le flou »

[Source : France Soir]

ENTRETIEN — Une semaine après l’annonce de la Haute autorité de Santé (HAS), l’association « les Blouses Blanches » reste très critique envers l’institution et doute de la bonne réintégration des soignants toujours suspendus depuis 18 mois pour avoir refusé la vaccination contre le Covid-19.

Nous recevons deux membres de ce collectif, Sonia Hamdouchy, aide-soignante et présidente de l’association, et Nathalie Lepage, secrétaire du groupe.

Selon elles, une simple réintégration n’est pas souhaitable : le collectif demande l’abrogation de la loi ayant contraint les soignants à la vaccination, ainsi que le versement de l’ensemble des salaires non distribués depuis le 15 septembre 2021 aux suspendus, alors laissés sans indemnités, ni chômage.








Censure Internet européenne en marche avec le Digital Services Act

[Source : resistance71]

Le coup de grâce pour un mouvement antiguerre déjà éviscéré

2 avril 2023
https://kurtnimmo.substack.com/p/final-blow-to-eviscerated-antiwar
~ Traduit de l’anglais par Résistance 71 ~

Par Kurt Nimmo

L’Ukraine et sept autres nations européennes tentent de museler toute information sur internet et les réseaux sociaux qui n’est pas conforme au narratif fantasque qui obscurcit la vérité sur la guerre en Ukraine.

Le narratif guerrier de « l’occident collectif » est construit sur des mensonges, l’exagération, la propagande, des allégations et supputations non corroborées et des pirouettes de relations publiques fantasmagoriques du régime Zelensky.

Par exemple, cette absurde accusation qu’une cheminée cassée sur un bâtiment près de la centrale nucléaire de Zaporizhzhiam, était une roquette russe. Ou plus pernicieux encore, que le bataillon raciste et nazi Azov est un berceau de « combattants de la liberté », tout comme le furent les Taliban durant le régime Reagan, au lieu d’un ramassis de fanatiques religieux misogynes médiévaux.

De Reuters :

« Dans une lettre ouverte signée par leurs Premiers ministres respectifs, les pays ont dit que les plateformes tech comme Meta’s Facebook, devraient prendre des mesures concrètes comme refuser les paiements d’individus sanctionnés et changer leurs algorithmes afin de promouvoir la précision de l’engagement [politique] des utilisateurs. »

Pour les Premiers ministres d’Ukraine, de Moldavie, de Pologne, de la République tchèque, de Slovaquie, d’Estonie, de Latvie, et de Lithuanie (tous membres de l’OTAN sauf l’Ukraine et la Moldavie), le reportage de la vérité, ou de tous faits contraires au narratif fantasque de l’occident, doivent être pulvérisés par les algorithmes.

La propagande et les mensonges sur ce qui se passe en Ukraine, emmenés par cet évident et prouvé mensonge que l’Ukraine est en train de gagner la guerre, doivent être protégés et soutenus par la loi sur les services numériques européenne des Digital Services Act (DSA)

Christian Borggreen, senior vice-président et patron de la Communications Industry Association (CCIA) européenne a dit :

« La mise en place appropriée de la DSA, combinée avec le récemment revampé Code de Pratique sur la Désinformation de l’UE, est clef pour monter d’un cran la lutte contre la désinformation. »

La DSA donne à la Commission Européenne la capacité de punir financièrement les plateformes internet qui sortent des clous du narratif fantasmagorique imposé. « Un des points finaux ajoutés à la DSA fut introduit à la lumière de la récente invasion russe de l’Ukraine et du rôle de l’internet comme conduit et milieu de la guerre de l’information », note Gilian Vernick du comité des journalistes. Sous les propositions de la DSA, poster en ligne des informations contraires à la doxa sera considéré comme une atteinte à la sûreté de l’UE.

Ach ! Streng Verboten !…

Le Protocole de Réponse à la Crise est un mécanisme qui permettrait à la Commission Européenne de consulter les états membres afin de déclarer un état d’urgence et de requérir le retrait d’un contenu dans une telle situation de crise. Cette provision codifie l’action qu’a récemment prise l’UE quand elle a ordonné à des plateformes numériques de retirer des contenus d’organisations soutenues par le Kremlin comme RT (Russia Today) et Sputnik, étiquetant leur contenu comme propagande d’état en désinformation.

Si mise en place, la DSA va mettre un terme à toute discussion en dehors des narratifs officiels en imposant de grosses amendes aux médias sociaux et plateformes numériques contrevenants. « Ne pas obéir à la DSA implique de grosses amendes allant jusqu’à 6 % des ventes brutes de la plateforme », rapporte « Poplular Science ».

« Alphabet, entreprise sœur de Google a eu 258 milliards de dollars de revenus en 2022. Si elle avait commis de sévères déviations de la réglementation, elle pourrait avoir à payer quelque 15 milliards de dollars… »

De manière évidente, pour éviter une telle action punitive, les entreprises des médias sociaux vont augmenter leurs efforts pour assainir leur plateforme par peur d’un désastre financier voire d’une ruine.

« Bien que la DSA cible les entreprises big tech d’Europe, il est important de noter que ceci aura sans doute de grosses répercussions négatives aux États-Unis et dans le monde. »

Quant à la capacité de la DSA à censurer l’information en porte-à-faux avec les narratifs officiels, considérez la réglementation européenne de protection générale des données de 1018. Elle est maintenant utilisée pour contrôler comment les sites internet utilisent les cookies pour le traçage.

« L’UE lève des amendes de plus en plus importantes pour les non-respects de cette réglementation, ce qui risque de mettre sens dessus dessous le calcul de risque de certaines entreprises », ajoute PopSci.

Il sera peut-être bientôt impossible de poster toute vérité sur des conflits fabriqués par le système néolibéral et les crimes et horreurs affiliés si ce cauchemar autoritaire pondu par l’UE devient réalité.

La loi DSA va s’appliquer à « une large catégorie de services en ligne, des simples sites internet aux services d’infrastructure et plateformes numériques », d’après le « Search Engine Journal ».

« Tous les services numériques qui font des affaires dans l’UE seront soumis à la DSA, quel que soit l’endroit où le business est établi, même en ce qui concerne les petites et micro entreprises… »

Le mouvement antiguerre, ou tout mouvement politique défiant l’État, seront incapables de réfuter les mensonges et la propagande de guerre sur internet et médias sociaux après que la DSA devienne loi européenne.

Dans la préface de son livre « La ferme des animaux », George Orwell écrivait : « Des idées impopulaires peuvent être réduites au silence, des faits embarrassants maintenus dans l’obscurité, sans le besoin d’un interdit officiel. »

Mais, depuis l’avènement de l’internet, « des faits embarrassants » sont exposés au grand jour, discutés et généralement débattus, ce au grand dam de l’État, de ses intellectuels et de leurs médias sténographes entrepreneuriaux qui ne font que télégraphier mensonges et propagande.

Il y a un effort concerté de réduire les critiques au silence. […]




Il n’y a pas de solution au sein du système, n’y en a jamais eu et ne saurait y en avoir ! (Résistance 71)

Comprendre et transformer sa réalité, le texte :
Paulo Freire, « La pédagogie des opprimés »

+

5 textes modernes complémentaires pour mieux comprendre et agir :

Guerre de l’info…
Accès restauré !…



Les fake news de l’État profond : Les manipulateurs du gouvernement contrôlent le cycle de l’information

[Source : aubedigitale.com]

Par John & Nisha Whitehead

« Nous, les Américains, sommes les ultimes innocents. Nous sommes toujours prêts à croire que, cette fois, le gouvernement nous dit la vérité ».

Sydney Schanberg, ancien journaliste du New York Times

Parlons de fake news, d’accord ?

Il y a d’abord les « fake news » classiques, qui ne sont pas vraiment des « nouvelles », mais plutôt des informations titillantes, dignes d’un tabloïd, colportées par toute personne disposant d’un compte Twitter, d’une page Facebook et d’une imagination débordante.

Ces histoires vont du ridicule et du clic évident à la satire et à la manipulation politique.

Toute personne dotée d’un peu de bon sens et d’un accès à l’internet devrait être en mesure de démêler le vrai du faux dans ces histoires en effectuant quelques recherches élémentaires.

Si ces histoires prospèrent, c’est en grande partie grâce à la crédulité générale, à la paresse et à l’analphabétisme médiatique du grand public, qui, par sa docte conformité, pose rarement des questions, remet en cause ou confronte.

Il y a ensuite le type de nouvelles plus sournoises diffusées par l’un des plus grands propagateurs de fake news : le gouvernement américain.

Au milieu de l’apoplexie soigneusement entretenue par le gouvernement et les médias d’entreprise sur les fake news, vous n’entendrez pas beaucoup parler du propre rôle du gouvernement dans la production, la mise en place et le colportage de fake news axées sur la propagande — souvent avec l’aide des médias d’entreprise — parce que ce n’est pas comme ça que le jeu fonctionne.

Pourquoi ?

Parce que le pouvoir en place ne veut pas que nous soyons sceptiques à l’égard du message du gouvernement ou de ses complices des grands médias. Ils ne veulent pas que nous fassions preuve de plus de discernement lorsqu’il s’agit des informations que nous consommons en ligne. Ils veulent simplement que nous nous méfiions des sources d’information indépendantes ou alternatives tout en leur faisant confiance, ainsi qu’à leurs collègues des grandes entreprises, pour qu’ils vérifient les informations pour nous.

En effet, ces dernières années, Facebook et Google se sont commodément désignés comme les arbitres de la vérité sur l’Internet afin de filtrer ce qui est manifestement faux, spam ou machine à clics.

Il s’agit non seulement d’un dangereux précédent de censure totale par des entreprises connues pour leur collusion avec le gouvernement, mais aussi d’un tour de passe-passe habile qui détourne l’attention de ce dont nous devrions vraiment parler : le fait que le gouvernement est devenu dangereusement incontrôlable, alors que les soi-disant grands médias d’information, qui sont censés agir comme un rempart contre la propagande gouvernementale, sont au contraire devenus les porte-parole de la plus grande entreprise du monde, le gouvernement des États-Unis.

Comme le rapporte le journaliste chevronné Carl Bernstein, qui, avec Bob Woodward, a fait éclater le scandale du Watergate, dans son volumineux article paru en 1977 dans Rolling Stone, intitulé « La CIA et les médias », « plus de 400 journalistes américains […] se sont rendus coupables d’une violation des droits de l’homme » :

« Au cours des vingt-cinq dernières années, plus de 400 journalistes américains ont secrètement effectué des missions pour la Central Intelligence Agency… Il y a eu coopération, accommodement et chevauchement. Les journalistes ont fourni une gamme complète de services clandestins… Les journalistes partageaient leurs carnets de notes avec la CIA. Les rédacteurs en chef partageaient leurs équipes. Certains journalistes étaient des lauréats du prix Pulitzer, d’éminents reporters… Dans de nombreux cas, les documents de la CIA montrent que des journalistes ont été engagés pour effectuer des tâches pour la CIA avec l’accord des directions des principaux organes de presse américains ».

Bernstein fait référence à l’opération « Mockingbird », une campagne de la CIA lancée dans les années 1950 pour transmettre des rapports de renseignement aux journalistes de plus de 25 grands journaux et agences de presse, qui les régurgitaient ensuite pour un public inconscient du fait qu’ils étaient nourris de propagande gouvernementale.

Dans certains cas, comme le montre Bernstein, les membres des médias ont également servi de prolongement à l’État de surveillance, les journalistes effectuant des missions pour le compte de la CIA.

Des cadres de CBS, du New York Times et du magazine Time ont également travaillé en étroite collaboration avec la CIA pour contrôler les informations. Bernstein écrit : « Parmi les autres organisations qui ont coopéré avec la CIA figurent l’American Broadcasting Company, la National Broadcasting Company, l’Associated Press, United Press International, Reuters, Hearst Newspapers, Scripps-Howard, le magazine Newsweek, le Mutual Broadcasting System, le Miami Herald et les anciens Saturday Evening Post et New York Herald-Tribune. »

[Voir aussi :
Les relations troubles entre les journalistes et la CIA
Covid – Le journal allemand SPIEGEL admet avoir échoué dans son rôle de quatrième pouvoir
Comment les médias sont achetés et corrompus
Médias, information et mondialisation libérale]

En fait, en août 1964, les principaux journaux du pays, dont le Washington Post et le New York Times, se sont fait l’écho de l’affirmation de Lyndon Johnson selon laquelle le Nord-Vietnam avait lancé une deuxième série d’attaques contre des destroyers américains dans le golfe du Tonkin. Aucune attaque de ce type n’avait eu lieu, mais le mal était fait. Comme le rapportent Jeff Cohen et Norman Solomon pour Fairness and Accuracy in Reporting :

« En présentant les affirmations officielles comme des vérités absolues, le journalisme américain a ouvert les vannes de la sanglante guerre du Viêt Nam ».

Nous sommes au début des années qui ont suivi le 11 septembre, lorsque, malgré l’absence de données crédibles prouvant l’existence d’armes de destruction massive, les grands médias ont pris le train en marche pour faire sonner les tambours de la guerre contre l’Irak. Comme le dit Robin Abcarian, chroniqueur au Los Angeles Times :

« Notre gouvernement… a utilisé son immense tribune pour écraser les chiens de garde… Beaucoup se sont laissés séduire par l’accès à des initiés de l’administration, ou ont été sensibles au tambour de la rhétorique coordonnée du gouvernement ».

John Walcott, chef du bureau de Washington de Knight-Ridder, l’une des seules agences de presse à avoir contesté les raisons invoquées par le gouvernement pour justifier l’invasion de l’Irak, suggère que la raison de l’acceptation facile des médias est que « trop de journalistes, y compris certains très célèbres, ont renoncé à leur indépendance pour faire partie de la classe dirigeante ». Comme le dit la devise, « le journalisme consiste à dire la vérité au pouvoir, pas à l’exercer ».

Si c’est ce qui se passait à l’époque, il y a fort à parier que c’est encore le cas aujourd’hui, à ceci près qu’il a été reclassé, rebaptisé et dissimulé derrière des couches de secret gouvernemental, d’obscurcissement et de manipulation.

Dans son article intitulé « Comment le gouvernement américain tente de contrôler ce que vous pensez », le Washington Post souligne que « les agences gouvernementales ont historiquement pris l’habitude de franchir la ligne floue qui sépare l’information du public de la propagande ».

Ainsi, qu’il s’agisse de la guerre froide, de la guerre du Viêt Nam, de la guerre du Golfe, de l’invasion de l’Irak par le gouvernement sur la base de fabrications absolues, de la guerre russo-ukrainienne ou de la guerre actuelle du gouvernement contre le terrorisme, la vie privée et les lanceurs d’alerte, ces événements sont le fruit de la propagande élaborée par une machine corporative (le gouvernement contrôlé par les entreprises) et transmise au peuple américain par l’intermédiaire d’une autre machine corporative encore (les médias contrôlés par les entreprises).

« Pour la première fois dans l’histoire de l’humanité, il existe une stratégie concertée pour manipuler la perception globale. Et les médias agissent comme des assistants complaisants, échouant à la fois à y résister et à la dénoncer », écrit le journaliste d’investigation Nick Davies.

« La facilité avec laquelle cette machinerie a pu faire son travail reflète une faiblesse structurelle rampante qui affecte désormais la production de nos informations ».

Mais attendez.

Si les grands médias — c’est-à-dire les médias grand public, les médias d’entreprise ou les médias de l’establishment — ne font que répéter ce qu’on leur donne à entendre, qui sont les maîtres d’œuvre au sein du gouvernement responsables de cette propagande ?

Davies explique :

Le Pentagone a fait des « opérations d’information » sa cinquième « compétence essentielle », aux côtés des forces terrestres, navales, aériennes et spéciales. Depuis octobre 2006, chaque brigade, division et corps de l’armée américaine dispose de son propre élément « psyop » qui produit des informations pour les médias locaux. Cette activité militaire est liée à la campagne de « diplomatie publique » du département d’État, qui comprend le financement de stations de radio et de sites web d’information.

Ce recours à la propagande déguisée en journalisme est ce que le journaliste John Pilger appelle « le gouvernement invisible… le véritable pouvoir en place dans notre pays ».

Il est clair que nous n’avons plus de quatrième pouvoir.

Pas quand les « nouvelles » que nous recevons sont régulièrement fabriquées, manipulées et faites sur commande par des agents du gouvernement.

Pas lorsque six entreprises contrôlent 90 % des médias américains.

Pas quand, comme le déplore Davies, « les organes de presse qui auraient pu exposer la vérité faisaient eux-mêmes partie de l’abus, et ont donc gardé le silence, se livrant à une parodie comique de reportages erronés, cachant le scandale naissant à leurs lecteurs comme une nounou victorienne couvrant les yeux des enfants lors d’un accident dans la rue ».

Et non pas, comme je l’explique dans mon livre Battlefield America : The War on the American People et dans son pendant fictif The Erik Blair Diaries, lorsque les médias sont devenus les propagandistes de la fausse réalité créée par le gouvernement américain.

Après tout, comme le souligne Glenn Greenwald :

« Le terme de propagande semble mélodramatique et exagéré, mais une presse qui — par peur, par carriérisme ou par conviction — récite sans critique les fausses affirmations du gouvernement et les rapporte comme des faits, ou qui traite les élus avec une révérence réservée à la royauté, ne peut être décrite avec précision comme exerçant une autre fonction ».

Où cela nous mène-t-il ?

Que devons-nous — ou pouvons-nous — faire ?

Je terminerai par les avertissements et les conseils de John Pilger :

La véritable information, l’information subversive, reste le pouvoir le plus puissant qui soit— et je crois que nous ne devons pas tomber dans le piège de croire que les médias parlent au nom du public. Ce n’était pas le cas dans la Tchécoslovaquie stalinienne et ce n’est pas le cas aux États-Unis. Depuis que je suis journaliste, je n’ai jamais vu la conscience publique s’élever aussi rapidement qu’aujourd’hui… Pourtant, cette conscience publique critique croissante est d’autant plus remarquable si l’on considère l’ampleur de l’endoctrinement, la mythologie d’un mode de vie supérieur et l’état actuel de peur fabriquée.

[Le public a besoin de vérité, et les journalistes devraient être des agents de la vérité, et non des courtisans du pouvoir. Je crois qu’un cinquième pouvoir est possible, fruit d’un mouvement populaire, qui surveille, déconstruit et contrecarre les médias d’entreprise. Dans chaque université, dans chaque école des médias, dans chaque salle de rédaction, les professeurs de journalisme, les journalistes eux-mêmes doivent s’interroger sur le rôle qu’ils jouent actuellement dans l’effusion de sang au nom d’une fausse objectivité. Un tel mouvement au sein des médias pourrait annoncer une perestroïka d’un genre que nous n’avons jamais connu. Tout cela est possible. Les silences peuvent être brisés… Aux États-Unis, des esprits rebelles merveilleusement libres peuplent le web… Les meilleurs reportages… apparaissent sur le web… et les citoyens journalistes.

Le défi pour le reste d’entre nous est d’extraire ce savoir subjugué de la clandestinité et de l’apporter aux gens ordinaires. Nous devons nous hâter. La démocratie libérale se dirige vers une forme de dictature des entreprises.



Traduction du Rutherford Institute par Aube Digitale




Les Français ont obéi docilement comme des moutons qu’on mène à l’abattoir : c’était il y a déjà trois ans…

[Source : medias-presse.info]

Par Paul DEROGIS

Cela se passe en France en mars 2020 :
oui, en France, pas en Russie poutinienne.

Avec le recul, c’est incroyable ! Une policière macronienne “gueule” ses ordres à des passants passifs !

Dans Contrepoints du 9 mars 2023, notre confrère Yves Bourdillon écrivait :

« Il y a trois ans jour pour jour, les bureaucraties sanitaires occidentales ont imposé en mode panique et Panurge le confinement anti-covid. Une prophylaxie pourtant jamais utilisée et donc encore moins évaluée dans l’Histoire. Copier une méthode inventée par un régime totalitaire chinois aux données notoirement trafiquées aurait pourtant dû paraître peu judicieux. Mais la boîte de Pandore de ce genre de mesures hyper liberticides a été ouverte. C’est une date historique et funeste, quoique peu s’en souviennent, à commémorer ce 9 mars. Une date qui fera peut-être jurisprudence pour justifier les plus démentes atteintes à vos droits et libertés et un contrôle social numérisé digne d’un roman de Georges Orwell, ou d’Evgueni Zamiatine.

La version dure du confinement, avec l’exigence d’une auto attestation datée, sous peine d’amende, pour travailler, s’approvisionner, ou se faire soigner n’a été pratiquée, contrairement à ce qu’a prétendu l’Elysée, que par six pays au monde : Italie, Espagne, France, Belgique, Roumanie et Maroc. Vous pourrez raconter à vos petits-enfants, qu’on peut espérer incrédules, qu’on a pourchassé en hélico des promeneurs sur une plage. Les villes de la moitié de la planète ressemblaient au décor muet d’un film catastrophe arpenté par des survivants et des zombies… mais des zombies dérogatoires.

Cette prophylaxie n’avait pourtant JAMAIS été appliquée NULLE PART et donc encore moins testée ou validée dans l’Histoire de l’humanité. Cette dernière pratiquait jusqu’alors la méthode éprouvée et robuste « tester-isoler-soigner » face aux nombreuses épidémies qu’elle a dû affronter.

Si des villes ont été mises en quarantaine au Moyen Âge et jusqu’au XIXe siècle pour peste, ou choléra, cela n’avait rien à voir avec l’interdiction de sortir de chez soi. »

En mars 2020 nous avons collectivement mis le doigt dans un engrenage dévastateur. Les pires dictatures n’auraient jamais osé imaginer pouvoir nous interdire de sortir de chez nous, travailler, recevoir nos amis, imposer de porter un bavoir inutile dans la rue, présenter notre statut vaccinal pour s’asseoir à une terrasse de café.

La prophylaxie contre le covid l’a fait sans que personne ou presque ne moufte. Preuve a été faite que les populations pouvaient accepter n’importe quelle mesure liberticide du moment qu’on brandit un microbe.

Et pour répondre au tweet ci-dessus – « Comment a-t-on pu admettre cette folie », souvenons qu’avoir peur de façon irrationnelle, c’est se préparer à obéir . Voilà pourquoi les gouvernants politiques mais surtout économiques mondiaux utilisent la peur pour nous faire adopter des comportements dociles et même serviles où nous acceptons sans riposte les directives les plus déshumanisantes.

Le jour où le confinement, ou son petit frère, le contrôle social numérisé de tous, partout, tout le temps, reviendra, souvenez-vous : cela a commencé un 9 mars.






Après la crise monétaire… Le PDF du livre mis à disposition par l’auteur

[Source : LHK]

Revenu de base mensuel, hélicoptère monétaire, cryptomonnaies, fin du cash, Big Data et IA, Facebook crée une monnaie… Olivier Pichon et Pierre Bergerault reçoivent Vincent Held, économiste suisse pour son livre : Après la crise (Éditions Réorganisation du monde).

Les turbulences monétaro-financières sont de plus en plus visibles par tout un chacun. Derrière, vous avez un seul et même ensemble d’individus qui gère la liquidation du casino financier planétaire ; ainsi que la mise en place simultanée du nouveau modèle.

Dans son livre de 2018 : « Après la Crise : Chronique de l’émergence d’un nouvel ordre monétaire international », Vincent Held annonçait la fin du système monétaro-financier, ainsi que le système qui pourrait bien le remplacer.

Aujourd’hui, nous vous offrons le PDF du livre, car il est temps que tout un chacun puisse sortir de la désinformation ambiante.

Ce livre visait à avertir l’opinion publique de l’arrivée d’un nouveau système financier/monétaire basé sur la monnaie numérique, lui-même indissociable du Système de Crédit social…

Les dernières mesures inhabituelles prises par le gouvernement suisse, qui violent la propriété privée tout en favorisant une élite qui s’arroge tous les passe-droits, il nous a semblé judicieux de mettre à votre disposition le manuscrit de ce livre.

Voici le manuscrit. Il est même téléchargeable. Nous ne pouvons cependant nous engager que sur la version de notre site :

La vidéo de l’annonce du livre






Contre le pouvoir : La France en guerre

[Source : reseauinternational.net]

Par Christine Deviers Joncour et Éric Montana

Nous sommes à la limite de l’effondrement total. Nous risquons de tout perdre, non seulement sur le plan économique déjà bien mal en point avec les nombreux sabotages de l’équipe Macron, mais aussi pour garantir nos libertés en grand danger !

Les ennemis ne sont pas à nos portes, ils sont au cœur même de notre pays. Nos ennemis sont ceux qui sont au cœur du pouvoir, ceux qui nous gouvernent ! Ils ne nous veulent pas du bien mais ils sont missionnés pour nous détruire et ce, à tous les niveaux : la liste serait trop longue !

Ce que nous voyons c’est un peuple au bout du rouleau qui réclame un peu de justice sociale, et se fait matraquer par une bande de hors la loi aux ordres d’un pouvoir devenu terroriste et meurtrier pour imposer une dictature fasciste au service des USA et des milliardaires !

Macron a été mis en place pour détruire la France et briser le peuple français dans tous les domaines : sociétal, sanitaire, économique, spirituel. L’ultra violence politique d’une certaine police aux ordres des traitres au pouvoir et rémunérée grassement pour faire le sale boulot, confirme qu’elle reçoit des ordres en ce sens.

Après l’opération Covid et l’injection du poison vaccinal présenté comme « sûr et efficace », les victimes se comptent par dizaines de milliers. Femmes et enfants sont rendus stériles pour que le plan de dépopulation mondiale soit effectif. La corruption de la classe politique, son adhésion aux thèses eugénistes, sa soumission aux cartels bancaires et aux organisations mondialistes comme le FEM de Klaus Schwab, constituent les preuves évidentes que nous sommes les victimes du plus grand crime contre l’humanité de l’Histoire. Nos propres vies sont menacées et les informations qui nous parviennent chaque jour nous le confirment.

Les accusations de complotisme pour essayer de nous faire passer pour des fous, sont démenties par les révélations des scientifiques, des chercheurs, des médecins honnêtes qui ont préféré tout perdre plutôt que de se rendre complices de crimes abjects. Seuls des esprits malades peuvent participer à ce plan de dépopulation mondiale. Seuls des mythomanes psychopathes sont capables d’une telle perversité.

La confiance est rompue.

Ceux qui sont censés nous protéger, nous trompent et nous assassinent. Ils sont sans foi ni loi car ils haïssent notre humanité. Et c’est parce que nous sommes désormais tous en danger, que le peuple a décidé de se lever.

La retraite n’a été que l’étincelle pour mettre en lumière tout ce que nous subissons depuis 2017, et plus particulièrement depuis la fausse pandémie qui a vu ce pouvoir franchir toutes les limites de la loi, faisant de notre pays un État de non droit où toutes les formes de tyrannie ont pu s’exercer en toute impunité.

Quand Martin Blachier tente de justifier les mesures sanitaires gravement liberticides, les qualifiant « d’inutiles et exagérées », disant « C’est parce qu’on ne savait pas », traitant ceux qui savaient « d’assassins », de « criminels », de « complotistes », il est temps de comprendre que ce pouvoir fou a envoyé des millions d’êtres humains dans l’enfer des effets secondaires tragiques et au cimetière.

Irresponsables ou complices ? Nous sommes en droit de douter de la santé mentale de ceux qui nous dirigent, de ceux qui nous mentent et nous trompent et de cette légion de docteurs Mengelé plus attentifs à leurs intérêts financiers qu’à la santé de ceux qui leur ont fait confiance.

Jamais notre pays n’a subi une trahison d’une telle ampleur car des innocents sont morts d’avoir fait confiance à cette meute criminelle.

Alors oui, nous avons tout supporté : la corruption des politiciens, les mensonges des médias, la trahison des médecins, l’effondrement de notre économie et de notre niveau de vie, l’explosion de la misère et du chômage, l’insécurité entretenue par le pouvoir pour justifier le vote de lois toujours plus réductrices de liberté, l’injustice sociale qui voit les bénéfices des milliardaires atteindre des sommets indécents quand des millions de Français ne parviennent même plus à nourrir leurs enfants… et l’abjecte autosatisfaction des responsables de cet immense gâchis…

Notre France est en train de devenir un pays du Tiers Monde à cause de la trahison des gouvernements qui sont devenus les domestiques obéissants des cartels bancaires et de la finance prédatrice. Et dans ce marasme continu, la seule victime est le peuple français.

Nous avons dépassé depuis longtemps les bornes de l’inacceptable car pour nous obliger à accepter toutes ces injustices, le pouvoir nous inflige une violence policière inouïe qui n’a pas d’équivalent sur notre continent !

Des millions de Gilets jaunes réclamant de pouvoir boucler le mois, n’ont eu que la violence en retour. Des milliers de blessés, de mutilés, d’estropiés, d’emprisonnés, sans oublier les morts qui réclamaient juste de pouvoir manger et nourrir leurs enfants…

Aucun pouvoir n’a eu autant de mépris pour la vie humaine. Aucun pouvoir n’a eu autant de sang sur les mains. Jamais la violence n’a tant servi de méthode de « gouvernement » qu’aujourd’hui.

Nous avons à faire à des cyniques, à des gens sans foi ni raison, à des politiciens incapables de discerner le bien du mal, à des traîtres, des opportunistes, des fourbes dont le mensonge est le pain quotidien.

C’est la raison pour laquelle l’article 35 de la Constitution du 24 juin 1793 stipule :

« Quand le gouvernement viole les droits du peuple, l’insurrection est pour le peuple, et pour chaque portion du peuple, le plus sacré des droits et le plus indispensable des devoirs ! »

Par ses actes, le pouvoir s’est mis hors la loi. Nous sommes donc en situation de légitime défense.

Ce pouvoir, à la légitimité effondrée, n’est plus qu’un bloc de coercition. Pour avoir lui-même abattu toutes les médiations, l’autocrate psychopathe n’est plus séparé du peuple que par une ligne de policiers robocops.

De cet individu que toute raison a depuis longtemps déserté, rien ne peut être exclu. N’est-il pas en effet apparent pour tous qu’à force de vouloir trôner seul en gloire, Macron s’est collé à tout : il s’est collé à la loi retraites, comme il s’est collé à la police et à l’ordre capitaliste de sorte qu’il est devenu la synthèse vivante de toutes les détestations particulières, et finalement leur unique objet. La police est partout, la justice nulle part. Ce sont des décennies d’humiliations qui commencent à exploser.

Pour le moment, nous, le peuple français devons sans faute profiter de cette fenêtre qui s’ouvre avec ces nombreuses manifestations et cette colère qui s’exprime pour pousser ce combat et aller pacifiquement jusqu’au bout sans faillir.

La presse internationale annonce plus de dix millions de manifestants mais nos médias mainstream divisent le nombre par trois ! Manipulation et désinformation sont les deux mamelles de ce pouvoir massivement rejeté par le peuple.

Ne plus accepter que le peuple se fasse molester, tabasser comme des chiens dans les rues. Il va falloir que nous nous battions avec courage et détermination jusqu’à la victoire. Car, c’est une guerre contre cette oligarchie prédatrice et criminelle, or dans une guerre deux clans s’affrontent.

Notre clan, le peuple de France, doit s’y préparer avec courage, détermination, hardiesse. Cette porte ouverte depuis ces derniers jours ne doit absolument pas se refermer, pour notre survie à tous !

Montrons-leur que nous les français, les « sans-dents », « les gueux », « ceux qui ne sont rien », sont aussi des hommes dignes, valeureux, braves et résolus !

Alors, soit le gouvernement choisira la fuite en avant autoritaire et nous entrerons officiellement en dictature, soit il commencera à reculer.

Il faut désormais prendre au sérieux l’hypothèse d’une destitution de Macron pour nous donner la force de résister, d’aller au combat et imaginer le champ des possibles qui s’ouvrirait alors en cas de triomphe !

« Les tyrans ne sont grands que parce que nous sommes à genoux ». Alors levons-nous courageusement et préparons-nous au combat, il y a encore des hommes courageux dans ce pays !

C’est là maintenant ou jamais, plus jamais !






« La France, ce pays qui fut un phare pour les libertés dans le monde, prend aujourd’hui la pente dangereuse d’une méthode de gouvernement de plus en plus violente et autoritaire »

https://twitter.com/younousomarjee/status/1641387924817158144






Rage médiatique et viol collectif des dissidents québécois

[Source : tribunaldelinfaux.com]

Par Julie Levesque

Les chiens de garde de la démocratie ont la rage. Ils s’attaquent à ceux qu’ils sont censés servir.

Merci à tous ceux qui m’aident à lutter contre cette pathologie médiatique contagieuse et mortelle pour notre démocratie en faisant un don ou en partageant cet article :

Virement Interac : tribunaldelinfaux@gmail.com (réponse: tribunal)
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Où me trouver : https://linktr.ee/julielevesque


Le Conseil de presse du Québec (CPQ), tribunal d’honneur des médias, a blâmé Gilles Proulx récemment pour ses propos discriminatoires envers François Amalega, figure emblématique de la résistance québécoise contre les mesures sanitaires totalitaires, aujourd’hui prouvées inutiles et nocives (voir ici aussi).

« D’abord, il vient d’arriver au pays, il vient nous dicter des nouvelles formes d’adoption des lois, je te le mettrais sur la pelle à charbon […] Je le renverrais chez lui », a dit Gilles Proulx à l’émission Denis Lévesque diffusée à LCN le 23 septembre 2021.

Le Devoir résume ainsi la décision du Conseil de Presse :

Gilles Proulx

« “Bien qu’un journaliste d’opinion comme Gilles Proulx bénéficie d’une liberté de ton et de style, la déontologie exige qu’il ne tienne pas de propos discriminatoires, par exemple des propos racistes ou xénophobes, explique la décision rendue publique jeudi. […] Mais dans le dossier qui nous concerne ici, les propos […] attaquent plutôt ses caractéristiques personnelles [celles de François Amalega] en tant qu’immigrant noir. En ce sens, les propos de Gilles Proulx tendent à susciter et attiser la haine et le mépris et à entretenir les préjugés envers les Noirs, plus particulièrement les immigrants noirs. ”

La décision s’appuie sur la référence à “la pelle à charbon”, expression qui “peut renvoyer à l’esclavagisme, d’un point de vue historique”. Le Conseil juge aussi que la proposition de renvoyer M. Amalega “chez lui” suscite “le mépris et la haine envers les immigrants noirs” comme le reste de l’intervention (“Il vient d’arriver au pays”, etc.) “dénigre les immigrants qui prennent part aux débats publics”. » (Soulignements ajoutés)

Si l’on doit se réjouir de la décision du CPQ, on est en droit de se demander pourquoi il n’a pratiquement pas tenu compte des innombrables propos discriminatoires dans les médias depuis 2020 à l’endroit des opposants aux mesures sanitaires, plus particulièrement des non-vaccinés.

Cette décision semble confirmer que « dénigrer les immigrants qui prennent part aux débats publics » est condamnable, mais que dénigrer les Québécois « qui prennent part aux débats publics » est acceptable, voire responsable, lorsqu’ils sont perçus par la communauté médiatique comme des « complotistes », simplement parce que la méfiance envers les autorités et les médias constitue le fondement de leurs convictions politiques.

Cette méfiance, justifiée par moult scandales de corruption et de désinformation médiatique à travers les âges, n’a rien de complotiste, contrairement à ce que l’on tente de faire croire à la masse. Elle est plutôt bien ancrée dans le réel, un réel ignoré par cette masse qui le fuit quotidiennement, préférant se réfugier dans le nid douillet du divertissement.

Le texte qui suit se veut une sorte d’autopsie du viol collectif des dissidents québécois par les médias durant la crise covidienne.

Il est divisé en sept parties :

  1. Dénigrement et discrimination sur la base des convictions politiques : libertés d’opinion et d’expression sur la corruption de nos institutions;
  2. La violence « rassure » les agresseurs : banalisation de la violence verbale et psychologique dans les médias, droits de la personne;
  3. L’agresseur agressé : les acteurs médiatiques demandent aux autorités d’agir contre le harcèlement dont ils font l’objet et blâment leurs victimes;
  4. La corruption de l’éthique journalistique et la discrimination des « non-vaccinés » : étude de la revue Nature et propos radicaux de Patrick Lagacé;
  5. Langage totalitaire et vérité : division sociale basée sur le mensonge;
  6. La propagande haineuse de Patrick Lagacé protégée en haut lieu : les agents de la paix et le tribunal d’honneur des médias cautionnent le lynchage médiatique et le viol des droits fondamentaux;
  7. Viol collectif des droits fondamentaux : irresponsabilité et impunité de la presse.

1. Dénigrement et discrimination sur la base des convictions politiques

La Charte québécoise des droits et libertés de la personne interdit la discrimination fondée sur les convictions politiques.

On peut lire sur le site de la Commission des droits de la personne et de la jeunesse (CDPDJ) :

« [Les convictions politiques] sont les idées politiques auxquelles vous croyez fermement et auxquelles vous vous identifiez.

Une personne ne peut pas vous discriminer ou vous harceler en raison de vos convictions politiques. En effet, la Charte des droits et libertés de la personne interdit à tous :

● de vous traiter différemment en raison de vos convictions politiques
● de vous faire des commentaires offensants et répétés liés à vos convictions politiques
● d’avoir des comportements offensants et répétés envers vous liés à vos convictions politiques. » (Soulignements ajoutés)

La notion relativement vague de « convictions politiques » a été circonscrite en avril 1983 dans une étude publiée par la CDPDJ, La notion de convictions politiques dans la Charte des droits et libertés de la personne :

« Toute personne a droit à la reconnaissance et à l’exercice en pleine égalité des droits et libertés de la personne sans distinction, exclusion ou préférence fondée :

1) soit [sur] ses idées, ses croyances, ses opinions portant sur l’organisation et l’exercice du pouvoir dans la société: à savoir l’état (sic), ou la Gouverne ;

2) soit sur ses activités politiques partisanes (exercées dans le cadre d’un parti politique fédéral, provincial ou municipal ;

3) soit sur ses activités politiques, non-partisanes, (bureaucratiques, éducatives ou de pression) exercées dans le cadre d’un groupe de pression. »

Toute opinion touchant à la gestion gouvernementale de la crise dite sanitaire entre donc dans la définition de « convictions politiques », tout comme les activités politiques liées à la crise, qu’elles soient partisanes ou non.

Conséquemment, il est juste de dire que, depuis 2020, les médias traditionnels ont discriminé une grande partie de la population sur la base de leurs convictions politiques.

Ils ont tenu des propos et eu des comportements « offensants et répétés » envers les personnes remettant en question le discours dominant sur la crise sanitaire et contestant, par diverses activités politiques, l’exercice liberticide du pouvoir.

Dans l’ensemble, les dissidents attaqués par les médias perçoivent la crise sanitaire davantage comme une crise politique profonde, révélatrice d’une corruption systémique et d’une capture réglementaire à l’échelle planétaire.

Sécurité publique Canada définit ainsi ces deux types de corruption affectant « l’exercice du pouvoir dans la société » :

« La  “corruption systémique” existe lorsque la corruption est omniprésente ou enracinée dans une société. Autrement dit, elle existe lorsque la corruption est routinière dans les transactions entre le gouvernement et des personnes physiques ou morales privées. Il y a alors tension entre les règles officielles et officieuses, car les agents publics, les entreprises et les particuliers ont toutes les raisons de se conformer à ce système illicite […]

Un autre type de grande corruption est la  “captation de l’État”, qui se définit comme le fait, pour une entreprise ou une organisation, de façonner et d’influencer les lois ou les politiques gouvernementales dans un secteur entier par le biais de paiements […] La captation de l’État a un équivalent assez rapproché dont les acteurs et les buts sont identiques, à savoir “la corruption par l’influence”, la différence tenant à l’absence, dans ce dernier cas, de tout paiement, avantage ou transaction : l’influence est exercée selon la capacité de l’organisation d’influer sur une politique en conséquence de sa taille, de son appartenance, ou encore de ses liens potentiels et interactions avec des représentants de l’État. » (Soulignements ajoutés)

Les dissidents qui ont osé dénoncer ces problèmes bien réels de corruption, déjà exposés en 2009 durant la fausse pandémie H1N1, ont définitivement eu droit à un traitement différent fondé sur leurs convictions politiques, représentées par les grands médias comme l’expression du délire des pauvres d’esprits, illettrés et « édentés ».

Ces convictions reposent en réalité sur « l’un des plus grands scandales de l’histoire médicale », analysé dans la revue Protégez-Vous en mars 2010 :

Dans cet article, l’ex-professeur de pharmacologie en médecine et expert de pharmacovigilance à l’Université de Montréal, Pierre Biron, résume en quelques mots comment se manifeste la corruption dans le domaine de la santé :

« L’industrie [pharmaceutique] s’infiltre de plus en plus dans la recherche médicale. Avec la bénédiction des autorités provinciales et universitaires. L’institution médicale est éthiquement en faillite. »

L’institution médiatique, ce 4e pouvoir dont la mission consiste à surveiller les autres formes de pouvoirs (exécutif, législatif et judiciaire) dans l’intérêt du peuple, est, elle aussi, éthiquement en faillite.

Cette ruine médiatique s’est manifestée presque quotidiennement depuis 2020 par l’usage récurrent des préjugés « complotistes », « radicaux » au comportement « violent », « extrémistes de droite », « antiscience », « dangers publics », « illuminés », « coucous », sans oublier l’amalgame hautement douteux avec les sectes.

Et que dire du terme « covidiot ».

Notons d’abord que le CPQ a, à juste titre, blâmé le Journal de Montréal pour avoir employés les termes partiaux « touristatas » et « covidiots ». Le quotidien de Québecor n’est toutefois pas le seul à avoir surfé sur ce dernier néologisme.

Radio-Canada a employé ce terme rabaissant dès avril 2020 et incité les citoyens à dénoncer ces « idiots » à la police :

En septembre 2020, la société d’État a fait appel à des linguistes pour discuter des néologismes pandémiques. « Covidiot » est considéré comme un terme « humoristique » remplissant « plusieurs fonctions », selon une linguiste.

La principale fonction du terme « covidiot » n’a pourtant rien d’humoristique : il incite d’emblée à la haine et au mépris.

Le meilleur exemple de cette haine et de ce mépris est probablement la chronique « Les covidiots et nous » d’Isabelle Hachey, publié dans La Presse le 9 avril 2021. Ce texte remporte la palme d’or des insultes : on y recense banalement tous les termes péjoratifs possibles et inimaginables affublés aux opposants aux mesures.

Ça fait partie de la « nouvelle normalité ».

Notons que Mme Hachey suggère de ne pas employer ces injures, non pas parce qu’injurier ses semblables est malveillant, violent, manque de savoir vivre et surtout d’éthique journalistique, mais bien parce que ça ne sert à rien, car « tous ces imbéciles-là », qu’on « haït donc », ne changeront pas leur comportement :

« Ce qui est aussi très humain, c’est notre propension à dénoncer ceux qui dérogent aux règles en temps de crise. Ça nous procure un sentiment de contrôle quand tout le reste nous échappe, disent encore les psys.

Et puis, ça nous rassure d’associer ce virus à de sombres crétins qui n’agissent pas comme nous, qui ne seront jamais comme nous.

Ça nous rassure, mais ça ne règle rien. » (Soulignements ajoutés)

2. La violence « rassure » les agresseurs

L’emploi à répétition de propos injurieux dans les médias québécois, avec l’assentiment tacite des institutions vouées à la protection des citoyens, doit être compris pour ce qu’il est : une interminable agression psychologique.

Dès le début de la crise, les médias ont noyé les opposants aux mesures dans leur flot constant de violence psychologique et verbale. Les preuves sont accablantes.

Cette violence s’est intensifiée lors de la campagne d’injection, particulièrement lorsque les personnes déshumanisées pendant des mois « gagnaient » le droit de refuser un traitement médical, comme si ce droit n’était pas explicitement incorporé aux instruments légaux nationaux et internationaux depuis des décennies.

Cette chronique de Richard Martineau, « La victoire des coucous« , rivalise de violence psychologique et verbale avec celle d’Isabelle Hachey, mais la surpasse en termes de projection :

« Parce qu’ils sont ignares, parce qu’ils préfèrent perdre leur emploi plutôt que de cesser de croire à des âneries véhiculées par des imbéciles, des coucous ont gagné le droit de côtoyer des personnes extrêmement vulnérables MÊME S’ILS NE SONT PAS VACCINÉS !

[…]

Savez-vous quelle était l’erreur du gouvernement ?

Surestimer l’intelligence des antivax. 

Messieurs Legault et Dubé se sont dit : “Ils ont beau être bizarres, jamais ces coucous ne vont préférer perdre leur job plutôt que de déroger à leurs principes… C’est sûr qu’ils vont aller se faire vacciner avant le 15 octobre, voyons…”

Eh bien, vous savez quoi ?

Les coucous préfèrent perdre leur job ! 

Ils sont comme les Témoins de Jéhovah, qui préfèrent mourir plutôt que de recevoir une transfusion sanguine !

C’est ce qui arrive quand tu es illuminé : tu ne plies pas. 

Il n’y a que les démocrates qui plient, qui accommodent, qui comprennent. Qui respectent les droits “fondamentaux” de ceux qui ne pensent pas comme eux.

Les extrémistes, eux, s’en foutent des autres ! Ils s’en foutent, des droits et des libertés de ceux qui ne partagent pas leurs points de vue ! » (Soulignements ajoutés)

Cette dernière phrase est typique du phénomène psychologique de projection, autrement connu sous le nom d’inversion accusatoire. M. Martineau affirmait lui-même dans sa chronique « Le passeport vaccinal est injuste?« , en avril 2021, soit à peine six mois plus tôt, se foutre des droits de ceux qui ne partageaient pas son point de vue :

« Savez-vous ce que je fais de vos droits, ô chères personnes qui ne voulez pas être vaccinées ?

Je les prends, je les roule très serré et je me les fous dans le schtroumpif. » (Soulignements ajoutés)

M. Martineau étant donc, de son propre aveu, un extrémiste, nul besoin d’en faire la preuve.

Il convient cependant de démontrer que le chroniqueur vedette, comme la quasi totalité de ses collègues, a fait usage de violence verbale selon les définitions du Gouvernement du Québec :

« La violence psychologique est généralement utilisée pour avoir ou garder le contrôle sur quelqu’unLe respect est absent et le consentement est obtenu de manière inacceptableLe point commun à toutes les stratégies recourant à la violence psychologique est qu’une personne agit de façon inconsidérée envers l’autre, par exemple :  

● en la critiquant constamment; 
● en la rabaissant; 
● en déformant la réalité pour modifier sa perception;  
● en la faisant douter d’elle-même; 
● en manipulant ses émotions; 
● en l’isolant socialement; 
● etc.  

Cette forme de violence est souvent difficile à détecter par les victimes et par leur entourage, car elle est subtile et hypocrite. Les victimes peuvent se sentir manipulées (impression que quelqu’un leur joue dans la tête) ou ressentir de l’injustice dans la façon dont on les traite. Cependant, certains indices dans le comportement de l’agresseur aident à identifier la violence psychologique. En voici quelques-uns : 

● critiques à répétition ou reproches fréquents […]
● chantage […]  
● accusations fausses ou injustifiées (sans preuve) […]  
● menaces […]  
● silence […] 
● ignorance […]  

Violence verbale 

La violence verbale est utilisée pour intimider, humilier ou contrôler une personne ou un groupe. Elle peut aussi se retrouver dans toutes les formes d’interactions (entre inconnus, entre voisins, entre collègues, entre amis, entre conjoints) et dans des relations d’autorité (patron-employé, professeur-étudiant, entraîneur-athlète). Cette forme de violence peut également être annonciatrice de violence physique. 

Tout comme la violence psychologique, la violence verbale peut être difficile à reconnaître, car elle est banalisée et ignorée par plusieurs (les gens se disent que cela ne les regarde pas). Voici quelques indices permettant d’identifier la violence verbale :  

● le sarcasme […]  
● les insultes […]
● les propos dégradants ou humiliants […]  
● les hurlements ou les ordres […] » (Soulignements ajoutés)

Campagne pour la promotion d’une ligne d’écoute destinée
aux jeunes victimes de violences du Conseil général d’Ile de France.

Or, outre le fait que la violence dont on accuse les opposants au mesures sanitaires provient davantage des autorités et des chroniqueurs vedettes, la CDPDJ et le Conseil de presse ont refusé de traiter de nombreuses plaintes contre les médias ou de les condamner pour cette violence et cette discrimination fondée sur des opinions.

Cette forme de discrimination, qui continue aujourd’hui, est expressément prohibée dans la Déclaration universelle des droits de l’Homme :

« Article 2

Chacun peut se prévaloir de tous les droits et de toutes les libertés proclamés dans la présente Déclaration, sans distinction aucune, notamment de race, de couleur, de sexe, de langue, de religion, d’opinion politique ou de toute autre opinion, d’origine nationale ou sociale, de fortune, de naissance ou de toute autre situation.

Article 7

Tous sont égaux devant la loi et ont droit sans distinction à une égale protection de la loi. Tous ont droit à une protection égale contre toute discrimination qui violerait la présente Déclaration et contre toute provocation à une telle discrimination.

Article 19

Tout individu a droit à la liberté d’opinion et d’expression, ce qui implique le droit de ne pas être inquiété pour ses opinions et celui de chercher, de recevoir et de répandre, sans considérations de frontières, les informations et les idées par quelque moyen d’expression que ce soit. » (Soulignements ajoutés)

Les médias ont violé, en toute impunité, l’article 19 de la Déclaration universelle des droits de l’Homme avec leur couverture radicalement négative, inéquitable et partiale des opposants aux mesures.

Ni le Conseil de presse ni la Fédération professionnelle des journalistes du Québec (FPJQ) n’ont cru bon de rappeler les journalistes et chroniqueurs à l’ordre, malgré les demandes répétées de leurs victimes.

Pourtant, lors de la crise étudiante en 2012, l’ex-juge John Gomery*, président du Conseil de presse de l’époque, avait mis en garde les chroniqueurs contre leurs propos radicaux.

Dans un article du Journal de Montréal intitulé DURANT LES CONFLITS – Il faut protéger la liberté de presse, on peut lire :

John Gomery, un homme honnête selon Yves Boisvert.

« Propos plus radicaux

Le président du Conseil de presse a par ailleurs fait une mise en garde contre une radicalisation du discours de certains journalistes et commentateurs qu’il dit avoir observée.

“ … et ce simple constat doit nous amener à nous demander si une plus grande modération dans la libre expression des points de vue ne diminuerait pas le risque d’exacerber et de radicaliser le conflit, en plus de mieux respecter les droits de chacun”, a conclu M. Gomery. » (Soulignements ajoutés)

Sauf erreur, Paule Beaugrand-Champagne, présidente du Conseil de presse jusqu’en mai 2022, et son successeur Pierre-Paul Noreau ont, par leurs actions et leur inaction, fait le choix « d’exacerber et de radicaliser le conflit », et de ne pas « respecter les droits de chacun ».

Ils ont protégé des vedettes médiatiques en attaquant les citoyens et la journaliste indépendante auteure de ces lignes qui ont dénoncé le manque d’éthique journalistique des médias.

Les propos haineux, radicaux, partiaux et discriminatoires dans tous les grands médias québécois ont mené à une polarisation si extrême dans la société, qu’elle a entraîné des conflits dans presque toutes les familles.

3. L’agresseur agressé

Comme on récolte ce que l’on sème, la propagande haineuse véhiculée dans les grands médias a engendré la haine et le harcèlement en ligne des journalistes, au point où les médias ont demandé à Justin Trudeau des actions concrètes en la matière en septembre 2022.

En novembre 2021, La Presse publiait l’article « La haine en ligne, une attaque en règle contre notre démocratie », signé Catherine Tait, présidente-directrice générale de Radio-Canada/CBC et présidente du Groupe de travail mondial pour les médias publics.

Cet article reflète l’absence totale d’autocritique chez les acteurs des médias et incarne la définition même de la projection (inversion accusatoire).

Selon Mme Tait :

Catherine Tait

« Si nous voulons enrayer le mal à sa sourcenous devons amener les entreprises de réseaux sociaux à prendre leurs responsabilités.

Les réseaux sociaux doivent se montrer plus proactifs dans l’application de leurs propres règles contre le discours haineux. Ils doivent également intervenir plus vite lorsqu’un média signale un incident envers l’un de ses journalistes. Il est inacceptable qu’il faille attendre des jours avant qu’une publication haineuse ou menaçante soit retirée. » (Soulignements ajoutés)

Les médias exigent des réseaux sociaux ce qu’ils ne font même pas eux-mêmes, soit « se montrer plus proactifs dans l’application de leurs propres règles contre le discours haineux ».

Elle est là, la source du mal : dans les textes haineux d’Isabelle Hachey, Denise Bombardier, Richard Martineau, Patrick Lagacé et bien d’autres.

Mme Tait ajoute :

« Lorsqu’on sait qu’un journaliste sur trois envisage de quitter la profession à cause du harcèlement, on voit le risque que nous courons de perdre certains points de vue essentiels dans nos salles de nouvelles et nos démocraties. »

De nombreux points de vue essentiels dans notre société se perdent quotidiennement depuis trois ans en raison du refus catégorique de la classe médiatique de reconnaître qu’elle est devenue haineuse et totalitaire, et qu’elle a poignardé la démocratie en ostracisant une partie importante des membres de sa communauté, méprisés et réduits au silence pour avoir refusé d’adopter une croyance imposée par les autorités.

Les propos injustes et antidémocratiques dans les médias, ainsi que l’absence quasi totale de neutralité journalistique sur la crise covid, sont à l’origine de la censure de nombreux opposants, incluant des experts et des professionnels de la santé chevronnés.

Ceux-ci sont soumis à une omerta perverse et omniprésente, dictée par les ordres professionnels, comme en fait foi le document du Conseil interprofessionnel du Québec : « Les obligations professionnelles et déontologiques à l’ère de la COVID-19: quelle liberté d’expression pour les professionnels? ».

On peut y lire :

« Dans de récentes affaires, les conseils de discipline ont reconnu coupables des professionnels pour avoir publié des vidéos à caractère complotiste sur les médias sociaux. »

Mais qu’est-ce qu’une « vidéo à caractère complotiste »? Qui décide de ce qui est « complotiste »? Ceux que l’on qualifie de complotistes le sont-ils réellement ou sont-ils victimes des perceptions mal fondées de personnes mal informées en position d’autorité?

Le terme « complotiste » est une arme brandie trop souvent par des personnes qui ignorent les faits sur un sujet donné, parce que les médias n’en ont tout simplement pas parlé ou parce qu’ils propagent une version mensongère non vérifiée et tenue pour vraie.

Cette ignorance médiatique contribue à la censure des opposants.

Il arrive même que les médias s’en réjouissent ouvertement :

« Enfin », on empêche un opposant politique de s’exprimer!

Pourtant, lorsque Vladimir Poutine fait la même chose, on le traite de dictateur et on encense le dissident.

Cette différence de traitement entre les opposants québécois et les opposants russes crève les yeux, comme le démontre cet article du 19 août 2021 à propos de l’opposant russe Alexeï Navalny, dont la « tribune a été publiée en français dans Le Monde, en anglais dans The Guardian et en allemand dans le Frankfurter Allgemeine Zeitung » :

« L’opposant russe emprisonné Alexeï Navalny a appelé jeudi les Occidentaux à agir plus résolument contre la corruptionqu’il considère comme étant à l’origine des grandes crises mondiales, selon une tribune publiée jeudi dans plusieurs journaux européens. » (Soulignements ajoutés)

C’est étrangement ce que font depuis 2020 les dissidents québécois méprisés par La Presse : lutter contre la corruption de nos institutions à l’origine de la plus grande crise mondiale de l’Histoire.

Les dissidents québécois tentent depuis trois ans de faire exactement ce que suggère Navalny, soit « évoquer la corruption comme sujet d’importance prioritaire » et « mettre le sujet sur la table ».

Ce sont les médias totalitaires qui les en empêchent.

Navalny ajoute que « pour commencer à agir […], il suffit d’en avoir la volonté politique, un élément qui, malheureusement, manque souvent […] », et croit que « l’opinion publique peut enfin débloquer la situation ».

En effet, les dirigeants autoritaires de notre pays n’ont aucune volonté politique de lutter contre la corruption et rejettent les dissidents politiques en imitant les autorités russes :

« Les autorités russes se sont attelées ces derniers mois au démantèlement du réseau d’Alexeï Navalny avec notamment le classement de ses organisations comme « extrémistes » par la justice et le blocage de sites qui lui sont liés. » (Soulignements ajoutés)

Au Québec, le dissidents qui dénoncent la corruption depuis 2020 se font traiter d’extrémistes, sont écartés de l’espace public de discussion et se font censurer sur les médias sociaux.

Les professionnels qui ont osé briser l’omerta ont subi de graves conséquences, à savoir de lourdes sanctions allant de la suspension au congédiement, en passant par la radiation.

Le matraquage médiatique cruel envers toute dérogation au dogme covidien a cimenté l’opinion publique dans une logique manichéenne de bons et méchants.

Ces phénomènes sont propres aux sectes et aux régimes totalitaires, pas aux démocraties.

Hajo de Reijger

4. La corruption de l’éthique journalistique et la discrimination des « non-vaccinés »

Qu’en est-il de l’éthique journalistique?

Permet-elle les propos haineux et discriminatoires?

Voici ce que dit le guide de déontologie du Conseil de presse de 2003, intitulé Droits et responsabilités de la presse :

« 2.3.1 La discrimination

Selon la Charte des droits et libertés de la personne du Québec, toute personne « a droit à la reconnaissance et à l’exercice, en pleine égalité, des droits et libertés de la personne, sans distinction, exclusion ou préférence fondée sur la race, la couleur, le sexe, la grossesse, l’orientation sexuelle, l’état civil, l’âge […], la religion, les convictions politiques, la langue, l’origine ethnique ou nationale, la condition sociale, le handicap […] » […]

Les médias et les professionnels de l’information doivent éviter de cultiver ou d’entretenir les préjugés. Ils doivent impérativement éviter d’utiliser, à l’endroit des personnes ou des groupes, des représentations ou des termes qui tendent à soulever la haine et le mépris, à encourager la violence ou encore à heurter la dignité d’une personne ou d’une catégorie de personnes en raison d’un motif discriminatoire. » (Soulignements ajoutés)

Le Guide de 2015 est plus succinct, mais pas plus permissif :

« 19. Discrimination

(1) Les journalistes et les médias d’information s’abstiennent d’utiliser, à l’endroit de personnes ou de groupes, des représentations ou des termes qui tendent, sur la base d’un motif discriminatoire, à susciter ou attiser la haine et le mépris, à encourager la violence ou à entretenir les préjugés. » (Soulignements ajoutés)

Voici maintenant ce que dit le Guide de déontologie de la FPJQ en ce qui concerne les valeurs fondamentales du journalisme et les droits de la personne :

« 2. Valeurs fondamentales du journalisme

Les journalistes basent leur travail sur des valeurs fondamentales telles que l’esprit critique qui leur impose de douter méthodiquement de tout, l’impartialité qui leur fait rechercher et exposer les divers aspects d’une situation, l’équité qui les amène à considérer tous les citoyens comme égaux devant la presse comme ils le sont devant la loi, l’indépendance qui les maintient à distance des pouvoirs et des groupes de pression, le respect du public et la compassion qui leur font observer des normes de sobriétél’honnêteté qui leur impose de respecter scrupuleusement les faits, et l’ouverture d’esprit qui suppose chez eux la capacité d’être réceptifs aux réalités qui leur sont étrangères et d’en rendre compte sans préjugés […]

8. Droits de la personne

[Les journalistes] doivent éviter les généralisations qui accablent des groupes minoritaires, les propos incendiaires, les allusions non pertinentes à des caractéristiques individuelles, les préjugés et les angles de couverture systématiquement défavorables qui pourraient attiser la discrimination. Ils seront particulièrement attentifs à ce qui pourrait provoquer des réactions racistes, sexistes, homophobes, etc. » (Soulignements ajoutés)

Bien que la discrimination en raison des convictions politiques soit clairement définie dans la loi comme un motif interdit de discrimination et comme un manque d’éthique journalistique dans le guide du CPQ de 2003, la classe médiatique a non seulement ignoré cette forme de discrimination lorsqu’il était question des opposants aux mesures sanitaires, elle semble l’avoir métamorphosée en exigence quotidienne tellement les exemples sont innombrables depuis 2020, surtout envers les non-vaccinés.

Le 8 décembre dernier, la prestigieuse revue Nature publiait l’article « Discriminatory attitudes against unvaccinated people during the pandemic » (Attitudes discriminatoires envers les personnes non vaccinées pendant la pandémie), dans lequel les auteurs évaluent « si les gens expriment des attitudes discriminatoires sous la forme d’affectivité négative, de stéréotypes et d’attitudes d’exclusion dans les contextes familiaux et politiques dans des groupes définis par le statut vaccinal COVID-19 ».

Bien que les auteurs affirment, à tort, que les « vaccins » contre le SRAS-CoV-2 sont « hautement efficaces » et qu’ils servent le bien commun, ils constatent que la discrimination envers les non-vaccinés s’apparente à celle vécue par les minorités et qu’elle nuit à la collectivité.

En revanche, les auteurs n’ont trouvé « aucune preuve » que les personnes non vaccinées ont également des attitudes discriminatoires envers les personnes vaccinées.

Basé sur l’étude de 21 pays, leur constat est clair :

« À travers trois études expérimentales conjointes ( n = 15 233), nous démontrons que les personnes vaccinées expriment des attitudes discriminatoires envers les personnes non vaccinées à un niveau aussi élevé que les attitudes discriminatoires qui visent couramment les populations immigrées et minoritaires 3 , 4 ,— 5. En revanche, il n’y a aucune preuve que les individus non vaccinés affichent des attitudes discriminatoires envers les personnes vaccinées, à l’exception de la présence d’affectivité négative en Allemagne et aux États-Unis. Nous trouvons des preuves à l’appui des attitudes discriminatoires envers les personnes non vaccinées dans tous les pays à l’exception de la Hongrie et de la Roumanie, et constatons que les attitudes discriminatoires sont plus fortement exprimées dans les cultures avec des normes coopératives plus fortes […]

Nous montrons que les personnes vaccinées contre le COVID-19 expriment des attitudes négatives à l’égard des personnes non vaccinées sous forme d’antipathie, de stéréotypes, de soutien à l’exclusion des relations familiales et de soutien à la suppression des droits politiques. Au total, ces quatre formes d’attitudes discriminatoires sont cohérentes avec l’observation des préjugés selon les définitions usuelles en psychologie sociale […] 

Pour gérer efficacement de telles crises, les autorités doivent veiller à éviter d’alimenter une profonde animosité entre les citoyens. En effet, comme la condamnation morale est souvent facilement et spontanément activée parmi le public lors d’une crise 11les autorités et les politiciens devraient envisager de tempérer les animosités sociales comme une partie importante de leur mandat, en particulier lorsque le conflit sociétal s’enracine. » (Soulignements ajoutés)

Les médias ont été les principaux vecteurs de cette discrimination envers les personnes qui ont fait un choix de santé protégé par les chartes canadienne et québécoise des droits et libertés, et d’autres instruments légaux internationaux.

L’Empire Québecor a mené une campagne de discrimination et de propagande haineuse particulièrement agressive, agissant comme un catalyseur de haine dans un climat social déjà explosif.

L’invitation de Mario Dumont à « couper les liens dans la famille » en 2020 n’aurait pas tant marqué les esprits si l’on avait su que le pire était à venir.

En 2021, Denise Bombardier, visiblement animée par l’esprit des Fêtes, a ordonné aux Québécois de ne pas inviter de « non-vaccinés » au souper de Noël.

« On doit refuser d’inviter les antivax de la famille au souper de Noël […] Pour pouvoir chanter Ô nuit de paixque les non-vaccinés se recomposent une famille. Qu’ils fêtent entre eux. »  (Soulignements ajoutés)

Ces propos sont d’une violence psychologique indescriptible.

Mme Bombardier n’en était toutefois pas à sa première agression. Quelques mois plus tôt, elle avait explicitement appelé à la violence :

Son article, dont on a rapidement modifié le titre pour « Pourquoi je suis pour la vaccination obligatoire », a été supprimé récemment des plateformes de Québecor :

Madame Bombardier éprouve-t-elle des regrets ou est-ce l’Empire qui tente d’effacer les traces de son crime?

La chronique de Richard Martineau citée plus haut, « Le passeport vaccinal est injuste? », a elle aussi été supprimée :

Mais il reste plein d’autres exemples.

Pour Thomas Mulcair, refuser les injections covid équivalait à faire partie d’une secte :

Pour Richard Martineau, ceux qui refusaient ce traitement expérimental étaient des dangers publics :

Josée Legault, inspirée par les techniques soviétiques de psychiatrisation des dissidents, suggérait que refuser un traitement médical expérimental était un signe de maladie mentale :

« Avec les mouvements antivax, leurs théories de complot et les insultes grossières dont ils abreuvent sur les médias sociaux les scientifiques, les élus, les journalistes et leurs concitoyens, serions-nous en train d’assister à la “normalisation” de la folie ? »

Cette propagande haineuse et ces « insultes grossières » des médias envers les non-vaccinés a enflammé les médias sociaux, propulsant la violence verbale à des sommets inégalés à la fin de l’année 2021. L’appel au meurtre des opposants est devenu si banal qu’il était parfois accompagné de joyeux émoticônes.

Voici ce qu’est une 30-06 :

D’où est venue cette « normalisation de la folie » meurtrière si ce n’est des grands médias?

Voyez-vous la source du mal, Mme Tait?

Afin de rejeter toute critique et justifier la publication de leurs chroniques incendiaires, les médias prétendent que les chroniqueurs jouissent d’une grande liberté d’expression. Toutefois, cette liberté n’est pas sans limites : la discrimination demeure proscrite, comme on l’a vu avec la décision concernant François Amalega, et l’information véhiculée doit satisfaire les critères d’une information de qualité, selon les articles 9 et 10.2.3 du Guide de déontologie du CPQ.

Les chroniqueurs comme Richard Martineau de Québecor et Patrick Lagacé de La Presse ont tout de même prôné sans aucune gêne la discrimination des non-vaccinés et la suppression de leurs droits fondamentaux.

La chronique de M. Lagacé, Oui au passeport vaccinal, a d’ailleurs fait l’objet d’une campagne de plaintes orchestrée par l’auteure de ces lignes. Cette campagne faisait suite à de nombreuses tentatives d’alerter les autorités médiatiques, les associations de journalistes et les élus des dérives éthiques et du traitement journalistique haineux et discriminatoire des opposants aux mesures sanitaires.

Le première tentative du genre est cette lettre ouverte publiée et envoyée à plusieurs instances en décembre 2020.

Ces nombreuses demandes ont toutes été ignorées par les institutions et les personnes à qui il incombe de protéger les citoyens contre ces dangereux dérapages.

La réponse de la rédaction de La Presse à des centaines de plaintes contre M. Lagacé a été la même : Monsieur « a droit à son opinion ». Même réponse pour ceux qui se sont plaints à Cogeco de ses interventions discriminatoires à son émission au 98,5.

Pour sa part, le Conseil de presse a qualifié la campagne de plainte contre M. Lagacé d’« entrave inquiétante au travail journalistique », donnant ainsi les coudées franches au journaliste/chroniqueur/animateur et artiste (sans blague) pour pousser sa rhétorique discriminatoire à l’extrême droite en décembre 2021 dans sa chronique « Sortir le casque de fer », publiée la veille du jour de l’An, comme pour jeter un peu de naphta dans les foyers des chaumières, déjà attisées par la haine que son journal propageait quasi quotidiennement depuis 2020.

Cette chronique réagissait à l’annonce d’un second couvre-feu, une mesure liberticide sans lien rationnel avec l’objectif de réduction de la transmission du virus selon l’Association canadienne des libertés civiles.

Au lieu de s’en prendre à l’irrationalité du décideur en chef, François Legault, M. Lagacé l’implore d’imposer des mesures fascistes, comme empêcher les non-vaccinés de travailler. Rappelons que le droit à l’égalité, « sans distinction AUCUNE », et le droit au travail sont inscrits dans la Déclaration universelle des droits de l’Homme :

« Article 23 1. Toute personne a droit au travail, au libre choix de son travail, à des conditions équitables et satisfaisantes de travail et à la protection contre le chômage. » (Soulignements ajoutés)

Voici ce que suggérait l’homme qui, visiblement, possède le droit de discriminer sur toutes les tribunes du Québec, dans la presse écrite, à la radio et à la télé :

« Pourquoi les antivax sont-ils traités comme les vaccinés, dans ces mesures extrêmes annoncées jeudi ?

C’est ce que ma gang, celle des Québécois de bonne foi, se demande.

Clairement, ces gens-là, les non-vaccinéstrouvent le moyen de se réunir et de s’infecter – et de constituer 50 % des hospitalisations alors qu’ils ne forment que 10 % de la population – malgré les restrictions imposées par le passeport vaccinal…

Il n’y a plus d’acceptabilité sociale pour ces accommodements déraisonnables.

M. Legault pense que c’est difficile à appliquer. Il confond obligation de moyens et obligation de résultat.

Exemple : on oblige les non-vaccinés à rester chez eux. Bien sûr, certains sortiront. Mais à leurs risques et périls : tu n’as pas de passeport vaccinal et tu brûles un stop ? Contrôle du passeport vaccinal, amende si tu n’as pas de passeport vaccinal en règle.

Et parlant du Code de la route : tu veux renouveler ton permis de conduire, ça te prend ton passeport vaccinal…

L’épicerie ? Que les antivax commandent en ligne. Qu’ils se fassent livrer. Pas de passeport vaccinal, ben, tu rentres pas chez Metro.

Pourquoi peuvent-ils entrer à la SAQ et à la SQDC sans passeport vaccinal ?

Je pose la question du travail, aussi : pas de passeport vaccinal, tu ne travailles pas. Directive aux employeurs : zéro employé non vacciné. » (Soulignements ajoutés)

5. Langage totalitaire et vérité

Patrick Lagacé, à l’instar de ses collègues Isabelle Hachey et Richard Martineau (« les bons citoyens »), emploie un langage totalitaire, caractérisé entre autres par une séparation du « monde en deux pôles, à savoir “nous” contre “les autres”, comme l’expliquent Élodie Laye Mielczareck, sémiolinguiste spécialisée dans le langage verbal et non verbal, et Albin Wagener, chercheur associé à l’INALCO (PLIDAM) et au laboratoire PREFICS, Université Rennes 2 dans l’article « À quoi reconnait-on un discours totalitaire ou fasciste ? ».

Son omniprésence dans le paysage médiatique fait de Patrick Lagacé une divinité au-delà de toute critique et son statut professionnel confère une légitimité à ses propos, sans égard à leur véracité ou à leur nature totalitaire.

Patrick Lagacé est une légende, un héros au-dessus des règles déontologiques de son métier, qui peut se permettre de dicter au chef de la province la marche à suivre et désigner au peuple soumis l’ennemi à abattre : le non-vacciné.

Le héros Lagacé se fait le promoteur d’une pensée unique tout en réclamant l’exclusion des dissidents politiques.

La description que font Élodie Laye Mielczareck et Albin Wagener du leader politique totalitaire s’appliquent au comportement de Patrick Lagacé :

« Ce même leader est capable de désigner le Mal de la société, pour y apporter la réponse ultime. Il a LA réponse puisque c’est LE héros. Et souvent, cette réponse se matérialise sous la forme d’un « intrus » qu’il convient d’éradiquer le plus efficacement possible, sous peine de voir s’éloigner « un Âge d’or » pourtant accessible.

Ces intrus sont souvent représentés comme opposants au traditionalisme. Dans un monde totalitaire, il ne peut y avoir d’avancées du savoir : la vérité a déjà été énoncée une fois pour toutes. Bien sûr, les stratégies d’infantilisation des masses ne peuvent être remises en cause dans cet environnement où le décideur est tout-puissant. 

Dans un monde totalitaire, toute pensée critique devient intolérable. Elle est vécue comme une trahison, voire comme une agression contre laquelle il est urgent de se défendre et de riposter. Le phénomène est complexe car il touche au fondement même de l’éthos de vérité. »

Parlant de vérité, un fact-check des affirmations de M. Lagacé s’impose.

D’abord, si l’on regarde les données officielles selon le statut vaccinal, rien n’indique que les non-vaccinés propagent davantage la maladie. Les graphiques ci-dessous montrent plutôt le contraire : les double (en jaune) et triple-dosés (en violet) semblent être les principaux vecteurs de la maladie :

C’est probablement la raison pour laquelle le ministère de la Santé a cessé de publier ces données en juillet 2022, l’été qualifié de « pire été pandémique » :

Comment peut-on affirmer que les injections anticovid ont été efficaces si la situation était pire après qu’avant l’injection de 85 % des Québécois? Fait notoire, l’article ne parle pas du tout des non-vaccinés.

Ensuite, il a été démontré dans des documents obtenus grâce à la Loi d’accès à l’information que sur les 7 150 morts de la COVID-19 depuis la 4e vague (du 14 décembre 2021 au 19 juin 2022), 3 303 étaient « adéquatement vaccinés » tandis que 147 étaient « non adéquatement vaccinés », soit un mélange d’injectés et de non-injectés. 3 700 avaient un « statut inconnu ».

Ironie du sort, malgré ses trois doses, Patrick Lagacé a attrapé la covid à peine 2 mois après sa chronique sulfureuse. Grâce à ses trois doses, a-t-il affirmé sans fondement, le virus qui a traumatisé le monde en le plongeant tête première dans l’eau glaciale du totalitarisme s’apparentait à « une grosse grippe ».

Cette affirmation relève de l’endoctrinement et non de la science.

L’Organisation mondiale de la Santé elle-même affirme depuis le début que la covid est une maladie bénigne pour la très grande majorité des gens :

6. La propagande haineuse de Patrick Lagacé protégée en haut lieu

Patrick Lagacé semble bénéficier des bonnes grâces du Conseil de presse.

Sauf erreur, depuis le début de la crise, toutes les plaintes dont il a fait l’objet ont été rejetées par le CPQ.

Près d’une vingtaine de personnes se sont plaintes de sa chronique dédaigneuse, Les édentés. Les griefs étaient les suivants :

  • information inexacte
  • propos discriminatoires
  • titre sensationnaliste
  • manque de rigueur de raisonnement
  • partialité et manque d’équilibre

Le Conseil les a tous rejetés. Voir la décision ici.

Les plaintes que j’ai moi-même rédigées et publiées sur le Tribunal de l’infaux, lesquelles ont été reprises par de nombreux citoyens, ont toutes été jugées irrecevables. Voir la décision ici.

Le 6 janvier 2022, l’auteure de ces lignes s’est présentée avec deux amis à la Sûreté du Québec, qui nous a référés et à un poste de police du Service de police de la Ville de Montréal pour porter plainte contre Patrick Lagacé pour propagande haineuse.

Après avoir demandé à son chef d’équipe de venir prendre la plainte, la policière qui nous a accueillis nous a avisés que ce dernier allait venir nous voir après s’être informé sur la propagande haineuse à une autorité inconnue.

Le policier a déclaré que les non-vaccinés n’étaient pas un groupe identifiable, donc que nous ne pouvions pas porter plainte pour propagande haineuse.

Les groupes identifiables actuellement protégés de la propagande haineuse dans le Code criminel canadien le sont en vertu des critères suivants : « couleur, race, religion, origine nationale ou ethnique, âge, sexe, orientation sexuelle ou déficience mentale ou physique ».

La liste des groupes identifiables protégés des préjugés ou de la haine n’est toutefois pas coulée dans le béton. En 2017, on y a ajouté « l’orientation sexuelle ou l’identité ou l’expression de genre ».

S’il est vrai que les non-vaccinés ne figurent pas dans cette liste, on comprend mal comment ils auraient pu y être, puisqu’ils n’ont pas formé de groupe identifiable avant 2021, l’année où le passeport vaccinal a établi une distinction claire entre les vaccinés et non-vaccinés, rendant dès lors les deux groupes identifiables grâce à un document créé par l’État.

Ce document a officialisé et permis la discrimination envers les non-vaccinés.

Il n’en demeure pas moins que cette discrimination viole les droits humains, puisqu’elle entre dans la catégorie « toute autre situation » de la Déclaration universelle des droits de l’Homme.

Par ailleurs, en signant le Pacte international relatif aux droits civils et politiques, le Canada s’est engagé à respecter, entre autres, les règles suivantes :

« Article 2

1. Les Etats parties au présent Pacte s’engagent à respecter et à garantir à tous les individus se trouvant sur leur territoire et relevant de leur compétence les droits reconnus dans le présent Pacte, sans distinction aucune, notamment de race, de couleur, de sexe, de langue, de religion, d’opinion politique ou de toute autre opinion, d’origine nationale ou sociale, de fortune, de naissance ou de toute autre situation.

2. Les Etats parties au présent Pacte s’engagent à prendre, en accord avec leurs procédures constitutionnelles et avec les dispositions du présent Pacte, les arrangements devant permettre l’adoption de telles mesures d’ordre législatif ou autre, propres à donner effet aux droits reconnus dans le présent Pacte qui ne seraient pas déjà en vigueur. » (Soulignements ajoutés)

Cela signifie, à mon humble avis, que le Canada doit adopter des mesures pour interdire la discrimination et la propagande haineuse envers des groupes identifiables par leur « opinion politique ou tout autre opinion » et « toute autre situation », comme le statut vaccinal et l’état de santé.

Les trois dernières années ont démontré que cette discrimination, n’ayant aucun fondement scientifique, a été non seulement permise, mais violemment encouragée et sanctionnée par les premiers ministres Legault et Trudeau.

C’est cette discrimination et cette corruption de la science « pour des gains politiques et financiers », qui sont d’extrême droite, pas les paroles et les actes de ceux qui en sont victimes et la dénoncent.

La corruption de la science a d’ailleurs été dénoncée par nul autre que le rédacteur en chef de la revue médicale de renom, British Medical Journal (BMJ).

7. Viol collectif des droits fondamentaux

Le viol collectif des droits fondamentaux des opposants aux mesures, plus particulièrement des non-injectés, a été extrêmement nocif pour notre société, en plus de n’avoir aucun effet bénéfique sur la santé de la population. Bien au contraire, la hausse des problèmes de santé mentale attribués à la pandémie sont plutôt le fruit des mesures draconiennes, irrationnelles, antiscientifiques et discriminatoires des deux paliers gouvernementaux, ainsi que de la discrimination, du harcèlement et de l’intimidation des grands médias durant trois ans.

Cette page très sombre de notre histoire doit être reconnue pour ce qu’elle est : un viol collectif des droits fondamentaux d’une minorité dissidente.

La Charte québécoise des droits et libertés est censée nous protéger contre de telles agressions, protéger notre liberté de conscience et de croyance, et interdit à l’État d’imposer une religion.

Nous pouvons facilement démontrer que la covid est devenue une religion ou plutôt une secte d’État avec ses gourous, ses prosélytes, ses adeptes et ses damnés, mais surtout son ultime sauveur censé nous délivrer du mal et assurer notre salut : le sacro-saint, l’intouchable « vaccin ».

Le discours covidien et les mesures qu’il a entraînées ont TOUTES les caractéristiques des techniques de lavage de cerveau des sectes : création d’une nouvelle réalité et de cultes de la personnalité, division nette et réductrice entre « bons » et « méchants », mise en place de pièges de rationnalisation avec des défis 28 jours qui durent des mois, prosélytisme, censure des idées « indésirables » et attente du sauveur (le « vaccin »).

La CDPDJ, qui n’a pratiquement rien fait pour protéger les opposants aux mesures, écrit sur son site web :

  • « Vous avez le droit à la vie, à la sûreté, à l’intégrité et à la liberté.
    Par exemple, vous avez le droit d’être protégé contre les menaces d’agression ainsi que contre les agressions physiques et psychologiques.
  • Vous avez le droit à la liberté de conscience et de religion.
    Par exemple, vous avez le droit de pratiquer la religion de votre choix ou de ne pas adhérer à une croyance ou à une religion. La liberté de religion signifie aussi que l’État ne peut imposer une religion à la population ou favoriser une religion plus qu’une autre.
  • Vous avez le droit au respect de votre dignité, de votre honneur et de votre réputation.
    Par exemple, une personne ne peut publier de fausses informations à votre sujet.

Qui doit respecter la Charte?

  • les personnes
  • les groupes et organismes
  • les entreprises
  • les services publics et les services privés
  • les syndicats
  • le gouvernement du Québec et ses institutions, les administrations gouvernementales (municipales, scolaires), à tous les échelons de la hiérarchie » (Soulignements ajoutés)

Il convient de mettre en lumière d’autres articles de la Déclaration universelle des droits de l’Homme violés impunément par nos gouvernements provincial et fédéral, et encouragés par les médias :

« Article 13 1. Toute personne a le droit de circuler librement et de choisir sa résidence à l’intérieur d’un Etat. 2. Toute personne a le droit de quitter tout pays, y compris le sien, et de revenir dans son pays.

Article 24 Toute personne a droit au repos et aux loisirs et notamment à une limitation raisonnable de la durée du travail et à des congés payés périodiques.

Article 27 1. Toute personne a le droit de prendre part librement à la vie culturelle de la communauté, de jouir des arts et de participer au progrès scientifique et aux bienfaits qui en résultent.

Article 28 Toute personne a droit à ce que règne, sur le plan social et sur le plan international, un ordre tel que les droits et libertés énoncés dans la présente Déclaration puissent y trouver plein effet.

Article 30 Aucune disposition de la présente Déclaration ne peut être interprétée comme impliquant, pour un Etat, un groupement ou un individu, un droit quelconque de se livrer à une activité ou d’accomplir un acte visant à la destruction des droits et libertés qui y sont énoncés. »

L’activité médiatique des trois dernières années, telle qu’exprimée par l’article de Patrick Lagacé cité plus haut, a explicitement visé « à la destruction des droits et libertés » d’une minorité qui ne pensait pas comme les membres du clan médiatique.

S’il n’est pas le seul membre des médias à avoir tenu un discours totalitaire, Patrick Lagacé représente l’archétype du totalitarisme médiatique.

Le fait qu’il ait été promu à l’émission matinale du 98,5, en remplacement de Paul Arcand, symbolise en quelque sorte la consécration par le milieu médiatique du régime totalitaire né en 2020.

Selon le guide « Droits et responsabilités de la presse » du Conseil de presse :

« La liberté de la presse découle des libertés fondamentales de pensée, de parole, d’expression et d’opinion reconnues dans divers documents d’ordre juridique, au plan national et international […]

Le libre accès de la presse à l’information est donc indispensable pour permettre aux citoyens de porter des jugements éclairés et pour favoriser un débat démocratique élargi et ouvert […]

La liberté d’opinion de l’éditorialiste et du commentateur n’est pas absolue; la latitude dont ceux-ci jouissent doit s’exercer dans le respect des valeurs démocratiques et de la dignité humaine […]

Les médias et les professionnels de l’information doivent encourager la libre circulation des idées et l’expression du plus grand nombre de points de vue […]

[La liberté de presse] se situe dans le prolongement des libertés d’expression et d’opinion et constitue l’un des fondements de toute société démocratique et pluraliste […]

Le Conseil de presse réitère l’importance de la sauvegarde de la liberté de la presse, du droit du public à une information pluraliste et de la libre circulation des idées et des informations dans une société démocratique.

[La concentration de la presse comporte le] risque d’uniformisation et de standardisation du contenu des médias d’information, au détriment de l’expression d’un large éventail d’idées et de leur libre circulation […]

Les droits de la presse et les responsabilités qui en découlent, constituent des garanties du droit du public à l’information. Le public, pour sa part, en exerçant un rôle critique envers l’intégrité et la qualité de l’information reçue, participe à la sauvegarde et au maintien des droits et des libertés fondamentales en matière d’information au sein d’une société démocratique. » (Soulignements ajoutés)

Le Conseil de presse, censé « veiller sur la qualité de l’information » et participer « au maintien des droits et des libertés fondamentales en matière d’information », a échoué lamentablement à sa tâche.

Son inaction a grandement contribué à la cristallisation d’un régime médiatique totalitaire limitant sans raison valable l’expression et la libre circulation d’idées, favorisant ainsi la corruption de nos institutions.

Le Conseil affirmait pourtant dans ce document de 2003 :

« Protecteur du citoyen en information, sa tâche consiste notamment à protéger et à renforcer le droit du public à une information complète, exacte et de qualité, que ce soit dans la presse écrite, à la radio, à la télévision et maintenant sur Internet. Le Conseil cherche à favoriser auprès de la population une plus grande conscience du rôle essentiel de la presse dans une société démocratique. »

Le Conseil a pourtant cautionné le langage totalitaire qui perdure dans les médias québécois depuis 2020 et a détruit notre démocratie.

Cette culture malsaine et toxique ne changera pas tant qu’elle restera impunie.

Le Conseil de presse, « tribunal d’honneur des médias », n’a pas rempli son rôle en fermant les yeux sur des dérives éthiques majeures relevant de la discrimination fondée sur les convictions politiques.

Le langage totalitaire est comme un criminel en liberté qui continue de sévir malgré des appels répétés à la retenue et au respect des valeurs fondamentales du journalisme.

Les médias, supposés chiens de garde de la démocratie, ont la rage.

Alors que leurs propos contaminent les esprits et tuent la démocratie, ceux qui demandent qu’on les tienne en laisse se font accuser de harcèlement et de propager la haine.

Dans ce monde de valeurs inversées, les bourreaux demandent aux autorités d’agir en blâmant leurs victimes, lesquelles ne font souvent que répliquer à leur comportement non éthique et ont épuisé les recours pour se faire entendre et enrayer la haine et le harcèlement dont ELLES font l’objet.

Avant de demander aux autorités d’agir contre la haine et le harcèlement des journalistes en ligne, les médias doivent commencer par appliquer les règles de leur métier.

Favorisez les échanges au lieu de discriminer dans un langage totalitaire, qui, ultimement, finit toujours pas mener à la guerre.

Nous voulons tous vivre dans une société libre et respectueuse, mais sans le respect des médias envers tous les citoyens, nous sommes condamnés à vivre dans un régime totalitaire.




Note

*John Gomery s’est éteint le 18 mai 2021. La cause de son décès n’a pas été mentionnée dans les médias.




Une Française en garde à vue pour insulte à Jupiter

[Source : lavoixdunord.fr]

« Ordure » : pourquoi une Nordiste est-elle poursuivie alors que d’autres insultent Emmanuel Macron ?

Vendredi 24 mars, une Audomaroise a été placée en garde à vue et sera jugée le 20 juin pour injure envers le président de la République. (…)

Depuis la révélation de cette affaire, de nombreuses questions se posent sur les raisons des poursuites à l’encontre de Valérie, habitante de Saint-Martin-lez-Tatinghem (près de Saint-Omer). Placée en garde à vue le vendredi 24 mars, elle est poursuivie pour « injure publique envers le président de la République par parole, écrit image ou moyen de communication par voix électroniques » et sera jugée le 20 juin. (…)

L’outrage au président de la République a été abrogé en 2013 sous le quinquennat de François Hollande. (…)

Alors pourquoi une procédure a pu être enclenchée à l’encontre de Valérie suite à sa publication sur Facebook de ce message : « L’ordure va parler demain à 13 heures » ? Il faut remonter près de 150 ans en arrière et se plonger dans la loi de 1881 concernant la liberté de la presse. C’est l’article 33  qui permet toujours de poursuivre un citoyen pour injure publique envers le président de la République. Une procédure très rare car comme le précise le procureur de la République de Saint-Omer, Mehdi Benbouzid :

« La loi ne permet des poursuites qu’à condition que la victime dépose plainte ».

(…)

[Voir le texte complet sur lavoixdunord.fr.]






Qui attaque la France ?

[Source : Union Populaire Républicaine]

« Les Américains veulent un pouvoir sans partage sur le monde »

François Mitterrand

Le discours-choc d’Asselineau à l’occasion des 16 ans de l’UPR






Répression du mouvement social : entre homme de main et garde-chiourme

[Source : vududroit.com]

Par Régis de Castelnau

Emmanuel Macron n’avait aucune expérience politique avant qu’il soit propulsé à l’Élysée en 2017 grâce à une opération concoctée par la haute fonction publique d’État, probablement aujourd’hui une des plus corrompues d’Occident. Il ne possède aucune culture démocratique et considère tout désaccord avec ses orientations et ses décisions comme une injure personnelle. Son narcissisme pathologique fait le reste. Comme le dit Frédéric Lordon, concernant la conduite de son projet de réforme des retraites, il a commis toutes les erreurs possibles, en général sous forme de provocations insupportables. Mettant l’énorme majorité du peuple français dans un état de rage dirigée contre sa personne. La seule solution qu’il envisage pour en sortir est celle qu’il avait mise en œuvre au moment de la crise des gilets jaunes : une répression policière et judiciaire de masse que l’on n’avait pas vue depuis la guerre d’Algérie. Il a bénéficié pour cela de l’appui des forces de police chargée du maintien de l’ordre qui n’eurent aucune hésitation à utiliser une violence débridée, mais aussi de celui de la magistrature. Qui a non seulement condamné à tour de bras, mais refusé méthodiquement de sanctionner les débordements et les violences policières, alors que c’est une de ses missions essentielles.

Répression policière et judiciaire du mouvement social, deuxième saison

Le couple Darmanin/Dupond Moretti a donc remplacé celui qui avait officié pour les gilets jaunes à savoir Castaner/Belloubet. Auquel avait été adjoint le chevènementiste Didier Lallement de sinistre mémoire, officiant comme préfet de police de Paris. On a su très vite l’absence de scrupules de Darmanin pour conduire les répressions voulues par son patron, mais il est clair que la catastrophe du Stade de France nous a montré qu’un homme de main faisait difficilement un véritable ministre de l’Intérieur.

Éric Dupond Moretti, ancien avocat médiatique batteur d’estrade, a été choisi par Emmanuel Macron pour occuper un des postes les plus importants de la République, celui de Garde des Sceaux. Ce représentant de la société du spectacle, et d’ailleurs probablement choisi sur ce critère, nous avait habitué entre deux grossièretés, à la plus grande docilité vis-à-vis du locataire de l’Élysée. Il vient de nous indiquer clairement l’idée qu’il se faisait de sa mission : celle d’un garde-chiourme. En adressant aux parquets de notre pays, une « dépêche » contenant les consignes les plus fermes pour une répression implacable à l’égard de ses couches populaires qui osent user de leur droit constitutionnel de manifestation contre la politique voulue par son patron. Dans cette « dépêche » adressée aux procureurs généraux et aux procureurs de la République, le garde des Sceaux a demandé « une réponse pénale systématique et rapide » à l’encontre des manifestants violents interpellés en marge des rassemblements contre la réforme des retraites pour « troubles graves à l’ordre public, atteintes aux personnes et aux biens et actes d’intimidation et menaces contre les élus ». Inspiré par le précédent de la crise des Gilets jaunes, qui avaient vu la mise en place d’une répression pénale de masse sans précédent depuis la guerre d’Algérie, accompagné de la protection offerte aux débordements de violence policière, Éric Dupond Moretti escompte probablement briser ainsi le mouvement social qui s’oppose à Emmanuel Macron et à ses projets impopulaires.

Le problème est que la « gauche », qui était restée un bon moment à distance des Gilets jaunes, soutient cette fois-ci ce mouvement. Et grâce aux réseaux sociaux, où les vidéos de brutalités en tout genre font florès, la violente répression voulue par le couple Darmanin/Dupond Moretti se donne à voir. Cahin-caha, les médias nationaux sont obligés de suivre. La presse internationale, quant à elle, ne va pas par quatre chemins et dénonce la violence d’un État qualifié de brutal et sans complexe.

On parle de rafles illégales couvertes par les parquets, qui nassent les manifestants pour les mettre sans raison en garde à vue et les empêcher de manifester. Infractions commises par des agents publics qui sont autant de séquestrations arbitraires réprimées par le Code pénal. On parle de groupes de policiers à la violence débridée, chargeant et gazant également à tort et à travers en se livrant sous l’œil des caméras à des brutalités sidérantes sur des manifestants pacifiques, quand il ne s’agit pas de simples passants. On parle de l’épisode effarant du groupe de policiers-nervis proférant à des personnes interpellées, des menaces de mort, comme le démontre l’enregistrement récupéré par le média Loopsider. Les observateurs objectifs savent à quoi s’en tenir. Encouragée par le pouvoir à utiliser une violence débridée, protégée par une justice refusant de la contrôler et de la sanctionner, une partie de la police française s’est transformée en une milice qui par la violence et l’intimidation porte gravement atteinte à la liberté constitutionnelle de manifestation.

La reconnaissance du bout des lèvres, à la fois par le pouvoir et les médias qui le servent, de l’existence de cette violence nous offre à nouveau le spectacle de la soumission de certains journalistes qui ne sont finalement que des militants du macronisme. Plusieurs sortes d’arguments ont été avancés. Tout d’abord que très « rares (!) », ces violences policières n’étaient que la réponse aux « effroyables » violences des manifestants, et ensuite que la police n’utilisait à cette occasion que la « violence légitime » dont l’État est dépositaire. C’est tout simplement une manipulation : les « violences des manifestants » abondamment et systématiquement filmées et photographiées par la presse du pouvoir ont été celles de groupuscules provocateurs parfaitement identifiés et utilisés pour justifier la « riposte » policière. Ensuite, on nous a servi la rengaine de la légitimité juridique de la violence policière, les forces de l’ordre usant d’un « droit républicain » de frapper, d’amputer, d’éborgner et de détenir. Il ne s’agit ni plus ni moins que d’un dévoiement complet du principe de légitimité dans toutes ses définitions.

Le « monopole de la violence légitime », qu’est-ce que c’est ?

Comment, dans ces conditions, comprendre l’utilisation par les amis du pouvoir du concept de « violence légitime » dont disposerait la police, pour répondre à l’émotion de l’opinion publique devant les exactions policières qui se déroulent et dont l’évidence a fini par s’imposer ? C’est tout simplement un abus de langage avançant l’idée d’une « autorisation juridique » donnée aux forces de l’ordre de violenter les corps dans l’intérêt de l’État. Il y a d’abord une impropriété des termes puisqu’il s’agit en fait de ce que Max Weber appelait « le monopole de la violence » que seul l’État sur un territoire donné est autorisé à utiliser. Cette violence qui se caractérise par le « pouvoir sur les corps » est déléguée à la police, à l’armée et à ce qui est essentiel, à la Justice. Pour deux raisons : d’abord, c’est celle-ci qui punit les délinquants et qui si nécessaire les prive de leur liberté et enferme leur corps entre quatre murs (et auparavant pouvait le couper en deux). Mais elle doit aussi, et c’est absolument essentiel, exercer son contrôle sur l’utilisation de la violence par les agents armés de l’État.

Il est important de rappeler que pour que cette violence dont l’État a le monopole soit « légitime », deux conditions indispensables doivent être réunies : d’abord, que son usage en soit défini et réglementé par la Loi. En nature, en intensité, et en proportionnalité, pour que ceux qui vont en disposer sachent les limites de leurs pouvoirs et les risques de sanctions qu’ils encourent. Il faut qu’ensuite, le caractère légal et régulier de cet usage soit contrôlé par le juge. La première condition est réalisée : user de la violence physique dite « légitime » par les forces de l’ordre est strictement encadré et le Code pénal prévoit une répression spécifique pour les agents publics titulaires par délégation de l’État du pouvoir sur les corps. Si l’auteur d’une violence illégale (parce qu’excessive et non proportionnelle) commise à l’égard de ses concitoyens est un agent public, c’est une circonstance aggravante et elle devra être plus sévèrement punie que celle commise par un simple citoyen. Citons à ce titre l’exemple des violences volontaires par personne dépositaire de l’autorité publique prévues et réprimées par les articles 222-7 et suivants du Code pénal. Une lecture, même rapide, montre bien que les violences volontaires, comme le fait d’éborgner en visant la tête avec un LBD ou un lance-grenade, sont des crimes relevant de la cour d’assises !

Cette situation juridique et institutionnelle est fondamentale dans la mesure où l’État doit pouvoir conserver la totale maîtrise de l’usage qui est fait de ses pouvoirs par son personnel armé.

Sans le contrôle de la Justice, toute violence d’État est illégitime

L’absence de la deuxième condition, celle du contrôle juridictionnel, prive le « monopole de la violence » dont dispose l’État de sa légitimité juridique et démocratique. Car force est de constater que si la loi a bien créé les outils légaux d’encadrement, la défaillance quasi totale de la justice française dans l’accomplissement de cette mission de contrôle a complètement déréglé le dispositif républicain et démocratique. Pour une raison très simple : ceux dont c’est la mission de contrôler l’utilisation par les forces de police de la violence légitime de l’État, ce sont les magistrats du service public de la justice. Ce sont eux qui sont chargés de notre protection face à ces débordements. Or, ils ne l’assurent pas.

La responsabilité du pouvoir exécutif et surtout d’Emmanuel Macron est évidemment lourdement engagée, puisqu’il a laissé faire, quand il n’a pas directement organisé ce scandale, mais celle de la Justice est première.

L’utilisation par Emmanuel Macron de l’expression de « forces de sécurité intérieure » pour désigner policiers et gendarmes caractérise un glissement sémantique à la fois troublant et inquiétant. Les « forces de sécurité extérieures et intérieures », ce sont les forces armées. Gendarmes et policiers sont des forces de l’ordre. On doit malheureusement constater qu’aujourd’hui, les conditions institutionnelles et juridiques indispensables à l’usage du « monopole de l’État sur la violence » ne sont plus réunies. Ce qui veut dire que de ce point de vue, notre pays a basculé dans une forme d’arbitraire, tout simplement. Un pouvoir minoritaire a décidé de ne plus respecter les libertés démocratiques fondamentales pour traiter un mouvement social profond. Il a pour cela donné carte blanche à une police dont une partie est dévoyée. Et demander à sa justice de la laisser opérer. (J’ai décrit tout ceci dans mon ouvrage « Une justice politique », j’y renvoie encore une fois).

Lorsque le quotidien anglais Financial Times du 25 mars écrit : « la France a le régime qui, dans les pays développés, s’approche le plus d’une dictature autocratique », il a raison.

Et c’est grave.




Arrêter Poutine — ou arrêter les dirigeants occidentaux ?

[Source : numidia-liberum.blogspot.com]

Par Finian Cunningham

Si quelqu’un doit faire face à des poursuites pour crimes de guerre, c’est bien le président ukrainien Vladimir Zelensky et ses commandants adeptes des nazis, ainsi que leurs parrains : les dirigeants américains, européens et de l’OTAN.

Les organes de propagande occidentaux (également connus sous le nom de « médias d’information ») sont soudainement pleins d’informations selon lesquelles la Cour pénale internationale basée à La Haye a émis un mandat d’arrêt contre le président russe Vladimir Poutine.

La couverture exagérée (c’est-à-dire l’orchestration) est destinée à donner au stratagème juridique ridicule une impression de gravité et de signification alors qu’en réalité le soi-disant mandat d’arrêt n’a pas de sens et fait partie du théâtre politisé kitsch.

Aux côtés de Poutine, la commissaire russe aux droits de l’enfant, Maria Lvova-Belova, est également désignée comme personne recherchée pour faire face à des poursuites pour « crimes de guerre ». Les crimes présumés sont liés à la supposée expulsion d’enfants vers la Russie lors de l’opération militaire spéciale russe en Ukraine menée depuis février 2022.

La base du mouvement de la CPI est aussi fragile qu’un ballon météo errant. C’est aussi une déformation audacieuse et ridicule de la réalité. La Russie a évacué des milliers de civils, y compris des enfants, des régions anciennement de l’est de l’Ukraine qui font maintenant partie de la Fédération de Russie pour la raison précise de les mettre à l’abri du régime nazi de Kiev soutenu par l’OTAN, et dont les forces ont aveuglément bombardé Donbass et d’autres régions.

Si quelqu’un doit faire face à des poursuites pour crimes de guerre, c’est bien le président ukrainien Vladimir Zelensky et ses commandants adeptes des nazis, ainsi que leurs parrains : les dirigeants américains, européens et de l’OTAN.

Le régime de Kiev bombarde le Donbass depuis neuf ans, depuis que le coup d’État de la CIA a porté au pouvoir cette junte fasciste. L’OTAN a formé le bataillon Azov et d’autres paramilitaires, de type Waffen SS, qui tirent des roquettes HIMARS fournies par les États-Unis avec l’aide de mercenaires américains, britanniques, français, allemands, canadiens et polonais. La Russie est intervenue en Ukraine l’année dernière pour mettre fin au génocide dont Washington et l’Europe ainsi que leurs médias occidentaux sont complices. Pas un mot de cela n’est rapporté dans les soi-disant bastions du journalisme, dont le New York Times, la BBC et autres BFM-WC. Ils sont trop occupés à vendre de la propagande sur la CPI et la Russie.

Est-ce le meilleur cas que la CPI et ses gestionnaires occidentaux peuvent vraiment trouver contre la Russie ? Kidnapping d’enfants ? Qu’en est-il de toutes les autres allégations concernant le bombardement d’immeubles et de civils par la Russie ? S’il y avait une part de vérité dans ces affirmations largement colportées dans les médias occidentaux, pourquoi ces allégations n’ont-elles pas été citées pour des poursuites ? Ils ne l’ont pas fait parce qu’il y a si peu de preuves.

En fait, le régime de Kiev soutenu par l’OTAN est coupable d’avoir utilisé des immeubles d’habitation comme des boucliers humains civils. D’où le recours à une question émotionnellement attrayante d’enlèvement d’enfant présumé (cela nous rappelle le canular les bébés koweïtiens enlevés des maternités par les soldats irakiens).

Mais la fragilité de tout cela ne fait que rendre les revendications occidentales et la CPI encore plus absurdes qu’elles ne le sont déjà.

De toute façon, la CPI n’a aucune juridiction sur la Russie, donc les mandats d’arrêt sont lettre morte. Ils ne sont pas censés être pris au sérieux de toute façon. Tout cela n’est que du théâtre politique visant à salir Moscou.

Le tribunal n’a pas non plus compétence sur les États-Unis. Tout aussi bien, pourrait-on dire, car s’il existait de véritables principes de justice, le président américain Joe Biden devrait être sur le banc des accusés face à de multiples accusations de crimes de guerre en lien avec les guerres illégales américaines en Irak, en Afghanistan, en Libye, en Syrie et au Yémen, entre autres pays.

Concernant les crimes plus récents, Biden et ses partenaires criminels de l’OTAN devraient sur le banc des accusés pour l’explosion des gazoducs Nord Stream.

Ou pour avoir parrainé et militarisé les nouveaux crimes de guerre du régime israélien contre les Palestiniens.

Ou pour avoir persécuté et torturé l’éditeur Julian Assange parce qu’il a osé révéler la vérité sur les crimes de guerre américains et britanniques.

L’hypocrisie stupéfiante et les doubles standards sont une autre preuve — si une telle preuve était nécessaire — que la dernière manœuvre de la CPI contre la Russie est un coup politique bon marché pour renforcer l’autorité dont les États-Unis et leurs sbires occidentaux ont cruellement besoin.

Cette semaine, alors que les dirigeants américains et britanniques saluent les actes d’accusation de la CPI contre la Russie, marque également le 20e anniversaire de la guerre menée par les États-Unis en Irak. Une guerre qui a tué jusqu’à un million de civils et détruit une nation (la plus ancienne civilisation du monde), basée sur des mensonges purement et simplement fabriqués, des mensonges que Biden, alors qu’il était sénateur, a contribué à promouvoir.

Les principaux architectes de ces crimes, George W Bush et Tony Blair n’ont jamais été mentionnés, même en passant, par les avocats de la CPI. Pourquoi donc ? Parce que la CPI est un tribunal kangourou et un jouet politique que l’impérialisme occidental utilise pour poursuivre ses ennemis politiques.

En attendant, dans d’autres nouvelles…

Nous avons plus de rapports confirmant les allégations précédentes selon lesquelles Joe Biden et sa famille auraient reçu des paiements illégaux d’une valeur de millions de dollars des entreprises chinoises. Biden et son fils toxicomane Hunter (qui frappait la veuve de son frère décédé) sont jusqu’aux yeux dans la corruption due à des manœuvres louches et à l’utilisation du bureau politique du « grand gars » comme garantie. La même routine d’escroquerie a été utilisée dans les relations commerciales non officielles de Biden avec l’Ukraine après le coup d’État de la CIA en 2014.

Pendant ce temps, la semaine dernière a vu le système bancaire américain vaciller sur un autre effondrement historique à la suite de l’implosion de la Silicon Valley Bank endettée et d’autres. Pour soutenir l’avalanche financière à venir dans l’ensemble du secteur financier, l’administration Biden jette une fois de plus des centaines de milliards d’argent des contribuables pour renflouer Wall Street.

Pendant ce temps, aux États-Unis et dans toute l’Europe, des millions de travailleurs descendent dans la rue dans des grèves et des manifestations sans précédent contre les régimes capitalistes corrompus. Les conditions révolutionnaires sont à leur point d’ébullition en France où le président élitiste Emmanuel Macron (une figure de Louis XVI s’il en est une) impose des coupes dans les dépenses publiques par décret, contournant délibérément le processus parlementaire (enfin, c’est une imposture de toute façon).

Mais partout en Europe et aux États-Unis, l’opinion publique devient de plus en plus intolérante et méprisante à l’égard des soi-disant gouvernements qui dépensent des centaines de milliards pour parrainer une folle guerre par procuration en Ukraine contre la Russie à puissance nucléaire alors qu’en même temps, ces mêmes gouvernements occidentaux les dirigeants d’élite exigent plus d’austérité économique sur le public qui souffre. C’est alors que l’inégalité, la privation, le sans-abrisme, la faim et la pauvreté écrasent les sociétés.

Pendant ce temps, nous recevons cette semaine des reportages des médias occidentaux soi-disant optimistes selon lesquels l’axe de l’OTAN dirigé par les États-Unis envisage maintenant d’envoyer des avions de guerre au régime de Kiev en plus des mesures précédentes pour fournir des chars de combat Leopard, Abrams, Leclerc et Challenger — une folie qui conduira à une guerre totale avec la Russie. La dissonance entre les élites occidentales et leurs chambres d’écho médiatiques est si profonde qu’elle courtise la colère révolutionnaire, à la Marie-Antoinette, et sa fameuse remarque « S’ils n’ont pas de pain, qu’on leur donne des croissants ».

La liste des accusations s’allonge sur la montée quotidienne de la colère et du dégoût face à l’effondrement du racket occidental corrompu autrement appelé démocratie capitaliste occidentale, autrement connue sous le nom de dictature des milliardaires et des fauteurs de guerre.

Biden, Macron, von der Leyen, Stoltenberg, Trudeau, Sunak, Scholz & Co (remplissez le nom de votre clown ici : …) ne sont pas réellement préoccupés par l’arrestation de Poutine. Ils se chient pour arrêter la révolte publique croissante contre le spectacle de clown capitaliste occidental.

Finian Cunningham
Finian a beaucoup écrit sur les affaires internationales, avec des articles publiés en plusieurs langues. Pendant près de 20 ans, il a travaillé comme rédacteur en chef et écrivain dans de grands médias d’information, dont The Mirror, Irish Times et Independent.

SOURCE : Information Clearing House




AUCUNE erreur n’a été commise — un hymne à la justice

[Source : margaretannaalice.substack.com via Viv]

Par Margaret Anna Alice

Le génocide arménien n’était pas une erreur.
L’Holodomor n’était pas une erreur.
La solution finale n’était pas une erreur.
Le Grand Bond en avant n’était pas une erreur.
Les « Killing Fields » (champs de la mort) n’étaient pas une erreur.

Nommez votre génocide, il n’était pas une erreur.
Cela inclut le grand démocide des années 2020.
Laisser entendre le contraire, c’est leur donner la porte de sortie qu’ils recherchent.

Ce n’était pas bâclé.
Il n’y a pas eu de bavure.
Il ne s’agit pas d’une bévue.

Ce n’était pas de l’incompétence.
Ce n’était pas un manque de connaissances.
Il ne s’agit pas d’une hystérie collective spontanée.

La planification s’est faite au vu et au su de tous.
La planification se fait toujours au vu et au su de tous.

Les philanthropes ont acheté la $cience™.
Les modélisateurs ont projeté les mensonges.
Les testeurs ont concocté la crise.
Les ONG ont loué les universitaires.
Les $cientifiques ont fabriqué les résultats.
Les porte-parole ont diffusé les points de vue.

Les organisations ont déclaré l’urgence.
Les gouvernements ont érigé des murs.
Les ministères ont réécrit les règles.
Les gouverneurs ont supprimé les droits.
Les politiciens ont adopté les lois.
Les banquiers ont installé la grille de contrôle.

Les larbins ont blanchi l’argent.
Le ministère de la défense a passé les commandes.
Les entreprises ont exécuté les contrats.
Les régulateurs ont approuvé la solution.
Les lois ont protégé les fournisseurs.
Les agences ont ignoré les signaux.

Les oligarques ont consolidé les médias.
Les psychologues ont élaboré les messages.
Les propagandistes ont scandé les slogans.
Les étouffeurs de faits(([1] en anglais « fact-chokers », jeux de mots avec fact-checkers qui signifie « vérificateur de faits »)) ont dénigré les dissidents.
Les censeurs ont réduit au silence ceux qui posaient des questions.
Les forces de l’ordre ont piétiné les contestataires.

Les tyrans ont convoqué.
Les marionnettistes se sont agités.
Les marionnettes ont dansé.
Les complices ont mis le plan en œuvre.
Les médecins ont ordonné.
Les hôpitaux ont administré.

Les laveurs de cerveau ont écrit les scénarios.
Les embobinés ont bêlé.
Les totalitaires ont intimidé.
Les Covidiens ont jasé.
Les parents ont abandonné.
Les bons citoyens ont cru… et oublié.

Cela a été calculé.
Cela a été formulé.
Cela a été discuté dans des groupes de réflexion.
Cela a été articulé.
Cela a été fabriqué.
Cela a été falsifié.
Cela a été contraint.
Cela a été infligé.
Cela a été nié.

Nous avons été terrorisés.
Nous avons été isolés.
Nous avons été manipulés.

Nous avons été déshumanisés.
Nous avons été blessés.
Nous avons été tués.

Ne les laissez pas s’en tirer comme ça.
Ne les laissez pas s’en tirer à si bon compte.
Ne les laissez pas s’en tirer comme ça.





QUI EST L’ENNEMI ?

[Source : Stratpol]

Par Henri Roure, Gal (2S)

RÉFLEXIONS DE SCIENCE POLITIQUE PAR LE GÉNÉRAL HENRI ROURE

Une nation c’est avant tout une souveraineté revendiquée et défendue par un peuple. L’Histoire – toujours elle – nous rapporte la lutte des Français pour, tout à la fois, assurer leur unité, leur indépendance, leur dignité et faire prévaloir les principes dont ils se sentaient légitimement fiers et porteurs. Cette assurance reposait sur une étroite conjugaison entre gouvernement et peuple dans la certitude d’un destin. Elle impliquait la nature des politiques intérieure et étrangère. Les assauts partisans, souvent sévères, ne remettaient jamais en cause cette « certaine idée de la France » à laquelle se référa le général de Gaulle.

DIVORCE ENTRE LE PEUPLE ET SES DIRIGEANTS

Mais aujourd’hui se pose véritablement la question de cette osmose entre gouvernants et Français. Je récuse les raisons circonstancielles et simplement politiciennes, à la faible participation des citoyens aux différentes élections, alors qu’il est connu que notre peuple est un peuple politique.

Je suis persuadé qu’il y a, non pas du désintérêt, mais un constat d’incompétence porté sur la classe dirigeante. Il conduit à une hostilité latente, mais croissante, au système et à ses orientations et décisions.

Si nous ajoutons à ceux qui ne votent pas, ceux qui se rallient à des partis contestataires, surtout de droite, je crois pouvoir affirmer, sans risque de me tromper, qu’il existe un abîme entre peuple et classe dirigeante. Celle-ci constituée en oligarchie, largement menée par la caste gestionnaire énarchique, adhère à des références étrangères diffusées dans des associations et organismes au service d’une conception unipolaire, donc américaine, du monde. Elle a été phagocytée par l’idéologie anglo-saxonne prétendant que les peuples doivent être dominés, pour leur bien, par la finance internationale aux mains des États-Unis d’Amérique.

DES DIRIGEANTS SOUS INFLUENCE AMÉRICAINE

Elle est inscrite au club-relais de Bruxelles et à son club associé, l’OTAN, lui très directement dirigé par Washington. Dans cette aberration mentale, le citoyen devrait se muer en consommateur obéissant, les frontières devraient disparaître, les langues s’effacer devant la langue anglaise, les armées s’unifier sous la férule de l’OTAN, les productions s’organiser territorialement selon la volonté des banques et groupes d’intérêts états-uniens, les monnaies, à moyen terme, s’éteindre au profit du dollar déjà monnaie de compte, ou de quelque provisoire succédané, et l’ensemble dit « occident » être dirigé par une camarilla essentiellement washingtonienne.

De nombreux faits et dérives contribuent à cette opération géopolitique : migration soutenue afin de noyer toute résistance nationale, insécurité pour apeurer et soumettre, valorisation des plus invraisemblables aberrations, et de la bêtise pourvu qu’elle sache hurler, acculturation sous forme basique, avec pour conséquence la perte de l’éducation, du rationalisme, du libre arbitre et de l’approche religieuse chrétienne, endoctrinement médiatique associé à la désinformation, affirmations gouvernementales péremptoires et pourtant mensongères, négation de l’histoire, destruction de la famille et des mœurs…

En résumé les facteurs de la décadence sont rassemblés. Ils doivent par choix délibéré de nos gouvernants mener à l’extinction de la France et à l’inclusion du magma barbarisé qui en résultera, à un vaste ensemble sous-humain (selon l’expression de Richard Coudenhove-Kalergi, l’inspirateur des « pères de l’Europe »). Il sera évidemment manœuvré par la caste américaine ou américanisée.

Ce n’est donc pas seulement la France qu’il s’agit de sauver, mais l’homme dans sa grandeur et sa nature d’être pensant, car ne nous y trompons pas, si cette vision scandaleuse l’emporte chez nous et sur le continent européen, elle s’étendra inévitablement à l’ensemble de la planète, hormis la Chine et quelques pays notamment asiatiques. En cela les patriotes français, défenseurs de l’identité de la France et de la dignité des personnes, sont des humanistes, ainsi que je le démontre dans mon dernier livre Le patriotisme français est un humanisme.

LE LOURD PASSIF HISTORIQUE DE NOS “ALLIÉS” AMÉRICAINS

Si nous nous libérons des entraves de l’instant et de la mémoire à très court terme et observons avec attention les méfaits des États-Unis envers notre pays, nous ne pouvons que ressentir un absolu effarement, suivi d’une grave inquiétude, au constat de la passivité des autorités nationales face aux débordements hégémoniques de ce pays. Elles ont pourtant été élues, en principe, pour défendre la France et maintenir sa dimension dans le monde. J’avoue qu’une sourde colère monte en moi lorsque je constate que nos dirigeants actuels la laissent rabaisser en acceptant sans réaction aucune, et même parfois avec complaisance, les prédations de ce pays violemment nationaliste et conquérant. Elles en viennent à le suivre dans ses aventures qui n’ont d’autre but, pourtant, que de satisfaire la xénophobie et l’hubris germano-anglo-saxon. Devrais-je qualifier cette attitude de collaborationniste et dire ainsi qu’il s’agit de trahison ?

Il est inutile de remonter loin dans le temps pour juger de la permanence de l’hégémonisme états-unien. Après une tentative de Wilson relayant Théodore Roosevelt pour imposer les choix états-uniens pour la paix, après la Première Guerre mondiale, heureusement brisée par Georges Clemenceau, cette volonté de domination n’a cessé de se renforcer depuis la Seconde Guerre mondiale. La chute de l’URSS lui a offert des terres d’expansion nouvelles et une outrecuidance sans limites. Souvenons-nous des porte-hélicoptères amphibies de la classe « Mistral » que la Russie avait commandés à la France en 2010. Sous la très forte pression des États-Unis, alors que les bâtiments étaient en construction, la France de François Hollande, en 2014, dénonça le contrat. Le prétexte pris fut l’annexion de la Crimée ou, plus honnêtement dit, la réintégration de la Crimée à la Russie son territoire d’origine, et son soutien apporté aux russophones prorusses du Donbass que le gouvernement ukrainien malmenait. Guère plus tard, le 15 septembre 2021, toujours dans le domaine de la Défense, ce fut la dénonciation par l’Australie, sur l’instigation de Washington, du contrat de construction de douze sous-marins classiques par la France. La suite immédiate fut la conclusion d’un contrat avec les États-Unis et le Royaume-Uni pour la construction de sous-marins nucléaires d’attaque. S’agissait-il d’une attitude amicale de notre allié d’outre-Atlantique et de notre allié d’outre-Manche ?

L’ALLEMAGNE, SATELLITE ÉTATS-UNIEN DE L’EUROPE

Pour abréger cette énumération des mauvaises manières des États-Unis dans le seul domaine de la défense, il faut citer cette dernière intrigue ourdie, avec les Allemands, s’agissant du SCAF, programme initialement conduit par la France avec les Allemands et les Espagnols. Le désir de nos partenaires germaniques de bénéficier de transferts de technologie s’y est très vite manifesté. Mais surtout, au lieu de montrer leur volonté de coopération, nos voisins immédiats en Europe, pour renouveler leur flotte aérienne, ont décidé d’acheter des F18 américains plutôt que des Rafale français. Il ne fallait pas déplaire aux États-Unis. En fait, les États-Uniens ont opté naturellement pour l’Allemagne comme alliée privilégiée dans leur politique de contrôle étroit de l’UE.

Pour la même raison ils soutiennent les débordements de madame Ursula von der Leyen, de famille davantage américaine qu’allemande, dans une politique terriblement alignée sur Washington. Berlin, en allié fidèle et intéressé, joue ce rôle de manière confondante, détruisant sans hésitation ce que les seuls Français, comme je l’ai déjà écrit, appellent le « couple franco-allemand ».

Plus de SCAF, plus d’hélicoptère en coopération – l’Apache remplaçant le Tigre – plus de patrouilleur commun, mais une volonté d’aider à l’équipement des armées européennes avec du matériel états-unien et d’élever des obstacles aux exportations françaises de matériel de guerre. Ajoutons, dans cette palette d’actions incitées hypocritement ou exigées brutalement par les États-Unis, la tentative de déstabiliser la gênante dissuasion nucléaire française, en proposant à Paris de la partager, tout comme de rendre tournant le siège permanent français au Conseil de sécurité des Nations Unies.

Dans la même perspective d’abaissement de la puissance française, se situe la récente proposition de Berlin d’étendre, au domaine strictement national de la sécurité, le vote au sein de l’UE à la majorité qualifiée. Si le gouvernement français acceptait d’aller dans ce sens, la France risquerait d’être entraînée dans des guerres contraires à ses souhaits. Sa politique extérieure et sa dissuasion nucléaire, censées défendre son indépendance et ses intérêts vitaux, n’auraient plus de raison d’être.

HÉGÉMONIE MILITARO-INDUSTRIELLE AMÉRICAINE

L’inspiration états-unienne étant, bien sûr, derrière ces manœuvres…L’Allemagne ayant désormais l’ambition affichée d’être le premier partenaire militaire des États-Unis en Europe, ne peut rien leur refuser. À l’évidence la réintégration de l’OTAN par la France, en mars 2009, a eu pour conséquence l’aggravation de ces agissements. Conjuguée avec notre appartenance à l’UE, elle nous a fait perdre un énorme pan de notre souveraineté, nous a discrédités auprès de nos amis et nous a entraînés dans des aventures contraires à nos intérêts.

Ajoutons à cette politique délibérée, le grignotage de notre indépendance énergétique que nous avions acquise grâce au nucléaire. Le sabordage d’EDF, selon la volonté des Allemands, en est l’aspect le plus choquant. Il s’agit de permettre à des entreprises germano-américaines de déployer leurs investissements et leur dictature sur le prix de la plupart des sources d’énergie électrique. N’oublions surtout pas la vente de la partie noble d’Alstom à l’américaine General Electric, avec l’appui sans scrupule du président actuel et toutes les menaces qui pèsent sur nos entreprises de haute technologie.

Dans le cas d’Alstom, nous avons vendu aux Américains la fabrication des turbines des sous-marins nucléaires, de sorte que l’on ne peut plus produire en France de tels sous-marins sans une autorisation américaine » a déclaré Alain Juillet devant la commission Défense de l’Assemblée Nationale.

La prédation de ce pays sur la haute technologie française est apparue tellement évidente après cette affaire que le gouvernement français a été conduit à mettre un veto à l’achat par l’américain Teledyne du spécialiste de l’optronique pour la défense Photonis. Poussé par l’opinion la loi Pacte de 2019 est venue tardivement renforcer les pouvoirs du ministre de l’Économie dans le cadre de la procédure de contrôle des investissements étrangers.

GUERRE ÉCONOMIQUE

Les États-Unis savent utiliser les fractures entre pays et en leur sein, ainsi que le ralliement d’élites endoctrinées et serviles, pour imposer leur vision des choses et conforter leur domination. Mais l’outil de guerre n’est pas le seul domaine où l’impérialisme états-unien cherche à imposer sa loi.

Au-delà de l’Organisation Mondiale du Commerce (OMC), créé par le traité de Marrakech en 1994, qui semble ne plus suffire aux États-Unis pour maintenir leur domination financière et économique, ce pays a osé imaginer des lois à vocation extraterritoriale.

Ce dispositif juridique peut s’appliquer à n’importe quelle entreprise étrangère à rayonnement international. Il est patent, en effet, que ce type d’entreprise a été amené, inévitablement, dans son développement, à établir quelques liens avec les États-Unis. Ces lois concourent à l’établissement d’un système dictatorial sur des acteurs économiques, en dehors de tout rattachement territorial et national. Il s’agit d’une sorte de colonisation réglementaire, brutale, permettant d’asseoir davantage la puissance états-unienne, en affaiblissant ses concurrents à qui elle impose son autorité.

GUERRE JURIDIQUE ET EXTRATERRITORIALITÉ DU DROIT AMÉRICAIN

En une dizaine d’années, des milliards de dollars d’amendes ont été infligés aux entreprises et banques françaises abondant, de la sorte, le Trésor états-unien au prétexte de liens avec des personnes et des pays jugés coupables d’activités terroristes par les États-Unis. Je me dois d’ajouter que les États-Unis, contrôlant les flux monétaires, détiennent les moyens de pression sur les esprits. Leurs fonds de pension, comme Blackrock et Vanguard, investissent certes dans l’économie, mais aussi dans les médias. 90% des médias internationaux sont détenus par neuf conglomérats médiatiques, eux-mêmes appartenant à ces fonds de pension. Ne nous étonnons pas, dès lors, de voir nos écrans envahis par les pires productions audiovisuelles de ce pays, dont rares sont les Français qui en comprennent les titres, d’entendre des braillements venus de ce désert culturel, ou de subir Halloween et toutes sortes de publicités en langue anglo-saxonne. La loi Toubon se voit ainsi contournée avec désinvolture et impunément, et la culture nationale subit une marginalisation avec l’appui de la pédanterie et de l’imbécillité de quelques-uns.

GUERRE CULTURELLE

Le but poursuivi est d’imposer des façons de penser, d’aligner les esprits sur le modèle basique états-unien, de rejeter les cultures non conformes et in fine, d’étendre le règne des États-Unis d’Amérique au monde entier et en priorité à l’Europe. Il est vrai que cette prétention démesurée à la supériorité intellectuelle est inhérente à l’idéologie états-unienne reposant sur l’idée de destinée manifeste, confirmée par la doctrine de Monroe et son corollaire, et reprise par Zbignew Brzezinski, ancien conseiller de plusieurs présidents américains, dans le Grand échiquier.

Cette vanité, portée par les circonstances, s’était amplifiée dès la fin de la Seconde Guerre mondiale. Le 28 mai 1946, la France exsangue avait dû signer l’accord Blum-Byrnes, où notre pays s’engageait à ouvrir ses frontières aux produits états-uniens. Les conséquences furent considérables. La contrepartie majeure à cet accord fut un abandon du quota de films d’outre-Atlantique diffusables en France, et la limitation à quatre semaines sur treize de l’exclusivité réservée au cinéma français. La suite fut immédiate. Dès la première moitié de l’année 1947, 340 films américains furent diffusés contre seulement quarante français. Grâce au cinéma, plus rien n’empêchait la puissance d’Hollywood de façonner les esprits français, de diffuser l’American Way of Life et la propagande de Washington.

GUERRE DE CIVILISATION

Cependant tout n’est pas perdu. La France une fois encore survivra aux assauts qu’elle subit. Cet allié qui s’est mué en ennemi des nations et de la civilisation pourrait se voir prochainement défait et son orgueil fortement rabaissé. Par ses dérives il s’est exclu de l’Occident véritable alors que la Russie renaissante est sur le point de devenir le ferment de son renouveau.

À cet égard, ce qui se passe en Ukraine pourrait être déterminant. Les États-Unis, l’UE et leur liaison militaire otanienne, courent très probablement à une défaite dans ce conflit que les États-Unis ont voulu et provoqué. La suffisance et l’aveuglement des États-Uniens sont confondants.

Dans nos écoles militaires – je suppose qu’il en est de même aux États-Unis – on nous apprend à analyser l’adversaire en toute objectivité et sous tous ses aspects. Il nous est enseigné de nous informer sur l’armement, l’environnement, la nature du terrain et le climat, comme sur les hommes et les chefs et nos ordres initiaux d’opération prennent en considération l’ensemble de ces facteurs. Il semble que leur complexe de supériorité ait aveuglé les stratèges américains et qu’ils aient commis l’erreur de sous-estimer l’adversaire. Il faut croire que ce pays ne tire absolument pas les leçons des guerres qu’il a menées et toutes perdues depuis la Seconde Guerre mondiale qu’il n’a d’ailleurs pas gagnée seul, loin de là.

UKRAINE : LA GUERRE MALGRÉ NOUS

La France est impliquée dans un conflit où elle n’a aucun intérêt et où elle ne peut prétendre défendre la liberté alors que l’élite ukrainienne est notoirement corrompue et que la population n’est pas unanime pour affronter le frère russe et que ce territoire se trouve sous la domination de la diplomatie et des services anglo-saxons.

La France macronienne fournit de l’armement au détriment de l’équipement de ses propres forces, perd ses investissements en Russie, fait subir à sa population une crise économique, énergétique et financière et voit les pays africains francophones devenir sensibles aux offres sécuritaires de Moscou, ce qui est – nul ne peut le nier – une conséquence directe de cette mauvaise politique de subordination à Washington.

Si nous nous attardons un instant sur ce minage d’un des facteurs de notre influence et de notre puissance et écoutons ce que disent nos amis africains, il est certain que les gouvernants français, s’ils étaient d’une autre trempe, auraient de quoi s’inquiéter. À l’évidence, des patriotes n’auraient pas laissé s’installer toutes les dérives et aberrations morales et sociétales que subit notre pays. En effet l’Afrique francophone justifie son éloignement de la France par le constat qu’elle fait de notre décadence. Il est naturel que les Africains se tournent vers les pays qu’ils reconnaissent dignes et respectables. Ne serait-ce que pour ce type de raisons l’OCS ne cessera d’étendre son influence.

LA SOUVERAINETÉ EST UN FACTEUR DE PAIX

La France souveraine, je ne cesse de le répéter, peut s’appuyer sur quelques grands facteurs de puissance que conforte sa richesse intellectuelle, scientifique et économique : Le nucléaire et la dissuasion, l’outre-mer qui lui offre le Second empire maritime au monde et l’amitié africaine dans l’ensemble plus vaste de la francophonie, le siège permanent au conseil de sécurité et le second réseau diplomatique au monde.

Si je résume, nos « amis » pillent notre potentiel technologique, veulent mettre un terme à notre rôle au sein des Nations-Unies et subordonner notre force nucléaire à l’OTAN. Ils méprisent notre langue et notre civilisation et nous imposent des modes de vie en contradiction avec la morale et les usages français, nous éloignent de nos ressources et de nos partenaires traditionnels. Ils nous plongent, par leur dessein géopolitique maladif, avec l’appui de la classe dirigeante au pouvoir en France, dans une sévère crise économique. Nos politiciens, bien sûr, récusent leur responsabilité. Ils essaient par toutes sortes d’arguties de s’en dédouaner… Comment qualifier ceux qui agissent ainsi ?

La guerre en Ukraine sera inévitablement gagnée par la Russie. Ce n’est pas un vœu, c’est une simple observation des faits. J’ose dire que ce sera un bien pour la France qui sera ainsi libérée des entraves otaniennes et européennes. Ces deux organisations internationales, à vocation totalitaire, auront montré à la fois leur fausseté et leur dangerosité, toutes deux inspirées dans leur action par les États-Unis d’Amérique. Ce sera aussi une autre défaite pour ce pays.

Si la France n’était pas dirigée par de petits personnages, peu réfléchis et mal instruits des choses de ce monde, notre pays pourrait profiter des moments qui arrivent pour s’élever à nouveau. La Russie n’est pas notre ennemie !

Henri ROURE, Général (2S)
Secrétaire National à la Défense du CNIP