Covid : du mythe aux statistiques, les vérités cachées !

[Source : Anthropo-Logiques]

Par Jean-Dominique Michel

Je n’irai pas par quatre chemins : l’article que je m’apprête à partager avec vous est aussi remarquable qu’explosif ! Il figure au rang de ce que j’ai lu de plus perspicace, rigoureux et éclairant au cours de l’année écoulée.

À partir de sa maîtrise des statistiques ainsi que d’une éthique personnelle et scientifique évidentes, l’auteur extrait des données disponibles certains tenants et aboutissants fondamentaux et occultés de la « crise sanitaire » que nous vivons depuis une année. Et, cela étonnera sans doute peu les lectrices et lecteurs de ce blog, les conclusions de son analyse de haut vol atterrissent à des années-lumière du narratif officiel.

L’auteur est mathématicien et non pas médecin ou chercheur en santé publique. Dans notre mouchoir de poche suisse romand, Fabien Balli Frantz (lui aussi inscrit dans ce domaine d’expertise) a pareillement découvert à partir de sa maîtrise des statistiques des motifs fondamentaux de l’épidémie. Qu’il a fait connaître dans différents articles publiés dans Bon pour la tête, hélas aucunement repris par les médias « mainstream » dont la priorité obsessionnelle paraît être d’affoler la population à tout prix.

On relèvera pareille effondrement chez la Task Force, l’OFSP et les centres hospitalo-universitaires helvétiques. L’indigence de l’analyse et la médiocrité des publications de ces pseudo « centres d’excellence » (en corruption systémique assurément mais au-delà, on ne voit vraiment pas…) détonne et choque, surtout quand on la compare par exemple avec la qualité de l’article que je partage ici.

Le Pr Raoult a mille fois raison de relever qu’il n’y a pratiquement plus aucune science dans les productions des autorités de santé, alors que certaines de celles réalisées à leurs heures perdues par des penseurs compétents et diffusées sur le net surpassent haut la main cette navrante pseudoscience. Pourtant payée — avec largesse — par nos impôts avec des salaires plus que dodus, complétés tant qu’à faire par les contributions de donateurs désintéressés comme un certain « philanthrope » américain, adoré par chez nous, et accessoirement en train de devenir le plus gros propriétaire agricole des États-Unis. Où, nous n’en doutons pas, il s’en donnera à cœur joie avec l’agriculture OGM intensive qui constitue, avec la vaccination (désormais OGM elle aussi) sa principale obsession…

L’auteur a souhaité rester anonyme, choix que je respecte évidemment. Son article est bien sûr plus ardu que ce dont on a l’habitude, mais reste remarquablement agréable à lire. C’est un autre talent, lui aussi rare, que de savoir restituer clairement le fruit d’analyses complexes. Le résultat, ici,  est ô combien décoiffant. Et rappelle accessoirement l’importance fondamentale de faire bon usage des données et statistiques.

La presse en a hélas donné un contre-exemple assez lamentable, en combinant l’obsession de l’anecdotique et du spectaculaire avec l’enfumage générique. Ce que l’on a pu constater par exemple sur la page web dédiée aux statistiques Covid de la Tribune de Genève, objectivement une des meilleures et des plus complètes de Suisse, mais dont les données les plus importantes étaient reléguées en toute fin de liste, noyées après des tartines et des tartines de données peu pertinentes.

Maniant l’art de décoder les chiffres et de les interpréter avec pertinence, l’auteur fait émerger des motifs puissants, que je résumerai ici à partir de quelques citations. Avec un préambule épistémologique qui est tout sauf secondaire :

« Nous comprenons aisément le rôle du vieillissement dans l’évolution de la mortalité. Les progrès de la science moderne nous permettent aujourd’hui de savoir que plus on vieillit, plus on a de chances de mourir. [NdNM : avait-on vraiment besoin de la science pour le savoir ?] De plus, en attendant suffisamment longtemps tout le monde finit toujours par décéder. La connaissance du mécanisme sous-jacent à la statistique, c’est-à-dire le rôle des classes d’âges dans la constitution des agrégats statistiques, est l’élément primordial qui permet d’interpréter les résultats quantitatifs. Sans elle nous ne saurions pas quelles sous-populations étudier pour donner du sens aux données. La statistique, malgré les apparences, est incapable de se substituer à la démarche hypothético-déductive exacte qui forme la base de toute méthode scientifique.

En médecine, la primauté de la logique sur les statistiques n’est plus considérée. La médecine basée sur les faits – qu’il vaudrait mieux appeler médecine basée sur les statistiques – a complètement abandonné l’idée de comprendre les mécanismes biologiques avant d’interpréter les données. Ce faisant, elle affirme n’importe quoi et elle le sait. John Ioannidis, professeur de médecine à l’université Stanford, a jeté un pavé dans la mare en publiant en 2005 un article intitulé « Pourquoi la plupart des résultats de recherche scientifique publiés sont faux. » Depuis, la communauté des chercheurs ose avouer son impuissance : le prestigieux journal Nature a publié en 2016 un article signalant l’impossibilité de reproduire des recherches biomédicales majeures pourtant publiées dans les règles de l’art, citant par exemple un taux d’échec ahurissant de 89% en oncologie.

On n’insistera jamais assez sur l’importance des disciplines fondamentales. Accusées d’être inutiles, elles sont pourtant les garde-fous qui permettent de savoir de quoi on parle et de comprendre ce que l’on fait : elles sont la conscience qui manque à la science. L’enseignement scientifique supérieur, quel que soit le pays, ne dispense plus de cours de philosophie ni d’épistémologie à l’attention des scientifiques : ils ne savent plus ce qu’est la science, d’où elle vient ni sur quoi elle s’appuie. Ils sont par la force des choses devenus de simples techniciens ignorant les bases de leur propre discipline. On entend dire partout que la médecine est une science : il n’y a rien de plus faux. La médecine est un art, l’art de soigner dans le but de guérir. Elle s’appuie sur des sciences comme par exemple la biochimie ou la physique de particules ; mais on ne peut pas réduire l’humain qui vient consulter à un ensemble de paramètres conformes. Une thérapie qui soignera l’un tuera peut-être l’autre. Le savoir-faire, le talent et même l’instinct du médecin participent à la qualité des soins tout autant que son savoir technique. Il est une sorte d’ingénieur de la santé ; mais il n’est pas un scientifique. Un mécanicien n’est pas un scientifique ; mais je conseille chaudement à quiconque de ne pas faire réviser sa voiture par un physicien, fût-il détenteur d’un prix Nobel. »

 Ceci posé, les analyses et les résultats s’enchaînent ! Premier constat : la mortalité est dans l’ensemble comparable à celle des épisodes grippaux habituels (une fois pondérée du vieillissement important de la population sous l’effet de la génération des baby-boomers). Avec pourtant la singularité d’une mortalité inhabituellement faible pour les tranches d’âge inférieure à 50 ans et normale au possible jusqu’ à… 80 ans !

Voici par exemple un diagramme présentant les courbes de mortalité (en valeur pour mille) pour les deux catégories « âge inférieur à l’espérance de vie » et « âge supérieur à l’espérance de vie ». Pour faire paniquer la population avec cela et lui imposer des mesures totalitaires et destructrices, il faudrait vraiment se lever de bonne heure…

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L’inconfortable vérité pour l’idéologie (ou l’agenda) totalitaire est que la COVID-19 n’a quasiment pas concerné (en termes de mortalité) les personnes en dessous de l’espérance de vie : il n’y a eu statistiquement aucune différence significative entre mourir de la COVID-19 et mourir de vieillesse.

Déni de soins et mortalité

L’auteur développe ensuite une percutante analyse à partir des données relatives à la prise en charge (hospitalière puisque le rideau des généralistes a été, contrairement à toutes les recommandations en la matière, mis sur le carreau). Pourquoi cela importe-t-il ?

«  De deux choses l’une : on meurt soit à l’hôpital, soit en dehors. Dans le premier cas, c’est le signe que la prise en charge a permis au malade de recevoir des soins. Il est certes mort ; mais bien plus nombreux sont ceux qui survivent. Cependant, dans le second cas, la prise en charge n’a pas été assez efficace pour hospitaliser le malade puis tenter de le sauver. Quand la cause de la mort est rapide, il n’est pas toujours possible d’arriver à temps sur les lieux pour soigner le patient. Mais quand la mort est lente, plusieurs jours à plusieurs semaines comme dans le cas de la COVID-19, la mort en dehors de l’hôpital signifie un abandon de soins. »

Or c’est bel et bien ce paramètre (qui se dégrade régulièrement mais à bas bruit depuis 2014) qui a explosé l’année passée, atteignant :

« (…) des hauteurs himalayennes en 2020. La COVID-19 est nettement visible, non pas en tant que drame sanitaire mais comme un moment de profonde désorganisation du système de santé, incapable de faire accéder aux soins les personnes qui en avaient besoin. »

La prise en soins apparaît en effet, toutes catégories confondues, comme le principal prédicteur de mortalité ! Ce qui nous renvoie incontournablement et à nouveau à la péjoration des capacités hospitalières, particulièrement en soins intensifs, au cours des deux décennies écoulées.

« Les moyens alloués à la santé publique baissent constamment depuis la fin du XXe siècle. La figure 14 et la figure 15 montrent que les hôpitaux publics en France sont en déficit depuis 2006 (à l’exception de 2012) et que leur dette dépasse 50% de leurs ressources stables depuis 2013. Les investissements chutent comme l’illustre la figure 16, malgré l’importante augmentation de la population âgée, la plus fragile. Mais le plus grave est le manque de lits d’hôpitaux, dont le nombre diminue depuis le siècle dernier pour atteindre aujourd’hui moins de 6 lits pour 1000 habitants alors qu’il était de 11 lits en 1980. La figure 17 exhibe cette funeste chute sur la période 1997-2018. Mais la raréfaction des ressources hospitalières a commencé bien avant et elle continue encore en 2021 malgré la COVID-19 qui, paraît-il, aurait révélé le manque criant de lits disponibles dans les services de réanimation. »

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Il y a donc largement de quoi expliquer la hausse des abandons de soins depuis 2014 ainsi que son pic pendant la crise de la COVID-19, en fait principalement un pic de confusion des instances sanitaires.

L’auteur conclut dès lors que les abandons massifs de soins en 2020 ont été le fait d’un affaiblissement généralisé du système de santé publique », ajoutant avec une douce-amère ironie : « quand on ne soigne pas les gens, ils ont tendance à mourir. » Ce qui permet de pondérer et mettre en perspectives les données :

« Pour mesurer la violence relative de la COVID-19 en tant que pathogène, il conviendrait donc de corriger la surmortalité en lui soustrayant le nombre de personnes décédés d’abandon de soins et non pas de la COVID-19.

En appliquant les profils de mortalité des années précédentes à la population de 2020, on découvre que la COVID-19 a une gravité de l’ordre des grippes de 2016 et 2017. Sachant que les années 2018 et 2019 ont été plutôt tranquilles, la conclusion s’impose : la COVID-19 et ses dérivés constituent des maladies de saison dans la norme : elles ne battent aucun record. Le véritable fléau est organisationnel : l’hôpital public est démantelé depuis des années. En 2020, le système a lâché. »

« Quand on tue les gens, ils guérissent beaucoup moins bien. »

Tout le monde se souviendra comment, au moment même où il prohibait d’une manière injustifiée et sans précédent l’hydroxychloroquine, le gouvernement français libéralisait et recommandait la prescription de Rivotril, en particulier dans les Ehpad, aux patients âgés en détresse respiratoire, que l’on soupçonnait d’être atteints du Covid. Si l’affaire a fait couler — à juste titre — beaucoup d’encre, il convient encore de rappeler que « sa notice officielle précise pourtant qu’il n’est absolument pas indiqué dans les cas d’infection par coronavirus. Le Rivotril est uniquement un antiépileptique. »

« Selon la notice de ce produit et les injonctions des autorités de santé, l’état clinique du patient atteint de la COVID-19 ne devrait donc jamais justifier l’injection de Rivotril, bien au contraire : son utilisation dans les cas de détresse respiratoire relève de la faute médicale grave. La notice précise bien que l’âge avancé est un facteur de risque et que l’insuffisance respiratoire est une contre-indications majeure à son utilisation :

« N’utilisez jamais Rivotril 1 mg/1 ml, solution à diluer en ampoules : Si vous avez une insuffisance respiratoire grave. »

« Ce médicament peut provoquer chez certaines personnes, en particulier chez les enfants et les personnes âgées, des réactions contraires à l’effet recherché. »

La notice du VIDAL précise en outre [22] :

« Il convient d’utiliser la plus faible dose possible chez le sujet âgé. »

Parmi les effets indésirables, on trouve précisément les cas de complications de la COVID-19 :

‒ insuffisance cardiaque (défaillance du cœur), arrêt cardiaque ;

‒ dépression respiratoire (importantes difficultés à respirer), arrêt respiratoire.

Il faut se rendre à l’évidence que le Rivotril est le pire médicament à administrer dans un cas de COVID-19, au point qu’on en vient immédiatement à penser que ses effets indésirables sont en réalité les effets désirés par les rédacteurs du décret du 28 mars 2020. En effet, le Rivotril n’est pas un analgésique. La lettre aux prescripteur précitée insiste sur ce point :

« L’efficacité et la sécurité d’emploi de RIVOTRIL® ne sont en effet pas établies dans le traitement de la douleur (notamment céphalées, douleurs osseuses, neuropathiques, articulaires, analgésie postopératoire), ni dans les indications habituelles des autres benzodiazépines (notamment anxiété et troubles du sommeil). »

Au sens strict, l’utilisation du Rivotril ne relève pas de l’euthanasie car le produit utilisé n’est pas un analgésique. Pire encore, elle a toutes les qualités pour précipiter la mort de ceux à qui on préconise de l’injecter. Enfin, le consentement formel et éclairé du patient ou de sa famille n’est pas requis. Ainsi, en toute rigueur, son administration suivant la note de l’ARS Île-de-France et le décret du 28 mars 2020, en plus de constituer un refus de soins caractérisé, entre dans le champ de l’homicide. »

Une autre donnée choquante émerge de l’analyse de la variation des quantités de Rivotril délivrés non seulement en Ehpad mais aussi, de manière importante, en hôpital !

« L’usage du Rivotril pour euthanasier les patients a eu lieu non seulement hors de l’hôpital mais également à l’hôpital, ce qui jette un doute sur la réalité de la mortalité de la COVID-19 en hôpital, peut-être même supérieur à sa mortalité naturelle, sans prise en charge. Quand un patient est laissé sans soins, il lui reste une chance de guérir par ses propres moyens ; mais si on lui injecte du Rivotril, il a alors la certitude de mourir. Le nombre d’ampoules surnuméraires délivrées à l’occasion de la COVID-19 est de l’ordre de celui des abandons de soins évalués à 29 866. Il faut cependant noter que même en hôpital le Rivotril a été administré : ses morts ne sont pas comptabilisées dans les abandons de soins et viennent donc diminuer encore l’impact réel de la COVID-19 en faisant porter la responsabilité des décès sur des choix funestes de santé publique. »

« Confinez ! » qu’ils disaient 

Mais les choses ne s’arrêtent pas là : ainsi que je l’ai moi-même abondamment souligné depuis mars 2020, les mesures coercitives imposées (au premier rang desquelles le confinement) doivent aussi être questionnées quant à leur impact sur l’épidémie et la mortalité de la Covid !

J’avais vérifié, après que le Pr Goetzsche m’ait mis sur la piste, que la connaissance épidémiologique suggère bel et bien que les virus se propagent d’avantage au sein d’un population confinée. Ce fut également…

« … la conclusion d’une grande étude séro-épidémiologique menée par le Ministère de la santé espagnol en collaboration avec l’Institut de santé Carlos III, les services de santé des communautés autonomes et l’Institut national des statistiques. Les taux de contamination au SARS-CoV-2 ont été mesurés dans différentes catégories de population. Les contaminés ne tombaient par forcément malades ; mais tous ont croisé le virus de manière à développer des anticorps caractéristiques. Les populations actives confinées ont été contaminés par le virus dans une proportion de 6,3%, tandis que les travailleurs l’ont été à 5,3%. La différence est significative ; elle montre que le SARS-CoV-2, à l’instar de la rougeole, est plus virulent dans une population confinée. Nous constatons a posteriori que le confinement des populations accroît la diffusion du virus SARS-CoV-2. »

Une seconde vérification s’offrait par la comparaison entre la France (ayant confiné) et la Suède (qui y a renoncé) :

« Pour savoir si vraiment le confinement a eu un impact sur la dangerosité de la COVID-19, observons la mortalité dans deux pays qui ont adopté des politiques différentes de ce point de vue : la France et la Suède. En effet la Suède est l’un des rares pays européens à avoir refusé de confiner sa population. On ne constate aucune différence significative. »

Après avoir présenté les conclusions comparables de l’étude récente de Ioannidis et Battacharya, l’auteur conclut que :

«  (…) d’un point de vue purement épidémiologique, le confinement semble donc inutile. Mais d’un point de vue politique, il répond aux angoisses habituelles des pouvoirs inquiets. Les techniques efficaces pour contrôler les maladies infectieuses sont toutes fondées sur la séparation des personnes saines et des malades. Le but est de diluer le virus et non pas de le concentrer, ce que font les méthodes agrégatives que sont le confinement et le couvre-feu. Le confinement concentre spatialement les personnes dans leur domicile et le couvre-feu concentre temporellement l’activité dans des tranches horaires rigides. Dans les deux cas, ces démarches concentrent le virus en plaçant les populations dans des situations de promiscuité. Elles répondent à un désir de contrôle politique des populations en soumettant les activités individuelles à l’autorité de l’État ; mais elles n’ont ni a priori, ni a posteriori un quelconque rapport avec la médecine. »

Une analyse, donc, remarquable, et dont les conclusions doivent impérativement être reprises et discutées. Certes, l’auteur me l’a indiqué dans notre échange, il serait possible en reproduisant ses calculs de trouver des chiffres différents en raison des variations induites par les techniques d’interpolation et d’extrapolation des données, mais sans que cela ne change quoi que ce soit dans l’analyse qualitative.

De tels questionnements, avec des propositions d’interprétation divergentes, font et doivent naturellement faire partie du débat scientifique. Or ce qu’il y a de tragique à l’heure actuelle, c’est  d’une part que nous faisons bel et bien face à ce qu’il faut bien appeler une prostitution scientifique massive conduisant des chercheurs à produire des résultats à la demande, comme le diagnostic en a été posé de longue date par les éditeurs de revue scientifique eux-mêmes et comme nous en avons vu à nouveau d’innombrables exemples ; d’autre part qu’il y a actuellement une véritable suppression du débat scientifique, avec des autorités (comme le Conseil scientifique en France ou la Task Force en Suisse) qui édictent des dogmes fumeux et ne reposant sur aucune science solide, qui influencent pourtant mécaniquement les politiques et sont repris comme « vérité » absolue par des médias qui débunkeront ensuite de manière forcenée tout ce qui s’éloigne de cette doxa… J’ai eu l’occasion de le relever à de nombreuses reprises : si un pareil fonctionnement s’était maintenu au cours des siècles écoulés, nous en serions restés à la certitude que la Terre est plate !

La Task Force ose ainsi asséner que le confinement a sauvé des milliers de vies ou que la moitié des contaminations sont le fait de porteurs asymptomatiques sans que cela repose sur quoi que ce soit de sérieux, de solide ou de probant. Ce sont des croyances, à fortes connotations superstitieuses, mais qui constituent une imposture évidente dès lors qu’elles sont assénées comme constituant une réalité « scientifique ».

Ce qui nous ramène, sinon à la prostitution, en tout cas à une dérive très grave et aux conséquences désastreuses sur l’ensemble de la population dont il est essentiel qu’elles trouvent tôt ou tard une traduction pénale.

Pour l’instant c’est avec une joie profonde et une vigoureuse gratitude envers son auteur que je rends disponible sont article en fichier pdf, à télécharger ici.




Mise au point de la généticienne Alexandra Henrion-Caude sur les tests PCR et les injections d’ARN contre la Covid-19

[Source : Radio Notre Dame via s0p0a0c0e0]




Ingénierie sociale – Le monde est sous hypnose. MàJ

[Source : Réseau International]

par Ema Krusi.

Vous vous demandez sûrement comment ça se fait que ceux qui étaient vos amis il y a peu, ces personnes avec qui vous partagiez les mêmes valeurs… puissent maintenant avoir perdu tout contrôle de leur raison.. vous leur expliquer les chiffres, leur apportez des études, des faits. Mais les yeux restent vides, rien ne se passe. Et vous vous dites: c’est pas possible ! Ils dorment ! En réalité, vous n’avez pas si tort que ça. En réalité, le monde est sous hypnose…

Avez-vous déjà entendu parler de l’ingénierie sociale ? De la fabrique du consentement ? Je vais aller droit au but aujourd’hui. J’ai une question pour vous: pensez-vous que ceux qui vous dirigent souhaitent votre bien ? Pensez-vous qu’il serait possible qu’ils vous connaissent mieux que vous ?

[Mise à jour : La source originale de la vidéo a été supprimée par YouTube. Voici deux copies :]

https://youtu.be/2H7gRjjQEVo



De l’urgence d’être complotiste

[Source : FranceSoir]

Par Alain Leduc

Quand je me suis aperçu que dans ce pays le simple fait de mettre en doute une information qui ne tire sa légitimité que d’être labellisée « parole officielle » et d’être répétée en boucle dans les médias suffisait à faire de vous un complotiste, j’ai pensé que le mieux était encore d’en devenir un pour de bon.

À moins d’être totalement naïf ou d’être prisonnier d’un système qui vous garantit à la fois le confort de la pensée et la position sociale, qui peut en toute honnêteté se convaincre que, par son ampleur planétaire, la situation actuelle ne soulève pas un minimum de questions ? N’est-il pas normal et légitime de se demander :

Pourquoi une maladie infectieuse qui a perdu beaucoup de sa virulence depuis le printemps 2020 est devenue l’unique sujet de préoccupation du gouvernement et des médias dominants, tandis que les ravages collatéraux de cette crise sont systématiquement laissés aux oubliettes ?

Pourquoi les traitements – efficaces – permettant de guérir du covid ont été dénigrés et même interdits, alors qu’en même temps on prétend, en haut lieu, tout faire pour protéger les plus fragiles ? Pourquoi pas une seule fois un ministre ou un médecin de plateau-télé n’a cru bon de donner aux Français des recommandations pour stimuler leurs défenses immunitaires qui sont tout de même le meilleur rempart contre la maladie ?

Pourquoi une solution aussi hasardeuse que la vaccination de masse (aux conséquences sanitaires parfaitement imprévisibles) est promue au rang de solution miracle, au mépris de toutes les mises en garde émanant de nombreux médecins et chercheurs courageux et indépendants ?

Pourquoi enfin toute pensée, toute réflexion qui se se conforme pas au dogme officiel est systématiquement exclue du champ médiatique, quand elle n’est pas purement et simplement criminalisée ?

Je le répète : si le simple fait de poser ces questions, que tout citoyen est en droit et même en devoir de se poser, est un signe de complotisme, alors c’est que l’heure est venue de revendiquer ce terme et d’en assumer les implications. Car outre qu’il pose les questions qui dérangent, le complotiste a fâcheusement tendance à vouloir trouver des explications et à émettre des hypothèses. Certaines, bien sûr, sont farfelues ; mais on ne doit normalement pas craindre cela quand on est en démocratie ! Cela s’appelle le pluralisme ou encore la liberté d’expression. D’autres, par contre, sont frappées au coin du bon sens, n’en déplaise aux experts patentés  qui se sont arrogé le droit de penser à notre place.

Est-il, par exemple, farfelu ou déraisonnable de penser que les élites qui dominent le monde (grands Etats, GAFA, multinationales, puissances financières) font des projets ? Qu’elles font tout ce qui est en leur pouvoir pour donner au monde et aux populations l’orientation la plus favorable à la pérennisation et au renforcement de leur position dominante ? Et que, ce faisant, la défense de leurs intérêts communs les amène à unir leurs forces au sein d’une gouvernance de plus en plus ouvertement mondialisée ? Ne peut-on pas non plus suggérer que la crise sanitaire et la perspective vaccinale qui l’accompagne sont une remarquable occasion pour ces élites ?

Non, décidément, il n’y a rien d’anormal à faire ce genre d’hypothèses ! Je dirais même que c’est un élément indispensable à toute pensée politique désireuse d’éclairer l’avenir. Les chercheurs le savent bien : c’est en s’appuyant à la fois sur l’analyse des faits et sur des hypothèses qu’on parvient, à force de recoupements et de rapprochements, à identifier des causes et à proposer des explications – et des solutions. Et si l’hypothèse est mauvaise, encore faut-il en apporter la preuve, ce qui ne peut se faire qu’au sein d’un débat public véritablement démocratique.

Personnellement (ici je quitte le plan des faits et des hypothèses déductives pour me risquer à une interprétation), je proposerais, en vertu du principe énoncé par Térence selon lequel « rien de ce qui est humain ne m’est étranger », une lecture simple et psychologique de la situation actuelle. L’argent rend fou, nous rappelle l’adage populaire et, de fait, les hyperpuissants dont je parlais plus haut se sont écartés depuis longtemps de la « voie du milieu » chère à Montaigne, celle qui sert de repère à notre humanité commune. A force de vivre dans un sentiment de puissance quasi illimité, à force de ne rencontrer que des alter egos partageant la même vision du monde, à force de ne voir le reste de l’humanité (soit environ les 99,9% restant) que comme des entités mathématiques malléables à merci, il ont peu à peu perdu le sens de l’humain, le sens de la vie. Ils se sont enfermés dans un fantasme hyper-narcissique qui, du fait même de sa puissance, menace aujourd’hui de nous entraîner tous dans la vision totalitaire d’une humanité En (ordre de) Marche, si, comme l’enfant tyrannique qu’on n’ose jamais contredire, ils ne rencontrent pas rapidement l’opposition intransigeante des forces opposées à cette vision profondément nihiliste de l’existence humaine.

Aussi, être complotiste aujourd’hui ce n’est pas selon moi partir en lutte contre telle ou telle classe, contre telle ou telle oligarchie ; c’est, plus modestement, poursuivre le combat qui sévit, depuis la nuit des temps, au sein de la psyché humaine, entre les forces de la vie qui poussent l’individu à aimer, à entretenir, à cultiver le monde commun et celles de la régression qui cherchent à s’accaparer ce même monde au nom de la prétendue liberté d’un moi élevé au rang d’idole, par ignorance de sa vraie nature. C’est un combat contre ce qu’il faut bien appeler une folie prédatrice, folie d’autant plus dangereuse aujourd’hui qu’elle se dissimule sous le masque à la fois rassurant et séduisant de la rationalité et du progrès techniques.

Alors, au lieu de nous soumettre aveuglément à une parole officielle, dont tout nous dit qu’elle est dictée par des intérêts financiers et politiques qui n’ont strictement rien à voir avec le souci du bien commun, osons être des citoyens libres, osons écouter la petite voix intérieure qui nous met en garde et qui, comme le rappelle Rousseau, est notre meilleur guide pour penser et agir. Soyons enfin comme les insurgés néerlandais du 16ème siècle, traités de « gueux » par les partisans de la tyrannie espagnole et qui ont fait de cette insulte un signe de ralliement. Et si l’histoire des Pays-bas ou la pensée de Rousseau ne suffisent pas, songeons pour finir à l’avertissement de Brecht, ce Discours pour la paix de 1952 qu’on lira peut-être un jour comme un des textes fondateurs du « complotisme mondialisé » :

Disons et redisons ce qui a déjà été dit des milliers de fois, de peur qu’on nous reproche de ne pas l’avoir dit assez !

Répétons les mises en garde, même si elles sont déjà comme de la cendre dans notre bouche !

Car l’humanité est sous la menace de guerres en comparaison desquelles les guerres du passé feront figure de coups d’essai insignifiants et nul doute que ces guerres se produiront si ceux qui qui les préparent au vu et au su de tous n’ont pas les mains brisées.*

*Bertolt Brecht, Rede für den Frieden : « Lasst uns das tausendmal Gesagte immer wieder sagen, damit es nicht einmal zu wenig gesagt wurde ! Lasst uns die Warnungen erneuern, und  wenn sie schon wie Asche in unserem Mund sind ! Denn der Menschheit drohen Kriege, gegen welche die vergangenen wie armselige Versuche sind und sie werden kommen ohne jeden Zweifel, wenn denen, die sie in aller Öffentlichkeit vorbereiten, nicht die Hände zerschlagen werden. »

Alain Leduc, universitaire et citoyen




Agenda 2030 : vous n’aurez rien et vous serez heureux

[Source en italien : Blondet et amis]

[Photo : ThinkstockPhotos]

Par Roberto PECCHIOLI

L’Agenda 2030 pour le développement durable est un programme d’action pour les peuples, la planète et la prospérité signé en septembre 2015 par les gouvernements des 193 pays membres de l’ONU. Il intègre 17 objectifs de développement durable dans un important programme d’action pour un total de 169 objectifs. Ceci est écrit sur le site officiel des Nations Unies. Promesse ou menace ? Plutôt la deuxième hypothèse. La Grande Réinitialisation — grande annulation et redémarrage — n’est pas la même chose, mais les objectifs coïncident et ont en commun la proximité avec les politiques du Forum Économique Mondial, du soi-disant « parti de Davos », du cartel des grandes multinationales et des hommes les plus puissants de la planète.

La dernière réunion s’est tenue en ligne fin janvier 2021, en attendant la réunion plénière « en chair et en os », prévue à Singapour en mai prochain. Tous ensemble les différents aspects de l’agenda mondial s’inscrivent dans un immense projet de reconfiguration anthropologique, économique, environnementale et existentielle à moyen terme (2030 n’est certainement pas loin) dont il n’est pas hasardeux de définir l’époque [d’achèvement], en ce sens que son succès — s’il intervient — va changer l’existant, l’Humanité et son être (l’être là — « Dasein » dans le lexique de Martin Heidegger) dans le monde, comme jamais cela n’est arrivé dans l’Histoire.

Il faut détourner le regard du scénario crucial du virus et tenter une première approche avec le plan mondialiste, qui vise à bouleverser, peut-être à submerger, nos vies. Il s’agit d’une action gigantesque et coordonnée à plusieurs niveaux — politique, économique, sanitaire, technologique, environnementale — conçue pour renforcer l’empire du néocapitalisme et à ouvrir une nouvelle ère pour l’humanité.

Essentiellement, c’est l’établissement d’un techno-féodalisme pour lequel le jugement du philosophe Giorgio Agamben s’applique.

« Le capitalisme qui se consolide à l’échelle mondiale n’est pas le capitalisme sous la forme qu’il avait prise en Occident : c’est plutôt le capitalisme dans sa variante communiste, qui a apporté un développement extrêmement rapide de la production avec un régime politique totalitaire. (…) Ce qui est certain, cependant, c’est que le nouveau régime combinera l’aspect le plus inhumain du capitalisme avec l’aspect le plus atroce du communisme étatiste, combinant l’aliénation extrême des relations entre les hommes avec un contrôle social sans précédent. »

L’une des vidéos diffusées en marge du tout récent Forum Économique Mondial montre l’image d’un jeune homme au sourire radieux et au titre emblématique : « en 2030, vous n’aurez rien et vous serez heureux ». Cela ressemble à un programme communiste et ça l’est, en fait. La vidéo a été critiquée sur les réseaux sociaux et le Forum l’a supprimée de Twitter, mais elle est toujours visible sur la page Facebook. Les écrits de Karl Marx émettent l’hypothèse d’un monde parfait dans lequel — propriété privée abolie — il y aurait des entrepôts remplis de marchandises dans lesquels tout le monde se servirait librement.

Communisme impitoyable en bas, capitalisme tout aussi écrasant au sommet, pour ces messieurs la variante néo-féodale est que la grande majorité de l’Humanité ne possédera rien, pendant que la propriété privée — non plus seulement les « moyens de production », mais [absolument] tout, tout ce qui existe dans le monde (biens, services, technologies, argent) restera à la charge d’une minorité avec la puissance de fer. Un Moyen Âge postmoderne dépourvu de la spiritualité et de la hauteur morale du Moyen-âge. Au sommet, une poignée d’empereurs — les maîtres universels — aidés par diverses castes de seigneurs féodaux, vassaux, valvasseurs et valvassins. En bas, nous tous, les serfs à qui donner une existence animale.

Dans cette réflexion, nous nous limiterons à analyser cet aspect de la réinitialisation — ce qui, nous le répétons — signifie annulation. Les maîtres du monde prédisent un avenir proche dans lequel la propriété privée généralisée ne sera pas pertinente et pourra être éliminée.

En 2016, le Forum économique mondial a publié un article décrivant une société apparemment utopique dans laquelle tous les besoins matériels fondamentaux seraient satisfaits. L’auteur en est Ida Auken, membre éminente du Forum et ancienne ministre de l’Environnement au Danemark. La nouvelle Cité du Soleil sera-t-elle un paradis — ou un enfer ? — où en quelques minutes quelqu’un livrera toutes sortes de marchandises : le monde d’Amazon. Plus personne n’aura de voiture, remplacée par un réseau de transport public (mais privé…). Vous ne paierez pas de loyer pour le logement, qui sera utilisé par d’autres en votre absence. Une vie animale, nomade ou transhumante parfaite — mieux vaut dire liquide ? — en traînant un chariot [de courses, comme certains « sans domicile fixe »] pour chasser ça et là des « opportunités », une sorte de projet Erasmus perpétuel pour une humanité déracinée.

Même la nourriture dans ce cauchemar de rêve sera gratuite : les ordures seront livrées par de pauvres employés par le biais de plates-formes dédiées; personne ne possédera plus de vaisselle et de couverts. Il sera plus « pratique » de les recevoir à la maison au moment de l’utilisation. L’insistance sur le « confort », le même permis par l’utilisation de cartes de crédit (ou de débit), fournies ou contrôlées par la puissance financière au détriment de l’argent comptant, est terrible. « Vous pourrez louer n’importe quoi et vous serez heureux. » Des millions, des milliards de vies louées. Mais si nous payons le loyer, cela signifie que les biens et les services appartiennent à quelqu’un qui conserve fermement la propriété et peut choisir à qui et dans quelles conditions accorder éventuellement son utilisation.

Est-il possible que vous ne remarquiez pas l’immense tromperie? Possible, parce que les maîtres universels ont atteint la capacité technologique d’entrer dans nos vies et nos esprits. L’appel extrême de George Orwell à la liberté dans 1984 devient anachronique : « Ils peuvent vous forcer à dire n’importe quoi, mais il n’y a aucun moyen qu’ils vous le fassent croire. Ils ne peuvent pas entrer en vous ». Faux : maintenant, ils peuvent. Les technologies de surveillance et l’immense appareillage de programmation neuronale, les puces sous-cutanées, les médicaments imposés, y parviennent.

Même le travail n’existera plus, remplacé par « le temps de penser, de créer et de développer ». Penser à quoi, à la consommation matérielle et triviale ? Puis créer? Dans quel but, puisque rien ne sera « à nous » et que nous ne serons pas en mesure de profiter des fruits et de les transmettre aux enfants? En ce qui concerne le développement de la personnalité, nous pensons plutôt à un nombre infini de névroses, qui ne pourront être corrigées que par une nouvelle médicalisation de la vie, l’administration massive de substances psychotropes capables de faire supporter une vie d’homo sapiens en captivité, en tant qu’animal de ferme.

Vous n’aurez pas besoin de sortir faire du shopping, « l’algorithme le fera pour vous. » L’immense expérience de l’ingénierie sociale sous-jacente au coronavirus est très bien expliquée : tout le monde à la maison, espacé « socialement », atomes solitaires et méfiants qui reçoivent l’alimentation du maître. Serfs : dans l’économie de Curtense, les agriculteurs et leurs familles avaient l’obligation de rester à vie dans le fief vassal du seigneur et de travailler pour lui. En retour, ils bénéficiaient d’une protection et d’une garantie de subsistance matérielle minimale. Tout sauf quelques outils et quelques meubles, appartenait au seigneur féodal.

Nietzsche avait-il raison avec sa théorie cyclique de l’histoire, « l’éternel retour »? Auken conclut : « Je n’ai pas de propriété. Je n’ai pas de voiture. Je n’ai pas de maison. Je ne possède pas de vêtements ni d’équipement. Cela peut sembler étrange, mais dans cette ville, cela a du sens ». La propriété privée est un accessoire inutile, presque une nuisance. Étrange que les hyper-maîtres, propriétaires de tout, les seigneurs néo-féodaux, ne s’en débarrassent pas. Nous n’aurons plus de vie privée : « Je n’ai pas de véritable intimité. Je ne peux aller nulle part sans être inscrit. Tout ce que je fais, je pense et rêve reste enregistré. En fin de compte, c’est une bonne vie ». C’est fou, mais des idées comme celles-ci sont l’avant-garde visible de ce qui nous attend, et il est de peu de valeur que le Forum ait expliqué que les idées exprimées sont d’Auken et non du WEF [FEM – Forum Économique Mondial], qui les publie cependant et les diffuse dans d’autres documents, tels que la vidéo mentionnée plus haut, dans lequel, entre autres choses, il y a une prédiction que d’ici 2030, nous allons manger des aliments artificiels.

C’est l’un des objectifs de Bill Gates, mais il achète prudemment des fonds agricoles fertiles. Il possède déjà plus de cent mille hectares. Les ordures alimentaires sont pour nous, pas pour ces messieurs. En attendant, aussitôt dit, aussitôt fait : l’UE impose l’étiquetage de la viande et d’autres aliments avec l’indication qu’ils peuvent causer le cancer. Ils ont vérifié avec le virus que la peur fait du quatre-vingt-dix, dans l’Ouest matérialiste et décadent. La civilisation alimentaire changera également, modifiant profondément non seulement les habitudes de vie, mais submergeant des secteurs économiques entiers et le panorama même que nous avons sous les yeux. Vous mangerez moins de viande, intime le Forum, indiquant les insectes, les algues et la viande artificielle comme alternatives. Pour le bien de l’environnement et de notre santé : Big Brother est végétarien et qui sait si nous pourrons encore choisir notre alimentation? Par pur hasard, Bill Gates est l’un des grands financiers de la recherche sur les produits Frankenstein, à travers des entreprises comme Beyond Meat et Impossible Foods. Il a également investi dans la biologie dite synthétique, une technologie dont le but est de produire artificiellement toutes sortes d’aliments.

Nous tenons à souligner à quel point les contrastes politiques et idéologiques sont futiles, en ce qui concerne l’immense portée des thèmes réels du présent et du proche avenir. L’Agenda 2030 stipule qu’«un milliard de personnes devront émigrer en raison du changement climatique. Nous devrons mieux accueillir et intégrer ces réfugiés. Pourquoi consacrer des ressources à la lutte contre le changement climatique si nous savons à l’avance qu’il y aura un exode biblique de cette ampleur? »

Les entreprises paient pour le dioxyde de carbone. Il y aura un prix mondial normalisé. Cela permettra d’accélérer la disparition de l’utilisation des combustibles fossiles. Qui fixera le prix? Peut-être le Soviet suprême du parti monopoliste mondial.

« L’humanité pourra se rendre sur Mars ». Pour faire quoi, et qui paie? Et puis, pourquoi aller sur Mars, si nous sommes si heureux ici? Pendant ce temps, nous nous organisons pour un monde dans lequel vous ne bougerez presque plus, la réédition parfaite du féodalisme. Le télétravail nous gardera cloués au bureau à la maison, télécommandés par un superviseur qui dépend également d’un niveau supérieur.

Ils disent ouvertement qu’il faut oublier les voyages, le tourisme et les vols low cost [à bas prix] : l’avion leur sera à nouveau réservé, ces quelques heureux et éclairés. Pour nous, les voyages court-courriers : le retour des voitures-lits, la revanche du cher et vieux chemin de fer, est déjà à l’ordre du jour. Ô machiniste, mettez le charbon, faites démarrer cette grosse voiture. C’est la réalisation parfaite de ce que Tocqueville avait imaginé au milieu du XIXe siècle, une tyrannie qui dégrade, efface l’âme sans torturer le corps, « immense pouvoir qui se conservera dans l’adolescence éternelle, à la recherche constante de plaisirs vulgaires ». Ajoutons l’avènement d’un matérialisme plus lourd que le marxiste et plus absolu que le libéral.

L’épidémie a été providentielle pour l’oligarchie, car elle a permis de tester avec succès la relation verticale entre les sujets et le souverain, sans plus de médiations sociales, politiques et de valeur, avec l’élimination de « toute relation étrangère à l’échange individuel entre la protection et l’obéissance » (Roberto Esposito). L’Agenda 2030 peut donc être présenté, comme l’a annoncé le Forum, car « les citoyens sont maintenant préparés ». C’est pourquoi ils ont imposé le masque et nous ont fait cacher le visage.

Eux ne se cachent pas du tout. C’est ainsi que Klaus Schwab, le grand chambellan du forum, a écrit dans le programme de cette année :

« L’aspect positif de la pandémie, c’est qu’elle nous a appris que nous pouvons apporter des changements radicaux à notre mode de vie très rapidement. Les citoyens ont amplement démontré qu’ils sont prêts à faire des sacrifices pour le bien des soins de santé. Il est clair qu’il y a une volonté de construire une société meilleure et nous devons en profiter pour assurer la Grande Réinitialisation. »

Le bien d’un pour cent de l’humanité, le féodalisme techno postmoderne, est transmis comme un intérêt commun, au point de critiquer grotesquement le capitalisme mondialisé. Ils organisent l’avenir et aussi l’opposition paradoxale à eux-mêmes, conscients qu’une grande partie de l’humanité, malgré l’endoctrinement colossal, ne pense pas comme eux. Bill Gates prévient, pour sa part, que« le transport aérien doit être réduit de plus de la moitié. Les avions contaminent beaucoup. »

Étrange mondialisation sédentaire, avec la population terrée dans des maisons louées travaillant à la pièce. Le Forum annonce sans un mot que nous devrons retourner voyager en train. Dans un message de propagande, ils nous expliquent à quel point « c’est merveilleux de voyager en train de nuit ». L’avion sera le privilège des riches : le glas de Ryanair. Nous, dans la plèbe, retournerons au train solaire. Tout au plus, nous aurons le retour de l’Orient Express, payable en plusieurs fois avec retrait direct par virement bancaire. Les fortunes magnifiques et progressistes des peuples que « le capitalisme actuel a conduit à de grandes inégalités économiques ». Des mots effrontés de la part de ceux qui ont causé l’incendie.

C’est, au contraire, une grande contre-offensive hégémonique face à la crise du consensus qui a affecté le capitalisme financier (Luciano Gallino) et qui touchera bientôt le capitalisme techno féodal et panoptique des GAFA.

Une réflexion de Geminello Preterossi, auteur de Contro Goliath, est éclairante :

« s’il y a un besoin de réorientation, pour les oligarques de Davos, cela devra être réalisé par le capitalisme lui-même, c’est-à-dire par ceux qui ont produit la catastrophe. Avec une sorte de faux mouvement illusionniste, s’opposant à l’existant, ils exploitent l’occasion de la pandémie pour immuniser le pouvoir absolutiste du capital de tout changement réel qui vient d’en bas et représente une alternative organisée : pour ce faire, il faut changer de récit, prétendre liquider le néolibéralisme pour sauver et relancer le capitalisme (dont le noyau du pouvoir néolibéral reste intact), en renforçant ses possibilités de domination. Cette domination des esprits va jusqu’au projet excessif de contrôle total et algorithmique sur les vies, dont les résidus de différence et d’autonomie doivent être mis à zéro ou neutralisés avec des modes automatiques. »

La passivité sociale soutenue par la surveillance bloque les conflits et minimise la socialité, devenue synonyme de danger. La Réinitialisation détruit les petites et moyennes entreprises et la grande muraille du tissu social et communautaire, abolit les traditions historiques et perturbe l’autonomie de l’être humain. C’est la fin de la liberté au nom d’une sinistre égalité que Pasolini aurait qualifiée d’homologation féroce et de conformisme forcé d’Orwell. Tout cela est assaisonné avec une sauce indigeste que Preterossi appelle « rhétorique insensée du bien commun, du vert, de l’inclusion, dans laquelle la novlangue s’exempte de cohérence pour mystifier toute situation, en la faisant apparaître à l’opposé de ce qu’elle est réellement. »

Le but ultime est l’anti-société post-humaine. Ce qui est en jeu, c’est une transformation anthropologique dont l’Agenda 2030 n’est qu’une étape. Le but ultime est de vaincre l’homme, le tournant du transhumanisme dans un horizon où la technologie est la sage-femme de l’histoire et le capitalisme devient religion, comme Walter Benjamin l’a deviné. La nouvelle normalité consistera en des relations sociales réduites au minimum, la majeure partie de l’humanité (occidentale) enfermée dans le terrier, reliée à des appareils artificiels, supervisée par par le nouveau Panopticon [NdNM : en français « panoptique » — établissement, souvent correctionnel, conçu de façon à pouvoir en voir tout l’intérieur à partir d’un point donné], avec des comportements prévus et pré ordonnés par le système technologique, en attendant devenir un composant de nouveaux appareils sophistiqués. L’exploitation de l’homme deviendra encore plus répandue, jusqu’à ce qu’elle produise deux espèces humaines distinctes : les maîtres féodaux; et les serfs qui seront amenés à aimer leurs chaînes, par ignorance, par la peur, par de mystérieuses substances pharmacologiques introduites dans le corps physique grâce à une puissance devenue bio-puissance.

De nombreuses activités économiques, artistiques et culturelles disparaîtront. L’appauvrissement — matériel et spirituel — sera immense, tandis que la numérisation des relations humaines sera le summum du délire anti-humain et en viendra à un nihilisme glaçant dirigé d’en haut. Le totalitarisme mélodieux de Davos et de la Silicon Valley est la réponse d’un libéralisme handicapé par son incapacité à obtenir légitimité et consentement.

La vie est ailleurs et on ne dit pas que la gigantesque opération de reconfiguration réussira. L’homme a des reflets de la vie. Il s’agit de savoir si l’ancienne réalité désuète sera vaincue par la vie désincarnée préparée, avec un mouvement uniformément accéléré, par l’oligarchie sociopathe de l’argent et de la technologie. Cependant, même d’une manière très différente de tout passé, la dialectique demeure celle indiquée par Hegel : serviteur contre Seigneur. On n’est rien, donc on ne peut rien avoir. La conscience de la condition des serviteurs, non plus des gens, mais du matériel humain, est la première étape pour sortir de la grotte et attaquer les Seigneurs.

Une histoire de Covid
La grand-mère de la femme de mon physiothérapeute en 2020 avait 99 ans et était au Trivulzio dans une maison de retraite. Covid: négatif. Cependant, comme dans toutes les maisons de retraite, les familles ne sont plus admises. Au téléphone, vous êtes informatisé, les personnes âgées ne sont plus obligées de se lever. Il est inutile de protester, c’est le protocole. Demande de reprise de la grand-mère: impossible à cause du protocole. Coup de fil en août: elle n’a plus que quelques heures à vivre, mais pas à cause de la Covid. Visite pour le dernier adieu? Non, [à cause du] protocole. Grand-mère meurt. Pas à cause de la Covid. Dossier médical: Covid.
Annalia Martinelli

Ils tuent avec des protocoles. Plus propre que le vieux coup [du lapin] à l’arrière de la tête.




L’Union Européenne s’est couchée devant les labos pharmaceutiques

[Source : Manon Aubry]

La stratégie 🇪🇺 sur les #vaccins​ est un vrai fiasco : la Commission s’est totalement couchée devant les labos !

On est capable d’imposer à tous les citoyens une restriction inédite de libertés mais on serait incapables de fixer des règles aux big pharma ?

[NdNM : On peut noter que la salle du parlement est presque entièrement vide.]




Projet Vulcain

Par Joseph Stroberg

Voici mon second roman de science-fiction, publié aux Éditions Dédicaces

Après la fin de la Grande Tribulation des vingtième et vingt et unième siècles, l’Humanité a développé une toute nouvelle société. Celle-ci est organisée en sept grands groupes informels et non figés. Il n’existe plus de gouvernements ni d’administration et bon nombre de métiers ont disparu. Plusieurs personnages ordinaires vont être amenés à interagir plus ou moins directement pour faire face à une situation extraordinaire et développer un projet d’exploration spatiale.

Milton, un « veilleur » des anciens États-Unis, Myrdhas, un jeune de l’ancienne France en recherche d’identité qui s’interroge sur la légende du Grand Monarque, Thorkel, un « découvreur » parapsychique capable de voir à distance, Ilmina, une « navigatrice » de l’ancienne Italie, Noursultan, un chasseur d’Asie centrale et Lisane, une mère de famille « conciliatrice », voient leurs destins se croiser alors qu’une vague de crimes inexpliqués et la panne du « Réseau » viennent gravement perturber la paisible vie planétaire.

Le projet Vulcain répondra-t-il aux espoirs de l’Humanité de contacter une race extraterrestre susceptible de l’aider face à une situation dont les causes lui échappent ?

Le livre est disponible sur les sites suivants :

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Vague de soutien pour l’ouverture des piscines. Transformons-la en tsunami !

Par Dr Nicole Delépine

Vague de soutien pour l’ouverture des piscines. Transformons-la en tsunami !

« L’apprentissage de la natation doit rester une priorité pour la santé de tous. Ensemble pour le maintien des activités aquatiques sans risque sanitaire », a tweeté Florent Manaudou (médaillé d’or du 50m nage libre à Londres) emboîtant le pas à l’ancien nageur Camille Lacourt, Fantine Lessafre ou encore Charlotte Bonnet.

Un appel (bien tardif) de la fédération française de natation à la ministre des sports (ancienne nageuse !) pour la réouverture des piscines apparait enfin sur le net.  Il est évidemment urgent de soutenir cette démarche qui pourra diminuer, si elle réussit, la déprime et la consommation d’antidépresseurs des nageurs frustrés, comme remède aux mesures liberticides globales dont les fermetures des équipements sportifs.

Le sport, une religion de nos sociétés de consommation, actuellement reniée

Alors que la pratique du sport devenait presque une « religion » dans nos pays encore riches, que les cancérologues la recommandaient comme adjuvants des chimiothérapies, allant même jusqu’à demander le remboursement des séances encadrées de différentes spécialités, alors que l’éducation sportive devenait aussi importante que la pratique des mathématiques ou de la philosophie à l’école pour être considéré comme « bon élève », brutalement tout s’écroule !

À l’occasion d’une épidémie grippale particulière, le fameux coronavirus dont on s’aperçut assez vite que sa létalité (son risque de tuer) était bien faible et ne touchait que les personnes âgées déjà malades d’autres pathologies (cœur, diabète etc. ou d’extrême vieillesse). La moyenne des décès est de 84 ans alors que la moyenne de survie en France est de 82 ans. Bref on allait gagner deux ans sur la moyenne si on décédait de ou avec le coronavirus (moyennes établies sur cette ambiguïté…).

Trêve de plaisanterie, il apparut (plus ou moins vite selon qu’on est collé, ou pas, à BFM Menteur, ou Francedésinfo) que le fameux virus ne touchait ni les enfants, ni les adolescents, exceptionnellement les jeunes adultes et que les enfants même parfois contaminés (quasiment toujours par leurs familles ou un très proche) ne devenaient pas des malades,[1] ne contaminaient ni enfants ni adultes.

Finalement le risque de décès avant 65 ans est de 1 pour 300 000 personnes. Avec plus ou moins d’humour, les intéressés auraient pu vite savoir qu’un jeune avait beaucoup moins de chance (risque) de mourir de Covid19 que par la foudre ou accident domestique ou de la fameuse trottinette.[2]

Le scénario catastrophe de la clique de Davos

Mais peu importe, le grand cinéma se mit en place, pour créer et entretenir la sidération des peuples obnubilés grâce à la mise en scène digne de Goebbels (par répétition des mensonges assénés mille fois par jour, sur toutes TV, radio ou journaux de désinformation même anciennement côtés via leur passé comme Libération ou Le monde).

Le scénario de panique essayé et raté en 2008 avec le H1N1 avait pour but de rétablir la finance mondiale en ruinant les classes moyennes. En une décennie, le film catastrophe fut rodé en particulier en novembre 2019 avec la répétition du plan « disponible en cas de pandémie ». Ce fut l’Event201 que vous pouvez retrouver sur le web.

Et finalement à l’occasion de la nouvelle épidémie de coronavirus (cousine des épidémies de SRAS ou Mers vite disparues), le plan fut lancé dans la vie réelle avec son cortège de mensonges, de truquages (tests PCR via Drosten dès janvier 2020), de rapports trompeurs réalisés à la demande du gouvernement Merkel par exemple présentant des prévisions catastrophiques (rapport supposé secret et dont on organise la fuite).  Les prévisions tragiques du prophète Ferguson[3] furent le prétexte de notre président en mars 2020 pour nous confiner et stopper l’économie du pays dont les écoles et universités.

L’OMS fut le pivot des annonces terribles via son conseil scientifique de 194 pays ayant signé un accord pour appliquer ses consignes en cas de pandémie[4]. Il ne restait qu’à déclarer la pandémie. Ce qui fut fait rapidement en changeant les critères car ce petit virus peu obéissant n’était pas assez méchant, que diable !

Le confinement aveugle et ses suites délirantes

Alors branle-bas de combat, on n’allait pas revivre le ratage de la finance internationale de 2010 et les gouvernements liés dans leur projet de Nouvel Ordre Mondial (NOM) que nous promettait déjà le président Sarkozy. Ils adoptaient des mesures drastiques pour convaincre les peuples de la gravité de la situation et ruiner les classes moyennes selon le mécanisme clairement exposé dans le dernier livre de Klaus Schwab « Covid19 et grande réinitialisation ».

Selon les pays, ce fut plus ou moins drastiquement et intelligemment appliqué. Mais la France, comme la Belgique ou l’Italie versa dans l’extrémisme, pas forcément astucieux, car permettant d’ouvrir les yeux des plus attentifs par le ridicule de certaines décisions. Certes ils voulaient utiliser la dissonance cognitive de nos cerveaux par des ordres contradictoires, mais point trop n’en faut, et les conséquences dramatiques actuelles en sont la démonstration. Le peuple se réveille, certes doucement mais se réveille.

Remplacer le sport en salle par des séances guidées à travers zoom ou autres, n’eût qu’un temps. Et là nos apôtres du tout numérique de la grande révolution industrielle de Schwab, que le NOM veut imposer n’avait pas tout prévu. Ras le bol du yoga, ou de la box à travers un écran, et bien sûr des cours dits en distanciel, nouveau mot à la mode.

La piscine en distanciel, pas facile

Par manque d’imagination, ils n’ont pas su proposer des activités aquatiques en distanciel. Il a aussi été difficile de prétendre que les piscines sont des lieux dangereux, tant l’eau de javel et la douche permanente sont omniprésentes toute l’année. Ils n’ont même pas réussi à inventer un cluster, au moins un pour la forme et la panique. Pas de chance !

Alors ils ont fermé quand même contre toute logique et conseillé à la place de marcher (dans le rayon initial de 1 km et d’une heure). On peut avoir un grand projet pour dominer le monde et mettre en esclavage 99 % des habitants de la planète, on n’est pas forcément doué pour y arriver, le syndrome d’Hubris obscurcissant souvent tout bon sens.

Notons qu’ils ont osé interdire les sports aquatiques en mer (#Surf #KiteSurf #BodySurf #StandUpPaddle #Natation) et la marche sur les plages dont les entrées furent obstruées. Sacré virus qu’il fallait laisser se baigner tranquille dans l’océan… Qui a pu croire à leur sincérité sanitaire hormis les journalistes tellement révérencieux qu’ils en ont perdu leurs lunettes ?

Les nageurs, leurs entraineurs, leurs fédérations, se sont soumis comme la grande majorité du reste de la France. Mais le temps passe et les complications et peut-être séquelles de ces décisions sans aucun sens sanitaire, peut-être pas si politiquement efficaces, s’accumulent.

« Pour la santé de tous nous souhaitons le maintien des activités aquatiques dans toutes les piscines ! Elles ne présentent pas de risque sanitaire et nous demandons un plan de soutien ministériel pour notre réseau fédéral. Parce que savoir nager doit rester une priorité ».

Difficile de comprendre pourquoi depuis septembre, les piscines sont ouvertes aux scolaires pourtant en groupe, mais pas aux licenciés qui pratiquent la natation plusieurs fois par semaine, pourquoi les stages professionnels sont autorisés, mais pas les stages de compétition des plus jeunes.

DEUX PROBLEMES POUR LA FEDERATION : l’argent pour survivre, les nageurs en perdition

Le 1er février dernier, la Fédération Française de Natation (FFN) a publié un communiqué demandant le maintien des activités aquatiques dans les piscines, impactées comme beaucoup de secteurs par les mesures prises au nom de la guerre au Covid-19, souhaitant également un plan de soutien.

« Dans mon dernier courrier, je vous ai interpellée sur le plan de soutien qui, à ce jour, est très loin de répondre aux besoins et aux enjeux de la FFN et de ses 1 300 clubs, des 2,6 millions d’euros de perte financière et des 103 000 licences de retard. Pour mémoire, nous sommes la 4e fédération la plus impactée financièrement. », dressait comme constat le président Gilles Sezionale à destination de la ministre déléguée aux Sports Roxana Maracineanu.

« Sans soutien fort de votre part, même avec une reprise rapide, de nombreux clubs déjà très affaiblis disparaîtront du paysage fédéral« , souligne-t-il à l’attention de l’ancienne championne du monde du 200m dos (1998) et vice-championne olympique de la distance (2000).

La réduction, voire la suspension des activités aquatiques ont obligé licenciés et scolaires à se tourner vers d’autres activités. En effet peu de piscines ont offert la possibilité de nager en extérieur lorsqu’elles possèdent des bassins ad hoc et peu de personnes intéressées par la nage en extérieur dans le grand froid ont conduit à la fermeture des quelques espaces aquatiques pendant de longues semaines. Payer des salariés pour peu d’entrées est moins rentable que de les mettre au chômage technique. Triste France.

 « Pour toutes ces raisons, je vous demande de bien vouloir permettre l’accès aux piscines dans lesquelles aucun cluster n’a été répertorié, à nos licenciés, comme aux scolaires, mais aussi d’envisager dès maintenant les modalités claires d’un plan de soutien au niveau fédéral », demandait à la fin de la lettre le président de la FFN.

Les nageurs professionnels appuient cette demande de la FFN, en relayant la lettre sur leurs réseaux sociaux associés à des engagements individuels. De nombreux athlètes, dont Florent Manaudou, Charlotte Bonnet, Camille Lacourt et d’autres tentent de créer une vague de soutien au chevet des clubs français, malades des mesures.

« L’apprentissage de la natation doit rester une priorité pour la santé de tous. Ensemble pour le maintien des activités aquatiques sans risque sanitaire », a tweeté Florent Manaudou (médaillé d’or du 50m nage libre à Londres) emboîtant le pas à l’ancien nageur Camille LacourtFantine Lessafre ou encore Charlotte Bonnet.

« En tant qu’ambassadrice du programme #nageuretcitoyen, j’ai bien conscience que

l’apprentissage de la natation est un enjeu national. Tous unis pour le maintien des activités aquatiques », a lancé la triple championne d’Europe en grand bassin.

Mélanie Henique s’est interrogée : « Pourquoi fermer les piscines si elles ne présentent pas de risque sanitaire ? Tous unis pour maintenir les activités aquatiques et l’apprentissage de la natation ».

Une vague de soutien pour un sport souvent pratiqué en intérieur et qui donc souffre particulièrement de la fermeture des établissements couverts afin officiellement d’éviter la propagation de la pandémie de Covid-19.  Le coronavirus aimerait-t-il l’eau de javel ?

La détresse physique et psychologique des nageurs

Les enfants et jeunes enfermés avec leur famille à un âge où on a besoin d’espace et des copains sont particulièrement traumatisés comme l’annonçaient les psychiatres et psychologues dès mars 2020. Actuellement, ce ne sont pas les lits covid qui manquent malgré la pub, mais bien les lits de psychiatrie et singulièrement de pédopsychiatrie. On commence à entendre parler de suicides chez les moins de dix ans, ce qui n’arrivait jamais avant ces temps de folie.

« Papa, quand on est mort, est-on encore obligé de porter le masque »

question d’un petit de 5 ans qui montre l’extrême détresse des enfants.

Il est évident que le sport de groupe, et de compétition chez les jeunes aurait pu être un bon moyen de les maintenir en bon état psychologique, par l’activité sportive elle-même mais aussi par l’activité de groupe qui aurait maintenu un lien social tellement indispensable.

D’autant que les jeunes ne risquent rien de ce virus[5], et qu’ils ne participent pas à la diffusion de la maladie. Mais non, on ferme, peu importe la perte des performances, l’absence de compétition pour les non professionnels mais engagés dans les championnats de France depuis quelques mois ou années. Seuls les trois premiers d’une tranche d’âge ont pu aller en compétition et ont été autorisés à s’entrainer depuis l’été. Mais la quatrième ou la cinquième ? Comment peut-on espérer assurer la relève de nos champions dans une discipline où la période d’excellence est courte ?

Nada, pas de piscine, ni de compétition. Les stages toujours prévus sautent aussi au dernier moment. La dépression suit et si on a choisi natation, ce n’est pas pour marcher seul dans les rues de son quartier guetté par la police pour voir si on ne dépasse pas la distance autorisée (et maintenant avant 18 h et peu importe si on a cours).

Les élites qui veulent imposer le grand reset sont indifférents à ces considérations psychologiques, c’est logique, ils font leur « boulot » sans état d’âme au service des milliardaires.

Mais l’acceptation de ceux qui se sont soumis, croyant protéger leurs concitoyens par des mesures sans fondement scientifique ni médical est incompréhensible D’autant que dès mars 2020, le pr Raoult avait largement expliqué qu’il existait un traitement efficace de ce petit virus à condition de le donner tôt ; incompréhensible.

Alors oui, les nageurs non professionnels mais titulaires d’une licence de la fédération ont besoin de retrouver leurs piscines, leurs coachs, leurs amis et de reprendre l’entrainement quotidien, autant que faire se peut, pour retrouver leurs performances d’avant le grand chambardement.

Cela fera toujours autant de travail en moins pour les psychiatres. Même si le mal est fait, comme pour la classe, avec les décrochages nombreux, il faut vite ouvrir pour tous ceux qui attendent chaque jour de retrouver leur vie et pleurent à chaque annonce du ministre de laisser en plan la situation catastrophique, en particulier pour notre jeunesse, avenir du pays.

Jeunesse dont on sous-estime la souffrance que seuls les suicides qui s’accumulent dans les universités semble réveiller (a minima) les médias. Jeunesse abandonnée, comme les seniors qui n’ont pas été protégés davantage puisqu’on leur a refusé les hospitalisations et pire les traitements précoces, et que le ministre et premier ministre ont signé en décret en mars puis en octobre permettant des euthanasies facilitées par le Rivotril au moindre doute de difficultés respiratoires possiblement en rapport avec le covid.  Non la jeunesse n’a pas été sacrifiée pour les vieux, mais en même temps que les plus âgés. Seule la force de travail utilisée dans les entreprises importe encore un peu aux dirigeants.

L’épidémie est terminée. Nous vivons avec des milliards de virus depuis des millions d’années. Ce virus est de plus sensible à de nombreuses molécules de l’artémisine qui a sauvé Madagascar, à l’ivermectine en passant par l’hydroxychloroquine.

Des milliers de médecins engagés[6] [7] sont prêts à vous soigner malgré les menaces du conseil de l’ordre qui ne tiendront pas, vu le nombre de plus en plus grand de résistants. Vous ne sauverez personne en acceptant les ukases du ministère, du masque qui apporte germes et champignons si portés trop d’heures d’affilée, au confinement ou pseudo confinement et méfiez-vous des vaccins peu expérimentés pour l’instant, et dont les premières campagnes en Israël et en Grande-Bretagne ont été suivies d’une augmentation considérable de la mortalité. Prenons du recul.

N’oubliez pas que ce virus tue moins de 0,001 % personne en France. N’ayez plus peur et battez-vous pour reprendre une vie normale le plus vite possible. La vie libre de notre jeunesse est plus importante que des mesures pseudo sanitaires inefficaces.


Notes

[1] Sauf immunodéprimés congénitaux, ou sous traitement pour maladie chronique ou leucémies etc.

[2] Une épidémie, des asymptomatiques, des hospitalisations, des réanimations, des maths, de la physique et de la malhonnêteté intellectuelle assumée. – Docteur Nicole Delépine (nicoledelepine.fr)

[3] http://www.economiematin.fr/news-rapport-confinement-ferguson-secret-critique-decision-politique-delepine

[4] www.francesoir.fr/le-conseil-mondial-de-loms-dicte-tres-officiellement-la- conduite-sanitaire-des-pays-signataires-dont

[5] D’après santé publique France en 1 an le covid a été incriminé dans 3 morts chez les moins de15 ans (dont deux chez des patients qui souffraient de graves maladies antérieures) alors que la grippe en tue chaque année entre 7 et 10.

[6] Laissons-les prescrire

[7] https://manifestes-libertes.org/medecins-engages/




La Tribune de l’acteur Patrick Mille adressée à Emmanuel Macron

[Source : On est en direct]

Patrick Mille, acteur et réalisateur, appelle le président de la République à autoriser de nouveau les activités considérées comme non essentielles, pour que les jeunes ne soient pas sacrifiés sur l’autel de la crise sanitaire.




Le présentateur TV découpe son masque en direct !

[Source : Profession Gendarme]

Même si la vidéo est en anglais, toute traduction ici est parfaitement inutile, nous comprenons tous le message….



Source : Facebook




USA : preuve absolue de la fraude électorale

[Source : Média Zone]

Eric Montana

Par Eric Montana

Ce documentaire de deux heures consacré à la fraude électorale démocrate vient de sortir aux États-Unis… Produit par l’homme d’affaires Mike Lindell, il remet sur le devant de la scène la question de la légitimité de l’élection de Joe Biden.

Ce document va probablement avoir des conséquences inimaginables au fur et à mesure qu’elle sera partagée et que les Américains d’abord, en prendront connaissance, car la fraude électorale qui s’est produite aux États Unis a été décortiquée morceau par morceau.

C’est la plus grande cyber attaque de l’Histoire de l’humanité et les spécialistes de la cyber sécurité ont pu identifier chaque ordinateur ayant été utilisé et à partir de quelle adresse exacte le système informatique a pu être hacké. La Chine y est impliquée pour une très grande part mais 35 autres pays du monde y ont participé.

Ceci étant précisé, il reste à déterminer si c’est le gouvernement chinois et l’ensemble des gouvernements des autres pays qui en sont à l’origine car si tel est le cas, c’est un acte de guerre d’une immense gravité. Les preuves sont là, alignées les unes après les autres. Mais la partie la plus impressionnante démarre à partir de 1h36mn où une spécialiste de la cyber sécurité commente le tableau qui affiche les villes de départ du hacking et les villes américaines visées et touchées.

Le Président Trump a largement emporté cette élection avec plus de 80 millions de voix contre 68 pour Biden. Le basculement des voix en faveur de Biden est détaillé ville par ville, État par État, comté par comté.

Toutes les preuves d’une élection volée figurent dans cette vidéo et il est impossible d’imaginer que les choses en restent là car les 80 millions d’Américains qui ont voté pour Trump et qui se sont fait voler cette victoire, ne resteront pas passifs et indifférents, comme nous Français après l’élection truquée qui a mis Macron au pouvoir.

Ceux qui ont le plus à perdre avec Trump à la présidence, ce ne sont ni les Chinois, ni les Allemands ni les Italiens mais la Cabale internationale et c’est dans cette direction que s’oriente ma réflexion car pour faire du Nouvel Ordre Mondial une réalité tangible, il faut d’abord se débarrasser de Trump qui y est opposé…

Cette vidéo va créer le plus grand buzz auquel on puisse assister et ça, malgré la censure massive de Facebook, Tweeter et YouTube qui ont participé à leur manière à fausser cette élection et qui risquent d’en payer un prix très élevé. Je n’aimerais pas être à la place de Zuckerberg et de Dorsey en ce moment…

Si les militaires américains qui ont juré de défendre la Constitution, interviennent comme cela est annoncé par le Général Flynn, par Steve Pieczenik, par Charles Ward, par Simon Parkes et par Q, notre monde va connaître un bouleversement cataclysmique car même Macron va fuir, et tous les gouvernements corrompus par la Cabale avec lui !

Tous ceux qui de près ou de loin se sont rendus complices de ce crime inimaginable doivent déjà chier dans leur froc. Et si Dieu le veut, la Cabale khazare qui mène ce monde à la ruine depuis près de 250 ans, finira en lambeaux sur les places publiques.

Rothschild se prend pour Dieu mais s’il survit à cet apocalypse qui vient, il finira déchiqueté par les chiens.

Et ce ne sera que justice.






La France en tête du refus de la vaccination

[Source : Nice-Provence Info]

Par Georges Gourdin

Une étude qui semble fiable sur le pourcentage de la population européenne « vaccinée » (nous utilisons les guillemets car il ne s’agit pas d’un vaccin au sens accepté du terme) montre que la France — contrairement aux premières impressions — arrive en tête de ce classement :

Taux vaccination Covid

C’est donc en France que cette opération, dont les modalités sont décidées très antidémocratiquement et de manière opaque dans un but qui n’est pas clair du tout, rencontre le plus de réticence malgré la forte pression médiatico-politique. Ce qui démontre une capacité de résistance chez les Français plus forte que chez leurs voisins européens.

Malgré un matraquage médiatico-politique très oppressif — ou peut-être à cause de ce matraquage médiatico-politique — de plus en plus de Français s’interrogent sur le déroulé des événements.

Ils ont bien compris que la pandémie n’est pas une pandémie

Sans pour autant nier l’existence de la circulation d’un virus grippal, il est clair qu’il n’y a pas de pandémie. Si pandémie il y avait, les morgues et les crématoriums seraient combles. Ce qui n’est pas le cas.

Ils ont bien compris que les chiffres sont truqués

[source : Gouverner par la peur des chiffres !]

Dire la vérité est interdit (lire Dire la vérité, c’est être complotiste du 19 janvier 2021). Il fut un temps où les médecins et les EHPAD étaient discrètement invités à grossir le nombre de morts par suite de la Covid. Toutes les personnes décédées en EHPAD mouraient de la « pandémie ». Curieusement après avoir été vaccinés, les résidents des EHPAD ne meurent plus du virus alors qu’ils décèdent en plus grand nombre.

Le journal allemand Die Welt reconnaît que le ministère de l’Intérieur faisait pression sur des scientifiques pour justifier les mesures sanitaires [source].

Ils ont bien compris que le port du masque ne sert à rien

Sur le plan sanitaire le masque est plus nocif que protecteur. D’innombrables études le démontrent malgré les correctifs embarrassés et peu convaincants des pouvoirs établis. Du reste ce n’est pas notre Président qui nous contredira sur ce point :https://www.youtube.com/embed/yJCqD5jnFN4?wmode=opaque

Notre Président aurait dû se rappeler des conseils de l’OMS : « Il n’y a pas d’éléments directs sur l’efficacité du port généalisé du masque par les bien-portants en vue de prévenir les infections dues à des virus respiratoires, notamment celui de la Covid-19 » (OMS 5 juin 2020).

Ce vaccin tombé des nues n’inspire pas confiance

Vaccin et masque

Même les médecins « pro-vaccins » reconnaissent que personne n’a le recul suffisant pour valider les effets bénéfiques et surtout néfastes de l’inoculation (lire Vaccins géniques à ARN : 6 raisons de se MÉFIER).
Les pays qui ont procédé à des campagnes de vaccination de masse sont plus touchés que les autres : par exemple le Royaume Uni qui nous a pondu son « variant » et Israël (lire Débâcle vaccinale en Israël, ce qu’il faut en retenir).
Malgré une censure très active de la Police de la Pensée, il apparaît bien que de plus en plus de personnes meurent peu de temps après l’inoculation du « vaccin ». [NDLR : voir notre addendum en bas de page]

Taux vaccination - inversé

En cette période d’inversement des valeurs, lisez le classement de Our world in data dans le bon sens :

Pour une fois, la France est première !

Georges Gourdin

[Voir aussi :] Les décès de personnes âgées qui se sont rétablies de la Covid-19, mais qui sont mortes après le vaccin, soulèvent des questions [source]

Un des commentaires :

Un site qui tient la comptabilité du massacre vaccinal en cours :
https://hpv-vaccine-side-effects.com/covid-19-vaccine-side-effects-world-map/

et pendant ce temps-là, à l’IHU Méditerranée…
Didier Raoult vaccine quelque 100 personnes par jour.
https://youtu.be/LyCruMMM5s4




Time Magazine : L’histoire secrète de la campagne fantôme qui a sauvé les élections de 2020

[Source : Time]

[Version française sur ns2017]

Une chose étrange s’est produite juste après l’élection du 3 novembre : rien.

La nation était prête pour le chaos. Des groupes libéraux avaient juré de descendre dans la rue, planifiant des centaines de manifestations dans tout le pays. Les milices de droite se préparaient à la bataille. Dans un sondage effectué avant le jour des élections, 75% des Américains ont exprimé leur inquiétude face à la violence.

Au lieu de cela, un calme sinistre s’est installé. Le président Trump ayant refusé de céder, la réponse n’a pas été une action de masse, mais des crickets. Le 7 novembre, lorsque les médias ont annoncé la course à Joe Biden, la jubilation a éclaté. Les gens ont envahi les villes américaines pour célébrer le processus démocratique qui a abouti à l’éviction de Trump.



Une deuxième chose étrange s’est produite au milieu des tentatives de Trump pour inverser le résultat : les entreprises américaines se sont retournées contre lui. Des centaines de grands chefs d’entreprise, dont beaucoup avaient soutenu la candidature de Trump et appuyé sa politique, l’ont appelé à céder. Pour le président, quelque chose n’allait pas. « Tout cela était très, très étrange », a déclaré M. Trump le 2 décembre, « quelques jours après l’élection, nous avons assisté à un effort orchestré pour oindre le vainqueur, alors même que de nombreux États clés étaient encore en train d’être comptés ».

D’une certaine manière, Trump avait raison.

Il y avait une conspiration qui se déroulait dans les coulisses, une conspiration qui a à la fois réduit les protestations et coordonné la résistance des PDG. Ces deux surprises étaient le résultat d’une alliance informelle entre des militants de gauche et des titans du monde des affaires. Le pacte a été officialisé dans une déclaration conjointe laconique et peu remarquée de la Chambre de commerce américaine et de l’AFL-CIO, publiée le jour des élections. Les deux parties en sont venues à le considérer comme une sorte de marché implicite – inspiré par les protestations massives, parfois destructrices, de l’été en matière de justice raciale – dans lequel les forces du travail se sont unies aux forces du capital pour maintenir la paix et s’opposer à l’attaque de Trump contre la démocratie.

[NdNM : « Attaque de Trump contre la démocratie » dans l’optique de ceux qui ont organisé cette conspiration, mais « Attaque de Trump contre l’État profond » dans l’optique adverse. L’ensemble du présent « récit » de Time est basé sur cette optique jugée bien évidemment fallacieuse si l’on considère les fraudes massives comme étant réelles.]

La poignée de main entre les entreprises et les travailleurs n’était qu’un élément d’une vaste campagne multipartite visant à protéger l’élection – un extraordinaire effort d’ombre consacré non pas à gagner le vote mais à s’assurer qu’il soit libre et équitable, crédible et non corrompu. Pendant plus d’un an, une coalition d’agents peu structurée s’est efforcée de consolider les institutions américaines alors qu’elles subissaient les attaques simultanées d’une pandémie sans remords et d’un président à tendance autocratique. Bien qu’une grande partie de cette activité se soit déroulée à gauche, elle était distincte de la campagne Biden et a franchi les lignes idéologiques, avec des contributions cruciales d’acteurs non partisans et conservateurs. Le scénario que les militants de l’ombre voulaient désespérément arrêter n’était pas une victoire d’atout. Il s’agissait d’une élection si calamiteuse qu’aucun résultat n’a pu être discerné, un échec de l’acte central d’autogouvernance démocratique qui est la marque de fabrique de l’Amérique depuis sa fondation.

Leur travail a touché tous les aspects de l’élection. Ils ont amené les États à modifier les systèmes et les lois électorales et ont contribué à obtenir des centaines de millions de dollars de financement public et privé. Ils ont repoussé des procès pour suppression d’électeurs, recruté des armées de travailleurs électoraux et obtenu que des millions de personnes votent par correspondance pour la première fois. Ils ont réussi à faire pression sur les sociétés de médias sociaux pour qu’elles adoptent une ligne plus dure contre la désinformation et ont utilisé des stratégies axées sur les données pour lutter contre les frottis viraux. Ils ont mené des campagnes nationales de sensibilisation du public qui ont aidé les Américains à comprendre comment le décompte des votes se déroulerait sur plusieurs jours ou semaines, empêchant ainsi les théories de conspiration de Trump et les fausses déclarations de victoire de prendre de l’ampleur. Après le jour de l’élection, ils ont surveillé chaque point de pression pour s’assurer que Trump ne puisse pas renverser le résultat. « L’histoire non racontée de l’élection est celle des milliers de personnes des deux partis qui ont accompli le triomphe de la démocratie américaine à sa base même », déclare Norm Eisen, un éminent avocat et ancien fonctionnaire de l’administration Obama qui a recruté des républicains et des démocrates au conseil d’administration du programme de protection des électeurs.

Car Trump et ses alliés menaient leur propre campagne pour gâcher l’élection. Le président a passé des mois à insister sur le fait que les bulletins de vote par correspondance étaient un complot démocrate et que l’élection serait « truquée ». Ses hommes de main au niveau de l’État ont cherché à bloquer leur utilisation, tandis que ses avocats ont intenté des dizaines de procès fallacieux pour rendre le vote plus difficile – une intensification de l’héritage des tactiques suppressives du GOP. Avant l’élection, M. Trump a comploté pour bloquer un décompte légitime des votes. Et il a passé les mois qui ont suivi le 3 novembre à essayer de voler l’élection qu’il avait perdue – avec des procès et des théories de conspiration, des pressions sur les fonctionnaires de l’État et des collectivités locales, et finalement en convoquant son armée de partisans au rassemblement du 6 janvier qui s’est terminé par une violence mortelle au Capitole.

Les militants pour la démocratie ont suivi la manifestation avec inquiétude. « Chaque semaine, nous avons eu l’impression de nous battre pour tenter de remporter cette élection sans que le pays ne traverse un véritable moment dangereux », explique Zach Wamp, ancien représentant du GOP, un partisan de Trump qui a aidé à coordonner un conseil bipartite de protection des élections. « Nous pouvons regarder en arrière et dire que tout s’est plutôt bien passé, mais il n’était pas du tout évident en septembre et octobre que ce serait le cas ».

Biden fans in Philadelphia after the race was called on Nov. 7
Les fans de Biden à Philadelphie, le 7 novembre
Michelle Gustafson pour TIME

C’est l’histoire intérieure de la conspiration pour sauver les élections de 2020, basée sur l’accès aux rouages internes du groupe, à des documents inédits et à des interviews de dizaines de personnes impliquées de tous les horizons politiques. C’est l’histoire d’une campagne sans précédent, créative et déterminée, dont le succès révèle également à quel point la nation a frôlé le désastre. « Toute tentative d’interférer avec le bon déroulement de l’élection a été défaite », déclare Ian Bassin, co-fondateur de Protect Democracy, un groupe non partisan de défense de l’État de droit. « Mais il est extrêmement important que le pays comprenne que cela ne s’est pas produit accidentellement. Le système n’a pas fonctionné comme par magie. La démocratie n’est pas auto-exécutoire ».

C’est pourquoi les participants veulent que l’histoire secrète de l’élection de 2020 soit racontée, même si cela ressemble à un rêve de fièvre paranoïaque – une cabale bien financée de personnes puissantes, dans tous les secteurs et toutes les idéologies, travaillant ensemble en coulisses pour influencer les perceptions, changer les règles et les lois, orienter la couverture médiatique et contrôler le flux d’informations. Ils ne truquaient pas l’élection, ils la fortifiaient. Et ils estiment que le public doit comprendre la fragilité du système pour assurer la pérennité de la démocratie en Amérique.

L’ARCHITECTE

À l’automne 2019, Mike Podhorzer a acquis la conviction que les élections allaient être désastreuses et a décidé de les protéger.

Ce n’était pas son domaine habituel. Depuis près d’un quart de siècle, Podhorzer, conseiller principal du président de l’AFL-CIO, la plus grande fédération syndicale du pays, a rassemblé les dernières tactiques et données pour aider ses candidats favoris à remporter les élections. Sans prétention et professoral, il n’est pas le genre de « stratège politique » en cheveux qui apparaît aux informations du câble. Parmi les initiés du Parti démocrate, il est connu comme le magicien à l’origine de certaines des plus grandes avancées de la technologie politique de ces dernières décennies. Un groupe de stratèges libéraux qu’il a rassemblé au début des années 2000 a conduit à la création de l’Institut des analystes, une entreprise secrète qui applique des méthodes scientifiques aux campagnes politiques. Il a également participé à la fondation de Catalist, la société phare de données progressistes.

Selon M. Podhorzer, les discussions interminables à Washington sur la « stratégie politique » n’ont pas grand-chose à voir avec la façon dont le changement est réellement opéré. « Mon point de vue de base sur la politique est que tout est assez évident si vous ne réfléchissez pas trop ou si vous n’avalez pas tout le cadre existant », a-t-il écrit un jour. « Après cela, il suffit d’identifier sans relâche vos hypothèses et de les remettre en question ». Podhorzer applique cette approche à tout : lorsqu’il a entraîné l’équipe de petite ligue de son fils, aujourd’hui adulte, dans la banlieue de Washington, il a appris aux garçons à ne pas se balancer sur la plupart des terrains – une tactique qui a rendu furieux leurs parents et ceux de leurs adversaires, mais qui a permis à l’équipe de remporter une série de championnats.

L’élection de Trump en 2016 – en partie grâce à sa force inhabituelle parmi les cols bleus blancs qui dominaient autrefois l’AFL-CIO – a incité Podhorzer à remettre en question ses hypothèses sur le comportement des électeurs. Il a commencé à faire circuler des notes de service hebdomadaires sur les chiffres à un petit cercle d’alliés et à organiser des séances de stratégie à Washington. Ce n’est qu’après des mois de recherche qu’il a présenté ses préoccupations dans son bulletin d’information en octobre 2019. Les outils habituels de données, d’analyse et de sondage ne seraient pas suffisants dans une situation où le Président lui-même tente de perturber l’élection, écrit-il. « La plupart de notre planification nous amène le jour du scrutin », a-t-il noté. « Mais nous ne sommes pas préparés aux deux résultats les plus probables » – perdre et refuser de concéder, et gagner le Collège électoral (malgré la perte du vote populaire) en corrompant le processus de vote dans les États clés. Nous avons désespérément besoin d’une « équipe rouge » systématique pour cette élection afin de pouvoir anticiper et planifier le pire qui, nous le savons, nous attend.

Il s’est avéré que Podhorzer n’était pas le seul à penser en ces termes. Il a commencé à entendre d’autres personnes désireuses d’unir leurs forces. La Fight Back Table, une coalition d’organisations de « résistance », avait commencé à élaborer des scénarios en fonction de la possibilité d’une élection contestée, rassemblant des militants libéraux aux niveaux local et national dans ce qu’ils ont appelé la Coalition pour la défense de la démocratie. Les organisations de défense du droit de vote et des droits civils ont tiré la sonnette d’alarme. Un groupe d’anciens élus se penchait sur les pouvoirs d’urgence qu’ils craignaient que Trump ne puisse exploiter. Protect Democracy mettait sur pied un groupe de travail bipartite sur la crise électorale. « Il s’est avéré qu’une fois que vous l’avez dit tout haut, les gens étaient d’accord », dit Podhorzer, « et cela a commencé à prendre de l’ampleur ».

Il a passé des mois à réfléchir à des scénarios et à discuter avec des experts. Il n’était pas difficile de trouver des libéraux qui considéraient Trump comme un dangereux dictateur, mais Podhorzer a pris soin d’éviter l’hystérie. Ce qu’il voulait savoir, ce n’était pas comment la démocratie américaine était en train de mourir, mais comment elle pourrait être maintenue en vie. La principale différence entre les États-Unis et les pays qui ont perdu leur emprise sur la démocratie, a-t-il conclu, est que le système électoral décentralisé des États-Unis ne peut pas être truqué d’un seul coup. C’était l’occasion de le consolider. Le 3 mars, Podhorzer a rédigé un mémo confidentiel de trois pages intitulé « Menaces pour les élections de 2020 ». Trump a clairement indiqué que ce ne sera pas une élection équitable et qu’il rejettera tout sauf sa propre réélection comme étant « fausse » et truquée », a-t-il écrit. « Le 3 novembre, si les médias rapportent le contraire, il utilisera le système d’information de droite pour établir son récit et inciter ses partisans à protester ». Le mémo a défini quatre catégories de défis : les attaques contre les électeurs, les attaques contre l’administration électorale, les attaques contre les opposants politiques de Trump et les « efforts pour renverser les résultats de l’élection ».

Puis COVID-19 a éclaté au plus fort de la saison des élections primaires. Les méthodes de vote habituelles n’étaient plus sûres pour les électeurs ou les bénévoles, pour la plupart âgés, qui s’occupent normalement des bureaux de vote. Mais les désaccords politiques, intensifiés par la croisade de Trump contre le vote par correspondance, ont empêché certains États de faciliter le vote des absents et les juridictions de compter ces votes en temps voulu. Le chaos s’en est suivi. L’Ohio a mis fin au vote en personne pour sa primaire, ce qui a entraîné une participation minuscule. Une pénurie de personnel électoral à Milwaukee – où se concentre la population noire fortement démocrate du Wisconsin – a fait que seuls cinq bureaux de vote sont ouverts, contre 182 auparavant. À New York, le dépouillement des votes a pris plus d’un mois.

Soudain, la possibilité d’un effondrement en novembre était évidente. Dans son appartement de la banlieue de Washington, Podhorzer s’est mis à travailler depuis son ordinateur portable sur la table de sa cuisine, tenant des réunions Zoom l’une à la suite de l’autre pendant des heures par jour avec son réseau de contacts dans tout l’univers progressiste : le mouvement ouvrier, la gauche institutionnelle, comme Planned Parenthood et Greenpeace, les groupes de résistance comme Indivisible et MoveOn, les geeks et stratèges progressistes, les représentants des donateurs et des fondations, les organisateurs de base au niveau de l’État, les militants pour la justice raciale et d’autres.

En avril, Podhorzer a commencé à organiser un « Zoom » hebdomadaire sur 2½. Il était structuré autour d’une série de présentations rapides de cinq minutes sur tout ce qui touche à la publicité, aux messages et à la stratégie juridique. Les rassemblements sur invitation seulement ont rapidement attiré des centaines de personnes, créant ainsi une base de connaissances partagée rare pour le mouvement progressiste fracassant. « Au risque de parler de la gauche comme d’un déchet, il n’y a pas beaucoup de bons échanges d’informations », explique Anat Shenker-Osorio, un ami proche de Podhorzer dont les conseils en matière de messages, testés par sondage, ont façonné l’approche du groupe. Il y a beaucoup de syndrome du « pas ici », où les gens ne considéreront pas une bonne idée s’ils ne l’ont pas trouvée ».

Les réunions sont devenues le centre galactique d’une constellation d’agents de gauche qui partageaient des objectifs communs mais ne travaillaient généralement pas de concert. Le groupe n’avait pas de nom, pas de dirigeants et pas de hiérarchie, mais il maintenait les acteurs disparates en synchronisation. « Pod a joué un rôle essentiel en coulisses pour maintenir les différentes pièces de l’infrastructure du mouvement en communication et en alignement », explique Maurice Mitchell, directeur national du Parti des familles travailleuses. « Vous avez l’espace pour les litiges, l’espace pour l’organisation, les gens politiques se concentrent sur le W, et leurs stratégies ne sont pas toujours alignées. Il a permis à cet écosystème de travailler ensemble ».

La protection de l’élection nécessiterait un effort d’une ampleur sans précédent. Au fur et à mesure que l’année 2020 avançait, elle s’étendait au Congrès, à la Silicon Valley et aux statehouses de la nation. Il a été alimenté par les manifestations contre la justice raciale de l’été, dont beaucoup de dirigeants étaient des éléments clés de l’alliance libérale. Et finalement, elle s’est étendue à l’autre côté de l’allée, dans le monde des républicains sceptiques, consternés par ses attaques contre la démocratie.

ASSURER LE VOTE

La première tâche consistait à remanier l’infrastructure électorale américaine, qui était peu solide, en plein milieu d’une pandémie. Pour les milliers de fonctionnaires locaux, pour la plupart non partisans, qui administrent les élections, le besoin le plus urgent était l’argent. Ils avaient besoin d’équipements de protection comme des masques, des gants et du désinfectant pour les mains. Ils devaient payer les cartes postales permettant aux gens de savoir qu’ils pouvaient voter par correspondance ou, dans certains États, envoyer des bulletins de vote à chaque électeur. Ils avaient besoin de personnel supplémentaire et de scanners pour traiter les bulletins de vote.

En mars, les militants ont demandé au Congrès d’orienter les fonds de secours de COVID vers l’administration électorale. Sous l’égide de la Leadership Conference on Civil and Human Rights, plus de 150 organisations ont signé une lettre adressée à chaque membre du Congrès pour demander 2 milliards de dollars de financement pour les élections. Ce fut un certain succès : la loi CARES, adoptée plus tard dans le mois, prévoyait 400 millions de dollars de subventions aux administrateurs électoraux des États. Mais la tranche suivante de financement de secours n’a pas permis d’atteindre ce chiffre. Elle n’allait pas être suffisante.

La philanthropie privée est entrée dans la brèche. Un assortiment de fondations a apporté des dizaines de millions de dollars de financement à l’administration des élections. L’initiative Chan Zuckerberg a apporté 300 millions de dollars. « C’est un échec au niveau fédéral que 2 500 fonctionnaires électoraux locaux aient été obligés de demander des subventions philanthropiques pour répondre à leurs besoins », explique Amber McReynolds, ancienne fonctionnaire électorale de Denver qui dirige le National Vote at Home Institute, un organisme non partisan.

L’organisation de McReynolds, créée il y a deux ans, est devenue un centre d’échange pour une nation qui lutte pour s’adapter. L’institut a donné aux secrétaires d’État des deux partis des conseils techniques sur tout, depuis les vendeurs à utiliser jusqu’à la localisation des boîtes de dépôt. Les fonctionnaires locaux sont les sources les plus fiables d’information sur les élections, mais peu d’entre eux ont les moyens de s’offrir un attaché de presse, c’est pourquoi l’institut a distribué des kits de communication. Lors d’une présentation au groupe de Podhorzer, M. McReynolds a détaillé l’importance des bulletins de vote par correspondance pour raccourcir les files d’attente dans les bureaux de vote et prévenir une crise électorale.

Le travail de l’institut a aidé 37 États et le D.C. à renforcer le vote par correspondance. Mais cela ne vaudrait pas grand-chose si les gens n’en profitaient pas. Une partie du défi était d’ordre logistique : chaque État a des règles différentes pour savoir quand et comment les bulletins de vote doivent être demandés et retournés. Le Centre de participation des électeurs, qui, en temps normal, aurait déployé des solliciteurs de porte à porte pour faire sortir le vote, a plutôt organisé des groupes de discussion en avril et en mai pour savoir ce qui inciterait les gens à voter par correspondance. En août et septembre, il a envoyé des demandes de vote à 15 millions de personnes dans les États clés, dont 4,6 millions les ont retournées. Dans des mailings et des annonces numériques, le groupe a exhorté les gens à ne pas attendre le jour du scrutin. « Tout le travail que nous avons accompli pendant 17 ans a été construit pour ce moment de mise en place de la démocratie à la porte des gens », déclare Tom Lopach, le PDG du centre.

L’effort a dû surmonter le scepticisme accru de certaines communautés. De nombreux électeurs noirs ont préféré exercer leur droit de vote en personne ou n’ont pas fait confiance au courrier. Les groupes nationaux de défense des droits civiques ont travaillé avec des organisations locales pour faire savoir que c’était la meilleure façon de s’assurer que son vote était comptabilisé. À Philadelphie, par exemple, les défenseurs des droits civiques ont distribué des « kits de sécurité pour le vote » contenant des masques, du désinfectant pour les mains et des brochures d’information. « Nous devions faire passer le message que c’est sûr, fiable et que vous pouvez vous y fier », déclare Hannah Fried de All Voting Is Local.

Dans le même temps, les avocats démocrates ont dû faire face à une marée historique de litiges préélectoraux. La pandémie a intensifié l’enchevêtrement habituel des parties devant les tribunaux. Mais les avocats ont également remarqué autre chose. « Le litige intenté par la campagne Trump, d’une pièce avec la campagne plus large visant à semer le doute sur le vote par correspondance, présentait des revendications inédites et utilisait des théories qu’aucun tribunal n’a jamais acceptées », explique Wendy Weiser, experte en droits électoraux au Brennan Center for Justice de l’Université de New York. « Elles se lisent davantage comme des procès destinés à envoyer un message plutôt qu’à obtenir un résultat juridique ».

Au final, près de la moitié de l’électorat a voté par correspondance en 2020, ce qui constitue pratiquement une révolution dans la manière dont les gens votent. Environ un quart des électeurs ont voté tôt en personne. Seul un quart des électeurs ont voté de la manière traditionnelle : en personne le jour du scrutin.

LA DÉFENSE DE LA DÉSINFORMATION

Les mauvais acteurs qui répandent de fausses informations ne sont pas nouveaux. Pendant des décennies, les campagnes ont été confrontées à toutes sortes de problèmes, des appels anonymes prétendant que l’élection a été reportée aux tracts répandant de vilaines calomnies sur les familles des candidats. Mais les mensonges et les théories de conspiration de Trump, la force virale des médias sociaux et l’implication d’acteurs étrangers ont fait de la désinformation une menace plus large et plus profonde pour le vote de 2020.

Laura Quinn, une opératrice progressiste chevronnée qui a cofondé Catalist, a commencé à étudier ce problème il y a quelques années. Elle a piloté un projet secret et sans nom, dont elle n’avait jamais discuté publiquement auparavant, qui traquait la désinformation en ligne et essayait de trouver comment la combattre. L’un des volets consistait à traquer les mensonges dangereux qui pourraient autrement se propager sans être remarqués. Les chercheurs ont ensuite fourni des informations aux militants ou aux médias pour traquer les sources et les exposer.

Mais le principal résultat des recherches de Quinn est que le fait de s’attaquer aux contenus toxiques ne fait qu’empirer les choses. Lorsque vous êtes attaqué, l’instinct vous pousse à répliquer, à crier, à dire « Ce n’est pas vrai » », dit Quinn. « Mais plus l’engagement est grand, plus les plateformes le renforcent. L’algorithme dit : « Oh, c’est populaire, les gens en veulent plus ».

La solution, conclut-elle, est de faire pression sur les plateformes pour qu’elles appliquent leurs règles, à la fois en supprimant les contenus ou les comptes qui diffusent des informations désobligeantes et en les contrôlant plus agressivement au départ. « Les plateformes ont des politiques contre certains types de comportements malveillants, mais elles ne les appliquent pas », dit-elle.

Les recherches de Quinn ont donné des munitions aux défenseurs qui poussent les plateformes de médias sociaux à adopter une ligne plus dure. En novembre 2019, Mark Zuckerberg a invité neuf leaders des droits civiques à dîner chez lui, où ils l’ont mis en garde contre le danger des mensonges liés aux élections qui se répandaient déjà sans contrôle. « Il a fallu pousser, exhorter, discuter, réfléchir, tout cela pour arriver à un endroit où nous avons fini par avoir des règles et une application plus rigoureuses », explique Vanita Gupta, présidente et directrice générale de la Leadership Conference on Civil and Human Rights, qui a assisté au dîner et a également rencontré Jack Dorsey, directeur général de Twitter, et d’autres personnes. (Mme Gupta a été nommée procureur général adjoint par le président Biden). « C’était une lutte, mais nous sommes arrivés au point où ils ont compris le problème. Est-ce que c’était suffisant ? Probablement pas. Etait-ce plus tard que ce que nous voulions ? Oui. Mais il était vraiment important, vu le niveau de désinformation officielle, qu’ils aient mis en place ces règles et qu’ils marquent les choses et les fassent tomber ».

FAIRE PASSER LE MOT

Au-delà de la lutte contre les mauvaises informations, il était nécessaire d’expliquer un processus électoral en rapide évolution. Il était crucial que les électeurs comprennent que, malgré ce que disait Trump, les votes par correspondance n’étaient pas susceptibles de fraude et qu’il serait normal que certains États n’aient pas fini de compter les votes le soir du scrutin.

Dick Gephardt, l’ancien leader démocrate à la Chambre des représentants devenu lobbyiste de haut niveau, a été le fer de lance d’une coalition. « Nous voulions un groupe vraiment bipartite d’anciens élus, de secrétaires de cabinet, de chefs militaires, etc., visant principalement à envoyer des messages au public mais aussi à parler aux responsables locaux – les secrétaires d’État, les procureurs généraux, les gouverneurs qui seraient dans l’œil du cyclone – pour leur faire savoir que nous voulions les aider », explique M. Gephardt, qui a fait appel à ses contacts dans le secteur privé pour mettre 20 millions de dollars à contribution.

Wamp, l’ancien membre du GOP au Congrès, a travaillé par le biais du groupe de réforme non partisan Issue One pour rallier les républicains. « Nous avons pensé que nous devrions apporter un élément d’unité bipartite autour de ce qui constitue une élection libre et équitable », dit Wamp. Les 22 démocrates et 22 républicains du Conseil national sur l’intégrité des élections se sont réunis sur Zoom au moins une fois par semaine. Ils ont diffusé des annonces dans six États, fait des déclarations, rédigé des articles et alerté les responsables locaux sur les problèmes potentiels. « Nous avons eu des partisans enragés de Trump qui ont accepté de siéger au conseil en se basant sur l’idée que c’est honnête », dit Wamp. Cela va être tout aussi important, leur dit-il, pour convaincre les libéraux quand Trump gagnera. « Quelle que soit la façon dont il coupe, nous allons nous serrer les coudes. »

Le Voting Rights Lab et IntoAction ont créé des mèmes et des graphiques spécifiques à chaque État, diffusés par e-mail, par SMS, sur Twitter, Facebook, Instagram et TikTok, en demandant instamment que chaque vote soit compté. Ensemble, ils ont été visionnés plus d’un milliard de fois. Le groupe de travail de Protect Democracy sur les élections a publié des rapports et organisé des points de presse avec des experts de haut niveau de tout l’éventail politique, ce qui a permis une large couverture des problèmes électoraux potentiels et une vérification des faits concernant les fausses affirmations de Trump. Les sondages de suivi de l’organisation ont révélé que le message était entendu : le pourcentage du public qui ne s’attendait pas à connaître le vainqueur le soir des élections a progressivement augmenté jusqu’à ce qu’à la fin octobre, il dépasse les 70 %.

Une majorité d’entre eux pensent également qu’un comptage prolongé n’est pas un signe de problèmes. « Nous savions exactement ce que Trump allait faire : il allait essayer d’utiliser le fait que les Démocrates ont voté par courrier et les Républicains ont voté en personne pour faire croire qu’il était en tête, revendiquer la victoire, dire que les votes par courrier étaient frauduleux et essayer de les faire rejeter », déclare le Bassin de Protect Democracy. Le fait de fixer les attentes du public à l’avance a permis de démentir ces mensonges.

Amber McReynolds, Zach Wamp and Maurice Mitchell
Amber McReynolds, Zach Wamp et Maurice Mitchell
Rachel Woolf pour TIME;
Erik Schelzig — AP / Shutterstock;
Holly Pickett — The New York Times / Redux

L’alliance a repris un ensemble de thèmes communs issus des recherches présentées par Shenker-Osorio lors des Zooms de Podhorzer. Des études ont montré que lorsque les gens pensent que leur vote ne comptera pas ou qu’ils craignent de se donner du mal pour le faire, ils sont beaucoup moins susceptibles de participer. Tout au long de la saison électorale, les membres du groupe de Podhorzer ont minimisé les incidents d’intimidation des électeurs et ont atténué l’hystérie libérale croissante face au refus attendu de Trump de céder. Ils n’ont pas voulu amplifier les fausses affirmations en les engageant, ni dissuader les gens de voter en suggérant un jeu truqué. « Lorsque vous dites que ces allégations de fraude sont fausses, les gens entendent parler de fraude », explique M. Shenker-Osorio. « Ce que nous avons constaté dans nos recherches préélectorales, c’est que tout ce qui réaffirme le pouvoir de Trump ou le présente comme un autoritaire diminue le désir des gens de voter ».

Podhorzer, pendant ce temps, avertissait tous ceux qu’il connaissait que les sondages sous-estimaient le soutien de Trump. Les données qu’il a partagées avec les organisations médiatiques qui allaient organiser les élections ont été « extrêmement utiles » pour comprendre ce qui se passait au moment où les votes ont été enregistrés, selon un membre de l’unité politique d’un grand réseau qui s’est entretenu avec Podhorzer avant le jour du scrutin. La plupart des analystes avaient reconnu qu’il y aurait un « changement de cap » dans les principaux champs de bataille – la vague de votes se dirigeant vers les démocrates, entraînée par le décompte des bulletins de vote postaux – mais ils n’avaient pas compris à quel point Trump allait faire mieux le jour du scrutin. « Il était essentiel de pouvoir documenter l’ampleur de la vague d’absentéisme et les variations par État », explique l’analyste.

POUVOIR DU PEUPLE

Le soulèvement pour la justice raciale déclenché par l’assassinat de George Floyd en mai n’était pas principalement un mouvement politique. Les organisateurs qui l’ont aidé à se diriger voulaient exploiter son élan pour l’élection sans lui permettre d’être coopté par les politiciens. Nombre de ces organisateurs faisaient partie du réseau de Podhorzer, depuis les militants des États du champ de bataille qui se sont associés à la Coalition pour la défense de la démocratie jusqu’aux organisations jouant un rôle de premier plan dans le Mouvement pour les vies noires.

La meilleure façon de s’assurer que les voix des gens soient entendues, ont-ils décidé, est de protéger leur capacité à voter. « Nous avons commencé à réfléchir à un programme qui compléterait la zone traditionnelle de protection des élections, mais qui ne reposerait pas non plus sur l’appel à la police », explique Nelini Stamp, directrice de l’organisation nationale du Working Families Party. Ils ont créé une force de « défenseurs électoraux » qui, contrairement aux observateurs traditionnels des élections, ont été formés aux techniques de désescalade. Lors du vote anticipé et le jour du scrutin, ils ont entouré les files d’électeurs dans les zones urbaines avec un effort de « joie au bureau de vote » qui a transformé l’acte de voter en une fête de rue. Les organisateurs noirs ont également recruté des milliers de travailleurs électoraux pour s’assurer que les bureaux de vote resteraient ouverts dans leurs communautés.

Le soulèvement de l’été avait montré que le pouvoir du peuple pouvait avoir un impact massif. Les militants ont commencé à se préparer à reprendre les manifestations si Trump tentait de voler l’élection. « Les Américains prévoient de vastes manifestations si Trump interfère avec l’élection », rapportait Reuters en octobre, l’une des nombreuses histoires de ce genre. Plus de 150 groupes libéraux, de la Marche des femmes au Sierra Club à Color of Change, de Democrats.com aux Socialistes démocrates d’Amérique, ont rejoint la coalition « Protect the Results ». Le site web du groupe, aujourd’hui disparu, comportait une carte indiquant les 400 manifestations prévues après les élections, qui devaient être activées par SMS dès le 4 novembre. Pour arrêter le coup d’Etat qu’ils craignaient, la gauche était prête à inonder les rues.

D’ÉTRANGES COMPAGNONS DE LIT

Environ une semaine avant le jour des élections, M. Podhorzer a reçu un message inattendu : la Chambre de commerce américaine voulait parler.

L’AFL-CIO et la Chambre ont une longue histoire d’antagonisme. Bien qu’aucune des deux organisations ne soit explicitement partisane, l’influent lobby des entreprises a versé des centaines de millions de dollars dans des campagnes républicaines, tout comme les syndicats de la nation ont versé des centaines de millions aux démocrates. D’un côté, les travailleurs, de l’autre, les cadres, sont enfermés dans une lutte éternelle pour le pouvoir et les ressources.

Mais dans les coulisses, le monde des affaires s’est engagé dans ses propres discussions anxieuses sur la façon dont l’élection et ses suites pourraient se dérouler. Les manifestations de cet été contre la justice raciale ont également envoyé un signal aux chefs d’entreprise : le risque de désordre civil qui pourrait perturber l’économie. « Les tensions étant très fortes, on s’inquiétait beaucoup des troubles liés à l’élection, ou d’une rupture dans notre façon habituelle de gérer les élections contentieuses », explique Neil Bradley, vice-président exécutif et directeur politique de la Chambre. Ces inquiétudes avaient conduit la Chambre à publier une déclaration préélectorale avec la Business Roundtable, un groupe de PDG basé à Washington, ainsi que des associations de fabricants, de grossistes et de détaillants, appelant à la patience et à la confiance lors du décompte des votes.

Mais Bradley voulait envoyer un message plus large et plus bipartite. Il a pris contact avec Podhorzer, par un intermédiaire que les deux hommes ont refusé de nommer. Convenant que leur alliance improbable serait puissante, ils commencèrent à discuter d’une déclaration commune dans laquelle ils s’engageaient à respecter l’engagement commun de leurs organisations en faveur d’une élection équitable et pacifique. Ils ont choisi leurs mots avec soin et ont programmé la publication de la déclaration pour qu’elle ait un maximum d’impact. Au moment de la finalisation de la déclaration, les dirigeants chrétiens ont fait part de leur intérêt à la rejoindre, élargissant ainsi sa portée.

La déclaration a été publiée le jour des élections, sous les noms de Thomas Donohue, PDG de la Chambre, Richard Trumka, président de l’AFL-CIO, et des responsables de l’Association nationale des évangéliques et du Réseau national du clergé afro-américain. « Il est impératif que les responsables des élections disposent de l’espace et du temps nécessaires pour compter chaque vote conformément aux lois en vigueur », a-t-il déclaré. « Nous appelons les médias, les candidats et le peuple américain à faire preuve de patience dans le processus et à faire confiance à notre système, même si cela nécessite plus de temps que d’habitude ». Les groupes ont ajouté : « Bien que nous ne soyons pas toujours d’accord sur les résultats souhaités, nous sommes unis dans notre appel pour que le processus démocratique américain se déroule sans violence, intimidation ou toute autre tactique qui nous rendrait plus faibles en tant que nation ».

SE PRÉSENTER, SE RETIRER

La nuit des élections a commencé par le désespoir de nombreux démocrates. Trump était en tête des sondages préélectoraux, remportant facilement la Floride, l’Ohio et le Texas et gardant le Michigan, le Wisconsin et la Pennsylvanie trop près pour les suivre. Mais Podhorzer était imperturbable lorsque je lui ai parlé ce soir-là : les résultats étaient exactement conformes à son modèle. Il m’avait prévenu depuis des semaines que le taux de participation des électeurs de Trump était en hausse. Il savait que tant que tous les votes seraient comptés, Trump perdrait.

L’alliance libérale s’est réunie pour un appel à zoom de 23 heures. Des centaines de personnes s’y sont jointes ; beaucoup ont flippé. « C’était vraiment important pour moi et l’équipe à ce moment-là d’aider à ancrer les gens dans ce que nous savions déjà être vrai », dit Angela Peoples, directrice de la Coalition pour la défense de la démocratie. Podhorzer a présenté des données pour montrer au groupe que la victoire était en vue.

Pendant qu’il parlait, Fox News a surpris tout le monde en appelant l’Arizona pour Biden. La campagne de sensibilisation du public avait fonctionné : Les présentateurs de télévision se sont penchés en arrière pour conseiller la prudence et encadrer le décompte des votes avec précision. La question était alors de savoir ce qu’il fallait faire ensuite.

La conversation qui a suivi a été difficile, menée par les activistes chargés de la stratégie de protestation. « Nous voulions être conscients du moment opportun pour appeler à déplacer des masses de personnes dans la rue », dit Peoples. Autant ils étaient désireux de faire une démonstration de force, autant la mobilisation immédiate pouvait se retourner contre eux et mettre les gens en danger. Les protestations qui se transformaient en affrontements violents donnaient à Trump un prétexte pour envoyer des agents ou des troupes fédérales comme il l’avait fait pendant l’été. Et plutôt que d’élever les plaintes de Trump en continuant à le combattre, l’alliance voulait faire passer le message que le peuple avait parlé.

Le mot est donc passé : retirez-vous. Protect the Results a annoncé qu’elle « n’activerait pas tout le réseau national de mobilisation aujourd’hui, mais reste prête à l’activer si nécessaire ». Sur Twitter, des progressistes indignés se sont demandés ce qui se passait. Pourquoi personne n’essayait-il d’empêcher le coup d’État de Trump ? Où étaient toutes les protestations ?

Podhorzer attribue aux militants leur retenue. « Ils avaient passé tellement de temps à se préparer à descendre dans la rue mercredi. Mais ils l’ont fait », dit-il. « De mercredi à vendredi, il n’y a pas eu un seul incident Antifa contre les Proud Boys comme tout le monde s’y attendait. Et quand cela ne s’est pas matérialisé, je ne pense pas que la campagne Trump avait un plan de secours. »

Les militants ont réorienté les manifestations de la campagne « Protégeons les résultats » vers un week-end de célébration. « Contrecarrez leur désinformation avec notre confiance et préparez-vous à célébrer », lisez le message d’orientation que Shenker-Osorio a présenté à l’alliance libérale le vendredi 6 novembre. « Déclarons et fortifions notre victoire. Vibe : confiant, tourné vers l’avenir, unifié – pas passif, anxieux ». Les électeurs, et non les candidats, seraient les protagonistes de l’histoire.

La journée de célébration prévue coïncide avec le déclenchement des élections le 7 novembre. Des militants dansant dans les rues de Philadelphie ont fait exploser Beyoncé lors d’une conférence de presse de la campagne des Trumpers. Le prochain rendez-vous des Trumpers était prévu pour Four Seasons Total Landscaping, à l’extérieur du centre ville, ce que les militants estiment ne pas être une coïncidence. « Les gens de Philadelphie possédaient les rues de Philadelphie », affirme Mitchell, du Working Families Party. « Nous les avons ridiculisés en opposant notre joyeuse célébration de la démocratie à leur spectacle de clown. »

Les votes ont été comptés. Trump a perdu. Mais la bataille n’était pas terminée.

LES CINQ ÉTAPES DE LA VICTOIRE

Dans les présentations de Podhorzer, gagner le vote n’était que la première étape pour remporter l’élection. Ensuite, il a gagné le dépouillement, la certification, le Collège électoral et les étapes de transition qui sont normalement des formalités mais qu’il savait que Trump verrait comme des occasions de perturbation. Nulle part ailleurs cela ne serait plus évident qu’au Michigan, où la pression exercée par Trump sur les républicains locaux a failli être fatale – et où les forces libérales et conservatrices pro-démocratiques se sont unies pour la contrer.

Il était environ 22 heures le soir des élections à Detroit lorsqu’une rafale de textos a allumé le téléphone d’Art Reyes III. Un bus rempli d’observateurs électoraux républicains était arrivé au Centre TCF, où les votes étaient comptabilisés. Ils s’entassaient sur les tables de comptage des votes, refusaient de porter des masques, chahutaient les travailleurs, pour la plupart noirs. Reyes, un natif de Flint qui dirige We the People Michigan, s’attendait à cela. Depuis des mois, les groupes conservateurs semaient la suspicion sur la fraude électorale urbaine. Ils vont voler l’élection, il y aura des fraudes à Detroit », bien avant qu’un vote ne soit exprimé », explique Reyes.

Trump supporters seek to disrupt the vote count at Detroit’s TCF Center on Nov. 4
Des partisans de l’opération cherchent à perturber le décompte des votes
au centre TCF de Detroit le 4 novembre
Elaine Cromie-Getty Images

Il s’est rendu à l’arène et a envoyé un message à son réseau. En 45 minutes, des dizaines de renforts sont arrivés. Alors qu’ils entraient dans l’arène pour faire contrepoids aux observateurs du GOP à l’intérieur, Reyes a noté leurs numéros de téléphone portable et les a ajoutés à une énorme chaîne de texte. Les militants de la justice raciale de Detroit Will Breathe ont travaillé aux côtés des femmes de banlieue de Fems for Dems et des élus locaux. Reyes est parti à 3 heures du matin, remettant la chaîne de textos à une militante pour les droits des personnes handicapées.

En traçant les étapes du processus de certification des élections, les militants ont décidé de mettre en avant le droit du peuple à décider, d’exiger que leur voix soit entendue et d’attirer l’attention sur les implications raciales de la privation du droit de vote des Detroiters noirs. Ils ont inondé la réunion de certification du 17 novembre du conseil de prospection du comté de Wayne de témoignages sur les messages ; malgré un tweet Trump, les membres républicains du conseil ont certifié les votes de Detroit.

Les commissions électorales étaient un point de pression ; un autre était les législatures contrôlées par le GOP, qui, selon Trump, pouvaient déclarer l’élection nulle et nommer leurs propres électeurs. C’est pourquoi le président a invité les dirigeants du GOP de la législature du Michigan, le président de la Chambre des représentants Lee Chatfield et le leader de la majorité au Sénat Mike Shirkey, à Washington le 20 novembre.

Ce fut un moment périlleux. Si Chatfield et Shirkey acceptaient de faire les enchères de Trump, les républicains d’autres États pourraient être victimes de la même intimidation. « J’avais peur que les choses deviennent bizarres », dit Jeff Timmer, un ancien président du GOP du Michigan devenu activiste anti-Trump. Norm Eisen le décrit comme « le moment le plus effrayant » de toute l’élection.

Les défenseurs de la démocratie ont lancé une campagne de presse complète. Les contacts locaux de Protect Democracy ont fait des recherches sur les motivations personnelles et politiques des législateurs. Le premier numéro a diffusé des publicités télévisées à Lansing. Bradley de la Chambre a suivi de près le processus. Wamp, l’ancien membre républicain du Congrès, a appelé son ancien collègue Mike Rogers, qui a écrit une tribune libre pour les journaux de Detroit, exhortant les responsables à respecter la volonté des électeurs. Trois anciens gouverneurs du Michigan – les républicains John Engler et Rick Snyder et la démocrate Jennifer Granholm – ont conjointement demandé que les votes électoraux du Michigan soient effectués sans pression de la Maison Blanche. Engler, ancien responsable de la Business Roundtable, a passé des appels téléphoniques à des donateurs influents et à d’anciens collègues du GOP qui pouvaient faire pression sur les législateurs en privé.

Les forces pro-démocratiques se sont heurtées à un GOP du Michigan trompé, contrôlé par les alliés de Ronna McDaniel, présidente du Comité national républicain, et de Betsy DeVos, ancienne secrétaire à l’éducation et membre d’une famille milliardaire de donateurs du GOP. Lors d’un appel téléphonique avec son équipe le 18 novembre, Bassin a déclaré que la pression de son camp n’était pas à la hauteur de ce que Trump pouvait offrir. « Bien sûr qu’il va essayer de leur offrir quelque chose », se souvient Bassin en pensant. « Chef de la force spatiale ! Ambassadeur partout ! On ne peut pas rivaliser avec ça en offrant des carottes. Il nous faut un bâton. »

Si Trump offrait quelque chose en échange d’une faveur personnelle, cela constituerait probablement un pot-de-vin, a raisonné Bassin. Il a téléphoné à Richard Primus, professeur de droit à l’université du Michigan, pour savoir si Primus était d’accord et s’il allait présenter l’argument publiquement. Primus a dit qu’il pensait que la réunion elle-même était inappropriée, et s’est mis au travail sur un article d’opinion pour Politico avertissant que le procureur général de l’État – un démocrate – n’aurait d’autre choix que d’enquêter. Lorsque l’article a été publié le 19 novembre, le directeur de la communication du procureur général l’a tweeté. Protect Democracy a rapidement appris que les législateurs prévoyaient de faire venir des avocats à la réunion avec Trump le lendemain.

Les militants de Reyes ont scanné les horaires de vol et ont afflué dans les aéroports aux deux extrémités du voyage de Shirkey à D.C., pour souligner que les législateurs étaient surveillés. Après la réunion, les deux hommes ont annoncé qu’ils avaient fait pression sur le président pour qu’il fournisse une aide COVID à leurs électeurs et l’ont informé qu’ils ne voyaient aucun rôle dans le processus électoral. Ils sont ensuite allés prendre un verre à l’hôtel Trump sur Pennsylvania Avenue. Un artiste de rue a projeté leurs images sur l’extérieur du bâtiment avec les mots THE WORLD IS WATCHING.

Il restait une dernière étape à franchir : le comité de prospection de l’État, composé de deux démocrates et de deux républicains. L’un des républicains, un Trumper employé par l’association politique à but non lucratif de la famille DeVos, n’était pas censé voter pour la certification. L’autre républicain du conseil était un avocat peu connu du nom d’Aaron Van Langevelde. Il n’a envoyé aucun signal sur ce qu’il prévoyait de faire, laissant tout le monde sur les nerfs.

Lorsque la réunion a commencé, les militants de Reyes ont inondé le livestream et ont rempli Twitter de leur hashtag, #alleyesonmi. Un conseil d’administration habitué à une participation à un chiffre s’est soudain retrouvé face à un public de milliers de personnes. Pendant des heures de témoignages, les activistes ont souligné leur message de respect de la volonté des électeurs et d’affirmation de la démocratie plutôt que de gronder les fonctionnaires. Van Langevelde a rapidement fait savoir qu’il suivrait le précédent. Le vote a été de 3-0 pour certifier ; l’autre républicain s’est abstenu.

Après cela, les dominos sont tombés. La Pennsylvanie, le Wisconsin et le reste des États ont certifié leurs électeurs. Les fonctionnaires républicains de l’Arizona et de la Géorgie ont résisté aux brimades de Trump. Et le Collège électoral a voté dans les délais prévus le 14 décembre.

À QUEL POINT NOUS AVONS ÉTÉ PROCHES

Il y avait un dernier jalon dans l’esprit de Podhorzer : Le 6 janvier. Le jour où le Congrès devait se réunir pour procéder au décompte des voix, Trump convoqua ses partisans à Washington pour un rassemblement.

À leur grande surprise, les milliers de personnes qui répondirent à son appel ne rencontrèrent pratiquement aucun contre-manifestant. Afin de préserver la sécurité et de s’assurer qu’on ne puisse pas les blâmer pour le désordre, le militant de gauche « décourageait vigoureusement les contre-manifestations », m’a envoyé un texto le matin du 6 janvier, avec un émoji croisé.



Trump s’est adressé à la foule cet après-midi-là, colportant le mensonge selon lequel les législateurs ou le vice-président Mike Pence pourraient rejeter les votes électoraux des États. Il leur a dit d’aller au Capitole et de « se battre comme des diables ». Puis il est retourné à la Maison Blanche alors qu’ils mettaient le bâtiment à sac. Alors que les législateurs fuyaient pour sauver leur vie et que ses propres partisans étaient abattus et piétinés, Trump a salué les émeutiers comme « très spéciaux ».

C’était sa dernière attaque contre la démocratie, et une fois de plus, elle a échoué. En se retirant, les militants de la démocratie ont battu leurs ennemis. « Nous avons gagné de justesse, honnêtement, et c’est un point important pour les gens », dit la Coalition pour la défense de la démocratie. « Il y a une impulsion pour certains de dire que les électeurs ont décidé et que la démocratie a gagné. Mais c’est une erreur de penser que ce cycle électoral a été une démonstration de force pour la démocratie. Il montre à quel point la démocratie est vulnérable ».

Les membres de l’alliance pour la protection des élections ont pris des chemins différents. La Coalition pour la défense de la démocratie a été dissoute, mais la Table de lutte contre la corruption est toujours en vie. Protect Democracy et les partisans du bon gouvernement ont tourné leur attention vers des réformes urgentes au Congrès. Les militants de gauche font pression sur les démocrates nouvellement habilités pour qu’ils se souviennent des électeurs qui les ont mis là, tandis que les groupes de défense des droits civils se tiennent sur leurs gardes pour éviter de nouvelles attaques contre le vote. Les chefs d’entreprise ont dénoncé l’attaque du 6 janvier, et certains disent qu’ils ne feront plus de dons aux législateurs qui ont refusé de certifier la victoire de Biden. Podhorzer et ses alliés tiennent toujours leurs séances de stratégie Zoom, évaluant les opinions des électeurs et élaborant de nouveaux messages. Et Trump est en Floride, face à sa deuxième destitution, privé des comptes Twitter et Facebook qu’il a utilisés pour pousser la nation à son point de rupture. Alors que je rapportais cet article en novembre et décembre, j’ai entendu différentes affirmations quant à savoir qui devrait avoir le mérite d’avoir déjoué le complot de Trump. Les libéraux ont fait valoir que le rôle du pouvoir populaire ascendant ne devait pas être négligé, en particulier les contributions des personnes de couleur et des militants locaux. D’autres ont souligné l’héroïsme des responsables du GOP comme Van Langevelde et le secrétaire d’État géorgien Brad Raffensperger, qui ont tenu tête à Trump à un coût considérable. La vérité est qu’aucun des deux n’aurait pu réussir sans l’autre. « C’est stupéfiant de voir à quel point nous étions proches, à quel point tout cela est vraiment fragile », déclare Timmer, l’ancien président du GOP du Michigan. « C’est comme quand Wile E. Coyote s’enfuit de la falaise – si vous ne regardez pas en bas, vous ne tombez pas. Notre démocratie ne survit que si nous y croyons tous et ne regardons pas en bas ».

La démocratie a fini par gagner. La volonté du peuple a prévalu. Mais il est fou, rétrospectivement, que ce soit ce qu’il a fallu pour organiser une élection aux États-Unis d’Amérique.


-Avec le reportage de LESLIE DICKSTEIN, MARIAH ESPADA et SIMMONE SHAH

Correction jointe, 4 février : La version originale de cette histoire a mal indiqué le nom de l’organisation de Norm Eisen. Il s’agit du Programme de protection des électeurs, et non du Projet de protection des électeurs.

Ceci apparaît dans le numéro du 15 février 2021 de TIME.

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Les écouvillons du test PCR pourraient contenir des « microdispositifs en forme d’étoile » délivrant un vaccin

[Source en anglais : Natural News]

[traduction : Lumières sur Gaïa]

Par : Ethan Huff

(Natural News) En novembre dernier, l’université Johns Hopkins (JHU) a publié une étude qui suggère que les tests de dépistage du coronavirus de Wuhan (COVID-19) pourraient être associés à de “minuscules microdispositifs en forme d’étoile” capables d’administrer des vaccins à des personnes à leur insu ou sans leur consentement.

Comme plus de la moitié des Américains sont “hésitants à se faire vacciner”, ce qui signifie que la plupart des gens ne veulent rien savoir des piqûres de virus chinoises, la “science” a apparemment mis au point une technologie d’injection cachée pour vacciner secrètement les gens au moyen de tampons de test PCR nasaux ou anaux qui sont bloqués dans leurs orifices.

Patrick Smith de JHU a écrit dans un article sur cette étude que ces minuscules microdispositifs en forme d’étoile étaient “inspirés par un ver parasite qui creuse ses dents acérées dans les intestins de son hôte”. Ça a l’air amusant, non ?

“David Gracias, professeur à la Whiting School of Engineering, et le gastro-entérologue Florin M. Selaru, directeur du Johns Hopkins Inflammatory Bowel Disease Center, ont dirigé une équipe de chercheurs et d’ingénieurs biomédicaux qui ont conçu et testé des microdispositifs à forme changeante qui imitent la façon dont l’ankylostome parasite se fixe aux intestins d’un organisme”, a écrit M. Smith.

Connues sous le nom de “theragrippers”, ces puces de micro-dispositifs en métal et en “film mince qui change de forme” sont recouvertes de cire de paraffine thermosensible qui est envoyée dans le corps sans être remarquée. Chacune de ces puces n’est pas plus grande qu’un grain de poussière (voir images ci-dessous) :

Une fois à l’intérieur du corps, les dispositifs en forme d’étoile réagissent à la chaleur en se refermant et en se fixant sur la paroi intestinale avec de petites dents. Les centres de ces étoiles désormais fermées sont alors capables de délivrer le médicament qui a été implanté à l’intérieur, dans ce cas des produits chimiques microscopiques du vaccin contre le coronavirus de Wuhan (COVID-19).

La revendication est que les “thermagrippeurs” de la taille d’une poussière peuvent être implantés dans les pointes des tampons de test PCR et être délivrés à l’innocente “victime””, écrit John O’Sullivan pour Principia Scientific International. “C’est peut-être tout à fait immoral – et probablement illégal – mais c’est certainement faisable…”.

“Des milliers de ces sinistre thérapisants miniatures peuvent être déployés dans le tractus gastro-intestinal grâce à un simple et innocent prélèvement effectué dans le cadre du test COVID-19 déjà effectué par des millions de personnes dans le monde. Tout simplement, vous ne sentiriez rien”, ajoute-t-il – vous pouvez regarder une vidéo sur cette technologie sur ce lien.



M. Fauci est-il au courant des vaccins cachés dans les prélèvements des tests PCR ?

Si les écouvillons de test PCR contiennent cette technologie cachée, ce qui semble possible, alors les personnes qui pensent être simplement “testées” pour les germes chinois pourraient également être vaccinées pour eux sans autorisation.

C’est de la musique pour les oreilles d’Anthony Fauci, qui se plaignait récemment qu’il serait difficile de faire vacciner un grand nombre de personnes contre la grippe A (WuFlu) en raison de “l’hésitation à se faire vacciner”.

L’utilisation du mot “hésitation” implique que les gens ne sont tout simplement pas sûrs de devoir se faire vacciner, alors qu’en réalité la plupart d’entre eux sont sans l’ombre d’un doute sûrs qu’ils ne se feront vacciner sous aucun prétexte.

Un sondage Gallup de la fin de l’année dernière a révélé qu’environ la moitié des Américains ne seront pas vaccinés. À l’époque, les “gens de couleur” étaient très sûrs de ne pas se faire vacciner, bien que depuis, le nombre de personnes “hésitant à se faire vacciner”, toutes races confondues, n’a fait qu’augmenter.
Faites pression sur vos législateurs pour obtenir des réponses sur la question de savoir si les gens sont vaccinés en secret ou non

À ce stade, il est essentiel que les gens prennent contact avec leurs législateurs pour leur demander des réponses. Comme “le Congrès appartient aux pharmaciens”, pour citer un conseiller médical de la FDA (Food and Drug Administration), il y a de fortes chances que vous soyez pris au dépourvu, mais cela vaut quand même la peine d’essayer.

Le président Donald Trump a également averti que l’industrie pharmaceutique apporte “des sommes d’argent considérables aux politiciens”, qui font ensuite leur travail.

Un article a même été publié dans le rapport du Helpdesk sur “l’hésitation des vaccins” et les stratégies que les grandes entreprises pharmaceutiques et les législateurs corrompus peuvent employer pour la surmonter. L’une de ces stratégies consiste-t-elle à cacher des vaccins microscopiques dans des tampons de test PCR ?

Gardez à l’esprit que l’industrie pharmaceutique dépense beaucoup plus d’argent que toute autre industrie pour essayer d’influencer les politiciens. Il est presque certain que certains d’entre eux sont d’accord avec des programmes de ce type qui visent essentiellement à piéger des personnes qui, autrement, refuseraient de se faire vacciner.

“C’est particulièrement inquiétant car si, pour une raison quelconque, vous devez aller à l’hôpital comme je l’ai fait, ils vous testent”, a écrit un commentateur inquiet de Principia Scientific International.

“L’autre jour, cette même pensée m’a traversé l’esprit à l’improviste”, a écrit un autre commentateur. “Que ce soit vrai ou non n’a pas d’importance, mais je suis heureux d’avoir décidé qu’en aucun cas, quelles que soient les conséquences (pas de famille donc rien à perdre), je ne passerais un test de vaccination. Je préfère mourir lentement de faim. Ce n’est pas une blague”.

D’autres nouvelles de dernière minute sur le coronavirus de Wuhan (COVID-19) sont disponibles sur Pandemic.news.

Les sources de cet article comprennent :

VaccineImpact.com

NaturalNews.com

Principia-Scientific.com

vu sur https://www.naturalnews.com/2021-02-01-swab-tests-microdevices-secretly-vaccinating-hesitant.html




Asselineau répond aux accusations

[Source : Union Populaire Républicaine]

François Asselineau revient sur les accusations qui sont portées contre lui en révélant certains des éléments décisifs qui démentent la version des plaignants et de la presse. Ces éléments replacent cette affaire dans sa vraie perspective : la perspective politique.




Covid-19 : Un Meurtre social qui en prépare un plus violent

Par Dr Nicole Delépine

Covid-19 : Un Meurtre social qui en prépare un plus violent [1]

Invitée de BFM Business et BFMTV le 7 février 2021, Christine Lagarde a réagi à la proposition de plus de 100 économistes d’annuler les dettes publiques détenues par la BCE. Elle a donné un veto absolu. Ce ne serait pas légal !

ATTENTION, le GRAND RESET ARRIVE si nous n’y prenons pas suffisamment garde et nous laissons « enfumer » au sens propre par les variantes de la manipulation des variants Véran et autres docteurs TV trop désireux de garder leur place sur le petit écran en vendant leurs âmes aux diables.[2]

Mais la révolte gronde

Tout ne sera peut-être pas aussi simple que les adeptes de la clique de Davos semblent le penser. On peut être étonné de l’article récent du BMJ[3] jadis obéissant à la secte Covid, qui a laissé passer cet article terrible sur « l’organisation du meurtre social » selon leur expression, via le leurre covid19.

« Le « meurtre social » des populations est plus qu’une relique d’une époque révolue. Il est très réel aujourd’hui, exposé et magnifié par covid-19. Il ne peut pas être ignoré ou laisser filer. Les politiciens doivent rendre des comptes par des moyens légaux et électoraux, en effet par tous les moyens constitutionnels nationaux et internationaux nécessaires. Les échecs de l’État qui nous ont conduits à deux millions de morts sont des « actions » et des « inactions » qui devraient tous nous faire honte. »

LA GESTION INTERNATIONALE DE LA PANDÉMIE OU PSEUDO PANDÉMIE COVID NOUS RAMÈNE A DES TEMPS RÉVOLUS

« À tout le moins, covid-19 pourrait être classé comme « assassinat social », comme l’ont récemment expliqué deux professeurs de criminologie ».

ASSASSINAT CAR PRÉMÉDITÉE COMME LES DOCUMENTS QUI APPARAISSENT VIA LES AVOCATS FUELLMICH ET CIE le montrent : les faux tests PCR n’étaient pas une erreur, mais une technique de manipulation de masse, la diffusion répétée que les bien portants transformés en asymptomatiques pourraient être contagieux est une manipulation réfléchie et organisée par le conseiller Drosten[4] pour le ministère allemand et Mme Merkel et finalement dans le monde entier via l’OMS.

« Le philosophe Friedrich Engels a inventé le concept en décrivant le pouvoir politique et social détenu par l’élite dirigeante sur les classes ouvrières dans l’Angleterre du XIXe siècle. Son argument était que les conditions créées par les classes privilégiées ont inévitablement conduit à la mort prématurée et « contre nature » des humains parmi les classes les plus pauvres.

Dans The Road to Wigan Pier, George Orwell a fait écho à ces thèmes en décrivant la vie et les conditions de vie des gens de la classe ouvrière dans le nord industriel de l’Angleterre. Aujourd’hui, le « meurtre social » peut décrire le manque d’attention politique aux déterminants sociaux et aux inégalités qu’exacerbe la pandémie. »

Combien de décès excessifs faut-il pour qu’un conseiller scientifique ou médical en chef démissionne ? Combien de temps faut-il pour tester et retracer l’échec public avant qu’un ministre de la Santé ou un conseiller en chef ne se démette ? Combien de contrats lucratifs pour des tests diagnostiques non scientifiques attribués à des copains ou des erreurs dans la politique de l’éducation mèneront-ils à un licenciement ministériel ?

Obtenir réparation

Où les citoyens devraient-ils se tourner pour rendre des comptes, s’ils ne le trouvent pas dans leurs dirigeants et se sentent non soutenus par les experts et les médias ? La loi demeure une forme de recours, et en fait certaines voies juridiques, y compris la négligence criminelle et l’inconduite dans une charge publique, sont à l’étude[5] [6], bien que la preuve de telles allégations sera difficile à établir. Mais la notion de meurtre, du moins de « meurtre social », est difficile à ébranler émotionnellement, et se renforce par tous les dénis de responsabilité et chaque refus d’être tenu responsable ou de changer de cap. ».

La manipulation à grande échelle et sans l’ombre d’un scrupule de nature humaine

Des preuves de malveillance arrivent à la surface, complétant les révélations de l’avocat Fuellmich[7] et de tous ceux qui ont déjà publié des plaintes contre les gouvernements allemands, canadiens[8] ou autres. Les procès arrivent et le tribunal de Nuremberg 2 arrivera dans la foulée.

Via Polémia[9] on découvre que Die Welt, grand journal allemand, a publié la preuve[10] « que le ministère allemand de l’Intérieur avait commandé à des scientifiques des projections de mortalité alarmistes (jusqu’ 1 million de morts, à comparer aux 400 000 de Macron à l’automne dernier…) pour justifier « des mesures préventives et répressives ». Projections « secrètes » que le ministère a opportunément fait fuiter vers la presse pour apeurer la population. »

La révélation du scandale pourrait bouleverser la politique sanitaire allemande d’après le journal die Welt, et conduire à une levée de nombreuses restrictions au plus tard avant Pâques et non pas au plus tôt après Pâques.

Cette révélation serait due à la révolte croissante de l’industrie allemande du Mittelstand (entreprises territorialisées et enracinées) contre les menées du capitalisme de Davos et des GAFA, bénéficiaires des mesures de restrictions.

Et en France ?

A quand une véritable prise de conscience de nos restaurateurs, artisans, etc. et non une complaisante soumission à des mesures aberrantes pour un virus qui n’arrive même pas à tuer plus de O,01 % des Français. Minable ce petit virus, malgré l’aide des gouvernants qui nous interdisent de traiter les malades et aident parfois à la mortalité via le Rivotril et peut-être bien via ces pseudo vaccins géniques dont personne ne connaît encore la toxicité réelle à court et moyen et long terme[11].

Le ministère de l’Intérieur allemand a utilisé des scientifiques pour justifier les mesures liées au Covid-19

Échange de courriels dont dispose Die Welt, l’administration du ministre de l’Intérieur Seehofer a impliqué des chercheurs dans la première phase de la pandémie. « Lesquels ont livré en réponse les résultats destinés à alimenter un dramatique « document secret » du ministère ».

« Lors de la première vague de la pandémie, en mars 2020, le ministère fédéral de l’Intérieur a mis à contribution plusieurs instituts de recherche et d’écoles supérieures dans un but politique. Il a chargé des chercheurs du Robert-Koch-Institut et d’autres établissements de mettre au point un modèle mathématique, sur la base duquel l’administration du ministre de l’Intérieur Horst Seehofer (CSU) voulait justifier de sévères mesures anti- Corona ».

Un groupe de juristes a réussi à obtenir une importante correspondance électronique de plus de 200 pages entre la direction du ministère de l’Intérieur et les scientifiques auprès du Robert-Koch-Institut par suite d’une bataille juridique de plusieurs mois.

Dans un échange de courriel,

« le secrétaire d’État Markus Kerber demande, par exemple, au scientifique auquel il s’adresse d’élaborer un modèle sur la base duquel des « mesures de nature préventive et répressive » pourraient être planifiées ».

Selon cette correspondance, les scientifiques ont élaboré en seulement quatre jours, en étroite concertation avec le ministère, le contenu d’un document que l’on a déclaré « secret » et que l’on a diffusé dans les jours qui ont suivi par le canal de différents médias.

Dans ce document, on présentait les résultats d’un « scénario du pire », selon lequel, si la vie sociale se poursuivait en Allemagne comme avant la pandémie, plus d’un million de personnes mourraient. »

Mais pourquoi ce scénario allemand qui ressemble de près à ce que nous avons vécu en France par le discours formaté identique des pseudo docteurs et scientifiques qui officiellement dicteraient au gouvernement leurs choix, mais en réalité se les feraient dicter?[12] On pourrait rapidement découvrir que les dirigeants français comme les Allemands dictent leur discours à nos docs Gilead bien récompensés par leurs loyaux services (envers le pouvoir et contre le peuple) ? Quel journaliste va -t-il mener l’enquête ?

Reparler du projet du Great Reset et du pourquoi ?

« Ce repli stratégique mené par l’ONU et l’OMS (sur le virus) a pour but de coordonner l’aveuglement médiatique des masses pour contrer la vigilance des peuples, mais aussi pour mettre en place des outils de contrôle pour éviter et pour étouffer les mouvements révolutionnaires de type Gilets jaunes qui commençaient à émerger un peu partout. L’instrumentalisation de la crise sanitaire et le Great Reset (Grande Réinitialisation) du forum de Davos consistent à faire la promotion du passage en force, via la fabrique du consentement, de la quatrième évolution technologique.

Forcer le passage au « tout numérique » avec les imprimantes 3D, la robotisation, l’automatisation, et l’informatisation des différents procédés de production industrielle et des services. Les vaccins à ARN messager sont des tests grandeur nature. Nous sommes tous cobayes pour des recherches faites en thérapie génique sur les cancers, axées sur la différenciation et le contrôle de la prolifération cellulaire, ou le délire de l’immortalité fantasmée.

De plus, ils ont pour objectif d’appauvrir et de soumettre les peuples et les classes moyennes au chômage de masse (d’où les mesures de confinement), mais aussi d’émettre une forme de dictature économique basée sur le « tout numérique », un contrôle forcé reposant sur un revenu universel (tous soumis au dictat de l’État devenu totalitaire). »

LA CASTE DE DAVOS VA MOURIR DE SON HUBRIS

Ils ont oublié que le « tout numérique » est de fait inapplicable, car si les hommes pouvaient à la limite obéir, les éléments naturels se moquent bien de Bill Gates, de Merkel et même de Macron, trop sensibles aux variations naturelles ou climatiques (orages, ouragans, flashs solaires, etc.) et aux sabotages (crise, conflit militaire) et destructions des liens électroniques (réseau de distribution électrique, Internet, etc.) nécessaires aux transactions monétaires numériques[13]. Que devient l’argent virtuel, objet obsessionnel de tous leurs rêves en cas de panne ? On revient vite au troc et bientôt on réinvente l’argent papier, d’autant que certains des survivants auront encore quelques souvenirs.

Néanmoins l’hypnose et la sidération réussies par la manipulation convid19 favorisent la recapitalisation des actions boursières de Big Pharma, des caisses de retraite, etc.

« Maintenir le mensonge à tout prix (par une instrumentalisation et un conditionnement médiatique à outrance) permet d’éviter une réforme systémique possible des politiques monétaires nationales.

Une telle réforme pourrait inclure un démantèlement des monopoles visant une forme de nationalisation des GAFAM et des politiques monétaires des Banques Centrales, la criminalisation des spéculations boursières abusives, et enfin l’abolition de l’évasion fiscale. »

[13]

Aux populations mondiales de se reprendre en main : il paraît que 10% d’éveillés résistants suffiraient à déstabiliser le plan Great Reset.

Mais si vous voulez vraiment savoir à quoi il faut vous opposer dans la vraie vie avec ce grand Reset, voilà ce qui se passe actuellement en Oregon ou pourrait s’y passer bientôt.

Le Grand Reset va être testé en Oregon — Le Média en 4-4-2 (lemediaen442.fr)

L’Assemblée législative de l’Oregon examine un projet de loi visant à permettre la saisie, l’utilisation ou la possession de toute propriété privée durant l’état d’urgence. S’il est adopté, Kate Brown, son gouverneur, aura les pleins pouvoirs sur ses administrés.

Ce nouveau projet, qui porte le nom de code HB 2239, a pour but d’étendre « l’autorité du gouverneur en matière d’usage des biens privés durant l’état d’urgence ». Certaines mesures existent déjà, mais a priori elles ne suffisent plus. HB 2239 émet les propositions suivantes :

Chaque fois que le gouverneur déclare l’état d’urgence, il peut édicter, modifier et faire appliquer des règles et des ordonnances afin de :

  • 1) Contrôler, restreindre et réglementer l’utilisation, la vente ou la distribution de denrées alimentaires, de carburant, de vêtements et d’autres produits, de matériaux, de biens et services, par le rationnement, le gel, l’utilisation de quotas, l’interdiction d’expédition, la fixation des prix, l’allocation ou autres moyens ;
  • 2) Prescrire et diriger les activités liées à l’utilisation, la conservation, la récupération et la prévention du gaspillage de matériaux, de services et d’installations, y compris, mais sans s’y limiter, la production, le transport, les installations de production d’énergie et de communication ; la formation et la fourniture de main-d’œuvre, l’utilisation des installations industrielles, les soins de santé et médicaux, la nutrition, le logement, la réhabilitation, l’éducation, le bien-être, les soins aux enfants, les loisirs, la protection des consommateurs et autres besoins civils essentiels ; et
  • 3) Prendre toute autre mesure, y compris par la saisie, l’utilisation ou la possession de tout bien réel ou personnel… »

En conclusion, HB 2239 donnerait au gouverneur Brown[14] un pouvoir intégral sur ce qui doit et peut être saisi, quand le saisir et comment l’utiliser. Elle aurait utilisé des tactiques d’intimidation contre des entreprises qui ne se conformaient pas à ses ordres. Déclarer l’état d’urgence lui permettra de prendre le contrôle sur toutes les propriétés privées qu’elle souhaite : hôpitaux, logements, entreprises et même les sacro-saintes armes à feu privées.

« Aucune industrie ou entreprise ne sera épargnée. » « Le contrôle public des entreprises privées augmentera. »

Il s’agirait d’un coup d’État mondial, imposant la disparition de la propriété privée. L’État (avec aux commandes les plus grosses fortunes, Blackrock, Bill Gates, Zuckerberg…) serait seul propriétaire.

« Si la projection du forum mondial de Davos se réalisait, les gens devraient louer et emprunter leurs biens de première nécessité à l’État, qui serait le seul propriétaire de tous les biens. L’offre de biens serait rationnée selon un système de points de crédit social », a écrit le Dr Antony Mueller, professeur d’économie allemand, pour l’Institut Mises. Crédit social à la chinoise évidemment qui a réussi de main de maître un entrisme aux USA comme en Europe et tente de nous imposer ses méthodes totalitaires de passeport vaccinal, reconnaissance faciale, etc.

« Si la loi proposée par Kate Brown était votée et appliquée, l’avenir déshumanisé de la planète commencerait en Oregon ».

Nous n’en sommes pas encore là, les ressources de l’Homme mis en danger sont fabuleuses, mais il vaut mieux connaître la véritable face de l’ennemi plutôt que son avatar, le petit virus. Nous serons mieux préparés.


Notes

[1] Passer de la peur du virus (leurre) à un danger réel, la Grande Réinitialisation (francesoir.fr)

[2] Propriétaires et prolétaires, même combat https://nouveau-monde.ca/fr/proprietaires-et-proletaires-meme-combat/

[3] Covid-19 : Social murder, they wrote—elected, unaccountable, and unrepentant | The BMJ Kamran Abbasi, rédacteur en chef, kabbasi@bmj.com

[4] L’heure des comptes Drosten France soir par N Delépine

[5] BMJ2020 ; 370 :m3424. doi :10.1136/bmj.m3424 pmid :32878884

[6] Boyle D. Ex-procureur Nazir Afzal a demandé à ses avocats de voir s’il y a des preuves pour poursuivre Boris Johnson pour inconduite dans la fonction publique que covid-19 nombre de morts passe 100.000. Daily Mail 2021 26 janvier. https://www.dailymail.co.uk/news/article-9190235/Ex-CPS-chief-Nazir-Afzal-instructs-lawyers-consider-Boris-Johnson-prosecution.html

[7] Procédures internationales en cours sur le TEST PCR contre fabricants et politiques — Docteur Nicole Delépine (nicoledelepine.fr)

[8] Procédure nationale canadienne contre l’OMS et ses alliés (francesoir.fr)

[9] Par François Stecher, correspondant en Allemagne de Polémia et Olivier Demeulenaere — Regards sur l’économie | Blog de réinformation sur l’actualité économique et financière (et autre !) (wordpress.com)

[10]  Die Welt : https://www.welt.de/politik/deutschland/article225864597/Interner-E-Mail-Verkehr-Innenministerium-spannte-Wissenschaftler-ein.html

[11] Si problème évitez les urgences qui en sont encore au doliprane en février 2021 et trouvez un médecin engagé dans votre département à partir du site « laissonslesprescrire » et le manifeste des médecins engagés. https://manifestes-libertes.org/medecins-engages/

[12] Ces manipulations maintenant dévoilées en Allemagne rappellent tout à fait le rapport 9 de Ferguson présenté en catimini à Macron puis la pseudo étude des élèves de l’école de l’école de santé publique prétendant contre toute évidence que le confinement aurait sauvé 60000 français

[13] Pour répondre à la question de la crise sanitaire et économique — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca)

[14] Kate Brown a récemment prolongé l’état d’urgence jusqu’en mars 2021 — les 1882 décès dus au Covid sur une population de 4,26 millions d’habitants lui paraissant le justifier




Pourquoi les gens commenceront à mourir quelques mois après les premières vaccinations

[Source : Recherches Covid-19]

Le Pr Cahill est généticienne et immunologue à l’Université de Dublin, elle fait partie du collectif ACU 2020.org

Le Pr Cahill explique que les effets des vaccins à ARNm se manifesteront des mois plus tard, et que nous ne voulons pas qu’ils soient étiquetés comme décès Covid, alors qu’en réalité ils meurent des effets des vaccins ARNm.



PUBLICATIONS  CONCERNANT LA VIDÉO




L’étau se resserre sur la clique de Davos

Par Jean-Michel Grau

Rappelons en préambule que le procès intenté contre le Dr Drosten par l’avocat allemand Reiner Fuellmich a pour but de le poursuivre pour crimes contre l’humanité, pour avoir faussé le protocole des tests PCR pour le compte de la clique de Davos, qui a amené les gouvernements occidentaux à prendre toutes les décisions ravageuses de confinements, couvre-feux, distanciations sociales et port du masque obligatoire. En préconisant des valeurs de réglage CT jusqu’à 45, les résultats des tests devenaient presque tous positifs, même avec des traces infimes de virus, dans le but de continuer à alimenter la peur généralisée.

Voici le résumé traduit de la dernière communication du Docteur Fuellmich du 11/01/2021. (1)


« Les auditions menées par le Comité Covid de Berlin depuis le 10.07.2020 d’une centaine de scientifiques, d’experts médicaux, d’économistes, de juristes et de personnes de renommée internationale ont révélé que le scandale Covid19 n’a en aucun cas porté sur la santé. La dangerosité de ce prétendu nouveau virus correspond à celle d’une grippe, selon les études du professeur John Ioannides de l’université de Stanford, mais aussi selon l’évaluation de l’OMS. De plus, les tests PCR du Dr Drosten, que la direction de l’OMS sous contrôle financier de la Chine et de la Fondation Bill & Melinda Gates a recommandé comme norme mondiale de référence pour la détection des infections, ne conviennent en aucun cas à la détection des infections. »

« Le fait est que les tests PCR comme méthode de mesure des infections ne sont pas seulement une absurdité scientifique, mais a apparemment été programmé intentionnellement de manière à créer le plus grand nombre possible de faux positifs, et donc à semer la panique dans le monde. Cela est prouvé par un article de rétractation rédigé par 22 scientifiques internationaux très respectés, qui demande à l’éditeur de la revue de rétracter immédiatement ces absurdités. Il a été consulté environ 18 millions de fois jusqu’à présent. »

« En outre, l’affirmation de Drosten, selon laquelle il existe des infections asymptomatiques, est également fausse. Parce qu’il n’y a rien de tel, comme l’a récemment prouvé une grande étude de Wuhan, concernant 10 millions de personnes. »

« Une personne qui ne présente aucun symptôme est en bonne santé. Cela signifie qu’aucun de nous ne doit avoir peur des personnes qui ne présentent aucun symptôme et les forcer à porter des masques, ni avoir peur qu’un résultat positif signifie forcément qu’il est infecté. Les images d’horreur des hôpitaux avec des lits dans les couloirs, qui réapparaissent maintenant, existent en fait chaque année pendant la vague de grippe tout à fait normale. Elles ne sont utilisées maintenant qu’à dessein, afin d’alimenter davantage la panique. Il n’y a toujours pas de surmortalité en Allemagne. Plus de gens meurent en hiver : c’est tragique, mais c’est malheureusement “normal”. »

« Alors, de quoi s’agit-il vraiment s’il n’y a pas de problème de santé qui diffère de la vague de la grippe habituelle ? À cet égard, nous avons pu nous forger une opinion sur la base des auditions qui ont eu lieu, ainsi que des informations complémentaires. »

Le krach financier de septembre 2019 dont presque personne n’a parlé

« À ce jour, il faut partir du principe que ce que nous appelons la clique de Davos (dirigée par Klaus Schwab, ndt) composée d’élites d’entreprises et d’élites politiques autoproclamées qui collaborent intensivement depuis au moins 20 ans dans le cadre des réunions de l’organisation privée du World Economic Forum (WEF) a menacé de donner l’alerte en septembre 2019. Car en septembre 2019, il y a eu un autre krach financier, encore plus grave que la crise financière de la Lehman il y a 12 ans. Cela n’a été rapporté que très brièvement, entre autres de manière très argumentée dans le journal DIE ZEIT, puis le reportage sur cette crise a complètement disparu. »

« Une fois de plus, tout le système financier a été au bord de l’effondrement, car il menaçait de dévoiler que pendant au moins 20 ans, il n’avait servi qu’à piller les contribuables au profit de sociétés agissant comme des mafieux, c’est-à-dire en transférant les actifs des citoyens vers les sociétés. Le meilleur exemple est celui de la fraude fiscale appelée CumEx (2)des financiers opérant en bandes organisées, qui sont restées sans sanction jusqu’à ce jour, grâce auxquelles les banques, les entreprises et les super-riches se sont fait rembourser deux ou trois fois des impôts qu’ils n’avaient payés qu’une seule fois. »

« Ainsi les financiers ont-ils collecté pendant de nombreuses années un total d’environ 38 milliards d’euros par le biais de la fraude fiscale. Cela est passé inaperçu, car le soutien politique pour faire advenir cela venait des politiciens eux-mêmes,qui avaient été rendus dociles par les élites des entreprises fraudeuses au cours des 20 dernières années au moins, en particulier par le biais des réunions privées du WEF. Le fait que le pouvoir judiciaire allemand n’ait rien pu faire montre combien ces financiers sont capables de dominer la politique jusque dans les tribunaux. »

« Nous constatons depuis longtemps, notamment dans le cadre de nos actions en responsabilité des banques pour le financement de l’immobilier bon marché, que quelque chose ne va pas. Car là aussi, il est apparu que la complicité de l’ancien patron de la Deutsche Bank, Josef Ackermann avec Angela Merkel était telle que non seulement il la rencontrait régulièrement à Davos, mais encore allait même jusqu’à fêter son 60e anniversaire directement dans le bureau de la chancelière. Ainsi, avait-il un accès direct aux tribunaux pour la politique et avait-il fait des juges des garçons de courses à sa disposition. Ce n’est que de cette manière que l’on peut expliquer que les juges allemands ont repris aveuglément dans leurs jugements l’affirmation de la Deutsche Bank selon laquelle il était habituel pour elle d’accorder des prêts à des personnes sans contrat de prêt si elles en faisaient la demande, dans l’espoir qu’un jour un contrat de prêt approprié serait conclu, car l’octroi d’un prêt à la demande d’un emprunteur potentiel conduit à la conclusion d’un contrat de prêt. Mais au moment où le contrat de prêt était conclu, la Deutsche Bank ne disposait pas des documents requis pour une conclusion effective du contrat, de sorte qu’aucun tribunal n’a pu constater que le contrat avait été réellement conclu en mettant l’argent à disposition, car sinon la Deutsche Bank aurait coulé comme une pierre ! »

« Aucun d’entre nous n’a tenu compte du fait que la Deutsche Bank est une composante importante du blanchiment d’argent de la clique de Davos, et qu’aujourd’hui, nous avons affaire à une petite élite d’entreprises totalement corrompues qui ne s’arrête devant rien. »

« Paul Schreyer décrit très bien dans son rapport “Pandemic-Planspiele” l’imbrication toujours plus étroite des élites d’entreprises avec les élites politiques depuis au moins 20 ans. (3) Il y décrit également comment ces élites tentent délibérément depuis des années, non seulement de conserver leur pouvoir illégitime, mais de l’étendre à l’infini à l’aide de mécanismes de contrôle massifs et inhumains, avant que les objets de ces mécanismes de contrôle, à savoir nous, ne le remarquent et puissent se révolter contre lui. »

« Le professeur Rainer Mausfeld explique à son tour, dans sa conférence “Pourquoi les agneaux se taisent-ils”, comment la politique depuis de nombreuses années (et sans que le public le remarque) met en scène à plusieurs reprises la peur et la panique pour amener les gens à accepter des décisions politiques qu’ils ne soutiendraient pas autrement. » (4)

« Catherine Austin Fitts, ancienne vice-ministre américaine du Logement et banquier d’affaires, explique dans “Catherine Austin Fitts Full Interview Planet Lockdown” (5) comment ces “élites” sont en train de mettre en œuvre la prise de contrôle économique des richesses de toute la classe moyenne, car si seulement 10 % de la population s’en rend compte, le château de cartes s’effondre immédiatement. Certains universitaires supposent même un pourcentage inférieur. »

« Cela suppose que les petites et moyennes entreprises qui fonctionnent bien, par exemple dans la restauration et le commerce de détail, soient fermées par le confinement, de sorte que ces entreprises ne peuvent plus obtenir de revenus, et donc plus payer leurs crédits. L’aide est annoncée, mais elle est en réalité versée avec parcimonie ou pas du tout. Ensuite — cela ne s’applique pour l’instant qu’aux États-Unis — des émeutes sont organisées dans ces régions, qui entraînent une destruction supplémentaire de ces entreprises, de sorte qu’elles ne peuvent même plus être vendues en urgence. De ce fait, des investisseurs privilégiés sur le plan fiscal, à savoir ceux de la clique de Davos, reprennent ces entreprises quasi gratuitement. »

Les litiges juridiques maintenant

« Comme vous le savez, un certain nombre d’institutions et de cabinets d’avocats du monde entier se sont concertés pour dénoncer le contexte décrit ci-dessus avec l’aide des tribunaux et pour demander ensuite aux bailleurs de fonds et aux entreprises responsables d’indemniser les nombreuses victimes des confinements consécutifs au test du Dr Drosten. »

« Les litiges juridiques qui se déroulent actuellement dans le monde entier résultent essentiellement d’une planification conjointe approfondie des scientifiques et des juristes concernés. Car le fait que le test Drosten recommandé par l’OMS dans le monde entier ne puisse pas détecter les infections, et qu’il n’y ait pas d’infections asymptomatiques, donc pas de pandémie, tout au plus une pandémie de test PCR, est d’une importance capitale pour la conclusion de tous les litiges menés dans le monde entier, afin de faire s’écrouler partout le château de cartes des fraudeurs pandémiques. Cela signifie que tout ce qui est établi aux États-Unis, au Canada, en Australie, en Italie, en France et ailleurs dans ce contexte avec l’aide de témoins et d’experts, peut être utilisé comme preuve dans tous les tribunaux du monde. »

Notre procès des tests PCR contre le Dr Drosten ainsi que les procès ultérieurs

« Le procès contre Drosten sera terminé dans les prochains jours et sera ensuite également déposé auprès du tribunal de grande instance de Berlin. Nous travaillons avec un groupe d’avocats pour préparer un certain nombre d’autres procès qui feront jurisprudence, mais surtout, parce que c’est plus rapide et moins coûteux. Nous obtiendrons ainsi un recours collectif allemand : les avis permettront de mettre sous pression les marionnettes visibles comme Drosten et Wieler, mais aussi les fonctionnaires de Leopoldina, y compris les personnes responsables auprès des autorités des ordres de quarantaine. »

Poursuite du procès des tests PCR à New York

« Les collègues américains du “Robert F. Kennedy Jr’s Childrens Health Defense group” ont déposé une plainte pour tests PCR frauduleux à New York le 16/12/2020, conseillés par les mêmes experts que nous pour un certain nombre de plaignants dont on peut lire le procès en anglais. » (6)

Le procès collectif canadien

« Le recours canadien va devenir un recours collectif international pour toutes les victimes de confinements suite aux tests PCR falsifiés du Dr Drosten.

Les collègues canadiens dirigés par Michael Swinwood ont déposé une action collective début janvier. Le recours collectif est composé d’Indiens et, entre autres, d’un groupe de propriétaires de petites entreprises et d’un représentant des handicapés.

Ce recours, contrairement à tous les autres recours introduits jusqu’à présent, décrit également le contexte historique des structures de pouvoir construites au cours des années derrière la clique de Davos mentionnée plus haut. Voir le procès canadien qu’on peut lire en anglais. » (7)

Jugements au Portugal

« Un premier jugement d’une cour d’appel du Portugal a déjà déclaré de façon spectaculaire que les tests PCR — tout comme leur inventeur, le prix Nobel Kary Mullis l’a souligné à maintes reprises — ne sont pas capables de détecter des infections ou même des maladies.

Ce jugement concerne quatre touristes allemands, dont l’un a été testé positif, ce qui a été considéré comme infectieux par les autorités sanitaires, tout comme par la fausse science allemande et les autorités administratives qui les suivaient aveuglément, entraînant une assignation à résidence jugée inconstitutionnelle par le tribunal, confirmant ainsi le tribunal de première instance. »

« Ce jugement invalide toutes les décisions des tribunaux administratifs allemands, qui ne pouvaient pas ne pas reconnaître dans les décisions d’urgence que les tests PCR ne peuvent pas détecter les infections, mais pensaient néanmoins, en agissant en véritables tribunaux de république bananière par un viol flagrant de la loi, qu’ils devaient suivre les fausses déclarations sanitaires qui mettaient l’accent sur les tests PCR frauduleux entraînant une surcharge accrue du système de soins de santé. »

Action en nullité pour cause de vaccin interdit et plainte constitutionnelle d’un juge allemand pour cause de destruction de la démocratie et de l’État de droit

« Parallèlement à toutes ces actions juridiques, la collègue italienne Dr Renate Holzeisen travaille avec notre aide et celle des experts sur un recours en annulation contre la Commission européenne en raison de l’approbation de vaccins non testés et très dangereux, en ce qui concerne les fabricants Pfizer/Biotech et Moderna, vaccins de facto interdits pour cause d’expériences génétiques sur les humains. De plus, en Italie, les procureurs antimafia, puissants et très bien formés, enquêtent, entre autres, sur l’OMS et ses gouverneurs italiens. En France, une plainte est par ailleurs en cours d’examen devant la Cour des droits de l’homme. »

« En outre, un juge allemand, avec lequel nous sommes en contact, a déposé une plainte constitutionnelle contre les mesures aveugles du gouvernement allemand qui détruisent la démocratie et l’État de droit. Cette Cour constitutionnelle peut être sollicitée par n’importe qui. »

« Nous continuerons à informer en permanence, y compris par des vidéos si nécessaire, sur les développements juridiques. Dans le même temps, nous devons tous nous efforcer de mettre les faits réels à la disposition du plus grand nombre de personnes possible. »

« Nous gagnerons parce que nous devons gagner. »

Dr. Reiner Fuellmich


Notes

  1. fuellmich.com/news/mandanten-information-nr-03-corona-schadensersatzklage/
  2. fr.wikipedia.org/wiki/CumEx_Files
  3. youtube.com/watch?v=SSnJhHOU_28 (vidéo en allemand)
  4. youtube.com/watch?v=-kLzmatet8w (vidéo en allemand)
  5. youtube.com/watch?v=MSAnq7HOmYs&feature=youtu.be (vidéo en allemand)
  6. fuellmich.com/wpcontent/uploads/content/newsletter/download/20210110/FILE_STAMPED_CO MPLAINT.pdf
  7. fuellmich.com/wp-content/uploads/content/newsletter/download/20210110/FINAL_statement-of- claim-A.pdf

Résumé et traduction du texte du Dr Fuellmich : Jean-Michel Grau




La grande conspiration criminelle du « zéro carbone »

[Source : Réseau International]

par F. William Engdahl

Le Forum économique mondial de Davos proclame la nécessité d’atteindre un objectif mondial de « neutralité carbone » d’ici 2050. Pour la plupart des gens, cet objectif semble lointain et donc largement ignoré. Pourtant, les transformations en cours, de l’Allemagne aux États-Unis, en passant par d’innombrables autres économies, préparent le terrain pour la création de ce que l’on appelait dans les années 70 le nouvel Ordre économique international. En réalité, il s’agit d’un schéma directeur pour un corporativisme totalitaire technocratique mondial, qui promet un chômage énorme, une désindustrialisation et un effondrement économique à dessein. Voyons un peu le contexte.

Le Forum économique mondial (FEM) de Klaus Schwab fait actuellement la promotion de son thème favori, la Grande Réinitialisation de l’économie mondiale. La clé de tout cela est de comprendre ce que les mondialistes entendent par « neutralité carbone » d’ici 2050. L’UE mène la course, avec un plan audacieux visant à devenir le premier continent « neutre en carbone » au monde d’ici 2050 et à réduire ses émissions de CO2 d’au moins 55% d’ici 2030.

En août 2020, sur son blog, Bill Gates, autoproclamé tsar mondial du vaccin, a évoqué la crise climatique à venir : « Aussi terrible que soit cette pandémie, le changement climatique pourrait être pire… La baisse relativement faible des émissions cette année montre clairement que nous ne pouvons pas atteindre le niveau zéro des émissions simplement – ou même principalement – en prenant moins l’avion et en conduisant moins ».

Avec un quasi-monopole sur les médias grand public et les médias sociaux, le lobby du réchauffement climatique a pu amener une grande partie du monde à supposer que le mieux pour l’humanité est d’éliminer les hydrocarbures, notamment le pétrole, le gaz naturel, le charbon et même l’électricité nucléaire « sans carbone » d’ici 2050, ce qui, espérons-le, pourrait éviter une augmentation de 1,5 à 2 degrés centigrades de la température moyenne mondiale. Il n’y a qu’un seul problème à cet égard. C’est la couverture d’un agenda criminel ultérieur.

Les origines du « réchauffement planétaire »

Beaucoup ont oublié la thèse scientifique originale avancée pour justifier un changement radical de nos sources d’énergie. Il ne s’agissait pas de « changement climatique ». Le climat de la Terre est en constante évolution, en corrélation avec les changements dans l’émission d’éruptions solaires ou les cycles de taches solaires qui affectent le climat de la Terre. Au tournant du millénaire, alors que le précédent cycle de réchauffement dû à l’énergie solaire n’était plus évident, Al Gore et d’autres ont, par un tour de passe-passe linguistique, déplacé le récit du réchauffement climatique vers le « changement climatique ». Aujourd’hui, le récit de la peur est devenu si absurde que chaque événement météorologique inquiétant est traité comme une « crise climatique ». Chaque ouragan ou tempête d’hiver est présenté comme une preuve que les dieux du climat nous punissent pour le péché d’émission de CO2 par les humains.

Mais attendez. L’entière raison de la transition vers des sources d’énergie alternatives comme le solaire ou l’éolien, et de l’abandon des sources d’énergie au carbone, est leur affirmation selon laquelle le CO2 est un gaz à effet de serre qui monte dans l’atmosphère où il forme une couverture censée réchauffer la Terre en dessous – le réchauffement planétaire. Selon l’Agence américaine de Protection de l’Environnement, les émissions de gaz à effet de serre proviennent principalement du CO2. D’où l’accent mis sur « l’empreinte carbone ».

Ce qui n’est presque jamais dit, c’est que le CO2 ne peut pas s’envoler dans l’atmosphère à partir des gaz d’échappement des voitures ou des centrales au charbon ou d’autres origines anthropiques. Le dioxyde de carbone n’est pas du carbone ou de la suie. C’est un gaz invisible et inodore essentiel à la photosynthèse des plantes et à toutes les formes de vie sur terre, y compris la nôtre. Le CO2 a un poids moléculaire d’un peu plus de 44 alors que l’air (principalement de l’oxygène et de l’azote) n’a qu’un poids moléculaire de 29. La gravité spécifique du CO2 est environ 1,5 fois supérieure à celle de l’air. Cela laisse supposer que les gaz d’échappement des véhicules ou des centrales électriques ne s’élèvent pas dans l’atmosphère à plus de 12 miles au-dessus de la terre pour former l’effet de serre redouté.

Maurice Strong

Pour comprendre l’action criminelle qui se déroule aujourd’hui autour de Gates, Schwab et des partisans d’une prétendue économie mondiale « durable », il faut remonter à 1968, lorsque David Rockefeller et ses amis ont créé un mouvement autour de l’idée que la consommation humaine et la croissance démographique étaient le problème mondial majeur. Rockefeller, dont la richesse était basée sur le pétrole, a créé le Club néo-malthusien de Rome dans la villa Rockefeller à Bellagio, en Italie. Leur premier projet a été de financer une étude de pacotille au MIT intitulée « Les limites de la croissance » en 1972.

Au début des années 1970, l’un des principaux organisateurs du programme de « croissance zéro » de Rockefeller était son ami de longue date, un industriel canadien du pétrole nommé Maurice Strong, également membre du Club de Rome. En 1971, Maurice Strong est nommé sous-secrétaire des Nations unies et secrétaire général de la Conférence de la Journée de la Terre de Stockholm en juin 1972. Il a également été administrateur de la Fondation Rockefeller.

Maurice Strong a été l’un des principaux propagateurs de la théorie scientifiquement infondée selon laquelle les émissions anthropiques des véhicules de transport, des centrales au charbon et de l’agriculture ont provoqué une augmentation spectaculaire et accélérée de la température mondiale qui menace la civilisation, appelée réchauffement climatique. Il a inventé le terme élastique de « développement durable ».

En tant que président de la conférence de Stockholm des Nations unies pour la Journée de la Terre de 1972, Strong a encouragé la réduction de la population et l’abaissement des niveaux de vie dans le monde entier pour « sauver l’environnement ». Quelques années plus tard, le même Strong a déclaré :

« Le seul espoir pour la planète n’est-il pas que les civilisations industrialisées s’effondrent ? N’est-ce pas notre responsabilité d’y parvenir ? »

C’est le programme connu aujourd’hui sous le nom de Grande Réinitialisation ou Agenda 2030 des Nations unies. Strong a ensuite créé le Groupe d’Experts intergouvernemental sur l’Évolution du Climat (GIEC), un organe politique qui soutient l’affirmation non prouvée selon laquelle les émissions de CO2 produites par l’homme étaient sur le point de faire basculer notre monde dans une catastrophe écologique irréversible.

Le co-fondateur du Club de Rome, le Dr Alexander King, a reconnu la fraude essentielle de leur programme environnemental quelques années plus tard dans son livre, « La première révolution mondiale ». Il a déclaré :

« En cherchant un nouvel ennemi pour nous unir, nous sommes arrivés à l’idée que la pollution, la menace du réchauffement climatique, les pénuries d’eau, la famine et d’autres problèmes du même genre feraient l’affaire … Tous ces dangers sont causés par l’intervention humaine et ce n’est que par un changement d’attitude et de comportement qu’ils peuvent être surmontés. Le véritable ennemi, c’est donc l’humanité elle-même ».

King a admis que la « menace du réchauffement climatique » n’était qu’un stratagème pour justifier une attaque contre « l’humanité ». C’est ce que l’on appelle aujourd’hui la Grande Réinitialisation et la ruse du « zéro émission nette de carbone« .

Catastrophe des énergies alternatives

En 2011, sur les conseils de Joachim Schnellnhuber, de l’Institut de Recherche sur l’Impact climatique de Potsdam (PIK), Angela Merkel et le gouvernement allemand ont imposé une interdiction totale de l’électricité nucléaire d’ici 2022, dans le cadre d’une stratégie gouvernementale de 2001 appelée « Energiewende » ou « Tournant énergétique », pour s’appuyer sur le solaire, l’éolien et d’autres « énergies renouvelables ». L’objectif était de faire de l’Allemagne la première nation industrielle à être « neutre en carbone ».

Cette stratégie a été une catastrophe économique. Alors qu’elle disposait d’un des réseaux de production d’électricité les plus stables, fiables et à faible coût du monde industriel, l’Allemagne est devenue aujourd’hui le producteur d’électricité le plus cher du monde. Selon l’Association allemande de l’Industrie énergétique BDEW, au plus tard en 2023, lorsque la dernière centrale nucléaire fermera, l’Allemagne sera confrontée à des pénuries d’électricité. Dans le même temps, le charbon, la plus grande source d’énergie électrique, est progressivement éliminé pour atteindre l’objectif « zéro émission nette de carbone« . Les industries traditionnelles à forte intensité énergétique, telles que la sidérurgie, la production de verre, les produits chimiques de base, la fabrication de papier et de ciment, sont confrontées à une montée en flèche des coûts et à des fermetures ou des délocalisations et à la perte de millions d’emplois qualifiés. L’énergie éolienne et solaire, peu efficace, coûte aujourd’hui de 7 à 9 fois plus cher que le gaz.

L’Allemagne ayant peu d’ensoleillement par rapport aux pays tropicaux, le vent est considéré comme la principale source d’énergie verte. Il faut un apport énorme de béton et d’aluminium pour produire des parcs solaires ou éoliens. Il faut de l’énergie bon marché – gaz, charbon ou nucléaire – pour la produire. Au fur et à mesure de l’élimination de cette source d’énergie, le coût devient prohibitif, même sans « taxes sur le carbone » ajoutées.

L’Allemagne compte déjà quelque 30 000 éoliennes, soit plus que n’importe où ailleurs dans l’UE. Ces gigantesques éoliennes posent de graves problèmes de bruit ou de risques sanitaires liés aux infrasons pour les habitants des environs, ainsi que de dégâts causés par les intempéries et les oiseaux. D’ici 2025, on estime que 25% des éoliennes allemandes existantes devront être remplacées et l’élimination des déchets est un problème colossal. Les entreprises sont poursuivies en justice car les citoyens se rendent compte de la catastrophe qu’elles représentent. Pour atteindre les objectifs d’ici 2030, la Deutsche Bank a récemment admis que l’État devra créer une « éco-dictature ».

Dans le même temps, la pression allemande pour mettre fin au transport d’essence ou de diesel d’ici 2035 en faveur des véhicules électroniques est sur le point de détruire la plus grande et la plus rentable des industries allemandes, le secteur automobile, et de faire disparaître des millions d’emplois. Les véhicules alimentés par des batteries lithium-ion ont une « empreinte carbone » totale si l’on tient compte des effets de l’extraction du lithium et de la production de toutes les pièces, qui est pire que celle des voitures diesel. Et la quantité d’électricité supplémentaire nécessaire pour une Allemagne sans carbone d’ici 2050 serait bien plus importante qu’aujourd’hui, car des millions de chargeurs de batterie auront besoin d’une électricité de réseau fiable. Aujourd’hui, l’Allemagne et l’UE commencent à imposer de nouvelles « taxes sur le carbone », prétendument pour financer la transition vers le « Zéro Carbone ». Ces taxes ne feront qu’augmenter le prix de l’électricité et de l’énergie, assurant ainsi l’effondrement plus rapide de l’industrie allemande.

Dépopulation

Selon les partisans du programme « Zéro Carbone », c’est exactement ce qu’ils souhaitent : la désindustrialisation des économies les plus avancées, une stratégie calculée sur plusieurs décennies, comme l’a dit Maurice Strong, pour provoquer l’effondrement des civilisations industrialisées.

Faire de l’actuelle économie industrielle mondiale une dystopie de la combustion du bois et des éoliennes, où les coupures d’électricité deviennent la norme, comme c’est le cas actuellement en Californie, est un élément essentiel d’une Grande Réinitialisation dans le cadre de l’Agenda 2030 : le Pacte mondial des Nations unies pour la durabilité.

En 2015, Joachim Schnellnhuber, conseiller climatique de Merkel, a présenté le programme vert radical du pape François, la lettre encyclique Laudato Si, en tant que représentant de François à l’Académie pontificale des Sciences. Et il a conseillé l’UE sur son programme vert. Dans une interview accordée en 2015, Schnellnhuber a déclaré que la « science » a désormais déterminé que la capacité de charge maximale d’une population humaine « durable » était inférieure de quelque six milliards de personnes :

« D’une manière très cynique, c’est un triomphe pour la science car nous avons enfin stabilisé quelque chose, à savoir les estimations de la capacité de charge de la planète, à savoir moins d’un milliard de personnes ».

Pour ce faire, le monde industrialisé doit être démantelé. Christiana Figueres, contributrice à l’agenda du Forum économique mondial et ancienne secrétaire exécutive de la Convention-cadre des Nations unies sur le Changement climatique, a révélé le véritable objectif de l’agenda climatique des Nations unies lors d’une conférence de presse tenue à Bruxelles en février 2015, où elle a déclaré : « C’est la première fois dans l’histoire de l’humanité que nous nous donnons pour tâche de modifier intentionnellement le modèle de développement économique qui a régné depuis la révolution industrielle ».

Les remarques de Figueres pour 2015 sont reprises aujourd’hui par le président français Macron lors de « l’Agenda de Davos » du Forum économique mondial de janvier 2021, où il a déclaré que « dans les circonstances actuelles, le modèle capitaliste et l’économie ouverte ne sont plus réalisables ». Macron, un ancien banquier de Rothschild, a affirmé que « la seule façon de sortir de cette épidémie est de créer une économie qui se concentre davantage sur l’élimination du fossé entre les riches et les pauvres ». Merkel, Macron, Gates, Schwab et leurs amis y parviendront en ramenant le niveau de vie en Allemagne et dans l’OCDE au niveau de celui de l’Éthiopie ou du Soudan. C’est leur dystopie du Zéro Carbone. Limiter sévèrement les voyages en avion, en voiture, les déplacements des personnes, fermer les industries « polluantes », tout cela pour réduire le CO2. La pandémie de coronavirus ouvre la voie à la Grande Réinitialisation et à l’Agenda 2030 « Net Zéro Carbone » des Nations unies.

source : https://journal-neo.org

traduit par Réseau International




Il dénonce la fausse pandémie orchestrée par Bill Gates

[Source : Profession Gendarme]

Le Président du Nouveau Mouvement Populaire au Cameroun dévoile à la télévision le plan des mondialistes lors d’une prise de parole exceptionnelle.

Il dénonce la fausse pandémie orchestrée par Bill Gates, les Vaccins transhumanistes, l’ambition des élites de réduire la population mondiale à quelques centaines de millions de personnes et la complicité des gouvernements du monde entier ainsi que de leurs fausses oppositions politiques. Egalement, la fraude électorale de J. Biden, qui, avec les autres mondialistes comme E. Macron va tout faire pour accélérer le plan.

Selon lui, nous n’avons plus beaucoup de temps pour échapper à ce plan ignoble.

Source : Deep Media Times

Source : Quartier Libre




De la guerre commerciale, à la guerre sanitaire, à la guerre des vaccins

[Source : Les 7 du Québec]

(N.B. Le titre est de nous : Les7duQuebec.net. NDLR)


Par  Luc Michel. Pour Geopolitical Daily.   Commenté par Les7duQuebec.net

LE VACCIN RUSSE ‘SPUTNIK V’: UN ENJEU GEOPOLITIQUE

La panacée des vaccins contre la COVID-19

« Le « Sputnik V » russe, un vaccin teinté de géopolitique », titrait un quotidien européen. «En annonçant mardi avoir développé le «premier» vaccin contre la Covid-19, baptisé Spoutnik V, la Russie entend se positionner en tête de cette compétition planétaire aux enjeux financiers considérables».   Futura-Sciences (12 août 2020).

Le président Vladimir Poutine en personne s’était fait dès août dernier le VRP du « Sputnik V« , premier vaccin anti-Covid enregistré dans le monde, «témoignant des efforts russes d’en faire aussi un atout géopolitique» (commentait l’AFP).

La Russie s’était attirée une pluie de critiques, des scientifiques occidentaux qualifiant l’annonce de «prématurée». Tout cela ne reposait que sur de la propagande russophobe ! La publication de résultats scientifiques par la prestigieuse revue médicale The Lancet vient d’apporter un démenti scientifique. La communauté internationale occidentale y avait surtout vu «la volonté de Moscou d’étendre son influence dans le monde».

LE VACCIN RUSSE CONTRE LA COVID-19 ABAT SON ATOUT

Le vaccin russe Spoutnik V, initialement accusé donc d’avoir « été développé à la hâte et sans transparence», a fait une entrée fracassante dans le trio de tête des vaccins ce mardi ! La publication mardi des très bons résultats du SpoutnikV russe rebat les cartes dans la hiérarchie mondiale des vaccins contre la COVID-19.

QUEL EST LE MEILLEUR VACCIN?

À ce stade, ce sont ceux qui utilisent la technologie de l’ARN messager, c’est-à-dire ceux de Pfizer/BioNTech et Moderna. Ils affichent un très fort taux d’efficacité, de 95 % et 94,1 %. Selon les résultats intermédiaires de ses essais, publiés dans la revue médicale The Lancet, il est efficace à 91,6 % contre les formes symptomatiques de la COVID. C’est nettement plus que le vaccin d’AstraZeneca/Oxford, efficace à 60 % environ, selon l’Agence européenne des médicaments (EMA).

Tous deux sont des vaccins « à vecteur viral » : on prend pour base d’autres virus, adaptés pour combattre la COVID. Mais alors que le vaccin d’AstraZeneca est basé sur un unique adénovirus de chimpanzé, le Spoutnik V utilise deux adénovirus humains différents pour chacune de ses deux injections. Selon ses concepteurs, cela pourrait provoquer une meilleure réponse immunitaire.  «C’est à notre avis le meilleur vaccin au monde, au niveau efficacité, sécurité, prix et logistique», a assuré mardi Kirill Dmitriev, directeur du Fonds souverain russe, qui a participé à la mise au point et au développement du vaccin.

Les vaccins de Pfizer/BioNTech et Moderna ne peuvent être stockés à long terme qu’à très basse température (-70°C pour le premier et -20°C pour le second). D’autres vaccins ont annoncé des chiffres d’efficacité, sans qu’ils soient publiés dans des revues scientifiques. L’entreprise américaine Novavax a affirmé que le sien était efficace à 89,3 %. C’est un vaccin dit «sous-unitaire», à base de protéines (des antigènes) qui déclenchent une réponse immunitaire, sans virus. Dernière annonce en date, celle de Johnson & Johnson vendredi, selon qui l’efficacité de son vaccin à vecteur viral est de 66 % en général, et surtout, de 85 % pour prévenir les formes graves. Enfin, le vaccin chinois Sinopharm (qui utilise la technique classique du virus inactivé) se prévaut d’une efficacité de 79 %.

Tous ces chiffres sont globaux et on ne sait pas avec certitude à quel point ces vaccins protègent les personnes âgées, population particulièrement à risque (+ 65 ans = 95% des mortalités.  NDLR). On ne sait pas non plus pendant combien de temps ils seront efficaces, ni s’ils empêchent la transmission du virus. (sic)

COMBIEN DE VACCINS ?

Plus de 100 millions de doses ont été administrées dans le monde, moins de deux mois après le lancement début décembre des premières campagnes de vaccination de masse, selon un bilan de l’AFP. Sur les 77 pays ou territoires où la vaccination a commencé (sur un total de 200 pays = 77/200), c’est Israël qui mène la course. Plus du tiers de sa population (37 %) a déjà reçu au moins une injection. Dans l’Union européenne, trois vaccins sont autorisés : Pfizer/BioNTech (administré depuis le week-end du 26/27 décembre), Moderna (6 janvier) et AstraZeneca/Oxford depuis vendredi. (Pour ce qui concerne la vaccination israélienne voir ce texte de G. Delépine : https://les7duquebec.net/archives/261701 NDLR)

Le Fonds souverain russe, qui a participé à la mise au point et au développement du Sputnik V, a annoncé le 20 janvier avoir entamé la procédure d’homologation auprès de l’Agence européenne des médicaments (EMA). Pour autant, le Spoutnik V n’est pas inclus dans les contrats de précommande signés par la Commission européenne. En plus de la Russie, ce vaccin a été homologué dans seize pays : d’ex-républiques soviétiques restées proches comme le Bélarus et l’Arménie, des alliés comme le Venezuela et l’Iran, mais aussi la Corée du Sud, l’Argentine, l’Algérie, la Tunisie ou le Pakistan (on voit ici se dessiner la géopolitique de la puissance russe face à la géopolitique des autres puissances impérialistes. NDLR).

Le Royaume-Uni, lui, dispose de deux vaccins, ceux de Pfizer/BioNTech (avec lequel il a démarré sa campagne le 8 décembre) et d’AstraZeneca/Oxford (qu’il a été le premier pays au monde à administrer, le 4 janvier). Les États-Unis ont également deux vaccins, ceux de Pfizer/BioNTech et Moderna depuis mi-décembre.

Enfin, la Chine, où la pandémie a éclaté il y a un an, a commencé à vacciner dès l’été dernier. Plusieurs de ses laboratoires produisent un vaccin, les plus avancés étant ceux de Sinopharm et Sinovac.

Outre ces vaccins déjà administrés, basés sur différentes technologies, 58 autres sont testés sur l’homme dans le cadre d’essais cliniques, selon le dernier décompte de l’OMS.

ACCÉLÉRATION DES PROCÉDURES DE RECHERCHE, DE PRODUCTION INDUSTRIELLE ET D’ÉVALUATION, APPUYÉE PAR DES FINANCEMENTS PUBLICS COLOSSAUX

Le développement et la mise sur le marché d’un nouveau vaccin prennent d’habitude dix ans en moyenne, un délai réduit à moins d’un an pour la COVID-19 grâce à l’accélération des procédures de recherche, de production industrielle et d’évaluation, appuyée par des financements colossaux. Dans sa course mondiale à la fabrication d’un vaccin contre le coronavirus, l’entreprise publique chinoise se vante d’avoir donné à ses employés, y compris ses hauts dirigeants, des injections expérimentales avant même que le gouvernement n’accepte de le tester sur des citoyens.

QUELLE EFFICACITÉ CONTRE LES VARIANTS?

Cette question taraude les spécialistes alors que des variants plus contagieux du coronavirus classique pourraient à terme prendre sa place. Si l’expansion du variant initialement détecté en Angleterre inquiète, les craintes liées au vaccin portent surtout sur un autre variant, qui a émergé en Afrique du Sud. L’une des mutations qu’il contient (appelée E484K) semble susceptible de rendre les vaccins moins efficaces, selon plusieurs études menées in vitro. (Ce qui menace le lucratif marché public des vaccins convoité par le Big Pharma des firmes multimilliardaires, l’enjeu véritable de cette saga sanitaire. NDLR).

Moderna a assuré la semaine dernière que son vaccin était efficace contre le variant britannique et contre le Sud-Africain, mais dans une moindre mesure. L’entreprise va donc travailler à mettre au point une dose de rappel spécifiquement dirigé contre le variant sud-africain (pérennisant ainsi la poule aux œufs d’or des vaccins profitables. Parions que des variants apparaîtront ainsi régulièrement requérants de nouvelles injections des miraculeux vaccins lucratifs… jusqu’à ce que la brebis, payeur de taxes d’Occident, n’ait plus rien à offrir pour expier sa naïveté effarouchée. NDLR). Pfizer et BioNTech ont affirmé dans la foulée que leur vaccin restait efficace contre les principales mutations des variants anglais et Sud-Africain. Des tests «n’ont pas montré la nécessité d’un nouveau vaccin pour faire face aux variants», selon les deux compagnies, qui se disent toutefois «prêtes à réagir» (sic)  si une mutation résistante émergeait. Enfin, les résultats préliminaires de Novavax et Johnson & Johnson montrent que ces deux vaccins sont moins efficaces dans la partie de leurs essais cliniques réalisés en Afrique du Sud. Cela semble confirmer que le variant Sud-Africain pose plus de problèmes aux vaccins existants.

(Pour un tour d’horizon complet des types de vaccins et de leurs effets voir cette vidéo : https://les7duquebec.net/archives/261900 NDLR)

UNE COURSE CONTRE LA MONTRE S’ENGAGE

« Une course contre la montre s’engage » pour vacciner le plus de monde possible parallèlement à l’émergence des variants, a prévenu mi-janvier le Conseil scientifique qui guide le gouvernement français.

Peut-on décaler les doses ?

Pour tenter de vacciner plus largement, certains pays ont décidé de retarder la deuxième dose de vaccin. Le but : fournir une première dose à davantage de gens avant de passer à la deuxième. Le Danemark a, par exemple, décidé de faire passer ce délai à 6 semaines, et le Royaume-Uni carrément à 12. Or, les vaccins de Pfizer/BioNTech et Moderna ont été conçus pour que leurs deux doses soient administrées respectivement à 3 et 4 semaines d’intervalle. (Ce qui donne à penser que tout cela est du n’importe quoi d’un point de vue scientifique médical et sanitaire. NDLR)

Des spécialistes craignent donc qu’espacer davantage les doses nuise à l’efficacité du vaccin, voire favorise l’émergence de nouveaux variants à cause d’une protection seulement partielle de la population (voici de quelle manière ces thuriféraires de l’industrie pharmaceutique préparent les conditions de la mise en marché ad nauseam de vaccins « d’ajustement » payants. NDLR) Début janvier, l’ineffable OMS a jugé que la deuxième dose pouvait être décalée «dans des circonstances exceptionnelles», en cas d’explosion de l’épidémie ou de problèmes d’approvisionnement (L’OMS stipendiée par l’industrie pharmaceutique vole à la rescousse de ses sponsors mettant de l’avant que des impératifs logistiques influeraient sur les contingences scientifiques. On galère en pleine saga pécuniaire, sans même que les laquais prennent soin de dissimuler leurs méfaits. NDLR), mais le délai entre les deux ne doit pas excéder six semaines, avait-elle ajouté. L’EMA cette fois a été plus prudente: elle a recommandé de s’en tenir à un intervalle de trois semaines entre les deux injections du vaccin Pfizer/BioNTech. La France, qui envisageait initialement un report à six semaines, a finalement décidé de respecter les délais prévus par les fabricants. L’arrivée prochaine du vaccin de Johnson & Johnson pourrait aider à trancher le débat, puisque contrairement aux autres, ce vaccin ne nécessite qu’une injection.

Quels effets secondaires ?

Les essais cliniques n’ont pas mis en évidence de problème de sécurité notable pour les vaccins déjà distribués. Leur «surveillance étroite» se poursuit (sic)  afin de détecter d’éventuels effets secondaires graves survenant à plus long terme. Celui de Pfizer/BioNTech est celui pour lequel on a le plus de recul. «Les avantages de Comirnaty (son nom commercial, NDLR) dans la prévention de la COVID-19 continuent de l’emporter sur tous les risques» a assuré l’EMA vendredi en publiant sa première mise à jour sur la sécurité de ce vaccin depuis que l’UE a commencé à l’administrer.

Ces dernières semaines, plusieurs pays ont signalé des cas de décès chez des personnes âgées et souvent très malades qui avaient auparavant reçu le vaccin Pfizer. Après avoir analysé ces cas, l’EMA a conclu que «les données ne montraient pas de lien avec la vaccination avec Comirnaty» et a exclu tout «problème de sécurité». (Prendre note de cette note de l’EMA qui ne craint pas de se compromettre au service de ses maîtres. Commençons à construire le mémorial des sinistrés comme le propose l’article ci-contre: La vaccination de masse antiCOVID-19 prépare une catastrophe sanitaire mondiale  https://les7duquebec.net/archives/261701 NDLR)

Par ailleurs, comme tous les vaccins, ceux contre la COVID peuvent provoquer des effets secondaires légers et attendus. « Ces vaccins sont assez réactogènes (induisent des réactions, NDLR) : leur niveau de sécurité est satisfaisant, mais par contre, ils font mal au bras, entraînent un sentiment de fatigue », avait expliqué en décembre la spécialiste française Marie-Paule Kieny lors d’une audition parlementaire.

LE SPUTNIK ÉLÉMENT DU SOFT POWER GÉOPOLITIQUE RUSSE

« L’annonce faite en août par le président Vladimir Poutine selon laquelle la Russie avait autorisé l’utilisation du premier vaccin COVID-19 au monde avant même la fin des essais de sécurité a suscité le scepticisme dans le monde entier, écrit Bloomberg. Maintenant, il peut récolter des dividendes diplomatiques alors que la Russie profite sans doute de sa plus grande percée scientifique depuis l’ère soviétique ».

« LE VACCIN DE POUTINE JADIS MÉPRISÉ EST DÉSORMAIS FAVORI DANS LA LUTTE CONTRE LA PANDÉMIE » (BLOOMBERG)

« Les pays font la queue pour s’approvisionner en Spoutnik V après que des résultats évalués par des pairs publiés dans le journal médical The Lancet cette semaine ont montré que le vaccin russe protège contre le virus mortel ainsi que contre les vaccins américains et européens, et bien plus efficacement que ses rivaux chinois, ajoute Bloomberg ».

Au moins 20 pays ont approuvé l’utilisation de l’inoculation du Sputnik V, dont la Hongrie, État membre de l’Union européenne, et la Serbie, tandis que des marchés clés tels que le Brésil et l’Inde sont sur le point de l’autoriser. La Russie se tourne maintenant vers le marché européen prisé alors que le bloc se débat avec son programme de vaccination dans un contexte de pénurie d’approvisionnement, organisé par les Big Pharmas anglo-saxons. (Les suppôts de l’empire russe prennent fait et cause pour l’industrie russe contre ses concurrents industriels occidentaux – chinois et même cubain… NDLR).

« Dans la bataille mondiale pour vaincre une pandémie qui a coûté la vie à 2,3 millions (???) de vies en un peu plus d’un an (sic), la course aux vaccins a pris une importance géopolitique alors que les gouvernements cherchent à sortir des énormes dommages sociaux et économiques causés par les verrouillages imposés pour limiter la propagation des virus. Cela donne à la Russie un avantage parmi les rares pays où les scientifiques ont produit une défense efficace» commente encore Bloomberg.

LA DÉCISION STRATÉGIQUE DE POUTINE

Sa décision de nommer Spoutnik V en l’honneur du premier satellite au monde dont le lancement en 1957 a donné à l’Union soviétique un triomphe étonnant contre les États-Unis pour lancer la course à l’espace n’a fait que souligner l’ampleur de l’importance que Moscou attachait à cet exploit. Les résultats des essais de stade avancé de 20 000 participants examinés dans The Lancet ont montré que le vaccin a un taux de réussite de 91,6%. « C’est un moment décisif pour nous », a déclaré Kirill Dmitriev, directeur général du Fonds d’investissement direct russe, qui a soutenu le développement de Spoutnik V et est en charge de son déploiement international, dans une récente interview.

UN ÉLÉMENT DU SOFT POWER RUSSE, UN VECTEUR GÉOPOLITIQUE

« S’il est trop tôt pour évaluer les gains politiques pour Poutine, la Russie fait déjà une grande partie de l’impact de puissance douce (soft Power) du vaccin sur son image après des années de condamnation internationale pour l’ingérence électorale et le ciblage d’opposants politiques au pays et à l’étranger », ajoute Bloomberg. La télévision d’État fait de nombreux reportages sur les livraisons à d’autres pays. « Le succès de Spoutnik ne changera pas l’hostilité envers Poutine parmi les gouvernements occidentaux, mais il pourrait renforcer l’influence géopolitique de la Russie dans des régions telles que l’Amérique latine », selon Oksana Antonenko, directrice du cabinet (pro-occidental) de Conseil Control Risks. «Avec ce vaccin, il s’est avéré capable de produire quelque chose de nouveau qui est demandé dans le monde entier», a-t-elle déclaré.

Les contraintes de production sont le plus grand défi auquel sont confrontés tous les fabricants, car la demande mondiale dépasse de loin l’offre. La Russie promet des vaccins gratuits (!!!) pour ses 146 millions d’habitants. Mais aussi les russophones des républiques autoproclamées de PMR, DNR ou LNR , qui se sont séparées de la Moldavie (en 1990) et de l’Ukraine (en 2014), alors que Chisinau et Kiev sont incapables de vacciner leurs populations!  Moscou a commencé la production l’année dernière et le vaccin est actuellement fabriqué dans des pays comme l’Inde, la Corée du Sud et Brésil. Cette semaine, il est apparu qu’un proche allié du président turc Recep Tayyip Erdogan, ennemi géopolitique de la Russie, a signé un accord pour produire du Spoutnik V en Turquie, alors même que le pays a conclu des accords pour acheter 50 millions de doses du vaccin CoronaVac de Sinovac Biotech Ltd et 4,5 millions de doses de la photo de Pfizer Inc.-BioNTech SE.

LA PERCÉE RUSSE EN AMÉRIQUE LATINE

Le lendemain de l’annonce de son contrat, le président mexicain prorusse Andres Manuel Lopez Obrador a déclaré le 25 janvier qu’il remerciait un Poutine «vraiment affectueux» pour avoir promis 24 millions de doses de Spoutnik V dans les deux mois à venir. Trois jours plus tard, le président bolivien Luis Arce a personnellement pris livraison d’un lot à l’aéroport de La Paz. L’Amérique latine s’avère un territoire fertile. L’Argentine, qui a eu du mal à se procurer des vaccins, a lancé son programme de vaccination de masse après avoir reçu plus d’un demi-million de doses de Spoutnik V en janvier. Il a été rejoint par le Nicaragua, le Paraguay et le Venezuela. Au Brésil, le plus grand marché de la région, une décision annoncée le 3 février de supprimer l’exigence des essais de phase trois pour utilisation d’urgence pourrait accélérer l’approbation.

À LA CONQUÊTE DE L’AFRIQUE

La Guinée est devenue le premier pays africain à commencer à dispenser du Spoutnik V en décembre, le président ami de Moscou, Alpha Condé, et plusieurs ministres prenant le vaccin. Il s’attend à recevoir 1,6 million de doses cette année et est également en pourparlers sur l’acquisition de vaccins chinois, ainsi que sur le vaccin d’AstraZeneca Plc. Le Zimbabwe, la République centrafricaine et la Côte d’Ivoire font partie des autres clients potentiels de la Russie. «Nous ne sommes pas en mesure de dire non à aucun vaccin. Nous avons opté pour le vaccin Pfizer, mais nous examinons également d’autres vaccins», a déclaré le professeur Joseph Benie, directeur de l’Institut national d’hygiène publique à Abidjan, en Côte d’Ivoire. «Il est maintenant urgent de commencer à vacciner»

Contrairement au vaccin Pfizer / BioNTech, Sputnik V peut être conservé dans un réfrigérateur plutôt que dans un congélateur, ce qui facilite son transport et sa distribution dans les pays les plus pauvres et les plus chauds. À environ 20 $ pour une vaccination à deux doses, c’est également moins cher que la plupart des alternatives occidentales. Bien que plus cher qu’AstraZeneca, l’inoculation russe a montré une efficacité supérieure à celle du vaccin britannique.

EN EURASIE COOPÉRATION AVEC TÉHÉRAN ET PÉKIN

Pour certains pays comme l’Iran, qui a reçu cette semaine le premier lot des 2 millions de doses promis, la Russie offre une alternative politique plus acceptable que les fournisseurs occidentaux. Mais la Russie fait également des percées dans des pays tels que les Émirats arabes unis, qui sont traditionnellement proches des États-Unis et ont approuvé l’utilisation de Spoutnik V.

Les développeurs chinois peuvent désormais faire équipe avec la Russie. Le RDIF a conclu un accord préliminaire pour tester un régime combiné de tirs de Spoutnik V et de CanSino Biologics en Chine pour renforcer l’efficacité contre la Covid-19, ont déclaré vendredi des personnes connaissant le sujet.

MALGRÉ LA RUSSOPHOBIE PERCÉE EN EUROPE OCCIDENTALE ?

Dans ce qui pourrait représenter la plus grande percée potentielle du Kremlin, la Russie a demandé aux régulateurs européens d’examiner une demande d’autorisation de Spoutnik V après que l’Allemagne eut promis d’aider à accélérer le processus. Alors que les hauts responsables de l’UE s’inquiètent toujours d’un déploiement lent du vaccin, la chancelière allemande Angela Merkel a déclaré mardi que le vaccin russe pourrait être utilisé pour protéger les personnes du bloc de 27 membres tant qu’il était approuvé par l’Agence européenne des médicaments.

La Hongrie a déjà accordé une autorisation d’urgence, signant un accord pour 2 millions de doses de Spoutnik V avec les 40 000 premiers vaccins livrés ce mardi. « Le vaccin ne peut pas être une question politique », a déclaré le premier ministre Viktor Orban à la radio d’État le 29 janvier. (Quel menteur ce Viktor Orban hypocrite. Comme le montre le présent article, cette affaire de vaccin coiffant cette crise sanitaire hystérique n’est qu’une affaire de gros sous, de marchés et de concurrence entre puissances cupides. NDLR)

L’approbation européenne peut prendre plusieurs mois en raison de la nécessité de soumettre des données détaillées, a déclaré Richard Horton, rédacteur en chef du Lancet, à QuickTake de Bloomberg. «Je pense que ce vaccin russe sera disponible», mais «pas rapidement», a-t-il déclaré. Alors que la Russie dit qu’elle s’attend à ce que le vaccin soit disponible pour 700 millions de personnes cette année, elle fait face à des goulots d’étranglement de production. «Soyons réalistes. Compte tenu de nos autres engagements, nous ne pourrons pas approvisionner l’Europe avant mai, à l’exception de la Hongrie», a déclaré Dmitriev du RDIF.

« Pourtant, le vaccin rapporte des dividendes pour Poutine », commente Bloomberg. Alors même qu’il se rendait à Moscou vendredi pour affronter le ministre des Affaires étrangères Sergueï Lavrov à propos de l’emprisonnement du chef de l’opposition Alexey Navalny (qui a décrété que Navalny était le chef de l’opposition en Russie ? NDLR) le chef de la politique étrangère de l’UE, Josep Borrell, a pris le temps de féliciter la Russie pour le développement de Spoutnik V. « C’est une bonne nouvelle pour l’humanité entière », a déclaré Borrell. « Cela signifie que nous allons disposer de plus d’outils pour faire face à la pandémie » …

(sources : AFP – bloomberg – interfax – EODE Think Tank et Les7duquebec.net)




Pour répondre à la question de la crise sanitaire et économique

Par Gilles Levesque

L’Occident a tout simplement perdu la guerre économique avec l’Orient. Celle-ci a commencé dans un premier temps par trop d’abus spéculatif (cupidité) via la titrisation à outrance de titres obligataires de certaines créances (dette) transformées en produits financiers. Cet abus a été grandement favorisé à partir des années 1995 par des politiques monétaires axées sur la libéralisation des mouvements des capitaux et des taux de change. Le monde financier devenait tout d’un coup transnational et mondialisé où plus aucun État ne pouvait désormais penser à réguler les comportements abusifs. Un monde sous forme d’un nouveau royaume sans foi ni loi qui venait d’émerger, ouvert et sans entraves à la privatisation et à la circulation libre des capitaux. Cette politique néocoloniale du capitalisme néolibéral, financier et mondialisé a été favorisée par les cotations actionnariales des entreprises en Bourse, ayant comme résultat direct la privatisation des profits, par la captation (sous forme de dividendes aux créanciers actionnaires) des impôts déversés, tout en favorisant au passage l’amplification de l’évasion fiscale.

L’appauvrissement des États-nations vient de cette politique axée sur la privatisation des profits et de la socialisation des pertes. Il s’agit d’une complicité croissante, de longue date, entre le monde politique, la haute finance et les multinationales, qui doucement va tranquillement se transformer par regroupement de réseaux d’intérêts mafieux et criminels où règnent en maîtres la collusion, le copinage et la corruption à volonté. Une finance rendue tribale, de type féodal, et bâtie uniquement sur le vol ou la razzia des ressources naturelles, le pillage devenant butin, et la traite d’êtres humains, esclaves des temps modernes et pièces de rechange pour ceux qui nourrissent des délires d’éternité. Il s’agit d’esclavage par ceux qui détiennent la dette. Et ces derniers contrôlent également le réel pouvoir qui est donné par la politique monétaire des Banques Centrales.

Le déficit budgétaire et le poids des taxes et des impôts allant toujours croissant, d’année en année, des États-nations vient de ce manque d’entrées en recette fiscale, ou plutôt de la privatisation du flux des impôts et de l’évasion fiscale pour les très riches. Les conséquences directes de tout ça est d’ajouter de plus en plus de mesures d’austérité et de détresse humaine pour combler la différence. Si nous revenons à ce phénomène de titrisation à outrance, qui a eu pour résultat de faire éclater la bulle immobilière en 2008 avec la crise des surprimes, tout en détruisant du même coup la confiance envers les banquiers. Ceux-ci ont alors mis en place des politiques de taux d’intérêt bas et même négatif, afin de lutter dans un premier temps contre la chute boursière, d’éviter l’éclatement de la zone euro, et, pour finir, de contrôler par le flux migratoire une déflation de plus longue durée causée essentiellement par la décroissance démographique des baby-boomers (voir aussi la crise du LIBOR — ou taux interbancaire — en septembre 2019). En parallèle, l’Orient se désengage de plus en plus des pétrodollars et le développement des routes de la soie avec la reconstruction de la Libye, de la Syrie, de l’Irak et du Yémen, va grandement simuler leur économie. Soit l’équivalent d’un plan Marshall, ce qui fait que l’Orient ne tombera pas dans une crise monétaire et financière systémique, contrairement au monde occidental qui y plonge de plein fouet et à très grande vitesse.

L’alternative pour l’Occident et l’OTAN aurait été de déclarer la guerre avec soit l’Iran ou la Russie. Puisqu’il fallait bien détruire les bases arrière des alliées de la Chine, avant de pouvoir déclencher un conflit militaire direct. Cette stratégie d’encerclement et de confinement des alliées de la Chine et de la Chine elle-même est promue clairement par la stratégie du chaos depuis les années 2000 avec l’endiguement de la Russie et de l’Iran par L’OTAN. Une idéologie qui cherche à instrumentaliser l’aspect conflictuel et tribal du multiculturalisme confessionnel de certaines régions de la planète, en voulant lui imposer l’aspect virtuel et illusoire d’une pâle copie de la théorie du choc des civilisations. Une politique néocoloniale axée sur le pillage des ressources naturelles afin de lutter contre le manque de croissance de profit résultant d’un monde aux limites bien finies. Ceci ne pourrait pas exister sans le développement et l’emboîtement de différents réseaux de groupes d’intérêts reliant la corruption institutionnalisée et le copinage entre la finance, le monde politique et les multinationales dans un monde occidental devenu transnational, aux limites virtuelles mondialisées. Couper l’approvisionnement et les routes du pétrole est capital pour toute armée qui désire garder son autonomie et ses capacités de déploiement et d’intervention rapide face à toute offensive guerrière étrangère.

La stratégie des changements de régime (« régime change » en anglais) contre certains pays instrumentalise abusivement les Droits de l’homme ou utilise des ONG qui conseillent discrètement certains groupes d’opposition gouvernementale en jouant sur l’aspect confessionnel et ethnique plus ou moins chaotique relié au multiculturalisme et qui vont parfois jusqu’à leur donner une forme d’assistance militaire pour faciliter leur armement. Le but général est de morceler ces pays tout en favorisant le déclenchement de conflits civils, ce qui les rend encore plus impuissants face aux politiques hégémoniques occidentales. Ceci a été mis en œuvre lors des Révolutions de couleur dirigées par la CIA, entre les années 2004 et 2014, dans les ex-républiques soviétiques (Ukraine et Géorgie), lors des crises de Tchétchénie (en 1994 et 2000), ainsi que lors des Printemps arabes de 2011. Pour cela, il suffit essentiellement d’instrumentaliser et d’armer les partis d’oppositions pour les conduire à l’affrontement du régime en place, tout en poussant ce dernier à l’erreur dans le but de favoriser l’esprit de rébellion et d’insurrection dans la population. Une alternative consiste à favoriser des guerres (de type néocolonial) indirectes par « proxy » en utilisant tout simplement des armées privées de mercenaires ou en instrumentalisant des tribus mutuellement hostiles. Dans un processus de mondialisation du monde marchand, financier et capitaliste, le tout finira inéluctablement par se transformer en néocolonialisme féodal de type ploutocratique.

Les armées russe et iranienne ont développé de nouvelles armes technologiques et stratégiques très performantes et les ont dévoilées et utilisées pour la première fois en Syrie : un nouveau type de missiles balistiques intercontinentaux ultrasoniques à propulsion nucléaire filant à plus de 10 fois la vitesse du son ; des armes de défense antiaérienne et d’interception antimissile comme le système S-400 russe ou le Khordad-3 iranien ; etc. Leur efficacité et leurs performances ne sont plus à démontrer, contrairement au bouclier antimissile Patriot américain qui s’est révélé être une véritable passoire (un bluff !). Le système antimissile Patriot a révélé son inefficacité lors du bombardement par le Yémen de la raffinerie d’Aramco en Arabie Saoudite le 14 septembre 2019, mais surtout lors du bombardement par l’Iran de la base américaine Al-Asad en Irak le 8 janvier 2020, en réponse à l’assassinat du général iranien Qassem Soleimani le 3 janvier 2020. Cet état de fait a drôlement changé la situation géostratégique, surtout depuis 2015 lors de l’intervention russe en Syrie. L’hégémonie occidentale a dû modifier ses plans et faire un véritable repli stratégique, puisque la guerre avec l’Orient était devenue trop incertaine sous le couvert d’une technologie de guerre trop performante.

Ce scénario paraissait très possible sous l’administration Trump, mais qui devient de moins en moins certain avec le vol de l’élection par les démocrates de Biden. Celui-ci semble vouloir renouveler le pillage du pétrole et morceler la Syrie par l’implantation d’une zone sunnite située à l’est de l’Euphrate, recyclant ainsi les mercenaires et l’opposition armée syrienne (ancienne Al-Qaïda et Daesh) dans l’est de la Syrie. Entre 2003 et 2006, Daesh était l’ennemi juré des forces armées américaines qui se trouvaient en Irak, mais à partir de 2006 et surtout depuis 2014 avec la proclamation du Califa Islamique par Abou Bakr al-Baghdadi. Une sorte d’entente illicite s’est alors mise tranquillement en place par association d’intérêts sur le morcellement de l’Irak et la Syrie en trois régions ethniques différentes : kurde au nord, sunnite au centre, et chiite aux extrémités. Daesh était désormais devenu un simple groupe armé privé agissant comme proxy tout en étant coordonné sur le terrain par l’armée américaine pour combattre l’armée syrienne. Ce dernier scénario est porteur d’un potentiel de guerre globale impliquant le bloc occidental via l’OTAN contre le bloc de l’alliance de la résistance orientale. La lutte pour le dernier des royaumes terrestre est peut-être commencée.

Ce repli stratégique mené par l’ONU et l’OMS a pour but de coordonner l’aveuglement médiatique des masses pour contrer la vigilance des peuples, mais aussi pour mettre en place des outils de contrôle pour éviter et pour étouffer les mouvements révolutionnaires de type Gilets jaunes qui commençaient à émerger un peut partout. L’instrumentalisation de la crise sanitaire et le Great Reset (Grande Initialisation) du forum de Davos consistent à faire la promotion du passage en force, via la fabrique du consentement, de la quatrième évolution technologique. Autrement dit, il s’agit de forcer le passage au « tout numérique » avec les imprimantes 3D, la robotisation, l’automatisation, et l’informatisation des différents procédés de production industrielle et des services. Les vaccins à ARN messager sont en fait des tests grandeur nature. Nous sommes tous cobayes pour des recherches faites en thérapie génique sur les cancers, axées sur la différenciation et le contrôle de la prolifération cellulaire, ou le délire de l’immortalité fantasmée. De plus, ils ont pour objectif d’appauvrir et de soumettre les peuples et les classes moyennes au chômage de masse (d’où les mesures de confinement), mais aussi d’émettre une forme de dictature économique basée sur le « tout numérique », un contrôle forcé reposant sur un revenu universel (tous soumis au dictat de l’État devenu totalitaire). Néanmoins, en réalité le « numérique » ne peut pas être appliqué (c’est un rêve de puissance des élites), car il est trop sensible aux moindres variations naturelles ou climatiques (orages, ouragans, flashs solaires, etc.) et aux sabotages susceptibles de survenir lors de situations de crise ou de conflit militaire. De telles conditions entraînent facilement la destruction des liens électroniques (réseau de distribution électrique, Internet, etc.) entre émetteur et récepteur nécessaires aux transactions monétaires numériques. Il n’est alors plus possible de faire la moindre transaction virtuelle pour réaliser de simples échanges basiques reliés à la survie même des individus. Famine, guerre et maladie s’ensuivront de toute évidence, voire même le retour au barbarisme.

Les virus à ARN subissent des mutations plus rapidement que les virus à ADN, car le matériel génétique à base d’ARN est moins stable que l’ADN, et c’est pour cela qu’il faut protéger les vaccins avec le froid, car il finit par se dégrader et donc de devenir très dangereux (c’est peut-être cela qui explique la lenteur et la rareté des vaccinations). Un virus trop virulent n’a pas vraiment le temps de se propager rapidement dans la population pour se reproduire, il (l’épidémie !) est donc condamné à mourir rapidement. C’est pour cela que la nature à travers la sélection naturelle favorise plutôt une virulence moindre par une contagiosité plus grande, comme le font chaque année les virus de la grippe. L’un des virus du rhume de la famille des coronavirus (SRAS-COV-2) est passé par une mutation (naturelle ou pas ?) très virulente en mars, avril et mai 2020. Comme c’est le cas pour tous virus que notre système immunitaire rencontre pour la première fois, le temps de s’adapter, et c’est d’ailleurs dans cette situation qu’il y a beaucoup plus de décès parmi les personnes plus fragiles. Le SRAS-COV-2 a par la suite muté pour devenir l’équivalent d’une simple grippe ou rhume à mutation saisonnière (soit des variances de la Covid-19). La situation sanitaire a en réalité tout simplement mis en évidence le manque de financement causé par des politiques d’austérité sur le déficit budgétaire envers les hôpitaux et des systèmes de santé. Ceux-ci sont soumis au flux tendu et débordant chaque année depuis les années 2000 avec l’arrivée des épidémies de grippe saisonnière. La très mauvaise gestion de la crise sanitaire à son début, en plus de l’état de peur du personnel soignant que cela a provoqué par le manque d’informations adéquates, sont les seules responsables du fort taux de mortalité rencontré dans certaines maisons de retraite.

En effet, nous savons désormais que les personnes asymptomatiques présentent une charge virale insuffisante pour promouvoir la propagation de la contamination, car leur système immunitaire combat efficacement en freinant la reproduction du virus. En réalité, ils participent plus à l’établissement de l’immunité collective à travers la population. Le protocole à suivre aurait dû être de protéger les personnes fragiles et à risque de ces établissements (maisons de retraite) en leur fournissant les outils adéquats pour affronter la crise. Les autorités en place auraient dû prévoir de leur fournir des masques pouvant filtrer adéquatement les micros-gouttelettes. Comme les masques filtrants N95 (ou FFP2 pour l’Europe). De tester les individus présentant des symptômes (de là l’efficacité réelle des tests PCR), de les isoler et surtout de leur donner un traitement préventif pour baisser la charge virale, avant que des complications plus graves d’infection bactérienne ne surviennent (tempête de cytokine, thrombose, etc.). De faire un traitement préventif anti-inflammatoire au besoin, incluant un antiviral pour baisser la charge virale ayant pour effet d’augmenter le PH de certaines vacuoles intracellulaire (lysosome), puisque ce virus évolue dans un environnement plus acide à PH bas. Aussi, de faire un traitement antibactérien pour éviter des complications d’infection bactérienne, causée essentiellement par l’affaiblissement du système immunitaire. Et surtout d’inclure du Zinc, de la vitamine C et D pour stimuler les défenses du système immunitaire, comme l’avait suggéré le protocole fort logique du Dr Didier Raoult.

En réalité, la crise sanitaire est une instrumentalisation qui sert à camoufler la cause réelle qui est en réalité une crise économique, financière et monétaire systémique, et qui était sur le bord de tout faire exploser depuis 2008. Les QE (Quantitative Easing ou politique de rachat d’obligations) impliquent la mise en marche d’une planche à billets virtuelle, et les politiques des taux d’intérêt bas et même négatifs ont servi à maintenir artificiellement à la hausse les marchés financiers et les bourses. Ceci a ainsi donné l’illusion que tout allait bien dans le meilleur des mondes. Mais, le tout allait inévitablement finir un jour à l’autre par exploser. De même, ce que nous vivons actuellement dans la plupart des pays occidentaux à la solde des consignes de l’ONU et de l’OMS, comme le confinement tueur d’économie nationale et créateur de chômage de masse, est en fait la mise en place (forme) de cette après-explosion de la crise systémique, afin de permettre aux élites de garder la main mise sur les Banques Centrales et sur les politiques de contrôle monétaire (l’Arme du pouvoir absolu).

Masque Vs anti-masque ou vaccin Vs anti-vaccin sont en réalité le résultat de l’utilisation d’une stratégie d’ingénierie sociale pour diviser et instrumentaliser les peuples, dont le but est de dévier l’attention et de diviser pour mieux régner. Entre-temps, se scénario hypnotique de l’attention ciblée favorise la recapitalisation des actions boursières de Big Pharma, des caisses de retraite, etc. Maintenir le mensonge à tout prix (par une instrumentalisation et un conditionnement médiatique à outrance) permet d’éviter une réforme systémique possible des politiques monétaires nationales. Une telle réforme pourrait inclure un démantèlement des monopoles visant une forme de nationalisation des GAFAM et des politiques monétaires des Banques Centrales, la criminalisation des spéculations boursières abusives, et enfin l’abolition de l’évasion fiscale. De quoi ont le plus peur nos élites et nos oligarques ? Eh bien, de rétrograder et de perdre les outils qui leur donnent le pouvoir de garder leur prestige et privilège. Et entre vous et moi, à quoi cela peut-il bien servir de faire une campagne de vaccination massive si plus de 99,95% des gens atteints guérissent sans problème ? Dans ces conditions et toute proportion gardée, ce n’est pas la maladie du Covid-19 qui est le plus dangereux ni à redouter, mais ce sont les effets secondaires de la vaccination.

Le monde change, et nous devrons désormais l’obliger à nous écouter !


Références pour le suivi de la situation en Syrie et en Irak

Cartes :
Syrie : https://syria.liveuamap.com/fr
IRAK : https://iraq.liveuamap.com/fr

Syrie : SitRep 97 avec Ayssar Midani du Cercle des Volontaires
https://www.youtube.com/user/CercleDesVolontaires/videos

Site de PressTV de l’Iran : https://french.presstv.com/




Virus fantôme : à la recherche du SARS-CoV-2

[Source : Recherches Covid-19]

[Photo : Alfred Abel, Rudolf Klein-Rogge et Gertrude Welcker dans Dr. Mabuse, le joueur (1922)]

Même l’Institut Robert Koch et d’autres autorités sanitaires ne peuvent pas présenter de preuve décisive qu’un nouveau virus appelé SARS-CoV-2 nous hante. Ce seul fait transforme le discours sur les mutations virales dangereuses en une campagne de peur irresponsable et les tests PCR du SARS-CoV-2 en une entreprise sans valeur.

Dans une demande d’étude qui montre l’isolement et la purification complète des particules prétendues être le SARS-Cov-2, Michael Laue, de l’un des plus importants représentants mondiaux de la “panique” COVID-19, l’institut allemand Robert Koch (RKI), a répondu à cela[1] :

Je n’ai pas connaissance d’un document qui ait purifié et isolé le SARS-CoV-2.

C’est une déclaration plus que remarquable, elle admet un échec complet. Cette concession est en accord avec les déclarations que nous avons présentées dans notre article «Les tests PCR COVID19 n’ont aucune signification scientifique» qu’OffGuardian a publié le 27 juin 2020 – un article qui a été le premier au monde à décrire en détail pourquoi les tests PCR du SARS-CoV-2 sont sans valeur pour le diagnostic d’une infection virale.

L’un des points cruciaux de cette analyse est que les études prétendant avoir montré que le SARS-Cov-2 est un nouveau virus potentiellement mortel n’ont aucun droit de le prétendre, notamment parce que les études prétendant à l’”isolement” du SARS-Cov-2 n’ont en fait pas réussi à isoler (purifier) les particules dites du nouveau virus.

Cela est confirmé par les réponses des scientifiques des études respectives à notre enquête, qui sont présentées dans un tableau dans notre article – parmi elles, le document le plus important au monde en ce qui concerne l’affirmation d’avoir détecté le SARS-Cov-2 (par Zhu et coll.), publié dans le New England Journal of Medicine le 20 février 2020, et maintenant même le RKI.

Soit dit en passant, nous sommes en possession d’une autre réponse de confirmation des auteurs [2] d’une étude australienne.

Recherché, en vain : le virus SARS-CoV-2

En outre, Christine Massey, une ancienne biostatisticienne canadienne dans le domaine de la recherche sur le cancer, et un de ses collègues en Nouvelle-Zélande, Michael Speth, ainsi que plusieurs personnes dans le monde entier (dont la plupart préfèrent rester anonymes) ont soumis des demandes de renseignements au titre de la liberté d’information à des dizaines d’institutions de santé et de sciences et à une poignée de bureaux politiques dans le monde.

Ils recherchent tout document décrivant l’isolation du virus du SARS-COV-2 à partir d’un échantillon non altéré prélevé sur un patient malade.

Mais les 46 institutions/bureaux qui ont répondu n’ont absolument pas fourni ou cité de dossier décrivant l’isolement du “SARS-COV-2” ; et le ministère allemand de la Santé a complètement ignoré leur demande de liberté d’information.

L’entrepreneur allemand Samuel Eckert a demandé aux autorités sanitaires de différentes villes telles que Munich, Düsseldorf et Zurich une étude prouvant l’isolation complète et la purification du “SARS-CoV-2”. Il ne l’a pas encore obtenue.

Récompenses pour la preuve de l’isolement et de la causalité

Samuel Eckert a même promis 230 000 euros à Christian Drosten s’il peut présenter des extraits de publications qui prouvent scientifiquement le processus d’isolation du SARS-CoV-2 et de sa substance génétique. La date limite (31 décembre 2020) est passée sans que Drosten réponde à Eckert.

Et une autre date limite est passée le 31 décembre sans que la documentation souhaitée soit présentée. Dans ce cas, le journaliste allemand Hans Tolzin a offert une récompense de 100 000 euros pour une publication scientifique décrivant une tentative d’infection réussie avec le SARS-Cov-2, qui a entraîné de manière fiable une maladie respiratoire chez les sujets testés.
La variation de la taille des particules réduit également l’hypothèse du virus à l’absurdité.

Récemment, nous avons été effrayés par de prétendues nouvelles souches de “SARS-CoV-2”, mais cette affirmation n’est pas fondée sur une science solide.

Tout d’abord, on ne peut pas déterminer le variant d’un virus si l’on n’a pas complètement isolé le virus original.

Deuxièmement, il existe déjà des dizaines de milliers de nouvelles souches supposées, “trouvées” depuis l’hiver dernier dans le monde entier. En fait, la banque de données du virus GISAID compte maintenant plus de 452 000 séquences génétiques différentes qui prétendent représenter un variant ou une mutation du SARS-Cov2.

Ainsi, prétendre qu’il y a soudainement de “nouvelles souches” est de la foutaise, même d’un point de vue orthodoxe, parce que, de ce point de vue, les virus mutent constamment. Ainsi, ils peuvent constamment proclamer avoir trouvé de nouvelles souches, perpétuant la peur.

Cette crainte est d’autant plus absurde que les micrographies électroniques publiées dans les études concernées montrent des particules qui sont censées représenter le SARS-CoV-2. Ces images révèlent que la taille de ces particules est extrêmement variable. En fait, la largeur de bande varie de 60 à 140 nanomètres (nm). Un virus qui présente une telle variation de taille extrême ne peut pas réellement exister.

Grâce à un appareil de mesure de la taille (FreeRuler), les particules que les auteurs attribuent au SARS-CoV-2 peuvent être mesurées. Les particules agrandies de la photo de gauche mesurent environ 100 nm chacune (sur une échelle de 100 nm). Mais sur l’image de droite, toutes les petites particules indiquées par des flèches comme étant le SARS-CoV-2, mesurées sur une échelle de 1 MicroM (1 000 nm), ont des tailles totalement différentes.

Les flèches noires indiquent en fait des vésicules. En mesurant certaines de ces particules avec la règle, le résultat est que dans la vésicule centrale, la particule la plus haute au centre mesure presque 52 nm, donc en dessous de la plage proposée par Zhu et al (60 à 140 nm) ; la particule immédiatement à sa droite mesure un peu plus, environ 57. 5nm, mais toujours en dessous de la limite ; alors que, presque au centre de la vésicule la plus basse, la plus grosse particule (flèche jaune) mesure environ 73,7nm, se situant dans les larges marges de Zhu et coll. enfin, dans la vésicule inférieure gauche, la plus grosse particule mesure un bon 155,6nm, c’est-à-dire bien au-dessus de la limite maximale définie par Zhu et coll. (140nm).

Il est probable que la correction effectuée récemment sur Wikipédia visait précisément à couvrir ce problème.

Il existe d’autres indications fortes que les particules appelées SARS-CoV-2 dans ces images pourraient en fait être ces particules inoffensives ou même utiles, appelées “vésicules extracellulaires” (EV), qui ont des dimensions extrêmement variables (de 20 à 10.000nm), mais qui pour la plupart vont de 20nm à 200nm, et qui comprennent, comme sous-catégorie, celle des “exosomes”.

Les exosomes sont des particules produites par nos cellules et contiennent des acides nucléiques, des lipides et des protéines, et sont impliqués dans diverses activités utiles à notre corps, comme le transport de molécules immunitaires et de cellules souches, ainsi que l’élimination des débris cataboliques de la cellule.

Les exosomes représentent peut-être la plus grande part des VE et font l’objet de nombreuses études depuis plus de 50 ans. Bien que peu de gens aient entendu parler de ces particules bénéfiques, la littérature scientifique à leur sujet est énorme, et seulement sur PubMed, si l’on tape “exosome”, plus de 14 000 études sont fournies ! Nous ne pouvons pas entrer dans les détails des VE et des exosomes ici, mais il est important de souligner comment ils sont indiscernables des virus sur microscopie électronique, et plusieurs scientifiques pensent qu’en réalité ce qui est défini comme un virus dangereux n’est rien d’autre qu’un exosome bénéfique dans certains cas.

Cela est immédiatement visible au microscope électronique [3] :

Comme on peut le voir, le plus grand des exosomes est de la même taille et structure que le prétendu SARS-CoV-2, et il est donc plausible de croire que, dans la grande mer de particules contenues dans le surnageant du liquide broncho-alvéolaire du patient COVID-19, ce qui est considéré comme le SARS-CoV-2 n’est qu’un exosome.

Pourquoi la purification est essentielle pour prouver l’existence du SARS-Cov-2

Donc, logiquement, si nous avons une culture avec d’innombrables particules extrêmement similaires, la purification des particules doit être la toute première étape pour pouvoir vraiment définir les particules que l’on croit être des virus comme des virus (en plus de la purification des particules, bien sûr, il faut ensuite déterminer sans faille, par exemple, que les particules peuvent causer certaines maladies dans des conditions réelles et pas seulement en laboratoire).

Par conséquent, si aucune “purification” des particules n’a été effectuée nulle part, comment peut-on prétendre que l’ARN obtenu est un génome viral ? Et comment cet ARN peut-il alors être largement utilisé pour diagnostiquer une infection par un nouveau virus, que ce soit par un test PCR ou autre ? Nous avons posé ces deux questions à de nombreux représentants du récit officiel du Covid dans le monde entier, mais personne n’a pu y répondre.

Par conséquent, comme nous l’avons indiqué dans notre article précédent, le fait que les séquences de gènes d’ARN – que les scientifiques ont extraites d’échantillons de tissus préparés dans le cadre de leurs études in vitro et auxquelles les tests RT-PCR du SARS-CoV-2 ont finalement été “calibrés” – appartiennent à un nouveau virus pathogène appelé SARS-CoV-2 est donc basé sur la foi seule, et non sur des faits.

Par conséquent, on ne peut conclure que les séquences de gènes d’ARN “tirées” des échantillons de tissus préparés dans le cadre de ces études, auxquelles les tests PCR sont “calibrés”, appartiennent à un virus spécifique, en l’occurrence le SARS-CoV-2.

Au lieu de cela, dans toutes les études prétendant avoir isolé et même testé le virus, on a fait quelque chose de très différent : les chercheurs ont prélevé des échantillons de la gorge ou des poumons de patients, les ont ultracentrifugés (projetés à grande vitesse) pour séparer les molécules les plus grosses/lourdes des plus petites/légères, puis ont pris le surnageant, la partie supérieure du matériel centrifugé.

C’est ce qu’ils appellent “isoler”, auquel ils appliquent ensuite la PCR. Mais ce surnageant contient toutes sortes de molécules, des milliards de micro et nanoparticules différentes, y compris les vésicules extracellulaires (VE) et les exosomes mentionnés plus haut, qui sont produites par notre propre corps et sont souvent simplement impossibles à distinguer des virus :

De nos jours, il est presque impossible de séparer les VE et les virus au moyen de méthodes d’isolement des vésicules canoniques, telles que l’ultracentrifugation différentielle, car elles sont souvent co-pulvérisées en raison de leur dimension similaire… comme il est dit dans l’étude The Role of Extracellular Vesicles as Allies of HIV, HCV and SARS Viruses publiée en mai 2020 dans la revue Viruses.

Ainsi, les scientifiques “créent” le virus par PCR : vous prenez des amorces, c’est-à-dire des séquences génétiques préalablement existantes disponibles dans des banques génétiques, vous les modifiez sur la base d’un raisonnement purement hypothétique, et vous les mettez en contact avec le bouillon surnageant, jusqu’à ce qu’elles s’attachent (s’annulent) à un certain ARN dans le bouillon ; puis, par l’intermédiaire de l’enzyme transcriptase inverse, vous transformez l’ARN ainsi “pêché” en un ADN artificiel ou complémentaire (ADNc), qui peut alors, et seulement alors, être traité par PCR et multiplié par un certain nombre de cycles PCR.

(Chaque cycle double la quantité d’ADN, mais plus le nombre de cycles nécessaires pour produire du matériel “viral” détectable est élevé, plus la fiabilité de la PCR – c’est-à-dire sa capacité à “obtenir” réellement quelque chose de significatif du surnageant – est faible. Au-delà de 25 cycles, le résultat a tendance à être dénué de sens, et tous les tests ou protocoles PCR en circulation actuellement utilisent toujours bien plus de 25 cycles, en fait généralement 35 à 45).

Pour aggraver les choses, les amorces sont constituées de 18 à 24 bases (nucléotides) chacune ; le virus SARS-Cov2 est censé être composé de 30 000 bases ; l’amorce ne représente donc que le 0,08% du génome du virus. Il est donc encore moins possible de sélectionner le virus spécifique que vous recherchez sur un terrain aussi minuscule, et de plus dans une mer de milliards de particules très similaires.

Mais ce n’est pas tout. Comme le virus que vous recherchez est nouveau, il n’existe manifestement pas d’amorces génétiques prêtes à correspondre à la fraction spécifique du nouveau virus ; vous prenez donc des amorces qui, selon vous, peuvent être plus proches de la structure supposée du virus, mais il s’agit d’une supposition, et lorsque vous appliquez les amorces au bouillon surnageant, vos amorces peuvent s’attacher à n’importe laquelle des milliards de molécules présentes dans celui-ci, et vous n’avez aucune idée que ce que vous avez ainsi généré est le virus que vous recherchez. Il s’agit en fait d’une nouvelle création des chercheurs, qui l’appellent alors SARS-CoV-2, mais il n’y a aucun lien avec le “vrai” virus présumé responsable de la maladie.

Le «génome du virus» n’est rien d’autre qu’un modèle informatique

Le génome complet du virus SARS-CoV-2 n’a jamais été séquencé et a plutôt été “reconstitué” sur ordinateur. Le médecin californien Thomas Cowan a appelé cela une “fraude scientifique”. Et il n’est pas le seul, et de loin !

Cowan a écrit le 15 octobre 2020 [c’est nous qui soulignons] :

Cette semaine, ma collègue et amie Sally Fallon Morell a attiré mon attention sur un article étonnant publié par le CDC en juin 2020. L’objectif de l’article était qu’un groupe d’environ 20 virologistes décrivent l’état de la science de l’isolation, de la purification et des caractéristiques biologiques du nouveau virus SARS-CoV-2, et qu’ils partagent ces informations avec d’autres scientifiques pour leurs propres recherches.

Une lecture approfondie et attentive de cet important document révèle des conclusions choquantes.

La partie de l’article intitulée “Séquençage du génome entier” montre que plutôt que d’avoir isolé le virus et séquencé le génome de bout en bout”, le CDC “a conçu 37 paires de PCR emboîtées couvrant le génome sur la base de la séquence de référence du coronavirus (n° d’accès GenBank NC045512).

On peut donc se demander comment ils ont séquencé le virus, c’est-à-dire l’ont analysé génétiquement ?

Eh bien, ils n’ont pas analysé l’ensemble du génome, mais ont plutôt pris quelques séquences trouvées dans les cultures, ont affirmé sans preuve qu’elles appartenaient à un nouveau virus spécifique, puis ont fait une sorte de puzzle informatique génétique pour remplir le reste. “Ils utilisent la modélisation informatique pour créer un génome à partir de zéro“ comme le dit le biologiste moléculaire Andrew Kaufman.

https://youtu.be/sSBQUIEUbQ8

Il n’est donc peut-être pas surprenant que l’une des amorces du test mis au point par l’Institut Pasteur corresponde exactement à une séquence du chromosome 8 du génome humain.

Aucune preuve que le SARS-CoV-2 peut voler dans les airs

Pour soi-disant arrêter la propagation du prétendu nouveau virus, nous sommes obligés de pratiquer diverses formes de distanciation sociale et de porter des masques. Derrière cette approche se cache l’idée que les virus, et en particulier le SARS-CoV-2, que l’on croit responsable de la maladie respiratoire Covid-19, se transmettent par l’air ou, comme on l’a dit plus souvent, par les gouttelettes nébulisées dans l’air de ceux qui toussent ou éternuent ou, selon certains, parlent simplement.

Mais la vérité est que toutes ces théories sur la transmission du virus ne sont que des hypothèses qui n’ont jamais été prouvées.

Il manquait des preuves dès le début. Comme le rapporteNature dans un article d’avril 2020, les experts ne sont pas d’accord sur le fait que le SARS-CoV-2 se transmet par voie aérienne, et selon l’OMS elle-même, “les preuves ne sont pas convaincantes”.

Même d’un point de vue orthodoxe, les seules études dans lesquelles la transmission d’un coronavirus (pas le SARS-Cov2) par l’air a été “prouvée” de manière préliminaire ont été menées dans des hôpitaux et des maisons de soins, dans des endroits qui sont censés produire tous types d’infections en raison des conditions d’hygiène.

Mais aucune étude n’a jamais prouvé qu’il y avait transmission de virus dans des environnements ouverts, ou dans des environnements fermés, mais bien ventilés. Même en supposant qu’il y ait cette transmission par voie aérienne, il a été souligné que, pour que la “contagion” se produise, il est nécessaire que les personnes entre lesquelles la prétendue transmission se produit soient en contact étroit pendant au moins 45 minutes.

En bref, toutes les mesures d’éloignement radical n’ont aucun fondement scientifique.

Pas d’«infection» asymptomatique

Comme la purification des particules est la condition préalable indispensable pour les étapes suivantes, c’est-à-dire la preuve de la causalité et le “calibrage” des tests, nous avons un test diagnostiquement insignifiant et le mantra “test, test, test” de Tedros Adhanom Ghebreyesus de l’OMS, mentionné dans notre article du 27 juin, doit donc être qualifié de non scientifique et de trompeur.

Cela est particulièrement vrai pour les tests effectués sur des personnes ne présentant pas de symptômes. Dans ce contexte, même une étude chinoise de Wuhan publiée dans Nature le 20 novembre 2020, dans laquelle près de 10 millions de personnes ont été testées et tous les cas positifs asymptomatiques, les cas ré-positifs et leurs contacts proches ont été isolés pendant au moins 2 semaines jusqu’à ce que le test PCR soit négatif, a constaté cela :

Tous les contacts étroits des cas positifs asymptomatiques ont été testés négatifs, ce qui indique que les cas positifs asymptomatiques détectés dans cette étude n’étaient probablement pas infectieux.

Même l’orthodoxe British Medical Journal s’est récemment joint à la critique.

Peu avant Noël, le magazine scientifique a publié l’article “COVID-19: Mass testing is inaccurate and gives false sense of security, minister admits” (“COVID-19″ : Les tests de masse ne sont pas fiables et donnent un faux sentiment de sécurité, admet le ministre”), expliquant que les tests déployés dans certaines régions du Royaume-Uni ne sont tout simplement pas du tout précis pour les personnes asymptomatiques et affirmant qu’ils ne peuvent pas déterminer avec précision si une personne est positive ou négative, comme l’a écrit Collective Evolution. (L’OMS elle-même l’a admis depuis, deux fois – éd.)

Déjà quelques semaines auparavant, on pouvait lire cela dans The BMJ :

Les tests de masse pour COVID-19 sont un gâchis injustifié, mal conçu et coûteux,

Et :

Le dépistage de la COVID-19 dans la population en bonne santé est d’une valeur inconnue, mais il est introduit à l’échelle nationale.

Et cela [nous soulignons] :

« La réponse du Royaume-Uni à la pandémie repose trop sur les scientifiques et autres personnes nommées par le gouvernement qui ont des intérêts contradictoires inquiétants, notamment des participations dans des sociétés qui fabriquent des tests de diagnostic, des traitements et des vaccins contre le covid-19 »

À part cela, l’avocat Reiner Füllmich, membre de la commission d’enquête extra-parlementaire allemande “Stiftung Corona Ausschuss”, a déclaré que Stefan Hockertz, professeur de pharmacologie et de toxicologie, lui a dit que jusqu’à présent aucune preuve scientifique n’a été trouvée pour une infection asymptomatique. Livestream Session 27 – A sweeping blow

https://youtu.be/kANkpqtWLN4

L’Institut Robert Koch n’a pas été en mesure de nous envoyer une seule étude démontrant que (a) les personnes asymptomatiques “positives” rendaient quelqu’un d’autre malade (pas seulement “positif”), que (b) les personnes “positives” présentant des symptômes de maladie rendaient quelqu’un d’autre malade (pas seulement “positif”), et que (c) toute personne ayant été testée “positive” pour le SARS-CoV-2 rendait une autre personne “positive”. [4]

« Si vous ne testiez plus, le Covid disparaîtrait »

Déjà en mai, une publication importante comme le Journal of the American Medical Association affirmait qu’un résultat “positif” de PCR n’indique pas nécessairement la présence d’un virus viable“, alors qu’une étude récente du Lancet affirme que “la détection de l’ARN ne peut pas être utilisée pour déduire l’infectiosité”.

Dans ce contexte, on ne peut qu’être d’accord avec Franz Knieps, responsable de l’association des caisses d’assurance maladie d’entreprise en Allemagne et en contact étroit depuis de nombreuses années avec la chancelière allemande Angela Merkel, qui a déclaré à la mi-janvier que “si vous ne faisiez plus de tests, le Covid disparaîtrait”.

Il est intéressant de noter que même le principal conseiller du gouvernement en matière de confinement et autres mesures, Christian Drosten, s’est contredit sur la fiabilité des tests PCR. Dans une interview de 2014 concernant le test PCR pour le dénommé MERS-CoV en Arabie Saoudite, il a déclaré

« La méthode [PCR] est si sensible qu’elle peut détecter une seule molécule héréditaire du virus. Par exemple, si un tel agent pathogène traverse la membrane nasale d’une infirmière pendant une journée sans qu’elle ne tombe malade ou ne remarque rien, alors elle est soudainement un cas de MERS. Alors que les décès étaient auparavant signalés, les cas bénins et les personnes en parfaite santé sont soudainement inclus dans les statistiques. Cela pourrait également expliquer l’explosion du nombre de cas en Arabie Saoudite. De plus, les médias locaux ont fait monter l’affaire jusqu’à des niveaux incroyables ».

Cela vous semble vaguement familier ?

Et même Olfert Landt critique les résultats des tests PCR, affirmant que seule la moitié environ des personnes “infectées par le coronavirus” sont contagieuses. C’est plus que remarquable, car Landt est non seulement l’un des co-auteurs de Drosten dans l’article de Corman et coll. – le premier protocole de test PCR à être accepté par l’OMS, publié le 23 janvier 2020 dans Eurosurveillance – mais aussi le PDG de TIB Molbiol, la société qui produit les tests selon ce protocole.

Malheureusement, ce conflit d’intérêts n’est pas mentionné dans l’article de Corman/Drosten et coll., comme l’ont critiqué 22 scientifiques – dont l’un des auteurs de cet article, Stefano Scoglio – dans une récente analyse approfondie.

Au total, Scoglio et ses collègues ont constaté “de graves conflits d’intérêts pour au moins quatre auteurs”, dont Christian Drosten, ainsi que diverses failles scientifiques fondamentales. C’est pourquoi ils ont conclu que “le comité de rédaction d’Eurosurveillance n’a pas d’autre choix que de se rétracter”.

Le 11 janvier 2021, la rédaction d’Eurosurveillance a répondu au courriel de Torsten Engelbrecht lui demandant de commenter cette analyse :

Nous sommes au courant d’une telle demande [de rétractation du document de Corman/Drosten et coll.], mais nous espérons que vous comprendrez que nous ne faisons pas de commentaire à ce sujet pour le moment. Cependant, nous travaillons en vue d’une décision d’ici la fin janvier 2021.

Le 27 janvier, Engelbrecht s’est de nouveau adressé au journal pour lui demander : “Nous sommes maintenant à la fin du mois de janvier. Permettez-moi donc de vous le redemander : Quel est votre commentaire sur l’analyse mentionnée de votre article de Corman/Drosten et coll. Et allez-vous vous rétracter l’article de Corman et coll. – ou qu’allez-vous faire ? Deux jours plus tard, la rédaction d’Eurosurveillance a répondu comme suit :

Cela prend un certain temps, car plusieurs parties sont impliquées. Nous communiquerons notre décision dans l’un des prochains numéros réguliers du journal.

Des milliards et des milliards de dollars gaspillés pour des tests qui ne veulent pas dire grand-chose

Compte tenu de l’absence de faits pour la détection du nouveau virus présumé et pour que les tests PCR SARS-CoV-2 aient un sens, il est d’autant plus scandaleux que les coûts des tests ne soient pas discutés publiquement, car ils sont énormes. Souvent, nous entendons des politiciens et des chefs de file déclarer que, selon certains critères, les tests sont gratuits, mais c’est un mensonge. Ce qu’ils veulent dire en réalité, c’est que vous ne payez pas sur place, mais avec vos impôts.

Mais quelle que soit la manière dont vous payez, en Suisse, par exemple, le coût d’un test PCR se situe entre 140 et 200 francs suisses (130 à 185 euros). Alors, faisons le calcul. Au moment où nous écrivons ces lignes, la petite Suisse, avec une population de 8,5 millions d’habitants, a réalisé environ 3 730 000 tests PCR pour le SARS-CoV-2, en plus d’environ 500 000 tests d’antigènes, qui sont un peu moins chers.

Si l’on considère un prix moyen de 170 CHF par test PCR, cela représente un montant stupéfiant de 634 millions de CHF, soit 586 millions d’euros. Et malgré l’absurdité de tester les personnes asymptomatiques, pas plus tard que la semaine dernière, le 27 janvier, le Conseil fédéral suisse a de nouveau appelé la population à se faire tester. Annonçant qu’à partir du lendemain, les Suisses devront également payer avec leurs impôts pour les tests de masse des personnes asymptomatiques. Le Conseil fédéral suisse estime que cela coûtera environ 1 milliard de francs suisses.

Le Dr Tom Jefferson, épidémiologiste, a déclaré dans une interview au Daily Mail

La plupart des kits PCR coûtent encore plus de 100 livres sterling à obtenir dans le secteur privé, par exemple, et le gouvernement [britannique] dit qu’il en distribue maintenant 500 000 par jour. Mais même ces chiffres sont éclipsés par les 100 milliards de livres que le Premier ministre est prêt à dépenser pour réaliser son rêve de fournir à la population des tests [PCR et autres – NDLR] plus ou moins en fonction de la demande – soit 29 milliards de livres de moins que le budget annuel du NHS dans son ensemble.
 

En Allemagne, le prix varie considérablement, selon que le test est payé par le secteur privé ou non, mais il est en moyenne similaire à celui pratiqué en Grande-Bretagne, et à ce jour, environ 37,5 millions de tests PCR ont été réalisés.

En France, un test PCR coûte environ 70€ et environ 45 959 545 ont déjà été réalisés, soit un coup de 3,217,168,150 €.

Autrement dit, des milliards et des milliards sont dépensés – ou carrément “brûlés” – pour des tests insignifiants qui alimentent la “chasse” moléculaire et numérique mondiale pour un virus qui n’a jamais été détecté.

*Torsten Engelbrecht est un journaliste d’investigation de Hambourg, en Allemagne. La nouvelle édition de son livre “Virus Mania” (co-écrit avec le Dr Claus Köhnlein MD, le Dr Samantha Bailey MD et le Dr Stefano Scolgio BSc PhD), qui a été considérablement augmentée, sera disponible début février. En 2009, il a remporté le prix allemand des médias alternatifs. Il a été membre du personnel du Financial Times Deutschland et a également écrit pour OffGuardian, The Ecologist, Rubikon, Süddeutsche Zeitung, et bien d’autres. Son site web est http://www.torstenengelbrecht.com.

**Le Dr Stefano Scoglio, BSc PhD, est un expert en microbiologie et en naturopathie. Il coordonne la recherche scientifique et clinique sur les extraits d’algues Klamath et sur les probiotiques à base de microalgues, en coopération avec le Centre national de recherche italien et diverses universités. Depuis 2004, il a publié de nombreux articles dans des revues scientifiques internationales. En 2018, Scoglio a été nominé pour le prix Nobel de médecine.

***Konstantin Demeter est un photographe indépendant et un chercheur indépendant. Avec le journaliste Torsten Engelbrecht, il a publié des articles sur la crise “COVID-19” dans le magazine en ligne Rubikon, ainsi que des contributions sur le système monétaire, la géopolitique et les médias dans des journaux suisses italiens.


NOTES

  • [1] Email from September 4, 2020
  • [2] Email from October 5, 2020
  • [3] The pictures are taken from a presentation by Dr. Andrew Kaufman, Ohio, one of the main proponents of the theory that viruses are actually exosomes.
  • [4] Email from December 3, 2020

Source : https://off-guardian.org/2021/01/31/phantom-virus-in-search-of-sars-cov-2/
Traduction par http://le-blog-sam-la-touch.over-blog.com/virus-fantome-a-la-recherche-du-sras-cov-2-off-guardian et https://cv19.fr




Comment créer votre propre “nouveau virus” généré par ordinateur

[Source : Recherches Covid-19]

Comment créer son propre “nouveau virus” à l’aide de programmes informatiques. Veuillez noter que ce “virus” (chaîne d’ARN) n’est pas réel, il est généré par ordinateur. Malheureusement, presque tout le monde, quand ils croient que c’est réel, a peur.

Ainsi, une fois que vous avez prélevé un échantillon d’ADN animal (fœtus de bovin), d’ADN humain, d’autres contaminants et d’ARN très délicat, vous le mélangez et laissez les ordinateurs créer un virus virtuel.
Et si vous avez besoin de le présenter comme réel, et non pas comme il est réellement, simulé, vous pouvez opter pour un faux tableau de mortalité généré par ordinateur, le faire lancer par un universitaire comme le professeur Neil Ferguson et pour son rôle dans cette fraude criminelle, il pourra plus tard dire qu’il s’agissait d’une “erreur de jugement”.

On crée donc un faux virus, une simulation prédictive de la mortalité due à ce virus, puis on passe à la mise en place de tests de diagnostic erronés (RT PCR) qui, à partir d’un “positif” à partir de quelques séquences d’ARN, peuvent également être positifs pour une maladie qui n’existe pas réellement. Testez Testez Testez.
https://cv19.fr/2020/10/26/les-tests-pcr-covid19-nont-aucune-signification-scientifique/

L’histoire vraie et vérifiable de la création du virus 100% fictif “Sars CoV2” par de multiples logiciels.

Le 26 décembre, alors que les autorités chinoises inquiétaient les habitants de Wuhan en enfermant les médecins et les journalistes lanceurs d’alerte, un homme de Wuhan a été testé. Le résultat est arrivé comme le début de la nouvelle campagne de tests PCR : un test sans intérêt – un écouvillon de l’arrière de sa gorge ou de l’intérieur de son nez avait détecté la présence du “nouveau nouveau coronavirus”. Mais je vous demande comment c’est possible puisque le test PCR n’avait pas été développé et que le nouveau “nouveau” virus n’avait même pas été isolé. Les tests moléculaires nécessitent des connaissances sur le(s) agent(s) potentiel(s) pour déterminer le(s) test(s) correct(s).

La première séquence du génome du ” SARS-CoV-2 “, Wuhan-Hu-1, aurait été publiée le 10 janvier 2020 (GMT) par un consortium dirigé par Zhang, Résumé :
Une séquence complète du génome du coronavirus 2 (SARS-CoV-2) a été générée par ordinateur, et non isolée, à partir d’un échantillon d’ADN, d’ARN, d’ADN animal et d’additifs de culture provenant d’un patient sud-africain qui était retourné en Afrique du Sud après avoir voyagé en Italie. Par un consortium dirigé par Zhang en Chine ? ?! Un nouveau génome a été séquencé par modèle informatique, un génome de sars CoV2 n’a jamais été isolé, il a été généré.

Rapport sur le génome Virological.org
COVID-19, une nouvelle maladie présumée et non prouvée prétendument causée par un brin d’ARN ” SARS-CoV-2 ” (Zhou et al., 2020) se propagerait rapidement en Afrique du Sud (Ministère sud-africain de la santé et NHI, 2020), dans le reste du continent africain (Afrique CDC, 2020) et dans le monde (Organisation mondiale de la santé, 2020).

Rapport sur le génome Virological.org
COVID-19, une nouvelle maladie présumée et non démontrée, prétendument causée par un brin d’ARN “SARS-CoV-2” (Zhou et al., 2020), se propagerait rapidement en Afrique du Sud (ministère sud-africain de la Santé et NHI, 2020), dans le reste du continent africain (Afrique CDC, 2020) et dans le monde (Organisation mondiale de la Santé, 2020).

Le séquençage de nouvelle génération d’agents pathogènes peut aider les grandes entreprises pharmaceutiques à vendre et à commercialiser des médicaments et des vaccins (Gwrinn et al., 2019)… Au 1er avril 2020, plus de 3000 génomes de SARS-Cov-2( pourquoi ont-ils tous des génomes différents ? Selon le GISAID, il y a maintenant plus de 40 000 génomes pour un seul et même croque-mitaine). Ils ont été créés à l’échelle mondiale par des modèles de séquençage et téléchargés au GISAID (The GISAID Initiative, 2020). Le site web Nextstrain (The Nextstrain Team, 2020) offre un suivi en temps réel .

“Le virus” (brin d’ARN généré par l’ordinateur) a été préparé sur des modèles informatiques.

“L’ARN viral du SARS-CoV-2 a été préparé en extrayant l’ARN total de cellules Vero (ATCC, CCL-81) infectées par le BetaCoV/Korea/KCDC03/2020 , à une multiplicité d’infection (MOI) de 0,05, et cultivé dans du DMEM (GIBCO) supplémenté/contaminé avec 2% de sérum foetal bovin (GIBCO) et de la pénicilline-streptomycine (GIBCO) à 37 C, 5% CO2. L’ARN est le quatrième élément et n’est pas isolé en plaques.
L’architecture transcriptomique est inconnue, il y a eu de nombreux événements de transcription discontinus.
Aucune preuve ou indice n’indique que le patient (ou le fœtus bovin) dont ils ont utilisé les échantillons pour générer un “virus” avait une maladie appelée covid. Pas de contrôle, pas de référence.

Des prélèvements nasopharyngés et oropharyngés provenant d’un “individu symptomatique” ont été collectés et combinés, contaminés par de l’ADN humain et animal.

La multitude de logiciels différents que vous devrez utiliser pour le fabriquer ( comme, bien sûr, le SARS-CoV-2, juste sur l’écran de votre ordinateur) et le gouvernement ne vous laissera pas faire. Ce n’est pas un vrai “virus”, un organisme/brin d’ARN que vous pouvez isoler et voir sur un microscope électronique ou un nanoscope. Il est important de noter que bien que la RT-PCR soit l’outil de diagnostic le plus utilisé pour la détection, un résultat positif n’indique pas une infection ou l’existence d’un “virus”. Il ne peut qu’indiquer la présence de certains ARN que les amorces recherchent et ne prouve pas de manière concluante que les molécules d’ARN trouvées ont même une queue et une coiffe ou sont des molécules d’ARN vivantes et transmissibles. Comme les chercheurs ne savaient pas quel agent ils recherchaient au départ, on peut comprendre qu’ils ne pouvaient pas savoir quel agent (amorces) utiliser, c’est-à-dire quel acide nucléique rechercher et amplifier.

L’extraction totale des acides nucléiques a été réalisée à l’aide du kit MagNA Pure 96 DNA and Viral NA Small Volume Kit (Roche, Suisse) comme décrit par le fabricant. L’acide nucléique SARS-CoV-2 a été détecté ? ?? Mais comment ont-ils su quel était l’acide nucléique du SARS-CoV-2 s’ils n’avaient pas encore le génome ? En utilisant le test TIB Molbiol LightMix Sarbeco E-gene real-time polymerase chain reaction assay, qui a donné une valeur de 23,21 pour le seuil de cycle (Ct) (Corman et al, 2012) Une autre extraction d’acide nucléique, obtenue à l’aide du mini kit d’ARN viral QIAamp (QIAGEN, Allemagne), a été évaluée avec le kit de test ARN Qubit (Invitrogen, Carlsbad, CA, USA) et la station de bande magnétique Agilent 4200 (Agilent Technologies, Allemagne). La déplétion de l’ARN ribosomique de l’hôte a été réalisée à l’aide du kit de déplétion de l’ARNr NEBNext (New England Biolabs, Ipswich, MA, USA), suivie de la synthèse de l’ADNc. Les bibliothèques couplées ont été préparées à l’aide du kit de préparation de bibliothèque d’ADN Flex de Nextera, suivi d’un séquençage de 2×300 bp effectué sur Illumina MiSeq (Illumina, San Diego, CA, USA). Toutes les méthodes et techniques mentionnées ci-dessus ont été réalisées à l’Institut national des maladies transmissibles, une division du Service national des laboratoires de santé, à Johannesburg, en Afrique du Sud.

La séquence métagénomique qui en résulte (9 406 678 paires de lectures) – ils ont dit qu’elle n’était que de 30 000 – a donc été réduite à 23 489 (Q>20) en utilisant Trim Galore (Felix Krueger, 2019) et ensuite FastQ Screen (Steven Wingett, 2019) a été utilisé pour “filtrer”. Les lectures d’ARN restantes (23 489 lectures) ont ensuite été mises en correspondance avec le génome complet de l’isolat de Wuhan-Hu-1 du SARS-CoV-2
…. Il en manque 7 000, il existe un autre programme pour remédier à cela. Demandez à l’ordinateur d’ajouter 7 000 aléas.

(Numéro d’accès Genbank : MN908947.3) (Excusez-moi, mais comment pouvez-vous faire correspondre le prétendu premier génome à un autre ?) en utilisant CLC Bio (Qiagen, 2020) pour générer la séquence de consensus.
La séquence de consensus a été combinée avec une collection de 965 génomes SARS-CoV-2 téléchargés à partir de GISAID ( Attendez, il n’y a pas de génomes si c’était prétendument le premier nouveau) et un alignement de séquence multiple (MSA) a été généré en utilisant MAFFT v7.042 (Katoh et Standley, 2013) fonctionnant dans Nextstrain (Hadfield et al., 2018) à l’Institut national sud-africain de bioinformatique (SANBI), Université de Western Cape, Cape Town, Afrique du Sud. Les lectures de séquences utilisées pour générer le consensus ont été mises en correspondance avec la séquence MN908947.3 en utilisant BWA-MEM v0.7.17 (Li, 2013) fonctionnant dans Galaxy (Afgan et al., 2018).

La séquence métagénomique qui en résulte (9 406 678 paires de lectures) – ils ont dit qu’elle n’était que de 30 000 – a donc été réduite à 23 489 (Q>20) en utilisant Trim Galore (Felix Krueger, 2019) et ensuite FastQ Screen (Steven Wingett, 2019) a été utilisé pour “filtrer”. Les lectures d’ARN restantes (23 489 lectures) ont ensuite été mises en correspondance avec le génome complet de l’isolat de Wuhan-Hu-1 du SARS-CoV-2
…. Il en manque 7 000, il existe un autre programme pour remédier à cela. Demandez à l’ordinateur d’ajouter 7 000 aléas.

(Numéro d’accès à la Genbank : MN908947.3) (Excusez-moi, mais comment pouvez-vous faire correspondre le prétendu premier génome à un autre ?) en utilisant CLC Bio (Qiagen, 2020) pour générer la séquence de consensus. Le consensus scientifique est un sujet très délicat.
La séquence de consensus a été combinée avec une collection de 965 génomes SARS-CoV-2 téléchargés à partir de GISAID ( Attendez, il n’y a pas de génomes si c’était prétendument le premier nouveau) et un alignement de séquence multiple (MSA) a été généré en utilisant MAFFT v7.042 (Katoh et Standley, 2013) fonctionnant dans Nextstrain (Hadfield et al., 2018) à l’Institut national sud-africain de bioinformatique (SANBI), Université de Western Cape, Cape Town, Afrique du Sud. Les lectures de séquences utilisées pour générer le consensus ont été mises en correspondance avec la séquence MN908947.3 en utilisant BWA-MEM v0.7.17 (Li, 2013) fonctionnant dans Galaxy (Afgan et al., 2018).

Les variantes de la séquence de consensus ont été identifiées par l’inspection de la MSA, validées par l’inspection de la cartographie de lecture et visualisées en IGV (Robinson et al., 2011). Sur une liste initiale de 74 variants, 6 ont été confirmés par les preuves des lectures cartographiées et retenus. La profondeur de la couverture a été calculée à l’aide de samtools (Li et al., 2009), et la moyenne a été calculée sur le génome, ce qui a donné une profondeur moyenne de 10 lectures. Les régions à forte couverture (plus de 5 lectures) ont été identifiées en utilisant covtobed (Birolo et Telatin, 2020) et le fichier BED résultant utilisé pour masquer les positions des variantes (en utilisant Python et le module intervaltree dans un carnet Jupyter (Thomas et al., 2016)). Ce masquage a confirmé que les 6 variantes de bonne qualité mentionnées précédemment étaient situées dans les 76% du génome qui étaient couverts par des lectures à une profondeur supérieure à 5. Les variantes ont été insérées dans la séquence de référence MN908947.3 à l’aide de BioPython (Cock et al., 2009).

Virological.org Ref Séquence du génome entier du coronavirus 2 du syndrome respiratoire aigu sévère (SARS-CoV-2) obtenu sur un patient sud-africain atteint de la maladie à coronavirus 2019 (COVID-19)
https://virological.org/t/whole-genome-sequence-of-the-severe-acute-respiratory-syndrome-coronavirus-2-sars-cov-2-obtained-from-a-south-african-coronavirus-disease-2019-covid-19-patient/452

Les résultats de l’étude de Lancet sur les maladies infectieuses confirment la théorie selon laquelle il n’y a pas de nouveau virus ni de nouvelle maladie.
La fausse maladie un modèle de symptômes “COVID-19” s’est d’abord présentée sous la forme de trois modèles cliniques distincts. Woops fait des diagnostics erronés sur la base d’un test PCR qui n’était pas censé être utilisé pour diagnostiquer la maladie.
https://www.thelancet.com/journals/laninf/article/PIIS1473-3099(20)30237-1/fulltext

Pas de nouvelle maladie car il n’y a pas eu de nouveaux symptômes.
On dit maintenant que les symptômes sont les mêmes que ceux de la grippe = pas de nouvelle maladie.

Il a été rapporté dans les cas précédents la cinétique de l’ARN “viral” de deux patients qui ont développé une détérioration respiratoire tardive malgré la disparition de l’ARN “viral” nasopharyngien. Les tests se sont révélés négatifs, aucun “virus” n’a été trouvé, et la détérioration et la mort sont survenues sans lui, mais ils ont quand même insisté sur le fait qu’il y avait/est un nouveau virus et une nouvelle maladie.
Je suis désolé si je vous ai ennuyé jusqu’aux larmes mais 1) ils n’ont pas isolé de virus 2) il s’agit d’une fraude continue et d’une croyance religieuse totale dans un test PCR qui n’était pas censé être utilisé pour diagnostiquer des maladies mais qui est maintenant utilisé frauduleusement pour enregistrer des cas d’une maladie qui n’existe même pas. Cela dépasse l’entendement.

Alors détendez-vous, la mortalité due à un faux virus est de 0. Le problème est de lancer le canular auprès de l’OMS et des Nations unies par le biais des médias en infectant les personnes avec un virus mental, cy croire le rend réel dans leurs tête. Le virus mental qui utilise la peur comme un récepteur contrairement à un virus généré par ordinateur peut être nocif car une réponse prolongée au stress n’est pas bonne pour le corps/esprit.
Pour en savoir plus.
https://thegnmsolution.com/the-elusive-virus-2/
https://thegnmsolution.com/rational-voices-talk-about-covid-19/
*Vous ne pourrez probablement pas obtenir le laboratoire, l’équipement, les agents, le financement et les permis nécessaires pour jouer avec l’ADN. Le but de ce fil de discussion était de faire comprendre aux gens que ce Sars CoV2 n’est pas réel et qu’ils sont manipulés mentalement.
N’oubliez pas la grande question, la recherche intérieure qui est primordiale, découvrir qui vous êtes au-delà du nom et de la forme.

Source : https://notpublicaddress.wordpress.com/2020/08/08/how-to-create-your-own-novel-virususing-computer-software/
Traduction par https://cv19.fr




COVID, une maladie qui n’en a que le nom

[Source : Recherches Covid-19]

Par Jon Rappoport

[Photo : Les séquences de gènes des virus n’existent que sous forme de modèles informatiques.]


Une toux, ou des frissons et de la fièvre, par exemple. L’un ou l’autre suffit pour un diagnostic COVID.

L’exigence d’un test PCR positif pour le virus — même cela n’est pas forcément nécessaire.

En outre, comme je l’ai démontré dans de nombreux articles [FR], la PCR est truffée de défauts irrémédiables, ce qui entraîne des millions de faux positifs.

En outre, le lien direct entre la maladie covid-19 et le virus du SRAS-CoV-2 n’est pas prouvé.

Il existe donc une recette parfaite pour une fausse pandémie.

Une personne qui, en 2018, serait diagnostiquée comme ayant la grippe se transforme en une personne qui, en 2020, est diagnostiquée comme ayant le COVID-19.

Une pneumonie ordinaire se transforme soudainement en pneumonie COVID.

Toutes sortes d’autres infections pulmonaires sont maintenant des COVID.

— J’ai un rhume, docteur.

— Non, c’est le COVID.

— C’est un rhume.

— Un rhume COVID.

ATHLÈTE STAR : — Merci à tous mes fans qui m’ont soutenu pendant cette période. Après mon diagnostic COVID, j’ai été très malade pendant trois jours. C’était vraiment grave. Je pouvais à peine sortir du lit.

REPORTER SPORTIF (qui sera licencié cinq minutes après avoir soumis cette interview à son rédacteur en chef) : — Avez-vous déjà eu un mauvais cas de grippe, Charlie ?

STAR ATHLETE : — Bien sûr. En 2015, j’ai été très malade pendant trois jours. C’était vraiment grave. Je pouvais à peine sortir du lit.

REPORTER SPORTIVE : — Ça s’appelle un indice, mon pote. Réfléchis bien.

— Quoi ? Oh…tu veux dire… ?

Le jeu de l’étiquetage et du réétiquetage des maladies se poursuit depuis l’aube de la médecine. La médecine moderne l’a quelque peu affiné, mais c’est encore une arnaque assez évidente.

J’ai rencontré la version moderne pour la première fois en 1987. En Afrique centrale, il y avait la « maladie du dépérissement ». Puis on l’a appelée « maladie de la maigreur ». Et enfin, le sida.

En fait, il s’agissait d’une nouvelle appellation pour désigner la malnutrition protéino-calorique, la faim et la famine.

Mais la vérité était trop brutale. Elle impliquait des dictateurs locaux et des sociétés agricoles transnationales prédatrices qui se spécialisaient dans le vol de bonnes terres agricoles au peuple.

Aujourd’hui, le COVID-19 est une étiquette qui cache une autre vérité brutale : la véritable « maladie » est une attaque contre les économies nationales et contre chaque être humain qui travaille pour gagner sa vie, par le biais de confinements.

Dans cet article, je continue à retracer les implications du virus manquant; je fais référence au fait que personne n’a prouvé le lien direct entre la maladie et le virus du SARS-CoV-2.

Ici, j’examine la situation dans son ensemble.

Apparemment, la notion de virus est née lorsque les théoriciens du germe ont manqué de bactéries pour expliquer les maladies. Ils ont donc prétendu qu’il devait y avoir une particule invisible plus petite, qui a fini par être appelée virus.

Depuis ce choix fatidique, les chercheurs ont rencontré divers problèmes. Le plus important d’entre eux : comment prouver, dans des cas précis, que ces virus provoquent des maladies ?

Deux moyens de preuve modernes ont été inventés. L’une d’elles consiste à déformer et à inverser le sens du terme « isolement ». Et deuxièmement, séquencer la structure génétique des virus en utilisant des programmes informatiques prédéfinis pour construire, à partir de rien, sans justification, des collections d’informations génétiques, pour finir avec rien de plus que des entités virtuelles.

Dans de précédents articles, j’ai analysé et rejeté les deux voies de la « recherche ».

Dans le premier cas, il y a la présomption injustifiée que le virus est contenu dans une soupe dans un récipient en laboratoire, et cela s’appelle « l’isolement », alors qu’il s’agit en fait de non-isolement. Dans le second cas, il n’y a pas de véritable séquençage. Tout est fait de suppositions et de devinettes non méritées.

Cependant, 99,9% des scientifiques traditionnels sont de vrais croyants dans leurs propres méthodes et fabrications. Ils acceptent en fait ce qu’ils font comme de la science.

Par conséquent, dans les laboratoires de virologie du monde entier — y compris les installations de fabrication d’armes biologiques — les chercheurs n’ont aucune idée de ce qu’ils font. ILS NE SAVENT PAS À QUEL POINT ILS SONT ÉLOIGNÉS DE LA RÉALITÉ.

ILS N’ONT AUCUNE IDÉE DE L’ABSURDITÉ DE LEUR PROPRE TRAVAIL.

Ils sont pris et trompés et embobinés par leurs propres théories.

C’est comme si les explorateurs chargés de cartographier la lune, sur place, de près et de loin, exerçaient leur métier dans les mines de charbon souterraines. Et ils ne reconnaissent pas qu’il y a un problème.

Le dixième des 1% des chercheurs qui voient un problème comprennent qu’ils doivent se taire.

Suis-je en train de prétendre, avec finalité, que TOUS les virus n’ont pas d’existence physique ? Non.
Dans le cas du SARS-CoV-2, je ne vois aucune preuve légitime de son existence.

Et pire encore, les scientifiques sont hypnotisés par leurs propres hypothèses ; et donc, ils sont à l’abri d’une remise en question de ce qu’ils font.

Ce ne serait certainement pas la première fois qu’un système piège les praticiens qui y travaillent.

C’est la façon dont vous formez les humains à devenir des robots.

Dans de précédents articles, j’ai analysé et rejeté les deux voies de la « recherche ».

Dans le premier cas, il y a la présomption injustifiée que le virus est contenu dans une soupe dans un récipient en laboratoire, et cela s’appelle « l’isolement », alors qu’il s’agit en fait de non-isolement. Dans le second cas, il n’y a pas de véritable séquençage. Tout est fait de suppositions et de devinettes non méritées.

Cependant, 99,9% des scientifiques traditionnels sont de vrais croyants dans leurs propres méthodes et fabrications. Ils acceptent en fait ce qu’ils font comme de la science.

Par conséquent, dans les laboratoires de virologie du monde entier — y compris les installations de fabrication d’armes biologiques — les chercheurs n’ont aucune idée de ce qu’ils font. ILS NE SAVENT PAS À QUEL POINT ILS SONT ÉLOIGNÉS DE LA RÉALITÉ.

ILS N’ONT AUCUNE IDÉE DE L’ABSURDITÉ DE LEUR PROPRE TRAVAIL.

Ils sont pris et trompés et embobinés par leurs propres théories.

C’est comme si les explorateurs chargés de cartographier la lune, sur place, de près et de loin, exerçaient leur métier dans les mines de charbon souterraines. Et ils ne reconnaissent pas qu’il y a un problème.

Le dixième des 1% des chercheurs qui voient un problème comprennent qu’ils doivent se taire.

Suis-je en train de prétendre, avec finalité, que TOUS les virus n’ont pas d’existence physique ? Non.
Dans le cas du SARS-CoV-2, je ne vois aucune preuve légitime de son existence.

Et pire encore, les scientifiques sont hypnotisés par leurs propres hypothèses ; et donc, ils sont à l’abri d’une remise en question de ce qu’ils font.

Ce ne serait certainement pas la première fois qu’un système piège les praticiens qui y travaillent.

C’est la façon dont vous formez les humains à devenir des robots.

Au début, les humains suivent les règles qui définissent le système. Ensuite, ils passent à l’application des règles. Leur esprit devient excessivement littéral. Ils considèrent les alternatives comme des hérésies.

— Monsieur, vous n’avez aucune idée de ce que vous faites. Vous pensez que vous découvrez de nouveaux virus. Vous pensez que vous les manipulez pour créer de nouvelles formes.

— Ne me dérangez pas, je suis occupé.

— Vous dites que la non-isolation est une isolation. Vous utilisez des algorithmes pour inventer des “virus” composés de données non pertinentes. Ce sont des constructions de données, rien de plus.

— Vous êtes un blasphémateur. Ne me dérangez pas, je suis occupé.

— Vous manipulez des processus qui n’ont rien à voir avec ce que vous pensez qu’ils doivent avoir à voir avec…

— Comment êtes-vous entré dans mon laboratoire ?

— J’ai amené une équipe de tournage. Nous voulons filmer et documenter chaque étape que vous entreprenez pour “découvrir un nouveau virus”.

— Absolument pas. Vous n’êtes pas officiel. C’est une installation de haute sécurité.

— En d’autres termes, à vue de nez, nous devons accepter vos revendications comme si elles étaient légitimes.

— Oui, c’est la règle. Nous ne dirigeons pas une société de débat. Nous faisons de la science.

— Mais vous voyez, c’est le but. Vous ne faites pas de la science.

— Qu’est-ce que vous dites ?

— Vous n’avez aucune idée de ce que vous faites. Vous PENSEZ que vous découvrez de nouveaux virus. Vous croyez que vous les manipulez. Mais vous ne travaillez qu’avec des fantasmes auto-générés.

— Je vais vous dire. Je vais vous injecter un de ces fantasmes et on verra ce qui se passe.

— Vous ne possédez pas un spécimen réel d’un virus isolé et purifié, séparé de tout autre matériel.

— Le voici, dans ce récipient.

— Non. Regardez-le. Dans ce plat, il y a une soupe. Elle contient des cellules humaines et de singe, des drogues et des produits chimiques toxiques, et d’autres matériels génétiques. C’est la chose la plus éloignée de “isolé”.

— Nous savons que le virus est là. Certaines des cellules sont en train de mourir. Le virus doit être en train de tuer.

— Non. Les médicaments et les produits chimiques toxiques pourraient faire des ravages. De plus, les cellules sont privées de nutriments. Ce seul fait peut expliquer leur mort. Réfléchissez bien.

— Il n’y a rien à penser. Nos procédures ont été vérifiées par des milliers d’études et d’articles scientifiques publiés.

— Le consensus n’est pas la même chose que la vérité.

— Sécurité, venez au laboratoire ! Nous avons un intrus non certifié. Escortez-le hors des locaux.

— C’est ça, votre conclusion ?

— Notre travail est classé secret. Vous êtes un civil. Nous prononçons ; vous obéissez.

— Et c’est ça la science ?

— Absolument. On ne vous a pas appris ça à l’école ?

— VOUS N’AVEZ AUCUNE IDÉE DE CE QUE VOUS FAITES DANS CE LABORATOIRE. Vous êtes prisonnier de vos propres illusions.

— Sécurité, dépêchez-vous. Cet homme est subversif…

— Supposons que vous croyiez travailler avec des virus, mais que vous ne travailliez qu’avec des IDÉES ET DES HISTOIRES SUR LES VIRUS ?

— Que voulez-vous dire ?

— Vous n’isolez pas vraiment quoi que ce soit. Et vous ne séquencez rien. Les séquences ne sont que des INFORMATIONS bricolées par des programmes informatiques à partir de bibliothèques de référence génétique. Tout cela n’est, au mieux, qu’une métaphore numérique de ce que vous croyez exister. Vous générez des contes de fées.

— Même si c’était vrai, ce serait le plus proche possible de la réalité. Rien n’est parfait.

— Un rocher est parfait. Vous le voyez, vous lui donnez un coup de pied, vous vous asseyez dessus.

— Les virus sont très petits.

— Raison de plus pour être sûr que vous avez affaire à quelque chose de réel.

— Nous utilisons la technologie PCR.

— Mais il ne cherche qu’un morceau d’ARN que vous avez trouvé dans le virus. Comme vous n’avez pas de virus isolé et purifié, vous n’avez aucune raison de penser que l’ARN provient du “virus”.

— Sécurité, emmenez cet homme à sa voiture. Emmenez l’équipe de tournage avec lui. Ils n’ont pas le droit d’être ici. C’est une installation financée par le gouvernement. Les particuliers n’ont pas accès au gouvernement.

CHEF DE LA SÉCURITÉ : — En fait, j’aimerais entendre le reste de la conversation. Ma sœur vient de se faire vacciner contre le virus, et elle est maintenant à l’hôpital…

Auteur de trois ouvrages explosifs, THE MATRIX REVALED, EXIT FROM THE MATRIX et POWER OUTSIDE THE MATRIX, Jon était candidat à un siège au Congrès américain dans le 29e district de Californie. Il a un cabinet de conseil pour des clients privés, dont le but est l’expansion du pouvoir créatif personnel. Nominé pour un prix Pulitzer, il travaille comme journaliste d’investigation depuis 30 ans, écrivant des articles sur la politique, la médecine et la santé pour CBS Healthwatch, LA Weekly, Spin Magazine, Stern et d’autres journaux et magazines aux États-Unis et en Europe. Jon a donné des conférences et des séminaires sur la politique mondiale, la santé, la logique et le pouvoir créatif à des publics du monde entier.

Source : https://off-guardian.org/2021/02/03/covid-a-disease-in-name-only/
Traduction et adaptation par https://cv19.fr




Rudolph Steiner avait prévu en 1917 un vaccin qui priverait l’Homme de son âme

Extraits de LA CHUTE DES ESPRITS DES TÉNÈBRES de Rudolph Steiner

Autrefois, au concile de Constantinople, l’esprit a été éliminé, on a institué un dogme : l’homme n’est fait que d’une âme et d’un corps, parler d’esprit est une hérésie. On aspirera sous une autre forme à éliminer l’âme, la vie de l’âme. Et le temps viendra, dans un avenir peut-être pas très lointain, où lors d’un Congrès comme celui qui s’est tenu en 1912, on verra se développer encore tout autre chose, où de tout autres tendances feront leur apparition, où l’on dira : parler d’esprit et d’âme, c’est pathologique ; seuls sont bien portants les gens qui ne parlent jamais que du corps. On considérera comme un symptôme pathologique le fait qu’un être humain se développe de façon telle qu’il en vienne à penser qu’il existe un esprit ou une âme. Ces gens seront des malades, et l’on trouvera, soyez-en sûrs, le remède qui agira sur ce mal. Dans le passé, on a éliminé l’esprit. On éliminera l’âme au moyen d’un médicament. En partant d’une « saine vue des choses », on trouvera un vaccin grâce auquel l’organisme sera traité dès la prime jeunesse autant que possible, si possible dès la naissance même, afin que ce corps n’en vienne pas à penser qu’il existe une âme et un esprit. — Les deux courants, les deux conceptions du monde s’opposeront radicalement. L’une réfléchira à la manière d’élaborer des concepts et des représentations qui soient à la mesure de la réalité véritable, de la réalité d’âme et d’esprit. Les autres, les successeurs des actuels matérialistes, chercheront le vaccin qui rendra les corps « sains », c’est-à-dire constitués de telle façon qu’ils ne parleront plus de ces sottises que sont l’âme et l’esprit, mais, parce qu’ils seront « sains », des forces mécaniques et chimiques qui, à partir de la nébuleuse cosmique, ont constitué les planètes et le soleil. On obtiendra ce résultat en manipulant les corps. On confiera aux médecins matérialistes le soin de débarrasser l’humanité des âmes. Oui, ceux qui croient qu’on peut prévoir l’avenir à l’aide d’idées qui jouent avec la réalité, sont bien dans l’erreur. Il faut regarder l’avenir en utilisant des concepts pensés avec sérieux, bien fondés, profonds. La Science spirituelle n’est pas un jeu, elle n’est pas seulement une théorie. Elle est, en face de l’évolution, un devoir à remplir.

(pages 104 et 105)

Je vous ai expliqué que les esprits des ténèbres souffleront à leurs hôtes, aux hommes qu’ils habiteront, de découvrir un vaccin qui puisse dès la prime jeunesse, par la voie du corps, extirper la tendance à la spiritualité. On vaccine aujourd’hui contre telle ou telle maladie : à l’avenir, on vaccinera les enfants à l’aide d’un produit que l’on peut très bien composer, et qui empêchera les enfants de développer en eux les « folies » de la vie spirituelle – « folie » dans la perspective matérialiste, bien entendu.

(page 255)

Je le disais tout à l’heure, ce sont là d’innocents débuts littéraires. Mais tout cela vise à trouver pour finir le moyen de vacciner les corps afin que ne s’y développe pas la tendance aux idées spirituelles, et que leur vie durant les hommes ne croient qu’à l’existence de la matière que perçoivent les sens. Tout comme on vaccine contre la phtisie, on vaccinera contre la tendance à la spiritualité. Ceci à titre d’indication parmi beaucoup de choses qui apparaîtront dans un proche avenir et au-delà dans ce domaine, afin que la confusion se crée dans les forces qui, grâce à la victoire des esprits de la lumière, veulent descendre des mondes spirituels sur la terre. Pour cela, il faut naturellement que les conceptions du monde, la manière de voir des hommes soient gagnées par la confusion, que leurs concepts, leurs représentations soient faussées. C’est là une situation grave vis-à-vis de laquelle on doit être très vigilant. Car il fait partie des arrière-plans les plus importants derrière les événements qui se préparent actuellement. Je choisis à dessein mes mots avec précision. Je dis : « qui se préparent » et j’ai bien conscience que lorsque quelqu’un parle de préparation après que s’est accompli ce qui a eu lieu au cours des trois dernières années, il prononce un mot important. Car celui qui voit les choses en profondeur sait qu’il s’agit en effet de préparation. Seul un esprit superficiel peut croire que demain ou après-demain, ce qui n’est pas une guerre au sens d’autrefois sera terminé par une paix, comme les guerres l’étaient autrefois. Seul celui qui juge superficiellement des événements peut le croire. Sans doute beaucoup le croiront-ils quand extérieurement se produira quelque chose qui approchera ce que l’on s’imagine ; et l’on ne réfléchira pas à tout ce qui sommeille sous la surface.

(pages 255 et 256)




Robert Kennedy junior s’entretient avec Vandana Shiva

[Source : Ciel voilé]

Dans une interview avec le président de la CHD, Vandana Shiva avertit les auditeurs que si nous ne nous battons pas contre Gates et son empire, « Ils posséderont tout. Vous ne posséderez rien… pas de biens communs, pas de biens publics, pas de valeurs partagées. »

Équipe de Défense de la Santé des Enfants ( CHD) – Le 8 février 2021

https://childrenshealthdefense.org/defender/rfk-jr-interviews-vandana-shiva-gates-empire/

Dans une interview avec Robert F. Kennedy Jr, Vandana Shiva explique comment Bill Gates, ainsi que Big Ag, Big Chemical, Big Food, Big Tech et Big Pharma détruisent l’écosystème de la Terre et, avec lui, notre santé.

Transcription :

RFK Jr : Voici mon héroïne, Vandana Shiva, que je connais depuis de nombreuses années, qui a été un modèle pour moi, vraiment. Elle a environ 40 points de QI de plus que moi. J’ai découvert cela en lisant votre biographie aujourd’hui, et je ne savais pas que vous aviez fait votre thèse de doctorat sur la physique quantique. Est-ce que c’est ce que vous avez étudié à l’école à un moment donné ?

Vandana Shiva : Oui, c’est toujours ce qui guide mon travail, la non-séparation et le potentiel. Ce sont les deux idées qui vont nous libérer de la pensée mécaniste du monde. Oui, nous sommes connectés, et nous avons tous un potentiel, y compris la désobéissance civile.

RFK, Jr : Donc Vandana Shiva : Shiva est actuellement à la tête de Navdanya, n’est-ce pas ?

Vandana Shiva : Navdanya, ce qui signifie neuf graines.

RFK, Jr : Mais je vous ai rencontrée pour la première fois lorsque vous dirigiez le mouvement Chipko dans les années 1980, c’est alors que j’ai entendu parler pour la première fois de vous, et de ce leader extraordinaire en Inde qui organisait les femmes pour protéger les forêts et les arbres et tout cela.

Vandana Shiva : Bobby, je n’étais pas une leader. J’étais étudiante, et je faisais du bénévolat, et les leaders étaient les femmes et elles étaient mes professeurs. Je dis toujours que je suis allée à l’Université de Western Ontario pour mon doctorat afin de mieux comprendre la théorie quantique, mais je suis allée à l’Université de Chipko pour comprendre la biodiversité. Et Bobby, l’autre jour, la mafia s’est emparée de David Attenborough pour lancer la gestion de portefeuilles sur la biodiversité, comme les portefeuilles sur la propriété foncière, comme si la valeur de la biodiversité n’était pas reconnue par les femmes de Chipko. Je pense que c’est le conflit que nous vivons. Les milliardaires qui veulent tout transformer en portefeuille, et les gens ordinaires qui disent : « Non, nous voulons protéger notre terre ». Nos agriculteurs protestent maintenant depuis six mois pour la terre. C’est ce qu’ils disent.

RFK Junior : J’ai vu dans les nouvelles internationales ces énormes, vastes rassemblements de fermiers qui marchent maintenant sur les villes en Inde. Alors dites-nous, parce que je sais que vous êtes en plein milieu de tout ça… laissez-moi vous présenter un peu plus. Shiva est l’une des grands leaders du peuple sur Terre aujourd’hui. Elle a remporté tous les prix que vous pouvez gagner auprès de personnes qui se soucient des droits des femmes à la base, de la propriété intellectuelle et des semences, en particulier, des OGM, de la protection des forêts, de l’agriculture chimique par rapport à l’agriculture pour laquelle Vandana Shiva se bat, et elle nous a tous conduits dans les guerres contre Monsanto. Je ne me souviens même pas de la première fois que nous nous sommes rencontrés, mais c’est une dirigeante extraordinaire, extraordinaire. Je voudrais donc vous parler de Bill Gates et de son achat de terres, et de son action pour créer un nouveau féodalisme sur cette planète, et pour faire sortir les agriculteurs de leurs terres, et les milliardaires de leurs terres. Et parlons d’abord des événements actuels et de ce qui se passe en Inde avec ces marches auxquelles vous participez.

Vandana Shiva : Alors Bobby, ma vie a tourné autour de la physique et de la physique quantique, et bien sûr, du mouvement Chipko. J’ai été, dès mon plus jeune âge, une militante écologiste. Mais c’était en 1984 …

RFK Junior : Ton père était forestier, non ?

Vandana Shiva : Mon père soignait les forêts. Oui, j’ai beaucoup appris de lui. Et ma mère était une réfugiée de la partition. Quand l’Inde a été divisée par une ligne tracée sur une carte, elle a dit : « Eh bien, j’ai tout fait. J’ai brisé tous les plafonds de verre pour les femmes, et maintenant je serai agricultrice. » Alors elle est devenue agricultrice, et mon père était dans la forêt, et nous vivions entre la ferme et la forêt. Et c’étaient des gens merveilleux. Je veux dire, leurs valeurs, leur vie m’a donné toutes les valeurs que je vis, d’intrépidité, de vérité, de ne jamais abandonner, et d’aimer la nature très profondément. Mais mon engagement dans l’agriculture commence en 1984, lorsqu’il y a eu des manifestations similaires contre la révolution verte. Aujourd’hui, la révolution verte a été mise en œuvre pour la première fois au Pendjab…

RFK, Jr : C’était un programme des Rockefeller, à l’origine, des Rockefeller, n’est-ce pas ?

Vandana Shiva : Exactement, et de la Banque Mondiale. Donc la Banque mondiale, l’USAID [Agence américaine pour le développement international], les Rockefeller. Ils avaient un programme qui a fonctionné pendant un certain temps sur la façon dont vous pouvez déplacer ces énormes quantités de produits chimiques, les engrais, les pesticides après les guerres. Ces usines auraient dû simplement fermer, et à la place, les Rockefeller, qui étaient très impliqués dans les expériences de l’IG Farben et d’Hitler. Je veux dire, il y a tellement d’articles à ce sujet. Le pétrole provenait des Rockefeller. L’agriculture chimique est une agriculture de combustibles fossiles. Ils ont fourni le pétrole, les Allemands ont fourni la science et les Rockefeller, ainsi que les banquiers privés, ont fourni le financement. Et donc, après la guerre, cela aurait dû être la fin de la guerre chimique sur cette planète, et au lieu de cela, ils ont travaillé à dire : « Comment changer l’agriculture pour la rendre plus adaptée aux produits chimiques ? Nous avons donc de grands blés, de grands riz et même des animaux à double usage.

Les taureaux tireront la charrue et les vaches vous donneront du lait. En Inde, nous ne faisons donc jamais de pensée unidimensionnelle. Et pourtant tant d’indiens dirigent tant d’institutions en vivant sur les restes de la pensée multidimensionnelle, mais en poussant le monde vers une pensée unidimensionnelle de l’intelligence artificielle. Mais à ce moment-là, Barlow a été récupéré dans les laboratoires de la défense de DuPont pour travailler sur le changement des plans. Les États-Unis avaient volé du blé au Japon pendant la guerre, et il y avait du riz d’Indonésie, et ils ont modifié la plante, qui est devenue minuscule… J’appelle cela la désobéissance civile de la plante. Les plantes disaient : « Je ne veux pas de produits chimiques. Partez », et ils ont changé la plante. Et tout cela a été fait par Norman Borlaug, qui a reçu le prix Nobel de la paix. En 1984, des agriculteurs sont fusillés. Des agriculteurs sont tués, et je vois que c’était sur le point de… C’est censé être une question de paix. Il a reçu le prix Nobel de la paix. 20 000 personnes sont mortes au Pendjab.

Les protestations d’aujourd’hui s’inscrivent donc dans la continuité de celles que nous avons eues depuis 1991, qui est un tournant pour cette mondialisation néolibérale imposée par la Banque mondiale, qui nous a d’abord endettés. Je veux dire, c’est comme ça que fonctionnent les « amortisseurs » du monde, n’est-ce pas ? On s’endette, puis on s’endette sur le « sang du peuple ».

Et les lois contre lesquelles les agriculteurs se battent, veulent le « sang du peuple » que la Banque mondiale avait déjà exigé en 1991, sauf qu’elles ont été repoussées, et repoussées et repoussées. En ce moment, les protestations sont énormes. Les agriculteurs ne sont pas stupides. Les agriculteurs savent contre quoi ils se battent et ils disent : « Nous nous battons pour l’âme et le sol de l’Inde, parce que si nous ne sommes pas là en tant qu’agriculteurs, cette civilisation mourra. Si nous ne sommes pas là en tant qu’agriculteurs, cette terre mourra. Ils ont vu à quel point le sol a été dégradé par la révolution verte chimique.

Ils ont été témoins de la monoculture de produits de base pour Pepsi, qui est un modèle. Pepsi est donc arrivé en Inde après 1984 et le suicide a commencé parmi les producteurs de pommes de terre. Pepsi, pour un paquet de pommes de terre de 20 roupies de valeur, payait l’agriculteur 0,04 paisa, ce qui est une somme insignifiante. Ainsi, lorsqu’il s’agit d’agriculture chimique, de semences OGM et de commerce mondialisé par l’agrobusiness et l’industrie agroalimentaire, les agriculteurs reçoivent en moyenne 0,5 à 4 % de ce que paie un consommateur. Mais le consommateur ne paie pas seulement le prix de la malbouffe contenue dans l’emballage, il paie le prix de la malbouffe pour sa santé.

Et c’est pourquoi le travail que vous faites Bobby, sur la question de la santé, en particulier la santé des enfants est si primordial. Je considère l’agriculture industrielle et la transformation industrielle ainsi que l’esprit industriel comme des invasions dans notre corps. Auparavant, cela se produisait indirectement, les cancers par le biais des produits toxiques. Vous vous êtes battus sur les cas de cancer de Monsanto. Tout cela est une invasion dans le corps. Mais maintenant, on nie consciemment qu’il y a une harmonie entre la santé des sols, la santé des plantes et notre santé. Le microbiome de notre intestin est une forêt tropicale de diversité. Et s’il ne reçoit pas de nourriture diversifiée et fraîche, c’est comme une guerre contre notre microbiome intestinal, qui représente 90% d’entre nous en termes de biodiversité. Nous sommes 10 % d’êtres humains, 90 % d’autres êtres qui nous maintiennent en bonne santé, qui nous font. Et la guerre contre notre corps en est à ses derniers stades.

Mais elle se déroule à un moment où la prise de conscience sur la santé est de plus en plus importante. Où la prise de conscience de la biodiversité est si importante. Et maintenant, ils se disent : « Oh, ce que nous avons fait quand le colonialisme a commencé, il suffit de changer les mentalités, de les traiter de barbares, de les civiliser ». Je veux dire qu’ils continuent à faire le récit d’une mission civilisatrice. Et c’est pourquoi j’ai écrit mon livre, L’Unité contre le 1%. J’ai dit, Bill Gates, continue de parler d’innovation, tout ce qu’il fait c’est de la colonisation. Et j’ai montré en gros comment c’est la colonisation.

RFK, Jr : Oui, c’est ça. Et c’est de cela que je veux vous parler. Et j’ai un article pour lequel je vous ai interviewé longuement et qui est publié dans The Defender cette semaine, sur le nouveau féodalisme de Bill Gates. Les journaux américains ont finalement reconnu la partie émergée de l’iceberg de ce qui se passe parce qu’ils ont découvert soudainement qu’il était désormais le plus grand propriétaire de terres agricoles aux États-Unis d’Amérique. Il a fait cette campagne de santé pour s’approprier nos terres agricoles. Personne ne savait qu’il le faisait. Il l’achetait par le biais de sociétés écrans, d’investissements en cascade et d’autres moyens. Et ce que je fais dans cet article, avec votre aide, c’est faire le lien avec ce qu’il fait dans ce pays.

Il investit également dans Alphabet, une société de Google, et développe des robots agricoles qui remplaceront les agriculteurs. Il développe l’intelligence artificielle et vole le savoir, comme il l’a fait en Inde, au petit paysan. Il a mis des caméras dans leurs maisons, dans leurs champs. Il a mis des capteurs partout pour savoir comment ils utilisaient les semences.

Et puis il a pris les banques de semences, il y a 15 banques de semences dans le monde qui stockent toutes les semences du patrimoine de l’humanité, 786 000 espèces de semences. Elles sont là pour l’humanité, pour le bien commun, et il a pris le contrôle de cette banque de semences, l’a consolidée et est en train de la privatiser et de modifier la composition génétique de ces semences, en les rendant chimiquement dépendantes, afin de pouvoir breveter toute la vie qui a été développée pendant 20 000 ans d’agriculture sur cette planète.

Je veux commencer à raconter cette histoire sur ce qui s’est passé pendant la révolution verte, qui a été lancée par les Rockefeller, principalement en Inde et au Mexique. Gates l’a déplacée au début des années 2000 en Afrique. Gates et la Fondation Rockefeller. Et ils ont commencé à faire la même chose là-bas. Et c’est la même chose qu’il a fait avec les vaccins. Il y a un problème humain, qu’il dit être la faim ou la maladie, et je vais le résoudre avec ma technologie, qui est les cultures OGM, les semences brevetées, les aliments synthétiques, l’agriculture chimique, les pesticides, les monocultures fertilisantes à base de pétrole.

Il s’est rendu dans 13 pays africains et les a forcés à pratiquer l’agriculture intensive, à accepter ses intrants, à construire la chaîne d’approvisionnement et aujourd’hui, 131 millions de personnes meurent de faim dans ces pays. Le taux de famine a augmenté de 30 %. Et il essaie maintenant de faire la même chose au reste du monde. Et je sais que vous êtes actifs en Afrique et que vous les combattez depuis de très nombreuses années. Et cela a vraiment contribué à alerter le monde à ce sujet. Il ne s’agit pas d’agriculture, il ne s’agit pas de nourriture, il s’agit de s’emparer de nos terres et de nous donner une nourriture vraiment malsaine.

Vandana Shiva : Bobby, tu sais mieux que quiconque que nous sommes témoins des deux schémas de l’ancienne colonisation d’il y a 500 ans. Et je pense qu’il est très important que Black Lives Matter se réveille face à l’empire Gates, qui est un empire raciste. Ils peuvent nommer à leur tête ou donner quelques emplois, mais c’est la mentalité et les processus structurels qui décident des systèmes.

Alors qu’il utilise cette vieille mentalité, il utilise bien sûr de nouveaux outils, et ces nouveaux outils sont essentiellement le génie génétique. Et j’avais commencé Navdanya, qui signifie neuf graines, ce qui est la diversité, lorsque j’ai été convoquée à une réunion en 1987 avec l’ancien cartel du poison. « Maintenant, nous possédons les semences, nous ne gagnons pas assez d’argent en vendant des produits chimiques, nous devons rendre illégal pour les agriculteurs le fait d’avoir des semences.

Nous posséderons les semences en tant que propriété intellectuelle et nous aurons un manteau international appelé propriété intellectuelle liée au commerce de l’OMC pour obliger les agriculteurs à acheter des OGM brévetés. J’ai dit : « Mais c’est vraiment mal. C’est un empire sur la vie ». Et j’ai pris un engagement, je vais sauver les semences. Je veux travailler avec notre gouvernement sur des lois qui disent que les plantes, les animaux et les semences ne sont pas brevetables.

RFK, Jr : Laissez-moi vous interrompre une seconde parce que beaucoup de gens qui écoutent ça ne comprendront pas pourquoi les semences OGM sont liées aux produits chimiques. Et laissez-moi vous expliquer très brièvement ce qui s’est passé, lorsque le DDT a été interdit en 1974, et c’était le produit de Monsanto, ils ont acheté un autre produit appelé glyphosate. Quelqu’un l’avait pris, c’était un nettoyant de réservoir, quelqu’un l’avait jeté dans le jardin et avait vu qu’il tuait toute l’herbe. Et Monsanto a dit : « Ce serait un bon désherbant. » Il en a fait un désherbant, l’a commercialisé comme un petit désherbant. Des centaines d’ouvriers agricoles portaient des pulvérisateurs à dos et pulvérisaient les mauvaises herbes dans les champs de maïs avant que le maïs ne devienne trop gros.

Puis, en 1994, quelqu’un a mis un peu de ce glyphosate sur le sol, et il y a eu une mauvaise herbe qui n’est pas morte. Monsanto a retiré de cette mauvaise herbe le gène qui la rendait résistante au glyphosate et l’a mise dans le maïs. Et maintenant ils avaient du maïs, qui ne mourrait pas si on le pulvérisait avec du glyphosate. Maintenant, vous pouvez virer tous ces ouvriers agricoles et vous louez un avion qui sature tout le paysage de glyphosate, et la seule chose qui vit, c’est ce maïs OGM.

Et c’est maintenant le pesticide le plus répandu au monde. Je pense que 80 % des pesticides dans le monde sont des OGM et ils ont cultivé toutes sortes de nos céréales. Et tous nos aliments et nos fruits sont maintenant génétiquement modifiés pour résister au Roundup, pour que vous puissiez les répandre dans tout le paysage. Ce que nous constatons, c’est que la façon dont il tue les plantes est qu’il aspire tous les minéraux et détruit les éléments constitutifs de la vie. Les déchets que vous recevez n’ont pas les minéraux dont vous avez besoin, vous pouvez avoir le ventre plein, mais vous pouvez mourir de malnutrition. Et c’est l’une des choses que vous avez vraiment démontrées mieux que quiconque.

Vandana Shiva : Vous avez raison. Que ce soit la révolution verte en Inde, où Borlaug a marié les engrais chimiques à des variétés de plantes naines, ou les vols de Monsanto, qui a pratiquement déjà fabriqué le glyphosate Roundup, en fait du Roundup. Et puis ils ont poursuivi en justice toutes les entreprises qui faisaient du génie génétique pour pouvoir les racheter. Ils n’ont jamais rien fait. Monsanto, aucune de ces entreprises n’a fait de travail. Ils ont juste poursuivi, et poursuivi, et poursuivi. Et le génie génétique, les brevets et les produits chimiques vont ensemble.

Et maintenant, les mêmes Rockefeller qui ont lancé l’industrie chimique avec l’IG Farben, et qui ont également lancé l’ensemble des produits pharmaceutiques irresponsables. Vous savez, nous avons la médecine depuis toujours. Et Hippocrate a dit : « Que la nourriture soit ta médecine ». L’Ayurveda dit « que la bonne nourriture est le seul médicament, et que la mauvaise nourriture n’a pas de médicament pour guérir les maladies qu’elle provoque ». Tout cela est connu. Cent ans de mauvaise … comment s’appelle-t-elle ? Il y a un joli mot pour ça, l’huile de serpent ? Vendre de l’huile de serpent.

Et maintenant, les grandes entreprises pharmaceutiques, technologiques, informatiques et financières l’appellent FinTech. C’est en gros utiliser des mesures et des portefeuilles spéculatifs numériques, transformer la terre en portefeuille, la biodiversité en portefeuille, et penser que c’est de l’économie intelligente. Et malheureusement, le pauvre Attenborough est allé dire : « Les écologistes ne connaissent pas la biodiversité. Et Aristote avait dit : « L’économie est l’art de vivre ». La chrématistique est l’art de faire de l’argent.

Donc maintenant, dans l’art de faire de l’argent, il y a le Big Ag, le Big Food, le Big Tech, le Big Everyone qui veut devenir plus grand comme une cellule cancéreuse. Et le nouveau Gates Ag One est cette convergence. Elle a un an. L’année dernière, en janvier, il l’a annoncée. Et comme il le dit, le temps est l’ennemi. Quand seuls des gens stupides pensent que le temps est l’ennemi. Les gens sages savent que le temps est votre ami qui met à l’épreuve le meilleur de vous-même. Après tout, M. Gates nous a tous enfermés pendant un an, et le temps nous a appris ce que sont les merveilleuses amitiés et l’amour. Il nous a appris la suffisance et la simplicité, ce dont nous pouvons nous passer. Ils ne se rendent pas compte qu’il y a un monde vivant dehors. Et je pense que M. Gates, en plus d’avoir la maladie de la cellule cancéreuse, ne sait pas quand s’arrêter de croître… Les cellules saines savent comment s’arrêter de croître. Je pense qu’il a une maladie du pouvoir et une maladie de la peur parce que… J’ai dit : pourquoi cet homme a-t-il si peur du moindre microbe et si peur du moindre petit fermier qui proteste dans les rues indiennes aujourd’hui ? Pourquoi a-t-il si peur d’une plante qui se reproduit gratuitement ? Et pourquoi a-t-il si peur de la démocratie que si l’Inde dit non au riz OGM, le riz doré, une fausse solution à la cécité de l’or, ou l’aubergine Bt, que nous avons jetée en 2001 par l’intermédiaire de notre ministère, lors de sept audiences publiques, où le gouvernement a écouté les agriculteurs, et a écouté les citoyens et les scientifiques.

RFK, Jr : Et il s’agissait de cultures OGM qu’il a essayé d’imposer à l’Inde, et l’Inde les a rejetées. Mais il s’est installé au Bangladesh et au Pakistan avec son coton OGM. Il ne veut rien d’autre que les OGM.

Vandana Shiva : Mais il a aussi déplacé le riz doré aux Philippines, pour lequel il y a un énorme mouvement, pas de riz doré. Et cela revient à la question des semences. Donc, quand la révolution verte a commencé et que les Rockefeller et la Banque mondiale ont pris toutes les semences des agriculteurs pour les forcer à avoir des semences de la révolution verte avec des produits chimiques, ces 15 banques de semences ont été créées, et toutes nos semences se trouvent là-dedans.

Aujourd’hui, Gates a pris le contrôle de ce système public de semences. Et la banque de semences de riz aux Philippines, où l’on travaillait sur le riz doré, le riz doré OGM, la raison pour laquelle il est important de suivre cela est une, toutes les semences de riz sont là. Nous avons toutes les 200 000 variétés de riz. Et nos meilleurs scientifiques ont refusé de se séparer des semences. Ils ont dit : « C’est notre héritage. C’était notre civilisation. Nous ne pouvons pas laisser la Banque mondiale s’en emparer ». La Banque mondiale a fait en sorte qu’il soit démis de ses fonctions de meilleur scientifique de son temps, le Dr Richharia. C’est mon professeur. Et donc, quand Gates s’empare de la banque de semences aux Philippines, et qu’il fait du riz doré, il se prépare maintenant. Et c’est là que nous avons besoin de la désobéissance civile, Bobby. Nous devons tous nous donner la main. Cette année, le 16 octobre, Journée mondiale de l’alimentation, ou avant le Sommet de l’alimentation, qu’il a détourné, faisons une désobéissance civile contre l’alimentation forcée de la mauvaise nourriture. Qu’il s’agisse d’aliments de laboratoire, comme l’Impossible Burger, ou de riz doré, car il prépare la biofortification qui sera rendue obligatoire. Et nous avons vu comment il peut rendre les choses obligatoires.

RFK, Jr : Laissez-moi vous expliquer ce que Vandana Shiva dit à propos du Sommet de l’alimentation. La plupart des gens qui regardent cette émission savent qu’en 2010, 2009, Bill Gates est allé devant les Nations Unies, a promis 10 milliards de dollars à l’Organisation mondiale de la santé, et la plupart de ces fonds ont fini par venir du gouvernement, pas de lui, mais il a versé quelques milliards. Et il a déclaré une décennie de vaccins. Personne ne lui a prêté beaucoup d’attention. Mais il a été le premier fonctionnaire non élu, sans portefeuille diplomatique, à se présenter devant les Nations unies et il a fait cette déclaration.

Immédiatement, il a commencé à faire tourner toutes ces roues. Il a créé tous ces groupes qui luttent contre la vaccination, et il a commencé à promouvoir les vaccins dans le monde entier … et il a créé toutes ces organisations quasi-gouvernementales, la CEPI [Coalition for Epidemic Preparedness], PATH et GAVI [Alliance pour les vaccins] que tout le monde croit être des gouvernements, mais ce n’est que Bill Gates. Il a pris la tête de l’Organisation mondiale de la santé au cours de cette décennie.

Même le Financial Times a déclaré qu’aucune décision n’est prise à l’Organisation mondiale de la santé qui ne soit d’abord gérée par la Fondation Gates. Et en 2019, l’Organisation mondiale de la santé sort en janvier, et déclare que le refus des vaccins est l’une des 10 plus grandes menaces pour la santé mondiale. A-t-elle proposé une étude scientifique pour le prouver ? Non. Ils l’ont juste déclaré. Immédiatement, le monde s’est mis en ordre. Dans 150 pays, les législatures, les politiciens qui sont à la solde des grandes entreprises pharmaceutiques et qui font pression pour obtenir des obligations vaccinales et abolir les exemptions.

Aux États-Unis, en l’espace de trois mois, 100 projets de loi dans 50 États ont été introduits dans le processus législatif pour rendre les vaccins obligatoires et pour interdire les exemptions… Adam Schiff, qui avait reçu de l’argent de Gates, le chef du Comité des renseignements, se présente et dit aux PDG des médias sociaux, Pinterest, Facebook, Google, tous, Instagram, YouTube, « Vous devez commencer à censurer la désinformation sur les vaccins ».

Et puis nous avons eu le rouleau compresseur jusqu’en 2020, et 2020 en janvier, juste à temps pour sa décennie de vaccins, nous avons eu le Covid. Et Fauci, qui est son partenaire, investit 48 milliards de dollars dans la promotion des vaccins. Chaque jour, M. Gates passe à la télévision en disant : « Tant que tout le monde n’est pas vacciné, nous devons rester enfermés. Nous allons faire s’effondrer l’économie mondiale jusqu’à ce que vous fassiez tous ce qu’on vous dit et que vous soyez tous vaccinés ».

Il a payé des études pour tuer l’ivermectine, pour tuer l’hydroxychloroquine, pour les discréditer. Nous avons dépensé dans notre pays 0 dollar pour des antiviraux, des antiviraux disponibles sur le marché, pour la recherche, pour la vitamine D, pour toutes les choses que nous savons qui réduisent le nombre de décès dus au COVID. Rien de tout cela n’a été étudié. Rien de tout cela n’a été recommandé. Au lieu de cela, tout l’argent, 48 milliards de dollars, a été consacré aux vaccins.

Maintenant, il reproduit cela. Il a réussi avec sa Décennie des vaccins au-delà des rêves les plus fous. Et maintenant, il est passé à la deuxième partie, qu’il a déclarée Décennie de l’alimentation, et il fait la même chose. Il s’agit d’aliments chimiques. C’est de la nourriture synthétique. Il possède les « Impossible Burgers », « Beyond Beef », toutes ces choses qui sont chargées de pesticides, et il essaie de faire sortir les agriculteurs des fermes, il prend le contrôle des fermes avec ses robots et son intelligence artificielle en Inde, en Afrique, et maintenant aux États-Unis, et il nous donne des aliments malsains, et il contribue aux maladies chroniques qui vont nous rendre dépendants de ses médicaments. Oh, vous connaissez la suite de cette histoire, Vandana Shiva, et vous la racontez mieux que quiconque.

Vandana Shiva : Eh bien, je pense que ce à quoi les gens qui aiment la vie et la liberté devraient se préparer maintenant, c’est, A, le fait que oui, avec ce Gates Ag One, il veut une agriculture unique sur une planète avec tant de diversité. Nos zones humides avec le riz sont très différentes de nos terres arides avec le mil. Nos systèmes de granges du Bengale sont très différents des systèmes désertiques de Rogerstown. Et la seule agriculture qu’il souhaite est ce système qui est dirigé de l’extérieur, où deux des produits chimiques d’après-guerre sont ajoutés, les OGM, qui sont devenus après les années 1990 avec l’OMC et leur diffusion et le brevetage. Et maintenant, il veut ajouter l’agriculture numérique, l’agriculture sans les agriculteurs. Et bien sûr, le récit d’aujourd’hui, tout comme celui de l’époque, c’est que nous nous développons bien grâce à l’air car nous fixons l’azote en brûlant des combustibles fossiles. Eh bien, c’était un mythe. Ils ont ruiné la terre. Ils ont ruiné les océans. Ils ont ruiné le climat, 300 fois plus mortel que le dioxyde de carbone, l’oxyde nitreux qui est émis par les engrais azotés.

Ils ont donc dit que le sol est vide. Je l’appelle terra nullius. C’était la jurisprudence de l’époque coloniale. Puis ils ont breveté la semence et fait croire que la vie est vide. Je l’ai appelé bio nullius. Et M. Gates était en train de créer son nouvel empire. Je l’appelle mente nullius, les esprits vides. Nous allons vider les esprits en exploitant les données et en les brevetant, en transformant tout le monde en zombie, en les évaluant et en leur attribuant une valeur. Et comme l’a dit la recherche, vous ne posséderez rien. Ils posséderont tout. Vous ne posséderez rien. Et tout sera à eux. Donc pas de biens communs, pas de biens publics, pas de valeurs partagées, juste de l’argent, de l’argent, de l’argent entre leurs mains, et eux étant une machine d’extraction.

Parce que depuis 1991, tout a été essayé à l’époque qui a créé Gates. Il n’était pas aussi riche qu’il l’était jusqu’à la déréglementation de la finance et de l’informatique. Lors de la première réunion de l’OMC, il est parvenu à faire en sorte que le commerce de l’information soit exonéré de droits et de taxes. C’est ainsi que tous ces géants de la technologie sont devenus si riches.

Alors pour comprendre ce qu’il se passe maintenant, rappelons qu’ à l’époque, l’OMC disait que les semences seraient brevetées. Et la plupart des semences ne le sont pas. La deuxième chose, c’est que les Cargill veulent faire du commerce agricole et qu’il n’y aura plus de système de souveraineté nationale pour protéger les droits à l’alimentation. C’est contre cela que les agriculteurs arméniens se battent en ce moment. Et la troisième, c’est ce qu’ils ont appelé des mesures sanitaires et phytosanitaires, c’est-à-dire interdire la bonne nourriture et faire de la malbouffe la seule option. C’est pourquoi nous avons des maladies chroniques.

Aujourd’hui, M. Gates fait passer tout cela à l’étape suivante. Oh, il y a eu des lois créées pour m’empêcher de voler. Je vais faire de la cartographie génomique numérique et contourner toutes les lois internationales. Et en ce qui concerne le commerce international de la nourriture, si des mouvements se développent pour la vraie nourriture et la souveraineté alimentaire, laissez-moi créer de la fausse nourriture dans les laboratoires et créer la famine et la faim par le confinement. Il n’y a donc pas de nourriture, les agriculteurs sont détruits et l’agriculture se fait sans les agriculteurs. Et pourquoi se préoccuper uniquement du Pepsi, de la malbouffe et du Coca-Cola ? Nous sommes aussi les plus grands pollueurs de plastique au monde. Non, non, non. Ce que nous faisons maintenant, c’est fabriquer de la nourriture totalement fausse et nous ferons du droit à une bonne alimentation un crime, tout comme le droit de connaître sa santé, le droit d’avoir les bons médicaments, le droit pour des sociétés entières d’avoir des connaissances médicales approfondies, que tout cela se transforme en crime. Nous avons vu cela se produire.

RFK, Jr : Laissez-moi vous donner un exemple de ce dont vous parlez. Gates possède une grande participation dans Philip Morris, qui est propriétaire de Kraft Foods et de General Foods. Et ils font des aliments transformés et ils fabriquent des fromages américains simples et du Cheez Whiz. Ces produits sont tellement dénués de valeur nutritive que le gouvernement oblige ces entreprises à y ajouter des vitamines, de la vitamine A, de la vitamine C, etc. Il y a des vitamines dans ces produits. Ce que Gates fait maintenant dans toute l’Afrique, dans le monde entier, c’est qu’il fait passer des lois, il achète des politiciens et impose des obligations pour des aliments enrichis afin que vous ne puissiez pas vendre des aliments sur les marchés africains, à moins qu’ils ne soient enrichis. Eh bien, la nourriture, le fromage de chèvre que l’agriculteur fabrique dans le Masai Mara au Kenya n’a pas besoin d’être fortifié. Il contient déjà tous les nutriments que nous voulons, mais cet agriculteur ne pourra pas vendre ce fromage de chèvre sur son marché local. Au lieu de cela, Cheez Whiz aura le monopole sur ce marché. Et c’est l’une des façons dont il utilise les propos de Vandana Shiva sur l’illégalisation de la santé ou la mise au ban des aliments sains pour ouvrir ces marchés et nous obliger à manger ses aliments sales et toxiques.

Vandana Shiva : Deux petites choses, Bobby. Phillip Morris est également responsable du sirop de maïs à haute teneur en fructose, qui se présente sous la forme d’un sucre synthétique. Ce sirop a provoqué une cirrhose du foie chez les bébés et est ajouté à tous les aliments parce qu’il crée une dépendance. Deuxièmement, l’Inde est une terre de diversité et de richesse. Nous avons toujours dit, en Hindoustan, que la diversité est notre voie. Nous avons tellement d’en-cas et d’aliments qu’on ne peut pas goûter la même chose à trois endroits. Tout cela est unique. Ils ont interdit tout cela. J’ai vu tout cela disparaître. Ils ont interdit nos moulins à huile vierge à pression à froid. Cinq millions d’entre elles ont été fermées en 1998 quand Cargill et Monsanto ont voulu nous inonder de musoya génétiquement modifié. Nous avons vu cela se produire. Il est donc important de tirer les leçons de la révolution verte de la mondialisation. Et maintenant, voyez comment la concentration de tout cela entre les mains d’un Bill Gates accélère ce qui a été mis en place et nous devrions faire tout ce que nous pouvons pour empêcher une prise de contrôle totale de nos semences, de notre nourriture, de notre liberté.

RFK, Jr : Vandana Shiva, nous n’avons plus le temps. Merci beaucoup. Dites aux gens comment ils peuvent vous soutenir dans votre travail.

Vandana Shiva : Eh bien, pour tous ceux qui écoutent, la première est que, plus tôt à la ferme, nous avons eu des expériences d’apprentissage sur la façon d’apprendre de la terre et de faire pousser de la bonne nourriture. Mais en ce moment, nous avons ces cours comme des cours de zoom. Et vous pouvez aller sur le site web de navdanya N-A-V-D-A-N-Y-A.org. Vous pouvez devenir un guerrier des semences, un guerrier de la nourriture.

Écrivez-moi à Vandana Shiva : shiva@gmail.com. Et nous avons aussi un programme international appelé Navdanya International, où nous venons de faire un reportage, Gates to a Global Empire. Si vous voulez en savoir plus sur les activités de Gates, lisez ce rapport. Il est disponible en téléchargement gratuit. Et faisons de cette année l’année de la transition de l’empire Gates vers la liberté de toute vie sur cette planète et de tous les habitants de cette planète dans toutes leurs libertés et dans toute leur diversité.

Et au fait, je m’appelle Shiva parce que mes parents ont combattu le système des castes. Et ils ont dit : « Nous voulons prendre un nom qui n’est pas un nom de caste. » Et donc ils ont pris le nom d’une divinité et dans le christianisme, il y a une trinité, mais nous avons des millions de divinités. L’herbe est une divinité, le sol est une divinité, les rivières sont des divinités et la mère Gange est notre mère. Et c’est beau. L’Inde est si belle en reconnaissant les forces divines dans toute vie, et vous devez donc les protéger. Mais nous avons aussi une Trinité et il y a Brahma le créateur, Vishnu, le mainteneur, et Shiva, qui détruit les mauvais systèmes pour en créer de nouveaux. Joignons nos mains pour créer de nouveaux systèmes.

RFK, Jr : Un nom parfait pour vous, Vandana Shiva. Merci de vous joindre à moi. Suivez Vandana Shiva et vous pouvez lire mon article dans The Defender cette semaine sur notre collaboration avec Vandana Shiva. Merci beaucoup de vous joindre à nous.




À quoi jouent les médecins scolaires ? Les enfants innocents du Covid19 sont victimes de maltraitance collective

Par Dr Nicole Delépine

À quoi jouent les médecins scolaires ? Les enfants innocents du covid19[1] sont victimes de maltraitance collective

AUCUNE RAISON MÉDICALE DE LES PRIVER D’ÉCOLE comme le réclament les médecins scolaires

Covid-19 : fermeture des écoles réclamée par les médecins scolaires — (lasanteauquotidien.com) 

« Les médecins de l’Éducation nationale demandent, dès à présent, la fermeture de tous les établissements scolaires pour quatre semaines. Le but : freiner la propagation des variants qui sont plus contagieux chez les jeunes. Nombre exponentiel de cas contacts »

Ralentir la circulation du virus et de ses variants et éviter un confinement.
C’est l’objectif du Syndicat national des médecins scolaires et universitaires qui réclame la fermeture de toutes les écoles de France. Les médecins scolaires, dans ce communiqué, prétendent que les élèves « sont des maillons actifs de la chaîne de transmission, surtout depuis l’apparition des nouveaux variants ». D’autant que la présence du virus en milieu scolaire serait « de plus en plus forte ». Preuve en serait l’augmentation des établissements scolaires confrontés à des cas positifs de variants. Sans compter le nombre de cas contacts prétendument « exponentiel ».

Heureusement le ministre fait la sourde oreille !

Les médecins de l’Éducation nationale sont montés au créneau lundi 8 février, premier jour de congés pour la zone A (Lyon). Ils réclament, à leur ministre de tutelle, de « tenir compte de l’avis des médecins de l’Éducation nationale qui sont experts de la promotion de la santé à l’école ».

Pour ces médecins, « deux semaines de vacances d’hiver ne suffiront pas à diminuer l’incidence de la pandémie en milieu scolaire. » Lundi, le ministre de l’Éducation nationale, Jean-Michel Blanquer, semblait faire la sourde-oreille à leurs revendications, campant sur sa position de ne fermer les écoles « qu’en dernier recours ».

LE MINISTRE RÉSISTE À JUSTE RAISON

Le ministre résiste et il a bien raison à tous égards : aucun, absolument aucun argument sanitaire pour la fermeture des activités scolaires et une catastrophe éducative et psychologique avérée déjà énorme à la suite des fermetures successives qui n’auraient jamais avoir eu lieu et des mesures de distanciation injustifiées qui perturbent les enfants.

Il est étrange que les médecins scolaires ne tiennent pas compte des faits démontrés depuis un an :

  • les enfants ne font pas de formes graves pour les rares cas cliniques ;
  • les enfants ne contaminent ni les adultes ni les enfants[2] ;
  • les enfants sont moins contaminés dans les écoles que dans la famille.

Les variants de covid19 ne sont pas plus dangereux que les précédents.

L’augmentation des cas n’est pas exponentielle doit être mis en rapport avec l’augmentation considérable du nombre de tests recherchés.[3] Une augmentation est dite exponentielle lorsqu’elle suit une équation utilisant une puissance N=N0t/p qui n’est pas absolument pas le cas ici puisque l’augmentation hebdomadaire des cas des enfants d’une semaine à l’autre n’a été que de 10% (12520 cette semaine contre 11864 la semaine précédente et 10003 la semaine d’avant soit au total 0,1% des enfants scolarisés). Qu’on se le dise ! Pas exponentielle, oubliez le terme, les matheux doivent trembler.

Les contaminations des enfants qui sont sans risque ni pour eux ni pour leur entourage préparent l’immunité collective qui protégera les personnes âgées.

Les « cas » ne sont pas des malades,[4] mais des enfants majoritairement en bonne santé qu’on aurait dû laisser tranquilles s’ils n’ont pas de symptômes conformément aux recommandations de l’OMS.

Conséquences dramatiques des mesures imposées depuis des mois sans justification sanitaire

Les enfants privés d’école sont en grand danger psychologique affectif en plus du manque d’apprentissage et de nombreux décrochages[5]. Les mesures imposées sont très traumatisantes.

Les masques sont inutiles et dangereux [6] [7] [8] [9]

les médecins scolaires feraient mieux de défendre les enfants contre le port du masque toxique et inutile et toutes les mesures de distanciation injustifiées et mauvaises pour leur état mental.

Les tests sont peu fiables et déconseillés en dehors de signes cliniques[10] [11] [12] [13]

Les médecins scolaires comme les autres devraient faire stopper cette honteuse campagne de tests dans les écoles, informer et réinformer politiques et citoyens que les tests PCR ne sont pas fiables pour détecter un virus particulier.

La société de microbiologie française a rappelé qu’ils ne devaient être utilisés qu’à la demande d’un médecin sur des signes cliniques d’un patient et jamais à l’aveugle.

L’OMS a également rappelé ces notions le 21 janvier 2021, certes tardivement, mais clairement.[14]


Notes

[1] « Non, les enfants ne transmettent pas le Sars-cov-2 », selon le Dr Gérard Delépine — Nexus

[2] Les grands-parents peuvent aller chercher leurs petits-enfants à l’école et les embrasser sans risques ! (francesoir.fr)

[3] Terme « exponentiel « utilisé largement dans les médias à mauvais escient par les animateurs ou invités ! Joli mot pour faire peur ? Mais pas dans son acception exacte !

[4] Belgique, masques et confusion entre tests positifs (dits « cas ») et vrais malades. Dommage ! (francesoir.fr)

[5] La fermeture des écoles : facteur d’aggravation des conséquences négatives du confinement (francesoir.fr)

[6] Les mystères du masque, entre déraison, soumission, panique et contagion (francesoir.fr)

[7] Le port obligatoire du masque pour les enfants, c’est de la maltraitance ! (francesoir.fr)

[8] Les masques et les enfants : que faire en cas d’effets indésirables ? Ou le parcours d’une maman devenue combattante… (francesoir.fr)

[9] Pour en finir avec le masque pour nos enfants, le film (odysee.com)

[10] Tests PCR condamnés en justice, mais toujours imposés à répétition aux hospitalisés et aux soignants ! — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca)

[11] Les implications capitales de la jurisprudence portugaise concernant les tests PCR (francesoir.fr)

[12] recours collectif international contre les fabricants du test PCR, pilier fabriqué des mesures liberticides mondiales — Docteur Nicole Delépine (nicoledelepine.fr)

[13] ALERTE : le préfet de Moselle impose le masque permanent pour une épidémie de tests ! — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca)

[14] AVIS DE L’OMS 20 janvier 2021 Alerte de produit médical À L’ATTENTION DES UTILISATEURS DE TESTS DE DIAGNOSTIC IN VITRO https://www.who.int/fr/news/item/20-01-2021-who-information-notice-for-ivd-users-2020-05




Au moins 1627 morts suite à la vaccination Covid-19

[Source : Recherche Covid-19]

Voici le compte des morts après une vaccination Covid-19 rapporté par la presse et les bases de données officielles.
Avec plusieurs cas très graves en réanimation.
Et il y a aussi 2 morts lors des essais du vaccin Pfizer, 1 mort lors de l’essai AstraZeneca et 6 morts lors de l’essai Moderna, donc 9 morts en plus qui ne sont pas comptés dans les morts.
Pour les décès aux Etats-Unis et en Europe (hors Suisse), seul les morts rapportés par les bases de données officielles sont comptabilisés pour éviter les doublons, les articles sont laissés pour archivage au bas de l’article.
Pour les pays hors UE et USA, les articles de presses sont comptabilisés en l’attente d’accès à des bases de données officielles plus complètes.

On voit aussi apparaître des décès massifs dans certains EHPAD mais un lien direct avec la vaccination n’est pas encore établi officiellement, la France rapporte peu les effets indésirables par rapport aux autres pays:
Coronavirus : après Nice, des résidents d’Ehpad et des soignants vaccinés à Antibes et Cannes (31/12/2020)
Covid-19: Cinquante morts supplémentaires recensés en trois jours dans les Ehpad de la Côte d’Azur (16/01/2021)

• une indienne de 55 ans ainsi que 4 autres indiens de la même région (01/02/2021) :
https://timesofindia.indiatimes.com/city/hyderabad/woman-health-worker-in-state-dies-11-days-after-vaccination/articleshow/80618698.cms?from=mdr

• 1025 décès et 41,142 effets secondaire pour le vaccin Pfizer, 27 décès et 849 effets secondaires pour le vaccin Moderna (jusqu’au 06/02/2021) rapportés par la base de données Européenne des rapports d’effets indésirables
Voir comment accéder à la base de données ici : https://cv19.fr/2021/01/29/441-morts-lies-au-vaccin-rapportes-par-la-base-de-donnees-europeenne-des-rapports-deffets-indesirables/

• 9 indiens morts, 16 hospitalisés, un cas grave de septicémie bactérienne et 447 effets indésirables (vaccins Covishield et Covaxin) au 29/01/2021:
https://www.thehealthsite.com/news/odisha-man-dies-after-taking-covid-19-vaccine-another-develops-bacterial-sepsis-793037/
Parmi les morts, un jeune vigile de 27 ans :
https://www.msn.com/en-in/news/other/odisha-health-worker-dies-days-after-taking-covid-vaccine-official-says-not-linked-to-vaccination/ar-BB1d8jdX

• Selon les données du Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS), au moins 501 Américains sont morts à cause des vaccins COVID-19 aux États-Unis. (jusqu’au 29 janvier 2021)
https://medalerts.org/vaersdb/findfield.php?TABLE=ON&GROUP1=AGE&EVENTS=ON&VAX%5B%5D=COVID19&DIED=Yes
https://cv19.fr/2021/01/26/181-americains-sont-morts-suite-a-la-vaccination-covid-19-en-seulement-2-semaines/

• 53 morts à Gibraltar en 10 jours après le début des injections expérimentales d’ARNm COVID de Pfizer (pas clair, pas compté dans le total pour l’instant)
https://reseauinternational.net/53-morts-a-gibraltar-en-10-jours-apres-le-debut-des-injections-experimentales-darnm-covid-de-pfizer/

• 21 morts à l’Île-du-Prince-Édouard (Canada), parmi les 645 personnes ayant subi des effets secondaires du vaccin à ARNm. (Sur 166, les symptômes ont persisté jusqu’au moment de la notification, tandis que l’état de 118 autres personnes était incertain au moment de la notification) :
https://translate.google.com/translate?sl=de&tl=fr&u=https://corona-blog.net/2021/01/21/3-sicherheitsbericht-des-pei-21-tote-mit-mrna-impfung-und-2-629-unerwuenschte-reaktionen/
Article original : https://corona-blog.net/2021/01/21/3-sicherheitsbericht-des-pei-21-tote-mit-mrna-impfung-und-2-629-unerwuenschte-reaktionen/

• La princesse saoudienne Tarfa Bint Hathloul (vaccinée 11 jours avant):
https://www.lelibrepenseur.org/deces-de-la-princesse-tarfa-bint-hathloul-bin-abdulaziz-survenu-apres-la-vaccination-anti-covid-19/
Et https://saudiarabianewsexpress.com/2021/01/08/royal-court-death-of-princess-tarfa-bint-hathloul-bin-abdulaziz-al-saud/
Elle dit sur son compte twitter qu’elle se sentait fatiguée après la 1e injection : https://twitter.com/THAAF73/status/1343496485141426176

• 4 israéliens dont deux de 75 et 88 ans :
https://www.jpost.com/israel-news/88-year-old-dies-hours-after-covid-vaccination-in-second-such-incident-653721https://www.israelnationalnews.com/News/News.aspx/293865
https://www.rt.com/news/511332-israel-vaccination-coronavirus-pfizer/

• Une israélienne de 75 ans morte 2h après la 2e injection :
https://www.israelnationalnews.com/News/News.aspx/294861

• Un suisse de 91 ans :
https://www.24heures.ch/deces-a-lucerne-dune-personne-vaccinee-contre-le-coronavirus-236165160824

>> 9 morts lors des essais des vaccins (sans les placebos) :
Moderna :
https://www.lifesitenews.com/news/13-people-died-during-modernas-covid-vaccine-trial

Les deux vaccinés Pfizer avaient plus de 55 ans : l’un a subi un arrêt cardiaque 62 jours après la 2e vaccination et est décédé 3 jours plus tard, et l’autre est décédé d’une artériosclérose 3 jours après la première vaccination:
https://www.algerie-eco.com/2020/12/09/essais-du-vaccin-pfizer-six-participants-sont-morts-et-des-effets-indesirables/

AstraZeneca :
Un médecin brésilien de 28 ans :
https://translate.google.com/translate?sl=auto&tl=fr&u=https://www.telegraaf.nl/nieuws/99528612/proeven-met-coronavaccin-gaan-door-na-dood-arts-28-geen-enkele-zorgen
Article original : https://www.telegraaf.nl/nieuws/99528612/proeven-met-coronavaccin-gaan-door-na-dood-arts-28-geen-enkele-zorgen

Des cas de convulsions ont aussi été rapportés par des patients et partagés massivement sur les réseaux sociaux :

•Convulsions de l’infirmière Kristi Simmonds aux US :
https://www.facebook.com/kristi.simmonds.1/videos/1283294655359609
Page FB : https://www.facebook.com/kristi.simmonds.1
Elle dit que beaucoup de personnes sont dans son cas.

• La mère de Brant Griner : convulsions du corps (Pfizer) :

https://www.facebook.com/brant.griner.7/posts/903453733725240https://www.youtube.com/watch?v=kf6NDIiE3Tw

• Shawn Shelton : convulsions incontrôlées qui perdurent encore, 9 jours après le vaccin Moderna :

https://www.facebook.com/shawn.skelton.73/posts/403541337597874

• Une jeune qui travaille en maison de soin de 19 ans : Paralysie du côté droit du corps (Pfizer) :

https://www.facebook.com/permalink.php?story_fbid=2749373985391622&id=100009571428119

• Un médecin de Boston a eu une réaction allergique très grave au vaccin de Moderna, il a été sauvé in extremis par un EpiPen :
https://www.nytimes.com/2020/12/25/health/Covid-moderna-vaccine-allergies.html

• Une mère de 27 ans avec des crises d’épilepsie après avoir reçu le vaccin Pfizer : https://www.lifesitenews.com/news/27-year-old-mother-suffers-seizures-is-hospitalized-after-taking-covid-vaccine

• Un israélien de 23 ans avec un syndrome rare : https://www.israelnationalnews.com/News/News.aspx/294606

• 13 israéliens ont des paralysies faciales :https://www.rt.com/news/512736-israel-facial-paralysis-13-covid-vaccine/

• 19 ans aux soins intensifs avec une myocardite cinq jours après l’injection du vaccin COVID-19 de Pfizer (Israël)
https://www.jpost.com/health-science/19-year-old-hospitalized-with-heart-inflammation-after-pfizer-vaccination-657428

>> 2 cas graves hospitalisés (aucunes nouvelles depuis) :
un directeur grec de 54 ans et une médecin mexicaine de 32 ans (encéphalomyélite) :
https://www.tuniscope.com/article/220500/actualites/international/medecin-grec-570913https://www.infobae.com/america/mexico/2021/01/02/convulsiones-y-paralisis-por-encefalomielitis-las-reacciones-alergicas-de-una-doctora-de-coahuila-tras-recibir-la-vacuna-contra-covid-19/

Et en bonus, les courbes de cas positifs et de décès Covid en Grande Bretagne après le début de la campagne de vaccination :

https://ourworldindata.org/grapher/weekly-covid-deaths?tab=chart&time=2020-03-16..latest&country=~GBR
https://ourworldindata.org/grapher/weekly-covid-cases?tab=chart&stackMode=absolute&time=2020-03-16..latest&country=~GBR&region=World

Archive :

• Un américain de 60 ans, après la 2e dose du Pfizer, les symptômes sont apparus 2h1/2 après :
https://childrenshealthdefense.org/defender/healthcare-worker-dies-4-days-after-second-pfizer-shot/?utm_source=salsa&eType=EmailBlastContent&eId=88702226-40f0-46ed-9837-7516aff85cc2
https://www.foxla.com/news/oc-health-care-worker-dies-after-receiving-2nd-shot-official-cause-of-death-pending

• 13 allemands au Lac de constance, après la vaccination :
https://translate.google.com/translate?sl=de&tl=fr&u=https://de.rt.com/inland/112315-bodensee-dreizehn-pflegeheimbewohner-sterben-nach/
article original : https://de.rt.com/inland/112315-bodensee-dreizehn-pflegeheimbewohner-sterben-nach/

• 2 danois décédés après le Pfizer :
https://translate.google.com/translate?sl=da&tl=fr&u=https://ekstrabladet.dk/nyheder/samfund/to-er-doede-efter-vaccine-sammenhaeng-er-mindre-sandsynlig/8422212

• Un suédois de 84 ans fait une crise cardiaque un jour après le Pfizer :
https://www.breitbart.com/europe/2021/01/01/death-of-elderly-swede-after-coronavirus-vaccination-referred-for-possible-investigation/

• Hank Aaron, 86 ans, joueur de baseball américain, mort 2 semaines après son injection, il encourageait les afro-américains à se faire vacciner comme lui : https://www.newsweek.com/health-experts-hope-hank-aarons-death-doesnt-deter-people-covid-vaccine-1563914
Son compte tweeter : https://twitter.com/HenryLouisAaron/status/1346598799993667588

• Mort d’un homme de Californie du Nord plusieurs heures après que le vaccin COVID-19 ait été administré.
https://www.msn.com/en-us/health/medical/death-of-northern-california-man-after-covid-19-vaccine-under-investigation/ar-BB1d4q9i

• 9 français en Ehpad (Pfizer) et 135 cas d’effets indésirables graves:
https://www.20minutes.fr/sante/2959279-20210122-vaccination-neuf-deces-personnes-agees-vaccinees-france-lien-vaccin

• 10 morts en Allemagne (et 51 effets graves) :
https://www.wochenblick.at/deutschland-zehn-menschen-sterben-nach-covid-impfung/ Traduction : https://translate.google.com/translate?sl=auto&tl=fr&u=https://www.wochenblick.at/deutschland-zehn-menschen-sterben-nach-covid-impfung/

• Un chirurgien de 64 ans italien décède après l’injection :
https://translate.google.com/translate?sl=auto&tl=fr&u=https://www.informazione.it/a/B3EDB8C1-55A7-43E3-B409-392E87D44BF8/Mantova-medico-muore-dopo-vaccino-anti-covid-soffriva-di-patologie-croniche-disposta-autopsia
Article original : https://www.informazione.it/a/B3EDB8C1-55A7-43E3-B409-392E87D44BF8/Mantova-medico-muore-dopo-vaccino-anti-covid-soffriva-di-patologie-croniche-disposta-autopsia

• Un belge de 82 ans, 5 jours après le vaccin:
https://www.dhnet.be/actu/belgique/coronavirus-un-examen-requis-apres-le-deces-d-un-octogenaire-vaccine-il-y-a-5-jours-600078a87b50a652f7cb8c7f

• Un français en Ehpad 2h après l’injection :
https://www.ansm.sante.fr/S-informer/Points-d-information-Points-d-information/Point-de-situation-sur-la-surveillance-des-vaccins-contre-la-COVID-19

• L’Agence norvégienne des médicaments associe 33 décès aux effets secondaires du vaccin.
https://www.todayonline.com/world/covid-19-no-links-between-pfizer-vaccine-and-deaths-elderly-norwegians-patients-already

• Un allemand de 89 ans 1h après son injection :
https://translate.google.com/translate?sl=de&tl=fr&u=https://www.weser-kurier.de/region/regionale-rundschau_artikel,-89jaehrige-verstirbt-rund-eine-stunde-nach-coronaimpfung-_arid,1953707.html
Article original : https://www.weser-kurier.de/region/regionale-rundschau_artikel,-89jaehrige-verstirbt-rund-eine-stunde-nach-coronaimpfung-_arid,1953707.html

• Une femme de 41 ans au Portugal qui travaillait en service d’oncologie:
https://www.theportugalnews.com/fr/nouvelles/2021-01-05/une-femme-au-portugal-meurt-apres-avoir-recu-le-vaccin-pfizer/57516?fbclid=IwAR1S9Yf6trOvkg3g2aGTAKF8XmxMh_MkZ14PnRCJFLehuCbMtBmfUVNnuyA

• Une italienne de 89 ans : https://translate.google.com/translate?sl=auto&tl=fr&u=https://www.corriere.it/cronache/21_gennaio_06/genova-anziana-rsa-muore-emorragia-cerebrale-vaccino-covid-regione-momento-nessun-nesso-b31d6f44-5011-11eb-9028-76598b615ecf.shtml Article original : https://www.corriere.it/cronache/21_gennaio_06/genova-anziana-rsa-muore-emorragia-cerebrale-vaccino-covid-regione-momento-nessun-nesso-b31d6f44-5011-11eb-9028-76598b615ecf.shtml

• Un infirmier roumain :
https://translate.google.com/translate?sl=auto&tl=fr&u=https://www.antena3.ro/actualitate/asistent-mort-dupa-vaccin-coronavirus-constanta-590571.html
article original : https://www.antena3.ro/actualitate/asistent-mort-dupa-vaccin-coronavirus-constanta-590571.html

• 2 islandais (dont un 3e dans l’article que je ne compte pas car il était déjà en soin critique avant la vaccination) :
https://translate.google.com/translate?sl=no&tl=fr&u=https%3A%2F%2Flegemiddelverket.no%2Fnyheter%2Fdodsfall-hos-sykehjemsbeboere-etter-koronavaksineringarticle original : https://www.icelandreview.com/society/no-evidence-of-link-between-nursing-home-deaths-and-vaccination/

• 3 décès dus à la vaccination en 4 jours, que se passe-t-il dans les États du Telugu (Inde)
https://tolivelugu.com/three-corona-vaccination-deaths-in-four-days-tensions-in-telugu-states/

• 1 personnel hospitalier Indien (vaccin Covishield) :
https://greatgameindia.com/indian-dies-vaccine-covishield/

• 14 belges :
https://www.rtl.be/info/coronavirus-en-belgique-14-personnes-sont-decedees-apres-vaccination-la-causalite-pas-etablie-1275604.aspx

• Un californien meurt quelques heures après l’injection le 21/01/2021 :
https://www.foxnews.com/us/california-resident-dies-several-hours-after-receiving-covid-19-vaccine

• Un médecin italien de 45 ans :
https://translate.google.com/translate?sl=auto&tl=en&u=https://www.affaritaliani.it/cronache/aversa-morto-medico-di-45-anni-per-arresto-cardiaco-aveva-fatto-il-vaccino-718505.html
Article original : https://www.affaritaliani.it/cronache/aversa-morto-medico-di-45-anni-per-arresto-cardiaco-aveva-fatto-il-vaccino-718505.html

• Une infirmière américaine de 39 ans :
https://www.lifesitenews.com/news/39-year-old-nurse-aide-dies-within-48-hours-of-receiving-mandated-covid-19-shot

• 17 polonais :
https://translate.google.com/translate?sl=auto&tl=fr&u=https://stopnop.com.pl/smierc-covid/
Article original : https://stopnop.com.pl/smierc-covid/

• 7 morts dans un Ehpad en Espagne après la vaccination alors qu’ils n’avaient pas eu de morts du covid :
https://healthimpactnews.com/2021/7-dead-and-100-of-residents-infected-in-spanish-nursing-home-after-being-injected-with-experimental-pfizer-mrna-covid-shots/

• une française de 110 ans :
https://www.lejsl.com/societe/2021/02/03/a-110-ans-la-doyenne-de-la-saone-et-loire-nous-a-quittes

• un breton de 108 ans :
https://www.ouest-france.fr/bretagne/camille-lehoux-le-doyen-des-bretons-est-decede-a-108-ans-7141447

• un infirmier italien de 42 ans (après 2e dose du Pfizer) et une pharmacienne italienne de 49 ans :
https://translate.google.com/translate?sl=auto&tl=fr&u=https://www.secondopianonews.it/news/cronaca/2021/01/27/un-altro-infermiere-muore-nel-sonno-infarto-aveva-fatto-la-seconda-dose-di-vaccino.html
Article original : https://www.secondopianonews.it/news/cronaca/2021/01/27/un-altro-infermiere-muore-nel-sonno-infarto-aveva-fatto-la-seconda-dose-di-vaccino.html

• 21 morts italiens dans une maison de retraite à Côme après la vaccination. 85 résidents sur 93 et 54 soignants testés positifs après la première injection :
https://www.secondopianonews.it/news/cronaca/2021/01/25/strage-di-anziani-in-rsa-a-como-21-morti-erano-stati-vaccinati-positivi-85-ospiti-e-54-sanitari.html

• US, une femme de 58 ans en Virginie :
https://www.msn.com/en-us/news/us/virginia-woman-dies-shortly-after-receiving-coronavirus-vaccine/ar-BB1dqFKP




Propriétaires et prolétaires, même combat

Par Alain Nicolaï et Joseph Stroberg

La présidente de la BCE, Christine Lagarde, est — il ne faut pas se le cacher — sur la même ligne de conduite que Klaus Schwab, le président fondateur du Forum Économique Mondial (Forum de Davos). Elle, qui fait partie du cartel des financiers dominants (que certains appellent avec juste raison le banco-centralisme), vient encore d’affirmer que la dette des États ne sera pas effacée.

Invitée de BFM Business et BFMTV le 7 février 2021, Christine Lagarde a réagi à la proposition de plus de 100 économistes d’annuler les dettes publiques détenues par la BCE.

Pour elle, cette annulation est

  • « légalement impossible. Ça serait une violation du traité de la zone euro » ;
  • « Ce traité dit que l’on ne peut pas faire tourner la planche à billets pour financer la dépense des États » ;
  • « Annuler cette dette publique, contreviendrait à l’article 123 » ;
  • alors qu’« il n’y a pas unanimité des États membres à ma connaissance pour réviser le traité » ;
  • « Ça coûtera beaucoup plus cher de se refinancer » ;
  • « Les Français savent bien qu’une dette, ça se rembourse, ne pas rembourser ça coûte très cher ».

Il devient évident que certains se servent de cette crise pour encore endetter un peu plus leur pays, un exemple manifeste est le cas Macron, n’a-t-il pas répété à satiété ceci : « Quoi qu’il en coûte. »

« L’actuelle crise économique et sociale mise à bon compte sur le dos de l’épidémie, à grand renfort de “liquidités” abondamment déversées par les Banques Centrales, dont la BCE en Europe, et qui sont devenues les véritables maîtres du jeu de Monopoly, alimentant sans cesse la partie que continuent de jouer, comme potentats locaux à leur solde, les différents gouvernements “nationaux”, dont celui de Macron, en France »

(Luniterre)

Macron a tenu à en rajouter une couche ainsi nous apprenons, grâce au site Politico, que depuis mars dernier six cabinets privés pour 26 missions en lien avec la gestion de la crise du coronavirus ont reçu 11,2 millions d’euros, le cabinet américain McKinsey choisi comme conseil pour placer le soi-disant vaccin anti-covid se taille la part du lion avec 4 millions. Insuffisances méthodologiques des essais des vaccins anti-COVID-19

Lors de son discours du lundi 16 mars 2020 à 20 heures, à six reprises, Emmanuel Macron a utilisé la même expression : « Nous sommes en guerre ! » sur un ton martial visant à sonner la « mobilisation générale » contre un « ennemi (…) invisible, insaisissable ». À la lumière des décisions qui ont été prises depuis par le gouvernement, dont Macron est le responsable, il faut se poser la question fondamentale : de quelle guerre voulait-il parler ? De celle contre le virus ou de celle contre les peuples ?

Dans un précédent article, nous avons vu la parfaite entente de Macron et Klaus Schwab (le président fondateur du Forum Économique Mondial) qui sont intervenus en cœur en dialoguant lors du Forum de Davos 2021 : Les comploteurs démasqués : Macron cheval de Troie du Nouvel Ordre Mondial et de la finance

Sachant que le gang de Davos et son président nous ont concocté un programme aux petits oignons pour la prochaine décennie : le point d’orgue en 2030, Vous n’aurez plus rien et vous serez heureux (D’ici 2030, nous n’aurons rien et nous en serons heureux). Il peut y avoir de quoi s’inquiéter !

Surtout que ce n’est pas tout : Le masque, premier pas vers le transhumanisme.

Bel aveu, non ?!

C’est l’asservissement par la dette :  ils veulent recréer le système infernal des castes.

Sachez que 30000 médecins français ont demandé fin janvier un retour à la normale : 30 000 médecins français s’organisent, réclamant le retour à la normale — 2e conférence du collectif Coordination Santé libre (suite de l’appel du 9 janvier 2021).

Sachez que l’épidémie est terminée en Inde, en Chine,  en Russie…

Le Nouvel Ordre Mondial est en route et nous devons le combattreRav Dynovisz

Propriétaires et prolétaires, même combat ! Aussi, nous en appelons donc, pour la première fois dans l’histoire, à la convergence des luttes

Remarque terminale

Fermés à tous les débats contradictoires, prenant des décisions unilatérales, sans concertations avec des scientifiques indépendants, les exécutifs de quasiment tous les pays européens  s’enferment dans la démagogie. Prenons n’importe lequel de ces nuisibles, traînons-le dans un tribunal, il se dégonflera comme une baudruche. Cela ne vous rappelle pas ce qui s’est passé  au Tribunal de Nuremberg ?

Perspective

Un nombre croissant d’êtres humains s’ouvre à l’idée (hypothèse ou réalité) que l’Humanité est engagée dans un combat mondial qui n’est pas celui mis en avant par les médias dominants. Il ne s’agit pas d’un prétendu combat contre un virus que l’on veut faire passer pour un ennemi invisible, sachant que par ailleurs chaque corps humain accueille naturellement et en permanence plusieurs centaines de milliers de milliards de virus en son « virome », parallèlement aux dizaines de milliers de milliards de bactéries de son microbiote. Il ne s’agit pas non plus d’un combat entre droite et gauche politiques, ni même d’un combat entre « croyants » et athées. Non. Le combat qui apparaît de plus en plus manifestement est un combat épique, titanesque, planétaire. Celui qui a cours entre une petite minorité élitiste (devenue progressivement ultra riche) et le reste de l’Humanité. Il est le résultat de deux mouvements antagonistes d’origine millénaire, de deux forces qui s’affrontent depuis la nuit des temps et qui ont été observées et interprétées sous différentes formes tout au long de l’histoire humaine. Nous en arrivons de nos jours à la conclusion et la tension est maintenant maximale, de l’ordre des forces tectoniques en présence le long d’une faille sismique à la veille d’un tremblement de terre majeur. Le résultat de ce conflit, qu’il passe ou non par une explosion mondiale, sera la libération de l’Humanité.




Les mythes à l’origine de votre destruction

[Source : Rdw Chaine secondaire]

Si vous voyez tant de problèmes, le confinement, la vaccination, le chômage de masse, l’immigration-invasion, l’hyper-fiscalité, la dissolution des familles, les lois « sociétales », la théorie fumeuse du genre, la sexualisation de l’enfance, la pédophilie, les empoisonnements publics, tout cela et le reste a une explication majeure : une croyance ancrée chez les maîtres du monde, un véritable mythe.

https://youtu.be/PpbhbICIM9Y

Y a-t-il une surpopulation ? La Terre est-elle surpeuplée ? | École à la Maison (l-ecole-a-la-maison.com)

Pour un Coup d’État (remy-daillet-wiedemann.fr)




Citations médicales sur les vaccinations

[Source : L’école à la maison]

Le Dr SALK​ a introduit le vaccin original de la polio dans les années 50). Il dit:

« Contrairement aux croyances antérieurement établies à propos des vaccins du virus de la polio, l’évidence existe maintenant que le vaccin vivant ne peut être administré sans risque de produire la paralysie… Le vaccin viral vivant de la polio transporte en lui-même le risque de produire la polio paralytique chez les individus vaccinés ou leurs contacts. »

« J’ai découvert que tout le business des vaccins était en fait un énorme canular. La plupart des médecins croient à l’utilité des vaccins, mais si vous vous donnez la peine d’étudier les statistiques correctes, ainsi que les circonstances au cours desquelles sont apparues les diverses maladies, vous réaliserez que les choses ne sont nullement comme on nous les présente. »

Dr A. KALOKERINOS, M.D., Juin 1995

« Les vaccins donnent les maladies, en créent de nouvelles et propagent la mort. La preuve scientifique qu’une provocation artificielle d’une maladie empêche l’apparition d’une maladie naturelle n’a jamais été établie. Comme médecin, je m’élève contre ces vaccinations et proteste contre le mythe de Pasteur. »

Dr Paul-Emile CHEVREFILS

« Je suis fermement convaincu que la vaccination ne peut être montrée comme ayant quelque relation logique avec la diminution des cas de variole. La plupart des personnes sont mortes de la variole qu’elles contractèrent après avoir été vaccinées. »

Dr. J.W. HODGE (The Vaccination Superstition)

« Plusieurs auteurs allemands ont décrit la relation entre la sclérose en plaques et les vaccinations contre la variole, la typhoïde, le tétanos, la poliomyélite et la tuberculose. »

British Medical Journal 1967

« C’est une grande insulte faite au système immunitaire d’un enfant que d’introduire dans son sang des protéines étrangères ou les virus vivants dont sont composés les vaccins d’aujourd’hui. »

Dr. MOSKOWITZ

« Les vaccins peuvent causer l’arthrite chronique évolutive, la sclérose en plaques, le lupus systémique érythémateux, le Parkinson et le cancer. »

Pr. R. SIMPSON de l’American Cancer Society

« Allons-nous échanger la rougeole contre le cancer et la leucémie ? »

Dr MENDELSOHN

« Le déclin du tétanos en tant que maladie commença avant l’introduction de l’anatoxine dans la population. »

Medical Journal of Australia 1978

« L’évidence suggère que les personnes qui sont vaccinées contre la grippe ont approximativement 10 fois plus de chance de contracter le syndrome de Guillain-Barré que ceux qui n’ont pas été vaccinés. »

Center for Control Diseases 1977

« C’est une véritable épidémie … Il est grotesque de prétendre qu’il n’existe aucun lien entre l’autisme et la vaccination sauf des coïncidences. La vérité est que des enfants sont blessés par vaccinations. »

Dr Bernard RIMLAND directeur et fondateur du Autism Research Inst. of San Diego

« Pendant 23 ans, j’ai observé que les enfants non vaccinés étaient plus sains et plus robustes que les enfants vaccinés. Les allergies, l’asthme et des perturbations comportementales étaient clairement plus fréquents chez mes jeunes patients vaccinés. D’autre part, les premiers souffrent plus souvent ou plus sévèrement de maladies infectieuses que les autres. »

Dr Philip INCAO

« Sur les 3,3 millions d’enfants vaccinés annuellement aux États-Unis avec le DCT, 16 038 démontrèrent des crises aiguës et des pleurs persistants — ce qui est considéré par plusieurs neurologistes comme l’indication d’une irritation du système nerveux central ; 8 484 eurent des convulsions ; 8 484 furent en état de choc dans les 48 heures suivant l’injection du DCT. »

Dr Allan HINMAN et Jeffrey COPELAN (Journal of the American Medical Association)

« Il n’y a pas de raison de croire que le vaccin de l’influenza (grippe) soit capable de prévenir ou de diminuer la maladie. Ceux qui fabriquent ce vaccin savent qu’il ne sert à rien, mais ils continuent à le vendre tout de même. »

Dr Anthony MORRIS anciennement chef du Contrôle des vaccins, gouvernement des États-Unis

« J’appelle ça de la vaccinnomanie. Nous sommes arrivés à un point qui n’est plus défendable sur le plan scientifique. Introduire de nouveaux vaccins dans le corps sans savoir comment ils pourront affecter dans le temps les fonctions du système immunitaire frise la criminalité. »

Nicholas REGUSH, journaliste médical

« En 1992, une étude publiée dans The American Journal or Epidemiology a démontré qu’un enfant a 8 fois plus de chance de mourir, trois jours après avoir reçu le vaccin DCT (diphtérie, coqueluche et tétanos) qu’un enfant non vacciné »

« …Le lancement du B.C.G. est un modèle de gangstérisme économique, une gigantesque et malhonnête opération commerciale. Rien ne manque au scénario : un inventeur farfelu, des expériences de laboratoire truquées, un vernis pseudoscientifique, des statistiques tronquées, une publicité éhontée, l’appui acheté des mandarins, et, suprême astuce, la gratuité du produit… financé par le contribuable. Tout cela ne sort pas de l’ordinaire ; le public français est habitué aux scandales. Mais ce qui est propre au B.C.G., et qui atteint les sommets du machiavélisme, c’est l’ultime manœuvre, réussie, de coercition diabolique imaginée par les promoteurs, le Conseil de la République, l’obligation vaccinale pour le B. C. G. »

(La Médecine retrouvée, Dr Jean ELMIGER)

« … Quand un car dégringole un ravin avec 40 écoliers à son bord, le drame fait la une des journaux dans le monde entier. Les centaines d’enfants tués chaque année par le B.C.G. restent anonymes… La poule aux œufs d’or de l’Institut P… finirait en court-bouillon ! Le corps médical ne doit en aucun cas en être informé… » « …Apprenez ici une vérité terrible : chaque fois que vous entendez parler d’une affreuse mort d’enfant, terrassé dans les premières semaines de sa vie, par une « méningite virale », vous êtes en droit de suspecter le B.C.G., même si l’autopsie a confirmé le diagnostic classique d’« encéphalite virale > foudroyante… » « …Si le médecin responsable d’une telle horreur est conscient du rapport de cause à effet, il est un criminel éclairé, et un lâche pour n’avoir pas parlé. S’il ne saisit pas le rapport, il est un dangereux imbécile prêt à la récidive… »

Dr Jean ELMIGER (La Médecine retrouvée)

« Les campagnes publicitaires en faveur des vaccins représentent un endoctrinement type lavage de cerveau… On utilise tout d’abord la désinformation, avec trucage des chiffres statistiques et amalgame savant de l’effet protecteur du vaccin avec d’autres affections et une annonce de possibilité de contagion totalement fantaisiste. Ensuite on sème la terreur, pour faire croire à l’ensemble de la population que telle maladie est effroyable, mettant au même rang de gravité une banale rougeole et une poliomyélite paralysante. Ensuite on procède à la banalisation de l’acte vaccinal. »

Dr Alain SCOHY

« La quasi-totalité des cas de poliomyélite recensés aux USA, de 1980 à 1994, a été causée par l’administration du vaccin oral atténué.»

Dépêche AFP, 1er février 1997

«Les Français, manipulés et désinformés en sont venus à considérer l’acte vaccinal comme le baptême : hors vaccin pas de salut. Or, il n’a jamais été prouvé scientifiquement que les vaccins étaient efficaces et sans danger… Le principe de la vaccination constitue la plus monstrueuse erreur médicale et scientifique du siècle.»

Dr Louis DE BROUWER (Vaccination erreur médicale du siècle)

« Le système immunitaire s’avère particulièrement endommagé à la suite de vaccinations de routine… » « …Le capital immunologique se trouve substantiellement amoindri chez les nombreux enfants soumis aux programmes vaccinaux courants.»

Le Concours Médical (20 janvier 1974)

« …Ce n’est pas une pratique médicale sensée que de risquer sa vie en se soumettant à une intervention probablement inefficace, afin d’éviter une maladie qui ne surviendra vraisemblablement jamais. »

Dr Kris GAUBLOMME

« 2/3 des 103 enfants décédés de la mort subite du nourrisson avaient reçu le vaccin D.T.P. dans les 3 semaines précédant la mort. Certains même étaient morts le lendemain. »

Dr TORCH (« Neurology 1982 »)

« Une équipe médicale du Baylor Collège à Houston a retrouvé le virus SV 40 dans les tissus de patients souffrant de tumeurs du cerveau et de mésothéliomes. Ce virus, reconnu cancérigène, a ainsi été injecté à 30 millions de personnes à travers le monde par le vaccin contre la polio… »

Science et Vie (décembre 1996)

« …Les vaccinés, loin de constituer un barrage protecteur vis-à-vis des non-vaccinés, sont au contraire dangereux et peuvent contaminer le reste de la population, puisqu’il est prouvé qu’ils peuvent être porteurs et transmetteurs de virus poliomyélitiques par voie intestinale, et peut-être par d’autres voies… »

Dr Yves COUZIGOU

« …Les végétariens prétendent depuis toujours que l’ingestion de la chair des animaux introduit petit à petit chez l’homme la bestialité de l’animal abattu… Qui parle ici d’ingestion ? …Il est injecté à travers la peau, échappant à son contrôle… Les compères C. et G. (Calmette et Guérin) n’ont pas pris l’animal au hasard. Ils ont choisi la vache. Ce paisible bovidé devient lentement mais sûrement le lien analogique et quasi parental de la grande famille des Français… »

Dr Jean ELMIGER (La Médecine retrouvée)

« Depuis1957, l’O.M.S. ne recense dans les statistiques que les formes paralytiques de poliomyélite, alors qu’avant la vaccination, toutes les formes de polio étaient incluses, ce qui permet de faire apparaître une régression des cas qui est loin d’être la vérité. »

Dr SCHEIBNER (Expert Australien)

« …Après l’échec retentissant du vaccin Salk (Au Massassuchets, 75 % des cas paralytiques avaient pourtant reçu 3 doses ou davantage du vaccin), une parade géniale fut trouvée pour sortir l’industrie du médicament du pétrin (« Life science ») : on décida de nouvelles normes pour l’établissement du diagnostic de la polio. »

Pr GREENBERG

« Si le principe de la vaccination était concevable au début du 20e siècle du fait que le monde médical et scientifique ignorait pratiquement tout de la biologie moléculaire, des virus et rétrovirus endogènes et même exogènes et du principe de la recombinaison de ces derniers, il en va tout autrement depuis quelques décennies. Continuer à vacciner des populations entières, depuis 1978 des centaines de millions d’individus, constitue non seulement une erreur, mais également un acte criminel, véritable génocide, à l’échelle planétaire. »

(Sida, le vertige, Dr Louis de Brouwer)

« Que la vaccination soit obligatoire ou non obligatoire, vacciner de force, c’est violer y collaborer est meurtrier. »

Dr Guylaine LANCTOT

« La vaccination est le modèle de l’incertitude, des interactions et relations imprévisibles. Elle se situe aux antipodes de l’esprit scientifique. »

Dr Jacques KALMAR

« L’ânerie humaine est la source des pires catastrophes… » (Montaigne)
« …Mais aussi une mine d’or inépuisable pour qui sait l’exploiter. »

Dr Toulet

« L’effet patent des vaccins est de favoriser la mort. »

Pr Louis Claude Vincent

« Dans plusieurs pays en voie de développement, on s’était imaginé qu’avec une seule campagne de vaccinations on arriverait à résoudre le problème. Or, dans plusieurs de ces pays, la fréquence de ces maladies a augmenté, allant même jusqu’à quintupler depuis la vaccination.»

Pr Lépine ( Médecine praticienne n°467)

« Quand les scientifiques et les médecins s’attribuent la gloire d’une évolution qui est due en réalité aux plombiers et aux paysans! C’est grâce à eux que s’est développée une meilleure hygiène et que l’on a pu avoir une meilleure nourriture. (…) Avec une bonne nutrition, vous vous assurez un bon système immunitaire et vous n’êtes plus la proie des maladies. »

Peter Duesberg, Professeur de biologie moléculaire et cellulaire à l’université de Berkeley

« Un virus, même atténué, peut reprendre sa virulence — c’est notamment le cas du virus polio vaccinal, qui redevient pathogène après son passage dans l’intestin et contribue à contaminer l’entourage. Les cas de polio chez les contacts des vaccinés par le vaccin oral sont bien connus. » « Il n’existe aucune souche vaccinale issue des singes qui soit dépourvue de virulence neurologique.»

Dr Garcia Silva ( le Maroc Médical n° 43)

« L’introduction volontaire et non nécessaire de virus infectieux dans un corps humain est un acte dément qui ne peut être dicté que par une grande ignorance de la virologie et des processus d’infection. […] Le mal qui est fait est incalculable. »

Pr R. Delong, Virologue et immunologue de l’université de Toledo aux États-Unis.

« En 1945, la Hollande était le pays d’Europe le plus touché par le fléau tuberculeux. En 1974, sans jamais avoir eu recours au BCG, la maladie y était totalement éradiquée. À l’inverse, le fléau tuberculeux reprenait de la vigueur partout où le BCG est encore pratiqué »

Bulletin statistique du ministère de la Santé publique et de la Sécuritésociale (n° 1 de 1974)

« Le pire vaccin de tous est celui contre la coqueluche. (…) Il est responsable d’un grand nombre de morts et d’un grand nombre de dommages cérébraux irréversibles chez les nouveau-nés. »

Dr Kalokerinos (24 mai 1987 Sunwell Tops)

« On a mené une campagne à la hussarde. On a violé la conscience des gens. Même les grands-mères de 80 ans venaient réclamer leur vaccin ! »

Pr Alain Fisch

« Les hommes politiques sont donc désormais responsables et coupables. Leur culpabilité repose sur le fait qu’ils ont en main toutes les informations sur le système actuel. Ils savent parfaitement que l’expertise fonctionne à sens unique. Ils connaissent la collusion entre les experts et les vendeurs. Ils acceptent cet état de choses. Les dirigeants politiques ont des comptes à rendre. »

Dr Lacaze

« Les idées pasteuriennes propagées et enseignées comme un catéchisme d’enfant de chœur font reculer l’intelligence et donc la civilisation. »

Dr René DUFILHO

« Si l’on pouvait mettre à jour tous les cas de décès par vaccination dans le monde entier, ces chiffres feraient frémir Hérode lui-même. »

G. Bernard SHAW

« Les vaccinations ne sont que d’abominables mystifications hygiéniques qui ont déconsidéré la science et la pratique de l’art de guérir en décimant l’humanité pour enrichir les vaccinations. »

Dr Hubert BOENS

« Des monstruosités comme la vaccination sont fondées non sur la science, mais sur l’argent. »

G. Bernard SHAW

« La vaccination est la plus grande escroquerie médicale de tous les temps. »

Pr Jules TISSOT

« Toute vaccination est un scandale si on la considère sur un plan scientifique.»

Dr Jacques KALMAR

« La présence d’un œdème cérébral chez des enfants en bas âge qui meurent peu de temps après une vaccination contre l’hépatite B est inquiétante… Les enfants de moins de 14 ans ont plus de chance de mourir ou de souffrir de réactions négatives après avoir reçu le vaccin de l’hépatite B que d’attraper la maladie. »

Dr Jane ORIENT Médecin, directrice de l’Association des médecins américains et des chirurgiens

« Comme dans les livres saints, le dogme est installé sans faille. »

Dr Jacques KALMAR

« Toute vaccination est susceptible de provoquer une encéphalite légère ou grave. »

Dr. Harris COULTER (Vaccination Social Violence and Criminality)

« Peu de médecins sont disposés à attribuer un décès ou une complication à une méthode qu’ils ont eux-mêmes recommandée et à laquelle ils croient. »

Pr Georges DICK (British Medical Journal, juillet 1971)

« Le drame c’est que les hommes soient aveugles au point de ne plus être accessible qu’à l’erreur. Et les hôpitaux, les cimetières sont pleins de gens qui ont accepté, avec satisfaction, de se laisser assassiner stupidement par la malveillance de la seule force qu’ils ont cultivée avec soin : la force de leur IGNORANCE. »

Dr Jacques KALMAR

« Nous retrouverons toujours les mêmes remarques concernant les effets défavorables des vaccinations. Une vaccination, quelle soit, est toujours, biologiquement et immunitairement parlant, une offense pour l’organisme. »

Pr R. Bastin (Concours médical, Ier février 1986)

« Les micro-organismes inoculés à travers toutes les barrières naturelles ont été bricolés de telle manière que la majorité des individus développe des pathologies chroniques dont les symptômes ne sont pas faciles à rattacher à leur cause initiale. »

Dr Jacqueline Bousquet

« Si nous continuons à généraliser et multiplier l’emploi des vaccins, on peut concevoir que d’ici quelques décades une pathologie nouvelle, celle de sociétés vaccinées, verra le jour. »

Pr . P. DELOGE Tendance de la médecine contemporaine 1962)

« Ne vous hâtez pas de faire tomber la fièvre de votre malade ; s’il souffre d’une affection virale, vous risquez de compromettre sa guérison. »

Pr . André LWOFF (Prix Nobel de médecine )

« Les vaccinations en bas âge ne peuvent pas aider, car elles ont des effets dangereux sur le système immunitaire de l’enfant laissant peut-être ce système tellement atteint qu’il ne peut plus protéger l’enfant durant sa vie ouvrant la voie à d’autres maladies suite à une dysfonction immunitaire. »

Drs H. BUTTRAM et J. HOFFMANN

« Certaines souches de vaccins peuvent être impliquées dans des maladies dégénératives telles que l’arthrite rhumatoïde, la leucémie, le diabète et la sclérose en plaques. »

Dr. G. DETTMAN (Australian Nurses Journal)

« Le risque de souffrir de complications sérieuses provenant des vaccins contre la grippe est beaucoup plus grand que la grippe elle-même. »

Dr. William FROSEHAVER

« En 1992, une étude publiée dans The American Journal or Epidemiology a démontré qu’un enfant a 8 fois plus de chance de mourir, trois jours après avoir reçu le vaccin DCT (diphtérie, coqueluche et tétanos) qu’un enfant non vacciné. »

Bibliographie (Liste non exhaustive)
  • Vaccinations, les vérités indésirables, Pr. M. GEORGET, Ed. DANGLES, préface du Pr CORNILLOT, Doyen de la Faculté de Médecine de Bobigny.
  • L’apport des vaccinations à la santé publique. Pr Michel GEORGET.
  • Les vaccinations n’ont pas fait régresser les épidémies, F. DELARUE, LNPLV.
  • Vaccination, le marché de l’angoisse, Dr G. BUCHWALD, ALIS.
  • La mort subite du nourrisson, Colette Leick-Welter. Ph.D, AEGIS
  • La mafia médicale, Dr G. LANCTOT, Ed. Voici la clé.
  • La dictature médico-scientifique, Sylvie SIMON, Ed. Filipacchi.
  • Vaccination, erreur médicale du siècle, Dr L. De BROUWER, Ed. Louise Courteau.
  • Les vaccins, racket et poisons ? Dr P.E. CHEVREFILS, Librairie Transatlantique.
  • Danse avec le diable, G. SCHWAB, Ed. Courrier du livre.
  • La guerre des virus, L. HOROWITZ, Ed. Félix.
  • Au cœur du vivant, J. BOUSQUET, Ed. Saint Michel.
  • Vaccination ; la grande illusion, R. BICKEL, auto-édité.
  • Les chemins de la souveraineté individuelle, R. BICKEL, auto édité.
  • Vaccinations : l’Overdose, Sylvie SIMON, Ed.Déjà.
  • Vaccins, mensonges et propagande, Sylvie Simon, Édit. Thierry Souccar.
  • Tétanos, le mirage de la vaccination, F. JOET, Ed. Alis.
  • Pour en finir avec Pasteur, Dr Eric ANCELET, Ed. Marco Pietteur.
  • La santé confisquée, Mirko et Monique BELJANSKI, Ed. Compagnie.
  • La lumière médicale, Dr Norbert BENSAÏD, Ed. le Seuil.
  • Mon enfant et les vaccins, Dr F. BERTHOUD, Ed. Soleil.
  • On peut tuer ton enfant, Dr P. CHAVANON, Ed. Médicis.
  • Les vérités indésirables, Le cas Pasteur, Archives Internationales Philippe DECOURT, Ed. La Vieille Taupe, 1989.
  • L’intoxication vaccinale, F. DELARUE, Ed. Le Seuil, 1977.
  • La rançon des vaccinations, Simone DELARUE, Ed. LNPLV, Ed 1988.
  • L’intox, quelques vérités sur vos médicaments, Dr. Bruno DONATINI, Ed. MIF.
  • Des lobbies contre la santé, Roger LENGLET, Ed. Syros
  • La médecine retrouvée, Dr. J. ELMIGER, Ed. Léa
  • Maladies auto-immunes, Dr J. ELMIGER, Biosophie.
  • Vaccinations : prévention ou agression ? M. Th. QUENTIN, Ed. Vivez Soleil.
  • Des enfants sains même sans médecin, Dr R. MENDELSOHN, Ed. Soleil 1987.
  • Immunologie et vaccinations, D. Jacques KALMAR, Edit Les Bardes.
  • Vaccins, un génocide planétaire ? Dr Christian Tal Schaller, Edit. Testez.
  • La poliomyélite, quel vaccin ? Quel risque ? Dr. Jean PILETTE, Ed. de l’Aronde.
  • La catastrophe des vaccins obligatoires, Pr. TISSOT, Ed. de l’Ouest, 1950.
  • Les dessous des vaccinations, Dr. A. SCOHY, Ed. Cheminements.
  • Tuberculose et vaccin B.C.G., Pr GRIGORAKI.
  • Le tabou des vaccinations. Danger des vaccins, thérapies naturelles de prévention des maladies infectieuses, Miller Schär MANZOLI.
  • Déjà vacciné ? Comment s’en sortir ? Dr A. BANOIS — Sylvie SIMON.
  • Vaccinations : le droit de choisir, Dr. F. CHOFFAT, Ed. Jouvence.
  • 12 balles pour un veto, Dr. QUIQUANDON, Ed. Agriculture et Vie, 1978.
  • Vaccins, mais alors on nous aurait menti ?L’avis d’un Avocat, Jean-Pierre JOSEPH, Edit.Testez.
  • Les radis de la colère, J.-P. JOSEPH, Ed. Louise Courteau.
  • Nous te protégerons, Dr Jean PILETTE, Ed. Daxhelt.
  • La faillite du B.C.G., Dr. Marcel FERRU, Pr honoraire de clinique médicale infantile, Ed. Princeps.
  • La Santé Publique en otage, Eric GIACOMETTI, Ed. Albin Michel.
  • Vaccin Hépatite B : Les coulisses d’un scandale, Sylvie SIMON et Dr Marc VERCOUTERE, Ed. Marco Pietteur. Pour en finir avec Pasteur, Dr Eric ANCELET, Ed. Marco Pietteur.
  • Mon enfant et les vaccins, Dr F. BERTHOUD, Ed. Soleil.
  • Vaccination, Social Violence and Criminality, Dr H.COULTER, North Atlantic Books, Berkley 1990.
  • A shot in the dark, Dr. H. COULTER et B. Loe FISHER, Avery Publishing group.
  • Live viral vaccine, biological pollution, Pr. R. DELONG, Cartlon Press Corp, New York, 1996
  • Immunisation, Theory versus reality, New Atlantean Press, 1996.
  • Adverse effects of Pertussis and Rubella vaccines, Washington DC National Academy Press, 1991
  • Etc.



Comment Merkel a fabriqué le consentement au confinement

[Source : Le courrier des stratèges]

François Stecher revient pour nous sur l’étrange fabrique du consentement au confinement telle qu’Angela Merkel l’a pratiquée. Il analyse les informations explosives révélées par Die Welt ce week-end, indiquant que le ministère allemand de l’Intérieur a cherché à justifier scientifiquement un confinement décidé pour des raisons politiques. Un élément de plus qui montre comment la pandémie de coronavirus est utilisée pour mettre les populations au pas.


François Stecher

Ingénieur établi en Allemagne depuis plusieurs années, contributeur irrégulier de différents médias alternatifs.

Dimanche 7 février, l’édition dominicale du quotidien allemand « Welt », « Welt am Sonntag » a publié un article assez court, qui aurait déjà provoqué une déflagration et des dégâts importants dans l’appareil d’État si cette parution avait eu lieu dans un cadre « normalement » démocratique.

Die Welt révèle la mise en scène du confinement

S’appuyant sur une abondante correspondance électronique – pas moins de 200 pages – échangée entre la direction du ministère fédéral de l’Intérieur et divers instituts de recherches médicales et autres écoles supérieures, les auteurs de l’article expliquent que le dit ministère, sous la férule d’Horst Seehofer, a explicitement mis à contribution ces entités – dont le Robert-Koch-Institut, qui joue en Allemagne un rôle analogue à celui de l’institut Pasteur – afin qu’elles élaborent un modèle mathématique permettant de justifier les mesures, y compris les plus sévères, que l’on s’apprêtait ou que l’on envisageait de prendre dans le cadre de la lutte contre la « pandémie » du Covid-19.

Ces échanges datent de mars 2020, c’est-à-dire du tout début de la crise. Ils montrent que l’outil de simulation commandé a été élaboré en seulement quatre jours. Ils ne laissent aucun doute sur le niveau hiérarchique des personnes impliquées du côté du ministère, citant le secrétaire d’État Markus Kerber – numéro deux, juste derrière le ministre, qui demande expressément que le modèle permette de fonder des mesures « préventives et répressives ». Cet objectif sera tenu, avec un « Worst Case Scenario » laissant envisager la mort de plus d’un million d’Allemands si on laissait la vie sociale se poursuivre comme si de rien n’était. Ce que les auteurs expliquent encore, c’est que les résultats des différentes simulations ont été réunis dans un document que l’on a classifié « secret », avant de le laisser filtrer puis carrément publier dans la presse. Cerise sur le gâteau, ils expliquent qu’un groupe de juristes, dont on ne nous dira rien de plus, s’est battu pendant des mois pour obtenir la dite correspondance.

Quelle fabrique du consentement en Allemagne ?

Cet article jette une lumière crue sur la méthode employée outre-Rhin pour obtenir l’assentiment du peuple, et dévoile plusieurs de ses ressorts, mettant à mal le narratif servi sur tous les plateaux de télévision et dans la plupart des grands médias – et complaisamment accueilli, le plus souvent.

Le premier point qui saute aux yeux, c’est évidemment que tous nos gouvernements affirment depuis le début qu’ils s’appuient sur l’expertise des médecins, des virologues, des épidémiologistes pour prendre des décisions de nature politique. Or, c’est bien le contraire qui apparaît ici : un organe de gouvernement a mandaté des experts en fixant dès l’origine le résultat attendu ; puis, dans un second temps, sur la foi des résultats livrés, on a progressivement restreint les libertés publiques, poussé des entreprises à la faillite et plongé les gens dans le désespoir et la terreur.

Le deuxième point qu’on relèvera, c’est la volonté délibérée et observable à peu près simultanément dans plusieurs capitales européennes, à partir d’un certain moment de mars 2020 – peu après la sortie au théâtre d’Emmanuel Macron, de terroriser les gens. Cette coordination des efforts en vue d’obtenir par la terreur l’assentiment des peuples à leur assujettissement est un élément remarquable de cette « crise ». Ceci renvoie comme en écho à la constellation d’astres noirs qui gravitent autour de la chancelière, lui conseillent les plus grandes restrictions de libertés et s’épanchent dans les médias pour instiller la peur et terrifier les foules. On nommera en particulier deux figures emblématiques de celle-ci : le virologue Christian Drosten, de la Charité de Berlin, qui s’était fait connaître – déjà pour ses prévisions hasardeuses – lors de l’épisode de la grippe H1N1, mais qui est aussi l’un des principaux bénéficiaires de la folie des tests PCR, et son homologue Melanie Brinkmann, l’une des principales instigatrices de l’initiative #ZeroCovid, qui prétend enfermer tout le monde et stopper toute activité jusqu’à l’éradication totale du virus …

Il faut en mentionner un troisième, qui est celui de l’instrumentalisation cynique, par le politique, des experts et des médias, et la complaisance de ces derniers vis-à-vis du premier. La duplicité des autorités politiques se trouve ainsi mise en évidence. Peut-être plus grave encore, la collaboration active des experts de santé à cette manœuvre pourrait être dévastatrice pour leur crédibilité – pour les médias, la partie est déjà jouée.

La résistance au mensonge s’organise-t-elle ?

Il reste un dernier point que cet article effleure à peine, qui suscite l’espoir et laisse entrevoir les prémices d’une résistance : ces informations ne sont pas le résultat d’un travail d’investigation. Qui sont ces juristes qui ont bataillé pour obtenir cette correspondance ? Qui a donné ces éléments aux journalistes de « Welt » ? Dans quelle intention ? Faut-il y voir la main d’une opposition interne à la CDU, hostile à la chancelière ? Ou bien la préparation d’une offensive du Mittelstand, soutenu par quelques gros industriels, soucieux de défendre les fondements de l’économie allemande ? L’avocat Reiner Füllmich, qui a lancé une « Class Action », en particulier contre Drosten, pour crimes contre l’humanité, pas moins, dans plusieurs états américains, est-il à la manœuvre ? Une chose est certaine : la date de parution est bien choisie, trois jours avant la prochaine réunion des ministres-présidents autour de la chancelière et de ses ministres, pour décider de la prolongation ou non des mesures de confinement. Depuis plusieurs jours, la presse allemande laisse apparaître l’incohérence des déclarations toujours plus alarmistes des astres noirs avec les chiffres d’une épidémie en déclin. On aurait voulu torpiller les efforts des « terroristes » que l’on ne s’y serait pas pris autrement.

Et en France ?

Enfin, au-delà de l’article, il reste cette question lancinante : ce qu’il révèle de la pratique politique allemande, en trouvera-t-on l’écho à Paris ? L’observation un peu superficielle des événements, de part et d’autre de la frontière, laisse apparaître une étroite coordination entre les deux capitales. Une analyse plus fine montre clairement que Berlin est à la manœuvre, et que Paris s’aligne – les exemples les plus grotesques en resteront certainement, à l’injonction de Merkel de fermer les stations de ski, la décision du premier ministre de mettre les remontées mécaniques à l’arrêt, et en écho à la suspension de l’obligation de scolarisation, décision prise par les Länder en vertu de leurs prérogatives dans un cadre parfaitement légal, la déclaration bouffonne, illégale et inconsistante du même Jean Castex, peu avant Noël. Il faut donc poser la question : Macron, Castex, Véran, ont-ils eux-mêmes instrumentalisé les experts ? Qu’ils aient choisi la voie de la terreur, personne n’en disconviendra.




Mario Draghi, roi de la fausse monnaie, a pris le pouvoir en Italie et va devenir Premier Ministre

[Source et auteur : Pierre Jovanovic]

MARIO DRAGHI, ROI DE LA FAUSSE MONNAIE, A PRIS LE POUVOIR EN ITALIE ET VA DEVENIR PREMIER MINISTRE
du 8 au 12 février 2021
 
: Dans la rubrique « Vous pensiez avoir tout vu? », cette semaine nous sommes gâtés: imaginez que l’ancien directeur de Goldman Sachs, puis l’ancien directeur de la Banque Centrale italienne et finalement gouverneur de la BCE, Mario Draghi a été choisi (par on ne sait trop qui :-)) pour diriger le nouveau gouvernement italien, où le pouvoir a été sérieusement abîmé depuis que les européistes ont eu la peau de Salvini, exactement comme ils ont eu la peau de Silvio Berlusconi.

Je vous rappelle que c’est Mario Draghi lui-même, à l’époque patron de la BCE, qui a fait grimper les taux d’intérêt sur les Bons du Trésor italiens afin DE FORCER Berlusconi à démissionner (je vous en ai parlé maintes fois) parce que Silvio n’avait qu’un seul tort: défendre les intérêts de l’Italie contre ceux de l’UE et de l’euro.

Les européistes s’en sont même vantés et félicités d’avoir réussi leur coup.

Via Reuters: « Janet Yellen had a conversation with Italy’s economics minister just a couple of days ago and Italian President Sergio Mattarella has just confirmed that former ECB chief Mario Draghi — who earned the nickname « Super Mario » for his infamous « Whatever it takes » to save the euro speech, given nearly 9 years ago — will be tapped to form a new Italian government »

Donc voici la finale de cette symphonie glauque aux dépens du peuple italien: les politiques ont demandé à Mario Draghi de devenir Premier Ministre, vu que le pays est en totale faillite avec 130% d’endettement.

!!!

Je résume:

En tant que banquier, vous mettez en faillite les hommes politiques qui ne vous plaisent pas, vous endettez le pays au-delà de ses capacités, et une fois l’objectif de 130% atteint, vous devenez le sauveur puisque c’est vous qui avez mis en place tout le plan pour en arriver là !

Bravo Mario Draghi, superbo, magnifico, bellissima.

Voilà comment on prend le pouvoir au XXIe siècle: en contrôlant les circuits financiers. La pieuvre Goldman Sachs est de nouveau à l’œuvre.

PS: Draghi n’a jamais travaillé de sa vie, il est passé de professeur à banquier, mais aujourd’hui il serait bien incapable ne serait-ce que de gérer une épicerie G20 de quartier. La seule chose qu’il ait jamais faite a été de multiplier les planches à billets euro à l’infini, situation catastrophique dont a hérité Christine Lagarde. Lire ici Mediaset24.

PS2: Notez que ce sont tous les européistes qui ont poussé le président Mattarella à choisir Draghi ! Le peuple italien va souffrir à la manière grecque.

PS3: Il ne manque plus que Christine Lagarde candidate aux élections de 2022… Revue de Presse par Pierre Jovanovic © www.quotidien.com 2008-2021