Mario Draghi, roi de la fausse monnaie, a pris le pouvoir en Italie et va devenir Premier Ministre

[Source et auteur : Pierre Jovanovic]

MARIO DRAGHI, ROI DE LA FAUSSE MONNAIE, A PRIS LE POUVOIR EN ITALIE ET VA DEVENIR PREMIER MINISTRE
du 8 au 12 février 2021
 
: Dans la rubrique « Vous pensiez avoir tout vu? », cette semaine nous sommes gâtés: imaginez que l’ancien directeur de Goldman Sachs, puis l’ancien directeur de la Banque Centrale italienne et finalement gouverneur de la BCE, Mario Draghi a été choisi (par on ne sait trop qui :-)) pour diriger le nouveau gouvernement italien, où le pouvoir a été sérieusement abîmé depuis que les européistes ont eu la peau de Salvini, exactement comme ils ont eu la peau de Silvio Berlusconi.

Je vous rappelle que c’est Mario Draghi lui-même, à l’époque patron de la BCE, qui a fait grimper les taux d’intérêt sur les Bons du Trésor italiens afin DE FORCER Berlusconi à démissionner (je vous en ai parlé maintes fois) parce que Silvio n’avait qu’un seul tort: défendre les intérêts de l’Italie contre ceux de l’UE et de l’euro.

Les européistes s’en sont même vantés et félicités d’avoir réussi leur coup.

Via Reuters: « Janet Yellen had a conversation with Italy’s economics minister just a couple of days ago and Italian President Sergio Mattarella has just confirmed that former ECB chief Mario Draghi — who earned the nickname « Super Mario » for his infamous « Whatever it takes » to save the euro speech, given nearly 9 years ago — will be tapped to form a new Italian government »

Donc voici la finale de cette symphonie glauque aux dépens du peuple italien: les politiques ont demandé à Mario Draghi de devenir Premier Ministre, vu que le pays est en totale faillite avec 130% d’endettement.

!!!

Je résume:

En tant que banquier, vous mettez en faillite les hommes politiques qui ne vous plaisent pas, vous endettez le pays au-delà de ses capacités, et une fois l’objectif de 130% atteint, vous devenez le sauveur puisque c’est vous qui avez mis en place tout le plan pour en arriver là !

Bravo Mario Draghi, superbo, magnifico, bellissima.

Voilà comment on prend le pouvoir au XXIe siècle: en contrôlant les circuits financiers. La pieuvre Goldman Sachs est de nouveau à l’œuvre.

PS: Draghi n’a jamais travaillé de sa vie, il est passé de professeur à banquier, mais aujourd’hui il serait bien incapable ne serait-ce que de gérer une épicerie G20 de quartier. La seule chose qu’il ait jamais faite a été de multiplier les planches à billets euro à l’infini, situation catastrophique dont a hérité Christine Lagarde. Lire ici Mediaset24.

PS2: Notez que ce sont tous les européistes qui ont poussé le président Mattarella à choisir Draghi ! Le peuple italien va souffrir à la manière grecque.

PS3: Il ne manque plus que Christine Lagarde candidate aux élections de 2022… Revue de Presse par Pierre Jovanovic © www.quotidien.com 2008-2021




ALERTE : le préfet de Moselle impose le masque permanent pour une épidémie de tests !

Par Dr Nicole Delépine*

[*] : Pédiatre, cancérologue, ancienne chef de service de cancérologie pédiatrique à l’hôpital R Poincaré Garches APHP France


Un habitant de Moselle nous a averti d’un décret imposant le port du masque en Moselle à partir du 6 février alors que l’épidémie covid19 est stable, avec un taux de reproduction de 1,02, et des courbes d’admissions hospitalières et en réanimation en plateaux à des taux inférieurs de 50% de ceux observés en avril.

Les tests positifs appelés « cas » ne sont pas des malades. Il ne peut s’agir à notre sens que de la confusion entre incidence de « cas » Covid, et incidence des malades qui présentent des symptômes, qui consultent leurs médecins ou nécessitent des hospitalisations.

Nos bureaucrates paraissent ignorer qu’être cas positifs ne préjuge en rien que la personne testée soit porteuse de virus entier, ni malade, ni contagieuse.

Les dernières recommandations de l’OMS[1] sont pourtant sans ambiguïté : l’OMS

« souligne que les résultats faiblement positifs doivent être interprétés avec prudence (1). La valeur de cycle seuil (Ct) nécessaire pour détecter le virus est inversement proportionnelle à la charge virale du patient. Lorsque les résultats du test ne correspondent pas au tableau clinique, il convient de prélever un nouvel échantillon et de répéter le test en utilisant une méthode d’amplification des acides nucléiques identique ou différente.

L’OMS rappelle aux utilisateurs de DIV que la prévalence d’une maladie altère la valeur prédictive des résultats de test ; à mesure que la prévalence diminue, le risque de faux positifs augmente (2). Cela signifie que la probabilité qu’une personne ayant obtenu un résultat positif (SARS-CoV-2 détecté) soit réellement infectée par le SARS-CoV-2 diminue à mesure que la prévalence diminue, quelle que soit la spécificité déclarée du test. 

Aide au diagnostic : les prestataires de soins doivent donc examiner les résultats en tenant également compte de la date de prélèvement, du type d’échantillon, des caractéristiques spécifiques du test, des observations cliniques, des antécédents du patient, du statut confirmé des contacts éventuels et des informations épidémiologiques. »

Dans le décret préfectoral, on remarque la phrase suivante :

« en dépit des mesures prises pour la protection des Mosellans, les dernières données disponibles de l’agence régionale de santé témoignent d’une dégradation de la situation sanitaire dans le département de la Moselle, notamment dans la métropole de Metz »

Or manifestement l’incidence des malades covid19 n’a pas augmenté. Il est paradoxal de prétendre que la situation s’aggrave et d’imposer des restrictions abusives et dangereuses aux habitants du département alors que tant le nombre de malades, ni le nombre d’hospitalisations, ni le nombre de patients en réanimation n’ont augmenté.

Le préfet adopterait-il des mesures restrictives, guidé par le simple nombre de “cas”, sans tenir compte des recommandations de l’OMS qui spécifient la nécessité de tenir compte des observations cliniques ?

Aberration médicale et aberration juridique, car le décret du 29 octobre, qui habilite les préfets à prendre des mesures, est un décret prescrivant les mesures générales nécessaires pour faire face à l’épidémie de la covid-19 et non pas au seul nombre de cas positifs.

Les préfets ne sont pas habilités par ce décret à prendre des mesures restrictives pour d’autres raisons :

– Les rassemblements, réunions, activités, accueils et déplacements ainsi que l’usage des moyens de transport qui ne sont pas interdits en vertu du présent décret sont organisés en veillant au strict respect de ces mesures. Dans les cas où le port du masque n’est pas prescrit par le présent décret, le préfet de département est habilité à le rendre obligatoire, sauf dans les locaux d’habitation, lorsque les circonstances locales l’exigent.

Art. 1er.
……….…II.

On peut espérer et supposer que les informations parvenues au préfet et aux élus qui en ont discuté avec lui n’aient pas clairement explicitées et nous espérons que l’alerte donnée ici démontrant que les malades de Covid19 actuels sont très en dessous de la barre inquiétante, conduira à l’abrogation rapide de ce décret inadapté à la situation sanitaire réelle.

Par ailleurs, en Moselle, comme partout ailleurs, le port du masque dans la voie publique n’est pas réglementé par le décret du 29 octobre en cas d’absence d’arrêté préfectoral en cours de validité !

 Les gens portent encore les masques à l’extérieur, alors que rien ne les y oblige sauf des arrêtés ponctuels dans certaines agglomérations.

Rappelons à cette occasion que le port du masque est dénoncé comme inutile et dangereux par plusieurs études universitaires et que le conseil d’état italien l’a interdit chez l’enfant en raison de sa dangerosité.[2] [3]

Rappelons les dires du conseil d’état italien :

« dans l’affaire portée à l’attention de cette juridiction, la mineure représentée par ses parents, a documenté avec des certificats médicaux à l’appui, à plusieurs reprises, des problèmes de manque d’oxygénation dus à l’utilisation prolongée de masque pendant toute la durée de la classe
que, dans la classe fréquentée par le mineur, un dispositif de contrôle de l’oxygénation – saturomètre, ne semble pas être disponible outil de coût minimal et très simple à utiliser dans des cas comme celui-ci, par chaque enseignant, pour intervenir dès les premiers signes de difficulté à respirer avec le masque par le très jeune élève

Considéré, par conséquent, que dans la chambre du conseil en instance déjà fixée devant le tribunal administratif régional, le mineur ne peut être contraint de porter le masque pendant la durée des cours, car le danger de fatigue respiratoire – en l’absence d’un contrôle constant avec un saturomètre – est trop grave et immédiat, et qu’on ne peut évidemment pas non plus supposer une suspension du droit constitutionnellement protégé du jeune élève de fréquenter l’école, jusqu’à la décision préventive du tribunal administratif régional. »

Le test PCR

Notons que le préfet conseille à ses administrés qui souhaiteraient voyager pendant les vacances scolaires de se faire tester avant leur départ. Or les tests PCR sont dénoncés par la communauté scientifique en justice depuis plusieurs mois et condamnés au moins dans une juridiction portugaise[4]. Il serait urgent que la France prenne en compte le caractère fallacieux des résultats des tests PCR et ne les exige plus dans les aéroports, les entreprises ou les écoles, entretenant une apparence d’épidémie qui n’existe plus via des résultats de tests contestables et contestés. Nous y reviendrons inéluctablement.[5]

Baser une politique sanitaire sur le seul nombre de positivité d’un test PCR est inefficace et potentiellement dangereux. Il faut revenir à une gestion traditionnelle de l’épidémie basée sur des données médicales objectives des malades examinés par de vrais médecins.


Notes

[1] AVIS DE L’OMS 20 janvier 2021 Alerte de produit médical À L’ATTENTION DES UTILISATEURS DE TESTS DE DIAGNOSTIC IN VITRO https://www.who.int/fr/news/item/20-01-2021-who-information-notice-for-ivd-users-2020-05

[2] http://www.dirittoegiustizia.it/allegati/16/0000090219/Consiglio_di_Stato_sez_III_decreto_n_304_21_depositato_il_26_gennaio.html Conseil d’État, section III, décret 26 janvier 2021, n° 304
Président Frattini

[3] Pour en finir avec le masque pour nos enfants, le film (odysee.com)

Difficultés respiratoires : le port du masque pas si anodin ? (alternativesante.fr)

[4] « Le test PCR va au tribunal » : au Portugal, mais aussi en Allemagne et dans de nombreux pays (francesoir.fr)

Vers le faire part de décès des tests PCR (francesoir.fr)

http://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/les-implications-capitales-de-la-jurisprudence-portugaise-concernant-les-tests-pcr

[5] Tests PCR condamnés en justice, mais toujours imposés à répétition aux hospitalisés et aux soignants ! – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca)




Le « Lockstep » de Draghi

[Source en italien : Draghi’s Lockstep (maurizioblondet.it)]

Un article éclairant de Thomas Fazi, publié par son ami Gianluigi Paragone, fait état du très récent rapport politique post-COVID préparé par le G30 – un groupe de réflexion fondé à l’initiative de la Fondation Rockefeller en 1978, « présidé par Draghi avec Raghuram Rajan, ancien gouverneur de la banque centrale indienne ».

Par Maurizio Blondet

« Il indique clairement que les gouvernements ne devraient pas gaspiller de l’argent pour soutenir les entreprises qui sont malheureusement condamnées à la faillite, définies dans le rapport comme des « entreprises zombies » – pensez, par exemple, en ce qui concerne l’Italie, aux centaines de milliers de magasins et d’établissements publics mis à genoux par la pandémie et ses mesures pour le contenir et seulement partiellement soutenus par les « rafraîchissements » insuffisants du gouvernement – , mais ils devraient plutôt soutenir la « destruction créatrice » du marché libre, laissant ces entreprises à leur sort et favorisant le déplacement des travailleurs vers des entreprises vertueuses [NdNM : traduire par « les entreprise multinationales telles qu’Amazon ».] qui continueront d’être rentables et qui se développeront après la crise.

[…]

Le document du G30 met également l’accent sur le marché du travail, en écrivant que « les gouvernements devraient encourager les ajustements sur le marché du travail… qui exigeront que certains travailleurs doivent changer d’entreprise ou de secteur, avec des voies appropriées de recyclage et d’aide économique. »

Pour Fazi, « le message est clair : les gouvernements ne devraient pas essayer d’empêcher l’expulsion de la main-d’œuvre des entreprises vouées à la faillite, comme en Italie et dans plusieurs autres pays, une tentative a été faite jusqu’à présent, en partie, avec le blocage des licenciements (expirant en mars) et l’utilisation intensive du fonds de licenciement. Ils devraient plutôt soutenir et faciliter ce processus afin de permettre au marché de prévoir une allocation « efficace » des ressources (y compris les humains). »

Je ne sais pas si Fazi, qui accuse Draghi d’« idéologie libérale précoce » – a compris que la Fondation Rockefeller est celle qui a, en octobre 2019, avec la Fondation Gates et à la « John Hopkins Bloomberg School of Public Health » (une chaire privée « universitaire » payée par le milliardaire Bloomberg) organisé à New York « Event 201 », la simulation bien connue d’une pandémie de coronavirus qui aurait causé 65 millions de décès et conduit les États à assumer la suspension de la liberté de circulation et du commerce, et [imposé] la vaccination universelle répétée et permanente, etc.

Je rappelle que l’intérêt de la Fondation Rockefeller pour l’exploitation des opportunités offertes par une pandémie remonte à 2010 : puis, en mai, il a publié Scenarios for the Future of Technology and International Development. (http://www.nommeraadio.ee/meedia/pdf/RRS/Rockefeller%20Foundation.pdf)

Comment renforcer la mondialisation même après une pandémie mondiale ?

Dans cette prédiction, la Fondation Rockefeller a simulé le scénario appelé « Lockstep » sur la façon dont une pandémie mondiale engendrerait un État policier mondial commencé par la Chine, mais qui après la fin de la pandémie « non seulement resterait en place , mais s’intensifierait ». Prendre l’exemple du contrôle total de la Chine sur la population a été implicitement (et même pas si implicitement) également recommandé en Occident.

En bref, la Fondation Rockefeller (et donc ses émanations telles que le G30 coprésidé par Draghi) est l’une des centrales électriques stratégiques qui ont conçu le Grand Reset du Forum économique mondial : en profitant de la « rare occasion » offerte par l’épidémie pour « reconstruire mieux » – reconstruire mieux, c’est le slogan répété par tous les puissants ces derniers mois – l’économie mondiale, corrigeant ses pierres d’achoppement vers un capitalisme véritablement libre (comme le petit immobilier privé, à abolir), en éliminant les émissions nocives causées par une population désormais superflue qui prétend voyager, partir en vacances, gagner un salaire dans des emplois, qui peut être remplacé par l’avantage des robots, et qui doit disparaître. Avec le tourisme de masse, les restaurants, les hôtels, les agences de voyages, les compagnies aériennes surdimensionnées [qui devront aussi disparaître]…

Alors peut-être que Draghi était un humain « libéral depuis le début ». C’est lui qui mettra en œuvre le Grand Reset pour l’Italie. Les compagnies zombies dont il a parlé sont clairement de petits magasins et toutes les activités d’accueil, défilés de mode et aux salons, dont l’idéologie transhumaniste du Forum Économique Mondial a décrété l’élimination parce qu’elles sont « polluantes » (effet de serre, producteurs de CO2).

Dans le projet idéologique-transhumaniste de la Grande Réinitialisation, le DAD [?] et le travail intelligent de masse élimineront les déplacements et la nécessité de réunions en personne, et amèneront la fermeture (c’est déjà le cas) des bars et pizzerias. Il s’en suivra – annoncé ouvertement : 

  • l’élimination des élevages de bovins, de porcs et de volailles très polluants;
  • la rééducation des bouches inutiles à l’apport protéique des insectes;
  • le maintien de la population superflue avec un revenu universel de base, en monnaie numérique, qui sera donné contre la vente au gouvernement de tous les bâtiments;

le gouvernement proposera d’éliminer toutes les dettes de toutes les personnes (hypothèques, prêts, cartes de crédit, etc.), grâce au financement du FMI dans le cadre de ce qui deviendra connu sous le nom de programme mondial de réinitialisation de la dette. « En 2030, nous n’aurons rien, pas d’intimité, et nous serons heureux ».

C’est ce qu’ils appellent « une dose de socialisme dans la quatrième révolution industrielle ».

« Après l’âge de 65 ans, l’homme coûte plus cher à la société qu’il ne produit. Aujourd’hui, la vieillesse est un marché, mais elle n’est pas solvable. En tant que socialiste, je suis contre la prolongation de la durée de vie utile. L’euthanasie sera l’un des outils essentiels des sociétés futures. La logique socialiste, c’est la liberté, et la liberté fondamentale, c’est le suicide. »

Jaques Attali

Draghi le fera, il n’y a aucun doute là-dessus. Il y a quelques jours, j’avais mis un point d’interrogation à la fin de la phrase :

« Un homme d’une singulière duplicité, sans scrupules, toujours en accord avec l’idéologie actuelle des milliardaires, va-t-il mettre en œuvre le Grand Reset du Forum économique mondial, qui est l’orthodoxie du moment ? »

Maintenant, le point d’interrogation doit être supprimé. La certitude ultime m’a été donnée par Paolo Mieli, mélodieux, lors d’un talk-show, quand il espérait que Draghi ne garderait aucun ministre du gouvernement précédent », sauf Roberto Speranza qui était si doué pour gérer la pandémie « : un maître du discours nous a dit que la dictature et l’imposture thérapeutique doivent continuer, avec des verrouillages ultérieurs de plus en plus impitoyables, comme décrit dans la feuille de route publiée du Canada.

Alors pourquoi ai-je dit que c’était bien que la Ligue ait accepté de soutenir Draghi ? Tout d’abord, parce que la Grande Réinitialisation faite par les grillini-piddini, incapables aussi bien que méchants, serait pire pour la cruauté envers la population, et puis parce que la Ligue a pris Draghi au mot sur sa conversion « keynésienne », et peut au moins montrer sa duplicité. Cela peut aussi lui faire manquer de soutien. En bref, cela peut au moins l’affecter un minimum.

Ce sera peu. Bien sûr, mais débarrassons-nous de toute illusion. Angela Merkel en Allemagne, Macron en France, Boris Johnson au Royaume-Uni, voire Netanyahou en Israël, mettent en œuvre le Grand Reset, tout comme nous, selon le même programme de « vaccinations totales » et la même destruction prévue d’activités économiques « inutiles », « polluantes », non résilientes et non vertes. La Commission, avec Van der Leyen, doit absolument vacciner l’ensemble de la population (pour une « maladie » qui peut être traitée avec des médicaments connus et bon marché), parce qu’ils servent évidemment un autre but. Et il n’y aura pas de libération tant que le peuple n’aura pas réalisé la dictature inhumaine qui l’opprime, ce qui est peu probable. Dans ce contexte, le choix de Meloni de rester à l’écart est également excellent : en tant qu’électeur, j’ai deux fours (pour ce que ça vaut, car je ne pense pas que nous continuerons à voter – ou nous voterons avec la méthode révélée par Time pour faire gagner Biden).

(Je me souviens avoir prié pour que « le filet qu’ils ont tendu » les capture : la libération viendra d’en haut)




Victoire en Italie : Le Conseil d’État déclare qu’un mineur ne peut pas se voir imposer l’utilisation du masque pendant les cours

[Source : Exoportail]

Par Jonathan

Note ExoPortail : Ne parlant pas Italien ceci est une traduction automatique, j ‘espère que c’est correct et sans coquilles… )

« Considérant que le recours contre le décret monocratique de précaution adopté par le président du tribunal administratif régional, compte tenu des dispositions textuelles de l’article 56 du code de procédure civile, ne peut être considéré comme recevable que dans des cas très exceptionnels d’une mesure qui n’a que la forme d’un décret mais un contenu essentiellement décisif ;

Considère que de tels cas de mesures monocratiques qui ne peuvent être contestées que sous la forme formelle d’un décret ou de « simples décrets apparents » surviennent exclusivement dans les cas où la décision monocratique en première instance n’est pas du tout provisoire et intérimaire mais définit ou risque de définir de manière irréversible la question en litige, le juge d’appel devant intervenir dans ces cas pour rétablir la dialectique correcte entre la fonction monocratique et la fonction collégiale en première instance ;
Considérant que, dans le cas en question, il apparaît :

1) l’Administration défenderesse n’a pas encore déposé dans les dossiers, devant le Tribunal administratif régional du Latium, les documents que le premier juge du Tribunal de première instance avait demandés. Que l’administration défenderesse n’a pas encore déposé auprès du Tribunal administratif régional du Latium les documents que le premier tribunal lui a ordonné de produire dans le délai de 15 jours, qui est expiré ;

2) ces documents, dont le dépôt en temps utile est confirmé, sont pertinents par rapport aux aspects décisifs du litige en question

3) que, dans l’affaire portée à l’attention de cette juridiction, la mineure représentée par les appelants d’aujourd’hui, ses parents, a documenté avec des certificats médicaux, à plusieurs reprises, des problèmes de manque d’oxygénation dus à l’utilisation prolongée des équipements de protection individuelle (EPI) pendant toute la durée de la classe

4) que, dans la classe fréquentée par le mineur, il ne semble pas – ou en tout cas d’après les registres il ne semble pas – être disponible même un dispositif de contrôle de l’oxygénation – saturationmètre, un outil de coût minimal et très simple à utiliser dans des cas comme celui proposé, par chaque enseignant, pour intervenir dès les premiers signes de difficulté à respirer avec l’EPI par le très jeune élève ;

Considéré, par conséquent, que dans la chambre du conseil en instance déjà fixée devant le tribunal administratif régional, le mineur ne peut être contraint de porter l’EPI pendant la durée des cours, car le danger de fatigue respiratoire – en l’absence d’un contrôle constant avec un saturomètre – est trop grave et immédiat, et qu’on ne peut évidemment pas non plus supposer une suspension du droit constitutionnellement protégé du jeune élève de fréquenter l’école, jusqu’à la décision préventive du tribunal administratif régional ;

Accepte la demande en référé et suspend l’applicabilité du décret du Premier ministre contesté à l’égard des requérants en ce qui concerne l’obligation du mineur -OMISSIS- de porter des EPI pendant les heures de classe ;
Les responsabilités liées à l’application du présent décret restent de la responsabilité de l’école fréquentée par le mineur.

Ce décret sera appliqué par l’Administration et est déposé au Secrétariat de la Section qui en avisera les parties.

Considérant que les conditions préalables énoncées à l’article 52, paragraphes 1, 2 et 5, du décret législatif n° 196 du 30 juin 2003, et à l’article 6, paragraphe 1, lettre f), du règlement (UE) 2016/679 du Parlement européen et du Conseil du 27 avril 2016, existent, il charge le Secrétariat de procéder, en cas de reproduction sous quelque forme que ce soit, à l’occultation des données personnelles du mineur, des personnes exerçant l’autorité parentale ou la tutelle et de toute autre donnée susceptible d’identifier le même intéressé signalée dans le jugement ou l’ordonnance. »

Source : http://www.dirittoegiustizia.it/allegati/16/0000090219/Consiglio_di_Stato_sez_III_decreto_n_304_21_depositato_il_26_gennaio.html

Traduction : ExoPortail 




La médaille Sainte Madeleine, les Dossiers secrets d’Henri Lobineau, Pierre Plantard de Saint-Clair et le mystère de Rennes-le-Château

[Source et auteur : Guy Boulianne]

J’ai récemment fait l’acquisition d’une médaille touristique de « Sainte Madeleine – Rennes-le-Château », faite d’un alliage en cupro-aluminium au nickel. Les cupronickels peuvent être employés pour fabriquer des objets utilitaires, résistants, stables et à bel aspect, par exemple dans l’industrie d’armement, les industries électriques, chimiques et pétrochimiques… ainsi que des objets d’ornementation. Mais il s’agit surtout d’un alliage commun de frappe monétaire, utilisé en conséquence pour la fabrication de nombreuses pièces de monnaie.

Bérenger Saunière écrit le 21 septembre 1891 : « Lettre de Granès. Découverte d’un tombeau. Le soir pluie. »

La pièce que j’ai acquise a un diamètre de 30 mm, une épaisseur de 2 mm, un poids de 16 g et une tranche cannelée. Elle est de couleur or. Mise en circulation en 2015, celle-ci n’a aucune valeur monétaire sur le marché. Je l’ai acquise en raison de ce qui me rattache à l’histoire mystérieuse de la France, et par le fait même à l’histoire de la Nouvelle-France. Je l’ai acquise aussi en souvenir de Rennes-le-Château, située dans l’ancien comté carolingien du Razès où pris souche la descendance cachée et mystérieuse des Mérovingiens.

En effet, il y a plusieurs années, j’ai habité à moins de 4 Km de la mythique Rhedae, plus précisément à Granès dans une petite maisonnette perdue dans le bois du Lauzet qu’un ami me prêtait. De là je parcourais toute la région, allant de Rennes-les-Bains à Bugarach, en passant par Espéraza, Quillan, le Bézu, Alet-les-Bains, Vic de Sòs, Carcassonne et bien plus encore.

Lorsque j’arrivai pour la première fois du nord de la France en auto-stop dans la région de Limoux, je commençai à marcher sur le sentier me conduisant à Rennes-le-Château. Soudain une voiture s’immobilisa et un homme m’y fit entrer pour m’amener au sommet du piton rocheux dominant la région naturelle du Razès, la vallée de l’Aude et la vallée de la Sals. Le hasard fit qu’il s’agissait du grand chercheur et philosophe Jean Pellet, possible descendant des comtes de Narbonne-Pelet.

Située dans le Sud de la France, en région Occitanie, la petite commune de Rennes-le-Château a tout particulièrement été rendue célèbre par l’un de ses curés qui vécut dans la paroisse à la fin du XIXe siècle et au début du XXe siècle, l’abbé Bérenger Saunière. De nombreuses théories laissent entendre qu’il y aurait trouvé un trésor en 1885 sans que l’origine et la nature exactes en soient connues. Dans son journal à la date du 21 septembre 1891, Bérenger Saunière note : « Lettre de Granès. Découverte d’un tombeau. Le soir pluie ». Le chemin de Rennes-le-Château à Granès passe par le lieu-dit Clots de Cavaillé et rejoint Granès par le Prat du Juge exactement où se trouvent des géoglyphes. Une salle souterraine très importante existe dans le bois du Lauzet coté fontaine des Quatre Ritous, salle qui contient des ossements humains ainsi que des tessons de poteries. Plusieurs tombes furent découvertes sur le plateau du Lauzet, près de la fontaine des 4 ritous.

Rennes-le-Château est située plus précisément dans la micro-région du Razès qui, elle-même, est entièrement située dans le département de l’Aude et ce village fut, historiquement, la capitale sous le nom de Redae ou Rhedae. Il s’agit d’une petite région, très ancienne, mais aussi très rurale, assez peu peuplée et composée de collines plutôt modestes à l’est, et au nord-est, et de massifs plus élevés à l’ouest. Cette région se situe à la rencontre du climat méditerranéen et des climats océaniques et montagneux qui favorisent la cohabitation d’espèces de plantes très différentes.

Le nom de la localité, ainsi que celui de Rennes-les-Bains, est attesté sous les formes Redae en 1002 ; Redez en 1067 ; Redes en 1070 ; Rezae en 1258 ; Rennas (sans date) ; Rehennes du XVe au XVIe siècle ; alias de RedisRénes en 1647. Le rôle politique de la cité de Rhedae à l’époque de Charlemagne est attesté par un poème de l’évêque d’Orléans Théodulf, issu d’une famille de l’aristocratie wisigothique. En 798, ce dernier fut chargé de missions administratives et politiques en Provence et en Septimanie par Charlemagne comme Missus Dominicus avec Leidrade, futur archevêque de Lyon. On peut noter l’intérêt que Charlemagne apporte au Razès, région de Rhedae, en envoyant de ses plus fidèles conseiller. Théodulf citera le fameux village de Rennes-le-Château sous son nom de Rhedae dans un poème en latin intitulé “Paraenesis ad judices” (page 12) : « Inde revisentes te, Carcassona Redasque, Moenibus inferimus nos cito Narbo tuis ».

Le chercheur et historien d’art, Robert Tiers, et Guy Boulianne devant le tableau crypté de Nicolas Poussin représentant Rennes-le-Château et son mystère (Avignon, 1997).

L’écrivain Gérard de Sède, pionnier dans l’affaire de Rennes-le-Château, a fort bien souligné que si Charlemagne s’intéressait à Rennes, c’est que celui-ci avait connaissance du fait que la précédente dynastie, celle des Mérovingiens avait pu subsister par la survivance de Sigebert IV, fils de Saint Dagobert II. Sigebert IV est supposé être arrivé en terre de Rhedae, le 17 Janvier de l´an 681 chez son grand-père Wisigoth Bera, et continuer la lignée cachée des Mérovingiens.

Le premier comte particulier en titre du Razès dont le nom nous soit parvenu est celui de Guillaume de Gellone, valeureux compagnon de Charlemagne qui participa à la bataille de Roncevaux (778), aux côtés de Roland. Celui-ci administra un territoire libre de toute présence sarrasine et indépendant du comté de Narbonne. Ensuite, c’est Berà, que l’on dit fils de Guillaume de Gellone, qui porta le titre. Au IXe siècle, le comté du Razès est divisé au profit de puissances locales.

En 1062, le comté du Razès est réuni à celui de Carcassonne. Mais le système féodal, avec ses suzerains et ses vassaux, va générer de nombreux conflits privés armés entre les seigneurs locaux. Rhedae, l’antique Rennes-le-Château et le comté du Razès vont alors être convoités et disputés de manière violente et sans ménagement entre achats, ventes, luttes, successions, et trahisons.

En 1170, Rhedae appartient au comté de Carcassonne, mais le roi d’Aragon qui revendique le Razès, lance une offensive et détruit en partie l’ancienne ville et ses fortifications. Durant cette même période, les Cathares commencent à s’installer et à prêcher dans toute l’Occitanie et notamment dans le Razès. En 1207, la croisade contre les Albigeois débute et Rhedae, au cœur du Pays cathare, voit la région s’embraser. C’est à cette époque que Simon IV de Montfort prend et détruit le château de Coustaussa, mais ne semble pas s’intéresser à Rhedae. Les vainqueurs de la croisade se partagent les domaines des seigneurs vaincus et le comté du Razès est attribué en partie à Pierre de Voisins.

En 1293, Pierre II de Voisins va remettre en état les fortifications de Redhae : la ville compte quelques centaines d’habitants et reste encore de taille importante pour l’époque. Commence alors une période de prospérité. La ville se développe, le commerce et la population augmentent. La famille de Voisins restera maître de ce qui deviendra Rennes-le-Château, au fil du temps, jusqu’en 1362.

En 1362, Henri de Trastamare (Henri II de Castille), à la tête d’une bande de pillards surnommés les “routiers aragonais”, ravage et pille le Razès. Les pillards mettent le siège devant Rhedae, qu’ils prennent et détruisent ne laissant derrière eux que des ruines. C’est à cette date que l’antique ville disparaît. Sur le plateau, seules restent quelques bâtisses épargnées et la structure du château qui a résisté à la destruction. La ville ne retrouvera jamais son importance et, dépourvu de fortifications, le lieu va laisser place à un village nettement plus modeste que l’antique cité, celui de Rennes-le-Château.

Le comté de Razès passe en 1422 à la maison d’Hautpoul, originaire d’Aussillon près de Mazamet, par le mariage de Pierre-Raymond d’Hautpoul avec Blanche de Marquefave, fille de Jeanne de Voisins, descendante de Pierre II de Voisins à qui le Razès avait été inféodé en 1230. François d’Hautpoul (1689-1753) releva le titre de marquis de Blanchefort tombé en désuétude, que lui apporta en dot son épouse Marie de Nègre d’Ables (1714-1781), dame de Niort, de Roquefeuil et de Blanchefort.

Lors de la Révolution française, le marquis Paul-François-Vincent de Fleury, héritier des Hautpoul-Blanchefort, après son mariage avec Anne-Gabrielle-Élisabeth d’Hautpoul-Blanchefort, dernier seigneur des lieux, émigra en Espagne avec ses trois enfants et son chapelain, l’abbé Antoine Bigou. Cependant, un de ses fils, Paul Urbain de Fleury, racheta son domaine (et les établissements thermaux) le 27 floréal an IV, lorsque ces propriétés furent vendues comme biens nationaux. Après de nombreuses vicissitudes, les biens et les propriétés de la famille d’Hautpoul furent vendus aux enchères le 7 juin 1889.https://www.youtube.com/embed/FMczNuKSz5I?version=3&rel=1&showsearch=0&showinfo=1&iv_load_policy=1&fs=1&hl=fr&autohide=2&wmode=transparent


L’abbé Bérenger Saunière et le trésor de Rennes-le-Château

L’abbé Saunière pose devant le porche de l’église de Rennes-le-Château.

Officiellement nommé le 22 mai 1885, l’abbé Saunière arrive en juin 1885 pour prendre son office dans le petit village de Rennes-le-Château, déjà durement touché par l’exode rural qui frappe toute la région des Hautes Corbières. En effet, en moins de 60 ans, Rennes-le-Château a déjà perdu la moitié de sa population.

Après avoir été quelques mois suspendu de sa cure par René Goblet, ministre des Cultes du Gouvernement Charles de Freycinet, pour ses opinions politiques antirépublicaines déclarées en chaire, l’abbé Saunière décidera, à son retour, d’entreprendre des travaux de rénovation dans son église en 1891 qui s’échelonneront sur plusieurs années entraînant une soif d’embellissements toujours plus variés et somptueux. À la suite de ses premiers travaux, l’abbé entreprendra dans la décennie suivante et à titre personnel, la construction d’un ensemble monumental, à proximité immédiate de la petite église et comprenant, une villa, un grand jardin de type paysager, une serre, une terrasse et une petite tour d’aspect médiéval.

Durant ces travaux, certaines rumeurs avancent l’hypothèse qu’il aurait découvert un trésor. La légende indique que l’abbé aurait trouvé de

mystérieux parchemins. La nature de ses hypothétiques découvertes et l’origine de sa probable fortune sont le sujet de nombreuses thèses à l’origine de la légende du trésor de Rennes-le-Château Les pistes les plus fréquemment évoquées, pour tenter de justifier cette hypothétique découverte devenue mythique au fil des livres et des reportages, sont présentées ci-dessous dans un ordre chronologique :

  • Le trésor des Volques tectosages, datant de l’époque romaine.
  • Le trésor des Wisigoths (ou Trésor de Jérusalem), déposé dans la région de Rhedae, après le Sac de Rome (410) par le roi Alaric Ier.
  • Le trésor de Blanche de Castille, à la suite de la Croisade des pastoureaux en 1251, survenue sous le règne de son fils Louis IX.
  • Le trésor des Templiers, à la suite du procès de l’Ordre du Temple effectué contre cette communauté religieuse par Philippe IV Le Bel entre 1307 et 1314.
  • Le trésor des faux monnayeurs du château du Bézu, affaire datant du XIVe siècle.
  • Le trésor des cathares. Un récit historique attesterait que lors la prise du château de Montségur par les croisés en 1244, quatre cathares s’en seraient échappés avec un trésor.
  • Le trésor de l’abbé Bigou, abbé de Rennes le Château durant de la Révolution française.

Des éventuelles aides financières extérieures (sous forme de donations) ont également été évoquées, le curé voisin de Rennes-les-Bains, l’énigmatique abbé Henri Boudet ayant pu être alors considéré comme une sorte d’intermédiaire, hypothèse reprise dans le téléfilm L’Or du diable. Cependant, aucun document de nature comptable ou bancaire ne vient étayer ce fait, et ni l’abbé Saunière, ni sa servante n’ont jamais fait état d’une aide de ce type.

Avant la fin de sa vie l’abbé Saunière se lance donc, au début de l’année 1901, dans la construction de plusieurs d’autres bâtiments et de structures d’embellissement sur des parcelles achetées au nom de sa servante Marie Dénarnaud. Ces bâtiments se présentent précisément sous la forme suivante :

  • une petite maison de style Renaissance, dénommée villa Béthanie (transformée aujourd’hui en musée),
  • une tour néogothique, dénommée tour Magdala, dotée d’un belvédère (ou terrasse) qui la relie à une construction en verre,
  • un parc et un jardin abritant de nombreuses plantes exotiques.

Ces dernières constructions raviveront certaines rumeurs d’enrichissement personnel de l’abbé, mettant de côté le fait que celui-ci a durant cette période contracté une dette de 6 000 francs auprès du Crédit foncier et qu’il ne la remboursera jamais de son vivant.

À la mort de l’abbé, survenue le 22 janvier 1917, son ancienne servante Marie Dénarnaud hériterait de ses biens, même si-celle-ci a été évoquée, dès l’origine de ces acquisitions, comme étant la seule propriétaire des terrains et des bâtiments de l’ensemble du domaine, notamment de sa Villa Bethania. Il reste d’ailleurs selon certaines déclarations officielles, notamment, celle de l’ancien maire de Rennes-le-Château, des zones d’ombre, non quant à la réalité de cet héritage, mais dans la nature même de cette transmission de propriété. Quoi qu’il en soit, Marie Dénarnaud, unique résidente du domaine durant plus de trente ans, finira par céder celui-ci à l’homme d’affaires perpignanais Noël Corbu, en échange de ce qui s’apparenterait à une rente viagère annuelle.



Les Dossiers secrets d’Henri Lobineau

En 1997, mon ami Didier Lutz me fit rencontrer pour la première fois le chercheur et historien d’art Robert Tiers, dans sa demeure à Avignon. Celui-ci est célèbre à travers la France et l’Europe pour la minutieuse enquête qu’il a réalisée autour du tableau qu’il possède, « Le Jardin des Hespérides », qu’il attribue avec raison au grand maître du XVIIe siècle, Nicolas Poussin. Il me remit alors un précieux document réunissant plusieurs tableaux généalogiques et portant le titre suivant : Dossiers Secrets d’Henri Lobineau. Quelle ne fut ma surprise d’apercevoir le nom d’Ursus à la planche No. 2 de ce dossier et ma joie s’intensifia lorsque je constatai que le petit-fils présumé de cet Ursus possédait un blason similaire à celui de notre propre famille, les de Bouillanne : « De gueules à une patte d’ours d’or ».

Le document que me remit Monsieur Tiers était une photocopie de mauvaise qualité des « Dossiers secrets ». Récemment, j’ai donc décidé de commander un exemplaires de ce même dossier auprès de la Bibliothèque nationale de France, espérant recevoir une copie en couleur. Malheureusement, cette exigence fut impossible pour des raisons de droits particuliers. Je reçus donc 25 feuilles photocopiées, illustrées en noir et blanc (in-4°, 25 cm). La qualité de la reproduction n’était guère mieux, mais il est clair pour moi que la clé se trouvait dans ces « Dossiers secrets d’Henri Lobineau ».

Il est très important de noter que le tableau de Nicolas Poussin dont Robert Tiers est le propriétaire, se compose d’un personnage principal tenant dans sa main gauche un bâton de pèlerin. Or, en observant de plus près, on s’aperçoit vite la main de ce personnage n’est pas une main, mais bien une patte d’ours. Il s’agit donc du Prince Ursus qui se fait montrer la voie vers Rennes-le-Château et le Bugarach.

Au centre : le blason du prince Ursus selon les Dossiers secrets d’Henri Lobineau. À gauche : le blason de la famille Bouillanne. À droite : le blason de la famille Planta.

Les Dossiers secrets d’Henri Lobineau (aussi appelés le Dossier Lobineau ou les Dossiers secrets) sont une série de documents dactylographiés, élaborés par le français Pierre Plantard et son ami Philippe de Chérisey puis déposés entre 1964 et 1967 à la Bibliothèque nationale de France sous la forme d’un don anonyme. Ces documents seraient des « preuves inventées par les auteurs dans le but de mettre en place une monarchie française dirigée par un descendant des rois Mérovingiens ». Ils sont enregistrés sous la cote 4° LM1 249 et sont datés de 1975 dans le fichier central. Ce ne sont nullement des parchemins mais des documents contemporains, aujourd’hui microfilmés et accessibles aux chercheurs. Ils se présentent comme un mince volume, chemise à couverture rigide contenant un assemblage hétéroclite de documents : coupures de presse, lettres, encarts, plusieurs arbres généalogiques et pages imprimées d’autres ouvrages, et à plusieurs reprises d’ailleurs subtilisées puis remplacées par d’autres, elles-mêmes surchargées parfois de notes et de corrections manuscrites.

Les recherches récentes montrent que derrière ces dossiers soi‑disant manipulés, une part historique se révèle être de plus en plus pertinente et rejoint un vaste ensemble d’indices, de sources diverses, et directement liés à l’énigme des deux Rennes. Férocement critiqués et exploités pour des raisons qui n’ont rien à voir avec la raison pour laquelle ils ont été créés, ces dossiers contiennent d’importants indices historiques et généalogiques qui se rattachent également à l’histoire de Rennes le Château et Rennes le Bains.

Le dernier lot de documents fut déposé à la Bibliothèque Nationale de France en avril 1967 sous le nom d’Henri Lobineau et concerne « Les Dossiers secrets Lobineau » rassemblés par un certain Philippe Toscan du Plantier. Ce titre donnerait non seulement un nom à la série, mais une ultime indication sur l’identité de l’auteur. Ce dernier recueil complète ainsi le processus de dévoiler au grand public le Prieuré de Sion. Les dossiers sont aujourd’hui microfilmés et accessibles aux chercheurs.

Parmi ces dossiers, un manuscrit datant de 1956 affirme l’existence d’une société secrète, le Prieuré de Sion, et relate son histoire depuis sa fondation en 1099 par Godefroy de Bouillon. On y trouve aussi la liste des grands maîtres qui se seraient succédé à la tête de l’organisation depuis le XIIe siècle, parmi lesquels figurent Léonard de Vinci, Isaac Newton, Victor Hugo, Claude Debussy, Jean Cocteau. La mise en parallèle de ces généalogies avec l’objectif du Prieuré de Sion confirme en réalité les ambitions de Pierre Plantard. En effet, on peut supposer que lorsque celui-ci laisse entendre que la mission du Prieuré est de restituer la dynastie mérovingienne en France en s’appuyant sur la mythologie de Rennes-le-Château, il sous-entend que leur héritier légitime n’est autre que lui-même.

Quoi que l’on puisse en penser, il est indéniable que Pierre Plantard est un personnage incontournable de l’affaire moderne de Rennes-Le-Château. C’est lui qui, pendant de nombreuses années « guida » de nombreux auteurs dans les structures de leurs ouvrages. Nous pouvons citer sans soucis, Gérard de Sède : « Les Templiers sont parmi nous » et « Le Trésor Maudit de Rennes-Le-Château », Henry Lincoln, Richard Leight et Michael Baigent : « L’Enigme Sacrée » et « Le Message ». En 1993, Pierre Plantard sera interrogé par la justice dans le cadre de l’enquête sur la mort de Roger-Patrice Pelat, ancien ami de François Mitterrand. Plusieurs documents retrouvés chez lui le présentent comme étant le « vrai Roi de France ». C’est alors que Plantard avouera son illégitimité de roi de France et recevra le conseil « de ne plus jouer avec la justice française ».

Lors de mon séjour en Europe il y a très longtemps, j’étais censé rencontrer Pierre Plantard à Paris et nous avions un rendez-vous en ce sens. Malheureusement, peu avant mon retour de Belgique, j’eu un important incident qui m’obligea à annuler ce rendez-vous. J’avais raté là une occasion unique car je suis certain que nous aurions partagé ensemble des informations fort intéressantes. Il en va du destin…

Pierre Plantard usera de toute une série de noms d’emprunt au fil de sa vie : “Varran de Verestra” ; “Pierre De France” ; “Chyren” (en référence à la prophétie de Nostradamus sur la venue d’un grand monarque) ; et, dès 1975 (date importante dans l’Affaire dite de Rennes-Le-Château), il se fera nommer “Pierre Plantard de Saint-Clair”. Il resta isolé de 1993 jusqu’à sa mort. Décédé le 3 février 2000, l’annonce ne fut faite que le 17 juin de la même année, mais en indiquant une date de décès au 13 juin. Ses restes ont été incinérés. Sa mort fut donc aussi nimbée de mystère….

Ces dernières années, Pierre Plantard a été la victime de journalistes et d’auteurs sans scrupules qui se sont ingéniés malicieusement à le diffamer et à le discréditer sur la place publique. Je considère cela comme étant une injustice puisque — pour ma part — je crois fermement que Pierre Plantard était l’agent d’une société bien réelle, et que sa mission consistait à sensibiliser le monde à une histoire non-révélée, à travers un jeu de piste parsemé de symboles et d’indicateurs historiques.

En cela il aura particulièrement bien réussi !




Ceci n’est pas un complot

[Source : Le site d’Initiative Citoyenne]

[Ndlr : le film a été supprimé de Vimeo le 23 février et reste pour l’instant visible sur YouTube. Le texte sous la vidéo provenait d’une chaîne sur Vimeo.]

Voici quelques phrases symboliques extraites de ce beau film qui invite à retrouver notre liberté de penser, de réfléchir, de vivre sans masques, sans distanciation. RETROUVER NOTRE LIBERTÉ.

Répétition des messages subliminaux.

Tous les médias participent à la campagne prétendument antivirus dont le but réel est de terroriser la population. La tv crée une hypnose collective puis une phobie collective. Les messages subliminaux se multiplient. Les images de patient jeune maquillé sont mises en avant alors que ce sont les vieux qui meurent de covid (ou le plus souvent d’une maladie ancienne accompagnée par un test covid19 positif).

Les entreprises d’information font de l’audience.

Le taux de mortalité du covid19 est pourtant extrêmement faible. Ce qui frappe est la discordance majeure entre le faible nombre de décès et l’intensité de la phobie. Pourtant les décès ont été largement surestimés en attribuant au coronavirus tous les décès avec tests positifs. Seuls 4 % des résidents décédés en Belgique sont vraiment décédés du seul covid. Mais on a interdit aux familles de leur faire des adieux dignes.

L’opposition médicale très large dans tous les pays ne peut s’exprimer que dans les médias alternatifs, car elle n’a pas d’accès aux médias nationaux. Elle est traitée de complotisme qui permet d’éviter tout questionnement et empêche de poser les questions qui dérangent. Est-ce que c’est être complotiste que de chercher et de révéler les conflits d’intérêts des doc TV ou des politiques ?

Les gens qui conseillent un gouvernement public, mais ont en même temps des relations financières (ou autres) avec les entreprises privées du secteur concerné ne doivent-ils pas en informer les médias qui les interrogent ? En France la loi transparence santé l’exige, mais les médecins des plateaux télé et les diffuseurs ne respectent pas cette loi et le conseil de l’ordre chargé par la loi de la faire respecter regarde ailleurs

Le documentaire revient sur les tests PCR falsifiés qui depuis des mois alimentent la peur, les mensonges d’état diffusés par les télévisions, truqués.

Il revient sur l’enfant de trois ans prétendument décédé du covid en Belgique alors que cette version a été contestée d’emblée par le père de l’enfant choqué qu’on instrumentalise sa fille. En fait le père dit que l’enfant avait une maladie neuromusculaire et une thrombose. La communication manipule la peur. L’info n’a pas été rectifiée malgré l’insistance de son père, y compris trois mois plus tard.

Le réalisateur interviewe le réanimateur belge Pascal Sacré, licencié pour avoir informé (faute grave !)

Les états de stress vont aggraver des problèmes de santé plus dangereux que le covid19 ; la peur est associée à une inhibition de l’action. La personne qui a peur est capable d’accepter tout et n’importe quoi.

Silence sur les évènements importants qui contestent la politique officielle

Le documentaire détaille les premiers rassemblements s’opposant au masque en août 2020 et le silence sur l’énorme rassemblement à Berlin fin août en présence de Robert F Kennedy.

Puis grande propagande publicitaire pour les vaccins covid19 qui serait la seule solution à une crise dont on nie la possibilité de traiter simplement. Les pouvoirs qui envient la dictature chinoise voudraient nous imposer le vaccin puis un « passeport vaccinal » pour suivre tous nos déplacements (voir projet DAVOS).

Puis il raconte comment les gouvernants et les médias fustigent les comportements sociaux et en particulier les jeunes qu’on culpabilise en faisant croire qu’ils seraient responsables de la diffusion de l’épidémie. La presse s’en prend aux professionnels de la santé qui s’autorisent à parler. On les traite de « marchands de déni », de « complotistes », de « rassuristes ». Il rappelle l’exclusion du Dr Pascal Sacré réanimateur belge et les poursuites contre les médecins français pour avoir parlé. 

Pourquoi les médias ne parlent-ils pas des manifestations dans plusieurs pays occidentaux ni des décisions judiciaires comme celle du Portugal. Il analyse les censures médiatiques.

En fin de vidéo, il aborde ce que cache la crise du coronavirus, révélateur du fait qu’on a désinvesti le système de santé et que le désendettement de l’état avait diminué, mais que tout a été effacé en 2020.
Le virus va être accusé de la faillite du système alors que c’est le confinement qui a coûté des centaines de milliards. Les gouvernements ont détruit l’économie. Démission politique. Les exécutifs mènent la danse. Les médecins bafouent le secret médical, communiquent les données. En quelques semaines on a bafoué les données personnelles.

Pourquoi a -t­-on fermé tous les lieux d’échange, universités, bars, théâtre ? Éviter au maximum les échanges entre humains qui pourraient contester cette hystérie organisée au service de la finance ?

La presse accompagne le pouvoir même dans ses délires.

MES AMIS SONT DEVENUS DES PIXELS

Ceci est une opportunité pour ceux qui rêvent de pouvoir fort et de peuple sage auquel les gouvernants font confiance. L’auteur espère un sursaut de l’intelligence collective, il faut en finir avec cette crise.

À regarder, partager, discuter entre vous, vos amis, reprendre contact au-delà de cette distanciation sociale sans fondement sanitaire (qui s’oppose à l’immunité collective qui a fonctionné dans les pays non confinés comme la Suède.)




La Lettre de la Médecine du Sens n°326

[Source : Sens et Symboles]

« L’intelligence n’est pas affaire de diplômes. Elle peut aller avec mais ce n’est pas son élément premier. L’intelligence est la force, solitaire, d’extraire du chaos de sa propre vie la poignée de lumière suffisante pour éclairer un peu plus loin que soi – vers l’autre là-bas, comme nous égaré dans le noir. » 

Christian Bobin, L’inespérée

La Lettre de la Médecine du Sens n°326

Bonjour à toutes et à tous,

On se dit tous que ça ne se terminera jamais et que cela n’a pas de sens. Et pourtant, c’est d’une grande logique.

Essayons de bien voir ce qui se passe actuellement au niveau des vaccins. Il y a une chose capitale à comprendre et qui explique beaucoup de choses. 

Les vaccins ne sont autorisés qu’avec une AMM conditionnelle, ce qui est différent d’une AMM pleine et entière. (AMM = Autorisation de Mise sur le Marché)

Dans l’AMM pleine et entière les produits ont terminé la totalité des essais.

Mais il est possible de délivrer une AMM plus précoce, dite conditionnelle, avant que tous les essais ne soient terminés et validés, c’est-à-dire dans une phase encore expérimentale, dite de phase 3.  

Cette situation d’exception demande deux conditions :

  • que l’action du produit soit au-dessus de 50%,
  • qu’il n’y ait pas d’autre traitement possible.

C’est donc un traitement réservé aux situations d’urgence sans aucune autre possibilité. Seulement voilà, ici il y a deux hic. Le premier c’est que si les vaccins sont annoncés par les laboratoires à 95% d’action, Peter Doshi dans le BMJ (British Médical Journal ) du 4 janvier (Lettre MDS 325, lien : https://www.lessymboles.com/une-etude-scientifique-remet-en-cause-lefficacite-des-vaccins-anti-covid/ ) nous indique que les dits vaccins ne sont actifs, après relecture par ce très grand scientifique incontesté, que entre 19 et 29%. 

Cette publication n’a été contredite par personne.

Et bing ! Voilà une des deux conditions qui saute.

La deuxième est qu’il n’y ait aucun autre traitement, et là vous comprenez pourquoi depuis le début tout le système s’acharne à démontrer que le traitement du Pr Raoult n’existe pas (alors qu’il fonctionne à 60%), ou que soit ignorée aussi totalement, en France du moins, l’Ivermectine qui agit entre 80 et 100% au début et encore  40% en phase tardive.

Bing ! C’est la deuxième qui saute.

Ce serait tout le jackpot des vaccins qui sauterait. Et nous verrons juste après qu’il est énorme.  

Nous utilisons donc actuellement des vaccins qui ne devraient pas légalement avoir d’AMM provisoire.  

Si on continue, on réalise ce qui pourtant était évident depuis longtemps, c’est que les virus à ARN mutent perpétuellement et que c’est pour cela que l’on n’a jamais réussi à faire de vaccins contre les coronavirus.

Les laboratoires prétendent encore que leurs vaccins agissent sur la variant Anglais, mais déjà plus sur le variant Sud Africain à peine 1 mois 1/2 après le début des vaccinations. Et ce sont encore une fois les seules données de Pfizer, entreprise qui a déjà été condamnée en 2009 à 2,3 milliards d’euros d’amende pour falsification de données, publicité mensongère et commissions occultes (valises de billets pour corruption, pour des responsables et des leaders d’opinion).

Il faut toujours en médecine faire attention à ne pas abuser de ce qui marche. Les antibiotiques ont été en médecine une découverte essentielle, mais leur utilisation abusive a conduit à des antibio-résistances qui vont être dramatiques.

Malheureusement, nous continuons les mêmes erreurs au niveau des vaccins. Nous voyons bien apparaitre un vaccino échappement avec les variants anglais et sud africain. Cela risque de créer, comme au niveau des antibiotiques, une situation critique de résistance. 

Pourtant, les traitements existent.  

La Coordination Santé Liberté publie ce 31 janvier 2021 une synthèse très interessante et documentée des traitements efficaces du Covid 19 de quoi soigner très efficacement.

Télécharger le PDF :  https://www.lessymboles.com/wp-content/uploads/2021/02/2-Groupe_de_travail_PREVENTION___THERAPEUTIQUE.pdf 

Dans quelques jours elle publiera le Comité Scientifique Indépendant. Qui pourra donner des avis sur la crise avec une autre voix face à la doxa officielle de plus en plus totalitaire. Évidement, dès la sortie des recommandations toute la presse mainstream (celle qui appartient aux mêmes milliardaires) réagit. Il faut voir cela comme un satisfecit de qualité. Nous avions déjà dit dans la dernière lettre que la mortalité corrigée de 2020 était moindre que celle de 2015 ou 2017.

Lien : https://www.youtube.com/watch?v=8pA9pfFUSIk&feature=youtu.be 

Voilà avec ces recommandations notre Covid qui a terrorisé, ramené au stade d’une infection respiratoire assez commune.  

Le nombre de lits de réanimation a baissé entre mars 2020 et maintenant.

Pourtant LA chose à faire depuis le début de la crise était d’augmenter massivement le nombre de lits de réanimation en France. Cette pandémie aura au moins eu le mérite de révéler que la politique massive de réduction de lits poursuivie par tous les gouvernements depuis 20 ans était une catastrophe. Pourtant le gouvernement fait tout le contraire. Une fois de plus, il fait n’importe quoi ! En Ile de France, selon le Canard Enchaîné, ils sont passés de 2500 à 1700, alors que c’est tout l’inverse qu’il aurait fallu faire. Dans la situation actuelle c’est provoquer artificiellement une saturation des lits de réa. C’est à la fois manipulateur et criminel.

Le nombre de lits de réanimation a baissé entre mars 2020 et maintenant

Le nombre de lits de réanimation a baissé entre mars 2020 et maintenant

Pourquoi le gouvernement a-t-il délibérément laissé baisser le nombre de lits ?

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Le conseil de l’Europe, dans une décision, rappelle la liberté vaccinale et l’interdiction de faire pression ou de discriminer.

La résolution 2361 adoptée le 28 janvier au Conseil de L’Europe indique entre autres : 7.3. pour ce qui est d’assurer un niveau élevé d’acceptation des vaccins:
7.3.1. de s’assurer que les citoyens et citoyennes sont informés que  la vaccination n’est PAS obligatoire et que personne ne subit de pressions politiques, sociales ou autres pour se faire vacciner, s’il ou elle ne souhaite pas le faire personnellement ;
7.3.2. de veiller à ce que personne ne soit victime de discrimination pour ne pas avoir été vacciné, en raison de risques potentiels pour la santé ou pour ne pas vouloir se faire vacciner ;   Alors restons calmes, fermez vos télés, adhérez aux différents collectifs, attendons la fin des études pour prendre position sur les vaccins. Et prenez soin des personnes que vous aimez, et des autres aussi ! E.A.


BonSens, RéinfoCovid, Laissons les médecins prescrire, Réaction19, Les tribunes de Laurent Mucchelli, Manifeste des Médecins pour une 4ème voix, 

Vous retrouverez les liens de ces divers collectifs dans l’article : Le monde s’organise https://www.lessymboles.com/le-monde-sorganise/


Ivermectine de très nombreuses études montre sa remarquable action.

Télécharger le PDF : https://www.lessymboles.com/wp-content/uploads/2021/02/Ivermectin-covid-metanalysis-fev2021.pdf


HOLD-UP Version finale, le 15 février 2021 à 20h00. 

HOLD-UP revient dans une version augmentée, c’est énorme ! Le Lundi 15 Février 2021 à 20H sur https://holdup-lefilm.fr/


Dr Louis Fouché 

Bas les masques – COVID-19 Bilan avec le Dr Louis Fouché Très belle synthèse médicale pour bien tout comprendre simplement.


Dr Louis Fouché : la désobéissance civile.


Pr Didier Raoult 

Surmortalité chez les très âgés, mais pas du tout avant 65 ans. Les mesures contraignantes  (confinement, couvre-feu, fermetures des restaurants et commerces) n’ont aucune efficacité.


Pr Raoult : la France est tiers-mondisée dans sa lutte contre le Covid

Pr Raoult : la France est tiers-mondisée dans sa lutte contre le Covid

La surmortalité la plus importante s’est produite en région parisienne.

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Pr Raoult chez Guillaume Durand.

Pr. Didier Raoult, on va rendre tout le monde fou ! (Radio Classique, 28 janvier 2021)


Le Pr Raoult chez Bercoff

Les mesures sanitaires, on le sait maintenant, ne servent à rien. C’est en famille que l’on se contamine et le confinement a fait flamber l’épidémie. Didier Raoult : « Ce n’est pas dans la rue qu’on attrape le Covid-19, mais confiné à la maison ».


Excellent article de Edouard Broussalian sur les vaccins.

Version PDF de l’article :  https://planete-homeopathie.org/wp-content/uploads/2021/01/Lettre-Ouverte-Pr-Siegrist.pdf

Dr. Edouard Broussalian : lettre ouverte sur les vaccins

Dr. Edouard Broussalian : lettre ouverte sur les vaccins

Je suis navré, aucun médecin doué de raison ne peut acheter un tel discours.

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Et son passage sur RTS revu avec humour


Chez Pascal Praud, le Pr. Peyromaure dénonce une vaccination « à marche forcée”:


Vaccin Pfizer : étude bidouillée et conclusions douteuses

Vaccin Pfizer : étude bidouillée et conclusions douteuses

Un article de Jean-Dominique Michel. C’est au fond très simple, les praticiens préconisant ce vaccin sont donc, tous, hors la loi en le recommandant. Lire la suite.


PFIZER : le vaccin, un jackpot à plus de 15 milliards de dollars

PFIZER : le vaccin rapporte plus de 15 milliards de dollars

PFIZER : le vaccin rapporte plus de 15 milliards de dollars

Le chiffre d’affaires est ressorti à 11,7 milliards, contre un consensus de 11,5 milliards.

Lire la suite.

Nice Matin, édition du 17 janvier 2021


Confinement : vers la fin de l’hystérie

Confinement : vers la fin de l’hystérie

Par  Ivan Rioufol du Figaro. « J’ai confiance en nous », a tweeté samedi le chef de l’Etat, en feignant d’oublier sa précédente politique d’infantilisation et de culpabilisation des Français. Lire la suite.


Covid-19: politicisation, “corruption,” and suppression of science

Le fameux article que cite régulièrement Louis Fouché. Par Kamran Abbasi le patron du BMJ dénonçant la corruption en manière de science ce qui nous renvoie évidement au fameux article bidon du Lancet. _ * La FDA, l’agence américaine de réglementation pharmaceutique, a approuvé l’utilisation de l’hydroxychloroquine chez tous les patients atteints de Covid-19. *

Covid-19: politicisation, “corruption,” and suppression of science

Covid-19: politicisation, “corruption,” and suppression of science

Le fameux article que cite régulièrement Louis Fouché.

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Vaccination des handicapés et trisomiques.

Les personnes fragiles et pas en état de donner leur consentement. « Les gens qui ne sont rien » de Emmanuel Macron.


Une étude sur 9 899 828 personnes en Chine montre que les asymptomatiques ne sont pas contagieux.


Le gouvernement américain a perdu un procès historique sur les vaccins !

Télécharger le PDF : https://www.lessymboles.com/wp-content/uploads/2021/02/Le-gouvernement-américain-a-perdu-un-procès-historique-sur-les-vaccins-.pdf  


Emmanuelle Charpentier, prix Nobel de chimie 2020, affirme que l’A.R.N a pour but de modifier le génome


La face cachée du système Macron

Macron le Manipulateur. Glaçant.


Francis Lalanne au Défi de la Vérité


Quand le conseil scientifique flirte avec l’illégalité

BAS LES MASQUES – Refus de la transparence : quand le conseil scientifique flirte avec l’illégalité.


Ce n’est qu’un début.

Un jour, qui se rapproche, il y aura un Nuremberg pour juger les responsables du plus grand scandale sanitaire du 21° siècle comme le titre du dernier livre de Didier Raoult.


Une information judiciaire ouverte contre Karine Lacombe après la plainte de Didier Raoult pour diffamation 

Une information judiciaire ouverte contre Karine Lacombe

Une information judiciaire ouverte contre Karine Lacombe

« Ce qui se passe à Marseille est à mon avis absolument scandaleux (…) C’est en dehors de toute démarche éthique. »

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Drosden, le monsieur vaccin d’Angela Merkel, mis en examen

Drosden, le monsieur vaccin d’Angela Merkel, mis en examen

Drosden, le monsieur vaccin d’Angela Merkel, mis en examen

le Dr Drosten, conseiller virologue d’Angela Merkel est aujourd’hui poursuivi par la justice allemande pour avoir faussé le protocole des tests PCR qui a amené tous les gouvernements occidentaux à prendre toutes ces décisions de distanciations sociales, de port du masque obligatoire et de confinement ravageuses.

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La ministre australienne fait semblant d’être vaccinée.

Le capuchon de l’aiguille reste en place !

COMMENT NOS PSEUDO ÉLITES MENTENT DEPUIS TRES LONGTEMPS, tout comme Bill Gate qui a dit que ces propres enfants ne seront JAMAIS vaccinés !!! Mais il veut vacciner la Terre entière !!! Réfléchissez ….

Autre information , la recherche d’un vaccin met environ 10 ans et là, une pseudo-pandémie en cours et déja un vaccin ???


Vaccins miracles et marketing!

Vaccins miracles et marketing!

Les « complotistes » avaient une fois de plus raison , il faut revenir à l’évidence, une évidence rappelée par le PR Fisher lui même… Et si l’urgence était de soigner ? La vaccination ne règle rien.

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Coup de chapeau au Dr Jean-Michel Crabbé

Coup de chapeau au Dr Jean-Michel Crabbé

Coup de chapeau au Dr Jean-Michel Crabbé, qui mouille courageusement la chemise en écrivant ceci à l’Ordre des Médecins: Monsieur le Président, mes chers confrères, Dans le contexte « covid-19 », je dénonce publiquement de graves violations du Code de Déontologie et du Serment d’Hippocrate par l’Ordre des médecins. Face aux discours apocalyptiques diffusés dans les médias par les hommes …

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« Danser encore », une chanson de HK.

Radio Courtoisie : Les vaccins.

Drs Louis Fouché, François Godeau, Pascal Sacré, Olivier Soulier, Me Carlo Alberto Brusa, La député Carine Montaner, Oskar Feyinger …

Réécouter les précédentes émissions : https://www.lessymboles.com/emissions-de-radio/


HUMOUR

Franjo : la vaccination

Drôle et si vrai.


Le dessin d’Emeline : « Corona etc… »

Le site d’Emeline : https://lesdessinsdeme.com/


« Olivier Soulier a fait un débriefing avec BonSens, France Soir et Xavier Azalbert »


Les prochains séminaires

Voir le programme complet de Sens et Symboles 

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Bonne semaine à toutes et à tous !




Les Nouvelles de la VÉRITÉ BRUTALE #4

[Source : Amélie Paul]

https://youtu.be/gAbyHd7fYqM



Test PCR et écouvillons : attention si vous prenez des anti-coagulants!

Par Pryska Ducoeurjoly [via Réseau International]

Des centaines de millions de tests RT-PCR ont été réalisés cette année pour tenter de contrôler l’épidémie de coronavirus. Rien qu’en France, pas moins de 18 millions[1] de personnes sont passées par l’épreuve désagréable de l’écouvillon entre mars et octobre 2020. Il est temps de s’intéresser en détail à cet instrument qui s’est imposé depuis une dizaine d’années dans le paysage des tests biologique. Est-il potentiellement dangereux ?

DOSSIER PARU DANS NEO SANTE n°106 DECEMBRE 2020

L’écouvillon, c’est un peu la baguette magique des épidémies de cas positifs que connaissent de nombreux pays. À commencer par la France, qui bat tous les records. Mais l’objet de cette enquête n’est pas de revenir sur la fiabilité du test RT–PCR dont nous avons déjà beaucoup parlé dans Néo Santé[2]. Nous savons que ce test, lorsqu’il est pratiqué en masse sur des cas asymptomatiques, a de très forte chance de donner un faux positif. Intéressons-nous cette fois à l’écouvillon, arme de détection massive longue de 18 centimètres, que l’on enfonce jusqu’au fond des fosses nasales pour y prélever de la matière virale.

Un recul d’une dizaine d’année

Le « prélèvement nasopharyngé » s’est imposé dans le cadre de l’épidémie de grippe H1N1 de 2009, une pseudo-pandémie qui a fait couler beaucoup d’encre à l’époque, le scandale santé publique précurseur de celui que nous connaissons actuellement… A l’époque, l’écouvillon et le prélèvement nasopharyngé ne sont pas encore le standard de référence. Pour s’en convaincre, il suffit de regarder les quelques rares études publiées au début des années 2010 au sujet de ce type de prélèvement. Bien que ne datant pas d’hier, le test nasopharyngé va profiter de la crise sanitaire pour s’introduire profondément dans les recommandations officielles.

Voici ce qu’écrivaient des chercheurs américains en 2012, dans l’article « Comparaison des écouvillons nasaux et nasopharyngés pour la détection de la grippe chez les adultes »[3]« La pandémie de 2009 et l’augmentation de la résistance aux antiviraux spécifiques à un type ont accru le besoin de tests de dépistage de la grippe précis, opportuns et bien tolérés par les patients. Une variété d’échantillons ont été utilisés pour le dépistage de la grippe, y compris l’écouvillon nasopharyngé (NP), l’écouvillon oropharyngé, le lavage nasal et l’aspiration nasale. Le lavage ou l’aspiration nasale est généralement considéré comme le « standard de référence » pour l’isolement du virus, mais il est difficile à réaliser et désagréable pour les patients. Les écouvillons sont plus faciles et plus rapides à prélever et peuvent être préférés par les prestataires et les patients. (…) À ce jour, aucune étude n’a comparé des écouvillons nasaux et nasopharyngés appariés prélevés sur des adultes”.

En d’autres termes, nous n’en savions pas beaucoup il y a encore 10 ans sur la pertinence des différents types de prélèvements, aussi bien en matière de fiabilité des résultats que du confort pour les patients. Mais ce que l’on découvre à travers ces études, c’est le caractère moins invasif d’un prélèvement par écouvillon que par aspiration nasopharyngée ! Cette dernière nécessite la présence de deux personnes et se fait à l’aide d’une canule beaucoup plus grosse et vraiment moins confortable, il faut le reconnaître, surtout pour les enfants[4]

Le prélèvement nasopharyngé devient la référence

En 2020, 10 ans plus tard, le prélèvement nasopharyngé s’est imposé comme la référence, du moins en France, un pays particulièrement engagé en faveur de l’écouvillonnage de sa population. En premier lieu, pour la surveillance de la grippe saisonnière. « Plus de 1 300 médecins généralistes du réseau Sentinelles assurent une surveillance clinique. Environ 300 d’entre eux, épaulés depuis 2015 par 116 pédiatres, réalisent une surveillance virologique en effectuant des prélèvements nasopharyngés qui sont analysés au Centre national de référence Virus des Infections Respiratoires”, explique l’Institut Pasteur[5].

Avec la pandémie de coronavirus, l’écouvillon a confirmé son hégémonie. Ainsi, dans un arrêté publié le 12 mai 2020 au Journal officiel, cosigné par le directeur général de la Santé, Jérôme Salomon, il est clairement indiqué que « le prélèvement à privilégier est un prélèvement nasopharyngé profond des voies respiratoires hautes par écouvillonnage ou un prélèvement des voies respiratoires basses (crachats ou liquide brochoalvéolaire) »[6]. Un arrêté qui s’inscrit dans la droite ligne des recommandations de la Société française de microbiologie (SFM) du 6 avril 2020. Dans une Mise au point publiée le 9 mai 2020 par le centre national de référence (CNR) de l’Institut Pasteur, on peut également lire que « les tests RT-PCR sur prélèvement naso-pharyngé sont aujourd’hui considérés comme la technique de référence pour les virus respiratoires ». Quant aux « prélèvements de gorge », ils ont « une sensibilité de détection inférieure à celle des prélèvements naso-pharyngés » avec « parfois un fort risque de faux négatif ».

Donc, si l’on en croit les autorités sanitaires françaises qui ont, par ailleurs, de moins en moins de crédibilité aux yeux du grand public, pour avoir un test fiable il FAUT passer par le prélèvement nasopharyngé et non par un simple prélèvement nasal (moins profond) ou dans la gorge (oro-pharyngé). Mais… Ce n’est pas la position de l’OMS ni d’autres organismes de santé publique. En effet, l’Organisation mondiale de la santé recommande de prélever des échantillons des voies respiratoires supérieures (écouvillons nasopharyngés et oropharyngés) et/ou inférieures (expectoration) en réservant l’aspiration endotrachéale pour les patients dont les symptômes respiratoires sont plus sévères.

Pas de réel avantage

En réalité, la supériorité du prélèvement par écouvillon ne fait pas l’objet d’un consensus scientifique. Un simple test salivaire réalisé chez soi ou quelques crachats envoyés au labo s’avèrent sans doute aussi efficaces, et beaucoup moins pénibles. La meilleure synthèse de l’état des connaissances a été réalisée par les Canadiens de l’Institut national d’excellence en santé et en services sociaux (INESSS). Ce document[7] compare les différentes recommandations internationales et une vingtaines d’études récentes sur les écouvillons. Je vous passe les préférences des scientifiques pour les « écouvillons en polyester floconnés montés sur une tige de plastique », concentrons-nous sur le vrai débat qui a trait au site et au mode de prélèvement à privilégier pour détecter le SARS-CoV-2.

« Les données de la littérature sont mitigées, écrit l’institut canadien. Certaines études observent des taux de positivité plus élevés dans les expectorations, suggérant qu’elles devraient être utilisées de manière préférentielle aux prélèvements nasaux [Yang 2020], nasopharyngés [Wu 2020] ou de gorge [Lin 2020]. Dans d’autres études, on observe que la charge virale de l’expectoration est semblable à celle du prélèvement de gorge [Pan 2020] et que la charge virale du prélèvement de gorge est semblable à celle du prélèvement nasopharyngé [Wolfel 2020], ou encore que le prélèvement nasal [Zou et al., 2020] ou nasopharyngé [Becker 2020] possède une charge virale 8 supérieure au prélèvement de gorge ou de la salive. Selon une étude finlandaise, le prélèvement nasal aurait une sensibilité comparable à l’aspiration nasopharyngée [Waris et al., 2013]. ». Bref, c’est kif-kif bourricot…

L’auto-prélèvement maison, tout aussi valable !

« Deux études américaines [Kojima 2020, Tu 2020] ont testé une approche différente, soit l’autoprélèvement, poursuit l’INESSS. Ils sont arrivés à la conclusion que le taux de positivité obtenu à partir de prélèvements oraux (salive) et nasaux effectués par les patients eux-mêmes sont semblables aux taux de positivité obtenus à partir de prélèvements nasopharyngés réalisés par des professionnels de la santé. De plus, une revue systématique [Khurshid 2020] et quatre études primaires [Iwasaki, Jamal, Pasomsub, Williams, 2020], dont une canadienne, ont montré que la salive est une alternative efficace, voire plus sensible dans certaines circonstances que les écouvillons nasopharyngés, en plus de permettre l’autoprélèvement à domicile afin de détecter le SARS-CoV-2 à grande échelle. Un protocole américain est présentement en cours d’essais afin de démontrer la faisabilité de l’autoprélèvement de salive dans un contexte de COVID-19 [Sullivan, 2020] ».

Pour toutes ces raisons, rien ne vous oblige à préférer l’écouvillon naso-pharyngé pour une question de fiabilité ! D’ailleurs, la possibilité d’avoir un prélèvement moins invasif reste ouverte dans bon nombre de pays, même en France (en insistant lourdement…) puisque la Haute autorité de santé (HAS) a rendu un avis[8] favorable, le 20 septembre 2020 : « Les prélèvements salivaires représentent une alternative mais pour les seuls patients symptomatiques. Aujourd’hui, la HAS valide le recours au prélèvement oropharyngé pour les tests RT-PCR des personnes asymptomatiques chez qui le prélèvement nasopharyngé est contre-indiqué ».

Un test pénible voire douloureux

« Ma conjointe a eu un mal de tête accompagné de points de couleur devant ses yeux pendant 2 jours », explique un internaute sur Twitter (où l’écouvillon a bien circulé). « L’infirmière a tellement insisté/trituré que j’avais vraiment envie de lui coller un pain », commente une autre sur le même réseau. « Une heure après le test, j’avais encore une sensation bizarre au fond de mon nez. Pas vraiment douloureuse non plus, mais assez gênante. Surtout que j’ai subi le test à une période où je faisais de fortes allergies aux pollens, ça ne m’a sans doute pas aidé, je n’arrêtais pas d’éternuer », explique Nicolas[9].  « Je l’ai pour ma part trouvé plus désagréable que douloureux, mais je ne peux pas dire que ça ne fait pas mal du tout. Concernant mes collègues, je dirais que 60 à 70% l’ont trouvé douloureux », explique une infirmière.

En fonction de la sensibilité de la personne testée et la dextérité du praticien les expériences sont très personnelles. Ce n’est en tout cas pas un acte médical anodin car il y a une manipulation qui doit être bien réalisée. Comme l’explique le CHU d’Angers dans sa démonstration vidéo sur Youtube (« Prélèvement naso-pharyngé – COVID-19 »[10]), la première erreur à éviter est d’introduire l’écouvillon parallèlement à l’arête du nez. On butte sur la « plaque cribriforme » qui est une porte d’entrée micro perforée vers le système nerveux central, via les ramifications du nerf olfactif.

Et la barrière hémato-encéphalique ?

Certains articles en ligne ont affirmé que les couillons pouvaient perforer la barrière hématoencéphalique et que les tests pouvaient servir de prétexte à introduire des nanoparticules dans le cerveau. Qu’en est-il vraiment ?

La barrière hémato-encéphalique, découverte en 1885, a pour fonction principale d’isoler le système nerveux central (SNC) de la circulation sanguine, en empêchant que des substances étrangères/molécules potentiellement toxiques/agents pathogènes ne pénètrent dans le cerveau et la moelle épinière. Après enquête, ces articles s’avèrent finalement diffuser des affirmations non sourcées, qui ne reposent sur aucune étude ou fait avéré. Lorsque le test est pratiqué correctement, il ne touche pas la plaque cribriforme, mais vient butter sur le carrefour oro-pharyngé, entre l’arrière du nez et la gorge.

L’écouvillon ne peut pas atteindre la barrière hémato-encéphalique ni percer cette partie anatomique, mais il peut en revanche faire saigner.

De nombreux témoignages ont abondé en ce sens, notamment avec un certain type d’écouvillon. Un article[11] de medi-sphere.be (donc en Belgique) rapporte le 14 septembre 2020 que « De nouveaux écouvillons livrés par le fédéral aux centres de dépistage feraient saigner un patient sur deux ». Le Dr Maxime Delvaulx, comme d’autres, dénoncent la souffrance des patients : « Nous sommes confrontés depuis 15 jours à un problème d’écouvillons. Ils sont très coupants. Même en le frottant sur le doigt, cela fait mal. Ces écouvillons se prennent dans les poils du nez et ils font saigner un patient sur deux. A l’utilisation, ils sont rigides et ils cassent très vite. » Cela amène les médecins à faire des choix : « Nous ne les utilisons plus pour les enfants ni pour les adultes sous anticoagulants. »

Des contre-indications nombreuses

C’est dire si ce test n’est pas anodin, surtout pour les personnes qui ont des antécédents médicaux divers : problèmes cardiaques (anticoagulant), problèmes O.R.L., patients ayant des troubles psychiatriques, personne ayant une déviation nasale, etc. De fait le test est contre-indiqué dans un assez grand nombre de cas. Si elle n’est pas bien repérée, une contre-indication à l’écouvillon peut tourner au cauchemar :

« Un test Covid a provoqué une fuite de liquide céphalo-rachidien, rare complication chez une patiente fragilisée », titre ainsi Sciences et Avenir le 2 octobre dernier : « Une patiente américaine a consulté peu après un test nasal du Covid-19 pour vomissements, maux de tête, nuque raide, et une fuite de liquide céphalo-rachidien par le nez. Le test, probablement mal administré (au niveau de la plaque cribriforme, ndlr), avait endommagé la base du crâne, fortement fragilisée par une ancienne intervention de ponction à la suite d’hypertension intracrânienne ».

« Ce cas montre que les professionnels de la santé doivent suivre les protocoles à la lettre », indique Jarrett Walsh, auteur de l’étude de ce cas, publiée dans la revue JAMA Otolaryngology–Head & Neck Surgery[12]

« Il convient d’envisager des méthodes alternatives au dépistage nasal chez les patients présentant des défauts antérieurs connus de la base du crâne, des antécédents de chirurgie des sinus ou de la base du crâne, ou des conditions prédisposant à l’érosion de la base du crâne ».

Gare aux écouvillons contaminés !

Si les rumeurs d’implantation de nano matériaux ou de prélèvements d’ADN ne reposent sur aucune source crédible, en revanche une contamination des écouvillons peut poser un réel problème. Des cas de contamination ont été largement rapportés cette année par la presse (voir plus loin). Ces écouvillons peuvent infecter le patient à l’endroit précis où se logent les virus respiratoires. Il est connu aujourd’hui que certains virus peuvent passer la barrière hémato-encéphalique toute proche. Leurs voies principales d’entrée se fait soit par le sang soit par transport le long des neurones. 

« Concernant les troubles neurologiques associés aux virus respiratoires, on sait par ailleurs que c’est la sphère oropharyngée qui est touchée principalement, ce qui est plutôt propice à une infection cérébrale »,

explique France Culture, dans une émission[13] de 58 minutes dédiées à la « Barrière hémato-encéphalique : la dernière frontière ».

« Concernant le SARS-CoV-2, 2 hypothèses sont soulevées pour expliquer les symptômes neurologiques associés à la maladie : le virus pourrait parvenir jusqu’au SNC par le sang (encéphalite virale), mais les troubles neurologiques pourraient également ne pas être liés au virus lui-même et pourraient être provoqués par la réaction inflammatoire excessive déclenchée en réponse au virus (la tempête de cytokines) qui irait occasionner des dommages au cerveau. Ce serait donc là une encéphalite auto-immune. Certains émettent une 3e hypothèse, selon laquelle le nez pourrait être la voie d’accès au cerveau, puisque la perte d’odorat est commune à certains malades de la Covid-19 ». D’où l’absolue nécessité de disposer d’écouvillons stériles !

Des importations ou fabrications suspectes

Or, de très nombreux articles ont relayé des problèmes de lots contaminés. Par exemple au Québec, des milliers d’écouvillons importés de Chine ont révélé[14] la présence d’un champignon ! D’autres provinces du Canada ont aussi été concernées : les autorités sanitaires de la Saskatchewan ont indiqué avoir reçu 7.000 écouvillons contaminés de la part de l’Agence de la santé publique du Canada. En Colombie-Britannique, il y en avait 30.000. Au Manitoba, 8.800 tests de dépistage en provenance du Laboratoire national de microbiologie étaient contaminés, selon le ministère de la Santé. Le Nouveau-Brunswick a également reçu 6.400 trousses de dépistage chinoises défectueuses : « Dès qu’on les a reçus, on s’est rendu compte qu’ils étaient tous contaminés avec des bactéries », explique le Dr Richard Garceau, microbiologiste-infectiologue au CHU Dumont qui estime que pas moins de 320.000 tests ont pu être contaminés. Contaminés dans le sens où ils ne sont tout simplement plus stériles.

En Ontario également, le premier ministre Doug Ford a lui aussi confirmé qu’une livraison de 100.000 écouvillons en provenance d’Asie était arrivée contaminée par de la moisissure plus tôt dans le mois. Quand on sait le nombre d’écouvillons chinois importés partout dans les pays en pénurie, il y a de quoi se poser des questions sur le matériel qui a servi à tester de nombreux Européens.

Les États-Unis ont connu des déboires similaires, mais émanant de leurs propres fabricants. Une fois à cause d’une contamination « probable » aux Centers for Disease Control and Prevention[15] qui a abouti à des résultats faussement positifs. Une autre fois à cause du laboratoire Randox[16] : 750 000 tests rappelés pour suspicion de contamination de l’écouvillon, en août 2020…

Tous ces faits divers montrent que le matériel de tests nécessite une manutention complexe pour bénéficier d’une complète stérilité. Donc, renseignez-vous bien sur la provenance des kits de tests et d’écouvillons si vous devez vraiment faire tester !

Votre nez les intéresse…

Je ne pouvais pas finir cette enquête sans vous parler d’une découverte que j’ai faite à l’occasion de mes recherches sur les rumeurs de nanoparticules présentes dans les écouvillons. En consultant le site de référence PubMed, j’ai flairé deux articles intéressants. Le premier, une étude[17] indienne datant de 2010 : « Potentiel des systèmes d’administration de médicaments nanoparticulaires par administration intranasale ». Les auteurs nous expliquent que : « Le cerveau bénéficie de l’administration intranasale car le transport olfactif direct contourne la barrière hémato-encéphalique et les nanoparticules sont absorbées et transportées le long des processus cellulaires des neurones olfactifs à travers la plaque criblée jusqu’aux jonctions synaptiques avec les neurones du bulbe olfactif. »

Cela confirme le fait que votre nez n’est pas étanche… et qu’il pourrait servir de voie royale à l’absorption de nouveaux médicaments, et notamment de nouveaux vaccin nanoparticulaires. D’autres études ont suivi en ce sens, comme en 2019, cet article[18] en provenance de Hongrie : « Systèmes nanoparticulaires intranasaux comme voie alternative d’administration des médicaments ». On y trouve à peu près la même chose que dans l’étude indienne mais avec la mise à jour suivante : « Selon les études rapportées sur l’administration intranasale basée sur la nanotechnologie, une attention potentielle a été concentrée sur le ciblage du cerveau et l’administration de vaccins avec des résultats prometteurs. Malgré les efforts de recherche importants dans ce domaine, les produits à base de nanoparticules pour l’administration intranasale ne sont pas disponibles. Ainsi, des efforts supplémentaires sont nécessaires pour promouvoir l’introduction de produits nanoparticulaires intranasaux qui peuvent répondre aux exigences des affaires réglementaires avec une forte acceptation par les patients. »

En conclusion, attendez-vous ces prochaines années à voir arriver sur le marché des vaccins nasaux composés de nanoparticules. D’un grand confort d’administration, leurs conséquences pourraient s’avérer beaucoup plus intrusives et définitives que le pénible écouvillon !


[Notes]

[1] « Covid : le nombre de tests PCR en nette accélération en France ». Les Echos, 23 octobre 2020.

[2] Voir https://www.neosante.eu/4-raisons-de-detester-le-test/ et « Tests du covid-19, attention aux faux positifs ! » sur www.pryskaducoeurjoly.com

[3] « Comparison of Nasal and Nasopharyngeal Swabs for Influenza Detection in Adults ». Stephanie A. Irving et al. Clin Med Res. 2012 Nov

[4] « Comparing nose-throat swabs and nasopharyngeal aspirates collected from children with symptoms for respiratory virus identification using real-time polymerase chain reaction ». Stephen B Lambert et al. Pediatrics, sept. 2008.

[5] https://www.pasteur.fr/fr/comment-diagnostiquer-grippe

[6] « Dépistage du Covid-19 : un million d’écouvillons livrés par la Chine attendent le feu vert pour être utilisés », par Benoît Collombat, Cellule investigation de Radio France, publié sur fanceinter.fr, mis à jour le 16 mai 2020.  https://www.franceinter.fr/depistage-du-covid-19-un-million-d-ecouvillons-livre-par-la-chine-attendent-le-feu-vert-pour-etre-utilises

[7] « COVID-19 et pénurie d’écouvillons », 27 mai 2020. https://www.inesss.qc.ca

[8] « COVID-19 : avis favorable au prélèvement oropharyngé en cas de contre-indication au nasopharyngé »
Communiqué de presse du 25 sept. 2020 sur www.has-sante.fr

[9] « Covid-19 : le test PCR est-il douloureux ? » Maxime Poul, Yahoo Actualités, 20 juillet 2020.

[10] https://youtu.be/fhShfC0Eczo

[11] https://www.medi-sphere.be/fr/actualites/de-nouveaux-ecouvillons-livres-par-le-federal-aux-centres-de-depistages-feraient-saigner-un-patient-sur-deux.html

[12] « Cerebrospinal Fluid Leak After Nasal Swab Testing for Coronavirus Disease 2019 », Christopher Blake Sullivan.  October 1, 2020, JAMA Otolaryngol Head Neck Surg.

[13] Le 25/05/2020. Dans l’émission « La méthode scientifique », par Nicolas Martin. https://www.franceculture.fr/emissions/la-methode-scientifique/la-methode-scientifique-emission-du-lundi-25-mai-2020

[14] Radio-Canada, publié le 22 avril 2020. https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1696091/test-depistage-ecouvillons-covid-19-contamines-chine-quebec

[15] « CDC coronavirus test kits were likely contaminated, federal review confirms ». 20 juin 2020.  www.washingtonpost.com

[16] « Tory-linked firm behind ‘contaminated’ Covid-19 tests keeps government contract », le 14 aout 2020. www.mirror.co.uk

[17] Potential of nanoparticulate drug delivery systems by intranasal administration”, Javed Ali. Curr Pharm Des. 2010 May

[18] https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/31453778/

Articles complémentaires




Le Nouvel Ordre Mondial est en route et nous devons le combattre — Rav Dynovisz

[Source : TORAH STUDIO]

NdNM : Rav Dynovisz expose notamment dans cette vidéo le parallèle étonnant entre l’histoire biblique du Déluge à la tour de Babel et notre époque depuis approximativement la Révolution française. L’époque prédiluvienne était caractérisée par la dilution des mœurs et la corruption des valeurs (comme ce que nous vivons au moins depuis les années 60-70). L’époque de Nimrod est celle que nous vivons maintenant avec l’installation de la dictature technologique du Nouvel Ordre Mondial. La lutte d’Abraham contre ce dictateur futé trouve son parallèle dans celle des « complotistes » et autres résistants au NOM.

Voir aussi :





Les comploteurs démasqués : Macron cheval de Troie du Nouvel Ordre Mondial et de la finance

Par Alain Nicolaï et Joseph Stroberg

Le 1er décembre 2020, nous avons publié cet article : Le Choc en Retour II ou Macron en Place sur son siège… éjectable.

Le 26 janvier 2021, Macron a participé au Forum Économique Mondial virtuel de Davos 2021 en faisant une intervention en compagnie de Klaus Schwab.

Forum Économique Mondial de Davos

Le Forum Économique Mondial (weforum.org)

Klaus Schwab

Klaus Schwab est le fondateur et le président du Forum de Davos (Forum Économique Mondial) depuis 1971. C’est sans aucun doute un des plus fervents promoteurs du Nouvel Ordre Mondial, il y a consacré toute sa carrière !
Le livre de Klaus Schwab écrit avec un collaborateur (Thierry Malleret) et publié en 2020.

COVID-19: The Great Reset | Malleret, Thierry & Schwab, Klaus

Analyse de cet ouvrage par des journalistes dissidents de The Guardian :
• en anglais : https://off-guardian.org;
• traduction en français : Le « Great Reset » n’est pas du complotisme.

Intervention commune de Klaus Schwab et de Macron

Transcription

INTERVENTION DU PRÉSIDENT DE LA RÉPUBLIQUE DANS LE CADRE DE L’AGENDA DE DAVOS ORGANISÉ PAR LE WORLD ECONOMIC FORUM

26 JANVIER 2021 — SEUL LE PRONONCÉ FAIT FOI

Le Président de la République

Bonjour, Professeur SCHWAB, je suis très heureux aussi de vous retrouver par ce biais, et merci en effet d’avoir organisé ces échanges qui, je crois, s’imposent encore plus dans la période.

Je voudrais faire le lien entre le monde d’aujourd’hui et le monde d’après. D’abord parce que dans tous nos pays, les sociétés se transforment avec l’expérience qu’on est en train de vivre. Et je crois qu’on a quelques leçons à retenir de ce qu’on vit tous ensemble depuis un peu plus d’un an, et qui va encore durer, on le sait, pendant des mois, certains nous disent, des années. Avec en tout cas une présence plus ou moins forte de ce virus.

Je crois que la première chose que ça nous a enseigné, c’est qu’on ne peut pas penser l’économie sans l’humain. Alors, ça paraît être une banalité de dire ça, mais enfin, nous avons fait, dans tous nos pays, quelque chose qui était considéré comme impensable, c’est-à-dire qu’on a arrêté toutes les activités économiques pour protéger des vies. Première leçon. Et on s’est rappelé que l’économie dont vous parlez, c’était une science morale et donc que la vie des hommes primait sur les échanges et les chiffres.

La deuxième chose, c’est que cette période nous rappelle notre vulnérabilité, à titre personnel, si je puis dire (j’en ai fait les frais en l’attrapant), mais comme organisation, entreprise, société, pays. Et la vulnérabilité, ça veut dire qu’on ne peut pas penser nos organisations de notre économie sans l’intégrer. Et c’était au fond une idée qui nous paraissait – certains avaient plus conscience que d’autres sur ce sujet – mais qui nous paraissait parfois lointaine quand on parlait de l’écologie et du climat. Mais c’est la même notion. C’est de dire : ce qui se passe autour de nous a un impact sur notre quotidien et peut, en quelque sorte, briser les chaînes, changer nos vies.

Une fois que j’ai dit ça, ça veut dire qu’on ne peut rien reconstruire, à mes yeux, dans le monde d’après- Covid, qui ne tire les leçons de ces deux éléments fondamentaux. L’économie est redevenue une science morale, et rien n’est au-dessus de la valeur humaine ; et nos sociétés sont vulnérables parce que la nature nous le rappelle et elles sont vulnérables face à des événements pandémiques, climatiques et autres.

Et donc, l’économie de demain, forte de ces enseignements, mais de ce qu’on savait aussi avant, parce qu’il y a aussi, on parle beaucoup des variants dans cette période, il y a aussi des invariants, eh bien, l’économie de demain, c’est à mes yeux, une économie qui va devoir penser à la fois l’innovation, la vulnérabilité et l’humanité, et donc qui va devoir construire une autre compétitivité compatible et même aidant à la résolution des problèmes climatiques : réduction du CO2, adaptation de nos sociétés parce qu’on en a déjà les conséquences, agenda biodiversité. Ça veut dire une économie qui devra être plus résiliente aux chocs et donc intégrer dans ses modes de protection des individus, dans ses organisations des éléments de résistance, soit dans ses chaînes de production, soit dans ses organisations logistiques très fines des éléments de résilience -on pourra y revenir si vous le souhaitez- et une économie qui prenne en compte ce principe d’humanité, qu’il s’agit d’ailleurs du sanitaire ou des inégalités sociales. Et on avait ce problème, on en avait parlé ensemble il y a un an. Et je crois qu’on ne sortira pas de la Covid-19 avec une économie, je dirais, qu’on sortira plutôt de la Covid-19 avec une économie qui aura encore plus en son cœur la problématique de la lutte contre les inégalités. Voilà les quelques convictions rapidement brossées.

Pr Klaus SCHWAB

Monsieur le Président, je crois, l’année passée, vous avez dit dans une réunion de l’OID que le capitalisme est devenu fou, et dans le contexte que vous dites d’une économie morale, quelle est votre conception du rôle de l’entreprise, de la philosophie de l’entreprise ? Je pose la question parce que j’ai publié aujourd’hui un livre qui s’appelle « Stakeholder capitalism », which means un capitalisme des parties prenantes. Quelle est votre philosophie ?

Le Président de la République

Je me retrouve dans la formule du stakeholder capitalism, mais au fond, ce qui est vrai, c’est quand on regarde l’évolution des dernières décennies, nous avons un capitalisme qui, d’abord, capitalisme et économie de marché ont des vraies réussites dans cette dernière décennie, parce qu’il ne faut pas caricaturer les choses. Elle a permis l’ouverture des économies. Le commerce mondial, le capitalisme ont permis de sortir de la pauvreté des centaines de millions de personnes. Donc ça, ça a eu un intérêt. Ça a permis de procéder à beaucoup d’innovations, ça a permis de répondre à des demandes du citoyen consommateur de nos économies de manière extraordinaire, avec de l’accès aux biens et à des services comme rarement dans l’humanité, nous y avons eu accès. Donc ça, c’est le formidable succès des dernières décennies. Il y a une façon à tout cela. C’est que tout cela est allé avec, un, évidemment, de la création d’inégalités dans nos sociétés ; c’est-à-dire que l’ouverture et la théorie des avantages comparatifs a permis de sortir de la pauvreté à l’autre bout du monde des gens et d’autres concitoyens pour accéder à la production, mais à la sortie de la production et donc de l’activité, de l’utilité sociale, d’un rôle réel et d’un accès aux salaires, beaucoup de nos concitoyens qui ont eu à souffrir des crises de délocalisation que toutes les économies développées ont eu à vivre. Et c’était un choc à la fois économique et social pour des centaines de millions dans le monde, dans mon pays des centaines de milliers, voire des millions de personnes qui ont eu ce sentiment de perte d’utilité, qui ont perdu leurs emplois avec une vraie crise économique et morale. Et en quelque sorte ce problème, il a été externalisé par le capitalisme des dernières décennies.

Le deuxième sujet, c’est la déconnexion entre la création de valeur et les profits. Il y a une financiarisation de ce capitalisme. La financiarisation, c’est une très bonne chose quand elle permet d’aller plus vite, quand elle permet de procéder à la bonne allocation de l’épargne vers les besoins de financement. C’est une mauvaise chose quand elle sur-alloue en quelque sorte de la rémunération, alors qu’il y a peu de prise de risque et donc qu’elle permet des enrichissements qui ne sont pas liés ni à un travail ni à un phénomène d’innovation. Et c’est ce qui s’est passé. Donc, il y a eu une espèce d’emballement qui a accru ce premier phénomène d’inégalité. On a revu dans toutes nos sociétés une inégalité croissante en leur sein.

Troisième phénomène, avec l’accélération des réseaux sociaux, elle a mondialisé l’imaginaire en créant aussi une insoutenabilité, si je puis dire, des systèmes de comparaison, je dirais ce terme, de plus en plus difficiles.

Quatrième problème, elle a totalement externalisé le problème climatique pendant des décennies, c’est- à-dire qu’on a créé une logistique mondiale, des échanges mondiaux. On a dit au fond, il y a deux rois dans ce système : le consommateur et l’actionnaire, et le système a très bien produit pour le consommateur et l’actionnaire, mais il a ajusté sur le travailleur et sur le reste de la planète. Et en quelque sorte, on a créé des externalités négatives, comme on dit pudiquement, en termes climatiques.

Ces quatre phénomènes ont alimenté la crise des inégalités sociales, la crise de la démocratie et la crise climatique. Et donc, le modèle capitaliste marié à l’économie de marché ouverte, il ne peut plus fonctionner dans cet environnement. Pourquoi ? Parce qu’il a été le fruit historiquement d’un compromis qui étaient des sociétés démocratiques, l’individu libre, des libertés individuelles, le progrès des classes moyennes qui ont créé la soutenabilité dans chacune de nos sociétés. Et il est en quelque sorte complètement percuté, cet équilibre, ce consensus qu’il y avait, par ces 4 accélérations. Et donc, moi, je crois très profondément dans votre Stakeholder Capitalism, entre autres, c’est-à-dire dans l’idée de dire qu’on doit remettre au cœur du modèle la réponse à ces problématiques.

On a au fond, durant les dernières années, essayé d’y répondre par une réponse des États. L’État seul ne peut pas le faire parce que sinon on a un problème, c’est que l’État est le seul à corriger des externalités négatives. Et donc, il s’endette de plus en plus pour payer tout seul la réponse aux problèmes climatiques, pour payer tout seul la réponse aux inégalités. Et vous avez en quelque sorte un modèle où la dette publique devient trop importante et/ou c’est le contribuable qui vient payer pour toutes ces crises. Le contribuable est en quelque sorte le sédentaire de ce modèle et celui qui ne peut pas non plus en tirer tous les bénéfices. C’est pourquoi ma conviction, c’est que le modèle capitaliste, parce que je crois malgré tout que nous construirons l’avenir de l’humanité en gardant quelques fondamentaux : la propriété privée, la coopération, les libertés individuelles et collectives qui ont fait nos sociétés. Et donc, que tout ça doit simplement conduire à repenser nos organisations pour réintégrer au cœur de l’entreprise. Eh bien, la prise en compte des inégalités sociales dans nos pays, des inégalités entre les différents espaces géographiques, des conséquences climatiques que nous vivons, entre autres.

Et au fond, ce qu’on a ces dernières années appelé la responsabilité économique, environnementale, sociale de nos entreprises, l’approche par l’impact de nos entreprises, ce sont des innovations qu’il nous faut maintenant pousser beaucoup plus loin et nous devons réformer nos entreprises en leur sein pour qu’en leur cœur, pour que, en quelque sorte, l’ensemble des parties prenantes, donc stakeholders, les employés, les dirigeants, les actionnaires intègrent dans leurs comportements, mais aussi dans ce qu’on mesure, eh bien, l’impact de leurs actions en termes économiques, sociales, environnementales et démocratiques.

Pr. Klaus SCHWAB

Vous avez mentionné qu’en mesure, je suis très heureux, monsieur le président, de vous dire qu’aujourd’hui même, on a annoncé l’engagement de la société ici virtuellement, de reporter régulièrement selon des critères très exacts sur le progrès qu’ils font dans leur responsabilité sociale, écologique et aussi en ce qui concerne la goutte [inaudible]. J’aimerais bien reprendre l’écologie. Je crois avec aussi l’engagement maintenant du Gouvernement de la nouvelle administration américaine pour les objectifs du traité de Paris. Ma question, on a certainement fait beaucoup de progrès, mais je vous demande : est-ce que vous êtes satisfait avec ces progrès ? Ou est-ce que vous souhaiterez une sorte de nouveau consensus qui va au-delà de ce qu’on a discuté et décidé auparavant ?

Le Président de la République

Je pense plusieurs choses sur ce sujet. D’abord, on a une question de mise en œuvre, on a discuté et on s’est mis d’accord sur beaucoup de choses : un agenda climatique, l’agenda de Paris. Et aujourd’hui, nous ne sommes pas au rendez-vous tous ensemble, exactement de nos actes. Et donc, je pense que la priorité des priorités, c’est de manière coordonnée, de tout faire pour tenir nos engagements. Je dis de manière coordonnée parce qu’en quelque sorte, le passager clandestin peut détruire tout le système. Tout cela ne marche que si on avance ensemble au même rythme pour ne pas créer des biais de compétitivité. Et c’est en cela que les dernières années ont été capitales au moment où les États-Unis d’Amérique avaient décidé de quitter l’accord de Paris, à l’été 2017, il y avait un grand risque. Et moi, je regarde quand même les années qui viennent de s’écouler comme des années de résistance formidable où le château de cartes ne s’est pas effondré parce qu’on a tous ensemble tenu, on a créé cette initiative du One Planet Summit le 12 décembre 2017 avec ces coalitions. Tous ensemble on a tenu, Européens, avec beaucoup de pays émergents, développés, avec la Chine il faut bien le dire aussi qui a coopéré très fortement et avec le secteur privé et les États fédérés américains. Et là on a une administration américaine dont le premier geste est de revenir dans les accords de Paris.

Donc, moi, mon premier objectif, c’est qu’on tienne ces accords de Paris ; rehaussement de nos objectifs 2030, nous l’avons fait en européen en décembre dernier avec la réduction d’émissions comme on l’a dit, -55%, ce qui est un objectif très important. Deuxième point, neutralité carbone 2050. Ce sont les deux points de passage absolument décisifs pour, dans les prochaines années, structurer nos comportements. Derrière, il faut qu’au niveau régional et national, on décline ces stratégies et c’est là le plus dur, c’est-à-dire avoir un prix carbone suffisamment élevé, des mécanismes qui incitent nos entreprises et nos investisseurs à aller plus vite dans la direction, des mécanismes d’accompagnement et de sanction pour que les entreprises et les ménages puissent aller plus vite et plus fort, qu’on renouvelle plus rapidement notre parc automobile, qu’on change plus vite la rénovation de nos bâtiments, etc. etc. Donc ça, c’est le premier pilier, il est essentiel.

Le deuxième pilier, il est d’embarquer véritablement tout le secteur financier et toutes les entreprises et ça rejoint la discussion qu’on avait juste avant. On a des coalitions très importantes à cet égard, et moi je crois beaucoup à l’initiative qu’on a mise en place avec le One Planet Summit, des sovereign wealth funds, asset managers et private equity. Et on l’a réuni le 12 décembre dernier en mode virtuel. Et maintenant, on a réussi à généraliser, en effet, une même nomenclature. Tout le monde s’est engagé avec la task force for Climate-related financial disclosure, TCFD, qui est une vraie avancée à cet égard. On a une même méthodologie et on avance. Donc les investisseurs se sont engagés sur une méthodologie de mesure qui correspond exactement à ce que vous venez de dire et qui, maintenant, est en train de se décliner sur les entreprises. Et par exemple, on a obtenu en décembre dernier, le 12 décembre dernier, que les 40 entreprises du CAC 40 français intègrent cette méthodologie. Ce qui veut dire qu’elles vont devoir reporter à leurs actionnaires, aux marchés, le fait qu’elles sont justement elles- mêmes conformes à ses engagements et qu’elles font des efforts.

Troisième pilier de notre action, c’est qu’on fasse la même chose sur la biodiversité. Moi je crois beaucoup qu’on ne tiendra l’engagement climatique que si on arrive à engager nos entreprises, nos investisseurs, nos pays sur un agenda biodiversité. C’est tout le sens d’ailleurs de ce qu’on a fait avec One Health, qui est de rassembler notre sujet santé humaine, biodiversité, lutte contre le réchauffement climatique et contre la désertification. Mais je crois véritablement qu’on n’est encore qu’au début sur le climat, sur la biodiversité. Et c’est très important parce que c’est des changements de production dans notre agriculture, c’est des changements de notre mode de consommation, de notre mode de vie. Et donc là, nous avons à bâtir cette année les règles communes. Et donc quand vous dites qu’est-ce que l’on doit réussir à négocier de plus ? Eh bien moi, je pense qu’à la COP de Kunming, on doit réussir à négocier l’équivalent de l’accord de Paris pour la biodiversité. Nous avons réuni, il y a quelques jours à Paris et en mode virtuel, un One Planet Summit biodiversité, c’était le premier du genre. On a pris plusieurs initiatives très fortes : la Grande Muraille verte, justement, pour dans 11 pays du Sahel et de la Corne de l’Afrique, réussir à lutter contre la désertification ; beaucoup d’initiatives en matière de biodiversité. Et on a lancé une initiative, là aussi, de disclosure en matière financière pour intégrer la biodiversité dans ces critères, avec un rendez-vous qui se tiendra cet été. Et donc, ça, c’est le point clé. Voilà les trois piliers.

Pr. Klaus SCHWAB

Monsieur le Président, si on prend tous ces changements, est-ce que ça signifie aussi un nouveau mode de mondialisation ? Est-ce c’est aussi, comme on dit, un « new normal » pour la mondialisation ?

Le Président de la République

Alors complètement. Je vais vous dire, tout ce qu’on est en train de se dire converge pour moi vers trois éléments. Le premier, on doit bâtir un nouveau consensus. Le 11 novembre dernier, lors du Forum de Paris pour la paix, on a essayé de réunir des chefs d’Etat et de gouvernement, des ONG, des organisations internationales, des intellectuels pour essayer de réfléchir à ce qu’on a appelé très immodestement le consensus de Paris. C’est le consensus de partout, qu’importe, mais de se dire plusieurs décennies après le consensus de Washington, il nous faut bâtir un nouveau consensus dont les règles ne sont pas la réduction de l’État, la baisse du secteur public et la création de valeur uniquement pour justement l’actionnaire. Et donc on doit bâtir, et c’est exactement la discussion qu’on a depuis tout à l’heure ensemble, un nouveau consensus qui intègre tout cela et qu’il remet au cœur du modèle. Deuxième point, il faut trouver un nouveau mode de coopération entre les États, c’est-à-dire retrouver un multilatéralisme efficace. C’est ce à quoi je crois depuis des années. Il était bloqué, en effet, par une administration américaine qui n’y croyait pas. Je nourris beaucoup d’espoirs en ce début d’année avec un partenaire américain, je l’espère, qui va se réengager, et donc nous devons construire un multilatéralisme efficace qui permettra de répondre et de mettre en œuvre ce nouveau consensus. Et puis, troisième chose, on a besoin de bâtir ces nouvelles coalitions, celles-là même qu’on a essayé de construire dans le cadre des One Planet Summit. C’est-à-dire qu’au fond, pour répondre à ces défis, le « new normal » dont vous parlez est une interaction et je salue à cet égard le caractère très innovant de votre forum, depuis des décennies, vous avez pensé ça, c’est-à-dire la coopération, mais au concret entre les États, les ONG, les entreprises, les investisseurs. C’est-à-dire que ce « new normal » dont on parle, la mise en scène du consensus, ce n’est pas qu’un multilatéralisme intergouvernemental, ce sont des coalitions d’acteurs hétérogènes qui se donnent les mêmes objectifs pour avoir des résultats.

Pr. Klaus SCHWAB

Monsieur le Président, ça me donne justement une raison de vous demander : je sais votre intérêt pour toutes les nouvelles technologies, pour ce qu’on appelle la quatrième révolution industrielle, mais dans toute sa conception, disons, le numérique joue un très grand rôle.

Comment voyez-vous l’impact de la puissance de l’écosystème numérique sur tout ce que vous avez dit ?

Le Président de la République

Je pense qu’il y en a plusieurs. Le premier, c’est que nous sommes en effet en train de multiplier les révolutions, quand on parle de numérique. Il y a plusieurs révolutions en une. Nous sommes au début de plusieurs révolutions technologiques qui nous font complètement changer de dimension. On a la révolution de l’intelligence artificielle, qui va totalement changer la productivité et même aller au-delà du pensable dans énormément de verticaux, de l’industrie à la santé en passant à l’espace. À côté de la révolution de l’intelligence artificielle, il y en a une deuxième qui, pour moi, est totalement fondamentale, qui est celle du quantique, qui va là aussi, par la puissance de calcul et la capacité d’innovation, profondément changer notre industrie, en changeant l’industrie des capteurs et donc ce qu’on peut faire dans l’aéronautique, ce qu’on peut faire dans le civil, changer totalement la réalité du cyber, par exemple ; et notre puissance de calcul, ce qui veut dire aussi la capacité qu’on a à résoudre des problèmes. Je prends l’épidémie que nous sommes en train de vivre, l’intelligence artificielle et le quantique sont des instruments de gestion, de transformation de gestion de l’épidémie. C’est-à-dire que vous pourrez régler des problèmes qui aujourd’hui prennent des semaines, en un jour. Vous pourrez régler des problèmes de diagnostic, peut-être en quelques secondes, grâce au croisement de l’imagerie médicale et de l’intelligence artificielle. Et donc dans la grande famille de ce qu’on appelle le numérique, on a en fait une convergence entre des innovations, celles du numérique, qui est au fond, quand on appelle ça génériquement, des réseaux sociaux et d’une hyper connectivité avec celle de l’intelligence artificielle et des technologies quantiques.

Le mariage de tout ça fait que nous allons rentrer dans une ère d’accélération de l’innovation, de rupture très profonde d’innovation et donc de capacités à commoditiser certaines industries et créer de la valeur très vite. Par rapport à ce que j’ai dit, qu’est-ce que cela a comme impact ? Un, on va continuer

àinnover et à accélérer. C’est sûr. Deux, il y aura des impacts en termes d’ajustement sociaux et il nous faut les penser dès maintenant. C’est-à-dire que le sujet des inégalités sociales va être encore plus prégnant dans un monde comme celui que je viens d’évoquer parce que nous aurons des impacts, des ajustements qui seront réels et qui sont à penser dès maintenant. Trois, tout cela a des impacts en termes démocratiques qui sont massifs. Et donc si vous voulez, pour moi, ces innovations vont être des accélérateurs de nos problèmes sur le plan social et démocratique. L’expérience américaine des dernières semaines l’a montré sur le plan démocratique, si besoin était. Quatre, la bonne nouvelle c’est que je pense que sur la résilience de nos systèmes et la réponse à la crise climatique, on a sans doute sous-estimé l’apport de l’innovation et je pense aussi que toutes ces technologies vont nous permettre, beaucoup plus vite, de répondre aux défis climatiques.

Et donc si je regarde, que je prends deux pas de recul par rapport à tout ce qu’on est en train de se dire, je pense que nos économies vont devoir de plus en plus investir dans ces innovations et il faut y aller à fond. Je pense que si on s’y prend bien et qu’on coopère entre nous, ces innovations vont nous permettre de créer de la valeur, de répondre aux défis économiques. Elles vont nous permettre, je l’espère, je le crois possible, de répondre plus vite aux défis climatiques. Et c’est aussi pour ça que moi je crois à ce que j’appelle l’économie du mieux, la réponse climatique par l’innovation plutôt que par l’arrêt des activités. Mais elles vont nous poser des problèmes sur lesquels nous n’avons pas assez réfléchi en termes démocratiques, en termes de libertés publiques et d’augmentation des inégalités sociales dans nos différentes nations.

Pr Klaus SCHWAB

Monsieur le Président, c’était vraiment une vision intégrale de notre avenir. Mais notre avenir ne va arriver automatiquement, il faut le construire. Et je suis heureux, on a vu, à travers votre présentation, qu’il y a des gens et des leaders qui ont une perspective très claire comment devrait cet avenir – qu’est- ce que devrait être cet avenir qu’on veut construire pour le bien de tout le monde. Alors un grand merci, Monsieur le Président, et je suis désolé que la technologie, pendant un moment, avec la ligne entre Paris et Genève, nous a réservé certaines surprises. Mais je crois que c’était un grand événement en regardant l’avenir. Merci bien Monsieur le Président de la République.

Le Président de la République

Merci Professeur, merci cher Klaus et je remercie tout le monde. En effet, nous sommes parfois plongés dans le quotidien mais je pense que c’est aussi important – et merci de m’en avoir donné l’occasion – d’essayer de regarder ensemble le cap et d’échanger sur ces sujets. Et votre conclusion le dit très bien, je la partage et je m’arrêterai là dessus, n’oublions jamais que notre objectif est toujours en société de construire la vie bonne, avec les vertus qui vont avec et la volonté de respecter l’autre. Et je pense que c’est au service de cet objectif qu’on doit mettre chacune de nos actions. Donc merci beaucoup, tous mes vœux et j’espère à très bientôt physiquement.

Pr Klaus SCHWAB

A bientôt, au revoir Monsieur le Président.

Le Président de la République

Merci beaucoup, merci Klaus, merci Professeur.

26 JANVIER 2021 — SEUL LE PRONONCÉ FAIT FOI

Commentaire

À l’évidence, les deux sont entièrement sur la même longueur d’onde. Ils partagent les mêmes idées. Ils prônent les mêmes solutions. Culs et chemises, ils sont ! D’après eux, le virus covidien les a fait réfléchir. Le système capitaliste est injuste. Il faut le modifier, le transformer, l’améliorer… L’écologie devient subitement une de leur priorité, alors que ce sont leurs petits copains qui pendant des décennies, en prônant le libéralisme économique, ont le plus contribué à saloper notre planète. La préservation de la santé de l’homme devient tout aussi subitement la priorité absolue. Elle justifie les confinements et la dépression économique. Ce qu’ils oublient de dire est que cette dépression, ils l’ont voulue. Ce sont eux qui l’ont créée, pour une raison très simple : tout le système financier a failli s’effondrer en automne 2019 ; les banques ne voulaient plus se prêter entre elles. (Voir : Le bon virus au bon moment). Mais ce n’est pas tout, au passage ils en ont profité pour faire quelques profits, et saigner les pigeons (voir : Lettre ouverte à Maître Di Vizio, aux Professeurs Raoult et Perronne et au Docteur Fouché).

En cas de crise majeure, tout était planifié depuis de nombreuses années, comme le prouve la mise en place dès le printemps 2020 des éléments contenus sur le site du Forum Économique Mondial.

Ce qui est très significatif dans cette histoire, c’est le silence médiatique : aucun écho un tant soit peu élaboré de ces manigances et de ces bacchanales : ni à la télévision, ni à la radio, ni dans la presse… À votre avis pourquoi ?

Intervention du Ministre allemand de la Santé

[Source :  Maurizio Blondet]

Le ministre allemand de la Santé admet au forum en ligne de Davos qu’il n’arrêtera pas de propager la terreur du Coronavirus tant que l’ADN de la population entière ne sera pas modifié avec l’ARNm et le Great Reset ne sera pas terminé.

Vidéo en allemand [Nécessité de vérifier la traduction ci-dessus]

Voir aussi :


Tranquillement le ministre de la santé québécois : “On a hâte de commencer à vacciner pour éliminer nos personnes vulnérables”




À propos du complotisme et des complotistes

[Source : Les 7 du Québec]

Par Raoul Victor.   

Complot ? Complotisme ? Conspirationniste ?

Le terme de « complotisme » est devenu un anathème, une condamnation de toute pensée qui met en doute ne fut-ce qu’une partie des discours officiels concernant la pandémie du Coronavirus. Et pourtant : c’est quoi un « complot »?

D’après le CNRLT (Centre national de ressources textuelles et lexicales) :

Complot : « Dessein secret, concerté entre plusieurs personnes, avec l’intention de nuire à l’autorité d’un personnage public ou d’une institution, éventuellement d’attenter à sa vie ou à sa sûreté. »
« Par extension : Projet quelconque concerté secrètement entre deux ou plusieurs personnes. »

Le Robert :

« Projet concerté secrètement afin de nuire (à quelqu’un, à une institution) »

Deux notions sont présentes : le secret et la malveillance.

Dans son sens le plus général la malveillance est absente. Quand les parents préparent les cadeaux du Père Noël on pourrait dire qu’ils complotent.

Le terme « complotisme » contient  deux sens. L’un général qui concernerait la tendance à voir dans les discours et actions des gouvernements et autres institutions telles que les entreprises, les banques, les médias, etc. le résultat de complots, c’est à dire de « desseins secrets« , non transparents, dissimulés au public en vue d’atteindre des objectifs inavouables. L’autre sens est une caricature du premier consistant à ne retenir que des versions de toute évidence invraisemblables, voire ridicules ou fantaisistes. C’est surtout dans ce dernier sens que les médias et de nombreux commentateurs l’emploient, faisant, volontairement ou involontairement, un amalgame qui tend à discréditer la méfiance à l’égard des discours officiels (ce en quoi l’accusation de complotisme ferait partie de la tactique de brouillage du complot). Il ne serait pas surprenant d’apprendre que des « théories du complot » particulièrement absurdes ou caricaturales soient mises en circulation dans le seul but de nourrir cet amalgame et le dénigrement des pensées trop méfiantes à l’égard des versions gouvernementales officielles et officieuses.

Le complot, le secret, le manque de transparence en vue de renforcer leur pouvoir font partie du mode de vie des classes dominantes depuis la division de la société en classes. Le capitalisme ne fait pas exception, au contraire. Dès sa naissance le secret joue un rôle déterminant dans son fonctionnement. Le secret était déjà important dans les guildes d’artisans au Moyen Âge, jalouses de leurs savoirs techniques. Le capitalisme qui porte le rôle des techniques et des sciences de la production à des degrés de développement sans précédents et qui en même temps fait de la concurrence entre agents économiques le mode de vie ordinaire, le capitalisme ne pouvait qu’accroître la place du secret et donc du complot dans le mode de gouvernance social.

Dans l’opéra franc-maçon de MozartLa flûte enchantée, (1791), Papageno et le prince Tamino sont soumis à des épreuves, dont celle de garder le silence quelles que soient les circonstances qu’ils rencontreront. Papageno, image du personnage populaire, n’y parviendra pas alors que le prince Tamino réussira et y gagnera le droit à être « initié ». Pour les Francs-maçons, porteurs des valeurs de la bourgeoisie naissante, « le silence est d’or ».

La corruption est un des fléaux du capitalisme, comme de tout système marchand, mais ici elle acquiert une dimension internationale, mondiale, omniprésente.  Elle ne touche pas que les pays les moins développés, comme le montre « L’indice de corruption » publié par Transparency International. En 2014 les États-Unis se situaient au 17e rang, la France au 24e, l’Italie au 43e…. à noter la Chine au 100e, le Venezuela au 161e. (1)

Or la corruption comporte par définition une part de complot, de secret, de conspiration.

Le « lobbyisme » est une forme de « légalisation », d’institutionnalisation de la corruption, mais celle-ci ne perd pas pour autant sa nature conspiratrice, opaque. L’ampleur de cette réalité est souvent sous-estimée et les médias en parlent peu. Les exemples sont pourtant éloquents. Pour l’Union Européenne un article du Monde de 2019 donnait quelques chiffres :

« L’Organisation non gouvernementale Transparency International estime quant à elle à environ 26 500 le nombre de lobbyistes présents de façon régulière à Bruxelles, et à environ 37 300 le nombre de personnes impliquées dans les activités de lobbying dans la capitale belge. » (https://www.lemonde.fr/les-decodeurs/article/2019/05/23/petit-guide-de-lobbyisme-dans-les-arenes-de-l-union-europeenne_5466056_4355770.html)

L’exemple des lobbies à Washington et leur croissance depuis le début de ce siècle est aussi parlant :
« Le nombre d’agences de lobbyistes répertoriées à Washington, D.C. a plus que doublé depuis 2000, passant de 16 000 à 34 000 environ en 2005… L’argent dépensé par les entreprises et les groupes de pression pour défendre leurs causes au Congrès des États-Unis d’Amérique et auprès de l’administration est passé de 1,6 milliard de dollars en 2000 à 2,1 milliards de dollars en 2004. Certaines firmes ont augmenté leurs tarifs de 100 % et engagent à des salaires de départ de 300 000 dollars par an. Environ la moitié des anciens élus quittant le Congrès deviennent lobbyistes. » (https://fr.wikipedia.org/wiki/Lobby)

La manipulation. Les principaux responsables politiques tout comme les grandes institutions publiques et privées possèdent des « conseillers en communication ». Dans la pratique il s’agit de conseillers en manipulation. D’ailleurs en anglais on appelle cela des « spin doctors », « spin » ayant ici le sens de manipulation. [« spin : pejorative, political (=news manipulation) manipulation ».
https://dictionnaire.reverso.net/anglais-francais/spin].

Mais qu’est-ce que la manipulation sinon un des instruments fondamentaux des « desseins secrets » destinés à atteindre des objectifs au détriment de ceux qui les écoutent.

Les spin doctors sont les petites mains de la société du spectacle.

L’économie « illégale » (drogues, prostitution, rackets, paradis fiscaux, etc) a toujours existé dans le capitalisme. Mais elle a pris et prend une place de plus en plus importante dans les dernières décennies. L’interpénétration entre ce monde sombre, par définition régi par le secret, et le monde politique est une réalité bien connue. Secret et malveillance, sont les deux caractéristiques du complot.

Un acteur joue un rôle très important dans le capitalisme et exige, peut être plus que tout autre, le secret, la malveillance, le complot : Eisenhower l’a appelé le complexe militaro-industriel. Dans la célèbre allocution télévisuelle qu’il a prononcée le 17 janvier 1961, quelques jours avant le terme de son deuxième et dernier mandat il mettait en garde contre ce « pouvoir illégitime » :
« Le risque d’une désastreuse ascension d’un pouvoir illégitime existe et persistera. Nous ne devons jamais laisser le poids de cette combinaison mettre en danger nos libertés et nos processus démocratiques. » (https://fr.wikipedia.org/wiki/Discours_de_fin_de_mandat_de_Dwight_D._Eisenhower)  Eisenhower, un des plus importants militaires de l’histoire des États-Unis, savait de quoi il parlait.

Dans le même domaine, les laboratoires militaires chargés de la production d’armes bactériologiques (laboratoires P4 à « sécurité » maximum)  sont une illustration de l’opacité extrême qui recouvre les agissements de ce secteur. La crise du coronavirus, en mettant en lumière les laboratoires de virologie, en particulier celui de Wuhan, a permis de « découvrir » qu’il existe plus de 30 laboratoires virologiques militaires dans le monde, répartis dans 21 pays, au premier rang desquels les États-Unis, la France, l’Australie, la Suisse, la Chine… Les entraves multipliées par le gouvernement chinois à l’égard de l’équipe de l’OMS chargée d’enquêter sur l’origine du virus à Wuhan illustrent encore l’importance du secret dans ce domaine.

Enfin, last but not least, il faut citer ce que les historiens appellent respectueusement la « diplomatie secrète« , c’est à dire les tractations entre États en dehors des cadres diplomatiques officiels, publics.

Dans un article intitulé « Le monde après le Coronavirus », paru dans le Financial Times en mars 2020, Yuval Noah Harari écrit:

« Ces dernières années, des politiciens irresponsables ont délibérément sapé la confiance dans la science, dans les autorités publiques et dans les médias. »   Mais il ne s’agit pas seulement des « dernières années » ni de quelques « politiciens irresponsables ». C’est toute la vie du capital qui est infectée par les virus du secret, de la manipulation, du complot.

Le « scandale du Lancet« , où les laboratoires pharmaceutiques et nombre de « leurs » médecins réputés ont collaboré avec des politiciens pour des raisons de profit, en est une criante illustration. The Lancet, revue fondée en 1823, une des références les plus respectées du monde scientifique médical, publie en mai 2020 une étude sur la Covid-19 condamnant l’emploi de l’hydroxychloroquine pour soigner la maladie. La méthodologie de l’étude soulève immédiatement des réactions de la part de nombreux scientifiques. Quelques semaines plus tard le journal Le Monde daté du 4 juin 2020 rapporte la suite des événements : « Coup sur coup, deux des plus grandes revues médicales mondiales [The Lancet et The New England Journal of Medicine] ont procédé à la rétractation d’articles ayant trait au Covid-19, fondés sur des données fournies par une société américaine, Surgisphere, [créée à Chicago en 2008] et à l’origine, désormais, plus que douteuse. (…) Cette étude avait conduit à la suspension de l’usage de ce traitement en France contre le Covid-19. » (Notons que dans la pratique cette suspension est toujours en vigueur.)

Heureusement il y a eu des scientifiques qui ont permis de mettre à jour rapidement la supercherie. Mais la question qui se pose est: comment en est-on arrivé là ?

La réponse ne peut être étrangère au fait que le prix de l’hydroxychloroquine, employée depuis des décennies par des millions de personnes, est particulièrement bas (quelques centimes d’euros par cachet) alors que le prix du traitement par le Remdesivir, le seul traitement approuvé par la US-FDA au début juillet 2020, est fixé par son producteur, le laboratoire américain Gilead, à 2340 $ (2 085 €) par patient. (https://www.industriepharma.fr/covid-19-gilead-fixe-le-prix-du-remdesivir,111716)

Début octobre 2020, l’Europe a conclu un contrat portant sur la possibilité de commander jusqu’à 500 000 doses de Remdesivir pour un montant global de plus d’un milliard d’euros. Pourtant, le 20 novembre l’OMS est obligée de publier une recommandation:  « contre l’administration de Remdesivir aux patients hospitalisés, quelle que soit la gravité de leurs symptômes, dans la mesure où rien ne prouve à ce jour que le remdesivir améliore pour ces patients les chances de survie et les autres résultats sanitaires. » (https://www.who.int/fr/news-room/feature-stories/detail/who-recommends-against-the-use-of-remdesivir-in-covid-19-patients)

Récemment une secrétaire d’État belge, pour des raisons de polémique avec l’opposition flamande, a rendu publics les prix des différents vaccins contre la Covid-19 achetés par le gouvernement. Elle en a été fortement critiquée. « Je voulais être transparente, peut-être un peu trop transparente » s’en est-elle excusée. Un porte-parole de l’Union Européenne a rappelé l’impératif d’opacité : « Tout ce qui concerne des informations comme le prix des vaccins est couvert par la confidentialité, c’est une obligation très importante. C’est une exigence contractuelle. » (Le Monde, 22 décembre 2020)

Le laboratoire pharmaceutique américain Pfizer, un des plus importants du monde, premier à fournir avec BioNTech un vaccin contre la Covid-19, a été par le passé accusé ou condamné a plusieurs reprises pour des cas d’ »inconduite » tels que publicité mensongère, corruption, tests meurtriers sur des enfants en Afrique, etc. (https://fr.wikipedia.org/wiki/Pfizer)

Tous ces faits ne sont pas des coïncidences ni des délires paranoïaques. Ils illustrent cyniquement à quel point la rapacité capitaliste sécrète par tous ses pores la manipulation et le complot, le secret et la malveillance en vue du profit. Ce sont des faits comme ceux-là qui ont « sapé la confiance dans la science, dans les autorités publiques et dans les médias », pour reprendre les mots de Harari.

Peut-être dira-t-on que toutes ces formes de complots font partie de la vie courante des différentes fractions du capital mais que du fait même des divisions des classes dominantes ces complots restent limités en ampleur. C’est un peu ce que dit encore Harari quand il écrit : « Il existe naturellement de nombreux complots réels dans le monde. Certains individus, entreprises, organisations, églises, factions ou gouvernements ne cessent d’imaginer et de mettre en œuvre divers complots. Tous ces plans et projets se sont régulièrement télescopés, mais le résultat n’était pas orchestré par un unique groupe de responsables. » (Article dans le Financial Times, mars 2020). Ou encore, dans une tribune du New York Times : « Tous ces complots et intrigues sont peut-être réels, toutefois ils ne sont pas les pièces constituantes d’une seule et même conspiration mondiale.« 

Harari reconnaît qu’il y a « de nombreux complots réels dans le monde »… « naturellement ». Ce qu’il rejette c’est l’idée que tous ces complots soient « orchestrés par un unique groupe de responsables », qu’il s’agisse « d’une seule et même conspiration mondiale satanique »  (sic).

Il n’existe pas un « unique groupe de responsables » ou « une seule conspiration mondiale ». Mais il y a des conspirations, sinon mondiales du moins « trans-nationales » assez évidentes, même si on n’en connaît pas les contenus exacts, dont une partie est par définition secrète. Les GAFAM élaborent et mettent en pratique des stratégies mondiales (s’entendent sur les prix et la répartition des marchés), tout comme les banques, les entreprises, les laboratoires pharmaceutiques les plus importants. On sait en outre qu’il existe de nombreux « clubs » de hauts responsables, des lieux de rencontre, des conférences très élitistes où l’on « réfléchit » à l’échelle trans-nationale sinon mondiale. Les politiciens (un des métiers les plus méprisés au monde) ne sont qu’une partie apparente du pouvoir des classes dominantes. Personne n’adhère à des théories qui disent en même temps que la Covid est pratiquement une grippe inoffensive et qu’il s’agit d’un complot pour éliminer les pauvres de la planète.

Ce dont il s’agit c’est de garder et entretenir une méfiance extrême, et saine, à l’égard des discours officiels.

Cela implique parfois le recours à des « spéculations », c’est à dire au « fait de s’interroger sur les conséquences d’une hypothèse si elle était vraie, sans nécessairement la considérer au départ comme telle. » (Wikipedia fr) L’opacité, le recours au secret systématique qui caractérise les gestions capitalistes rend souvent difficile, voire impossible, de trouver les « preuves » indiscutables d’une hypothèse qui s’oppose aux versions officielles. Les « preuves indiscutables » de certains complots des gouvernements n’apparaissent que longtemps après les événements.

Aurait-il fallu en septembre 2002 traiter de « complot et de spéculation fantaisiste et irrationnelle » l’idée que le rapport de Bush au Conseil de sécurité de l’ONU, affirmant que l’Irak possédait des armes de destruction massive, était peut-être un mensonge destiné à justifier l’ouverture de la guerre d’Irak ? Aurait-il été « fantaisiste-complotiste » de se poser une telle question puisque rien ne permettait alors de « prouver » la certitude d’une telle supposition ? Pourtant, « dans un entretien en 2013, [9 ans plus tard] Colin Powell déclare, au sujet des armes de destruction massive en Irak, que « Saddam Hussein (…) n’en possédait pas un gramme » »  (https://fr.wikipedia.org/wiki/Armes_de_destruction_massive_en_Irak)

On pourrait se poser la même question pour quelqu’un qui aurait en août 1964 mis en question la version officielle de l’attaque contre deux destroyers américains par des torpilleurs nord-vietnamiens dans le Golfe de Tonkin, prétexte utilisé par Johnson pour entamer le bombardement du Nord-Vietnam. Pourtant « des éléments ultérieurs, dont un rapport rendu public en 2005 par la National Security Agency, [41  ans plus tard] indiquent qu’il n’y a pas eu d’attaque nord-vietnamienne à cette date. »
(https://fr.wikipedia.org/wiki/Incidents_du_golfe_du_Tonkin)

Les « théories du complot » sont multiples et contradictoires entre elles. Certaines sont probablement des caricatures mises en circulation pour ridiculiser les analyses qui rejettent les discours officiels. Je ne sais pas quelle est l’ampleur de l’adhésion qu’elles suscitent ni leur impact sur la conscience de la population. On pourrait s’y attarder. Mais ce dont je suis sûr c’est du danger que représente la pratique qui consiste à rejeter de véritables analyses qui mettent en évidence la réalité des manipulations, l’omniprésence du secret, de la malveillance, des complots dans la gestion sociale capitaliste, au nom d’une lutte contre le « complotisme », les « théories du complot », le « conspirationnisme », etc.

C’est devenu aujourd’hui une tarte à la crème, une gangrène, dont les spin doctors se servent ad nauseam pour protéger leurs cyniques manipulations.

Aujourd’hui, avec les nouvelles technologies, dont la reconnaissance faciale, l’omniprésence croissante de la digitalisation dans la vie quotidienne qui permet de suivre les faits et gestes de chaque individu, les gouvernements et les gérants du système, si jaloux de leurs secrets, se paient le luxe de soumettre la population dominée à une surveillance sans limites. La Chine est un modèle du genre. La Covid-19 sert insidieusement à justifier partout la mise en place de pratiques de contrôle totalitaire que les anti-complotistes doivent combattre farouchement.

Raoul Victor


Notes :

1. https://fr.wikipedia.org/wiki/Mod%C3%A8le:Classement_de_l%27indice_de_corruption

« L’indice est élaboré à l’aide d’enquêtes réalisées auprès d’hommes d’affaires, d’analystes de risques et d’universitaires résidant dans ces pays ou à l’étranger. » (Wikipédia fr)

Il donne pourtant une vision biaisée car la corruption dans les pays plus développés se fait à des niveaux très élevés et sa dissimulation est des plus raffinées. C’est ainsi que des pays comme la Suisse et le Luxembourg, véritables instruments de la corruption mondiale, apparaissent au 5e et 9e rang de l’échelle… une auréole sur la tête.




Insuffisances méthodologiques des essais des vaccins anti-COVID-19

Par Gérard Delépine

[Voir aussi sur Mondialisation.ca]

Une publicité mensongère pour les vaccins anti-COVID-19 vantant leur « efficacité et leur sécurité prouvées par leurs essais » mobilise sans relâche les médias et les représentants du gouvernement, assortie du chantage « vacciné ou enfermé, ou socialement mort [1]».

Cette propagande vaccinale élaborée par le gouvernement prétend en autre que la commercialisation accélérée ne s’est pas faite aux dépens de la sécurité sanitaire. Compte tenu des techniques de fabrication toute nouvelle utilisées (ARNm, virus vecteur) et de l’extrême rapidité de la commercialisation, cela est impossible. 

Le schéma classique des essais de vaccins avant commercialisation

Jusqu’à la crise COVID-19, un essai vaccinal suivait un parcours long nécessitant de nombreuses années, (de 9 à 12 ans, en moyenne 10) pour arriver à la commercialisation. Il comprenant de multiples phases aux objectifs précis avant de passer à la suivante, chaque étape apportant des informations complémentaires. Beaucoup de candidats-vaccins étaient abandonnés (comme pour le Sida où deux candidats ont été éliminés car ils augmentaient paradoxalement le risque d’attraper la maladie). Rappelons-en schématiquement le parcours normal.[3]

Essais précliniques

Depuis le code de Nuremberg (1947), les essais sur l’homme doivent être précédés d’expériences sur les animaux. Les vaccins produits en laboratoire sont donc d’abord testés chez l’animal. Cette étape indispensable ne préjuge pas des résultats chez l’homme mais permet d’éliminer des médicaments très toxiques et de préciser les organes susceptibles d’en souffrir. 

Phase d’essais sur l’animal enjambée

Prétextant l’urgence de la crise actuelle ou le manque d’animaux adéquat [4, 5] , le développement très rapide de plusieurs vaccins n’a été possible que parce que de nombreuses expériences animales ont été ignorées.

 La presse anglo-saxonne s’en est fait souvent l’écho en titrant que les protocoles de validation essais “sautaient” fréquemment cette phase normalement préalable aux essais cliniques, mais les médias hexagonaux n’en ont pas parlé. D’autres tests animaliers ont été abrégés ou effectuées simultanément voire après les essais sur l’humain. Ainsi les vaccins de la société pharmaceutique allemande BioNTech et de la société américaine Moderna ont été testés sur des singes seulement après avoir été injectés à des centaines de sujets humains.

Cette étape préclinique animalière est pourtant importante pour la sécurité : ce sont les essais sur des animaux qui ont mis en évidence le risque d’anticorps facilitants des candidats vaccins contre les précédents coronavirus SARS et MERS. 

Chez le chat, le vaccin contre le coronavirus responsable de la péritonite virale féline [6, 7] a été abandonné à cause de cette complication   Chez les macaques vaccinés contre le SARS-COV spike protéine, les infections post vaccinales ont été marquées par l’aggravation de la pathologie pulmonaire. Lors d’essais de vaccins contre le coronavirus du Mers, les lapins développent des anticorps mais leur pathologie pulmonaire est aggravée. Ces complications inattendues ont conduit au rejet des candidats vaccins contre les précédents coronavirus.

Les essais cliniques bien faits sont la clef de la sécurité

Les essais thérapeutiques nécessaires à l’obtention de l’Autorisation de Mise sur le Marché (AMM) chez l’homme comprennent schématiquement trois phases successives. 

La phase I qui porte sur quelques dizaines de volontaires a pour objectif de déterminer la toxicité du candidat-vaccin chez l’homme à court terme et la réponse immunitaire en mesurant les anticorps générés par le vaccin. 

La phase II dure en moyenne un à quatre ans. Elle doit confirmer les résultats précédents (tolérance l’innocuité du candidat-vaccin, réponse immunitaire) mais son but principal est de déterminer la dose optimale et le schéma d’administration de vaccin le plus efficace.

Cette phase II nécessite un nombre plus élevé de volontaires et a pour objectif de vérifier si le vaccin procure bien une protection durable contre l’infection et s’il empêche la transmission du virus.

La phase III visant à préciser l’efficacité et les risques sur un groupe représentatif de la population cible dure de trois à cinq ans. Les essais portent sur des milliers, de personnes pour évaluer le rapport bénéfices/risques du vaccin à court et moyen terme. Ces études permettent de préciser les conditions et les précautions d’emploi du vaccin et constituent le document, (sous le terme d’étude pivot) le plus attendu du dossier de la demande d’Autorisation de Mise sur le Marché soumis à l’agence du médicament.

Tant que les résultats complets des essais phase III n’ont pas été publiés l’utilisation du vaccin ou du médicament est expérimentale. C’est cette phase qui est en cours dans le monde pour les vaccins anticovid actuellement utilisés et non une phase IV comme on le voit trop souvent écrit car les gens ne comprennent pas qu’on puisse à la fois être en phase 3 et commercialisé contre paiement au laboratoire.

La phase IV appelée aussi pharmacovigilance commence habituellement avec la commercialisation du vaccin ou du médicament (ici avancée). 

Laboratoires fabricants, patients et médecins sont invités à déclarer à l’ANSM, agence française du médicament, des effets secondaires non signalés. Mais l’expérience des scandales sanitaires récents montre que la pharmacovigilance française est considérablement insuffisante et les sous déclarations considérables.

Les insuffisances majeures des essais des vaccins Covid

La mise sur le marché en moins d’un an n’a été obtenue qu’au prix de la diminution de la sécurité par suppression ou allègement de nombreuses étapes des essais.

Absence ou diminution considérable des essais sur les animaux.

Regroupement des phases II et III ne permettant pas d’utiliser les résultats des phases II pour concevoir convenablement les phase III.

Durée de suivi des sujets des essais totalement insuffisante, ne permettant d’avoir aucune estimation sérieuse de la durée de l’immunité éventuelle et des éventuelles complications (les narcolepsies causées par les vaccins anti grippe H1N1 ne sont apparues qu’après plusieurs mois).

Autorisation de mise sur le marché alors que les résultats définitifs des essais phase III ne sont ni publiés, ni obtenus et que la durée moyenne de leur suivi ne permet pas d’estimer leurs complications à moyen terme, ni leurs effets chez les personnes âgées à forte comorbidité qui sont trop peu représentées.

 La phase 3 (hors essai officiel) se déroule donc actuellement de fait comme le détaille de l’essai Pfizer par exemple dans sa publication sur clinicaltrials.gov le montre : première analyse en aout 2021, et fin de l’essai janvier 23.[8] Néanmoins le profil de l’essai ne devait concerner que des bien portants d’âge inférieur à 85 ans. 

Critères de jugement non pertinents. 

Le but d’un vaccin est de diminuer (au mieux de supprimer) la mortalité et de supprimer la transmission de la maladie dans la population. Or ces critères ont été négligés par les firmes dans leur conception des essais au profit de la positivité de tests PCR seuls dont la non-fiabilité est maintenant reconnue unanimement [9].

Le « miracle » de la commercialisation en moins d’un an de prétendus vaccins, salué unanimement par les médias, ne consacre en fait que l’abandon quasi-total des mesures de sécurité élaborées depuis 70 ans pour nous protéger des catastrophes médicamenteuses. 

L’allègement des essais est d’autant plus critiquable que certains vaccins utilisent des techniques nouvelles

Les vaccins de Pasteur injectent des antigènes spécifiques de la maladie pour susciter la création d’anticorps neutralisant spécifiques qui protègent de l’affection. Pour abaisser les couts de production en diminuant les quantités d’antigènes spécifiques, les firmes ont rajouté des adjuvants (tels que l’aluminium) stimulant la réponse immunitaire non spécifique dont le rôle dans l’augmentation des maladies allergiques et auto immunes est fortement suspecté. Mais ils restent des vaccins au sens pasteurien, contrairement aux produits Pfizer et Astra Zeneca qui sont des médicaments nouveaux de type thérapie génique, ne contenant pas d’antigènes mais des produits (Arn messager, virus) destinés à faire fabriquer des anticorps par notre propre corps en donnant des ordres à nos cellules.

On sait depuis une cinquantaine d’années, que jusqu’à 10% de notre patrimoine génétique d nous est étranger et est d’origine virale [10].  Une partie de ces 10% provient de rétrovirus, mais pas la totalité évoquant la possibilité d’une inclusion dans l’ADN de virus autre. . Introduire un ARNm ou un virus dans nos cellules, comme dans les autres thérapies géniques expose donc à un risque potentiel de modifier à terme notre ADN et constitue une technique dont la sécurité génétique n’a pas été évaluée, car plusieurs décennies seraient nécessaires pour en avoir le cœur net. Ces pseudo vaccins-thérapies géniques, dits souvent vaccins géniques ou vaccins OGM, dont la technique n’a jamais été utilisée pour un vaccin auparavant exposent donc à des risques non maitrisés en opposition totale avec le principe de précaution. 

Une absence totale de transparence des contrats d’achat de vaccins

Dans un pays démocratique, les décisions importantes pour les populations doivent être décidées en toute transparences par nos représentants élus. Pour les vaccins anti covid, les contrats ont été passés en catimini entre les dirigeants et les entreprises et comportent des clauses inacceptables comme la clause de confidentialité et d’immunité juridique. 

Le communiqué de presse [12] de la député Michèle Rivasi est explicite :

« La Commission nous a confirmé que nous n’avons toujours pas accès aux contrats en cours de négociation. Nous n’avons pas accès au nom des négociateurs. Nous n’avons pas accès aux données brutes des essais cliniques, la Commission précisant que cette législation n’entrera en vigueur qu’en 2021. »

 « Nous sommes face à une situation très dangereuse, prévient l’Eurodéputée Michele Rivasi. Ne nous laissons pas faire, ni instrumentaliser par la peur ou l’urgence brandies comme alibi pour justifier des décisions contraires à la santé publique et sources de risques inacceptables. » 

« Nous avons besoin d’une transparence absolue. C’est l’unique condition permettant de restaurer la confiance dans les vaccins, et l’unique moyen de s’assurer que les vaccins sont réellement sûrs et efficaces. Cela concerne autant les conditions opaques dans lesquelles les contrats de préachat ont été négociés que les données des essais cliniques. Nous avons besoin de savoir comment les vaccins OGM ont été testés, les effets indésirables qui ont été observés, et les évaluations manquantes ou incomplètes. »

Il n’y a aucun risque pour les firmes qui ont exigé et obtenu l’immunité juridique

Si vous vendez un produit défectueux qui cause des complications vous risquez d’être poursuivi et condamné. Mais pas les fabricants de vaccin qui ont exigé et obtenu de ne pas pouvoir être poursuivis pour complications vaccinales même en cas de défectuosité de leurs produits[13, 14, 15]  Cette exigence confirme que les entreprises n’ont pas confiance en leur vaccin. Alors que tous les médias et les agences sanitaires prétendent que les vaccins sont sûrs …

Le piratage des documents de la commission européenne, seul moyen d’obtenir un peu de transparence montre pourtant que la commission sait que certains vaccins sont défectueux.[16]

« Les vaccins commercialisés possèdent moins d’ARN « intègre » (séquence entière permettant de fabriquer la protéine Spike) que ceux utilisés dans les essais : 51% à 59% pour les vaccins commercialisés contre 69% à 82% pour les vaccins utilisés lors des essais cliniques. Ceci pourrait non seulement impacter l’efficacité de la vaccination mais aussi sa sécurité : ces ARN tronqués ne peuvent plus être traduits en protéine Spike. »

Des résultats actuels très inquiétants

Les médias glorifient Israël, le champion de la lutte anti-COVID-19 par le vaccin Pfizer.[17] 

Depuis le 20 décembre, en un peu plus d’un mois, près de 30% de la population (plus de 3 millions de personnes) auraient été vaccinées. Mais le succès d’une vaccination ne se juge pas d’après le nombre de vaccinés mais uniquement d’après l’évolution de l’épidémie qu’elle est censée prévenir. Or depuis cette date, les nombres quotidiens de morts attribuées au COVID-19 explosent passant d’une moyenne de 15 pendant la semaine précédant la vaccination à 56 cette dernière semaine de janvier 2021, suggérant ainsi que la première injection du vaccin serait susceptible d’aggraver l’évolution de la maladie.

La Grande-Bretagne a choisi principalement le vaccin d’Astra Zeneca peu testé également et a réussi à vacciner plus de 6 millions de personnes. Mais après 58 jours de vaccination, la mortalité quotidienne moyenne lissée sur 7 jours a doublé, passant d’un peu moins que 500 durant la semaine précédant la vaccination à 1070 dans la dernière semaine de janvier

Gibraltar avait été presque épargné par le COVID-19 et après presque un an d’épidémie ne comptait que 15 décès avant la vaccination commencé le 9 janvier. En 3 semaines post vaccinale le nombre total des morts a été multiplié par 5 et atteint maintenant 73. 

Bien entendu, les agences sanitaires qui ont recommandé les campagnes de vaccination nient qu’il puisse y avoir un lien de causalité entre les vaccins et la hausse de la mortalité car cela reviendrait à admettre leurs responsabilités. « Il ne s’agit que de coincidence temporelle,  la mortalité augmentait avant la vaccination, il n’y a pa de preuve que le vaccin soit responsable… ». Mais ce lien de causalité  possible devrait conduire au minimum à un moratoire en l’attente de résultats plus complets. Il serait important que les essais et les résultats des vaccinations soient précis, car si les anglais décident vraiment de multiplier les mélanges de vaccins, nous aurons du mal à analyser les conséquences  positives ou négatives de la vaccination.

Ces campagnes de vaccination expérimentales chez les personnes fragiles sont dangereuses

Le vieillissement s’accompagne d’une baisse d’efficacité du système immunitaire rendant les vaccins moins efficaces. Dans l’essai mené par Pfizer, l’efficacité était comparable chez les plus de 55 ans et chez les moins de 55 ans. Mais au-delà de 75 ans, le nombre de personnes participant à l’essai était trop faible pour juger du niveau d’efficacité.

 La vaccination de ces personnes est donc actuellement purement expérimentale. La Haute autorité de santé (HAS) recommande d’ailleurs que des études complémentaires soient menées dans cette sous-population. Ainsi que le constatait récemment l’éditorial du Lancet [18] :

« Peu de données sur la sécurité sont disponibles. La façon dont les vaccins fonctionnent chez les personnes âgées ou celles qui ont des conditions sous-jacentes et leur efficacité dans la prévention des maladies graves ne sont toujours pas claires. »

LAllemagne a suspendu la vaccination des pensionnaires d’Ehpad par le vaccin Astra-Zeneca pour trop faible efficacité.

La Norvège a émis le 15/1/2021 une alerte après la constatation de 23 décès après vaccin Pfizer chez des personnes âgées en Ehpad [19, 20]. Selon l’Institut norvégien de santé publique :

« pour les personnes les plus fragiles, même des effets secondaires relativement légers peuvent avoir des conséquences graves.

 Pour ceux qui ont une durée de vie restante très courte de toute façon, les avantages du vaccin peuvent être marginaux ou non pertinents ».

L’Institut norvégien de santé publique a ajouté depuis de nouveaux conseils de prudence sur la vaccination des personnes âgées fragiles.

La Grande-Bretagne a commencé la vaccination dans la première semaine de décembre 2020 en vaccinant prioritairement les personnes les plus âgées et aurait atteint dans ce groupe d’âge une couverture vaccinale de plus de 75%. Depuis la mortalité quotidienne des britanniques de plus de 80 ans a considérablement augmenté et dépasse maintenant celle de mars.

Des experts en santé de Wuhan, en Chine, ont notamment appelé la Norvège et d’autres pays à suspendre l’utilisation des vaccins COVID-19 à base d’ARNm produits par des sociétés telles que Pfizer, en particulier chez les personnes âgées.

L’Administration australienne des produits thérapeutiques recherchera « des informations supplémentaires, à la fois auprès de la société, mais aussi auprès du régulateur médical norvégien », a déclaré Hunt. Le ministère australien des Affaires étrangères contactera également son homologue norvégien à ce sujet.

Malgré la censure qui règne sur les réseaux sociaux, de très nombreux témoignages apparaissent de soignants dans différents pays (USA, Suisse, France, Pays -Bas, Italie) qui s’étonnent de l’augmentation brutale de la mortalité des résidents d ‘Ehpad après vaccination.

Il parait donc actuellement prudent de suivre les conseils des agences, norvégienne et allemande et de surseoir à cette vaccination chez les personnes âgées fragiles, tant qu’on ne disposera pas de résultats de mortalité complets.

La mise sur le marché express de vaccins sans respecter le schéma classique des essais risque d’aboutir une catastrophe vaccinale et de nuire à la vaccination. 

Cette hâte incroyable n’était pourtant pas justifiée par la gravité intrinsèque de la maladie qui se comporte au niveau mondial comme une mauvaise grippe seulement aggravée par des mesures autoritaires sans fondements scientifiques autres que des simulations grossièrement fausses.

Dr Gérard Delépine


Notes :

1 Le courrier du soir Covid-19 : le vaccin sera obligatoire pour obtenir un travail, voyager, aller au resto ou assister à un événement, 20 aouts 2020

2 Le 9 juillet le comité scientifique dans VACCINS CONTRE LE SARS-CoV-2UNE STRATEGIE DE VACCINATION CARE se préoccupait surtout de la stratégie de la propagande « Vaccination contre la COVID-19 : une adhésion à construire « La communication devra explicitement préciser que l’accélération de la vitesse de développement des nouveaux vaccins ne concerne pas les étapes de sécurité, qui seront maintenues, mais les modes de développement et de production »

3 Rappelé dans Ile de France prévention santé https://www.lecrips-idf.net/professionnels/dossiers-thematiques/dossier-VIH-vaccin/VIH-vaccin-essai.htm 

4 Par exemple la souris adaptée à la recherche contre le Covid-19, est un animal génétiquement modifié, appelé ACE2, s’est trouvée en nombre insuffisant montrant ainsi la dépendance de la recherche envers les producteurs d’animaux de laboratoire.

5 Leila Marchand Coronavirus : les Etats-Unis manquent de singes pour leurs essais de vaccin, les échos 1/9/2020

6  Vennema, H. et al. Early death after feline infectious peritonitis virus challenge due to recombinant vaccinia virus immunisation. J. Virol. 64,1407–1409 (1990).

7   Hohdatsu, T., Nakamura, M., Ishizuka, Y., Yamada, H. & Koyama, H. A study on the mechanism of antibody-dependent enhancement of feline infectious peritonitis virus infection in feline macrophages by monoclonal antibodies. Arch. Virol. 120, 207–217 (1991).

8 Interventional (Clinical Trial) Study to Describe the Safety, Tolerability, Immunogenicity, and Efficacy of RNA Vaccine Candidates Against COVID-19 in Healthy Individuals

Estimated Enrollment : 43998 participants
Allocation : Randomized
Intervention Model : Parallel Assignment
Masking : Triple (Participant, Care Provider, Investigator)
Primary Purpose : Prevention

Official Title : A PHASE 1/2/3, PLACEBO-CONTROLLED, RANDOMIZED, OBSERVER-BLIND, DOSE-FINDING STUDY TO EVALUATE THE SAFETY, TOLERABILITY, IMMUNOGENICITY, AND EFFICACY OF SARS-COV-2 RNA VACCINE CANDIDATES AGAINST COVID-19 IN HEALTHY INDIVIDUALS

Actual Study Start Date : April 29, 2020
Estimated Primary Completion August 3, 2021
Estimated Study Completion Date : January 31, 2023

9 Un tribunal portugais juge que les tests PCR sont « peu fiables » et les quarantaines « illégales » (profession-gendarme.com). Texte intégral du jugement en portugais publié : sur :http://www.dgsi.pt/jtrl.nsf/33182fc732316039802565fa00497eec/79d6ba338dcbe5e28025861f003e7b30 

http://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/les-implications-capitales-de-la-jurisprudence-portugaise-concernant-les-tests-pcr

10 https://www.jle.com/en/revues/vir/e-docs/virus_et_genes_viraux_endogenes_evolution_et_impact_307413/article.phtml 

11 Ce fait suggère l’existence d’une activité de rétrotranscription naturelle, au sein des cellules de l’hôte, en l’absence de rétrotranscriptase identifiée et démontre que le risque d’une rétrotranscription de l’ARNm vaccinal, vectorisé, n’est pas impossible

12  Michèle Rivasi Communiqué de presse Bruxelles, 7 septembre 2020

13 Les fabricants de vaccins Covid-19 font pression sur l’UE pour obtenir une protection juridique, 26 août, 2020 https://www.ft.com/content/12f7da5b-92c8-4050-bcea-e726b75eef4d 

14 Astra Zeneca organise son exemption juridique, 30 juillet 2020 https://uk.reuters.com/article/us-astrazeneca-results-vaccine-liability/astrazeneca-to-be-exempt-from-coronavirus-vaccine-liability-claims-in-most-countries-idUKKCN24V2EN 

15 L’UE indemnisera les laboratoires en cas d’effets secondaires inattendus, 29 aouts 2020 https://www.capital.fr/entreprises-marches/vaccins-contre-la-covid-lue-indemnisera-les-laboratoires-en-cas-deffets-secondaires-inattendus-1379072 

16 Lise Barnéoud Ce que disent les documents sur les vaccins anti-Covid-19 volés à l’Agence européenne des médicaments Le monde 10 janvier2021  https://www.lemonde.fr/planete/article/2021/01/16/vaccins-ce-que-disent-les-documents-voles-a-l-agence-europeenne-des-medicaments_6066502_3244.html 

17 La mortalité en Israël continue d’augmenter, contrairement à ce que dit le Parisien (francesoir.fr)

18 ÉDITORIAL Vaccins COVID-19 : pas le temps de la complaisance The Lancet VOLUME 396, NUMÉRO 10263, 21 NOVEMBRE 2020 https://www.thelancet.com/journals/lancet/article/PIIS0140-6736(20)32472-7/fulltext 

19 Norway warns of side effects of Covid-19 vaccine on elderly …www.thelocal.no › Norway-warns-of…

20 Lars Erik Taralds La Norvège s’inquiète des vaccins pour les personnes âgées Bloomberg 16 janvier 2021 La source originale de cet article est Mondialisation.caCopyright © Gérard Delépine, Mondialisation.ca, 2021




30 000 médecins français s’organisent, réclamant le retour à la normale — 2e conférence du collectif Coordination Santé libre (suite de l’appel du 9 janvier 2021)

[Source : Magazine Nexus]

Les différents groupes de travail du Collectif Santé Libre ont présenté ce dimanche 31 janvier 2021 les premiers résultats de leurs travaux en présence de :

  • Violaine Guerin
  • Martine Wonner
  • Louis Fouché
  • Claude Veres
  • Patricia Melot
  • Claire Delval
  • Christine Spitz
  • Philip Keros
  • Claude Escarguel
  • Trinidad Garcia
  • Vincent Reliquet
  • Gérard Guillaume
https://youtu.be/ky7CjudtQc8



La plus grande chasse aux sorcières a débuté aux USA

[Source : Réseau Voltaire]

La chasse aux sorcières a débuté aux États-Unis alors que l’opinion publique désapprouve les mesures les plus idéologiques des néo-puritains de l’administration Biden.

Seuls 45 % des citoyens US approuvent l’interruption de la construction du mur à la frontière mexicaine. Tandis que seuls 42 % approuvent l’autorisation d’immigrer depuis les pays musulmans dans lesquels les ambassades n’ont pas la possibilité de vérifier l’identité des migrants [1].

Les membres du Comité international olympique ne savent pas comment remettre en cause l’autorisation du président Biden donnée à chaque athlète de choisir dans quelle catégorie, masculine ou féminine, il entend concourir. Certains réfléchissent à fixer des seuils de testostérone chez les concurrentes.

Plusieurs centaines de personnes, siégeant dans les 42 comités consultatifs du Pentagone, ont été invitées à démissionner ou seront renvoyées avant la fin du mois. La plupart d’entre elles avaient été nommées au cours des deux derniers mois de l’administration Trump. Il s’agit de la plus importante purge jamais effectuée au Pentagone, y compris au plus fort de la Guerre froide, durant la période maccarthyste (1953-54).

La Chambre des Représentants cherche officiellement un moyen de destituer la nouvelle représentante de Géorgie, Marjorie Taylor Greene, pour avoir suggéré qu’aucun avion n’avait frappé le Pentagone le 11 septembre 2001 et que les attentats n’ont pas été perpétrés par Al-Qaïda, mais par une partie de l’État profond US (la thèse de Thierry Meyssan [2]). D’ores et déjà, le leader de la minorité républicaine, Mitch Mc-Connell, a annoncé qu’il ne partageait pas ses « mensonges » et ne la défendrait pas.

Le représentant républicain Adam Kinzinger lève des fonds pour lutter contre l’influence de l’ancien président Donald Trump au sein du Parti républicain.

Le leader de la majorité démocrate du Sénat, Charles E. Schumer (photo), a quant à lui déposé une résolution le 2 février 2021 visant à contraindre le FBI à enquêter sur le mouvement QAnon, présenté comme une menace contre la Démocratie, et à le criminaliser. Les principaux médias mènent simultanément une campagne de propagande pour réduire le message politique de QAnon et faire passer ce mouvement pour une secte anti-pédophiles.




Le formatage idéologique des enseignants devient officiel

[Source : Nice-Provence Info]

La crise du Covid, préoccupation majeure des Français depuis un an, a permis au gouvernement de faire passer en catimini un certain nombre de mesures.

On se souviendra, en mars 2020, de l’ordonnance pour faciliter l’installation de la 5G sur le territoire ou encore du projet de loi bioéthique dont l’ouverture de la procréation médicalement assistée (PMA) à toutes les femmes, dans la nuit du vendredi 31 juillet au samedi 1er août 2020, etc.

Mais cela ne s’arrête pas : vendredi dernier 29 janvier, le Journal Officiel de la République a publié les modalités d’organisation des concours du certificat d’aptitude au professorat de l’enseignement du second degré, le fameux CAPES, fixées par l’arrêté du 26 janvier. Rien de bien inquiétant, me direz-vous. Et bien, détrompez-vous ! Car ces modalités de concours viennent institutionnaliser l’obligation de ne recruter que des candidats totalement acquis à la pensée unique.

Cette réforme du concours réduit encore la part consacrée à l’évaluation des compétences disciplinaires au profit du contrôle de la bonne adhésion à l’idéologie dominante. Depuis des décennies déjà, cette philosophie perverse assise sur les transcendantales « valeurs de la République » est venu gangréner la réflexion sur l’enseignement. Ces valeurs démagogiquement compilées sous les coups de boutoirs des minorités agissantes sont devenues le fer de lance de la pensée standardisée des progressistes. Elle a imprégné tous les rapports officiels et régenté la formation des professeurs, notamment à travers les fameux IUFM (instituts universitaires de formation des maîtres). Aujourd’hui, elle est gravée dans le marbre pour achever le formatage des enseignants.

Avec ce texte, les pouvoirs publics affichent ouvertement leur intention d’asservir des professeurs à leur idéologie. C’est la dictature de la pensée dominante qui devient officiellement la pensée obligatoire dans l’Éducation nationale.

D’aucuns déploraient depuis longtemps le niveau particulièrement bas des derniers reçus dans certaines sections du CAPES. Rien d’étonnant, il est exigé des commissions de jury qui évaluent les candidats de dégager une moyenne globale autour de 1020 : « Tant qu’on n’a pas atteint ce seuil, on remonte les notes », explique Annie Kuyumcuyan, membre du jury et professeur de linguistique française à l’université de Strasbourg (interview L’étudiant Educpros). Ce que confirme Valérie Fasseur, membre du jury et maître de conférences à l’université de Pau : « En 2015, j’ai par exemple été contrainte de noter 7 plusieurs copies auxquelles j’avais d’abord mis 3. Mais cette année-là, le seuil d’admissibilité a été placé à 6,5. Donc des candidats dont les copies avaient d’abord obtenu 320 ont été admissibles… ».

Alors, ce n’est certainement pas avec des mesures faisant la part belle à l’affiliation aux idées progressistes au détriment des savoirs, dans leur recrutement des professeurs, qu’on relèvera le niveau de ces derniers !

Charles André

Arrêté du 25 janvier 2021 fixant les modalités d’organisation des concours du certificat d’aptitude au professorat de l’enseignement du second degré

[ … ]
Article 8

L’épreuve d’ entretien avec le jury mentionnée à l’article 7 porte sur la motivation du candidat et son aptitude à se projeter dans le métier de professeur au sein du service public de l’éducation.
L’entretien comporte une première partie d’une durée de quinze minutes débutant par une présentation, d’une durée de cinq minutes maximum, par le candidat des éléments de son parcours et des expériences qui l’ont conduit à se présenter au concours en valorisant notamment ses travaux de recherche, les enseignements suivis, les stages, l’engagement associatif ou les périodes de formation à l’étranger. Cette présentation donne lieu à un échange avec le jury.
La deuxième partie de l’épreuve, d’une durée de vingt minutes, doit permettre au jury, au travers de deux mises en situation professionnelle, l’une d’enseignement, la seconde en lien avec la vie scolaire, d’ apprécier l’aptitude du candidat à :
– s’approprier les valeurs de la République, dont la laïcité, et les exigences du service public ( droits et obligations du fonctionnaire dont la neutralité, lutte contre les discriminations et stéréotypes, promotion de l’égalité, notamment entre les filles et les garçons, etc.) ;
– faire connaître et faire partager ces valeurs et exigences.




Gouvernement Mondial – Le Ministère de la Vérité

[Source : ZE Journal]

Une pandémie permettrait d’instaurer enfin un véritable gouvernement mondial. 

Jacques Attali le 6 mai 2009

Je ferai de la formation d’un gouvernement mondial unique mon héritage.

George Soros le 8 août 2018

La collusion de l’État français avec les géants du web, jusqu’alors secrète, a été officialisée en novembre 2018 quand le conducator a annoncé la création d’un groupe mixte moitié cadres de Facebook, moitié politiciens et hauts fonctionnaires français.

Pour se donner une légitimité, ce groupe était supposé traquer les contenus racistes, antisémites, homophobes et sexistes. Curieusement, les djihadistes ne faisaient pas partie des « méchants »… Quinze mois plus tard, ce sont les thérapies du professeur Raoult qui sont clouées au pilori par ces prescripteurs de « bonnes pensées ».

Pour ne pas être en reste, Facebook et Twitter ne se contentent plus d’escamoter des dizaines de milliers de posts non conformes aux intérêts de la nomenklatura mondialiste… Ils se sentent désormais assez forts pour se permettre de censurer des chefs d’États ! Il semble clair que l’inertie des grandes puissances, qui disposent des outils juridiques anti-trusts pour disloquer ces léviathans du numérique, s’explique par l’intérêt qu’elles y trouvent. Donnant-Donnant.

Des vertes et des pas mûres

Auparavant, les fact-checkers se contentaient de vérifier article par article, rumeur par rumeur, photo par photo, sondage par prévision, chiffre arrangé par donnée truquée. Et puis est arrivé Decodex, le moteur de recherche du « Monde » financé par « Google », qui juge souverainement les sites internet et les envoie en enfer, au purgatoire ou au paradis selon leur soumission à la bien-pensance du N.O.M.

S’y ajoute une merveilleuse invention 2.0 sous forme de « add on » ou « extension » adaptée à « Chrome », « Firefox » ou « Microsoft edge » qui trie automatiquement le vrai du faux et vous dit ce que vous devez penser. Avec une signalétique simpliste inspirée des feux de circulation : vert allez y, rouge stop, orange plus ou moins mûre : freinez à fond.

Vert  : Ceux qui expliquent aux Français l’intérêt que présente un rabotage de leurs retraites et de leurs droits sociaux, s’ils ne veulent pas tout perdre dans un proche avenir. Car chacun sait (parole d’énarque) que si une partie des gens regimbe et se rebiffe, c’est parce qu’on leur a mal expliqué les mesures positives qui les concernent.

Vert : Les sites para-étatiques prétendant que le Covid-19 n’atteindrait jamais la France, puis que ce serait une simple grippette qui n’empêcherait ni de sortir ni de voter. Et que les tests et les masques ne servaient à rien… Toujours vert demain quand les masques seront obligatoires et que les flics verbaliseront ceux qui n’en portent pas avec un zèle qu’ils n’ont jamais déployé envers les femmes en burka ?

Vert : Des propagandistes sans la moindre formation médicale qualifiant de « fake news » la communication initiale du professeur Raoult, et bloquant l’accès à sa page Facebook avec l’appui du ministère de la santé, avant que les politiciens ne reculent sous la pression trop voyante à la fois des praticiens et des médias alternatifs qu’on n’a pas encore réussi à museler.

Vert : Le décret déclarant empoisonnée une molécule utilisée depuis 80 ans, puis en limitant l’usage aux cas désespérés afin de pouvoir en dénoncer l’inefficacité.

Vert  : Des membres du Conseil scientifique férocement opposés au professeur Raoult jurant qu’ils n’ont aucune relation d’intérêt avec les laboratoires qui attendent de proposer des remèdes coûteux… Quand on les trouvera… Si on les trouve.

Vert : Le matraquage continu pour convaincre les gens qu’il n’y avait pas d’autre solution que le confinement, et qu’on rend service aux vieillards en les finissant au Rivotril. Le 49.3 pour les retraités, c’était bon pour les politicards de l’ancien monde.

Un test : allez sur Google et tapotez « anti macron ». Les 5 premières pages (je n’ai pas eu la courage d’aller plus loin) vilipendent ceux qui osent critiquer le conducator avec en bandoulière l’antienne : « Extrême drouate ! Extrême drouate ! »

Le génial inventeur du Decodex

C’est un Libanais du nom de Nabil Wakim, membre de la Young leader French American Foundation, promotion 2012, celle de Macron… Une organisation liée au Bilderberg et à la Trilatérale avec pour objet de recruter des influenceurs de talent, appelés à devenir des exécutants zélés au service du Nouvel Ordre Mondial.

Le C.V de Wakim n’a rien d’exceptionnel de nos jours : une maîtrise d’histoire et un mastère du CELSA, une antenne de La Sorbonne spécialisée en public relations et journalisme. Plus intéressantes sont ses formations complémentaires de terrain : Selon ses propres dires Nabil Wakim se serait rendu en juin 2013 à Marrakech pour intervenir dans le « dialogue avec le monde arabe » organisé par la French American Foundation. Dans quel but ? « Étudier le printemps arabe » présenté comme un mouvement spontané des peuples.

Le jeune Wakim (alors 32 ans) ignorait sans doute que ces printemps médiatisés relevaient moins de révoltes populaires que de soulèvements provoqués et canalisés dans une tentative de recomposition du Moyen-Orient par les services secrets américains. Sous l’œil gourmand et attentif des Russes.

Y jouer un rôle de médiateur revenait à coopérer sans le savoir (?) à une vaste entreprise mondiale de désinformation, relayée par l’ensemble des médias occidentaux, avec « Le Monde » caracolant en tête.

Ensuite, alors qu’il enseigne le journalisme à Sciences Po Paris, tout en dirigeant « Le monde » dont il est devenu le rédac’ chef, ce qui présuppose quelques compétences… En 2014 alors qu’il a 33 ans, et déjà une belle carrière derrière lui, Wakim part aux USA pour « étudier le journalisme » (sic)

Renseignement pris, il a été sélectionné par la « Nieman Foundation » pour apprendre à adapter la propagande main stream aux particularités des médias numériques et sociaux : réactivité, inter-connectivité et interactivité, biais cognitifs exploitant l’émotion, et gestion d’un public virtuel sinon vertueux pour amplifier les buzz.

Reposez-vous, on pense pour vous !

Pauvres internautes perdus sans un guide, le moteur de recherche du « Monde » vous invite à signaler et faire analyser tout site suspect. Leur base de données répertorie tous les sites se livrant à la diffusion virale de fausses informations et se fait un devoir d’« aider les internautes à se repérer dans la jungle des sites producteurs ou relayeurs d’informations fausses ou douteuses » (sic)

À l’aune de quels critères ? Ceux du « Monde » naturellement. Journal de bobos écolo-parigots jusqu’à la caricature. Vigoureusement mondialistes, farouchement européistes et férocement immigrationnistes.

La loi du milieu

Le clivage est net et sans bavures. D’un côté en vert, tous les médias main stream avec subventions d’État et journalistes encartés. De l’autre, en rouge, ceux qui s’autofinancent et n’ont pas la carte de presse. Sans ce sésame, ils sont réputés écrire n’importe quoi, même lorsque les auteurs sont des pointures dans le domaine dont ils dissertent… S’ils ne sont pas des mercenaires du clavier stipendiés pour défendre des intérêts inavouables.

Parfois ce classement réserve des surprises : ainsi « Valeurs actuelles » qui fut condamné pour haine raciale, est en vert… Quand « Fakir », le site de François Ruffin, député insoumis est en rouge. En contradiction apparente avec les convictions affichées par « Le Monde » mais tout à fait dans la ligne idéologique des censeurs, selon laquelle les journalistes non professionnels n’ont pas droit de cité. Et à défaut de les faire interdire (pour le moment…) on doit s’ingénier à les discréditer.

Quant à la presse étrangère, elle est traitée avec autant de désinvolture et de parti pris. Le « Daily Mail » qui a défendu des points de vue pro-Brexit est catalogué en rouge donc peu fiable, tandis que « The Guardian » avocat du Remain qui a multiplié les prédictions apocalyptiques non confirmées dans les faits, est toujours en vert.

Il est évident que « Le Monde » s’est mis dans une situation inconfortable où il est à la fois juge et partie et donc, plus du tout fiable. Porteur dès la naissance de Decodex de ce double handicap qui nuit définitivement à sa crédibilité : il ne peut convaincre que les convaincus, c’est-à-dire ceux qui se réfèrent au « Monde » pour avoir confirmation de ce qu’ils tiennent pour vrai…

Avec en contrepartie, dans le cas où Decodex dénicherait un fake (ça doit quand même arriver parfois) la forte probabilité que seront confortés dans leurs certitudes ceux qui y croient ou sont tentés d’y croire, du simple fait que l’anathème provient d’un média du système auquel ils n’accordent aucun crédit.

Noyauter les pépins, tout un art

Vu la difficulté de créer ex nihilo des sites d’information crédibles, ou de donner rapidement confiance envers ceux qui existent, ces grands professionnels ont décidé de noyauter, par l’entrisme, les amateurs qu’ils méprisent ouvertement par ailleurs.

Le nombre de passerelles, de partenariats rémunérés ou non, de partage de « codes éthiques » et d’échanges d’info entre ces différents réseaux et les blogs, les sites informatifs, et des journalistes-citoyens triés sur le volet, est impressionnant ! On les détecte aux quasi copiés-collés de leurs infos formatées façon agences de presse, répétitives et orientées. Souvent ripolinées de moraline au service de la mondialisation heureuse.

Ce Ministère de la Vérité est une pieuvre dont les tentacules se jouent des frontières, des langues vernaculaires, des cultures et des traditions locales. Pour se légitimer, il distribue des prix et des « awards » à ses agents les plus méritants. Ainsi « ProPublica » a reçu un Pulitzer d’un jury présidé deux ans avant par Paul Steiger, président de « ProPublica » !

L’idéologie de l’oligarchie

Sur ses sites internet, le Ministère de la Vérité défend une ligne politique et sociétale qui est clairement celle de l’oligarchie : pas touche aux intérêts des banksters, aux entreprises qui exploitent les affamés du quart monde, à Big Pharma qui vous laisse crever pour optimiser ses profits, et aux multinationales du numérique dont le chiffre d’affaires pour certaines dépasse celui de quelques états de taille respectable…

Mais pour afficher une bonne conscience et amuser la galerie, on monte en épingle « la défense des droits de l’homme et de la démocratie » qu’ils sont les premiers à piétiner là où ils opèrent… Avec l’écologisme activiste dans un monde que leurs mines, leurs usines et leurs super porte-containers ne cessent de polluer.

À ces termes de novlangue qui signifient destruction des frontières et des nations, mise sous tutelle des gouvernements et détournement d’attention des vrais problèmes avec un réchauffisme amplifié, il convient d’ajouter les droits des LGBT, ça ne mange pas de pain, le progressisme sociétal qui ramasse tout et n’importe quoi, et le multiculturalisme récité comme un mantra par des vieux bonzes. Mais aussi « la lutte contre le populisme et les extrêmes ». Étant qualifiés d’extrémistes, tous ceux qui refusent d’être la pâte à modeler destinée à entrer dans leurs moules.

Il suffit de voir en France comment de pseudo-journalistes vrais nervis en quête de primes s’acharnent à contrer toute homme ou femme politique qui pense mal.

Résultats opérationnels : Une intégration horizontale avec des produits culturels et informatifs normalisés aux critères d’une idéologie consensuelle factice…

Et une concentration verticale qui absorbe les divers types de fournisseurs, de stockage, de diffuseurs et de supports. Super-Matrice permettant de créer un réseau de journalistes serviles, dits d’investigation (plus orwellien tu meurs !) capables de fournir des enquêtes orientées et des sondages truqués aux médias qui en sont friands.

Tout en censurant ou discréditant les informations qui dérangent en les qualifiant de « fakes dénoncés après une rigoureuse vérification des faits ». Meilleur moyen de contrer les opinions dissidentes, d’escamoter les débats et de discréditer les contradicteurs, qu’ils proviennent de la « fachosphère », de la « gauchosphère » ou de pays rétifs pas encore entièrement soumis à l’oligarchie.

C’est le Ministère de la Vérité financé par l’Oligarchie au service exclusif des vérités décidées par l’Oligarchie.

Les sponsors de la pieuvre numérique

Les élections présidentielles américaines de 2016 suspectées d’avoir été influencées par un complot associant des Russes à une partie de la droite la plus conservatrice, ont incité des gens un peu naïfs, croyant bien faire, à appuyer la création d’un système de contrôle des informations, afin d’éviter semblables ingérences à l’avenir.

Flairant le filon, Facebook a été le premier à réagir en faisant appel aux services d’une nébuleuse allemande « Correctiv » associant une trentaine de journalistes de diverses nationalités, en leur donnant pour mission de traquer les « fake news » sur le réseau social et de débusquer et bannir leurs auteurs. Les cibles prioritaires étant naturellement ceux qui refusent la mondialisation heureuse et l’européisme béat.

« Correctiv » prétend être une ONG neutre, spécialisée dans le journalisme d’investigation et le « fact checking ». En réalité, cette officine est financée par la « Fondation Brost », dépendant du groupe de médias « Funke Mediengruppe » (anciennement WAZ) associé à la « Deutsche Bank ».

« Correctiv » est membre du « Global Investigative Journalist Network » (GIJN), financé par « l’Open Society » de George Soros, la « Fondation Ford » et « Google ». « La Banque Mondiale » et la « Commission Européenne » font aussi partie du groupe. De façon tout à fait désintéressée. Pour s’assurer que de méchants provocateurs ne vont pas utiliser la relative liberté du web pour berner le public.

Sur le plan fonctionnel, « Correctiv » s’inspire de « l’Institut Poynter » dont il affiche en vitrine les préconisations rédigées dans une bible du politiquement correct qui se fait fort de déterminer la véracité de l’info à partir de critères cauteleux à mi-chemin entre les prêches des télé évangélistes et les niaiseries de Jean Jacques Rousseau.

Surprenante école de journalisme, puisque telle est sa vocation première, qui compte parmi ses filiales, une agence de presse politique (conservatrice-libérale à la sauce américaine) ainsi que le « Tampa Bay Times » une institution qui existe depuis 1884. Et dont on dit qu’il est conseillé à tout candidat gouverneur, sénateur ou procureur en Floride d’éviter de déplaire. N’est-ce pas incompatible, encore une fois, d’être juge et partie, tout en se recommandant de la plus parfaite objectivité ?

« Poynter » fonctionne grâce à des dons provenant de la « Fondation Bill Gates », de « Google » dont le réchauffiste milliardaire Al Gore est un gros actionnaire, de « l’Open Society » du sympathique George Soros et de la « Knight Foundation ».

La « Knight Foundation »qui n’a rien à voir avec la chevalerie disposait en 2015 d’un fonds de 2,14 milliards de dollars pour financer divers projets journalistiques. Parmi lesquels « Wikipédia » cette encyclopédie qui se dit libre et ouverte…

Enfin pour chapeauter le tout, « ProPublica » un réseau de journalistes soi-disant indépendants, financés par un mécénat dégoulinant de déclarations de foi ronflantes et archi-politiquement correctes.

Ainsi la Fondation Carnegie qui annonce : « Nous œuvrons à construire un monde meilleur autour de l’utilisation des sciences, de l’amélioration des hommes et des communautés en réseau ».

Ou la « Sandler Foundation » à la philosophie admirable : « Nous investissons dans des organisations stratégiques et des leaders exceptionnels (ndlr : Macron ?) qui cherchent à améliorer les droits, les opportunités et le bien-être des autres, en particulier les plus vulnérables et les plus défavorisés ».

S’y ajoutent, plus discrets mais non moins proactifs, le « Fondation Ford » et l’ « Open Society » de Soros laquelle se présente comme « la plus grande organisation philanthropique au monde, en matière de liberté, de démocratie et de droits humains ».

Ces parangons d’honnêteté, d’objectivité et de professionnalisme travaillent avec les grands médias : ABC News, CNN, Financial Times, New York Times, Guardian, Washington Post, Huffington Post pour ce qui est des supports traditionnels… Et sur le web, en plus de leurs pendants numériques : Facebook, YouTube, Twitter, Google, le Washington Post, Amnesty International, CNN, France Info, l’AFP et même Al-jazeera… L’objectif avoué de ces autoproclamés vérificateurs incorruptibles de la bonne pensée étant de mettre en place une « plateforme collaborative internationale de vérification ».

En privé ils disent « de certification ». En rêvant d’un monde meilleur où l’on ne pourrait plus rien publier qui n’ait été au préalable « certifié ». Les rustres qui fuient les périphrases appellent cela de la censure. Quel manque de finesse !

Le Ministère de la Vérité au service du Gouvernement Mondial

La domination culturelle des masses par de vieux préjugés ne peut être combattue et remplacée que par une autre hégémonie culturelle. Qui se donne l’air plus moderne, plus libre, plus séduisante. Et forcément ringardise les valeurs d’avant. Dans un monde interconnecté où ordis, tablettes, smartphones, réseaux sociaux, GPS et domotique, échangent entre eux pour votre plus grand bien, et surtout pour ne jamais vous perdre de vue, l’individualisme, l’autonomie, l’anticonformisme et le patriotisme n’ont plus leur place.

L’art, l’éducation et la culture préparent le terrain. Dès les petites classes, les enseignants sont chargés de formater les jeunes cervelles et d’en faire des individus sans passé, sans racines, sans références, avec des connaissances succinctes, éparses, sans liens entre elles. Peuvent alors débouler les bataillons médiatiques qui anesthésient les masses en assénant leurs vérités irréfragables, étouffent dans l’œuf toute contestation et condamnent à la mort sociale les hérétiques.

Gramsci n’aurait sûrement pas imaginé que « la future conscience de classe » qu’il appelait de ses vœux pour renverser l’ordre ancien se traduirait par une fusion dans la confusion de nouveaux liens d’appartenance tissés par des talk shows connivents, des séries lénifiantes, des mouvements panurgiques de détestation ou d’adhésion, une presse people affligeante, des télé-crochets hypnotiques, des parangons de sagesse sortis du néant avant d’y retourner, et l’indigent prêt-à-penser des J.T.

– Source : Agoravox [Note : la page ne s’affiche pas]




2020-2021 : Fin du Mouvement des Gilets Jaunes, Transition vers la Résistance

[Source : TML]

Avec l’épidémie de Covid-19 et l’instrumentalisation politique qui en est faite par le pouvoir macronien, le temps des Gilets Jaunes semble déjà bien loin, et leur combat, qu’il avait déjà réussi à étouffer par la violence et la provocation, définitivement devenu une page d’histoire supplantée par la suivante, l’actuelle crise économique et sociale mise à bon compte sur le dos de l’épidémie, à grands renforts de « Quoi qu’il en coûte » et de « liquidités » abondamment déversées par les Banques Centrales, dont la BCE en Europe, et qui sont devenues les véritables maîtres du jeu de monopoly, alimentant sans cesse la partie que continuent de jouer, comme potentats locaux à leur solde, les différents gouvernements « nationaux », dont celui de Macron, en France.

Or non seulement cette « loi du quoi qu’il en coûte » subventionnée par la BCE ne règle en rien le problème sanitaire qui en est le prétexte, non seulement elle ne règle en rien les problèmes sociaux du « monde d’avant », que ce soient les revendications des Gilets Jaunes ou les besoins déjà criants de l’Hôpital Public, mais elle génère, sur le terrain, une nouvelle strate de misère qui vient se rajouter à l’ancienne, sans même ouvrir une simple perspective de répit dans cette descente aux enfers du banco-centralisme.

Pour faire régner, dans le « monde d’après », ce nouvel ordre mondial sur le territoire de la France, le gouvernement Macron ne peut y arriver qu’en foulant aux pieds, et chaque jour un peu plus, les droits et les libertés des citoyens français, tels que ceux-ci les croyaient encore établis par les luttes sociales et politiques des générations passées.

C’est ce déni du droit que Francis Lalanne tente de nous expliquer dans le texte de son Appel, initialement publié sur France Soir, un titre de presse héritier des luttes de la résistance antifasciste sous le régime pétainiste de Vichy.

C’est en ce sens que cet Appel est emblématique de la transition entre deux périodes historiques, celle du « monde d’avant », qui s’achève, en France, avec l’étouffement de la lutte des Gilets Jaunes, et celle du « monde d’après », qui s’ouvre, en France, avec le refus du pouvoir macronien de soigner réellement les malades avec les traitements existants disponibles, allant jusqu’à en entraver lourdement la prescription, et même, directement ou non, la production.

L’Appel de Francis Lalanne, loin d’être un rejet des procédures constitutionnelles et/ou du droit, est, bien au contraire, une sorte de bilan constitutionnel de cette transition lourdement « ratée » par le pouvoir macronien, et même à un degré tel qu’il y a donc lieu, très légitimement, de s’interroger sur les véritables raisons et motivations sous-jacentes, en réalité, d’un « ratage » aussi monumental, et de chercher à comprendre s’il n’est pas, carrément et en définitive, le résultat d’une intention délibérée, et au profit de qui?

Dans la suite et conséquence historique du mouvement des Gilets Jaunes, il y a donc lieu d’exprimer notre soutien, notamment par la voie de ses pétitions nouvelles sur ce thème, à cette action de résistance civique face à l’acharnement du pouvoir macronien à bafouer les droits du peuple.


LE TEXTE DE L’APPEL DE FRANCIS LALANNE

APPEL DU 22 JANVIER : Francis Lalanne, le dernier des Gilets Jaunes, le premier des Résistants??!

https://youtu.be/pm-kBeTPock

Sur le nouveau pouvoir des Banques Centrales :

Paradoxe et suspense économique en 2021 : le Capital atteindra-t-il, ou non, le Nirvana par la Dette Mondiale ?




La liberté mise en pièces par la peur

[Source : h16free.com via Réseau International]

S’il y a bien une émotion particulièrement commode pour diriger la foule, c’est bien la peur. Cela fait passer presque instantanément la grande majorité des individus en mode « réflexes ».

Or, un réflexe simple lorsqu’on a peur est de simplement suivre le groupe parce qu’en moyenne, le groupe se trompe peu. [NdNM : du moins c’est ce que peuvent croire les gens apeurés]. Et si l’on a correctement orienté le groupe en lui faisant peur et en lui fournissant en même temps des solutions (de groupe, évidemment) qui répondent (fortuitement) à un agenda pratique pour celui qui manipule, le groupe fonce alors tête baissée vers la solution présentée, bonne ou mauvaise.

Bien utilisée, la peur fait en effet complètement oublier la liberté aux individus : la liberté, en laissant les possibilités ouvertes, n’apporte jamais de réponse immédiate, émotionnelle, instinctive et définitive aux dangers qu’on croit percevoir. Elle est toujours une réponse argumentée, raisonnée, pondérée et ne fait pas le poids devant les réponses instantanées, toutes faites et rassurantes par leur immédiateté.

Les adversaires de la liberté utilisent donc habilement la peur en multipliant les messages anxiogènes et les solutions toutes faites qui vont dans leur sens à eux : « La planète se réchauffe, vite, réduisons nos besoins en énergie, réduisons la population ! » ou encore « Vous allez mourir et atrocement en plus, vite barricadez-vous, ne bougez plus, taisez-vous, laissez l’État tout prendre en charge ! »…

Le besoin (pas nécessaire en réalité) de répondre vite, le caractère d’urgence (créé artificiellement) finissent par désarmer ceux qui ont l’habitude de la liberté lorsque le cadre se prête à la réflexion et à la pondération. Rapidement, les objections réfléchies sont complètement écrasées par les émotions et à la fin il ne reste plus qu’un groupe à peu près homogène d’individus qui se ruent vers les solutions proposées. Peu importe qu’elles n’ont de solution que le nom : ça marche pour diriger la foule et ça accroît sans cesse le pouvoir de ceux qui les proposent.

Le résultat très concret peut s’observer actuellement et il n’est pas beau à voir.

Assez rapidement, toujours en utilisant le prétexte de l’urgence et du caractère soi-disant exceptionnel, et grâce à l’intervention des médias qui, eux aussi, utilisent la peur d’autant mieux qu’elle fait vendre, on a mis en place une succession de confinements et de couvre-feux. Si leurs bénéfices sont parfaitement hypothétiques (« sans, il y aurait eu plus de morts patati patata »), les effets économiques, sociaux, politiques et même médicaux sont maintenant visibles (pas du tout hypothétiques) et catastrophiques.

Cependant, chaque nouveau confinement accepté par la foule apeurée brise un peu plus la résistance de ceux qui étaient auparavant indépendants, et qui deviennent de plus en plus soumis aux bons soins des dirigeants et de l’État à leur botte.

De façon habile, la réduction drastique, catastrophique même, de l’activité économique sera présentée comme bénéfique pour le climat. C’est faux, mais peu importe puisqu’il s’agit, là encore, de manipuler les foules, pas de les aider.

La suite logique a déjà été évoquée, sortie des cartons et la mise en musique ne tardera pas : la peur a fait des miracles et l’introduction d’un traçage permanent passe comme une lettre à la poste. Bien sûr, au début, on l’appellera « passeport médical » (pour ne pas effrayer le troupeau), puis « passeport vert » (qui permettra de vérifier l’adéquation comportementale avec l’agenda écologiste) puis enfin, ce sera le contrôle permanent des faits et gestes pour vérifier qu’ils sont en ligne avec la doxa officielle. Le procédé est transparent, simple, souple et cette doxa peut évoluer sans souci : le cheptel s’adaptera.

Bien évidemment, pour éviter la dissension, on laissera se développer la censure, le déplateformage et plus efficace encore, l’auto-censure (par pression sociale, depuis les groupes de Social Justice Warrior jusqu’aux fachos antifa pour taper du récalcitrant). Est-il vraiment besoin de revenir sur les derniers mouvements au sein de Facebook, Twitler et autres pour préciser ce point ?

L’accroissement de la pauvreté et la mise sous tutelle étatique d’un nombre croissant d’individus permet l’introduction d’un Revenu universel, magnifique étape dans l’asservissement le plus abject puisque ce principe est exactement équivalent à la distribution de nourriture « gratuite » aux animaux du zoo. On peut d’ores et déjà parier que la mise en place de ce système sera applaudi des deux mains par une proportion stupéfiante de Français.

Parallèlement, on continuera le grignotage de la propriété privée (en France, ça va à un rythme galopant ; il en ira de même partout ailleurs). Notez qu’on favorise déjà la location de tout et la possession de rien, la propriété privée étant maintenant de plus en plus ouvertement honnie, dans les médias, les discours politiques et les pensées jalouses de toujours plus d’individus.

Dans ce cadre, l’humain et ses services deviennent atomiques, parfaitement remplaçables. Les communistes, qui nient la notion même d’individu, se réjouiront – et se feront broyer à leur tour en devenant eux-mêmes des petits rouages anonymes d’une immense machine devenue folle.

Cette disparition de la propriété ne peut se faire sans une disparition complète de l’argent liquide anonyme. Cette disparition de toute transaction privée entraînera la disparition de toute possibilité de faire des affaires sans être fiscalisé, et surtout sans échapper au jugement permanent, à la scrutation de tous par tous : chaque transaction devenant publique, cela veut dire que tout le monde est jugé en permanence par tout le monde. La transparence totale que certains abrutis applaudissent des deux mains est évidemment un cauchemar abominable mais il faudra que ces abrutis la subissent pour comprendre pourquoi.

Ça tombe bien, on y va droit.

L’année passée nous a fourni une bien sévère leçon, celle que tous les efforts des libéraux sont vains s’ils ne parviennent pas à communiquer et amoindrir les sentiments de peur qui s’emparent de ceux qui connaissent mal la liberté.

Pire encore : on se rend compte qu’à mesure des progrès qui nous garantissent une diminution constante des dangers réels (guerres, catastrophes naturelles et même épidémies), les individus ont de plus en plus peur, de leur ombre, du changement, des autres, des frémissements de l’actualité ou de la liberté elle-même.




Ce “complotiste” avait tout compris (juillet 2020)

[Source : Olivier Demeulenaere]

Enfin presque tout… Il manque juste la dimension transhumaniste du projet de l’oligarchie mondialiste – et sa volonté d’accaparer la quasi-totalité des richesses de la planète.




La Commission européenne confirmerait-elle les dires du Pr Fourtillan ?

[Source : Réseau International]

par Jean Joseph.

Avez-vous vu la dernière intervention du Pr Fourtillan, le 25 janvier ? Si vous ne l’avez pas vue, vous pouvez la trouver là :

ou là :

Le Pr intervient après 45-50 minutes, – je vous fais un résumé (l’entretien est en effet assez touffu et brouillon, et le raisonnement est parfois, me semble-t-il, un peu hâtif) :

1°/ Il affirme à nouveau (il l’avait déjà fait en août dernier) (je passe sur la mise-en-scène clinquante à sensation de F. Chaumont) que le Covid 19 a été fabriqué à l’Institut Pasteur, par P. Charneau et F. Tangy.

Il avait déjà exhibé des brevets de SARS modifiés, trafiqués, pris par Pasteur.

Il a une nouvelle preuve, si j’ai bien compris : un de ses amis a découvert un nouveau brevet, de covid, déposé. Pièce manquante, en effet, à l’éventuelle preuve avérée.

Il le montre à l’écran mais, je dois dire, on ne peut rien lire. Il dit qu’il va le mettre sur le site « Vérité-covid19 ».

Mais pour le moment, sur le site, il n’y est pas — mais il y a bien sûr (à preuve…) les autres brevets découverts auparavant, etc…

Il affirme (lui aussi) que le virus n’est pas le but mais le prétexte. Au demeurant le virus s’est révélé n’être pas très dangereux, pas plus qu’une grippe ordinaire.

Le but est le « vaccin » qui, lui, est très dangereux (immunodéficience en particulier, je ne détaille pas ici). Et donc :

2°/ Il affirme de même que le (LE !) « vaccin » a été étudié, breveté, produit par Pasteur, avec la collaboration de Astra-Zeneca et l’Université d’Oxford (GB) entre autres pour la fourniture du ChAdOx1, virus vecteur du « vaccin » (virus de chimpanzé, à ADN).

Ce « vaccin » dénommé « ChAdOx1 nCoV-19 » a été fabriqué à partir de 2018 ; et bien qu’il soit censé être fabriqué en incorporant du SARS-CoV-2 (breveté par Pasteur), il se nomme nCoV-19, et se dit destiné au Covid-19 (documents à l’appui).

Il affirme que ce dit « vaccin » est LE seul qui ait été étudié et produit, et déjà acheté et stocké dans des endroits secrets, tous les autres sont des leurres.

Et il montre une vidéo de 2 minutes : reportage (très très anodin !) en Inde dans la plus grosse usine du monde (Serum Institute) qui fournit à elle seule les deux-tiers des vaccins du monde.

Je dois dire qu’en regardant cette vidéo (fournie par un internaute, dit-il) on ne voit pas grand chose, cela va très vite, et d’abord, je n’ai pas compris de quoi parlait Fourtillan ; mais en regardant de plus près, à deux moments, en arrêtant l’image, on peut LIRE une affiche sur la porte d’une salle réfrigérée qui s’ouvre, et les étiquettes sur les boîtes chargées par palettes entières. Et là (si l’on en croit ce que l’on voit), on s’aperçoit que l’usine est en train de produire en masse le « ChAdOx1 nCoV-19 ».

Alors que Pasteur vient d’annoncer abandonner la recherche sur l’un de ses vaccins anti-Covid19… (celui basé sur la rougeole, en fait)

Voici (en pièces jointes) deux de mes captures d’écran, où l’on peut même lire la date de fabrication : 2 janvier 2021 (agrandir l’image, au besoin).

Fourtillan précise :

1°/ Que ce « vaccin » contient, entre autres « saletés », des nanoparticules qui, injectées, permettent de détecter si l’on est vacciné ou pas.

2°/ Que ce dit vaccin est plus immédiatement dangereux que prévu (normalement cet effet ne devant se révéler que progressivement…).

Il cite le cas d’un EHPAD de Nice qui chaque année voit une vingtaine de ses pensionnaires mourir et qui, pour le seul mois de janvier de cette année, après « vaccination » (par quel vaccin ?), compte déjà 53 morts… Etc.

(Je note qu’en Australie certaines « vaccinations » à l’essai ont rendu les patients vaccinés positifs au test du SIDA (!) – Voir : http://www.geopolintel.fr/)

3°/ Que l’Institut Pasteur a menacé de porter plainte contre lui pour diffamation, mais ne l’a toujours pas fait, et pour cause.

(Se rappeler que Fourtillan a été arrêté à l’automne, interné en hôpital psychiatrique, puis relâché…)
[Voir : Le Professeur Fourtillan est maintenant libre.]

4°/ Que nos dirigeants sont aux abois, la machination étant dévoilée et avérée, ils ne savent comment arrêter la machine qu’ils ont lancée, – en sauvant leur peau (bien sûr).

(À part ça, Fourtillan dit deux trois choses notables sur le SIDA, les psychotiques, etc.)

Bref.

Je note par ailleurs : Certains biologistes se sont étonnés de la température de conservation du dit supposé (celui-là, ou un autre) vaccin : -80°, – c’est (à ce que j’en sais…) la température usuelle de conservation des virus, bacilles, etc. – mais pour conserver de l’ARNm (celui supposé de certains dits vaccins), une température de -20° suffirait, – et ils ont fait quelques hypothèses, par exemple qu’à l’ARNm serait adjoint CaS-9, et que le dit vaccin ferait en fait de l’édition génique guidée (!)… Mais le « vaccin » de Pasteur-AZ « ChAdOx1 nCoV-19 » utilise un virus comme vecteur… à quelle température se conserve ce « vaccin » ?

Récemment, le 29 janvier, la Commission européenne a publié 2 textes  :

1°/ Le premier « APA-AstraZeneca.pdf », daté du 26 août 2020 à effet au 27 août, sur une décision du 14 août, porte sur l’achat d’un « vaccin » à Astra-Zeneca. Le premier paragraphe précise que le dit vaccin est le « ChAdOx1 nCoV-19 » dont a parlé abondamment le Pr Fourtillan. Pour le reste, le document est copieusement caviardé par la Commission elle-même.

2°/ Le second « Vaccines contract between European Commission and AstraZeneca now published.pdf », en date du 29 janvier 2021, renvoie au premier, et précise l’achat de 300 millions + 100 millions de doses du dit vaccin par l’UE pour être distribuées au prorata des populations (les dites populations européennes comptant en gros 800 millions de sujets)…

(Voir aussi : https://francais.rt.com/international/83298-covid-regulateur

Cela ne confirme-t-il pas certains dires du Pr Fourtillan ?

En tout cas ce vaccin commence à être explicitement répandu ; et je note enfin que la revue Prescrire a publié ce 29 janvier un article très sceptique sur ce « ChAdOx1 nCoV-19 ».

source : https://www.prescrire.org/fr




Le loup-garou expliqué aux innocents

Par Jean Michel Grau

Ou comment révolter les Gaulois réfractaires en décodant le discours élyséen.

Il était une fois un apprenti président aux dents longues qui voulait changer le monde.

Comme il n’avait aucune idée pour le faire — il était énarque — il s’adressa au gros poulpe de Davos qui avait mis au point avec ses amis les requins de la finance mondialiste, une grande réinitialisation du capitalisme pour permettre à ceux-ci, réunis au sein de son Forum de Davos, de s’enrichir encore plus sur le dos des bons peuples. À l’occasion de la dernière réunion du Forum de janvier 2021, l’apprenti président expliqua donc à son maître le gros poulpe en visioconférence depuis l’Élysée(1) comment il allait s’y prendre pour faire advenir « le monde d’après » du gros poulpe à son petit peuple confiné, infantilisé, muselé, puis sous couvre-feu par le Covid 19, depuis un an déjà.

Dans un discours-fleuve de banalités, platitudes et autres idées aussi convenues que soporifiques, il s’enflamma soudain sur le « new normal », concept nébuleux qui devait faire advenir « le monde d’après », prélude à un univers radieux et enchanteur. Oui, le « new normal » allait bouleverser toute la planète, en était-il persuadé.

Seulement voilà, comment y arriver ? Le cauchemar sanitaire que les français endurent depuis un an, l’apprenti président affirma qu’il allait durer encore des mois, « certains disent même des années » ajouta-t-il avec gourmandise. Il assuma ainsi avoir « arrêté toutes les activités économiques pour protéger des vies ». Vraiment ? Pour un virus mortel à 0,05 % : étonnant, n’est-il pas ?… Continuons.

Il affirma ensuite que la vie des hommes primait sur les échanges et les chiffres. Certes… sauf qu’en paralysant des pans entiers de l’économie française : PMI-PME, restaurateurs, petits commerçants, agriculteurs, industries culturelles et du tourisme, c’est encore bien plus de vies humaines que d’activités menacées de disparition pure et simple : la brusque augmentation des suicides par désespoir dans ces catégories sociales n’en est que la preuve la plus sinistre à mettre à son actif.

Ensuite, il confia que « ce virus nous rappelait notre vulnérabilité. » Il ajouta cyniquement qu’il en avait fait les frais en l’attrapant, comme si son petit cas personnel était comparable à celui de tous les désespérés mentionnés ci-dessus. Et il conclut que « l’économie est une science morale, car rien n’est au-dessus de la valeur humaine… » Que n’a-t-il appliqué ce beau précepte au lieu de s’acharner à détruire depuis des années, avant même d’être président, les fleurons de l’industrie française : Alstom, Alcatel, Technip, Latécoère et d’encourager toujours plus d’importations, de délocalisations et de destruction des services publics ? Où sont donc passées « la science morale » et « la valeur humaine » dans tous ces emplois détruits et toutes ces vies brisées ?

Ensuite, il affirma qu’« on ne sortira pas de la crise du Covid 19 tant que l’on n’aura pas résolu la lutte contre les inégalités. » Les gilets jaunes apprécieront, eux qui ont été systématiquement réprimés et sauvagement massacrés depuis 3 ans, au lieu d’être simplement écoutés…

L’apprenti président reconnut alors que si « le capitalisme mondial a permis de sortir de la pauvreté des centaines de millions de personnes d’un côté de la planète », il a en revanche « créé de l’inégalité en favorisant des crises de délocalisation à l’autre bout. ». Il ajouta : « cela a aussi été un choc économique et social pour des centaines de millions d’autres dans le monde. » Peut-on pour autant parler de « formidable succès » comme il le claironna au gros poulpe derrière son pupitre ? Étrangement, il dénonça ensuite « la financiarisation de l’économie qui a accentué encore la progression des inégalités », alors qu’il la trouve formidable, car elle permet d’avancer plus vite.

Un chef-d’œuvre de « et en même temps » dans le texte. Comprenne qui pourra…

Il s’indigna ensuite que « la mondialisation et la financiarisation de l’économie avaient accru la crise des inégalités, la crise de la démocratie et la crise climatique. » Très bien tout ça… sauf qu’il en conclut que « le modèle capitaliste marié à l’économie de marché ne peut plus fonctionner, car il est le fruit d’un compromis entre des sociétés démocratiques, des libertés individuelles et le progrès des classes moyennes. » Autrement dit : rien que des empêcheurs de tourner en rond et de faire des affaires… Et il ajouta qu’on a cru que les États pourraient répondre aux inégalités pour corriger ce qu’il appelle pudiquement « des externalités négatives », comprendre : les excès de la financiarisation, « en donnant la part belle aux actionnaires au détriment de l’économie réelle, à savoir l’économie des États. » Il reconnaissait enfin que « l’État ne pouvait apporter tout seul la réponse aux problèmes climatiques et aux inégalités, entraînant une dette publique trop importante et le contribuable à payer pour toutes ces crises. » Quelle clairvoyance ! Que proposait-il alors ?

Tout en affirmant à la 10e minute de l’entretien qu’il convenait de « conserver la propriété privée, la coopération, les libertés individuelles et collectives, il ajouta qu’il fallait prendre en compte les inégalités sociales et les conséquences climatiques pour que les parties prenantes des entreprises : employés, dirigeants, actionnaires, intègrent dans leur comportement l’impact de leur action économique, sociale, environnementale et démocratique. » On se frotte alors les yeux et les oreilles : a-t-on bien entendu ? Formidable, non ? Pas si vite, ne nous emballons pas !

Car la fin de l’entretien part alors en vrille sur un grand délire de notre président en herbe sur

« l’innovation et l’intelligence artificielle qui permettra en matière de gestion de l’épidémie du Covid de régler en un jour des problèmes qui prennent des semaines, de régler des problèmes de diagnostic en quelques secondes, une capacité de « comodiciter » (sic) certaines industries… »

Maintenant, nous prions tout un chacun de boucler sa ceinture avant le décollage sur les impacts de l’innovation. Ainsi sur un air martial, notre petit guide de l’Élysée de déclamer haut et fort :

1) « On va continuer à innover et accélérer. »

2) « Il y aura des impacts en matière d’ajustements sociaux et il nous faut les penser dès maintenant. »

C’est dire que le sujet des inégalités sociales va être encore plus prégnant que dans le monde que je viens d’évoquer. » Traduction : tous ceux qui croyaient encore naïvement à la 10e minute de l’entretien « qu’il faut prendre en compte les inégalités sociales » en seront pour leurs frais à la 23e. C’est d’autant plus vrai que toutes les professions impactées par la dictature sanitaire : PMI-PME, restaurateurs, petits commerçants, agriculteurs, industries culturelles et du tourisme ne rouvriront JAMAIS. C’est écrit noir sur blanc dans le livre du gros poulpe(2) : Covid 19, la grande réinitialisation, dont notre apprenti président est le plus servile et zélé exécutant.

3) « Tout cela a des impacts en termes démocratiques qui sont massifs. Ces innovations vont être des accélérateurs de nos problèmes sur le plan social et démocratique. »

Voilà qui a le mérite d’être clair… mais parfaitement incohérent avec ce qu’il affirmait 13 minutes auparavant, à savoir « qu’il convient de conserver les libertés individuelles et collectives. »

Et pour mieux faire comprendre « les accélérateurs de problèmes » que sont les innovations « sur le plan social et démocratique », il ajouta avec une franchise désarmante : « L’expérience américaine ces dernières semaines l’a montré sur le plan démocratique si besoin était. » Traduction : les machines à voter Dominion posent un problème démocratique, vu la fraude massive qu’elles ont engendrée, mais il faut l’assumer. Tout cela a un nom : cela s’appelle du foutage de gueule.

4) La seule bonne nouvelle pour notre jeune oracle est que « les nouvelles technologies de l’innovation vont permettre de répondre beaucoup plus vite aux défis climatiques. »

Et maintenant, résumons :

  • Privation des libertés de tous les Français avec l’instauration d’une dictature sanitaire sine die ;
  • Effondrement massif de pans entiers de l’économie française plongeant dans le chômage, la misère et le suicide pour certains, des millions de nos compatriotes ;
  • Disparition définitive de tout ce qui fait l’exception culturelle française : son cinéma, son spectacle vivant (concerts, opéra, théâtre), sa gastronomie, son industrie touristique avec 75 % des restaurants, comme prévu par le gros poulpe dans son bréviaire 2.0.

Tout ce cauchemar pour répondre aux défis climatiques grâce aux nouvelles technologies de l’innovation ???? On est censé être en direct de l’Élysée ou bien de la secte du Temple Solaire ????

Alors que la dictature sanitaire de la Grande Réinitialisation est déjà enclenchée depuis un an, l’apprenti sorcier président a l’outrecuidance de terminer par ces mots :

« Les innovations vont nous permettre de créer de la valeur et de répondre aux défis économiques. Mais elles vont poser des problèmes auxquels nous n’avons pas assez réfléchi en termes démocratiques, en termes de libertés publiques et d’augmentation des inégalités sociales. »

Autrement dit : Les innovations vont nous mener au bord du gouffre, c’est pourquoi je vous propose de faire un grand pas en avant.

Et le gros poulpe de Davos de conclure enthousiaste :

« Il y a des dirigeants qui ont une idée très claire de ce qu’ils veulent faire de cet avenir que l’on veut construire… pour le bien de tout le monde. »

Et notre apprenti sorcier président de parachever dans un grand élan lyrique :

« N’oublions jamais que notre objectif est toujours en société de construire la vie… bonne, avec les vertus qui vont avec, et la volonté de respecter l’autre. »

Les millions de Français confinés et reconfinés depuis un an, sous couvre-feu et muselés avec leurs enfants pour sortir de chez eux, applaudiront frénétiquement, c’est sûr…

Voilà. Pour tous ceux qui n’auraient toujours pas compris, après cette visioconférence entre Davos et l’Élysée, que cette dictature sanitaire nous mène droit à l’esclavage et ne s’arrêtera que le jour où l’on aura arrêté cette bande de criminels mondialistes, on ne peut que leur prodiguer ce conseil avisé du grand dramaturge irlandais quand il ne restera plus personne pour protester :

RÉSISTANCE MAINTENANT OU JAMAIS !

Notes

(1) https://youtu.be/mGHt1N0MYGA

(2) Klaus Schwab, Covid 19 : la grande réinitialisation, Forum Publishing




Des ondes électromagnétiques pulsées peuvent détruire des cellules cancéreuses

[Source : L’Aile à Stick]

[NdNM : la vidéo suivante montre la destruction de micro-organismes et de cellules cancéreuses par des signaux électromagnétiques pulsés à une fréquence spécifique en fonction de l’organisme cible considéré. Une paramécie n’est pas détruite par la même fréquence qu’une cellule cancéreuse du pancréas, par exemple. Les ondes de la téléphonie sans fil et du Wi-Fi sont aussi de type pulsé, même si les fréquences sont différentes. Pour autant, par le même phénomène de résonance ainsi que par d’autres phénomènes physiques tels que l’induction électromagnétique, elles sont également susceptibles d’affecter des cellules, tissus biologiques ou organes vivants, cancéreux ou non, selon notamment la forme et la fréquence des pulsations. L’onde électromagnétique impliquée n’a pas besoin d’avoir une grande intensité. Voir aussi le dossier 5G et ondes pulsées.]

Cette technologie pourrait signer l’arrêt de mort des BigPharma

Doublage FR L’Aile à Stick

Lien source : Détruire des cellules cancéreuses à l’aide de fréquences de résonance | Anthony Holland | TED Talks https://youtu.be/1w0_kazbb_U

https://youtu.be/OteiAbQpn-Y [Censuré]




Nouvelle souche de coronavirus ou tromperie colossale ? Un mirage peut-il en cacher un autre ?

[Source : Sott.net]

Par M.K. Scarlett

Poursuivons notre plongée dans le terrier du lapin, de plus en plus obscur au fur et à mesure que l’on descend dans les étages inférieurs. Ce qui suit constitue un prolongement intéressant aux questions posées dans Covid-19 et Sras-Cov-2 — Les preuves d’une fraude globale ?

[Image : © Robert Gonsalves]

Jon Rappoport a écrit un article le 25 janvier dernier dont voici la traduction. Nous reviendrons ensuite sur quelques éléments supplémentaires qui viendront corroborer la nécessité des questionnements qui sont les nôtres dans le cadre du Sras-CoV-2/Covid. Et l’éventualité d’une fraude globale prend de l’ampleur, comme nous le verrons après la traduction, notamment en comparant la « pandémie » de Sras-CoV-2/Covid et l’« épidémie » de Sida.


David Rasnick[1], docteur en chimie, qui a longtemps travaillé dans l’industrie pharmaceutique (Abbott, Prototek, Arris), a rompu avec la science officielle et assuré la présidence de Rethinking AIDS, le groupe pour la réévaluation scientifique de l’hypothèse de l’existence du VIH. Il a été membre du groupe consultatif présidentiel sur le Sida en Afrique du Sud.

Voici une récente déclaration explosive de Rasnick[2] sur le Sras-CoV-2 et le VIH. La digérer aboutit à une révélation décisive :

« Les virus sont instables, en particulier les virus à ARN [comme le Sras-Cov-2]. Ils sont tellement instables qu’il n’existe pas de virus à ARN non muté. Ils sont comme des flocons de neige, il n’y en a pas deux qui soient identiques. »

Le VIH est un virus à ARN de 9 800 nucléotides. Vous pouvez télécharger le Compendium des séquences du VIH ici :[3]

Dans la préface, il est dit :

« Le nombre de séquences [génétiques] dans la base de données sur le VIH continue d’augmenter. Au total, fin 2017, la base de données des séquences du VIH contenait 812 586 séquences, soit une augmentation de 8,5 % par rapport à l’année précédente.

Aucune des séquences qui détruisent [sarcasme] le monde, y compris le coronavirus généré par ordinateur avec ses quelque 30 000 nucléotides, n’est identique.

Les maniaques du virus utilisent des ordinateurs pour comparer la ménagerie de séquences afin de trouver une séquence de consensus pour le VIH, le coronavirus et tout le reste. La séquence de consensus existe à deux endroits : dans les ordinateurs et dans les chaînes d’ARN synthétisées en laboratoire.

Même les séquences consensuelles ne sont pas stables. Différents groupes, utilisant une variété d’algorithmes informatiques, trouveront invariablement différentes séquences de consensus. »

Les implications de la déclaration de Rasnick sont colossales. Tout d’abord, oubliez l’idée que le Sras-Cov-2 n’a qu’une seule séquence génétique. Et ces multiples séquences ne sont pas assemblées en regardant dans un microscope magique. Elles sont assemblées par des programmes informatiques qui ont des algorithmes prédéfinis.En d’autres termes, les séquences sont construites par des CONJECTURES (et non des preuves) intégrées dans les algorithmes.

Tout [soi-disant]« vaccin » mis au point pour lutter contre le Sras-Cov-2 (même si l’on croit à la théorie sur le fonctionnement des vaccins) devrait produire une immunité contre un virus en constante mutation, non pas contre une seule souche mutée, mais contre un nombre infini de mutations. Il s’agirait d’une analogie avec la grippe saisonnière, dans laquelle les chercheurs font chaque année une supposition sur la nouvelle version du virus et développent un nouveau vaccin pour cette supposition.

Comment cela fonctionne-t-il ? L’ensemble des rapports des agences de santé publique totalisent, chaque année, un MILLIARD de cas de grippe saisonnière dans le monde. Pour aller plus loin encore, si les séquences génétiques des virus en constante mutation ne sont pas découvertes, mais concoctées par des programmes informatiques, quelle est la probabilité qu’un [soi-disant]« vaccin » utilisant ces « données » fonctionne ? Et tout en bas de la pile de suppositions se trouve, bien sûr, la prise de conscience que, si ces séquences génétiques sont concoctées — où se trouve le virus réellement isolé ? OÙ SE TROUVE LA PREUVE DE SON EXISTENCE ?

Où est-il, alors que, comme je le signale depuis des mois, les chercheurs tordent et maltraitent le sens du mot « isolé », de sorte qu’il indique que « le virus est quelque part dans une soupe dans un plat dans un laboratoire » — définitivement isolé par l’ONU. Telle est la « science » de la virologie moderne.

Mais ne vous inquiétez pas, soyez heureux, le test « pour le coronavirus » doit forcément être précis, le nombre de cas et de décès doit forcément être exact, et les confinements qui en résultent et qui détruisent les économies nationales et des centaines de millions de vies doivent forcément être nécessaires… n’est-ce pas ? Bien sûr, pourquoi pas ? Disons que l’un dans l’autre, il n’y a pas de problèmes. Tout le monde peut se rendormir et laisser les tyrans démolir la civilisation terrestre. OU, vous pouvez vous REBELLER contre l’État policier construit sur une arnaque que représente le château de cartes que l’on appelle « science ».

Par opposition au « virus », la liberté et l’indépendance sont bien réelles. Les gens peuvent les sentir dans leurs os, dans leur esprit et dans leur âme. Même et surtout s’ils sont esclaves, ils peuvent les ressentir. Puisque nous parlons de l’existence d’un virus, voici un de mes articles que j’ai repris plusieurs fois :

LE VIH EXISTE-T-IL ? ENTRETIEN EXPLOSIF

Avant d’en arriver à l’interview de Christine Johnson, un peu de contexte.

Mon premier livre, AIDS INC. a été publié en 1988. Les recherches que j’ai menées à l’époque ont servi de base à mes récents travaux visant à révéler la vaste fraude appelée Covid-19.

En 1987-88, ma principale question était devenue : le VIH cause-t-il le Sida ? Pendant des mois avant cela, j’avais allègrement supposé que la réponse évidente était oui. Cette question a donc chamboulé mon enquête, car je me trouvais face à des contradictions que je ne pouvais pas résoudre.

Par exemple, dans certaines régions d’Afrique, les personnes qui étaient chroniquement malades et mourantes n’avaient évidemment même pas besoin d’être touchées par un nouveau virus. Toutes leurs conditions et tous leurs symptômes de « Sida » pouvaient s’expliquer par leur environnement : approvisionnement en eau contaminée, eaux usées déversées directement dans l’eau potable, malnutrition protéine-calorique, faim, famine, traitement médical avec des vaccins et des médicaments immunosuppresseurs, pesticides toxiques, terres agricoles fertiles volées par les entreprises et les gouvernements, guerres, pauvreté extrême. L’histoire de ce virus a servi de couverture pour en fait occulter tous ces crimes en cours.

Enfin, à l’été 1987, j’ai découvert l’existence de plusieurs chercheurs qui rejetaient l’idée que le VIH causait le Sida. Leurs études étaient convaincantes.

Je raccourcis ici une grande partie de mon enquête de 1987-1988, mais à partir du moment où le VIH s’est avéré pour moi hors de cause, de nombreux éléments se sont mis en place. J’ai découvert, au sein de TOUS les groupes supposés être « à haut risque » pour le Sida, que leurs conditions et symptômes pouvaient être entièrement expliqués par des facteurs qui n’avaient rien à voir avec un nouveau virus.

Le Sida n’était pas une pathologie. C’était une étiquette parapluie, utilisée pour reconditionner un certain nombre de pathologies immunosuppressives et créer l’illusion d’une nouvelle et unique « pandémie ». Plusieurs années après la publication de AIDS INC., j’ai pris conscience d’un tout autre débat émergeant sous la surface de la recherche : LE VIH EXISTE-T-IL ?

Le prétendu virus a-t-il jamais réellement été découvert ?

Et CETTE question a conduit à ceci : quelle est la procédure correcte pour découvrir un nouveau virus ? L’interview suivante, réalisée en 1997 par la brillante journaliste indépendante Christine Johnson, approfondit ces questions :

« De quelle manière les chercheurs sont-ils censés prouver l’existence d’un virus particulier ? Comment devraient-ils l’isoler ? Quelles sont les étapes correctes ? Ces questions, et leurs réponses, sont au cœur de la plupart des recherches sur les maladies et pourtant, dans leur grande majorité, les médecins ne les explorent jamais ou ne les envisagent même pas. »

Johnson s’entretient avec le Dr Eleni Papadopulos, « biophysicienne et chef d’un groupe de scientifiques spécialisés dans le VIH/Sida à Perth en Australie occidentale. Au cours des dix dernières années et plus, elle et ses collègues ont publié de nombreux articles scientifiques remettant en question l’hypothèse du VIH/Sida… »

Ici, je publie et mets en évidence des extraits de l’interview[4] [5]. Des questions techniques y sont abordées. Les saisir n’est pas l’exercice le plus facile que vous ayez jamais fait, mais je crois que le lecteur sérieux peut comprendre l’essentiel [L’interview date de 1997 – NdT].

CJ : Le VIH cause-t-il le Sida ?

EP : Il n’y a pas de preuve que le VIH cause le Sida.

CJ : Pourquoi ?

EP : Pour de nombreuses raisons, mais surtout parce qu’il n’y a pas de preuve que le VIH existe.

[…] CJ : Luc Montagnier et Robert Gallo [prétendument les co-découvreurs du VIH] n’ont-ils pas isolé le VIH au début des années 80 ?

EP : Non. Les articles que ces deux chercheurs ont publiés à l’époque dans la revue Science n’apportent pas la preuve qu’ils aient isolé un virus chez un malade du Sida. [On dit que le VIH est un rétrovirus].

CJ : Ils prétendent pourtant qu’ils ont isolé le virus.

EP : Notre interprétation des données diffère. […] Pour prouver l’existence d’un virus, il faut faire trois choses. D’abord, cultiver des cellules et trouver une particule qui pourrait être un virus. Il est évident qu’au minimum, cette particule doit ressembler à un virus. Deuxièmement, vous devez mettre au point une méthode pour obtenir cette même particule afin de pouvoir la mettre en pièces et analyser précisément ce qui la compose. Ensuite, vous devez prouver que la particule peut faire des copies fidèles d’elle-même. En d’autres termes, qu’elle peut se répliquer.

CJ : Ne peut-on pas simplement regarder dans un microscope et dire qu’il y a un virus dans les cultures ?

EP : Non, on ne peut pas. C’est tout le problème des virus. Les particules qui leur ressemblent ne sont pas forcément toutes des virus.

[…] CJ : Je crois savoir que la centrifugation à grande vitesse est utilisée pour produire des échantillons constitués exclusivement d’objets ayant la même densité, ce qu’on appelle un « échantillon purifié par densité ». La microscopie électronique est utilisée pour voir si ces échantillons purifiés par densité sont constitués d’objets qui ont tous la même apparence — auquel cas l’échantillon est un isolat — et si cette apparence correspond à celle d’un rétrovirus, en termes de taille, de forme, etc. Si tout cela est vrai, vous êtes alors à trois étapes de la procédure d’obtention d’un isolat rétroviral. (1) Vous disposez d’un isolat, et cet isolat est constitué d’objets ayant la même (2) densité et (3) apparence qu’un rétrovirus. Vous devez ensuite examiner de plus près cet isolat, pour voir si les objets qu’il contient contiennent de la transcriptase inverse [une enzyme] et se répliquent lorsqu’ils sont placés dans de nouvelles cultures. Ce n’est qu’à ce moment-là que l’on peut déclarer avoir effectivement obtenu un isolat rétroviral.

Note de MKS : Pour isoler un virus, un échantillon de liquide provenant d’un patient infecté ou d’une culture de tissu infecté est ajouté à un gel à densité graduée. Ce gel est ensuite soumis à une centrifugation. « Le contenu de l’échantillon se dépose en tas séparés, ou en bandes, à différentes profondeurs selon leurs densités caractéristiques. Ces bandes sont appelées échantillons purifiés par densité. » Source

PE : Exactement. On a découvert que les particules rétrovirales ont une propriété physique qui leur permet d’être séparées d’autres matériaux dans des cultures cellulaires. Cette propriété est leur flottabilité, ou densité, et elle a été utilisée pour purifier les particules par un processus appelé centrifugation en gradient de densité.

La technologie est compliquée, mais le concept est extrêmement simple. Vous préparez un tube à essai contenant une solution de saccharose — du sucre de table ordinaire — conçue pour que la solution soit légère en haut mais devienne progressivement plus lourde, ou plus dense, vers le bas. Pendant ce temps, vous cultivez les cellules qui, selon vous, pourraient contenir votre rétrovirus. Si vous avez raison, les particules rétrovirales seront libérées des cellules et passeront dans les liquides de culture. Lorsque vous pensez que tout est prêt, vous décantez un échantillon de liquide de culture et vous déposez doucement une goutte sur la solution de sucre. Ensuite, vous faites tourner le tube à essai à des vitesses extrêmement élevées. Cela génère des forces énormes, et les particules présentes dans cette goutte de liquide sont forcées de passer à travers la solution de sucre jusqu’à ce qu’elles atteignent un point où leur flottabilité les empêche de pénétrer plus loin. En d’autres termes, elles dérivent le long du gradient de densité jusqu’à ce qu’elles atteignent un point où leur propre densité est la même que celle de la région de la solution de sucre. Lorsqu’ils y arrivent, ils s’arrêtent, tous ensemble. Pour utiliser le jargon virologique, c’est là qu’ils se regroupent. Les rétrovirus se groupent à un point caractéristique. Dans les solutions de saccharose, ils se groupent à un point où la densité est de 1,16 g/ml.

Cette bande peut ensuite être extraite de manière sélective et photographiée au microscope électronique. L’image est appelée micrographie électronique. Le microscope électronique permet de voir des particules de la taille de rétrovirus, et de les caractériser par leur apparence.

Note de MKS : Voici un exemple de micrographie électronique (qui fait partie d’un article en cours d’écriture et qui sera publié prochainement) :

© Dr. Graham Beards, CC BY-SA
Micrographie électronique par transmission de multiples bactériophages fixés à une paroi cellulaire bactérienne.

CJ : Donc, l’examen au microscope électronique vous dit quels poissons vous avez pêchés ?

EP : Pas seulement. C’est la seule façon de savoir si vous avez attrapé un poisson. Ou n’importe quoi d’autre.

CJ : Montagnier et Gallo qui ont-ils procédé ainsi ?

PE : C’est l’un des nombreux problèmes. Montagnier et Gallo ont utilisé des bandes de gradient de densité, mais pour une raison inconnue, ils n’ont publié aucune Ems [micrographie électronique – NdT] du matériau à 1,16 g/ml… C’est assez déroutant car en 1973, l’Institut Pasteur a accueilli une réunion à laquelle ont participé des scientifiques, dont certains sont aujourd’hui parmi les plus grands experts du VIH. Lors de cette réunion, la méthode d’isolement des rétrovirus a été discutée en profondeur, et la photographie de la bande de 1,16 du gradient de densité a été considérée comme absolument essentielle.

CJ : Mais Montagnier et Gallo ont publié des photographies de particules virales.

EP : Non. Montagnier et Gallo ont publié des micrographies électroniques de fluides de culture qui n’avaient pas été centrifugés, ni même séparés des cellules de culture, d’ailleurs. Ces EMs contenaient, en plus de beaucoup d’autres choses, dont des cellules de culture et d’autres choses qui ne sont clairement pas des rétrovirus, quelques particules que Montagnier et Gallo prétendaient être des rétrovirus, et qui appartenaient toutes à la même espèce rétrovirale, maintenant appelée VIH. Mais les photographies de particules non purifiées ne prouvent pas que ces particules sont des virus. L’existence du VIH n’a pas été établie par Montagnier et Gallo — ni par personne depuis — à l’aide de la méthode présentée lors de la réunion de 1973.

CJ : Et quelle était cette méthode ?

EP : Toutes les étapes que je viens de vous décrire. C’est la seule méthode scientifique qui existe. Cultiver des cellules, trouver une particule, isoler la particule, la mettre en morceaux, découvrir ce qu’elle contient, puis prouver que ces particules sont capables de produire davantage de la même chose avec les mêmes constituants lorsqu’elles sont ajoutées à une culture de cellules non infectées.

CJ : Avant l’apparition du Sida, il existait donc une méthode éprouvée pour prouver l’existence d’un rétrovirus, mais Montagnier et Gallo n’ont pas suivi cette méthode ?

EP : Ils ont utilisé certaines des techniques, mais ils n’ont pas entrepris toutes les étapes, y compris celle de prouver quelles particules, le cas échéant, se trouvent dans la bande des 1,16 g/ml du gradient de densité, la densité qui définit les particules rétrovirales.

CJ : Mais qu’en est-il de leurs photos ?

EP : Les micrographies électroniques de Montagnier et Gallo […] sont des cultures de cellules entières, ou de fluides non purifiés provenant de cultures. […]

Note du traducteur : Le lecteur francophone sera peut-être intéressé par la lecture de l'interview dans son intégralité et traduite en français ICI, bien que la source de cette traduction ne soit pas celle du site de Christine Johnson (sa question la plus longue n'y est par exemple pas reproduite dans son intégralité, comme c'est le cas ci-dessus). L'original comme indiqué dans les sources à la fin de l'article de John Rappoport se trouve sur le site de Christine Johnson ICI.

Si vous saisissez l’essentiel de cette discussion, vous verrez qu’il y a tout lieu de douter de l’existence du VIH, car la méthodologie [complète – NdT] permettant de prouver son existence n’a pas été suivie [dans toutes ses étapes – NdT].

Et donc… comme je l’ai signalé ces derniers mois, il y a toutes les raisons de douter de et de rejeter l’existence du virus Sras-CoV-2, puisque des études correctes au microscope électronique à grande échelle n’ont jamais été réalisées.

J’ai gardé à l’esprit l’interview de Christine Johnson, et d’autres informations similaires, lorsque, par exemple, j’ai exploré les soi-disant épidémies appelées Sras et grippe porcine de 2009 [H1N1 – NdT].

Combien de virus ont été désignés comme autant d’agents responsables de maladies, alors que ces virus n’ont en fait jamais été isolés ou que leur existence n’a jamais été prouvée ?

Bien entendu, les chercheurs et les médecins conventionnels se moqueront de toute tentative de soulever ces questions. Pour eux, « la science est établie ». Ce qui signifie qu’ils ne veulent pas réfléchir. Ils ne veulent pas troubler le cours des choses.

Note de MKS : Comme nous le savons, sans être chercheurs ou scientifiques nous-mêmes, la science n’est jamais établie, le consensus n’existe pas, et troubler le cours des choses soi-disant « établies » est un impératif pour faire avancer une juste science.

Il y a quelques années, le chimiste David Rasnick a envoyé une requête au CDC, demandant des preuves démontrant que le virus Ebola avait déjà été isolé chez un humain. Les réponses qu’il a reçues n’ont en rien permis d’approcher ne serait-ce qu’un seul niveau de certitude.

Après 30 ans de travail en tant que journaliste dans le domaine de la profonde falsification qui existe au sein de la recherche médicale, j’ai constaté que la fausse science se produit par niveaux. Plus on s’enfonce, plus elle devient étrange. En d’autres termes, plus on s’enfonce, plus la situation s’aggrave.

Sources

[1] https://www.davidrasnick.com/

[2] Personal communication

[3] https://permalink.lanl.gov/object/tr?what=info:lanl-repo/lareport/LA-UR-18-25673

[4] http://virusmyth.com/aids/hiv/cjinterviewep.htm

[5] https://www.immunity.org.uk/articles/christine-johnson/

Source de l’article initialement publié en anglais le 25 janvier 2021 : No More Fake News
Traduction : Sott.net


© inconnu

Poursuivons sur le sujet présenté par Jon Rappport, car nous pouvons, grâce à ce qui suit, établir ce qui pour le moins s’apparente à des similitudes flagrantes, ou à un reflet, entre la « pandémie » du VIH/Sida et la « pandémie » du Sras-CoV-2/Covid-19.

Tout d’abord, Kary Mullis, co-Prix Nobel de chimie 1993 (avec Michael Smith) pour le test — aujourd’hui bien connu — PCR, faisait partie (il est décédé en août 2019) des 2 600 scientifiques ou chercheurs qui composent le groupe officiel des « dissidents » sur le Sida : Rethinking AIDS, dont Jon Rappoport fait mention dans son introduction. À propos du VIH, voici ce que Kary Mullis déclarait dans The San Diego Union-Tribune, le 15 Mai 1994 :

« Bien que plus de 75 000 articles ont été publiés sur le Sida, aucun n’a sérieusement étudié toutes les preuves pertinentes ni essayé de prouver que le VIH causait bien le sida. Quelques articles répondent à des objections spécifiques, mais ils commencent en supposant que le VIH est la cause du Sida, ce qui est justement la question problématique. S’il avait été possible d’écrire un tel article, il aurait déjà été écrit et ce serait la publication scientifique la plus citée du siècle. Puisque de tels articles n’existent pas, il est impossible de réfuter ou d’étayer les arguments qu’ils pourraient contenir. »

Statistiques des publications scientifiques sur le Srars-Cov-2/Covid-19

Pour comparer les 75 000 articles écrits sur le Sida évoqués par Kary Mullis (sur onze années depuis la « découverte » du VIH par Montagnier), j’étais curieuse de savoir combien d’articles scientifiques avaient été publiés sur le Sras-CoV-2/Covid-19 depuis le début de la « crise ». Selon un article de Nature Index publié le 28 août 2020, une étude estimait qu’entre le 1er janvier et le 30 juin 2020, pas moins de 23 634 articles uniques publiés avaient été indexés sur Web of Science et Scopus23 634 articles publiés en six mois !

Mais ce n’est pas tout.

Selon Science & Diplomacy, le nombre d’articles incluant le terme « coronavirus » qui ont été publiés dans les revues à comité de lecture au cours des six premiers mois de 2020 excède le nombre des 70 années précédentes. La voilà la « vague » ! Par ailleurs, les revues scientifiques publient des articles Covid-19 jusqu’à huit fois plus vite que les articles sur d’autres sujets, selon une analyse portant sur plus de 850 articles.

La pandémie a peut-être accéléré l’adoption de l’examen rapide par les pairs, mais un préprint publié sur biorXiv et intitulé « La science ouverte sauve des vies — Les leçons à tirer de la pandémie de Covid-19 » fait craindre que les conflits d’intérêts ne nuisent à l’équité et à la transparence. En effet, Lonni Besançon, de l’université Monash de Melbourne, en Australie, et ses collègues ont analysé 12 682 articles Covid-19 indexés sur la base de données PubMed. Ils ont constaté que 8 pour cent d’entre eux avaient été examinés et acceptés pour publication le jour où ils avaient été soumis, ce qui suggère que dans certains cas, le processus d’examen par les pairs a été précipité, et l’on pourrait penser qu’ils n’a dans certains cas (combien ?) pas été effectué du tout. Ils ont aussi identifié des conflits d’intérêts éditoriaux dans 43 pour cent de ces articles, y compris pour les auteurs qui étaient également rédacteurs en chef des revues auxquelles ils ont soumis.

Les préoccupations concernant l’équité et la transparence du processus d’évaluation par les pairs lorsque des délais d’acceptation des résultats sont aussi courts sont ici clairement mises en évidence. Et les auteurs de s’en inquiéter : « L’accélération de la procédure d’examen par les pairs ne devrait donc se faire que lorsque la rigueur scientifique peut être maintenue, car sa perte pourrait avoir des conséquences désastreuses pour les patients et pour la santé publique dans son ensemble. » Elles ont clairement d’ores et déjà des conséquences désastreuses…

Une autre étude publiée sur Scientometrics fait part quant à elle du fait que la majorité des articles relatifs au Covid-19 publiés dans les trois premiers mois n’ont fourni aucune nouvelle information sur la « maladie ». L’étude a également révélé que seuls quelques articles publiés (3,6 pour cent) faisaient état de réserves dans les résumés, telles que le risque de biais de sélection et le besoin de preuves supplémentaires, ce qui pourrait conduire à accorder une importance excessive aux conclusions et recommandations des articles.

Et puis il y a cet informaticien, Daniel Acuna de l’université de Syracuse à New York, qui a détecté des centaines d’images dupliquées de coronavirus dans les préprints. Il a appliqué un outil logiciel qu’il a développé pour extraire et comparer quelque 21 000 images dans 3 500 préprints postés sur medRxiv et bioRxiv. En appliquant des algorithmes capables d’identifier les images correspondantes dans des dizaines de milliers d’articles à la fois, l’outil d’Acuna a identifié en juin 2020 environ 400 images potentiellement dupliquées en seulement quatre heures, et a exposer 24 articles sur un site Web qu’il a créé avant de les signaler sur PubPeer, une plateforme de revue et de discussion. Les conclusions d’Acuna ont suscité une avalanche de discussions, certains chercheurs remettant en question l’exactitude de son outil et d’autres affirmant que les images devaient encore être vérifiées par des yeux humains pour s’assurer qu’elles n’étaient pas faussement étiquetées comme étant dupliquées. On se défend et se rassure comme on peut.

© Neo Santé

Les tests pour (soi-disant) dépister le Sida et les tests PCR pour (soi-disant) dépister le Covid-19

Le magazine Neosanté a publié en 2013, un dossier écrit par Renaud Russeil qui « commence par nous rappeler que le dépistage du VIH est une véritable fumisterie, particulièrement funeste pour les femmes et les enfants. ». Dans les extraits ci-dessous, les mises en gras porteront sur les similitudes précédemment évoquées :

« Il convient, une nouvelle fois, de remonter le cours de l’histoire du Sida. La déontologie de la science veut qu’une découverte majeure soit accompagnée par la publication de travaux que valide la communauté scientifique. Dans le cas du VIH, une prétendue urgence (ou principe de précaution, utilisé comme passe-partout) a justifié la tenue d’une conférence de presse politique très médiatisée, convoquée par la Secrétaire d’état à la santé américaine, Margareth Heckler, le 23 avril 1984. Les travaux de l’équipe américaine, n’avaient pas été validés par la communauté scientifique. De plus, ils ressemblaient trop à ceux de l’équipe française (une sorte d’usurpation, de fraude) ; ce qui déclencha une véritable guerre entre les deux pays pour s’adjuger la paternité du virus. Plus tard, aucune publication scientifique n’a confirmé que l’une des deux équipes (Gallo et le HTLV3, Luc Montagnier et le LAV) avait effectivement isolé et surtout purifié le VIH(1). Les photos publiées 14 ans plus tard suite aux travaux d’équipes américaines et européennes comprennent également de nombreuses failles(2). Sans purification du virus, il est impossible de démontrer in vitro le processus d’infection des cellules par ce virus. La communauté scientifique n’a donc jamais validé sur la base d’études conformes aux protocoles de Koch (on est en 1984), la responsabilité du VIH dans la chute de l’immunité cellulaire. Aujourd’hui, des milliers de chercheurs et professionnels de santé dans le monde s’opposent à ce qui n’est qu’un consensus.

Ainsi commença le Sidagate. Le conflit entre les deux gouvernements (celui de Ronald Reagan d’un côté, celui de Jacques Chirac de l’autre, 1er Ministre de François Mitterrand), durera plus de deux ans. Finalement, les deux partis trouveront un compromis en 1987, et accepteront de se partager les milliards de dollars de royalties générés par les tests de dépistage et autres accessoires. Vingt-quatre ans plus tard, les instances médicales destitueront Robert Gallo (fraude confirmée) et accorderont le Nobel de Médecine à l’équipe française. Tandis que la pandémie annoncée n’éclatera que dans les chiffres officiels, revus à la baisse depuis plusieurs années par les épidémiologistes les plus conformistes(3). Curieusement, on ne parlera plus jamais d’isolation du virus, malgré le vide scientifique, l’absence de référence pour documenter une affirmation qui dérange de plus en plus. Le Sidagate repose effectivement sur un consensus : un rétrovirus qui n’a jamais été isolé se transmettrait de multiples manières et provoquerait de multiples maladies, la plupart d’entre elles étant connues de longue date. Incapables de répondre par de véritables arguments scientifiques qui défendraient l’hypothèse VIH, ses supporteurs s’attaquent par voix de presse à la personnalité de leurs opposants, utilisant l’indignation, des termes à la mode suggérant la calomnie et font d’eux des ennemis publiques — révisionniste, négationniste, dissident, voire assassin. Mais on ne comble pas un vide scientifique par des déclarations à sensation.

En 1997, Luc Montagnier affirmait lors d’une interview réalisée par Djamel Tahi(4) : « … l’analyse des protéines du virus requiert une production massive et la purification […] Je répète, nous ne l’avons pas purifié. » L’isolation du VIH purifié n’avait donc pas été réalisée. Les rétrovirus observés au microscope électronique, identifiés comme étant le VIH, le furent à partir de cultures de laboratoires complexes, pas à partir du sang des malades du Sida. C’est ce qu’affirme depuis plus de vingt-cinq ans Etienne de Harven, spécialiste de la microscopie électronique. Sans isolation conforme aux protocoles de Koch, sans purification pour obtenir le gold standard, la norme en la matière, il est impossible de démontrer que le VIH est la cause du déficit immunitaire et qu’il est transmissible. Beaucoup plus grave : il est impossible de fabriquer un test de dépistage dont on aura évalué la sensibilité et la spécificité. Le dépistage du VIH est donc impossible.

Les tests Elisa et Western Blot utilisés pour le dépistage du VIH réagissent à des protéines. Si le VIH n’a été ni isolé ni purifié, les tests identifient effectivement des protéines qui provoquent une réaction positive; dans ce sens, ils sont fiables à 99 pour cent. En revanche, ils ne peuvent pas certifier que ces protéines proviennent ou sont une réaction au VIH. On sait aujourd’hui qu’il existe 70 causes reconnues autres que le VIH pour qu’un test de dépistage donne un faux résultat positif. »

La similitude est frappante ! Il semble donc qu’avec les tests PCR utilisés pour soi-disant détecter le Sras-CoV-2 ou tout autre infection virale d’ailleurs — ce qui n’est pas possible — le Covid-19 soit une sorte de « reflet » du Sida… Sida & Covid-19, notez l’autre similitude entre les deux : « une prétendue urgence (ou principe de précaution, utilisé comme passe-partout) »… Panique à bord dans le monde entier, sauf qu’aujourd’hui, les Maîtres du monde tournent plusieurs manivelles à la fois, grâce à l’avancée des domaines scientifiques, technologiques, et médiatico-politico-propagandistes aujourd’hui globalisées comme ils ne l’ont jamais été auparavant.

Poursuivons encore un peu avec l’article de Renaud Russeil, parce que plus j’avançais dans sa lecture, plus la similitude me sautait aux yeux :

« En d’autres termes, n’importe qui peut être séropositif pour 70 raisons autres que le VIH(5). On ne sait jamais si le VIH est présent, quel que soit le nombre de tests effectués. Le même principe s’applique à tous les tests de dépistage : on appelle cela une réaction croisée. Les tests de dépistage du VIH sont parmi les plus controversés de tout l’arsenal mis à la disposition des laboratoires. Si, conformément à la loi(6), les personnes testées étaient informées des recommandations et des incertitudes rédigées par les fabricants de ces tests, elles comprendraient que ceux-ci doutent eux-mêmes de leur capacité à donner un résultat dont ils veulent manifestement se protéger(7). Du fait de l’absence de spécificité, les résultats d’un test Elisa ou Western Blot sont interprétés de manière différente d’un pays à l’autre. Par exemple, le même test effectué sur la même personne donnera un résultat positif en Allemagne et négatif en France(8), parce que les critères d’interprétation ne sont pas les mêmes. Il suffit de franchir une frontière pour être face à la mort ou face à la vie. Tandis qu’en Afrique, les tests sont rarement utilisés par manque de moyens et de personnel compétent(9). Alors, comment savoir si la tuberculose et le paludisme, des maladies largement propagées en Afrique, sont le Sida, ou la tuberculose et le paludisme, comme ce fut toujours le cas ?

En 1998, le Docteur Roberto Giraldo révélait dans un article intitulé « Nous sommes tous séropositifs au test Elisa de dépistage du VIH(10) », que les tests Elisa nécessitent de diluer le sang jusqu’à 400 fois avec un mélange approprié fourni par le fabricant. Information troublante, sachant que la plupart des tests utilisent normalement un sérum pur. Les rares cas de dilution s’échelonnent entre 10 (Virus d’Epstein-Barr) et 20 (Cytomégalovirus) : 400, c’est un record. Roberto Giraldo testa une centaine d’échantillons de sang, une première fois dilués, la seconde sans les diluer : tous les échantillons donnèrent un résultat positif sans dilution. Il en conclut logiquement : si tous les échantillons donnent un résultat positif quand le sang n’est pas dilué, cela signifie que nous sommes tous naturellement porteurs des anticorps du VIH ; ceux qui font une réponse positive quand leur sang est dilué au 1/400e, ont été davantage exposés à l’une des nombreuses causes ayant entraîné la présence des anticorps. Le test a réagi malgré la dilution. Nous sommes tous séropositifs ! »

De la même manière, nous sommes tous positif à un coronavirus ou à un autre ! Par ailleurs, tout comme les interprétations des tests de dépistage du VIH qui « sont interprétés de manière différente d’un pays à l’autre », les cycles d’amplification des tests RT-PCR ne sont pas les mêmes d’un pays à l’autre, voire d’un laboratoire à l’autre, et là encore, certaines personnes seront déclarées « positives » dans certains pays, alors qu’elles ne l’auraient pas été dans d’autres. Rappelons qu’il n’existe aucun test capable d’identifier le Sras-CoV-2, et que par conséquent, « toutes les allégations concernant l’impact présumé du Covid-19 sur la santé de la population sont sans fondement ».

Dernier extrait avant de conclure :

« Les recommandations des fabricants de tests soulignent souvent qu’un résultat positif ne signifie pas que l’échantillon testé soit séropositif au VIH si le test n’a pas été répété pour contrôle ; sachant que le test de contrôle ne sera pas plus fiable que le premier test, puisqu’il n’existe pas de gold standard. De même, si un échantillon ne réagit pas au test, la majorité des recommandations soulignent que le sujet n’est peut-être pas négatif, que des interférences ont pu intervenir ou que les protéines recherchées n’ont pas réagi pour des raisons diverses… Aucun doute n’est permis : les tests de dépistage du VIH ne sont pas fiables. Le même débat, les mêmes doutes existent autour de la prétendue « charge virale», annoncée comme preuve de la maladie pour contourner l’absence d’isolation du VIH. Sans VIH formellement identifié, la question de l’infection et de la transmission du VIH reste une énigme. »

Conclusion

Je ne peux m’empêcher de laisser une fois encore, la parole à Renaud Russeil ; remplacez juste VIH/Sida/antivirus par Sras-Cov-2/Covid/vaccins à ARNm, et la concordance sera totale.

« Bien qu’un nombre important de scientifiques soutiennent l’hypothèse VIH, la violation des protocoles lors des études voulant prouver l’action positive des antivirus et la falsification de leurs résultats sont sans ambiguïté : ils font du Sidagate une réalité, un scandale sans précédent. Il se résume par :

  1. Une erreur de diagnostic tragique sur les causes du déficit immunitaire acquis ;
  2. Le défaut d’isolation et de purification du virus à partir du sang d’un malade ;
  3. La fabrication de tests incapables de certifier qu’un organisme humain risque de subir un déficit immunitaire qui le tuera ;
  4. La falsification des résultats des études affirmant l’efficacité des thérapies antivirales ;
  5. Le non-respect de la loi affirmant le droit des patients à un choix libre et éclairé sur les risques des thérapies ;
  6. L’empoisonnement des patients, des mères, des enfants et des bébés (iatrogénèse) ;
  7. L’utilisation de cobayes humains ;
  8. Le harcèlement des parents à qui on enlève leur enfant quand ils veulent le protéger de thérapies létales ; […] »

Comme l’écrivait Mark Twain dans son Autobiographie, Volume 2 –L’Amérique d’un écrivain — Dictée autobiographique, 2 décembre 1906 :

« Comme il est facile de tromper les gens avec un mensonge, et comme il est difficile de les en détromper ensuite ! »

Les psychopathes au pouvoir ne sont pas des êtres capables de « création », ils détruisent (entropie) parce qu’ils envisagent le monde et les êtres humains comme des objets à exploiter pour en retirer un profit personnel.

[NdNM : la psychopathie provient d’un manque de conscience, du fait d’une polarisation exclusivement sur la matière au détriment de l’esprit. L’entropie caractérise la matière, alors que la conscience est créatrice. Voir : La loi de dégradation ou d’augmentation du désordre et du chaos]

Il sont capables de vouloir imposer à des milliards d’individus leur vision psychopathique de ce que devrait être la Vie, et de ce que devrait être notre vie ; ils sont capables de fraudes, de mensonges, de corruptions, de tromperies, d’escroqueries, de falsifications, de tricheries, d’artifices, d’altérations, de supercheries, de ruses, de resquilles, de malversations, d’hypocrisie, de crimes, de contrefaçons, d’actes de mauvaise foi, de crimes contre l’humanité, mais ils ne sont pas capables de création, pas plus qu’ils n’ont de sens artistique. Quelle que soit leur « supposée » création, elle ne serait qu’une imitation d’une précédente fraude. Ils sont affligés d’une cécité de l’erreur. C’est la raison pour laquelle il est possible de trouver des schémas directeurs dans leurs comportements, et de percer à jour leurs stratagèmes : dans leur hubris, ils pensent que personne ne verra qu’ils utilisent à nouveau, voire jusque dans les moindres détails, ce qu’ils ont déjà mis en œuvre auparavant — une fraude globale. Mais le Diable est dans les détails, et ce sont justement ces détails qui les perdront, eux et leur pseudo-réalité.

Robert Hare, écrivait dans son livre Without Conscience : The Disturbing World of Psychopaths among Us [« Sans conscience — Le monde troublant des psychopathes qui vivent parmi nous », ouvrage non traduit en français], que les psychopathes

« se perçoivent eux-mêmes comme des êtres supérieurs dans un monde hostile où l’homme est un loup pour l’homme, monde dans lequel les autres sont des concurrents dans la course au pouvoir et aux ressources. Ils considèrent en général la générosité et la bonne volonté des autres comme de la stupidité qu’on peut exploiter. »

Ce monde qui leur est hostile est le monde « réel ». C’est la raison pour laquelle ils ont besoin de construire une fausse réalité dans laquelle ils se sentiront « bien » mais qui provoque immanquablement le chaos pour les populations qui y sont soumises :

« Les pseudo-réalités sont, en termes simples, de fausses constructions de la réalité. Il est évident, espérons-le, que parmi les caractéristiques des pseudo-réalités figure le fait qu’elles doivent présenter une compréhension plausible mais délibérément erronée de la réalité. Il s’agit de « réalités » sectaires au sens où elles reflètent la façon dont les membres des sectes vivent et interprètent le monde — tant social que matériel — qui les entoure. Nous devons considérer de prime abord que ces interprétations délibérément erronées de la réalité remplissent deux fonctions connexes. Premièrement, elles sont destinées à modeler le monde pour qu’il puisse accueillir une petite partie des personnes qui souffrent de limitations pathologiques quant à leurs aptitudes à faire face à la réalité telle qu’elle est. Deuxièmement, elles sont conçues pour remplacer avec force toutes les autres analyses et motivations, qui seront tordues jusqu’à déformation par et au profit de ces individus essentiellement ou fonctionnellement psychopathes aussi longtemps que leur règne pseudo-réel pourra durer. »

Quant à Hervey Cleckley, il écrivait dans The Mask of Sanity [« Le masque de santé mentale », non traduit en français] ce qui suit :

« Le vrai psychopathe n’essaie pas systématiquement d’exprimer par l’art ses réactions pathologiques ou ses évaluations déformées de la vie. […] Tout ce que le psychopathe pourrait exprimer serait aussi faux, aussi peu représentatif d’une expérience humaine authentique, que ses promesses, convaincantes mais vaines, que ses protestations éloquentes d’un amour qu’il ne ressent pas. Sa création, malgré son brio technique, n’exprimerait véritablement ni la santé ni la maladie : elle serait une contrefaçon. »

La « pandémie » de Sida s’est peu à peu estompée dans les esprits des populations et cette tentative de prise de contrôle des psychopathes au pouvoir via une « pandémie » annoncée a finalement perdu de son « effet stupefix », à une époque où la technologie et l’Internet n’en était encore qu’à leurs balbutiements, tout du moins pour le grand public. Ils ont ensuite en 2009 tenté de reprendre la « main pandémico-propagandiste » avec le H1N1 — rappelez-vous Jacques Attali qui disait en mai de cette année-là qu’une petite pandémie permettra d’instaurer un gouvernement mondial — mais ce fut un fiasco. C’est alors que le Sras-CoV-2-jamais isolé/Covid-19 est opportunément entré en scène, cette fois entouré de tout un cortège de technologies leur permettant de croire qu’ils allaient pouvoir reprendre, grâce à une « pandémie-mortellement-effrayante », le contrôle qu’ils étaient en train de perdre. Tout le story-telling duCovid-19 n’a pour seul but que de reprendre le contrôle qu’ils sont en train de perdre. À chaque fois qu’ils augmentent ce contrôle dont ils sont avides, ils le font d’une manière telle que le nombre de personnes à même de les voir pour ce qu’ils sont augmente, ce qui affaiblit un peu plus ce pouvoir auquel ils aspirent tant ; et, comme mus par une urgence aujourd’hui presque « désespérée », à chaque fois que ce pouvoir faiblit, ils utilisent tous les outils à leur disposition pour amplifier de manière systématique ce contrôle qui leur échappe, mais qui les pousse en fin de compte à se dévoiler un peu plus, dans une vaine poursuite à la Vil Coyote qui veut envers et contre tout et même au mépris de sa vie, faire de Bip-Bip son déjeuner.

© Chuck Jones

Josef Pieper, dans son Abus de langage, Abus de pouvoir, écrit ceci : « La difficulté des mesures à prendre pour résister à la menace […] est proportionnelle au caractère insaisissable de cette même menace. »

Il est temps de saisir le caractère « insaisissable » de cette menace, d’autant qu’elle est, de par son caractère globalisé, de plus en plus « saisissable ».

Avatar

M.K. Scarlett 




Vie et mort des systèmes

Par Joseph Stroberg

Considérant comme système tout ensemble organisé d’éléments évoluant en suivant une ou plusieurs lois, des entités aussi diverses que des êtres humains, des empires ou des planètes sont alors des systèmes. Nous posons ici comme principe ou axiome que tout système combine une dimension matérielle ou substantielle d’une nature plus ou moins tangible et un animateur subtil qui lui insuffle mouvement et vie. Que ce soit pour un atome, pour une galaxie ou pour l’univers, l’animateur sera ici nommé Esprit. L’Esprit de l’univers pourrait être nommé « Dieu ».

Par nature, l’Esprit d’un système lui communique une perpétuelle expansion, mais il se heurte à l’inertie de la matière qui tend à conserver sa forme. L’expansion insufflée par l’Esprit à un système tend à l’organiser de manière progressivement plus complexe, passant de formes sommaires, telles que les virus, puis les bactéries à des formes de plus en plus complexes, telles que celle d’un être humain ou d’une société d’êtres humains. L’imposition d’une impulsion d’expansion à un système matériel, fixe ou inertiel par nature, tend au « vieillissement », à la dégénérescence de celui-ci., puis à sa mort ou à sa destruction. La matière est ainsi sujette à ce que la physique appelle la loi d’entropie (voir aussi La loi de dégradation ou d’augmentation du désordre et du chaos). D’un certain point de vue, la matière ne supporte pas de changer de forme ou d’évoluer, alors lorsqu’un Esprit l’y contraint par une impulsion dynamique ou de « Vie », elle réagit en se dégradant progressivement.

La tendance continue à l’expansion d’un Esprit n’est pas
arrêtée par la mort d’une forme matérielle. Ce dernier s’incarne
alors dans une nouvelle forme ou un nouveau système organisé, ou
d’un autre point de vue, y insuffle sa vie et l’anime.
L’interaction entre un Esprit et la substance matérielle produit
alors une succession de vies et de morts de systèmes progressivement
de plus en plus complexes et diversifiés et produit alors la grande
loi des cycles et des alternances. C’est ainsi que, par exemple, au
cours des ères, l’Homo sapiens est apparu après diverses races de
singes et les sociétés post-industrielles modernes sont plus
complexes que celles de l’époque romaine. Et l’empire américain
est plus complexe que l’Empire romain.

La Conscience est le produit ou la conséquence de l’interaction
(ou la stimulation) de l’Esprit et de la matière. Elle croît par
la complexité croissante des formes et systèmes organisés et
animés par l’Esprit. D’un certain point de vue, la conscience
est l’Organisation de la substance. Et la désorganisation est la
perte de conscience. Une forme vivante désorganisée, par un cancer
ou une autre « maladie » dépérira et mourra plus vite
qu’une autre qui parvient à maintenir un haut niveau de
conscience. Plus la corruption gagne une nation, un organisme ou un
homme, et plus rapidement il meurt. La perte de conscience morale est
alors un facteur mortifère ou thanatogène (qui cause la mort).

La société moderne décline parce qu’elle a perdu une bonne partie de sa conscience et ne sait plus s’organiser de manière viable. Elle subit notamment l’action de « parasites » prédateurs en nombre très minoritaire, mais qui en aspirent les forces vives. Les travailleurs ne sont pas du tout rétribués en fonction de l’énergie vitale investie, alors que le fruit de leurs productions et services se retrouve aspiré par les actionnaires propriétaires des multinationales et des banques centrales des nations. Les ressources planétaires sont également pompées de manière inconsidérée, sans préoccupation pour les conséquences néfastes pour la santé de la planète et pour l’avenir de l’Humanité. Les parasites ont pris le contrôle du corps global du genre humain et celui-ci dépérit. La société actuelle s’éteindra aussi sûrement que l’Empire romain a fini par disparaître. La question qui reste est de savoir si elle le fera dans de grandes souffrances ou non, avant de donner le jour à une nouvelle civilisation.

Voir aussi :




Pr. Philippe Parola: « Le confinement est néfaste et destructeur »

[Source : Le dissident (extrait de BFMTV)]

Le Pr. Philippe Parola sans langue de bois sur BFMTV : « Le confinement est inefficace ! »

https://youtu.be/NZB99TXF6C0



Les chiffres COVID-19 – Vous les croyez encore?

[Source : Menaces sur la santé via ZE journal]

Par Jean-Louis Gueydon de Dives

Question intéressante : quel est le nombre réel de patients hospitalisés pour cause de COVID-19 ?

Ce nombre est d’autant plus important à connaître que son évolution est :

  1. non seulement un indicateur du succès ou de l’échec des mesures prises contre la « pandémie »
  2. mais aussi la justification de certaines décisions, comme par exemple celles de confiner

La question n’est donc pas anodine. Essayons d’y voir plus clair…

Lorsque l’on vous donne « le nombre de patients hospitalisés avec diagnostic COVID-19 », de quoi parle-t’on au juste ? S’agit-il d’hospitalisations conventionnelles ? en réanimation ? en soins intensifs ? de patients n’ayant plus le COVID-19 mais toujours hospitalisés pour le suivi des séquelles ? ou pour des soins de longue durée ou de réadaptation ? Ou d’un amalgame de tout cela ?

S’agit-il de patients entrés à l’hopital à cause d’un soupçon de COVID-19, ou bien de patients entrés à l’hopital pour un problème différent, cardiaque par exemple, mais qui ont eu un résultat positif au test PCR pratiqué par l’hopital, tout en n’ayant aucun symptôme ? Sans oublier que ces tests PCR positifs sont très souvent de faux positifs, et que même s’ils sont réellement positifs cela ne signifie pas nécessairement que la personne soit contagieuse…

Et sans oublier non plus les fréquentes « erreurs de saisie » des administrations hospitalières. Errare humanum est…

Vous suivez ou vous êtes déjà perdus ?

Le journal Nice Matin s’est récemment intéressé à cette question, et quelle n’a pas été sa surprise de constater de profondes divergences entre les nombres de « patients hospitalisés avec diagnostic COVID-19 » donnés par Santé Publique France, et ceux des hopitaux, pour le département des Alpes Maritimes :

Intéressant n’est-ce pas ?

Interrogée par les journalistes sur ces profondes divergences, Santé Publique France a donné des explications rassurantes ( voir ici un article de 20 Minutes ), quoiqu’un peu confuses, comme quoi le « périmètre » pris en compte par les uns et les autres n’était pas le même, et que donc tout cela était absolument normal.

Admettons….Mais cela n’explique pas pour autant pourquoi :

  1. cette divergence d’évolution a commencé subitement au début du 2ème confinement ( fin octobre ) pour s’arrêter à la fin de celui-ci ( mi-décembre ). Santé Publique France changerait-elle en permanence de méthode statistique ? Et pourquoi ?
  2. cette divergence soudaine apparue au début du deuxième confinement, a comme par hasard transformée une courbe décroissante ( statistiques hospitalières ) en courbe croissante ( statistiques SPF ), soit une différence capitale…qui tombait à pic pour justifier le dit confinement…

Sans doute suis-je un affreux complotiste d’imaginer de telles manipulations de chiffres. Cependant ceci n’est pas un cas isolé, et cette « évolution » du mode de recueil des données s’est curieusement produite un peu partout.

Par exemple aux USA une étude, parue en Octobre 2020, de l’IPAK ( Institute of Pure and Applied Knowledge ), que l’on peut trouver ici, montre que le CDC américain a subitement modifié en Mars 2020 son mode de collecte des données concernant les causes de décès, sans d’ailleurs au préalable obtenir les autorisations nécessaires, en créant une catégorie de « cas probables », en plus des cas dûment diagnostiqués par des tests de laboratoire.

Comme il n’y a que 6 % des morts pour lesquels le Covid-19 est la seule cause possible de décès, le résultat de cette étrange et soudaine modification a été une multiplication par plus de quinze du nombre de morts dus au covid, ainsi que cela apparaît bien clairement dans le schéma ci-dessous, avec une diminution parallèle des comorbidités comme causes de décès :

Voici comment l’on peut créer l’illusion d’une effrayante pandémie se répandant à grande vitesse, et ainsi répandre la peur et faire accepter les mesures que l’on veut mettre en œuvre.

C’est malin, non ?




N’écoutez plus ces médias mainstream, ils sont vendus ! L’incident GameStop en est la parfaite illustration !!

[Source : BusinessBourse]

On pourrait penser qu’un courageux groupe de boursicoteurs rebelles qui se sont opposés à une poignée de fonds spéculatifs et de gros vendeurs reconnus, serait une histoire intéressante pour les médias mainstream s’ils étaient capables de bien tout cerner, et même ça, ils n’ont pas été en mesure de la faire correctement. Comme vous le verrez ci-dessous, les médias contrôlés par les entreprises tentent de nous convaincre que tous les fonds spéculatifs et les gros poissons positions à la vente font en réalité partie des bonnes personnes et que le bande de gars de Reddit, sont tout simplement des personnes très dangereuses avec un esprit insurrectionnel qui représentent aussi une menace sérieuse pour tout le système financier. Bien sûr, cela ne vous surprend pas vraiment sachant que les médias sont contrôlés par les grandes entreprises et défendent du coup tout l’establishment américain, étant donné qu’ils reçoivent de leur part des millions de dollars par le biais des publicités. Mais franchement, c’était assez honteux de les voir se couche à ce point même dans de telles circonstances.

Les journalistes sont arrivés à tel un niveau de décadence que si j’en étais un, j’aurais honte !

Si vous écoutez ces médias mainstream depuis un bon moment, vous vous rendrez compte rapidement que nous vivons dans un drôle de monde au sein duquel ce qui était jadis pourri est désormais bien, et vis versa.

Au cours de ces derniers jours, le New York Times a qualifié « l’armée des Reddit de rebelles », et le Investing Daily a qualifié leur action « d’insurrection » pour décrire ces boursicoteurs.

Mais le premier prix revient en fait au Washington post. Ils ont eu le culot de publier une histoire intitulée « Les gentils avec l’histoire de Gamestop ? Eh bien ce sont les fonds spéculatifs et les shorts sellers »…

Cette frénésie concernant ces boursicoteurs de GameStop ne se cantonne pas qu’à une seule action. Leur objectif est de détruire les traders qui négocient les actions à leur juste valeur sur les marchés. En suggérant une analogie politique, ils ne sont pas simplement dévoués aveuglement à leur candidat, ils nient la légitimité du parti adverse. Ils n’agissent pas seulement au sein du système ; ils veulent renverser tout le système. C’est comme si – imaginez – une poignée d’agitateurs qui saisissent certaines théories du complot et décident d’attaquer les règles de la démocratie elle-même. C’est vrai que le nom de GameStop est particulièrement bien choisi.

Vous plaisantez j’espère ?

Quel est le prochain délire ? Le post va-t-il publier une histoire sur la façon dont Luke Skywalker était maléfique parce qu’il voulait renverser l’ordre établi que Dark Vador et l’empereur avaient institué à travers toute la galaxie ?

Le slogan officiel du Washington post est « La démocratie meurt dans les ténèbres », et c’est assez ironique car ils sont totalement passés du côté obscur. Dans le même article que je viens de citer ci-dessous, le post affirmait de manière ridicule « qu’un marché sans vendeurs serait comme un système politique sans journalistes d’investigations »…

Qu’en est-il des vendeurs ? Ce sont des spécialistes qui recherchent des actions susceptibles de baisser, parfois parce que les patrons dissimulent illégalement de mauvaises nouvelles concernant leurs entreprises. Lorsque les vendeurs identifient un cas de fraude ou similaire, ils empruntent et vendent l’action, dans l’espoir de la racheter à un prix inférieur plus tard. Encore une fois, il n’y a rien de mal à cela. Au contraire, c’est une sorte de contre pouvoir. Un marché sans vendeurs est comme un système politique sans journalistes d’investigations.

Oui, prenons un instant maintenant pour reconnaître toutes les merveilleuses contributions que les vendeurs ont apportées à notre société.

C’est vraiment incroyable de regarder les efforts que certains médias mainstream feront pour tenter de diaboliser les boursicoteurs qui se sont regroupés pour s’attaquer aux gros poissons positionnés à la vente. Sur le site Web de CNN, Chris Cillizza a fait de son mieux pour essayer de retourner les spectateurs contre les boursicoteurs de Reddit en les comparant à Trump. Ce qui suit provient de son article intitulé : « Comment le Trumpisme explique la flambée des actions Gamestop »…

Le seul point qui a été soulevé dans cette histoire, c’est que les pros de la bourse – ils ne sont pas aussi intelligents qu’ils le pensent et qu’ils n’ont absolument la capacité de tout contrôler.

Ce qui, une fois encore, a ses racines dans le Trumpisme. La notion même de candidature et de celle de Trump était de rester proche des élites. Et puis, en fait, il n’y avait pas vraiment de plan au-delà de ça.

D’autres sont allés encore plus loin. Pour moi, c’est extrêmement offensant lorsque l’ancienne commissaire de la SEC (Securities and Exchange Commission), Laura Unger, a comparé la courte pression à Wall Street aux émeutes au Capitole américain.

https://twitter.com/pghowie3/status/1354915156199944194

Bien sûr, chaque fois qu’il se passe quelque chose que l’establishment n’aime pas vraiment, ce n’est qu’une question de temps avant de commencer à blâmer la Russie.

L’autre soir, Jimmy Kimmel a suggéré que peut-être même certains perturbateurs russes étaient au moins partiellement responsables du chaos à Wall Street, et MarketWatch a en fait publié un article intitulé « La saga GameStop est une feuille de route pour le Kremelin et d’autres ennemis de l’Amérique. »Bill Bonner: « GameStop: un jeu dangereux ! »

Depuis les élections de 2016, la Russie est devenue le bouc émissaire de tous les temps.

Si quelque chose de grave tourne mal, c’est inévitablement à cause de la Russie.

Au moins le président Trump a tenté de maintenir nos relations avec la Russie assez stables pendant qu’il était au pouvoir, mais maintenant qu’il est parti, j’ai le sentiment que les relations des Etats-Unis avec la Russie vont finir par terriblement se dégrader.

Mais bon, ce sera le sujet de mon prochain article.

Pour en revenir au sujet à l’étude, les vendeurs n’ont qu’à se blâmer eux-mêmes pour ce qui s’est passé. Le nombre d’actions GameStop qui avaient été vendues était supérieur au nombre d’actions GameStop qui existaient réellement, et c’était une invitation en or pour quiconque souhaitait tenter un short squeeze massive.

Si ce n’avait pas été les boursicoteurs de Reddit, ce serait probablement quelqu’un d’autre.

Quand on y pense, cela a été une sacrée année…

Le premier mercredi de 2021, il y a eu une émeute effrayante au capitole américain.

Le deuxième mercredi de 2021, le président Trump a été destitué par la Chambre des représentants.

Le troisième mercredi de 2021, on a inauguré Joe Biden en tant que 46e président des Etats-Unis.

Le quatrième mercredi de 2021, le coup de GameStop a fait la une de tous les journaux et ce, dans le monde entier.

Alors que va-t-il se passer ce prochain mercredi qui marquera l’histoire ?




Le livre du mois : « 10 ans après la crise : Prenons le contrôle de la finance »

[Source : attac.org]

Une décennie après la crise financière de 2008, l’époque est toujours aussi favorable à la finance, aux fonds d’investissement et aux banques. L’actuelle crise du Covid l’a confirmé : même en des temps économiques difficiles, les riches et les multinationales en profitent, pendant que les plus pauvres trinquent. Les timides réformes engagées depuis sont loin d’avoir renversé ce déséquilibre. Sans compter qu’un nouveau cycle de dérégulation financière a démarré ces dernières années en Europe et aux États-Unis.

Mais, aujourd’hui, de plus en plus de gens ne supportent plus de devoir payer pour les dérives du secteur financier. Plus encore, ils ne croient plus que la croissance est sans limites, que la question écologique est secondaire, et qu’une société peut vivre sans désordre avec de fortes inégalités.

Publié en plusieurs langues, ce livre donne des clés de compréhension aux citoyennes et aux citoyens afin qu’ils s’approprient le débat sur la finance. Il présente les réformes nécessaires pour mettre la finance au service de la société. Il est aussi le support d’une vaste campagne, « 10 ans après la crise », organisée par les mouvements sociaux et citoyens européens, dont le point culminant est fixé au 15 septembre 2018, date anniversaire de la chute de la banque Lehman Brothers en 2008, qui a marqué le début de la crise financière internationale. 


Informations complémentaires

Ce livre a été conçu par une équipe internationale composée de membres d’Attac Allemagne, Attac France et SOMO (Pays Bas). Isabelle Bourboulon (Attac France) en est la rédactrice principale et des contributions substantielles lui ont été apportées par Dominique Plihon (Attac France), Myriam Vander Stichele (SOMO, Pays Bas) et Peter Wahl (Attac Allemagne).  ttac France — 2021




LES CONFINEMENTS SONT CATASTROPHIQUES PARTOUT DANS LE MONDE

Par Dr Gérard Delépine

Bilan chiffré des confinements en France et à l’international : une catastrophe sanitaire générale

Depuis le début de la crise, le gouvernement impose des mesures contre-productives en santé, aggravant la misère des plus pauvres et ruinant les classes moyennes et les petits commerçants pour faire accepter des médicaments hors de prix et dangereux, des vaccins bâclés et des lois de régression sociale. Il suit en cela fidèlement les prescriptions du conseil sanitaire de l’OMS et de son faux prophète Ferguson[1] qui a d’emblée affirmé qu’il faudrait confiner au moins jusqu’en décembre 2021, ou l’arrivée d’un traitement miracle[2], ou les vaccins sans se préoccuper des conséquences catastrophiques de ses préconisations.

Ceci s’intègre dans le cadre de l’agenda du forum de Davos décidé par l’oligarchie mondialiste dans les mains des milliardaires mondiaux en accord avec les gouvernements liés et actuellement réunis en forum virtuel.

Ce bilan sanitaire est d’autant plus d’actualité que le conseil prétendument scientifique composé de médecins trop proches de l’industrie appellent sur tous les médias à un troisième confinement sans aucune justification médicale, pour raviver le chantage « vous serez astreint à domicile à vie ou vacciné ! »

Dans ce chapitre, nous dresserons le bilan sanitaire des mesures liberticides qui nous ont été imposées. Pour rester le plus factuel possible cette analyse repose principalement sur les données publiées par l’OMS, les agences sanitaires des pays concernés et les organismes internationaux comme l’OCDE, illustrés par des interviews de médecins de terrain.

Effets constatés du confinement sur la propagation de l’épidémie

Une étude de l’OCDE sur les confinements de la première vague précise que sur les 31 pays européens étudiés, la moitié (16) ont demandé à leurs citoyens de rester chez eux durant la première vague. Ces confinements plus ou moins souples et plus ou moins obligatoires ont duré 47,5 jours en moyenne. Cinq grands pays ont basé leur politique sanitaire sur le confinement aveugle (sans isoler les malades des autres) de toute leur population : l’Italie, l’Espagne, la Belgique, la France et la Grande-Bretagne. Les plus durs ont été la France et l’Italie avec 55 jours, l’Espagne avec 50 jours et le Royaume-Uni avec 46 jours.

A l’opposé les Pays-Bas, la Suède, la Finlande, la Biélorussie ont fait confiance à leurs citoyens en leurs prodiguant des conseils et en les laissant libres de circuler.

L’étude des courbes de progression de la maladie dans les différents pays d’Europe par la recherche des inversions de tendance (break point analysis)[3] montre que le confinement aveugle a été incapable de ralentir la progression de l’épidémie.

En France, le nombre des contaminations n’a diminué qu’en avril, six semaines après le début de l’épidémie, en même temps qu’aux Pays-Bas et en Allemagne, pays qui n’ont pas astreint à domicile leurs populations.

Cette régression spontanée après 6 semaines d’évolution paraît une caractéristique de cette maladie d’après le professeur Ben Israel[4] 

« C’est comme ça partout dans le monde. Tant dans les pays où ont été prises des mesures de confinement comme l’Italie, que dans les pays qui n’ont pas eu de confinement comme Taiwan ou Singapour. Dans tel ou tel pays, il y a une augmentation jusqu’à la quatrième ou la sixième semaine, et immédiatement après la régression jusqu’à ce qu’elle disparaisse au cours de la huitième semaine.”

Les autorités norvégiennes ont reconnu l’inutilité du confinement

La Norvège est fréquemment citée comme preuve de l’efficacité du confinement par ses partisans français, mais ce n’est pas l’avis de l’autorité sanitaire norvégienne qui a publié un rapport dont la conclusion est sans ambiguïté : le virus était déjà en voie de disparition lorsque le verrouillage a été ordonné. Camilla Stoltenberg, directrice générale de l’Institut norvégien de santé publique précise ainsi[5]

« le confinement n’était pas nécessaire pour gérer le covid-19 car le taux de reproduction effectif était déjà tombé à environ 1,1 lorsque les mesures les plus restrictives ont été mises en œuvre le 12 mars ».

Impact des confinements à l’international : échec général

De nombreuses autres études[6] [7] [8] [9] [10] [11] [12] ont évalué l’effet des mesures coercitives sur les évolutions constatées de l’épidémie. Aucune n’a montré qu’elles auraient pu avoir un impact positif sur l’épidémie. C’est le cas de l’étude danoise sur le Nord Jutland[13] de l’étude néo- zélandaise[14], de l’analyse indienne[15], de l’étude des pays d’Europe occidentale[16] et de toutes les études internationales basées sur les faits avérés. Les seuls articles prétendant qu’il existerait un avantage au confinement sont celles qui n’analysent pas les faits constatés, mais reposent sur des simulations et des scénarios sans rapport avec la réalité.

Pour innocenter les gouvernements qui ont astreint leur population à domicile, on pourrait croire que les pays qui ont confiné policièrement l’ont fait parce que leur situation était plus menaçante au moment où ils en ont pris la décision.

Mais la comparaison des contaminations en Belgique et aux Pays-Bas (pays les plus proches par leurs origines ethniques, leur mode de vie et l’âge moyen de leurs habitants) montre qu’il n’en est rien; avant le confinement belge, le nombre quotidien des contaminations par million d’habitants évoluait de la même manière dans ces deux pays frères; ce n’est que dix jours après le début du confinement belge que le nombre de malades a fortement augmenté en Belgique tandis qu’il progressait sans modification aux Pays-Bas.

Les raisons de l’augmentation des contaminations par le confinement aveugle sont simples ; le traitement traditionnel des épidémies (l’endiguement-quarantaine) repose sur la séparation des malades des sujets sains ; le confinement aveugle prévoit au contraire de renvoyer les malades sans signes de gravité dans leur famille, et les pensionnaires d ’Ehpad dans leur établissement d’origine favorisant ainsi la contamination de leur entourage.

L’étude récente Comcor[17] sur les lieux de contamination rapporte que le tiers d’entre eux est le foyer familial où l’un des parents a contaminé l’autre ou son/ses enfants confirme cette hypothèse.

Le confinement aveugle entraîne une augmentation de la mortalité liée au Covid19.

Les données de l’OMS du 26 janvier 2021[18] prouvent que le confinement aveugle est contre-productif : les pays qui ont confiné policièrement sans isoler réellement les malades sont tous dans le top 5 européen des plus fortes mortalités globales attribuées au Covid19

avec respectivement : Belgique : 1793/Million, Italie : 1245/M, Espagne : 1177/M, Grande-Bretagne : 1443/M, France : 1113/M

contre 790/M pour les Pays-Bas, 117/M en Finlande, 173/M en Biélorussie et 1090/M en Suède. La probabilité qu’une telle distribution des mortalités selon les mesures sanitaires soit due au seul hasard n’est que 0,007[19].

Ferguson et ses élèves se glorifient de leurs erreurs de prédictions.

De nombreux articles d’auteurs proches de Ferguson ou des responsables du confinement aveugle prétendent qu’il aurait sauvé des vies ; il ne s’agit que de propagande totalement mensongère qui repose sur la comparaison entre leurs prévisions très exagérées de mortalité et les mortalités réellement observées à une date donnée. Ainsi, plus ils se trompent par excès dans leurs estimations initiales et plus ils se gargarisent ultérieurement des morts virtuelles évitées. Dans un article de Nature, ils prétendent ainsi avoir sauvé 3 millions d’européens et en particulier 26000 suédois, grâce au confinement, sans avoir remarqué que les suédois n’avaient jamais confiné et que leur chiffre de 2800 morts recensés au 5 mai prouvait seulement que leur prévision surestimait par dix le risque réel.

De même pour l’Allemagne ; le rapport 9 de l’Impérial College affirmait que la technique classique d’endiguement ne pourrait pas ralentir l’épidémie et que si l’Allemagne ne confinait pas elle pleurerait 570000 morts au 5 mai 2020. L’Allemagne n’a pas confiné à l’aveugle mais simplement pratiqué l’endiguement et ne comptait au 5 mai que 6800 décès attribués au Covid19. Mais l’équipe de Ferguson prétend que 560000 allemands auraient été sauvés grâce au confinement (qui n’a pas été pratiqué) !

Lancetgate et Naturegate

Dans le scandale du Lancet Gate, les auteurs avaient inventé des données pour affirmer que la chloroquine était dangereuse. Dans ce qui peut s’appeler le Nature Gate, il n’y a pas eu fabrication de données mais refus de regarder la réalité des mesures réellement utilisées pour se glorifier de ses erreurs ; il est étonnant qu’aucun membre du comité de lecture d’une revue de bonne réputation ne se soit rendu compte des erreurs de raisonnement et des mensonges sur les politiques suédoises, néerlandaises et allemandes aboutissant à une aussi grosse supercherie.

La même technique de glorification frauduleuse du confinement par des simulations a été utilisée en France par 3 élèves de l’école supérieure de santé publique prétendant[20] que le confinement aurait sauvé 60000 français. Leurs conclusions, non validées par des pairs, ont été immédiatement présentées aux députés par le premier ministre comme justification du confinement. Les erreurs de conception, des hypothèses et des conclusions d’un étude vraisemblablement commandée par le pouvoir ont été depuis largement démontrées dans des revues scientifiques[21]  [22] [23] mais les médias mainstream en ont très peu parlé[24].

Le confinement a créé des victimes d’autres pathologies (victimes collatérales)

En France, quelques jours avant le premier confinement, les Agences Régionales de Santé ont activé le plan blanc réservant tous les moyens sanitaires publics et privés aux malades du Covid19 et interdisant entre autres aux chirurgiens d’opérer sauf les extrêmes urgences vitales, en négligeant les malades ordinaires. Elles ont ainsi laissé des pans entiers de nos hôpitaux vides, tant dans le public que le privé et conduit à la mise au chômage partiel de nombreux personnels de soins, infirmières, aide- soignants, ambulanciers, manipulateurs radios empêchés de traiter les malades ordinaires.

Les traitements médicaux sont d’autant plus efficaces qu’utilisés tôt et bien surveillés. Leur absence, leur retard ou leur mauvaise surveillance ont des conséquences critiques sur la vie des malades, sans compter l’angoisse générée et leur effet connu sur la diminution des défenses immunitaires.  La notion de traitement « précoce » doit s’évaluer avec le médecin traitant dont on tente de plus en plus à minimiser le rôle pourtant essentiel pour l’adaptation des soins à chaque personne unique.

On peut estimer à 40 000 victimes supplémentaires actuelles et/ou futures par les défauts de soins et regretter le silence de la plupart des politiques et des médias pour ces victimes.

Malades urgents d’autres pathologies, déjà morts des confinements

En Ile-de-France, la crise a fait chuter les consultations de 40 % chez les généralistes, de près de 70 % chez les spécialistes et l’activité des urgences a fortement régressé. « Les Franciliens ont eu moins recours aux soinsce qui peut malheureusement engendrer, pour les cas les plus graves, des décès. » a avoué l’agence régionale de santé d’Ile-de-France

Le professeur Johanne Silvain, chirurgien cardiaque à la Pitié- Salpêtrière a précisé que trois quarts des opérations programmées ont été reportées.

« Quand on a rappelé des patients pour fixer de nouvelles dates, certains étaient décédés entre-temps ».

Mais comme prétend encore le ministre et comme le répètent toujours en boucle les médias « le confinement permet de sauver des vies » …

Le Monde rapporte le cas d’une Parisienne de 65 ans qui a subi un gros infarctus à son domicile, mais a préféré rester confinée. Sept jours plus tard, elle est conduite à la Pitié-Salpêtrière. Elle meurt d’une « rupture cardiaque ».

Une étude de l’Inserm menée par le chercheur Eloi Marijon au Centre de Recherche Cardiovasculaire de Paris (Inserm/Université de Paris) en collaboration avec Daniel Jost (Brigade des sapeurs-pompiers de Paris) montre que pendant la période du confinement, le nombre d’arrêts cardiaques en région parisienne a été multiplié par deux par rapport à la même période les années précédentes et que leur taux de guérison a été divisé par deux.

En Grande-Bretagne, une étude portant sur neuf hôpitaux a constaté que durant le confinement le nombre total d’admissions et de fréquentation aux urgences a diminué de 57,9% par rapport à l’année précédente. L’activité pour les affections cardiaques, cérébro-vasculaires et autres affections vasculaires a chuté de 31% à 88% après le verrouillage, avec les plus fortes réductions observées pour les pontages coronariens, l’endartériectomie carotidienne, la réparation de l’anévrisme de l’aorte et la maladie artérielle périphérique.

Les chances de guérison des accidents vasculaires cérébraux (AVC) dépendent considérablement de l’extrême précocité de leur traitement. Mais le docteur F Rouanet, de l’hôpital Pellegrin à Bordeaux a vu, pendant vingt jours, le nombre de diagnostics d’AVC baisser de 50 %. « On ne sait pas ce qu’ils sont devenus. La pathologie, elle, n’a pourtant pas disparu, cela nous fait craindre une hausse brutale des accidents et de la mortalité. »

Pourquoi les prévisions de Ferguson et les décisions des gouvernements obéissants n’ont-elles pas prévu ces morts indirectes bien réelles pour ne s’intéresser qu’aux morts Covid virtuelles imaginés par des simulations mathématiques fausses ?

Malades chroniques abandonnés à cause du plan blanc

En France, 20 millions de personnes souffriraient de pathologies chroniques, prises en charge à 100 % par la sécurité sociale. Chaque année, plus de 600 000 d’entre elles nécessitent des soins réguliers, près de 320 000 des chimiothérapies, 210 000 des séances de radiothérapie, et plus de 82 000 doivent être dialysés trois fois par semaine pour insuffisance rénale.  La télémédecine tant vantée par les énarques désincarnés ne peut remplacer le contact humain direct avec le malade. Des patients fragiles, angoissés, désespérés, dont les retards de consultations et de traitement ont accru les complications et la mortalité.

Les traitements des cancéreux ont été désorganisés par les injonctions des ARS[25]. Des cures de chimiothérapie ont été espacées ou modifiées, remplaçant un traitement par voie intraveineuse par un traitement oral, éventuellement moins efficace pour s’adapter au blocage des lits d’hospitalisation.  Des opérations urgentes ont été annulées, remises à période ultérieure sans précision sur une éventuelle reconvocation. C’est l’ARS qui a bloqué les opérations, les décrétant non urgentes et possiblement remplacées par de la chimiothérapie et/ou de la radiothérapie ! Raisonnement médical perdu, médecins transformés en robots devant obéir à des administratifs sous la surveillance inquisitoriale des agences régionales de santé, petites dictatures locales contre lesquelles il n’existe aucune voie de recours. Il semble bien que cela a recommencé lors des autres confinements puisque le préfet d’ile de France a décrété depuis mi-septembre le plan blanc alors que le nombre de morts attribués au Covid est très inférieur à celui de mars.

Cette rupture de soins ne concerne pas uniquement la cancérologie, mais a touché toutes les pathologies : cardiologie, neurologie, endocrinologie, rhumatologie, insuffisance rénale (la moitié des greffes rénales programmées n’ont pas été réalisées) etc.

Compte tenu du nombre considérable de malades chroniques et de leur poids dans la mortalité globale, ce sont plusieurs dizaines de milliers de décès prématurés évitables que ces arrêt/modifications de soins ont/vont entraîner. Impossible de prévoir précisément leur nombre car évidemment cela va se compter sur des années.

Malades nouveaux diagnostiqués et traités avec retard

Dans tous les pays, la baisse considérable des consultations a entrainé des retards diagnostiques très inquiétants : même si leurs conséquences à venir sont pour l’instant difficiles à mesurer avec précision.

En cardiologie, au Danemark une baisse de 47% des nouveaux cas de fibrillation auriculaire a été observée. De même, le nombre de patients hospitalisés avec une aggravation de l’insuffisance cardiaque ou un diagnostic de nouvelle apparition a été nettement réduit après le confinement soulevant « des inquiétudes quant à un sous-traitement potentiel de l’IC actuellement qui pourrait avoir un impact sur le pronostic à long terme ».

Le drame des cancéreux

En cancérologie en France, 380.000 nouveaux cas de cancer sont détectés chaque année, soit environ 30.000 par mois. Durant le premier plan blanc[26] 75.000 nouveaux cancers auraient dû être diagnostiqués si les chirurgiens avaient pu opérer.

L’académie de chirurgie s’en est inquiétée (assez tard) dans son communiqué du 15 Mai 2020 :

« depuis la mise en place du Plan Blanc le 13 mars, 85% des 7,2 millions d’interventions chirurgicales programmées chaque année en France ont été reportées, soit près d’1,1million d’actes (CNAMTS, ATIH). Il en résulte des risques d’aggravation dus au retard de prise en charge, non seulement en oncologie, mais également dans les autres disciplines ».

Durant le confinement, ce chiffre semble être descendu de moitié. En cancérologie l’Institut Curie a vu le nombre des urgences et consultations pédiatriques reculer de 30 %. Les adultes sont aussi concernés par ces retards de diagnostic, notamment pour les formes de cancer les plus agressives, comme celui du poumon. Le professeur F. Le Tourteau du département de l’oncologie médicale de Curie témoigne :

« pendant trois semaines, au lieu de 15 à 20 personnes par jour aux urgences, on n’avait que 2 à 3 patients et on s’attend à une vague de diagnostics à des stades plus graves ».

Un constat partagé par l’institut Gustave-Roussy où « les urgences ont perdu 50 % de leur fréquentation. On a envoyé des messages d’information aux 15 000 personnes inscrites dans nos fichiers, on a eu moins de 10 % de réponses ».

Les auteurs de l’étude estiment à près de 10000 morts les conséquences prévisibles des retards de diagnostic pour les seuls cancers du sein et du colon.

Les dermatologues espagnols ont constaté : « en l’absence de diagnostic et de traitement adéquats du carcinome et du mélanome, la survie spécifique à la maladie à 2, 5 et 10 ans chez les patients dont la chirurgie a été retardée de 3 mois a diminué de 6,2%, 8,2% et 5,2%, respectivement ».

Au Royaume-Uni, the Centers for Disease Control and Prevention estiment que, « du fait du confinement, une augmentation de mortalité de 20% des nouveaux cancers est à craindre. »

Une autre étude britannique estime à 59 204 – 63 229 ans le nombre d’années de vie perdues pour les seuls cancers colo-rectaux, du sein, de l’œsophage et du poumon en raison des retards de diagnostic dus au confinement.

En France « nous craignons 5.000 à 10.000 morts supplémentaires du cancer », explique Jean-Yves Blay, du centre d’oncologie Léon Bérard de Lyon. « Ces estimations sont même plutôt optimistes, les anglais ont des projections allant jusqu’à 40.000 patients décédés en excès. »

Si on fait la somme des morts en excès toutes pathologies or Covid confondues, le bilan mortifère des retards diagnostiques s’élève actuellement pour la France à plus de 40000 morts à venir. Cette estimation ne constitue qu’un minima

L’hécatombe programmée de nos ainés

Le confinement avait pour premier prétexte de protéger particulièrement nos ainés, mais dix mois de mesure sanitaires inventées de toutes pièces sans fondement scientifiques ont abouti à une hécatombe sans précédent.

Pour les vieillards, pensionnaires des EHPAD, la solitude complète imposée par le confinement les a conduits au « syndrome de glissement » et à la mort, presque aussi sûrement que le virus. Quelle ineptie et quelle honte de leur interdire les visites de leurs proches, alors que leurs soignants sortent chaque jour et prennent des transports publics bondés et reviennent un jour ou l’autre porteurs du virus qu’ils propagent à leur insu car scandaleusement peu protégés. Et que dire de l’interruption des rééducations en particulier pour dysphagie nécessaires à beaucoup des pensionnaires ?

Et que penser de la note du ministère aux directeurs d’EHPAD précisant clairement que les personnes âgées malades ou susceptibles de l’être ne doivent en aucun cas être adressées aux urgences, car elles ne seront ni hospitalisées, ni traitées, ni réanimées. Précisons qu’il s’agit de critères d’âge, sans tenir aucun compte de l’état physique et intellectuel des résidents. Nous connaissons tous de beaux vieillards de plus de 90 ans et des « très vieux » de 70 ans ou moins.  Les médecins ont toujours pesé ces éléments du temps où ils pouvaient exercer leur vocation selon Hippocrate, et non sous l’autorité dictatoriale de bureaucrates interdisant d’hospitaliser les infectés de plus de 70-75 ans « afin qu’ils ne puissent pas occuper inutilement les lits de réanimation ». Les nazis à la descente du train de déportés triaient selon l’âge physiologique. Pas nos bureaucrates. Les plus de 70 ans infectés sont renvoyés dans leurs EHPAD ou faute de possibilité d’isolement réel, de traitement, de personnel et de matériel de protection, ils contaminent leurs compagnons d’infortune sans même pouvoir dire adieu à leurs familles. Et pour tout traitement le ministre propose le Rivotril censé leur adoucir la mort. Nos technocrates auraient-ils imaginé un début de solution au financement des retraites par le génocide des plus vieux retraités, suivant ainsi les conseils de J. Attali, mentor du président ?

Les récits dramatiques se succèdent sur les réseaux sociaux. Couples déchirés dans leurs derniers moments, enfants qui ne reverront jamais leur mère, soignants qui veillent depuis des mois ou années sur des vieillards et les voient brutalement contaminés, refusés d’hôpital, interdits de réanimation, privés de traitement, abandonnés à la mort sans personne pour leur tenir la main puis jetés au tombeau en catimini, sans accompagnement, les familles recevant des contraventions s’ils se retrouvent pour les accompagner au cimetière. Avec l’épidémie de décès dans les EHPADs, les proches risquent même la prison pour récidive d’infraction (présence aux enterrements), en attendant peut-être qu’on les condamne à mort comme l’Antigone de Sophocle, emmurée vivante pour avoir bravé l’interdiction royale d’enterrer son frère. Eternel combat de la morale qui définit notre humanité contre des lois tyranniques injustifiés.

Les victimes de pathologies psychiatriques

Le nombre de victimes de maladies organiques du confinement doit être complété par les conséquences des confinements sur les pathologies psychiatriques en traitement, les nouveaux malades psychiques, et les futurs suicides liés entre autres à la crise économique.

Les complications psychiques des personnes saines confinées sont nombreuses et bien connues : dépressions qui persistent dans plus d’un tiers des cas de nombreux mois après sa levée, stress post-traumatique durable, obésité, drames familiaux, divorces, retard scolaire, addiction renforcée à l’alcool aux drogues ou aux écrans. Les complications médicales et sociales de cette mesure moyenâgeuse inefficace, sont avérées et souvent catastrophiques.

Tous les confinés interrogés décrivent un sentiment d’isolement et le manque de contacts sociaux. L’absence de tout contact physique avec les membres de la famille et amis confinés ailleurs, est particulièrement mal vécu surtout lorsque le confinement aveugle est prolongé.

Certains groupes de personnes sont encore plus à risques. Enfants placés, qui se retrouvent encore plus seuls avec la moitié des encadrants absents. Femmes et/ou enfants victimes de violence familiales confinées avec leurs bourreaux eux-mêmes agacés par l’absence de sortie et paniqués par le Covid19. Prisonniers et malades des hôpitaux psychiatriques privés de visites facilitants le syndrome de glissement.

Mais plus généralement les enfants ainsi que le rappellent[27] des professionnels en psychologie, psychanalyse, pédiatrie et pédopsychiatrie qui :

« relèvent de graves perturbations dans le vivre-ensemble et la socialisation, la survenue de nouvelles maltraitances au sein des établissements, une condamnation de la tendresse, de l’empathie et un interdit implicite à l’altérité, une entrave au développement relationnel, psychomoteur ainsi que des régressions dans les apprentissages, une fragilisation majeure de l’autorité bienveillante/contenante et de la posture parentale, une perte de repères structurants et des discours paradoxaux. Le tableau clinique conclut à une souffrance psychique croissante chez les enfants, risquant d’entraîner une explosion de troubles psychiques graves et de passages à l’acte suicidaires. »

Les adolescents privés de leurs premières amours sont complètement déprimés, le téléphone et même Skype et/ou face time, Instagram ou WhatsApp ne pouvant en rien remplacer l’intimité qu’ils commençaient à découvrir. Même leur école et leurs professeurs en chair et en os qu’ils critiquaient souvent leur manquent cruellement. Les adolescents sportifs de haut niveau sont particulièrement menacés car ils ont été privés des entraînements et des compétitions nationales permettant de sélectionner nos futurs champions afin de mieux les préparer aux épreuves internationales proches.

Accouchées et nouveaux nés privées de la visite de leurs proches dans une période pourtant anxiogène pour ces jeunes femmes particulièrement en période de psychose publique organisée.

L’aggravation de la famine par les confinements tue les enfants

Le Covid19 ne tue pas les enfants, mais la famine consécutive aux confinements les menace directement[28].

La famine est déjà réapparue en France[29] [30]. Le secours populaire, le secours catholique et les restos du cœur sont débordés, et on lit de plus en plus de témoignages de mamans : « j’ai inscrit ma fille à la cantine et ne mange plus le midi, non par gout mais par économie. On s’habitue… »

C’est aussi le cas en Italie[31] où les enfants affamés italiens à la suite de la politique italienne délétère à l’origine d’un nombre de morts directs des plus élevés mais également de morts indirectes très élevées.

Dans les pays pauvres, d’après les responsables de l’ONU[32], de l’Oxcam[33] et du programme alimentaire mondial contre la faim[34], l’aggravation de la famine risque d’entraîner plus d’une centaine de millions de morts.

Les principales fautes de notre politique sanitaire

Le comité prétendument scientifique et notre premier ministre suivent l’exemple de Ferguson et ses élèves et continuent de se glorifier de leur politique sanitaire malgré les résultats catastrophique sur la mortalité attribuée au Covid19. Ce déni permanent de la réalité est très inquiétant pour l’avenir car comme le disait A. Einstein : « ce n’est pas avec ceux qui ont créé les problèmes qu’il faut espérer les résoudre ». Rappelons la liste de leurs autres principales erreurs :

-Ils ont cru un mathématicien-prophète prônant le confinement aveugle sans évaluer ses conséquences au lieu d’utiliser la technique médicale éprouvée d’endiguement-quarantaine.

-Ils ont créé un comité prétendument scientifique en réunissant les personnes les plus liées aux firmes pharmaceutiques dont peu de cliniciens, et lui ont accordé un pouvoir discrétionnaire sur nos libertés.

-Ils ont interdit aux médecins de ville de traiter les malades comme ils le jugeait utile : interdiction de la chloroquine, puis interdiction de l’azithromycine et même de l’ivermectine récemment.

-Ils ont interdit l’admission des vieillards en réanimation, puis à l’hôpital puis aux urgences pour les renvoyer sans traitement dans leurs Ephads d’origine

-Ils ont conseillé d’euthanasier par Rivotril sans leur consentement les vieux simplement suspects de Covid19 (les tests leur étant refusés)

-Ils ont discrédité les médecins opposés à leurs mesures infondées, rétabli le délit d’opinion pour les médecins par un décret du 22 décembre 2020et font poursuivre par le conseil de l’ordre les donneurs d’alerte.

Pourquoi devrions-nous attendre la fin de l’épidémie pour réagir ?

C’est maintenant que nous devons nous soulever pour stopper cette monstruosité, ce génocide de nos ainés qui se poursuit dans les EHPADs, et de nos jeunes isolés, privés de ce qui fait le sel de la vie, les contacts avec les autres humains.

Que chacun d’entre nous joigne le maximum d’élus, maires, conseillers régionaux et députés, sénateurs pour qu’ils transmettent au gouvernement la réalité des chiffres, montrant que le confinement aveugle général s’accompagne de beaucoup plus de morts que l’isolement ciblé des malades et de leurs contacts.

Les mesures sanitaires ont tué plus de français qu’elles n’auraient pu en sauver et sont responsables de notre rang de 5ème européen des plus fortes mortalités Covid19. Elles vont en tuer davantage dans les mois et années qui viennent.

Et ils veulent nous reconfiner !

Stop à toutes ces mesures sanitaires sans justification scientifiques. Liberté.


Notes

[1] Celui qui avait prédit 70000 morts en Suède et 100000 aux Pays-Bas s’ils ne confinaient pas qui, sans confinement, n’en comptent au 5/1/21 respectivement 8727 et 11612

[2] Mais l’opération « tous pour le Remdesevir » soutenue par les médecins liés à Gilead, le conseil prétendument scientifique et le directeur de l’AP-HP Martin Hirsch a piteusement échouée faisant reporter tous leurs efforts sur la promotion des vaccins

[3] Très utilisée en économie et en cancérologie

[4] Professeur Ben-Israel « Je propose que nous mettions fin aux confinements immédiatement…”

interview à Israel National News 16 avril 2020

[5] Norvège : “le confinement n’était pas nécessaire contre le coronavirus” 29 mai 2020 Strategika

[6] Rabail Chaudhry, George Dranitsaris, Talha Mubashir, Justyna Bartoszko, Sheila Riazi Une analyse au niveau national mesurant l’impact des actions gouvernementales, de la préparation du pays et des facteurs socio-économiques sur la mortalité COVID-19 et les résultats sanitaires associés ». EClinicalMedicine 25 (2020) 100464

[7] Christof Kuhbandner, Stefan Homburg, Harald Walach, Stefan Hockertz. « Le verrouillage de la couronne allemande était-il nécessaire ? » Sage Preprint, 23 juin 2020.

[8] Simon N. Wood. Les infections au COVID-19 ont-elles diminué avant le verrouillage du Royaume-Uni ?  Pré-impression de l’Université Cornell, 8 août 2020.

[9] Stefan Homburg et Christof Kuhbandner Commentaire sur Flaxman et al. (2020) : Les effets illusoires des interventions non pharmaceutiques sur le COVID-19 en Europe » par. 17 juin 2020. Advance, Sage Pre-Print

[10] Ben Israel Analyse de la transmission du virus par le professeur. 16 avril 202

[11] Paul Raymond Hunter, Felipe Colon-Gonzalez, Julii Suzanne Brainard, Steve Rushton « Impact des interventions non pharmaceutiques contre le COVID-19 en Europe : une étude quasi expérimentale ». MedRxiv Pre-Print 1er mai 2020

[12] « Lockdown and Closures vs COVID – 19 : COVID Wins » par Surjit S Bhalla, directeur exécutif pour l’Inde du Fonds monétaire international

[13] Kasper Planeta Kepp Christian Bjørnskov Lockdown Effects on Sars-CoV-2 Transmission – The evidence from Northern Jutland https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2020.12.28.20248936v1.full.pdf

[14] John Gibson Government mandated lockdowns do not reduce Covid-19 deaths : implications for evaluation the stringent New Zealand response 18 Aug 2020, https://doi.org/10.1080/00779954.2020.1844786 « Les verrouillages imposés par le gouvernement ne réduisent pas le nombre de décès liés au Covid-19 : implications pour l’évaluation de la réponse rigoureuse de la Nouvelle-Zélande »

[15] Surjit S Bhalla Lockdowns and Closures vs COVID – 19 : COVID Wins Nov 1, 2020 http://ssbhalla.org/wp-content/uploads/2020/10/Lockdowns-Closures-vs.-COVID19-Covid-Wins-Nov-4.pdf

[16] Thomas Meunier Full lockdown policies in Western Europe countries have no evident impacts on the COVID-19 epidemic. https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2020.04.24.20078717v1.full.pdf

[17] https://www.pasteur.fr/fr/espace-presse/documents-presse/etude-comcor-lieux-contamination-au-sars-cov-2-ou-francais-s-infectent-ils

[18] https://covid19.who.int/

[19] Calcul direct des probabilités

[20] site internet de l’Ecole des Hautes Etudes de la Santé Publique, sur une page depuis supprimée (https://www.ehesp.fr/2020/04/23/une-etude-inedite-de-chercheurs-de-lehesp-montre-que-le-confinement-aurait-sauve-au-moins-60-000-vies/).

[21] Eric Le Bourg, Quentin de Larochelambert, Jean-François Toussaint Etude critique d’une modélisation des effets du confinement Journal International de médecine 2 mai 2020

[22] Aurélie Haroche Quand les politiques confondent modélisations mathématiques et astrologie, Journal International de Médecine, 25 avril 2020

[23] Gilles Pech de Laclause 1 Arnaud Delenda Lana Augustincic Confinement strict, surcharge hospitalière et surmortalité : Analyse statistique et étude mathématique de l’épidémie de « Covid 19 »

[24] Roland Salmon : https://www.lemonde.fr/idees/article/2020/04/08/roland-salmon-les-donnees-pour-soutenir-la-politique-du-confinement-font-defaut_6035949_3232.html

[25] Agences régionales de santé

[26] Interdiction pour les chirurgiens publics ou privés d’opérer les malades non urgents, l’urgence étant décidée par l’ARS et non le chirurgien ou son malade, décret d’Edouard Philippe début mars 2020

[27] https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/impacts-traumatiques-de-la-politique-sanitaire-actuelle-sur-les-enfants-un-constat

[28] France culture La faim plus dangereuse que le coronavirus ? 01/05/2020 https://www.franceculture.fr/emissions/radiographies-du-coronavirus/la-faim-plus-dangereuse-que-le-coronavirus

[29] D’après le canard enchaîné Georges-François Leclerc, préfet de Seine-Saint-Denis aurait écrit : « Je redoute des émeutes de la faim. Nous comptons entre 15.000 et 20.000 personnes qui, entre les bidonvilles, les hébergements d’urgence et les foyers de travailleurs migrants vont avoir du mal à se nourrir ».

[30] « Dans mon frigo, il y a de l’eau, du jus d’orange et deux yaourts », a ainsi témoigné Viviane, habitante de Stains, sur France bleu.

[31] Sara Rosenbaum et AFP Coronavirus en Italie : 700.000 enfants en difficulté alimentaire RTL  10/5/2020 https://www.rtl.fr/actu/international/coronavirus-en-italie-700-000-enfants-en-difficulte-alimentaire-7800498903

[32]  » Tiphaine Walton, porte-parole du Programme alimentaire mondial de l’ONU : » Ce qui nous inquiète, c’est la récession économique qui va être engendrée par le coronavirus. On estime qu’il y a plus de personnes qui vont mourir à cause de cette récession qu’à cause du virus en lui-même »

[33] Oxfam, Le nombre de personnes menacées de famine en Afrique de l’Ouest pourrait quasi tripler en trois mois et concerner 50 millions de personnes en août, mardi 21 avril.

[34] Margot van der Velden, directrice du bureau des urgences du PAM :« Lorsque nous déclarons une famine, cela signifie que de nombreuses vies ont déjà été perdues. Si nous attendons d’être sûrs qu’elle soit là, des personnes ont déjà perdu la vie »,




Le masque, premier pas vers le transhumanisme

[Source : LHK]

La vidéo ci-dessus dans laquelle se livre M Klaus Schwab vous permet de mieux connaître l’avenir qui vous est réservé. Et croyez-moi si les plans arrivent à leur terme, les membres de l’humanité, qui auront survécu aux péripéties actuelles, devront accepter l’implant cérébral. (Voir ci-dessous)

Ami lecteur, il y a un consensus de la supra-élite autour du transhumanisme et de l’implant cérébral à l’horizon de 2030. Au plus tard. Kurtzweil, Musk, ou Diamandis, ces chouchous de Planète finance, vous le promettent depuis de nombreuses années, et personne n’ose les contredire. PERSONNE.

La part de l’élite actuelle qui ne consent pas à ce qui est considéré comme un dérapage politique n’ose pas prendre la parole et tenir un discours contraire à celui du mainstream. J’admets qu’il faut prendre le risque de tout perdre. En même temps, quelle sera votre vie dans un environnement techno-fasciste qui croit agir pour le bonheur de l’humanité?

Une révolution anti-humaniste est en marche

La robotisation de l’humain a déjà commencé avec le port du masque. On ne s’en rend pas compte parce que les plus de 80% des gens ne comprennent pas ce qu’est la globalisation par la technoscience. Toutefois, avec l’hécatombe qui s’est abattue sur les très âgés, ce pourcentage diminuera. Simultanément, les jeunes et les enfants seront toujours plus harcelés par l’hygiénisme ambiant.

Dans sa logique de robotisation de l’humain, Elon Musk « prédit » (ou promet) que le langage humain sera obsolète dans à peine cinq ans: «  Nous pourrions encore le faire pour des raisons sentimentales  » (Mai 2020)

https://www.independent.co.uk/life-style/gadgets-and-tech/news/elon-musk-joe-rogan-podcast-language-neuralink-grimes-baby-a9506451.html http://cdn.jwplayer.com/players/vD3llbs9-XLzx33eA.html

L’objectif de Musk confirme notre thèse selon laquelle le transhumain n’aura pas de proximité humaine avec des tiers (relations de couple, de famille, d’amis, professionnelles,etc.). Robotisé, il deviendra un point de contact traversé par un ensemble de relations digitalisées.

https://lilianeheldkhawam.com/2020/08/03/remise-en-question-de-la-societe/

Cette philosophie qui vise la robotisation de l’humain, et qui passe par une phase transitoire appelée transhumanisme, est un crime contre l’humanité.

Les fans de ces fascistes, rhabillés en progressistes, ont pénétré les gouvernements, et occupent à l’heure actuelle des postes-clés de la sphère aussi bien publique que privée. Ils jouent ainsi depuis de nombreuses décennies les facilitateurs, voire les ouvreurs de portes, pour mettre à disposition de la « technoscience » et des nanosystèmes: les écoles, les universités, les entreprises, les laboratoires, ou les hôpitaux .

Grâce au virus, cette supra-élite s’est donnée les pleins pouvoirs, et grâce à l’argent qui coule à flot, des politiciens ambitieux et corrompus vont faire réviser avec une facilité déconcertante les législations, la sacralité de l’humain, ou la bioéthique(voir ce qui se passe dans les homes pour personnes âgées, ou le bricolage génétique du vivant).

Voici le masque qui fait l’unanimité des médias officiels et financiarisés. Il vous aide à mettre le pied à l’étrier du transhumanisme.

Ce masque est vanté par Reuters ou France Inter. Un piège pour les jeunes à qui il fait miroiter des performances autour de la thématique musicale par exemple! Et cette prison numérique vous sera refilé sous l’appellation de durabilité, une écologie trompeuse qui a largement fait ses preuves.

Avez-vous l’impression qu’un jour vous pourriez vous débarrasser de ce masque et de retourner normalement au travail ou à l’université? Si oui, c’est que vous n’avez pas saisi le concept fascisant du projet qui s’abat sur la terre. La fin de l’humanité telle que connue est en train d’être mise en place sous nos yeux impuissants.

Grâce à des assemblées planétaires et à des traités signés par l’ensemble des gouvernants, ceux-ci ont déjà acté ce mouvement qu’ils ne comprennent probablement pas et ne protègeront donc pas les récalcitrants. De toute manière, ils n’en ont plus les moyens.

LHK

Ne ratez pas cette vidéo SVP!

https://www.researchsquare.com/article/rs-124394/v1

Autriche : La cour suprême juge illégal le masque obligatoire à l’école et les cours en alternance (20minutes.fr)

Elon Musk avait présenté cet implant cérébral en 2019

En 2020, Elon Musk a présenté son nouveau modèle implanté sur une cochonne, son cobaye.

Est-ce que papa Gates avait reçu un implant, lui qui souffrait d’Alzheimer?

Mais à y regarder de plus près, il se pourrait que des humains aient accepté l’opération. Voici une photo de papa Gates. Et à y regarder de près, il se pourrait bien qu’il ait accepté de tester un produit similaire..?

Vidéo explicative de John Kennedy du 27 avril 1961

https://www.dailymotion.com/embed/video/xzu7kw https://fr.wikisource.org/wiki/Discours_de_John_F._Kennedy,_le_27_avril_1961




Davos 2021, du “Great Reset” au “New Normal”

[Source : Nous sommes partout]

Le Forum 2021 de Davos (World Economic Forum) s’est tenu virtuellement du 25 au 29 janvier, avec pour sujet principal la fameuse « pandémie » et sa solution économique le “Great Reset” (Grande réinitialisation) qui mènera l’humanité, bon gré mal gré vers un “New normal” [Une « nouvelle normalité »].


Rédaction NSP
KLARA VON KUSTNITZ

Loin d’être, comme le prétendent les médias aux ordres, une théorie du complot et un fantasme d’extrême-droite, la théorie du Great Reset est au contraire directement issue des réflexions du forum mondial de l’économie de Davos 2020 et parfaitement résumée dans l’ouvrage de son fondateur Klaus Schwab Covid-19 la Grande Réinitialisation (Ed. Forum Publishing). Schwab, qui cosigne l’ouvrage avec Thierry Mailleret, dit Milton Peel, ancien  collaborateur de Jacques Attali,  est un fervent sioniste,  membre du groupe Bilderberg,  et en a d’ailleurs annoncé le lancement le 3 juin 2020 avec à ses côtés, entre autres, le prince Charles, la Bill & Melinda Gates Foundation, Antonio Guterres secrétaire général de l’ONU et haut-commissaire des Nations-Unies aux réfugiés, Kristina Georgieva  directrice du FMI, Nicolas Stern “économiste du climat”, le PDG de Mastercard et autres banquiers, des personnalités démocrates, gauchistes et bien sûr pro Joe Biden. Le ton était donné, on allait causer pognon, virus, climat et migrations.

Bill Gates, Nostradamus de la pandémie

En 2015, lors d’une Conférence TED (Technologie Entertainment and Design), Bill Gates avait mis le monde en garde contre les conséquences désastreuses d’une éventuelle pandémie. Quatre ans plus tard en 2019, le centre américain John Hopkins, largement financé par le milliardaire “philanthrope”, organise un exercice de simulation de pandémie fictive de coronavirus  nommé EVENT 201

[Voir aussi :
L’OMS, Bill Gates et les vaccins.
La grande réinitialisation selon un ancien officier du KGB, le Dr Igor Shepherd : Le nouvel ordre mondial communiste post-Covid 19.
Le « Great Reset » n’est pas du complotisme.
Le bon virus au bon moment.
L’archevêque Carlo Maria Viganò envoie une lettre ouverte au Président des Etats-Unis Donald Trump concernant le « Great reset ».
Bill Gates, « expert en santé publique » : investir dans les vaccins, c’est payant!.]

Curieusement, en 2019, la pandémie est là et le coronavirus en même temps. Naturellement, les complotistes de tous poils — dont nous ne sommes évidemment pas — n’ont pas manqué de conclure qu’entre les oiseaux de mauvais augure de Event 201 et la volonté de rendre réelle la pandémie, il n’y avait qu’un pas. Nos lecteurs jugeront.

En tous cas, à Davos en 2020, les économistes, dignitaires bien pensants, européistes convaincus, démocrates forcenés, ont clairement établi le plan qui nous frappe actuellement. Ce plan est d’ailleurs fidèlement suivi par l’Union Européenne avec la France et l’Allemagne en tête et n’est rien d’autre que le programme de Joe Biden.

Davos 2021: du Great Reset 2020 au New Normal 

Appliquer le plan du Great Reset ou Grande Réinitialisation a bien sûr un but clairement défini : transformer la société et l’humanité pour arriver à une nouvelle situation post-crise: le New Normal. Le “New Normal” est une expression inventée par l’écrivain de science-fiction Robert A. Heinlein dans son roman The moon is a harsh mistress (Révolte sur la Lune), roman considéré comme libertarien. Dans cette “nouvelle normalité”, l’humanité qui a survécu à la crise , vit dans le tout-numérique et le sans-contact dans un monde déshumanisé, métissé et transgenre, asservi à une idéologie sanitaire, climatique et sociétale. Une oligarchie toute-puissante règne sur des populations abruties par les drogues légales et réduites en esclavage par un revenu conditionné aux idées “conformes”.

Le terme de “New Normal” revient régulièrement dans les paroles d’Emmanuel Macron lors de son grand oral du 26 janvier face à Klaus Schwab. Nous vous invitons à consulter le calendrier ci-dessous puis à visionner la video de l’intervention du Président de la république française. Celui-ci y déroule le plan à la perfection jusqu’à ce jour et la pandémie et le climat en sont les deux fils rouges — et parfaits alibis des financiers —  qui mèneront inéluctablement vers leur “nouvelle normalité”.https://www.youtube.com/embed/4mml-GYM39A

Le calendrier

Vous découvrirez ci-dessous un résumé de ce plan de “réinitialisation individuelle” que l’oligarchie veut nous imposer pour maintenir ses bénéfices dans une ère post-capitaliste. Un commentaire explicatif en italique aidera nos lecteurs à mieux comprendre et à voir à quel moment de ce diabolique projet nous nous situons.

  • 2019, apparition de la pandémie (Il s’agit de créer la peur, excellent moyen de manipuler les foules)
  • Début de l’ère de la surveillance sanitaire (Application stop-Covid, traçage numérique, utilisation de drones, fichage de l’état-civil dans les restaurants) 
  • Diminution du ratio vie privée/vie publique (Le pouvoir commence à passer outre les droits individuels)
  • Surveillance accrue, politique sécuritaire (Grâce à la peur générée par le virus, la surveillance ne sera pas contestée)
  • Explosion des problèmes mentaux (Dépressions, suicides, violences. Le plan précise que l’enfermement (confinement) provoquera l’émergence des fake-news et des théories du complot)
  • Internement psychiatrique des opposants politiques
  • Faillite de l’économie sans aucun redémarrage possible  (Licenciements, récession, chômage de masse)
  • Études sur un possible vaccin (Rien ne sera plus “comme avant” et le chômage augmentera tant que le vaccin ne sera pas administré à tous)
  • Crise des liquidités (Les entreprises ne sont plus solvables, innombrables faillites, les banques sont en danger)
  • Début de l’ère de l’automatisation  (Innovations techniques lucratives pour les banques mais jeunes sans emploi, vieux remplacés par des machines, millions de chômeurs en plus)
  • Début de l’ère du sans-contact (La distanciation imposée par la peur permet l’automatisation prévue: 75 % des commerces de détail ferment, 86% des restaurants, 59% des sociétés de divertissement disparaissent.)
  • Fin de la tyrannie du P.I.B., décroissance forcée (Augmentation de la fiscalité)
  • Prise de contrôle gouvernemental des entreprises privées
  • Contrôle sanitaire et dictature du “climat”, le Grand Alibi (Les idéologies du “climat et de la pandémie” créent la peur, peur personnelle et peur pour la planète)
  • Montée en puissance et enrichissement exponentiel de Big Pharma (Développement des technologies de la santé et du bien-être) 
  • Surveillance accrue par IA (Intelligence artificielle) et IoT (Intelligence des objets)
  • Ère du tout numérique et du “tout-distant” (Economie sans-contact, télémédecine, livraison par drones, paiements mobiles, éducation virtuelle, cryptomonnaie, fin de l’hégémonie du dollar)
  • Enrichissement exponentiel des entreprises qui investissent dans les infrastructures énergétiques progressistes ( Adhésion des consommateurs par la propagande climatique, la colère organisée des “militants” écologistes et la politique de la terreur de la pollution)
  • 4ème révolution industrielle, 5G
  • Ère du” comportement adéquat” et punition des entreprises non-conformes (Climat, diversité, augmentation des troubles sociaux — BLM, antifas, LGBT, écologistes, féministes — pour faire pression)
  • Légalisation des psychotropes (Une population abrutie par le cannabis “récréatif” se révolte rarement)
  • Rupture des chaînes commerciales et d’approvisionnement (Dévastation immédiate, émeutes de la faim)
  • Effondrement des prix du pétrole (Fin des énergies fossiles polluantes)
  • Déstabilisation des pays du Sud à destination touristique, troubles sociaux, guerres civiles, famines (Dictature sanitaire, impossibilité de voyager sans vaccin)
  • Migration massive de réfugiés “climatiques”(Conséquences des famines dans les pays du Sud)
  • Ère de la distanciation sociale  totale (Même les réunions de famille obligatoires en virtuel par le règne de la peur des pandémies)
  •  Revenu universel et Assistance sociale universelle, conditionnés à un “crédit social” (Le mal-pensant ou le réfractaire au vaccin est exclu du revenu, de l’aide, du travail et éventuellement interné en HP ou en camp d’isolement)
  • Alternance des périodes de confinement et de déconfinement sous prétexte de santé et de décarbonisation (Politique de la peur pour obtenir l’adhésion des masses par “contagion comportementale”)
  • Plan de relance lié à la dictature écologique
  • Diminution drastique de la population mondiale (Guerres, pandémies, vaccins, famines) jusqu’au chiffre d’occupation correcte de la planète estimé par le plan: un milliard d’êtres humains, et pourquoi pas diminuer encore?
  • 2035 Résolution du problème de la surpopulation (Merci les philanthropes et leur idéologie malthusienne qui nous fait irrésistiblement penser aux Georgia Guidestones qui suggèrent de maintenir l’humanité en dessous d’un seuil de 500 millions.)
  • New Normal (le monde modifié d’après la crise) 

[Voir aussi : Les « Georgia Guidestones » ou les 10 commandements du Nouvel Ordre Mondial]

Derrière tous ces braves philanthropes, les Big Three [Les trois gros] (BlackrockVanguard et State Street) qui détiennent près de 90% des entreprises du S&P500, c’est-à-dire ont des intérêts énormes dans les médias, Big Pharma et les GAFAM.  A savoir que les actifs de Blackrock sont gérés par l’intelligence artificielle via son logiciel Aladdin qui lui a permis de prendre les rênes de la FED et est donc clairement au sommet de la pyramide du Great Reset.

[Voir aussi :
2020 : Le règne des marchands du Temple…
Les 4 firmes qui possèdent les USA]

Finalement, chers lecteurs, il ne nous reste plus qu’à devenir Amish pour faire échouer le plan et éviter d’être “réinitialisés”…

“C’est un triomphe pour la science car au moins nous sommes parvenus à stabiliser quelques chose : à savoir, l’estimation de la capacité d’accueil de la planète, c’est-à-dire un milliard de personnes. Quel triomphe ! D’un autre côté, voulons-nous en arriver là ? Je pense que l’on peut faire bien mieux.” 

(Hans Joachim Schellnhuber, climatologue, Conférence de Copenhague,2009)

En cas de réincarnation, je souhaiterais revenir sous la forme d’un virus mortel, afin de contribuer à résoudre le problème de la surpopulation.” 

(Prince Philip — père du prince Charles – 1988, Deutsche Presse-Agentur).


Source: Faits & documents N° 487,488 et 489




Histoire de l’origine de Google

[Source : Marguerite Rothe • Le Blogue]

Par Jeff Nesbit

Il y a vingt ans, les services de renseignements américains ont travaillé en étroite collaboration avec la Silicon Valley pour suivre les citoyens dans le cyberespace. Et Google est au cœur de cette histoire d’origine. Certaines des recherches qui ont conduit à la création ambitieuse de Google ont été financées et coordonnées par un groupe de recherche créé par la communauté du renseignement pour trouver des moyens de suivre des individus et des groupes en ligne.

La communauté du renseignement espérait que les plus grands informaticiens du pays pourraient prendre des informations non classifiées et des données sur les utilisateurs, les combiner avec ce qui allait devenir l’Internet, et commencer à créer des entreprises commerciales à but lucratif pour répondre aux besoins de la communauté du renseignement et du public. Ils espéraient diriger la révolution de la super informatique dès le début afin de donner un sens à ce que des millions d’êtres humains faisaient à l’intérieur de ce réseau d’information numérique. Cette collaboration a rendu possible aujourd’hui un état de surveillance de masse public-privé complet.

L’histoire de la création délibérée de l’État moderne de surveillance de masse inclut des éléments de l’origine surprenante, et largement inconnue, de Google. Il s’agit d’une histoire de création quelque peu différente de celle que le public a entendue, et qui explique ce que les cofondateurs de Google, Sergey Brin et Larry Page, ont entrepris de construire, et pourquoi.

Mais il ne s’agit pas seulement de l’histoire de l’origine de Google : C’est l’histoire de l’origine de l’État de surveillance de masse et de l’argent du gouvernement qui l’a financé.
L’histoire : La communauté du renseignement et la Silicon Valley

Au milieu des années 1990, les services de renseignement américains ont commencé à se rendre compte qu’ils avaient une opportunité. La communauté des superordinateurs commençait tout juste à passer du milieu universitaire au secteur privé, grâce à des investissements provenant d’un endroit qui allait devenir la Silicon Valley.

Dès le début, la communauté du renseignement a voulu donner une forme aux efforts de la Silicon Valley afin qu’ils soient utiles à la sécurité intérieure.

Une révolution numérique était en cours : une révolution qui allait transformer le monde de la collecte de données et la façon dont nous donnons un sens à des quantités massives d’informations. La communauté du renseignement voulait donner forme aux efforts de la Silicon Valley en matière de super informatique dès leur création afin qu’ils soient utiles à des fins militaires et de sécurité intérieure. Ce réseau de supercalculateurs, qui deviendrait capable de stocker des téraoctets d’informations, pourrait-il donner un sens intelligent à la trace numérique que les êtres humains laissent derrière eux ?

La réponse à cette question a suscité un grand intérêt dans la communauté du renseignement.

La collecte de renseignements était peut-être leur univers, mais la Central Intelligence Agency (CIA) et la National Security Agency (NSA) avaient pris conscience que leur avenir allait probablement être profondément façonné en dehors du gouvernement. C’était à une époque où les budgets militaires et de renseignement au sein de l’administration Clinton étaient en danger, et où le secteur privé disposait de vastes ressources. Si la communauté du renseignement voulait effectuer une surveillance de masse à des fins de sécurité nationale, il faudrait une coopération entre le gouvernement et les nouvelles sociétés de super informatique.

Pour ce faire, ils ont commencé à prendre contact avec les scientifiques des universités américaines qui étaient à l’origine de cette révolution de la super informatique. Ces scientifiques développaient des moyens de faire ce qu’aucun groupe d’êtres humains assis à des postes de travail de la NSA et de la CIA ne pourrait jamais espérer faire : rassembler d’énormes quantités de données et les interpréter intelligemment.

Une riche histoire du financement de la science par le gouvernement

Il y avait déjà une longue histoire de collaboration entre les meilleurs scientifiques américains et la communauté du renseignement, depuis la création de la bombe atomique et de la technologie des satellites jusqu’aux efforts pour envoyer un homme sur la lune.

L’internet lui-même a été créé grâce à un effort de renseignement.

En fait, l’internet lui-même a été créé grâce à un effort de renseignement : Dans les années 1970, l’agence chargée de développer les technologies émergentes à des fins militaires, de renseignement et de sécurité nationale, la Defense Advanced Research Projects Agency (DARPA), a relié quatre superordinateurs pour traiter des transferts de données massifs. Elle a confié les opérations à la National Science Foundation (NSF) une dizaine d’années plus tard, qui a fait proliférer le réseau dans des milliers d’universités et, finalement, auprès du public, créant ainsi l’architecture et l’échafaudage du World Wide Web.

La Silicon Valley n’a pas fait exception à la règle. Au milieu des années 1990, la communauté du renseignement a commencé à financer les efforts les plus prometteurs en matière de super calcul dans le monde universitaire, guidant la création d’efforts visant à rendre des quantités massives d’informations utiles à la fois pour le secteur privé et pour la communauté du renseignement.

Ils ont financé ces informaticiens par le biais d’un programme non classifié et très cloisonné, géré pour la CIA et la NSA par de grands contractants militaires et de renseignement. Il s’agissait du projet « Massive Digital Data Systems » (MDDS).

Le projet « Massive Digital Data Systems » (MDDS)

Le MDDS a été présenté à plusieurs dizaines d’informaticiens de premier plan à Stanford, CalTech, MIT, Carnegie Mellon, Harvard, et d’autres dans un livre blanc qui décrivait ce que la CIA, la NSA, la DARPA et d’autres agences espéraient réaliser. La recherche serait en grande partie financée et gérée par des agences scientifiques non classées comme la NSF, ce qui permettrait d’étendre l’architecture au secteur privé si elle parvenait à atteindre les objectifs de la communauté du renseignement.

« Non seulement les activités deviennent plus complexes, mais l’évolution de la demande exige que la communauté du renseignement traite différents types de données ainsi que des volumes plus importants », a déclaré la communauté du renseignement dans son livre blanc de 1993 sur le MDDS. « Par conséquent, la communauté du renseignement joue un rôle proactif en stimulant la recherche dans la gestion efficace de bases de données massives et en veillant à ce que les exigences de la communauté du renseignement puissent être incorporées ou adaptées dans des produits commerciaux. Comme les défis ne sont pas propres à une seule agence, le Community Management Staff (CMS) a chargé un groupe de travail sur les systèmes de données numériques massives (MDDS) de répondre aux besoins et d’identifier et d’évaluer les solutions possibles ».

Au cours des prochaines années, l’objectif déclaré du programme était de fournir plus d’une douzaine de subventions de plusieurs millions de dollars chacune pour faire avancer ce concept de recherche. Les subventions devaient être dirigées en grande partie par la NSF afin que les efforts les plus prometteurs et les plus fructueux puissent être captés sous forme de propriété intellectuelle et constituer la base d’entreprises attirant des investissements de la Silicon Valley. Ce type de système d’innovation public-privé a permis de lancer de puissantes entreprises scientifiques et technologiques comme Qualcomm, Symantec, Netscape et d’autres, et a financé la recherche fondamentale dans des domaines comme le radar Doppler et la fibre optique, qui sont aujourd’hui au cœur de grandes entreprises comme AccuWeather, Verizon et AT&T. Aujourd’hui, la NSF fournit près de 90 % de l’ensemble du financement fédéral pour la recherche universitaire en informatique.

L’objectif final de la CIA et de la NSA

Les services de recherche de la CIA et de la NSA espéraient que les meilleurs esprits informatiques du monde universitaire pourraient identifier ce qu’ils appelaient les « oiseaux d’une plume » : tout comme les oies volent ensemble en forme de grand V, ou des volées de moineaux font des mouvements soudains ensemble en harmonie, ils ont prédit que des groupes d’humains partageant les mêmes idées se déplaceraient ensemble en ligne. La communauté du renseignement a baptisé sa première réunion d’information non classifiée destinée aux scientifiques « Birds of a Feather »*, et la « Session Birds of a Feather sur l’initiative de la communauté du renseignement en matière de systèmes de données numériques massives » a eu lieu à l’hôtel Fairmont de San José au printemps 1995.

La communauté du renseignement a baptisé son premier briefing non classifié destiné aux scientifiques le briefing « birds of a feather » (les oiseaux d’une plume).

Leur objectif de recherche était de suivre les empreintes digitales à l’intérieur du réseau d’information mondial en pleine expansion, qui était alors connu sous le nom de World Wide Web. Un monde entier d’informations numériques pourrait-il être organisé de manière à ce que les demandes faites par les humains à l’intérieur d’un tel réseau soient suivies et triées ? Leurs demandes pourraient-elles être reliées et classées par ordre d’importance ? Pourrait-on identifier les « oiseaux de plume » dans cette mer d’informations afin que les communautés et les groupes puissent être suivis de manière organisée ?

En travaillant avec de nouvelles sociétés de données commerciales, leur intention était de suivre des groupes de personnes partageant les mêmes idées sur Internet et de les identifier à partir des empreintes digitales qu’ils avaient laissées, un peu comme les scientifiques utilisent les empreintes digitales pour identifier les criminels. Tout comme « les oiseaux de plume s’assemblent », ils ont prédit que les terroristes potentiels communiqueraient entre eux dans ce nouveau monde global et connecté – et qu’ils pourraient les trouver en identifiant des modèles dans cette énorme quantité de nouvelles informations. Une fois ces groupes identifiés, ils pouvaient alors suivre leurs traces numériques partout.

Sergey Brin et Larry Page, les jeunes prodiges de l’informatique

En 1995, l’une des premières et des plus prometteuses bourses MDDS a été attribuée à une équipe de recherche en informatique de l’université de Stanford, qui travaillait depuis dix ans avec des bourses de la NSF et de la DARPA. L’objectif principal de cette subvention était « l’optimisation des requêtes très complexes qui sont décrites à l’aide de l’approche « query flocks » ». Une deuxième subvention, celle de la DARPA-NSF, la plus étroitement associée à l’origine de Google, faisait partie d’un effort coordonné pour construire une bibliothèque numérique massive utilisant l’Internet comme épine dorsale. Les deux subventions ont financé les recherches de deux étudiants diplômés qui ont fait des progrès rapides dans le classement des pages web, ainsi que dans le suivi (et la compréhension) des requêtes des utilisateurs : les futurs cofondateurs de Google, Sergey Brin et Larry Page.

Les recherches menées par Brin et Page dans le cadre de ces subventions sont devenues le cœur de Google : des personnes utilisant des fonctions de recherche pour trouver précisément ce qu’elles voulaient dans un très vaste ensemble de données. La communauté du renseignement, cependant, a vu un avantage légèrement différent dans leurs recherches : Le réseau pouvait-il être organisé de manière si efficace que les utilisateurs individuels pouvaient être identifiés et suivis de manière unique ?

Ce processus est parfaitement adapté aux objectifs de la lutte contre le terrorisme et de la sécurité intérieure : Les êtres humains et les groupes de même sensibilité qui pourraient représenter une menace pour la sécurité nationale peuvent être identifiés de manière unique en ligne avant de nuire. Cela explique pourquoi la communauté du renseignement a trouvé les efforts de recherche de Brin et Page si attrayants ; avant cette époque, la CIA utilisait largement les efforts de renseignement humain sur le terrain pour identifier les personnes et les groupes susceptibles de constituer une menace. La possibilité de les suivre virtuellement (en conjonction avec les efforts sur le terrain) allait tout changer.

C’était le début de ce qui, dans quelques années, allait devenir Google. Les deux responsables de la communauté du renseignement chargés de diriger le programme ont rencontré régulièrement Brin au fur et à mesure de l’avancement de ses recherches. Il a également été l’auteur de plusieurs autres documents de recherche résultant de cette subvention MDDS avant que lui et Page ne partent pour former Google.

Les subventions ont permis à Brin et à Page de faire leur travail et ont contribué à leurs percées en matière de classement des pages web et de suivi des requêtes des utilisateurs. Brin ne travaillait pas pour la communauté du renseignement – ni pour personne d’autre. Google n’avait pas encore été constitué en société. Il n’était qu’un chercheur de Stanford profitant de la subvention accordée par la NSA et la CIA dans le cadre du programme MDDS non classifié.

Laissé de côté dans l’histoire de Google

L’effort de recherche du MDDS n’a jamais fait partie de l’histoire des origines de Google, même si le chercheur principal de la subvention MDDS a spécifiquement nommé Google comme résultant directement de leur recherche : « Sa technologie de base, qui lui permet de trouver des pages bien plus précisément que les autres moteurs de recherche, a été partiellement soutenue par cette subvention », a-t-il écrit. Dans un document de recherche publié qui inclut certains des travaux essentiels de Brin, les auteurs font également référence à la subvention de la NSF qui a été créée par le programme MDDS.

Au lieu de cela, chaque histoire de création de Google ne mentionne qu’une seule subvention fédérale : la subvention NSF/DARPA pour les « bibliothèques numériques », qui a été conçue pour permettre aux chercheurs de Stanford de faire des recherches sur l’ensemble de la Toile mondiale stockée sur les serveurs de l’université à l’époque. « Le développement des algorithmes de Google a été effectué sur divers ordinateurs, principalement grâce au projet de bibliothèque numérique de Stanford financé par la NSF/DARPA-NASA », explique par exemple l’Infolab de Stanford à propos de son origine. De même, la NSF ne fait référence qu’à la subvention pour les bibliothèques numériques, et non à la subvention MDDS également, dans sa propre histoire de l’origine de Google. Dans le célèbre document de recherche, « The Anatomy of a Large-Scale Hypertextual Web Search Engine », qui décrit la création de Google, Brin and Page remercie la NSF et la DARPA pour la subvention accordée à Stanford pour les bibliothèques numériques. Mais la subvention du programme MDDS de la communauté du renseignement – spécifiquement conçue pour la percée sur laquelle Google a été construit – s’est effacée dans l’obscurité.

Google a déclaré par le passé qu’il n’était pas financé ou créé par la CIA. Par exemple, lorsque des histoires ont circulé en 2006 selon lesquelles Google avait reçu des fonds de la communauté du renseignement pendant des années pour aider à la lutte contre le terrorisme, la société a déclaré au fondateur du magazine Wired, John Battelle, que « les déclarations relatives à Google sont complètement fausses ».

La CIA a-t-elle directement financé le travail de Brin et Page, et donc créé Google ? Non. Mais Brin and Page faisait-il des recherches précisément pour répondre aux attentes de la NSA, de la CIA et de la communauté du renseignement, avec l’aide de leurs subventions ? Absolument.

La CIA et la NSA ont financé un programme non classifié et cloisonné conçu dès le départ pour favoriser la création d’un site ressemblant presque à Google.

Pour comprendre cette importance, il faut considérer ce que la communauté du renseignement essayait de réaliser en accordant des subventions aux meilleurs esprits informatiques du monde universitaire : La CIA et la NSA ont financé un programme non classifié et cloisonné conçu dès le départ pour stimuler le développement de quelque chose qui ressemble presque exactement à Google. La recherche révolutionnaire de Brin sur le classement des pages en suivant les requêtes des utilisateurs et en les reliant aux nombreuses recherches effectuées – identifiant essentiellement les « oiseaux de plume » – était en grande partie l’objectif du programme MDDS de la communauté du renseignement. Et Google a réussi au-delà de leurs rêves les plus fous.
L’héritage durable de la communauté du renseignement dans la Silicon Valley

Ces dernières années, les préoccupations relatives à la protection de la vie privée en milieu numérique, à l’intersection entre la communauté du renseignement et les géants de la technologie commerciale, se sont accrues. Mais la plupart des gens ne comprennent toujours pas à quel point la communauté du renseignement s’appuie sur les plus grandes entreprises scientifiques et technologiques du monde pour son travail de lutte contre le terrorisme et de sécurité nationale.

Les groupes de défense de la liberté civile font part de leurs préoccupations en matière de protection de la vie privée depuis des années, notamment en ce qui concerne le Patriot Act. « Adopté à la hâte 45 jours après le 11 septembre au nom de la sécurité nationale, le Patriot Act a été le premier des nombreux changements apportés aux lois sur la surveillance qui ont permis au gouvernement d’espionner plus facilement les Américains ordinaires en élargissant le pouvoir de surveiller les communications téléphoniques et les courriels, de collecter les dossiers bancaires et de crédit et de suivre les activités d’Américains innocents sur Internet », explique l’ACLU. « Alors que la plupart des Américains pensent qu’il a été créé pour attraper les terroristes, le Patriot Act transforme en fait les citoyens ordinaires en suspects ».

Lorsqu’on leur pose la question, les plus grandes entreprises de technologie et de communication – de Verizon et AT&T à Google, Facebook et Microsoft – affirment qu’elles ne proposent jamais délibérément et de manière proactive leurs vastes bases de données sur leurs clients aux agences fédérales de sécurité et d’application de la loi : Elles affirment qu’elles ne répondent qu’aux citations à comparaître ou aux demandes déposées en bonne et due forme en vertu du Patriot Act.

Mais même un bref coup d’œil dans les archives publiques récentes montre qu’il existe un tapis roulant de demandes constantes qui pourraient saper l’intention derrière cette promesse de protection de la vie privée. Selon les dossiers de demande de données que les entreprises mettent à la disposition du public, au cours de la dernière période de référence, entre 2016 et 2017, les autorités locales, étatiques et fédérales à la recherche d’informations liées à la sécurité nationale, à la lutte contre le terrorisme ou à des préoccupations criminelles ont émis plus de 260 000 citations à comparaître, ordonnances de tribunal, mandats et autres demandes légales à Verizon, plus de 250 000 demandes de ce type à AT&T, et près de 24 000 citations à comparaître, mandats de recherche ou ordonnances de tribunal à Google. Les demandes directes liées à la sécurité nationale ou à la lutte contre le terrorisme ne représentent qu’une petite fraction de ce groupe de demandes, mais la procédure juridique du Patriot Act est désormais tellement routinière que les entreprises ont chacune un groupe d’employés qui s’occupent simplement du flux de demandes.

Ainsi, la collaboration entre la communauté du renseignement et les grandes entreprises commerciales scientifiques et technologiques a connu un succès foudroyant. Lorsque les agences de sécurité nationale doivent identifier et suivre des personnes et des groupes, elles savent à qui s’adresser – et le font fréquemment. C’était l’objectif au départ. Il a réussi peut-être plus que quiconque aurait pu l’imaginer à l’époque.

(Traduction DeepL)

Pour avoir accès aux liens hypertexte dans l’article (anglais), suivre le lien ci-dessous :

Google’s true origin partly lies in CIA and NSA research grants for mass surveillance




Indice de confiance par profession

[Source : Investig’Action]

[Pour la Belgique, mais probablement pas trop différent pour les autres pays d’Europe et pour l’Amérique du Nord.]