« Il ne s’agit pas de guérison. » Le point de vue d’une ancienne représentante pharmaceutique

[Source : Kla.TV]



Regardez maintenant une interview de Juliane Alt avec l’ancienne représentante pharmaceutique Elisabeth Linder. « Filmgeschichten.com » nous a aimablement donné les droits de diffusion.

Intro : Comparée à l’industrie pharmaceutique, la Mafia est un « club philanthropique ». Et là j’ai vu clairement qu’il ne s’agit pas du tout du bien-être des personnes, ni de les protéger, ni de faire quelque chose de bien. Je suis comme une enfant. Encore aujourd’hui. Je crois toujours au bien et je pense toujours : Oui, quand on fait quelque chose, c’est vraiment parce qu’on veut faire du bien à l’autre. C’est pour ça qu’au début, j’ai même pensé que les vaccins étaient ou produisaient vraiment quelque chose de bon. Aujourd’hui, bien sûr, je suis beaucoup mieux informée de ce qui se passe à l’Institut Robert Koch (RKI) et de ce qu’ils ont fait comme expériences depuis 100 ans. C’est juste cruel, ce qui s’est passé là…

Elisabeth Linder : Je m’appelle Elisabeth Linder. J’ai travaillé en pharmacie pendant de nombreuses années, dans le domaine des vaccins. J’y suis venue parce que j’étais mère célibataire et que je devais simplement gagner de l’argent, et c’est grâce à une de mes amies qui travaillait en pharmacie, que je suis arrivée là. En 1980 j’ai suivi une formation de représentant pharmaceutique, puis j’ai commencé à travailler pour une grande entreprise, la première société de vaccins sur le marché mondial. Au début déjà je n’étais pas d’accord avec ce qui se passait. Mais comme je devais nourrir mon enfant et que nous devions aussi nous loger, je me suis dit, – Ok, c’est l’opportunité où je peux le mieux gérer mon temps, où je peux gagner assez d’argent pour subvenir à nos besoins à tous les deux.
Et oui, au début, il n’y avait que quelques vaccins, je pouvais vivre avec ça. L’hépatite B et le tétanos, la diphtérie, la polio et ainsi de suite, et puis au fil des années, il y en a eu de plus en plus. J’ai toujours cru ce qu’on nous disait, que les vaccins sont si important et que nous en avons besoin, et c’est ainsi que les maladies infectieuses déclineront. Je croyais tout ça à l’époque, j’étais complètement nouvelle. Et au fil des années et des cours de formation, et de ce que nous avons entendu, j’ai eu peu à peu le sentiment que ce que je faisais n’était peut-être pas aussi bien après tout. Que ce n’est pas quelque chose qui aide vraiment l’humanité. La première fois que la polio a été injectée, ce sentiment s’est cristallisé de plus en plus lorsque le vaccin a été disponible. Ce n’était pas parce que tant de personnes mouraient lorsqu’il était administré par voie orale, mais parce qu’il était plus cher, dans les 45 marks de l’époque. Puis quand le vaccin suivant est arrivée, ça m’a fait beaucoup réfléchir. C’était à l’époque où il y avait le vaccin contre la varicelle. Et lors d’un événement, il a été dit littéralement : « Nous créons des marchés. » Il ne s’agit pas des enfants, c’est ce qui m’a immédiatement traversé l’esprit. Il ne s’agit pas de protéger les enfants. Je l’ai calculé très vite. Il s’agissait du fait que c’était un problème économique et cela m’a choquée. Déjà à l’époque toute la Commission permanente des vaccinations (en abrégé STIKO) était là, avec leur slogan « Nous créons des marchés. »- : Nous créons des marchés signifie qu’il n’y a en fait aucun marché pour cela. Aussi brutal que cela puisse paraître. J’ai eu une boule dans l’estomac parce que j’ai pensé : « Qu’est-ce que vous voulez dire, par – Nous créons des marchés ? » Et puis nous avons dû aller voir les médecins et leur vendre le vaccin….; et ensuite beaucoup d’enfants sont morts à cause de cela. Aucun pédiatre n’a eu d’enfants qui sont morts de la varicelle.
Finalement, c’est une question d’argent, oui !

Filmgeschichten.com : Et ensuite, comment ça s’est passé pour toi ?

Elisabeth Linder : Ça, c’était l’histoire du vaccin contre la varicelle. Qu’est-ce qui s’est passé ensuite ? Ah oui, ensuite il y a eu le tétanos, puis le vaccin quadruple : tétanos, diphtérie, polio et coqueluche ; puis le quintuple et enfin le vaccin sextuple avec l’hépatite B ; avec l’argument que les mères n’emmèneraient plus leurs enfants se faire vacciner par la suite, car aucun bébé ne contracte l’hépatite B s’il n’a pas une mère infectée. Bien sûr, cela se transmet ensuite au bébé, mais les bébés n’ont aucun, comment dire, aucun risque de tomber malade d’une hépatite B. Oui, et puis il s’est avéré que quand je l’ai présenté aux pédiatres, alors que je n’étais plus du tout d’accord, il y a eu les premiers effets secondaires graves. Et bien sûr, je l’ai signalé. Puisque c’est obligatoire. Ça n’a jamais abouti à rien. Il y a eu les premiers décès à l’époque déjà. Et alors, après que cela ne pouvait plus être balayé sous le tapis, ils ont dit : « Une étude doit donc être faite », à Munich à l’époque. « Tous les enfants qui décèdent d’une mort subite du nourrisson doivent être autopsiés. Et il faut voir quelle en était la cause ». Cette étude n’a jamais été publiée. Oui, avec les connaissances que j’ai aujourd’hui, tout est clair pour moi. Et c’était un point important pour moi, j’avais le moins de ventes avec ça, mais je m’en fichais. Et quand un pédiatre me demandait ce que je ressentais à ce sujet ou ce que je pensais, je disais toujours que je ne le ferais pas. Et bien sûr, quand mon premier petit-enfant est venu au monde et que ma belle-fille m’a demandé, j’ai juste dit : « Pour l’amour de Dieu, surtout pas de vaccin sextuple. » Donc mes inquiétudes, mes doutes, mon intuition… m’ont de plus en plus montré que ce n’est pas un travail en accord avec mon opinion. Ça devenait de plus en plus évident.

Filmgeschichten.com : Et combien d’années as-tu travaillé là-bas ?

Elisabeth Linder : 28 ans. Quand j’ai réalisé tout ca, je pense que j’y étais déjà depuis 8 ou 9 ans. Et tu peux calculer toi-même, les années restantes ont été dures pour moi, mais j’avais besoin de cet argent. C’est comme être dépendant de drogues. On était bien payé, et avec ça j’avais une bonne qualité de vie. Oui, et avec mon enfant… c’est ce cercle vicieux. Avec le recul, je ne referais plus jamais ça. C’est ce cercle vicieux ! Puis mon enfant a dû aller à l’école, où il était pris en charge toute la journée, et cette école était très chère. Oui, j’aurais pu tout avoir autrement. Mais c’est passé. Actuellement, je l’ai fait, je suis allée jusqu’au bout jusqu’à ma retraite, parce que j’ai pensé que je ne m’arrêterais pas quatre ou cinq ans avant. C’était vraiment très difficile pour moi. Puis il y a eu le vaccin contre le cancer du col de l’utérus. Et il y a eu une année, je ne sais pas si tu t’en souviens. Un an auparavant, le sujet du cancer du col de l’utérus était omniprésent dans toutes les émissions de radio et de télévision. C’était affreux pour les femmes… et elles ont été interviewées. Et ça a vraiment duré une année, et ça s’appelle le pré-marketing. Et puis j’ai dit à mes collègues de l’époque : « Dites-moi, ne remarquez-vous pas ce qui se passe ici ? » Nous recevons le vaccin dans un an et maintenant toutes les émissions ne parle que du cancer du col de l’utérus. Ça me rappelle…, et je ne sais pas pourquoi j’ai fais cette association d’idée, cela m’a rappelé la Thalidomide. Et c’est ce que j’ai dit : « Ça me fait penser à la Thalidomide. Il se passe quelque chose, personne ne dit rien, personne ne l’arrête. » Et ensuite j’ai principalement rendu visite à des pédiatres et des gynécologues, un gynécologue ne m’a pas reçue à Starnberg.
Ça, je n’oublierai jamais – je n’ai pas compris pourquoi il disait qu’il ne reçoit personne de mon entreprise. Mais moi aussi je suis têtue et j’ai dit que je voulais simplement qu’il me reçoive, parce qu’il ne savait pas quelle était mon opinion. Oui, c’est ce que j’ai dit à sa secrétaire, et ensuite il m’a en effet proposé une conversation, et c’était très intéressant, parce qu’il m’a raconté comment les études étaient faites dans les pays dits du tiers monde. Et à l’époque ça m’a vraiment coupé l’herbe sous les pieds. Parce que je me suis dit : « Qu’est ce qui se passe ici ? Qu’est-ce que je fais, où est-ce que je travaille ? Et je dois vendre ça aux médecins comme si c’était une bonne chose. »

Dans les pays dits « du tiers monde », comme on le dit toujours, je trouve cela tellement méprisant d’ailleurs, les vierges, c’est-à-dire des enfants qui n’avaient pas encore leurs règles, des jeunes filles qui n’avaient pas encore eu leurs règles, étaient vaccinées avec ce vaccin, alors que nous savons, ce que fait ce vaccin et que ça n’a absolument aucun sens et c’est ça qui est pervers.
Sur 47 souches de vaccin, il y en avait trois qui pouvaient éventuellement offrir une protection. Les gynécologues m’ont aussi informée que grâce à l‘amélioration des examens et la sensibilisation des femmes pour le test Papillomavirus, il n’y a presque plus de cancer du col de l’utérus, ou plus dans la même mesure. Et ce n’est pas du tout prouvé que ce vaccin soit efficace.
Mais ils ont accepté, la probabilité de mourir, qui existait déjà à l’époque, et qui est bien sûr beaucoup, beaucoup, beaucoup plus probable aujourd’hui. Et puis on a fait des projections : combien d’enfants sont vierges, combien de petites filles avons-nous ? Et puis ils ont fait des calculs. La triple vaccination coûtait déjà alors 500 € au total ; et ensuite vous pouvez calculer vous-même l’ampleur de ce marché.
Et puis les filles ne leur ont pas suffi. Ils ont voulu aussi les garçons, parce que ceux –ci pouvaient être transmetteurs. Et je suis arrivée au point où j’ai dit : « ça, je ne peux plus le faire. »
Si j’imaginais que j’aurais pu le faire – c’est-à-dire avec conviction – cela aurait été un tel mensonge, et tout en moi a crié : « Ce n’est pas bien, ce qui se passe. » Cela ne va absolument pas. » Et pour couronner le tout, ils ont également embarqué les garçons. Avec ce vaccin la ligne rouge a été franchie.
Et quand j’ai eu plus d’informations par des médecins critiques, j’ai dit… Alors j’ai souvent dit à mes collègues : « Vous ne vous rendez pas compte de ce qui se passe ici ? » Non, ils ne s’en sont pas rendu compte.

Filmgeschichten.com : Tu étais donc la seule ?

Elisabeth Linder : oui ! J’étais en fait la seule dans un groupe de dix personnes.

Filmgeschichten.com : Es-tu toujours en contact avec certains d’entre eux ?

Elisabeth Linder : Oui, même avec ma chef de l’époque, mais plus maintenant. Ils savaient également que je consultais des médecins homéopathes en privé depuis de très nombreuses années et que je pensais différemment.
Mais je dirais qu’il y a certaines choses que je pouvais encore vendre, parce que – encore une fois – je n’avais pas les connaissances d’aujourd’hui non plus. Mais cela n’incluait pas le vaccin à 6 doses, ni le vaccin contre la varicelle, ni enfin le vaccin contre le VPH [papillomavirus humain]. C’est là que j’ai arrêté.
C’est un crime. C’est un crime contre les jeunes. Comparée à l’industrie pharmaceutique, la Mafia est un « club philanthropique ». Et là j’ai vu clairement qu’il ne s’agit pas du tout du bien-être des personnes, ni de les protéger, ni de faire quelque chose de bien. Je suis comme une enfant. Encore aujourd’hui. Je crois toujours au bien et je pense toujours : Oui, quand on fait quelque chose, c’est vraiment parce qu’on veut faire du bien à l’autre. C’est pour ça qu’au début, j’ai même pensé que les vaccins étaient ou produisaient vraiment quelque chose de bon. Aujourd’hui, bien sûr, je suis beaucoup mieux informée de ce qui se passe à l’Institut Robert Koch (RKI) et de ce qu’ils ont fait comme expériences depuis 100 ans. C’est juste cruel, ce qui s’est passé là.
Je n’étais pas au courant. Je ne me suis pas – comment dire – informée davantage à l’époque. Juste ce que j’ai entendu par bribes – et c’était une telle catastrophe pour moi d’y être impliquée. Et quand j’ai entendu un enfant crier, et que le médecin a dit : « Regardez, c’est votre vaccin. » C’était comme si on m’arrachait le cœur.
Je me suis dit : « Comment vais-je traverser les prochaines années ? »

Filmgeschichten.com : On peut dire que les trois dernières années de ta carrière ont été particulièrement difficiles.

Elisabeth Linder : Oui, c’était le cas lorsqu’il y a eu le vaccin contre le cancer du col de l’utérus. C’est à ce moment là, que la ligne rouge a été franchie pour moi. Je ne pouvais pas faire ça.
Je n’ai tout simplement pas parlé de ce vaccin dans les cabinets. J’ai pris cette liberté d’agir ainsi et quand ma chef m’accompagnait, – car elle est souvent venue avec moi – j’ai dit que j’aimerais qu‘elle fasse l’entretien afin de voir comment elle amenait ces choses auprès du médecin
Je n’ai pas fait ça. Je ne pouvais donc plus faire semblant. Et c’était pour moi les trois dernières années, – j’ai prié tous les jours :
Mon Dieu, fais que je traverse ce temps maintenant, que j’en arrive à la fin car cette chose me tue – c’est à la limite d’un meurtre – rien qu’en pensant à ces jeunes filles
C’était mon lot : je ne pouvais pas le faire. Oui, nous avons été formés par l’entreprise. Nous avons eu des entretiens de vente. C’était lors des conférences et toutes les 2 semaines, c’était de nouveau répété. Il y avait toujours des études présentées, qui étaient bien sûr farfelues, comme je le sais aujourd’hui. Et en fait – nous recevions constamment de nouveaux documents – c’était là où je disais souvent : Qu’est-ce que je dois faire avec ça ? Ce n’est pas juste du tout. Et ce qui me frappe, c’est que les médecins le croyaient. En fait oui, je peux faire le lien par rapport à aujourd’hui…En fait c’est vraiment ce que nous avons aujourd’hui : les médecins le croient.
Et ça me choque. ; parce que je suis une simple représentante médicale, et parce que je suis de la Firme Untel, et parce que je lui montre des études, ils le croient. Rien n’est remis en question.
Il y a très peu de médecins qui ont un avis critique en ce qui concerne les cadeaux publicitaires, il y en a très peu qui disent qu’ils ne veulent pas de cela, qu’ils ne se font pas acheter -. Donc un très petit pourcentage.
J‘ai donc démontré ces choses en espérant que le médecin commanderait mon vaccin à la pharmacie. Il ne pouvait pas commander un vaccin chez moi, il devait le commander à la pharmacie. Et la pharmacie a ensuite transmis les commandes à la société. Et donc on pouvait calculer si j’avais un bon chiffre d’affaires ou pas.

Filmgeschichten.com : ça veut dire que tu l’as découvert par…

Elisabeth Linder : … par les pharmacies.

Filmgeschichten.com : OK.

Elisabeth Linder : Exactement. La seule exception, et là on en vient à parler de la situation actuelle. La seule exception était le vaccin contre la grippe. Nous avons dû les vendre à l’avance. Donc, j’avais un bloc-notes et j’ai dit : Quels patients avez-vous eu l’année dernière qui ont pris le vaccin ? Et puis oui, vous ne voulez pas en commander d’autres cette année ? – C’était horrible pour moi. Et puis il a commandé directement. Et alors je suis allée à la pharmacie avec la commande. Ils l’ont signée. Et là, j’ai su avec certitude qu’il avait commandé tant et tant de vaccins contre la grippe, chez moi. Mais c’était la seule exception.

Les souches ont été cultivées sur des œufs de poule, pour ainsi dire. Et ensuite, le vaccin a été fabriqué à partir de cela. Mais je ne connais plus le processus exact. C’était l’argument, car il change encore et encore. C’est pourquoi il fallait le commander à l’avance.

Ces dernières années, les conversations ne portaient plus sur les vaccins, sauf si quelqu’un me le demandait. Mais je connaissais chaque médecin, je connaissais le nom de chaque secrétaire. Je connaissais les dates d’anniversaires. Pour moi, c’était – c’était le bon côté de mon métier. Je dis toujours que j’étais en fait une psychothérapeute. Combien de choses m’ont été racontées – par les médecins aussi. Ils ont utilisé le temps et m’ont parlé de leur vie. Et c’était mon point fort. C’est mon point fort en général, je peux écouter parce que je suis vraiment intéressée. Et parce que je suis honnête. Quand ils m’ont demandé ce que j’en pensais, j’ai honnêtement donné mon avis. Avec ce que je leur disait, ils auraient pu téléphoner l’entreprise et dire, « Mais qu’est ce qu’elle raconte, Mme Linder ? Elle travaille bien pour vous ? »
Je m’en fichais.

Filmgeschichten.com : À quoi ressemblait ta journée de travail normale en tant que représentant pharmaceutique ?

Elisabeth Linder : Je ne suis jamais partie avant 9 heures. Je préparais ma tournée le soir, je savais où je voulais aller. Je n’ai pas pris de rendez-vous. J’ai refusé. Puis je me suis rendue aux cabinets et j’ai été relativement bien accueillie, car je travaillais dans la région depuis de nombreuses années, et je faisais mes entretiens. Puis je rentrais chez moi l’après-midi. Je travaillais aussi parfois le vendredi après-midi. Je devais me rendre chaque jour chez neuf médecins – entre neuf et dix médecins – et encore dans des pharmacies.

Et quand je rentrais chez moi, je dînais le soir et puis mon travail continuait. Parce que nous devions noter qui je visitais, de quoi nous avions parlé et ce que j’avais laissé comme échantillons ; à l’époque il y avait déjà l’ordinateur portable, nous avons eu un ordinateur portable très tôt, Ensuite, les commandes. À l’époque, il y avait encore beaucoup, beaucoup de cadeaux promotionnels. Je recevais parfois vingt ou trente paquets d’articles promotionnels. Et comme je l’ai dit, j’ai dû organiser moi-même de nombreuses formations avec des intervenants. J’ai commencé à chercher des conférenciers, en fonction du sujet, qu’il s’agisse de vaccins pour enfants ou pour adultes. Ou dans le cabinet du pédiatre, nous avons également organisé des séminaires d’urgence. C’était donc intéressant. Même s’il y avait des formations continues, « des formations continues… » – dans ces beaux hôtels, avec les conjoints, avec tout. Nous avons dû tout organiser.

J’ai donc vu beaucoup de choses du monde entier. C’était beaucoup. J’étais en plus, en quelque sorte une agence de voyage. Tout cela était encore possible à l’époque. Et en fait, je ne quittais pas mon bureau avant neuf heures, neuf heures et demie du soir. La journée était donc longue. Même si tout le monde disait : « Oh, les représentants pharmaceutiques, ont la belle vie. Ils visitent quelques médecins et puis c’est fini. » Eh bien, ce n’était pas comme ça pour moi. J’ai vraiment eu beaucoup de temps de préparation et je travaillais aussi avec des fiches, ça les faisait tous rire. J’écrivais tout : Les anniversaires, les enfants, – parce que pour moi c’est du respect que je porte pour mon vis à vis, – parce que je voulais m’adresser à eux par leur nom. Et c’était ma force, bien sûr.

Oui, la journée était longue. Ce qui était bien, c’est que j’étais indépendante.
Personne, du moins dans ce domaine, ne m’a dit ce qu’il fallait faire, quand le faire et ce qu’il fallait faire ou ne pas faire. …Et je gagnais 4 500 € et des primes en plus. Et en plus une voiture de fonction !
La voiture plus l’essence, c’était déjà lucratif. J’ai toujours dit quand quelqu’un me disait « Oui, c’est génial ce que vous faites. Vous avez de la chance avec ce que vous faites. » Je répondais : « Allez-y, faites-le. Je paie un prix élevé pour ça. » C’est vrai, c’est beaucoup d’argent, la voiture était gratuite. L’essence était gratuite, en plus les primes et beaucoup de voyages. Les voyages j’aurais aussi pu m’en passer. Mais d’un point de vue financier, vous êtes dans une bonne position. Oui, ils le savent, ils le savent très bien. C’est comme ça qu’ils vous tiennent. Et c’est pourquoi il y a cette pression pour vendre. Je n’ai pas fait mes ventes parce que j’ai parlé des vaccins, mais simplement d’un point de vue humain, les médecins ont commandé mes vaccins, même si j’ai parfois dit : « Au fait je ne veux pas tout ça , car je ne suis pas d’accord avec tout ça. »

Filmgeschichten.com : Quelles conséquences physiques et émotionnelles ce dilemme a produites sur toi?

Elisabeth Linder : Une douleur totale. D’un point de vue actuel et de ce que j’ai vécu dans les dernières années, au fond cela n’a pas arrêté, c’était de devoir s’ajuster constamment.

C’était une tension constante. J’étais tout le temps comme une patate chaude, et je me demandais aussi pourquoi je n’avais pas arrêté plus tôt. Entre temps, j’ai essayé de trouver un autre emploi, mais… j’ai essayé ça à 48 ans, je crois. Ils m’ont dit que j’étais trop vieille. J’ai trouvé ça drôle à l’époque. Mais oui, mon père nous disait toujours : « Les enfants, si vous n’êtes plus heureux dans votre travail, alors vous devez chercher autre chose ». Malheureusement, il est mort beaucoup trop tôt. J’étais encore très jeune à l’époque, 13 ans. Mais j’ai toujours eu mauvaise conscience. Tu n’y es pas arrivée. Tu n’as pas lutté et cherché un autre emploi. C’était grave. En rétrospective, les deux choses : premièrement , en vendant un produit que je n’approuvais pas. C’est-à-dire que je ne l’ai pas vraiment vendu à l’époque.
Mais j’ai aussi dû me rendre à l’évidence que je n’ai pas arrêté, que j’ai continué à le faire. Juste par amour de l’argent. Sans aucun doute.

Filmgeschichten.com : Vous connaissez le secteur, vous y avez travaillé pendant longtemps. Comment décririez-vous l’industrie pharmaceutique ? Est-ce une industrie qui veut vraiment guérir ?

Elisabeth Linder : Ils sont si loin de la guérison – je ne sais pas, quel est le plus loin, quel corps céleste est le plus loin ? C’est la distance qui les sépare. Il ne s’agit pas du tout de guérison. Zéro, zéro, zéro. Et cela, – quand vous avez compris, – alors c’est en fait aussi clair que n’importe quoi d’autre, vous ne vaccinez certainement plus un seul enfant, un seul être vivant. Cette histoire de vaccination… parce que je ne savais pas tout ça non plus. Cela remonte – si ce n’est pas à des centaines d’années, – mais au moins à partir de 1800 – Cela a déjà commencé avec la grippe espagnole – c’était quand, la grippe espagnole ?
C’est incroyable. Ils ne sont pas morts de la grippe. Ils sont morts à cause du vaccin. Et c’est ce que j’ai encore entendu au cours de l’année ou de l’année et demie qui vient de s’écouler….. Tu sais. Le pire, c’est que je fais immédiatement le rapprochement et que je ne me demande même pas une seconde si c’est vrai ou non, je sais que c’est la vérité. Toutes les cruautés, les crimes sont vrais. Mais je dois me prendre par la peau du cou, je ne me suis pas posé de questions non plus. J’ai posé des questions, mais bien trop peu, bien trop tard. D’accord, je le fais maintenant. Mais ce que nous, les humains, faisons avec les vaccins, ou les animaux d’ailleurs, c‘est la même chose. Les crimes qui sont commis sont fondamentalement insupportables. Mes animaux n’ont pas été vaccinés depuis que je les ai eus. Quand les gens disent : « Oui, tu veux partir en voyage. » Eh bien, je ne voyage pas. Mais je n’envisagerais pas de vacciner un chien, un chat ou autre. C’est là que ça commence. Les chevaux sont vaccinés jusqu’à la mort. Ensuite, ils disent que s’ils vont à une course… Ce qu’on nous dit toujours, c’est le pire. Pourquoi cela devrait se produire ? Ce n’est pas vrai du tout. Et les animaux ne peuvent pas se défendre, tout comme les enfants ne peuvent pas se défendre.

Et c’est une torture de voir des enfants – pour moi, c’était un viol – quand des enfants sont assis là, criant, et qui se font piquer et qu’on leurs injecte quelque chose qui n’est pas du tout bon pour eux.

Toutes les maladies qui ont suivi, c’était il y a longtemps, c’était au tout début, c’était il y a 38 ans maintenant, ou même il y a plus longtemps, quand lorsqu’on a dit qu’il existe un lien entre l’hépatite B et l’autisme, bien sûr nous, les représentants pharmaceutiques, nous avons dit « quelle absurdité ! »,
Non. C’était la vérité. De nos jours ça a été prouvé. Et toutes ces choses ont simplement été passées sous silence. Mais je répète il y a le côté de ceux qui diffusent quelque chose qui en fait partie, et le médecin qui ne se pose pas de questions en fait également partie.
Car le commerce des vaccins rapporte beaucoup d’argent!

Filmgeschichten.com: Et les clients, ils en font également partie.

Elisabeth Linder: Ils en font également partie. Oui, en fait, ce sont les moins bien lotis, voire les plus pauvres, car ils font confiance aux médecins. Les médecins font peur aux jeunes mères: Vous savez, si vous ne faites pas cela, votre enfant ne sera pas protégé ». C’est ainsi que l’on procède encore aujourd’hui , toujours par la peur. Et ce sont en fait les intermédiaires qui sont aussi les moins informés. Mais après l’industrie pharmaceutique, les pires sont le corps médical qui ne se lève pas pour dire : « Mais qu’est-ce qui se passe?“ Mhmh.

Filmgeschichten.com: Quand t’en es-tu rendu compte ? Est-ce que tu le savais déjà avant, lorsque tout a commencé et que ce virus est soudain apparu ?

Elisabeth Linder: Eh bien pour moi le réveil s’est fait assez tôt. En fait, dès les trois ou quatre premières semaines j’ai pensé que quelque chose n’allait pas. Leur narratif ne collait pas. Pourquoi ce danger soudain, alors qu’on ne parlait pas encore de pandémie ? Et s’il est une chose sur laquelle je peux vraiment compter, quand tout à coup quelque chose me perturbe, c’est bien ma voix intérieure. .
Alors j’ai pensé que quelque chose n’allait pas. Ensuite c’est allé très vite. Je ne sais plus comment ça s’est produit, ni par quelles voies je suis parvenue jusqu’à ces médias.
Mais c’est vraiment arrivé, j’ai été guidée jusque là et j’en remercie le bon Dieu.

Filmgeschichten.com: Tu veux dire que pendant toutes ces années tu t’es informée en consultant des médias classiques, dits de qualité ?

Elisabeth Linder: Je sais, c’est affreux.
Je ne connaissais pas Rubikon, (ndlr. Magazine pour lecteurs ayant conservé leur sens critique) je ne savais pas qui était KenFM (ndlr. chaine internet de tv alternative), je ne savais pas qui était Reitschuster.
(ndlr. Journaliste indépendant spécialiste de la Russie).

Tous les médias libres m’étaient inconnus. Aujourd’hui, je pourrais remettre à chacun d’eux un prix Nobel de la paix. J’ignorais tout ça .

Et c’est ce qui me choque encore chaque jour , enfin plus maintenant, : avoir cru en tout cela. ARD, ZDF – bon, Bayern 3 n’a jamais été ma chaîne préférée – mais ARD, – j’adorais leurs « Questions d’actualité » et je les regardais tous les soirs.

Je n’aimais pas certains d’entre eux, comme Slomka, qui était toujours très subjective. On pouvait deviner quelle était son opinion, mais je la croyais. Que quelqu’un puisse être si perfide, si fourbe, si cruel, mentir comme ça et manipuler les gens, les masses de cette façon, c’était pour moi… je ne pouvais tout simplement pas l’imaginer. Je ne peux toujours pas aujourd’hui, mais maintenant nous sommes au courant..

Filmgeschichten.com: Peux-tu imaginer… ?
…encore cette question, car j’ai également travaillé pendant de nombreuses années pour une station ARD, que ces journalistes sont aussi dans leur bulle ou penses-tu qu’en réalité ils en savent plus?

Elisabeth Linder: Eh bien je pense, c’est un chiffre qui me vient spontanément, qu’ils sont peut-être 30 % à en savoir plus.
Et il y en a peut-être trente autres pour cent qui se doutent de quelque chose, et le reste ne savent vraiment pas grand-chose, étant aussi ingénus que moi à l’époque: ils ne se posent pas de questions, ne font pas de recherches, ne regardent pas dans les coins. Voilà ce qu’il en est, ce que je peux en dire spontanément. Et ceux qui savent sont, pour moi, les prochains criminels après Drosten (ndlr. Inventeur du test pcr allemand à 45 cycles) , Spahn (homme politique accusé de mauvaise gestion de la pandémie et de conflits d’intérets dans un marché d’achat de masques FFP2), peu importe leurs noms.. Parce que s’ils n’agissaient pas ainsi, les gens seraient informés. Je l’entends dire encore et encore, que ce soit par des voisins ou des connaissances: « Oui, mais ils l’ont dit aux infos et c’est clair, c’est exact.“
Alors je me dis toujours, oui, c’est vrai, vous l’avez entendu. Et cela me rend un peu plus douce envers les gens, parce que je me dis à moi-même « Elisabeth, arrête. Avant tu y croyais aussi , toi non plus tu ne te remettais pas en question. »

Et pour moi ce que ces journalistes font, ce n’est pas criminel, c’est pire que criminel.
Encore une fois, il y a certainement des gens, comme moi, qui ont des familles, qui essaient juste de s’en sortir, mais qui se sentent mal à l’aise à cause de ça. Il serait temps pour eux de se lever.

Filmgeschichten.com : La normalité ne sera possible, selon notre chancelière, que lorsque tout le monde aura été vacciné.

Elisabeth Linder : Exactement, et j’ai ri très fort, mais tellement fort que j’ai failli m’étrangler. Parce que j’ai pensé, c’est exactement ça.

Filmgeschichten.com : Qu’est-ce qui t’est passé par la tête ? Je dirai, c’était…

Elisabeth Linder : Oui, j’aurais pu crier. Tout est passé par moi, toutes les années de l’industrie pharmaceutique me sont passées comme un film dans ma tête, où je… C’est aussi cette impuissance. J’étais plantée là et j’ai pensé : Et les gens croient ça. À quel point faut-il être stupide ? C’était tellement évident. C’est ce qui m’a le plus rappelé la vaccination du col de l’utérus, parce qu’à l’époque aussi ils ont extrapolé. Et puis, ce qui est encore pire dans ce cas actuel, ils veulent vraiment décimer la population. Mais l’autre vaccin n’est pas mieux. Les jeunes filles ou les garçons sont décimés de la même manière… Seulement, ce n’est pas aussi grave que maintenant avec ce vaccin. Mais j’ai vraiment ri très fort devant la télé. J’ai pensé… ça je n’y crois pas. J’étais désespérée. Ça m’est passé comme un film, j’aurais vraiment pu crier. Puis j’ai toujours pensé : « Les gens, réveillez-vous ! ». Vous devez réaliser que ça ne peut pas être vrai. Mais, bon… et puis c’est arrivé très vite : les manifestations, le fait d’être exclue. J’ai perdu la plupart de mes amis. Mais en fait, je n’ai pas vraiment perdu d’amis. Si je suis honnête, ce n’étaient pas mes amis proches avant, car sinon ils m’auraient au moins demandée comment j’en arrive à penser telle chose.

de nm.

Sources / Liens :
https://vimeo.com/582624672
https://www.filmgeschichten.com/#start




Belgique : vaccins covid en milieu scolaire — la Ministre Caroline Désir mise en demeure de répondre et de suspendre la campagne, le temps de lever les opacités

[Source : Le site d’Initiative Citoyenne]

[Photo : Caroline Désir, ministre de l’Éducation. – Dominique Duchesnes.]

Ce vendredi 17 septembre 2021, le collectif Initiative Citoyenne convie les journalistes pour les informer de la récente mise en demeure envoyée ce mercredi 15 septembre par notre avocat, Me George Henri Beauthier, à la Ministre Caroline Désir, Ministre de l’Education en Fédération Wallonie-Bruxelles, avec copie et recommandé aux Associations de parents UFAPEC et FAPEO. 

Vous trouverez ici, le texte d’invitation aux médias.

Vous trouverez ici notre communiqué de presse de ce vendredi 17 septembre.

Et vous trouverez enfin ici copie intégrale de ce courrier envoyé à la Ministre sur le cadre de cette vaccination scolaire, qui concerne tous nos jeunes.

SI VOUS ÊTES PARENT, ENSEIGNANT, DIRECTEUR, JEUNE/ADO, PROFESSIONNEL DE SANTE, peu importe, vous avez chacun un rôle constructif possible à jouer: dispatchez le plus massivement possible ces infos svpfaites connaître l’existence de cette initiative dans vos classes, dans vos foyers, par mails ou via les réseaux sociaux à vos amis, elles doivent circuler partoutdans toutes les classes, dans toutes les écoles, dans tous les groupes, pour qu’un choix réellement libre et éclairé puisse se faire et que la loi du 22 août 2002 relative aux droits des patients puisse réellement être respectée pour tous. Ne restez pas les bras croisés, soyez acteurs de vos droits et libertés!

NOS JEUNES NE SONT PAS VOS COBAYES!




Est-ce la fin de la médecine libre ?

[Source : Michelle d’Astier de la Vigerie (michelledastier.com)]

[Également transmis par Christine Côte]

Par Jérôme (Fondation Hippocrate)

– Vous n’avez jamais tué quelqu’un, docteur ?
– Sans ordonnance, jamais !
Cet extrait d’un sketch de Raymond Devos m’a longtemps fait sourire.

Aujourd’hui, c’est la médecine intégrative que l’on tue. Et cela se fait par décret. Le gouvernement a pris la peine d’établir un arrêt de mort officiel.

L’apparence du droit et de la démocratie est respectée. Toutefois, le résultat est le même : à partir du 15 septembre 2021, des milliers de soignants et de médecins en France se trouvent bannis du système de santé.

Il leur est imposé une obligation vaccinale contre la covid 19 sans laquelle ils ne peuvent plus exercer. S’ils sont hospitaliers du public ou du privé, ils seront suspendus le temps de l’état d’urgence et de l’obligation vaccinale. Ils ne seront pas payés. (1)

S’ils pratiquent leur discipline en libéral en tant que médecin, ostéopathe ou kiné, leur cabinet peut être fermé à tout moment s’ils ne montrent pas la preuve de leur “passe sanitaire”.

Or, comme les tests PCR vont devenir payants et qu’ils doivent en faire un tous les trois jours, c’est une obligation vaccinale déguisée.

10% d’irréductibles !

Au mois d’août dernier, 9 médecins généralistes sur 10 auraient été vaccinés contre la covid 19. Il resterait donc 10% d’irréductibles. (2)

Cela pourrait représenter 10 000 médecins sur les un peu plus de 100 000 médecins généralistes qui exercent en France. (3)

Au niveau des hôpitaux, le chiffre serait de 13% sur les 1,1 millions de soignants. (4)

Cela fait tout de même plus de 100 000 soignants !

En tout, 300 000 thérapeutes et soignants pourraient refuser d’appliquer l’obligation vaccinale. (5)

L’obligation vaccinale imposée aux médecins et aux soignants est donc une mesure qui va toucher des millions de Français. Pour l’instant, ils ne se doutent de rien. La mesure a été peu commentée dans les médias. Elle est presque passée inaperçue. Pourtant, ces conséquences à court et à long termes devraient être considérables.

Cette décision pourrait aboutir à un véritable désastre sanitaire. Explications.

Le cadre juridique

Comment, un gouvernement, peut-il, en toute légalité, licencier 10% des effectifs d’un secteur économique entier ?

Cette décision a été prise au début du mois d’août, en quelques jours. Elle a été actée par un décret du 1er ministre du 7 août 2021. (1)

Il faut comprendre que de telles décisions sont possibles sans discussion parce que nous sommes en état d’urgence sanitaire. (6)

Cet état de droit d’exception a été institué une première fois par décret le 17 octobre 2020 à minuit. Il a été prolongé :

  • par une loi du 14 novembre 2020 jusqu’au 16 février 2021.
    par une loi du 15 février 2021 jusqu’au 1er juin.
    par une loi du du 31 mai 2021 jusqu’au 30 septembre 2021.
    par une loi du 5 août 2021 jusqu’au 15 novembre 2021.
    Nul doute que le 14 novembre 2021, nos députés voteront sagement une nouvelle loi pour étendre encore et toujours l’état d’urgence sanitaire…

En tout cas, ce cadre juridique permet au gouvernement d’agir vite et sans débat. En effet, lorsque les mesures ne sont pas discutées au Parlement, elles sont moins reprises par les médias. Cela fait moins de polémiques.

Un décret du 7 août 2021 a instauré le fameux “passe sanitaire”. (1)

Depuis le 15 août, ce document ou “QR code” est exigé de tous les majeurs pour accéder aux :

  • restaurants, bars et musées ;
    hôpitaux, Ephad et maisons de retraite ;
    transports publics longue distance (train, avion) mais pas aux métros ni aux bus urbains ;
    centres commerciaux supérieurs à 20 000 m2.
    événements de plus de 50 personnes.
    Il est exigible pour tous les majeurs. Il le sera pour les adolescents de plus de 12 ans à partir du 30 septembre 2021.

Celui qui ne présente pas son “passe sanitaire” s’expose à une amende de 135 euros. Les commerçants qui ne contrôlent pas les “passes sanitaires” risquent, eux, une amende de 1000 euros. (1)

Enfin, les soignants hospitaliers ou libéraux ont l’obligation de se vacciner avant le 15 septembre. S’ils ont déjà reçu une dose de vaccin, ils ont jusqu’au 15 octobre pour faire la deuxième.

Le refus des soignants libres et ses conséquences

Comprenez bien la situation. Les soignants fonctionnaires ne seront pas payés. Mais ils n’auront pas le droit non plus d’avoir une autre activité salariée en raison de leur statut, sauf illégalement. Ils risquent donc d’être à la rue.

Les salariés du privé pourront essayer de trouver un emploi ailleurs.

Les médecins ou les libéraux, habitués à une gestion plus souple de leur activité, la mettront entre parenthèses en espérant tenir sur leurs réserves ou prendront leur retraite pour ceux qui le peuvent.

Dans ces conditions, certains se feront vacciner et continueront à travailler avec beaucoup d’amertume. Vous serez soignés par des personnes qui détesteront les autorités, la société et peut-être même leurs patients.

D’autres partiront à l’étranger ou changeront de voie.

Personne ne sait aujourd’hui combien de thérapeutes, d’infirmiers, d’ostéopathes, etc. vont cesser de travailler.

Même s’il n’y en avait “que” 100 000, c’est énorme pour un système de santé exsangue où le “turn over” et les “burn out” sont déjà très élevés. (7,8)

Le départ de nombreux médecins libéraux va accentuer encore les déserts médicaux. De nombreux patients ne pourront plus se soigner

Pourquoi refusent-ils ?

Vous me direz mais pourquoi ces médecins et ces soignants refusent-ils l’obligation vaccinale contre la covid 19 ?

Pourquoi sont-ils prêts à tout perdre pour ne pas se soumettre aux obligations du gouvernement?

Il y a trois raisons essentielles à cela :

1/ Ils ne veulent pas des effets secondaires des vaccins. La covid 19 tue certaines personnes, c’est vrai. Néanmoins, les vaccins provoquent de nombreux effets secondaires et peuvent tuer également. (9)

Plusieurs milliers de personnes pourraient avoir trouvé la mort à cause du vaccin en Europe, même si ces chiffres font débat parce qu’il n’est pas toujours simple d’établir le lien entre une vaccination et un décès. (9)

C’est moins que la covid 19 mais ce n’est pas un détail non plus.

Par exemple, beaucoup de jeunes infirmières redoutent les effets secondaires douloureux des vaccins. Elles risquent de voir leurs cycles menstruels très perturbés, elles ne savent pas si le vaccin n’impacte pas leur fertilité alors qu’elles savent que la covid 19 ne représente pas un danger pour elles. (10)

Par ailleurs, elles font extrêmement attention aux gestes barrières et sont très prudentes avec leurs patients. Pour elles, le bénéfice du vaccin est vraiment discutable.

2/ Ils savent que les vaccins ne jouent pas ou peu sur l’épidémie. Ces soignants ont en tête la situation sanitaire dans des pays comme Israël ou l’Islande. Ces pays sont ultra vaccinés mais connaissent toujours des vagues épidémiques. Les contaminations y sont à la hausse ! (11,12)

Les vaccinés y sont autant hospitalisés que les non vaccinés et le virus tue autant les uns que les autres. Il est possible que chez les personnes à risque, ayant des comorbidités, le vaccin permet d’éviter les formes graves de la covid 19. Mais pour des soignants de moins de 60 ans en bonne santé, le risque mortel est faible.

3/ Ils savent que la covid 19 fait peu de victimes. Le taux de létalité du SARS- CoV-2 est faible. (13) La moyenne d’âge des morts est au-dessus de 80 ans. (14) La très grande majorité des morts avaient des comorbidités. On dit qu’ils sont morts de la covid 19 mais on aurait pu les compter dans les victimes du cancer, du diabète de type II, de l’obésité ou simplement de la grande vieillesse.

La vaccination obligatoire n’est pas une fatalité !

Les soignants dont nous parlons sont-ils égoïstes ? Prennent-ils le risque de contaminer leurs patients ?

Ce n’est pas le cas.

Ces soignants comme la majorité des thérapeutes ont choisi ce métier par vocation, par amour de leur prochain. C’est le désir d’aider les autres qui les a mis là où ils sont.

Il faut comprendre qu’ils refusent de se soumettre à une obligation vaccinale qui crée une situation absurde du point de vue sanitaire.

En effet, les vaccins Janssen et AstraZeneca ne fonctionnent pas ou peu. (15,16) Ils n’empêchent pas la transmissibilité du virus. Or ces vaccins ont beaucoup été utilisés pour les personnels hospitaliers. Les soignants concernés ne sont pas protégés et sont des vecteurs possibles de la maladie sans en avoir nécessairement conscience.

À l’inverse, ceux qui ne sont pas vaccinés le savent. Ils font donc très attention. Ils seraient disposés à faire deux tests PCR par semaine s’il le fallait, si ces derniers restaient gratuits.

En clair, il était possible de construire une politique sanitaire prudente fondée sur la confiance et le dialogue avec les patients. Ce n’est pas le choix qui a été fait. Le gouvernement passe en force.

Qui sont ces soignants ?

Parmi les médecins et les thérapeutes qui refusent la vaccination, beaucoup pratiquent des médecines intégratives.

Ils pratiquent l’homéopathie, l’acupuncture, la nutrition, l’hypnose, l’ostéopathie, toutes ces disciplines douces qui s’appuient sur le terrain du patient autant que sur le remède pour l’aider à guérir.

Pour eux, c’est la relation entre le patient et le médecin qui compte avant tout.

Ils refusent d’être les exécutants d’un système médico-technocratique qui ne fait plus qu’appliquer des protocoles de santé validés par l’industrie pharmaceutique et semble ne plus s’occuper des patients.

La perte pour les patients sera donc énorme à la fois au niveau du nombre de médecins mais aussi de la pluralité de l’offre médicale.

Il était déjà difficile de trouver un nutritionniste ou un phytothérapeute. Cela deviendra quasi impossible. Vous n’aurez plus que des médecins prescripteurs de paracétamol – potentiellement dangereux pour la Covid 19 (17) -, d’antibiotiques et de statines.

C’est la grande victoire de la médecine chimique et systématique !

Et c’est de fait, la mort programmée des médecines intégratives, faute de praticiens…

Un désastre sanitaire

Cette victoire toutefois sera de courte durée.

L’innovation dans la médecine vient de ceux qui pensent librement. Toute la recherche actuelle sur le microbiote est venue de gastro-entérologues et nutritionnistes courageux qui ont cherché à comprendre le rôle du monde bactérien dans la santé humaine.

Cela a permis de découvrir de nouvelles pathologies : l’intestin poreux, le SIBO ou l’intestin qui fermente, etc. (18)

Cela a surtout permis de développer de nouveaux traitements et thérapies pour de très nombreuses maladies : digestives mais aussi neurologiques et psychiques. L’importance du lien entre le cerveau et l’intestin n’est plus à démontrer !

La médecine y perd donc et les patients aussi.

Ces médecines intégratives permettent d’agir au niveau préventif. Elles proposent des solutions efficaces pour traiter le stress, les troubles divers, les douleurs multiples…

D’une manière ou d’une autre, donc, compte tenu de leur efficacité, ces médecins reviendront. Mais que de souffrances endurées ! Que de temps perdu !

Enfin, ce passe sanitaire, de manière plus générale, coûte cher aux patients.

Il y a le défaut de soignants, la complexité administrative, les oublis de passe sanitaire, les fraudes, la perte de confiance dans le système médical et la science plus généralement…

Comment chiffrer tout cela ?

Jusqu’où iront les injonctions sanitaires ?

Quand s’arrêtera la chasse aux sorcières contre les médecins alternatifs ?

Combien d’injections vaccinales faudra-t-il pour calmer la machine gouvernementale ?

Voilà les questions que se posent ces soignants libres, dont certains ont tout perdu depuis le 15 septembre 2021.

Jérôme
Responsable communication
Fondation Hippocrate

Références

  1. https://www.service-public.fr/particuliers/actualites/A15084
  2. https://www.lesechos.fr/economie-france/social/covid-la-vaccination-des-soignants-a-fait-un-bond-en-quelques-semaines-1339505
  3. https://www.vie-publique.fr/fiches/273947-quest-ce-que-letat-durgence-sanitaire
  4. https://www.ouest-france.fr/sante/hopital/13-des-soignants-non-vaccines-la-federation-hospitaliere-de-france-relativise-les-chiffres-a71b3bf2-10a2-11ec-9117-940091b907ce
  5. https://www.rtl.fr/actu/debats-societe/les-infos-de-6h-obligation-vaccinale-des-soignants-c-est-abject-reagit-une-infirmiere-7900072410
  6. https://www.vie-publique.fr/fiches/273947-quest-ce-que-letat-durgence-sanitaire
  7. https://www.actusoins.com/344397/turnover-et-absenteisme-a-lhopital-une-hausse-sensible-et-constante.html
  8. https://www.caducee.net/actualite-medicale/15406/burn-out-dans-la-sante-98-des-soignants-reconnaissent-avoir-deja-ressenti-les-symptomes-de-l-epuisement-professionnel.html
  9. https://www.precisionvaccinations.com/european-agency-confirms-covid-19-vaccine-fatalities
  10. https://www.lemonde.fr/les-decodeurs/article/2021/08/06/covid-19-vaccins-et-perturbation-des-regles-des-signaux-et-beaucoup-d-incertitudes_6090781_4355770.html
  11. https://www.la-croix.com/Monde/Record-contaminations-Israel-pays-continue-miser-vaccin-2021-09-02-1201173431
  12. https://www.ouest-france.fr/leditiondusoir/2021-08-17/pourquoi-les-contaminations-au-covid-19-sont-en-hausse-en-islande-lun-des-pays-les-plus-vaccines-558ccfd9-594f-4f37-9919-c62a80a7a5e8
  13. https://fr.statista.com/themes/6050/le-coronavirus-covid-19/
  14. https://www.estrepublicain.fr/sante/2021/04/18/qui-sont-les-100-000-morts-francais-du-covid-19
  15. https://fr.sott.net/article/37419-Conclusion-d-un-rapport-du-centre-francais-d-evaluation-des-medicaments-la-vaccination-avec-les-produits-Pfizer-Moderna-AstraZeneca-et-Janssen-doit-etre-interrompue
  16. https://www.ouest-france.fr/sante/vaccin/vaccins-contre-le-covid-19-sont-ils-tous-efficaces-contre-le-variant-delta-on-vous-repond-fc7b1bd8-d8e6-11eb-9333-fd7799748e3d
  17. https://www.20minutes.fr/sante/2900083-20201103-coronavirus-ibuprofene-reellement-dangereux-face-covid-19
  18. https://www.passeportsante.net/fr/Maux/Problemes/Fiche.aspx?doc=sibo-symptomes-traitements-cette-infection



Où en sont les effets indésirables des « vax » anti-Covid ? MàJ

[Source : Centre for Research on Globalization]

[Mise à jour : ajout d’autres témoignages après l’article]

UE au 11 septembre 2021  : 24 526 décès et 2 317 495 effets secondaires

Par Brian Shilhavy

UE au 11 septembre 2021  : 24 526 décès et 2 317 495 effets secondaires

UE au 11 septembre 2021  : 24 526 décès et 2 317 495 effets secondaires

24 526 décès et 2 317 495 effets secondaires consécutifs aux injections de COVID signalés sur la base de données de l’Union Européenne sur les effets indésirables des médicaments.

La base de données de l’Union Européenne des déclarations d’effets indésirables des médicaments s’appelle EudraVigilance, et elle fait état de 24 526 décès et de 2 317 495 effets indésirables suite à des injections anti COVID-19.

Un abonné européen de Health Impact News nous a rappelé que cette base de données gérée par EudraVigilance ne concerne que les pays européens faisant partie de l’Union européenne (UE), qui compte 27 pays. Le nombre total de pays en Europe est beaucoup plus élevé, presque deux fois plus, soit environ 50. (Il existe quelques divergences d’opinion quant aux pays qui font techniquement partie de l’Europe).

Ainsi, aussi élevés que soient ces chiffres, ils ne reflètent PAS toute l’Europe. Le nombre réel de personnes décédées ou atteintes d’effets secondaires à la suite des injections de COVID-19 en Europe serait bien plus élevé que celui que nous indiquons ici.

La base de données EudraVigilance indique que jusqu’au 11 septembre 2021, 24 526 décès et 2 317 495 effets secondaires ont été signalés suite à l’injection de quatre vaccins expérimentaux anti-COVID-19 :

COVID-19 MRNA VACCINE PFIZER-BIONTECH
LE VACCIN COVID-19 MRNA MODERNA (CX-024414)
VACCIN COVID-19 ASTRAZENECA (CHADOX1 NCOV-19)
VACCIN COVID-19 JANSSEN (AD26.COV2.S)

Sur le total des effets secondaires enregistrés, près de la moitié (1 126 869) sont des effets graves.

« La gravité fournit des informations sur l’effet indésirable suspecté ; il peut être classé comme « grave » s’il correspond à un événement médical qui entraîne la mort, met en danger la vie du patient, nécessite une hospitalisation, entraîne une autre affection médicalement importante ou la prolongation d’une hospitalisation existante, entraîne un handicap ou une incapacité persistante ou importante, ou constitue une anomalie congénitale/défaut de naissance. »

Un abonné de Health Impact News en Europe a regroupé les déclarations pour chacune des quatre injections anti-COVID-19 que nous incluons ici. C’est un travail considérable que d’établir un tableau de chaque réaction avec les effets indésirables et les décès, car il n’y a pas d’endroit sur le système EudraVigilance que nous avons trouvé pour établir un tableau de tous les résultats.

Depuis que nous avons commencé à publier ces données, d’autres personnes en Europe ont également calculé les chiffres et confirmé les totaux*.

[ Définition : syndrome médiastinal : envahissement de la plèvre par du pus, à la suite d’un abcès profond du poumon ou des ganglions lymphatiques médiastinaux ou de l’entrée de la poitrine (Gardin,Guide vétér.,1944, p.112). ]

Voici le résumé des données jusqu’au 11 septembre 2021

Total des réactions pour le vaccin

ARNm Tozinameran (code BNT162b2,Comirnaty) de BioNTech/ Pfizer

11 711 décès et 980 474 effets secondaires jusqu’au 11/09/2021

26 6341 Troubles du sang et du système lymphatique dont 156 décès
26 940 Troubles cardiaques dont 1 745 décès
253 Troubles congénitaux, familiaux et génétiques dont 21 décès
13 005 Troubles de l’oreille et du labyrinthe dont 9 décès
728 Troubles endocriniens dont 5 décès
15 314 Troubles oculaires dont 28 décès
87 239 Troubles gastro-intestinaux dont 489 décès
256 117 Troubles généraux et affections du site d’administration dont 3 330 décès
1 098 Troubles hépato-biliaires dont 55 décès
10 351 Troubles du système immunitaire dont 64 décès
32 834 Infections et infestations dont 1 141 décès
12 714 Blessures, empoisonnements et complications procédurales dont 179 décès
24 765 Investigations dont 368 décès
7 178 Troubles du métabolisme et de la nutrition dont 210 décès
130 077 Troubles musculo-squelettiques et du tissu conjonctif dont 149 décès
757 Tumeurs bénignes, malignes et non spécifiées (y compris kystes et polypes) dont 67 décès
173 079 Troubles du système nerveux dont 1.278 décès
1 211 Grossesse, puerpéralité et conditions périnatales dont 36 décès
168 Problèmes liés aux produits dont 1 décès
17 756 Troubles psychiatriques dont 156 décès
3 348 Troubles rénaux et urinaires dont 198 décès
19 084 Troubles de l’appareil reproducteur et du sein dont 3 décès
43 232 Troubles respiratoires, thoraciques et médiastinaux dont 1 376 décès
47 012 Troubles de la peau et du tissu sous-cutané dont 105 décès
1 805 Circonstances sociales dont 14 décès
887 Interventions chirurgicales et médicales dont 31 décès
26 888 Troubles vasculaires dont 497 décès

Total des réactions pour le vaccin ARNm mRNA-1273 (CX-024414) de Moderna

6 358 décès et 281 505 effets secondaires au 11/09/2021

113 Troubles congénitaux, familiaux et génétiques dont 2 décès
3 466 Troubles de l’oreille et du labyrinthe dont 1 décès
221 Troubles endocriniens dont 2 décès
4 302 Troubles oculaires dont 18 décès
24 595 Troubles gastro-intestinaux dont 237 décès
75 804 Troubles généraux et affections du site d’administration dont 2 461 décès
458 Troubles hépato-biliaires dont 24 décès
2 485 Troubles du système immunitaire dont 11 décès
8 436 Infections et infestations dont 416 décès
6 013 Blessures, empoisonnements et complications procédurales dont 121 décès
5 460 Investigations dont 120 décès
2 693 Troubles du métabolisme et de la nutrition dont 145 décès
35 728 Troubles musculo-squelettiques et du tissu conjonctif dont 129 décès
333 Tumeurs bénignes, malignes et non spécifiées (y compris kystes et polypes) dont 37 décès
49 722 Troubles du système nerveux dont 650 décès
538 Grossesse, puerpéralité et conditions périnatales dont 6 décès
59 Problèmes liés aux produits dont 1 décès
5 316 Troubles psychiatriques dont 110 décès
1 632 Troubles rénaux et urinaires dont 107 décès
3 558 Troubles de l’appareil reproducteur et du sein dont 3 décès
12 150 Troubles respiratoires, thoraciques et médiastinaux dont 614 décès
15 102 Affections de la peau et du tissu sous-cutané dont 57 décès
1 188 Circonstances sociales dont 25 décès
905 Interventions chirurgicales et médicales dont 69 décès
7 399 Troubles vasculaires dont 246 décès

Total des réactions pour le vaccin AZD1222/VAXZEVRIA (CHADOX1 NCOV-19) d’Oxford/ AstraZeneca

5,254 décès et 980,909 effets secondaires au 11/09/2021

113 Troubles congénitaux, familiaux et génétiques dont 2 décès
3 466 Troubles de l’oreille et du labyrinthe dont 1 décès
221 Troubles endocriniens dont 2 décès
4 302 Troubles oculaires dont 18 décès
24 595 Troubles gastro-intestinaux dont 237 décès
75 804 Troubles généraux et affections du site d’administration dont 2 461 décès
458 Troubles hépato-biliaires dont 24 décès
2 485 Troubles du système immunitaire dont 11 décès
8 436 Infections et infestations dont 416 décès
6 013 Blessures, empoisonnements et complications procédurales dont 121 décès
5 460 Investigations dont 120 décès
2 693 Troubles du métabolisme et de la nutrition dont 145 décès
35 728 Troubles musculo-squelettiques et du tissu conjonctif dont 129 décès
333 Tumeurs bénignes, malignes et non spécifiées (y compris kystes et polypes) dont 37 décès
49 722 Troubles du système nerveux dont 650 décès
538 Grossesse, puerpéralité et conditions périnatales dont 6 décès
59 Problèmes liés aux produits dont 1 décès
5 316 Troubles psychiatriques dont 110 décès
1 632 Troubles rénaux et urinaires dont 107 décès
3 558 Troubles de l’appareil reproducteur et du sein dont 3 décès
12 150 Troubles respiratoires, thoraciques et médiastinaux dont 614 décès
15 102 Affections de la peau et du tissu sous-cutané dont 57 décès
1 188 Circonstances sociales dont 25 décès
905 Interventions chirurgicales et médicales dont 69 décès
7 399 Troubles vasculaires dont 246 décès

Total des réactions pour le vaccin COVID-19 JANSSEN (AD26.COV2.S) de Johnson & Johnson

1 203 décès et 74 607 effets secondaires au 11/09/2021

690 Troubles du sang et du système lymphatique dont 31 décès
1 201 Troubles cardiaques dont 120 décès
25 Troubles congénitaux, familiaux et génétiques
560 Troubles de l’oreille et du labyrinthe dont 1 décès
42 Troubles endocriniens dont 1 décès
1 006 Troubles oculaires dont 5 décès
6 822 Troubles gastro-intestinaux dont 56 décès
19 539 Troubles généraux et affections du site d’administration dont 303 décès
96 Troubles hépato-biliaires dont 9 décès
302 Troubles du système immunitaire dont 7 décès
1 679 Infections et infestations dont 66 décès
694 Blessures, empoisonnements et complications procédurales dont 16 décès
3 861 Investigations dont 72 décès
431 Troubles du métabolisme et de la nutrition dont 26 décès
11 861 Troubles musculo-squelettiques et du tissu conjonctif dont 30 décès
31 Tumeurs bénignes, malignes et non spécifiées (y compris kystes et polypes) dont 2 décès
15 493 Troubles du système nerveux dont 142 décès
26 Grossesse, puerpéralité et conditions périnatales dont 1 décès
20 Problèmes liés aux produits
988 Troubles psychiatriques dont 11 décès
280 Troubles rénaux et urinaires dont 11 décès
863 Troubles de l’appareil reproducteur et du sein dont 4 décès
2 629 Troubles respiratoires, thoraciques et médiastinaux dont 136 décès
2 296 Affections de la peau et du tissu sous-cutané dont 5 décès
212 Circonstances sociales dont 4 décès
546 Interventions chirurgicales et médicales dont 38 décès
2.414 Troubles vasculaires dont 106 décès

Témoignages

https://twitter.com/i/status/1438579909924954113

Royaume-Uni : proposition de loi pour l’indemnisation des effets secondaires vaccinaux (francesoir.fr) 



https://twitter.com/BBR_06/status/1438621506217693184?ref_src=twsrc%5Etfw%7Ctwcamp%5Etweetembed%7Ctwterm%5E1438621506217693184%7Ctwgr%5E%7Ctwcon%5Es1_&ref_url=https%3A%2F%2Fwww.medias-presse.info%2Fpetite-compilation-des-stars-mediatiques-decedees-des-injections-anti-covid%2F146711%2F
[Source : medias-presse.info]
https://twitter.com/GaumontRene/status/1438623061721460742?ref_src=twsrc%5Etfw%7Ctwcamp%5Etweetembed%7Ctwterm%5E1438623061721460742%7Ctwgr%5E%7Ctwcon%5Es1_&ref_url=https%3A%2F%2Fwww.medias-presse.info%2Fpetite-compilation-des-stars-mediatiques-decedees-des-injections-anti-covid%2F146711%2F
[Source : medias-presse.info]

Révolte contre l’obligation vaccinale

« Mais quelle démocratie fait ça ? » : des soignants manifestent contre l’obligation vaccinale – Aphadolie




Guide pratique pour éviter la suspension sans salaire

[Source : Le Courrier des Stratèges (lecourrierdesstrateges.fr)]

Par Éric Verhaeghe

Est-il possible d’éviter la suspension de salaire à partir de demain pour les salariés et les fonctionnaires soumis à l’obligation d’un passe sanitaire, à partir du 15 septembre pour les salariés et les fonctionnaires soumis à l’obligation vaccinale ? La réponse est oui. Nous avons synthétisé ici les grands points à connaître (avant d’approfondir ou de prendre un avocat) pour sauver la mise au milieu de la tempête.

Oui, il est possible d’éviter la suspension de salaire à partir de demain pour tous les salariés et fonctionnaires qui doivent en principe présenter un passe sanitaire et qui n’en disposent pas, ou à partir du 15 septembre pour ceux qui sont soumis à l’obligation vaccinale. Nous vous rappelons ici comment faire, tout en soulignant que le mieux, pour vous, est d’être accompagné d’un avocat spécialisé en droit du travail (la facturation moyenne d’un avocat se situe entre 1.500 et 2.000€). 

Dans quelle catégorie êtes-vous ?

Pour bien vous repérer, il faut que vous sachiez à laquelle de ces 4 catégories vous appartenez :

  • salarié du secteur privé soumis à l’obligation d’avoir un passe sanitaire
  • fonctionnaire soumis à l’obligation d’avoir un passe sanitaire
  • salarié du secteur privé soumis à l’obligation de se vacciner
  • fonctionnaire soumis à l’obligation de se vacciner

Ces distinctions sont importantes, car il ne faut jamais oublier que les salariés du secteur privé ont un contrat qui relève du code du travail, alors que les fonctionnaires sont soumis au statut de la fonction publique. Ces deux “ordres” fonctionnent de façon relevant différente. Les salariés peuvent par exemple faire un recours devant les prudhommes, alors que les fonctionnaires doivent saisir le tribunal administratif compétent pour leur domicile. 

Dans les “fonctionnaires”, nous regroupons ici tous les agents publics, c’est-à-dire ceux qui sont titulaires d’un emploi permanent et ceux qui ont signé un contrat relevant du décret sur les contractuels de la fonction publique. 

La suspension en droit public et en droit privé

Vous êtes désormais exposé au risque d’une suspension avec interruption de salaire. Il faut bien comprendre, pour déterminer votre stratégie, ce qu’est une suspension selon votre statut public ou privé. 

Une suspension, sur le fond, n’est pas une rupture définitive de contrat ou de nomination comme fonctionnaire, mais une interruption temporaire de ses effets. Il s’agit donc d’une position bâtarde, que la loi du 5 août 2021 n’a pas pris soin “d’encadrer”. Ce flou ouvre la voie à de nombreuses innovations jurisprudentielles qui devraient profiter aux salariés, beaucoup plus qu’aux employeurs. 

Dans le secteur privé, il n’y aucune ambiguïté : la suspension est une sanction disciplinaire. Elle ne peut donc intervenir que dans le respect des “garanties disciplinaires” habituelles (entretien préalable, etc.)

Dans le secteur public, la suspension n’est pas une sanction, mais l’article 30 de la loi du 13 juillet 1983 prévoit qu’elle n’entraîne pas l’interruption du traitement. En imposant le contraire sans aucune explication, la loi du 5 août 2021 a pris beaucoup de risques, notamment celui de faire basculer la suspension du fonctionnaire dans le champ de la sanction disciplinaire, comme dans le Code du Travail. 

La suspension du fonctionnaire : une chance !

S’agissant de la suspension dans la fonction publique, nous restons sur notre avis et nos conseils déjà publiés, la jurisprudence devrait être favorable aux fonctionnaires qui demanderont leur maintien de salaire à l’occasion d’un référé devant le juge administratif. La loi du 5 août 2021 prévoit en effet la pire des sanctions disciplinaires (l’interruption immédiate sans indemnité du salaire) en soutenant qu’il ne s’agit pas d’une sanction, donc qu’elle est décidée unilatéralement sans que le fonctionnaire ne puisse exposer ses arguments. 

C’est une invention baroque qui n’a pas de sens. Elle ouvre la voie à des décisions d’application massive du droit ordinaire :
la suspension avec maintien du traitement. Nous avons publié des recours-types pour l’obtenir

Les risques pour l’employeur

Globalement, et avant d’examiner les situations au cas par cas, un point important doit être rappelé, martelé et au besoin écrit à votre employeur. La loi n’a pas prévu de sanction pour en employeur qui ne vérifie pas le passe sanitaire de ses salariés, et elle a prévu des sanctions modestes pour l’employeur qui ne vérifie pas le respect de l’obligation vaccinale. Elle a en revanche prévu des sanctions lourdes en cas de demande abusive d’un employeur à ses salariés (un an de prison et 45.000€ d’amende). 

Mathématiquement, un employeur a donc tout intérêt à ne pas jouer les auxiliaires du gouvernement en faisant respecter une loi dont il ne tirera aucun profit, et qui risque de lui coûter très cher s’il se trompe… ce qui sera très souvent le cas. 

Le cas des salariés soumis à l’obligation du passe sanitaire

Si vous êtes salarié du secteur privé non soumis à l’obligation vaccinale, mais en apparence soumis au passe sanitaire, nous vous conseillons de collectionner les demandes écrites de votre employeur, et d’attendre sagement votre suspension pour l’attaquer devant les prudhommes. Comme nous l’avons indiqué, il faut invoquer la discrimination en raison de votre état de sante et la violation du secret médical.
Il faut par ailleurs vérifier que votre activité est effectivement soumise à l’obligation du passe sanitaire

Surtout, n’oubliez pas la différence entre le passe sanitaire et la vaccination obligatoire. Vous pouvez obtenir un passe sanitaire sans vaccin…

Le cas des fonctionnaires soumis à l’obligation du passe sanitaire

Si vous êtes fonctionnaire et que votre employeur vous demande de présenter un passe sanitaire, commencez par vérifier que vous êtes réellement concerné par cette obligation.
Nous avons par exemple cité le cas d’un adjoint technique de ménage qui n’est pas concerné par le sujet, mais à qui le maire demande un passe sanitaire

Si vous ne pouvez échapper à ce passe sanitaire, attendez la notification de votre suspension sans traitement
pour demander, en référé, le rétablissement de votre traitement au juge administratif

Le cas des salariés soumis à l’obligation vaccinale

Si vous appartenez aux catégories socio-professionnelles concernées par l’obligation vaccinale (essentiellement les soignants de l’hospitalisation privée et les para-médicaux), n’oubliez pas que la suspension est une sanction disciplinaire. Il vous faut agir comme pour les salariés soumis au passe sanitaire, en invoquant la discrimination en raison de votre état de santé et la violation du secret médical.
N’oubliez pas que l’employeur doit vous proposer un entretien pour évoquer votre reclassement

Le cas des fonctionnaires soumis à l’obligation vaccinale

Pour ces cas où la pression est forte, nous le savons, il faut là aussi saisir le juge administratif en référé pour demander le maintien du salaire pendant la période de suspension. 

Écrivez-nous vos difficultés

Nous recevons déjà énormément de courrier, qui nous instruit sur la réalité des pratiques dans les entreprises. Continuez à nous écrire sur les difficultés pratiques et les comportements de vos employeurs. Ces informations sont indispensables pour ne pas donner de conseil déconnecté du réel.

Notre adresse est : lecourrierdesstrateges@gmail.com

Merci à tous. 


GRATUIT : le référé-type des fonctionnaires contre la suspension imposée par l’employeur

Par Éric Verhaeghe

Il y a quelques jours, je vous ai exposé ma conviction selon laquelle la suspension du fonctionnaire sans traitement et sans garanties disciplinaires n’était ni constitutionnelle ni « conventionnelle ». Autrement dit, suspendre un fonctionnaire et son traitement sans l’avis d’une commission de discipline viole à la fois la Constitution et la Convention Européenne des Droits de l’Homme (et son droit au procès équitable prévu par l’article 6). Je vous avais promis un modèle de référé à introduire. Le voici ! Mais surtout lisez bien les conseils qui le précèdent…

Le référé que vous introduisez obéit à une mécanique simple que vous devez bien comprendre. Il ne concerne que les fonctionnaires exposés à la suspension sans traitement, et pas les salariés de droit privé. 

Rappelons qu’on entend par “fonctionnaire” tous les agents de droit public, qu’ils soient titulaires d’un concours de la fonction publique ou bénéficiaire d’un contrat avec une collectivité publique. Mais ce dispositif ne concerne pas les salariés de droit privé. 

Dans la pratique, le raisonnement est simple :

  1. en droit français, toute sanction disciplinaire infligée à un fonctionnaire suppose un passage devant un conseil de discipline (ce qu’on appelle les “garanties disciplinaires”)
  2. suspendre un fonctionnaire n’est pas une sanction lorsque la suspension se fait avec maintien du traitement
  3. la suspension devient une sanction lorsqu’elle s’accompagne d’un arrêt du traitement (c’est-à-dire de la paie)
  4. suspendre un fonctionnaire et son traitement sans garanties disciplinaires est donc inconstitutionnel (et contraire à la Convention Européenne des Droits de l’Homme). 

Comme la suspension du traitement est une mesure d’urgence, elle vous ouvre droit à un référé devant le tribunal administratif compétent pour votre lieu de travail. Dans ce référé, vous demandez le rétablissement de votre traitement pendant votre suspension. 

Bien comprendre la procédure administrative

Pour bien comprendre les opérations, il faut avoir en tête que l’intervention d’un avocat n’est pas obligatoire devant le tribunal administratif de première instance. Je vous recommande toutefois d’en choisir un qui connaisse un peu le droit administratif. 

En outre, le droit administratif n’est pas plaidé, mais écrit, ce qui signifie qu’il se passe essentiellement sur dossier. 

Pour que votre dossier soit complètement carré, il faut qu’il soit précédé :

  • d’un recours dit “hiérarchique” contre la décision prise,
  • d’un recours ordinaire devant le tribunal administratif

Ces documents doivent être cités dans votre référé.

ASTUCE : multipliez les écrits. Souvent, les gestionnaires de personnel dans le service public sont des burnes finies qui ne connaissent pas les textes. Faites-les écrire le plus possible, ils commettront rapidement des fautes qui vous serviront (je vous en donnerai quelques exemples au fil de l’eau).

Commençons par le recours hiérarchique

Cette étape consiste à écrire à celui qui a un pouvoir de nomination sur vous. Dans la plupart des cas, il s’agit du président du conseil d’administration de l’hôpital où vous travaillez (on part de ce cas-type, hein). 

Une fois que votre suspension vous est notifiée, vous lui écrivez ceci :

XXX, le 15 septembre 2021

Albert Dupond, Infirmier à l’hôpital XXXX

à

M. le Directeur de l’Hôpital de…

OBJET : recours hiérarchique contre ma suspension sans traitement

M. le Directeur, par arrêté en date du XXX, vous avez procédé à ma suspension sans traitement, en application de l’article 14 de la loi du 5 août 2021. J’ai l’honneur de solliciter de votre haute bienveillance le retrait grâcieux de cette mesure que je considère comme contraire à la Constitution et aux traités dont la France est signataire. 

S’il entre en effet dans vos prérogatives de procéder à ma suspension, l’interruption de mon traitement est une sanction disciplinaire qui ne peut être prise sans le respect des garanties disciplinaires prévues par la Constitution, telles que le Conseil Constitutionnel les a rappelées dans sa décision du 10 mai 2019. 

En outre, ce procédé viole le droit à un procès équitable prévu par l’article 6 (§1) de la Convention Européenne de Sauvegarde des Droits de l’Homme. 

Par conséquent, je vous serais par avance reconnaissant de bien vouloir respecter les règles de l’Etat de droit et, par conséquent, de rétablir mon traitement sans délai. 

Pour votre information, je saisis ce jour-même le tribunal administratif d’un référé en ce sens. 

FORMULE DE POLITESSE

Un grand rappel : surtout on ne polémique pas dans ce genre de courrier, et on s’en tient aux faits. 

Ce courrier doit être envoyé en recommandé avec accusé de réception. 

Continuons par le recours au principal

Ce qu’on appelle le recours au principal est le dossier de fond que vous montez contre l’employeur qui vous a suspendu. Il est obligatoire de déposer un premier recours sur le fond pour ouvrir droit à un référé, qui est une procédure d’urgence, mais provisoire. 

Le recours au principal est gratuit et ne suppose pas forcément l’intervention d’un avocat, même si (j’insiste) mieux vaut en avoir un qui ne soit pas une bille complète en droit administratif. Dans la pratique, le tribunal administratif ne prendra aucune décision sur le fond avant plusieurs mois. Vous aurez tout le temps d’améliorer votre dossier, qui ne dira pas grand chose d’autre que votre référé. 

Voici comment vous pouvez le libeller :

XXX, le 15 septembre 2021,

M. le Président du Tribunal Administratif de…

OBJET : recours pour excès de pouvoir contre une suspension d’un fonctionnaire avec interruption de traitement

POUR : M. Albert Dupont, infirmier hors classe à l’hôpital de…

Ici, vous présentez rapidement votre situation administrative, votre adresse personnelle, etc.

CONTRE : l’arrêté de suspension sans traitement en date du 15 septembre 2021 pris par M. le directeur de l’hôpital de… en application de l’article 14 de la loi du 5 août 2021 créant une obligation vaccinale pour certaines catégories de personnel. 

FAITS : le 15 septembre 2021, le directeur de l’hôpital de XXX a suspendu sans traitement Albert Dupont, infirmier, pour défaut de présentation d’un schéma vaccinal complet, en application des articles 12 et 14 de la loi du 5 août 2021 sur le passe sanitaire. 

M. Dupont a été recruté le 5 septembre 1986 et bénéficie d’un excellent dossier administratif. Sa manière de servir a toujours été exemplaire. Il est employé dans le service de réanimation de l’hôpital depuis le… Il a toujours manifesté son grand attachement au service public. Il est père de trois enfants, etc.

(sur tous ces points, mentionner le maximum d’annexes qui taillent un portrait flatteur de vous). 

DISCUSSION :

  • sur la légalité externe de la décision attaquée :

La décision de suspension sans traitement est prise en application de la loi du 5 août 2021. Dans la mesure où elle crée le grief d’une interruption de traitement, elle constitue indéniablement une sanction disciplinaire grave et lourde. 

Pour mémoire, l’article 30 de la loi du 13 juillet 1983 rappelle que, durant la suspension : “Le fonctionnaire suspendu conserve son traitement, l’indemnité de résidence, le supplément familial de traitement et les prestations familiales obligatoires. Sa situation doit être définitivement réglée dans le délai de quatre mois.” La loi de 1983 a entendu exclure la suspension du champ de la santion disciplinaire dans la mesure où elle s’accompagne d’un maintien du salaire. 

Dès lors que la suspension entraîne une interruption du traitement, elle constitue donc forcément un grief entraînant un dommage financier évident pour le fonctionnaire suspendu. Ce dommage est caractéristique d’une sanction disciplinaire. 

Or, il est de jurisprudence constitutionnelle et conventionnelle constante qu’une sanction disciplinaire ne peut être prise sans le respect des garanties disciplinaires d’usage : communication du dossier, respect du principe du contradictoire, convocation d’un conseil de discipline en bonne et due forme. 

  • rappel du principe constitutionnel des garanties disciplinaires

L’article 16 de la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen stipule que : “Toute Société dans laquelle la garantie des Droits n’est pas assurée, ni la séparation des Pouvoirs déterminée, n’a point de Constitution.” Il est de jurisprudence constante du Conseil Constitutionnel d’interpréter cette disposition comme une cause de nullité sans qu’il soit besoin d’examiner d’autres motifs pour toute sanction disciplinaire qui serait prise sans le respect des garanties disciplinaires.

Ce principe général du droit a été rappelé dans la décision 2019-781 QPC : “En application de l’article 3 de l’ordonnance du 6 août 1958, peut être sanctionné disciplinairement l’agent des services déconcentrés de l’administration pénitentiaire qui prend part à une cessation concertée du service ou à tout acte collectif d’indiscipline caractérisée, lorsque ces faits sont susceptibles de porter atteinte à l’ordre public. Toutefois, en prévoyant que cette sanction peut être prononcée « en dehors des garanties disciplinaires », le législateur a méconnu le principe du contradictoire.” 

Il est donc constant que le Conseil Constitutionnel annule toute disposition prévoyant une sanction disciplinaire sans respect du principe du contradictoire. 

  • sur les effets de sa décision du 5 août 2021 

Dans sa décision sur la loi de gestion de la crise sanitaire, le Conseil Constitutionnel a pris soin de préciser (considérant 125) : “Le Conseil constitutionnel n’a soulevé d’office aucune question de conformité à la Constitution et ne s’est donc pas prononcé sur la constitutionnalité des autres dispositions que celles examinées dans la présente décision.” Autrement dit, n’ayant pas été saisi sur la légalité de la suspension sans garantie disciplinaire, le Conseil Constitutionnel a laissé libre le champ jurisprudentiel sur cette question. 

Selon sa jurisprudence classique, il ne peut en aucun cas valider une différence de traitement entre le droit privé où la suspension du contrat de travail avec interruption de traitement est sans ambiguïté considérée comme une sanction disciplinaire, et le droit public où l’analyse inverse serait faite. 

  •  sur le respect de la Convention Européenne des Droits de l’Homme

L’article 6 de la Convention Européenne des Droits de l’Homme prévoit le droit à un procès équitable. Il est de jurisprudence constante que ce droit est entendu, s’agissant des fonctionnaires, comme incluant les conflits professionnels. Dans son arrêt Vilho Eskelinen et autres c. Finlande [GC], 2007, §§ 50-62, la Cour a conclu qu’il y a présomption
que l’article 6 trouve à s’appliquer, et il appartiendra à l’État défendeur de démontrer,
premièrement, que d’après le droit interne un requérant fonctionnaire n’a pas le droit d’accéder à
un tribunal, et, deuxièmement, que l’exclusion des droits garantis à l’article 6 est fondée s’agissant
de ce fonctionnaire.

Au titre de cet arrêt, il est donc manifeste qu’un conflit du travail, dans le cadre de la fonction publique, conduisant à suspendre unilatéralement un traitement, ne peut être mené sans respect du contradictoire. 

  • sur le rétablissement du salaire

Compte tenu de l’inconstitutionnalité et de l’inconventionnalité d’une suspension sans traitement décidée sans respect du principe du contradictoire, il est évident que la mesure de suspension ne peut intervenir qu’en application de l’article 30 de la loi du 13 juillet 1983, c’est-à-dire avec maintien de salaire. Sans qu’il soit besoin d’examiner d’autre motif, il vous est donc demandé de procéder à cette mesure sans délai. 

PAR CES MOTIFS et tous autres à produire, déduire ou suppléer, au besoin d’office,
l’exposant conclue qu’il plaise à Monsieur le Président du Tribunal administratif de XXXX

– Ordonner la suspension de la décision attaquée;

– Rétablir le versement du traitement de M. Albert Dupont

– Condamner le directeur de l’hôpital de… à verser à l’exposant la somme de 5.000 euros en
application de l’article L.761-1 du code de justice administrative;
le tout sous astreinte de 100 euros par jour de retard
dans un délai de 8 jours  à compter de la notification de l’ordonnance à intervenir.

SOUS RESERVE DE TOUS AUTRES ELEMENTS DE DROIT OU DE FAIT A PRODUIRE ULTERIEUREMENT PAR MEMOIRES COMPLEMENTAIRES, ET SOUS RESERVE DE TOUS AUTRES RECOURS

Vous devez déposer ce recours par lettre recommandée au tribunal administratif. Vous pouvez l’envoyer le même jour que votre référé, dont voici le texte. 

Venons-en au référé que vous envoyez

Dans ce référé, qui est une procédure urgente et provisoire, qui vous permet d’obtenir une décision rapide du tribunal administratif, vous devez mettre en copie et en annexe :

– l’arrêté de suspension dont vous faites l’objet

– votre recours hiérarchique

– votre recours au principal

– tout autre document que vous jugez utile (bien numéroter ces pièces à la fin de votre recours)

Voici comment vous devez libeller votre référé :

XXX, le 15 septembre 2021,

M. le Président du Tribunal Administratif de…

OBJET : référé contre une suspension d’un fonctionnaire avec interruption de traitement

POUR : M. Albert Dupont, infirmier hors classe à l’hôpital de…

Ici, vous présentez rapidement votre situation administrative, votre adresse personnelle, etc.

CONTRE : l’arrêté de suspension sans traitement en date du 15 septembre 2021 pris par M. le directeur de l’hôpital de… en application de l’article 14 de la loi du 5 août 2021 créant une obligation vaccinale pour certaines catégories de personnel. 

FAITS : le 15 septembre 2021, le directeur de l’hôpital de XXX a suspendu sans traitement Albert Dupont, infirmier, pour défaut de présentation d’un schéma vaccinal complet, en application des articles 12 et 14 de la loi du 5 août 2021 sur le passe sanitaire. 

M. Dupont a été recruté le 5 septembre 1986 et bénéficie d’un excellent dossier administratif. Sa manière de servir a toujours été exemplaire. Il est employé dans le service de réanimation de l’hôpital depuis le… Il a toujours manifesté son grand attachement au service public. Il est père de trois enfants, etc.

(sur tous ces points, mentionner le maximum d’annexes qui taillent un portrait flatteur de vous). 

DISCUSSION :

– sur le bien-fondé du référé :

L’alinéa ler de l’article L.521.1 du code de justice administrative prévoit que « quand une décision administrative, même de rejet, fait l’objet d’une requête en annulation ou en réformation, le juge des référés, saisi d’une demande en ce sens, peut ordonner la suspension de l’exécution de cette décision, ou de certains de ses effets, lorsque l’urgence le justifie et qu’il est fait état d’un moyen propre à créer, en l’état de l’instruction, un doute sérieux quant à la légalité de la décision ».
Il ressort de ces dispositions procédurales législatives que le prononcé du référé est subordonné à la réunion de deux conditions :
– d’une part, une condition d’urgence;
– d’autre part une condition tenant à l’existence d’un doute sérieux quant à la légalité de la décision attaquée.

En l’espèce, ces deux conditions sont à l’évidence réunies.

Concernant l’urgence, l’arrêté du directeur de l’hôpital de… prive M. Albert Dupont de son traitement. Conformément à l’Ordonnance du juge des référés (Mme Aubin), du 22 juin 2001, 234434, mentionné aux tables du recueil Lebon, le Conseil d’Etat reconnaît qu’il s’agit d’une situation d’urgence. 

S’agissant du doute sérieux concernant la légalité de la décision attaquée, cette condition est satisfaite pour les raisons suivantes. 

La décision de suspension sans traitement est prise en application de la loi du 5 août 2021. Dans la mesure où elle crée le grief d’une interruption de traitement, elle constitue indéniablement une sanction disciplinaire grave et lourde. 

Pour mémoire, l’article 30 de la loi du 13 juillet 1983 rappelle que, durant la suspension : “Le fonctionnaire suspendu conserve son traitement, l’indemnité de résidence, le supplément familial de traitement et les prestations familiales obligatoires. Sa situation doit être définitivement réglée dans le délai de quatre mois.” La loi de 1983 a entendu exclure la suspension du champ de la santion disciplinaire dans la mesure où elle s’accompagne d’un maintien du salaire. 

Dès lors que la suspension entraîne une interruption du traitement, elle constitue donc forcément un grief entraînant un dommage financier évident pour le fonctionnaire suspendu. Ce dommage est caractéristique d’une sanction disciplinaire. 

Or, il est de jurisprudence constitutionnelle et conventionnelle constante qu’une sanction disciplinaire ne peut être prise sans le respect des garanties disciplinaires d’usage : communication du dossier, respect du principe du contradictoire, convocation d’un conseil de discipline en bonne et due forme. 

  • rappel du principe constitutionnel des garanties disciplinaires

L’article 16 de la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen stipule que : “Toute Société dans laquelle la garantie des Droits n’est pas assurée, ni la séparation des Pouvoirs déterminée, n’a point de Constitution.” Il est de jurisprudence constante du Conseil Constitutionnel d’interpréter cette disposition comme une cause de nullité sans qu’il soit besoin d’examiner d’autres motifs pour toute sanction disciplinaire qui serait prise sans le respect des garanties disciplinaires.

Ce principe général du droit a été rappelé dans la décision 2019-781 QPC : “En application de l’article 3 de l’ordonnance du 6 août 1958, peut être sanctionné disciplinairement l’agent des services déconcentrés de l’administration pénitentiaire qui prend part à une cessation concertée du service ou à tout acte collectif d’indiscipline caractérisée, lorsque ces faits sont susceptibles de porter atteinte à l’ordre public. Toutefois, en prévoyant que cette sanction peut être prononcée « en dehors des garanties disciplinaires », le législateur a méconnu le principe du contradictoire.” 

Il est donc constant que le Conseil Constitutionnel annule toute disposition prévoyant une sanction disciplinaire sans respect du principe du contradictoire. 

  • sur les effets de sa décision du 5 août 2021 

Dans sa décision sur la loi de gestion de la crise sanitaire, le Conseil Constitutionnel a pris soin de préciser (considérant 125) : “Le Conseil constitutionnel n’a soulevé d’office aucune question de conformité à la Constitution et ne s’est donc pas prononcé sur la constitutionnalité des autres dispositions que celles examinées dans la présente décision.” Autrement dit, n’ayant pas été saisi sur la légalité de la suspension sans garantie disciplinaire, le Conseil Constitutionnel a laissé libre le champ jurisprudentiel sur cette question. 

Selon sa jurisprudence classique, il ne peut en aucun cas valider une différence de traitement entre le droit privé où la suspension du contrat de travail avec interruption de traitement est sans ambiguïté considérée comme une sanction disciplinaire, et le droit public où l’analyse inverse serait faite. 

  •  sur le respect de la Convention Européenne des Droits de l’Homme

L’article 6 de la Convention Européenne des Droits de l’Homme prévoit le droit à un procès équitable. Il est de jurisprudence constante que ce droit est entendu, s’agissant des fonctionnaires, comme incluant les conflits professionnels. Dans son arrêt Vilho Eskelinen et autres c. Finlande [GC], 2007, §§ 50-62, la Cour a conclu qu’il y a présomption
que l’article 6 trouve à s’appliquer, et il appartiendra à l’État défendeur de démontrer,
premièrement, que d’après le droit interne un requérant fonctionnaire n’a pas le droit d’accéder à
un tribunal, et, deuxièmement, que l’exclusion des droits garantis à l’article 6 est fondée s’agissant
de ce fonctionnaire.

Au titre de cet arrêt, il est donc manifeste qu’un conflit du travail, dans le cadre de la fonction publique, conduisant à suspendre unilatéralement un traitement, ne peut être mené sans respect du contradictoire. 

  • sur le rétablissement du salaire

Compte tenu de l’inconstitutionnalité et de l’inconventionnalité d’une suspension sans traitement décidée sans respect du principe du contradictoire, il est évident que la mesure de suspension ne peut intervenir qu’en application de l’article 30 de la loi du 13 juillet 1983, c’est-à-dire avec maintien de salaire. Sans qu’il soit besoin d’examiner d’autre motif, il vous est donc demandé de procéder à cette mesure sans délai. 

PAR CES MOTIFS et tous autres à produire, déduire ou suppléer, au besoin d’office,
l’exposant conclue qu’il plaise à Monsieur le Président du Tribunal administratif de XXXX

Vu l’article L.521.1 du code de justice administrative :

– Ordonner la suspension de la décision attaquée;

– Rétablir le versement du traitement de M. Albert Dupont

– Condamner le directeur de l’hôpital de… à verser à l’exposant la somme de 5.000 euros en
application de l’article L.761-1 du code de justice administrative;
le tout sous astreinte de 100 euros par jour de retard
dans un délai de 8 jours  à compter de la notification de l’ordonnance à intervenir.

SOUS RESERVE DE TOUS AUTRES ELEMENTS DE DROIT OU DE FAIT A PRODUIRE ULTERIEUREMENT PAR MEMOIRES COMPLEMENTAIRES, ET SOUS RESERVE DE TOUS AUTRES RECOURS

Bien entendu, il s’agit ici d’une trame “développée” mais que vous pouvez enrichir (ou martyriser, ma contribution est gratuite, solidaire, et sans amour-propre… faites-en juste profiter les autres), de préférence avec un bon avocat si vous en connaissez. 

Tenez-moi au courant !

Dans tous les cas, souvenez-vous qu’un acte administratif ne peut faire l’objet d’un recours que dans les deux mois suivant son édiction. Ne traînez surtout pas !


Première victoire des anti-passe sanitaire au tribunal administratif contre un maire abusif

Par Éric Verhaeghe

Depuis plusieurs semaines, nous vous incitons à introduire des référés devant le tribunal administratif de votre domicile pour faire annuler soit certaines dispositions de la loi du 5 août 2021, soit des applications abusives qui en sont faites notamment par certains employeurs. La décision que nous publions ci-dessous, obtenue par la CGT des fonctionnaires territoriaux du Gard, illustre le bien-fondé de cette démarche. Le juge de Nîmes vient en effet d’annuler le passe sanitaire dans les services municipaux de Saint-Laurent-d’Aigouze, demandé illégalement par le maire.

Le tribunal administratif peut parfois réserver de très belles surprises. La preuve en est fournie par cette ordonnance en référé rendue par le tribunal administratif de Nîmes annulant l’obligation du passe sanitaire imposée par circulaire à tous les fonctionnaires municipaux de Saint-Laurent-Aigouze, dans le Gard. Le juge du référé n’a pas hésité à suspendre cette demande abusive d’un maire (parmi tant d’autres, nous avons reçu de nombreux témoignages à ce sujet) de voir tout le monde présenter un passe sanitaire alors même que la loi ne le prévoit pas. 

Les arguments du tribunal administratif

Pour suspendre le passe sanitaire dans les services municipaux de cette ville, le juge administratif a considéré, de façon très prévisible, qu’un maire n’était pas habilité à ajouter des critères restrictifs à la loi. L’extension du passe sanitaire décidée par le maire constitue donc une “atteinte grave et manifestement illégale au droit des intéressés, au respect de leur vie privée et à leur droit au travail”. 

Ces motivations sont importantes, car elles pourront être retenues dans d’autres jurisprudences. Nous rappelons ici que le tribunal administratif est compétent pour annuler des décisions administratives (des circulaires, mais aussi des arrêtés de suspension…) qui ne seraient pas conformes à la loi ou à la constitution (ou aux traités). 

Une campagne de référés contre la suspension

Nous avons beaucoup souligné, au mois d’août, l’importance de saisir les tribunaux de première instance (tribunal administratif, prudhommes, notamment) contre les applications abusives du passe sanitaire. Nous avons aussi proposé un guide complet de référé administratif contre la suspension dans le cadre de l’obligation vaccinale

Démonstration est désormais faite de l’utilité de ces propositions… N’hésitez pas à vous en emparer. 




Retour sur la manipulation via des simulations au cours de la plandémie Covid. MàJ

[Source : docteur.nicoledelepine.fr]

Par Gérard Delépine

[Mise à jour : ajout des diagrammes.]

VOLET 1

Les erreurs du rapport 9 de Mars 2020 de Neil Ferguson, justification fallacieuse des confinements

Depuis plus de 20 mois, la politique sanitaire française est décidée dans le plus grand secret(([1] Aucun compte rendu détaillé des discussions tenues lors des réunions du conseil scientifique n’a été publié mais seulement des résumés d’avis ; pour le conseil de défense sanitaire c’est pire : manque de transparence  dans sa composition, contournement du Parlement, délibérations classifiées secret-défense obstruant le travail des enquêteurs de la Cour de justice de la République sur la gestion de la pandémie.)) par le « conseil de défense » appuyé par un « conseil scientifique. Ce dernier est dominé par Simon Cauchemez, mathématicien modélisateur au sein de l’Institut Pasteur et élève de Ferguson de l’Imperial College.

La politique de santé s’appuie presque uniquement sur des simulations mathématiques très majoritairement frauduleuses, car basées volontairement sur des hypothèses du pire, pour justifier les décisions autoritaires de l’exécutif et nous faire accepter la perte de nos libertés et la pseudo vaccination génique inefficace.

La folle prophétie de Neil Ferguson qui a justifié le confinement de Mars 2020 était fausse

Détaillée dans le rapport 9 de l’impérial College,(([2] COVID-19 Response Team Neil M Ferguson Report 9: Impact of non-pharmaceutical interventions (NPIs) to reduce COVID-19 mortality and healthcare demand 16 March 2020 Imperial College https://doi.org/10.25561/77482 Page 1 of 20)) cette simulation catastrophe prétendait que sans confinement les hôpitaux seraient partout débordés et qu’on compterait 500000 morts en France, comme en Grande Bretagne, 600000 en Allemagne, 70000 en Suède et 2 millions aux USA. Elle affirmait aussi que les mesures médicales traditionnelles (fermeture des frontières et isolement des seuls malades le temps qu’ils ne soient plus contagieux) ne serviraient à rien, qu’il fallait confiner à l’aveugle la population jusqu’à fin décembre 2021 pour imposer les futurs vaccins et/ou nouveaux traitements.

La plupart des gouvernements occidentaux ont pris ou voulu prendre cette prophétie pour une vérité et imposé à leurs populations des mesures liberticides contre- productives, telles que le confinement aveugle sans même en avoir vérifié la pertinence de la méthode de calcul, ni publié ce rapport préalablement à son application, empêchant ainsi toute discussion scientifique et tout débat démocratique.

La confrontation aux faits constatés révèle la supercherie de cette simulation

Le rapport 9 avait prédit qu’en l’absence de confinement la Suède verrait ses hôpitaux submergés et compterait 70000 morts en quelques mois. La Suède n’a pas confiné, ses hôpitaux ont pris en charge tous les malades qui en avaient besoin et après 19 mois d’épidémie (au 10/9/2021), comptait, d’après l’OMS, 14602 morts. La prophétie de Ferguson surestimait par plus de 500% le risque réel !

Même chose pour l’Allemagne.

La prophétie de N Ferguson prétendait qu’en l’absence de confinement de la population, « les mesures médicales classiques de quarantaine des malades seraient inefficaces, que les hôpitaux seraient débordés et qu’on compterait plus de 600000 morts ». L’Allemagne n’a jamais été confinée, au sens que ce mot a en France a rappelé Thomas Wieder, correspondant du  Monde dans ce pays. Au 10/9/2021 après 19 mois d’épidémie l’Allemagne comptait 92 553 morts attribuées au Covid. Là encore la prophétie de Ferguson a surestimé le risque réel par plus de 500% !

Une de ses élèves, Jasmine M GARDNER,(([3] Jasmine M GARDNER Intervention strategies against COVID-19 and their estimated impact on
Swedish healthcare capacity 
https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2020.04.11.20062133v1.full.pdf)) a même prédit que sans confinement total et strict, la Suède compterait 100000 morts au 1/7/2020. En réalité au 1/7/2020, selon les données de l’OMS, la Suède sans confinement ne comptait que 5496 décès attribués au Covid (19 fois moins).

À ce niveau d’erreur on ne peut plus croire à une simple bévue, mais vraiment qualifier ce texte de « propagande Covid terroriste » d’autant que sa large diffusion dans les médias suédoises a largement participé à une tentative de pression sur l’agence sanitaire pour l’obliger à confiner.

Ces simulations ne traduisaient donc ni la réalité ni la science, mais constituaient seulement de mauvais scénarios de film catastrophe destinés à nous terroriser. En témoignent les hypothèses retenues pour son modèle : des index de mortalité par infection, multipliant par 2 à 3 les chiffres réels dans les différents groupes d’âge (pour les 10-19 : 0,006% au lieu de 0,002% et pour les 20-29 : 0,03% au lieu de 0,01%) et une forte surestimation du taux de reproduction R. En surestimant ces paramètres clefs de la simulation, Ferguson et ses élèves ont obtenu les prévisions apocalyptiques désirés par Bill Gates qui les finance, et les gouvernements qui obéissent.

La surestimation des risques est une constante des prédictions de Ferguson et une technique bien rodée des imposteurs

Lors d’un de mon premier stage d’interne en neurochirurgie, mon maître m’expliqua comment se créer une aura de sauveur. « Devant cette petite tumeur du cerveau facilement opérable, ne dis surtout pas aux parents qu’elle est facile à opérer, car en cas d’accident opératoire imprévu, ils pourraient porter plainte. Au contraire explique-leur qu’il s’agit d’une mauvaise tumeur, mal placée et que seule une chirurgie très difficile peut sauver le malade. Si un accident survient, ils ne se plaindront pas. Et si tout se passe bien, ils te considéreront comme le sauveur capable de chirurgie extraordinaire ».

Apparemment cette technique est utilisée par l’équipe de l’Imperial College. Ils prophétisent un futur apocalyptique et proposent « la solution ». Si leurs prédictions ont suffisamment surestimé le danger, ils pourront, après la crise, prétendre, que c’est grâce à l’application des mesures qu’ils ont proposées que la situation a évolué plus favorablement que ce qu’ils avaient prévu.

Les religions reposent sur la foi et le caractère immuable des crédos que personne ne peut discuter sans être qualifier d’hérétique.

La démarche scientifique, basée sur le doute fertile, consiste au contraire à confronter en permanence les faits observés aux hypothèses dominantes. Lorsque les faits avérés ne sont pas compatibles avec les hypothèses, celles-ci doivent être abandonnées. Mais l’équipe de l’Imperial College, dirigée par N. Ferguson ne tire pas de leçons de ses erreurs et se comporte en gardienne d’une nouvelle religion dont les dogmes sont indiscutables, plutôt qu’en scientifique désireuse de reconnaître et d’élucider les paradoxes.

Les erreurs passées de Ferguson très nombreuses ont été dommageables

En 1997, lors de la maladie de la vache folle, N. Ferguson avait prédit jusqu’à 150 000 morts en deux décennies. Vingt ans plus tard, en janvier 2017, on ne comptait que 223 victimes humaines dans le monde (dont 177 au Royaume-Uni et 27 en France).

En 2001, ses prédictions sur la fièvre aphteuse ont entraîné l’abattage de 6 millions de bovins, décision aujourd’hui considérée comme aberrante.

En 2005, N. Ferguson prophétisait qu’une pandémie de grippe aviaire pourrait tuer de 5 à 150 millions de personnes dont 65 000 Britanniques. Il y en eu au total 45.

En 2009, lors de la grippe H1N1, Ferguson avait prédit 8000 morts au Canada : il y en eut 428. En France, il avait prédit 20000 morts, il y en eut 323 (soit environ trente fois moins qu’une grippe habituelle).  Les mesures sanitaires prises en France sur la foi de cette prédiction fausse nous ont couté deux milliards d’euros et le vaccin Pandemix hâtivement mis sur le marché a été responsable de nombreux accidents neurologiques graves dont 450 narcolepsies sur l’ensemble de l’Europe, dont plus de 60 cas en France et d’une perte de confiance de la population dans les vaccins et en la parole publique.

Ces surestimations considérables des risques des maladies constituent une donc une caractéristique constante des prédictions de l’Imperial College. Mais Ferguson comme beaucoup de prophètes sait, que pour imposer ses mesures, il faut faire peur et donc prédire des cataclysmes. Si l’évolution est moins catastrophique qu’annoncée, il pourra alors s’en attribuer le mérite.

De nouvelles simulations bidons pour glorifier le confinement

De nombreuses études(([4] Gilles Pech de Laclause, Arnaud Delenda, Lana Augustincic Confinement strict, surcharge hospitalière et surmortalité : Analyse statistique et étude mathématique de l’épidémie de « Covid 19 »)) rétrospectives d’auteurs indépendants des modélisateurs et des responsables des confinements ont évalué l’effet des mesures de confinements sur les évolutions constatées de l’épidémie. Aucune n’a démontré qu’elles auraient pu avoir un impact positif sur l’épidémie, qu’il s’agisse de l’étude danoise sur le Nord Jutland(([5] Kasper Planeta Kepp Christian Bjørnskov b Lockdown Effects on Sars-CoV-2 Transmission – The evidence from Northern Jutland medRxiv preprint doi : https://doi.org/10.1101/2020.12.28.20248936)) de l’étude néo- zélandaise,(([6] John Gibson, 2020. « Government Mandated Lockdowns Do Not Reduce Covid-19 Deaths : Implications for Evaluating the Stringent New Zealand Response », Working Papers in Economics 20/06, University of Waikato.)) de l’étude anglaise,(([7] Simon N. Wood Did COVID-19 infections decline before UK lockdown ? September 21, 2020
https://arxiv.org/abs/2005.02090)) des analyses indiennes(([8] Rabail Chaudhry A country level analysis measuring the impact of government actions, country preparedness and socioeconomic factors on COVID-19 mortality and related health outcomes EClinicalMedicine 25 (2020) 100464))(([9] Surjit S Bhalla Lockdowns and Closures vs COVID – 19 : COVID Wins JEL Classification Numbers : E310, C830, D840, J260)), des études allemandes,(([10] Thomas Wieland Une approche phénoménologique pour évaluer l’efficacité des interventions non pharmaceutiques liées au COVID-19 en Allemagne 2020 novembre; 131: 104924.
doi: 10.1016 / j.ssci.2020.104924. En ligne du 21 juil.2020.))(([11] T Wieland  Flatten the Curve! Modeling SARS-CoV-2/COVID-19Growth in Germany at the County Level Volume 7, Number 2, 2020, 43–83 journal homepage: region.ersa.org
DOI: 10.18335/region.v7i2.324l)) croate,(([12] Gilles Pech de Laclause, Arnaud Delenda, Lana Augustincic Confinement strict, surcharge hospitalière et surmortalité : Analyse statistique et étude mathématique de l’épidémie de « Covid 19 » 
https://hal.archives-ouvertes.fr/hal-02861011)) des études des pays d’Europe occidentale[(([13] Thomas Meunier Full lockdown policies in Western Europe countries have no evident impacts on the COVID-19  https://doi.org/10.1101/2020.04.24.20078717;)) et de toutes les autres études internationales basées sur les faits avérés(([14] Philip Thomas Written evidence submitted by Professor of Risk Management, South-West Nuclear Hub, University of Bristol EIC0563))(([15] Joseph Stroberg
Les verrouillages détruisent ce qui nous rend humains 2020-11-28
https://nouveau-monde.ca/en/lockdowns-destroy-what-makes-us-human/
[Les pages anglaises ont été supprimées du site il y plusieurs mois. Voici un lien fonctionnel pour la version française :
Les verrouillages détruisent ce qui nous rend humains | (libreinfo.world)])) dont celle particulièrement exhaustive de John PA Ioannidis.(([16] Eran Bendavid, Christophe Oh, Jay Bhattacharya, John PA Ioannidis Évaluation des effets du maintien à domicile obligatoire et de la fermeture des entreprises sur la propagation de COVID-19.   Eur J Clin Invest 2021 avril ; 51(4) : e13484. doi: 10.1111/eci.13484.
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33400268/))

Les seuls articles prétendant qu’il existerait un avantage au confinement sont ceux d’auteurs proches de Ferguson ou des responsables du confinement aveugle qui n’analysent pas les faits constatés, et espèrent ainsi s’exonérer de leurs responsabilités. Ils comparent leurs prévisions colossalement exagérées aux mortalités réellement observées à une date donnée. Ainsi, plus ils se trompent par excès dans leurs estimations initiales et plus ils se gargarisent ultérieurement du grand nombre de « morts évitées ».

Le mécanisme frauduleux de leurs études bidon a été  dévoilé dans un article de Nature,(([17] S.Flaxman et al. Estimating the effects of non-pharmaceutical interventions on COVID-19 in Europe. Nature https://doi.org/10.1038/s41586-020-2405-7Nature | www.nature.comAccelerated Article Preview)) dans lequel les auteurs de l’Imperial College prétendaient ainsi avoir sauvé 3,1 millions d’européens et en particulier 26000 suédois, grâce au confinement.

Ils ne savaient apparemment pas que les Suédois n’ont jamais confiné et que leur chiffre de 2800 morts recensés au 5 mai 2020 prouvait seulement que les prévisions de l’Imperial College surestimaient par dix le risque réel.

De même pour l’Allemagne ; le rapport 9 de l’Impérial College affirmait que si l’Allemagne ne confinait pas totalement, elle pleurerait 570000 morts au 5 mai 2020.

L’Allemagne, qui n’a pas confiné à l’aveugle mais simplement pratiqué la technique classique d’endiguement, ne comptait, au 5 mai 2020, que 6800 décès attribués au Covid19. Mais l’équipe de Ferguson prétend que 560000 allemands auraient été sauvés grâce au confinement qui n’a pas été pratiqué !

Dans le scandale du Lancet Gate, les auteurs avaient inventé des données pour prétendre que la chloroquine était dangereuse. Dans cette publication fallacieuse, ce « Nature Gate », il n’y a pas eu fabrication de données mais le refus de regarder la réalité des mesures sanitaires réellement utilisées pour se glorifier des erreurs de la prophétie initiale ; il est très étonnant qu’aucun membre du comité de lecture de cette revue Nature, de bonne réputation, ne se soit rendu compte des erreurs de raisonnement et des mensonges sur les politiques suédoises, néerlandaises et allemandes aboutissant à une aussi grosse supercherie.

La même technique de glorification frauduleuse du confinement par des simulations a été utilisée en France par 3 élèves de l’école supérieure de santé publique(([18] site internet de l’Ecole des Hautes Etudes de la Santé Publique, sur une page depuis supprimée (https://www.ehesp.fr/2020/04/23/une-etude-inedite-de-chercheurs-de-lehesp-montre-que-le-confinement-aurait-sauve-au-moins-60-000-vies/).)) prétendant que le confinement aurait sauvé 60000 français. Leurs conclusions, non validées par des pairs, ont été immédiatement présentées aux députés par le premier ministre comme justification du confinement.

Les erreurs de conception, le choix d’hypothèses péjoratives et les conclusions fausses de cette étude vraisemblablement commandée par le pouvoir ont été depuis largement démontrées dans des revues scientifiques, mais les médias mainstream en ont très peu parlé alors que la simulation biaisée de propagande avait été très largement diffusée.

Aucune de ces publications glorifiant les confinements n’a chiffré les dégâts considérables que les confinements ont causés sur le plan sanitaire (victimes collatérales des retards et absences de traitements, problèmes psychiatriques), scolaire et universitaire, économique (perte de PIB, aggravation des dettes publiques et du chômage), sur l’aggravation de la pauvreté dans les pays riches et de la faim dans les pays pauvres.(([19] Confinement et faim dans le monde Du Trends-Tendances du 15/10/2020 « Le confinement a sans doute causé bien davantage de victimes que la pandémie elle-même. »))

Certains auteurs estiment que les pertes d’années de vie causées par ces mesures tyranniques sont dix fois plus importantes que celles causées par le Covid19 seul.(([20] Ari R Joffe COVID-19: Rethinking the Lockdown Groupthink Front Public Health 2021 Feb 26;9:625778.
doi: 10.3389/fpubh.2021.625778. eCollection 2021.))

Toutes ces complications du confinement, étaient parfaitement prévisibles d’emblée, par tout médecin habitué à évaluer la balance Avantages/Risques des traitements qu’il propose. Le traitement des épidémies, comme les autres maladies, ne doivent pas être décidés par des astrologues mathématiciens ou des épidémiologistes qui ne quittent pas leurs bureaux(([21] Aurélie Haroche, Quand les politiques confondent modélisations mathématiques et astrologie Journal International de Médecine, 25 avril 2020)) mais par des médecins qui traitent des malades !

Les simulations mensongères constituent le socle de la désinformation gouvernementale et la seule justification des mesures autoritaires nocives qu’on nous impose.

Il ne faut pas se laisser abuser par l’aspect pseudo scientifique de ces simulations de circonstances que la propagande terrorisante du gouvernement nous impose. Elles ne sont pas plus fiables et beaucoup plus dangereuses que celles des astrologues traditionnels. Il est grand temps d’abandonner cette politique sanitaire délétère basée sur la peur et de la réorienter selon les règles de la médecine classique, d’après les faits avérés du monde réel.





Israël : La catastrophe sanitaire récurrente de l’injection Pfizer

Par Gérard Delépine

L’analyse de l’évolution de l’épidémie en Israël, champion mondial de l’injection Pfizer permet d’évaluer son efficacité en population réelle qui est à l’opposé de ce qu’annoncent les communiqués de leurs fabricants, les gouvernants et les médias complices.

La réussite de la campagne d’injection Pfizer

En termes de vitesse de vaccinations, le succès de la campagne d’injection est remarquable. Au 11 septembre 2021, 14 392 024 doses de vaccin de doses ont été administrées(([1] D’après OMS covid Dashbord du16/9)) et plus de 70 % de la population auraient reçu au moins une dose de vaccin.

Mais on ne juge pas un traitement préventif au nombre de personnes traitées, mais uniquement à ses conséquences sur l’évolution du nombre de contaminations journalières, de la mortalité quotidienne et des complications post médicamenteuses observées.

Évolution du nombre des contaminations
Accroissement post « vaccination » immédiat des cas(([2] Ibid D’après OMS covid Dashbord du16/9))

Les deux mois et demi qui ont suivi les premières injections Pfizer ont été marqués par une augmentation considérable des contaminations journalières (463 000), leur nombre dépassant les pics de la vague précédente malgré un confinement strict. Elles ont abouti à plus que doubler le nombre (370 000) total de cas observés pendant les 9 mois précédant les injections.

Ces 2 mois post injections Pfizer ont établi les records mensuels mondiaux de contaminations depuis le début de l’épidémie.

Cette évolution paradoxale montre que le pseudo-vaccin Pfizer est incapable d’empêcher la transmission de la maladie.

L’augmentation post vaccinale précoce des contaminations ne s’est calmée qu’avec la pause de l’épidémie dans presque tous les pays, vaccinés ou pas, confinés ou pas.

Certains avancent que c’est seulement le développement naturel de l’épidémie qui avait commencé avant la campagne d’injection Covid qui expliquerait la gravité de cette hausse.

Mais la comparaison des évolutions des nouveaux cas journaliers entre Israël très vacciné et ses voisins alors peu vaccinés (Liban) ou très peu vaccinés (Jordanie, Palestine) est en faveur de la responsabilité de l’injection Pfizer

D’autant plus que cette forte augmentation post injection des cas durant plusieurs semaines ou mois est observée dans plus de 90 % des pays qui ont beaucoup vacciné.

Si elle avait permis d’assurer l’immunité définitive de la population contre le Covid19, le coût humain aurait pu éventuellement paraître acceptable, mais ce n’est malheureusement pas le cas, la hausse immédiate des contaminations n’a pas apporté de protection aux Israéliens.

La vaccination Covid Pfizer n’évite pas la reprise de l’épidémie

6 mois plus tard, depuis fin juin 2021, l’injection Pfizer se révèle incapable d’éviter une reprise exponentielle de l’épidémie et actuellement 80 % des nouvelles personnes contaminées ont reçu deux doses de Pfizer.

Les chiffres publiés par le ministère de la Santé israélien en août reconnaissent que le vaccin contre le coronavirus n’est efficace qu’à 39 % pour prévenir la transmission du coronavirus,(([3] I24 Israël/Covid : le vaccin efficace qu’à 39 % pour arrêter la transmission)) ce qui est cohérent avec les faits observés, mais très inférieur aux communiqués de victoire de Pfizer (>90 %) diffusés si complaisamment par les médias et par nos autorités.

Il est incroyable de constater que certains provax se félicitent que les vaccinés double dose puissent être infectés et y voient « la preuve que les vaccins fonctionnent ».(([4] La tribune juive « Les vaccinés infectés en Israël sont la preuve que les vaccins fonctionnent »
https://www.tribunejuive.info/2021/08/22/les-vaccines-infectes-en-israel-sont-la-preuve-que-les-vaccins-fonctionnent/)) Absurdité digne des pires antivax pourtant reprise en chœur par l’express,(([5] https://www.lexpress.fr/actualite/societe/sante/oui-des-personnes-vaccinees-meurent-du-covid-19-et-c-est-mathematique_2154072.html)) 20 minutes Santé Fr,(([6] https://www.20minutes.fr/sante/3118523-20210907-vaccination-pourquoi-cas-personnes-vaccinees-positives-coronavirus-si-surprenants)) Le Parisien,(([7] Covid-19 : non, la part croissante de vaccinés parmi les cas infectés ne remet pas en cause l’efficacité du vaccin Le Parisien
https://www.leparisien.fr/societe/sante/covid-19-non-la-part-croissante-de-vaccines-parmi-les-cas-infectes-ne-remet-pas-en-cause-lefficacite-du-vaccin-29-06-2021-WV3GF2TSJJHDDLKHOL5JPGSOHY.php)) Emergency Live,(([8] Cristiano Antonino L’apparent Paradoxe Des Vaccinés Positifs Au Covid-19 : Une Histoire De Tromperie Statistique
https://www.emergency-live.com/fr/la-sant%C3%A9-et-la-s%C3%A9curit%C3%A9/le-paradoxe-apparent-des-vaccin%C3%A9s-positifs-au-covid-19-une-histoire-de-tromperie-statistique/)) l’agence Santé Presse(([9] https://www.sciencepresse.qc.ca/actualite/detecteur-rumeurs/2021/06/30/non-vaccines-testes-positifs-covid-ne-prouvent-inefficacite))…

Savent-ils qu’un vaccin est conçu pour prévenir la maladie, et que tout vacciné qui tombe malade constitue un échec qui, s’il n’est pas rarissime, interroge sur l’intérêt même de la vaccination ?

Pour tenter d’enrayer la reprise de l’épidémie, les autorités israéliennes imposent actuellement de nouvelles restrictions sanitaires : quarantaine pour les personnes revenant de l’étranger vaccinés ou non, port du masque obligatoire, passe sanitaire à partir de 3 ans, nouvelle injection pour les personnes à risques. Et ils envisagent un nouveau confinement…

En Israël, les injections Pfizer ne constituent manifestement pas la solution du Covid, mais plutôt un problème supplémentaire. Que vaut un traitement préventif qui dans un premier temps entraîne une flambée de la maladie et qui plus tard se révèle incapable d’éviter une forte récidive de l’épidémie ?

Dans l’histoire des vaccinations, aucune ne s’est montrée aussi inefficace sur la propagation de la maladie cible. Le vaccin contre la fièvre jaune protège totalement à vie et sans rappel contre la maladie, comme le vaccin contre la poliomyélite, ou comme celui contre la variole qui a permis l’éradication de la maladie. Il n’y a guère que le vaccin contre la grippe dont l’efficacité est variable selon les années et aussi faible (de l’ordre de 20 %).

Mortalité liée au Covid19 : l’hécatombe post vaccinale précoce

En Israël, malgré un confinement strict, la première campagne d’injections a été suivie d’une véritable hécatombe. Le mois de janvier 2021 a établi le record mensuel de la mortalité, regroupant à lui seul près de 30 % de la totalité des morts depuis le début de l’épidémie dans ce pays. Entre mi-décembre et mi-février, on dénombre 2337 des 5351 morts alors attribuées au COVID-19 (43,7 %.).

Parmi celles-ci 1271 sont survenues chez des personnes dont le statut vaccinal était connu et le ministère de la Santé a précisé le 10 février 2021 que 660 d’entre elles (51,9 %) faisaient partie des 1,3 million de vaccinés de l’époque qui ne représentaient que 12,5 % de la population totale.

Un excellent article paru sur Agoravox(([10] Les leçons à tirer d’Israël par Décoder l’éco mardi 14 septembre 2021 Agoravox
https://www.agoravox.fr/actualites/sante/article/les-lecons-a-tirer-d-israel-235688)) analyse finement cette hausse de la mortalité survenue durant la première campagne de vaccination :

« Toutes les tranches d’âge sans exception ont présenté une hausse de mortalité les mois d’injections. Nous observons que les plus âgés ont reçu massivement des injections en janvier et présentent en pic de mortalité en janvier. Les plus jeunes ont reçu des injections plus tard, à partir du mois de février et présentent un pic de mortalité en février. Ce lien est un fort indice de causalité supplémentaire entre les injections et la hausse de la mortalité. »

La vaccination, loin de diminuer le risque létal de la maladie, paraît au contraire l’avoir exacerbé durant cette période. Haim Yativ, ingénieur, et le Dr docteur Hervé Seligmann, de l’unité de recherche sur les maladies infectieuses et tropicales émergentes de la faculté de médecine de l’université d’Aix-Marseille, analysant ces chiffres officiels et concluent(([11] he uncovering of the vaccination data in Israel reveals a frightening picture
http://www.nakim.org/israel-forums/viewtopic.php?p=276314)):

« les vaccins Pfizer, pour les personnes âgées, ont tué au cours de la période de vaccination de 5 semaines environ 40 fois plus de personnes que la maladie elle-même en aurait tué, et environ 260 fois plus de personnes que la maladie parmi les plus jeunes (les moins de 65 ans). »

Selon les données du Bureau Central des Statistiques israélien, en janvier-février 2021, au plus fort de la campagne israélienne de vaccination de masse, on a constaté une augmentation de 22 % de la mortalité globale (toutes causes confondues) en Israël par rapport à l’année précédente.

Janvier-février 2021 ont été les mois les plus meurtriers de la dernière décennie, avec les taux de mortalité globale les plus élevés par rapport aux mois correspondants des dix dernières années. Dans le groupe d’âge des 20-29 ans, l’augmentation du taux de mortalité global est encore plus spectaculaire, au cours de la même période de vaccination, entre janvier et mars 2021, on observe une augmentation de 30 % de la mortalité globale par rapport à la mortalité moyenne trimestrielle en 2020.

Il existe une forte corrélation entre le nombre de personnes vaccinées par jour et le nombre de décès par jour, jusqu’à 10 jours après la vaccination dans tous les groupes d’âge. Pour les 20-49 ans — une fourchette de 8 jours entre la date de la vaccination et le décès ; pour les 50-69 ans — 5 jours entre la date de la vaccination et le décès ; pour les 70 ans environ 3 jours entre la date de la vaccination et le décès.

Une semblable hécatombe post vaccinale précoce ne peut pas être attribuée au seul hasard : elle a été également observée avec des délais identiques dans la quasi-totalité des pays qui ont beaucoup vacciné (Grande-Bretagne, Émirats Arabes Unis, Gibraltar, Seychelles..)

Les vaccinés ne sont pas protégés des formes graves de la maladie

Depuis la reprise récente de l’épidémie, contrairement aux déclarations officielles non étayées par des études publiées, les vaccinés ne sont protégés ni des formes graves ni de la mort, bien au contraire.

Selon le ministère israélien, rapporté par le Jerusalem Post,(([12] https://www.jpost.com/health-science/coronavirus-in-israel-what-do-we-know-about-the-143-hospitalized-people-674508)) le 21 juillet,

« sur les 143 hospitalisés, 58 % étaient totalement vaccinés, 3 % partiellement, 39 % non vaccinés. Sur les 64 patients graves du pays… le pourcentage de cas vaccinés était élevé. »

Le 5 août, sur Chanel 13, le Dr Kobi Haviv, Directeur du Herzog Hospital de Jérusalem, constatait(([13] https://ugetube.com/watch/dr-kobi-haviv-earlier-today-on-chanel-13-newsisrael13-quot-95-percent-of-the-severe-patients-are-vac_raEmhKdAhmGoFHB.html?__cf_chl_jschl_tk__=pmd_SVqTdednujFjXZKnCQV_EPl1benoTf.YGKw2jlE3Ai4-1631865254-0-gqNtZGzNArujcnBszQil)):

95 % des patients sévères sont vaccinés

90 % des hospitalisations concernent des personnes entièrement vaccinées

Pareilles constatations ont été aussi faites en Grande-Bretagne. Il est donc très étonnant que pareil phénomène ne soit pas observé en France. Comme le nuage de Tchernobyl qui ne pouvait pas franchir nos frontières, du moins d’après nos agences officielles…

Inefficaces et dangereuses

Ces injections ont été de plus sources d’effets secondaires importants : AVC, thromboses et phlébites, mais aussi péri et myocardites en particulier chez les jeunes qui n’étaient pas menacés par la maladie ; elles s’accompagnent de plus de modifications virales qui menacent les enfants classiquement épargnés avant la pseudo-vaccination.

Un traitement préventif se juge à l’évolution observée de la maladie cible. En Israël, l’évolution post vaccinale précoce a été catastrophique tant sur les contaminations que sur l’évolution des formes graves.

Comment expliquer cet échec cuisant ?

Cet échec massif et précoce constitue une première dans l’histoire des vaccinations et s’explique peut-être par le fait que l’injection expérimentale Pfizer n’est pas un vrai vaccin, car elle ne contient ni antigène ni virus atténué, mais un ARN messager, technique qui n’avait jusqu’ici jamais été utilisée en pathologie infectieuse.

En attendant que des travaux scientifiques expliquent les causes de cet échec, de nombreuses hypothèses peuvent être soulevées. L’une des plus probables est que la vaccination Pfizer se heurte au phénomène d’anticorps facilitants déjà responsable de l’échec du Dengvaxia aux Philippines et des vaccins contre les précédentes épidémies à coronavirus (SRAS en 2003 et MERS en 2012).

La possibilité de cette complication avait été soulevée par l’Académie de médecine française, dans son communiqué du 11 janvier 2021.(([14] Communiqué de l’Académie : Élargir le délai entre les deux injections de vaccin contre la Covid-19 : quels risques pour quels avantages 11 janvier 2021))

Le trop faible niveau d’immunité observée après la première injection, accusée de pouvoir faciliter l’émergence de variants et l’échec de la vaccination ont été signalés par 5 membres du comité scientifique français, dont le Pr Delfraissy dans une courte lettre au BMJ.(([15] *Laetitia Atlani-Duault, Bruno Lina, Franck Chauvin, Jean-François Delfraissy, Denis Malvy laetitia.atlan Immune evasion means we need a new COVID-19 social contract Lancet Public Health 2021
Published Online Februar y 18, 2021
https://doi.org/10.1016/S2468-2667(21)00036-0))

« Des études suggèrent que l’émergence et la propagation des variants du SRAS-CoV-2 sont corrélées à l’absence de protection immunitaire robuste après une première exposition à des virus (de type sauvage) antérieurs, voire à un vaccin. Cette évolution, associée à l’émergence de mutants de fuite immunitaire, a non seulement été observée avec le SRAS-CoV-2, mais également avec d’autres virus… En outre, la dynamique de l’immunité collective naturelle ou vaccinale dans les régions où ces variants ont émergé pourrait avoir exercé une pression substantielle sur l’écosystème viral, facilitant l’émergence d’un variant avec une transmissibilité accrue La fin tant attendue de cette crise sanitaire mondiale pourrait être continuellement reportée, car de nouvelles variantes émergent et l’évasion immunitaire réduit l’efficacité de la vaccination à court et moyen terme. »

Un débat vaccinal serein est actuellement impossible à court terme, en Israël comme en France, car complètement pollué par la situation politique. Reconnaître l’échec de la vaccination porterait en effet un coup aux gouvernements qui l’ont conseillée.

Il faut donc s’attendre à ce que les gouvernements et les médias qui leur sont proches continuent de clamer la victoire de la vaccination contre le méchant virus. Car comme l’analysait un panel de scientifiques indépendants dans le BMJ,(([16] Covid-19: Social murder, they wrote—elected, unaccountable, and unrepentant
BMJ 2021; 372
doi: https://doi.org/10.1136/bmj.n314)) quel que soit le pays « quiconque ose dire la vérité au pouvoir est antipatriotique, déloyal ou « radical » est complotiste ».





Modèles de procédures pour les soignants contre l’injection forcée de substance génique expérimentale

[Source : BonSens.org]

En étroite collaboration entre médecins, avocats, juristes et scientifiques, nous mettons à la disposition des avocats de tous les soignants des informations juridiques à télécharger ci-dessous afin de contribuer à leur défense contre l’injection forcée de substances géniques expérimentales :

1  Modèle de RÉFÉRÉ (procédure rapide) au Tribunal Administratif avec recueil d’informations scientifiques inclus – demande de suspension – Me JP JOSEPH
(PDF et WORD)

2  Modèle de procédure au FOND au Tribunal Administratif avec recueil d’informations scientifiques inclus  – demande d’annulation – Me JP JOSEPH (PDF et WORD)

3 Eléments juridiques de Me ARAUJO RECCHIA

4  Rapport scientifique du Dr STUCKELBERGER  – Experte pour l’OMS et l’UE et Curriculum Vitae

Brevet CN112220919A sur les nanomatériaux, notamment sur l’oxyde de graphène utilisé comme véhicule des outils biologiques

NOTA 1: Les éléments juridiques et scientifiques présents dans ces documents peuvent bien entendu être utilisés par les avocats diligentant les procédures prud’homales pour les salariés du privé.

NOTA 2 : Les avocats des soignants pourront prélever ces informations juridiques et scientifiques afin de compléter les mémoires ou assignations selon les spécificités de chaque dossier.

NOTA 3 : L’utilisation du rapport scientifique du Dr STUCKELBERGER – experte pour l’OMS et l’UE – est fortement recommandée dans vos procédures judiciaires afin d’informer les Magistrats des dangers de ces injections forcées.

NOTA 4 : La communication du brevet CN112220919A aux Magistrats semble indispensable également afin d’expliquer l’utilisation de l’oxyde de graphène comme véhicule des outils biologiques à usage génétique dans les “vaccins anti covid”.

Pour TÉLÉCHARGER :

1- Modèle Référé format DOC

1- Modèle Référé format PDF

2- Modèle Procédure de Fond format DOC

2- Modèle Procédure de Fond format PDF

3- Eléments juridiques Me ARAUJO RECCHIA

4- Rapport Scientifique Dr Stuckelber

5- Brevet sur les nanomatériaux (notamment oxyde de graphène)




Mercredi 15 septembre, triomphe « du droit et de la justice »

Par Alain Tortosa

Merci au chef de l’État, au gouvernement, à la majorité des députés, aux médias nationaux et la majorité des Français d’avoir permis et soutenu cette belle France démocratique et « saine » que nous aimons tous.

Que l’odeur de l’apartheid est bonne au petit matin !

Enfin le « bien » a triomphé !

Le chef de l’État, le gouvernement, les médias affirment qu’il est « moral » de faire pression, menacer, terroriser, ostraciser, parquer, exclure toutes les personnes qui refusent l’injection ! Et ils ne se privent pas de le dire et le faire depuis des mois…

J’approuve évidemment sans réserve cette politique solidaire et novatrice ! Pourquoi de mauvais Français égoïstes auraient le droit de nous nuire ouvertement ? Ils n’ont que ce qu’ils méritent !

Harceler un non-vacciné, faire pression, le menacer, lui pourrir la vie, en faire un paria, y compris avec les enfants, c’est « bien » et « solidaire ».

Attention, il ne s’agit pas d’être des monstres, nous avons nos valeurs !
Pour nous autoriser à nous comporter ainsi, y compris avec les enfants, il faut une « noble cause »… Nous savons bien que « la fin justifie les moyens » et que le « bien commun » transforme l’inhumanité et l’immonde en bonne action.

Depuis plusieurs mois il est devenu « moral » et « solidaire » de prendre le risque de tuer un enfant en lui injectant une substance expérimentale, censée lutter contre un virus qui ne le concerne pas, pour espérer peut-être éventuellement avec un peu de chances protéger des vieux malades ou en fin de vie. Après tout, le risque statistique est tellement infime, ça vaut bien de tuer ne serait qu’un enfant par million d’injections ! Et puis les vieux ne sont pas interdits de traitements, nous savons tous qu’il n’existe aucun traitement hors de prix qui fonctionne.

Ils sont d’ailleurs parfaitement protégés par leur « vaccin efficace » et c’est bien pour cela que les enfants doivent absolument se vacciner et porter un masque « pour ne pas tuer papi et mamie ». Et qui pourrait douter de l’efficacité des injections au regard des résultats, notamment en Israël ?

C’est donc au nom de ladite « solidarité », au nom du « groupe » qu’il devient indispensable de mettre en œuvre des pass sanitaires et des vaccinations quasi forcées pour les enfants et ce n’est pas se comporter en vraie pourriture que de leur faire, vu que c’est au nom de la « solidarité ».

Mais le monde n’est pas joli, joli… Rendez-vous compte que certains complotistes pensent que la vaccination est dangereuse, que les vaccinés favorisent les variants, que les vaccinés seraient dangereux, etc.

Ils s’arrogent même le droit de harceler ou menacer de pauvres employés innocents qui auraient fait leur première dose. Ces fous imaginent leur acte « moral » dès lors que nous, les bons, agissons de même en ostracisant de la sorte les non-vaccinés ce qui, évidemment, n’a rien à voir !

Les lois actuelles n’autorisent pas et ne favorisent pas la dis-cri-mi-na-tion, l’apartheid ou la suppression des droits des personnes non vaccinées.

Non elles autorisent uniquement la communauté à se protéger quoi qu’il en coûte.

Les non-vaccinés doivent-ils avoir la vie la plus pourrie ? Question idiote s’il en est… « Of course » [« Bien sûr »], sinon comment les « convaincre » ?

Suppression des loisirs, suppression des possibilités de voyager et même du droit de travailler et de toucher un salaire.

C’est bien grâce à ces mesures justes que de nombreux Français ont été « convaincus » de s’injecter !

Un chef d’entreprise qui « au nom de la loi », prive une mère antivax célibataire avec deux enfants en bas âge, de salaire, ne fait que protéger sa société et LA société.

Il est totalement légitime de se comporter ainsi, y compris avec des enfants (je ne le répéterai jamais assez), parce qu’une « majorité » (de façade) a voté des lois qui le permettent avec la complicité d’un Conseil Constitutionnel à l’indépendance vaporeuse,

Nous assumons que pour le bien de tous, une « démocratie » doit être l’outil de la dictature de la majorité.

« Si tu veux des droits, appartiens à la majorité sinon paye le prix et accepte d’être dans la sous-caste des intouchables, c’est ton choix, assume-le. ! »

Ça valait vraiment le coup de faire la révolution pour en arriver là et je n’ai jamais été autant fier d’être un « bon » français.

Nous les pro-vaccins Covid, nous les pro-pass sanitaire, avons la morale avec nous, nous n’avons pas à rougir de lois pour le bien de tous, nous pouvons être fiers de ces textes qui nous débarrassent des brebis galeuses, fiers d’être complices ou acteurs de ces lois nullement scélérates.

D’autant plus que ces mesures ne sont pas bien méchantes et même un peu timorées. Comme je peux le lire ici et là, et notamment sur les réseaux sociaux, il faudrait enfermer les antivax dans des camps de travail (on ne va pas les nourrir à ne rien foutre), leur supprimer tous droits et allocations et bien entendu leur retirer leurs enfants qui sont sous emprise de ces monstres.

Dire que certains imaginent une démocratie dans laquelle il y aurait les mêmes droits et devoirs pour tout le monde, quelles que soient leurs opinions, et en fonction de leurs capacités. Pire encore, une démocratie dans laquelle celui qui aurait le plus de pouvoir aurait le plus d’obligations et, paradoxalement, le moins de droits.

Et puis quoi encore ?

Alors je dis :

« Oui à l’obligation vaccinale, oui au pass sanitaire, oui à l’apartheid, oui à la discrimination, oui au marquage sur la peau, oui à l’internement pour les mauvais Français ! »

Merci

Alain Tortosa pour « dictature égalité fraternité magazine »

15 septembre 2021.
https://7milliards.fr/tortosa20210915-que-l-odeur-de-l-apartheid-est-bonne.pdf




300.000 soignants non vaccinés : Macron a perdu la guerre de la contrainte

[Voir aussi sur ripostelaique.com]

Par Nicole Delépine

« Ce n’est pas la fin. Ce n’est même pas le commencement de la fin. Mais, c’est peut-être la fin du commencement. » 

Churchill à propos de la bataille de Stalingrad

Trois mille soignants sont suspendus en ce 16 septembre, dans un système de santé déjà exsangue depuis deux décennies au moins. Peu importe, puisque certains hôpitaux ou services n’hésitent pas à renvoyer des malades en chimiothérapie ou des parturientes pour absence de passe sanitaire, dont chacun a compris qu’il n’avait de sanitaire que le nom. Et la suppression continue des lits depuis 2020 a démontré pour les plus naïfs que le but du pouvoir n’était pas de soigner (interdiction des traitements précoces efficaces, euthanasie déguisée au Rivotril dans les EHPAD, etc..) mais bien de soumettre le peuple au contrôle numérique via la mise en condition par la vaccination et le pass de moins en moins sanitaire et de plus en plus totalitaire.

LE STALINGRAD DU POUVOIR

La médecine d’Hippocrate agonise, et la question est de savoir quand on va la mettre en réanimation et lui donner les traitements précoces efficaces… Mais est-ce une victoire du pouvoir ou bien un Stalingrad de Emmanuel Macron quand on sait qu’environ 300 000 soignants ont résisté au harcèlement, aux menaces, aux intimidations de leur hiérarchie, des ARS et de la sécurité sociale, et pire peut-être aux pleurs de leur famille, inquiète des conséquences en particulier financières d’un licenciement sans indemnité de chômage, ni aides sociales ni rien… « On va se retrouver à la rue ».

Comme l’explique clairement le Dr Éric Menat dans une interview coup de gueule du soir de cette Bérézina du pouvoir, un étranger qui arrive en France reçoit rapidement entre 1500 et 2000 euros, et il ne le remet pas en cause le moins du monde, mais souhaiterait que l’aide-soignante qui gagne à tout casser 1500 euros par mois et n’a donc pas d’avance sur ses comptes, ne se retrouve pas SDF faute de salaire, mais aussi interdiction d’autre travail et absence d’indemnité y compris de logement.

Comment accepter cette discrimination sordide entre citoyens ?

Eric Verhaeghe comme souvent nous remonte le moral dans sa tribune du 15 septembre 2021 dans le courrier des Stratèges(([1] https://lecourrierdesstrateges.fr/2021/09/15/pourquoi-macron-a-dores-et-deja-perdu-la-bataille-de-lobligation-vaccinale-pour-les-soignants/?)):

« c’est démangeant d’établir une corrélation entre ce coup de pouce aux profits et les immenses besoins de financement de la campagne électorale qui s’ouvre, même si aujourd’hui aucun élément factuel sérieux ne permet d’étayer ce soupçon. Les communiqués officiels sur l’issue de cette bataille sont évidemment triomphalistes sous la plume du gouvernement. En réalité, Macron a perdu la première manche, et il le sait ».

« Cette campagne, portée par de très puissants intérêts industriels trouvent dans la Commission Européenne une écoute très attentive. Ces intérêts sont à la fois ceux des laboratoires pharmaceutiques, mais aussi ceux de l’industrie numérique et en particulier sa branche spécialisée dans la surveillance numérique des populations, la reconnaissance faciale, la recherche des citoyens (tracking), l’identité numérique dont le passe dit sanitaire est le modèle. »

Pour Éric Verhaeghe l’idée de la bulle du pouvoir renfermée sur elle-même, à cent lieues de la vraie vie des villes et des campagnes, est qu’elle a déjà gagné.

A contrario les combattants pour la liberté du samedi sont convaincus qu’ils ont déjà perdu ! Ces analyses sont aussi fausses l’une que l’autre et nous partageons cet avis.

Comme nous avait avertis Emmanuel Macron en mars 2020, il s’agit d’une guerre dont les racines sont déjà anciennes (voir les nombreuses vidéos des défenseurs de l’eugénisme et de la société du tout numérique de Attali à Bill Gates en passant par Laurent Alexandre, par exemple).

L’actualité doit nous rassurer sur l’avenir

« Il n’y aura par conséquent aucune victoire-éclair, ni d’un côté ni de l’autre. Il y aura un long combat. Il faut s’y préparer. »

Les médias complices des adorateurs du Great Reset ont réussi à réduire le débat (qui n’a jamais lieu) sur l’opportunité de la vaccination et du pass et à le réduire à une bataille rangée entre provax et les citoyens prudents qualifiés d’antivax.

 « Dans la durée, l’enjeu mondialisé du passe sanitaire est bien la projection de l’Occident dans une logique de crédit social à la chinoise, et dans une numérisation de l’identité couplée au contact tracking et à la surveillance généralisée. L’État veut désormais tout savoir de vous, de vos amis, de vos lieux préférés, de votre emploi du temps, sans que vous n’en preniez ombrage. Votre servitude doit devenir un motif de fierté » nous explique Éric Verhaeghe.

Finalement les générations des jeunes ou encore jeunes nés après 1968, qui ont vécu en bisounours, dans la pensée unique, sans grande conscience de ses dangers, découvrent un monde inimaginable. Parfois les parents et grands-parents avaient évoqué la Seconde Guerre mondiale, et l’extermination des Juifs dont certains étaient restés en Allemagne lors de la montée du nazisme, car ils ne pouvaient croire aux horreurs que d’autres, plus clairvoyants, pressentaient.

Ils découvrent comme le dit joliment Éric Verhaeghe.

« que la démocratie peut finir brutalement et se transformer en dystopie, lorsque sa conduite est abandonnée à une caste de petits marquis soudoyés par quelques grands possédants. La démocratie est comme une orchidée : elle est fragile, au fond, et demande une attention de tous les instants, quand on croyait qu’elle était immortelle. »

LA FORCE INTÉRIEURE INSOUPÇONNÉE EN NOUS 

Et là il nous explique la force intérieure que beaucoup auront découvert dans les nuits d’angoisse et d’hésitations et finalement

« ont laissé leur volonté de liberté s’affirmer malgré la pression collective. Ils assument d’être mis au ban de la société pour rester eux-mêmes.

Cette force-là, ce n’est pas en temps de paix, en temps de bonheur, qu’on la découvre en soi. Et il faut ici remercier Macron d’avoir permis à des millions de Français de découvrir qu’ils pouvaient aller loin, très loin, dans les ressources intérieures, dans la souffrance, pour affirmer leur volonté et pour résister. 

L’électrochoc du 12 juillet a produit un formidable réveil de la volonté et la volonté est ce qui a toujours sauvé et sauvera à nouveau l’Occident. Organiser la sécession pour se protéger de la Caste en commençant par une sécession psychique. »

LA TRAGÉDIE ACTUELLE COUPLÉE À LA RÉSISTANCE

La limite du supportable a-t-elle été atteinte ? Comme pour mon père, entré en résistance et le maquis lorsque les mesures de l’occupant avaient dépassé le supportable.

Partout, des soignants ont démissionné, parfois par centaines (on parle de 300 démissions au CHU de Strasbourg), avant d’être suspendus. 450 soignants seraient suspendus à Nice.

Les arrêts-maladie ont explosé partout avec de nombreuses fermetures de service, des urgences, itératives, intermittentes.

Partout, l’obligation vaccinale a clivé et traumatisé des équipes déjà fortement secouées par des mois de COVID et surtout de faux covid et d’interdiction de soigner, de prendre en charge des malades non-covid devant des lits obstinément vides.

Les soignants ont ensuite vu arriver les malades du vaccin, AVC, infarctus, embolies pulmonaires, thromboses, etc. avec interdiction d’en parler à l’extérieur sous peine de sanction. Ils ont été aux premières loges pour évaluer les conséquences morbides de ces faux vaccins qu’on leur impose, d’où les refus, les dépressions, les démissions, les suicides, etc.

Quant aux résidences pour personnes âgées, qui vivent un vrai désastre, les familles ne tarderont pas à voir les effets ? Où est passé le respect de la personne humaine dans ces lieux qui n’étaient pas des prisons, mais sont devenus des lieux d’enfermement pire que les prisons. Rappelons-nous à quel point les résidents sont contraints à l’injection dangereuse, car refus signifie isolement dans la chambre, interdiction de visites et de vie commune, etc. les capos se révèlent vite dans ces périodes de guerre, comme les héros à l’opposé. Dans les prisons, le refus est accepté, car les détenus ne sont pas des cobayes le ministre de la Justice l’a dit… Mais les vieux, pas de problème ?

Et chaque jour, le pouvoir en rajoute comme aujourd’hui ces mesures propres à la Nouvelle-Calédonie

« Épouvante de l’obligation vaccinale covid en Nouvelle-Calédonie : les trisomiques, les obèses ou les personnes souffrant d’un cancer auront une amende de 175 000 francs (1470 euros) si non vaccinés ! Affreux et scabreux ! Notre combat n’est pas que politique, il est humain ! »(([2] Tweet de Florian Philippot))

Mais la résistance continue

Des centaines de personnes rassemblées devant l’ARS de #Montpellier, contre l’obligation vaccinale pour le personnel soignant. Ils avaient jusqu’à aujourd’hui pour avoir au moins une première dose du vaccin. Autrement, leur contrat de travail sera suspendu.

Et devant l’hôpital de Besançon.

Devant l’ARS DU VAUCLUSE à Avignon

 Chaîne humaine autour du ministère de la Santé en soutien aux soignants soumis à l’obligation vaccinale.

Une action parmi les centaines d’actions en #France pour défendre la #Liberté de soins & #prescription et dénoncer la Dictature sanitaire.

Aucun rationnel médical.

Poursuivons, le Droit, l’Humain sont de notre côté, les consciences se réveillent.

Nicole Delépine




Dr Salim Laïbi : « Aujourd’hui est mon dernier jour en tant que chirurgien-dentiste ! »

[Source : Le Libre Penseur via reseauinternational.net]

Par Dr Salim Laïbi

Aujourd’hui est mon dernier jour en tant que chirurgien-dentiste libéral à Marseille à cause de l’obligation vaccinale Covid19 ! Voici le message laissé au cabinet à mes patients qui seront à partir de demain abandonnés à cause de Macron pour en faire des sans-dents !
On ne se laissera pas faire, la mise en danger de la vie d’autrui est une réalité, des plaintes au pénal seront déposées dans les prochains jours.




Covid-19 : enfin une enquête ! Une vraie

[Source : Nice Provence Info (nice-provence.info)]

Par Georges Gourdin

Il reste encore des journalistes qui enquêtent vraiment !

Philippe Aimar (illustration ci-dessus, source Wikipédia) en est un. Ce grand reporter s’est lancé dans une mission impossible : enquêter sur le virus Covid-19.

Pourquoi mission impossible ? Parce-que tout est extraordinairement compliqué dans cette affaire. Tout le monde ment et manipule. Tout se fait dans l’ombre. Le sujet est accaparé par les médias mainstream qui donnent le « la » de l’information. Malheur à celui qui y déroge. Tous les coups sont permis, même les assassinats. L’auteur nous en cite une quinzaine, dont plusieurs par défenestration, dès les premières pages du livre. Histoire de se mettre dans l’ambiance.

On croit lire un roman noir. On entre dans une enquête méticuleuse, factuelle, qui pourrait être le scénario d’un film catastrophe avec un très bon metteur en scène. Mais il s’agit — hélas — de la réalité !

Tout y est répertorié, quasiment au jour le jour, avec des passerelles incessantes entre tous les protagonistes : le laboratoire de Wuhan, le Parti Communiste Chinois, l’OMS, Anthony Fauci, l’incontournable et omniprésent Bill Gates et tant d’autres. Il faut s’accrocher parfois, notamment avec les noms chinois. Nous découvrons au fil des pages quelques acteurs majeurs et très discrets, comme par exemple Arno Karlen, que personne ne connaît et qui se retrouve à toutes les étapes de l’enquête.

Table des matières

1 Le vrai décor : des scientifiques tués et des usines de chloroquine incendiées
2 Pourquoi ce virus a déchaîné les médias et pas la tuberculose
3 Arno Karlen, le prophète de malheur
4 Le jour où Bill Gates a décidé de « sauver » le monde
5 Chine, patrie des zoonoses
6 Qing Ming 2.500 morts Vs 48.000 urnes
7 Une curieuse répétition de pandémie mondiale à New York
8 Quand les espions chinois volent des fioles, des virus
9 Le laboratoire canadien est volé par un biologiste de l’OMS
10 La très mystérieuse Madame Cheng
11 Pékin lance ses pirates sur les laboratoires
12 L’Institut Pasteur perd des virus
13 Le laboratoire P4 « Made in France« 
14 Le renseignement américain perdu dans ses analyses
15 Le Dr Fauci savait à l’avance ce qui allait se passer
16 SPECTRE pharmaceutique ou le »Club Dolder »
17 Un cas pratique : l’infection du Diamond Princess
18 Un virus aussi mutant que certains médecins
19 Les cas « non-conformes » de la Suède et des Caraïbes
20 Cette Chloroquine qui empêche les laboratoires de vendre
21 Didier Raoult et la Chine contre les médias
22 Les tests PCR ont été… contaminés
23 Passeport vaccinal et base de données des vaccinés
24 Virus naturel ou artificiel

Covid-19: Enquête sur un virus
Cliquer sur l’image pour commander le livre

Le travail de Philippe Aimar a permis de révéler quelques scoops :
• le rôle considérable d’Arno Karlen, nous l’avons cité, mais aussi
• le fait que le marché de la gestion de la base de données des vaccinés a été confié, devinez à Qui ? À Microsoft qui ne rêve que de ficher l’humanité tout entière,
• l’existence d’un groupement aussi puissant que le Bilderberg, mais encore plus discret : le « Club Dolder » qui réunit tous les dirigeants des grands groupes pharmaceutiques et qui a ses entrées à l’Élysée notamment.

Ce travail est LE livre de référence du virus Covid

Il devrait être lu par les anti-pass pour étayer leurs arguments et les réconforter dans leur démarche, s’ils en doutent parfois. Et les autorités s’y emploient. Mais ce livre devrait être lu par tous les journalistes qui ne font pas leur travail d’enquête et qui ont là, à disposition, une mine d’informations qui les aidera à se faire une idée en dehors des dépêches de l’AFP.

Derrière tous ces faits se trament des événements d’une dimension cataclysmique que l’on pressent mais que l’on a du mal à se figurer tellement ils dépassent l’entendement et tellement les intervenants sont nombreux et parfois antagonistes. L’auteur apporte des bases solides à ceux qui veulent aller plus loin. Alors dépêchez vous de lire cette enquête singulière et bouleversante pour mieux appréhender la suite qui nous attend !

Georges Gourdin





Deux visions de la maladie et de la santé

Par Joseph Stroberg

Comme pour la plupart des autres domaines de la vie humaine, la question de la maladie ou de la santé peut s’appréhender selon deux perspectives assez radicalement opposées : une approche matérialiste et une autre spirituelle. La première suppose que la conscience naît de la matière et la seconde qu’elle s’y incarne, mais peut exister en dehors d’elle ou provenir d’ailleurs (de plans d’existence immatériels, dont au moins une partie est alors appelée « au-delà »). La différence d’abord ou de traitement d’un tel domaine aboutit bien sûr dans la pratique à des résultats à leur tour différents.

Pour les individus qui ne conçoivent la vie qu’en termes matériels et la conscience comme un simple épiphénomène de la matière, comme quelque chose qui se manifeste peut-être ou sans doute automatiquement dès qu’un niveau suffisamment complexe de capacités de calcul apparaît. Dans une telle perspective, aussi bien un robot perfectionné finirait par développer une forme de conscience, notamment de lui-même. Jusqu’à maintenant, aucun ordinateur ni robot n’a pu démontrer une telle capacité. Par contre, pour ceux qui ont une approche plus spirituelle, la conscience finirait peut-être par s’incarner dans un robot si elle s’y trouvait à son aise.

Les individus matérialistes s’identifient généralement à leur corps physique fait de chair et de sang. Celui-ci fait intimement partie de leur identité. Il leur faut disposer d’un beau corps pour se sentir beaux. À l’inverse, si ce corps est difforme ou généralement considéré comme laid, ils se trouveront souvent laids ou deviendront plus facilement tristes, rancuniers ou encore négatifs, mais aboutiront plus rarement à une vision positive d’eux-mêmes et de la vie. Pour les gens de nature spirituelle, le corps physique ne représente au contraire qu’un véhicule de leur conscience et ils ne s’y identifient guère plus que le pilote s’identifie à sa voiture. Ils ne se sentent pas autant perdus s’il arrive que leur corps soit moche ou dégradé ou désormais handicapé par un accident. Ils s’accommoderont plus facilement du nouvel état de ce dernier et s’accommodent aussi plus facilement de son usure et de son vieillissement inéluctables.

Sachant que leur corps biologique n’est pas immortel, mais croyant que leur conscience en dépend pourtant exclusivement et ne voulant pas s’éteindre après la mort de celui-ci, bien des matérialistes cherchent ou chercheront à rendre leur corps immortel ou bien à transférer leur conscience dans une machine d’acier inoxydable qui serait prétendument capable de franchir le temps sans limites. Ils courent après un élixir de jeunesse éternelle, la pierre philosophale, ou encore le transhumanisme pour devenir surhumains ou autre chose qu’un humain périssable. En face d’eux, les individus spirituels croient en l’immortalité de la conscience et à la survie de cette dernière après la mort physique de leur véhicule de chair et de sang. Ils ne ressentent aucun besoin de prétendue immortalité physique, d’autant que par ailleurs la matière elle-même n’est pas éternelle.

Pour les matérialistes, la maladie est le plus souvent une affaire de malchance, de mauvaise génétique du corps ou de méchants microbes qui viennent l’attaquer. Comme ils ont peur de la mort, ils ont également peur de la maladie puisque celle-ci peut y conduire. Or, même des médecins matérialistes ont fini par réaliser que la peur elle-même, l’angoisse, le stress et des états émotionnels voisins finissent par engendrer ou au moins favoriser la maladie. Dans le même temps, d’autres chercheurs ont fini par découvrir que leur propre corps contenait en permanence des dizaines de milliers de milliards de bactéries et des centaines de milliers de milliards de virus au sein de ce qu’ils ont appelé respectivement le microbiote et le virome. S’ils étaient matérialistes ou au moins embarqués plus ou moins malgré eux dans les théories matérialistes dominantes, il leur a fallu alors faire toute une gymnastique conceptuelle pour arriver à justifier la simultanéité des méchants microbes et leur si abondante présence dans le corps humain. Ah ! Eh bien finalement, ceux dans le corps sont les gentils et les autres sont les méchants, du moins selon leur conception ainsi schématisée.

Une approche beaucoup plus spirituelle perçoit la maladie comme le résultat de deux grandes causes : l’existence de déficiences ou au contraire d’excès qui le plus souvent conduisent à des formes d’empoisonnement, sachant que la dose fait le poison (et même l’eau bue en trop grande quantité peut entraîner la mort physique). Pour simplifier, ceci a été plutôt traduit en termes de déficiences d’un côté et d’intoxications ou d’empoisonnements de l’autre. Cependant, ces déficiences et ces empoisonnements ne concernent pas seulement le domaine tangible (le corps de chair et de sang), mais aussi les plans d’existence plus subtils :

  • émotionnel, affectif, désirs ;
  • intellect, mental, idées, pensées ;
  • psychisme, conscience, âme ;
  • spirituel, intuitif pur, essence.

Et donc, une déficience importante ou prolongée en certaines émotions telles que la joie ou la satisfaction, en des pensées optimistes ou positives, en moralité et même en écoute des intuitions et de l’être intérieur finit par descendre de plan en plan jusque dans l’organisme physique et y produire des maladies. De même, un excès important ou prolongé de certaines émotions (telles que la haine, la colère, la jalousie, ou encore la peur), de pensées négatives ou pessimistes, mensongères, illogiques ou incohérentes, d’immoralité ou de sadisme psychopathe… finit aussi par se répercuter dans le corps de chair et de sang et par le rendre malade. Notons au passage que sur le plan physique lui-même, les sources d’empoisonnements sont de nos jours multiples et variées : pesticides qui se retrouvent dans la nourriture, additifs alimentaires, édulcorants et autres succédanés d’origine pétrochimique, adjuvants vaccinaux et autres toxines vaccinales (dans les « vaccins » anti-covid, notamment, comme la protéine Spike modifiée), produits nettoyants ménagers, peintures, colles, vernis, décapants…, parfums artificiels, polluants atmosphériques (gaz d’échappement automobiles…), radiations nucléaires en provenance des centrales déficientes, armes à uranium, plutonium provenant des essais nucléaires, etc., et également les ondes électromagnétiques pulsées (Wi-Fi, Bluetooth, 3G, 4G, 4G+, 5G, etc.) en raison des phénomènes physiques d’induction magnétique et de résonance, compte tenu de la nature électrique et magnétique du corps humain. Rappelons que c’est la dose qui fait le poison, mais que de nos jours, à force de cumul des poisons, la résistance du corps est mise à rude épreuve.

L’approche de la médecine matérialiste face à la maladie consiste le plus souvent à introduire de nouveaux manques ou au contraire à ajouter de nouveaux poisons en espérant soigner le mal par le mal. Ainsi, d’un côté on coupe des organes malades, on mutile davantage le corps. Et de l’autre, on le drogue au point éventuellement de le rendre même dépendant de ces poisons. En face de cette approche barbare et archaïque (pour la vie universelle et cosmique, pour le divin…), la santé s’obtient par le retour à l’équilibre, par la réalisation de l’homéostasie et de la symbiose avec le microbiote et le virome, par l’obtention du juste milieu entre déficiences et excès. La voie du milieu proposée par le Bouddha Gautama vaut pour tous les plans : physique, émotionnel, mental, psychique et spirituel. Et elle conduit naturellement et logiquement à la santé physique, affective, mentale, psychique et spirituelle. Elle ne nécessite ni ablations chirurgicales ni prise de médicaments chimiques.

Chaque être humain a le choix de la méthode de guérison, le choix de l’approche qui favorise la santé plutôt que celle qui favorise la maladie. Cela dépend essentiellement de sa manière d’envisager la vie.




En France aussi ils ont menti pour faire croire que la majorité des décès Covid étaient des non-vaccinés

Par Patrice Gibertie et Pierre de « Décoder l’éco« 

[Voir aussi, pour les USA : La « pandémie de personnes non vaccinées » est un mensonge — en voici la preuve]

[Source : pgibertie.com]

1)- LE GOUVERNEMENT A PLANQUÉ 50% des décès pour sous évaluer la part des vaccinés décédés

Les preuves de la magouille, le gouvernement communique 926 décès covid entre le 31 mai et le 11 juillet , il précise 720 non vaccinés, les chiffres officiels que l’on retrouve sur Geodes sont différents : il y a eu en réalité 1880 décès covid sur la même période. Pourquoi avoir triché et magouillé ?

On apprend que  les 926 décès correspondent à des personnes ayant un test PCR avant ou après l’entrée à l’hôpital. Étrange quand on sait que les vaccinés malades sont le plus souvent non testés, consignes obligent…

Soit la France est le seul pays au monde  dans lequel les vaccinés deux doses représentent 2% des décès (partout ailleurs, Israël, UK, [etc.] c’est plus de la moitié) , soit c’est du truandage et les décès planqués sont dans leur immense majorité des vaccinés…

EN Israel 86% des décédés de plus de 60 ans en juillet sont vaccinés deux doses ( ce qui correspond à leur part dans la population). En France …2%…Les propagandistes ont la main lourde.

La « disparition  » concerne peu les cas de contamination 145000 sur Geodes, 138000 pour la DREES, plus les hospitalisations ou même les réas 2084 sur Geodes et 1696 dour la DREES, Le mystère est total pour les décès: un sur deux escamoté.

Les données internationales donnent toujours plus de contaminations parmi les non vaccinés car nous savons que les vaccinés sont plus souvent asymptomatiques ( mais contagieux) et donc non testés.

Les vaccinés connaissant des formes graves sont proportionnellement plus nombreux

L’étude n’est pas crédible:on ne peut pas parler d’échantillon car ils prennent pratiquement tous les cas ,encore 80% des cas graves mais seulement 50% des décès

C’est une manipulation.

LES SOURCES MERCI AU TRAVAIL D’ENQUÈTE @NiusMarco

https://solidarites-sante.gouv.fr/IMG/pdf/2021-07-23_-_sivic-sidep-vacsi_premiers_resultats_-_drees-2.pdf…

https://geodes.santepubliquefrance.fr/#c=home

À TITRE DE COMPARAISON, LES CHIFFRES DE DÉCÈS EN GRANDE Bretagne : 34 non vaccines sur 72 décès

toujours pour comparer les chiffres en israel


[Source : francesoir.fr]

2)- Statistiques officielles, « oublis » : la DREES a-t-elle reconnu son erreur ? « Décoder l’éco » débriefe

Auteur(s): FranceSoir

Les prétendus « complotistes » avaient-ils raison ? Une fois n’est pas coutume, suite à une analyse de Patrice Gibertie au coeur de l’été, le désormais bien connu de nos lecteurs Pierre, de « Décoder l’éco« , s’était installé en verificateur de sa déclaration. En effet, Patrice Gibertie avait écrit que la Direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques (DREES) du ministère de la Santé, oubliait 50% des décès dans son analyse qui a servi de base à la justification d’un message sur l’efficacité vaccinale.

Tout l’été, nous avons entendu que les cas covid dans les hôpitaux étaient principalement des non-vaccinés. Pierre s’est intéressé en statisticien à la validité des déclarations de Patrice Gibertie… pour les confirmer !

Il y a quelques jours, la DREES s’est fendue d’un addendum donnant raison au travail de « Décoder l’eco ». Il manquait bien 900 décès dans l’analyse, ce qui entraîne une inversion du message que 85% des hospitalisés étaient des non-vaccinés. Une correction qui fait un peu tache pour l’organisme se présentant comme « l’expertise statistique publique en santé et en social ».

Cette erreur a été justifiée par la DREES : cependant l’explication n’est pas convaincante pour le statisticien : il nous explique pourquoi en détail dans ce debriefing.

La DREES devra se fendre d’analyses supplémentaires pour fournir une analyse compléte de l’effet de la vaccination. Les données sont là, et cela ne prendrait que quelques semaines pour une bonne équipe.

Les conséquences de cette erreur sont complexes à analyser, mais sans doute importantes : elles peuvent par exemple avoir affecté le consentement libre et éclairé des personnes qui auront été se faire vacciner sur la base de la déclaration du ministre.

Il devient critique pour les médias de questionner les chiffres et communiqués de presse du ministre : le diable est vraiment dans le détail et c’est la précision, l’intelligence collective et le travail de citoyens qui tentent de rebâtir une confiance. Comme le dit Pierre, « c’est facile de vérifier, faites-le » !

Un debriefing proposé en partenariat avec BonSens.org :




[Source : pgibertie.com]

3)- Le mythe des 85 % explose en plein vol : les services gouvernementaux avouent avoir « oublié » la moitié des décès (et 20 % des cas graves)…

Vous les avez tous entendus se gargariser de statistiques fabuleuses sur l’efficacité vaccinale ! « On peut débattre de tout sauf des chiffres ! » Oui mais quand les chiffres sont pipés ! La DREES finit par reconnaitre mais la propagande se poursuit…

Depuis des mois je passe en revue toutes les informations  officielles  et je débusque les magouilles :

Le 31 juillet :

LE GOUVERNEMENT A PLANQUE 50% des décès pour sous évaluer la part des vaccinés décédés

Les preuves de la magouille, le gouvernement communique 926 décès covid entre le 31 mai et le 11 juillet , il précise 720 non vaccinés, les chiffres officiels que l’on retrouve sur Geodes sont différents : il y a eu en réalité 1880 décès covid sur la même période. Pourquoi avoir triché et magouillé ?

On apprend que  les 926 décès correspondent à des personnes ayant un test pcr  avant ou après l’entrée à l’hôpital . Etrange quand on sait que les vaccinés malades sont le plus souvent non testés, consignes obligent…

Soit la France est le seul pays au monde  dans lequel les vaccinés deux doses représentent 2% des décès ( partout ailleurs, Israel UK, c’est plus de la moitié) , soit c’est du truandage et les décès planqués sont dans leur immense majorité des vaccinés…

https://pgibertie.com/2021/07/31/le-gouvernement-a-planque-50-des-deces-pour-sous-evaluer-la-part-des-vaccines-decedes/

Décoder l’info et France SOIR VOUS EXPLIQUENT

Tout l’été, nous avons entendu que les cas covid dans les hôpitaux étaient principalement des non-vaccinés. Pierre s’est intéressé en statisticien à la validité des déclarations de Patrice Gibertie… pour les confirmer !

Il y a quelques jours, la DREES s’est fendue d’un addendum donnant raison au travail de « Décoder l’eco ». Il manquait bien 900 décès dans l’analyse, ce qui entraîne une inversion du message que 85% des hospitalisés étaient des non-vaccinés. Une correction qui fait un peu tache pour l’organisme se présentant comme « l’expertise statistique publique en santé et en social ».

Cette erreur a été justifiée par la DREES : cependant l’explication n’est pas convaincante pour le statisticien : il nous explique pourquoi en détail dans ce debriefing.

La DREES devra se fendre d’analyses supplémentaires pour fournir une analyse compléte de l’effet de la vaccination. Les données sont là, et cela ne prendrait que quelques semaines pour une bonne équipe.

Les conséquences de cette erreur sont complexes à analyser, mais sans doute importantes : elles peuvent par exemple avoir affecté le consentement libre et éclairé des personnes qui auront été se faire vacciner sur la base de la déclaration du ministre.

Il devient critique pour les médias de questionner les chiffres et communiqués de presse du ministre : le diable est vraiment dans le détail et c’est la précision, l’intelligence collective et le travail de citoyens qui tentent de rebâtir une confiance. Comme le dit Pierre, « c’est facile de vérifier, faites-le » 

https://www.francesoir.fr/videos-les-debriefings/la-drees-oubli-erreur-pierre-decoderleco

À QUOI DOIT CORRESPONDRE LA SITUATION DE LA France ? 

La France a quelques semaines de retard sur Israël ou la Grande Bretagne , ainsi en aout, en Israel, 390 personnes vaccinées  deux ou trois doses sont décédées  soit 58 ,5% des décès pour une population vaccinée qui représente à cette date 62% DES HABITANTS

Présenté ainsi l’avantage vaccinal serait très très faible.

Calculés en décès pour 100 000 habitants on obtient 8 décés pour 100 000  non vaccinés contre 7 pour 100 000 deux ou trois doses…

https://pgibertie.com/2021/09/14/israel-60-des-decedes-de-la-covid-etaient-vaccines/




Pourquoi Macron a d’ores et déjà perdu la bataille de l’obligation vaccinale pour les soignants

[Source : lecourrierdesstrateges.fr]

Par Éric Verhaeghe

Le 12 juillet, à la faveur d’un improbable été pluvieux, Emmanuel Macron déclenchait la bataille de l’obligation vaccinale pour les soignants. L’histoire dira un jour quels ont été les tenants et aboutissants exacts de ce fabuleux cadeau aux laboratoires pharmaceutiques, renforcé par un passe sanitaire qui a tonné comme une mise sous contrainte de toute une population pour recevoir aveuglément l’injonction d’un produit sous autorisation conditionnelle. Mais enfin, c’est démangeant d’établir une corrélation entre ce coup de pouce aux profits et les immenses besoins de financement de la campagne électorale qui s’ouvre, même si aujourd’hui aucun élément factuel sérieux ne permet d’étayer ce soupçon. Les communiqués officiels sur l’issue de cette bataille sont évidemment triomphalistes sous la plume du gouvernement. En réalité, Macron a perdu la première manche, et il le sait.

Et voilà, nous sommes le 15 septembre, et le temps d’un premier bilan pour la bataille de l’obligation vaccinale lancée par Emmanuel Macron vient. Beaucoup de victimes de ce diktat sont encore dans un état de sidération et font régulièrement part de leur angoisse ou de leur conviction d’une résistance sans espoir face à l’évidente offensive internationale, commencée par la France, en faveur d’une vaccination. Nous avons commencé à expliquer (et c’est à suivre), les dessous de cette campagne, portée par de très puissants intérêts industriels qui trouvent dans la Commission Européenne une écoute très poreuse. Ces intérêts sont à la fois ceux des laboratoires pharmaceutiques, mais aussi ceux de l’industrie désormais spécialisée dans l’identité numérique

Deux mois après le lancement de cette campagne éclair par la caste mondialisée au pouvoir, quelle tendance globale pouvons-nous observer ? Je voudrais ici prendre le temps d’expliquer pour quelle raison, de mon point de vue, l’actualité doit nous rassurer sur l’avenir. 

La croyance naïve d’une victoire éclair de la caste

Nous l’avons exposé récemment, la caste vit dans une bulle dont la réalité n’est pas la même que la nôtre. Dans cette bulle-là, les Français sont des “veaux”, une sorte d’emballage de Babybel qu’on peut tourner dans les doigts pour lui donner la forme qu’on veut. Pourvu que les Français puissent prendre un pot en terrasse, tout leur irait, et toutes les libertés pourraient être abolies. Dans ce monde-là, les signaux faibles d’une opinion en colère ne comptent pas, et les craquements qui s’entendent de partout dans la structure architectonique de la maison France n’ont aucune importance. 

Forte de ces croyances naïves sur l’état d’une société, la caste a la conviction (comme l’état-major allemand en 1941 lorsqu’il a lancé l’opération Barbarossa) que l’obligation vaccinale serait une promenade de santé et que tous les Français finiraient bien, tôt ou tard, par s’y conformer. Certes, il y aurait des manifestations, des gens pas contents, mais, globalement, tout finirait par suivre et rentrer dans l’ordre. 

Les adversaires du passe sanitaire (ou en tout cas beaucoup d’entre eux) ont, d’une certaine façon, nourri une croyance assez proche. Dans leur esprit, la bataille durerait deux mois au maximum, et battre le pavé jusque-là chaque samedi devait suffire à faire reculer le gouvernement. D’où l’effet de désespoir qui tétanise de nombreux partisans des libertés, convaincus que, dans une démocratie libérale, un gouvernement ne peut pas se comporter comme ça. 

Et d’où leur sentiment d’avoir déjà perdu la guerre et de ne rien pouvoir face au coup de force contre la démocratie mené par la caste mondialisée

De notre point de vue, la réalité est très différente. Nous essayons de l’argumenter et de le documenter depuis plusieurs mois : la caste mondialisée s’est organisée depuis quelques années pour changer le cours de l’histoire en imposant unilatéralement un nouveau modèle de société où l’humanité sera dégradée au profit de la “nature”. Je renvoie sur ce point à mon livre sur le Great Reset. La bataille qui a commencé le 12 juillet n’est donc qu’un épisode dans une longue guerre qu’il va nous falloir mener avec nos armes face à un ennemi moins nombreux, mais beaucoup mieux équipé, et beaucoup plus structuré. 

Il n’y aura par conséquent aucune victoire-éclair, ni d’un coté ni de l’autre. Il y aura un long combat. Il faut s’y préparer. 

Le Great Reset et la dilution de l’Occident dans un grand tout mondialisé et désincarné

Poussée en cela par la presse subventionnée, l’opinion française a essentiellement réduit la question du vaccin et du passe sanitaire à un comportement de mauvais coucheurs “antivax” qui feraient preuve d’irresponsabilité en menaçant la vie des vaccinés. Cette fixation sur une logique de bouc-émissaire a permis d’occulter l’essentiel de la visée politique portée par le passe sanitaire : la mise en place d’un crédit social, où les citoyens les plus obéissants sont récompensés (le droit d’aller au restaurant, au concert, etc.), et où les dissidents sont dégradés (obstacles multiples pour être soignés, sociabilisés, etc.). Ce faisant, le gouvernement est parvenu à faire croire aux amis du passe sanitaire que devoir décliner son identité pour prendre un café était une récompense réservée aux bons élèves, alors qu’il s’agit d’une ahurissante bascule dans la surveillance de masse. 

Dans la durée, l’enjeu mondialisé du passe sanitaire est bien la projection de l’Occident dans une logique de crédit social à la chinoise, et dans une numérisation de l’identité couplée au contact tracking et à la surveillance généralisée. L’Etat veut désormais tout savoir de vous, de vos amis, de vos lieux préférés, de votre emploi du temps, sans que vous n’en preniez ombrage. Votre servitude doit devenir un motif de fierté. 

L’instrumentalisation de l’épidémie pour convaincre une bonne moitié de la société française que le passe sanitaire est un outil de liberté constitue, de ce point de vue et de la part d’Emmanuel Macron, un coup de maître. Le spectacle des bien pensants au sens large (on y mettra pêle-mêle Pascal Praud, Michel Onfray, et une quantité d’autres qui se laissent distraire par l’écran de fumée du vaccin) convaincus d’être très intelligents en plaidant en faveur de leur mise sous surveillance est de ce point de vue jubilatoire et d’une ironie absolue. 

Mais le programme du Great Reset ne s’arrête pas là. Nous avons déjà insisté sur l’importance du Big Government et sur le remplacement des Etats-Nations par des ensembles multilatéraux calqués sur l’Union Européenne. Mais la principale phase du Great Reset, son stade ultime, sera la révolution “écologique” où l’humanisme ne sera qu’un vieux souvenir, où l’humanité sera considérée comme un stade primitif dans un nouvel ordre naturel où la technologie permettra le dépassement de l’homme.

Autrement dit, le vieux noyau occidental qui conduit le monde depuis des siècles sera définitivement dilué, après des décennies de sape menée par George Soros et ses sbires de Black Lives Matter et autres mouvements racialistes. 

Grâce à Macron, le réveil de la volonté individuelle

Après des décennies de consumérisme aveugle, où le confort valait religion dans une sorte d’insouciance éternelle savamment cultivée comme l’a très bien montré Philippe Muray (aujourd’hui lâchement trahi par certains ou certaines de ses disciples), le réveil est douloureux. Bercés par la propagande unioniste selon laquelle l’Europe garantissait la paix et la victoire ultime des bisounours, beaucoup découvrent que la démocratie peut finir brutalement et se transformer en dystopie, lorsque sa conduite est abandonnée à une caste de petits marquis soudoyés par quelques grands possédants. Et beaucoup comprennent que la démocratie est comme une orchidée : elle est fragile, au fond, et demande une attention de tous les instants, quand on croyait qu’elle était immortelle. 

De ce point de vue, le discours du 12 juillet par Emmanuel Macron a constitué un premier et formidable révélateur. Si une majorité de Français l’a avalé dans le contentement, ou parfois dans la peur et le tremblement, il a pour un grand nombre de Français constitué un signal majeur. L’heure du réveil a sonné, particulièrement pour une masse colossale d’agents hospitaliers, d’aide-soignant(e)s, d’infirmiers ou d’infirmières qui ont dû choisir entre conserver leur emploi ou subir une injection dont ils ou elles ne voulaient pas. 

Pour tous ceux-là, le discours de Macron a constitué une ordalie, comme l’épreuve du feu dans le droit germanique au Moyen-Âge. Certains ont parfois, la mort dans l’âme, et pour des raisons que l’on peut comprendre, choisi d’être vaccinés. Mais leur amertume durera, et la caste le paiera cher tôt ou tard. D’autres, souvent après des nuits d’angoisse et d’incertitudes, après des tourments qu’ils n’imaginaient pas, ont laissé leur volonté de liberté s’affirmer malgré la pression collective. Ils assument d’être mis au ban de la société pour rester eux-mêmes.

Cette force-là, ce n’est pas en temps de paix, en temps de bonheur, qu’on la découvre en soi. Et il faut ici remercier Macron d’avoir permis à des millions de Français de découvrir qu’ils pouvaient aller loin, très loin, dans les ressources intérieures, dans la souffrance,  pour affirmer leur volonté et pour résister. 

Comment le Great Reset réveille la liberté

Ce 15 septembre au soir, nous subirons très probablement la propagande officielle, délivrée industriellement par des medias subventionnés (et détenus par les marionnettistes qui meuvent la classe politique), selon laquelle la mise en place de l’obligation vaccinale constitue une grande victoire des colonnes macroniennes. La réalité profonde est toute autre. 

D’abord parce que la saignée imposée dans les hôpitaux et dans la médecine de ville est terrible, même si elle sera de-ci de-là longue à montrer ses effets. Partout, des soignants ont démissionné, parfois par centaines (on parle de 300 démissions au CHU de Strasbourg), avant d’être suspendus. Les arrêts-maladie ont explosé. Les suspensions vont couronner cette situation de fragilité dangereuse. Partout, l’obligation vaccinale a clivé et traumatisé des équipes déjà fortement secouées par des mois de COVID. Et que dire des résidences pour personnes âgées, qui vivent un vrai désastre dont les familles ne tarderont pas à voir les effets ?

Ceux qui ont déclenché cette bataille méprisent le bien commun et prendront leur mépris en boomerang dans les mois qui viennent, lorsque les vaccinés seront à la recherche d’un médecin, d’un service hospitalier, capable de leur injecter leur quatrième dose, ou capable de soigner en urgence la thrombose créée par le vaccin, et qu’ils trouveront devant eux un système sanitaire dévasté par la folie macronienne. 

Surtout, l’électrochoc du 12 juillet a produit un formidable réveil de la volonté  – et la volonté est ce qui a toujours sauvé et sauvera à nouveau l’Occident. 

Organiser la sécession pour se protéger de la caste

Beaucoup (qui ignoraient que l’Histoire est tragique) me répondront que la meilleure volonté du monde ne peut rien contre un rouleau compresseur aussi puissant que le projet de Great Reset qui se met en place. C’est assez vrai, mais nous disposons en réalité d’une arme extrêmement puissante et destructrice pour contrer les visées de la caste. Il s’agit de la sécession, forme suprême de la désobéissance civile qu’il convient désormais de décliner sous toutes ses formes. 

Je vous propose que nous mettions les jours à venir au service de cette déclinaison, que nous pourrions partager collectivement. L’urgence est en réalité de procéder à une sécession psychique. Je vous expliquerai demain comment la pratiquer. 




Covid-19 : l’OMS ne compte plus sur le vaccin pour mettre fin à la pandémie

[Source : Boursorama]

[Photo : Hans Kluge à Moscou, en Russie, le 23 septembre 2020. ( SPUTNIK / ALEXANDER ASTAFYEV )]

« L’objectif essentiel de la vaccination est avant tout d’empêcher les formes graves de la maladie et la mortalité » a reconnu vendredi 10 septembre le directeur de l’OMS en Europe, Hans Kluge. Selon lui, l’émergence de variants plus contagieux a remis en question la possibilité de contrôler l’épidémie grâce au vaccin.

Il faut « anticiper pour adapter nos stratégies de vaccination », notamment sur la question des doses supplémentaires, selon lui, alors qu’il est probable que le covid-19 devienne une maladie saisonnière et ne puisse être éradiquée.

En mai, le responsable sanitaire onusien avait affirmé que « la pandémie sera(it) terminée lorsque nous aurons atteint une couverture vaccinale minimale de 70% » de la population mondiale. Interrogé sur le fait de savoir si cet objectif valait toujours ou s’il devait être relevé, Hans Kluge a souligné que les nouveaux variants plus contagieux, principalement Delta, avaient changé la donne.

Une immunité collective illusoire ?

À l’époque, même si le variant détecté initialement en Inde sévissait déjà, « il n’y avait pas une telle émergence des variants plus transmissible et plus viraux », a-t-il fait valoir. « Donc je crois que cela nous amène au point où l’objectif essentiel de la vaccination est avant tout d’empêcher les formes graves de la maladie et la mortalité » , a souligné Hans Kluge.

« Si on considère que le Covid va continuer à muter et rester avec nous , comme la grippe, alors nous devons anticiper comment adapter progressivement notre stratégie de vaccination à la transmission endémique, et acquérir un savoir très précieux sur l’impact des doses supplémentaires », a-t-il ajouté.

Selon des épidémiologistes, il semble désormais illusoire d’atteindre l’immunité collective uniquement grâce aux vaccins , mais ceux-ci restent tout de même cruciaux pour circonscrire la pandémie de Covid-19. Un niveau très élevé de vaccination reste aussi indispensable « pour réduire la pression sur nos systèmes de santé qui ont désespérément besoin de traiter les autres maladies que le Covid », a souligné Hans Kluge vendredi.

Désormais dominant, le variant Delta est jugé 60% plus transmissible que le précédent (Alpha) et deux fois plus que le virus historique. Or, plus un virus est contagieux, plus élevé est le seuil nécessaire à l’immunité collective, c’est-à-dire le seuil de personnes immunisées au-delà duquel l’épidémie cesse. Celle ci peut s’obtenir via les vaccins ou l’infection naturelle.




Un juge fédéral bloque l’obligation de vaccination des soignants de l’État de New York

Par Nicole Delépine

Voici le résumé du jugement qui donne de l’espoir aux soignants du monde entier, espérant qu’il pourra faire jurisprudence.

Federal Judge Blocks New York State Health Care Worker Vaccination Mandate (theepochtimes.com)

Un juge fédéral a accordé une injonction d’urgence empêchant l’État de New York d’appliquer une nouvelle obligation de vaccin anticovid pour les travailleurs de la santé.

Dix-sept professionnels de la santé avaient demandé au tribunal la suspension de l’exécution d’obligation, à New York imposé par le gouvernement de l’époque. Le maire exigeait que le personnel des hôpitaux et des établissements de soins de longue durée tels que les maisons de soins infirmiers, les établissements de soins pour adultes et d’autres établissements de soins collectifs soit vacciné contre la COVID-19 pour continuer à être employé.(([1] Verified-Complaint-and-Exhibits-Dr.-A.-et-al.-v.-Hochul-et-al.-Filed-Version.pdf (thomasmoresociety.org) ))

Les demandeurs, des médecins, des infirmières, un technicien médical et un agent de liaison d’un médecin étaient confrontés à un licenciement, à la perte de privilèges d’admission à l’hôpital et à la destruction de leur carrière à moins qu’ils ne consentent à être vaccinés avec des vaccins en contradiction avec leurs croyances religieuses, a fait valoir la poursuite.

Leurs croyances religieuses ont contraint les plaignants « à refuser la vaccination avec les vaccins COVID-19 disponibles, qui utilisent tous des lignées cellulaires de fœtus avortées dans leurs tests, leur développement ou leur production », selon des documents judiciaires.

Les employés de la santé ont fait valoir que l’obligation de vaccination annulerait les protections pour les croyances religieuses sincères en vertu du titre VII de la loi sur les droits civils de 1964, même si l’ordonnance sanitaire antérieure de l’État en vigueur quelques jours plus tôt avait accordé les mêmes protections. Plus précisément, ils ont fait valoir que l’obligation violait les premier et quatorzième amendements, la clause de suprématie et la clause de protection égale de la Constitution des États-Unis.

« Ce que New York tente de faire, c’est de fermer une trappe d’échappement à une obligation de vaccination inconstitutionnelle », a déclaré l’avocat Christopher Ferrara, avocat spécial de la Thomas More Society, dans un communiqué avant que l’injonction ne soit accordée.

« Et ils le font tout en sachant que beaucoup de gens ont des objections religieuses sincères aux vaccins qui ont été testés, développés ou produits avec des lignées cellulaires dérivées d’enfants avortés. »

Les plaignants ne sont identifiés dans la poursuite que par des pseudonymes, car, comme ils l’indiquent dans la plainte légale, ils sont « vilipendés » par les médias comme « des parias qui doivent être exclus de la société jusqu’à ce qu’ils soient vaccinés contre leur volonté ».

La nouvelle injonction

« émerge dans le contexte d’une atmosphère de peur et d’irrationalité dans laquelle les non-vaccinés sont menacés d’être réduits à une caste d’intouchables s’ils ne consentent pas à se faire injecter […] avec des vaccins qui violent leurs croyances religieuses, ne sont clairement pas aussi efficaces que promis, et ont connu et de plus en plus évident des risques d’effets secondaires graves et même potentiellement mortels. »

Le juge David Hurd de la Cour de district des États-Unis pour le district Nord de New York, nommé par Bill Clinton, a accordé une ordonnance restrictive temporaire le matin du 14 septembre dans l’affaire. Le procès a été intenté contre le gouverneur de New York, Kathy Hochul.

« L’obligation de vaccination est suspendue » et le ministère de la Santé de New York « est interdit de prendre toute mesure, disciplinaire ou autre, contre le permis, la certification, la résidence, les privilèges d’admission ou tout autre statut professionnel ou qualification de l’un des demandeurs en raison de leur demande ou de l’obtention d’une exemption religieuse de la vaccination obligatoire CONTRE LA COVID-19 », indique l’ordonnance de Hurd. 




La « pandémie de personnes non vaccinées » est un mensonge — en voici la preuve

[Source : mercola.com]

Par Dr. Joseph Mercola

Alors que les responsables de la santé publique et les médias grand public affirment que la pandémie de COVID-19 est désormais « une pandémie de personnes non vaccinées « 1, nous savons maintenant que cette affirmation est basée sur des statistiques très trompeuses.

Lors d’un point presse de la Maison Blanche du 16 juillet 20212, la Dre Rochelle Walensky, directrice des Centres américains de contrôle et de prévention des maladies, a affirmé que « plus de 97 % des personnes qui entrent à l’hôpital en ce moment ne sont pas vaccinées ». Quelques semaines plus tard, dans une déclaration datant du 5 août 2021, elle a révélé par inadvertance comment cette statistique avait été obtenue3.

Il s’avère que les CDC ont examiné les données relatives aux hospitalisations et à la mortalité de janvier à juin 2021 – une période pendant laquelle la grande majorité de la population américaine n’était toujours pas vaccinée4.

Mais ce n’est plus du tout le cas maintenant. Le CDC joue également avec les statistiques d’autres manières pour créer l’impression fausse et inexacte que les personnes non vaccinées constituent la majeure partie des infections, des hospitalisations et des décès. Par exemple, nous savons maintenant que l’agence compte comme non vaccinés tous ceux qui sont morts dans les 14 jours suivant l’injection.

Non seulement cela gonfle de manière inexacte le nombre de décès de personnes non vaccinées, mais cela cache également les véritables dangers des injections de COVID, puisque la grande majorité des décès dus à ces injections surviennent dans les deux premières semaines.5 Maintenant, leurs décès sont comptés comme des décès de personnes non vaccinées au lieu d’être comptés comme des décès dus à des effets secondaires vaccinaux ou à des infections COVID-19 post-vaccinales !

Comment le CDC comptabilise les cas de Covid post-vaccinaux

Selon le CDC6, vous n’êtes pas considéré comme pleinement vacciné tant que 14 jours ne se sont pas écoulés depuis votre deuxième injection dans le cas de Pfizer ou Moderna, ou 14 jours après votre première dose de Janssen. Voici comment le CDC définit un cas post-vaccinal :

« … une infection post-vaccinale est définie comme la détection de l’ARN ou de l’antigène du SRAS-CoV-2 dans un échantillon respiratoire prélevé sur une personne à partir de 14 jours après qu’elle ait reçu toutes les doses recommandées d’un vaccin COVID-19 autorisé par la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis. »

En d’autres termes, si vous avez reçu une dose de Pfizer ou Moderna et que vous développez des symptômes de COVID-19, que vous êtes admis à l’hôpital et/ou que vous décédez du COVID, vous êtes compté comme un cas non vacciné. Si vous avez reçu deux doses et tombez malade dans les 14 jours, vous êtes toujours considéré comme un cas non vacciné.

Le problème est que plus de 80 % des hospitalisations et des décès semblent survenir parmi les personnes ayant reçu les vaccins, mais cette réalité est masquée par la manière dont les cas sont définis et comptés. Une stratégie très astucieuse et courante des CDC au cours de la pandémie a consisté à modifier les définitions et les points de repère afin de soutenir leur narration infâme.

Par exemple, les CDC ont discrètement modifié la définition du terme « vaccin », apparemment dans le but de valider l’appellation de vaccins pour les thérapies géniques à ARNm COVID. Dans une version archivée7 du 26 août 2021, le CDC définit le vaccin comme un

« produit qui stimule le système immunitaire d’une personne pour produire une immunité contre une maladie spécifique, protégeant ainsi la personne contre cette maladie ».

Mais quelques jours plus tard, une nouvelle définition est apparue sur le site web du CDC8, qui dit maintenant qu’un vaccin est une « préparation utilisée pour stimuler la réponse immunitaire du corps contre les maladies. » Les différences entre les définitions sont subtiles mais distinctes : la première définissait un vaccin comme quelque chose qui va « produire une immunité ».

Mais comme les vaccins COVID-19 ne sont pas conçus pour stopper l’infection, mais seulement pour en diminuer le degré, il est évident que la nouvelle définition a été créée pour couvrir les vaccins COVID.

Différentes directives de test pour les vaccinés et les non-vaccinés

Ce n’est pas seulement la définition du CDC d’un cas post-vaccinal qui fausse les données. Plus flagrant et illogique encore est le fait que le CDC a même deux séries différentes de directives de test : une pour les patients vaccinés et une autre pour les non-vaccinés.

Depuis le début de la pandémie, les CDC recommandent un seuil de cycle (CT) de 40 pour le test PCR.9 Cette recommandation va à l’encontre du consensus scientifique, selon lequel un CT supérieur à 35 produit 97 % de faux positifs10, ce qui rend le test inutile.11,12,13

À la mi-mai 2021, le CDC a finalement abaissé le nombre de CT recommandé, mais uniquement pour les patients ayant reçu une ou plusieurs injections de COVID.14 Donc, si vous avez reçu une injection de COVID, les directives du CDC prévoient que votre test PCR doit être effectué à un CT de 28 ou moins. Si vous n’êtes pas vacciné, votre test PCR doit être effectué à un CT de 40, ce qui surestime largement la prévalence réelle de l’infection.

Le résultat final est que les personnes non vaccinées qui se font tester sont beaucoup plus susceptibles d’obtenir des faux positifs, tandis que celles qui ont été vaccinées ont plus de chances d’obtenir un diagnostic précis de l’infection.

Si vous êtes vacciné, seules l’hospitalisation et la mort seront comptabilisées

Et ce n’est pas tout. Le CDC dissimule également les échecs de la vaccination et soutient le récit de la « pandémie des non-vaccinés » en ne comptabilisant que les cas post-vaccinaux qui entraînent une hospitalisation ou un décès.

En d’autres termes, si vous avez reçu votre deuxième injection de COVID il y a plus de 14 jours et que vous développez des symptômes, vous ne comptez pas comme un cas post-vaccinal à moins d’être admis à l’hôpital et/ou de mourir du COVID-19 à l’hôpital, même si votre test est positif. Donc, pour résumer, les cas de COVID post-vaccinal ne comptent que si tous les éléments suivants s’appliquent :

  • Le patient a reçu la deuxième dose du vaccin Pfizer ou Moderna il y a au moins 14 jours (ou une dose dans le cas de l’injection monodose de Johnson & Johnson).
  • Le patient est testé positif pour le SRAS-CoV-2 avec un CT de 28 ou moins, ce qui permet d’éviter les faux positifs.
  • Le patient est admis à l’hôpital pour le COVID-19 et/ou décède à l’hôpital.

Les vaccinés représentent probablement l’essentiel des hospitalisations

Si les vaccinés et les non-vaccinés n’étaient pas traités avec des normes aussi différentes, nous constaterions probablement que les vaccinés représentent aujourd’hui la majorité des hospitalisations, ce qui fait de la pandémie de COVID celle des vaccinés. Un article publié le 30 août 2021 par The Epoch Times révèle ce qui se passe réellement sur la ligne de front :15

« Après une batterie de tests, on a diagnostiqué à mon ami une pancréatite. Mais il a été plus facile pour la bureaucratie de l’hôpital d’enregistrer l’admission comme un cas de COVID… Les médias grand public rapportent que les cas graves de COVID concernent principalement les personnes non vaccinées… Est-ce que c’est vraiment ce qui se passe ?

Ce n’est certainement pas le cas en Israël, le premier pays à avoir entièrement vacciné une majorité de ses citoyens contre le virus. Aujourd’hui, le pays affiche l’un des taux d’infection quotidiens les plus élevés et la majorité des personnes qui attrapent le virus (77 % à 83 %, selon l’âge) sont déjà vaccinées, selon les données recueillies par le gouvernement israélien…

Après mon admission, j’ai parlé à l’infirmière du service COVID… Elle m’a dit qu’elle avait reçu les deux vaccins mais qu’elle était inquiète : « Deux tiers de mes patients sont complètement vaccinés », a-t-elle dit. Comment peut-il y avoir un tel décalage entre ce que l’infirmière du service COVID m’a dit et les reportages des médias grand public ? »

Le cœur du problème est que les États-Unis n’essaient même pas d’obtenir un décompte précis. Comme le note The Epoch Times,

« les Centres de contrôle et de prévention des maladies ont publiquement reconnu qu’ils ne disposaient pas de données précises. »

Ainsi, lorsque vous entendez que les cas augmentent, et que la plupart d’entre eux ne sont pas vaccinés, vous devez vous demander : « S’agit-il de personnes qui ont reçu un vaccin et sont tombées malades, deux vaccins et sont tombées malades, ou pas de vaccin du tout ? ». Sans plus de détails, il est impossible de savoir ce qui se passe réellement », indique The Epoch Times.16

Tout ce que nous savons, selon un médecin qui s’est entretenu avec The Epoch Times, c’est que

« les vaccins ne sont pas aussi efficaces que les responsables de la santé publique nous l’ont dit. C’est un produit qui ne fait pas ce qu’il est censé faire. Il est censé arrêter la transmission de ce virus et il ne le fait pas ».

Comptabilisation des maladies non liées au COVID comme des cas de COVID

En plus de tout cela, les hôpitaux continuent de déclarer des maladies non liées au COVID comme des cas de COVID. Comme le rapporte The Epoch Times17:

« Les autorités sanitaires du monde entier agissent ainsi depuis le début de la crise du COVID. Par exemple, un jeune homme du comté d’Orange, en Floride, qui est décédé dans un accident de moto l’été dernier, a été initialement considéré comme un décès lié au COVID par les autorités sanitaires de l’État….

Et un ouvrier du bâtiment d’âge moyen, tombé d’une échelle en Croatie, a également été considéré comme un décès dû au COVID… Pour brouiller encore plus les pistes, même les personnes dont le test de dépistage du COVID est négatif sont parfois considérées comme des décès dus au COVID.

Prenons le cas de Matthew Irvin, 26 ans, père de trois enfants, originaire du comté de Yamhill, dans l’Oregon. Comme le rapporte KGW8 News, Irvin s’est rendu aux urgences pour des douleurs à l’estomac, des nausées et des diarrhées le 5 juillet 2020. Mais au lieu de l’admettre à l’hôpital, les médecins l’ont renvoyé chez lui.

Cinq jours plus tard, le 10 juillet 2020, Irvin est mort. Bien que son test COVID se soit révélé négatif deux jours après sa mort et que sa famille ait déclaré aux journalistes et aux responsables de la santé publique que personne dans l’entourage d’Irvin ne présentait de symptômes COVID, le médecin légiste aurait dit à la famille qu’une autopsie n’était pas nécessaire, inscrivant son décès comme un cas de coronavirus. Il a fallu deux mois et demi à l’autorité sanitaire de l’Oregon pour corriger cette erreur.

Dans un exemple encore plus frappant de sur-dénombrement des décès dus au COVID, une maison de retraite du New Jersey qui ne compte que 90 lits a été déclarée à tort comme ayant 753 décès dus au COVID. Selon un porte-parole, il y a eu moins de vingt décès. En d’autres termes, le nombre de décès a été sur-déclaré de 3 700 %. »

[…]

Sources et références




La chanteuse lyrique Espagnole Ainhoa Arteta dans un état grave depuis son injection

[Photo : Ainhoa Arteta, image stock LE MONDE]




France : la chasse aux sorcières recommence

[Source : Nicolas Bonnal]

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[Voir aussi : LE MEURTRE DE L’ESPRIT ou comment la peur mène à la psychose de masse]
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Selon Nice-Matin, « près de 450 personnes ont été suspendues par la direction de l’hôpital pour ne pas avoir présenté de schéma vaccinal complet ». 

Le CHU de Nice qui compte environ 7.500 personnels, dont 95% de vaccinés, précise Nice-Matin « va être obligés de fermer des services », avait déploré Michel Fuentes, dans le quotidien  le 14 septembre.

Le sénateur Bernard Jomier indique sur Twitter avoir été « désigné rapporteur de la proposition de loi instaurant la vaccination universelle obligatoire contre le COVID19 ». Le texte, à l’initiative du groupe socialiste, doit être débattu en séance publique au Sénat mercredi 13 octobre.

https://www.lci.fr/sante/en-direct-covid-19-pandemie-coronavirus-pass-sanitaire-obligation-vaccinale-9-soignants-sur-10-sont-vaccines-affirme-gabriel-attal-2196156.html




L’obligation vaccinale des soignants fragilisée par l’indigent décret d’application

[Source : Le Courrier des Stratèges (lecourrierdesstrateges.fr)]

Par Éric Verhaeghe

C’est vrai ! le décret sur la vaccination obligatoire prévu par l’article 12 de la loi du 5 août 2021 fait l’objet d’un débat, le gouvernement soutenant qu’il est intégré dans le décret du 7 août. Cette position soulève de nombreux problèmes, car ce décret se borne très largement à citer la loi, et ne porte aucune des précisions que celle-ci prévoit explicitement. Dans ces conditions, il nous semble qu’il existe une voie pour contester la façon dont la loi concilie (insuffisamment) le secret médical et la déclaration de statut vaccinal auprès de l’employeur.

https://youtu.be/u-7yxHTziqk

Effectivement, il existe un flou sur la parution du décret d’application de l’article 12 de la loi du 5 août 2021, considéré comme intégré au décret du 7 août 2021. Pour mémoire, la loi prévoyait ceci :

II. – Un décret, pris après avis de la Haute Autorité de santé, détermine les conditions de vaccination contre la covid-19 des personnes mentionnées au I du présent article. Il précise les différents schémas vaccinaux et, pour chacun d’entre eux, le nombre de doses requises.
Ce décret fixe les éléments permettant d’établir un certificat de statut vaccinal pour les personnes mentionnées au même I et les modalités de présentation de ce certificat sous une forme ne permettant d’identifier que la nature de celui-ci et la satisfaction aux critères requis. Il détermine également les éléments permettant d’établir le résultat d’un examen de dépistage virologique ne concluant pas à une contamination par la covid-19 et le certificat de rétablissement à la suite d’une contamination par la covid-19.

On retiendra donc que la loi prévoit un décret pour remplir deux objets principaux :

  • expliquer les schémas vaccinaux et le nombre de doses à recevoir pour être “conforme”
  • préciser dans quelle condition les employeurs sont informés du statut vaccinal sans violer le secret médical. 

Le décret du 7 août dispose ceci :

« Art. 49-1.-Hors les cas de contre-indication médicale à la vaccination mentionnés à l’article 2-4, les éléments mentionnés au second alinéa du II de l’article 12 de la loi n° 2021-1040 du 5 août 2021 susvisée sont :
« 1° Un justificatif du statut vaccinal délivré dans les conditions mentionnées au 2° de l’article 2-2 ;
« 2° Un certificat de rétablissement délivré dans les conditions mentionnées au 3° de l’article 2-2 ;
« 3° A compter de la date d’entrée en vigueur de la loi et jusqu’au 14 septembre 2021 inclus et à défaut de pouvoir présenter un des justificatifs mentionnés aux présents 1° ou 2°, le résultat d’un examen de dépistage, d’un test ou d’un autotest mentionné au 1° de l’article 2-2 d’au plus 72 heures. A compter 15 septembre 2021 et jusqu’au 15 octobre 2021 inclus, ce justificatif doit être accompagné d’un justificatif de l’administration d’au moins une des doses d’un des schémas vaccinaux mentionnés au 2° de l’article 2-2 comprenant plusieurs doses.
« Les seuls tests antigéniques pouvant être valablement présentés pour l’application du présent 3° sont ceux permettant la détection de la protéine N du SARS-CoV-2.
« La présentation de ces documents est contrôlée dans les conditions mentionnées à l’article 2-3.

On le voit, l’essentiel du décret consiste à… répéter la loi, sans rien y ajouter. Dans ces conditions, le décret semble d’autant plus attaquable qu’il était supposé être rendu sur avis de la Haute Autorité de Santé. Or, comme l’indiquent les visas du décret, celle-ci n’a rendu qu’un seul avis postérieur à la loi : sur les tests auto-géniques. Elle ne s’est pas exprimée sur le schéma vaccinal nécessaire à respecter. Le décret est donc entaché d’illégalité. 

Le décret est-il annulable devant le Conseil d’Etat ?

De notre point de vue, cette réduction du décret d’application à un simple renvoi à la rédaction de la loi, avec un avis très insuffisant (et de pure forme) de la Haute Autorité de Santé, est un motif d’illégalité du décret… et de la loi elle-même. En effet, l’intervention du décret, selon les termes de la loi elle-même, vise à éclaircir les conditions d’application de la loi sur un point très sensible : la conciliation du secret professionnel et de la déclaration vaccinale. 

En restant muet sur ce point, le décret pèche par inaction de l’exécutif et met en danger les libertés fondamentales. Il nous semble donc qu’il y a là, en complément d’un recours contre une décision de suspension prise sans garanties disciplinaires, un motif pour demander l’annulation du décret et affaiblir l’obligation vaccinale. 

Que faire concrètement ?

Ceux qui voudraient se prévaloir de l’incapacité du gouvernement à définir des règles telles que la loi les a prévues ont une vraie possibilité d’ébranler l’édifice juridique qui a conduit à l’obligation vaccinale en mettant en avant l’inaction du pouvoir réglementaire. Pour ce faire, il faut profiter d’un recours devant un tribunal de première instance pour enrichir ses griefs d’une mise en cause de la qualité du décret. 

La mise en cause de l’illégalité du décret obligera les tribunaux à se prononcer. 

Plus subtile, cette mise en cause d’un système où la loi invite à prendre un décret qui se contente de renvoyer à la loi sans rien lui ajouter, sur un sujet aussi sensible que le secret médical, peut conduire à soulever une question prioritaire de constitutionnalité devant le Conseil Constitutionnel… Une procédure encadrée, mais qui peut se relever gagnante, dans la mesure où la question est nouvelle et sérieuse, et où le Conseil Constitutionnel, redisons-le, n’a pas traité cette question dans sa décision du 5 août. 




Des journalistes présentent leurs 10 théories du complot préférées les plus fausses et les plus débiles

Par Nicolas Bonnal

Nous vivons une époque où les débiles vous accusent de débilité. Après Kaboul nos mabouls s’en donnent à cœur joie. Un canard féminin résume ces théories :

1. Bill Gates aurait créé ce virus pour vacciner la population mondiale et lui implémenter une micro-puce dans la foulée. Le fondateur de Microsoft a été contraint de démentir, tant les vidéos l’accusant de vouloir «contrôler les masses» sont devenues virales. Les accusations sont parties de conférences datant de 2015, et repartagées, dans lesquelles le milliardaire annonçait que le monde n’était pas prêt pour la prochaine épidémie. Il faisait référence à Ebola.

2. Il s’agirait d’un programme d’armes biologiques chinois, conçu dans le laboratoire de Wuhan, d’où l’épidémie est partie. La moitié des adhérents veulent que la propagation soit un acte volontaire, l’autre moitié parlant plutôt d’un accident.

3. En Chine aussi, on accuse les autres pays d’être responsables du virus, dont… les Etats-Unis, qui l’auraient créé pour «cibler précisément le peuple chinois». En mars, l’ambassadeur chinois à Washington
a été convoqué par le gouvernement américain pour s’expliquer.

4. Après la chauve-souris et le pangolin, le raton laveur est aussi devenu persona non grata, puisque, en anglais, racoon est l’anagramme de corona. De plus, il passe son temps à se laver les mains et porte un masque…

5. La mouvance d’extrême droite américaine QAnon a affirmé que Donald Trump avait planifié la pandémie pour ordonner un confinement. Il aurait eu pour but de procéder à une «arrestation massive de pédophiles, de politiciens, de personnalités comme Tom Hanks ou Hillary Clinton et d’acteurs hollywoodiens».

6. Selon certains, la 5G propagerait le virus; selon d’autres, elle serait même à l’origine du virus. Des antennes ont été détruites aux Pays-Bas et au Royaume-Uni où ces théories sont très populaires.

7. Dans un post Facebook viral, des internautes avancent que Nostradamus avait prédit la pandémie. Or, les textes partagés… n’ont jamais été écrits par l’auteur français.

8. La Corona a été désertée par les amateurs de bières – on n’est jamais trop prudent, n’est-ce pas. Un sondage publié en mars aux Etats-Unis a montré que 38% des sondés ne boiraient plus de Corona. Parmi eux, 16% soupçonnent un lien entre le virus et la bière. Quand le Covid était encore un sujet de plaisanterie, en janvier et février, les ventes de Corona avaient augmenté de 5%.

9. Par peur de se faire griller les neurones par les pistolets thermomètres (ce qui évidemment n’arrive pas), au Mexique, les clients des magasins ont réussi à faire plier les vigiles: ces derniers prennent désormais leur température au poignet.

10. Fake news encore, des recettes permettraient de se prémunir contre le virus, parmi lesquelles se laver à l’huile de sésame ou à l’urine d’enfant, manger de l’ail ou du foie de bœuf, boire de la Javel (attention, ce peut être mortel), du jus de fenouil ou de gingembre.

On commente ?

https://www.femina.ch/societe/actu-societe/comment-parler-a-un-ami-complotiste?


[NDLR en comparaison, voici quelques éléments factuels :

  • La plupart des pays du monde (194 pays membres) s’en remettent à l’OMS pour ce qui concerne la gestion des pandémies et d’autres phénomènes médicaux supposés de grande ampleur, ceci du fait de leur adhésion signée à cet organisme.
  • Bill Gates est le plus grand contributeur privé au financement de l’OMS, loin devant la plupart des pays
    (voir notamment 
  • Lors de l’épidémie initiale de Covid, la Grippe a pratiquement disparu des radars.
  • La 5G a été initialement installée à Wuhan, en Corée du Sud et Saint-Marin, pays qui ont vu naître l’épidémie.
  • Le Laboratoire P4 de Wuhan a été financé en partie par la France (par le biais de l’Institut Pasteur). Ce laboratoire travaillait sur des coronavirus issus notamment de chauves-souris
    (voir : 
  • L’OMS a recommandé initialement les mesures sanitaires Covid-19 reprises en chœur par la plupart des pays membres, sans preuve scientifique suffisante de leur validité et alors que jamais dans l’Histoire humaine de telles mesures n’avaient été prises (distanciation sociale, port du masque obligatoire, confinement de biens portants, etc.).
  • Les courbes de mortalité des différents pays ne montrent généralement aucune incidence favorable de ces mesures sur l’évolution de la situation (voir notamment les données de l’OMS et OurWorldinData).
  • Une pandémie très similaire a été simulée quelques semaines avant celle attribuée à la Covid-19, lors de lEvent 201 en fin 2019.
  • Il existe des composants biologiques minuscules d’aspect similaire dans les cellules humaines et animales, dont certains sont appelés « endosomes » (ou « exosomes » lorsqu’ils en sortent) et d’autres « virus » ou « rétrovirus » et dont on ne connaît pas en toute certitude la fonction ou les fonctions exactes.
  • Alors que l’hypothèse d’une origine humaine du SRAS-CoV-2 était décriée pendant près d’un an comme étant purement « complotiste », bien qu’elle soit soutenue comme hautement probable par le Professeur Montagnier et quelques autres sommités, elle circule maintenant sur les médias mainstream en tant qu’hypothèse réaliste et assez probable, surtout depuis que le gouvernement américain a commencé à investiguer sur cette question.
  • Les symptômes attribués à la maladie Covid-19 sont le plus souvent
    (voir Maladie à coronavirus (COVID-19) : Symptômes et traitement — Canada.ca) :
    • apparition ou aggravation de toux
    • essoufflement ou difficulté respiratoire
    • température égale ou supérieure à 38 °C
    • sensation de fièvre
    • frissons
    • fatigue ou faiblesse
    • douleurs musculaires ou courbatures
    • perte de l’odorat ou du goût
    • mal de tête
    • symptômes gastro‑intestinaux (douleur abdominale, diarrhée, vomissements)
    • malaises intenses.
  • Les symptômes attribués aux ondes pulsées (Wi-Fi, Bluetooth, 3G, 4G, 4G+…), similaires à ceux attribués à d’autres agents tels que chimiques en raison notamment des phénomènes de résonance et d’induction électromagnétique qui peuvent être induits par ces ondes à des fréquences particulières correspondant aux fréquences propres (notamment d’absorption) de ces agents
    (voir Diagnostic, traitement, ressources — ASEQ-EHAQ) :
    • Symptômes neurologiques : maux de tête, vertiges, nausées, difficultés de concentration, perte de mémoire, irritabilité, dépression, anxiété, insomnie, fatigue, faiblesse, spasmes musculaires, altération des réflexes, douleurs articulaires, douleurs dans les jambes, fièvre, ainsi que des symptômes plus sévères pouvant inclure des paralysies ou encore des psychoses.
    • Symptômes cardiaques : palpitations, arythmie, douleur dans la poitrine, modification de la pression sanguine, modification du rythme cardiaque, manque de souffle.
    • Symptômes respiratoires : sinusites, bronchites, pneumonies, asthme.
    • Symptômes dermatologiques : rougeurs, démangeaisons, sensation de brûlure.
    • Symptômes ophtalmologiques : douleurs et sensations de brûlure, tension oculaire, détérioration de la vision, cataracte.
    • Autres symptômes : problèmes digestifs, douleur abdominale, problème de thyroïde, douleurs aux ovaires ou aux testicules, sécheresse de la bouche, de la langue, des yeux, grande soif, déshydratation, saignements du nez, saignements, modification dans l’assimilation de sucre, problèmes immunitaires, perte de cheveux, douleurs dans les dents, détérioration des sens, perte d’odorat, bourdonnement dans les oreilles.
  • Symptômes grippaux 
    (voir Les symptômes et l’évolution de la grippe:
    • une forte fièvre (autour de 39 °C) ;
    • des frissons ;
    • une fatigue intense (asthénie), une sensation d’abattement avec perte d’appétit ;
    • des douleurs musculaires (courbatures) et articulaires diffuses ;
    • des maux de tête (céphalées) ;
    • puis une toux sèche et douloureuse.
  • Symptômes de l’action de la protéine Spike des « vaccins » à ARNm et du SRAS-CoV-2 
    (voir : SARS-CoV2 : alertes sur les potentialités toxiques de la protéine Spike (francesoir.fr)):
    • microthromboses et saignements, etc.
  • Ondes électromagnétiques et corps humain
    • Le Wi-Fi, la 3G, la 4G, la 4G+, la 5G, etc. sont des ondes électromagnétiques pulsées.
    • Le corps humain est aussi de nature électrique (influx nerveux et neuronaux, courants électriques dans les mitochondries pour la transformation du glucose en ATP, etc.) et magnétique (présence de magnétite dans les cellules).
    • Même à très faible intensité, les cellules humaines peuvent subir des effets de la part des ondes électromagnétiques (spécialement lorsqu’elles sont pulsées, à cause de l’équivalence des impulsions et de la superposition d’un très grand nombre d’ondes de fréquences différentes — cf. la transformée de Fourier d’un pic de Dirac), ceci notamment par les phénomènes physiques de résonance et d’induction magnétique :

]




Fortes tensions, séismes dans le monde de l’anal

Par Alain Tortosa

Le hors-série semestriel de « anal magazine » fait voler en éclat le consensus sur les mesures (dans le cul) de lutte contre le Covid

Tremblements, secousses, explosions et ondes de choc dans le monde de l’anal !

Le dernier numéro hors série de « anal magazine », celui dont nous attendons tous avidement la parution, du fait du poster en page centrale au format A3 que nous nous empressons d’afficher sur le mur de notre salon, a fait voler en éclat le consensus scientifique sur le Covid.

Tels un éclair ou des coups de tonnerre, la nouvelle est tombée !

Alors que les spécialistes étaient tous d’accord pour dire que le test PCR anal(([1] https://www.futura-sciences.com/sante/breves/coronavirus-test-anal-covid-19-plus-fiable-test-nasal-3852/)) était une grande avancée dans la lutte contre le Covid…
Test qui était unanimement reconnu comme étant moins invasif, plus efficace (et surtout plus agréable) que le test PCR nasal.

À ce titre, le courrier des lecteurs de « anal magazine » ne tarissait pas d’éloges sur celui-ci… des clubs avaient d’ailleurs été créés dans toute la France.
En revanche nous avions reçu à la rédaction de nombreuses lettres de présidents de clubs de bridge ou de scrabble qui dénonçaient les clubs « anal PCR » comme étant une concurrence déloyale.
Il est en effet évident de constater qu’ils ne faisaient pas le poids face à une nouvelle source de plaisirs immédiats et conviviaux.

Le test PCR anal faisait donc partie de l’arsenal de lutte contre le Covid avec son fameux slogan :

« Une tige dans le cul, une vie sauvée ! »

Slogan qui valut à ses auteurs le grand prix du concours annuel de « anal magazine », et dont le court métrage dans lequel apparaissent les fesses d’une star de cinéma fut diffusé en avant-première lors de la biennale de Venise sous les acclamations du public qui était… sur le cul.

Bien vite, le test PCR anal fut complété par la plus grande invention que le siècle ait connue pour lutter contre le Fléau.
Son génial inventeur, dont la modestie est telle qu’il a toujours désiré flouter son arrière-train, avait théorisé, testé, évalué la fameuse plume dans le cul.(([2] https://7milliards.fr/tortosa20210904-plume-dans-le-cul.pdf
ou Face au variant Delta une seule solution : la plume dans le cul ! – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) ))
Comme toutes les inventions géniales, le public et les scientifiques ont tout de suite considéré que cette invention était évidente et naturelle…

Il est vrai que les premiers essais furent sources de quelques irritations, mais largement compensées par le sentiment d’agir pour le bien de l’humanité, mais aussi, parfois, ne le cachons pas, pour le sien propre.

Ah ! Je me rappelle quand Marcel, pour faire avancer la science, s’enfonça totalement une plume d’albatros dans le cul,… sous notre regard médusé, mais pour autant admiratif.

Mais bon, redevenons un peu sérieux, c’est quand même grâce à la plume dans le cul (je vous invite à lire le dossier scientifique à l’occasion) que l’épidémie marqua le pas, sauvant des centaines de millions de personnes à travers le monde, condamnées sans cela à une mort tragique… et bien triste.

Aujourd’hui strictement personne n’oserait remettre en question l’efficacité et l’utilité de la plume dans le cul pour se protéger du Covid. Sans compter que le monde a gagné en beauté et en couleurs !
Qui pourrait ne pas se réjouir, en voyant des centaines de personnes sortir précipitamment d’une rame de RER avec une plume dans le cul…
On pourrait s’imaginer dans la savane africaine avec l’envol de milliers d’oiseaux dans le soleil couchant…

Bref tout était pour le mieux et tout n’était qu’harmonie dans la lutte contre le Covid.
Mais voilà que l’Institut Pasteur, probablement aigri et relégué au rôle de simple prévisionniste dont le personnel avait été recruté dans les hippodromes, se contentait de lire l’avenir dans les entrailles de poissons.

Bon ne soyons pas trop dur quand même, force est de constater que leurs prévisions ont « toujours » été fausses, ce qui est une preuve de leur « justesse ».

Je vous explique :
Si vous dites à quelqu’un qu’il va se faire écraser par un camion en traversant la rue, il va bien évidemment faire attention et donc ne pas se faire écraser.
C’est donc grâce à la fausse prédiction qu’il ne s’est pas fait écraser.

Si les prévisions de l’Institut Pasteur (et de tous les autres) se sont révélées fausses, c’est la preuve qu’elles étaient justes !
Des mesures totalement « efficaces » comme le masque ou la plume dans le cul ont été mises en œuvre et ainsi permis de sauver des vies. Les prévisions ne se sont pas réalisées et donc c’est bien la preuve qu’elles étaient justes…
Fin de la parenthèse.

Donc, cet Institut Pasteur, qui n’a pas été reconnu pour le « génie de ses fausses prévisions » a voulu frapper un grand coup dans la lutte contre le virus.

Il a donc fait (et fait encore) des essais sur un médicament pour lutter contre le Covid, mais, voulant surfer sur la vague, il a décidé non pas que celui-ci serait administré par injection, solution buvable ou gélule à avaler, mais sous forme de suppositoire(([3] https://www.huffingtonpost.fr/entry/lessai-clinique-de-suppositoires-anti-covid-19-a-linstitut-pasteur-manque-de-patients_fr_61366b54e4b0f1b97064a459)) dans le cul !

J’entends qu’ils avaient compris que l’orifice a une importance capitale dans la lutte contre le virus, mais pour autant cela ressemble vraiment à du plagiat.

Attention, il ne s’agit pas pour nous ou pour « anal magazine » de remettre en question l’efficacité d’un suppositoire dans le cul, il faudrait être débile ou complotiste pour imaginer qu’elle ne serait pas décuplée en passant par ledit orifice.

Néanmoins, il faut se rendre à l’évidence, le suppo n’est PAS compatible avec la plume dans le cul !

En effet le suppositoire entraîne une lubrification de l’anus qui, quand bien même source de plaisir, rend quasi impossible la tenue dans le temps d’une plume.

Je vous rappelle que l’objet de la plume dans le cul est de filtrer nos flatulences afin de retenir l’odieux virus et ainsi sauver des vies.
Mais lorsque vous utilisez un suppositoire, l’orifice est à ce point lubrifié, que lorsque vous en lâchez une, l’énergie déployée expulse la plume !

Nous avons ainsi assisté à de nombreux accidents, heureusement sans gravité… mais plusieurs personnes qui admiraient les superbes oscillations des plumes dans le cul de leur voisin ont failli avoir un œil crevé par ces jets de plumes, telle la flèche d’un arc.

Autant le consensus demeure pour affirmer unanimement qu’il faut nous la mettre bien profond et même de plus en plus profond, autant il y a désormais divergence sur le contenu à insérer !

Nous assistons désormais à ce qui pourrait s’apparenter à un « schisme » dans le monde scientifique et c’est d’autant plus déplorable qu’il y avait un consensus total depuis le début de la crise du Covid…

100 % des scientifiques de la planète étant bien évidemment totalement en accord avec les mesures prises par le gouvernement et l’analyse de la situation.
Je ne parlerai pas ici de la dizaine de malades mentaux à travers le monde qui véhiculent des théories complotistes totalement délirantes comme le fait que le confinement, le masque dans une population générale ou les injections expérimentales ne seraient pas efficaces et même seraient dangereuses.

Ces mêmes fous allant jusqu’à véhiculer des idées comme quoi des molécules vétérinaires du siècle dernier seraient inoffensives et efficaces !

Comme l’explique si bien l’article « d’anal magazine », nous avons désormais les « pro-plumes dans le cul » versus les « pro-suppo dans le cul » et force est de constater que les deux ne sont pas compatibles.

Dans un souci de démarche scientifique, nous nous sommes donc attelés à faire un tableau comparatif des deux méthodes en soulignant le pour et le contre pour chacune d’entre elles :

Vous voyez bien qu’il n’y a pas photos.
Objectivement la plume dans le cul est largement supérieure au suppo dans le cul…
Soyons optimistes et voyons donc dans le suppo un épiphénomène qui ne tardera pas à passer aux oubliettes.

Nous pouvons nous réjouir, le gouvernement n’a pas fini de vouloir nous la mettre le plus profond possible et nous ne pouvons que le remercier pour cela.

Alain Tortosa pour « anal magazine ».

14 septembre 2021.
https://7milliards.fr/tortosa20210914-plume-cul-vs-suppo-cul-anal-mag.pdf




« Je n’ai jamais aimé l’idée de dire aux gens de montrer leurs papiers » : l’Angleterre dit « non » au pass sanitaire

[Source : lindependant.fr]

Le ministre de la Santé britannique a annoncé ce dimanche que le projet de passeport vaccinal envisagé notamment pour entrer en discothèque était abandonné.

« Je n’ai jamais aimé l’idée de dire aux gens de montrer leurs papiers (…) pour faire ce qui est simplement une activité courante », a expliqué Sajid Javid ce dimanche sur la BBC, rapporte BFMTV.

Le ministre de la Santé a ainsi décidé d’enterrer son projet d’introduire un passeport vaccinal pour les discothèques et les grands évènements, comme les stades. Le gouvernement le juge désormais inutile en raison du succès de la campagne de vaccination.

« Nous l’avons considéré comme il se doit, et tandis que nous devrions le garder en réserve comme une option potentielle, je suis ravi de dire que nous n’allons pas poursuivre avec notre projet de passeport vaccinal », a-t-il ajouté.

81% de personnes complètement vaccinées

Le gouvernement britannique avait pourtant réaffirmé cette semaine son intention de créer un tel passeport vaccinal et s’était d’ailleurs attiré les foudres des professionnels du secteur de la nuit et de nombreux députés, qu’ils soient de la majorité ou de l’opposition.

Malgré un nombre quotidien de contaminations toujours élevé, le ministre de la Santé estime que le pays peut se passer d’une telle mesure grâce à son taux de vaccination très élevé. Près de 81% de la population de plus de 16 ans dispose d’un schéma vaccinal complet.

Chaque nation du Royaume-Uni disposant néanmoins d’un droit de légiférer sur les restrictions anti-Covid, le gouvernement écossais a lui décidé d’introduire, dès le 1er octobre, un certificat de vaccination pour accéder aux discothèques et à certains événements.

N.M./lindependant.fr




Éviction de Zemmour : Patrick Cohen est lui (parmi d’autres) « sorti du cadre » depuis longtemps

Par Lucien Samir Oulahbib

Sur quoi, tout d’abord, s’appuient tous nos prétentieux prétendants concernant maints sujets, dont C.19 ? Sur le même type d’arguments qu’ils avancent pour dénigrer les traitements précoces en disant que même s’ils marchent ici et là ils ne sont pas nécessaires.

Ainsi un placebo ou une aspirine suffirait pour « soigner » 98 % des gens touchés. Les médecins de plateau s’en délectent : c’est « bénin » pour la plupart de la population, dixit également Google(([1] Cf. ce lien (voir sous la carte mondiale des cas Covid-19) )) en se référant à l’OMS :

« La majorité des personnes atteintes de la Covid-19 ‎ne ressentiront que des symptômes bénins ou ‎modérés et guériront sans traitement particulier ».

Et comme les trois milliards de personnes qui se sont faites injectées vont bien (balayant d’un revers de main les effets secondaires et les morts de cette expérimentation mondiale), tout ce branle-bas de combat concernerait en fait seulement ces fameux « 2 % » qu’il faudrait à tout prix protéger en amont en empêchant de les infecter ou en les injectant massivement, alors que la contamination ne veut pas dire maladie et que la prise de traitements précoces montre empiriquement que celle-ci les protège bien plus que l’injection. D’innombrables exemples le prouvent, mais évidemment placés sous l’aune de la concomitance, comme ces EHPAD et monastères plus touchés mortellement depuis qu’ils ont fait l’injection qu’avant…

De plus, on peut fort bien renverser cet argument qui relativise la portée des traitements précoces. Pour la plupart des personnes en bonne santé, l’injection d’une partie du virus est sans doute immédiatement détruite par leur système immunitaire. Elle ne leur sert donc à rien (sauf à montrer patte blanche), mais s’avère nuisible à certains, au vu des effets secondaires et des morts, en particulier pour ceux qui, bien que jeunes, ont des malformations génétiques et/ou des comorbidités, du moins lorsqu’ils ont un système immunitaire déficient.

Quelle est alors la réaction d’ensemble d’un Patrick Cohen, déjà lorsqu’il s’en était pris à Raoult ? Précisément, le fait que ce dernier souligne ce caractère « bénin » (OMS, supra) nécessitant plutôt de tester, soigner, isoler les personnes malades et ce de façon précoce (afin d’éviter les séquelles) tout en avançant que les jeunes ont en effet bien plus de risques de mourir d’un accident de la route, y compris de « trottinette électrique » que de cette maladie « bénigne ». Ensuite, lorsque ce même Patrick Cohen (suffisant à souhait) critique dernièrement le dénommé Véran, c’est bien moins pour souligner les déficiences, de plus en plus criantes, de leur « thérapie génique » (exclusive) que de lui signifier robotiquement, à l’instar d’un responsable australien ou néo-zélandais (ou d’un démocrate US, ou d’un sénateur PS français) la « stagnation » du taux d’injection (car il l’avait félicité au contraire du niveau tout de même atteint au préalable). Il présuppose ainsi que ce serait là le facteur clé. D’où la hargne, rentrée, contre les supposés « antivax » qui seraient, eux, les principaux responsables de la persistance virale, bien sûr, ce qui reste évidemment faux au regard des chiffres réels (et où en sont les « clusters » ?). Sans parler de ce qui se passe à l’étranger (qui sont les « non-vaccinés en réa » en réalité ? Nul ne le sait hormis les effets d’opérette habituels : ici un jeune, là une femme enceinte, sans que l’on en sache plus sur leur cas, toujours singulier, mais, en Israël, les choses ne se précisent-elles pas un peu plus, oui ou non ?…).

S’agissant maintenant des autres sujets sur lesquels un Patrick Cohen (parmi mille [animateurs], tels Ruquier, Apathie, Salamé…) « sort du cadre » (expression qu’il a utilisée contre Zemmour) depuis longtemps, il s’agit (tout à l’avenant) de ces problèmes de taille qui sont systématiquement minorés ou mis sur le tapis, comme l’impossibilité de lire uniquement de manière démographique les entrées et sorties migratoires, les financements illégaux de lieux de culte islamique sous couvert de lieux culturels, le tout afin de continuer pour des fins clientélistes à placer sous cloche spirituelle des populations qui ont précisément fui les contrées régies par l’islam. Sans parler du caractère délétère de l’enseignement de ce dernier et du silence abyssal quant à sa propre colonisation en Afrique (du Nord), en Asie, en Inde, toutes choses que Zemmour critique et dénonce en tant qu’éditorialiste, une profession reconnue comme faisant partie du corps journalistique, semble-t-il, et que Patrick Cohen ne se prive pas, lui, d’utiliser pour brocarder un Trump, une Le Pen, etc.,etc. Un temps de parole qu’il faudrait décompter aussi, ou additionner, c’est selon (Zemmour n’étant toujours pas candidat, pourquoi une telle attaque préventive qui s’avère inconstitutionnelle ? Vous avez quatre heures [pour répondre]…).

Est-ce que pour autant et ce faisant Zemmour « sort du cadre républicain » ? Ce n’est pas à un Patrick Cohen de le juger, même s’il peut le dire, ce qui n’est pas la même chose. En tout cas Patrick Cohen sort du cadre français, lui, et en particulier du cadre voltairien. Ne remontons pas plus haut. L’Histoire n’est, semble-t-il, pas son fort.

Aussi, au final (et pour la route), quand une radio comme Europe 1 glougloute parce que Google aurait « démonétisé » FranceSoir, ce « site de désinformation » écrit-elle, on comprend pourquoi Patrick Cohen l’aura quitté lors de cette rentrée : il craignait qu’elle n’aille pas assez loin dans l’épuration, la désinfection des idées « nauséabondes ». C’est chose faite. Patrick Cohen peut donc y revenir tranquillement (en attendant à nouveau F.I, qui sait ?…).

Reste aussi la nécessité de brûler le(s) dernier(s) livre(s) de Zemmour en place de Grève. Les soumis Canadiens ont montré la voie.




Appel aux parents européens : exigez le retrait de l’autorisation des vaccins Covid de Pfizer pour les enfants de 12 ans et plus

[Source : Children’s Health Defense Europe (childrenshealthdefense.eu)]

Date limite : 15 septembre 2021
Action : participer en tant qu’intervenant à l’action en justice visant à annuler l’autorisation par l’UE du vaccin Pfizer/BioNtech pour les enfants âgés de 12 ans et plus. 
Conditions de candidature : parent d’un enfant dans l’Union européenne 
Coûts : aucuns frais pour la demande
Détails de l’affaire et formulaire de demande : voir à la fin de cet article.

En Italie, à partir du 6 août, les enfants de plus de 12 ans devront être munis d’un « laissez-passer vert » ou d’un certificat Covid pour accéder aux restaurants, aux installations sportives et culturelles couvertes et même pour fréquenter l’école dès la rentrée.

La présente demande d’annulation découle du fait qu’en pratique, cette mesure introduit de facto une obligation vaccinale  pour les enfants et constitue un danger imminent pour leur santé.  Le recours est dirigé contre la Commission européenne, car elle a délivré une autorisation de mise sur le marché conditionnelle centralisée pour le vaccin, qui ne nécessite pas de décision supplémentaire de la part des États membres (en l’occurrence le gouvernement italien, mais c’est la même chose pour les autres états).

Les enfants en bonne santé ont un risque ZÉRO d’infection par le virus Sars-Cov-2.  Par conséquent, il ne peut y avoir de rapport risque-bénéfice positif pour les enfants, en particulier lorsqu’il s’agit d’injecter une substance basée sur une thérapie génique expérimentale

Les preuves scientifiques citées dans la plainte montrent également que :

Le Covid peut être traité
La transmission asymptomatique n’est pas réelle
Le vaccin Covid n’a aucune efficacité
Il n’y a pas de dosage spécifique du vaccin pour les enfants ; ils auront une injection plus puissante
La coagulation/coagulation sanguine liée à l’utilisation de la protéine spike a été observée comme un effet indésirable dangereux.
Contrairement aux affirmations de Pfizer, la substance injectée ne reste pas dans le bras mais se répand dans tout le corps et s’accumule dans des zones fragiles comme le cerveau, le cœur, les reins et les organes génitaux.

Renate Holzeisen a intenté cette action au nom de familles italiennes qui s’opposent aux autorisations de mise sur le marché qui ont été délivrées dans l’UE pour les vaccins Comirnaty (Pfizer/BioNTech). Bien que les plaignants dans cette affaire soient italiens, tout Européen ayant des enfants peut participer à cette action en justice en tant qu’intervenant. En termes juridiques, un intervenant est une personne qui n’est pas impliqué directement dans le procès en cours mais qui s’y associe en se joignant au plaignant ou en s’unissant au défendeur pour résister aux revendications du plaignant.

La participation à cette action en justice est gratuite et les participants ne risquent pas d’être tenus financièrement responsables en cas de perte du procès.

Les personnes qui souhaitent devenir intervenants doivent fournir une copie de leur pièce d’identité et une preuve d’inscription dans leur profession à l’avocat coordinateur de leur pays – pour la France vous pouvez contacter la Ligue Nationale Pour la Liberté des Vaccinations  (cliquer ici pour l’adresse concernant cette action) – qui remplira les documents fournis par Maître Holzeisen et enregistrera leur participation.

Pour plus d’informations, veuillez lire l’article ci-dessous. Les formulaires de demande sont disponibles en plusieurs langues sous l’article. Si vous avez besoin des documents dans une langue qui ne figure pas dans la liste, veuillez nous contacter.

La date limite de participation est le 15 septembre 2021.

Vous pouvez lire le texte intégral de l’action en justice ici et regarder une interview de l’avocate Renate Holzeisen ici.

Les parents participants peuvent demander à un avocat européen inscrit au Tribunal e-curia d’introduire une demande d’intervention au titre de l’article 142 du règlement de procédure du Tribunal.

Si la demande est acceptée, le Tribunal admettra le demandeur en tant qu’intervenant, ce qui lui permettra de soutenir l’action et d’assister à toute audience.

La demande doit être déposée en allemand – la langue du recours – dans les six semaines suivant la publication du recours au Journal officiel de l’Union européenne. L’avocat Holzeisen a préparé un projet de demande en allemand mais tous les documents sont également disponibles en plusieurs langues.   Les intervenants potentiels doivent remplir le formulaire et joindre une preuve de leur capacité professionnelle à un avocat national qui examinera les documents et déposera ensuite une demande en leur nom auprès du tribunal de l’UE. Les avocats peuvent demander une inscription temporaire au barreau européen, auquel cas ils auront un accès de 48h pour déposer les documents.

Les intervenants et les avocats ayant besoin d’une assistance supplémentaire peuvent contacter le bureau de l’avocat Holzeisen par courriel.

Historique des actions précédentes : Quatre actions, une pour chaque vaccin autorisé, ont déjà été intentées par l’avocate italienne Renate Holzeisen pour défendre les droits des travailleurs de la santé du nord de l’Italie.

Les travailleurs de la santé italiens ont demandé l’aide de l’avocate Holzeisen après que leur gouvernement leur a demandé d’accepter les vaccins expérimentaux du candidat Covid ou de quitter leur emploi. L’avocat Holzeisen conteste les licences accordées par la Commission européenne dans sa décision d’exécution du 21 décembre 2020 pour l’utilisation de ces produits au sein de l’UE.


DISPONIBLE pour le TÉLÉCHARGEMENT (cliquez sur la langue choisie pour télécharger le PDF) :

Recours en annulation pour le vaccin Comirnaty (Pfizer/BioNTech) :
ANGLAIS / ALLEMAND / FRANÇAIS




3 mois avant le COVID, l’Union mangeait la soupe du vaccin servie par Bill Gates et Big Pharma

[Source : lecourrierdesstrateges.fr]

par Éric Verhaeghe

La Commission Européenne n’a pas attendu le COVID pour promouvoir les ventes de vaccins fabriqués par Big Pharma. Il s’agit probablement d’un élément-clé, passé sous les radars, qui explique dans quelle condition la Commission est devenue la meilleure cliente des Pfizer, Moderna et AstraZeneca à l’occasion de l’épidémie de COVID. Dès septembre 2019, la Commission organisait le premier Global Vaccination Summit (le Sommet Mondial de la Vaccination), en partenariat avec l’OMS… et l’industrie du vaccin, dont la fondation Bill Gates est l’un des piliers. C’était trois mois avant le début d’une épidémie qui constitue un formidable accélérateur de profit pour toute une filière d’activité.

La Commission Européenne est-elle le meilleur véhicule publicitaire pour l’industrie du vaccin ? Cette question, taboue depuis l’éclatement de l’épidémie de COVID, mérite probablement d’être largement approfondie, tant les frontières semblent poreuses, depuis plusieurs années, entre les “politiques” européens et les intérêts industriels. 

Nous en voulons pour preuve ce révélateur “Global Vaccination Summit” du 12 septembre 2019, organisé conjointement entre la Commission Européenne, l’Organisation Mondiale de la Santé, et l’industrie pharmaceutique.

Parmi celle-ci, on retrouve notamment l’institut Pasteur, le groupe Pfizer, et deux fleurons de cette industrie qui gagnent à être connus : le GAVI (sur lequel nous reviendrons) et la Fondation Gates. 

La Commission Européenne et la religion du vaccin

On relèvera que cette grand-messe (c’est le cas de le dire), comportait des tables rondes qui ne font pas mystère de la sacralisation religieuse du vaccin. La table ronde de 10h30, par exemple, intitulée “In Vaccines we trust”, illustre à merveille le remplacement de Dieu par la petite fiole supposée sauver le monde. Il est amusant de constater que l’un des intervenants de cette table était un salarié de Facebook.

La deuxième table ronde s’intitulait : “la magie de la science”. L’expression là aussi est révélatrice de la dimension surnaturelle dont l’industrie du vaccin entend revêtir ses produits pour mieux les vendre. La troisième table ronde, intitulée “les vaccins protègent tout le monde en tous lieux” n’hésite pas à évoquer une sorte d’omniprésence divine. 

Nous retrouvons ici les deux phénomènes auxquels le COVID nous a accoutumés : d’une part, le vaccin est un culte religieux monothéiste, d’autre part, il est porté par une caste sous influence protestante blanche d’Amérique du Nord, praticienne quotidienne de l’altruisme efficace. Vendre des vaccins sauve l’humanité et enrichit les fabricants : c’est le monde idéal. 

Un intense lobbying de Bill Gates

Il se trouve que cette ode universaliste au vaccin n’a pas été déclamée spontanément. On peut même dire qu’elle a fait l’objet d’un intense lobbying de la part de la galaxie Bill Gates depuis plus d’une décennie. 

Ainsi, on trouve dans la presse britannique cet article évocateur dès 2011 : “Bill Gates confiant pour un sommet mondial de la vaccination”. Il est amusant de voir le professionnalisme, la constance, la détermination de Bill Gates et des fabricants de vaccin à mettre en oeuvre leurs projets. Ce sommet mondial de la vaccination tenu au plus haut niveau européen (et non américain) aura mis dix ans à éclore. Mais il aura éclos. 

On ne pouvait donner meilleur exemple de l’efficacité de l’industrie pharmaceutique dans le domaine du lobbying. Rassembler la Commission européenne (y compris la représentante de l’Union Mogherini), l’OMS et de nombreuses personnalités politiques autour de la défense de leurs intérêts, en endossant tous leurs éléments de langage, chapeau !

Multilatéralisme et industrie du vaccin

L’organisation de ce sommet sous l’influence de l’industrie pharmaceutique nous éclaire sur un aspect mal compris du Great Reset : l’importance du multilatéralisme pour la défense des intérêts industriels, notamment dans le domaine pharmaceutique. Il est évidemment plus facile d’influencer une seule institution qui chapeaute un marché de 300 ou 400 millions de clients potentiels, plutôt que 27 gouvernements dont certains dirigent des territoires lilliputiens. 

Rappelons que, progressivement, c’est l’Agence Européenne du Médicament (EMA) qui a centralisé les autorisations de mise sur le marché conditionnelles pour les Etats-membres en cas d’épidémie. Ce dispositif a notamment été appliqué pour l’épidémie de H5N1 en 2009. La Commission constitue donc une cible de choix pour les grandes entreprises mondialisées qui veulent bénéficier de protections réglementaires pour écouler leurs produits sans concurrence. 

On remarquera qu’elle a fini par officialiser ses liens d’intérêts avec l’industrie pharmaceutique. 

Le rôle du GAVI et de Bill Gates

Dans l’entrelacs des lobbies industriels au service du vaccin et de la vaccination tous azimuts, on trouve une structure discrète, mais particulièrement intéressante : le GAVI (Vaccine Alliance). Pour comprendre de quoi il s’agit, il suffit de consulter ce schéma publié sur le site de l’Alliance, et qui illustre la politique d’influence déployée par l’industrie vaccinale :

Les initiés du lobbying comprennent immédiatement le sens de ce schéma : il explique que le GAVI est une structure d’influence conduite par la fondation Bill Gates, entremêlant les intérêts publics et privés, notamment l’Unicef, l’OMS, la Banque Mondiale, les chercheurs et l’industrie vaccinale. On pourrait qualifier ce genre d’organismes de “cheval de Troie” chargé d’unifier les industriels du vaccin derrière des campagnes “ciblées” (sur les pouvoirs publics s’entend) de promotion de l’image du vaccin lui-même. 

Une épidémie qui tombe à pic

On comprend que, après 10 ans d’efforts pour obtenir le soutien officiel de la Commission Européenne dans la promotion du vaccin comme religion universelle, les industriels aient jubilé lorsque l’épidémie de COVID a éclaté. Pour l’instant, nous ne savons pas encore tous les tenants et aboutissants sur l’extrême réactivité de certains laboratoires dès le début de l’épidémie. Mais un fait est certain : la stratégie du tout-vaccin déployée par la Commission européenne n’a pas été improvisée après l’apparition de l’épidémie. Elle était préparée depuis longtemps.

On peut féliciter les laboratoires et Bill Gates pour leur travail d’anticipation. Reste que… malgré les écrans de fumée d’une presse subventionnée aux ordres, il serait bon de démystifier le vaccin et de démonter les processus d’influence qui ont transformé les politiques publiques en santé en hyper-marché des grands laboratoires.




En Allemagne, enchaînement de perquisitions pour les adversaires des mesures sanitaires

[Source : francesoir.fr]

[Photo : Parlement allemand
John MACDOUGALL / AFP]

Le 17 juin 2021, le célèbre toxicologue et pharmacologue Stefan Hockertz, connu pour ses publications et entretiens dissidents, a fait l’objet d’une perquisition de la police et de saisie. La nouvelle a été rendue publique par Me Fuellmich lors des auditions Corona. Après des études de biologie à l’Université de Hannovre, le Pr Hockertz a obtenu son doctorat en toxicologie et pharmacologie à l’Université de Hambourg. Il a été professeur d’immunotoxicologie moléculaire à la clinique universitaire de Hamburg Eppendorf. Actuellement, il dirige tpi consult GmbH, l’un des principaux cabinets européens de conseil en toxicologie et pharmacologie. Aux côtés de nombreux scientifiques réputés, il s’est très tôt prononcé défavorable aux mesures prises par le gouvernement allemand en matière de la crise du Covid et a lancé des avertissements contre les injections à ARN messager en raison de l’insuffisance des études.

Voir aussi : « Ce n’est pas un accident : cette crise n’a toujours rien de sanitaire » Reiner Fuellmich

Ellèn Hölzer, candidate aux législatives pour le Parti dieBasis (fondé en mai 2020 pour la démocratie de base), a déclaré : « Dans son livre Generation Maske, paru il y a trois mois… le Pr Stefan Hockertz analyse les conséquences pour l’état psychique, mental et physique des enfants et des adolescents, qui découlent des mesures anti-Covid. Ses conclusions sont effarantes : tant les mesures du gouvernement que la couverture médiatique ont détruit cette institution d’importance capitale pour les enfants qu’est la famille. D’innombrables enfants se sont réfugiés dans un monde à eux, où ils restent seuls avec leurs angoisses. Il semblerait que ce soit précisément ce livre qui lui ait attiré les foudres des autorités. »

Une autre candidate aux législatives du parti dieBasis, Nathalie Sanchez Friedrich, a ajouté : « Déjà, la perquisition conduite chez un magistrat du tribunal des affaires familiales à Weimar (avril 2021, le juge Christian Dettmar), dont le jugement désavouant le port du masque dans les écoles avait déplu au gouvernement fédéral, représente la violation inouïe d’un tabou. Les mesures prises contre ce scientifique de renom, le Pr Hockertz, démontrent la dangerosité de notre éloignement de la démocratie et de l’État de droit. Cela signale que les avis dissidents ne sont ni souhaités, ni même permis, et qu’ils seront poursuivis avec dureté. Pour notre part, nous ne cesserons pas d’informer le public de tels faits et de combattre pour la liberté d’expression de chaque citoyen. »

Ces propos ont été recueillis puis traduits avec l’aimable autorisation du service de presse du Basisdemokratische Partei Deutschland.
 
Le 29 juin, le procureur de la ville de Erfurt a ordonné des raids de police avec saisies contre huit personnes, pour la plupart témoins-experts aux audiences ayant précédé le jugement prononcé en avril 2021 par le juge Christian Dettmar à Weimar. Pour motif de protection de l’enfance, le juge avait alors cassé des ordonnances imposant le port du masque, les tests et la distanciation sociale dans deux écoles de Weimar et avait exigé des cours en présentiel. Suite à quoi, ses bureaux au tribunal et ses appartements privés ont été perquisitionnés en avril, et maintenant de nouveau le 29 juin. Actuellement, l’objet d’une poursuite pour “perversion du cours de la justice”, le Juge Dettmar est défendu par le grand pénaliste Gerhard Strate qui, pour sa part, estime que “l’État de droit est en grand péril” en Allemagne et que l’on essaie d’intimider la magistrature.

Le même jour, plusieurs perquisitions simultanées ont eu lieu contre deux candidats du nouveau parti politique DieBasis, le Pr Ulrike Kämmer et Ulrich Masuth, contre le juge Matthias Guericke, contre la mère des enfants concernés et leur tuteur ad litem, et contre le Pr Christian Kuhbandner, ainsi que le Pr Ines Kappstein. Les téléphones portables, ordinateurs et de nombreux documents ont été saisis par la police, dont de la correspondance privée et l’original d’un important dossier juridique.

Voir aussi : interview de victimes par le Corona-Ausschuss

Auteur(s): FranceSoir




Recours collectif contre le pass sanitaire

[Source : NO PASS !!!]

Qui êtes-vous ?

Je suis Guillaume Zambrano, maitre de conférences en droit privé. J’ai fait mes études à Montpellier, où j’ai obtenu mon doctorat en droit en 2012. J’ai également obtenu mon certificat d’aptitude à la profession d’avocat en 2011, mais je ne suis pas inscrit au barreau et je n’exerce pas en tant qu’avocat. J’enseigne à l’université et je me consacre à la recherche sur l’Intelligence Artificielle appliquée au droit.

En quoi consiste cette requête ?

La CEDH [Cour Européenne des Droits de l’Homme] peut condamner les violations des droits fondamentaux commises par les États européens. Une requête est tout simplement une demande faite par un simple particulier – n’importe qui, vous, moi, sans condition de nationalité – pour voir condamner la France en violation des droits fondamentaux.

Comment puis-je participer ?

Avec un simple stylo, deux timbres, une enveloppe et 10 minutes de votre temps. Vous pouvez personnellement attaquer le gouvernement français en saisissant la CEDH. Pour cela, il faut envoyer à la CEDH une requête par la Poste.

Qui peut envoyer la requête ?

Toute personne victime du « pass sanitaire », que ces personnes soient majeures ou mineures, vaccinées ou non-vaccinées. Si vous êtes affecté par la loi sur le « pass sanitaire », simplement parce que vous vous trouvez sur le territoire français, ou parce que vous pourriez potentiellement vous trouver sur le territoire français. Il n’y a pas de condition de nationalité. Toute personne, de n’importe quelle nationalité peut agir. Peu importe également que vous résidiez à l’étranger. N’hésitez pas à envoyer une requête, ce sera au gouvernement français de prouver que vous ne possédez pas la qualité de victime. Ce qui est difficile.

Les membres d’une même famille doivent-ils dupliquer les requêtes ?

Le règlement de la Cour exige que chaque requérant remplisse un formulaire de requête individuellement. La requête est nominative. Il faut donc dupliquer plusieurs fois la même requête : une pour chaque personne, y compris les enfants, qui ont aussi le droit de saisir la Cour.

Ce recours est-il toujours d’actualité ?

Tant que la loi sur le « pass sanitaire » est en application et n’a pas été abrogée, vous pouvez saisir la Cour européenne des droits de l’Homme. L’objectif du recours vise d’abord à dissuader le gouvernement de prolonger le « pass sanitaire » au-delà du 15 novembre, en montrant que les plaintes ne cesseront pas de s’accumuler devant la CEDH tant que la loi sera en vigueur. De plus, même après le 15 novembre, et même si le « pass sanitaire » est finalement abandonné, il sera utile d’obtenir un jugement constatant que la France a violé les droits de l’Homme. Cela empêchera qu’une telle violation se reproduise à l’avenir.

On m’a dit que pour saisir la CEDH, il faut épuiser toutes les voies de recours.

  • C’est vrai. Toutefois en droit, les règles connaissent souvent des exceptions. Pour saisir la CEDH, il faut en théorie avoir épuisé toutes les voies de recours internes. Mais nous sommes dans un cas particulier : la violation résulte de l’existence de la loi elle-même. Pour un exemple d’une affaire où une personne a introduit une requête jugée recevable contre une loi, lire : Arrêt CEDH Grande Chambre, 1er juillet 2014, SAS c. France, requête n°43835/11. Dans cette affaire, la requérante contestait la loi n°2010-1192 du 11 octobre 2010 interdisant la dissimulation du visage dans l’espace public, porte atteinte aux articles 3, 8, 9, 10 et 11 de la Convention, en ce qu’elle l’empêche de porter le voile intégral, expression de sa religion musulmane, dans l’espace public. La Cour a jugé la requête recevable, au motif qu’un requérant a la qualité de victime au sens de l’article 34 « s’il est obligé de changer de comportement sous peine de poursuites ou s’il fait partie d’une catégorie de personnes risquant de subir directement les effets de la législation ». (voir, notamment, Marckx c. Belgique, 13 juin 1979, série A no 31, § 27, Johnston et autres c. Irlande, 18 décembre 1986). La Cour constate que la requérante se retrouve dans une telle situation, puisqu’elle doit choisir entre respecter la loi ou se comporter de manière conforme à son identité.
  • Il existe ainsi une exception (jugée par exemple dans l’affaire CEDH, 20 février 1991, Vernillo, requête n° 11889/85 ) permettant de passer outre les voies de recours inutiles ou non effectives en pratique au sens des articles 13 et 35 de la CEDH. Puisque le conseil constitutionnel a déclaré la conformité le 5 août, il n’existe plus en France de voie de recours en mesure d’annuler le « pass sanitaire ». De plus, les simples particuliers n’ont pas la possibilité de saisir directement le conseil constitutionnel, autrement qu’en soulevant une Question Prioritaire de Constitutionnalité. La déclaration de conformité par la décision du 5 août 2021 rend impossible de soulever une QPC.

La saisie de la CEDH est-elle risquée ?

  • Il n’y a aucun risque et c’est parfaitement légal. Vous ne pouvez pas être condamné à payer les frais d’avocat de l’Etat défendeur. Et à la différence des procédures judiciaires en droit français, vous ne pouvez pas être condamné pour recours abusif. La seule sanction du recours abusif consiste à déclarer le recours irrecevable.
  • De plus, j’ai demandé l’anonymat pour les requérants. Cela signifie, comme dans l’affaire S.A.S contre France du 1er juillet 2014, que votre identité ne sera pas révélée publiquement par la Cour. Vous ne serez jamais inquiété pour avoir participé à ce recours, car cela est un secret protégé par la confidentialité.

Combien cela coûte t-il ?

Environ 3 euros pour acheter 2 timbres, une enveloppe et imprimer 13 pages A4. Vous pouvez aussi opter pour un envoi par lettre recommandée (+/-6€) si vous souhaitez accroitre la charge de travail de la CEDH et conserver une preuve de dépôt.

Des frais supplémentaires sont-ils à prévoir ?

  • Je ne réclame aucun honoraire ou versement d’une somme d’argent à quelque titre que ce soit. Ni maintenant, ni plus tard.
  • Les frais de la requête se limitent pour les requérants à l’impression, l’enveloppe et les deux timbres (ou lettre recommandée avec AR).
  • Si la requête prospère devant la CEDH, la Cour nous imposera de désigner un avocat. Dans cette hypothèse, si je ne suis pas en mesure de faire face aux frais d’avocat seul, je ferai un appel à des contributions volontaires de 1 euro maximum. Uniquement pour ceux qui le souhaitent, de manière volontaire, et si nécessaire.

Quel est le lien juridique qui nous unira ?

Juridiquement la signature de ce document crée entre nous un mandat (qu’on peut appeler aussi « pouvoir »). Vous êtes la personne représentée, et j’effectue un acte juridique en votre nom et pour votre compte. Ce mandat est gratuit, je ne vous réclame aucun salaire. En remplissant le formulaire et en l’envoyant à la Cour, vous verrez que vous avez signé et que j’ai moi aussi signé en page 3 l’encadré intitulé « Pouvoir ». Cette signature crée entre nous un contrat, qui est un mandat bénévole, pour lequel je ne réclame aucune rémunération.

Puis-je remplir le document numériquement ?

Lorsque vous remplissez le formulaire pour agir sur le site nopass.fr, le document est rempli numériquement.

Comment compléter la requête ?

Il y a un tutoriel vidéo. Et chaque champ contient des exemples. La chose la plus importante pour assurer la validité de la requête consiste à signer en page 3 et en page 13.

Quelles étapes dois-je suivre ?

Faut-il joindre des documents aux 13 pages de la requête ?

Non, il n’y a absolument rien à ajouter. J’ai transmis à la Cour au nom du groupe, les pièces jointes nécessaires. Vous devez simplement imprimer la requête et la poster à Strasbourg.

Je n’ai pas d’adresse mail à renseigner dans le formulaire d’inscription

L’adresse mail ne sert qu’à communiquer avec les requérants. Vous pouvez créer une adresse spéciale qui ne servira qu’à ce seul recours. Dans tous les cas, votre adresse ne sera utilisée que pour communiquer avec vous, afin de vous renseigner sur l’avancement de la procédure, ou vous demander des renseignements complémentaires si la Cour l’exige.

Puis-je mettre des raisons personnelles dans l’encadré du recours ?

Cela n’est pas nécessaire. Le recours est collectif, il est identique pour toutes les personnes faisant partie du groupe. Nous vous demandons de communiquer vos raisons personnelles dans le formulaire d’inscription, afin de traiter et organiser ces informations. Elles seront transmises à la Cour si elles sont utiles et fournissent des arguments. Si vous souhaitez ajouter des détails personnels, vous êtes libre de le faire, mais cela rendra ma mission de correspondant de la Cour plus difficile.

Je n’arrive pas à valider le formulaire !

Vérifiez que la case GDPR est bien cochée. Le numéro de téléphone doit être valide : 04 12 23 45 67 devient +33 4 12 23 45 67 en format international

Je n’arrive pas à récupérer le formulaire !

Si vous avez validé le formulaire et que pour une raison ou une autre vous ne parvennez pas à le télécharger, pas d’inquiétude: il va être envoyé à votre adresse mail.

Je n’ai pas reçu le mail de confirmation de mon inscription, est-ce normal ?

Un mail de confirmation est envoyé automatiquement, peut-être s’est-il retrouvé dans vos courriers indésirables. Vous y trouverez en pièce jointe le document PDF de la requête, à imprimer, signer et poster à la Cour.

Je n’ai pas d’imprimante, comment faire ?

  • Vous pouvez vous rendre dans un bureau de la Poste, afin d’imprimer les 13 pages. N’oubliez pas que la signature doit être sous forme manuscrite (pas d’initiales). Pour cette seule raison, il est impératif de trouver un moyen d’imprimer le document.
  • Si vraiment vous êtes dans l’impossibilité de vous déplacer, en dernier recours vous utiliser le service en ligne de la poste : https://www.laposte.fr/courriers-colis/conseils-pratiques/envoyez-un-courrier-imprime-sans-stylo-ni-papier
  • Mais Il faudra nécessairement insérer votre signature dans le document PDF ou dessiner votre signature à la souris dans le document.

Puis-je imprimer recto-verso ?

Il est conseillé de faire l’impression recto uniquement mais l’impression recto-verso n’est pas interdite (cela ne change pas le nombre de timbres)

La requête s’affiche mal (pages blanches) ou l’impression de fonctionne pas.

Dois-je envoyer la requête par lettre recommandée (avec RAR) ?

L’envoi en RAR est conseillé par la CEDH mais pas obligatoire. Si vous souhaitez conserver une preuve de dépôt, le RAR est à privilégier.

Dois-je envoyer le recours à la CEDH ou vous le faire parvenir ?

Il faut l’envoyer directement à la CEDH, une vidéo tuto est présente sur ma chaine YouTube. L’adresse est indiquée en dernière page du recours, et également sur la fenêtre pop-up qui s’affiche lorsque vous avez complété le formulaire d’inscription.

Dois-je remplir certains champs ?

Non, hormis votre signature en page 3 et en page 13, vous n’avez rien à renseigner !

Comment m’inscrire sur le site ?

Avec le nouveau formulaire, vous n’avez rien à faire: une fois le PDF généré, vous êtes automatiquement inscrit(e) sur le site.

Où en est ma requête ?

  • Dès que vous avez rempli la requête à l’aide du formulaire, vous êtes automatiquement inscrit dans la liste des requérants. Pour cette raison, il est très important de l’imprimer et de la poster le plus vite possible. Ensuite, l’effet recherché de saturation de la CEDH sera immédiatement atteint : tous les jours, ce sont des centaines de requêtes qui arrivent à la Cour à Strasbourg. Il faut continuer cette mobilisation jusqu’au 15 novembre 2021, afin de dissuader le gouvernement de prolonger la durée de vie du « pass sanitaire » au-delà de cette date.
  • Les délais de jugement de la Cour sont relativement longs : trois ans environ pour obtenir une décision sur le fond de la question. Mais avant, il faudra entamer un dialogue avec la Cour pour passer le filtrage de recevabilité. Cette phase peut durer 12 mois environ. Tout au long de la procédure, je vous maintiendrai informés par courriels, par des informations sur le site, et par des vidéos sur ma chaîne YouTube

Je crains pour mes données, comment et combien de temps celles-ci seront conservées ?

La liste ne sera donnée qu’à la CEDH et sera détruite lorsque celle-ci rendra sa décision. J’ai demandé l’anonymat, donc la Cour connaîtra votre identité et les informations personnelles que vous avez transmises, mais ces informations resteront secrètes.

Je souhaite savoir s’il est possible d’imprimer votre requête et la faire signer par des manifestants.

Il est parfaitement légal d’imprimer la requête en dizaines d’exemplaires, de la distribuer sur la voie publique et mieux de faire des ateliers de signature. Ensuite, vous pouvez parfaitement coordonner les envois et envoyer les requêtes signées en blocs par cartons entiers. Néanmoins, attention, il faut que tous les requérants soient bien inscrits sur le site, en remplissant le formulaire en ligne. Car sinon, ils ne seront pas comptabilisés dans le groupe. Pensez à leur faire compléter ce formulaire au moment de la signature de la requête, pour éviter des oublis.

Je souhaite apporter mon aide et mon soutien contre le « pass sanitaire ». Comment dois-je faire ?

La meilleure façon d’aider à promouvoir cette action est d’y participer en envoyant la requête puis de relayer le message sur les réseaux sociaux ou dans votre entourage. La chose la plus utile c’est de diffuser et convaincre. N’hésitez pas à envoyer des mails à des personnalités susceptibles d’avoir de la sympathie pour cette action et disposant d’une large audience. Plus le message est visible, plus nombreux seront les participants. L’aide la plus vitale consiste à expliquer cette démarche autour de vous, dans vos cercles militants, en faisant des vidéos YouTube (que je peux aussi relayer sur ma chaîne). Faites connaître votre démarche et incitez les autres à vous imiter : vaccinés ou non-vaccinés tout le monde est victime du « pass sanitaire », même ceux qui en possèdent un, puisqu’ils doivent quand même se soumettre à des contrôles abusifs.

À quelle échéance imaginez-vous un résultat (positif ou négatif) ?

La première échéance c’est la date du 15 novembre 2021. À ce moment nous saurons si le gouvernement décide de prolonger ou d’abandonner le « pass sanitaire ». Le résultat attendu immédiat consiste à saturer le fonctionnement de la CEDH par le nombre de plaintes. Cet effet sera obtenu dès que nous franchirons la barre des 40.000 requérants inscrits. Surveillez le compteur dans le coin supérieur droit du site, pour suivre la progression du nombre de requérant. Un résultat négatif de rejet des requêtes peut intervenir assez vite, en quelques mois. Un résultat positif de recevabilité tardera au minimum 12 mois, et un résultat très positif de jugement au fond condamnant la loi sur le « pass sanitaire » n’interviendra pas avant 3 ans. Notre objectif premier est beaucoup plus proche : faire monter la pression sur le gouvernement français avant le 15 novembre, en ayant franchi la barre des 40.000 requérants. Cela sera un résultat très visible, qui contribuera à l’abandon de la loi sur le « pass sanitaire », car provoquant trop de problèmes judiciaires.




Sir Christopher Chope sur les effets secondaires de la « vaccination » anti-Covid : « du jamais vu »

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LE MEURTRE DE L’ESPRIT ou comment la peur mène à la psychose de masse

[Source : I’M OK Le Grand Réveil]

Cette vidéo aide à comprendre comment la « plandémie » Covid-19 permet d’installer le totalitarisme (forme de psychose de masse) du Nouvel Ordre Mondial.


Cette vidéo a été réalisée en collaboration avec l’Académie des idées et traduite sur la plate-forme TRAD.PUB par Rémi IGOR 31 et doublée par I’M OK. l’Académie des idées créent des vidéos expliquant les idées des grands penseurs de l’histoire afin d’aider à fournir au monde plus de connaissances, pour donner du pouvoir à l’individu et pour promouvoir la liberté. Consultez leur chaîne youtube pour un contenu plus brillant. https://www.youtube.com/c/academyofideas ou visitez leur site Web pour en savoir plus https://academyofideas.com/.

Dans cette vidéo, nous allons explorer la plus dangereuse de toutes les épidémies psychiques, la psychose de masse. Une psychose de masse est une épidémie de folie qui se produit lorsqu’une grande partie de la société perd le contact avec la réalité et sombre dans le délire. Un tel phénomène ne relève pas de la fiction. Deux exemples de psychoses de masse sont les chasses aux sorcières américaines et européennes des 16e et 17e siècles et la montée du totalitarisme au 20e siècle.

Cette vidéo a pour but de répondre aux questions concernant les psychoses de masse : Qu’est-ce que c’est ? Comment cela commence-t-il ? S’est-elle déjà produite ? Sommes-nous en train d’en vivre une en ce moment même ? Et si oui, comment peut-on inverser les étapes d’une psychose de masse ?




Lettre ouverte et pétition nationale de soutien au Dr Amine UMLIL

[Source : Vigilance Pandémie (vigilance-pandemie.info)]

13 septembre 2021 / Commentaires ferméssur Lettre ouverte et pétition nationale de soutien au Dr Amine UMLIL

Le 15 septembre prochain, le Dr Amine UMLIL, responsable de l’unité de pharmacovigilance du centre hospitalier (CH) de Cholet et plusieurs professionnels de la santé et autres professionnels risquent la suspension de leurs fonctions avec une interruption immédiate de leur rémunération, et sans possibilité d’exercer une autre activité rémunérée.

La lettre ouverte ci-dessous constitue le fondement d’une pétition nationale de soutien à l’excellent travail de vigilance pharmacologique du Dr Amine UMLIL, et de protestation contre la menace de suspension de ses fonctions. Elle vient en complément d’un dépôt d’une requête en Référé liberté au tribunal administratif de Nantes demandant notamment la suspension en urgence de l’obligation vaccinale (contre la Covid-19), avec une QPC (question prioritaire de constitutionnalité) à titre subsidiaire et une question préjudicielle à titre encore plus subsidiaire. Elle fait également suite à la suppression abusive et scandaleuse de la page web du Centre Territorial d’Information et d’Avis Pharmaceutiques (CTIAP), jusqu’alors incluse dans le site du centre hospitalier de Cholet. Cet événement grave de par sa symbolique constitue le point d’orgue d’une campagne de harcèlement et d’intimidation contre la personne et le travail légitime de veille et d’information accompli par le Dr UMLIL au sein du CTIAP du centre hospitalier de Cholet. Par ailleurs, cette lettre ponctue elle-même une série de lettres ouvertes du Dr UMLIL, qui pour la grande majorité sont restées sans réponses :

–    la première était adressée au Ministre des solidarités et de la santé, M. Olivier VERAN, et l’interpellait sur l’illégalité du projet de vaccination obligatoire, lettre restée sans réponse ;

–    la seconde invitait son contradicteur, le Dr Jean-Michel DEBARRE, à un débat télévisé public à une heure de grande écoute. Cette seconde est également restée sans réponse et n’a même pas, du reste, été relayée par le Courrier de l’Ouest, comme s’il y avait une volonté manifeste d’enterrer à tout prix le débat scientifique et de faire taire les voix dissidentes courageuses. En tout état de cause, il est certain qu‘un refus de débattre publiquement peut être interprété, comme l’écrit le Dr UMLIL, “comme une reconnaissance du bien-fondé de l’intégralité de [m]ses réflexions publiées” ;

–    la troisième lettre ouverte adressée à la direction du centre hospitalier de Cholet marquait une étape supplémentaire dans le combat du Dr UMLIL pour faire triompher la science, la raison et le droit contre la pseudoscience, la folie, les mensonges, les conflits d’intérêt et collusions entre les groupes pharmaceutiques, le monde politique et les organismes de santé publique. Il y révélait les jacasseries, puérilités et mesquineries d’un directeur d’hôpital davantage effrayé par les insinuations de “complotisme” d’un critique anonyme sur Twitter que par les avertissements d’un scientifique professionnel qualifié au sujet de l’illégalité de l’obligation vaccinale et des effets indésirables potentiels des vaccins. Il y révélait de savoureux détails sur des pratiques inimaginables dans un établissement hospitalier qui datent d’une époque révolue et montrent les dessous de la “science” officielle.

Dans cette lettre ouverte, nous présentons l’activité de vigilance pharmacologique et argumentons sur un de ses apports déterminants lorsqu’elle est exercée librement, c’est-à-dire dans un climat de confiance réciproque avec le système. Nous mettons ensuite en avant la contribution particulière du CTIAP avec à sa tête le serviteur exceptionnel de son métier en la personne du Dr Amine UMLIL. Les obstacles rencontrés lors de ce service de vigilance sont énumérés et étayés de façon à permettre au lecteur d’évaluer le niveau de déstabilisation et de sabotage subis. Finalement, un appel légitime au soutien du Dr Amine UMLIL est lancé, manifesté par la signature d’une pétition.

Sur la nature de la pharmacovigilance et ses apports (en exercice libre) : cas de la Covid-19

Le travail de vigilance pharmacologique est essentiel pour un fonctionnement sain du système pharmaceutique. D’après la définition indiquée sur le site du ministère français des solidarités et de la santé, il “a pour objet la surveillance des médicaments et la prévention du risque d’effet indésirable résultant de leur utilisation, que ce risque soit potentiel ou avéré. Elle constitue une garantie qui s’exerce tout au long de la vie d’un médicament”.

Cela est simple à comprendre. Par exemple, lorsque m’approchant d’une destination identifiée, je n’en sais pas le chemin sur le dernier kilomètre, je peux me faire aider par un passant. Si ce dernier m’indique la direction, je me mets ensuite en marche dans cette direction suivant un ordre du cerveau à mes muscles ; mais ce sont mes yeux ou à défaut un bâton qui m’aident à détecter et contourner les obstacles plus ou moins dangereux pendant ce parcours. De façon analogue, les terminaisons nerveuses de la peau vous permettent d’éviter de vous brûler au troisième degré, même si prendre et transporter la tasse de thé chaud sont bien les gestes que vous aviez décidé de faire. Les fonctions de contrôle et de régulation des systèmes, parties intégrantes même de l’organisme, sont donc nécessaires et même vitales. Le système pharmaceutique ne fait pas exception.

L’un des impacts majeurs de ce travail de pharmacovigilance est de générer la confiance des usagers dans le bon fonctionnement de l’écosystème pharmaceutique. Les tensions actuelles qui traversent notre nation illustrent intensément les menaces graves que fait peser l’étouffement ou le dysfonctionnement de tout mécanisme régulateur – générateur de confiance – sur l’équilibre sociétal. Voici un échange entre le Courrier de l’Ouest et le directeur du CH Cholet, datant de décembre 2020, rapporté par le Dr UMLIL et concernant la 7e réunion d’information indépendante destinée au public. Elle portait justement sur le sujet des vaccins contre la Covid-19. Cet échange expose la pertinence de l’activité du CTIAP comme instrument de vulgarisation dans le contexte actuel :

« Bonjour,

Nous avons pris connaissance de l’organisation d’une soirée d’information du CTIAP jeudi prochain autour des questions liées à la vaccination contre le Covid-19. Sujet qui intéresse évidemment nos lecteurs. Dans le doute, faute de communication officielle de l’hôpital, peut-on savoir si la direction de l’établissement cautionne sa tenue ? (…) »

Courrier de l’Ouest.

“À cette question du journal, vous le directeur avez répondu ceci :

« Monsieur [un journaliste du Courrier de l’Ouest],

La vaccination est un enjeu majeur pour limiter, voire supprimer l’impact de la COVID. Le Centre Hospitalier de CHOLET souhaite la réussite des opérations de vaccination qui seront menées dès que les autorisations sanitaires indépendantes en France et en Europe auront validé ces vaccins. La réussite de ces opérations suppose l’adhésion et la confiance de la population, qui, passe par une information claire et transparente sur le sujet. C’est pourquoi l’initiative du CTIAP est la bienvenue. (…) »

Pierre VOLLOT, directeur du centre hospitalier (CH) de Cholet.

C’est certainement sur la confiance (légitime) en une information claire et transparente provenant de la pharmacovigilance que veut s’appuyer notre premier ministre, M. Jean CASTEX [JC, ci-dessous] lorsqu’il l’évoque dans cette interview :

– JC : Ce vaccin présente une certaine efficacité notamment pour les formes les plus graves de la maladie. Donc, nous avons un système qui s’appelle la pharmacovigilance où on suit cela de très près ; de façon extrêmement rigoureuse. Je peux vous assurer que si j’avais le moindre doute, si j’avais le moindre doute…

– Animateur : Vous demanderiez la suspension.

– JC : Absolument ! Parce que c’est mon devoir, c’est ma responsabilité. Mais à ce stade, il faut avoir confiance en ce vaccin.

Extrait à retrouver dans cette vidéo, à l’instant 17’15.

La question légitime que l’on serait naturellement porté à se poser est la suivante :

La pharmacovigilance française ou internationale a-t-elle à ce jour produit, agrégé et délivré une information claire et transparente relative aux solutions pharmaceutiques à la pandémie de Covid-19 ?

Nous croyons que les quelques éléments rapportés ci-dessous permettront au lecteur de pouvoir répondre sans ambiguïté à cette dernière question.

Rappelons, s’il en est besoin, que la résolution du volet sanitaire de la crise que nous vivons aujourd’hui se dessine à l’échelle mondiale autour d’une campagne quasi globale de vaccination, avec principalement des vaccins dits à ARN/ADN. Ces vaccins, divergeant du principe habituel de conception de vaccins, s’appuient sur l’émission de message ADN/ARN ordonnant à la machinerie de l’expression génique cellulaire de synthétiser massivement la protéine spike (qui caractérise le virus) ; une réponse immunitaire est ainsi forcée en réaction à cette apparition. Le principe habituel, consistant aussi à forcer une réponse immunitaire, la favorise par une injection d’un échantillon inoffensif du virus isolé, sans intrusion autoritaire dans la machinerie génique cellulaire.

Dans ce premier article, l’auteur(([1] Laurent Mucchielli, sociologue, directeur de recherches au CNRS (Centre Méditerranéen de Sociologie, de Science Politique et d’Histoire.) )) élabore une surveillance des vaccins ARN/ADN au travers de leurs impacts relatifs sur la propagation du virus qu’ils doivent combattre. Il s’appuie sur des données nationales issues de sources étatiques ou d’organisations internationales officielles (compilées et traitées par ourworldindata.org, voir au bas de la page Web), et portant sur le nombre de personnes testées positives à la Covid-19 et le nombre de personnes décédées de la Covid-19. Ces données couvrent la période allant de décembre 2020 au 16 juillet 2021 – correspondant à la campagne globale de vaccination. Pour les 15 pays les plus vaccinés, ces données permettent une conclusion que l’on peut considérer comme une connaissance certaine :

La vaccination n’a pas empêché l’émergence de nouveaux cas ni la contamination, puisque des phases épidémiques tardives ont été observées dans les 15 pays les plus vaccinés (> 50 % de moyenne) à la date du 16 juillet 2021.

Cette conclusion et toutes celles que l’on peut tirer de ces données-là ouvrent le champ de réflexion sur d’autres interrogations, dont la question principale suivante : quelle est la proportion de vaccinés/non-vaccinés parmi les nouveaux cas ? Nous y revenons plus bas.

Dans un séminaire donné à l’Institut Hospitalier Universitaire (IHU) Méditerranée tenu le 29 juin 2021, le Pr Peter McCullough, qui a « traité des personnes de plus de 90 ans à la maison qui ont été malades, mais sans être hospitalisées », a rassemblé les données de plusieurs dizaines d’études ayant élaboré une surveillance de la valeur thérapeutique de plusieurs traitements anti-Covid : ivermectine et hydroxychloroquine pour les plus connus, mais également infusions d’anticorps anti-protéine spike, favipiravir, corticostéroïdes, colchicine, anticoagulants. Les méta-études (résumés synthétiques des études) concernant en particulier l’ivermectine et l’hydroxychloroquine révèlent les données suivantes :

Phase/Type d’essais Nombre d’essais Amélioration en %
IVERMECTINE pour Covid-19 au 26 août 2021
63 essais, 613 scientifiques, 26 398 patients
Traitement prophylactique 14 86
Traitement précoce 27 72
Traitement tardif 22 40
Nombre de décès survenus 25 58
Essai randomisé 31 58
HYDROXYCHLOROQUINE pour Covid-19 au 26 août 21
279 essais, 4555 scientifiques, 398 331 patients
Traitement précoce 30 65
Traitement précoce RCT 7 48
Traitement tardif 190 21
Nombre de décès survenus après traitement précoce 13 75
Essai randomisé 43 23

Les données présentées ont conduit le Pr McCullough aux conclusions suivantes :

  • La période de maladie avant l’hospitalisation est LA période favorable d’intervention.
  • L’hospitalisation et le traitement tardif correspondent à une sûreté faible des médicaments avec une mortalité intolérablement haute.
  • Le traitement ambulatoire précoce, réalisé séquentiellement avec un panache de médicaments a un profil bénéfice-risque positif (risques réduits d’hospitalisation et de décès.)

Relativement à ces traitements, le docteur Harvey Risch de l’université de Yale a affirmé dans un article-témoignage que la clé pour vaincre la Covid-19 existe déjà : il y mentionne de nombreuses études sur des traitements avec zéro mort sur des quantités importantes de patients à haut risque atteints de la Covid-19, et provenant d’Israël, des États-Unis, du Brésil. Il rapporte aussi qu’en Suisse, autour de la période allant du 27 mai au 11 juin 2020, un pic de 400 % du nombre de morts de la Covid-19 s’est intercalé entre une interdiction gouvernementale de prescription libre d’hydroxychloroquine et la levée de cette interdiction.

Justement, le Pr McCullough a aussi présenté des indicateurs qui permettent d’évaluer très objectivement les effets indésirables des vaccins à ARN/ADN. Sachant que par exemple, en 1976, la surveillance avait conduit à l’arrêt du programme de vaccination contre la grippe porcine après (seulement) 25 morts enregistrés, il est rapporté par le Pr McCullough les données suivantes :

Au 11 juin 2021, le VAERS [Vaccine Adverse Event Reporting System] – plateforme de collecte des événements adverses liés aux vaccins – affichait pour les seuls vaccins à ARN/ADN 5993 morts et 20 737 hospitalisations pour 358 379 signalements. En comparaison, le cumul de ces mêmes indicateurs avant les vaccins ARN/ADN produit une moyenne d’environ 158 morts par an pour 16 320 signalements annuels : ces dernières données portant sur un total de 70 vaccins différents et 500 millions d’injections. L’on peut donc observer, à part les hausses explosives des nombres absolus d’événements rapportés et de décès (2 200 % et 3 700 % respectivement), une hausse de 72 % de la proportion de décès parmi les événements rapportés.

Ces données ont conduit le professeur à la conclusion suivante :

Les vaccins à ARN/ADN ont un profil de sûreté défavorable, et ne peuvent dès lors pas être approuvés pour un usage clinique.

Cette conclusion est partagée par un très grand nombre de spécialistes de ce domaine, et s’appuie, comme mentionné précédemment, sur des dizaines d’études produites par des scientifiques du monde entier. Un article datant de mai 2021 présente les questions urgentes que posent 57 médecins et spécialistes de 17 pays différents, et met littéralement en demeure les régulateurs nationaux et internationaux de suspendre incessamment la campagne courante de vaccinations, afin de « commencer des évaluations critiques indépendantes » et un « dialogue pluraliste » portant sur des questions critiques nécessitant des réponses urgentes si l’on souhaite particulièrement « éviter une érosion à l’échelle mondiale de la confiance du public dans la science et dans la santé publique ». Et cette érosion ne menace pas seulement le grand public, mais s’attaque aux corps constituants du système médical et paramédical. À titre d’exemple, ce témoignage viral d’un sapeur-pompier lyonnais qui découvre avec beaucoup d’émotion que les nombreux AVC qu’il a observés récemment dans l’exercice de sa fonction « ont bien un lien avec » l’injection des vaccins à ARN/ADN, et qu’il n’y a « rien qui ne remonte » malgré le fait que les infirmières « alertent tout le monde »…

L’émergence de toutes ces données ainsi que les conclusions logiques qui en ont découlé ont conduit le Pr McCullough à entreprendre de les vulgariser largement, jusque devant une commission sénatoriale du Texas, aux États-Unis, dont la présidente a été directement impactée par le traitement et la guérison de son époux à domicile. Il s’est impliqué, avec des partenaires de l’Association des médecins et chirurgiens américains, dans l’édition – salutaire pour des milliers d’autres – du guide de traitement de la Covid-19 à domicile.

Sur les causes d’une pharmacovigilance qui dysfonctionne et ses graves conséquences

« La justice ne viendra pas à Athènes jusqu’à ce que ceux qui ne sont pas blessés soient aussi indignés que ceux qui sont blessés. »

Thucydides

En France, nous pourrions (presque) tous avoir oublié les récents et moins récents scandales sanitaires. Est-ce que l’on devrait attendre d’être soi-même victime directe ou indirecte dans l’un de ces scandales, avant de joindre sa voix à celles et ceux qui exigent les garanties d’un fonctionnement plus clair, transparent et sain des organes publics et des système médicaux et paramédicaux qu’ils sont censés surveiller ?

Dans un récent article intitulé « Médicaments, argent et faits trompeurs », la journaliste Laura Spinney réaffirme qu’il “est plus que jamais essentiel que la société puisse faire confiance aux entreprises pharmaceutiques qui cherchent à obtenir une approbation règlementaire”. Or, en citant dans son article les travaux du pédopsychiatre Jon Jureidini et du philosophe Leemon McHenry, elle rapporte que ceux-ci “contestent l’hypothèse selon laquelle tous les médicaments et appareils médicaux approuvés sont sûrs et efficaces. Ils avertissent que lorsque la science clinique s’accroche à la course aux profits de l’industrie pharmaceutique, la méthode scientifique est sapée par les effets de marketing et le tri sélectif des données. Ils proposent une solution inspirée par le philosophe des sciences Karl Popper : retirer les essais des médicaments des mains des fabricants”. Cette solution forte s’appuie sur le constat par les auteurs de “déformations volontaires de données de sécurité et d’efficacité” lors d’essais sur la paroxétine et le citalopram, respectivement objets des études 329 de GlaxoSmithKline et CIT-MD-18 de Forest Laboratories.

Peter C. Gotzche, dans son livre Remèdes mortels et crimes organisés, particulièrement étayé de preuves détaillées, constate que l’une des causes de cette atrophie de l’action de pharmacovigilance réside dans le fait que « les patients ont confiance (aveuglément ! NDLR) dans leurs médicaments parce qu’ils extrapolent la confiance qu’ils ont envers leurs médecins et la reportent sur les remèdes que ces derniers leur prescrivent. Ils ne sont pas conscients que les médecins, s’ils en savent long sur les maladies et la physiologie et la psychologie humaines, en connaissent très, très peu sur les médicaments si ce n’est les informations fabriquées de toutes pièces par l’industrie pharmaceutique… » Avis bien résumé par lui par ces mots : “Tout ce que nous savons sur leur compte (c’est-à-dire sur les médicaments), c’est ce que les compagnies ont choisi de nous dire et de dire à nos médecins…”

Concernant les conséquences de ces actions, nous avons déjà mentionné l’effet dévastateur de la perte de confiance du public, et surtout – dans la crise actuelle – du personnel médical et paramédical. Le système, qui se veut vigilant et se dote d’organes consacrés, apparaît comme schizophrène puisqu’il s’emploie à asphyxier méthodiquement ces organes. En ce qui concerne la confiance, notamment dans les acteurs industriels de production et de vente de médicaments, il existe une liste de condamnations(([2] Les liens donnés plus bas apparaissant dans l’histoire fictive extraite des réseaux sociaux. Les sites sont en anglais.)) dont la longueur est tout simplement choquante ! En fait, la violence du choc est renforcée à la lecture des motifs de condamnation (falsifications volontaires, etc.) et surtout au constat de la forte proportion de récidive. Qualifieriez-vous de responsable une attitude qui consisterait à exiger des garanties claires et fortes face à une proposition d’injection d’un vaccin provenant de l’un de ces acteurs industriels, dont l’utilisation est frappée de surcroît d’une autorisation de mise sur le marché dite conditionnelle (AMM) ? Et comment qualifieriez-vous l’attitude d’un chef de famille qui n’exigerait pas ces garanties ? Une histoire – (probablement) fictive – publiée(([3] Pseudonyme Anna-Lyse sur Twitter.)) sur un réseau social illustre bien ce questionnement :

Suis-je une mère irresponsable ?
Pfizer…

15 sept. 1825. Une mère, 3 enfants. Accusée à tort d’irresponsabilité, elle a été éloignée, retenue loin de ceux-ci, dès lors en situation de grande détresse. Le plus âgé avait 15 ans.
AstraZeneca… 

Une lettre, dans laquelle elle rassure, et décrit comment ils vont pouvoir affronter l’année à venir sans elle (la cachette de la bourse, la tante à 3 j de charrette, etc.)
Johnson & Johnson…

Ce jour-là, la prison ne lui a proposé, comme messager de la lettre, nul autre qu’un abuseur récidiviste, sortant de prison du fait d’un aménagement de peine “opportun”.

Avec tout ça, Moderna devrait-elle garder son SM-102 secret ? 

Ils ont insisté, affirmant qu’ils n’avaient pas le choix…

Finalement, nous ne mentionnerons pas le nombre de décès et autres destructions physiologiques et psychologiques vécues par les victimes d’un consentement non éclairé à exposer leurs êtres à des substances ou des protocoles de traitement. L’absence de cette lumière éclairante étant fortement favorisée par l’absence d’exercice libre ou la défaillance orchestrée des systèmes de régulation, et particulièrement la pharmacovigilance. À ce sujet, des réseaux sociaux ont incompréhensiblement et, semble-t-il, abusivement censuré un groupe destiné à recenser les victimes d’effets indésirables en France. Mais sur d’autres plateformes plusieurs témoignages sont apparus ; et ceux-ci ne décrivent probablement qu’une partie émergée de l’iceberg, tant la censure sur les réseaux sociaux apparaît anormalement intense contre les témoignages de ce type. Quelques-uns, très emblématiques, apparaissent dans ce documentaire sur AstraZeneca.

Sur les obstacles à l’exercice libre de la pharmacovigilance et le rapport positif à la contradiction du Dr UMLIL

Si les huit (8) ans de « gestation administrative » du CTIAP – dont le projet était prêt dès le 10 décembre 2007 – pouvaient déjà interpeller, la litanie d’obstacles de toutes sortes qui se succèdent depuis les premières prises de positions critiques émanant de cet organisme dans la crise actuelle doit interpeller encore davantage le lecteur de cette lettre. Et ce au regard, d’une part, de la reconnaissance profonde, unanime et prolongée dans le temps de la qualité du travail accompli par le Dr UMLIL avant ces dites prises de position ; et d’autre part, du fait de la qualité de l’approche du CTIAP et de son directeur le Dr Amine UMLIL face aux objections exprimées sur le fond : cette approche consistait à ouvrir systématiquement une discussion publique à travers des lettres ouvertes, des droits de réponse au médias relais des opinions de ses contradicteurs, et même des débats télévisés censés présenter les preuves contradictoires. Dans ces différents courriers, il ne nous a pas été donné de trouver ni propos offensants sur la forme, ni arguments de fond qui n’aient été étayés par une preuve documentaire. De plus, il apparaît à notre lecture que les réponses et propositions du Dr UMLIL n’étaient que peu frappées de l’horizontalité stérile, de la plate – et souvent puérile – mise en défaut du contradicteur, mais tendaient toujours à viser la prise en compte de l’enjeu ultime de sa fonction, qui est de faire émerger et s’imposer le factuel et l’information utiles pour l’usager du système pharmaceutique, même à travers l’épreuve de la contradiction.

Les obstacles à l’exercice libre de pharmacovigilance opposés au CTIAP ainsi qu’au Dr UMLIL reproduisent les formes qu’il est possible d’observer concernant plusieurs chercheurs ou praticiens ayant exprimé des opinions divergentes : sources d’origines collégiale, institutionnelle et médiatique, telle une hydre à 3 têtes. Nous faisons remarquer qu’une quatrième tête judiciaire est malheureusement plutôt rare, sinon elle aurait eu la vertu de susciter un apport de preuves probantes de la part des deux parties, permettant ainsi à l’opinion de juger plus justement de la pertinence des positions respectives.

D’un point de vue collégial, le principal obstacle provient de l’attitude de la direction du centre hospitalier de Cholet, avec en tête son directeur Pierre VOLLOT. Ce sont principalement des dénis de compétences ou de légitimité injustifiés au regard des faits, tendant à décrédibiliser l’action ou la personne du Dr UMLIL. Or la conséquence logique principale de la décrédibilisation d’une action ou d’une personne est l’affaiblissement de son impact dans l’atteinte des objectifs de sa mission. L’on peut même se questionner sur la profondeur de ce que subit personnellement le Dr UMLIL en coulisse lorsque ce dernier révèle, preuve à l’appui, avoir été informé par sa direction de l’envoi d’une lettre adressée à un organe disciplinaire contre lui, au travers d’un recommandé avec accusé de réception “adressé alors que j’étais en congé”. Le chapelet des obstacles, manquements, et – il faut le dire – sabotages, est égrené par le docteur, dans sa réponse au directeur Pierre VOLLOT du 23 août 2021, et sa réponse à la direction du centre hospitalier de Cholet du 10 avril 2021.

D’un point de vue institutionnel, c’est le docteur UMLIL qui a été personnellement visé par une lettre adressée au centre national de gestion des praticiens hospitaliers et des personnels de direction de la fonction publique hospitalière (CNG), organe disciplinaire consacré. Dans cette lettre de dénonciation, à laquelle le Dr UMLIL a répondu par une lettre ouverte au CNG du 10 août 2021 (avec ampliation adressée à la tutelle), Pierre VOLLOT évoque un droit de réserve qu’il oppose à la diffusion d’avis critiques et d’analyses proposées par le Dr UMLIL à travers le canal du CTIAP.
Or, sur la forme, le recours à ce droit de réserve à l’encontre d’un pharmacien des hôpitaux s’évapore devant plusieurs dispositions du Code de santé publique qui enjoignent, par exemple, de ne « se soumettre à aucune contrainte financière, commerciale, technique ou morale, de quelque nature que ce soit, qui serait susceptible de porter atteinte à son indépendance dans l’exercice de sa profession » (R. 4235-18 du CSP). Sur le fond, et en cohérence avec ce que nous avons pu constater continuellement dans l’action du Dr UMLIL, sa réponse fut adressée via un avocat sous forme de « lettre – recommandée avec avis de réception – l’invitant [Pierre VOLLOT] à formuler, de façon précise, ses griefs à l’encontre des analyses proposées par le CTIAP et concernant le rapport bénéfice/risque des vaccins contre la Covid-19 ».La réponse de Pierre VOLLOT ne contenait « aucun reproche envers les analyses publiées sur le site du CTIAP ».

Le dernier champ d’obstacles, de véhicule médiatique, nous apparaît revêtir une violence particulière, du fait de l’amplification par le nombre et les réseaux sociaux. Il nous est apparu comme constitué d’amalgames, d’omissions, d’enquêtes à charge omettant de consulter les sujets avant publication et ignorant les droits de réponse, et quelques fois de censures grossières et surtout injustifiées, au regard du principe d’équité.

Il s’y trouve en particulier l’évolution plutôt déroutante de la couverture du travail et de l’impact du CTIAP et du Dr UMLIL par le journal Le Courrier de l’Ouest. Toujours avec coupures de presses et autres preuves renseignées, le Dr UMLIL fait constater que :

« le Courrier de l’Ouest, ainsi qu’Ouest-France, avaient toujours relayé l’information selon laquelle les analyses du CTIAP sont « fiables ». Comme le montrent leurs anciens et nombreux articles tels que ceux d’octobre 2017 concernant l’« affaire LÉVOTHYROX® »… Ces anciens articles admettent notamment l’indépendance et la rigueur des analyses proposées.

[…]

Mais, brusquement, les analyses proposées concernant le rapport bénéfice/risque des vaccins contre la Covid-19, avec la même indépendance et la même rigueur, deviendraient celles d’un « antivax »« complotiste », pourvoyeur de « fausses informations »

Le positionnement initial était aligné sur celui de plusieurs confrères généralistes et spécialisés par lesquels les « réflexions et alertes ont été également relayées » : Le PointLe MondeLe NouvelObsLe Quotidien du PharmacienHospimedia, parmi d’autres.

Mais un article du 14 août dernier – publié sur le Web par Ouest France –  intitulé « Amine Umlil de nouveau en conflit avec l’hôpital », réunit dans son contenu un ensemble de déclarations tendancieuses et peu empreintes de la neutralité promue par la déclaration de Munich. Extrait :

« Le pharmacien est très actif sur son blog et sur les réseaux sociaux. Résolument opposé à la vaccination contre le Covid-19, le Choletais est cité en référence par de nombreux « antivax ». Il a aussi son rond de serviette sur le site internet FranceSoir.fr. Un média sans journaliste, relais de thèses complotistes et de fausses informations. »

De plus, ici encore, le professionnalisme et a minima la déontologie, sinon la probité du journal sont sérieusement défiés par un fait marquant. En effet, à la lecture de la fermeture de l’article :

« Contacté, Amine UMLIL n’était pas disponible, hier »,

La banalité que transporte cette mention n’aurait pas permis de découvrir, sinon de par la révélation par le Dr UMLIL des échanges constituant ce contact, que deux informations avaient été données par le journaliste : (i) seulement un « mot, bref » devait paraître le lendemain, en attendant (ii) d’être « contacté par un ou une de mes collègues » la semaine suivante ; réponses à valeur de promesses, que l’on peut considérer comme logiques, puisqu’à la sollicitation du journaliste le matin même pour l’après-midi (c’est-à-dire la veille de la publication), le Dr UMLIL avait répondu :

« Bonjour Monsieur [nom du journaliste],

Merci pour votre message.

Je ne peux pas cet après-midi.

La semaine prochaine, si vous pouvez.

Bien à vous,

(…) »

Un certain surplus d’honnêteté intellectuelle ou de devoir d’équité envers le Dr UMLIL, sachant le contenu – à charge – de ce qui était attendu comme « mot bref », aurait favorisé cette autre écriture de la fermeture de l’article, par exemple :

« Contacté hier, Amine UMLIL n’était pas disponible. »

Dans une publication dans laquelle le Dr UMLIL dénonce cet article et plusieurs autres meurtrissures publiques contre son image, l’on énumère plusieurs des procédés médiatiques subis par beaucoup trop de chercheurs, scientifiques et praticiens à travers le monde, qui sont passés de la reconnaissance élargie de leurs mérites vers la mise au banc et les injures du fait de l’expression légitime, raisonnée et lucide de questionnements légitimes et de divergences de points de vue.

Sur la reconnaissance de la qualité des contributions particulières du CTIAP et du Dr UMLIL et leur efficacité mesurable

D’abord comme responsable de la pharmacovigilance depuis son recrutement en septembre 2002, ayant mis en place la coordination des vigilances sanitaires en 2007 au centre hospitalier de Cholet, et enfin comme fondateur et acteur majeur du CTIAP dès 2015, le Dr UMLIL a réalisé un travail excellent et reconnu comme tel ; et ce, partant de ses collègues (éventuellement hiérarchiques) jusqu’aux médias locaux et nationaux, généraux ou spécialisés.

Le Point avait qualifié le CTIAP de « structure originale qui pourrait servir d’exemple », et le Quotidien du Pharmacien avait salué « la pédagogie d’un pharmacien ».

Un « Docteur en médecine »« psychiatre des hôpitaux »« praticien hospitalier au centre hospitalier de Cholet depuis 1980 », « ancien président de sa commission médicale d’établissement ». Ce médecin « atteste » ce qui suit :

« Je soussigné (…), atteste, en ce qui concerne mon collègue, Monsieur Amine UMLIL, pharmacien des hôpitaux,

1. Celui-ci apporte au centre hospitalier de Cholet un potentiel de connaissances, de compétences, d’exigences, nouvelles et de nature à constituer une contribution extrêmement positive au fonctionnement de l’hôpital ; il y a lieu de relever en particulier :

— des connaissances scientifiques et méthodologiques rares, une aptitude concrète à l’évaluation des produits et des procédures pharmaceutiques conformes aux exigences actuelles de la science, et surtout : cette évaluation indépendante des actions commerciales des firmes pharmaceutiques ;

— une connaissance précise, détaillée, actuelle de la réglementation relative à l’exercice de sa profession et, ce qui est encore plus important, un rapport positif à la loi et aux règlements ;

— une référence constante aux règles de métier de sa profession, en entendant par là non pas seulement les us-et-coutumes et les habitudes de celle-ci, mais les normes constitutives de l’excellence, d’où, chez mon collègue, un rapport spontanément sincère et sérieux, mais méthodique, aux procédures des démarches qualité ;

— une mise en œuvre effective, chaque fois qu’il n’y a pas été mis obstacle, de ces compétences en termes de performance, en particulier au service des patients grâce à sa disponibilité efficace et rapide auprès des médecins cliniciens, grâce à la qualité et à l’actualité de son information (et de la diffusion de cette information) relative aux risques liés à la pharmacothérapie fondée scientifiquement et non simple relais des messages commerciaux des firmes pharmaceutiques ;

— un respect de principe, sans doute excessif, parce que systématique, pour ses aînés et pour les détenteurs de l’autorité, de nature à lui rendre totalement inintelligible que ceux-ci ne s’illustrent pas par leur exemplarité en termes relationnels, professionnels, déontologiques et éthiques.  (…) ».

L’actuel directeur du centre hospitalier de Cholet, Pierre Vollot, attestait en 2017, auprès du ministère public d’Angers :
« […] Monsieur le Docteur UMLIL a acquis une expertise technique incontestable, renforcée par des capacités pédagogiques certaines. »

D’autre part, quand le législateur mosaïque recommandait, dans une loi sociale du texte biblique, de ne pas craindre le service prophétique de l’individu dont les oracles ne s’accomplissent pas, il ne croyait peut-être pas si bien fournir un indicateur objectif de mesure pour tout service de vigilance. Ici, et en l’espèce, dans une lettre ouverte datant du 12 mars 2021, le Dr UMLIL avertissait déjà de la nécessité d’un « recueil de consentement libre et éclairé », dénonçant alors le « projet d’obligation vaccinale » comme contrevenant aux articles 7.3.1 et 7.3.2 de « la résolution 2361 » du Conseil de l’Europe « adoptée le 27 janvier 2021 – alors même que même la loi introduisant le pass sanitaire n’allait intervenir que deux mois plus tard. Propos conclus à l’époque en qualifiant ledit projet de « faute juridique, morale, éthique et politique notamment ». Si six mois plus tard l’atmosphère sociale est saturée de ces sujets-là précisément, c’est bien dire que depuis sa vigie – le CTIAP, la sentinelle UMLIL avait bien vu ! Sinon cela révèle tout au moins la fiabilité de ses sources et une fatale efficacité du travail de vigilance effectué à ce moment-là, qui consiste à (pré)voir et signaler les anormalités et menaces perçues.

Appel final à manifester son adhésion à la nécessité de l’exercice libre de la vigilance pharmacologique et son soutien au CTIAP et au Dr UMLIL

Sur la base de ce qui précède, nous, signataires rassemblés par le collectif Vigilance Pandémie, appelons à exprimer concrètement l’adhésion à l’exercice libre de la pharmacovigilance, fonction vitale de notre système de santé, et ce en signant la pétition de soutien à l’un de ses fleurons nationaux, le CTIAP du centre hospitalier de Cholet, et au Dr Amine UMLIL son fondateur et dont il est une principale figure active. Ce dernier est particulièrement menacé aujourd’hui par la perte de son poste du fait d’une obligation vaccinale dont la teneur sanitaire et juridique a été l’objet de ses critiques ordonnées.

La toile, à travers plusieurs médias, des sites internet ainsi que les réseaux sociaux, révèle une multiplication d’obstacles et sabotages de plusieurs scientifiques et praticiens en médical, biomédical et paramédical. Mais nous nous sommes focalisés sur le cas du CTIAP et du Dr UMLIL du fait de la fonction stratégique qu’ils occupent en faveur de la santé de tout le système en France. C’est ce que nous nous sommes employés à démontrer et à étayer dans cette lettre. Le soutien au Dr UMLIL et à son travail va unir et cristalliser toutes nos affirmations individuelles de la nécessité d’une pharmacovigilance forte en France. C’est donc là une démarche d’engagement nécessaire et stratégique dans le processus d’assainissement du système pharmaceutique et sanitaire en France.

Engageons-nous donc résolument à signer cette pétition dès maintenant !

Signataires :

Dominique TASSOT,

Ancien directeur R&D d’un groupe pharmaceutique

Alexandra HENRION CAUDE,

Directrice de recherche, spécialiste de l’ARN

Edouard HUSSON,

Professeur des universités

Gérald PECH,

Ingénieur dans l’industrie, ancien chercheur

Didier MAGNE,

Directeur industriel chez Symbiose SE2D

Agnès D’AMILLY,

Directrice administrative et financière

Maître Virginie DE ARAUJO RECCHI,

Avocate au Barreau de Paris, membre de l’Institut Art & Droit et de l’American Bar Association

Nicole DELEPINE,

Cancérologue, ancienne chef de service d’oncologie pédiatrique


Notes




Crise-covid. Vous ne pouvez plus dire…

[Source : benoit-et-moi.fr]

Le cri d’une députée italienne du Mouvement 5 étoiles, Sara Cunial, exclue de son parti (qui est actuellement au sein de la coalition gouvernementale menée par le banquier Draghi) pour avoir tenu des propos hors des clous à propos de la gestion de la crise sanitaire: elle interpelle ses collègues lors d’un débat à la Chambre sur le « Green Pass ». Seule contre tous, dans un magnifique élan de courage. En conclusion, elle s’adresse directement au Pape. On attend vainement la même chose en France.

Original en italien trouvé sur ce non moins formidable site: 
www.korazym.org/64986/la-dichiarazione-di-voto-di-sara-cunial-alla-camera-durante-la-discussione-del-vergognoso-decreto-green-pass/

Vous ne pouvez plus dire que se faire vacciner est un acte d’amour car un acte d’amour sans consentement et sous chantage s’appelle un viol.

https://youtu.be/ttm3k0ws0Vo

Vous ne pouvez plus dire qu’il s’agit d’une urgence, car cela fait maintenant presque deux ans que cette gestion hystérique a commencé.

Vous ne pouvez plus dire que l’on ne sait rien du COVID, car il existe maintenant une littérature très solide, qui remonte même à avant la soi-disant pandémie.

Vous ne pouvez plus dire qu’il n’y a pas de remèdes, car les remèdes sont connus depuis le printemps 2020, et maintenant l’EMA (Agence européenne de médicaments] a même commencé à approuver les premiers médicaments.

Vous ne pouvez plus dire que le plasma convalescent n’est pas une solution pour les cas qui ne nécessitent pas d’hospitalisation, car ceux qui l’ont démontré l’ont payé très cher [le principal promoteur de cette thérapie, le Prof. De Donno, chef de service à Mantoue, a très mal vécu le rejet dont elle a été l’objet, et il vient de se suicider, cf. blog du Dr Gulisano, ndt].

Vous ne pouvez plus dire que le vaccin est la seule alternative, car il ne s’agit pas d’un vaccin mais d’une thérapie génique expérimentale, et il est illégal de forcer indirectement les Italiens à être des cobayes dans cette expérience.

Vous ne pouvez plus dire que les vaccins ne sont pas expérimentaux, car même les tests du premier vaccin autorisé ne sont pas encore terminés.

Vous ne pouvez plus dire que les vaccins sont sûrs car vous ne savez même pas ce qu’ils contiennent. Au contraire, les nouvelles du monde entier sont claires : des millions de lots ont été confisqués dans de nombreux pays en raison de la présence de substances étrangères, dont certaines très dangereuses, qui n’ont pas été reconnues et ne sont pas indiquées sur l’étiquette.

Vous ne pouvez plus dire qu’il est impossible d’obtenir une immunité collective sans le vaccin, car il a été prouvé qu’une grande partie de la population est déjà immunisée sans ce sérum, raison pour laquelle vous ne voulez pas que soient diffusés les tests sérologiques correspondants.

Vous ne pouvez plus dire que les vaccins sont efficaces, car on a fait les comptes, et la diminution du risque est à peine supérieure à zéro.

Vous ne pouvez plus dire qu’il n’y a pas de risque dans la vaccination, car les chiffres des réactions indésirables des bases de données en Grande-Bretagne, aux États-Unis et en Europe parlent d’eux-mêmes. Lisez-les !

Vous ne pouvez plus dire que votre stratégie est le vaccin volontaire, car vous contraignez lentement tout le monde à le faire indirectement, par le chantage social, la traque et le mobbing. Vous utilisez la pandémie comme excuse pour les réformes sociales, économiques et du travail « sang et larmes » que votre Recovery exige comme rançon.

Vous ne pouvez plus dire que toutes les mesures mises en place ne sont que pour l’urgence, car l’OMS a publié un document – financé par Bill Gates et Rockefeller – sur l’utilisation permanente du passeport vaccinal.

Vous ne pouvez plus dire « l’Europe nous le demande », car dans le règlement 2021/953 de l’UE, à l’article 36, il est écrit : « il est nécessaire d’éviter toute discrimination directe ou indirecte à l’encontre des personnes qui choisissent de ne pas être vaccinées ». Une phrase qui, dans le SEUL CAS de la TRADUCTION ITALIENNE, a été habilement dissimulée par les petites mains des Palais [du gouvernement] pilotés par les voleurs de vérité qui aiment saboter les textes normatifs de référence. Le but du Pass Covid européen – qui n’est vert qu’en Italie (évidemment en accord avec les visions nucléaires du ministre Cingolani) – est de « faciliter l’exercice du DROIT DE LIBRE CIRCULATION par les détenteurs ». NOTEZ « LIBRE », et non « SOUS CHANTAGE ». L’article 3, paragraphe 6, du règlement stipule : « La possession des certificats visés au paragraphe 1 ne constitue pas une condition préalable à l’exercice de la liberté de circulation ».

Vous ne pouvez plus dire que vous respectez la priorité des sources normatives car en acceptant le compromis au rabais pour les [tests] salivaires, dont la mise en œuvre est réglementée par la fameuse Circulaire du Ministère de la Santé, vous établissez qu’avec un pizzino [ndt: du mot sicilien pizzinu signifiant «petit bout de papier». Utilisé pour désigner de petits bouts de papier échangés de la main à la main par la mafia sicilienne pour les communications sensibles. Mais aussi les papiers que les députés et les sénateurs échangent au Parlement] de Speranza [ministre de la santé] vous décidez de la vie ou de la mort sociale, professionnelle et économique des citoyens italiens et de ce pays. Je vous rappelle que les tests salivaires rapides ont la même efficacité et donc le même taux d’erreur que les [test] nasaux chinois de torture.

Vous ne pouvez plus raconter la fable de l’immunisation que les vendeurs de vaccins savent si bien raconter, même ici. Combien de collègues testés, ou pire, de collègues vaccinés, ici, peuvent prétendre être immunisés et donc jurer qu’ils ne sont pas infectés ou contaminés ? Puis-je me sentir en sécurité si j’entre en contact avec la collègue Lorenzin [Beatrice Lorenzin, députée PD, ex-ministre de la santé] plurivaccinée ou bien suis-je dans la même situation que les patients de l’hôpital S. Eugenio, fermé pour cause d’épidémie Covid avec des personnels de santé tous vaccinés ?

Vous ne pouvez plus dire que les vaccinés ne contaminent pas, maintenant les nouvelles de vaccinés infectés et contagieux sont de notoriété publique.

Vous ne pouvez plus dire que vous travaillez pour le peuple car les membres du CTS [comité techno-scientifique] ainsi que les experts de la télévision, sont TOUS – et je dis bien TOUS – payés par les compagnies pharmaceutiques.

Vous ne pouvez plus dire que vous avez un système de pharmacovigilance rigoureux parce que nous avons compris à partir de l’incohérence des données entre l’AIFA [Agence Italienne du médicament.] et l’ISS [Istituto Superiore di Sanità] que vous ne pouvez plus tenir le devant de la scène et que vous êtes donc obligés de saboter les différents systèmes informatiques de santé nationaux et régionaux.

Vous ne pouvez plus dire que c’est pour notre bien, car les Italiens n’ont jamais été aussi mal.

Vous ne pouvez plus dire que la situation est mondiale, car de plus en plus de pays annulent leurs mesures d’urgence.

Vous ne pouvez plus dire que nous sommes dans une démocratie, parce qu’avec vos paroles et vos actions, chaque droit et chaque liberté disparaît, et depuis trop longtemps maintenant, ceux qui exercent leurs libertés constitutionnelles et naturelles sont blâmés et humiliés.

Vous ne pouvez plus parler de l’utilité des masques, après vos belles photos sans masque lors de divers événements officiels et sociaux.

Vous ne pouvez plus dire que les vaccins sont bons car les rapports des autorités sanitaires mondiales que vous censurez nous disent que les cas d’effets indésirables augmentent chez les vaccinés, touchent tout le monde, surtout les jeunes : par exemple en Israël (où le taux de population vaccinée est parmi les plus élevés au monde) le rapport officiel des effets indésirables des vaccins Pfizer avril 2021, fait état d’une augmentation de la mortalité de 22%. Et je vous épargne le dernier parce que c’est un carnage. Dans la tranche d’âge 20-29 ans, l’augmentation de la mortalité est dramatique ! Nous parlons de +32%, ce qui nous indique que le vaccin est beaucoup plus mortel pour les jeunes que pour les personnes âgées ! Il existe une étroite corrélation entre le nombre de personnes vaccinées chaque jour et le nombre de décès par jour dans chaque groupe d’âge. Le risque de décès après la deuxième vaccination est plus élevé qu’après la première. On observe une augmentation considérable – jusqu’à 26 % – de tous les problèmes cardiaques chez les personnes de moins de 40 ans (myocardite et péricardite). Et encore : forte prévalence des pertes menstruelles, atteintes neurologiques, squelettiques, cutanées… les cas de coagulopathie sont à l’ordre du jour, tout comme les infarctus du myocarde, les accidents vasculaires cérébraux, les fausses couches, l’interruption de la circulation sanguine dans les membres inférieurs et supérieurs, les embolies pulmonaires.

Vous ne pouvez plus dire que les vaccins préviennent les maladies car le chiffre officiel du ministère israélien de la santé du 13/08/2021 dit que 81% des cas graves à l’hôpital sont vaccinés avec 2 ou 3 doses !

Vous ne pouvez plus dire que le vaccin améliore les vies car, en Grande-Bretagne, les décès des vaccinés sont plus de deux fois supérieurs à ceux des non-vaccinés ! Un document officiel intéressant de British Health, publié le 3 septembre 2021, indique que les cas de variant Delta mis à jour au 29 août 2021 indiquent 1798 décès, dont 536 n’étaient PAS vaccinés (30 % du total) et 1233 étaient vaccinés (69 % du total). DONC LE TAUX DE MORTALITÉ DES VACCINÉS EST PLUS DU DOUBLE DE CELUI DES NON VACCINÉS !

Vous ne pouvez plus dire que ceux qui critiquent la campagne de vaccination ont peur, car les données officielles rapportées ici concernent des pays qui ont fait une démonstration de vaccination dans le monde entier.

Vous ne pouvez plus dire que 1/3 des Italiens est soudainement devenu no-vax, ou penser que ceux qui sont critiques ont « peur » du vaccin parce que la peur ne provient pas des citoyens, la peur a été la clé de ceux qui ont géré et continuent de gérer une urgence très discutable et occupent indignement des postes au niveau du gouvernement.

Vous ne pouvez plus prétendre être intellectuellement honnêtes. Je ne m’adresse pas tant à la majorité, dont le parti dissident, en retirant des amendements et en votant contre des amendements visant à généraliser les tests salivaires et sérologiques rapides, a révélé les véritables positions, mais aussi à l’opposition. « Le certificat vert marque un premier pas vers la suppression définitive des obstacles à la libre circulation qui ont fait tant de mal à notre économie. Cet instrument doit être mis en œuvre le plus rapidement possible, afin qu’il soit effectif dès avant le début de la saison estivale. » C’est la déclaration officielle faite le 19 mars par la dirigeante de Fratelli d’Italia, Giorgia Meloni, qui a défendu la décision d’instaurer un laissez-passer vert car « l’adoption homogène de cette mesure dans toute l’Union européenne conduirait finalement à la suppression de toutes les restrictions ». INDIQUEZ CLAIREMENT POUR QUI VOUS TRAVAILLEZ. LES ITALIENS SONT FATIGUÉS DE CE MÉPRIS.

Vous ne pouvez plus dire que le Green pass améliorera nos vies parce qu’il est le moyen d’instaurer définitivement une dictature politique basée sur la peur et les éternelles urgences sanitaires justifiées par de fausses bases scientifiques, qui s’amuse à diviser la société en camps opposés, de bons et de mauvais, qui s’affrontent au lieu de combattre l’ennemi commun.

Vous ne pouvez plus dire que l’Italie est la meilleure parce qu’elle n’est que le laboratoire historique des expériences d’ingénierie sociale, et avec la France, elle est condamnée à devoir répondre aux folies des élites : d’un côté Draghi de matrice et de foi Goldman Sachs et de l’autre Macron, de marque Rothschild. Tout cela est dirigé par Soros et Gates qui, en jouant sur l’acquisition d’usines de tampons [tests], de terres agricoles et d’hôtels de luxe, sont les testimonial des fameux philanthropes de Davos amis d’Epstein

Vous ne pouvez plus envoyer le chef de cet État pour dire que nous devons renoncer à nos libertés et à la revendication de nos droits parce que l’État, c’est nous, les Italiens, et que nous sommes prêts à mourir pour les défendre !

Vous ne pouvez plus dire que se vacciner est un acte d’amour car un acte d’amour sans consentement et sous chantage s’appelle un viol.




Le test de résilience au covidisme d’État

[Source : (plumenclume.org]

Par Sébastien Renault

L’avantage des dictateurs, c’est qu’ils incitent à une mise à jour régulière de la santé mentale des peuples qu’ils victimisent, contribuant par-là, malgré eux, à la réviviscence de la conscience de leurs victimes et à la réappropriation des principes moraux qui président toujours à la construction individuelle et sociale d’êtres rationnels et libres. Macron et consorts ne font pas exception, il faut les en remercier.

La société dans laquelle nous vivons depuis des décennies était mûre pour une prise de contrôle dictatoriale des esprits bien avant l’émergence de la grande supercherie covidique d’État. La lucidité et l’honnêteté intellectuelle nous forcent à le reconnaître.  

Les malfaiteurs en chef, nouveaux dictateurs patentés à la solde de l’idéologie mondialiste et auxquels nous avons nous-mêmes donné le pouvoir, sont devenus de plus en plus puissants, sans rencontrer la moindre opposition notable, en raison de notre propre lâcheté et complicité consommatrices vis-à-vis d’un système pourtant frauduleux et pourri jusqu’à la moelle. Le problème de fond ne découle donc pas seulement des criminels qui sont derrière la « Grande Réinitialisation », mais bien de notre propre concours, jusqu’à une date récente au moins.

Dans un premier temps, l’esprit sainement septique, face aux escrocs politico-médiatiques en charge du discours officiel dogmatique, s’est développé sur le terrain délétère et contagieux de la peur, et nous avons vu la tromperie reprendre de plus belle.

D’où la pertinence de l’analogie du terrain et du virus, qui s’appuie sur la différence de paradigmes fondamentaux pour l’étude des maladies infectieuses, paradigme de l’origine interne de la maladie d’un côté ; paradigme canonique de son origine extrinsèque par l’intermédiaire de micro-organismes de l’autre. À la vue de ce qui se passe depuis maintenant un an et demi, on peut faire valoir que si les populations, analogues du terrain, n’étaient pas des proies aussi faciles, alors les élites et l’empire GAFAM, analogues du virus, ne pourraient pas si aisément les infecter.

Le déphasage fondamental entre la perception et la réalité de ce qu’on appelle, depuis début 2020, la « pandémie Covid-19 », continue de rendre possible ce phénomène psychoculturel que nous avons baptisé, dès les premiers mois de focalisation sanitaire monomaniaque et de sécuritarisme auto-aliénateur, le COVID-isme.

Le covidisme rime avec travestissement éhonté de la science. Il rime également avec hygiénisme scientiste – qui n’est évidemment pas la science (la science n’étant pas fanatique, comme le sont au contraire l’hygiénisme et le scientisme). Il rime encore avec lâcheté collaboratrice, qui sait toujours se présenter sous des airs de supériorité vertueuse et éclairée. Il rime, de surcroît, avec redéfinition de la santé par l’absence fantasmagorique d’influence virale (par-dessus tout du coronavirus), culpabilisation des innocents, interventionnisme étatique, obligation vaccinale, effémination de la société, nouvel obscurantisme, éclipse de la raison, dogmatisation de l’absurde sanitaire, …

[Note de Joseph :
Là société est-elle vraiment rendue « efféminée » (comme le pensent notamment ceux qui l’ont comparée à une jeune fille) ou plutôt infantilisée ?
Pour déterminer laquelle des analogies est la plus fidèle à la réalité observée, il est nécessaire de rappeler au moins brièvement les caractéristiques masculine, féminine et de l’enfant, adolescent y compris.
Le comportement et le tempérament de l’être humain découlent en grande partie de la biologie et des traditions ancestrales depuis notamment les sociétés primitives de chasseurs-cueilleurs.
Le masculin se caractérise ainsi plutôt par l’usage de la force physique, la tendance à l’action impulsive (par réflexe plutôt que sous l’effet d’une longue réflexion), l’exploration du monde, le goût pour la lutte et la compétition, l’esprit de conquête ou de domination, l’agressivité, la brutalité, le courage physique, la détermination, la prédation, la bestialité, le goût pour le bricolage, l’agitation, etc.
Le féminin se caractérise plutôt par la douceur, la tendresse, la réceptivité, la sensibilité, l’attention, les aptitudes éducatives, la fragilité, la tendance à protéger, le goût pour la décoration, la possessivité, la patience, le dévouement, la frivolité, la coquetterie, le courage moral, etc.
Si, dans la ligne ou la logique de l’inversion des valeurs et des choses, les femmes, sous l’impulsion du féminisme, ont tendance à développer des caractéristiques masculines, et, par réaction, les hommes ont tendance à développer des caractéristiques féminines, les deux polarités ont globalement tendance à trouver un certain équilibre, même si celui-ci reste instable et peut être dans certains pays plus marqué vers le féminin.
L’enfant lui est plutôt caractérisé par l’insouciance, le goût pour les jeux, le besoin d’être rassuré, le besoin d’attention, l’irrationalité, la curiosité, l’égocentrisme, le développement émotionnel, l’immaturité, la recherche des limites, les caprices, le manque ou la recherche de confiance en soi, etc.
L’adolescent y ajoute la rébellion, l’affirmation de soi, la recherche d’émancipation, l’angoisse existentielle, les changements rapides d’humeur, le développement mental et du raisonnement, etc.
Maintenant, quelles sont les caractéristiques de nos sociétés, au moins dans le monde occidental ?
Elles sont plutôt caractérisées de nos jours par l’irresponsabilité, l’égoïsme, le matérialisme, la recherche d’émotions fortes, la tendance aux loisirs, le goût pour la facilité, l’absence d’efforts, l’individualisme tout en recherchant le contact des foules ou des autres par instinct grégaire, la tendance à s’en remettre aux gouvernements et aux pouvoirs locaux, le manque de volonté, l’alignement sur la pensée unique ou commune, l’absence de questionnements, la faiblesse morale, la légèreté, la superficialité, l’absence de profondeur, le conformisme, etc.
De telles caractéristiques se rapprochent davantage de celles que l’on trouve chez l’enfant ou éventuellement l’adolescent et ne sont pas vraiment liées aux différenciations entre le masculin et le féminin ou au contraire peuvent parfois puiser dans les deux polarités, plutôt d’ailleurs par le manque que par la présence des caractères. Ainsi en est-il notamment de l’absence de courage. La masse des individus, et donc la société en général, tend à manquer à la fois de courage physique (caractère plutôt masculin) et de courage moral (caractère plutôt féminin). Par ailleurs, entre les tendances infantiles et celles de l’adolescence, le grand conformisme civilisationnel et la tendance à suivre les consensus et la pensée unique sont plutôt à l’opposé des tendances rebelles d’un adolescent et auraient bien plus à voir avec l’enfance. La forte et croissante tendance ludique et frivole se trouve elle autant chez le jeune enfant que chez l’ado.]

Ces derniers mois, tous ceux qui se sont courageusement évertués à mettre en garde les populations à la fois contre les dangers d’injections en phase expérimentale (alors qu’il existe déjà, comme nous le savons tous, des médicaments efficaces pour traiter les patients atteints du SARS-CoV-2) et contre la duperie de leur efficacité à triompher du virus, ont été censurés et ridiculisés comme des complotistes et des propagateurs de désinformation.

Après la proscription de traitements comme l’hydroxychloroquine [1] et l’ivermectine [2] (qui auraient pu sauver des centaines de milliers de vies), l’abolition pratique du serment d’Hippocrate et celle du consentement éclairé, voici donc venue la canonisation du « vaccin » mondialiste sous autorisation conditionnelle de mise sur le marché… Autant de faits vastement documentés et criants de scandale qui serviront, en son temps, au jugement de l’histoire.      

En attendant, que nous disent les faits du phénomène Covid politico-sanitaire à l’heure d’aujourd’hui ? En cette fin d’été 2021, la contagiosité grandissante des personnes complètement « vaccinées » parle d’elle-même. Après les flots d’aboiements accusatoires par les divers porte-drapeaux de l’autoritarisme sanitaire inflexible à l’encontre des pestiférés non-vaccinés, retour à la réalité parfaitement prévisible : le phénomène de transmissibilité aggravée du virus, en ces dernières semaines d’été, est principalement vectorisé par les vaccinés contaminés.

En appliquant à cette situation factuelle une manière toute covidique de raisonner, il faudra donc dire que ce sont ces nouveaux vecteurs vaccinés qui représentent aujourd’hui la principale menace pour la santé publique. Ce que confirment par ailleurs les Centres pour le contrôle et la prévention des maladies (CDC), qui les ont récemment identifiés comme des « super-diffuseurs » de nouveaux « variants » du SARS-CoV-2 [3].

Le 30 juillet dernier, les CDC ont publié un rapport d’enquête faisant état des nouvelles émergences d’infection vraisemblablement conditionnées dans le cadre d’importants rassemblements publics (où l’on suppose que le phénomène dit de « super-diffusion » se produit. Le document commence par admettre ce qui suit [4] :

« […] Environ trois quarts (346 ; 74 %) des cas sont survenus chez des personnes entièrement vaccinées (celles qui avaient complété un traitement de 2 doses de vaccin ARN messager [Pfizer-BioNTech ou Moderna] ou bien n’avaient reçu qu’une seule dose du vaccin Janssen [Johnson & Johnson] ≥14 jours avant l’exposition). […] Dans l’ensemble, 274 (79 %) patients vaccinés présentant une infection émergente étaient symptomatiques. Parmi les cinq patients atteints de la maladie COVID-19 qui ont dû être hospitalisés, quatre étaient complètement vaccinés… »

Les efforts déployés par le lobbying vaccinal absolutiste en vue d’inoculer le plus grand nombre de personnes possibles lors d’une pandémie à peine définissable comme telle (à la lumière de l’estimation du taux d’incidence des cas de SARS-CoV-2 en France à l’heure d’aujourd’hui [5] et de la spécification française du seuil épidémique des syndromes grippaux [6]), finissent toujours par déboucher sur des mutations virales qu’aucun vaccin, pas même au sens propre du terme, ne peut efficacement juguler. Encore moins des « vaccins » dont l’efficacité et la sécurité à long terme n’ont pas encore été testées (puisqu’il faut des années de recul pour parvenir à des conclusions probantes), sinon sur les populations elles-mêmes…

La mise en échec par les faits de la religion covidico-vaccinale absolue

En jouant comme toujours sur la peur et les sentiments, le gouvernement et ses relayeurs médiatiques habituels ont continué à pousser coûte que coûte la stratégie du radicalisme vaccinal comme solution consacrée, dans leur narrativité mystificatrice, par son « efficacité ». Les incompétents au pouvoir, dans leur folie covidique avancée, ont ainsi persévéré dans l’incompétence et l’arrogance qui les caractérisent depuis le début de la crise, oubliant que l’OMS elle-même a souligné à plusieurs reprises que la « vaccination » ne supprime pas le virus. 

Les médias se sont gargarisés tout l’été du slogan flagellateur de « pandémie des personnes non-vaccinées ». Sous-entendu, dans leur narrativité mystificatrice et détractrice : les personnes qui n’ont pas reçu l’injection expérimentale mondialiste constituent la majorité des personnes hospitalisées et des décès dus à la propagation du « variant delta ». Un mensonge éhonté !

Il s’agit toujours des mêmes procédés d’intimidation par les détenteurs de la bonne conscience extrémiste scientiste et humanitaire. Pour eux, toutes les contrevérités se justifient, puisque l’intégrisme de leur proposition, « hors du vaccin, pas de salut », ne saurait souffrir le doute des gens suffisamment éclairés. Tous les moyens sont donc légitimes, y compris l’atteinte aux libertés fondamentales, la diffusion de fausses nouvelles et la promotion discriminatoire, même s’ils plaident par ailleurs en faveur de tout ce qui est « antidiscriminatoire » – bienséance politicienne oblige (ne relevez pas ici la contradiction, même si elle est évidente, car elle est, elle aussi, « justifiée »).

En réalité, le nombre de cas positifs chez les personnes ayant reçu une ou plusieurs doses de l’injection expérimentale augmente régulièrement depuis la mi-juillet, comme l’attestent notamment les données de santé publique d’outre-Manche, d’Israël et d’Islande.

Au 21 août dernier, 62 % des patients britanniques hospitalisés et âgés de plus de 50 ans avaient reçu deux doses de l’injection expérimentale AstraZeneca-Oxford, contre 13 % n’en ayant reçu qu’une seule. Au total, les personnes « partiellement » ou « complètement » inoculées représentaient donc 75 % des nouvelles hospitalisations outre-Manche.

Il en va de même pour les personnes malheureusement décédées. Dans le groupe des plus de 50 ans, la nette majorité des patients (70 %) avaient reçu soit une ou deux doses du composé à vecteur adénovirus d’AstraZeneca-Oxford.

On ne sait pas si les hôpitaux britanniques désignent encore comme « patient Covid » toute personne ayant été admise et dont le test PCR est déclaré « positif ». Si tel était encore le cas (comme ça l’est, notamment dans de nombreux établissements aux États-Unis), les personnes souffrant de pathologies ne présentant aucun symptôme du SARS-CoV-2 pourraient être indûment comptées dans la catégorie des « patients non vaccinés » (histoire de maintenir aussi longtemps que possible le statu quo narratif).

En Israël, où l’adoption de l’injection expérimentale a été très élevée en raison des restrictions draconiennes de liberté imposées aux personnes qui ne s’y soumettraient pas, les données montrent que les personnes ayant reçu au moins deux doses du cocktail mondialiste sont 6 à 7 fois plus susceptibles d’être infectées que les personnes bénéficiant d’une immunité naturelle [7].

Le fameux laboratoire israélien grandeur nature n’entend d’ailleurs pas en rester là, puisque plus d’un million de ses citoyens âgés de 50 ans et plus ont déjà reçu un troisième rappel de l’injection à ARN messager concoctée par Pfizer-BioNtech. Les nouveaux cas de contamination ne s’en multiplient pas moins à l’heure actuelle à une vitesse croissante.

Selon Uri Shalit, bio-informaticien au Technion (l’Institut israélien de technologie) :

« Il y a tellement d’infections émergentes qu’elles s’avèrent prédominantes, et la plupart des patients hospitalisés sont en fait vaccinés. » [8]

Dvir Aran, expert en données biomédicales également au Technion, avertit les autres nations tentées de s’inspirer du modèle israélien pourtant catastrophique :

« Ne pensez pas que les rappels soient la solution. »

Dans leur étude mise en ligne le 25 août 2021 [9], Sivan Gazit et coauteurs montrent, comme nous l’avons pointé plus haut, que la protection naturellement conférée par une infection antérieure est largement supérieure à ce que peut conférer l’injection de Pfizer-BioNTech.

Ces chercheurs ont également suivi de près l’évolution récente des infections dites « émergentes », et leurs études indiquent que les personnes « vaccinées » sont jusqu’à 13 fois plus susceptibles de contracter le variant covidien « delta » que les personnes « non-vaccinées » et déjà rétablies d’une infection par le SARS-CoV-2.

L’étude indique également que les personnes « vaccinées » présentent toujours un risque plus élevé d’hospitalisations liées au SARS-CoV-2 par rapport aux personnes « non-vaccinées » ayant déjà été contaminées par le virus. Plus précisément, les personnes « vaccinées » qui n’ont pas été infectées auparavant par le SARS-CoV-2 présentent désormais un risque près de 6 fois plus élevé de vectoriser l’infection dans sa nouvelle forme dite « delta » …

D’après ces données, il semble assez clair que les différentes injections « miracles » des grands cartels pharmaceutiques à la tête de la « guerre » génique expérimentale anti-Covid ne protègent pas les personnes de plus de 50 ans (sans entrer ici dans les détails des effets indésirables graves et non graves par tranches d’âge [10] potentiellement liés aux produits dits « vaccinaux » anti-Covid). De sorte que le déploiement des injections de rappel dans ces pays (pour une quatrième, puis une cinquième, puis une sixième dose, etc.) ne fait pas l’ombre d’un doute (car l’évidence de l’échec ici n’entrave nullement la détermination covidique officielle vis-à-vis de l’efficacité des « vaccins », porteurs contemporains du salut). Et il y a tout lieu de penser que les mêmes tendances apparaîtront prochainement dans d’autres pays, à commencer par la France (chose déjà en vigueur pour ce qui est de la troisième dose [11]).

Comme toujours depuis que le monde entier est en proie à un projet d’essai « vaccinal » unidimensionnel sous prétexte dela propagation du SARS-CoV-2, il est de mise de rappeler qu’un vaccin, au sens propre du terme, doit non seulement stimuler une réponse immunitaire chez le patient qui le reçoit, mais encore perturber la transmission de tel ou tel pathogène x ou y.

Ce n’est pas ce que fait l’ARN messager des injections dites « anti-Covid », dont l’information entre directement dans les cellules des personnes aujourd’hui inoculées en masse. Ce produit est un traitement synthétique (au sens où il consiste fondamentalement en la synthétisation de nanoparticules toxiques, appelées protéines de pointe), qui n’est pas conçu pour faire obstacle à la transmission du virus. Outre le mécanisme spécifique de l’ARN messager dans la production de protéines de pointe conformes au principe actif du SARS-CoV-2, la présence attestée d’oxyde de graphène, sur laquelle nous allons succinctement revenir ci-dessous, est fortement susceptible d’expliquer la montée actuelle de multiplication des nouveaux cas d’infection comprenant un grand nombre de personnes déjà plusieurs fois inoculées.  

À noter enfin qu’en Italie, l’extrémisme vaccinal n’est pas non plus en reste, avec la récente menace émise par l’ancien président de la Banque centrale européenne, l’actuel Premier ministre Mario Draghi, de rendre l’inoculation anti-Covid obligatoire pour tous [12]. Draghi attend de l’Agence européenne des médicaments (AEM) le feu vert de leur accord complet pour faire sauter la liberté au nom du covidisme qu’il professe. Le gouvernement italien, comme en France, a déjà rendu obligatoire la « vaccination » des travailleurs médicaux s’ils veulent être rémunérés.

Divergence de base virale : « en guerre » contre « quoi » ?  

Dans leur bienveillance affectée, les pouvoirs publics accordent aujourd’hui au peuple une liberté conditionnelle, qui n’est donc plus un droit naturel (au sens de droit fondamental et inaliénable), mais plutôt un privilège qui s’octroie ou non – cela dépend de la volonté des citoyens de se conformer à ce qui a été décidé pour eux par le « Conseil de défense et de sécurité nationale » (puisque nous serions « en guerre »), pour leur « plus grand bien » (c’est évident, il faudrait être tombé dans le piège du complotisme pour penser le contraire).

En guerre, mais contre qui exactement ? Ou plutôt, contre quoi ? Contre la liberté certes, cela est désormais explicitement entériné par les mesures en place, notamment un apartheid sanitaire. Mais en « guerre » déclarée, en premier lieu, sous prétexte de la mener à l’encontre d’un certain virus (chose en soi des plus absurdes), dont l’identité aurait néanmoins peut-être échappé aux va-t-en-guerre patentés de la nouvelle sanitocratie universelle.

Que voulons-nous dire ? Que Fauci et ses acolytes des CDC et de l’Institut Pasteur sont soupçonnés, non sans raison, de ne pas avoir disposé de la base virale entièrement développée du SARS-CoV-2 ; base à partir de laquelle il serait possible de calibrer un test de dépistage standard propre à la détection de ce virus particulier.

Un document [13] mis en ligne le 21 juillet dernier par l’Agence américaine des produits alimentaires et médicamenteux (la FDA) semble en effet indiquer que les CDC et la FDA, faute d’échantillons physiques du SARS-CoV-2, ont échafaudé un protocole de test destiné à la détection massive du « coronavirus » sur la base de cellules humaines immunitaires et épithéliales combinées à des fragments de rhinovirus (d’où procèdent les formes annuelles de la rhinopharyngite).

Or, sans matériel génétique de référence pour calibrer et confirmer le PCR, le test n’a aucune base scientifique dans le domaine de la réalité physique proprement dite. Par conséquent, si la chose était corroborée, la crédibilité matricielle de l’analyse PCR basée sur ledit protocole serait des plus douteuses (avant même de parler des amplifications de cycles qui ont eu cours sans vergogne dans le monde entier depuis plus d’un an). Car nous aurions alors affaire à une méthode falsifiée à la racine même de ce qui est devenu le test standard de dépistage PCR.

L’avantage de cette falsification est bien sûr facile à comprendre, si l’objectif était de répertorier le plus grand nombre de personnes possibles comme patients ayant été testés « positifs », donc infectés par le SARS-CoV-2, quand bien même elles ne présenteraient rien d’autre que d’infimes quantités de fragments d’ARN issues d’autres souches des Coronaviridae – d’infections virales révolues des mois auparavant, mais encore détectables au sein de l’appareil respiratoire des patients testés tous azimuts depuis le début de la crise sanitaire Covid-19.

Si, comme le document semble l’indiquer, les chercheurs travaillant au sein de l’orbite « faucien » ne purent fournir « d’isolats quantifiés du 2019-nCoV à l’usage des CDC » lors de la mise au point de ce qui allait devenir le test standard universel de dépistage PCR (à noter que la défectuosité du protocole du test PCR est désormais admise par les CDC, qui l’interdiront en conséquence d’ici la fin de l’année, affaire à suivre), c’est qu’en lieu et place de tels échantillons de référence proprement isolés, le profil de base de la maladie virale « faucienne » ne présente rien d’autre qu’un composé multicellulaire de souches de virus grippaux et de rhumes banals.

Dans la logique interne de cette histoire somme toute curieuse, les tests de dépistage PCR ont donc été configurés de manière à détecter chez les patients testés les séquences génétiques obtenues initialement à partir de banques de données numériques artificielles (donc plus ou moins forgées à partir de cellules épithéliales alvéolaires et de fragments d’ARN inventoriés de quelques picornaviridés et autres virus grippaux saisonniers communs).

Aucun médecin ou chercheur n’ayant isolé le SARS-CoV-2 à partir d’un patient infecté et symptomatique, aucun instrument de laboratoire ne peut être proprement calibré contre les caractéristiques dictées par son statut référentiel physique. En conséquence, les tests s’appuient simplement sur les propriétés des bases de données diffusées par les CDC et l’OMS, en utilisant le terme « Covid » comme étiquette numérique de référence ubiquitaire.

Cela expliquerait par ailleurs pourquoi la grippe saisonnière a quasiment disparu en 2020… Tous ceux ou presque qui en sont réellement tombés malades se sont vus attribuer, par défaut, le diagnostic « Covid » …

Il est vain de faire la guerre à un virus, puisqu’un virus ne fait qu’exécuter un programme naturel de perpétuation de lui-même, sans intelligence réflexive libre ni la moindre volonté de détruire qui que ce soit. Oui, le virus de Fauci et consorts est bien là, fabrication mondialiste au service d’un plus grand projet mondialiste. Son identité réelle (variée et variante) demeure néanmoins évasive, quoiqu’inscrite, d’abord, dans un profil de bases virales connues. Tout semble avoir été pensé pour protéger les différents coupables à court et à long terme, et finalement les exonérer (comme on le fait déjà aujourd’hui en accordant l’immunité aux consortiums pharmaceutiques), alors qu’on pénalise collectivement les victimes de cette grande expérimentation covidique mortifère.

Oxyde de graphène : confirmation (dans le silence médiatique)

À la fin du mois d’août, les résultats d’un chercheur américain, le docteur Robert O. Young, ont été rendus publics sous la forme d’un article approfondi intitulé Scanning & Transmission Electron Microscopy Reveals Graphene Oxide in CoV-19 Vaccines (une traduction en a été relayée ici sur ce site).

Nous conseillons fortement la lecture de cet article, ainsi que l’examen attentif des diverses images provenant de la microscopie électronique en transmission, des tableaux, des schémas et des graphiques particulièrement intelligibles que fournit l’auteur.

Il ne s’agit nullement de « complotisme », mais bien de science et de recherche protocolaire détaillée, faisant certes dissensus par rapport au discours public ambiant (lequel se fait l’écho du chantage gouvernemental à la liberté pour engendrer un alignement anti-libéral collectif).

Ce n’est pas notre propos de récapituler ici le contenu de cet article. Mais nous en prenons acte pour mettre en exergue les résultats remarquables de cette enquête scientifique (contre l’omission prévisible de la part des médias globaux) et ajouter quelques réflexions complémentaires. Le principal résultat que confirme cette étude, et qu’il convient de souligner en premier lieu, est le suivant : le signal d’absorption des faisceaux nanoparticulaires identifiés dans les flacons d’injections « vaccinales » (de Pfizer, de Moderna, d’AstraZeneca et de Janssen), lorsqu’on l’analyse au moyen de la microscopie électronique en transmission, indique que ces produits contiennent des quantités importantes d’oxyde de graphène, un composé carbonique caractérisé par sa très haute conductivité électrique. Chose qui avait déjà été esquissée et observée il y a plusieurs semaines par des chercheurs espagnols, mais qui nécessitait un protocole et des outils technologiques particuliers pour être corroborée par différents chercheurs dans différentes régions du monde. C’est désormais le cas. On notera au demeurant que le problème, en tant que tel, de la toxicité des nanoparticules d’oxyde de graphène, a été traité auparavant et diffusé dans le domaine public à travers diverses publications scientifiques [14].

Autre élément notoire, le fait que l’oxyde de graphène tient lieu d’ingrédient « masqué » dans les produits géniques expérimentaux présentés au public comme « vaccins » (les brevets ne le divulguent pas, contrairement à tous les autres ingrédients). Pourquoi une telle dissimulation ?

Or, on constate que les troubles de coagulation (sous forme de micro-caillotages tout-à-fait symptomatiques), plus encore que les myocardites, les maladies à prions, les divers problèmes de reproduction et autres complications à foison, sont non seulement les plus fréquents, mais également les plus directement mis en corrélation avec les propriétés thrombogènes de l’oxyde de graphène. Il y aurait donc matière à vigilance ici, si du moins la déraison covidique ne s’était pas implantée si profondément au sein de nos sociétés décadentes et subjuguées par la peur.

Il est également indiqué ici de souligner que les électro-fréquences et les phénomènes magnéto-biologiques particuliers induits par l’intermédiaire de l’oxyde de graphène dans les injections anti-Covid ont de fortes chances de modifier de manière significative les propriétés conductrices des fluides et des tissus corporels (nous ne prétendons pas avoir observé et mesuré un tel phénomène, mais soumettons simplement ici nos réflexions, à titre d’hypothèse). Le contenu ionique intracellulaire et extracellulaire d’un système biologique détermine en premier lieu les propriétés conductrices de ses organes et fluides constitutifs. Ce qui a été observé, à l’intérieur comme à l’extérieur de structures bio-corporelles animales, c’est que la résistance diminue progressivement à mesure que la fréquence augmente. Bien sûr, si l’on considère le profil conducteur interne d’un système biologique donné, la résistivité va varier d’un organe à l’autre. La question est donc de déterminer dans quelle mesure la résistance et la capacitance de structures corporelles internes sont sujettes aux fluctuations des fréquences d’éléments complexes absorbés (tels que l’oxyde de graphène) et des radiations environnementales.

Une chose semble certaine, c’est qu’après inoculation, l’oxyde de graphène ainsi biologisé acquiert une excitation électronique et une résonance magnétique qui s’alignement précisément sur la troisième bande de fréquence du rayonnement des technologies 5G.

Rappelons par ailleurs que les cellules du corps humain sont spécifiquement conçues pour conduire des courants électriques. Le flux intra-somatique d’électricité est indispensable au système nerveux pour assurer l’émission de signaux à travers tout le corps, crucialement vers le cœur et le cerveau. La membrane cellulaire elle-même fonctionne comme un dispositif de séparation ionique permettant à la cellule de générer des courants électriques. La stimulation d’une cellule permet notamment aux charges positives d’en pénétrer la structure par le biais de ce qu’on appelle des canaux ioniques. Lorsque la cellule se charge positivement, elle génère d’autres courants électriques qui vont à leur tour produire des impulsions électriques, influx neveux indispensables à la mise en action de nos mouvements et gestes moteurs quotidiens, de nos pensées et autres comportements coutumiers au jour le jour.

En outre, les réactions d’oxydoréduction revêtent une grande importance au sein des systèmes électro-biologiques, tels que le corps humain. Le processus d’oxydation biologique repose fondamentalement sur le transfert (libération et capture) de protons et d’électrons d’une molécule (dite « oxydée », par perte d’électrons) à une autre (dite « réduite », par gain d’électrons). Les processus biologiques d’oxydoréduction présentent un certain nombre de caractéristiques bien définies. Ils font partie intégrante de la préservation du bon fonctionnement et de la santé d’un organisme. Nous n’y reviendrons pas ici, mais voulons simplement rappeler que l’altération de ces processus (telles que la respiration tissulaire, la phosphorylation oxydative, les réactions constituant le cycle de Krebs, etc.) est à l’origine de perturbations métaboliques et de maladies très graves pouvant entraîner la mort (les symptômes de maladies graves associées à l’altération des processus d’oxydoréduction peuvent inclure faiblesse musculaire, tremblements incontrôlés, manque de coordination, accidents vasculaires cérébraux, diverses paralysies, …).

De ces réflexions de base, retenons et appliquons les deux principaux objets d’analyse que nous avons ici brièvement abordés: 1) l ’incidence de la fonction de fréquence par rapport à la résistivité organique, et 2) l’induction d’un déséquilibre du mécanisme de transfert des électrons inhérent aux réactions d’oxydation et de réduction dans l’organisme; appliquons-les donc à la présence électriquement active d’oxyde de graphène chez les milliards de patients aujourd’hui inoculés à travers le monde « contre » le SARS-CoV-2. 1) Lorsqu’il est excité par truchements électromagnétiques ambiants, l’oxyde de graphène multiplie en conséquence ses propres fréquences. 2) En fonction de l’intensité du signal incident, il s’oxyde beaucoup plus vite et finit notamment par rompre l’équilibre entre les niveaux (naturellement bénéfiques) de glutathion et la toxicité dont il est lui-même l’élément déclencheur une fois intégré à l’organisme au moyen d’une des quatre injections mondialistes. C’est en cela qu’il peut entraîner toute une panoplie d’altérations métaboliques redoutables et de modifications très sérieuses du comportement du système immunitaire.   

Objectif perpétuation pathogénique indéfinie, régulation démographique, et neuromodulation des peuples… On peut certainement le craindre, en prenant acte de ces découvertes, quand bien même (et surtout !) puisqu’elles ne seront pas ébruitées par les maîtres du discours.

Récapitulation : comprendre le covidisme en fonction du tout globaliste

Nous vivons une époque sans précédent de mensonges, de négation de la vérité, de propagande et de violence systémique sans précédent. Cela est d’autant plus attesté et pernicieux que cette même époque aime par-dessus tout se parer des apparences de l’illumination intellectuelle, du progrès, de la compassion inclusive à toute épreuve (sauf quand il s’agit des brebis galeuses non-vaccinées), de la philanthropie (du moins, lorsqu’elle est rentable), de l’œcuménisme non dogmatique (dont le seul dogme n’est autre que l’absence de dogme, opinionisme oblige), de la liberté de choisir (par exemple d’en terminer avec une grossesse encombrante, mais certainement pas de mettre en doute et de rejeter les nouveaux « vaccins » mondialistes), etc.

L’hypocrisie est pour le moins flagrante, d’où la violence fondamentale, à la fois intériorisée et de plus en plus extériorisée, qui caractérise notre situation historique et culturelle en ce premier quart du XXIe siècle.

Mais il fallait, semble-t-il, redonner une épaisseur nouvelle à l’hypnose collective bêtifiante. Car les récents « travers » populistes (principalement le Brexit et l’élection de Trump en 2016) indiquaient qu’une prise de conscience des peuples allait dans le sens d’un mouvement de réluctance opiniâtre capable d’interférer avec les principes et les tactiques politiques des forces organisées du mondialisme.  

Entrent en scène la peur (outil de choix des despotes), la panique mimétique, la surenchère de dépistage et de chiffres falsifiés (fraude des tests PCR, statistiques de décès des plus douteuses), l’effondrement économique, les élections américaines piratées et dérobées au profit de Biden, l’isolement forcé des peuples limitant l’accès à l’air frais et à la lumière du soleil… Entrent donc dans notre champ visuel les conditions d’existence du monde covidique façonné en 2020.

La censure technocratique, la lutte contre le changement climatique (objectif « Pacte vert mondial », au nom de la « santé publique »), la numérisation de l’éducation et de l’interaction sociale, le « vaccin » universel (comprenant, dans sa confection, des produits génétiques dérivés de lignées cellulaires d’enfants avortés), la mise en place d’une monnaie numérique mondiale, comptent parmi les principaux piliers impérieux de la refonte escomptée par les partenaires mondiaux du Forum de Davos. Les retournements orwelliens de définition et autres détournements linguistiques (« neutralité climatique », « pandémie », « seuls ensemble », « nouvelle normalité », « le pass = liberté », « vaccins », « nouveaux variants ») sont aussi au programme de la fraude épistémique généralisée – au service du dressage et de la conquête des esprits – et de la grande reconfiguration du monde, selon le projet pan-numérique de la caste technocratique.

D’où l’énumération non exhaustive suivante du programme de « Grande Réinitialisation », plus violemment que jamais à l’ordre du jour, que nous proposons ici pour mieux situer le phénomène du covidisme d’État dans son rapport au grand Léviathan du tout globaliste (le lecteur sera libre de peaufiner et de compléter la liste) :

  • un gouvernement mondial ;
  • une monnaie numérique mondiale ;
  • une banque centrale mondiale ;
  • une armée mondiale ;
  • la fin de la souveraineté nationale ;
  • la fin des races (selon la logique interne du racisme suprême de l’antiracisme institutionnalisé) ;
  • la fin de toute propriété privée (maisons, voitures, petits commerces…) ;
  • la fin de la cellule familiale traditionnelle ;
  • la fin de la conjugalité et de la fécondité naturelles ;
  • la prise en charge éducationnelle des enfants par le gouvernement ;
  • ’éradication « compassionnelle » des personnes âgées (euthanasie universelle) ;
  • la dépopulation eugénique au profit du culte néopaïen de la planète (rappelons, par contraste, ce que disait un saint Jean de la Croix, qui scandaliserait les nouveaux fondamentalistes de la révérence écologique absolue : « Une seule pensée de l’homme vaut mieux que tout l’Univers, et Dieu seul en est digne ») ;
  • la mise en place d’une sanitocratie universelle ;
  • les vaccins obligatoires partout (canonisation universelle des principes de l’Alliance globale pour les vaccins et l’immunisation, en anglais GAVI) ;
  • l’interdiction de la naturopathie et des médecines naturelles alternatives ;
  • perpétuation indéfinie des masques faciaux (suppression des visages) ;
  • l’allocation universelle ou revenu de base (l’austérité généralisée) ;
  • le sécuritarisme omniprésent ;
  • la surveillance de masse : basée sur la pan-connexion 5G (un réseau d’ondes millimétriques universalisé), les QR codes, et les micropuces ;
  • le système de crédit social (à la chinoise) ;
  • la fin des entreprises indépendantes ;
  • la fin des combustibles fossiles ;   
  • la restriction des voyages aériens non essentiels ;
  • la fin de l’irrigation, des fermes et des pâturages privées ;  
  • la concentration de la population dans les zones de peuplement ;
  • l’utilisation restreinte des terres ;

Réflexions conclusives

En 2021, la vertu maîtresse est de garantir la santé publique et le « bien-être » des peuples sous tutelle étatique, quand bien même les moyens d’y parvenir seraient irrationnels et liberticides.

Dans le prolongement de l’effémination de la société et de l’élévation désormais obligatoire de la figure homosexuelle bienpensante en Occident, la castration de l’homme covidique contemporain, par la peur et l’infantilisation, fait le jeu d’un remodelage complètement contre nature de l’humanité et des valeurs qui sous-tendent toujours l’édification et le développement de toute authentique civilisation. Aujourd’hui sous régime de liberté surveillée, l’homme covidique contemporain s’accommode très bien des prémisses émasculateurs de l’État-providence et de la destruction des valeurs, en premier lieu des valeurs masculines de courage, de résilience, de persévérance dans l’adversité, y compris face à la mort, inéluctable pour tous ici-bas.

Les mesures sanitaires prises par les autorités françaises n’ont eu aucune incidence jugulatrice sur l’épidémie, tout le monde le sait très bien (même ceux qui font semblant de ne pas le savoir). Plutôt que d’en prendre acte, ces mêmes autorités ont diffusé sans vergogne l’idée que la responsabilité de nouveaux développements et cas d’infection devait être imputée aux comportements déviationnistes des Français, particulièrement des « anti-vax complotistes » …

L’utilisation de la force et de la culpabilisation contre les citoyens pour se dédouaner de ses responsabilités colossales dans la gestion désastreuse de la crise sanitaire est une stratégie que le gouvernement français a systématiquement adoptée depuis un an et demi. Par son comportement répressif, accusateur et bien souvent bricoleur, il a fait le lit d’un vaste sinistre aussi bien économique que sanitaire et social. La dogmatisation de l’absurde sanitaire qu’il continue de professer et d’imposer au peuple est un scandale sans précédent.

La débâcle gestionnaire que nous avons vue à l’œuvre et malheureusement subie relève à la fois de ce scandale et de ce qui caractérise le plus distinctement cette ère hystérique du covidisme d’État : l’abdication de la rationalité.

Le type de rationalité qui perdure, par nécessité, nonobstant l’élaboration de politiques sécuritaires irrationnelles par nos instances étatiques entièrement soumises au covidisme, est celui qui soutient le projet aujourd’hui presque entièrement actualisé d’une hégémonie technocratique (vaccinale et numérique). Sans rationalité découlant d’abord de la technè, impossible de concevoir et de finalement mettre en œuvre le Nouvel Ordre civilisationnel de l’inoculation génique et de la surveillance universelle qui s’impose aujourd’hui.

C’est contre ce dévoiement totalitaire que continue de se lever aujourd’hui la France courageuse, la France qui fait aujourd’hui des émules dans le monde entier.  

Les représentants du pouvoir, de leur côté, restent enfermés dans leur déni péremptoire et autoritaire, coutumiers indécrottables de tactiques violant toute éthique médicale digne de ce nom. Ils se sont fourvoyés depuis le début, et l’entêtement persiste, comme si de rien n’était.

L’inversion accusatoire qui consiste à faire porter le fardeau de l’immoralité sur le dos des défenseurs des libertés fondamentales est la marque immanquable de cet orwellisme pharisaïque des détenteurs contemporains du pouvoir politico-médiatique. Dans leur suffisance « anti-complotiste » et donneuse de leçons de morale sanitaire, les accusateurs covidistes vont aujourd’hui jusqu’à faire passer les conditions d’existence en société pour un crime contre celle-ci. À commencer par le simple fait d’interagir avec autrui (sans faire de concession à l’irrationalité covidique de la peur d’autrui), parce que cela pourrait impliquer la possibilité de transmettre le virus à d’autres personnes… La logique de l’inversion morale, derrière cette manière démentielle de raisonner, pose pour prémisse que la transmission du virus, en soi, constitue un crime sans équivoque. Les restrictions en place sont dès lors moralement justifiables et justifiées. On trouve la même forme de raisonnement vicié depuis un an et demi au fondement des stratégies de contrainte préventive, d’infantilisation des peuples et d’utilisation de la force constitutionnelle et exécutive pour asseoir un monopole sanitaire illégitime.

Lorsque les exceptions qu’un État impose par rapport aux libertés et aux droits fondamentaux de ses citoyens peuvent être mises en avant et promulguées sans honte comme « libératrices », il est clair que l’inversion morale est allée beaucoup, beaucoup trop loin.

Dans ces conditions, se défendre du sécuritarisme tyrannique d’État, du covidisme hystérique et délateur, et des intimidations coercitives « légales » du pouvoir face à une menace aussi peu meurtrière que celle du coronavirus devient un devoir incontournable, une obligation morale interne surgissant de la conscience de tout homme encore rationnel et libre.

Pénaliser par « précaution », voilà une démarche qui ne pouvait tenir (on l’a vu dès l’an dernier). Le chantage à la liberté, intrinsèquement contradictoire, ne peut non plus tenir. Nous sommes une majorité à abominer la surveillance universelle, dont le « pass sanitaire » est le marchepied. Le glissement totalitaire est désormais consommé. Mais il s’agit d’un échec gouvernemental en tous points, et le grondement légitime des peuples se fait entendre des quatre points cardinaux.

Gardons espoir que la rentrée et les semaines à venir vont fournir la poussée supplémentaire à la levée de boucliers de tous les amis de la civilisation et de la loi naturelle.

Notes

[1] Et le procès condamnateur particulièrement avilissant à l’endroit du professeur Didier Raoult.

[2] Qui, entre autres effets bénéfiques, renforce de manière prouvée l’activité cellulaire antivirale naturelle en augmentant la production naturelle d’interféron. En d’autres termes, il ne s’agit pas seulement d’un médicament antiparasitaire à l’usage des vétérinaires (comme d’aucuns propagandistes du pouvoir l’ont répété à l’envi), mais bien d’un inhibiteur avéré (et sans effets secondaires) de l’activité du SARS-CoV-2.

[3] https://www.businessinsider.com/cdc-fully-vaccinated-people-can-spread-delta-variant-2021-7.

[4] Outbreak of SARS-CoV-2 Infections, Including COVID-19 Vaccine Breakthrough Infections, Associated with Large Public Gatherings — Barnstable County, Massachusetts, July 2021 | MMWR (cdc.gov).

Il convient de signaler ici un article de recherche de 2015 qui examine si les vaccins pourraient en fait favoriser l’évolution d’agents pathogènes plus virulents que le virus de base : 
Imperfect Vaccination Can Enhance the Transmission of Highly Virulent Pathogens (plos.org).  

[5] https://www.sentiweb.fr/document/5398 (« Situation observée pour la semaine 35 de l’année 2021, du 30/08 au 05/09/21 », voir p. 2/3).

[6] De 173 cas pour 100 000 habitants (ratio du seuil épidémique établi en 2016).

[7] Voir l’étude intitulée 
Comparing SARS-Cov-2 natural immunity to vaccine-induced immunity: reinfections versus breakthrough infections, par les docteurs Sivan Gazit et son équipe de recherche au 
Maccabi Research and Innovation Center (nous allons y revenir quelque peu ci-dessous). 

[8] https://www.science.org/news/2021/08/grim-warning-israel-vaccination-blunts-does-not-defeat-delta

[9] Voir en note [7].

[10] Thromboses (artérielles, veineuses, cérébrales), ischémies, myocardites, péricardites, cas d’hyperperméabilité capillaire, pneumopathies, fausses-couches spontanées, cas de syndrome de Guillain-Barré, …

Voir, par exemple en France, d’après les données répertoriées par l’ansm (et, plus spécifiquement, 
https://ansm.sante.fr/dossiers-thematiques/covid-19-suivi-hebdomadaire-des-cas-deffets-indesirables-des-vaccins), les enquêtes de pharmacovigilance pour l’injection de Pfizer-BioNTech
(le rapport nº 17 : période du 28 mai 2021 au 1er juillet 2021, ce qui date déjà quelque peu), notamment les pages 8 et 9, ainsi que les tableaux récapitulatifs des cas non graves et graves en pages 43 à 51 ; et pour l’injection Vaxzevria/AstraZeneca
(le rapport nº 14 : période du 04 juin au 08 juillet 2021).

[11] https://www.vie-publique.fr/en-bref/280887-covid-19-la-has-rend-son-avis-sur-une-3e-dose-de-vaccin

[12] https://francais.rt.com/international/90331-covid-19-mario-draghi-pret-imposer-vaccination-obligatoire-italie

[13] https://www.fda.gov/media/134922/download

[14] Voir le bulletin d’alerte du 21 juillet 2021 : 
https://www.cdc.gov/csels/dls/locs/2021/07-21-2021-lab-alert-Changes_CDC_RT-PCR_SARS-CoV-2_Testing_1.html   

Une étude de 2016 sur les nanomatériaux dérivés du graphène et sur leur toxicité in vivo et in intro : 
Toxicity of graphene-family nanoparticles: a general review of the origins and mechanisms | Particle and Fibre Toxicology (biomedcentral.com).

Une autre étude, datant de 2014, sur les nanoparticules magnétiques (à l’œuvre dans les thérapies géniques) : Superparamagnetic nanoparticle delivery of DNA vaccine – PubMed (nih.gov).

Également cette étude de 2010 portant spécifiquement sur la toxicité provoquée par les nanoparticules lipidiques chargées positivement : The systemic toxicity of positively charged lipid nanoparticles and the role of Toll-like receptor 4 in immune activation – ScienceDirect.