Fabrice Di Visio demonte le plateau de TPMP sur le pass sanitaire

[Source : profession-gendarme.com]

https://youtu.be/WMlS2Gn0ZwU

Break Time TV 37,3 k abonnés

Il aurait également pu ajouter que le pass sanitaire manque de logique car n’étant pas obligatoire dans les transports (et autres lieux bondés comme les marchés les écoles les facs), des millions de personnes s’y retrouvent collés chaque jour…

Source : Youtube




La Coordination Santé Libre appelle les soignants à faire pression sur le gouvernement

[Source : francesoir.fr]

[Photo : Soignants en grève. AFP]

Auteur(s): FranceSoir

Dans un communiqué de presse ce jour, la Coordination Santé Libre (CSL), qui regroupe différentes associations de médecins, soignants et scientifiques, appelle à un retrait immédiat de l’obligation vaccinale qui sera imposée à certains professionnels à partir du 15 septembre.

Dans cette lettre, l’obligation vaccinale est jugée « illégale », « choquante » et « scandaleuse », notamment du fait de son incompatibilité avec le Code du travail. Par ailleurs, la façon dont cette loi a été promulguée reste mal acceptée. À ce sujet, la CSL rappelle notamment « la sous-représentation des parlementaires ayant voté cette loi » et « la complaisance du Conseil constitutionnel », sur fond de prorogation de l’état d’urgence sanitaire.

Voir aussi : des débats parlementaires à l’image de la société, confus et électriques

En réponse à cela, grâce à l’union de ses différents membres, la CSL met un point d’honneur à la réinformation depuis sa création en janvier 2021. Sur son site, on trouve notamment les vidéos de leur Conseil Scientifique Indépendant (CSI), qui se réunit chaque jeudi pour traiter de différents sujets de santé ou de société.

Outre l’information, la CSL appelle finalement tous les professionnels concernés par l’ogligation vaccinale à faire pression sur le gouvernement, au travers des recours juridiques notamment. L’association BonSens par exemple, propose à chacun de signer ses plaintes collectives. Sur le site de Reinfo Covid, on trouve plusieurs modèles de lettres juridiques, rédigées avec des avocats, destinées à aider les professionnels en difficulté. De fait, depuis l’application du passe sanitaire en août, le parquet de Paris et la Cour de justice de la République croulent tous deux sous les plaintes, notamment grâce aux modèles de l’association créée par Me Fabrice Di Vizio.

Voir aussi : gestion de crise sanitaire : les plaintes pleuvent

Par ailleurs, d’autres moyens de lutte sont aussi envisageables et ouverts à un plus grand nombre, tels que l’affichage, la manifestation, les pétitions, le boycott ou encore la grève. À ce sujet, la CSL ponctue d’ailleurs sa lettre en apportant son soutien à l’appel à une grève illimitée des professionnels de la santé du Syndicat Liberté Santé.

Voir ici : le communiqué du Syndicat Liberté Santé

Communiqué de la Coordination Santé Libre

Auteur(s): FranceSoir




Effet macron vaccination ? Et si c’était une tromperie et un échec total ?

Par Alain Tortosa

La vaccination en France est quasiment à l’arrêt !

Commençons par nous pencher sur le nombre d’injections quotidiennes :

Si l’on regarde la courbe de vaccinations quotidiennes (au moins une dose) sur geodes,santepublique alors force est de constater qu’il y a un pic à partir du lendemain de la déclaration du chef de l’État.

La vaccination étant au plus bas depuis la fin juin.

Bref à la lecture simple de cette courbe, on pourrait se dire que « l’effet Macron » a été très efficace jusqu’au pic du 29 juillet, puis effondrement du nombre de vaccinations jusqu’à aujourd’hui.

Le problème est que le gouvernement ne fournit pas (volontairement) le nombre de vaccinations journalières première dose, mais les vaccinations « au moins une dose » ce qui veut dire clairement que ces données comptabilisent à la fois des premières et deuxièmes doses.

La question est :

« Assistons-nous durant le mois de juillet à une vague de nouvelles vaccinations ? »

ou

« Est-ce une vague de deuxièmes doses ? »

Penchons-nous sur le nombre cumulé de personnes vaccinées « au moins une dose » et « deux doses ».

En téléchargeant les données sur tableur, on peut faire quelques constatations intéressantes.

Regardons à nouveau la première courbe (des vaccinations quotidiennes au moins une dose).

Le 2 juillet le gouvernement enregistre le nombre le plus faible de vaccinations depuis le mois de mars soit 223 398 dans la journée.

Sur la même courbe, on voit que le pic de vaccinations que l’on attribue à notre ami Emmanuel s’est produit le 29 juillet avec 486 484 doses dans la journée.

Si maintenant l’on reprend le nombre total de personnes vaccinées au moins une dose, celui-ci est de 34 731 494 ce même 2 juillet alors que le nombre de personnes complètement vaccinées est de 23 918 529 le même jour, soit un écart d’environ 10 millions de doses.

En revanche si l’on se place au 29 juillet, le jour du pic qui semble prouver la « victoire » de l’effet dictature de notre grand monarque lumineux, nous constatons que le nombre total de personnes vaccinées deux doses est de 34 764 184, qui était le nombre de personnes vaccinées « au moins 1 dose », 27 jours auparavant…

Et 27 jours c’est quoi ? C’est le délai habituel entre deux doses !

J’affirme donc qu’il n’y a eu AUCUN effet Macron sur la vaccination.

C’est ce qui expliquerait l’explosion délirante du nombre de tests.

Les vaccinés première dose se sont probablement précipités pour faire la 2e alors que les non-vaccinés se sont précipités pour faire des tests PCR comme vous pouvez le voir sur la courbe suivante.

Les gens se sont fait tester de plus en plus jusqu’au 20 août qui correspond à une semaine avant la fin des vacances.

Et il n’y a pas d’effet « augmentation du nombre de tests » pour la rentrée comme il n’y a pas d’effet « augmentation du nombre de vaccinations quotidiennes » pour la rentrée (voir première courbe).

Le gouvernement est donc factuellement en échec TOTAL sur le chantage vaccinal, mais ce n’est pas l’histoire véhiculée par les ministres et les merdias mainstream qui ne sont que la voix de leurs maîtres

Pour celles et ceux qui aimeraient plus de preuves de l’échec du gouvernement et du Président de la République, regardons l’évolution mensuelle des vaccinations « au moins une dose » et des « vaccinations complètes ».

(Chaque point indique le nombre de vaccinations pour l’intégralité du mois donné.)

Nous voyons sur la courbe en bleu que la vaccination « au moins une dose » diminue fortement en juin, une toute petite embellie en juillet (vraiment très légère) et à nouveau une forte chute au mois d’août.

Quand on regarde la courbe en rouge du nombre de personnes complètement vaccinées, le mois de juillet est en forte hausse, ce qui confirmerait bien que juillet a été le mois de la deuxième dose et non le fameux succès gouvernemental.

En revanche le mois d’août se traduit aussi par une forte baisse des deuxièmes doses ce qui prouverait bien que l’augmentation journalière des « au moins une dose » en juillet n’était pas des premières doses, mais bien des deuxièmes doses. Si le pic de fin juillet avait été des premières doses, nous aurions revu le même pic fin août pour des deuxièmes doses.

Si on regarde à nouveau la courbe cumulée des personnes vaccinées, on voit bien que la pente a fortement diminué et tend de plus en plus vers l’horizontal comme le confirme la courbe de vaccinations journalières qui s’effondre depuis la fin juillet.

Au 9 septembre nous sommes à 68 000 injections dans la journée soit des quantités comparables au 9 janvier, bien avant le début de la campagne massive et alors que nous n’avions pas de doses.

« Les Français ne se vaccinent quasiment plus ! »

Précision importante, officiellement 79 % des 25-64 ans sont vaccinés. La population active avec emploi des 25-64 est de 24 471 000 (Insee). Cela veut dire que 5 millions de travailleurs sont non vaccinés. La France ne peut PAS tourner sans eux. Les non-vaccinés détiennent de fait le pouvoir en France !

Hasard ou machiavélisme ?

Le gouvernement a-t-il eu la chance de bénéficier de la manne des deuxièmes injections pour tromper le peuple ou les stratèges ont-ils, tout comme moi, calculé que le creux du 2 juillet se traduirait mathématiquement par un pic de 2e doses fin juillet ?

En tous les cas, ceci confirme que le battage médiatique que nous avons subi depuis l’allocution du Président en juillet sur le « succès total » de la mesure est un des plus grands « fake » que nous ayons connus depuis le début de la crise du Covid.

Les personnes qui se sont précipitées suite à l’annonce ne sont, pour une écrasante majorité, que des personnes qui devaient faire leur deuxième dose.

De l’art de camoufler un échec total et de le présenter comme un succès !

Alain Tortosa.

10 septembre 2021.
https://7milliards.fr/tortosa20210910-echec-chantage-vaccinal.pdf




« Merci M Estrosi d’être présent pour défendre la sécurité et les valeurs de notre belle démocratie. » — « Vive le label “personnel vacciné” pour les commerçants de Nice. »

Par Alain Tortosa

Cher M Estrosi,

J’ai appris que vous aviez eu le « courage et l’intelligence » de créer le label « personnel vacciné » pour les commerçants de votre belle ville de Nice où il fait bon vivre.

Je ne suis pas du genre sensible, croyez bien, mais à cette annonce, je n’ai pu retenir une larme à l’œil, devant l’humanité de votre décision.

Je suis un de vos fidèles admirateurs, abonné à votre page Facebook et je me souviens avec nostalgie lorsqu’au mois d’avril vous diffusiez dans les haut-parleurs de la ville des annonces pour faire respecter les gestes barrières et ainsi lutter contre le « fléau ».

Mais tout ceci n’était rien face à votre idée géniale de « label ».

« Enfin un homme politique qui pense à protéger aussi bien les personnels des commerces que les clients et qui n’hésite pas à retrousser ses manches ! »

J’espère que tous les maires de France auront le courage et l’intelligence de suivre votre initiative.

Grâce à vous, lorsque je me rendrai à Nice, je pourrai rentrer dans un commerce qui affiche le « label » et bien entendu, boycotter tous les commerçants dénués de sens civique ou moral qui ne l’affichent pas.

Nous vivons une période à la fois dramatique où des adultes font preuve d’un égoïsme écœurant en ne se vaccinant pas et en ne vaccinant pas leurs enfants, quand bien même ceux-ci ne seraient absolument pas concernés par le Covid…

… mais nous voyons aussi beaucoup d’amour, de solidarité… ces millions de Français qui portent un masque et se vaccinent, absolument pas par peur, absolument pas par égoïsme, mais dans l’unique but de protéger leur famille, leur voisin ou quiconque.

Plus encore tous ces Français vaccinés « solidairement » se battent pour que les non-vaccinés se vaccinent, non pas parce qu’ils auraient peur… En effet comment une personne vaccinée avec un vaccin « efficace » pourrait-elle avoir peur d’un non-vacciné ?

Convenez qu’il faudrait être particulièrement stupide. Et c’est là où je rejoins totalement votre démarche altruiste…

Vous-mêmes et les commerçants qui adhèrent à votre label agissez de la sorte uniquement pour protéger les non-vaccinés qui ne peuvent que vivre dans la peur de se retrouver en réanimation ou pire…

En fait vous êtes « BON ». Depuis le début de mon texte, je cherchais le mot juste qui vous qualifie le plus et c’est le mot « bon » !

Vous auriez même pris le risque inouï de vous traiter à l’hydroxychloroquine lorsque vous avez été malade et avez bien compris qu’il fallait protéger les Français et aller vers le tout vaccin !

Certains aigris jaloux osent dire que vous prendriez toutes ces mesures courageuses qui vont bien au-delà de la loi, pour des raisons électoralistes, et même devenir Premier ministre de M. Macron lors du prochain quinquennat.

Mais que les gens sont petits et mesquins à imaginer que vous ne feriez ceci que par opportunisme…

Ces mêmes petites gens vont jusqu’à oser dire que votre « label » introduirait une forme de discrimination entre les Français et violerait le secret médical.

Je reste sans voix, je ne les comprends plus. Croyez-bien que je n’ai qu’amour pour mon prochain, comme vous, mais là je n’arrive pas à les comprendre.

Mais quand on fait quelque chose de bien, pourquoi devrions-nous le cacher ?

Si demain je donne à une association, pourquoi devrais-je cacher mon geste généreux ?

C’est exactement la même chose pour ce « label du cœur », car c’est ainsi qu’il faudrait le nommer.

Tous les personnels qui sont vaccinés peuvent être fiers de leur geste de solidarité, fiers de s’être vaccinés pour protéger les autres et fiers de l’afficher en devanture !

Il faudrait même organiser une tombola pour récompenser les Niçois. Je verrais bien une fête avec 50 000 personnes aux arènes de Cimiez, bien sûr toutes vaccinées… car un bon test PCR ne remplace pas une vaccination « efficace »…

Je salue donc votre héroïsme, mais je regrette que vous n’alliez pas plus loin…

Le Covid est bien entendu le pire fléau qu’ait connu la planète depuis plusieurs dizaines d’années, mais il ne faudrait pas oublier que notre santé est menacée par de très nombreuses maladies.

Il existe des maladies mortelles dont certaines peuvent se transmettre par voie aérienne, la salive, etc.

Il me semblerait juste et efficace que les commerçants qui affichent votre merveilleux « label » puissent garantir au public que leur personnel n’a pas de :

  • VIH.
  • Hépatite A, B ou C.
  • Méningite, tuberculose, gale, etc.

Il faudrait afficher les résultats d’examens médicaux de tous les personnels et s’ils sont piqués pour tous les vaccins commercialisés.

Ne pouvant garantir l’hygiène des mains des personnels qui peuvent se les mettre un peu partout, le résultat d’un frottis vaginal ou d’un toucher rectal de moins de 15 jours serait la moindre des choses.

Dès lors que l’on interdit à un chauffard ivre de conduire, pourquoi certaines personnes auraient-elles le droit de menacer notre sécurité dans les magasins et dans la rue ?

Je vous rappelle que le bien le plus précieux que la civilisation puisse nous apporter est la « sécurité » et que cela doit passer bien après des prétendues « libertés ». L’interdit c’est la liberté !

Il faudrait donc aussi que soit affiché le casier judiciaire de tous, ainsi que la liste des précédentes condamnations, mais aussi mises en examen.

Encore que pour ma dernière proposition, je ne suis pas certain que vous l’approuviez à titre personnel.

Et que dire des préférences sexuelles ? Personnellement je n’aimerais pas que mes enfants puissent pénétrer dans des boutiques dans lesquelles une partie du personnel serait déviant, voire même à préférences pédophiles.

Nous voyons bien que le chantier est immense pour faire des commerces et des rues des lieux « sains » et je vous remercie grandement d’apporter votre première pierre à l’édifice, mais quelle pierre !

Le dernier point le plus réjouissant pour moi est de savoir que des lecteurs prendront mon texte au premier degré et que certains approuveront massivement mes « propositions ».

Alain Tortosa

9 septembre 2021.
https://7milliards.fr/tortosa20210909-label-personnel-vaccine-nice.pdf




Fête de Wallonie… « non merci! »

[Source : Kairos (kairospresse.be)]

[Photo : Les Fêtes de Wallonie à Namur en 2019 – Belga]

Marie-Rose Cavalier-Bohon, ancienne membre du Parlement de Wallonie, a partagé avec nous ce courrier qu’elle a envoyé aux président du Parlement wallon, des Membres du Bureau et du Ministre Président du Gouvernement de Wallonie, ainsi qu’aux différents députés. Elle y explique pourquoi elle refuse leur invitation à la cérémonie officielle des Fêtes de Wallonie en cette année 2021.

Mesdames Jacqueline Galant, Sophie Pécriaux, Sybille de Coster-Bauchau, Messieurs J‑Claude Marcourt, Manu Disabato, et au Ministre Président du Gouvernement ; Mer Elio Di Rupo.

Chères Mesdames et Chers Messieurs les Députés,

Comme ex-parlementaire wallonne, c’est toujours un plaisir pour moi de recevoir une invitation venant d’une Assemblée importante en termes de choix politiques pour notre Région .

Assemblée pour laquelle j’ai tenté de donner le meilleur au travers des compétences qui m’étaient attribuées, car son rôle de relais entre l’U.E, le Fédéral, les entités fédérées et sa tutelle sur les Communes, est déterminant.

L’invitation de ce jour, me laisse plus que perplexe.

En effet, pour assister à cette cérémonie, aux propositions ou bilans politiques des uns et des autres, qui sont pour moi indispensables dans la compréhension des mesures prise en fonction de l’intérêt général, je dois nécessairement présenter « un certificat Covid numérique de l’UE » !!!!

Curieuse, j’ai donc lu les étapes de ce certificat indispensable pour recouvrer la possibilité de voyager et ….plus simplement, d’assister, à quelques km de chez moi, à la mise en valeur de l’Assemblée régionale (https://ec.europa.eu/commission/presscorner/detail/fr/ip_21_2593)

Suite à cette lecture, j’en déduis qu’à chacun de mes déplacements, même pour vous entendre,  je dois quand même présenter :

– soit une vaccination complète ( très mal nommée me semble-t-il, puisqu’il s’agit d’une thérapie génique qui a obtenu une autorisation de mise sur le marché » PROVISOIRE, mais que l’on promotionne à tout va !) ,

– un test PCR( remis au goût du jour sans arrêt, dont les trop nombreux cycles d’analyse (dixit Mer Van Laethem) montrent tout et n’importe quoi, …mais ils sont quand même utilisés pour la poursuite des mesures prises suite à « ladite pandémie » !),

– un certificat médical qui atteste ma guérison, tout ceci, de manière à correspondre aux diktats sanitaires et validés par les Assemblées politiques.

Ces diktats sont pour moi, tout à fait disproportionnés, voire mensongers, puisque pour voyager aujourd’hui, même « vacciné » , de nouveaux tests sont exigés et doivent être négatifs. 

A ce sujet, j’ai sans doute mal lu « la loi pandémie » …serait-elle la base de l’application de ce certificat de traçage national ou non ?

Comme en France, cette application est-elle décidée ?

Merci de m’éclairer à ce sujet.

Mesdames , Messieurs les Députés, je dois vous dire que cette invitation « sous conditions » me met mal à l’aise , j’espère aussi que je ne suis pas la seule !!!

Il me faut donc, pour pouvoir fêter notre Région, pour pouvoir vous entendre, vous présenter officiellement le fait que je ne suis pas malade. Ces conditions dépassent mon entendement !

Juste une question encore : allez-vous persister dans cette fuite en avant, vers un monde de surveillance à tout crin , de contrôle partout, même au sein des Assemblées dites démocratiques et citoyennes ?

J’ai juste l’impression en vivant ces difficultés qualifiées de « sanitaires », portées fièrement par les autorités politiques, de vivre un cauchemar !

C’est la raison pour laquelle, ce 18 septembre, lors des Fêtes de Wallonie et jour de mon anniversaire, je ne pourrai pas vous rejoindre pour les raisons invoquées et je le regrette.

Comme dit le Président Macron , « le jour d’après ne sera pas le jour d’avant » !!!!Vous portez ces choix politiques de manière, me semble-t-il, avec obéissance et irresponsabilité. Dommage !

Une toute dernière remarque ; l’Assemblée wallonne fut pour moi, magique de « pouvoir, de savoir, d’espoir ».

Bien à vous

M‑R Cavalier

Deux pièces jointes si vous avez du temps …et si cela vous intéresse.

Bientôt un identifiant numérique pour tous ? | Les Echos 
Entreprises, institutions internationales et ONG rêvent d’un système mondial permettant d’authentifier l’identité de n’importe qui, n’importe où. 
www.lesechos.fr

Scoop : qu’est-ce que le Great Reset recherche vraiment avec le passe sanitaire ? – Le Courrier des Stratèges (lecourrierdesstrateges.fr)
Mais en quoi le Great Reset a‑t-il vraiment besoin du passe sanitaire pour se mettre en place ? Cette question dont on pressent l’importance grandissante depuis plusieurs semaines, et qui s’impose aujourd’hui comme la charnière explicative des politiques publiques, donne lieu à de nombreuses supputations. 
lecourrierdesstrateges.fr




Sous-déclarations des effets secondaires liés à l’injection anticovid en Europe

Par Nicole Delépine

Comparaison des sous-déclarations des effets secondaires selon les pays européens proches des Pays-Bas

Le professeur belge Christophe de Brouwer(([1] https://mewe.com/i/christophedebrouwer)) ex-professeur à ULB (Université libre de Bruxelles) et ex-Président de l’École de Santé publique à ULB a publié sur son compte Facebook(([2] (20+) Christophe de Brouwer | Facebook)) une très intéressante étude comparant les déclarations d’effets indésirables des pseudovaccins anticovid selon les différents pays européens.

Nous savons tous – et tous les sites répertoriant les toxicités des médicaments le rappellent depuis toujours – que les rapports officiels sur les effets toxiques sont toujours très inférieurs à la réalité avec un facteur de sous-estimations de 10 (voire 100 selon les auteurs).

La dernière évaluation des décès en UE (27 pays sur les cinquante de l’Europe) selon l’EMA est de l’ordre de 23500, ce qui permet de craindre au moins 200 000 décès dans le mois suivant l’injection (pour environ 112 millions de vaccinés).

Pour environ deux millions d’accidents dont la moitié sont qualifiés de graves, cela ferait environ vingt millions de personnes malades transitoirement ou handicapées à vie. (Ces chiffres estimés en prenant la fourchette basse de dix fois plus d’incidents que déclarés.)

Malgré ces chiffres incertains, on peut remarquer que certains pays pour une population inférieure déclarent beaucoup plus d’ennuis, comme les Pays-Bas. Voyons les conclusions du Professeur belge.

Déclarations des effets secondaires liés aux vaccins Covid selon les pays européens entourant la Belgique.

Extrait de son post Facebook

Nous avons examiné les effets secondaires déclarés par le VAERS (USA) et EudraVigilance en début de semaine (sur FB, commentaires).

Pour l’Europe, nous savons que ce sont les Pays-Bas qui déclarent le plus d’effets secondaires (en termes de cas individuel).

Si nous considérons les Pays-Bas comme un idéal à atteindre, en sachant que probablement là aussi nous avons un certain degré de sous-déclarations :

Combien les autres pays qui entourent la Belgique auraient dû déclarer pour être au même niveau que les Pays-Bas ?

La réponse est édifiante. Je vous la mets en graphiques. (ci-dessus)

Pharmacovigilance en France(([3] Responsabilités au centre hospitalier de Cholet du Dr Umlil
CTIAP :  Unité de pharmacovigilance
Coordination des vigilances sanitaires))

Pour compléter les informations sur les effets secondaires des vaccins anticovid (et des médicaments en général ), il faut consulter le site de l’hôpital de Cholet et les publications du Dr Amine Umlil, dont sa présentation en août 2021 au conseil scientifique indépendant ( CSI) de Réinfocovid.(([4] Lien de causalité en pharmacovigilance et en justice entre un effet indésirable et un médicament suspect  22 août 2021  et  « effets indésirables » – la pharmacovigilance – des vaccins contre la Covid-19.))

Lors de ce CSI, une « analyse des données de la base de données de pharmacovigilance américaine (VAERS) » par Christine COTTON. Et quelques notions utiles et notamment celles relatives au « lien de causalité en pharmacovigilance et en justice entre un effet indésirable et un médicament suspect » – par Amine UMLIL.

L’intégralité de l’émission est disponible via ci-dessous et sur ce lien 

Reunion publique du CSI du 19 août 2021à 21h – CrowdBunker



Mais on doit regretter que la direction de l’hôpital de Cholet ait cru bon de supprimer le 27 juillet toute référence au Dr Umlil patron du centre de pharmacovigilance et auteur de très nombreux articles qui ont fait la réputation du centre.

En pleine discussion sur l’obligation vaccinale, est-ce normal d’instaurer la censure et de priver les citoyens de sources fiables d’information ?

Vous pouvez aussi témoigner sur le site Recensement des témoignages – Résistance (resistance-mondiale.com)




Rand Paul : Les obligations en matière de vaccins qui ignorent l’immunité naturelle ne devraient pas être respectées

[Source : Aube Digitale]

Par JADE

Rédigé par Steve Watson via Summit News

Le sénateur Rand Paul a répondu à l’annonce de Joe Biden concernant le mandat de vaccination obligatoire de grande envergure en déclarant qu’il ignore la science et que les Américains devraient s’y opposer.

Écrivant sur Twitter, Paul a noté :

« Les mandats de vaccination qui ignorent l’immunité naturelle ignorent la science, ne sont pas scientifiques, et ne devraient pas être respectés ou promulgués par le gouvernement. »

Paul fait valoir depuis des mois que les programmes de vaccination sans discernement sont antiscientifiques car ils ne tiennent pas compte de l’immunité naturelle, qui constitue une meilleure forme de protection que les vaccins expérimentaux.

« Jusqu’à ce qu’on me montre des preuves que les personnes qui ont déjà eu l’infection meurent en grand nombre, ou sont hospitalisées ou tombent très malades, j’ai juste pris ma décision personnelle de ne pas me faire vacciner parce que j’ai déjà eu la maladie et que j’ai une immunité naturelle », a déclaré Paul en mai.

Dans une autre déclaration, Paul a noté : « Dicter qu’une personne guérie du COVID-19 avec une immunité naturelle doit également se soumettre à un vaccin – sans preuve scientifique – n’est rien d’autre que de l’orgueil démesuré. Si vous n’avez aucune preuve que les personnes ayant acquis une immunité naturelle contractent ou transmettent la maladie en nombre réel, alors vous devriez peut-être vous taire. »

Paul était l’un des nombreux législateurs du GOP à s’exprimer contre l’annonce de Biden concernant le mandat de vaccination.

Un professeur de l’université de Californie, Irvine, est allé plus loin en intentant un procès contre le conseil d’administration et le président du système scolaire pour avoir imposé un vaccin même à ceux qui sont immunisés.

SBG rapporte qu’Aaron Kheriaty, professeur de psychiatrie et de comportement humain, a intenté un procès après avoir été informé que sa propre immunité naturelle n’avait aucune importance dans le cadre du mandat de vaccination.

Kheriaty, également directeur du programme d’éthique médicale de l’UCI et membre du groupe de travail sur la bioéthique des soins intensifs du bureau du président de l’UC, a déclaré : « J’ai l’impression d’être traité de manière inégale ».

« Si mon immunité est aussi bonne, voire très probablement meilleure, que celle conférée par le vaccin, il ne semble y avoir aucune base rationnelle pour discriminer ma forme d’immunité et m’obliger à avoir une autre forme d’immunité », a ajouté M. Kheriaty.

En ce qui concerne les autres personnes qui ont exprimé des préoccupations au sujet du mandat scolaire, M. Kheriaty a ajouté qu’ »il est devenu clair pour moi que si je ne me levais pas, en tant qu’éthicien médical, pour essayer de représenter ces voix, alors ces personnes seraient écrasées par ces politiques ».

Dans un mémoire juridique, Kheriaty et d’autres membres de la faculté affirment qu’ »il est contraire à l’éthique médicale d’exposer une personne à ce risque alors qu’elle possède une immunité robuste et durable qui neutralise le SARS-CoV-2 en cas d’exposition ».

La recherche a prouvé que la guérison du COVID procure une immunité meilleure et plus durable que les vaccins. Une étude menée en Espagne a même révélé que les anticorps IgG des professionnels de santé contre le SARS-CoV-2 restaient constants, voire augmentaient, sept mois après l’infection, alors que les personnes vaccinées se voient maintenant dire qu’elles ont besoin de rappels.

En mai dernier, le Dr Marty Makary, professeur à la faculté de médecine de l’Université Johns Hopkins, a fait remarquer que le fait que plus de la moitié des Américains aient développé une immunité naturelle contre le coronavirus est généralement ignoré et que cela constitue « l’un des plus grands échecs de notre direction médicale actuelle ».




La Suisse défigurée

[Source : Anthropo-logiques]

Par Jean-Dominique Michel

L’impensable s’est produit : dans une décision qu’absolument rien ne justifie (nous le verrons plus bas) en termes de santé publique, le Conseil fédéral vient à son tour d’imposer un pass sécuritaire (et en aucun cas sanitaire) violant la Constitution ainsi que les fondements de notre démocratie et de notre état de droit.

Instaurant un véritable apartheid sur la base de la soumission à une injonction vaccinale scientifiquement et éthiquement indéfendable, le gouvernement suisse, à la suite de nombreux autres, emporte avec lui sa population dans une fuite en avant vers un univers orwellien fait de contrôle social, de soumission à l’autorité, de stigmatisation et de discrimination massive des citoyens faisant usage de leur liberté de conscience et de leurs droits fondamentaux dès lors qu’ils osent s’opposer aux dogmes gouvernementaux.

Reprenons les choses dans le bon ordre : le pass dit sanitaire est en réalité inutile face à l’épidémie, comme le résume sans ambiguïté un des meilleurs épidémiologistes au monde, le Pr Martin Kulldorf de la Harvard Medical School, dans une formule lapidaire : « Les dernière données scientifiques démolissent les arguments en faveur des pass vaccinaux » (à lire ici).

Le pass sanitaire non seulement ne sert à rien pour juguler la circulation du Sars-CoV-2, mais il est en outre injuste, antisocial, discriminatoire et non-éthique.

Qualifiant la gestion de l’épidémie par nos pays de « fiasco de santé publique », le Pr Kulldorff rappelle que « la réponse à la pandémie a été vraiment horrible et est allée à l’encontre des principes de base de la santé publique que nous suivons depuis de nombreuses décennies. »

Les citoyens sont désormais pris dans une « double-contrainte » perverse faisant croire que nous aurions le choix entre la vaccination généralisée et les confinements à répétition. Cette doxa, assénée en continu depuis 18 mois par les gouvernements, des « autorités de santé » arrosées par les firmes pharmaceutiques et une presse subventionnée interdisant désormais tout débat digne de ce nom, est purement et simplement fausse.

Certes, il se trouve des sectateurs zélés pour l’affirmer en abusant de leur crédibilité institutionnelle. Seulement voilà : ce n’est pas juste que le Pr Kulldorff tiendrait des thèses bizarres dans son coin. Un nombre impressionnant d’épidémiologistes les plus renommés, travaillant au sein des meilleures facultés de médecine, essayent désespérément de faire entendre ce message depuis une année.

Le parti-pris de nos gouvernements d’imposer des confinements qui créent des dégâts majeurs sans permettre de se protéger de la circulation du virus, l’imposition de mesures absurdes et vexatoires comme le port du masque (inutile face aux virus), et maintenant la coercition (directe ou indirecte) exercée pour pousser la population à se faire vacciner sont rien de moins que des abominations en termes de santé publique. Des initiatives absurdes, contraires à toute la science accumulée au long des dernières décennies, et qui sapent (à juste titre) la confiance de la population.

Elles sont de surcroît profondément antisociales puisqu’elles privilégient les classes sociales qui peuvent travailler à domicile et jouissent de bons salaires alors qu’elles font s’abattre un vent de désolation sur les groupes précaires ou démunis de la population.

Elles maltraitent, abusent et traumatisent les groupes les plus vulnérables mais aussi la population dans son entier sans le moindre bénéfice sanitaire, si l’on s’en tient à ce que montre la science.

Alors ?

Alors il faudra bien que les naïfs et les crédules (notamment dans nos affligeants parlements) commencent à entendre que si nos gouvernements infligent cette maltraitance et ces dégâts à la population, c’est bien parce qu’ils poursuivent un autre agenda.

Le premier est évident : en exigeant par exemple que les personnes immunisées suite à une infection au Sars-CoV-2 reçoivent malgré tout une dose de « vaccin génique » pour avoir droit au pass dit sanitaire, les autorités prouvent si besoin était qu’elles servent bel et bien les intérêts des firmes pharmaco-vaccinales et non la protection de la santé de la population. Comme avec toutes les maladies infectieuses, l’immunité naturelle (rayée de ses définitions par l’OMS !) est de loin la plus puissante et la plus durable. Un vaccin supplémentaire n’apporte aucun bénéfice autre que pour le trésor des pharmas. L’exiger est une hérésie, certes pas perdue pour tout le monde.

Mais il y a sans doute beaucoup plus que cela. En conclusion des investigations de son comité d’enquête, l’avocat allemand Reiner Fuellmich rappelle que depuis le début, cette crise n’a rien de sanitaire. Elle est avant tout économique et probablement financière : les états (à l’exception frappante de la Suisse !) sont aujourd’hui endettés au-delà de leur capacité de remboursement et avec des fonds de pension en quasi-faillite. Le « Great Reset » abondamment invoqué (allant de pair avec l’imposition d’un système de surveillance numérique des individus « à la chinoise ») viserait à ponctionner l’épargne des particuliers, opération requérant un prétexte impérieux.

Ces questions sont trop éloignées de mon domaine d’expertise pour que j’ose m’y aventurer. A d’autres, qui en ont les compétences, de continuer à le faire. Par contre, je ne vois aucune raison au monde qui puisse expliquer rationnellement à partir de la situation sanitaire la décision honteuse du Conseil fédéral d’instaurer cet apartheid inutile, injuste et immoral, alors que la situation épidémique est actuellement calme et maîtrisées dans notre pays.

Sachant que si elle devait par malheur se péjorer, le pass sécuritaire n’aiderait de toute manière en rien.

Trahison

Nous sommes donc devant une véritable trahison. Trahison de notre identité nationale. Trahisons des intérêts du peuple – que nos Conseillers fédéraux ont fait le serment de servir,  de protéger et de défendre. Trahison de nos valeurs, de nos us et coutumes, de notre génie qui a permis au cours des siècles à des groupes diversifiés de cohabiter et de collaborer sans que les minorités se retrouvent écrasées sous le joug des majorités.

Ces temps sont désormais révolus. Pour puiser dans ce bel et grand imaginaire patriotique, notre pays est né de ce que des communautés rurales des vallées alpines ont refusé de se soumettre à la brutalité et à l’arbitraire de puissances étrangères. Elles se sont battues pour être maîtres chez elles, décider de leur destin en leur âme et conscience, élire leurs propres juges, cultiver leurs valeurs dans le respect envers la Création tout entière.

Je l’avais souligné lors d’une conférence de presse à Berne au printemps (censurée sur YouTube en dépit que tout ce que j’y avançais était documenté) : le mât dressé par un bailli étranger sur la place centrale d’Altdorf, au sommet duquel était placé le chapeau de l’Empereur et devant lequel tout citoyen était forcé à s’agenouiller est désormais celui dressé par notre propre gouvernement.

Guillaume Tell passant par-là refusa de se prosterner devant cette idole. Rudoyé par les gardes, il affirma fièrement qu’il ne s’agenouillait que devant Dieu.

On peut bien sûr faire de cette légende une question religieuse. Ou choisir une lecture symbolique, et donc universelle. « On ne peut servir en même temps Dieu et Mammon » dira Celui devant qui Tell acceptait de s’agenouiller selon ses convictions religieuses. Ce qui veut dire bien sûr : « vous ne pouvez servir en même temps l’intérêt commun, la cause de notre humanité, et les intérêts privilégiés de quelques-uns ».

Nos autorités politiques, tout comme les autorités scientifiques, médicales et médiatiques hélas, se révèlent brutalement prostituées à d’autres intérêts que celui souverain de la population. Elles se rendent coupables, je l’avais indiqué au printemps, ni plus ni moins que de haute trahison.

Dans une salutaire prise de conscience, le Conseiller fédéral Ueli Maurer partageait il y a quelques jours ses doutes sur le pass autoritaire, soulignant qu’il allait dans le sens d’une soumission des citoyens à l’état profondément contraire à nos us et coutumes ainsi qu’à nos valeurs.

Malgré le travail de propagande honteux des médias pour faire passer ceux qui se réfèrent encore à la science non-prostituée pour des « complotistes » des « antivaxx » ou des « imposteurs », il faut croire -parce que notre devenir en dépend- que le rude bon sens de nos aïeux, préservé sur la haute crête des cimes, saura voir la nature de ce nouvel ennemi, un ennemi de l’intérieur vendu à des intérêts extérieurs, et lui réserver le sort qu’il mérite.

Tout ce que j’avance ici est évidemment à nouveau documenté.

J’invite ainsi toute personne ayant des doutes ou voulant en avoir le cœur net à lire les deux articles -re-publiés ici et ici– présentant les analyses du Pr Kulldorff. Une objection que j’entends souvent est en effet : « mais, si vous aviez raison, pourquoi nos professeurs des hôpitaux disent-ils le contraire ? »

Objection valide !

En lisant les propos de Martin Kulldorff, ils découvriront comment les meilleurs épidémiologistes au monde, travaillant dans les meilleures universités, se sont vus combattre, censurer et même calomnier parce qu’ils rappelaient simplement l’état de la science et la réalité des connaissances en santé publique.

Ce qui pose de vraies questions !

  • Quand Kulldorff dit que la gestion mondiale du Covid est un fiasco horrible et sans précédent alors que Didier Pittet nous explique qu’on a à peu près tout bien fait, grâce à lui notamment, et qu’il a même trouvé plutôt réussie la gestion désastreuse du gouvernement français…
  • Quand Samia Hurst, vice-présidente de la Task Force affirme que si on n’avait pas imposé de confinements, il y aurait eu des dizaines de milliers de morts en plus alors que John Ioannidis, l’épidémiologiste le plus cité au monde, conclut de ses recherches que les confinements n’ont pas montré d’utilité avérée…
  • Quand le Pr Pollard (du Groupe vaccinal d’Oxford) explique à la mi-août qu’à la lumière des dernières données sur l’efficacité vaccinale, l’objectif d’une immunité vaccinale est un mirage, et que Didier Pittet et Mauro Poggia viennent sur le plateau de la RTS trois semaines plus tard affirmer avec arrogance le contraire…
  • Quand Antoine Flahaut réclame le masquage et la vaccination forcée des enfants alors que le Pr Kulldorff montre que ces deux mesures sont injustifiées, inutiles et non-éthiques…
  • Quand la Conférence des directeurs cantonaux de la santé ne cesse de demander des mesures de plus en plus coercitives et abusives alors que les meilleurs épidémiologistes réclament depuis des mois qu’on laisse vivre le plus normalement possible la société dans son ensemble tout en protégeant diligemment les groupes à risque, ce qui correspond à ce qu’on a toujours su devoir faire et qui était prévu dans TOUS les plans pandémie nationaux…

Eh bien oui, on a alors bel et bien un problème. Des points de vue aussi contradictoires ne peuvent être vrais simultanément.

Si les Suisses en avaient eu le courage, nous aurions créé une Commission d’enquête, honnête et indépendante, sur les mesures dites sanitaires depuis longtemps. Soit, nous en avons alors manqué.

Il est heureusement encore temps de nous souvenir de l’ouverture magistrale de notre Constitution et de mettre hors d’état de nuire (par tous les moyens légaux) ceux qui cherchent ni plus ni moins qu’à la détruire :

(…)

Le peuple et les cantons suisses,

conscients de leur responsabilité envers la Création,

résolus à renouveler leur alliance
pour renforcer la liberté, la démocratie, l’indépendance et la paix dans un esprit de solidarité et d’ouverture au monde,

déterminés à vivre ensemble leurs diversités
dans le respect de l’autre et l’équité,

conscients des acquis communs et de leur devoir d’assumer leurs responsabilités envers les générations futures,

sachant que seul est libre qui use de sa liberté et que la force de la communauté se mesure au bien-être du plus faible de ses membres,

arrêtent la Constitution que voici : …

J’ai mal à ma Suisse aujourd’hui, comme tant d’autres de mes compatriotes. Une Suisse actuellement trahie, bafouée, violentée, défigurée par ses autorités et son gouvernement.

Tous ceux qui participent à cette dérive scandaleuse feraient bien s’y réfléchir à deux fois.

Nous leur ferons échec.




Pr Luc Montagnier : Ces vaccins sont inutiles, dangereux et inefficaces.

[Source : Etresouverain.com]

[Ndlr : l’interview commence après 45 secondes. Il est en italien, mais sous-titré en français.]






Morandini et les GG contre FranceSoir ou le degré obtus de l’autosuffisance

Par Lucien Samir Oulahbib

En interviewant (tant qu’à faire sans doute) le directeur de FranceSoir, Xavier Azalbert, à propos d’un article provocant (mais pour la bonne cause aux dires d’Azalbert) Morandini d’un côté et les GG de l’autre ont atteint un sommet dans l’autosuffisance, l’ignorance et la mauvaise foi, se nourrissant cependant l’une l’autre grâce à ces zestes d’idées reçues assénées sans détour comme si cela allait de soi (« le consensus scientifique autour des vaccins », les « traitements précoces ne marchent pas », etc., etc.). Ils ne sont certes pas les seuls.

Leur prétention, si méprisante à entendre, et leur ton exaspérant de suffisance sont cependant ahurissants (les regards condescendants de Truchot et de Morandini en disant long) et résument en fait l’état général (moribond voire à l’état terminal) d’un journalisme de plus en plus écervelé, réduit à (s’)exciter par quelques « pics » d’audience et leurs saccades en cascade, le tout s’abaissant souvent au niveau du caniveau (« donnez le nom du médecin en appelant ainsi à la Veuve !!! », « Êtes-vous vacciné ? ») tant les faits sont piétinés (ce médecin n’est pas un « lâche » comme le prétend Truchot puisqu’il peut être condamné par son Ordre s’il admet soigner pas-comme-il-faut) et les mensonges, assénés sans vergogne, sont débités façon mitraille. Ne serait-ce le fait d’oser dire de façon ironique que si l’on est bien arrivé à soigner avec de l’aspirine alors à quoi bon les traitements précoces (dixit le médecin lié à Morandini, reprenant indirectement d’ailleurs des propos anciens de Christine Lacombe dès mars 2020 sur le caractère étrange de cette maladie qui voit « 80 % » de rémission au bout de quelques jours), alors que Raoult et d’autres prévenaient bien que pour certaines d’entre-elles, des séquelles pouvaient émerger et affaiblir sur le long terme les corps si ces derniers n’avaient pas été soignés bien en amont et que c’était très précisément pour cela qu’il fallait soigner absolument tout de suite afin d’éviter des complications pouvant surgir sur le tard concernant des personnes fragiles, et ce avec succès comme l’a indiquée cette députée d’Andorre, Karine Montaner, lors du dernier Conseil Scientifique Indépendant (09/09/21).

Quant au dit « consensus scientifique », rappelons cette banalité : l’analyse dite scientifique n’est jamais en soi DÉMOCRATIQUE en ce sens où ce n’est pas sur la base d’une quantité d’articles favorables, mais de RÉSULTATS EFFECTIFS et REPRODUCTIBLES que se définit la véracité d’un énoncé proposé : la neige EST blanchesi et seulement si la neige est blanche, les traitements précoces ne « marchent pas » si et seulement si la plupart des résultats empiriques le vérifient et si et seulement si les expériences suivant fidèlement les protocoles (bon dosage et suffisamment tôt) infirment les résultats faits en « labo ».

On reste confondu par tant d’ignorances épistémologiques et méthodologiques débitées pourtant par seconde et sans sourciller quand, par ailleurs et d’un autre côté, les résultats effectifs atteints en Israël, à Malte en Islande, etc. montrent l’inefficacité de l’injonction dite « vaccinale » (en attente d’une énième dose), ce que le statisticien Pierre Chaillot a développé lors d’un exposé de ce même Conseil Scientifique Indépendant (du 09/09/21)alors qu’au contraire les résultats atteints en Afrique, en Inde, au Mexique, mais aussi partout dans le monde avec les traitements précoces dont l’ivermectine (et dont parle en effet FranceSoir) mériteraient une attention soutenue.

Cette prétention pédante à réduire les liens, complexes, entre maladie et santé à quelques équations (fausses, en plus, comme l’a montré Vincent Pavan) est à rapprocher de cette autre prétention condescendante, elle, celle de l’OMS appelant à ne pas soutenir l’idée d’une 3e dose dans les pays riches sous le prétexte que les pays pauvres n’en auraient pas eu, alors que ces derniers ne sont pas demandeurs !

Ils se soignent, eux, merci, et n’ont donc pas à subir en plus cette vision paternaliste prétendument « universaliste » faisant croire que l’Occident devrait « partager » sa réussite alors qu’il ne montre jusqu’à présent que son incapacité (déjà sur le plan théorique) à observer qu’il s’agit d’une « syndémie », c’est-à-dire d’une synchronisation de maladies dites chroniques et en fait pour une grande part culturelles, au sens d’être le produit d’un mode de vie urbain stressant et déstructurant (jouant alors sur le système immunitaire des plus fragiles en cas d’attaque virale) que la surconsommation, y compris d’opiacés légaux, ne suffit pas à combler tant le « mal du siècle », celui d’une individualité malheureuse (le taux d’antidépresseurs pris est ahurissant), n’est pas compris. Il est clair que ce n’est guère chez les GG ou Morandini (et autre Aphatie) que l’on aura l’ombre d’un début d’explication, mais plutôt sa pénombre.

Pour qui sonne le glas ?…




L’Institut Pasteur rétracte son étude bidon sur le pass sanitaire

[Source : lemediaen442.fr]

Par Jacqueline

Par de prestigieux calculs — règle de 3, certes, mais c’est pas donné à tout le monde — L’Investisseur sans costume a prouvé que l’affirmation « 78 % des nouveaux hospitalisés sont des non-vaccinés », eh bien, c’est faux. C’est pourtant l’Institut Pasteur qui l’affirme. Sauf que ses calculs sont bidonnés. Les preuves sont là. 

L’étude truquée, prépubliée en juin, a été supprimée, d’un coup de baguette magique ! Tout simplement ! Plus besoin de revue par les pairs ! (L’investisseur sans costume l’a cependant soigneusement conservée  pour ceux que ne rebute pas un texte scientifique en anglais.)

Une mise à jour l’a remplacée. Ce qui n’était que discrète falsification est devenu une arnaque bien voyante. L’Institut Pasteur, le temple de la science est devenu instrument de propagande. Ce n’est pas cela qui va changer quoi que ce soit aux décisions du gouvernement. En témoigne le Lancet Gate : 

1. On fait une étude bidon.
2. Les politiques s’en servent (Véran jette l’hydroxychloroquine à la poubelle).
3. On avoue l’arnaque.
4. Rien ne se passe : le ministère de la Santé fait comme si les conclusions restaient valables (et on échange l’hydroxychloroquine contre le Doliprane, tellement plus efficace !).

Demandez le programme !

A travers une modélisation (pas question d’observation, ça prendrait trop de temps et risquerait de ne pas donner les résultats attendus), la nouvelle étude en prépublication de Pasteur nous annonce le programme de la rentrée. 

– Une terrible cinquième vague de covid que le taux de vaccination trop faible n’arrivera pas à contrer. Il faudra donc prolonger le pass sanitairepoursuivre les gestes barrières, porter le masque en public (ça ne sert à rien, prouvent des scientifiques, donc on continuent, disent politiques et médecins de plateau).
– Une troisième dose (quand ça ne marche pas, on continue !),
– La vaccination des enfants, ce qui revient à jouer avec la survie de l’espèce. 

Aucune base scientifique ne justifie ni ces mesures ni les lieux communs sur lesquels elles reposent :

Les enfants de 0-17 ans représentent un tiers des infections

Un enfant de moins de 12 ans a autant de risque de se retrouver à l’hôpital à cause du covid que d’être frappé par la foudre. Oui, mais, selon l’Institut Pasteur, « Les enfants de 0-17 ans représentent un tiers des infections et sont responsables de près de la moitié des transmissions. » Les études de validation des vaccins s’appuient sur les cas symptomatiques. Or les moins de 12 ans n’ont pas assez de cas symptomatiques pour que aucune étude soit valide (dans l’étude en cours sur les 6 mois à 12 ans, l’échantillon n’est que de 4 500 enfants). 

Les personnes vaccinées sont bien protégées contre l’hospitalisation

Les études sur lesquelles se fondent ceux qui affirment que les non vaccinés ont 4 fois plus de risque d’attraper le virus et 2 fois plus de le transmettre, sont biaisées. L’une de ces études a porté sur des soignants (84 % de femmes actives en bonne santé). Or les femmes ont deux fois moins de risques de décéder du covid que les hommes et les personnes âgées ou les enfants ne figuraient pas dans l’échantillon observé. L’autre étude a été faite au sein des foyers (donc hors sujet à propos d’un pass sanitaire public). Pour l’analyse précise de l’arnaque aux chiffres de ces études, voir la vidéo de L’investisseur sans costume .

Il faut protéger les autres

La vaccination serait un acte altruiste.Il faudrait se faire vacciner pour protéger les autres de la contamination et du décès. Mais qui sont les autres ? Il n’y a pas d’augmentation de la mortalité des moins de 60 ans depuis le début de la crise (chiffres de l’Insee).

Ce qui n’a pas été fait

– Soigner au début de la maladie (cela a même été interdit).
– Identifier très précisément les comorbidités, ce qui aurait permis de faire de la médecine préventive.
– Encourager l’entraide : le tiers de la population française, rétabli du virus, mieux immunisé qu’avec le vaccin, aurait pu recevoir un pass pour s’occuper des personnes fragiles.

Le pass : une société des loisirs et non de l’entraide

Avec le pass, la stratégie s’est axée sur la circulation et non sur la santé, qui reste en principe de l’ordre de la décision personnelle. Avec la circulation, on est dans la sphère sociale et politique. Le pass sanitaire n’est qu’un droit aux loisirs (et au contrôle de l’État…). Rien à voir avec la protection de la santé. Il symbolise un choix entreune société de loisirs infantilisante et égoïste et une société responsable où l’on s’entraide.

Jacqueline pour Le Média en 4-4-2.




Réponse astucieuse d’un parent aux autorités provax

[Source : Profession Gendarme (profession-gendarme.com)]

Une idée de courrier  de type arroseur arrosé,  à soumettre aux parents désemparés à la réception d’injonctions vaccinales de la part des autorités académico-sanitaires.


Bonjour,

J’ai reçu, il y a 48 heures, comme de nombreux parents, une invitation à faire vacciner mon enfant avant la rentrée scolaire. Cette invitation est accompagnée d’un courrier cosigné du Recteur et du Directeur de l’ARS…le contenu de ce courrier m’a affligée. Mais ce n’est que la suite (il)logique de ces 18 derniers mois…

Et après avoir tourné plusieurs réponses possibles dans mon cerveau en alerte, j’ai envoyé la réponse qui suit (de façon anonyme pour ne pas stigmatiser mon enfant…).

Madame, Monsieur,

Je vous remercie vivement pour cette invitation à faire vacciner mon enfant. C’est beaucoup plus appréciable qu’une obligation vaccinale comme se permettent d’en envoyer certains employeurs du privé. Je retrouve là tous les motifs de mon attachement au service public qui sait raison et décence garder.

Je répondrais volontiers favorablement à votre invitation car si cela ne tenait qu’à moi, il y aurait bien longtemps que mon enfant serait vacciné. Hélas cet adolescent refuse catégoriquement cette vaccination salvatrice. Je suis désemparé quand il m’affirme que le vaccin n’en est pas un, qu’il est toujours en phase expérimentale, qu’il ne protège ni de la transmission, ni de la contamination et que la balance bénéfices/risques est défavorable pour sa tranche d’âge. Je me demande où il va chercher tout ça !

Il ose prétendre que ces données sont disponibles sur enfance-libertés.fr ou sur d’autres sites complotistes comme toutvabien44.fr ou Réinfocovid. Il a même lu un article sur anthropo-logiques.org qui démontre que la Suède qui n’a ni confiné, ni imposé le port du masque à son peuple s’en trouve très bien aujourd’hui.

Je trouve très grave que des jeunes soient exposés à des informations aussi dangereuses, mais en tant que parent je n’arrive pas à contrôler les risques d’internet.

Je vous l’ai dit, je suis désemparé. L’ambiance à la maison est devenue infernale.

Quand je tente de le raisonner en disant que ce qu’il avance, c’est tout l’inverse de ce que je vois à la télévision, il ricane. J’ai bien essayé de le menacer concernant le risque d’éviction scolaire si un petit camarade choppe un rhume avec PCR positif, ou bien se retrouve avec ce même test positif en dépistage avant une sortie scolaire…Mon adolescent est intraitable ! Il ose rétorquer que sur le plan juridique il s’agit de discrimination ! Et que c’est un crime qui est puni par la loi.

Alors j’ai besoin de votre aide en urgence pour régulariser sa situation. Je ne souhaite qu’une chose, qu’il accepte le vaccin et rentre dans le rang.

Pourriez-vous m’adresser les documents scientifiques qui permettent de démentir le délire complotiste de mon enfant ? Je ne trouve pas ces informations dans le courrier cosigné par Monsieur le Recteur et Monsieur le Directeur de L’ARS.

C’est regrettable. Je n’ai aucun argument solide pour faire obéir cet adolescent qui est si exigeant sur le plan intellectuel. Seuls des documents scientifiques sourcés et indépendants sauraient le convaincre.

Dans l’attente anxieuse de votre réponse, je vous d’agréer Madame, Monsieur, l’expression de mes salutations distinguées.

Un parent au bord de la crise de nerf


Voir également le Kit Parents à télécharger ci-dessous

Kit Parents (17 pages au format.pdf) à télécharger




L’obligation vaccinale imposée en Polynésie qui appelle au secours la métropole. MàJ

Par Gérard Delépine

Tahiti n’est plus un paradis depuis que E. Macron et sa cour sont passés

Jusqu’en juin 2021, la Polynésie française avait été relativement épargnée par l’épidémie.

Macron est venu à Tahiti en juillet 2021, et sa venue a été suivie par une forte recrudescence de Covid.

Depuis lors, au lieu de conseiller les traitements précoces efficaces qui ont fait leurs preuves, entre autres en Inde contre le variant delta (comme le montrent les données de l’OMS), le gouverneur Dominique Sorain, promu haut-commissaire par la grâce du prince, a décidé d’imposer la pseudo vaccination Covid par tous les moyens, alors qu’elle se révèle incapable de maîtriser l’épidémie actuelle en Israël comme en Grande-Bretagne.

Écoutons leur appel au secours via la voix du journaliste Jean Robin(([1] https://youtu.be/7PTKagrOIJg
https://www.patreon.com/jeanrobinmedia)) pour abolir la loi qui impose l’injection génique et qui prédit ce qui pourrait arriver en Métropole si nous ne les défendons pas suffisamment.

Usant et abusant de ses pouvoirs de police, il a décidé de punir ces « sauvages » rétifs à la vaccination en restaurant un confinement strict et en y ajoutant un couvre-feu délirant, et une interdiction de sortir le dimanche. L’assemblée territoriale a voté une « loi de pays » contraignant à la vaccination un certain nombre de professions : soignants, flics, tourisme, commerces… L’apparence de légalité est respectée, à part que les « lois de pays » n’ont aucun pouvoir normatif en temps habituel, les autorités d’occupation ne manquant jamais une occasion de le rappeler et de les annuler à leur guise.

Un collectif d’associations a déposé un référé suspensif auprès du tribunal administratif de Papeete, tandis qu’on attend que le Conseil d’État se prononce sur le fond. Cependant, habitué à passer en force sans se soucier des lois françaises et du Code de Nuremberg (qui stipule qu’aucun traitement expérimental ne peut être rendu obligatoire), le gouverneur a fixé un délai de 2 mois pour que les personnes ciblées se fassent vacciner, en sachant pertinemment que le Conseil d’État ne se prononcera pas dans un si bref délai.

Mais d’après Christian Navis(([2] Polynésie : vaccination « encouragée » qu’ils disent !))

« la vaccination pour tous pourrait ne pas être facile à mettre en œuvre, car pour vacciner les gens de force, en dehors des rares centres urbanisés, il va falloir aller les chercher dans les villages. Souvent par des pistes mal carrossées au milieu de la jungle, où les pneus crèvent tout seuls. Ou en passant par des lagons où l’on a arraché ou interverti par mégarde les balises de navigation. L’épave du croiseur Kersaint échoué sur le platier de Papetoaï à Moorea à la suite de fausses indications est là pour rappeler que “les bons sauvages qui chantent et qui dansent si bien” peuvent aussi jouer les naufrageurs quand on les emmerde trop. »

Appel de Polynésie contre la vaccination obligatoire

« Aidez-nous en Polynésie…

Je suis certaine que vos médias ne relayent pas l’info.

Notre situation est critique et nous qui résistons avons besoin de votre aide.

Quasi toute la population est en obligation vaccinale et confinée 1 mois. La loi est déjà passée.

On ne peut pas manifester contre cette loi d’obligation vaccinale, vu qu’on nous a confinés… avec interdiction de manifester…

L’amende est de 1 500 euros si on refuse le vaccin, et chaque fois qu’on sera contrôlé 😱

Et nous sommes les oubliés de la France.

Les Polynésiens, de façon générale, ne sont pas vraiment un peuple qui se rebelle et n’a pas l’habitude de manifester comme en France.

Et ça, Macron l’a vite capté… quand il était chez nous fin juillet. Avant son arrivée, tout allait bien. Depuis sa venue, c’est une vraie catastrophe sanitaire, économique, sociétale…

On est 280 000 habitants répartis sur 118 îles… pour que vous puissiez visualiser la situation.

Confinés, interdits de manifester… et pas de droit au chômage quand on perd notre travail… et pas de quoi payer leurs amendes ultra salées…

Les Français doivent nous aider et manifester pour nous, pour que notre situation se sache (car les Français sont tellement loin qu’ils ne savent pas ce qu’on est en train de vivre ici).

Si ça passe chez nous, ça viendra chez vous.

La Polynésie et la Nouvelle-Calédonie dont des tests. Même montant d’amende aux contrevenants chez eux. »

Ne les oublions pas dans nos manifestations à venir.


Mise à jour :

Antilles et Polynésie : même combat pour la liberté




Un nouveau « Peuple de Vaccinés »

[Source : francesoir.fr]

Auteur(s): Marilis Valo, pour FranceSoir

TRIBUNE – C’est Ernest Renan qui, le premier, a émis l’idée qu’une religion est à l’origine « une secte qui a largement réussi ».

Nous sommes maintenant nombreux à remarquer que nos élites affichent un comportement qui s’éloigne de plus en plus du rationnel, et qu’elles tiennent des propos qu’on accepterait plus facilement s’ils sortaient de la bouche de gourous de sectes. D’ailleurs, depuis peu, j’entends régulièrement s’exprimer tout haut l’idée que ce que M. Macron a nommée une « guerre », en est bien une, et non des moindres : une guerre de religions.

Il est de fait que les médias « mainstream » ont tendance à mettre systématiquement en relief le conflit plus ou moins larvé, opposant ceux qui professent une foi indéfectible dans le discours scientifique politiquement correct, et ceux qui remettent ce discours en question. Ceci, bien sûr, ne contribue pas à apaiser les esprits, car ces mêmes médias oublient de mentionner que la plupart de ceux qui expriment leurs doutes le font en termes mesurés et raisonnables, dans le but justement d’éviter d’entrer dans le jeu pervers de la dualité : « J’ai raison et ils ont tort ». Ces nouveaux « incroyants » sont couramment catalogués comme complotistes sans cervelle, « magma » qui ne connaît rien à la science, et plus récemment : personnes vulnérables sombrant dans des dérives sectaires.closevolume_off

En parallèle, que ce soit sur la toile ou dans le monde réel, j’entends maintenant des personnes de tous âges et de tous milieux exprimer leur malaise face à la violence avec laquelle nous est assenée la doctrine prêchée par nos « élites » scientifiques et politiques actuelles. Une doctrine que beaucoup osent désormais nommer sans ambage : la nouvelle religion mondiale. 

Du reste, nombre de fidèles de religions traditionnelles bien établies, se sentent moralement obligés de passer par un baptême d’un nouveau genre, celui de la vaccination, pour obéir aux injonctions de leur hiérarchie spirituelle. Ces croyants sincères pensent ainsi protéger leur prochain et se protéger eux-mêmes. Ils ne réalisent pas le risque qu’ils encourent de glisser insidieusement d’une foi pure en un Dieu qui leur demande de sauver leur âme, à une foi aveugle en une technologie dont d’aucuns prétendent qu’elle sauvera leur corps. Alors, nous sommes en droit de nous poser la question : assistons-nous à l’émergence de la nouvelle Église de l’immunité artificielle ? Une Église qui exigerait du croyant qu’il adore une substance créée par l’homme, en lieu et place d’adorer un Dieu ? Et qui demanderait au croyant de communier régulièrement avec ce produit tout droit sorti d’un laboratoire en le faisant pénétrer dans son corps, corps qui deviendrait alors le temple de la sainte Substance ?

Et la vie intérieure dans tout cela ? Eh bien, elle semble avoir totalement disparu de l’équation. Car, par définition, une religion vouée à la technologie ne peut s’intéresser qu’au corps, qu’à la forme extérieure et matérielle de notre être.

Reprenant et élargissant l’idée originale d’Ernest Renan, J.F Kahn l’a fait suivre par cette petite phrase : « On donne d’ailleurs le nom de secte à toute église non officielle qui concurrence les églises officielles » (Dictionnaire incorrect, éditions Plon).

Il se trouve que depuis quelques temps, les disciplines qui mettent en avant l’importance de la vie et de la progression intérieures, réfutant l’idée que seule compte la survie du corps, se voient qualifiées de sectes par les médias mainstream : à commencer par Le Monde dans un article du 22 août : « Complotisme, développement personnel : à quoi ressemblent les nouvelles sectes ? » Mieux encore, des disciplines millénaires comme le yoga et la méditation se voient accusées d’être le prélude à de dangereuses dérives complotistes et sectaires. Le Point n’y va pas par quatre chemins et affirme : « Jeûne, crudivorisme, méditation : ces nouvelles dérives sectaires » (avril 2021). Plus révélateur encore, cet article de l’Alsace du 24 août 2021 intitulé : « L’univers du yoga vulnérable aux théories complotistes » dans lequel on y lit que la Mission interministérielle de vigilance et de lutte contre les dérives sectaires (Miviludes) s’inquiète du fait que certains pratiquants de cette discipline expriment un net «scepticisme à l’égard de la médecine conventionnelle ». En d’autres termes, douter de la valeur de la médecine conventionnelle suffit à rendre un yogi suspect de complotisme et de sectarisme.

Quant à ceux qui protestent contre l’instauration du « passe » en invoquant une violation des droits de l’homme, ils ne sont pas épargnés : « Les renseignements inquiets des dérives sectaires des anti-passe sanitaire », nous apprend en août dernier RTL, qui déplore que « les thèses sur la dictature sanitaire mondiale (…) risquent de déboucher sur des phénomènes de sujétion psychologique ».

Cerise sur ce millefeuille de récriminations, le site gouvernemental vie-publique.fr nous assenait une brève étonnante datée du 3 mars dernier, que je ne peux résister à l’envie de citer dans son intégralité :

« Covid-19 : de nouvelles dérives sectaires en 2020

140 000 personnes touchées par des dérives sectaires. Entre thérapies “parallèles” et « défiance » à l’égard de la vaccination, ce phénomène constitue un point de vigilance majeur dans le contexte de la pandémie du Covid-19. C’est ce qui ressort en particulier d’un récent rapport sur les dérives sectaires. »

Pour toute personne ayant vécu l’enfer d’une véritable emprise sectaire, ces mots pourraient porter à rire – s’ils ne révélaient pas une intention sous-jacente : le culte voué à la toute-puissante substance qu’on inocule aux populations doit, « quoi qu’il en coûte », s’imposer dans nos vies, et quiconque doute du dogme officiel doit être stigmatisé, considéré comme un hérétique et traité comme tel.

Comme l’histoire des dictatures nous l’a souvent montré, un culte d’État a toujours besoin d’hérétiques, car sans eux, qui porterait le poids de la culpabilité ?

C’est curieux comme ceci me rappelle la déclaration faite par M. Véran le 26 août dernier : « Le doute [vis-à-vis du vaccin] aura tué et continue de tuer ».

Marilis Valo est écrivain.

Auteur(s): Marilis Valo, pour FranceSoir

[Voir aussi :
Virus, climat, Hongrie : la malignité perverse de la Secte au pouvoir
Confinement, propagande COVID et points de presse gouvernementaux : la recette parfaite du lavage de cerveau calquée sur les sectes
Les amateurs de confinement présentent les symptômes de l’appartenance à une secte
Les « brebis galeuses » répondent à la secte des Covidistes
Sur la toxicité de la Secte HA! : contribution à sa décantation
La Secte « en marche » joue son va-tout
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La religion de l’Antéchrist]




Buzyn convoquée devant la Cour de justice de la République concernant la gestion du Covid-19

[Source : RT en français]

[Photo : © Christophe Archambault Source: Reuters]

[NDLR : Buzyn va-t-elle être la victime expiatoire d’un pouvoir à l’agonie qui n’a plus que la vaccination obligatoire à proposer comme avenir aux français ?
Dans ce cas, la possible mise en examen de Buzyn pour « mise en danger de la vie d’autrui » tomberait à point nommé.]

L’ancienne ministre de la Santé, Agnès Buzyn, sera convoquée devant la Cour de justice de la République le 10 septembre au sujet de la gestion du Covid-19. Elle pourrait être mise en examen.

Agnès Buzyn, ministre de la Santé qui avait démissionné mi-février 2020 au début de l’épidémie de Covid-19, est convoquée le 10 septembre à la Cour de justice de la République (CJR) à Paris en vue d’une possible mise en examen, rapporte l’AFP le 9 septembre citant une source judiciaire, et confirmant une information du Monde.

Cette convocation à la CJR, seule juridiction habilitée à juger des ministres dans l’exercice de leur fonction, a lieu dans le cadre de l’enquête menée depuis juillet 2020 sur la manière dont le gouvernement a géré cette épidémie.

À l’issue de cette audition, Agnès Buzyn peut être mise en examen ou ressortir sous le statut plus favorable de témoin assisté si elle parvient à convaincre les juges qu’il n’existe pas suffisamment d’indices graves ou concordants pouvant être retenus contre elle. Contactée par l’AFP, l’ancienne ministre n’a pas répondu immédiatement.

Un risque de propagation du virus «pratiquement nul»

Elle avait quitté le gouvernement mi-février 2020 pour briguer, en vain, la mairie de Paris, et avait été remplacée par Olivier Véran. L’ex-ministre avait créé un tollé en qualifiant les élections municipales de «mascarade» et en déclarant qu’elle «savai[t] que la vague du tsunami était devant nous» au moment de son départ du ministère, à la mi-février.

Pourtant, en janvier, elle avait déclaré publiquement : «Le risque d’importation [du virus] depuis Wuhan est pratiquement nul», ajoutant que «les risques de propagation du coronavirus dans la population sont très faibles».

Devant la commission d’enquête de l’Assemblée nationale sur la gestion de la crise sanitaire, Agnès Buzyn avait indiqué fin juin 2020 avoir alerté l’Elysée et Matignon dès janvier de la même année sur le «danger» potentiel du coronavirus.

L’enquête avait été ouverte en juillet 2020 après que la commission des requêtes de la CJR, composée de hauts magistrats, avait estimé que neuf plaintes visant l’exécutif étaient recevables. Depuis, d’autres plaintes ont été jugées recevables et jointes à l’enquête.

La commission d’instruction de la CJR avait été saisie de la seule infraction «d’abstention de combattre un sinistre» mais, d’après Le Monde, Agnès Buzyn serait également convoquée le 10 septembre pour une possible mise en examen pour «mise en danger de la vie d’autrui». L’AFP n’a pu confirmer cette information auprès d’une source judiciaire.

Le 8 septembre, le procureur général près la Cour de cassation François Molins, qui représente l’accusation à la CJR, a déclaré que «14 500 plaintes» sur la gestion de la pandémie avaient été déposées à la CJR. Des juges d’instruction parisiens mènent en parallèle une enquête portant cette fois sur la gestion de cette crise par l’administration.

En savoir plus sur RT France : https://francais.rt.com/france/90440-buzyn-convoquee-devant-cour-justice-republique-concernant-gestion-covid-19




Vers une gouvernance médico-génocidaire mondiale planifiée ?

[Source : ripostelaique.com]

Par Philippe Rossi

Au niveau national

Depuis plus d’une décennie, nous avançons à marche forcée vers une gestion médico-vaccinale autoritaire de notre société dont le but n’est clairement plus la recherche de la santé et de l’intégrité physique des populations.

Ainsi, tous les représentants nationaux de la « santé » sous prétexte d’un dogmatisme pasteurien surfait voire mensonger, n’ont eu de cesse d’alourdir (légalement ?) la charge « vaccinale » obligatoire de la population : la fausse bonhomie de Bachelot (et son plan vaccinal avorté de 2009), l’autoritarisme de Touraine (avec son « la vaccination, ça ne se discute pas »), le cynisme de Buzyn (avec ses 11 vaccins obligatoires délétères pour l’immunité des enfants) et la tyrannie mafieuse de Véran (avec son interdiction persistante faite aux médecins de soigner et son chantage à l’emploi envers les soignants, jadis encensés).

Le piétinement de la vérité et l’utilisation du mensonge ont atteint le sommet de l’ignominie avec le gouvernement Macron : l’inutilité, l’utilité puis l’imposition des masques (criminelle pour les enfants et adolescents), les confinements, les couvre-feux, l’attestation de déplacement dérogatoire préparant le futur passeport « vaccinal » qui ne devait jamais se mettre en place mais quand même à l’œuvre aujourd’hui (grâce à Mr Breton, Fabius, Juppé… !), une vaccination non obligatoire promise mais quand même imposée avec la perspective de son extension à toute la population annoncée par Macron dans son discours brutal, ségrégationniste et psychotique du 12 juillet 2021 qui scelle ainsi la dislocation du contrat social dont le premier représentant de l’État est censé être le garant.

Après avoir neutralisé le débat démocratique, Macron, le représentant d’une gouvernance mondiale sanitaire autoritaire en marche veut, avec le soutien de médecins gavés de conflits d’intérêt, d’hommes politiques corrompus et/ou aveuglés et des médias menteurs, légaliser une « vaccination » perpétuelle criminelle tout en ignorant une bonne dizaine de textes nationaux et/ou internationaux protégeant l’intégrité physique des individus de l’abus de l’interventionnisme médical. Une obligation encouragée aujourd’hui par une bande de sénateurs socialo-félons !

Va-t-il être le fossoyeur terminal de la souveraineté nationale française et réussir à vendre définitivement la souveraineté corporelle de ses administrés aux puissances financières et pharmaceutiques au mépris de leur intégrité physique ?

Son agenda mondialiste avec l’appui de sociétés puissantes de gestion d’actifs comme Blackrock semble de plus en plus clair : refonte du paradigme économique au prétexte d’une crise sanitaire en vue de la mise en place du triptyque poursuivi depuis des décennies : asservissement, surveillance et dépopulation. Le problème du chômage et des retraites pourrait être ainsi réglé de manière radicale !

La firme pharmaceutique Pfizer qui engrange des bénéfices insensés et qui est aujourd’hui leader européen des injections expérimentales nocives, l’est-elle par hasard ?

D’une part, cette firme a réussi à vendre confortablement sa filiale nutrition infantile au groupe suisse Nestlé grâce à l’intervention de Macron de 2008 à 2011, travaillant pour le compte de la banque Rothschild.

https://www.swissinfo.ch/fre/election-pr%C3%A9sidentielle-fran%C3%A7aise_macron-le-banquier-de-nestl%C3%A9-%C3%A0-l-elys%C3%A9e/43153142

D’autre part et curieusement, n’était-elle pas prête à inonder le marché européen avec sa potion injectable dès novembre 2009, avant la déclaration officielle de la pseudo-pandémie ?

Pourquoi cette commande de 1 600 000 000 flacons à vaccins aussi spécifiques ?

Au plan international

Les objectifs de Bill Gates, premier investisseur de L’OMS qui oriente la politique sanitaire mondiale sont très clairs : vaccinations perpétuelles, identité numérique intra-corporelle, dépopulation !

https://www.gavi.org/fr/sante-mondiale-et-developpement/objectifs-de-developpement-durable

En juillet 2021, Gates, le pourvoyeur de vaccins, s’est associé au pourvoyeur de migrants, Soros, pour acquérir l’entreprise « Mologic » spécialiste britannique de la fabrication de tests de dépistage.

https://www.ft.com/content/6cec5334-265b-4de7-b176-9d854cce4d86

https://www.fr24news.com/fr/a/2021/07/bill-gates-et-george-soros-rejoignent-le-rachat-de-la-societe-britannique-de-tests-covid.html

https://thepressfree.com/soros-et-gates-soutiennent-le-rachat-du-groupe-britannique-de-technologie-de-diagnostic/

L’association de ces puissances financières privées diaboliques préfigure l’avenir chaotique médico-dictatorial et immigrationniste dans lequel nous sommes en train de plonger, si un sursaut vital et national n’a pas rapidement lieu.

Qui ? Pour arrêter cette marche inexorable vers l’abîme mondialiste, déculturé, décivilisé, transhumaniste, ségrégationniste, génocidaire…

Au vu des forces financières et économiques impliquées dans le processus mortifère en cours, seule une coalition de responsables politiques souverainistes pourra sortir notre pays de l’étau cauchemardesque mondialiste qui est en train de se refermer sur nos vies.

Les leaders des différentes forces souverainistes doivent impérativement oublier leur ego et proposer à la nation un projet de refonte nationale basé très clairement sur l’abandon de l’ignoble passeport ségrégationniste et l’inscription dans la constitution de l’absolue liberté vaccinale des individus afin de protéger leur intégrité physique du cannibalisme financier des firmes pharmaceutiques qui camouflent leurs vils intérêts commerciaux dans un discours et des pratiques faussement scientifiques.

Philippe Rossi




LE PROCÈS DU SIÈCLE

Par Diane Vincero

Le « procès du siècle s’ouvre actuellement en France concernant les 130 victimes tuées et les 400 blessés lors de l’attentat du Bataclan du 13 novembre 2015.

Près de 1800 parties civiles, 542 tomes de dossier.

La plus grande audience criminelle jamais organisée en France.

Un procès qui va durer 9 mois (jusqu’en mai 2022), filmé (exceptionnellement) pour des raisons historiques.

TOUTE LA PRESSE EN PARLE…

***

Cela n’est pas s’ans faire penser au procès du Médiator des laboratoires Servier qui a commencé en janvier 2020 et qui lui, concernait, excusez du peu… 500 à 2000 morts.

Ce procès s’est ouvert, excusez du peu là aussi, pour les chefs de :

  • tromperie sur : les qualités substantielles, la composition, l’aptitude à l’emploi du produit,
  • pour tromperie aggravée par la mise en danger de l’homme,
  • pour prise illégale d’intérêts, participation illégale d’un fonctionnaire dans une entreprise contrôlée,
  • escroquerie,
  • destruction de preuves,
  • trafic d’influence et
  • corruption.
  • Un autre volet enfin, concerne les homicides et les blessures involontaires

à l’égard de Servier, grand criminel bien français et qui a arrosé le monde entier avec deux médicaments de la honte.

En effet, Servier est à l’origine de la commercialisation du Médiator (Benfluorex) et de l’Isoméride (Dexfenfluramine), qui ont le même métabolite (la Norfenfluramine) et les mêmes effets secondaires graves : valvulopathies cardiaques et hypertension artérielle pulmonaire.

Déjà, on peut se demander pourquoi les dirigeants politiques et ceux de la SS ont accepté de rembourser le même médicament, aux mêmes indications et aux mêmes effets secondaires graves, sous deux appellations différentes ??

Le rapport d’expertise judiciaire sur le Mediator présenté par le parquet de Paris en avril 2013 conclut en effet que 220 à 300 morts à court terme sont imputables à une valvulopathie, et 1300 et 1800 à long terme. 

En 1995, le Médiator est interdit dans les préparations magistrales (les gélules réalisées à la demande dans les pharmacies) en raison de ses effets secondaires graves. Mais, ce n’est pourtant qu’en novembre 2009, qu’il est retiré totalement de la vente.

Pire encore, en septembre 1997, l’Agence du médicament a suspendu l’autorisation de mise sur le marché de l’Isoméride pour les mêmes effets secondaires graves que le Médiator.

Big pharma prenait déjà une belle place en 1995 et plus encore en 1997…

Qui a entendu parler de l’issu du procès du Médiator ? Le procès du Médiator s’est tenu dans un silence assourdissant…

Qui a entendu parler du scandale et d’un procès à large échelle de l’Isoméride ?

Et qui a entendu parler du scandale d’interdire l’Isoméride, tout en continuant à commercialiser le Médiator encore pendant 12 ans, TOUT EN SACHANT LES EFFETS MORTELS DE CETTE MOLÉCULE !!! 

Combien de patients, y compris de jeunes patients, ont été proposés à des transplantations CARDIO-PULMONAIRES (gravissime opération…) après avoir été traités par de l’Isoméride et n’ont évidemment pas survécu à une opération d’une telle ampleur….

Le nombre de victimes de l’Isoméride n’a jamais été révélé et est gardé sous silence…

Les victimes et les familles des victimes de ces deux médicaments de chez Servier (le Médiator et l’Isoméride), ont pu apprécier à quel point leur sort a laissé indifférents, les dirigeants de la SS, les dirigeants politiques et Servier… Elles n’ont jamais eu droit à La Justice…

En réalité, toutes proportions gardées, en termes de nombre d’homicides “involontaires”, mais aussi en termes de conflits d’intérêts (déjà à cette époque) entre Big pharma et les institutions nationales, etc. (cf. tous les chefs d’accusation ci-dessus), c’est bien le Médiator et l’Isoméride qui auraient dû avoir leur “procès du siècle”

LE VRAI PROCÈS DU SIÈCLE QUI N’A JAMAIS EU LIEU… 

Et tous les criminels concernés de courir toujours, y compris Servier dans sa tombe qui aura vécu impunément jusqu’à son dernier souffle… Et tous les politiques qui flirtaient (déjà à cette époque…) avec l’industrie pharmaceutique…

Il est vrai que 2020, début du procès du Médiator, n’était pas une année de campagne électorale… 

Il est vrai aussi qu’il faut impérativement détourner l’attention des peuples de ce qui est en train de se développer aujourd’hui contre eux par cette mascarade du covid…

En résumé, on pourrait déplorer que LE PROCÈS DU SIÈCLE sur les attentats du Bataclan constitue en réalité un sombre effet de prestidigitation, un procès d’envergure totalement disproportionnée et instrumentalisée pour faire croire que nos dirigeants prennent la vie du peuple en considération, pour faire campagne en vue des élections de 2022, pour cacher l’ampleur des dégâts orchestrés par cette pseudo-pandémie de covid… Indécrottables, ces dirigeants manipulateurs !

Étant donnée l’importance pharaonique qu’on donne au procès des attentats du Bataclan aujourd’hui, on peut imaginer l’ampleur (à l’échelle de l’Univers tout entier…) que devra prendre le Procès “covid” le moment venu.

En effet, le temps viendra du procès des grands lobbies pharmaceutiques du covid que sont Moderna, Pfizer, Astra Zeneca et Johnson and Johnson, mais aussi, celui de tous les dirigeants politiques concernés qui ont détruit et vont détruire la vie de millions de familles, en amenant à la mort certains de leurs membres, en en transformant d’autres en handicapés, en exerçant pendant plus d’un an et demi, un harcèlement de plus en plus violent sur les peuples, en les obligeant à porter en permanence des masques inutiles, en les emprisonnant chez eux par les confinements et les couvre-feux successifs, en les privant de loisirs (restaurants, cinéma, tourisme, etc.), puis en les obligeant à se faire vacciner par un moyen de coercition hors norme qui est la suspension de leurs contrats de travail, et pire encore, de leurs salaires, c’est-à-dire de leurs moyens essentiels de vivre, tout en chantant “qu’il faut que les centres commerciaux restent ouverts pour permettre l’achat de produits essentiels”, ou plus exactement pour que ces magasins continuent à s’enrichir sous le nez de leurs homologues plus petits qui coulent…

Ce procès sera :

LE PLUS GRAND PROCÈS DE L’HISTOIRE DE L’HUMANITÉ ! On peut espérer qu’il mettra fin à un système de corruption de grande ampleur qui s’est développé depuis des décennies…




Que pouvons-nous apprendre de l’Australie et de l’Afghanistan sur la tyrannie Covid ?

[Source : Le Saker Francophone]

Par Brandon Smith − Source alt-market

Les personnes despotiques ont tendance à télégraphier leurs actions futures tout comme les combattants inexpérimentés ont tendance à télégraphier leurs coups de poing ; ce n’est pas comme si les intentions des totalitaires étaient obscures ou difficiles à prévoir. Dans certains cas, ils peuvent même croire qu’ils peuvent être aussi transparents qu’ils le souhaitent, car ils supposent que personne ne tentera jamais de les arrêter. Ils détruisent des vies depuis si longtemps qu’ils adoptent un sentiment de supériorité, comme s’ils étaient intouchables.

Dans mon étude approfondie de la psychopathie, je constate que, malheureusement, le principal catalyseur de l’exploitation et de la victimisation de vastes populations est le fait que nombre d’entre elles ne parviennent pas à se faire à l’idée d’une conspiration organisée de monstres humains. Ils refusent de reconnaître l’existence du mal qui se trouve juste devant eux, ce qui permet au mal de rester sans opposition pendant de longues périodes. Il y a TOUJOURS un moment, cependant, où les psychopathes poussent les mauvaises personnes trop loin. Ils ne peuvent pas s’en empêcher, et c’est à ce moment-là qu’ils se retrouvent au bout d’un nœud coulant ou dans la ligne de mire du canon d’une arme.

Lorsqu’il s’agit d’organisations de psychopathes, le même moment finit par arriver, il faut simplement plus de temps pour que le public comprenne que c’est nécessaire.

En ce qui concerne l’agenda du « Grand Reset », la tyrannie médicale utilisant la Covid comme justification est clairement un ingrédient clé des objectifs futurs de l’élite du pouvoir. Au début des confinements pandémiques l’année dernière, j’ai fait plusieurs prédictions et émis des avertissements. J’ai dit que les obligations et les confinements pour la plupart des gens dans le monde ne disparaîtraient jamais, et j’ai appelé cela la « théorie des vagues » ; l’utilisation de moments intermittents de liberté limitée suivis de restrictions de plus en plus agressives.

Ce cycle est destiné à conditionner le public à l’idée que les gouvernements sont « autorisés » à microgérer notre vie quotidienne, que c’est « normal », que c’est pour notre bien et que nous devrions profiter des courts moments de liberté ou de normalité qu’ils nous laissent si gracieusement.

J’ai toujours prévenu que tous les gouvernements du monde finiraient par adopter des exigences en matière de preuve de vaccination pour que les gens puissent participer aux activités quotidiennes telles que se rendre dans des lieux publics, aller à l’école, faire des achats dans des magasins ou même trouver un emploi. L’année dernière, les médias grand public et les gouvernements n’ont cessé d’affirmer que les passeports vaccinaux « n’allaient pas exister » et que cette notion même était une théorie du complot. Aujourd’hui, les passeports vaccinaux sont mis en place dans de nombreux pays, y compris dans certaines régions des États-Unis, et toute personne qui s’y oppose est traitée de « théoricien de la conspiration ».

Vous voyez comment cela fonctionne ? Si vous exposez la vérité d’un complot autoritaire, l’establishment ment et vous traite de « théoricien du complot ». Une fois que l’establishment admet le complot et que vous refusez de vous y conformer, ces mêmes menteurs vous traitent de nouveau de théoricien du complot, ainsi que de « terroriste ».

Oui, cela a également été prédit par moi-même et d’autres au début de la pandémie. Nous avions dit que les personnes qui luttent contre la tyrannie du passeport vaccinal seraient rapidement qualifiées de traîtres et de terroristes « mettant les autres en danger » parce que nous sommes trop « égoïstes » pour nous incliner et prendre le vaccin expérimental ou nous soumettre aux confinements. C’est exactement ce qui s’est passé, le DHS ayant récemment annoncé que l’un des signes avant-coureurs d’un terroriste potentiel est l’opposition aux obligations Covid et aux vaccins.

J’ai également prédit que le but ultime de l’agenda Covid sera de créer des restrictions de voyage à l’intérieur du pays et des points de contrôle dans les États et les villes, sans parler des « camps » ou des prisons Covid pour les personnes non vaccinées. Aux États-Unis, le DHS admet qu’il envisage de limiter les déplacements entre les États et d’instaurer un système de « papiers s’il vous plaît » pour empêcher les Américains de se déplacer librement. L’État de New York a fait allusion à des camps Covid il y a plusieurs mois, mais le véritable plan est révélé à l’étranger, dans d’autres nations occidentales comme l’Australie et la Nouvelle-Zélande.

Et c’est ici que nous trouvons les coups de poing télégraphiés…

J’ai spécifiquement examiné les plans de tyrannie Covid accélérée de l’Australie et de la Nouvelle-Zélande il y a un an dans mon article « L’avenir totalitaire que les globalistes veulent pour le monde entier est en train d’être révélé«  et j’ai noté que tout ce qui se passe dans ces pays ainsi que dans certains pays d’Europe va être essayé aux États-Unis à court terme. La principale différence est que ces mesures ne peuvent pas être mises en œuvre rapidement de la même manière aux États-Unis, car les Américains sont lourdement armés et ont la capacité d’enterrer l’establishment six pieds sous terre si nous nous organisons pour le faire.

C’est pourquoi les passeports vaccinaux ne sont encore qu’une mesure progressive aux États-Unis et ne sont pas mis en place dans la grande majorité du pays. C’est pourquoi, en dehors des grandes villes, la plupart des Américains ignorent complètement les obligations et ce, depuis de nombreux mois.

Dans ma région, je ne pense pas avoir vu plus de deux personnes par jour porter un masque, où que ce soit. La vue du masque est si bizarre qu’il se remarque presque immédiatement. Une fois, j’ai même vu une femme avec un masque (une touriste évidente) dans la file d’attente de l’épicerie regarder autour d’elle et réaliser que personne d’autre n’en portait. Elle a soudain commencé à trouver des excuses bizarres et très bruyantes pour son masque devant tous les gens dans la file, affirmant qu’elle « déteste l’odeur des détergents » et que c’était pour cela qu’elle le portait.

La différence entre les zones rurales libres et les villes dystopiques est frappante.

Franchement, je me fiche que quelqu’un porte un masque ou non. C’est un placebo qui ne fait rien pour arrêter la transmission du virus, mais si cela les fait se sentir mieux, alors tant mieux pour eux. Le problème est que ces personnes effrayées et pathétiques essaient de projeter leurs illusions sur tout le monde. Le taux de mortalité médian de 0,26% pour la Covid est si faible que je n’arrive pas à croire que tant de personnes dans les états et comtés bleus en soient terrifiées. Je ne pense pas qu’ils comprennent les statistiques de base de la situation – 99,7% de la population a peu à craindre de la Covid.

C’est ce que disent les CDC et des dizaines d’études médicales indépendantes, mais vous n’entendrez jamais ces chiffres dans les médias. Ils parleront du nombre d’infections et de décès, mais ils refusent de mettre les décès en perspective avec les statistiques. Pourquoi ? Parce qu’alors la peur du public disparaîtrait, et l’establishment a besoin d’augmenter la peur pour pouvoir continuer à nous priver de nos libertés au nom de la « sécurité ».

J’ai entendu récemment un argument plutôt naïf selon lequel des pays comme la France font honte aux Américains parce qu’ils sont dans les rues pour protester contre les confinements et les passeports. Ils disent que les Américains « ne se défendront jamais ». Ce que ces gens ne comprennent pas, c’est que dans la plupart des États-Unis, il n’y a PAS de confinements et il n’y a pas d’obligations. Le gouvernement les déclare, bien sûr, et nous les ignorons. Il n’y a que des poches de gauchistes dans certains états et comtés qui suivent et appliquent réellement ces règles. La population conservatrice est tout à fait prête à stopper net cet agenda lorsque le gouvernement essaiera de le faire respecter, et elle essaiera certainement.

C’est ici que nous devons comprendre les développements horribles en Australie et en Nouvelle-Zélande : Les confinements sont maintenant normalisés dans ces pays et les gouvernements n’ont pas besoin d’une réelle excuse pour les justifier. Ils annoncent simplement qu’il y a une poignée de cas de Covid et que les confinements doivent revenir. Les voyages sont étranglés et les droits et libertés fondamentaux sont inexistants. Le dernier discours du Premier ministre néo-zélandais sur les restrictions en dit long :

Le message principal étant que l’interaction sociale est interdite. Il suffit de rester dans sa bulle et de suivre les obligations sans poser de questions. Et, même si vous êtes vacciné, ces règles s’appliquent toujours à vous. La beauté des restrictions Covid est qu’elles sont une excuse parfaite pour un gouvernement tyrannique pour bloquer les rassemblements publics, ce qui permet d’empêcher l’organisation de la résistance.

Les globalistes ont besoin que les confinements durent éternellement. En Australie et en Nouvelle-Zélande, on affirme que toute personne qui enfreint ces restrictions sera la cible de sanctions pouvant aller jusqu’à l’enfermement dans un camp Covid géré par l’armée. Ce sont les mêmes mesures que Biden et les globalistes de l’establishment voudraient pour les États-Unis. Ce n’est pas une théorie du complot, c’est la réalité du complot.

Cela m’amène à la situation en Afghanistan, et certains pourraient suggérer qu’elle n’a rien à voir avec la tyrannie Covid, mais suivez-moi. Encore une fois, il s’agit de prédire les événements futurs en fonction de coups de poing télégraphiés ainsi que d’exemples historiques.

La question que j’entends le plus souvent lorsqu’il s’agit de l’Afghanistan est « comment est-il possible pour un groupe d’hommes des cavernes tribales de vaincre l’armée la plus avancée du monde ». Je pense que cette énigme doit être explorée lorsqu’il s’agit de la tyrannie Covid, car si la puissance épique de l’armée américaine n’a pas suffi à retenir les Talibans, comment les globalistes prévoient-ils de faire respecter les confinements Covid en Amérique ?

Soyons d’abord clairs : nombreux sont ceux qui affirment que l’armée américaine n’avait pas le droit de gagner en Afghanistan. Il s’agit d’une déformation de la réalité. Le fait est que gagner a TOUJOURS été IMPOSSIBLE en Afghanistan. L’establishment le savait il y a 20 ans lorsqu’il a envoyé les premières troupes américaines. Ils n’avaient pas besoin de saboter la mission américaine en Afghanistan, car perdre en Afghanistan était de toute façon inévitable.

L’occupation d’une nation entière afin de réduire une insurrection importante et d’imposer un changement culturel est un effort qui doit être accompli rapidement ou pas du tout. Le coût financier est écrasant, le coût humain est stupéfiant et la quantité de ressources nécessaires pour maintenir la subjugation est exponentielle. En vérité, plus une occupation se prolonge sans l’élimination totale de l’insurrection, moins elle a de chances de réussir. Le problème est que, pour éliminer complètement l’insurrection, il faudrait anéantir la majeure partie de la population en utilisant des tactiques grotesques, qui ne font qu’inspirer davantage d’insurrection.

Je vais répéter le message ici car je pense que certaines personnes ne le comprennent pas : La conspiration visant à piéger les États-Unis dans l’échec a été achevée il y a 20 ans, au moment où nous nous sommes engagés dans l’invasion de l’Afghanistan. À partir de là, tout s’est dégradé et il n’y avait aucun moyen de gagner.

J’ai également entendu dire qu’il n’est pas pratique de comparer une insurrection afghane à une rébellion américaine contre la tyrannie parce que les Talibans sont composés de combattants dont les capacités sont bien supérieures à celles des patriotes américains. En d’autres termes, certaines personnes pensent que les talibans sont des sortes de super soldats. C’est une vision idiote. Je pense que la vidéo suivante illustre bien mon propos :

Ces soldats ne sont pas les plus brillants de la bande et ne sont pas non plus des berserkers inarrêtables. Leur entraînement est médiocre et la majorité des incidents de combat avec les talibans font état de leur habitude de ne même pas regarder le viseur de leur fusil lorsqu’ils tirent. Cela nous amène à une question logique concernant le goulag Covid que les globalistes veulent transplanter aux États-Unis : si les combattants à bas prix des talibans peuvent repousser la puissance militaire moderne des États-Unis, comment diable les globalistes comptent-ils contrôler une insurrection américaine composée de vétérans entraînés au combat et de tireurs civils expérimentés utilisant des tactiques de guérilla ?

Qui vont-ils charger de cette tâche ? Qui est assez stupide pour exiger des papiers, faire respecter les points de contrôle et arrêter ceux qui ne s’y conforment pas dans des régions majoritairement conservatrices où il y a plus d’armes que de personnes et assez de munitions pour combattre au moins deux guerres mondiales ? Je soupçonne que des mercenaires coûteux payés par des entreprises privées seraient la seule réponse en dehors des forces étrangères, et même dans ce cas, je ne voudrais pas être à leur place lorsque le géant endormi de la rébellion américaine se réveillera.

Je suppose que la leçon que je tire de ces exemples est que les globalistes vont essayer d’appliquer l’agenda Covid et la tyrannie du passeport quoi qu’il arrive. Ils ne peuvent pas arrêter le processus qu’ils ont mis en marche. Les événements en Australie et en Nouvelle-Zélande montrent que leur addiction au totalitarisme est insatiable et qu’elle exige qu’ils poursuivent un contrôle croissant quel qu’en soit le coût. Ils nous disent exactement ce qu’ils sont sur le point de faire.

Les événements en Afghanistan montrent qu’un tel contrôle est presque impossible à maintenir sur une population armée et que, du moins aux États-Unis, ils finiront par perdre… gravement. Même s’ils utilisent des tactiques de terreur absolue, ils perdront toujours tant que les Américains continueront à se battre. Les lois de l’usure prévalent toujours, et la supériorité technologique ne signifie rien. Pour résumer, le combat est déjà gagné, mais la lutte ne fait que commencer.

Brandon Smith

Traduit par Hervé pour le Saker Francophone




Coup de tonnerre au Canada : les covidistes en dépression !

[Source : FLORIAN PHILIPPOT]




Le meurtre en temps réel de la démocratie

Par Lucien-Samir Oulahbib

Les élites globalistes affairistes formant la Secte Scientiste-hygiéniste assassinent sous nos yeux (guère étonnés) l’approche universelle dite « progressiste » (mélioratif) au profit des monstruosités écologistes léninistes et islamiques.

Ainsi, au lieu de considérer que les droits humains — comme la liberté de penser et d’entreprendre, l’égalité hommes/femmes, la fraternité de tous contre toutes les formes d’injustice — sont des acquis qui améliorent la condition humaine et deviennent donc les pierres angulaires (des rhombes) de la civilisation humaniste dont la Hollande, la France la Grande-Bretagne les États-Unis ont été (et sont encore) les fleurons (bien plus que l’Allemagne et la Russie, du moins sur ce point précis), les monstres fabriqués par cette Secte de zombies aux yeux froids (sans âme) ont abandonné tout lien spirituel à l’islam et tout lien écologique aux néo-léninistes (à l’instar d’Heidegger, Sartre, Lefebvre, Lévy-Strauss, Althusser qui abandonnent l’analyse sociale historique du phénomène humain au marxisme-léninisme).

Ce ne sont pas des considérations hors sol.

Lorsque par exemple aujourd’hui une experte en relations internationales spécialisée sur l’Asie du Sud-Est (en l’occurrence l’analyse de l’ingérence du Pakistan en Afghanistan, Christine Fair) est censurée par la BBC parce qu’elle souligne comment les Talibans ont été et sont encore soutenus par la fraction de la Secte régissant le Pakistan, cela démontre seulement le poids grandissant de cette dernière dans tous les domaines, que l’on peut alors énumérer comme suit (il faudra bien sûr établir aussi un « profil » propre à chaque monstre comme indiqué précédemment) :

  • Ce n’est pas un hasard que Biden ait, bien plus à la suite d’Obama que de Trump, abandonné l’Afghanistan, toutes affaires cessantes, car pour lui et la Secte qui s’en sert de prothèse politique, les Talibans — en tant que secte clanique autoproclamée — leur ressemblent à tout point de vue, au-delà des apparences divergentes, tant le désir d’absolutisme frénétique (et jouissif) de domination brutale des plus forts sur les plus faibles prévaut, mais voilé, caché, masqué par toute une apparence ouatée, toute une moquette symbolique feutrée où l’on tue avec le sourire et un petit mot d’excuse professionnelle : « rien de personnel ». L’apparente volonté de détruire l’égalité hommes/femmes en la noyant dans la fusion des « genres », la lutte pour accroître le droit à l’avortement à neuf mois pour effacer les apports au niveau psychique de la différence père/mère (ladite méthode Ropa), toutes ces dérives barbares (au sens de sortir de l’idée même de civilisation) masquent en réalité le désir absolu de promouvoir peu à peu et en toute transparence ce qui en creux structure par exemple désormais la sexualité des élites qu’elles cherchent de plus en plus à déployer partout, à savoir le sadomasochisme, l’onanisme/voyeurisme, l’orgie généralisée (La familia grande) avec en point d’orgue la pédocriminalité. Aussi, la volonté opiniâtre actuelle de masquer littéralement les populations et de les purifier par l’onction d’injection dite « vaccinale » (qui rime avec « vaginale ») dévoile ce sadomasochisme bien plus matriarcal que patriarcal pensé désormais à voix haute et élargi au domaine politique comme l’espéraient les Foucault (apologie de Sade) et Deleuze (apologie de Masoch) malgré les réticences d’un Habermas et de quelques élèves d’Aron (atones).
  •  Le fait par exemple que tous les grands médias mondiaux fassent l’apologie d’un islam considéré comme ontologiquement supérieur à tout ce que les civilisations gréco-judéo-chrétiennes, mais aussi bouddhistes et taoïstes ont créé comme armature symbolique puissante expriment bien qu’en creux soit fanatiquement désiré le Retour intégral de l’inégalité fondamentale entre initiés et non-initiés qui structure également la société islamique depuis le début, le tout teinté d’orientalisme sensualiste et de ses « mille et une nuits » (alors que la plupart d’entre elles font partie de la Perse préislamique victorieuse des Assyriens, des Égyptiens et des Grecs).
  • Même Zemmour admet en creux cettedite supériorité civilisationnelle en avouant sa peur d’une « République islamique » installée en France, alors que cette appréhension reste infondée tant la « quantité ne fait pas la qualité » (erreur de lecture de Hegel faite par Engels et que reprend Zemmour) puisqu’il ne suffit pas d’agiter des ingrédients chimiques dans une fiole pour fabriquer une cellule vivante, alors que la civilisation issue de la pensée grecque et judéo-chrétienne vivifiée par le droit romain et l’esprit scientifique issue de la Renaissance, le tout nourri enrichi par la découverte (conflictuelle) avec d’autres civilisations, permet aujourd’hui, et a contrario, que tous les humains — y compris ceux encore sous influence islamique — s’aperçoivent de plus en plus de sa supériorité objective.
  • En effet, cette civilisation multiforme améliorant le lien interactif entre humanité et citoyenneté singulière s’avère bien plus nécessaire pour leur morphologie personnelle que la civilisation islamique qui perdure uniquement encore parce que d’une part le pétrole reste un élément essentiel de la production chimique et énergétique industrielle et parce que d’autre part les élites affairistes globalistes corrompues en ont besoin pour maintenir sous le joug tyrannique des populations entières (qui cependant tentent de fuir cette destruction de fait de tout espoir mélioratif).
  • La construction de mosquées en Europe par exemple en est l’un des indices majeurs en vue de maintenir, de geler, de cristalliser en une même forme transmissible ce sadomasochisme politique qui fait tant fantasmer des élites en fin de course et qui fabriquent désormais leur population en portions de viandes pornos que l’on injecte comme on le fait pour la viande animale avant abattoir.
  • La prolifération des mensonges en matière écologique en devient le pompon et la suite programmée de la syndémie actuelle tant la diabolisation du CO2 (essentiel pour les plantes et donc la reforestation) est devenue le symptôme d’une confusion totale entre la nécessité de lutter contre le gaspillage, la démesure des mégalopoles, la globalisation forcenée, la médicalisation quantitative de la santé et ce désir-là, aussi absolutiste, d’empêcher les humains de choisir leur moyen de locomotion et de santé.
  • Le scientisme généralisé que les faux écologistes soutiennent (ne parlons pas des néo-léninistes et des islamiques bien sûr) est lui aussi le syndrome d’un mal encore plus profond : celui du refus de concevoir que l’esprit scientifique n’est pas l’opposé du sens commun, mais ce qui lui permet de s’améliorer.

Mais ces assassins sont aussi des collectionneurs : ils adorent insérer dans d’énormes bocaux les civilisations qu’ils embaument sous formol, ou alors les maintenir sous serre(s), les cultiver, ainsi telles des variétés plastiques, de maintenir sous respirateur artificiel des formes spirituelles et politiques pétrifiées, autant de nouvelles cités Pompéi.




Appel à la grève illimitée des professionnels de la santé du secteur privé

[Source : Syndicat Liberté Santé (syndicat-liberte-sante.com)]

Appel à la grève illimitée des professionnels de la santé du secteur privé

Dès le 15 septembre 2021

Le 12 Juillet 2021, Emmanuel Macron, trahissant ses promesses, engageait les institutions législatives en annonçant une «obligation vaccinale» pour les soignants, et en étendant le passe sanitaire pour les actions du quotidien.

La loi du 5 Août 2021, incluant tous les professionnels de la santé, et ratifiée par les deux assemblées en marche forcée, sur la base d’éléments scientifiques douteux, est venue confirmer le délitement de la séparation des pouvoirs exécutifs et législatifs.

Nous soignants, et acteurs des soins, rassemblés dans le Syndicat Liberté Santé (SLS), rappelons qu’aucun individu, pas même le Président de la République, aucun groupe d’individus, serait-ce l’Etat, ne peut disposer du corps d’autrui.

Nous rappelons avec la Loi Kouchner de 2002, que le patient doit avoir un consentement libre et éclairé des actes et traitements qui lui sont proposés.

Nous rappelons qu’il est de notre devoir de n’exercer aucune pression, ni aucune discrimination à l’égard des personnes vulnérables que nous accompagnons.

Nous nous opposons à cette entreprise d’intimidation, qui vise à forcer les consciences et violer les corps.

Le SLS appelle à la grève l’ensemble des professionnels de la santé libéraux et salariés du secteur privé

Du fait de la jeunesse du SLS, nous ne sommes pas en mesure d’appeler à la grève le secteur public, nous exhortons les syndicats historiques à nous rejoindre dans cette lutte, pour ne pas laisser les salariés du secteur public dans l’impossibilité de défendre leurs droits fondamentaux.

Partout en France, les soignants défendent le droit de disposer de leur corps.

Face à cette réalité, de nombreux établissements envisagent de retarder l’obligation vaccinale.

Nous ne nous satisferons pas de demi-reculade ou de délais supplémentaires.

Nous sommes chaque jour plus nombreux et déterminés jusqu’à l’obtention du retrait
de l’obligation vaccinale des professionnels de la santé

ET

du retrait de l’obligation de présentation d’un passe
pour l’ensemble des services et établissements de santé, sociaux et médico-sociaux.

Syndicat-Liberte-Sante.com




Un hôpital démystifie la « fausse » histoire d’empoisonnement à l’ivermectine de Rolling Stone : « Tout était inventé »

[Source : anguillesousroche.com]

Un hôpital a complètement démenti le magazine d’extrême gauche Rolling Stone qui avait publié un article viral à succès sur le médicament antiparasitaire Ivermectine.

Le magazine a publié vendredi un article intitulé « Gunshot Victims Left Waiting as Horse Dewormer Overdoses Overwhelm Oklahoma Hospitals, Doctor Says«  (Selon un médecin, les victimes de blessures par balle sont laissées en attente alors que les hôpitaux de l’Oklahoma sont submergés par des overdoses de vermifuge pour chevaux), suite aux informations selon lesquelles Joe Rogan aurait pris ce médicament dans le cadre de son traitement Covid.

Dans l’article, une personne se faisant appeler « Dr Jason Elyea » a déclaré aux médias locaux que les salles d’urgence de son hôpital de l’Oklahoma étaient surchargées en raison d’un afflux considérable de patients qui auraient fait une overdose d’Ivermectine pour traiter leurs symptômes de Covid.

Le problème est que ce prétendu médecin a tout inventé.

La branche Sequoyah du Northeastern Health System, qui fait l’objet de l’article de Rolling Stone, a publié une déclaration sur son site Web affirmant que le Dr Elyea ne travaille pas à l’hôpital et qu’il n’a traité aucun patient depuis des mois.

Mais il y a pire…

L’hôpital a également déclaré qu’il n’a pas traité un seul patient pour une surdose d’Ivermectine.

« Bien que le Dr Jason McElyea ne soit pas un employé du NHS Sequoyah, il est affilié à un groupe de personnel médical qui assure la couverture de notre salle d’urgence. Cela dit, le Dr McElyea n’a pas travaillé dans nos locaux de Sallisaw depuis plus de deux mois », peut-on lire dans le communiqué du NHS.

NHS Sequoya a également réfuté l’affirmation d’Elyea selon laquelle son hôpital était submergé de patients ayant fait une overdose d’ivermectine et n’avait refusé aucun patient en conséquence.

« NHS Sequoyah n’a traité aucun patient en raison de complications liées à la prise d’Ivermectine. Cela inclut le fait de ne traiter aucun patient pour une surdose d’Ivermectine.

Tous les patients qui se sont rendus dans notre salle d’urgence ont reçu les soins médicaux appropriés. Notre hôpital n’a pas eu à refuser de patients cherchant des soins d’urgence. »

Voilà, c’est ça – des fake news.

Pourquoi des publications comme Rolling Stone et Newsweek publient-elles ces histoires de canulars sur les traitements alternatifs du COVID comme l’Ivermectine ?

Probablement pour la même raison que les CDC considèrent comme « non vaccinés » tous ceux qui meurent dans les deux semaines qui suivent l’injection d’ARNm : pour créer un récit qui contraint les gens à recevoir le vaccin expérimental.

Pour quelle autre raison les CDC fourniraient-ils de l’Ivermectine aux migrants afghans entrants mais ne la recommanderait pas aux citoyens américains ?




Opération « Rubans blancs ». Protégeons les enfants et les jeunes !

Par Christine côte

Voici une action pacifique, visible et durable. Ainsi les parents et grands-parents protecteurs ne se sentiront plus impuissants et isolés.

Elle est pour la France, mais il serait bien de la répandre également en Suisse romande, au Québec, en Belgique, au Luxembourg, ensuite elle passera toutes les frontières.

Opération « Rubans blancs »
Protégeons les enfants et les jeunes !

Bonjour à tous,   Depuis quelques jours, de nombreux citoyens ont lancé localement une initiative « Rubans blancs » : des milliers de parents, grands-parents, citoyens arborent chaque jour un ruban blanc pour exprimer leur opposition à la pression sanitaire et vaccinale exercée en milieu scolaire. Enfance et Libertés s’associe à cette initiative et appelle tous les citoyens à y participer. Tous les détails sont accessibles ci-dessous: contexte, indications, tracts, visuel, etc.

Accès Opération « Rubans blancs »




Un médecin qui ne se fera pas vacciner

[Source : benoit-et-moi.fr]

Une interview d’AM Valli. Les très convaincantes explications d’un médecin immunologue italien qui, depuis l’obligation faite au personnel médical de son pays de se faire vacciner a décidé de s’exiler… en Suisse. Par ailleurs nullement « novax », il donne toutes les raisons, parfaitement argumentées, cette fois, de refuser le vaccin anticovid. À lire absolument.

Voilà pourquoi moi, médecin immunologiste, je suis contre la vaccination généralisée et je conteste toute la stratégie anti-Covid

Je m’appelle S. R., j’ai 61 ans, je suis diplômé en médecine et en chirurgie à La Sapienza à Rome, et je suis spécialiste en médecine interne et en allergologie et immunologie cliniques.

J’ai passé la majeure partie de ma carrière dans les hôpitaux de Milan (Niguarda, San Raffaele, Sacco) et de Lugano.
Depuis une dizaine d’années, je travaille en tant qu’indépendant et je collabore avec plusieurs centres médicaux du nord de l’Italie.

J’ai également travaillé en France, en Allemagne et aux États-Unis. Jusqu’à l’été dernier, je me rendais également à Olbia environ une fois par mois. Depuis juin, date à laquelle la loi DL44 sur la vaccination obligatoire du personnel de santé est entrée en vigueur, je travaille en permanence à Lugano.

Pourquoi refusez-vous la vaccination ?

Tout d’abord, je tiens à souligner que, comme tout médecin, je suis absolument favorable à la vaccination, une pratique clinique qui a vu le jour il y a plus de mille ans en Extrême-Orient et qui a évolué depuis pour devenir probablement l’étape la plus importante de l’histoire de la médecine.

Si vous me demandez pourquoi je rejette cette vaccination, les raisons sont différentes.

D’un point de vue clinique, il est écrit dans tous les manuels universitaires de microbiologie (y compris Fauci !) et de maladies infectieuses qu’on ne vaccine jamais pendant une épidémie, en raison du risque très élevé de créer des mutations virales (les fameux variants) qui, bien que toujours aléatoires, sont en fait hyper-adaptatifs et permettent au virus lui-même de survivre et de se répliquer malgré le vaccin.

Ce phénomène est appelé résistance aux vaccins, qui a également été largement décrit dans les traités.
En outre, il est absurde de vacciner contre un virus extrêmement changeant tel qu’un coronavirus, à moins de disposer d’un vaccin qui soit progressivement mis à jour afin d’être toujours compétitif par rapport à l’évolution de l’agent infectieux : à la place, nous disposons de vaccins qui ont quasiment de deux ans « plus vieux » que le virus actuel, ce qui explique la résurgence de l’infection dans les pays où le pourcentage de vaccination est élevé, comme le Royaume-Uni, l’Islande et Israël.

Dans un premier temps, on a tenté de justifier ce phénomène par l’inefficacité du vaccin, et je me réfère spécifiquement à ce qui s’est passé au Chili avec le Sinovac chinois, et ensuite le Chili s’est doté du Pfizer et de l’Astra Zeneca.

Résultat : des unités de soins intensifs presque saturées et plus de décès qu’avant la vaccination. À San Francisco, ils ont fermé deux hôpitaux parce que le personnel était tombé malade alors qu’il avait été entièrement vacciné par Pfizer, et dans certains hôpitaux du Massachusetts, ils ont fait de même avec Moderna.
Un autre aspect concerne les phases d’essai. En général, un médicament (mais aussi un vaccin) doit passer par plusieurs phases d’étude :

  1. la phase préclinique sur les animaux, qui sert essentiellement à établir la toxicité éventuelle de la molécule sur un organisme vivant complexe, puis certains paramètres pharmacocinétiques : voie d’administration privilégiée, absorption, distribution, métabolisme et élimination ;
  2. la phase 1, c’est-à-dire sur des volontaires sains, qui permet de s’assurer que les résultats obtenus chez l’animal sont confirmés chez l’homme ;
  3. la phase 2, celle des volontaires « malades », qui sert à vérifier l’efficacité thérapeutique du médicament, ou l’efficacité préventive du vaccin chez les sujets exposés à la contagion ;
  4. la phase 3, la plus importante. Ici, les études sont multicentriques, c’est-à-dire réalisées dans différents hôpitaux, et doivent être en double aveugle et contrôlées par placebo. Dans cette phase, il est obligatoire d’obtenir le consentement éclairé, car le patient doit savoir qu’il est soumis à un essai clinique et qu’il peut donc recevoir soit le médicament actif, soit le placebo, sans que ni lui ni son médecin ne le sachent (c’est la signification du double aveugle). La phase 3 doit durer de 3 à 5 ans (et il se trouve que les vaccins contre le SARSCoV-2 sont testés jusqu’en décembre 2023 !)
  5. La phase 4, ou pharmacovigilance, qui est la phase à laquelle sont soumis les médicaments une fois qu’ils sont mis sur le marché. La pharmacovigilance (ou surveillance) peut être active ou passive : elle est active lorsque le médecin visite périodiquement le patient qui a reçu le médicament et signale tout effet indésirable ; elle est passive lorsque le patient signale un événement indésirable au médecin, qui doit le signaler aux autorités sanitaires qui doivent en prendre note.

On estime que les événements indésirables signalés dans le cadre de la surveillance active sont 100 fois plus nombreux que ceux signalés dans le cadre de la surveillance passive. Ces vaccins font uniquement et exclusivement l’objet d’une surveillance passive et, d’après l’expérience directe, presque aucun des effets indésirables signalés par les patients n’est signalé ! Enfin, les effets à long terme : c’est là que réside la question la plus critique.

Nous (et Pfizer, Moderna, Astra Zeneca) ne savons absolument rien de ce que le vaccin pourrait provoquer dans un, deux, cinq ou dix ans. En effet, pour qu’une étude clinique soit fiable, deux critères fondamentaux doivent être respectés : la taille de l’échantillon et la durée d’observation. Une étude portant sur cinquante millions de personnes pendant un mois ne peut que nous dire que le médicament est sûr dans les situations aiguës, tandis qu’une étude sur une personne suivie pendant vingt ans ne nous donne aucune information car tout peut être ramené à des variables individuelles.

Dans le cas de ces vaccins, le nombre de sujets ne dépasse pas 70 000 (contre 2,5 milliards de vaccinations effectuées !), et la période d’observation à ce jour ne dépasse pas un an. Je rappelle que des médicaments utilisés depuis plus de quarante ans comme antiulcéreux (ranitidine, cimétidine) ont été suspendus du marché car on a découvert en 2018 qu’ils avaient un composant potentiellement cancérigène !

Je voudrais ajouter un peu de mon expérience clinique : j’ai toujours vacciné les femmes avec la moitié de la dose recommandée pour les hommes, et ce parce que les femmes ont un système immunitaire beaucoup plus efficace, qui a malheureusement parfois tendance à exagérer, provoquant des maladies auto-immunes. Et en donnant une demi-dose de vaccin, j’obtenais un titre d’anticorps qui se superposait à celui des hommes.

Avec ces vaccins anti-Covid (et non anti-SarsCoV2), la même dose est donnée à tous, aucune distinction n’est faite en fonction de l’âge, du poids ou du sexe, et pourtant il suffit d’avoir étudié un peu d’immunologie !

D’un point de vue extra-clinique, outre la ridicule camionnette Algida qui a transporté le vaccin de Bruxelles à Rome, ce qui me dérange le plus, ce sont les obligations de vaccination pour certaines catégories de travailleurs, l’Italie étant le seul pays d’Europe (et peut-être à partir de septembre la France), en violation ouverte d’une douzaine de traités internationaux, depuis Nuremberg, qui interdisent drastiquement l’expérimentation médicale forcée sur les humains, et de certaines résolutions du Conseil de l’Europe, en particulier la 2361/2021.

L’obligation indirecte, avec le fameux Green pass, de vacciner les enfants, une population pratiquement immunisée contre le Covid, est consternante et va à l’encontre de toute logique, du bon sens et de l’éthique médicale, car le rapport risque-bénéfice doit toujours être évalué.

Enfin, trop de clauses de non-responsabilité pour les entreprises pharmaceutiques, de boucliers pénaux pour les vaccinateurs et, surtout, une véritable extorsion, ou plutôt double extorsion, de l’État à l’encontre de certains citoyens, comme les agents de santé : si vous ne vaccinez pas, vous perdez votre emploi (première extorsion), mais pour faire vacciner, vous êtes contraint de signer un consentement éclairé (deuxième extorsion) qui est par définition et par le droit international libre. Ensuite, ils n’ont même pas réussi à bien l’écrire, la loi :  » Mesures de prévention de la contagion du SarsCoV2 « , est rapportée dans le Journal Officiel, alors qu’aucun des vaccins disponibles n’a cette indication. En pratique, si l’on devait prendre au pied de la lettre à la fois la loi et la fiche technique du vaccin, il ne serait pas possible de respecter la loi. Aberrant.

Le récent décret gouvernemental prévoit la suspension du travail et une réduction de salaire pour ceux qui refusent la prophylaxie. Qu’allez-vous faire ? Allez-vous rentrer dans le rang? Allez-vous faire un procès ?

Immédiatement après l’adoption de la loi DL44 sur la vaccination obligatoire des travailleurs de la santé, je suis retourné à Lugano et j’ai dit à la direction que mon refus de vacciner me vaudrait probablement d’être suspendu de mon association médicale.

Ils ont lu la loi, m’ont presque ri au nez, m’ont tapé dans le dos et m’ont délivré une licence de deux ans (renouvelable), et je peux exercer sans problème dans toute la Suisse.

Et si jamais mon ordre des médecins me sanctionne ou me suspend pour cette raison (qui n’implique aucune violation du code de déontologie), les Suisses sont prêts à traîner devant les tribunaux internationaux non seulement mon ordre des médecins mais aussi toute la FNOMCEO italienne (Fédération nationale des ordres des médecins, chirurgiens et dentistes), véritable bras armé de cette dérive sanitaire.

Et ils ne plaisantent pas, et ils ne sont certainement pas aussi lents que le système judiciaire italien.
Quand ce cauchemar sera terminé, si j’en ai envie, je retournerai en Italie. D’un point de vue juridique, comme de nombreux autres médecins, nous sommes représentés par un pool d’avocats qui ont déposé des plaintes auprès de diverses autorités nationales et internationales.

Combien de personnes pensent comme vous ?

Nous sommes nombreux, plus nombreux qu’on le pense, même si cela me fait mal de voir que trop de médecins ont cédé.

Je vous dirai que les infirmières et les travailleurs sociaux sont beaucoup plus déterminés !

Prévoyez-vous des dangers pour ceux qui ont été vaccinés ? Y aura-t-il, comme le prétendent certains opposants, des modifications du code génétique ?

Je ne peux pas me prononcer sur les éventuels dangers à long terme pour les sujets vaccinés, car, comme je l’ai déjà dit, le temps ne suffit pas pour faire des évaluations objectives.

Ce qui est certain, c’est que si, par hypothèse, dans cinq ans, on observait une augmentation significative des maladies auto-immunes ou de la stérilité chez les sujets vaccinés par rapport aux non-vaccinés, alors la donne changerait…
Je ne pense pas que l’ARNm contenu dans Pfizer et Moderna soit capable de modifier notre ADN, qui possède des dispositifs de protection très efficaces. Il est également vrai qu’en médecine, de nombreuses choses considérées comme impossibles par le passé sont devenues improbables, puis probables, puis possibles et enfin certaines…

Pensez-vous que les données sur la pandémie, telles qu’elles nous ont été communiquées, contiennent des inexactitudes, voire des falsifications ? Par exemple : tous ceux qui sont morts du Covid ne sont pas réellement morts du virus ?

Pour faire court, il ne s’agit pas ici d’inexactitudes mais de falsifications pures et simples, des falsifications planifiées et coordonnées à plusieurs niveaux, notamment celui des médias. Des falsifications qui partent des prélèvements PCR (avec des cycles de multiplication qui en Italie ont atteint 51 alors que le maximum acceptable était de 24, d’où 60% de faux positifs) pour arriver au fameux et ridicule indice Rt jusqu’aux hospitalisations et aux décès : en pratique, toute la filière Covid.

De nombreux décès dans les hospices, où sont admis les patients en phase terminale, ont été attribués au Covid, nous avons environ cinq mille décès de moins par cancer du poumon en 2019 parce qu’ils ont été attribués au Covid, et de nombreux autres exemples. Enfin, deux expériences personnelles : une de mes connaissances a secouru une dame âgée qui a fait un arrêt cardiaque alors qu’elle promenait son petit chien et a été transportée à l’hôpital où elle est décédée. Morte du Covid ! Un collègue de la région des Marches, accompagné d’un ami, est tombé malade lors d’une sortie de pêche sous-marine et s’est noyé. Ils l’ont trouvé deux jours plus tard, positif au prélèvement, mort de Covid, bien sûr.

Si ce n’était pas dramatique, ce serait ridicule.

Niez-vous le virus, ou du moins son danger ? Et croyez-vous à la « dictaturesanitaire » ? Et si oui, pensez-vous que nous devrions nous rebeller ?

Non, je ne nie pas du tout le virus, qui est un simple coronavirus qui, dans 80 % des cas, provoque des rhumes, mais qui, parfois, se met en colère et provoque des maladies graves comme le SRAS et le MERS, et je ne nie pas que le Covid (bien qu’en termes absolus beaucoup moins mortel que le SRAS et le MERS) ait fait de nombreuses victimes.
Cependant, si l’on se rend sur le site de l’Institut supérieur de la santé (pas vraiment anti-gouvernemental !), on constate que l’âge moyen des décès dus au Covid est de 80 ans, et que 67% d’entre eux avaient trois maladies chroniques préexistantes ou plus. Je vous rappelle que l’espérance de vie moyenne en Italie est de 81 ans…
Je ne sais pas si le terme de « dictature sanitaire » est approprié, mais il est certain qu’à cause du ou grâce au covid, la liberté des gens a été sévèrement restreinte à tous égards.

Le covid a certainement servi à faire passer pour normales des choses grotesques, comme les bancs à roulettes, les masques chinois ou les primevères pour les vaccinations, ou un général bardé de médailles qui dit à la milanaise ghe pensi mi [j’y pense] parce que les autres ne savent rien faire, alors que dans le service public de santé il y a des cadres extrêmement compétents mais complètement marginalisés.

Je ne pense pas qu’il y ait la moindre possibilité de rébellion en Italie, car tout l’appareil politico-bureaucratique l’empêche. Et ceux qui devraient défendre les droits constitutionnels du citoyen, des tribunaux à la police (qui, je vous le rappelle, a juré fidélité à la nation et non à un gouvernement, et est tenue d’ignorer tout ordre qui va à l’encontre des intérêts du peuple italien) jusqu’au plus haut garant de la Constitution ne font absolument rien. J’espère donc une intervention supranationale, européenne, qui s’est déjà exprimée mais que le Parlement italien ignore lâchement.
En ce qui me concerne, le service juridique de l’hôpital de Lugano est prêt à attaquer mon ordre des médecins en justice, sans perdre de temps. Et mon association médicale, en la personne de celui qui signera éventuellement toute mesure disciplinaire à mon encontre, sait très bien qu’elle sera mise en pièces. Et l’efficacité et la détermination suisses me rassurent plus que toute initiative italienne.

Vous avez également étudié et travaillé à l’étranger. Pensez-vous qu’il existe des différences dans la gestion de l’épidémie entre les autres pays et le nôtre ?

Il y a certainement de grandes différences. Tout d’abord, en ce qui concerne le nombre de victimes : en Allemagne, il est beaucoup plus faible qu’en Italie, car pour que le Covid soit considéré comme cause du décès, il doit être absolument déterminant. En d’autres termes, une personne en bonne santé qui tombe malade du Covid et meurt, est morte du Covid. Et même un diabétique qui tombe malade avec le Covid et meurt, est mort du Covid.

En Italie, ils ont compté tout le monde, sans distinction, même les personnes en phase terminale d’autres causes, qui seraient mortes d’une simple indigestion. Je me souviens avoir lu le cas d’un jeune officier de la Guardia di Finanza qui est mort du Covid à l’âge de 25 ans. Intrigué, j’ai lu l’article en profondeur, et j’ai découvert que le jeune homme était dans un coma irréversible, sous respirateur depuis trois ans, parce qu’il avait été accidentellement touché par une balle en nettoyant son arme ! Et, à propos, cette exagération italienne des décès dus au Covid a été admise involontairement par le président de l’Istat [l’INSEE italien], avec un clip YouTube.

Que diriez-vous à une personne qui veut se faire vacciner et qui est absolument certaine de l’importance de le faire ?

La tâche du médecin n’est pas de convaincre le patient de faire ou de ne pas faire un certain choix : cela relève de ses droits. C’est différent si quelqu’un veut être informé, et alors je dois agir selon la science et la conscience, sans conditionnement d’aucune sorte.

Si une personne me demandait des informations sur les vaccins disponibles, je lui dirais ce que j’ai dit plus haut : le vaccin ne prévient pas la transmission (le fait que l’on dise que les personnes vaccinées ont une charge virale plus faible est un mensonge), donc le faire pour protéger les autres n’a pas de sens ; le vaccin prévient les formes graves de maladie, donc il est logique de le faire si vous êtes une personne à risque, mais clairement à risque, et dans ce cas le vaccin doit être considéré comme le masque, c’est-à-dire un équipement de protection individuelle (EPI).

Malheureusement, comme Israël nous l’apprend, même des personnes vaccinées finissent en soins intensifs. Le vaccin aura-t-il des conséquences à long terme ? Je ne sais vraiment pas. Mais trente-cinq ans d’immunologie clinique m’ont appris qu’il vaut mieux ne pas jouer avec le système immunitaire, surtout lorsqu’il est stimulé artificiellement par un ARNm et non par un agent infectieux normal.

En outre, j’informerais bien sur la possibilité de thérapies précoces à domicile, ce que les médecins ont toujours fait, avec d’excellents résultats. À cet égard, mais ce n’est que mon expérience, le Covid des patients non vaccinés répond mieux à la polypharmacothérapie indiquée que celui des patients vaccinés.




Un collectif de psychologues demande l’arrêt immédiat de chantage et de discriminations du gouvernement

[Source : lemediaen442.fr]

Voici la lettre d’un collectif de psychologues qui demande l’arrêt immédiat de toutes les formes de pression, de violences économiques, sociales et psychologiques, de chantage et de discriminations sur la population française. N’oubliez pas de signer la pétition et de partager autour de vous.

LETTRE OUVERTE

COLLECTIF DE PSYCHOLOGUES INDÉPENDANTS

31/08/2021

Impactés en tant que citoyens français, en première ligne pour observer, analyser et accueillir les effets psychoaffectifs, psychosociaux et psychosomatiques sur le public dont nous prenons soin dans le cadre de nos activités professionnelles, bousculés et malmenés par nos instances dirigeantes, après presque deux ans de gestion de cette « crise Covid-19 », nous, psychologues, avons décidé de partager nos observations, nos interrogations, nos doutes et nos colères entre collègues.

Le constat est sans appel pour le collectif que nous avons constitué. En effet, la situation inédite que nous traversons et les réponses de nos dirigeants sont en opposition totale avec les valeurs et l’éthique que nous défendons quotidiennement dans notre profession.

Nous sommes alarmés par l’impact de cette gestion de crise sur la santé psychique et le bien-être de la population. Bien sûr, personne ne s’attend à ce qu’une crise soit un moment particulièrement heureux et s’il existe des façons d’accompagner sa famille, son clan, son groupe, ses compatriotes, à passer une crise et à en ressortir grandi, il en existe d’autres qui alimentent la crise, affaiblissent et annihilent les capacités psychiques d’adaptation et de résilience.

Les médias de toutes sortes ont déjà détaillé à maintes reprises les difficultés matérielles rencontrées dans la gestion de cette épidémie, ce n’est pas notre champ d’expertise. Nous ne reviendrons pas dessus même si beaucoup d’entre nous assistent impuissants à la dégradation des moyens humains et matériels donnés aux hôpitaux pour soigner les personnes avec la dignité qu’elles méritent et ce, depuis bien avant l’arrivée du virus Sras-cov-2.

Laissons donc de côté l’aspect de destruction du système de santé et concentrons-nous sur la gestion humaine de cette crise et ses effets délétères sur la population, comme les troubles psychiques impactant toutes les classes d’âge, ainsi que toutes les catégories socioprofessionnelles. Dépression, burn-out et stress post-traumatique en sont les maîtres mots. Il ne suffit pas de proposer de rembourser quelques séances de thérapie à des personnes qu’on a angoissées, enfermées, contrôlées et désorientées dans un moment de vulnérabilité extrême pour les réparer en 3 à 10 séances.

Au lieu d’humanité et d’aide soutenante apportées à la population, nous avons repéré l’utilisation de techniques de persuasion, et même de manipulation, issues du management, du marketing et de la technocratie, qui peuvent être qualifiées de perverses, voire cyniquement harceleuses, si jamais elles se révélaient être utilisées à dessein pour poser les jalons d’un régime totalitaire.

Injonctions paradoxales, discours alarmistes s’appuyant sur une énumération de faits ou de statistiques décontextualisés, renversement en son contraire ou inversion des valeurs morales, attaque des besoins primaires (tant sur le plan physiologique, du sentiment de sécurité que du lien social), chantage et menaces, instauration de clivages (en bon/mauvais, vax/antivax, responsables/complotistes, etc.), iniquité des décisions, culpabilisation, aboutissent à l’augmentation de vécus dissociatifs tel que la déréalisation et la dissonance cognitive, résultant de la croyance en des idées ou des valeurs contradictoires, et engendrent un mal-être difficilement surmontable et pathogène.

C’est ainsi qu’en mobilisant principalement les émotions sidérantes comme la peur, la culpabilité et la honte plutôt que les capacités cognitives et intellectuelles des individus, les discours médiatiques et officiels obtiennent l’adhésion à des idéologies et à des comportements auxquels les individus n’adhéreraient probablement pas si seules leurs capacités d’analyse et de discernement étaient sollicitées. Le système actuel entretient une régression vers un fonctionnement infantile, dans lequel le chantage, la peur et l’intrusion perverse permettent d’obtenir l’obéissance.

Nous ne pouvons manquer de repérer aussi, dans les différents aspects de cette gestion de crise, les principes et les mécanismes identifiés par le sociologue Albert D. Biderman pour faire plier psychologiquement un individu.

L’isolement en est la première composante. Il engendre repli et préoccupation excessive centrée sur soi, rupture avec le soutien social permettant de résister et dépendance à l’autorité. Associé à la médiatisation d’une pensée narrative unique considérée comme la seule valable, l’isolement annihile l’esprit critique et accentue la réticence à s’exprimer et à s’interroger, de peur d’être stigmatisé, considéré comme “complotiste” et exclu de son clan familial, amical ou professionnel.

L’isolement physique et psychologique, la confusion, le doute, la peur et la tension permanente que la gestion de cette crise a fait vivre aux Français ont fragilisé leur santé psychique mais aussi leur santé physique. Que penser de ces choix stratégiques qui, pour sauver des vies, en sacrifient tant d’autres par ailleurs ? En effet, parmi les dommages collatéraux des confinements successifs, nous observons dans nos consultations une augmentation des suicides, y compris chez les enfants, des violences intrafamiliales, des pratiques incestueuses, des troubles anxio-dépressifs, des syndromes de glissement massifs dans les Ehpad et les hôpitaux, etc.

Aujourd’hui, le gouvernement rajoute encore à nos concitoyens une épreuve supplémentaire, en choisissant de les diviser par la stigmatisation de la vaccination et de l’obéissance.

Nous n’acceptons pas qu’un schéma vaccinal, à partir de techniques expérimentales aux résultats discutables, puisse être imposé à notre profession et à nos collègues soignants, obligeant ceux qui refusent de s’y soumettre à renoncer à leur métier. En l’état actuel de la loi du 5 août 2021, les psychologues faisant usage du titre, quel que soit leur lieu d’exercice, y compris en libéral et par téléconsultation, perdent leur droit d’exercer et leur rémunération s’ils ne satisfont pas à l’obligation vaccinale.

Nous exigeons l’arrêt immédiat de toutes les formes de pression, de violences économiques, sociales et psychologiques, de chantage et de discriminations exercées sur nous, nos collègues et les concitoyens ne souhaitant pas se faire vacciner. Nous demandons le rétablissement d’une stratégie favorisant le choix et l’implication individuelle et ce, à partir d’une information libre et éclairée.

Nous ne pouvons pas plus cautionner le passe sanitaire ou la diffusion des données biomédicales pour accéder à la vie quotidienne, du fait non seulement de son caractère discriminant et asservissant mais également à cause du manque de respect du secret médical. A ceux qui pourraient nous opposer ici la dangerosité du virus et la prévalence de la santé publique sur l’atteinte aux libertés individuelles, nous répondons que toutes les options de prophylaxie et de traitements ne sont pas étudiées pour nous permettre de vivre avec, en pleine conscience et responsabilité.

Aujourd’hui, les citoyens qui se croyaient protégés par des lois acquises et essentielles à la garantie de leurs libertés et de leur égalité, se retrouvent à nu et en perte de repères dans un monde qu’ils ne reconnaissent plus. Nous avons tous à redouter les conséquences de cette inversion des valeurs que cette nouvelle donne politique érige en modèle sociétal.

Dans ce contexte inédit où les principes fondamentaux de notre code de déontologie sont mis à mal, nous lançons aussi un appel à tous nos collègues psychologues.

N’ayez pas peur de prendre position pour le respect des « libertés et droits fondamentaux garantis par la loi et la Constitution, par les principes généraux du Droit communautaire et par les conventions et traités internationaux.” Restons attachés « à respecter l’autonomie de la personne et en particulier son droit à l’information, sa liberté de jugement et de décision »? Tout ce qui constitue le premier principe du code de déontologie des psychologues parce que : « Le respect de la personne dans sa dimension psychique est un droit inaliénable. Sa reconnaissance fonde l’action des psychologues. »

Nous devons comprendre là qu’il ne peut s’aliéner sous aucun prétexte, ni même aucun régime dit d’exception. En aucun cas un psychologue ne saurait être l’instrument d’un pouvoir qui devient pathologique, malsain, intrusif et traumatique, puisque sa fonction au contraire, c’est bien d’en émanciper les individus.

Engageons-nous ensemble pour le respect de nos choix concernant notre intégrité physique et psychique.

Interrogeons notre posture professionnelle et déontologique en nous demandant comment continuer d’accompagner des personnes vers une meilleure autonomie de pensée si nous sommes nous-mêmes assujettis à une pensée unique ?

Cette question se pose de la même façon que celle concernant la restriction de nos pratiques à des outils ou des méthodes imposées par décret, à la volonté de nous soumettre à l’allégeance à la pensée étatique par un ordre professionnel, ou à celle de la pensée médicale par la paramédicalisation de notre profession, tel que nous le dénoncions en nombre en manifestant le 10 juin dernier.

Comment garder notre propre autonomie de penser et d’agir, en dehors de toute contrainte normative, pour nous-mêmes et pour les personnes que nous accompagnons, d’autant plus lorsque cette dernière est changeante, aléatoire et arbitraire ?

Nous invitons donc tout collègue, tout professionnel du soin et de l’accompagnement et plus largement toute personne se reconnaissant dans ces principes, à nous soutenir, à réagir et à s’organiser.

Signez cette Lettre ouverte et partagez-la au maximum !

Un collectif de psychologues indépendants issus d’un Réseau de Solidarité Active.




Quand le MEDEF montre les crocs, Bercy passe à la trappe

Par Jean-Michel Grau

On pourrait résumer en une phrase l’état d’esprit qui anime notre sémillant ministre de l’économie en ruine, Bruno Le Maire :

Fort avec les faibles, faible avec les forts.

Après la taxe inique sur le gasoil qui allait mettre le feu aux poudres dans la France périphérique en alimentant pendant des mois la révolte des Gilets Jaunes, durement réprimée à coups de LBD, il aura suffi cette fois-ci que le patron du MEDEF, Geoffroy Roux de Bezieux hausse le ton pour que notre comique des finances rentre dans le rang 4 jours après.

En cause : l’accès aux centres commerciaux de plus de 20 000 mètres carrés conditionné au pass sanitaire. Le président du MEDEF demandait donc ce 2 septembre l’arrêt du pass sanitaire en vigueur dans certains départements pour ces centres commerciaux de plus de 20 000 mètres carrés.

« Sur les centres commerciaux, on a un énorme problème », a déclaré Geoffroy Roux de Bézieux sur RMC/BFMTV. « Cela fait -30 %, -40 % de chiffre d’affaires dans les centres commerciaux où il y a le pass sanitaire… Je vais demander au Premier ministre que le pass sanitaire sur les centres commerciaux soit arrêté », a annoncé le président de l’organisation patronale avant une rencontre dans la journée avec Jean Castex.(([1] francais.rt.com/france/90214-ca-fait-mal-president-medef-demande-arret-du-pass-sanitaire-dans-les-centres-commerciaux))

À peine 4 jours après cette déclaration musclée du patron des patrons, le locataire de Bercy faisait savoir le 6 septembre que le pass sanitaire ne serait plus exigé que dans 64 centres commerciaux sur le territoire français à compter du 8 septembre, contre 178 à l’heure actuelle.(([2] francais.rt.com/france/90341-nombreux-centres-commerciaux-exemptes-pass-sanitaire-partir-8-septembre-covid-19))

Et comme pour ménager la susceptibilité de notre sourcilleux Bruno, le patron du MEDEF, bon prince, lui soufflait l’explication à donner dans ce revirement :
« Il faut arrêter le pass sanitaire dès que possible, dès que les chiffres pandémiques qui ont l’air de baisser le permettront », a-t-il ajouté.

Aussitôt dit, aussitôt fait, ce qui donne aujourd’hui dans la bouche de Bruno Le Maire :

« La décision a été prise en raison de la baisse continue du taux d’incidence constatée sur l’ensemble du territoire »

Sacré Bruno ! Une baisse continue de 4 jours après les déclarations fracassantes du patron du MEDEF ! Il ne manque pas d’humour. La continuité est apparemment à géométrie variable à Bercy…

Mais notre Bruno national ne pouvait pas en rester là. Tout drapé dans son orgueil blessé par ce retournement de veste aussi inopiné que forcé, en répondant à une question de Jean-Jacques Bourdin sur BFM qui lui demandait si l’instauration du pass sanitaire était « nuisible » pour l’économie française, Bruno Le Maire a rétorqué sans sourciller :

« Non, c’est très bon pour l’économie (sic). Il protège les consommateurs, donc il protège notre économie. » Et d’ajouter, penaud :

« Il y a un seul secteur, je le reconnais volontiers, où effectivement il y a eu un impact, c’est les centres commerciaux. »

Un détail… Du Macron pur jus, ou comment « en même temps » affirmer tout de go que les centres commerciaux ont été impactés par le pass sanitaire tout en maintenant que celui-ci est très bon pour l’économie ! On en reste pétrifié de consternation.

Qu’il me soit permis ici de décerner à Bruno Le Maire, le titre de « clown de l’année ».




Il faut stopper la pub à la vaccination chez l’enfant innocent du SARS-CoV-2

Par Nicole Delépine

LES JEUNES NE SONT PAS CONCERNÉS PAR LE COVID : ZÉRO MORTS CHEZ LES ENFANTS SANS COMORBIDITÉ(([1] Devons-nous vacciner nos enfants contre le Covid-19 ? (francesoir.fr) ))(([2] Faire vacciner les enfants, vraiment ? (francesoir.fr) ))

Le covid est une maladie extrêmement peu létale : taux de mortalité de ce coronavirus présenté comme la pandémie mondiale 0.035%, et 0,00 % chez les enfants non immunodéprimés et très peu chez les enfants à comorbidité : six enfants de 0 à 9 ans et 10 enfants de 10 à 19 ans sont décédés à l’hôpital en France depuis mars 2020 en ayant un test Covid positif. Cela ne signifie pas qu’ils sont morts du Covid, mais avec le Covid, car tous présentaient au moins une comorbidité susceptible d’entraîner la mort.

Il ne peut donc pas exister de bénéfice individuel.

Il n’existe pas non plus de bénéfice collectif.

Le 26 aout 21, le Pr Delfraissy avoue à nouveau que le « vaccin » n’empêche pas les contaminations par le vacciné, ni d’être soi meme contaminé.

Il défend son vaccin par la protection des formes graves, ce que O. Véran avait démenti dès mars 2021 dans son mémoire au conseil d’état, et qui semble faux au vu des résultats israéliens et anglais.(([3] Tous vaccinés, mais pas protégés ! – Docteur Nicole Delépine (nicoledelepine.fr) ))

Mais en ce qui concerne les enfants, chacun reconnait qu’ils ne font jamais de formes graves … Alors où est l’intérêt même collectif ?

Rappelons que toutes les études internationales publiées dans PubMed depuis mars 2020 ont démontré que les enfants, en plus du fait qu’ils ne font pas de covid cliniquement graves, ne transmettent pas la maladie.

Les enseignants sont beaucoup plus protégés quand ils travaillent à l’école qu’à la maison. De nombreux articles ont été consacrés à ce sujet ainsi que plusieurs synthèses de cette large bibliographie.(([4] Nexus septembre 2020))

L’étude publiée en juin 2020 par l’institut Pasteur aurait dû mettre fin aux polémiques :

« Cette étude confirme également que le plus souvent les jeunes enfants, lorsqu’ils sont infectés par ce nouveau coronavirus, ne développent pas de symptômes de la maladie ou présentent des symptômes mineurs qui peuvent ne pas conduire à évoquer le diagnostic. Les signes très caractéristiques que sont la perte du goût et la perte de l’odorat, n’ont jamais été observés chez les enfants de moins de 15 ans alors qu’ils ont été rapportés par la moitié des adultes » ajoute Bruno Hoen, dernier auteur de l’étude et directeur de la recherche médicale à l’Institut Pasteur. »

« Toutes ces données laissent à penser que les enfants sont résistants au virus du Covid et ses variants, grâce à un système immunitaire efficace, et concourent de surcroît à l’atteinte de l’immunité collective, en faisant circuler le virus sans danger ».

Alors pourquoi ce revirement et cette volonté acharnée de vacciner tout le monde, même les petits ?

EST-IL ÉTHIQUE DE VACCINER LES JEUNES ET LES PETITS EN PARTICULIER ?

N’oublions pas qu’AMM conditionnelle ou pas, les pseudovaccins actuellement proposés en France sont en expérimentation.

Quels ont été les essais chez les enfants ?

Avant de se lancer dans cette campagne promotionnelle digne d’une vente de lessive genre OMO lave plus blanc, voici l’étude présentée par Pfizer à l’EMA sur la vaccination des enfants.

Une fiche d’information signée Pfizer, de 39 pages en téléchargement sur le site de la FDA américaine (Food and Drug Administration), indique que leur vaccin a été testé sur 1127 enfants de douze à quinze ans, dont 1097 ont reçu les deux doses.

Parmi eux, 866 enfants ont eu des effets secondaires, dont 393 modérés et 7 effets secondaires graves (0.64%). Donc dans cet essai, 78.94% des enfants ont eu au moins un effet secondaire. Les principaux effets secondaires observés sont : fièvre, fatigue, maux de tête, vomissements, diarrhées, douleurs diffuses.

La FDA (USA) et l’EMA (Europe) ont donné leur accord pour vacciner les enfants et adolescents sur la base de cette étude de deux mois seulement, en ayant parfaitement connaissance de la balance bénéfice/risque. Bénéfice = zéro, risques à court terme non négligeables et inconnus à long terme. Rappelons que la protéine spike que fait produire le pseudovaccin par l’organisme a une prédilection pour les ovaires, testicules, cœur, cerveau…

Les enfants ne sont pas une cible du Covid, le vaccin ne protège ni de la contamination, ni de la transmission. Alors pourquoi exposer nos jeunes à ces substances encore à l’essai en leur faisant prendre le risque d’effets secondaires graves ?

Il y a 15,5 millions d’enfants de 0 à 19 ans en France, si on les vaccinait tous sans exception99 200 auraient potentiellement des effets secondaires sévères (15,5 millions x 0.64%) d’après l’essai présenté par Pfizer.

EFFETS SECONDAIRES GLOBAUX RECENSÉS PAR LES BASES OFFICIELLES INTERNATIONALES

EUDRAVIGILANCE – EMA      

Au 14 août 2021, la base de données européenne de pharmacovigilance (EUDRAVIGILANCE) faisait état de 3822 signalements d’effets secondaires sur les moins de 18 ans dont 2144 pour le seul vaccin Pfizer sur les 12-17 ans.  Et en août, 5 décès ont été déclarés à Eudravigilance à la suite  de la vaccination de jeunes de 12 à 17 ans.(([5] @10121Ws  EUDRAVIGILANCE))

VAERS :  RECENSEMENT DES EFFETS SECONDAIRES DÉCLARÉS SPONTANÉMENT AUX USA

Aux États-Unis, le VAERS en lien avec le CDC, recense tous les effets secondaires déclarés par les citoyens, après les vaccins depuis 1991. Au 13 août 2021, 18 095 signalements d’effets secondaires après vaccination Covid-19 sur les moins de 18 ans étaient comptabilisés dans la base, dont 24 décès.

Une analyse fine des évènements secondaires aux vaccins au 23 Juillet est rapportée par une biostatisticienne dont nous signalons ici quelques conclusions, le détail étant disponible sur le PDF.(([6] vaers_data_analysis_report-2021-08-08.pdf analyse jusqu’au 23 Juillet par christine Cotton :
https://vaers.hhs.gov/docs/VAERSDataUseGuide_November2020.pdf))

398 277 ont été conservés pour analyse après élimination des erreurs manifestes (dates, vaccins mélangés, expirés, erreurs d’administration etc..). Elle étudie dans ce document les évènements 2020-2021 et souligne que plus de 98 % des effets signalés concernent le covid19.

Elle rappelle que le VAERS est coadministré par 1) la Food and Drug Administration (FDA) et 2) les Centers for Disease Control.

Sur les accidents décrits par le VAERS jusqu’au 23 07, 17 % concernent des personnes de moins de 30 ans et 50% de moins de 50 ans. Plus de 70% sont des femmes.

6 % des évènements indésirables ont conduit à l’hospitalisation et 47,1% sont encore hospitalisés lorsque le malade a été inscrit dans la base de données du CDC.

2,9% ont été déclarés covid malgré la vaccination. Plus de 34000 effets secondaires ont été considérés comme graves (près de 9%). Et 5471 décès ont été recensés selon le CDC et revus à 5 546 après revue des chiffres et tableaux. Les décès fœtaux n’ont pas été pris en compte dans le dernier calcul. L’âge moyen des décès est de 73 ans et 55 % d’hommes. 24 patients avaient moins de 18 ans. Et environ 10 % moins de 50 ans.

Parmi les 5546 décès, le temps moyen de survenue du décès est de 22 jours. 28% des décès sont survenus dans les trois jours suivant la vaccination. 40 % sont survenus dans les 21 jours suivant l’acte vaccinal.

Sur les 24 Décès de moins de 18 ans de cette liste établie au 23 juillet, on trouve deux suicides.

La prédominance d’accidents cardiaques est soulignée particulièrement chez les très jeunes de moins de 20 ans faisant écho aux constatations israéliennes.

Myocardites et péricardites : 1861 effets indésirables : 57 %des personnes présentant des symptômes de myocardites et péricardites ont moins de 30 ans. 73 % sont des hommes et 19 patients sont décédés.

MÊME AVANT LEUR NAISSANCE, LES ENFANTS PEUVENT ÊTRE VICTIMES DES PSEUDO VACCINS

Le document de Christine Cotton consacré aux évènements indésirables déclarés chez les femmes enceintes rapporte sur 2436 vaccinées, au moins 675 décès de fœtus ou embryons (28% avortements ou morts fœtales) et 4,1% de malformations congénitales.(([7] Supérieur à la moyenne habituelle admise de l’ordre de 3 %))

La moyenne d’âge des femmes enceintes présentant des problèmes de grossesse est de 34 ans (25 % ont moins de 30 ans).

28 % (11,8+16,6) des femmes enceintes ont présenté des troubles dans les 3 jours suivant la vaccination.  40 % au cours des 7 premiers jours et 65 % pendant les 21 jours suivant la vaccination.

QUE POUVONS NOUS FAIRE ?
RÉSISTER EN INFORMANT PARTOUT AUTOUR DE NOUS

Et pour conclure, citons cette lettre d’un sénateur américain adressé au peuple américain :

« Ils ne peuvent pas tous nous arrêter » – Le sénateur Rand Paul exhorte les Américains à « résister » à Pelosi et aux petits tyrans

Rédigé par Rand Paul, éditorial via Fox News, « They Can’t Arrest Us All » – Sen. Rand Paul Urges Americans To « Resist » Pelosi & The Petty Tyrans | ZeroHedge

Résister.

Ils ne peuvent pas tous nous arrêter. Ils ne peuvent pas garder tous vos enfants à la maison à la place de l’école. Ils ne peuvent pas garder tous les bâtiments gouvernementaux fermés – bien que j’aie une longue liste de ceux qu’ils devraient.

Nous n’avons pas à accepter les obligations, les confinements et les politiques néfastes des petits tyrans et des bureaucrates sans scrupules. Nous pouvons simplement dire non, pas encore.

A Mme la Vice-Présidente Nancy Pelosi — vous ne m’arrêterez pas et ne m’empêcherez pas, ni aucun membre de mon personnel, d’effectuer notre travail. Nous avons tous eu la COVID, nous avons eu le vaccin ou on nous a offert le vaccin. Nous ferons nos propres choix en matière de santé. Nous ne vous montrerons pas de passeport, nous ne porterons pas de masque, nous ne serons pas contraints à un dépistage et à des tests aléatoires afin que vous puissiez continuer votre ivresse de pouvoir contrôler le Capitole.

Au Président Biden – nous n’accepterons pas les obligations de vos agences ou vos mouvements signalés vers un confinement. Personne ne devrait suivre les obligations de masque antiscience du CDC. Et si vous voulez fermer à nouveau les agences fédérales – dont certaines ne sont même pas complètement remises au travail – j’empêcherai tous les projets de loi d’être présentés au Sénat avec un amendement visant à réduire leur financement s’ils ne viennent pas travailler.

Aux bureaucrates locaux et aux patrons syndicaux — nous ne vous permettrons pas de faire plus de mal à nos enfants encore cette année. Les enfants ne sont pas plus exposés à la COVID qu’ils ne le sont pour la grippe saisonnière. Tous les adultes qui travaillent dans les écoles ont été vaccinés ou ont eu la possibilité de le faire. Il n’y a aucune raison pour les masques obligatoires, les écoles à temps partiel ou les mesures de confinement.

Les enfants prennent du retard à l’école et sont blessés physiquement et psychologiquement par les tactiques que vous avez utilisées pour les empêcher d’aller en classe l’année dernière. Nous ne le permettrons plus.

Si un système scolaire tente d’empêcher les enfants d’aller à l’école à temps plein en personne, je retarderai chaque projet de loi avec deux amendements. L’un pour les définancer et l’autre pour permettre aux parents de choisir où va l’argent pour l’éducation de leur enfant.

Est-ce que j’en ai marre pour vous ? C’est parce que j’en ai assez.

Je ne suis pas un politicien de carrière. Je pratique la médecine depuis 33 ans. Je suis diplômé de la Duke Medical School, j’ai travaillé dans les salles d’urgence, j’ai étudié l’immunologie et la virologie, et j’ai finalement choisi de devenir chirurgien.

Je dis à tout le monde depuis un an maintenant que le Dr Anthony Fauci et d’autres responsables de la santé publique ne suivaient PAS la science, et on m’a prouvé à maintes reprises que j’avais raison.

Mais je ne suis pas le seul à en avoir marre.

Je ne peux aller nulle part ces jours-ci – du travail aux événements, en passant par les aéroports et les Uber, les restaurants et les magasins, sans que les gens viennent me voir pour me remercier de les défendre. Pour avoir défendu la science réelle. Pour avoir défendu la liberté. Pour s’être opposé aux obligations, aux confinements et aux prises de pouvoir bureaucratiques.

Je pense que le vent a tourné et que de plus en plus de gens sont prêts à se lever. Je vois des histoires de parents qui tiennent tête aux syndicats d’enseignants et aux conseils scolaires de partout dans le pays.

Je vois des membres du Congrès refuser de se conformer au petit tyran Pelosi.

Nous sommes à un moment de vérité et à la croisée des chemins. Permettrons-nous à ces gens d’utiliser la peur et la propagande pour nuire davantage à notre société, à notre économie et à nos enfants ? Nous allons nous unir et dire, absolument pas. Pas cette fois. Je choisis la liberté.

En conclusion, quand nos sénateurs présenteront-ils un texte comparable ?

Les pseudo vaccins expérimentaux ne peuvent apporter aucun bénéfice personnel aux enfants et adolescents, adultes jeunes.

Ils les exposent à de nombreuses complications parfois même mortelles

Ils ne protègeraient pas les adultes à risque puisque les enfants ne constituent pas une source de contamination et que les pseudo vaccins n’empêchent pas les transmissions virales

Et que l’obtention d’une immunité collective par le vaccin est un mythe maintenant reconnu inatteignable par tous les experts

La « vaccination anti-covid » des enfants est une faute qui va bientôt devenir un scandale sanitaire d’ampleur inégalée.

Résistons pour nos enfants, notre Futur

Résistons par tous nos moyens aux publicités mensongères diffusées par les médias et aux pressions et chantages inadmissibles de nos gouvernants et leurs collabos.

IL FAUT STOPPER LA PUB À LA VACCINATION COVID CHEZ L’ENFANT





Tous vaccinés, mais pas protégés !

Par Nicole Delépine

Une propagande incessante affichée même sur les panneaux d’autoroute répète : « tous vaccinés, tous protégés ». Cette affirmation est totalement mensongère et contraire aux faits avérés.

Rappelons les faits établis et vérifiables.

La « vaccination » n’évite pas les hécatombes dans les maisons de retraite

23 prêtres retraités, français et étrangers, vivaient heureux en communauté dans les bâtiments historiques de la congrégation religieuse des Fils de Marie Immaculée de Chavagnes en Charentes. Malgré une vaccination Pfizer de 22 d’entre eux, une vague de Covid a frappé. Le prêtre non vacciné est resté négatif. Sur les 22 prêtres infectés, 21 sont tombés malades, et sept sont décédés dans les deux à trois semaines et demie après avoir été vaccinés.(([1] http://www.parolesdedieu.fr/21-vaccins-arnm-dans-une-communaute-religieuse-7-morts-14-malades-et-lomerta/))

On ne compte plus les Ehpads de France(([2] Covid-19 : un cluster malgré des vaccinations dans un Ehpad des Landes
https://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/coronavirus/vaccin/covid-19-un-cluster-malgre-des-vaccinations-dans-un-ehpad-des-landes_4373347.html))(([3] Covid : malgré la vaccination, deux clusters signalés dans des Ehpad de Haute-Garonne et du Lot
https://france3-regions.francetvinfo.fr/occitanie/covid-malgre-la-vaccination-deux-clusters-signales-dans-des-ehpad-de-haute-garonne-et-du-lot-2059636.html))(([4] Covid-19 : des résidents d’EHPAD positifs malgré leur vaccination
https://fr.news.yahoo.com/covid-19-residents-ehpad-positifs-malgre-vaccination-173345922.html))(([5] RTL Coronavirus : 47 résidents d’Ehpad contaminés malgré la vaccination
https://www.rtl.fr/actu/bien-etre/les-infos-de-18h-coronavirus-47-residents-d-ehpad-contamines-malgre-la-vaccination-7900000887))(([6] pensionnaires
Covid-19 : des clusters détectés dans des Ehpad malgré la vaccination des résidents
https://www.midilibre.fr/2021/04/06/covid-19-des-clusters-detectes-dans-des-ehpad-malgre-la-vaccination-des-residents-9471406.php))(([7] P Gombert Loire-Atlantique. Covid 19 : le retour des clusters en Ehpad Ouest France 26/8/2021)) et d’Europe qui ont subi des flambées d’épidémies mortifères malgré la « vaccination » de tous leurs résidents.

Certes ces victimes étaient âgées, certes elles étaient fragiles, mais n’est-ce pas le profil type des personnes auxquelles les pseudos vaccins anticovid sont censés éviter les complications ?

Dans la Navy la maladie se propage(([8] Jonathan Beale, Hazel Shearing HMS Queen Elizabeth : Covid outbreak on Navy flagshipvBBC News
Published 14 July)) chez des marins complètement vaccinés

Tous les marins de la Royal Navy (comme ceux de la Marine Nationale) ont été vaccinés afin d’éviter qu’une épidémie ne rendent leurs navires non opérationnels comme cela est arrivé sur des porte-avions américain et français.

Le groupe aéronaval du HMS Queen Elizabeth a été touché par une épidémie de Covid   avec plus de 100 cas confirmés après une escale, alors que tous les marins avaient reçu leurs deux doses depuis plus de quatre mois.

Les infectés sont tous jeunes, sans déficit immunitaire ; ils ont tous reçu leurs deux doses avec un délai suffisamment long pour que les injections Astra Zeneca agissent pleinement. Leur contamination prouve que ces injections sont très peu efficaces, bien au-dessous des 90% claironnés par le laboratoire et les avocats de cette pseudo vaccination.

Dans une mine d’or de Guyane française,(([9] Vignier N, Bérot V, Bonnave N, Peugny S, Ballet M, Jacoud E, et al. Breakthrough infections of SARS-CoV-2 gamma variant in fully vaccinated gold miners, French Guiana, 2021. Emerg Infect Dis. 2021 Oct [date cited]. https://doi.org/10.3201/eid2710.211427 [Breakthrough Infections of SARS-CoV-2 Gamma Variant in Fully Vaccinated Gold Miners, French Guiana, 2021 – PubMed (nih.gov)])) contamination de 60% des vaccinés

Un foyer épidémique de Sars-cov-2 variant Gamma est survenu parmi les 44 employés d’une mine d’or en Guyane française.

Aucun des 6 mineurs ayant été précédemment touchés par le Covid (3 non vaccinés et 3 ayant reçu une dose) n’a été touché.

Alors que 15 des 25 personnes vaccinées à deux doses ont développé la maladie Covid comme 3 des 4 employés non vaccinés et sans antécédents de Covid-19.

Ces faits vérifiés et publiés montrent que l’immunité naturelle acquise après guérison d’une poussée de Sars-Cov-2 est efficace à 100 % contre ce variant alors que la vaccination a été incapable d’éviter la maladie à plus de 40% des vaccinés.

Malte : une couverture vaccinale de 84% ne protège pas la population

Malte fait partie des champions européens des pseudo vaccins avec une couverture vaccinale de 84% et un recul de près de 4 mois. Dans ce petit pays de 500000 habitants près de 800000 doses ont été administrées. En vain : depuis début juillet l’épidémie est repartie et les formes graves (mortelles) augmentent forçant les autorités à reconnaître que la population n’est pas protégée et à imposer une quarantaine aux voyageurs non vaccinés.

Gibraltar : une couverture vaccinale à 115% ne protège pas de la maladie

Gibraltar (34000 habitants) a commencé la vaccination en décembre 2020 alors que l’agence sanitaire recensait seulement 1040 cas confirmés et 5 morts. Après une campagne de vaccination éclair très complète, obtenant une couverture vaccinale de 115 % (la vaccination a été étendue à de nombreux visiteurs espagnols) le nombre de nouvelles contaminations a été multiplié par 5 (passant à 5314) et celui des morts par 19. Atteignant 96, soit 2794 morts par million d’habitants ce chiffre constitue l’un des records européens de la mortalité. Mais les responsables de la vaccination nient tout lien causal sans proposer une autre étiologie plausible. Et après une accalmie de quelques mois l’épidémie reprend confirmant que les vaccinés ne sont pas protégés.

La vaccination massive des Britanniques ne les a pas protégés

La Grande-Bretagne constitue le champion européen des injections Astra Zeneca. La campagne d’inoculation Astra Zeneca a été suivie par une augmentation importante des cas et de la mortalité pendant deux mois ; Janvier et février 2021 ont ainsi établi les records mensuels de nouvelles contaminations et de morts depuis le début de l’épidémie. Avec près de 70% de vaccinés, les responsables de la politique sanitaire espéraient que la population bénéficierait d’une immunité contre le covid, mais la forte reprise de l’épidémie depuis le 26 mai a mis fin à leur illusion en démontrant  que les pseudovaccins actuels ne sont pas efficaces contre le variant delta.

De plus, contrairement aux annonces répétées de nos gouvernants, les injections anti-covid ne protègent ni des formes graves, ni de la mort. Santé Publique Angleterre, faisant le bilan des derniers mois a constaté que sur les 257 personnes qui sont mortes de Covid entre le 1er février et le 21 juin 2021, 163 (63,4%) avaient déjà reçu au moins une dose du vaccin, et conclue : “les personnes vaccinées meurent plus que les non-vaccinées”.

La vaccination massive des Israéliens ne les a pas non plus protégés

Israël est le champion de l’injection Pfizer avec un taux de couverture proche de 70%. Les deux mois qui ont suivi la vaccination ont été marqués par une augmentation considérable des contaminations et des morts journalières, leur nombre dépassant les pics de la vague précédente malgré un confinement strict. Ces 2 mois post injection ont établi les records mensuels de contaminations depuis le début de l’épidémie. Cette évolution défavorable montre que le pseudo-vaccin Pfizer est incapable d’empêcher la transmission de la maladie.

L’augmentation post vaccinale précoce des contaminations n’a été amoindrie que depuis le reflux global de l’épidémie qui a abouti à une pause de l’épidémie. Mais depuis le 15 juin 2021, l’injection Pfizer se révèle incapable d’éviter une reprise exponentielle de l’épidémie et 40 % des nouvelles personnes contaminées sont vaccinées.

Et l’injection Pfizer est également incapable d’éviter les formes graves et les décès. Selon le ministère israélien, rapporté par le Jérusalem Post le 21 juillet, « sur les 143 hospitalisés, 58 % étaient totalement vaccinés, 3 % partiellement, 39 % non vaccinés. Sur les 64 patients graves du pays… le pourcentage de cas vaccinés était élevé. »  Sur Chanel 13 Dr Kobi Haviv précisait pour l’ensemble du mois : « 85-90 % des hospitalisations sont chez des personnes entièrement vaccinées. »

Conclusions

Ce tour du monde des évolutions observées après vaccination massive montre que les pseudo- vaccins actuels sont incapables d’éviter la maladie, ni les formes graves, ni les décès, ni la transmission de la maladie aux proches.

Le slogan « tous vaccinés, tous protégés » constitue donc une publicité mensongère.

Nicole Delépine




Obligation vaccinale des soignants, la lettre qu’il faut envoyer à tous les directeurs ARS de France

[Source : AIMSIB]

L’ensemble des soignants libéraux français « réfractaires » ayant reçu un courrier émanant des Agences Régionales de Santé (ARS) les menaçant de fermeture de leurs cabinets en cas de non vaccination anti-Covid-19 débutée au 15 septembre 2021, nous publions ici ce que chacun d’eux est en droit de répondre par LRAR à son expéditeur. Le fait de vacciner les soignants de force est une folie mais pas que, à ce jour c’est absolument illégal, pourquoi? Bon copié-collé pour les « menacés » et bonne lecture à tous.


Monsieur le Directeur,

Je prends acte de votre courrier du 19 août courant souhaitant m’informer qu’une obligation vaccinale anti-covid-19 m’est imposée au 15 Septembre 2021, au risque que mon cabinet ne ferme à cette date en cas de non-soumission de ma part.

Sur la forme, vous faites allusion à la Loi 2021-1040 du 5 août 2021 mais j’ai le regret de vous annoncer qu’à la date de ce jour celle-ci n’est pas applicable dans la mesure où le décret mentionné dans le point II de l’article 12 de celle-ci n’est toujours pas paru, celui-ci stipulant expressément :

· Article 12 Division II. –
Objet : « Un décret, pris après avis de la Haute Autorité de santé, détermine les conditions de vaccination contre la covid-19 des personnes mentionnées au I du présent article. Il précise les différents schémas vaccinaux et, pour chacun d’entre eux, le nombre de doses requises.
Ce décret fixe les éléments permettant d’établir un certificat de statut vaccinal pour les personnes mentionnées au même I et les modalités de présentation de ce certificat sous une forme ne permettant d’identifier que la nature de celui-ci et la satisfaction aux critères requis. Il détermine également les éléments permettant d’établir le résultat d’un examen de dépistage virologique ne concluant pas à une contamination par la covid-19 et le certificat de rétablissement à la suite d’une contamination par la covid-19 ».

Vous comprendrez donc qu’en attendant que ce décret d’application ne survienne et soit porté à la connaissance des soignants, rien ne peut leur être imposé, aucun détail supplémentaire ne figurant dans le décret du 7 août.

Sur le fond de cette coercition absolument injustifiée je souhaite attirer votre attention sur quatre points :

D’abord sur le fait que comme vous le confirmera Me Teissedre dans le courrier ci-joint il semble que l’État éprouve le plus grand mal à démontrer que le renouvellement des AMM conditionnelles de tous les vaccins anti-Covid-19 ait été régulièrement enregistré aux dates légalement attendues. L’ANSM ne nous répondant pas alors l’AIMSIB, Bonsens.org et la LNPLV vont saisir le Conseil d’État d’un référé contre l’ANSM, le ministre de la Santé et la HAS tendant à ce que l’État :
– 1/ Produise les pièces que nous avons demandé à l’ANSM de produire ;
– 2/ A défaut, suspende l’utilisation des vaccins sur le fondement du règlement européen de 2004 jusqu’à l’obtention des informations requises.

Ensuite, il faut vous signaler que la composition réelle de ces produits se situe probablement à des années-lumière des descriptions données par les industriels, l’AIMSIB en a tiré un article (1) qui a été transmis à l’ANSM et au Conseil National de l’Ordre ; hélas celui-là non plus n’a, encore une fois, fait l’objet d’aucune réponse. Leurs défauts biochimiques sont si énormes qu’ils sont même parfois macroscopiquement visibles, ce qui a par exemple imposé d’interrompre toute délivrance du vaccin Moderna© jusqu’à nouvel ordre au Japon (2) après une série de décès encore plus suspects (3). Quel matériau aimanté ou aimantable est-il injecté dans ces vaccins que n’importe quel observateur peut facilement mettre en évidence avec une simple pièce de monnaie (4)? Cette anomalie flagrante et bien d’autre va faire l’objet d’une assignation en justice et cette affaire sera entendue le 21/10/2021 devant le tribunal judiciaire de Paris (5).

Je ne méconnais pas le rôle de chacun, il est évident que vous ne pourrez pas infléchir seul la politique insensée menée par notre gouvernement mais puisque vous m’écrivez que « cette obligation vaccinale constitue la mesure la plus efficace pour vous protéger et protéger vos patients », merci de prendre connaissance, ou en compte, ces six faits absolument indéniables :

1- Si la vaccination comme l’hépatite B est obligatoire, elle concerne des personnels soignants n’ayant jamais développé la maladie. Dans le cas du coronavirus, les soignants ont été très exposés et donc sont pour la plupart immunisés. L’immunité naturelle ayant toujours été supérieure à l’immunité vaccinale, il est difficile de comprendre sur quelles bases scientifiques suffisamment rigoureuses s’appuie l’obligation vaccinale des personnels soignants. En effet, la possibilité d’un schéma vaccinal en une seule injection au lieu de deux injections est évoquée sur la base d’une sérologie pré- vaccinale qui ne saurait être à elle-seule représentative de leur immunité humorale réelle et ne tient de plus aucunement compte de leur immunité cellulaire (6).

2- La vaccination n’interrompt pas une seconde la diffusion virale occasionnée par les vaccinés (7)(8), ces nouveaux porteurs sains sont intraçables en France puisque notre passe sanitaire exonère les vaccinés de toute évaluation en général, sauf par exemple quand on doit s’approcher du Président de la République (9) et le résultat est douloureux.

3- La vaccination anti-Covid-19 n’interrompt pas l’expansion de virus lié à la Covid-21, les diffusions planétaires des variants Delta et maintenant Mû dans les populations très vaccinées (Angleterre, Israël, Malte, Gibraltar, etc…) nous le prouvant tous les jours, l’hécatombe de cas survenus sur le navire militaire HMS Queen Elizabeth ne comportant que des marins jeunes, en parfaite santé et tous vaccinés à deux doses en fournit également un déplorable exemple (10).

4- La vaccination anti-Covid n’empêche nullement l’éclosion de cas graves chez les vaccinés et parfois semblent, par effet ADE (11), en aggraver les tableaux cliniques (12), certaines données transmises par les industriels eux-mêmes tendant à laisser penser que la vaccination n’influerait pas sur la mortalité (13).

5- Le nombre astronomiquement élevé d’effets indésirables graves (EIG) causés par ces vaccins anti-Covid imposerait dans toute démocratie indépendante du poids des lobbys industriels que cette campagne pseudo-sanitaire cesse immédiatement, on rappelle que selon Eudravigilance l’Europe déplore déjà 22.000 décès directement imputables aux intrants et plus de 2,2 millions d’EIG, le tout rapporté avec une sous-notification habituelle comprise entre un facteur x10 à x100 (14) : Le témoignage de notre Confrère T. Hertoghe se passe de commentaires (15).

6- La Covid se soigne avec une facilité remarquable dans sa forme initiale comme semi-récente et sans aucun effet secondaire par l’ivermectine, c’est si vrai que même le Conseil National de l’Ordre des Médecins Français a levé toute sanction disciplinaire à l’égard des médecins prescripteurs de la molécule (16). Il n’existe à ce jour plus aucun doute quant à l’efficacité remarquable de cette molécule dans le traitement de la Covid, quel que soit le variant en cause (17).

Au final et comme je viens de vous le décrire, dans la mesure où la vaccination anti Covid-19 demeure, comme attendu, parfaitement inefficace sur les souches 2021 et futures, que la Loi de coercition vaccinale n’est pas applicable en l’état, que ces vaccins sont éminemment dangereux, qu’ils ne revêtent aucune utilité chez les soignants quasiment tous déjà immunisés naturellement, qu’ils soient possiblement délivrés sans aucune AMM encore valable à ce jour, et enfin qu’il existe un traitement aussi peu onéreux que remarquablement bien toléré, vous comprendrez le refus qui m’anime s’agissant de me soumettre à cette obligation.

Je vous informe que cette lettre a été publiée le 05/09/2021 sur le site aimsib.org

En espérant que l’ensemble des arguments développés ici aient pu vous convaincre du bien-fondé de ma position, je vous prie de croire, Monsieur le Directeur, en l’expression de mon respect

La rédaction de l’AIMSIB
Septembre 2021

ANNEXE   Lettre du Cabinet Teissedre à l’ANSM

Notes et sources

[1] https://www.aimsib.org/2021/08/08/wacssyn-covid-lincroyable-scandale-arrive/
[2] https://asia.nikkei.com/Spotlight/Coronavirus/COVID-vaccines/1.6m-Moderna-doses-withdrawn-in-Japan-over-contamination
[3] https://guyboulianne.com/2021/09/01/un-corps-etranger-noir-a-ete-trouve-dans-un-nouveau-lot-suspect-de-vaccins-moderna-sur-le-site-dinoculation-de-kanagawa-au-japon/
[4] https://odysee.com/@Covidbel:5/Une-ancienne-employ%C3%A9e-de-Pfizer-alerte:f
[5] https://reaction19.fr/wp-content/uploads/2021/08/270821-Communique-de-presse-du-27-aout-2021-Assignation-en-refere-ANSM-CNOM-CNOP-et-Vidal.pdf
[6] https://www.nature.com/articles/s41586-021-03647-4
[7] https://reinfocovid.fr/science/les-vaccines-infectes-seraient-aussi-contagieux-que-les-autres/
[8] https://www.cdc.gov/mmwr/volumes/70/wr/mm7031e2.htm?s_cid=mm7031e2_w
[9] https://www.lci.fr/politique/quatrieme-vague-variant-delta-doublement-vaccine-le-president-de-la-region-paca-renaud-muselier-positif-au-covid-19-2194979.html
[10] https://www.bbc.com/news/uk-57830617
[11] https://www.aimsib.org/2020/08/23/covid-graves-admettre-lexistence-des-anticorps-facilitateurs/
[12] https://docteur.nicoledelepine.fr/tous-vaccines-mais-pas-proteges/
[13] https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2021.07.28.21261159v1.full.pdf
[14] https://www.adrreports.eu/fr/
[15] https://lemediaen442.fr/temoignage-du-dr-hertoghe-victime-du-vaccin-moderna-accident-vasculaire-cerebral-dans-le-cervelet/
[16] Ré à la hune, édition du 5 août 2021 n°228
[17] Bryant A, Lawrie TA, Dowswell T, Fordham EJ, Mitchell S, Hill SR, Tham TC. Ivermectin for Prevention and Treatment of COVID-19 Infection: A Systematic Review, Meta-analysis, and Trial Sequential Analysis to Inform Clinical Guidelines. Am J Ther. 2021 Jun 21;28(4):e434-e460. doi: 10.1097/MJT.0000000000001402. https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34145166/




Covid – Le miracle africain

[Source : Covid faits et chiffres (covid-factuel.fr)]

Par Zola

Le continent africain, malgré des conditions sanitaires qui n’ont rien à voir avec les nôtres, semble très bien se sortir de la situation. Selon l’Université John Hopkins, depuis 18 mois, il y a 14,5 fois moins de cas déclarés en Afrique que dans l’Union Européenne, rapporté au nombre d’habitants. On ne peut malheureusement pas comparer comme cela, car les Africains testent moins, donc ont moins de “cas positifs”. Ces déclarations sont plus à rapprocher du nombre de vrais patients.

Si cette comparaison présente un biais trop important, qu’en est-il des décès, qui eux ne dépendent pas du nombre de tests ? Depuis 18 mois, toujours chiffres John Hopkins, l’Afrique a 12 fois moins de décès que l’Union Européenne, rapporté au nombre d’habitants. Là encore, la comparaison brute n’est pas possible. En effet, chez nous ce sont surtout des plus de 70 ans qui meurent, chez eux cette population est très faible. Leur population est bien plus jeune que la nôtre et les jeunes ne meurent pas du Covid. Ceci dit, il y a 6 fois moins de plus de 70 ans en Afrique, et 12 fois moins de décès, avec pourtant des patients graves peu ou pas soignés qui devraient aggraver cette mortalité.

Alors si on ne peut se comparer, comment étudier ce qui se passe en Afrique ? Pourquoi si peu de cas, si peu de décès ? Pourquoi n’a-t-on pas vu l’hécatombe projetée par l’OMS il y a 18 mois ? Pour le savoir, il faut comparer ce qui est comparable, c’est à dire les États Africains entre eux et non avec nous. C’est ce qui a été fait par Hisaya Taniokla, Sayaka Tanioka et Kimitaka Kaga, dans cette étude.

Les auteurs ont fait une analyse statistique de l’impact de l’Ivermectine, utilisée pour l’onchocercose, sur les taux de morbidité, de mortalité, de guérison et de létalité causés par le COVID-19, dans les 31 pays endémiques de l’onchocercose, utilisant le traitement. Ils ont comparé, pays par pays (voir leur étude détaillée), avec le taux de mortalité causé par le COVID-19 donné par l’OMS en Afrique.

Plus de 99% des cas d’onchocercose en Afrique ont lieu dans ces 31 pays ( Angola, Bénin, Burkina Faso, Burundi, Cameroun, Afrique centrale, République du Congo, Côte d’Ivoire, République démocratique du Congo, Éthiopie, Gabon, Ghana, Guinée, Guinée-Bissau, Guinée équatoriale, Kenya, Liberia, Malawi, Mali, Mozambique, Niger, Nigeria, Rwanda, Sénégal, Sierra Leone, Soudan du Sud, Tchad, Togo, Ouganda, Tanzanie, soit 973 millions d’habitants), qui font l’objet d’une campagne massive de l’OMS avec l’Ivermectine, en vue d’éradiquer la maladie. Les 22 autres pays (« groupe placebo » de 357 Millions d’habitants) ne l’utilisent pas.

Leur résultat principal est bien résumé par un graphique publié par un média Autrichien que voici. Il se passe quasiment de légende, la différence entre pays sous Ivermectine pour l’Onchocercose, et ceux qui n’en ont pas, est éloquente : 8 fois moins de cas pour chacune des 3 vagues qu’a connu l’Afrique.

Leur conclusion : « la morbidité et la mortalité dans les pays endémiques de l’onchocercose sont inférieures à celles des pays non endémiques. Le traitement communautaire de l’onchocercose par l’ivermectine est l’explication la plus raisonnable de la diminution du taux de morbidité et de mortalité en Afrique. Dans les zones où l’ivermectine est distribuée et utilisée par l’ensemble de la population, elle entraîne une réduction significative de la mortalité. »

Les chiffres de l’étude sont du même ordre de grandeur que les chiffres de John Hopkins cités en début de billet., avec une comparaison des décès pour 100 000 habitants entre les groupes avec et sans ivermectine, qui montre une différence de 13,3 fois moins de décès. Intéressant, ils ont également comparé les taux de vaccination dans les deux groupes : 1,94% dans le groupe ivermectine, contre 12,4% dans le groupe sans.

Je mettrai un bémol : cette étude a été faite avec les pays utilisant l’ivermectine, il aurait été intéressant de la faire aussi avec ceux qui utilisent l’hydroxychloroquine, tout autant utilisée en Afrique, pour le paludisme. Les cartes géographiques doivent se superposer, et ces résultats ne sont peut-être pas à attribuer en totalité à l’ivermectine, mais à ces deux molécules utilisées « accidentellement » en prophylaxie contre la covid 19.

Ces résultats sont tout à fait cohérents avec l’étude d’Hector Carvallo en Argentine, étude en prophylaxie portant sur 1200 soignants au contact de patients covids dans 4 hôpitaux, affichant 100% d’efficacité dans le groupe de 800 traités, n’ayant constaté aucun cas après 2 mois et demi, alors qu’il y avait 56% de contaminés dans le groupe non traité.

Avec ce qui s’est passé en Inde, ces constatations grandeur nature, portent sur 2,7 milliards d’individus. Des faits et des chiffres, publiés par les autorités, tellement indiscutables que nos « autorités scientifiques » (qui ne le sont plus) refusent d’en discuter. Voici la courbe des décès covid par million d’habitants, pour l’Afrique, l’inde et l’Europe et les Etats Unis. Notons que l’Afrique a fait (inconsciemment) du préventif, et l’Inde du curatif.

Si il faut interpréter ces courbes en fonction du nombre de plus de 70 ans (6 fois moins en Afrique, 5 fois en Inde), ce n’est pas le cas pour la comparaison entre Etats Africains (8 fois moins de décès sous ivermectine).

Nos politiques, nos autorités sanitaires, notre presse, refusent de voir cela, opposant une seule étude in vitro alors que nous parlons de résultats in vivo, voire l’étude Medina où des patients du groupe placebo ont reçu de l’ivermectine, pour dire que cela ne marche pas et clore un débat gênant. Ce constat portant sur 2,7 milliards d’individu vaut toutes les études à 200 cas, faites par des individus payés par on ne sait qui, à la recherche d’on ne sait quelle notoriété ou carrière, et dont beaucoup n’ont jamais traité un seul patient covid.

Si en traitant à titre préventif l’Afrique n’a probablement pas acquis d’immunité collective, la population étant alors peu malade, ce n’est pas le cas de l’Inde. Selon une étude du Conseil indien de la recherche médicale (Indian Council of Medical Research, ICMR) faite sur un échantillon de 29 000 personnes après leur vague delta, 67,6% des indiens avaient des anticorps. Immunité collective acquise naturellement, par contamination, seulement 3% des indiens étant vaccinés à l’époque (par contre 13% dans l’étude, les vaccinations ayant augmenté après la troisième vague). Cette immunité est, de plus, bien plus durable que celle temporaire acquise par les vaccins. Sur ce blog, on a avancé ici que ce variant delta était peut-être une aubaine si on l’attrapait et si on le traitait, il semble que les 1,4 milliards d’indiens en ont fait la démonstration. Cette semaine l’Inde (l’ICMR cité ci-dessus) vient pas ailleurs de classer l’Ivermectine dans la liste des médicaments essentiels (Indian National List of Essential Medicines (NLEM).

Pour cacher ces résultats, le complot anti ivermectine continue. La semaine dernière, elle a été dénoncée comme produit vétérinaire et non humain, et potentiellement mortelle. C’est une reprise des perroquets de la presse, animal qui, on le sait, sait répéter mais pas réfléchir, suite à un communiqué du CDC américain (Centers for Disease Control & Prevention), lui-même suite à une vaste farce que personne n’est allé vérifier, pas même ce “Centre de Contrôle” des maladies, pourtant autorité sanitaire, sans doute composée des mêmes compétences que chez nous. En effet, un américain avait prétendu voir dans son hôpital défiler nombre d’intoxiqués graves à l’Ivermectine et encombrant tous les lits. L’hôpital en question vient de faire un communiqué pour signaler que cet individu ne fait plus partie de l’établissement depuis des mois, et surtout qu’il n’est pas possible d’avoir nombre de complications dues à l’ivermectine, celle-ci n’étant pas utilisée dans l’établissement. Ne comptons pas sur notre presse pour rétablir la vérité et conter cette histoire qu’ils ont largement repris.

En ce qui concerne l’innocuité de l’Ivermectine, rappelons que vigibase, base de donnée des effets indésirables de l’OMS, comptabilisait en 30 ans 16 décès (dont 15 d’un coup, plus que discutables, dans une Ehpad où les patients ont eu en même temps deux insecticides mortels), pour 4 milliards de prises. Au cours des 12 derniers mois, la base en signale 4 de plus, et près de 200 de plus pour le paracétamol (Doliprane). Rappelons aussi cette tentative de suicide infructueuse avec 100 fois la dose.




Bill Gates, Elon Musk, Rockefeller… Les soi-disant « vaccins » à ARNm, l’eugénisme, la dépopulation et la montée en puissance du transhumanisme

[Source : Sott.net]

Par Ryan Matters — NewBraveWorld.org

Note du traducteur : Cet article nous semble essentiel, non pas parce que l’auteur développe des aspects du totalitarisme eugénique et transhumaniste en cours qui n’auraient pas déjà fait l’objet de publications antérieurs — voir à cet effet les différents liens que nous en donnons tout au long de la traduction — mais parce qu’il articule tous ces aspects d’une manière qui donne à voir l’image de l’agenda, qui est tout sauf humaniste sous couvert de l’être, selon une meilleure et plus large perspective. En bref, l’auteur connecte les points.

Bonne lecture.

Le déploiement mondial des [soi-disant – NdT] « vaccins » anti-Covid-19 à ARNm fait partie d’un programme bien plus vaste qui englobe l’eugénisme et le transhumanisme. Ce programme est financé et promu par un réseau d’institutions mondiales, de politiciens et de technocrates milliardaires.

En 1989, des chercheurs du Salk Institute en Californie ont publié une étude expliquant comment ils avaient mis au point un système de transfection par ARN qui pouvait « directement introduire l’ARN dans des tissus entiers et dans des embryons ». Cette étude est la première à avoir décrit le concept d’utilisation de l’ARN en tant que médicament et a permis de poser les fondements de décennies de recherches ultérieures dans ce domaine. La section « Discussion » de l’article indique que :

« La méthode ARN/lipofectine peut être utilisée pour introduire directement l’ARN dans des tissus entiers et des embryons (R.W.M., C. Holt et I.M.V., résultats non publiés), suggérant que la transfection de l’ARNm par les liposomes pourrait offrir une autre option dans la technologie croissante de l’administration de gènes eucaryotes, une option basée sur le concept de l’utilisation de l’ARN comme médicament. »

L’un des chercheurs du Salk Institute cités dans l’article est le Dr Robert W. Malone, un scientifique [biologiste moléculaire, épidémiologiste et spécialiste des maladies infectieuses – NdT] qui a récemment été censuré sur les médias sociaux [et dans les médias mainstream – NdT] pour avoir attiré l’attention sur les dangers possibles des [soi-disant – NdT] vaccins anti-Covid-19. On pourrait considérer qu’il n’existe aucun expert plus qualifié pour nous mettre en garde contre les dangers des injections d’ARNm que l’homme qui a contribué à mettre au point cette technologie. Néanmoins, Big Tech a décidé qu’il diffusait des « fausses informations », parce que, selon toute vraisemblance, ils en sauraient plus que lui sur le sujet.

[Voir aussi :
Le Dr R. Malone, inventeur des vaccins à ARNm et ADN : « C’est vrai, je suis en train d’être effacé de l’histoire »]

Les recherches de Malone, qui ont abouti à une procédure permettant de « transfecter efficacement l’ARN dans les cellules humaines » à l’aide d’un « lipide cationique synthétique », ont été soutenues par des subventions de l’American Cancer Society et du National Institute of Health — qui détient aujourd’hui une participation dans le [soi-disant – NdT] vaccin anti-Covid-19 à ARNm de Moderna, preuve s’il en est de son allégeance à cette technologie. Nous y reviendrons plus tard.

Bien que les contributions de Malone au développement de la technologie de l’ARNm sont bien connues et bien documentées, Wikipedia a décidé de supprimer toute mention le concernant dans leur page « Vaccin à ARN », et ce peu de temps après que le scientifique ait commencé à s’exprimer sur les dangers des [soi-disant – NdT] vaccins anti-Covid-19 fabriqués en dans la précipitation. La version du 14 juin 2021 de la page en question mentionnait trois fois le nom de Malone et citait ses travaux six fois. La version actuelle de cette page ne le mentionne plus du tout et ne cite ses travaux que trois fois.

Toutefois, cela n’est pas surprenant compte tenu du parti pris avéré de Wikipedia en faveur de l’industrie pharmaceutique. Se pencher sur l’institution qui a initié la recherche — le Salk Institute — s’avère toutefois bien plus intéressant. Le Salk Institute, nommé d’après Jonas Salk, le créateur du vaccin Salk contre la polio, a été construit en 1962 grâce au financement de la National Foundation for Infantile Paralysis, aujourd’hui connue sous le nom de March of the Dimes.

La March of the Dimes a été créée en 1937 avec pour mission d’éradiquer la polio, à l’époque même où le courant eugéniste occupait sur la scène sanitaire des États-Unis une place déjà importante, mais pas encore popularisée. La théorie de l’eugénisme repose sur l’idée que la procréation sélective peut conduire à une « amélioration » progressive de la race humaine et que certaines familles sont aptes à diriger la société en vertu de leurs gènes « supérieurs ».

À l’époque, les principales organisations eugénistes du pays comprenaient l’American Eugenics Society et l’American Society of Human Eugenics, financées par les familles Rockefeller, Carnegie et Harriman, ainsi que par l’Institut Rockefeller pour la Recherche médicale. Il convient de noter que les Rockefeller ont contribué de façon décisive à financer et à promouvoir l’eugénisme dans le monde entier. Le mouvement eugéniste encourageait l’accouplement sélectif, l’insémination artificielle, la stérilisation obligatoire et l’euthanasie comme constituant des moyens importants d’éliminer les êtres humains dits « inférieurs ».

Aux États-Unis, la première loi sur la stérilisation a été adoptée en 1907, dans l’État de l’Indiana, et en 1931, de nombreux autres États avaient suivi le mouvement en promulguant des lois similaires. Selon les données historiques de l’État de l’Indiana :

« En 1907, le gouverneur J. Frank Hanly a approuvé la première loi eugéniste de l’État rendant la stérilisation obligatoire pour certains individus placés sous la garde de l’État. »

Les personnes stérilisées en vertu de ces lois eugénistes étaient jugées « indésirables » en raison de déficiences mentales ou physiques telles que l’épilepsie, la cécité et les handicaps physiques, ainsi qu’en raison de « déficiences sociales » telles que la toxicomanie ou la criminalité. En vertu de ces lois et selon les estimations, environ 60 000 personnes ont ainsi été stérilisées, privées de leur droit d’avoir des enfants et cataloguées de manière irrévocable comme étant « faibles d’esprit ».

En fait, l’importance du mouvement eugéniste aux Etats-Unis était telle qu’elle a conduit le parti national-socialiste allemand à l’adopter, de sorte qu’à la fin de la Seconde Guerre mondiale, plus de 350 000 personnes avait été stérilisées par le régime nazi. Après la Seconde Guerre mondiale, les notions d’eugénisme ont disparu de la conversation publique, mais le mouvement ne s’est jamais dissipé. Au contraire, il a été « rebaptisé » en utilisant des termes plus acceptables tels que « contrôle de la population » et « santé de la procréation », comme nous le verrons plus loin.

L’émergence de la March of the Dimes en tant qu’acteur majeur du mouvement eugéniste aux États-Unis remonte à l’association précoce de l’organisation avec l’Institut Rockefeller, qui lui a fourni nombre de ses membres et conseillers clés, notamment le professeur Anton Julius Carlson, membre de l’American Eugenics Society, recruté pour faire partie des comités médicaux et de recherche de la March of the Dimes, et le professeur Clair E. Turner, autre membre de l’American Eugenics Society, qui était l’assistant de Basil O’Connor, lui-même alors président.

Juste avant la création de l’Institut Salk, le ministère de la Santé a annoncé qu’il allait supprimer progressivement ses programmes de lutte contre la polio et concentrer ses ressources sur les « anomalies congénitales ». En 1959, la March of the Dimes a financé des cours de « génétique médicale » au Jackson Laboratory dans le Maine, un institut de génétique fondé en 1929 par Clarence Cook Little, qui, « à un moment ou à un autre », a été président de l’American Eugenics Society, de l’American Birth Control League et de l’American Euthanasia Society.

La mission revendiquée du Jackson Laboratory est de

« découvrir des solutions génomiques précises pour les maladies et de dynamiser la communauté biomédicale mondiale dans sa quête commune pour améliorer la santé humaine. »

Il convient de noter que le Jackson Laboratory a reçu un financement accru en 2020, en grande partie de l’Institut national de la santé, notamment une subvention de 10,6 millions de dollars afin de trouver des traitements pour lutter contre les maladies génétiques rares en utilisant les technologies d’édition de gènes. Et au début de la « pandémie » de coronavirus, ce même laboratoire s’est efforcé de développer des souris génétiquement modifiées pour les utiliser dans des études de vaccins et autres recherches liées au Sras-Cov-2.

À partir des années 1960, la March of the Dimes a financé plusieurs « Centres de prévention des malformations congénitales » situés dans des établissements médicaux disséminés à travers les États-Unis. Ces nouveaux centres proposaient des tests prénataux par amniocentèse pour déterminer si un bébé naîtrait avec des « malformations » et donnaient ensuite au couple la possibilité d’avorter l’enfant atteint de malformation(s).

La March of the Dimes a également fait des dons directs à Planned Parenthood [le planning familial – NdT], ce qui est en contradiction flagrante avec la mission qu’elle revendique, à savoir « lutter pour la santé de toutes les mamans et de tous les bébés ». Le Planned Parenthood est une organisation à but non lucratif qui fournit aux États-Unis et à l’étranger des « soins de santé en matière de reproduction ». De 2019 à 2020, l’organisation a pratiqué plus de 350 000 avortements et a été critiquée pour avoir « détourné les ressources prévues pour la santé des femmes au profit des avortements. » Sans surprise, un regard sur l’histoire de l’organisation révèle que les racines de Planned Parenthood reposent sur les idéaux eugénistes.

Le Planned Parenthood a été fondé par Margaret Sanger, qui, loin d’être une « activiste du contrôle des naissances », comme le courant dominant voudrait le faire croire, était une eugéniste raciste qui cherchait à débarrasser le monde de la race humaine jugée « inapte ». Dans son essai intitulé « Un plan pour la paix », elle décrit les principaux objectifs de sa proposition pour un « Congrès sur la population », à savoir

« une politique sévère et rigide de stérilisation et de ségrégation à l’égard de la catégorie de population dont la progéniture est souillée ou dont l’héritage est tel que des traits répréhensibles peuvent être transmis à la progéniture. »

Elle mentionne également la nécessité de « contrôler l’entrée et la sortie des crétins, des déficients mentaux, des épileptiques. »

Note du traducteur : Ce qui veut dire qu’il est nécessaire que le nombre des naissances d’individus « souillés » ne soit pas supérieur à celui des décès de ces mêmes individus. Notez l’expression particulièrement inhumaine « entrée et sortie ».

Comme nous l’avons mentionné plus haut, ces idéaux eugénistes ont inspiré les nazis qui ont repris nombre des idées de Sanger et les ont, pour ainsi dire, appliquées. Dans son livre The War Against the Weak, Edwin Black explique en détail comment la loi nazie de 1933 sur la stérilisation et les lois ultérieures sur l’euthanasie étaient basées sur des plans élaborés par Sanger et d’autres « militants » des États-Unis. En fait, les associés de Sanger connaissaient ces programmes d’euthanasie nazis et en faisaient l’éloge.

Pour en revenir au Salk Institute, il convient de noter que le récit dominant de l’épidémie de polio du XXe siècle, à savoir l’idée que la maladie est causée par un virus et que le vaccin miracle du Dr Salk a été le seul à mettre fin à l’épidémie, est douteux et probablement totalement faux.

Note du traducteur : En effet, et vous pouvez vous reporter à cet article particulièrement fouillé que nous avons publié il y a un an : Enquête Choc — Les vaccins ont-ils vraiment sauvé l’humanité ?

La polio paralytique est apparue soudainement aux États-Unis au début des années 1900, avec des fluctuations continuelles et spectaculaires du nombre de cas — un schéma qui s’est poursuivi jusqu’à la fin des années 1950. L’introduction du vaccin Salk en 1954 a semblé coïncider avec le déclin presque instantané des cas, qui s’est poursuivi pendant plus de deux décennies.

Mais avant d’être appelées « polio » [poliomyélite – NdT], les affections impliquant une infirmité des membres étaient connues sous d’autres noms, notamment apoplexie, parésie et paralysie. De nombreux écrits historiques font référence à des paralysies résultant d’une exposition à des substances toxiques et beaucoup de ces récits ont été documentés par le Dr Ralph Scobey dans sa déclaration de 1952 au Comité d’enquête sur l’utilisation des produits chimiques dans les produits alimentaires, intitulée « Le poison en cause dans la poliomyélite et les obstacles à son investigation ».

L’article de Scobey fait référence à plusieurs enquêtes qui semblaient indiquer un lien entre les épidémies de polio au XXe siècle et la consommation de fruits frais, établissant ainsi un lien entre la polio et l’exposition aux pesticides toxiques. Un pesticide agricole largement utilisé à l’époque était le DDT, un organochloré hautement toxique dont on a beaucoup vanté les mérites, mais qui a finalement été interdit en 1972. En 1953, le Dr Morton Biskind a publié une étude dans l’American Journal of Digestive Diseases soulignant que :

« McCormick (78), Scobey (100-101), et Goddard (57), dans des études détaillées, ont tous souligné que des facteurs autres que les agents infectieux sont certainement impliqués dans l’étiologie de la polio, allant de défauts nutritionnels à une variété de poisons qui affectent le système nerveux. »

Le danger des pesticides toxiques, dont le DDT, et leurs effets désastreux sur l’environnement ont été illustrés par Rachel Carson dans son livre de 1962, Printemps silencieux.

Note du traducteur : Le Printemps silencieux est le concept repris par Stephanie Seneff pour présenter son livre sur les glyphosates, intitulé Toxic Legacy — How the Weedkiller Glyphosate Is Destroying Our Health and the Environment [« Héritage toxique — Comment le glyphosate désherbant détruit notre santé et l’environnement ou Le Printemps silencieux de notre temps, non traduit en français. Stephanie Seneff alerte de puis longtemps sur les effets hautement toxiques du Roundup, par exemple ;

Plus récemment, des chercheurs, Dan Olmstead, cofondateur de l’Ère de l’autisme, et Mark Blaxil, ont mené deux brillantes enquêtes sur les épidémies de polio du XXe siècle, aboutissant à une conclusion similaire à celle de Scobey et Biskind, à savoir que la maladie a été causée par l’utilisation généralisée de pesticides neurotoxiques tels que l’arsénite de soude et le DDT.

Bien que le vaccin de Salk ait été salué pour son efficacité, le vaccin lui-même a causé de nombreux cas de séquelles et de paralysies. Et bien qu’il semble exister une corrélation convaincante entre le moment où le vaccin a été administré et la réduction des cas de polio, comme tout bon scientifique le sait, la causalité n’est pas synonyme de corrélation, surtout si l’on tient compte du fait qu’au au cours de la même période, le DDT a été progressivement éliminé, du moins aux États-Unis.

Il est intéressant de noter que les recherches sur la polio du Dr Salk ont été financées par la mère de Cordelia Scaife May, une héritière de la fortune bancaire de la famille Mellon, qui a idéalisé Margaret Sanger et a ensuite rejoint le conseil d’administration de la Fondation internationale Planned Parenthood. Les opinions de May sur l’immigration étaient pour le moins radicales et, selon certains, elle était favorable à la stérilisation obligatoire comme moyen de limiter les taux de natalité dans les pays en développement. May a ensuite rejoint le conseil d’administration du Population Council, une organisation fondée par John D. Rockefeller III dont l’objectif principal consiste à réduire le nombre d’individus sur Terre. En 1995, le Population Council a collaboré avec l’OMS pour créer des vaccins destinés à réguler la fertilité.

Penser qu’aucune corrélation ne peut être faite entre l’épidémie de polio et l’« ère de la vaccination » dans laquelle nous nous trouvons serait une erreur. Au contraire, prétendre que la polio a été « éradiquée aux États-Unis » grâce à la seule vaccination est un mensonge qui a permis de gagner la faveur du public pour les vaccinations infantiles et a contribué à jeter les bases de la croyance généralisée en la sécurité et l’efficacité de tous les vaccins [ou supposés tels – NdT]. Des maladies telles que la polio et la variole — un autre mensonge qui dépasse le cadre de cet article — et la propagande pro-vaccins qui s’en est suivie, ont « conditionné » une grande partie de la population à accepter, sans poser de questions, une piqûre expérimentale basée sur une technologie encore bien mal comprise.

La déformation de la science

En 1997, huit ans après l’étude publiée du Salk Institute, la FDA a approuvé le tout premier essai d’ARN transfecté pour développer l’immunité chez les patients atteints de cancer. Le comité consultatif sur l’ADN recombinant de l’Institut national de la santé a quelques mois plus tard voté en faveur du maintien de l’approbation, ce qui a conduit aux toutes premières administrations de vaccins à base d’ARNm chez l’homme.

Bien que l’ARNm est présenté dans les médias comme la prochaine révolution dans le domaine de la santé, toute personne dotée de discernement peut s’alarmer à la lecture d’extraits tels que celui-ci, tiré d’un article sur l’histoire de l’ARNm, rédigé pour StatNews par Damian Garde, journaliste spécialisé dans les biotechnologies :

« Le concept : En apportant des modifications précises à l’ARNm synthétique et en l’injectant aux gens, n’importe quelle cellule du corps pourrait être transformée en usine à médicaments à la demande. »

Toutefois, parler de cellules transformées en « usines à médicaments à la demande » est exactement le genre de techno-rhétorique dénuée de sens destinée à impressionner et à séduire un public non averti. Les [soi-disant – NdT] vaccins à ARNm reposent sur le concept suivant : un morceau d’ARNm synthétique est envoyé dans vos cellules, où il est utilisé comme modèle pour produire la « protéine Spike » [la même a priori que celle du virus Sras-CoV-2 – NdT]. Une fois que cette protéine quitte la cellule, l’organisme produit des anticorps et « apprend » à combattre les futures infections par le virus Sras-Cov-2.

Les [soi-disant – NdT] vaccins à base d’ARNm sont souvent présentés comme une alternative plus sûre aux [soi-disant – NdT] vaccins à base d’ADN qui, selon les experts [notamment Pascolo en 2004 selon le lien – NdT],

« peuvent déclencher des modifications permanentes et dangereuses de l’information génétique des personnes traitées. »

Cependant, avons-nous la certitude que les [soi-disant – NdT] vaccins à ARNm ne modifient pas de façon permanente la composition génétique de nos cellules ? Une étude de 2001 intitulée « L’ARN comme vaccin contre les tumeurs : une revue de la littérature », affirme que (c’est l’auteur qui souligne) :

« Contrairement aux vaccins à base d’ADN, le risque d’incorporation de séquences d’ARN dans le génome de l’hôte est faible. »

L’utilisation du mot « faible » semble indiquer qu’il peut au moins exister un certain danger d’intégration du génome, ou plus probablement, que les chercheurs ne savent tout simplement pas.

Dans l’étude d’« opinion d’expert » de Pascolo de 2004 cité plus haut, il souligne le lien entre les [soi-disant – NdT] vaccins à ARNm et les thérapies géniques, lien qui est continuellement nié et rejeté par le courant dominant :

« Bien que situé dans le cytosol et non dans le noyau, l’ARNm mature appartient à la famille biochimique des acides nucléiques. L’ARNm, comme l’ADN, peut être considéré comme un gène et, par conséquent, son utilisation comme vaccin peut être considérée comme une « thérapie génique ». »

Il est intéressant de noter que c’est uniquement en raison d’une technicité du droit réglementaire que les thérapies géniques Covid-19 sont autorisées à être appelées « vaccins ». Ceci est expliqué dans un document intitulé « L’environnement réglementaire européen des vaccins à base d’ARN », qui stipule que :

« La définition d’un médicament de thérapie génique telle qu’elle figure à l’annexe 1 de la directive 2001/83/CE est la suivante :

On entend par médicament de thérapie génique un médicament biologique qui présente les caractéristiques suivantes :

(a) il contient une substance active qui contient ou consiste en un acide nucléique recombinant utilisé chez l’homme ou administré à celui-ci en vue de réguler, réparer, remplacer, ajouter ou supprimer une séquence génétique ;

(b) son effet thérapeutique, prophylactique ou diagnostique est directement lié à la séquence d’acide nucléique recombinant qu’il contient, ou au produit de l’expression génétique de cette séquence.

Les médicaments de thérapie génique ne comprennent pas les vaccins contre les maladies infectieuses. »

Comme on s’en doute, le simple fait d’appeler une thérapie génique un « vaccin contre une maladie infectieuse » annule sa classification en tant que thérapie génique, dont le processus d’approbation, du moins en Europe, implique de passer par le CAT qui est le « Comité des thérapies avancées » de l’EMA (Agence européenne des médicaments). De toute évidence, ce jeu de langage semble constituer une sorte de « faille », qui permet d’approuver plus facilement les thérapies géniques à base d’ARNm prévues pour un usage humain.

Note du traducteur : Ce jeu de langage n’est pas fortuit, loin s’en faut. Il constitue ce que James Lindsay a brillamment exposé dans son article majeur La psychopathie et les origines du totalitarisme, comme étant les pseudo-réalités académiques, la paralogie idéologique et la paramoralité idéologique.

Cette approbation constitue certainement un sujet controversé lorsqu’on l’aborde dans le contexte des [soi-disant – NdT] vaccins anti-Covid-19 actuels — dont la plupart n’ont pas été entièrement approuvés par la FDA, mais seulement autorisés dans le cadre d’une utilisation d’urgence, et étiquetés comme étant des produits « expérimentaux », un fait que beaucoup de gens ignorent. Cependant, au début de l’année, les fabricants de vaccins se sont déjà fixé pour objectif d’obtenir une approbation réglementaire complète, après seulement six mois d’essais. Le 7 mai, Pfizer a officiellement déposé sa demande auprès de la FDA, dans le but d’obtenir le tout premier vaccin covid-19 pleinement autorisé. Et le 23 août, cette autorisation lui a été accordée par la FDA. Mais avec des millions de vaccins déjà administrés sous autorisation de mise sur le marché conditionnelle, pourquoi tant de hâte ?

En outre, pour les six vaccins « pionniers dans le traitement d’une maladie » qui ont été approuvés par la FDA au cours des quinze dernières années, la durée médiane des essais flirtait avec un timide délai de deux ansL’approbation d’un vaccin après six mois de données est l’une des plus rapides jamais enregistrées. Bien que les essais cliniques de phase trois de Pfizer, Moderna et Janssen aient tous une durée de deux ans [et qu’ils sont donc en cours – NdT], la FDA a pris soin de ne jamais énoncer clairement sa position quant au suivi clinique minimum avant d’envisager l’approbation.

Pour évaluer la sécurité des vaccins, des essais plus longs, contrôlés par placebo, sont primordiaux. Il est donc extrêmement alarmant que les fabricants de vaccins, quelques semaines après avoir reçu l’autorisation d’utilisation d’urgence, aient commencé à pervertir les essais en offrant aux personnes du groupe placebo la possibilité de se faire « vacciner »Moderna a annoncé que

« depuis le 13 avril, tous les participants au groupe placebo se sont vus proposer le vaccin Moderna anti-Covid-19 et 98 % d’entre eux ont reçu le vaccin ».

Ce qui signifie que leur groupe placebo n’existe plus et qu’ils n’ont donc aucun moyen de mesurer avec précision la sécurité à long terme. Il en va de même pour Pfizer.

Dans une étude du British Medical Journal, Peter Doshi cite la FDA qui, à plusieurs reprises, a déclaré que le maintien d’un groupe placebo serait essentiel pour évaluer à la fois la sécurité et l’efficacité des [soi-disant – NdT] vaccins anti-Covid-19, ce qui est évident pour quiconque comprend les conséquences du non-respect de la rigueur scientifique lors de l’essai d’une nouvelle thérapie médicale. En effet, sur plus de 200 médicaments approuvés par la FDA entre 2000 et 2010, un tiers d’entre eux se sont avérés présenter de sérieux problèmes de sécurité.

En réalité, les fabricants pourraient avoir de nombreuses raisons de vouloir obtenir l’approbation de la FDA pour leurs [soi-disant – NdT] vaccins, mais la première de ces raisons est probablement le « cachet d’approbation » qui accompagne l’homologation complète et la possibilité de l’utiliser pour convaincre ceux qui restent sceptiques quant à leur sécurité et à leur efficacité. De plus, l’approbation complète de la FDA ouvrirait la voie à des obligations vaccinales plus simples à mettre en œuvre, ce qui mettrait une pression énorme sur les personnes qui composent la « classe éveillée » et qui représentent une épine dans le pied des promoteurs de l’agenda de la Grande Réinitialisation/Grande Convergence.

Dans le processus d’évaluation et d’approbation de ces [soi-disant – NDT] vaccins expérimentaux conduit par la FDA, des incohérences encore plus inquiétantes peuvent être trouvées. Par exemple, la FDA a récemment mis en garde contre l’utilisation de tests d’anticorps pour évaluer l’immunité ou la protection contre le Covid-19, « en particulier » après qu’une personne ait reçu une injection bien que l’autorisation européenne de mise sur le marché ait été accordée à l’origine, en partie, en raison de ces mêmes réponses aux anticorpsLes implications de ce revirement sont que l’autorisation européenne de mise sur le marché conditionnelle accordée pour les [soi-disant – NdT] vaccins contre le covid-19 devrait également être annulée, mais quelle est la probabilité que cela se produise alors que des millions de personnes ont déjà été injectées ?

En outre, l’idée que les « anticorps » assurent une protection contre les infections dites virales témoigne d’une mauvaise compréhension du corps et du système immunitaire. Le fait que les anticorps ne jouent pas un grand rôle dans les infections virales est connu des scientifiques médicaux depuis les années 1950, sur la base de recherches montrant que les personnes atteintes d’une incapacité génétique à produire des anticorps, appelée « agammaglobulinémie », ont des réactions normales aux infections virales typiques et semblent même résister aux récidives.

Note du traducteur : Il est important de préciser que notre organisme dispose de deux systèmes immunitaires : l’inné et l’adaptatif. C’est l’adaptatif qui produit des anticorps — qui sont des défenses spécifiques et ciblées — et il n’est que la barrière secondaire par lequel notre corps interagit avec les virus :

« Le système immunitaire inné est le moyen initial et principal par lequel notre corps interagit avec un virus. Le système inné aide le corps à trouver un équilibre génétique à chaque nouvelle mise à jour virale qui lui est présentée. Le corps n’a pas besoin de répliquer ou de reproduire les nouvelles informations virales après plus de 4 ou 5 jours de mises à jour. [Il] fonctionne sur des limites saines dans le corps humain, telles que les barrières physiques entre l’intestin et la circulation sanguine, ou sur les vaisseaux sanguins qui régulent étroitement le mouvement des ions, des molécules et des cellules entre la circulation sanguine et le cerveau (appelée barrière hémato-encéphalique), ou au niveau génétique de nos cellules (comme les protéines mutagènes dans nos cellules). En outre, le système immunitaire inné fonctionne à travers une variété d’enzymes [qui] sont maintenant considérées comme centrales à l’immunité innée.

Le système immunitaire adaptatif est le moyen secondaire par lequel notre corps interagit avec les virus. [Il] monte une réponse très spécifique à un virus en utilisant les globules blancs du corps, connus sous le nom de lymphocytes (cellules B et lymphocytes T). Les lymphocytes B sont responsables de la libération d’anticorps dans la circulation sanguine. Les anticorps sont la deuxième méthode d’interaction de l’organisme — et non la première — avec un virus après qu’il ait reçu une nouvelle mise à jour virale ou après qu’il ait développé un déséquilibre avec un virus particulier. Les anticorps sont des défenses spécifiques et ciblées. Ils apparaissent généralement sur les lieux 3 à 6 semaines après l’exposition initiale du corps à un virus. En termes simples, les anticorps agissent comme une équipe de nettoyage, aidant le corps à nettoyer les virus et les bactéries qui ne sont plus nécessaires. Pendant ce temps, les lymphocytes T sont responsables de la stimulation des lymphocytes B à fabriquer des anticorps.
»

Source : « Notre espèce est génétiquement modifiée » — L’humanité est-elle en marche vers l’extinction ? Première partie : Analyse du microbiome et du virome

Quoiqu’il en soit, les deux systèmes immunitaires semblent plus ou moins — selon les individus et la force ou la faiblesse initiale du système immunitaire inné — affectés par les injections, surtout si elles sont répétées.

Voir aussi :

Bill Gates, Moderna et l’eugénisme 2.0

L’un des fabricants de [soi-disant – NdT] vaccins anti-Covid-19 dont il est le plus fait mention dans les médias est Moderna, une société de biotechnologie cofondée par Robert Langer, chercheur et inventeur au MIT. En 2013, la startup de biotechnologie a reçu un financement de 25 millions de dollars de la part de la DARPA (Defense Advanced Research Projects Agency), un organe de recherche du ministère de la Défense des États-Unis, et une organisation bien connue pour sa quête incessante de technologies dystopiques et transhumanistes, telles que les nanoparticules implantables et les interfaces bio-cérébrales — nous y reviendrons.

Il convient de noter que le gouvernement des États-Unis, par l’intermédiaire du National Institute of Health, s’avère avoir un intérêt financier dans le [soi-disant – NdT] vaccin Moderna grâce à un contrat signé par les deux parties, donnant au NIH la propriété conjointe des candidats vaccins à ARNm de Moderna. Selon Axios :

« Le NIH finance principalement des recherches extérieures, mais il invente aussi souvent des technologies scientifiques fondamentales qui sont ensuite cédées sous licence et incorporées dans des médicaments vendus avec des bénéfices colossaux. »

Ceci est plus qu’alarmant étant donné que le NIH est chargé de donner la priorité aux traitements prometteurs pour soigner le Covid-19 et d’améliorer l’efficacité des essais cliniques, ce qui, pour Moderna, est impossible étant donné que leur essai ne contient plus de groupe de témoin. L’intérêt direct du NIH à ce que Moderna prospère peut également expliquer de manière plausible pourquoi la start-up biotechnologique a reçu l’autorisation de mise sur le marché conditionnelle de son [soi-disant – NdT] vaccin alors qu’elle n’a pas réussi, pendant plus de dix ans [et donc depuis qu’elle existe – NdT], à mettre un seul produit sur le marché.

Lors d’une interview pour Economic Club, le directeur du NIH, Francis Collins, a nié que les [soi-disant – NdT] vaccins anti-Covid-19 permettraient de gagner de l’argent, déclarant que « personne ne voit cela comme un moyen de gagner des milliards de dollars ». Cependant, les preuves montrent le contraire, puisque les ventes des [soi-disant – NdT] vaccins anti-Covid-19 de Moderna ont atteint 1,7 milliard de dollars au premier trimestre 2021, faisant de leur PDG, Stéphane Bancel, l’un des nombreux nouveaux milliardaires de l’industrie pharmaceutique.

« Operation Warp Speed » [à la vitesse de l’éclair – NdT], le nom donné à un partenariat entre plusieurs agences fédérales des États-Unis visant à accélérer le développement d’un [soi-disant – NdT] vaccin contre le Covid-19, a également été marqué par des conflits d’intérêts. L’administration chargée de l’Operation Warp Speed a engagé plusieurs « consultants » ayant des liens avec Big Pharma, dont deux anciens cadres de Pfizer. Et en mai 2020, il a été rapporté que leur conseiller principal, le Dr Monsef Slaoui, lui-même ancien cadre de l’industrie pharmaceutique, détenait 10 millions de dollars d’actions GlaxoSmithKline, la même société qui a ensuite obtenu un contrat de 2 milliards de dollars pour fournir au gouvernement des États-Unis 100 millions de flacons pour contenir le [soi-disant – NdT] vaccin anti-Covid-19. Le Dr Slaoui détenait également un nombre important d’actions de la société Moderna, à laquelle le gouvernement fédéral a accordé un financement de plus de 2,5 milliards de dollars.

Le cofondateur de Moderna, Robert Langer, qui dispose d’avoirs dont la valeur nette a également explosé pour atteindre des milliards, est l’un des chercheurs les plus cités au monde. Scientifique au MIT, Langer détient plus de 1 400 brevets et est spécialisé dans la biotechnologie, la nanotechnologie, l’ingénierie tissulaire et l’administration de médicaments. En outre, Langer occupe un poste administratif au Media Lab du MIT, le même institut qui a fait l’objet d’un scandale après la découverte d’un financement octroyé à ce même laboratoire par Jeffrey Epstein, un prédateur sexuel condamné. Il se trouve qu’Epstein entretenait également une fascination troublante pour le « transhumanisme », une version moderne de l’eugénisme — le transhumanisme est abordé plus loin dans cet article.

Le directeur du MIT Media Lab de l’époque, Joi Ito, a ensuite approuvé deux donations d’Epstein pour un montant de 1,75 million de dollars et a permis au pédophile prolifique de « diriger » vers le laboratoire des fonds provenant d’autres riches bienfaiteurs, y compris une donation de 2 millions de dollars de Bill Gates, lequel entretient également des liens troublants avec Epstein, ayant voyagé dans son jet privé et l’ayant rencontré à plusieurs reprises. Lorsque la nouvelle a éclaté et que Joi Ito a démissionné de son poste au laboratoire, Langer a été l’une des premières personnes à signer une lettre lui demandant de rester, et en tant qu’administrateur du bureau du directeur du laboratoire, il est difficile de croire qu’il n’était pas déjà au courant des dons d’Epstein.

Décrit comme le « dénominateur commun » au sein d’initiatives multiples axées sur le coronavirus, Robert Langer est sans conteste un acteur du mouvement transhumaniste qui ne manque pas de nous intéresser. En 2015, sa société, Microchips Biotech, s’est associée au géant pharmaceutique israélien, Teva Pharmaceutical, pour commercialiser son « dispositif implantable d’administration de médicaments » [dispositif qui assure la libération prolongée d’un médicament pendant la durée souhaitée, généralement sur des périodes de plusieurs mois ou années – NdT]. Il convient de noter que Teva Pharmaceutical a reçu des investissements importants de Warren Buffett, qui, en 2006, s’est engagé à faire progressivement don de sa fortune à la Fondation Bill & Melinda Gates, une organisation dont il était administrateur jusqu’à très récemment.

Langer a également des liens avec Charles Lieber, un scientifique de Harvard spécialisé dans les nanotechnologies qui a été arrêté en janvier pour avoir fait de fausses déclarations aux autorités fédérales concernant sa collaboration avec des scientifiques chinois de l’université de Technologie de Wuhan. En 2012, Langer et Lieber ont travaillé ensemble pour créer un « matériau qui fusionne l’électronique à l’échelle nanométrique avec les tissus biologiques ». Ce matériau a été décrit comme « un premier pas vers des prothèses qui communiquent directement avec le système nerveux ».

Une grande partie des recherches de Langer sont soutenues par Bill Gates, qui a commencé à financer la technologie ARNm en 2010 et a également investi des millions dans Moderna. En 2017, la Fondation Bill & Melinda Gates a parrainé un projet du laboratoire de Langer visant à créer un système d’administration de vaccins par microparticules qui pourrait générer un « nouveau type de particule porteuse de médicament », permettant d’administrer plusieurs doses d’un vaccin sur une période prolongée avec une seule injection. Puis, en 2019, Gates et Langer se sont à nouveau associés pour créer un tatouage à l’encre invisible qui « incorpore les dossiers de vaccination dans la peau d’un enfant ». De manière tout à fait préoccupante, l’objectif à terme du projet est d’injecter des capteurs qui pourront être utilisés pour suivre « d’autres aspects » de la santé.

Gates prétend avoir besoin de ces données pour « prévenir les maladies » et le dit en se référant à ses efforts pour éradiquer dans le monde la polio, la rougeole et d’autres maladies « infectieuses ». Cependant, les diverses initiatives « sanitaires » de Gates dans les pays en développement ne sont pas l’œuvre d’un philanthrope bienveillant, comme les médias voudraient nous le faire croire. Au contraire, tout porte à croire que l’engagement de Bill Gates dans le domaine de la santé publique représente la poursuite d’un programme eugénique de longue date, caché au grand jour. Les liens de Bill Gates avec le mouvement eugéniste commencent avec son père, qui a fait l’éloge des Rockefeller pour leur travail dans le domaine de la « santé publique » et les a même rencontrés en 2000 pour discuter de questions relatives aux maladies infectieuses, aux vaccins et à l’environnement. Au cours de cette rencontre, William Gates senior aurait déclaré :

« Prenant exemple et s’inspirant du travail déjà accompli par la Fondation Rockefeller, notre fondation a en fait lancé GAVI en promettant 750 millions de dollars à un instrument appelé Fonds mondial pour les vaccins destinés aux enfants, un instrument de GAVI. »

Il est intéressant de noter que, près de dix ans après cette réunion, Bill Gates junior a co-organisé une réunion avec David Rockefeller consacrée à la réduction de la population.

Ce qui est peut-être encore plus révélateur, c’est qu’en 2012, Bill et Melinda Gates ont organisé leur Sommet de Londres sur le planning familial, où ils ont annoncé leur engagement en faveur du contrôle de la population dans le tiers-monde, à l’occasion du 100e anniversaire du Premier congrès international sur l’eugénisme, qui s’est également tenu à Londres.

Bill Gates est bien connu pour son obsession des vaccins, une quête curieuse si l’on considère que les 9 000 000 de personnes qui meurent chaque année de la faim seraient mieux servies si elles disposaient d’eau potable, d’un approvisionnement en nourriture, d’équipements d’assainissement convenables et un environnement sain. En 2009, la Fondation Gates a financé des études d’observation en Inde pour un vaccin controversé contre le cancer du col de l’utérus, le « Gardasil », qui a été administré à des milliers de jeunes filles. En quelques mois, de nombreuses jeunes filles ont commencé à tomber malades et, au bout d’un an, cinq d’entre elles étaient décédées.Au cours d’une étude similaire portant sur une autre marque de vaccin contre les papillomavirus humains, de nombreuses jeunes filles ont été hospitalisées et deux autres sont décédées.The Economic Times of India a publié en 2014 un rapport sur ce sujet, avec la révélation choquante suivante :

« Dans de nombreux cas, le consentement à la réalisation de ces études a été obtenu auprès des directeurs de foyers, ce qui constitue une violation flagrante des normes. Dans de nombreux autres cas, l’empreinte du pouce de leurs parents pauvres et analphabètes était dûment apposée sur le formulaire de consentement. Les enfants n’avaient également aucune idée de la nature de la maladie en question pas plus que celle du vaccin. Dans un très grand nombre de cas, les autorités concernées n’ont pas pu fournir les formulaires de consentement requis pour les enfants vaccinés. »

Note du traducteur : Plus exactement, c’est le Sama — une ONG basée à Delhi qui défend la santé des femmes — qui a finalement porté l’affaire à l’attention des médias indiens et, face au déluge de réactions négatives, le Conseil indien de la recherche médicale a suspendu le projet Path à l’origine de cette expérimentation.

« Path — anciennement connu comme le Program for Appropriate Technology in Health [Programme de technologie appropriée en santé – NdT] — est une ONG basée à Seattle, largement financée par la Fondation Bill & Melinda Gates mais qui reçoit également d’importantes subventions du gouvernement des États-Unis. Entre 1995 et le jour de la rédaction de cet article (mai 2021), Path a reçu plus de 2,5 milliards de dollars de la Fondation Bill & Melinda Gates.
[…]
C’est alors que la commission permanente de la santé du Parlement indien a commencé à enquêter sur l’affaire et le 17 mai de la même année, Sama a produit un rapport accablant soulignant, entre autres, que les essais avaient été présentés comme un programme de vaccination gouvernemental et non comme un projet de recherche, que les filles n’avaient pas été informées qu’elles pouvaient choisir de ne pas participer aux essais, et que le consentement parental n’avait pas été demandé ni donné dans de nombreux cas.

[…] la commission a confirmé la véracité des allégations de Sama, en constatant que la majorité des formulaires de consentement n’étaient signés ni par les enfants ni par leurs parents, que nombre d’entre eux étaient postdatés ou n’étaient pas datés du tout, que plusieurs formulaires avaient été signés par les mêmes personnes — souvent des membres du personnel des foyers où vivaient les jeunes filles — et que de nombreuses signatures ne correspondaient pas au nom figurant sur le formulaire. L’enquête a révélé que les parents n’avaient pas reçu d’informations quant à la nécessité de cette vaccination, à ses bénéfices et inconvénients ou à ses potentiels effets secondaires. »

Source : Comment Bill Gates et Big Pharma ont utilisé des enfants comme « cobayes »… sans être inquiétés par la justice

Le rapport du Comité permanent de la santé du Parlement indien peut être consulté ici.

Voir aussi :

Également en Inde, Bill Gates a promu un vaccin oral contre la polio, après s’être efforcé d’y éradiquer la maladie. Cependant, comme nous l’avons vu précédemment dans cet article, des produits chimiques toxiques sont impliqués dans l’étiologie de la polio et la maladie ne peut donc pas être éradiquée par l’utilisation de vaccins. En fait, les chiffres de la santé mondiale indiquent que plus de cas de polio sont maintenant causés par les vaccins eux-mêmes que toute autre chose. En 2018, un groupe de courageux scientifiques indiens a publié une étude dans l’International Journal of Environmental Research and Public Health montrant une corrélation entre les distributions du vaccin oral contre la polio et l’augmentation des cas de « paralysie flasque aiguë » [aussi appelé logiquement « syndrome de pseudo-polio » – NdT], une condition décrite comme « cliniquement indiscernable » de la polio.

Ironie du sort, Bill Gates a investi 23 millions de dollars dans Monsanto, la société qui commercialise le Roundup, un pesticide contenant du glyphosate et connu pour ses effets néfastes sur la santé, avec notamment des troubles neurologiques et des paralysies [comme Alzheimer et Parkinson, la liste est trop longue pour citer tous les troubles dus au Roundup, mais on notera tout de même que la liste inclut des affections respiratoires – NdT].

Si beaucoup pensent que Gates donne son argent de manière désintéressée pour financer ces campagnes de vaccination, il convient de noter que ses investissements dans les vaccins lui ont rapporté des sommes considérables. En 2019, la Fondation Bill & Melinda Gates avait fait don d’un peu plus de 10 milliards de dollars à diverses initiatives liées aux vaccins, dont GAVI (l’Alliance mondiale pour les vaccins et la vaccination). Bill Gates l’a qualifié de « meilleur investissement qu’il ait jamais fait », estimant un rendement de 20-1, soit environ 200 milliards de dollars sur vingt ans. En effet, la valeur nette de la fortune de Bill Gates a plus que doublé au cours des dix dernières années.

Et n’oublions pas que plus de la moitié des décès dans les pays à revenu faible ou intermédiaire sont dus à des maladies non transmissibles, auxquelles la Fondation Bill et Melinda ne semble guère s’intéresser, puisqu’elle y consacre moins de 3 % de son budget.

En outre, les activités de Bill Gates dans le domaine de la santé publique sont entachées de conflits d’intérêts qui sembleraient remettre en question l’idée qu’il se soucie de la santé des populations. Nombre de ces conflits d’intérêts sont décrits par David Stuckler, scientifique à Harvard, dans une étude publiée dans PLOT Medecine et intitulée « Philanthropie en santé mondiale et relations institutionnelles : comment traiter les conflits d’intérêts ? », dans laquelle il affirme que :

« À titre d’exemple, nous avons constaté que la Fondation Bill & Melinda Gates détient des participations importantes dans la société Coca-Cola, et participe également à des subventions qui encouragent les communautés des pays en développement à devenir des filiales commerciales de Coca-Cola. Certains commentateurs ont noté que les boissons sucrées telles que celles produites par Coca-Cola sont en corrélation avec l’augmentation rapide de l’obésité et du diabète dans les pays en développement. »

Il ajoute :

« De nombreuses subventions de développement pharmaceutique de la Fondation peuvent bénéficier à des sociétés pharmaceutiques de premier plan telles que Merck et GlaxoSmithKline. […] Plusieurs subventions sont liées à des entreprises qui sont représentées au sein de son conseil d’administration en tant qu’investisseurs de la Fondation. »

Les médias font rarement état de ces conflits d’intérêts inquiétants, ce qui n’est pas surprenant puisque Gates finance tous les grands organes d’information.

Qualifier l’injection imprudente et généralisée des [soi-disant – NdT] vaccins expérimentaux anti-Covid-19 d’initiative imprégnée de pensée eugéniste n’aurait rien de saugrenu compte tenu du nombre de personnalités et d’institutions impliquées dans la course au [soi-disant – NdT] vaccin qui ont des liens avec le mouvement eugéniste. En fait, les concepteurs du [soi-disant – NdT] vaccin Oxford-AstraZeneca sont également liés à la aujourd’hui re-nommée British Eugenics Society, fondée par le père de l’eugénisme, Francis Galton. Ces liens sont détaillés par la journaliste d’investigation Whitney Webbdans son article intitulé « Les concepteurs du vaccin Oxford-AstraZeneca liés au mouvement eugéniste britannique ».

Lorsqu’il s’agit de protéger la santé publique, la témérité dont font preuve les politiciens, les scientifiques et les entreprises pharmaceutiques est impardonnable compte tenu de l’impact généralisé qu’auront ces [soi-disant – NdT] vaccins expérimentaux. Nous avons déjà commencé à voir les résultats du déploiement d’une technologie de thérapie génique dangereuse sur un public naïf et confiant, le VAERS (Vaccine Adverse Events Reporting System) montrant plus de décès liés aux [soi-disant – NdT] vaccins anti-Covid-19 que tous les autres vaccins réunis au cours des 30 dernières années.

Note du traducteur : En effet,

La mortalité associée aux vaccins aux États-Unis de 1990 à 2021Rien de tout cela n’est surprenant, compte tenu de la hâte avec laquelle les essais cliniques ont été menés et des nombreux points d’interrogation relatifs à la fiabilité des données rapportées. Par exemple, les fabricants de ces [soi-disant -NdT] vaccins ont déclaré que leurs « produits » étaient « efficaces à 95 % », un chiffre qu’ils ont obtenu en utilisant une réduction du risque relatif plutôt qu’une réduction du risque absolu, lequel était d’environ 1 % dans la plupart des cas, un fait qui n’a jamais été souligné par les médias grand public.

En outre, les phases d’essai précédentes de ces produits n’ont pas été conçus pour évaluer leurs effets sur l’infection, la transmission, les hospitalisations ou les décès, ce qui laisse perplexe étant donné que ces paramètres sont justement ceux qui auraient dû être prioritaires si nous faisions vraiment face à une pandémie virale. Encore que ceci peut être un geste calculé de la part des fabricants de ces [soi-disant – NdT] vaccins, qui savaient qu’ils auraient plus de chances de truquer les résultats en utilisant le critère principal de « Covid-19 quelle que soit sa gravité ». Après tout, l’augmentation spectaculaire des injections antigrippales n’a pas été associée à une diminution de la mortalité.

Peter Doshi, un rédacteur du British Medical Journala remis en question de nombreux aspects de ces essais vaccinaux pour le moins controversés, notamment la possibilité que les analgésiques masquent les symptômes du Covid-19 dans les différents groupes d’essai, ainsi que la [soi-disant – NdT] objectivité des « Comités d’adjudication des effets primaires » chargés de compter les cas de Covid-19. Dans le cas de Pfizer, ce comité était composé d’employés de Pfizer.

Note du traducteur : Ces comités doivent appliquer, a priori, la procédure par laquelle les événements cliniques identifiés comme des critères d’évaluation potentiels sont soumis à un panel d’experts indépendants pour être évalués en aveugle.

Récemment, le Doctors for Covid Ethics, un groupe composé du Dr Michael Palmer, du Dr Sucharit Bhakdi et du Dr Stefan Hockertz, a publié une déclaration d’experts concernant le danger et l’efficacité du [soi-disant – NdT] vaccin Pfizer, déclaration qui a été transmise dans le cadre d’un procès contestant l’autorisation par l’Union européenne de l’utilisation du [soi-disant – NdT] vaccin pour les enfants de 12 ans et plus. Le document indique que l’efficacité déclarée du produit à ARNm de Pfizer était « selon toute vraisemblance complètement frauduleuse » et que

« Pfizer, l’Agence européenne des Médicaments et la FDA ont systématiquement négligé les preuves issues d’essais précliniques effectués sur des animaux qui mettaient clairement en évidence les graves dangers d’effets indésirables. »

Note du traducteur : En ce qui concerne les essais précliniques dont il est fait mention ci-dessus, voir les articles suivants :

« Alors que les animaux semblaient posséder des anticorps contre le virus, et auraient théoriquement dû être protégés, ils sont tombés gravement malades et la plupart sont morts lorsqu’ils ont été exposés au coronavirus naturel. »

Mais bien sûr, rien de tout cela n’est abordé dans les médias grand public. En lieu et place, on nous sert sans cesse les mêmes discours : « les vaccins sont sûrs et efficaces », « suivez la science », « écoutez les experts ». Et par « experts », ils entendent bien sûr les marionnettes pharmaceutiques sans âme comme le Dr Anthony Fauci, directeur de l’Institut national américain des allergies et des maladies infectieuses, qui vomit des mensonges sur les soi-disant infections virales depuis l’apparition du Sida en 1984. Le fait qu’un personnage comme Fauci occupe son poste depuis plus de trente ans en dit long sur le fonctionnement du système. Le regretté prix Nobel et inventeur de la réaction en chaîne par polymérase (PCR), Karry Mullis, a fustigé Fauci dans une interview :

« Il ne sait vraiment rien sur rien, et je le lui dirais en face. Rien. Cet homme pense que l’on peut prendre un échantillon de sang et le mettre dans un microscope électronique et que s’il y a un virus dedans, on le saura. Il ne comprend pas la microscopie électronique et il ne comprend pas la médecine. Il ne devrait pas être dans une position telle que celle qu’il occupe […] Passer à la télévision devant les gens qui paient son salaire et mentir directement à la caméra ne dérange absolument pas Tony Fauci. »

Un futur transhumaniste

En plus d’être une thérapie génique, une technologie associée à l’eugénisme et au transhumanisme, selon les scientifiques, la technologie ARNm

« permet le développement rapide de nouveaux vaccins dans un délai très court de quelques semaines plutôt que de quelques mois. »

Nous pourrions donc être confrontés à la perspective d’un avenir truffé de « vaccins » à la demande créés pour « protéger » le public contre de nouvelles menaces invisibles.

Note du traducteur : À ce sujet, voir aussi « Vaccins » à ARN et conquête commerciale planétaire — Le plan derrière le Covid-19

En effet, puisque les vaccinologues parlent d’ores et déjà de « variants », d’injections de rappels et de [soi-disant – NdT] vaccinations anti-Covid-19 périodiques, on peut dire que tout semble aller dans ce sens. Et bien sûr, grâce aux conglomérats de Big Tech liés au renseignement, toutes ces données seront enregistrées dans un « passeport vaccinal » relié à votre téléphone intelligent, qui constituera sans aucun doute la base d’un nouveau type de carte d’identité numérique liée à votre compte bancaire et, à terme, à votre crédit social.

En effet, en 2019, la société Microsoft de Bill Gates a déposé un brevet, opportunément nommé Brevet WO2020060606 [notez aussi le WO pour World Order – NdT)], portant sur un « système de crypto-monnaie utilisant des données d’activation corporelle », un autre indice quant aux véritables intentions de l’élite technocratique qui finance et promeut le programme transhumaniste. Le titre du brevet évoque à lui seul les images d’une société esclavagiste dans laquelle les humains sont équipés de biocapteurs et reçoivent des jetons numériques pour avoir accompli les tâches qui leur sont confiées par l’élite dirigeante.

Mais ce qui est peut-être encore plus alarmant, c’est l’empressement à obtenir l’autorisation d’utiliser les thérapies géniques chez les jeunes enfants. Pfizer est actuellement au milieu d’un essai clinique mondial, dans le cadre duquel le laboratoire pharmaceutique teste ses [soi-disant – NdT] vaccins à ARNm chez des bébés de 6 mois à peine,en dépit du fait que le « Covid-19 », si l’on suppose que cette maladie existe, ne touche pratiquement pas les enfants. En fait, selon les chiffres du CDC, le taux de létalité chez les enfants est de 20 pour 1 000 000, soit 0,002 %, ce qui est probablement inférieur au risque de dommages permanents ou de décès lié au vaccin ROR. Il est également inférieur au taux de mortalité lié au [soi-disant – NdT] vaccin contre le Covid-19, tel que calculé à partir des données du VAERS au moment de la rédaction de cet article(5 612 décès sur 165 000 000 de personnes entièrement vaccinées aux États-Unis = 0,003 %). En outre, des recherches ont établi un lien entre le [soi-disant – NdT] vaccin de Pfizer et la myocardite symptomatique, avec un taux d’incidence estimé à 1 sur 3 000 ou à 1 sur 6 000 chez leshommes jeunes.

L’empressement à intégrer ces [soi-disant – NdT] vaccins à ARNm dans le calendrier de vaccination des enfants n’a rien à voir avec la santé ou la protection, mais constitue plutôt une étape vers un objectif bien plus sinistre, à savoir le contrôle du corps humain lui-même.

Comme nous l’avons déjà mentionné dans cet article, la DARPA, l’organe de recherche du ministère de la Défense des États-Unis, a travaillé à la création de nanotechnologies capables de s’interfacer avec les cellules biologiques. En 2014, la DARPA a lancé son programme « In Vivo Nanoplatforms (IVN) », dans le but de développer des nanoplatformes implantables permettant de collecter des données biologiques et de fournir un « suivi physiologique continu ». Le programme a depuis contribué à créer des hydrogels injectables qui surveillent les réponses physiologiques et peuvent se synchroniser avec un smartphone.

En outre, la DARPA, ainsi que le NIH, financent largement Profusa, une société de biotechnologie soutenue par Google qui développe et commercialise cette même technologie d’hydrogel injectable, sauf qu’elle est maintenant présentée comme un moyen de détecter les futures « pandémies ». Les capteurs de Profusa seraient capables de

« détecter les infections de type grippal avant même que les symptômes ne se manifestent. »

Bien qu’incroyablement inquiétant, ce n’est qu’un pas vers le but ultime de la DARPA, qui est d’établir une domination sur l’esprit. Cet objectif se reflète dans les recherches de la DARPA visant à créer des « soldats mutants » à l’aide d’« armes génétiques » capables de

« saper l’esprit et le corps des gens en utilisant une série de techniques chimiques, neurologiques, génétiques et comportementales.

La DARPA étudie également les moyens de modifier génétiquement le cerveau afin de lire les pensées des gens et d’induire dans leur esprit des images et des sons. La recherche implique l’utilisation de « nanoparticules magnétiques », la même technologie qui, selon certains, pourrait être incluse dans les [soi-disant – NdT] vaccins anti-Covid-19, qu’ils soient actuels ou futurs.

Tout aussi affligeant est le « Wellcome Leap », une nouvelle initiative créée en partenariat avec deux anciens hommes de pointe et la DARPA par le Wellcome Trust, lui-même lié à l’eugénisme, le Wellcome Trust étant la fondation pour la recherche médicale la plus riche du monde. L’objectif officiel du programme est de [c’est le traducteur qui souligne]

« réaliser des percées en matière de santé humaine sur une période de cinq à dix ans et de démontrer des résultats apparemment impossibles à obtenir dans des délais apparemment impossibles. »

Actuellement, l’initiative comporte cinq projets principaux, dont le premier est « Préparation et réponse de l’ARN », qui — sachant qu’ils se réfèrent à la fabrication de produits à base d’ARN (thérapies géniques à base d’ARNm) — vise à (c’est l’auteur qui souligne)

« créer un réseau autonome d’installations permettant la fabrication qui fournira une capacité optimale répartie dans le monde entier pour répondre aux besoins d’une future pandémie. »

Notez la certitude apparente d’une future pandémie.

Toutefois, le projet Wellcome Leap le plus inquiétant est sans aucun doute « The First 1000 days » [Les 1 000 premiers jours – NdT], un programme qui vise à utiliser des nourrissons comme cobayes afin de surveiller le développement de leur cerveau et de créer des modèles d’intelligence artificielle pouvant être utilisés pour « prédire avec précision et améliorer les résultats des fonctions exécutives ». Le projet prévoit également l’utilisation de « capteurs mobiles, de vêtements et de systèmes domestiques connectés ». Dans un article détaillé sur le sujet, la journaliste d’investigation Whitney Webb écrit que :

« Fidèle aux liens eugénistes du Wellcome Trust (qui seront approfondis dans la deuxième partie), le projet « Les 1 000 premiers jours » de Wellcome Leap précise que

« l’intérêt réside dans les améliorations d’une fonction exécutive sous-développée vers une fonction exécutive normative ou d’une fonction exécutive normative vers une fonction exécutive bien développée dans l’ensemble de la population afin de produire l’impact le plus large. »

L’un des objectifs de ce projet n’est donc pas de traiter une maladie ou de s’attaquer à un « défi public de santé mondiale », mais plutôt d’expérimenter l’augmentation cognitive des enfants en utilisant des moyens développés par des algorithmes d’intelligence artificielle et une technologie invasive basée sur la surveillance. »Le délai de cinq à dix ans prévu par le Wellcome Leap coïncide avec le projet Neuralink du leader de l’élite en la matière, Elon Musk, qui ambitionne d’instaurer « l’avenir des interfaces cérébrales » afin d’« étendre nos capacités ». Lors d’une interview, Musk a déclaré :

« Je pense que nous sommes à huit ou dix ans d’une utilisation par des personnes qui n’ont pas de handicap. »

Musk, dont la richesse a augmenté de plus de 500 % pendant la [soi-disant – NdT] « pandémie » de Covid-19, a fondé Neuralink en 2016. La société a récemment levé 205 millions de dollars de fonds auprès de sept sociétés de capital-risque (dont Google Ventures) et de cinq dirigeants de la Silicon Valley. Cependant, Neuralink n’est pas la seule société de biotechnologie à s’être lancé dans cette technologie. Récemment, Synchron, une petite entreprise de biotechnologie et concurrente de Neuralink, a reçu le feu vert de la FDA pour commencer à tester ses implants de puces cérébrales chez l’homme.

Dans dix ans, nous serons en 2030, une année qui revient sans cesse comme celle où les technologies transhumanistes seront monnaie courante dans la société. Selon les prévisions du National Intelligence Council américain, « l’humain augmenté » — la fusion de l’homme et de la machine — sera un thème majeur en 2030. Leur rapport Global Trends 2030publié en 2012, indique que :

« Les prothèses réussies seront probablement directement intégrées au corps de l’utilisateur. Les interfaces cerveau-machine pourraient aussi bien fournir des capacités « surhumaines » améliorant la force et la vitesse, que des fonctions qui n’existaient pas auparavant. »

Il est intéressant de noter que le rapport prévoit également « un nouvel agent pathogène respiratoire facilement transmissible » qui pourrait avoir un impact très perturbateur. Le rapport poursuit en affirmant que

« contrairement à d’autres événements mondiaux perturbateurs, une telle épidémie entraînerait une pandémie mondiale qui causerait directement des souffrances et des décès partout dans le monde, probablement en moins de six mois. »

L’asservissement — Une décision librement consentie

Le déploiement des thérapies géniques à base d’ARNm et la poussée vers une société transhumaniste sont le prolongement du mouvement eugéniste, lui-même fondé sur le concept pseudo-scientifique selon lequel certains humains, en vertu de leur composition génétique, seraient plus « aptes » que d’autres à diriger la société.

Le « héros » de l’épidémie de polio, Jonas Salk, entretenait lui-même des liens avec l’eugénisme, tout comme l’institut nommé en son honneur, le Salk Institute. Leurs recherches sur l’ARNm, financées par le NIH, ont jeté les bases du développement et de la diffusion massive des thérapies géniques, appelées de manière controversée [et à dessein – NdT] « vaccins ». Le danger de cette technologie expérimentale est évident, étant donné qu’elle a déjà causé des milliers de dommages et de décès dans le monde entier.

Le rôle des organisations de renseignement, des technocrates milliardaires et des initiatives pharmaceutiques dans le financement, la recherche et la promotion de ces [soi-disant – NdT] vaccins à ARNm, des interfaces « bio-cerveau », de l’édition de gènes et autres technologies imprégnées d’idéaux eugénistes donne l’image d’un programme mondial qui devrait atteindre sa vitesse de croisière d’ici 2030. L’actuelle [soi-disant – NdT] « pandémie » de Covid-19 a servi à accélérer ce programme en centralisant la richesse et le pouvoir, en faisant entrer la technologie transhumaniste dans le courant dominant et en normalisant les régimes autoritaires. Les essais de Pfizer sur les nourrissons et le projet alarmant « Les 1 000 premiers jours » du Wellcome Leap indiquent que la clé de cet agenda est le conditionnement et le contrôle des enfants dès leur plus jeune âge, ce qu’Aldous Huxley a décrit en détail dans son roman eugéniste prophétique et inquiétant, Le meilleur des mondes.

Ce programme, bien que soutenu par certains des individus et institutions les plus puissants du monde, présente une faiblesse évidente : son succès dépend de notre choix à y consentir. Il ne progressera que si nous le laissons faire. Par conséquent, il appartient à chacun d’entre nous, par une résistance non violente et compatissante, de semer les graines de l’éveil dans la conscience collective de l’humanité.

Source de l’article initialement publié en anglais le 25 août 2021 : New Brave World
Traduction : Sott.net




« Ils » trouvent ça normal — ou quand la folie des hommes devient « naturelle »

Par Alain Tortosa

Je n’en suis pas à mon premier écrit pour transmettre mon désarroi et mon incompréhension en regardant la majorité écrasante de mes compatriotes.

Nous sommes jeudi matin et j’arrive devant le collège pour la prérentrée.

Il est toujours intéressant de voir tous ces parents amener leurs enfants le premier jour puis disparaître pour le reste de l’année…
Peut-être veulent-ils s’assurer que leur enfant ne s’évade pas et rejoigne sagement la prison…

Me voici donc une fois de plus comme un extra-terrestre visitant une planète de toute évidence hostile à l’humanité.

Environ 98 % des parents portent la muselière (masque) et la portent parfaitement !

Le plus choquant et traumatisant pour moi est que leurs enfants aussi la portent parfaitement alors qu’ils pourraient très bien profiter de leurs derniers instants de « liberté respiratoire » pour goutter à l’oxygène qui va leur faire défaut dans les prochaines heures.

Mais non, ils sont là, ils vivent, semblent être heureux et semblent rire, même si je ne vois pas leur visage.

Le pire, encore que parler de « pire » dans notre monde délirant n’a plus de sens, tant nous baignons dans la folie…
Le pire, dis-je, est lorsque je les vois, adultes et enfants, se dire bonjour poing contre poing…

Je ne détecte en eux strictement aucune interrogation, questionnement et encore moins critique.

Un crétin psychopathe leur a dit qu’il ne fallait plus se serrer la main pour ne pas devenir des serial killers et ils ont adopté la mesure sans sourciller.

Aucun ne semble se dire que c’est sanitairement totalement ridicule… comme si le virus dont vous seriez porteur ne se déposait que sur la partie intérieure de vos doigts, mais pas sur l’extérieur.
Mais à quoi bon réfléchir ou se poser la moindre question si une autorité « au-delà de tout soupçon » et « vierge de conflits d’intérêt » le leur dit et répète.

Après tout, nous sommes face à un « fléau » qui rend la 1re guerre mondiale anodine face aux décès qui nous frappent dans nos familles.
Ce virus mortel qui « n’épargne personne » nous permet quand même de nous agglutiner par centaines devant un collège, mais… avec un masque et sans se serrer la main !

De toute évidence ils ne sont plus dans une obéissance à une autorité supérieure qui pourrait leur demander de mettre une plume dans le cul,(([1] Voir mon texte à ce sujet.)) plume dans le cul qu’ils mettraient sans sourciller…

Non, ils sont dans une posture na-tu-relle…

Balayé le serrage des mains ou la bise que nous pratiquons dans le sud, aussi bien pour les hommes que les femmes sans que cela mette en péril notre taux de testostérone.

C’est la nouvelle norme, le nouvel ordre, la nouvelle science et tout est pour le mieux dans les meilleurs des mondes possibles…

Je pensais avoir tout vu, comme tous les jours depuis des mois, mais qu’elle ne fut pas ma surprise à la sortie du collège.

Alors que j’étais en train de calculer le pourcentage d’enfants qui portaient mal le masque juste avant de passer la grille de la prison… de l’ordre de 20 %, chiffre qui pourrait réjouir, mais aussi désespérer en voyant que 80 % continuent à « bien » le porter alors qu’ils ne sont plus obligés par la dictature.

Voilà qu’un enfant sort avec son masque un tout petit peu baissé, juste au-dessous du nez et…
… au moment où il s’approche de sa mère, le premier réflexe de celle-ci fut non pas de lui demander comment s’était passé sa première journée de collège, mais de lui remettre bien au-dessus du nez.

Et c’est là que je me suis demandé ce que je foutais là, pourquoi je me battais pour la science, les droits de l’homme et pour l’humain ?

Qu’attendre de cette « humanité » qui n’a pas le moindre point commun avec moi et qui ne désire qu’une chose, être un esclave décérébré en « sécurité », mais surtout irresponsable…

Comme je l’écris depuis des mois, je suis ainsi de plus en plus pour un apartheid…

Que les paniqués restent et vivent chez eux, qu’ils portent des tenues antiradiations intégrales, qu’ils restent confinés, qu’ils se piquent tous les mois avec des substances expérimentales et qu’ils me laissent vivre, me rouler dans la boue, embrasser des inconnus, manger un repas à même le sol en Afrique et me foutent la paix…

J’en suis désolé, mais je ne peux plus être empathique avec ces zombis qui refusent catégoriquement d’ouvrir les yeux… et qui sont complices de l’enfer que nous vivons.

Merci

Alain Tortosa

4 septembre 2021

https://7milliards.fr/tortosa20210904-ils-trouvent-ca-naturel.pdf




Face au variant Delta une seule solution : la plume dans le cul !

Par Alain Tortosa

Face au variant Delta une seule solution : la plume dans le cul ! L’heure n’est plus à la frilosité, mettons une plume dans le cul à nos enfants !

Dès septembre 2020 je suggérais que nous luttions efficacement comme le « Fléau » en nous mettant une plume dans le cul… Hélas, les autorités qui ont toujours une longueur de retard face à ce virus « diabolique », comme le disait si justement le professeur Delfraissy, ne prennent pas les bonnes décisions en temps et en heure.

Et cela se confirme avec cette explosion de tests effectués pour lutter contre le variant Delta, qui, selon les dernières données officielles du réseau sentinelle, se traduit par un taux d’incidence de 19 malades pour 100 000 habitants.

Rendez-vous compte que si nous avions 10 fois plus de cas, nous pourrions vivre une épidémie de Covid !

Ceci sans compter sur le fait que 2221 personnes sont comptabilisées en soin critique en France au 4 septembre (données geodes).

Nous sommes au bord de la saturation ! Les personnes positives au variant Delta, qu’elles soient en soin critique pour des raisons de Covid ou autres pathologies, occupent officiellement désormais un peu plus de 11 %, rendez-vous compte, 11 % des lits de soins critiques disponibles en France, c’est dire l’urgence de la situation.

Je ne résiste pas non plus au plaisir de faire référence aux « excellents journalistes » de Libération qui ont eu une analyse extrêmement fine, intelligente et honnête de la situation. Ils nous ont brillamment expliqué que plus il y aura de vaccinés et plus, mathématiquement, il y aura de personnes vaccinées hospitalisées pour Covid… Et c’est logique, car plus il y a de personnes protégées et plus il y a d’hospitalisations de vaccinés pour Covid et d’autant plus que le vaccin est efficace à 90 %, non ?

Il faudrait vraiment être stupide et de mauvaise foi pour ne pas comprendre que plus on augmente le nombre de vaccinés, plus les non-vaccinés menacent les vaccinés dont le vaccin est efficace.

C’est ce que vit Israël, le vaccin est tellement « efficace », le nombre de vaccinés est tellement important que la proportion et le nombre absolu de vaccinés à l’hôpital ne fait que croître !

Je dois avouer humblement que je n’ai pas leur intelligence et je n’aurais pas eu l’idée lumineuse de me dire :

« Les gars, vous voyez bien que plus nous vaccinons et plus nous avons de malades, nous allons donc imposer une 3e dose ! »

Et là où ça touche au génie, c’est que c’est le même vaccin que pour les deux premières doses !

C’est comme si les spécialistes du vaccin contre la grippe annonçaient :

« Nous avons un nouveau variant qui arrive pour la prochaine saison de grippe, nous allons donc resservir le vaccin de l’année dernière, mais en augmentant les tarifs de 20 % pour frais d’adaptation que nous n’avons pas fait. »

Voilà je voulais donc profiter de mon texte pour remercier Libé qui nous éclaire chaque jour…

J’ai bien compris que si demain 100 % de la population était vaccinée, alors « nos hôpitaux seraient saturés de malades Covid protégés par un vaccin efficace à 90 % ».  Tous les spécialistes médiatiques et au-delà de tout soupçon de conflits d’intérêts et qui nous avaient vendu le vaccin comme le « retour à la vie normale » sont unanimement d’accord pour dire qu’il faut plus que jamais appliquer les gestes barrières et bien sûr porter le masque dont nous ne pouvons pas douter de « l’efficacité ».

Il suffit pour cela de regarder l’historique de l’obligation de port du masque en France pour constater que plus il a été obligatoire et plus les contaminations se sont mises à croître, preuve de « l’efficacité » dont nous ne pourrions pas douter !

Donc l’heure est grave mes amis ! Nous ne sommes plus là à rigoler ! Nous devons prendre le taureau par les cornes !

Certains d’entre-vous, naïfs, avaient souri, voire s’étaient moqué de moi, lorsque l’année dernière j’avais suggéré que l’on impose le port de la plume dans le cul pour faire reculer l’épidémie.

Ah ! vous rigolez moins maintenant que la situation est devenue d’autant plus catastrophique que la vaccination a massivement progressé !

Voici donc un rappel de mon texte de septembre 2020

Plusieurs études suggèrent qu’il pourrait y avoir une transmission fécale du Covid et même qu’elle serait possible par les flatulences… (voir sources).

Des études suggèrent que l’électricité statique pourrait jouer un rôle dans l’efficacité de filtration des virus (voir sources).

Nous savons tous que les plumes, lorsqu’elles sont agitées, génèrent de l’électricité statique… (voir sources).

« On estime qu’un être humain produit entre 10 et 25 flatulences, soit 0,5 à 1,5 litre de gaz par jour. Il s’agit d’une estimation moyenne »

Source allodocteur.

Je veux apporter ma pierre à l’édifice. Je veux participer à cette noble lutte contre ce virus qui ne tue que les personnes ayant des pathologies très graves ou à l’espérance de vie de quelques mois à qui l’on refuse tout traitement…

Je comprends bien qu’il serait ridicule de prendre des mesures pour protéger les personnes à risque et qu’il est totalement logique de faire porter le masque aux personnes en bonne santé et limiter au maximum leurs libertés, les injecter et tuer l’économie et les droits de l’homme…

Il faudrait être sacrément stupide pour imaginer une politique inverse…

Vous imaginez une politique dans laquelle :

  • Les personnes qui ne sont pas à risque sont invitées à faire circuler le virus, ne doivent surtout pas porter de masque, doivent vivre normalement et sauver l’économie et les droits de l’homme ?
  • Et dans le même temps, tester, isoler, protéger, faire des campagnes de prévention, soigner, les personnes à risque ?

RI-DI-CU-LE…

J’ai donc eu l’idée d’étudier d’un point de vue scientifique le dispositif suivant pour lutter contre cet odieux virus pour lequel, rappelons-le « il n’existe AUCUN traitement » (Si, si, les « vrais » experts le disent).

Certains internautes avaient d’instinct imaginé que la plume dans le cul pouvait être une solution et j’ai donc « creusé » l’idée d’un point de vue scientifique.

Je pense qu’il faudrait étudier puis imposer dès 6 ans la plume dans le cul avec, pour les plus de 11 ans, obligation en plus de la faire bouger afin de générer un maximum d’électricité statique.

Cette électricité statistique agirait selon le même principe que la filtration des masques qui ont des trous béants et attirerait donc les particules virales issues de nos flatulences, qui représentent plus d’un litre de gaz mortel par jour.

Il suffirait ensuite de jeter sa plume ou de la laver avec son linge de maison afin de la réutiliser.

À quoi bon porter un masque dans un lieu clos si dans le même temps nous répandons le virus par nos flatulences comme le suggèrent les études ?

Bien entendu il faudrait respecter un protocole strict lors du remplacement de la plume et la changer toutes les 4 heures.

Mais je pense comme certains médecins très « compétents » l’affirment pour le masque « même mal mis, même souillé, même ramassé dans une poubelle, le masque c’est mieux que rien » (ils n’ont pas écrit dans une poubelle, mais c’est l’esprit).

Donc même mal mise, même si on l’échange avec son voisin et qu’on la porte à la bouche, la plume dans le cul devrait, selon exactement la même logique, protéger !

Dans ces temps d’incertitude et de risque d’extinction totale de l’espèce humaine, face à cet odieux virus dons nous ne savons toujours RIEN (dixit les « experts »), je pense qu’il serait criminel de passer à côté d’une mesure qui pourrait sauver des millions de vie…

Ainsi j’apporterais ma contribution afin d’ajouter aux politiques généreuses mises en place par les experts. Experts au-delà de tout soupçon (sourire) et à l’intelligence supérieure (si,si) qui nous disent que nous sommes dans une nouvelle vague d’un virus au moins aussi mortel.

Mais ceux-ci sont plus malins que le virus !

Ils développent des trésors d’ingéniosité pour nous aider en nous disant :

  • Il a été « prouvé » que le virus s’attaque aux foules qui font la fête, mais pas dans un métro bondé.
  • De même il n’est pas capable de contaminer dans des manifestations uniquement si elles sont contre le racisme, mais c’est une catastrophe sur les plages en septembre après 20 h.
  • En Suède il est blasé, il y a de moins en moins de cas alors que presque personne ne porte de masque alors qu’en France il aime bien les compétitions « même avec un masque je vais les contaminer ».
  • Il circule fortement dans certaines rues françaises, mais pas d’autres où il s’arrête net à l’entrée.
  • Dans certains départements, c’est l’enfer, mais dans d’autres, limitrophes… rien…
  • Il a ses heures durant lesquelles il est dehors ou pas.
  • Il s’attaque à nous lorsque nous entrons dans un restaurant, mais cesse d’attaquer quand nous nous asseyons.
  • Il attaque les enfants assis dans une classe, mais pas au réfectoire.
  • Les enfants qui pratiquent la lutte pendant le sport (véridique) peuvent le faire sans masque, le virus n’aime pas la violence.
  • À Cagnes-sur-Mer par exemple si vous couriez le virus ne vous attrapait pas, mais dès que vous vous arrêtiez il vous sautait dessus (voir arrêté préfectoral). En revanche comme certains chiens il déteste les vélos et n’hésitera pas à vous attraper en vélo.
  • Il est beaucoup plus dangereux en septembre quand les touristes sont partis.
  • En région toulonnaise, en revanche, le virus déteste les moyens de transport individuels. En vélo, skate, trottinette, rollers,… vous ne craignez rien, le virus n’ose pas vous attaquer sauf si vous êtes dans un marché de plein air où là, la trottinette ne vous sera d’aucun secours et le virus sera impitoyable.
  • Dans certaines villes si vous fumez, grignotez en marchant, le virus vous épargnera, mais en revanche il sera impitoyable dans d’autres villes.
  • Dans certains endroits il est un peu sourd, vous devez chuchoter et ne surtout pas chanter si vous tenez à la vie. Bref, il est malin ce virus…

La plume dans le cul, ne serait pas LA solution, soyons raisonnables, mais serait un plus à ajouter aux gestes barrières dont nul ne peut douter qu’ils sont efficaces, à moins d’être un crétin complotiste.

Passer à côté d’un dispositif efficace « sans aucune contre-indication » (comme le masque) et qui ne pourrait QUE sauver des vies supplémentaires serait criminel, non ?

Non au coronavirus ! Oui à la plume dans le cul !

Rejoignez-moi dans la lutte contre le virus, militez pour la plume dans le cul.

Réclamons une étude randomisée sur l’efficacité de la plume dans le cul dans la population générale !

L’heure n’est plus à la rigolade, des experts nous disent qu’il faut siffler la fin de la récréation. Je suis d’accord avec eux.

Et entre nous, on va quand même pas faire des histoires pour une plume dans cul.. ce n’est pas si grave, on s’y fait très bien, c’est une question d’habitude.

Tout de suite les grands mots, « atteinte à ma liberté », « droits de l’homme », tout ça pour une simple petite plume dans le cul sans la moindre contre-indication… ridicule…

Je n’ai strictement aucun doute que si la mesure était bien expliquée et qu’il y avait le même « consensus » scientifique que sur le port du masque, les Français adhéreraient majoritairement à cette mesure qui ne relève que du bon sens !

Flyer pour la promotion de la plume dans le cul

Pour se protéger du virus, n’oublions pas le masque, les gestes barrières, mais SURTOUT la plume dans le cul.
Ludique, esthétique, efficace, la plume dans le cul nous protège du virus et comme pour le masque, sans la moindre contre-indication.

La plume dans le cul s’ajoute à l’ensemble des gestes barrières. Elle est un symbole fort de solidarité envers nos anciens qui n’ont plus la souplesse pour se la mettre.

La plume dans le cul existe en différentes couleurs pour être en harmonie avec ses différents habits, elle permet aussi d’afficher son émotion du jour.

Soyons solidaires organisons des distributions gratuites de plumes dans le cul pour aider les plus démunis.

« je pense aux autres, je suis solidaire, j’ai une plume dans le cul »

Mise en garde : Des irresponsables, complotistes, révisionnistes, néonazis, adorateurs de Satan, ou faisant du Yoga, font circuler de fausses informations sans fondement laissant entendre que la plume dans le cul ne protégerait pas et qu’elle pourrait entraîner certains effets secondaires.

Tout ceci n’est que fakenews, vous pouvez être rassurés, les mêmes experts qui ont étudié le port du masque et la sécurité des vaccins ont évalué l’efficacité de la plume dans le cul.

Merci.

Alain Tortosa.

PS Attention la plume dans le cul est un dispositif médical, demandez son avis à votre médecin. Tenir hors de portée des enfants de moins de 3 ans.

5 septembre 2021.

https://7milliards.fr/tortosa20210904-plume-dans-le-cul.pdf


Sources

J Med Virol 2020 Apr « Fecal transmission in COVID-19: A potential shedding route »

Acta Biomed 2020 Sep « Possible modes of transmission of Novel coronavirus SARS-CoV-2: a review » « Besides, some of the other possible modes of transmission are being explored by the researchers, with some studies suggesting the viral spread through fecal-oral, conjunctival secretions, flatulence (farts)… »

ACS Nano 2020 May « Aerosol Filtration Efficiency of Common Fabrics Used in Respiratory Cloth Masks » « We speculate that the enhanced performance of the hybrids is likely due to the combined effect of mechanical and electrostatic-based filtration. Cotton, the most widely used material for cloth masks… »

teslabel.be « Lorsqu’une plume est agitée dans l’air, elle se charge d’électricité statique, pourvu que des porteurs de charge soient présents dans l’air. »




Le SARS-COV2 accélérerait l’âge biologique

[Source : francesoir.fr]

Auteur(s): Xavier Azalbert, Anne-Typhaine Bouthors, Michel Brack, Dominique Cerdan, Walter Chesnut, Gérard Guillaume, Jean-François Lesgards, Luc Montagnier, Jean-Claude Perez pour FranceSoir

Connaissez-vous le mot « sénescence » ? La sénescence est en biologie le processus physiologique qui entraîne la dégradation des fonctions de la cellule au cours du temps. En d’autres termes, la sénescence, du latin senex « grand âge », est le vieillissement des organismes. De tout temps, les scientifiques ont cherché à reculer le vieillissement essayant de respecter le proverbe chinois repris par Malraux :

« il faut rajouter de la vie aux années et non des années à la vie ».

Plusieurs études récentes tendent à démontrer que le SARS-CoV2 accélérerait l’âge biologique des cellules. Comment ? En agissant sur la taille des télomères, ces séquences d’ADN qui protègent l’extrémité des chromosomes et qui raccourcissent à chaque division cellulaire.

En avril 2021, une étude chinoise de Yuyang Lei et Jiao Zhang, publiée sur Circulation Research souligne que le principal agent pathogène du virus Covid-19 est sa protéine de pointe, appelée Spike. La protéine de pointe entoure la capside virale et lui permet d’entrer dans les cellules pour les infecter. Dans cette étude, les chercheurs ont isolé Spike en l’installant sur un noyau vide, puis l’ont inoculée à des cobayes, afin d’observer son action sur l’organisme. Les animaux ont présenté des lésions aux poumons et aux artères associées à une inflammation des cellules endothéliales. L’équipe a reproduit l’expérience in vitro sur des cellules endothéliales humaines saines : la protéine de pointe s’est ainsi liée aux récepteurs ACE2, endommageant les mitochondries des cellules, provoquant micro-thromboses et endothélites. Les conclusions sont sans appel : la protéine Spike seule provoque la plupart des symptômes du Covid-19 (Covid dans le reste de l’article).

Quelques questions brûlent alors les lèvres :

  • S’il est prouvé que le SARS-CoV2 induit un vieillissement cellulaire accéléré, et que le responsable de cette sénescence n’est autre que la protéine Spike, comment être absolument certain que les vaccins actuellement sur le marché, tous basés sur Spike, ne conduisent pas eux-aussi à la dégradation accélérée des cellules des personnes vaccinées ?
  • Quels sont les liens entre les mécanismes impliqués dans la sénescence liée au raccourcissement des télomères et les vaccins ?

Des éléments de réponse dans cet article. Nous prévenons le lecteur que certains paragraphes demandent une certaine connaissance en biologie ou biochimie. La conclusion est à vocation grand public.

Accélération de l’âge biologique

En novembre 2020, une équipe de chercheurs des Cliniques universitaires Saint-Luc et de l’UC Louvain a investigué le rôle potentiel des télomères dans le cadre de l’infection Covid. L’âge, l’obésité, le diabète, l’hypertension et de nombreux facteurs de sévérité sont désormais des facteurs de complication bien identifiés. Toutefois des patients ne répondant pas à ces critères souffrent parfois sévèrement de ce virus.

Les télomères et leur rôle ?

Un article synthétique de la même université explique ce que sont les télomères et leur rôle.

  • Les télomères sont des séquences d’ADN qui protègent l’extrémité des chromosomes et qui raccourcissent à chaque division cellulaire. Leur taille diminue en fonction de l’âge de la cellule et de l’individu. Lorsqu’ils deviennent trop courts, notamment chez les personnes âgées, les cellules entrent en sénescence, un phénomène proche de la mort cellulaire. Ces structures jouent donc en quelque sorte le rôle d’horloge biologique cellulaire.
  • De nombreux scientifiques ont démontré que le raccourcissement des télomères diminue l’espérance de vie.
  • Cependant, la longueur des télomères n’est pas la même pour tous les individus du même âge et dépend, entre autres, de certains variants génétiques. Le raccourcissement des télomères semble affecter les défenses de l’organisme contre les virus et on suppose que les individus, dont les télomères sont plus courts, épuisent plus rapidement leur stock de cellules immunitaires.
  • Dans l’optique de mieux comprendre les mécanismes immunitaires impliqués dans le Covid-19 (les patients hospitalisés pour Covid ayant presque tous un manque de lymphocytes dans le sang), les professeurs Froidure (Service de pneumologie) et Decottignies ont investigué le lien potentiel entre la taille des télomères et le Covid.
  • Les chercheurs ont comparé la taille des télomères de 70 patients hospitalisés pour Covid lors de la première vague de la pandémie (entre le 7 avril et le 27 mai 2020 / patients âgés de 27 à 96 ans) aux résultats d’un groupe témoin correspondant à environ 500 personnes non-atteintes du Covid.
  • Les résultats ont montré que i) les télomères des patients Covid étaient plus courts que ceux du groupe de référence et ii) la présence de télomères très courts (de taille inférieure au percentile 10 pour l’âge) était associé à un risque significativement plus élevé d’admission en soins intensifs ou de décès.
  • Ces résultats ouvrent des perspectives importantes dans la compréhension des mécanismes de l’immunité vis-à-vis du coronavirus. 

Des résultats confirmés et affinés en 2021

En janvier 2021, la chercheuse en oncologie moléculaire, Maria Blasco, confirmait les résultats de Froidure et al. publiés dans un article passé inaperçu et qui titrait « Des télomères de longueurs plus courtes chez les patients atteints de la maladie Covid sévère ». En résumé :

  • L’incidence des manifestations graves de Covid augmente avec l’âge, les patients plus âgés présentant la mortalité la plus élevée, ce qui suggère que les voies moléculaires sous-jacentes au vieillissement contribuent à la gravité de Covid. Les auteurs rappellent que « l’un des mécanismes du vieillissement est le raccourcissement progressif des télomères, qui sont des structures protectrices aux extrémités des chromosomes. Des télomères extrêmement courts altèrent la capacité de régénération des tissus et déclenchent une perte d’homéostasie tissulaire et une maladie. » Le virus SARS-CoV2 infecte de nombreux types cellulaires différents, forçant le renouvellement cellulaire et la régénération pour maintenir l’homéostasie tissulaire. 
  • Les auteurs ont donc émis l’hypothèse que la présence de télomères courts chez les patients plus âgés limite la réponse tissulaire à l’infection par le SARS-CoV2. Ils ont mesuré la longueur des télomères dans les lymphocytes du sang périphérique des patients Covid âgés de 29 à 85 ans et constaté que des télomères plus courts sont associés à une sévérité accrue de la maladie

Peu d’articles ont fait état de ces études hormis santéLog qui titrait timidement « et si le covid grignotait les télomères ? » avant de conclure qu’une question se pose : le raccourcissement des télomères implique-t-il l’accélération du vieillissement et une réduction de la durée de vie ?

En mai 2021, une étude en prépublication (Gorgoulis et al. 2021) concluait que le SARS-CoV2 infecte les cellules épithéliales pulmonaires et induit la sénescence ainsi qu’une réponse inflammatoire chez les patients atteints de Covid sévère.

En juin 2021 le lien entre le raccourcissement des télomères chez les patients Covid et l’accélération de l’âge biologique était prouvé (Gaetano et al.). Le résumé est sans équivoque :

  • L’infection par SARS-CoV2 entraîne le syndrome Covid qui est caractérisé, dans le pire des cas, par une détresse respiratoire sévère, une fibrose pulmonaire et cardiaque, une libération de cytokines inflammatoires et une immunosuppression. Cette condition a entraîné la mort d’environ 2,15% de la population mondiale infectée jusqu’à présent. 
  • Parmi les survivants, la présence du syndrome dit persistant post-covid (PPCS) est assez fréquente. Chez les survivants du Covid, le PPCS est associé à un ou plusieurs symptômes : fatigue, dyspnée, perte de mémoire, troubles du sommeil et difficultés de concentration. L’étude mesure l’âge biologique sur 117 survivants du Covid et 144 volontaires non infectés.
  • Les auteurs constatent une augmentation significative de l’âge biologique des patients ayant eu le Covid (post-covid) de 10.45 ans (+/- 7,29 ans soit 5,25 ans au-delà de la norme) comparé à 3,68 ans (+/- 8.17 ans) chez les personnes non infectées (sans-covid).
  • Un raccourcissement significatif des télomères est observé dans la cohorte post-covid (3,03 ko) par rapport à la cohorte sans-covid (10,67 ko).
  • De plus, l’expression de l’ACE2 a été diminuée de 73% chez les patients post-covid, par rapport à la population sans-covid. Ceci confirme les données de l’étude de Butwot de mai 2020 sur l’expression des protéines d’entrée du SARS-CoV2, ACE2 et TMPRSS2 dans les cellules de l’épithélium olfactif et l’identification des types cellulaires et des tendances avec l’âge.
  • À la lumière de ces observations, l’hypothèse est émise que certaines altérations épigénétiques sont associées à l’état post-covid, en particulier chez les patients plus jeunes (< 60 ans).

Dernièrement, à la télévision ou sur les réseaux sociaux, de nombreux témoignages individuels sont venus corroborer ces faits : ainsi, il n’est pas rare de lire, d’entendre ou de constater qu’un proche « a pris dix ans » après un Covid sévère. Mais plus inquiétant, ces mêmes impressions se rencontrent aussi pour des personnes vaccinées.

Qu’est-ce que le stress oxydatif et quel rôle joue-t-il dans le raccourcissement des télomères et le Covid-19 ?

L’inflammation chronique (c’est-à-dire prolongée) est finalement ce qui va provoquer le décès chez les patients atteints du Covid notamment en activant le phénomène de coagulation. Cette inflammation que l’on a appelée souvent de façon simplifiée « orage des cytokines » ou « orage cytokinique » est en effet activée par des molécules (des protéines) dénommées cytokines. Ces cytokines sont comme des messagers entre les cellules du corps humain qui envoient des messages, notamment pour la régulation de l’inflammation dans les organes.

Cette inflammation est accompagnée de réactions d’oxydation dans les cellules par des petites molécules très réactives (que l’on appelle radicaux libres) qui sont produites sur le site de l’inflammation par un processus appelé stress oxydatif. C’est un peu comme si l’inflammation était le lance-flammes et le stress oxydatif les flammes

Ces deux phénomènes intimement liés (inflammation chronique et stress oxydatif) sont à la base de la plupart des maladies cardiovasculaires (athérosclérose, thromboses…), des maladies neurodégénératives (Alzheimer, Parkinson…), des cancers, mais aussi du vieillissement.

Et il se trouve que le Covid est en fait une maladie inflammatoire et oxydante !

L’importance cruciale du stress oxydatif dans la pathologie du Covid a été largement sous-estimée et devrait faire l’objet de travaux de recherches supplémentaires notamment pour identifier des traitements antioxydants/anti-inflammatoires (Delgado-Roche L et al., 2020) (Cecchini R et al., 2020) (Ntyonga-Pono MP, 2020) ; ceci est également important pour les formes longues du Covid !

L’inflammation déclenchée par la protéine spike dans le Covid et le stress oxydatif associé, passe en particulier par le dérèglement du système rénine angiotensine et par l’activation de la voie de la bradykinine (Lesgards JF., Cerdan D. 2021, une vision globale de la biologie du sars).

De nombreux travaux ont établi un lien entre le stress oxydatif et le raccourcissement des télomères et donc la sénescence des cellules et le vieillissement de l’organisme (Boonekamp JJ et al., 2017) (von Zglinicki T, 2002) (Kawanishi S et Oikawa, 2004) (Richter T et von Zglinicki T, 2007) (Griffin CS, 2002). Plusieurs études ont d’ailleurs mis en évidence un raccourcissement des télomères par ajout d’un oxydant consommant le glutathion (l’antioxydant majeur de l’organisme) (Cattan V et al. 2008). 

De plus, en juillet 2021, dans une population de patients non sélectionnés hospitalisés avec Covid, le lien entre le stress oxydatif et les biomarqueurs inflammatoires a permis de prédire de la gravité et de l’admission en soins intensifs des patients (Brack M. et al., 2021). 

Le stress oxydatif est responsable du raccourcissement des télomères dans le Covid

Dans l’environnement oxydant du Covid, l’une des cibles cellulaires est les bases de l’ADN ainsi que de l’ARN en particulier les bases appelées Guanines (G). C’est ainsi que le principal produit d’oxydation que l’on retrouve dans l’organisme est la 8-oxo-7,8-dihydroguanine (8oxoG) qui joue d’ailleurs un rôle majeur dans la mutagenèse et la cancérogenèse c’est-à-dire l’induction des cancers (Fortini P et al., 2003). Les guanines, si elles se suivent dans des séquences répétées (GG..), sont encore plus facilement oxydables (Kino K et al., 2017) ce qui est très présent dans la séquence génétique des télomères protégeant les extrémités des chromosomes. Normalement l’organisme élimine ces produits d’oxydation toxiques (8oxoG) grâce à une enzyme (la glycosylase OGG1) et répare l’ADN ou l’ARN endommagé. Mais les télomères étant très riches en guanine, ils sont particulièrement sensibles à l’oxydation et une fabrication importante de 8-oxoG raccourcit les télomères et altère la croissance cellulaire (Fouquerel E et al., 2019) (von Zglinicki Tet al., 2000). De plus, les télomères sont réparés moins efficacement que le reste du génome, étant situés au bout des chromosomes (Oikawa S and Kawanishi S, 1999) (Opresko Pl et al, 2005). La présence de ces 8-oxoG réduit l’efficacité de la télomérase, l’enzyme qui répare les télomères, entraînant une perturbation de la longueur, du maintien et de la fonction des télomères (Opresko Pl et al, 2005). Les altérations dues aux 8-oxoG non réparées correctement peuvent aussi induire des cassures simples ou double brin (de l’ADN) conduisant globalement à une instabilité génomique (Coluzzi E et al., 2014).

De nombreux travaux ont établi un lien entre le stress oxydatif et le raccourcissement des télomères, favorisant la sénescence des cellules et le vieillissement de l’organisme (Boonekamp JJ et al., 2017) (von Zglinicki T, 2002) (Kawanishi S et Oikawa, 2004) (Richter T et von Zglinicki T, 2007) (Griffin CS, 2002). Les études montrant directement un raccourcissement des télomères par ajout d’un oxydant consommant le glutathion (l’antioxydant majeur de l’organisme), sont particulièrement significatifs (Cattan V et al. 2008).

Ce raccourcissement des télomères est observé chez les patients atteints de Covid-19 avec formes sévères, aussi bien comme facteur de risque associé (Froidure A et al., 2021) que comme conséquence de la maladie. Chez ces patients, on constate un âge biologique (qui reflète l’état physiologique ou fonctionnel exact de l’individu) augmenté après la maladie (Mongelli A et al., 2021). De plus, la concentration plasmatique des produits d’oxydation de la guanine (8-oxoG) semble être associée à la mortalité (Lorente L et al., 2021).

Dans d’autres maladies associées au stress oxydatif on observe également un raccourcissement des télomères ; ce phénomène est corrélé à l’âge (Harley CB et al., 1990) (Starr JM et al., 2008) et il est retrouvé dans des pathologies comme le syndrome métabolique (qui se caractérise par des facteurs cliniques tels que l’obésité, la dyslipidémie, l’hypertension artérielle, l’hyperglycémie et la résistance à l’insuline) (Gavia-García G et al., 2021), le diabète (Wang J et al., 2016) (Salpea KD et al., 2010), la maladie de Parkinson (Watfa G et al., 2011). Comme on le voit, ce sont tous des facteurs de comorbidités.

Lien entre sénescence et vaccins Covid-19

Di Fragana et al., en juin 2021, décrivent dans une étude en préprint sur BioRXiv que ce dommage (raccourcissement des télomères) de l’ADN stimule la transcription du récepteur ACE2 du SARS-CoV2 pendant le vieillissement confirmant ainsi les autres études. L’infection par le coronavirus 2 du syndrome respiratoire aigu sévère (SARS-CoV2) est connue pour être plus fréquente chez les personnes âgées, qui présentent également des symptômes plus graves et un risque plus élevé d’hospitalisation et de décès. Dans l’étude, les auteurs montrent que l’expression de l’enzyme ACE2 (enzyme de conversion de l’angiotensine 2), qui est le récepteur cellulaire du SARS-CoV2, augmente au cours du vieillissement dans les poumons de la souris et de l’homme. Ceci en réaction à un raccourcissement ou d’un dysfonctionnement des télomères dans les cellules de mammifères et dans les modèles murins. Cette augmentation est régulée au niveau de la transcription et l’activité de ACE2 est dépendante de la réponse aux dommages à l’ADN (DDR). 

Les auteurs concluent qu’au cours du vieillissement, le raccourcissement télomérique, en déclenchant l’activation de la DDR, provoque la régulation à la hausse de l’ACE2, le récepteur cellulaire du SARS-CoV2, rendant ainsi les personnes âgées probablement plus sensibles à l’infection.

Les travaux en prépublication de Gueudes en mai 2021, sur la comparaison des ARN de pointe (spike) et de la télomérase (enzyme qui ajoute les télomères au bout des chromosomes) du SARS-CoV2 qui arrive à expliquer le vieillissement accru des cellules alvéolaires dans les cas graves de COVID-19, permettent de faire le lien avec les thérapies à ARN messager (utilisées en pseudo vaccination de masse) et de poser nombre de questions sur les liens post vaccinal ou post covid-19. La télomérase est une transcriptase inverse et l’auteur propose une explication complète qui demande à être revue par les pairs « L’architecture du complexe de la télomérase impliqué dans la fabrication des télomères (hTR) est protégée normalement du détournement par l’ARN étranger et il existe un mécanisme de contrôle de l’incorporation de l’ARN dans la télomérase. Mais quand beaucoup d’ARN étranger est présent dans la cellule, l’assemblage de la télomérase pourrait être entravé. »

Rappelons qu’en 2003, Scholes et al. dans le journal PNAS avaient déjà montré que l’érosion des télomères entraînait l’activation des rétrotransposons et donc la transcriptase inverse ne serait probablement pas nécessaire pour expliquer que l’ARN du vaccin puisse entraver l’assemblage de la télomérase et perturber l’homéostasie génomique.

Le stress oxydatif induit par la vaccination ARNm (Pfizer, Moderna) est-il aussi responsable du raccourcissement des télomères ?

La protéine spike des vaccins induit également de l’inflammation et du stress oxydatif en se fixant sur les récepteurs ACE2 présents dans tout l’organisme (Lesgards JF, 2021).

Etant donné la gravité des effets secondaires observés et le fait que les mécanismes biochimiques soient en partie similaires, on peut émettre l‘hypothèse que les vaccins ARNm peuvent oxyder les guanines de l’ADN et en partie des télomères. On sait qu’une inflammation post-vaccinale est produite et recherchée pour amplifier la réaction immunitaire et la production d’anticorps, et si on y ajoute l’action inflammatoire et pro-oxydante (l’un ne va pas sans l’autre), induite par la protéine spike et qui peut perdurer pendant au moins 15 jours (Ogata AF et al., 2021), on a un environnement très propice à l’oxydation des bases de l’ADN, dont la plus fragile est la guanine, en particulier sur les télomères.

De fait, une étude a montré que la vaccination avec le vaccin Pfizer conduisait à une augmentation des niveaux de stress oxydatif (évalué par la mesure du glutathion) qui revenait à la normale après 14 jours (Ntouros PA et al., 2021). Ce délai étant néanmoins suffisant pour induire des dommages sur les télomères.

Ce stress oxydatif produit par la vaccination pose aussi un autre problème qui est la stabilité de l’ARNm des vaccins lui-même ! De façon très étonnante, les ARNm des vaccins Pfizer et Moderna ont été enrichis en guanines ! Ceci étant censé augmenter la traduction de l’ARN en protéine spike : en effet, si on étudie la séquence de nucléotides du gène de la spike du virus SARS-CoV2, et qu’on la compare à la séquence codante pour la protéine spike du vaccin, on remarque de nombreuses différences qui, cependant, n’affectent pas le produit de la traduction (car il s’agit de codons synonymes). Ces modifications de la séquence nucléotidique ont été introduites par les chercheurs pour une plus grande efficacité du vaccin (ils ont remplacé des bases par des G, autant que possible, pour augmenter l’efficacité de la traduction). https://www.pedagogie.ac-nice.fr/svt/?p=2967

Mais de la même façon qu’il est impossible pour les fabricants d’ignorer la toxicité de la protéine spike connue depuis dix ans, il est encore plus impossible d’ignorer la fragilité (oxydabilité) des guanines !

On peut donc s’étonner qu’aucune des autorités de régulation en charge de l’évaluation des dossiers de demande d’AMM de ces vaccins (FDA et EMA notamment), connaissant la sensibilité des télomères et de l’ADN au stress oxydatif, n’aient demandé d’étude de toxicité sur les gènes (génotoxicité).

Extrait du rapport de l’EMA sur Comirnaty (vaccin Pfizer): « Génotoxicité : Aucune étude de génotoxicité n’a été fournie. Ceci est acceptable car les composants présents dans la formulation du vaccin sont des lipides et de l’ARN qui ne devraient pas avoir de potentiel génotoxique (EMA, 2021) ».

D’un point de vue scientifique et en termes de sécurité, ceci peut être considéré comme irresponsable.

Les protéines spike des vaccins à ARN sont-elles plus nocives que la protéine spike du virus SARS-CoV2?

Les trois explications expérimentales puis théoriques suivantes permettent de répondre par l’affirmative. Les « apprentis technologues du vivant » ont pensé rendre plus stable l’ARN des vaccins en le dopant en bases G, sans modifier les acides aminés correspondants, chose permise grâce au « mode de fonctionnement » du code génétique universel qui permet à plusieurs triplets de codons distincts de coder pour un seul et même acide aminé. Malheureusement, ceci conduit dans le cadre des ARN des vaccins, à un résultat diamétralement opposé puisque ces derniers deviennent plus instables, plus fragiles et plus cassants.

1 – L’article syndrome de « mimétisme Covid-19 induit par le vaccin » (Marschalek et al., 2021) montre comment ce dopage en bases G de l’ARN du spike peut engendrer des changements de cadre de lecture des codons, donc des séquences partielles d’acides aminés différents, pouvant entraîner au final des événements thromboemboliques chez les patients immunisés par les vaccins covid-19.

2 – De plus, il a été démontré comment cet excès de bases G de l’ARN du spike des vaccins réduit à zéro les mégastructures selon des proportions UA/CG définies par Fibonacci alors qu’au contraire, la spike du virus et surtout celle des variants voit s’enrichir la complexité et la quantité de telles structures. Pour simplifier, cela signifie que l’ARN des vaccins n’est qu’un empilement de nucléotides sans la moindre colonne vertébrale lui assurant une mégastructure à moyenne et longue distance, alors que les variants acquièrent de jours en jours une plus grande solidité et cohésion globale de leur ARN. (Perez JC 2021)

3 – Cette incohérence peut aussi être visualisée dans la figure ci-dessous comme une sorte de « rugosité fractale » qui est beaucoup plus instable et inharmonieuse dans l’ARN du spike des vaccins (Pfizer plus particulièrement) que dans l’ARN du spike du virus. Ceci a été montré en utilisant la méthode du code maître.

Figure – Rugosité Fractale erratique des Spikes des vaccins Pfizer et Moderna.

Exploratoire

Sur un plan plus exploratoire, les recherches tendent à suggérer que télomères et centromères pourraient également contribuer à des équilibres (fine-tuning) plus globaux, tant à l’échelle du chromosome que du génome humain entier. 

En effet, depuis sa version initiale de 2003, plusieurs versions successives de plus en plus précises du génome humain entier ont été analysées et publiées. Cependant, pour des raisons techniques liées à leur aspect répétitif et très redondant, les télomères et centromères n’avaient pas pu être séquencés dans aucune de ces différentes versions. Et ce n’est finalement que cette année, en 2021, qu’une version intégrant les télomères a été publiée.

Lors des analyses des précédentes versions des 3,5 milliards de paires de bases TCAG du génome humain, deux découvertes remarquables avaient été publiées : 

1 – La première à l’échelle du chromosome humain suggérant que l’érosion des télomères pourrait affecter cet équilibre global à l’échelle du chromosome entier : une mise en évidence des « ondes numériques stationnaires » résultant de l’analyse des séquences nucléotidiques de chaque chromosome (chacun des chromosomes est caractérisé par une période exprimée en nombre de nucléotides, par exemple 34 pour le chromosome 4 entier (Perez JC. 2018)).

2 – La seconde à l’échelle du génome humain entier, où en 2010 était démontré que les populations de triplets codons du génome humain entier, projetées selon les positions de chacun des 64 codons de la table du code génétique universel obéiraient à une sorte d’optimum numérique (Perez JC date ?.). Cet optimum s’étant en plus affiné au fur et à mesure avec les analyses des versions de plus en plus précises du génome humain (2003, 2005 et…).

Dans ces deux articles, était ensuite démontré comment des délétions, dans un seul chromosome, associées à certains cancers, suffisaient pour dégrader cet équilibre optimum à l’échelle du génome tout entier

Il est donc légitime de penser que les dégradations de télomères pourraient également altérer cet équilibre nucléotidique GLOBAL du génome ENTIER de façon analogue à celle observée dans les délétions associées aux cancers. (Voir pour cancers prostate et sein et pour cancers du cerveau glioblastome et des neuroblastome)

Finalement, comme démontré précédemment lors de délétions de fragments d’un chromosome associées à des cancers, nous pensons que cette « érosion » accélérée des télomères, probablement liée à la protéine spike du virus mais aussi au spike des vaccins, pourra affecter ce double équilibre à l’échelle de chaque chromosome puis du génome entier.

Conclusion

Ces études et observations apportent des informations clés sur la maladie et une réponse fondamentale à la question de la plus grande sensibilité des personnes âgées ou immuno-déficiente à la maladie. En effet, avec le vieillissement, les télomères se détériorent et affectent la reproduction cellulaire. Le SARS-CoV2 entraînerait un vieillissement de l’âge biologique ou une accélération de l’âge biologique par le biais d’un raccourcissement accru des télomères.

La question que l’on peut légitimement poser est la suivante : la protéine spike active des vaccins (Pfizer, Moderna…) en sollicitant/boquant le récepteur ACE2 n’est-elle pas susceptible d’inhiber la fonction bénéfique de protection des télomères et ainsi d’activer aussi le vieillissement ?

Il y aurait donc un lien direct entre la maladie et la machinerie cellulaire humaine avec intervention de la transcriptase inverse, ce qui ne correspond absolument pas à l’objectif d’un vaccin traditionnel.

Pour lutter contre le SARS-COV2, deux stratégies à mener de front semblent pertinentes :

1 – Prévenir la maladie – avec comme approche thérapeutique et médicale les réponses connues des gestes barrières, des traitements précoces et d’une « vaccination éprouvée ». La prévention passant également par une hygiène de vie saine, une alimentation équilibrée, de l’activité physique, du repos en quantité suffisante, des échanges sociaux. Mens sana in corpore sano, le meilleur prérequis pour affronter virus et bactéries.

2 – Empêcher les formes graves de la maladie – ce qui demande avant tout la compréhension complète du virus, de son mode d’action et des conséquences de la maladie sur les organes affectés. 

À ce jour, la réponse sanitaire à la gestion de la crise consiste en l’injection de substances encore à l’essai, toujours en phase 3 au moment où est publié cet article, pour lesquelles la définition du mot « vaccin » a dû être modifiée par l’OMS elle-même. De plus, il est accepté que l’injection avec la technologie à ARN messager entraîne une production accrue de la protéine spike tout en ne réduisant pas la transmission (traitement Pfizer déclaré efficace à 42% seulement contre le variant delta). Cette barrière vaccinale favoriserait également la création de variants qui cherchent à la contourner. Dans les pays qui ont massivement vacciné, les données publiées par les autorités tendent à montrer que un pourcentage élevé des personnes hospitalisées sont des personnes dont le parcours vaccinal est complet. Notons qu’à ce jour, les institutions françaises ne rapportent pas les mêmes observations ; ceci peut être expliqué en partie par le décalage du démarrage de la campagne de vaccination (+ 2 mois par rapport à Israël par exemple).

Le professeur Montagnier déclare : « pour prévenir la sénescence, prenez des antioxydants ! je dis cela depuis 30 ans, j’ajouterais maintenant : pour ne pas perdre mes télomères ».

Plusieurs questions se posent sur le virus :

1 – Est-il préférable d’attraper la maladie de manière hasardeuse et de développer une réponse immunitaire globale naturelle ou de tenter l’expérience vaccinale en encourant les nombreux effets secondaires rapportés par la pharmacovigilance, ainsi qu’un risque de sénescence cellulaire accrue ?

2 – La détérioration de l’âge biologique est-elle la même chez les malades Covid et chez les vaccinés ? L’un est-il pire que l’autre ? À ce stade, personne ne peut apporter de réponse précise à ces questions.

Toujours est-il que ce virus entraîne une augmentation de l’âge biologique chez les personnes qui contractent la maladie dont l’effet est probablement accentué par l’injection vaccinale. Avec la baisse de l’efficacité sur la contamination, il est donc essentiel de prévenir l’aggravation de la maladie et pour cela une prise en charge précoce est impérative.

En laissant évoluer la maladie au-delà des premiers jours et en utilisant les vaccins comme unique solution, le risque existe que l’on entraîne une réduction du temps de vie tant des adultes que des enfants. À l’heure où les femmes comme les hommes cherchent à vieillir dans les meilleures conditions et rester jeunes le plus tard possible, veut-on prendre le risque avec des injections régulières de ruiner tous ces efforts ? Devant la volonté de vacciner les enfants qui ne sont pas affectés par le SARS-CoV2, il ne faudrait pas que le remède soit pire que le mal.

Face aux ressentis de certains patients ayant contracté le Covid et/ou de certaines personnes vaccinées témoignant qu’elles ont l’impression « d’avoir pris dix ans d’un coup », la science amènerait-elle à point nommé, une fois encore, des éléments factuels de réponse en faveur des traitements précoces ? Un dernier pas, que certains n’hésiteront pas à franchir, est de déclarer que l’accélération de l’âge biologique entraînerait une baisse de l’espérance de vie.

Auteurs de cette analyse et tribune par ordre alphabétique : Xavier Azalbert, Anne-Typhaine Bouthors, Michel Brack, Dominique Cerdan, Walter Chesnut, Gérard Guillaume, Jean-François Lesgards, Luc Montagnier, Jean-Claude Perez.
Remerciement aux nombreux membres du Collectif citoyen pour la relecture.

Auteur(s): Xavier Azalbert, Anne-Typhaine Bouthors, Michel Brack, Dominique Cerdan, Walter Chesnut, Gérard Guillaume, Jean-François Lesgards, Luc Montagnier, Jean-Claude Perez pour FranceSoir