Comment en finir avec Macron et son crime pandémique pour retrouver nos libertés

[Source : France Liberté]

Arnaud Upinsky dénonce l’absence d’opposition au crime pandémique de Macron, le langage politiquement correct utilisé par « l’opposition ». Il explique comment planter le fer de l’intention criminelle et aller à la cause des causes pour rendre la candidature du criminel Macron illégitime en 2022.

https://youtu.be/9INWtUL2658



L’avocat à l’origine du scandale Agnès Buzyn

[Source : BLAST – Le souffle de l’info]

« Depuis quand en France on refuse de soigner les gens quand ils sont malades ? Depuis quand, quand on appelle le Samu ou quand on va aux urgences et qu’on explique qu’on a 41, 42 de fièvre, qu’on vomit et qu’on a de la diarrhée, on refuse les gens ? Je pense que ça pose une question fondamentale sur la manière dont les pouvoirs publics ont abordé cette épidémie, avec l’idée qu’on ne pouvait pas soigner les gens sauf quand ils arrivaient à l’état extrême où il fallait les hospitaliser pour les mettre sous oxygène, voire les intuber. »

Denis Robert a reçu Bertrand Mertz, avocat à l’origine de la récente mise en examen d’Agnès Buzyn pour « mise en danger de la vie d’autrui » dans le cadre de la gestion de la crise sanitaire au début de l’année 2020.




Le Dr Hodkinson est horrifié par ce spectacle des tests PCR bidon… le pire de l’histoire médicale!

[Source : Les 7 du quebec]

Par Robert Bibeau

Le docteur Hodkinson est indigné par la tragédie humaine qui se joue sous nos yeux, il adresse donc ce message.

Ne croyez surtout rien de ce qu’on tente de vous faire gober pour vérité, ce ne sont que mensonges et propagandes. Cette plandémie ne reste ni plus ni moins qu’une bonne veille mauvaise grippe saisonnière et rien d’autre !!! Tout ceci est construit sur la PEUR et la PROPAGANDE, articulée intentionnellement autour du test PCR qui a fabriqué 95% de faux positifs sur des gens en BONNE SANTÉ et la SURVEILLANCE TOTALITAIRE ET DICTATORIALE qui interdit et censure toute expression contraire au narratif de la pensée unique DE CES CABALISTES MACHIAVÉLIQUES qui ont pris le contrôle et verrouillé tous les pans du système, empêchant quiconque d’émettre un avis contraire !!!



Il accuse donc implicitement les médecins, les politiciens et bien sur les médias qui se rendent tous complices de cette mascarade en acceptant par lâcheté cette compromission, préférant privilégier l’argent plutôt que l’éthique. La politique qui fait de la médecine son cheval de bataille devient un jeu extrêmenent dangereux, il rappelle au passage que Fauci a crée ce virus et que nous devons tous ne plus avoir peur et refuser tout vaccin anti-covid quel qu’il soit !!!

Pour rappel, le Dr Hodkinson, n’est pas le premier venu, en effet il a obtenu ses diplômes de médecine générale à l’Université de Cambridge au Royaume-Uni (M.A., M.B., B. Chir.) où il a été chercheur au Corpus Christi College. Après une résidence à l’Université de la Colombie-Britannique, il est devenu pathologiste généraliste agréé du Collège royal (FRCPC) et également membre du College of American Pathologists (FCAP). Il est en règle avec le Collège des médecins et chirurgiens de l’Alberta et a été reconnu par la Cour du Banc de la Reine en Alberta comme un expert en pathologie.

Son impressionnant CV ici : medmaldoctors.ca/dr-roger-hodkinson

Appel à la population en pdf : drive.google.com/file

source : https://rumble.com




Dr Bryan Ardis & Me Reiner Fuellmich — Dépopulation, stérilisation et génocide par injections anti-Covid-19

[Source : Sott.net]

Par M.K. Scarlett

Voici la vidéo doublée en français d’une réunion qui s’est tenue fin juillet entre notamment l’avocat Reiner Fuellmich et le docteur Bryan Ardis, et dont le contenu est, à nouveau, de grande importance. Cet entretien est par ailleurs à rapprocher de celui mené par le docteur Mercola avec le professeur Stephanie Seneff du MTI comme invitée, entretien que nous avons traduit en français et publié en début de semaine : Le lien entre protéine Spike et protéine à prion — Quels sont les effets des injections anti-Covid-19 ? Entretien exclusif entre Stephanie Seneff du MIT et le Dr Mercola.

Le docteur Bryan Ardis nous fait part de ses recherches quant au Remdésivir, présenté par Anthony Fauci comme un « médicament » soi-disant « miracle » qu’il a imposé comme étant le soi-disant « seul remède » pour soi-disant guérir du Covid-19 dans les hôpitaux des États-Unis. Le docteur Bryan Ardis évoque aussi les recherches qu’il a menées sur le protocole sanitaire en général et surtout sur la FDA qui savait TOUT des effets indésirables des injections expérimentales nommées « vaccins » anti-Covid-19 avant même que les produits ne reçoivent ne serait-ce qu’une autorisation de mise sur le marché conditionnelle.

Il parle aussi d’une nouvelle maladie qui a été repéré chez les enfants vers avril 2020. Il s’agit du syndrome inflammatoire multisystémique pédiatrique ou PIMS— MIS-C en anglais — celui-là même qu’ils ont appelé la maladie de Kawasaki soi-disant en lien avec le Covid-19. Selon le docteur Ryan Ardis, dès que les adultes ont commencé à être injectés, plusieurs centaines d’enfants avaient développé cette maladie — avant même qu’aucun d’entre eux ne soit injecté, et au moment où la vidéo a été enregistrée, en juillet 2021, au moins 4 000 de ces enfants avaient développé un syndrome inflammatoire multisystémique pédiatrique.

Le docteur Bryan Ardis en a conclu que ces enfants ont contracté cette toute nouvelle maladie au contact de leurs parents — ou de toute personne avec laquelle ils passent du temps — lesquels étaient injectés avec des milliards de protéines Spike. Ces enfants n’ont pas été affectés par le Sras-CoV-2, mais bien par les injections anti-Covid qui produisent tellement de protéines Spike que le corps cherche à s’en débarrasser par tous les moyens : sudation, respiration, etc. C’est notamment à cet effet que l’interview du docteur Mercola et du professeur Stephanie Seneff traduite en français par Sott.net et récemment publiée est important.

Une fois de plus, accrochez-vous et bon visionnage !



Vidéo originale.

Source de la vidéo publiée le 15 septembre 2021 : Quadrillage traduction Odysee




« Notre espèce est génétiquement modifiée » — L’humanité est-elle en marche vers l’extinction ?

[Source : Sott.net]

Par David Skripac — Global Research

Cette année marque un tournant décisif dans l’histoire humaine. Pour la première fois depuis le début de la civilisation humaine, notre espèce est génétiquement modifiée. Les fabricants de vaccins ont maintenant permis de modifier définitivement le génome humain — et de modifier à jamais la relation de l’humanité avec la Nature — au moyen d’une injection pharmaceutique expérimentale qui est faussement appelée « vaccin ».

À la lumière de cet événement déterminant, je crois que nous devons examiner attentivement les motifs et les actes qui sont en train de transformer l’humanité telle que nous la connaissons. Par ailleurs, nous devons examiner le traitement de plus en plus destructeur que nous réservons au monde naturel.

Afin d’étudier les multiples facteurs qui contribuent à accélérer la disparition de l’humanité et à compromettre notre rôle essentiel de protecteurs de la Terre et de ses milliards d’espèces végétales et animales, j’ai divisé cette étude en quatre parties principales, qui apparaîtront sous forme d’articles distincts.

Dans la première partie : Le microbiome et le virome, nous découvrirons que nous nageons littéralement dans une vaste mer d’informations génomiques qui ont joué un rôle essentiel pour que la vie commence et s’épanouisse sur cette Terre précieuse et qui essaie toujours d’aider toutes les espèces à survivre. La matrice des organismes qui composent le microbiome a construit un flux d’information viromique qui a permis l’adaptation et la biodiversité sur la planète. Et ce même flux d’information viromique est responsable de la construction de l’espèce humaine.

Dans la deuxième partie : Notre guerre contre la Nature, nous explorerons comment notre propre comportement imprudent détruit l’environnement, nous avançant ainsi vers la sixième extinction massive. J’entends par là que je couvrirai la véritable catastrophe environnementale, et non le canular financé par des milliardaires « réchauffement climatique/changement climatique » initié par le Club de Rome et promulgué par le Forum économique mondial (FEM).

Dans la troisième partie : Ce qui s’est passé en 2020, nous examinerons comment cette véritable dévastation environnementale a contribué à la « pandémie » qui a été déployée en 2020, qui a conduit à des injections expérimentales massives de substances inconnues dans des « sujets » humains en 2021, et qui n’a pas de fin prévisible. (J’ai mis « pandémie » entre guillemets en raison de son caractère frauduleux. En effet, il est décrit plus précisément et à juste titre comme une plandémie, une arnaque, une pseudo-pandémie ou tout autre terme indiquant une fausse pandémie.)

Dans la quatrième partie : Notre réponse, nous analyserons la réponse irresponsable et irrationnelle de la plupart des gens de la planète à cette soi-disant pandémie.


Première partie : Analyse du microbiome et du virome

Le microbiome

Le microbiome (dérivé des mots grecs micro, qui signifie « petit », et biotikos, qui signifie « vivant ») est un écosystème massif composé de milliards de micro-organismes. Fait incroyable, quelque 40 000 espèces de bactéries, 300 000 espèces de parasites, 65 000 espèces de protozoaires et entre 3,5 millions et 5 millions d’espèces de champignons vivent dans l’environnement qui nous entoure et vivent dans ou sur le corps humain. Ce monde complexe de micro-organismes sécrète continuellement une mer de virus, qui servent de réseau de communication pour les bactéries, les parasites, les protozoaires et les champignons. Et, comme nous le découvrirons bientôt, ces virus ont toujours été là pour nous aider, pas pour nous nuire. En d’autres termes, ils sont porteurs de vie, et non mort.

Voici un indice de la complexité, de l’incroyable diversité et de la taille infinitésimale du microbiome : Le nombre de gènes dans le règne fongique est d’au moins 125 milliards ! Le génome humain, à titre de comparaison, se compose de seulement 20 000 gènes. Une mouche à fruits a 13 000 gènes, une puce en a 31 000. Ainsi, en termes de complexité génétique, le génome humain ne possède qu’un minuscule fragment d’information génétique par rapport au vaste monde de l’information génomique contenue dans le microbiome.

Un aspect fascinant du microbiome est son réseau de communication symbiotique, qui permet la transmission d’informations protéiques d’un micro-organisme à l’autre. Par exemple, le réseau mycélien (une matrice de filaments blancs fins) chez les champignons permet aux champignons de communiquer entre eux sur des distances qui peuvent s’étendre jusqu’à plusieurs kilomètres. Ces structures mycéliennes sont capables de transférer des ressources minérales et protéiques à plus d’un kilomètre. Comment ? Ils utilisent l’énergie lumineuse et les électrons qui circulent à travers les voies présentes dans le système du sol. De cette façon, le microbiome aide les plantes et d’autres formes de vie multicellulaires à prospérer. Il n’est pas exagéré d’appeler le réseau mycélien dans le royaume fongique le « cerveau » littéral de la planète. Soit dit en passant, tous les petits organismes intelligents qui composent le microbiome sont alimentés par l’énergie biophotonique du Soleil.

Commentaire : Voir notre Focus La science relative à l’intelligence végétale prend racine

Aussi difficile à comprendre, au moins 1,4 quadrillion de bactéries et 10 quadrillions de champignons vivent à l’intérieur du corps humain. Rien que dans le côlon humain on trouve 3,8 x 1013 cellules bactériennes. Chaque organe du corps, y compris le cerveau, a son propre microbiome. Le but des bactéries et des champignons dans notre corps est de nourrir et d’entretenir nos cellules, en nous gardant en bonne santé et en équilibre avec le microbiome plus vaste qui nous entoure.

Le virome

Le virome est l’immense monde dans lequel les messagers de Dame Nature existent. Il est composé de milliards et de milliards de virus produits par les bactéries, les parasites, les protozoaires et les champignons du microbiome susmentionné.

Le corps humain adulte moyen contient 1 x 1015 virus. En revanche, dans l’air qui enveloppe la Terre, il y a 1 x 1031virus ; dans le sol terrestre, il y a 2,5 x 1031 virus ; et dans les océans de la Terre, il y a 1,2 x 1030 virus. Pour donner une certaine perspective sur ces nombres impressionnants, 1 x 1031 est 10 millions de fois plus grand que le nombre d’étoiles connues dans l’Univers entier.

En termes simples, un virus est une information génomique, soit de l’ADN ou de l’ARN, enveloppée dans une enveloppe protéique. Les petits brins de protéines dépassant de la surface extérieure de l’enveloppe protéique d’un virus sont appelés protéines Spike. Les virus ne sont pas des organismes vivants. Ils ne produisent pas leur propre carburant. Ils n’ont pas de métabolisme pour produire de l’énergie. Et ils ne peuvent pas se reproduire.

Les virus voyagent à l’échelle mondiale, au-dessus de la couche limite atmosphérique, depuis des millions d’années, bien avant l’invention des machines de transport aérien. Leurs codes génétiques couvrent la Terre depuis des lustres, créant la biodiversité et permettant l’adaptation dans tout l’écosystème. Par adaptation, je veux dire que les virus cherchent toujours à adapter leurs codes génétiques dans le but de créer une santé résiliente dans toutes les formes de vie de la planète. Il est ridicule de suggérer que, pour voyager d’une région du globe à l’autre, un virus puisse sauter à bord d’un avion, comme la Division de la recherche sur la sécurité nationale de RAND voudrait nous le faire croire.

En outre, les virus — y compris les coronavirus — ne viennent pas par vagues pour disparaître ensuite sans laisser de trace, puis réapparaître miraculeusement plus tard au même endroit ou dans un autre. Au lieu de cela, les virus ne partent jamais, n’expirent jamais. Ils habitent tous les éléments de l’environnement qui nous entoure. En bref, ils sont omniprésents et toujours présents.

Notre relation avec des virus particuliers peut changer en raison de nos actions nocives envers la Nature. Chaque fois que les humains empoisonnent et polluent l’air, le sol et l’eau, ils créent un déséquilibre entre l’humanité et le virus — un déséquilibre qui peut nous amener à à être en déséquilibre avec un virus particulier.

Malheureusement, le régime de médecine allopathique, que les ploutocrates John D. Rockefeller et Andrew Carnegie ont imposé à la majeure partie du monde avec leur rapport Flexner de 1910, a encore une grande partie de la communauté scientifique qui croit que les bactéries, les champignons et les virus sont notre ennemi.

Le fondement du système de médecine allopathique de Rockefeller est la « théorie des germes » imparfaite de Louis Pasteur, qui affirme que des micro-organismes extérieurs tels que les bactéries et les virus attaquent, envahissent et infectent le corps, causant ainsi des maladies.

La plupart des pays occidentaux attribuent à Pasteur (1822-1895) un rôle fondamental dans l’établissement de ce que nous appelons la « médecine moderne » — un paradigme qui retrace l’origine de chaque maladie à un seul germe.

Sans la théorie de Pasteur, la plupart des médicaments modernes ne seraient jamais produits, promus ou prescrits — un fait qui explique pourquoi l’establishment médical d’aujourd’hui et son industrie pharmaceutique co-dépendante refusent de reconnaître leurs défauts ou d’admettre leur inefficacité.

En revanche, la « théorie du terrain », initiée par Claude Bernard (1813-1878) et plus tard construite par Antoine Béchamp (1816-1908), allègue que le terrain — c’est-à-dire l’environnement interne du corps — et non un germe externe détermine notre santé ou notre absence. Ce que Béchamp a appelé le « terrain » est très proche de ce que la médecine moderne a maintenant appelé le système immunitaire inné. Comme nous le verrons dans les paragraphes suivants, Béchamp était certainement sur la bonne voie pour découvrir comment le corps humain interagit vraiment avec l’environnement extérieur.

Commentaire : Pasteur ne s’est par contre pas promu tout seul… Il avait un sens aigu des relations publiques, et si l’on reprend le contexte de l’époque où fleurissait aussi la théorie de l’évolution de Darwin, l’on peut comprendre que des courants idéologiques avaient — et ont toujours — des intérêts bien précis à promouvoir Pasteur plutôt que Béchamp.

À eux deux, Pasteur et Darwin ont stérilisé toute véritable recherche spirituelle en la ramenant au seul terrain matérialiste et mécaniste. On peut aussi faire le parallèle entre ces matérialismes « scientifiques » et le capitalisme libéral dans lequel s’exerce la loi du marché, ramenée à la loi de la jungle où seul le plus fort peut survivre, une loi qui ne gère que les rapports matériels entre les différents organismes vivants. Sus aux faibles, sus aux vilains microbes qui nous attaquent, et tant pis si sans beaucoup d’entre eux, nous ne serions même pas là pour en parler.

Voir aussi nos Focus :

Contrairement à Pasteur, Béchamp avait une formation universitaire en sciences. Il croyait que la maladie était le résultat biologique des changements qui se produisent dans le corps lorsque ses processus métaboliques deviennent déséquilibrés. Lorsque le corps est dans un état de déséquilibre, a allégué Béchamp, les germes deviennent des symptômes qui, à leur tour, stimulent plus de symptômes, ce qui conduit finalement à la maladie.

Bien que Béchamp aille dans la bonne direction avec sa théorie du terrain, la tyrannie pharmaceutique dépendante des germes de Rockefeller a prévalu, en grande partie en raison d’importantes infusions d’argent, que Rockefeller et Carnegie ont volontiers fournies sous forme de subventions aux universités, aux hôpitaux et aux installations de recherche médicale. Leur grande taille « philanthropique », qui dépassait facilement 100 millions de dollars, leur a permis d’influencer la politique de l’ensemble de l’établissement médical américain et, éventuellement, de la plupart des pays occidentaux, les dirigeant vers un régime allopathique exclusivement chimique.

Je démontre dans cet article que, contrairement à ce que la médecine Rockefeller nous enseigne depuis plus de cent ans, les virus ne sont pas là pour attaquer nos cellules ou nous nuire de quelque manière que ce soit.. Au contraire, l’information moléculaire génétique sur l’ADN et l’ARN contenue dans les virus constitue en fait les éléments fondamentaux de la vie sur terre. Pour utiliser une analogie moderne, nous pouvons considérer le flux d’information d’un virus comme une mise à jour logicielle transportant une intelligence moléculaire importante qui peut être téléchargée, au besoin, sur n’importe quelle cellule d’un organisme multicellulaire vivant, y compris l’une des 70 milliards de cellules contenues dans le corps humain. Nos cellules régulent de nouvelles informations génomiques qui sont reçues et d’autres informations qui ne sont pas reçues. Les virus cherchent simplement à s’adapter aux cellules dans le but de créer une santé humaine résiliente.

Commentaire : Voir notre Focus Les preuves irréfutables de l’origine humaine du Sras-Cov-2 et particulièrement la section sur les virus.

Un mot ici sur le système immunitaire.

Il existe deux types d’immunité : innée et adaptative

Le système immunitaire inné est le moyen initial et principal par lequel notre corps interagit avec un virus. Le système inné aide le corps à trouver un équilibre génétique à chaque nouvelle mise à jour virale qui lui est présentée. Le corps n’a pas besoin de répliquer ou de reproduire les nouvelles informations virales après plus de 4 ou 5 jours de mises à jour.

Le système immunitaire inné fonctionne sur des limites saines dans le corps humain, telles que les barrières physiques entre l’intestin et la circulation sanguine, ou sur les vaisseaux sanguins qui régulent étroitement le mouvement des ions, des molécules et des cellules entre la circulation sanguine et le cerveau (appelée barrière hémato-encéphalique), ou au niveau génétique de nos cellules (comme les protéines mutagènes dans nos cellules). En outre, le système immunitaire inné fonctionne à travers une variété d’enzymes, comme l’APOBec3A/3G et le CAS9Ces enzymes sont maintenant considérées comme centrales à l’immunité innée.

Le système immunitaire adaptatif est le moyen secondaire par lequel notre corps interagit avec les virus.

Le système immunitaire adaptatif monte une réponse très spécifique à un virus en utilisant les globules blancs du corps, connus sous le nom de lymphocytes (cellules B et lymphocytes T). Les lymphocytes B sont responsables de la libération d’anticorps dans la circulation sanguine. Les anticorps sont la deuxième méthode d’interaction de l’organisme — et non la première — avec un virus après qu’il ait reçu une nouvelle mise à jour virale ou après qu’il ait développé un déséquilibre avec un virus particulier. Les anticorps sont des défenses spécifiques et ciblées. Ils apparaissent généralement sur les lieux 3 à 6 semaines après l’exposition initiale du corps à un virus. En termes simples, les anticorps agissent comme une équipe de nettoyage, aidant le corps à nettoyer les virus et les bactéries qui ne sont plus nécessaires. Pendant ce temps, les lymphocytes T sont responsables de la stimulation des lymphocytes B à fabriquer des anticorps.

Pour comprendre la rapidité avec laquelle le corps humain s’adapte lorsqu’il est exposé au virome, envisagez un nourrisson de sept jours. Il a 1 x 108 particules virales dans seulement un gramme de matières fécales. Même si cet enfant n’a pas la capacité de développer des anticorps à un stade aussi précoce de sa vie, il s’adapte néanmoins instantanément à ces particules virales, restant parfaitement en bonne santé. Au lieu de développer une fièvre, il reste en équilibre stable — l’homéostasie — avec le virome, tant microbien que génétiquement. Ce seul fait prouve que nous n’interagissons pas avec le virome par notre système immunitaire adaptatifmais que nous interagissons plutôt avec lui par l’intermédiaire de notre système immunitaire inné.

Quel est le principal point à retenir de ces faits ? Selon moi, c’est que la décision du corps d’adopter l’information génétique est un processus biologique très complexe et contrôlé. Il existe de nombreuses façons dont notre corps reste en équilibre avec l’immense mer d’informations génétiques que nous inspirons et avec lesquelles nous entrons en contact à chaque instant de notre vie.

Puisqu’un virus n’est pas un organisme vivant, notre système immunitaire inné ne peut pas tuer les virus — et il ne voudrait pas le faire. Au lieu de cela, comme mentionné ci-dessus, le système immunitaire inné entre simplement en équilibre génétique avec un nouveau virus. Il le fait en reproduisant ou en recevant des mises à jour de ce virus — et en répondant immédiatement à ce nouveau téléchargement viral. Une fois l’équilibre génétique atteint, généralement 4 à 5 jours après l’exposition initiale au virus, notre système immunitaire inné refuse de recevoir d’autres mises à jour.

De ces faits, nous pouvons conclure que les humains ne peuvent pas empêcher une « épidémie » de se produire, ni changer la trajectoire d’une épidémie. En d’autres termes, il est inutile — en fait, pire qu’inutile : c’est nocif — d’essayer de contrôler un virus par ailleurs utile en déployant un dispositif expérimental non approuvé d’édition génétique conçu pour produire une réponse immunitaire (aussi connue sous le nom de réponse adaptative du système immunitaire induite par l’injection). Ce modèle scientifique obsolète est biologiquement illogique et ne pourra jamais fonctionner. Nous savons maintenant qu’il interfère avec notre système immunitaire inné magnifiquement conçu, qui est parfaitement capable de gérer tout virus avec lequel nous pourrions développer un déséquilibre temporaire. (La façon exacte dont nous développons un déséquilibre avec un virus particulier, comme le virus du VIH ou tout coronavirus, sera expliquée plus loin dans l’article).

De plus, contrairement au récit officiel propagé par les fabricants de vaccins et les organismes de santé des gouvernements du monde entier, notre système immunitaire conserve en mémoire des virus avec lesquels notre corps a interagi et des gènes qui ont été insérés naturellement — après avoir reçu une nouvelle mise à jour virale — dans nos cellules. Dans le système immunitaire inné, par exemple, l’enzyme Cas9, qui est responsable du clivage de l’excès d’ADN lorsqu’une trop grande quantité d’un transfert viral est présentée à une cellule, est la banque de données de mémoire naturelle qui se souviendra du modèle d’ADN qu’elle a rencontré.

En outre, les dossiers permanents tenus par un système immunitaire inné sont transmis aux générations futures d’humains, qui n’auront donc jamais de réaction inflammatoire à un virus particulier. Même dans le système immunitaire adaptatif, les lymphocytes B (la source d’anticorps) et les lymphocytes T (stimuli des lymphocytes B) fournissent une immunité durable.

Une étude à plusieurs volets des NIH présentée par le Center for Infectious Disease Research and Policy (CIDRAP) en 2008 a prouvé de manière concluante que l’immunité aux anticorps peut durer toute une vie. Dans cette étude, un groupe de scientifiques, dirigé par le Dr. Eric Altschuler, a prélevé des échantillons de sang sur 32 survivants — âgés de 91 à 101 ans — de la pandémie de grippe espagnole de 1918. (En fait, le nom correct de cette pandémie est la grippe du Kansas — son lieu d’origine.) À leur grande surprise, les scientifiques ont découvert que, près d’un siècle plus tard, tous les participants à l’étude portaient encore les anticorps contre la même souche de grippe.

Commentaire : Et plus précisément en ce qui concerne cette grippe de 1918,

« La pandémie de grippe dite « espagnole » a débuté avec l’expérience brutale de l’Institut Rockefeller sur la vaccination des troupes américaines contre la méningite bactérienne. Cette expérience menée en 1918-1919 pourrait avoir tué cinquante à cent millions de personnes. Et si l’histoire qu’on nous a racontée sur cette pandémie n’était pas vraie ? Et si, au contraire, l’infection mortelle n’était ni la grippe ni d’origine espagnole ?
[…]
La pandémie n’était par grippale. On estime que 95 pour cent (ou plus) des décès ont été causés par une pneumonie bactérienne, et non par un virus de la grippe. La pandémie n’était pas d’origine espagnole. Les premiers cas de pneumonie bactérienne en 1918 remontent à des bases militaires, la première à Fort Riley, dans le Kansas. Du 21 janvier au 4 juin 1918, un vaccin expérimental contre la méningite bactérienne cultivé sur des chevaux par l’Institut Rockefeller pour le Medical Research de New York a été injecté aux soldats à Fort Riley.

Pendant le reste de l’année 1918, alors que ces soldats — vivant et voyageant souvent dans de mauvaises conditions sanitaires — étaient envoyés en Europe pour combattre, ils ont répandu la bactérie à chaque arrêt entre le Kansas et les tranchées de la ligne de front en France.
[…]
Pendant la Première Guerre mondiale, l’Institut Rockefeller a également envoyé son sérum expérimental contre les méningocoques en Angleterre, en France, en Belgique, en Italie et dans d’autres pays, contribuant ainsi à la propagation de l’épidémie dans le monde entier. »

Sur la base des conclusions de cette étude vieille de 21 ans, nous pouvons rejeter la propagande qui nous est imposée par les médias mainstream et les organisations médicalesIl n’est pas vrai que l’immunité naturelle au virus Sras-CoV-2 peut s’estomper six mois à un an après l’exposition initiale. Et il n’est pas vrai qu’une injection expérimentale est le seul moyen d’atteindre l’immunité. De telles allégations non fondées ne sont que des ruses inventées pour faire avancer l’agenda avide de l’industrie pharmaceutique et des autres technocrates opérant en coulisses.

En résumé : Le pouvoir de l’immunité naturelle surpassera toujours toute présumée immunité contre un virus censé résulter d’une injection, qu’elle soit expérimentale ou approuvée par le gouvernement.

Du point de vue biologique, toute la vie sur Terre est construite à partir des séquences génétiques moléculaires d’ARN et d’ADN contenues dans les virus. Ces virus sont des systèmes d’administration génétique de nature complexe, ils demeurent essentiels à l’épanouissement et au maintien de la vie sur Terre. En fait, plus de 50 % des 20 000 gènes hérités par les humains d’aujourd’hui ont été insérés il y a des millions d’années dans le génome des mammifères par ces minuscules merveilles de la Nature. Au moins 8 % de ces gènes ont été insérés par des rétrovirus à ARN similaires au rétrovirus du VIH. (Un rétrovirus est un virus à ARN qui insère une copie d’ADN de son génome dans la cellule hôte afin de se répliquer.) Tout aussi intrigant est le fait qu’il y a des millions d’années, les mises à jour rétrovirales ont joué un rôle clé dans l’émergence des mammifères placentaires.

Fait intéressant à noter, une étude publiée en 2017 par le National Institute of Health (NIH) démontre que beaucoup d’entre nous sont porteurs du rétrovirus du VIH sans même le savoir. Dans cette étude, les chercheurs « ont exploré des données de séquence non humaines provenant du séquençage du génome entier » du sang de 8 240 adultes vivant aux États-Unis et en Europe — dont aucun n’a été établi comme étant atteint d’une maladie infectieuse. Ils ont constaté qu’un total de 42 % des participants ont obtenu un résultat positif pour la présence de 94 virus connus. Ces virus comprenaient le VIH, le virus de l’hépatite B, le virus de l’hépatite C et le virus de la grippe.

Nous avons été formés par la communauté médicale et les médias sous la coupe des entreprises pour croire que le VIH devrait prédominer chez les personnes vivant en Afrique subsaharienne. Après tout, nous dit-on, 95 % de tous les cas « séropositifs pour le VIH » proviennent de cette région du globe. Si tel était le cas, nous devrions nous attendre à voir dans d’autres régions très peu de VIH et une prévalence beaucoup plus élevée, par exemple, de l’hépatite C ou de la grippe. Au contraire : c’est juste l’inverse ! En fait, l’étude de 2017 a révélé une prévalence cinq fois plus élevée du VIH que d’hépatite C et de grippe chez ces 8 240 Américains et Européens asymptomatiques. Étonnamment, chacun était complètement en harmonie avec le virus du VIH, même si aucun d’entre eux n’avait jamais voyagé en Afrique. Nous devons conclure à partir de cette étude que non seulement le monde a tout simplement mal compris la prévalence du virus du VIH dans toutes les régions du monde, mais que notre peur de celui-ci — et du virome en général — est tout à fait injustifiée.

Étant donné que de nombreuses organisations puissantes, publiques et privées, bénéficient des énormes subventions et dons qui perpétuent le mouvement sans fin contre le SIDA, il n’est pas surprenant qu’aucune étude scientifique évaluée par les pairs n’ait été réalisée pour fournir des preuves concluantes qu’un virus appelé VIH provoque une maladie appelée SIDA. Si une telle étude devait être entreprise, elle prouverait que l’hypothèse du VIH au SIDA est sans fondement et, plus précisément, frauduleuse.

La question sur laquelle les scientifiques devraient se concentrer est la suivante : qu’est-ce qui se passe en Afrique subsaharienne qui crée une relation aussi anormale entre les personnes vivant dans cette région et le rétrovirus du VIH, ce qui fait que 95 % d’entre elles sont séropositives ?

Pour répondre à cette question, nous devons examiner le terrain où résident les virus et rester en équilibre avec le corps humain. (Par « terrain », j’entends une zone géographique avec son écosystème associé. Je ne fais pas référence ici à la théorie du terrain Bernard/Béchamp susmentionnée.) Lorsqu’un terrain est perturbé par quelque chose d’innaturel — par exemple, l’empoisonnement de l’environnement par un comportement humain irresponsable — les virus deviennent surexprimés et l’équilibre du corps avec le virome est perdu.

Compte tenu du terrain, nous constatons que le facteur numéro un commun à toutes les épidémies ou pandémies dites de maladies infectieuses est la destruction de l’écosystème. En d’autres termes, le terrain naturel a été modifié par un comportement humain irresponsable à un point tel que notre adaptation innée à toute l’information génétique qui nous entoure est sapée.

Commentaire : Il est toutefois à noter qu’un environnement peut aussi, comme l’Histoire nous l’apprend, être en partie ou totalement détruit par des changements cosmico-terrestres : ouragans, tornades, volcans, séismes, inondations, grêle, passage rapproché de comète, astéroïdes, et autres boules de feu météoriques, etc.

Ce n’est pas tant que les virus causent une maladie. C’est plutôt qu’ils présentent simplement au corps une nouvelle option d’adaptation génétique. Le système immunitaire inné de l’organisme détermine ensuite la quantité de ces nouvelles informations qu’il absorbera. Si les cellules ont un besoin urgent de réparation — peut-être en raison de mauvais choix alimentaires, d’un mode de vie sédentaire ou d’une toxicité dans l’environnement — le virus créera un événement inflammatoire au fur et à mesure que le corps traverse son processus de régénération. Cela s’accompagne généralement d’une fièvre, d’une perte d’appétit et d’un nombre élevé de globules blancs. Un tel événement inflammatoire est ce que nous appelons communément « la grippe ».

Ce que nous appelons de manière désobligeante une réaction inflammatoire — en laissant entendre qu’il est mauvais pour le corps — fait en réalité partie du processus de guérison du corps. L’inflammation est nécessaire pour créer une régénération dans le corps. Il agit au nom de l’organisme [corps], pas contre lui. Mais si le microbiome du corps est riche au lieu d’être déficient, il n’aura pas besoin d’une mise à jour et, par conséquent, aucune inflammation ne se produira.

Dans le cas de l’Afrique subsaharienne, l’écosystème est en train de mourir. L’effondrement des systèmes de sol riches en nutriments, la mauvaise hygiène de l’eau, le manque d’assainissement de base, une population souffrant de sous-alimentation chronique et l’élimination complète de l’agriculture biologique traditionnelle — dépassée par la révolution verte oxymoronique, imposée aux pays en développement par l’agriculture industrielle — ont provoqué un déséquilibre entre leur système immunitaire inné et l’environnement. Le syndrome connu sous le nom de « SIDA » est l’expression de ce déséquilibre. Le virus du VIH, découvert pour la première fois par le virologue français Luc Montagnier, a été faussement accusé d’être le principal responsable du SIDA — une forme de culpabilité par association. En fait, le virus du VIH est bénin et n’essaie pas de prendre en charge la mécanique d’une cellule.

La véritable racine du problème est que le système immunitaire inné du peuple subsaharien a été dégradé par un manque de nutrition à un point tel qu’il est en proie à une myriade de maladies, qui ont été regroupées collectivement sous le seul titre « SIDA ». Cependant, au lieu de s’adapter à la réalité de ce que provoque la terrible catastrophe écologique, les « scientifiques » blâment le virus du VIH comme un prétexte pour cacher des décennies de crimes environnementaux et économiques gouvernementaux et commerciaux.

D’après les informations recueillies jusqu’à présent, nous pouvons à juste titre conclure qu’il est impossible pour les virus ou les agents pathogènes de créer des pandémies et des épidémies de maladies infectieuses — car il n’existe pas de maladie infectieuse au sens traditionnel du terme — par exemple « SIDA », « Ebola » et d’autres pandémies « virales » non fondées. Oui, la propagande pharmaceutique pousse le paradigme des maladies infectieuses dans le monde entier depuis des siècles. Mais la croyance que de telles maladies existent n’est qu’une conséquence de la théorie des germes démystifiées de Pasteur. Ce que nous appelons communément une épidémie ou une pandémie est simplement le résultat de la dégradation du système immunitaireinnéd’une partie de la population de la planète. Les raisons de cette dégradation peuvent inclure l’empoisonnement chimique par des herbicides, des pesticides ou des aliments génétiquement modifiés, que nous examinerons plus en détail dans la partie suivante.

Comme nous pouvons le voir par la description ci-dessus du virome, il n’est pas exagéré de dire que le virome est le langage de toute vie sur Terre. Nous nageons littéralement dans une vaste mer d’informations génomiques qui demeure essentielle pour que la vie commence et s’épanouisse sur cette Terre précieuse et qui essaie toujours d’aider toutes les espèces à survivre. La matrice des organismes qui composent le microbiome a construit un flux d’information viromique qui a permis l’adaptation et la biodiversité sur la planète. Et c’est ce même flux d’information viromique qui a permis de façonner l’espèce humaine.

Ainsi, les humains ne sont pas séparés du virome et du microbiome, mais ils font plutôt partie intégrante du vaste écosystème complexe du virome et du microbiome. Pourtant, nous nous sommes de plus en plus placés en opposition directe avec le système vivant même dont nous faisons partie intégrante : la Nature.

Commentaire : Nous pouvons sérieusement, comme le fait l’article, nous interroger sur la fonction exact des microbes/virus dans l’écologie planétaire, et déterminer s’ils ne seraient pas en fait nécessaires à l’évolution de la vie sur Terre. Aucune de ces réponses ne peuvent être trouvées dans la biologie pasteurienne qui fait aujourd’hui religion.

Rappelons par ailleurs que dans l’approche matérialiste de Pasteur et de ses suiveurs (autoritaristes), notre système immunitaire serait « niais, étourdi et sans conscience » et il faudrait inoculer à l’organisme des agents extérieurs dont il « serait » dépourvu « à l’intérieur », tout en stérilisant l’environnement extérieur constitué de micro-organismes pathogènes à l’influence « néfaste ». On ne sait jamais, des fois que certains d’entre eux nous rendent plus intelligents ou plus réceptifs à certaines idées ou convictions situées à l’opposé du mantra délivré par les autorités bien mal pensantes, basé sur la toute-puissance médicale, pourtant bien insuffisante à éclairer les chercheurs de vérité.

Cette vision limitée de la Vie est exclusive, linéaire, compétitive, iatrogène, inopérante et fait l’objet d’un culte qui prétend que la maladie est extérieur à l’organisme, et qu’elle ne peut jamais, en rien, procéder d’un équilibre intérieur.

Cette vision est anti-vie.

À propos de l’auteur

David Skripac est titulaire d’un baccalauréat en technologie en génie aérospatial. Au cours de ses deux périodes de service en tant que capitaine dans l’Aviation canadienne, il a beaucoup volé en ex-Yougoslavie, en Somalie, au Rwanda, en Éthiopie et à Djibouti. Utilisant un esprit curieux, un souci du détail et des compétences en résolution de problèmes perfectionnées au cours de ses années universitaires et tout au long de sa carrière, David a consacré plus d’une centaine d’heures à la recherche des dernières découvertes scientifiques dans les domaines de la virologie et de la microbiologie pour mener cet article à bien.

Source de l’article publié initialement en anglais le 15 août 2021 : Global Research
Traduction : Mondialisation.ca
Corrections : Sott.net


Note du traducteur 1 : La première partie de cet article a été publiée sur Sott.net et concernait l’analyse du microbiome et du virome : « Notre espèce est génétiquement modifiée » — L’humanité est-elle en marche vers l’extinction ? Première partie : Analyse du microbiome et du virome.

Nous publions ici les deuxième, troisième et quatrième parties réunies.

Deuxième partie — Notre guerre contre la Nature

L’espèce connue sous le nom d’Homo sapiens est la seule sur cette planète qui cherche activement à s’éradiquer elle-même tout autant qu’à éradiquer son habitat. Tous les systèmes de soutien de la vie sur Terre — le sol, l’eau et l’air — sont en déclin, conséquence directe de notre activité économique actuelle, qui vise à extraire le plus possible de la Terre sacrée sans se soucier des conséquences qui en découlent.

En adoptant un paradigme économique aussi intolérable, nous ne respectons pas les limites écologiques ni les limites éthiques. Notre modèle économique axé sur la consommation, que nous avons conçu et dont nous sommes aujourd’hui esclaves, est à l’origine de carences perpétuelles : épuisement des ressources, perte de biodiversité et contamination par des substances toxiques, autant de facteurs qui causent des ravages perpétuels à l’ensemble de l’écosystème et à son environnement. Les méga-corporations continuent de propager l’idéologie de la croissance économique illimitée, qu’elles entendent tirer d’une planète aux ressources limitées et dont elles sont les seules à tirer un bénéfice financier. Leurs objectifs égocentriques se heurtent aux motivations généreuses des masses, qui privilégient le concept d’égalité des chances, y compris le droit égal de tous les humains à vivre dans un environnement sain. La quête incessante de profits par l’ensemble des milliardaires, au détriment du bien-être social de chacun, alimente la concurrence mondiale pour les ressources et provoque un holocauste écologique. En bref, nous assistons à une nouvelle forme de colonialisme imposée par la classe des prédateurs [qui sont aussi des parasites – NdT] à l’ensemble de l’humanité, alors que nous entrons dans ce que l’on appelle communément la sixième extinction de masse.

Considérez ce que nous faisons à notre eau douce. La surface de notre planète est composée à 80 % d’eau, dont 97 % d’eau salée. Les 3 % restants de nos réserves d’eau potable ont été traités avec une telle insouciance qu’elles sont très pollués et s’épuisent rapidement. Sur ces 3 % d’eau douce, au moins 29 % sont siphonnés par les industries de la viande et du lait, grandes consommatrices d’eau. Les Nations unies estiment qu’au cours de la prochaine décennie, 2 milliards de personnes souffriront d’une extrême pénurie d’eau et que, d’ici la fin du siècle, la moitié de la population mondiale connaîtra une forme ou une autre de pénurie d’eau.

Note du traducteur 2 : Ou peut-être plus exactement d’un rationnement de l’eau décidé dans les hautes sphères, peu importe la quantité disponible. Par ailleurs, les événements météorologiques de ces dernières années, et plus particulièrement de ces derniers mois, laisse à entendre que les Nations Unies pourraient avoir tort : certaines parties pourraient en effet être affectées par un manque d’eau (en Amérique du Nord de l’Ouest) mais d’autres (comme l’Asie et l’Europe) pourraient bien en avoir beaucoup trop. Les Nations Unies se feraient-elles l’écho d’un Agenda 2030, aujourd’hui bien identifié par nos lecteurs ?

Les industries minière et pétrolière ne sont pas non plus des amis de l’environnement. Aux États-Unis, les sociétés minières ont abattu plus de 500 montagnes dans les Appalaches, provoquant une immense pollution des sols et des eaux de surface. Dans d’autres régions du pays, le forage pour le pétrole et le gaz de schiste, appelé fracturation hydraulique mais plus connu sous le nom de « fracking », pompe depuis le sol des substances cancérigènes et des toxines qui sont rejetées dans l’air, l’eau et le sol de surface, ce qui aggrave encore le problème de la pollution. Bien qu’elle soit présentée comme une solution à la dépendance des États-Unis vis-à-vis du pétrole étranger, la fracturation est en fait le dernier acte de stupidité d’un pétro-État.

Livre Toxic Waters

Les industries de la viande et du lait susmentionnées ne font pas que monopoliser l’eau. L’agriculture animale — qui englobe les énormes fermes industrielles et les petites exploitations familiales — est également la principale cause des gaz à effet de serre, de la déforestation, de l’extinction des espèces et des « zones mortes » des océans. L’élevage industriel intensif des animaux et de leurs cultures fourragères est en grande partie responsable du taux le plus élevé d’extinction massive d’espèces depuis 65 millions d’années [ça se discute – NdT].

En outre, aucune autre industrie sur la planète n’a besoin d’autant de surface que l’agriculture animale : elle accapare 45 % de toutes les terres libres de glace de la planète. Selon la World Animal Foundation, 70 % de la forêt amazonienne est détruite dans le seul but de cultiver du soja ou du maïs OGM pour nourrir le bétail en Amérique du Sud et en Europe. Entre 1970 et 2019, un total de 718 927 kilomètres carrés de la partie brésilienne de la forêt amazonienne a été déboisé.

Note du traducteur 3 : À noter toutefois que la même World Animal Foundation (WAF) nous encourage au véganisme et nous demande de « sauver la planète ».

Quelques faits supplémentaires à prendre en considération :

  • La moitié de l’approvisionnement mondial en céréales est destinée aux animaux de boucherie, alors qu’un milliard de personnes souffrent de la faim.
  • Aux États-Unis, 54 % de l’eau douce est détournée par l’agriculture animale, alors que 99,8 % de la zone géographique de la Californie connaît une sécheresse critique.
  • À l’échelle mondiale, l’industrie de l’agriculture animale, qui tue au moins 72 milliards d’animaux terrestres chaque année (200 millions par jour), est à l’origine de 51 % de toutes les émissions de gaz à effet de serre, soit bien plus que les 13 % générés par tous les modes de transport réunis.

Note du traducteur 4 : C’est un fait, mais l’auteur ne fait pas mention de l’absurdité de nourrir des bovins et des ovins avec des céréales, ce qui n’est absolument pas leur régime naturelle. Ce n’est donc pas l’élevage animal en tant que tel qui devrait être soumis à la question, encore que l’aspect industriel et tout ce qui l’accompagne est à prendre en considération, mais bien la façon dont ils sont nourris qui est en soi contre-Nature. Par ailleurs, l’auteur omet aussi de faire mention des cultures agricoles destinés à alimenter les moteurs de voiture pour une consommation dite « verte » qui participe à la propagation des polluants dans l’air, voir plus bas à propos du glyphosate.

Le « fait » le plus surprenant concernant la dévastation causée par l’agriculture animale est que la quasi-totalité des prétendues organisations environnementales à but non lucratif sont silencieuses sur cette question.

La catastrophe environnementale est encore plus grave dans les océans du monde. L’industrie de la pêche commerciale détruit la vie océanique, y compris les fonds marins, à un rythme jamais vu dans l’Histoire. Aucune autre industrie ne tue plus d’animaux que ce commerce. Un rapport de Matthew Zampa pour Sentient Media observe qu’entre 37 et 120 milliards de poissons sont tués chaque année dans des fermes piscicoles commerciales créées par l’être humain et qu’au moins un autre trillion d’animaux aquatiques vivant dans des plans d’eau naturels sont tués pour chaque année pour les nourrir. Selon des recherches présentées sur le site Web d’Oceana, ce total stupéfiant ne comprend pas les 100 millions de requins et les 650 000 baleines, dauphins et phoques qui sont tués chaque année en tant que prises accessoires — les prises accessoires sont le nombre total d’animaux marins que les pêcheurs capturent involontairement dans leurs filets et tuent, soit en les rejetant en mer, soit en les ramenant au port.

Note du traducteur 5 : Les fermes piscicoles créées par l’être humain sont elles aussi contre-Nature et engendrent un nombre incalculable de maladies. Qui plus est, ces poissons sont nourris de farines, d’ingrédients douteux et de poissons qu’il faut bien prendre quelque par : et à part les étangs mentionnés par l’auteur, ils pourraient bien être prélevés dans ces mêmes bassins piscicoles…

En raison de cette extraction et de cette extermination, les populations mondiales de nombreuses espèces de vie aquatique sont en train de chuter à des niveaux proches de l’extinction. Une étude scientifique présentée dans le New York Times prévoit que si la pêche commerciale dans le monde se poursuit à son rythme actuel, les océans seront pratiquement vides en 2048.

Tout aussi inquiétant, les océans sont utilisés comme dépotoir pour les entreprises manufacturières et minières du monde entier. Il n’est donc pas surprenant que des chercheurs de la Scripps Institution of Oceanography de l’université de San Diego aient découvert que les populations de poissons [et de mammifères y compris terrestres, comme l’ours polaire – NdT] des océans sont contaminées par des métaux lourds comme le mercure, les polychlorobiphényles (PCB), les pesticides organochlorés (DDT et CHL), les polybromodiphényléthers (PBDE), les composés plastiques et l’hexachlorobenzène.

Les fabricants de produits chimiques synthétiques, de pesticides, d’insecticides, d’herbicides et d’engrais comptent parmi les pires ennemis de la Terre. La menace la plus récente pour notre environnement provient des cultures industrielles génétiquement modifiées, connues sous le nom d’organismes génétiquement modifiés (OGMs). Avec l’introduction de ces nouvelles cultures, nous avons accéléré notre capacité à manipuler la Nature à un rythme inimaginable à une époque antérieure. Malheureusement, en conséquence de notre ingérence, nous assistons à une explosion des maladies chroniques.

Note du traducteur 6 : Des facteurs naturels et cycliques peuvent aussi entrer en ligne de compte, bien que ce qui précède puisse en accélérer le processus.

Voir Oubliez le réchauffement climatique, nous sommes au bord de l’extinction !

Comment notre discussion susmentionnée sur les microbiomes, les viromes et l’immunité s’inscrit-elle dans ce tableau de désolation environnementale ?

Tout d’abord, depuis l’introduction de l’agriculture chimique et l’utilisation des OGMs à l’échelle mondiale en 1996, nous avons modifié notre environnement naturel à un point tel que nous décimons notre système immunitaire inné. (N’oubliez pas cette date : 1996.) En conséquence, les maladies auto-immunes et autres maladies chroniques qui, à une époque, ne touchaient qu’un infime pourcentage de la population générale, connaissent aujourd’hui une explosion de leur prévalence. Le timing de cette explosion ne nous échappe pas : ces maladies ont commencé à toucher les humains de manière importante à partir de 1996. Il n’est donc pas exagéré de conclure que l’utilisation prodigue des OGMs est liée au déclin marqué de la santé humaine au cours des deux dernières décennies et demie.

Je vais citer quelques exemples :

Dans le monde, une personne sur quatre souffre désormais d’allergies ; en Amérique du Nord, une personne sur trois est obèse ; aux États-Unis, une femme sur deux et un homme sur trois développeront un cancer au cours de leur vie.

En outre, le trouble du développement appelé « trouble du spectre autistique » est passé de 1 enfant sur 5 000 en 1975 à 1 sur 36 en 2016. Si la tendance actuelle se poursuit, on peut s’attendre à ce qu’un enfant sur trois soit atteint d’autisme d’ici 2035. Pendant la même période, nous avons assisté à une augmentation spectaculaire d’autres troubles du système immunitaire, tels que la maladie de Crohn, la maladie cœliaque, la maladie de Parkinson (chez les hommes), la maladie d’Alzheimer (chez les femmes), la démence et le diabète de type 1.

Note du traducteur 7 : Il faut aussi mentionner que la vaccination de masse avec un nombre délirant de vaccins inoculés dès les tout premiers jours de la vie concourt à considérablement affaiblir le système immunitaire inné et à désorganiser le système immunitaire adaptatif, lequel n’a techniquement aucune raison de s’activer, en général, tant que le premier est optimal. Le fait de développer des anticorps est déjà en soi le signe d’un système immunitaire inné affaibli.

Les cultures OGMs sont pulvérisées avec des herbicides, comme le Roundup de Bayer, qui contient l’ingrédient actif appelé glyphosate et qui est l’herbicide/antibiotique cancérigène le plus omniprésent de la planète. En 2014, plus de 747 millions de kg de glyphosate ont été utilisés dans le monde. Aujourd’hui, à peine sept ans plus tard, ce chiffre a plus que doublé, passant à 2 milliards de kg. Étant un composé soluble dans l’eau, le glyphosate contamine les eaux souterraines partout, de la Chine à l’Amérique du Nord. Comme si cela ne suffisait pas, le glyphosate contamine également l’air que nous respirons. Une étude de l’US Geological Survey réalisée en 2007 révèle que le Roundup (alias glyphosate) et son sous-produit toxique, l’acide aminométhylphosphonique (AMPA), ont été retrouvés dans plus de 75 % des échantillons d’air et de pluie testés dans le Mississippi en 2007.

Parallèlement, le plus long fleuve des États-Unis, le puissant Mississippi, et ses centaines d’affluents recueillent plus de 80 % du Roundup pulvérisé sur les cultures dans l’ensemble des États-Unis. Le fleuve Mississippi reçoit également des milliers d’autres polluants chimiques qui y sont déversés par les entreprises pétrochimiques. Il n’est pas surprenant que les personnes résidant le long des 140 derniers kilomètres du fleuve, qui traverse la Louisiane — plus précisément dans la région de Baton Rouge et de la Nouvelle-Orléans — aient l’un des taux de cancer les plus élevés au monde.

Note du traducteur 8 : Le glyphosate se retrouve dans l’atmosphère également en raison de l’usage de carburants dits « verts », qui sont issus de cultures OGMs traités au glyphosate et qui sortent des pots d’échappement de tous les véhicules, qui, pour « sauver la planète » contribuent à la polluer, elle, son environnement et toute la vie qui s’y développe.

Le brevet du Roundup, autrefois détenu par Monsanto (aujourd’hui Bayer), ayant expiré en 2000, la Chine est devenue le premier utilisateur et exportateur de glyphosate au monde. En 2017, la Chine a exporté dans le monde plus de 300 000 tonnes de glyphosate. Il s’avère que la province du Hubei, où siège la tristement célèbre Wuhan, est l’une des principales utilisatrices de glyphosate en Chine. Les effets toxiques combinés de la production porcine, de l’industrie lourde et de l’agriculture chimique dans la province de Hubei ont fait de cette région l’un des endroits les plus pollués de la planète. L’écosystème de Wuhan, autrefois diversifié et propre, a été complètement ravagé par les polluants d’origine humaine et l’utilisation massive de glyphosate dans l’agriculture industrielle.

Il existe un lien indiscutable entre le taux élevé de cancer actuel et l’utilisation massive de glyphosates. En une seule génération, le taux de cancer diagnostiqué chez les hommes a doublé. Parallèlement à cette augmentation, en 25 ans (environ une génération) entre 1990 et 2015, la toxicité de l’environnement a également doublé.

Les données statistiques compilées par Nancy L. Swanson et al. dans le Journal of Organic Systems fournissent des preuves accablantes d’une corrélation précise, de 1975 à 2010, entre l’utilisation du glyphosate et l’incidence de nombreux types de cancer, notamment le cancer de l’urine/de la vessie, le cancer du foie, le cancer de la thyroïde et la leucémie myéloïde. Les graphiques présentés dans l’étude de Swanson montrent que l’augmentation de la prévalence du cancer recoupe parfaitement l’augmentation de l’utilisation du glyphosate.

Un autre lien qui ne peut être ignoré est la baisse du nombre de spermatozoïdes masculins dans les pays occidentaux. Shanna Swan, épidémiologiste au Mount Sinai Medical Center de New York et éminente spécialiste de la santé génésique, prévoit que le nombre de spermatozoïdes de l’homme moyen sera nul d’ici 2045. Avec l’introduction des perturbateurs endocriniens, le nombre de spermatozoïdes masculins a chuté de 50 à 60 %, soit une moyenne de 1 à 2 % par an, entre 1973 et 2011. Il est vrai que les microplastiques perturbateurs endocriniens présents dans l’eau potable posent un problème, mais ce problème n’est rien en comparaison des effets néfastes de l’agriculture chimique et de l’utilisation du glyphosate, affirme le spécialiste de la médecine interne, de l’endocrinologie et du métabolisme, le Dr Zach Bush, sur son site web Global Health Education.

De plus, écrit le Dr. Bush,

« le glyphosate fonctionne comme un puissant agent chélateur, bloquant les nutriments dans les systèmes du sol, des plantes et de l’eau, de sorte que nous pouvons maintenant nous trouver dans un état biologique qui équivaut à une famine tout en étant confronté à l’excès calorique le plus extrême que l’humanité ait jamais produit. »

Note du traducteur 9 : Il est question ici de la population des États-Unis, en particulier. Cet « excès calorique » ne concerne évidemment pas les populations touchées par une famine à la fois nutritionnelle et calorique.

Les avertissements mondiaux d’autres scientifiques, médecins et environnementalistes abondent. Par exemple, le Dr Vandana Shiva, militante pour l’environnement et la souveraineté alimentaire et écoféministe basée à Delhi, en Inde, n’a cessé de mettre en garde, dans les livres et articles qu’elle écrit, et dans les discours et interviews qu’elle donne dans le monde entier, contre le fait que les OGMs ont ruiné la vie des sols et des plantes en inhibant leur capacité à stocker les micro-organismes et les minéraux, tels que le zinc, le fer et le magnésium, qui sont vitaux pour la réponse immunitaire des animaux et des humains. Dans son article d’opinion de 2012 intitulé « Mythes sur l’agriculture industrielle », le Dr Shiva cite une étude de 1995 selon laquelle l’agriculture industrielle (qui a commencé en 1965) est responsable de 75 % de l’érosion de la biodiversité de la Terre, de 75 % de la destruction de l’eau et de 40 % des gaz à effet de serre, alors qu’elle ne produit que 30 % de l’approvisionnement alimentaire des humains.

Note du traducteur 10 : Voir sur le sujet l’excellent ouvrage de Lierre KeithLe Mythe végétarien.

En 2013, Sott.net a publié un article qui présente l’ouvrage traduit cette année-là en français : Revue de livre – Le Mythe végétarien, nourriture, justice et pérennité.
Toujours en 2013, Sott.net a publié une interview exclusive avec l’auteur : Radio Interactive SOTT – Entretien avec Lierre Keith

En 2009, trois articles qui reprennent les Chapitres et 1 et 2 ont été traduits par Sott.net et également publiés :
Le Mythe végétarien – Nourriture, justice et pérennité (1re partie)
Le Mythe végétarien – Nourriture, justice et pérennité (2e partie)
Le Mythe végétarien – Nourriture, justice et pérennité (3e partie)

Depuis le milieu des années 1990, l’agriculture industrielle/chimique a décimé le microbiome du sol à l’échelle mondiale. Pensez-y : en 2014, une haute fonctionnaire des Nations unies, Maria-Helena Semendo, de l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO), a expliqué à l’assemblée qu’à moins de développer de nouvelles approches de l’agriculture, la quantité mondiale de terres arables et productives par personne ne représentera en 2050 qu’un quart du niveau de 1960. À considérer également : dans une étude menée par l’université de Lancaster en septembre 2020, les chercheurs ont constaté que 90 % des sols cultivés de manière conventionnelle dans le monde s’amincissaient, et que 16 % d’entre eux avaient une durée de vie inférieure à un siècle.

En bref, la réduction susmentionnée du nombre de spermatozoïdes masculins, associée à la dégradation des sols dans le monde entier, sont les deux facteurs clés qui conduisent l’humanité vers l’extinction.

Chaque fois que nous pulvérisons du Roundup ou l’un des autres herbicides encore plus toxiques qui sont maintenant largement utilisés — comme le 2,4-D (le 2,4-dichlorophénoxyacétique est un ingrédient principal de l’herbicide de guerre chimique largement connu sous le nom d’Agent Orange) ou le dicamba (un herbicide 200 fois plus toxique que le glyphosate du Roundup) — nous détruisons le microbiome du sol, celui des mauvaises herbes, des plantes et des animaux ainsi que notre propre microbiome. Et, pour enfoncer le clou, le Roundup se disperse non seulement dans le sol mais aussi dans l’air. Tout comme ses produits concurrents.

Malheureusement, les herbicides ne sont pas la seule substance toxique présente dans l’air que nous respirons. De nombreux autres polluants — mercure, arsenic, soufre et cyanure, pour n’en citer que quatre — circulent également dans l’atmosphère. Ces toxines, qui sont produites par les secteurs du transport et de l’énergie, sont capables de se lier aux particules de carbone. Les particules fines de carbone, appelées PM2,5 (c’est-à-dire les particules inférieures à 2,5 microgrammes par mètre cube, soit 100 fois plus fines qu’un cheveu humain), sont un sous-produit de la combustion de carburant et des réactions chimiques. cette combustion est particulièrement préoccupante pour la santé humaine lorsque les niveaux de PM2,5 dans l’air sont élevés, comme le démontrent ces deux études de 2017 de la NIH National Library of Medicine et du The New England Journal of Medicine.

Il s’avère que les toxines ne sont pas les seules à se lier aux PM2,5 ; les virus aussi. Avant la révolution industrielle, les virus se dispersaient de manière [à peu près – NdT] égale dans l’atmosphère. Cependant, maintenant que les particules de carbone sont omniprésentes dans l’air, les virus se concentrent anormalement autour de cette substance. Plus la concentration de PM2,5 est élevée, plus la concentration de matériel viral est importante.

Chaque année, de la dernière semaine de septembre à la fin juin, la nature entre dans son cycle de sommeil dans l’hémisphère nord. Pendant cette période, les concentrations d’émissions de particules de carbone et de CO2 et d’autres polluants qui seraient normalement absorbées par les arbres, les plantes, les océans et le sol ne peuvent pas l’être. Il en résulte de très fortes concentrations de polluants qui se déplacent en direction de l’est avec les courants éoliens — Dans le même temps, des amas de virus à protéines Spike se sont accrochés aux particules de carbone. Les concentrations accrues de PM2,5 dans les zones où le sol a été dégradé au point que son microbiome vivant et doté d’une respiration aérobie a perdu la capacité d’absorber le carbone tout au long de l’année, quelle qu’en soit la saison, aggravent le problème et démontrent les effets néfastes de l’agriculture chimique.

Grâce à l’imagerie satellitaire de la NASA, nous pouvons voir, à partir de la mi-octobre de chaque année, un énorme panache de carbone qui flotte depuis les centres d’industrie lourde de Chine et d’autres régions industrielles du monde et se disperse dans un flux d’est à travers l’hémisphère nord. Au mois de mai, cette brume toxique recouvre l’hémisphère nord. Vous pouvez consulter le site IQAir pour une analyse en temps réel des données sur la toxicité des PM2,5 dans le monde.

De manière étrange, ce que nous appelons « la grippe saisonnière » coïncide parfaitement avec la période où la Nature entre dans son cycle de sommeil dans l’hémisphère nord. Pendant les mois que nous appelons « saison de la grippe », notre corps est plus susceptible de subir un événement inflammatoire — fièvre, congestion, toux et perte d’appétit. Ce phénomène se produit lorsque notre corps s’adapte et s’équilibre avec les toxines industriellesprésentes dans l’environnement. Lorsque l’été arrive, fin juin, la Nature reprend son cycle de régénération : les panaches de PM2,5 se dissipent lentement pour finalement se diluer, ce qui réduit notre risque de maladie respiratoire. C’est la raison pour laquelle nous ne souffrons que rarement, voire jamais, de grippe pendant les mois d’été dans l’hémisphère nord. Par conséquent, en suivant les flux de particules de carbone, nous pouvons en fait cartographier et prévoir exactement où se trouveront les points chauds des infections respiratoires, des « pandémies » et de la grippe saisonnière.

Note du traducteur 11 : Les toxines présentes dans l’environnement ne sont pas uniquement de nature industrielle, sinon l’ère pré-industrielle n’aurait pas eu son lot de « pandémies ». Toutefois, l’environnement qui est le nôtre aujourd’hui accentue certainement et de manière drastique ce qui était au départ un phénomène naturel et cyclique. Les éjections dues au volcanisme — et aux grands incendies — et les injections dues aux météores et autres phénomènes cosmiques font aussi partie du cycle naturel de la Terre et de son atmosphère, et l’augmentation ces dernières années de ces deux activités cycliques, en particulier, ajoute à la problématique. Le fait même de faire fi de leur existence et de leur impact sur notre environnement et sur la vie en général permet de ne focaliser que sur l’aspect humain des causes en question. Nous ne sommes pas séparés de ce qui constitue le système terrestre-atmosphérique, pas plus que la planète Terre n’est séparée de son système Solaire, pas plus que ce dernier n’est séparé de la Voie lactée, etc. Tout est lié.

Voir Planète X, comètes et changements terrestres par James M. McCanney – Ce qui se profile à l’horizon

Troisième partie — Que s’est-il passé en 2020-21 ? La « pandémie »

Cette année marque un tournant décisif dans l’Histoire de l’humanité. Pour la première fois depuis le début de la civilisation humaine, notre espèce est en train d’être génétiquement modifiée. Les fabricants de vaccins ont rendu possible la modification permanente du génome humain — et la modification à jamais de la relation de l’humanité avec la Nature — par le biais d’une injection pharmaceutique expérimentale faussement appelée « vaccin ».

À la lumière de cet événement déterminant, je crois que nous devons jeter un regard sobre sur les motifs et les actes qui sont en train de bouleverser l’humanité telle que nous la connaissons. Simultanément, nous devons examiner le traitement de plus en plus destructeur que nous réservons au monde naturel.

Dans les mois qui ont précédé 2020, la Terre a connu une série d’incendies de forêt sans précédent, de l’Australie à l’Amazonie et de l’Indonésie à la Californie. Rien qu’en Californie, la saison des feux de forêt de 2019 a détruit plus de 100 000 hectares de terre, ainsi que 732 structures. Au total, les feux de friches en 2019 dans le monde ont envoyé 7,8 milliards de tonnes métriques de CO2 et de particules de carbone dans la stratosphère — le plus haut niveau de PM2,5 depuis 2002. Une fois dans la stratosphère, les particules de carbone ont pu parcourir des milliers de kilomètres depuis leur provenance d’origine. De nombreuses villes du monde entier, comme Canberra, Wuhan, New York et Milan, ont connu une qualité d’air extrêmement faible en raison de niveaux extrêmement élevés de PM2,5.

Il s’avère que l’une des substances les plus toxiques générées par la combustion de matières synthétiques telles que le plastique, le nylon, la laine et la soie — combustion provoquée par des feux de forêt ou par des réactions chimiques industrielles — est le cyanure. Plus précisément, le cyanure d’hydrogène gazeux. Le cyanure est un agent hautement toxique qui provoque une hypoxie vasculaire et même la mort s’il n’est pas traité correctement.

Ainsi, alors que dans la seconde moitié de 2019 et le début de 2020 nous entrions dans la « saison de la grippe », nous nous trouvions face à la tempête parfaite de toxicité alors en circulation sur le globe. Les niveaux anormalement élevés de PM2,5, associés à des niveaux élevés de sous-produits industriels tels que le soufre, le mercure, l’arsenic, le carbone, le glyphosate et le cyanure, ont créé des conditions idéales pour supprimer le système immunitaire inné, en particulier chez les personnes fragiles et âgées, qui sont dans de nombreux cas déjà aux prises avec de graves conditions médicales sous-jacentes.

Pour aggraver les choses, la plupart des patients atteints de ces pathologies sous-jacentes — hypertension, diabète, obésité, maladie coronarienne et maladie rénale — prennent des médicaments couramment prescrits, notamment des inhibiteurs de l’enzyme de conversion de l’angiotensine (IEC) pour contrôler la tension artérielle et des statines pour réduire le cholestérol. Or, nous savons aujourd’hui, grâce à une étude publiée pour la première fois le 31 mars 2020 dans l’American Journal of Physiology Heart and Circulatory Physiology (volume 318, numéro 5), que les IEC et les statines régulent à la hausse le récepteur de l’enzyme de conversion de l’angiotensine 2 (ACE2) par lequel le coronavirus pénètre dans l’organisme.

L’ACE2 est une protéine qui se trouve à la surface de nombreux types de cellules du corps humain, notamment l’intestin, les reins, l’utérus, les testicules, le cerveau, le cœur et, plus important encore pour notre sujet, les poumons et les muqueuses nasales et orales.

L’enzyme ACE2 joue un rôle important en aidant l’organisme à réguler la pression artérielle et en contribuant à la cicatrisation des plaies et des inflammations. En outre, les acides aminés de l’ACE2 aident à capturer et à hacher une protéine nocive appelée angiotensine II, qui fait monter la pression artérielle et endommage les tissus. C’est pourquoi les médecins du monde occidental prescrivent généralement de l’ACE-I afin de stimuler l’expression de l’ACE2 et de réduire ainsi le risque d’hypertension artérielle. De plus, lorsque l’enzyme ACE2 est régulée, elle peut très facilement capturer — ou accrocher — n’importe laquelle des nombreuses protéines Spike émanant de la surface d’un coronavirus.

Puisque nous parlons des protéines Spike, j’aimerais faire quelques commentaires, sous forme de questions-réponses, sur la recherche sur le gain de fonction dans ce domaine.

La recherche sur le gain de fonction vise à modifier les caractéristiques fonctionnelles d’un virus dans le but d’accroître sa capacité à infecter une espèce et à augmenter potentiellement son impact en tant que pathogène aérien. En rendant un virus plus « mortel », on pense qu’il pourrait ensuite être utilisé contre un ennemi potentiel comme arme de guerre biologique. Nous savons qu’il existe des laboratoires de recherches sur le gain de fonction à Wuhan, en Chine, et dans les installations de l’armée américaine à Fort-Detrick, dans le Maryland — En 2018, au moins 15 autres pays, outre les États-Unis et la Chine, dont le Canada, le Royaume-Uni, la France, Israël, l’Allemagne et la Russie, avaient des programmes documentés d’armes biologiques et des laboratoires de recherche sur les armes biologiques.

  1. Est-il possible que les deux laboratoires de Wuhan et de Fort-Detrick, ou l’un d’entre eux, aient manipulé l’une des protéines Spike d’un coronavirus qui le rendrait encore plus apte à se connecter au récepteur ACE2, comme le suggère ce document de l’Institut de microbiologie humaine de New York ? Absolument.
  2. Le Dr Anthony Fauci a-t-il des liens financiers profonds avec le laboratoire de Wuhan de par sa position de directeur, depuis 1984, du National Institute of Allergy and Infectious diseases (NIAID) ? Absolument.
  3. Par extension, le gouvernement des États-Unis est-il indirectement ou directement impliqué dans le financement de l’Institut de virologie de Wuhan ? Absolument.
  4. Le Dr Fauci et le spécialiste du gain de fonction de l’université de Caroline du Nord, Ralph Baric, ont-ils reçu des millions de dollars de subventions de recherche de plusieurs agences fédérales — NIH, DARPA et NIAID — pour étudier le gain de fonction dans les coronavirus, comme l’indique clairement ce dossier du Dr David Martin ?

Néanmoins, nous ne devons pas perdre de vue le fait que toute cette attention portée au gain de fonction pourrait être en fait une opération psychologique habilement déguisée destinée à nous distraire du fait que nous ne disposons d’aucune preuve scientifique validée par des pairs qu’un coronavirus est à l’origine du syndrome respiratoire connu sous le nom de Covid-19.

En outre, l’attention soudaine et intense que les médias portent au Dr Fauci et au lien avec Wuhan pourrait être une tactique destinée à faire porter le chapeau à la Chine pour avoir créé la « crise », tout en occultant habilement le fait que de nombreux acteurs issus de nombreuses nations et organisations, comme le Forum économique mondial, l’Organisation mondiale de la santé et la Fondation Bill & Melinda Gates, travaillent de concert avec la Chine pour « asservir » l’ensemble de l’humanité dans « un cauchemar technocratique dystopique ».

Ou bien, est-il possible que les véritables armes biologiques à gain de fonction soient les injections expérimentales non approuvées (appelées « vaccins anti-Covid-19 ») qui sont actuellement déployées dans le monde entier ? L’avenir nous le dira.

Pour en revenir aux événements de 2020, nous pouvons voir qu’en régulant à la hausse le récepteur ACE2 qui se trouve à la surface des poumons et de la muqueuse nasale, nous avons facilité la tâche d’un coronavirus [des protéines Spike, en fait – NdT], en conjonction avec les particules PM2,5 qui transportent du cyanure et d’autres possibles polluants, pour qu’il s’accroche et soit attiré dans la voie respiratoire. Une fois dans les voies respiratoires, les toxines finissent par passer dans la circulation sanguine et entrer dans les globules rouges de l’organisme. Lorsqu’une toxine pénètre dans un globule rouge, elle modifie la forme de la protéine hémoglobine qui transporte l’oxygène dans le globule rouge et rend ce dernier incapable de transporter l’oxygène. Ce processus prive littéralement l’organisme d’oxygène. Par conséquent, avec cette combinaison de variables, le décor était planté dans la seconde moitié de 2019 pour produire le système de diffusion parfait permettant l’empoisonnement au cyanure.

L’empoisonnement au cyanure provoque un état connu sous le nom d’hypoxie histotoxique. Cet état comprend les symptômes suivants

  • Changement de la couleur de la peau (allant du bleu au rouge) ;
  • Désorientation ;
  • Toux ;
  • Fréquence cardiaque élevée ;
  • Respiration rapide ;
  • Essoufflement (dû à la perte de la capacité des globules rouges à transporter l’oxygène) ;
  • Transpiration.

Par conséquent, à la fin de l’année 2019 et au début de l’année 2020, les professionnels de la santé de la province de Hubei, du nord de l’Italie, de la région métropolitaine de New York et d’ailleurs ont été confrontés à des patients présentant des symptômes d’empoisonnement au cyanure. Comme le souligne une étude du JAMAparue en avril 2020ces symptômes présentent toutes les caractéristiques d’une hypoxie histotoxique, mais aucun des symptômes d’une pneumonie ou d’une insuffisance respiratoire. En d’autres termes, ils n’avaient pas de fièvre (afébrile), pas d’accumulation de liquide dans les poumons et pas d’augmentation du nombre de globules blancs (que l’on s’attendrait à voir en cas d’infection).

Nous devons donc conclure que ces patients en détresse aiguë, dont beaucoup étaient âgés, devaient initialement souffrir d’hypoxie, etnonde pneumonie etpas non plusd’insuffisance respiratoire. La pneumonie et les micro-caillots de sang, qui ont fini par les tuer, sont survenus plusieurs jours ou semainesaprèsl’empoisonnement initial — et ce, uniquement parce que leur système immunitaire inné avait été tellement affaibli que leur organisme a succombé aux effets en cascade des infections secondaires.

Par ailleurs, toutes les personnes qui ont été touchées de manière aiguë par le Sras en 2002 et par le Mers en 2012 présentaient les mêmes symptômes d’hypoxie histotoxique, et non d’infection virale. En d’autres termes, leurs symptômes étaient identiques à ceux des cas aigus en 2020 de ce qui a été appelé à tort Covid-19.

Note du traducteur 14 : Le nom de Covid-19 peut tout aussi bien avoir été choisi à dessein, et non à tort : Cov ID 2019, ce qui pourrait indiquer une volonté programmée à l’avance d’utiliser ce nom et pas un autre ; le « lancement » en 2019 du programme de mise en place des identités numériques par le biais d’un coronavirus… peut-être.

En fin de compte, la plupart des patients hospitalisés en 2020 sont décédés des suites d’un événement toxicologique — qui a été baptisé à tort « Covid-19 » d’après ce qui a été appelé une nouvelle souche de coronavirus — et non de la maladie infectieuse ainsi nommée. Même au plus fort de la « pandémie », le prétendu Covid-19 ne représentait qu’un très faible pourcentage du total des décès en Italie et ailleurs.

Heureusement, le taux de mortalité global par infection signalé pour le syndrome Covid-19 n’est que légèrement supérieur à celui de la prétendue grippe saisonnière. Tout aussi heureusement (mais pas pour ses victimes), le syndrome n’a représenté un danger que pour un seul grand groupe de population : les personnes âgées atteintes d’au moins deux maladies chroniques majeures. La présence de comorbidités — maladies cardiaques, accidents vasculaires cérébraux et cancer du poumon — est à l’origine de la grande majorité de leurs décès. Mais pour les personnes de moins de 70 ans sans ces comorbidités, le risque de mourir dans un accident de voiture est plus élevé que le risque de mourir de ce que l’on appelle la maladie Covid-19. En effet, les maladies graves et les décès dus au Covid-19 ne sont survenus que chez des personnes plus jeunes souffrant de troubles de l’immunodéficience — obésité, diabète, maladies auto-immunes et immunodéficiences héréditaires.

Néanmoins, ces décès, bien que tragiques, ne justifient en aucun cas qu’un gouvernement viole les droits naturels des citoyens. Ces droits incluent la liberté de…

  • de se déplacer — y compris de quitter son domicile à toute heure du jour ou de la nuit ;
  • voyager — y compris entre états, provinces, pays et continents ;
  • s’associer — c’est-à-dire se réunir en personne avec ses amis et sa famille ;
  • se réunir — pour protester pacifiquement contre des édits injustes, des pratiques corrompues et la censure ;
  • prier — y compris se réunir avec d’autres croyants ;
  • exprimer son individualité — y compris choisir de porter ou non un masque ;
  • jouir d’une autonomie corporelle — notamment ne pas être contraint psychologiquement ou physiquement à recevoir des injections expérimentales de quelque nature que ce soit ;
  • rester en activité — au lieu d’être considéré par des politiciens tyranniques et des bureaucrates de la santé publique comme « non essentiel », une étiquette qui a forcé des millions de petites entreprises à fermer leurs portes, souvent de façon permanente.

Le Dr Bush résume comme suit les cas de maladies respiratoires aiguës sévères qu’il a observés en 2020 :

« Malheureusement, nous n’avons pas abordé la question comme un empoisonnement, mais comme une infection. Nous avons continué à croire que ces personnes qui mouraient, mouraient d’une infection. Je pense qu’elles étaient très clairement surchargées de PM2,5 liées au cyanure transporté dans l’environnement pulmonaire et finalement dans la circulation sanguine par le virus. Le virus est naturellement conçu pour pénétrer dans l’organisme par les poumons, les tissus vasculaires et les tissus neuronaux, comme nos sinus nasaux. Nous observons toutes ces pertes de goût et d’odeur chez les personnes exposées à ce virus parce qu’il passe par le récepteur ACE2 à la surface de tous ces tissus. Le récepteur ACE2 se lie au coronavirus [à la protéine Spike du virus – NdT] et attire le cyanure directement dans le globule [rouge] et empoisonne le corps humain avec des quantités élevées de pollution atmosphérique qui n’ont pas été respirées mais qui ont été littéralement acheminées de manière ingénieuse dans la circulation sanguine à l’aide d’un virus présent dans notre environnement depuis très longtemps. »

D’après sa description détaillée, nous pouvons clairement constater que les gens mouraient de toxicité environnementale, et non d’une infection virale. C’est précisément la raison pour laquelle il n’existe pas d’étude scientifique, évaluée par des pairs, apportant la preuve concluante qu’un virus appelé Sras-CoV-2 provoque une maladie mortelle appelée Covid-19. De telles preuves n’existent pas, car le coronavirus, soi-disant, ne cherche pas à nuire à qui que ce soit, mais présente simplement une mise à jour virale à ceux qui en ont besoin.

Note du traducteur 15 : Cette mise à jour virale constitue l’essence mêmes des virus et en l’occurrence des coronavirus. Toutefois, avec le Sras-CoV-2, nous n’avons pas à faire à un coronavirus naturel, mais à une arme biologique développée en laboratoire.

Voir la partie sur les virus et leur vraie nature dans cet article : Les preuves irréfutables de l’origine humaine du Sras-Cov-2

En résumé, deux scénarios différents se sont déroulés en 2020 :

Dans le premier scénario, nous avons vu des personnes présentant un événement inflammatoire marqué par de la fièvre, une congestion, une perte d’appétit, un nombre élevé de globules blancs et un malaise. Tous ces symptômes sont ceux auxquels on peut s’attendre lorsqu’un nouveau variant issu d’un coronavirus déclenche le système immunitaire inné — et éventuellement le système immunitaire adaptatif — lequel fait ce qu’il fait toujours pour nous ramener à l’équilibre après une nouvelle mise à jour génomique d’un virus. N’oubliez pas que les coronavirus nous donnent des informations génétiques qui régénèrent notre organisme ; ils œuvrent pour nous [et la vie en général – NdT] et ne nous infectent pas de maladies [sauf à ce que cet équilibre ne soit pas restauré et que les virus soient vus comme la cause des maladies – NdT].

Dans le second scénario, nous avons vu des personnes souffrant de comorbidités graves, parfois multiples, succomber finalement à un événement toxicologique, tel que décrit par le Dr Bush ci-dessus.

Certes, dans les deux scénarios, le coronavirus est présent, mais de façon bénigne. Comme je l’ai expliqué précédemment, un virus n’essaie pas de prendre le contrôle de la mécanique d’une cellule du corps. Il ne cause ni ne force rien. Il est simplement présent — un autre exemple de culpabilité par association, tout comme le faux lien entre le virus VIH et le Sida que j’ai décrit plus haut.

Note du traducteur 16 : « un virus n’essaie pas de prendre le contrôle de la mécanique d’une cellule du corps. Il ne cause ni ne force rien. » Un virus, non, mais un virus créé en laboratoire, sûrement.

À propos du VIH et du Sida, voici ce que Kary Mullis déclarait dans The San Diego Union-Tribune, le 15 Mai 1994 :

« Bien que plus de 75 000 articles ont été publiés sur le Sida, aucun n’a sérieusement étudié toutes les preuves pertinentes ni essayé de prouver que le VIH causait bien le sida. Quelques articles répondent à des objections spécifiques, mais ils commencent en supposant que le VIH est la cause du Sida, ce qui est justement la question problématique. S’il avait été possible d’écrire un tel article, il aurait déjà été écrit et ce serait la publication scientifique la plus citée du siècle. Puisque de tels articles n’existent pas, il est impossible de réfuter ou d’étayer les arguments qu’ils pourraient contenir. »

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[Voir aussi : Contestation du lien entre VIH et SIDA]
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Cependant, au lieu de faire la différence entre les deux scénarios, les responsables de la santé publique du monde entier, sous la direction de l’OMS totalement corrompue, les ont commodément regroupés dans une seule catégorie : Covid-19. Pour ce faire, ils ont utilisé le test RT-PCR, monstrueusement inapproprié et inexact, et son inventeur, Kary Mullis, a insisté (avant sa mort prématurée en août 2019) sur le fait qu’il n’était pas destiné à diagnostiquer une maladie mais simplement à vérifier la présence d’une charge virale.

Note du traducteur 17 : Kary Mullis a déclaré ce qui suit :

« C’est un procédé qui est utilisé pour faire beaucoup de choses à partir de quelque chose. Ça ne dit pas si vous êtes malade. Ça ne dit pas que la chose que vous avez contractée va réellement vous nuire… »

Un des individus à qui profite les ventes de tests PCR est Christian Drosten, un virologue allemand, qui en 2003 a co-découvert le Sras ; on reste en famille. Il est devenu dès janvier 2020 le conseiller « Covid » d’Angella Merkel, il est le « Tony Fauci » allemand.

En dépit de ses résultats faciles à falsifier et donc souvent falsifiés, le test PCR est toujours utilisé dans le monde entier pour remplacer les analyses cliniques. Pourquoi ? La seule réponse logique est que le dépistage du coronavirus est une forme de contrôle destinée à créer une hystérie publique. Ne comprenant pas que la plupart des résultats positifs sont frauduleux, que les mots effrayants « cas positif » ne signifient pas la présence d’une infection, et que les personnes asymptomatiques ne peuvent ni avoir ni propager la maladie, le public a été trompé en croyant qu’un dangereux pathogène tue un grand pourcentage de la population.

En attisant la peur, les gouvernements du monde entier ont pu justifier des mesures de confinement et des obligations de porter un masque qui sont nuisibles et totalement inefficaces, ainsi que des mesures de distanciations sociales absurdes. Mais pourquoi provoquer intentionnellement la panique et pourquoi sévir comme des dictateurs ? Les politiciens et les responsables de la santé publique doivent soit obéir à des ordres menaçants, soit accepter des pots-de-vin irrésistibles, soit simplement suivre les instructions de leurs supérieurs, en croyant naïvement qu’ils font « ce qui est le mieux » dans l’intérêt de la sécurité publique. Dans la plupart des cas, ils doivent être incités, par la ruse ou par l’astuce [ou la corruption – NdT], à persuader les citoyens de prendre part à la plus grande expérience médicale de l’Histoire — une campagne mondiale de « vaccination » de masse conçue dans le but d’injecter à tout humain qui s’y conforme une thérapie génique expérimentale non testée, non approuvée, appelée ARNm anti-Covid-19 — dans quelques endroits, comme l’Italie, l’Arabie saoudite et le Tadjikistan, même les non conformistes sont contraints de se soumettre à l’aiguille Covid-19.

Les parallèles entre l’« épidémie de Sida » et la « pandémie de Covid-19 » sont trop frappants pour être ignorés. Dans les deux cas, l’acteur central est un virus bénin qui peut être facilement accusé d’être la cause première d’une maladie déclarée, en dépit de l’absence de toute preuve scientifique réelle examinée par des pairs pour étayer cette affirmation.

Note du traducteur 18 : Répétons-le encore une fois ; le Sras-CoV-2 a été créé en laboratoire et ce n’est pas le virus en soi qui est dangereux, mais bien la protéine Spike, la même que celle qui a reçu l’ordre en laboratoire via les injections anti-Covid-19 de pousser le corps humain à en produire en quantité industrielle. Quant à l’épidémie de Sida, ou plutôt son effrayant battage médiatique, elle a très probablement amorcé et fait remonter à la surface — par programmation — la peur ancrée dans l’inconscient d’une future épidémie, quelle qu’elle soit. À force de jouer avec les Lois de la Nature sans les comprendre, on peut s’attendre à moyen terme à un vrai drame, une vraie épidémie.

De même, dans les deux cas, le virus peut être utilisé comme façade pour masquer des décennies de dégradation environnementale engendrée par des entités gouvernementales et des entreprises, dont les responsables ne paient jamais sous forme d’amendes ou de peines de prison pour leurs crimes.

Enfin, dans les deux cas, l’histoire du virus procure d’immenses profits à l’industrie pharmaceutique mondiale, qui n’est jamais tenue financièrement responsable pour des dommages et des décès causés par ses vaccins ou ses médicaments — pour ces derniers, c’est le cas tant qu’on ne découvre pas qu’ils sont la véritable cause du décès (pensez à l’AZT).

Quatrième partie — Notre réponse

Plutôt que d’accepter la façon dont nous détruisons notre habitat, plutôt que d’apprendre les leçons que la Nature a tenté de nous enseigner au cours des 18 derniers mois, nous avons continué d’ignoré les ravages et nous avons refusé d’en tirer des leçons. En fait, au cours de la pseudo-pandémie de l’année dernière, l’humanité n’a fait qu’intensifier sa guerre contre la Nature.

Par exemple, depuis janvier de l’année dernière, 129 milliards de masques de protection (pour la plupart en polypropylène) et 65 milliards de gants en latex ont été jetés chaque mois, selon une étude publiée par la revue Environmental Science & Technology de ACS Publications.

Une partie importante de ces déchets finira par se retrouver dans les océans du monde, où ils prendront la forme de microplastiques polluants. Il y a aussi les milliards et les milliards de récipients alimentaires en plastique et en papier qui ont été utilisés — et jetés — en raison de l’augmentation des commandes de plats à emporter provoquée par la pandémie, une fois les restaurants fermés aux clients.

Et ce n’est là qu’une partie des dommages environnementaux causés par la plus grande des escroqueries. Les gouvernements du monde entier — notamment en Chine et en Italie — pulvérisent des biocides cancérigènes dans l’atmosphère. Cet ultime acte de folie, qui vise à contenir ou à détruire le virus redouté de manière injustifiée, soumet les piétons à des produits chimiques encore plus nocifs. Ces désinfectants finiront par se retrouver dans l’eau du robinet de millions de foyers. En bref, nous n’avons aucune idée des conséquences que les biocides peuvent avoir sur le microbiome et sur notre santé à long terme [voire à court terme considérant l’empilement des problématiques – NdT].

Pendant ce temps, des centaines, voire des milliers de professionnels de la santé et de scientifiques du monde entier ont osé respecter leur serment de ne pas nuire et de suivre leur conscience en disant la vérité sur les conséquences dévastatrices de l’adhésion aux directives liées à la fausse pandémie.

Ces hommes et ces femmes courageux — qui sont tous médecins ou titulaires d’un doctorat et portent donc le titre de « Dr » ou de « Pr » — sont notamment :

  • Robert Malone, inventeur de la technologie des vaccins à ARNm et à ADN ;
  • Lawrence Palevsky, pédiatre ;
  • Vladimir Zelenko, médecin généraliste ;
  • Judy Mikovits, avocate et ancienne scientifique du NIAID ;
  • Simone Gold, médecin et fondatrice de America’s Frontline Doctors ;
  • Stephen Malthouse, médecin de famille ;
  • Sucharit Bhakdi, microbiologiste ;
  • Byram Bridle, professeur associé d’immunologie virale ;
  • Paul Thomas, pédiatre ;
  • Richard Fleming, cardiologue ;
  • Patrick Philips, urgentiste et médecin de famille ;
  • Roger Hodkinson, pathologiste ;
  • et Mike Yeadon, ancien directeur scientifique de Pfizer… pour n’en citer que quelques-uns.

Chacun d’entre eux a exprimé de sérieuses inquiétudes quant aux effets secondaires potentiels de ces « vaccins » jamais testés, approuvés ou utilisés pour soigner les êtres humains. Et, pour s’être exprimé, chacun d’entre eux est menacé, censuré et pire encore.

Collectivement, leurs appréhensions vont de

  1. Comment les nanoparticules lipidiques (LNP) peuvent affecter le cerveau humain ;
  2. Comment l’utilisation du polyéthylène glycol (PEG) peut provoquer des réactions immunitaires anaphylactoïdes chez l’être humain;
  3. Comment les protéines Spike induites artificiellement qui se déplacent dans tout le corps humain peuvent produire des troubles de la coagulation du sang dans différentes parties du corps ;
  4. Comment ces protéines Spike en excès, qui constituent une toxine neurovasculaire pour le corps, peuvent être à l’origine de myocardites — inflammation du muscle cardiaque — chez les enfants et les jeunes adultes.

L’une des façons par lesquelles les praticiens de la médecine sont intimidés est le recours à la force des organismes qui les autorisent à exercer.
Par exemple, le Collège des médecins et chirurgiens de l’Ontario (CPSO) a publié une déclaration inquiétante fin avril 2020, menaçant de retirer l’autorisation d’exercer la médecine à tout médecin qui s’exprimerait publiquement — ou même poserait des questions — sur les effets secondaires nocifs des confinements et/ou des « vaccins » Covid-19 dont ils ont été témoins lorsqu’ils travaillaient en première ligne dans leurs hôpitaux et communautés locales. Aux États-Unis, la procédure de retrait de la licence d’un médecin est légèrement différente, mais le résultat final est le même.

Chaque État a son propre conseil médical qui peut suspendre temporairement une licence médicale sans audience si « le conseil estime que la conduite du titulaire de la licence a enfreint les normes de soins et a mis en danger la santé et la sécurité de plusieurs de ses patients ».

Note du traducteur 19 : La même chose s’est produite en France, et certainement aussi dans d’autres pays, notamment en Occident : Haro sur les médecins non alignés sur l’Agenda totalitaire des mondialistes implanté en France par son VRP Macron !
Rappelons aussi que les contrats signés entre les compagnies pharmaceutiques et les États stipulent que ces derniers doivent tout faire pour défendre le produit expérimental en question.

Voir PfizerLeak : Révélation sur les contrats Pfizer et leurs clauses « surprenantes »

Parmi les autres tentatives visant à empêcher les informations scientifiques vitales d’atteindre le public, citons le discrédit et la mise au silence des praticiens, médecins et scientifiques par les plateformes de médias sociaux grand public de Big Tech, comme YouTube de Google.

Cela ne devrait pas surprendre, puisque Google, qui a été créé par la CIA, entretient également des liens étroits avec des compagnies pharmaceutiques comme GlaxoSmithKline (GSK), enregistrée en Angleterre. Ces personnes sont également censurées de Facebook — une autre société privée créée par la DARPA (Defense Advanced Research Projects Agency) et la CIA — ainsi que d’Instagram, Amazon Web Services (AWS), Linkedin et Twitter.

Pire encore, des médecins ont été soumis à une censure extrême pour avoir fourni des preuves qu’il existe effectivement des traitements viables, efficaces et peu coûteux pour traiter le Covid-19 — des traitements qui rendent inutile le recours à un « vaccin ».

Par exemple, tous les médecins mentionnés ci-dessus, ainsi que des centaines d’autres dans de nombreux pays, n’ont pas seulement fait l’éloge des antipaludéens chloroquine et hydroxychloroquine et d’autres remèdes comme l’Ivermectin, l’azithromycine, la doxycycline et le zinc, dans le traitement de leurs patients atteints de Covid-19, mais ils ont démontré à plusieurs reprises leur efficacité. Ils ont prouvé, par exemple, que la chloroquine et l’hydroxychloroquine, lorsqu’ils sont administrés à petites doses prescrites, exercent relativement peu ou pas d’effets indésirables. De nombreuses études menées en Corée du Sud, en Chine et en France en témoignent également.

Néanmoins, les agences gouvernementales de santé — la FDA, les NIH et les CDC aux États-Unis, la MHRA au Royaume-Uni et Santé Canada [tout comme l’HAS en France – NdT] — ainsi que l’OMS interdisent continuellement ces traitements peu coûteux, tentent de décourager les gens de les utiliser et, avec la complicité des médias grand public, font à leur sujet des déclarations manifestement fallacieuses.

Pour savoir pourquoi cette suppression de traitements efficaces a lieu, il suffit de consulter l’autorisation d’utilisation d’urgence de vaccins contre le Covid-19 de la FDA qui a été délivrée en octobre 2020. À la page six de ce document, à la section lll, « Critères et considérations pour la délivrance d’une autorisation d’utilisation d’urgence pour un vaccin contre le Covid-19, la dernière puce de la liste indique clairement que la FDA ne peut délivrer une telle autorisation que si elle a déterminé qu’« il n’existe pas d’alternative adéquate, approuvée et disponible au produit pour diagnostiquer, prévenir ou traiter la maladie ou la condition médicale. » Cette déclaration signifie que toute la prémisse de l’autorisation d’utilisation d’urgence est basée sur la présupposition qu’il existe aucune alternative disponible.

En réalité, il existe plusieurs produits hors brevet bon marché parmi lesquels choisir, comme nous l’avons cité plus haut — et comme la FDA le sait parfaitement. Cependant, si elle devait permettre à un produit bon marché et facilement disponible comme l’hydroxychloroquine de dominer le marché, l’industrie pharmaceutique — qui semble dicter sa politique à la FDA — risquerait de perdre des milliards de dollars provenant des ventes de « vaccins » anti-Covid-19.

La cupidité est-elle à l’origine de la suppression par Big Pharma des informations sur les produits alternatifs ? Très certainement. Et les relations étroites que Big Pharma entretient avec les responsables des agences gouvernementales et avec les médias — ces derniers étant largement tributaires de la publicité pharmaceutique pour leur existence — empêcheront-elles la majorité du public de prendre connaissance de l’existence de ces produits alternatifs ? Il semblerait que oui. En d’autres termes, l’autorisation d’utilisation d’urgence n’aurait pas été publiée si la vérité sur les produits alternatifs avait pu être largement partagée.

Mais puisque cette vérité a été dissimulée, les décès dus aux « vaccinx anti-Covid-19 » sont de plus en plus nombreux.

En août 2021, et selon les données recueillies par EudraVigilance, au moins 21 000 personnes dans les 27 pays de l’Union européenne sont mortes après avoir reçu une injection de ces dispositifs qui modifient les gènes. Aux États-Unis, et selon les données fournies au Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS), c’est plus de 13 000 personnes ont succombé à ces injections. Le chiffre des États-Unis est choquant : il signifie que ces injections expérimentales ont causé plus de décès en l’espace de 6 mois que la combinaison de 70 vaccins différents approuvés en circulation au cours des 30 dernières années. Comme si cela ne suffisait pas, une étude de Harvard a conclu que seulement 1 % des dommages et des décès dus à tous les vaccins aux États-Unis sont signalés au VAERS. Même si le taux de déclaration est de 10 %, ce dernier reste faible par rapport aux chiffres réels.

Et pourtant, les injections anti-Covid-19 qui modifient les gènes continuent de faire l’objet d’une promotion agressive de la part des propagandistes et de leurs théories non scientifiques et non prouvées, et ce malgré les preuves que la propagation asymptomatique n’est pas possible, que nous n’avons pas besoin de ces injections et qu’elles ne sont ni sans danger ni efficaces, que le Covid-19 est très loin d’être aussi dangereux pour la vie qu’on l’avait prédit et que les enfants n’ont pas besoin d’être protégés contre ce virus. De plus, malgré leur insistance, il n’existe aucune preuve que le Sras-CoV-2 cause le Covid-19.

Note du traducteur 20 : En effet, et comme nous l’avons précisé dans la Note du traducteur 12, ce n’est pas le virus du Sras-CoV-2 créé en laboratoire qui est dangereux, mais bien sa protéine Spike. Donc, prétendre que c’est le virus du Sras-CoV-2 qui déclenche la maladie appelée Covid-19, est à tout le moins faux, voire une mystification.

Les gouvernements du monde entier continuent de corrompre et de contraindre les citoyens à recevoir ces injections — en violation directe du Code de Nuremberg et sur la seule base d’un prétendu « intérêt de la santé publique ». Ceux d’entre nous qui ont fait des recherches et lu sur ce sujet depuis que tout a commencé savent qu’il n’a jamais été question de préserver la santé publique. Il a toujours été question des objectifs qui visent à mettre en œuvre un plan de biosécurité mondial et une grille de contrôle transhumaniste qui, si ces objectifs étaient amenés à se réaliser, signifieraient la fin de l’espèce humaine [telle que nous la connaissons – NdT].

Cette crise largement fabriquée a fourni la rampe de lancement parfaite pour que la convergence biodigitale prenne place. Pour ceux d’entre vous qui pensent que la notion qui consiste à combiner le corps humain avec des systèmes numériques est une hyperbole ou un fantasme, je me permets d’attirer votre attention sur le document « Exploring Biodigital Convergence » [Explorer la convergence biodigitale – NdT] publié le 11 février 2020 par Horizons politiques Canada. Ce document indique que le comité directeur de la politique canadienne a discuté du concept effrayant consistant à modifier l’évolution du corps humain par l’intégration de nanotechnologies biologiques et numériques. En effet, il s’avère que la large modification génétique de l’espèce humaine en cours d’élaboration par les injections expérimentales soi-disant anti-Covid-19 n’est que la première phase de cette convergence transhumaniste.

Note du traducteur 21 : Nous avons publié la traduction en français de ce document : La convergence bionumérique ou comment faire miroiter aux populations un avenir meilleur synonyme de prison, et en voici notre présentation :

« cette « présentation » a le mérite de nous informer de l’état de la « science » dans le domaine bionumérique en général et dans ses développements en particulier, dans tous les champs d’application qui y sont envisagés, ou presque… Il en dit long également sur l’état psychopathique des élites au pouvoir, affamées de contrôle absolu (mais illusoire) sur l’ensemble du vivant qui anime notre planète, dans une sorte de course contre la montre (désespérée) engagée contre la Nature, les forces cosmiques et leur énorme potentiel créatif — bien que ce processus puisse d’abord passer par une phase destructrice. À ce jeu, qui est le plus fort ? »

Comme si le document canadien n’était pas assez alarmant à lui tout seul, une menace encore plus grande pour l’humanité est en train de se déployer ailleurs. En mai 2021, le ministère britannique de la Défense a publié un document intitulé « Human Augmentation — The Dawn of a New Paradigm » [L’humain augmenté — L’aube d’un nouveau paradigme – NdT]. Ce document a été élaboré par le Centre de développement, de concept et de doctrine du Royaume-Uni, en partenariat avec le Bureau de planification de la défense de la Bundeswehr allemande [les forces armées allemandes – NdT]. Leur objectif est de

« comprendre les implications futures de l’humain augmenté, en préparant le terrain pour une recherche et un développement de défense plus précis. »

En intégrant les recherches de spécialistes de la défense allemands, suédois, finlandais et britanniques, le projet du Centre de développement, de concept et de doctrine tente de mieux appréhender comment les technologies émergentes, telles que le génie génétique, les interfaces cerveau-ordinateur et la bioinformatique, peuvent renforcer les capacités de sécurité et de défense. Bien qu’elle soit présentée comme un outil stratégique à usage militaire, l’augmentation de l’humain sera sans aucun doute, à l’instar du développement de tant de programmes militaires au cours de l’histoire, finalement déployée pour être utilisée dans le secteur civil.

Je dois le dire sans ambages : les projets transhumanistes au Canada, au Royaume-Uni et en Europe, et probablement subrepticement dans d’autres pays, combinés à la destruction délibérée de l’écosystème, sont les deux plus grandes menaces existentielles auxquelles l’humanité est aujourd’hui confrontée. Peut-être même comme jamais auparavant.

Dernières remarques

Nous sommes bombardés sans relâche par une croyance qui fait d’un ancien virus — y compris ses variants — le seul coupable d’une crise sanitaire mondiale. Pourtant, il n’existe pas la moindre preuve que le virus appelé Sras-CoV-2 provoque une maladie appelée Covid-19. Cette vision myope nous empêche de comprendre la véritable nature utile des virus, comme nous l’avons détaillé ci-dessus. En effet, les virus sont nos amis [ils font partie du système de la vie sur Terre, sans eux nous ne serions même pas là pour en parler – NdT].

En outre, cette vision nous empêche de voir le véritable désastre écologique qui se déroule autour de nous et que les virus tentent de nous aider à découvrir et à surmonter.

Non seulement l’humanité marche vers sa propre extinction, mais elle s’éloigne aussi rapidement de la science et s’étouffe au contraire dans le dogme technocratique anti-science [et anti-vie – NdT] — un dogme qui s’est transformé en une religion rigide dont les adeptes vénèrent de nombreuses divinités, dont l’un se nomme « Vaccin » et l’autre « Technologie ».

Note du traducteur 22 : Qu’est-ce que la « science » ? Selon Nissim Amzallag, dans son ouvrage intitulé La Réforme du vrai, il déclare :

« La science ne distille pas forcément le vrai, cela nous le savons depuis le début du XXe siècle. Et pourtant, une aura d’objectivité continue de protéger la science de toute critique non seulement sur ses fondements, mais encore sur la manière dont elle s’impose pour façonner la société. »

Dans on ouvrage, l’auteur explore l’Histoire pour savoir si la science « fut réellement motivée par un désir sincère d’intelligence du réel ». Même si nos lecteurs ne l’ont pas lu, il suffit de contempler notre présent pour se rendre compte que ce n’est pas le cas, et c’est un euphémisme.

Comme je l’ai expliqué au début de cet article (première partie), nous vivons une époque sans précédent, où les humains peuvent être génétiquement modifiés à un point tel qu’ils seront méconnaissables et dans laquelle le monde naturel est ravagé de façon presque irrémédiable.

Pourtant, si ces menaces sont mortifères, il existe aussi des signes d’espoir. Il n’est pas trop tard pour envisager une autre voie possible — une voie qui ne nous condamne pas à l’échec, mais nous invite plutôt à accepter que l’humanité est faite, depuis le début, pour s’intégrer de manière intrinsèque à la Nature. Si nous tirons les leçons de nos erreurs, nous avons la possibilité de nous éloigner de l’abîme du transhumanisme et de l’extinction des espèces. Nous pouvons au contraire embrasser notre belle planète avec toute sa glorieuse biodiversité — une Terre grouillante d’une vie abondante qui offre un aperçu de l’Univers parfait créé par Dieu, l’Esprit, et qui est conférée à la Création spirituelle de la divinité.
Permettons à notre bonne Terre et à notre bonté innée de devenir manifestes au lieu d’être obscurcies et finalement annihilées.

La Terre et chaque homme, femme, enfant et créature qui l’habitent sont en fait des idées infinies, éternelles et divines créées par un Esprit infini, éternel et divin. Il est temps pour nous de reconnaître cette vérité — et de la manifester dans nos vies.

À propos de l’auteur

David Skripac est titulaire d’un baccalauréat en technologie en génie aérospatial. Au cours de ses deux périodes de service en tant que capitaine dans l’Aviation canadienne, il a beaucoup volé en ex-Yougoslavie, en Somalie, au Rwanda, en Éthiopie et à Djibouti. Utilisant un esprit curieux, un souci du détail et des compétences en résolution de problèmes perfectionnées au cours de ses années universitaires et tout au long de sa carrière, David a consacré plus d’une centaine d’heures à la recherche des dernières découvertes scientifiques dans les domaines de la virologie et de la microbiologie pour mener cet article à bien.

Source des différentes parties initialement publiées en anglais :

Partie 2 – le 20 août 2021 : GlobalResearch
Partie 3 – le 15 septembre 2021 : GlobalResearch
Partie 4 – le 7 septembre 2021 : GlobalResearch

Note : La 3e partie a été publiée après la 4e.
Traduction : Sott.net




Suite à la mise à l’écart de plus de 300 000 soignants, le système de Santé français est à la dérive

[Source : FLORIAN PHILIPPOT]




La Gestapo 2.0 : un médecin arrêté pour avoir traité ses patients contre la Covid. Mise à jour 2

Mise à jour :

Le Dr Théron ne se laissera pas intimider

https://t.me/Laveritecensure/6182
La Vérité Censurée, [Sep 21, 2021 at 13:51]

L’avocat du Dr jean-Paul Théron s’exprime :

« Vous avez quelqu’un qui soigne, qui se bat pour soigner ses 80 patients, ils ont confisqué son téléphone et son ordinateur et l’ont mis en garde à vue »

https://t.me/Laveritecensure/6184
La Vérité Censurée, [Sep 21, 2021 at 17:09]

Les conditions d’interpellation du Dr Tharon sont affreuses, dignes d’un régime communiste. Il a sauvé dernièrement plus de 80 patients grâce au traitement du Pr Raoult.

https://t.me/Laveritecensure/6186
La Vérité Censurée, [Sep 21, 2021 at 19:22]

Voici les conditions d’arrestation du Dr Theron (63 ans) qui demande à plusieurs reprises l’assistance d’un médecin avant d’être violemment traîné dehors. Son tort : il soigne avec le protocole du Pr Raoult.

Témoignage de la fille de Dr Theron :

« À 9 h 17, pendant qu’il se lavait les mains aux toilettes de la salle, les gendarmes sont venus le placer en garde à vue. Le choc ! La brutalité et l’humiliation de cette arrestation jusque dans les toilettes. 63 ans, père de famille et grand-père. »

Voici Message du fils du Dr Théron, très violemment arrêté en Polynésie française :

« Le pharmacien Jérôme Rondan a rompu le secret professionnel en balançant l’ordonnance du médecin Theron sur les réseaux sociaux et est à l’origine de l’arrestation de ce dernier. »

#LiberezTheron
#Polynésie
#Theron

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https://t.me/Laveritecensure


Mise à jour 2 :

Résister peut porter ses fruits :

L’Ordre des médecins annule la décision de suspension du Dr Nagib Moatassime pour avoir prescrit de l’Ivermectine !

Le fait de déposer plainte pour prescriptions d’Ivermectine est déjà extrêmement choquant en soi. Heureusement que l’Ordre national a annulé la suspension du Dr Nagib Moatassime en espérant qu’elle fera jurisprudence et donnera du courage à ses autres confrères.

https://twitter.com/BBR_06/status/1432652912187125762?ref_src=twsrc%5Etfw%7Ctwcamp%5Etweetembed%7Ctwterm%5E1432652912187125762%7Ctwgr%5E%7Ctwcon%5Es1_&ref_url=https%3A%2F%2Fwww.lelibrepenseur.org%2Flordre-des-medecins-annule-la-decision-de-suspension-du-dr-nagib-moatassime-pour-avoir-prescrit-de-livermectine%2F



Suspension des soignants : pourquoi nous proposons de prendre l’Himalaya par la face Sud et non par la face Nord

[Source : Le Courrier des Stratèges (lecourrierdesstrateges.fr]

Comment lutter juridiquement contre la suspension des soignants. Les conseils juridiques (dont les nôtres) ont fleuri sur la Toile, et pour la première fois nous souhaitons expliquer pourquoi certaines stratégies proposées par des collègues ne nous semblent pas pertinentes, voire pourraient se révéler dangereuses pour ceux qui les reprennent à leur compte. Ces remarques sont tout à fait amicales, et nous laissons chacun libre de choisir la stratégie qu’il préfère. Mais nous tentons ici de donner une perspective raisonnée sur les avantages et les inconvénients de chaque option.

La suspension des soignants divise le petit monde des juristes, et il nous paraissait important de préciser quelques points “stratégiques” à propos du projet de recours que nous avons rédigé et publié dès le mois d’août. Ce texte obéit en effet à une inspiration différente des recours présentés par les avocats qui conseillent ou animent les nombreuses associations qui ont fleuri depuis le 12 juillet. Il nous semblait important de bien expliquer les différences d’approche, pour que chaque soignant puisse se positionner en toute connaissance de cause. 

La suspension des soignants : quelle différence d’approche ?

Pour résumer la différence d’approche entre “nous” et “eux”, on peut prendre une image simple : faut-il prendre l’Himalaya par la face Nord ou par la face Sud ? Autrement dit, faut-il attaquer l’obligation vaccinale des soignants frontalement, ou faut-il ruser ?

Notre position constante depuis le mois de juillet est celle d’une préférence pour la ruse, alors que majoritairement le “marché” a recommandé une démarche frontale. 

En l’espèce, les avocats qui sont intervenus ont essentiellement proposé de plaider l’illégalité de l’obligation vaccinale, notamment en visant la question du consentement éclairé. Nous avons déconseillé d’utiliser cette voie, et préconisé de plaider sur les questions de “légalité externe”, en l’espèce le non-respect des droits de la défense au moment où une sanction est infligée. 

Nous voulions expliquer pourquoi nous préconisons cette démarche moins reluisante, moins vaillante, mais de notre point de vue plus protectrice de l’intérêt des plaignants. 

Attaquer l’obligation vaccinale : quels risques ?

Nous avons tous bien compris que l’enjeu majeur des recours contre les suspensions était de contester l’obligation vaccinale. C’est logique, puisque les soignants suspendus le sont parce qu’ils refusent le vaccin. 

Pourtant, nous ne préconisons pas d’attaquer l’obligation vaccinale en justice pour une raison tactique : nous avons la conviction profonde qu’aucun juge en France n’osera censurer cette obligation, même si, en son âme et conscience, il la soutient. Cette impossibilité condamne par principe toute contestation en justice qui contraindrait un juge à se positionner contre l’obligation vaccinale. 

Les raisons de cette impossibilité sont simples à comprendre intuitivement. L’obligation vaccinale est au coeur de la pression exercée par le gouvernement sur la société française, et une très large fraction de la magistrature est adepte de la religion du vaccin. Dans ces conditions, quel magistrat (surtout quel magistrat administratif) osera se “démarquer” du Président et de son corps en annulant, au cours d’un référé, un point aussi important dans le dispositif gouvernemental ?

Rappelons que, en référé, la décision est prise par un magistrat seul, sans examiner le fond du dossier. Il est selon nous chimérique d’imaginer qu’un président de tribunal oserait, en urgence, annuler seul, sans collégialité, une pièce maîtresse de la politique menée par la caste. Il peut le faire, certes, mais il sait qu’il renonce ce faisant à toute forme de carrière, et qu’il encourt un bannissement immédiat de la part de ses pairs. 

Pour cette raison quasi-psychologique, nous soutenons que tout référé mettant en cause l’obligation vaccinale est condamné à l’échec. La décision du tribunal de Toulouse, que nous commentons par ailleurs, le confirme. 

Contester les conditions de la suspension : quels avantages ?

On peut ici faire le pari que très peu de magistrats sont, à titre personnel, hostiles à l’obligation vaccinale, mais qu’ils peuvent plus facilement contester la façon dont elle se met en place. Notre argument déployé depuis le mois d’août consiste à soutenir que la forme normale de la suspension dans la fonction publique est d’être accompagnée d’un maintien de traitement, comme le prévoit l’article 30 de la loi du 13 juillet 1983. En instaurant une suspension sans traitement, la loi du 5 août 2021 a imposé une sanction disciplinaire contre les récalcitrants. Or qui dit sanction dit droits de la défense. 

C’est précisément sur ce point que la loi du 5 août 2021 déroge à la jurisprudence du Conseil Constitutionnel. Officiellement, toute la machine administrative fait vivre le mythe selon lequel la suspension n’est pas une sanction. Mais autant cette affirmation est plaidable dès lors que la suspension est une mesure d’urgence qui conserve le traitement et qui débouche sur une procédure disciplinaire où les droits de la défense sont respectes, autant il nous semble qu’aucun juge ne peut véritablement affirmer, écrire, proclamer, que suspendre sine die le traitement d’un fonctionnaire n’est pas une sanction. 

Or toute sanction appelle le respect des droits de la défense et, sur ce point, la loi du 5 août 2021 a créé un état d’exception qui n’est pas conforme à nos principes généraux du droit (qui ont une valeur constitutionnelle, rappelons-le). 

La stratégie que nous suggérons consiste bien à tout miser sur le “confort” des juges, en leur proposant de ne prendre aucun risque de carrière sur la censure de l’obligation vaccinale, mais en leur suggérant de rétablir le versement du traitement conformément à la loi du 13 juillet 1983, pour respecter les droits de la défense, en conformité avec une jurisprudence constante du Conseil Constitutionnel. C’est moins héroïque que la dénonciation pure et simple de l’obligation vaccinale, mais c’est plus facilement audible par le magistrat qui va devoir trancher. 

Le risque pour l’appareil sanitaire français

La maximisation des chances de succès par notre stratégie prudente n’est pas le seul avantage de notre solution. Elle en présente un autre : pour les hôpitaux publics, la contrainte financière qu’un rétablissement du traitement des “suspendus” constitue un vrai facteur de blocage. Pour le gouvernement, l’addition finale à payer risque d’être d’autant plus dissuasive que la loi n’a pas fixé de terme aux suspensions. On peut tout à fait imaginer une suspension payée à vie pour les non-vaccinés. 

Pour toutes ces raisons, nous maintenons notre option en faveur de recours en référé qui se cantonnent aux questions de droits de la défense, et qui évite soigneusement d’effrayer les magistrats en abordant la question de l’obligation vaccinale. 




Un « lanceur d’alerte » du ministère de la santé américain rend public des enregistrements secrets concernant les vaccins

[Source : lecourrierdesstrateges.fr]

Par JULIEN G. – Jodi O’Malley, infirmière diplômée du gouvernement fédéral et du HHS (United States Department of Health and Human Service) rend public des enregistrements secrets. Cette vidéo, postée par « Projet Veritas », est déjà devenue virale. Des millions de personnes l’ont partagée sur les médias sociaux.

Cet enregistrement met à mal le narratif du gouvernement Américain et du CDC (Centers for Disease Control and Prevention) sur les effets secondaires de la vaccination aux Etats-Unis.

En effet, dans cet extrait, les médecins et employés incriminent directement les autorités de santé américaines de cacher aux citoyens la vérité.

1. Qu’est-ce que le Projet Veritas ?

« Project Veritas » est une organisation américaine à but non lucratif, connue pour faire un travail de fond dans l’infiltration des organisations gouvernementales et autres lobbies, afin de démonter leurs intentions partisanes et souvent mensongères. Le Projet Veritas réalise des montages audio et vidéo à partir d’informations brutes enregistrées sous couverture afin de dénoncer ces méfaits.

Fondé par James O’Keefe, un militant politique conservateur américain, Project Veritas considère que sa mission est d’enquêter et exposer la corruption, la malhonnêteté, l’égoïsme, le gaspillage, la fraude et toute autre faute dans les institutions publiques et privées afin de parvenir à une société plus éthique et plus transparente.

Bien que très controversé dans le milieu main Stream et censuré par les GAFA, chacune des vidéos du Projet Veritas est souvent relayée massivement et on les retrouve même sur des chaines grand public comme FoxNews.

2. Une vidéo qui fait l’effet d’une bombe

« Le gouvernement ne veut pas montrer que le vaccin [COVID] est plein de merde »

« Ils poussent les rapports d’effets indésirables sous le tapis »

Ces extraits, issus de cette vidéo, font l’effet d’une bombe. En effet, ces propos sont tenus par des médecins et infirmières, employés Fédéraux du gouvernement de santé Américain.

En résumé, on y apprend, selon ces personnes, que les effets secondaires des vaccins ne sont pas rapportés aux autorités, alors que la « phase 3 » l’exige, notamment pour certifier ou non de la non dangerosité d’un produit.

Ils mettent, en exemple, des cas de patients souffrant de différentes pathologies post-vaccinal.

Toujours selon les affirmations de médecins filmés dans cette vidéo, on y apprend que les traitements basés sur l’ivermectine notamment sont proscrits sous peine de perdre leur travail.

Enfin, l’infirmière O’Malley  sous-entend qu’une de ses collègues, vaccinée par obligation, serait décédée quelques jours après sa 2e injection.

Depuis des années les vidéos d’infiltration de l’organisation « Projet Veritas » sont de véritables épines dans le pied des organisations gouvernementales américaines. A l’instar d’un Wikileaks, elle véhicule une information dissidente, mais toujours sourcée, des médias classiques.

Leurs montages audio et vidéo sont de plus en plus écoutés et relayés par les américains.

Voir la vidéo originale sur projectveritas.com



Le pathologiste en chef allemand sonne l’alarme sur les blessures mortelles causées par le vaccin Covid : « Le vaccin est la cause de la mort dans 30 à 40 % des autopsies de personnes récemment vaccinées »

[Source : resistance-mondiale.com]

Le directeur de l’Institut pathologique de l’Université de Heidelberg, Peter Schirmacher, a effectué plus de quarante autopsies sur des personnes décédées dans les deux semaines suivantes la réception d’un vaccin Covid-19 et a exprimé son inquiétude face à ses conclusions.

Schirmacher a déclaré que 30 à 40 % des personnes qu’il a examinées sont mortes du vaccin et qu’à son avis, la fréquence des conséquences mortelles des vaccinations est «sous-estimée».

À la suite de ses découvertes, Schirmacher a appelé à davantage d’autopsies de personnes vaccinées pour déterminer davantage si les vaccins sont liés à des décès. Il a averti que le nombre élevé de cas non signalés de décès par vaccination est dû au fait que “les pathologistes ne remarquent rien sur la plupart des patients qui meurent après et possiblement d’une vaccination”.

Malgré la sonnette d’alarme concernant les vaccins, beaucoup ont émis les conclusions de Schirmacher, l’Institut Paul Ehrlich qualifiant les déclarations du directeur d’”incompréhensibles”. Le laquais du chancelier, l’immunologiste allemand principal Thomas Mertens, a immédiatement rejeté les conclusions : “Je ne connais aucune donnée qui permet de faire une déclaration justifiable ici et je ne suppose pas un nombre non déclaré.”

L’immunologiste Christian Bogdan de l’hôpital universitaire d’Erlangen, membre de la Commission permanente de vaccination (STIKO), a également contredit l’hypothèse de Schirmacher d’un « nombre élevé de complications de vaccination non signalées, voire de décès » .

Malgré les critiques, Schirmacher a reçu le soutien de ses propres rangs, et l’Association fédérale des pathologistes allemands a déclaré que davantage d’autopsies de personnes vaccinées décédées dans un certain délai après la vaccination doivent être effectuées.

Le responsable du « Groupe de travail Autopsie » de cette association à prendre en compte les médecins généralistes et les autorités sanitaires. Fondamentalement, les médecins des patients décédés dans les jours ou semaines suivants la vaccination doivent demander une autopsie en cas de doute ou les autorités sanitaires doivent prendre des mesures,

L’Association fédérale des pathologistes l’avait déjà demandé en mars dans une lettre au ministre de la Santé Jens Spahn (CDU), mais cela est resté sans réponse.

Bien sûr, il convient de noter que l’avertissement de Schirmacher pourrait faire perdre à diverses sociétés pharmaceutiques des milliards de dollars d’activités à long terme, ce qui explique ses conclusions ont été scrutées et ternies par l’agenda pro-vaccin.

Cependant, la réputation et le sérieux de Schirmacher ne peuvent être ignorés.

Schirmacher lui-même dirige déjà un projet d’autopsie sur des personnes décédées du Covid-19, qui est subventionné par l’État. Il a ensuite élargi l’attention et a commencé à effectuer des autopsies sur plus de 40 personnes vaccinées décédées. Alors que ses résultats ne représentent qu’une petite taille d’échantillon, il s’agit d’une inquiétante d’un tableau plus large : 30 à 40 pour cent sont morts de la vaccination elle-même. Le pathologiste a cité “des effets secondaires rares et graves de la vaccination – tels que la thrombose veineuse ou les maladies auto-immunes”.

En réponse aux critiques, Schirmacher a nié un manque de compétence, déclarant: “Les collègues ont définitivement tort car ils ne peuvent pas évaluer cette question spécifique avec compétence.” De plus, le directeur a déclaré qu’il n’essayait pas de semer la peur et qu’il n’était pas opposé aux vaccinations, car il a lui-même reçu le vaccin.

Il ne sera pas surprenant de voir dans les semaines à venir la réputation de Schirmacher complètement déchirée dans les médias, en ligne et dans la communauté scientifique et médicale.

source :

German Chief Pathologist Sounds Alarm on Fatal Covid Vaccine Injuries: “Jab is Cause of Death in 30-40% of Autopsies of Recently Vaccinated”Peter Schirmacher, the director of the Pathological Institute of the University of Heidelberg. The director of the Pathological Institute of the University o




Pour Étienne Chouard, le pass sanitaire est une méthode digne de la mafia




Covid : la quatrième vague meurtrière programmée à partir d’octobre prochain

Par Diane Vincero

Voici un texte du Sénat (texte n° 811 – 2020-2021) sur « les motifs de la proposition de loi sur la vaccination obligatoire contre le Covid » qui doit être étudié le 13/10/2021 et qui vise à ajouter aux 11 vaccins déjà obligatoires, un 12e ** : celui du Covid.

Les termes du texte en sont intéressants.

Voici d’abord le texte, puis le décryptage qui s’impose.

Texte n° 811 (2020-2021) de MM. Patrick KANNERBernard JOMIER, Mmes Marie-Pierre de LA GONTRIEMonique LUBIN et plusieurs de leurs collègues, déposé au Sénat le 31 août 2021 —

proposition de loi instaurant la vaccination obligatoire contre le SARS-CoV-2 (exposé des motifs) (senat.fr)

« EXPOSÉ DES MOTIFS

Mesdames, Messieurs,

Dès juillet dernier, les parlementaires socialistes ont prôné l’obligation progressive d’une vaccination universelle, de toutes et tous (sauf contre-indication médicale), dans une démarche de santé publique visant à obtenir une protection collective, seule à même de garantir un retour à une vie quotidienne normale pour tous du fait des différents variants en circulation.

L’objectif de cette protection collective de toute la société, en l’état de nos connaissances scientifiques et médicales, peut être atteint par une obligation vaccinale généralisée (sauf contre-indication médicale).

Nous croyons en la science, en la recherche, et au progrès médical et social, qui bénéficient à toutes et tous.

Nous avons la chance de bénéficier de vaccins qui, collectivement, nous protègent et nous permettent de renouer avec un quotidien apaisé, de limiter les restrictions et les privations de liberté, de mettre fin à la situation que nous connaissons depuis trop longtemps, faite de craintes pour nos familles, pour nos emplois, pour la scolarité de nos jeunes.

L’obligation vaccinale a été édictée en France pour la première fois en 1902 et a permis d’éradiquer nombre de maladies et protéger nombre de nos enfants. L’obligation vaccinale est la pierre angulaire de l’intérêt collectif : en s’engageant tous, on protège chacun, partout sur le territoire national et dans tous les foyers. Elle faisait reposer la politique de santé sur des principes clairs, transparents, démocratiques et qui s’appliquaient à tout le monde.

La vaccination universelle est également la seule solution qui permet de réduire les inégalités sociales et territoriales d’accès à la vaccination. Elle permettra de lancer enfin une grande campagne d’information et de sensibilisation pour aller vers les Français non vaccinés. C’est également un geste de responsabilité et de solidarité vis-à-vis de nos soignants, engagés de toutes leurs forces dans cette bataille dont ils ne voient plus le bout et de soutien vis-à-vis de nos acteurs économiques durement touchés par les restrictions sanitaires.

Nous notons surtout que plusieurs institutions du champ scientifique et médical se sont d’ores et déjà prononcées en faveur de l’obligation vaccinale généralisée. C’est le cas notamment de l’Académie nationale de médecine, le 19 juillet dernier, jour de présentation en conseil des ministres de la loi n° 2021-1040 du 5 aout 2021 relative à la gestion de la crise sanitaire. Rappelons d’ailleurs que l’Académie s’était prononcée publiquement pour le port du masque dès avril 2020, quand le Gouvernement soutenait encore que le masque était inutile pour la protection de la population générale.

Ainsi, face à l’augmentation rapide de l’incidence des infections dues aux différents variants, l’Académie nationale de médecine recommandait :

“- d’amplifier l’information sur le principe de l’isolement volontaire et sur les capacités d’hébergement des personnes ne pouvant s’isoler à domicile ;

– d’inciter toutes les personnes dépistées positives à s’auto-isoler pendant 10 jours en leur rappelant le risque de contamination auquel elles exposent leur entourage ;

– de ne rendre obligatoire qu’une seule mesure : la vaccination contre la Covid-19 de tous les Français âgés de 12 ans et plus”.

Depuis, les Antilles ont payé un lourd tribut à la pandémie du fait du faible taux de vaccination des populations. La Guadeloupe et la Martinique ont d’ailleurs été contraintes au reconfinement et aux couvre-feux. Les services hospitaliers de Polynésie sont toujours saturés et le nombre des hospitalisations continue d’y progresser.

C’est pourquoi, nous maintenons que la vaccination contre le Covid-19 de toutes les Françaises et de tous les Français est la seule décision publique qui :

–   Protège sa propre santé et liberté, mais aussi celles des autres ;

– Correspond à une démarche de santé publique claire, assise sur nos connaissances médicales et scientifiques ;

–   Constitue une démarche de lutte contre les inégalités territoriales et sociales, car elle crée un devoir de l’État d’aller vers les publics les plus éloignés de la vaccination ;

–  Évite le “glissement vers des pratiques de surveillance sociale générale” pointé par la Défenseure des droits et l’extension attentatoire aux libertés du pass sanitaire à tous les gestes de la vie quotidienne ;

–  Dispense de transformer en agents de sécurité sanitaire les professionnels accueillant du public.

La vaccination obligatoire est le seul chemin à ce jour pour sortir d’une politique de sécurité sanitaire et entrer enfin dans une politique de santé publique clairement assumée. Elle est la manifestation de la primauté de l’intérêt général sur les tentations individualistes, de la clarté face à l’obligation masquée que représente le pass sanitaire, de l’égalité face au “chacun pour soi”, de la solidarité face à l’égoïsme. Le choix du Gouvernement a été un choix par défaut et de défausse, qui le désengageait de ses responsabilités.

L’absence d’application du III de l’article 76 vise simplement à rendre la proposition de loi recevable financièrement et n’a pas pour objectif de diminuer la prise en charge de cet acte médical par la Sécurité Sociale. »


En voici maintenant le décryptage proposé

Le texte met en avant « la nécessité d’une protection collective contre les variants du Covid afin de garantir un retour à une vie quotidienne normale, de limiter les restrictions et les privations de libertés, de mettre fin aux craintes pour nos familles, nos emplois, et la scolarité de nos jeunes », éternelle tactique de la carotte (en attendant le prochain bâton), sachant par ailleurs que les scientifiques indépendants de Big Pharma sont tous d’accord pour dire que pendant une pandémie, la vaccination collective est contre-indiquée, qu’elle laisse la place à des variants potentiellement plus graves et qu’enfin, la contagion reste effective même après la vaccination.

« La vaccination universelle est également la seule solution qui permet de réduire les inégalités sociales et territoriales d’accès à la vaccination. » qu’on peut traduire par « la seule solution de rentabilité financière maximale ».

Au passage, le texte refait l’éloge des soignants « engagés dans cette bataille dont ils ne voient plus le bout », sachant que tous les soignants qui ont refusé la vaccination ont été jetés dehors depuis le 15 septembre dernier, sans salaire… Le texte évoque aussi les « acteurs économiques durement touchés par les restrictions sanitaires ». Mais qui a fermé les restaurants, les cinémas, les théâtres, les magasins de vêtements, etc. des centres commerciaux, pendant que les grandes surfaces qui vendaient les mêmes articles ont pu continuer à fonctionner ?

Les Sénateurs se réfugient derrière l’Académie de Médecine pour justifier de leur proposition, sachant que celle-ci, tout comme eux-mêmes est en lien étroit avec Big Pharma.

En effet, ils s’abritent derrière le fait que l’Académie de Médecine prônait l’usage du masque, alors que le masque laisse passer le coronavirus. Comment l’Académie de Médecine peut-elle ignorer que le SARS-CoV2 mesure entre 0,06 et 0,14 µm et que les masques laissent passer les particules jusqu’à 0,6 µm, et donc que le coronavirus est bien plus petit que les mailles des masques ?

Dans le fond, quelle peut être la réelle utilité du masque si ce n’est de nous rappeler sans arrêt qu’il existe une prétendue épidémie ?

De la même manière, les sénateurs s’abritent derrière l’Académie de Médecine pour l’obligation vaccinale pour tous, mais, comment l’Académie de Médecine peut-elle prôner

« de ne rendre obligatoire qu’une seule mesure : la vaccination contre la Covid-19 de tous les Français âgés de 12 ans et plus ».

Il est en effet étonnant de constater que cette « éminente instance », pourtant censée abriter des médecins, puisse ignorer les principes énoncés ci-dessus sur la contre-indication de la vaccination généralisée en cas de pandémie.

La situation évoquée par les sénateurs concernant les Antilles ne reflète pas les réalités du terrain, d’une part sur le vrai pourcentage de patients hospitalisés et/ou décédés, et le vrai pourcentage parmi eux de personnes vaccinées ou non, et enfin, la résultante, en période de pandémie, des comorbidités (hypertension artérielle, diabète, cancer, maladies auto-immunes comme la sclérose en plaques, la polyarthrite rhumatoïde, la thyroïdite d’Hashimoto, etc.), comorbidités aux Antilles liées aux OGM et aux pesticides utilisés largement (tels que le chlordécone dans les bananeraies, pourtant interdit en France métropolitaine, et le DDT pourtant interdit en France depuis 1962)…

Quand très noblement, nos sénateurs écrivent que la vaccination de tous « Évite le “glissement vers des pratiques de surveillance sociale générale” pointé par la Défenseure des droits et l’extension attentatoire aux libertés du pass sanitaire à tous les gestes de la vie quotidienne, et dispense de transformer en agents de sécurité sanitaire les professionnels accueillant du public. », on ne peut alors que s’interroger sur le pourquoi de ce nouveau formulaire de dénonciation de faits et de personnes ne respectant pas les ordres sur le covid, formulaire destiné aux procureurs de la République, et le pourquoi de la plateforme du service de répression des fraudes du Ministère de l’Économie et des Finances qui recueille les mêmes éléments…

« La vaccination est la manifestation de la primauté de l’intérêt général sur les tentations individualistes, de la clarté face à l’obligation masquée que représente le passe sanitaire, de l’égalité face au “chacun pour soi”, de la solidarité face à l’égoïsme ». Phrase d’un apparent altruisme magnifique, mais qui ne tient plus lorsqu’on connaît l’ampleur des conflits d’intérêts entre ces politiciens et Big Pharma… 

Dans le fond, ce texte nous révèle, outre les « beaux principes » et les « belles promesses » (la carotte) mis ostensiblement en avant pour faire avaler la couleuvre, « beaux principes » que sont le fait de « vouloir protéger le peuple », que « chacun pense aux autres », « qu’il faut que tout le monde ait la chance d’avoir le vaccin », avec la culpabilisation systématique du peuple à chaque occasion, et l’aspect financier colossal qui apparaît avec Big Pharma, ce texte donc, nous révèle également la difficulté qu’ont nos dirigeants à arriver à ces fins financières, et à trouver pour ce faire, les arguments convaincants et incontournables.

On peut simplement penser que, si la pandémie était réelle, elle n’aurait besoin d’aucun argument pour imposer une marche à suivre. La transparence évoquée dans le texte du sénat serait effective, honnête et les faits se seraient enchaînés sans contre-vérités à répétition, sans revirements incessants, sans données tronquées ou complètement erronées et sans autoritarisme…

Mais qui, le 13 octobre prochain sera présent au Sénat pour apporter la réalité des faits, avant que ce 12ème vaccin ne soit rendu obligatoire ??


30 % DES DOSES DE « VACCINS » ADMINISTRÉES SONT DES ÉQUIVALENTS PLACEBO                                                

En résumé, ce texte explique que, comme dans les études cliniques sur les effets des médicaments, les patients sont divisés en 2 groupes pour les « vaccins anti-covid » : l’un qui reçoit, sans le savoir, un placebo, et l’autre qui reçoit réellement le médicament.

Ici, 30 % des doses injectées, ne contiennent pas les ingrédients « anti-covid », mais probablement seulement du sérum physiologique, et constituent l’équivalent placebo des études cliniques ci-dessus.

Étant donnée la réalité des faits qui se déroulent depuis début 2020, étant donnée l’ampleur de la manipulation des peuples autour d’une pseudo-pandémie de covid, étant donné ce que contiennent ces pseudo vaccins,  on peut penser qu’il s’agit là, d’une manipulation supplémentaire, hautement perverse, à savoir que comme 30 % des doses sont inoffensives, les personnes qui la reçoivent ne développent aucun symptôme et vont donc se croire plus fortes de nature, ou, n’envisageront pas un seul instant être l’objet d’une stratégie « vaccinale »… Elles croiront que ceux qui sonnent l’alarme sont de simples complotistes et inciteront les autres à se faire vacciner « puisqu’il ne se passe en réalité rien de grave »…

De cette manière, ces personnes vont elles-mêmes se revacciner, jusqu’au jour où elles recevront un vrai vaccin « anti-covid » et développeront à leur tout un effet secondaire grave, MAIS IL SERA TROP TARD…


** Proposition de loi instaurant la vaccination obligatoire contre le SARS-CoV-2 (senat.fr)

1.— Le 1 de l’article L.3111-2 du code de la santé publique est complété par un 12° ainsi rédigé :

« 12° contre le SARS-CoV-2. »

Article L3111-2 — Code de la santé publique — Légifrance.gouv.fr : 

Version en vigueur depuis le 01 janvier 2018                                  Modifié par LOI n° 2017-1836 du 30 décembre 2017 — art. 49 (V)

I.-Les vaccinations suivantes sont obligatoires, sauf contre-indication médicale reconnue, dans des conditions d’âge déterminées par décret en Conseil d’État, pris après avis de la Haute Autorité de santé
1° Antidiphtérique ;
2° Antitétanique ;
3° Antipoliomyélitique ;
4° Contre la coqueluche ;
5° Contre les infections invasives à Haemophilus influenzae de type b ;
6° Contre le virus de l’hépatite B ;
7° Contre les infections invasives à pneumocoque ;
8° Contre le méningocoque de sérogroupe C ;
9° Contre la rougeole ;
10° Contre les oreillons ;
11° Contre la rubéole.

II.— Les personnes titulaires de l’autorité parentale ou qui assurent la tutelle des mineurs sont tenues personnellement responsables de l’exécution de l’obligation prévue au I. La preuve que cette obligation a été exécutée doit être fournie, selon des modalités définies par décret, pour l’admission ou le maintien dans toute école, garderie, colonie de vacances ou autre collectivité d’enfants.




L’arnaque des « fact-checkers » : Pierre de « Décoder l’éco » répond aux attaques

[Source : francesoir.fr]

[Photo : Pierre, animateur de la chaîne Décoder l’éco
©FranceSoir]

Auteur(s): FranceSoir

TRIBUNE – Ce 17 septembre, pour la deuxième fois concernant mes travaux statistiques, un article s’est vanté d’avoir réussi à contredire mes arguments sur la situation de la Covid-19 en Israël. Il y a quelques mois, les décodeurs du journal le Monde s’étaient prêtés à l’exercice. Ils avaient sobrement repris la vignette de ma vidéo en écrivant « FAUX » par-dessus, sans apporter d’argument contredisant ma démonstration. J’y avais répondu sous forme d’une vidéo et d’un article. Aujourd’hui c’est un petit média internet qui se lance dans cette entreprise. On y voit cette fois-ci plutôt mon visage et ma bibliothèque avec la mention « DEBUNKED », et une petite phrase qui commence par le mot « non », histoire bien évidemment de montrer que mes propos sont un mensonge, mais « avec de vrais chiffres ». 

Le comportement parasitaire des « fact-checkers » 

Dans un pays qui se dit démocratique, défendant une « liberté de la presse », il paraît tout à fait normal d’encourager les débats contradictoires. Je « m’étonne » du traitement réservé depuis 18 mois à tous ceux qui refusent de soutenir la version officielle de la terreur légitimant la « nécessité » de la mise en retrait des « Libertés » pour le « bien commun ». Je pense par exemple à Laurent Mucchielli, autrefois porté aux nues par la presse dite « de gauche » et se trouvant aujourd’hui complètement ostracisé, catalogué complotiste d’extrême-droite, voire antisémite, aucun qualificatif n’étant oublié pour discréditer une personne auprès du lectorat visé. 

Il me semble qu’un comportement « humain » raisonnable, qui devrait servir de base au métier de journaliste, est de discuter des arguments avancés par les personnes qui publient. Je m’étonne qu’à aucun moment, aucun de leurs journalistes ne soit venu discuter de mes chiffres de façon à avancer dans la compréhension du sujet. Je lis tous les messages qui me sont adressés et répond à la quasi-totalité d’entre eux. Les personnes publiant des articles ou des vidéos sur Iinternet de façon publique sont nécessairement dans une posture d’échange. Jamais aucun « fact-checker » n’a souhaité dialoguer pour lancer un débat contradictoire. Leur but n’est pas de faire avancer la connaissance et de questionner, mais de défendre leur point de vue, leur groupe. 

Ces « fact-checkers » n’ont pas d’autre horizon que d’empêcher le débat en discréditant ceux qu’ils considèrent comme leurs « adversaires ». Leurs articles posent les barrières infranchissables de l’information. La publication de petits articles avec les mots « FAUX », « DEBUNKED » ou autre « FAKE NEWS », permettent d’éviter que leur lectorat ne « s’égare » en lisant une information contraire aux croyances du groupe. Le journalisme en est réduit au niveau de harceleurs de collège où certains groupes prennent le leadership de la classe en choisissant des cibles à exclure du groupe. 

Enfin, il me semble déplorable d’encourager un journalisme dont le rôle assumé est de ne rien produire, mais de passer son temps sur le derrière de personnes qui pensent différemment d’eux, pour essayer de les dénigrer. Leur rôle n’est pas de comprendre et synthétiser les informations à leur disposition, mais de suivre paresseusement leurs cibles en vivant au crochet de leurs travaux. Il est finalement peu étonnant que ce type de journalisme du niveau cours de récré sans aucune plus-value soit financé par les réseaux sociaux. L’ère de la médiocrité intellectuelle est à l’œuvre. 

Toujours la même méthode : l’attaque ad hominem 

La première attaque des « fact-checkers » est toujours la même : discréditer l’auteur. Cette première partie est toujours composée d’attaques ad hominem. Elle permet de conforter d’emblée le lectorat sur la lecture qui suit : le monsieur est un menteur, il ne faut pas l’écouter. Il y a quelques mois il ne fallait pas m’écouter parce que j’étais un inconnu, aujourd’hui c’est parce que je suis devenu une « égérie ». La fenêtre d’écoute raisonnable semble étroite. Au passage, j’apprends que l’égérie des complotistes et des désinformateurs, c’est moi. Désolé pour tous ceux qui étaient dans la course pour ce titre en 2021, la place est prise. 

En journalisme, on apprend que seul le début de l’article est lu. Il s’agit donc de mettre l’information la plus importante en premier car l’écrasante majorité des lecteurs s’arrêtera là. Nous savons donc que l’information majeure que ce journaliste souhaite apporter : c’est que je suis un « complotiste ». Cela suffit à ce que l’article soit partagé et retweeté sans avoir besoin d’aller plus loin. Vous trouverez quelques perles de ce genre en commentaire de ma vidéo ayant subi le « fact-checking » des « Décodeurs » : des personnes se vantant de n’avoir pas regardé la vidéo, mais venant quand même mettre un post pour dire qu’elle n’est qu’un amas de « mensonges complotistes ». Je découvre la nature humaine et le besoin pour certains d’une vérité absolue sans qu’aucune nuance ne soit tolérable. 

Les fameuses questions rhétoriques 

L’auteur de l’article fait semblant de se demander pourquoi j’affirme qu’il n’y a pas de surmortalité globale, alors qu’il y a une surmortalité vaccinale. Il s’agit bien évidemment de faire croire à une contradiction. J’explique précisément dans l’article que la surmortalité liée à la vaccination est faible (quelques personnes pour 100 000). Dès lors, elle est indétectable dans la population générale en période hivernale. La mortalité hivernale est bien plus élevée que ce phénomène pour les personnes âgées. Pour cette raison, la seule population sur laquelle cette surmortalité est mesurable est la population jeune, car elle n’est pas soumise à la hausse de mortalité hivernale. En faisant le calcul, je montre une surmortalité des jeunes de 60 personnes sur la totalité de la période vaccinale. Cela ne peut pas être visible dans la mortalité générale du pays. Rappelons qu’il meurt en Israël entre 3500 et 5000 personnes tous les mois

Les soi-disant données cachées (ou ce « cherry-picking » qui serait la marque des complotistes) 

L’auteur m’accuse de masquer une partie des données. C’est assez intéressant me concernant puisque je fais l’effort de mettre tous les liens de toutes mes sources avec mes vidéos, mais qu’en plus, je prépare des fichiers prêts à l’emploi, car je sais que beaucoup se découragent au moment de télécharger les fichiers. L’auteur m’accuse donc de masquer les données de la « pandémie », autrement dit les décès estampillés Covid-19. Cela fait maintenant 18 mois que le principal apport de tous mes travaux est de montrer que les comptages Covid n’ont absolument aucun sens et qu’il faut raisonner en mortalité toutes causes confondues. La « rigueur statistique », c’est de travailler sur des données sans biais. C’est bien l’objet de mon article sur Israël. Je signale à l’auteur que toute la deuxième partie de mon article est consacré à l’absurdité du comptage de « cas » de Covid-19 en Israël à l’aide de celui des résultats de tests. Alors, oubli volontaire ? 

Les morts post-vaccination seraient des morts Covid 

L’argument suivant de l’auteur concerne les graphiques permettant d’observer une corrélation parfaite entre vaccination et mortalité. Il se base sur deux points. Le premier est de dire que les hausses de mortalité observées ne sont pas dues à la vaccination, mais à la Covid-19. L’auteur répète d’ailleurs cet argument dans un paragraphe suivant. Il serait intéressant que l’auteur nous dise où il a bien pu lire que la Covid-19 entraîne une hausse de mortalité chez les jeunes. Je signale qu’aucun pays sur lequel nous disposons de données, ni en Israël, ni dans toute l’Europe (consultez l’étude que j’ai pu réaliser sur 33 pays européens) ne montre la moindre hausse de mortalité en période Covid chez les moins de 40 ans, à l’exception des pays ayant massivement vacciné ces tranches d’âges (notamment Hongrie et Israël). La mortalité toutes causes ne montre pas de quoi décèdent ces jeunes, mais, même en considérant que c’est la Covid, faut-il quand même vacciner les jeunes si on observe que le nombre de morts Covid des jeunes augmente à cette occasion ?  

Le deuxième point concerne une deuxième hausse de mortalité visible entre deux et trois mois après les injections de masses. L’auteur en déduit que cette deuxième hausse est une preuve que la première n’a pas de rapport avec la vaccination. Je le remercie de mordre à cet hameçon, même si j’espérais plutôt que cela vienne d’un chercheur curieux de l’étude des effets secondaires. On constate en effet une deuxième hausse dans quasiment toutes les tranches d’âges, sauf les plus âgées. Il est intéressant d’observer le biais cognitif de l’auteur qui, abreuvé de l’information que la vaccination est « nécessairement » sans risque, est incapable d’envisager que des effets secondaires puissent arriver. En effet, un décès causé par une injection ou une intervention dans les jours qui suivent est un effet primaire de l’évènement. Il s’agit d’une suite directe ce qui est subi. La corrélation parfaite que nous montrons à J+5 ne présage pas qu’il n’existe pas d’autres effets plus tardifs. Il s’agit d’ailleurs du principe des études de long terme de le déterminer. Ici nous observons une deuxième remontée après les injections. En trouver une avant aurait été un indice fort de non-causalité. En trouver une après va plutôt dans le sens de ce que nous montrons. Merci donc de la souligner. 

Par ailleurs, l’auteur soulève que cette bosse est surtout observable pour les plus jeunes, et de moins en moins pour les plus âgés. C’est un indice supplémentaire. Imaginez que vous distribuez un poison à toute une population. Les plus fragiles et les plus sensibles à ce poison vont décéder en nombre très vite. Les plus jeunes résisteront bien mieux et certains résisteront longtemps avant de succomber. Si on considère que la vaccination entraîne chez certains personnes la création de caillots sanguins, il est probable que les moins de 40 ans puissent en supporter bien plus et pendant plus longtemps que les plus de 80 ans. 

Les mauvaises fréquentations 

Afin d’enfoncer le clou sur mon compte et surtout « protéger » son lectorat des « méchants », l’auteur en profite pour rappeler que mon étude se base sur les mêmes observations que celle d’Alexandra Henrion-Caude et Steve Ohana. Nous arrivons ainsi aux mêmes conclusions. Ce procédé fonctionne comme un avertissement contre tous ceux qui souhaiteraient suivre le même chemin. Il avertit les journalistes, chercheurs, lecteurs, politiques, que toute personne surprise à oser lire, commenter ou pire, approuver le document d’une personne considérée « complotiste » rentrera immédiatement dans la même case. Un certain nombre de personnes (en accord ou désaccord avec mon point de vue) me font la remarque du « consensus » scientifique sur la gravité de la situation. 

Il n’y a pas et n’a jamais eu de consensus. Il y a une pression et un acharnement délétère envers tous ceux qui osent contredire ce qui est considéré médiatiquement comme « la vérité ». De nombreux chercheurs et auteurs français (Laurent Toubiana, Jean-François Toussaint, Vincent Pavan…) autrefois considérés comme parmi les meilleurs dans leurs domaines ont subit une destruction systématique de tous leurs travaux par les médias. Qui peut croire qu’autant de personnes reconnues auraient simultanément grillé un fusible ? J’ai pu observer en direct le rejet subi par certain d’entre eux par leurs propres collègues, instituts, laboratoires. Non pas à cause d’arguments contradictoires à leurs travaux, mais bien par souci des nombreux pervers narcissiques aspirant à de hautes destinées de préserver leur précieuse image. Ces exemples destructeurs ont évidemment servi à décourager tous ceux qui souhaiteraient encore se lancer dans ce type de travaux. Je témoigne d’ailleurs (en ayant des traces mails à l’appui) avoir vu deux études se faire censurer par les hébergeurs MedRxiv et SSRN, sans aucun motif. Cette censure a bien évidemment empêché toute relecture possible par des pairs et donc toute publication. Je gage que ces deux articles ne sont pas les seuls à avoir subi ce tri. La pseudo-uniformité des résultats est donc artificiellement créée. 

La stratégie de l’inversion : me faire dire ce que je ne dis pas 

Je précise dans toutes mes vidéos que corrélation n’est pas causalité. Il n’existe pas de preuve par la statistique. D’ailleurs c’est un résultat intéressant à garder en mémoire lorsque vous lisez une étude d’un laboratoire pharmaceutique vous vantant les résultats miraculeux de son produit miracle à l’aide d’une étude statistique, souvent en double aveugle. L’étude ne vous amène qu’une corrélation et il existe autant de façon de maîtriser cette corrélation que d’auteurs rémunérés directement par ces mêmes laboratoires. On note d’ailleurs qu’une fois de plus l’auteur ne remet jamais en question le principe de causalité pour les morts de la Covid-19. On note par exemple que parmi les personnes qui décèdent, certains sont positifs aux tests Covid-19. On en déduit simplement que ces personnes sont mortes de la Covid-19. La corrélation devient causalité sans faire lever le moindre sourcil à notre « fact-checker » anglo-latiniste. On lui fera remarquer que l’écrasante majorité des personnes avec un test positif n’a absolument rien. L’auteur les classera certainement dans la case « asymptomatique », puisqu’à notre époque, « Tout bien-portant est un malade qui s’ignore. »  De la même manière, à aucun moment je ne suppose que les jeunes meurent tous de la vaccination. Je note une surmortalité (donc pas tous les décès, mais seulement ceux au-dessus de la mortalité habituelle) après les campagnes d’injections de masse. Je dénombre cette surmortalité et je constate qu’elle est cohérente avec les travaux déjà réalisés sur la pharmacovigilance. L’objet de cette étude est donc d’alerter les pouvoirs publics sur des corrélations parfaites dans tous les pays ayant mis en place cette stratégie. 

Auteur(s): FranceSoir




Macron débauche les personnels soignants libanais pour remplacer les non-vaccinés français !

[Source : voltairenet.org via L’Échelle de Jacob]

À l’issue d’une visite à Beyrouth, le directeur général et le directeur régional de l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) ont déploré que 40 % des médecins et 30 % des infirmiers aient quitté le Liban en quelques semaines.

Tedros Adhanom Ghebreyesus et Ahmed Al-Mandhari ont dénoncé la responsabilité d’un État étranger dans cet « exode des cerveaux ». Ils ont pris l’engagement d’aider autant qu’ils le peuvent le pays à traverser cette crise supplémentaire.

Les hôpitaux ferment les uns après les autres en raison de l’absence de courant, de la pénurie de médicaments et maintenant de l’absence de personnel.

L’ambassade de France a lancé un appel aux soignants libanais et a mis en place une procédure accélérée pour leur permettre de venir travailler en FranceIl s’agit pour le président Emmanuel Macron de remplacer d’urgence les soignants français qu’il a interdit de travailler car ils refusent de se faire vacciner contre la Covid-19.

L’année dernière, la France faisait applaudir les soignants, qualifiés de « combattants de la première ligne » dans la « guerre contre la Covid-19 ». Aujourd’hui, elle en licencie sans état d’âme.

Les soignants qui avaient quitté le Liban lors de la Guerre civile, dans les années 80, n’y sont jamais rentrés. Le pays n’a donc plus de système de santé et n’en aura plus avant de longues années.




Couverture vaccinale en France, enfin la preuve du mensonge ?

Par Alain Tortosa

La propagande n’hésite pas à nous dire qu’en France 95 % des soignants libéraux auraient reçu au moins une dose tandis que 90 % des soignants seraient injectés dans les EHPAD et USLD.

Regardons les données pour la Guadeloupe :

70 % des personnels soignants libéraux auraient reçu au moins une dose en Guadeloupe au 15 septembre.

Pour ce qui est des EHPAD et USLD :

49 % des soignants auraient reçu au moins une dose en Guadeloupe.

Et enfin la population générale…

31 % des Guadeloupéens auraient reçu au moins une dose au 15 septembre.

En résumé, pourcentage de vaccination au moins 1 dose pour la Guadeloupe au 15 septembre.

  • 70 % des soignants en libéral (et combien de fausses injections ?).
  • 49 % des soignants en EHPAD et USLB.
  • 31 % de la population générale.

Santé publique France dans un document au 10 août indique(([1] https://www.santepubliquefrance.fr/content/download/366946/document_file/2021_LePointSur_Couv_vaccinale_pro_santé_etablissements_sante.pdf)) que :

« 81,3 % des professionnels exerçant dans un établissement de santé » ont une couverture vaccinale au moins une dose.

Au 10 août, le site géodes santé publique(([2] https://geodes.santepubliquefrance.fr/#c=indicator&i=vacsi_psl.psl_couv_dose1&s=2021-09-15&selcodgeo=971&t=a01&view=map2)) indique que 90 % des soignants en libéraux (60 % en Guadeloupe) et 81 % en EHPAD (32 % en Guadeloupe) ont reçu une dose.

L’écart entre les professionnels en établissement de santé et en libéral est 9 %.

Il n’y a pas d’écart entre les professionnels de santé en établissement et les professionnels en EHPAD.

À ce jour, le pourcentage de personnes vaccinées en établissement de santé au moins une dose devrait donc être de 49 % en Guadeloupe !

Or que nous dit Gérard Cotellon, directeur du CHU de la Guadeloupe le 17 septembre ?

Que 75 % des personnels sont non vaccinés(([3] https://www.france.tv/franceinfo/ca-fait-l-actu/2797143-emission-du-vendredi-17-septembre-2021.html)) ce qui veut dire que 25 % sont vaccinés.

Comment le directeur de l’hôpital peut affirmer le 17 septembre que 25 % des personnels sont vaccinés (à moins qu’il ne soit un menteur) quand Santé Publique France annonce 49 % de vaccinés le 15 septembre en Guadeloupe et donc un peu plus le 17 septembre, soit DEUX FOIS PLUS ?

Si l’on en croit la propagande, la population générale guadeloupéenneserait vaccinée à 31 % alors que les personnels soignants, qui selon la même propagande, ont vécu l’enfer avec la dernière vague, seraient quant à eux vaccinés à 25 %, soit 6 points de moins que la population générale ?

De qui se moque-t-on ?

Quoiqu’il en soit, ces éléments objectifs apportent la preuve que les données de Santé Publique France sur la vaccination sont des FAUX (ou que le directeur est un menteur).

Sachant que les données sur le nombre de malades sont un faux, que le nombre de personnes hospitalisées Covid est un faux, que le pourcentage de personnes en réanimation est un faux et que le nombre de morts attribués au Covid est un faux, nous pourrions vraiment nous demander pourquoi les données sur les injections ne seraient pas aussi des faux…

Nous disposons désormais d’une preuve de mensonge à la Guadeloupe, il est quand même probable que ce soit aussi le cas en France métropolitaine.

Donc si le même coefficient de manipulation est utilisé en France métropolitaine nous pourrions alors penser que la couverture vaccinale 1 dose de la population ne serait pas de 74 % mais de 37 % ce qui change tout !

Merci

Alain Tortosa.

22 septembre 2022
https://7milliards.fr/tortosa20210922-preuve-manipulation-vaccination.pdf





Qu’avons-nous fait à nos enfants ?

Par Alain Tortosa

Même lorsque le masque n’est plus obligatoire, une majorité continue de le porter avec la complicité d’une partie du personnel « éducatif » !

La propagande et l’habitude sont la plus terrible des armes.

La rentrée scolaire s’est effectuée en France au niveau 2 du protocole sanitaire.

Protocole qui n’est qu’un guide comme l’a rappelé le Conseil d’État au printemps dernier.

Ministres, médias, chefs d’établissement communiquent comme si ce protocole avait force de loi.

La rentrée scolaire devait donc se faire sans masque en extérieur, mais uniquement en classe.

Mais c’était sans oublier les petits seigneurs locaux, comme par exemple le préfet du Var qui rendait obligatoire le masque à l’extérieur pour nous protéger de cette « odieuse » vague que le réseau sentinelle n’a toujours pas vue (une minuscule vaguelette moindre que les cas de gastro).

L’académie, avec la complicité des chefs d’établissements, a rendu le masque obligatoire dans la cour en toute illégalité étant donné que l’intérieur d’un collège ou d’un lycée relève du ministère de l’Éducation.

L’heure étant au dégel, notre bon seigneur du Var a décidé de lever l’obligation du masque à l’extérieur et les collèges et lycées ne sont (provisoirement ?) plus tenus d’exiger la muselière à l’extérieur.

À ce titre, parents et élèves ont reçu via Pronote (l’outil de contrôle parental du travail des élèves, Big Brother) l’information sur la suppression de l’obligation de port du masque.

Je me rends donc hier (21 septembre) au collège et je constate que les abords n’ont pas changé, la même proportion d’enfants qui portent le masque parfaitement ou sous le nez.

Je regarde l’intérieur de la cour, quasi 100 % des élèves y sont avec le masque parfaitement mis.

Je demande alors au CPE à l’entrée si les élèves ont bien été informés du nouveau règlement ?

Celui-ci me confirme que c’est bien le cas et d’ajouter « ils ont désormais l’habitude de le mettre ».

Ma soif de compréhension me conduit alors vers deux ados qui portent le masque sous le nez (et qui de fait le porteront parfaitement pour entrer). Je leur demande alors si ils ont été informés du nouveau règlement et effectivement c’est le cas. Je les interroge sur le fait qu’ils l’ont encore et j’obtiens pour réponse « c’est quand même plus prudent ».

Je suis face à deux élèves qui, à l’extérieur, portent un masque SOUS LE NEZ, qui sont en train de papoter à 30 cm l’un de l’autre et qui me disent cela !!

Je leur fais remarquer qu’à la cantine et pendant le sport ils n’en portent pas (encore que certains font du sport avec) et j’obtiens une toute petite lumière « oui c’est vrai ça doit pas servir à grand-chose ».

Je suis face à des robots formatés qui croient que le virus est dangereux, qui croient que le masque protège, qui le portent de façon totalement ridicule ce qui le rend 100 % inefficace et qui lorsqu’une autorité leur dit qu’il n’est plus nécessaire de le porter vont continuer à le mettre.

Ils n’ont pas, ni leurs parents, le moindre début de conscience de la dangerosité du produit.

Porter la muselière est « naturel » et les notions d’innocuité ou d’efficacité sont inexistantes.

Mais ce matin-là le système était encore plus pervers et sournois qu’à l’accoutumée. Le conseiller d’éducation qui accueillait les élèves portait PAR-FAI-TE-MENT le masque ! (Qu’il ne porte pas ou mal lorsqu’il est en zone administrative, ce qu’il ne ferait pas si il croyait au virus mortel. Il fait appliquer des mesures qu’il ne s’impose pas en tous lieux et tous temps.)

Nous touchons là à la perversion du système et à la propagande silencieuse.

Celui qui représente l’autorité affiche à l’entrée de l’école un masque parfaitement mis.

Qui pourrait s’attendre que les élèves conditionnés par des mois de propagande mensongère fassent le geste de l’enlever face à cette autorité qui « montre l’exemple » ?

Là où l’on goûte à l’immonde c’est que le protocole précise :

« Pour les personnels
Niveau 1/niveau vert : le port du masque est obligatoire dans les espaces clos et les règles relatives au port du masque en extérieur en population générale sont respectées ;
niveau 2/niveau jaune : les mêmes règles que le niveau vert s’appliquent »

Cela veut dire que le CPE portait un masque alors même qu’il n’était pas obligé et qu’il n’est plus dans le simple respect des règles, mais dans la propagande et la manipulation des enfants.

Mon intervention ne fut cependant peut-être pas inutile sur l’instant, car je l’entendis dire à des élèves masqués qui rentraient que celui-ci n’était plus obligatoire…

Certains établissements ont ajouté sur Pronote que :

« Néanmoins les élèves ou personnels qui le souhaitent peuvent continuer à le porter »

Sans compter les établissements qui n’ont même pas transmis l’information et agissent comme si le masque était encore obligatoire dans la cour.

D’aucuns me diront qu’il est plus facile de laisser les élèves masqués en permanence que de leur demander de le mettre en entrant.

Mais que sont devenus l’intelligence, le bon sens et l’empathie ?

Porter un masque est devenu naturel et anodin.

Se masquer le visage, cacher ses émotions est devenu la nouvelle règle !

Le devoir des enseignants et des encadrants (qui pensent qu’ils doivent faire respecter la règle du port du masque quand il est obligatoire) n’est-il pas de le faire retirer aux élèves afin qu’ils puissent vivre normalement, qu’ils puissent respirer un air sain non surchargé en CO2 ?

« Hier vous menaciez un élève dans la cour lorsqu’il ne portait pas la visière parfaitement et aujourd’hui vous n’allez RIEN dire à un élève qui continue de le porter parfaitement ! »

Si vous, encadrants ou enseignants, demandez à un élève de mettre un masque en entrant alors votre devoir est de lui demander de l’enlever en sortant !

À moins que votre rôle se borne à vous protégez-vous aussi bien de la hiérarchie que de parents devenus involontairement maltraitants.

Laisser un élève porter un masque est de la maltraitance, mais dès lors qu’on le laisse le porter alors que celui-ci n’est pas obligatoire est une maltraitance décuplée.

Puissent les encadrants, directeurs, éducateurs, enseignants réaliser leur responsabilité morale (et pénale) pour l’état de délabrement qu’ils ont provoqué par leurs actes chez les enfants dont ils ont la charge.

Alain Tortosa.

22 septembre https://7milliards.fr/tortosa20210922-lavage-cerveau-enfants.pdf

PS : À la décharge du collège, la principale était présente à l’entrée ce jour sans masque pour accueillir les enfants… peut-être un début de prise de conscience de l’administration.




Lettre ouverte aux sénateurs contre le projet de loi de vaccination universelle antiCovid

Par Nicole et Gérard Delépine

Le 22 septembre 2021 LETTRE OUVERTE AUX SÉNATEURS

Objet : Appel au sujet du projet de loi de vaccination universelle antiCovid au Sénat

Mmes, Mrs les Sénateurs

Nous apprécions votre volonté d’obtenir une protection collective permettant un retour à la vie normale et avons lu avec intérêt le projet de loi déposé au Sénat le 31 août en première lecture.

Néanmoins, nous permettons de vous apporter quelques informations complémentaires : le SARS-CoV-2 est très sensible aux traitements précoces tels que l’Ivermectine, comme les expériences récentes de l’Inde et du Japon en témoignent. L’utilisation de ces traitements précoces permettrait de faire disparaître le spectre de formes graves en rapport à cette forme de grippe, qui ne tue que les personnes âgées à fortes comorbidités.

Actuellement, en septembre 2021, malgré le spectre des variants, le réseau sentinelle dénombre en France, zéro cas pour 100 000 enfants et 9/100 000 chez l’adultesoit très en dessous des seuils d’alerte qui font habituellement prendre des mesures préventives (173/100000 pour la grippe).

Le vaccin ne permet pas l’immunité collective

Il est malheureusement démontré et reconnu par de multiples agences sanitaires nationales et par l’OMS que les vaccins antiCovid actuels ne permettent pas d’obtenir l’immunité collective recherchée par une vaccination universelle. Même le Pr Fischer, son avocat n’y croit plus.

Les pays hautement vaccinés font face à une mortalité élevée dans les suites immédiates des campagnes de vaccination

En Israël les deux mois qui ont suivi la vaccination ont battu les records de nouveaux cas et de mortalité Covid depuis le début de l’épidémie. Depuis août 21, la reprise de l’épidémie confirme que la vaccination ne permet pas d’espérer le retour à une vie normale malgré un taux très élevé de vaccination et des réinjections répétées. En contraste, les pays qui ont laissé leurs citoyens vivre à peu près normalement comme la Suède ou la Biélorussie s’en sortent beaucoup mieux que nous.

Les vaccins antiCovid ne sont pas de vrais vaccins selon Pasteur

Vous basez votre confiance en les vaccins antérieurs, mais il faut prendre largement en compte que le « vaccin antiCovid » n’est pas un vaccin au sens pastorien du terme (des antigènes obtenus à partir du virus lui-même), mais bien une injection génique sensée faire produire par notre organisme les anticorps susceptibles de combattre ce virus. Ces substances injectées sont en expérimentation jusqu’en 2023 et utilisent une technique jamais validée en pathologie infectieuse humaine. Les essais contre les précédents coronavirus et le SIDA ont été des échecs et les phases habituelles, comme l’expérimentation animale, ont été sautées dans le cas des pseudovaccins actuellement utilisés.

Campagne d’information

Vous évoquez une grande campagne d’information et vous avez raison, mais elle aurait dû être commencée avant toute injection afin que chaque injecté puisse avoir donné un véritable consentement éclairé. Au stade actuel, il conviendra que le peuple soit informé de la nature des injections, de leurs composants, et des risques éventuels à court, moyen et long terme.

Actuellement, les bases de données officielles de l’EMA, FDA, MHRA, permettent de se faire une idée des effets indésirables dans la première année. Il est d’ailleurs remarquable que le grand nombre de décès reconnus par l’agence européenne par exemple (EudraVigilance) de l’ordre de 25 000 n’ait pas entraîné un moratoire de toute vaccination pour étudier les raisons de ces drames (deux millions d’effets indésirables reconnus, dont la moitié graves selon l’agence). Rappelons que la vaccination antiH1N1 a été interrompue après 53 décès et la vaccination contre la grippe aviaire après une trentaine.

Le système sanitaire en déroute

Vous insistez à juste raison sur les difficultés du système sanitaire français bien antérieur au Covid. En 2019, plus de 200 services d’urgence étaient en grève. Il faut redonner des lits, des postes de soignants, des rémunérations correctes à l’ensemble des personnels et diminuer l’emprise de la bureaucratie sur la gestion de l’hôpital public et privé. L’obligation vaccinale des soignants n’a fait qu’aggraver les choses, car les personnels, vaccinés ou non, n’ont pas apprécié cette extorsion de consentement, alors qu’ils voient des effets secondaires graves tus dans les médias et auprès de vous tous. Leurs suspensions ne font qu’aggraver les difficultés de recrutement du personnel mettant en péril le fonctionnement des établissements hospitaliers en augmentant le nombre des déserts médicaux.

La crise du Covid se termine dans le monde au moins dans tous les pays convertis plus ou moins vite aux traitements précoces peu chers et non toxiques tels l’ivermectine (Japon par exemple).

Les enfants innocents du Covid. Protégez l’avenir

Quant aux enfants, ils ne présentent jamais de formes graves de Covid, et ne participent pas à la transmission du virus, comme l’ont démontré les publications internationales multiples depuis vingt mois et l’ont répété toutes les sociétés de pédiatrie. Les soumettre à un traitement expérimental est sans intérêt individuel et sans intérêt collectif, puisque la vaccination ne protège pas des contaminations ni des formes graves, comme l’a écrit le ministre au Conseil d’État fin mars 2021.

La vaccination ne protège ni le vacciné ni son entourage et ne repose sur aucun argument scientifique réel, mais seulement sur des simulations mathématiques grossièrement fausses

Nous sommes à votre disposition pour un entretien à ce sujet vu la gravité des conséquences possibles de cette injection.  Nous n’avons pas abordé ici les nombreux traités signés par la France, dont la convention d’Oviedo, la charte des droits de l’enfant, etc. qui s’opposent à un traitement expérimental sans consentement éclairé réel. Ce volet juridique est traité par d’autres. Ici c’est le témoignage et le cri d’alerte de médecins au lit du patient qui voient l’inutilité du vaccin — puisque des rappels sont déjà demandés tous les six mois — et qui constatent quotidiennement les dégâts de ces thérapies expérimentales doublés de leur inefficacité.

Il est urgent que vous obteniez une enquête parlementaire doublée d’un moratoire comme d’autres parlementaires anglais, italiens ou belges en particulier l’ont déjà demandé. Nous comptons sur vous.

En vous remerciant de l’attention que vous porterez à cette supplique, nous vous prions de croire, Mmes, Mrs les Sénateurs en nos sentiments respectueusement dévoués.

Dr N Delépine pédiatre cancérologue, Dr G. Delépine chirurgien orthopédiste cancérologue


Pour information

Texte du projet de loi commenté dans cette lettre ouverte, disponible sur le site du sénat

« 31 août 2021 :Vaccination obligatoire contre le SARS-CoV-2( texte déposé au sénat – première lecture – exposé des motifs )

EXPOSÉ DES MOTIFS

Mesdames, Messieurs,

Dès juillet dernier, les parlementaires socialistes ont prôné l’obligation progressive d’une vaccination universelle, de toutes et tous (sauf contre-indication médicale), dans une démarche de santé publique visant à obtenir une protection collective, seule à même de garantir un retour à une vie quotidienne normale pour tous du fait des différents variants en circulation.

L’objectif de cette protection collective de toute la société, en l’état de nos connaissances scientifiques et médicales, peut être atteinte par une obligation vaccinale généralisée (sauf contre-indication médicale).

Nous croyons en la science, en la recherche, et au progrès médical et social, qui bénéficient à toutes et tous.

Nous avons la chance de bénéficier de vaccins qui, collectivement, nous protègent et nous permettent de renouer avec un quotidien apaisé, de limiter les restrictions et les privations de liberté, de mettre fin à la situation que nous connaissons depuis trop longtemps, faite de craintes pour nos familles, pour nos emplois, pour la scolarité de nos jeunes.

L’obligation vaccinale a été édictée en France pour la première fois en 1902 et a permis d’éradiquer nombre de maladies et protéger nombre de nos enfants. L’obligation vaccinale est la pierre angulaire de l’intérêt collectif : en s’engageant tous, on protège chacun, partout sur le territoire national et dans tous les foyers. Elle faisait reposer la politique de santé sur des principes clairs, transparents, démocratiques et qui s’appliquaient à tout le monde.

La vaccination universelle est également la seule solution qui permet de réduire les inégalités sociales et territoriales d’accès à la vaccination. Elle permettra de lancer enfin une grande campagne d’information et de sensibilisation pour aller vers les Français non vaccinés. C’est également un geste de responsabilité et de solidarité vis-à-vis de nos soignants, engagés de toutes leurs forces dans cette bataille dont ils ne voient plus le bout et de soutien vis-à-vis de nos acteurs économiques durement touchés par les restrictions sanitaires.

Nous notons surtout que plusieurs institutions du champ scientifique et médical se sont d’ores et déjà prononcées en faveur de l’obligation vaccinale généralisée. C’est le cas notamment de l’Académie nationale de médecine, le 19 juillet dernier, jour de présentation en conseil des ministres de la loi n°2021-1040 du 5 aout 2021 relative à la gestion de la crise sanitaire. Rappelons d’ailleurs que l’Académie s’était prononcée publiquement pour le port du masque dès avril 2020, quand le Gouvernement soutenait encore que le masque était inutile pour la protection de la population générale.

Ainsi, face à l’augmentation rapide de l’incidence des infections dues aux différents variants, l’Académie nationale de médecine recommandait :

« – d’amplifier l’information sur le principe de l’isolement volontaire et sur les capacités d’hébergement des personnes ne pouvant s’isoler à domicile ;

– d’inciter toutes les personnes dépistées positives à s’auto-isoler pendant 10 jours en leur rappelant le risque de contamination auquel elles exposent leur entourage ;

– de ne rendre obligatoire qu’une seule mesure : la vaccination contre la Covid-19 de tous les Français âgés de 12 ans et plus ».

Depuis, les Antilles ont payé un lourd tribu à la pandémie du fait du faible taux de vaccination des populations. La Guadeloupe et la Martinique ont d’ailleurs été contraintes au re-confinement et aux couvre-feux. Les services hospitaliers de Polynésie sont toujours saturés et le nombre des hospitalisations continue d’y progresser.

C’est pourquoi, nous maintenons que la vaccination contre le covid-19 de toutes les Françaises et de tous les Français est la seule décision publique qui :

–      Protège sa propre santé et liberté mais aussi celles des autres ;

–      Correspond à une démarche de santé publique claire, assise sur nos connaissances médicales et scientifiques ;

–      Constitue une démarche de lutte contre les inégalités territoriales et sociales, car elle crée un devoir de l’État d’aller vers les publics les plus éloignés de la vaccination ;

–      Evite le « glissement vers des pratiques de surveillance sociale générale » pointé par la Défenseure des droits et l’extension attentatoire aux libertés du pass sanitaire à tous les gestes de la vie quotidienne ;

–      Dispense de transformer en agents de sécurité sanitaire les professionnels accueillant du public.

La vaccination obligatoire est le seul chemin à ce jour pour sortir d’une politique de sécurité sanitaire et entrer enfin dans une politique de santé publique clairement assumée. Elle est la manifestation de la primauté de l’intérêt général sur les tentations individualistes, de la clarté face à l’obligation masquée que représente le passe sanitaire, de l’égalité face au « chacun pour soi », de la solidarité face à l’égoïsme. Le choix du Gouvernement a été un choix par défaut et de défausse, qui le désengageait de ses responsabilités.

L’absence d’application du III de l’article 76 vise simplement à rendre la proposition de loi recevable financièrement et n’a pas pour objectif de diminuer la prise en charge de cet acte médical par la Sécurité Sociale. »


Pour joindre les sénateurs, coordonnées sur le site du sénat et si vous souhaitez contacter  les membres de la commission des lois présentant le projet, voici les coordonnées des membres du bureau visibles sur le site du sénat (de même que celles de l’ensemble des sénateurs, si vous pouvez joindre les sénateurs et sénatrices de votre région pour les rencontrer directement).

Le Bureau de la commission des affaires sociales


Appel de détresse face au projet de vaccination universelle anticovid : lettre ouverte aux sénateurs – Docteur Nicole Delépine (docteur.nicoledelepine.fr)




Aucune alerte épidémique Covid depuis 1 an !

Bulletin épidémiologique semaine 36

du 6 septembre au 12 septembre 2021

Toujours aucune alerte épidémique depuis 1 an !

Le taux d’incidence : 7 malades covid-19 pour 100.000 habitants !

Il n’y a aucune prétendue crise sanitaire due à la covid-19

Taux d’alerte épidémique : 170 malades pour 100.000 habitants

Le passe sanitaire n’a pour objectif que de forcer une « vaccination » inutile, aux vues des données épidémiques dérisoires, qui sont disponibles.

L’incitation forcée à la « vaccination » – thérapie génique continue mais elle n’a toujours pas pour objectif de prévenir et d’endiguer la Covid-19.

Les courbes ci-dessous démontrent que l’épidémie de la covid-19 était sous le seuil d’alerte déjà en 2020 bien avant que ne débute la campagne de vaccination (thérapie génique – OGM – expérimentale) !

Le « vrai » Taux d’incidence: 7/100.000 hab (personnes effectivement malades vues en consultation médicale)

À savoir :

Taux de seuil-alerte épidémique : 170/100.000 hab (taux employé historiquement pour surveiller les épidémies)

Taux incidence épidémique 2019 à son pic (grippe type A(H1N1)pdm09 B) : 599/100.000hab

(sans confinement, sans vaccination , sans imbroglio de pass sanitaire/green pass)

Sources de données :

Le réseau Sentinelles est développé sous la tutelle conjointe de Inserm (Institut national de la santé et de la recherche médicale) et de Sorbonne Université, qui a pour objectif le suivi des épidémies de COVID-19, de GRIPPE ainsi que celles dues aux autres virus respiratoires saisonniers (VRS, rhinovirus et métapneumovirus).

Pour plus de détails et de commentaires sur la lecture de données vous pouvez nous contacter
https://reaction19.fr/contacts/

Pour imprimer en une page :




Outre les morts fœtales, les bébés allaités meurent ou tombent malades à la suite des injections COVID de leur mère

[Source : Cogiito]

par Brian Shilhavy
Rédacteur, Health Impact News
HealthImpactNews.com

En avril de cette année, nous avons publié un commentaire vidéo de ReallyGraceful dans lequel elle rapportait que de nombreuses mères qui allaitaient leurs bébés voyaient leur lait maternel se tarir après avoir reçu une injection de COVID.

Alors que de plus en plus de données sont saisies dans le système gouvernemental de signalement des effets indésirables des vaccins (VAERS), nous voyons maintenant des cas où des bébés allaités souffrent de réactions indésirables aux injections de COVID que leurs mères prennent. Ces vaccins n’ont pas encore été autorisés pour les nourrissons, mais cette autorisation est attendue d’un jour à l’autre.

Celeste McGovern de LifeSite News a rapporté un cas où le bébé allaité est mort de caillots sanguins, un phénomène rarement observé chez les nourrissons, mais un effet secondaire courant chez les personnes qui prennent les injections de COVID, des caillots sanguins que le CDC déclare “rares” malgré les données du VAERS qui montrent plus de 10 000 cas de “thrombose”, dont 488 décès.

Le rapport VAERS ID 1532154 a apparemment été déposé par la mère, une femme de 36 ans vivant au Nouveau-Mexique :

Le 17 juillet, mon bébé est décédé.

J’avais allaité mon bébé de 6 semaines au moment où j’ai reçu le premier vaccin Pfizer le 4 juin 2021.

Il est devenu très malade avec une forte fièvre environ 2 semaines après avoir reçu le premier vaccin Pfizer le 21 juin. Il a été traité pendant deux semaines avec des antibiotiques par voie intraveineuse pour une supposée infection bactérienne.

Cependant, ils n’ont jamais trouvé de bactérie spécifique, et ont appelé son diagnostic septicémie à culture négative. À la fin de son séjour à l’hôpital, il a été testé positif au rhinovirus.

Après un traitement antibiotique de 14 jours, il est resté à la maison pendant une semaine, mais a présenté des symptômes étranges (paupière enflée, éruptions cutanées étranges, vomissements).

Je l’ai ramené à l’hôpital le 15 juillet, où il présentait ce qu’ils ont appelé une maladie de Kawasaki atypique.

Il est décédé peu après à cause de caillots dans ses artères gravement enflammées. Je suis curieuse de savoir si la protéine de pointe a pu passer dans le lait maternel et provoquer une réaction inflammatoire chez mon enfant.

On dit que la maladie de Kawasaki se présente de façon très similaire au syndrome inflammatoire multisystémique chez les enfants qu’on observe dans les infections post-Covid. (Mon bébé a également eu des circonstances de naissance inhabituelles, puisqu’il est né à 37 semaines, déclenchées par une appendicite maternelle).

CEPENDANT, SI L’ON SAIT QUE LES ANTICORPS PASSENT DANS LE LAIT MATERNEL COMME UNE BONNE CHOSE, ALORS POURQUOI LA PROTÉINE DE POINTE NE PASSERAIT-ELLE PAS AUSSI DANS LE LAIT MATERNEL ET NE CAUSERAIT-ELLE PAS DES PROBLÈMES ? (SOURCE.)

J’ai effectué une recherche dans la base de données VAERS pour voir combien d’autres rapports ont été déposés concernant des mères qui allaitent leurs bébés, et j’ai trouvé 94 cas, dont un autre décès de nourrisson. (Source.)

L’autre décès de nourrisson allaité est le cas VAERS 1166062, qui mentionne le purpura thrombocytopénique thrombotique comme l’un des symptômes. Le purpura thrombocytopénique thrombotique est un trouble sanguin rare dans lequel des caillots de sang se forment dans de petits vaisseaux sanguins dans tout le corps.

La patiente a reçu la deuxième dose du vaccin Pfizer le 17 mars 2020 alors qu’elle était au travail. Le 18 mars 2020, son bébé de 5 mois allaité au sein a développé une éruption cutanée et, dans les 24 heures, il était inconsolable, refusait de s’alimenter et avait de la fièvre.

La patiente a amené le bébé aux urgences locales où des évaluations ont été effectuées, l’analyse de sang a révélé des enzymes hépatiques élevées. Le nourrisson a été hospitalisé mais son état a continué à décliner et il est décédé.

Diagnostic de PTT. Pas d’allergies connues. Pas de nouvelle exposition à part la vaccination de la mère la veille. (Source.)

Voici quelques autres cas dans VAERS où l’injection de COVID administrée à la mère qui allaite, a apparemment affecté le bébé.

Certains des cas de mères allaitantes ayant reçu l’injection de COVID font état d’une diminution de la montée de lait, de mastite, de thrombophlébite dans le sein, de menstruations abondantes malgré l’allaitement, etc.

Je n’inclus ici que certains des cas qui ont affecté le bébé qui était allaité, et qui n’ont PAS été vaccinés mais qui ont apparemment eu des effets secondaires en buvant le lait maternel de leurs mères qui ont été vaccinées.

Mère de 30 ans du Connecticut qui allaite son fils de 5 mois – Vomissements, diarrhée, éruption cutanée et hématurie

Cas VAERS 970309 : La patiente allaite son fils de 5 mois. Deux nuits après sa première dose de Moderna, il a eu de violents vomissements, de la diarrhée, une éruption cutanée et une hématurie (sang dans les urines).

Mère californienne de 36 ans qui allaite – urticaire

Cas VAERS 999040 (Pfizer) : Un fils allaité a eu de l’urticaire sévère pendant 5 jours.

Une mère californienne de 31 ans qui allaite son fils de 4 mois – Diarrhée

Cas VAERS 1070803 (Pfizer) : J’étais exclusivement allaitante au moment où j’ai reçu les deux doses. Mon fils de 4 mois a développé une diarrhée le 1er février et cela a duré 2 semaines. Les analyses de laboratoire/études des selles ont été négatives pour toute infection bactérienne ou virale.

Mère de 38 ans du New Jersey qui allaite et dont la fille a 3 mois – Éruption cutanée

Cas VAERS 1111787 (Pfizer) : J’allaite ma fille exclusivement. Elle est née le 9 décembre 2020. Elle a environ 3 mois. Elle a eu une éruption cutanée sur tout le corps.

Mère de 35 ans de l’Alaska qui allaite son enfant de 12 mois – Choc anaphylactique

Cas VAERS 1119088 (Pfizer) : La patiente a reçu le premier vaccin covid de la série vers 9 h 15… elle a allaité son enfant de 12 mois peu de temps après sans problème. Vers 12 h 15, le bébé est devenu difficile et a été allaité pendant environ 5 minutes avant que le bébé ne fasse de l’urticaire.

Le SAMU a été appelé et de l’épinéphrine/diphénhydramine a été administrée pour la toux/la respiration sifflante, vraisemblablement une anaphylaxie.

Les autres aliments consommés par le bébé le même jour comprenaient une banane, une barre Newton aux figues pour enfants, des pommes séchées, de la viande provenant d’un repas congelé et deux morceaux de céréales (nouveaux pour le bébé). L’urgence a nécessité 4 heures de surveillance mais aucune autre intervention médicale.

Nourrisson allaité en Alaska – Choc anaphylactique

Cas VAERS 1124474 (Pfizer) : LA MÈRE D’UN GARÇON DE 12 MOIS A REÇU LA PREMIÈRE DOSE DU VACCIN COVID-19 À 9H15 ; ELLE A ALLAITÉ SON FILS DE 12 MOIS 3 HEURES PLUS TARD ET PENDANT L’ALLAITEMENT, L’ENFANT A DÉVELOPPÉ UNE ANAPHYLAXIE AIGUË. POUR ÊTRE CLAIR : LA MÈRE A REÇU LE VACCIN ET L’ENFANT A EU LA RÉACTION.

Une mère californienne de 34 ans qui allaite son enfant de 11 semaines – diminution de l’appétit, vomissements.

Cas VAERS 1139952 (Moderna) : J’allaite exclusivement mon petit garçon de 11 semaines. Je n’ai aucun effet indésirable autre qu’une douleur au bras, mais dans les 24 heures, le bébé a perdu l’appétit et a vomi une fois jusqu’à présent.

Mère de 40 ans qui allaite son bébé d’un mois – Diarrhée pendant 36 heures.

Cas VAERS 1144429 (Pfizer) : J’allaite et le jour après avoir reçu le vaccin Pfizer-BioNTech COVID19 et avoir allaité ce jour-là, mon bébé d’un mois a eu de la diarrhée pendant environ 36 heures. Il n’y a pas eu d’autres changements dans son alimentation. Environ 14 heures avant la diarrhée, j’avais pris une dose de tylenol pour soulager les douleurs dues à la réaction au vaccin.

Mère de 29 ans du New Jersey qui allaite son enfant de 15 mois – Infection de l’oreille, fièvre.

Cas VAERS 1149144 (Moderna) : La patiente qui a reçu le vaccin était une mère qui allaitait. Son enfant de 15 mois a développé une infection de l’oreille, nécessitant des antibiotiques pour la première fois, dans les 72 heures suivant l’administration du vaccin.

Son enfant de 15 mois a développé une fièvre de 102,6 environ 6 jours après l’administration du vaccin. On lui a ensuite prescrit des antibiotiques 7 jours entiers après l’administration du vaccin à la mère.

Mère de 31 ans de l’Illinois qui allaite son fils de 10 mois – Fièvre persistante de 100 – 103 F.

Cas VAERS 1168528 (Moderna) : La patiente allaite son fils de 10 mois, et l’enfant a développé une fièvre persistante de 100 – 103 F. qui a commencé 12-24 heures après la vaccination et qui persiste encore au jour 4 après la vaccination.

Mère de 34 ans de l’Indiana qui allaite son fils – Éruption cutanée

Cas VAERS 1205906 (JANSSEN) : Fatigue vers 20 heures, suivie de frissons, d’une fièvre de 101,8, de sueurs (prises vers 12 h 30), de faiblesse, de douleurs articulaires et de nausées. La fièvre et les frissons ont duré environ 5 heures. Le jour suivant, j’étais faible dans mes mains et mes articulations étaient douloureuses. Je suis une mère qui allaite et mon fils a fait une éruption cutanée le jour suivant.

Mère de 30 ans de l’Indiana qui allaite son fils – L’éruption s’est propagée de l’estomac à tout le corps.

Cas VAERS 1229118 (Pfizer) : On m’a diagnostiqué un zona le 18-3-21. J’ai commencé à avoir une éruption cutanée le 15-3-21. On m’a prescrit un médicament que je viens de commencer. J’allaite et mon fils a développé une éruption cutanée le 15-3-21. L’éruption s’est étendue de son estomac à tout son corps.

L’éruption est devenue rouge vif et des bosses étaient visibles sur tout son corps. La rougeur a diminué à partir du 3-17-21. Il a été examiné par un médecin le 19 mars 21 et on lui a dit qu’il s’agissait d’une éruption virale probablement due au vaccin, mais qu’il n’y avait rien à faire.

Indiana, 28 ans, mère allaitante avec un fils de 9,5 mois – Fièvre, selles anormales

Cas VAERS 1242964 (Moderna) : J’allaite actuellement un bébé de sexe masculin âgé de 9 mois et demi au moment où j’ai reçu mon vaccin.

Cet après-midi-là, il a fait une sieste inhabituellement longue, a été inhabituellement grincheux et léthargique pendant la journée et, le soir, il avait une fièvre de 100,7 °F. Il a dormi toute la nuit (il n’a pas fait de sieste).

Il a dormi toute la nuit (en sautant sa tétée nocturne – cela ne s’est produit que trois fois depuis sa naissance, donc c’est très rare) et était encore grincheux, fatigué et somnolent le lendemain. Sa fièvre est tombée environ 30 heures après son apparition.

Depuis, ses couches mouillées et sales ont changé de façon significative : le nombre total de couches mouillées par jour a diminué et ses couches sales sont passées de selles semi-solides à des selles très humides, plus explosives et incroyablement granuleuses (cela fait maintenant une semaine et demie depuis ma dose). J’ai continué à allaiter pendant tout ce temps.

Mère de 37 ans du New Jersey qui allaite son bébé de 3 mois – Diarrhée

Cas VAERS 1258446 (Pfizer) : Un bébé de 3 mois, allaité au sein, a eu des selles molles pendant une semaine après avoir reçu la deuxième injection de Pfizer.

New York, 33 ans, mère allaitante avec un bébé – Vomissements projectiles

Cas VAERS 1262437 (Pfizer) : Un nourrisson allaité a développé des vomissements projectiles pendant des heures. Elle s’est rendue à un centre de soins d’urgence qui lui a dit que d’autres mères allaitantes s’y trouvaient avec des nourrissons malades présentant des symptômes similaires quelques jours après avoir été vaccinées.

Une mère de 27 ans de New York qui allaite son enfant de 8 semaines – Fièvre.

Cas VAERS 1275035 (Moderna) : Un bébé de 8 semaines allaité au sein a eu de la fièvre un jour après la vaccination de sa mère.

Mère de 25 ans en Floride qui allaite sa fille – Fièvre, diarrhée

Cas VAERS 1277155 (Moderna) : J’allaite et à 19h15, ma fille a commencé à avoir de la fièvre. Elle était chaude au toucher. La température de son front était de 99.7F.

Elle a depuis eu de la diarrhée et s’est montrée très collante et allaitante 24 heures sur 24. Toujours en cours à 7 h 11, le 1er mai 2021.

Mère de 35 ans qui allaite son enfant de 14 mois – Diarrhée

Cas VAERS 1298064 (Moderna) : J’allaite ma fille de 14 mois 3 fois par jour. Elle a eu une légère diarrhée et de légers maux d’estomac les 5/6 et 5/7. Aucun changement de régime alimentaire n’a été constaté. La diarrhée n’est pas courante chez elle.

Mère californienne de 30 ans qui allaite et dont la fille a 22 mois – Fièvre, irritabilité

Cas VAERS 1324020 (Pfizer) : Environ dix jours après le vaccin, j’ai commencé à avoir des crampes intenses et j’ai perdu un caillot de sang. Mon ventre se resserrait et j’ai commencé à ressentir une pression vers le bas. J’avais aussi des douleurs dans le dos. J’ai été examinée à l’hôpital, et ils n’ont rien trouvé d’anormal. J’étais enceinte de 23 semaines à l’époque. Je n’ai plus eu de crampes.

J’allaite également ma petite fille et elle était grincheuse et de mauvaise humeur après chaque dose du vaccin. Elle était vraiment irritable et avait une légère fièvre. Ma fille a 22 mois. Deuxième grossesse

Mère de 32 ans qui allaite son bébé de 7 semaines – Léthargique, augmentation des régurgitations.

Cas VAERS 1334516 (Pfizer) : Maux et frissons débutant 10 à 12 heures après la dose. Également un peu de faiblesse et de fatigue. A persisté pendant environ 24 heures. Traitement modéré avec de l’acétaminophène (500 mg toutes les 6 heures). La patiente allaite ; son bébé de 7 semaines était quelque peu léthargique et avait augmenté de façon significative la fréquence et le volume de ses régurgitations au cours de la même période de 24 heures, mais il ne semblait pas être mal à l’aise.

Mère de 31 ans en Caroline du Nord qui allaite son enfant de 2 mois

Caillot de sang, selles foncées.
Cas VAERS 1347789 (Pfizer) : Cette personne a un enfant de 2 mois et l’allaitait au moment de l’administration des deux vaccins Pfizer covid19.

Quatre jours après le premier vaccin, la personne a remarqué que le nourrisson avait des crachats semblables à des caillots teintés de sang, puis des selles foncées un jour plus tard.

Deux jours après le second vaccin, la mère a remarqué un écoulement du mamelon ressemblant à un caillot de sang (qui, selon la personne, ressemblait exactement au crachat teinté de sang remarqué chez le nourrisson).

Texas, 32 ans, mère allaitante avec un enfant de 4 semaines – Fièvre, congestion nasale, perte d’appétit.

Cas VAERS 1443445 (Pfizer) : Je suis actuellement en train d’allaiter. Mon fils, âgé de 4 semaines seulement, a eu 101 ? de fièvre vers minuit le 6/12/2021 et la fièvre ne voulait pas baisser même avec du Tylenol. Il avait également une congestion nasale et ne voulait pas manger. Il a été hospitalisé le jour même, mais on n’a pas trouvé d’origine à la fièvre, etc.

Texas, 37 ans, mère allaitante avec une fille de 10 mois – Urticaire sur le visage et le corps.

Cas VAERS 1592542 (Moderna) : Dix minutes après avoir reçu le vaccin, j’ai eu l’impression que j’allais m’évanouir. J’ai dû m’asseoir sur le sol de la pharmacie. Dans les heures qui ont suivi, j’ai ressenti une légère douleur thoracique, un mal de tête léger à modéré et des symptômes semblables à ceux de la grippe. De plus, la majeure partie du côté gauche de mon visage s’est engourdie comme une paralysie de Bell (front, joue, lèvres et langue à gauche). J’ai reçu le vaccin un mardi.

Mercredi et jeudi, mon bébé de 10 mois allaité au sein a commencé à avoir de l’urticaire sur le visage et le corps. Ses oreilles étaient rouges à l’extrémité

Le CDC continue d’affirmer que les caillots sanguins sont “rares” après les injections de COVID-19, et pourtant si les caillots sanguins chez les nourrissons sont déjà extrêmement rares sans que les mères qui allaitent reçoivent une injection de COVID-19, et voilà que nous avons maintenant plusieurs cas, dont deux décès, en un court laps de temps (environ 9 mois) dans un système (VAERS) dont nous savons qu’il est largement sous-déclaré puisque des pressions sont exercées sur les infirmières et les travailleurs de la santé pour qu’ils ne signalent PAS les effets indésirables du COVID-19 (source), alors il est criminel de ne pas le signaler au public et de ne pas avertir les femmes enceintes et allaitantes de ces dangers.

A titre de comparaison, j’ai recherché les réactions indésirables chez les mères allaitantes au cours des 5 années précédant les injections de COVID-19, et en 5 ans, seuls 5 cas ont été signalés au VAERS de réactions négatives de mères allaitantes chez leurs bébés, avec ZERO décès, après TOUS les vaccins non-COVID. (Source.)

https://medalerts.org/vaersdb/findfield.php?TABLE=ON&GROUP1=AGE&EVENTS=ON&SYMPTOMS=Breast+feeding+%2810006247%29&VAX_YEAR_LOW=2015&VAX_YEAR_HIGH=2020&VAX_MONTH_HIGH=11

Il y a aussi maintenant 1 490 morts fœtales enregistrées suite à des injections de COVID-19 chez des femmes enceintes pour les 9 derniers mois.

À titre de comparaison, j’ai recherché les décès fœtaux consécutifs à TOUS les vaccins pour les 5 dernières années avant que les injections de COVID ne soient autorisées en décembre 2020, et il y a eu un total de 398 décès fœtaux consécutifs à toutes les vaccinations pour les 5 dernières années (moins un mois – décembre 2020). (Source.)

Cela représente une moyenne de 7 décès par mois avant COVID, et 165 décès par mois après les injections de COVID. 25 fois plus de morts fœtales après les injections de COVID que de morts fœtales après tous les vaccins au cours des 5 dernières années.

Cela ressemble à un plan eugénique de réduction de la population,
d’après les données gouvernementales du CDC.




Vaccinators : voici venu le temps des tueurs en série !

[Source : ripostelaique.com]

Par Christian Navis

On sait que les tueurs en série se repaissent des tortures qu’ils infligent. Observer la souffrance d’autrui, mijoter son trépas et ricaner de l’indignation que cela provoque leur procurent un plaisir indicible.

Une compensation à une libido souvent capricieuse : impuissants ou complexés par un micropénis ou des testicules atrophiés, homosexuels honteux ou gérontophiles portés sur les vieilles dames, les possibilités sont multiples. Et cumulables.

S’ils occupent une position sociale élevée, certains psychopathes deviennent plus retors. Ils évitent de s’exposer et découvrent que le voyeurisme de la souffrance peut être aussi gratifiant que l’exaction elle-même.

Ils embauchent alors des « apprentis » pour commettre à leur place les crimes dont ils se délectent.

Un aspect de leur personnalité souvent oubliée par le cinéma, sauf dans la série « Bones » inspirée de faits réels compilés par la criminologue Kathy Reichs.

Les ministres empoisonneurs, les miliciens sadiques, les fonctionnaires tortionnaires et les médicastres cupides complètent cette typologie de la complicité par incitation, émulation ou imitation. Une comparaison justifiée, puisqu’il y a là aussi d’innocentes victimes assassinées, ou meurtries et traumatisées à vie.

Ayant coché dans la monographie des serial killers rédigée par les profilers du FBI de nombreuses cases « collant » au vécu et aux actions du despote, je me suis inspiré de cette méthodologie pour l’étendre aux VRP de Big Pharma :

  • Comment devient-on vaccinator compulsif ?
  • Quels sont les traits communs de ces psychopathes ?
  • Comment passent-ils du fantasme au fanatisme ?
  • Quelles justifications invoquent-ils ?
  • Jusqu’à quel point sont-ils contagieux au point de générer des répliques ?

Qui sont-ils ?

Les meneurs occultent leur passé ou affabulent. Une éducation stricte chez les jésuites et la soutane jetée aux orties pour se faire chevaucher par une théâtreuse mature, quand on est davantage attiré par des cupidons d’ébène, c’est aussi glorieux qu’être réformé au service militaire pour les raisons qu’on peut imaginer.

Dans ces égouts du diable, où les leaders sont des imbéciles instruits sinon des « savants » sans scrupules, la masse des suiveurs est un ramassis d’anciens cancres qui ont raté leur vie et trouvent valorisant de répéter sans toujours les comprendre les formules assassines de leurs maîtres.

Quoi de plus jubilatoire pour un minus habens qui a atteint son apogée à la session de rattrapage du brevet que de pouvoir traiter d’ignorants et d’imbéciles des universitaires et des chercheurs de renommée internationale, reconnus par leurs pairs, voire des prix Nobel ?

L’humiliation avant le coup de grâce, fût-il virtuel, comme chez les tueurs en série. On se défoule comme on peut !

Terroriser leur victime, l’annihiler moralement en alternant faux espoirs et sévices, l’affaiblir par la faim, la soif et les traitements dégradants avant de l’achever, ces ignominies font partie de la panoplie usuelle des psychopathes serial killers.

La « politique sanitaire » du dictateur et de ses séides aussi psychotiques pervers que lui a suivi depuis le début le même cheminement tordu : diffuser la panique d’une pandémie imaginaire pour conditionner les victimes, puis les avoir à leur merci en alternant les faux espoirs de vaccins miracle et l’interdiction de remèdes efficaces. Culpabiliser les gens simples. Les asservir par des séquestrations à domicile. Infliger des humiliations et des punitions aux réfractaires. Conditionner l’exercice des libertés élémentaires à une injection de poison et un passeport intérieur.

Avec l’orgasme ultime qui leur secoue les tripes d’un 220 volts d’extase quand un grand nombre de leurs victimes finissent sur des lits de souffrance, avant de partir au cimetière à brève échéance.

Tout cela ressemble furieusement aux délires criminels des serial killers répertoriés par le FBI. Seule l’échelle change.

On est passé de quelques dizaines de cadavres chez les plus monstrueux, à plusieurs millions. Comme chez les nazis, le crime artisanal est devenu une industrie de la mort qui rapporte gros. En plus du plaisir sadique de détruire des vies.

Le plaisir de la transgression chez les serial vaccinators

Doués pour leurrer leur entourage, les tueurs en série restent longtemps impunis et finissent par se croire invincibles. Cela ne peut qu’encourager les récidives.

Le comportement de Macronescu, de ses courtisans et de leurs sbires, illustre jusqu’à la caricature cette constatation.

Le « procureur » que je suis rappelle, en prévision des procès à venir, ces extraits du Code de Nuremberg.

« Art premier : Le consentement volontaire du sujet humain est absolument essentiel.

La personne concernée doit avoir la capacité légale de consentir (ndlr pas les mineurs !) et doit être placée en situation d’exercer un libre pouvoir de choix, sans intervention de quelque élément de force, de fraude, de contrainte, de supercherie, de duperie ou d’autres formes sournoises de contrainte ou de coercition.

Elle doit avoir une connaissance et une compréhension suffisantes de ce que cela implique, de façon à lui permettre de prendre une décision éclairée.

Ce dernier point demande que, avant d’accepter une décision positive par le sujet d’expérience, il lui soit fait connaître : la nature, la durée, et le but de l’expérience ; les méthodes et moyens par lesquels elle sera conduite ; tous les désagréments et risques qui peuvent être raisonnablement envisagés ; et les conséquences pour sa santé ou sa personne, qui pourraient possiblement advenir du fait de sa participation à l’expérience.

(…..)

Aucune expérience ne doit être conduite lorsqu’il y a une raison a priori de croire que la mort ou des séquelles invalidantes surviendront. »

Mais les macronards s’assoient sur ces dispositions, comptant sur les lenteurs et la servilité de la justice pour éviter d’être condamnés. On peut même avancer que ces  détraqués éprouvent une jubilation intense à compisser les lois, comme la plupart des tueurs en série se délectent à narguer les flics et embrouiller les criminologues.

La France est devenue en 2 ans un labo démoniaque où des millions de cobayes se prêtent passivement à des expérimentations hasardeuses menées par des fous criminels.

Un espoir toutefois pour celles et ceux qui ont le courage de résister :

Si l’on en croit le milliardaire chinois en exil Guo Wen Gui (alias Miles Kwok) celui-ci expliquait le 23 août 2021 que les grands gagnants du fiasco politique covid seront ceux qui auront refusé la vaccination.

Ils seront alors en mesure de survivre à un inévitable effondrement économique à cause de la surmortalité des vaccinés à partir de 2022. Une projection plausible si l’on additionne les morts et les handicapés dont les vaccins sont déjà responsables, et qui commencent à être décomptés, malgré le black out imposé par les gouvernements.

Vidéo traduite en français :

Guo Wen Gui ne nomme pas ses compatriotes assassins (son pays a mis un contrat sur sa tête, suspendu s’il met en veilleuse) mais nous connaissons ceux qui tuent en France. Même si l’on sait qu’il sera plus difficile de leur demander des comptes qu’aux nazis dont ils s’inspirent.

Au pire pour eux, l’abolition de la peine de mort leur évitera le gibet comme leurs prédécesseurs des années 40.

Quant au despote, un jet privé a été mis à sa disposition 24 h/24 par Soros pour l’exfiltrer si nécessaire. Les autres, les complices, les demi-sel, les rabatteurs, les gros bras, les porte-flingues, les dealers de mort et les sicaires, s’ils n’ont pas réussi à fuir à temps en Amérique du Sud, ils attendront l’amnistie dans des prisons 4 étoiles.

Ruses basiques et grosses ficelles

Pendant WW2 puis la guerre froide, s’intéressant au modus operandi de Hitler et de Staline, les comportementalistes Hovland, Lumsdaine & Sheffield ont étudié de façon expérimentale les facteurs permettant d’influencer le maximum de personnes en même temps. Car les exécutions sommaires ne sauraient suffire pour contrôler le peuple. Les tyrans ont besoin de bras pour faire tourner les usines et cultiver les champs. Il leur faut aussi des miliciens et des délateurs endoctrinés.

Pour mener à bien ce genre d’étude, on constitue des groupes témoins comparables (âge, éducation, niveau social) et on les soumet à des jeux de rôles après avoir défini une situation crédible, en rapport avec l’actualité. Interprétations et extrapolations sont  les lignes directrices.

Des meneurs de jeu, les uns ostensibles, les autres dissimulés dans la masse, se font les hérauts de boniments tantôt « logiques » (syllogismes, sophismes) tantôt insolites voire dérangeants. Les réactions du public sont  notées et des statistiques établies. Quels que soient le sujet, la désinformation et les objections, des constantes apparaissent.

L’influenceur efficace sera crédible, ou du moins en donnera l’apparence (discours saupoudré de termes techniques, compétences surestimées) en différant le plus tard possible l’argument d’autorité brutal façon Stanley Milgram.

La pression sera insidieuse mais permanente, adaptée au public ciblé. En lui inspirant de l’inquiétude afin de neutraliser ses composantes affective (méfiance) relationnelle (morale sociale) et cognitive (aptitude à raisonner) pour le rendre réceptif à un message apaisant sous conditions.

On voit le rôle joué par les médias d’État qui rabâchent inlassablement les mêmes mensonges, en faisant défiler des cohortes de pseudo-experts qui se confortent les uns les autres en usant de mots différents.

« Dire toujours la même chose mais avec un vocabulaire adapté selon qu’on parle à un ouvrier, un paysan, un professeur ou un ingénieur » recommandait Goebbels.

Le message répétitif doit paraître évident, réconfortant et indiscutable, usant des grosses ficelles de la dynamique de groupe et des pulsions primaires de l’instinct grégaire. Soutenues par une claque qui applaudit bruyamment afin de donner l’illusion de l’approbation générale.

Tandis que sous l’aspect attrayant de celui qui se dévoue au nom de l’intérêt général, le polémiste sournois discréditera, ostracisera et diabolisera ceux qui « pensent mal ». Avec l’appui des cenSSeurs tapis dans l’ombre pour couper les micros puis interdire d’antenne les débateurs de talent.

Quand on est convaincu d’avoir toujours raison, pourquoi s’embarrasser de  contradicteurs ?

Christian Navis

https://climatorealist.blogspot.com/




Covid-19 : témoignage d’un directeur de pompes funèbres

[Source : @Nawac7]

Il mentionne en résumé notamment les faits suivants :

Les morts, lors de la première vague, venaient presque exclusivement de maisons de retraite qui avaient reçu préalablement un afflux de malades en provenance d’hôpitaux et qui avaient été traités au Midazolam.

Ils étaient tous étiquetés Covid, alors qu’ils avaient par exemple un cancer en phase 4 ou d’autres maladies.

Il n’y a pas eu plus de morts en 2020 que l’année d’avant, sauf pendant quelques semaines en mars et avril du fait des morts dans les maisons de retraite.

La deuxième vague en janvier 2020 est venue par les récents vaccinés.

Presque tous les morts Covid venaient d’être vaccinés.

Il révèle d’autres informations choquantes et révélatrices indiquant qu’il n’y a pas eu de réelle pandémie.



Son entreprise : MK Family Funeral Services (mkffs.co.uk)

Son adresse courriel : john@mkffs.co.uk

À noter qu’à la fin de la vidéo, le réalisateur de l’entretien mentionne que John O’Looney a été contacté par RT (chaîne russe pourtant souvent considérée comme alternative) pour qu’il se taise en échange de 100 000 euros.




La mauvaise manière faite à Didier Raoult est un point bas pour l’université française

[Source : Le Courrier des Stratèges (lecourrierdesstrateges.fr)]

Par Edouard Husson

Le processus de la succession du Professeur Raoult a été lancé. Certains parlent d’une semi-victoire pour le grand chercheur, puisqu’il ne sera remplacé qu’à l’été 2022. En fait, sous la pression politique, les stakeholders de l’IHU mettent à peine les formes. Au-delà des mauvaises manières infligées à l’un des très grands chercheurs français, on se souviendra du quinquennat d’Emmanuel Macron comme d’une période très sombre, où le pouvoir, de mèche avec des intérêts économiques, aura tenté de mettre fin à l’indépendance de la recherche scientifique.

Cet article est dédié à la mémoire de mon père, Jean-Marc Husson (1938-2011), praticien hospitalier, chercheur, industriel, qui toute sa carrière est resté, d’abord, un médecin.

Le vendredi 17 septembre dernier, un communiqué officiel a annoncé l’enclenchement d’une procédure de recrutement du successeur de Didier Raoult à la tête de l’IHU qu’il a fondé. Les six membres fondateurs de l’Institut Hospitalo-Universitaire Méditerranée Infection de Marseille (Aix-Marseille Université (AMU), les Hôpitaux universitaires de Marseille (AP-HM), l’Institut Mérieux, le service de santé des armées, l’Etablissement français du sang et l’Institut de recherche pour le développement) ont ainsi validé un appel d’offres qui indique que le nouveau directeur de l’Institut  aura été recruté le 30 juin 2022. A priori, le successeur devra prendre les rênes à compter du 30 septembre 2022.  Ce qui laisse encore une années à Didier Raoult. Le communiqué sorti précise ainsi qu’ “une commission de recrutement sera créée à cet effet et un appel d’offres international sera lancé ». Quand on voit les médias français s’extasier devant cette annonce, cela prouve tout simplement qu’ils ne connaissent pas les procédures de recrutement standard dans le monde scientifique.  

Faut-il rappeler que l’IHU du Professeur Raoult a été créé en 2011 suite à une procédure internationale de sélection dans le cadre du Programme Investissement d’Avenirs lancé par le gouvernement Sarkozy – en même temps que cinq autres IHU? 

Faut-il rappeler, aussi que le Professeur Yves Lévy, lorsqu’il était président de l’INSERM, en 2017, avait fait un tel lobbying, alors qu’Agnès Buzyn, son épouse, était ministre de la Santé, pour mettre fin à l’indépendance des IHU et les refaire passer sous la coupe des organismes de recherche que le président du jury international, le Professeur Richard Fracowiak, chargé d’évaluer le travail effectué par les IHU depuis 2011, avait démissionné?  Devant le risque de perte de réputation internationale pour la science française et internationale, Emmanuel Macron, destinataire d’une lettre  de Richard Fracowiak, avait reculé et donné tort à Yves Lévy. En particulier, l’INSERM n’avait pas obtenu gain de cause sur la réduction de 200 millions du budget des six IHU. 

Mais il faut connaître cette histoire pour comprendre ce qui se passe depuis dix-huit mois à Marseille. A l’époque du hold-up manqué de l’INSERM, en effet, Didier Raoult avait été le plus courageux et s’était battu en première ligne pour préserver l’intégrité des IHU, leur indépendance. Cette dernière est en effet vitale, en face d’organismes de recherche qui sont devenus des mastodontes bureaucratiques dont la prétention à avoir une stratégie est relativisée par le fait que l’essentiel de leur budget est de la masse salariale. Les IHU, ce sont en quelque sorte des ETI de la science, suffisamment gros pour pouvoir mener une recherche d’envergure, mais à taille suffisamment maîtrisable pour ne pas se bureaucratiser. Les IHU rendent la recherche française compétitive internationalement parlant. 

C’est ce qui explique que le Professeur Raoult ait été l’un des premiers en France, lors du déclenchement de l’épidémie de COVID, à proposer un traitement précoce (hydroxychloroquine et azithromycine): il avait réagi très vite aux rapports de ses collègues chinois; et son traitement a vite obtenu une notoriété mondiale. La carte que nous reproduisons ci-dessous montre une utilisation massive de ce traitement sur la plus grande partie de la planète à la date de février 2021.  Là encore, les médias français subventionnés qui vivent en vase clos ne savent pas ce qui se passe dans le reste du monde. Les limitations du traitement précoce du COVID à l’hydroxychloroquine sont le fait, par exemple, des Etats-Unis, où les Démocrates en ont fait une arme de campagne contre Donald Trump ou…la France, où les apparatchiks du Ministère de la Santé et des organismes de recherche ont voulu prendre leur revanche contre un très grand chercheur français qui ne respecte aucun des codes compassés d’un petit milieu “parisien” où l’on fait tout sauf de la science.  

La cabale des lyssenkistes

Didier Raoult n’est pas seulement un très grand chercheur. C’est aussi un médecin comme l’école française en a produit pendant des générations.  En période d’épidémie, il a pris les moyens de soigner les gens rapidement et efficacement. Il a eu recours aux vidéos et aux interviews pour faire connaître  sa méthode. Comme un vrai médecin, Raoult ne peut pas passer une journée sans voir des patients. Et il aime les personnes qu’il soigne. Il faut être une journaliste très parisienne, comme Ariane Chemin, pour parler à son propos de “populisme médical”.  A vrai dire une telle formule en dit long sur l’état d’esprit de la caste qui croit nous gouverner et organise un système d’encensement mutuel en vase clos. Soigner, c’est être populiste ! Rien ne dit mieux finalement que la priorité de notre gouvernement, des médias subventionnés, d’une partie de la technocratie sanitaire, depuis le début de la crise, n’a pas été de soigner. Soigner, c’est populiste. Surtout, cela aurait voulu dire renoncer rapidement à cette pandémie qui est si pratique pour verrouiller des positions de pouvoir, confisquer les libertés individuelles, mettre en place un système d’économie administrée, garantir la rente perçue des grands laboratoires pharmaceutiques.  

Emmanuel Macron a bien senti à un moment que le Professeur Raoult avait gagné le coeur des gens et il s’est rendu à Marseille pour le voir. Mais le Président de la République, à peine rentré à Paris, n’a pas résisté à l’essoreuse des nouveaux médecins de Molière qui fréquentent le Ministère de la Santé ou les plateaux de télévision. Que reproche-t-on à Didier Raoult? Mais tout ! 

  • Il est un des chercheurs les plus cités au monde dans son domaine. 
  • Il écrit de bons livres de vulgarisation scientifique. 
  • Il est un médecin qui aime ses patients. 
  • Il a dénoncé l’absurdité d’un système de recherche qui engloutit des milliards d’argent public et privé pour inventer péniblement de nouvelles molécules alors que la réutilisation des molécules existantes et le marché des médicaments génériques sont le seul avenir rationnel pour le système de santé. 

En écrivant ces lignes, je pense à la cabale d’un nouveau lyssenkisme – pour faire allusion à Lyssenko, chercheur soviétique dont les théories non étayées furent soutenues par Staline et Khrouchtchev. Mais dans la France de 2021, Lyssenko est devenu vénal. Il préfère le fascisme gris de la corruption par l’industrie pharmaceutique au néo-maoïsme d’un Xi Jingping. 

Il ne faut donc pas se raconter d’histoires. La manière dont le conseil d’administration de l’IHU, APHM et François Crémieux en tête, prend le prétexte de la retraite de Raoult en tant que PUPH (Professeur des Universités- Praticiens Hospitaliers) pour le faire partir  de la direction de l’IHU est non seulement une très mauvaise manière. Mais c’est totalement stupide si l’on pense à la réputation scientifique du pays et à ses intérêts. Et de ce point de vue, peu importe que Raoult parte dans un mois ou dans un an, le mal est fait ! 

Nous vivons dans un pays où le budget de l’université n’a pas cessé de chuter depuis 2012; où notre gouvernement est incapable de garantir un contrat industriel international à une grande entreprise de la défense, où on ne sait pas sortir un vaccin contre le COVID au même rythme que les grandes nations scientifiques; et où l’on pense pouvoir se passer du talent scientifique et médical de Didier Raoult. 

Le quinquennat d’Emmanuel Macron représente vraiment un point bas.  Mais on aura oublié depuis longtemps le Président de la République quand on se souviendra encore de Didier Raoult.  




Castex : du Pass sanitaire au Pass social

[Source : Russie politics]

Par Karine Bechet-Golovko

Sans aucune surprise, alors que la situation sanitaire ne présente aucune crise particulière, vue la saison, Castex nous annonce la loi de pérennisation du Pass sanitaire. L’enjeu n’étant dès le départ non pas sanitaire, mais de contrôle social, il n’y a rien de surprenant dans cette annonce de l’établissement de ce qui est en fait un Pass social. Les Français sont prévenus, rien ne leur sera épargné.

Voici la courbe d’évolution du Covid officiel en France ce mois-ci :

Et la courbe d’évolution des décès officiellement attribués au Covid en France :

Finalement, le Pass dit sanitaire a été mis en place quand la crise sanitaire était terminée – en ce qui concerne le problème de surcharge des hôpitaux, il existe depuis que les politiques néolibérales de destruction de l’hôpital public (et des services publics en général) sont mises en oeuvre, ce qui est bien antérieur à ce pauvre virus.
Et comme le discours officiel est celui de l’acceptation du Pass sanitaire :

Et que la négation dans le discours public du mouvement de rejet doit conforter ceux qui suivent, sans conviction ni rébellion, le sens du vent :

Il n’y a rien d’étonnant à ce que nos dirigeants veulent inscrire dans le temps un instrument qui n’a jamais été conçu comme temporaire. Dans ce contexte, l’annonce faite par Castex de la préparation d’un projet de loi permettant de faire durer le Pass sanitaire au-delà de la date prévue du 15 novembre n’est pas une surprise, c’est même totalement logique. N’ayons aucun doute sur l’alignement du Parlement, autant que du Conseil constitutionnel. Ces instances ne peuvent être dans la contestation idéologique du régime qui se met en place, sinon cela s’appelle une révolution et ce ne sont jamais les organes de l’État qui la font.

Il serait en revanche utile de modifier, dans ce nouveau projet de loi, l’appellation de ce Pass : de sanitaire, il devient officiellement social. Et en ce sens, la démarche s’inscrit parfaitement dans la logique du rapport d’information du 3 juin 2021 du Sénat intitulé « Crises sanitaires et outils numériques : répondre avec efficacité pour retrouver nos libertés« , que je vous laisse lire ici. Or, comme nous le voyons bien, non seulement l’outil numérique ne permet en rien de retrouver les libertés, mais il est même devenu notre propre instrument liberticide, chacun se promenant avec sa prison numérique dans les mains, son smartphone.

Après tout, ce n’est qu’un QR Code…




Nous Français et Occidentaux sommes les plus « intelligents »… raison pour laquelle une majorité d’entre nous restera dans l’ignorance et la soumission jusqu’à la lie

Par Alain Tortosa

Cela fait des siècles que nous sommes formatés à « l’intelligence ». Et encore plus le Français qui a « TOUT » inventé depuis la nuit des temps.

Les hommes politiques, les médias ne se privent pas de rappeler que les Français sont intelligents, qu’ils ont du bon sens, et qu’il suffit de leur expliquer pour qu’ils comprennent. Ils rajoutent même qu’il est « impossible » de les tromper et les prendre pour des imbéciles… ben oui, « on le verrait tout de suite ! ».

De bien entendu, nous sommes tous « Charlie », ouverts d’esprit, ouverts au débat, pour la liberté d’expression et bien entendu totalement « antiracistes », c’est bien connu.

Cela ne nous empêche pas de penser ou de dire en petit comité que l’Afrique en est encore à la préhistoire en cassant des noix de coco tandis que nous, les Occidentaux, envoyons des astronautes sur la Lune. (sourire).

Si on interroge le Français moyen, il regarde tous les jours la chaîne de TV Arte alors que si on analyse la réalité, le fait est que son émission préférée sera plus « touche pas à mon poste » animée par le grand Cyril Hanouna et des intervenants dont l’intelligence ferait rougir de honte un prix Nobel…

Nous sommes les plus « intelligents » alors même que le niveau scolaire ne fait que décroître d’année en année, que l’on formate les élèves à se gaver d’un savoir monolithique et que dans le même temps tout est fait pour leur interdire de penser et d’avoir un esprit critique.

L’enseignement officiel a pour objet de fabriquer des clones avec le minimum de libre arbitre… et bien entendu, c’est exactement le contraire qui est valorisé par les mots et certainement pas par les actes.

La dictature nous manipule en jouant sur notre « intelligence »

C’est un des plans machiavéliques utilisés par l’État profond pour endormir notre cerveau et notre esprit critique. Comment les êtres les plus intelligents du monde (les Occidentaux), et encore plus les Français, pourraient-ils être manipulés ?

À la rigueur mon voisin, qui par axiome, est totalement idiot, mais moi ??

Dès lors que les « intelligents » que nous sommes ont gobé au mois de mars 2020 que nous étions menacés par un « terrible virus » et que l’unique solution était de confiner la population mondiale, c’était gagné pour la dictature.

Il a suffi de balancer quelques fausses données dans tous les « médias » avec des prévisions apocalyptiques pour nous précipiter dans la fosse.

Rendez-vous compte que l’on a réussi à faire croire à une majorité de Français que le confinement de malades et de bien portants dans un même lieu était de nature à juguler une épidémie et sauver des vies.

On a même réussi à nous faire croire à nous, « les êtres les plus intelligents du système solaire », qu’il était « vital » d’enfermer les personnes en bonne santé pour endiguer une épidémie !

On a réussi à nous faire croire que si nous avions des symptômes, il ne fallait surtout PAS se rendre chez notre médecin, mais attendre l’article de la mort pour nous précipiter à l’hôpital et nous faire exploser les bronches avec de l’oxygène à haute pression pour mourir 5 jours plus tard !

Oui dès ce jour béni de l’obscurantisme scientifique et digne de l’inquisition, l’affaire était gagnée, la marche arrière devenait impossible !

Qui plus est sans heurter le moins du monde les plus grands défenseurs des droits de l’homme conscients que « la fin justifie les moyens ».

La pensée la plus présente chez les covidistes étant :

« Comment moi, une personne supérieurement intelligente, aurais pu être débile et manipulable au point de gober une histoire aussi énorme, aussi mal foutue, autant improvisée, autant créée de toutes pièces avec des bouts de ficelle. »

Nous avons été terrorisés par un virus télévisuel « aussi mortel que la peste » alors même que nous n’avions pas vu le moindre mort. (Et encore aujourd’hui qui connaît une personne en bonne santé et non en fin de vie ou avec de fortes comorbidités décédée réellement du Covid… et non avec le Covid.)

En fait, le mois de mars 2020 était un remake de « La Guerre des Mondes » diffusée en 1938 ayant provoqué la panique chez les auditeurs convaincus qu’une attaque extraterrestre était en cours.

Idem en mars 2020 où des millions de Français ont été convaincus de l’attaque d’un virus dont pas grand monde n’en a vu la couleur… Une sale grippe en 2019 serait passée inaperçue, mais un supposé (supposé, car nous n’avions aucun test à l’époque) sars-cov2 en 2020 à symptômes identiques, était du domaine de l’enfer.

Plus les mois ont passé, plus les mensonges ont grandi, plus les incohérences se sont multipliées et plus le piège se resserrait sur nous !

Comment ouvrir les yeux aujourd’hui ?

Comment accepter que l’on ait pu être idiot au point de gober un an et demi de mensonges aussi énormes et aussi anti-scientifiques les uns que les autres.

À ce point de mon récit, il est probable que j’ai déjà perdu une énorme partie du lectorat membre de l’église du coronavirus qui a autre chose à faire que lire des élucubrations complotistes…

C’est ainsi que notre cerveau est devenu le plus grand complice de cette supercherie à l’échelle mondiale !

Tel le syndrome de Stockholm, chaque Français est devenu complice de ses preneurs d’otages.

Il est devenu vital pour la santé mentale de chacun que cette pandémie soit à ce point terrible. Vital que les mesures prises fussent les « bonnes », compte tenu de la situation qui risquait de conduire à l’apocalypse et à l’anéantissement de l’espèce humaine.

LE point de non-retour a été franchi avec les injections et pour de très très nombreuses années.

Des parents ont injecté à leurs enfants des substances inutiles, expérimentales à l’inefficacité prouvée et à la dangerosité tout aussi prouvée, mais cachée par les médias menteurs !

Cette vérité statistique est TOTALEMENT inacceptable pour un parent.

C’est pour cela que tous les parents qui ont injecté leur enfant, sont condamnés à avoir l’intime conviction d’avoir agi, non pas pour le bien de la communauté dont tout le monde se moque éperdument, mais d’avoir agi directement ou indirectement pour le bien de leur enfant.

Imaginez qu’un vaccin sur le marché depuis 20 ans présente des contre-indications potentiellement mortelles même si elles sont rarissimes. Mais que dire d’une injection d’ARNm dont les premiers essais sur l’homme ont eu lieu au mois de mai 2020 ! Alors même si l’on tablait sur un risque de décès de 1 sur 1 million d’injections, cela veut dire que mathématiquement des enfants vont et sont déjà décédés de cette injection (ce qui est confirmé par les statistiques).

Mais à la différence d’un vaccin classique qui protège l’enfant d’une maladie potentiellement mortelle pour lui, la thérapie génique à ARN messager ne le protège en rien d’une maladie qui ne le concerne PAS s’il est en bonne santé… car le Covid n’est PAS une maladie infantile comme l’écrit régulièrement l’association française de pédiatrie.

Bref, le retour en arrière est donc désormais totalement impossible.

Les « convaincus » ne peuvent PAS ou PLUS croire que dès le mois de mars 2020 :

  • De nombreuses études sur la (non) dangerosité du virus étaient parues.
  • L’on savait quelles étaient les personnes à risque et donc les personnes non à risque comme les enfants.
  • Que les confinements d’une population générale étaient contre-productifs.
  • Que le confinement du mois de mars 2020 était un échec avant même de commencer, car il était déjà un échec en Italie. Mais par contre, la méthode sud-coréenne de tracing sans confinement fonctionnait parfaitement.
  • Que les masques en population générale étaient dangereux, inefficaces et contre-productifs.
  • Qu’un vaccin contre un coronavirus (qui ne fait que muter) était OBLIGATOIREMENT une impasse thérapeutique.
  • Que l’immunité vaccinale de masse était de fait un leurre.
  • Que l’HCQ (introduite et étudiée par les Chinois et non par Raoult) et certains antibiotiques étaient efficaces avant l’orage.
  • Que seule l’immunité naturelle pouvait nous sauver, car « adaptative ».
  • Que les tests PCR ne sont pas prédictifs
  • Que les gestes barrières relèvent de la pensée magique
  • Etc.

La propagande est même arrivée à leur faire croire que l’AstraZeneca, un adénovirus génétiquement modifié, était plus dangereux qu’un ARNm expérimental. ARN messager testé par le passé à petite échelle sur des malades en phase terminale. Qui plus est encore en phase III expérimentale et ARNm « bizarrement » jamais utilisé contre la grippe.

AUCUN parent qui a gobé toute cette mascarade macabre ne peut ouvrir les yeux aujourd’hui et se dire désormais :

« J’ai pris le risque de provoquer un cancer à 10 ans pour mon enfant, mis peut-être en péril sa capacité reproductive, alors même qu’il ne risque RIEN de cette maladie et que le vaccin ne protège pas de la contamination et qu’il n’a donc RIEN de solidaire. »

Une personne « intelligente » et manipulée depuis le début et qui aurait fait l’effort de lire mon texte jusqu’à cette ligne ne peut pas se poser sereinement la question et se dire :

« Et si ce qui est écrit là était véridique ? »

Il est alors naturel d’utiliser des mécanismes de défenses classiques, se poser des questions sur l’auteur et non sur le fond, botter en touche, ricaner, mais il est à parier que le lecteur ne prendra pas le risque de faire un travail de recherche qu’il n’a JAMAIS entrepris depuis le début de l’affaire.

Travail d’autant plus facile aujourd’hui qu’il a été prémâché par de si nombreux scientifiques ou lanceurs d’alertes qui facilitent l’accès aux informations et à leurs sources.

Dédouaner « l’être supérieur »

Le gouvernement, les médecins corrompus et les médias achetés ont fait un travail formidable de décrédibilisation de la parole dissidente.

Au point que de très nombreux manipulés CROIENT qu’il y a un quasi-consensus scientifique mondial et que les dissidents sont quasi inexistants et relèvent (tous ?) de la psychiatrie.

La Pravda a donc rabâché jour après jour que tous ceux qui avaient une parole dissidente étaient des « complotistes » dont la crédibilité était proche de ceux qui pensent que les extraterrestres ont remplacé les chefs d’État par des clones.

Ces « complotistes » sont, dans la bouche des médias, à la fois des psychopathes d’extrême droite et antisémites qui ont réussi à manipuler un flot de débiles profonds analphabètes, paumés et en perte de repères.

« Un être doué d’intelligence ne pouvant prêter foi à des théories qui vont à l’encontre de la pensée unique. »

La manipulation de la dictature a été à ce point intelligente et diabolique qu’elle a dit à tous les êtres intelligents et supérieurs que nous sommes qu’il ne fallait surtout pas discuter avec les « autres »  !

Ne surtout par argumenter parce que « les complotistes sont des pervers manipulateurs qui peuvent retourner votre honnête cerveau ». On nous a donc expliqué qu’il ne fallait pas nous fabriquer NOTRE propre opinion, car nous serions manipulés par ces malfaisants.

La parfaite illustration en fut le film documentaire « hold-up ».

Question à une personne « intelligente » : « Tu as vu hold-up ? » Réponse ; « Non c’est un ramassis de théories complotistes d’extrême droite avec des intervenants dissidents rejetés par leurs pairs. »

Rendez-vous compte que la « sagesse », la démarche « intelligente et scientifique » n’était plus de regarder hold-up, puis d’aller étudier et vérifier chacune des affirmations pour se faire sa propre opinion, mais d’obéir à la consigne officielle :

« Surtout, ne regarde pas, c’est une dangereuse perte de temps ! »

Nous étions dédouanés d’avoir une démarche scientifique, dédouanés de ne pas nous interroger grâce aux « décodeurs de l’information » qui l’avaient fait pour nous.

La pensée unique

Nous avons vécu et vivons encore une période où le révisionnisme est roi ! L’OMS a réécrit son site, des études sont venues dire le contraire de dizaines d’années de travail… pas de soucis. Le Lancet, quant à lui, a fait des faux ou censuré des études dans l’indifférence générale.

On a même inventé la vérification de l’information dans le but, toujours le même, d’empêcher les êtres « intelligents » que nous sommes, d’aller nous renseigner et étudier pour nous forger notre opinion.

Le principe de la « vérification de l’information » est très simple à mettre en œuvre.

  • Un « illuminé » affirme une pensée déviante.
  • Vous allez interroger un « spécialiste » qui est d’accord avec vous et la pensée unique qui répond « Non cette affirmation est fausse ! ».
  • Ainsi vous avez « démontré » que ces propos complotistes étaient ridicules !

Petit à petit les manipulés ont acquis l’intime conviction que le récit mondialiste était vrai parce que tous les médias traditionnels, ainsi que tous les « scientifiques » médiatiques (toujours les mêmes d’ailleurs) avaient le même discours parfois au mot près.

« S’ils disent tous la même chose, c’est bien que c’est vrai ! »

Nous aurions pu trouver étrange que la quasi-intégralité des médias se contente de reprendre les dépêches AFP sans rien vérifier, mais non !

Presse considérée « indépendante » alors que sa survie repose EXCLUSIVEMENT sur les aides de l’État !

Donc soit la masse s’est contentée de l’affirmation de tel ou tel média de « confiance », genre France Inter, BFM ou Cnews, soit elle a fait « un travail d’enquête » en lisant plusieurs journaux mainstream différents qui disaient tous la même chose !

D’innombrables « débats » ont eu lieu sur les chaînes d’info où des personnes d’accord entre elles débattaient pendant des heures. Ceci entrecoupé 5 minutes par semaine d’un invité (généralement invité qu’une seule fois) qui cherchait à se défendre face à plusieurs accusateurs médiatiques présents pour le lyncher.

Ainsi la recherche de la vérité, la recherche de sa propre opinion ne procédait plus en la lecture d’auteurs, d’études ou d’opinions diamétralement opposées, mais en la lecture d’informations concordantes appelées « consensus ».

La plupart des Charlie se réjouissaient que le temps d’antenne des complotistes soit le plus bref possible et que les réseaux sociaux censurent à tout va… L’apothéose étant de trouver normal qu’un président américain élu soit censuré par des entreprises privées !

Le CSA veillant scrupuleusement à l’absence de pluralisme et sanctionnant les rares émissions où un « ennemi du peuple » pouvait prendre la parole sans contradicteurs autres que le « journaliste » présent pour le descendre en flèche.

Comment survivre face à toutes les incohérences ?

On a beau être manipulé, on a beau se voiler la face et ne rien lier, les incohérences sont parfois trop énormes pour arriver à se les cacher.

  • Il est compliqué de trouver logique d’utiliser des drones ou des hélicoptères pour verbaliser des personnes seules sur une plage ou dans une montagne durant un confinement alors que dans le même temps on peut s’entasser dans un supermarché.
  • Compliqué que le masque soit inutile et dangereux le lundi puis obligatoire et vital le mardi.
  • Compliqué qu’il faille rester enfermé le mercredi et sortir le plus possible le jeudi.
  • Compliqué de voir que l’on diminue les budgets dans la santé, que l’on ferme des lits alors même que l’on dépense des millions pour recruter des vigiles.
  • Compliqué que l’on interdise de s’asseoir en terrasse, mais que l’on autorise d’être entassé sur le quai d’un RER.
  • Compliqué que l’on interdise les médecins de prescrire et qu’on les sanctionne s’ils le font.
  • Compliqué que l’on impose une troisième dose du même vaccin alors même que le virus a muté (comme si le vaccin pour la grippe était le même tous les ans).
  • Etc., etc.

Alors comme je suis un être « supérieurement intelligent », je décide que ceci n’est pas de la malveillance, de l’intention de nuire, mais de la bêtise humaine.

Le fait que ces « erreurs » soient répétées à l’infini ne me choque pas tant que ça… que les parlementaires guignols continuent à n’être que les membres d’une chambre d’enregistrement et que tout soit décidé par un conseil de défense totalement opaque, pas de soucis. Que les mêmes soient encore aux commandes comme le Ministre de la Santé malgré tous les échecs et mensonges, no problem !

L’indispensable amnésie et surtout ne rien lier

Pour ne pas faire exploser notre cerveau nous devons avoir la mémoire courte et ou-bli-er ! Oublier tous les scandales, les milliards de dollars d’amendes de Pfizer pour tromperie, corruption de médecins, etc. Oublier les lobbies en Europe qui pèsent un poids délirant ainsi que les chaises musicales, passage du privé au public et inversement. Ignorer que l’OMS, sans les fonds de Bill Gates et des laboratoires pharmaceutiques, mettrait la clef sous la porte. Ignorer que des personnalités politiques doivent leur poste grâce au soutien financier des dits laboratoires. Ignorer que des chercheurs ne pourraient plus conduire de recherches sans la participation financière des laboratoires.

AUCUN LIEN entre les sujets !

  • Un taux de suicide en explosion chez des enfants et des personnes âgées.
  • Une explosion de la violence intrafamiliale.
  • Une explosion de la dette.
  • Des maladies graves non diagnostiquées en temps et en heure.
  • Une précarité financière dramatique chez les étudiants, petits boulots…
  • Des pertes de QI chez les enfants.
  • La destruction du lien social et voir en autrui une menace.
  • La suppression des droits de l’homme et des libertés.

Mais aussi des reportages sur Arte sur la dépendance de l’OMS, la corruption mise en œuvre par l’industrie pharmaceutique et les lobbies, le rôle vital des virus pour notre santé, l’indispensable respiration d’un bon air… Tout ceci n’est JAMAIS mis en balance et corrélé avec les mesures dites « sanitaires »…

Les données ignorées

Sans compter les chiffres et la réalité qui sont totalement biaisés.

  • C’est la première fois au monde que l’on ne remet pas à zéro le compteur de décès annuels.
  • L’OMS qui oblige à comptabiliser les faux morts (ex cancer)
  • Le réseau Sentinel qui compte les malades remplacé par un décompte de positifs dix fois plus nombreux.
  • Une épidémie de positifs (nullement malades et statistiquement nullement contagieux).
  • Le nombre d’hospitalisés « Covid » qui est un faux (reconnu par l’État).
  • Le nombre de personnes en réanimation « Covid » qui est un faux (reconnu par l’État).
  • Le nombre de morts « Covid » qui est un faux (reconnu par l’État).
  • Le nombre de patients vaccinés hospitalisés « Covid » qui est un faux (reconnu par la DRESS)
  • Les pays pauvres qui ont 5, 10 ou 100 fois moins de morts par habitant.
  • Un premier confinement qui n’a JAMAIS aplati la courbe et qui pourtant a été répété.
  • Une augmentation du nombre de cas d’autant plus que le masque devenait de plus en plus obligatoire.
  • Les pays qui ont massivement vacciné et qui ont eu une explosion du nombre de morts depuis la vaccination.
  • La situation catastrophique en Israël qui n’arrive pas à endiguer les décès même avec la 3e dose.
  • L’absence de corrélation en France métropolitaine et dans les DOM entre le taux de vaccination et le taux d’incidence (selon les données officielles, mais pas selon la propagande médiatique).
  • Des effets secondaires dramatiques de la vaccination qui sont minimisés ou ignorés en France.
  • Des membres de la FDA qui affirment que le vaccin tue plus qu’il ne sauve.
  • Des spécialistes qui osent affirmer une autre voie et qui sont ridiculisés et traînés dans la boue.
  • Des pays qui ont utilisé l’Ivermectine avec des résultats spectaculaires.
  • Des pays qui n’ont jamais confiné et pourtant avec largement moins de morts.
  • Des pays qui n’ont jamais imposé de masque et sans le moindre geste barrière.
  • Le Rivotril dans les maisons de retraite. L’année d’avant on soignait les malades de la grippe notamment avec des antibiotiques, en 2020 on les a achevés…
  • L’interdiction de prescrire de l’HCQ ou de l’Ivermectine.
  • La négation de l’efficacité des méthodes préventives pour booster son immunité.
  • Etc.

Ma liste est loin d’être exhaustive. Tous ces arguments sont ignorés, méprisés, balayés et surtout « non liés ».

Alors pour s’en sortir, pour ne pas avoir à reprogrammer son cerveau, on va dire soit « mensonges » avec la complicité active des « vérificateurs » et des médecins de plateau arrosés, soit dans le cas d’autres pays, on affirmera que « on ne peut pas comparer ».

En France on ne peut strictement jamais comparer d’ailleurs si on les écoute, en fait si on peut, mais uniquement quand c’est pire ailleurs.

Rien, rien, rien n’est jamais lié…

Par exemple, depuis juin 2020 on nous a promis des clusters après les grands rassemblements, clusters qui n’ont JAMAIS existé. Depuis le mois de juillet 2021, il y a des centaines de milliers de manifestants dans les rues toutes les semaines en France dans des centaines de villes. Pour la plupart les manifestants sont non vaccinés, sans masque, sans distanciation, sans le moindre geste barrière et de tout âge. On s’embrasse, on se serre la main, on se partage des bouteilles d’eau et ZÉRO cluster !

Et on continue à se foutre de nous et nous dire qu’il faut respecter les gestes barrières et porter des masques !

On continue de terroriser nos enfants, à leur dire qu’ils vont tuer papi et mamie alors même que papi et mamie seront bientôt vaccinés trois doses avec un vaccin présumé « efficace » selon la propagande.

Mais là aussi pas de lien… que l’on nous terrorise en nous disant que les non-vaccinés, non malades peuvent tuer des personnes qui sont injectées avec un « vaccin » dit « efficace » ne fait pas réagir…

Jamais le moindre lien, jamais la moindre réflexion de fond… et sans compter le régulier « on ignore encore tout de ce virus » dès que les données sont franchement contre vous !

Dans les fait, le sars-cov2 demeure un gentil virus qui ne fait qu’accompagner dans la mort des personnes en fin de vie, personnes privées volontairement de traitements dont l’efficacité n’est plus à démontrer, mais qui, hélas, ne coûtent rien.

Mais en parallèle les médias et médecins corrompus continuent à vous dire que la population en réa est de plus en plus jeune et que nul n’est à l’abri pour une maladie dont l’âge médian des décès est de 85 ans !

Depuis le début la crise, strictement aucune mesure n’a jamais été prise en direction des personnes à risque à la différence de la Corée du Sud (même niveau de vie, même pyramide des âges, même densité de population que la France). Corée du Sud qui déplore 47 morts par million d’habitants versus 1 700 pour la France soit 36 fois moins !

Avec une politique identique et en partant du chiffre mensonger de 100 000 morts en France par année de Covid, nous aurions eu 2 800 décès du Covid en France en mettant en œuvre la politique coréenne. Certains « spécialistes » osent dire que l’on n’aurait pas pu mettre en œuvre en France la politique sud-coréenne « anti-démocratique » de tracing alors même que nous sommes masqués, confinés, vaccinés de force et avons un pass sanitaire pour aller faire des courses au supermarché.

Mais on se moque de qui ? Pourquoi M. Veran est encore ministre, pourquoi M. Macron n’a pas démissionné ? Pourquoi l’opposition est-elle silencieuse ? Pourquoi les médias applaudissent-ils au lieu de crier au scandale ?

Cela interroge-t-il les aveuglés ? Absolument pas !

Les médias sont même allés jusqu’à dire qu’il serait injuste ou illégal de confiner les personnes à risque alors que l’on ne se prive pas de supprimer les droits de l’homme de la population en bonne santé. Toutes les mesures dictatoriales ont été uniquement ciblées en direction des personnes en bonne santé qui risquent plus d’être foudroyées que de mourir du Covid. Tout a été fait pour massacrer les défenses immunitaires des plus faibles et prescrire du paracétamol (contre-indiqué) et obtenir un maximum de morts… Nous aurions voulu faire pire qu’il eut été quasi impossible d’y parvenir…

Pour se rassurer, on énonce alors que notre politique Anti-Covid ne peut pas être si « mauvaise » quand quasi tous les pays européens et occidentaux ont pratiqué la même.

Afrique : 150 morts par million d’habitants. Asie : 235 morts par million d’habitants. Europe : 1600 morts par million d’habitants ! Vous ne pensez pas qu’il y a un ÉNORME problème ?

De la conviction prémâchée et prédigérée

« Si tous les médias le disent, c’est que c’est vrai »

« Les journalistes sont trop fiers pour se faire commander ! »

Nous sommes si « intelligents », si « supérieurs » aux peuples des pays sous-développés, que nous n’avons pas besoin de nous poser la moindre question ni regarder ce qu’il se passe à l’étranger.

La « vérité » des paniqués est ainsi considérée comme aussi légitime et valide que celles et ceux qui ont passé des milliers d’heures à étudier profondément le sujet depuis des mois.

Se sont-ils posées les mêmes questions, ont-ils lu les mêmes études, les mêmes stats, investi du temps pour se faire LEUR propre opinion, et non le pré-mâchage médiatique, puis arrivé à des conclusions diamétralement opposées à celles des « complotistes » ?

Bien sûr que non, à quoi bon perdre son temps face à des « allumés » qui racontent n’importe quoi quand une presse « indépendante » fait le travail pour vous !

Pas de coupables, pas de meurtres !

Le dernier argument qui permet de se dédouaner et de retourner se coucher est le suivant :

« OK d’accord tout serait faux, mais alors c’est organisé par qui et pour quoi ? »

Imaginons que vous disposez de toutes les preuves (facilement disponibles) que toute cette pandémie est un faux et que ce sars-cov2, probablement fabriqué, n’est pas plus méchant que les virus respiratoires habituels. Vous avez alors tous les éléments de preuve, mais, sous prétexte que les coupables ou complices ne sont pas identifiés, alors les preuves peuvent être discréditées et celui qui vous les a amenés devient un complotiste illuminé…

C’est comme si vous étiez policier… vous arrivez sur les lieux d’un crime et découvrez un cadavre. Vous posez alors la question :

« Vous connaissez le meurtrier et ses motivations ? »

Et si la réponse est « non » alors vous déduisez « bon ça doit être une erreur, on a imaginé le meurtre ! »

Personnellement, même si j’ai quelques éléments, quelques indices, je ne possède strictement aucune preuve quant aux commanditaires, complices, opportunistes, desseins…

Je croule juste sous les preuves que :

  • Bill Gates n’est pas clair.
  • L’OMS est corrompue.
  • Les laboratoires pharmaceutiques n’ont strictement aucune valeur morale.
  • Des politiques disposent d’informations, mais agissent contre l’intérêt commun.
  • Les lobbies et la corruption vont bon train.
  • Les médecins médiatiques ont des conflits d’intérêts.
  • Ce virus est un gentil virus dont nous n’aurions JAMAIS entendu parler si les médecins avaient conservé le droit de soigner les malades et que les politiques et médias n’avaient pas monté l’affaire en épingle.
  • Les données sanitaires sont des faux.
  • Il existe des traitements.
  • Les prétendus « vaccins » sont inutiles, inefficaces et dangereux.
  • Etc.

Les « possédés » n’ouvriront pas les yeux

C’est lorsque l’autorité qui leur a dit « blanc » dira « noir » qu’ils acquiesceront et changeront d’avis, pardon… adhéreront à la nouvelle « vérité ».

Se poser les questions, chercher les réponses (bien entendu en dehors des médias classiques) ouvre une boîte de pandore trop violente.

« Comment moi, une personne si intelligente, ai-je pu tomber dans un piège qui, si on le regarde de l’extérieur, est extrêmement grossier ? »

C’est ce que se disent les personnes, pourtant intelligentes, qui sortent de secte…

Cette révélation est désormais d’autant plus difficile pour celles et ceux qui se sont injectés « volontairement » qui vont découvrir que la substance expérimentale est d’autant plus dangereuse que l’on s’injecte de doses, mais aussi qu’elle ne protège en rien de la contamination et de fait qu’elle n’aidera pas à mettre fin à la « pandémie ». Substance dont on ignore totalement les effets à long terme (une première mondiale à l’échelle de la planète). Et que dire de la violence de la révélation pour les parents qui ont injecté les thérapies géniques à leurs propres enfants et qui leur ont fait courir un risque (peut être minime, mais réel) pour RIEN ou pire… pour aller en vacances.

C’est donc grâce à notre « intelligence supérieure », grâce à l’impossibilité de se tromper (à ce point) qui nous est conférée par celle-ci (que les complotistes n’ont pas bien évidemment) que nous les Occidentaux et surtout les Français resterons dans l’ignorance… pour l’instant.

Pour l’instant, car si on regarde ce qu’il se passe à l’étranger, l’édifice commence à se fissurer de toutes parts… Et quand la vérité sortira, elle fera mal à tous les manipulés et complices malgré eux.

Personnellement j’ai dépensé suffisamment d’énergie pour les aider…

Merci Alain Tortosa.
20 septembre 2021.
https://7milliards.fr/tortosa20210920-intelligence-superieure-francais.pdf


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Voir aussi : Le défi de l’intelligence
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« CIA, Vaccins, Médecine militaire expérimentale et Cristaux liquides » par Serge Monast

Par Serge Monast, journaliste d’enquête québécois mort en décembre 1996

[Ndlr : au-delà de la question de l’authenticité ou non des éléments rapportés par Serge Monast en 1994, ceux-ci, réels ou fantasmagoriques, trouvent un écho tout particulier par rapport à la « plandémie » Covid-19. À chacun d’estimer s’ils sont plausibles, probables ou seulement la traduction d’un délire paranoïaque ou complotiste.]

Extraits du rapport dactylographié
« CIA, Vaccins, Médecine militaire expérimentale et Cristaux liquides »




Face à la résistance, le gouvernement tente de sauver son passe sanitaire

[Source : lecourrierdesstrateges.fr]

Par Éric Verhaeghe

Le passe sanitaire semble en bien mauvaise posture désormais. Face au recul évident de l’épidémie depuis le 15 août, le gouvernement ne peut plus guère invoquer le moindre motif de santé publique pour justifier son expérience de crédit social à la chinoise maquillée derrière la pudibonde appellation de « passe sanitaire ». Bien décidé, pour les raisons que nous avons plusieurs fois expliquées, à sauver cet instrument de « contact tracing », la caste cherche un moyen de le préserver sans être dans un antagonisme manifeste avec le droit constitutionnel. Ce repli prudent est d’abord l’effet des manifestations et des mobilisations de cet été, qui déstabilisent notamment les hôpitaux publics.

Le passe sanitaire survivra-t-il au recul en cours de l’épidémie ? Pour le gouvernement, la situation est épineuse et la question particulièrement délicate. 

Le passe sanitaire en sursis juridique

On a trop souvent oublié cette phrase rédigée par le Conseil Constitutionnel dans sa décision relative à la loi du 5 aout 2021 transformant officiel le passe sanitaire en outil de crédit social :

30. En second lieu, en vertu du premier alinéa des paragraphes I et II de l’article 1er de la loi du 31 mai 2021, les mesures susceptibles d’être prononcées dans le cadre du régime de gestion de la sortie de crise sanitaire ne peuvent être prises que dans l’intérêt de la santé publique et aux seules fins de lutter contre la propagation de l’épidémie de covid-19. Selon le paragraphe IV de ce même article, elles doivent être strictement proportionnées aux risques sanitaires encourus et appropriées aux circonstances de temps et de lieu. Il y est mis fin sans délai lorsqu’elles ne sont plus nécessaires. Le juge est chargé de s’assurer que de telles mesures sont adaptées, nécessaires et proportionnées à la finalité qu’elles poursuivent.

La rédaction des Sages est claire : les restrictions aux libertés sont prévues jusqu’au 15 novembre au plus tard, mais elles cessent dès qu’elles ne sont plus proportionnées à la situation d’urgence sanitaire. Comme le précise utilement le Conseil, “le juge est chargé de s’assurer” de cette proportionnalité. 

Le Conseil Constitutionnel a donc placé une épée de Damoclès au-dessus de l’exécutif en ouvrant expressément la possibilité d’une annulation en série pour des mesures gouvernementales qui deviendraient abusives. Certes, la notion d’abus peut être appréciée de façons très différentes, selon les juges. Mais le risque d’une pagaille judiciaire existe, dès lors que les indicateurs sanitaires reviennent dans le vert.

Et comme nous le signalons ci-dessus, les chiffres de Santé Publique France montrent que le pic en réanimation a été atteint le 21 août (soit avec une semaine de retard par rapport à la Grande-Bretagne), et que la décrue est désormais consolidée. 

Le risque d’une déroute dans les tribunaux grandit…

Les ratés d’une campagne-éclair

Si les semaines d’été ont permis à l’équipe au pouvoir d’obliger un grand nombre d’indécis à accepter une vaccination dont les conséquences à long terme pour la santé ne sont pas documentées, la résistance a été plus forte qu’attendue. 

D’une part, depuis le 12 juillet, chaque samedi, des manifestations ont lieu partout en France. Même si le gouvernement minore très fortement la participation effective à ces opérations, leur ténacité constitue un vrai marqueur politique, conforté par une montée de la contestation directe lors des déplacements du Président de la République. 

D’autre part, de l’aveu même du gouvernement, un quart des soignants non-vaccinés début août a résisté et ne présente toujours aucun schéma vaccinal. Au total, ce sont 10% des soignants qui devraient être évincés de leurs fonctions, ce qui pose un vrai problème d’organisation et de continuité des soins. 

D’ores et déjà, on signale des hôpitaux en difficulté, y compris à Paris, avec de fortes désorganisations qui ne tarderont pas à susciter la colère des vaccinés les plus hystérisés eux-mêmes. Tous ces éléments contribuent forcément au recul gouvernemental et au renforcement de la pression sur le maintien d’une mesure qui a beaucoup clivé le pays. 

L’enjeu industriel de l’identité numérique

Face à cette Real Politik, le gouvernement est pris entre le marteau et l’enclume. En Italie, Mario Draghi prend de l’avance dans la course à l’identité numérique, avec une généralisation du passe sanitaire pour les salariés à compter du 15 octobre. Cette décision a suscité de nombreuses angoisses en France. 

https://youtu.be/8CtBlPx_q1E

Nos lecteurs savent par ailleurs tout des grands industriels qui entourent l’identité numérique, dont le passe sanitaire est l’un des volets. La contrainte en sous-main est forte pour maintenir coûte-que-coûte la pression du passe et du crédit social sur les populations. 

L’option du passe sanitaire local

Pour ménager la chèvre et le chou, Gabriel Attal a donc dégainé aujourd’hui l’arme du passe sanitaire local :

« Il y a une réflexion sur la manière dont on peut adapter les règles, soit le passe sanitaire, peut-être d’autres, à la situation locale et à l’évolution de la situation locale »

Il s’agirait, dans la pratique, de garder le passe sanitaire en arrière-fond permanent, en attendant avec impatience la prétendue 5è vague, qui permettra de le réintroduire partout. Reste à voir si cette conciliation des contraires convaincra les juges. Du point de vue du gouvernement, elle permettrait en tout cas de ne pas complètement refluer sur une position doctrinale qui recouvre de vrais projets à long terme. 

Cet été, nous avions anticipé un Stalingrad de Macron dans ses projets liberticides. L’enlisement des colonnes macroniennes est finalement arrivé plus vite que prévu. 




Pas de suspension des personnels non vaccinés en Guadeloupe

Par Nicole Delépine

[Voir aussi sur Riposte Laïque (ripostelaique.com)]

Exemption d’application de la loi en Guadeloupe. Pourquoi pas ailleurs ?  

« En Santé Publique, le vaccin est un moyen de prévention, de protection et de traitement contre une maladie infectieuse potentielle, le vaccin ne peut être une arme de guerre, de soumission, de contrôle et d’asservissement des peuples. »

Nous avons appris avec joie que le directeur du CHU de Guadeloupe, Gérard Cotellon, était enfin pragmatique et privilégiait peut-être le sort des patients à l’application irréfléchie et inhumaine de la loi aberrante votée début août par quelques députés et dont le décret d’application (valable ou non ?) fait beaucoup jaser.

Pourtant ce directeur, ancien infirmier général et longtemps bras droit de Martin Hirsch patron de l’APHP, avait l’habitude des guerres hospitalières sans état d’âme contre le personnel et les patients à l’APHP de Paris.(([1] En particulier lors de la fermeture de l’unité d’oncologie pédiatrique de Garches en 2014))

Que s’est-il passé ? Aura-t-il su faire preuve d’humanité cette fois-ci ? Les miracles existeraient-ils au soleil de Guadeloupe ?

De fait, depuis le début de la “plandémie”, les autorités en Guadeloupe se heurtent à une très forte opposition à la gestion de la crise sanitaire. Le syndicat Union générale des travailleurs de Guadeloupe et le collectif LKP (Lyannaj Konrt Pwofitasyion), qui militent contre l’obligation vaccinale, ont déposé mardi une nouvelle plainte contre X, mettant en avant, entre autres, « l’afflux de visiteurs » pendant les vacances d’été et l’état du système hospitalier en Guadeloupe.

Et le 5 février  précédent, on pouvait  déjà lire de la part des « sentinelles Guadeloupe » :

Message à Gérard Cotellon, Directeur du CHU de Guadeloupe, ainsi qu’aux chargés de la “vaccination” au sein de l’établissement.

Arété fè sa zôt ka fè-la…

Parents qui avez des proches âgés hospitalisés, ne les laissez pas à la merci des “distributeurs” de “vaccins”.

Assurez-vous des conditions d’obtentions de leurs accords pour être “vaccinés”.

Sentinelles Guadeloupe(([2] (20+) Sentinelles Guadeloupe – Publications | Facebook))


Selon l’AFP :

« Le directeur du CHU de Guadeloupe a décidé de ne pas appliquer la loi sur l’obligation vaccinale et fait travailler des soignants non vaccinés. Tous les directeurs peuvent décider de le faire en le motivant par la continuité du service public.(([3] Par J.Cl. avec AFP Le 17 septembre 2021 à 10h19))

« Si la vague épidémiologique reflue, les services hospitaliers sont toujours remplis de malades. Suspendre les personnes non vaccinées les empêcherait de fonctionner. »

Trop c’est trop.

Faire fonctionner un hôpital sans soignants dont il est issu, c’est impossible et c’est sa responsabilité médico-légale personnelle de surcroît. Il a bien des raisons, ce directeur, d’être humain (?), et/ou prudent…

Nous dirons finalement qu’il est prudent quand on lit les lettres des syndicats locaux démontrant la souffrance des personnels, le manque de moyens etc.

« Monsieur Le Directeur Général,(([4] L’UTS-UGTG a écrit à Gérard Cotellon

andre-jean VIDAL Guadeloupe , Santé , Social 14 septembre 2021))

 Permettez, qu’une fois de plus, nous vous interpellions sur ce que ne nous pouvons désormais qualifier que de “scandale de la Gestion des Ressources Humaines au CHU.”

 Vous interpeller également sur ses manifestations des plus visibles, la maltraitance et le harcèlement, que vous soutenez, encouragez et pratiquez depuis tantôt et avec violence depuis la crise du Covid-19.

En effet, par différentes notes de service à caractère propagandiste en faveur de la vaccination, vous distillez la peur, la soumission, la culpabilisation des personnels et la stigmatisation des 80 % d’agents non vaccinés. Ainsi, d’abord, après des mois de service sous tension, ceux qui ont voulu prendre des vacances, vous les avez sommés, sous menace de sanctions, de reprendre leur travail et les avez traités de déserteurs, au motif du déclenchement du Plan Blanc/CHU.

Ensuite, à ceux qui ont voulu se mobiliser, tous ces derniers mois, pour obtenir le paiement de leurs heures supplémentaires, et les primes spécifiques liées à leur fonction, leur intégration sur les postes vacants qu’ils occupent depuis des années, ou qui ont dénoncé le manque de médicament, de draps, de scopes, de respirateurs, de climatisation et de traitement d’air, vous avez opposé le déficit annuel de 40 millions d’euros du CHU, établi selon vous par les 14 millions de recettes de fonctionnement mensuel et par les 17 millions de charges de fonctionnement mensuel, notamment des charges en personnel.

Ainsi, selon vous, l’équilibre financier du CHU devrait passer par la suppression de centaines de postes, la dénonciation d’accords locaux sur la gestion, l’organisation et la durée du temps de travail, le passage généralisé en 12 heures, et bien évidemment la corvéabilité permanente des agents.

 Et par conséquent, le droit à la qualité de la vie au travail, le droit à des conditions d’hygiène, de sécurité au poste de travail, le droit à évoluer dans un environnement sain, le droit à la formation, à la promotion promotionnelle, à une carrière dynamique, le droit au respect des prérogatives des instances de représentation du personnel, et singulièrement des alertes du CHSCT et de ces experts comme INDIGO, tout ceci devrait être possible, puisque réglementaire, mais ne peut être envisagé dans le contexte économique, financier et sanitaire actuel et futur.

 Et maintenant, depuis le 12 juillet 2021, jour de l’oukase du Président Macron instituant l’obligation du passe sanitaire et de la vaccination, comme sésame pour la sortie de la crise sanitaire en France, et ensuite les lois et décrets respectivement des 5 août et 07 août 2021, vous semblez être heureux d’avoir désormais l’équipement qui vous manquait pour montrer moun ki moun ki dirèktè à CHU.

Vraiment, jusqu’à votre lettre du 30 août 2021 où vous nous avez déclaré de manière péremptoire que désormais vous alliez appliquer des mesures RH de manière stricte, et ce en réponse à la suspension de notre participation aux négociations de l’Agenda social, nous étions persuadés que comme nous, syndicats et représentants du personnel, pour vous, les femmes et les hommes, les soignants, techniciens, ouvriers, et administratifs, corps hospitalier s’il en est, étaient la principale richesse du CHU ; que cette richesse devait être soutenue, valorisée pour obtenir sa pleine disposition à assurer le service public de santé au CHU Jodilà, et au CHU de Perrin Dèmen ; et que jamais vous n’auriez participé à cet hallali contre nous, soignants, soldats de la première heure pour crime de désobéissance, de refus de piki fosé…

 Non, nous n’en sommes pas surpris de votre allégeance à votre fonction, nous sommes déroutés par la revendication de cette allégeance. …/… Parce qu’en plus, vous le savez, Monsieur le Directeur Général du CHU, le Centre Hospitalier Universitaire de Guadeloupe, le système hospitalier de santé en Guadeloupe, l’organisation et l’effectivité de l’accès du bénéfice et de la qualité des soins, en Guadeloupe, est énigmatique.

 Avec une Agence Régionale de Santé qui coupe, qui hache et qui finance les projets de santé qu’elle seule a choisi, un privé qui accapare la quasi-totalité des Activités MCO et SSR, un Projet Régional de Santé et un Projet Médical de Territoire catalogues de bonnes intentions, et quelques portes ouvertes sur le cancer de la prostate, les addictions et les robots, ni la maladie, ni les malades, ni les soignants et ni la santé ne sont entendus, ni les précarités, ni les comorbidités, ni la maladie mentale qui constituent le terreau de l’actuel Covid 19, ne sont évoquées, encore moins invoquées.

En conséquence, la surmortalité due au Covid et les dégâts familiaux, psychiques, les kô krazé é tèt pété post Covid, sans le deuil de parents et d’amis, et sans le deuil de la vie d’avant-guerre, relèvent pour nous d’une programmation, voire d’une modélisation.

 Vous comprendrez pourquoi, pour nous, le Directeur Général du CHU de Guadeloupe et ses autorités médicales internes devraient s’inquiéter autrement de la place et du rôle du CHU, établissement de premier recours et de référence, en bout de la chaîne de soins, mais hélas aujourd’hui confronté en aval à un torrent d’incompétences et de conflits d’intérêts, et toutouni parce sans soutien politique, sans soutien administratif, incertain budgétairement, financièrement et sans dynamisme institutionnel.

 Et quand en plus, malgré près de 10 mois de propagande, de matraquage sur les bienfaits des vaccins, sur la surmortalité des non-vaccinés, personnes âgées et des comorbides, plus de 80 % de vos agents médicaux et non médicaux se tâtent, s’interrogent, s’inquiètent, persistent et refusent toutes obligations non fondées, tout mépris à leur intelligence, tout chantage à leur emploi, vous soutenez être déterminé à suspendre leur emploi et leur rémunération pour mieux les contraindre, nonobstant les déclarations politiques de suspension des obligations de votre patron Véran. C’en est trop !

 Vraiment nous attendions de vous une prise de distance, un peu plus discrétion et plus circonspection, plus de solidarité, plus de respect pour notre équilibre physique et mental, parce que vous le savez comme nous, la gestion de la pandémie du Covid-19 pue la finance et la politique mais pas l’aspirine, ni la Bétadine, ni l’Ivermectine, ni le zèb a pik.

 Enfin, quand le CHU de Guadeloupe sort plus de 300 morts de ses lits en 1 mois, la responsabilité et la faute ne peuvent venir que de ses organisations et désorganisations, que de ses manques d’équipements, de ses choix de traitement et de non traitements, de ses manques de matériels, de médicaments, d’effectifs soignants et de son environnement propice aux infections nosocomiales, etc…

 Désigner les soignants et les non vaccinés comme les propagateurs du virus et de ses petits, est vil et indigne d’un Cadre de Direction de votre rang. En Santé Publique, le vaccin est un moyen de prévention, de protection et de traitement contre une maladie infectieuse potentielle, le vaccin ne peut être une arme de guerre, de soumission, de contrôle et d’asservissement des peuples.

 NON, nous Agents du CHU paka maché ni avè gòj, ni avè gojèt… Nou péké pwan piki ni pa fòs, ni pa la pè !! Recevez, Monsieur le Directeur Général, nos salutations distinguées. Pointe-à-Pitre, le 14 Septembre 2021 Le Secrétaire de Section G.CLAVIE »

 Finalement, et bien lui en a pris, le directeur du chu a décidé de ne pas suspendre les personnels non vaccinés  (près de 80 % ). Il est clair que reste mystérieuse la façon dont il aurait pu faire fonctionner son hôpital.

 À SUIVRE !

 Selon le directeur de l’hôpital, 74,19 % du personnel n’a pas encore entamé de parcours vaccinal. (Illustration) AFP/Carla Bernhardt

Le directeur général du CHU de Guadeloupe a reconnu jeudi être « dans l’impossibilité » d’appliquer la loi sur l’obligation vaccinale, entrée en vigueur mercredi.

Selon Gérard Cotellon, 74,19 % du personnel n’a pas encore entamé de parcours vaccinal. Les 26 % vaccinés sont en majorité des médecins et des internes. Ce qui signifie que les personnels du CHU sont moins vaccinés que la population où la proportion de personnes ayant reçu au moins une injection atteint 38,5 %. « Faire tourner l’hôpital, malgré la loi ».

 « Je prends donc sur moi cette responsabilité de faire tourner l’hôpital, malgré la loi », a-t-il déploré. 


https://twitter.com/LE__GENERAL_0FF/status/1437731900521689092




Les révélations de Pfizer devant la FDA

[Source : Le Salon Beige]

De Pierre-Antoine Pontoizeau, consultant, pour le Salon beige:

Pfizer a été auditionné le 17 septembre par la FDA (Food and Drug Administration, administration américaine des denrées alimentaires et des médicaments). Rappelons que la thérapie génique-vaccin a été validée très récemment le 23 août 2021.

J’ai lu le document de référence de Pfizer intitulé : BNT162b2 [COMIRNATY (COVID-19 Vaccine, mRNA)] Evaluation of a Booster Dose (Third Dose) VACCINES AND RELATED BIOLOGICAL PRODUCTS ADVISORY COMMITTEE BRIEFING DOCUMENT

Rappel de la situation

Rappelons au lecteur que cette thérapie nous a été présentée comme un vaccin devant répondre aux trois propriétés de tous les vaccins disponibles : innocuité, protection, durée. Pfizer avait surtout insisté sur la qualité de la protection avec le fameux 95 %, et rien annoncé sur la durée. L’expérience a duré moins de 2 mois ! Il avait communiqué quelques informations optimistes sur l’innocuité.

Rappelons qu’avec si peu d’informations disponibles, le dictionnaire Vidal du médicament note dans son édition de juillet 2021 : « Si ces résultats sont globalement encourageants, de nombreux questions persistent, tant sur la durée de l’immunité conférée que sur la protection des personnes les plus à risque de formes sévères, l’impact sur la transmission du virus par les personnes vaccinées, ou la toxicité à long terme. » [la coquille de “nombreux” est dans le texte du dictionnaire]

Pfizer admet la faible protection dans la durée

Que nous dit ce document utilisé lors de cette audition ? Essentiellement quatre enseignements :

  1. « La protection contre l’infection à Covid-19 diminue environ 6 à 8 mois après la deuxième dose » (p.6).  Ces nouveaux vaccins-thérapies géniques trahissent cette propriété et l’engagement moral des États et des patients. Ils avaient tous à l’esprit une protection durable. Pfizer reconnaît donc ce 17 septembre 2021 que son produit ne protège que temporairement. Il en induit donc un marché renouvelable de la vaccination entraînant des dépenses de santé considérables et inaccessibles pour de très nombreux pays. Le lecteur aura noté le mensonge par omission de la première publicité, pour ne pas dire la propagande du laboratoire.

Pfizer précise : « l’efficacité du vaccin diminue avec le temps depuis la vaccination complète, quel que soit le variant. »

Pfizer confirme cela par l’écart à une date de référence pour montrer que plus les personnes ont été vaccinées tôt, plus la probabilité de contracter de nouveau la maladie était élevée : « Le temps moyen entre la dose 2 de BNT162b2 et le 1er juillet 2021 était d’environ 5 mois pour le groupe croisé et 10 mois pour le groupe initial. Les résultats ont montré que l’incidence des cas de percée était plus élevés chez les personnes qui ont reçu la dose 2 au moins 8 mois avant le 1 juillet par rapport à ceux qui ont reçu la dose 2 moins de 4 mois avant le 1er juillet 2021, confirmant la baisse de l’efficacité du vaccin dans le temps. »

La promotion douteuse de la 3e dose

  1. Pfizer promeut évidemment le principe d’une troisième dose applicable à des centaines de millions de personnes. Le laboratoire fonde sa recommandation sur l’étude suivante dont le lecteur appréciera le sérieux au regard du nombre déjà : « 23 participants âgés de 24 à 75 ans démontrent qu’une dose de rappel (troisième) de 30 μg BNT162b2 administrée environ 6 mois après la deuxième vaccination de BNT162b2 avait un profil d’innocuité acceptable et induisait des réponses immunitaires contre le type sauvage (souche de référence), ainsi que contre le Beta et le variant delta, préoccupant. ». Que veut dire une innocuité acceptable ? Que veut dire une réponse immunitaire sans précision ? Le marketing reprendrait-il le dessus ? Le discours est lénifiant, non argumenté et les termes antiscientifiques. L’acceptabilité est un terme juridique, contractuel, moral aussi. Cela signifie en creux qu’il y a des problèmes – lesquels, dans quelle proportion ?

Continuons : « La phase 3 de la sous-étude menée chez 306 participants de 18 à 55 ans, a montré que le vaccin était aussi bien toléré que la deuxième dose primaire et a provoqué des réactions immunitaires (titres neutralisants de 50 % du SRAS-CoV-2) contre le type sauvage, 1 mois après la troisième dose non inférieures aux réponses immunitaires observées ». Pfizer se fonde là encore sur une étude ridicule en nombre pour attester d’un effet mesuré à un mois. Il ne préjuge pas de nouveau de la protection future. Deux remarques. Peut-on fonder des opérations sur des centaines de millions de personnes avec un échantillon aussi faible ? Est-ce bien représentatif ? Est-ce suffisant ? Ensuite, le laboratoire ne s’engage pas au-delà d’une réponse à un mois pour justifier l’injection de la 3e dose. Qu’en est-il à 6 mois ?  Même stratégie qu’au départ. Frauduleux tout simplement. La décision de la 3e dose se prend sans recul à 6 ou 8 mois de nouveau. Dans 7 mois, nous redirons la même chose pour acter une 4e dose ? Rien ne vient étayer que cette 3e dose résout le problème initial de la protection durable.

Pfizer induit tacitement une vaccination annuelle, voire semestrielle. Ce n’est plus de la vaccination, c’est un traitement permanent pour protéger les populations d’une maladie à la létalité extrêmement faible. Le coût d’une telle opération récurrente sur 10 ans pour quelques milliards d’habitants s’élèvent cette fois à quelques centaines de milliards de dollars. N’y a-t-il pas mieux à faire en matière de santé publique pour une maladie qui a tué en 18 mois 4 millions de personnes ? Pour les 60 millions de décès par an, avec des causes de mortalité qui mériteraient des fonds, ces milliards seraient sans doute infiniment plus utiles. Folie pure sur le plan du ratio investissement/enjeu de protection des personnes.

L’éthique du cobaye confirmée sans vergogne

  1. L’expérience sans protocole. « Enfin, les données d’un programme de vaccination de rappel (troisième dose) récemment lancé dans l’ensemblede la population éligible d’Israël indique que, face à la baisse de l’immunité et dans la période où le delta est la variante dominante, une dose de rappel de BNT162b2 a une réactogénicité au profil similaire à celui observé après réception de la deuxième dose de la série primaire élevant les niveaux de protection contre la Covid-19 (c.-à-d. retour à une protection d’environ 95 %) ». Pfizer n’est plus l’organisateur des phases 2 et 3 avec constitution des échantillons, mesures des effets et analyse complète. Pfizer assume que l’expérience de la 3e dose se fait dans le cadre d’un programme assumé par un État. Sa population sert donc bien de matériel d’expérimentation. C’est inédit, éthiquement très contestable, et scientifiquement très limité. En effet, nous parlons d’une population dans un pays sans aucun regard sur d’autres populations. Trois critiques a minima : une extrapolation hasardeuse, une mesure à très courte durée, une assertion sur la protection fidèle à la promesse marketing. Étonnant que la 3e dose n’obtienne pas mieux par exemple.

L’impasse sur la question de l’innocuité

  1. Concernant l’innocuité, Pfizer présente un tableau intitulé : Participants signalant des événements systémiques, selon la gravité maximale, dans les 7 jours suivant la dose de rappel – Phase 3 – BNT162b2-Sujets expérimentés qui ont reçu une dose de rappel de BNT162b2 (30 ug)(cf. page 39) Alors que les résultats de pharmacovigilance mentionnent des décès post-vaccinaux à quelques heures ou quelques jours sur des publics réputés en bonne santé, rien ne vient documenter, expliquer ou rassurer. Rien concernant les autopsies pratiquées dans quelques pays, embarrassantes dans leurs conclusions, ni même des recommandations : contre-indications, interactions médicamenteuses, etc.

Pfizer explique que sa thérapie protège bien, puis peu et pas très longtemps après avoir vendu à la terre entière une thérapie prétendument sûre à 95 % pour une durée indéfinie. Créant la confusion de vocabulaire en prétendant être un vaccin bien plus qu’un médicament, il a entretenu sciemment l’illusion d’une longue protection. C’est ce que tout le monde a compris. Est-ce une omission en vue d’une tromperie ? Nous le saurons dans les jours qui vont suivre cette audition qui piège la FDA depuis sa reconnaissance de la thérapie comme vaccin, tordant le cou à la qualité même de la protection vaccinale.

Un modèle économie amoral au regard du risque couvert

Pfizer facture quelques dizaines de dollars la vaccination. Si nous étions sûr de son caractère définitif, les États pouvaient consentir un investissement une bonne fois pour toute. Or, l’audition de ce jour aboutit au constat incroyable que la thérapie de Pfizer engendre un investissement annuel ou semestriel. Pour les USA, à 20$ le vaccin multiplié par 300 millions de personnes vaccinées au minimum, ce serait chaque année 6 milliards de dollars. Pour deux milliards d’habitants pour lesquels le procédé serait retenu par exemple, nous parlons de 40 milliards de dollars par an. Et ce, pour une protection efficace quelques mois et une baisse assez rapide aujourd’hui admise par le laboratoire.

La FDA et l’Union européenne peuvent-elles continuer à dilapider de telles sommes d’argent ? C’est le sens même des propositions de l’Union européenne affirmant promouvoir un éventail de thérapeutiques auprès des malades lors du diagnostic, aux premiers symptômes : cibler, soigner, dépenser efficacement. D’autant que d’autres maladies bien plus mortifères manquent de ressources pour soigner les populations. L’alternative tout à la fois médicale et économique pourrait porter un coup fatal à Pfizer face à un modèle injustifiable.

Un risque sanitaire toujours non évalué dans la durée

Reste la dimension des risques liés à l’accumulation des doses dans l’organisme. Rien sur cette question. C’est la grande question de la toxicité dans la durée. La FDA et l’Union européenne peuvent-elle faire courir un risque totalement inconnu à des populations en centaines de millions de patients ? Le risque sanitaire est réel, l’imprudence est manifeste. Pfizer ne sait rien de l’effet cumulatif de sa thérapie sur le système immunitaire. Il ne sait rien sur la question éthiquement essentielle de la relation ARN/ADN par addition des injections ? L’ont-ils fait sur des animaux, ne serait-ce que pour vérifier ? Ce document ne donne pas d’assurance. C’est irresponsable et dangereux. On ne fait pas de la science avec des théories et des affirmations mais avec des faits d’expérience.

Le risque politique deviendrait rapidement insupportable. Si d’aventure des injections obligatoires et à répétition avaient des effets sur des parts, même infime de la population, ce serait explosif. Rappelons que 1 % de cas graves pour 100 millions de patients, ce serait 1 million de cas graves. Est-ce un risque acceptable ? Je ne crois pas. Il est urgent de tourner la page du délire « vaccinal » au profit de thérapies, comme l’Union européenne l’annonce depuis juin 2021.





Les nanoparticules de graphène : Propriétés, applications, toxicité et réglementations

[Source : REINFOCOVID]

Il a circulé récemment sur les réseaux sociaux des allégations sur la présence non déclarée de nanoparticules (NP) d’oxyde de graphène (GO) dans les vaccins à ARNm contre la COVID-19. Cet article tente de faire le point au sujet des nanoparticules d’oxyde de graphène afin de démêler le faux du vrai. VERSION PDF

Les nanoparticules de graphènes (oxyde de graphène, oxyde de graphène réduit et graphène quantum dots) : Propriétés, applications, toxicité et réglementations

À RETENIR

  • Les études de toxicités des nanoparticules d’oxyde de graphène ne permettent pas encore une application pratique dans le domaine des médicaments, des vaccins ou des dispositifs médicaux.
  • L’élimination rapide par le système immunitaire des nanoparticules d’oxyde de graphène rend difficilement possible la thèse d’une administration frauduleuse.

Il a circulé récemment sur les réseaux sociaux des allégations sur la présence non déclarée de nanoparticules (NP) d’oxyde de graphène (GO) dans les vaccins à ARNm contre la COVID-19 (voir encadré). Certains sont même allés jusqu’à évoquer son utilisation (frauduleuse donc) pour une connexion des individus à la 5G et ont proposé des méthodes de détoxification au glutathion, N acétylcystéine (acides aminé précurseur du glutathion endogène), Zinc et autres [1]. Ricardo Delgado de La Quinta Columna [2] affirme avoir fait réaliser par des chercheurs espagnols des études observationnelles de doses de vaccin par microscopie optique et électronique, allant jusqu’à affirmer avoir dosé 747 ng de graphène. Certains sites vont jusqu’à affirmer que cette substance serait également présente dans les tests PCR, antigénique et les masques [3]. Mais il n’existe à ce jour aucune publication revue par des pairs.

Cet article tente de faire le point sur les propriétés physico chimiques, l’état de la recherche et les applications industrielles en cours, particulièrement dans les vaccins, la toxicité et la réglementation actuelle au sujet des nanoparticules d’oxyde de graphène afin de démêler le faux du vrai.

Composition du produit PFIZER (source : 
https://faqs.in.gov/hc/en-us/articles/360054190632-What-are-the-components-of-the-Pfizer-vaccine-shot-)

Ingredient actif

  • ARNm modifié codant pour la glycoproteine virale Spike du SARS-CoV-2

Lipides

  • (4-hydroxybutyl)azanediyl)bis(hexane-6,1-diyl)bis (ALC-3015)
  • (2- hexyldecanoate),2-[(polyethylene glycol)-2000]-N,N-ditetradecylacetamide (ALC-0159)
  • 1,2-distearoyl-snglycero-3-phosphocholine (DPSC)
  • cholesterol

Sels

  • potassium chloride
  • monobasic potassium phosphate
  • sodium chloride
  • basic sodium phosphate dihydrate

Autre

  • sucrose

1/ Propriétés chimiques et physiques de l’oxyde de grahène NP

Le GO est un isolant et un semi-conducteur électrique (cependant moins fort que le Graphène pur). Il s’agit d’une monocouche de carbone de structure hexagonale en nid d’abeille avec des groupes hydroxyde (OH) et carboxyliques COOH.

En raison de ses défauts dans la structure, des propriétés magnétiques locales ont été observées de différents types (ferromagnétique, paramagnétique, antiferromagnétique) du fait de ses propriétés semi-métalliques. Pour résumer, le magnétisme n’est pas une propriété inhérente du GO mais liée à la quantité de défauts de structures et son analyse physique est en cours.

Concernant le magnétisme des nanoparticules de ces composés, des recherches visent actuellement à régler deux problématiques pour activer leur magnétisme :

  1. la nécessité d’une consommation élevée d’énergie
  2. la contrainte d’un température ambiante (20°C) pour réussir à activer ce magnétisme

2/ Recherches et applications Industrielles

On distingue 3 structures : l’oxyde de graphène (GO), l’oxyde de graphène réduit (rGO) et le graphène quantum dots (GQD) qui sont des nanoparticules (donc de moins de 100 nm).

Les nanoparticules de GO sont actuellement étudiées et développées comme nano-supports pour une variété d’agents biologiquement actifs (biocatalyseurs, biocapteurs et médicaments).

De nombreuses applications utilisant des nanoparticules (NP) de GO sont envisagées :

  • Environnementale : formant des complexes avec des polluants organiques / métalliques, il peut être utilisé comme dépolluant, pour purifier l’eau (salée) en améliorant l’hydrophilie des membranes de purification et en facilitant la photo-oxydation des molécules polluantes de l’eau.
  • La production d’énergie par conversion de lipides en carburants par des lipases encapsulées.
  • Médecine : les quantum dots (nanocristaux semi-conducteurs) – de graphène et de nano-composites magnétiques (Fe3O4) offrent un ensemble unique de propriétés optiques et magnétiques pour les futures applications énergétiques et médicales. Ils peuvent également être utilisés en imagerie médicale comme agent de contraste. De plus, les propriétés magnétiques des nanoparticules Fe3O4 en font un excellent agent de contraste pour les applications IRM. Ils montrent également une excellente réponse à la luminescence lorsqu’ils sont exposés à la lumière UV, entraînant une émission de lumière visible.

Les GO peuvent être utilisés pour faciliter la pénétration et l’absorption d’anticorps, d’enzyme, des médicaments, des protéines. Cependant des limitations à l’usage et l’application des nanoparticules magnétiques telle que l’agrégation et la précipitation à l’intérieur des vaisseaux sanguins, peuvent entraîner de graves conséquences. Enfin il y a des applications potentielles en thérapies anticancéreuses par ciblage actif de cellules tumorales ou ciblage passif quand des NP chargées positivement s’accumulent au niveau des sites tumoraux en raison des fuites vasculaires et de la faiblesse du système immunitaire fonctionnel de la région. Toutes ces applications n’ont pas encore abouti à des applications commerciales concrètes.

3/ La nanotechnologie et les vaccins à base d’ARNm basés sur le SARS-CoV-2 

Les vaccins de Pfizer/BioNTech et Moderna utilisent un ARNm de synthèse protégé par une bicouche lipidique, elle-même constituée de nanoparticules lipidiques (McGill COVID19 Vaccine Tracker Team, 2021) afin de permettre l’entrée de l’ARNm dans la cellule. Il n’y a pas de GO déclaré par le fabricant.

Pourtant, les NP GO et Graphène ont retenu l’attention en raison de leurs propriétés antimicrobiennes et antivirales. Le graphène favorise l’absorption de médicaments et de macromolécules (acides nucléiques, protéines…). Gao et al., en 2020 [4] ont développé un nouveau vaccin contre le COVID-19 en utilisant la combinaison d’un nano adjuvant et d’oxyde de graphène. Cette étude, réalisée sur souris, montre que ce vaccin peut induire des anticorps anti-SARS-CoV-2 RBD à titre élevé neutralisant le SARS-CoV-2 chez la souris en 2 semaines. Les auteurs concluent sur l’efficacité du vaccin à induire une réponse immunitaire mais également sur la nécessité d’études complémentaires sur la dégradation du graphène in vivo afin de construire un vaccin répondant aux critères de sécurité et de biocompatibilité

Des équipes de recherches travaillant actuellement sur NP de GO-Polyethylène glycol- polyethyleneimine, dans le cadre du développement d’immunothérapies anticancéreuses, tentent de retarder leur phagocytose (absorption et destruction de molécules par certaines cellules immunitaires) afin de rendre possible leur utilisation dans de telles thérapies.

Un autre aspect limitant de son utilisation est la toxicité potentielle in vivo du graphène. Ce sujet de débat et le manque d’informations suffisantes pour autoriser légalement les applications humaines semblent sa commercialisation peu probable dans l’état actuel des connaissances. Ainsi, son instabilité et l’agrégation du graphène en solution sont un défi supplémentaire alors que la solution des médicaments et des vaccins a besoin de stabilité [5].

4/ Toxicité des nanoparticules (NP) d’oxyde de graphène (GO)

Le projet européen Graphene Flagship étudie la toxicité de ce matériau (environnemental, santé) du fait de l’utilisation prometteuse dans l’administration de médicaments, la bio-imagerie, l’ingénierie tissulaire, la biodétection [6]. Un rapport de 2016 de l’Agence suédoise KEMI fournit un état des lieux très complet en 2019 sur l’absorption et la biodistribution de NPs, étape cruciale avant la toxicité potentielle des NPs [7].

Leur toxicité est dépendante de la biodégradation qui dépend elle-même fortement du pourcentage d’oxygène, du type de groupes fonctionnels (comme des epoxy), des défauts, de la taille et du nombre de couches. Plusieurs mécanismes cellulaires de toxicité des nanomatériaux de GO ont été identifiés : le stress oxydatif (inflammation), dommages à l’ADN (impact de la réplication cellulaire), réponse inflammatoire ou encore la destruction cellulaire par différents mécanismes : apoptose, autophagie, nécrose.

Le GO serait dégradé par une enzyme (la myéloperoxydase) produite par des globules blancs (neutrophiles) arrivant sur un site d’infection.

Toxicité cutanée : Selon Wang et al, 2016 [8], la majorité des études existantes suggèrent que les graphène quantum dots (GQD) ont une toxicité in vivo et in vitro relativement faible et une excellente biocompatibilité, par rapport avec notamment l’oxyde de graphène (GO), les nanotubes de carbone et les semi-conducteurs conventionnels. Mais le profil de toxicité des GQD varie selon les tests et la production de GQD. Les GQD voient leur pénétration cutanée augmenter avec l’exposition aux UV ou si la barrière cutanée est détériorée. D’une manière générale l’absorption systémique dépend de nombreux facteurs comme la taille, la charge de surface, le revêtement des NP, l’agglomération des NP, la composition du milieu et son pH. D’une manière générale, par la voie cutanée, la voie de pénétration par les follicules pileux (cavité à la base du poil) serait considérable, surtout pour les petites NP inférieures à 20 nm.

En intramusculaire et en sous cutané chez la souris, les QD de carbone se diffusent rapidement depuis le point d’injection. Après 24h, il n’y a plus d’identification dans aucun organe, suggérant une élimination totale des nanoparticules de carbone. En injection sous-cutanée, ils se retrouvent dans les ganglions lymphatiques entraînant une importante réponse immunitaire rapide.

Administrées par voie intranasale, des NPs de polymères de carbone polyanhydre sont aussi rapidement dispersées. Certaines, hydrophobes, peuvent persister cependant dans le tissu pulmonaire. D’une manière générale, les NPs par voie intranasale, surtout quand elles sont très petites, traversent la muqueuse olfactive et sont véhiculées en quantité importante dans le bulbe olfactif et autres parties du cerveau.

Injectés directement dans le sang, les quantum dots (QD) se retrouvent principalement dans le foie, la rate et les reins, qui sont les organes de « détoxifications » et en faible quantité dans le cerveau (0.1%). D’une manière générale, injectées dans le sang, les NP, en fonction de leur taille et de leur charge, peuvent subir une adsorption ou une opsonisation (= liaison à un anticorps) par les protéines sériques. Cette opsonisation favorise sa clairance (la purification par cette voie dépend de la taille des particules : plus le diamètre est grand, plus la clairance est cependant ralentie). Les cellules endothéliales qui tapissent les vaisseaux sanguins, forment une barrière semi-sélective selon la taille des nanoparticules : au niveau de l’endothélium vasculaire, des pores de 5nm permettent le passage des QD, ce qui fait qu’ils atteignent rapidement l’espace extracellulaire extravasculaire alors que les plus grandes >5nm restent plus longtemps dans la circulation sanguine où elles subissent une phagocytose et sont donc évacuées.

En résumé, les NP de Graphène (Go, G, GQD) sont d’autant plus toxiques que leur taille est grande (micron). Les groupements époxy du GO peuvent entraîner un stress oxydatif (inflammation) pouvant conduire à la mort cellulaire. Elles sont cependant plus facilement dégradées par des enzymes comme les peroxydases.

Des études visant à réduire leur toxicité en les liant à des polymères biocompatibles sont actuellement en cours. A l’heure actuelle, la toxicité du graphène est encore insuffisamment définie et seuls les effets aigus (court terme) et subaigu (moyen terme) ont été déterminés.

Le schéma de distribution des NP confirme que les molécules sont phagocytées et donc rapidement neutralisées. Cette distribution et leur accumulation/dégradation dépendent de la taille, la forme et la charge de surface des particules mais également de l’organe cible, le flux sanguin, le nombre de cellules phagocytaires.

5/ Réglementation

L’UE ne précise pas de consignes particulières concernant les nanomatériaux utilisées dans les dispositifs médicaux, il y a peu de détails dans le règlement 2017/74/CE mais d’autres Réglementations Européennes telles que REACH 1907/2006/CE (qui concerne la mise sur le marché des produits chimiques) considèrent les propriétés et dangerosités propres aux nanomatériaux.

Il existe un guide du comité scientifique dédié aux risques émergents (SCENIHR) de 2015 qui précise certaines recommandations pour l’évaluation des risques sanitaires et environnementaux des nanomatériaux. Ces risques sont principalement liés aux NP libres dans les dispositifs médicaux et la durée d’exposition ainsi que la nécessité d’étudier la distribution et la persistance dans des organes spécifiques.

L’oxyde de graphène (GO) n’est pas officiellement classifié selon le règlement relatif à la classification, à l’étiquetage et à l’emballage, CLP 1272/2008/CE. Il existe cependant une Valeur Limite Professionnelle de 3.6 mg/m3 par inhalation.

Il est à noter également, que les nanomatériaux de la famille du graphène ne sont pas approuvés par la FDA aux États-Unis pour la consommation humaine. Selon la FDA, le graphène, l’oxyde de graphène et l’oxyde de graphène réduit provoquent des effets toxiques à la fois in vitro et in vivo et leurs utilisations ne sont donc pas autorisées.

RETOUR à LA RUMEUR ….

La présence de l’oxyde de graphène dans le vaccin est née d’une observation au microscope électronique à transmission demandée par R. Delgado Martin au Prof. Dr. Pablo Campra Madrid (Ecole supérieure d’ingénieurs Univ. Almeria, Espagne). Il ne s’agit donc pas d’un travail de recherche revu par des pairs mais d’une commande privée. Ce dernier a rendu un rapport non publié dans une revue à comité de lecture. Il a comparé le résultat à un article de Choucair publié en 2009 dans Nature Nanotechnology [9] montrant une observation de graphène. La lecture de ces deux publications souligne deux points qui s’opposent à la présence supposée d’oxyde de graphène dans les vaccins à ARNm :

  1. La publication de référence (Choucair et al., 2009) montre une analyse en microscopie électronique de graphène obtenu par pyrolyse et non d’oxyde de graphène. L’obtention de l’échantillon par pyrolyse confirme que cette référence ne montre pas un oxyde de graphène.
  2. Cette analyse proposée par Delgado est basée sur des observations par diverses techniques et il est surprenant qu’elles n’aient pas été confirmées par une analyse chimique qui validerait le résultat et la substance observée dans l’échantillon étudié.

C’est d’autant plus surprenant qu’un brevet, intitulé « Vaccin recombinant nano-coronavirus prenant de l’oxyde de graphène comme vecteur » a été déposé par Shanghai National Engineering Research Center for Nanotechnology Co Ltd depuis le 27 Septembre 2020 et n’a à ce jour pas été accepté [10].

CONCLUSION

Face à la crainte légitime qu’inspire actuellement le projet transhumaniste, il est compréhensible de s’interroger sur les intentions et applications possibles et souhaitables pour l’humanité.  Cependant il faut bien distinguer les utilisations existantes, possibles et potentielles.

L’oxyde de graphène peut jouer un rôle de vecteur ou de ciblage comme le montrent certains projets de recherche biomédicale en cours. Mais, à ce jour, peut-on répondre de la manière la plus objective possible, à la question : est –il possible qu’il y ait de l’oxyde de graphène dans les vaccins et pourquoi y en aurait-il ?

Au regard de la réglementation, les études de toxicités des NP de l’oxyde de graphène ne permettent pas encore une application pratique dans le domaine des médicaments, des vaccins ou des dispositifs médicaux. Si des progrès certains sont à noter dans le domaine de leurs propriétés de surfaces pour améliorer leur biosolubilité et leur biocompatibilité, il reste encore trop de données manquantes en toxicité in vivo, mais aussi en cancérogénèse, mutagénèse et génotoxicité ainsi que dans la compréhension de la phagocytose dans les monocytes (foie, rate, ganglions lymphatiques). Ces données issues de tests standardisés sont nécessaires aux fins d’autorisation réglementaire et cela exclut l’usage actuel dans le domaine des vaccins, même si cela est envisagé.

Dans le cas des « vaccins » actuels contre la COVID-19, administrés en injection intramusculaire, l’élimination rapide par phagocytose des nanoparticules d’oxyde de graphène rend difficilement possible la thèse d’une administration frauduleuse en vue d’une connexion furtive à la 5G qui plus est. Il paraît plus probable que si une telle connexion était à envisager entre un serveur et un individu, elle se fera d’abord par des objets connectés portés de manière volontaire ou contrainte (smartphones), puis par une micropuce sous-cutanée implantée, mais pas via une injection systémique de NP dispersées censées s’accumuler dans un organe (cerveau, cœur…), compte tenu de leur élimination rapide que ce soit par réactions d’oxydation pour le GO ou par phagocytose pour le graphène. Par la voie systémique, l’utilisation à venir dans un avenir proche ne peut qu’être ponctuelle comme en imagerie ou en thérapie anticancéreuse par exemple.

BIBLIOGRAPHIE

[1] https://rumble.com/vkipvb-comment-degrader-loxyde-de-graphene-version-franaise.html

[2] https://www.henrymakow.com/upload_docs/4_5976673186836646447.pdf

[3] https://chemicalviolence.com/2021-07-14-spanish-study-pfizer-vaccine-toxic-graphene-oxide.html

[4] Gao A., Liang H., Shen Q., Zhou C., Chen X.M., Tian J., …Cui D. Designing a novel nano-vaccine against SARS-CoV-2. Nano Biomedicine and Engineering. 2020;12(4):321–324.

[5] Ghaemi F, Amiri A, Bajuri MY,Yuhana NY,Ferrara M, Role of different types of nanomaterials against diagnosis, prevention and therapy of COVID-19. Sustainable Cities and Society, 25 May 2021, 72:103046

[6] https://graphene-flagship.eu/

[7] https://www.kemi.dtu.dk/nyheder/2019/07/opening_the_door_to_hybrid_2d_materials?id=363e4fee-645b-42ba-8aa1-ce8ca23528e6

[8] S. Wang, I. S. Cole, and Q. Li, “The toxicity of graphene quantum dots,” RSC Advances, vol. 6, no. 92, pp. 89867–89878, 2016.

[9] Mohammad Choucair, Pall Thordarson and John A. Stride, 10.1038/NNANO.2008.365 “Gram-scale production of graphene based on solvothermal synthesis and sonication, Feb 2009.

Uptake and biodistribution of nanoparticles – a review, Report 12/16, Swedish Chemicals Agency. Stockholm 2016

[10] Nano coronavirus recombinant vaccine taking graphene oxide as carrier (depuis 27/9/2020) par Shanghai National Engineering Research Center for Nanotechnology Co Ltd
https://patents.google.com/patent/CN112220919A/en




Macron, Véran et consorts… ignorants ou comploteurs ? Une réponse claire en treize points essentiels

Par les Gilets Jaunes de la Victoire

Tous les citoyens conscients doivent se poser cette question à propos notamment des plus en vues des covidistes en France, Macron et Véran*.

Point 1, la quarantaine.

Depuis plusieurs siècles, on sait que la méthode la plus efficace pour stopper une épidémie est la quarantaine. Quarantaine, XII siècle, dérivé de quarante d’abord au sens de « espace de quarante jours » ; au XVII siècle, isolement de quarante jours des contaminés pour éviter la contagion des sujets sains. De nombreux pays dans le monde ont utilisé ce processus très simple avec un franc succès. Ils ont testé les malades (avec des tests fiables) et les ont immédiatement isolés de la population, cassant ainsi la chaîne de propagation du virus.

Commentaire : la quarantaine, même les ânes la connaissent.

Point 2, des tests sérologiques efficaces et sûrs.

Des tests sérologiques précis et rapides (30 min) existaient avant l’épidémie, ils furent utilisés depuis le début de la crise par plusieurs pays, au début en Asie, Japon, Corée du Sud, Hong-kong… puis en Europe, Luxembourg, Allemagne, Autriche… ils permirent de détecter rapidement les positifs et de les isoler pour éviter la contagion.
ASIE — ÉPIDÉMIE : Sortir du confinement par les tests sérologiques d’immunité au Covid 19

Commentaire : la France de Macron à la ramasse.

Point 3 : les frontières comme des passoires.

Le point de départ de l’épidémie a été très rapidement circonscrite à la région de Wuhan en Chine, c’était dans tous les médias, personne ne pouvait échapper à cette information, pourtant le gouvernement n’a pas hésité à faire rentrer pendant de nombreux jours tous les avions qui venaient de cette région et de Chine, avec eux les contaminés. Idem pour l’Italie, le premier foyer épidémique en Europe, qui s’était déclaré en Lombardie fut annoncé rapidement par les médias. Pourtant pendant plusieurs jours les autorités françaises n’ont pas cherché à freiner l’arrivée des personnes venant de ces régions. Elles ont même autorisé les supporters du PSG à aller voir un match de leur équipe favorite à Milan et bien sûr à revenir, certains avec le virus.

Commentaire : même les ânes auraient été plus prudents.

Point 4, les tests PCR imposés.

Article France Soir : La grande supercherie des tests PCR, 90 % des cas positifs ne sont pas malades ni contagieux.

Les tests PCR n’isolent pas et ne détectent pas le covid-19 comme tel, ils montrent simplement que les testés ont toute une série de virus et de bactéries dans leur corps, ceux-ci n’ont peut-être aucun rapport avec le covid-19. Cependant, quand l’individu est déclaré positif (après un délai), il est déclaré systématiquement positif au covid-19 ce qui fausse et amplifie les cas.

Confirmé par plusieurs articles publiés par divers médias comme Paris-Match,
https://www.parismatch.com/Actu/Sante/Covid-19-les-tests-PCR-contestes-1713289 ou Businesstravel.fr, 
https://www.businesstravel.fr/les-tests-pcr-actuels-sont-peu-fiables-pour-detecter-une-infection-virale.html

Commentaire : malgré que les premières informations sur ce sujet furent publiées dès septembre/octobre 2020 le gouvernement a continué sans vergogne à les mettre en avant, curieux, non !

Point 5, un conseil scientifique créé par Macron avec plusieurs membres ayant des liens rémunérés avec l’industrie pharmaceutique

Un Conseil Scientifique dont plusieurs membres ont des liens avec des entreprises pharmaceutiques. Cette collusion a été dénoncée par le Pr Raoul lors de son audition par le Parlement, le 24 juin 2020. Malgré cette dénonciation faite il y a plusieurs mois déjà aux yeux de tous, ce Conseil Scientifique continue toujours de fonctionner en l’état comme si de rien n’était, en donnant son avis au gouvernement qui le suit.

Article de France Soir : Top 13 du classement des revenus récents versés par l’industrie pharmaceutique
ou de La Croix : Crise sanitaire : le retour des accusations de conflit d’intérêt

Conflit d’intérêt strictement interdit par la loi.(([1] Les documents officiels français : Légifrance

LOI n° 2013-907 du 11 octobre 2013 relative à la transparence de la vie publique (1)
Chapitre Ier : La prévention des conflits d’intérêts et la transparence dans la vie publique (Articles 1 à 24)
Article 1
Modifié par LOI n°2016-1691 du 9 décembre 2016 — art. 29 (V)

Les membres du Gouvernement, les personnes titulaires d’un mandat électif local ainsi que celles chargées d’une mission de service public exercent leurs fonctions avec dignité, probité et intégrité et veillent à prévenir ou à faire cesser immédiatement tout conflit d’intérêts. Les membres des autorités administratives indépendantes et des autorités publiques indépendantes exercent également leurs fonctions avec impartialité.

Section 1 : Obligations d’abstention (Articles 2 à 3)
Article 2
Modifié par LOI n°2017-1339 du 15 septembre 2017 — art. 6

))

Commentaire : Macron et son gouvernement prouvent par ce premier manquement très grave à la loi qui perdure depuis, son mépris des lois républicaines confirmé par la suite par de très nombreuses décisions illégales.(([2] Macron et sa Dictature en Marche, en trois preuves et quelques faits incontestables — Profession Gendarme))

Point 6, masques ou pas masques ?

Le gouvernement français, s’appuyant sur les recommandations du conseil scientifique, décide le confinement de l’ensemble de la population, avant le confinement le port du masque est déconseillé, après le confinement il est imposé !!!

De nombreuses études scientifiques de haut niveau ont été réalisées depuis le début de la crise sur l’utilité du port du masque par les adultes et les enfants selon le niveau de protection des masques et les circonstances de leurs utilisations. Aucune de ces études n’a été portée à la connaissance du grand public par le gouvernement et les médias subventionnés qui laissent ainsi la population dans l’ignorance. Aussi il faut que les citoyens se posent la question suivante : les masques sont-ils toujours vraiment utiles ou sont-ils devenus au fil du temps un signe de soumission à un pouvoir corrompu ?

Commentaire : une communauté d’ignorants, vraiment ?

Point 7, des vaccins  produits en un peu plus d’un an, recherches comprises, peuvent-ils être sûrs ?

Extrait de l’article  « Pourquoi je ne me ferai pas vacciner. » du Docteur italien S. R. Valli, diplômé en médecine et en chirurgie à La Sapienza à Rome, et spécialiste en médecine interne et en allergologie et immunologie cliniques, publié en septembre 2021 sur le site web Benoitetmoi.fr dans Mes pièces.

« En général, un médicament (mais aussi un vaccin) doit passer par plusieurs phases d’étude :

la phase préclinique sur les animaux, qui sert essentiellement à établir la toxicité éventuelle de la molécule sur un organisme vivant complexe, puis certains paramètres pharmacocinétiques : voie d’administration privilégiée, absorption, distribution, métabolisme et élimination ;

la phase 1, c’est-à-dire sur des volontaires sains, qui permet de s’assurer que les résultats obtenus chez l’animal sont confirmés chez l’homme ;

la phase 2, celle des volontaires “malades”, qui sert à vérifier l’efficacité thérapeutique du médicament, ou l’efficacité préventive du vaccin chez les sujets exposés à la contagion ;

la phase 3, la plus importante. Ici, les études sont multicentriques, c’est-à-dire réalisées dans différents hôpitaux, et doivent être en double aveugle et contrôlées par placebo. Dans cette phase, il est obligatoire d’obtenir le consentement éclairé, car le patient doit savoir qu’il est soumis à un essai clinique et qu’il peut donc recevoir soit le médicament actif, soit le placebo, sans que ni lui ni son médecin ne le sachent (c’est la signification du double aveugle). La phase 3 doit durer de 3 à 5 ans (et il se trouve que les vaccins contre le SARSCoV-2 sont testés jusqu’en décembre 2023 !)

La phase 4, ou pharmacovigilance, qui est la phase à laquelle sont soumis les médicaments une fois qu’ils sont mis sur le marché. La pharmacovigilance (ou surveillance) peut être active ou passive : elle est active lorsque le médecin visite périodiquement le patient qui a reçu le médicament et signale tout effet indésirable ; elle est passive lorsque le patient signale un événement indésirable au médecin, qui doit le signaler aux autorités sanitaires qui doivent en prendre note.

On estime que les événements indésirables signalés dans le cadre de la surveillance active sont 100 fois plus nombreux que ceux signalés dans le cadre de la surveillance passive. Ces vaccins font uniquement et exclusivement l’objet d’une surveillance passive et, d’après l’expérience directe, presque aucun des effets indésirables signalés par les patients n’est signalé ! Enfin, les effets à long terme : c’est là que réside la question la plus critique.

Nous (et Pfizer, Moderna, Astra Zeneca) ne savons absolument rien de ce que le vaccin pourrait provoquer dans un, deux, cinq ou dix ans. En effet, pour qu’une étude clinique soit fiable, deux critères fondamentaux doivent être respectés : la taille de l’échantillon et la durée d’observation. Une étude portant sur cinquante millions de personnes pendant un mois ne peut que nous dire que le médicament est sûr dans les situations aiguës, tandis qu’une étude sur une personne suivie pendant vingt ans ne nous donne aucune information, car tout peut être ramené à des variables individuelles.

Dans le cas de ces vaccins, le nombre de sujets ne dépasse pas 70 000 (contre 2,5 milliards de vaccinations effectuées !), et la période d’observation à ce jour ne dépasse pas un an. Je rappelle que des médicaments utilisés depuis plus de quarante ans comme antiulcéreux (ranitidine, cimétidine) ont été suspendus du marché, car on a découvert en 2018 qu’ils avaient un composant potentiellement cancérigène ! “ 

Commentaire : comment se fait-il que le conseil scientifique n’ait pas tenu compte de ce que tout médecin digne de ce nom a appris sur le ban de la fac ? N’est-ce pas docteur Véran !!!!

Point 8, des vaccins ne bénéficiant que d’une autorisation de mise sur le marché conditionnelle.  

Autorisation de mise sur le marché conditionnelle. Début de l’article publié sur le site web de l’ANSM (Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé.)

‘Les Autorisations de mises sur le marché (AMM) seront délivrées par la Commission Européenne à l’issue de cette évaluation et seront valables dans tous les États membres de l’UE. Dans le contexte de la pandémie et de l’urgence de santé publique, les AMM seront dites conditionnelles.

En effet, une AMM conditionnelle permet l’autorisation de médicaments qui répondent à un besoin médical non satisfait avant que des données à long terme sur l’efficacité et la sécurité ne soient disponibles. Cela est possible uniquement si les bénéfices de la disponibilité immédiate du médicament l’emportent sur le risque inhérent au fait que toutes les données ne sont pas encore disponibles. L’AMM conditionnelle rassemble tous les verrous de contrôles d’une autorisation de mise sur le marché standard pour garantir un niveau élevé de sécurité pour les patients.

Une fois qu’une AMM conditionnelle a été accordée, les laboratoires doivent fournir les données complémentaires provenant d’études nouvelles ou en cours dans des délais fixés par l’EMA pour confirmer le rapport bénéfice/risque positif.

Une AMM conditionnelle est accordée pour un an et peut être renouvelée. Lorsque les autorités européennes ont reçu et évalué toutes les données complémentaires exigées, l’AMM conditionnelle peut être convertie en une AMM standard.’

Commentaire : actuellement on ignore donc bien les effets sur le long terme de la vaccination.

Point 9, malgré ce qui précède, pour Macron et son gouvernement, la vaccination est l’unique solution contre le covid, c’est clair, c’est net

https://www.elysee.fr/emmanuel-macron/2021/04/24/la-vaccination-seule-solution-face-a-la-covid-19

Pour tous les vaccins, les fioles contenant les injections ne comportent aucune mention, à part le nom du produit. Pour Macron ce n’est pas un problème.

Mais pour ceux qui ont reçu, par exemple le vaccin Pfizer, vous a-t-on montré ceci ?

Commentaire : faisant abstraction du principe de précaution, contre tout bon sens, Macron et son gouvernement proposent quasiment une vaccination obligatoire avec des produits pour le moins incertains. Avec les points précédents nous avons déjà vu une cascade d’inepties qui, trop nombreuses, paraissent très suspectes, mais à ce stade, on est en droit de se demander si Macron, le bon samaritain qui ne vous veut que du bien, et son gouvernement à sa botte, ne nous mène pas en bateau.

L’ENVERS DU DÉCOR

Macron et son théâtre d’ombres

Deux interventions de Macron que vous n’avez pas vues dans les médias.

Point 10, discours de Macron en ouverture du sommet des banques publiques de développement finance en commun, novembre 2020.

https://www.elysee.fr/emmanuel-macron/2020/11/12/discours-du-president-emmanuel-macron-en-ouverture-du-sommet-des-banques-publiques-de-developpement-finance-en-commun.

Commentaire : tranquillement et en douce il nous vend à ses collègues de la finance, n’oublions pas qu’il a travaillé plusieurs années à la banque Rothchild.

Point 11, intervention de Macron avec Klaus Schwab au Forum virtuel de Davos janvier 2021.

https://www.elysee.fr/emmanuel-macron/2021/01/26/intervention-du-president-emmanuel-macron-dans-le-cadre-de-lagenda-de-davos-organise-par-le-world-economic-forum

Commentaire : incontestablement ils se croient tout permis et ils décident pour nous.

+ Point 12, le parrain et un de ses hommes de main.

https://by-jipp.blogspot.com/2021/09/vers-une-gouvernance-medico-genocidaire.html

No comment.

Et pour finir, Point 13, un drôle de paroissien.

Pour ceux qui ne la connaisse pas voici l’œuvre de Shepard Fairey (Obey) que Macron a derrière son bureau de l’Élysée, une Marianne où est inclus MANIFESTEMENT un pentagramme noir :

De plus près :

No comment

Conclusion

Face à cette monstruosité, la destruction de l’intérieur de la Démocratie et de la République, très bien explicitée par le dialogue aux enfers de Macron et de Schwab, les Gilets Jaunes de la Victoire et tous les citoyens conscients, se lèvent et s’unissent pour dénoncer le projet démoniaque des mondialistes. Ce projet à déjà reçu un coup en partie mortel par Vladimir Poutine,(([3] C’est pour cette raison que Biden l’a qualifié de tueur.)) grâce son intervention percutante qui à remis les choses en perspectives — faite après celle de Macron et de Schwab — lors de ce même Forum de Davos. La voici :
https://nouveau-monde.ca/discours-de-vladimir-poutine-au-forum-de-davos-2021-lhomme-ne-doit-pas-etre-un-moyen-mais-un-but-de-leconomie/

Remarquez le Haut symbolisme de l’architecture et de la décoration de la salle du Kremlin où Poutine à fait son discours.

Quoiqu’ils fassent à l’avenir, Macron, Véran et consort, cela ne les dédouaneront pas de leurs responsabilités passées.

Grâce à l’union des forces populaires conscientes, nous vaincrons.


* et consort… seront prochainement nommés.




L’insupportable épée de Damoclès au-dessus de la tête des jeunes vaccinés

Par Nicole Delépine

L’épée de Damoclès sur la tête des jeunes vaccinés : acceptable ou insupportable ?

Danger majeur du pseudo-vaccin chez l’enfant : l’épée de Damoclès sur leur avenir. On ne vaccine pas pour une maladie à risque zéro dans cette tranche d’âge

Nous ne répéterons jamais assez aux citoyens, aux soignants, aux enseignants, aux parents, mais aussi aux sénateurs favorables aux obligations, aux députés et à tous les élus ayant un quelconque pouvoir, le risque accru des injections de substances géniques chez les sujets jeunes. Ce risque est d’autant plus élevé que la personne est plus jeune, probablement en raison d’une forte immunité qui les fait réagir plus violemment.

LES MYOCARDITES ET PÉRICARDITES, UN RISQUE MAJEUR MÊME SI RELATIVEMENT RARE EN DÉBUT DE SUIVI SELON LE VAERS, AUX USA

Soulignons qu’en l’absence d’essais cliniques avec suivi plusieurs années (les essais ne finiront qu’en 2023 et les résultats à plus long terme dans les dix ans à venir), personne ne peut prédire si les accidents cardiaques par exemple se multiplieront ou non à l’avenir. Faire vacciner vos enfants pour autoriser une inscription au sport ou à la musique fait peser sur leur avenir une épée de Damoclès. Bien sûr les médias inconscients ne le disent pas, mais la réalité est là : on ne sait RIEN de l’avenir.

Quoi qu’il en soit, les faits sont là et par exemple le Pr émérite Claverie, de la faculté d’Aix, rapporte l’incidence des myocardites post- vaccinales en fonction de l’âge en ces premiers mois de suivi.

Ce virologue français, reconnu internationalement publie sur son compte Linkeldin les chiffres du Centre pour le contrôle et la prévention des maladies (CDC) agence fédérale américaine(([1] https://www.cdc.gov/vaccines/acip/meetings/downloads/slides-2021-08-30/03-COVID-Su-508.pdf)) des cas de myocardites chez les jeunes.(([2] https://www.profession-gendarme.com/pour-le-virologue-jean-michel-claverie-reconnu-internationalement-les-myocardites-ont-explose-chez-les-enfants-il-faut))

À la date du 18 août 21, 2 574 signalements ont été rapportés dans l’ensemble des groupes de tous âges

  • Myopéricardites : 1 903 cas • Péricardites seules 671 cas

Ces évènements  « indésirables » cardiaques touchent essentiellement les garçons plus jeunes ayant reçu deux doses de vaccin à ARN messager, les symptômes apparaissant dans les quelques jours suivant la vaccination.

Pour éclairer le lecteur, le Pr Claverie met en exergue la fréquence très augmentée chez les jeunes garçons par rapport à la population générale.

MÊME CONSTATATION AU CANADA QU’AUX USA

La fréquence des myocardites et péricardites après vaccin à ARN messager est confirmée par un rapport récent de l’agence canadienne de santé en Ontario.(([3] Myocarditis and pericarditis following vaccination with COVID-19 mRNA vaccines in Ontario e Public Health Case and Contact Management Solution as of August 7, 2021
https://www.publichealthontario.ca/-/media/documents/ncov/epi/covid-19-myocarditis-pericarditis-vaccines-epi.pdf?sc_lang=en))

Depuis le début de la vaccination à ARN messager en Ontario, 314 déclarations de myocardites et/ou de péricardites ont été recensées après injection d’ARN messager dont 204 remplissaient les critères les rendant suspects d’être secondaires à l’injection.

79,9 % des cas touchaient des hommes et 69,6 % sont survenues après la seconde injection.

Le risque d’accident cardiaque par million de doses atteint 6,4 après la première dose du Pfizer et 8,7 après la seconde dose, contre respectivement 6 et 28,2 pour Moderna. Les jeunes hommes d’âge compris entre 18 et 24 ans étaient le plus exposés avec une prévalence du risque post-seconde dose atteignant 37,4 par million de doses après Pfizer et 263,2 Moderna.

Si on extrapole ces constatations à la France, l’injection de ces médicaments à 15 millions de mineurs est susceptible d’entraîner entre 135 (Pfizer) et 450 (Moderna) myocardites et/ou péricardites alors que l’espoir de bénéfice personnel pour eux est nul.

Ces complications cardiaques ne sont pas anodines ; au mieux elles guérissent après plusieurs semaines de gêne, mais elles peuvent aussi laisser des séquelles définitives annulant de plus tout espoir de poursuite d’une carrière sportive professionnelle comme Greyson Follmer,(([4] était un athlète d’élite et membre du chapitre universitaire du Reserve Officers’ Training Corps (ROTC) )) un étudiant de l’Ohio State University (OSU) après sa deuxième injection Pfizer. Au pire elles peuvent entraîner la mort.

Le Pr Claverie est revenu sur l’immunité naturelle des enfants comparée à l’immunité post-vaccinale le 7 septembre sur CNews :

 « L’immunité qui est naturellement acquise par les enfants est de meilleure qualité, elle est plus durable, elle est plus générale, car elle ne repose pas uniquement sur un composant du vaccin, mais sur plein de protéines du virus. Et on l’acquiert au niveau des muqueuses, ce qui est très important pour des maladies respiratoires. »

Ses considérations théoriques ont été confirmées par l’analyse d’une épidémie de Covid-19 dans une mine d’or de Guyane(([5] Vignier N, Bérot V, Bonnave N, Peugny S, Ballet M, Jacoud E, et al. Breakthrough infections of SARS-CoV-2 gamma variant in fully vaccinated gold miners, French Guiana, 2021. Emerg Infect Dis. 2021 Oct https://doi.org/10.3201/eid2710.211427)) où aucun des malades guéris d’un précédent covid n’a rechuté alors que 60 % des vaccinés à deux doses ont néanmoins été infectés par le virus.

L’épée de Damoclès(([6] Damoclès était attablé, une épée suspendue au-dessus de sa tête ; mais cette épée n’était retenue que par un crin de cheval. On parle d’une « épée de Damoclès » pour décrire une situation périlleuse ou pour évoquer des circonstances particulièrement risquées.)) globale

Nous avons détaillé il y a peu(([7] IL FAUT STOPPER LA PUB A LA VACCINATION CHEZ L’ENFANT INNOCENT DU SARS COV-2 – Docteur Nicole Delépine (nicoledelepine.fr) )) les craintes qui pèsent sur l’enfant dès avant la naissance chez les mères vaccinées, mais toute information qui ne répète pas les mensonges gouvernementaux a du mal à passer et nous insistons à nouveau sur ces dangers majeurs, connus et inconnus à long terme de ces substances géniques expérimentales (toujours en essai thérapeutique) dont l’avenir est inquiétant.

Faisons ici écho au message du Pr Montagnier aux médecins français

« Messages à 227 300 médecins français — comportez-vous en vrai médecin, soignez avec des médicaments peu coûteux qui ont fait leurs preuves : hydroxychloroquine, Ivermectine, antibiotiques (Azithromycine) selon l’état infectieux du malade ; anticoagulants selon le bilan biologique (D-dimères) ; et anti-inflammatoires (corticoïdes). De plus, complémentez vos patients en Zinc, Vitamines D et C en plus d’une alimentation très végétale de qualité. — ne vous faites pas vacciner, ne vaccinez pas, entrez en RÉSISTANCE et unissez-vous — ne vaccinez ni les enfants, ni les jeunes, ni les femmes enceintes TOUS en bonne santé. Les risques de la vaccination pour ces populations sont supérieurs aux bénéfices attendus. Leurs défenses immunitaires suffisent pour qu’ils développent la covid a minima et sans danger »(([8] Une erreur stratégique qui impacte l’avenir de l’humanité. pdf
https://professeur-joyeux.com/2021/08/30/trois-messages-de-prevention-sante-a-votre-portee/))





Le triste scoop du jour : épuisé, l’avocat Fabrice Di Vizio renonce

Par Nicole Delépine

Un triste scoop :  l’avocat Fabrice di Vizio renonce en ce jour symbolique de l’obligation vaccinale des soignants qui va achever le système de santé, déjà en déficit chronique de personnel bien avant la crise du Covid.

https://youtu.be/7yZ2eE5CQfM
Sa vidéo du 14 Septembre sur VA+

Tout d’abord, saluons son énergie, son dévouement sans limites au cours de ces longs mois de mascarade et de désastre sanitaire.

On peut imaginer que sa décision de stopper tout combat n’arrive pas sans causes profondes qu’il explique largement dans cette belle et longue vidéo que je conseille de regarder plutôt que les habituels tweets infondés et commentaires inadaptés.

Nous extrayons quelques phrases de cet échange qui ne remplacera pas l’écoute complète de son interview, mais qui, j’espère, vous en donnera l’envie.

Père et chrétien, il se demande si on mesure ce qui se passe dans ce pays. Le pass sanitaire n’est pas sanitaire — personne ne s’en cache — et traduit les restrictions des libertés publiques au nom de l’État. Il nous explique qu’il est avocat et n’a pas vocation à faire de la politique ni à être chef de guerre. Ce combat coûte cher, entraîne beaucoup de lassitude. Il subit des attaques de toutes parts, et n’est pas préparé à cela.

On va entrer dans une lutte des classes

Il choisit de pointer du doigt qu’on a changé l’État de droit, en un mois. Enfants pénalisés, ils ne pourront plus se payer le pass sanitaire, ne pourront pas payer ces tests et donc se feront vacciner. Et on ne peut pas en parler, en débattre. On n’a plus le droit de réfléchir ni de parler. On vous pourrit la vie.

Des gens renoncent aux soins. On induit une société de discrimination, il n’en veut pas. Il ne veut pas de cette société où il se balade avec des gardes du corps et ses enfants aussi. C’est insupportable.

À propos du Pape : Le pape parle sans savoir. L’église a renoncé d’emblée.

L’église est responsable d’une force de désespérance, seul péché qui ne soit pas pardonné (Saint Paul).

À propos des délires de Tweeter et des journalistes, ça suffit

Une collaboratrice, à la suite d’une scène tellement violente à l’aéroport, s’est fait vacciner. Alors oui cela l’a mis en colère, non pas qu’elle se vaccine, mais qu’elle le fasse sous la contrainte et je l’ai dit.

Un tweet suffit à enflammer la toile et un journal reprend. Comment vivre dans ce monde-là ?

« Je ne suis pas préparé à cela. Je n’ai pas vocation à prendre des coups dans le g. toute la journée. Je refuse de vivre dans un monde de caricature ».

Oui, ils auront sa démission ou sa radiation évidemment, mais il va partir avant.

À la suite de l’épisode Buzyn

J’ai fait ce que j’avais à faire. Le parisien a dit que j’étais mis en examen par la cour de justice de la république ! ils disent n’importe quoi et ne vérifient rien. Ce sont les ministres qui peuvent être mis en examen par la CJR !   Grotesque. De fait, il précise n’avoir commis qu’un seul crime, celui de proposer aux citoyens de porter plainte.

Comment ressent-il les attaques de la presse : il n’est pas préparé à cette violence majeure de la société.

On l’accuse dans la presse ou sur tweeter d’être un escroc avec ses plaintes à 2 €.

Or il a créé une association qui assure des permanences juridiques gratuites pendant les manifestations et répond à 500 mails par jour, a recruté des juristes à temps plein et n’a pas voulu faire payer des cotisations. On a encaissé en tout à l’association douze mille euros, soit un mois de salaire des juristes de l’association qui a 4 mois d’existence.

« On me reproche d’avoir saisi le tribunal. Pour ne pas devenir fou, il faut partir ! »

Leur seule volonté est de nous faire devenir fou. Je suis rationnel et accepte l’idée du débat, mais ce débat est interdit. Les plaintes de l’association coûtaient deux euros. Certains docteurs ont touché 750 EUROS de l’heure pour injecter les vaccins. Une consultation de 4 min pour recueillir un « consentement éclairé, et dont personne ne parle sauf le canard enchaîné. La presse ne s’y intéresse pas.   Les PCR ne seront pas remboursés parce qu’inutiles et les plus pauvres ne pourront pas se les offrir et se feront vacciner.

En 2020, il a emprunté 100 000 EUROS et on le présente comme quelqu’un de vénal : incroyable !

Il est un homme de débat, mais on n’est plus dans la rhétorique, il a découvert ce qu’est la méchanceté.   Il ne revendique rien, « arrêtez de m’applaudir ». Cette communauté hyène se déchire. Vous n’avez plus le droit d’avoir une opinion : 

« je ne suis pas fait pour vivre dans un monde d’animaux ».

Pass sanitaire et contraintes à dimension variable selon les milieux

Il est contre le pass sanitaire et en tire toutes les conséquences, ne va plus au restaurant. Oui, il ne triche pas.

Vie de paria ? Une vie sociale limitée, cela ne le dérange pas, mais ce qui lui fait mal, c’est une société avec la vie déjà à deux vitesses, comme pendant le confinement et les restaurants clandestins. Il n’est pas un révolutionnaire, mais n’accepte pas que la vaccination donne un privilège aux vaccinés alors qu’elle ne protège ni de la contamination ni des formes graves.

La société parallèle existe déjà, société des pass et société des passe-droits

Tout cela est un écran de fumée et la propagande a marché qui finalement s’attaque à autre chose ; l’industrie impose des champs lexicaux qui sont les mêmes dans les pays et mêmes attitudes. Et personne ne s’intéresse à Mac Kinsey et à ses deux millions d’euros par mois payés par nos impôts pour nous imposer cette communication :  « on assiste à une « coupe de monde » de l’industrie pharmaceutique ».

Où est l’opposition politique ?

Il ne s’attendait pas à cela : le but est de faire taire ceux qui dérangent la bonne conscience du monde, des confrères ont écrit qu’il occupe l’espace public !!

De la mise en examen de Mme Buzyn on retient qu’il a porté les plaintes.   La presse s’enfonce et creuse sa propre tombe. Elle espère sa mort. Ses enfants sont sous protection. Sa maison est un bunker. Il dit être menacé et certains prétendent qu’il est mytho, mais les docteurs qui seraient menacés ne le seraient pas.
De l’autre côté colère froide calculée, en Italie ils ont réussi à faire taire un docteur qui avait trouvé un traitement efficace, il s’est suicidé.

État de la France : hypnose, hallucination collective

Attention réveiller les gens sous hypnose sera difficile et probablement violent

MISE EN EXAMEN D’AGNÈS BUZYN

Il craint qu’elle ne soit que le bouc émissaire. Le droit des citoyens est de porter plainte et celui d’Agnès Buzyn de se défendre.

La Cour a préalablement rejeté toutes les plaintes de mise en danger de la vie d’autrui et A.B. a cependant été mise en examen sous ce chef d’accusation. Pourquoi ? La Cour de cassation cassera, car ce chef d’accusation ne tient pas si, comme elle l’a dit il y a longtemps, elle a averti le gouvernement dès janvier.

Pourquoi ne s’est-elle pas présentée le 18 juillet ? Pourquoi E Philippe et Veran ne sont-ils pas là ? Est-elle le dindon de l’histoire ?

L’ÉTAT DE DROIT EST MORT :  on a confiné sous la pression on a changé de civilisation en un an

Est-ce que la vaccination ne mérite pas une enquête pénale et idem pour le pass et les liens entre mac Kinsey et E.Macron ?

Il faut des idiots utiles et Agnès Buzyn en est une. Son avenir politique est nul et donc on peut l’utiliser. Agnès B est la faible de service. Parallélisme avec les attaques contre di Vizio ? On a l’impression d’un vent de panique.

Théâtre ? il ne sait pas.

Les fameuses 14 000 plaintes

lui sont reprochées, mais pas celles de Bruno Gaccio qui a fait un site pour plaintes en début de crise. Le seul droit qui vous reste est pourtant d’exercer votre droit devant les juges.

Une VIOLENCE INTRINSÈQUE

présente des deux côtes, vaccinés ou non vaccinés. Qui est le gardien de la violence légitime ? La justice préfère les plaintes aux rixes. Les jeunes, les salariés vaccinés par extorsion d’un consentement non éclairé ont le ressentiment qu’on va payer cher !!

Les agences font de la politique et les politiques du sanitaire

Il explique qu’à la suite de l’affaire du sang contaminé, on a voulu créer des agences indépendantes de l’état. Mais de fait les politiques se défaussent sur les agences, mais réunissent des conseils de défense secrets.

On avait oublié que si les agences sont indépendantes, il est plus facile pour l’industrie pharmaceutique de les infiltrer. L’industrie a infiltré les agences.

On a dit que la nicotine protège du covid : tous ceux qui ont dit cela sont tous en rapport avec l’industrie du tabac. Un ancien président de l’EMA a dit qu’il est génial de vivre en Europe, car le politique ne contrôle pas l’EMA. L’EMA est financée par les labos qui fabriquent les molécules.

L’INDUSTRIE PHARMACEUTIQUE A PRIS LE POUVOIR : propagande monstrueuse !

Le rôle de mac Kinsey consiste à organiser les campagnes de communication par des messages simplistes en boucle. Le pass sanitaire, idée géniale, ne freine pas l’épidémie, mais sert à vous contraindre !

Le pass ne sert à rien puisque le vaccin ne protège pas de la contamination, mais le green pass en Italie : une dose suffit

Il n’y a plus rien à faire selon maître Di Vizio. L’avocat ne voit plus comment avancer avec ses armes juridiques d’où son retrait.

Il évoque les conséquences avec quelques exemples

Dans l’Hôpital de Montbéliard, on supprime des opérations ; des sociétés d’ambulance n’ont plus de personnel, même le Pr Juvin provax ne peut pas se passer des personnels réfractaires

LE BUT : satisfaire une partie du peuple

Intérêt économique : on a écoulé des vaccins ; le cours de l’action a explosé

Et si Karine Lacombe dit « qu’ils changent de métier », eh bien elle ira faire la toilette aux personnes âgées, ira prendre en charge les malades, faire l’anesthésie. Que va-t-il se passer ?

Quand on va se réveiller, cela va faire mal…

Fabrice Di Vizio va partir de France et de sa profession à très court terme, car il refuse de faire une profession réglementée comme les médecins et avocats et appartenir à un ordre qui a trop démérité

Il est à bout de nerfs, dans cette société violente, ne veut pas exposer sa famille à cela.

L’urgence est à former des gens comme on ne peut plus soigner, ni défendre  

On a laissé les gens chez eux sans soins : c’est la guerre ! Le taux de décès à domicile a explosé, comment certains médecins ont-ils pu accepter de refuser de recevoir un patient ? Ne serait-ce que pour le rassurer au minimum.

Les avocats ont laissé des gens en prison sans juge.

URGENCE À OUVRIR DES ÉCOLES, FORMER NOS ENFANTS À L’ESPRIT CRITIQUE

Alexis de Tocqueville a dit « l’état c’est la dictature du bonheur » : nous vivons dans un monde qui fait peur, mais même cela n’a plus le droit de le dire.

Beaucoup de soignants ont l’illusion de vivre dans un monde d’avant, mais quand on se soumet dans un monde qui n’a pas de sens… La Vaccination extorquée, c’est un viol. Il ne se soumet pas et refuse d’être violé par qui que ce soit.

Son crédo : La vérité rend libre. C’est aussi son Engagement de chrétien et là, on est dans un mensonge éhonté.

« Pourquoi une personne comme moi sans aucune aspiration politique fait aussi peur ? L’avenir le dira »

AINSI VOICI DES EXTRAITS DE SA VIDÉO.

Merci à Maître Di Vizio et à son équipe. Il a beaucoup donné.

Et aussi à Éric Zemmour autre combattant forcé de prendre du recul, car tel est le bon plaisir du monarque qui nous gouverne et de tous ses suppôts complices et soumis

Et à tous ceux qu’on tente de faire taire et dont la liberté d’expression est menacée.




Témoignages exclusifs sur les refus de soin par l’administration

Par Nicole Delépine

SOINS ANNULÉS PAR L’ADMINISTRATION POUR CAUSE DE PASSE DIT SANITAIRE

De nombreuses familles racontent des refus de soins à l’entrée de la clinique ou de l’hôpital public gardés par des vigiles. Pourtant ces derniers n’ont pas le droit de voir les papiers d’identité des demandeurs et donc la vérification du passe sanitaire n’est qu’une lutte d’influence, une manipulation.

Certains plus solides que d’autres arrivent avec un avocat ou un huissier, refusent de partir et demandent
 qu’un directeur ou en tous cas un responsable les rejoigne et montre les décrets ou circulaires qui justifieraient de refuser à Madame X. de venir faire sa chimiothérapie prévue (donc non urgente vue par un énarque) ou de venir accoucher sur rendezvous prévu… Tant pis pour les pertes des eaux précoces, le bébé attendra ou verra le jour dans la voiture du père ou de l’ambulancier.

Ceux venus accompagnés ont toujours eu gain de cause, car bien malin celui qui trouve le document administratif clair, à l’heure où la loi du 7 août n’aurait pas été suivie du décret la rendant utilisable. Les avis sont partagés sur ce point, mais j’imagine qu’un DRH ou un directeur de clinique aura du mal à affirmer ce qui est légal ou non et encore plus à le prouver…

D’autres, repoussés, contiennent leur colère et décident finalement de mettre en cause ces petits kapos qui pensent pouvoir imposer leur propre loi au nom de décisions indignes mettant en jeu la vie des patients parfois, leur confort et la qualité des soins toujours.

Tel ce monsieur qui nous fait partager sa lettre à la direction de la polyclinique du nord de la France où il devait conduire sa vieille maman, à 70 km de chez lui.

« Objet : À transmettre à la directrice Mme N pour mise en danger d’autrui pour rupture de continuité des soins, nous avons dû annuler par force nos rendez en ORL

Madame la Directrice N,

Aujourd’hui lundi 13/09/2021 nous avions rendez-vous, pour ma maman en ORL avec le DR G à 16 h 40, pour des suivis médicaux, j’ai téléphoné ce matin au secrétariat pour avertir que nous annulions nos rendez-vous, pour les raisons suivantes imposées par votre clinique.

Nous refusons le passe sanitaire illégal et discriminant et reposant sur des PCR qui donnent des données fausses.

Je rappelle que selon son fabricant, il n’est pas fait pour détecter les virus, mais détourné de sa fonction officielle et rien ne prouve scientifiquement que le faux virus covid 19 synthétique est encore là.

Les vigiles que vous avez mis aux entrées de votre établissement pour contrôler le passe sanitaire ne sont pas habilités à contrôler nos identités, et que seule la police judiciaire est habilitée à contrôler nos papiers et le passe sanitaire.

En conséquence, ma mère est privée de soins et j’ai l’intention de vous poursuivre pour mise en danger d’autrui par manque de soins, de suivi médical et de traitements, dans un but de nous contraindre à nous faire injecter des injections géniques, poison expérimental, avec des risques non négligeables de décès (près de 25 000 en UE) ou d’accidents de gravité variable (deux millions environ en UE dont la moitié reconnue comme graves par l’agence du médicament elle-même).

J’ai contacté mon avocat pour les démarches à suivre contre vous, l’ARS, et éventuellement les vigiles complices de ce détournement de la loi.

Sans modification des conditions anormales d’accueil, nous serons dans l’obligation d’annuler les RV suivants cardiologiques et pneumologiques.

Dans l’espoir que vous ferez votre possible pour améliorer l’accueil des patients, recevez mes salutations.

Un ancien employé des hôpitaux en tant que ASH.

  1. Cette plainte sera adressée au Procureur de la République à visée pénale avec des preuves, vidéos et documents à l’appui.

Il est bien triste que les patients soient conduits à en arriver là et que tout dialogue social soit interdit avec application des lois sans interprétation intelligente.

La vie d’exclu des non-vaccinés

D’autres témoignages du même genre nous parviennent et les plus inquiets sont évidemment les personnes déjà touchées dans leur passé par un cancer guéri, en rémission ou encore en traitement.

Et ils ont raison d’être inquiets, car s’ils refusent la voie de la tyrannie et de son passe sanitaire pour consulter ou pour recevoir des visites en cas d’hospitalisation ou même pendant l’accouchement (!), ils sont gravement discriminés et tous les défenseurs de l’égalité entre les humains auraient dû déjà se lever bruyamment…

L’enfer d’angoisse des vaccinés, l’épée de Damoclès

Ou bien ils acceptent cette injection génique et toutes ses inconnues, à court terme entre effets nocifs graves (voire décès) ou désagréables, et pire les effets inconnus à long terme sur leur fertilité, leurs défenses immunitaires et le risque de modifier le génome humain, tous risques possibles non calculés.

Les essais toujours en cours ne seront achevés au minimum dans un an pour les effets à court terme. Pour l’évaluation des effets à long terme, il faudra attendre et encore attendre.

Un antécédent sordide que racontent bien « les filles du Distilbène » exemplaire

Rappelez-vous que nous en sommes à la quatrième génération d’effets délétères pour le Distilbène, pilule toute bête donnée aux femmes enceintes pour limiter nausées et vomissements. Et après les effets sur la fertilité de la deuxième génération, les malformations utérines, etc., on découvre des troubles psychiques chez les petits-enfants des parturientes nauséeuses de 1948…

Imaginez-vous tout cela et le combat des « filles » et petites-filles de ces malheureuses ?

(([1] Le DES est l’abréviation du diéthylstilbestrol, un œstrogène de synthèse commercialisé dans les années 1940 aux États-Unis et en Europe sous plusieurs noms différents : par exemple Distilbène pour le laboratoire Ucepha (plus tard racheté par UCB Pharma) ou Stilbeostrol pour la firme Borne (aujourd’hui Novartis). À l’époque, ce médicament était prescrit pour prévenir les fausses couches chez les femmes confrontées à ce risque.

Pendant des années, le DES a fait figure de « pilule miracle » jusqu’à ce qu’au début des années 1970 aux États-Unis, quelques cas de cancers du vagin chez de jeunes filles attirent l’attention. Les spécialistes américains ont alors fait le lien entre ces cancers et une exposition de ces jeunes filles in utero au DES délivré à leurs mères enceintes.

En 1971, les autorités américaines ont recommandé aux médecins d’arrêter de prescrire du DES aux femmes enceintes. Une recommandation qui ne sera appliquée qu’en 1997 en France.

L’alerte venue des États-Unis était sérieuse, mais un certain nombre de médecins français n’y ont pas cru. Ils minimisaient le problème en disant qu’en France, les prescriptions étaient différentes et sans risque.

Cf. la croix 9 AVRIL 2009 la douloureuse histoire des filles du distilbène.

))

Comme nous dit un de ces professeurs omniprésents sur les plateaux, après trois mois, on ne voit plus d’effets secondaires nouveaux d’un vaccin qui n’est qu’un médicament… Il a oublié — entre autres — les narcolepsies du vaccin H1N1 (pourtant stoppé après 53 morts) qui handicapent à vie 2 500 personnes en Europe dont 800 en France (demande d’indemnisation toujours en cours pour une majorité des victimes(([2] Plusieurs ont néanmoins reçu des indemnisations atteignant plus de 600 000 euros et le tribunal administratif de Rennes a dédommagé la famille à hauteur de 1,39 million d’euros, au regard notamment des « conséquences métaboliques et cardiovasculaires tout cela à nos frais par l’Omniam.))) apparus plus de six mois plus tard…

Vaccin anticovid et cancer : une enquête à mener

Et parmi les vaccinés, au-delà des effets secondaires déjà amplement décrits en particulier sur les sites des agences comme l’EMA Eudravigilance pour l’Europe (UE), on voit apparaître d’autres « coïncidences » chez les cancéreux et anciens cancéreux guéris de longue date.

Et les effets du vax sur les pathologies antérieures ou dormantes ?

Par exemple ce généraliste, qui m’envoie un mail pour me demander ce que dit la littérature jusque-là bien silencieuse à propos des cancers et du vax, est très inquiet.

On le comprend, car chaque patient qui pose la question dans son centre s’entend répondre qu’évidemment, il y a aucun lien… Donc encore moins d’études sérieuses sur tous leurs patients vaccinés ou non.

Il raconte ses inquiétudes sur quelques patients récents. Cette jeune femme jeune encore de 45 ans chez laquelle on découvre un cancer du sein deux mois après son vaccin Pfizer et pourtant très « sérieuse » : elle ne manquait pas une mammographie et la dernière datait de trois mois… Coïncidence possible bien sûr, ces cancers de l’intervalle entre deux mammos sont connus.

Cet homme valide, âgé de 75 ans en pleine forme sportif. Mince musclé. Pas l’obèse caricatural des comorbidités devenues célèbres avec le covid qui culpabilisent le malade et exonèrent le médecin du décès sous ventilateur.

Non, un bel homme encore profitant de la vie de retraité bien méritée, comme on dit. Quelle idée saugrenue l’a-t-il pris de se faire injecter le fameux vax en février 21 ? La pression bienveillante de ses enfants ?

Qui feraient bien de s’occuper de leur santé et qui trop jeunes n’ont pas connu les affres de la désinformation habituelle en temps de guerre (même celle d’Algérie pour cette génération, ou du Vietnam, ou d’Irak avec les armes de destruction massive et les frappes chirurgicales sans victimes collatérales, et aussi les faux charniers de Timisoara).

Peut-être certains « vieux » ont-ils pu échapper, sauf en EHPAD où la piqûre à risque est le prix à payer pour ne pas être enfermé dans sa chambre, seul, même si PCR négatif. Punition du kapo obéissant aux ordres venus d’en haut, même si on ne sait pas pourquoi…

Mais les enfants insistent trop souvent pour leurs parents, leur fratrie, etc.

Pour jouer à la roulette russe, on rigole plus tous ensemble, ou bien est-ce l’espoir de l’héritage ?

Ne soyons pas méchants, ou la peur ou la jalousie de ne pas avoir de retraite, la guerre des générations voulue et réussie par le pouvoir ?

En tous cas, le nombre de transactions viagères est en hausse notable. Tout d’abord sous l’effet d’une offre plus abondante. La population est vieillissante. En France, un peu moins de 5 millions de personnes auraient dû avoir plus de 85 ans en 2050, plus de trois fois le chiffre actuel.

Or selon l’Insee, près des trois quarts des seniors sont propriétaires de leur résidence principale. Ajoutez à cela la baisse du pouvoir d’achat des retraites, et tous les ingrédients sont réunis pour stimuler l’offre en viager. La Covid-19 n’a fait qu’accélérer la tendance.

Bon nombre de seniors ont préféré continuer à vivre chez eux plutôt que de déménager dans un EHPAD où ils auraient été emprisonnés et menacés d’une injection de Rivotril à la moindre toux… Ils ont donc eu recours au viager pour rester chez eux et assurer leur train de vie. De l’autre, on peut suspecter que certains acquéreurs ont misé sur une hausse soudaine de la mortalité chez les personnes âgées. Belle époque…

Bref ce monsieur sportif de 75 ans, dès son retour de l’injection en février 2021 se plaint de sensation de malaise avec AVC probable : le médecin dit que ça ne peut pas être le vaccin. ÉVIDEMMENT ; il reçoit Saint Doliprane et… vieillit à toute allure.

« Il faisait 60 ans, il en fait 90 ».

Malgré tout, incroyable de la part du médecin, du patient et de la famille il reçoit le 2e vaccin et en quelques jours on constate une aggravation neurologique et psychique. Finalement il aura une IRM sur la pression de ses enfants qui découvre un glioblastome IV, 5 cm… Hasard bien sûr. Phase terminale. Personne ne peut exclure que cette tumeur se trouvait là, mais ne se manifeste-t-elle pas à l’occasion d’un déséquilibre induit par l’injection ?

C’est l’histoire récurrente d’une petite tumeur silencieuse qui brutalement explose. Nous en voudra-t-on d’évoquer des modifications immunitaires décisives à l’occasion du vaccin ? Complotiste ? En tous cas d’autres confrères signalent l’aggravation brutale d’une pathologie connue antérieurement à l’occasion du vax. Sclérose en plaques, leucémie, etc.

Ce généraliste a rencontré aussi dans les semaines récentes une patiente de 84 ans qu’il connaissait, guérie d’un cancer du corps de l’utérus sans aucune extension. Elle est obligée de se faire vacciner pour pouvoir être opérée en février 2021. QUI A INVENTÉ CETTE OBLIGATION INSENSÉE ? QUEL TEXTE ?  QUELLE RESPONSABILITÉ MÉDICOLÉGALE ?

Aucune démonstration scientifique ! Il n’y eu que le Pr Raoult à devoir démontrer l’absence de toxicité de la chloroquine sur le marché depuis 70 ans.

De fait pour une pathologie habituellement curable, la voici décédée en août 2021. Coïncidence ?

Enfin notre médecin inquiet se pose des questions sur la flambée rapide d’un homme stabilisé d’un cancer abdominal et qui a évolué très vite après la vaccination de son épouse. Lui a-t-elle cédé quelques protéines Spike ?

Des questions sans réponses, mais auxquelles on aurait dû répondre AVANT la généralisation du vaccin et AVANT toute obligation vaccinale.

Comme aurait dit Raoult, il n’est pas interdit d’être intelligent et surtout il ne devrait pas être interdit de se poser des questions ! Eh bien si ! Et c’est peut-être cela que voulait nous dire le patron de l’IHU en début de crise covid. Il avait compris que le pire fléau ne serait pas ce petit virus sensible aux traitements précoces, mais bien la perversité des gouvernants, et la crédulité d’une trop grande partie de la population à l’intoxication médiatique mondiale.

Bravo aux marcheurs du samedi qui tentent de faire cesser cette guerre !





Covid : la Russie rejette le Pass Sanitaire, devenu obligatoire pour entrer au siège de l’ONU

[Source : Le courrier du soir (lecourrier-du-soir.com)]

L’ambassadeur russe auprès des Nations-Unies, Vassily Nebenza, a manifesté, dans une lettre adressée au secrétaire-générale de l’ONU, son profond désaccord à l’idée que seules les personnes munies d’une preuve de vaccination doivent être autorisées à avoir accès à la salle où se tiennent les réunions de l’Assemblée Générale.

Le Pass Sanitaire, devenu obligatoire pour assister à un débat au siège de l’ONU, ne passe pas. La décision exaspère l’Etat russe dont l’ambassadeur auprès des Nations-Unies, Vassily Nebenza, s’y est formellement opposé à travers une lettre adressée aux autorités de l’institution.

C’est en tout cas l’information que l’agence de presse russe Tass nous a apprise ce 16 septembre. En effet, d’après ce média, dans sa lettre, l’ambassadeur russe n’a pas été tendre envers Abdoullah Shahid, président de l’Assemblée Générale des Nations-Unies. C’est ce dernier qui a notifié les diplomates que l’accès aux salles de l’ONU est désormais exclusivement réservée aux diplomates vaccinés.

“Une violation”

“Nous rejetons formellement l’idée que seules les personnes munies d’une preuve de vaccination sont autorisées à accéder à la salle où se tiennent les réunions de l’Assemblée Générale”, déplore le diplomate. Selon Tass qui a consulté la lettre, Vassily Nebenza dénonce une décision qui, selon lui, viole la charte de l’ONU, car ne prenant en compte les droits des personnes exemptées de vaccination pour raison médicale ou qui ont été immunisées par des vaccins qui ne sont pas encore reconnus par le CDC (Centrer for Disease Control).

Selon Tass, la décision répond à une mesure sanitaire décrétée par l’Etat de New York (où se trouve le siège de l’ONU) et qui exige que des personnes qui participent à des réunions à huis-clos soient obligatoirement munies d’un Pass Sanitaire.