Cette dissolution pue la dictature européenne à plein nez

Par Jean-Michel Grau

Ne nous réjouissons pas trop vite : la dissolution de l’Assemblée nationale française suite à la débâcle électorale européenne de la macronie n’augure rien de bon.

En réalité, elle inaugure la dissolution de la France dans le nouvel état européen que dirigera Mario Draghi dès cet été.

On notera ainsi l’empressement de Macron à annoncer cette dissolution alors que les chiffres officiels des résultats définitifs n’étaient même pas encore établis.

De même, la révélation dans la foulée des dates des futures élections législatives des 30 juin et 7 juillet alors que les différentes instances officielles n’avaient même pas été consultées préalablement : assemblée nationale, la première concernée, mais aussi sénat, partis politiques… est plus que suspecte.

Tout semble donc avoir été préparé en amont de longue date.

On ne peut s’empêcher ainsi de faire le parallèle évident avec la mise en place de la dictature sanitaire le 16 mars 2020 qui avait été préparée par le forum de Davos dès l’année précédente, avec une répétition générale par Klaus Schwab et ses complices dès septembre 2019. Cette « pandémie » qui n’était rien d’autre qu’une « plandémie » aura servi de matrice à ce qui se prépare aujourd’hui dans le même cénacle.

La désignation déjà acquise de Mario Draghi à la tête de la Commission européenne dans les semaines qui viennent va inaugurer un nouveau chapitre de l’Union de l’Enfermement qu’est devenue l’UE.

On bottera dehors chaleureusement l’ancienne taulière Von der Leyen qui rejoindra probablement Pfizer à Londres ou New York pour y finir une fin de carrière paisible en remerciement de tous ses bons sévices rendus aux populations occidentales…

Cette dissolution de l’Assemblée nationale est donc à marquer d’une pierre noire, car elle acte le début officiel de l’enterrement de la République française qui n’aura dorénavant guère plus de pouvoir que l’Ohio ou le Montana au sein de l’hégémon US.

Pour ce faire, Bruxelles aura à sa disposition un financier de haut vol qu’on ne peut que comparer aux nombreuses espèces prédatrices de la gente animale pour laquelle il n’y a que l’embarras du choix : requin, vautour, crocodile, chacal, mais pas hyène, déjà réservée à la sortante…

Ce fils de banquiers de père en fils qui a aiguisé ses crocs chez Goldman Sachs avant de devenir gouverneur de la banque d’Italie, puis président de la Banque Centrale Européenne est le prédateur idéal de la finance mondialiste pour faire de l’UE la première dictature technocratique du monde.

Il aura à sa disposition des seconds couteaux comme Macron qui n’acceptera jamais de continuer à diriger la France avec un gouvernement de cohabitation avec la victoire déjà annoncée du Rassemblement National aux prochaines élections législatives.

Il y a fort à parier que celles-ci seront les dernières élections nationales avant longtemps. La postulante qui remplacera Macron après les élections présidentielles qui devraient donc suivre les législatives, inaugurant la nouvelle fonction de l’Élysée : sous-préfecture de Bruxelles.

Pendant ce temps, la capitale belge abritera désormais autour de Mario Draghi un cabinet fantôme, probablement sur le modèle opaque des conseils de défense et autres conseils scientifiques de Macron pendant la dictature sanitaire, pour diriger et administrer les ex-états européens dissous dans l’administration kafkaïenne de la rue de la Loi, la bien nommée, à Bruxelles…

Tout ceci fait partie d’un plan qui se déroule depuis plus d’un siècle pour asseoir le pouvoir de la haute finance anglo-saxonne sur le monde.

Cette oligarchie financière apatride qui a déjà provoqué deux guerres mondiales et les millions de morts qui vont avec, n’en est plus à ça près de finir le sale boulot avec la troisième en préparation pour proroger son pouvoir en voie d’extinction.

Avec la gigantesque pyramide de Ponzi sur laquelle est assise la dette américaine, il n’y a pas d’autre issue pour cette oligarchie anglo-saxonne avant qu’elle ne s’effondre qu’une nouvelle guerre mondiale, encore et toujours contre la Russie, par proxys interposés pour piller ses richesses : Lénine, puis Hitler et maintenant l’UE, pour tenter de survivre dans ce monde multipolaire en voie d’expansion qui lui fait peur.

Avec Mario Draghi à la tête des nouveaux états européens dissous dans une UE plus tyrannique et belliciste que jamais, nul doute que la dépopulation européenne a encore de beaux jours devant elle.

On ne pourra pas encore une fois accuser la passivité des peuples européens face à ce nouveau suicide continental en train de s’écrire, et encore moins leur complicité, car on peut désormais sincèrement douter qu’ils s’en iront à nouveau la fleur au fusil comme en 14 quand Draghi et sa bande leur demandera le moment venu d’aller alimenter le hachoir à viande ukrainien.

L’abstention massive de ces élections (49 %) montre à quel point les peuples européens de plus en plus otages de cette ploutocratie financière anglo-saxonne n’ont plus d’autre choix que de s’en remettre aux Russes pour les délivrer de leurs geôliers. Cela commence par arrêter de considérer Poutine comme un nouvel Hitler qui veut envahir toute l’Europe, suivant le discours bien rodé de Mac Kinsey et autres cabinets de conseils américains pour accepter de servir de chair à canon pour la guerre de la finance mondialiste apatride.




Le gouvernement fantôme de l’Allemagne

Par Jean-Michel Grau

Dans la guerre qui oppose la Russie et les USA en Ukraine par OTAN interposé, l’Allemagne a une place à part. Elle est le seul état européen à faire la jonction entre l’Est et l’Ouest. En d’autres termes, entre la Russie et l’Occident, encore aujourd’hui. En effet, les conséquences de sa division Est-Ouest perdurent 35 ans après la chute du mur de Berlin et la disparition des RFA et RDA, malgré la réunification allemande.

Les stigmates de la défaite de 1945, puis de la guerre froide sont encore bien présents, ne serait-ce que dans la faiblesse de l’actuelle armée allemande, en troupes et en armement, en comparaison de celles de la Grande-Bretagne et de la France, même si toutes les trois sont à l’os, après leur contribution massive à l’effort de guerre en Ukraine.

La conséquence directe des brûlures de l’histoire est que l’Allemagne est toujours et encore aujourd’hui le pays le plus inféodé aux USA. Militairement en particulier, avec la présence sur son sol du plus grand nombre de bases de l’OTAN, mais surtout de son centre de commandement intégré à Ramstein, sans parler de la base américaine de Büchel qui y abrite des bombes nucléaires comme dans 4 autres pays (Belgique, Pays-Bas, Italie et Turquie).

Pour toutes ces raisons, il apparaît donc ici évident que l’Allemagne est en première ligne dans l’éventualité d’un conflit ouvert entre la Russie et l’OTAN.

Ce qui nous amène à la divulgation de cette invraisemblable discussion entre ces quatre officiers allemands de la Lufwaffe dans les médias russes RT et Sputnik.(([1] https://fr.sputniknews.africa/20240301/attaques-contre-le-pont-de-crimee-le-texte-integral-dune-conversation-au-sein-de-la-bundeswerh–1065341183.html))

Pourquoi invraisemblable ? Il ne s’agit pas de nier ici la réalité de cette discussion qui a été reconnue par le ministère de la défense allemand, mais qui peut croire que des officiers de l’armée de l’air allemande puissent échanger tranquillement dans une conversation téléphonique non cryptée sur un sujet aussi grave que celui d’envoyer des missiles à longue portée en Ukraine pour atteindre la Crimée, aujourd’hui territoire russe ? Avec, pour clore le tout, un des participants à Singapour ?

Si la présence de ce général de brigade à Singapour était si indispensable pour cette discussion, que n’était-il pas plus simple et raisonnable de lui payer un billet d’avion pour l’Allemagne afin de discuter bien tranquillement au fond d’un bunker de Ramstein à l’abri des oreilles indiscrètes ?

La première réponse qui vient donc à l’esprit est que cette discussion a été faite pour être divulguée.

Il faut être un enfant de 4 ans pour croire aux explications vaseuses de Boris Pistorius, le ministre de la Défense, qui impute la divulgation de cette conversation à une attaque hybride de la Russie.(([2] https://www-rt-com.translate.goog/news/593702-german-defense-chief-blames-russia-for-leak/?_x_tr_sl=en&_x_tr_tl=fr&_x_tr_hl=en))

En fait, le pauvre homme ne sait plus où il habite, parlant tout à la fois de « guerre de l’information que mène Poutine » et « d’attaque hybride visant la désinformation » tout en recommandant de « réagir de manière particulièrement pondérée, mais néanmoins résolue. »

Derrière toutes ces injonctions contradictoires, que ne désavouerait pas un Macron, se cachent la discorde au sein du gouvernement allemand entre les bellicistes (Pistorius, Baerbock) et le chancelier Scholtz qui a affirmé plusieurs fois récemment qu’il était hors de question d’envoyer des missiles Taurus à l’Ukraine.

D’où cette question qui se pose aujourd’hui sans détours :

Qui gouverne aujourd’hui l’Allemagne ? Les civils ou bien l’armée ? Scholtz ou bien Baerbock ?

Il est facile de considérer celle-ci comme une Nuland(([3] La sous-secrétaire d’État américaine Victoria Nuland est restée célèbre pour sa distribution de cookies sur la place Maidan à Kiev lors du coup d’État américain en Ukraine de 2014 et par son jugement tout en finesse lors d’une écoute téléphonique : “Fuck Europe !”)) allemande, tant son bellicisme n’a d’égal que son alignement inconditionnel à Washington.

On peut comprendre que cette question inquiète particulièrement la Russie, qui vient de convoquer son ambassadeur d’Allemagne.

Mais plus grave encore, pour Dmitri Medvedev, la divulgation de cet enregistrement des officiers allemands préparant une attaque du pont de Crimée met en relief la volonté de l’Allemagne de préparer une guerre contre la Russie via l’OTAN.

Et il explique : « L’Histoire connaît de nombreux exemples où les militaires ont été capables de prendre des décisions à la place de leurs supérieurs civils concernant le déclenchement d’une guerre ou simplement l’incitation à un conflit », évoquant un scénario de provocation hypothétique, dans lequel l’armée allemande pourrait convaincre Scholtz que les forces russes avaient lancé un missile sur Berlin qui aurait été intercepté.

Ce qui donne du poids aux craintes de Medvedev, ce sont deux évènements récents. L’un majeur et lourd de conséquences, l’autre qui est passé totalement inaperçu.

Ainsi, tout d’abord, le sabotage de Nord Stream par les Américains, pour définitivement déscotcher l’Allemagne de l’énergie russe bon marché, qui a mis à genoux toute l’économie allemande et qu’a laissé faire sans broncher le chancelier Scholtz. Par son silence face à cet acte de guerre, Scholtz est passible d’une inculpation pour complicité de haute trahison contre son propre pays.

L’autre évènement, beaucoup plus discret, à savoir le détour par le Texas d’Annalena Baerbock, lors de sa visite à Washington le 13 septembre dernier. À cette occasion, elle a rencontré le gouverneur républicain Greg Abbott. Bizarre autant qu’étrange, sachant que celui-ci est, selon Courrier International, l’antithèse de l’écologiste d’outre-Rhin. Futur vice-président du candidat Donald Trump, Abbott « a fait passer une des réglementations relatives à l’avortement les plus dures des États-Unis, envoie la garde nationale contre les migrants le long des 2000 kilomètres de sa frontière avec le Mexique et se refuse à renforcer la législation sur les armes à feu. »

Ce qui fait dire à Courrier International que celle qui surnomme le Texas « l’État des extrêmes » est venue se rendre compte des chances de Donald Trump de remporter les élections présidentielles de novembre et que l’Allemagne prépare déjà l’après Biden.

Si l’on prend en considération :

1) — la probabilité du retour au pouvoir de Trump en novembre qui ne voit plus l’intérêt de continuer à entretenir l’OTAN alors que son pays est englué dans une immigration continue qui explique le gel par les républicains du Congrès des nouveaux fonds américains à envoyer à l’Ukraine,

2) — l’entraînement exceptionnel « Steadfast defender » des 90 000 troupes de l’OTAN pendant 4 mois jusqu’en juin aux frontières de la Russie, on peut raisonnablement se demander si l’Allemagne via ses ministres de la Défense et des Affaires étrangères n’est pas en train de profiter de cet entraînement pour préparer une attaque de la Russie en passant par-dessus son chancelier qui apparaît plus que jamais comme un idiot utile à la politique de Washington.

La divulgation de la réunion préparatoire des quatre officiers de la Luftwaffe pour une attaque contre le pont de Crimée pourrait apparaître comme volontaire, ne serait-ce que pour forcer la main au chancelier Scholtz en montrant sa duplicité face à une escalade guerrière contre la Russie. Traduction : « je refuse d’envoyer des missiles Taurus à l’Ukraine, mais mon armée s’y prépare. »

Rappelons enfin qu’Annalena Baerbock est étrangement silencieuse sur ce scandale de la divulgation de la discussion des officiers de la Luftwaffe, mais aussi sa compatriote, dont le bellicisme forcené n’est plus à démontrer, Ursula Von der Leyen, tout aussi étrangement muette…

Pour terminer, citons Maria Zakharova qui a déclaré aujourd’hui :

« L’Allemagne est gouvernée par une puissance de l’ombre. Il existe une force invisible et inconnue pour l’électeur allemand, sans rapport avec le système électoral, au sein de l’appareil d’État qui gouverne désormais l’Allemagne. Les Allemands parlent du “Schattenstaat”, un “État fantôme”. »





L’attaque sous faux drapeau, une spécialité américaine

Par Jean-Michel Grau

Depuis les guerres du Vietnam et d’Irak, en passant par la crise de Cuba, l’empire US s’est fait une spécialité de l’attaque sous faux drapeau. Pour créer le chaos partout dans le monde, afin d’assurer ensuite la « pax americana », garante de sa suprématie par la force du dollar américain sur la planète, en d’autres termes, par l’organisation du monde selon les règles américaines.

C’est cette organisation qui est en train de prendre fin aujourd’hui avec la guerre en Ukraine et la mise en place d’un monde multipolaire sous l’hospice de la Chine et de la Russie avec l’OCS.(([1] Organisation de Coopération de Shanghaï))

Pour bien comprendre en quoi consistent les attaques sous faux drapeau, dont les US n’ont pas l’exclusivité dans l’Histoire, mais dont on peut quand même leur attribuer la paternité dans la majorité des cas recensés depuis 1960, rien ne vaut quelques exemples, tous reconnus d’ailleurs depuis, par les services secrets américains.

Nous développerons ici quatre cas emblématiques des attaques sous faux drapeau américaines depuis 1960, mais il en existe encore beaucoup d’autres.(([2] Daniele Ganser, les guerres illégales de l’OTAN, Éditions Demi-Lune))

Le projet d’attaque américaine sous faux drapeau à Cuba

Voici probablement le projet d’attaque sous faux drapeau le plus monstrueux jamais imaginé. Il est l’œuvre de l’état-major militaire américain.

Comme l’a admis le gouvernement américain, des documents récemment déclassifiés montrent qu’en 1961, les chefs d’état-major interarmées américains ont approuvé un plan visant à faire exploser des avions américains, à l’aide d’un plan élaboré impliquant l’échange d’avions, ainsi qu’à commettre des actes terroristes sur le sol américain, puis à rejeter la faute sur les Cubains, afin de justifier une invasion de Cuba pour renverser son Premier ministre Fidel Castro.

« Le Pentagone, qui est qualifié aujourd’hui encore par les médias de masse de “ministère de la Défense” mais qui devrait plutôt être désigné comme “ministère de l’attaque” si l’on se base sur les faits historiques, voulait une invasion de Cuba et la chute de Castro. »

« Ceci ressort d’un plan hautement confidentiel surnommé “Opération Northwoods”, daté du 13 mars 1962, qui n’a jamais été mis en œuvre. L’opération Northwoods a été signée par le plus haut général du Pentagone, le chef d’état-major interarmées Lyman Lemnitzer, sous les ordres directs du Secrétaire à la Défense McNamara. Les documents, à l’époque classés top secret, offrent une perspective rare et accablante sur l’activité guerrière illégale aux États-Unis. Le plan prévoyait de faire sauter des avions et des bateaux du Pentagone et de commettre des attentats terroristes aux USA afin d’attribuer la responsabilité de ces crimes à Fidel Castro. Dans l’optique d’une stratégie de la tension, de telles attaques sous faux pavillon devaient répandre peur et effroi dans la population américaine. Sous l’emprise de la colère et en état de choc, les citoyens américains auraient alors approuvé une invasion de Cuba, d’après ce que prévoyait le Pentagone. »

« Sans que quiconque au sein du Congrès soit au courant, Lemnitzer et l’état-major interarmées ont secrètement franchi la limite de l’État de droit », critiqua le journaliste américain James Banford, qui permit au public d’accéder aux documents secrets de l’Opération Northwoods. « Au nom de l’anticommunisme, les militaires ont proposé une guerre terroriste secrète et sanglante contre leur propre pays, afin de mettre l’opinion publique de leur côté dans la Guerre folle qu’ils voulaient mener contre Cuba. »(([2] Daniele Ganser, les guerres illégales de l’OTAN, Éditions Demi-Lune))

Ce plan échafaudé par le président Eisenhower à la fin de son mandat devait déboucher six mois plus tard sur la crise des missiles russes de Cuba en réponse aux missiles américains mis en place en Turquie, menant le monde au bord d’une troisième guerre mondiale…

L’attaque américaine sous faux drapeau au Vietnam

La NSA admet avoir menti sur ce qui s’est réellement passé dans l’incident du golfe du Tonkin en 1964, en manipulant des données pour faire croire que des bateaux nord-vietnamiens avaient tiré sur un navire américain, le Maddox, afin de créer une fausse justification de la guerre du Vietnam. Le président Lyndon Johnson affirme le 4 août que les États-Unis ont été agressés dans le golfe du Tonkin par le Vietnam du Nord, ce qui par la suite s’est avéré un mensonge. Gene Poteat, l’analyste en chef de la CIA à l’époque démasqua le mensonge de guerre de l’administration Johnson, concluant des données disponibles qu’il est « impossible que des torpilles aient été tirées sur les contre-torpilleurs ».

Il ajoute qu’il était assez clair que le Président Johnson et son secrétaire d’État à la Défense Mc Namara voulaient la guerre. Il n’y eut jamais d’enquête sur l’incident.

Mais lorsqu’on demanda à Mc Namara en 1999 si « l’attaque » du 4 août s’était produite, il admit : « Ce que je pense est clair : elle n’a jamais eu lieu. »(([3] Peter Lennon, The attack that never was. The Guardian, 17 Avril 1999))

Les US vont bombarder le Vietnam sans mandat de l’ONU lors d’une guerre illégale d’agression. La guerre tuera trois millions de Vietnamiens et 58 000 soldats américains.

L’attaque américaine sous faux drapeau en Irak

Les États-Unis ont faussement accusé l’Irak d’avoir joué un rôle dans les attentats du 11 septembre — comme le montre un mémo du secrétaire d’État à la défense — comme l’une des principales justifications du lancement de la guerre en Irak. Même après que la Commission du 11 septembre ait admis qu’il n’y avait aucun lien, Dick Cheney a déclaré que les preuves sont « accablantes » qu’Al-Qaïda avait des relations avec le régime de Saddam Hussein, que Cheney avait « probablement » des informations dont la Commission ne disposait pas, et que les médias ne « faisaient pas leurs devoirs » en rapportant de tels liens. De hauts responsables du gouvernement américain admettent désormais que la guerre en Irak a été lancée pour le pétrole… et non pour le 11 septembre ou les armes de destruction massive. Malgré les affirmations antérieures de « loups solitaires », de nombreux responsables du gouvernement américain affirment aujourd’hui que le 11 septembre était un acte de terrorisme parrainé par l’État, mais que l’Irak n’était pas l’État qui soutenait les pirates de l’air. De nombreux responsables américains ont en effet affirmé que le 11 septembre était une opération sous faux drapeau menée par « des éléments dévoyés » (sic) du gouvernement américain.(([4] https://globalresearch.ca/53-admitted-false-flag-attacks/5432931))

Les attaques américaines sous faux drapeau en Europe

« Un ancien Premier ministre italien, un juge italien et l’ancien chef du contre-espionnage italien admettent que l’OTAN, avec l’aide du Pentagone et de la CIA, a mené des attentats terroristes en Italie et dans d’autres pays européens dans les années 1950 et a accusé les communistes, afin de rallier le soutien des populations à leurs gouvernements en Europe dans leur lutte contre le communisme. Comme l’a déclaré un participant à ce programme autrefois secret :

« Il fallait attaquer des civils, des gens, des femmes, des enfants, des innocents, des inconnus éloignés de tout jeu politique. La raison en était très simple. Ils étaient censés forcer ces gens, le public italien, à se tourner vers l’État pour demander une plus grande sécurité. »

Ils auraient également mené des attaques terroristes en France, en Belgique, au Danemark, en Allemagne, en Grèce, aux Pays-Bas, en Norvège, au Portugal, au Royaume-Uni et dans d’autres pays.

Les attentats sous faux drapeau perpétrés conformément à ce programme comprennent entre autres : le meurtre du Premier ministre turc (1960), des attentats à la bombe au Portugal (1966), des attentats terroristes en Turquie (1971), l’attentat de Brescia (1974), les fusillades d’Istanbul (1977), l’enlèvement et le meurtre du Premier ministre italien Aldo Moro (1978), l’attentat à la bombe dans la gare de Bologne (1980) et la fusillade et le meurtre de 28 clients dans le comté du Brabant, en Belgique (1985). »(([4] https://globalresearch.ca/53-admitted-false-flag-attacks/5432931))

Autant d’attentats faisant des centaines de morts et de blessés graves.

Odessa, la prochaine attaque sous faux drapeau ?

Alors qu’aujourd’hui la guerre en Ukraine fait rage, menée contre la Russie par l’OTAN finançant et manipulant le gouvernement ukrainien, et qu’on s’achemine lentement mais sûrement vers un désastre total pour l’armée ukrainienne et les mercenaires de l’OTAN, se pose la question d’une attaque sous faux drapeau des forces de l’OTAN.

À ce sujet, il n’est pas inutile de rappeler les récentes attaques sous faux drapeau en Ukraine avec les massacres ukro-nazis mis sur le dos des Russes à Boutcha, dans une manipulation sommaire de cadavres exhumés ainsi que le sabotage de Nord Stream par l’OTAN, mis aussi sur le compte des Russes en représailles, alors qu’il suffisait juste pour ceux-ci de fermer les robinets…

À l’heure où la débandade finale approche pour l’Ukraine et l’OTAN, il reste donc encore à cet avatar armé américain une ultime carte à jouer : celle de l’action terroriste sous faux drapeau.

N’ayant jamais été capables de gagner une guerre depuis 1945, mis à part celle de l’île dérisoire de la Grenade en 1983, il ne reste plus aux Américains que la déstabilisation des États et le terrorisme pour maintenir encore la suprématie de leur monnaie de singe dans le monde. Avec la guerre d’Ukraine, on est en train de clore ce long chapitre sanguinaire, dans ce qui risque d’être une sorte de baroud d’honneur avec une dernière attaque sous faux drapeau. La ville « candidate » à cette attaque paraît toute trouvée : Odessa.

Odessa reste aujourd’hui la seule ville que ne contrôlent pas encore les Russes pour boucler la mer Noire. En lançant un missile nucléaire tactique sur Odessa entre Steadfast Noon(([5] http://lignesdedefense.blogs.ouest-france.fr/archive/2022/10/11/steadfast-noon-23381.html)) cette semaine, qui arrive à point nommé pour préparer ce nouveau coup fourré, et les mid-terms de début novembre, le Deep State US a un argument en or pour entrer en guerre contre la Russie « en représailles », et court-circuiter du même coup les élections avec la loi martiale en les reportant sine die pour cause de guerre.

Ville martyre depuis que les ukro-nazis, qui ont pris le pouvoir avec le coup d’État de Maidan en 2014, ont perpétré des massacres contre la population civile,

« Odessa est un objectif prioritaire des Russes qui prévoient d’y mener une offensive entre la fin 2022 et début 2023. C’est également pour cette raison qu’en juillet 2022, a été formée “la brigade Odessa”. Elle est l’une des 16 brigades composées de citoyens du sud de l’Ukraine, formées depuis mars 2022 et destinées à être opérationnelles dès maintenant, avec l’ambition de libérer les villes de Nikolaiev à Odessa. »(([6] Jacques Baud, Opération Z, Max Milo))

Il est donc tentant pour le Deep-State américain de jouer la carte de l’attaque sous faux drapeau à Odessa, sachant que cette ville stratégique est dans la ligne de mire des Russes. S’agira-t-il d’une attaque nucléaire tactique ou d’une « bombe sale », nul n’a la réponse à ce jour, mais ce risque est loin d’être exclu. Difficile de dire en effet quel est le rapport de forces de ces fous furieux que sont les straussiens au sein du Pentagone, de la CIA et du Département d’État. Il ne faut pas oublier qu’avec cette guerre d’Ukraine, les straussiens du Deep-State aux ordres de l’oligarchie ploutocrate anglo-saxonne jouent leur va-tout. Ils n’en ont pas d’autres à leur disposition. S’ils ne gagnent pas cette guerre : plus de Great Reset, plus de monnaie numérique, plus de gouvernance mondiale.

Dans ce combat de titans, la responsabilité de la Russie est énorme. Elle n’a pas le droit à l’échec, mais possède plusieurs atouts dans sa manche pour gagner :

1) Son économie dynamique, renforcée par les sanctions. De quoi alimenter son armée pléthorique en matériel de pointe. Pour rappel, sa dette est dérisoire comparée aux dettes faramineuses britannique, française, américaine et japonaise : le rapport avec son PIB est de 13,8 %, celui de la Grande-Bretagne de 85,5 %, de la France de 98 %, des États-Unis de 107 % et du Japon… de 250 % !

2) Elle a l’appui stratégique, économique et financier de la Chine, ce qui n’est pas rien, ainsi que celui des autres membres de l’OCS dans le cadre des nouvelles routes de la soie.

3) Elle est l’un des principaux fournisseurs de matières premières du monde dont l’Europe ne peut se dispenser comme on va le voir cet hiver…

4) Enfin, elle possède un armement sophistiqué de premier ordre avec ses missiles hypersoniques capables d’anéantir n’importe quelle capitale occidentale sans être détectés. Les scientifiques américains reconnaissent à ce sujet qu’il leur faudra au moins dix ans avant de rattraper leur retard sur les Russes.(([7] https://lecourrierdesstrateges.fr/2022/06/08/la-russie-et-larme-hypersonique-les-aleas-de-la-strategie-du-fort-au-fou/))





« Encore cinq ans, Monsieur le bourreau ! »

Par Jean-Michel Grau

Les Français viennent de reconduire leur bourreau pour cinq ans.

Cinq ans de nouvelles persécutions contre eux, faites de nouveaux confinements, de nouveaux couvre-feux, de nouvelles piqûres mortifères et de muselières à porter du matin au soir, comme les chiens qu’ils sont devenus sous Macron.

Cinq ans de souffrances auxquelles va s’ajouter maintenant la croisade guerrière contre Poutine pour « libérer » les ukro-nazis qui écrasent dans le sang depuis huit ans le peuple russophone du Donbass à coups de missiles, après le coup d’État de Maidan de 2014, dans l’indifférence générale.

Prendre fait et cause pour son bourreau comme vient de le plébisciter par les urnes le peuple français avec plus de 58 % des votes, cela porte un nom : cela s’appelle le syndrome de Stockholm.

Qu’est-ce que le syndrome de Stockholm ?

Le syndrome de Stockholm désigne un phénomène psychologique bien connu des psychiatres et observé chez des otages ayant partagé longtemps la vie de leur geôlier pour finir par sympathiser avec lui jusqu’à adopter son point de vue. Le terme « Syndrome de Stockholm » passé dans le langage courant doit son nom à l’analyse d’une prise d’otages à Stockholm en 1973 par le psychiatre et criminologiste suédois Nils Bejerot.

Ce syndrome de Stockholm est exactement ce qu’on observe aujourd’hui chez une majorité de Français. Depuis que la démocratie française a sombré sous les coups de boutoir des cabinets de conseils américains qui dirigent la France en sous-main, via le gouvernement Macron et son Assemblée Nationale aux ordres, mais aussi son Conseil Constitutionnel, dont le fils de son président dirige la filiale française du cabinet de conseil américain Mac Kinsey, chargé de mettre en œuvre l’ingénierie sociale de la dictature sanitaire que subit ce pays pris en otage depuis deux ans. On pourrait rajouter à cette liste noire le Sénat dont certains membres témoignent d’un zèle sordide et pervers dans l’art de trouver des solutions expéditives pour se débarrasser des non-vaccinés.

Il est d’ailleurs bien étonnant que l’architecte transhumaniste de cette dictature mondialiste, Klaus Schwab, grand manitou de la secte de Davos qui réunit tout ce que la politique et la finance mondialiste compte de tyrans et de milliardaires corrompus, n’ait évoqué à aucun moment ce syndrome de Stockholm dans son livre « Covid 19, la grande réinitialisation ».(([1] Klaus Schwab, Covid-19 : la grande réinitialisation, forum publishing))

Mais peut-être qu’il n’en attendait pas tant, lui qui évoquait « une fenêtre de tir étroite » pour la réussite de son Great Reset, surtout de la part d’un peuple qu’on avait toujours crédité dans l’Histoire de rebelle et de réfractaire à tout changement…

C’est pourtant oublier un peu vite l’épisode de Vichy, ce passé qui ne passe pas(([2] Vichy, un passé qui ne passe pas, Éric Conan et Henry Rousso, Fayard)), qu’a tenté d’effacer le Général de Gaulle en unifiant la Résistance avec Jean Moulin pour forcer l’Amérique de Roosevelt à frayer une place à la France aux côtés des vainqueurs et obtenir un siège au Conseil de Sécurité. Car l’Amgot, gouvernement militaire allié, censé assurer une transition pour un retour à la « démocratie » des pays libérés de l’occupant nazi était accompagné d’une monnaie émise par les États-Unis sur le modèle du dollar qu’avaient préparé les américains pour la France dès 1944, en la jetant par hélicoptère. Ce « dollar français » a fini dans les poubelles de l’Histoire, de Gaulle ayant toujours compris que l’indépendance d’un pays dépendait tout d’abord de sa monnaie.(([3] blogs.mediapart.fr/danyves/blog/231214/histoire-secrete-amgot-ou-quand-les-americains-ont-tente-d-annexer-la-france))

Hélas, depuis l’indépendance de la France voulue par De Gaulle, l’Union européenne de Jean Monnet, marionnette de Washington, est passée par là, dépouillant une à une toutes les prérogatives des États membres, qu’elles soient budgétaires, économiques et financières, et maintenant politiques et sanitaires. Traités après traités, cette UE tentaculaire a réduit tous les ministères régaliens de chaque pays européen à l’état de coquille vide, à commencer par la France. La dictature sanitaire est donc la dernière étape de ce processus de décomposition, après avoir refait voter des parlements contre leur peuple respectif qui s’était prononcé par referendum contre la constitution européenne.

Pire : aujourd’hui, cette Union, qu’on nous avait toujours chanté comme étant le gage de la paix en Europe, livre maintenant des armes à l’Ukraine contre la Russie, montrant clairement, contrairement à ce qu’on avait bien voulu nous faire croire, que l’Europe, ce n’est pas la paix, mais la guerre.

En effet, la guerre contre la Russie et la dictature sanitaire du Covid ne sont que les deux faces d’une seule et même pièce : le dollar. Ce dieu de papier que les États-Unis, endettés à mort, se doivent de sauver à tout prix, après avoir usé et abusé de leur position dominante grâce à leur économie de la dette les ayant fait vivre aux crochets de toute la planète, depuis qu’ils ont décidé en 1971 de libérer leur monnaie de la parité or. Seulement, la politique de la planche à billets à tour de bras n’étant pas éternelle, et voyant la menace prochaine de l’effondrement de la pyramide de Ponzi(([4] finance-heros.fr/pyramide-ponzi/)) qu’ils ont créée de toute pièce, il ne leur restait plus que deux solutions pour sauver le dollar :
le chaos et la guerre.

Le chaos, créé artificiellement avec le Covid 19, pour faire « avancer par peur »(([5] lexpress.fr/actualite/societe/sante/avancer-par-peur_758721.html)) les peuples qui en seraient les victimes, selon les préceptes du promoteur de l’euthanasie généralisée Jacques Attali, et donc assujettir à force de confinements, couvre-feux, piqûres mortifères, distanciation sociale et gestes barrières, toutes les classes moyennes ruinées suite à la fermeture de leur commerce ou de leur activité indépendante, que les requins de la finance s’apprêtent maintenant à préempter.

La guerre, pour anéantir les pays qui font de l’ombre au géant américain dans sa course effrénée à la domination mondiale, à commencer par la Chine, son rival économique de toujours, mais aussi la Russie, son rival militaire, pour leur voler leurs matières premières.

Mais avec cette guerre en Ukraine qui a obligé la Russie à défendre enfin ses frères russophones ukrainiens agressés depuis huit ans par les hordes ukro-nazies entraînées officieusement par l’OTAN, l’Histoire devrait encore une fois montrer bientôt que la puissance russe n’est pas l’Irak ou la Libye d’hier, pas plus que la Pologne ou la France d’avant-hier, en renvoyant avec ses missiles hypersoniques l’OTAN dans les limbes ainsi que l’Amérique et ses séides européens au terminus des prétentieux…

À l’heure on l’on est en train de découvrir la réalité de la guerre bactériologique que comptait mener l’État profond américain contre la Russie pour l’anéantir sans tirer un seul missile, au moment où l’existence de plus d’une trentaine de laboratoires bactériologiques américains vient d’être révélée au public tout autour de la Russie, des preuves accablantes de la responsabilité américaine dans un laboratoire de recherche bio-militaire caché dans le complexe souterrain d’Azovstal à Marioupol devraient prochainement être révélées au grand jour par les Russes.(([6] lecourrierdesstrateges.fr/2022/04/11/ukraine-poutine-traque-t-il-un-laboratoire-de-la-cia-cache-dans-lusine-azovstal-de-marioupol/))

En attendant, après deux ans de dictature sanitaire et de propagande forcenée H24 par tous les médias mainstream sans exception, force est de reconnaître que le lessivage des cerveaux des Français vient de porter ses fruits avec la large reconduction de Macron au fauteuil présidentiel.

Après deux ans d’inversion totale des valeurs humaines sur le modèle orwellien de : « l’esclavage, c’est la liberté », « la guerre, c’est la paix » « l’agresseur, c’est l’agressé », « le mensonge, c’est la vérité » et « les faits sont des fake news », les électeurs français sont devenus de parfaits zombies, dociles et obéissants comme des moutons bêlants, gobant sans aucun discernement la propagande télévisée débitée à jet continu du matin au soir en intraveineuse… Tous ces petits vieux muselés qui continuent de porter leur bâillon deux mois après la fin des restrictions : au supermarché, dans la rue, et même seuls en voiture, tous ces fantômes sont déjà morts et ne le savent pas encore.

« Nous sommes en guerre ! » claironnait Macron sur un ton martial il y a deux ans déjà. Pas contre un virus (Comment peut-on faire la guerre à un virus ?), mais contre son propre peuple, comme tout esprit éclairé pouvait le découvrir, après deux ans d’enfermement et de mesures liberticides. Mais encore fallait-il pour cela éteindre son téléviseur et allumer son cerveau…

Cette guerre, dirigée en sous-main par l’État profond américain, est en réalité une guerre contre tous les peuples occidentaux, qu’ils refusent ou non de se plier aux injonctions arbitraires et tyranniques de la dictature sanitaire, pris en otage qu’ils sont, par la clique corrompue de la finance anglo-saxonne mondialiste, et dont Macron est sans conteste l’un des représentants les plus emblématiques et les plus fanatiques.

Voilà donc l’homme que les Français viennent de reconduire pour cinq ans et dont la volonté de ses commanditaires est d’entraîner maintenant la France, pour son nouveau mandat, dans une troisième guerre mondiale contre la Russie pour tenter de sauver le dollar américain.

Moins d’un siècle après la tragédie nazie avec au bout les 80 millions de morts de la Seconde Guerre mondiale, c’est à désespérer de l’espèce humaine.




Quand le MEDEF montre les crocs, Bercy passe à la trappe

Par Jean-Michel Grau

On pourrait résumer en une phrase l’état d’esprit qui anime notre sémillant ministre de l’économie en ruine, Bruno Le Maire :

Fort avec les faibles, faible avec les forts.

Après la taxe inique sur le gasoil qui allait mettre le feu aux poudres dans la France périphérique en alimentant pendant des mois la révolte des Gilets Jaunes, durement réprimée à coups de LBD, il aura suffi cette fois-ci que le patron du MEDEF, Geoffroy Roux de Bezieux hausse le ton pour que notre comique des finances rentre dans le rang 4 jours après.

En cause : l’accès aux centres commerciaux de plus de 20 000 mètres carrés conditionné au pass sanitaire. Le président du MEDEF demandait donc ce 2 septembre l’arrêt du pass sanitaire en vigueur dans certains départements pour ces centres commerciaux de plus de 20 000 mètres carrés.

« Sur les centres commerciaux, on a un énorme problème », a déclaré Geoffroy Roux de Bézieux sur RMC/BFMTV. « Cela fait -30 %, -40 % de chiffre d’affaires dans les centres commerciaux où il y a le pass sanitaire… Je vais demander au Premier ministre que le pass sanitaire sur les centres commerciaux soit arrêté », a annoncé le président de l’organisation patronale avant une rencontre dans la journée avec Jean Castex.(([1] francais.rt.com/france/90214-ca-fait-mal-president-medef-demande-arret-du-pass-sanitaire-dans-les-centres-commerciaux))

À peine 4 jours après cette déclaration musclée du patron des patrons, le locataire de Bercy faisait savoir le 6 septembre que le pass sanitaire ne serait plus exigé que dans 64 centres commerciaux sur le territoire français à compter du 8 septembre, contre 178 à l’heure actuelle.(([2] francais.rt.com/france/90341-nombreux-centres-commerciaux-exemptes-pass-sanitaire-partir-8-septembre-covid-19))

Et comme pour ménager la susceptibilité de notre sourcilleux Bruno, le patron du MEDEF, bon prince, lui soufflait l’explication à donner dans ce revirement :
« Il faut arrêter le pass sanitaire dès que possible, dès que les chiffres pandémiques qui ont l’air de baisser le permettront », a-t-il ajouté.

Aussitôt dit, aussitôt fait, ce qui donne aujourd’hui dans la bouche de Bruno Le Maire :

« La décision a été prise en raison de la baisse continue du taux d’incidence constatée sur l’ensemble du territoire »

Sacré Bruno ! Une baisse continue de 4 jours après les déclarations fracassantes du patron du MEDEF ! Il ne manque pas d’humour. La continuité est apparemment à géométrie variable à Bercy…

Mais notre Bruno national ne pouvait pas en rester là. Tout drapé dans son orgueil blessé par ce retournement de veste aussi inopiné que forcé, en répondant à une question de Jean-Jacques Bourdin sur BFM qui lui demandait si l’instauration du pass sanitaire était « nuisible » pour l’économie française, Bruno Le Maire a rétorqué sans sourciller :

« Non, c’est très bon pour l’économie (sic). Il protège les consommateurs, donc il protège notre économie. » Et d’ajouter, penaud :

« Il y a un seul secteur, je le reconnais volontiers, où effectivement il y a eu un impact, c’est les centres commerciaux. »

Un détail… Du Macron pur jus, ou comment « en même temps » affirmer tout de go que les centres commerciaux ont été impactés par le pass sanitaire tout en maintenant que celui-ci est très bon pour l’économie ! On en reste pétrifié de consternation.

Qu’il me soit permis ici de décerner à Bruno Le Maire, le titre de « clown de l’année ».




C’est reparti comme en 40

Par Jean-Michel Grau

Chassez le naturel, il revient au galop.

On connaissait déjà la couverture du Monde de Macron sur fond de foule aux Champs-Élysées qui avait plagié l’affiche d’Hitler du graphiste Lincoln Agnew sur fond de foule à Nuremberg.(([1] rtbf.be/info/medias/detail_le-monde-a-t-il-vraiment-assimile-emmanuel-macron-a-adolf-hitler?id=10108123))

Le Monde avait probablement été inspiré par le slogan de campagne de Macron en 2017 de « La France en marche » repris du même slogan de Vichy…

Aujourd’hui, c’est le groupe européen « Renaissance », soutien de la majorité présidentielle, qui récidive dans une affiche vantant la politique européenne des vaccins dans un message et un graphisme dignes des pires affiches de la collaboration pétainiste de 1940.(([2] francais.rt.com/france/90203-vaccins-europe-fait-taire-nationalistes-propagande-macroniste-malhonnete-renaissance))

Il y a des noms de mouvements politiques qui sentent fort la réminiscence des années 40.

« Renaissance » en fait partie, surtout lorsque le mot est accolé à l’Europe. Doit-on rappeler ici que les premiers européistes étaient fascistes, nazis et pétainistes et que Walter Hallstein le premier président de la Commission européenne était un ancien nazi ?(([3] comite-valmy.org/spip.php?article8641))

Ainsi Goebbels, chargé par Hitler de développer un « programme européen », déclarait dans son journal : « Le but de notre combat doit être, toujours et encore, de créer une Europe homogène. »

Et il ajoutait : « Mais l’Europe ne peut connaître une organisation claire que par les Allemands. »

Sans commentaire.

Par ailleurs, les unités de Waffen SS, étaient déjà européennes : belges, hongroises, néerlandaises, françaises, baltes… S’il n’y avait pas aujourd’hui l’OTAN fermement et durablement installée à Bruxelles, le rêve de Macron d’armée européenne aurait été exaucé depuis longtemps.

Mais le fantasme d’une « gross Europa » n’était pas qu’allemand…

Pierre Laval, chef du gouvernement français, était déjà un partisan de la Nouvelle Europe (Das Neue Europa). Le 22 juin 1942, il prononce le discours suivant :

« De cette guerre surgira inévitablement une nouvelle Europe. On parle souvent d’Europe, c’est un mot auquel, en France, on n’est pas encore très habitué. On aime son pays parce qu’on aime son village. Pour moi, Français, je voudrais que demain nous puissions aimer une Europe dans laquelle la France aura une place qui sera digne d’elle. Pour construire cette Europe, l’Allemagne est en train de livrer des combats gigantesques. Elle doit, avec d’autres, consentir d’immenses sacrifices. Et elle ne ménage pas le sang de sa jeunesse. Pour la jeter dans la bataille, elle va la chercher dans les usines et aux champs. Je souhaite la victoire de l’Allemagne, parce que, sans elle, le bolchevisme, demain, s’installerait partout. »(([3] comite-valmy.org/spip.php?article8641))

Le 20 avril 1943, il est reçu par Hitler, avec Ribbentrop et le fasciste italien Bastianini, afin de participer à l’organisation de la Nouvelle Europe.

Sous-secrétaire d’État aux affaires étrangères, Bastianini avait proclamé le « programme Europe » qui fut massivement diffusé en Italie. Il s’agissait d’un plan de future union ou confédération européenne, repris par Ribbentrop et relancé en avril par Mussolini et Laval lors de leurs entrevues avec Hitler.(([3] comite-valmy.org/spip.php?article8641))

Comme on le voit ici, les origines de l’Union européenne n’ont rien de franchement démocratique.

Quant au rôle joué par Jean Monnet dans la construction européenne, je rappelais dans un article précédent(([4] nouveau-monde.ca/de-lunion-europeenne-a-lunion-de-lenfermement/)) qu’il avait préconisé avec les traités, un effet d’engrenage, à savoir un transfert « en douceur, mais irréversible des compétences régaliennes vers des organismes techniques échappant à la volonté des peuples.» On ne peut être plus clair…

Si l’on ajoute que l’ancien président de la Commission européenne Jean-Claude Juncker déclarait en 2015: « Il ne peut y avoir de choix démocratique contre les traités européens », faut-il encore s’étonner qu’aujourd’hui l’Union européenne impose le pass sanitaire à tous ses ressortissants ?

Justement, pour revenir à l’affiche du groupe « Renaissance » auquel appartient Macron, on ne s’étonnera donc pas qu’elle puise son inspiration dans le régime de Vichy.

Si l’on compare cette affiche à celle de la Ligue française éditée en 1941 sous Vichy, on ne peut qu’être surpris par leur parenté visuelle : même regard haineux du personnage principal. Contre le juif, le capitaliste, le franc-maçon pour Marianne… Contre Jean-Luc Mélenchon, Marine Le Pen, Viktor Orban et Boris Johnson pour la présidente de la Commission européenne.

Ensuite, l’accent est mis sur le contraste entre la figure principale et ses cibles : têtes angéliques de Marianne et d’Ursula Van der Leyen, respectivement ceintes de lauriers et d’étoiles, symboles de gloire pour l’une et de divinité pour l’autre, les étoiles entourant la tête de Van der Leyen telle une auréole…

Inversement, les cibles – juif, capitaliste et franc-maçon pour l’affiche de Vichy – et les nationalistes, ou perçus comme tels, pour l’affiche du groupe « Renaissance UE », sont caricaturés avec une expression négative, voire grimaçante.

Il s’agit là de grosses ficelles utilisées par la propagande de toutes les dictatures, auxquelles on peut rajouter le bâton tenu fermement dans la main de Marianne, mais que les commanditaires de l’affiche du groupe européen se sont abstenus de rajouter, car dans leur esprit, l’arme fatale contre le nationalisme réside dans les « vaccins ». Certes, on aurait pu imaginer la présidente de la Commission européenne armée d’une seringue à la main, mais apparemment, ils n’ont pas osé…

Enfin, mettre dans le même paquet deux adversaires politiques français, qui, soit dit en passant, ne sont ni anti-UE, ni même anti-vaccins Covid, avec deux chefs d’État européens en dit long sur le désarroi des européistes pour défendre l’indéfendable : une UE aux abois pour qui il ne reste plus que la dictature sanitaire à proposer aux européens comme avenir.

Avec le premier président de la Commission européenne de 1958 à 1967, Walter Hallstein, toute la rhétorique du IIIe Reich fut adoptée suite à la reprise du projet de « la nouvelle Europe ». La différence était que la propagande exercée était dorénavant accompagnée de deux nouveaux concepts de communication importés des USA : le marketing politique et le storytelling. Cette nouvelle force de communication fut facilitée par le soft power, développé par l’américain Joseph Nye. La propagande se transforma alors en communication. (([3] comite-valmy.org/spip.php?article8641))

Mais c’était sans compter avec le forum de Davos de Klaus Schwab, né dans l’Allemagne d’Hitler et dont le père était un nazi fanatique, qui nous fait faire aujourd’hui un grand pas en arrière de 80 ans avec le grand retour de la propagande des années 40. La preuve par Macron et son groupe européen « Renaissance UE ». Le plus paradoxal est que cette propagande pour le moins vintage se veut être au service de l’innovation et de l’intelligence artificielle dont Klaus Schwab est le chantre le plus fanatique et Macron, le serviteur le plus zélé.

En témoignent les derniers mots échangés entre le maître et son dauphin dans une visioconférence en direct du Forum de Davos en janvier dernier :(([5] nouveau-monde.ca/le-loup-garou-explique-aux-innocents/))

— Macron :

« Les innovations vont nous permettre de créer de la valeur et de répondre aux défis économiques. Mais elles vont poser des problèmes auxquels nous n’avons pas assez réfléchi en termes démocratiques, en termes de libertés publiques et d’augmentation des inégalités sociales. »

— Schwab :

« Il y a des dirigeants qui ont une idée très claire de ce qu’ils veulent faire de cet avenir que l’on veut construire pour le bien de tout le monde. »

— Macron :

« N’oublions jamais que notre objectif est toujours en société de construire la vie bonne (sic), avec les vertus qui vont avec, et la volonté de respecter l’autre. »

« Le bien de tout le monde » et « la volonté de respecter l’autre » : quand on sait que cette dictature sanitaire, dont Schwab est le grand architecte et Macron le chef de chantier, nous mène droit à l’esclavage et ne s’arrêtera que quand on aura mis hors d’état de nuire cette bande de criminels au service de l’oligarchie financière mondialiste, il y a de quoi s’étrangler. Pour mieux s’insurger.




Appel à tous les Français

Par Jean-Michel Grau

Aujourd’hui, 5 août 2021, la République est morte.

Ainsi en a décidé le Conseil Constitutionnel qui a validé toutes les mesures liberticides de l’extension du pass sanitaire, instituant par là même une dictature de facto.

La République est morte par la décision inique de ceux qui se présentent comme des sages alors qu’ils ne sont plus que les valets d’un pouvoir criminel qui applique à la lettre le Grand Reset de Klaus Schwab, le fou illuminé du Forum de Davos à la solde de l’oligarchie mondialiste qui a décidé purement et simplement de réduire en esclavage les peuples en instituant un apartheid pour les uns et en exterminant les autres à coup de piqûres géniques pour leur voler toutes leurs richesses.

La République est morte ce 5 août 2021, comme elle était morte le 10 juillet 1940 lorsque 569 députés se sont couchés pour voter les pleins pouvoirs au maréchal Pétain.

Ce sont les mêmes traîtres qui 80 ans plus tard se vautrent à nouveau dans la lâcheté et l’ignominie.

Les mêmes criminels qui acceptent de créer un apartheid entre vaccinés et non vaccinés, comme leurs prédécesseurs en ont créé une avec la sinistre étoile jaune, se rendant ainsi complices de crimes contre l’humanité.

La République est morte par ceux-là mêmes qui étaient les gardiens de la Constitution française et qu’ils viennent de bafouer et violer allègrement sans aucun état d’âme alors que cet abject pass sanitaire viole de A à Z non seulement la Constitution française, mais encore la Constitution européenne.

Pour rappel, le pass sanitaire qui est de facto une obligation vaccinale qui ne dit pas son nom viole non seulement la Déclaration des droits de l’homme, mais encore la Constitution française de 1946 ainsi que la déclaration de 1789. Ainsi :

« Cette obligation indirecte, puisque non prescrite par la loi, viole l’article 5 de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen de 1789 qui énonce que “nul ne peut être contraint à faire ce que la loi n’ordonne pas”. »

L’obligation vaccinale pour exercer certaines professions viole le droit à l’emploi et le droit de ne pas être lésé en raison de ses opinions ou de ses croyances, protégés par l’alinéa 5 du Préambule de la Constitution de 1946 comme par l’article 8 de la Déclaration de 1789.

Elle viole également le principe d’égalité, les libertés individuelles, le principe de protection de la santé, le droit à l’intégrité physique et à la dignité, le principe d’égal accès aux emplois publics, le principe de précaution, inscrits dans notre bloc de constitutionnalité.

En effet :

Soumettre l’exercice de certaines activités à la présentation d’un « pass sanitaire » aboutit en pratique à une obligation vaccinale pour le personnel travaillant dans les domaines listés ainsi qu’aux citoyens souhaitant y accéder : en effet, la contrainte représentée par le fait de devoir se rendre toutes les 48 heures dans un centre habilité pour y subir un prélèvement nasal non remboursé à compter de l’automne (environ 27 euros à ce jour pour un test PCR, soit 405 euros par mois) constitue une mesure d’effet équivalant à une obligation vaccinale.

Par ailleurs :

  • Le pass sanitaire viole le secret médical (L1110-4 du code de santé publique)
  • Le pass sanitaire viole la liberté de disposer de son corps (L16 -1 Code civil).
  • Le pass sanitaire viole la liberté de refuser tout traitement (L1111-4 du code de santé publique)

    Il viole aussi au moins un accord européen :

la résolution 2361 adoptée le 28/01 par le Conseil de l’Europe (et dont la France est signataire) qui stipule :

– article 7.3.1 que la vaccination ne devra pas être obligatoire et que personne ne devra subir de pressions politiques, sociales ou autres pour se faire vacciner, s’il ou elle ne souhaite pas le faire personnellement.

– article 7.3.2 que personne ne devra être victime de discrimination pour ne pas avoir été vacciné en raison des risques potentiels pour la santé ou pour ne pas vouloir se faire vacciner.

Pour toutes ces raisons, le Conseil Constitutionnel en validant le pass sanitaire, la plus grave atteinte aux libertés jamais portée contre le peuple français depuis l’État collaborationniste de Vichy, valide de facto la dictature instituée par Macron pour réduire les non-vaccinés à l’état d’esclave et les vaccinés à l’état de cobayes de l’industrie pharmaceutique dont Macron est le VRP le plus zélé et le plus fanatique.

Ces vaccins qui, rappelons-le, n’en sont pas, puisque tous n’ont obtenu qu’une autorisation temporaire de mise sur le marché qui court jusqu’en 2023, ne sont que des piqûres expérimentales qui n’ont rien à envier à celles que pratiquaient en leur temps les médecins nazis.

Il faut donc croire que les 9 membres du Conseil Constitutionnel sont assez fous pour s’imaginer que les Français vont accepter cet apartheid et cette dictature nauséabonde en marche sans broncher !

Eh bien, ils se trompent lourdement !

John Fitzgerald Kennedy rappelait déjà en son temps que ceux qui rendent une révolution pacifique impossible rendront une révolution violente inévitable. Il parlait d’or !

Macron, n’avait-il d’ailleurs pas intitulé en 2017 son livre-programme : « Révolution » ?

Eh bien, oui, la révolution préconisée dans le livre de Macron, ce sont les Français qui vont s’en charger dorénavant. Ce n’est pas exactement celle qu’il imaginait. Car cette révolution est celle qui va permettre aux Français de retrouver leurs libertés perdues et qui va le conduire, lui, Macron, ainsi que ses acolytes criminels, devant la justice pour répondre de tous les crimes qu’ils ont commis et continuent de commettre pour sauver l’oligarchie financière de l’effondrement.

Ils vont devoir payer la facture et elle risque d’être particulièrement lourde.

Macron devra payer, ainsi que son ministre de la santé Véran pour l’interdiction des traitements qui soignent qui a entraîné la mort de nombre de français ainsi que pour les injections de Rivotril pour avoir euthanasié sans la permission de leurs proches, les petits vieux des EHPAD laissés à l’abandon.

Il devra payer pour avoir obligé des millions de Français à se faire piquer avec des vaccins expérimentaux dont on ne commence à voir les effets délétères que maintenant, en leur agitant la menace de devenir des citoyens de deuxième zone.

Il devra payer pour avoir créé et entretenu un climat de peur permanente depuis plus d’un an et demi, entraînant un nombre incroyable de dépressions et de suicides en particulier chez les jeunes.

Il devra payer pour avoir traité les Français comme des chiens en leur imposant une muselière y compris aux enfants dès l’âge de 6 ans les obligeant de respirer leur gaz carbonique du matin au soir.

Il devra payer pour avoir fait de la France une prison à ciel ouvert en confinant et reconfinant les Français au gré de sa volonté et de leur avoir fait subir des couvre-feux inutiles qu’on n’avait plus connu depuis la Seconde Guerre mondiale.

Même les nazis les plus fanatiques n’ont jamais osé imaginer un traitement aussi cruel contre leur propre peuple. C’est dire…

Emmanuel Macron est le premier chef d’État malveillant que la France ait jamais connu.

Pour tous ses crimes, il paiera, et le peuple français va s’en charger dès maintenant. Il va voir ce que c’est que d’avoir osé s’attaquer à un peuple qui a déjà quatre révolutions à son actif.(([1] 1789, 1830, 1848, 1871.))

En ce jeudi 5 août 2021, le Conseil Constitutionnel vient d’ouvrir une boîte de Pandore qui ne se refermera plus. La colère est là. Elle grondait déjà. Elle va exploser dès demain.

« Notre patrie est en péril de mort. Luttons tous pour la sauver ! »(([2] Général de Gaulle, appel du 18 juin.))




Le Conseil Constitutionnel osera-t-il enterrer la République Française ?

Par Jean-Michel Grau

Le jeudi 12 juillet 2021 sera-t-il à marquer d’une pierre noire pour la démocratie française ?

En ce jour, le Conseil Constitutionnel devra prendre position pour savoir s’il valide ou non l’extension du pass sanitaire décrétée par Emmanuel Macron le 12 Juillet.

Pour rappel, ce pass sanitaire est anti-constitutionnel en ce sens qu’il bafoue et viole la constitution française car il heurte de manière disproportionnée nombre de libertés fondamentales.(([1] Pass_sanitaire_50000_citoyens_deposent_un_recours_devant_le_Conseil_constitutionnel.pdf (dejavu.legal) )) Ainsi :

« Cette obligation indirecte, puisque non prescrite par la loi, viole l’article 5 de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen de 1789 qui énonce que “nul ne peut être contraint à faire ce que la loi n’ordonne pas”. »(([2] Qu’on soit pour ou contre, le passe sanitaire bafoue la Constitution et les droits de l’homme ! – Boulevard Voltaire (bvoltaire.fr) ))

L’obligation vaccinale pour exercer certaines professions viole le droit à l’emploi et le droit de ne pas être lésé en raison de ses opinions ou de ses croyances, protégés par l’alinéa 5 du Préambule de la Constitution de 1946 comme par l’article 8 de la Déclaration de 1789.

Elle viole également le principe d’égalité, les libertés individuelles, le principe de protection de la santé, le droit à l’intégrité physique et à la dignité, le principe d’égal accès aux emplois publics, le principe de précaution, inscrits dans notre bloc de constitutionnalité.

En effet :

Soumettre l’exercice de certaines activités à la présentation d’un “pass sanitaire” aboutit en pratique à une obligation vaccinale pour le personnel travaillant dans les domaines listés ainsi qu’aux citoyens souhaitant y accéder : en effet, la contrainte représentée par le fait de devoir se rendre toutes les 48 heures dans un centre habilité pour y subir un prélèvement nasal non remboursé à compter de l’automne (environ 27 euros à ce jour pour un test PCR, soit 405 euros par mois) dans des centres qui seront probablement raréfiés et engorgés (du fait du non-remboursement) constitue une mesure d’effet équivalant à une obligation vaccinale.

Par ailleurs :

Le pass sanitaire viole le secret médical (L1110-4 du code de santé publique)

Le pass sanitaire viole la liberté de disposer de son corps (L16 -1 Code civil).

Le pass sanitaire viole la liberté de refuser tout traitement (L1111-4 du code de santé publique)

Il viole aussi au moins un accord européen :

la résolution 2361 adoptée le 28/01 par le Conseil de l’Europe (et dont la France est signataire) qui stipule :

– article 7.3.1 que la vaccination ne devra pas être obligatoire et que personne ne devra subir de pressions politiques, sociales ou autres pour se faire vacciner, si il ou elle ne souhaite pas le faire personnellement.

– article 7.3.2 que personne ne devra être victime de discrimination pour ne pas avoir été vacciné en raison des risques potentiels pour la santé ou pour ne pas vouloir se faire vacciner.

Pour toutes ces raisons, le Conseil Constitutionnel s’expose à une responsabilité écrasante face à l’Histoire s’il valide l’extension du pass sanitaire décrétée par Emmanuel Macron.

Cela équivaudra à enterrer de fait la République française. Exactement comme l’a fait le parlement français un certain 10 Juillet 1940 en votant les pleins pouvoirs à Pétain, ouvrant la voie aux trois premiers actes constitutionnels pris par ce même Pétain le lendemain qui, outrepassant le texte du 10, constituent une forme de coup d’État en supprimant la République pour instituer un régime dictatorial au profit d’un chef d’État autoproclamé.

Pour éviter d’arriver à un tel scénario catastrophe, il reste deux options au Conseil Constitutionnel :

Option n°1

Vider l’extension du pass sanitaire de sa substance en invalidant toutes ses dispositions liberticides :

  • Accès aux hôpitaux hors cas d’urgence,
  • Accès aux écoles, collèges, lycées et universités,
  • Accès aux transports en commun (Trains, bus, métro, tramway…)
  • Accès aux Centres Commerciaux,
  • Accès aux lieux culturels (Musées, concerts, salles de spectacle, cinémas…)
  • Accès aux restaurants, bars, cafés, discothèques…)

Option n°2

Démissionner en bloc pour cause de conflit d’intérêt du président du Conseil Constitutionnel Laurent Fabius avec son fils Victor, vice-président du Cabinet de conseil Mc Kinsey qui élabore la stratégie vaccinale de la France.

Ceux que l’on appelle « les sages » sauront-ils se montrer dignes de leur fonction en rejetant ce pass liberticide qui institue de facto la dictature ?

Réponse jeudi, mais quelle que soit leur décision, elle restera gravée dans l’Histoire de France.

Ou comme une victoire de la liberté, ou bien comme une tache indélébile.





Le ventre est encore fécond d’où a surgi la bête immonde*

Par Jean-Michel Grau

On la croyait disparue à jamais, elle revient.
Pas de façon officielle, mais par une porte dérobée.
Pas par un parti néo-nazi, mais par la finance mondialiste.

Cette finance qui a placé ses pions dans tout l’occident aux postes stratégiques du pouvoir depuis tant d’années afin d’asseoir définitivement son emprise sur les peuples et les nations pour mieux voler toutes leurs richesses afin de se refaire une santé après l’effondrement des bourses qui arrive maintenant au grand galop et qui va emporter toute la sphère financière dans un tourbillon de faillites bancaires comme le capitalisme n’en a encore jamais connu.

La crise des subprimes de 2008 a montré à quel point une gestion confiée à un groupe restreint et aux favorisés du marché était porteuse de chaos.

« Ce système de création monétaire kafkaïen voulant que l’argent soit créé à partir de dettes et d’intérêts qui nous obligent mécaniquement à générer perpétuellement de nouvelles dettes plus grandes que les précédentes est à bout de souffle. Un système d’esclavage financier qui porte en lui les germes de l’autodestruction, puisqu’une dette en constante augmentation exige une croissance en constante augmentation et donc des émissions de CO2 toujours plus grandes. »(([1] les esclaves de l’anthropocène, Nicolas Teterel, éditions Yves Michel))

La finance est devenue folle et veut entraîner le monde dans sa folie. Elle a ainsi inventé au sein du Forum de Davos de Klaus Schwab(([2] Klaus Schwab, Covid19 : la grande réinitialisation, forum publishing)) le Covid19, son cheval de Troie qui doit contraindre tous les peuples à se faire piquer par des vaccins géniques expérimentaux mortifères sous peine de se faire retirer toute liberté de se déplacer, de travailler, de se divertir, en bref, toute liberté de vivre.

Pour arriver à ses fins, elle a trouvé des exécutants fanatiques et zélés, comme notre chef d’État, pour dérouler son scénario d’enfermement des peuples via des institutions dévoyées, gangrenées par la corruption, telle l’Union Européenne, dans le but de nous contraindre de gré ou de force à des piqûres géniques mortifères, en échange d’un « ausweis »**, seul sésame pour pouvoir garder la liberté de vivre ! Même les pires dystopies imaginées au siècle dernier par les meilleurs écrivains de science-fiction n’ont jamais été aussi loin dans un scénario aussi sordide. (([3] Aldous Huxley, le meilleur des mondes.
George Orwell, 1984.
Ray Bradbury, Fahrenheit 451.
Ira Levin, Un bonheur insoutenable))

Ainsi, l’invention du pass sanitaire, viol flagrant du code de Nuremberg de 1947, mais aussi de la déclaration de Genève de 1948, de la déclaration d’Helsinki de 1996 et de la Convention d’Oviedo de 1997(([4] Code de Nuremberg (1947) :

« le consentement du sujet humain est absolument essentiel. Le pacte international relatif aux droits civils et politiques a repris cette interdiction contre toute expérimentation involontaire, dans son texte de 1966 qui stipule : nul ne peut être soumis sans son consentement à une expérience médicale ou scientifique »

Déclaration de Genève pour les médecins (1948) :

« je respecterai l’autonomie et la dignité de mon patient. Je n’utiliserai pas mes connaissances médicales pour enfreindre les droits humains et les libertés civiques, même sous la contrainte. Je garderai le respect absolu de la vie humaine, dès la conception. Je considérerai la santé de mon patient comme mon premier souci »

Déclaration d’Helsinki (1996) signée par 45 pays, dont la France :

« la participation de personnes capables de donner un consentement éclairé à une recherche médicale doit être un acte volontaire. Aucune personne capable de donner son consentement éclairé ne peut être impliquée dans une recherche sans avoir donné son consentement libre et éclairé »

Article 25

Convention d’Oviedo (1997) signée par 29 pays, dont la France :

« une intervention dans le domaine de la santé ne peut être effectuée qu’après que la personne concernée y a donné son consentement libre et éclairé. Cette personne reçoit préalablement une information adéquate quant au but et à la nature de l’intervention ainsi que quant à ses conséquences et ses risques. La personne concernée peut, à tout moment, librement retirer son consentement »

Article 5

)) n’est rien d’autre que la version 2.0 de la sinistre étoile jaune revisitée par les financiers pour créer un nouvel apartheid afin de diviser le monde en alpha plus et bêta moins, en d’autres termes, les vaccinés et les non-vaccinés. Ces derniers deviendront ainsi les nouveaux parias de la société, amenés à être exclus de toute vie sociale avant de l’être, tout comme les juifs en leur temps, de toute vie tout court.

Anne Frank écrivait ainsi dans son journal en 1943 :

« À partir de mai 1940, Les lois antijuives se sont succédées sans interruption et notre liberté de mouvement fut de plus en plus restreinte. Les Juifs doivent porter l’étoile jaune ; les Juifs doivent rendre leurs vélos ; les Juifs n’ont pas le droit de prendre le tram ; les Juifs n’ont pas le droit de circuler en autobus, ni même dans une voiture particulière ; les Juifs ne peuvent faire leurs courses que de trois heures à cinq heures, les Juifs ne peuvent aller que chez un coiffeur juif ; les Juifs n’ont pas le droit de sortir dans la rue de huit heures du soir à six heures du matin ; les Juifs n’ont pas le droit de fréquenter les théâtres, les cinémas et autres lieux de divertissement ; les Juifs n’ont pas le droit d’aller à la piscine, ou de jouer au tennis, au hockey ou à d’autres sports ; les Juifs n’ont pas le droit de faire de l’aviron ; les Juifs ne peuvent pratiquer aucun sport en public. Les Juifs n’ont plus le droit de se tenir dans un jardin chez eux ou chez des amis après huit heures du soir ; les Juifs n’ont pas le droit d’entrer chez des chrétiens ; les juifs doivent fréquenter des écoles juives, et ainsi de suite, voilà comment nous vivotons et il nous est interdit de faire ceci ou de faire cela. »

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[Voir aussi : Lois sur le statut des Juifs du régime de Vichy]
.

Aujourd’hui en 2021, le pass sanitaire dont le texte, actuellement soumis au Conseil d’État, doit être adopté le lundi 19 juillet par le conseil des ministres, puis examiné par le parlement la semaine prochaine prévoit ceci :

Si le test Covid est positif, c’est le placement et le maintien en isolement pour 10 jours dans le lieu déclaré à l’examen. Cette disposition était jusqu’ici réservée aux personnes entrant sur le territoire. Le respect de ce placement à l’isolement pourra être contrôlé par la police et la gendarmerie, la procédure étant placée sous le contrôle du juge des libertés et de la détention.

Le projet prévoit ensuite le maintien d’une autorisation de sortie entre 10 h et 12 h, ainsi que des adaptations possibles concernant « la poursuite de la vie familiale », « la condition particulière des mineurs » ou encore le cas de personnes dont la sécurité serait menacée pendant leur isolement.
Par ailleurs, l’exploitant d’un lieu qui manquerait aux futures obligations de contrôle du pass sanitaire sera passible d’une amende allant jusqu’à 45 000 euros et un an de prison, selon l’avant-projet. Le texte crée par ailleurs un nouveau motif de licenciement.

« Le fait, pour un exploitant d’un lieu ou établissement, le responsable d’un événement ou un exploitant de service de transport, de ne pas contrôler la détention du pass sanitaire par les personnes qui souhaitent y accéder est puni d’un an d’emprisonnement et de 45 000 euros d’amende », stipule son article 1er.

Le chef de l’État a annoncé le 12 juillet que la présentation du pass sanitaire conditionnerait l’accès aux salles de spectacle et aux cinémas à partir du 21 juillet, et aux cafés, restaurants, centres commerciaux ou encore aux trains et avions à partir du 1er août, même si certaines mesures de « souplesse » s’appliqueront pour les adolescents. Tous les clients et usagers à partir de 12 ans des lieux et transports concernés devront avoir leur pass, ainsi que leurs salariés (serveurs des restaurants, contrôleurs de trains, etc.) mais pas les policiers ou gendarmes. Un sursis jusqu’au 30 août a été décidé pour les enfants de 12 à 17 ans et les salariés. Le projet de loi dispose également que les salariés soumis à la vaccination obligatoire (personnels soignants, au contact de populations fragiles, pompiers) ne pourront plus exercer leur activité en cas de manquement au 15 septembre prochain, et pourront être licenciés si la situation perdure pendant les deux mois qui suivent.(([5] Contrôle de l’isolement, autorisation de sortie : les nouvelles restrictions à l’étude — RT en français))

Toute ressemblance avec les lois anti-juives promulguées sous le régime de Pétain pendant l’occupation nazie ne serait-elle que pure coïncidence ?

Nous laisserons au lecteur le soin d’en juger en son âme et conscience.


* Bertolt Brecht, la Résistible Ascension d’Arturo Ui
** Laissez-passer




G7 : photo de famille avec distanciation pas que sociale

Par Jean-Michel Grau

À l’heure où le chef de la Maison-Blanche, à l’occasion du G7 réuni en Cornouailles, a pour mission d’unir le camp occidental face à la Chine sur le commerce et les nouvelles technologies, il va d’abord devoir recoller les morceaux de ce même camp sorti groggy de l’épreuve du Covid.

En témoigne la menace du Premier ministre britannique de déclencher l’article 16 qui l’autorise à piétiner le protocole nord-irlandais conclu avec l’UE en cas de « graves difficultés économiques, sociales ou environnementales », face aux remontrances de l’UE qui l’accuse de ne pas tenir parole sur ses engagements post Brexit en Irlande du Nord. Le ton est donné.

Alors que la chancelière allemande « préconise de trouver une solution pragmatique aux dispositions du traité » post Brexit sur l’Irlande du Nord, le chef de l’État français se contente de sourire quand on lui parle de possible guerre commerciale en cas de déclenchement de l’article 16. Ambiance…

Notons au passage que ce G7 a pour mission de lancer un vaste plan mondial d’infrastructures pour les pays pauvres et émergents, baptisé « reconstruire le monde en mieux. » Klaus Schwab devrait applaudir des deux mains à cette initiative de la Maison-Blanche qui vise à aider uniquement ces pays à se relever de la crise du Covid, au détriment de toute la classe moyenne occidentale ruinée par la même occasion, et qui ne figure pas au programme, bien évidemment.

Intéressons-nous maintenant à cette photo de famille du G7.

Le moins qu’on puisse dire est qu’elle n’inspire pas la franche rigolade, mais plutôt les prémices d’une cérémonie funèbre qui devrait bientôt avoir lieu.

Comme d’habitude, la position des dirigeants respectant la distanciation sociale du 1 mètre les rend aussi artificiels que ridicules, mais là n’est pas le propos.

Observons plutôt leur attitude un à un, en commençant par la puissance invitante placée au centre.

Parler de puissance n’est en effet pas superflu, tant Boris Johnson a l’air d’un gros éléphanteau mal dégrossi, évoquant plus un chef de rayon de quincaillerie qu’un vrai chef d’État. Son pantalon qui gondole n’arrange rien, pas plus que son air ahuri habituel, de celui qu’on vient de prendre au saut du lit. Il est le seul à avoir les mains dans le dos, qui traduisent manifestement un désœuvrement, en d’autres termes, une distanciation qui n’est pas que sociale vis-à-vis de ses alter ego, Brexit oblige.

Passons à celui qui se tient directement à sa droite, Joe Biden, avec cet innénarable sourire crispé et niais qu’il affiche en permanence. Quand on observe attentivement le bonhomme, on ne peut être que frappé par l’absence de toute expression humaine dans son visage figé comme son corps, et on en vient à se demander inexorablement combien de pièces de Playmobil coexistent en lui. Président « augmenté » selon Schwab ou bien diminué selon Alzheimer, chacun jugera… sur pièces.

À la gauche du chef d’État britannique se tient l’improbable président français. De lui, on a tout dit.

Plus souvent le pire que le meilleur, qu’on cherche encore. Sur cette photo, il est égal à lui-même, droit comme un i, en bon petit soldat qu’il est du Forum de Davos. Son maître à penser n’est pas là, mais on peut être sûr qu’il y pense très fort. Il sait qu’il lui est redevable et qu’en tant que pièce maîtresse de l’échiquier davosien, il se doit de ne pas décevoir son maître sous peine de perdre le grand poste européen qu’on lui a promis dès qu’il aura achevé son programme de destruction de l’économie française.

À côté de Macron se tient l’inoxydable chancelière allemande dans sa pose favorite des mains jointes en triangle que celle-ci a expliqué un jour en affirmant qu’elle ne sait pas quoi faire de ses bras quand elle pose… Comprenne qui pourra, libre à chacun d’interpréter ce geste.

Comme à son habitude, elle est la seule à arborer une veste de couleur criarde dans un univers gris essentiellement masculin. On notera par ailleurs qu’elle est reléguée en bout de rang. Symbole de sa disparition prochaine de la scène politique ?

Derrière Angela Merkel se tient la transparente présidente de la Commission européenne. Sa veste claire se confond avec la couleur du ciel, à l’image de cette femme qui ne laissera pas derrière elle un souvenir inoubliable à son poste. La position de ses mains tente de se rapprocher de celles de sa compatriote, version molle, les mains pendantes. Elle est là juste pour la galerie car sa postion dans l’échiquier politique ne la met pas à égalité avec un chef d’État, l’UE n’en étant pas un, même si elle a la prétention de régenter 27 pays. C’est toute la différence avec l’URSS à laquelle l’UE s’acharne de ressembler avec un certain succès et qui va la conduire au même funeste destin très bientôt pour des raisons assez semblables. Un paléontologue en parlerait mieux que moi.

À la droite d’Ursula Von der Leyen se tient le Premier ministre italien Mario Draghi. On devrait plutôt dire le premier financier italien, tant ce premier sinistre évoque plus les compromissions financières avec la BCE que la politique stricto sensu. On le sent raide et crispé. Il y a de quoi, l’Italie étant dans le collimateur de la Cour allemande de Karlsruhe, pour le déficit vertigineux de 160 % de son PIB. L’Allemagne a encore rappelé récemment, via son ancien ministre des finances, Wolfgang Schäuble, qu’il était encore une fois hors de question de mutualiser les dettes, ceci étant contraire aux traités. Il y a de la bière dans le Chianti entre l’Allemagne et l’Italie. On peut comprendre que Mario Draghi n’ait pas envie de porter le chapeau le jour plus vraiment lointain où l’Allemagne reprendra son sacro-saint Deutsch Mark, prélude à l’effondrement programmé de l’UE.

Passons rapidement au suivant, le Premier ministre japonais. On serait tenté de se demander ce qu’il fait là. C’est du moins l’attitude qu’il laisse supposer. Il n’est dans sa fonction que depuis 9 mois et ça se sent. Précisons juste qu’il s’appelle Yoshihide Suga et qu’il n’a pas démérité de poser au sein de cette galerie de musée Grévin occidental.

À sa droite, se tient raide comme un piquet dans son pantalon trop court, le président du Conseil européen, plus transparent que transparent, à tel point qu’il semble se cacher derrière le président américain. Mais malgré sa relégation à l’arrière de la photo, il le dépasse encore d’une tête et montre à la face du monde son air vide et benêt. Cet eurocrate est tellement insignifiant qu’il n’apparaît même pas quand on tape Charles sur Google, contrairement à De Gaulle, Bronson, Aznavour et sept autres célébrités.

Devant lui se tient la grande erreur de casting de cette assemblée : Justin Trudeau, le Premier ministre canadien. Erreur de casting, car on a vraiment l’impression qu’il s’est trompé de film. Sa barbiche de conquistador, sa tignasse rebelle, sa posture tendue les jambes écartées, les mains devant, prêtes à dégainer, évoquent plus un western spaghetti qu’une réunion au sommet des grands dirigeants de ce monde. Il me fait penser à Johnson, l’un des deux héros du film Helzappopin qui demande au projectionniste de rembobiner et où tout le film repart en arrière…

Si seulement ce G7 était comme ce film pour changer ce casting déplorable de dirigeants qui ne dirigent plus rien, si ce n’est comme des GPS du monde de Davos…




Selon le président de Microsoft, 1984 d’Orwell pourrait advenir dès 2024

Par Jean-Michel Grau

La vie telle que décrite dans le roman 1984 de George Orwell « pourrait se réaliser en 2024 » si les législateurs ne protègent pas le public contre l’intelligence artificielle, a averti le président de Microsoft.(([1] bbc.com/news/technology-57122120))

S’exprimant dans l’émission Panorama de la BBC, Brad Smith a déclaré qu’il sera « difficile de rattraper » la technologie qui progresse rapidement.

L’émission a exploré l’utilisation croissante de l’IA par la Chine pour surveiller ses citoyens.

Les critiques craignent que la domination de l’État dans ce domaine ne menace la démocratie.

« Si nous ne promulguons pas les lois qui protégeront le public à l’avenir, nous allons constater que la technologie avance à toute allure, et il sera très difficile de la rattraper », a déclaré M. Smith.

« Je me souviens constamment des leçons de George Orwell dans son livre 1984. Vous savez que l’histoire fondamentale était celle d’un gouvernement qui pouvait voir tout ce que chacun faisait et entendre tout ce que chacun disait, tout le temps. Eh bien, cela ne s’est pas produit en 1984, mais si nous ne faisons pas attention, cela pourrait se produire en 2024. »

« Dans certaines parties du monde, la réalité rattrape de plus en plus cette vision de la science-fiction », a-t-il ajouté.

Brad Smith, président de Microsoft

L’intelligence artificielle chinoise

L’ambition de la Chine est de devenir le leader mondial de l’IA d’ici 2030, et beaucoup considèrent que ses capacités sont bien supérieures à celles de l’UE.

En 2019, la Chine a battu les États-Unis au niveau du nombre de brevets obtenus par les institutions universitaires pour l’innovation dans les technologies d’IA.

54 % des 770 millions de caméras de vidéosurveillance dans le monde se trouvent en Chine, selon une étude de Comparitech.

L’émission a donné aussi l’occasion d’entendre Eric Schmidt, ancien directeur général de Google et actuel président de la Commission de sécurité nationale américaine sur l’intelligence artificielle.

Celui-ci a prévenu qu’il était impératif de battre la Chine en matière d’IA :

« Nous sommes dans un conflit stratégique géopolitique avec la Chine », a-t-il déclaré.

« Le moyen de gagner est de rassembler toutes nos ressources afin de mettre en place des stratégies nationales et mondiales permettant aux démocraties de gagner dans le domaine de l’IA. Si nous ne le faisons pas, nous serons confrontés à un avenir où d’autres valeurs nous seront imposées. »

Dr Eric Schmidt, président de la Commision de sécurité américaine sur l’IA

Le Dr Lan Xue, qui conseille le gouvernement chinois, invité aussi de l’émission, a déclaré que la reconnaissance faciale pourrait se révéler « extrêmement utile » pour identifier les personnes dans les rassemblements de masse « en cas d’accident majeur. »

« La Chine a en effet fait d’énormes progrès en matière de développement technologique », a ajouté le Dr Xue. « Les États-Unis ressentent cela comme une menace et ils ont voulu lancer cette guerre froide sur la technologie. »

« Bien que la Chine ait des différences énormes dans ses valeurs et sa politique, la vision du monde de ce pays n’est pas la convergence, mais la coexistence. La Chine ne cherche pas à exporter ses valeurs », a déclaré le Dr Keyu Jin, professeur associé à la London School of Economics.

Le projet Maven

Le Dr Schmidt est devenu conseiller du Pentagone en 2016, tout en conservant un poste de président exécutif d’Alphabet, la société mère de Google.

Dans les années suivantes, Google a entamé un contrat avec le Pentagone, lui permettant d’utiliser certaines de ses technologies de reconnaissance d’images dans le cadre d’un projet militaire.

Le projet Maven utilisait l’apprentissage automatique pour distinguer les personnes et les objets dans des vidéos de drones.

« Maven était à l’époque un moyen de remplacer les yeux humains par une vision automatique pour les séquences de drones qui étaient utilisées dans les différents conflits arabes », a déclaré le Dr Schmidt. « Je considérais l’utilisation de cette technologie comme une chose positive pour la sécurité nationale et un bon partenariat pour Google. »

Du sang sur les mains

Mais le projet a reçu des critiques de la part d’employés de Google qui ont démissionné, et ont lancé une pétition contre le projet.

« Google ne devrait pas être impliqué dans le commerce de la guerre », a déclaré Laura Nolan, ingénieure logiciel qui a démissionné en 2018, lorsqu’elle a découvert la nature du projet sur lequel Google travaillait. « J’avais un peu l’impression d’avoir du sang sur les mains » a-t-elle ajouté.(([1] bbc.com/news/technology-57122120))

Elle a fait valoir que la technologie pourrait être utilisée dans de futures décisions de ciblage.

Mais Google a déclaré que son IA ne serait utilisée qu’à des fins non offensives, avant de se retirer complètement du projet Maven en juin 2018.

Le Dr Schmidt a déclaré qu’il pensait que la technologie qui pouvait aider les militaires à prendre les bonnes décisions était néanmoins une « bonne chose. »

Course à l’armement de l’IA

Mais le ministère de la Défense américain continue de chercher des partenariats dans la Silicon Valley, pour tenter de remporter la course mondiale aux armements en IA.

Seth Moulton, président du groupe de travail américain sur l’avenir de la défense, exhorte les entreprises technologiques à soutenir le ministère de la défense :

« Parce que nous sommes dans une course, nous sommes dans cette compétition. C’est vraiment de quoi il est question », a-t-il déclaré. « Va-t-on nous aider à gagner cette course ou bien va-t-on essentiellement être contre nous ? La Chine n’a pas le même système de gouvernement que nous.

La course à l’armement en matière d’IA pourrait-elle conduire à un conflit avec la Chine ? Absolument. »

Le Dr Xue reconnaît qu’il existe un potentiel de conflit :

« Mais ce n’est pas inévitable : les États-Unis et la Chine devraient vraiment collaborer pour éviter que cela ne se produise. »

En attendant ce vœu pieux chinois, Panorama a découvert des preuves « choquantes et effrayantes » selon le Daily Mail,(([2] dailymail.co.uk/sciencetech/article-9625719/Microsoft-president-Brad-Smith-warns-life-like-Orwells-1984-2024.html?ico=embedded)) montrant que la Chine utilise déjà l’IA pour surveiller sa population, y compris une technologie qui prétend être capable de « reconnaître les émotions » et de déterminer la culpabilité.

« Le documentaire se base sur des preuves apportées par un ingénieur informatique qui a déclaré anonymement, car il craint pour sa sécurité, qu’il avait aidé à installer le système dans les commissariats de police de la province du Xinjiang, qui abrite 12 millions de Ouïghours, principalement musulmans. Il a déclaré ainsi :

« Nous avons placé la caméra de détection des émotions à trois mètres du sujet. C’est similaire à un détecteur de mensonges, mais il s’agit d’une technologie beaucoup plus avancée. Elle est utilisée pour confirmer le préjugé des autorités sans aucune preuve crédible. Le score informatique révèle que le suspect est dangereux, il doit donc être coupable de nombreux actes répréhensibles qui n’ont pas encore été avoués. »

L’IA conventionnelle utilise une entrée pour « enseigner » un algorithme sur un sujet particulier en lui fournissant d’énormes quantités d’informations. Elle peut donc être utilisée à des fins néfastes, comme c’est le cas en Chine où elle tente de déterminer la culpabilité des personnes interpellées par la police. »(([3] medias-presse.info/le-president-de-microsoft-previent-la-vie-deviendra-comme-celle-de-1984-dorwell/143056/))

Si même le président de Microsoft s’inquiète des dérives totalitaires où peut mener l’intelligence artificielle, c’est qu’il y a vraiment péril en la demeure. Il est certainement mieux placé que Klaus Schwab pour comprendre le monde cauchemardesque vers lequel cela peut mener.

Traduction et adaptation : Jean-Michel Grau





Le code de Nuremberg pour LES NULS (mise à jour)

Par Jean-Michel Grau

Mise à jour 26/05/2021

Deux mois après sa volonté de rendre la vaccination Covid obligatoire pour les personnels soignants, l’Académie de médecine revient maintenant à la charge pour rendre obligatoire cette fois-ci, la vaccination pour tout le monde !(([1] francais.rt.com/france/87120-covid-19-obligation-vaccinale-doit-maintenant-etre-envisagee-estime-academie-medecine))Qui peut le plus peut le moins !

Il faut vraiment que cette académie soit aux abois pour en arriver à une telle mesure de coercition en voulant imposer des piqûres géniques de 7 à 77 ans, alors que, rappelons-le encore, ce ne sont pas des vaccins, mais des expérimentations médicales OGM en phase de tests (phase 3), n’ayant reçu qu’une autorisation provisoire de mise sur le marché par l’Agence européenne du médicament.

En conséquence, la vaccination obligatoire qui revient à une expérimentation humaine sans consentement est contraire au code de Nuremberg, comme l’a expliqué en 2016 à la tribune des Nations Unies, Mary Holland, docteur en droit et professeur d’université.

Qu’à cela ne tienne ! Cela n’empêche apparemment pas l’Académie de médecine de s’asseoir sur ce code qui régit les expériences médicales depuis 1947, l’appât du gain restant apparemment le plus fort. Car on ne peut imaginer un seul instant que tous les aimables représentants de cette auguste académie ne soient pas tous plus ou moins liés par des conflits d’intérêts aux laboratoires pharmaceutiques. Sinon, pourquoi autant d’insistance à vouloir vacciner tout le monde ?

Le prétexte de l’immunité collective est un argument qui ne tient pas : le Covid 19 générant des variants à l’infini ne pourra jamais être éradiqué par des vaccins qui n’ont jamais entraîné une immunité collective contre les coronavirus. La preuve par la grippe. On est donc bien en présence ici d’un sophisme éhonté, uniquement guidé par la cupidité et l’appât du gain. Car qui dit vaccin pour tous ces médecins, dit gros pots-de-vin dans leur escarcelle. Doit-on encore rappeler ici que Pfizer, Moderna, Astra-Zeneca et Cie font partie des plus grosses cotations boursières ?

Alors que la contamination du Covid continue de diminuer drastiquement de par le monde,(([2] breizh-info.com/2021/05/24/164831/covid-19-les-nombres-hebdomadaires-de-contamination-et-de-deces-ne-cessent-de-baisser-au-niveau-planetaire/)) on comprend aisément que cette académie corrompue par l’argent commence à paniquer sévère, car dans ces conditions, les différents pays concernés se retrouvant maintenant avec des stocks de doses sur les bras, les labos risquent fort d’arrêter bientôt les injections vaccinales en même temps que les injections financières de ceux qui les promeuvent, au profit de traitements plus rentables.(([3] lecourrierdesstrateges.fr/2021/05/25/un-traitement-melant-ivermectine-et-hydroxychloroquine-qui-pourrait-detroner-le-vaccin-anti-covid-19/))

L’Académie de Médecine vient de publier le 9 mars 2021 un communiqué de presse déclarant vouloir rendre la vaccination obligatoire, en particulier pour tous les personnels soignants.

Problème : « La vaccination obligatoire qui revient à une expérimentation humaine sans consentement est contraire au Code de Nuremberg », expliquait en 2016 à la tribune des Nations Unies, Mary Holland, docteur en droit et professeur d’université.

Le code de Nuremberg s’appliquant aux expériences médicales, il s’applique donc aux vaccins à ARN messager Covid-19 dont l’estampille « programme de santé approuvé par le gouvernement » n’a aucune légitimité.

EN EFFET, SANS ATTENDRE LES RÉSULTATS DES ESSAIS THÉRAPEUTIQUES HABITUELLEMENT EXIGÉS, CES VACCINS N’ONT PU OBTENIR DE L’ANSM ET DE l’UE QU’UNE AUTORISATION DE MISE SUR LE MARCHÉ CONDITIONNELLE, CAR ILS SONT ENCORE EN COURS D’ESSAI DE PHASE 3.

Ils sont donc à ce jour encore expérimentaux et ne respectent pas le protocole en matière de vaccins qui a été abrégé sous la fausse allégation que le Covid-19 constituerait une « pandémie mortelle » présentant une « grave menace pour la santé publique mondiale ».

En réalité, il ne s’agit ni d’une pandémie ni d’une menace pour la santé publique mondiale, tout juste une épidémie dont la létalité est de 0,05 %, loin derrière la grippe saisonnière qui n’a jamais fait l’objet de toutes les mesures coercitives que connaît aujourd’hui notre pays.

L’application des principes du Code de Nuremberg aux vaccins à ARN messagers : voici en résumé ce qu’en disait Christian Cotten,(([4] youtube.com/watch?v=5rxeNg7zLzg)) psychosociologue, le 2 décembre 2020 :

Une campagne de vaccination est organisée par la Haute Autorité de Santé de l’État français. Les vaccins utilisés sont des vaccins à ARN messager. Ce type de formulation n’a jamais été utilisée auparavant et les études préliminaires ne sont pas publiées. Il n’existe à ce jour aucune information disponible ni pour les scientifiques, ni pour la population, relativement à la composition précise et exacte de ces produits médicaux, pas plus qu’à leurs potentiels effets secondaires à court ou long termes, ou encore leurs séquelles handicapantes, voire mortelles.

Cette campagne vaccinale est une expérimentation médicale, puisque son caractère novateur conduit à ce que strictement personne ne puisse en connaître les conséquences pour les populations qui seraient les sujets de ces expérimentations.

Les expérimentations médicales sont encadrées en droit pénal international par le Code de Nuremberg, d’interprétation la plus stricte : un certain nombre de médecins ont ainsi été condamnés à mort en 1947 pour violation des principes de ce Code international, largement reconnu depuis cette époque.

L’article 1 du Code de Nuremberg expose ce qui suit :

Le consentement volontaire du sujet humain à l’expérimentation est absolument essentiel. Cela veut dire que la personne concernée doit avoir la capacité légale de consentir ; qu’elle doit être placée en situation d’exercer un libre pouvoir de choix, sans intervention de quelque élément de force, de fraude, de contrainte, de supercherie, de duperie ou d’autres formes sournoises de contrainte ou de coercition ; et qu’elle doit avoir une connaissance et une compréhension suffisantes de ce que cela implique, de façon à lui permettre de prendre une décision éclairée.

Ce dernier point demande que, avant de consentir à l’expérience, le sujet doit connaître sa nature, sa durée et son but ; les méthodes et moyens par lesquels elle sera conduite ; tous les désagréments et risques qui peuvent être raisonnablement envisagés et les conséquences pour sa santé ou sa personne qui pourraient possiblement advenir du fait de sa participation à l’expérience. .L’obligation et la responsabilité d’apprécier la qualité du consentement incombent à chaque personne qui prend l’initiative, dirige ou exécute l’expérience. Il s’agit d’une obligation et d’une responsabilité personnelles qui ne peuvent pas être déléguées impunément.

Ainsi, le fait pour toute personne qui participerait à tout acte coercitif de vaccination avec l’un des vaccins anti-Covid-19 annoncés, serait en situation de commettre une expérience médicale inacceptable en violation du Code de Nuremberg et une atteinte à l’intégrité d’autrui par administration de substances potentiellement nuisibles, en application de l’article 222-15 du Code pénal, sanctionnable par les articles 222-7 à 222-14-1 du même code.

En d’autres termes, toute institution hospitalière publique ou privée, tout médecin prescripteur, tout infirmier, qui participerait directement ou indirectement à la vaccination obligatoire du personnel soignant, comme cela est demandé par l’Académie de Médecine, se rendrait coupable d’un acte délictuel en violation du Code de Nuremberg selon les articles précités.

La présente vaut donc, d’une part, avertissement à l’ensemble des acteurs du système de santé, des fabricants aux médecins, infirmiers ou aides-soignants susceptibles de prêter leur concours à ces opérations d’expériences médicales coercitives fondées sur un produit dont la nocivité potentielle n’a pas été suffisamment testée à ce jour.

La présente vaut donc, d’autre part, mise en garde à tous les personnels soignants soucieux de leur santé contre une expérience médicale coercitive injustifiée au regard des droits fondamentaux garantis par le droit international et plus particulièrement le Code de Nuremberg.

Dans ces circonstances, la plainte publique et nominative contre les acteurs professionnels qui participeraient à cette expérience, directement ou indirectement devient une nécessité éthique urgente visant à la sauvegarde de la santé de tous.

En conséquence de ce qui précède, les responsables de santé de l’Académie de Médecine doivent savoir en connaissance de cause à quelles sanctions ils s’exposent en cas de vaccination obligatoire des personnels soignants, celle-ci violant le code de Nuremberg, à plusieurs titres.

L’obligation vaccinale est donc une imposture qui ne pourra résister un seul instant aux nombreux avocats qui étudient attentivement en France et à l’étranger ces vaccins à ARN messager expérimentaux.

TOUTE PERSONNE IMPLIQUÉE DANS LA MISE EN PLACE OU L’EXÉCUTION DE PROGRAMMES EXPÉRIMENTAUX DE VACCINATION OBLIGATOIRE SE TROUVERA DONC « DE FACTO » EN INFRACTION AVEC LE CODE DE NUREMBERG ET LE DROIT INTERNATIONAL. EN TANT QUE TELLE, ELLE DEVIENDRA PERSONNELLEMENT RESPONSABLE, DANS TOUT FUTUR PROCÈS INTENTE POUR CRIME CONTRE L’HUMANITÉ.





Commerce extérieur : la France lanterne rouge de l’Europe

Par Jean-Michel Grau

L’INSEE a publié le 17 mai 2021 le tableau du solde des échanges extérieurs des 27 pays de l’Union européenne. L’Allemagne, sans surprise, est la première du classement avec un excédent de presque 200 milliards d’Euros. La France — oh surprise! — est quant à elle, bonne dernière, avec un déficit de plus de 65 milliards. Après sa gestion catastrophique du Covid et la mise à l’arrêt de toute son infrastructure touristique, de toutes ses PME et de ses petits commerces, mais aussi la perte abyssale de plus de 7 milliards d’Euros de son industrie aéronautique depuis 2019, le moment est venu pour la France de passer à la caisse.

Il faut dire que c’est une sacrée performance pour l’économie française d’arriver à faire en déficit ce que l’Italie fait en excédent, alors que celle-ci est le pays le plus endetté d’Europe, dont il faut saluer au passage la 4e place de ce podium. Même la malheureuse Grèce s’en tire mieux avec un déficit de « seulement » 15 milliards d’Euros.

Reconnaissons ici que la politique du « quoi qu’il en coûte » du tandem Macron-Le Maire a donc porté ses fruits au-delà de toutes espérances. Elle devrait même devenir très vite un cas d’école pour toutes les écoles de gestion et de commerce, afin de comprendre comment on peut arriver à ruiner un pays en moins de temps qu’il ne faut pour le dire.

Tout cela à cause d’un microbe. Il a bon dos ce virus : grâce à lui, on peut allègrement taper dans les caisses des fonds publics. Sans souci, vu que la BCE fait marcher la planche à billets à tour de bras, au risque de faire ressurgir l’inflation, mais patience, on y vient.

Le bilan des exportations françaises est donc logiquement à l’image du bilan calamiteux de son commerce extérieur, vu qu’elles ont reculé de presque 16 %, annulant l’effet du recul des importations de 13 %.

C’est pourquoi Bruno Le Maire envisage très sérieusement d’effacer la dette de certaines entreprises, contractée durant les fermetures liées aux confinements où 650 000 entreprises ont accumulé près de 137 milliards de dettes à travers les prêts garantis par l’État.(([2] francais.rt.com/magazines/cest-cash/86794-faut-il-effacer-dette-covid-entreprises))) Effacer les dettes à coup d’ardoise magique, voilà qui est pratique ! Et ce, « Quoi qu’il en coûte ! » Quel sacré farceur, ce Bruno ! Toujours le mot pour rire !

Le problème est que l’excuse de la crise sanitaire pour expliquer ces résultats consternants ne tient pas, car le Covid s’est joué des frontières, comme tout un chacun sait, et a sévi sans discernement dans tous les pays européens. La plupart d’entre eux s’en sont largement mieux sortis que la France. Ainsi, l’Allemagne, l’Irlande, les Pays-Bas et l’Italie enregistrent des soldes d’échanges extérieurs largement positifs. Le solde des échanges extérieurs de l’Allemagne est positif de 194 milliards d’Euros, celui de l’Italie de 60,5 milliards d’Euros, quand celui de la France est déficitaire de 66,8 milliards…

Oui, mais toute l’Europe n’a pas la chance d’avoir Bruno Le Maire à la manœuvre.

Et comme si ce tableau d’apocalypse ne suffisait pas, la remontée prochaine des taux d’intérêt(([3] lecourrierdesstrateges.fr/2021/05/20/comment-biden-prepare-letranglement-de-macron-fin-2021/)) risque d’asphyxier définitivement l’économie de la France, pays le plus dépensier de toute l’UE.

Autant dire que la réélection de Macron apparaît désormais plus que compromise, et que plus personne ne miserait un kopeck aujourd’hui sur le soutien du patronat et des grandes entreprises françaises, pour les prochaines élections présidentielles, à ce Jupiter de salle de bains dont les rêves de grandeur risquent de finir très bientôt au tout-à-l’égout.





C’est officiel : le 1er juillet, l’Union européenne devient un immense camp de concentration

Par Jean-Michel Grau

Le passeport sanitaire devrait être officiellement mis en place à partir du 1er juillet pour circuler à nouveau entre les différents pays de l’Union.

En effet, un accord vient d’être trouvé entre eurodéputés et états membres sur le pass sanitaire qui permettra à l’aide d’un QR code d’indiquer que son titulaire a bien été vacciné, qu’il a passé un test négatif, ou encore qu’il est immunisé après avoir été infecté par le Covid19.(([1] francais.rt.com/international/86953-pass-sanitaire-eurodeputes-etats-membres-accordent-texte))

Il ne faut pas se leurrer : cet « ausweis »(([2] « identifiant »)) européen n’est rien d’autre qu’une permission de sortie de la prison européenne à ciel ouvert pour pouvoir à nouveau circuler entre les différents pays européens.

Il entérine ainsi la création d’Alpha+ et de bêta-, autrement dit, un gigantesque apartheid européen, selon qu’on aura été vacciné ou non.

Ce dispositif vient compléter tout un arsenal répressif et liberticide comme le traçage, le pistage, la géolocalisation, le flicage tous azimut, les confinements divers et variés, le port de la muselière, les couvre-feux et last but not least (([3] « enfin, mais pas des moindres »)), la propagande des médias et la censure des réseaux sociaux.

Toute ressemblance entre ce nouveau naziland et son modèle ne serait que pure coïncidence. Alors qui donc peut encore croire qu’aujourd’hui, l’Europe c’est la paix ? Ne serait-ce pas plutôt la guerre ?

Une Europe en guerre contre ses peuples pour asseoir définitivement sa domination avant son effondrement économique programmé pour cette année, prélude au Grand Reset du dingue de Davos afin de mettre en place la monnaie numérique et le revenu universel, carotte de soumission totale de toute la classe moyenne, future classe zombie européenne.

Ce scénario de cauchemar n’empêche pas, bien au contraire, l’Euro-Kommissar Didier Reynders de comparer cet accord à l’élection d’un pape en tweetant, enthousiaste :

« Fumée blanche : nous avons un accord sur la proposition de la Commission de certificat européen Covid. »
« Nous avons abouti sur ce nouvel instrument en un temps record pour sauvegarder la libre circulation pour tous les citoyens », s’est-il félicité.

C’est vrai qu’il y a franchement de quoi se réjouir de ce « passeport » qui n’est rien d’autre qu’une simple permission de sortie de la prison européenne, prélude à un probable prochain sésame plus sophistiqué, du genre puce numérique sous-cutanée, version schwabienne transhumaniste du bracelet électronique actuel des prisonniers.

La Kommissar en chef, Ursula von der Leyen a elle, souligné que ce certificat serait « un élément clé sur la voie d’une reprise des voyages de façon sûre et aisée à travers l’UE. »

Autrement dit, le petit su-sucre entre deux coups de schlague sur le museau.

Mais laissons le mot de la fin à l’inénarrable porte-serviette au marché intérieur, Thierry Breton, dans un grand élan lyrique :

« L’Europe avance unie avec le certificat Covid numérique… Un signal fort pour le tourisme et la relance ! »

C’est sûr, avec tous les restaurateurs au bord de la faillite dont Klaus Schwab a prévu la disparition de 75 % d’entre eux, le tourisme va repartir sur les chapeaux de roues…

Une seule ombre toutefois à ce tableau mirifique : malgré le pass sanitaire, chaque citoyen pourrait se voir imposer une quarantaine. Car les 27, soulignant que celle-ci reste de l’ordre des compétences nationales, veulent se garder cette possibilité en cas d’apparition d’un variant.

Or, c’est bien connu, les variants ignorant les frontières, les quarantaines risquent fort d’être encore au menu européen malgré ce soi-disant pass pour la liberté. Le diable se cache dans les détails…

Ce pass sanitaire qui, rappelons-le, n’est rien d’autre qu’un acte de coercition caché à se faire vacciner est au menu du sommet des dirigeants européens des 24 et 25 mai à Bruxelles. L’accord devra être approuvé par le parlement à la prochaine session plénière du 7 au 10 juin à Strasbourg.

« Ce qui permettra une entrée en vigueur le 1er juillet » a confirmé l’eurodéputé espagnol Juan Fernando Lopez Aguilar, négociateur du parlement, lors d’une conférence de presse.

Nul doute que tous les kapos de cette désormais Union de l’Enfermement voteront tous le bras levé à l’unanimité pour valider cet ausweis avec enthousiasme.

Nul doute, pensent-ils, que tous les Européens vont accepter d’arrêter de vivre pour éviter de mourir.





Le Prisonnier, un chef-d’œuvre télévisionnaire

Par Jean-Michel Grau

« La dictature parfaite serait une dictature qui aurait les apparences de la démocratie, une prison sans murs dont les prisonniers ne songeraient pas à s’évader. Un système d’esclavage où, grâce à la consommation et au divertissement, les esclaves auraient l’amour de leur servitude. »

Aldous Huxley, Le meilleur des mondes.

« Je ne suis pas un numéro, je suis un homme libre. »

Patrick Mc Goohan, alias N°6 dans Le Prisonnier.

En 1967, l’acteur fétiche de la série télévisée « Destination Danger » mettait en scène sa dystopie télévisionnaire « Le Prisonnier », qui allait devenir réalité une cinquantaine d’années plus tard.

En réalisant et en incarnant pour la chaîne de télévision britannique ITV le Prisonnier dans une série de 17 épisodes, Patrick Mc Goohan préfigurait la dictature dans laquelle nous venons de basculer depuis 2020 avec le Covid. Au-delà même de tout ce qu’on aurait pu imaginer en 1967.

Les scènes extérieures ont été filmées à Portmeirion, petite station balnéaire au Nord-Ouest du Pays de Galles, à l’architecture italienne excentrique aux couleurs pastel rappelant les crèmes glacées, créée par un architecte milliardaire excentrique, Sir Clough Williams-Ellis, dotant toute la série d’un style intemporel inoubliable, mélange improbable de styles baroque, victorien et rococo, mâtiné de colonnes doriques, de dômes florentins et de jardins tropicaux.

Personne ne sait qui est le N°1

« Chaque générique du Prisonnier répète, en version condensée, la première scène de la série. Le personnage incarné par Patrick Mc Goohan, regard bleu, cheveux blonds plaqués et costume sombre, démissionne de son mystérieux emploi en tapant du poing sur la table. Alors qu’il prépare sa valise, il est gazé dans son appartement londonien et s’évanouit avant de se réveiller groggy, dans une réplique de sa demeure.

En ouvrant les stores, il découvre qu’il n’est plus à Londres, mais dans un petit village aux bâtisses colorées, au bord d’un estuaire. Rapidement, il s’aperçoit que ses habitants aux accoutrements farfelus ne portent pas de nom, mais des numéros et qu’on ne peut pas s’échapper.

À la tête de ce camp de prisonniers à ciel ouvert qui ressemble plus au Club Med qu’à Dachau, on trouve le N°2, dont la personnalité change à chaque épisode. Personne ne sait qui est le N°1. »

(([1] slate.fr/story/171105/serie-tele-prisonnier-annees-1960-village-paralleles-monde-moderne-dystopie))

« Il tente alors de comprendre ce qu’il fait là, et part inspecter les lieux. Il essaie de téléphoner à la police, mais l’indicatif n’existe pas. Il demande alors un taxi pour sortir de la ville, mais il ne peut pas… Puis, il se rend dans une boutique pour acheter une carte de la cité. Étonnamment, celle-ci n’indique rien, à part la mer et les montagnes entourant le village.

Par la suite, il est invité dans la maison du N°2. Il y est accueilli par un homme mystérieux qui lui offre à manger. Celui-ci a un dossier de photographies sur lui. Des hommes hauts placés aimeraient savoir pourquoi il a démissionné du MI6.

Plus tard, avec le N°2, ils survolent le Village à bord d’un hélicoptère. Le Prisonnier découvre alors le bâtiment du Conseil Suprême, dont les membres seraient élus démocratiquement… Il est alors renommé N°6 par le N°2. Furieux, il hurle qu’il n’est pas un numéro, mais un homme libre. »

(([2] fantrippers.com/fr/magazine/article/407-le-prisonnier-une-serie-de-confinement-mcgoohan-prisoner))

Toute la série va reposer sur les tentatives désespérées du Prisonnier pour trouver des alliés, afin de s’échapper du Village et trouver l’identité du N°1, tout en évitant de croiser le chemin du Rôdeur, l’énorme ballon blanc tout mou chargé d’étouffer toute tentative d’évasion.

Reportons-nous maintenant à aujourd’hui.

Que découvrons-nous dans la rue ? Des zombies en train de marcher la tête rivée sur leur portable, tous muselés par un bâillon évoquant une couche-culotte faciale. Des dizaines de personnes faisant la queue devant des laboratoires d’analyses pour un test PCR. Tout autour d’eux, la plupart des magasins fermés, à part quelques rares supermarchés. Tous les rideaux des restaurants, des bars, des discothèques et des salles de sport baissés. Tout le monde confiné. Aucun déplacement permis sans une attestation qu’on s’autorise à signer pour sortir faire des achats, dits essentiels, avant l’heure du couvre-feu. Une atmosphère de peur, savamment entretenue par des médias aux ordres avec des injonctions inlassablement répétées du matin au soir, comme les gestes-barrière, l’interdiction de réunion, le port du masque dès 11 ans pour ne pas faire mourir grand-mère, et l’apparition de néologismes abscons comme le travail en présentiel ou en distanciel selon l’humeur du chef de l’État. Enfin, la promesse aussi hypothétique que fallacieuse de récupérer notre liberté perdue sous la condition expresse de prendre le risque de servir de cobaye aux labos pharmaceutiques en se faisant piquer comme des poulets OGM. Avec au bout : l’octroi d’un passeport sanitaire pour pouvoir à nouveau circuler et voyager librement, création implicite d’un monde à deux vitesses d’Alpha + et de bêta — qui n’a rien à envier à l’univers dystopique du Prisonnier.

Une situation inimaginable il y a encore deux ans et que personne n’aurait cru pouvoir devenir un jour réalité. Et pourtant ! Quand on y réfléchit bien, on ne peut que constater que nous sommes déjà tous entrés dans l’univers du Prisonnier bien avant le Covid. En fait, depuis déjà un certain nombre d’années, et ce sans même nous en rendre compte.

L’addiction au smartphone

Comme le rappelle Jean-Michel Philibert dans son livre « Le Prisonnier : une mythologie moderne », la technologie galopante de la communication nous asservit plus qu’elle nous libère par son omniprésence et ses injonctions dans notre quotidien :

« Aujourd’hui, l’événement est à peine en train de se dérouler qu’il est déjà info. Fausse ou réelle. Une immédiateté rendue possible grâce aux téléphones portables, déjà utilisés par les protagonistes du Prisonnier. « En 1967, c’était prophétique d’utiliser des téléphones sans fil. Aujourd’hui, la majorité des Occidentaux est collée à son « machin-phone », au travail, dans la rue, à table, au lit. L’addiction au smartphone est la manifestation la plus visible du fait que nous devenons un peu tous comme les habitants du Village »

(([3] Jean-Michel Philibert : facebook.com/LePrisonnierunemythologiemoderne/))

« Dans la série, l’usage des portables est toutefois réservé aux personnages de haut rang, ceux qui contrôlent les autres, ceux qui se relaient jour et nuit dans des salles circulaires pour observer en permanence des habitants dont ils souhaitent extraire « des renseignements » de manière aussi clinique qu’abstraite. Cette métaphore de l’administration, de la technocratie qui veut tout contrôler, est surtout celle de la surveillance de masse. »

(([1] slate.fr/story/171105/serie-tele-prisonnier-annees-1960-village-paralleles-monde-moderne-dystopie))

On ne peut s’empêcher de penser ici au délire psychotique de Klaus Schwab, le grand prêtre illuminé du Forum de Davos dont la surveillance de masse le fait baver d’envie dans son bréviaire 2.0, feuille de route suivie à la lettre par les dirigeants occidentaux, sous prétexte de pandémie covidienne :

« Le mouvement de l’entreprise ira vers une plus grande surveillance : pour le meilleur ou pour le pire, les entreprises surveilleront et enregistreront parfois ce que font leurs effectifs. La tendance pourrait prendre différentes formes, de la mesure de la température corporelle avec des caméras thermiques à la surveillance via une application de la manière dont les employés respectent la distanciation sociale. »

(([4] Klaus Schwab, Covid 19 : La Grande Réinitialisation, Forum Publishing))

Rick Davy, auteur de « The Prisoner, the essential guide » complète l’analyse de Jean-Michel Philibert :

« Dès le premier épisode, on montre au N°6 des extraits de sa vie entière, sur divers écrans. Le N°2 lui dit que les gens veulent tout savoir. Et cela semble vrai au vu de la société actuelle : ce qu’on mange, comment on vote, quels sont nos centres d’intérêt, tout est collecté, partagé, vendu et conservé par les réseaux sociaux, les banques, les magasins et les gouvernements. Avec les réseaux sociaux, tout le monde sait ce que tout le monde fait. »

(([5] Rick davy, The Prisoner, the Essential Guide))

Nous sommes nos propres surveillants

Selon Philibert, « C’est toute la contradiction qu’il faut assumer : entre profiter d’un espace de liberté d’expression et accepter qu’une organisation commerciale comme Facebook recueille des renseignements sur nous. Notre société de surveillance a ceci de particulier que nous sommes nos propres surveillants. C’est nous qui donnons « des renseignements » par l’intermédiaire de nos écrans. Cliquer, c’est se dénoncer. »(([4] Klaus Schwab, Covid 19 : La Grande Réinitialisation, Forum Publishing)) Il en va de même aujourd’hui avec les attestations de sortie de confinement que nous nous autorisons à nous-mêmes. Au nom de quoi ? On cherche encore…

« Comme les villageois qui rapportent les informations aux autorités en place, nous sommes, de par notre usage des réseaux sociaux, complices du fichage et du contrôle. Il faut donc bien avoir conscience que nous nous faisons déjà ficher, classer, estampiller et numéroter de notre plein gré.

Si la phrase la plus célèbre de la série est bien :

« Je ne suis pas un numéro, je suis un homme libre. »

Il semblerait que de nos jours, ce ne soit plus vraiment le cas. »

(([3] Jean-Michel Philibert : facebook.com/LePrisonnierunemythologiemoderne/))

En effet, nous sommes déjà tous devenus des numéros, avec un numéro de sécurité sociale, un numéro de portable, un code postal, un numéro de rue, un numéro de carte bancaire…

« Dans la série du Prisonnier, le N°6 se voit remettre un porte-cartes, contenant nombre de fiches d’identité, inondées de numéros. Le Prisonnier a prédit nos portefeuilles bourrés de diverses cartes, mais surtout quelque chose d’encore plus nouveau à l’époque. Au Village, rares sont les angles que les caméras de surveillance ne contrôlent pas. Aujourd’hui, ces mêmes caméras sont devenues banales. Plus ou moins consciemment, on décide de ne pas y prêter attention, optant pour la sécurité plutôt que la liberté, acceptant que tous nos faits et gestes puissent être connus des autres en échange de l’espoir qu’un attentat terroriste puisse être déjoué… »

(([1] slate.fr/story/171105/serie-tele-prisonnier-annees-1960-village-paralleles-monde-moderne-dystopie))

« Un peuple prêt à sacrifier un peu de liberté pour un peu de sécurité ne mérite ni l’une ni l’autre, et finit par perdre les deux. »

Benjamin Franklin.

Avec les confinements et les couvre-feux Covidistes, la réalité vient rejoindre la fiction du Prisonnier. Les annonces anxiogènes et liberticides sur le masque obligatoire dès l’âge de 11 ans, les gestes-barrière et l’interdiction d’attroupement débitées toutes les demi-heures au haut-parleur aux quatre coins de la ville de Nice ou dans le métro parisien n’ont rien à envier aux annonces incessantes de la radio qu’on ne peut pas éteindre du Prisonnier.

L’uniformisation a un prix

« La sécurité se vend bien, c’est un bon argument pour faire accepter la diminution des libertés individuelles. Dans le Prisonnier, l’individualité est quasi criminelle, on peut être mis au ban de la société si on est différent. Tout comme il faut porter certains habits achetés par des gamins du monde entier pour se faire accepter à l’école. Ainsi, les captifs éclatent de rire quand le N°6 affirme être un individu.»(([4] Klaus Schwab, Covid 19 : La Grande Réinitialisation, Forum Publishing)) Les mêmes qui sont habitués à rire et applaudir sur demande. La démocratie et la liberté ne sont plus, tout comme aujourd’hui en Occident, que des fantoches au Village du N°6.

Tout comme les habitants du Village acceptent d’être fichés, la plupart d’entre nous acceptent le port de la muselière pour pouvoir continuer à vivre la même existence que les autres. Au-delà de la crainte d’écoper d’une amende de 135 euros, c’est cette peur de se singulariser, ce besoin de se fondre dans la masse qui fait que le commun des mortels finit par accepter l’inacceptable : on ne se sent plus muselé comme un chien quand on voit que tous les autres sont logés à la même enseigne. On est trop occupé par son quotidien pour consacrer encore du temps à remettre en question la perte de sa liberté.

Comment peut-il en être autrement aujourd’hui avec cette tyrannie du politiquement correct, où tout débat est devenu interdit depuis la dictature sanitaire ? Dès qu’un opposant remet en cause la pertinence de la doxa covidiste, il se fait immédiatement rabrouer et traiter de complotiste. Il en va de même pour tous ceux qui osent remettre en question le bonheur européiste dont les arguments se voient balayés par la reductio ad Hitlerum habituelle.

« Le Village ramollit ses habitants à coups d’alcool, de jeux et de sport qui ne sert qu’à tuer le temps. Malheureusement, nous en sommes parfois, nous aussi, réduits à occuper nos vies, à nous remplir de vide. C’est une prison dorée, pour nous autres Occidentaux qui jouissons de loisirs et de biens de consommation créés sur la misère du monde. Mettez un individu devant un écran, et il abdique sa vie pour contempler un spectacle.»

(([3] Jean-Michel Philibert : facebook.com/LePrisonnierunemythologiemoderne/))

La parodie de vie des personnages de la télé-réalité a remplacé avantageusement l’existence réelle.

Et Jean-Michel Philibert d’asséner : « Au Village, c’est la société du spectacle. Chacun joue un rôle dans la comédie ou la tragédie écrite par les dirigeants. Nous, nous contemplons le spectacle de la société sur nos écrans. Le journal télévisé nous dit quoi penser, l’émission de télé-réalité nous dit quoi ressentir. »(([4] Klaus Schwab, Covid 19 : La Grande Réinitialisation, Forum Publishing))

Parfois la fiction de la télé-réalité et la réalité finissent par se confondre. Tout comme le Village dystopique du N°6 se confond dorénavant avec le village de fous du monde covidiste d’aujourd’hui. Patrick Mac Goohan, lui-même, ne disait-il pas avant son décès en 2009 que le monde allait devenir « le Village » ?

Maintenant, quant à savoir qui est le N°1, il suffit de regarder la série pour le découvrir.

Beaucoup d’entre nous ne s’en sont jamais remis.

Le Prisonnier est un hymne à la liberté. C’est quand on la perd comme aujourd’hui qu’on réalise comme elle nous est précieuse. Raison de plus de redécouvrir aujourd’hui cette allégorie philosophique par excellence.





Imagine 2021

Par Jean-Michel Grau

Un monde sans fêtes, sans vacances, sans loisirs, sans culture, sans contacts. Un monde de morts-vivants où tout se résume à l’essentiel et au non essentiel. John Lennon aurait-il pu l’imaginer ?
Et pourtant, Schwab en a rêvé, Macron l’a fait.

Imagine qu’il n’y ait plus de libertés
Ce n’est pas facile d’essayer
Rien d’autre que l’enfer en dessous de nous
Autour de nous seulement la peur
Imagine tous les gens bâillonnés
Imagine qu’il n’y ait plus de pays
Pour nous défendre et nous protéger
Ce n’est pas facile à croire
Plus rien que la mort à attendre
Car plus aucun espoir de vie meilleure
Imagine tous les gens qui vivaient en paix avant
Tu ne peux plus dire que je fais un cauchemar
Car telle est la réalité aujourd’hui
J’espère que bientôt tu te joindras à nous
Pour que le monde retrouve sa liberté
Imagine maintenant plus de pouvoir tyrannique
Je suis sûr que tu peux
Plus de cupidité ni d’esclavage
Juste une grande fraternité humaine
Imagine tout le monde se partageant le monde
Tu peux bien sûr dire que je suis un rêveur
Mais sache que je ne suis pas le seul
J’espère qu’un jour tu te joindras à nous
Et tout le monde sera à nouveau réuni

PCNC : Pour copie non conforme, John Lennon (1940-1980)




Quel jeu joue la Russie dans le Great Reset ? *

Par Jean-Michel Grau

À l’heure où la confrontation entre l’État profond américain et la Russie de Poutine s’avère de plus en plus probable très prochainement dans le marais ukrainien, il s’avère judicieux de se pencher sur l’alliance contre nature à la tête de l’événement Cyber Polygone consacré à la cybersécurité qui a réuni en juillet 2020 le Premier ministre russe, Mikhael Mishustin, spécialisé en ingénierie des systèmes, et le patron du Forum Économique Mondial (FEM), l’économiste Klaus Schwab, événement dans lequel les intervenants ont mis en garde contre une « pandémie » de cyberattaques mortelles qui cibleraient principalement deux secteurs économiques : la santé et la finance.(([1] 2020.cyberpolygon.com/results-2020/))

Comment interpréter une telle alliance entre le représentant le plus caricatural de la domination mondialiste et l’ennemi juré des intérêts impériaux de l’Occident, à deux doigts d’une guerre USA-Russie qui pourrait entraîner toute l’Europe dans un déluge de feu ?

Pour tenter de comprendre ce qui peut apparaître au premier abord comme un pari insensé, on reprendra l’article de « Newswars »(([2] newswars.com/cyber-polygon-2021-globalists-run-simulation-of-a-coming-cyber-pandemic-to-prepare-for-economic-reset/)) dont voici la traduction ci-dessous, que l’on commentera.

« Les mondialistes préparent le terrain pour la Grande Réinitialisation avec une prochaine simulation très médiatisée ciblant les cyberattaques contre les principales institutions financières.

Le Forum Économique Mondial (FEM) fera équipe avec le gouvernement russe et les banques mondiales en juillet prochain pour simuler une « cyberpandémie » majeure de la chaîne d’approvisionnement qui pourrait potentiellement « faire tomber tout le système ».

La simulation, appelée Cyber Polygone 2021, a été annoncée par la plus grande banque publique russe, Sberbank, en février.(([3] sberbank.com/news-and-media/press-releases/article?newsID=a05b1950-213f-404e-a4c2-a39fbb41a879&blockID=7&regionID=77&lang=en&type=NEWS))

« Le message clé exprimé par les experts lors du FEM et d’autres plateformes internationales est que la sécurité de la chaîne d’approvisionnement va devenir un problème majeur de cybersécurité en 2021 », a déclaré Sberbank. « La numérisation en constante expansion resserre l’interconnectivité entre les personnes, les appareils, les entreprises et les pays. Ainsi, la résilience d’un système entier dépend de la capacité de chaque maillon de la chaîne à résister à des menaces de différents grades. »

Le site web(([1] 2020.cyberpolygon.com/results-2020/)) prévient sinistrement « qu’un seul maillon vulnérable suffit à faire s’effondrer l’ensemble du système, tout comme l’effet domino », ajoutant que « le Cyber Polygone 2021 permettra aux spectateurs et aux participants d’améliorer leur cyberculture, de renforcer la résilience de leurs organisations et d’apprendre à repousser les cybermenaces à tous les niveaux. »

Le Cyber Polygone 2021 est la suite annuelle de l’événement Cyber Polygone 2020 de l’année dernière, auquel participait le Premier ministre russe Mikhail Mishustin, et des participants comme le fondateur du FEM Klaus Schwab, l’ancien Premier ministre britannique Tony Blair et une vingtaine d’autres membres de l’élite politique.

120 organisations réparties dans vingt-neuf pays ont pris part à deux scénarios, Défense et Réponse, qui ont été simulés au Cyber Polygone 2020. Selon le groupe russe de cybersécurité BI.ZONE, pas moins de cinq millions de personnes auraient regardé le livestream dans plus de 57 pays.

L’un des intervenants était notamment Stéphane Duguin, PDG de l’Institut CyberPeace, qui est financé par Microsoft, Facebook et Mastercard, entre autres. L’institut prétend aider les clients à

« accroître la résilience numérique et la capacité à répondre aux cyberattaques et à s’en remettre. »

Schwab, en particulier, est un grand partisan de la Grande Réinitialisation,(([4] https://weforum.org/great-reset/)) une transition coordonnée par les mondialistes vers une économie mondiale de la Quatrième Révolution Industrielle dans laquelle les travailleurs humains deviennent de moins en moins pertinents à mesure que l’économie mondiale s’automatise.

Mais la Grande Réinitialisation ne pourra se réaliser qu’après l’effondrement total du système corrompu actuel.

L’exercice du Cyber Polygone présente des similitudes remarquables avec l’Event 201,(([5] centerforhealthsecurity.org/event201/about)) (([6] reseauinternational.net/de-levenement-201-a-cyber-polygone-simulation-dune-cyberpandemie-a-venir-au-forum-economique-mondial/)) un exercice soutenu par le FEM et Bill Gates qui simulait une pandémie dévastatrice de coronavirus perturbant l’ensemble de l’économie mondiale, lancé quelques mois avant l’épidémie de COVID-19 qui s’est déroulée exactement comme prévu par l’exercice.

Et, à l’instar d’Event 201, certains se demandent si Cyber Polygone n’est pas censé avoir une qualité prédictive similaire concernant l’effondrement de l’économie mondiale.

Certains diront qu’une « cyberpandémie » est une conséquence inévitable de l’évolution rapide du monde hi-tech dans lequel nous vivons, mais il est tout de même juste de souligner que « 2021 est l’année que beaucoup ont prédite pour la destruction financière des grandes institutions qui conduira à de nouveaux systèmes économiques qui s’alignent sur la Grande Réinitialisation », a rapporté Unlimited Hangout.(([6] reseauinternational.net/de-levenement-201-a-cyber-polygone-simulation-dune-cyberpandemie-a-venir-au-forum-economique-mondial/))

« L’effondrement inévitable du système bancaire mondial, résultant de la corruption et de la fraude hors normes qui sévissent depuis des décennies, sera probablement mené par le biais d’un effondrement contrôlé, qui permettrait aux riches banquiers et élites, comme ceux qui ont participé au Cyber Polygone, d’éviter toute responsabilité pour leur pillage économique et leurs activités criminelles. »

De plus, l’establishment de Washington, qui n’a cessé d’accuser la Russie d’avoir « piraté » l’année 2016, (l’élection de Donald Trump ndlr) ne semblait pas voir de problème à laisser le gouvernement russe sonder les infrastructures de cybersécurité du monde entier à la recherche de faiblesses.

« L’absence totale du récit du ‘pirate russe’ au Cyber Polygone ainsi que le rôle de leader de la Russie lors de l’événement suggèrent, soit qu’un changement géopolitique a eu lieu, soit que le récit du pirate russe communément déployé par les agences de renseignement aux États-Unis et en Europe est principalement destiné au grand public et non aux figures d’élite et aux décideurs politiques présents au Cyber Polygone », rapporte Unlimited Hangout.

Ce n’est pas une coïncidence si les mondialistes lancent ces simulations qui s’alignent sur leurs objectifs radicaux de transformation de la vie publique.

« Lorsque les personnes les plus puissantes du monde, comme les membres du FEM, souhaitent procéder à des changements radicaux, des crises émergent opportunément — qu’il s’agisse d’une guerre, d’un fléau ou d’un effondrement économique — qui permettent une « réinitialisation » du système, qui s’accompagne fréquemment d’un transfert massif de richesses vers le haut. »

Le moins qu’on puisse dire est que ce texte appelle plusieurs commentaires.

Tout d’abord, comme le rappelle judicieusement l’article de Newswars, l’événement Cyber Polygone dont les Russes sont doublement partie prenante dans son organisation avec la première banque publique russe Sberbank(([3] sberbank.com/news-and-media/press-releases/article?newsID=a05b1950-213f-404e-a4c2-a39fbb41a879&blockID=7&regionID=77&lang=en&type=NEWS)) et le Premier ministre russe Mikhael Mishustin, n’aurait-il pas un caractère prédictif, à l’instar de l’Event 201, répétition générale de la pandémie du Covid-19, prélude à son déclenchement et à l’effondrement de l’économie mondiale un an après ?

Quand on sait que le Cyber Polygone a prévu de simuler en juillet 2021 une cyberattaque mondiale entraînant un black-out total des populations avec plus d’électricité, plus d’approvisionnement, plus d’hôpitaux, plus de transports, on est en droit de se poser légitimement la question de savoir quel rôle jouent les Russes dans cette affaire ?

D’autant plus que comme chacun sait, les tensions entre l’Occident et la Russie n’ont jamais été aussi vives depuis la guerre froide, avec le sort de l’Ukraine en ligne de mire.

Quel est alors l’intérêt de la Russie de s’associer au FEM de Klaus Schwab, mais aussi à des entreprises américaines comme IBM ou encore l’ONG californienne ICANN ? Même chose pour Interpol, la BBC ou Tony Blair qui sont tous partie prenante de cet événement et par là même des défenseurs acharnés de la suprématie occidentale ?

À moins d’être un cheval de Troie, on voit mal comment la participation de la Russie au Cyber Polygone peut se justifier uniquement par la lutte contre la cybercriminalité.

Le véritable motif de la participation russe à l’organisation de l’événement Cyber Polygone ne serait-il pas tout autre ? Ne serait-ce pas plutôt une motivation financière ?

Selon Unimited Hangout,(([6] reseauinternational.net/de-levenement-201-a-cyber-polygone-simulation-dune-cyberpandemie-a-venir-au-forum-economique-mondial/)) « Les nouveaux systèmes économiques basés sur la numérisation, en partenariat avec les banques centrales ou gérés par elles, sont un élément clé de la Grande Réinitialisation du FEM, et de tels systèmes seraient une partie de la réponse au contrôle des masses de chômeurs récents. Ces monopoles numériques, et pas seulement les services financiers, permettraient à ceux qui les contrôlent de « couper » les rentrées d’argent d’une personne et son accès aux services si cette personne ne respecte pas certaines lois, mandats et règlements. »

On comprend déjà mieux l’intérêt de la Sberbank de participer à une telle opération. Cela suppose donc que la Banque Nationale russe, et donc l’État russe soient partie prenante dans la numérisation programmée des monnaies. Auquel cas, ils semblent, eux aussi, en assumer les conséquences, même les moins avouables.

Car la Sberbank a en ligne de mire le lancement de sa propre cryptomonnaie, le Sbercoin, un

« stablecoin » lié au rouble russe et son « écosystème » de finance numérique qu’elle a annoncé quelques semaines seulement après l’exercice Cyber Polygone 2020. Elle deviendrait ainsi la première banque au monde à lancer sa propre cryptomonnaie.(([6] reseauinternational.net/de-levenement-201-a-cyber-polygone-simulation-dune-cyberpandemie-a-venir-au-forum-economique-mondial/))

Pour bien comprendre la portée autoréalisatrice des scénarios catastrophes du Forum économique mondial (FEM), il faut revenir sur le discours de « bienvenue » de son président fondateur Klaus Schwab lors de l’exercice Cyber Polygone de 2020 :

« Nous connaissons tous, mais n’y prêtons pas encore suffisamment attention, le scénario effrayant d’une cyberattaque globale qui mettrait complètement à l’arrêt l’approvisionnement en électricité, les transports, les services hospitaliers, notre société dans son ensemble. La crise du Covid-19 serait à cet égard considérée comme une petite perturbation par rapport à une cyberattaque majeure. Nous devons nous demander dans une telle situation, comment nous avons pu laisser cela se produire alors que nous avions toutes les informations sur la possibilité et la gravité d’une attaque à risque. La cybercriminalité et la coopération mondiale devraient être au premier plan de l’agenda mondial. »

On voit ainsi clairement où Klaus Schwab veut en venir. En d’autres termes : sans traçage de la population mondiale via les vaccins, pas de cybersécurité possible. Et donc, encore une fois, le caractère autoréalisateur de cette menace s’avère d’autant plus probable qu’il fait suite à l’Event 201 qui a simulé une pandémie mondiale quelques mois avant la « pandémie » du Covid-19. Ainsi, Klaus Schwab lors de l’Event 201 ne déclarait-il pas dans sa documentation officielle(([4] https://weforum.org/great-reset/)) :

« La prochaine pandémie grave ne provoquera pas seulement de grandes maladies et des pertes de vie humaines, mais pourrait avoir des conséquences économiques et sociétales majeures en cascade qui pourraient contribuer grandement à un effondrement et à la souffrance des populations au niveau mondial. »

Il faut avoir donc à l’esprit que c’est en parfaite conscience que l’oligarchie mondialiste du Forum de Davos a planifié, déclenché et organisé la « pandémie » du Covid-19 avec la parfaite connaissance des dégâts majeurs qu’elle provoquerait au niveau économique et sociétal ainsi qu’en termes de pertes de vies humaines.

C’est dans ce contexte que s’inscrit la participation de la Russie aux événements du Cyber Polygone 2020 et 2021 pour lutter contre les « pandémies » dans le cadre du partenariat public-privé cher au Forum de Davos, promoteur de la fusion de ces deux secteurs.

Revenons maintenant à cette alliance contre nature de la Russie via sa banque publique Sberbank et le Forum Économique Mondial au sein du Cyber Polygone.

En 2020, y participait aussi IBM. Rappelons ici que les relations entre IBM et la CIA sont un secret de polichinelle, celles-ci remontant au début de la Guerre froide.(([7] wraltechwire.com/2020/11/23/ibm-lands-a-cloud-deal-with-cia-as-part-of-reported-multi-billion-dollar-contract/)) Ainsi, l’entreprise s’est tellement enracinée dans la CIA que celle-ci a récemment recruté son directeur de l’information chez IBM Federal.(([8] govconwire.com/2019/03/ibms-juliane-gallina-to-serve-as-chief-information-officer-at-cia-in-april/))

Quand on pointe les accusations répétées de l’establishment américain contre les hackers russes dans les élections américaines depuis plusieurs années, et aujourd’hui l’atmosphère de nouvelle guerre froide en Ukraine qui se réchauffe de plus en plus, cette collaboration américano-russe au sein du Cyber Polygone ne laisse pas d’étonner.

À gauche : la salle de commandement stratégique de Docteur Folamour.
À droite : la salle de commandement stratégique du Cyber Polygone.

Au final, que peut-on en conclure ?

Si l’on en croit Unlimitedhangout(([6] reseauinternational.net/de-levenement-201-a-cyber-polygone-simulation-dune-cyberpandemie-a-venir-au-forum-economique-mondial/)), « l’inclusion de la Russie en tant que leader dans une initiative mondiale de cybersécurité aussi importante est un peu surprenante, surtout après que la Russie ait été le bouc émissaire de choix pour toute cyberattaque commise contre une puissance occidentale depuis plusieurs années. Pourtant, il n’y a pas eu de tollé en Occident à propos de Cyber Polygone 2020, dans lequel une société détenue majoritairement par le gouvernement russe a pu prendre directement connaissance des faiblesses en matière de cyberdéfense des grandes institutions, banques et entreprises mondiales accueillant l’exercice. »

Selon Unlimitedhangout, « la participation de Tony Blair à cet exercice a peut-être pour but de faciliter le soutien des gouvernements occidentaux alignés sur le FEM en faveur d’une inclusion encore plus grande de la Russie dans le Great Reset. Cela est dû en partie à l’effort du FEM pour amener les nations des BRICS comme la Chine ou la Russie dans le giron du Great Reset, car c’est essentiel pour le succès de leur programme à l’échelle mondiale. Aujourd’hui, la Russie est le pionnier de ce nouveau modèle de systèmes financiers nationaux que le FEM soutient par la création par la Sberbank d’un monopole numérique non seulement des services financiers, mais de tous les services au sein de la Fédération de Russie. »

« Peu après le début de la crise du Covid-19 en mars 2020, Schwab a fait remarquer que la crise pandémique était exactement ce qu’il fallait pour lancer le Great Reset car elle a servi de catalyseur pratique pour commencer à remanier les économies, la gouvernance et la société sociale à l’échelle mondiale. Si les événements déstabilisateurs simulés à Cyber Polygone se produisent, il est probable que le FEM s’en félicitera également, étant donné qu’une défaillance critique du système financier mondial actuel permettrait l’introduction de nouveaux monopoles public-privé de type « écosystème numérique », comme ceux que la Sberbank est en train de mettre en place en Russie. »

« Fin 2019, quelques mois avant le début de la crise du Covid-19, le PDG de la Deutsche Bank a averti que les banques centrales ne disposaient plus d’outils pouvant répondre de manière adéquate à la prochaine crise économique. Il est certainement révélateur que des systèmes bancaires entièrement nouveaux, tels que le monopole monétaire numérique de la Sberbank, qui sera bientôt lancé, aient commencé à être développés au moment même où l’on commençait à reconnaître publiquement que les moyens traditionnels des banques centrales pour répondre aux calamités économiques n’étaient plus viables. »

« Une cyberattaque majeure, telle que celle simulée à Cyber Polygone 2020, permettrait de blâmer les pirates informatiques sans visage pour l’effondrement de l’économie, exonérant ainsi les véritables criminels financiers de toute responsabilité. De plus, en raison de la nature difficile des enquêtes sur les piratages et de la capacité des agences de renseignement à faire porter le chapeau aux autres États-nations pour les piratages qu’ils ont eux-mêmes commis, tout croque-mitaine de choix peut être blâmé, qu’il s’agisse d’un groupe de « terroristes intérieurs » ou d’un pays non aligné sur le FEM comme l’Iran ou la Corée du Nord », conclut Unlimitedhangout.

Tout cela suppose que la Russie soit entièrement d’accord avec le récit officiel sur le coronavirus et la cyberpandémie prétendument imminente. Mais qu’en sera-t-il avec le Cyber polygone planifié pour juillet 2021 ? À l’heure où la confrontation Russie-USA ne tient plus qu’à une étincelle en Ukraine, la participation russe via la Sberbank et le Premier ministre Mikhael Mishustin est-elle encore sérieusement envisagée ?

Dans un monde où les armes hypersoniques et les missiles intercontinentaux des grandes puissances pourraient provoquer le seul véritable Great Reset, la finalité du Cyber Polygone ne devrait-elle pas avant tout s’appliquer à ceux qui l’ont organisé ?

« Aujourd’hui, chaque habitant de cette planète doit envisager le jour où elle ne sera plus vivable. Chaque homme, chaque femme et chaque enfant vit sous le coup d’une épée de Damoclès atomique, suspendue par le plus fin des fils, susceptible d’être coupé à n’importe quel moment. Par accident, erreur ou folie. Les armes de guerre doivent être abolies avant qu’elles nous abolissent. »

John Fitzgerald Kennedy, discours à l’Assemblée Générale des Nations Unies, 25 septembre 1961

Y a-t-il encore un chef d’État pour relever le défi ?


* Grande réinitialisation




Les criminels, ça ose tout, c’est à ça qu’on les reconnaît

Par Jean-Michel Grau

La « Haute autorité de Santé » (HAS) vient de recommander que les personnes de moins de 55 ans ayant reçu une première dose du vaccin Astra-Zeneca reçoivent un vaccin à ARN messager en deuxième dose. L’OMS, à ce stade, n’a pas fait de recommandation à ce sujet.

Comme on les comprend !

En effet, prendre le risque d’administrer en deux temps à un même patient deux « vaccins » expérimentaux aussi différents qu’un « vaccin » à vecteur viral (Astra-Zeneca) et un « vaccin » à ARN messager (Pfizer/ Moderna), c’est un peu comme vouloir compléter son réservoir d’essence sans plomb par du diesel. Ce qui s’avère d’ailleurs impossible vu que les orifices des réservoirs sont différents selon le carburant utilisé pour éviter l’erreur.

Les précautions que l’on a prises pour le bon fonctionnement des moteurs de nos voitures sont apparemment le cadet des soucis de la HAS pour la santé des humains avec ces « vaccins » qui n’ont, rappelons-le, qu’une autorisation provisoire de mise sur le marché, parce qu’expérimentaux.

Face à une telle décision, on reste sans voix. Est-on en présence d’une bêtise crasse de la HAS, dont il apparaît clairement désormais que l’autorité prévaut sur la santé, ou bien d’une absence totale d’empathie face à la vie humaine ?

Il est hélas! fort à craindre que l’on soit dans le deuxième cas. Car il n’y a pas besoin d’être grand clerc pour se rendre compte que l’administration successive de deux types de « vaccins » aussi différents qu’un « vaccin » à vecteur viral et un « vaccin » à ARN messager peut s’avérer explosive pour la santé des personnes qui auront encore l’innocence et la candeur de se laisser piquer en toute confiance sur le conseil de ces charlatans.

Combien de morts suite à ces administrations vaccinales mortifères faudra-t-il encore compter avant de stopper définitivement ce génocide qui n’ose pas encore dire son nom ?

Il faut ajouter qu’ici encore, on nage en plein Absurdistan. En effet, alors que l’OMS déclare ne pouvoir faire une telle recommandation « à ce stade » en l’absence de « données adéquates », la HAS reconnaît le manque d’études également !(([1] francais.rt.com/france/85520-haute-autorite-sante-recommande-vaccin-arn-messager-apres-premiere-dose-astrazeneca)) Ce qui ne l’empêche pas en même temps de prendre la décision de recommander d’administrer successivement aux Français deux « vaccins » à la composition aussi différente. Sur la base de quoi ? On cherche encore…

Malgré tout, au risque d’apparaître comme un brin provocateur, on peut considérer que la recommandation de la HAS est une excellente nouvelle.

Tout simplement, parce que cette solution eugéniste qui ne dit pas son nom, est l’ultime tentative désespérée de Big Pharma de sauver ce qui reste des « vaccins ». Pour la simple raison que les cobayes volontaires s’avèrent de moins en moins nombreux à se porter candidats à la vaccination Covid généralisée qui s’avère d’ores et déjà être un monumental échec.

– Échec d’Astra-Zeneca tout d’abord, suite aux multiples cas de thromboses, mais aussi de décès de par le monde de ceux qui se sont vu injecter cette piqûre mortifère d’adénovirus de chimpanzé. Échec ensuite de la production, de la logistique et de la distribution du même « vaccin ».(([2] francais.rt.com/international/85513-astrazeneca-retard-sur-moitie-livraisons-vaccins-union-europeenne-semaine)) Pour Astra-Zeneca, ça sent la fin, le changement de nom n’y changera rien.(([3] reseauinternational.net/astrazeneca-ca-sent-la-fin/)) Un responsable de l’Agence européenne des médicaments (EMA) a d’ailleurs officiellement confirmé dernièrement un lien entre le « vaccin » d’Astra-Zeneca et les thromboses.(([4] francais.rt.com/international/85412-responsable-ema-confirme-lien-entre-vaccin-astrazeneca-thrombose)) La conséquence directe en est que plus personne ne veut de ce « vaccin » assassin.(([5] lavoixdunord.fr/975576/article/2021-04-04/gravelines-faute-de-candidats-au-vaccin-astrazeneca-le-centre-sportica-doit))

– Échec de même pour Johnson & Johnson dont le « vaccin » commence à subir les mêmes déboires que celui d’Astra-Zeneca avec les caillots sanguins, vu que le principe est similaire.(([6] francais.rt.com/international/85510-caillots-sanguins-apres-astrazeneca-vaccin-johnson-johnson-collimateur-ema))

– Échec enfin des « vaccins » Pfizer et Moderna à ARN messager qui ne sont pas en reste, en termes de collection d’effets secondaires et de cas graves suite à l’administration des piqûres comme le montre l’Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM) dans son rapport du 25 mars 2021 dans le tableau ci-dessous :(([7] sante.journaldesfemmes.fr/fiches-maladies/2686947-effets-secondaires-indesirable-vaccin-covid-ansm-france-pfizer-moderna-astrazeneca-cas-graves/))

Au début, le « vaccin » d’Astra-Zeneca était recommandé pour les personnes de moins de 65 ans. Aujourd’hui, en Angleterre, le « vaccin » est recommandé pour les personnes de plus de 30 ans, en Belgique et en France pour les personnes de plus de 55 ans et en Italie et en Espagne pour les personnes de plus de 60 ans.

En combinant toutes ces recommandations, il ne reste plus que les personnes entre 60 et 65 ans à qui l’on peut encore « recommander » ce « vaccin »…

Il apparaît indéniable que les promoteurs du Grand Reset qui repose entièrement sur des vaccins qui n’en sont pas, sont en fait aujourd’hui aux abois. Ils ne savent plus à quel vaccin se vouer pour mettre encore en œuvre leur plan chimérique de domination mondiale qui s’avère de plus en plus compromis par le refus des peuples de servir de cobayes pour un génocide qui apparaît désormais au grand jour.





Dernier appel avant embarquement pour suicide collectif

Par Jean-Michel Grau

Aujourd’hui, après un an de dictature sanitaire et de mascarade généralisée, c’est bien d’un dernier appel dont il s’agit ici. Avant qu’il ne soit trop tard. Un dernier appel avant embarquement pour suicide collectif.

Cet appel, on pourrait même le qualifier d’alerte rouge, tellement il devient pressant, urgent de se bouger, de s’insurger, de se révolter pour se libérer. À l’heure où tout le monde reste encore bien sagement claquemuré chez soi en attendant le déluge.

Face à l’apathie générale et au renoncement de se battre pour s’extraire des griffes de la finance mondialiste afin de sauver nos libertés, qu’attendons-nous encore avant de nous révolter ?

Qu’il ne reste plus un seul commerce indépendant ouvert, ni une seule petite entreprise encore en état de fonctionner avant que toute notre économie soit définitivement parterre ?

Les financiers du Grand Reset du Forum de Davos qui n’ont d’autre but que de nous asservir, n’attendent plus qu’une chose : que nous soyons tous piqués comme des poulets OGM afin de tous nous contrôler pour mieux nous voler nos biens, une fois ruinés par l’arrêt total de l’économie, et nous exclamer béatement, selon le slogan cynique de leur film de propagande (([1] nouveau-monde.ca/dici-2030-nous-naurons-rien-et-nous-en-serons-heureux/)) :

« Vous ne posséderez plus rien, et vous serez heureux. »

Formidable, non ? Alors, qu’espérer encore ? Un sursis ? Un malheureux sursis ? Et après ?

« Encore quelques minutes, Monsieur le bourreau ! » Mais non, il n’y aura pas de sursis ! À part pour les quelques restaurateurs naïfs qui croient encore que les maigres subsides de l’État vont leur permettre de survivre. Mais pour combien de temps ? Car c’est bien un gigantesque suicide collectif de toute la classe moyenne qui se prépare, avec la complicité des États et de l’Union européenne à la solde de l’oligarchie financière mondialiste, orchestrée par les partenaires illuminés du Forum Économique Mondial, Klaus Schwab, Bill Gates et Jacques Attali, dont Macron, Merkel et von der Leyen ne sont que des marionnettes.

À gauche : Bill Gates, partenaire contributeur du Forum Économique Mondial :

« Les vaccins Covid19 ADN devraient nous donner un contrôle extrême sur toute la population mondiale. »

À droite : Peter Sellers dans Docteur Folamour, film du génial Stanley Kubrick décrivant un monde corrompu où toute dignité humaine est enterrée sous une pseudo-nécessité de survie, avec la volonté clairement affichée des dirigeants de préserver leur pouvoir pour se livrer ouvertement à leurs magouilles politiques, leur brutalité, leurs perversions et leurs instincts bestiaux sous l’excuse qu’ils agissent pour l’humanité. Le slogan des militaires américains « La paix est notre profession » résume assez bien l’hypocrisie générale des décideurs qui baigne ce film.

« Nos tyrans ne sont grands que parce que nous sommes à genoux. »

La Boétie

Car il faut vraiment être à genoux pour accepter de voir l’œuvre de toute une vie ruinée par la fermeture de son commerce, de son restaurant, de son entreprise. À genoux aussi pour accepter la fermeture de tout ce qui fait le sel de la vie : théâtres, cinémas, opéras, salles de sport, bars, discothèques… Et combien d’autres rideaux qui se baissent jour après jour sur nos loisirs ?

Car il faut vraiment être à genoux, ensuite pour accepter sans broncher d’être bâillonnés du matin au soir, de s’asphyxier à petit feu en respirant toute la journée son propre gaz carbonique, y compris à l’extérieur, même au bord de la mer ou encore en forêt ! C’est hallucinant !

Il faut vraiment être à genoux pour accepter cet enfermement quasi permanent fait de confinements, de reconfinements et de couvre-feux, comme si nous étions en état de guerre. Mais nous ne sommes pas en guerre ! Qui peut croire encore que l’on peut faire la guerre à un virus ? Qui peut croire encore ces propos délirants de psychopathe ?

Mais le pire n’est même pas là.

Comment peut-on accepter de voir tous ces écoliers dès l’âge de 6 ans, bâillonnés avec ces abominables muselières qui ne sont rien d’autre qu’un plan machiavélique d’ingénierie sociale pour nous apprendre à devenir tous des esclaves dès le plus jeune âge ?

Qui sont ces parents assez fous, assez criminels pour accepter que leurs propres enfants s’asphyxient huit heures par jour à l’école avec ces bâillons mortifères ?

Sont-ils incapables à ce point de créer des collectifs de parents d’élèves résistants pour forcer ce gouvernement criminel à plier en retirant massivement leurs enfants de l’école et cesser du même coup d’être les victimes d’un chantage aberrant : le masque ou l’exclusion ?

Et qui sont tous ces profs pour accepter eux aussi cette mascarade mortifère ? Où sont les syndicats d’enseignants et de parents d’élèves pour défendre la bonne santé des écoliers et des élèves face à la pandémie imaginaire d’un virus dont la létalité de 0,05 % frappe principalement la population des Ephad à comorbidité âgée de plus de 80 ans ? (([2] Didier Raoult, Carnets de guerre Covid19, le plus grand scandale sanitaire du XXIe siècle, Michel Lafon))

Ne savent-ils pas que non seulement ces masques ne protègent pas des virus (c’est écrit sur la boîte), mais en plus sont de véritables nids à miasmes, surtout si on les porte 8 heures par jour, a fortiori toute la semaine ? Tous ceux qui vous diront le contraire vous mentent. Ces masques n’ont pas été conçus pour l’usage que les pouvoirs occidentaux nous imposent, mais pour le personnel médical.

Ces parents et ces profs ont-ils perdu à ce point tout bon sens, pire : tout sentiment d’humanité, à force de lavages et rinçages de cerveaux successifs administrés par les infos anxiogènes débitées H24 par toutes les chaînes d’info continue pour leur dire quoi penser ?

Ont-ils peur à ce point de l’amende de 135 euros que le sinistre de l’intérieur ne manque jamais une occasion de leur rappeler ? Se sont-ils jamais posé la question de ne pas la payer parce qu’elle est totalement injustifiée, car le port du masque ne repose sur aucun fondement scientifique et qu’il a été décidé uniquement par un conseil qui n’a de scientifique que le nom ?

Savent-ils seulement qu’il y a pléthore d’avocats prêts à plaider leur cause via les collectifs citoyens initiés par des avocats tels Maître Brusa, Maître Di Vizio, Maître Jean-Pierre Joseph ou encore Maître de Araujo-Vecchia, pour ne citer que ceux-là ? (([3] reaction19.fr/,
divizio.fr/,
bonsens.info/,
legavox.fr/blog/maitre-de-araujo-recchia/rapport-dictature-2020-terrorisme-etat-29896.htm))

N’ont-ils pas encore compris que ce pouvoir inique qui nous enferme ne tient plus que par notre peur du virus pour nous imposer le chantage des masques et des vaccins pour mieux nous asservir ?

Sont-ils devenus à ce point des robots, incapables d’autre chose qu’obéir servilement sans réfléchir, à la moindre directive liberticide aussi absurde que criminelle, que le gouvernement et l’Union européenne tentent de nous imposer depuis maintenant un an?

N’ont-ils toujours pas compris qu’il est vital d’éteindre définitivement son téléviseur pour allumer enfin son cerveau afin de découvrir sur les médias alternatifs d’internet vers quelle abomination l’UE et nos gouvernants nous mènent à marche forcée ?

Quant à ces parents qui livrent leurs enfants aux mains des labos pharmaceutiques, tel Moderna aux USA, pour qu’ils servent de cobayes à des « vaccins » qui ne sont rien d’autre que des expériences géniques, ont-ils seulement entendu parler du Dr Mengele d’Auschwitz et de ses « expériences » sur les prisonniers ? Pourquoi a-t-on établi un code de Nuremberg en 1947 ? Pour des souris de laboratoire ? À l’heure où les déboires du vaccin Astra-Zeneca s’accumulent malgré l’autorisation provisoire de mise sur le marché de l’Agence Européenne du Médicament, (([4] francais.rt.com/international/84989-astrazeneca-information-obsolete-a-pu-fausser-essai-efficacite-vaccin-anti-covid,
francais.rt.com/france/84987-nantes-vaccin-astrazeneca-covid-etudiant-24-ans-meurt-thrombose-enquete-ouverte-)) le jour où l’UE nous intimera de piquer à notre tour nos enfants pour remplacer les souris, l’accepterons-nous bien docilement ?

« C’est parce qu’il y a des moutons qu’il y a des loups. »

C’est ainsi que Rainer Werner Fassbinder résumait son film « Le droit du plus fort ». Si le grand réalisateur allemand décédé il y a bientôt 40 ans revenait maintenant parmi nous, on pourrait aisément imaginer son effarement en constatant jusqu’à quel point la société d’aujourd’hui qui affiche un égalitarisme sans vergogne, est devenue paradoxalement la plus inégalitaire qui soit, à savoir l’incarnation même de sa mise en garde du siècle dernier !

Dans cette société soudainement devenue folle sous la pression d’une clique de mondialistes corrompus, il appartient à chacun d’entre nous de chasser dès maintenant par tous les moyens, les loups du pouvoir. Après tout, ils ne sont qu’une meute affamée de pouvoir et d’argent. Le jour où nous cesserons de leur donner nos vies à manger, ils mourront.





État actuel de la procédure judiciaire menée par le Dr Fuellmich

Par Jean-Michel Grau

Le Dr Reiner Fuellmich résume l’état actuel de la procédure judiciaire contre la dictature sanitaire mondialiste au 20 mars 2021, dont voici l’adaptation résumée de la traduction. (([1] fuellmich.com/news/mandanten-information-nr-06-www-corona-schadensersatzklage-de/))

« Comme on a déjà pu le constater sur nos chaînes (([2] corona-ausschuss.de/ (chaîne en allemand avec quelques traductions en anglais) )), de nouveaux développements sont intervenus au Canada et aux États-Unis, mais aussi en Europe et notamment en Allemagne, qui montrent qu’il s’agit d’une bataille très difficile qui va bien au-delà du domaine purement juridique.

I.

Il est particulièrement important pour nous de souligner une fois de plus, que seule la coopération internationale très bien coordonnée des professions juridiques, en particulier des professions juridiques allemandes, autrichiennes, françaises et italiennes avec les professions juridiques anglo-américaines qui seules disposent du puissant outil de la « class action » et d’un véritable droit de la preuve, permettra d’atteindre notre but.

Car ce que nous voyons ici dans le monde entier, encore laborieusement déguisé en « pandémie », mais néanmoins de plus en plus clairement visible, est en vérité la plus grande attaque contre la démocratie qu’il n’y ait jamais eu, menée par des élites politiques et économiques transnationales. Le but de cette attaque est de spolier la richesse de la classe moyenne et des contribuables par ces soi-disant « élites » autoproclamées et, à l’aide du passeport numérique de vaccination, d’obtenir un contrôle permanent sur chaque citoyen, en particulier, sur ceux qui se laissent « vacciner ».

Car les profiteurs de la panique de masse la plus répandue comme jamais dans le monde sont les industries pharmaceutiques et technologiques, dont les « vaccins », les tests et les masques sont payés par les centaines de milliards de dollars de l’argent des contribuables.

Ils veulent utiliser nos données génétiques stockées dans nos cartes de vaccination pour prendre le contrôle, en particulier de ceux qui sont « vaccinés », parce que personne ne les informe qu’en violation massive du code de Nuremberg et des accords d’Helsinki ainsi que du principe de « consentement éclairé », une expérience médicale est testée sur eux. En effet, il n’existe pas d’études scientifiques du type de celles qui sont habituellement menées, sur l’efficacité et la sécurité d’un nouveau médicament avant sa mise sur le marché.

II.

Dans le contexte de ces faits, il est alors compréhensible que les « élites » susmentionnées aient veillé à ce que les postes de pouvoir décisifs soient occupés par des personnes qui mettent en œuvre ces objectifs pour elles, telles des marionnettes. Nous le voyons en Allemagne à la tête du gouvernement fédéral et surtout du gouvernement de l’État de Bavière, mais aussi à la tête de la Cour constitutionnelle fédérale, et nous le voyons en Europe surtout à la tête de la Commission européenne.

III.

1.

La première action collective en dommages et intérêts au Canada a été rejetée par le tribunal de première instance. Mais ce procès se poursuit maintenant devant la plus haute juridiction canadienne. Et toujours au Canada, une autre action collective internationale est en cours de finalisation, cette fois pour les enfants, c’est-à-dire les enfants du monde entier, victimes des mesures Drosten. Ainsi, tous les enfants devraient pouvoir faire valoir leurs droits à des dommages et intérêts pour préjudice moral et corporel. Une fois encore, les deux fausses affirmations factuelles centrales de M. Drosten, qui ont ensuite été diffusées dans le monde entier par l’OMS, sont au cœur du problème, à savoir les questions :

– « Existe-t-il des  » infections asymptomatiques  » ? »

Bien sûr que non, car une personne qui ne présente aucun symptôme est en bonne santé et ne peut donc donner aucune réponse à un médecin lorsqu’on lui demande quels sont ses symptômes ;

– « Un test PCR peut-il détecter une infection ? »

Bien sûr que non, même l’OMS a dû l’admettre entre-temps. C’est pourquoi les tests PCR ne sont pas approuvés à des fins de diagnostic. Sans l’affirmation selon laquelle il existe des infections asymptomatiques, personne n’aurait pensé que des personnes en bonne santé et ne présentant aucun symptôme pouvaient être malades, et certainement personne n’aurait pensé à tester des personnes en bonne santé et ne présentant aucun symptôme.

2.

Le procès en cours à New York par nos collègues de Childrens Health Defense (([3] childrenshealthdefense.eu/)) n’a jamais été un recours collectif. Il s’agit d’un procès qui conteste l’exigence du test PCR pour les enfants qui veulent aller à l’école. C’est ainsi que nous resserrons dans le monde l’étau autour de M. Drosten et de ses affirmations. Pour l’instant, seule la motion d’urgence a été rejetée, manifestement motivée par des raisons politiques, mais le procès se poursuit.

Cependant, nous avons maintenant l’intention de déposer une véritable action collective aux États-Unis, ainsi qu’en Australie. Nous sommes en contact étroit avec nos collègues de ces deux pays.

IV.

Entre-temps, deux collègues israéliens (([4] francesoir.fr/videos-les-debriefings/ruth-makhacholovsky-et-aryeh-suchowolski-la-plainte-la-cour-penale?utm_source=NL)) avec lesquels nous sommes en échange ont engagé une procédure pénale auprès de la Cour Pénale Internationale en raison des expériences humaines en cours, étonnamment aussi en Israël. On peut trouver le lien ici :
fr.rt.com/international/114629-israeli-vaccine-critics-file-lawsuit-at-international-criminal-court/.
[Note : le lien n’est plus fonctionnel]

Par ailleurs, un juge du tribunal de première instance de Ludwigsburg a rendu une autre très bonne décision, et surtout très bien motivée, selon laquelle, comme l’a déjà déclaré le tribunal de première instance de Weimar, les mesures anti-Covid sont anticonstitutionnelles et nulles.

On peut trouver le lien ici :
www.lkz.de/lokales/stadt-ludwigsburg_artikel,-richterin-am-amtsgericht-ludwigsburg-zerpflueckt-corona-verordnung-_arid,628632.html

Pour conclure : une victoire juridique n’est possible que dans le cadre d’une coopération internationale d’avocats éclairés, notamment sur les problèmes du test PCR et des infections asymptomatiques, et surtout dans le cadre d’une coopération avec des collègues anglo-américains. Cela passe avant tout par les scientifiques en tant qu’experts et témoins experts que nous avons entendus au sein du Comité Covid.

Deux procédures particulièrement importantes ont été mises en place qui mèneront à la victoire, mais nous ne pouvons pas encore en parler pour ne pas compromettre leur succès.

Nous avons également l’intention d’organiser une visioconférence zoom en direct avec nos collègues canadiens la semaine prochaine. Nous annoncerons les dates exactes ultérieurement.

Nous profitons de cette occasion pour remercier toutes celles et ceux qui nous soutiennent au quotidien par leurs mots gentils et motivants.

Nous vaincrons le régime criminel qui tente de s’établir.»

Dr. Reiner Fuellmich





3e confinement : une arme de destruction massive pour la présidentielle

Par Jean-Michel Grau

En ce samedi 20 mars, premier jour de printemps, notre chef d’État a décidé de fêter l’évènement à sa manière : en reconfinant pour la troisième fois.

Mais pas n’importe où : les régions Île-de-France, Hauts de France, et les départements des Alpes maritimes, de la Seine maritime et de l’Eure.

Sacré virus ! Non seulement, il est capable de se démultiplier en vagues à répétition et autres variants, justifiant autant de mesures liberticides à l’infini, mais en plus, il ne s’attaque maintenant qu’à des zones géographiques bien précises, à savoir uniquement les régions et les départements des candidats potentiels ou déclarés pour la prochaine présidentielle !

Quel merveilleux hasard ! Il est décidément très fort, ce virus !

Reprenons toutes les régions et départements confinés :

  • L’Île-de-France :
    • candidats déclarés : Marine Le Pen et Jean-Luc Mélenchon.
    • Candidate potentielle : Valérie Pécresse.
    • Candidate très potentielle : Anne Hidalgo.
  • Les Hauts de France : candidat déclaré : Xavier Bertrand.
  • Les Alpes maritimes : candidat potentiel : Christian Estrosi.
  • La Seine maritime : candidat potentiel : Edouard Philippe.
  • L’Eure : candidat potentiel : Bruno Le Maire.

Tous ces élus des régions et départements précités sont donc des candidats potentiels ou déclarés à la prochaine présidentielle et autant de candidats susceptibles de faire de l’ombre à notre apprenti dictateur, candidat, comme chacun sait, à sa propre succession.

Le virus covid 19, en plus d’être un virus biologique, s’avère donc maintenant être un redoutable virus politique ! Il faut croire que Macron tient les Français en si peu d’estime pour s’imaginer qu’ils ne verront que du feu dans ce pitoyable stratagème, n’importe quelle personne dotée d’un cerveau en état de marche étant capable de démasquer cette énième supercherie de bas étage.

Si le théâtre, tout comme le cinéma d’ailleurs, est connu pour être l’art du mensonge, Macron est un bien piètre acteur, et Brigitte Trogneux, une bien mauvaise professeur de théâtre.

Avec ce troisième confinement à géométrie présidentielle, il nous refait le coup des vaccins, à savoir un chantage gros comme le grand Reset de Klaus Schwab (1), autrement dit :

Les confinements à répétition et la ruine de leurs administrés, voilà ce qui attend jusqu’en avril 2022, les candidats à la présidentielle, s’ils n’abandonnent pas toute velléité de se présenter.

Ou comment punir par la même occasion tous celles et ceux qui auraient l’outrecuidance de voter pour un concurrent de notre Jupiter de salle de bains qui continue du fond de sa baignoire, de découper haché menu, ce qui reste de nos libertés.

En agissant ainsi avec ce 3e confinement, Macron nous rejoue le scénario du chantage écrit pour les réfractaires aux vaccins qui ne pourront jamais plus aller au restaurant, à l’hôtel, ni dans les musées et les concerts ou encore se déplacer en train ou en avion s’ils ne se font pas vacciner.

Mais ce n’est pas tout : le 3e confinement est le scénario idéal pour renvoyer les élections régionales et départementales aux calendes grecques, la décision finale du maintien de ces élections au mois de juin devant se prendre avant le 1er avril, soit en plein confinement. Sacré virus !

Il serait plus que temps de comprendre que tous ces chantages odieux ont assez duré, sachant que les restaurants indépendants ne rouvriront jamais, les théâtres, les cinémas et autres salles de spectacle, non plus, que l’on soit vacciné ou non.

Encore une fois, tout est écrit dans le programme de Klaus Schwab pour spolier tous les biens et les richesses de la classe moyenne par la haute finance et les entreprises transnationales. (([1] Klaus Schwab, Covid-19 : la grande réinitialisation, forum publishing))

Les gens du spectacle qui occupent les théâtres peuvent toujours attendre longtemps : à moins de quitter les théâtres pour monter des barricades dans la rue, ils n’obtiendront jamais rien.

Même chose pour les restaurateurs, dont les subventions qui vont s’arrêter le 30 juin prochain ne leur permettront pas d’échapper à la faillite qui les attend, si ce n’est déjà fait.

La liberté ne s’achète pas : ni avec des vaccins, ni avec des carottes, ni avec des menaces.

On n’a pas à payer pour être libres.

L’inscription « Liberté, Égalité, Fraternité » gravée sur tous les frontons des mairies n’est pas un slogan publicitaire. Sinon, autant la remplacer par « Le pouvoir de dire oui », plus dans l’air du temps… Elle est le témoin d’un combat gagné de haute lutte, de révolution en révolution pour vivre en citoyens libres et égaux en droits, comme inscrit dans la constitution. Mais il est clair que de compromission en compromission, de renoncement en renoncement, de lâcheté en lâcheté de la part de tous les politiques qui se sont succédés dans ce pays depuis des décennies, force est de reconnaître qu’aujourd’hui, la liberté, l’égalité et la fraternité se sont évanouies.

Tout est à reconstruire dès maintenant, si l’on ne veut pas voir la démocratie disparaître à jamais dans une tyrannie mondialiste dont nous serons tous devenus les esclaves consentants.

Désormais, le retour aux libertés ne passera que par l’insurrection.





Le passeport vert a-t-il encore un avenir ?

Par Jean-Michel Grau

Après la déconfiture du vaccin d’Astra-Zeneca, suspendu successivement par l’Autriche, l’Italie, l’Irlande, l’Estonie, la Lituanie, la Lettonie, le Luxembourg, le Danemark, la Norvège, l’Islande, la Bulgarie, les Pays-Bas, l’Allemagne et la France, le passeport vert a-t-il encore un avenir ?

On peut raisonnablement se poser la question à l’heure où la décision de continuer à vacciner avec ce vaccin mortifère est suspendue à l’avis de l’Agence européenne du médicament (EMA).

En effet, les effets secondaires se sont multipliés ces dernières semaines sur les personnes vaccinées dans les pays européens par Astra-Zeneca, avec les nombreux cas de formation de caillots sanguins observés, depuis le décès d’une femme de 49 ans en Autriche pour cause de mauvaise coagulation sanguine suite à l’injection de ce vaccin.

Il a, entre autres, été constaté des troubles de la coagulation intravasculaire avec parfois des embolies pulmonaires. Selon un biochimiste interrogé, « il n’est pas impossible que les composantes de ce vaccin entraînent des jambes lourdes se transformant en thromboses. » Enfin, certains parlent de « micro-arrêts cardiaques », tel ce chef de corps des sapeurs-pompiers des Bouches-du-Rhône ayant décidé de suspendre l’injection du vaccin d’Astra-Zeneca auprès de son personnel, suite aux pertes de connaissance répétées d’un agent des sapeurs-pompiers d’Arles, 48 heures après l’injection du vaccin. (([1] medias-presse.info/le-chef-de-corps-des-pompiers-des-bouches-du-rhone-suspend-toute-vaccination-avec-astrazeneca-apres-de-nombreux-effets-secondaires-parmi-les-pompiers/140870/))

Tous ces effets secondaires inquiétants entraînant la rétractation en cascade d’un nombre croissant de pays européens de la vaccination par Astra-Zeneca n’ont pas empêché jusqu’à aujourd’hui le Premier ministre ainsi que le ministre de la santé français de clamer haut et fort qu’il fallait « avoir confiance en ce vaccin et se faire vacciner. » Sauf que, dès qu’on a su que l’Allemagne suspendait, elle aussi, le vaccin d’Astra-Zeneca « à titre préventif » après le signalement d’effets indésirables, la France qui ne peut rien décider sans l’Allemagne, lui a immédiatement emboîté le pas.

On attend maintenant la décision de l’EMA qui doit décider « si et comment les nouvelles connaissances sur ces effets indésirables se répercutent sur l’autorisation du vaccin. » Malgré les suspensions d’une quinzaine de pays d’Europe du vaccin d’Astra-Zeneca pour de graves effets secondaires tels des thromboses, l’EMA reste « fermement convaincue que les bénéfices l’emportent sur les risques » et reporte sa décision finale au 18 mars.

Cette nouvelle déconvenue pour Astra-Zeneca vient s’ajouter aux problèmes de production et de livraison que rencontrent aussi ses concurrents occidentaux Pfizer-BioNTech et Moderna. Ainsi, le laboratoire anglo-suédois a annoncé dernièrement une nouvelle baisse des livraisons dans l’UE, invoquant « des restrictions d’exportation » pour les vaccins fabriqués hors UE.

Rappelons que « le vaccin Astra-Zeneca se compose d’un virus de singe (un adénovirus), modifié génétiquement pour y intégrer une petite partie du virus contre lequel on souhaite développer une immunité » explique le Dr Steve Pascolo, immunologiste à l’Université de Zurich. (([2] topsante.com/medecine/maladies-infectieuses/zoonoses/vaccin-covid-astra-zeneka-efficacite-securite-641593))

Il faut bien savoir qu’aucun des vaccins disponibles en Europe à ce jour n’a reçu d’autorisation définitive de mise sur le marché de l’EMA, mais seulement une autorisation provisoire, que ce soit le vaccin Astra-Zeneca, le vaccin Pfizer-BioNTech ou encore le vaccin Moderna, tous encore en phase 3 d’expérimentation. Et l’on peut comprendre pourquoi !

Comme le dit la généticienne Alexandra Henrion-Claude à propos des vaccins Pfizer et Moderna :

« Je travaille depuis 12 ans sur l’ARN… Je suis très malheureuse de ce qui se passe… Administrer de l’ARN à des individus sains me paraît de l’ordre de la folie… C’est inconcevable, compte tenu de la versatilité de cette molécule, sa capacité à interagir avec une multitude de molécules… L’essai de Pfizer se terminera en 2022. D’ici là, toute personne qui se fera vacciner sera un sujet de protocole biomédical, c’est-à-dire un cobaye. » (([3] reseauinternational.net/des-dizaines-de-milliers-deffets-secondaires-plus-de-4-000-morts-en-europe/))

Un collectif de médecins du monde entier a ainsi adressé une lettre ouverte à Emer Cooke, directeur de l’Agence européenne du médicament (EMA) à Amsterdam, lui enjoignant de retirer l’approbation de l’utilisation des vaccins à base génétique jusqu’à ce qu’ils aient terminé leur phase d’expérimentation. Dans le cas contraire, l’administration des vaccins constituera une expérimentation humaine, qui entre en violation du Code de Nuremberg. (([4] nouveau-monde.ca/fr/lettre-ouverte-de-medecins-et-de-scientifiques-a-lagence-europeenne-du-medicament-sur-la-securite-des-vaccins-covid-19/))
(Passible de « Crime contre l’humanité. » Ndlr)

Pour bien comprendre ce qui se joue aujourd’hui avec le marché juteux des vaccins, il convient de savoir que l’autorisation de mise sur le marché des vaccins est conditionnée à l’absence de traitement.

On comprend mieux pourquoi les laboratoires s’évertuent à financer des études dont l’objectif est de court-circuiter tout traitement disponible et très peu onéreux comme l’hydroxychloroquine, perçu par l’industrie pharmaceutique comme une menace juridico-financière. En témoigne l’attaque démentielle dont l’hydroxychloroquine est l’objet ainsi que son promoteur le professeur Raoult qui rappelle fort à propos que cette molécule utilisée depuis 70 ans dans le monde entier a soigné des milliards de malades, dont 14000 rien qu’à Marseille.

Il faut croire que la puissance financière des labos pharmaceutiques était suffisamment forte pour financer une étude démontrant l’inefficacité de l’hydroxychloroquine et publiée illico presto dans la prestigieuse revue du Lancet qui s’est ridiculisée au passage, l’étude en question ayant été démasquée quelques jours après comme étant totalement bidon. Trop tard : notre ministre de la santé s’était déjà engouffré dans la brèche pour interdire la molécule maudite. Le mal était fait. C’est une attaque en règle dont fait l’objet l’hydroxychloroquine sur tous les plateaux télé H24 où les médecins de service collectionnent les conflits d’intérêts avec les labos. L’azithromicine, l’ivermectine et la colchicine, autres molécules à la fois efficaces et bon marché, ont ainsi eu le droit au même sort médiatico-politique. Fermez le ban. Adieu traitements, bonjour les vaccins !

Aujourd’hui, le nombre de décès officiels post vaccination recensés par l’ANSM (Agence Nationale de Sécurité du Médicament) se monte à 251 morts en France. (([5] francesoir.fr/societe-sante/deces-post-vaccination-le-droit-de-savoir)) C’est un chiffre dont personne ne veut parler, et pour cause ! Dans ce recensement, on est frappé d’apprendre que les effets indésirables des vaccins Covid, catégorie à laquelle appartiennent les décès, concernent 23% de la tranche d’âge 16-49 ans et 45% des 50-64 ans !

Dans ces conditions, peut-on encore raisonnablement parler de « passeport vert »?

Rappelons brièvement ce qu’est le passeport vert : le « passeport vert », anciennement « passeport vaccinal », puis « passeport sanitaire » est un passeport conditionnant le droit d’entrée à certains lieux (restaurants, cinémas, théâtres, musées…), à certains transports (avion, train…) à l’injection préalable d’un vaccin contre le Covid19. En d’autres termes, la promesse de devenir un citoyen de seconde zone en cas de refus de se faire piquer… Ce passeport est d’autant plus absurde qu’il risque fort d’être renouvelé chaque année vu le haut degré d’inefficacité des vaccins sur tous les variants et en revanche l’incertitude concernant leur réelle efficacité sur la transmission du virus…

Ce passeport vert, voulu par l’Europe bleue aux étoiles jaunes, s’avère ni plus, ni moins qu’un passeport discriminatoire pour créer des alpha plus et des bêta moins, version 2.0 du roman dystopique d’Aldous Huxley.

Voilà le Meilleur des Mondes que nous promet l’Union européenne si ce passeport vert voit le jour.

Un monde qui nous fait revenir 800 ans en arrière, au temps des lépreux et des pestiférés.

« Le combat contre ce passeport n’est donc pas seulement un combat pour la liberté. Il est aussi un combat pour l’égalité et pour la fraternité. » (([6] Florian Philippot, Covid-19 la grande bascule, 2021))

Pourtant, le passeport vert est bien inscrit à l’agenda européen.

C’est ce qu’a affirmé très officiellement la Commission européenne le 15 janvier 2021 par la voix de sa présidente qui explique que « ce passeport doit être mis en place avant juin pour préserver la saison touristique… » (sic) (([7] lejdd.fr/Societe/covid-19-a-quoi-va-ressembler-le-passeport-vert-que-lue-veut-mettre-en-place-des-juin-4031373))

On se demande bien comment, alors que l’écrasante majorité des infrastructures touristiques (hôtels, restaurants, bars…) sont actuellement encore fermées et que beaucoup sont déjà en quasi-faillite…

À l’heure où la stratégie des vaccins s’avère déjà être un monumental échec, comme le montre la déconfiture d’Astra-Zeneca et probablement bientôt celles de Pfizer-BioNTech et de Moderna, concernant à la fois les effets secondaires importants, la morbidité, mais aussi la production et la distribution, les concepteurs européens du passeport vert essayent encore de se raccrocher à ce qu’ils peuvent, à savoir le résultat d’un test négatif.

Mais quels tests ? Ceux de Drosten, le conseiller de Merkel dont on sait aujourd’hui qu’ils sont bidon, car faussant le protocole des tests PCR en préconisant des valeurs de réglage CT jusqu’à 45, provoquant des résultats positifs dans l’écrasante majorité des cas avec des traces infimes de virus, ou bien les tests du Professeur Raoult, honni par tout l’establishment pharmaco-financier pour son franc-parler et son professionnalisme ?

Sans compter que ces passeports peuvent générer des inégalités entre les États membres en fonction de l’avancée des campagnes vaccinales, mais aussi des problèmes de confidentialité des données, de préservation du secret médical, de cybersécurité. Enfin, ces passeports seront perçus comme un chantage d’imposer la vaccination que ne manquera pas de faire remarquer l’armée d’avocats qui planche déjà sur la question.

Au-delà des ratés des vaccins, le passeport vert est-il légal ?

Voici en résumé ce que Xavier Bioy, professeur de droit public, Nicolas Hervieu, juriste en droit public, et Serge Slama, professeur de droit public ont répondu à la question de France Info. (([8] francetvinfo.fr/sante/maladie/coronavirus/vaccin/covid-19-le-passeport-vaccinal-serait-il-legal_4238285.html))

La création d’un « passeport vert » se heurte à un premier obstacle de taille, relève Xavier Bioy.

« Interdire l’accès à une longue liste de lieux ou de services publics ou privés à toute personne non vaccinée, cela revient à créer une obligation vaccinale. Problème : le vaccin contre le Covid 19 n’est pas obligatoire. »

Jean-Philippe Derosier, professeur de droit public, y voit lui aussi, une incohérence juridique de taille : « Les actes quotidiens de la vie vont devoir requérir le vaccin, si bien que, en réalité, il sera obligatoire sans le dire. C’est cette incohérence, ou le caractère excessif des restrictions de la liberté d’aller et venir et de la liberté individuelle qui pose problème dans cet article du projet de loi.»

Autre écueil : le passeport vert ne peut être instauré tant qu’il existe une inégalité des citoyens face au vaccin. (Or les difficultés de production, de logistique et d’approvisionnement rencontrées par les fabricants et les producteurs de vaccins sont telles que l’on ne peut raisonnablement imaginer vacciner toute la population volontaire avant fin 2022… Ndlr)

« Il faudrait que le vaccin soit réellement accessible à tous » fait observer Serge Slama. « Tant que ce n’est pas le cas, les pouvoirs publics ne peuvent décider de permettre le retour à la vie normale à ceux qui sont vaccinés, alors que les autres seraient privés d’activités collectives, sous couvre-feu ou confinés. » « Ce serait trop discriminatoire. » appuie Nicolas Hervieu.

Autre chausse-trappe : le champ d’application. Il ne suffit pas qu’une loi dise qu’on peut exiger d’un usager ou d’un client qu’il présente la preuve de sa vaccination, encore faut-il qu’un décret détermine la liste précise des lieux et services autorisés à le faire. S’agirait-il des lieux culturels, des administrations, des transports, de tous les commerces « essentiels » comme « non essentiels » ? Dans ce dernier cas, « ce serait impossible », tranche Nicolas Hervieu.

« Vous empêchez des gens de subvenir à des besoins fondamentaux parce qu’ils ne sont pas vaccinés, donc vous les contraignez à se faire vacciner. »

Or, une fois de plus, ce vaccin n’est pas obligatoire.

Autre limite : les modalités de contrôle. « Comment prouve-t-on qu’on est vacciné, et qui peut le contrôler ? Cela touche à des données personnelles de santé qui sont particulièrement protégées. Cela pose la question de savoir si le moindre commerçant peut s’ingérer dans votre vie personnelle pour déterminer si vous êtes vacciné ou non, et si vous ne l’êtes pas, pour quelle raison. »

Le juriste met en garde contre le caractère « très intrusif » d’une telle mesure et contre « les grands risques de discriminations fondées sur la situation de santé » auxquels on expose les Français.

« Si vous n’êtes pas vacciné, vous pourriez être contraint d’indiquer au commerçant que vous avez une contre-indication, ce qui peut révéler un état de santé défaillant qui peut conduire le commerçant à adopter un certain comportement. »

« Sur ce point, c’est la justice administrative qui serait saisie par des personnes s’estimant discriminées », précise Xavier Bioy.

De son côté, Nicolas Hervieu avertit le législateur :

« C’est un terrain miné juridiquement. C’est très dangereux. »

Sans même parler du risque politique d’une mesure si décriée, conclut France Info.

Après la déconfiture prévisible des vaccins, on peut en conclure que le passeport vert qui ne repose que sur eux voit son avenir sérieusement compromis. Le Grand Reset eugéniste de Klaus Schwab et Bill Gates qui ne tient que par la vaccination généralisée afin de supprimer toute liberté pour mettre en œuvre la spoliation programmée des classes moyennes, ne tient plus qu’à un fil. Ciseaux, vite !





Pourquoi veulent-ils nous tuer ?

Par Jean-Michel Grau

« Pourquoi veulent-ils nous tuer? »

Tel est le cri du cœur entendu lors du meeting de Florian Philippot le 26 février dernier, pour protester contre le nouveau confinement le week-end à Nice et sur le littoral des Alpes-Maritimes.

Car le confinement tue. Il tue d’abord lentement mais sûrement tous les indépendants qui ne peuvent plus travailler, qu’ils soient restaurateurs, hôteliers, gérants de bar, de café, de discothèque, de cinéma, de théâtre, de salle de spectacles, de salle de sport, qui sont poussés inexorablement vers la faillite et la ruine. Quel est leur avenir ? Le chômage et la grande pauvreté. Car beaucoup ont déjà compris qu’ils ne rouvriront plus jamais.

Le confinement tue aussi les étudiants, claquemurés dans leur chambre, qui ne peuvent même plus suivre leurs cours autrement que devant le petit écran de leur ordinateur sans voir plus personne. Beaucoup abandonnent déjà leurs études ou songent même à se suicider quand ils ne passent pas carrément à l’acte. Combien ont-ils déjà mis fin à leurs jours à l’heure où sont écrites ces lignes ?

« Nous sommes en guerre. »

C’est une mort à petit feu de toute la classe moyenne qui est sournoisement en train de se mettre en place. Un génocide anonyme et aveugle, sous prétexte d’une guerre déclarée par notre chef d’État il y a bientôt un an.

Mais une guerre contre qui ? Contre un virus, comme il l’a affirmé dans son allocution martiale du 16 mars 2020(([1]youtube.com/watch?v=GPhReeA8oKs)),

ou bien alors contre son propre peuple ?

Son peuple qui l’a élu… pour lui faire la guerre ?

Car faire la guerre à un virus n’a aucun sens. Décréter la mobilisation générale contre un être vivant de 0,12 micron apparaît proprement surréaliste.(([2]abcdust.net/quelle-est-la-taille-dun-virion-covid-19-par-rapport-au-mp10-25/?lang=fr)) Doit-on rappeler à ce général de laboratoire autoproclamé qu’il existe sur terre plus d’un million de quadrillions de virus, dont 200 seulement sont capables de provoquer des maladies chez l’homme en s’introduisant dans les cellules humaines ?(([3]nationalgeographic.fr/sciences/2020/04/il-y-plus-de-virus-que-detoiles-et-pourtant-seulement-certains-nous-affectent))

En fait, c’est inutile, car bien évidemment, il sait tout cela.

Il le sait, tout comme son ministre de la santé qui déclarait il y a encore un an, que le port du masque est inutile pour les personnes en bonne santé.(([4]dailymotion.com/video/x7sh6ng)) Le même ministre, toujours en exercice, qui déclarait cinq jours plus tard que c’est le confinement qui provoque la circulation du virus.(([5]dailymotion.com/video/x7slnvs))

Mais alors, qu’est-ce qui a bien pu justifier depuis un an, ce déploiement délirant dans tout le monde occidental au même moment, de tant de mesures liberticides, depuis les confinements à répétition, les couvre-feux, les muselières obligatoires, les gestes barrière, la distanciation sociale, l’arrêt de pans entiers de l’économie ? Tout cet arsenal de guerre pour un simple virus ? Qui peut encore croire cela, aujourd’hui, mis à part les zombies abreuvés de la propagande H24 des médias mainstream qui entretiennent la peur permanente ?

« Éteignez vos téléviseurs et rallumez vos cerveaux ! »

Revenons au meeting de Nice de Florian Philippot, le seul qui fait encore entendre sa voix dans le silence assourdissant de toute la classe politique française qui semble s’accommoder fort bien des mesures toutes plus liberticides les unes que les autres de l’État d’urgence sanitaire à perpétuité.

Voici l’essentiel de ce que Florian Philippot déclarait à Nice ce vendredi 26 février : (([6]youtube.com/watch?v=0daTzm2pW5Y))

« On est là pour imposer un esprit de liberté et de résistance face à la folie.

Je tenais à être ici, à l’épicentre de cette dictature sanitaire qui est en réalité UNE DICTATURE POLITIQUE. Car les décisions qui sont prises n’ont plus rien de sanitaire, ce sont des décisions qui sont exclusivement POLITIQUES.

Véran, Macron, Castex ont annoncé qu’ils allaient faire ce qu’ils ont annoncé comme du « cousu main ». Du « cousu main », ça veut dire qu’ils vont à la fin nous reconfiner, mais ils le font département par département, territoire par territoire, et vous, vous êtes les premières victimes de cette dinguerie ! Mais le « cousu main », ce n’est pas que ça ! C’est aussi le pass sanitaire !

Ce pass sanitaire, ça n’est pas un instrument médical, ni même seulement en lien avec le seul Covid19. Le pass sanitaire, comme dit Macron, c’est UNE RUPTURE MAJEURE DE CIVILISATION ! C’est un problème éthique majeur ! C’est nous faire entrer dans une société profondément inhumaine, profondément diabolique, profondément infernale ! Une société de zombies, où vous devrez présenter un document numérique pour aller au restaurant, pour aller au cinéma, pour prendre le train, pour prendre le métro, pour prendre le tram !

C’est la fin du secret médical. Et c’est ensuite mettre le doigt dans un sacré engrenage : car demain, rien n’empêchera d’utiliser ce pass sanitaire pour interdire l’entrée à des lieux publics à des gens, selon telle ou telle maladie, selon telle ou telle pathologie. Et vous voyez bien, dans quelle société de discrimination « légale », dans quelle société profondément INHUMAINE, INÉGALITAIRE, INJUSTE, avec des citoyens de « huitième zone » nous entrons !

Eh bien, si l’essentiel de la classe politique française est, soit complice, soit soumise, soit endormie devant ce totalitarisme rampant, « les Patriotes » seront dans la résistance, avec vous !

Tout ce qu’ils annoncent : les confinements, les couvre-feux, les fermetures, les restrictions en tout genre, cela relève du charlatanisme ! Nous savons maintenant que ces couvre-feux et ces confinements ne servent à rien sinon à tout détruire ! Les confinements détruisent tout, sauf le virus. Et quand nous le disons, nous nous fondons, nous, sur la science ! Nous avons regardé l’étude de Stanford, celle du meilleur épidémiologiste au monde, M. Ioannidis. Nous avons regardé l’étude du CHU de virologie de Toulouse, qui a démontré, chiffres à l’appui, que le couvre-feu à 18 heures AGGRAVAIT l’épidémie !

… Croyez-vous que tous ces barons locaux qui confinent les gens vivent et subissent le confinement ? Bien sûr que non ! Ils ont la dérogation ! Ils ont l’attestation ! Ils ont le précieux sésame qui leur permet, eux, de continuer à vivre normalement ! Et surtout, eux, continuent d’être payés à 100 % ! Alors que ceux qui subissent les fermetures et les restrictions sont mis dans une panade sans nom ! Et ils n’en ont manifestement rien à faire !

… Il y a des traitements, et c’est cela le non-dit. Ce sont de vieilles molécules qui ne rapportent pas un rond aux laboratoires. Les seuls traitements qu’on a autorisés depuis le début, c’était le Remdésivir de Gilead, totalement inutile, voire dangereux, voire qui provoque des variants, comme l’a dit Raoult. Mais c’est vrai que ça coûte 2300 euros la semaine de traitement…

En revanche : hydroxychloroquine, azithromycine, ivermectine, colchicine : toutes ces vieilles molécules qui ont démontré leur efficacité contre le Coronavirus : systématiquement in-ter-dites ! INTERDICTION AUX MÉDECINS DE PRESCRIRE LIBREMENT, ce qui est une première, honteuse et scandaleuse dans l’histoire de notre pays ! »

C’est à ce moment qu’une voix se fait entendre dans le public, s’exclamant par deux fois :

« Pourquoi veulent-ils nous tuer ? Pourquoi veulent-ils nous tuer ? »

Florian Phillipot reprend:

«… Vous comprenez bien qu’on ne peut pas rester les bras croisés, à plat ventre, à nous taire!

Éteignez vos téléviseurs et rallumez vos cerveaux !

Nous ne sommes pas là pour être soumis à une politique qui nous traite moins bien que du bétail. Parce que nous sommes traités moins bien que du bétail ! C’est La Boétie qui disait :

« Les tyrans ne sont grands que parce que nous sommes à genoux. »

Cessons d’être à genoux et levons-nous ! Soyons fiers, soyons libres, soyons dignes !

Alors, nous réclamons : la prévention, le traitement, qu’on arrête de fermer des lits et qu’on en rouvre, qu’on forme du personnel et :

NOUS DEMANDONS À CE QUE TOUT SOIT ROUVERT TOUT DE SUITE ! NOUS DEMANDONS ET NOUS EXIGEONS LE RETOUR DE TOUTES NOS LIBERTÉS TOUT DE SUITE ! ET NOUS EXIGEONS LA FIN DU MASQUE OBLIGATOIRE TOUT DE SUITE !

Revenons à l’humanité ! Revenons au bon sens ! Revenons à la raison !

Nous ne voulons pas de cette caste qui nous asservit depuis si longtemps et qui a trouvé dans ce virus le prétexte pour faire de nous des gens dominés, des gens obéissants, des gens soumis, c’est-à-dire l’inverse de ce que nous sommes, et surtout l’inverse de ce que nous voulons transmettre aux générations qui viennent. Nous n’avons pas le droit, au nom de nos ancêtres qui se sont battus pour nos libertés, nous n’avons pas le droit de leur laisser ce monde-là ! »

Et de conclure avec cette citation de Benjamin Franklin :

« Une société prête à sacrifier un peu de liberté contre un peu de sécurité ne mérite ni l’une ni l’autre, et finit par perdre les deux. »

Avec la mise en place du pass sanitaire pour créer une société d’alpha plus et de bêta moins, il y a clairement une volonté de tuer la classe moyenne de la part des adeptes de la secte de Davos menés par Klaus Schwab et l’Union européenne. Dans cette société, les seuls gagnants seront ceux qui nous auront imposé cet esclavage forcé, à savoir l’oligarchie financière et son bras armé, l’UE, devenue entretemps, l’Union de l’Enfermement avec les confinements avant de devenir l’Union Eugéniste avec le pass sanitaire.

Car c’est bien d’un programme eugéniste dont il est question avec l’imposition des piqûres géniques, via le pass sanitaire qui n’est qu’une énième supercherie. En effet, qui peut encore croire aujourd’hui que les restaurants auxquels auront le droit d’entrer les seuls « vaccinés » rouvriront un jour ? Même chose pour les musées, les salles de spectacles, les cinémas, les théâtres, les opéras, etc.

Car la fermeture généralisée de tout ce qui faisait le bonheur de vivre encore il y a un an doit se poursuivre pour réaliser le transfert de richesses des classes moyennes à la finance mondialiste afin de se refaire une santé sur notre dos après le krach mondial à venir.

Cette spoliation de tous nos biens avec le soutien des banques centrales ne peut se faire qu’en nous imposant un revenu universel, carotte de notre soumission, une fois que nous serons tous devenus « des gens qui ne sont rien »(([7]youtube.com/watch?v=mlxXW95qeK4)) qu’on pourra éliminer sans état d’âme, puisque telle sera la destinée voulue par le forum de Davos des gens qui ne sont rien.(([8]youtube.com/watch?v=Yx8DXGJi8r4))

NOUS DEVONS RÉAGIR DÈS MAINTENANT POUR GAGNER CETTE GUERRE EN NOUS RÉVOLTANT MASSIVEMENT CONTRE CETTE CASTE MONDIALISTE POUR L’EMPÊCHER PAR TOUS LES MOYENS DE BRISER NOS VIES À TOUT JAMAIS.

« Cette guerre, on va la gagner à la fin. On la gagnera tous ensemble. »

Florian Philippot

« Nous gagnerons parce que nous devons gagner. »

Reiner Fuellmich





Avis de décès massifs après pandémie de lâchetés

Par Jean-Michel Grau

La France a l’immense tristesse de vous informer du décès de 576 de ses 577 députés, suite à la contraction massive du virus de lâcheté 21 qui sévit actuellement dans notre pays.

Seule la courageuse députée alsacienne Martine Wonner a échappé à l’hécatombe.

Ce virus, hélas, n’en est pas à son premier méfait.

Après avoir décimé l’ensemble des 348 sénateurs, l’entièreté des 431 membres du Conseil d’État, l’exclusivité des 9 membres du Conseil constitutionnel, aujourd’hui le virus de lâcheté 21 vient de s’attaquer à presque tous les députés de notre Assemblée. (([1] https://nouveau-monde.ca/fr/les-dix-commandements-de-jupiter-aux-playmobil/))

Il est franchement désolant qu’un banal virus arrive à décimer la quasi-totalité des corps constitués de ce pays. Ce virus, communément appelé lâcheté 21 depuis qu’il a muté, a succédé à ses nombreux variants qui ont sévi pendant toute l’année 2020 :

  • Le variant bassesse 20
  • Le variant frousse 20
  • Le variant trouille 20
  • Le variant couardise 20
  • Le variant veulerie 20
  • Le variant pusillanimité 20
  • Le variant inertie 20
  • Le variant faiblesse 20
  • Le variant mollesse 20
  • Le variant peur 20
  • Le variant terreur 20
  • Le variant pleutrerie 20
  • Le variant agenouillement 20
  • Le variant indignité 20
  • Le variant trahison 20
  • Le variant abdication 20
  • Le variant démission 20

Il est à noter qu’aucun parti politique n’a été épargné par cette épidémie de trouille généralisée, à l’exception du petit parti «Les patriotes» de Florian Philippot qui résiste vaillamment en bravant tous les variants sous les fenêtres du sinistre de la Santé tous les samedis à Paris.

Il en est de même pour tous les syndicats, dont aucun n’a résisté à cette pandémie de lâcheté personnifiée, de la CGT à FO, en passant par la CFDT, la CGC, SUD, et bien sûr le MEDEF comme on devait s’y attendre.

Les syndicats étudiants, lycéens et de parents d’élèves ne sont pas non plus épargnés par cette pandémie de lâcheté tous azimuts, de l’UNEF à l’UNI, de la FIDL à l’UNL, de la FCPE à la PEEP.

Aujourd’hui apparemment, personne ne s’offusque que les écoliers bâillonnés s’asphyxient à petit feu 8 heures par jour avec leur propre gaz carbonique. (([2] https://nouveau-monde.ca/fr/effets-nocifs-des-masques/))

Tout comme personne ne semble se révolter que de plus en plus d’étudiants claquemurés en sont réduits à survivre par la soupe populaire quand ils ne tentent pas de mettre fin à leurs jours dans l’indifférence générale. (([3] https://nouveau-monde.ca/fr/le-gouvernement-des-voleurs-de-vies/))

Pas plus que l’État français par ses consignes, laisse mourir voire même exécute au Rivotril les pensionnaires des EHPAD jugés indignes de vivre plus longtemps, faute de lits disponibles dans les hôpitaux.(([4] Nicole et Gérard Delépine, autopsie d’un confinement aveugle, p. 98))

Jusqu’où cette hécatombe de lâcheté généralisée ira-t-elle ?

Existe-t-il un remède efficace contre le trouillomètre à zéro ?

Le célèbre professeur Raoult semble pourtant avoir trouvé la réponse de bon sens qui va de soi :

« Nous avons le droit d’être intelligents »

Arrivera-t-on à réveiller enfin les élus de ce pays, contaminés par tant de lâchetés au bout d’un an de confinements, de couvre-feux, de gestes barrière et de muselière obligatoire, avant d’être anesthésiés à coup de piqûre ARN pour devenir définitivement des morts-vivants ?





Le plus grand Nuremberg de tous les temps se prépare. Mise à jour 2: la démarche suit son cours

Par Jean-Michel Grau

[Les inscriptions sont closes depuis le 22 février.]

Aujourd’hui, c’est un deuxième tribunal de Nuremberg qui se prépare, avec la mise en place d’une «Class Action» sous l’égide de milliers d’avocats mondiaux derrière l’avocat américano-allemand Reiner Fuellmich qui poursuit les responsables du scandale du Covid-19 instrumentalisé par le Forum de Davos. À ce sujet, il est utile de rappeler que Reiner Fuellmich est l’avocat qui a réussi à condamner le géant de l’automobile Volkswagen dans l’affaire des pots catalytiques trafiqués. Et c’est ce même avocat qui a réussi à condamner la Deutsche Bank comme entreprise criminelle.

Selon Reiner Fuellmich, toutes les fraudes des entreprises allemandes sont dérisoires comparées aux dommages que la crise du Covid-19 a causés et continue de causer. Cette crise du Covid-19 doit être rebaptisée «Scandale du Covid-19» et tous les responsables doivent être poursuivis pour dommages civils pour cause de manipulations et de protocoles de tests falsifiés. C’est pourquoi, un réseau international d’avocats d’affaires plaidera la plus grande affaire de délits civils de tous les temps, le scandale de la fraude Covid-19 qui s’est entretemps transformé en plus grand crime contre l’humanité jamais commis. Une commission d’enquête Covid-19 a été ouverte à l’initiative d’un collectif d’avocats allemands dans le but de faire un recours collectif au niveau international en utilisant le droit anglo-saxon.

Voici la traduction résumée de la dernière communication du Dr Fuellmich du 15/02/2021

« Les auditions d’une centaine de scientifiques, médecins, économistes, juristes de renommée internationale qui ont été menées par la commission d’enquête berlinoise sur l’affaire Covid-19 depuis le 10.07.2020, ont entre-temps montré avec une probabilité proche de la certitude que le scandale du Covid-19 n’était à aucun moment une affaire de santé. Il s’agissait plutôt de bétonner le pouvoir — illégitime, car obtenu par des méthodes criminelles — de la “clique de Davos” corrompue, en transférant la richesse des populations aux membres de la clique de Davos, en détruisant, entre autres, les petites et moyennes entreprises en particulier. Des plateformes comme Amazon, Google, Uber, etc. pourraient ainsi s’approprier leurs parts de marché et leurs richesses. »

État d’avancement de l’enquête du Comité Covid-19

  • a. Le Covid-19 comme tactique de diversion par les « élites » corporatistes et politiques dans le but de déplacer les parts de marché et la richesse des petites et moyennes entreprises vers des plateformes mondiales telles qu’Amazon, Google, Uber, etc.
  • b. Contribution de la taxe sur l’audiovisuel en vue de la reconstruction d’un nouveau paysage médiatique qui offre une véritable information indépendante
  • c. Sécurisation des structures agricoles régionales
  • d. Sécurisation d’une monnaie régionale pour éviter qu’une nouvelle monnaie ne vienne « d’en haut » pour être allouée en cas de bonne conduite
  • e. Considérations psychologiques de la situation : comment en est-on arrivé là ?

Recours en annulation de l’approbation d’une vaccination, déposé contre la Commission européenne, procès à New York du statut des tests PCR, procès allemands, procès canadiens, procès australiens, procès autrichiens, procès à la Cour de Justice Internationale et à la Cour Européenne des Droits de l’Homme.

« Nous avons constaté ce qui a été confirmé à maintes reprises : la dangerosité du virus est à peu près la même que celle de la grippe saisonnière, indépendamment qu’il s’agisse d’un nouveau virus (entièrement ou partiellement fabriqué) ou que nous ayons simplement affaire à une grippe rebaptisée “pandémie Covid-19”. En attendant, les tests PCR de Drosten ne sont même pas capables de nous dire quoi que ce soit sur les infections contagieuses. Pour aggraver les choses, les dommages sanitaires et économiques causés par les mesures anticovid ont été si dévastateurs qu’il faut parler d’un niveau de destruction historiquement unique. »

« Le fait qu’il n’ait jamais été question de santé est particulièrement évident, sinon que les injections de substances génétiquement expérimentales déguisées en “vaccination” causent maintenant de graves dommages, y compris des conséquences fatales, à une échelle de masse. La population mondiale a servi de cobaye à ces injections expérimentales de gènes à la fois progressivement et extrêmement rapidement. Afin de plonger la population dans la panique, des mesures de confinement dangereuses et nocives (même selon l’OMS) de port du masque obligatoire, inutile et dangereux, et de distanciation sociale, inutile et contre-productive, ont été introduites. La population était ainsi “prête” pour les injections. »

« En attendant, de plus en plus de personnes, et pas seulement des avocats — à juste titre — exigent, outre l’arrêt immédiat de ces mesures meurtrières, un contrôle juridictionnel par un tribunal international véritablement indépendant, sur le modèle des procès de Nuremberg. Un exemple de demande de ce type et un extrait émouvant d’une allocution du médecin anglais Dr Vernon Coleman peut être trouvé dans le lien suivant :(1)

En outre, une interview d’un lanceur d’alerte d’une maison de retraite berlinoise, témoigne que sur 31 personnes vaccinées là-bas, dont certaines par la force, en présence de soldats de la Bundeswehr, et dont le test était négatif avant la vaccination, 8 sont maintenant décédées et 11 sont sujettes à de graves effets secondaires. »(2)

Réunion extraordinaire du Comité Covid de Berlin mercredi 17/02/2021

« Dans ce contexte, une réunion extraordinaire du Comité Covid de Berlin aura lieu le mercredi 17.02.2021 en direct et avec de nombreux invités qui y participeront via Zoom.

Àpartir de 14 heures, l’état des lieux sera résumé. En outre, il sera question de la manière dont les contributions de la taxe sur la redevance audiovisuelle peuvent être conservées et utilisées pour la reconstruction d’un nouveau paysage médiatique qui serve réellement la liberté d’expression, et comment les contributions déjà versées pour la propagande insensée des 11 derniers mois peuvent être récupérées par le biais d’une mise en demeure.

Il y aura des contributions et des discussions sur la manière dont l’approvisionnement alimentaire peut être assuré, en particulier en renforçant l’agriculture régionale ; mais aussi en créant des monnaies régionales, si nécessaire avec le retour de l’UE à la CEE, sur la manière dont on peut s’assurer que la politique de la “clique de Davos”, basée sur l’impression de monnaie à partir de rien, peut être arrêtée et qu’un retour à des monnaies stables peut être réalisé.

Mais surtout, des experts nous expliqueront comment il a pu arriver que nous nous retrouvions dans cette situation de chantage inimaginable il y a encore un an.

Dans la deuxième partie de la session, qui débutera à 19 h, des personnalités de renommée mondiale et de haut niveau commenteront l’état des litiges juridiques internationaux en cours, y compris les différentes actions collectives, comme résumé ci-dessus. Mais il sera également question de la manière dont les principaux responsables, en particulier politiques, des crimes contre l’humanité commis ici peuvent et doivent être tenus pour responsables en droit civil et pénal dans le cadre d’une nouvelle Cour internationale de justice qui sera créée conformément aux directives des procès de Nuremberg avec une distribution internationale. »

Le lien vers la session spéciale du Comité Covid annoncée ici sera disponible le 17.02.2021 via le site web du Comité.(3)

Commentaire :

Pour bien comprendre ce qui est en train de se jouer avec ce nouveau tribunal de Nuremberg pour juger la plus grande affaire de délits civils de tous les temps, c’est en tirant sur le fil du mensonge du Dr Drosten pour avoir faussé le protocole des tests PCR pour le compte de la clique de Davos, que tout va venir avec : les commanditaires de l’oligarchie financière, Klaus Schwab, le grand architecte de cette gigantesque prise d’otages, les politiques à la tête de l’UE, bras armé de l’exécution des directives de Drosten et de l’OMS qui ont amené tous les gouvernements occidentaux à prendre hier les décisions ravageuses de confinement, de couvre-feu, de port du masque obligatoire et de distanciation sociale et aujourd’hui de vaccins mortifères pour les plus âgés d’entre nous.

« Ce sont ces vérités qui feront tomber les masques des responsables des crimes commis. Aux politiciens qui ont eu foi dans ces personnages corrompus », dit le Dr Fuellmich, « Les faits présentés ici sont la bouée de sauvetage susceptible de les aider à rectifier le tir et à entamer le débat scientifique tant attendu du public, afin d’éviter de couler en même temps que ces charlatans criminels ».

Ensuite, à la lumière de cette dernière communication du Dr Fuellmich, deux propositions de la réunion extraordinaire du Comité Covid de Berlin retiennent l’attention :

  • Tout d’abord la manière dont l’approvisionnement alimentaire peut être assuré, ce qui apparaît quelque peu surréaliste eu égard à la situation d’aujourd’hui. Si l’on se réfère au planning du Forum de Davos de Klaus Schwab, il n’en est rien. Celui-ci a bel et bien prévu une rupture de la chaîne alimentaire dès la fin du second semestre 2021.(4)
  • Ensuite, la création de monnaies régionales. Là, il est clair que le Comité Covid de Berlin anticipe déjà le krach boursier mondial qui s’annonce et dont l’oligarchie financière du Forum de Davos à la manœuvre compte bien profiter pour mettre en place la monnaie numérique européenne dans l’attente d’une monnaie mondiale pour créer un crédit social à la chinoise dont deviendra dépendante la classe moyenne de tous les peuples ruinés par la fermeture de leurs commerces, PMI— PME, industries culturelles et touristiques, équipements sportifs, etc.

Rien que ces deux aspects de la prise d’otage 2.0 dont le monde occidental est victime depuis bientôt un an devraient en toute logique être suffisamment motivants pour nous faire comprendre définitivement que nous sommes face à un « populicide » qui ne demande qu’à nous broyer si nous restons inertes, les bras ballants sans rien faire.

C’est pourquoi il convient à chacun d’entre nous de tout mettre en œuvre dès maintenant afin que cette coalition juridique internationale puisse être opérationnelle le plus tôt possible. Pour ce faire, que toutes celles et tous ceux d’entre nous qui souhaitent rejoindre l’action collective des avocats français pour participer à cette reconquête de nos libertés se mettent déjà en contact d’ici le 21 février avec l’action collective(5)Notre survie est à ce prix ainsi que l’avenir de nos enfants.
.


Notes

(1) https://youtu.be/T3DNV7v5i74

(2) 2020news.de/whistleblower-aus-berliner-altenheim-das-schreckliche-sterben-nach-der-impfung/

(3) corona-ausschuss.de

(4) nouveau-monde.ca/fr/la-quatrieme-phase-de-schwab/

(5) francesoir.fr/opinions-entretiens/interview-me-virginie-de-araujo-recchia-avocate-au-barreau- de-paris


Pour vous associer aux recours collectifs français

Vous aviez le choix entre :

Sur le site, voir aussi les articles correspondants :

Me de Araujo-Recchia — Illégalité des mesures Covid, action collective contre l’état. Mise à jour

Maître Fabrice Di Vizio et Louis Fouché : recours en indemnisation pour les 2 confinements




Quand les restaurateurs vont-ils enfin comprendre le sort qui les attend ?

Par Jean-Michel Grau

La décision prise par le gouvernement de plus que doubler l’amende aux restaurateurs qui tentent de rouvrir, la faisant passer de 200 à 500 euros, devrait définitivement leur ouvrir les yeux sur le sort qui les attend. (1)

Doit-on leur rappeler ici que dans le Grand Reset décrit en détail dans le livre de Klaus Schwab, le président fondateur du Forum de Davos, que notre gouvernement suit aveuglément, il est spécifiquement écrit que les restaurants indépendants ne rouvriront jamais ? (2)

Les restaurants toujours ouverts à Madrid et à Monaco sont la preuve vivante que cette soi-disant pandémie instrumentalisée par les mondialistes est une gigantesque arnaque.

Quel est ce virus qui choisit de sévir avec tous ses variants à Nice, ville déjà programmée pour un troisième confinement, mais pas dans sa voisine monégasque, car la législation n’est pas la même ? (3) Sans parler des heures de couvre-feu qui varient d’un pays à l’autre. Toujours ces fameux variants, qui ne doivent pas se coucher à la même heure probablement…

Ce Covid 19 fait en réalité partie du grand plan de spoliation et de dépossession des classes moyennes par l’oligarchie financière mondialiste afin d’asseoir définitivement son pouvoir sur les peuples et avant tout, de récupérer la mise de ses actions perdues dans le grand krach boursier qui va advenir incessamment sous peu. Pour cela, elle pratique la politique de la carotte et du bâton, via l’Union européenne et ses gouvernements serviles, en donnant des subventions dans un premier temps afin d’endormir la méfiance, puis en spoliant et dépossédant ensuite très rapidement tous les indépendants qu’elle aura acculés à la faillite et à la ruine en fermant leurs activités, pour racheter leur bien pour un euro symbolique. C’est ce qui se passe déjà aux États-Unis dans l’État de l’Oregon(4) qui a pour objet de servir de terrain d’essai avant de passer aux choses sérieuses avec la mise en œuvre de la spoliation généralisée de tous les indépendants de l’Union européenne, des USA et du Canada, ruinés après le krach boursier qui s’annonce. (5)

Le but de cette gigantesque prise d’otage des peuples occidentaux au moyen du Covid 19, alimentée par la peur H24 par tous les médias à la botte de l’oligarchie financière, est de faire passer cette supercherie pour une grande œuvre humanitaire pour le développement durable et la lutte contre le réchauffement climatique, afin d’inciter les futurs spoliés à s’exclamer béatement :

« Je ne possède plus rien et je suis heureux. » comme dans la propagande du Forum de Davos. (6)

Traduction avec un cerveau qui fonctionne : « Je suis bien content d’être devenu un esclave. »

Malgré le chantage de l’État aux aides financières et la répression des contrevenants, il existe encore un dernier moyen pour les restaurateurs de résister pacifiquement avant la faillite.

Il s’agit d’appuyer massivement la proposition des 65 sénateurs qui demandent la réouverture des restaurants le midi.(7) (8) (9) (10) (11) On peut comprendre qu’ils aient mauvaise conscience, vu que leur restaurant 5 étoiles du sénat n’a jamais fermé, pas plus que celui de l’assemblée.

Il est quand même consternant que des sénateurs en soient réduits à quémander l’autorisation de la réouverture des restaurants à un jeune paltoquet de 43 ans qui pense et décide tout seul à leur place, alors que dans toute démocratie qui se respecte, c’est justement l’assemblée et le sénat qui devraient voter la réouverture. Mais comme l’assume dorénavant notre exécutant servile du programme de Davos, nous vivons bien en dictature (12). Pour preuve, l’état d’urgence sanitaire reconduit jusqu’au mois de juin qui lui donne les pleins pouvoirs, lui permet de se passer de l’avis de l’assemblée, du sénat, du conseil d’état, et même du Conseil constitutionnel ! Covid 19 oblige.

Il est décidément très pratique ce virus, puisqu’il permet de prolonger indéfiniment cet état d’urgence sanitaire, en tout cas, au moins jusqu’aux élections présidentielles. Ainsi pourra-t-on rétablir le vote par correspondance aboli en 1975 pour cause de fraudes, et généraliser le vote électronique avec les machines à voter comme aux USA. Le résultat est bien évidemment déjà écrit d’avance : il n’y a plus qu’à faire un copié-collé de l’élection américaine, dont la fraude massive a si bien marché, et le tour est joué ! Elle est pas belle la vie ?


Notes

(1) francais.rt.com/france/84056-restaurants-gouvernement-augmente-fortement-amende- reouverture-clandestine

(2) Klaus Schwab, Covid 19 : la grande réinitialisation, Forum publishing

(3) capital.fr/economie-politique/les-touristes-francais-se-ruent-a-madrid-ou-les-bars-et-restaurants- sont-ouverts-1393438

(4) translate.google.com/translate?sl=en&tl=fr&u=https://rfangle.com/politics/oregon-considering- bill-for-emergency-seizure-of-private-property/?fbclid %3DIwAR3iEzw607fhzZcPW7MSsRY6M3yYxt8o0-2LkL8U7WWmLHdA1oZSUpuxa44

(5) fr.sott.net/article/36297-Le-projet-diabolique-du-Forum-economique-mondial-Reinitialiser-le- futur-du-monde-du-travail

(6) nouveau-monde.ca/fr/dici-2030-nous-naurons-rien-et-nous-en-serons-heureux/

(7) francais.rt.com/france/84059-65-senateurs-ecrivent-macron-pour-demander-reouverture-restaurants-midi

(8) twitter.com/PALevisenat/status/1362462672185344001/photo/1

(9) twitter.com/PALevisenat/status/1362462672185344001/photo/2

(10) twitter.com/PALevisenat/status/1362462672185344001/photo/3

(11) twitter.com/PALevisenat/status/1362462672185344001/photo/4

(12) reseauinternational.net/macron-annonce-que-nous-vivons-bien-sous-une-dictature/




Le gouvernement des voleurs de vies

Par Jean-Michel Grau

La honte intersidérale. Voici les témoignages poignants de désespoir d’étudiants confinés, reconfinés, et maintenant sous couvre-feu. Ils sont extraits d’une vidéo qui déchire le coeur (1) :

«J’ai l’impression que ça sert à rien, que tout ça, ça va jamais se terminer. J’ai plus d’espoir. Plus d’espoir de m’en sortir, plus d’espoir de me dire qu’un jour ce sera fini. Et voilà, on n’a plus d’espoir, plus rien. C’est terminé, c’est terminé.»

Alexis, 18 ans

« C’est un sentiment de ras-le-bol en fait, on n’en peut plus. On voit tous nos rêves s’effondrer…»

Marie, 24 ans

«Y’a énormément d’étudiants qui abandonnent dans ma licence, et qui disparaissent… On ne sait pas où ils sont et on ne sait pas ce qu’ils font. Je suis sous anti-dépresseurs. Quand est-ce que notre détresse va être prise en compte à sa juste mesure ?»

Léann, 18 ans

«J’ai eu pour la première fois des pensées suicidaires. Je me sens seule, et en fait, je me rends compte qu’à part ma volonté, plus rien ne me retient de passer à l’acte. Donc, ça fait peur de se dire que c’est seulement ma force mentale, qui n’est pas très élevée, qui me retient de vivre.»

Grâce, 20 ans

« Je suis tombé dans l’alcool, je suis entré dans les médicaments et les anxiolythiques. »

Maxime, 17 ans

«J’ai vécu les deux confinements seule, et s’il y en a un troisième, je vais le vivre seule, et pour ma santé mentale en fait, je pense que ce sera la ligne de non retour. Et c’est terrible de vivre dans cette incertitude. »

Mylène, 22 ans

«C’est juste plus possible pour les étudiants de continuer comme ça, et c’est vraiment alarmant de voir la situation des étudiants, il faut vraiment réagir maintenant. »

Bertille, 18 ans

Selon l’enquête Ipsos du 28/01/2021 :

40 % des jeunes font état d’un trouble anxieux généralisé

30 % avouent avoir déjà eu des idées suicidaires ou songé à se mutiler. Combien d’entre eux sont déjà passé à l’acte?

Le sort de ces centaines d’étudiants en détresse suite aux confinements aveugles et maintenant obligés d’aller à la soupe populaire est une honte absolue. (2) Quel est le qualificatif d’un État qui massacre ainsi l’avenir de ses propres enfants si ce n’est celui d’un État terroriste ?

Qu’attend le gouvernement pour lever ce confinement destructeur de vies ? Que sa jeunesse batte le record du taux de suicides occidental ?

Ce même gouvernement qui impose le port du masque obligatoire huit heures par jour à l’école à des enfants à partir de six ans dont les pathologies mortifères ne sont plus à démontrer. (3) Qu’attend le Conseil d’État pour l’interdire aux mineurs comme son homologue italien ? Qu’ils finissent définitivement par s’asphyxier à force de respirer leur propre gaz carbonique ?

Ce même gouvernement qui a autorisé dans les EHPAD, par le décret du 29 mars 2020, les injections de Rivotril pour accélérer la fin de vie des patients qu’ils estimaient ne pas pouvoir prendre en charge, faute de lits disponibles dans les hôpitaux, résultat des 100.000 lits supprimés depuis 20 ans. Sans le consentement du patient, ni de sa famille qui ne le reverra pas. (4)

De l’Allemagne aux USA, de la Grande Bretagne au Canada et de la France à l’Australie, une class action de milliers d’avocats est en train de se constituer au sein de collectifs citoyens pour mettre en place ce qui va devenir le plus grand tribunal de Nuremberg de tous les temps. Afin de juger pour crimes contre l’humanité tous ceux qui auront participé à cette gigantesque prise d’otages des peuples occidentaux, instrumentalisée avec le Covid 19 par le Forum de Davos, avec l’Union européenne à la manœuvre et ses gouvernements les plus serviles. Pour installer une dictature sanitaire par la peur et le chantage aux vaccins, en détruisant les libertés et l’économie. Pour asservir et déposséder les peuples, afin de permettre à l’oligarchie financière de faire main basse sur toutes les richesses de la classe moyenne.

Mais la propagande de la peur assénée depuis un an sur tous les médias occidentaux se lézarde de jour en jour. La vérité crue commence à apparaître avec les actions judiciaires internationales, dévoilant sous le masque sanitaire, le visage hideux du grand reset génocidaire mondialiste.

La peur est en train de changer de camp. Dans ce scandale sanitaire international, tous les voleurs de vie devront très bientôt répondre de leurs actes devant la justice des peuples.


Notes

(1) https://youtu.be/9XzBeUUATbE

(2) https://youtu.be/VbE-3tE_Sec :

(3) nouveau-monde.ca/fr/les-masques-tombent-sur-la-cruaute-des-mondialistes/

(4) Nicole et Gérard Delépine, autopsie d’un confinement aveugle, p. 98




L’étau se resserre sur la clique de Davos

Par Jean-Michel Grau

Rappelons en préambule que le procès intenté contre le Dr Drosten par l’avocat allemand Reiner Fuellmich a pour but de le poursuivre pour crimes contre l’humanité, pour avoir faussé le protocole des tests PCR pour le compte de la clique de Davos, qui a amené les gouvernements occidentaux à prendre toutes les décisions ravageuses de confinements, couvre-feux, distanciations sociales et port du masque obligatoire. En préconisant des valeurs de réglage CT jusqu’à 45, les résultats des tests devenaient presque tous positifs, même avec des traces infimes de virus, dans le but de continuer à alimenter la peur généralisée.

Voici le résumé traduit de la dernière communication du Docteur Fuellmich du 11/01/2021. (1)


« Les auditions menées par le Comité Covid de Berlin depuis le 10.07.2020 d’une centaine de scientifiques, d’experts médicaux, d’économistes, de juristes et de personnes de renommée internationale ont révélé que le scandale Covid19 n’a en aucun cas porté sur la santé. La dangerosité de ce prétendu nouveau virus correspond à celle d’une grippe, selon les études du professeur John Ioannides de l’université de Stanford, mais aussi selon l’évaluation de l’OMS. De plus, les tests PCR du Dr Drosten, que la direction de l’OMS sous contrôle financier de la Chine et de la Fondation Bill & Melinda Gates a recommandé comme norme mondiale de référence pour la détection des infections, ne conviennent en aucun cas à la détection des infections. »

« Le fait est que les tests PCR comme méthode de mesure des infections ne sont pas seulement une absurdité scientifique, mais a apparemment été programmé intentionnellement de manière à créer le plus grand nombre possible de faux positifs, et donc à semer la panique dans le monde. Cela est prouvé par un article de rétractation rédigé par 22 scientifiques internationaux très respectés, qui demande à l’éditeur de la revue de rétracter immédiatement ces absurdités. Il a été consulté environ 18 millions de fois jusqu’à présent. »

« En outre, l’affirmation de Drosten, selon laquelle il existe des infections asymptomatiques, est également fausse. Parce qu’il n’y a rien de tel, comme l’a récemment prouvé une grande étude de Wuhan, concernant 10 millions de personnes. »

« Une personne qui ne présente aucun symptôme est en bonne santé. Cela signifie qu’aucun de nous ne doit avoir peur des personnes qui ne présentent aucun symptôme et les forcer à porter des masques, ni avoir peur qu’un résultat positif signifie forcément qu’il est infecté. Les images d’horreur des hôpitaux avec des lits dans les couloirs, qui réapparaissent maintenant, existent en fait chaque année pendant la vague de grippe tout à fait normale. Elles ne sont utilisées maintenant qu’à dessein, afin d’alimenter davantage la panique. Il n’y a toujours pas de surmortalité en Allemagne. Plus de gens meurent en hiver : c’est tragique, mais c’est malheureusement “normal”. »

« Alors, de quoi s’agit-il vraiment s’il n’y a pas de problème de santé qui diffère de la vague de la grippe habituelle ? À cet égard, nous avons pu nous forger une opinion sur la base des auditions qui ont eu lieu, ainsi que des informations complémentaires. »

Le krach financier de septembre 2019 dont presque personne n’a parlé

« À ce jour, il faut partir du principe que ce que nous appelons la clique de Davos (dirigée par Klaus Schwab, ndt) composée d’élites d’entreprises et d’élites politiques autoproclamées qui collaborent intensivement depuis au moins 20 ans dans le cadre des réunions de l’organisation privée du World Economic Forum (WEF) a menacé de donner l’alerte en septembre 2019. Car en septembre 2019, il y a eu un autre krach financier, encore plus grave que la crise financière de la Lehman il y a 12 ans. Cela n’a été rapporté que très brièvement, entre autres de manière très argumentée dans le journal DIE ZEIT, puis le reportage sur cette crise a complètement disparu. »

« Une fois de plus, tout le système financier a été au bord de l’effondrement, car il menaçait de dévoiler que pendant au moins 20 ans, il n’avait servi qu’à piller les contribuables au profit de sociétés agissant comme des mafieux, c’est-à-dire en transférant les actifs des citoyens vers les sociétés. Le meilleur exemple est celui de la fraude fiscale appelée CumEx (2)des financiers opérant en bandes organisées, qui sont restées sans sanction jusqu’à ce jour, grâce auxquelles les banques, les entreprises et les super-riches se sont fait rembourser deux ou trois fois des impôts qu’ils n’avaient payés qu’une seule fois. »

« Ainsi les financiers ont-ils collecté pendant de nombreuses années un total d’environ 38 milliards d’euros par le biais de la fraude fiscale. Cela est passé inaperçu, car le soutien politique pour faire advenir cela venait des politiciens eux-mêmes,qui avaient été rendus dociles par les élites des entreprises fraudeuses au cours des 20 dernières années au moins, en particulier par le biais des réunions privées du WEF. Le fait que le pouvoir judiciaire allemand n’ait rien pu faire montre combien ces financiers sont capables de dominer la politique jusque dans les tribunaux. »

« Nous constatons depuis longtemps, notamment dans le cadre de nos actions en responsabilité des banques pour le financement de l’immobilier bon marché, que quelque chose ne va pas. Car là aussi, il est apparu que la complicité de l’ancien patron de la Deutsche Bank, Josef Ackermann avec Angela Merkel était telle que non seulement il la rencontrait régulièrement à Davos, mais encore allait même jusqu’à fêter son 60e anniversaire directement dans le bureau de la chancelière. Ainsi, avait-il un accès direct aux tribunaux pour la politique et avait-il fait des juges des garçons de courses à sa disposition. Ce n’est que de cette manière que l’on peut expliquer que les juges allemands ont repris aveuglément dans leurs jugements l’affirmation de la Deutsche Bank selon laquelle il était habituel pour elle d’accorder des prêts à des personnes sans contrat de prêt si elles en faisaient la demande, dans l’espoir qu’un jour un contrat de prêt approprié serait conclu, car l’octroi d’un prêt à la demande d’un emprunteur potentiel conduit à la conclusion d’un contrat de prêt. Mais au moment où le contrat de prêt était conclu, la Deutsche Bank ne disposait pas des documents requis pour une conclusion effective du contrat, de sorte qu’aucun tribunal n’a pu constater que le contrat avait été réellement conclu en mettant l’argent à disposition, car sinon la Deutsche Bank aurait coulé comme une pierre ! »

« Aucun d’entre nous n’a tenu compte du fait que la Deutsche Bank est une composante importante du blanchiment d’argent de la clique de Davos, et qu’aujourd’hui, nous avons affaire à une petite élite d’entreprises totalement corrompues qui ne s’arrête devant rien. »

« Paul Schreyer décrit très bien dans son rapport “Pandemic-Planspiele” l’imbrication toujours plus étroite des élites d’entreprises avec les élites politiques depuis au moins 20 ans. (3) Il y décrit également comment ces élites tentent délibérément depuis des années, non seulement de conserver leur pouvoir illégitime, mais de l’étendre à l’infini à l’aide de mécanismes de contrôle massifs et inhumains, avant que les objets de ces mécanismes de contrôle, à savoir nous, ne le remarquent et puissent se révolter contre lui. »

« Le professeur Rainer Mausfeld explique à son tour, dans sa conférence “Pourquoi les agneaux se taisent-ils”, comment la politique depuis de nombreuses années (et sans que le public le remarque) met en scène à plusieurs reprises la peur et la panique pour amener les gens à accepter des décisions politiques qu’ils ne soutiendraient pas autrement. » (4)

« Catherine Austin Fitts, ancienne vice-ministre américaine du Logement et banquier d’affaires, explique dans “Catherine Austin Fitts Full Interview Planet Lockdown” (5) comment ces “élites” sont en train de mettre en œuvre la prise de contrôle économique des richesses de toute la classe moyenne, car si seulement 10 % de la population s’en rend compte, le château de cartes s’effondre immédiatement. Certains universitaires supposent même un pourcentage inférieur. »

« Cela suppose que les petites et moyennes entreprises qui fonctionnent bien, par exemple dans la restauration et le commerce de détail, soient fermées par le confinement, de sorte que ces entreprises ne peuvent plus obtenir de revenus, et donc plus payer leurs crédits. L’aide est annoncée, mais elle est en réalité versée avec parcimonie ou pas du tout. Ensuite — cela ne s’applique pour l’instant qu’aux États-Unis — des émeutes sont organisées dans ces régions, qui entraînent une destruction supplémentaire de ces entreprises, de sorte qu’elles ne peuvent même plus être vendues en urgence. De ce fait, des investisseurs privilégiés sur le plan fiscal, à savoir ceux de la clique de Davos, reprennent ces entreprises quasi gratuitement. »

Les litiges juridiques maintenant

« Comme vous le savez, un certain nombre d’institutions et de cabinets d’avocats du monde entier se sont concertés pour dénoncer le contexte décrit ci-dessus avec l’aide des tribunaux et pour demander ensuite aux bailleurs de fonds et aux entreprises responsables d’indemniser les nombreuses victimes des confinements consécutifs au test du Dr Drosten. »

« Les litiges juridiques qui se déroulent actuellement dans le monde entier résultent essentiellement d’une planification conjointe approfondie des scientifiques et des juristes concernés. Car le fait que le test Drosten recommandé par l’OMS dans le monde entier ne puisse pas détecter les infections, et qu’il n’y ait pas d’infections asymptomatiques, donc pas de pandémie, tout au plus une pandémie de test PCR, est d’une importance capitale pour la conclusion de tous les litiges menés dans le monde entier, afin de faire s’écrouler partout le château de cartes des fraudeurs pandémiques. Cela signifie que tout ce qui est établi aux États-Unis, au Canada, en Australie, en Italie, en France et ailleurs dans ce contexte avec l’aide de témoins et d’experts, peut être utilisé comme preuve dans tous les tribunaux du monde. »

Notre procès des tests PCR contre le Dr Drosten ainsi que les procès ultérieurs

« Le procès contre Drosten sera terminé dans les prochains jours et sera ensuite également déposé auprès du tribunal de grande instance de Berlin. Nous travaillons avec un groupe d’avocats pour préparer un certain nombre d’autres procès qui feront jurisprudence, mais surtout, parce que c’est plus rapide et moins coûteux. Nous obtiendrons ainsi un recours collectif allemand : les avis permettront de mettre sous pression les marionnettes visibles comme Drosten et Wieler, mais aussi les fonctionnaires de Leopoldina, y compris les personnes responsables auprès des autorités des ordres de quarantaine. »

Poursuite du procès des tests PCR à New York

« Les collègues américains du “Robert F. Kennedy Jr’s Childrens Health Defense group” ont déposé une plainte pour tests PCR frauduleux à New York le 16/12/2020, conseillés par les mêmes experts que nous pour un certain nombre de plaignants dont on peut lire le procès en anglais. » (6)

Le procès collectif canadien

« Le recours canadien va devenir un recours collectif international pour toutes les victimes de confinements suite aux tests PCR falsifiés du Dr Drosten.

Les collègues canadiens dirigés par Michael Swinwood ont déposé une action collective début janvier. Le recours collectif est composé d’Indiens et, entre autres, d’un groupe de propriétaires de petites entreprises et d’un représentant des handicapés.

Ce recours, contrairement à tous les autres recours introduits jusqu’à présent, décrit également le contexte historique des structures de pouvoir construites au cours des années derrière la clique de Davos mentionnée plus haut. Voir le procès canadien qu’on peut lire en anglais. » (7)

Jugements au Portugal

« Un premier jugement d’une cour d’appel du Portugal a déjà déclaré de façon spectaculaire que les tests PCR — tout comme leur inventeur, le prix Nobel Kary Mullis l’a souligné à maintes reprises — ne sont pas capables de détecter des infections ou même des maladies.

Ce jugement concerne quatre touristes allemands, dont l’un a été testé positif, ce qui a été considéré comme infectieux par les autorités sanitaires, tout comme par la fausse science allemande et les autorités administratives qui les suivaient aveuglément, entraînant une assignation à résidence jugée inconstitutionnelle par le tribunal, confirmant ainsi le tribunal de première instance. »

« Ce jugement invalide toutes les décisions des tribunaux administratifs allemands, qui ne pouvaient pas ne pas reconnaître dans les décisions d’urgence que les tests PCR ne peuvent pas détecter les infections, mais pensaient néanmoins, en agissant en véritables tribunaux de république bananière par un viol flagrant de la loi, qu’ils devaient suivre les fausses déclarations sanitaires qui mettaient l’accent sur les tests PCR frauduleux entraînant une surcharge accrue du système de soins de santé. »

Action en nullité pour cause de vaccin interdit et plainte constitutionnelle d’un juge allemand pour cause de destruction de la démocratie et de l’État de droit

« Parallèlement à toutes ces actions juridiques, la collègue italienne Dr Renate Holzeisen travaille avec notre aide et celle des experts sur un recours en annulation contre la Commission européenne en raison de l’approbation de vaccins non testés et très dangereux, en ce qui concerne les fabricants Pfizer/Biotech et Moderna, vaccins de facto interdits pour cause d’expériences génétiques sur les humains. De plus, en Italie, les procureurs antimafia, puissants et très bien formés, enquêtent, entre autres, sur l’OMS et ses gouverneurs italiens. En France, une plainte est par ailleurs en cours d’examen devant la Cour des droits de l’homme. »

« En outre, un juge allemand, avec lequel nous sommes en contact, a déposé une plainte constitutionnelle contre les mesures aveugles du gouvernement allemand qui détruisent la démocratie et l’État de droit. Cette Cour constitutionnelle peut être sollicitée par n’importe qui. »

« Nous continuerons à informer en permanence, y compris par des vidéos si nécessaire, sur les développements juridiques. Dans le même temps, nous devons tous nous efforcer de mettre les faits réels à la disposition du plus grand nombre de personnes possible. »

« Nous gagnerons parce que nous devons gagner. »

Dr. Reiner Fuellmich


Notes

  1. fuellmich.com/news/mandanten-information-nr-03-corona-schadensersatzklage/
  2. fr.wikipedia.org/wiki/CumEx_Files
  3. youtube.com/watch?v=SSnJhHOU_28 (vidéo en allemand)
  4. youtube.com/watch?v=-kLzmatet8w (vidéo en allemand)
  5. youtube.com/watch?v=MSAnq7HOmYs&feature=youtu.be (vidéo en allemand)
  6. fuellmich.com/wpcontent/uploads/content/newsletter/download/20210110/FILE_STAMPED_CO MPLAINT.pdf
  7. fuellmich.com/wp-content/uploads/content/newsletter/download/20210110/FINAL_statement-of- claim-A.pdf

Résumé et traduction du texte du Dr Fuellmich : Jean-Michel Grau




Le loup-garou expliqué aux innocents

Par Jean Michel Grau

Ou comment révolter les Gaulois réfractaires en décodant le discours élyséen.

Il était une fois un apprenti président aux dents longues qui voulait changer le monde.

Comme il n’avait aucune idée pour le faire — il était énarque — il s’adressa au gros poulpe de Davos qui avait mis au point avec ses amis les requins de la finance mondialiste, une grande réinitialisation du capitalisme pour permettre à ceux-ci, réunis au sein de son Forum de Davos, de s’enrichir encore plus sur le dos des bons peuples. À l’occasion de la dernière réunion du Forum de janvier 2021, l’apprenti président expliqua donc à son maître le gros poulpe en visioconférence depuis l’Élysée(1) comment il allait s’y prendre pour faire advenir « le monde d’après » du gros poulpe à son petit peuple confiné, infantilisé, muselé, puis sous couvre-feu par le Covid 19, depuis un an déjà.

Dans un discours-fleuve de banalités, platitudes et autres idées aussi convenues que soporifiques, il s’enflamma soudain sur le « new normal », concept nébuleux qui devait faire advenir « le monde d’après », prélude à un univers radieux et enchanteur. Oui, le « new normal » allait bouleverser toute la planète, en était-il persuadé.

Seulement voilà, comment y arriver ? Le cauchemar sanitaire que les français endurent depuis un an, l’apprenti président affirma qu’il allait durer encore des mois, « certains disent même des années » ajouta-t-il avec gourmandise. Il assuma ainsi avoir « arrêté toutes les activités économiques pour protéger des vies ». Vraiment ? Pour un virus mortel à 0,05 % : étonnant, n’est-il pas ?… Continuons.

Il affirma ensuite que la vie des hommes primait sur les échanges et les chiffres. Certes… sauf qu’en paralysant des pans entiers de l’économie française : PMI-PME, restaurateurs, petits commerçants, agriculteurs, industries culturelles et du tourisme, c’est encore bien plus de vies humaines que d’activités menacées de disparition pure et simple : la brusque augmentation des suicides par désespoir dans ces catégories sociales n’en est que la preuve la plus sinistre à mettre à son actif.

Ensuite, il confia que « ce virus nous rappelait notre vulnérabilité. » Il ajouta cyniquement qu’il en avait fait les frais en l’attrapant, comme si son petit cas personnel était comparable à celui de tous les désespérés mentionnés ci-dessus. Et il conclut que « l’économie est une science morale, car rien n’est au-dessus de la valeur humaine… » Que n’a-t-il appliqué ce beau précepte au lieu de s’acharner à détruire depuis des années, avant même d’être président, les fleurons de l’industrie française : Alstom, Alcatel, Technip, Latécoère et d’encourager toujours plus d’importations, de délocalisations et de destruction des services publics ? Où sont donc passées « la science morale » et « la valeur humaine » dans tous ces emplois détruits et toutes ces vies brisées ?

Ensuite, il affirma qu’« on ne sortira pas de la crise du Covid 19 tant que l’on n’aura pas résolu la lutte contre les inégalités. » Les gilets jaunes apprécieront, eux qui ont été systématiquement réprimés et sauvagement massacrés depuis 3 ans, au lieu d’être simplement écoutés…

L’apprenti président reconnut alors que si « le capitalisme mondial a permis de sortir de la pauvreté des centaines de millions de personnes d’un côté de la planète », il a en revanche « créé de l’inégalité en favorisant des crises de délocalisation à l’autre bout. ». Il ajouta : « cela a aussi été un choc économique et social pour des centaines de millions d’autres dans le monde. » Peut-on pour autant parler de « formidable succès » comme il le claironna au gros poulpe derrière son pupitre ? Étrangement, il dénonça ensuite « la financiarisation de l’économie qui a accentué encore la progression des inégalités », alors qu’il la trouve formidable, car elle permet d’avancer plus vite.

Un chef-d’œuvre de « et en même temps » dans le texte. Comprenne qui pourra…

Il s’indigna ensuite que « la mondialisation et la financiarisation de l’économie avaient accru la crise des inégalités, la crise de la démocratie et la crise climatique. » Très bien tout ça… sauf qu’il en conclut que « le modèle capitaliste marié à l’économie de marché ne peut plus fonctionner, car il est le fruit d’un compromis entre des sociétés démocratiques, des libertés individuelles et le progrès des classes moyennes. » Autrement dit : rien que des empêcheurs de tourner en rond et de faire des affaires… Et il ajouta qu’on a cru que les États pourraient répondre aux inégalités pour corriger ce qu’il appelle pudiquement « des externalités négatives », comprendre : les excès de la financiarisation, « en donnant la part belle aux actionnaires au détriment de l’économie réelle, à savoir l’économie des États. » Il reconnaissait enfin que « l’État ne pouvait apporter tout seul la réponse aux problèmes climatiques et aux inégalités, entraînant une dette publique trop importante et le contribuable à payer pour toutes ces crises. » Quelle clairvoyance ! Que proposait-il alors ?

Tout en affirmant à la 10e minute de l’entretien qu’il convenait de « conserver la propriété privée, la coopération, les libertés individuelles et collectives, il ajouta qu’il fallait prendre en compte les inégalités sociales et les conséquences climatiques pour que les parties prenantes des entreprises : employés, dirigeants, actionnaires, intègrent dans leur comportement l’impact de leur action économique, sociale, environnementale et démocratique. » On se frotte alors les yeux et les oreilles : a-t-on bien entendu ? Formidable, non ? Pas si vite, ne nous emballons pas !

Car la fin de l’entretien part alors en vrille sur un grand délire de notre président en herbe sur

« l’innovation et l’intelligence artificielle qui permettra en matière de gestion de l’épidémie du Covid de régler en un jour des problèmes qui prennent des semaines, de régler des problèmes de diagnostic en quelques secondes, une capacité de « comodiciter » (sic) certaines industries… »

Maintenant, nous prions tout un chacun de boucler sa ceinture avant le décollage sur les impacts de l’innovation. Ainsi sur un air martial, notre petit guide de l’Élysée de déclamer haut et fort :

1) « On va continuer à innover et accélérer. »

2) « Il y aura des impacts en matière d’ajustements sociaux et il nous faut les penser dès maintenant. »

C’est dire que le sujet des inégalités sociales va être encore plus prégnant que dans le monde que je viens d’évoquer. » Traduction : tous ceux qui croyaient encore naïvement à la 10e minute de l’entretien « qu’il faut prendre en compte les inégalités sociales » en seront pour leurs frais à la 23e. C’est d’autant plus vrai que toutes les professions impactées par la dictature sanitaire : PMI-PME, restaurateurs, petits commerçants, agriculteurs, industries culturelles et du tourisme ne rouvriront JAMAIS. C’est écrit noir sur blanc dans le livre du gros poulpe(2) : Covid 19, la grande réinitialisation, dont notre apprenti président est le plus servile et zélé exécutant.

3) « Tout cela a des impacts en termes démocratiques qui sont massifs. Ces innovations vont être des accélérateurs de nos problèmes sur le plan social et démocratique. »

Voilà qui a le mérite d’être clair… mais parfaitement incohérent avec ce qu’il affirmait 13 minutes auparavant, à savoir « qu’il convient de conserver les libertés individuelles et collectives. »

Et pour mieux faire comprendre « les accélérateurs de problèmes » que sont les innovations « sur le plan social et démocratique », il ajouta avec une franchise désarmante : « L’expérience américaine ces dernières semaines l’a montré sur le plan démocratique si besoin était. » Traduction : les machines à voter Dominion posent un problème démocratique, vu la fraude massive qu’elles ont engendrée, mais il faut l’assumer. Tout cela a un nom : cela s’appelle du foutage de gueule.

4) La seule bonne nouvelle pour notre jeune oracle est que « les nouvelles technologies de l’innovation vont permettre de répondre beaucoup plus vite aux défis climatiques. »

Et maintenant, résumons :

  • Privation des libertés de tous les Français avec l’instauration d’une dictature sanitaire sine die ;
  • Effondrement massif de pans entiers de l’économie française plongeant dans le chômage, la misère et le suicide pour certains, des millions de nos compatriotes ;
  • Disparition définitive de tout ce qui fait l’exception culturelle française : son cinéma, son spectacle vivant (concerts, opéra, théâtre), sa gastronomie, son industrie touristique avec 75 % des restaurants, comme prévu par le gros poulpe dans son bréviaire 2.0.

Tout ce cauchemar pour répondre aux défis climatiques grâce aux nouvelles technologies de l’innovation ???? On est censé être en direct de l’Élysée ou bien de la secte du Temple Solaire ????

Alors que la dictature sanitaire de la Grande Réinitialisation est déjà enclenchée depuis un an, l’apprenti sorcier président a l’outrecuidance de terminer par ces mots :

« Les innovations vont nous permettre de créer de la valeur et de répondre aux défis économiques. Mais elles vont poser des problèmes auxquels nous n’avons pas assez réfléchi en termes démocratiques, en termes de libertés publiques et d’augmentation des inégalités sociales. »

Autrement dit : Les innovations vont nous mener au bord du gouffre, c’est pourquoi je vous propose de faire un grand pas en avant.

Et le gros poulpe de Davos de conclure enthousiaste :

« Il y a des dirigeants qui ont une idée très claire de ce qu’ils veulent faire de cet avenir que l’on veut construire… pour le bien de tout le monde. »

Et notre apprenti sorcier président de parachever dans un grand élan lyrique :

« N’oublions jamais que notre objectif est toujours en société de construire la vie… bonne, avec les vertus qui vont avec, et la volonté de respecter l’autre. »

Les millions de Français confinés et reconfinés depuis un an, sous couvre-feu et muselés avec leurs enfants pour sortir de chez eux, applaudiront frénétiquement, c’est sûr…

Voilà. Pour tous ceux qui n’auraient toujours pas compris, après cette visioconférence entre Davos et l’Élysée, que cette dictature sanitaire nous mène droit à l’esclavage et ne s’arrêtera que le jour où l’on aura arrêté cette bande de criminels mondialistes, on ne peut que leur prodiguer ce conseil avisé du grand dramaturge irlandais quand il ne restera plus personne pour protester :

RÉSISTANCE MAINTENANT OU JAMAIS !

Notes

(1) https://youtu.be/mGHt1N0MYGA

(2) Klaus Schwab, Covid 19 : la grande réinitialisation, Forum Publishing




Les dix commandements de Jupiter aux Playmobil

Par Jean-Michel Grau

1- Un seul dieu à l’Assemblée tu honoreras et c’est moi

2- Tous les autres tu blasphémeras au nom de la liberté d’expression

3- La collection entière de toutes mes lois liberticides tu voteras sans te poser de questions

4- Tu rejetteras tous les amendements des complotistes qui se mettent en travers de ma route

5- Tu ne tueras pas, du moins pas avec tes mains, mais à coups de 49.3

6- Tu ne violeras pas, sauf la constitution quand je te le demanderai

7- Tu battras des mains en chœur en te levant pour soutenir tous les décrets du gouvernement

8- Tu ramperas jusqu’à moi, prêt à toutes les compromissions pour garder ton siège

9- Tu te soucieras des plus faibles comme de l’an 40 et aideras ceux qui s’enrichissent sur leur dos

10- Te regarder dans la glace tu éviteras si tu ne veux pas avoir la gerbe de ce que j’aurai fait de toi

PCNC (Pour copie non conforme) : Dieu et Philippe Geluck




Nous sommes les 99 % : libérons-nous lundi 1er Février !

Par Jean-Michel Grau

Quand la terreur devient une loi, la désobéissance civile devient un devoir.

Le 1er février doit devenir la première grande journée de désobéissance citoyenne, premier acte de la résistance de tous les français aux mondialistes qui veulent nous soumettre en esclavage pour mettre en œuvre leur plan monstrueux de grande réinitialisation du capitalisme mondial.

Le 1er février, mettons un coup d’arrêt définitif à la vie de cauchemar de cette dictature sanitaire(1) dans laquelle la finance mondialiste, via les diktats de l’Union Européenne, veut nous enfermer :

  • Une vie où chacun d’entre nous est parqué chez soi arbitrairement de 18 h à 6 h pour un couvre-feu que seule une guerre peut justifier ;
  • Une vie où l’on ne peut plus se réunir à plus de 6 personnes, y compris chez soi ;
  • Une vie où l’on n’a plus aucune vie sociale, où l’on est isolé, claquemuré comme du bétail ;
  • Une vie où l’on n’a même plus le droit à la moindre détente, car les restaurants, les bars, les cinémas, les théâtres, les salles de concert, les discothèques et les salles de sport ont tous fermé ;
  • Une vie où l’on ne peut plus faire aucun projet de vacances, car tous les établissements hôteliers et touristiques ont fermé et que l’on est tous à la merci d’un nouveau confinement ;
  • Une vie paranoïaque où toute opposition est bannie et qualifiée de complotiste ;
  • Une vie où l’on interdit de se soigner avec les traitements qui on fait leurs preuves contre le Covid, car ceux-ci sont désormais interdits ;
  • Une vie où des conseils d’experts gouvernementaux autoproclamés décident de notre avenir et de celui de nos enfants sans nous consulter ;
  • Une vie où ces mêmes « experts » décident qui va à l’école, qui n’y va pas, qui travaille, qui ne travaille pas, qui sort, qui ne sort pas, sur des bases totalement arbitraires et non scientifiques ;
  • Une vie où l’on doit s’autoriser à sortir uniquement pour des « raisons essentielles » en période de confinement avec un « ausweis » dûment rempli sous peine d’amende sévère ;
  • Une vie où l’on ne peut sortir de chez soi qu’avec une muselière imposée dès l’âge de 6 ans, et où même les bébés sont privés du sourire de leurs assistantes maternelles à la crèche ;
  • Une vie où il est programmé de tous nous piquer comme des poulets génétiquement modifiés pour mieux nous tracer et nous enfermer dans une peur permanente de la contamination ;
  • Une vie où l’obligation d’un passeport vaccinal va créer des Alpha + et des Beta -;
  • Une vie à deux vitesses où seuls ceux qui auront pris le risque de servir de cobayes aux labos pharmaceutiques pourront circuler et voyager librement ;
  • Une vie où toute vie festive aura disparu et où la majorité d’entre nous n’aura plus d’emploi, car jugés « non essentiels » pour la « nouvelle société » que les mondialistes nous préparent ;
  • Une vie où les seuls signes de reconnaissance qui nous restent sont les gestes-barrière ;
  • Une vie avec au bout la grande pauvreté et la mort sociale quand ce n’est pas la mort tout court ;
  • Une vie si cruelle que même les nazis les plus fanatiques n’auraient jamais osé l’imaginer.

Tout ça pour un virus dont la létalité est de 0,05 % ?

Est-ce dans ce monde-là que nous voulons vivre ?

« Ami, entends-tu les cris sourds du pays qu’on enchaîne » (Le chant des partisans)

La France n’a pas aboli l’esclavage pendant la révolution de 1848 pour nous soumettre en 2021 à la volonté des tyrans mondialistes du Forum de Davos parce qu’une oligarchie corrompue de la finance, des GAFAM et des médias a décidé que nous allions dorénavant vivre à genoux.

La France n’a pas écrit la Déclaration des droits de l’homme en 1789 pour laisser en 2021 les 1 % les plus riches de la planète ruiner toute notre économie pour sauver leur néo-libéralisme casino avec une pandémie entretenue H24 par la peur médiatique en nous confinant ad vitam aeternam.

  • Nous refusons le monde cauchemardesque de leur dictature sanitaire !
  • Nous refusons leurs muselières, marques de notre soumission à leur projet mortifère !
  • Nous refusons leurs gestes barrières pour créer la distanciation jusqu’à la mort sociale !
  • Nous refusons la ruine programmée de notre pays pour nous faire basculer dans la pauvreté !
  • Nous refusons leurs tests truqués pour alimenter la peur généralisée !
  • Nous refusons leurs piqûres géniques pour modifier notre ADN comme des poulets OGM !
  • Nous refusons leur enfer transhumaniste et leur Great Reset [Grande Réinitialisation] populicide !

Personne ne leur a donné aucun mandat pour réaliser un pareil massacre à grande échelle ! Démasquons dès maintenant la supercherie de leur agenda mortifère !

Cessons d’être dupes de leurs mensonges et de leurs manipulations virales ! Rejetons massivement leur idéologie toxique nourrie chez Hitler et Staline ! Résistons tous ensemble à leur asservissement programmé !

Tant que nous ne nous révolterons pas, les restaurants, les bars, les cafés, les discothèques, les cinémas, les théâtres, les salles de spectacle ne rouvriront jamais ! C’est prévu de longue date et écrit noir sur blanc dans le livre de Klaus Schwab le dirigeant fondateur du Forum de Davos, grand architecte du Great Reset capitaliste.(2)

« Ces règles gouvernementales sont absurdes, il faut commencer à désobéir. Les Français doivent faire comprendre à ce gouvernement qu’on ne peut pas gouverner indéfiniment contre son peuple.

Notre constitution reconnaît le droit de résister à l’oppression quand elle devient une loi. »

Jean-Frédéric Poisson (3)

« On ne peut enfermer des peuples comme cela pendant un an, ça n’a jamais existé dans l’histoire de l’humanité. A un moment, la cocotte-minute explose et tout le monde se réveille. L’esprit gaulois réfractaire qui déplaît tant à Macron va se réveiller, la France est le pays des révolutions. »

Florian Philippot (4)

« Le confinement n’est pas une baguette magique. Il faut arrêter de penser que les gens vont vivre indéfiniment enfermés, ça n’est pas une issue possible. »

Professeur Raoult (5)

Lundi 1er février :

  • Libérons-nous des muselières !
  • Boycottons ce confinement moyenâgeux !
  • Boycottons ce couvre-feu de la France de Vichy !
  • Vivons libres en 2021 et non enfermés comme en 41 !
  • Ouvrons massivement nos restaurants, bars et cafés, comme à Monaco !
  • Ouvrons à nouveau les cinémas, les théâtres et les salles de spectacles !
  • Faisons la fête dans les discothèques, dansons et embrassons-nous !

Jamais nous ne nous soumettrons !

Car nous sommes le peuple français.

Le peuple des Droits de l’Homme.

Le peuple de la Révolution.

Nous sommes les 99 %.

RESISTANCE !


Notes

(1) Une dictature reconnue même par notre chef de l’État à Saclay le 21 janvier 2021 : reseauinternational.net/macron-annonce-que-nous-vivons-bien-sous-une-dictature/

(2) Klaus Schwab, Covid-19 : la grande réinitialisation, forum publishing

(3) Jean-Frédéric Poisson appelle à la désobéissance civile face aux restrictions sanitaires – Sputnik France (sputniknews.com)

(4) Troisième confinement: «La France est le pays des révolutions» et «on est à la limite», lance Philippot – Sputnik France (sputniknews.com)

(5) Pr Raoult: «Il faut arrêter de penser que les gens vont vivre indéfiniment enfermés» – entretien exclusif – Sputnik France (sputniknews.com)




Le grand silence de la mort politique française

Par Jean-Michel Grau

Au moment où tous les rouages de la grande prise d’otage de masse du Covid planifiée par le psychopathe mondialiste Klaus Schwab et les oligarques de la finance, des grandes entreprises et des médias du Forum de Davos apparaissent au grand jour, en revanche, les élus politiques censés faire fonctionner les garde-fous des démocraties sont aux abonnés absents.

Ceci est particulièrement vrai en France où plus personne, ni à l’assemblée, ni au Sénat, ni au Conseil d’État, ni même au Conseil Constitutionnel, ne vient s’offusquer de toutes les mesures liberticides enfilées les unes après les autres pour mieux verrouiller et cadenasser la parole publique et avec elle, les français, via toutes les injonctions de l’Union européenne répétées en boucle pour anéantir les peuples : confinements, couvre-feux, ausweis, port obligatoire de muselières, sabordage de l’hôpital, des écoles et des universités, fermeture programmée des restaurants, bars, cafés, discothèques, salles de sport, cinémas, théâtres, musées, salles de concert, petits commerces, PMI-PME ainsi que toutes les activités des indépendants jugées non essentielles, avec au bout :
la mort sociale, avec des millions de chômeurs et de SDF à la clé.
Ainsi, après le premier confinement, 1 million de gens ont basculé dans la pauvreté.

C’est un gigantesque suicide collectif qui se profile à l’horizon.

Un suicide d’autant plus grave qu’il n’a rien de virtuel pour certains, avec tous les suicides de plus en plus nombreux d’étudiants, de commerçants, d’agriculteurs et d’indépendants de toutes professions ne pouvant plus faire face à leurs dettes, que l’on rapporte un peu plus chaque jour.

Dans une démocratie digne de ce nom, n’importe quelle personne censée pourrait à bon droit se dire qu’elle peut se tourner vers les politiques, autrement dit, ses élus, pour lui venir en aide, afin d’enrayer au plus vite les décisions aussi aberrantes que criminelles de cette société devenue complètement folle et prête à ruiner toute l’économie pour éradiquer un virus à la létalité de 0,05 %.

« Le fait de détruire méthodiquement le pays pour une maladie avec un taux de mortalité aussi faible relève du pétage de plombs. Un troisième confinement serait une très mauvaise décision, car le pays est déjà exsangue. Il a reçu des coups extrêmement durs sur le plan économique, social et psychologique, mais aussi sur le plan des libertés publiques » explique le philosophe Jean-Loup Bonnamy. « Je redoute l’apparition d’une génération sacrifiée, avec des conséquences extrêmement lourdes pour les plus jeunes. Un pays ne peut sacrifier sa jeunesse. » conclut-il. (1)

Oui, mais voilà : entend-on les voix des politiques qui devraient être les premiers à s’offusquer de ces mesures de plus en plus délirantes et les dénoncer : tests tous azimuts (alors que même l’OMS reconnaît aujourd’hui que le protocole du Dr Drosten qui les a mis au point est bidon), confinements moyenâgeux, couvre-feux d’états de guerre, établissement de zones de contagion du rouge au rouge foncé dans toute l’Europe pour développer et entretenir la peur, seule garante de maintenir en place cette gigantesque supercherie pour faire advenir le Great Reset [= la Grande Réinitialisation] de la société occidentale ? Tout cela, parce que quelques gourous illuminés, comme Schwab ou Attali l’ont décrété pour refaire le monde à leur image, du fond de leur fauteuil du forum de Davos, tout comme notre Jupiter de salle de bains du fond de sa baignoire ?

« La liberté d’exploiter l’humain pour en tirer des profits gargantuesques incompatibles avec le bien commun et la survie des générations futures n’est pas une liberté. C’est une folie. » conclut Nicolas Teterel dans son livre : « Les esclaves de l’anthropocène » (2) Quels politiques ont-ils aujourd’hui pris la mesure de cette folie en train d’auto-détruire toute la société occidentale ?

Où sont-ils les politiques pour dénoncer ce plan populicide monstrueux ?

Ohé ! Ohé !! Ohé !!! Y’a quelqu’un ?? Y’A QUELQU’UN ???

À l’Assemblée ? Au Sénat ? Au Conseil d’État ? Au Conseil constitutionnel ? Y’A QUELQU’UN ??

  • À l’Assemblée : que dire de tous ces Playmobil en Marche, « pourvus d’un moteur électrique incorporé qui leur permet de battre des mains, de se lever et de tourner la tête en même temps vers l’Élysée, et même de ramper » (3), prêts à voter sans broncher toutes les lois liberticides, mais par contre, à refuser de voter l’allongement de congé de deuil pour un enfant ?
  • Au Sénat, où sont donc passés les brillants orateurs de la Commission d’enquête de l’affaire Benalla ? Disparus dans la nature, tout comme les barbouzes interrogés ?
  • Au Conseil d’État, où l’on valide sans discuter toutes les décisions liberticides du gouvernement ?
  • Au Conseil constitutionnel, où l’on valide sans sourciller, la loi prorogeant jusqu’en juin 2021 l’État d’urgence sanitaire en vigueur depuis déjà 3 mois ? Depuis quand un état d’urgence peut-il se pérenniser ? Ou comment donner les pleins pouvoirs à un chef d’État qui n’attendait que cela…

2020 serait-il donc un remake de 1940 ? Nos députés se sont-ils finalement couchés comme leurs aînés devant la dictature ? Sommes-nous aujourd’hui dans le même cas de figure que le 10 juillet 40 où l’écrasante majorité de 569 députés sur 649 a voté les pleins pouvoirs au Maréchal ? Sommes-nous autorisés à penser que le slogan de la campagne électorale de Macron « La France en marche » n’était finalement qu’un copié/collé de la France de Pétain ? Tout le laisse à penser.

Quant à l’opposition de 2021, où est-elle ? De Marine Le Pen à Jean-Luc Mélenchon, y a-t-il encore une voix pour protester ? Ont-ils bien tous pris la bonne mesure de la gravité de la situation ?

Si même eux ne protestent pas, que restera-t-il au peuple français pour protester à part la loi de la rue, où le pire est à craindre comme on commence à le voir avec les émeutes des Pays-Bas ?

Car si l’on ne fait rien, et qu’on attend bien sagement qu’on nous soumette tous en esclavage comme prévu dans la Grande Réinitialisation de Klaus Schwab, on ne peut que s’attendre à ce que son scénario s’écrive en lettres de sang et de larmes, comme celui que dénonçait en 1946 le Pasteur allemand Niemöller :

« Quand les nazis sont venus chercher les communistes, je n’ai rien dit, je n’étais pas communiste.

Quand ils ont enfermé les sociaux-démocrates, je n’ai rien dit, je n’étais pas social-démocrate.

Quand ils sont venus chercher les syndicalistes, je n’ai rien dit, je n’étais pas syndicaliste.

Quand ils sont venus me chercher,

il ne restait plus personne pour protester. »

Aujourd’hui, en ce début d’année 2021 au moment où ces lignes sont écrites, on ne compte plus que deux politiques qui font entendre leur voix. Oui, deux ! Florian Philippot (4) et Martine Wonner (5) qui ne ménagent pas leurs forces pour lever les foules. Grâce leur soit rendue pour leur courage !

C’est pourquoi, avant de voir basculer le pays dans un chaos irrémédiable, tous les politiques français feraient bien de méditer cette réflexion de l’ancien président des États-Unis :

« Ceux qui rendent une révolution pacifique impossible rendront une révolution violente inévitable. »

John Fitzgerald Kennedy, mars 1962

Nous sommes les 99 %. RÉSISTANCE !

Notes

(1) Renaud Girard et Jean-Loup Bonnamy, Quand la psychose fait dérailler le monde, Gallimard

(2) Nicolas Téterel, Les esclaves de l’anthropocène, éditions Yves Michel

(3) legrandsoir.info/les-playmobil-en-marche.html

(4) https://www.youtube.com/channel/UClaa_CwoQEmSo9Mb_M1f91g/videos

(5) youtube.com/watch?v=0Qlfu9VHKLo




De l’Union Européenne à l’Union de l’Enfermement

Par Jean-Michel Grau

À Coralie Delaume (1976-2020)

Après avoir décrit le rôle joué par Klaus Schwab, grand architecte du Great Reset [la grande réinitialisation] avec le Covid 19 construit et planifié de toutes pièces au sein du forum de Davos dans lequel barbotte ce grand crocodile mondialiste, et le rôle de son ingénieur en chef, Christian Drosten, conseiller-virologue apprenti sorcier d’Angela Merkel, suffisamment influent au point d’imposer à tout le monde occidental des décisions de distanciations sociales, de port du masque obligatoire et de confinement ravageuses, il est temps de dévoiler maintenant au grand jour le rôle de l’architecture carcérale qui a permis à la dictature sanitaire de Klaus Schwab de se réaliser : l’Union Européenne.

« L’Europe, c’est la paix »

Telle est la ritournelle que l’on serine à tous les peuples européens à tous les temps et sur tous les modes depuis la 2e guerre mondiale et ses 60 millions de morts suite à la chute du IIIe Reich. Oui, mais voilà, c’est oublier que la paix a été avant tout construite sur la dissuasion nucléaire après la défaite japonaise suite aux bombes atomiques d’Hiroshima et Nagasaki, prélude à la guerre froide et à la division du monde Est-Ouest jusqu’à la chute du mur de Berlin.

Comme le disait très justement Coralie Delaume, étoile trop tôt disparue dans la nuit européenne :

« Faire advenir la paix ne suffit pas à constituer un projet politique et n’a pas empêché la multiplication des institutions technocratiques chargées de le mettre en œuvre. Aujourd’hui, ces institutions se sentent désormais suffisamment fortes pour s’affranchir des États européens et contribuer à vider progressivement de leur substance les États membres de l’Union, trop heureux de pouvoir se défausser de leurs responsabilités sur Bruxelles ou Francfort. Cette démission des politiques s’accompagne désormais d’une crise économique redoutable. Une situation que les peuples acceptent de moins en moins, sentant bien qu’au nom de “la paix”, on leur demande d’entériner tout à la fois leur appauvrissement et l’abandon de leur souveraineté. » (1)

À tel point qu’après avoir bafoué les non au référendum de 2005 en France et aux Pays-Bas, les parlements ont entériné la constitution européenne avec le traité de Lisbonne deux ans plus tard. Aujourd’hui, l’Union européenne franchit un pas supplémentaire en mettant en œuvre toutes ses forces de coercition et de chantage à la peur contre les peuples européens pour le plus grand bonheur de l’oligarchie mondialiste à l’origine de cette gigantesque prise d’otages de masse avec un virus létal à 0,05 %. Pour bien comprendre comment on en est arrivé là, il faut faire un bref retour en arrière aux origines de l’Union européenne.

Celui qu’on a appelé et qu’on appelle encore abusivement « le père de l’Europe », Jean Monnet, obscur négociant en cognac adoubé par les Américains dans les années 30 via les banques et la finance internationale, avait conscience que l’Europe ne devait être qu’une première étape vers le mondialisme dont il était un chaud partisan. Avec l’apparition d’un marché mondial sans un état de droit mondial, la création de l’Euro était donc bien un piège, et l’adopter mettait la main dans un engrenage conduisant à un nouvel ordre mondial sans avoir à donner la parole aux peuples.

Ainsi, selon l’historien Éric Branca,

« dès 1952, lors de l’entrée en vigueur de la Communauté Européenne du Charbon et de l’Acier (CECA), Jean Monnet avait-il préconisé cet effet d’engrenage,

à savoir un transfert “en douceur”, mais irréversible des compétences régaliennes vers des organismes techniques échappant à la volonté des peuples. » (2)

Le rôle abject de l’UE dans la crise grecque, bras armé de la troïka avec l’Allemagne à la manœuvre, n’en est que le meilleur exemple.

Ainsi, Giscard d’Estaing, considéré aujourd’hui comme le « père de la constitution européenne » s’acharnera-t-il à réaliser le programme de Jean Monnet, à savoir « la fusion progressive des nations européennes en un État fédéral expérimental, prélude d’un gouvernement mondial » Sous son septennat sera créé le Conseil européen des chefs d’État et de gouvernement, puis sera décidée, en 1977, l’élection du Parlement européen au suffrage universel et en 1979 sera créé le Système monétaire européen, matrice d’où sortira avec le traité de Maastricht en 1992, l’instauration d’une monnaie unique européenne, le 1er janvier 1999.

L’Europe est donc tellement peu la paix, qu’elle fera dire en 2015 à son président de la Commission européenne d’alors, Jean-Claude Juncker :

« Il ne peut y avoir de choix démocratique contre les traités européens. »

Aujourd’hui, en ce début d’année 2021, nous vivons le dernier avatar de l’Union européenne, à savoir la mise en coupe réglée des peuples européens pris en otage dans des confinements à répétitions pour en faire des esclaves dociles afin de mettre en place le programme totalitaire de l’oligarchie mondialiste grâce à la peur d’un virus savamment entretenue par les médias mainstream. En témoigne la dernière injonction faite aux européens en date du 24 janvier par la geôlière commissaire en chef d’imposer des tests PCR négatifs, ausweis obligatoire pour franchir les frontières carcérales européennes malgré la reconnaissance récente par l’OMS de l’invalidité des protocoles de tests PCR recommandés par le Dr Drosten.

Mais surtout, l’exemple de la crise sanitaire montre bien le rôle central joué par l’UE dans la destruction méthodique des États européens : la Commission européenne, dans sa volonté hystérique de réduire les dépenses dans les différents États européens, continuait à préconiser en pleine crise du Coronavirus de réduire les dépenses de santé alors que la diminution drastique des lits d’hôpitaux depuis plus de 10 ans en France est à l’origine du désastre sanitaire que nous connaissons depuis un an et du nombre quatre fois plus élevé de décès du Covid qu’en Allemagne.
Martin Schirdewan, député européen, rappelle à juste titre qu’à 63 reprises entre 2011 et 2018, la Commission européenne a recommandé aux États membres de l’UE de privatiser des pans entiers du secteur de la santé et de réduire les dépenses publiques en matière de santé.

Ainsi, la France a-t-elle supprimé 100 000 lits d’hôpitaux en 20 ans ! (3)

Le professeur Didier Raoult dans sa dernière communication, enfonce le clou :

« Le niveau d’équipement biomédical dans ce pays, en particulier dans les CHU est beaucoup trop faible : il était tellement indécent il y a vingt ans pour manipuler les bactéries pathogènes que vous n’arriviez même pas à faire ce qu’on fait à Kinshasa ! » (4)

Comme le rapportent très justement deux professeurs de l’ESSEC, Marc Guyot et Radu Vranceanu dans La Tribune :

« Ce n’est pas le virus qui a créé la crise économique, mais la façon avec laquelle le gouvernement mène sa politique sanitaire, étant donné l’état déplorable des infrastructures médicales en termes de capacité d’hospitalisation. Ce comportement irresponsable a mené à cette situation de confinements à répétitions en train d’anéantir toute l’économie française. » (5)

Il est maintenant clair que les directives européennes en matière de santé comme dans tant d’autres domaines promouvant le dumping social et fiscal sous prétexte de « concurrence libre et non faussée » mènent droit à la destruction programmée des pays de l’Union. La volonté de l’UE de créer des zones à risque jusqu’au rouge foncé pour entretenir la peur, et un passeport vaccinal réclamé par plusieurs États membres pour créer des citoyens de seconde zone selon la feuille de route de Klaus Schwab devrait nous ouvrir définitivement les yeux sur la finalité de l’Union : l’enfermement qui en rappelle un autre : celui des untermenschen il y a 80 ans.

Qu’en conclure d’autre aujourd’hui sinon que cette Europe, c’est la guerre ?

Nous sommes les 99 %. RESISTANCE !

Notes

(1) Coralie Delaume, Europe, les États désunis, Michalon

(2) Éric Branca, Le dilemme français, Le Spectacle du Monde

(3) topsante.com/medecine/votre-sante-vous/professionnels-de-sante/urgences-en-crise-100-000-lits-ont-ete-supprimes-en-20-ans-632559

(4) youtube.com/watch?v=9LA6Jmf2IzQ

(5) latribune.fr/opinions/tribunes/de-la-crise-sanitaire-a-la-crise-economique-846712.html




Drosten, l’homme le plus recherché d’Allemagne… pour crimes contre l’humanité

Par Jean-Michel Grau

Dans cette prise d’otages mondiale du Covid 19 manipulée par Klaus Schwab et ses acolytes du Forum de Davos, les rouages de cette gigantesque supercherie commencent maintenant à apparaître au grand jour. En d’autres termes, ce que l’on aurait appelé il y a encore un an « l’état profond » commence à montrer son vrai visage ou plutôt : ses visages.

Tout d’abord, à tout seigneur tout honneur : le grand architecte de cette machination criminelle :

Klaus Schwab, le dirigeant fondateur du Forum de Davos.

Pour ceux qui ne le connaîtraient pas encore, rappelons brièvement qu’il est né en Allemagne en 1938 et est le dirigeant fondateur du Forum Économique Mondial (WEF) qui rassemble chaque année depuis 1971 le gratin de l’élite économique mondiale, mais aussi, politique, financière, et des médias, parmi lesquels Jacques Attali, Emmanuel Macron, Angela Merkel, Christine Lagarde, Georges Soros, Bill Gates, Jeff Bezos ou David Rockfeller.

Klaus Schwab a publié en juillet 2020 un livre : « Covid 19 : la grande réinitialisation » véritable programme économique et politique totalitaire qui se propose d’avancer « des conjectures et des idées sur ce à quoi le monde post-pandémique devrait ressembler » et que l’UE avec la complicité des grands labos pharmaceutiques se chargent d’appliquer à la lettre avec des vaccins géniques pour réduire en esclavage des pans entiers de populations occidentales confinées et entretenues H24 par la peur permanente d’un virus monté en épingle par des médias à la solde de l’oligarchie financière. Pour en savoir plus, les journalistes dissidents du Guardian ont fourni une description détaillée de ce scénario cauchemardesque dont l’adaptation résumée se trouve ici.(1)

Mais nous allons nous intéresser aujourd’hui à l’ingénieur en chef de cette machine de guerre qu’on appelle désormais : « La grande pandémie du Covid 19 » : Christian Drosten.

Qui est Christian Drosten ?

Christian Drosten, virologue allemand, est directeur de l’Institut de virologie de l’hôpital universitaire de la Charité de Berlin. Dans son édition du 30 mai 2020, le magazine allemand Der Spiegel titrait qu’il est aujourd’hui l’homme le plus honoré et le plus haï d’Allemagne.

Mais pourquoi donc ?

Les honneurs d’abord : l’hebdomadaire Stern, titrait lui, ébloui deux mois avant, en mars 2020 : « Le coronavirus a fait du virologue Christian Drosten l’homme le plus recherché de la République. Et une étoile. »(2)

Car c’est Christian Drosten qui, en janvier 2020, a mis au point le coronatest PCR, qui sert désormais de méthode standard pour détecter le coronavirus dans le monde entier. En tant que directeur de l’institut de la Charité de Berlin, il est un conseiller très influent d’Angela Merkel et a participé comme expert à de nombreuses conférences de presse gouvernementales. Ainsi, par ses évaluations, il a également influencé de manière déterminante des décisions politiques de grande envergure, telles que le port du masque obligatoire, la suspension des cours réguliers à l’école ou encore la fermeture de tout le secteur de la restauration.

La haine maintenant : le Dr Drosten, conseiller virologue d’Angela Merkel est aujourd’hui poursuivi par la justice allemande pour avoir faussé le protocole des tests PCR qui a amené tous les gouvernements occidentaux à prendre toutes ces décisions de distanciations sociales, de port du masque obligatoire et de confinement ravageuses. En effet, en préconisant des valeurs de réglage CT jusqu’à 45, les résultats des tests devenaient positifs, même avec des traces infimes de virus dans la plupart des cas, dans le but de continuer à alimenter la peur généralisée.(3)

Aujourd’hui, dans ce désastre sanitaire mondial planifié de toutes pièces, c’est un deuxième tribunal de Nuremberg qui se prépare, avec la mise en place d’une « Class Action » sous l’égide de milliers d’avocats mondiaux derrière l’avocat américano-allemand Reiner Fuellmich qui poursuit le Dr Drosten en justice.

Selon Reiner Fuellmich, tous les responsables de cette crise du Covid 19 doivent être poursuivis pour dommages civils pour cause de manipulations et de programmes corrompus. C’est pourquoi, un réseau international d’avocats d’affaires plaidera la plus grande affaire de délits civils de tous les temps, le scandale de la fraude Covid 19 qui s’est entretemps transformé en plus grand crime contre l’humanité jamais commis. Il est indéniable que dans ce crime, Christian Drosten occupe une place de choix.

Ainsi, dans une vidéo magistrale de 49 minutes traduite en français,(4) Reiner Fuellmich démontre que la pandémie de Covid 19 n’est rien d’autre qu’une gigantesque supercherie : « il n’existe pas de pandémie de Covid 19, juste une pandémie de tests PCR. Sans les résultats des tests publiés en permanence dans les médias, la pandémie serait déjà terminée. »

Mais ce n’est pas tout : dans une vidéo de 16 minutes, la chaîne allemande kla.tv vient de mettre à jour dans une enquête explosive « Le dossier Christian Drosten »(5), en faisant toute la lumière sur les antécédents peu connus, mais très importants du personnage qui mettent pour le moins en doute la crédibilité de « l’homme le plus recherché de la république » selon l’hebdomadaire Stern. Cette enquête soulève également selon les journalistes allemands de la chaîne « de graves questions concernant l’ensemble du scénario Corvid19, qui apparaît clairement comme la plus grande supercherie de l’histoire jamais mise en œuvre. »

« Ainsi, des erreurs de prévision fatales, de nombreuses incohérences inexpliquées concernant sa thèse de doctorat, un “test PCR Covid” développé à la hâte et présentant des défauts scientifiques fondamentaux, et un bourbier insoupçonné d’embrouilles financières, privent Christian Drosten de toute crédibilité ! »

« Si le personnage central de la crise du Covid s’avère être indigne de confiance après un examen plus approfondi, cela soulève de sérieuses questions :

  1. Sur la base de ce fondement non scientifique, l’ensemble de la pandémie du Coronavirus, avec la menace inévitable d’un effondrement économique et financier de nations entières, ne doit-il pas être enfin investigué pour connaître les tireurs de ficelles et les profiteurs en arrière-plan ?
  2. Cette crise du Coronavirus ne pourrait-elle donc pas s’apparenter à une prise de pouvoir par étapes et même conduire à la mise en place d’une surveillance numérique de peuples entiers sous prétexte de lutter contre une pandémie ?
  3. Pourquoi les grands médias, qui sont chargés de faire des reportages critiques, ne découvrent — ils pas le “dossier Drosten”, mais le gardent même secret ? »

Les journalistes de kla.tv en concluent que ces faits doivent être connus de tous. En effet, dès que les manœuvres criminelles de Drosten auront été démasquées, tout le château de cartes de la supercherie du Covid 19 s’effondrera et tous les peuples confinés pourront enfin reprendre leur liberté. C’est pourquoi, il convient de diffuser massivement cette vidéo, ainsi que l’interview de Reiner Fuellmich pour contribuer à appuyer sa « Class action » avec tous les avocats français prêts à y participer avec des milliers d’autres de par le monde pour mettre en place ce deuxième tribunal de Nuremberg qui se prépare contre Drosten et ses acolytes pour crimes contre l’humanité.


Notes

(1) Klaus Schwab et sa prise d’otages de masse 2.0

(2) stern.de/p/plus/gesundheit-wissenschaft/der-aufklaerer-so-wurde-christian-drosten-zum-wichtigsten-mann-deutschlands-9184616.html

(3) Est-ce dans ce monde-là que nous voulons vivre ?

(4) youtube.com/watch?v=VWk90PvlJX0

(5) kla.tv/index.php?a=showlanguage&lang=fr


[Voir aussi :