L’« Identité numérique » de Bill Gates sera obligatoire pour participer à la société

[Source : The Exposé]

Par Patricia Harrity

Le 8 novembre 2023, un événement de lancement virtuel a eu lieu pour ce qui a été appelé l’agenda « 50 en 5 ».

Les Nations Unies, la Fondation Bill et Melinda Gates et des partenaires de la Fondation Rockefeller lancent une campagne visant à accélérer le déploiement de l’identification numérique, des paiements numériques et du partage des données dans 50 pays sous l’égide de l’infrastructure Publique Numérique (IPN) d’ici 2028. (Source)

Le Programme des Nations unies pour le développement (PNUD) a annoncé son intention de mettre en place des « cartes d’identité numériques » dans le monde entier d’ici à 2030. Ces cartes seront obligatoires pour les personnes qui souhaitent participer à la vie de la société, affirme Reclaim the Net, qui défend la liberté d’expression et la liberté individuelle en ligne,

Système de crédit social

Le mouvement en faveur de l’Infrastructure Publique Numérique (IPN), qui comprend les « cartes d’identité numériques », les passeports vaccinaux et les monnaies numériques des banques centrales (CBDC), est défendu par le Forum Économique Mondial (FÉM) et, sans surprise, soutenu par Bill Gates, les Nations unies et l’Union Européenne (UE).

Tim Hinchliffe, rédacteur en chef de The Sociable, déclare : « Les partisans de l’IPN sont convaincus qu’il est essentiel pour la participation aux marchés et à la société — tout comme nous l’avons vu avec les passeports-vaccins — mais à une échelle beaucoup plus large ». « Si elle réussit, l’IPN donnera aux gouvernements et aux entreprises le pouvoir de mettre en œuvre des systèmes de crédit social qui peuvent déterminer où et comment vous pouvez voyager, ce que vous êtes autorisé à consommer et comment vous pourrez effectuer des transactions avec votre argent programmable. »

« Pensez aux traqueurs d’empreinte carbone individuels, aux zones à très faibles émissions (ULEZ) et aux CBDC programmées pour restreindre les achats “moins souhaitables” — tous ces éléments sont mis en avant par les partisans de la grande réinitialisation ». (Source)

La campagne « 50 en 5 »

La campagne « 50 en 5 » se présente comme « une campagne de sensibilisation menée par les pays. D’ici à 2028, la campagne “50 en 5″ aura aidé 50 pays à concevoir, lancer et mettre à l’échelle des éléments de leur infrastructure publique numérique », selon l’annonce officielle. Les 50 pays sont désignés comme des bancs d’essai mondiaux (cobayes) et les IAP seront d’abord mis en place en Afrique (subsaharienne, en particulier) et en Inde, mais l’objectif est de déployer les cartes d’identité numériques à l’échelle mondiale d’ici 2030 pour inclure tous les citoyens des États membres des Nations unies, selon Planet Today.

La campagne « 50 en 5 » est aussi, sans surprise, une collaboration entre la Fondation Bill et Melinda Gates, le Programme des Nations unies pour le développement, l’Alliance pour les biens publics numériques et Co-Develop. Co-Develop a été fondé par la Fondation Rockefeller, la Fondation Bill et Melinda Gates, Nilekani Philanthropies et le réseau Omidyar. La Digital Public Goods Alliance cite les fondations Gates et Rockefeller dans sa feuille de route qui présente des « activités qui font progresser les biens publics numériques », ainsi que d’autres organisations et plusieurs gouvernements. (Source)

L’IPN est présentée comme un mécanisme d’inclusion financière, de commodité, d’amélioration des soins de santé et de progrès écologique, mais il s’agit d’une « expression globale appliquée à un système de gouvernance technocratique imminent alimenté par trois composants fondamentaux : l’identification numérique, les paiements numériques tels que les monnaies numériques des banques centrales (CBDC), et le partage massif de données ».

Le Forum Économique Mondial

Le FÉM a publié une série d’articles en septembre, poussant essentiellement à l’application de l’IPN et, bien sûr, le FÉM est là pour « penser aux enfants » comme les meilleurs d’entre eux, « Les droits des enfants dans le monde peuvent être stimulés en investissant dans les infrastructures publiques numériques », a déclaré une légende dans un article publié le 18 septembre 2023, intitulé@ :

« Deux tiers des objectifs de développement durable liés à l’enfance ne sont pas en passe d’être atteints : Voici pourquoi nous devons investir dès maintenant dans l’infrastructure publique numérique ».

« 2023 marque la mi-parcours de la réalisation des objectifs de développement durable (ODD) des Nations unies », nous rappelle le FÉM, cette mi-parcours « est l’occasion “d’évaluer et de recalibrer” les efforts visant à réaliser les droits de chaque enfant, partout », et à sept ans seulement de l’objectif 2030, deux tiers des indicateurs liés à l’enfance ne sont pas en passe d’atteindre leurs cibles, selon un nouveau rapport de l’UNICEF Pour chaque enfant, un avenir durable.

  • 1,9 milliard d’enfants laissés pour compte — Si les progrès récents se poursuivent, seuls 60 pays, qui abritent à peine 25 % de la population infantile, auront atteint leurs objectifs d’ici à 2030, laissant pour compte environ 1,9 milliard d’enfants dans 140 pays.
  • Le monde d’aujourd’hui ne semble pas en mesure d’atteindre les objectifs ambitieux que nous avons fixés pour les enfants en 2015.
  • Faim — Le monde est revenu à des niveaux de faim jamais atteints depuis 2005, et les prix des denrées alimentaires restent plus élevés dans un plus grand nombre de pays que pendant la période allant de 2015 à 2019.
  • Les enfants manquent de compétences fondamentales — Dans le domaine de l’éducation, les données montrent que 600 millions d’enfants et d’adolescents n’acquièrent pas les compétences fondamentales en lecture et en mathématiques et que 11 millions d’enfants supplémentaires âgés de 10 ans n’ont pas ces compétences.

La « solution » au « problème » ? Le « problème », selon le FÉM, a été la pandémie, bien sûr, qui a « aggravé la situation », et l’infrastructure publique numérique est la « solution », car elle a été identifiée comme une « transition clé nécessaire pour accélérer l’action et les résultats des ODD pour les enfants d’ici à 2030 ».

Protéger les « droits ou la sécurité des enfants » est une tactique déjà utilisée par les mondialistes non élus, tout en promouvant un système technocratique qui supprimera en fait les droits de tous les individus, y compris les enfants.

Reclaim the Net, dit en substance que « l’IAP est un mot à la mode utilisé de manière quelque peu intéressante et alarmante par des organisations telles que l’ONU, mais aussi l’Union Européenne (UE), la Fondation Gates et, bien sûr, le Forum Économique Mondial (FÉM) qui n’est jamais tout à fait absent de ce tableau.

« Ce que les IAP sont censés faire, dans le meilleur des cas, c’est aider le développement de plusieurs façons. Toutefois, ceux qui s’intéressent de plus près aux platitudes et au “langage d’entreprise” émanant de ces organisations rejettent le terme et la politique comme une ruse visant à accélérer l’introduction des cartes d’identité et des paiements numériques, dont l’échéance est fixée à 2030. »

Ils concluent : « Si vous êtes citoyen d’un État membre de l’ONU, que votre gouvernement (c’est-à-dire vos contribuables) contribue à divers efforts de l’ONU et que vous vous sentez soit mal à l’aise, soit insuffisamment informé à ce sujet, eh bien, tant pis pour vous. Ils vont quand même continuer ». (Source)




La vision mondialiste : Les villes-prisons « 15 minutes » et la fin de la propriété privée

[Source : alt-market.us]

Par Brandon Smith

En règle générale, je constate que chaque fois que le public examine de près un programme particulier promu par les gouvernements et les mondialistes, sa première réaction est de s’indigner, un peu comme le ferait un narcissique lorsqu’il prépare un mauvais coup et qu’il se fait prendre :

« Comment osez-vous mettre en doute leurs intentions et suggérer qu’ils pourraient être malfaisants ? Comment osez-vous suggérer qu’ils sont autre chose qu’aimants et bienveillants ? Nos “dirigeants” n’ont jamais voulu que le meilleur pour nous, n’est-ce pas ? Ils veulent seulement que nos vies deviennent plus sûres, plus confortables et plus pratiques — c’est ce qui motive vraiment l’élitiste moyen, n’est-ce pas ? »

De toute évidence, l’Histoire nous raconte un récit bien différent, et je suis stupéfait lorsque quelqu’un essaie d’affirmer que les choses sont différentes aujourd’hui par rapport à il y a 100 ans, 300 ans ou 1000 ans. Il n’y a rien de nouveau sous le soleil. Il y aura toujours des tyrans qui tenteront de gagner de plus en plus de pouvoir et ces tyrans mentiront toujours au public en prétendant qu’ils sont des gens bien qui ont nos intérêts à cœur.

Lorsque cela ne fonctionne pas et que les citoyens restent sceptiques, les tyrans passent à l’attaque, accusant le public de « théorie du complot ». L’objectif est de se moquer des libres penseurs et de leur faire honte en les réduisant au silence. Pourquoi risquer d’être mis au ban de la société ? Pourquoi risquer de devenir un mème ?

Cette tactique repose sur l’idée que les grands médias et les fonctionnaires représentent le courant dominant, et donc qu’ils représentent la majorité, et que la majorité représente la réalité. Rien de tout cela n’est vrai ou pertinent, bien sûr. Seuls les faits comptent. La sophistique n’a pas de sens. Les opinions n’ont pas de sens. La vérité devrait être le but, et si ce n’est pas le but de quelqu’un, c’est qu’il est un pourvoyeur de mensonges et qu’il ne doit pas être pris au sérieux. Il n’y a que deux voies à suivre, il n’y a pas d’entre-deux.

J’admets que l’accusation de « théorie du complot » a une certaine valeur, car chaque fois que ceux de l’establishment l’utilisent, c’est un signe certain que vous êtes trop près de la cible et qu’ils deviennent nerveux. Ils pourraient simplement essayer d’exposer les preuves qu’ils pourraient avoir pour démontrer que votre position est erronée, mais ils ne le font pas vraiment. Au lieu de débattre de vos arguments et de vos preuves, ils essaient de vous décrédibiliser en tant que critique valable et de vacciner le public contre vos idées avant même qu’il n’ait eu l’occasion de les entendre. C’est le comportement des méchants, et non celui des dirigeants bienveillants et attentionnés.

Si je mentionne cette dynamique, c’est parce qu’il y a un programme qui prime sur tous les autres et qui est agressivement défendu par les médias de l’establishment, et que toute personne qui le remet en question de près ou de loin est automatiquement persécutée en tant que « conspirationniste » ou « négationniste ». Je parle bien sûr de l’agenda du changement climatique.

J’ai complètement démenti l’idée d’un changement climatique d’origine humaine dans des articles précédents et je ne m’attarderai pas sur ce sujet ici. Au lieu de cela, je veux examiner l’objectif final des politiques de lutte contre le changement climatique — la solution ultime, qui n’est PAS de sauver la planète, mais de dominer la population.

Les noms utilisés pour la « réinitialisation » du changement climatique varient, mais les mondialistes et l’ONU y font souvent référence sous le nom d’Agenda 2030 ou d’Objectifs de développement durable. Ces programmes portent une façade d’environnementalisme, mais ils sont TOUS enracinés dans l’économie. En d’autres termes, tous les efforts de lutte contre le changement climatique visent à détruire l’industrie et le commerce et à établir un partenariat entre le gouvernement et les entreprises pour dominer la production. Le changement climatique est un cheval de Troie pour introduire l’autoritarisme.

Je pense que l’un des aspects les plus importants de l’Agenda 2030 pour les mondialistes est ce que l’on appelle la « ville de 15 minutes », un projet qui implique des centaines de maires de villes des États-Unis, d’Europe et d’Asie travaillant en étroite collaboration avec des groupes tels que le Forum Économique Mondial. Dès que cette idée est évoquée de manière négative, les médias se déchaînent avec colère et moquerie, comme s’il ne s’agissait pas d’une question réelle méritant d’être débattue.

L’establishment brosse un tableau intéressant des villes de 15 minutes — un avenir utopique dans lequel tout ce dont vous avez besoin se trouve à une courte distance de marche et où les transports privés sont superflus (ou interdits). Vous pourriez même vivre dans un méga-complexe, un peu comme un centre commercial géant où vous travaillez également. Vous pourriez passer des mois dans un espace d’un kilomètre carré, sans jamais avoir à sortir pour quoi que ce soit.

Ce n’est pas un hasard si cette idée a été poussée à fond pendant les périodes de confinement de la pandémie. Le public a été inondé d’une propagande de peur à propos d’un [supposé] virus dont le taux de survie était de 99,8 %, et cette peur a rendu l’idée impensable de rester chez soi en permanence tout à fait envisageable. Les experts des médias continuent de qualifier de théorie du complot le lien entre les confinements Covid et les confinements climatiques, mais l’idée est ouvertement admise dans les livres blancs des Nations unies et du Forum Économique Mondial (FÉM [ou WEF pour World Economic Forum, en anglais, NDT]).

Certains affirment que la plupart des villes sont déjà des « villes de 15 minutes », où les produits de première nécessité sont tous accessibles à pied. Ces personnes ne comprennent pas ce qu’est réellement une ville de 15 minutes. Comme le soulignent de nombreuses descriptions du projet, il ne s’agit pas seulement de commodité ou de proximité, mais de changer tous les aspects de notre philosophie de vie actuelle. Il ne s’agit pas de gagner en confort, mais de faire toute une série de sacrifices pour apaiser les dieux des émissions de carbone.

La ville de 15 minutes ressemble davantage à une recette, contenant tous les ingrédients des programmes de lutte contre le changement climatique et d’enfermement des covidés dans une seule vision orwellienne globale. Cela inclut la suppression des véhicules à moteur, la suppression des transports privés et des routes, la ville intelligente et la surveillance par l’IA de la consommation d’électricité de chaque personne, la surveillance de la consommation de produits et de l’« empreinte carbone », la surveillance biométrique au sein d’un paysage urbain compact et empilé, le concept de société sans argent liquide, le culte de l’équité et de l’inclusion, le contrôle de la population, etc.

C’est le point culminant, le jeu final ; une prison massive sans barreaux. Un endroit où l’on vous conditionne à vous habituer à des limitations artificielles de la vie privée, à l’absence de libertés civiles, à l’absence de propriété privée et à l’absence d’options de travail ou de mobilité. Vous êtes lié à la terre et la terre appartient à l’État (ou à une société). Si vous voulez une comparaison historique, la plus proche que je puisse trouver est le système féodal de l’Europe médiévale [selon l’idée (fausse, d’après certains historiens) que se font les gens de la vie au Moyen-Âge, NDT].

Dans ces villes, vous êtes un mécanisme de travail, rien de plus. Vous ne serez jamais autorisé à posséder votre propre propriété et donc votre propre travail. Tout ce que vous possédez vous est donné par l’État et peut vous être retiré si vous le défiez. Vous pourrez peut-être quitter le village ou la communauté à laquelle vous êtes lié pendant un certain temps, mais cela changera avec les restrictions croissantes imposées aux mouvements du public en fonction des dictats de l’idéologie climatique.

Tant que vous êtes productif et soumis, on vous donnera ce dont vous avez besoin pour survivre, mais jamais pour vous épanouir. Dans le cas d’un système féodal technocratique, vous n’auriez aucune garantie que l’État ait besoin de vos services. Dans l’Europe féodale, au moins, le paysan était considéré comme une ressource précieuse en raison de sa population limitée. Dans un monde où de nombreuses personnes sont considérées comme un « excès de population », vous pourriez facilement être remplacé et expulsé de la ville pour mourir de faim.

En 2016, le Forum Économique Mondial a publié un document intitulé « Bienvenue en 2030. Je ne possède rien, je n’ai aucune vie privée et la vie n’a jamais été aussi belle ». L’article était destiné à promouvoir un concept appelé « économie de partage », qui a été présenté pour la première fois à la presse à Davos. L’article décrit un avenir « hypothétique » dans lequel un système communiste a mis fin à toute propriété privée au nom de la sauvegarde de la planète contre le changement climatique. Les avantages ? Comme dans tous les systèmes communistes, le mensonge consiste à dire que l’on travaillera moins et que la plupart des choses seront gratuites. C’est ainsi que les idéaux collectivistes sont vendus à la population depuis des générations et cela ne fonctionne JAMAIS comme le prétend l’establishment.

Le WEF fait la promotion de l’économie de partage depuis des années, mais lorsqu’elle s’est généralisée et a été largement critiquée comme étant dystopique, les médias ont une fois de plus enclenché l’interrupteur de la « théorie du complot » et ont attaqué toute personne exposant les implications.

De nombreuses plateformes ont publié l’article en 2016, mais beaucoup l’ont retiré depuis (Forbes semble avoir effacé sa copie publiée, par exemple). Elles font comme si l’agenda n’avait jamais existé, probablement parce que l’article contient des aveux révélateurs, notamment une allusion au concept de ville de 15 minutes. Extrait de l’article :

« Ma plus grande préoccupation concerne toutes les personnes qui ne vivent pas dans notre ville. Ceux que nous avons perdus en chemin. Ceux qui ont décidé que c’était trop, toute cette technologie. Ceux qui se sont sentis obsolètes et inutiles lorsque les robots et l’IA ont pris en charge une grande partie de nos emplois. Ceux qui se sont énervés contre le système politique et se sont retournés contre lui. Ils mènent des vies différentes en dehors de la ville. Certains ont formé de petites communautés autonomes. D’autres sont restés dans les maisons vides et abandonnées des petits villages du XIXe siècle.

De temps en temps, je m’agace du fait que je n’ai pas de véritable vie privée. Je ne peux aller nulle part sans être enregistré. Je sais que, quelque part, tout ce que je fais, pense et rêve est enregistré. J’espère seulement que personne ne l’utilisera contre moi ».

En d’autres termes, les mondialistes imaginent un avenir où les libres penseurs mécontents et les personnes remplacées par l’IA sont des parias, menant une existence insignifiante dans les friches de l’ancien monde. Pour rester dans le giron du nouveau monde, vous devrez renoncer à toute liberté, même à la liberté de pensée. Gardez à l’esprit que cet article était censé être une promotion « positive » de l’économie de partage et des villes 15 minutes. Pourtant, cet extrait ressemble davantage à une menace.

Il est important de comprendre que ces villes compactes ne seront pas conçues pour votre confort. Elles ne seront pas conçues pour que vous puissiez avoir toutes les commodités dont vous disposez aujourd’hui à portée de main tout en assurant la « durabilité ». C’est ce que les mondialistes essaient de vendre, mais ce n’est pas ce qui se passera. Ces villes seront plutôt conçues pour mieux vous CONTRÔLER, afin de vous forcer à faire les sacrifices qu’ils disent nécessaires pour que la durabilité soit possible.

Elles sont présentées à tort comme des « communautés décentralisées », mais c’est exactement le contraire : elles sont totalement centralisées, comme une cage de hamster dont vous êtes l’animal de compagnie. La philosophie de base de ces communautés est la dépendance. Si vous vivez dans un endroit spécialement conçu pour éliminer votre capacité à subvenir à vos besoins, vous êtes un esclave. Bien entendu, même l’esclavage peut paraître noble si les gens sont convaincus que leurs chaînes sont nécessaires pour le bien de la planète.




Paul Watzlawick et les bizarreries américaines

Par Nicolas Bonnal

Watzlawick avait écrit un passionnant guide anticonformiste de l’usage de l’Amérique. Il a été publié en allemand, mais pas en anglais, et on comprend vite pourquoi tant ce grand lecteur de Gheorghiu, de Tocqueville ou de Dostoïevski a été choqué par les caractères monstrueux de la matrice américaine qui achève de nous engloutir aujourd’hui. Toute la civilisation US était programmée pour se/nous mener à la catastrophe : on sent pointer cet aspect dans des livres comme « Comment réussir à échouer » ou « Faites vous-même votre malheur » — tous publiés au Seuil — qui finalement expliquent comment le projet occidental capote : par culte du perfectionnisme et de la solution qui crée le problème. Il est clair du reste que cet échec va être le nôtre et qu’il nous exterminera — tout comme il tourmente les victimes de ce culte de la solution. Qu’il s’agisse du carbone, du vaccin, de la sécurité numérique, tout est mis en œuvre pour nous liquider dans un lit de bonnes intentions.

J’adore ce passage sur le père impossible en Amérique (on n’y est pas un son of a bitch pour rien) :

« Au début de son traité The American People, devenu un classique, l’anthropologue britannique Geoffrey Gorer analyse le phénomène typiquement américain du rejet du père, et l’attribue à la nécessité, qui s’imposait pratiquement à chacun des trente millions d’Européens qui émigrèrent aux États-Unis entre 1860 et 1930, de s’adapter aussi vite que possible à la situation économique américaine. Mais, en s’efforçant de faire de ses enfants (généralement nés aux États-Unis) de “vrais” Américains, il devint, pour ces derniers, un objet de rejet et de dérision. Ses traditions, ses connaissances insuffisantes de la langue et surtout ses valeurs constituaient une source de gêne sociale pour la jeune génération qui fut, à son tour, victime de la réprobation de ses enfants. Ce rejet du père comme symbole du passé va de pair avec la surestimation des valeurs nouvelles et donc de la jeunesse. »

Le culte de la jeunesse c’est celui de la marchandise nouvelle qui chasse l’autre, a dit Debord. Ici aussi :

« Ce rejet du père comme symbole du passé va de pair avec la surestimation des valeurs nouvelles et donc de la jeunesse. Le trentième anniversaire est cette date fatidique qui vous met au rebut du jour au lendemain, et mieux vaut ne pas parler du quarantième. Il en va de même avec l’engouement pour tout ce qui est nouveau, et tire sa qualité de cette nouveauté, même s’il s’agit d’une vieillerie sortie tout droit du magasin de friperie. »

La liquidation du père est générale : Lipovetsky avait décrit le déclin du père musulman en France dès les années 1980 en France (relisez l’imposante Ère du vide) ; elle a été facilitée par les modes, la création/manipulation de la sous-culture et la musique destinée à la jeunesse — et aujourd’hui par la technologie qui crée des barrières infranchissables entre technophiles et « petits vieux » de quarante ans. Smart-siphonnés et Tik toqués sont dans leur monde.

Mais ce n’est pas tout. Watzlawick rappelle que ce n’est pas d’aujourd’hui que l’on constate une prodigieuse inculture et une prodigieuse sous-information américaine (et maintenant en France et en Europe). Les Américains sont pauvres en informations (allez, Tocqueville écrit la même chose !) :

« Volontairement, et d’une manière spontanée, les Américains ont atteint un degré d’appauvrissement de l’information et une conformité d’opinions qui feraient pâlir d’envie les gouvernements de démocraties populaires, soucieux d’insuffler leur ligne de pensée à leurs sujets récalcitrants. Je ne peux émettre qu’en dilettante des considérations théoriques sur la manière par laquelle on en est arrivé là, mais vous vous rendrez compte, très rapidement, qu’il en est vraiment ainsi. La liberté d’opinion et de presse américaine, tant vantée, existe, cela ne fait aucun doute. »

On a vendu écrit le maître cette liberté pour « le plat de lentilles de la conformité » (Macluhan remarque aussi qu’en Amérique on a cent chaînes qui crachent toutes la même chose) :

« Personne ne prescrit au citoyen ce qu’il doit penser, croire ou éprouver. Mais, soit les Américains ont vendu cette liberté pour le plat de lentilles de la conformité, si bienfaisante, soit ils n’en ont jamais fait usage. Dans un cas comme dans l’autre, le résultat est le même : le moindre quotidien de province de l’Europe à l’ouest du rideau de fer vous donne plus d’informations sur la situation mondiale qu’il n’est possible d’en obtenir aux États-Unis. »

On voit ce qui se passe mondialement : chasse au virus, puis chasse au russe, puis chasse au Palestinien — et au « pro-palestinien » (rebaptisé « pro-Hamas » pour faire court) qui trouverait que huit mille femmes et enfants tués cela ferait beaucoup — en attendant le million de déportés qui enchantera le bloc bourgeois de Lordon.

Watzlawick explique comment tout cela fonctionne, cette information, comment tout cela se transmet, comme une banale et dégueulasse bouffe de fastfood :

« Aux États-Unis, le journal que vous lisez importe peu, car leurs nouvelles, mâchées et livrées sous un emballage aseptique de cellophane métaphorique, paraissent toutes sortir d’un même et unique supermarché de l’information. Même le style reste largement identique, et de méchantes langues prétendent que la formation d’un journaliste se limite à l’apprentissage de trois règles : 1.Tell them what you are going to tell them. 2.Tell them. 3.Tell them what you have just told them.(En français, du fait des différents sens de tell, cela donne :1.An-nonce-leur (c’est-à-dire aux lecteurs) ce que tu vas leur dire. 2. Dis-le-leur. 3.Explique-leur ce que tu viens de leur dire.) »

Après on rabâche comme à la télé avec des chroniqueurs et des commentateurs (c’est Jean-Luc Godard qui disait que BHL n’était ni un écrivain ni un cinéaste, mais un éditorialiste : de fait nous sommes assiégés d’éditorialistes-répétiteurs) :

« Ces produits font ensuite l’objet d’un développement subjectif dans les élucubrations de chroniqueurs appelés columnists qui, tous les jours de l’année, sur la même page du journal, minimisent avec humour certains événements ou les commentent de manière à les rendre édifiants pour tout lecteur ayant un Q.I. de 85. »

Sur la radio Watzlawick écrit des lignes terribles (on repense au début de Citizen Kane — ou à des dessins animés de Tex Avery) :

« Les innombrables stations de radio américaines appartiennent au secteur privé et vivent d’émissions publicitaires. Leurs fonctions récréatives ne possèdent plus, à l’ère de la télévision, beaucoup d’importance, et elles servent uniquement de bruit de fond. Certaines d’entre elles semblent entièrement automatisées et, s’il arrive un incident avec un disque ou une bande magnétique, l’appareil tourne à vide jusqu’à ce que quelqu’un s’en rende compte. »

Comme le froncé de Macron (cf. mon texte sur le « peuple nouveau »), l’américain de Watzlawick ne veut que se fondre dans la masse, vivre et penser comme tout le monde (Tocqueville ou Francis Parker Yockey ont écrit des lignes flamboyantes à ce sujet, comme Georges Duhamel) :

« Alors qu’un Européen ne supporte pas d’être pris pour Monsieur Tout-le-Monde, le souci majeur d’un Américain est de ne pas dévier des normes du groupe. La différence entraîne l’expulsion du groupe, la mise au ban. D’où, probablement, sa répugnance à se retrouver tout seul au restaurant, car cela laisse supposer que personne ne l’aime. »

Watzlawick appuie aussi sur un point important : l’américain a droit au bonheur — c’est dans sa constitution et c’est une erreur de Jefferson dit le maître. Cette chasse folle et obligatoire au bonheur va précipiter les catastrophes.

« Peut-être cette exigence du droit au bonheur est-elle liée à cette rage de psychologie et de thérapie des Américains : personne ne cache qu’il est en analyse depuis des années, bien au contraire, cela fait partie, en quelque sorte, de son prestige social. »

La chasse au bonheur nécessite un couple parfait ; un couple parfait nécessite discussions et règlements de comptes ; et là Watzlawick cite un chercheur français très oublié :

« Ce procédé n’est, semble-t-il, pas nouveau, mais redécouvert, car en 1938 déjà le journaliste français Raoul de Roussy de Sales décrivit, dans son essai Love in America, ce culte de la “sincérité ravageuse” :

« Les époux semblent perdre d’innombrables heures du jour et de la nuit à l’analyse des failles qui entachent leur liaison. Ils sont convaincus qu’il faut — selon les préceptes de la plupart des psychologues et pédagogues modernes — affronter résolument la vérité (…) Quel que soit l’attrait de cette théorie, sa mise en pratique s’avère généralement lourde de conséquences, et ceci pour plusieurs raisons. Premièrement, la vérité est un explosif qu’il faut manipuler avec précaution, surtout dans la vie conjugale. Il n’est pas nécessaire de mentir, mais jongler avec des grenades à main à seule fin de prouver son intrépidité ne rime pas à grand-chose. Deuxièmement, la théorie préconisant une sincérité absolue part du principe qu’un amour qui ne résiste pas à des assauts permanents ne mérite pas, de toute façon, d’être entretenu. Il y a, en effet, des gens qui prennent leur vie amoureuse pour une éternelle bataille de Verdun. Et, une fois que le système de défense est irrémédiablement détérioré, l’un ou même les deux partenaires invoquent une incompatibilité d’humeur désespérée. À la suite de quoi on divorce et l’on choisit quelqu’un d’autre, avec qui l’on sera de nouveau d’une sincérité sans ménagement, le temps d’une saison. »

On a l’impression d’une comédie screwball ou les mariés/fiancés/partenaires ne sont que deux acteurs qui parlent vite en se/nous cassant les oreilles : on reverra les classiques casse-têtes de Howard Hawks à ce sujet qui célèbrent des couples d’acteurs-amants-bateleurs sans enfants.

Tout cela est aussi lié au goût de la chicane qui est si américain (voyez ce passage de Robert Reich qui explique que dans un patelin il faut être deux avocats pour faire fortune) :

« Les Américains en général, et les Californiens en particulier, sont les gens les plus chicaneurs de la terre », constata, dès 1977, le conseiller juridique du gouverneur de Californie, qui semble bien placé pour le savoir. Il existe, en Californie, 62 000 avocats, auxquels s’ajoutent 5 000 nouvelles recrues par an. Sur l’ensemble du territoire fédéral, le nombre des avocats grimpa de 250 000 en 1960 à plus de 622 000 en 1984 et on estime qu’ils seront plus d’un million vers 1995. Comment peut-on résister, devant une telle offre, à porter n’importe quelle vétille devant les tribunaux ? »

La déclaration d’indépendance fut une drôle de date : la fin de l’humanité et son remplacement par l’anormalité.




Le crash économique de la voiture électrique

[Source : geopolintel.fr]

L’industrie automobile est contrainte de ralentir l’électrification de ses modèles. C’est la tendance qui prédomine aux États-Unis, et dans le monde entier, les responsables des firmes se montrent de plus en plus inquiets devant le rejet des clients et par les prix exorbitants des pièces de rechange comme les batteries.
Mary Barra, PDG de General Motors, avoue abandonner ses objectifs initiaux de production de véhicules électriques. « Au fur et à mesure que nous avançons dans la transformation vers les véhicules électriques, les choses se compliquent un peu plus ».

Elon Musk, leader de la voiture électrique aux États-Unis, signalait que la crise économique entraînerait une baisse de la demande. Le PDG de Mercedes Benz qualifiait le marché de la voiture électrique de « brutal » avec des voitures qui coûtaient des milliers de dollars en plus par rapport aux modèles thermiques.
L’inflation aura été le pivot de la chute du véhicule électrique, l’offre et la demande dominent toujours le marché automobile, et quand le consommateur n’a plus les moyens de s’acheter un véhicule, c’est le constructeur qui trinque.

De plus l’électrification du réseau des bornes de recharge est en retard et continue d’être soutenue par des générateurs diésel qui sont faciles à installer sur le réseau autoroutier. Le Parlement européen a adopté une loi pour mettre en place une borne de recharge tous les 60 kilomètres d’ici 2026. Mais trois ans c’est une éternité, et les conducteurs ne peuvent pas attendre aussi longtemps.
Un trajet en voiture électrique est une expérience délicate où le plaisir de conduire s’efface au bout d’un quart d’heure pour trouver les emplacements des bornes de recharge. Un trajet en voiture électrique s’allonge aussi par le temps de recharge qui est long comparé au temps de remplissage d’un réservoir d’essence. La voiture électrique n’avait qu’un avenir urbain composé de courts trajets et d’une nécessité de recharge moins importante.

Au 31 octobre 2023, les tarifs d’assurance auto vont flamber

L’exonération de taxe sur les cotisations d’assurance (TSCA) pour les véhicules électriques va prendre fin au 31 décembre 2023. Une économie subventionnée ne donne rien de bon, au contraire elle fausse le marché créant une illusion pour les acheteurs. N’oublions pas aussi l’augmentation du prix de l’électricité qui rendra plus coûteux un plein électrique qu’un plein d’essence. Le gouvernement de Macron a demandé aux assureurs de modérer leurs tarifs devant la hausse importante de l’inflation.

Planche à billets et terminus pour les voitures électriques

Philippe Saby, directeur général du courtier Sally Azar nous donne un exemple de hausse :
« Cela peut représenter 27 % de hausse de la prime d’assurance tous risques ».
Le problème de l’assureur est aussi de prévenir les incendies causés par les feux de batteries électriques quand la voiture est dans le garage de la maison. Ce cas précis entraîne de facto une hausse de l’assurance habitation de l’ordre de plus de 5 %.

L’interdiction de la vente des voitures thermiques en 2035 sonnera le glas des constructeurs qui ont eu la faiblesse de laisser les fonctionnaires de Bruxelles de décider de ce que le marché automobile devait être dans le futur.

Macron et consort ne sont que des idiots qui ont mis les deux pieds et la tête dans cette bulle économique pour châtier les pays producteurs de pétrole qui s’éloignaient des stratégies de Washington. Mélanger politique et économie ne fait pas bon ménage, surtout quand cette bureaucratie est composée de personnes qui n’ont jamais créé d’entreprise ni risqué leur fortune pour monter un projet économique.

Au final le conducteur électrique va l’avoir dans le « baba » uniquement pour avoir eu la sensation d’être de son temps et d’avoir eu une petite pensée pour préserver la planète.

Toyota se félicite d’avoir eu raison de rester à l’écart de l’engouement pour les VE, alors que Honda met fin à son projet de voiture électrique bon marché avec GM

les gens voient enfin la réalité de la demande de véhicules électriques, selon le PDG de Toyota, dont l’entreprise est restée à l’écart des investissements frénétiques de ses concurrents dans ce domaine au cours des dernières années. Honda a également annoncé la fin de son partenariat avec GM pour les VE de moins de 25 000 dollars.

Alors que les efforts d’Elon Musk pour expliquer la chute drastique de la demande de VE ont été plutôt désordonnés lors de la conférence de presse du troisième trimestre de Tesla, le PDG de Toyota s’est lancé dans un moment de jubilation « nous vous l’avions bien dit » lors de l’inauguration du Japan Mobility Show. Toyota et Lexus y ont présenté un certain nombre de nouveaux modèles qui n’arriveront qu’après 2025, lorsque Toyota sera prêt à les produire en masse sur une nouvelle plateforme dédiée aux VE, avec un système d’alimentation en énergie de type « gigacasting » gigacasting qui surpasse Tesla en termes de vitesse de production et de coûts.

Alors que GM, Ford et de nombreux autres constructeurs automobiles traditionnels ont investi des milliards dans le développement de véhicules électriques et dans des coentreprises d’usines de batteries au cours des dernières années pour tenter de rattraper Tesla, Toyota a pris son temps. Ses PDG ont fait valoir que non seulement le public et les infrastructures ne sont pas encore prêts pour une transition rapide vers une mobilité entièrement électrique, mais aussi que les constructeurs automobiles auront du mal à rentabiliser la fabrication de voitures électriques une fois que les premiers utilisateurs dans les pays développés auront fini d’acheter.

Selon Akio Toyoda, président de Toyota, les gens « voient enfin la réalité », car « il y a de nombreuses façons de gravir la montagne qui mène à la neutralité carbone ». Au lieu de se lancer tête baissée dans les investissements dans les véhicules électriques, Toyota a misé sur ses véhicules hybrides de secours. La nouvelle Prius Primepar exemple, peut couvrir les trajets quotidiens typiques en utilisant uniquement l’énergie électrique, mais elle est beaucoup moins chère à fabriquer qu’un véhicule électrique, car sa batterie est beaucoup plus petite et elle est soutenue par un moteur à essence efficace.

En conséquence, Toyota a été quelque peu justifié par l’explosion des ventes d’hybrides, tandis que GM, confronté à une chute de la demande de VE, a modifié ses plans de production de 400 000 unités d’ici à la mi-2024. GM a également mis fin à un partenariat de 5 milliards de dollars avec Honda pour le développement d’une voiture bon marché de moins de 25 000 euros moins de 25 000 construite sur sa plateforme Ultium.

Le PDG de Honda, Toshihiro Mibe, a précisé qu’« après avoir étudié la question pendant un an, nous avons décidé qu’il s’agirait d’une entreprise difficile, c’est pourquoi nous mettons actuellement fin au développement d’un véhicule électrique abordable », et que « GM et Honda chercheront une solution séparément », a-t-il ajouté. Au Japan Mobility Show, Honda a ressuscité sa célèbre Prelude sous forme de VE, comme pour montrer qu’il fera cavalier seul dans sa stratégie de transition vers les VE, peut-être en reproduisant l’approche plus prudente de Toyota.




Dossier : Peut-on guérir le monde du fléau du complotisme ?

La pire pandémie qu’ait connue l’Humanité et qui pourrait conduire à l’extinction.

Guide de survie à l’usage des citoyens normaux1.

2

Par Alain Tortosa

Mise en garde

De nombreuses thèses complotistes sont détaillées dans ce texte à la fois pour les combattre et les ridiculiser.
Si vous êtes comploti-sensible ou que certains membres de votre famille le sont, merci de ne pas prendre de risque en lisant ce qui suit.

Préambule

Les médias nous alertent à propos de guerres, de réchauffement climatique, de virus et d’autres fléaux qui nous menacent au quotidien.
Il est évident que ces sujets sont gravissimes et si ne nous prenons pas toutes les mesures de bon sens que les complotistes nomment « dangereuses, inefficaces et liberticides », cela pourrait sonner le glas de l’Humanité.

Les ruisseaux font les fleuves, c’est du même ordre de ne pas faire fuir les grandes fortunes en défiscalisant leurs bénéfices afin que nous puissions être un maximum à bénéficier du ruissellement. Alors, essayons tous de mettre une pierre à l’édifice.

Ces dangers, réels cités précédemment, ne sont rien à côté d’un mal sournois qui nous ronge de l’intérieur, le « complotisme ». Au risque de choquer, l’immonde Poutine, pardon l’immonde Hamas, n’est rien !

Il n’est que justice que l’on donne un prix Nobel à celles et ceux qui ont participé à la mise au point des vaccins ARNm aujourd’hui réputés pour leur efficacité et leur innocuité totalement inédite. Quel fou pourrait émettre une critique à ce sujet, tout à l’honneur et l’indépendance du comité Nobel.
C’est bien beau de récompenser une technique d’avenir qui permettra de sauver des milliards de vies en la généralisant à l’ensemble des vaccins classiques (formidables, mais dépassés par la course incessante des mutations virales).
Mais à quoi bon promouvoir de tels progrès si le monde bascule dans le complotisme et détruit la réputation de ces formidables injections.

« Si le complotisme gagne, plus personne n’acceptera de s’injecter des vaccins ou de se chauffer à 17 °C pour sauver la planète et se débarrasser de Poutine ! »

Il ne faut pas mettre la charrue avant les bœufs et l’on doit s’attaquer en priorité au Mal Absolu, le complotisme !

Ce fléau est pire que la crise des opioïdes qui a provoqué plusieurs centaines de milliers de morts aux USA.
Un fléau qui nous touche tous !

Nous pouvons faire semblant, ignorer la chose, mais je ne connais pas une famille, pas une communauté, pas une entreprise, sans un membre infecté par cette gangrène.
Nous ne pouvons plus faire semblant, chaque minute qui passe apporte de nouveaux contaminés !

Qui sont ces sous-hommes ?

Des êtres abjects, des aigris analphabètes en quête de sens qui ont raté leur vie à la différence des fact-checker qui sont au service de la Vérité et de la communauté.

(Je profite de l’occasion pour les féliciter de la journée #NoTwitterDay3 pour lutter contre la désinformation et le Mal véhiculé par Elon Musk sur X.
Hélas ! les complotistes ont décidé d’occuper le terrain notamment en faisant la promotion de #RudyKissMyAss4 qui fait plus de 137 000 posts à l’écriture de ces lignes versus 35 000 pour le #NoTwitterDay.)

Même si nous savons que ces malades sont principalement des gueux sans éducation, hélas ! tous les milieux sont touchés.
C’est d’autant plus déstabilisant alors que les populations issues de milieux aisés sont plus intelligentes et éduquées que les classes populaires, type « gilets jaunes ».

Deux mots pourraient qualifier ces déviants en dehors de « folie » :

  • Paranoïa.
  • Narcissisme.

Pour le premier ils ne voient que manigances, tromperies, corruptions et même satanisme.
Tout n’est que mensonge et on ne peut rien croire qui viendrait de la bouche des autorités ou des médias officiels.

Quant au second, il est évident qu’ils ont une haute opinion d’eux-mêmes. « Les gens normaux (les “normies” comme ils les appellent) sont des cons, des moutons, des lâches, des décérébrés, des manipulés » alors que eux ont compris, eux savent et eux détiennent la vérité, une vérité de malades mentaux.

Raison pour laquelle ils sont si dangereux, car totalement inconscients de leur folie.

Ils demeurent les champions de l’inversion accusatoire en reprochant aux personnes saines ce qu’ils sont eux-mêmes.

C’est extrêmement déstabilisant pour un citoyen lambda, bon et naïf au bon sens du terme.
Bon citoyen qui est conscient de l’évidente dangerosité du Covid, de l’évidente efficacité des vaccins, de l’évidente innocuité des injections, de l’évident réchauffement climatique causé par les émissions de CO2 humaines, de l’évidente écologie des énergies renouvelables ou de l’évidente criminalité de Poutine ou du Hamas pour ne citer que ces exemples.

Les personnes normales, éduquées, honnêtes ont appris à réfléchir et ont bien compris certaines réalités scientifiques indiscutables :

  • Le masque ne protège pas soi-même, mais les autres.
  • La distanciation, les gestes barrières, le fait de ne pas fréquenter les rayons livres ou jouet, de manger assis, etc. limite les contaminations.
  • Un porteur asymptomatique dont les traces virales sont au fond de l’écouvillon peut excréter le virus sans tousser ni moucher et ainsi contaminer son voisin ou une famille entière.
  • Les sanctions contre la Russie vont étouffer son économie.
  • Il est indispensable de se vacciner pour protéger les autres quand bien même le vaccin n’empêcherait pas la contamination et que son efficacité ne dépasse pas les quelques semaines.
  • En jetant notre vieille voiture bien qu’elle fonctionne parfaitement et en achetant une voiture neuve, on participe au sauvetage de la planète.
  • Nous avons la chance de vivre en démocratie.

Je me vois désolé de rappeler ces banalités. Pour autant on trouve des gens éduqués qui basculent dans la folie criminelle et critiquent ces faits scientifiques qui font consensus auprès de tous les spécialistes qui ont gardé leur raison.

Personne n’est à l’abri, ne parlons pas de Cnews connu pour ses dérives multiples, mais LCI élève exemplaire, prononçait il y a encore quelques jours les mots « bande de gaza, prison à ciel ouvert, mettre les palestiniens au régime sans les faire mourir de faim, juste au-dessus du seuil de malnutrition ».
Preuve en est que la Mal Complotiste peut surgir de partout quand on l’attend le moins.

Les porteurs asymptomatiques

Les malades déclarés sont facilement repérables grâce à leurs déclarations délirantes et paranoïaques. Il est donc relativement facile de s’en protéger avec des gestes barrières.

Il existe, hélas, des complotistes qui s’ignorent, des porteurs asymptomatiques.

Ceux-ci sont les plus dangereux, car non seulement ils sont inconscients de leur contagiosité, mais ils peuvent nous contaminer à notre insu en profitant d’un instant de faiblesse et en abusant d’un capital sympathie.

« Un seul contact avec un malade peut suffire pour nous contaminer et décimer des familles entières. »

Ne riez pas, le sujet est dramatique !
J’ai assisté il y a quelques jours à la destruction d’une famille, abonnée à Libé et pratiquant tous les jours le journal de 20 h de BFM.
Une famille moderne constituée d’un père de couleur et d’un autre père avec des enfants issus de mariages antérieurs ou de GPA, bref une famille amenée à devenir on ne peut plus banale dans un monde de tolérance et d’inclusivité.

Rendez-vous compte qu’il a suffi que leur voisin trans (donc au-dessus de tout soupçon) leur dise, sur le pas du palier, « Quel été pourri ! » pour que le ver pénètre leur esprit.
Des gens normaux (appelés fidèles par les complotistes) qui ont toujours porté le masque, respecté les distanciations, vaccinés de la première heure, qui ont signalé tous les voisins qui écoutaient de la musique les fenêtres ouvertes après le couvre-feu… sont tombés comme des mouches !
Une famille décimée, porteuse d’avenir à la veille où le petit de 5 ans allait annoncer sa transition de genre lors d’une petite fête improvisée à l’école !

Reconnaissez que le phénomène est plus grave que rater les travaux pratiques sur la sexualité.

Je présente mes excuses à celles et ceux qui sont choqués par ma dernière phrase. Je ne mets nullement en doute la nécessité d’apprendre la sexualité dès 3 ans, je sais bien que c’est vital pour le développement et l’équilibre psychologique des plus petits. Ces siècles d’obscurantisme et de christianisme ont fait des dégâts inimaginables. Un enfant a des droits tout comme un adulte avec lequel il peut avoir des rapports sexuels du moment qu’il est consenti et que l’enfant ne subit aucune pression, autorité ou chantage. L’amour n’a rien à voir avec l’âge, le sexe ou les orientations sexuelles et ce n’est pas notre Président qui me contredirait.
« Quand il était avocat, Dupond-Moretti a pu plaider que l’inceste d’un homme avec l’une de ses filles était un exemple d’inceste heureux5. »

Je ne suis pas taré au point de nier ces réalités scientifiques sur le développement, néanmoins j’affirme que le complotisme est beaucoup plus grave, c’est tout. S’ils prennent le pouvoir, alors adieu tous ces idéaux !

Il est donc vital d’apprendre à reconnaître un porteur asymptomatique.
Celui est capable de dire :

  • Plaisanter sur Jean-Michel ou Michael6.
  • « Mais quel été pourri ! »
  • « Je ne comprends pas pourquoi quand Poutine tue une poignée de civils en Ukraine lors d’un bombardement c’est un crime contre l’Humanité et quand des milliers de civils, hommes femmes et enfants sont tués en Palestine aussi lors de bombardements, c’est de la légitime défense et un bien triste dommage collatéral ».
  • « J’ai déjà 5 doses, je vais bien, pourquoi ferais-je un nouveau rappel ? »
  • « Mon voisin a été malade comme un chien après sa deuxième dose et en plus il a attrapé ensuite le Covid. »
  • « Tu as vu, la femme de Zelensky7, ce héros qui nous protège de l’horreur, a acheté pour 1 million de dollars de bijoux chez Cartier lors du passage à l’ONU de son mari réclamant des fonds pour l’Ukraine (en octobre 2023). »
  • « Ah quel con ce Poutine, il fait péter son propre gazoduc et pense même pas à le couper ! »
  • « C’est bizarre toutes ces célébrités et tous ces hommes politiques qui achètent ou se font encore construire des villas de rêve au bord de l’eau alors qu’il y a le réchauffement climatique et une montée inexorable des mers à court terme.8 »
  • « Tu connais toi des personnes jeunes et en bonne santé qui sont mortes du Covid ? »
  • « Je me suis inscrit sur un groupe Telegram. »

Toutes ces phrases sont des portes dérobées qui peuvent mener au complotisme.

Nous devons détecter, signaler et isoler les porteurs asymptomatiques.

Toute personne positive au test qcm-c (c comme complotisme) devra être identifiée et devrait porter un signe distinctif afin de protéger les honnêtes gens.
Le test QCM-C comprendrait une vingtaine de questions dont voici un large extrait.

« Êtes-vous plus ou moins d’accord avec les phrases suivantes : »

« Le masque protège les autres, mais pas soi-même, c’est pour cela que tout le monde doit le porter. »
« Les non-vaccinés menacent les vaccinés même si le vaccin est efficace. »
« Alors que le CO2 représente 0,04 % de l’air, que la France représente 1 % des émissions mondiales de carbone, leur diminution de 50 % aiderait la planète. »
« Jeter une vieille voiture fonctionnelle et la remplacer par une voiture neuve électrique protège la planète. »
« Nous ne sommes pas encore en capacité de retourner sur la Lune parce que le savoir de 1960 a été perdu et que les ingénieurs sont à la retraite ou décédés. »
« Lorsqu’il fait trop chaud en été, c’est la preuve du réchauffement climatique alors que lorsqu’il fait froid c’est un phénomène météorologique qui n’a rien à voir avec le climat. »
« Le 11 septembre, deux avions ont percuté chacun un tour et trois tours sont tombées, car un projectile a frappé une troisième tour qui a pris feu et qui est donc tombée. »
« La Terre est plate. »
« Les radars automatiques sauvent des vies. »
« Les sanctions contre la Russie sont efficaces. »
« Tous les vaccins passés, présents et futurs sont sûrs et efficaces sinon ils ne seraient pas commercialisés. »
« Le sport, la sieste, la douche, le rhume, tondre sa pelouse, regarder la télé, prendre l’avion, manger une glace, avaler de l’Humex,… peut provoquer des myocardites. »
« En 1990, des soldats irakiens sont entrés avec leurs armes dans la maternité de l’hôpital de Koweït City. Ils ont arraché les bébés des couveuses, les ont emportés et les ont laissés mourir sur le sol froid9. »
« Poutine a saboté son propre gazoduc qui lui a coûté des milliards, oubliant qu’il pouvait fermer le robinet pour exercer un chantage, juste pour faire accuser les Américains. »
« Les vaccins ne peuvent PAS provoquer de myocardites, une malchance sur dix millions. »
« Poutine est le seul responsable de la guerre en Ukraine. »
« Les Palestiniens et les pays arabes sont les seuls responsables du conflit israélo-palestinien. »
« La monnaie numérique permettra la fin des fraudes et des crimes. »

En cas de positivité, il est indispensable d’isoler le malade, mais aussi son entourage à qui l’on fera passer le test.
Tout complotiste asymptomatique doit être placé à l’isolement puis refaire un 2e test 15 jours plus tard.

Notez qu’au-delà de deux erreurs, les enquêteurs du Ministère de la Santé (de la « Vérité » comme ils disent) seront dépêchés sur place afin de jauger des mesures à prendre comme la mise en quarantaine de l’immeuble ou du quartier.
Le gouvernement réfléchirait à un projet de loi qui permettrait l’affiche des noms, adresses et photos des complotistes sur des panneaux publicitaires 4 x 3 mètres, mais il est à craindre que les citoyens ne soient pas encore suffisamment mûrs ou conscients du fléau pour y adhérer (les Chinois ont franchi le pas, eux).

Le déni :

Le déni est quelque chose de terrible dans les maladies psychiatriques et le complotisme n’échappe pas à la règle.
Nous avons d’un côté ceux qui s’assument, qui sont joyeux, fiers, révolutionnaires et j’en passe…
Mais nous avons aussi les complotistes qui se mentent à eux-mêmes.
Je ne suis pas dans la tête de ces malades qui s’ignorent, mais j’imagine qu’il leur est indispensable, non pas de mentir aux autres, mais à eux-mêmes.

« Tout comme l’alcoolique ou le toxicomane qui se dit utiliser des drogues récréatives, le complotiste dans le déni refuse d’assumer l’horrible vérité. »

Eux seuls arrivent à se convaincre plus ou moins de leurs mensonges.
Ni les honnêtes gens ni les complotistes assumés ne se font d’illusion sur la réalité complotiste de ces personnes qui ne s’assument pas.

Ils ont presque un côté sympathique avec leurs :

« Bonjour, avant de prendre la parole je voudrais dire que je ne suis pas antivax. »

ou

« Bonjour, avant de prendre la parole, je voudrais dire que je ne suis pas complotiste. »

ou

« Bonjour, avant de prendre la parole, je voudrais dire que je ne suis pas pro Poutine. »

ou

« Bonjour, avant de prendre la parole, je voudrais dire que je ne suis pas platiste. »

ou

« Bonjour, avant de prendre la parole, je voudrais dire que je ne suis pas climatosceptique. »

ou

« Bonjour, avant de prendre la parole, je voudrais dire que je ne suis pas pro-palestinien. »

La suite de leur discours n’est pourtant que mensonges, blasphèmes et complotisme !

Je ne citerai aucun nom, mais en écrivant ceci je ne peux m’empêcher de penser à un certain avocat dont la notoriété ne suffisait plus et qui a cherché à illuminer sa triste vie en basculant du côté obscur.

« Bonjour, avant de prendre la parole, je voudrais dire que je ne fais que du droit et que je ne suis pas complotiste. »

Ce triste sire ne trompe que lui…

Il est fou d’imaginer tous ces complotistes fiers de ne pas avoir porté de masque ou aidé d’autres à ne pas le porter, contourné les confinements, les passe-sanitaires et j’en passe.
Quand j’y pense, je suis glacé d’effroi en pensant à toutes les pauvres victimes qui ne se sont pas injecté le vaccin (aussi nommé « Sainte Ampoule » par les complotistes) à cause de ces dangereux criminels qui se prennent pour des Don Quichotte.

Les complotistes dans le déni sont quand même plus faciles à repérer et donc à s’en protéger que les complotistes asymptomatiques, mais ils demeurent extrêmement difficiles à soigner.
Ils ne pourront pas entreprendre un travail sur eux-mêmes sans ouvrir les yeux.
Il est donc de notre devoir de citoyens bienveillants de les forcer à voir leur réalité.

Dépendance

« Le complotisme est une drogue dure pire que l’héroïne. »

Autant je connais des personnes qui ont pu sortir de la toxicomanie, autant je n’en connais aucune qui soit revenue de leur déviance.

Vous imaginez une réunion des complotistes anonymes ?

  • « Bonjour, je m’appelle Marcel, cela fait deux jours que je ne me suis pas connecté sur le compte de Silvano Trotta. »

« Bravo Marcel ! »

  • « Bonjour, moi c’est Henri, cela fait une semaine que je ne regarde que BFM. »

« Bravo Henri ! »

  • « Bonjour, moi c’est Julien, je regarde tous les jours Météo Climat. »

« Bravo Julien ! »

  • « Bonjour, moi c’est Charles-Henri, j’ai arrêté le caviar russe depuis 3 semaines. »

« Bravo Charles-Henri ! »

  • « Bonjour, moi c’est Alfred, hier j’ai regardé TV Liberté »

« Hou, c’est pas bien ! »

Non tout ceci relève de l’optimisme pour ne pas dire de l’utopie.
Non seulement les complotistes sont addictes, mais ils ne cherchent absolument pas à en sortir, bien au contraire.

Nous l’avons vu avec les asymptomatiques, il est possible de tomber dans la drogue sans s’en rendre compte.
Une seule fois suffit !

Cette addiction ne fait que croître, le complotiste va passer sans fin d’une théorie du complot à une autre au fur et à mesure de ses « recherches », de ses délires devrions-nous dire.
Aucun sujet ne sera épargné et il prendra toute nouvelle actualité diffusée dans les médias mainstream pour un nouveau complot.
Il n’en aura jamais assez et sera à l’affût de toute nouvelle information (vérifiée) qu’il pourra rejeter.

Symptômes

Il serait bon d’expliciter un peu plus les conséquences de cette terrible maladie extrêmement contagieuse.

« À l’instar de la toxicomanie, le sujet n’est pas conscient de sa dépendance croissante et de sa perte de contact avec la réalité.
Plus la maladie progresse et plus le malade se croit sain et en bonne santé.
Il pense que la masse des gens normaux est folle et manipulée par de prétendues puissances occultes. »

La paranoïa ne fait que croître. Il en vient à imaginer qu’une poignée d’élites contrôlerait le monde avec des visées sataniques.
Dans son univers, le meurtre, les réseaux pédophiles, la traite des humains, les rituels de sacrifices humains ne relèvent pas du folklore ou de la fiction hollywoodienne, mais d’une réalité « objective ». Non, non, je ne plaisante pas !
Il pense que toutes les sphères de la société sont gangrenées et que 100 % des journaux mainstream sont corrompus et financés par ces mêmes élites.
Pour lui, comme aurait dit Coluche, la seule chose qui est vraie dans le journal, c’est la date !

Pavlov. Au même titre qu’un boxeur se lève immédiatement dès qu’il entend la cloche de reprise, le complotiste branche immédiatement ses circuits neuronaux déviants dès la moindre information.

« Une attaque terroriste dans une école ? ».
« C’est sûrement une attaque sous faux drapeau menée par le gouvernement ou des officines mondialistes ! »

C’est une maladie neurodégénérative qui nourrit
des symptômes psychiatriques de plus en plus aigus.

Jusqu’à la folie

Il n’existe quasi aucun sujet pour lequel le malade demeure un tant soit peu les pieds sur terre.

Plus le temps passe et plus le complotiste défend des thèses de plus en plus délirantes.

En voici une liste non exhaustive.

Pour eux tout ceci relève du mensonge et du complot :
(Je mets en note quelques références utilisées par les complotistes pour nourrir leur délire.)

  • 11 septembre : 2 avions qui volent à des vitesses impossibles selon le constructeur et qui font effondrer 3 tours à la vitesse de la démolition contrôlée. Tour 710.
  • L’assassinat de JFK par un malade isolé11.
  • L’homme sur la lune avec une technologie perdue depuis12.
  • Poutine qui saborde son gazoduc réduisant à néant ses possibilités de chantage13.
  • Le Covid une maladie où il faut subir des tests ou porter des masques pour connaître son existence.
  • La fiole d’anthrax14 ou les bébés15 tués dans leur couveuse pour justifier la guerre en Irak.
  • Le réchauffement climatique qui touche toutes les planètes du système solaire16 tandis qu’il a fait 60 °C cet été en Espagne17.
  • Le vaccin Pfizer qui n’a aucun effet secondaire18, le Vidal19 se trompe en reconnaissant qu’il peut tuer tandis que Pfizer20 ne connaît pas les effets secondaires lors de sa commercialisation.
  • La température de la lune a augmenté du fait des missions lunaires21.
  • Le fait qu’il n’a jamais fait aussi chaud depuis 100 000 ans22 soit bien avant l’invention du thermomètre.
  • Un vaccin protecteur, fait dont Pfizer lui-même n’est pas informé23, qui n’empêche pas la transmission, mais qui néanmoins protège les autres tout en faisant des non-vaccinés des assassins potentiels.
  • « Des femmes, des enfants ont eu la tête coupée. La mort est partout » lors de l’attaque du Hamas24.
  • Le vaccin HPV25 qui a permis d’éradiquer le cancer du col de l’utérus en Australie alors que le nombre de cas de cancers ne fait que croître depuis la vaccination massive.
  • Nous vivons dans une dictature mondiale, la démocratie n’étant qu’une illusion.
  • Etc.

Rien n’y échappe pas même Israël où ces fous de complotistes s’étonnent que l’on accuse Poutine de crime de guerre26 lorsque 5 civils (Ukrainiens je précise) sont tués par un missile tandis que Netanyahou est dans la légitime défense27 lorsque des centaines d’enfants palestiniens périssent, simples dommages collatéraux.

Ils vont même jusqu’à s’étonner de l’absence de condamnation des USA pour crime contre l’Humanité ayant tué des centaines de milliers de civils irakiens28.
C’est vous dire la folie de ces complotistes.

Il va de soi que nos gouvernants pensent à la planète en cherchant à limiter le CO2 même si c’est uniquement dans les pays occidentaux, la production de CO2 ne faisant qu’augmenter dans le monde29 et en continuant à autoriser en parallèle l’usage du Glyphosate, car sa dangerosité n’est pas prouvée.

En quoi cette maladie est si dramatique, ne pourrions-nous pas les ignorer ?

J’imagine que vous rigolez là !
Le chaos provoqué par la contamination totale de la planète serait pire que les 7 plaies d’Égypte.

Si les complotistes gagnaient, le monde ne serait que pur chaos !

Je précise que je ne fais que relayer les délires complotistes.

Imaginez un monde :

  • Qui ferait des lois pour interdire et combattre l’optimisation ou évasion fiscale30 qui se monte à 1000 milliards d’euros en 2022. à titre de comparaison la fraude aux prestations sociales31 en France serait de 6 à 8 milliards.
  • Qui condamnerait l’industrie pharmaceutique pour ses mensonges, ses corruptions et pour ses morts.
  • Qui mettrait en œuvre le référendum d’initiative citoyenne.
  • Qui permettrait aux peuples et aux États de décider de leur destin.
  • Qui prônerait le droit à l’eau, à l’énergie, à la nourriture et une répartition honnête des richesses tout en permettant la réussite personnelle basée sur autre chose que l’esclavagisme d’autrui.
  • Qui ferait la promotion de la famille avec un papa une maman et des enfants sans pour autant condamner les exceptions. Et dans lequel l’hétérosexualité se voudrait la norme et l’homosexualité confinée à la sphère privée.
  • Qui lutterait contre la corruption et les lobbies.
  • Qui interdirait toute censure, toutes lois mémorielles et ouvrirait les débats sur les médias nationaux.
  • Qui ne chercherait pas à les réduire en esclavage au bénéfice d’une infime minorité.
  • Où l’on prônerait le couple, le mariage, la fidélité ou l’abstinence et non la débauche, les clubs échangistes (ouverts durant le confinement) ou la pornographie à tous les étages.
  • Qui mettrait fin à la faim dans le monde pour un coût ridicule de 30 milliards par an durant 10 ans, la famine étant la volonté des gouvernants.
  • Qui soutiendrait une politique nataliste et apporterait une aide psychologique et/ou économique, sociale, aux femmes qui désirent avorter tout en leur montrant la réalité de l’acte, les conséquences psychologiques et le développement du fœtus au fil des semaines.
  • Qui prônerait des valeurs simples, la relation à la nature, le partage, l’entraide et non uniquement la réussite individuelle.
  • Où l’euthanasie des vieux, des malades, des fous, des pauvres, des toxicomanes serait interdite et remplacée par une aide et une solidarité aux personnes en souffrance.
  • Où les libertés et les droits de l’homme seraient au centre.
  • Qui mettrait à mal les lobbies d’armement.
  • Qui interdirait les lobbies LGBT, la transition de genre pour les mineurs.
  • Qui mettrait en œuvre des processus démocratiques et de destituions d’élus qui ont trahi.
  • Où l’éducation sexuelle pour les enfants de moins de 15 ans serait bannie des programmes scolaires.
  • Qui ne donnerait pas une valeur différente à des enfants palestiniens, israéliens, ukrainiens, russes, et j’en passe…
  • Où l’on affirmerait qu’il n’existe que deux genres, les hommes et les femmes sans faire de l’exceptionnel une norme.
  • Qui ne gouvernerait pas les citoyens par la peur, le mensonge, le chantage et la manipulation.
  • Qui lutterait activement contre la sexualisation des enfants, la pédophilie, ses réseaux et le trafic d’êtres humains.
  • Qui ferait revenir une science honnête sur le climat, les médicaments et les virus.
  • Qui éradiquerait le satanisme et prônerait l’amour. Qui prônerait la diversité en termes d’information et rendrait les médias indépendants.
  • Qui offrirait une prime à celles et ceux qui gardent leurs objets, leurs véhicules plus de 10 ans et qui le répareraient dans un esprit de décroissance.
  • Qui condamnerait tout personnage politique dont le patrimoine aurait explosé durant son mandat.

etc.

J’espère que vous avez pu lire tout ceci sans être écœuré par autant de folie et d’obscurantisme.

En voulez-vous encore ou avez-vous compris que cette vision d’enfer pourrait devenir réalité si le complotisme gagnait la population générale ?
Tout ceci prouve qu’il est Vital pour l’avenir de l’Humanité d’anéantir cette déviance et poursuivre vers le chemin d’une gouvernance mondiale protégée par les grands de ce monde (« les puissances d’argent » diraient les complotistes).

Contagion, protection

On ne le redira jamais assez, les complotistes sont extrêmement dangereux et il faut s’en protéger.
Il faut les tenir à distance le plus possible et d’autant plus qu’il existe les porteurs asymptomatiques qui ravagent des familles entières.

Il vous faut mettre en œuvre des gestes barrières.

Il ne faut jamais discuter avec un déviant, mais le rejeter et en faire un paria.

Vous devez couper les ponts, les rayer de votre vie, de vos contacts,
de vos listes sur les réseaux sociaux, il n’y a pas d’autres solutions !

Oubliez qu’hier vous étiez amis, oubliez que vous pouviez discuter de tout, oubliez qu’il est de votre sang, soyez conscient que la personne que vous appréciez ou que même vous aimiez n’existe plus. Seul son corps subsiste, mais son cerveau a subi des dommages irréparables. Si vous en doutez encore remémorez-vous ses théories délirantes.

Lors des vagues les autorités sanitaires bienveillantes nous disaient avec raison et sagesse de faire deux tables au réveillon de Noël et faire manger papi et mamie dans la cuisine pour les protéger du Fléau.
C’était aussi humaniste et généreux que de ne pas rendre visite à nos anciens dans les EHPAD au risque de les tuer.
Ne regrettez rien, le personnel médical a été exemplaire en ne leur donnant aucun traitement qui se serait avéré plus dangereux et qui leur a permis de partir dans la paix et la sérénité.
Quand la fin approchait, l’amour d’un médecin ou d’une infirmière était présent leur injectant du Rivotril pour qu’ils partent sans souffrances.
Je ne nie pas que ces protocoles ont sauvé des millions de vie de par le monde au nom de l’amour, mais une fois de plus nous n’étions pas focalisés sur le principal ennemi.
C’est un peu comme le gouvernement qui cherche à limiter les vitesses sur autoroute alors que plus de 95 % des accidents mortels se produisent sur le réseau secondaire.

Point pour le moins intéressant et désarmant :

« Plus la maladie complotiste progresse et moins elle est contagieuse. »

Cela s’explique aisément, car plus le temps passe et plus le malade adhère à des théories de plus en plus délirantes. Si au début ils vous expliquent que le virus n’est pas bien dangereux ou que les masques ne servent à rien, les complots sont de plus en plus grandioses.

Il est donc plus facile de se faire contaminer sur des thèses qui ne semblent pas folles que lorsqu’ils vous expliquent qu’une élite pédophile vole des enfants pour ensuite les tuer et boire leur sang dans des rituels sataniques pour ensuite vendre leurs organes32.
Quelle personne un peu censée pour gober un truc aussi délirant ?
Non, aucune personne avec les pieds sur terre ne peut prêter foi à de telles allégations qui ne reposent sur rien, ce qui prouve que le risque de contamination est bien moindre chez ceux qui sont proches de la psychose.

À la porte de la folie, lorsqu’ils en sont à vous expliquer que la terre est plate et que les amphibiens ont pris le pouvoir, leur contagiosité disparaît totalement, ils demeurent alors plus pittoresques que dangereux.
À ce stade il est à nouveau possible de les fréquenter et les inviter à « un dîner de cons33 » dans lequel ils pourront déblatérer toutes ces théories pour la plus grande distraction du public.

Pour résumer, le complotiste demeure largement plus dangereux que le virus et d’autant plus durant les phases asymptomatiques.
C’est donc eux qu’il aurait fallu et qu’il faut parquer pour protéger les honnêtes gens !

Si au moins mon texte permettait de ne sauver qu’une seule personne de cette gangrène, je pourrais me dire « c’est au moins une vie de sauvée ».

Ce qu’il ne faut jamais faire

Le problème est que lorsque l’on dit la triste vérité, il n’est pas rare de ne pas être pris au sérieux.
Certains se croient plus malins que les autres et pensent qu’ils vont pouvoir raisonner le malade, lui faire entendre raison.

« Il est intelligent, il ne pourra pas résister à des arguments imparables de Vérité et sera bien obligé de revenir les pieds sur terre et reconnaître ses erreurs si je lui ouvre les yeux ! »

Gardez-vous de cet objectif quand bien même il est d’une grande noblesse, vous allez vous faire balayer par la mauvaise foi, la folie et le fanatisme du complotiste.

Et vous voilà parti avec votre bâton de pèlerin pour tenter de raisonner le forcené…

Vous aurez beau lui dire :

« Mais tu n’es pas un spécialiste, tu n’es pas médecin, biologiste, climatologue, économiste », etc. que rien n’y fera.

Avec son bon sens, toute personne censée (appelée « normie » ou « mouton » par les complotistes) aura adhéré à toutes ces Vérités scientifiques, car elle sait bien qu’elle n’a pas les compétences pour juger de la véracité des choses, mais aussi, et surtout que :

Les autorités politiques et scientifiques sont là pour notre bien à de rares exceptions.

Et c’est là que nous voyons à quel point les médias, les scientifiques de plateaux et les politiques sont indispensables pour nous expliquer la vérité.
Qui dans son coin aurait pu soupçonner que le Covid était une maladie extrêmement contagieuse et mortelle sans leur apport et leurs explications sur l’indispensable test PCR.

Et les complotistes de rajouter :

« Merci à vous tous sans qui nous n’aurions jamais su que cette maladie existait
et que nous aurions pris pour une simple grippe,
maladie dont nous ne connaissons aucune personne jeune
et en bonne santé qui en serait morte hormis celles étiquetées Covid
quand bien même elles sont mortes d’un cancer. »

Il est vain de tenter de leur assener des arguments de bon sens pourtant tellement plus crédibles que les délires complotistes :

  • « Mais veux-tu entendre raison et comprendre que même si les mailles du masque sont 100 fois plus grandes qu’un virus, il les bloque en grande partie ! »
  • « Mais veux-tu entendre raison et comprendre que le masque est là pour protéger ceux qui sont autour, mais pas son porteur ! »
  • « Mais veux-tu entendre raison et comprendre que le confinement est efficace (et les complotistes de préciser que c’est comme attendre que le virus soit rentré dans le village puis enfermer tous les habitants, y compris ceux qui ne sont pas malades). »
  • « Mais veux-tu entendre raison et comprendre que plus les effets secondaires du vaccin sont importants et plus il est efficace34. »
  • « Mais veux-tu entendre raison et comprendre que le virus a ses heures, ses lieux, ses debout ou assis, ses plages, ses chemins en montagne, ses rayons livres dans les supermarchés et j’en passe. »
  • « Mais veux-tu entendre que la paranoïa suscitée par les punaises de lit est un coup des Russes35. »
  • « Mais veux-tu entendre raison et comprendre qu’il n’existe pas de trafics d’enfants et de réseaux pédophiles au profit de personnes haut placées. »
  • « Mais veux-tu entendre raison et comprendre que les sanctions contre la Russie, l’embargo sur le pétrole qui fond exploser les cours du brut ne profite pas à l’économie russe. »
  • « Mais veux-tu entendre raison et comprendre que la vaccination et le passe sanitaire sont la seule solution et que les non-vaccinés mettent en danger les vaccinés protégés par leur vaccin efficace ! »
  • « Mais veux-tu entendre raison et comprendre que la légitime récupération des terres palestiniennes par les israéliens, de la prison à ciel ouvert depuis des dizaines d’années, l’absence totale d’espoir, le financement du Hamas par Israël ne justifie en rien les attaques du Hamas. »
  • « Mais veux-tu entendre raison et comprendre que le CO2 va nous tuer quand bien même il était 20 fois plus important du temps des dinosaures et ne représente que 0,04 % de la composition de l’atmosphère ! »
  • « Mais veux-tu entendre raison et comprendre que la guerre civile dans le Donbass depuis 2014 et les populations civiles bombardées n’explique et ne justifie en rien l’agression de Poutine ! »

Je pourrais multiplier par cent tous ces exemples, mais vous comprendrez que c’est peine perdue.
Vous savez quand un gars en est à mettre en doute sur le fait que :

  • « Deux avions peuvent faire tomber trois tours, la faute à pas de chance. » ou que :
  • « Les Russes ont saboté leur propre gazoduc en oubliant qu’ils pouvaient utiliser un robinet pour fermer le gaz, uniquement pour faire accuser les USA. »

On peut dire que c’est foutu, rien ne rentrera dans leur tête !

Non seulement vous perdez votre temps, mais vous prenez un risque énorme, celui de devenir à votre tour porteur asymptomatique.
Qu’est-ce qui vous dit que quelques heures, jours ou semaines plus tard vous n’allez pas glisser à votre voisin :

« C’est quand même bizarre que le gouvernement ait interdit aux médecins de soigner, conseillé aux malades de rester chez eux et de n’appeler les urgences qu’à l’article de la mort36. »

ou

« Tu savais que l’industrie pharmaceutique était la plus corrompue, corruptrice et condamnée, Pfizer, 2,3 milliards de dollars d’amendes37 en 2009 ? ».

Et voilà, c’est ainsi que l’on propage le complotisme avec des petites phrases qui sur le coup peuvent sembler innocentes.

Même les plus grands, les plus forts, les plus iconiques peuvent basculer dans la folie.
Greta Thunberg, l’idole de toute une génération, toujours présente pour sauver la planète, ne pas condamner Davos et ses centaines de déplacements aériens, a publié une tribune contre Israël et pour la Palestine38.
Les autorités scientifiques et politiques israéliennes veillent sur nous et viennent à juste titre et avec bienveillance de retirer Sainte Greta des manuels scolaires39 pour apologie du terrorisme avec son appel immonde à la protection des populations civiles en Palestine.
Alors, ne croyez pas que vous, misérable pion, soyez plus fort et plus à même de résister.

La seule action positive que vous puissiez faire après l’avoir rayée de votre vie est de la délation. Faire circuler au maximum l’information afin de protéger un maximum d’innocents qui pourraient être contaminés par ce monstre !

Traitements, pronostic et guérison ?

L’épidémie est inquiétante, car on ne voit pas comment s’en sortir.
N’espérez pas entendre un ancien complotiste vous dire :

« J’ai été vraiment stupide, j’aurais dû m’injecter ce vaccin contre le Covid
que j’appelais poison ou médicament expérimental,
si vous saviez à quel point je regrette aujourd’hui ! »

Ceci est d’autant plus « fou » que l’on croise régulièrement des personnes, pourtant saines d’esprit, des vaccinés plusieurs doses qui affirment regretter la vaccination ??!!

À l’heure où j’écris ces lignes, seules 2 % des personnes éligibles au rappel l’auraient fait (la « Sainte Ampoule » pour les complotistes).
Un monde dans lequel le Ministre de la Santé40 rappelait encore récemment des vérités triviales comme « On a un vaccin qui est plus efficace que celui de l’an dernier, il n’y a pas d’effets secondaires41 ».
Comment pourrait-on mettre en doute les paroles d’un ministre, qui plus est, ancien directeur de l’Agence Régionale de Santé d’île de France ?

Pourtant les faits sont là et la Science avance tous les jours vers le chemin de la vérité.
Le vaccin Covid nous a apporté d’immenses progrès dans tous les domaines de la médecine.
Alors que nous l’ignorions ou n’y prêtions pas suffisamment attention, nous avons découvert que tous les sports, toutes les activités humaines, tous les médicaments, toutes les pathologies même prétendues bénignes comme le rhume pouvaient provoquer des myocardites et des crises cardiaques.

Ceci n’aurait pas été rendu possible sans l’avènement de ces vaccins révolutionnaires à base d’ARNm efficaces et sans effet secondaire, comme l’a rappelé le Ministre.

Est-ce à dire que les complotistes auraient gagné ?

Rassurez-vous il n’en est rien. Le peuple, dans son infinie sagesse, a remplacé son soutien au vaccin Covid par son soutien à la cause climatique puis son soutien à l’Ukraine et aujourd’hui son soutien à Israël, et ce avant de rebasculer vers une nouvelle cause.
Oui, mais… Le phénomène de contagion demeure pour autant réel.

Alors existe-t-il des traitements pour guérir ?

C’est là le fond du problème. Un des principaux symptômes de la maladie est la paranoïa.
N’espérez donc pas leur faire suivre une thérapie ou prendre le moindre médicament qu’ils interpréteraient immédiatement pour une menace.

Tout ce qui pourrait être pris pour de la manipulation ou un danger ne ferait que nourrir leurs délires et théories conspirationnistes.

Les manipuler pour leur faire croire que la molécule pour les guérir serait une graine guatémaltèque marinée dans de la pisse de lama ?
Je n’y crois pas et d’autant moins qu’il n’existe pas de médicaments contre ce type de folie.

Les chemtrails ? Toute personne censée sait bien que cela n’existe pas et leur utilisation toucherait l’ensemble de la population saine d’esprit.

Il resterait les centres de rééducation, de reprogrammation comme savaient si bien le faire certains régimes totalitaires.
Mais il faudrait qu’ils acceptent de s’y rendre en masse et la contrainte risquerait de les rendre violents. Forcer quelques individus passe encore, mais des centaines de milliers c’est une autre paire de manches. Sans compter que si vous les mettez ensemble cela ne fera qu’accroître leur folie et leurs croyances dans les théories les plus folles.

Plus le temps passe, plus les symptômes s’aggravent. Si au début ils peuvent affirmer que « le Covid est une simple petite grippe », plus le temps passe et plus cela empire.
Ils passent facilement du « vaccin ARNm expérimental dangereux » à « tous les vaccins sont des poisons qui n’ont jamais été évalués et qui n’ont jamais sauvé la moindre personne ».

Ces individus n’étant pas traitables, une communication rationnelle étant impossible, le pronostic est sans appel, ils deviennent fous !

À ce stade tout n’est que mensonge dans leur monde et les plus atteints en sont à nous expliquer que la Terre est plate ou que l’élite mondiale est dirigée par des reptiles extra-terrestres.

Sans traitements, que faire ?

Dès lors qu’il est impossible de les raisonner ou de les soigner, que faire ?

Les fact-checker font un travail formidable, mais ils se révèlent contre-productifs.
Comme on dit, il n’y a pas de fumée sans feu.
Et même s’ils font un travail extraordinaire de vérification des faits en interrogeant des spécialistes qui se contentent d’affirmer avec justesse que telle ou telle théorie complotiste est fausse, cela peut faire germer des idées délirantes chez des esprits faibles.

Nous faisons face à une question aussi vieille que le monde qui interroge tous les merveilleux journalistes de notre planète.
Il est évident qu’aucun ne cherche le scoop pour le scoop et prend du recul avant de transmettre une information.

Devons-nous parler des complotistes, devons-nous informer les braves gens
de leur existence ou pas, au risque de créer des vocations ?

  • Ne pas en parler c’est laisser les gens normaux (« normies ») sans défense qui peuvent se faire happer au détour d’une conversation, pardon d’une manipulation abjecte d’un complotiste.
  • En parler c’est leur faire de la publicité et faire germer des idées délirantes dans des cerveaux faibles, la majorité des complotistes étant plutôt des crétins analphabètes et influençables.

Reste alors la censure qui est une arme à double tranchant. Le problème est qu’elle nourrit le complotisme.
Les complotistes ont beau jeu de dire :

« Si vous avez la preuve que ce que vous dites est vrai, pourquoi refusez-vous le débat,
censurer est bien la preuve de votre absence d’argument et nous avons raison. »

Les réseaux sociaux

Des personnes très bien prônent le contrôle de la liberté d’expression et l’interdiction des réseaux sociaux.

L’idée d’interdire pour défendre les libertés et la démocratie est sans aucun doute positive.

Les esprits faibles qui croisent des théories délirantes peuvent être facilement embrigadés.
C’est bien pour cela que nous devons façonner (« formater » selon les complotistes) les cerveaux des plus jeunes le plus tôt possible afin qu’ils ne se risquent pas de se poser les mauvaises questions.
Nous ne le dirons jamais assez :

« Poser des questions sur les vérités triviales relève de la déviance et sont les signes d’une maladie. »

Quand allez-vous comprendre que dès lors que tous les médias mainstream, tous les scientifiques qui ont accès à ces médias, tous les politiques qui ont accès à ces médias, mais aussi l’OMS ou le GIEC disent TOUS la même chose c’est que c’est la Vérité et qu’il ne saurait exister de complot mondial hormis dans votre tête de malade ?

« Si tout le monde le dit, c’est que c’est vrai, et se poser la question relève de la psychiatrie. »

Mais alors, si ces médias sociaux, Facebook, YouTube, X sont si dangereux pourquoi ne pas délivrer d’autorisation à ceux qui sont pour la démocratie basée sur l’interdit et censurer les autres ?
Poser cette question relève de la méconnaissance de ces outils.
Ces médias vivent de la publicité et sont donc conçus pour vous apporter ce que vous désirez. Devant les milliards de publications, il n’est pas possible de tout vous afficher.

Les algorithmes sont là pour vous cerner, vous connaître, noter vos favoris, noter vos commentaires, ce qui leur permet de créer votre profil.

Alors même s’il existe des outils pour déréférencer certaines chaînes, ce n’est même pas utile42.

Ces réseaux sociaux montrent des publications complotistes aux complotistes
et des publications honnêtes aux honnêtes gens.
Le public est acquis !

En clair les complotistes se publient entre eux, c’est un entre-soi, leur pouvoir de nuisance est négligeable pour ne pas dire quasiment nul.
Plus ils seront à se faire plaisir entre eux sur les réseaux sociaux, plus ils y passeront de temps et moins ils répandront leur folie.

« Les réseaux sociaux sont ni plus ni moins qu’une prison à ciel ouvert,
un centre de détention pour idées complotistes.
Il est donc vital de les maintenir dans une illusion de liberté.
Les attaques médiatiques régulières ne servant qu’à les manipuler

et leur faire croire que c’est un espace de liberté qui menace les bonnes gens
et les illusionner dans une prétendue perversion ou dangerosité de leurs actions.
Les parquer dans ces réseaux sociaux permet de les contenir, les compter, les contrôler.

Bref, un piège à cons dans lequel ils se complaisent
et dont ils ne doivent sortir sur aucun prétexte. »

La loi au service de la lutte contre le complotisme

La censure a montré ses limites dans la lutte contre ce fléau.
L’arsenal juridique doit être mis à jour pour nous protéger du complotisme, il en va de la survie du monde libre et de la démocratie.
La loi doit être non pas au service de chaque individu, mais au service du « grand tout », du « plan » et de la lutte contre la désinformation.

La liberté d’expression doit être exclusivement réservée aux sujets autorisés
par les autorités bienveillantes, sujets qui ne relèvent pas de la Vérité.
Non, tout ne se discute pas !

« Nous devons interdire au nom de la liberté ! »

En France nous avons la chance et l’intelligence d’avoir une loi mémorielle qui protège de l’antisémitisme et empêche de questionner sur la Shoah !
Encore heureux, me direz-vous, et ce n’est certainement pas moi qui vous dirais le contraire.

Imaginez que l’on puisse mettre en doute, interroger, questionner sur cette pire horreur qu’ait connue l’histoire du monde ? Il évidemment sain, logique et moral que les antisémites soient condamnés et qu’ils ne puissent s’exprimer librement.

Il faudrait donc étendre cette loi à tous les sujets qui font consensus et relèvent de la Vérité.
Cela permettrait d’identifier les sujets non discutables qui ne peuvent se revendiquer de la liberté d’expression.

Nous pourrions pénaliser et condamner tous les sujets
qui sont de l’ordre du « Blasphème Scientifique » !

D’aucuns naïfs imaginent que ce type de loi pourrait être contre-productif et ne comprennent pas pourquoi certains sujets ne peuvent être discutés.
Ils nous rétorquent :

« Nous avons évidemment toutes les preuves nécessaires pour prouver l’existence de la Shoah. Les données, les faits, les chiffres, le nombre de morts, les rendements des chambres à gaz, le nombre de survivants ne mentent pas. Nous disposons de tous les éléments matériels objectifs pour démontrer la réalité des faits, alors pourquoi ne pas autoriser le débat contradictoire ? »

Quand bien même nous disposons de toutes les preuves pour faire s’effondrer toutes les théories complotistes, le débat est impossible avec ces menteurs paranoïaques.
Encore une fois je vous rappelle que leur donner une tribune ne peut que répandre leur folie.

Débattre c’est nourrir le complotisme, la Vérité ne se discute pas !

Alors quelles sont les idées qui devraient être pénalisées ? La réponse est simple : TOUTES les pensées déviantes et théories complotistes sans exception !

Il devrait être interdit de remettre en cause ou questionner :

  • L’efficacité et l’innocuité de tous les vaccins passés, présents et futurs.
  • La théorie virale.
  • L’homme sur la lune.
  • Le 11 septembre.
  • L’existence du SIDA.
  • L’avortement qui, rappelons-le, ne tue pas un être humain en formation.
  • Le nombre de genres et les théories pardon les réalités scientifiques LGBT.
  • Le réchauffement climatique.
  • L’assassinat de JFK.
  • Le massacre de Srebrenica.
  • Le sabotage de Nordstream.
  • L’efficacité et l’innocuité des masques.
  • L’existence de réseaux pédophiles et de trafic d’êtres humains.
  • L’immigration.
  • Le sexe de naissance de certaines personnalités françaises ou américaines.
  • Les capacités cognitives du Président Biden.
  • L’apprentissage de la sexualité dès 3 ans.
  • Les chemtrails.
  • L’unique culpabilité de Poutine indépendamment du coup d’État américain de la révolution orange43 en 2014.
  • Les campagnes massives de dépistage du cancer du sein comme octobre rose créée par la division pharmaceutique d’Imperial Chemical Industries44.
  • L’origine de l’incendie de Notre-Dame.
  • L’unique culpabilité du Hamas45 financé par Israël
  • La sortie de l’Europe.
  • L’efficacité du gouvernement.
  • Etc.

Pour se faire :

Un comité des sages indépendants et objectifs nommés par le gouvernement
avec l’approbation des députés se réunirait tous les mois
afin de mettre à jour la liste des Vérités scientifiques.

Aucun déviant ne serait admis à participer aux débats qui se tiendraient à huis clos et sans retranscription pour des raisons évidentes de sécurité.

Il est certain que nous serions amenés à construire de nombreuses prisons, mais cela créerait de l’emploi.
Les centaines de milliers de complotistes français réfléchiraient à deux fois avant de répandre de fausses informations et le monde serait tellement plus libre.

Les éliminer ?

Il faut être un idéaliste pour formuler une telle solution. Hélas ! notre monde est devenu trop laxiste et faible pour agir de la sorte.
C’est comme pour le terrorisme, c’est uniquement en faisant des lois liberticides qui supprimeraient les droits de l’homme pour notre bien que nous pourrions en venir à bout : « œil pour œil et dent pour dent ».
C’est pourtant bien séduisant, mais cela risquerait d’être impopulaire auprès d’un peuple bon et naïf.
Le danger serait aussi la création de martyres. Telle l’hydre, chaque tête coupée pourrait en faire repousser deux.

Il existe d’autres solutions mises en œuvre dont l’efficacité n’est pas discutable.

  • La campagne de dénigrement quand bien même vous seriez un spécialiste reconnu par le passé, voir prix Nobel, « il a pété les plombs ».
  • On pourrait aussi leur retirer leurs enfants afin de les protéger de la folie de leurs parents.
  • L’accusation d’antisémitisme, ce qu’ils sont tous, bien sûr.
  • L’accusation d’agression sexuelle ou de viol, même si cela ne débouche pas sur une information judiciaire. C’est toujours efficace pour détruire une réputation, ça marche toujours.
  • Les ridiculiser en les mettant au même niveau que les platistes ou les Reptiliens.
  • Les faire passer pour fous, ce qu’ils sont, leur faire passer des expertises psychiatriques, et si possible les interner et les mettre à l’isolement.
  • Tenter de les rendre encore plus fous, donc plus inoffensifs grâce aux trolls qui les convaincraient de théories encore plus délirantes que le bon peuple ne pourrait pas gober et qui permettraient de les disqualifier sans violence. C’est une option intéressante, car nous avons vu que plus ils s’approchent de la folie et moins ils sont contagieux. Dès lors qu’il est impossible de les guérir, accélérer leur maladie, les abreuver de théories les plus loufoques les unes que les autres peut les faire passer pour le fou du village et sauver des vies. Notons que cette immersion totale peut provoquer un électrochoc chez celles et ceux qui ont encore un semblant de neurones et ainsi les faire revenir les pieds sur terre. « Comment ai-je pu délirer autant, le gouvernement et l’industrie pharmaceutique œuvrent pour le bien du public, c’est un fait connu. »

Prévention ?

Inutile de rappeler à tout un chacun que :

Poser des questions ne relève pas de la curiosité scientifique ou intellectuelle, mais de l’abject.

Raison pour laquelle il est indispensable de formater d’éduquer dès le plus jeune âge.
Mettre l’accent sur les disciplines importantes comme l’obéissance ou l’éducation sexuelle.
Mais surtout les ouvrir sur la réalité des multiples dangers du monde (chômage, immigration, retraites, épidémies, terrorisme, changement climatique, guerres, fin du pétrole, danger du nucléaire, transition écologique, montée des eaux, OVNI et j’en passe…).
Plus ils seront informés et moins ils auront l’idée de remettre en doute les vérités officielles.
Des médias complémentaires, soit, mais qui énoncent tous les mêmes vérités afin de ne pas entraîner de confusion dans les esprits.
Un système électoral qui empêche les dissidents de pouvoir être élus et même de se présenter afin que le pire ne se produise pas.
Marteler que nous vivons en démocratie et que les dictatures c’est horrible, mais surtout ailleurs !
Marteler qu’il n’existe pas d’autres systèmes que l’ultralibéralisme qui autorise l’ascenseur social et permet aux classes moyennes d’exister grâce à la théorie du ruissellement.

Et surtout rabâcher cette Vérité.

« Les gouvernements occidentaux démocratiques sont bons et au service du peuple. »

Ces futurs adultes pourront plus facilement résister aux théories complotistes.

Souffrance des gens normaux

Cette maladie entraîne des souffrances et du malheur de part et d’autre.
Pour autant les gens normaux ne l’ont pas mérité. Oui il est vital de couper les ponts avec un proche complotiste, oui il est vital d’en faire un paria, un intouchable, un non-être !

Vous croyez que c’est facile dans une famille de répondre lorsqu’on lui demande des nouvelles d’un fils, d’une mère, d’une sœur ?! Imaginez la honte ressentie. Alors on botte en touche, on élude la question, on ment sur cette horrible réalité.

Et puis merde, pourquoi devrions-nous nous sentir coupables de leur exclusion du monde des gens normaux, on ne leur a rien imposé, c’est eux qui ont fait ce choix délirant, c’est leur décision, leur « liberté » de malades. C’est comme les habitants du Donbass ou les Palestiniens qui sont tués chaque jour, ils n’avaient qu’à se débarrasser de Poutine ou du Hamas en temps et en heure.
Il en est de même de toutes les guerres justes menées par les Américains depuis des décennies et les centaines de milliers de morts civils, ce n’est pas de notre faute si ces gens-là n’avaient pas les bons gouvernants. Ils veulent la paix, alors qu’ils chassent leurs dirigeants sinon ils en paieront le prix !

Alors le complotiste qui souffrirait ou se sentirait seul, qui ne pouvait plus aller au restaurant parce qu’il n’était pas vacciné, dont l’enfant ne pouvait plus faire du sport, qui ne peut plus prendre sa voiture en ville parce qu’il refuse de participer à la sauvegarde de la planète avec une voiture électrique ou qui a perdu son emploi, ce n’est pas mon problème, mais uniquement le sien !
Et si demain il est assigné à résidence et interdit de travail lors de la prochaine pandémie mortelle parce qu’il refuse de se faire injecter le vaccin (« Sainte Ampoule » pour les complotistes) sûr et efficace ou qu’il est assigné à résidence parce qu’il a dépassé son quota carbone avec sa vieille bagnole et son chauffage au fuel, c’est son problème, son choix, sa décision !
Je ne vois pas en quoi je serais responsable de son incarcération à domicile ou dans un camp si celui-ci ne respecte pas les règles du vivre ensemble et de la société démocratique.

Michel Onfray46 est sans doute un de ceux qui résument si bien la notion de droit.

« J’ai fait savoir effectivement que j’étais pour le pass sanitaire en disant, mais vous avez bien sûr le droit de contaminer les gens ; il y a aucun problème. Vous pouvez aussi quand vous avez le SIDA d’avoir des rapports sexuels avec des gens non protégés, c’est un droit, allez-y à estimer qu’effectivement c’est une jeune fille qui vous plaît, vous avez le droit de la violer, mais cette façon de concevoir que le droit de nuire est un droit me sidère. »

Je veux bien être un bon chrétien, mais le complotiste doit assumer ses choix délirants et arrête de débloquer avec ses « droits de l’homme ».

L’égoïsme du complotiste

Le complotiste n’est qu’égoïsme, il ne pense qu’à sa gueule. Il n’en a rien à faire de semer la mort sur son passage en refusant le masque, les gestes barrières ou la vaccination du salut.
Pire que ça, on peut l’entendre se vanter de n’avoir jamais porté ce masque qu’il nomme « muselière ».
Mais quel débile qui n’a toujours pas compris qu’il ne doit sa vie sauve qu’à tous les honnêtes gens qui justement ont porté le masque, respecté les gestes barrières, les confinements et se sont vaccinés cinq ou six fois avec cette injection sûre et efficace !

Et aujourd’hui ces mêmes crétins criminels parlent de paix en Ukraine ou en Israël. Ils voudraient que l’on cesse immédiatement les combats et que l’on négocie avec les terroristes.

Ah ! elle est belle leur morale qui consiste à faire gagner les monstres.
S’il faut raser le Donbass ou la Palestine, voire même la Russie ou l’ensemble des pays du Moyen-Orient pour obtenir une paix durable, alors faisons-le, parce que ce n’est que justice.
Le camp du bien gagnera et au diable les millions de corps de (jeunes) soldats, hommes, femmes ou enfants déchiquetés pour la victoire de la démocratie et de la paix !

Ils ne sont pas moins égoïstes avec le changement climatique. Ces fous nous mènent à la destruction, au chaos et à la mort. Ils ne pensent qu’à leur petit confort immédiat, leur petite voiture diesel, leur passoire thermique, leur pouvoir d’achat, à sauver leur emploi dans une industrie mortifère et à manger de la viande tous les 15 jours quand ils en ont encore les moyens !
Ces crétins nous agressent avec leurs théories délirantes de changement climatique « naturel » lié à l’activité solaire, ou de quantité infinitésimale de CO2 émis par la France, d’éoliennes qui polluent et de batteries électriques dont la production génère mort47, misère et pollution dans les pays pauvres.

Je ne vois pas comment nous pourrions avoir de l’empathie pour ces personnes dont les projets vont vers l’Armageddon.

La souffrance du complotiste

Mais qu’est-ce qu’on en a à foutre.

  • Il pense à nous lui quand il nous fait honte ?
  • Il pense à nous quand des amis voient qu’il est dans notre liste Facebook ?
  • Il pense à nous en nous contaminant avec des virus mortels ?
  • Il pense à nous quand il nous met en danger, prône la paix avec des dictateurs ou refuse de sauver la planète du réchauffement climatique ?
  • Il pense à nous en gardant sa vieille bagnole et en mangeant du steak ?

Je me suis promis d’être le plus exhaustif possible et je vais donc tenter de me placer dans la tête de ces minables malades mentaux. Après tout, il est important de connaître son ennemi.

Nous pensions le complotiste comme une sorte de psychopathe dénué d’émotions,
des études semblent prouver le contraire.

Il était pourtant logique de penser qu’il n’en a pas, ce que les médias nous ont expliqué jour après jour depuis des mois. Comment penser le contraire quand on voit que ces fous provoquent drames et désolations avec leurs comportements au ban de la société ?

Pour faire simple, ils refusent systématiquement tout ce qui est bon pour le pays et les citoyens. Ils ont généralement plusieurs angles d’attaques délirants :

  • La mesure est « inefficace ».
  • La mesure est « contre-productive et dangereuse ».
  • Les effets secondaires sont « pires que l’inaction ».
  • La mesure est une « atteinte aux droits de l’homme et aux libertés individuelles ».

Toujours le même disque : Masques, confinements, passe sanitaire, vaccination, sanctions économiques contre la Russie, guerres, blocus de la Palestine, énergies renouvelables, voitures électriques, etc.. Tout y passe dans leur logique biaisée.

Alors oui ils souffrent à des degrés divers.

Rappelons que :

  • Ils croient dur comme fer détenir la vérité.
  • Ils croient que les honnêtes gens sont manipulés et victimes d’une gouvernance mondiale qui ne cherche pas leur bonheur, mais à les réduire en esclavage.
  • Ils croient que toutes les mesures qui font consensus sont mauvaises et dangereuses.
  • Ils croient que l’augmentation des myocardites, des décès chez les moins de 60 ans, des fausses couches et de la baisse de natalité (qui sont statistiquement réels selon les chiffres officiels) est due au vaccin. Pourtant vous et moi savons que la cause en est le changement climatique et le stress induit notamment par l’immonde Poutine.

Ces fous sont persuadés que les gens normaux (« normies ») sont manipulés
tels les membres d’une secte et qu’ils n’ont plus accès à la réalité et à la réflexion.

D’autant plus risible venant de personnes qui pensent que nous ne sommes jamais allés sur la lune ou que le 11 septembre est un coup monté, une attaque sous faux drapeau.

Leur souffrance vient :

  • De leur échec.
  • De leur incapacité à « ouvrir les yeux » des bons citoyens.
  • De leur privation du droit de discuter pour convaincre.
  • De leur impossibilité de pouvoir délivrer leurs messages délirants dans des médias de grande écoute.
  • De la « volonté » des masses de rien savoir.
  • Bref de leur sentiment de totale impuissance.

Souffrance d’autant plus profonde alors qu’eux « savent » que :

« L’impuissance du complotiste, son impossibilité de communiquer avec ses proches
qui refusent tout dialogue et s’injectent des “poisons” potentiellement mortels
est du domaine de l’infernal. »

Ces parias ont beau essayer de faire comme les gens normaux qui condamnent les complotistes et dire « ils l’ont bien cherché » ; ce n’est que maigre consolation.

Le plus atroce est cette privation du droit à expliquer, à communiquer.
Ils sentent bien à quel point ceux qu’ils nomment les « normies » refusent tout dialogue, « surtout, ne me dis rien ! »

Cette attitude qui protège les gens biens de la contamination complotiste ne fait que renforcer leurs croyances.

« Si tu refuses la communication, c’est bien que tu as peur de mes propos,
c’est bien que tu sens que tu pourrais être touché par mes arguments,
c’est bien la preuve que j’ai raison et que tu n’as aucun argument contre. »
« Une Vérité qui ne peut être discutée relève du mensonge ! » 

C’est donc cette impuissance au quotidien qui ronge le complotiste, qui lui fait penser « à quoi bon, ceci ne sert à rien » et qui se tord de douleur en cherchant un moyen de sortir du cauchemar de la « dictature mondiale ».

Quel avenir pour l’Humanité ?

Vaste débat, quid des forces du bien, donc des USA, des politiques, des banques, de l’industrie pharmaceutique, des industries militaires occidentales, des politiques, des lobbies, de l’OMS, des médecins affiliés, des médias mainstream, des philanthropes, des mouvements LGBT, des démocrates, des gauchistes anticléricaux, des Greta Thunberg, ah non, elle vient de basculer du côté obscur, vont gagner cette guerre contre le Mal ?

Vision positive avec la victoire du bon sens et de la Vérité indiscutable :

Une écrasante majorité du peuple accepte et demande des augmentations de sécurité, donc des diminutions de liberté.
Port du masque, confinement, passe sanitaire, vaccin obligatoire, guerre en Ukraine, sanctions contre la Russie, changement climatique, soutien inconditionnel à Israël, passe carbone et j’en passe.
Quand nous voyons son adhésion à toutes ces mesures, quand on voir son absence de critiques et de questionnement, quand on voit qu’il accepte de payer 2 euros le litre carburant (moins de 1 euro aux USA48), on ne peut que se réjouir et dire que le complotisme n’est pas près de gagner.

Vision négative et victoire du complotisme

Le nombre de personnes qui se sont fait injecter le rappel, qui disent « plus jamais de vaccin Covid », le nombre qui commencent à douter de l’honnêteté ou du charisme de Zelensky, qui pensent qu’on se fout de leur gueule sur le réchauffement climatique, qui refusent que les populations civiles palestiniennes soient éliminées, alors on ne peut que s’inquiéter et se dire que le complotisme gagne du terrain.
Sans compter, comme je l’ai maintes fois écrit, on ne verra jamais un complotiste regretter de ne pas s’être fait vacciner tandis que tous les jours de nouvelles personnes basculent.

Mathématiquement le nombre de complotistes ne fera que croître,
la question qui se pose c’est « à quel rythme ? »

Selon un sondage récent49, donc évidemment mis en doute par les complotistes, 60 % des Français ont du mal à savoir si l’information véhiculée par les médias est vraie ou fausse !
Médias moribonds qui ne survivent qu’à coup de milliards de subventions et quand on sait que c’est le payeur qui dirige l’information, nous pouvons imaginer que cela n’est pas près de s’arranger.
De fait et en toute logique, les citoyens seront de plus en plus enclins à chercher l’information sur des médias « alternatifs » et qui n’adhèrent pas à la Vérité consensuelle.

Alors les bons citoyens vont-ils majoritairement continuer à ne se poser aucune question, à accepter les diminutions de liberté et de pouvoir d’achat, à obéir, à voter pour les partis autorisés qui ne feront aucune réforme structurelle ?
Vaste question !

Merci

Alain Tortosa50

27 octobre 2023 https://7milliards.fr/tortosa20231027-en-finir-avec-le-complotisme.pdf





Bitcoin : la cryptomonnaie consomme plus d’électricité que le Pakistan

[Source : reporterre.net]

« Si le Bitcoin était un pays, sa consommation d’énergie serait classée au vingt-septième rang mondial. » Entre 2020 et 2021, le réseau mondial de minage de cette cryptomonnaie a consommé 173,42 térawattheures d’électricité, soit plus que le Pakistan et ses 231 millions d’habitants. C’est ce que révèle, le 24 octobre, une étude menée par des scientifiques des Nations unies.

Ce minage consiste à résoudre des casses-tête mathématiques pour sécuriser (crypter) la monnaie. Une tâche nécessitant de puissants ordinateurs énergivores. « Pour compenser cette empreinte, il faudrait planter 3,9 milliards d’arbres, soit une superficie presque égale à celle des Pays-Bas […] ou 7 % de la forêt amazonienne », détaille le professeur Kaveh Madani, directeur de l’étude.

Des quantités d’eau astronomiques

Au-delà de l’empreinte carbone considérable, ces activités ont des effets inquiétants sur l’eau et la terre. En deux ans, la quantité d’eau utilisée pour le minage — pour refroidir les ordinateurs — est similaire à celle nécessaire pour remplir… plus de 660 000 piscines olympiques. Autrement dit, de quoi répondre aux besoins domestiques actuels en eau de plus de 300 millions de personnes dans les zones rurales d’Afrique subsaharienne.

Ces monnaies numériques ont déjà gagné la confiance des plus grands investisseurs, qu’il s’agisse de multinationales, de millionnaires, de criminels ou de blanchisseurs d’argent, précise l’étude. Elles auraient même le potentiel d’écraser les monnaies les plus fortes au monde. Parmi les grandes nations consommatrices de Bitcoin, la Chine se classe de loin sur la première marche du podium. Les États-Unis, le Kazakhstan, la Russie, la Malaisie, le Canada, l’Allemagne, l’Iran, l’Irlande et Singapour complètent le top 10.




Pendant qu’un Canadien sur cinq souffre d’insécurité alimentaire, le gouvernement continue de vouloir imposer sa taxe carbone sur l’agriculture

[Source : quebecnouvelles.info]

[Illustration : Photo Elliot Ferguson/The Whig-Standard/Postmedia Network]

Par Sabrina Maddeaux

Notre pays est peut-être riche en ressources naturelles, mais lorsqu’il s’agit de mettre de la nourriture sur la table des Canadiens, le gouvernement fédéral est en faillite tant sur le plan moral que politique. À maintes reprises, les libéraux ont préféré l’idéologie à la réalité économique, et la rhétorique à la substance.

C’est ainsi que le nombre de Canadiens souffrant de la faim n’a jamais été aussi élevé dans l’histoire récente — un état de fait qui devrait être une honte nationale.

Les banques alimentaires du pays font état d’un nombre record de clients, dont une part croissante possède une formation universitaire et un emploi à temps plein. En août, la Banque alimentaire d’Ottawa a été contrainte d’annuler des quarts de travail de triage des aliments parce qu’elle ne recevait pas assez de dons, un problème qu’elle a attribué à l’impact des prix élevés des aliments sur les habitudes des donateurs.

Selon un sondage Mainstreet publié en juin 2022, près d’un quart des Canadiens souffrent de la faim en raison de l’augmentation du prix des denrées alimentaires. Cette année, un rapport national sur la pauvreté établi par Banques alimentaires Canada dénombre 18 % de la population en situation d’insécurité alimentaire.

Le taux d’inflation des produits alimentaires a toujours dépassé celui de l’indice des prix à la consommation (IPC), obligeant même les familles de la classe moyenne et de la classe moyenne supérieure à faire des choix difficiles à la caisse. Ces groupes démographiques ne souffrent peut-être pas de la faim, mais nombre d’entre eux ne bénéficient pas d’une alimentation adéquate — une tendance qui aura des conséquences à la fois individuelles et sociétales si elle n’est pas maîtrisée.

Une nouvelle enquête menée par des chercheurs de l’université Dalhousie montre que 63 % des 5 000 personnes interrogées s’inquiètent des effets à long terme sur la santé qu’elles pourraient subir en choisissant des aliments moins nutritifs en raison de la flambée des prix. Quarante-neuf pour cent des personnes interrogées ont réduit leur consommation de protéines en raison de l’accessibilité financière, et 46 % ont réduit leur consommation de fruits et légumes.

Pendant longtemps, les libéraux du Premier ministre Justin Trudeau ont insisté sur le fait que la question de l’accessibilité financière était totalement hors de leur contrôle ; pour eux, c’était l’œuvre d’une fée magique de l’inflation des denrées alimentaires à l’échelle mondiale. S’il est vrai que les prix des produits alimentaires ont augmenté ailleurs après la pandémie, il suffit de regarder de l’autre côté de notre frontière, où le taux d’inflation alimentaire est inférieur au nôtre, pour savoir que le Canada pourrait faire beaucoup mieux.

La taxe carbone est un bon point de départ. S’il est évident que les libéraux ne la supprimeront jamais complètement, ils devraient la modifier de manière à ce qu’elle cesse de pénaliser notre secteur agricole et, par extension, les Canadiens ordinaires. C’est une question de bon sens : lorsqu’un quart de la population souffre de la faim et qu’un plus grand nombre encore n’a pas les moyens de se procurer des produits de base sains, on n’augmente pas les taxes sur les produits alimentaires.

La taxe carbone s’élève actuellement à 65 dollars par tonne d’émissions et atteindra 170 dollars d’ici à 2030 si le système n’est pas modifié.

Si la taxe carbone exempte déjà la plupart des carburants essence et diesel utilisés dans les exploitations agricoles, de nombreux aspects de l’agriculture et de la production alimentaire ne sont pas exemptés. Bien qu’ils aient été avertis depuis longtemps des conséquences négatives de cette mesure, les libéraux ont refusé de bouger, même s’ils font de grands discours sur l’accessibilité devant les caméras.

En février 2022, le député conservateur Ben Lobb a présenté un projet de loi d’initiative parlementaire, le projet de loi C-234, qui exempterait également le gaz naturel et le propane utilisés dans les exploitations agricoles pour des tâches essentielles telles que le séchage des céréales, la préparation des aliments pour animaux et le chauffage des granges. Un an plus tard, en mars 2023, le projet de loi a été adopté par la Chambre des communes avec le soutien du PCC, du NPD, du Bloc Québécois et du Parti vert, mais pas des libéraux, à l’exception d’une petite poignée d’entre eux.

Depuis, le projet de loi est bloqué au Sénat, censé être à l’étude, bien que son parrain au Sénat, le sénateur conservateur David Wells, pense que les sénateurs alignés sur les libéraux retardent délibérément son adoption.

Le Bureau parlementaire du budget (BPB) estime que le projet de loi C-234, s’il était adopté, permettrait aux agriculteurs d’économiser près d’un milliard de dollars d’ici à 2030. Il est plus difficile de calculer les économies réalisées par les consommateurs, mais on peut supposer qu’elles seraient importantes, surtout dans un contexte de crise financière où, pour de nombreuses familles, chaque dollar compte.

Si le projet de loi C-234 est rejeté, il s’agira du deuxième projet de loi de ce type à mourir au Sénat après avoir été adopté par la Chambre. Entre-temps, la saison estivale critique s’est écoulée sans que les exploitations agricoles ne paient la taxe sur les opérations nécessaires, ce qui a eu pour effet de faire grimper le prix de nos produits d’épicerie.

En outre, le transport des produits agricoles et des denrées alimentaires vers et depuis les exploitations agricoles continue d’être pénalisé par la taxe carbone. Le coût du carburant était déjà un facteur d’inflation important, même avant que la taxe ne vienne aggraver le préjudice économique. Un gouvernement qui augmente intentionnellement le prix du transport des produits agricoles de plusieurs centaines de dollars par trajet n’est pas un gouvernement qui veut vraiment faire baisser le prix des denrées alimentaires.

[…]

Source : National Post




La modélisation informatique du climat relève-t-elle de science ?

Selon des Chercheurs Portugais, le CO2 ne peut modifier le Climat, car son Effet de Serre calculé est très inférieur au Dogme annoncé par le GIEC !

[Source : changera4.blogspot.com]

Malgré l’habile tactique de l’establishment consistant à se mettre le doigt dans l’oreille et à crier « science établie », deux chercheurs portugais (Khmelinskii et Woodcock, 2023) ont identifié huit affirmations dans l’hypothèse des gaz à effet de serre qui ne sont pas validées scientifiquement.

Dans un éditorial publié dans la revue Entropy du MDPI, en réponse à un éditorial rédigé par les éditeurs consensuels de la revue Earth System Dynamics (ESD), ces deux scientifiques courageux exposent leurs défis.
Leur résumé commence ainsi :

« Nous répondons à un éditorial de la revue climatique Earth Systems Dynamics (ESD 14, 241-242, 2023) : dont le titre fait deux affirmations scientifiquement incorrectes :

(i) que l’hypothèse des gaz à effet de serre, c’est-à-dire la cause du réchauffement climatique d’environ 1 °C entre 1950 et 2020 est une vérité scientifique établie, et

(ii) que les émissions de chaleur liées à la combustion mondiale de carburants sont, en comparaison, négligeables.»

« Les deux déclarations sont incompatibles avec les lois de la thermodynamique classique, et illustrent leur ignorance éditoriale, des limites des modèles informatiques multivariés du bilan énergétique global de la Terre et de la spectroscopie connue d’absorption et d’émission du dioxyde de carbone (CO2). »

Par souci de brièveté, quatre des défis sont résumés ci-dessous (avec l’aimable autorisation de Kenneth Richard, via Climatechangedispatch.com) :
Le CO2 ne peut absorber que 10 % de tous les rayonnements dans les bandes IR spécifiques affectées par le CO2. Le CO2 « n’absorbe absolument rien des autres longueurs d’onde infrarouges ». Ainsi, le CO2 n’a aucun effet sur l’IR dans 90 % des bandes d’absorption.
Le CO2 ne peut absorber les IR que dans les 300 premiers mètres, soit 0,3 km de la troposphère de surface, qui a une épaisseur de 10 km. Ainsi, le CO2 ne peut affecter que 10 % de l’IR dans 3 % de la surface de la troposphère où se produisent les changements climatiques.
• En raison de ses effets infimes, le doublement des concentrations de CO2 ne pourrait entraîner qu’un changement de température de surface de 0,015 °C au maximum. En clair, « cet effet ne serait même pas mesurable ».
L’incertitude sur le bilan radiatif de la Terre est de ±17 W/m². Le déséquilibre radiatif estimé est de 0,6 W/m², ce qui est des « ordres de grandeur » inférieurs à l’incertitude de son calcul. Ainsi, « l’équilibre mondial des flux d’énergie… ne peut pas être dérivé des flux mesurés »… et cela « affecte profondément notre capacité à comprendre comment le climat de la Terre réagit aux concentrations croissantes de gaz à effet de serre ».

« Les rédacteurs d’ESD ne considèrent pas l’incertitude observationnelle — ni les questions concernant l’ampleur des effets du CO2 — comme dignes d’une analyse critique », conclut Richard.

Pour lire l’intégralité de l’éditorial complet de Khmelinskii et Woodcock, cliquez ici.

[Voir aussi :
Les principes du raisonnement. Partie 3. Logique et climatologie
et
Climat — Pourquoi la théorie de l’effet de serre est erronée]




Bill Gates : un dictateur mondial au profil de grand criminel

[Source : kla.tv]

Qui ne connaît pas Bill Gates, ce philanthrope héroïque qui veut sauver le monde des difficultés mondiales grâce à sa fortune ? Dans cette émission, vous découvrirez le tout autre visage de cet homme. Bill Gates — le dictateur mondial au profil de grand criminel.

Transcription

Qui ne connaît pas Bill Gates, ce philanthrope héroïque qui utilise sa fortune pour sauver le monde des calamités planétaires ? Dans ce numéro, vous découvrirez un tout autre personnage : par exemple, comment il impose les soins de santé dans le monde, manipule les médias d’information, infiltre l’industrie alimentaire, corrompt les gouvernements, pousse à la manipulation de la météo, encourage les manipulations génétiques, développe des technologies de contrôle total et bien plus encore. En fin de compte, Bill Gates est un dictateur mondial qui a le profil d’un dangereux criminel.

1. Bill Gates — le pape de la vaccination

Bill Gates, un individu sans la moindre formation médicale, a été désigné lors de l’Assemblée Mondiale de la Santé comme responsable du plan mondial de vaccination 2012-2020 et donc responsable de la vaccination de l’humanité toute entière. Vous trouvez ça normal ? Cela ne cache-t-il pas plutôt un programme visant à créer un monde dans lequel les gens pourront participer à la société à la seule condition de se faire vacciner plusieurs fois par an ?

2. Bill Gates — le dictateur mondial

Bill Gates est le principal bailleur de fonds de l’Organisation mondiale de la santé, ce qui lui confère un contrôle total sur cette organisation. Bill Gates a personnellement recruté le directeur de l’OMS, Tedros, qui était auparavant un terroriste communiste actif en Éthiopie. L’OMS a mis en place le « Traité sur les pandémies », qui lui permet d’exercer un contrôle absolu sur tous les pays du monde chaque fois qu’elle décrète une pandémie. Si nous réalisons que l’OMS est essentiellement contrôlée par Bill Gates, nous savons que les pandémies le placent fondamentalement en position de dictateur mondial.

3. Bill Gates — l’escroc mondial

L’OMS, principalement financée par Bill Gates, peut déclarer une pandémie à sa convenance en ayant recours à n’importe quel outil de diagnostic frauduleux de son choix. Elle a par exemple opté pour le test PCR, totalement erroné, qui donne jusqu’à 94 % de résultats faussement positifs et constitue donc un instrument parfait pour déclarer une « pandémie » sur la base de résultats de tests imprécis. De cette manière, Gates et son OMS peuvent agir à leur guise à la manière d’un gouvernement mondial unique.

4. Bill Gates — le prophète des pandémies

Bill Gates organise des « simulations de pandémies » peu de temps avant que ne se produise précisément le scénario pour lequel elles ont été planifiées. C’est ainsi que la simulation de pandémie Event 201 a eu lieu juste avant la pandémie Covid-19. N’est-il pas curieux de constater que l’homme qui devient dans les faits une sorte de dictateur mondial pendant une pandémie est la même personne qui « prépare » toujours le monde à ces pandémies ?

5. Bill Gates corrompt les gouvernements

La députée Sara Cunial a révélé au parlement italien que Gates contrôlait le président de la République italien. Des membres du parlement nigérian ont affirmé que Gates avait proposé 10 millions de dollars au gouvernement pour qu’il impose des vaccinations à la population nigériane. Gates a nié, mais il a accepté de payer 79 millions de dollars pour « aider » le Nigeria. Suite à cela, le Nigeria est devenu le premier pays au monde à interdire l’accès aux services bancaires à ses citoyens non vaccinés.

6. Bill Gates — le patron de tous les médecins

Un homme qui n’a aucune formation médicale, qui n’a jamais soigné un patient et qui ne connaît rien aux soins médicaux a été nommé première « autorité sanitaire » mondiale. Il dicte à des millions de professionnels de la santé ce qu’ils ont le droit de faire ou pas. Un individu qui a passé la majeure partie de sa vie devant un ordinateur, prive aujourd’hui le monde médical de ses droits et dirige notre système de santé.

7. Bill Gates — l’exterminateur des paysans

Bill Gates finance de nombreuses organisations qui s’occupent de développement agricole et pratiquent un lobbying massif, voire la corruption, par exemple via la « Révolution verte » en Afrique. Par le biais de ces ONG, Gates exerce une influence directe sur la politique alimentaire et agricole mondiale, ruinant la paysannerie qui s’est développée et plongeant des continents entiers dans la ruine.

8. Bill Gates — rédacteur en chef de tous les médias

Bill Gates contrôle les agences de presse et les entreprises de médias en leur faisant don de plus de 300 millions de dollars par le biais de la Fondation Bill & Melinda Gates. Il s’agit notamment d’un grand nombre des principales chaînes d’information américaines, dont CNN, NBC, NPR, PBS et The Atlanti ; en outre, un grand nombre d’organisations étrangères influentes, dont la BBC, The Guardian, The Financial Times et The Daily Telegraph au Royaume-Uni, des journaux européens de premier plan comme Le Monde (France), Der Spiegel (Allemagne) et El País (Espagne), ainsi que de grandes chaînes de télévision mondiales comme Al-Jazeera. Il peut ainsi manipuler directement les informations dans le monde entier.

9. Bill Gates — l’inspecteur de la santé

Bill Gates a créé en 2000 la plus grande fondation américaine, la Fondation. Bill & Melinda Gates. Des dons d’un montant total de 28 milliards de dollars ont été versés à différentes organisations, prétendument pour éradiquer la pauvreté et développer des vaccins. Ce qui est problématique, c’est que Bill Gates impose sa vision de la promotion de la santé par le biais de ses fondations. De fait, la Fondation Gates investit surtout dans des mesures techniques contre les maladies infectieuses, par exemple dans des campagnes de vaccination et la distribution de médicaments. Des spécialistes dans le domaine de la santé, comme Thomas Gebauer de l’organisation humanitaire Medico International, critiquent le fait que d’autres actions importantes sont ainsi négligées, par exemple la mise en place de systèmes de santé fonctionnels dans les pays pauvres. Les idées personnelles de Bill Gates et son influence financière ouvrent ainsi la voie à son contrôle global de la santé.

10. Bill Gates — le père de la « fausse viande »

Bill Gates construit des laboratoires dans lesquels de la viande synthétique est cultivée. L’objectif est prétendument de lutter contre la malnutrition à l’échelle mondiale. Mais en fin de compte, cette fausse viande supplante l’élevage naturel. L’humanité perd ainsi non seulement son autosuffisance, mais elle est également exposée sans défense aux risques sanitaires de cette fausse viande.

11. Bill Gates — le manipulateur de gènes

Bill Gates achète des centaines de milliers d’hectares de terres agricoles, ce qui fait de lui le plus grand propriétaire foncier des États-Unis. Il cultive des plantes génétiquement modifiées, principalement celles à forte teneur en protéines, qui nécessitent l’emploi d’une énorme quantité de pesticides extrêmement toxiques. Ce qui ne ravage pas seulement les terres agricoles à long terme, mais supplante également l’élevage naturel de bovins, pratiqué depuis des temps immémoriaux, et ruine la paysannerie au profit d’une agriculture industrielle.

12. Bill Gates — le fabricant d’armes biologiques

Bill Gates a modifié génétiquement des millions de moustiques et les a relâchés soi-disant pour éradiquer la malaria. En réalité, il les utilise comme arme biologique pour injecter des substances nocives génétiquement modifiées à des personnes, des animaux ou des plantes.

13. Bill Gates — le surveillant de l’humanité

Alors que le projet de couvrir le monde de caméras de surveillance ressemble à l’intrigue d’un mauvais film de science-fiction, le projet de surveiller la planète entière en temps réel est un projet bien réel, en grande partie grâce au financement de Bill Gates. La société EarthNow, basée à Washington, prévoit de déployer une armée de plus de 500 satellites dans notre atmosphère afin d’offrir à ses utilisateurs un retour vidéo quasi instantané avec seulement une seconde de décalage. Presque chaque coin de la planète sera bientôt surveillé par des satellites de vidéosurveillance capables de retransmettre en direct les activités humaines pour « les gouvernements et les grandes entreprises ». L’observation de la Terre est un domaine classique des services secrets et des militaires sur ordre de la mafia financière : ils espionnent également les rampes de lancement de missiles, les sites d’essais nucléaires et les camps terroristes. En d’autres termes : vidéosurveillance non-stop du monde entier.

14. Bill Gates — le faiseur de maladies

Bill Gates gagne des milliards en plaçant des capitaux dans certains secteurs industriels qui ont tous quelque chose à voir avec des effets délétères, comme le surpoids, le diabète et autres. Ainsi, la Fondation Gates détient des actions des groupes alimentaires tels que Coca-Cola, Pepsi Co, Unilever, Kraft-Heinz, Mondelez et Tyson Foods ; des groupes producteurs d’alcool Anheuser-Busch et Pernod. Le spécialiste dans le domaine de la santé Thomas Gebauer parle d’une division du travail presque perverse. Gates gagne en effet deux fois : d’une part en provoquant des maladies et d’autre part en les traitant en tant que « pape de la santé ».

15. Bill Gates — « le perturbateur climatique »

Bill Gates soutient un projet d’extraction du dioxyde de carbone de l’atmosphère afin de réduire le taux de CO2. Il soutient également un projet de l’Université de Harvard qui vise à renvoyer les rayons du soleil dans l’espace en injectant des poussières dans l’atmosphère. De cette manière, on doit tenir la lumière du soleil à l’écart de la Terre et obtenir un effet de refroidissement. La justification de ce projet est la simulation informatique du « réchauffement climatique », laquelle s’est avérée être une escroquerie complète.

16. Bill Gates crée une carte d’esclave numérique

Bill Gates pousse tous les gouvernements du monde à introduire des cartes d’identité numériques obligatoires. Grâce à ces cartes d’identité numériques, les personnes peuvent être contrôlées et conditionnées dans les moindres détails. L’accès à certains bâtiments, l’acquisition de biens, l’utilisation de services et autres peuvent être autorisés de manière favorable ou restrictive, en fonction de l’obéissance au régime. Cela permet à la mafia financière tyrannique de maintenir les gens comme des esclaves dans une prison interconnectée.

Conclusion

L’expression « Tout ce qui brille n’est pas d’or » s’applique également à Bill Gates. Pire encore, plus la façade semble brillante, c’est-à-dire plus Bill Gates se présente comme un homme vertueux et philanthrope, plus la réalité est sombre derrière, de sorte qu’il devrait être recherché comme l’un des pires criminels. Il est important de garder à l’esprit cette constatation importante de la complémentarité entre l’apparence et la réalité lors de l’évaluation d’autres « améliorateurs du monde », par exemple dans le domaine de la politique environnementale, climatique ou énergétique.

de hm ; lexa ; vic ; herm ; rena ; doro ; ew; bri

[Voir aussi :
Qui est l’Antéchrist ?
et La religion de l’Antéchrist]

Sources/Liens :

Bill Gates — le dirigeant du monde

https://stopworldcontrol.com/Gates/

Bill Gates — l’exterminateur des paysans

Rich Appetites (Film 2 : Seeds + Film 3 : Money)

https://www.richappetitesfilm.com/

Bill Gates — le père de la « fausse viande »

https://de.technocracy.news/bill-gates-investierte-in-k%C3%BCnstliche-eier%2C-bevor-mysteri%C3%B6se-eierknappheit-und-preiserh%C3%B6hungen-einsetzten/

Bill Gates – « le perturbateur climatique »

https://www.fr.de/panorama/sonne-strahlung-erde-harvard-bill-gates-kalzium-staub-all-atmosphaere-zr-90469520.html

https://www.thetimes.co.uk/article/bill-gates-invests-in-verdoxs-carbon-capture-technology-62z5jcw9z




Les signaux de vertu occidentaux deviennent hypersoniques à propos d’Israël

[Source : rt.com]

Avec toute la rhétorique et le bellicisme de l’UE et des États-Unis, il est clair que la paix n’est pas leur priorité.

Par Rachel Marsden, chroniqueuse, stratège politique et animatrice de talk-shows indépendants en français et en anglais.

« Israël a le droit de se défendre, aujourd’hui et dans les jours à venir. L’Union européenne est aux côtés d’Israël », a tweeté dimanche la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen. Elle a ainsi donné carte blanche aux dirigeants israéliens, connus pour leur sens de la mesure et leur retenue, dans leur réponse aux attaques du Hamas.

« Pour qui vous prenez-vous ? Vous n’êtes pas élue et n’avez aucune autorité pour déterminer la politique étrangère de l’UE, qui est définie par le @Conseil de l’UE », a répondu l’eurodéputée irlandaise Clare Daly.

« L’Europe n’est pas aux côtés d’Israël. Nous sommes pour la paix. Vous ne parlez pas en notre nom. Si vous n’avez rien de constructif à dire, et ce n’est manifestement pas le cas, fermez-la. »

En un seul tweet, Mme von der Leyen a réussi à faire passer l’Europe pour plus militante que même la rédaction de l’un des principaux journaux nationaux israéliens, Haaretz, qui a rejeté la responsabilité des attentats sur le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu, l’accusant d’« annexion et de dépossession » qui « a ouvertement ignoré l’existence et les droits des Palestiniens ». L’implication est qu’aucune action ne se produit dans le vide sans le risque de déclencher une réaction.

Le danger de voir la reine Ursula, non élue en Europe, lancer unilatéralement des missiles hypersoniques de signalisation de la vertu dans un réflexe émotionnel est qu’elle ne peut pas se substituer à une politique étrangère décidée dans des moments plus sobres. Pourtant, aujourd’hui, c’est le plus souvent le seul type de politique étrangère que nous ayons, sur tous les sujets, d’Israël à l’Ukraine.

Dans un nouvel exemple de symbolisme prenant le pas sur le pragmatisme politique, l’UE a annoncé le retrait de son soutien à la Palestine… avant de revenir sur sa décision quelques heures plus tard. Lundi, le ministre israélien de la Défense a annoncé que les forces de défense israéliennes allaient intensifier le blocus de Gaza en empêchant l’entrée d’eau, de nourriture, de carburant et d’électricité. Quelques heures plus tard, Oliver Varhelyi, commissaire européen chargé du voisinage et de l’élargissement, a déclaré que l’Union européenne se joignait à la cause en suspendant son aide humanitaire au peuple palestinien. L’Allemagne et l’Autriche ont été les premières à lancer la procédure de retrait des fonds. Cependant, quelques heures plus tard, le gel de l’aide de l’UE a été annulé par le responsable de la politique étrangère de l’Union, Josep Borrell, après une apparente prise de conscience qu’il ne ferait que « punir tout le peuple palestinien » et n’aurait fait qu’« enhardir les terroristes ». Il n’est pas possible que Bruxelles ait financé ces terroristes par inadvertance, n’est-ce pas ?

Bruxelles a accordé un soutien budgétaire direct de 2,5 milliards de dollars à l’Autorité palestinienne sur une période de 12 ans à partir de 2008, et a récemment déclaré qu’elle enverrait quelque 1,24 milliard de dollars entre 2021 et 2024. Ce financement n’a même pas été réduit ou interrompu — il a seulement été suspendu pendant quelques mois en 2021-2022, puis débloqué sans conditions préalables — lorsque des organismes de surveillance ont affirmé que les manuels scolaires palestiniens avaient un contenu antisémite promouvant et glorifiant le terrorisme. Aujourd’hui, le ministère israélien des Affaires étrangères pointe du doigt Bruxelles. « L’Union européenne a financé des manuels scolaires des autorités palestiniennes qui étaient remplis d’antisémitisme et d’incitation à la violence et au terrorisme contre les Juifs », a déclaré le porte-parole du ministère israélien des Affaires étrangères, Lior Haiat, en début de semaine.

Lorsque la question a été soulevée pour la première fois, le commissaire européen responsable à l’époque a rencontré le ministre israélien des Affaires étrangères à Bruxelles et lui a dit, en substance, que nous allions veiller à ce que cela ne se reproduise plus — et il a adopté une résolution à cet effet. Des rapports d’ONG publiés au début du mois accusent également Bruxelles d’avoir financé des subventions qui se sont retrouvées entre les mains du Front populaire de libération de la Palestine, que l’Union européenne considère comme un groupe terroriste.

Au début de l’année, en février, l’UE a annoncé, en présence du président Mahmoud Abbas, l’octroi de plus de 300 millions de dollars supplémentaires au peuple palestinien pour financer les salaires, les pensions, les soins de santé et des projets tels que « l’agro-industrie intelligente face au climat » et « la compétitivité verte ». Car c’est ce que leurs actions semblent suggérer. Sinon, quel est le problème de continuer à aider le peuple palestinien ?

Ou peut-être que, compte tenu de tout le verbiage climatique associé à l’aide, l’UE s’est simplement énervée parce que les deltaplanes du Hamas étaient motorisés. Vous savez qu’une tête pensante à Bruxelles regarde les reportages sur les camionnettes énergivores utilisées par le Hamas pour attaquer les villages et kidnapper des gens et se demande : « Quelle est l’empreinte carbone de ces engins ? »

Tous les signaux de vertu du monde ne peuvent pas compenser le manque de diligence raisonnable que le retrait schizophrénique et le rétablissement ultérieur du financement palestinien suggèrent. Ce ne serait pas la première fois que des innocents souffriraient de l’incompétence de Bruxelles. Il suffit de demander aux citoyens de l’ensemble du bloc européen, actuellement confrontés à des difficultés économiques apparemment sans fin, pour que leurs dirigeants puissent continuer à se féliciter d’avoir soutenu l’Ukraine.

Et tout comme en Ukraine, Bruxelles ne semble pas vouloir saisir l’occasion de jouer un rôle atténuant ou réfléchi dans ce conflit, mais prend plutôt sa place habituelle en accompagnant les néoconservateurs américains sur n’importe quel sujet d’actualité.

Même si le secrétaire d’État Antony Blinken déclare qu’il n’y a pas de « pistolet fumant » liant l’Iran aux dernières attaques du Hamas, cela n’a pas empêché les habituels néoconservateurs bellicistes du côté américain de l’alliance transatlantique de substituer des slogans à une politique réelle, en faveur d’un changement de régime iranien, bien sûr. « Il s’agit de l’un des meilleurs cas de changement de régime dans l’histoire », a déclaré l’ancien conseiller à la sécurité nationale des États-Unis, John Bolton. En effet, lorsqu’il s’agit de promouvoir un changement de régime iranien, les néoconservateurs sont soudain prêts à croire en la parole du Hamas comme source fiable de l’implication de l’Iran. « L’administration Biden devrait avoir une colonne vertébrale et rejeter la faute sur Téhéran, comme il se doit », a ajouté M. Bolton. Elle « appartient », au mépris des faits et de la politique, parce qu’elle correspond au discours radical des néocons, même si cela finit par se faire au détriment des vies et des intérêts américains.

« Il est grand temps que l’État terroriste iranien paie le prix de tous les bouleversements et de la destruction qu’il sème dans la région et dans le monde », a ajouté le sénateur Lindsey Graham (R-SC). D’une manière ou d’une autre, ces bellicistes ne parviennent jamais à remarquer le rôle de parrain interventionniste joué depuis longtemps par Washington et l’Occident, qui a sans doute empêché tous ces voisins du Moyen-Orient de s’arranger entre eux.

La rhétorique fanfaronne dans le feu de la crise est bon marché pour les généraux de salon occidentaux, mais potentiellement coûteuse pour d’innombrables autres. Ils s’expriment sans se préoccuper des répercussions, dans le but d’apaiser leurs alliés et leurs partisans. Et c’est dans ces moments désespérés, lorsque la raison risque de s’effacer devant l’émotion, qu’ils ont le plus de chances d’imposer leur programme potentiellement catastrophique.




Le vrai visage du socialisme moderne : les planificateurs à l’attaque de la propriété privée

[Source : contrepoints.org]

Par Rainer Zitelmann

La multiplication des réglementations érode lentement mais sûrement la notion de propriété privée en Europe. Si les propriétaires restent formellement propriétaires, ils perdent progressivement le contrôle sur leurs biens, devenant ainsi des fonctionnaires d’un nouveau genre.

La propriété privée reste-t-elle une propriété privée si l’État indique au propriétaire, dans les moindres détails, ce qu’il peut ou doit en faire ?

Les propositions de nouvelles réglementations européennes sur la performance énergétique des bâtiments résidentiels suscitent l’émoi dans de nombreux pays européens.

Prenons l’exemple de l’Allemagne : les calculs montrent que les propriétaires allemands seraient contraints de dépenser 200 milliards d’euros par an pour améliorer l’efficacité énergétique de leur logement ! Cela équivaut à quatre fois le budget annuel de l’Allemagne pour la défense. Selon les estimations, le coût d’un système de chauffage à économie d’énergie et d’une isolation thermique pour une maison individuelle s’élève à au moins 100 000 euros.

La question de savoir si la directive européenne sera finalement mise en œuvre sous sa forme actuelle reste ouverte, mais le débat à lui seul suffit à perturber des centaines de milliers de propriétaires.

[Voir aussi :
Agenda 2030 : vous n’aurez rien et vous serez heureux
D’ici 2030, nous n’aurons rien et nous en serons heureux]

Et ce n’est là qu’un exemple parmi tant d’autres de la façon dont l’Union européenne transforme de plus en plus l’économie européenne en une économie planifiée. Le terme « économie planifiée » peut sembler exagéré à certains lecteurs qui l’associent à la nationalisation des moyens de production et des biens immobiliers. Cependant, l’économie planifiée moderne fonctionne différemment : formellement, les propriétaires restent propriétaires, mais ils sont progressivement dépossédés du contrôle de leurs biens, l’État déterminant de plus en plus ce qu’ils sont autorisés ou obligés de faire avec leurs biens.

L’interdiction d’immatriculer de nouvelles voitures à moteur à combustion dans l’Union européenne à partir de 2035 en est un autre exemple : ce ne sont plus les entreprises ou les consommateurs qui décident de ce qui est produit, mais les hommes politiques et les fonctionnaires. Cette attitude repose sur la conviction que les hommes politiques savent mieux que des millions de consommateurs et d’entrepreneurs ce qui est bon pour eux.

C’est précisément la différence entre une économie de marché et une économie planifiée : une économie de marché, c’est la démocratie économique en action. Chaque jour, des millions de consommateurs décident de ce qui est produit et de ce qui ne l’est pas. Les prix indiquent aux entreprises quels produits sont nécessaires — et en quelle quantité — et lesquels ne le sont pas.

Pour revenir à l’exemple de l’immobilier, de nombreux pays disposent d’une législation étendue sur les loyers qui empêche les propriétaires d’obtenir les loyers qu’ils pourraient obtenir sur le marché libre.

En Allemagne, par exemple, cet objectif est atteint grâce à un ensemble de lois : un plafond d’augmentation des loyers (kappungsgrenze) détermine le pourcentage et le niveau des augmentations de loyer autorisées. Même lorsque l’inflation atteint 7 % ou plus par an, dans de nombreuses villes allemandes les loyers n’ont le droit d’augmenter que de 0,5 % par an.

Dans de nombreuses villes allemandes, les loyers ne peuvent augmenter que de 5 % au maximum. Le SPD, principal partenaire de la coalition au pouvoir en Allemagne, demande aujourd’hui que ce plafond soit abaissé à 2 %, ce qui équivaut en fait à une expropriation cumulative. En termes réels, la valeur des loyers diminue d’année en année. Il y a ensuite le frein aux loyers, qui détermine le montant du loyer que le propriétaire d’un appartement existant peut exiger lorsqu’il le met en location.

En conséquence, le propriétaire supposé d’un bien immobilier est de plus en plus contraint : le gouvernement lui impose des obligations de rénovation presque inabordables — voir la série de directives allemandes et européennes sur la performance énergétique — et l’oblige à se conformer à des exigences environnementales de plus en plus strictes et de plus en plus coûteuses pour les nouveaux bâtiments.

Dans le même temps, elle empêche les propriétaires d’obtenir les loyers qu’ils pourraient obtenir sur un marché libre. En fait, les propriétaires ne sont guère plus que des gestionnaires de biens immobiliers nommés par le gouvernement. Dans le pire des cas, ils risquent également de perdre leurs droits de propriété formels si l’écart entre ce que le gouvernement leur permet de gagner et ce qu’il les oblige à dépenser continue de se creuser.

Cette frénésie réglementaire n’affecte pas seulement l’immobilier, elle a aussi un impact significatif sur les entreprises.

L’Union européenne ne se contente pas de réglementer ses pays membres et les entreprises qui y sont établies. La directive européenne sur la chaîne d’approvisionnement vise à rendre les grandes entreprises de l’Union européenne responsables si, par exemple, leurs fournisseurs à l’étranger appliquent des règles en matière de santé et de sécurité au travail, ou des normes environnementales ne répondant pas aux attentes de l’Union européenne.

Un autre règlement européen, le CBAM, introduit des droits d’émission de carbone sur les importations en provenance du monde entier

Si, par exemple, une entreprise importe des vis d’Inde, où les normes climatiques de l’Union européenne ne s’appliquent pas, elle devra payer un supplément. C’est ainsi que Bruxelles veut réduire les émissions, non seulement au sein de l’Union européenne, mais aussi dans le monde entier.

L’érosion des droits de propriété n’est toutefois pas un phénomène exclusivement européen.

Aux États-Unis aussi, les droits de propriété sont progressivement érodés sous la bannière du Green New Deal.

Cette évolution se poursuivra jusqu’à ce que le propriétaire ou le gérant d’une entreprise soit réduit à un simple agent de la bureaucratie. Le gouvernement déterminera quels biens et services doivent être fournis (et comment) au moyen de lois de plus en plus strictes. À un moment donné, les entrepreneurs ne seront plus que des fonctionnaires.


Rainer Zitelmann est l’auteur du livre In defence of capitalisme.




La Chine — ce système de domination nous menace tous !

[Source : Kla.tv]

Il y a quelques décennies, la Chine était un pays agricole totalement appauvri et en retard au niveau technologique. En l’espace d’une trentaine d’années seulement, elle est en train de devenir une puissance mondiale de premier rang du point de vue économique, technologique et militaire. Pour bien situer cette ascension fulgurante de la République populaire de Chine, il est important d’examiner de plus près sa naissance et son développement. En effet, ce qu’on ne lit pas dans les livres d’histoire officiels ni même dans les médias grand public sur l’histoire de la République populaire de Chine, ce serait que, selon des journalistes d’investigation renommés, elle est indissociable de trois noms : Rothschild, Rockefeller et les Skull & Bones. Suivez-nous maintenant dans un voyage aventureux à travers l’histoire de la Chine, au cours duquel il apparaîtra clairement que la Chine a été délibérément construite comme un instrument du nouvel ordre mondial et qu’elle constitue un avant-goût du système de domination mondiale planifié.

I.) Regard sur ceux qui tirent les ficelles dans l’ombre :

Skull & Bones est une très puissante organisation secrète occulte américaine, fondée à l’instigation de Lord Rothschild et financée par Rockefeller et d’autres banquiers de Wall Street. Selon Alexandra Robbins, une journaliste américaine, Skull & Bones a réussi à infiltrer presque toutes les grandes institutions scientifiques et politiques ainsi que les institutions financières, médiatiques et gouvernementales des États-Unis. Skull & Bones forme également le cercle interne du Council on Foreign Relations (CFR), également initié par Rothschild et financé par Rockefeller. Le CFR est le think tank américain le plus influent du siècle dernier, il a par exemple fourni à lui seul neuf présidents des États-Unis, dont l’actuel président Joe Biden.

Dans ses recherches Alexandra Robbins est arrivée à la conclusion suivante : l’objectif de Skull & Bones, et par conséquent des Rockefeller et des Rothschild, est de construire un nouvel ordre mondial dans lequel les libertés individuelles sont réduites et où tout le pouvoir est concentré dans les mains d’une petite élite.

II.) La naissance de la République populaire de Chine sous Mao Tsé-toung :

Dans le but d’établir un nouvel ordre mondial, Skull & Bones a fondé en Chine, au début du 20e siècle, une série d’écoles et d’hôpitaux qui ont donné naissance à l’actuelle Yale-China Association, connue sous le nom de « Yale-in-China ». Ils ont été financés par Rothschild et, plus tard, par la Fondation Rockefeller. Cette œuvre prétendument caritative poursuivait cependant en arrière-plan des objectifs totalement différents. Jonathan Spence, professeur d’histoire chinoise, a été le premier à découvrir les liens étroits entre Mao et Yale. Enfin, en 1972, le journal Yale Daily News a rapporté ce qui suit à ce sujet : « Yale a aidé de nombreux jeunes hommes dans leur ascension politique vers le pouvoir. Lors de la promotion de 1919, Yale-in-China a aidé, en plus des 1 000 leaders masculins…, un jeune homme du nom de Mao Tsé-toung » et « Sans le soutien de Yale, Mao Tsé-toung ne serait jamais passé de l’inconnu au pouvoir ! »

Lors de ses recherches, le journaliste d’investigation Alexander Schnarf est donc arrivé à la conclusion que de toute évidence Yale-in-China travaillait en secret à l’émergence d’un État communiste.

L’intervention de Skull & Bones dans la guerre civile chinoise (1927-1949), au cours de laquelle le Kuomintang nationaliste et le Parti communiste chinois de Mao Tsé-toung se disputaient la direction politique de la Chine, est également significative de leur influence et de leur approche subtile. Le conflit s’est terminé par la victoire des communistes sur le Kuomintang. Selon le Professeur Antony C. Sutton, chercheur et historien cette victoire a été remportée principalement grâce au fait que le général américain et franc-maçon George C. Marshall a discrètement désarmé les forces armées nationalistes qu’ils soutenaient initialement, en cessant de leur fournir des munitions en 1946. Le supérieur de Marshall était le secrétaire à la guerre Henry L. Stimson, un membre de Skull & Bones !

Les presque 30 années de règne de Mao Tsé-toung qui suivirent se transformèrent en un règne de terreur sans précédent. Avec des campagnes politiques telles que le « Grand Bond en avant » et la « Révolution culturelle », Mao a imposé par la contrainte une transformation de l’économie et de la société chinoises. La « révolution culturelle » avait pour but de détruire les anciennes coutumes, modes de pensée, habitudes, — en fait la culture chinoise et visait surtout les couches les plus âgées et les plus éduquées de la Chine, ce qui a coûté la vie à 2 à 5 millions de personnes. Le « Grand Bond en avant » devait permettre de rattraper le retard sur les pays occidentaux industrialisés et de raccourcir la période de transition vers le communisme. Malgré la grande famine qui en a résulté, Mao a imposé ses objectifs d’une main de fer. Selon Alexander Schnarf, les méthodes de répression pratiquées étaient d’une brutalité sans précédent. Les critiques ont été poursuivis sans relâche et des milliers de personnes ont été systématiquement torturées et assassinées. Même les enfants auraient été tués, broyés et utilisés comme engrais.

L’historien néerlandais Frank Dikötter estime qu’au moins 45 millions de personnes sont mortes rien que pendant la Grande Famine de Chine (1959 à 1961). Selon les estimations des scientifiques, la politique totalitaire et inhumaine de Mao a coûté la vie à 80 millions de personnes au total.

La politique de Mao était simple : quiconque ne respectait pas les règles était assassiné. Cela a conduit à une société dans laquelle toute critique était littéralement muselée. Ce qui restait n’était plus qu’une masse apeurée et soumise.

Le point de vue totalement différent de David Rockefeller est effrayant. Il a qualifié ce contrôle total et cette oppression du peuple « d’expérience sociale » ! Rockefeller a déclaré textuellement : « L’expérience sociale en Chine sous la direction du président Mao est l’une des plus importantes et des plus réussies de l’histoire de l’humanité. » Lorsqu’on connaît les objectifs poursuivis par la fondation Rockefeller en Chine, cette affirmation devient extrêmement pertinente. Selon les journalistes d’investigation Alexander Schnarf et Tilman Knechtel, la fondation considérait la Chine comme un immense laboratoire où l’on étudiait la meilleure façon de contrôler et de gérer une société, afin de pouvoir ensuite reproduire cela dans le monde entier ! Le fait que Rockefeller ait fait l’éloge des crimes de Mao suggère que ce dernier avait manifestement répondu à ses attentes et que cette « expérience sociale » avait été menée à bien à la plus grande satisfaction de Rockefeller.

Comme nous le verrons au point suivant, ce n’était toutefois que la première manœuvre de Rockefeller, Rothschild et consorts.

III.) L’émergence de la Chine comme puissance mondiale

Après Mao, c’est Deng Xiaoping qui a dirigé de facto le destin de la Chine jusqu’en 1997. Il est entré dans l’histoire comme le grand réformateur qui a initié l’ouverture de la Chine et son ascension en tant que puissance économique et mondiale. Mais cela ne s’est pas fait tout seul et n’a pas été un miracle économique. Le coup d’envoi de cette évolution a été la rencontre orchestrée par Henry Kissinger en 1972 entre le président américain Nixon et Mao Tsé-toung. Sous le prétexte que la Chine devait être construite comme un contrepoids à l’URSS, de l’argent et des technologies occidentales ont commencé à affluer vers la Chine, ce qui a marqué le début de son ascension. Or, il faut savoir que Nixon et Kissinger étaient ou sont membres du CFR et que Kissinger est en outre étroitement lié aux Rothschild et aux Rockefeller [www.kla.tv/26153]. Par conséquent, ces derniers ont usé de toute leur influence pour favoriser l’ascension de la Chine tout en y renforçant leur position dominante. En 1982, Rothschild a pris le contrôle de la banque centrale de Chine et donc de sa politique monétaire. La Chase Manhattan Bank de Rockefeller est devenue le représentant officiel de la Banque de Chine aux États-Unis et a ouvert les vannes de l’afflux d’argent vers la Chine. Cet argent a été largement utilisé pour financer des instituts de recherche et de développement, ce qui a entraîné une fuite du savoir-faire occidental vers la Chine. Les groupes qui se sont engagés de cette manière en Chine sont également, pour la plupart, étroitement liés au CFR. Il s’agit des entreprises dites « Fortune 500 », comme par exemple Ford, General Motors, IBM et Microsoft. Parmi elles, 157 se sont installées en Chine, dont 53 y ont même établi leur siège social. Concernant cette évolution, le professeur Antony C. Sutton, scientifique renommé de l’Institut Hoover de l’Université de Stanford, écrivait déjà en 1986 : « Vers l’an 2000, la Chine communiste sera une superpuissance construite avec la technologie et l’expertise américaines » ! — construite par Rothschild, Rockefeller et Skull & Bones !

IV.) La Chine, un outil fiable pour les mondialistes

Comme Rothschild et Rockefeller sont tous deux profondément impliqués dans la franc-maçonnerie, il n’est pas surprenant que cela ait également laissé des traces en Chine. Grâce à des révélations comme celles du franc-maçon italien de haut rang Gioele Magaldi, on sait que Deng Xiaoping a été initié à la franc-maçonnerie et est devenu membre de la super-loge « THREE EYES ». Celle-ci avait été fondée par David Rockefeller, Henry Kissinger et le conseiller à la Sécurité nationale des États-Unis, Zbigniew Brzeziński [www.kla.tv/10603 (en allemand)], et a longtemps été la super-loge la plus puissante et celle qui donnait le ton au niveau mondial. Deng Xiaoping, quant à lui, a initié d’autres hauts responsables du parti communiste chinois à la franc-maçonnerie. Cela a eu pour conséquence que depuis 1980, selon Gioele Magaldi, tous les présidents du parti, y compris l’actuel président de la République chinoise Xi Jinping, sont membres des super-loges qui coordonnent les francs-maçons de haut niveau. Ils poursuivent eux aussi l’établissement d’un « gouvernement mondial unique », ce qui a permis à Rothschild et Rockefeller de s’assurer que la Chine reste un outil fiable pour leurs plans mondialistes.

V.) La Chine : un fer de lance de la globalisation

Mais la Chine n’est pas seulement un outil quelconque, elle est devenue de plus en plus le fer de lance des Rothschild, Rockefeller et Skull & Bones, qui aspirent manifestement à un nouvel ordre mondial de contrôle et de surveillance totaux. En voici quelques exemples :

Avec sa politique de confinement sévère pendant la crise du Covid, la Chine a joué un rôle essentiel dans l’effondrement de l’économie mondiale, générant ainsi des profits colossaux pour quelques super-riches.

Avec la Russie, la Chine est le grand partisan de la mise en place d’un nouveau système financier et monétaire mondial sous le contrôle du FMI.

La Chine est à l’avant-garde mondiale tant pour la suppression de l’argent liquide que pour l’introduction de la monnaie numérique de banque centrale CBDC. Elle est ainsi à la pointe de ce projet mondial, coordonné et financé par la BRI, Banque des règlements internationaux.

Avec son système de crédit social, la Chine est un pionnier et un modèle pour le Great Reset souhaité par Klaus Schwab et le Forum économique mondial (FEM). Ce système est un système de surveillance de masse à l’aide de l’intelligence artificielle et donc le perfectionnement du système de domination forcée mis en place par Mao. Le comportement et la fiabilité de chaque individu, mais aussi des entreprises et des organisations, y sont constamment surveillés et évalués. En récompensant le bon comportement dans l’intérêt des gouvernants et en punissant tout écart de conduite, il impose à chacun de fonctionner à 100 % dans l’intérêt des dirigeants. Le premier système de crédit social en Europe a depuis déjà été introduit à Bologne (en Italie) et la Commission européenne prépare également l’introduction de ce système de contrôle et d’éducation.

Tout indique donc qu’après le succès de leur « expérience sociale » en Chine, Rockefeller, Rothschild et consorts veulent désormais l’étendre au monde entier et poser ainsi les bases d’une dictature mondiale. Lors du Davos d’été 2023 du Forum Économique Mondial, le Premier ministre chinois Li Qiang a également laissé entendre comment cela devrait se faire. Il a souligné que la « sécurité » devait être considérée comme le sujet le plus important dans la hiérarchie des priorités ! Peu avant, Klaus Schwab, le père du Great Reset, avait fait la déclaration suivante, très révélatrice, en faisant l’éloge des « acquis » du Parti communiste chinois devant Li Qiang :

« Nous sommes impatients d’apprendre de votre vision de la Chine et du monde. »

Est-ce un hasard si les gens sont amenés à accepter des interventions de plus en plus profondes de l’État en raison d’une peur systématiquement entretenue par la politique et les médias ?

N’est-ce pas la peur du Covid, du terrorisme, de la menace d’une catastrophe écologique et climatique imminente, etc., qui fait abandonner petit à petit les acquis de notre société démocratique et libérale pour les échanger contre une apparente sécurité ? Est-ce de cette façon qu’on veut maintenant nous faire avaler le système de crédit social carbone prévu par l’UE ?

Il faut stopper les plans de cette petite élite qui, dans l’ombre, dirige sournoisement le destin du monde et qui veut maintenant mettre en place son système de crédit social dans le monde entier ! Aidez-nous et diffusez cette émission. Souhaitez-vous en outre contribuer vous-même, en tant que collaborateur bénévole de Kla.TV, à mettre en lumière une telle injustice ? Alors inscrivez-vous à l’adresse suivante : www.kla.tv/vernetzung.

Sources / Liens :

Le pacte Russie-Chine et la conspiration Marx-Rothschild
www.kla.tv/26499

Les 100 ans d’Henry Kissinger – Stratège mondial et criminel de guerre ?
www.kla.tv/26153


[Source : Ciel Voilé]






Une scientifique de haut niveau spécialiste du climat admet que la « crise climatique » est un canular

[Source : slaynews.com]

Par Frank Bergman

L’une des climatologues les plus respectées au monde a fait voler en éclats le discours des écologistes selon lequel la Terre est confrontée à une « crise » due au « réchauffement climatique ».

Judith Curry est une climatologue qui a publié plus de 140 ouvrages et articles scientifiques.

Mme Curry, qui a été présidente de l’École des sciences de la terre et de l’atmosphère de l’Institut de technologie de Géorgie, a également admis qu’elle avait elle-même diffusé une propagande mensongère sur le « changement climatique ».

Comme Slay News l’a précédemment rapporté, Mme Curry a récemment avoué avoir fabriqué ses études concluant que le « changement climatique » est à l’origine d’ouragans plus fréquents et plus violents dans le monde entier.

Depuis des années, Mme Curry est l’une des principales voix à avertir que la Terre est confrontée à une « situation d’urgence » due à un prétendu « changement climatique d’origine humaine ».

Ses travaux ont souvent été cités par ceux qui prônent l’alarmisme climatique.

Mme Curry a expliqué qu’elle était devenue la coqueluche des médias libéraux après avoir publié une étude qui semblait montrer une augmentation spectaculaire de l’intensité des ouragans.

« Nous avons constaté que le pourcentage d’ouragans de catégorie 4 et 5 avait doublé », explique Mme Curry.

L’étude a été publiée à l’époque de l’ouragan Katrina.

« Les médias s’en sont emparés et les alarmistes climatiques se sont alors rendu compte que c’était la bonne façon de procéder. »

« Lier les phénomènes météorologiques extrêmes au réchauffement climatique ! »

Les ouragans « plus intenses » signalés dans ses conclusions ont rapidement alimenté les alarmistes.

Cependant, lorsque ses travaux ont été reconnus dans le monde entier après avoir été liés au « changement climatique », Mme Curry admet qu’elle a apprécié le fait d’être dans le collimateur des écologistes.

« J’ai été adopté par les groupes de défense de l’environnement et les alarmistes et j’ai été traité comme une rock star », raconte Curry.

« On m’a fait voyager partout pour rencontrer des hommes politiques. »

Mais certains chercheurs ont alors mis en évidence des lacunes dans ses recherches en soulignant les années où le nombre d’ouragans était faible.

« En bonne scientifique, j’ai enquêté », explique Mme Curry.

« Il s’agit en partie de données erronées », admet-elle.

« Il s’agit en partie de la variabilité naturelle du climat. »

Mme Curry explique qu’elle a décidé de s’exprimer après que ses propres travaux ont été exposés.

Sa propre expérience lui a fait prendre conscience de l’existence d’une « industrie du changement climatique » destinée à récompenser l’alarmisme.

« Les origines remontent au programme environnemental des Nations unies. programme environnemental des Nations unies », explique Mme Curry.

« Certains fonctionnaires des Nations unies étaient motivés par l’anticapitalisme », a-t-elle révélé.

« Ils détestaient les compagnies pétrolières et se sont emparés de la question du changement climatique pour faire avancer leurs politiques », explique Mme Curry.

En 1988, les Nations unies ont créé le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC).

« Le GIEC n’était pas censé se concentrer sur les avantages du réchauffement », explique M. Curry.

« Le mandat du GIEC était de rechercher les changements climatiques dangereux causés par l’homme. »

« Les agences nationales de financement ont alors alloué tous les fonds […] en supposant qu’il y avait des impacts dangereux. »

Les chercheurs ont rapidement compris que pour obtenir des financements, il fallait faire des déclarations alarmistes sur le « changement climatique d’origine humaine ».

C’est ainsi que l’on obtient un « consensus fabriqué ».

Dans un nouvel entretien avec le commentateur John Stossel, Mme Curry a exposé plus en détail le récit mondialiste de la « crise climatique », qui vise à mettre en place les objectifs « Net Zero » de l’ONU et du Forum économique mondial (WEF) avant 2030.

La vidéo commence par des déclarations alarmistes de la démocrate radicale Alexandria Ocasio-Cortez (D-NY) et de l’activiste du « réchauffement climatique » Greta Thunberg, qui affirment toutes deux, sans preuve, que « les gens meurent ! »

Parmi la propagande, on trouve également l’affirmation selon laquelle la Terre a jusqu’à 2030 pour éviter une « catastrophe climatique ».

Mme Curry a également parlé du Climategate, qui a révélé que de soi-disant scientifiques du climat dissimulaient des informations, faussaient les résultats d’études et intimidaient les rédacteurs en chef.

Les extrémistes, y compris ceux du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat, ont décidé de mener une guerre contre les compagnies pétrolières et le capitalisme, et ont fait passer la « charrue politique » avant les « bœufs(([1] Dans un sens non péjoratif, issu de l’expression « mettre la charrue avant les bœufs ». En anglais, le terme « horse » (cheval) est utilisé. NDT)) scientifiques », a-t-elle déclaré.

Selon Mme Curry, les résultats erronés des études proviennent en grande partie de la partialité des financements.

Elle explique que les scientifiques qui examinent ces questions de manière neutre ne peuvent pas être financés et qu’ils finissent par être qualifiés de « négationnistes du climat ».

Selon Mme Curry, c’est probablement à cause de ces problèmes que la communauté scientifique a commencé à pratiquer la « culture de l’annulation ».

Aujourd’hui, les arguments relatifs au changement climatique sont utilisés pour ignorer les vrais problèmes qui doivent être abordés.

Elle note que des problèmes réels tels que la pauvreté, le mode de vie, la mauvaise gouvernance, la mauvaise utilisation des sols, la mauvaise planification urbaine et bien d’autres encore sont simplement mis sur le compte du « changement climatique ».

Mme Curry n’est pas la première scientifique de renom à se manifester récemment.

Comme Slay News l’a rapporté en août, plus de 1 600 scientifiques du monde entier ont uni leurs forces en signant une déclaration affirmant que les allégations d’« urgence climatique » menaçant la Terre sont un canular.

Ce groupe massif de scientifiques, qui comprend deux lauréats du prix Nobel, a signé la Déclaration mondiale sur le climat (WCD).

Cette déclaration rejette l’existence d’une « crise climatique » et insiste sur le fait que le dioxyde de carbone est bénéfique pour la Terre.

Cette déclaration va directement à l’encontre du discours alarmiste populaire qui prétend que l’homme détruit la planète avec sa production de carbone.

Ce point de vue est également partagé par le célèbre écologiste Patrick Moore, cofondateur de Greenpeace.

Comme Slay News l’a rapporté en début de semaine, Patrick Moore avertit également le public que le discours antidioxyde de carbone est une escroquerie.

Patrick Moore, écologiste et militant environnemental depuis plus de 50 ans, avertit le public que « l’alarmisme climatique […] est faux à 100 % ».

Dans un nouvel entretien avec l’animateur de podcast Dan Proft, Moore prévient que l’ensemble du discours sur la « crise climatique » est un canular.

Il souligne comment, ces dernières années, les défenseurs de l’écologie ont utilisé les changements météorologiques pour suggérer que la planète était en train d’être détruite par le réchauffement climatique.

« L’autre jour, ils ont dit que c’était l’année la plus chaude de l’histoire de la Terre, et ce n’est pas le cas », a déclaré Moore à Proft sur le podcast « Counterculture ».

« C’est un mensonge, un point c’est tout. »

L’alarmisme climatique — la « catastrophe climatique » — est faux à 100 % », a déclaré M. Moore.

« Nous ne vivons pas une crise climatique. »

M. Moore a déclaré à M. Proft qu’il ne se passait rien de vraiment radical en ce qui concerne le climat.

Il a ajouté qu’il était essentiel de « rechercher la vérité » et de « faire le tri entre ce qui est vrai et ce qui ne l’est pas ».

Les gouvernements et leurs médias complices prétendent qu’il existe une « crise climatique » dans le monde entier, afin de se conformer aux objectifs écologiques du Forum économique mondial (FEM), des Nations unies, de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) et d’autres organisations mondialistes non élues.

Pour atteindre ces objectifs, il est généralement prévu de réduire la qualité de vie de la plupart des citoyens tout en augmentant les impôts pour « sauver la planète ».

Pendant ce temps, la poignée d’élites puissantes qui promeuvent l’agenda vert continueront à se déplacer en jet privé et à manger de la viande parce qu’ils font « partie de la solution ».




Les manifestations pour le climat sont-elles vraiment utiles pour la planète ?

[Source : quebecnouvelles.info]

[Illustration : PHOTO : RADIO-CANADA / JEAN PHILIPPE HUGHES]

Par Anthony Tremblay

Le climat est l’un des grands sujets de notre époque. Non seulement dans les médias et les politiques gouvernementales, mais aussi dans la « rue » par la société civile. Pourtant, lorsque nous regardons l’activisme qui lutte contre le « réchauffement climatique », nous ne pouvons que rouler des yeux. Notamment car tout ce beau monde veut du changement, mais que personne ne veut changer. Et des solutions existent face à un « problème » sous contrôle.

Bill Gates, que l’on ne peut pas accuser « d’inertie » sur la question, a affirmé récemment que le « réchauffement » ne sera pas aussi dramatique qu’anticipé. Que la terre et l’humanité vont s’en sortir. Un homme, qui a accès aux meilleurs vulgarisateurs et experts du monde entier, vient de dire une vérité que beaucoup de jeunes gens refusent d’entendre. À écouter les manifestants des marches pour le climat dans le monde entier, c’est comme si l’humanité avançait inexorablement à sa perte.

Ces manifestants demandent des mesures coercitives aux gouvernements. L’humanité court un grave danger selon eux. Pourtant, rien n’est dit parmi eux sur la recherche scientifique effrénée pour réduire le carbone dans l’industrie pétrolière, et que le charbon est peu à peu remplacé par du gaz naturel. Ni sur le fait que d’autres chercheurs se penchent sur la fusion nucléaire ou encore même sur l’utilisation des algues pour produire des carburants. Non, l’humanité ne court pas à sa perte.

Les gouvernements imposent constamment de nouvelles taxes sur l’essence et font augmenter les factures de tout le monde. Incluant celles de nos manifestants pour le climat. Par contre, aucun d’entre eux n’aura la volonté d’annuler son stage de yoga au Nicaragua qui nécessite de prendre l’avion. Comme Pénélope McQuade qui parle énormément de la honte de prendre l’avion, alors qu’elle doit prendre l’avion six fois par année pour des destinations lointaines comme la Polynésie. Il y a un meme qui montre une assemblée avec un orateur. Celui-ci demande : voulez-vous du changement? Tout le monde lève la main. Et après, il demande : voulez-vous changer? Là, plus personne ne lève la main.

C’est exactement le symptôme de notre époque. Énormément de ces manifestants consomment comme les jeunes non politisés de leur âge. C’est-à-dire se faire livrer du Uber Eats au lieu de cuisiner. Acheter des vêtements de qualité médiocre qui ne seront portés que quelques fois sur Shein. Mais aussi voyager, comme beaucoup aimeraient le faire. Il y a quelque chose de triste dans cette jeunesse québécoise qui se dit « child free » au nom du climat, mais qui achètent des objets inutiles qui ne font que produire plus de pollution en Chine ou au Bangladesh.

Le nihilisme n’a jamais rien donné de bon dans l’histoire. Jamais nos ancêtres ne se sont dit : nous cessons de faire des enfants, car les temps sont trop durs! S’ils avaient pensé comme ça, nous ne serions pas là aujourd’hui dans la société la plus prospère de toute l’histoire de l’humanité. L’humanité continuera de vouloir se développer et prospérer. La Chine, l’Inde, l’Afrique demandent leur part du gâteau. C’est normal. Nous serions comme eux dans leur situation. Et c’est à nous de faire plus d’efforts alors que nous sommes les seuls à en faire?

La décroissance est quelque chose d’impensable dans notre société qui a goûté au confort moderne. Par contre, il est vrai que l’on peut faire des choses. Comme justement d’améliorer l’efficacité de l’industrie pétrolière. Développer le nucléaire. Ce n’est pas dans le cynisme que l’on produira quelque chose pour les générations futures. Personne n’est prêt à réduire son niveau de vie de façon notable pour un problème qui de toute façon ne met pas l’humanité en péril. Donc aussi bien se mettre au travail et trouver des solutions sans constamment nous endetter.




Un gouvernement mondial unique : une réalité évidente

Par Iurie Rosca, journaliste, éditeur, président de l’Université du peuple, Moldavie

La grande remise à zéro et la fin de la géopolitique classique :

Combien y a-t-il de centres de pouvoir dans le monde ?

Chers amis,

Beaucoup d’entre nous ont remarqué qu’avec l’apparition de la pandémie dite de Covid-19, une nouvelle donne dans les relations internationales est apparue, qui avait peut-être échappé à beaucoup d’entre nous jusqu’alors. À savoir qu’au-delà de toute divergence entre plusieurs pays et groupes de pays, ceux-ci se soumettent tous, sans aucune déviation, à un seul centre de pouvoir mondial. Personnellement, j’ai appelé cette nouvelle donne « la fin de la géopolitique classique ».

Tout au long de l’histoire, nous nous sommes habitués à observer les rivalités, les conflits et les guerres entre de nombreux empires et superpuissances ou coalitions d’États. Leur logique était claire pour nous, quelle que soit l’idéologie ou l’école internationale à la base de l’interprétation de ces grandes divergences entre civilisations, centres de pouvoir, tribus ou peuples.

Le pivot géographique de l’histoire de Sir Halford John Mackinder, avec sa théorie du Heartland, de l’île mondiale et de l’importance cruciale de l’Europe de l’Est pour la domination mondiale, Carl Schmitt, avec sa théorie du conflit entre Sea Power et Land Power, Zbigniew Brzeziński avec Le Grand Échiquier, ou Alexandre Douguine avec sa théorie de la Tellurocratie contre la Thalassocratie, et tant d’autres conservent leur validité en tant que visions complexes de l’histoire et de la géopolitique. Mais à mon avis, ces théories, si elles n’ont pas complètement perdu leur pertinence, doivent être développées à la lumière des nouvelles réalités qui ont émergé dans le monde au cours des dernières décennies.

Nous pourrions également décrire cette nouvelle image du monde de la manière suivante. La modernité occidentale a triomphé partout, la primauté de l’économie et le règne de la quantité ont contaminé tous les peuples du monde, la puissance maritime a inondé de civilisation mercantile toute la surface de la puissance terrestre.

Le bipolarisme de l’après-Seconde Guerre mondiale qui a dominé le monde pendant près d’un demi-siècle, équilibrant les deux superpuissances — les États-Unis et l’URSS —, s’est effondré avec la disparition de l’un des pôles, le communisme soviétique. C’est là qu’intervient la divergence d’opinions entre les stratèges occidentaux et ceux de la Russie, de la Chine ou des BRICS dans leur ensemble. Alors que Washington insiste sur le maintien de son statut d’hégémon mondial, ces pays affirment qu’ils sont en passe de s’émanciper de la tutelle de l’Occident collectif et de créer un « monde multipolaire ».

Les deux récits sont devenus dominants dans leurs pays respectifs, « l’Occident » et ses satellites surfant sur l’universalisme du modèle libéral-démocratique et « le Reste » revendiquant l’émancipation de la tutelle impériale de l’Occident. Mais en fait, comme je l’ai noté dans mon intervention de tout à l’heure, l’imposition de l’urgence mondiale sous prétexte de santé a été comme une douche froide pour tout esprit lucide. On s’est demandé pourquoi la quasi-totalité des pays étaient totalement subordonnés aux diktats imposés par l’intermédiaire de l’OMS. De plus, la « Grande Réinitialisation » annoncée comme une fatalité historique inexorable par Klaus Schwab signifiait en réalité un Grand Réveil de l’humanité.

Les mesures liberticides et la « nouvelle normalité » cauchemardesque, la vaccination forcée et la suppression de toutes les libertés politiques, économiques et sociales ont représenté un choc majeur qui a conduit des chercheurs, des universitaires, des auteurs et des journalistes d’investigation à s’interroger sur les origines et les objectifs ultimes des grandes transformations qui ont eu lieu.

Ainsi, en partant de la Covid-19 comme accélérateur historique de l’instauration d’un régime mondial de tyrannie technocratique, les chercheurs qui ne se sont pas laissés corrompre par le discours dominant ont réexaminé l’histoire récente qui a permis de gouverner tous les États du monde à partir d’un centre de pouvoir unique.

Parmi les différentes causes qui ont conduit à une hypercentralisation du pouvoir à l’échelle mondiale, on invoque à juste titre les suivantes.

Toute l’histoire du capitalisme montre que le « facteur économique » a pris le pas sur le « facteur politique ». En d’autres termes, les usuriers et les marchands ont subordonné l’acte décisionnel au niveau de l’État à leurs propres intérêts économiques, transformant les États en outils dociles pour l’obtention de superprofits.

Le Club de Rome, groupe de réflexion des mondialistes fondé par la famille Rockefeller en 1968, avait parmi ses principales tâches la justification théorique du processus de désouverainisation des États en faveur d’une gouvernance mondiale exercée par l’intermédiaire de l’ONU et de ses agences affiliées. Plusieurs autres organisations peuvent également être citées à cet égard, telles que le Council on Foreign Relations, la Commission Trilatérale et le Club Bilderberg, également préoccupés par l’exercice du pouvoir à l’échelle mondiale et l’affaiblissement des États nationaux soumis à un centre de commandement unique.

Toute la stratégie de déréglementation, mise en œuvre depuis les années 1980, a cherché à établir un nouvel ordre économique mondial dans lequel le principe du libre-échange et la sacralisation de l’intérêt des grandes entreprises sont devenus des normes juridiques obligatoires et des pratiques quotidiennes dans le monde entier. L’OMC est l’expression de ces intérêts corporatistes qui subordonnent les États aux grandes entités privées.

Le moment clé de l’établissement d’une gouvernance mondiale, exercée sous le prétexte d’une urgence climatique, a été le Sommet de la Terre de 1992 à Rio de Janeiro, qui a établi l’agenda des Nations unies pour le 21e siècle. Ainsi, précisément en 1992 à Rio, le prétendu problème — le changement climatique ou le réchauffement climatique anthropique — et la fausse solution, avec des prétentions à une recette universelle connue sous le nom de Développement durable — sont devenus officiellement des normes documentaires internationales au sein du système de l’ONU auxquelles tous les États du monde ont adhéré.

L’Agenda 2030 pour le développement durable, adopté par tous les États membres des Nations unies en 2015, et ses 17 Objectifs de développement durable (ODD) représentent la suite directe du Sommet de Rio de 1992. Il convient de noter que cette stratégie devient contraignante pour tous les États du monde.

En d’autres termes, le nouvel ordre mondial est imposé à l’échelle planétaire, sur la base de faux arguments scientifiques, et il vise à remodeler l’économie mondiale, le rôle des États, les droits des producteurs et de tous les citoyens. Tous ces éléments sont destinés à être enchaînés, dans la course à l’empreinte carbone zéro et pour accomplir d’autres éléments de « démolition contrôlée », ainsi que pour réaliser la société de surveillance totale.

Après que Klaus Schwab et son complice du FÉM [Forum Économique Mondial], Thierry Malleret, ont publié leur livre programmatique La Grande Réinitialisation à l’été 2020, beaucoup d’entre nous ont réévalué le livre précédent écrit par le chef du FÉM en 2016 : The Fourth Industrial Revolution [La quatrième révolution industrielle]. Ce faisant, nous avons une fois de plus découvert qu’au-delà des différences entre les États, tout le monde suit la ligne tracée par les élites mondialistes au sein du Forum de Davos et d’autres organisations privées qui rassemblent les milliardaires du monde entier. Pour nous qui venons de l’espace ex-communiste, la comparaison s’impose d’elle-même. L’ONU, le FÉM, l’OMS, l’OMC, etc. apparaissent à nos yeux comme une sorte de Comité central du Parti communiste qui impose ses directives sans rencontrer le moindre désaccord.

Lorsque nous parlons de la guerre totale des mondialistes contre tous les États et tous les peuples, de la surveillance totale, des villes de 15 minutes, de l’Internet des objets (IoT), de l’Internet des corps (IoB), de l’IA, des monnaies numériques des banques centrales (CBDC) et de tous les autres éléments de la tyrannie technocratique mondiale, tout chercheur responsable qui n’est affilié à aucun groupe d’intérêt ne peut ignorer l’observation selon laquelle le monde entier est soumis à un seul et même ordre du jour. Cet agenda unique est poursuivi par tous les États et dépasse toutes les frontières géographiques : tous les conflits politiques, idéologiques, économiques, diplomatiques ou même militaires.

En conclusion, nous ne devons pas nous laisser abuser par la considération que, par exemple, les États-Unis sont en déclin tandis que la Chine est en pleine ascension. Il n’est pas non plus décisif que la Russie soit en conflit majeur avec l’Occident collectif en raison de la guerre en Ukraine. Et même les affirmations actuelles selon lesquelles les BRICS constitueraient une alternative au mondialisme technocratique ne sont pas la panacée. Tant que tous les pays du monde reconnaissent l’ONU comme autorité suprême et appliquent sans relâche toutes les politiques liberticides, voire génocidaires, de cette organisation, toute revendication de défense des intérêts nationaux ou de résistance à l’hyperclasse mondiale est infondée et ridicule, quel que soit l’État ou le régime politique dont elle émane.


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Des choux contre le graphène

Les Choux frisés, Kales, et Caulets, très antioxydants et très anti-carcinogéniques, pour la bioremédiation des dérivés de Graphène, et autres nanoparticules métalliques, dans l’organisme humain

Les Choux frisés, Kales, et autres Caulets, très antioxydants et anti-carcinogéniques

Pour la bioremédiation des dérivés de Graphène, et autres nanoparticules métalliques, dans l’organisme humain

Par Xochi


Sommaire

Avant-Propos

Classification Botanique des Choux frisés, Kales et autres Caulets

Dénominations propres aux Choux frisés, Kales et autres Caulets

Propriétés anti-carcinogéniques, chimioprotectrices, et antioxydantes des Kales, des espèces de Brassica et des Brassicacées

Propriétés anti-carcinogéniques, chimioprotectrices, et antioxydantes des Glucosinolates des Choux frisés, Kales et autres Caulets

Brassicacées et Bioremédiation des substances les plus toxiques contaminant la Biosphère

Kales et Bioremédiation des substances les plus toxiques contaminant la Biosphère

Brassica pour éliminer l’Uranium et se protéger de la Radioactivité

Qualités Nutritionnelles des Choux frisés, Kales et autres Caulets

Impact des divers processus de cuisson sur les qualités nutritionnelles et médicinales des Choux frisés, Kales et autres Caulets

Les Choux frisés, Kales et autres Caulets sont-ils à éviter en cas d’Hypothyroïdie ?

Produits fermentés à base de Kales — Jus, Kombuchas, Choucroutes, etc. — pour une intensification de leur activité antioxydante

Production de semences de Choux frisés, Kales et autres Caulets

Au sujet de la sélection et de l’obtention de nouvelles variétés de Choux frisés, Kales et autres Caulets

«  Variegated ». Caulet originaire du sud-est des USA. Brassica oleracea convar. acephala var. viridis
Photographie de Xochi dans son jardin de désert

Avant-Propos

J’ai le plaisir de proposer, aujourd’hui, le 26 septembre 2023, l’un des essais les plus intelligents qui aient jamais été écrits, en Français, à propos des capacités médicinales des Choux frisés, Kales, Caulets et autres Brassica — si je puis. Cet essai fait une soixantaine de pages, en A4, et requiert une attention soutenue. Bom Shakti !

Mon objectif, déclaré et transparent, dans ce présent essai, est de proposer que les Choux frisés, Kales et autres Caulets puissent constituer l’un des aliments essentiels pour la bioremédiation des dérivés de Graphène, et autres nanoparticules métalliques, dans l’organisme humain. Pourquoi ?

Parce que les Choux frisés, Kales, et autres Caulets sont les choux possédant le plus de capacités antioxydantes, anti-carcinogéniques et chimioprotectrices — parmi toutes les espèces de Brassica.

Parce que les Choux frisés, Kales, et autres Caulets possèdent des capacités puissantes, et avérées, de bioremédiation des substances les plus toxiques, produites par l’Industrie.

Parce que les Choux frisés, Kales, et autres Caulets possèdent des capacités puissantes, et avérées, de protection à l’encontre de la radioactivité et de l’uranium.

Et parce que les Choux frisés, Kales, et autres Caulets ont été choyés par de multiples générations de jardiniers et de paysans depuis de nombreux millénaires — eu égard à leur générosité de puissance nutritionnelle et médicinale. Kale Aventure !

D’ailleurs, aux USA, il existe même un jour officiel pour les Kales, le 4 octobre, depuis 2013 — après que 2012 fût nommée l’année du Kale par le revue Bon Appétit.

Dans cet essai, après les présentations botaniques d’honneur dues à cette classe particulièrement thérapeutique et nutritionnelle, que constituent les Choux frisés, Kales, et autres Caulets, je vais, tout d’abord, aborder les propriétés anti-carcinogéniques, chimio-protectrices et antioxydantes des Kales, des espèces de Brassica et des Brassicacées — et de leurs glucosinolates — avant de plonger, subséquemment, au cœur de la problématique qui nous intéresse, aujourd’hui, au plus haut point.

Il s’agit des capacités avérées et validées que possèdent ces plantes potagères, que sont les Brassicas, de bioremédier, dans l’organisme humain — et dans l’organisme de la Terre — aux substances toxiques les plus délétères, et létales, que l’Industrie mortifère ait produites — dont l’uranium.

Je vais ensuite aborder divers points qui me semblent importants dans la compréhension de la nature des Choux frisés, Kales, et autres Caulets : leurs qualités médicinales et nutritionnelles ; leur composition en éléments bioactifs ; leur fermentation ; leur régénération par la semence ; leur cuisson éventuelle…

sans oublier l’impact négatif, archi-exagéré, de certaines variétés sur le fonctionnement thyroïdien — et, sans oublier, l’impact positif, très avéré, de tous les Brassicas sur le fonctionnement thyroïdien.

«  Hen Peck ». Caulet originaire du sud-est des USA. Brassica oleracea convar. acephala var. viridis
Photographie de Xochi dans son jardin de désert

Classification Botanique des Choux frisés, Kales et autres Caulets

La Famille des Brassicacées est une famille hautement diversifiée comprenant, environ, 3700 espèces et 378 genres — en fonction des botanistes.

D’un point de vue botanique, les Choux frisés, Kales et autres Caulets, constituent quatre groupes bien distincts.

Les trois premiers groupes, présentés ci-après, constituent le pool génétique dénommé Brassica oleracea convar. acephala alors que le quatrième groupe est constitué par la sous-espèce Brassica napus var . pabularis.

Un premier groupe de Kales, dénommés « curly/frisés » , qui sont originaires, du nord et du centre de l’Europe. Brassica oleracea convar. acephala var. sabellica. Les diverses dénominations sont : chou frisé, chou d’aigrette, chou frangé, ou chou lacinié ; chou d’ornement. En Anglais : Curly Kale, Scotch Kale.

Pour les archives. Selon l’édition, de 1883, de l’ouvrage «  Les Plantes Potagères », de Vilmorin-Andrieux, il existe un certain nombre de variétés de Kales de type « curly/frisés » : Chou frisé vert grand, Chou frisé vert à pied court, Chou frisé rouge grand, Chou frisé rouge à pied court, Chou frisé panaché, Chou frisé prolifère.

Un second groupe de Kales, dénommés « Italiens » , qui sont originaires d’Italie et, plus particulièrement, de Toscane. Brassica oleracea convar. acephala var. palmifolia. Les diverses dénominations sont : chou palmier, Noir de Toscane, Lacinato, Kale de Toscane, chou Dinosaure, Broccolo lavagnino, Nero lavagnino, Nero laciniato, Gaggetta, Nero foglia larga, Nero lavagnino, Foglia liscia, Nero lavagnino, Foglia bollosa, etc. En Anglais : Jersey Kale, Tuscan Black or Palmtree Kale. La plante peut atteindre quatre mètres de hauteur.

Pour les archives. Selon l’édition, de 1883, de l’ouvrage « Les Plantes Potagères », de Vilmorin-Andrieux, le Kale italien est, également, dénommé « Chou corne de cerf, Chou noir ». [161]

Selon sa présentation des Kales italiens en 1883 : « Tige droite ou légèrement courbée, atteignant une hauteur de 2 mètres et plus, et se terminant par un bouquet de feuilles entières, longues de 0,60 m à 0,80 m, larges de 0,08 m à 0,10 m, à bords renversés et roulés en dehors, d’un vert foncé presque noir et finement cloquées comme celles des choux de Milan… Le chou palmier ne fleurit souvent que la troisième année. C’est dans ces conditions qu’il atteint sa hauteur la plus considérable. Il n’est guère regardé en France que comme une plante d’ornement. »

Un troisième groupe de Kales, dénommés « Caulets » ou « Collards » , qui sont originaires d’Europe, tout d’abord, et du sud-est des États-Unis, subséquemment. Brassica oleracea convar. acephala var. viridis. Et, peut-être, d’Afrique orientale ?

Le terme latin viridis signifie vert.

Les diverses dénominations sont : chou cavalier, chou fourrager, chou en arbre, chou commun, chou vert, ou Caulet de Flandre.

Pour les archives. Selon l’édition, de 1883, de l’ouvrage « Les Plantes Potagères », de Vilmorin-Andrieux, le Chou-Cavalier est, également, dénommé « Chou arbre, Chou arbre de Laponie, Chou asperge, Grand chou à vaches. Grand chou de Bretagne, Chou sans tête, Chou vert ». [157]

Selon sa présentation des Caulets — en 1883 : « Le chou cavalier est rustique et passe, sans en souffrir, les hivers ordinaires de notre climat. Au retour du printemps, les fleurs ne se montrent pas toujours chez le chou cavalier ; souvent il continue à produire des feuilles et à s’élever, et c’est dans ce cas qu’il atteint la plus grande taille : il ne fleurit alors qu’au printemps de la troisième année, en comptant celle du semis. Ordinairement on récolte les feuilles pour la nourriture du bétail, en laissant les choux en place ; et, au printemps, on recueille, en étêtant la plante, les jets près de monter à fleur. Les tiges elles-mêmes ne sont pas comestibles ; elles deviennent tellement dures et ligneuses, qu’en les laissant sécher, on peut en faire des cannes. »

« Les Plantes Potagères » présentent un autre Caulet : le Caulet de Flandre avec pour synonyme Chou Cavalier rouge qui est « un Chou fourrager de grande dimension, un peu inférieur cependant, sous ce rapport, au Chou cavalier, dont il se distingue par la teinte rouge violacé de ses tiges et de ses feuilles. Il est extrêmement résistant aux froids, plus même que le Chou cavalier, ce qui le fait préférer à toute autre espèce pour la grande culture dans le nord de la France. »

Les « Caulets » sont dénommés, en Anglais : Collard, Tree Cabage, Fodder Kale, Kale, Borecole. Les feuilles peuvent atteindre 40 cm de longueur et elles ont un très long pétiole. Les plantes peuvent atteindre 2 ou 3 mètres de hauteur avant de fleurir. Elles sont dépourvues de bouquet feuillu terminal.

Il existe une diversité incroyable de variétés de Caulets aux USA. Voir le site web de l’organisation « The Heirloom Collard Project » [102] initiée par Ira Wallace, la fondatrice du groupe de production de semences potagères, en pollinisation ouverte, Southern Exposure Seed Exchange, en Virginie. L’association Kokopelli présente un certain nombre de variétés traditionnelles de Caulets depuis de très nombreuses années.

L’origine première de ces Caulets remonte à l’Europe de l’Ouest. Quant à la généreuse diversité des Caulets du sud-est des USA, de nombreux historiens de l’agriculture sont convaincus qu’elle est originaire d’Afrique et que ce sont les esclaves qui en ont amené les semences avec celles du gombo, de la pastèque, du riz, du sésame, du niébé, etc. En 1795, Thomas Jefferson cultivait des Caulets dans son jardin de Monticello. Voir l’ouvrage « Collards: a Southern tradition from seed to table ». Edward Davis et John Morgan. Page 129.

Selon d’autres historiens, ces Caulets très diversifiés, du sud-est des USA, pourraient être issus du Portugal et du nord-ouest de l’Espagne — qui en sont très amateurs depuis des siècles… si ce n’est des millénaires.

Un quatrième groupe de Kales, dénommés « Russo/Sibériens » , qui sont originaires de Russie, de Sibérie et, en fait, de tous les pays à l’est de l’Europe centrale. Brassica napus var. pabularia . Ces choux sont, particulièrement, très résistants aux grands froids.

Traditionnellement, les variétés de choux frisés de l’espèce Brassica oleracea sont appelées « choux frisés européens », ou « European Kales », tandis que les variétés de choux frisés, de la sous-espèce Brassica napus var. pabularia, sont appelés « choux frisés sibériens », « choux frisés russes » ou « Siberian Kales » et « Russian Kales ».

Ces dénominations ne sont pas pas très heureuses, ou pratiques — d’autant plus que les anglophones sont très enclins à « Kaler » tous les Brassica : « Scotch Kale », « Chinese Kale », « Ruvo Kale », « Jersey Kale », « Bush Kale », « Fodder Kale », « Palmtree Kale », « Portuguese Kale », etc.

Qui plus est, aujourd’hui, la dichotomie Européen/Russe est, franchement, hautement détestable — et suspecte, à notre époque de dissonances cognitives extrêmes… dont les globalistes eugénistes font leurs choux gras. En effet, la majorité des Peuples de Russie sont, strictement, Européens et la langue russe est la principale langue d’Europe avec environ 150 millions de locuteurs. Tout va bien ?

« Mind your Step… because They are Stepping on Your Mind  » .

Si l’on étend la notion de « sans-tête », «  a/cephala » – à savoir de Choux qui ne pomment pas — les Kales peuvent, également, indiquer, et inclure, les sous-espèces suivantes de Brassica oleracea  :

D’autant plus qu’elles sont, même, parfois, dénommées « Kales » en Anglais.

Brassica oleracea var. ramosa. Les diverses dénominations sont : chou branchu, chou à mille têtes. En Anglais : Branching Bush Kale et Thousand-headed cabbage.

Pour les archives. Selon l’édition, de 1883, de l’ouvrage «  Les Plantes Potagères », de Vilmorin-Andrieux : « Le Chou à mille têtes est une race très distincte, originaire de la Vendée et malheureusement assez sensible au froid. Les tiges en sont beaucoup plus nombreuses encore que celles du Chou branchu du Poitou, et forment une sorte de touffe ou de petit buisson ne dépassant guère la hauteur de 1 m à 1,20 m, mais extrêmement dense et très chargé de feuilles, qui sont entières, assez longues, plus larges à la base qu’à l’extrémité et d’une couleur blonde ou jaunâtre très particulière. »

Pour les archives. Selon l’édition, de 1883, de l’ouvrage «  Les Plantes Potagères », de Vilmorin-Andrieux, il existe un autre type de Chou à mille têtes dénommé Chou branchu du Poitou : « Très grande race qui se distingue du Chou cavalier en ce que la tige se divise ordinairement en un certain nombre de branches dont chacune porte de grandes feuilles à peu près semblables à celles du Chou cavalier. Quoiqu’un peu moins élevé que celui-ci, le Chou branchu du Poitou est généralement regardé comme plus productif, mais il n’est pas aussi rustique et souffre parfois de l’hiver dans les départements du Centre et du Nord. Il est originaire de la région de l’Ouest, et c’est surtout pour ce pays qu’il doit être recommandé. » Le Chou branchu du Poitou est, également, dénommé Chou d’Angers, Chou mille œils, Chou d’hiver à drageons — et, en Anglais, Thousand-headed cabbage

Ces choux branchus sont des Kales vivaces. Il en existait, au siècle passé, de très nombreuses variétés. Voir, par exemple, l’étude « Perennial kales: collection rationalization and genetic relatedness to other Brassica oleracea crop types », de 2007, qui a étudié la diversité génétique de 24 variétés de « Choux à mille têtes » — ou Kales vivaces. [65]

Brassica oleracea var. costata. Les diverses dénominations sont : chou à grosses côtes, chou Tronchuda, ou chou de Beauvais. En Anglais : Portuguese Kale. La plante ressemble à un Caulet, à tige épaisse, avec de grandes feuilles amples et flottantes et un bouquet feuillu terminal très lâche. Cette sous-espèce semble originaire du Portugal où elle est très importante dans les systèmes agricoles et jardiniers du pays — ainsi que dans ceux du nord de l’Espagne.

En compagnie d’ailleurs, de multiples autres populations de Kales Russo/Sibériens, Brassica napus var. pabularia, dénommées « Nabicol » dans le nord de l’Espagne. À noter que ce terme « Nabicol » signifie parfois chou-navet, à savoir le rutabaga, Brassica napus var. napobrassica. La situation taxonomique est même pire, car certains semenciers, sur la Toile, en parlent comme d’un Brassica campestris ou, même, comme d’un chou-rave !

Brassica oleracea var. medullosa : Il est dénommé le chou-moellier. En Anglais : Marrowstem. La plante peut atteindre deux mètres de hauteur et ses tiges sont très renflées.

Pour les archives. Selon l’édition, de 1883, de l’ouvrage « Les Plantes Potagères », de Vilmorin-Andrieux : « Grande race de chou fourrager à tige unique très forte et très grosse, renflée principalement dans ses deux tiers supérieurs et remplie d’une moelle ou chair tendre, excellente pour la nourriture des bestiaux. Les feuilles sont extrêmement grandes et amples et donnent aussi un produit considérable. La hauteur de la tige peut atteindre 1,50 m à 1,60 m avec une épaisseur de 0,08 m à 0,10 m dans la portion la plus renflée. » Un chou-moellier rouge est, également, présenté dans cet ouvrage.

«  Russian Frills ». Kale Russo-Sibérien. Brassica napus var. pabularis .
Photographie de Xochi dans son jardin de désert

Dénominations traditionnelles propres aux Choux frisés, Kales et autres Caulets

Le Kale, en Écosse, était une espèce fondamentale dans l’alimentation quotidienne — tout comme pour de nombreux Peuples de par le monde… et tout comme cela le fut tant pour les civilisations européennes — celtiques et russo/sibériennes — pendant de nombreux millénaires.

à ce point que le verbe « to Kale », dans les terres écossaises, signifiait « inviter à dîner ».

Il en était de même en Angleterre. En effet, il y fallut attendre le 14e siècle pour que les termes « caboche » et « cabache » entrent dans le langage commun — ce qui veut dire que les seuls choux consommés, auparavant, étaient les choux sans tête — acephala pour les experts.

Les choux frisés ont eu pendant longtemps, il est vrai, une fort mauvaise réputation de digestion ardue, mais ne serait-ce pas plutôt l’épicier du quartier qui digérait mal de voir les choux frisés prospérer dans les jardins d’antan — malgré tous les grands froids — et conférer une générosité nutritionnelle sans pareil… À moins que ce ne fût l’industrie pharmaceutique qui voyait d’un très mauvais œil une telle panacée universelle.

Et en parlant de réputation, c’est Oberon Sinclair, la fondatrice de My Young Auntie PR à New York, qui, de toutes pièces, en a recréé une bonne pour les Kales… à la demande, publicitaire, de l’AKA, l’American Kale Association — aux USA, en 2013.

« To make kale look cool… et kaléidoscopique » – sans l’arc-en-ciel, nonobstant, qui avait, déjà, été piraté par la mouvance des LGBT-Q-bénis.

Il semble que la civilisation celtique — qui survécut, « durablement », pendant 2700 années, sur toute l’Europe et même au-delà — ait eu une influence prépondérante sur les dénominations afférentes aux Brassicas. En effet, le terme botanique « Brassica » viendrait des termes celtiques, « Braissech », « Bresic » ou « Bresych » — signifiant chou… tout bonnement et gauloisement.

Lorsque j’étais enfant, l’aîné de onze, en Bretagne, nous mangions beaucoup de Kales, appelés « Choux frisés » — la nourriture des pauvres… ou de ceux qui, dans la Vie, prêtent attention à l’harmonisation de leurs forces vitales. D’ailleurs, cela a dû me marquer à vie… car je suis fort enclin à appeler mes enfants, et petits-enfants, « mon chou » et « mon p’tit chou » — et en écrivant cela, je prends conscience qu’il ne m’est jamais venu à l’esprit de les appeler « ma petite betterave » !

Et lorsqu’on pense aux choux, on pense, souvent, à la Bretagne célèbre pour ses choux-fleurs et ses choux/Kales — qui adorent les atmosphères tempérées. Et ce n’est pas pour rien, car…

… au siècle passé, il existait une diversité, extraordinaire, de Brassica en Bretagne — et dans l’ouest de la France plus généralement. Selon le témoignage d’Yves Hervé (INRA de Rennes), en 1985, lors du colloque sur la biodiversité légumière, ce sont 794 variétés/populations de Brassicacées — dont 300 variétés de choux-fleurs — qui ont été collectées entre 1964 et 1984, principalement dans l’ouest de la France.

Elles furent, subséquemment, éradiquées par l’imposition du marché captif des hybrides F1 très clairement manifestée au fil des Catalogues du GNIS.

Ainsi, pour les choux-fleurs — par exemple : en 1995, il y était inscrit 57 variétés en pollinisation ouverte et 40 variétés F1 contre, en 2011, 13 variétés, seulement, en pollinisation ouverte et 140 variétés F1. Ainsi, pour les choux brocolis — par exemple : dès 1997, la totalité des variétés étaient des hybrides F1. Y compris en bio ? Effectivement. Voir mes divers articles sur la « Bio Piratée » sur le blog de l’Association Kokopelli. [160]

Pour rappel, le GNIS fut le Groupement National Interprofessionnel des Semences qui est devenu, subséquemment, le SEMAE afin de se refaire une virginité après avoir attaqué et harcelé, juridiquement et médiatiquement — pendant une dizaine d’années… mais sans succès — l’Association Kokopelli dont je suis le fondateur.

Le Groupement National Interprofessionnel des Semences fut créé, en 1941, par le Maréchal Pétain, ou ses contrôleurs, afin de préparer le terrain, industriel, pour le Plan Marshall en 1947. Ce Grand Plan Technologique Agro-Industriel allait, définitivement, régler son compte à l’agriculture vivante traditionnelle de nos ancêtres en promouvant une agriculture de guerre : les fertilisants étant issus des recherches sur la synthèse de différents explosifs à base d’ammoniaque (Fritz Haber) ; les pesticides étant issus des gaz moutarde (Fritz Haber) ; les tracteurs étant issus des tanks de combat.

Au-delà de la Bretagne — en tant que vestige du Celtisme détruit par la bourgeoisie parisienne… celle qui prétend avoir fomenté une révolution populaire en 1789 — les deux types de choux présents en Europe du Nord ont été caractérisés par deux types de dénominations.

Les choux sans tête sont diversement nommés « Kale (en Écosse), « Kaal » (en Norvège), « Kohl » (en Suède), « Kol » (en Espagne), « Kole » (en Angleterre), « Collard » (en France), « Caulis » (en latin), « Kelum » (en perse) et « Kaulion » (en grec)… — tous termes corrélés à la racine gréco-celtico-germanique « Caul » signifiant « tige ».

Le terme anglais Kale (prononcer « Keil ») est, donc, réellement, à l’origine, un terme générique — qui veut tout simplement désigner un chou ne pommant pas.

Quant aux choux avec tête — qui pomment — ils sont diversement nommés « Cabus » ou « Caboche » (en France), « Cabbage » (en Angleterre), « Kopi » (en Inde), « Kopf Kohl » (en Allemagne), « Kaposta » (en Tartarie), « Kopee » (au Bengale)… — tous termes corrélés à la racine slavo-celtique « Cap » ou « Kap » signifiant « tête ».

Le verbe anglais, « to head », « têter », pour désigner les variétés de choux, ou de laitues, qui « pomment » semble plus adapté… car de nombreux choux « pommant » n’ont, strictement, pas la forme de pomme. Voir par exemple le Chou cabus « Pointu de Châteaurenard » — en semences chez Kokopelli.

De plus, il est vraisemblable que le troisième type de dénominations utilisé pour les choux, « Kraut » (en Allemagne), « Chou-croute » (en France), « Karumb » (en Arabe) soit corrélé à la racine gréco-germanique « Krámbe ».

C’est de ce terme « Krámbe » que dérive le nom « Crambe » donné à un autre genre de la famille des Brassicacées, un genre contenant une vingtaine d’espèces, dont le Crambé maritime.

«  Bear Necessities » . Kale Russo-Sibérien. Brassica napus var. pabularis .
Photographie de Xochi dans son jardin de désert

Propriétés anti-carcinogéniques, chimioprotectrices, et antioxydantes des Kales, des espèces de Brassica et des Brassicacées.

Plusieurs études épidémiologiques, sur l’homme, ont mis en valeur qu’une consommation élevée d’aliments du genre Brassica est inversement liée au risque de cancer, avec un effet chimioprotecteur particulier à l’encontre des cancers des poumons, de l’estomac, du colon et du rectum.

Voir, par exemple, « Brassicaceae: a rich source of health improving phytochemicals ». Avato et Argentieri, 2015. [13]

Au sein des Brassica, les Choux frisés/Kales se caractérisent par leur haute teneur en antioxydants, en anti-inflammatoires et en nutriments anti-cancer.

Les Kales possèdent des qualités antioxydantes, anti-carcinogéniques, anti-ulcérogéniques, anti-génotoxiques, anti-inflammatoires, cardioprotectrices et gastro-protectrices. [53] [55] [58]

Les Choux frisés et Kales ont été utilisés, également, pour traiter les troubles osseux, le diabète, les problèmes de vision, les maladies du foie et l’obésité.

Ainsi, diverses recherches ont mis en valeur que dans la famille des Brassicacées, ce sont les Choux frisés/Kales qui contiennent la plus grande quantité de divers polyphénols.

En effet, les Kales présentent la capacité antioxydante la plus élevée par rapport aux choux de Bruxelles, aux fleurs du chou brocoli, aux choux-fleurs et aux choux pommés.

Et ce n’est peut-être pas une coïncidence si, chez les espèces de Brassica oleracea, ce sont les Kales qui sont le plus résistants à la salinité — une plaie induite par les pratiques de l’agriculture moderne industrielle et toxique. [166]

Les Choux frisés/Kales figurent parmi les détoxifiants les plus puissants, de l’alimentation humaine, de par leur très grande capacité à impacter les processus épigénétiques — à savoir, leur très grande propension à faire évoluer la configuration génomique humaine afin de déclencher plus rapidement une élimination des substances cancérigènes de l’organisme.

Dans la Vie, ce sont, en particulier, les processus d’évolution épigénétiques qui font déprimer les propagandistes de la secte du néo-darwinisme — qui est aveugle, aléatoire et non intentionnée — par essence !!

En outre, les Choux frisés/Kales représentent la source alimentaire potentielle la plus pertinente du système glucobrassicine/indole-3-carbinol — aux capacités très réputées de protection à l’encontre du développement du cancer et d’autres pathologies des systèmes immunitaires et hormonaux.

Les Choux frisés/Kales seraient donc au pinacle de la Famille des Brassicacées dans la lutte à l’encontre de l’oxydation, de la mutagénisation, de la cancérisation… Et de la Chimérisation ? Et de la Graphénisation ?

Il existe quelques études sur les propriétés anti-carcinogéniques, et antioxydantes, des Kales, mais il en existe une pléthore d’autres portant sur les mêmes propriétés anti-carcinogéniques, et antioxydantes, des Choux du genre Brassica — ou des Brassicacées, plus généralement.

Par exemple, en voici une sélection portant sur les propriétés anti-carcinogéniques et antioxydantes des Kales :

Une étude, de 2006, a analysé les composants actifs d’une variété de Kale, de 10 variétés de choux pomme et de 10 variétés de choux-fleurs. Selon ses conclusions :

La capacité antioxydante totale était de 0,76 µmol/g, en poids frais, (moyenne) dans les extraits hydrosolubles et de 0,32 µmol/g, en poids frais, dans les extraits insolubles dans l’eau du chou-fleur, ce qui était 62-68 % plus élevé que dans le chou pommé. Le Kale contenait 6,4 et 6,1 µmol/g, en poids frais, de capacité antioxydante totale dans les extraits solubles et insolubles dans l’eau.

À savoir que dans cette étude, l’unique Kale contenait de 9 à 20 fois plus de capacité antioxydante que les choux-fleurs — qui en contenaient, eux-mêmes, de 62 à 68 % de plus que les choux pommés.

Selon l’étude, de 2007, “Tronchuda cabbage ( Brassica oleracea var. costata ) seeds: Phytochemical characterization and antioxidant potential”, [85] les graines de Chou Kale Tronchuda possèdent un fort potentiel antioxydant. Elles contiennent de très nombreux composés phénoliques et des acides organiques — aconitique, citrique, ascorbique, malique, quinique, shikimique et fumarique. Quant à la composition phénolique des feuilles de Chou Kale Tronchuda, il est à noter que les feuilles externes se caractérisent par la présence de glycosides de flavonol complexes tandis que les feuilles internes présentent à la fois des glycosides de flavonol et des dérivés d’acide hydroxycinnamique. [38]

Une étude de 2006 a identifié 43 % d’acide citrique et 28 % d’acides malique et quinique, dans les feuilles externes du Chou Kale Tronchuda, et, à parts égales, l’acide ascorbique, l’acide malique et l’acide quinique dans ses feuilles internes. [38]

“ Antiproliferative effects of fresh and thermal processed green and red cultivars of curly kale ( Brassica oleracea convar. acephala var. sabellica )/Effets antiprolifératifs des cultivars verts et rouges de chou frisé ( Brassica oleracea convar. acephala var. sabellica ) frais et traités thermiquement”. [62] « Antiproliferative Effect of Bioaccessible Fractions of Four Brassicaceae Microgreens on Human Colon Cancer Cells Linked to Their Phytochemical Composition/Effet antiprolifératif de fractions bioaccessibles de quatre micro-arbres de Brassicaceae sur des cellules cancéreuses du côlon humain , lié à leur composition phytochimique ». Les Brassicacées étaient kale, brocoli, moutarde et radis. [64]

« A napin-like polypeptide with translation-inhibitory, trypsin-inhibitory, antiproliferative and antibacterial activities from kale seeds/Polypeptide de type napine ayant des activités inhibitrices de la traduction, inhibitrices de la trypsine, antiprolifératives et antibactériennes provenant des graines de chou frisé ». En sus de leurs qualités anti-leucémiques, ces semences de Kale possédaient une activité antibactérienne à l’encontre d’espèces de bactéries des genres Bacillus, Megabacterium et Pseudomonas. [70]

« Nrf2 antioxidant pathway and apoptosis induction and inhibition of NF-κB-mediated inflammatory response in human prostate cancer PC3 cells by Brassica oleracea var. acephala : An in vitro study/Voie antioxydante Nrf2, induction de l’apoptose et inhibition de la réponse inflammatoire médiée par NF-κB dans les cellules humaines PC3 du cancer de la prostate par Brassica oleracea var. acephala : une étude in vitro ».

Le pollen de Brassica napus — donc des Kales Russo/Sibériens — exercerait des effets anticancéreux sur les cellules cancéreuses de la prostate [ 91 ].

Une étude, de 2013, [56] a mis en exergue, plus particulièrement, les capacités antioxydantes du Kale noir de Toscane.

Une étude, de 2008, a analysé les qualités antibactériennes et antioxydantes d’une population de Kales (feuilles et semences) de la région de Trabzon en Turquie. [48]

Selon leurs conclusions. Les acides caféique, sinapique et férulique étaient les plus abondants. Ces Kales étaient antibactériens à l’encontre de Staphylococcus aureus, Enterococcus faecalis, Bacillus subtilis, et très fortement, Moraxella catarrhalis.

Il existe, surtout, une foultitude d’études pharmacologiques sur les activités anti-prolifératives, anti-carcinogéniques, anti-mutagéniques, antioxydante… des principaux composés des Kales — et, au-delà des Kales, des espèces du genre Brassica et, en fait, de toute la famille des Brassicacées.

À savoir, portant sur leurs Glucosinolates et sur leurs produits d’hydrolyse… et, en particulier, portant sur le sulforaphane qui constitue le composé anticancéreux le plus puissant des espèces potagères du genre Brassica.

Il existe, par exemple, une abondance de sulforaphane dans les semences du Kale noir de Toscane. Selon une étude, de 2014, la farine de ses graines dégraissées contenait 5,1 % (en poids frais) de glucoraphanine, son précurseur. [19]

«  Variegated ». Caulet originaire du sud-est des USA. Brassica oleracea convar. acephala var. viridis
Photographie de Xochi dans son jardin de désert

Propriétés anti-carcinogéniques, chimioprotectrices, et antioxydantes des Glucosinolates des Choux frisés, Kales et autres Caulets

Les glucosinolates constituent un vaste groupe de métabolites végétaux secondaires anioniques, hydrophiles et contenant du soufre, qui contribuent de manière significative à la saveur épicée, et à l’amertume, des légumes du genre Brassica. Ils sont dérivés du glucose et des acides aminés.

Plus de 130 glucosinolates ont été décrits, à ce jour, principalement dans la Famille des Brassicacées — mais, également, dans la Famille des Capparidacées, la Famille des Caricacées, la Famille des Moringacées et la Famille des Resedacées — toutes familles de l’Ordre des Brassicales.

Les glucosinolates sont dérivés de huit acides aminés — tryptophane, leucine, isoleucine, méthionine, alanine, valine, phénylalanine et tyrosine — et ils peuvent être regroupés en glucosinolates aliphatiques, aromatiques et indoliques en fonction des acides aminés à partir desquels ils sont biosynthétisés.

Les glucosinolates aliphatiques sont dérivés, en grande partie, de la méthionine, mais, également, de l’alanine, de l’isoleucine, de la leucine et de la valine.

Les glucosinolates aromatiques/benzéniques sont dérivés de la phénylalanine et de la tyrosine.

Les glucosinolates indoliques sont dérivés du tryptophane.

Une vingtaine de glucosinolates sont prédominants dans le genre Brassica dont :

des glucosinolates aliphatiques : la glucoibérine, la glucolépidiine, la progoitrine, l’épiprogoitrine, la sinigrine, la glucoraphanine, la glucoraphénine, la gluconapine, la sinalbine, la glucobarbarine, la glucoérucine et la glucobrassicanapine.

des glucosinolates aromatiques/benzéniques : la gluconasturtiine, la glucotropaeoline et la glucomoringine.

des glucosinolates indoliques : la glucobrassicine, la néoglucobrassicine, la 1-hydroxy-3-indoylmethyl, la 4-méthoxyglucobrassicine et la 4-hydroxyglucobrassicine.

Une partie de ces glucosinolates sont prédominants chez les Kales :

des glucosinolates aliphatiques : la glucoérucine, la glucoraphanine, la progoitrine, la gluconapine, la glucoibérine et la glucobrassicanapine.

des glucosinolates aromatiques/benzéniques : la gluconasturtiine.

des glucosinolates indoliques : la glucobrassicine, la néoglucobrassicine, la 1-hydroxy-3-indoylmethyl, la 4-méthoxyglucobrassicine et la 4-hydroxyglucobrassicine.

Les glucosinolates représentent les composés phytochimiques les plus caractéristiques des choux du genre Brassica. Ils sont réputés — ainsi que leurs produits de dégradation — pour leurs propriétés antifongiques, antibactériennes et, surtout, antioxydantes et anti-carcinogéniques. [71] [76] [79] [97] [98]

Et cela fait très longtemps que nos ancêtres, proches et lointains, ont pu bénéficier des qualités extrêmement thérapeutiques des Glucosinolates, car, selon des recherches récentes, [131] l’émergence des glucosinolates indoliques, les plus antiques, date d’une période du Crétacé supérieur (entre 85 et 92,2 millions d’années).

D’ailleurs, sans remonter aussi loin, et pour la petite histoire, Isatis tinctoria, le Pastel des Teinturiers, a été validé, pharmacologiquement, comme contenant 20 fois plus de glucobrassicine que les brocolis. En fait, Isatis tinctoria contient les 3 glucosinolates indoliques suivants : glucobrassicine, néo-glucobrassicine et sulfo-glucobrassicine. [72] [73] [96] [99] Isatis canescens est, également, une source riche en glucobrassicine. [84]

Isatis tinctoria est une Plante Médicinale Maîtresse (depuis des millénaires) dans la Pharmacopée Traditionnelle Chinoise. En effet, Isatis tinctoria/Isatis indigotica entre dans la composition d’une centaine de complexes. Isatis tinctoria est, également, une teinture bleue de guerre chez les Celtes — en attente d’un retour en grâce lors de la Grande Réinitialisation, terminale, des globalistes.

Il est à noter que l’attaque des tissus végétaux des feuilles, par des prédateurs (tels que les limaces et les chenilles), induit une augmentation de la teneur en glucosinolates aliphatiques — à savoir de la gluconapine, de la progoitrine et de la glucoraphanine… dont la mission est défendre les plantes contre les animaux.

Ainsi, l’une des études suivantes donne l’exemple de deux plantes de Kales italiens dont l’une était affectée par des herbivores. Les niveaux de glucosinolates, dans la plante affectée, étaient beaucoup plus élevés. Les voici, respectivement, pour le Kale non affecté et le Kale affecté — en mg/100 g. Gluconasturtiine : 0,010,18. Glucoraphanine : 9,966,9. Progoitrine : 0,010,06. Glucobrassicine : 28,962,4).

Il est à noter, également, que lorsque les Brassicas sont cuits avant d’être consommés, la myrosinase est inactivée et les glucosinolates transitent vers le côlon où ils sont hydrolysés par le microbiote intestinal.

Une étude, de 2021 — portant sur cinq espèces végétales appartenant à la famille des Brassicaceae : Brassica rapa, Brassica oleracea, Brassica carinata, Eruca vesicaria et Sinapis alba — a montré que plus de 30 % des glucosinolates initialement présents dans les feuilles de ces espèces végétales seraient capables d’atteindre les entérocytes humains, résistant ainsi aux processus de dégradation des enzymes digestives, y compris leur propre enzyme myrosinase. Dans cette étude, les pourcentages de bioaccessibilité les plus élevés correspondaient aux glucosinolates indoliques tels que la glucobrassicine (70 %) et la néoglucobrassicine (environ 56 %), suivis par les glucosinolates aliphatiques tels que la progoitrine (49 %) et la sinigrine (32-43 %). Les pourcentages de bioaccessibilité les plus faibles correspondaient aux glucosinolates aromatiques, avec un pourcentage de 25 % pour la sinalbine. [86]

Ainsi, selon cette étude, ce sont les variétés de Kales caractérisées par un fort pourcentage de glucosinolates, sous forme de glucobrassicine — et, donc, d’indole-3 carbinol — qui auraient le plus de chances d’accéder aux cellules de l’épithélium intestinal, les entérocytes.

Selon la présentation de l’étude, de 2016, « Bioavailability of Glucosinolates and Their Breakdown Products: Impact of Processing/Biodisponibilité des glucosinolates et de leurs produits de dégradation : Impact de la transformation » [87]   :

Après ingestion, les glucosinolates peuvent être partiellement absorbés sous leur forme intacte à travers la muqueuse gastro-intestinale. Cependant, la plus grande partie est métabolisée dans la lumière de l’intestin. Lorsque les Brassica sont consommés sans transformation, l’enzyme myrosinase, présente dans ces plantes, hydrolyse les glucosinolates dans la partie proximale du tractus gastro-intestinal en divers métabolites, tels que les isothiocyanates, les nitriles, les oxazolidine-2-thiones et les indole-3-carbinols.

L’étude, de 2016, « Assessing the Fate and Bioavailability of Glucosinolates in Kale (Brassica oleracea) Using Simulated Human Digestion and Caco‑2 Cell Uptake Models » a caractérisé les glucosinolates, et leurs produits d’hydrolyse, dans les digesta gastriques et intestinaux frais, et in vitro, de chou Palmier ( Brassica oleracea convar. acephala var. palmifolia ). [163] Selon ses conclusions.

Dans le chou frisé frais, la glucoraphanine, la sinigrine, la gluconapine, la gluconasturtiine, la glucoérucine, la glucobrassicine et la 4-méthoxylglucobrassicine ont été identifiées. Après 120 minutes de digestion gastrique, les niveaux de glucoraphanine, de sinigrine et de gluconapine ont diminué, et aucune glucoérucine ou glucobrassicine n’a été détectée.

Cependant, une augmentation concomitante des produits d’hydrolyse des glucosinolates, à savoir le nitrile d’allyle, l’isothiocyanate de 3-butényle, le phénylacétonitrile et le sulforaphane, a été observée. Cette tendance s’est poursuivie tout au long de la digestion intestinale. Après 120 minutes, les niveaux de nitrile d’allyle, d’isothiocyanate de 3-butényle, de phénylacétonitrile et de sulforaphane étaient respectivement de 88,19 ± 5,85, 222,15 ± 30,26, 129,17 ± 17,57 et 13,71 ± 0,62 pmol/g de poids frais. Les digesta intestinaux ont ensuite été appliqués à des monocouches de cellules Caco-2 pour évaluer la biodisponibilité. Après 6 heures d’incubation, aucun glucosinolate n’a été détecté et le pourcentage d’absorption cellulaire totale des produits d’hydrolyse des glucosinolates variait de 29,35 % (sulforaphane) à 46,60 % (nitrile d’allyle).

Une étude, de juillet 2023, « A Cold Case—Glucosinolate Levels in Kale Cultivars Are Differently Influenced by Cold Temperatures » a analysé l’effet du refroidissement sur la diversité des glucosinolates et, par conséquent, en même temps, sur la saveur de variétés de choux frisé génétiquement différents. Selon ses conclusions. [109]

Nous avons ciblé l’impact à court terme (après 12 heures) sur les glucosinolates ainsi que l’effet à plus long terme (après sept jours) de l’acclimatation au froid. Nos résultats ont révélé des schémas moléculaires différents en ce qui concerne le changement des glucosinolates dans le type sauvage par rapport au chou frisé et au chou frisé de type Lacinato. Dans ces derniers, les glucosinolates aliphatiques primaires ont été induits — la glucoraphanine dans le chou frisé Lacinato a augmenté de plus de 200 %. La glucobrassicine indole n’a pas été significativement affectée. Inversement, chez le type sauvage, l’indole glucobrassicine a été réduite de 35 % après l’acclimatation au froid, tandis que les glucosinolates aliphatiques ont été à peine affectés. Les résultats indiquent que les facteurs génétiques et environnementaux sont importants pour la composition des glucosinolates du chou frisé. En conclusion, pour obtenir des plantes ayant une meilleure valeur nutritionnelle, il est crucial de tenir compte à la fois de la température et du choix du cultivar pendant la culture du chou frisé.

Ce qui signifie que des Choux frisés/Kales qui auront gelé, dans le champ ou dans le jardin, n’auront pas les mêmes qualités nutritionnelles et médicinales que ceux qui n’auront pas gelé.

«  Variegated ». Caulet originaire du sud-est des USA. Brassica oleracea convar. acephala var. viridis
Photographie de Xochi dans son jardin de désert

Voici, maintenant, une série d’études portant, principalement, sur la caractérisation des glucosinolates dans des variétés de Choux frisés/Kales — ou autres Brassicacées.

Cette caractérisation des glucosinolates n’est pas des plus aisées, car elle peut varier, énormément, selon les espèces de Brassica ; selon les sous-espèces, variétés et populations au sein d’une même espèce ; et, qui plus est, selon les plantes mêmes.

De plus d’un point de vue commercial, il existe de multiples variétés de « Romanesco » — hybrides F1 ou en pollinisation ouverte — ou de « Noir de Toscane ». Tout dépend de la souche, à savoir de l’obtenteur, de l’améliorateur, du reproducteur… et, bien évidemment, des conditions pédo-atmosphériques de culture en sol — saison, température, lumière, nature des sols, hygrométrie, phases de croissance, phases de récolte, conservation…

C’est sans évoquer, de plus, les synonymes — et, parfois, les terminologies fantaisistes — dans les noms de variétés. Ainsi, l’une des études suivantes évoque deux variétés de Kales italiens, « Noir de Toscane » et « Palmizio Senza Testa »… qui sont identiques.

Selon une étude, de 2012, il n’y aurait pas — ou seulement des traces — de glucoraphanine, le précurseur du sulforaphane, dans la plupart des espèces potagères et oléagineuses de Brassica napus — de même que dans Brassica rapa et dans Brassica juncea . [133] Cette étude, d’ailleurs, portait sur la chimérisation de Brassica napus — en désactivant certains gènes — afin de réduire le taux de progoitrine de 65 % et d’augmenter le taux de glucoraphanine.

Rien n’est simple, car, selon une autre étude de 2018, « Targeted Metabolomic and Transcriptomic Analyses of “Red Russian” Kale ( Brassicae napus var. pabularia ) Following Methyl Jasmonate Treatment and Larval Infestation by the Cabbage Looper ( Trichoplusia ni Hübner) » [169] , les glucosinolates aliphatiques sont bien présents dans les Kales russo/sibériens, dont la gluconapine, la progoitrine et la glucoraphanine — et, donc, il en est de même avec le sulforaphane lorsque les plantes sont grignotées par des insectes.

En conclusion : la glucoraphanine est présente, uniquement, sous de fortes proportions, dans l’espèce Brassica oleracea — donc, dans les divers types de Choux frisés/Kales de cette espèce. Par contre, la glucoraphanine est absente des Choux frisés/Kales de Brassica napus var. pabularis.

Il est à noter que, selon certaines études, les niveaux de glucoraphanine, dans certaines variétés de choux frisés/Kales, de Brassica oleracea, peuvent être jusqu’à 10 fois supérieurs à ceux d’un brocoli moyen — qui constitue, aujourd’hui, l’étalon en ce qui concerne l’accès alimentaire à la glucoraphanine.

Selon une autre étude, de 2017, portant sur la chimérisation de Brassica rapa , « Enriching Glucoraphanin in Brassica rapa Through Replacement of BrAOP2.2/ BrAOP2.3 with Non-functional Genes », aucune des variétés de Brassica rapa ne contient de grandes quantités [142] d e glucoraphanine puisque celle qui est présente est convertie en gluconapine par trois gènes  BrAOP2 fonctionnels — et, ensuite, en 3-butényl isothiocyanate.

Une étude plus récente, de février 2023, avait pour objectif, également, de chimériser Brassica napus (colza) — par une mutagenèse dite aléatoire des gènes BnMYB28 et BnCYP79F1 — afin d’en diminuer le taux de glucosinolates. [130] Tout va bien ?

La sinigrine est, également, absente de Brassica napus et de Brassica rapa alors qu’il s’en trouve des concentrations élevées [ 168] dans Brassica nigra, Brassica juncea var. rugosa (feuilles de moutarde) et Brassica oleracea (choux de Bruxelles, choux pommés, choux-fleurs et brocolis chinois). [170]

En conclusion la sinigrine est absente des Choux frisés/Kales de Brassica napus var. pabularis.

Une étude, d’avril 2023, a identifié les glucosinolates et les isothiocyanates, par spectroscopie infrarouge, présents dans diverses Brassicacées : brocoli, chou frisé/Kale, roquette, chou, choux de Bruxelles, moutarde brune, colza…. et le tabouret des champs. [144] Selon ses conclusions pour le Kale :

La teneur en glucosinolates du chou frisé/Kale peut être affectée par les facteurs environnementaux du cultivar (par exemple la température, l’humidité relative et la concentration de dioxyde de carbone), le stade phénologique de la récolte et le degré de dommages causés par les insectes pendant la phase de croissance ainsi que par la nature du cultivar.

Sa teneur totale en glucosinolates peut varier de 2 à 100 µmol/g de poids sec ou de 17 à 345 mg/100 g de poids frais — mettant en exergue une forte variation avec un ratio pouvant atteindre de 1 à 50.

Une étude, de 2021, a réalisé, de même, la caractérisation des glucosinolates dans 80 génotypes de brocolis — à savoir, dans leurs différents organes. [41] Selon leurs conclusions : Dans 80 génotypes, douze glucosinolates ont été trouvés dans les fleurettes de brocoli, allant de 0,467 à 57,156 µmol/g en poids sec, la teneur en glucosinolates la plus élevée étant environ 122 fois plus élevée que la valeur la plus faible . La racine contenait 43 % des glucosinolates totaux dans 80 génotypes, et la glucoraphanine représentait 29 % de la teneur totale en glucosinolates dans différents organes.

Une étude, de 2008, a étudié les glucosinolates dans 101 génotypes de Choux frisés/Kales de la région de la Mer Noire, en Turquie, à deux stades différents du développement de la plante — début et fin. [44]

Selon ses conclusions. La glucobrassicine était le glucosinolate le plus abondant , suivi par la glucoraphanine, la sinigrine et la glucoibérine à des niveaux beaucoup plus faibles. La quantité d’aliphatiques et d’indoles totaux était significativement plus élevée lorsque les plantes étaient pleinement matures par rapport au stade de développement précoce. Les résultats indiquent que ces génotypes, de la Mer Noire, synthétisent davantage d’indoles que d’aliphatiques, dont les propriétés anticancérigènes ont également été mises en évidence.

Une étude, de 2008, a analysé la variation saisonnière de la teneur en glucosinolates dans les cultures de Brassica oleracea cultivées dans le nord-ouest de l’Espagne — à savoir dans 153 variétés de Kales , 26 variétés de choux pommés, et 3 variétés de Chou Portugais Tronchuda. [47]

Selon ses conclusions. La sinigrine, la glucoibérine et la glucobrassicine furent les principaux glucosinolates trouvés dans les Kales du nord-ouest de l’Espagne. La glucoibérine était le glucosinolate le plus courant dans les choux Tronchuda au cours des deux saisons de plantation et dans les choux semés à l’automne, tandis que la glucobrassicine et la glucoibérine étaient les glucosinolates les plus courants dans les choux pommés de printemps. Dans les Kales, la teneur totale en glucosinolates variait de 11 à 53 μmol -1, avec une valeur moyenne de 26,3 μmol -1 . Quatre variétés de Kales présentaient les teneurs totales en sinigrine ou en glucobrassicine les plus élevées.

Une étude, de 2008, a analysé la valeur agricole et nutritionnelle d’une collection de Kales galiciens (de Brassica oleracea ) à savoir 60 variétés/populations locales et 4 variétés commerciales.

Une collection de 250 populations de Brassica oleracea est conservée à la Misión Biológica de Galicia. Les variétés de Kales galiciens constituent, de loin, la culture de Brassica oleracea la mieux représentée… avec 214 accessions

Deux populations locales de Kales galiciens (de Brassica oleracea ) — MBG-BRS0468 et MBG-BRS0476 — se sont distinguées par leur production de biomasse (1,326 kg et 1,184 kg) et par leur vigueur précoce leur permettant de ne pas se laisser subjuguer par les adventices très abondantes dans la Galicie humide. [46]

Les Kales galiciens possèdent une forte teneur en calcium et en potassium : beaucoup plus que le brocoli, le chou-fleur, le chou de Bruxelles, le chou frisé, le chou rouge, le chou pomme et le chou de Savoie, le chou de Bruxelles, d’autres choux frisés — mais, encore, moins que les Choux portugais Tronchuda.

Ces deux populations locales se caractérisaient, également, par 18 % de protéines (matière sèche)…

ainsi que par une forte teneur en glucosinolates. La sinigrine représentait en moyenne 34 % de la teneur totale en glucosinolates, suivie de la glucoibérine (28 %) et de la glucobrassicine (25 %).

Une étude, de 2004, a analysé la composition en glucosinolates de 7 variétés de choux (dits) ornementaux et de 6 variétés de choux frisés/Kales (dits) ornementaux (de Brassica oleracea) . Selon leurs conclusions : quinze glucosinolates ont été détectés à des concentrations variables, mais seulement quatre (progoitrine, sinigrine, glucoraphanine et glucobrassicine) ont été trouvés à des concentrations supérieures à 0,5 μmol g-1 de poids sec. En général, les glucosinolates totaux du chou d’ornement étaient environ 35 % plus élevés que ceux du chou frisé d’ornement. Dans le chou frisé, la concentration totale en glucosinolates était la plus élevée (17,16 μmol g-1 poids sec) dans « Coral Prince » et la plus faible (6,8 μmol g-1 poids sec) dans « Sparrow White ». [50]

En conclusion. Les cultivars de chou frisé ornemental contenaient à peu près les mêmes concentrations de glucoraphanine, de sinigrine et de glucobrassicine, à l’exception de « Coral Prince » qui contenait de trois à neuf fois plus de glucoraphanine que les cinq autres cultivars de chou frisé.

Une étude, de 2007, « Variation of glucosinolates and nutritional value in nabicol ( Brassica napus pabularia group) » [165] , a étudié la composition en glucosinolates de 36 variétés de Nabicol — à savoir de Choux Kales Russo/Sibériens — dans le nord-ouest de l’Espagne. Selon ses conclusions.

Huit glucosinolates ont été identifiés, les glucosinolates aliphatiques, la glucobrassicanapine, la progoitrine et la gluconapine étant les plus abondants. La composition des glucosinolates varie d’un endroit à l’autre, bien que le schéma des glucosinolates ne soit pas influencé de manière significative. La teneur totale en glucosinolates variait de 1,4 μmol g-1 à 41,0 μmol g-1 dw à un endroit et de 1,2 μmol g-1 à 7,6 μmol g-1 dw à l’autre endroit. L’analyse sensorielle comparant l’amertume et la saveur avec la variation des concentrations en glucosinolates, gluconapine, progoitrine et glucobrassicanapine a suggéré que d’autres substances phytochimiques sont probablement impliquées dans la saveur caractéristique.

Une étude, de 2016, « The diversity of Kale ( Brassica oleracea var. sabellic a): Glucosinolate content and phylogenetic relationships » [59] , a étudié la composition en cinq glucosinolates — gluconapine, progoitrine, glucoraphanine, gluconasturtiine et glucobrassicine — de 25 variétés de Kales ( Brassica oleracea var. sabellica ) et de 11 variétés de Brassica oleracea non-Kales.

Chez une variété de « Romanesco » : pas, ou quasiment de gluconapine, de gluconasturtiine et de progoitrine ; peu de glucobrassicine ; maximum de glucoraphanine.

Chez la variété « Vates » de Caulet du sud-est des USA : pas, ou quasiment de glucobrassicine et de glucoraphanine ; peu de gluconasturtiine ; peu ou beaucoup de progoitrine (en fonction des deux plantes) ; beaucoup de gluconapine.

Chez la variété « Noir de Toscane » de Kales italiens : peu de glucobrassicine ; moyennement ou beaucoup (en fonction des deux plantes) de glucoraphanine ; pas du tout de gluconasturtiine, de progoitrine et de gluconapine.

Parmi les quatre variétés de Caulet, du sud-est des USA, analysés — « Georgia Southern », « Champion », « Vates » et « Morris Heading » — les trois premières possèdent un fort ratio de progoitrine et de gluconapine.

Voici, pour terminer cette section — et pour mettre en exergue, de nouveau, les extrêmes variations dans leurs ratios — deux études portant sur l’extrême diversité de la composition en glucosinolates dans des choux pommés et dans des brocolis.

L’étude de 2020, « Profiling of Individual Desulfo-Glucosinolate Content in Cabbage Head ( Brassica oleracea var. capitata ) Germplasm », [127] a identifié les glucosinolates présents dans 146 variétés de choux pommés — dont 16 de couleur rouge. Selon ses conclusions :

Sept glucosinolates aliphatiques (la glucoibérine, la progoitrine, l’épi-progoitrine, la sinigrine, glucoraphanine, la glucoérucine et la gluconapine), un glucosinolate aromatique (gluconasturtiine) et quatre glucosinolates indoliques (glucobrassicine, 4-hydroxyglucobrassicine, 4-méthoxyglucobrassicine, et néoglucobrassicine) ont été identifiés dans cette étude. Des variations significatives ont été observées dans la teneur individuelle en glucosinolates et dans chaque classe de glucosinolates parmi les génotypes de choux. Les glucosinolates aliphatiques étaient prédominants (58,5 %) parmi les glucosinolates totaux, suivis par les glucosinolates indoliques (40,7 %) et les glucosinolates aromatiques (0,8 %), avec des coefficients de variation de 46,4, 51,2 et 137,8 %, respectivement. La glucoibérine, la glucobrassicine et la néoglucobrassicine sont les glucosinolates les plus courants dans tous les génotypes. La glucobrassicine constituait le glucosinolate le plus dominant, avec une valeur moyenne de 3,91 µmol g-1 (0,79 à 13,14 µmol g-1). La sinigrine, la glucoibérine, la progoitrine et la glucoraphanine constituaient les autres glucosinolates les plus importants, avec des valeurs moyennes de 3,45, 1,50, 0,77 et 0,62 µmol g-1, respectivement.

L’étude, de 2019, « Natural Variation of Glucosinolates and Their Breakdown Products in Broccoli (Brassica oleracea var. italica ) Seeds » [137] a analysé les glucosinolates présents dans les semences de 32 lignées pures et de 6 cultivars commerciaux de brocoli ( Brassica oleracea var. italica ) cultivés en Chine — à savoir 6 variétés F1, dotées de stérilité mâle cytoplasmique, 5 double-haploïdes et 27 lignées consanguines. Selon ses conclusions :

La teneur en glucosinolates aliphatiques était de 54,5 à 218,7 μmol/g de poids frais [à savoir un ratio de 1 à 4 en fonction des cultivars] représentant plus de 90 % des glucosinolates totaux. Les principaux glucosinolates trouvés, dans les semences, furent, ainsi, la glucoraphanine et la glucoérucine dans 27 échantillons et la progoitrine dans 7 échantillons. Nonobstant, ainsi que les chercheurs le précisent : « L es glucosinolates aliphatiques s’accumulent dans les graines de Brassicacées, probablement comme défense contre les herbivores ou les pathogènes, et diminuent considérablement après la germination pour fournir des nutriments (soufre et nitrate). »

«  Georgia » et « Champion ». Caulets originaires du sud-est des USA. Brassica oleracea convar. acephala var. viridis
Photographie de Xochi dans son jardin de désert

Je vais, maintenant, aborder la caractérisation des activités anti-carcinogéniques, chimioprotectrices, et antioxydantes des glucosinolates dans des variétés de Choux frisés/Kales — ou autres Brassicacées.

En fait, ce sont certains produits de dégradation et d’hydrolyse des glucosinolates — à savoir, les isothiocyanates, les thiocyanates, les nitriles, les épithionitriles, les amines [108] — qui sont considérés comme responsables des effets protecteurs contre la cancérogenèse de par leurs propriétés antioxydantes, chimiopréventives et anti-carcinogéniques.

Une enzyme végétale, la myrosinase, est indispensable aux processus de dégradation et d’hydrolyse des glucosinolates. Lorsque les tissus végétaux sont endommagés mécaniquement, infectés par des agents pathogènes ou attaqués par des insectes, les glucosinolates et la myrosinase se lient directement. Les glucosinolates sont ensuite hydrolysés en une partie aglycone, en glucose et en sulfate. [150]

Ces isothiocyanates comprennent : le sulforaphane dont le précurseur est la glucoraphanine ; l’ibérine dont le précurseur est la glucoibérine ; l’isothiocyanate de phénéthyle dont le précurseur est la gluconasturtiine ; l’isothiocyanate de benzyle dont le précurseur est la glucotropaeoline ; le 3-butényl isothiocyanate dont le précurseur est la gluconapine ; et l’isothiocyanate d’allyle dont le précurseur est la sinigrine. Quant à l’indole-3 carbinol, et au 3,3’— Diindolylméthaneson (DIM), leur précurseur est la glucobrassicine.

Ces isothiocyanates, et l’indole-3-carbinol, se sont avérés très importants dans la prévention et le traitement de divers cancers : de la prostate, du colon, du sein, de la vessie et de l’ovaire.

Le sulforaphane est métabolisé par la voie de l’acide mercapturique et il rétablit les niveaux de glutathion cellulaire. [2] [6] [45] Le sulforaphane est présent dans le chou pommé, le chou-fleur et le chou frisé/Kale, et à des niveaux élevés dans le brocoli, en particulier dans les jeunes pousses de brocoli.

Le sulforaphane a été synthétisé en 1948, Von Schmidt et P. Karrer. Il fut isolé, Procháska et coll., en 1958, à Prague, à partir d’une espèce de cresson, Lepidium draba, la Passerage drave (appelée aussi Pain blanc ou Brocoli sauvage) [5] et, subséquemment, à partir du chou rouge eu du chou de Milan. [8] Il a été isolé, à Baltimore, à partir du brocoli, en 1992 [15] et son précurseur, la glucoraphanine, a été isolé à partir des jeunes pousses germées de brocoli en 1997. [9]

Depuis que le sulforaphane a été isolé du brocoli, pour la première fois, et que ses propriétés chimioprotectrices contre le cancer ont été démontrées chez le rat au début des années 1990, plus de 3000 publications ont décrit son efficacité (dans des modèles de maladies chez les rongeurs) et les mécanismes d’action sous-jacents.

Les propriétés curatives du sulforaphane dans les cas de cancer du sein, du col de l’utérus, de la prostate, du côlon et de l’estomac sont bien établies. Des études montrent qu’une alimentation riche en sulforaphane peut lutter contre l’Helicobacter pylori responsable des ulcères d’estomac. Le sulforaphane peut également protéger contre la fibrose kystique, la rhinite, l’asthme et d’autres troubles pulmonaires, l’arthrite, le vieillissement, l’obésité, etc.

Dans l’intestin des mammifères, le sulforaphane a montré sa capacité à induire l’expression des glutathion S-transférase et des glycosyltransférases, en renforçant l’activité du facteur Nrf2.

Selon ce que résume une étude de 1999, « Antioxidant Functions of Sulforaphane: a Potent Inducer of Phase II Detoxication Enzymes » [1]  :

« Les antioxydants indirects tels que le sulforaphane et d’autres inducteurs d’enzymes de phase II sont en fait des antioxydants très efficaces et plutôt polyvalents pour les raisons suivantes : (a) contrairement aux antioxydants directs, ils ne sont pas consommés de manière stœchiométrique pendant qu’ils exercent leurs fonctions antioxydantes ; (b) ils ont une durée d’action plus longue et il n’est pas nécessaire de maintenir en permanence des concentrations cellulaires élevées puisque les enzymes induites ont des demi-vies qui se mesurent en jours ; (c) ils soutiennent les fonctions d’importants antioxydants naturels à action directe, tels que les tocophérols et les coenzymes Q ; (d) ils renforcent la synthèse du glutathion, l’un des antioxydants directs intracellulaires les plus abondants ; et (e) ils augmentent le nombre d’enzymes capables de faire face à une grande variété de types d’oxydants. »

Selon ce que résume un ouvrage récent, de 2021, « Nutraceuticals in Brain Health and Beyond » : [146]

« La glucoraphanine est un glucosinolate que l’on trouve principalement dans les légumes crucifères, le brocoli et les pousses de brocoli. Lorsque les tissus végétaux sont endommagés, la glucoraphanine se combine à l’enzyme myrosinase pour former un isothiocyanate, le sulforaphane . Le sulforaphane est un produit de santé naturel dont les propriétés ont des effets paradoxaux. D’une part, il s’est révélé profondément protecteur de la mort cellulaire en tant qu’agent neuroprotecteur pour les maladies neurodégénératives et, d’autre part, il s’est révélé proapoptotique en tant qu’agent anticancéreux. Notre laboratoire a constaté que les pousses de brocoli et le sulforaphane étaient “protecteurs” du cerveau du fœtus dans des modèles précliniques de rongeurs souffrant d’insuffisance placentaire, d’inflammation fœtale et d’accident vasculaire cérébral périnatal.

Cependant, la recherche visant à fournir des stratégies préventives au fœtus, via la mère enceinte, est rare et difficile à entreprendre. Cela est particulièrement vrai pour les produits pharmaceutiques conventionnels, probablement en raison de la crainte des litiges. Cette étude a pour but d’examiner les différents mécanismes d’action du sulforaphane lorsqu’il est utilisé comme agent antiapoptotique ou comme agent proapoptotique dans le cadre d’un cancer. La littérature sur la santé maternelle et le sulforaphane a montré que de faibles doses de sulforaphane agissent comme un inducteur d’enzymes de phase II et favorisent les enzymes antioxydantes pour réduire le stress oxydatif, prévenant ainsi la mort cellulaire. L’examen de la littérature sur le sulforaphane en tant qu’agent anticancéreux, y compris nos propres études en culture cellulaire, montre que des doses plus élevées de sulforaphane agissent en tant qu’agents proapoptotiques et inhibiteurs possibles d’Inhibiteurs de l’histone désacétylase, conduisant à la mort d’un grand nombre de types de cellules cancéreuses. »

Il existe diverses études portant sur l’impact thérapeutique des isothiocyanates eu égard à des maladies telles que :

la maladie d’Alzheimer, la maladie de Parkinson, la maladie de Huntington, la sclérose en plaques, la sclérose latérale amyotrophique, les lésions cérébrales ischémiques, les lésions cérébrales traumatiques et les lésions de la moelle épinière.

L’étude, de 2015, « Absorption and chemopreventive targets of sulforaphane in humans following consumption of broccoli sprouts or a myrosinase-treated broccoli sprout extract », a analysé les processus d’absorption du sulforaphane suite à l’ingestion de choux. [143] Selon ses conclusions :

« La formation du sulforaphane commence dans la bouche, après mastication des légumes crus qui contiennent de la glucoraphanine et de la myrosinase . Cependant, son absorption est rapide et se produit au niveau intestinal. Le pic maximal dans le plasma, après consommation des légumes qui le contiennent, est atteint en une à trois heures. En outre, le sulforaphane a une biodisponibilité élevée, jusqu’à 80 % de la quantité ingérée par le biais d’un supplément étant absorbée, tandis que la consommation de sulforaphane par le biais des aliments a une biodisponibilité de 100 %.

Sa durée de vie dans le plasma est de 12-24 h, et son excrétion se fait par voie urinaire sous forme conjuguée avec la N-acétyl-cystéine, le glutathion et sous forme libre. Cependant, après 6 heures de consommation, sa capacité à inhiber les enzymes histone désacétylases est réduite. Ainsi, pour une meilleure régulation de ces enzymes, un dosage toutes les 6 heures pourrait être une bonne stratégie. »

J’ai, d’ailleurs, découvert une recette de choucroute russe qui stipule que : «  Au cours des trois premiers jours, des trous ont été percés dans ce chou à l’aide d’un bâton en bois, afin de libérer les gaz. Ensuite, le chou a été haché et écrasé à nouveau.  »

Les Peuples russes savent, intuitivement, depuis des millénaires, que l’élément le plus anti-cancer des Choux, le sulforaphane, est produit lorsque les feuilles de choux sont lésées, grignotées, coupées, hachées, mastiquées…

Faut-il en conclure qu’il serait préférable, dans les jardins, de récolter des feuilles de Kales qui ont été, partiellement, grignotées par des bactéries, par des insectes, par des fungi ou par des herbivores — pour un plus grand accès à du sulforaphane ?

Tout en précisant qu’il est rare, dans un jardin bio sans pesticides de synthèse — que des feuilles de Kales ne soient pas grignotées par des invités volontaires… ce qui les fait, ainsi, produire ces isothiocyanates thérapeutiques qui, réellement, constituent des pesticides organiques et naturels.

De faibles niveaux d’isothiocyanates déclenchent, chez les mammifères, un système de défense qui les protège contre les maladies chroniques. Étant donné que les humains cuisent généralement leurs légumes du genre Brassica, ce qui détruit la myrosinase, il serait très intéressant de déterminer comment le microbiote humain peut être soutenu afin d’hydrolyser les glucosinolates et de les libérer, afin de pourvoir les bénéfices des isothiocyanates pour une meilleure santé.

«  Bear Necessities » . Kale Russo-Sibérien. Brassica napus var. pabularis .
Photographie de Xochi dans son jardin de désert

Voici, maintenant, une série d’études portant, principalement, sur la caractérisation des activités anti-carcinogéniques, chimioprotectrices, et antioxydantes des glucosinolates dans des variétés de Choux frisés/Kales — ou autres Brassicacées.

L’étude, de 2006, “Atg5 regulates phenethyl isothiocyanate-induced autophagic and apoptotic cell death in human prostate cancer cells” [148] , a comparé le potentiel d’inhibition de la croissance cellulaire cancéreuse (du colon) de quatre dérivés de glucosinolates: le sulforaphane, l’isothiocyanate de phényléthyle, l’indole-3-carbinol et le 3,3′-diindolylméthane. Selon ses conclusions :

En ce qui concerne le sulforaphane, outre ses effets modulateurs sur le métabolisme des carcinogènes, l’induction de l’apoptose dans diverses lignées cellulaires cancéreuses a été identifiée comme un mécanisme potentiel sous-tendant ses activités chimiopréventives. L’indole-3-carbinol et le 3,3′-diindolylméthane suppriment la prolifération cellulaire et induisent l’apoptose dans les lignées cellulaires des cancers du sein, de la prostate, du col de l’utérus et du côlon. L’isothiocyanate de phényléthyle, hydrolysé à partir de la gluconasturtiine, présente une activité antimicrobienne, et anticancéreuse, à l’encontre du cancer de la prostate, et du cancer du côlon, par apoptose.

L’étude, de 2006, « Comparison of growth inhibition profiles and mechanisms of apoptosis induction in human colon cancer cell lines by isothiocyanates and indoles from Brassicaceae » [147] a comparé les profils d’inhibition de la croissance et des mécanismes d’induction de l’apoptose dans les lignées cellulaires du cancer du côlon humain par les isothiocyanates et les indoles des Brassicaceae. Selon ses conclusions :

Les isothiocyanates sulforaphane et PEITC (β-phényl isothiocyanate) ainsi que les indoles indole-3-carbinol et son produit de condensation 3,3′-diindolylméthane sont connus pour inhiber la prolifération des cellules cancéreuses et induire l’apoptose…. Dans l’ensemble, nous avons démontré que les produits de dégradation des glucosinolates étudiés dans cette étude présentent des profils distincts d’inhibition de la croissance cellulaire, de potentiel d’induction de l’apoptose indépendante de la p53 et de modulation de l’expression des protéines de la famille Bcl-2 dans les lignées cellulaires humaines de cancer du côlon.

Une étude récente, de juin 2023, « Anticancer properties of sulforaphane: current insights at the molecular level », vise à résumer et à comprendre les mécanismes qui sous-tendent le potentiel anticancéreux du sulforaphane. [126] Selon ses conclusions :

Le sulforaphane protège contre le cancer en modifiant diverses voies épigénétiques et non épigénétiques. Il s’agit d’un puissant produit phytochimique anticancéreux dont la consommation est sûre et les effets secondaires minimes.

Une étude, de 2014, « Anti-proliferative activities of sinigrin on carcinogen-induced hepatotoxicity in rats », a analysé l’activités anti-proliférative de la sinigrine — l’un des principaux glucosinolates médicinaux chez les Kales et autres Brassicas — sur l’hépatotoxicité induite par des carcinogènes chez le rat. [100] Selon ses conclusions :

Les résultats suggèrent que la sinigrine exerce d’importantes activités anti-prolifératives dans l’hépatocarcinogenèse induite par les carcinogènes chez les rats, et soulignent le potentiel de la sinigrine en tant qu’agent anticancéreux pour le cancer du foie.

« Indole-3-carbinol and 3-3′-diindolylmethane antiproliferative signaling pathways control cell-cycle gene transcription in human breast cancer cells by regulating promoter-Sp1 transcription factor interactions/Les voies de signalisation antiprolifératives de l’indole-3-carbinol et du 3 — 3′ — diindolylméthane contrôlent la transcription des gènes du cycle cellulaire dans les cellules cancéreuses du sein humain en régulant les interactions entre le promoteur et le facteur de transcription Sp1 ». [6 6 ] Selon ses conclusions :

Les dérivés des glucosinolates des Brassica possèdent une activité thérapeutique à l’encontre du cancer du sein.

« Allyl-isothiocyanate causes mitotic block, loss of cell adhesion and disrupted cytoskeletal structure in HT29 cells/L’isothiocyanate d’allyle provoque un blocage mitotique, une perte d’adhésion cellulaire et une perturbation de la structure du cytosquelette dans les cellules HT29 ». [68] Selon ses conclusions :

L’isothiocyanate d’allyle, un produit de dégradation majeur de la sinigrine, inhibe la prolifération des cellules cancéreuses, du côlon-rectum , en provoquant un blocage mitotique associé à une perturbation de l’alpha-tubuline d’une manière analogue à un certain nombre d’agents chimiothérapeutiques.

« In vitro wound healing and cytotoxic effects of sinigrin-phytosome complex/Cicatrisation in vitro et effets cytotoxiques du complexe sinigrine-phytosome ». [95] Selon ses conclusions :

L’utilisation de la sinigrine, en synergie avec un phytosome, permet de guérir des plaies, totalement, en 42 heures.

« Anticancer Activity, Mechanism, and Delivery of Allyl Isothiocyanate/Activité anticancéreuse, mécanisme et administration de l’isothiocyanate d’allyle ». [75] Selon ses conclusions :

Le goût piquant de ces légumes est principalement dû à leur teneur en « isothiocyanate d’allyle. L’isothiocyanate d’allyle est stocké de manière stable dans la plante sous la forme de son précurseur, la sinigrine (un type de glucosinolate), qui est physiquement séparée des cellules de myrosine contenant de la myrosinase. Lors de la rupture des tissus, la myrosinase est libérée et hydrolyse la sinigrine pour produire de l’isothiocyanate d’allyle et des sous-produits. L’isothiocyanate d’allyle est un composé organosulfuré, à la fois irritant et toxique, mais il possède des propriétés pharmacologiques, notamment des activités anticancéreuses, antibactériennes, antifongiques et anti-inflammatoires.

« Oral administration of nasturtium affects peptide YY secretion in male subjects/L’administration orale de capucine affecte la sécrétion du peptide YY chez les sujets masculins ». [69] Selon les conclusions :

La glucotropaéoline, et son produit de dégradation correspondant, l’isothiocyanate de benzyle, sont réputés pour la chimioprévention du cancer et les propriétés anti-inflammatoires.

« Dose-Dependent Responses of I3C and DIM on T-Cell Activation in the Human T Lymphocyte Jurkat Cell Line/Réponses dose-dépendantes de l’I3C et du DIM sur l’activation des cellules T dans la lignée cellulaire T humaine Jurkat ». [80] Selon les conclusions :

Les métabolites bioactifs de la glucobrassicine, l’indole-3-carbinol et son dimère, le diindolylméthane, possèdent des propriétés pro-apoptotiques, anti-prolifératives et anti-cancérigènes — via la modulation des voies immunitaires.

« The Glucosinolates: A Sulphur Glucoside Family of Mustard Anti-Tumour and Antimicrobial Phytochemicals of Potential Therapeutic Application/Les glucosinolates des Brassicacées : Une famille de glucosides soufrés de composés phytochimiques antitumoraux et antimicrobiens d’application thérapeutique potentielle ». [89]

Cette étude passe en revue certains aspects de la biologie de deux membres de la famille des glucosinolates, à savoir la sinigrine et la glucoraphanine, ainsi que leurs propriétés antitumorales et antimicrobiennes. La sinigrine et la glucoraphanine sont converties par la β-sulphoglucosidase myrosinase, ou le microbiote intestinal, en leurs formes bioactives, l’isothiocyanate d’allyle et la sulforaphanine, qui font partie d’un système de défense sophistiqué que les plantes ont développé au cours de plusieurs centaines de millions d’années d’évolution pour se protéger des attaques parasitaires des pucerons, des tiques, des bactéries ou des nématodes. Selon ses conclusions :

L’isothiocyanate d’allyle et la sulforaphanine sont aussi puissants que la Vancomycine dans le traitement des bactéries répertoriées par l’Organisation Mondiale de la Santé comme «  pathogènes prioritaires » résistants aux antibiotiques et agissent également comme agents anticancéreux par l’induction d’enzymes antioxydantes de phase II qui inactivent les substances cancérigènes potentielles.

Les glucosinolates peuvent être utiles dans le traitement des biofilms formés sur les implants médicaux et les cathéters par des bactéries pathogènes problématiques telles que Pseudomonas aeruginosa et Staphylococcus aureus et sont des antimicrobiens puissants contre une série de bactéries et de champignons cliniquement importants. Les glucosinolates ont également été utilisés pour prévenir l’altération bactérienne et fongique des produits alimentaires dans les technologies d’emballage atmosphérique avancées, ce qui améliore la durée de conservation de ces produits.

« Indoles Derived From Glucobrassicin: Cancer Chemoprevention by Indole-3-Carbinol and 3,3’-Diindolylmethane/Indoles dérivés de la glucobrassicine : Chimioprévention du cancer par l’indole-3-carbinol et le 3,3’— diindolylméthane ». [88] Selon les conclusions :

On suppose que l’altération du métabolisme des œstrogènes dépendant du cytochrome P450 est un moteur important de la prévention du cancer du sein dépendant du 3,3’— diindolylméthane. Les quelques études réalisées à ce jour pour comparer les crucifères riches en glucobrassicine, comme le chou de Bruxelles, avec les suppléments d’Indole-3-Carbinol/3,3’— diindolylméthane ont montré que l’impact plus important de ces derniers est dû à la dose. L’ingestion quotidienne de quantités de choux de Bruxelles, de l’ordre du kilogramme, est nécessaire pour produire des niveaux in vivo de 3,3’— diindolylméthane pouvant être atteints par la supplémentation. Lors d’essais cliniques, ces doses de supplément n’ont provoqué que peu d’effets indésirables, voire aucun. Le sulforaphane issu de la glucoraphanine peut agir en synergie avec le 3,3’— diindolylméthane dérivé de la glucobrassicine, ce qui pourrait ouvrir la voie à des approches combinatoires (à base de suppléments et d’aliments) en clinique.

« Chemopreventive properties of 3,3′-diindolylmethane in breast cancer: evidence from experimental and human studies/Propriétés chimiopréventives du 3,3′-diindolylméthane dans le cancer du sein : preuves issues d’études expérimentales et humaines ». [93] Selon les conclusions :

La recherche sur l’activité préventive du 3,3′-diindolylméthane contre le cancer a permis d’obtenir des données mécanistiques fondamentales, des données animales et des données d’essais humains. En outre, cet ensemble de preuves est largement étayé par des études d’observation. Le 3,3′-diindolylméthane bioactif a démontré une activité chimiopréventive à tous les stades de la carcinogenèse du cancer du sein . Cette revue décrit les preuves actuelles relatives au métabolisme et aux mécanismes du 3,3′-diindolylméthane impliqués dans la prévention du cancer du sein.

L’étude, « Sulforaphane from Cruciferous Vegetables: Recent Advances to Improve Glioblastoma Treatment », a étudié l’impact du sulforaphane sur la tumeur du cerveau la plus fréquente, le glioblastome. [3] Selon les conclusions.

Le sulforaphane, un isothiocyanate dérivé des légumes crucifères, en particulier le brocoli et les pousses de brocoli, a été largement étudié en raison de ses propriétés prometteuses de promotion de la santé dans la maladie et de sa faible toxicité dans les tissus normaux. Bien qu’ils ne soient pas encore totalement compris, de nombreux mécanismes d’activité anticancéreuse, à chaque étape du développement du cancer, ont été attribués à cet isothiocyanate. Compte tenu des données prometteuses disponibles concernant le sulforaphane, cette revue vise à fournir une vue d’ensemble des activités potentielles du sulforaphane liées aux mécanismes cellulaires impliqués dans la progression du glioblastome.

L’étude « Concentrations of thiocyanate and goitrin in human plasma, their precursor concentrations in brassica vegetables, and associated potential risk for hypothyroidism », [4] les chercheurs ont analysé les concentrations de thiocyanate, et de goitrine, dans le plasma humain après ingestion de Caulets, choux de Bruxelles et certains choux frisés/Kales Russo/Sibériens de l’espèce Brassica napus , navets, brocolis, brocolis raab et choux frisés/Kales de l’espèce Brassica oleracea . Selon leurs conclusions :

Le sulforaphane a été décrit comme « l’inducteur le plus puissant d’enzymes de phase II identifié à ce jour » et a montré des avantages dans le soulagement de multiples conditions chroniques, y compris l’inflammation respiratoire allergique due à des stimuli oxydants dans les voies aériennes supérieures causées par l’asthme ou les polluants de l’air. Il a également été associé à une diminution du risque de diverses maladies cardiovasculaires, du cancer du poumon, du cancer de la prostate, du cancer de la vessie, et du cancer du côlon . Outre le sulforaphane, il a été démontré que d’autres produits de la dégradation du glucosinolate induite par la myrosinase ont des effets anticancérigènes significatifs . Ces composés comprennent les isothiocyanates aliphatiques de faible poids moléculaire, l’isothiocyanate de phényle et deux produits de la dégradation du glucosinolate indole, l’indole-3-carbinol et le diindolylméthane.

Floraison de Caulets. Photographie de Xochi dans son jardin de désert

Brassicacées et Bioremédiation des substances les plus toxiques contaminant la Biosphère

En sus des Brassicas, de nombreuses autres espèces végétales possèdent des capacités de bioremédiation : Armeria maritima, Ambrosia artemisiifolia, Festuca ovina, Helianthus annuus, Tagetes minuta, Thalspi rotundifolium, Triticum aestivum, Zea mays, Nicotiana tabacum, Solanum tuberosum, Solanum lycopersicum, Cannabis sativa, Medicago sativa, Viteveria zizanioides, Populus sp. – parmi des centaines.

Pour des processus de phytoremédiation, ce sont, surtout, les espèces de Brassicacées suivantes qui ont été utilisées — Brassica juncea, Brassica carinata, Brassica napus, Brassica nigra, Brassica rapa et Brassica oleracea. [27] [28] [29] — eu égard à leurs capacités de bioremédiation, mais, en fait, c’est toute la Famille des Brassicacées qui s’illustre par cette fonction d’épuration des toxiques.

Pour rappel, la Famille des Brassicacées comprend, environ, 3700 espèces (en fonction des botanistes) et environ 378 genres.

Les espèces de la famille des Brassicaceae présentent différentes stratégies de tolérance aux concentrations élevées de métaux lourds : elles peuvent être excluantes, accumulatrices ou hyperaccumulatrices. [14]

La stratégie prédominante des plantes, vivant dans des environnements extrêmement contaminés par des métaux lourds, est l’exclusion comme mécanisme afin d’éviter les dommages potentiels induits par l’adoption des métaux — et, plus particulièrement, dans les organes en charge de la photosynthèse. [20]

Plus d’une centaine d’espèces de Brassicacées sont considérées comme des hyperaccumulateurs de métaux lourds — en particulier, de Cadmium, Plomb, Zinc, Sélénium, et Nickel — dans les tissus de leurs parties supérieures.

Ce sont les genres Noccaea et Odontarrhena (avec 62 espèces) qui sont les plus hyperaccumulateurs — en particulier de Nickel.

Il existe, également, des espèces de Brassicacées qui ne sont pas des accumulateurs, mais qui tolèrent de très hauts niveaux de contamination métallique dans leurs parties supérieures : il s’agit, plus particulièrement, des espèces dans le genre Brassica.

Il existe 39 espèces reconnues dans le genre Brassica, en Eurasie, dont 22 en Europe.

Voici quelques études portant sur les capacités de Bioremédiation chez les Brassicacées :

« Phytoremediation: A Green Technology to Remove Environmental Pollutants/La phytoremédiation : Une technologie verte pour éliminer les polluants environnementaux ». [23]

Selon cette étude, les scientifiques privilégient Brassica juncea et Brassica olearacea, pour la phytoremédiation , car ces plantes semblent éliminer de grandes quantités de Cr, Pb, Cu, et Ni du sol.

« Phytoremediation of toxic heavy metals by Brassica plants: A biochemical and physiological approach/Phytoremédiation des métaux lourds toxiques par les plantes du genre Brassica : Une approche biochimique et physiologique ». [25]

Selon le résumé. La contamination des sols et des masses d’eau par des métaux lourds toxiques tels que le cadmium (Cd), le chrome (Cr), le mercure (Hg), l’arsenic (As), le plomb (Pb) et le zinc (Zn) est un problème environnemental majeur. La phytoremédiation par le genre botanique Brassica apparaît comme une technique importante, dans laquelle les plantes sont utilisées pour décontaminer ces zones. Notre objectif était d’élucider l’utilisation physiologique et biochimique potentielle de différentes espèces appartenant au genre Brassica pour la biorestauration et la tolérance des effets nocifs de ces contaminants environnementaux sur leur métabolisme. Ces espèces présentent des processus de phytoremédiation efficaces, tels que la phytovolatilisation, la phytostabilisation et la phytoextraction. Ces espèces possèdent également des processus physiologiques qui facilitent l’absorption, la translocation et l’accumulation des métaux lourds toxiques dans des organites cellulaires à faible activité, en plus d’un mécanisme de défense enzymatique et non enzymatique efficace qui atténue les dommages oxydatifs induits par la surproduction d’espèces réactives de l’oxygène.

Ces espèces présentent des processus de phytoremédiation efficaces, tels que la phytovolatilisation, la phytostabilisation et la phytoextraction.

« Rapid and Sustainable Detoxication of Airborne Pollutants by Broccoli Sprout Beverage: Results of a Randomized Clinical Trial in China/Détoxication rapide et durable des polluants atmosphériques par la boisson à base de jeunes pousses de brocoli : Résultats d’un essai clinique randomisé en Chine. » [1 1 8]

Selon le résumé. Une boisson dérivée des pousses de brocoli fournissant des doses quotidiennes de 600 μmol de glucoraphanine et de 40 μmol de sulforaphane a été évaluée pour l’ampleur et la durée de son action pharmacodynamique dans le cadre d’un essai clinique randomisé de 12 semaines. Deux cent quatre-vingt-onze participants à l’étude ont été recrutés dans le canton rural de He-He, Qidong, dans la région du delta du fleuve Yangtze en Chine, une zone caractérisée par des expositions à des niveaux substantiels de polluants atmosphériques. L’exposition à la pollution atmosphérique a été associée au cancer du poumon et aux maladies cardio-pulmonaires.

L’excrétion urinaire des acides mercapturiques des polluants, le benzène, l’acroléine et le crotonaldéhyde, a été mesurée avant et pendant l’intervention par chromatographie liquide avec spectrométrie de masse en tandem. Des augmentations rapides et soutenues, statistiquement significatives (p ≤ 0,01) des niveaux d’excrétion des conjugués de benzène (61 %) et d’acroléine (23 %) dérivés du glutathion, mais pas de crotonaldéhyde, ont été observées chez les personnes recevant une boisson à base de jeunes pousses de brocoli par rapport au placebo.

L’excrétion de l’acide mercapturique dérivé du benzène était plus élevée chez les participants GSTT1 positifs que chez les participants de génotype nul, indépendamment de l’affectation au bras de l’étude. Les mesures des métabolites du sulforaphane dans l’urine ont indiqué que la biodisponibilité ne diminuait pas au cours de la période d’administration quotidienne de 12 semaines. Ainsi, l’intervention avec des pousses de brocoli améliore la détoxication de certains polluants atmosphériques et peut constituer un moyen frugal d’atténuer les risques sanitaires à long terme qui leur sont associés.

« Remediation of organic pollutants by Brassica species. /Remédiation des polluants organiques par les espèces de Brassica ». [24]

Selon le résumé. Les principales sources de polluants organiques sont les intrants agricoles, les effluents industriels, la combustion de combustibles fossiles et les déchets d’égouts. Plusieurs classes de polluants organiques nocifs comprennent les polluants organiques persistants (POP), les phénols, les hexachlorocyclohexanes (HCH), les hydrocarbures aromatiques polycycliques (HAP), les polychlorobiphényles (PCB), les polybromodiphényléthers (PBDE) et les dichloro-diphényl-trichloréthanes (DDT). Le puits ultime de tous ces contaminants est constitué par les masses d’eau et les sols sur lesquels les plantes en croissance absorbent une part importante de ces contaminants, mais leur devenir intratissulaire varie d’une espèce à l’autre.

La phytoremédiation des sols contaminés par ces polluants organiques est une technique économique, écologique et efficace. Les espèces de Brassica, connues pour leur croissance vigoureuse et leur nature hyperaccumulatrice, font l’objet d’études approfondies concernant leur rôle dans l’accumulation et la dégradation des polluants présents dans le sol et les masses d’eau. Les espèces de Brassica peuvent maintenir une croissance bonne et saine qui permet la dilution tissulaire des contaminants absorbés et la dégradation de ces espèces invasives intracellulaires via la modulation de la physiologie cellulaire et de la machinerie enzymatique. Les racines vigoureuses de Brassica fournissent des sites actifs pour l’adsorption statique des contaminants du sol et des masses d’eau et libèrent des exsudats qui facilitent la croissance des rhizobactéries dégradant les contaminants.

Le partenariat bactérien du Brassica a un impact progressif sur la dégradation des polluants organiques, tout comme l’application d’amendements organiques et inorganiques immobilisants. Une fois absorbés, ces contaminants sont convertis en composés contenant du soufre à l’intérieur du corps de Brassica, ce qui fait des tissus secs des espèces de Brassica un excellent combustible, ce qui conduit à leur utilisation pour la production d’énergie dans le cadre du processus de biofumigation. Ce chapitre s’efforce de donner une vue d’ensemble du devenir des polluants organiques dans l’environnement et du rôle des espèces de Brassica dans l’assainissement de l’environnement par le biais de la phytoremédiation.

Les racines vigoureuses de Brassica fournissent des sites actifs pour l’adsorption statique des contaminants du sol et des masses d’eau et libèrent des exsudats qui facilitent la croissance des rhizobactéries dégradant les contaminants.

« Brassica Species in Phytoextractions: Real Potentials and Challenges/Les espèces de Brassica dans les phytoextractions : Potentiels et défis réels ».

« Phytoremediation of soil contaminated with heavy metals using Brassica napus/Phytoremédiation de sols contaminés par des métaux lourds à l’aide de Brassica napus ». [12]

« Brassica napus has a key role in the recovery of the health of soils contaminated with metals and diesel by rhizoremediation/ Brassica napus joue un rôle clé dans le rétablissement de la santé des sols contaminés par les métaux et le diesel par rhizoremédiation ». [31]

« Phytoremediation of Arsenic and Lead Using Brassica rapa/ Phytoremédiation de l’arsenic et du plomb à l’aide de Brassica rapa » . [35]

« Screening of various Brassica species for phytoremediation of heavy metals-contaminated soil of Lakki Marwat, Pakistan/Criblage de diverses espèces de Brassica pour la phytoremédiation des sols contaminés par des métaux lourds à Lakki Marwat, Pakistan ». [33]

Caulets originaires du sud-est des USA. Brassica oleracea convar. acephala var. viridis
Photographie de Xochi dans son jardin de désert

Kales et Bioremédiation des substances les plus toxiques contaminant la Biosphère

Eu égard aux capacités de bioremédiation, il existe un certain nombre d’études qui font, sous-spécifiquement, référence aux Kales :

« Using kale ( Brassica sp acephala) as a phytoremediation plant species for lead (Pb) and cadmium (Cd) removal in saline soils/Utilisation du chou frisé ( Brassica sp acephala ) comme espèce végétale de phytoremédiation pour l’élimination du plomb (Pb) et du cadmium (Cd) dans les sols salins ». [22]

« Cadmium mobility, uptake, and accumulation in spinach, kale, and amaranths vegetables as influenced by silicon fertilization/Mobilité, absorption et accumulation du cadmium dans les épinards, le chou frisé et les amaranthes, sous l’influence de la fertilisation au silicium ». [26]

« Removal of multi-contaminants from water by association of poplar and Brassica plants in a short-term growth chamber experiment/Élimination de multi-contaminants de l’eau par l’association de peupliers et de Brassica dans une expérience de chambre de croissance à court terme ». [34]

Selon cette étude. L’association de deux espèces de Brassica, un Kale (Brassica oleracea sp. acephala) et un chou pommé (Brassica oleracea var. capitata) avec l’espèce Populus alba (le peuplier) a donné des résultats satisfaisants dans l’élimination du Cadmium, du Zinc et de la caféine de l’eau. Après 15 jours d’exposition, l’efficacité du groupe de plantes analysé dans l’élimination du Cadmium, du Zinc et de la caféine était de 79-99 %.

Brassica pour éliminer l’Uranium et se protéger de la Radioactivité

Il existe un certain nombre d’études qui font, plus particulièrement, référence aux capacités des espèces de Brassica d’éliminer l’uranium radioactif — ou de se protéger des effets de la radioactivité.

« Phytoremediation of cadmium (Cd) and uranium (U) contaminated soils by Brassica juncea enhanced with exogenous application of plant growth regulators/Phytoremédiation des sols contaminés par le cadmium (Cd) et l’uranium (U) par Brassica juncea améliorée par l’application exogène de régulateurs de croissance végétale. » [30]

« Potential for rhizofiltration of uranium using hairy root cultures of Brassica juncea and Chenopodium amaranticolor/ Potentiel de rhizofiltration de l’uranium à l’aide de cultures de racines ciliées de Brassica juncea et Chenopodium amaranticolor ». [51]

« Enhanced phytoremediation of uranium-contaminated soils by Indian mustard ( Brassica juncea L.) using slow release citric acid/Amélioration de la phytoremédiation des sols contaminés par l’uranium par la moutarde indienne (Brassica juncea L.) à l’aide d’acide citrique à libération lente ». [36]

« Uranium Rhizofiltration by Lactuca sativa , Brassica rapa subsp. chinensis , Raphanus sativus , Oenanthe javanica under Different Hydroponic Conditions/Rhizofiltration de l’uranium par Lactuca sativa, Brassica rapa subsp. chinensis, Raphanus sativus, Oenanthe javanica dans différentes conditions hydroponiques ». [32]

« Rhizofiltration Process with Helianthus annuus, Phaseolus vulgaris and Brassica juncea to Remediate Uranium Contaminated Groundwater/Processus de rhizofiltration avec Helianthus annuus, Phaseolus vulgari s et Brassica juncea pour remédier aux eaux souterraines contaminées par l’uranium ». [60]

« Plant cell ( Brassica napus ) response to europium (III) and uranium (VI) exposure/Réponse des cellules végétales ( Brassica napus ) à l’exposition à l’europium (III) et à l’uranium (VI) ». [40]

« Bioremediation of uranium from waste effluents using novel biosorbents: a review/Bioremédiation de l’uranium dans les effluents de déchets à l’aide de nouveaux biosorbants : une revue. » [63]

En sus de Brassica juncea, il s’agit, de : Chlorella salina , Laminaria japonica , Candida utilis, Spirulina platensis (modifiée chimiquement), Deinococcus radiodurans (modifié génétiquement).

“ Insights into mechanism on organic acids assisted translocation of uranium in Brassica juncea var. foliosa by EXAFS/Aperçu du mécanisme de translocation de l’uranium assistée par les acides organiques dans Brassica juncea sp. foliosa par EXAFS”. [37]

“ Potential of Brassica juncea and Helianthus annuus in phytoremediation for uranium/Potentiel de Brassica juncea et Helianthus annuus dans la phytoremédiation de l’uranium”. [52]

“ Protective effect of the cruciferous vegetable mustard leaf ( Brassica rapa subsp. chinensis ) against in vivo chromosomal damage and oxidative stress induced by gamma-radiation and genotoxic chemicals/Effet protecteur de la navette ( Brassica rapa subsp. chinensis) contre les dommages chromosomiques in vivo et le stress oxydatif induits par les rayons gamma et les produits chimiques génotoxiques”. [43]

Qualités Nutritionnelles des Choux frisés, Kales et autres Caulets

Parmi les légumes du genre Brassica et les autres légumes, les Choux frisés/Kales présentent les teneurs les plus élevées en caroténoïdes (zéaxanthine, carotène et lutéine) associés à la chlorophylle, en tocophérols, en acide ascorbique et en anti-oxydants totaux.

Les Choux frisés/Kales contiennent des niveaux élevés de lutéine et de β-carotène, qui possèdent d’importantes propriétés pour la santé humaine. La lutéine et le bêta-carotène sont des nutriments essentiels dans la prévention des stress oxydants qui se manifestent par des pathologies telles que les cataractes, l’artériosclérose, les maladies pulmonaires obstructives chroniques et, bien sûr, les cancers en tous genres.

Les Choux frisés/Kales constituent la meilleure source de triglycérides, de folates, d’acide nicotinique et de vitamines A, B, C, E, K, par rapport à d’autres légumes de la Famille des Brassicacées. Les Choux frisés/Kales sont, également, considérés comme riches en macro-nutriments, et micro-nutriments, tels que le sodium, le potassium, le magnésium, le manganèse, le calcium et le fer.

À poids égal, il y a deux fois plus de vitamine C dans le chou frisé/Kale que dans l’orange. Il y autant de calcium dans 85 grammes de chou frisé/Kale que dans un verre de lait.

Les vitamines, hydrosolubles, du complexe B sont composées de la vitamine B1 (thiamine), de la vitamine B2 (riboflavine), de la vitamine B3 (niacine), de la vitamine B5 (pantothénate), de la vitamine B6 (pyridoxal), de la vitamine B7 (biotine) et de la vitamine B9 (folate). Les Choux frisés/Kales contiennent toutes ces vitamines B. Par contre, la vitamine B12 (cyanocobalamine) en est absente.

Sur le plan des bénéfices anti-inflammatoires des choux frisés, de nombreuses recherches restent à réaliser de par leur teneur, et ratio, en oméga-3 et surtout de par leur teneur très exceptionnelle en vitamine K.

Les variétés de choux frisés à feuilles violettes se caractérisent, de plus, par leur teneur en anthocyanes.

En ce qui concerne les flavonoïdes, ce sont surtout le kaempférol et la quercétine qui sont les plus abondants chez les Choux frisés/Kales : nonobstant, diverses études y ont identifié plus de 45 flavonoïdes différents.

Par exemple, une étude, de 2009, a mis en exergue la présence prépondérante de kaempférol et de quercétine dans une variété de Kales curly — Brassica oleracea convar. acephala var. sabellica. [57] Une étude, de 2010, a mis en exergue la présence prépondérante de kaempférol, d’isorhamnétine et de quercétine dans une autre variété de Kales curly — Brassica oleracea convar. acephala var. sabellica.

Une étude, de 2007, a étudié les changements dans les concentrations de pigments caroténoïdes et chlorophylliens du chou frisé au cours de l’ontogenèse des feuilles [67] . Lors de cette étude, le chou frisé a été cultivé dans un environnement contrôlé et les pigments ont été mesurés dans les jeunes feuilles (<1 semaine), les feuilles immatures (1-2 semaines), les feuilles matures (2-3 semaines), les feuilles pleinement développées (3-4 semaines) et les feuilles sénescentes (>4 semaines) à l’aide de la chromatographie liquide à haute performance.

Selon ses conclusions. Les concentrations les plus élevées de lutéine mesuraient 15,1 mg/100 g de masse fraîche et se trouvaient dans les feuilles âgées de 1 à 2 semaines. Les autres pigments ont atteint des niveaux maximums à 2-3 semaines (β-carotène à 11,6 mg/100 g ; chlorophylle a à 251,4 mg/100 g ; et chlorophylle b à 56,9 mg/100 g de masse fraîche). Les feuilles de chou frisé matures et pleinement déployées ont accumulé des concentrations de caroténoïdes plus élevées que les feuilles immatures, les feuilles sénescentes présentant les concentrations de caroténoïdes les plus faibles.

Ainsi donc, en ce qui concerne la lutéine et les autres caroténoïdes, il est préférable de mélanger, pour la consommation, des feuilles de Choux frisés/Kales âgées de 1 à 3 semaines.

Une étude, de 1999, a analysé les teneurs en carotène, en tocophérol et en ascorbate des sous-espèces de Brassica oleracea [49] Les parties comestibles de 50 brocolis et de 13 choux, choux frisés, choux-fleurs et choux de Bruxelles ont été analysées pour déterminer la variation des teneurs en α-carotène, β-carotène, α-tocophérol, γ-tocophérol et ascorbate au sein et entre les sous-espèces de Brassica oleracea .

Selon ses conclusions. Chez les Kales, la teneur en α-carotène, β-carotène était, quasiment, quatre fois supérieure à celle des choux pommés, des brocolis, des choux fleurs et des choux de Bruxelles. De plus, les Kales possédaient les teneurs les plus élevées en α-tocophérol et β-tocophérol. Il s’agissait des variétés de Kales « Vates » et « Winterborne ».

Une étude, de 2013, a analysé la teneur en composés bioactifs — composés phénoliques, glucosinolates, caroténoïdes et chlorophylles — de 40 variétés de Kales originaires d’Italie, du Portugal et de Turquie. 25 de ces variétés étaient locales et cultivées localement tandis que 15 variétés étaient commerciales et cultivées dans le centre de recherches. [77] Selon leurs conclusions :

Chlorophylles. Parmi les différentes accessions, la teneur en chlorophylle la plus élevée a été observée dans les populations italiennes à feuilles sombres, de Toscane — et encore, ce fut dans les variétés locales et non commerciales. Les teneurs étaient comprises entre 1740 et 16 924 mg kg (-1).

Composés phénoliques. Les Kales portugais affichaient la teneur la plus élevée , suivis par les Kales turcs et les Kales italiens. Les teneurs étaient comprises entre 8310 et 38 110 mg kg (-1). Le plus basse teneur, en composés phénoliques, chez les Kales portugais, correspondait, environ, à la plus haute teneur des Kales turcs. Les flavonols étaient plus abondants que les acides hydroxycinnamiques, représentant plus de 80 % des composés phénoliques dans tous les échantillons. Les kales portugais présentaient la fraction de flavonol la plus élevée, s’élevant à environ 95 % des composés phénoliques totaux.

Glucosinolates. Les glucosinolates quantifiés étaient : la glucoibérine, la sinigrine et la gluconapine parmi les glucosinolates aliphatiques ; et la glucobrassicine, la méthoxyglucobrassicine et la néoglucobrassicine parmi les glucosinolates indoliques. Les teneurs étaient comprises entre 755 et 8580 mg kg (-1). La quantité totale de glucosinolates la plus élevée fut déterminée dans les Kales portugais suivis par les échantillons turcs et italiens. Dans les Kales locaux, la teneur en Glucosinolates était au moins deux fois supérieure à celle des Kales commerciaux/expérimentaux de la même origine.

Caroténoïdes. La plus grande quantité de caroténoïdes a été déterminée dans les Kales italiens. Par contre, ce sont les Kales portugais qui contenaient le plus de lutéine. Les teneurs étaient comprises entre 135 et 2354 mg kg (-1). Les conditions de culture ont eu une incidence significative sur les teneurs en caroténoïdes, qui étaient en moyenne cinq fois plus élevées dans les échantillons expérimentaux que dans les échantillons locaux — en raison de la très forte fertilisation réalisée pour les Kales expérimentaux. Par contre, les échantillons locaux avaient deux fois plus de lutéine.

En ce qui concerne les acides aminés, il est à noter que deux acides aminés ont été validés, in vivo, pour leurs capacités antioxydantes : ce sont l’acide glutamique et l’acide aspartique — très présents dans les choux frisés -Kales. [155]

En effet, en fonction des auteurs, des analyses, et des cultivars, les acides aminés prédominants dans les Choux frisés/Kales peuvent être diversifiés, mais ce sont, généralement, l’acide glutamique, la proline et l’acide aspartique…

du moins, dans les Kales de l’espèce Brassica oleracea.

Ainsi, une étude de 2012, portant sur des Kales, y a identifié ces trois acides aminés prédominants : l’acide glutamique, l’acide aspartique et la proline. [151]

Il en est de même pour une étude, de 2006, qui avait comme objectif d’évaluer la teneur en acides aminés, et la qualité des protéines, dans des feuilles de chou frisés/Kales fraîches et cuites et dans deux types de produits congelés préparés pour la consommation après un stockage de 12 mois à -20 °C. [158] Selon ses conclusions :

Dans tous les échantillons, l’acide glutamique, la proline et l’acide aspartique étaient dominants, tandis que la lysine et la leucine étaient les acides aminés limitants. Les feuilles cuites contiennent 78 % de la teneur totale en acides aminés des feuilles fraîches, tandis que les produits congelés traditionnels et modifiés en contiennent respectivement 76 % et 78 %.

Ainsi, une étude de 2006, a identifié, chez des Kales – choux moelliers — les acides aminés libres présents en frais et à la suite de fermentation. Cette étude s’est penchée, effectivement, sur les changements qui se produisent dans le profil des acides aminés libres lorsque des bouillies d’eaux d’ébullition de Kale sont mises à fermenter dans des conditions (a) d’aération, (b) d’anaérobiose et (c) de stérilisation partielle à l’anhydride sulfureux. [153] Selon ses conclusions :

Il a été constaté qu’avec les mélanges aérés, la perte d’acides aminés libres est pratiquement complète en 2 semaines, alors qu’elle n’est que légère avec les mélanges anaérobies. Les mélanges contenant de l’anhydride sulfureux n’entraînent aucune perte d’acides aminés. La formation d’acide α-aminobutyrique, peut-être à partir de la thréonine, a été observée.

Il semble important de préciser qu’au sein des mêmes types de choux, ou sous-espèces — Kales, choux pommés, choux-fleurs, etc. — il peut exister une immense diversité, génotypique et phénotypique, qui se traduit, en particulier, par des compositions différentes en acides aminés majeurs.

Ainsi, une étude, de 2021, a identifié les acides aminés prédominants chez 69 variétés de choux pommés — mais, attention, il s’agit de moyennes. [ 1 45] L es 3 acides aminés prédominants, en moyenne, étaient : l’acide glutamique avec une moyenne de 12,3 mg/g, un minimum de 4,3 mg/g et un maximum de 23,9 mg/g ; l’alanine avec une moyenne de 9,4 mg/g, un minimum de 2,8 mg/g et un maximum de 42 mg/g ; l’histidine avec une moyenne de 7,6 mg/g, un minimum de 3 mg/g et un maximum de 20 mg/g.

Ainsi, selon une métarevue de diverses études, voici une estimation des ratios d’acides aminés libres présents dans les Kales. [1 5 2]

La teneur en acide glutamique des Choux frisés/Kales est comprise entre 33 et 450 mg/100 grammes.

La teneur en proline des Choux frisés/Kales est comprise entre 17 et 434 mg/100 grammes.

La teneur en cystéine des Choux frisés/Kales est comprise entre 34 et 58 mg/100 grammes — selon diverses études.

La teneur en glycine des Choux frisés/Kales est comprise entre 11 et 190 mg/100 grammes.

La teneur en histidine des Choux frisés/Kales est comprise entre 4 et 106 mg/100 grammes.

La teneur en arginine des Choux frisés/Kales est comprise entre 14 et 29 mg/100 grammes.

La teneur en thréonine des Choux frisés/Kales est comprise entre 10 et 164 mg/100 grammes.

La teneur en alanine des Choux frisés/Kales est comprise entre 12 et 215 mg/100 grammes.

La teneur en tyrosine des Choux frisés/Kales est comprise entre 8 et 122 mg/100 grammes.

La teneur en sérine des Choux frisés/Kales est comprise entre 11 et 163 mg/100 grammes.

La teneur en valine des Choux frisés/Kales est comprise entre 12 et 207 mg/100 grammes.

La teneur en méthionine des Choux frisés/Kales est comprise entre 60 et 72 mg/100 grammes.

La teneur en isoleucine des Choux frisés/Kales est comprise entre 9 et 156 mg/100 grammes.

La teneur en phénylalanine des Choux frisés/Kales est comprise entre 11 et 189 mg/100 grammes.

La teneur en lysine des Choux frisés/Kales est comprise entre 12 et 221 mg/100 grammes.

La teneur en tryptophane des Choux frisés/Kales serait à 89 mg/100 grammes — selon une seule étude.

En ce qui concerne la composition en acides aminés des Kales de l’espèce Brassica napus, il n’existe que peu de littérature à ce sujet. Ainsi, une étude, de 2000, a identifié les acides aminés dans les feuilles, et dans le phloème, de deux génotypes de Brassica napus — deux colzas d’hiver. [159] Selon ses conclusions :

Les acides aminés prédominants dans le phloème et dans les feuilles sont l’acide glutamique et la glutamine, suivis de la sérine, de l’aspartate et de la thréonine.

Selon une étude, d’août 2013, les graines de colza ( Brassica napus ) contiennent une abondance d’acides aminés soufrés — à savoir méthionine, cystéine, homocystéine, et taurine.


Impact des divers processus de cuisson sur les qualités nutritionnelles et médicinales des Choux frisés, Kales et autres Caulets

Des recherches réalisées, en 2011 — par Nishi K, Kondo A, Okamoto T, et coll. — ont démontré qu’une cuisson d’une demi-heure ne nuisait en rien à la capacité que les choux frisés ont d’activer la production d’immunoglobuline dans le corps. [107]

Cependant, des recherches réalisées en 2012 — par Sikora et Bodziarczyk — ont mis en exergue les résultats suivants. La cuisson détruirait 89 % de la vitamine C, 5 % du bêta-carotène, 56 % des flavonoïdes et 62 % de l’activité antioxydante. Par contre, la cuisson détruirait, également, une grande partie des nitrites et des nitrates présents — 67 % et 78 % respectivement. [106]

La cuisson détruit une partie des acides aminés des feuilles de Kales (environ 20 %).

Il est ainsi conseillé de consommer crues les jeunes feuilles de choux frisés (bios, naturellement) et de blanchir légèrement les feuilles plus âgées afin de bénéficier le plus amplement possible de leurs qualités antioxydantes. L’idéal serait de se faire un jus quotidien de feuilles, fraîches, de choux frisés/Kales bios !

Selon l’étude, de 2008, « Kinetics of changes in glucosinolate concentrations during long-term cooking of white cabbage ( Brassica oleracea L. ssp. capitata f. alba ) ». [7] Le chou pommé (Variété « Bartolo ») a été bouilli, ce qui a entraîné une diminution spectaculaire de 56 % des niveaux totaux de glucosinolates dans la matrice végétale au cours des 2 premières minutes. Après 8 à 12 minutes d’ébullition, la diminution, des niveaux totaux de glucosinolates, a atteint plus de 70 %. Au fur et à mesure de l’ébullition, la concentration de tous les glucosinolates a continué à diminuer à un rythme plus faible pendant le reste de la période de cuisson.

La progoitrine présentait un taux de diminution exceptionnellement élevé par rapport à tous les autres glucosinolates.

L’étude, de 2012, « Composition and antioxidant activity of kale ( Brassica oleracea var. acephala ) raw and cooked/Composition et activité antioxydante du chou frisé ( Brassica oleracea var. acephala) cru et cuit », a mis en exergue les pertes considérables de capacités antioxydantes d’une variété de Kales, « Winterbor », suite à un processus de cuisson — par ébullition pendant 12 à 15 min. [83] Selon ses conclusions :

Les pertes de vitamine C étaient d’environ 89 % , les polyphénols de 56 %, en calculant sur la masse sèche du produit. La stabilité la plus élevée a été observée dans le cas du bêta-carotène, pour lequel les pertes ont été d’environ 5 %. L’activité antioxydante des légumes cuits a diminué pour atteindre 38 % . Des pertes ont également été observées dans les macro-composants, de 13 % pour le zinc à 47 % pour le sodium. Les teneurs en nitrites et nitrates nocifs, calculées sur la masse sèche, ont été significativement réduites à la suite de la cuisson, de 67 % et 78 %, respectivement.

L’étude, de 2018, « Home food preparation techniques impacted the availability of natural antioxidants and bioactivities in kale and broccoli » a investigué les techniques de préparation des aliments à la maison qui ont eu un impact sur la disponibilité des antioxydants naturels et des bioactivités dans le chou frisé et le brocoli ». [78]

Selon ses conclusions. Cette étude a évalué les effets du broyage et du hachage avec/sans micro-ondes sur les composants bénéfiques pour la santé et les capacités antioxydantes, anti-inflammatoires et anti-prolifération d’échantillons commerciaux de chou frisé et de brocoli. Les résultats indiquent que c’est le hachage qui libère le moins de composants nutraceutiques et de capacités antioxydantes. Le passage au micro-ondes n’a eu aucun effet sur la libération d’indole-3-carbinol par le Kale, mais a entraîné une libération élevée (plus de 2 fois) d’indole-3-carbinol par le brocoli. En outre, le choix d’un mixeur a affecté la disponibilité de la capacité anti-proliférative des légumes, mais n’a eu aucun effet sur la disponibilité de leur activité anti-inflammatoire.

L’étude, de 2016, « The kinetic of key phytochemical compounds of non-heading and heading leafy Brassica oleracea landraces as affected by traditional cooking methods », a analysé l’impact de divers modes traditionnels de cuisson sur les Kales et autres choux. [61]

Selon ses conclusions. L’ébullition a conduit à des pertes substantielles dues à la lixiviation. Les glucosinolates ont suivi une cinétique de dégradation de second ordre (20 % de leurs valeurs initiales après 10 minutes d’ébullition dans la variété « Noir de Toscane »). Le contenu phénolique des feuilles + eau de cuisson est resté inchangé, tandis que leur capacité antioxydante a été réduite. La teneur en caroténoïdes a augmenté au cours des premières minutes d’ébullition. La cuisson à la vapeur a montré la plus grande rétention de substances phytochimiques, avec une cinétique de dégradation souvent d’ordre zéro, ayant cependant un effet important sur la couleur. La friture a entraîné des pertes importantes pour tous les composés mesurés ; en outre, la teneur en β-carotène a été réduite de 10 à 23 %, indépendamment de la variété. Les valeurs de conversion pour les composés dérivés de l’indole allaient de non détectables à 23,5 %.

Une étude de 2022 « Effect of pre-treatment and drying methods on the content of minerals, B-group vitamins and tocopherols in kale ( Brassica oleracea var. acephala ) leaves », a analysé l’impact du processing et du séchage sur la composition en vitamines B des Kales. [105] Selon ses conclusions.

Il est recommandé de blanchir le Kale avant de le sécher. Le blanchiment, appliqué avant le séchage, a réduit de manière significative les teneurs en minéraux (3-38 %) et en vitamines (8-45 %) , à l’exception du calcium, du zinc et du manganèse. Ce prétraitement a, toutefois, eu un effet bénéfique, notamment sur la rétention des vitamines pendant le stockage des produits séchés. Après 12 mois de stockage, les pertes de vitamines B1, B2 et de tocophérols totaux, dans les matières premières séchées, préalablement blanchies, variaient de 3 à 10 %, 1 à 4 % et 1 à 16 %, respectivement, selon le type d’échantillon. Dans les produits séchés obtenus à partir de matières premières non blanchies, les pertes étaient plus importantes et s’élevaient respectivement à 10-17 %, 8-16 % et 4-17 %.

Selon l’étude, de 2014, « Comparison of the degradation and leaching kinetics of glucosinolates during processing of four Brassicaceae (broccoli, red cabbage, white cabbage, Brussels sprouts) », il n’existait pas vraiment de différences notables quant à la diminution des niveaux totaux de glucosinolates dans quatre types de Brassica oleracea durant leur cuisson : un chou pommé blanc, un chou pommé rouge, un brocoli et un chou de Bruxelles. [11]

L’étude, de 2021, « The effect of processing and cooking on glucoraphanin and sulforaphane in brassica vegetables » a analysé les pertes de glucoraphanine, et de sulforaphane, en fonction des processus de conservation ou de cuisson. [21] Selon leurs conclusions :

La congélation permet d’éviter les pertes de glucoraphanine, tandis que le passage, de courte durée, au micro-ondes, à la cuisson et à la vapeur, ainsi que la fermentation, favorisent la biotransformation de la glucoraphanine en sulforaphane. L’ébullition et le blanchiment entraînent les pertes les plus importantes de glucoraphanine et de sulforaphane, tandis que la congélation protège considérablement leurs pertes.

Lors de la cuisson à la vapeur, le sulforaphane atteint son maximum entre 1 et 3 minutes et s’épuise à 5 minutes, mais la formation de nitrile ne semble pas exister à un niveau suffisant avec ce type de cuisson.


Les Choux frisés, Kales et autres Caulets sont-ils à éviter en cas d’Hypothyroïdie ?

Une question extrêmement essentielle… car les Choux frisés, Kales et autres Caulets, constituent l’un des premiers barrages, de bioremédiation, à l’encontre de l’offensive nanoparticulaire métallique et toxique — et, parfois, létale.

Les Choux frisés, Kales et autres Caulets sont-ils à éviter en cas d’Hypothyroïdie ? C’est une question extrêmement essentielle dont il faut débattre et qu’il faut, absolument, tenter de résoudre, méthodiquement — et en respirant de bonnes bouffées d’air frais…

Il ne faut pas paniquer ! D’autant plus que l’humeur de ces derniers siècles — dont le tempo est orchestré par les globalistes eugénistes du complexe militaro-industriel — est au parfum de Terrorismes qu’ils soient vaccinaux, climatiques, religieux, pandémiques, intellectuels, militaires, médicaux, médiatiques, etc.

… si tant est que d’aucuns, et autres naturo-millepattes autoproclamés, soient enclins à cesser de répéter, inlassablement, les mêmes ritournelles de sornettes avérées — lorsque, par malheur, ils sévissent impunément par le vecteur de sites Internet. [171]

J’ai découvert des blogs d’influenceurs, autoproclamés « carnivores », qui considèrent que les Kales, les Brassicas, et certains autres légumes verts, sont des bombes de toxicité… eu égard à leur capacité de bioremédiation, à savoir de pomper les poisons industriels — dont ceux déversés dans le sol, abondamment, par les agriculteurs.

L’agriculture biologique existe encore, à quelques %, et, en fait, elle exista depuis de nombreux millénaires jusqu’en 1842… lorsque Justus Liebig Möser commença à sévir — chimiquement parlant.

La même question se pose, assurément, pour toutes les espèces potagères de Brassica ou de Brassicacées — quant à leur impact négatif, potentiel, sur le fonctionnement thyroïdien de l’organisme animal… et, bien évidemment, aussi, quant à leur impact positif, avéré, sur le fonctionnement thyroïdien de ce même organisme animal.

Par exemple. L’étude d’octobre 2022, « Broccoli Sprouts and Their Influence on Thyroid Function in Different In Vitro and In Vivo Models », [18] a analysé l’influence des jeunes pousses de brocoli sur la fonction thyroïdienne. Selon ses conclusions :

Les résultats de notre étude indiquent que les jeunes pousses de brocoli diminuent la viabilité des cellules cancéreuses de la thyroïde et préviennent l’inflammation . Les résultats ont également confirmé le profil de sécurité satisfaisant des pousses, tant in vitro qu’in vivo.

En effet, le nœud de cette « problématique » est le suivant : la goitrine, dérivée de l’un des principaux glucosinolates des Brassica, la progoitrine, serait un perturbateur confirmé du système thyroïdien, car elle bloque l’iodation de la tyrosine.

En 1971, Langer, et coll., ont étudié les doses de goitrine altérant l’absorption d’iode par la thyroïde. Selon leurs conclusions : 70 μmol (10 mg) n’étaient associées à aucune inhibition tandis que 194 μmol (25 mg) inhibaient l’absorption d’iode. [154]

Il en serait de même des thiocyanates — principalement dérivés de l’un des principaux glucosinolates des Brassica, la glucobrassicine, et de son dérivé, l’indole-3-carbinol — qui pourraient réduire l’absorption de l’iode par la glande thyroïde et qui pourraient entraîner une diminution de la synthèse de l’hormone thyroïdienne.

Nonobstant, dès son introduction, l’étude de Peter Felker, de 2016, [124] évoquée ci-après, invalide cette supposition en déclarant que : « Les concentrations de thiocyanate dans le plasma humain résultant de l’action de la myrosinase sur les glucosinolates indoliques n’ont pas été rapportées dans la littérature. En utilisant les concentrations plasmatiques de sulforaphane, après ingestion de glucoraphanine, comme substitut des concentrations plasmatiques de thiocyanate, après ingestion de glucosinolate indole, la contribution maximale de thiocyanate provenant de la dégradation des glucosinolates indoliques est estimée à 10 μM — 10 micromolaires — ce qui est significativement inférieur aux concentrations plasmatiques de thiocyanate de fond (40 à 69 μM).

On peut ainsi supposer que les thiocyanates, générés par la consommation de glucosinolates indoliques, présentent des risques minimes pour la santé thyroïdienne. »

Je confirme que l’étude de Peter Felker est la seule étude cohérente disponible quant aux concentrations de goitrine, et de thiocynate, dans le plasma humain après l’ingestion de légumes du genre Brassica. PubMed ne propose rien d’autre.

Il est à noter, d’ores et déjà, que le phrasé de cette conclusion est empreint de précaution scientifique… eu égard à cette problématique de goitrogénicité. Pourquoi ? Parce que les auteurs précisent que « malgré le développement de méthodes de chromatographie liquide à haute performance et de spectrométrie de masse pour mesurer la goitrine et d’autres produits de l’hydrolyse des glucosinolates dans le plasma, il n’existe pas de données sur les concentrations de goitrine dans le plasma humain après l’ingestion de légumes du genre Brassica, qui pourraient être utiles pour établir des lignes directrices en matière de sécurité nutritionnelle » . [124]

Faut-il répéter ? Il n’existe pas de données sur les concentrations de goitrine dans le plasma humain après l’ingestion de légumes du genre Brassica.

Comment, selon une telle absence de données, sourcées et sérieuses, se peut-il donc qu’il soit, très souvent, clamé, sur tous les toits de la Toile, depuis quelques décennies, que les choux sont antithyroïdiens ?

Sur quoi ces affirmations sont-elles fondées ? Se pourrait-il que la Mafia Pharma ait financé des «  influenceurs » afin de détruire la réputation des Kales et autres Brassicacées — beaucoup trop nutritionnels et médicinaux à leur goût… très prononcé pour l’empoisonnement allopathique chimique ?

Ainsi, en tout début de débats, il semble possible, déjà, de tirer des conclusions relativement non alarmistes eu égard à la consommation de Kales — en cru, plus particulièrement, car la cuisson détruit, de toute manière, une grande partie des glucosinolates.

En effet, une étude a mis en exergue l’inactivation de la myrosinase — qui permet d’hydrolyser les glucosinolates en leurs dérivés — lors de l’ébullition de brocoli, par exemple, dans 1,5 litre d’eau — au bout d’une minute.

Une autre étude a fait bouillir du chou pommé (Variété « Bartolo »), ce qui a entraîné une diminution spectaculaire de 56 % des niveaux totaux de glucosinolates dans la matrice végétale au cours des 2 premières minutes. Après 8 à 12 minutes d’ébullition, la diminution, des niveaux totaux de glucosinolates, a atteint plus de 70 %. La progoitrine présentait un taux de diminution exceptionnellement élevé par rapport à tous les autres glucosinolates.

Et ce n’est que le tout début… car, par la suite, rien n’est simple : tout d’abord, en raison de l’extrême diversité des variétés commerciales, ou des populations traditionnelles, au sein des diverses espèces de Brassica — et donc de leurs diverses sous-espèces — sans évoquer l’extrême variation, au sein des plantes d’une même variété, de la concentration en glucosinolates entre les graines, les feuilles et les racines… et ce, d’autant plus, s’il s’agit de populations ou de variétés anciennes.

En effet, l’étude de Peter Felker, [124] évoquée ci-après, en détail, met en exergue que certaines variétés de « Kales » ont 180 fois moins de progoitrine que celles qui en ont le plus et 150 fois moins de thiocyanates que celles qui en ont le plus.

Comment, selon de telles données, se peut-il donc qu’il soit très souvent clamé, sur tous les toits de la Toile, que tous les Kales sont antithyroïdiens ?

De plus, rien n’est simple, surtout, car, dans les Kales, le sulforaphane et l’indole-3-carbinol sont, tous les deux, réputés pour leurs capacités anti-carcinogéniques

—  de même que l’isothiocyanate de phénéthyle dont le précurseur est la gluconasturtiine.

En effet, le sulforaphane serait un protecteur, tout autant confirmé, de la thyroïde , à l’encontre du cancer, selon les études suivantes — par exemple :

« Sulforaphane inhibits thyroid cancer cell growth and invasiveness through the reactive oxygen species-dependent pathway ». [120]

« Sulforaphane Enhances The Efficacy of Photodynamic Therapy In Anaplastic Thyroid Cancer Through Ras/RAF/MEK/ERK Pathway Suppression ». [110]

Or, le sulforaphane et la goitrine sont, tous deux, dérivés de la glucoraphanine — le glucosinolate qui en est le précurseur.

En effet, la goitrine est issue de la progoitrine qui est catalysée à partir de la gluconapine qui est elle-même catalysée à partir de la glucoraphanine (grâce à l’enzyme GSL-A) qui est elle-même catalysée à partir de la glucoérucine… issue de l’acide aminé méthionine.

C’est ainsi que plusieurs études ont réalisé une chimérisation de Brassica napus, et de Brassica juncea, en désactivant leur gène GSLALK afin de bloquer la production de progoitrine et de fortifier les plantes en glucoraphanine. [135] [136] [1 3 8] En effet, les tourteaux de graines de Brassica napus (Colza) sont réputés avoir un très fort ratio de progoitrine et l’étude de Felker a identifié, de même, jusqu’à 176 μmol/100 g de poids frais dans des Kales Russo-Sibériens.

Ainsi, si tant est qu’il existe un péril thyroïdien avec les Kales, ce serait, plutôt, avec les Kales Russo-Sibériens de Brassica napus… ainsi que de certains Caulets et choux de Bruxelles — du moins, selon l’étude de Felker. Car, répétons-le : il existe de multiples variétés de Caulets et de choux-fleurs.

Et encore, faut-il préciser que selon ses conclusions : « Il convient d’éviter la consommation excessive par exemple, plus de 1 kg par jour pendant plusieurs mois — de chou frisé russo/sibérien cru de l’espèce Brassica napus, de certains Caulets et choux de Bruxelles, qui présentent tous des concentrations élevées de progoitrine et peuvent donc diminuer l’absorption de l’iode par la thyroïde et affecter la synthèse de l’hormone thyroïdienne. »

Aujourd’hui, qui consomme plus de 1 kg par jour, pendant plusieurs mois, de Kales Russo-Sibériens de l’espèce Brassica napus — en cru ?

Voie de conversion du glucosinolate de méthylthiobutyle (glucoérucine) en goitrine. Les enzymes glucosinolate oxydase (NCBI accession no. J3760740) (GSL-OX), glucosinolate alcénylation (NCBI accession no. EF611253) (GSL ALK), et glucosinolate hydroxylation (NCBI accession no. FJ376074) (GSL-OH) et la réaction non enzymatique sont indiquées en dessous ou à côté des flèches.

Extrait de l’étude « Concentrations of thiocyanate and goitrin in human plasma, their precursor concentrations in brassica vegetables, and associated potential risk for hypothyroidism » [124]

Quant au sulforaphane, il est catalysé, lui aussi, à partir de la glucoraphanine — sous l’action de l’enzyme myrosinase.

Pour rappel. La myrosinase est une enzyme végétale indispensable aux processus de dégradation et d’hydrolyse des glucosinolates. Lorsque les tissus végétaux sont endommagés mécaniquement, infectés par des agents pathogènes ou attaqués par des insectes, les glucosinolates et la myrosinase se lient directement. Les glucosinolates sont ensuite hydrolysés en une partie aglycone, en glucose et en sulfate. [150]

Hydrolyse de la glucoraphanine par la myrosinase

L’indole-3-carbinol possède, lui aussi, des qualités, très réputées, de protection à l’encontre du développement du cancer et d’autres pathologies des systèmes immunitaires et hormonaux.

Or, l’indole-3-carbinol et son thiocyanate sont, tous les deux, dérivés de la glucobrassicine — le glucosinolate qui en est le précurseur.

L’indole-3-carbinol est catalysé à partir de la glucobrassicine — sous l’action, également, de l’enzyme myrosinase — issue de l’acide aminé tryptophane.

En fait, la situation est quelque peu plus complexe dans la mesure où ce sont quatre glucosinolates indoliques qui produisent des thiocyanates. En sus de la glucobrassicine, ce sont : la néoglucobrassicine, la 4-méthoxy-glucobrassicine, la 4-hydroxyglucobrassicine. Nonobstant, dans les Brassica, le principal glucosinolate indolique est, assurément, la glucobrassicine.

Voie de dégradation enzymatique et non enzymatique des glucosinolates indoliques, qui aboutit à la production de thiocyanate et des composés anticancérigènes indole-3-carbinol et diindolylméthane. Abréviations : HSO 4, sulfate d’hydrogène ; SCN2, thiocyanate.

Extrait de l’étude « Concentrations of thiocyanate and goitrin in human plasma, their precursor concentrations in brassica vegetables, and associated potential risk for hypothyroidism » [124]

Voici maintenant la présentation de quelques études, ayant abordé la présente problématique, dont la plus élaborée est celle de Peter Felker et coll.

Lors de l’étude, de 2016, par Peter Felker, « Concentrations of thiocyanate and goitrin in human plasma, their precursor concentrations in brassica vegetables, and associated potential risk for hypothyroidism » [124] , les chercheurs ont analysé les concentrations de thiocyanate, et de goitrine, dans le plasma humain après ingestion de Caulets, de choux de Bruxelles et de certains choux frisés/Kales Russo-Sibériens de l’espèce Brassica napus var. pabularis , de navets, de brocolis, de brocolis raab et de choux frisés/Kales de l’espèce Brassica oleracea . Selon leurs conclusions :

Il y est à noter que si l’on se réfère aux taux de concentrations de thiocyanates , en ce qui concerne la dénomination « Kales » ou « Caulets », ils évoluent de 6 à 840 μmol/100 g de poids frais, pour des Caulets en passant par 465 μmol pour des Kales Russo-Sibériens. Tout en sachant que, dans cette étude, 840 μmol est une moyenne entre 446 μmol et 1172 μmol, en fonction des plantes de Caulets et que 465 μmol est une moyenne entre 216 et 803 en fonction des plantes de Kales Russo-Sibériens.

Il y est à noter que si l’on se réfère aux taux de concentrations de progoitrine , en ce qui concerne la dénomination « Kales » ou « Caulets », ils évoluent de 2 à 366 μmol/100 g de poids frais. Les deux valeurs les plus hautes, 366 et 314 μmol/100 g appartiennent, respectivement, à un Kale sibérien et à un chou-moellier.

En conclusion : si cette étude est correcte, quant à ses évaluations, cela signifie que certaines variétés de « Kales », ou « Caulets », ont 180 fois moins de progoitrine que celles qui en ont le plus et 150 fois moins de thiocyanates que celles qui en ont le plus.

Une autre étude, de 1974, « The goitrogenicity of Kale and its relation to thiocyanate content », a mis en exergue la différence entre les Kales de Brassica oleracea, et les Kales de Brassica napus, en ce qui concerne leur goitrogénicité potentielle. [121] Selon ses conclusions : Le Kale de Brassica napus var. pabularis était un peu plus goitrogène que les divers Kales de Brassica oleracea qu’ils analysèrent — à savoir : « Mille-Têtes », « Chou Moellier », « Canson », « Maris Kestrel ».

Il faut noter que, ainsi que nous l’avons signalé, le type « Mille-Têtes » appartient à Brassica oleracea var. ramosa et le type « Chou Moellier » appartient à l’espèce Brassica oleracea var. medullosa : ce sont des Kales… par extension. De plus, « Maris Kestrel » est un cultivar triple hybride de Chou Moellier : c’est une variété à haut rendement, courte, à rapport feuilles-tiges élevé, hautement digestible et adaptée au pâturage — mais moyennement résistante au froid. Quant à « Canson », c’est une variété de type Chou à Mille-Têtes.

Il existe quelques études soulignant la différence entre de jeunes pousses de Brocoli, versus de jeunes pousses de Caulets ou de Kales Russo/Sibériens, quant à la présence de goitrine et quant à leur impact sur la fonction thyroïdienne chez des animaux [113] [114] ou chez des humains [115] [116] . Ces études présentent les mêmes conclusions portant sur les effets bénéfiques de la consommation des jeunes pousses de Brocoli.

En effet, il n’est que très peu de progoitrine chez les jeunes pousses de Brocoli. Selon une étude de 2005, les jeunes pousses de Brocoli, ainsi que les Choux de Bruxelles, se caractérisaient par un faible taux de progoitrine — alors que les Brocolis et les Choux-Fleurs en avaient 8 fois plus. [117] Répétons-le : il existe de multiples variétés de Brocolis, de Choux de Bruxelles et de Choux-fleurs.

Des études polonaises ont investigué l’impact de la consommation de jeunes pousses, de 8 jours, de Rutabaga ( Brassica napus var. napobrassica ) — une sous-espèce de Brassica napus tout comme le Kale russo/sibérien — sur le fonctionnement thyroïdien de rats et sur leurs paramètres hématologiques, biochimiques et immunologiques. Les jeunes pousses ont été testées seules et en combinaison avec d’autres facteurs antithyroïdiens, tels que la carence en iode et l’ingestion de sulfadiméthoxine. Ces études sont « Interaction between iodine and glucosinolates in rutabaga sprouts and selected biomarkers of thyroid function in male rats », de 2018, [111] et « Animals in Iodine Deficiency or Sulfadimethoxine Models of Thyroid Damage Are Differently Affected by the Consumption of Brassica Sprouts », de 2020. [17] Selon leurs conclusions.

L’ingestion des jeunes pousses de Rutabaga par des animaux mâles en bonne santé n’a pas d’effets nocifs sur leur fonction thyroïdienne et pourrait même avoir eu un effet bénéfique sur l’équilibre antioxydant de la glande thyroïde chez les rats souffrant d’hypothyroïdie . En outre, la progoitrine et la glucoérucine, substances goitrogènes isolées à partir de semences de Brassica napus et d’Eruca sativa respectivement, n’ont pas provoqué de perturbation significative du profil des hormones thyroïdiennes dans le sérum des rats.

Cependant, chez les rats souffrant d’hypothyroïdie, les jeunes pousses évaluées ont renforcé les effets néfastes d’une carence en iode ou de l’ingestion de sulfadiméthoxine.

La durée de germination des graines de rutabaga a été déterminée sur la base de nos résultats antérieurs, qui ont montré qu’ une durée de germination plus longue entraînait une diminution significative de la teneur en progoitrine, le composé goitrogène le plus actif de cette plante, en particulier pour 10 et 12 jours de germination , par rapport à 8 jours.

L’une des caractéristiques évaluées, entre 1951 à 1990, au centre agronomique national écossais, fut le taux de thiocyanate contenu dans 15 cultivars, et 50 variétés hybrides, de Kales, dits « fourragers » — qui ont été produits et évalués, pour leurs caractéristiques fourragères, dans le sud-est de l’Écosse en 1982. [123] Selon leurs conclusions :

Les teneurs en ions thiocyanate variaient considérablement, de la plus faible dans les choux à moelle, des variétés «  Giganta » et « Vulcan », (35,0 mg/100 g en matière sèche) à la plus élevée dans les choux de Milan (96,2 mg/100 g en matière sèche) — les choux nains à Mille-Têtes, des variétés «  Canson » et « Dwarf Thousand-Head » et les choux frisés/Kales, des variétés «  Dwarf Green Curled » et « Tall Green Curled », présentant également des teneurs élevées.

Lors de l’étude, « Effect of nitrogen on thiocyanate content of Brassica oleracea var. acephala leaves », [125] une expérience a été menée pour étudier l’effet des niveaux d’application d’engrais azotés (0, 47, 94 et 188 kg N/ha) sur les teneurs en thiocyanate des pétioles et des lamelles de deux variétés de Brassica oleracea var. acephala — un Kale « Mille-Têtes » et la variété de Caulet du sud-est des USA, « Georgia ». Selon ses conclusions.

Les résultats ont montré que l’application d’azote réduisait de manière significative les teneurs en thiocyanate des lamines et des pétioles. L’application de 47, 94 et 188 kg N/ha a réduit le thiocyanate des lamines et des pétioles de 26 %, 41 % et 52 % et de 2 %, 9 % et 39 %, respectivement. Les résultats ont également montré que le thiocyanate des feuilles du Kale « Mille-Têtes » était significativement plus élevé que celui des feuilles du Caulet « Georgia » . Les thiocyanates des lamelles et des pétioles du Caulet « Georgia » représentaient respectivement 79 % et 83 % de ceux du Kale « Mille-Têtes ».

Doit-on en déduire qu’un sol bien fumé, dans un jardin bio, va permettre de diminuer les taux de thiocyanates dans les Brassicas ?

L’étude, de 2022, « Varied effect of fortification of kale sprouts with novel organic selenium compounds on the synthesis of sulphur and phenolic compounds in relation to cytotoxic, antioxidant and anti-inflammatory activity », se concentre sur l’évaluation de l’influence de nouveaux composés organiques, à base de sélénium, sur la synthèse des glucosinolates, des isothiocyanates, des indoles et des acides phénoliques dans les germes de chou frisé, ainsi que sur la détermination de leur impact sur l’activité antioxydante, anti-inflammatoire et cytotoxique sur les cellules normales et cancéreuses du tractus gastro-intestinal, de la prostate et de la thyroïde. [119] Selon ses conclusions :

La présente étude permet de conclure que l’enrichissement des jeunes pousses de chou frisé/Kale avec des composés organiques à base de benzosélénoate influence la production d’isothiocyanates et d’acides phénoliques, et renforce les propriétés antioxydantes des jeunes pousses enrichies. Notamment, l’enrichissement avec des composés, basés sur la structure du benzosélénoate, présente des propriétés chimioprotectrices dans divers types de cancer (cancer gastrique, de la thyroïde et de la prostate) .


Produits fermentés à base de Kales — Jus, Kombuchas, Choucroutes, etc. — pour une intensification de leur activité antioxydante

Dans le sud de l’Éthiopie, le Kale Ethiopien, Brassica carinata, est utilisé pour la production de boissons alcoolisées — tel que la bière locale nommée Parshot — qui sont concoctées tant à partir de fermentation alcoolique que de fermentation lactique. [104] Voir l’ouvrage « Local Beer as Food in the Dirasha, Ethiopia ». 2020. [112]

En Russie, les Kales, de Brassica napus, ont fait partie de 5 aliments fermentés essentiels à la survie de leurs centaines de Peuples pendant des millénaires — avec le Kama (farine de seigle ou d’avoine fermentée) ; le pain de seigle au levain ; le Kasha, une bouillie fermentée à base d’avoine, d’épeautre, de sarrasin ou d’orge ; le Tvorog (ou Quark), une forme de kéfir de lait.

Au fil de l’écriture de ce dossier, l’intuition m’est venue qu’il serait intéressant d’enquêter sur la confection de produits fermentés à base de feuilles de Kales.

La fermentation de la famille des Brassicacées peut se produire spontanément et elle repose sur un processus microbien séquentiel appelé hétérofermentation/homofermentation. Les bactéries homo-fermentaires sont des bactéries lactiques qui ne produisent que de l’acide lactique en tant que sous-produit principal de la fermentation du glucose. Les bactéries hétéro-fermentaires sont des bactéries lactiques qui produisent de l’éthanol/acétique.

Cette fermentation est d’abord dominée par les espèces des genres Leuconostoc et Weissella, puis passe progressivement à une phase ultérieure avec des espèces appartenant aux genres Lactobacillus et Pediococcus.

Par exemple, une « Choucroute » de Kale — qui ne semble pas encore exister sur le marché de la bio. Ou encore un « Kombucha » réalisé non pas à partir de feuilles de Thé noir ou de Thé vert (ou d’autres plantes médicinales), mais à partir de feuilles de Kales — ou toute autre Brassicacée puissamment antioxydante. Ou encore, un « Kimchi » de Kale en s’inspirant des recettes asiatiques ayant recours, traditionnellement, aux choux chinois de l’espèce Brassica rapa var. pekinensis.

Aujourd’hui, sur le marché du Kale, bio et non bio, en tant que « super-food », il se trouve beaucoup de Kale « surgelé », de la poudre de Kale fermenté pour les smoothies, du jus de Kale stérilisé sous haute pression… mais pas vraiment de produits à base de Kale fermenté non stérilisé.

Voici quelques études, concernant cette potentialité dans la mesure où il s’agit de processus de fermentation impliquant des Kales :

Il existe même une étude (tous aux Abris !) intitulée, « Cabbage and fermented vegetables: From death rate heterogeneity in countries to candidates for mitigation strategies of severe COVID-19 », [39] dont le propos est de prouver que les choux, et autres légumes, bien fermentés, ont protégé leurs consommateurs (en Asie, en Europe centrale, dans les Balkans) à l’encontre du CoqueVide/19 — inexistant. Pourquoi ? Parce que les lactobacilles sont des activateurs de la voie Nrf2 !

C’est une explication très sympathique et on en tirera la conclusion que les Choux fermentés permettent de se protéger à l’encontre des grippes et autres troubles respiratoires.

« Composition of lactic acid bacteria during spontaneous curly kale ( Brassica oleracea var. sabellica ) fermentation ». Cette étude analyse la composition des bactéries lactiques au cours de la fermentation spontanée du chou frisé/Kale (Brassica oleracea var. sabellica ). [74]

Ce sont : Lactobacillus curvatus, Lactobacillus plantarum, Lactobacillus paraplantarum, Lactobacillus brevis, Pediococcus pentosaceus, Pediococcus acidilactici, Lactococcus lactis, Weissella hellenica, Weissella cibaria, Leuconostoc mesenteroides.

“ Controlled fermentation of curly kale juice with the use of autochthonous starter cultures”. Cette étude porte sur la Fermentation contrôlée du jus de chou frisé à l’aide de cultures starter autochtones ». Selon ses conclusions. [81]

C’est la bactérie lactique, Lactobacillus plantarum, qui est la plus adaptée afin d’initier la fermentation du jus de Kale.

« Probiotic potential of lactic acid bacteria obtained from fermented curly kale juice/Controlled fermentation of curly kale juice with the use of autochthonous starter cultures ». Le microbiote initial, composé principalement de bactéries Leuconostoc mesenteroides, a été progressivement remplacé par des espèces de Lactobacillus, principalement Lactobacillus plantarum, Lactobacillus sakei et Lactobacillus coryniformis . [101]

Les isolats de Lactobacillus plantarum se sont caractérisés par le plus large spectre d’interactions antimicrobiennes , tant à l’égard des bactéries Gram-positives que Gram-négatives. En outre, les souches de Lactobacillus plantarum ont présenté les meilleures capacités de croissance dans des conditions de faible pH et à différentes concentrations de NaCl et de sels biliaires.

« Spontaneously fermented curly kale juice: Microbiological quality, nutritional composition, antioxidant, and antimicrobial properties/Jus de chou frisé fermenté spontanément : Qualité microbiologique, composition nutritionnelle, propriétés antioxydantes et antimicrobiennes ». [91] L’objectif de cette étude était de déterminer les changements dans la qualité microbiologique, l’activité antimicrobienne et antioxydante, la teneur en phénol, en vitamine C, en minéraux et en cadmium au cours de la fermentation spontanée du jus de chou frisé. Selon ses conclusions.

Le processus de fermentation a contribué à une croissance significative des bactéries lactiques, des entérocoques et des levures, alors qu’aucun pathogène Escherichia coli et Salmonella spp. n’a été observé. Les propriétés antimicrobiennes du jus obtenu se sont améliorées au cours de la fermentation pour tous les micro-organismes indicateurs. La teneur totale en composés phénoliques et l’activité antioxydante ont augmenté, passant respectivement de 48 à 116 mg d’équivalent acide gallique/100 ml et de 4,5 à 6,8 mM Trolox/100 ml, tandis que la teneur en vitamine C a diminué. Les résultats indiquent que 100 ml de jus contribuent de manière significative à l’apport minéral recommandé.

« Fermentation of Kale ( Brassica oleracea var. sabellica ) Vegetable Enhances Its Properties as a Functional food/La fermentation du chou frisé ( Brassica oleracea var. sabellica ) améliore ses propriétés en tant qu’aliment fonctionnel ». [9 2 ] Selon ses conclusions.

À la suite de la fermentation, de trois semaines, les polyphénols totaux, les flavonoïdes et la valeur antioxydante IC50 du Kale ont augmenté. Ils sont passés respectivement, de 9,22 à 10,64 mg équivalent acide galliques/g, de 5,35 à 6,20 mg QE/g, et de 186,70 à 378,50 ug/m. Par contre, une diminution significative de la teneur en bêta-carotène et en caroténoïdes totaux a été observée dans tous les groupes fermentés par rapport au contrôle.

« Production of Fermented Kale Juices with Lactobacillus Strains and Nutritional Composition/Production de jus de chou frisé fermenté avec des souches de Lactobacillus et composition nutritionnelle ». Des jus de chou frisé fermentés, utilisant quatre types de lactobacilles, ont été produits dans le cadre de cette étude. Selon ses conclusions : [94]

Ce sont Lactobacillus acidophilus et Lactobacillus brevis qui se sont avérés les deux lactobacilles les plus facteurs de nutrition augmentée.

« Starter culture for curly kale juice fermentation selected using principal component analysis/Culture de départ pour la fermentation du jus de chou frisé sélectionnée à l’aide de l’analyse des composantes principales ». Il s’agissait de souches de Lactobacillus paraplantarum, de Lactobacillus plantarum et de P ediococcus pentosaceus. [82] Selon ses conclusions : [94]

Des échantillons de jus de chou frisé fermenté avec une formulation multi-souches ont montré une acidification rapide avec un nombre élevé de cellules viables, un niveau élevé d’activité antioxydante et des effets antimicrobiens contre certaines bactéries pathogènes. En outre, la formulation multi-souches a donné de meilleurs résultats que le contrôle et les souches bactériennes autochtones testées individuellement.

« Effect of fermentation stages on glucosinolate profiles in kimchi: Quantification of 14 intact glucosinolates using ultra-performance liquid chromatography-tandem mass spectrometry ». [149] Selon ses conclusions :

Les échantillons de kimchi contenaient de la progoitrine, de la sinigrine, de la glucoraphanine, de la glucoraphénine, de la glucoalyssine, de la gluconapine, de la glucobrassicanapine, de la glucobrassicine, de la glucobertoïne, de la gluconasturtiine, de la 4 méthoxyglucobrassicine et de la néoglucobrassicine — dont la 4-méthoxyglucobrassicine, la glucobrassicanapine et la gluconapine étaient les principaux composés.

Dans le kimchi modérément fermenté, la glucobrassicanapine et la gluconapine restèrent au même taux alors que la 4 méthoxyglucobrassicine passa de 38 % à 42 %.

Dans le kimchi très fermenté, la 4 méthoxyglucobrassicine passa à 82 %.


Production de semences de Choux frisés, Kales et autres Caulets

Voici une section particulière pour les jardiniers souhaitant produire leurs propres semences de Choux frisés/Kales — qui, sont, très généralement, des plantes bisannuelles en ce qui concerne leur reproduction semencière.

Les Choux frisés/Kales fleurissent à la suite d’une vernalisation. De plus, ils ne se reproduisent que par le vecteur de pollinisation que constituent les insectes. En effet, l’autofécondation est largement empêchée par un système d’incompatibilité sporophytique.

Voir l’essai, de 1957, «  Self-incompatibility in marrow-stem kale, Brassica oleracea var. acephala. Demonstration of a sporophytic system  » . Thompson K F. Ce système d’auto-incompatibilité peut être, partiellement, et très artificiellement, contourné, en pollinisant une fleur avec du pollen provenant d’une autre fleur de la même plante au moins deux jours avant leur ouverture naturelle — afin de produire des lignées inbred/consanguines auto-incompatibles pour l’agronomie toxique.

En conclusion, il faut au moins deux plantes de Kales, Brassica oleracea, pour qu’une fécondation puisse se manifester — entre les fleurs des deux plantes – suivie d’une grenaison.

En fait, il en est de même pour la très grande majorité des sous-espèces, et variétés, de Brassica oleracea — à l’exception de quelques variétés de choux-fleurs autocompatibles et autres excentricités.

Les variétés de Choux frisés/Kales de l’espèce Brassica napus vont se croiser entre elles et avec toutes les variétés de Colza et de Rutabaga (dans un rayon de quelques kilomètres en fonction de la présence des insectes pollinisateurs).

Attention. Les trois sous-espèces de Brassica napus vont, également, se croiser avec toutes les variétés de Moutarde indienne (Brassica juncea).

Les variétés de Choux frisés/Kales de l’espèce Brassica oleracea vont se croiser entre elles et avec toutes les variétés des autres types de Brassica oleracea : chou-fleur, chou cabus, chou-rave, etc.

Un gramme de semences de Kales en contient environ 220 à 320 par gramme — en fonction des variétés de Brassica oleracea convar. acephala ou des variétés de Brassica napus var. pabularia.

Les semences de Brassica peuvent se conserver, viables, durant de nombreuses années dans des conditions de stockage sec : de 5 à 10 années — et encore beaucoup plus, assurément, en congélation.

En première conclusion, le jardinier souhaitant produire ses semences de Kales peut le faire, dans son jardin, chaque année, à partir d’une seule variété de Brassica oleracea , et d’une seule variété de Brassica napus , puisqu’il n’existe pas de risque de croisement interspécifique entre ces deux espèces — sauf cadeau de l’Évolution Gaïenne sur mode Émanation.

Par contre, c’est à condition stricte que, dans un rayon de 1 à 2 km — surtout si les ruches d’abeilles sont abondantes alentour — aucun autre jardinier, ou paysan, ne se prête au jeu de la production de semences de Kales, d’autres types de choux de l’espèce Brassica oleracea… ou encore de colza ou de rutabaga — et qui plus est, de toute variété de moutarde indienne, Brassica juncea, dans le cas de la production de Kales russo/sibériens.

En seconde conclusion, le jardinier souhaitant créer ses propres variétés peut le faire, dans son jardin, en croisant deux ou plusieurs variétés de Brassica oleracea , ou deux ou plusieurs variétés de Brassica napus.

Le jardinier peut, ainsi, laisser partir en semences, la seconde année, des plantes qu’il aura sélectionnées — pour leur couleur, leur résilience, leur saveur, leur nutrition, etc. — dans deux ou plusieurs variétés de Brassica oleracea… ou bien dans deux ou plusieurs variétés de Kales Brassica napus. Je suis enclin, personnellement, à créer des pools génétiques — permettant, subséquemment, de choisir parmi une large diversité.

Afin que la classification botanique soit bien claire, voici une présentation des espèces Brassica oleracea et Brassica napus . En effet, sans classification botanique très précise, il n’est pas possible de produire ses semences, en pureté variétale, en raison des croisements interspécifiques, et intervariétaux, très nombreux, chez les Brassica.

L’espèce Brassica oleracea se subdivise en diverses sous-espèces :

Brassica oleracea var. acephala : le chou frisé ou chou Kale

Brassica oleracea var. botrytis : le chou-fleur

Brassica oleracea var. capitata : le chou cabus, le chou rouge

Brassica oleracea var. cymosa : le chou brocoli

Brassica oleracea var. alboglabra : le brocoli chinois

Brassica oleracea var. costata : le chou à grosses côtes

Brassica oleracea var. gemmifera : le chou de Bruxelles

Brassica oleracea var. gongylodes : le chou-rave

Brassica oleracea var. medullosa : le chou-moellier

Brassica oleracea var. sabauda : le chou de Milan

Brassica oleracea var. italica : le chou brocoli à jets

L’espèce Brassica napus se subdivise en trois sous-espèces :

Brassica napus var. pabularis : Chou frisé russo/sibérien.

Brassica napus var. napobrassica : le rutabaga, le chou-navet.

Brassica napus var. napus : le colza annuel, la navette.

L’origine de Brassica napus est nimbée de mystères évolutifs — du moins, pour les poètes. Selon les généticiens, Brassica napus (2 n = 4x = 38) serait issu de flux génétiques spontanés (ou pas ?) entre Brassica rapa (2 n = 2x = 20) et Brassica oleracea (2 n = 2x = 18). Nonobstant, on ne connaît pas de populations de Brassica napus véritablement sauvages.

Et pour la petite histoire des mordus de la diversité — et de la création variétale. L’agronome obtenteur, très excentrique, Tim Peters, de Peters Seed and Research, en Oregon, aux USA — qui a créé, en pollinisation ouverte, des variétés de choux brocolis, ainsi que la variété de chou frisé sibérien « Winter Red », et qui est un passionné, également, des céréales vivaces (telles que les seigles vivaces) — a réalisé une expérimentation afin de tenter de retracer l’origine de Brassica napus. Il croisa un chou chinois (Brassica rapa) avec un chou frisé Européen (Brassica oleracea) et il obtint ainsi un magnifique chou dit « Sibérien » (Brassica napus). Il croisa ce premier résultat avec une moutarde (de l’espèce Brassica nigra) et il obtint un chou frisé dit « Sibérien » de type « Red Russian ».

Cette anecdote prouve, au moins deux points. Premièrement, la Terre-Mère a créé des espèces végétales ouvertes au jeux évolutifs avec l’Humain. Secondement, si Tim Peters put croiser Brassica oleracea avec Brassica rapa, c’est qu’il avait la capacité de jouer avec certaines espèces végétales déjà domestiquées — tout comme mon ami Mushroom, alias Alan Michaël Kapuler, lui aussi en Oregon… l’un des paradis des semenciers… et des cultivateurs de Ganja.


Au sujet de la sélection et de l’obtention de nouvelles variétés de Choux frisés, Kales et autres Caulets

Quasiment dans tous les pays européens, il existe divers types, variétés, populations de choux frisés/Kales. Malgré qu’ils y constituent des cultures traditionnelles, ils ont été, largement, négligés par la sélection agronomique et il n’existe pas, ou très peu, de variétés dites modernes.

Au Royaume-Uni, il a existé une sélection agronomique, à partir des années 1950, afin de produire de nouvelles obtentions de Kales dits fourragers — des hybrides simples, doubles, triples… à la folie ! [122]

Il existe, par exemple, une variété fourragère dénommée « Bittern » qui est un croisement entre le chou à moelle et le chou de Bruxelles — et qui constitue l’un des seuls triples hybrides de Kale fourrager commercialisé en semences, actuellement.

En fait, de 1951 à 1990, c’est le centre agronomique Écossais — Scottish Plant Breeding Station — qui a réalisé une pléthore de recherches portant sur les variétés fourragères de Kales en pratiquant des croisements impliquant des choux pommés, des choux de Bruxelles, des choux-raves, des choux moelliers, des Kales Curly, des choux à mille-têtes, des choux brocolis à jets, etc.

Un article récent, de 2022, « Use of Botanical Varieties of Brassica oleracea L. in the Breeding of Forage Kale », en présente des recherches, qui sont inédites, dans lesquelles 8 types botaniques (15 cultivars) de Brassica oleracea et 13 types d’hybrides intraspécifiques (50 variétés hybrides) ont été produits et évalués pour leurs caractéristiques fourragères dans le sud-est de l’Écosse en 1982. [123]

De plus, il est à noter que Watts, en Nouvelle-Zélande, a constaté que les croisements entre d’une part le chou frisé/Kale et, d’autre part le brocoli à jets et le chou-fleur — ainsi qu’entre le chou sauvage et le chou-fleur — étaient les plus productifs (poids frais) des croisements entre neuf types botaniques. [128]

Ces dernières décennies, ce sont, surtout, les semenciers bios, aux USA, qui ont joué à développer, où à commercialiser, de nouvelles variétés créées par des obtenteurs professionnels ou amateurs. Il s’agit, par exemple, des variétés « Dazzling Blue », « Red Ursa », « Lacinato Rainbow », « White Russian », « Winter Red », « Wild Red », « Western Front », « Gulag Stars », « Kale Coalition », « Siber Frill », « Nash Red Kale », « Bear Necessities », « Violet Moss Curled », « Russian Frills », « Russian Hunger Gap », « North Star Polaris », « Red Ruffled », etc. Voir la dernière section, de cet essai, portant sur la production de semences.




Professeur Contreras : « Le piège de l’Agenda 2030 est dans les petits caractères »

[Source : medias-presse.info]

Le podcast espagnol Luz del Mundo — une production de l’Association catholique des propagandistes (ACdP) et de l’Institut des sciences humaines CEU Ángel Ayala — aborde cette semaine un sujet controversé : l’Agenda 2030 et les Objectifs de développement durable (ODD). Il le fait avec l’aide du professeur de philosophie du droit et ancien député de Vox au Congrès Francisco J. Contreras, qui le considère comme le visage le plus visible de l’ONU agissant « en tant que gouvernement proto-mondial ». Dans une conversation avec la journaliste Ana Campos, le Professeur Contreras affirme que, même si les Objectifs de développement durable semblent à première vue incontestables, « le problème est dans les petits caractères ».

Commençons par poser la question : qu’est-ce que l’Agenda 2030 ?

Il s’agit d’un document contenant 17 objectifs de développement durable (ODD) que l’ONU a approuvé en 2015 et dans lequel elle propose aux États membres un horizon d’action, avec une période de 15 ans pour l’atteindre. Il s’agit, disons, de l’ONU agissant comme une sorte de gouvernement mondial, ou de proto-gouvernement mondial. Tous les pays ne l’ont pas signé, mais l’Espagne a bien entendu été l’un des premiers pays à le faire. Le PP et le PSOE — parce qu’en 2015 il y avait un gouvernement du Parti populaire — rivalisent dans la ferveur des « vingt-trentenaires », dans le sens où le PP prétend avoir été le gouvernement qui a signé l’agenda, mais le PSOE affirme que ce sont eux, ceux qui ont fait le plus pour le mettre en pratique.

Éradication de la pauvreté, égalité entre hommes et femmes… N’importe qui avec un demi-cerveau accepterait ces Objectifs de développement durable, non ?

C’est clair. Une vision sinistre de l’Agenda 2030 se répand, notamment dans les secteurs conservateurs, comme s’il s’agissait d’une sorte de conspiration d’élites obscures pour dominer le monde… et quand on l’ouvre et qu’on regarde les objectifs, ce ne semble vraiment pas être ça. C’est le cas, mais c’est d’une manière plus dissimulée. Mais à première vue, les objectifs — presque tous, car il y a quelques exceptions — sont incontestables. Qui serait contre l’éradication de la faim dans le monde ? Qui s’opposerait à la fourniture d’eau potable et d’un système d’assainissement à l’ensemble de la population mondiale ? Qui serait contre la construction de systèmes de santé de qualité partout, ou contre une éducation de qualité ? Je liste les Objectifs de développement durable…

Alors, où est le piège ?

D’abord, dans les petits caractères. Chacun de ces principes génériques est ensuite décomposé en sous-objectifs, en buts, et là apparaît un parti pris idéologique clairement gauchiste. Les moyens proposés par les Nations Unies pour atteindre ces objectifs que nous partageons en principe tous sont discutables. Et deuxièmement, dans le fait que les Nations Unies proposent les mêmes objectifs à tous les pays du monde, ignorant les disparités abyssales de développement matériel et moral entre les différents pays.

Existe-t-il certains objectifs qui sont contestables de façon évidente parmi ces Objectifs de développement durable ?

Oui : il y en a un qui me semble rejetable, pas seulement dans les petits caractères, mais dans sa formulation générique elle-même, à savoir l’action climatique, l’ODD numéro 13. Parler de la nécessité d’une action climatique, c’est déjà assumer toute la vision catastrophique, la version officielle, du changement climatique comme une sorte d’apocalypse qui justifie une transition énergétique accélérée et très onéreuse. Et autoritaire aussi, car cela se fait verticalement, par décret des gouvernements… mais uniquement des gouvernements occidentaux, curieusement. Il n’y a qu’en Europe, aux États-Unis et peut-être au Canada que nous prenons au sérieux cette transition très coûteuse, qui pénalise l’économie européenne et nord-américaine. Dans le reste du monde, cela ne se fait pas. L’Europe, par exemple, émet déjà moins de 9 % des émissions totales de CO2. Même si l’Europe parvenait à réduire de moitié ses émissions de dioxyde de carbone, l’impact sur les émissions mondiales totales serait à peine de 3 ou 4 % : nous ne sommes pas concernés par les effets climatiques mondiaux. Et pourtant, nous nous sommes lancés dans une transition énergétique qui entraîne des coûts immenses. Je le sais bien grâce à mon travail au Congrès : le Plan National Intégré Énergie et Climat — la stratégie énergétique du gouvernement espagnol pour les années 2020 — reconnaît la nécessité d’investir 240 milliards d’euros dans l’énergie d’ici 2030. En Allemagne, on estime que d’ici 2025, 500 milliards auront été investis dans la transition énergétique. C’est ce que nous coûte l’abandon précipité des combustibles fossiles. Et tout cela pour réduire encore davantage les émissions occidentales, déjà très faibles, parce que nous réduisons les émissions depuis des décennies. Mais ce que je veux dire, c’est que cet ODD est discutable même dans sa condition générique, car le CO2 — par exemple — n’est pas une pollution. Des études de la NASA confirment que la végétation a augmenté partout dans le monde parce que nous stockons davantage de CO2.

Ces 17 ODD comportent 169 objectifs. Y a-t-il quelque chose en commun entre eux tous ? Peut-on dire, par exemple, que l’Agenda 2030 est pro-avortement ?

Oui, même s’ils n’appellent pas l’avortement par son nom : ils le font en utilisant l’euphémisme « droits sexuels et reproductifs ». Mais l’objectif 5.6 parle de la nécessité de promouvoir la santé sexuelle et reproductive, les droits sexuels et reproductifs… Quiconque connaît le jargon et la pratique des Nations Unies sait que cet euphémisme inclut non seulement les contraceptifs, mais aussi l’avortement. Et cela a été confirmé en 2018 par le Rapporteur spécial sur le droit au développement dans des déclarations dans lesquelles il a déclaré que les lois qui restreignent ou criminalisent l’avortement constituent une menace pour la santé sexuelle et reproductive des femmes, entraînent des décès lors d’avortements clandestins, etc. On peut donc dire que l’Agenda 2030 est favorable à l’avortement.

Si, lorsque nous examinons les petits caractères, nous constatons que l’Agenda 2030 n’a pas cette bonté apparente, pourquoi l’acceptons-nous au niveau national ou européen ?

Je suppose que c’est une question de posture morale. Apparaître devant le public comme quelqu’un qui s’identifie à ce projet de progrès parrainé par l’ONU, qui semble conserver une aura morale positive… Personne n’ose s’en distancier de peur d’être identifié comme ultra, ou de se faire dire qu’il est faveur de la faim dans le monde, ou de l’analphabétisme… Bien sûr, personne n’ose se charger d’expliquer où se trouvent les pièges.

On peut dire que là où il est dit « éducation de qualité », il y a endoctrinement, que là où il est dit « frontières ouvertes », il y a invasion migratoire, que là où il est dit « égalité des sexes », il y a destruction de la famille…

C’est clair. Parmi les objectifs que nous avons qualifiés d’incontestables, on peut distinguer deux types : les objectifs qui présentent un niveau de saturation et ceux qui ne le sont pas. Par exemple, l’éradication de la faim est un objectif déjà atteint dans les pays occidentaux développés : il n’y a pas de faim en Espagne, en Suède ou au Canada. C’est ce que j’entends par niveau de saturation : à partir du moment où l’on peut dire « il n’y a plus de faim », « il y a de l’eau potable pour tout le monde ». Il existe ensuite d’autres objectifs dans lesquels il est toujours possible de faire mieux, comme une éducation ou des soins de santé de qualité. Mais à ce sujet, il convient de dire qu’il est absurde et ridicule que l’ONU vienne nous faire la leçon sur l’importance d’améliorer l’éducation ou d’améliorer les soins de santé, comme si cela ne nous était pas venu à l’esprit. En cela, les responsables de l’ONU tentent de se légitimer : Il s’agit d’un syndrome général des hommes politiques : « sans moi, une telle chose ne se ferait pas dans la société ». « Nous avons créé des emplois »… Vous mentez, vous n’avez créé aucun emploi. L’emploi est créé par les hommes d’affaires, les travailleurs indépendants, la société civile : dans tous les cas, le politique doit rester à l’écart, avec des lois sensées et non invasives qui permettent à la société de générer des richesses pour elle-même. Ce syndrome qui consiste à présenter les choses comme si tout ce qui se passe de bien dans la société était dû à la tutelle du politicien se produit également au niveau supranational, et nous avons ici l’ONU qui rappelle aux gouvernements l’importance d’une éducation de qualité, de soins de santé de qualité. Non désolé. Nous poursuivons ces objectifs depuis des décennies, voire des siècles, bien avant l’existence de l’ONU.

Et y a-t-il quelque chose à dire sur ceux qui ont un niveau de saturation ?

Il y a une distorsion liée au fait que l’ONU donne des leçons à l’Espagne, à la Suisse ou à la Finlande sur la faim ou sur l’eau potable, alors qu’il n’y a pas de faim en Espagne, en Suisse ou en Finlande. Ou sur l’égalité des sexes. Ici, nous pénétrons dans un terrain plus accidenté. Je considère qu’en Occident, l’égalité souhaitable entre les sexes est atteinte depuis longtemps. Depuis des décennies, l’égalité des droits entre les hommes et les femmes existe, même si elle commence à être érodée précisément par les lois féministes, les quotas, les lois sur la violence de genre qui impliquent une asymétrie pénale… Bien sûr, cela n’est pas atteint dans d’autres régions du monde. : en Afghanistan ou en Somalie, les femmes sont discriminées. Elles y sont opprimées. Le piège ici est que l’ONU nous traite tous de manière égale, en égalisant par le bas. L’ONU agit comme un gouvernement mondial, ou un proto-gouvernement mondial, dans un monde extrêmement hétérogène. Quoi qu’il en soit, il faudrait moduler son message en fonction du niveau de développement et adresser des messages différents à la Finlande et à la Somalie, mais non : ce qu’il fait, c’est nous traiter comme si nous étions tous des Somaliens. Mais il y a tout un secteur idéologique et politique qui se réjouit que l’ONU nous traite comme la Somalie : je fais référence au spectre wokiste, non seulement la gauche, mais aussi la droite qui avale ces choses. L’homme politique wokiste se réjouit que l’ONU, avec toute sa prétendue autorité morale, vienne dire qu’en Espagne, nous avons également un long chemin à parcourir en termes d’égalité des sexes. L’essence du wokisme, c’est précisément une forme de néo-marxisme qui remplace la lutte des classes par la lutte des sexes, des races et des orientations sexuelles. Sa thèse fondamentale est que les femmes sont opprimées et discriminées par les hommes non seulement en Somalie, mais aussi en Suisse. Homosexuels et autres minorités sexuelles seraient opprimés par les hétérosexuels. Et les races autres que les blanches seraient opprimées, discriminées par la race blanche. Cependant, la vérité est que le type d’égalité des sexes souhaitable dans une société juste — c’est-à-dire l’égalité des droits et non l’égalité des résultats — a déjà été atteint en Occident. Et je dis égalité des résultats parce que le sophisme qu’ils utilisent est celui — par exemple — de l’écart salarial : que le salaire moyen des femmes est inférieur de 5 000 euros par an à celui des hommes, donnant à tort l’impression que le même travail est rémunéré différemment. C’est un mensonge, et en Espagne, c’est illégal depuis le statut des travailleurs de 1980. Le fait est que les femmes et les hommes choisissent des emplois différents, ce qui est autre chose. Il y a peu de femmes qui étudient l’ingénierie, non pas à cause d’une conspiration sexiste des professeurs d’ingénierie pour dissuader les femmes, mais parce que les femmes n’ont pas envie d’étudier l’ingénierie. Elles ne sont pas attirées par les carrières techniques qui ont tendance à bien payer, et voici une explication à la disparité salariale. Ou bien les femmes choisissent plus souvent que les hommes le travail à temps partiel, mais — encore une fois — non pas à cause d’un complot, mais à cause de la liberté d’action, car pour beaucoup, cela vaut la peine de ralentir leur carrière professionnelle pendant quelques années afin d’être plus disponibles à leurs enfants.

L’Agenda 2030 semble dire a priori la même chose que l’Église : faim zéro, fin de la pauvreté, santé et bien-être… L’Église en a-t-elle parlé ?

Le représentant du Saint-Siège auprès des Nations Unies, Mgr Aúza, a exprimé à plusieurs reprises des réserves, ou est venu dire que l’Église est d’accord avec les objectifs génériques, mais pour autant qu’ils soient interprétés sous un certain angle, conformément à la loi naturelle, à la morale catholique, à la doctrine sociale de l’Église, etc. En d’autres termes, ils acceptent l’Agenda pour autant qu’il soit interprété dans le sens qu’ils considèrent acceptable. Par exemple, lorsqu’on parle d’égalité des sexes, les droits sexuels et reproductifs ne sont pas inclus, ce qui, nous le savons, inclut implicitement l’avortement. Mais cela me semble un peu naïf, dans le sens où l’Agenda est ce qu’il est et les objectifs sont ce qu’ils sont. Mgr Aúza parle de ce qu’il aimerait que ce soit, si l’Église pouvait réécrire l’Agenda. Bien sûr, j’écrirais les objectifs différemment, pour qu’il n’y ait aucune ambiguïté et qu’aucune porte ne soit ouverte à l’avortement, à d’autres formes de famille que la famille naturelle fondée sur le mariage entre un homme et une femme, à la fécondation artificielle, à la maternité de substitution, la transsexualité… Évidemment tout ce qui touche à la bioéthique, à la famille… où il y a des contradictions entre la doctrine catholique et l’Agenda 2030, parce que c’est de cela qu’il s’agit. Est-il logique de dire : « Je soutiens l’Agenda 2030, mais il doit être interprété selon mes principes » ? Eh bien, mais ils ne l’interprètent pas de cette façon ; entre autres parce que la formulation de l’ordre du jour ne le permet pas. Alors peut-être devrions-nous avoir le courage de prendre nos distances par rapport à l’Agenda 2030. de telle sorte qu’il n’y ait aucune ambiguïté.

Certains catholiques, comme le Nonce, ont déclaré que l’Agenda 2030 ne pouvait être assumé dans aucune institution qui se déclare chrétienne. Que peut-on faire pour le combattre ?

Eh bien, ce que vous pouvez faire, c’est expliquer ce que nous expliquons dans cette conversation, mais ce sont des choses qui ne rentrent pas dans un slogan en trois mots. Il faut du temps, des nuances… mais il faut le faire, car sous couvert de ces principes de bien apparent nous contribuons à la destruction de notre société. Par exemple, à la destruction de la famille dans la mesure où elle prive les enfants d’un père et d’une mère. Ou plus encore, dans la mesure où ils poussent le taux de natalité à des extrêmes qui le mettent déjà en danger… La durabilité, concept progressiste, est ici en jeu. Mais la société cesse d’être durable dans le sens le plus dramatique et le plus immédiat, c’est-à-dire qu’il n’y a pas de changement générationnel. Il n’y a pas assez d’enfants. Et l’Agenda 2030 y contribue. Eh bien, tout cela doit être expliqué pour que les gens ne se laissent pas tromper par la bonté apparente des objectifs génériques. Il faut expliquer ce qu’il y a derrière, ce qui est implicite. Mais notre société est habituée aux slogans où ne pénètrent pas les messages qui ont un minimum de complexité.




Le guerrier spirituel — Briser l’emprise envoûtante de l’intelligence artificielle

[Source : telegra.ph]

Par Julian Rose

Bonjour à tous,

Je suis honoré d’être invité à prendre la parole lors de cette très importante conférence internationale du Forum de Chisinau.

Son thème est très bien choisi et extrêmement prémonitoire. Je pense qu’il faut maintenant rassembler tous ceux qui sont déterminés à vaincre nos oppresseurs en élaborant une stratégie pragmatique, fondée sur l’action, pour aller de l’avant. Unissons-nous donc pour tenter d’y parvenir. Le titre de mon intervention d’aujourd’hui au forum est le suivant :

« Le guerrier spirituel. Briser l’emprise envoûtante de l’intelligence artificielle ».

Si l’on veut combattre les démons, et c’est bien ce à quoi nous sommes confrontés selon moi, il faut s’entraîner à devenir un guerrier spirituel. Et j’ai de plus en plus le sentiment que, malgré tout ce que l’on dit sur la « guerre », « c’est une guerre spirituelle » est l’évaluation la plus juste. La grande majorité de la population (dans le monde occidental) souffre d’une forme de psychose. Si l’on analyse cette situation, on s’aperçoit que l’influence omniprésente du pouvoir techno-industriel joue un rôle important en poussant les êtres humains à devenir des êtres « non-humains ».

La vie se numérise — et les gens aussi ! Ils sont sous le charme de l’hypnose de masse — et il ne s’agit pas seulement de l’effet secondaire d’être cloné sur son téléphone portable (je n’en ai pas) ; il s’agit d’un processus délibéré d’endoctrinement dans un monde où Dieu doit être remplacé par une intelligence artificielle. L’agenda transhumain.

Klaus Schwab, directeur du Forum économique mondial, nous dit qu’en adoptant son New Deal vert — et celui du roi Charles — et la quatrième révolution industrielle, « nous ne posséderons rien et nous serons heureux ».

Pendant longtemps, cette déclaration a figuré en bonne place sur le site web du FÉM [Forum Économique Mondial].

Ce qui est extraordinaire, c’est que des milliers, voire des millions de personnes, l’ont lue et n’ont pas semblé s’en émouvoir ! Se faire dire directement que l’on va se faire plumer et l’accepter sans broncher est un signe certain d’hypnose.

Ensuite, le professeur Yuval Noah Harari — conseiller en chef de Schwab — nous dit que l’ère numérique de l’intelligence artificielle va signifier que l’on sera connecté à un volume presque infini d’« informations ». Ainsi, dans une « ville intelligente », on sera connecté à « l’Internet de tout » — une grille électromagnétique invisible de 5G — et le cerveau ne sera plus le sien, mais appartiendra aux programmateurs du programme qui sera introduit dans le néocortex.

Harari dit à ce sujet « Nous ferons mieux que Dieu » — et des millions de personnes le suivent, les yeux écarquillés et la bouche ouverte.

Ce que je décris est réel — et pour lui donner ses lettres de noblesse, il s’agit d’une « anti-vie ». Nous pouvons retracer l’une des grandes lignes de cette ère de tromperie anti-vie en examinant le phénomène du téléphone cellulaire sans fil CEM [basé sur les Champs Électromagnétiques] — dont le joyau de la couronne est le téléphone intelligent — et les tours de téléphonie cellulaire qui ont envahi les toits des villes et, de plus en plus, nos paysages ruraux autrefois vierges.

La tour et le mât de téléphonie mobile qui coiffent le temple de la prouesse techno-industrielle sont des pièces d’acier laides et trapues qui sont l’expression même de la domination. La vaste infrastructure mondiale formée par ces structures d’acier saturniennes est porteuse d’une soupe de toxicité amplifiée par les CEM.

C’est ce « réseau » qui sert de passerelle vers le monde de la réalité virtuelle de ceux qui en dépendent pour leurs « signaux ». Des signaux qui ont une sorte de domination abstraite et une tendance prononcée à altérer le sang et à brouiller le cerveau.

La majorité des messages qui passent par cette passerelle concernent la façon de progresser dans le « système ».

Comment aller d’un point A à un point B plus rapidement ; les nouvelles plus rapidement ; les rapports financiers plus rapidement ; les relations avec la famille et les amis plus rapidement ; tout plus rapidement.

Être branché en permanence sur ce carrefour hyper électromagnétique de la vie est censé être le seul moyen de « rester en contact », de participer à la matrice mentale, de faire partie du « programme ».

Mais il y a vingt ans déjà, j’ai décidé de couper les ponts avec ce programme. L’abandon du téléphone portable s’est avéré être un acte de libération, bientôt suivi par l’éviction de la télévision.

Big Brother a été relégué au second plan et j’ai vu qu’il existait encore une vie qui m’appartenait, à condition toutefois de donner la priorité à ses valeurs avec une solide dose de détermination à être fidèle à ce qui est « réel » dans la vie.

C’est peut-être la raison pour laquelle je vois si clairement comment ceux qui continuent à participer au « programme » courent aveuglément vers une falaise abrupte et intransigeante, et comment leurs exigences voraces à l’égard de l’environnement naturel sapent de plus en plus sa résilience naturelle.

Je vois quelque chose de particulièrement choquant : cette course frénétique vers la falaise et la grande consommation de ressources finies qu’elle implique n’ont d’autre but que d’exercer une fascination quasi démoniaque pour des jouets de distraction toujours plus raffinés. Une distraction qui nous éloigne du véritable pouls de la vie.

Pourtant, cette machine à suicide techno-industrielle est animée par des humains qui ne semblent pas reconnaître que leur mission commune est programmée pour s’achever dans l’effondrement.

Au contraire, ils semblent penser qu’en augmentant l’efficacité et la vitesse des moyens de transport, ils parviendront à satisfaire leur propre besoin d’arriver là où ils se dirigent. La question de savoir où et de quoi il s’agit n’est tout simplement jamais posée.

Cependant, les dieux psychotiques du « progrès » insensible qui ont conçu le programme y ont intégré une série d’« événements » qui atteignent une certaine conclusion dans ce qu’ils appellent le Transhumain. Un état robotique où le cerveau est connecté et contrôlé par ordinateur pour ceux qui peuvent payer pour cela.

Payer pour avoir le droit d’être déshumanisé et privé du besoin — et même de la capacité — de penser. Libéré de toute émotion et de tout lien avec son Créateur.

Les étapes qui mènent à ce sombre point d’annulation de l’humanité sont décrites dans le credo du FÉM, connu sous le nom de « Grande Réinitialisation ». Une « réinitialisation » de l’humain au non-humain.

Voici quelques-unes des étapes qui jalonnent la route de la Grande Réinitialisation vers le transhumain :

  • L’arrêt des aliments cultivés dans le sol et la fabrication d’aliments synthétiques produits en laboratoire (au moins six d’entre eux sont déjà en production).
  • La fin de l’agriculture telle que nous la connaissons et le déplacement des agriculteurs et des habitants de la campagne superflus vers des « villes intelligentes » contrôlées par la 5G et la 6G et soumises à une surveillance totale.
  • Des paysages ruraux et agricoles réaménagés pour accueillir des projets de « rembobinage » et un accès clôturé à des « sites de loisirs » désignés pour ceux qui ont les moyens d’y accéder.
  • La fin des billets de banque et des pièces de monnaie, remplacés par une monnaie numérique contrôlée par l’État et dont la disponibilité dépendra du « crédit social » de chacun, à l’instar de la Chine.
  • La confiscation des actifs et de la propriété privée, avec la possibilité d’en « louer » certains aspects à l’État-entreprise qui en devient le nouveau propriétaire.
  • Des systèmes de transport guidés 5G « autonomes » fonctionnant entre les grandes villes.
  • Une surveillance à 100 % par satellite et « l’Internet de tout », ainsi que l’utilisation abusive d’algorithmes pour détecter dans les communications tout signe de résistance.
  • La répression de la véritable spiritualité en faveur d’une « religion mondiale unique ».
  • Le brouillage délibéré de la délimitation sexuelle « homme/femme » et le déclin de la reproduction sexuelle normale.
  • Le nombre de spermatozoïdes est encore réduit en raison des aliments synthétiques OGM dévitaminés, des vaccinations et de la pollution de l’air et de l’eau — contrôle de la population.
  • Des « villes de 15 minutes » imposées comme centres de contrôle des autorités locales.
  • Des bébés génétiquement modifiés par le clonage en laboratoire de séquences d’ADN et de tissus cellulaires.
  • La suppression de certains mots du langage courant, en particulier les mots poétiques et spirituels.
  • L’art véritable réduit à un pseudo-art en tant qu’expression de la volonté de l’État, y compris les rituels du côté obscur.
  • La « santé médicale » est considérée comme le domaine exclusif de Big Pharma, la médecine naturelle étant proscrite.
  • Un contrôle accru des médias et du gouvernement sur la diffusion de l’information publique.

Il y a bien d’autres choses encore. Mais cela suffit à montrer la composition de base des stations sur le chemin du « transhumanisme ». Le point d’arrivée est prévu vers 2035.

Derrière cette destruction en règle des libertés humaines durement acquises se cache un vaste exercice mondial de propagande et d’endoctrinement qui existe déjà depuis plus de vingt ans et qui s’articule autour du désormais tristement célèbre « Zéro carbone d’ici 2045 » ou « Net Zero » dans le jargon des journalistes (Orwell).

Lorsque ceux qui sont encore capables de s’interroger sur la nécessité de ces impositions mortelles le font, la réponse est toujours la même : « Sauver le monde du réchauffement climatique ».

Cette méthode de lavage de cerveau, initialement conçue au Club de Rome en 1972, est la clé de tout le « programme ». Tant qu’un nombre suffisant de personnes y adhèrent suffisamment longtemps, l’exercice d’esclavage sera irréversible. Si l’on se base sur le taux d’éveil actuel, la découverte que le réchauffement climatique anthropique est un mégamensonge sera probablement neutralisée par les impositions déjà en place pour empêcher un soulèvement.

Le dieu techno-industriel aura alors atteint son but. Comme le booster de la fusée qui met la capsule en orbite, il aura conduit la majorité de l’humanité au bord du gouffre, dans un état d’esclavage abject à sa culture de commodité hypnotique, avant d’imploser sur lui-même et d’emporter avec lui une grande partie de l’humanité et de la diversité de la nature qui entretient la vie.

MAIS, tout cela peut être évité. Il n’est pas nécessaire que cela se produise. Cela n’arrivera pas. Nos vies ne dépendent pas de l’adoption, aujourd’hui, de la technologie intelligente de demain. Nous ne nous laisserons plus séduire par la « commodité » une fois que nous aurons compris qu’elle nous mène à l’autodestruction, n’est-ce pas ?

Nous conserverons suffisamment de volonté pour nous débarrasser de cette dépendance aux distractions inhibitrices de la vie que sont les technologies de l’information et de l’intelligence artificielle, qui constituent la route de l’Armageddon contrôlée par l’esprit.

La seule façon de reconnaître à quel point le piège qui nous a été tendu est diabolique — et que nous nous sommes tendu à nous-mêmes — est d’avoir une prise sur notre sens du but profond de cette vie. Nous devons prendre l’engagement irrévocable d’écouter l’appel de notre âme et d’y répondre. Le vrai moi. Et de retirer ce vrai moi de toute association avec la machine à hacher du métavers.

Que personne en possession d’une âme ne se laisse jamais transformer en un produit sous-humain du mastodonte techno-industriel. Il faut s’en tenir à ce qui est solide, à ce qui est réel, et abandonner le monde virtuel contrefait qui piège ceux qui ne se fatiguent pas et transforme des esprits autrefois sains en victimes d’une ruée aveugle vers une terre numérique dystopique et sans avenir.

Mais il reste une question cruciale sans réponse : comment vaincre cette secte anti-vie qui tient notre monde sous son emprise et s’efforce de voler nos âmes ?

Comme je l’ai suggéré au début, « si l’on veut combattre les démons, il faut s’entraîner à devenir un guerrier spirituel ».

De quel type d’entraînement s’agit-il ?

  • Le premier élément doit être de vaincre la peur et de cultiver le courage. Et le meilleur entraînement pour cela est de se retourner et de faire face à son ennemi, en étant armé d’un acte de foi en ses pouvoirs divins.
  • Le deuxième élément est d’affronter ses propres démons en les mettant en lumière, en reconnaissant leurs caractéristiques particulières et en observant comment ils bloquent notre capacité à développer la force d’âme nécessaire à un guerrier spirituel.
  • Le troisième élément consiste à s’efforcer de « pratiquer ce que l’on prêche », c’est-à-dire de montrer l’exemple. Dans ce que l’on appelle le « mouvement pour la vérité », nombreux sont ceux qui échouent devant cet obstacle. — Ils finissent par devenir des hypocrites — et des exemples dégradés de ce que la vérité signifie réellement.
  • Le quatrième élément consiste à se fixer pour objectif d’unifier ceux qui font preuve de la force d’âme nécessaire pour rejoindre l’armée, mais qui restent à l’extérieur au lieu d’unir leurs énergies afin d’accumuler le pouvoir essentiel pour vaincre les sombres oppresseurs de l’humanité.

Ces quatre exemples suffisent à former une base à partir de laquelle nous pourrons aller plus loin.

Comme nous sommes confrontés à des démons (sous forme humaine) et à des psychotiques incapables de travailler avec de vrais sentiments (psychopathes), nous n’avons pas d’autre choix que d’utiliser tous les moyens à notre disposition pour reprendre le contrôle de notre planète, en utilisant à la fois des formes d’attaque de haut en bas et de bas en haut.

Je vois des dizaines de milliers d’affiches « votre planète a besoin de vous » — dans la tradition de la campagne de recrutement de Lord Kitchener en 1914 — placardées bien en vue dans les espaces publics, annonçant des réunions de « l’armée de la nouvelle résistance » dans divers hôtels de ville et lieux privés.

« Nous recrutons pour reprendre possession de notre monde. Rien de moins » pourrait être le slogan.

Ces rassemblements doivent être dirigés par des individus courageux en possession d’un plan directeur commun convenu à l’avance pour reprendre le contrôle de nos destinées.

Des êtres capables d’inspirer et de diriger. Des êtres qui terminent leur formation pour devenir des guerriers spirituels et qui travaillent en étroite collaboration afin de diriger correctement « l’armée de la nouvelle résistance » dans sa tâche de gagner la bataille pour débarrasser notre planète des entités démoniaques, anti-vie, humaines et non humaines qui ne reculeront devant rien pour s’emparer de nos âmes.

Avancer — et commencer à s’organiser — le temps est venu, l’endroit est là, celui qui doit agir, c’est moi !

Julian Rose est un pionnier de l’agriculture biologique au Royaume-Uni, un écrivain et un activiste international. Son récent livre « Overcoming the Robotic Mind » [Vaincre l’esprit robotique] est un puissant appel à résister à l’agenda transhumain. Visitez le site web de Julian à l’adresse www.julianrose.info 


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Un article scientifique révèle que les signaux des téléphones portables peuvent activer la libération de charges utiles biologiques à partir de l’oxyde de graphène injecté dans le corps

[Source : ozlecarolo.com]

Par Mike Adams

Un article scientifique publié dans MaterialsToday Chemistry révèle que les signaux des téléphones portables peuvent être utilisés pour libérer des charges biologiques ou chimiques provenant de l’oxyde de graphène introduit dans le corps humain. L’article, publié en septembre 2022, s’intitule « Nanothérapie à la demande électrosensible contrôlée à distance basée sur l’oxyde de graphène modifié par une amine pour une administration synergique de deux médicaments. »

Le résumé de l’étude révèle comment un téléphone portable peut émettre des signaux pour activer un courant basse tension qui interagit avec les molécules d’oxyde de graphène (OG), provoquant une délivrance efficace de charges utiles de médicaments :

Cette étude vise à déterminer la libération de deux médicaments (aspirine et doxorubicine) contrôlés par basse tension à partir de la surface OG. Ici, nous avons démontré comment contrôler le taux de libération du médicament à distance avec un téléphone portable pratique, sans aucune libération passive au repos.

En raison de sa surface extrêmement élevée et de sa structure complexe, l’oxyde de graphène s’avère être la molécule idéale pour l’administration de charges biologiques ou médicamenteuses à l’intérieur du corps. Extrait de l’étude :

Ces avantages font de l’OG un matériau nanocomposite extrêmement potentiel comme support de médicaments dans le domaine de la biomédecine et de la biotechnologie, tout en étant associé à une matrice polymère ou inorganique.

Il est important de noter que la présence d’une fréquence spécifique d’un courant basse tension est tout ce qui est nécessaire pour que l’oxyde de graphène libère sa charge utile.

Les signaux des tours cellulaires 5G créent des microcourants à l’intérieur du corps

Nous savons déjà que les signaux 5G peuvent générer des courants électriques à l’intérieur du corps humain, même à une distance importante. Un article important rédigé par le Dr Joseph Mercola et publié dans Childrens Health Defense révèle que le rayonnement du signal cellulaire 5G entraîne des changements biologiques et chimiques mesurables à l’intérieur du corps humain. Extrait de son article :

  • La 5G s’appuie principalement sur la bande passante des ondes millimétriques, connues pour provoquer une douloureuse sensation de brûlure. Il a également été associé à des problèmes oculaires et cardiaques, à une fonction immunitaire affaiblie, à des dommages génétiques et à des problèmes de fertilité.
  • La Federal Communications Commission (FCC) admet qu’aucune étude sur la sécurité de la 5G n’a été menée ou financée par l’agence ou l’industrie des télécommunications, et qu’aucune n’est prévue.
  • La FCC a été capturée par l’industrie des télécommunications, qui à son tour a perfectionné les stratégies de désinformation employées par l’industrie du tabac avant elle.
  • Les expositions persistantes aux fréquences micro-ondes comme celles des téléphones portables peuvent provoquer un dysfonctionnement mitochondrial et des dommages à l’ADN nucléaire dus aux radicaux libres produits à partir du peroxynitrite.
  • L’exposition excessive aux téléphones portables et aux réseaux Wi-Fi a été associée à des maladies chroniques telles que les arythmies cardiaques, l’anxiété, la dépression, l’autisme, la maladie d’Alzheimer et l’infertilité.

Le site Web du Cellular Phone Task Force répertorie de nombreux avertissements émanant de gouvernements et d’agences du monde entier qui ont tiré la sonnette d’alarme sur les radiations des téléphones portables et leurs effets nocifs sur la biologie humaine.

Le rayonnement micro-ondes radiofréquence provoque des changements de tension à l’intérieur des cellules du corps, modifiant ainsi les canaux calciques.

De plus, des recherches approfondies menées par Martin Pall, Ph. D., professeur émérite de biochimie et de sciences médicales fondamentales à l’Université de l’État de Washington, révèlent que le rayonnement micro-ondes des appareils mobiles et des routeurs sans fil provoque des changements de tension à l’intérieur des cellules du corps, activant ce qu’on appelle » Canaux calciques voltage-dépendants » (VGCC), qui sont situés dans la membrane externe de vos cellules. C’est cette membrane qui détermine ce qui entre et sort de la cellule.

Voir l’étude complète de Martin Pall, PhD., intitulée : Les champs électromagnétiques agissent via l’activation de canaux calciques voltage-dépendants pour produire des effets bénéfiques ou indésirables. Cette étude explique :

Vingt-trois études ont montré que les canaux calciques voltage-dépendants (VGCC) produisent ces effets ainsi que d’autres effets CEM (champs électromagnétiques). En outre, les propriétés tension-dépendantes de ces canaux peuvent fournir des mécanismes biophysiquement plausibles pour les effets biologiques des CEM.

Extrait de l’article du Dr Mercola lié ci-dessus : (c’est nous qui soulignons)

Selon les recherches de Pall, le rayonnement micro-ondes radiofréquence, tel que celui de votre téléphone portable et de votre routeur sans fil, active les canaux calciques dépendants du potentiel (VGCC) situés dans la membrane externe de vos cellules.

Selon Pall, les VGCC sont 7,2 millions de fois plus sensibles au rayonnement micro-ondes que les particules chargées à l’intérieur et à l’extérieur de nos cellules, ce qui signifie que les normes de sécurité pour cette exposition sont 7,2 millions de fois plus faibles.

Le rayonnement micro-ondes basse fréquence ouvre vos VGCC, permettant ainsi un afflux anormal d’ions calcium dans la cellule, ce qui active à son tour l’oxyde nitrique et le superoxyde qui réagissent presque instantanément pour former du peroxynitrite qui provoque ensuite des radicaux libres carbonates, qui sont l’un des plus nocifs, espèces d’azote réactif connues et considérées comme étant à l’origine de nombreuses maladies chroniques actuelles.

Cela signifie que le rayonnement des téléphones portables (et le rayonnement des tours de téléphonie cellulaire 5G) induit effectivement des changements de tension dans le corps humain, et que ces changements de tension ont des effets biochimiques très réels, dont certains peuvent être dangereux pour la santé humaine (comme la formation de molécules de peroxynitrite).

La lutte contre ces puissants radicaux libres peut être obtenue en partie grâce à des approches nutritionnelles, telles que l’utilisation de l’enzyme superoxyde dismutase (SOD), qui est le nutriment fondamental des poudres de défense 5G du Health Ranger Store. Notamment, la SOD (qui est généralement dérivée du melon) ne bloque pas elle-même le rayonnement des tours cellulaires, mais elle aide l’organisme à répondre aux stress cellulaires tels que la formation de molécules de peroxynitrite.

Dans des informations connexes rapportées par Reuters, les régulateurs français ont averti Apple de cesser de vendre des téléphones iPhone 12 en raison de la présence de rayonnements excessifs produits par les appareils. Le smartphone d’Apple dépasse la limite légale de rayonnement autorisée. Ce téléphone est vendu depuis 2020.

Les signaux 5G peuvent être utilisés pour que l’oxyde de graphène libère des charges utiles à l’intérieur du corps humain

En reliant les points à tout cela, les signaux 5G peuvent être utilisés pour générer une basse tension à l’intérieur du corps humain, provoquant la libération de charges utiles prédéterminées par les molécules d’oxyde de graphène à l’intérieur du corps. Via l’article publié lié ci-dessus :

Lors de l’application de stimuli externes, de nombreux matériaux sont capables de libérer des médicaments. Cependant, la plupart d’entre eux ont besoin d’instruments sophistiqués hormis la stimulation électrique. L’administration de médicaments électrostimulée a attiré l’attention en raison du faible coût, de l’indolore et de la portabilité de l’équipement de contrôle, ce qui le rend gérable pour des applications personnalisées. Dans cette étude, nous avons utilisé le graphène comme matériau électrosensible pour délivrer des médicaments de manière contrôlable.

« C’est la première fois que nous utilisons l’ASP et le DOX comme médicament modèle pouvant être administré simultanément par une tension externe », indique le document. La conclusion de l’article ajoute : (c’est nous qui soulignons)

En conclusion, nous avons montré ici que le graphène peut être utilisé comme double agent d’administration de médicaments et que la libération de médicaments peut être contrôlée par une tension externe. Pour exploiter l’effet synergique de l’ASP et du DOX, nous avons modifié l’ONG et lui avons attaché deux médicaments. Notre appareil télécommandé fabriqué en laboratoire a libéré efficacement le médicament anticancéreux. Le processus de libération peut facilement être activé et désactivé avec un téléphone portable en modifiant la tension de polarisation.

L’oxyde de graphène peut transporter des armes biologiques ou chimiques comme charges utiles

Dans l’article scientifique cité ci-dessus, la charge utile était de l’aspirine et un médicament anticancéreux courant. Cependant, les charges utiles peuvent être presque n’importe quoi de taille suffisamment petite, y compris des molécules hydrophiles et hydrophobes. De l’étude, « nous avons également démontré comment les médicaments hydrophiles (ASP) et hydrophobes (DOX) peuvent être administrés en utilisant une plate-forme d’administration unique. »

Cela signifie que des armes chimiques puissantes — incluant théoriquement des agents neurotoxiques qui sont mortels à quelques nanogrammes d’exposition — pourraient être chargées dans des molécules d’oxyde de graphène qui sont subrepticement administrées dans le corps via des interventions médicales agressivement propagées telles que de faux vaccins ou des écouvillons Covid. Théoriquement, de telles armes pourraient également être livrées à la population via des vecteurs alimentaires. Une fois dans le corps, une petite quantité de fuite de charge utile peut générer un certain niveau de lésions nerveuses chez les victimes vaccinées, mais la véritable distribution de charge utile n’aura pas lieu tant qu’un signal 5G approprié ne sera pas diffusé à travers la population inoculée, en utilisant la « fréquence de libération » qui génère la tension requise pour libérer la charge utile.

En d’autres termes, un signal diffusé 5G à la fréquence appropriée pourrait instantanément amener les molécules d’oxyde de graphène à libérer les charges utiles dans le corps de ceux qui ont déjà été inoculés avec ces charges utiles. Cela se produirait simultanément, sur l’ensemble de la population se trouvant à portée des fréquences diffusées qui génèrent la tension nécessaire dans le corps.

Si la charge utile était un agent neurotoxique, l’effet réel serait la mort soudaine d’une grande partie de la population dans les villes où la diffusion 5G est capable de les saturer. Si les charges utiles étaient des nanoparticules ressemblant à des virus, leur livraison pourrait donner l’impression qu’une grande partie de la population est soudainement « infectée » par un virus pandémique qui se propage à une vitesse inimaginable.

En d’autres termes, cette technologie pourrait être utilisée comme un « coupe-circuit » pour mettre fin à toute partie de la population ayant déjà été inoculée avec du OG porteur de charge utile.

« Encre noire » imprimée sur des capsules pharmaceutiques qui se révèlent magnétiques et peuvent contenir de l’oxyde de graphène

Certaines informations supplémentaires ont été portées à mon attention lors de la rédaction de cet article. L’encre noire imprimée sur le côté des capsules pharmaceutiques est en réalité constituée de mystérieux points noirs magnétiques. Un contact m’a envoyé une vidéo, représentée dans la capture d’écran suivante, montrant des capsules pharmaceutiques trempées dans l’eau pendant plusieurs heures, après quoi « l’encre » noire des capsules s’est transformée en taches noires qui présentaient des propriétés magnétiques surprenantes. Sur cette photo fixe, vous pouvez voir les taches noires se rassembler au niveau de l’aimant commun maintenu contre le verre :

Comme le révèle cet article de LiveScience.com, de nouvelles recherches étonnantes révèlent que le graphène peut être rendu magnétique en assemblant des couches dans une orientation de rotation spécifique. Cela donne naissance au magnétisme, même si les éléments atomiques sous-jacents ne sont que du carbone. Extrait de l’article :

Le champ magnétique n’est pas créé par le spin habituel des électrons dans les couches individuelles de graphène, mais résulte plutôt du tourbillon collectif d’électrons dans les trois couches de la structure empilée du graphène, ont rapporté les chercheurs le 12 octobre dans la revue Nature Physics.

Le graphène est-il utilisé dans « l’encre » imprimée sur le côté des médicaments sur ordonnance ? Nous ne le savons pas avec certitude, mais le fait que cette encre soit clairement magnétique est alarmant.

L’oxyde de graphène peut également transmettre des signaux gigahertz aux récepteurs à proximité

De plus, dans certaines applications exotiques des matériaux de graphène, ceux dont les corps sont activés par la diffusion des tours de téléphonie cellulaire pourraient eux-mêmes fonctionner comme des « répéteurs » électromagnétiques en raison de la capacité du graphène à fonctionner comme émetteurs.

Cette capacité est bien documentée dans une étude intitulée « Caractéristiques radiofréquence de l’oxyde de graphène », publiée dans Applied Physics Letters en 2010 (https://doi.org/10.1063/1.3506468). Cette étude explique (c’est nous qui soulignons) :

Nous confirmons que l’oxyde de graphène, une structure de carbone bidimensionnelle à l’échelle nanométrique, peut être un candidat sérieux pour un interconnecteur à haute efficacité

dans la gamme des radiofréquences. Dans cet article, nous étudions les caractéristiques haute fréquence de l’oxyde de graphène dans la plage de 0,5 à 40 GHz. Les propriétés de transmission radiofréquence ont été extraites en tant que paramètres S pour déterminer la transmission CA intrinsèque des feuilles de graphène, telles que la dépendance de la variation d’impédance en fonction de la fréquence. L’impédance et la résistance des feuilles de graphène diminuent considérablement à mesure que la fréquence augmente. Ce résultat confirme que l’oxyde de graphène a un potentiel élevé pour transmettre des signaux dans des gammes de gigahertz.

En d’autres termes, les matériaux à base d’oxyde de graphène peuvent à la fois transporter des charges utiles qui sont transmises via une signalisation de téléphone portable à distance, ainsi que transmettre des signaux à d’autres récepteurs à proximité.

Cela pourrait théoriquement être utilisé pour déclencher une « réaction en chaîne » de signaux de tours de téléphonie cellulaire 5G rediffusés d’une personne à une autre. En théorie, cela pourrait étendre la diffusion d’un signal « kill switch » (interrupteur de la mort) bien au-delà de la portée initiale des tours de téléphonie cellulaire 5G elles-mêmes.

De la conclusion de cet article publié :

…[N]ous prévoyons que le graphène pourrait être utilisé pour les lignes de transmission dans l’électronique de prochaine étape et pourrait être un très bon candidat pour l’électronique à base de nanocarbones.

Conclusions

  1. L’oxyde de graphène peut transporter des charges chimiques ou biologiques.
  2. L’oxyde de graphène transportant des charges utiles peut être introduit dans l’organisme par le biais de vaccins ou de prélèvements.
  3. La libération de ces charges utiles peut être contrôlée par des signaux externes de tour de téléphonie cellulaire qui provoquent des changements de tension spécifiques dans les cellules humaines.
  4. On sait déjà que certains changements de tension se produisent lors de l’exposition aux rayonnements des tours de téléphonie cellulaire, en particulier avec la 5G.
  5. Les charges utiles d’oxyde de graphène peuvent inclure des charges utiles « kill switch » telles que des agents neurotoxiques ou des agents infectieux.
  6. Le système de tour 5G peut donc fonctionner comme un système d’infrastructure de libération de charge utile d’armes chimiques pour réaliser une « destruction massive » de populations qui ont été auparavant inoculées avec du graphène transportant une charge utile.
  7. Les vaccins Covid — dont il est désormais largement connu qu’ils n’ont rien à voir avec l’arrêt d’une pandémie (puisque même la Maison-Blanche et le CDC admettent tous deux qu’ils n’arrêtent pas la transmission ou les infections) — auraient théoriquement pu être utilisés pour inoculer aux gens de l’oxyde de graphène et des charges utiles qui n’ont pas encore été activées.

Ainsi, il est plausible — mais non prouvé — que les vaccins + les tours cellulaires 5G puissent être exploités comme système d’arme de dépopulation pour réaliser l’extermination massive quasi simultanée d’un grand pourcentage de la population humaine, simplement en activant la libération de la charge utile OG avec l’intensité et la fréquence énergétiques spécifiques de la diffusion.

Étant donné que les gouvernements occidentaux du monde entier tentent clairement d’exterminer leurs propres populations à l’heure actuelle, cette conclusion devrait inquiéter tous ceux qui souhaitent survivre au programme mondial de dépopulation.

Les sources citées dans cet article incluent :

https://childrenshealthdefense.org/defender/5g-emf-radio Frequency-radiation-health-risks-exposure-humans-cola/

https://www.sciencedirect.com/science/article/abs/pii/S2468519422002166

https://www.reuters.com/technology/french-watchdog-halts-iphone-12-sales-over-too-high-radiation-minister-2023-09-12/

https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/23802593/

https://pubs.aip.org/aip/apl/article-abstract/97/19/193103/324025/Radio-fréquence-characteristics-of-graphene-oxid?redirectedFrom=fulltext

Par Mike Adams Via Natural News




Forum de Chisinau 2023 — Une urgence humaine

Une urgence humaine

[Transcription en français de l’intervention du Dr Jacob Nordangård]

Par le Dr Jacob Nordangård

Il y a urgence, mais pas pour la planète, pour l’Humanité. Le médicament prescrit pour guérir ostensiblement la planète semble produire des effets secondaires extrêmement graves qui pourraient causer de grands dommages à l’ Humanité si nous n’y mettons pas fin immédiatement.

Nations Unies  :

Notre programme commun comprend 12 engagements sur la manière de parvenir à un Nouvel Ordre Mondial multilatéral musclé. Il s’agit de ne laisser aucun citoyen de la planète de côté et de signer un nouveau contrat social qui définit nos obligations de protéger la planète des actions humaines néfastes.

Il nous engage à réduire à zéro les émissions de dioxyde de carbone d’ici à 2050 ou avant. Cela implique une restructuration totale des systèmes énergétiques et alimentaires.

La transition nécessite une surveillance par satellite à grande échelle et des villes intelligentes, ainsi que l’attribution à toutes les personnes et à tous les produits d’une identité numérique connectée à l’Internet afin que nos empreintes climatiques individuelles puissent être mesurées et corrigées en temps réel grâce à l’application d’un système de crédit social.

Nos avantages doivent être mis en balance avec le poids de nos actions sur le bien-être de la planète.

Un code de conduite mondial garantira un consensus sur les faits scientifiques fondamentaux établis par le Conseil scientifique des Nations Unies, tandis que toutes les données sur les attitudes, les opinions et les choix de vie des gens seront collectées par une agence mondiale d’intelligence collective, appelée Futures Lab.

Les comportements peuvent être analysés et les risques détectés à un stade précoce grâce à l’intelligence artificielle. Le laboratoire du futur sera supervisé par un forum pour les générations futures et un envoyé spécial qui s’exprimera au nom des générations futures.

Afin de mettre rapidement en œuvre le plan, une urgence climatique planétaire sera très probablement déclarée.

Cela déclenchera la mise en place d’une plateforme d’urgence qui suivra des protocoles prédéterminés et agira à l’unisson pour résoudre la crise.

Le système de contrôle mondial proposé peut être résumé comme suit :

  • Gouvernance exécutive
    L’ONU a évolué vers un gouvernement mondial doté d’un parlement mondial et d’une armée permanente qui, avec l’appui d’un conseil scientifique, établit des lois, des objectifs et des lignes directrices et les applique de manière exécutive.
  • Gouvernance anticipative
    Gouvernance anticipative grâce à la collecte de données sur les citoyens du monde afin d’étudier les réactions et le respect des règles, ainsi que de prédire les événements futurs et de fournir ainsi une base pour la prise de décision continue.
  • Gouvernance multipartite
    Gouvernance en réseau avec des partenariats public-privé pour mettre en œuvre les décisions à tous les niveaux de la société.

Ce plan appelé « Pacte pour l’avenir » sera — si les initiateurs parviennent à leurs fins — signé par les dirigeants mondiaux lors du Sommet de l’ONU pour l’avenir en 2024 et mis en œuvre en 2025. Tout cela pour créer « l’avenir que nous voulons ».

L’état d’urgence et les restructurations importantes sont motivés par le fait que plusieurs des neuf limites de la planète ont été dépassées ou sont sur le point de l’être, ce qui signifie que l’ Humanité est entrée dans la sixième extinction de masse.

Cette théorie, établie sous la direction de Johan Rockström au Centre de résilience de Stockholm, est soutenue par des acteurs tels que Future Earth, le Club de Rome, l’Institut de Potsdam et l’IIASA. Ceux-ci constituent la nouvelle prêtrise scientifique qui définit les limites de nos actions.

Parmi les partisans et les promoteurs de cet agenda figurent les personnes les plus riches, les plus puissantes et les plus influentes du monde. Il s’agit notamment de l’élite mondiale qui fait partie de l’organisation partenaire des Nations Unies, le Forum Économique Mondial, et des quelque 3 000 milliardaires qui possèdent et contrôlent l’économie mondiale.

Cela se reflète, par exemple, dans le projet Global Commons Alliance du Rockefeller Philanthropy Advisor.

Ce projet est soutenu par un certain nombre de familles milliardaires et leurs fondations et organisations affiliées. Ici illustré par André Hoffman de la Fondation MAVA. Vice-président du géant pharmaceutique suisse Roche, membre du Club de Rome et administrateur du FEM.

Au centre de ces efforts se trouvent la Commission Trilatérale, le groupe de réflexion américain Council on Foreign Relations et son homologue anglais Chatham House. Ces deux derniers sont issus du groupe des tables rondes de Lord Milner qui, depuis plus de 100 ans, ont pour objectif de créer un système de gestion mondial, dominé par l’élite anglo-saxonne qu’ils représentent en fin de compte.

Ce sont principalement eux qui prendront la place de « dépositaires de l’univers matériel pour les générations futures ».

Le cerveau mondial numérique qui émerge présente des similitudes évidentes avec la forme de système mondial que l’écrivain H. G. Wells a propagée dans son livre The World Brain et le système cybernétique dans lequel l’individu doit être subordonné à l’organisme mondial collectif, que le professeur de philosophie Oliver Reiser a décrit dans son livre Cosmic Humanism and World Unity.

Dans ce contexte, il convient de citer une très bonne analyse de l’idée de Well sur le cerveau mondial par W. Boyd Rayward, datant de la fin des années 90.

En dernière analyse, il est donc possible de décrire le cerveau mondial de Wells de la manière suivante. C’est la dernière et la plus grande expression de l’évolution sociobiologique. Il sera l’organe qui sera à la fois façonné par, et responsable du succès final de cette « conspiration ouverte » par laquelle les scientifiques et d’autres créeront un Nouvel Ordre Mondial .

En tant qu’aspect fondamental de ce nouvel ordre mondial, il fournira les informations nécessaires à la suppression de la dissidence et de la diversité. Il sera sous le contrôle d’une élite administrative et scientifique antiindividualiste et antidémocratique, du Receveur compétent et de l’ordre des Samouraïs au nom grandiose.

Ces « officiels » exerceront leurs fonctions et maintiendront leurs régimes répressifs sur le plan administratif en s’appuyant sur les connaissances tirées d’une immense base de données dans laquelle sont intégrées des informations sur tous les aspects de la vie des citoyens dont ils ont la charge. Ils doivent gérer des questions sociobiologiques plus larges relatives au bien-être immédiat et au développement évolutif de la race humaine, y compris l’élimination des personnes inaptes à la détention ou à la destruction.

Comme je l’ai décrit dans mon livre Rockefeller — Controlling the Game [Rockefeller — Contrôler le jeu] et brièvement résumé dans The Global Coup d’État [Le coup d’État mondial] , l’ensemble du programme mondial repose sur la théorie selon laquelle c’est le dioxyde de carbone (CO2) d’origine humaine qui a provoqué le réchauffement modéré de la planète d’environ 1 degré Celsius qui a été observé depuis le début de l’ère industrielle, plutôt que les cycles solaires, les processus géologiques et astronomiques ou une reprise naturelle après la dernière période glaciaire.

La théorie du dioxyde de carbone a été développée par le physicien et eugéniste suédois Svante Arrhenius dès 1896, mais n’a pas été prise très au sérieux dans un premier temps. Elle a ensuite été mise en avant par le climatologue et météorologue allemand Hermann Flohn, d’abord pendant son service dans la Luftwaffe nazie, puis après la guerre, en collaboration avec des scientifiques américains et suédois.

Dans les années 1950, la Fondation Rockefeller, puis le Rockefeller Brothers Fund ont commencé à s’intéresser à la question et à financer d’éminents climatologues tels que Roger Revelle, le Suédois Carl-Gustaf Rossby et son doctorant Bert Bolin (qui, à son tour, a impliqué Johan Rockström).

La théorie du dioxyde de carbone est également intimement liée aux avertissements selon lesquels la croissance de la population mondiale conduira à une catastrophe malthusienne de famine et de pénurie de ressources si elle n’est pas freinée par un contrôle rigoureux de la population. Et ce, bien que ces affirmations catastrophistes aient été démenties à maintes reprises.

Les modèles sur lesquels tout repose semblent également avoir la même fiabilité scientifique que la divination dans les entrailles ou le marc de café. 1

Le climatologue suédois Lennart Bengtsson souligne que nous avons reçu :

… des modèles climatiques de plus en plus avancés, mais malgré cela, l’incertitude est aussi grande qu’avant, voire plus grande encore.

Les images menaçantes qu’ils ont produites ont toutefois servi un objectif plus grand et plus infernal. Étant donné que l’objectif de la famille Rockefeller et de ses alliés au sein de l’élite financière internationale était dès le début de créer une interdépendance et un contrôle central de la planète, l’océanographie, la météorologie et la santé mondiale étaient considérées comme des domaines de départ appropriés, car elles ne s’arrêtaient pas aux frontières nationales.

Cela a permis de conclure des accords internationaux susceptibles de favoriser les échanges internationaux ainsi que le développement scientifique dans ces domaines.

Ils ont ainsi contribué à faire du changement climatique la question clé de notre époque, entre autres, en finançant et en influençant pratiquement toutes les conférences, tous les rapports, toutes les organisations et tous les accords mondiaux importants sur l’environnement et le climat. Le travail de longue haleine des multimilliardaires sur plusieurs décennies pour développer ce qu’ils appellent le « développement durable » a finalement conduit à ce qui commence à se révéler être les deux événements les plus décisifs de l’histoire de l’Humanité :

  • l’adoption de l’Agenda 2030 lors du sommet de l’ONU en septembre 2015 ;
  • la signature l’Accord de Paris (lors de la réunion de l’ONU sur le climat à Paris en décembre 2015) qui signifiait l’objectif de maintenir le réchauffement climatique « en dessous de deux degrés, mais de préférence en dessous de 1,5 degré ».

Il ne reste plus que le Sommet de l’ONU pour l’avenir en septembre 2024, avec comme arme le Règlement Sanitaire International actualisé de l’OMS, pour que la technocratie totalitaire numérique mondiale devienne un fait. Cependant, il nous reste une petite fenêtre de temps pour contrer cet agenda en faisant connaître ses plans ouvertement déclarés et en cessant de coopérer avec toutes ses petites parties et étapes.

C’est donc pour essayer d’influencer une petite portion de ces 16 parties par million (ppm) de dioxyde de carbone dans l’atmosphère (auxquelles les activités collectives de l’homme contribueraient) que le monde entier et tout ce qu’il contient doit être numérisé, surveillé, contrôlé — et peut être fermé arbitrairement et complètement par les intendants planétaires choisis.

Cela soulève également quelques questions :

Quelle quantité d’énergie faudra-t-il pour faire fonctionner ce cerveau du monde numérique qui est prétendument nécessaire pour créer « notre avenir durable » ?

Est-il même possible de réduire considérablement les émissions de dioxyde de carbone sans nous assigner à résidence de manière permanente, sans revenir à la technologie de l’âge de pierre ou sans tuer la majeure partie de la population de la Terre ?

Quelle différence cela fera-t-il pour l’atmosphère et la température de la Terre ?

Cependant, ce « système parfait » qui est censé nous aider à prendre les « bonnes » décisions du berceau à la tombe et qui peut arrêter la société en appuyant sur un bouton a des faiblesses. Aussi bien planifié qu’il puisse paraître, il ne pourra jamais battre l’intelligence naturelle qui nous unit.

L’intelligence artificielle n’est pas une véritable conscience capable d’imiter nos caractéristiques humaines. Elle n’a pas la capacité de comprendre, de ressentir ou de donner de l’amour. Elle représente plutôt une vision vide, mécanique, froide et mécaniste de l’homme et de la vie, où nous ne sommes que des feuilles vierges qui peuvent être remodelées selon la volonté des démagogues.

Nous ne devons pas nous laisser duper et piéger en signant un contrat social dans lequel nous abandonnons notre pouvoir à une machine intelligente sans âme en échange d’une « sécurité personnelle ». Nous ne devons pas être tentés de choisir la voie de la dystopie numérique totalitaire pour « sauver notre planète ».

Les élites riches qui ont poussé ce programme ont, de manière insidieuse, essayé de contrôler la vérité en s’emparant de la production de connaissances et en la contrôlant. Mais la vérité n’est pas quelque chose qui peut être construit sur des mensonges. La vérité est absolue et constitue le véritable souverain. On ne peut pas posséder la science. La science est une méthode pour trouver la vérité, pas une vision du monde en soi.

Il n’est pas possible de se cacher derrière des couches de mensonges à long terme, quels que soient l’argent, le pouvoir et l’influence que l’on possède. Cela vaut en particulier pour tous ceux qui, par des moyens sophistiqués, ont fait du mensonge la religion de notre temps.

Le temps est venu de dévoiler ce jeu frauduleux. Il n’y a plus aucun coup d’échecs qui puisse sauver leur situation. Chaque coup joué réveille au contraire de plus en plus de gens qui commencent à voir et à poser des questions.

C’est maintenant que nous devons faire le choix d’être libérés par la vérité ou enchaînés par le mensonge. Je crois et je suis convaincu qu’une force prend vie en nous lorsque nous sommes menacés en tant qu’espèce et qu’elle nous rassemble avec toutes les personnes dont nous avons besoin pour renverser les forces qui, en fin de compte, nous menacent. C’est comme une loi de la nature. Aucune intelligence humaine ou machine ne peut en fin de compte vaincre l’intelligence naturelle ou la force vitale et se placer au-dessus de la vérité.

Amen

Dr Jacob Nordangård
Chercheur, auteur, conférencier et musicien suédois. doctorat en technologie et changement social à l’Université de Linköping. Master en sciences sociales en géographie et Master en sciences sociales en culture et production médiatique.

[Vidéo de l’intervention an anglais :]







Bill Gates soutient le plan de la Banque mondiale en vue d’un contrôle mondial numérique

[Source : MPI]

Par Pierre-Alain Depauw 

Le commentateur britannique des cryptomonnaies, Guy Turner, a averti cet été qu’un système monétaire mondial lié à l’identité allait arriver en Occident — ​​en grande partie en secret.

Dans deux vidéos diffusées en juillet et août, Turner — le co-fondateur de Coin Bureau, une société de cryptomonnaie basée à Dubaï — explique comment une initiative à peine médiatisée soutenue par Bill Gates ouvre la voie à une monnaie numérique mondialisée, liée à un marché chinois.

Dans son analyse de l’impact des nouveaux systèmes de paiement numérique, Turner déclare :

« Vous ne posséderez rien et serez heureux parce que tout ce que vous possédez sera sur un réseau contrôlé par la Banque centrale, où le gouvernement pourra désactiver votre propriété à tout moment. »

« Présenté, comme si souvent, par Bill Gates »

Alors qu’une nouvelle monnaie numérique de la Réserve fédérale américaine appelée FedCoin était lancée (et immédiatement piratée), Turner a révélé dans sa première analyse qu’un programme de la Banque mondiale soutenu par la Fondation Bill et Melinda Gates était en cours.

Son objectif est l’abolition des paiements en espèces et par carte dans le cadre d’un projet connu sous le nom de FASTT.

FASTT – qui signifie « Transactions sans friction, abordables, sûres et opportunes » — est géré par le Groupe de développement des systèmes de paiement (PDSG) de la Banque mondiale, dont le propre site Web décrit l’un de leurs principaux objectifs comme une « réunion mondiale » autour de « la création, la conservation et la diffusion » de connaissances sur les systèmes de paiement mondiaux.

Turner prévient que ce système FASTT, qui est mis en œuvre presque à l’insu du public, constitue le fondement d’une monnaie numérique mondiale centralisée — elle-même un tremplin vers l’identification numérique et un système de crédit social de portée mondiale.

Le co-fondateur de Coin Bureau concède allègrement que sa deuxième présentation — sur l’avenir de la mondialisation numérique — ressemble à une théorie du complot paranoïaque.

« Une identification numérique pour tout ? Des villes intelligentes qui suivent vos déplacements ? Des monnaies numériques de banque centrale pour toutes les transactions ? Des restrictions sur les espèces ? Partager vos informations sur les réseaux sociaux pour créer un compte bancaire ? » a-t-il ironisé.

« Tout cela ressemble à une théorie du complot, pourriez-vous dire. »

« Eh bien, c’est la réalité sur le terrain au Nigeria aujourd’hui, et demain ce sera également une réalité dans votre pays. »

Turner dit que même si de tels projets sont bien avancés, « la première étape pour faire quoi que ce soit » pour les arrêter est « d’être informé ».

Ses deux vidéos s’appuient sur des informations appartenant au domaine public et dont, selon lui, une « conclusion logique » peut être tirée.

« L’objectif final est le contrôle… pour influencer la façon dont nous vivons nos vies, la façon dont nous dépensons et où nous dépensons », dit-il.

Alors, qui joue à ce jeu et que peut-on y faire ?

Turner affirme que les organismes internationaux privés et publics comme le WEF [Forum Économique Mondial] et l’ONU travaillent ensemble pour promouvoir ce système numérique de contrôle financier, qui peut facilement s’associer à une identification numérique pour former un État de surveillance permanent et automatisé.

Il fait référence au fait que la Banque mondiale, dont le système de paiement FASTT est parrainé par la Fondation Gates, existe pour accorder des prêts au développement. Il cherche à abolir les espèces et les cartes et à coordonner une monnaie et une identité numériques mondiales. Ces changements sont susceptibles d’être contrôlés par une idéologie « woke ».

Dans sa vidéo du 19 juillet, Turner déclare : « La Banque mondiale impose des conditions à ses prêts ». Ces conditions sont liées aux objectifs de développement durable (ODD) des Nations Unies — qui font partie de leur Agenda 2030. Ces objectifs, identiques à bien des égards aux scores ESG promus par le Forum Économique Mondial, pénalisent l’utilisation de combustibles fossiles et récompensent la promotion des LGBTQ et des initiatives similaires de « diversité ».

Selon Turner, ces mesures peuvent « piéger les pays en développement dans la pauvreté » en pénalisant l’utilisation d’une énergie disponible et bon marché.

BlackRock a admis dans ses Perspectives 2023 que la mise en œuvre agressive de ces politiques a mis fin à la période de prospérité en Occident connue sous le nom de Grande Modération.

Scott Shepard, du Centre national américain de recherche sur les politiques publiques, a déclaré que le rapport de BlackRock montrait comment ces systèmes de notation inspirés de l’ONU et du Forum Économique Mondial avaient renvoyé « une nouvelle ère de sclérose économique » à l’Occident, remplaçant sa compétence institutionnelle par l’instabilité due à la promotion d’une approche basée sur les personnes, sur la « discrimination fondée sur l’équité », et non sur le talent.

Contrôle numérique

Turner montre comment le système financier mondial lie déjà son agenda social et environnemental à l’accès à — ou à la restriction — de la masse monétaire.

Il s’agit d’un modèle évident pour le comportement futur dans un système où tout l’argent est sous le contrôle d’un système mondial numérisé.

Il montre comment de nouveaux produits financiers sont introduits d’une manière qui laisse le public mal informé de ce qui arrive à sa liberté financière et personnelle.

La première étape est un système de paiement destiné à coordonner les opérations bancaires numériques transfrontalières. C’est FASTT.

La seconde est l’introduction des CBDC — Central Bank Digital Currencies. Ces monnaies sont numériques comme le Bitcoin, mais contrairement au Bitcoin, elles sont sous le contrôle total d’une banque centrale gouvernementale.

Le remplacement des transactions en espèces et par carte par une monnaie numérique est une transition nécessaire pour permettre un système d’identification numérique mondial. Cependant, Turner prévient également que même si les gouvernements poursuivent leurs efforts en faveur des CBDC, le projet de paiement FASTT produira un résultat identique.

« La combinaison de différentes opérations de paiement — ​​telles que le paiement rapide, les codes QR, pourrait atteindre bon nombre des mêmes objectifs (que les CBDC) », dit-il, montrant que FASTT, et son remplacement des espèces et des cartes par des codes QR, n’est qu’un autre moyen pour aboutir à un système de monnaie numérique contrôlé à l’échelle mondiale.

Bitcoin – Un moyen d’évasion ?

Turner a préconisé le Bitcoin comme moyen de sécuriser votre argent et de vous libérer d’un système émergent de monnaie numérique mondiale et de contrôle d’identité.

Tout en présentant Bitcoin comme une « couverture » contre un système qui, selon lui, est déjà en place, il soutient également que la compréhension du public est essentielle pour empêcher le déploiement de systèmes de monnaie numérique mondialisés liés à l’identité et au « crédit social ».

Il a déjà évoqué les liens entre les nouveaux systèmes de paiement bancaire, les monnaies numériques des banques centrales et les objectifs des Nations Unies et du Forum économique mondial. Comme Turner l’a déclaré à Kitco News en octobre 2022 :

« La Grande Réinitialisation concerne en grande partie la façon dont le “capitalisme des parties prenantes” peut s’enraciner… et une grande partie concerne le contrôle et la surveillance. »

Il mentionne que les cryptomonnaies décentralisées comme le Bitcoin sont considérées comme une menace pour les monnaies numériques mondiales en projet, dont les objectifs contredisent la liberté de son système anonyme et ouvert.

Des rapports ont paru affirmant que les cryptomonnaies échappant au contrôle du gouvernement pourraient « provoquer l’échec de la Grande Réinitialisation ».

Turner a poursuivi son entretien avec Kitco avec un avertissement.

« C’est là que les CBDC entrent en jeu. L’idée de pouvoir voir ce que les gens dépensent, quand ils dépensent, pour quoi ils le dépensent, et même de fixer des limites à ces choses, en est l’un des aspects les plus effrayants. . »

Pourquoi est-ce si effrayant ?

Eh bien, selon Turner, une monnaie numérique et un système d’identification mondialisés pourraient être liés à votre comportement en ligne et hors ligne.

« Disons que vous dépassez votre quota annuel de carbone… Alors vous ne pouvez pas faire ceci, vous ne pouvez pas faire cela. Mais vous pouvez le faire si vous achetez simplement plus de crédits carbone. Il s’agit de soutirer de l’argent aux gens ordinaires. »

En plus d’« extraire de l’argent », un tel système permet également un « crédit social » à la chinoise, dans lequel chacun peut voir ses libertés personnelles, sans parler de l’accès à son argent, restreints en raison de son activité sur les réseaux sociaux ou parce qu’il s’est engagé avec des personnes jugées « indésirables » par l’État.

Crédit Social Chinois

Selon NHI Global Partners, une société de recrutement mondiale, les termes du système chinois de crédit social sont « … intentionnellement larges et vagues… permettant une flexibilité politique maximale »

NHI rapporte que le système de crédit social est basé sur la promotion de la « confiance », qui comprend des informations sur le comportement juridique, financier et social. Les individus et les entreprises sont notés en conséquence. Le système comprend diverses listes noires et sanctions, avec des « punitions et récompenses » attribuées par un réseau automatisé qui est constamment affiné.

Comme le dit NHI :

« L’état final final du système est un enregistrement unifié pour les personnes, les entreprises et le gouvernement, qui peut être surveillé en temps réel. »

Guy Turner, ainsi que de nombreuses autres personnes et groupes tels que l’Institut économique libertaire Mises, affirme que l’architecture de ce système de contrôle total est en train d’être préparée en Occident en ce moment.

Malgré l’effort bien financé derrière ce projet mondialiste, Turner reste convaincu qu’un public bien informé agira pour empêcher que cette dystopie ne se réalise.

« Il suffit de maintenir le rythme et nous gagnerons la course »




Comment le fonds d’investissement Blackrock a déclenché la crise énergétique mondiale

[Source : globalresearch.ca]

Par F. William Engdahl

« Adhésion au programme de développement durable des Nations Unies à l’horizon 2030 ». Désinvestissement colossal dans le secteur pétrolier et gazier mondial qui pèse des milliers de milliards de dollars.

La plupart des gens sont déconcertés par ce qui constitue une crise énergétique mondiale, avec des prix du pétrole, du gaz et du charbon qui montent simultanément et forcent même la fermeture de grandes usines industrielles telles que celles de la chimie, de l’aluminium ou de l’acier. L’administration Biden et l’UE ont insisté sur le fait que tout cela était dû aux actions militaires de Poutine et de la Russie en Ukraine. Ce n’est pas le cas. La crise énergétique est une stratégie planifiée de longue date par les milieux économiques et politiques occidentaux pour démanteler les économies industrielles au nom d’un agenda vert dystopique. Cela trouve ses racines dans la période bien antérieure à février 2022, lorsque la Russie a lancé son action militaire en Ukraine.

Blackrock pousse l’ESG

En janvier 2020, à la veille des confinements liés au Covid, économiquement et socialement dévastateurs, le PDG du plus grand fonds d’investissement au monde, Larry Fink de Blackrock, a publié une lettre à ses collègues de Wall Street et aux PDG d’entreprises sur l’avenir des flux d’investissement. Dans le document, modestement intitulé « Une refonte fondamentale de la finance », Fink, qui gère le plus grand fonds d’investissement au monde avec quelque 7 000 milliards de dollars alors sous gestion, a annoncé un changement radical pour l’investissement des entreprises. L’argent « passerait au vert ». Dans sa lettre de 2020, Fink a déclaré :

« Dans un avenir proche — et plus tôt que prévu — il y aura une réallocation importante du capital… Le risque climatique est un risque d’investissement. » Il a ajouté :

« Chaque gouvernement, entreprise et actionnaire doit faire face au changement climatique. »1

Dans une lettre distincte adressée aux clients investisseurs de Blackrock, Fink a présenté le nouveau programme d’investissement en capital. Il a déclaré que Blackrock abandonnerait certains investissements à forte teneur en carbone, comme le charbon, la plus grande source d’électricité des États-Unis et de nombreux autres pays. Il a ajouté que Blackrock examinerait les nouveaux investissements dans le pétrole, le gaz et le charbon pour déterminer leur adhésion à la « durabilité » de l’Agenda 2030 des Nations Unies.

Fink a clairement indiqué que le plus grand fonds mondial commencerait à désinvestir dans le pétrole, le gaz et le charbon. Il écrit :

« Au fil du temps, les entreprises et les gouvernements qui ne répondent pas aux parties prenantes et ne s’attaquent pas aux risques liés au développement durable se heurteront à un scepticisme croissant de la part des marchés et, par conséquent, à un coût du capital plus élevé. »

Il a ajouté :

« Le changement climatique est devenu un facteur déterminant dans les perspectives à long terme des entreprises… nous sommes à la veille d’une refonte fondamentale de la finance. »2

À partir de ce moment-là, l’investissement dit ESG, pénalisant les entreprises émettrices de CO2 comme ExxonMobil, est devenu à la mode parmi les hedge funds [fonds spéculatifs], les banques de Wall Street et les fonds d’investissement dont State Street et Vanguard. Telle est la puissance de Blackrock. Fink a également réussi à convaincre quatre nouveaux membres du conseil d’administration d’ExxonMobil de s’engager à mettre fin aux activités pétrolières et gazières de la société.

L’image est de Michael Buholzer
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La lettre Fink de janvier 2020 était une déclaration de guerre des grandes entreprises financières contre l’industrie de l’énergie conventionnelle. BlackRock est un membre fondateur du Groupe de travail sur les informations financières relatives au climat (TCFD en anglais) et est signataire des PIR (Principes pour l’investissement responsable) de l’ONU, un réseau d’investisseurs soutenu par les Nations unies qui prône l’investissement zéro carbone en utilisant les critères ESG (Environnementaux, Sociaux et de Gouvernance) hautement corrompus dans les décisions d’investissement. Il n’existe aucun contrôle objectif sur les données falsifiées relatives à l’ESG d’une entreprise. En outre, Blackrock a signé la déclaration du Vatican de 2019 qui préconise des régimes de tarification du carbone. En 2020, BlackRock a également rejoint Climate Action 100, une coalition de près de 400 gestionnaires d’investissement gérant 40 000 milliards de dollars américains.

Avec cette lettre fatidique de janvier 2020, Larry Fink a lancé un désinvestissement colossal dans le secteur mondial du pétrole et du gaz, qui pèse des milliers de milliards de dollars. La même année, M. Fink de BlackRock a été nommé au conseil d’administration du Forum Économique Mondial dystopique de Klaus Schwab, l’organe politique et corporatif de l’Agenda 2030 de l’ONU pour l’élimination du carbone. En juin 2019, le Forum Économique Mondial et les Nations unies ont signé un cadre de partenariat stratégique pour accélérer la mise en œuvre de l’Agenda 2030. Le FEM dispose d’une plateforme d’intelligence stratégique qui comprend les 17 objectifs de développement durable de l’Agenda 2030.

Dans sa lettre au PDG de 2021, Fink a redoublé d’attaques contre le pétrole, le gaz et le charbon. Fink y a déclaré :

« Étant donné l’importance cruciale de la transition énergétique pour les perspectives de croissance de chaque entreprise, nous demandons aux entreprises de divulguer un plan sur la manière dont leur modèle commercial sera compatible avec une économie nette zéro. »

Un autre responsable de BlackRock a déclaré lors d’une récente conférence sur l’énergie :

« Là où BlackRock va, d’autres suivront ».3

En seulement deux ans, jusqu’en 2022, on estime que 1 000 milliards de dollars auront été retirés des investissements dans l’exploration et le développement pétroliers et gaziers à l’échelle mondiale. L’extraction pétrolière est une activité coûteuse et l’arrêt des investissements externes par BlackRock et d’autres investisseurs de Wall Street signifie la mort lente de l’industrie.

Vidéo : BlackRock, la société qui possède le monde

Biden : un président de BlackRock ?

Au début de sa candidature présidentielle alors terne, Biden a eu une réunion à huis clos fin 2019 avec Fink qui aurait dit au candidat :

« Je suis là pour aider ».

Après sa rencontre fatidique avec Fink de BlackRock, le candidat Biden a annoncé :

« Nous allons nous débarrasser des combustibles fossiles… »

En décembre 2020, avant même l’investiture de Biden en janvier 2021, il a nommé le responsable mondial des investissements durables de BlackRock, Brian Deese, au poste d’assistant du président et de directeur du Conseil économique national. Deese, qui a joué un rôle clé pour Obama dans l’élaboration de l’Accord de Paris sur le climat en 2015, a discrètement façonné la guerre de Biden contre l’énergie.

Cela a été catastrophique pour l’industrie pétrolière et gazière. Deese, l’homme de Fink, s’est employé à donner au nouveau président Biden une liste de mesures anti-pétrolières à signer par décret dès le premier jour en janvier 2021. Cela comprenait la fermeture de l’énorme oléoduc Keystone XL qui amènerait 830 000 barils par jour du Canada jusqu’en janvier 2021. comme les raffineries du Texas, et l’arrêt de tout nouveau bail dans l’Arctic National Wildlife Refuge (ANWR) [Réserve naturelle nationale de l’Arctique]. Biden a également rejoint l’Accord de Paris sur le climat que Deese avait négocié pour Obama en 2015 et que Trump avait annulé.

Le même jour, Biden a mis en œuvre une modification du soi-disant « coût social du carbone » qui impose une taxe punitive de 51 dollars la tonne de CO2 à l’industrie pétrolière et gazière. Cette seule décision, prise sous l’autorité purement exécutive sans le consentement du Congrès, entraîne un coût dévastateur pour les investissements dans le pétrole et le gaz aux États-Unis, un pays qui, seulement deux ans auparavant, était le plus grand producteur de pétrole au monde.4

Tuer la capacité des raffineries

Pire encore, les règles environnementales agressives de Joe Biden et les mandats d’investissement ESG de BlackRock sont en train de tuer la capacité de raffinage des États-Unis. Sans raffineries, peu importe le nombre de barils de pétrole prélevés sur la réserve stratégique de pétrole. Au cours des deux premières années de la présidence de M. Biden, les États-Unis ont fermé quelque 1 million de barils par jour de capacité de raffinage d’essence et de diesel, en partie à cause de l’effondrement de la demande de cobalt, le déclin le plus rapide de l’histoire des États-Unis. Ces fermetures sont permanentes. En 2023, une capacité supplémentaire de 1,7 million de barils par jour devrait être fermée en raison du désinvestissement de BlackRock et de Wall Street dans le domaine de l’ESG et des réglementations de M. Biden.5

Citant le désinvestissement massif de Wall Street dans le pétrole et les politiques anti-pétrolières de Biden, le PDG de Chevron a déclaré en juin 2022 qu’il ne croyait pas que les États-Unis construiraient un jour une autre nouvelle raffinerie.6

Larry Fink, membre du conseil d’administration du Forum économique mondial de Klaus Schwab, est rejoint par l’UE dont la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, notoirement corrompue, a quitté le conseil d’administration du WEF en 2019 pour devenir chef de la Commission européenne. Son premier acte majeur à Bruxelles a été de faire passer l’agenda de l’UE « Zero Carbon Fit for 55 » [Zéro carbone pour 2055]. Cela a imposé d’importantes taxes sur le carbone et d’autres contraintes sur le pétrole, le gaz et le charbon dans l’UE bien avant les actions russes de février 2022 en Ukraine. L’impact combiné du programme ESG frauduleux de Fink dans l’administration Biden et de la folie zéro carbone de l’UE crée la pire crise énergétique et inflationniste de l’histoire.


F. William Engdahl est consultant en risques stratégiques et maître de conférences. Il est titulaire d’un diplôme en politique de l’Université de Princeton et est un auteur à succès sur le pétrole et la géopolitique.
Il est chercheur associé au Centre de recherche sur la mondialisation.

La source originale de cet article est Global Research
Copyright © F. William Engdahl, Global Research, 2023


Notes




Des millions de Britanniques sont invités à ne pas chauffer leur maison la nuit dans le cadre des objectifs climatiques « Net Zéro »

[Source : zerohedge.com]

Par Tyler Durden

Le Comité britannique sur le changement climatique (CCC) a exhorté des millions de Britanniques à ne pas chauffer leur maison le soir afin d’aider le gouvernement à atteindre son objectif « net zéro ».

Chris Stark, le président de la commission sur le changement climatique, a déjà admis qu’il utilisait une chaudière à gaz parce qu’une pompe à chaleur est « très difficile à installer ».

Non, il ne s’agit pas d’exhorter les élites à abandonner leur jet privé au profit d’un avion de ligne, ou à ne pas brûler 1 000 litres de carburant pour sortir leur yacht. Chris Stark, directeur de la CCC, veut que les citoyens ordinaires éteignent leurs chauffages électriques (pompes à chaleur) la nuit, dans le cadre d’une campagne plus large visant à réduire les émissions, ce qui inclut l’abandon des chaudières à gaz — que Chris, un hypocrite, possède toujours.

Dans un document sur le « changement de comportement », la CCC recommande aux Britanniques de « préchauffer » leurs maisons l’après-midi, lorsque la consommation d’électricité est plus faible, ce qui permettrait théoriquement aux familles d’économiser de l’argent.

« Il existe un potentiel important de réduction des émissions, simplement en changeant la façon dont nous utilisons nos maisons », peut-on lire dans le sixième document sur le « budget carbone » de la CCC, qui explique comment le Royaume-Uni devrait réduire ses émissions entre 2033 et 2037.

« Lorsque les maisons sont suffisamment bien isolées, il est possible de préchauffer avant les heures de pointe, ce qui permet d’accéder à des tarifs plus avantageux qui reflètent les coûts réduits associés à l’exploitation des réseaux et à la production d’électricité pendant les heures creuses. »

Les détracteurs en ébullition

« Le réseau est déjà en train de s’effondrer et des idées aussi stupides que celle-ci montrent à quel point la situation va empirer », a déclaré Andrew Montford, directeur de Net Zero Watch, au Telegraph. « Il est clair que les énergies renouvelables sont un désastre en devenir. Nous avons maintenant besoin de dirigeants politiques qui aient le courage de l’admettre ».

Selon le député conservateur Craig Mackinlay, chef du groupe de surveillance « Net Zéro » de son parti, « il devient évident que l’adhésion à des budgets carbone judicieux et aux décrets de la CCC tourne à la farce ».

« La loi sur le changement climatique de 2008 devra être modifiée pour nous libérer des objectifs fous et irréalisables imposés à la population par des politiciens disparus depuis longtemps ».

« Ce dernier conseil de se geler les soirs de grand froid montre simplement que le rêve d’une énergie renouvelable abondante et bon marché n’est qu’un leurre ».

« Je suis entré en politique pour améliorer tous les aspects de la vie de mes électeurs, pas pour les rendre plus froids et plus pauvres », a-t-il déclaré au Telegraph.

Des factures moins élevées ?

La CCC insiste sur le fait qu’en suivant ces conseils, « les maisons resteront chaudes, mais les factures pourront être réduites », ajoutant : « Il s’agit d’un exemple de propriétaires qui profitent des périodes de la journée où l’électricité est moins chère ».

« L’utilisation de l’électricité pour chauffer une maison offre la possibilité de choisir un moment où les prix sont plus bas, ce qui n’est pas possible avec une chaudière à gaz », poursuit-il, ajoutant que « le chauffage intelligent des maisons comme celle-ci permet également d’utiliser au mieux le réseau et de soutenir une plus grande utilisation de la production d’énergie renouvelable bon marché ».

Ce conseil fait suite au tollé provoqué par les projets du gouvernement visant à interdire l’installation de nouvelles chaudières au fioul à partir de 2026 et à forcer les foyers à adopter des pompes à chaleur.

Downing Street a laissé entendre qu’il était désormais prêt à faire volte-face, alors que l’on craignait que cette mesure n’accroisse la précarité énergétique dans les zones rurales et ne mette à rude épreuve le réseau électrique en difficulté.

La CCC est un organisme indépendant créé par les ministres en 2008 pour conseiller le gouvernement sur la manière d’atteindre ses objectifs climatiques.

Dans son dernier rapport, la commission critique le gouvernement pour sa « lenteur inquiétante » à agir sur le climat.

Il affirme que le soutien de Downing Street à de nouvelles explorations pétrolières et charbonnières et à l’expansion des aéroports signifie que la Grande-Bretagne n’est plus un leader mondial en matière d’écologie.

Le Telegraph

Le mois dernier, M. Stark, chef de la CCC, a admis qu’il possédait encore une chaudière à gaz chez lui au lieu d’une pompe à chaleur électrique. Et il n’est pas le seul.

« J’ai une chaudière à gaz. J’aimerais ne pas en avoir, mais je vis dans un appartement et il est très difficile d’y installer des pompes à chaleur », a-t-il déclaré à la commission d’audit environnemental de la Chambre des Communes. « Le chauffagiste qui vient réparer ma chaudière à gaz — elle tombe souvent en panne — me dit qu’elles ne fonctionneront jamais. »

Faites ce que Chris dit, pas ce qu’il fait.




Il y a trop de « Voleurs dans le Temple » : la civilisation occidentale est malade et mourante ; est-il trop tard pour une délivrance ?

[Source : numidia-liberum]

Par Leo Hohmann

Les nouvelles récentes sont si bizarres que j’ai l’impression de vivre dans un roman ou un film d’horreur.

Nous avons un ancien président et candidat à un second mandat qui a été inculpé quatre fois par l’administration présidentielle actuelle, la dernière affaire étant ponctuée d’une photo criminelle diffusée sur Internet. Je sais que certaines accusations émanent des États de New York et de Géorgie, mais il est évident qu’ils travaillent tous ensemble avec le gouvernement fédéral pour éliminer cet homme de la course à la présidentielle.

Presque toute l’île de Maui a pris feu, tuant plus de personnes que n’importe quel incendie ayant frappé l’Amérique en 100 ans, et les élites mondialistes imputent cela au « changement climatique ».

Et maintenant, nous avons un gouvernement voyou qui se dirige vers une deuxième série de mandats et d’éventuels confinements.

Natalie Winters rapporte que le gouvernement fédéral a déjà commencé à acheter du matériel pour lutter contre le COVID-19 et à passer des contrats avec des consultants privés pour faire appliquer les « protocoles de sécurité » en période de pandémie.

Les mesures d’application pourraient commencer dès le mois prochain avec des couches-culottes obligatoires sur le visage.

Certains de ces contrats devraient débuter en septembre et octobre et beaucoup se poursuivront jusqu’en 2028. Oui, vous avez bien lu, 2028.

Regardez Winters ci-dessous parler de cette dernière actualité :

Ainsi, le gouvernement fédéral, dirigé par le ministère de la Défense, passe des contrats avec des entreprises privées pour mettre en œuvre des confinements Covid 2.0 fondés sur la peur. C’est du pur fascisme : les grandes entreprises travaillent avec le grand gouvernement pour opprimer le peuple. Mais c’est ainsi que fonctionne la technocratie.

La technocratie est très différente du marxisme ou du communisme. Dans un État marxiste, le gouvernement est propriétaire des moyens de production. Mais dans une technocratie, qui est le modèle préféré des élites mondialistes autoproclamées du Forum économique mondial, de la Fondation Rockefeller, de la Fondation Gates, du Club de Rome, des Nations Unies, et autres, vous avez un gouvernement qui travaille dans le cadre de partenariats public-privé (PPP) avec de grandes entreprises pour créer, doter en personnel et faire respecter un État de surveillance numérique global. Considérez-le comme un nazisme à l’échelle mondiale avec accès à la technologie moderne de suivi numérique. Ils croient toujours à l’eugénisme et qu’ils sont supérieurs au reste d’entre nous. Ils pensent toujours que le troupeau de « mangeurs inutiles » doit être réduit à une taille plus gérable.

Ce n’est pas un hasard si les mondialistes ont présenté leur pseudo-scientifique satanique préféré, le Dr Anthony Fauci. En préparant les esprits au Covid 2.0, il plaide désormais ouvertement pour enfermer tous ceux qui ne se sont pas encore soumis à ses piquouses mortelles…

« Si vous disposez d’un vaccin, vous souhaiterez peut-être vous confiner temporairement afin de pouvoir faire vacciner tout le monde », explique Fauci.

Il affirme ensuite que « les confinements ont leur place, mais ils ne constituent pas une solution permanente ».

Je suppose qu’à ce stade de l’interview, nous sommes censés être complètement imprégnés du syndrome de Stockholm, nous incliner pour embrasser les pieds de Fauci et le remercier abondamment pour sa gentillesse de ne pas nous enfermer définitivement.

Fauci, chef de longue date du NIAID et multimillionnaire qui n’a jamais fait autre chose que travailler pour le gouvernement, déclare ensuite que le « changement climatique » « joue un rôle » dans le déclenchement des pandémies.

Il appelle à un « engagement international pour réduire l’empreinte carbone dans la société afin d’éviter le genre de conditions météorologiques folles que nous connaissons dans ce pays ».

Oui, il a effectivement dit ça. Je ne sais pas s’il le croit, mais il l’a dit. Pourquoi ? Parce qu’il fait sa part pour établir le récit selon lequel les humains sont à l’origine du changement climatique et que nous devons donc changer notre façon de vivre ou être soumis à des confinements perpétuels.

Il a ensuite imputé la tragédie de Maui au changement climatique.

Il semble que les lucifériens qui nous ont apporté le Covid 1.0 aient quelque chose de beaucoup plus draconien dans leurs manches dans les dernières semaines de 2023 et en 2024. La première version n’était qu’un test pour ce qui allait arriver. La dernière étape de mise en œuvre de leur « grande réinitialisation » démoniaque exigera que chaque être humain soit vaxxé, continuellement boosté, étiqueté avec une identification numérique biométrique et suivi partout où il va, incapable d’acheter, de vendre ou de participer à la société sans le marquage numérique.

Tout cela est dirigé principalement par les élites mondialistes aux États-Unis et en Europe. La Chine est déjà soumise. Il semble que le Royaume-Uni, l’Australie, le Canada, la Nouvelle-Zélande et la majeure partie de l’Europe aient déjà été soumis. Les seuls pays qui posent encore un problème aux adeptes de la réinitialisation sont les États-Unis et la Russie.

L’Amérique est une nation sous oppression démoniaque qui a désespérément besoin d’une délivrance. Au moment où j’écris ces lignes, le livre de 1973, Pigs in the Parlor, (Voleurs dans le Temple(([1] Les Voleurs dans le Temple (Pigs in the Parlor—French Edition) : Un Guide Pratique Vers la Délivrance
Par Frank Hammond et Ida Mae Hammond, Impact Christian Books, Incorporated, 26 juin 2014.
“Pigs in the Parlor.” Un best-seller vendu à plus de 1 500 000 exemplaires dans le monde. Cet ouvrage est un excellent guide pratique de la délivrance. Il traite la plupart des questions importantes qui se posent dans ce domaine : Qui a besoin de délivrance ? Comment opérer une délivrance ? Comment entrent les esprits mauvais ?)) ), me vient à l’esprit. Il s’agit d’un manuel pratique sur la « guerre spirituelle conflictuelle ». Je n’approuve pas le livre ni sa théologie. Je me souviens juste de l’avoir récupéré dans une librairie chrétienne il y a 20 ans et je l’ai parcouru. Le titre et le sujet m’ont marqué toutes ces années. Il arrive un moment, généralement après des années d’oppression, où la possession devient si manifeste, si complète, qu’il faut un combat spirituel total pour vaincre les forces du mal qui oppriment l’âme d’un individu. Il en va de même pour une nation et une culture. L’Amérique et l’Occident sont dans cette situation. Sa culture est tellement malade de décennies d’idolâtrie et d’adoration de faux dieux que rien de moins que reconnaître ce à quoi nous sommes confrontés et ensuite l’attaquer au nom puissant de Jésus-Christ par la repentance, la prière constante et le jeûne mènera à la délivrance.

En d’autres termes, il est temps d’entrer dans la confrontation. Il est temps d’arrêter de s’inquiéter de ce qu’ils pensent de nous si nous ne mettons pas leurs masques putrides ou si nous ne prenons pas leurs injections empoisonnées. Comment cela s’est-il passé dans Covid 1.0 ? Les démons nous ont marché dessus et ont ri en sortant. Il est temps de revêtir humblement l’armure complète de Dieu, de reconnaître à qui et contre quoi nous sommes confrontés — un mal pur — et d’entrer en guerre contre ces démons.

Source





La rétractation choquante d’un article sur la science du climat montrant qu’il n’y a pas d’urgence climatique est comparable au scandale du Climategate

[Source : Ciel Voilé]

Par Chris Morrison 26 août 2023

https://dailysceptic.org/2023/08/26/shock-retraction-of-climate-science-paper-showing-no-climate-emergency-draws-comparisons-with-climategate-scandal/

Des détails choquants sur la corruption et la répression dans le monde de la science climatique évaluée par les pairs ont été révélés par une récente fuite de courriels. Ils montrent comment un groupe déterminé de scientifiques et de journalistes militants a réussi à obtenir la rétractation d’un article qui affirmait que l’urgence climatique n’était pas étayée par les données disponibles. Roger Pielke Jr., écrivain scientifique et économiste, a publié ces courriels surprenants et conclut :

« Les magouilles se poursuivent dans le domaine de la science du climat, des scientifiques influents s’associant à des journalistes pour corrompre l’évaluation par les pairs. »

L’article incriminé a été publié en janvier 2022 dans une revue de Springer Nature et n’a d’abord guère attiré l’attention. Mais le 14 septembre, le Daily Sceptic en a repris les principales conclusions, ce qui a eu pour effet de rendre l’article viral sur les médias sociaux, avec environ 9 000 retweets sur Twitter. L’histoire a ensuite été couverte par l’Australian et Sky News Australia. L’activiste du Guardian Graham Readfearn, ainsi que l’Agence France-Presse (AFP), ont alors lancé des contre-attaques. Marlowe Hood, le « héraut de l’anthropocène » de l’AFP, a déclaré que les données étaient « grossièrement manipulées » et « fondamentalement erronées ».

Après près d’un an de lobbying, Springer Nature a rétracté l’article populaire. À la lumière des préoccupations exprimées, le rédacteur en chef n’aurait plus confiance dans les résultats et les conclusions présentés dans l’article. Les auteurs ont été invités à soumettre un addendum, mais celui-ci n’a pas été « considéré comme adapté à la publication ». Les courriels divulgués montrent que l’addendum a été envoyé pour examen à quatre personnes, et qu’une seule s’est opposée à la publication.

Ce qui est choquant dans cette censure, c’est que le document a été rédigé par quatre éminents scientifiques, dont trois professeurs de physique, et qu’il s’appuyait largement sur les données utilisées par le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) des Nations unies. L’auteur principal était le professeur Gianluca Alimonti de l’université de Milan et chercheur principal à l’Institut national de physique nucléaire d’Italie. Les auteurs de l’article ont examiné les données disponibles, mais ont refusé de se laisser entraîner par le courant dominant habituel qui tourne à la catastrophe les tendances météorologiques sélectionnées avec soin. Au cours de leurs travaux, les scientifiques ont constaté que l’intensité et la fréquence des précipitations étaient stationnaires dans de nombreuses régions du monde, et qu’il en allait de même pour les tornades aux États-Unis. D’autres catégories météorologiques, telles que les catastrophes naturelles, les inondations, les sécheresses et la productivité des écosystèmes, n’ont pas montré de « tendance positive claire des événements extrêmes ». En outre, les scientifiques ont constaté une croissance considérable de la biomasse végétale mondiale au cours des dernières décennies, due à des niveaux plus élevés de dioxyde de carbone dans l’atmosphère.

En fait, ce scandale commence à susciter des comparaisons avec les fuites du Climategate en 2009, qui témoignaient également d’un mépris considérable pour le processus d’évaluation par les pairs. Phil Jones, l’un des compilateurs de la base de données HadCRUT sur les températures mondiales du Met Office, a envoyé un courriel à Michael Mann, auteur de la tristement célèbre « crosse de hockey » sur les températures, dans lequel il déclarait : « Je ne vois aucun de ces documents figurer dans le prochain rapport du GIEC. Kevin et moi les écarterons d’une manière ou d’une autre — même si nous devons redéfinir ce qu’est la littérature évaluée par les pairs ! »

Il est intéressant de noter que le professeur Michael Mann, de l’université de Pennsylvanie, a un rôle à jouer dans ce dernier exercice de censure. Dans l’article d’attaque du Guardian, il a déclaré qu’il s’agissait d’un nouvel exemple de scientifiques issus de « domaines totalement différents » qui viennent appliquer naïvement des méthodes inappropriées à des données qu’ils ne comprennent pas. « Soit le consensus des experts mondiaux en matière de climat, selon lequel le changement climatique est à l’origine d’une augmentation très nette de nombreux types de phénomènes météorologiques extrêmes, est erroné, soit quelques physiciens nucléaires italiens se trompent », a-t-il déclaré.

C’est une attaque « fact-check » de l’AFP, publiée peu après l’article du Daily Sceptic, qui a amené d’autres scientifiques militants à participer à la campagne de rétractation de l’article scientifique incriminé. Elle a été en partie rédigée par Marlowe Hood, dont les lecteurs réguliers se souviendront qu’il a récemment reçu environ 88 000 livres sterling de la part de la Fondation d’une grande banque espagnole fortement impliquée dans le financement des technologies vertes. L’un des experts cités par l’AFP est le Dr Freiderike Otto, qui travaille dans le domaine des pseudosciences en essayant d’ » attribuer » des événements météorologiques isolés à des changements climatiques à long terme à l’aide de modèles informatiques. Elle est aidée dans son travail par le financement de l’investisseur milliardaire vert Jeremy Grantham. Mme Otto a déclaré que les auteurs du rapport n’avaient « évidemment » pas rédigé leur article de bonne foi. « Si la revue se soucie de la science, elle devrait le retirer publiquement et bruyamment, en disant qu’il n’aurait jamais dû être publié. »

[Note de Joseph :
la modélisation en climatologie n’est pas scientifique, mais falsifie au contraire les axiomes de la théorie des probabilités sur laquelle elle prétend se baser, axiomes dérivés des trois principes de base de la logique aristotélicienne sur laquelle repose la démonstration mathématique et scientifique.
Voir les articles du Terry Oldberg basés sur les travaux injustement ignorés de Ron Christensen et Tom Reichert :
L’origine du mythe du réchauffement climatique catastrophique d’origine anthropique dans la pensée mécaniste
Les principes du raisonnement. Partie 3. Logique et climatologie
Les accords de Paris sur le climat ont une base fausse]

Stefan Rahmstorf, responsable des systèmes terrestres à l’Institut de recherche sur l’impact du climat de Potsdam, a lui aussi appelé à l’annulation de l’article. Il a déclaré à l’AFP qu’il ne connaissait pas la revue Springer, « mais si elle se respecte, elle devrait retirer l’article ».

La fuite des courriels de Pielke donne un aperçu fascinant de la manière dont Springer Nature a traité la question au cours de l’année écoulée. Dans un premier temps, on s’est inquiété du fait qu’Alimonti et coll. ne faisaient référence qu’aux travaux du cinquième rapport d’évaluation du GIEC, bien qu’il ait été souligné qu’au moment où l’article a été initialement soumis, la sixième évaluation du GIEC n’avait pas encore été publiée. Il a été suggéré qu’un « erratum » soit compilé. Le professeur Alimonti a estimé, à juste titre, qu’un « addendum » était plus approprié.

Les addenda ont été préparés et envoyés pour examen à quatre personnes et à un arbitre. Trois évaluateurs ont recommandé la publication et un s’y est opposé. L’adjudicateur s’est ensuite rangé du côté de l’opinion minoritaire. L’un des évaluateurs a recommandé l’acceptation en notant : « Les déclarations faites par les auteurs sont généralement en accord avec l’évaluation produite par le groupe de travail 1 du GIEC dans le cadre de son sixième rapport d’évaluation. Un autre évaluateur a écrit :

« L’article original est une récitation directe de données crédibles et essentielles sur plusieurs types d’événements météorologiques extrêmes. Je ne trouve rien de sélectif, de partial ou de trompeur dans ce qu’ils présentent. Bien qu’il n’y ait pratiquement rien d’écrit qui ne soit pas bien connu des experts, il est utile pour les non-experts de voir les données sous-jacentes, qui sont le plus souvent obscures dans les rapports du GIEC ».

Mais en vain. L’arbitre s’est rangé à l’avis de la seule voix dissidente, selon laquelle l’addendum ne répondait pas aux « normes scientifiques » qui permettraient sa publication. « En outre, je recommande la rétractation du manuscrit original. » L’article a ensuite été rétracté, mais une nouvelle version a été republiée ici.

Les conclusions de M. Pielke sont accablantes.

« L’abus du processus d’évaluation par les pairs documenté ici est remarquable et constitue un avertissement que la science du climat est toujours aussi profondément politisée, avec des scientifiques prêts à exercer une influence sur le processus de publication, à la fois au grand jour et dans les coulisses. »




La partie d’échecs en 3D de Vladimir Poutine

[Source : reseauinternational.net]

Par Sylvain Laforest

Vous trouverez toujours quelqu’un pour ridiculiser une théorie élaborée en la comparant à « une partie d’échecs en 3D », comme si personne n’était capable de jouer aux échecs en 3D. Or, il est divertissant de constater que Vladimir Poutine mène depuis 2008 une partie d’échecs en 3D pour mettre un terme au mondialisme, l’idéologie maîtresse pour dominer la planète d’une toute petite élite internationale composée des banques internationales, grands fonds d’investissement et leurs multinationales. Il ne sert à strictement rien d’observer le monde à travers une loupe politique, puisque le FMI, la BRI, la Banque mondiale, la FED, BlackRock et Vanguard mènent le monde à travers leur contrôle sur les pétrolières, multinationales, pharmaceutiques, médias, ONG et leur porte-parole visible qu’est le Forum Économique Mondial de Davos. La CIA et l’OTAN n’écoutent pas les présidents et Premiers ministres, ils sont tous à la solde de cette clique mondialiste dont les terminaisons américaines sont le Council on Foreign Relation et la Commission Trilatérale. Biden, Macron, Trudeau et Scholz sont de simples exécutants, de vulgaires pions sur l’échiquier.

Ainsi, la lutte à mort actuelle entre deux idéologies est strictement économique. Ce n’est pas celle des USA contre la Russie ou la Chine, mais celle des Mondialistes vs les Nationalistes. Le New World Order, qui contrôlait depuis 1944 la civilisation mondiale, est aujourd’hui menacé par ceux qui veulent qu’on respecte la souveraineté et l’indépendance des nations, un mouvement amorcé par un seul homme, Vladimir Poutine. Car voilà, les politiciens nationalistes ne se contentent pas d’être des pions, mais utilisent réellement le pouvoir dont on les a investis. Heureusement, Poutine n’est plus seul, parce qu’il a mené d’une main de maître sa partie d’échecs en 3D, qui arrive à terme.

Avant de continuer, je justifie immédiatement l’utilisation de l’expression anglaise New World Order, plutôt que la francisée Nouvel Ordre Mondial. D’abord c’est un concept anglo-saxon, pas français. Ensuite, c’est une erreur importante de traduction : le New World Order date de 1944 et coïncide avec la conférence de Bretton-Woods ayant imposé le dollar américain comme monnaie de réserve internationale, suite à la Seconde Guerre mondiale. Comme essentiellement, le monde transitait de l’Empire britannique à l’empire américain, ce qu’on devrait appeler l’Ordre Mondial du Nouveau Monde fut imposé en 1944, et est aujourd’hui menacé par une partie de la planète qui se rebelle.

Pour comprendre l’état du monde en cet automne 2023, on doit posséder une boîte à outils complète : clouer une vis avec un marteau n’a jamais rien donné de bon, et en ce moment, la plupart des journalistes et analystes, indépendants tout comme mainstreams, tentent de percer des trous avec un rabot, parce que la plupart ignorent quelques préceptes de base, à la source de TOUTE la géopolitique mondiale actuelle. L’importance primordiale de l’analyse économique sur sa déclinaison politique en est un, et en voici un autre encore plus important.

Un talon d’Achille

Entre 1999 et 2008, Vladimir Poutine a tout essayé pour intégrer la Russie à la communauté internationale, à la seule condition que la souveraineté de la Russie y soit respectée. Le 10 mars 2007, suite à l’annonce du président américain Bush jr que l’Ukraine et la Géorgie devenaient candidats pour l’OTAN, Poutine lance un premier avertissement à l’organisation qui doit cesser ses provocations par son expansion illégitime, puisqu’une promesse avait été faite en 1990 à Gorbatchev que l’OTAN ne s’étendrait pas vers l’est, ce qu’elle n’a jamais cessé de faire depuis jusqu’aux frontières de la Russie. Avec la guerre de Géorgie en 2008, Poutine comprend enfin que jamais la clique mondialiste ne laissera la Russie se gérer comme elle l’entend. Il n’avait que deux options : laisser tomber le peuple russe et livrer son pays aux banques, ou alors, détruire le mondialisme. Chose plus facile à dire qu’à faire, puisque la clique contrôle la création monétaire et l’économie mondiale, et par extension, la plupart des armées du monde.

J’ai l’impression que Poutine a identifié assez tôt dans sa croisade que le talon d’Achille de l’empire des Banques était le secteur du pétrole. Pas les autres énergies, juste le pétrole. Il y a longtemps que l’Occident craint de perdre le contrôle du marché de l’or noir qu’il tenait jadis au creux de la main par les menaces militaires aux pays producteurs. Au début des années » 70, Libye, Syrie, puis un peu plus tard l’Iran sont sortis de ce contrôle, ce qui activa le Plan B du « réchauffement climatique causé par le CO2 » (produit de la combustion du pétrole), et la soudaine importance d’envisager un jour une transition énergétique vers d’autres sources énergétiques pour sauver la planète du brasier imaginaire. Malheureusement pour la clique qui en rêvait au début du Plan B, ils n’ont jamais trouvé une énergie capable de remplacer le pétrole pour les cargos de marchandises, les avions, l’agriculture et les armées. Et ce n’est pas faute d’avoir cherché une alternative, mais à ce jour, le pétrole reste la seule énergie pour faire fonctionner l’économie mondiale, basée sur les transports des biens. Et puis il y a le double problème du pétrodollar : comment justifier la valeur d’une monnaie sur une énergie hors de son contrôle ? Le dollar sans le pétrole (ni l’or, abandonné en 1971) est une monnaie de singe. Ah, mais, le Canada et les USA sont en haut de la liste des producteurs mondiaux ? Absolument, mais son exploitation compliquée est trop coûteuse. Elle perd même de l’argent aux États-Unis, où il est plus avantageux d’acheter du pétrole que de le produire. Et ils ne peuvent plus réguler les prix pour rentabiliser leur production. Or, qui contrôle le pétrole contrôle le monde. Soit, tu vends la seule énergie qui fait fonctionner l’économie, soit tu en es un client.

Dans un contexte de cette production nord-américaine onéreuse, et de réserves décroissantes aux USA, le château de cartes mondialiste tremble donc sur cette énergie évanescente. Et c’est ici qu’opère la magie du maestro des échecs en 3D, qui se mit en tête de saigner à blanc le mondialisme en lui retirant son sang, le pétrole. Pour y arriver, il lance en 2008 une refonte complète de l’appareil militaire russe qu’il doit rendre quasi invincible. Au fil de la décennie suivante, la Russie se met à inventer les meilleurs systèmes défensifs que sont les S-400 et Pantsir ; les meilleurs brouilleurs électroniques tels que le Mourmansk-BN ; une panoplie de missiles offensifs hypersoniques inarrêtables, dont les Kinjals et Zircons ; les meilleurs avions et bombardiers de la gamme Soukhoïs ; enfin, les cauchemars nucléaires dissuasifs Sarmat, Avangard et Poséidon qui exposent les flancs de l’Occident sans aucune défense possible. Outre les sous-marins, Poutine n’a pas perdu son temps à fignoler la marine, fleuron et seul avantage notable de l’Occident, car en cette époque de missiles hypersoniques, les porte-avions sont désormais des canards flottants en attente de couler.

En couplant ce réarmement d’une refonte de l’armée russe, étatisant au passage la production des armes pour contrer les coûts prohibitifs qui viennent avec le secteur privé comme celui qui draine les économies occidentales, puis en créant la société privée Wagner, il a bel et bien créé une machine militaire invincible, et souple. D’où son attaque en 3D, bouffant les pions sur trois étages, en permettant aux producteurs de pétrole de gagner leur indépendance, avec la promesse de protéger leurs arrières par la désintégration du contrôle des mondialistes sur ce marché crucial.

Les globalistes attaqués

Les banques internationales ont vu venir le coup et ont tenté de prendre Poutine de vitesse, en lançant dès 2011 le Printemps Arabe dans 9 pays stratégiques, dont la Syrie, l’obstacle principal bloquant le vieux plan d’élargissement d’Israël (The plan for Greater Israel, publié en 1982), soit une métaphore pour la prise de contrôle de presque tout le pétrole de la péninsule arabique par Israël, le mandataire du New World Order au Moyen-Orient. En 2011, la Russie n’était pas encore militairement prête pour intervenir, et Poutine observa avec horreur le sort réservé à Kadhafi, grand nationaliste qui avait préservé la Libye du chaos occidental pendant quatre décennies.

La Russie n’était toujours pas prête en 2014 et il a regardé la CIA faire la révolution en Ukraine et commettre de nouvelles atrocités, dont un massacre à Odessa, les bombardements sur la population du Donbass, et le souffle chaud de l’OTAN qui se rapprochait. Dès l’année suivante, même si la Russie n’avait pas encore complété son nouvel arsenal, Poutine a compris qu’il fallait risquer de perdre sa reine pour empêcher Bashar el-Assad de tomber en Syrie, et le 29 septembre 2015, il s’attaque enfin aux faux terroristes/vrais mercenaires occidentaux que sont ISIS et al-Qaida, mandatés pour mettre la Syrie au diapason occidental. Cette aide déterminante à l’armée syrienne fut un premier coup de pied direct du leader russe sur le New World Order. En empêchant les mondialistes d’écraser la Syrie, Poutine les a empêchés de rassembler tous les derricks d’Irak, Syrie, Koweit et en partie, ceux de l’Arabie saoudite et de l’Égypte, ou en d’autres mots, le contrôle assuré du marché du pétrole. Pour l’Occident, Poutine est devenu l’ennemi juré n° 1.

En février 2022, la Russie était enfin prête. S-400, Kinjals, Zircons, brouillage électronique, artillerie, drones, dernière génération de Soukhoï, Sarmat et Avangard, tout y était. En entrant en Ukraine, Poutine savait qu’il affronterait l’OTAN au complet, qui y investirait argent, équipements et hommes, pour se rendre à l’évidence que face à la nouvelle armée russe, rien de l’onéreux arsenal de l’OTAN ne tient la route. La seule chose que son équipement militaire fait mieux que l’équipement russe, c’est de brûler. Pour les Ukrainiens conscrits qui ne se réclament pas de Stepan Bandera, la débâcle est une indicible tragédie, mais si Poutine avait laissé faire, ce serait une apocalypse qui embraserait bien au-delà de l’Ukraine.

Sabordage économique

Pour les mondialistes, la plandémie de coronavirus fut un prélude nécessaire pour terroriser les peuples et s’assurer de leur obéissance pour quand viendrait le pénible changement d’une démocratie vers le totalitarisme austère prévu au programme du Forum économique. Avec l’abandon d’une partie du pétrole, l’Occident déclenchait du même coup l’autodestruction de ses économies. De plus, l’élimination des petits commerces en faillite favorise à la fois les affaires des multinationales et libère l’espace nécessaire pour la construction de villes 15 minutes, d’autres objectifs des ploutocrates. Toutes les absurdités scientifiques actuelles, que ce soit le réchauffement climatique anthropique, la propagande du véganisme, le plastique dans les océans, la transition aux éoliennes et autres thèmes saugrenus, sont reliées au simple fait que l’occident est devenu client du pétrole, dont elle ne contrôle plus le prix, ni l’approvisionnement. Comme leurs médias perdent massivement le contrôle sur la pensée du peuple, ils n’ont d’autre choix que de sombrer dans le totalitarisme via l’identité numérique et le crédit social, s’ils veulent éviter de se faire lyncher sur la place publique pour 3 ans d’assauts continus contre la population.

Le surendettement massif des nations au nom du soutien pour un virus imaginaire était aussi voulu, pour justifier une relance par le Grand Reset (ou Grande Réinitialisation) des monnaies, incluant l’annulation des dettes nationales en échange de l’abandon de la propriété privée et la création d’une seule monnaie commune crypto, sans papier imprimé, les CBDC. Dans la situation actuelle, cette monnaie n’aurait aucune valeur, car une partie trop importante de la planète ne veut pas de cette réinitialisation de quelques pays ayant volontairement creusé leur tombe et qui n’ont rien pour insuffler une valeur à cette monnaie, même pas la confiance.

La botte secrète de Vlad

Le problème pour l’Occident est que pour fonctionner, le Grand Reset doit être global, et encore une fois, Poutine a paré l’attaque en créant un système économique parallèle au SWIFT, avec l’aide de la Chine et de l’Inde. Plusieurs facettes de ce système économique russo-chinois sont devenues des noms familiers : Coopération de Shanghai, nouvelle route de la soie, les BRICS. Ils travaillent tous dans le même sens, réglant leurs importations avec les monnaies nationales, dans un élan commun de dédollarisation. Le système SWIFT commence sa dérive, plus personne ne veut traiter avec les menteurs occidentaux qui saisissent et sanctionnent au gré des humeurs, et comme la Russie est maintenant la plus forte, les pays n’ont plus peur de sauter la clôture du nationalisme, en devenant des transfuges du mondialisme.

Du côté des producteurs de pétrole, Iran, Venezuela, Algérie et Qatar sont déjà à l’abri, et est venu en 2023 un coup fumant sur l’échiquier, quand l’Arabie saoudite et les Émirats arabes unis se sont mis en tête d’adhérer aux BRICS. L’Occident a perdu ses deux tours. Il ne reste pratiquement qu’à évacuer les USA de Syrie, d’Irak et de Libye pour que Poutine termine de rallier tous les producteurs importants.

Le bulldozer multipolaire travaille sur plusieurs plans : après que Russie, Inde et Chine aient tous boudé la COP-21 de Glasgow en 2021, il devient de plus en plus difficile pour l’Occident de maintenir son narratif réchauffiste, alors qu’une partie du monde ne fait plus semblant de sauver la planète. Si vous doutez de l’implication de la Chine, sachez que Xi vient officiellement d’abandonner les Accords de Paris sur le climat (juillet 2023), handicapant l’histoire officielle du réchauffement de la planète par le CO2, ce carbone instrumentalisé pour démolir la vie des gens qu’on veut plonger dans un totalitarisme orwellien. Les pays du BRICS ont choisi de continuer à développer leurs économies avec la seule ressource disponible pour les transports, le pétrole. Leur motivation est loin du mondialisme imposé par l’impérialisme militaire, mais cherche la prospérité engendrée par la coopération. Les BRICS ont choisi la réalité et l’humanité.   

L’Afrique se soulève

Le tsunami de nationalisme engendré par la dextérité géopolitique de Poutine est en cours et gonfle comme voile au vent. Le cas tout récent du renversement de la marionnette occidentale au Niger, au moment exact où se tenait le sommet Russie-Afrique, est symptomatique des temps : la Russie est en train de rallier trois continents presque entiers à sa cause. En voyant l’Asie, l’Afrique et l’Amérique du Sud lui filer entre ses doigts, annonçant la fin-finale de la colonisation, la clique mondialiste perd après le pétrole le restant des ressources qu’elle pillait chez autrui. Les anciennes colonies ne craignent plus les dettes du FMI, parce qu’il y a maintenant une porte de sortie et qu’elles se savent protégées. Si vous doutez encore de la peur que provoque l’arsenal militaire et nucléaire russe aux mondialistes, consultez vite la liste d’une trentaine de pays ayant déjà signifié leur intérêt pour joindre le nouveau système économique russo-chinois.

Tout au long de sa partie en 3D, Poutine a fait les bons choix. Désormais, les gouvernements occidentaux sont placés devant un mur, et pour l’abattre, ils n’ont d’autre choix que d’abandonner l’idéologie mondialiste et le système économique érigé en tyrannie mondiale par les banques internationales et autres ploutocrates, pour monter dans le train multipolaire économique des nationalistes, où autonomie et souveraineté seront respectées. Ils doivent sacrifier reine et roi pour survivre. L’alternative est de risquer la révolution des peuples en les enfonçant dans un marasme social et un trou économique dont les banques ne se sortiraient jamais. Mais que faire des dettes ? On n’a qu’à couper le fil avec les banques, qui seront emportées par le poids des dettes qu’elles ont provoquées, et faire ce qui est à la mode du côté de la multipolarité, c’est-à-dire opter pour des monnaies nationales.

L’empire du mensonge n’a plus de plan B ni C, ni D. L’Occident est isolé, son armée est nue, ses missiles désuets, ses médias en disgrâce et ils perdent la main sur toutes les ressources qui abreuvent sa richesse factice. Sous des pressions internes qui ne veulent plus d’un plan de destruction économique sans résolution possible au bout, les gouvernements mondialistes des Young leaders du FEM tombent ; Ardern en Nouvelle-Zélande, Sanchez en Espagne, Rutte aux Pays-Bas et les autres suivront. Et on devra les remplacer par de vrais nationalistes, pas des mondialistes déguisés à la Giorgia Melloni. Si Trump pouvait déloger les Démocrates en 2024, ce serait le clou final sur le mondialisme, entraînant son wokisme, son réchauffement imaginaire et son lent génocide médical des peuples dans la poubelle de l’histoire.  

Désormais, vous pouvez prendre avec un grain de sel les multiples analyses géopolitiques qui distinguent les intérêts politiques des USA de ceux de l’UE, ou qui disent que « Biden défend à Zelensky de négocier » ; ce sont des attributs de la même ploutocratie, qui elle-même veut sacrifier l’Europe pour renflouer sa reine, américaine. Et puis, tout ce qui ne tient pas compte dans son cadre analytique de ce que Poutine a accompli via le pétrole est de la bouillie pour les chats. Et le plus tragique est que même si ça devient aussi évident que les yeux dans le visage, à peu près personne n’a encore compris. C’est le précepte de base à tout ce qui se passe aujourd’hui en 2023, et c’est pourquoi Bobby Fisher a décidé de ne pas jouer la partie de retour. Poutine a une avance militaire insurmontable et il n’attendra certainement pas que le complexe industriel militaire américain le rattrape : cette fois, il n’arrêtera pas tant que l’Occident ne couche son roi. Si ça ne vient pas après l’Ukraine, il continuera, et à quelques coups de l’échec et mat, il serait bien fou d’abandonner sa croisade.




« VACCINS » Covid-19 : Des milliers de handicapés et de morts

Erreurs, ou mensonges ?
Vous avez refusé d’entendre, ou même de vérifier ce que nous disons depuis 3 ans !
La lâcheté et la soumission ne sont-elles pas en partie responsables d’une hécatombe de plus en plus visible ?

« Un peuple qui se met à genoux est davantage responsable de la tyrannie que le tyran lui-même »

La Boétie

Par Jean-Pierre JOSEPH
Avocat au Barreau de Grenoble,
Doyen de l’Ordre
auteur de « Vaccins on nous aurait menti ? » (Testez éd. — 6° éd. 2021)

Depuis 2021, des centaines de jeunes sportifs de haut niveau s’effondrent en pleine action. De nombreuses publications en font état. Du jamais vu, tellement ils sont nombreux.

Depuis 2021, des acteurs, chanteurs, musiciens du monde occidental, sont terrassés, soit par un arrêt cardiaque, soit par un AVC, soit encore par un cancer, dit « turbo cancer » dont l’évolution est rapide et foudroyante, et dont la particularité est que la chimiothérapie se révèle inefficace. Du jamais vu, tellement ils sont nombreux.

Nous avons presque tous dans notre entourage, des personnes qui apparemment étaient en bonne santé, et qui sont décédées brutalement. Leur nombre interpelle.

Tous ces gens avaient 2 points communs :

  • – le même type de symptômes ;
  • – une ou plusieurs injections du « vaccin » anti-Covid. Malgré le fait que la cause soit de plus en plus évidente, le discours officiel continue de nier totalement la responsabilité de ces injections. Même les médecins à qui les familles des victimes posent la question, répondent avec une détermination hystérique que « ce n’est pas le vaccin… ». Mais lequel d’entre eux prend la peine de vérifier ? Leur soumission, ainsi que la soumission révoltante des grands médias qui se taisent, alors que même les chiffres officiels de la pharmacovigilance montrent que ces « vaccins » ont fait en seulement quelques mois, au moins 20 fois plus de victimes qu’en 50 ans de surveillance de tous les autres vaccins, n’est-elle pas synonyme de complicité ?

En 1999, dans « Les radis de la colère » (Ed. Louise Courteau), j’indiquais que pour construire la mondialisation, les hauts financiers mondiaux « conseillant » les gouvernements devaient suggérer de :

a) supprimer les indépendants : les agriculteurs ne représentent plus que 3 % de la population, alors qu’en 1950 la France était un pays agricole, les liquidations des commerçants et artisans se comptent par milliers, les professions libérales glissent de plus en plus vers le salariat. Objectif : une population de salariés de la grande distribution et de chômeurs.

b) créer une dépendance par la santé, parfois à vie, en promotionnant une médecine symptomatique et non préventive, rendant la population passive dans l’attente du remède miracle.

« … Un peuple en mauvaise santé rapporte gros, et ne se révolte pas. »

À la suite de la publication de cet ouvrage, j’ai été qualifié de « secte » (à moi tout seul).

Pourtant ce que je prédisaiss’est révélé exact !

Dès l’annonce de la 2e vague, nous avons dit « Il y en aura une 3e, puis une 4e, et même une cinquième, et vous verrez que le but de ce cirque est la sortie d’un vaccin… »

Nous avons alors été qualifiés de « complotistes », car « … Il faut des années pour mettre au point un vaccin…. » nous avaient toujours affirmé les grands pontes de la Santé Publique.

Pourtant cela s’est révélé exact !

Dès l’annonce de la vaccination, nous avons dit « 2 doses ? Il y en en aura une 3e, puis une 4e, etc. »

Nous avons alors été qualifiés de « complotistes » ;

Pourtant cela s’est révélé exact !

Dès l’annonce du port du masque obligatoire, nous avons indiqué que cette mascarade ne protégeait pas les populations, mais entretenait la peur, par le fait qu’en voyant toute la journée des visages masqués, l’on repensait sans arrêt au virus. D’ailleurs le masque n’a pas empêché la 2e, 3e, 4e vague, etc.

Nous avons alors été qualifiés de « complotistes » ;

Pourtant cela s’est révélé exact !

Dès l’annonce de la vaccination obligatoire pour les soignants, nous leur avons dit « Patience, le temps travaille pour vous. Il arrivera un jour où il y aura tellement de victimes qu’ils ne pourront plus le cacher… »

Comment pouvions-nous en être aussi sûrs ?

Pour un esprit logique non terrorisé, les contradictions et les incohérences ne pouvaient avoir qu’une seule explication : nous vivions une opération préméditée, dans le cadre de laquelle les « erreurs » étaient en fait des actes volontaires.

Ainsi, quand un automobiliste qui a renversé et tué un piéton plaide l’homicide involontaire, on le croit, sauf si l’on apprend qu’il était stationné depuis des heures à 50 mètres du lieu de « l’accident », et que le piéton était l’amant de sa femme…

Nous sommes dans le même cas de figure : N.B. Il faut rappeler que les connaissances scientifiques disponibles ne sont pas limitées aux connaissances des seuls membres du Conseil Scientifique, ou de la H.A.S., d’autant plus que l’on sait aujourd’hui que les membres du Conseil scientifique étaient essentiellement des médecins non spécialistes de virologie, à l’exception du Pr RAOULT, l’un des virologues les plus réputés au monde, qui a quitté ce Conseil dès la 1re séance, étant en désaccord avec les décisions. Les mesures prises étaient loin d’avoir l’approbation de l’ensemble du corps médical. Malheureusement, les Français ont été trompés par le fait que les médias ne donnaient la parole qu’à ceux qui étaient d’accord avec une sorte de pensée unique.

Or, il apparaît que :

I — DES FAITS (et non pas des théories) QUI INTERPELLENT :

1— Avant même l’arrivée du virus en France, 15 000 lits d’hôpitaux avaient été progressivement supprimés,

2— Avant même l’arrivée du virus en France, toutes les thérapeutiques existantes et reconnues efficaces dans le monde entier étaient interdites en France sous des prétextes fallacieux : l’interdiction la plus caricaturale fut celle de l’hydroxychloroquine, médicament connu et utilisé depuis 70 ans, et classé en janvier 2020 parmi les substances vénéneuses, par un arrêté ministériel.

Parmi les thérapeutiques efficaces, l’on peut également citer :

  • – la vitamine C en perfusion et à haute dose : des milliers de publications du monde entier, depuis des années, vantaient les résultats de cette méthode sur les infections virales. Aux USA, le Pr MARIK, indiquait que dans son service, l’intégralité des patients hospitalisés avec le diagnostic de Covid 19 avaient été guéris par cette méthode associée à un antibiotique.
  • – l’artemisia annua, utilisée en Afrique et à Madagascar,
  • – l’Ivermectine.

Ce ne sont là que des exemples, et il est consternant d’apprendre que les médecins qui prescrivaient l’une de ces thérapeutiques (et qui avaient d’excellents résultats) étaient poursuivis devant le Conseil de l’Ordre !

Résultat logique : les malades devaient attendre l’aggravation de leur état pour être hospitalisés, alors que s’ils avaient été soignés tout de suite, ils auraient presque tous guéri.

3— Dès l’arrivée officielle du virus en France, l’on nous disait que le masque et le confinement seraient inutiles. Mais 15 jours plus tard, le discours avait complètement changé !

Or, nos scientifiques savaient très bien que n’importe quel virus passe au travers des masques, car les petits trous microscopiques nous permettant respirer (mal), sont au moins 40 fois plus gros que le virus. Les masques ont été conçus pour filtrer les bactéries, bien plus grosses que le virus. D’ailleurs c’était écrit sur les 1res boîtes de masques : « Ne protège pas du virus… »

En outre, un chercheur de l’équipe du Pr RAOULT avait découvert que le virus ne pouvait se répliquer qu’en présence de bactéries. L’humidité provoquée par la respiration multipliait les bactéries restant accrochées au masque. Ainsi le fait de le porter est exactement ce qu’il fallait faire pour que le virus se multiplie !

4— Les tests PCR ont identifié 80 % de faux positifs, à cause du procédé qui identifiait n’importe quelle bribe de virus, y compris un virus ancien.

5— Le nombre des décès dus au Covid 19 a été énormément surévalué.

L’Agence technique de l’information sur l’hospitalisation (A.T.I.H.), site officiel gouvernemental, a publié le rapport de l’année 2020, laissant apparaître que :

« … Au cours de l’année 2020, 218 000 patients ont été hospitalisés pour prise en charge de la Covid-19. Les patients Covid représentent 2 % de l’ensemble des patients hospitalisés au cours de l’année 2020… Parmi l’ensemble des décès hospitaliers survenus au cours de l’année 2020, 11 % ont concerné des patients Covid… »

Ainsi, l’on a terrorisé la France entière, en faisant croire que les hôpitaux étaient surchargés à cause du Covid 19, alors que la panique de 2020 était due à une mauvaise organisation des hôpitaux, et aussi au fait que même les accidentés de la route qui décédaient de leurs blessures, s’ils avaient été testés positif entre temps, étaient déclarés « morts du Covid »

M. Pierre CHAILLOT, statisticien indique, dans son livre « Covid 19, ce que révèlent les chiffres officiels », seuls 38 hôpitaux étaient au départ habilités à recevoir des malades « covid » sur plus d’un millier d’établissements hospitaliers. Et l’on n’a surtout pas fait appel aux cliniques privées. Cherchez « l’erreur »…

6— Les produits qualifiés de « vaccins » n’empêchent ni de contracter la maladie ni de la transmettre.

Pour la 1re fois, dans l’histoire des épidémies, les produits qualifiés de « vaccins », selon les fabricants, ne confèrent une immunité que pendant 3 ou 4 mois, ce qui a pour conséquence l’injection d’une 3e, puis une 4e, et pourquoi pas une 5e dose, etc., et ceci pour de nombreuses années !

Alors qu’au moment de leur mise conditionnelle sur le marché, les fabricants des vaccins Pfizer et Moderna avaient affirmé que leurs produits étaient efficaces à 95 % et l’autorisation de mise sur le marché leur avait été accordée sur leur seule déclaration selon laquelle leurs « vaccins », trouvés en un temps record, et encore en phase d’essai clinique, étaient à la fois efficaces et sûrs.

Or il n’en était rien !

En effet, le 10 octobre 2022, lors d’un échange entre les eurodéputés et les représentants des laboratoires pharmaceutiques, un député néerlandais a interpellé Mme Janine Small cadre supérieure chez Pfizer (dont le PDG M. Bourla n’avait pas cru bon de se déplacer) pour savoir si, l’efficacité du vaccin contre la Covid fabriqué par ce laboratoire, pour réduire la transmission, avait été testée avant sa mise sur le marché.

Mme Small a répondu par la négative.

Ainsi Pfizer indiquait ne pas savoir si grâce à son « vaccin », le virus se transmettait ou pas.

Pourtant tout au long de la campagne vaccinale on n’a cessé de dire à la population française que se faire vacciner était la seule façon de se protéger et de protéger les autres.

On a vu partout le slogan : « tous vaccinés, tous protégés ».

Ainsi, on a imposé à certains personnels de se vacciner contre la covid 19 pour qu’ils ne transmettent pas la maladie, alors qu’il est démontré que les « vaccins » n’empêchent pas la contamination.

Les fabricants, tout comme de nombreux médias, véritables carpettes, ont alors indiqué que les « vaccins » protégeaient des formes graves, et empêchait de transmettre les formes graves. Quel mensonge !!

De nombreux « vaccinés » se sont retrouvés aux urgences, ou au cimetière…

7— le nombre d’effets indésirables est colossal !

Dès le début de la campagne de vaccination, le nombre de déclarations d’effets indésirables a été alarmant ! Et très curieusement, l’Agence Nationale de sécurité du médicament (A.N.S.M.), site officiel gouvernemental, qui publiait presque chaque mois, un rapport concernant les effets indésirables, a cessé très vite de publier le nombre de décès. Le dernier rapport faisait état de 1 200 décès.

Aujourd’hui, l’on constate un nombre inquiétant de myocardites, arrêts cardiaques, AVC, cancers dits « turbo-cancers », embolies pulmonaires, femmes n’ayant plus de règles, fausses couches, etc.

Le dernier rapport de l’A.N.S.M. du 11 mai 2023 indique que sur 156 711 100 injections, 193 571 cas d’effets indésirables ont été déclarés, soit 1 déclaration sur 809 injections.

Ces chiffres sont incroyables. (une proportion 1 236 fois plus élevée que pour le vaccin contre la grippe pour lequel on remarque 1 déclaration sur 1 000 000 d’injections !)

Vu que l’A.N.S.M. est un site officiel, il va être difficile pour nos dirigeants, nos élus, ainsi que pour nos journalistes, de dire qu’ils ne le savaient pas.

C’est donc en connaissance de cause que les responsables de la Santé Publique ont menti, en indiquant que les « vaccins » nous protégeaient efficacement et induisaient très peu d’effets indésirables, alors que parallèlement, déjà courant septembre 2021, une proposition de résolution était déposée au Parlement Européen pour la « … création d’un fonds Européen d’indemnisation des victimes des vaccins contre la Covid-19 »

Cette proposition indique notamment :

« Considérant que l’Agence européenne du médicament répertorie déjà environ un million de cas d’effets indésirables suite à l’injection de vaccins contre la Covid-19… »

N.B. Il est à noter que d’après de nombreux scientifiques, et l’ANSM elle-même, les données de pharmacovigilance ne représentent en général que 5 à 10 % en moyenne des cas réels et que des essais cliniques sont normalement arrêtés immédiatement si des décès sont constatés. (Un exemple parmi d’autres  : en juillet 2020, la Food and Drug Administration [FDA] américaine a stoppé les essais cliniques de la société Cellectis pour le produit UCARTCS1 pour seulement un décès)

Le professeur Peter A. McCullough, cardiologue, vice-chef de médecine interne à la Baylor University Medical Center à Dallas au Texas ainsi que professeur principal en médecine interne à l’Université A & M du Texas Health Sciences Center, a précisé dans une interview que :

« La limite pour arrêter un programme de vaccin est 25 à 50 morts. Grippe porcine, 1976, 26 décès, ils ont arrêté ».

De nombreux médecins (pas ceux que l’on invitait sur les plateaux qui, comme par hasard, croulaient sous les liens d’intérêts) prononçaient en public le terme de « génocide » ou encore « hécatombe ».

Il est un fait indéniable : Les courbes de mortalité, surtout chez les jeunes ont monté de manière inquiétante, dans tous les pays, depuis que l’on vaccine en masse.

Pierre CHAILLOT, dans son ouvrage : « Covid 19, ce que révèlent les chiffres officiels », indique qu’il n’y a pas en France, d’accès aux données sur les morts dus à la vaccination, lesquelles montreraient, comme c’est le cas en Angleterre, que les vaccinés meurent plus que les non-vaccinés par classe d’âge.

Un article publié le 20 novembre 2021 dans la revue The Lancet indique qu’une étude allemande a démontré que les personnes vaccinées ont plus de probabilité d’être de nouveau infectées du Covid-19 que les non-vaccinés. Elles sont aussi une source de transmission du SARS-CoV2.

II— UNE LISTE IMPRESSIONNANTE D’ANOMALIES :

En outre, nous avons assisté à de nombreuses anomalies. Quelques exemples :

– Fin 2020, les masques étaient devenus obligatoires, même en plein air, ce qui est scientifiquement aberrant, alors que :

– dès le 1er jour du 1er confinement, Jérôme SALOMON, Directeur Général de la Santé, sur BFM TV, déclare :

« … Je vois énormément de masques dans la rue, des personnes qui n’ont aucune raison d’en porter et d’être exposés à des malades (…) ne portez pas de masques… »

– Sur le site officiel de l’OMS, courant mai 2020, on peut lire :

« … Si vous êtes en bonne santé, vous ne devez utiliser un masque que si vous vous occupez d’une personne présumée infectée par le Covid 19 (…) Il n’existe aucune preuve que le port du masque par des personnes en bonne santé puisse empêcher d’être infectée par des virus respiratoires… »

– Quelle que soit la composition du masque (en papier, en tissu, etc.) il était accepté. L’essentiel était de cacher son visage.

– Les enfants ne risquaient rien, mais il fallait quand même porter le masque à partir de 11 ans. Avec quelle hystérie, les chefs d’établissements ont veillé au respect de cette directive inutile et créatrice de stress, de mauvaise respiration, de pathologies respiratoires, etc. ! On dit que le niveau intellectuel des élèves a baissé. Mais il semblerait que celui de beaucoup d’enseignants aussi, car les rares résistants (qui d’ailleurs ne sont pas tombés malades) ont été dénoncés par leurs collègues, véritables collabos soumis comme des carpettes.

– Tous les soirs, on égrenait des chiffres en utilisant un vocabulaire stupide : ainsi les porteurs sains sont devenus « malades asymptomatiques ». Jusqu’à cette époque, la définition d’un malade était quelqu’un qui présente des symptômes… Il fallait faire croire que tout être testé positif était malade. Comme on a testé 80 % de faux positifs, on a donc identifié 80 % de faux « malades asymptomatiques ».

– Les masques s’enlevaient au restaurant pour manger, dès que l’on se levait, il fallait le remettre, comme si le virus planait à 1,50 mètre du sol…

– Les heures du couvre-feu changeaient, comme si le virus avait des horaires d’activité variable ;

– Pendant le 1er confinement, seules les activités essentielles étaient autorisées. Mais pourquoi a-t-on installé, parfois même la nuit, des milliers d’antennes 5G ? En quoi cela constituait-il des activités essentielles ?

– Les soignants non vaccinés étaient suspendus. Mais les vaccinés, même malades, avec le diagnostic Covid (donc contagieux par définition) venaient travailler, s’ils n’étaient pas trop malades, alors que la quasi-totalité des suspendus n’étaient pas malades et demandaient leur réintégration, en vain.

– Pour la 1re fois, dans l’Histoire de la vaccination, les contrats qui avaient été signés avec la Commission Européenne, prévoyaient :

– une exclusion de responsabilité des laboratoires, en cas d’effets indésirables,

– une clause indiquant clairement que les parties au contrat indiquent que l’efficacité et les effets indésirables à long terme ne sont pas connus !

– Pour la 1re fois, dans l’Histoire de la vaccination, un vaccin a été réalisé en quelques mois, et mis sur le marché encore en période d’essai clinique.

– Pour la 1re fois, dans l’Histoire de la vaccination, on n’avait pas le droit de savoir quelle était la composition des produits : « Secret de fabrication »

– Pour la 1re fois, dans l’Histoire de la vaccination, le « vaccin » ne protégeait (soi-disant) que pendant quelques mois. Il faudrait donc une 3e dose, puis une 4e. On parle déjà de la 5e…

– Pour la 1re fois, dans l’Histoire de la vaccination, le « vaccin » n’empêchait pas de contracter la maladie, de développer des formes graves et d’en mourir.

– Pour la 1re fois, dans l’Histoire de la vaccination, le « vaccin » n’empêchait pas de contaminer les autres,

– Pour la 1re fois, dans l’Histoire de la vaccination, les médecins qui vaccinaient contre le Covid-19, percevaient de la CPAM des honoraires plus élevés. Dans les vaccinodromes, ils pouvaient percevoir environ 1 000 € par jour. Il est donc facile de comprendre pourquoi aujourd’hui, de nombreux médecins, devant un grave problème consécutif à un vaccin, hurlent hystériquement que « ça ne peut pas venir du vaccin ».

– Pour la 1re fois, dans l’Histoire de la vaccination, un certain nombre de personnes injectées depuis quelques heures étaient l’objet de phénomène d’aimantation : à l’endroit de l’injection, elles pouvaient faire tenir des pièces de monnaie, des cuillères, etc. Ce phénomène s’estompait au bout de quelques jours.

Un de mes confrères a donc fait faire un constat d’huissier, et à sa grande surprise, l’huissier constatait également que lorsqu’il s’approchait de la personne fraîchement vaccinée, un code s’affichait sur son téléphone portable, et disparaissait s’il s’éloignait de la personne.

Qu’y avait-il donc dans ces produits dont l’entière composition n’était pas connue ?

Un groupe de juristes de plusieurs pays ont alors fait analyser les fioles par plusieurs laboratoires, en Espagne, en Suisse, aux U.SA.

Tous ont trouvé la présence de nanoparticules d’oxyde de graphène, dans des quantités inquiétantes. Quelle peut être l’utilité de ce métal dans les injections ? L’oxyde de graphène est connu des électroniciens : c’est l’un des meilleurs conducteurs des ondes électromagnétiques actuellement connus. Il est extrêmement toxique. Mais, s’il n’a pas handicapé, ou tué la personne injectée, il s’élimine en 4 à 6 mois. Tiens donc ! les certificats de rétablissement, étaient valables 6 mois au début, puis 4 mois ! quelle coïncidence !

À moins qu’on ne nous donne une autre explication concernant la présence massive de ce métal toxique dans les injections, l’on ne voit pas quelle pourrait en être l’utilité, si ce n’est que de connecter l’être humain. On comprend alors mieux pourquoi on s’est dépêché d’installer des antennes 5G en 2020.

On comprend mieux pourquoi il fallait une 3e dose, puis une 4e, etc.

L’objectif n’aurait il pas été 2 injections par an à vie ?

Ainsi, outre la protéine Spike et ses dégâts à long terme sur l’organisme, le graphène ajoutait une couche.

III— DES SCIENTIFIQUES DE RENOMMÉE INTERNATIONALE CONFIRMENT CE QUE NOUS DISIONS DEPUIS 3 ANS

Dans une vidéo récente, le Dr David MARTIN nous donne une explication claire : (https://crowdbunker.com/v/AwaWDwgmxh



)

N.B. David MARTIN est ancien professeur adjoint à l’École de médecine de l’Université de Virginie, PDG fondateur de M∙CAM Inc. leader international de la gestion des risques financiers basée sur la propriété intellectuelle.

Porte-parole de la responsabilité mondiale en matière de propriété intellectuelle et de la réforme de la qualité, le Dr Martin a travaillé en étroite collaboration avec le Congrès des États-Unis et de nombreux organismes de réglementation du commerce et de la finance aux États-Unis, en Europe et en Asie, pour défendre et déployer une infrastructure visant à soutenir la dépendance croissante aux droits de propriété.

Il a été membre fondateur de l’Institut japonais pour la science et la technologie des interfaces. Il a fondé et occupé le poste de directeur exécutif du Charlottesville Venture Group. Il a été membre du conseil d’administration du Research Institute for Small and Emerging Business (Washington DC), de l’Academy for Augmenting Grassroots Technological Innovations (Inde), de l’IST (Japon), de la Chambre de commerce régionale de Charlottesville (Virginie).

Ce médecin indique :

« … Il ne s’agit pas d’un vaccin, mais d’un ARNm encapsulé dans une enveloppe de graisse qui est livrée à une cellule.

Il s’agit d’un dispositif médical conçu pour amener la cellule humaine à devenir un créateur d’agents pathogènes… 

Rappelez-vous que 80 % des personnes soi-disant exposées au SARS CoV 2 ne présentent aucun symptôme.

80 % des personnes qui se font injecter cette substance subissent un événement clinique indésirable.

On vous injecte une substance chimique pour induire une maladie et non pour induire une réponse immunitaire contre la transmission.

Rien de tout ça ne vous empêchera de transmettre quoi que ce soit. Il s’agit de vous rendre malade et que vos propres cellules soit la chose qui vous rende malade.

Donc cela va déclencher une réponse auto-immune, et cela peut directement causer la sclérose en plaques, la maladie d’Alzheimer, car c’est ce que l’expression de cette enveloppe pathogène, cela peut provoquer un cancer accéléré.

C’est le résultat de l’expression de ce morceau de virus, ce seul incident, c’est connu depuis des décennies.

On injecte directement la maladie… »

Le 9 mai 2023, le même médecin est venu s’exprimer au Parlement Européen. Il révèle des faits extrêmement graves :

(https://crowdbunker.com/v/X8Lo4AoAZH#:~:text=L



)

« Tous les commentaires que j’ai faits sont basés sur des documents publiés.

En 1966, le 1er COV modèle de coronavirus, a été utilisé dans le cadre d’une expérience biologique transatlantique de manipulation humaine…

Cela ne s’est pas fait du jour au lendemain. Il s’agit là d’un événement préparé depuis longtemps…

En 1967, nous [NDLR : Les USA] avons réalisé les premiers essais d’inoculation de Coronavirus modifiés à des êtres humains. N’est-ce pas incroyable ? Il y a 56 ans !

En 1975,76 et 77, nous [NDLR : Les USA] avons commencé à chercher comment modifier le coronavirus en l’introduisant dans différents animaux, les porcs et les chiens.

Et sans surprise, en 1990, nous avons découvert que le coronavirus en tant qu’agent infectieux était un problème industriel pour principalement deux industries : les industries du chien et du porc ont constaté que le coronavirus provoquait des problèmes gastro-intestinaux.

C’est sur cette base que Pfizer a déposé le brevet du 1er vaccin à base de protéine de pointe (Spike) déposé en 1990, opération Warp Speed (Vitesse grand V)…

N’est-ce pas fascinant que l’on nous ait dit que la protéine de pointe était une nouveauté et que nous venions de découvrir que c’était là le problème ?

En fait, nous n’avons pas découvert le problème maintenant, nous l’avons découvert en 1990 et nous avons déposé le 1er brevet sur les vaccins en 1990 contre la protéine de pointe du coronavirus…

Et, en 1990, ils ont découvert qu’il y avait un problème avec les vaccins. Ils ne fonctionnaient pas. Savez-vous pourquoi ils ne fonctionnaient pas ? Il s’avère que le Coronavirus est un modèle très malléable qui se transforme, change et mute au fil du temps.

Et toutes les publications sur le vaccin contre le Coronavirus, de 1990 à 2018, absolument chaque publication a conclu que le Coronavirus échappe à la stimulation vaccinale, parce qu’il se modifie et mute trop rapidement pour que les vaccins soient efficaces. Et depuis 1990 jusqu’à 2018, c’est la science qui a été publiée. C’est ce que l’on appelle, suivre la science.

Suivre la science, c’est leur propre mise en accusation de leurs propres programmes qui disaient que ça ne marchait pas. Et il existe des milliers de publications à ce sujet, pas quelques centaines, et qui ne sont pas payées par des sociétés pharmaceutiques.

Il s’agit de publications, issues de recherches scientifiques indépendantes qui montrent sans équivoque, y compris les efforts de modification des chimères, réalisées par Ralph Baric à l’université de Caroline du Nord à Chapel Hill, toutes montrent que les vaccins ne sont pas efficaces contre le Coronavirus. C’est la science qui le dit. Et cette science n’a jamais été contestée.

Cependant, une évolution intéressante s’est produite en 2002. Cette date est très importante. En effet, en 2002, l’université de Caroline du Nord à Chapel Hill a breveté, je cite “Un clone infectieux de Coronavirus dont la réplication est défectueuse”. Écoutez ces mots : “Infectieux à réplication défectueuse”. Que signifie cette phrase ?

Pour ceux d’entre vous qui ne sont pas familiers avec ce langage, permettez-moi de vous le décrypter. Le terme infectieux à réplication défectueuse signifie qu’il s’agit d’une arme. Il s’agit d’une arme destinée à cibler un individu sans causer de dommages collatéraux à d’autres individus. C’est la signification du terme infectieux à réplication défectueuse. Et ce brevet a été déposé en 2002 sur la base de travaux financés par le NIAID de Anthony FAUCI de 1999 à 2202.

Ces travaux brevetés en Caroline du Nord à Chapell Hill ont mystérieusement précédé d’un an le SRAS1.0…

Je ne suggère rien, je vous dis que ce sont les faits. Nous avons fabriqué le SRAS. Le SRAS n’est pas un phénomène naturel. Le phénomène naturel s’appelle le rhume. Il s’agit d’une maladie de type grippale. Il s’agit de la gastro-entérite, c’est le coronavirus naturel. Le SRAS est le résultat d’une recherche menée par des humains qui ont utilisé un modèle de système de vie pour s’attaquer à des êtres humains et ils l’ont breveté en 2002 et en 2003, surprise de taille, le CDC a breveté le coronavirus humain, en violation une fois de plus, des traités et des lois sur les armes biologiques et chimiques en vigueur aux États-Unis…

Lorsque le CDC a déposé le brevet en avril 2003, sur le modèle de coronavirus du SRAS isolé chez l’homme, qu’ont-ils fait ? Ils ont téléchargé une séquence en provenance de Chine et ont déposé un brevet sur cette séquence aux États-Unis.

Tous ceux qui connaissent les traités sur les armes biologiques et chimiques savent qu’il s’agit d’une violation. C’est un crime. Il ne s’agit pas d’une erreur innocente… »

« Vous pouvez vous demander : Le Coronavirus était-il prêt à émerger chez l’homme ? C’était le WIV1 : Wuhan Institut Of Virology Virus 1 prêt à émerger chez l’homme en 2016 dans le cadre des travaux de l’Académie Nationale des Sciences. Si bien qu’arrivant à 2017 et 2018, la phrase suivante est entrée dans le langage courant de la communauté : « Il va y avoir une libération accidentelle ou intentionnelle d’un pathogène respiratoire »

Le terme « libération accidentelle ou intentionnelle d’un agent pathogène respiratoire » a été utilisé 4 fois en avril 2019, 7 mois avant le soi-disant patient numéro 1.

4 demandes de brevets de Moderna ont été modifiées pour inclure l’expression « Libération accidentelle ou intentionnelle d’un agent respiratoire pathogène » afin de justifier la fabrication d’un vaccin pour une chose qui n’existait pas.

C’est en septembre 2019 que le monde a été informé que nous allions avoir une libération accidentelle ou intentionnelle d’un agent respiratoire pathogène de sorte qu’en septembre 2020, il y aurait une acceptation mondiale d’un vaccin universel. Ce sont leurs mots juste devant vous à l’écran. L’objectif était d’amener le monde à accepter un modèle de vaccin universel et d’utiliser le Coronavirus pour y parvenir. Lisons ceci :

« En attendant qu’une crise des maladies infectieuses soit réellement présente et au seuil d’urgence qui est souvent largement ignorée pour maintenir la base de financement au — delà de la crise », ils ont déclarés “Nous devons mieux faire comprendre au public la nécessité de contre-mesures médicales, tel qu’un vaccin universel contre la grippe ou le coronavirus. Les médias sont un moteur essentiel et l’économie suivra le battage médiatique. Nous devons utiliser ce battage médiatique à notre avantage pour nous attaquer au vrai problème. Les investisseurs réagiront s’ils voient un bénéfice à la fin du processus. »

Il s’agit donc d’un terrorisme domestique prémédité, déclaré dans les écrits de l’Académie Nationale des Sciences en 2015. Il s’agit d’un acte de guerre biologique et chimique perpétré contre la race humaine et il a été admis par écrit qu’il s’agissait d’un holdup financier et d’une fraude financière. Je rappelle « Les investisseurs suivront s’ils voient un profit à la fin du processus. »

Quels médias ont publié son intervention ?

b) Alexandra Henrion-Caude, généticienne, ancienne directrice de recherche au CNRS, au cours du Printemps 2023, déclare au Parlement Européen :

« Quel est le consensus, en tout cas, il ne peut pas être scientifique. S’il y a consensus scientifique, c’est de l’obscurantisme, car le consensus chez nous est la preuve d’un refus de progrès et de nouvelles découvertes.

On m’oppose le succès en me disant “oui, mais des milliards d’individus ont été injectés.” Ça c’est un succès business, ça c’est un succès administratif d’avoir forcé des pays à injecter des populations. Ça, c’est un succès de manipulation des populations à prendre un produit dont ils ne savent rien.

Mais en tout cas, ils n’ont pas réussi à traiter le mal qu’ils voulaient traiter.

Si jamais les médecins ne sont pas capables de monter au créneau en disant :

On nous a menti, on nous a fait injecter un produit qu’on nous a dit qu’on maîtrisait et qu’on connaissait depuis longtemps.

C’est faux,

On nous a menti, on nous a dit que l’ARN messager se dégradait tout de suite.

C’est faux.

On nous a menti. On nous a dit que l’ARN messager allait rester dans le muscle.

C’est faux.

On nous a dit qu’on allait injecter que 2 fois ces doses.

C’est faux.

On nous a dit qu’ils étaient sûrs et efficaces,

C’est faux. Ils ne sont ni sûrs ni efficaces.

On nous a dit que la phase 3 était terminée.

C’est faux.

Donc ces médecins ont le droit et l’obligation déontologique, de dire : on nous a menti sur ces injections à ARN messager.

Donc on sait que les suivantes, ça sera la même chose. En 2030 ils prévoient toute une batterie d’ARN messager pour tout un tas de maladies, qu’elles soient infectieuses ou pas infectieuses… »

IV— ON NOUS AURAIT MENTI ? MAIS POURQUOI ?

Le fait d’affirmer que nos dirigeants nous ont menti, n’est pas une théorie : dès le départ, ils ont été largement informés par les chiffres officiels, et par des centaines de médecins qui les interpellaient. C’est donc une évidence.

On peut donc se demander quelles sont les raisons.

Nous préférons que le lecteur déduise par lui-même la réponse à ces questions. Donc, nous n’avancerons aucune théorie, mais nous rappellerons des faits qui, mis bout à bout, amèneront (peut-être) à de logiques déductions :

1er fait : Le rôle d’un multimilliardaire

Lors de la conférence TED 2010, Bill Gates indique espérer réduire la population mondiale ‘avec de bons résultats sur les nouveaux vaccins’.

Dans le numéro de juin 2011, le magazine britannique The Sovereign Independant, affichant une photo de Bill Gates, cite une de ses déclarations faites à l’issue d’une conférence : LA DÉPOPULATION GRÂCE À LA VACCINATION FORCÉE : LA SOLUTION AU CARBONE ZÉRO… Le monde compte aujourd’hui 6,8 milliards de personnes. Ceci va nous conduire à environ 9 milliards. Si nous faisons un bon travail concernant les nouveaux vaccins, les soins de santé, le contrôle des naissances, nous pouvons aboutir à une baisse de 10 à 15 %…

Courant 2017, après que Bill Gates ait versé des subventions importantes à l’OMS (organisme créé par la famille Rockefeller) la faisant ainsi devenir progressivement, une organisation privée, Tedros Adhanom Ghebreyesus est nommé à sa tête.

Ce personnage fut membre du bureau politique du Tigray People Liberation Front (TPLF), une organisation inscrite dans la liste des organisations terroristes du U.S. Homeland Security. Il fut ministre de la Santé en Éthiopie de 2005 à 2012, et est membre du Conseil d’administration de l’alliance pour la vaccination (GAVI) qui œuvre au profit de l’industrie pharmaceutique pour imposer la multivaccination avec des puces RFID à la terre entière.

Bill Gates est l’un des principaux promoteurs des campagnes de vaccinations dans le monde. Multimilliardaire, il aurait versé des subventions à de nombreux dirigeants politiques dans le monde, ainsi qu’à l’OMS.

Le 21 septembre 2018, la société Microsoft Technology Licensing (fondée par Bill Gates) dépose aux USA un brevet intitulé CRYPTOCURRENCY SYSTEM USING BODY ACTIVITY DATA. Ce brevet ne sera publié que courant mars 2020 (WO2020/060606A1).

Il concerne des nanoparticules qui auraient la faculté, lorsqu’elles sont introduites dans le corps humain par des injections, d’être identifiées et localisées par n’importe quel ordinateur.

Courant 2018, la Banque mondiale WITS (World Integrated Trade Solution) publie sur son site, des millions de commandes émanant de nombreux pays, pour lesquelles on lit’ : COVID-19 Diagnostic-Test instruments and apparatus’.

Dès que cette information a filtré, la mention « Covid-19 » a été effacée, et devant l’indignation sur les réseaux sociaux, la WITS a déclaré que cette appellation avait été une coïncidence…

À l’automne 2019, a lieu aux USA, sous la présidence du milliardaire, fondateur de la société Microsoft Technology Licensing, et finançant une grande partie du budget de l’OMS, une simulation d’une pandémie qui serait due à un coronavirus, sur la base d’un roman écrit en 1981 : « The eyes of darkness ». Cette simulation portait le nom de « Event201 ».

Lors de la conférence ID2020 Sommet 2019, Bill Gates fait la promotion du vaccin contenant le « marqueur » à nano-puce électronique, destiné à « marquer » et à contrôler 7 milliards d’humains. (mais il ne fait pas vacciner ses enfants).

Les premiers cas de Covid 19 seraient apparus au marché de Wuhan, à 180 m. du laboratoire inauguré par M. CAZENEUVE, 1er ministre français de l’époque.

Les faits suivants ne sont que des rappels de ce que nous venons d’expliquer, et la liste n’est pas exhaustive :

-2e fait : suppression progressive de 15 000 lits d’hôpitauxet « oubli » de faire appel aux cliniques privées (alors que beaucoup d’entre elles l’avaient proposé)

-3e fait : interdiction de toutes thérapeutiques avant l’arrivée du virus.

-4e fait : masques d’abord officiellement inutiles, puis brusquement obligatoires, confinement de la population = entretien de la panique

-5e fait : gonflement des chiffres.

-6e fait : vocabulaire angoissant sur les médias(« malades asymptomatiques »).

-7e fait : vaccins mis sur le marché en période d’essai clinique, à la suite de contrats aux clauses étranges.

8e fait : Déni total de l’inefficacité et de la toxicité des « vaccins ».

9e fait : Poursuites disciplinaires contre les médecins dénonçant toutes ces anomalies.

10e fait : Parole donnée sur les grands médias quasi-exclusivement aux médecins, qui ne remettaient rien (ou presque) en question et qui (comme par hasard) faisaient l’objet d’importants liens d’intérêts avec les laboratoires, à l’exclusion de ceux qui n’avaient rien à vendre, donc aucun intérêt à mentir.

11e fait : Installation de milliers d’antennes 5G, à une période où seules les activités essentielles étaient autorisées.

12e fait : Présence de nano particules d’un métal réagissant aux ondes.

La juxtaposition de ces faits est suffisante pour que le lecteur comprenne.

Avec plusieurs juristes et avocats, nous avons déposé des plaintes pour empoisonnement et tentative d’empoisonnement dans plusieurs départements français. Nous avons également déposé une plainte contre le Président de l’Ordre National des médecins pour avoir appuyé les directives gouvernementales, et donc empêché de soigner, ce qui a provoqué des états graves et des décès.

Nous avons défendu de nombreux soignants suspendus.

Il est malheureusement fort possible que nous subissions à l’avenir de nouvelles tentatives d’injections. Quel virus anodin sera-t-il brusquement classé dangereux ?

V — POURQUOI LA PLUPART D’ENTRE NOUS ONT-ILS ACCEPTÉ CELA SANS RÉSERVE ?

Début 2020, M. Olivier VERAN déclarait que le confinement était ce qui risquait de faire flamber une épidémie. Plusieurs ministres nous disaient à la même époque que les masques étaient inutiles en plein air.

On connaît la suite.

L’on peut s’interroger sur l’absence de réaction populaire, devant les mesures liberticides, contraires à ce qui avait été affirmé auparavant, contraires aux conventions internationales que la France avait signées auparavant.

Il y a 2 raisons à cela :

1— Le vaccin, depuis des décennies, est une véritable religion en France : ainsi les produits retirés des médicaments, des cosmétiques ou même des jeux pour les enfants, à cause de leur toxicité (l’aluminium) ne l’ont pas été des vaccins. Lorsque l’on pose la question, il nous est répondu « Oui, mais c’est un vaccin… » Nous sommes bien dans la religion, avec une extraordinaire particularité : Pour la gauche, la vaccination est un acquis social. Il est donc impensable de la remettre en question. Cette religion entraîne une logique sacrificielle, dans laquelle « … On sauve des vies » (soi-disant). Tant pis pour ceux qui sont morts pour (peut-être) en sauver d’autres.

La gauche, dans ce domaine, se trouve dans une incroyable contradiction : D’un côté, elle dénonce le pouvoir de l’argent sur l’économie, la médecine, la presse, etc., et paradoxalement, elle gobe inconditionnellement ce que disent les autorités et les médias, en fustigeant hystériquement quiconque oserait contredire des « certitudes », estimant qu’il n’est pas possible que l’on nous mente. Critiquant les religions, elle se retrouve… dans une véritable religion composée de postulats, dogmes, certitudes, qu’il est hors de question de vérifier. Même les militants de la France Insoumise, ont été totalement soumis, certains d’entre eux proposant même l’obligation vaccinale pour tous, se comportant comme de véritables « Kapos »…

2— Au procès de Nuremberg, le Gruppenführer SS KALTENBRUNNER, à la question « Comment avez-vous pu faire accepter cela à la population ? » a répondu : « On peut faire accepter n’importe quoi à une population qui a peur »

Ainsi, devant :

  • – la privation de la liberté d’aller et venir résultant du confinement,
  • – l’interdiction d’avoir le droit de respirer normalement (le masque),
  • – la discrimination dans les bars et restaurants n’acceptant pas ceux qui ne possédaient pas le pass vaccinal,
  • – l’obligation vaccinale pour les soignants,

Très peu ont réagi. Même les syndicats, ce qui est incroyable. Cette soumission n’est-elle pas en partie responsable de ces milliers de personnes, malades à vie, ou décédées ?

Cette soumission ne serait-elle pas synonyme de complicité ?

Comment réagirons-nous si cela recommence ?




Comprendre la coopération parasitaire entre les mondialistes et les gauchistes

[Source : alt-market.us]

Par Brandon Smith

Je dois admettre que dans mes efforts pour analyser et disséquer les idéologies et les programmes d’extrême gauche et des mondialistes, j’en suis arrivé à un point où je suis tout aussi fasciné qu’horrifié. Considérez un instant le récit progressiste « intersectionnel » que nous appelons souvent « woke » : ce n’est pas un mouvement militant parce qu’ils ont déjà des droits égaux devant la loi ; c’est en partie un mouvement politique, mais ses objectifs vont bien au-delà de mettre des candidats au gouvernement — une grande partie du gouvernement est déjà de leur côté. Ils prétendent s’opposer au « capitalisme » et au pouvoir des entreprises, mais leur mouvement est principalement financé par les élites financières mêmes qu’ils disent mépriser.

Non, ce mouvement est quelque chose de différent : c’est un système de croyances aveugles et l’invasion d’un culte qui se vénère lui-même, qui vénère le pouvoir et, comme moyen d’arriver à ses fins, cherche à saper la vérité autant que possible. Nous assistons à l’avènement de l’histoire, à la naissance d’une monstrueuse religion du relativisme moral.

Pour comprendre la gauche politique et ses tactiques, il faut comprendre sa relation avec les mondialistes. Les groupes woke sont une création du régime corporatiste/mondialiste. Pendant des décennies, des groupes de réflexion comme la Fondation Ford et la Fondation Rockefeller ont préparé les universités à produire un approvisionnement constant de membres de la secte, tous endoctrinés dans un récit soigneusement élaboré qui s’accroche au socialisme et utilise le statut de victime comme monnaie d’échange.

Ils abhorrent la méritocratie et ont des illusions d’équité. Ils exigent une utopie impossible qui garantisse des résultats égaux. Ils voient l’autosuffisance comme une criminalité, une tentative d’échapper à la surveillance collective. Et ils sont plus que disposés à rationaliser la malhonnêteté, la désinformation, la déconstruction, le chaos et le meurtre comme moyen d’obtenir ce qu’ils veulent.

Comme je l’ai noté dans le passé, il est difficile de combattre un mouvement sans morale et sans honte. Si votre but est de les convaincre d’arrêter ce qu’ils font en utilisant la logique, les données, le bon sens et les appels à la conscience, vous échouerez. Ils ne se soucient d’aucune de ces choses. L’obsession des gauchistes pour le pouvoir est absolue — c’est tout ce dont ils parlent. C’est la racine de chacun de leurs arguments.

Cela dit, leur conception du pouvoir est plutôt limitée et enfantine.

Pour les woke, le pouvoir est dans l’effacement de la culture, le pouvoir est dans la foule, le pouvoir se trouve dans les manifestations de destruction et de contrôle collectifs. Ils se demandent : « Que pouvons-nous prendre aux autres et comment pouvons-nous susciter la peur ? » Ils pensent que plus ils peuvent prendre, plus ils ont de pouvoir.

Les mondialistes considèrent le pouvoir de la même manière que les gauchistes, mais ils développent le manifeste en se posant la question suivante : « Comment pouvons-nous convaincre les autres de nous donner le contrôle de leur plein gré ? »

Les idiots utiles woke voient le pouvoir comme quelque chose qui doit être volé par l’intimidation ou la force. Les mondialistes voient le pouvoir comme quelque chose qui leur est conféré par des idiots utiles. Afin d’obtenir ce pouvoir, les mondialistes dépensent la grande majorité de leur énergie et de leur richesse dans la fabrication du consentement. Il ne leur suffit pas de contrôler la population, il faut lui faire croire que leur oligarchie est SON IDÉE. De cette façon, elle n’essaie jamais de se défendre.

Alors que des militants woke courent partout comme des singes avec des allumettes essayant de brûler le monde, les mondialistes regardent les militants et disent : « Comment puis-je faire en sorte que ces singes brûlent les choses que je veux qu’ils brûlent ? »

La fabrication du consentement de la moitié de la population d’une nation nécessite un appareil de désinformation massif. Je doute que la plupart des gauchistes réalisent même que toute leur philosophie a été financée et fabriquée par des intérêts commerciaux. Et si vous les éduquez sur le fait qu’ils sont maintenant alliés avec les mêmes vampires d’entreprise ultra-riches qu’ils disent détester, vous découvrirez bientôt que cela ne les dérange pas. Ils accepteront volontiers le contrat du diable parce qu’ils y voient un moyen de « gagner ». De cette façon, les gauchistes politiques et les mondialistes sont indissociablement liés.

C’est pourquoi je ne prends plus très au sérieux les arguments sur le « faux paradigme gauche/droite ». Bien sûr, il y a encore des néoconservateurs dans le Parti républicain qui prétendent être conservateurs alors qu’ils sont en réalité mondialistes et gauchistes. Ce n’est pas le propos. Le fait est que des millions et des millions de personnes ordinaires de gauche ont délibérément choisi de se ranger du côté des mondialistes et ont spécifiquement ciblé la culture conservatrice et patriote pour la détruire.

Ils sont l’ennemi, tout autant que les globalistes sont l’ennemi. Sans la foule de gauche, les mondialistes n’ont aucun pouvoir. Il est temps d’accepter cette réalité au lieu de retomber sur le même vieil argument paresseux : « Mais les deux côtés sont le problème… » Non, un seul côté est le problème. Il a toujours été le problème, quel que soit le masque politique qu’il porte.

Si vous regardez la pyramide de bas en haut, il n’y a plus de « faux paradigme gauche/droite ». Il y a un TRÈS VRAI paradigme gauche/droite. La division est une réalité. Les lignes ont été tracées par l’establishment ; soit vous êtes avec eux, soit vous êtes contre eux. Il n’y a pas de solution intermédiaire.

[NDT Le « faux paradigme gauche/droite » peut néanmoins se trouver dans la politique courante et l’alternance entre partis politiques qui se présentent d’un bord ou de l’autre, mais pratiquent en réalité une politique commune ou interchangeable visant au contrôle total d’une société collectiviste par le grand capital. Les mondialistes y représentent la Reine de la Ruche ou de la Fourmillière, alors que les militants gauchistes en sont les soldats et la masse populaire les ouvrières.]

Dans le film « Le Cabinet du Dr Caligari », un membre de l’élite de la société transforme un homme en monstre par hypnose, l’envoyant arpenter la campagne pour tuer des gens que l’élite veut écarter de son chemin. Les mondialistes ont également utilisé le mesmérisme pour invoquer leur propre monstre de gauche chaque fois qu’ils ont besoin de faire un sale boulot. Il y a deux piliers clés qu’ils veulent que les gauchistes démolissent : la perception qu’ont les gens de la liberté et la perception qu’ont les gens des faits objectifs.

Par exemple, regardez la récente « crise » covid et la réponse draconienne que la majorité des gauchistes ont soutenue. Regardez également les récits hystériques sur le changement climatique et les appels à des restrictions sur le carbone qui conduiraient inévitablement à un dépeuplement massif ; une fois de plus largement soutenus par la gauche politique.

Les deux programmes reposent sur la notion de menace existentielle qui oblige les gens à sacrifier leurs libertés au niveau microéconomique. Pourtant, les mesures sanitaires suggèrent que nous devons sauver la population de la mort, tandis que celles contre le changement climatique suggèrent que nous devons tuer la majeure partie de la population pour protéger l’environnement. Cela n’a de sens que si vous comprenez que la diminution de la liberté est le point ultime. Les mesures sanitaires n’ont jamais eu pour but de sauver des vies et celles pour le climat n’ont rien à voir avec la sauvegarde de la planète.

En ce qui concerne les perceptions des faits objectifs, il suffit de regarder le mouvement transgenre pour voir que les fondements mêmes de la vérité sont assiégés. Si la biologie est subjective, si l’identité est subjective, si les détails génétiques que nous utilisons pour définir et catégoriser notre espèce sont des « constructions sociales » plutôt que des faits, alors presque toutes les vérités peuvent être visées. Je pense que cette tentative de faire de la vérité biologique une question de prérogative est faite dans l’intention de rendre la vérité morale mutable.

Si la civilisation est convaincue d’accepter la mutilation chirurgicale/chimique et la stérilisation de notre jeunesse, si nous pouvons être convaincus d’accepter la sexualisation des enfants dès le plus jeune âge, alors nous pouvons facilement être convaincus d’accepter à peu près n’importe quoi d’autre. Pédophilie ? Esclavage ? Meurtre ? Tout cela au nom de l’hédonisme se faisant passer pour la liberté.

Par extension, l’abandon des vérités universelles conduira invariablement à la remise en cause de la liberté elle-même. Qu’est-ce que la liberté ? S’agit-il d’une préoccupation légitime pour l’avenir ? Après tout, nous « vivons en société » et, selon les gauchistes, tout ce que nous faisons « affecte les autres ». Par conséquent, la liberté peut être dangereuse ; elle peut blesser ou contrarier les autres. Elle pourrait ruiner la planète. Mieux vaut donc s’en débarrasser complètement pour le bien de la collectivité…

C’est une dichotomie éternelle : sans vérité, il ne peut y avoir de liberté ; sans liberté, il ne peut y avoir de vérité. Du côté obscur de cette médaille se trouve la dichotomie mondialiste/gauchiste : sans les mondialistes, il n’y a pas de foule de gauche ; sans la foule de gauche, les mondialistes seront effacés.

Les mondialistes cherchent à subjuguer le monde et, pour ce faire, ils doivent saper les principes fondamentaux de l’interaction et de la compréhension humaines. Ils se sont alliés à la gauche politique afin de plonger la population dans le chaos, en gardant les gens distraits et déséquilibrés pendant que les pouvoirs en place enroulent leurs tentacules autour de chaque dernier vestige de la liberté privée.

Notre plus grand espoir est que les citoyens adoptent une attitude hostile et refusent de faire des compromis supplémentaires. Nous devons commencer à appeler les laissés-pour-compte politiques pour ce qu’ils sont vraiment : la main de fer de la cabale mondialiste. Il n’y a plus de tolérance à avoir à l’égard de la déconstruction, plus de laxisme à l’égard des saboteurs. Si un groupe subversif essaie de démolir le tissu moral qui rend l’Occident fonctionnel et libre, s’il souhaite éradiquer l’héritage que nos fondateurs se sont battus pour établir, alors nous devons faire comme les fondateurs et éliminer la menace.




Jean-Marie Le Pen et la décadence de la France sous De Gaulle

Par Nicolas Bonnal

J’évoque dans mon nouveau livre sur le Cinéma la destruction de la France. Comme on sait elle a eu lieu sous de Gaulle et Pompidou, sans oublier Giscard. Je fournis des dizaines de preuves en images. Même Debré s’en rend compte dans ses entretiens avec de Gaulles (le vieux acquiesce et laisse faire : pourquoi est-il revenu au pouvoir, lui qui avait créé tous les monstres y compris la sécu ?).

Le pays est effondré moralement et culturellement en mai 68 et le peuple déjà remplacé mentalement peut se préparer à être remplacé physiquement, alors qu’il a perdu sa foi, sa culture, son originalité — voyez les Amis de Blain. La meilleure preuve ? Les comédies musicales américaines, qui ont arrêté alors d’aimer Paris : comparez Funny Face de Donen à Charade du même Donen et vous comprendrez.

Enfin, comparez Biquefarre et Farrebique (produit par RKO…) du même Rouquier et puis vous comprendrez.

Comparez la septième compagnie de l’autre à l’Alerte au sud de Jean Devaivre et vous comprendrez. Jean Devaivre était résistant, mais comme le colonel Rémy scénariste du fabuleux monocle il se battait pour un Empire, pas pour la république et la France lumière du monde, pas pour les mots.

Ou vous ne comprendrez pas.

Je sais que cela énerve les imbéciles qui ont fait du gaullisme l’âge d’or de leur rêverie historique. Donc je continue. Avec un modèle, le Vive la France ! de Michel Audiard qui montre en se marrant qu’avec de Gaulle déjà le repeuplement de la France déchue par les anciens colonisés commence. Mais quand on est bouché… La grandeur de la France c’est le mantra dont on nous abreuve les oreilles, avec 95 % du territoire perdu, l’américanisation (Johnny, Salut les copains) et la marxisation (Sartre, Althusser, Bataille) de la culture, et le maintien dans l’UE, en attendant Giscard et ses Young leaders. Giscard six ans ministre de l’Économie tout de même sous de Gaulle. En 1972 quand je débarque en France je découvre une émission d’épouvante : la France défigurée, qui est l’œuvre de journalistes de droite (le gaullisme ne l’est pas) pourtant…

Je n’ai plus envie de polémiquer. J’aurais envie d’éviter ceux qui ne comprennent pas. Comme dit Modeste Schwartz il ne faut pas s’étonner que personne n’ait envie de voter pour ceux (Asselineau et Philippot) qui se réclament du gaullisme : de Chirac à Juppé en passant par Hollande ou Macron ils s’en sont déjà tous réclamés, alors…

En relisant l’excellent tome premier des Mémoires de Le Pen j’y trouve ces observations suivantes, qui montrent que Le Pen a raté le coche dans les années soixante (il le dit lui-même : le pays était plus sain) et qui résument le grand remplacement de la France (lisez Mattelart sur ce rapport Ozbekhan-Perlmutter qui « défigura » définitivement la France.) par le gaullisme et sa technocratie progressiste : villes nouvelles, industrialisation ratée, immigration bâclée, déchetterie culturelle grâce à Malraux et triomphe du politiquement correct. Lisez mon ami Jean Raspail, qui n’a pas écrit son livre en 2020, pas vrai ?

« Du point de vue strictement politique, avec la manifestation sur les Champs Élysées du 30 mai et les élections bleu horizon qui suivirent, le gaullisme allait se refaire pour un an. Mais il avait perdu définitivement la jeunesse, et le pourrissement massif des têtes, dont nous mourons aujourd’hui, commença. La réforme d’Edgar Faure et la loi d’orientation scolaire signaient l’abandon de l’éducation nationale à la gauche, le Yalta culturel qui fut désormais le fondement de la Cinquième République, I’abandon de l’esprit public au marxisme. D’un strict point de vue universitaire, ce fut une catastrophe. Amener toute la jeunesse à l’Université quels que soient ses possibilités et ses buts, C’est voler les contribuables français, c’est fourvoyer les jeunes, c’est gaspiller l’énergie et le potentiel de la Nation. »

Le monstre soviétiforme de l’EN ; Le Pen lui règle bien son compte (en vain comme toujours) dans les lignes suivantes :

« L’Université tend aujourd’hui, sous la pression de ses milliers de mandarins, à l’universalité. Bénéficiaire du premier budget de la Nation, I’Éducation nationale réclame chaque année plus de moyens, bien que le nombre d’enfants à scolariser diminue corrélativement à la crise démographique, un peu compensée par l’immigration. Le patient de Knock mourait guéri, nous mourrons tous savants. Après avoir élevé l’âge et le niveau des scolarités obligatoires, on prétend enseigner les handicapés profonds, les aliénés, les immigrés, les malades, les détenus, les étrangers chez nous, chez eux, avant leur métier, pendant leur vie, après leur retraite. Ce rêve fou d’hégémonie scolaire est le fruit paradoxal de la “révolution” de Mai 68, qui vouait la fonction enseignante au nettoyage des WC. La Salope n’est pas crevée, tel un moloch femelle qui se renforce des armes tournées contre elles. L’Alma Mater affermit la Dictature des pions. »

Dictature des pions et des pionnes : pensez au virus, au vaccin, au prochain, au prochain vaccin et au prochain passe carbone. Vive Sandrine Rousseau pythie républicaine. Le Pen ajoute :

« Ce n’est pas la République des robots qui nous menace, mais celle des Pions, sous-système d’un ubuesque univers galactique de fonctionnaires. L’Éducation Nationale dicte sa loi au pays. Elle détermine les programmes, les orientations, l’avancement. Mais le dommage de Mai G8 est encore plus vaste, car au désastre de l’école s’ajoute celui des médias, de la littérature, des arts, du cinéma et de la télévision, de tout ce qui sous le mot impropre culture influe sur la mentalité des hommes, et dont la maîtrise, le philosophe italien Gramsci l’a rappelé à toute une génération de révolutionnaires, permet de prendre le pouvoir sans peine. »

Le Pen on le sait parle de la gravure à l’eau-forte. Première frappe en 68, deuxième le 10 mai 81 quand le peuple est fin prêt pour son remplacement :

« En gros, vous pouvez entailler la plaque de cuivre que l’on va encrer pour imprimer, de deux manières. Soit directement avec un burin, c’est long, difficile et cela demande de la force : c’est la révolution à l’ancienne, brutale et aléatoire. Soit vous choisissez ce que l’on appelle l’eau-forte. Sur la plaque de cuivre vous passez un vernis qui résiste à l’acide, puis vous entaillez cette couche protectrice avec une pointe d’un maniement souple qui permet un dessin fin, avant de plonger la plaque dans un bain d’acide. En quelques heures les parties dont vous avez ôté la protection sont attaquées par l’acide et prêtes à recevoir l’encre. Ainsi a procédé la révolution de Mai 68. Avec son slogan directeur, il est interdit d’interdire, elle a plongé la civilisation européenne dans un bain d’acide où nous sommes restés durant toutes les années soixante-dix, puis, au fil des années quatre-vingt, on a sorti la plaque, on l’a essuyée, et la gravure à l’eau-forte est apparue, image de la nouvelle civilisation, avec sa nouvelle morale, sa nouvelle esthétique, ses nouveaux fondements politiques, dans laquelle nous vivons. Le monde ancien, homme ancien, ont été dissous, et se dessinent maintenant l’homme nouveau et ses valeurs nouvelles. »

Belle conclusion :

« Aux héros et aux saints qu’on nous montrait en exemple a succédé l’écocitoyen LGBT friendly et phobophobe, ouvert au vivre ensemble, au culte de la terre mère, qui ne fume pas, accueille le migrant et se prépare à rouler en voiture autonome. »

On ne dira rien de ce qui nous reste de curés et de militaires aujourd’hui : certains crétins font encore semblant que cela EXISTE ENCORE. Debord nous prévenait :

« Non seulement on fait croire aux assujettis qu’ils sont encore, pour l’essentiel, dans un monde que l’on a fait disparaître, mais les gouvernants eux-mêmes souffrent parfois de l’inconséquence de s’y croire encore par quelques côtés. Il leur arrive de penser à une part de ce qu’ils ont supprimé, comme si c’était demeuré une réalité, et qui devrait rester présente dans leurs calculs. »

Faire croire que quelque chose existe (la France, la Liberté, l’économie, la culture, la famille, etc.) qui est déjà mort est devenue une marotte. Mais Debord ajoute :

« Ce retard ne se prolongera pas beaucoup. Qui a pu en faire tant sans peine ira forcément plus loin. »

Cela donne Macron ; Debord :

« Il faut conclure qu’une relève est imminente et inéluctable dans la caste cooptée… »

Mais continuons avec Le Pen ; meurtre de Paris sous de Gaulle (voyez Du rififi à Paname ou Anatomie d’un livreur…) :

« Le ventre de Paris était tout près, le pouvoir gaulliste avait décidé en l960 de transférer les Halles à La Villette et Rungis, mais le déménagement ne devait se faire qu’en 1969. On disait adieu au vieux Paris. Tout un peuple de vivandiers venus des banlieues et des provinces approvisionnait la capitale depuis le XIXème siècle dans un décor que le dix-neuvième avait rationalisé sans le changer en profondeur. Ce peuple qui avait fait naguère un triomphe à Poujade allait se trouver remplacé par un mélange de petits-bourgeois consuméristes le jour et de zonards la nuit. Les mots disent tout : un Forum remplacerait les Halles, des bobos multi colores à prétention intello en prendraient possession. Mais avant qu’un grand trou n’occupe symboliquement les lieux pour assurer la transition d’un passé millénaire vers la nouvelle ville, le quartier grouillait pour quelques mois encore de ses métiers et vivait intensément la nuit. Les putains en étaient l’ornement nécessaire. Elles avaient leurs spécialités. Les amateurs de petites filles venaient s’y tourner, non pas qu’elles fussent mineures, mais, même avancées en âge, elles se déguisaient pour complaire aux diverses marottes des clients. »

On voit déjà la clique de débauchés et de pédophiles qui s’amène dans les années 70 et on n’a pas besoin de geindre après les années 2020. On baigne dans cette merde depuis cinquante ou soixante ans. Revoyez Godard, Deville et les autres.




La révolution permanente du « zéro net » : une guerre contre la démocratie

[Source : reinformation.tv]

Par Jeanne Smits

Une intéressante chronique du Telegraph de Londres dénonce la guerre contre la démocratie que constitue la « révolution permanente du zéro net », cette obligation faite au Royaume-Uni (de la même manière qu’à l’Union européenne) d’arriver à des émissions de CO2 neutres dans un délai donné, sans le moindre égard pour la volonté des électeurs à ce sujet. Allister Heath y voit une nouvelle variante des fameux « plans quinquennaux » propres aux économies communistes planifiées, par lesquels des planificateurs centralisés imposent des objectifs et des moyens pour y parvenir, sans dire au public « l’horrible vérité » à leur sujet.

« Une nomenklatura “verte” dispose désormais d’un immense pouvoir », observe l’éditorialiste : au Royaume-Uni, tous les partis — conservateurs, travaillistes, « Lib Dems » — ont souscrit aux plans quinquennaux contraignants qui définissent les « budgets carbone » avec leurs émissions maximales, et au passage, font de l’ingénierie sociale à hautes doses.

« Savez-vous, cher lecteur, que nous sommes actuellement sous le régime de notre quatrième budget carbone de cette espèce, qui court de 2023 à 2027 ? Avez-vous conscience de ce que les deux suivants — qui nous mènent jusqu’en 2037 — sont déjà gravés dans le marbre de la loi, moyennant quoi les deux ou trois élections générales ne seront que des mascarades ? », écrit Allister Heath. Et tout écart par rapport à ces objectifs pourrait donner lieu à des procédures contre l’État de la part d’associations écologistes.

Le « zéro net » avec ou sans Brexit

Le Royaume-Uni a beau avoir quitté l’UE, les accords de Paris chapeautés par l’ONU s’appliquent aussi outre-Manche et aboutissent à des contraintes qui s’apparentent à celles mises en route dans l’Union. Ainsi, les Britanniques vont-ils comme nous être sévèrement bridés dans leurs choix de consommation, énergétiques notamment. D’ici à un an et demi, aucun logement neuf au Royaume-Uni ne pourra être équipé d’une chaudière à gaz. Dans 7 ans, il sera illégal d’acheter des véhicules à pétrole neufs. Dans douze ans, le remplacement d’une chaudière à gaz par un dispositif du même type sera à son tour prohibé.

Tout cela a été mis en place en 2008 par Ed Miliband, ministre de l’Énergie, avec une loi sur le « Changement climatique » votée par la quasi-totalité des membres du Parlement : « L’équivalent d’un nouveau traité de Maastricht, un bouleversement profond qui à terme, provoquera la réaction furieuse de l’électorat qui prendra conscience d’avoir perdu tout contrôle. » À l’origine, la baisse des émissions de CO2 devait atteindre 80 % en 2050 par rapport aux chiffres de 1990 ; en 2019, Theresa May a porté ce pourcentage à 100 %. Le tout selon un échéancier extrêmement strict.

Les trois premiers plans quinquennaux ont été respectés, note Alister Heath, entre 2008 et 2022, « sans trop d’efforts » : c’est la « combinaison d’une récession, de la désindustrialisation continue, de l’insuffisance de construction d’infrastructures et de logements neufs et du recours accru aux renouvelables » qui a rendu la chose possible.

Les nouveaux plans quinquennaux imposent la révolution contre la démocratie

Mais « la douleur s’installe », note le chroniqueur, alors que propriétaires et automobilistes sont de plus en plus frappés par les conséquences de cette politique. Au fur et à mesure que le pourcentage de coupes augmente, de nouveaux secteurs vont être touchés : l’aviation civile, le transport de marchandises, les obligations d’isolation par exemple. La « décarbonation » ne déplaît pas tant qu’elle ne touche pas visiblement au portefeuille des électeurs : une fois ce pas franchi, les électeurs s’y opposeront « avec fureur », prévoit Heath, et d’autant plus qu’ils comprendront que le législateur n’y pourra rien.

Le Climate Change Committee (CCC) qui pilote les plans et définit les arbitrages par secteur estime d’ailleurs que le recours aux nouvelles énergies et à d’autres moyens technologies ne suffira pas : « Les véhicules électriques ne suffiront pas, il faudra quand même rouler moins. Il nous faudra moins prendre l’avion, même en utilisant de l’énergie “durable”. Il nous faudra manger 20 à 35 % de viande et de produits laitiers en moins », avertit Allister Heath. Le CCC, précise-t-il, est une agence aux pouvoirs gigantesques, « que seule dépasse probablement la Banque d’Angleterre ».

La révolution du zéro net, une machine à appauvrir l’Occident

Ne pourrait-on pas nommer un président plus souple à l’heure où le CCC embauche son nouveau chef ? « De toute façon, le zéro net est sur pilotage automatique, et les échéances trop figées pour éviter des restrictions handicapantes, une très forte augmentation de la dette et des coupures d’énergie par roulement », constate le chroniqueur.

Décidément, la course vers le « net zéro » est une machine à appauvrir les pays développés. On le savait déjà, les politiques en place ne pouvaient l’ignorer : ce qui nous est imposé par l’Union européenne ou le CCC outre-Manche est ce qu’ils ont approuvé en toute connaissance de cause et complicité, contre les peuples.




Le plan de dépopulation mondiale et sa stratégie

[Source : expose-news.com]

[Illustration : Getty Images]

Les chiffres de Deagel concernant la dépopulation en 2025 sont un objectif et non une estimation. Parce qu’on n’a plus besoin de vous en raison de la naissance de l’intelligence artificielle et que la prochaine étape du plan de l’élite est d’utiliser la propagande de l’ébullition mondiale pour vous convaincre que vous êtes l’empreinte carbone qui doit être éliminée.
Un plan effrayant a été découvert, qui devrait vous choquer au plus haut point.

Depuis des décennies, les puissances mondiales orchestrent une stratégie de dépopulation, dissimulée sous le couvert de crises de santé publique, d’instabilité économique et de préoccupations environnementales.

Aujourd’hui, à l’aube de la révolution de l’intelligence artificielle, que Klaus Schwab, fondateur du Forum économique mondial, appelle affectueusement la quatrième révolution industrielle, le monde est confronté à un avenir inquiétant.

L’intelligence artificielle étant sur le point de remplacer la main-d’œuvre faiblement rémunérée, la main-d’œuvre humaine, autrefois indispensable, est soudain dépeinte comme le méchant d’une soi-disant saga environnementale qui a été baptisée de nombreux noms :

« Réchauffement de la planète », « Changement climatique » et maintenant même « Ébullition de la planète », comme le Secrétaire général des Nations unies l’a scandaleusement annoncé au monde le 27 juillet 2023 en proclamant à tort :

« Le changement climatique est là. Il est terrifiant. Et ce n’est que le début. »

« L’ère du réchauffement climatique est terminée ; l’ère de l’ébullition mondiale est arrivée. »

« L’air est irrespirable. »

António Guterres, secrétaire général des Nations unies, lors de sa conférence de presse sur le climat.
Source

En réalité, la prétendue crise du changement climatique n’est qu’un autre rouage d’un programme de dépopulation dissimulé, habilement mis au point par les pouvoirs en place.

Et la seule empreinte carbone qu’ils veulent éliminer, c’est vous.

Préparez-vous à vous aventurer au cœur de cette histoire qui fait froid dans le dos, en naviguant dans le labyrinthe des prévisions inquiétantes, des documents ultrasecrets, des politiques stratégiques et de l’histoire du changement climatique qui fait partie d’un grand dessein inquiétant.

Section 1 : Un monde piloté par l’IA et la proposition impensable

L’intelligence artificielle (IA) devient omniprésente et promet un avenir aux possibilités infinies. Mais y aurait-il un revers à la médaille ?
Imaginez un peu :
À mesure que l’IA continue d’évoluer, des millions, voire des milliards d’êtres humains ne seront plus nécessaires pour les emplois quotidiens qui, par construction, sont faiblement rémunérés.
Ils deviendront en fait des « mangeurs inutiles ».
L’establishment n’ayant pas l’intention de payer pour qu’ils vivent, un plan est en cours d’élaboration depuis des décennies, qui consiste à réduire délibérément la population humaine.
Bienvenue dans une vérité qui fait froid dans le dos et qui nous plonge dans les bas-fonds de prédictions inquiétantes et de schémas sinistres que vous ne trouverez pas sur BBC News.

Section 2 : L’oracle de la ruine — Les prévisions de Deagel en matière de dépopulation

Deagel.com est une obscure entité en ligne connue pour ses données exhaustives sur les capacités militaires et ses prévisions sourcilleuses de dépopulation pour 2025.
Nous pouvons révéler que des découvertes récentes relient directement Deagel à des acteurs importants sur la scène mondiale : La Central Intelligence Agency (CIA), le Département de la Défense des États-Unis (DoD) et la Fondation Rockefeller.
Les prévisions apocalyptiques de Deagel en matière de dépopulation pour 2025 annoncent une baisse significative de la population dans différents pays, ce qui suscite un certain malaise compte tenu des données actuelles sur la surmortalité enregistrées dans le monde entier.
Les [tristement célèbres] prévisions de Deagel.com pour 2025 ont été retirées de leur site web au cours de l’année 2020. Toutefois, grâce à la Wayback Machine/Internet Archive, nous pouvons consulter les prévisions originales avant qu’elles ne soient découvertes par des penseurs critiques.
En 2020, Deagel proposait une série de prédictions étonnantes : en 2025, ils prévoyaient que la population du Royaume-Uni diminuerait d’un pourcentage stupéfiant de 77,1 %.

Les États-Unis n’étaient pas loin derrière avec une diminution prévue de 68,5 %. L’Allemagne devrait connaître une réduction de 65,1 %, tandis que l’Australie devrait voir sa population diminuer de 34,6 %. Ces projections ont également mis en évidence des baisses significatives dans de nombreux autres pays occidentaux.

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Une liste complète des prédictions apocalyptiques originales de Deagel sur la dépopulation peut être consultée ici.
Nous pouvons confirmer que le Dr Edwin A. Deagle Jr, qui est décédé le 16 février 2021, est la figure de proue confirmée que les autorités voudraient vous faire croire qu’il est le seul à être à l’origine de Deagel.com.
Au cours de sa vie, le Dr Edwin a occupé les fonctions d’assistant du secrétaire à la défense et de secrétaire adjoint à la défense. Il a également été directeur des relations internationales de la Fondation Rockefeller, une influente organisation philanthropique mondiale.
Mais des documents déclassifiés, publiés à la suite de demandes présentées en vertu de la loi sur la liberté de l’information (Freedom of Information Act), révèlent les communications de M. Deagle avec le directeur du renseignement central des États-Unis de l’époque, Stansfield Turner, ce qui prouve l’existence d’une relation avec les hauts responsables de la CIA.
L’un de ces documents, daté de 1977, fait référence à un événement décrit comme « le plus important dans le domaine du renseignement depuis 1947 ».

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Le texte intégral de la lettre adressée à Stansfield Turner, alors directeur de la CIA, par Edwin A. Deagle Jr, directeur adjoint des relations internationales de la Fondation Rockefeller.

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Lettre complète adressée au Dr Edwin A. Deagle Jr,
directeur adjoint des relations internationales de la Fondation Rockefeller,
par Stansfield Turner, alors directeur de la CIA.

La CIA a publié 23 articles FOIA concernant le Dr Deagle, la Fondation Rockefeller, le ministère américain de la Défense et l’ancien directeur de la CIA.

Ces informations montrent que Deagel.com n’est pas l’œuvre d’un seul homme, mais qu’il s’agit plutôt d’un effort concerté des principaux éléments du complexe militaro-industriel américain, à savoir la CIA, le ministère américain de la Défense et l’énigmatique Fondation Rockefeller.

Ces liens confèrent une gravité inquiétante aux sombres prédictions de Deagel en matière de dépopulation. Elles soulèvent une question qui devrait vous faire frissonner : pourquoi une organisation, étroitement liée aux structures du pouvoir mondial, prévoit-elle un avenir aussi effrayant ?

Section 3 : Le fantôme de Kissinger et la stratégie de dépopulation

Se référant à un mémorandum rédigé par le général Taylor en 1973, le général Draper et ses collègues ont présenté leur point de vue selon lequel l’explosion démographique dans les pays en développement constituait non seulement une menace pour les intérêts américains en matière d’économie et de développement de ces pays, mais aussi, plus fondamentalement, un danger pour les intérêts politico-militaires des États-Unis.

L’ombre de l’ancien secrétaire d’État Henry Kissinger plane sur ce discours. C’est sous sa direction qu’a été conçu le National Security Study Memorandum 200 (NSSM 200), connu familièrement sous le nom de « rapport Kissinger ».

« La dépopulation devrait être la plus haute priorité
de la politique étrangère envers le tiers-monde. » — Henry Kissinger

Le rapport, formulé en 1974, a représenté un changement radical dans la politique étrangère américaine, en plaçant le contrôle de la population au premier plan de sa stratégie de sécurité. Son objectif déclaré était de s’attaquer à la croissance démographique dans les pays en développement, mais les machinations qui le sous-tendaient étaient sans doute bien plus sinistres.

Le rapport NSSM 200 identifiait 13 pays considérés comme particulièrement problématiques en raison de la croissance rapide de leur population. Le rapport préconisait des mesures de contrôle de la population et approuvait même l’idée d’utiliser la nourriture comme arme pour faire appliquer ces mesures, donnant ainsi un aperçu d’un état d’esprit déconcertant.

Une analyse complète du rapport Kissinger est disponible ici.

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La NSSM 200 et ses implications effrayantes nous amènent à poser la question suivante : se pourrait-il que la même philosophie, l’idée même du contrôle de la population à des fins stratégiques, se soit infiltrée dans le récit du monde d’aujourd’hui ? Et cette philosophie pourrait-elle être à l’origine des forces qui façonnent notre présent et notre avenir ?
Les faits le suggèrent certainement.

Section 4 : Agenda 2030 de l’ONU, écoterroristes, propagande et mensonges : Problème, Réaction, Solution

L’objectif initial présumé de l’Agenda 21 était de parvenir à un développement durable mondial d’ici l’an 2000, le « 21 » de l’Agenda 21 faisant référence à l’objectif initial du 21e siècle.
L’Agenda 2030 des Nations unies, également connu sous le nom d’Objectifs de développement durable, était un ensemble d’objectifs décidés lors du Sommet des Nations unies (« ONU ») sur le développement durable en 2015. L’Agenda 2030 a repris tous les objectifs fixés par l’Agenda 21 et les a réaffirmés comme étant la base du « développement durable ».

L’Agenda 2030 prétend protéger la biodiversité. Mais dans les méandres de ses récits et de ses intrigues secondaires se cache un sinistre scénario pour un monde avec moins d’êtres humains.

Si nous regardons au-delà de la langue de bois qu’ils utilisent pour tenter de vous convaincre qu’ils sont une force pour le bien, nous pouvons voir quels sont leurs véritables objectifs. Les docteurs Michael Coffman et Henry Lamb ont une partie des réponses.

Le Dr Michael Coffman était un auteur, un chercheur, un conférencier et un contributeur fondateur de la lutte contre l’Agenda 21 pour le développement durable. Il a été président de Environmental Perspectives, inc. et directeur exécutif de Sovereignty International.

M. Coffman a joué un rôle crucial dans l’arrêt de la ratification du traité sur la biodiversité au Sénat américain. Il est malheureusement décédé en 2017.

Henry Lamb a été le premier à découvrir l’Agenda 21 et à tirer la sonnette d’alarme. Il a écrit le livre « The Rise of Global Governance, and Agenda 21 ». Il a également produit une série de vidéos sur l’Agenda 21. Celles-ci constituent des outils inestimables pour tous ceux qui veulent savoir d’où vient cet agenda maléfique et pourquoi il faut l’arrêter. Lamb est décédé en 2012.

La conservation de la diversité biologique fait l’objet du chapitre 15 de l’Agenda 21 et a été traduite dans l’Agenda 2030 en tant qu’ODD [Objectif de Développement Durable] 15.

Protéger, restaurer et promouvoir l’utilisation durable des écosystèmes terrestres, gérer durablement les forêts, lutter contre la désertification, stopper et inverser la dégradation des sols et enrayer la perte de biodiversité.

Mais ne vous laissez pas abuser par l’utilisation des mots « conservation », « protéger » et « restaurer », car vous verrez que l’ODD 15 n’a rien à voir avec la conservation. Il n’a pas non plus grand-chose à voir avec la diversité biologique.

Les véritables objectifs de l’ODD 15 sont enfouis dans trois documents fondateurs des Nations unies. Ces trois documents sont le traité sur la biodiversité de 1992, le projet Wildlands de 1992 et l’évaluation mondiale de la biodiversité de 1995.

Signée par 150 chefs d’État et de gouvernement lors du Sommet de la Terre de Rio en 1992, la Convention sur la diversité biologique vise à promouvoir le « développement durable ». La Convention sur la diversité biologique est également connue sous le nom de Traité sur la biodiversité.

Si la Convention sur la diversité biologique, le traité sur la biodiversité, avait été signée par le Sénat américain au cours de l’été 1994, elle « aurait imposé une réduction de deux tiers de la population humaine de la Terre en 30 à 50 ans ».

Les États-Unis peuvent remercier le Dr Michael Coffman pour cela. Mais sa contribution au retard dans l’édifice du plan de l’establishment visant à dépeupler la planète a malheureusement été enterrée avec lui en 2017.

Le concept des terres sauvages est principalement l’œuvre de David Foreman, principal fondateur du groupe écoterroriste Earth First ! et ancien membre du conseil d’administration du Sierra Club.

Le groupe utilisait des tactiques d’action directe et, contrairement aux efforts de lobbying prudents des organisations environnementales établies, le « monkeywrenching » (sabotage industriel traditionnellement associé aux luttes syndicales) allait devenir la principale tactique du mouvement Earth First ! dans les années 1980.

Le Earth First! Journal, issu de la lettre d’information Earth First !, était édité par Foreman. Dans son premier numéro, Foreman définit les objectifs de l’organisation :

« Nous ne ferons pas de compromis politiques. Laissons les autres groupes s’en charger. EARTH FIRST exposera la position pure, dure et radicale de ceux qui croient en la Terre d’abord. »

Le journal a confirmé que Earth First ! était un groupe écoterroriste.

En 1990, Foreman a été l’une des cinq personnes arrêtées par le Federal Bureau of Investigation (FBI) à la suite de l’opération THERMCON, au cours de laquelle des agents du FBI ont infiltré un groupe d’Arizona Earth First ! et l’ont encouragé à saboter une ligne électrique alimentant une station de pompage d’eau.

Bien que Foreman n’ait pas joué de rôle direct dans la tentative de sabotage, il a finalement plaidé coupable d’un délit mineur pour avoir remis deux exemplaires d’Ecodefense à un informateur du FBI et a été condamné à une peine avec sursis.

David Foreman de World First!

Le concept inhabituel proposé par le Wildlands Scheme exige une réorganisation radicale de la civilisation humaine. Il s’agit notamment de fermer les mines, de supprimer les routes dans les paysages naturels, d’arrêter l’exploitation du bois et même de déplacer les populations humaines. L’objectif est de remodeler radicalement notre interaction avec l’environnement.

« À la page 15 de The Wildlands Project, Reed Noss affirme que nous devons convertir au moins 50 % de la superficie de l’Amérique du Nord en zones de nature sauvage interdites à l’homme.

« Ces zones centrales de nature sauvage doivent être reliées entre elles par des corridors de nature sauvage interdits à l’homme. Ces zones de nature sauvage doivent être entourées de zones tampons où l’utilisation des ressources peut être limitée, sous la supervision et avec l’autorisation du gouvernement fédéral, en collaboration avec des organisations non gouvernementales. »

« La population humaine doit être réinstallée sur les 25 % restants du territoire dans des communautés qualifiées de “communautés durables”. »

L’organisation environnementale Earth First!, créée en 1980, a inauguré une forme d’action directe pour mettre fin aux menaces perçues pour l’environnement, ouvrant la voie à des groupes modernes tels que Just Stop Oil et Extinction Rebellion.

Tout comme Earth First!, ces nouveaux groupes utilisent des stratégies d’action directe et de désobéissance civile pour sensibiliser l’opinion publique et faire pression sur les gouvernements et les entreprises pour qu’ils s’attaquent aux problèmes environnementaux.

Cependant, alors que les actions de Earth First! se concentraient principalement sur des menaces spécifiques telles que la déforestation et le développement urbain, Just Stop Oil! et Extinction Rebellion opèrent avec un mandat plus large, ciblant des problèmes systémiques tels que la dépendance aux combustibles fossiles et le changement climatique.

Elles visent à transformer radicalement la relation de la société avec l’environnement afin d’atténuer les effets du changement climatique. Cependant, ils partagent tous la même conviction, à savoir la nécessité de prendre des mesures radicales pour préserver et restaurer les écosystèmes de la Terre.

Mais il est extrêmement intéressant de noter qui finance réellement ces groupes. La principale source de revenus de Just Stop Oil provient d’Aileen Getty, l’héritière milliardaire de la fortune de Getty Oil. La Getty Oil Company était une société américaine de commercialisation du pétrole, issue de la grande société pétrolière intégrée fondée par J. Paul Getty.

Le plus grand donateur d’Extinction Rebellion est le milliardaire britannique Sir Chris Hohn, qui gère le fonds spéculatif TCI. Mais TCI a fait une grande partie de sa fortune grâce à un producteur de charbon indien et possède encore aujourd’hui des parts dans trois chemins de fer qui brûlent des tonnes de diesel et expédient des combustibles fossiles. Cela inclut les sables bitumineux, l’une des pires sources de prétendus gaz à effet de serre.

Pourquoi des entités profondément liées à l’industrie du pétrole et du charbon financeraient-elles des groupes qui prônent exactement le contraire, à savoir un monde libéré de la dépendance aux combustibles fossiles ?

Les réponses peuvent être multiples : il s’agit peut-être d’un stratagème astucieux pour paraître plus respectueux de l’environnement, ou peut-être d’une tentative de contrôler le discours et d’influencer la vitesse et la direction de l’inévitable évolution vers des énergies plus « vertes ».

Quelles que soient les motivations, cette étrange alliance met en lumière l’enchevêtrement des intérêts et des influences au sein du mouvement écologiste, laissant entrevoir un tableau bien plus complexe en filigrane.

Mais revenons aux véritables objectifs de l’ODD 15, enfouis dans trois des documents fondateurs des Nations unies.

En 1996, Henry Lamb s’est exprimé au Forum de Grenade. Son discours contenait des révélations sur l’évaluation mondiale de la biodiversité :

« La Convention sur la diversité biologique fait 16 pages. Très fade, extrêmement vague… [Cependant, elle stipule] qu’une Conférence des Parties [‘COP’] doit créer un organe subsidiaire qui produira une évaluation mondiale de la biodiversité… Lors de la première réunion [de la COP tenue en 1994 ou COP1], le Programme des Nations unies pour l’environnement [‘PNUE’] leur a présenté une évaluation mondiale de la biodiversité. »

Le plan visant à « étendre les habitats naturels et les corridors pour couvrir jusqu’à 30 % de la surface terrestre » est ce que l’on appelle aujourd’hui le plan « 30 par 30 ». Ce plan a de nouveau été présenté lors de la COP15 — la conférence de la Convention des Nations unies sur la diversité biologique (“UNCBD”) — qui s’est tenue en décembre 2022, 30 ans après que l’écoterroriste et le porte-parole autoproclamé des oracles l’aient conçu pour la première fois.

30 par 30 est le plus grand accaparement de terres de l’histoire, commercialisé sous le couvert de la « protection de la biodiversité ». Survival International estime que ce plan infâme déplacera environ 300 millions de personnes indigènes dans le monde entier de leurs terres et forêts d’origine au nom de la « conservation ». Ce faisant, il rendra quelques privilégiés extrêmement riches.

Mais le plan en faveur de la biodiversité est plus sinistre que l’appât du gain : il déplace des populations, les entasse dans des centres urbains et leur interdit l’accès à la nature et au monde naturel. L’alternative, comme l’indique l’évaluation mondiale de la biodiversité, est la dépopulation.

Global Biodiversity Assessment, UNEP, 1995, p. 773

Les principaux objectifs de l’ODD 15, une initiative clé des Nations unies, sont subtilement inscrits dans trois de ses documents fondamentaux : le traité de 1992 sur la biodiversité, le projet de 1992 sur les zones sauvages et l’évaluation mondiale de la biodiversité de 1995. En reliant ces politiques distinctes, mais interdépendantes, nous découvrons une feuille de route potentielle pour une réduction massive de la population mondiale.

Pris ensemble, ces documents brossent un tableau déconcertant. Sous le noble couvert de la conservation de la biodiversité, on pourrait interpréter ces initiatives comme un plan graduel et systématique visant à limiter les populations humaines, le tout sous les auspices de la protection de notre planète.

Une planète qui serait entrée dans une ère d’« ébullition globale » où « l’air est irrespirable », selon le secrétaire général de l’ONU António Guterres.

Secretaire Général de l’ONU : António Guterres

Les techniques classiques de propagande entrent ici en jeu, en particulier l’appel à la peur, qui est une méthode puissante pour influencer l’opinion publique et susciter des changements de comportement.

L’appel à la peur fonctionne en présentant une menace suffisamment grave pour inquiéter le public, puis en proposant une recommandation spécifique pour atténuer cette menace. Dans le cas présent, la menace présumée est l’« ébullition mondiale » et l’« air irrespirable ».

Un langage aussi vif et dramatique génère une anxiété immédiate quant à l’état de notre planète et à notre survie sur celle-ci. Et ce, même s’il s’agit de mensonges éhontés.

Une fois que le public est suffisamment préoccupé par la menace, le propagandiste peut alors présenter l’action recommandée. Dans ce cas, il peut s’agir de politiques climatiques agressives, de changements de mode de vie ou peut-être, comme le suggère l’objet de notre enquête, d’un plaidoyer en faveur d’une réduction de la population mondiale afin de diminuer l’impact de l’homme sur l’environnement.

Ces déclarations extrêmes créent un récit qui fait apparaître l’action souhaitée non seulement comme raisonnable, mais aussi comme absolument nécessaire à la survie. Le public, poussé par la peur et le désir de sécurité, est plus enclin à accepter cette « solution », même si elle implique des changements ou des sacrifices drastiques.

Malheureusement, ces mesures incluront le contrôle de la population/dépopulation, déguisé en réponse vitale à la fausse crise climatique.

Section 5 : Les documents confidentiels de Pfizer : Un regard sur ce que la FDA a essayé de cacher

Attachez vos ceintures, car notre enquête ouvre maintenant une boîte de Pandore : les documents classifiés de Pfizer sur son vaccin à ARNm Covid-19.

La Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis a tenté de retarder de 75 ans la publication des données de sécurité du vaccin Covid-19 de Pfizer, bien qu’elle ait approuvé l’injection après seulement 108 jours d’examen de la sécurité le 11 décembre 2020.

Mais début janvier 2022, le juge fédéral Mark Pittman a ordonné à la FDA de publier 55 000 pages par mois. Ils ont publié 12 000 pages à la fin du mois de janvier.

Depuis, le PHMPT a publié tous les documents sur son site web.

L’un des documents contenus dans le dumping de données est « reissue_5.3.6 postmarketing experience.pdf », et il révèle ce qui suit :

90 % des femmes enceintes vaccinées par Covid ont perdu leur bébé

Pfizer indique dans le document qu’au 28 février 2021, il y avait 270 cas connus d’exposition à l’injection d’ARNm pendant la grossesse.

Source — Page 12

Compte tenu du fait que les organismes de réglementation médicale, les médecins et les sages-femmes ont contraint les femmes enceintes à recevoir le vaccin Covid-19 en affirmant qu’il était sûr à « 100 % », il est extrêmement préoccupant de constater que Pfizer déclare que sur les 270 cas connus d’exposition à l’injection d’ARNm pendant la grossesse, ils n’ont absolument aucune idée de ce qui s’est passé dans 238 d’entre eux.
Mais voici les résultats connus des grossesses restantes :

97 % de tous les résultats connus de la vaccination Covid-19 pendant la grossesse se sont soldés par la perte de l’enfant.

Mais si l’on inclut les 5 cas pour lesquels le résultat était encore en suspens, on obtient 82 %. Cela équivaut donc à une moyenne d’environ 90 % entre les chiffres de 82 % et de 97 %.

Pfizer et les autorités médicales ont caché les dangers de la vaccination par Covid-19 pendant la grossesse, une étude animale ayant révélé un risque accru de malformations congénitales et d’infertilité.

L’étude peut être consultée dans son intégralité ici et est intitulée « Absence d’effets sur la fertilité des femelles et le développement prénatal et postnatal de la progéniture chez les rats ayant reçu le BNT162b2, un vaccin Covid-19 à base d’ARNm ».
L’étude a été réalisée sur 42 rats Wistar Han femelles. Vingt et un ont reçu l’injection de Covid-19 de Pfizer, et 21 n’ont pas reçu l’injection.
Voici les résultats de l’étude :

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Le nombre de fœtus présentant des côtes lombaires surnuméraires dans le groupe témoin était de 3/3 (2,1). En revanche, le nombre de fœtus présentant des côtes lombaires surnuméraires dans le groupe vacciné était de 6/12 (8,3). Par conséquent, en moyenne, le taux d’occurrence était 295 % plus élevé dans le groupe vacciné.

Les côtes surnuméraires, également appelées côtes accessoires, sont une variante peu courante de côtes supplémentaires provenant le plus souvent des vertèbres cervicales ou lombaires.

Cette étude a donc mis en évidence des anomalies dans la formation du fœtus et des malformations congénitales causées par l’injection du Covid-19 de Pfizer.

Mais les résultats anormaux de l’étude ne s’arrêtent pas là. Le taux de « perte préimplantatoire » dans le groupe de rats vaccinés était deux fois plus élevé que dans le groupe témoin.

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La perte préimplantatoire désigne les ovules fécondés qui ne s’implantent pas. Cette étude confirme donc que l’injection de Covid-19 de Pfizer réduit les chances d’une femme de tomber enceinte. Elle augmente donc le risque d’infertilité.

Des documents confidentiels de Pfizer révèlent que le vaccin Covid-19 s’accumule dans les ovaires.

Une autre étude, qui figure dans la longue liste de documents confidentiels de Pfizer que la FDA a été contrainte de publier sur injonction judiciaire, a été réalisée sur des rats Wistar Han, dont 21 femelles et 21 mâles.

Chaque rat a reçu une dose intramusculaire unique de l’injection de Covid-19 de Pfizer, puis la teneur et la concentration de la radioactivité totale dans le sang, le plasma et les tissus ont été déterminées à des moments prédéfinis après l’administration.

En d’autres termes, les scientifiques qui ont mené l’étude ont mesuré la quantité de l’injection de Covid-19 qui s’est répandue dans d’autres parties du corps telles que la peau, le foie, la rate, le cœur, etc.

Mais l’une des conclusions les plus inquiétantes de l’étude est que l’injection de Pfizer s’accumule dans les ovaires au fil du temps.

Dans les 15 premières minutes suivant l’injection du vaccin Pfizer, les chercheurs ont constaté que la concentration totale de lipides dans les ovaires était de 0,104 ml. Cette concentration est ensuite passée à 1,34 ml après 1 heure, à 2,34 ml après 4 heures et à 12,3 ml après 48 heures.

Les scientifiques n’ont toutefois pas mené d’autres recherches sur l’accumulation après une période de 48 heures, de sorte que nous ne savons tout simplement pas si cette accumulation inquiétante s’est poursuivie.

Mais les données officielles britanniques publiées par Public Health Scotland, que l’on peut consulter ici, offrent quelques indices inquiétants quant aux conséquences de cette accumulation sur les ovaires.

Les chiffres relatifs au nombre de personnes atteintes d’un cancer de l’ovaire montrent que la tendance connue en 2021 était nettement supérieure à celle de 2020 et à la moyenne 2017-2019.

Cancer ovarien — Source

Le graphique ci-dessus montre les chiffres jusqu’en juin 2021, mais les graphiques trouvés sur le tableau de bord de Public Health Scotland [Santé publique d’Écosse] montrent maintenant les chiffres jusqu’en mai 2022, et révèlent malheureusement que l’écart s’est encore creusé avec le nombre de femmes souffrant d’un cancer de l’ovaire qui a augmenté de manière significative.

Une analyse complète des documents de Pfizer peut être lue ici, mais un résumé des conclusions est présenté ci-dessous :

Dans les documents de Pfizer obtenus grâce aux demandes de la loi sur la liberté d’information (FOIA), on trouve des détails notables concernant l’impact du vaccin pendant la grossesse et son accumulation dans les ovaires.

1. Risques liés à la grossesse : Les documents révèlent un taux inquiétant de fausses couches et de morts fœtales chez les femmes enceintes ayant reçu le vaccin Covid-19. Il est confirmé qu’un pourcentage significatif de femmes vaccinées pendant la grossesse ont perdu leur bébé.

2. Accumulation d’ovaires : Les documents confidentiels de Pfizer révèlent également que le vaccin s’accumule dans les ovaires, ce qui suscite des inquiétudes quant aux effets potentiels sur la fertilité des femmes.

Si l’on examine les données réelles, certaines observations semblent correspondre aux conclusions de ces documents :

– Augmentation des cas de cancer de l’ovaire : Les données post-vaccination en provenance d’Écosse montrent une augmentation des cas de cancer de l’ovaire à des niveaux jamais atteints. La question de savoir si cette augmentation est directement imputable à la vaccination est encore à l’étude.

– Taux de mortalité des nouveau-nés : L’Écosse a également connu un niveau critique de décès de nouveau-nés à deux reprises sur une période de sept mois.

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– Risque de fausse couche : Une étude de données réelles suggère que la vaccination Covid-19 augmente le risque de fausse couche d’au moins 1 517 %.

Ce résumé ne présente qu’un infime pourcentage des préoccupations soulevées dans les documents confidentiels de Pfizer et des données réelles qui étayent les conclusions.

Les révélations malvenues concernant les effets néfastes sur la grossesse et les dommages potentiels aux ovaires font dresser les cheveux sur la tête. Associées à l’augmentation des taux de cancer de l’ovaire et de mortalité néonatale, elles suggèrent que cette campagne de vaccination est plus complexe qu’il n’y paraît.

En effet, ces résultats contiennent à eux seuls suffisamment d’éléments pour conclure que la vaccination Covid-19 va conduire à la dépopulation.

Section 6 : La grande remise à zéro — un Nouvel Ordre Mondial ?

C’est là qu’intervient Klaus Schwab, l’énigmatique fondateur et président exécutif du Forum économique mondial. Schwab est un visionnaire qui a élaboré un plan baptisé « Grande Réinitialisation » ou « Quatrième révolution industrielle ». Sa vision laisse entrevoir un monde où l’intelligence artificielle (IA) et l’automatisation occuperont le devant de la scène, dépassant et surpassant les capacités humaines dans de nombreux secteurs.

La vision de Schwab est celle d’un monde où les machines, grâce à leur efficacité infatigable, remplacent des millions d’emplois. Dans ce monde, les machines ne se fatiguent pas, ne tombent pas malades et ne demandent pas d’augmentation de salaire.

En substance, Schwab envisage un avenir où le besoin de main-d’œuvre humaine faiblement rémunérée est considérablement réduit, ce qui nous amène à reconsidérer nos rôles dans une société dominée par l’IA.

À ce stade, vous vous demandez peut-être quel est le lien avec les inquiétantes prédictions de Deagel en matière de dépopulation.

La mise à l’écart des humains par l’IA entraîne-t-elle une réduction du « stock » humain, et est-ce là ce que les chiffres inquiétants de Deagel laissent entrevoir ?

Les points semblent se rejoindre, créant une ligne de spéculation surprenante.

Les progrès de l’IA et de l’automatisation, un programme fortement encouragé par des personnalités influentes telles que Klaus Schwab, pourraient-ils être le prélude à une stratégie de dépopulation ? Sommes-nous en train de nous diriger vers un monde qui n’a plus besoin d’humains en grand nombre ?

Section 7 : Le récit du changement climatique — un jeu de miroir et de fumée ?

En épluchant les couches de ce récit troublant, un thème provocateur émerge du discours dominant : le dioxyde de carbone, le gaz que chacun d’entre nous émet à chaque respiration, a été présenté comme le principal adversaire de la santé de la Terre.

Ce récit pourrait-il insinuer subtilement une vérité plus dérangeante ? L’« empreinte carbone » souvent mentionnée est-elle en fait une référence voilée à notre existence en tant que « problème » ?

Ce chemin que nous avons soigneusement démêlé indique un scénario troublant d’une réalité amère à laquelle l’establishment a décidé que nous étions destinés à faire face.

En guise de conclusion, une question déconcertante se pose : dans l’ère imminente dominée par l’intelligence artificielle, la race humaine pourrait-elle être la victime ultime ? L’avènement de l’IA, considéré comme l’aube d’une nouvelle révolution industrielle, est-il inextricablement lié à une stratégie globale visant à réduire la population humaine ?

La logique est d’une simplicité effrayante : l’IA et l’automatisation prenant en charge les tâches laborieuses, la demande de main-d’œuvre humaine diminue drastiquement. La « Grande Réinitialisation » pourrait-elle donc être en réalité une « grande réduction » du nombre d’êtres humains ?

Nous sommes à l’aube d’un avenir qui défie les paradigmes traditionnels. Pourrions-nous, sans le savoir, ouvrir la voie à notre propre perte, poussés par la vision du progrès ?

Avec Deagel.com, une plateforme influencée par des entités telles que la CIA, le ministère de la Défense et la Fondation Rockefeller, qui fournit des prévisions alarmantes de dépopulation pour 2025, il semble que nous nous rapprochions à grands pas de cet avenir.

En effet, les données actuelles sur la surmortalité en Occident suggèrent fortement que les prévisions de Deagel en matière de dépopulation ne sont pas seulement une estimation, mais qu’il s’agit en fait d’un objectif qui est en passe d’être atteint, en partie grâce aux effets mortels de la vaccination Covid-19.

Source

Au terme de cette exploration de l’impensable, considérons ceci : le dioxyde de carbone — un gaz que nous exhalons [et que les plantes utilisent pour la photosynthèse] — est présenté comme l’ennemi juré de la planète.

Est-il possible que nous soyons amenés à accepter une dure vérité : pour réduire notre empreinte carbone, nous devons réduire notre empreinte humaine ?

L’histoire que nous avons décrite brosse un tableau inquiétant. Mais s’agit-il d’une théorie du complot farfelue ou d’une vérité dérangeante ? Seul l’avenir nous le dira. En guise de conclusion, nous vous laissons réfléchir à une idée qui fait froid dans le dos : dans un monde où l’IA règne en maître, l’humanité sera-t-elle le prix à payer ? Préparez-vous à un avenir tout sauf ordinaire.




Feu ! Feu ! Feu ! … Mais attendez un instant…

Le CO2 et la tromperie climatique

[Source : mondialisation.ca]

[Source illustration : mideastdiscourse.com]

Par Julian Rose

Les maîtres potentiels du contrôle totalitaire ont fait augmenter la température dans un but précis, afin de s’assurer que la responsabilité des incendies de brousse et de forêt qui se sont produits dans la région méditerranéenne pendant la récente vague de chaleur soit clairement attribuée au « réchauffement climatique ».

Il n’y a pas eu un seul jour en juillet où « l’horreur » de ces événements n’a pas fait les gros titres de la presse mainstream britannique et d’autres médias conformes à la politique du sommet.

L’horreur est sans aucun doute très réelle là où les incendies sont devenus incontrôlables, mettant des vies et des biens sous une menace directe — et nous devrions avoir une pensée pour ceux qui en sont victimes.

Mais la répétition incessante de gros titres annonçant « Record de chaleurs ! », « Des incendies dévastateurs ! », « L’Enfer sur Terre ! » sont devenus des expressions courantes pour ceux qui ont vu venir les escroqueries alarmistes de Covid en 2020/2021. Un public de plus en plus méfiant n’est plus aussi facilement séduit par les manipulations médiatiques contrôlant l’esprit utilisées pour faire accepter au public le « grand canular du réchauffement climatique [anthropique] ».

Les choses ne se sont pas si bien passées pour le lobby « Net Zero » [zéro émission nette] récemment. Le grand public ne veut plus de ces gros titres simplistes « à l’emporte-pièce » » spécialement conçus pour provoquer la peur et la panique ; surtout lorsque l’agenda des médias mainstream entièrement isolé supprime complètement toute tentative d’exprimer une autre opinion.

Les îles grecques de Rhodes et de Corfou suivent le modèle d’une grande partie de la Grèce continentale. Ils ont des étés chauds et secs. Il n’est pas rare que les températures atteignent les 30 ou 40 degrés centigrades.

C’est Vanessa Beeley, du journal britannique Column News, qui a souligné que les incendies signalés à Rhodes ont en fait causé des dégâts importants dans trois villages seulement et sur les terres agricoles environnantes, dont certaines ont été gravement brûlées par les incendies provoqués par le vent, ce qui a entraîné de graves pertes de revenus pour les agriculteurs concernés, sans aucun doute pour les années à venir.

Les dirigeants du Forum économique mondial ont déclaré qu’ils n’aimaient pas les petites exploitations agricoles (fermes) produisant de la « vraie » nourriture. Son Pacte Vert (Green Deal) veut que de telles fermes soient remplacées par des laboratoires synthétiques. Ce point de vue est maintenant partagé par tous les gouvernements qui adhèrent à la Grande réinitialisation (« The Great Reset »).

La Grèce compte le plus grand nombre de petites exploitations agricoles de tous les pays d’Europe occidentale. Ses agriculteurs ont souvent apporté leur aide au « peuple » pendant les crises politiques, en vendant des aliments de base directement dans leurs remorques à des prix dérisoires. Cependant, ils dépendent fortement du commerce touristique pendant les mois d’été, car les ventes pendant cette saison leur permettent de survivre pendant l’hiver.

La campagne de peur de la BBC et des médias mainstream en général a fait fuir les visiteurs cet été, avec des rapports fabriqués de toute pièce indiquant que les températures dépassaient régulièrement la norme.

Le sud de la Grèce semble avoir été la cible d’un traitement spécial de la part de ceux qui définissent le « programme d’action » imposé aux pays qui ne veulent pas se conformer aux règles de l’insidieux programme de lutte contre le changement climatique « net zéro » du Forum économique mondial (FEM).

Ajoutant au dilemme d’un pays déjà sec selon la plupart des normes européennes, s’ajoute la récente ruée vers l’installation d’éoliennes « vertes » dans les campagnes.

Comme cela a été le cas dans le nord de l’Allemagne et le nord de la Pologne ces dernières années, les pales de ces éoliennes génèrent un flux d’air unique dont l’effet est de réduire les précipitations et de modifier subtilement les conditions météorologiques locales, rendant ainsi les zones dans lesquelles elles sont situées plus sèches que la normale. Les incendies, dont certains sont rapportés par la presse grecque comme des cas probables d’incendie criminel, se sont propagés plus rapidement et ont fait plus de dégâts en raison de cet assèchement.

Je suis convaincu que les forces hostiles à la vie derrière le dogme du réchauffement climatique anthropique sont en train d’intensifier leur projet via un programme coordonné à l’échelle mondiale de perturbations météorologiques délibérées et de la diffusion simultanée d’informations biaisées de manière critique.

Pour maintenir l’escroquerie « Stop CO2 » Net Zero [Zéro émission nette] sur la bonne voie, les pouvoirs en place au sein du Forum économique mondial, des Nations Unies et des institutions commerciales et bancaires affiliées doivent proposer un menu régulier de catastrophes apparemment causées par un excès de CO2. Ils doivent promulguer des histoires de hausse des températures menaçant l’avenir de la vie sur terre.

C’est une politique que la cabale d’élite mène depuis plus de trois décennies. Cette politique est gravée dans la pierre — et toutes les autres activités/problèmes lui sont subordonnés. « Arrêter le réchauffement climatique » est tout simplement l’alibi concocté pour imposer toutes les formes imaginables de restriction aux droits fondamentaux de toute l’humanité.

Considérez le fait que les récentes éruptions volcaniques émettant du CO2 dans un certain nombre de pays sont tenues à l’écart de l’actualité. Comment cela se fait-il ? Les volcans sont-ils désormais classés dans la catégorie des « théories du complot », qu’il convient de vérifier et de soustraire à l’attention du public ?

Cela pourrait-il être dû au fait que la quantité de CO2 libérée dans l’atmosphère par ces éruptions est plus importante que celle produite par les activités humaines ? Et si les citoyens devaient prendre conscience du fait que l’activité volcanique n’est pas considérée comme une menace sérieuse pour la réalisation du grand programme Net Zero/Zéro émission nette d’ici 2045 ? De la même manière que la « guerre » a été éliminée de la contribution au carbone.

Nous devrions être à l’affût d’une « nouvelle découverte scientifique » ; quelque chose du genre « Il a été récemment établi que l’analyse précédente de la matière libérée lors des éruptions volcaniques était incorrecte. Les scientifiques ont analysé de nouveau des données récentes et découvert que le CO2 ne constitue qu’une partie minime des éléments libérés lors des éruptions. »

N’est-il pas étrange que la composition de la haute atmosphère contienne une si petite proportion de CO2 — seulement 0,04 % selon la recherche scientifique. Mais peut-être pas si étrange, si l’on tient compte du fait que le CO2 est 1,5 fois plus lourd que l’air (oxygène). Quelle est la quantité de CO2 qui parvient à atteindre la haute atmosphère ?

Je répète souvent ces observations dans mes articles, car nous avons besoin que chaque mortel encore capable de pensée rationnelle et d’éprouver une réaction émotionnelle saisisse la signification de cette vaste tromperie climatique.

Une tromperie dont la perpétuation réussie forme la masse critique dont dépend actuellement toute la mainmise mondialiste de l’État profond sur la planète.

Il suffit de détruire cette fabrication mondiale trompeuse — ce mensonge hypertrophié — pour que s’effondre le faux programme sur lequel repose l’ensemble de la « Grande réinitialisation » du Nouvel Ordre Mondial.

Incendies au Canada, incendies aux États-Unis ; incendies en Chine et incendies en Europe. Maintenant, il faudra que de tels incendies fassent la une des journaux chaque année. Ils devront devenir plus extrêmes, n’est-ce pas ? Sinon, l’histoire des catastrophes causées par le « réchauffement climatique » anthropique continu cessera de tenir et l’humanité cessera d’être envoûtée par son horreur.

Compte tenu de ces enjeux exceptionnellement importants, les auteurs ne pourraient-ils pas se tourner de plus en plus vers la technologie avancée des CEM [Champs électromagnétiques], des armes scalaires et des instruments de violence similaires pour déclencher des incendies et les entretenir ?

Depuis combien de temps de telles armes — comme HAARP — sont-elles déjà utilisées pour provoquer des tremblements de terre et modifier les conditions météorologiques ?

Jusqu’où la cabale d’élite psychopathe ira-t-elle pour atteindre sa planète transhumaine « Net Zero »/« Zéro émission nette » ?

Vous connaissez la réponse.

Mais, comme je le souligne aussi toujours dans mes écrits, nous qui sommes éveillés avons le pouvoir de mettre un terme à cette émeute diabolique de destruction. Nous devons juste nous mettre dans la tête qu’« ils » ne reculeront devant rien pour réaliser leur cauchemar luciférien.

Ils effaceront l’œuvre de Dieu et la remplaceront par leur version, comme l’a récemment déclaré le professeur Yuval Noah Harari. Eh bien, n’est-ce pas la meilleure incitation possible pour lui prouver le contraire ?

Pourrait-il y avoir une raison plus importante pour canaliser nos énergies vitales dans la défense inébranlable de la création de Dieu ?

Y a-t-il une cause plus importante à laquelle s’engager que celle de libérer ce merveilleux monde, qui nous est offert comme notre maison physique, des griffes mortelles d’un petit groupe de psychopathes obsédés ?

Pour moi, il n’y en a pas.

Julian Rose

Lien vers l’article original :
Fire! Fire! Fire! … But Wait a Moment, 7 août 2023

Traduit par Maya pour Mondialisation.ca


Julian Rose est l’un des premiers pionniers de l’agriculture biologique au Royaume-Uni, un écrivain, un diffuseur et un activiste international. Il est co-directeur de la Coalition internationale pour la protection de la campagne polonaise et un militant de longue date pour la survie des petites exploitations agricoles à travers le monde. Voir son site www.julianrose.info.
Il contribue régulièrement à Global Research.

La source originale de cet article est Mondialisation.ca
Copyright © Julian Rose, Mondialisation.ca, 2023




L’UE soutient le plan de Bill Gates visant à lutter contre le réchauffement de la planète en bloquant le Soleil

[Source : aubedigitale.com]

Par Frank Bergman

L’Union européenne (UE) a apporté son soutien au projet radical du cofondateur de Microsoft, Bill Gates, de « lutter contre le réchauffement climatique » en bloquant la lumière du soleil pour faire baisser la température sur Terre.

L’UE se joindra à un effort international mondialiste visant à examiner l’efficacité du plan.

Les gouvernements de plusieurs pays se joignent à des agences bureaucratiques non élues pour déterminer si une intervention à grande échelle telle que la déviation des rayons du soleil ou la modification des schémas météorologiques de la Terre sont des options viables pour « lutter contre le changement climatique ».

Comme Slay News l’a précédemment rapporté, Bill Gates défend depuis longtemps le projet de lutte contre le « réchauffement climatique » en recourant à la géo-ingénierie expérimentale pour bloquer le soleil.

L’idée, défendue par Bill Gates et le milliardaire gauchiste George Soros, consiste à injecter des nuages blancs artificiels dans l’atmosphère afin de réfléchir la lumière du soleil loin de la surface de la planète.

Ce projet radical permettrait d’abaisser la température de la planète et de « lutter contre le réchauffement climatique ».

Soros prétend que cette technologie contribuera à empêcher la fonte des calottes glaciaires.

Selon lui, la fonte des calottes glaciaires du Groenland, en particulier, pourrait condamner la civilisation humaine.

« Notre civilisation risque de s’effondrer en raison de l’avancée inexorable du changement climatique », a déclaré Soros.

« La fonte de la calotte glaciaire du Groenland augmenterait le niveau des océans de sept mètres. »

« Cela menace la survie de notre civilisation », a-t-il affirmé.

La méthode préconisée par Bill Gates consiste à augmenter les concentrations d’aérosols dans la stratosphère afin de réfléchir le rayonnement solaire loin de la Terre.

Bill Gates a financé un important projet à Harvard utilisant des ballons pour déployer des aérosols.

Ce projet a toutefois été interrompu à la suite d’une levée de boucliers de la part de l’opinion publique.

Selon un projet de document consulté par Bloomberg, l’Union européenne évalue les conséquences du « réchauffement climatique » sur la sécurité, notamment le risque que la pénurie d’eau ou de nourriture ne déclenche des conflits et des migrations.

Une partie de cette évaluation comprend l’étude des dangers potentiels de la réingénierie de l’atmosphère.

« Ces technologies présentent de nouveaux risques pour les personnes et les écosystèmes, mais elles pourraient également accroître les déséquilibres de pouvoir entre les nations, déclencher des conflits et soulever une myriade de questions éthiques, juridiques, politiques et de gouvernance », selon le document, qui est susceptible d’être modifié.

En se lançant dans ces recherches, l’Union européenne se trouve au cœur du débat sur la question de savoir si la géo-ingénierie du climat est une bonne science ou si elle n’est qu’une distraction de science-fiction.

Ces projets de géo-ingénierie ont des conséquences potentiellement dangereuses pour la planète et son atmosphère.

L’Union européenne souhaiterait que des discussions internationales aient lieu sur l’élaboration de règles applicables à ce secteur naissant.

« L’UE soutiendra les efforts internationaux visant à évaluer de manière exhaustive les risques et les incertitudes liés aux interventions sur le climat, y compris la modification du rayonnement solaire », selon le document.

Ces interventions à grande échelle sont apparues parallèlement aux progrès scientifiques et à la crainte croissante que les pays ne dépassent l’objectif de l’agenda vert, qui est de limiter le réchauffement de la planète à 1,5 degré Celsius.

Le blocage des rayons du soleil est désormais fréquemment présenté comme un moyen de lutter contre ce qu’on appelle la « crise climatique ».

Les critiques mettent toutefois en garde contre les effets secondaires imprévus de plans aussi radicaux, tels que l’altération de régimes pluviométriques vitaux ou un refroidissement excessif de la Terre qui entraînerait une ère glaciaire.

Certains scientifiques ont appelé à la conclusion d’un accord international de non-utilisation de ces solutions.

D’autres experts, quant à eux, affirment que les rapports faisant état d’une « crise climatique » sont un canular destiné à attiser la peur du public dans le but d’augmenter les impôts et de restreindre les libertés.

Comme Slay News l’a déjà rapporté, le célèbre écologiste Patrick Moore, cofondateur de Greenpeace, avertit le public que le discours contre le dioxyde de carbone est une escroquerie.

Moore, écologiste et militant écologiste depuis plus de 50 ans, affirme que l’augmentation du taux de dioxyde de carbone dans l’atmosphère est bénéfique.

Selon lui, les affirmations selon lesquelles le changement climatique est « causé par l’homme » sont de la « propagande » qu’il qualifie de « dangereuse ».

Les commentaires de Moore, un expert de premier plan en matière d’environnementalisme, vont directement à l’encontre de l’agenda vert mis en avant par l’administration de Biden et les groupes mondialistes tels que l’Organisation des Nations unies (ONU) et le Forum économique mondial (FEM).

Selon Moore, l’environnementalisme a été détourné et le mouvement a « abandonné la science et la logique au profit de l’émotion et du sensationnel ».

« Lorsque Greenpeace a commencé, nous avions une forte orientation humanitaire, pour sauver la civilisation de la destruction par une guerre nucléaire totale », a déclaré Moore.

Au fil des ans, la « paix » de Greenpeace s’est progressivement perdue et mon organisation, comme une grande partie du mouvement écologiste, a dérivé vers la conviction que les humains sont les ennemis de la Terre.

Traduction de Slay News par Aube Digitale




Le cash, va-t-il disparaître ?

[Source : Nicolas Bonnal]

Oui, tout est fait pour

Par Amal

Nous savons que nos chers mondialistes satanistes souhaitent se débarrasser du cash pour introduire la monnaie numérique — « le CBDC » — et de mettre en place un contrôle efficace et à distance de nos pauvres âmes.

Le cash a commencé à être difficile à obtenir. Ici, dans ma commune, vous pouvez retirer dans la journée un montant de 300 €, mais pas un penny de plus.

À la poste, les dépôts supérieurs à 1 500 € doivent être justifiés : d’où vient l’argent ? Pourquoi un tel dépôt ? Deux pièces d’identité, justificatif de domicile et son contrat de compte. Et tant qu’on y est, pourquoi pas, l’autorisation du père, du fils et du Saint-Esprit.

Quant aux artisans qui souhaitent disposer de monnaie pour leur caisse, c’est toute une histoire :
contacter la banque par téléphone, faire un e-mail avec le détail de la monnaie souhaitée, attendre le retour par e-mail de la banque pour la mise à disposition, et enfin se déplacer pour récupérer sa monnaie avec le mail en poche.

On a vu juste avant le coronacircus, l’arrivée des paiements sans contact. Le plafond était limité à 20 €. Une fois que le virus était là, on a augmenté le plafond à 50 € et surtout, on a commencé à diaboliser le cash, car il était un facteur de transmission du virus. Par contre, composer son code sur le pin pad ça, c’est hygiénique, no problemo, lui n’est pas infecté. C’est là que l’on se rend compte de la bêtise et du manque de discernement des froncés.

Pendant les confinements, on a supprimé pas mal de DAB dans les grandes villes. Il y en a de moins en moins.

En 2021, il était impossible de payer en espèces certaines factures d’énergie, notamment celles d’ANTARGAZ. Ils ne proposent plus que des paiements par carte, par TIP ou par chèque. Les espèces, c’est niet.

Depuis juin 2023, et toujours chez nos amis de la poste, il n’est plus possible de régler les factures d’énergie supérieures à 200 €. Si vous ne possédez pas de compte bancaire et bien, c’est la merde.

Depuis juin de cette année, à Carrefour, les caisses autonomes dites rapides ne prennent plus d’espèces. Les paiements ne se font que par carte bleue. Le message est sur un bout de papier scotché à la caisse.

Les paiements dans les stations-service se font généralement qu’avec CB, sauf une ou deux enseignes qui acceptent les espèces. Vous devez vous présenter au guichet, dire combien vous souhaitez régler et après paiement, ils vous débloquent la pompe.

Tout est fait pour que les espèces disparaissent de notre quotidien et que nous privilégions les paiements par carte. Un moyen très efficace de connaître chacun de nos faits et gestes, et dans un futur proche, avec le pass carbone, de nous punir en bloquant nos paiements.

Le crédit social pointe le bout de son nez et Voldemort en bon élève va appliquer toutes les mesures soufflées par Davos & Co.

Nous ne sommes pas sortis de l’auberge, à moins que nous trouvions un moyen de faire renaître massivement le troc pour éviter d’être constamment pistés. Ceci dit, avec les froncés qui vont être tellement contents de payer avec la puce qu’ils auront dans la main, ce n’est pas gagné !