La nature et le but de la maladie

Terry C. Fry a grandi dans une ferme. En 1952, il est devenu homme d’affaires. En 1961, il fonde la Musical Heritage Society, un club de vente de disques par correspondance spécialisé dans la musique médiévale, de la Renaissance, baroque et classique. En 1970, il devient éducateur de santé, actif dans le mouvement de la santé naturelle. En 1976, il fonde le Health Science Institute (l’Institut des sciences de la santé) et met au point un cours de sciences de la santé qui est traduit en plusieurs langues et intégré au programme de l’université de Paris. Il a publié un magazine, « Healthful Living », ainsi que plusieurs bulletins d’information et livres. Il est apparu à la radio et à la télévision et a donné des conférences sur des sujets liés à la santé.

https://www.goodreads.com/book/show/25464232-the-life-science-health-system

La totalité des cours est disponible sur archive.org (en anglais) :
https://ia601601.us.archive.org/30/items/life-science-health-system-t.-c.-fry
On les trouve aussi sous forme de PDF unique :
https://mojadrogadozdrowia.com/wp-content/uploads/2016/03/the-life-science-health-system-t-c-fry.pdf

On n’a traduit ici que le deuxième cours (sans inclure les deux articles annexes écrits par un autre auteur).

[Voir aussi le dossier Vaccins et virus (en particulier les articles Aveuglés par la pseudo-science qui montre pourquoi la virologie ne relève pas de science, Ça sent la mort pour la pseudoscience qu’est la virologie qui démonte la prétendue « culture virale », C’est l’heure du conte « Gain de Fiction »* avec RFK Jr. et ses amis ! sur le conte de fées des supposés virus « augmentés » en labos P4, et UN ADIEU À LA VIROLOGIE (ÉDITION POUR EXPERT) pour les experts) qui comprend divers articles complémentaires aux questions présentées ici par Terry C. Fry, dont celles relatives aux bactéries et aux virus.
Il présente la maladie comme étant un écart par rapport à la normale, ce qui revient à dire qu’elle représente un état de déséquilibre, par excès ou par déficiences. Il développe plus spécialement le cas des excès (ou intoxications), sur le plan physique.]

Par Terry C. Fry

Leçon 2 — La nature et le but de la maladie

— 1. Qu’est-ce qu’une maladie ?
— 2. Les objectifs de la maladie
— 3. La toxémie est la cause universelle de la maladie
— 4. L’hygiène naturelle ou la science naturelle des soins aux malades
— 5. Le caractère de la maladie
— 6. Questions et réponses

Puisque nous n’avons qu’une seule leçon sur le sujet de la maladie, je vous demande d’étudier sérieusement et de bien l’assimiler, car presque tous vos clients souffriront d’une maladie sous une forme ou une autre.

Dans cette leçon, nous verrons ce qu’est la maladie, ce qui la provoque, à quoi elle sert, et pourquoi elle se termine puisqu’elle est censée être l’occasion pour des entités microbiennes malveillantes de prendre pied dans notre corps et de le détruire. Nous examinerons comment un corps qui descend (comme on dit qu’il est malade) et des microbes qui montent inversent ces tendances.

1. Qu’est-ce que la maladie ?

  • a. Le mot maladie signifie tout simplement ne pas être à l’aise — une personne est mal à l’aise ou souffre de difficultés à maintenir l’énergie nécessaire aux fonctions qu’elle souhaite remplir et à maintenir opérationnelles les facultés qu’elle souhaite exercer.
    Dans la terminologie physiologique, la maladie signifie un écart par rapport à la normale. Cela signifie que le corps s’est écarté des fonctions normales. Dans un état pathologique, le corps a canalisé ou réorienté ses énergies de sorte qu’il dispose de moins d’énergie que d’habitude pour les fonctions qu’il exerce normalement.
  • b. Il existe deux types distincts de maladies. Le premier type de maladie a une utilité, le second n’en a aucune. Discerner ces deux types de maladies chez vos clients ne pose aucun problème. Ces deux types de maladies sont les suivants :

    • 1. Le premier type est la maladie constructive, souvent appelée maladie aiguë.
    • 2. Le deuxième type de maladie est la maladie dégénérative. Elle résulte d’une déficience organique dans laquelle les organes, les tissus, les os ou d’autres facultés ont subi une destruction, une distorsion ou une déficience irréversible.

Le service que vous rendrez à vos clients dépendra en grande partie de votre capacité à reconnaître si une maladie est constructive ou dégénérative. Je le répète : ce n’est pas difficile. Indépendamment de ces conditions de maladie, vous continuerez à guider votre client vers des pratiques saines, les pratiques saines étant la panacée universelle.

Si les maladies sont remédiables et réversibles, comme c’est le cas pour la plupart d’entre elles, elles sont constructives. Lorsque la maladie ne peut plus être inversée par des processus remédiables par le corps, elle est dégénérative. Par exemple, les dépôts osseux d’un arthritique peuvent généralement être autolysés et restaurés à un niveau proche de la normale. Mais lorsque l’ankylose s’est produite en raison de la destruction de l’os et du cartilage et de la fusion qui s’en est suivie, des pratiques saines rétabliront la santé, à l’exception de l’ankylose, qui est rarement réversible. Toutefois, de nombreuses maladies généralement considérées comme dégénératives peuvent être corrigées par l’organisme, notamment la plupart des cas d’arthrite.

2. Objectifs de la maladie

La maladie affecte l’ensemble du corps, et pas seulement une partie. La maladie remplit une fonction importante pour l’organisme. L’organisme déclenche des maladies curatives pour atteindre un objectif. Cet objectif concerne l’ensemble du corps, et pas seulement un organe, une zone ou une partie. Par exemple, nous pouvons savoir que nos reins sont malades. Mais, en réalité, c’est tout le corps qui est malade. Le fait que les symptômes ne soient visibles qu’au niveau des reins ne signifie pas que le reste du corps n’est pas affecté — cela signifie que les reins sont le point central de l’effort d’élimination, le point où les matières toxiques sont éliminées du corps.

Tout ce qui affecte une partie du corps affecte l’ensemble de l’organisme. Si nous avons mal au dos, c’est tout le corps qui est affecté. Nous nous préoccupons du bien-être de nos orteils, de nos doigts, de nos oreilles, de nos jambes, de nos yeux, de nos bras — nous défendons notre être tout entier parce que notre corps est une seule et même unité. Il n’y a pas de parties isolées dont nous ne nous soucions pas, que ce soit au niveau conscient ou inconscient de l’intelligence. Nous défendons tout, à tous les niveaux, parce que nous sommes tous concernés.

Nous n’avons pas de maladie ici ou là. Nous souffrons partout. Un appendice enflammé a été surchargé de substances toxiques parce que le corps est surchargé. L’intelligence du corps élimine la surcharge par tous les canaux d’élimination, mais malgré cela, la charge est si grande que l’appendice est accablé par plus que ce qu’il peut supporter. Cet état est le même dans toutes les maladies curatives où un organe local semble être le seul à être affecté.

2.1 La maladie est déclenchée par l’organisme

C’est le corps lui-même qui déclenche la crise connue sous le nom de maladie. Les scientifiques de la vie appellent ce processus un « nettoyage » ou une crise de guérison. Cette procédure est mise en place par l’organisme lorsque l’intégrité corporelle est compromise ou menacée par une accumulation de substances toxiques non éliminées. Le niveau de vitalité et l’ampleur de la surcharge déterminent le type de crise. En cas de vitalité élevée, comme chez un nourrisson, un très faible niveau de toxicité est toléré. Chez les nourrissons, les rhumes sont fréquents. Si la vitalité est faible, comme chez la plupart des personnes âgées de notre société, les rhumes sont rares. Parce que si peu de personnes âgées conservent un corps vital, la surcharge toxique les entraîne dans des maladies chroniques, des maladies dégénératives et des pathologies insoupçonnées qui conduisent à une mort inattendue ou à une « apparition soudaine » d’un cancer.

L’organisme doit être dans un état toxique avant de déclencher une crise. Ce ne sont ni les bactéries ni rien d’autre qui déclenchent et entretiennent une crise. Les micro-organismes sont incapables de mener une action unifiée ; en fait, ils ne peuvent exister s’il n’y a pas de nourriture (sol) pour eux, et les cellules vivantes ne sont pas un sol pour les bactéries.

Les bactéries sont impuissantes face aux cellules vivantes. Une « invasion » de bactéries telle que nous l’imaginons dans la contagion n’a jamais lieu. Les bactéries qui prolifèrent en cas de crise sont présentes en permanence. Nous hébergeons des milliards de micro-organismes dans notre tractus intestinal, sur notre peau, dans notre bouche et notre nez et dans d’autres cavités du corps. Ainsi, le corps est le SEUL acteur de la crise d’élimination ou de nettoyage que l’on appelle maladie.

Les bactéries et les virus ne sont pas responsables des maladies.

Imputer une maladie à un virus ou à une bactérie est une échappatoire facile. Il n’est pas bon de dire à un client qu’il est à l’origine de ses propres malheurs. C’est pourquoi la profession médicale a imputé la souffrance à tout sauf à l’échec de l’individu dans le jeu de la vie.

2.2 La maladie est un processus d’élimination

Le corps crée une crise en réponse à un besoin du corps de se libérer des matières toxiques et de réparer les dommages. En conséquence, le corps retire de l’énergie de ses activités normales pour la rediriger vers la crise de guérison.

Je pourrais vous dire que je souffre d’une maladie en ce moment. Je ne suis pas à l’aise avec mon larynx, comme vous l’avez remarqué en essayant de m’éclaircir la voix. J’ai mangé du chou pour mon repas du soir. Il était très piquant, car il contenait sans doute de l’huile de moutarde. En règle générale, tout irritant dans la gorge, l’œsophage ou la trachée provoque un écoulement de mucus qui englobe l’irritant afin de l’éjecter du corps. Dans mon cas, le corps a déclenché un écoulement de mucus pour dégager le passage de ce qui était considéré comme une substance toxique ou irritante. Il s’agit d’une maladie ou d’un malaise mineur. Mais il s’agit d’une maladie et le corps a réagi pour maintenir son intégrité fonctionnelle.

Le corps rejette tout ce qui est irritant. Par exemple, si on vous met de la poussière dans le nez, le corps sécrète du mucus pour entourer et éjecter la poussière irritante. Vous pouvez également éternuer. Dans les deux cas, le corps agit de manière défensive. Ainsi, toute maladie curative est une action défensive de l’organisme.

Les bactéries n’envahissent pas les organismes, car elles sont toujours à l’intérieur de l’organisme. Même lorsque nous avons perdu notre flore intestinale à la suite d’un jeûne, les bactéries sont toujours présentes. Dans de nombreux cas, les bactéries peuvent faire ce que font les ours et de nombreux autres animaux : elles s’inhibent ou deviennent dormantes. Pasteur n’est pas le père de la bactériologie comme beaucoup le pensent. C’est Antoine Béchamp qui est le père de cette science. Béchamp était un scientifique au sens propre du terme. Il a prélevé ce qu’il a appelé le microzyma dans les falaises de craie de France. Il a constaté qu’en fournissant de l’eau, de la chaleur et d’autres nutriments, le microzyma proliférait. Ces micro-organismes avaient été enfermés pendant dix millions d’années dans un état de dormance. Les bactéries possèdent donc certaines qualités de survie dont la plupart des gens ne sont pas conscients.

Le célèbre Dr Lewis Thomas, qui dirige le Sloan-Kettering Cancer Institute, a déclaré : « Ne plaignez pas l’homme qui a attrapé une bactérie, plaignez la bactérie qui a été attrapée par l’homme ». En d’autres termes, l’Homme constitue un environnement très difficile pour les bactéries. Le corps les maintient dans certaines limites. Le corps contrôle les bactéries à tout moment. Le corps est maître de son domaine.

Les bactéries ne contrôlent pas le corps comme les médecins nous l’ont fait croire.

Voici deux paragraphes tirés d’une « bible » sur l’hygiène naturelle, le premier grand ouvrage du Dr Shelton, Human Life : Its Philosophy and Laws (La vie humaine : sa philosophie et ses lois).

« Depuis des siècles, l’étude des maladies progresse. L’un après l’autre, les différents systèmes et complexes de systèmes présentés par le corps humain malade ont été étudiés avec un soin méticuleux, tant chez les vivants que chez les morts. L’étude de la pathologie a atteint un degré de perfection inconnu de la plupart des sciences collatérales qui forment ce que l’on appelle la science médicale. Les connaissances en pathologie ont progressé à pas de géant après l’invention du microscope, jusqu’à devenir aujourd’hui l’une des études les plus importantes pour l’étudiant en médecine. La physiologie, l’anatomie, l’histologie et la biologie sont toutes subordonnées à la pathologie.

L’étude de la maladie a toujours fasciné l’étudiant. La santé n’a reçu que peu d’attention. Aussi étrange que cela puisse paraître, la santé a été considérée comme si peu importante qu’elle ne méritait pas d’être étudiée. Aucune école n’a jamais existé pour enseigner les conditions de la santé. Les écoles de médecine existaient pour former les étudiants à la connaissance des maladies et des remèdes. Aujourd’hui encore, il n’existe aucune école dont l’objectif est d’enseigner les conditions et les exigences de la santé. Les conditions d’une vie saine sont peu comprises par les différentes professions de santé et encore moins par le grand public. La santé n’entre pas dans les attributions professionnelles du médecin. »

Le monde médical se préoccupe de traiter les maladies à l’aide de médicaments à la mode. Leur recherche de bactéries et de « virus » comme responsables des maladies me rappelle une petite blague que nous avons entendue après la Seconde Guerre mondiale. Voici ce qu’elle dit.

Pendant la Seconde Guerre mondiale, un civil allemand travaillait dans un camp de concentration. Un soir, il a poussé une brouette jusqu’à la porte de sortie pour qu’un garde l’inspecte. La brouette était chargée de chiffons. Le garde, très soucieux de son travail et de la sécurité du camp et de ses biens, passe méthodiquement en revue les chiffons, mais ne trouve rien. Il a donc laissé passer l’ouvrier.

Le lendemain, l’ouvrier se présente avec une brouette de journaux. Le garde a répété l’examen minutieux précédent. Le jour suivant, le travailleur est venu avec une brouette de feuilles. Le même examen minutieux a été effectué.

Le jour suivant, l’ouvrier s’est présenté devant le garde en poussant une lourde charge de terre. Le garde n’est pas dupe. Il oblige l’ouvrier à déverser la terre et à l’étaler, puis à la recharger laborieusement sur la brouette.

Le jour de travail suivant, un autre chargement de journaux est arrivé. Le garde soupçonne l’ouvrier de faire sortir quelque chose en cachette. En plus des autres procédures, il a donc tapoté les poignées et d’autres endroits à la recherche de matériel caché que l’ouvrier aurait pu voler. Mais rien n’a été trouvé.

Cette situation s’est répétée presque tous les jours de travail pendant un an. Parfois, le garde fouillait systématiquement les brouettes, mais il ne trouva jamais rien de valeur sorti du camp.

Peu à peu, la guerre fut terminée. Quelque temps plus tard, l’ancien garde a rencontré l’ancien ouvrier du bâtiment dans la rue.

Il s’approcha de l’ouvrier et l’arrêta brusquement en lui demandant en souriant :

« Hans, il faut que tu me dises quelque chose. Je ne suis pas idiot. Tu as volé quelque chose dans le camp. Je n’ai jamais pu le retrouver. Maintenant que ça n’a plus d’importance, pourquoi ne pas me mettre au courant ? ».

Hans répond : « Mais, idiot, tu l’as vu de tes propres yeux. Je volais des brouettes ».

Un tel aveuglement caractérise le corps médical. Le but de la maladie est si évident que les médecins ne le voient pas. Ils cherchent quelque chose qui n’existe pas, et ils n’ont aucune idée, après d’innombrables millions d’heures de travail à poursuivre des microbes et d’autres impasses similaires, que les virus en tant qu’entités vivantes n’existent pas.

Ils ont donc étudié le phénomène de la maladie de manière approfondie et ont répertorié plus de vingt mille maladies différentes. Elles portent le nom de la zone la plus touchée. Parfois, elles portent plusieurs noms en raison du nombre d’organes, de systèmes d’organes ou de tissus qui sont touchés.

3. La toxémie est la cause universelle de la maladie

En réalité, il n’y a qu’une seule maladie, quelle que soit la façon dont elle se manifeste. Cette maladie, que nous appelons maladie constructive, est provoquée par le corps lui-même et est connue sous le nom de crise de toxémie ou de guérison.

3.1 Les sept stades de la maladie

Il existe plusieurs stades de maladie. La cause sous-jacente de la maladie à tous les stades est la toxémie. Bien que la toxémie puisse avoir de nombreuses origines, elle est essentiellement due à une énergie nerveuse insuffisante pour éliminer suffisamment les poisons exogènes et les déchets de l’organisme. Le terme toxémie n’est pas assez large pour couvrir l’ensemble du processus d’empoisonnement, car il signifie qu’il y a du poison dans le sang. En réalité, il existe une toxicose. Les tissus, les cellules et les espaces interstitiels sont également chargés de poison. Bref, c’est tout le corps qui est toxique.

Les maladies présentent de nombreux aspects différents, car elles évoluent avec la détérioration progressive de l’organisme qui les subit. La maladie comporte sept stades distincts. Ces stades correspondent aux différences distinctes de chaque stade d’évolution.

3.1.1. Énervation

Le premier stade n’est même pas reconnu par les médecins comme une maladie. Les spécialistes de la vie l’appellent l’énervation. La plupart des gens parlent d’épuisement nerveux. L’énervation est un état dans lequel le corps ne génère pas suffisamment d’énergie nerveuse pour les tâches qu’il doit accomplir, ou bien les tâches qu’il doit accomplir peuvent être plus importantes que ce que la réserve normale d’énergie nerveuse peut supporter. Dans tous les cas, l’organisme devient déficient, et un organisme déficient génère moins d’énergie nerveuse si les conditions de surmenage ou de sous-génération persistent. La plupart des gens savent qu’ils sont épuisés nerveusement.

L’énervation peut être causée par l’épuisement de l’énergie nerveuse de plusieurs centaines de façons. Le sommeil régénère l’énergie nerveuse. Il est évident qu’un sommeil insuffisant ne répondra pas à nos besoins. Il ne rechargera pas complètement nos batteries. Nous avons besoin de sommeil pour régénérer l’énergie nerveuse du cerveau et du système nerveux.

L’énergie nerveuse est une forme d’électricité mesurable en millivolts. Les laboratoires du sommeil ont réussi à substituer de l’électricité à celle du corps. On parle alors d’électrosommeil. Il ne faut que deux heures sur vingt-quatre pour restaurer complètement l’énergie nerveuse de cette manière.

Il est facile de démontrer que l’énergie nerveuse est électrique. Si vous vous écrasez le doigt, un message sera immédiatement envoyé au cerveau et il en résultera l’ordre de retirer le doigt de celui qui a exercé la pression. De plus, le cerveau ordonnerait à tout l’équilibre du corps de coopérer à l’extraction du doigt de la pression incriminée. Seule l’électricité est capable d’une transmission aussi rapide. Aucun processus chimique ou circulatoire n’est capable d’une telle expédition. Elle ne se produit que par l’intermédiaire d’un réseau de nerfs dotés de capacités conductrices, et l’électricité est la seule forme d’énergie qu’ils peuvent conduire. Si vous prenez une faible tension et que vous vous y branchez tout en tenant la main de quelqu’un d’autre, cette personne reçoit un choc immédiatement lorsque vous touchez la source électrique sous tension. Je pense que personne ne peut douter du fait que nous produisons de l’électricité et que c’est la forme d’énergie que nous utilisons pour mener à bien nos activités physiques et mentales. Les sensations sont transformées en stimuli électriques et transmises au cerveau. Celui-ci les interprète et envoie des ordres en fonction de cette interprétation. Ainsi, si vous approchez votre doigt d’un objet chaud, le doigt reçoit en un clin d’œil l’ordre de s’en retirer.

Ce qui précède vise à démontrer que le corps est avant tout un organisme qui fonctionne grâce à la quantité d’électricité qu’il génère et qu’il a en réserve. Si cette réserve est épuisée ou insuffisante pour répondre aux besoins de l’organisme, les fonctions de l’organisme sont altérées, y compris les processus d’élimination des déchets métaboliques endogènes et des poisons exogènes introduits dans l’organisme. Cette déficience engendre d’autres déficiences, notamment la diminution de la capacité de l’organisme à restaurer l’énergie nerveuse épuisée. L’organisme commence à décliner. Le stade suivant de ce déclin est appelé toxémie.

3.1.2. Toxémie ou toxicose

Lorsque des substances toxiques, quelle qu’en soit l’origine, saturent le sang et les tissus, le système lymphatique et les liquides interstitiels, on parle de toxémie et de toxicose.

En tant qu’organismes fonctionnels, nous générons une quantité considérable de sous-produits toxiques. Nous produisons suffisamment de dioxyde de carbone pour nous tuer en quelques minutes. Si nos poumons ne fonctionnaient plus, l’accumulation de dioxyde de carbone et le manque d’oxygénation nous submergeraient assez rapidement. Notre capacité d’absorption du dioxyde de carbone est limitée. Et ce n’est là qu’un des nombreux déchets. Le corps humain compte des billions de cellules. Des dizaines de milliards d’entre elles expirent chaque jour. Elles sont remplacées par de nouvelles cellules. Les vieilles cellules sont décomposées par les lysosomes, des enzymes qui résident dans un petit organite à l’intérieur de la cellule elle-même. Lors de la mort cellulaire, ces enzymes décomposent la cellule en de nombreux éléments plus petits qui seront éliminés. Ces composants sont des débris cellulaires. Certains de ces composants, comme le fer, les protéines et les acides aminés, sont recyclés par l’organisme. Environ 95 % des besoins en fer et 70 % des besoins en protéines de l’organisme sont couverts par le recyclage. Certains autres besoins de l’organisme sont également satisfaits par le recyclage. Cela vous donnera une idée de l’immense providence et de la sagesse du corps dans la satisfaction de ses besoins. Les autres composants de la cellule décomposée sont l’ARN et l’ADN. Ceux-ci sont toxiques lorsqu’ils se trouvent dans le système. S’ils s’accumulent, comme c’est le cas chez la plupart des humains dans la société actuelle, un état d’intoxication (toxémie et toxicose) existe. C’est ce que les médecins appellent des virus, et ils attribuent à tort à ces débris morts les pouvoirs de la vie et de la malveillance.

La saturation des tissus et du sang en matières toxiques peut être causée à la fois par des déchets générés à l’intérieur et par des polluants provenant de l’extérieur que le corps n’a pas été en mesure d’éjecter du domaine vital. L’intoxication survient lorsque nous surchargeons l’organisme de substances toxiques provenant de l’extérieur, lorsque nous ne respectons pas nos capacités et que nous nous surmenons, dormons insuffisamment ou sommes soumis à un stress important, ou lorsque de nombreux autres facteurs épuisent l’énergie nerveuse de l’organisme ou l’empêchent de se régénérer de manière suffisante. Par exemple, le stress, les chocs émotionnels ou les expériences traumatisantes peuvent épuiser très rapidement l’énergie nerveuse de notre corps. C’est comme un court-circuit de la batterie d’une voiture.

À un certain niveau d’intoxication, nous commençons à ressentir le stade suivant de la maladie, appelé irritation.

3.1.3. L’irritation

L’irritation résulte de la détection de substances toxiques par notre réseau nerveux. La plupart d’entre nous n’accordent que peu d’importance à ce stade, et les médecins n’y prêtent certainement pas attention. Lorsque nous ressentons des démangeaisons, des nausées, des tremblements, un malaise, ou lorsque nous avons des zones gênantes, mais non douloureuses, c’est qu’il y a irritation. Le chatouillement du nez est une forme d’irritation. Les accumulations de mucus le long des muqueuses irritent, bien que l’irritation ne soit pas douloureuse. Il s’agit d’une légère incitation qui nous pousse à rechercher le confort et à nous en libérer. Par exemple, l’envie d’uriner ou de déféquer est une forme d’irritation due à une accumulation de déchets supérieure à ce que l’organisme peut supporter. Toutefois, cette envie n’est pas douloureuse, sauf si elle est ignorée jusqu’à ce qu’elle crée une pression trop forte dans la zone concernée. Une irritation presque douloureuse nous oblige à régler le problème.

Lorsqu’une personne boit trop d’alcool, nous disons qu’elle est intoxiquée. C’est un bon exemple d’intoxication exogène. Si toute absorption d’alcool est préjudiciable à l’organisme, le corps peut éliminer rapidement une petite quantité avant que les dommages ne soient trop importants. Si l’on augmente la consommation, l’élimination est proportionnellement moindre et les dégâts proportionnellement plus importants. Le premier verre d’alcool ne provoque qu’une irritation que l’on appelle aussi stimulation. Mais toute substance toxique, qu’il s’agisse de sel, de caféine ou de condiments, irritera ou stimulera. Il s’agit d’un état dans lequel l’organisme met en œuvre ses mécanismes de défense et accélère ses activités internes. On pourrait comparer ce phénomène à une alarme à bord d’un navire où tout le monde est appelé. Une frénésie d’activité se traduit par un affrontement avec les forces ennemies. Malheureusement, nous nous sentons souvent bien, hyper ou même euphoriques. Il est affligeant de voir un état euphorique naître d’une situation préjudiciable à l’organisme.

Si les causes de l’énervation, de l’intoxication et de l’irritation restent en vigueur et que l’organisme ne peut y faire face, il déclenche une crise de réaction appelée inflammation.

3.1.4. L’inflammation

C’est généralement à ce stade que les médecins reconnaissent une pathologie. C’est le stade où les malades sont parfaitement conscients d’un problème, car il s’agit d’une douleur. Elle implique également une réorientation corporelle des énergies vitales. Le tractus intestinal est fermé. L’énergie qui serait normalement disponible pour l’activité de l’intestin est prélevée et redirigée vers l’effort massif pour faire face à un état grave d’intoxication. De peur de porter un coup fatal à l’intégrité de l’organisme ou de le paralyser, le corps se mobilise pour faire face à l’urgence.

Dans le cas d’une inflammation, les substances toxiques ont généralement été concentrées dans un organe ou une zone en vue d’un effort d’expulsion massif. La zone devient enflammée en raison de l’irritation constante des substances toxiques. En cas d’inflammation, on parle d’« ites », par exemple d’appendicite, d’amygdalite, d’hépatite ou de néphrite. Il est à noter que les « ites » que nous venons de citer sont toutes dues à une surcharge de quatre organes différents de purification et d’élimination.

Les noms des « ites » correspondent généralement à l’organe ou à la zone tissulaire qui est enflammée. Ainsi, en cas de rhume, on parle de rhinite. En cas d’inflammation des cavités sinusales, il s’agit d’une sinusite. L’inflammation des tissus bronchiques se traduit par une bronchite ou de l’asthme. Et ainsi de suite. Ces pathologies sont particulières parce que, dans chaque cas, l’organisme a choisi d’éliminer l’extraordinaire charge toxique par l’intermédiaire de l’organe affecté. Par exemple, l’asthme existe parce que l’organisme a choisi les bronches pour évacuer les substances toxiques. La maladie est chronique parce que la charge toxique est incessante. Alors que la personne atteinte continue de s’intoxiquer, l’organisme continue d’éliminer la surcharge par les bronches ou le tissu alvéolaire.

L’inflammation ou la fièvre est une réaction de crise de l’organisme à une situation qui met la vie en danger. C’est le corps et lui seul qui crée la fièvre. Il s’agit d’une preuve ou d’un symptôme d’activités corporelles accrues et intenses visant à nettoyer et à réparer. Les énergies extraordinaires utilisées pour la fièvre le sont au détriment des énergies normalement impliquées dans la digestion, le travail ou le jeu, la pensée et la vision, etc. La fièvre est une activité curative. L’idée de la supprimer équivaut à frapper un homme qui se noie sur la tête pour qu’il cesse de se débattre. Par exemple, si les rhinitiques ou les grippés sont drogués, cela revient à frapper sur la tête le guérisseur de l’organisme. Ainsi, l’effort d’élimination est supprimé et la toxicité augmente jusqu’à ce que d’autres organes, généralement les poumons, soient saturés, non seulement par la toxicité, mais aussi par les médicaments administrés. Lorsque la vitalité du corps se rétablit, une pneumonie est susceptible d’apparaître.

L’inflammation est le quatrième stade de la maladie et représente l’effort le plus intense de l’organisme pour se nettoyer et se restaurer. Le stade suivant de la maladie est celui de la destruction et de la dégénérescence. Elle surviendra si les causes de l’intoxication générale de l’organisme se poursuivent.

3.1.5. Ulcération

L’ulcération signifie qu’une quantité stupéfiante de cellules et de structures tissulaires sont détruites. Les systèmes physiologiques sont anéantis en raison de l’incapacité de l’organisme à vivre dans un milieu toxique incessant. Là où le tissu est détruit, il reste un vide. Un exemple est celui d’un aphte dans la bouche. Des lésions ou des ulcères peuvent également apparaître dans d’autres parties du corps. Ces affections sont souvent très douloureuses, car les nerfs sont exposés.

Bien que le corps puisse utiliser un ulcère comme exutoire d’une accumulation toxique extraordinaire et se soulager ainsi, il guérira l’ulcère si les causes sont supprimées ou si le niveau de toxicité est considérablement réduit. Ce processus de réparation des dommages est comparable au rapiéçage d’un pantalon troué. Ce processus de rapiéçage est appelé induration.

3.1.6. Induration

L’induration est un durcissement des tissus ou le comblement d’une vacuité tissulaire par un tissu dur. La cicatrisation est une forme d’induration. Mais à ce stade de la maladie, le durcissement a une direction et un but. L’espace est comblé et les substances toxiques qui menacent l’intégrité corporelle sont encapsulées dans un sac de tissu durci. L’ulcère et les substances toxiques sont scellés par le durcissement du tissu qui les entoure. C’est une façon de mettre en quarantaine les substances toxiques, souvent appelées formation de tumeurs. C’est cette condition qui est diagnostiquée comme un cancer dix-neuf fois sur vingt, alors qu’en fait il n’y a pas de cancer.

L’induration est la dernière étape au cours de laquelle le corps exerce un contrôle intelligent. Si les pratiques pathogènes qui ont conduit à ce stade sont poursuivies, les cellules et les systèmes tissulaires se déchaînent. Ils survivent tant bien que mal par leurs propres moyens. Les cellules deviennent parasites, vivant des nutriments qu’elles peuvent obtenir du liquide lymphatique, mais ne contribuant en rien à l’économie du corps. Elles sont désorganisées. Leur encodage génétique a été altéré par les poisons. Elles ne sont donc pas capables d’une action organisée normale et intelligente dans le contexte d’une économie vitale. Lorsque les cellules se déchaînent de la sorte, on parle de cancer.

3.1.7. Le cancer

Le point final de l’évolution de la maladie est le cancer. C’est le dernier stade de la maladie et il est généralement fatal, surtout si les causes qui l’ont provoqué se poursuivent. La cessation des causes et l’adoption de pratiques saines peuvent l’arrêter, car elles peuvent revitaliser l’organisme au point de détruire les cellules cancéreuses. Tout est relatif. Les cellules cancéreuses vivent dans un environnement hostile, mais elles se divisent et prospèrent tant qu’elles disposent de nutriments. Les cellules cancéreuses peuvent être considérées comme des cellules qui sont devenues indépendantes et qui sont revenues au statut de cellules primitives incontrôlées — des cellules qui vivent entièrement par elles-mêmes comme les protozoaires.

Ces stades de la maladie présentent des caractéristiques bien distinctes, mais les limites sont plus ou moins arbitrairement tracées. C’est ce qui se produit souvent dans les tentatives de catégorisation, lorsqu’une forme évolue vers une autre. Les lignes de démarcation ne sont pas clairement définies.

Les gens se demandent parfois quand commence le cancer. Les hygiénistes ou les spécialistes des sciences de la vie répondent qu’il commence avec le premier rhume ou la première éruption cutanée de l’enfance. La première crise que subit un bébé est à l’origine de la chaîne pathologique qui mène au cancer. Cette chaîne évolutive commence alors parce que le phénomène de la vie est une violation constante des lois de la vie du début à la fin.

3.2. Virus et bactéries : leur rôle dans la maladie

Après avoir passé en revue les sept stades de la maladie, il devrait être évident que les bactéries et les soi-disant virus ne provoquent pas de maladies. Les virus provoquent des maladies si l’on appelle virus les déchets toxiques des cellules corporelles décomposées. Les débris cellulaires décomposés sont précisément ce que les virologues et les médecins appellent des virus. Ils considèrent les virus comme des entités vivantes alors qu’en réalité, les médecins n’ont jamais observé la qualité de vie qu’ils attribuent aux virus. Ce que l’on appelle virus est toujours mort. On n’a jamais observé qu’il était vivant. Il ne possède pas les premiers prérequis de la vie, c’est-à-dire des mécanismes métaboliques et de contrôle. Même les bactéries en sont dotées. Je répète que ce que l’on appelle les virus n’est rien d’autre que des composants de cellules décomposées.

Certaines personnes insistent sur le fait que la syphilis est causée par des bactéries, plus précisément des spirochètes. Bien que le terme spirochètes ait cédé la place à des virus appelés Herpès de nos jours — c’est la mode — il a été facile de démontrer que les spirochètes n’ont jamais été responsables de la syphilis. Si vous demandez à un bactériologiste ce qui vient en premier, le sol ou les bactéries, il vous répondra que le sol doit d’abord exister pour que les bactéries se développent, car ce sont les cellules vivantes qui offrent aux bactéries un environnement mortel. Ainsi, les bactéries n’existent jamais dans un état de prolifération où il n’y a pas de nourriture ou de sol pour leur propagation. Elles se multiplient lorsqu’il y a un festin et elles meurent lorsqu’il y a une famine ou un environnement défavorable. Par conséquent, les bactéries ne créent pas plus leur approvisionnement en nourriture que les mouches ne créent des déchets. Les ordures doivent préexister aux mouches et, dans le même ordre d’idées, les ordures ou le sol sur lesquels les bactéries se développent dans notre corps doivent préexister à leur présence et à leur propagation. En d’autres termes, elles ne sont pas à l’origine de l’état de l’organisme, elles sont là à cause de l’état de l’organisme.

Lorsque l’organisme est confronté à une situation hautement toxique, telle qu’une inflammation, il absorbe les bactéries de la cavité intestinale et les transporte jusqu’à l’endroit où les substances mortelles sont concentrées. Les bactéries aident alors, en symbiose, à décomposer ces substances toxiques en vue de leur élimination. Bien entendu, les excréments des bactéries sont également toxiques.

Les médecins ignorants considèrent ces bactéries non pas comme nos partenaires symbiotiques dans le processus de lutte contre la maladie, mais comme la cause de la maladie. Koch a détruit les théories originales de Pasteur par ses quatre postulats. Les deux premiers stipulent que si une maladie est causée par un certain type de bactérie, cette forme de bactérie doit toujours être présente lorsque la maladie existe. Le second postule que la maladie doit toujours être provoquée par la présence ou l’introduction de la bactérie dite responsable. Bien que ces principes cardinaux soient évidents, les exceptions sont si nombreuses qu’elles réfutent totalement la théorie germinale de la cause des maladies. Koch a énoncé ses postulats en 1892 ; le corps médical ne leur a jamais accordé la moindre crédibilité. Aujourd’hui encore, la profession s’accroche à la théorie des germes, sauf que les germes sous forme de bactéries sont relégués au second plan au profit d’une entité encore plus insaisissable appelée virus.

Les bactéries existent dans une multitude de souches, de formes et de capacités métaboliques. Les bactéries sont polyvalentes et, dans de nombreux cas, elles changent de forme et de mode de vie en fonction de la nature du sol qui leur est accessible. Les bactéries rondes peuvent prendre la forme d’un bâtonnet et vice versa.

On disait autrefois que le pneumocoque était responsable de la pneumonie. Or, on a constaté que ce type de bactérie était absent dans près de la moitié des cas. De plus, l’administration de la bactérie à des organismes sains n’a jamais provoqué de pneumonie. Le simple fait que les bactéries se trouvent dans le corps humain comme partout ailleurs n’est pas reconnu par le corps médical. Les bactéries sont des partenaires symbiotiques de toutes les créatures de la nature. Pour pouvoir exister dans la nature, l’homme a dû établir un état de symbiose avec toutes les forces naturelles.

Deuxièmement, si les bactéries envahissaient les organismes et les mettaient à terre comme elles sont censées le faire — si le corps pouvait être mis à terre alors qu’il est en bonne santé —, l’impulsion ou l’élan que les bactéries ont créé deviendrait plus prononcé et plus écrasant à mesure que l’organisme reculerait dans la maladie. Il s’agirait d’un voyage à sens unique, tout comme les vautours qui s’attaquent aux os d’un cadavre. Si les bactéries et les virus provoquaient des maladies, une fois qu’ils ont submergé l’organisme et l’ont affaibli, comment l’organisme très affaibli reprendrait-il l’ascendant ? Si l’on s’intéresse de près à cette question et si l’on en tire les conclusions logiques, on s’aperçoit qu’une fois qu’un organisme a perdu la bataille alors qu’il était en bonne santé, il perdra la guerre une fois qu’il aura été handicapé.

3.3 Maladie compliquée par les sous-produits des bactéries symbiotiques

Au plus fort de leur activité, les bactéries compliquent les maladies parce que les sous-produits de la fermentation ou de la putréfaction bactérienne sont des poisons mortels. Dans la fermentation, les sous-produits sont l’acide lactique, l’acide acétique ou le vinaigre, et l’alcool. La putréfaction concerne les aliments azotés ou les protéines. Les sous-produits des protéines en décomposition sont les ammoniaques, les indoles, les scatols, les purines, etc. Ils sont toxiques pour les organismes, bien que le corps puisse normalement éliminer ces poisons. En fait, nos excréments et notre urine sont chargés de sous-produits de la décomposition des protéines, provenant à la fois de la décomposition de notre corps et de la décomposition bactérienne.

Vous avez entendu parler de l’idéal de vivre dans un environnement sans germes. C’est évidemment impossible. Des milliards de bactéries se trouvent en permanence dans et sur notre corps. Si nous n’avions pas ces minuscules organismes, nous mourrions rapidement. Ils nous rendent de nombreux services essentiels qui seront abordés dans une prochaine leçon. Il suffit de dire que nous vivons en symbiose avec les bactéries.

C’est à tort que l’on accuse les bactéries d’être à l’origine de nos propres imprudences. Rares sont les médecins qui ne trouvent pas un bouc émissaire pour leur client et qui ne déchargent pas le patient de la responsabilité de ses problèmes.

La logique médicale n’est pas très logique. Selon la logique médicale, les bactéries ou les virus envahissent notre corps et détruisent nos cellules. Il semblerait que les défenses de notre corps le permettent par leurs intimations. Il semblerait qu’une fois que ces entités envahissantes ont pris de l’avance, elles ne cessent de détruire le reste des cellules de l’organisme, d’autant plus que la première attaque a paralysé l’organisme et réduit sa capacité à se défendre. Selon la logique médicale, les bactéries sont là en plus grand nombre, car elles prolifèrent de manière astronomique lorsqu’elles ont trouvé une situation de festin. Comment le corps peut-il inverser cette situation et se rétablir ?

Les médecins pensent qu’il faut administrer des médicaments qui tuent les bactéries pour que le corps ait une chance de se rétablir. Ils font également croire aux gens que les médicaments sont des agents de guérison ou qu’ils aident à la guérison.

Lorsque l’on commence à poser des questions profondes sur les causes de la maladie, les théories médicales s’effondrent d’elles-mêmes. Elles ne peuvent être soutenues face à des vérités évidentes. Nous devons donc trouver la base rationnelle de la causalité de la maladie.

La maladie a une seule cause unitaire. Elle est instituée et conduite par le corps lui-même. C’est la seule entité organisée capable de coordonner les différents processus de la maladie. La maladie survient lorsque les substances toxiques que nous avons générées à l’intérieur ou absorbées de l’extérieur ne sont pas éliminées en raison de l’incapacité de l’organisme à y faire face. Ces substances affaiblissent et dévitalisent l’organisme jusqu’au moment où, ne pouvant plus tolérer la charge toxique croissante à son niveau moyen de vitalité, le corps déclenche une crise, redirigeant ses énergies corporelles vers l’ennemi intérieur.

Revenons à la pneumonie. Les médecins craignent qu’un rhume ou une grippe ne se transforme en pneumonie. Cela se produit si souvent chez leurs patients qu’ils font des efforts « héroïques » pour l’éviter. Ils administrent des médicaments à profusion. Pourtant, la pneumonie survient si souvent malgré les médicaments que les médecins se sentent impuissants face à la pneumonie, l’une des premières causes de décès dans notre société. La question se pose alors : quelle est la cause de la pneumonie ? Le pneumocoque survit-il à l’assaut des médicaments et provoque-t-il malgré tout une pneumonie ?

Si les rhumes sont, comme nous l’enseignons, un processus de purification, comment un corps en crise peut-il s’aggraver ? Si le corps élimine abondamment des substances toxiques par les voies respiratoires, comme c’est le cas dans les rhumes et les grippes, comment se fait-il que les poumons soient également contaminés ?

Dans tous les cas de rhume et de grippe, la guérison est très rapide si le malade se couche dans une pièce aérée et baignée par la lumière du jour. Un repos presque total s’impose. Il faut s’abstenir de toute nourriture et boire beaucoup d’eau pure. Dans ces conditions, la débilité disparaît en un à trois jours. Mais si le malade refuse de se reposer et continue à manger les mêmes mauvais aliments qui ont fortement contribué à la crise, l’effort d’élimination peut être inférieur à l’accumulation continue de substances toxiques, auquel cas une pneumonie peut être concomitante. En revanche, si le malade consulte un médecin et se fait en plus droguer, l’organisme se concentre sur l’élimination des médicaments. Il peut cesser complètement le rhume ou la grippe face à l’ennemi principal. L’accumulation continue de substances toxiques se propage aux poumons. Les médicaments et les substances toxiques peuvent se concentrer si fortement dans les poumons qu’ils provoquent la mort ou ouvrent la voie au cancer. De nombreuses autopsies révèlent que les personnes qui ont eu une pneumonie, qui ont fumé ou qui ont vécu dans un air très pollué ont des tumeurs, des sacs indurés de tissu pulmonaire qui encapsulent les substances toxiques dans les poumons. De nombreux cas de jeûnes prolongés ont été effectués chez des personnes ayant souffert de pneumonies plusieurs années auparavant. On a constaté que les médicaments administrés sortaient des poumons au cours du jeûne à mesure que le corps autolysait les tumeurs et en expulsait le contenu.

Pourtant, malgré les causes évidentes de la pneumonie, les professionnels de la santé continuent de dire que le pneumocoque est à l’origine de la pneumonie, alors qu’en fait, plus de 25 % des cas de pneumonie n’ont jamais été causés par le pneumocoque. Maintenant que les médecins s’éloignent de plus en plus de la théorie des germes comme cause de la maladie, ils invoquent les virus comme coupables. Cela n’est vrai que si l’on entend par virus les déchets métaboliques non éliminés. Mais lorsque l’on commence à s’intéresser à ce que sont les virus et à la manière dont ils provoquent les maladies, on pourrait parler de la théorie du « mauvais esprit » de la maladie, car les médecins attribuent aux virus toutes les qualités d’esprits malveillants.

Un tel aveuglement caractérise la profession médicale. L’objectif de la maladie est si évident que les médecins ne peuvent pas le voir. Tout comme le gardien du camp de concentration, ils cherchent quelque chose qui n’existe pas et ne voient pas ce qu’ils voient si clairement tout le temps.

Les chercheurs en médecine ont répertorié plus de 20 000 maladies différentes. Ils en ont nommé presque toutes les variantes. Elles portent plusieurs noms en raison du nombre d’organes ou de systèmes tissulaires qui présentent des symptômes. Tout cela n’est qu’une seule et même maladie. Cette maladie, que nous appelons maladie constructive, est provoquée par le corps lui-même et est connue sous le nom de toxémie ou toxicose.

4. l’Hygiène naturelle ou la science naturelle des soins aux malades

4.1 Les travaux des docteurs Tilden, Carrington et Shelton

De même qu’il existe une cause universelle de maladie, il existe une panacée universelle ! Dans la mythologie, Asclépios avait deux filles. Toutes deux étaient des déesses. L’une était la déesse de la santé et s’appelait Hygeia. L’autre fille s’appelait Panacea. Elle était la déesse de la guérison. Le nom lui-même, en grec, signifie « guérison totale » ou « guérison universelle ».

Bien que ces déesses soient mythologiques, elles représentent des concepts valables. La panacée peut être obtenue par un retour aux pratiques naturelles. Le jeûne est le moyen le plus rapide d’invoquer la panacée universelle. De même que la maladie universelle est un corps chargé de toxines, la panacée universelle consiste à établir les conditions les plus idéales pour que le corps puisse se débarrasser de la toxicité et réparer les dommages subis. Le jeûne est la réponse. Il fonctionne dans tous les cas de maladie constructive, c’est-à-dire de maladie où il n’y a pas eu de dommages organiques irrémédiables.

De grandes sommités ont depuis longtemps redécouvert la panacée grecque. Le Dr Jennings l’a d’abord utilisée jusqu’à ce que le Dr John Tilden la développe dans son livre savant, Toxemia Explained. Le Dr Hereward Carrington a écrit quelques volumes très éclairants sur l’hygiène naturelle. Mais le Dr Shelton est allé plus loin et plus profondément que tous ceux qui l’ont précédé. Il s’est appuyé sur les épaules de tous ceux qui l’ont précédé et y a ajouté une touche de son propre génie. Dans notre section texte, nous présentons quelques observations du Dr Carrington. Voici une citation du Dr Herbert M. Shelton sur la nature de la maladie :

4.2 La définition hygiénique de la maladie

« Le système hygiéniste enseigne que la maladie est un effort correctif, une lutte des forces vitales pour purifier le système et retrouver l’état normal. Cet effort doit être aidé, dirigé et régulé si nécessaire, mais jamais supprimé. Qu’est-ce que cette chose mystérieuse qu’on appelle la maladie ? Il s’agit simplement d’un effort pour éliminer du domaine organique les matières obstruantes que nous appelons matières toxiques et pour réparer les dommages. La maladie est un processus de purification et de réparation. C’est une action corrective. C’est une lutte de pouvoir pour surmonter l’obstruction et maintenir les canaux de circulation libres ».

En réalité, la maladie est bien plus que cela si nous la considérons sous tous ses aspects. Le Dr Carrington a quelque peu simplifié la présentation du Dr Shelton. Il dit ce qui suit :

« La maladie est une tentative de l’organisme pour libérer ses cellules et son système circulatoire des substances toxiques qui les encombrent. C’est un corps désespéré qui rassemble ses dernières ressources pour se purger et se restaurer ».

Nous avons de nombreux et illustres prédécesseurs dans l’élaboration et la création de ce que nous appelons l’hygiène naturelle ou la science de la vie. Parmi nos prédécesseurs, les plus remarquables ont été quelques femmes vraiment remarquables. Alors que les femmes étaient rejetées dans la profession médicale, le mouvement hygiéniste était vraiment éclairé et sans entraves. Il a accueilli les femmes à bras ouverts et, si nous laissons de côté les médecins renégats, leur nombre est presque égal à celui des professionnels hygiénistes masculins.

Combien d’entre vous ont entendu parler de Louisa May Alcott ? Oui, tous. Mais combien d’entre vous savent qu’elle était hygiéniste ? Que son père était hygiéniste ? Que son frère William Alcott était un hygiéniste professionnel et un brillant écrivain ?

Je suis sûre que vous avez tous entendu parler de Florence Nightingale, qui a donné une nouvelle dignité et une nouvelle orientation à la profession d’infirmière. Elle était hygiéniste.

Combien d’entre vous ont entendu parler d’Ellen White ? C’est une hygiéniste qui a fondé la religion que nous connaissons aujourd’hui sous le nom d’Adventistes du septième jour.

Il y a beaucoup d’héroïnes méconnues parmi les femmes qui étaient des professionnelles de l’hygiène. Mary Gove, Susan Nichols, Linda Burfield Hazzard et d’autres ont fait honneur à la profession d’hygiéniste et à la féminité.

La plus célèbre hygiéniste du beau sexe est peut-être Florence Nightingale. Son audace sur les champs de bataille de l’Europe de l’Est suscite encore notre admiration pour le courage de ses convictions. Les Britanniques combattaient les Russes et plus de soldats mouraient derrière les lignes de combat que sur celles-ci. Les médecins et leurs traitements tuaient les blessés et les malades plus rapidement que les Russes.

Lorsque Florence Nightingale est arrivée sur le champ de bataille, elle a vraiment pris les choses en main, malgré les médecins. Ce qu’elle a fait est très simple : elle s’est rendue dans les chambres des blessés et des malades et a ouvert les fenêtres pour qu’ils respirent de l’air frais. Elle ne permettait pas l’administration de médicaments. Elle donnait de l’eau aux patients, ce qui était contraire à la politique médicale de l’époque. Elle refusait l’alimentation lourde et, en fait, pour beaucoup, l’alimentation tout court. Être confiné dans un hôpital de champ de bataille était auparavant une condamnation à mort. Désormais, la quasi-totalité des blessés et des malades se rétablissent rapidement. C’est de l’histoire ancienne et Florence Nightingale est devenue célèbre grâce à son immense succès dans l’application des simples rudiments des méthodes hygiéniques. Ce succès est d’autant plus phénoménal que Mme Nightingale vivait à une époque médicale et dans un monde d’hommes. Elle a défié les médecins et a gagné. Elle a été une véritable pionnière de l’hygiène. Le monde, malgré sa pauvreté dans le domaine de la santé, est encore plus riche de l’avoir comptée parmi nos ancêtres.

5. Le caractère de la maladie

Pour comprendre la maladie, il faut comprendre la santé. La santé, c’est la jouissance de la plénitude des facultés et de la puissance de fonctionnement. La maladie n’est pas le contraire de la santé, mais l’expression d’une vitalité saine sous l’effet d’une toxicose. La maladie est une crise instituée et conduite par le corps dans le but de se purifier et de se réparer.

La maladie est causée par des pratiques ou des matériaux et des influences qui ne sont pas normaux pour l’organisme humain : ce à quoi nous ne sommes pas adaptés provoquera la maladie.

Il est faux de croire que nous devons lutter contre la maladie. La maladie n’apparaît pas si elle n’est pas provoquée. On pourrait dresser un énorme catalogue des matières et des influences anormales pour l’organisme, mais ce n’est pas si compliqué. Il suffit de maintenir les besoins simples de la vie qui construisent et maintiennent la santé. Nous ne devrions consommer que de l’eau pure lorsque la soif l’exige et des fruits, des légumes, des noix et des graines sains et mûrs lorsque la faim l’impose. Nous sommes des frugivores, et c’est à un régime de fruits tels que la nature nous les offre que nous sommes biologiquement adaptés.

En outre, nous sommes adaptés à l’air pur, au soleil, au repos et au sommeil, à un environnement agréable, à des compagnons émotionnellement équilibrés — en bref, nous sommes adaptés à un monde harmonieux. Nous sommes ainsi constitués que la santé résulte de la satisfaction de tous nos besoins physiques, mentaux, émotionnels, intellectuels et esthétiques. Ainsi, les maladies autres que les maladies dégénératives peuvent être considérées comme des crises corporelles visant à rétablir la santé.

La cause, le but et la nature de la maladie ont maintenant été définis. Certaines questions seront expliquées ci-dessous.

5.1 Les maladies ne sont pas contagieuses

ÉTUDIANT : Est-il vrai que les maladies ne sont en aucun cas contagieuses ?

INSTRUCTEUR : C’est exact. Les maladies ne sont pas contagieuses dans un sens ou dans l’autre simplement parce qu’elles sont instituées par le corps. Nous ne pouvons pas transférer notre charge toxique à quelqu’un d’autre. Cela devrait être évident. Un hygiéniste peut se rendre dans une chambre de malade sans en souffrir le moins du monde. Il est évident que la plupart des médecins, des infirmières et d’autres personnes se rendent dans les chambres de malades, même ceux qui sont atteints des maladies les plus soi-disant contagieuses. Ils ne contractent jamais la maladie et n’en souffrent pas, même si les médecins prétendent parfois que c’est le cas. Vous ne pouvez pas transférer vos substances toxiques à une autre personne à moins de les faire sortir de vous et de les injecter à cette personne. C’est ce que font les médecins lors des transfusions. Mais la contagion est ici induite par la médecine et ne se produit pas dans le domaine des possibilités naturelles.

On dit que le rhume, la grippe, la lèpre et un certain nombre d’autres maladies sont contagieuses. Au fur et à mesure que nous en apprenons davantage, les maladies deviennent de moins en moins contagieuses. L’asthme, le cancer, le psoriasis, la méningite, la poliomyélite et une longue liste d’autres maladies ne sont plus contagieuses. La rougeole, la varicelle et d’autres affections figurent toujours sur la liste des maladies dites contagieuses. La seule chose contagieuse dans ces maladies est l’ignorance médicale. C’est la plus contagieuse de toutes.

5.2 Comment les fléaux et les épidémies se développent-ils ?

La raison pour laquelle il semble y avoir des « épidémies » est que la véritable contagion est une épidémie de mauvaises habitudes similaires. Nous mangeons tous à peu près les mêmes saletés, sommes soumis aux mêmes saisons, au même type de logement et, à bien d’autres égards, nous nous livrons aux mêmes pratiques préjudiciables à la santé. Il n’est donc pas étonnant que nous soyons nombreux à souffrir des mêmes maladies. Les mêmes causes engendrent les mêmes effets. Bien entendu, ce phénomène est modifié dans la situation humaine par la diathèse de chaque individu.

Nous constatons ainsi que, dans le contexte d’une famille ou d’un groupe donné, les gens ont plus ou moins les mêmes mauvaises habitudes et souffrent des mêmes maladies.

Cette histoire de période d’incubation des germes et des virus relève de la mythologie médicale. Nous l’approfondirons et l’étudierons méthodiquement dans des leçons ultérieures.

À quoi attribue-t-on les fléaux et les épidémies ? Les épidémies d’aujourd’hui sont pour la plupart inventées et rendues publiques en Amérique par le Center for Disease Control à Atlanta, en Géorgie. Il s’agit d’un service fédéral qui rend de grands services à la profession médicale. Lorsque les laboratoires pharmaceutiques veulent vendre des quantités importantes de vaccins contre la grippe, la rougeole, etc., ils demandent au CDC de diffuser une propagande alarmiste qui incite le public à se rendre dans les cabinets médicaux pour se faire vacciner. Penser que les vaccins injectés aux personnes les rendent immunisées est une absurdité qui ne mérite pas d’être prise au sérieux — il s’agit d’une sorte de vaudou.

Les épidémies d’aujourd’hui résultent, je vous rassure, de la pratique massive des mêmes mauvaises habitudes et de la soumission aux mêmes conditions de vie pathogènes. Ce n’est pas un hasard si près de 90 % des affections qualifiées généralement de rhumes et de grippes surviennent au cours d’une période de sept mois de l’année.

La raison pour laquelle les épidémies surviennent en hiver et non en été devrait être évidente. En fait, la vie microbienne est plus active en été, tout comme nous, et ses fonctions sont ralenties en hiver. Mais voilà, on dit que les formes de vie microbienne sont plus actives et qu’elles provoquent des épidémies. Cela n’a aucun sens. En hiver, nous mangeons moins d’aliments sains — nous mangeons plus de cochonneries. Nous faisons moins d’exercice. Nous restons à l’intérieur et respirons un air vicié. En été, nous avons plus de soleil, plus d’exercice, plus d’air frais, des fruits frais et mûrs — en bref, nous vivons plus sainement en été et moins sainement en hiver. Les conditions nous poussent à vivre de manière à générer nos maladies. Les conditions générales entraînent une mauvaise santé générale. Ce n’est pas la contagion des germes, mais la contagion des conditions pathogènes qui crée ce que l’on appelle les fléaux ou les épidémies.

5.3 Les médicaments sont dangereux pour les bactéries et les cellules humaines

Les hygiénistes ou les scientifiques de la vie déplorent la pratique médicale qui consiste à nourrir les malades et à les droguer également.

Lorsqu’une personne est malade, la poursuite de l’alimentation suffit à contrecarrer les forces de guérison en son sein. Mais l’adjonction de médicaments détruit tellement les forces vitales que le corps doit souvent réorienter ses efforts de purification pour se libérer des poisons les plus virulents qui lui sont administrés. On voit donc que les professionnels de la santé apportent la mort au lieu d’apporter la vie.

Oui, les médicaments tuent les bactéries. Mais ils sont tout aussi mortels pour toutes les formes de vie métabolique. Ce qui perturbe et détruit les fonctions métaboliques des bactéries fait généralement de même pour les cellules de toutes les formes de vie. Même les médecins vous diront que les médicaments n’ont aucun effet sur les virus. Bien sûr, ils n’ont aucun effet sur ce qu’ils appellent des virus, car il s’agit de débris de cellules mortes qui ne peuvent pas être rendues plus mortes.

En conclusion, je vous assure qu’il ne faut pas avoir peur de la maladie. C’est comme avoir peur de son propre corps. Si vous avez peur de quelque chose, craignez votre disposition à consommer des aliments malsains et à vivre dans des conditions malsaines.

6. Questions et réponses

L’indigestion et l’acidose sont-elles des maladies ou de petites crises passagères ?

Ce sont des maladies, même si elles sont généralement de courte durée. Tout ce qui nous met mal à l’aise est une maladie. Si l’acidose n’existe pas, car nous mourrions bien avant que nos fluides corporels n’atteignent le stade de l’acidité, il existe en revanche une hypoalcalinité. Une réduction de l’alcalinité d’un pH de 7,40 à seulement 7,35 est suffisante pour provoquer un coma et une baisse de cinq à dix points peut entraîner la mort.

L’indigestion et ce que l’on appelle l’acidose sont généralement causées par la consommation d’aliments en combinaisons digestives incompatibles et par une alimentation à prédominance acide. Ce sont les causes principales de ces troubles.

Vous avez dit que les maladies ne sont pas contagieuses. Dans ce cas, comment expliquez-vous les maladies vénériennes ? Il est prouvé qu’elles sont contagieuses.

J’ai déjà répondu à cette question d’une certaine manière, mais je vais revenir sur ces arguments. La pensée conventionnelle veut que les gonocoques et les spirochètes soient transférés d’une personne à l’autre au cours de l’acte sexuel. La personne « infectée » développe alors soit la gonorrhée, soit la syphilis. Aujourd’hui, même le corps médical abandonne cette croyance de longue date au profit du virus de l’herpès comme cause de ce que l’on appelle les maladies vénériennes.

Tout d’abord, la syphilis est le fruit de l’imagination médicale. La plupart des cas de syphilis décrits dans les livres d’antan étaient des effets du mercure et des sulfamides que la profession administrait si généreusement. Ce que l’on appelle la gonorrhée n’est pas plus grave que les aphtes de la bouche. Il s’agit dans les deux cas d’une étape d’élimination par l’organisme. L’ulcération et la suppuration représentent le cinquième stade de l’évolution de la maladie. Les facteurs dits contagieux, les bactéries, sont là à cause de la maladie, et non pour la provoquer. En effet, environ 20 % des personnes souffrant de maladies vénériennes n’ont ni gonocoque ni spirochète. Dire qu’un bouton, un ulcère ou une pustule dans la zone sexuelle est causé par une bactérie ou un virus revient à dire que les furoncles sont causés par la même chose, alors qu’il est généralement admis que les furoncles sont le résultat de la saleté dans le corps. Il s’agit des mêmes processus, mais ils se produisent dans des zones différentes du corps. En outre, il faut reconnaître que l’autolyse des tissus et la création d’inflammations et de furoncles sont des actions du corps, et non des actions bactériennes ou virales.

Il est faux de dire que les maladies vénériennes sont contagieuses. La marine américaine a mené des expériences au cours desquelles il a été démontré que les personnes soi-disant infectées ne pouvaient pas infecter les personnes saines. Lorsque je faisais partie d’une brigade des mœurs au Japon, nous avons eu affaire à des prostituées soi-disant infectées qui avaient fréquenté des dizaines de GI’s, mais aucun d’entre eux n’a contracté la maladie. D’autre part, de nombreuses personnes infectées dans la zone sexuelle n’ont été en contact avec personne, en particulier les jeunes enfants qui ont parfois des infections dans la zone sexuelle.

Malgré les apparences, le concept de contagion n’est pas prouvé. Il s’agit d’un mot médical effrayant qui fait entrer les clients dans les cabinets des médecins. C’est un peu comme les compagnies d’assurance qui aiment voir des incendies et payer, car cela facilite la vente d’assurances.

Il semble plutôt impudent de votre part de dire que des millions de scientifiques, de médecins, de chercheurs et d’enseignants en médecine se trompent tous. N’est-il pas possible que vous vous trompiez sur le fait que la maladie est une action du corps plutôt qu’une action bactérienne ou virale ? N’est-il pas possible que les médecins qui existent depuis si longtemps aient vraiment raison ?

Les vieux mythes ont la vie dure, n’est-ce pas ? Plus le mythe est ancien et vénéré, plus il est difficile de le dissiper. Votre question aurait fait mouche il y a près de cinq cents ans, lorsque Copernic a présenté sa théorie héliocentrique du système solaire. Il est difficile de croire que tout le monde peut se tromper. Mais j’insiste sur le fait que toute la profession fonctionne sur une prémisse erronée. Le fait que le jeûne permette à un organisme de guérir rapidement d’une blessure ou d’une maladie et que les médicaments retardent ou empêchent complètement la guérison est une indication de l’erreur de l’école de pensée médicale. Le mot même de médecine est une erreur de dénomination. Ce mot signifie agent ou substance curative. Un tel agent ou une telle substance n’existe pas. La guérison est toujours la prérogative exclusive de l’organisme affecté. Il n’y a pas assez d’intelligence et de savoir-faire dans la connaissance collective du monde pour tricoter un os dans un organisme. La guérison est, je le répète, un processus entièrement corporel.

L’impudence ne vient pas de moi, mais de ceux qui nient cette vérité évidente et manifeste. L’âge ne rend pas les croyances vraies, et la vérité ne change jamais avec l’âge. La croyance que le monde était plat a été acceptée par des millions de personnes pendant près de deux mille ans, mais cela n’a pas aplani le monde. De même, si les masses de notre peuple n’acceptent pas des vérités évidentes, des vérités qui expliquent tout en matière de santé et de maladie et qui sont démontrables lorsqu’elles sont mises à l’épreuve, alors ce sont ceux qui nient l’évidence qui sont impudents. Dois-je répéter un vieux refrain :

« Je préfère avoir raison avec quelques persécutés que tort avec beaucoup ».

Je connais le canular de la grippe porcine, mais la vaccination contre la rougeole est-elle aussi un canular ? Si les enfants sont exposés à la rougeole, ils l’attrapent, mais s’ils ont été vaccinés, ils ne l’attrapent pas, n’est-ce pas ?

Tout le monde sait que la vaccination contre la grippe porcine était un canular. Ce n’est qu’une question de temps avant que les gens ne découvrent le canular du tétanos, le canular de la rage, le canular de la coqueluche, le canular de la rougeole et d’autres canulars médicaux.

Si les enfants sont exposés à d’autres personnes atteintes de la rougeole, ils ne l’attrapent pas. La rougeole n’est pas contagieuse. Ce qui est « contagieux », ce sont les habitudes alimentaires qui en sont la cause (toutes les habitudes de vie malsaines, les mauvaises combinaisons d’aliments, le stress, etc.) Mais les enfants n’ont généralement pas la rougeole si leur système est trop drogué et dévitalisé. Et c’est ce qui se passe lorsqu’ils sont vaccinés. Ils ne peuvent pas mener la simple crise d’élimination qu’est la rougeole. S’ils ne peuvent pas avoir la rougeole, ils auront tôt ou tard quelque chose de pire — comme le cancer ! La rougeole est une crise instituée et menée par le corps pour se débarrasser des accumulations toxiques. Les interférences vaccinales détruisent la vitalité nécessaire pour avoir la rougeole.

La rougeole est utile, elle n’est pas nuisible. Le corps crée la rougeole et maintient le processus en vigueur jusqu’à ce que le nettoyage du corps soit terminé. Contrairement au mythe médical, le corps ne se fera pas de mal en menant cette crise ou toute autre crise. On ne peut pas en dire autant des vaccins, qui sont eux-mêmes toxiques.

Le mal que l’on dit tirer de la rougeole provient en fait des médicaments et des traitements « héroïques » administrés par le corps médical. La rougeole et d’autres maladies aiguës sont des fonctions corporelles utiles ; le corps est aux prises avec une surcharge de matières toxiques. Les vaccins et les médicaments ajoutent à ces substances toxiques. Ils ne constituent jamais une « prévention » ou un antidote. Ils peuvent aggraver la situation, mais n’ont en aucun cas l’intelligence ou la capacité d’aider.

Si les vaccinations ne nous confèrent pas d’immunité, qu’en est-il des anticorps produits par les organismes vaccinés ?
Les anticorps ne constituent-ils pas une véritable défense contre un virus, comme dans le cas de la rougeole ?

Cela me rappelle une blague : un colonel de l’armée de l’air qui commandait une escadre de chasse inspectait ses pilotes un samedi matin. Il s’arrête auprès d’un capitaine et d’un lieutenant qui pilotent et copilotent un avion. Il a demandé au capitaine : « Que feriez-vous, capitaine, si votre avion prenait feu et que vous ne pouviez pas ouvrir la verrière ? » Le capitaine répond : « Monsieur, je m’éjecterais par la verrière. » Le colonel réplique : « Espèce d’idiot, vous seriez écrasé à mort dans l’opération. » Il se tourne alors vers le lieutenant et lui demande ce qu’il ferait. Le lieutenant répondit docilement : « Monsieur, je passerais par le trou que le capitaine a fait ». Cette question est d’une grande importance. La vérité est que le corps ne crée pas de nouvelles facultés de défense en réponse à un poison. Au contraire, ses facultés défensives sont détruites. Poser la question de cette manière revient à dire que le corps crée des anticorps pour se défendre contre le goudron et la nicotine de la cigarette parce qu’il peut en tolérer des quantités de plus en plus grandes sans subir les mêmes effets néfastes que lors de la première cigarette de la vie. Le corps ne tolère pas mieux la fumée après mille cigarettes qu’après une seule. L’organisme ne se défend plus contre les poisons pathogènes de la fumée de cigarette tout simplement parce que ses défenses ont été détruites et non pas renforcées.

Les chercheurs en médecine vous diront que les « anticorps » ne sont que des présomptions et non quelque chose de réellement démontrable en laboratoire en tant que nouvelle faculté corporelle. Ils sont présumés parce que, lorsque des vaccins sont administrés, la plupart des personnes qui les reçoivent ne contractent plus la maladie. Cela s’explique par le fait que les facultés défensives du corps sont détruites, et non améliorées. La capacité du corps à mener à bien la simple crise de nettoyage connue sous le nom de rougeole est tellement affaiblie par le poison vaccinal qu’il retient ce qui devrait normalement être expulsé. Ce n’est pas un hasard si le cancer est aujourd’hui la première cause de mortalité chez nos enfants. Lorsqu’un simple nettoyage ne peut avoir lieu, le corps évolue d’autant plus rapidement vers les stades suivants de la maladie.

Les anticorps sont, je le répète, un mythe médical, une invention de l’imagination médicale.

Vous venez d’admettre que les vaccins réduisent l’incidence de la rougeole. N’est-ce pas une bonne chose puisque la rougeole peut provoquer des lésions cérébrales ?

Comment puis-je faire comprendre que la rougeole n’est pas un fléau, mais un bienfait. Si le corps est sale à l’intérieur, un nettoyage est une bonne chose. La rougeole est un processus de nettoyage. Le corps mène la crise appelée rougeole et il le fait pour s’aider lui-même, pas pour se faire du mal. Le corps ne se blesse jamais, sauf lorsque la blessure est nécessaire et qu’il s’agit du moindre des deux maux. Les lésions cérébrales ne résultent pas d’une crise de nettoyage. Ce sont plutôt les médicaments administrés lors d’une telle crise qui sont responsables des dommages. Les médecins endommagent de nombreuses personnes avec leurs médicaments et rejettent commodément toute la responsabilité sur les nobles efforts de réparation du corps plutôt que d’en assumer la responsabilité.

Comment prouver qu’une maladie est causée par la toxicité plutôt que par des germes ? Vous basez-vous sur des preuves de laboratoire ou sur des observations empiriques ?

Si les germes étaient la cause de la maladie, il n’y aurait pas de rémission. S’ils avaient le pouvoir d’attaquer avec succès les tissus vivants et de proliférer suffisamment pour affaiblir une personne, comme on le suppose généralement, les résultats seraient comparables aux effets de pommes pourries au milieu de bonnes pommes — elles seraient bientôt toutes mauvaises. Les humains ne survivraient tout simplement pas à cette épreuve et il n’y aurait plus de race humaine.

Si nous faisions jeûner des personnes atteintes d’une maladie causée par un germe, le jeûne ne tuerait pas les germes. Tout comme une pomme pourrie peut gâcher les bonnes, la prolifération des germes se poursuivrait, que l’on mange ou que l’on jeûne. En fait, les personnes qui jeûnent recouvrent rapidement la santé, alors que si elles continuent à manger et à prendre des médicaments, elles se rétablissent lentement, voire pas du tout.

Des jeûnes ont été menés en laboratoire dans de nombreux hôpitaux et centres médicaux universitaires, avec des contrôles. Il a été prouvé sans l’ombre d’un doute que le corps se nettoie lui-même dans les conditions du jeûne et qu’il guérit deux ou trois fois plus vite lorsqu’il jeûne que lorsqu’il s’alimente et/ou prend des médicaments. Des expériences médicales sur le jeûne ont été menées à l’université de l’Illinois à Chicago et à l’université de Pennsylvanie à Philadelphie. Il n’est pas nécessaire de se plonger dans la littérature sur le jeûne pour trouver les résultats observés. Toutes les recherches médicales ont prouvé la véracité de la causalité toxémique des maladies, quelles que soient les interprétations erronées des chercheurs. Les chercheurs interprètent généralement leurs données pour satisfaire ceux qui financent l’expérimentation, généralement les entreprises pharmaceutiques ou les bénéficiaires des médicaments. Si les expériences sont trop contraires aux objectifs recherchés, elles sont généralement enterrées sans faire de bruit. Les preuves en laboratoire et les observations empiriques démontrent que la maladie est une réaction du corps à l’intoxication plutôt qu’à des germes.

Comment convaincre nos clients qu’ils sont responsables de leurs maladies et qu’il ne s’agit pas d’une malchance ?

Heureusement, vous n’avez pas à faire porter le poids de la responsabilité sur les épaules de vos clients. Au début, vos clients auront l’esprit « curatif » et voudront sortir du dilemme. Vous pouvez leur indiquer la voie positive du retour à la santé sans les culpabiliser. Vous pouvez leur faire remplir un questionnaire détaillé que nous avons mis au point et dont les réponses sont pondérées à l’avance afin que vous puissiez suggérer des changements dans le mode de vie du client. Vous pouvez faire de ce processus un moment d’aventure et d’exploration en présentant les avantages qu’il y a à faire ceci et cela et à ne plus faire ceci et cela.

Le Dr Jennings a fait jeûner des gens en les trompant. Il leur donnait du pain et des pilules de sucre, ce que nous appellerions des placebos, et leur demandait de prendre de l’eau avec ces pilules quatre ou cinq fois par jour. Il leur conseillait également de se reposer au lit, de prendre l’air, etc. Il déconseillait de prendre autre chose que de l’eau avec les pilules, sinon elles ne fonctionneraient pas. Les résultats obtenus par ses clients étaient tout simplement miraculeux. Ses patients se rétablissaient à 100 %, alors que ses collègues médecins, qui pratiquaient une médication héroïque, perdaient des patients en nombre épidémique.

On peut attribuer la magie de la santé à certains aliments ou à des régimes limités, même à un régime à base d’eau distillée. Mais vous ne pouvez garantir un résultat sain qu’à l’intérieur de certains paramètres. Par conséquent, le client vous suivra probablement dans sa quête de bien-être, tout comme il suit tous les charlatans dans le domaine médical ou dans d’autres domaines des soi-disant arts de la guérison.

Je répète que vous pouvez en faire un jeu, c’est-à-dire en faire une aventure intéressante plutôt qu’une corvée onéreuse. L’éducation et le pourquoi peuvent suivre les résultats. Les gens sont intéressés par les résultats et vous êtes là pour leur montrer comment faire. Les gens croient en la magie de la nutrition et nous allons vous l’enseigner telle qu’elle est. Nous allons vous l’enseigner pour que vous puissiez ramener vos clients à la santé le plus rapidement possible, non seulement en matière de régime alimentaire, mais aussi dans le cadre d’un régime de santé complet. Vous pouvez toujours donner des instructions tout à fait appropriées et directes qui permettront au client de retrouver rapidement la santé. Mais vous pouvez le faire de manière à ce que ce soit une entreprise passionnante. Vous cultiverez cette manière confiante de savoir exactement ce qu’il faut faire en examinant avec sympathie et empathie les problèmes de vos clients tels qu’ils vous sont rapportés par le biais de questionnaires et de plaintes verbales.

Je ne trouve rien à redire à l’explication de la maladie par la toxémie, mais elle semble trop simple pour être vraie. Pensez-vous que nos clients vont accepter cela ?

Je dois répéter que vos clients ne sont pas intéressés par des théories ou des explications. Ils recherchent des résultats, un tapis magique pour passer d’un état de maladie à un état de santé. Il suffit d’agiter devant eux la baguette magique du salut nutritionnel dans le cadre d’un régime de santé complet pour qu’ils le suivent religieusement. Votre expertise les émerveillera et une fois que le bouche-à-oreille aura fait son chemin à propos des résultats miraculeux que vos conseils rendent possibles, les clients afflueront vers vous.




Les voitures électriques vendues en Europe sont rentables pour… les Chinois

— Ils mentent sur le bénéfice écologique, l’ADEME précise qu’elle naît avec un déficit écologique considérable avec la fabrication de la batterie, il faut 5 ans avant que cette voiture électrique arrive au même bilan carbone qu’une voiture thermique. Pour les plus grosses voitures, c’est jamais.

— Elle est en moyenne 45 % plus chère, voire + 75 % pour les véhicules de base, type Clio, les plus vendues. L’économie faite avec le plein électrique, il faut 10 à 20 ans pour l’amortir.

— On a offert aux Chinois, le marché automobile européen, leurs voitures sont 20 % moins cher et tout aussi fiables avec des garanties de 8 ans… 80 % des batteries dans le monde sont chinoises.




Changement climatique : la science du climat qui contredit le récit des médias

[Source : ResilientsTV via PG]

En matière de climat, le récit médiatique est-il fidèle à l’état de la science ?

Dans une présentation rigoureuse autant qu’éclairante, le professeur Éric Verrecchia, biogéochimiste, géographe-physicien et géologue, spécialiste du carbone, nous présente la science d’un côté, le récit de l’autre, et nous aide à prendre la mesure, parfois inquiétante, de l’écart entre les deux.

  • 00:00:00 Bande annonce
  • 00:02:05 Présentation du professeur Verrecchia
  • 00:05:04 Quelques problèmes du discours actuel sur le climat
  • 00:09:22 Le GIEC
  • 00:18:10 Le climat
  • 00:32:39 Les températures
  • 01:07:01 Les scénarios et la modélisation
  • 01:29:04 Le CO2
  • 01:38:12 Les événements « extrêmes »
  • 01:54:20 Les risques du « net zéro »
  • 02:04:27 Vers une perspective plus réaliste ?
  • 02:11:00 Un débat moins toxique est-il possible ?

[Voir aussi :
dossier Climat]

Extraits TV, sources




Docteur Anne-Marie Yim : l’Identité numérique est la marque de la Bête

[Source : Néo Salva via PG]

Anne-Marie Yim nous alerte sur l’identité numérique et les liens étroits avec le graphène.

L’identité tend de plus en plus à devenir numérique dans nos sociétés occidentales, notamment par le biais des gouvernements, mais aussi des GAFAM. Dans cet entretien, nous abordons avec le Docteur Yim ce projet en cours de réalisation, en évoquant le rapport biblique de ce dernier.

[Voir aussi :
Un ex-cadre de BlackRock prévient que le contrôle final qui vient avec les CBDC, « c’est une planète prison »
Selon Catherine Austin Fitts, « ils » préparent un coup d’État mondial en utilisant l’OMS et l’argent digital (CBDC)
MONNAIES : Christine Lagarde directrice de La Banque Européenne a l’intention de supprimer les billets de banque et les pièces de monnaie d’ici 2027
Les liens sinistres entre Jeffrey Epstein, le Bitcoin et les MNBC
L’« Identité numérique » de Bill Gates sera obligatoire pour participer à la société
« Pacte mondial pour le numérique » : les Nations Unies encouragent la censure, le crédit social et bien d’autres choses encore
Surveillance numérique des populations : vers un « crédit social » en Europe ?
Le gouvernement du Canada s’est associé au Forum économique mondial pour imposer un système de type crédit social pour voyager
Nanotechnologie et « vaccins »
Dr David A. Hughes : « Qu’y a-t-il dans les soi-disant “vaccins” COVID-19 ? » — Preuves d’un crime mondial contre l’humanité
Next Dose 3 — Faut-il encore des preuves ?
Très important — Émissions de rayonnements à énergie dirigée de cinquième génération (5G) dans le contexte des vaccins Covid-19 à nanométaux contaminés avec des antennes en oxyde de graphène ferreux
et le dossier Implants numériques et contrôle mental]




Des chercheurs chinois ont fait des découvertes inédites dans les échantillons lunaires de Chang’e-5

[Source : chine-magazine.com via RI]

[Illustration : sonde Chang’e5 sur la Lune]

Des chercheurs chinois ont récemment découvert pour la première fois un graphène naturel multicouche dans les échantillons lunaires rapportés par la sonde Chang’e-5. Cette découverte fournit de nouvelles informations sur les activités géologiques de la Lune, son histoire et ses caractéristiques environnementales.

De plus, ces échantillons permettent aux chercheurs d’élargir leur champ de compréhension de la composition minérale complexe du sol lunaire et offrent des informations et des indices importants pour l’utilisation des ressources lunaires.

Selon l’équipe de recherche de l’Université de Jilin, cité par le CIIE, environ 1,9 % du carbone interstellaire total existe sous forme de graphène, dont la morphologie et les propriétés sont déterminées par un processus de formation spécifique.

De fait, le graphène* naturel peut fournir des références et des informations importantes concernant l’évolution géologique des corps célestes et l’utilisation in situ des ressources lunaires.

Les travaux ont été menés par les chercheurs de l’Université de Jilin et de l’Institut de recherche sur les métaux de l’Académie des sciences de Chine (ASC), soutenus par le Centre d’exploration lunaire et d’ingénierie spatiale de l’Administration spatiale nationale de Chine (CNSA). Ces derniers ont récemment publié leurs découvertes dans la National Science Review.

En effet, les scientifiques ont analysé les spectres Raman, utilisés pour étudier les sols lunaires, dans des zones de prélèvement d’échantillons à teneur en carbone relativement élevée. Ils ont confirmé que la qualité de cristallisation du carbone graphite dans les échantillons lunaires était relativement élevée.

Ils ont aussi découvert que les zones des échantillons de sol lunaire contenant du carbone contenaient également des composés de fer, qui seraient étroitement liés à la formation de graphène. Après observation et analyse des échantillons, l’équipe a confirmé que la forme graphite du carbone détectée dans les échantillons de sol lunaire était un type de graphène multicouche (MLG).

L’équipe de recherche a confirmé que la formation de graphène et de graphite multicouche pouvait provenir de processus catalytiques minéraux induits conjointement par les vents solaires et les premières éruptions volcaniques sur la Lune.

Au total, 1731 grammes d’échantillons lunaires ont été rapportés par la mission Chang’e-5 en décembre 2020. Ces échantillons ont été les premiers jamais obtenus dans une région plus jeune de la surface lunaire contenant des roches volcaniques. Il s’agit également des premiers échantillons de corps célestes extraterrestres ramenés sur Terre par des scientifiques chinois.

Au cours du mois de juin 2024, un total de 258 échantillons lunaires pesant 77,7 grammes ont été collectés par Chang’e-5 et distribués à 114 équipes de recherche de 40 institutions de recherche.


*Nanomatériau, cristal de carbone dont les atomes sont organisés en cellules hexagonales. (Dictionnaire Le Robert)




Chine et Russie : les nouveaux chevaux du char mondialiste

[Source : The Predators versus The People]

Par Mees Baaijen

Première partie : La Russie, de l’empire souverain à l’État mandataire mondialiste

Articles à venir :

Deuxième partie : La Chine : Du Tao à Mao, puis au faux Tao

Troisième partie : Les autres pays oligarchiques des BRICS et le piège multipolaire

Quatrième partie : Le changement de paradigme Ouest-Est assombrit l’avenir d’Israël.

Résumé

Au nom du syndicat du crime Glafia, vieux de 500 ans, qui cherche à dominer le monde, la Russie et la Chine sont depuis longtemps prêtes à prendre le relais des États-Unis en tant que leaders hégémoniques de la prochaine version d’un ordre mondial unipolaire.

Ce dernier — et quatrième — changement de cycle dans le projet mondial de la Glafia est promu sous la marque brillante mais fausse d’un ordre mondial multipolaire bienveillant qui respecte la souveraineté des pays — qui sont cependant tous gouvernés par les mandataires de la Glafia.

Cet effort de propagande comprend également la fausse fin du projet mondialiste, en raison des actions bientôt attendues des courageux nouveaux héros « traditionalistes » sur la scène mondiale : la Chine « taoïste » et la Russie « orthodoxe ».

[Voir aussi, du même auteur et également sur la Glafia :
Le tableau d’ensemble de l’Histoire : des leçons pour aujourd’hui]

Introduction

Cette série d’articles fait suite à mon livre The Predators versus The People (Les prédateurs contre le peuple)et à mon récent article The United States of America : from fake dream to real nightmare (Les États-Unis d’Amérique : du faux rêve au vrai cauchemar). Vous y découvrirez comment les États-Unis ont été capturés, et probablement créés, pour devenir la quatrième puissance hégémonique contrôlant les États-nations du monde au nom du projet secret de domination mondiale de 500 ans mené par les Prédateurs, ou Glafia.

Il s’agit d’un syndicat du crime composé de quelques centaines de familles dynastiques, extrêmement riches (jusqu’à des milliers de milliards de dollars) et étroitement liées, sans lien avec un pays, une religion ou une ethnie. Les premiers cycles hégémoniques ont été menés par l’Espagne (15e/16e siècle), la Hollande (17e siècle) et l’Angleterre (18e/19e siècle).

Avec les mandataires britanniques et sionistes de la Glafia, les États-Unis ont préparé et instigué le grand massacre de l’Eurasie au XXe siècle, qui a fait plus de 200 millions de morts : les guerres mondiales, y compris le nazisme et Hitler, les révolutions communistes en Russie, en Chine et ailleurs, la guerre froide, ainsi que leurs guerres culturelles, éducatives, scientifiques, financières et spirituelles secrètes contre l’Humanité.

Les États-Unis ont également installé des régimes fantoches dans toutes les anciennes colonies européennes « nouvellement indépendantes » d’Afrique et d’Asie, créées après la Seconde Guerre mondiale par le faux programme de décolonisation planifié par la Glafia. Les pays d’Amérique latine, colonisés bien plus tôt par l’Espagne et le Portugal, avaient déjà été « libérés » au début du XIXe siècle, pour devenir des États vassaux permanents de l’hégémon britannique, puis américain, de la Glafia.

Outre le contrôle de TOUTES LES TERRES, une tâche importante des États-Unis était d’être les pionniers du développement d’une technologie avancée pour la surveillance permanente de TOUS LES GENS, comme l’a annoncé Zbigniew Brezinski en 1970, dans son livre Entre les deux âges : ce projet est maintenant souvent appelé la Prison numérique mondiale (avec les CBDC, le revenu de base universel, la 5G, les crédits de carbone, etc.). Ce projet est actuellement mis en œuvre à l’échelle mondiale, sur le modèle de ce qui a été mis en place en Chine communiste.

Avec l’accomplissement de ces tâches, l’État mandataire américain n’est plus nécessaire en tant que leader hégémonique de la Glafia, et il est en train de devenir un bouc émissaire et d’être démoli, en même temps que le reste de l’Occident. Pendant ce temps, la Chine, assistée de la Russie — dont la population et le potentiel économique et industriel sont bien plus importants que ceux des États-Unis — prend le relais.

Préparation de la Russie par la Glafia

Après la défaite de Napoléon, pion de la Glafia, en 1815, la Russie était la nation la plus puissante du continent européen. La Russie était parfaitement consciente du plan des Rothschild visant à placer l’Europe sous le contrôle de la Glafia — sous le couvert du Concert des nations — par l’installation de banques centrales usuraires et de fausses démocraties, dirigées secrètement par des « élites » nationales subordonnées, soudoyées et corrompues. Elle a tenté de contrer cette première tentative de contrôle du monde par la Sainte-Alliance qu’elle a conclue avec les monarchies d’Autriche et de Prusse et qui a été renouvelée sous Bismarck en 1871.

Pourtant, les Rothschild ont réussi à devenir les principaux bailleurs de fonds de cette alliance. Ils se sont également fortement impliqués dans les chemins de fer et l’industrie pétrolière russes. Niall Ferguson écrit : « De toutes les grandes puissances, c’est la Russie qui a eu le plus recours aux prêts étrangers dans la période précédant 1914 ». La Russie se modernise rapidement et améliore les conditions de vie de sa population, et la possibilité d’une révolution populaire s’éloigne de plus en plus.

La confiance du tsar Nicolas II dans les Rothschild était telle qu’il a déposé une grande partie de son énorme fortune dans leurs banques. Après le meurtre rituel de toute la famille Romanov en 1917, aucun héritier n’a survécu pour la réclamer. Ce crime a été perpétré sous le couvert de la révolution bolchevique. Tout comme la Révolution française, il ne s’agissait pas d’un mouvement populaire, mais de l’instrument secret et richement financé de la Glafia pour prendre le contrôle total de la Russie (Antony C. Sutton ; Docherty et MacGregor), au cours duquel des dizaines de millions de personnes allaient trouver une mort atroce.

L’horrible et sanglante expérience communiste qui a suivi — l’Union soviétique — construite grâce à la technologie militaire et civile américaine (Antony C. Sutton) a bien servi le plan de la Glafia pour la conquête de l’Eurasie au 20e siècle :

  • La Russie était une puissance importante pour aider à la destruction planifiée de l’Allemagne. Pourtant, depuis le traité russo-allemand de Rapallo de 1922 jusqu’à la veille de l’opération Barbarossa menée par Hitler contre l’URSS en 1941, l’Union soviétique — comme les États-Unis — a contribué à la construction de son futur ennemi (G. Preparata). Dommage que Poutine ait oublié de le dire à Tucker Carlson !
  • Ce fut également un précurseur, avec de nombreuses leçons apprises, de la prise de pouvoir communiste sous Mao en Chine, rendue possible par l’hégémonie américaine de la Glafia — et maintenant du monde entier, comme le promeut le FEM (« Vous ne posséderez rien et vous serez heureux »).
  • L’Union soviétique était la source parfaite pour une stratégie de la peur dans les rackets de protection de la Glafia : Le communisme comme épouvantail dans la guerre froide, dans le faux processus de décolonisation et dans la construction de l’Union européenne (basée sur le modèle soviétique, V. Bukovsky1).
  • Avec la Russie dans le « frigo communiste », et plus tard la Chine également, ces deux pays ont été neutralisés en tant que concurrents économiques, ouvrant ainsi la voie à la carrière mondiale fulgurante de l’hégémon américain de la Glafia, les États-Unis « libres et démocratiques ».
  • Le communisme, le système de contrôle de la population préféré de la Glafia, a également été utilisé comme force subversive pour saper l’Occident (Y. Bezmenov2).

Cependant, leur projet initial de fusion entre l’Union soviétique et les États-Unis (Norman Dodd, Comité Rice) a échoué. Pourtant, en 1959, le dirigeant soviétique Nikita Khrouchtchev a frappé de sa chaussure le pupitre des Nations unies et s’est écrié :

« Les enfants de vos enfants vivront sous le communisme. Vous, les Américains, êtes si crédules. Nous n’aurons pas à vous combattre ; nous affaiblirons votre économie, jusqu’à ce que vous tombiez entre nos mains comme un fruit trop mûr. »

L’Occident, aujourd’hui affaibli et victime d’un lavage de cerveau, semble accepter la toute nouvelle proposition des « parties prenantes communistes », la Grande Réinitialisation du FEM, où vous ne posséderez rien, n’aurez aucune liberté et aucun avenir humain (Schwab & Harari3).

L’échec apparent du plan de fusion communiste/capitaliste, la décision de la Glafia d’aller à l’Est pour son cinquième cycle et la naissance du plan de prison numérique mondiale ont rendu l’expérience soviétique obsolète : la Glafia a vu son pion Gorbatsjev l’achever en 1991.

Peu après, Fidel Castro, l’agent de la CIA de la Glafia, a déclaré :

« La prochaine guerre en Europe sera entre la Russie et le fascisme, sauf que le fascisme s’appellera Démocratie ».

Pas de prophétie, juste des informations d’initiés, sur une guerre sans but (pour l’Humanité, pas pour les profiteurs de guerre) qui est aujourd’hui une bien triste réalité en Ukraine.

Après 1991, la Russie a d’abord été ouverte au capitalisme par une thérapie de choc, qui s’est soldée par un désastre et un pillage planifiés — par l’« équipe Harvard » en tant que destructrice, avec en vedette le gauchiste Jeffrey Sachs, qui s’efforce aujourd’hui de restaurer sa réputation ternie. Cette opération a été planifiée des années avant la chute du mur de Berlin : les banques occidentales et israéliennes de la Glafia ont accordé d’importants crédits à de futurs oligarques sélectionnés (M. Wolski : 75 % d’entre eux sont juifs et liés à Chabad, un mandataire de confiance de la Glafia), afin que les propriétaires des banques internationales — les familles les plus riches du monde — puissent acheter à bas prix l’énorme richesse de la nation russe, tout en laissant sa population dans la ruine. Environ 30 000 Russes ont été assassinés au cours de cette opération par la mafia russe (un autre mandataire de la Glafia), et l’espérance de vie des hommes à la naissance a chuté de six ans.

Au plus profond de la crise russe, l’ancien agent du KGB Vladimir Poutine — qui avait été sélectionné et encadré très tôt par Henry Kissinger, agent de la Glafia, et avait ensuite été formé comme Young Global Leader par le FEM (par la bouche de Klaus Schwab, voir références) — est devenu l’homme de paille des oligarques russes et des banquiers mondialistes subordonnés à la Glafia. Avec son maître à penser Chabad, le rabbin Berel Lazar (en Russie depuis 1990), il a ensuite « sauvé la Russie ». Cela et sa réaction aux attentats à la bombe sous faux drapeau ont rendu le gangster Poutine très populaire auprès des Russes (Putin’s False Flag, Iain Davis).

Le mentor Kissinger a certainement dit à Poutine, il y a longtemps, qu’une Russie forte était nécessaire pour le changement Ouest-Est de la Glafia, et que la guerre prédite par Castro serait le prix à payer pour sa carrière fulgurante et celle de la Russie. Tout comme Bleichröder, un banquier associé à Rothschild, avait dit à Bismarck que la guerre serait le prix à payer par l’Allemagne pour son projet d’unification financé par la Glafia au 19e siècle (Nicolai Starikov).

Lorsque le Covid a été lancé en 2020, la Russie « autonome » de Poutine a obéi au scénario mondialiste de l’OMS et a vacciné une grande partie de sa population avec les vaccins toxiques d’AstraZeneca, aujourd’hui retirés. Idem, sa banque centrale est entièrement alignée sur la banque BRI de la Glafia à Bâle (y compris le projet CBDC4), tandis que les politiques de la Russie sont également totalement de mèche avec l’alliance traîtresse ONU/FEM et leur agenda 2030 de « durabilité », l’escroquerie climatique, la nourriture à base d’insectes, la Grande Réinitialisation et la Quatrième Révolution Industrielle.

La guerre en Ukraine

Hannah Arendt, profondément impressionnée par les nombreuses révélations (y compris les atrocités sionistes) lors du procès Eichmann (1961) à Jérusalem, a parlé de la banalité du mal. La guerre actuelle en Ukraine en est un exemple. Vous me traiterez peut-être de cynique, mais c’est ce que j’ai conclu il y a deux ans, et je pense que c’est toujours valable :

« Les “élites” occidentales savent que l’Est va irrémédiablement prendre le relais (voir les propos de Macron en 2019 sur la fin de l’hégémonie occidentale). Mais avant cela, les deux parties (les deux proxys de la Glafia !) se sont mises d’accord sur une guerre de théâtre sanglante pour se débarrasser de leur vieux matériel, tester leurs nouvelles armes, entraîner leurs armées (Russie) et remplir leurs poches et leurs coffres-forts à ras bord ».

La récente génération de missiles hypersoniques russes joue un rôle clé dans ce conflit : selon Scott Ritter, les États-Unis — qui auraient maintenant des années de retard en matière de technologie militaire, une situation très étrange — sont déjà en échec et mat, de même qu’Israël : L’Occident ne peut tout simplement pas se défendre contre les missiles hypersoniques de l’Est. Et alors que la Russie partage apparemment cette technologie avec la Chine et l’Iran, les États-Unis semblent incapables de combler le fossé.

L’Église orthodoxe russe corrompue collabore pleinement avec les oligarques russes de la Glafia et leur homme de paille, Poutine. Depuis la guerre en Ukraine, elle mène un « djihad orthodoxe » (terme de Derk Sauer) au cours duquel ses prêtres bénissent les soldats qui partent au front en Ukraine. Au lieu de réclamer une solution pacifique, l’Église soutient la guerre et trahit ces pauvres garçons, leur promettant un passage au ciel lorsqu’ils mourront pour les « nobles objectifs de la patrie ».

Un autre rôle important dans le récit officiel du Kremlin est joué par le « cerveau » de Poutine, le « philosophe traditionaliste » Alexandre Douguine, un admirateur de Lénine et de Staline qui, en 2014, a appelé les Russes à « tuer, tuer, tuer » les Ukrainiens. Sa réaction face au Covid a été révélatrice : il s’est tu et a commencé à porter un masque (Iurie Rosca). Il a été démasqué dans le récent article de Paul Cudenec, qui conclut qu’il est un pion mondialiste.

Le fort soutien populaire à Poutine repose exactement sur la même tromperie généralisée des médias officiels qu’en Occident : dans les deux cas, la majorité salue encore les hommes politiques responsables des politiques désastreuses de Covid. Comme l’écrivait Oswald Spengler il y a un siècle : « Les médias sont le moyen par lequel l’argent opère la démocratie ».

L’étrange position de nombreux altermondialistes à l’égard de Poutine et de la Russie

Comme la plupart des pays (y compris tous les États occidentaux), la Russie d’aujourd’hui n’est qu’une démocratie nominale : le véritable pouvoir derrière la façade officielle est secrètement et fermement entre les mains de la Glafia, par l’intermédiaire de ses mandataires russes et juifs. Toute opposition mettant en danger leurs intérêts est impitoyablement traitée en réduisant au silence, en interdisant, en emprisonnant ou en tuant les dissidents (Iurie Rosca).

En Russie, la fusion entre l’État et le capital, le vieux modèle de la Glafia décrit il y a des décennies par le célèbre historien français Fernand Braudel (qui a également été le premier à utiliser le terme « prédateurs »), est aujourd’hui évidente, comme elle l’était à l’époque du communisme. « Le monde entier est une scène », comme l’a écrit Shakespeare. Et depuis plus d’un siècle, la Russie est l’un des nombreux États-nations sur l’échiquier de Lord Curzon, « où se joue le grand jeu pour la domination du monde », par le seul joueur qui en est à l’origine : la Glafia.

Il est surprenant de constater que la plupart des dirigeants antimondialistes occidentaux, tout en perçant à jour et en critiquant la propagande de leurs propres gouvernements, prennent la propagande incessante de Poutine et du Kremlin entièrement au pied de la lettre. Les raisons de cet étrange phénomène pourraient être les suivantes :

  • Des vœux pieux ou un faux espoir (« la Russie, dernier rempart contre les mondialistes »).
  • Influencer et corrompre les services secrets russes (très fréquent à l’époque soviétique et certainement encore aujourd’hui).
  • Il s’agit d’une tentative honnête de corriger le noircissage bruyant de la Russie par les politiciens occidentaux et la presse grand public (qui fait bien sûr partie du banal et génocidaire « accord de lutte professionnelle » en Ukraine conclu par les gangsters occidentaux et russes).

Enfin, la cause première est l’ignorance généralisée de l’histoire réelle de la Russie, qui, espérons-le, sera atténuée par le présent article.

Références




SPIEF 24 – L’ordre mondial multipolaire converge vers Saint-Pétersbourg pour passer les tests PCR et discuter du développement durable

[Source : off-guardian.org]

Par Riley Waggaman

C’est en train de se produire. Encore une fois. Cela arrive chaque année, malheureusement.

Je fais bien sûr référence au Forum économique international de Saint-Pétersbourg, qui réunit chaque année les esprits les plus antimondialistes du monde.

Comme le veut la tradition, vous ne serez pas autorisé à entrer sur le site sans un test PCR négatif. Le SPIEF1 a publié une vidéo utile si vous avez des questions sur votre statut viral :

RAPPEL : Votre carte d’identité numérique SPIEF ne sera pas activée tant que vous n’aurez pas obtenu un résultat négatif au test de dépistage du virus !

Vous devrez également acheter un billet.
Les billets coûtent 19 860 dollars.

RAPPEL : LES CALL-GIRLS NE SONT PAS INCLUSES DANS LE PRIX DU BILLET. LES CALL_GIRLS SONT VENDUES SÉPARÉMENT !

Source : riamo.ru

Examinons maintenant ce qui sera discuté lors de cette nouba multipolaire des personnes concernées par les valeurs traditionnelles.

L’un des principaux points à l’ordre du jour est la « transition vers une économie mondiale multipolaire », c’est-à-dire la création d’un « système mondial de régulation du carbone » qui ouvrira la voie à un « développement durable » à long terme :

Les stratégies de développement des chaînes de production et d’approvisionnement sont en cours d’élaboration en tenant compte des objectifs mondiaux de l’Accord de Paris et des plans nationaux de réduction des émissions et d’adaptation au changement climatique. La concordance des approches et le rythme de la réglementation du carbone entre les États membres de l’EAEU2, de l’OCS et des BRICS permettront de construire un système mondial de réglementation du carbone basé sur une transition énergétique équitable, incluant les technologies de transition, et de respecter les principes du système commercial multilatéral et de la neutralité technologique. Pour l’EAEU, la convergence des approches en matière de régulation climatique est une priorité à long terme. (…) Les mécanismes de tarification du carbone basés sur le marché aideront-ils à atteindre les objectifs climatiques dans les pays de l’OCS, de l’EAEU et des BRICS, et quel est le juste prix du carbone ?

Combien devrait coûter un morceau de carbone des BRICS ? Cinq roubles numériques ? Peut-être dix ? Si vous venez à Saint-Pétersbourg, vous pourrez discuter de ce sujet important avec certains des plus grands connaisseurs du carbone au monde, notamment Ruslan Edelgeriyev, représentant présidentiel spécial de la Russie pour les questions climatiques, et Tatiana Zavyalova, première vice-présidente de Sberbank pour l’ESG3.

Un autre groupe discutera du « financement de la transition » et d’autres activités durables qui prouvent, au-delà de tout doute raisonnable, que « les pays des BRICS soutiennent activement le mouvement de réduction des émissions dans les secteurs traditionnellement à forte intensité de carbone » :

Une option possible pour atteindre les objectifs climatiques est de promouvoir les pratiques de financement de la transition qui aident à diriger les flux de trésorerie vers des projets de modernisation des industries et des entreprises à fortes émissions de gaz à effet de serre. Aujourd’hui, les pays des BRICS soutiennent activement le mouvement de réduction des émissions dans les secteurs traditionnellement à forte intensité de carbone : en septembre 2021, la Russie a adopté la Taxonomie des projets d’adaptation (transition), tandis que la Chine dispose déjà de sept taxonomies régionales de projets de transition. Les approches générales ont été proposées sur la base de l’initiative de la Chine et lors du G20.

Davos s’enfuit, terrorisé !

À propos : quelle est la région russe qui a sauvé le plus d’ours polaires ? Découvrez-le au SPIEF 24 !

Les experts discuteront également des raisons pour lesquelles il n’y a pas lieu de craindre le « développement rapide » des technologies biométriques en Russie :

Le marché mondial des technologies biométriques se développe rapidement, et la Russie figure parmi ses leaders. De plus en plus de services utilisant la biométrie apparaissent dans le pays, et il devient plus facile et plus accessible pour les Russes de recevoir des services gouvernementaux et commerciaux. Mais les gens se méfient de cette nouvelle technologie. Certains craignent les escrocs, d’autres les fuites. Pour d’autres encore, elle est synonyme de contrôle total par l’État. Ces stéréotypes freinent son développement. Mais qu’est-ce que la biométrie ? Avons-nous besoin de cette technologie et y a-t-il des raisons de la craindre ?

source : forumspb.com

Arrêtez les stéréotypes blessants ! LAISSEZ LA BIOMÉTRIE TRANQUILLE, ESPÈCE DE BIGOT.

La « transformation numérique » de la Russie fera l’objet d’une attention particulière au SPIEF 24. En effet, les acteurs concernés devront travailler ensemble s’ils espèrent numériser la quasi-totalité des services « socialement importants » d’ici à 2030 :

Source : forumspb.com

Des spécialistes de l’ensemble des pays du Sud s’engageront également dans des conversations intellectuellement stimulantes sur des mots à la mode dépourvus de sens et copier-coller des communiqués de presse de Davos :

Source : forumspb.com

En fin de compte, la conférence vise à contribuer à l’instauration d’un ordre mondial extrêmement durable fondé sur les crédits carbone, les étiquettes biométriques pour le bétail et les prostituées hors de prix.

…mais est-ce que SPIEF a des chiots ??

Échec et mat.

Riley Waggaman est un écrivain et journaliste américain qui vit en Russie depuis près de dix ans. Il a contribué à de nombreux sites web, dont Anti-Empire, Russian Faith, Brownstone Institute, Unlimited Hangout et Geopolitics & Empire. Il a travaillé pour Press TV, Russia Insider et RT avant de se lancer en solo. Vous pouvez vous abonner à son Substack ici, ou le suivre sur Twitter ou Telegram.





Le tableau d’ensemble de l’Histoire : des leçons pour aujourd’hui

[Source : arcaluinoe.info]

[Illustration : Image : AP]

Par Mees Baaijen

Cette présentation est basée sur mon livre Les Prédateurs contre Le Peuple, qui est disponible en sept langues sur substack.

L’arbre de la connaissance du bien et du mal

L’arbre et le serpent faisaient partie du Paradis ! Par dessein divin, les êtres humains créatifs et curieux n’ont pas pu y résister : pour nous mettre tous à l’épreuve ?

Un développement sans précédent du potentiel humain a pris son essor, tant pour le Bien (agriculture, science, art, écriture, artisanat, certaines technologies) que pour le Mal (esclavage, usure, abus, guerres, certaines technologies).

Les sociétés hiérarchisées (souvent fondées sur l’esclavage) et les technologies améliorées qui en ont résulté ont conduit à la mondialisation il y a déjà 5000 ans : le commerce mondial est devenu le commerce des « riches » (lingots, esclaves multicolores, épices, produits de luxe).

Le capital

La richesse du commerce a permis d’énormes accumulations de capitaux, un peu partout, en Asie, en Afrique et en Europe. L’usure s’envole, les oligarchies se développent. Mais seule l’Europe est devenue le « monstrueux façonneur de l’histoire du monde » (Braudel) : pourquoi ?

Vers 1500, un nouveau plan de domination mondiale est né en Méditerranée, par les Vénitiens, les Génois et les ex-Juifs ibériques : il s’agit de la Glafia. Il s’agit d’une classe de prédateurs composée de familles dynastiques de banquiers et de marchands, qui ne sont liées à aucune nation, religion, race ou ethnie, et pour qui la finalité satanique — faire de la terre leur ferme privée avec nous, les humains, leur bétail — justifie tous les moyens.

Ils savaient que leur domination sur le monde ne pouvait être établie que par l’intermédiaire de mandataires (secrets). Par coïncidence, les États-nations étaient en plein essor en Europe.

Les États-nations, premiers mandataires nationaux de la Glafia

Les banquiers génois avaient découvert comment ils pouvaient « contrôler à distance » l’empire espagnol grâce à des capitaux mobiles. La Glafia a ensuite utilisé ce modèle de manière systématique. Elle a infiltré et capturé les futurs États-nations européens, qu’elle a contrôlés par le biais de banques centrales usuraires (protégées par des lois), de capitaux (corruption et investissement) et de fausses démocraties (tromperie). Cette fusion unique entre l’État et le capital a été la clé de leur succès (F. Braudel, G. Arrighi). Les anarchistes avaient raison sur le rôle perfide de l’État-nation !

En dominant le système monétaire (banques centrales) et en injectant des capitaux dans les États-nations capturés (mais officiellement « autonomes »), des projets normalement impossibles — découvertes à grande échelle, colonisation, révolutions, guerres, science, technologie et « développement » — sont devenus possibles, mettant fin à la phase de croissance organique.

Les cycles hégémoniques

L’Espagne catholique, qui était alors le plus grand empire du monde, a été mise à l’écart en tant qu’hégémon, parce qu’elle n’était pas favorable à l’usure et aux juifs. À partir du début des années 1500, la Hollande et l’Angleterre ont été progressivement préparées à devenir les hégémons suivants, désormais protestants.

La Réforme, l’indépendance des Pays-Bas vis-à-vis de l’Espagne, la révolution de Cromwell et la Glorieuse Révolution en Angleterre, les banques centrales et les « démocraties » en Hollande (1609) et en Angleterre (1694), et la Compagnie des Indes orientales dans les deux cas, ont toutes été pilotées et financées par la Glafia. Chaque cycle hégémonique se divise en trois phases : une phase marchande ou d’accumulation (souvent financée par l’hégémon précédent), une phase d’expansion industrielle et enfin une période de financiarisation, dominée par le secteur bancaire (les premiers marchands sont devenus des banquiers). Dès les années 1830, les États-Unis étaient préparés (l’argent de Rothschild a mis en place les barons voleurs, la guerre civile, etc.) La phase de financiarisation — et finale — a commencé dès 1971 (même Imagine des Beatles en faisait partie !).

Au cours des cent dernières années, la Chine et la Russie ont été préparées à devenir les nouveaux chevaux oligarchiques du char de la Glafia, dans le cadre de la même fusion du capital et de l’État. Cette opération hégémonique se présente sous la marque brillante de l’ordre mondial multipolaire, mais elle est dirigée par les mêmes prédateurs. Pendant ce temps, l’Occident encore endormi subit une démolition contrôlée.

Lors des précédents changements hégémoniques, les guerres ont toujours été au menu. Il en va de même aujourd’hui, avec un changement inédit de l’Ouest vers l’Est. Les « élites » occidentales savent que l’Est prendra irrévocablement le relais (Macron, 2019), mais avant cela, les deux parties (les deux mandataires de la Glafia !) se sont entendues sur une guerre de théâtre sanglante en Ukraine, pour se débarrasser de leur ancien matériel, tester leurs nouvelles armes, entraîner leurs armées (Russie) et se remplir les poches et les coffres-forts à ras bord.

Gaza répond à un objectif similaire. Selon le nouveau paradigme, les Israéliens déshumanisés (par la volonté de la Glafia, ils ont été dupés pour entrer dans la cage dans laquelle ils ont été constamment aiguillonnés) sont un obstacle qui doit être éliminé. Si l’on en croit Scott Ritter, Israël est déjà en échec et mat.

La méthodologie pour coloniser le globe

On peut distinguer trois phases :

  1. La découverte et la conquête du tiers-monde, le fruit le plus facile à cueillir (commencée au XVe siècle, achevée en 1914), pour ensuite transformer toutes les colonies en États-nations « autonomes », sous l’autorité d’élites subordonnées.
  2. La conquête de l’Eurasie avec ses 13 grands Empires, le fruit de l’effort (préparé de longue date, avec la Première Guerre mondiale en 1914 comme ouverture) : le Grand massacre de l’Eurasie au 20siècle, mis en scène par les mandataires anglo -américano-sionistes de la Glafia, qui sont sortis en héros, encore serinés chaque année, alors qu’ils ont mis en place tous les croquemitaines, y compris Hitler !
  3. Une fois TOUTES LES TERRES colonisées, la phase suivante consiste à mettre TOUS LES PEUPLES sous contrôle, cette fois par le biais de la technologie : la prison numérique mondiale, en préparation depuis au moins 60 ans (Brzeziński1). C’est la fin du jeu, pour laquelle le 11 septembre était l’ouverture, la Covid un test, etc.

Les Juifs : Les plus anciens mandataires internationaux de la Glafia

À partir de 1200 avant J.-C., la Phénicie (Canaan), idéalement placée pour le « riche » commerce, à mi-chemin entre l’Europe et l’Asie, a été le premier empire « moderne », le pionnier et le précurseur de la mondialisation, du capitalisme et des multinationales. Les Phéniciens ont également créé l’aristocratie (noire) de l’Europe (la pierre angulaire de Charles !).

Les Juifs et les Phéniciens étaient presque indiscernables jusqu’en 270 avant J.-C., lorsque la Bible hébraïque a été rédigée par une équipe d’experts à Alexandrie, qui ont suivi le conseil de Platon de créer un État-nation. Les juifs ordinaires ont été dupés, afin d’en faire des armes au service d’une petite élite (phénicienne, juive ou les deux ?). Ils ont très probablement été dupés lors de leur expulsion d’Espagne, qui a été très similaire à ce qui s’est passé au 20siècle. Et récemment, en tant que rats de laboratoire de Pfizer, et maintenant le piège de Gaza, conduisant à la disparition d’Israël (annoncée par Kissinger, Ehud Barak).

La tromperie est partout : « Le monde entier est une scène » (W. Shakespeare)

  • Médias (magie noire, symbolisme occulte), éducation ;
  • Des rackets de protection sans fin, y compris le communisme, Hitler, le 11 septembre, la Covid, le CO2, et même la Nature (qui décide avec quel sexe vous naissez), etc. ;
  • le scientisme (le Siècle des Lumières était un Siècle de l’Oscurcissement), le matérialisme, le wokisme, le transgendérisme et le transhumanisme (technologie vs Nature) ;
  • L’imposture de la supériorité du capitalisme et du libéralisme américains ;
  • Les États-nations faussement « autonomes » ;
  • Les fausses démocraties, un jeu de confiance qui dure depuis des siècles et qui s’achève ;
  • Guerres et révolutions, aujourd’hui en Ukraine, à Gaza.

Aperçu du livre

Après la Covid, des millions de personnes comprennent une chose : elles ont été dupées. Pourtant, elles se demandent toujours POURQUOI toutes ces choses étranges ont pu se produire. Beaucoup ont déjà compris qu’il est très difficile de trouver la réponse sur Internet ou dans les livres. En effet, seule une analyse large et approfondie de l’Histoire mondiale peut nous donner une vue d’ensemble du passé, en tant que cadre nécessaire à une bonne compréhension de ce que nous vivons aujourd’hui et de ce que nous pouvons attendre de l’avenir.

Les Prédateurs contre Le Peuple, un livre clair et captivant qui propose une analyse approfondie et indépendante de l’Histoire et qui explique pourquoi tant de choses étranges se produisent aujourd’hui. Il s’agit d’un récit honnête, logique et sans fioritures de l’Histoire mondiale, qui va à l’encontre de la fausse version officielle qui nous a été servie presque tous les jours de notre vie. Actuellement, le livre est divisé en deux parties : Globalisme : La véritable histoire (partie A), complétée par Globalisme : 46 faits saillants (partie B), un ouvrage de référence comprenant 46 brefs essais sur des sujets cruciaux. Des améliorations et des ajouts seront apportés prochainement.

La véritable Histoire commence par un aperçu des débuts de l’Histoire mondiale, y compris les fondements scientifiques falsifiés des origines de l’univers, de la vie et de l’homme. Elle se concentre ensuite sur la énième tentative de domination du monde, cette fois par une Mafia mondiale, ou Glafia. Ce groupe de familles bancaires dynastiques, qui ne sont liées à aucune nation, religion, race ou ethnie, est appelé ici Les Prédateurs. Leur complot a pris forme vers 1522 et a été le premier à reposer sur le pouvoir du CAPITAL et de la TROMPERIE. Aujourd’hui, cinq siècles plus tard, il est sur le point de s’achever avec la Grande Réinitialisation du FEM.

S’appuyant sur un grand nombre d’éléments convergents, dont une bonne partie émanant d’historiens très respectés, cet ouvrage apporte la preuve que les principaux événements mondiaux des cinq derniers siècles ont été provoqués par ces prédateurs. Dès le départ, la Glafia a mené cet énorme projet par personnes interposées. Elle a fait des futurs États-nations « souverains » d’Europe ses premiers mandataires, qu’elle contrôlait par l’intermédiaire de banques centrales usuraires et de pots-de-vin (capital), et de fausses démocraties (tromperie). Ces États européens mandataires ont ensuite été chargés de coloniser les « fruits les plus faciles à cueillir », les terres et les populations du tiers-monde, et financés à cette fin. Des siècles plus tard, la Glafia a organisé leur fausse décolonisation.

Les empires d’Eurasie, les « fruits mûrs », étaient les noix les plus difficiles à casser. Une vaste opération de guerres, de crises et de révolutions a été préparée longtemps à l’avance. C’est devenu le grand massacre de l’Eurasie au XXsiècle, avec plus de 200 millions de morts. Tous les croque-mitaines de ses nombreux réseaux de protection — y compris le communisme et Hitler — ont été mis en place par les mandataires britanniques, américains et sionistes de la Glafia. Pourtant, grâce à la tromperie des universités et des médias traîtres, les Britanniques et les Américains de la Glafia qui ont incité au grand massacre sont encore fêtés comme les plus grands libérateurs de tous les temps, tandis que leurs mandataires sionistes se présentent encore comme les plus grandes victimes de tous les temps. L’Occident a également servi d’incubateur pour les sciences et les technologies de pointe.

Au cours d’un jeu de confiance qui a duré des siècles, la Glafia a corrompu et capturé tous nos 193 faux gouvernements souverains et faux gouvernements démocratiques, qui agissent maintenant comme des « traîtres à l’intérieur des portes », avec la Covid comme preuve du pouding totalitaire. Avec TOUTES LES TERRES sous le contrôle de la Glafia, leur objectif pour le 21e siècle est de contrôler TOUS LES PEUPLES individuellement, via la Grande Réinitialisation/IVe Révolution Industrielle, le jeu final pour installer leur Prison Numérique Globale (avec CBDC, Revenu de base universel, budgets carbone, etc.).

Après les premiers cycles de ce projet de domination avec l’Espagne, les Pays-Bas, l’Angleterre et les États-Unis en tant qu’hégémon occidental, les nouveaux États leaders mondiaux de la Glafia, la Chine et la Russie, tous deux préparés depuis des décennies, prennent maintenant le relais pour le cinquième cycle. Le changement actuel, le premier de l’Ouest vers l’Est, s’effectue sous le couvert de guerres militaires et bactériologiques et d’un nouvel « ordre mondial multipolaire bienveillant », tandis que l’Ouest, toujours trompé et en sommeil, est en train d’être démoli.

Les révélations explosives sur les centaines de millions de victimes des impitoyables projets Prédateurs visant à coloniser le globe, et sur les nombreuses guerres, révolutions, crises et autres atrocités horribles qu’ils ont mises en scène et qu’ils continuent de commettre, sont choquantes. Mais ce n’est pas tout : leur guerre spirituelle cachée contre « NOUS, le Peuple », un Obscurcissement masqué sous le nom de Lumières, a éloigné l’Humanité de la Nature et de l’Univers, en particulier en Occident. C’est pourquoi la redécouverte de l’essence de la vie est la révolution dont NOUS avons besoin.

Épargnez-vous l’énorme et déroutant souci de tout comprendre par vous-même ! Avec la tranquillité d’esprit que ce livre vous apporte, vous pourrez vous consacrer à la recherche de moyens pour retrouver notre planète, notre liberté et notre avenir volés.

Les premières civilisations

La civilisation a été caractérisée par les villes, l’argent et l’écriture.

Mees Baaijen

Mees a grandi dans une campagne hollandaise à la vie simple. Il a travaillé dans 7 pays sur 4 continents. Athée depuis l’âge de 12 ans, il pense aujourd’hui que le Siècle des Lumières était un Siècle de la Fin, destiné à nous éloigner de l’Univers (Tao, Dieu), d’où provient notre pouvoir.





1984 n’est plus une fiction

[Source : @IamMazikeen]

Par Iam Mizikeen

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Le monde bascule vers la surveillance de masse : traque des fraudeurs fiscaux sur Facebook, reconnaissance faciale, mégafichier des données personnelles…

Découvrez comment le « portefeuille carbone personnel » pourrait devenir la réalité de demain.

Des cartes de crédit limitant vos dépenses en fonction de votre empreinte carbone ?

Des choix alimentaires dictés par votre score carbone ? ❌

Laissez-vous guider par Barbara Baarsma, économiste néerlandaise, et percevez les dangers d’un système totalitaire orchestré par le Forum économique mondial.

Préparez-vous à découvrir une réalité qui pourrait bien être plus proche de la fiction dystopique que vous ne le pensez.



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Covid-19 : les « complotistes » avaient vu juste

Par Me NONOBSTANT

[NDLR L’Histoire récente nous a cependant largement montré que s’élever contre la vaccination pasteurienne ou la fausse vaccination à supposé ARNm n’empêche nullement les entreprises pharmaceutiques de continuer de sévir et de contrôler l’enseignement médical, ni les Bill Gates et autres milliardaires de poursuivre leur agenda eugéniste.
Par contre, si suffisamment de monde en général et de personnels soignants en particulier poussent plus avant leur démarche « complotiste » de remise en question des croyances modernes et creusent plus profond, ils réaliseront probablement et en nombre suffisant la vacuité et l’ineptie scientifique de l’hypothèse virale (abusivement nommée, désormais, « théorie virale »)1, et il n’existera plus mondialement aucun justificatif aux vaccins et autres cocktails thérapeutiques prétendument « antiviraux » ni aux diverses mesures « sanitaires ». Les maladies dites virales ont bien d’autres causes que les virus pathogènes fantomatiques, et les diverses substances utilisées en allopathies pour soi-disant soigner ne contribuent le plus souvent qu’à soulager des symptômes, ceci en produisant de surcroît des effets secondaires plus ou moins nocifs. Consulter le dossier Vaccins et virus permettrait au lecteur d’approfondir le sujet.]





Graphène : de micro à nanotechnologie

[Source : @Poussix81]

ℹ️ Le graphène, substance connue jusqu’à récemment seulement par un petit groupe d’initiés est aujourd’hui sur toutes les lèvres.

Entre ses détracteurs et ceux qui en sont devenus quasiment des adeptes, cet assemblage malléable d’atomes de carbone aux propriétés conductrices tant apprécié des neurones subit attaques et tentatives d’invisibilisation. Et de fait, le graphène n’a pas fini de susciter l’émoi.

C’est en 2021 que Guillaume Bousquières et Sébastien Iozzia se voient contraints de renoncer au métier qu’ils aiment et les passionne : le soin.

L’un est naturopathe, l’autre infirmier et laborantin. L’obligation vaccinale contre la Covid-19, à base de produits expérimentaux dont on ignore encore aujourd’hui la composition exacte, entre en vigueur, balayant les rêves des deux amis comme ceux de tant de soignants.

Seuls une insatiable curiosité et le besoin de comprendre vont permettre à ces courageux, plus connus maintenant sous le nom de Next dose, de ne pas sombrer.

Un camping-car et un microscope optique plus tard, leurs constatations sont sans appel : ces injections contiennent bien d’autres choses que les vaccins classiques.

À force de persévérance, leur technique s’améliore, leur compréhension des phénomènes aussi ; leur notoriété s’accroît. Ce ne sont plus seulement des flacons de produits qu’ils peuvent observer ou leur sang y mélangé, mais bien celui des personnes qui, contraintes ou convaincues par la ruse et les mensonges d’état, sont à présent victimes de graves soucis de santé et cherchent des réponses.

De nombreux patients souffrant d’effets indésirables parfois très étranges, vont donc les contacter. Mais pas seulement…

Les travaux et publications des Next dose, qui corroborent les observations faites à l’international, attirent l’attention de quelques personnes à l’équipement bien plus performant. C’est avec un microscope électronique cette fois que de nouvelles découvertes sont faites. Micro, puis nanotechnologies apparaissent sur les écrans, confirmant les pires craintes que l’équipe pouvait avoir en lisant brevets officiels et publications délirantes sur la 6 G ou l’internet des corps et le contrôle des masses.

Pour sa seconde édition, le Conseil Opérationnel et Scientifique, ou COS, animé par le docteur Laurence Kayser, accueille Guillaume et Sébastien pour une émission hors normes (et en français, ce qui est chose rare) où les images et vidéos les plus frappantes des Next dose tentent de soulever un coin du voile sur les injections anti-covid tout en appelant les savants du monde entier à mettre leurs compétences, moyens et carnets d’adresses au service de la science véritable pour le plus grand bien de l’humanité.

Les questions posées ici sont d’une particulière gravité.

  • 00:00 : Introduction et présentation
  • 12:58 : Le graphène : de la micro à la nanotechnologie — Partie 1
  • 13:32 : Après la 5 G en 2020, arrivée de la 6G en 2030
  • 17:17 : Des Microsystèmes aux Nanosystèmes
  • 24:34 : Le graphène
  • 28:18 : Un brevet et des études scientifiques qui interpellent
  • 31:40 : Les rapports de l’OTAN
  • 35:10 : Les masques au graphène
  • 40:50 : L’origine du graphène dans les injections, le rapport Pablo Campra
  • 42:07 : Présence de graphène dans le sang ?
  • 57:02 : Mécanisme de croissance des nanotubes de carbone (graphène)
  • 1:01:29 : Témoignage d’une personne injectée
  • 1:11:45 : Le graphène : de la micro à la nanotechnologie — Partie 2
  • Réactions de l’organisme face à ce corps étranger
  • 1:11:55 : L’oxyde de graphène est dégradé par les neutrophiles
  • 1:15:20 : Les injections peuvent engendrer des fusions de neutrophiles
  • 1:20:58 : Les injections peuvent engendrer des Nétoses (mort des neutrophiles), l’oxyde de graphène peut induire la Nétose
  • 1:29:28 : Les injections peuvent engendrer des agglutinations de plaquettes, la Nétose induit la thrombogenèse
  • 1:32:26 : Le principe de fonctionnement des puces interrogeables à distance (présentation par un ingénieur spécialiste en microtechnologie)
  • 1:52:35 : Le graphène : de la micro à la nanotechnologie — Partie 3
  • 1:53:32 Les valeurs limites d’exposition
  • 1:57:00 : Détection de champs électriques chez des personnes injectées
  • 2:00:55 : Détection d’adresses MAC in vitro et chez des personnes injectées
  • 2:09:41 : Solutions éventuelles
  • 2:15:27 : Quelques citations…
  • 2:18:25 : Conclusion






Quel est l’impact d’une augmentation de 180% du CO2 atmosphérique sur les plantes ?

Mesures à la récolte Pourcentage d’amélioration
Longueur de la tige 52
Poids de la tige 21
Longueur de la racine 339
Poids des racines 143
Nombre de feuilles 38
Poids des feuilles 9
Biomasse totale 44



Climat : tout ça pour rien !

[Source : Décoder l’éco]

Christian Gérondeau répond aux remarques données sur la précédente vidéo [voir Le climat par les chiffres : sortir de la science-fiction du GIEC] et nous présente son nouveau livre : Climat : tout ça pour rien ! Toujours aux éditions l’artilleur. Cette fois-ci, il s’agit de chiffrer la politique climatique tout en montrant son ineptie.




Le lait cru de nouveau à la croisée des chemins

[Source : Dr Mercola]

Analyse de Sally Fallon Morell

L’HISTOIRE EN UN COUP D’ŒIL

  • La campagne contre le lait cru a commencé par un article fabriqué de toutes pièces paru en 1945 dans le magazine Coronet, faisant état d’une épidémie mortelle de brucellose dans une ville inexistante, ce qui a conduit à l’adoption de lois restrictives contre le lait cru dans le Michigan à partir de 1948.
  • Une présentation PowerPoint réalisée en 2007 par un fonctionnaire de la FDA a faussement dénigré le lait cru en utilisant des rapports erronés ; aucun de ces rapports n’a prouvé que la pasteurisation aurait permis d’éviter les prétendues épidémies.
  • L’annonce faite en 2024 par l’USDA attribue les symptômes observés chez les vaches laitières à la grippe aviaire sans que la présence du virus dans le lait ait été confirmée, en s’appuyant sur des méthodes de test PCR douteuses.
  • Malgré les affirmations, il n’existe aucune preuve, évaluée par des pairs, de la transmission à l’homme de la grippe aviaire hautement pathogène à partir du lait cru.
  • Alors que la pasteurisation est présentée comme rendant le lait sûr, le détournement ou la destruction de lait provenant d’animaux infectés suggère que la pasteurisation ne garantit peut-être pas la sécurité.

Peu d’entre nous étaient nés lorsque les partisans de la pasteurisation du lait ont lancé la première grande attaque contre l’aliment parfait de la nature. En 1945, un magazine appelé « Coronet » a publié un article intitulé « Raw Milk Can Kill You » (Le lait cru peut vous tuer), accusant le lait cru d’être à l’origine d’une épidémie de brucellose dans une ville appelée Crossroads, aux États-Unis, qui a tué un tiers des habitants. Le « Reader’s Digest » a repris l’article et l’a publié un an plus tard.

Un seul problème avec ce « reportage ». Il n’y a pas eu de ville appelée Crossroads ni d’épidémie de brucellose. Toute l’histoire était une fabrication, autrement dit un mensonge. Et les mensonges sur le lait cru n’ont jamais cessé depuis.

Malheureusement, l’histoire fictive de Crossroads a ouvert la voie à l’adoption de lois interdisant la vente de lait cru, en commençant par le Michigan en 1948.

Voici un autre exemple de mensonges contre le lait cru (que j’ai mentionné dans un article précédent1, mais qui mérite d’être répété). En 2007, John F. Sheehan, BSc (Dy), JD, US Food and Drug Administration (FDA), Center for Food Safety and Applied Nutrition (USFDA/CFSAN — Centre pour la sécurité alimentaire et la nutrition appliquée), Division of Dairy and Egg Safety (Division de la sécurité des produits laitiers et des œufs), a préparé un Powerpoint dénigrant le lait cru ; il a été présenté à la National Conference on Interstate Milk Shipments (NCIMS — Conférence nationale sur les transports interétatiques de lait) de 2005 par Cindy Leonard, MS.2

Comme le montre le tableau ci-dessous, l’ensemble des quinze rapports associant des épidémies de maladies d’origine alimentaire au lait cru cités par Sheehan présentent de sérieuses lacunes. Par exemple, dans deux de ces quinze rapports, les auteurs de l’étude n’ont présenté aucune preuve que quelqu’un ait consommé des produits à base de lait cru et, dans l’un d’entre eux, l’épidémie n’a même pas existé. Aucune des études ne montre que la pasteurisation aurait permis d’éviter l’épidémie.

Pas d’échantillon de lait positif valable 12/15 (80 %)
Pas d’association statistique valable avec le lait cru 10/15 (67 %)
Résultats déformés par la FDA 7/15 (47 %)
Des explications alternatives ont été découvertes mais n’ont pas été poursuivies 5/15 (33 %)
Aucune preuve que quelqu’un ait consommé des produits à base de lait cru 2/15 (13 %)
L’épidémie n’a même pas existé 1/15 (7 %)
Il n’a pas été démontré que la pasteurisation aurait permis d’éviter l’apparition de l’épidémie. 15/15 (100 %)

Avançons rapidement au présent et à l’agitation autour de la grippe aviaire chez les vaches laitières : encore des mensonges, des mensonges très intelligents, mais des mensonges quand même.

Dans un communiqué de presse daté du 25 mars 20243, le ministère américain de l’Agriculture (USDA), la Food and Drug Administration (FDA) et les Centers for Disease Control and Prevention (CDC), ainsi que les autorités vétérinaires et de santé publique des États, ont annoncé une enquête sur « une maladie touchant principalement des vaches laitières âgées au Texas, au Kansas et au Nouveau-Mexique et provoquant une baisse de la lactation, un manque d’appétit et d’autres symptômes ».

Les agences affirment que des échantillons de lait non pasteurisé provenant de bovins malades au Kansas et au Texas ont été testés positifs à la « grippe aviaire hautement pathogène (GAHP) ». Les autorités attribuent l’apparition de ce foyer à un contact avec des « oiseaux migrateurs sauvages » et, éventuellement, à une transmission entre bovins. Le communiqué de presse met spécifiquement en garde contre la consommation de lait cru, un avertissement répété dans de nombreuses publications et sur Internet.

[Voir aussi :
« La grippe aviaire est de retour… alors ne mangez plus de bœuf ! »
et
Grippe aviaire, censure et vaccins en 100 jours : 7 prédictions pour la prochaine pandémie]

Selon le communiqué de presse, les laboratoires nationaux ont confirmé la présence de l’IAHP (Influenza aviaire hautement pathogène) par des tests, mais il ne révèle pas le type de test utilisé pour détecter cette soi-disant maladie virale.

Mensonge n° 1 : les chercheurs ont trouvé le virus IAHP dans le lait des vaches malades

Les autorités n’ont PAS trouvé de virus dans le lait ou les autres sécrétions des vaches malades. Le CDC n’a toujours pas répondu aux demandes répétées de preuve de la présence du virus isolé de la grippe aviaire hautement pathogène dans les fluides d’un poulet ou d’un autre animal malade.4 Les agences sanitaires et agricoles du Canada,5 du Japon,6 du Royaume-Uni7 et de l’Europe8 n’ont pas non plus fourni de preuve de la présence d’un virus isolé de la grippe aviaire.

Quant à toutes les études que vous pouvez trouver dans une recherche PubMed prétendant à l’« isolement » d’un virus, aucune d’entre elles ne montre l’isolement réel d’un virus, n’importe quel virus, à partir des fluides (flegme, sang, urine, fluides pulmonaires, etc.) de n’importe quel animal, oiseau ou humain.9

La vérité est que les « virus » servent de souffre-douleur pour les toxines environnementales, et dans le système d’élevage en claustration, il y en a beaucoup — sulfure d’hydrogène, dioxyde de carbone, méthane et ammoniac provenant des excréments, par exemple.10 Il y a ensuite les toxines dans l’alimentation, comme l’arsenic ajouté à l’alimentation des poulets, et les mycotoxines, le tropane et les alcaloïdes de la β-carboline dans le tourteau de soja.11

[NDLR On peut aussi fortement suspecter les ondes électromagnétiques artificielles (telles que la récente 5G) et leurs effets nocifs sur la santé des êtres vivants.
Voir le dossier 5G et ondes pulsées.]

En accusant des virus inexistants, les responsables de l’agriculture évitent de marcher sur les plates-bandes des grandes industries et n’ajoutent rien au dégoût croissant du public à l’égard du système d’élevage en claustration.

En 2006, les chercheurs Crowe et Englebrecht ont publié un article intitulé « Virus de la grippe aviaire H5N1 : aucune preuve de son existence, de sa pathogénicité ou de son potentiel pandémique ; omission de la causalité non “H5N1” ».12 Rien n’a changé depuis.

Voici votre devoir : Contactez l’USDA à l’adresse Aphispress@usda.gov et demandez-lui de fournir la preuve de l’isolement du virus de l’IAHP ou de tout autre virus présent dans le lait des bovins malades.

Mensonge n° 2 : les laboratoires nationaux ont confirmé la présence de l’IAHP par des tests

Ils ne précisent pas le type de test qu’ils ont utilisé, mais il s’agit très certainement d’un test PCR (réaction en chaîne par polymérase). Le test PCR détecte le matériel génétique d’un agent pathogène ou d’un échantillon de cellules anormales et permet aux chercheurs de faire de nombreuses copies d’une petite section d’ADN ou d’ARN. Le test n’a pas été conçu pour déterminer ou diagnostiquer une maladie, mais pour amplifier ou augmenter une certaine partie du matériel génétique.

Chaque « amplification » est un doublement du matériel. Si vous amplifiez trente fois, vous obtiendrez un résultat négatif ; si vous amplifiez 36 fois ou plus, vous obtiendrez un résultat positif. À 60 amplifications, tout le monde sera « testé positif » pour n’importe quel morceau de matériel génétique que vous pensez pouvoir causer une maladie.13 Si vous voulez montrer qu’une pandémie se prépare, il suffit d’amplifier, d’amplifier, d’amplifier. Il ne s’agit pas d’un test valable ni d’une bonne science, loin s’en faut, d’autant plus qu’il n’y avait pas de virus au départ.

Combien de fois nos autorités sanitaires ont-elles amplifié les échantillons prélevés sur le lait des vaches malades ? Ne manquez pas de leur poser la question lorsque vous enverrez un courriel à Aphispress@usda.gov pour obtenir la preuve de l’existence du virus.

Mensonge n° 3 : le « virus » est hautement pathogène

Selon le « Wall Street Journal », une personne — une seule — travaillant dans les laiteries est tombée malade et a été testée positive à la grippe aviaire après avoir été exposée à des vaches laitières présumées infectées par le virus H5N1 de la grippe aviaire.14

Cette personne a déclaré comme seul symptôme une rougeur des yeux, ou conjonctivite, symptôme qui peut s’expliquer par une exposition à l’une des nombreuses toxines présentes dans l’air des laiteries de confinement. (Comment traite-t-on la maladie ? Avec de la vitamine A et des gouttes oculaires à base de plantes ? Non, le pauvre bougre est traité avec un médicament antiviral toxique).

Selon le CDC, la maladie chez l’homme va d’infections légères, qui comprennent des symptômes liés aux voies respiratoires supérieures et aux yeux, à des pneumonies graves. Si le « virus » est si hautement pathogène, on pourrait s’attendre à ce que de nombreux travailleurs travaillant autour de ces vaches malades se retrouvent à l’hôpital… mais nous n’avons entendu parler d’aucun cas jusqu’à présent.

Mensonge n° 4 : on peut attraper la grippe aviaire en buvant du lait cru, mais le lait pasteurisé est sans danger

Selon Peg Coleman, biologiste médical15 :

« Les récentes communications sur les risques du CDC, de la FDA et de l’USDA concernant la transmission du virus de la grippe aviaire hautement pathogène ou IAHP (sous-type H5N1) à l’homme par le lait cru ne contiennent aucune preuve de la transmission virale du lait cru à l’homme dans la littérature évaluée par les pairs.

Un grand nombre de preuves scientifiques tirées de la littérature évaluée par des pairs […] n’étayent pas l’hypothèse de ces agences gouvernementales américaines selon laquelle l’IAHP [inexistante] se transmet à l’homme par les voies du lait ou de l’alimentation et provoque des maladies. Les preuves scientifiques ne soutiennent pas non plus la recommandation selon laquelle les consommateurs devraient éviter le lait cru et les produits à base de lait cru ».16

[souligné dans l’original]

Coleman souligne la série de composants bioactifs présents dans le lait cru, y compris le lait bovin, qui détruisent les agents pathogènes et renforcent la paroi intestinale.

« Bon nombre de ces composants bioactifs du lait cru sont sensibles à la chaleur et peuvent être absents, inactifs ou présents en plus faibles concentrations dans les laits pasteurisés.

Des preuves interdisciplinaires démontrent que le lait cru provenant de vaches saines n’est pas intrinsèquement dangereux, conformément aux preuves des tendances du CDC pour 2005-2020 et aux preuves des avantages et des risques. Il n’existe aucune preuve scientifique que l’influenza aviaire hautement pathogène présente dans le lait cru soit à l’origine de maladies humaines ».

Alors que l’USDA, la FDA et les CDC assurent au public que la pasteurisation rendra le lait sûr, ils notent que « le lait provenant d’animaux infectés est retiré ou détruit », ce qui implique que la pasteurisation à elle seule ne garantit pas la sécurité. Quoi qu’il en soit, les ventes de lait industriel pasteurisé continuent de décliner inexorablement.

Heureusement, les buveurs de lait cru sont déjà sceptiques à l’égard des déclarations des gouvernements et savent démasquer les mensonges. Les exploitations laitières au lait cru, grandes et petites, font état de ventes florissantes. La crise actuelle de la grippe aviaire n’est qu’un nouveau carrefour aux États-Unis, un ramassis de mensonges entretenus par une industrie laitière malhonnête qui s’en prend à la concurrence.

À propos de l’auteur

Sally Fallon Morell est l’auteur du livre de cuisine à succès « Nourishing Traditions » et de nombreux autres ouvrages sur l’alimentation et la santé. Elle est la présidente fondatrice de la Weston A. Price Foundation (westonaprice.org) et l’une des fondatrices de A Campaign for Real Milk (realmilk.com). Visitez son blog à l’adresse nourishingtraditions.com.

Sources et références




La facture de la supercherie écologique arrive, et elle est salée

[Source : h16free.com]

Par Hashtable

Saperlipopette, la transition écologique, qui devait transformer nos sociétés en utopies vertes et riantes est en train de muter en zombie dont l’odeur de putréfaction devient difficile à camoufler : même la titraille journalistique la plus putassière ne parvient pas à évacuer les problèmes de plus en plus énormes provoqués par les décisions débiles que cette transition vers la misère nous impose.

Pourtant, tout avait été bien proprement décidé, correctement à l’abri de tout processus démocratique et de consultation régulière du peuple qui, un peu lourdaud, aurait pu tout faire dérailler : d’une part, parce qu’ils polluaient vraiment trop (mais si, puisqu’on vous le dit), il était clair qu’on devait se passer complètement des véhicules à moteurs thermiques d’ici 2030 quitte à basculer tout le monde à l’électrique, et d’autre part on allait simultanément se débarrasser de ce nucléaire qui apportait décidément trop de solutions à tous nos problèmes.

[NDLR Jusqu’à maintenant, le nucléaire n’a pas résolu le problème des déchets radioactifs.]

Bien sûr, il allait falloir s’arranger quelque peu avec la réalité et les faits tangibles. Par exemple, en sous-estimant un peu (juste un peu) les émissions de dioxyde de carbone ou de méthane des mines de charbon, on arriverait à faire passer l’Allemagne pour presque vertueuse au point de justifier la fermeture de ses centrales nucléaires, quitte à présenter aussi cette dernière forme de production énergétique sous son jour le plus négatif possible.

Manque de pot, les grosses bidouilles et, pour tout dire, les mensonges patentés ont été récemment éventés : une enquête menée par un journal d’investigation allemand montre que les Verts ont triché sur les données permettant d’accompagner la sortie allemande du nucléaire et les hauts fonctionnaires du ministère (des Verts, pour l’essentiel) ont ainsi ignoré les avis des experts consultés, notamment lorsque ceux-ci préconisaient un report de l’arrêt du nucléaire tant il était prévisible que le conflit russo-ukrainien allait provoquer des soucis pour la consommation énergétique allemande.

En somme, les équipes des Verts en charge du nucléaire ont trompé l’opinion publique, lui ont consciemment menti pour parvenir à se débarrasser de la seule source d’énergie réellement décarbonée dont l’Allemagne disposait alors.

Pendant ce temps et alors que le prix de l’électricité européenne subissait indirectement les conséquences des mensonges écologiques des Verts allemands, on apprend qu’en ce qui concerne le remplacement de l’ensemble des véhicules à moteur thermique en Europe d’ici 2030, aucune étude d’impact n’a été faite.

C’est assez gênant puisque de telles études auraient assez facilement montré que ni les constructeurs automobiles, ni les infrastructures ne sont prêts pour un tel bouleversement. Du côté des consommateurs, le prix moyen des véhicules électriques impose de fortes subventions étatiques… Qu’il est devenu impossible de financer alors que les coûts énergétiques (et donc tous les autres coûts) se sont envolés et que l’inflation continue d’être trop musclée.

Cette fin des subventions, relativement abrupte, impose immédiatement un retour sur terre des lubies écolos concernant ces véhicules qui, dès lors, ne se vendent plus.

De façon logique, on se retrouve à présent avec des stocks conséquents de ces véhicules neufs, majoritairement produits en Chine, qui s’entassent aux ports d’arrivée pendant plusieurs mois (voire un an et demi actuellement). Stocks qui, au passage, constituent un sérieux risque écologique si l’un de ces engins, bourrés de lithium, venait à prendre feu malencontreusement.

Tout ceci démontre encore une fois que lorsque des décisions politiques sont prises non pour des raisons pragmatiques, mais pour des raisons idéologiques, le résultat est toujours une catastrophe économique. Et dans le cas qui nous occupe, cela se double d’une catastrophe écologique (ô ironie), depuis les éoliennes et le photovoltaïque qui dénaturent les paysages, polluent durablement et impactent très négativement la faune et la flore, jusqu’à cette quantité invraisemblable de voitures aux batteries polluantes et difficiles, voire impossibles à recycler, dont on ne saura bientôt que foutre.

On se retrouve avec des mines de lignites polluantes, des centrales nucléaires fiables et sûres qui ont été stupidement fermées, du gaz et donc de l’électricité hors de prix, et des dizaines de milliers de véhicules invendables représentant à la fin des milliards d’euros de capital investi n’importe comment.

Tout ceci parce qu’on vous a menti, parce qu’on vous a baratiné et que l’on continue de le faire. Car oui, cette catastrophe économique et écologique se double de la révélation que tout était basé sur des mensonges.

Il faut le dire tel quel : l’écologie actuelle est un mensonge, une litanie de contrevérités et d’affabulations, de mystifications plus ou moins grossières et de mauvaise science aux chiffres honteusement torturés pour leur faire cracher tout et leur contraire, sans vergogne.

Tout cela a été dénoncé depuis des lustres par les rares qui ont conservé leur esprit, et ça continue de l’être pour ceux qui veulent les entendre.

Ainsi, le fait que les champs d’éoliennes (et les énergies irrégulières en général) favorisent le gaz russe avait été mentionné depuis longtemps. Cela vous est caché par les médias et les écolos qui vous mentent.

Le fait que le nucléaire est une énergie fiable, extrêmement dense et qui permet de couvrir nos besoins pour des centaines d’années avec une excellente sécurité était aussi un fait connu qui a été soigneusement tu, caché, et couvert des mensonges de politiciens et d’écologistes parfaitement véreux.

Le fait que les variations de température ne sont pas dues à l’activité humaine est largement connu pour ceux qui se donnent la peine de chercher. Cela aussi vous est caché par les médias et les écolos qui vous mentent. Le fait que grâce à la modeste augmentation récente du taux de dioxyde de carbone dans l’air, la Terre reverdisse et que la nature aille en réalité de mieux en mieux vous est consciencieusement caché par ces hypocrites.

Dites-vous bien que si ces gens vous ont menti, sciemment, pour ces sujets, ils vous ont menti pour le reste aussi. Ils n’ont pas hésité à vous mentir pour vous imposer des contraintes toujours plus fortes, ils vous ont menti sur le virus, ils vous ont menti sur le climat et ils vous mentent encore sur leurs buts : obtenir le pouvoir pour eux, la soumission pour vous.

Ces mensonges ont maintenant des coûts pour la société qu’on ne peut plus cacher. L’addition arrive, et elle va être très douloureuse.




Le climat par les chiffres : sortir de la science-fiction du GIEC

[Source : Décoder l’éco]

Christian GERONDEAU présente son livre : le climat par les chiffres. Plutôt que de subir la propagande, le mieux est de revenir aux fondamentaux : que disent les chiffres ? La première chose à savoir pour sortir du brouillard c’est que le GIEC n’est pas un comité de scientifiques, mais un groupement intergouvernemental de représentants d’États. Ils présentent un point de vue politique. Christian GERONDEAU passe en revue la température, le CO2 ou les catastrophes naturelles pour montrer que l’alarmisme est construit à partir de rien pour imposer une politique. On retrouve les mêmes ficelles que pour l’escroquerie Covid.




Le programme de domination mondiale et la fin de l’Humanité

[Source : https://stopworldcontrol.com/fr]

Le programme de domination mondiale

[Extraits. Voir l’article au complet sur le site source.]

Par David Sorensen

« Toutes vos pensées, vos sentiments et vos rêves seront enregistrés 24 heures sur 24, 7 jours sur 7. »1

IDA AUKEN, ANCIENNE MINISTRE DE L’ENVIRONNEMENT, DANEMARK

« La 5G peut insérer des pensées et des sentiments dans tout le monde. Elle sera le système nerveux central de la société. »2

SEBASTIÁN PIÑERA, ANCIEN PRÉSIDENT DU CHILI

« Nous verrons tout ce qui se passe à l’intérieur de votre cerveau. »3

NITA A. FARAHANY, PROFESSEUR DE PSYCHOLOGIE

Ceci n’est pas un article superficiel qui vous laisse à la recherche de réponses, mais d’un rapport approfondi qui vous permet de comprendre pleinement ce qui menace notre monde. Utilisez la table des matières (en haut à gauche) pour naviguer. Toutes les références se trouvent à la fin de ce rapport. Prenez le temps de lire ce rapport révélateur jusqu’à la fin, car les informations qu’il contient sont cruciales.

« NOUS FAÇONNONS L’AVENIR DU MONDE »

Chaque année, les gens d’affaires les plus riches du monde, les industriels les plus puissants et les politiciens les plus influents se réunissent au Forum Économique Mondial de Davos, en Suisse. Ensemble, ils discutent de la manière dont ils vont « améliorer l’état du monde ». Le fondateur et président du FÉM, Klaus Schwab, déclare fièrement : « Nous façonnons l’avenir du monde. »4 Ils ne vous consultent pas, bien sûr, pour savoir si leurs idées vous intéressent. Non, ils vous disent simplement ce qu’ils font pour transformer radicalement tous les aspects de votre vie. 

Leurs objectifs officiellement publiés incluent l’enregistrement de toutes vos pensées, émotions et rêves 24 heures sur 24 et 7 jours sur 75, le suivi de tout ce que vous faites, achetez, portez et mangez6, et l’insertion de pensées et d’émotions dans votre esprit7.

TOUT DOIT CHANGER8

Le mot clé de leur vocabulaire est « crise ». Selon eux, les crises sont innombrables dans le monde entier : crises sanitaires, crises sociales, crises financières, crises énergétiques, crises climatiques… rien que des crises, partout, tout le temps9. La seule façon de résoudre toutes ces crises, disent-ils, est de transformer radicalement tous les aspects de l’existence humaine : l’alimentation, le logement, les soins de santé, la sexualité, l’agriculture, l’éducation, la finance, les voyages, la technologie… tout doit être revu pour « sauver la planète ». 

(…)

COMMENT ILS VEULENT « SAUVER LA PLANÈTE » (…)

INJECTIONS CONSTANTES (…)
CRÉDIT SOCIAL (…)
VILLES INTELLIGENTES (…)
MOUVEMENT LIMITÉ (…)
CONTRÔLE FINANCIER (…)
CENSURE (…)
PAS DE PROPRIÉTÉ PRIVÉE (…)
BLOQUER LE SOLEIL (…)
PAS DE DROITS PERSONNELS (…)
SEXUALITÉ POUR LES ENFANTS (…)
NORMALISER LA PÉDOPHILIE (…)
TRANSGENDÉRISME DE MASSE (…)
TOUT LE MONDE DEVIENT UN CYBORG (…)
ÉLITES SURHUMAINES (…)
L’IA PREND LE DESSUS POUR LA PLUPART DES EMPLOIS (…)
CONTRÔLE COMPLET PAR L’IA. (…)
TRANSPARENCE DES CERVEAUX (…)
CONTRÔLE MENTAL (…)
ALIMENTS ARTIFICIELS (…)
PAS DE PERSONNES AGÉES (…)

Il y a beaucoup, beaucoup plus, mais cet aperçu donne une idée générale de leurs idées « brillantes » qui vont très certainement « sauver la planète » et « améliorer l’état du monde ». D’autres concepts sont : limiter les contacts humains en faisant en sorte que l’école, les réunions, les achats, le culte, la socialisation, etc. se déroulent en ligne, où la vie doit être vécue derrière un écran ; rendre permanente l’utilisation de masques faciaux étouffants, autant que possible ; pousser l’humanité à passer sa vie dans un faux royaume virtuel — comme le MetaVerse — et la convaincre que c’est tellement mieux que la réalité. Éliminer la consommation de viande ; limiter les voyages en avion à un court séjour par an ; limiter drastiquement l’achat de vêtements ; et ainsi de suite.

L’ENREGISTREMENT DE VOS PENSÉES

Les globalistes informent le monde de leur objectif ultime : « Vous ne posséderez rien, vous n’aurez aucune vie privée et vous serez heureux ». Cette situation est présentée comme une heureuse « utopie » dans un billet rédigé par Ida Auken, une Young Global Leader (jeune leader globale) du Forum Économique Mondial. Ida Auken a été nommée ministre de l’Environnement au Danemark pour promouvoir ce programme. Elle a écrit cet article du point de vue d’une citoyenne d’une ville intelligente, qui s’exclame à quel point il est merveilleux de ne rien posséder, et quel rêve le monde est devenu, maintenant que tout le monde vit dans des villes intelligentes. 

Voici une citation directe de l’article :

« De temps en temps, je suis contrarié par le fait que je n’ai pas de véritable vie privée. Je ne peux aller nulle part sans être enregistré. Je sais que, quelque part, tout ce que je fais, pense et rêve est enregistré. J’espère seulement que personne ne l’utilisera contre moi. En fin de compte, c’est une belle vie. »41

QU’EST-CE QU’UNE VILLE INTELLIGENTE ?

(…)


Ce programme est déployé dans le monde entier et l’objectif est de faire de chaque ville une ville intelligente, que ce soit en Amérique du Nord ou du Sud, en Asie, en Europe ou en Afrique. Quel est le but recherché ? C’est simple : l’argent, le pouvoir et le contrôle. Les technologies de collecte de données seront utilisées pour recueillir des quantités astronomiques de données personnelles de chaque habitant, ce qui est considéré comme la nouvelle richesse de l’avenir. Alors que dans le passé, la terre ou l’or étaient considérés comme les biens les plus précieux, aujourd’hui, ce sont les données. Plus les multinationales recueilleront de données personnelles sur l’humanité, plus elles auront de pouvoir. Bill Gates, par exemple, a investi dans l’achat de 24 800 acres de terrain en Arizona, pour construire une ville intelligente pouvant accueillir 80 000 personnes. Cette ville s’articulera autour de centres de données où seront stockées toutes les informations personnelles des résidents.44

RENDRE LA VIE NUMÉRIQUE

Le Forum Économique Mondial promeut la quatrième révolution industrielle, ce qui signifie que toute vie sur Terre doit être transformée en une expérience numérique, même l’expression de l’humanité elle-même. Lors de la conférence annuelle de Davos, un conseiller du FÉM, le professeur Yuval Noah Harari, a fait la déclaration suivante :

« Dans un avenir proche, l’humanité sera gouvernée par des entités plus différentes de nous que nous ne le sommes des chimpanzés. »

(…)

Ils envisagent que l’intelligence artificielle devienne le directeur de nos vies, parce qu’elle nous connaîtra mieux que nous ne nous connaissons nous-mêmes. Les gens n’auront plus besoin de faire appel à la sagesse ou aux conseils divins pour prendre des décisions cruciales, mais l’IA nous dira tout ce que nous avons besoin de savoir. Par exemple, qui épouser, où vivre, quoi acheter, pour qui voter, et tout le reste de notre vie. Elle acquerra ces connaissances grâce aux technologies de surveillance omniprésentes 24 heures sur 24, 7 jours sur 7, qui enregistrent les moindres détails nous concernant.47

Dans un sens, l’IA deviendra le nouveau « Dieu » : elle sera omniprésente et saura tout sur tout le monde.

(…)

CHANGEMENT CLIMATIQUE

L’expression magique pour forcer l’humanité à se doter de villes intelligentes est le « changement climatique ».52 Les globalistes prétendent que le climat est déréglé parce que les gens voyagent trop loin de chez eux et pratiquent trop d’activités de plein air qui provoquent des émissions nocives de CO2. C’est pourquoi ils veulent ajouter des traceurs dans tous nos téléphones et nos vêtements, et finalement à l’intérieur de nos corps—pour surveiller la quantité de carbone que nous émettons.53

Peu importe les innombrables usines qu’ils ont construites et qu’ils construisent encore, qui émettent des quantités inimaginables de gaz toxiques. Peu importe les mégapoles qu’ils veulent construire pour remplacer les verts pâturages. Peu importe que ces milliardaires utilisent tous des jets privés qui émettent des quantités insensées de CO2 dans l’atmosphère.

(…)

DOMINATION DU MONDE

La sordide roue du Forum Économique Mondial montre l’objectif final de la Grande Réinitialisation, ou la révision radicale de tous les aspects de l’existence humaine : la domination totale du monde. 

Sur cette roue, nous voyons les sujets suivants :

✔︎ Gouvernance mondiale 

✔︎ Gouvernance d’entreprise 

✔︎ Gouvernance de l’Internet 

✔︎ Identité numérique 

✔︎ Économie numérique

(…)

Ils veulent également relier chaque personne sur Terre à une « identité numérique », qui inclura son statut vaccinal.

Tous ceux qui ne sont pas à jour de leur énième injection de rappel peuvent être exclus des banques, d’Internet, des soins de santé, du travail, des transports, des rassemblements, etc.56 Nous avons pu constater les tests effectués lors de la première pandémie, où seuls les vaccinés étaient autorisés à voyager ; en Israël, les personnes non vaccinées n’ont pas pu entrer dans les supermarchés ; au Nigeria, les personnes non vaccinées n’ont pas pu accéder aux services bancaires. La même chose a été testée en Australie, en Nouvelle-Zélande, au Canada, aux Pays-Bas et dans d’autres pays. D’innombrables personnes ont perdu leur emploi parce qu’elles n’étaient pas complètement vaccinées. Au Brésil, le président Lula a déclaré que seules les personnes entièrement vaccinées pouvaient bénéficier d’une aide financière pour leurs enfants.

Que signifie être « entièrement vacciné » ? Cela signifie que plusieurs fois par an, vous êtes tenu de recevoir tous les nouveaux vaccins proposés par le gouvernement. Si vous manquez une seule injection, même si vous en avez déjà reçu vingt, vous redevenez une personne « non vaccinée » sans aucun droit.57

(…)

UN MONDE DE FOLIE TOTALE

Au cours de la pandémie, nous avons vu à quel point ces milliardaires sont complètement fous, par la façon dont ils ont imposé—littéralement—une folie hallucinante à la population mondiale. Voici quelques illustrations de ce à quoi ressemble le monde lorsque ces fous sont aux commandes…

(…)

Détruire la sexualité masculine et féminine, tout en imposant agressivement à l’humanité une confusion identitaire dévastatrice, sous couvert d’« inclusion ».

(…)

Il y a beaucoup, beaucoup, beaucoup plus à montrer ici, mais ces exemples servent d’illustration de base de l’exécution dans le monde réel du programme du Forum Économique Mondial, de l’Organisation Mondiale de la Santé, des Nations Unies et de tous leurs alliés dans le monde entier. N’oubliez pas qu’ils présentent ces changements radicaux dans la société humaine comme absolument essentiels pour « sauver la planète », « améliorer l’état du monde » et « assurer la sécurité de tous »…

QUI EST VRAIMENT DERRIÈRE TOUT CELA ?

Lorsque l’on regarde ces projets insensés, on se demande qui peut bien être à l’origine d’une telle folie. Pour trouver la réponse, il faut regarder derrière le rideau du théâtre public mondial.

Nous devons comprendre que les organismes publics sont en réalité la vitrine d’entités qui opèrent en coulisses.

Cela a été expliqué lors d’un Grand Jury international composé de onze avocats et d’un juge, au cours duquel le programme officiel de domination mondiale par les élites financières a été révélé par d’anciens agents de l’Organisation Mondiale de la Santé, des Nations Unies, de l’armée américaine et britannique et des agences de renseignement. L’un des témoins experts était Alex Thomson, un ancien agent de l’agence britannique de renseignement sur les communications, le GCHQ, l’agence partenaire de la NSA (National Security Agency des États-Unis). En tant qu’officier de renseignement, Alex a pris connaissance de la stratégie britannique de domination du monde. Il a expliqué au Grand Jury comment le monde est dirigé par de puissantes entités financières qui ne se montrent jamais au public et qui contrôlent le FÉM, l’OMS, l’ONU, le FMI, l’UE, la BRI, etc.

(…)

Tout au long de l’histoire de l’humanité, des psychopathes ont aspiré à dominer le monde : les pharaons égyptiens, les empereurs romains, les tsars russes, les rois européens, etc.

Pendant des milliers d’années, la liberté n’a jamais existé sur terre, car le monde entier a toujours été gouverné par des tyrans qui opprimaient le peuple. En Europe, ces dirigeants vivaient dans de luxueux châteaux, tandis que les paysans travaillaient dur dans les champs. La majeure partie de ce qu’ils produisaient allait aux riches tyrans.

(…)

En réalité, les dirigeants n’ont jamais renoncé à leur pouvoir ; ils ont simplement manipulé les élections afin de positionner leurs marionnettes politiques, qui dansent sur leurs ficelles.58

(…)

LES DIRIGEANTS CACHÉS DU MONDE

En menant leurs opérations en coulisses, les dirigeants pouvaient se protéger de la colère du public. Mais ils avaient également besoin de se protéger des poursuites des gouvernements, et ils se sont donc créé ce qu’on appelle des « États souverains ». Un État souverain est une petite zone qui n’est pas soumise aux lois du pays et qui est, par essence, intouchable.

Un exemple de ce genre d’État souverain est la Banque des Règlements Internationaux (BRI), qui supervise plus de 50 banques centrales, ce qui en fait l’une des entités financières les plus puissantes au monde.

La BRI est devenue une entité souveraine et intouchable en 1987 grâce à l’accord de siège négocié avec le Conseil Fédéral suisse. Cet accord comprend les éléments suivants :59

✔︎ Inviolabilité totale de tous les bâtiments de la BRI, ainsi que des terrains situés en dessous et autour d’eux, quel qu’en soit le propriétaire.

✔︎ Immunité totale de poursuites et d’actions pénales et civiles pour la banque en tant que telle.

✔︎ Pas de paiement de taxes sur les transactions et les salaires du personnel.

✔︎ Pas de divulgation aux gouvernements concernant les activités de la BRI.

✔︎ N’est soumise à aucune juridiction.

Un État souverain encore plus puissant est la City de Londres, une zone d’un mile carré au cœur de la ville de Londres.

(…)

Étonnamment, l’État souverain le plus important au monde est l’État de la Cité du Vatican. Alors que le Vatican se présente au public comme une institution religieuse, il est en réalité à la tête du réseau financier mondial.

(…)

L’archevêque Carlo Maria Vigano a dénoncé les abus sexuels et la corruption financière au Vatican. Il met également en garde l’humanité contre leur programme de domination mondiale.

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La grande majorité de l’humanité—et même la plupart des dirigeants politiques—n’ont aucune idée de l’existence même de ces États souverains, et encore moins de leur pouvoir sur le monde. Tout ce que nous connaissons et voyons, ce sont les personnalités publiques—comme les politiciens et les hommes d’affaires—qui ne sont que les marionnettes de ces marionnettistes cachés. Leur force réside dans l’obscurité. En restant cachés à la vue de l’humanité, ils sont en mesure d’opérer sans être surveillés, sans avoir à rendre des comptes à la population.

[Voir aussi :
Grand Jury / Tribunal de l’Opinion Publique — Conclusions finales]

Le rapport « Preuves du Grand Jury » constitue une bonne source d’information sur le programme de domination du monde par des dirigeants cachés. Ce rapport contient les témoignages d’experts d’anciens membres des services de renseignement britanniques, de la marine britannique, du corps des marines américains, de l’Organisation Mondiale de la Santé, des Nations Unies et du CDC, qui ont témoigné devant un grand jury international composé de 11 avocats et d’un juge au sujet du programme de domination du monde.

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QUI SONT CES DIRIGEANTS ?

Qui sont les dirigeants de ces États souverains et qui sont les entités qui travaillent pour eux dans les nations du monde ? Ce réseau mondial est généralement appelé l’État profond, le gouvernement de l’ombre, la cabale, les 1 %, les lignées sataniques, les Illuminati, les élites, les rois, la noblesse noire, la mafia khazarienne, etc. Il s’agit d’anciennes dynasties royales et de lignées qui remontent à des centaines, voire des milliers d’années. Pour en savoir plus sur ces familles néfastes—qui elles sont, d’où elles viennent et comment elles opèrent—je recommande l’ouvrage classique de Fritz Springmeier, « Bloodlines of the Illuminati » (Les lignées des Illuminati). Cet ouvrage de référence très apprécié est disponible en téléchargement sur le site web de la CIA. Il révèle des informations sur les lignées des États-Unis d’Amérique qui exercent leur influence dans le monde entier.

Bloodlines of the Illuminati, volumes 1, 2 et 3, par Fritz Springmeier.

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Une autre ressource qui fait autorité et qui se concentre davantage sur les familles européennes est « Les 13 lignées sataniques », du journaliste d’investigation Robin de Ruiter, qui a prédit avec précision la pandémie de Covid en 2008. Cet ouvrage en quatre volumes a été interdit en France, mais il est publié dans 100 pays et langues.

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Parmi les familles criminelles, citons Rockefeller, Rothschild, Warburg, DuPont, Russell, Onassis, Collins, Morgan, Kennedy, Van Duyn, Li, Astor, Vanderbilt, Bauer, Whitney, Duke, Oppenheimer, Grey, Sinclair, Schiff, Solvay, Sassoon, Wheeler, Todd, Clinton, Taft, Goldschmidt, Wallenberg, Guggenheim, Bush et bien d’autres encore.

Il y a aussi les familles royales, comme la Maison de Habsbourg, l’une des dynasties les plus importantes de l’histoire européenne, qui a régné sur la majeure partie de l’Europe.

D’autres familles royales sont la Maison de Windsor (Royaume-Uni et Commonwealth), la Maison d’Orange-Nassau (qui joue un rôle central dans la politique et le gouvernement de l’Europe), la Maison de Schwarzenberg (l’une des maisons nobles européennes les plus en vue), etc. Nombre de ces familles sont liées génétiquement, car elles sont toutes convaincues qu’elles ont un patrimoine génétique différent de celui du reste de l’humanité et qu’elles ont donc le droit de régner sur chacun d’entre nous. C’est un fait établi qu’ils considèrent le public comme leur « bétail » ou « cheptel ». Pour eux, l’humanité n’est qu’un troupeau d’animaux qu’ils doivent gérer.

À la tête de toutes ces familles se trouve ce que l’on appelle la « tête du serpent », la noblesse noire ou les lignées jésuites/papales, dont le siège se trouve dans l’État de la Cité du Vatican. L’une des plus importantes est la maison Orsini, qui descend de la dynastie julio-claudienne de la Rome antique. Vous trouverez beaucoup plus d’informations à ce sujet dans les ouvrages de référence susmentionnés, sur le site néerlandais Ellaster.nl (traduisez les pages à l’aide de Google translate) et sur Internet, en utilisant le moteur de recherche non censuré Qwant.

LE SOMMET DE LA PYRAMIDE

Les familles cachées qui opèrent à l’intérieur des États souverains constituent-elles le plus haut niveau de la pyramide du pouvoir qui contrôle le monde ? Non. Il y a plus à révéler. Ce prochain niveau d’information peut être particulièrement difficile à comprendre pour certains lecteurs, car il est très éloigné de ce monde — littéralement. Afin de vous aider à comprendre la réalité de ce que vous êtes sur le point d’apprendre, je vais d’abord vous donner quelques informations historiques de base. Lorsque nous examinons l’histoire du monde, une chose ressort :

Dans toutes les cultures, partout sur Terre, une chose a toujours été au cœur de chaque société : le culte des entités démoniaques.

(…)

Les nombreux noms confirment l’adoration mondiale de cette entité démoniaque.

Il s’agit d’histoire humaine fondamentale que chacun d’entre nous devrait connaître. Lorsque l’on voyage dans le monde, on peut souvent voir les vestiges architecturaux des sacrifices humains à différents endroits. En Amérique du Sud, les pyramides aztèques, par exemple, marquent le paysage. Au sommet de ces pyramides, des êtres humains étaient sacrifiés à des forces spirituelles obscures. En Europe, ce sont les druides qui s’en chargeaient ; en Afrique, les chamans ; en Égypte, les grands prêtres, etc. Le sacrifice humain est au cœur de la plupart des cultures du monde.

Avec la propagation du christianisme, cette horrible pratique a été abolie dans la sphère publique, mais elle n’a pas été éradiquée de la société. Au contraire, de nombreux serviteurs du royaume des ténèbres ont continué à pratiquer ces rituels en secret. Et c’est là que nous arrivons au sommet de la pyramide du pouvoir mondial…

(…)

Un exemple a été révélé par Ronald Bernard, un ancien banquier qui a travaillé à un niveau élevé de l’imperium financier mondial.63

(…)

La motivation derrière la pratique cruelle du sacrifice humain est qu’en échange de l’offrande d’êtres humains (en particulier de bébés et d’enfants) aux forces démoniaques, les élites reçoivent le pouvoir et la richesse du royaume des ténèbres.

Ronald Bernard a refusé de participer à cette horreur et a quitté le monde des élites financières dirigeantes. Il a été torturé à mort, puis a vécu une EMI (expérience de mort imminente) et est miraculeusement revenu à la vie à l’hôpital. Après avoir servi le côté obscur, Ronald a senti qu’il lui avait été donné une seconde chance de réparer les dommages qu’il avait causés à l’humanité. Il consacre désormais sa vie à la création d’un système financier alternatif, qui peut aider les gens à échapper aux systèmes tyranniques des élites.

Le témoignage très révélateur de Ronald Bernard est visible dans la vidéo suivante, qui a été visionnée par environ 90 millions de personnes dans le monde.

TÉLÉCHARGER LA VIDÉO

Les informations communiquées par Ronald Bernard sont confirmées par d’anciens directeurs de la CIA, du FBI, de la police, de la gendarmerie, de l’armée, des détectives, des témoins oculaires, des juges et de nombreuses victimes survivantes dans notre rapport sur les abus sexuels et les meurtres commis par des fonctionnaires de haut rang. J’ai également en ma possession plusieurs lettres personnelles de femmes qui ont échappé aux cercles cruels des élites, où elles ont été violées des milliers de fois.

Nathalie Augustina était un mannequin de mode mondialement connu, dont l’esprit a été contrôlé par la CIA pour en faire l’esclave sexuelle des élites les plus élevées : familles royales, chefs d’État, commandants militaires, célébrités d’Hollywood, etc. Elle décrit son histoire dans un livre néerlandais écrit par le journaliste Robin de Ruiter. 

Une autre victime survivante et témoin oculaire (anonyme) m’a également envoyé plusieurs lettres. Leur lecture est extrêmement perturbante, mais j’ai décidé d’en inclure une petite partie dans ce rapport, car ces témoignages révèlent une réalité cachée dont l’humanité doit prendre conscience de toute urgence. Je vous prie de comprendre qu’il est possible que vous ressentiez une dissonance cognitive ou un effet Semmelweis en lisant ces informations. Il s’agit de mécanismes psychologiques qui s’activent inconsciemment pour nous protéger des nouvelles informations qui remettent en cause nos croyances actuelles.

Nous nous cachons la tête dans le sable
parce que la réalité est trop effrayante.

(…)

Rien de ce que cette dame m’a écrit n’était totalement nouveau, car j’ai lu des révélations similaires dans de nombreuses publications, par des enquêteurs reconnus qui avertissent l’humanité depuis des décennies. J’ai également vu plusieurs vidéos contenant des témoignages d’autres personnes ayant échappé à ce sombre réseau de dirigeants mondiaux. C’est pourquoi je sais que ces informations sont authentiques et exactes.

Dans une autre lettre personnelle que j’ai reçue d’une autre victime survivante, Nathalie Augustina, j’ai lu certains détails qui expliquent le lien entre les humains criminels et les entités spirituelles supérieures, qui les utilisent à des fins bien plus néfastes que la simple corruption financière et le pouvoir politique mondial. Ce que Nathalie décrit a été révélé dans le passé par plusieurs chercheurs et dénonciateurs, mais je l’ai néanmoins trouvé profondément troublant, car elle révèle la réalité substantielle du mal. C’est une chose de connaître le concept abstrait du mal ; c’en est une autre de découvrir à quel point les forces des ténèbres sont réelles. Elles sont très bien organisées et opèrent de manière extrêmement stratégique. Voici un extrait des lettres que Nathalie m’a adressées :

(…)

Toute personne souhaitant vérifier ces informations peut regarder les vidéos de ce rapport, télécharger les documents PDF, lire les livres et faire ses propres recherches sur Internet en utilisant le moteur de recherche non censuré Qwant et la plateforme vidéo BitChute. Si vous souhaitez en savoir plus sur la réalité du cannibalisme dans le royaume des ténèbres, je vous invite à consulter notre rapport sur les abus commis par de hauts fonctionnaires.

J’ajouterai ici un élément qui confirme la nature cannibale des élites. À Hollywood, des soirées exclusives ont récemment été organisées par Marina Abramovic. Certaines photos de ces soirées ont été divulguées, et vous pouvez les voir dans le rapport ci-dessous. En raison de leur caractère graphique, je les ai dissimulées. Pour voir les images, cliquez sur le lien. Mais si vous êtes très sensible, ne l’ouvrez pas.

Cliquez pour voir les images qui prouvent la nature satanique des élites.

[NDLR : voir le site source pour ces images]

Ce que vous voyez sur ces images n’est que la partie superficielle et de bas niveau montrée au public. Nous ne pouvons même pas imaginer ce qu’ils font en secret. Les témoignages ne lèvent que brièvement le voile sur ce royaume des ténèbres. Une fois que l’on sait à quel point ces entités sont maléfiques, on comprend pourquoi elles n’ont aucun problème à imposer une tyrannie inhumaine à l’humanité. Il est essentiel que nous ayons le courage de partager ces informations avec le monde.

L’humanité ne souffre pas seulement de politiciens et de banquiers corrompus, elle est attaquée par le mal à l’état pur. Au sommet, il y a des entités spirituelles obscures qui ne sont que la continuation d’anciennes pratiques de culte des démons et de sacrifices humains. 

DÉCONNECTER L’HUMANITÉ

Ce qu’il faut comprendre cependant, c’est qu’à côté de ces forces obscures, il y a aussi un Créateur qui est le donateur et l’origine de tout ce qui est bon, qui est du côté de l’humanité, pour nous délivrer du mal.

Au cours des dernières décennies, une opération stratégique de contrôle de l’esprit a été menée à l’échelle mondiale contre les habitants de ce monde, afin d’éloigner la grande majorité d’entre eux de la Source de toute vie. Lorsque les gens sont déconnectés de Dieu, qui seul est plus grand que le royaume du mal, ils sont plus faciles à contrôler et à asservir. Les personnes spirituellement ignorantes sont impuissantes. Il est impératif que nous nous réveillions de cet état de cécité spirituelle induite par le lavage de cerveau et que nous retournions au Donneur de toute vie, qui peut nous donner le pouvoir et nous guider pour délivrer l’humanité des forces des ténèbres. Cela n’a rien à voir avec la religion, mais est aussi fondamental pour notre existence que 1+1=2. Nous savons tous qu’il y a le bien et le mal. Il ne s’agit cependant pas d’une vague « énergie », mais il existe des entités personnelles, tout comme nous sommes des êtres personnels. Il est absurde de reconnaître l’existence d’un mal intense, tout en niant la réalité du domaine de la vie, de l’amour, de la bonté et de la vérité.

PYRAMIDE DU POUVOIR

Le diagramme suivant présente une vue d’ensemble de la structure du pouvoir mondial du mal et de la corruption, qui a pénétré tous les aspects de la société humaine. Je le révèle dans l’espoir qu’il contribuera à la chute mondiale de ces réseaux néfastes, car leur première force est l’ignorance de la population. Tant qu’ils peuvent opérer en dehors de la conscience du public, ils peuvent continuer à agir sans restriction. C’est pourquoi j’implore tous ceux qui liront ce rapport de ne pas hésiter à le partager, mais d’avoir le courage de le diffuser largement, car c’est ce qui finira par briser la mainmise de ces réseaux sur l’humanité. Tant qu’ils peuvent opérer dans l’obscurité totale, c’est-à-dire que personne ne peut les voir, ils peuvent poursuivre leurs opérations sans limites. Une fois que la lumière sera faite, c’est-à-dire que le monde en prendra conscience, ils ne pourront plus se cacher et devront répondre de leurs innombrables crimes contre l’humanité et l’ensemble de la création.

LE NIVEAU LE PLUS BAS

Le niveau le plus bas de la structure du pouvoir criminel mondial est constitué par les forces de l’ordre, qui sont utilisées pour contrôler le public sous le prétexte fallacieux de « faire respecter la loi ».

(…)

Regardez des images de violences policières scandaleuses dans le monde entier et apprenez comment vous pouvez vous opposer à ce comportement criminel de « fonctionnaires » corrompus si vous connaissez les droits que Dieu vous a accordés.

TÉLÉCHARGER LA VIDÉO

Afin d’avoir la mainmise sur l’application de la loi, les dirigeants veillent à positionner ou à contrôler les chefs de police. Il existe plusieurs façons de les contrôler, mais la méthode préférée consiste à les rendre complices d’abus d’enfants et de traite d’êtres humains. Notre rapport susmentionné sur les abus sexuels commis par de hauts fonctionnaires révèle combien de chefs de police sont impliqués dans la maltraitance des enfants et la traite des êtres humains. Michel Nihoul, membre du célèbre gang Dutroux en Europe, qui organisait le trafic d’enfants pour le gouvernement et la famille royale, a déclaré dans une interview à Der Spiegel en 2001 :

« Je contrôle le gouvernement. Tout le monde a des dossiers compromettants les uns sur les autres, qui peuvent être utilisés comme levier au bon moment. »66

Cela explique pourquoi des enquêtes vraiment importantes sur des opérations de haut niveau de traite des êtres humains sont toujours annulées, une fois que l’enquête commence à découvrir les vrais coupables.  

Au-dessus des forces de l’ordre, il y a les juges pénaux, qui répriment les honnêtes gens tout en protégeant les grands criminels.

(…)

LE MONDE EST UN THÉÂTRE

La conclusion de ce rapport est que nous devons nous réveiller à la réalité du fonctionnement du monde. Depuis l’Antiquité, il existe des puissances qui souhaitent dominer totalement le monde. Elles opéraient autrefois au grand jour, mais au fur et à mesure que l’humanité augmentait en nombre, elles ont été contraintes de se réfugier dans les coulisses, où elles ont régné sur le monde par le biais d’opérations secrètes.

Cela signifie que le monde est essentiellement une scène de théâtre, avec des acteurs qui jouent pour le public, tandis que les contrôleurs tirent les ficelles en coulisses.

Avec l’émergence de technologies de surveillance et de contrôle incroyablement puissantes et le déploiement de ces systèmes dans le monde entier, les dirigeants visent une nouvelle ère où ils n’auront plus besoin de se cacher. Leur stratégie consiste à asservir complètement chaque âme sur Terre grâce à des systèmes de contrôle omniprésents et globaux tels que les cartes d’identité numériques, les monnaies numériques, les passeports vaccinaux, les scores de crédit social, le contrôle mental 5G, le suivi des émissions de carbone, l’IA, etc. Ces systèmes rendront la vie impossible à quiconque se révolte, assurant ainsi un règne sans heurts aux tyrans.

En Chine, c’est déjà le cas, et de nombreux Chinois ne semblent même pas conscients de la façon dont ils sont réduits en esclavage.

Ils sont nés dans cette immense prison à ciel ouvert et n’ont aucune idée de ce que signifie la liberté. Tant qu’ils s’amusent et qu’ils mangent, ils se sentent bien. Un esclave mental total a perdu la capacité de penser au-delà des barreaux de sa cage. Les dirigeants ont testé ce système en Chine et prévoient maintenant de l’exporter dans le monde entier. Mais ils ont fait un mauvais calcul… au cours des dernières années, des centaines de millions de personnes dans le monde se sont éveillées à ce programme néfaste et commencent à s’y opposer.

L’HUMANITÉ SE RÉVEILLE

Ceci m’amène à la fin de ce rapport, avec de bonnes nouvelles pour l’avenir. Il ne s’agit pas d’une publication isolée, car d’innombrables révélations similaires sont faites dans le monde entier. Il est clair que le vent tourne et que l’humanité commence à ouvrir les yeux sur ce qui se passe dans le monde depuis des siècles. Le développement des technologies de la communication s’avère être un outil incomparable pour donner du pouvoir aux gens. Les réseaux sociaux ont été créés par les dirigeants comme un système d’espionnage et de contrôle du peuple, mais ils ont également mis le meilleur outil de tous les temps entre les mains du public pour le partage de l’information.

Cela a déclenché un incroyable réveil de masse dans le monde entier, au cours duquel des centaines de millions de personnes intelligentes, conscientes et bienveillantes découvrent comment le monde fonctionne réellement.

Les tyrans s’en sont rendu compte trop tard et tentent maintenant désespérément de censurer toute vérité. Mais rien ne peut arrêter le tsunami d’éveil qui s’est déclenché et qui a inondé le monde ces dernières années. Notre Annuaire Mondial de la Liberté ne montre qu’une petite partie de ce qui se passe dans le monde, mais il contient déjà plus de 800 organisations qui révèlent la vérité à l’humanité. Et ce n’est que la première vague. Bien d’autres événements se produiront dans un avenir proche.

Un nombre critique de personnes dans le monde se sont éveillées et, à partir de maintenant, chaque nouvelle tentative des dirigeants cachés de réduire l’humanité au silence ne fera que les desservir de plus en plus.

Les dirigeants de l’ombre ont été démasqués. Des millions de guerriers courageux se dressent contre leur système mondial de tyrannie, d’abus, de torture et de tromperie. Un nouveau jour se lève et un monde meilleur se profile à l’horizon. Je demande à tous ceux qui liront ces lignes de ne pas se rendre coupables de soutenir l’ancien système du mal en ayant peur de partager ce rapport révélateur. C’est ce qui les a maintenus au pouvoir pendant si longtemps : le refus des gens d’exposer ce mal à l’humanité. Nous devons être des êtres humains courageux et compatissants qui feront tout ce qu’il faut pour mettre fin au règne de ce système cruel et corrompu. Vous trouverez ci-dessous une liste de choses que vous pouvez faire pour contribuer à la solution des horreurs que vous venez de lire. 

COMMENT POUVONS-NOUS ARRÊTER CELA ?

ÊTRE COURAGEUX

(…)

INFORMER LE PUBLIC

(…)

DISTRIBUER DES DÉPLIANTS

(…)

TÉLÉCHARGER DES FLYERS ET DES AFFICHES

INFORMER LES AUTORITÉS

(…)

S’IMPLIQUER

(…)

RÉSISTER

(…)

ÊTRE INDÉPENDANT

(…)

CONNECTER

(…)

SE PRÉPARER

(…)

CONNAÎTRE LA LOI

(…)

PRIER

(…)

SOUTENIR

(…)

SOUTENIR STOP WORLD CONTROL


RÉFÉRENCES


La fin de l’Humanité

[Voir aussi, du même auteur :
Israel — Le mystère dévoilé — Un film documentaire de David Sorensen,
Comment les Villes Intelligentes vont enfermer l’humanité dans des camps de concentration à ciel ouvert
et :
Les maîtres du monde : qui sont ces puissants qui dirigent le monde ? Par Dr Vladimir Zelenko & David John Sörensen]




Comment le Japon produit du bois de manière durable depuis 700 ans sans couper d’arbres

[Source : timesofindia.indiatimes.com]

L’héritage de la production durable de bois au Japon

(Image : GreenQueen)

Par TOI Lifestyle Desk

L’héritage de 700 ans du Japon en matière de production durable de bois est un exemple d’harmonie avec la nature. Grâce à des techniques telles que le Daisugi, mis au point au XIVe siècle, les Japonais préservent les forêts tout en récoltant le bois. Cette tradition garantit un approvisionnement continu en bois de haute qualité, préservant les écosystèmes pour les générations futures et témoignant de l’engagement du Japon en faveur de la gestion de l’environnement.

Une taille sélective pour la qualité

(Image : GreenQueen)

Le Daisugi, une ancienne méthode de sylviculture japonaise, est apparu au XIVe siècle à Kitayama en raison de la pénurie de jeunes arbres. L’élagage sélectif des cèdres permettait d’obtenir des bois de charpente droits et sans nœuds. Née d’une nécessité, cette méthode a évolué pour devenir une pratique durable, incarnant la tradition japonaise d’innovation en matière de gestion des ressources depuis plus de sept siècles. Dans le Daisugi, les cèdres sont plantés et taillés d’une manière particulière afin d’encourager la croissance de bois droits et sans nœuds. Cette taille sélective consiste à couper à la main les pousses tous les deux ans, en ne laissant que les branches supérieures intactes.

Long cycle de récolte

(Image : GreenQueen)

Long cycle de récolte : La récolte des arbres daisugi dure environ 20 ans. Pendant cette période, les arbres sont soigneusement entretenus afin de garantir une croissance optimale et la qualité du bois.

Croissance abondante des pousses

(Image : GreenQueen)

Les vieux arbres daisugi, ou « arbres de réserve », peuvent produire jusqu’à une centaine de pousses à la fois, ce qui garantit un approvisionnement durable et abondant en bois pour les générations futures.

Réponse aux tendances architecturales

(Image : Instagram/unownedspaces)

Le Daisugi a été développé non seulement en raison de la rareté des matières premières, mais aussi en réponse aux tendances architecturales. Au XIVe siècle, la popularité de l’architecture sukiya-zukuri, caractérisée par des formes linéaires et stylisées, a accru la demande de bois de haute qualité.

Meubles sukiya-zukuri

(Image : Getty Images)

Sukiya-zukuri, un terme qui se traduit par « construit selon le goût de chacun », est un style d’architecture japonaise qui met l’accent sur la simplicité, la beauté naturelle et l’harmonie avec l’environnement. Ce style architectural s’applique également aux meubles, qui se caractérisent par leur élégance discrète et leur conception fonctionnelle. Les meubles Sukiya-zukuri se caractérisent souvent par des lignes épurées et une approche minimaliste, utilisant des matériaux naturels comme le bois et le bambou pour créer des pièces à la fois belles et pratiques. Le mobilier est conçu pour compléter les sols en tatami et les portes coulissantes que l’on trouve couramment dans les intérieurs japonais traditionnels, et il comprend souvent des éléments intégrés comme le tokonoma, une alcôve où l’on peut exposer des œuvres d’art ou des fleurs. La beauté du mobilier sukiya-zukuri réside dans sa capacité à créer un espace serein et contemplatif, où chaque pièce a sa raison d’être et contribue à l’esthétique globale du wabi-sabi, l’appréciation de l’imperfection et de l’éphémère.

Utilisation traditionnelle du bois de cèdre

(Image : Canva)

Traditionnellement, ce type de cèdre était utilisé pour les alcôves tokonoma dans les maisons de thé et comme piliers principaux pour l’exposition d’objets artistiques pendant la période Muromachi. Bien que son utilisation dans les alcôves traditionnelles soit en déclin, ce bois très prisé trouve encore des applications dans tous les domaines, des baguettes aux meubles.

Répondre à la demande par l’innovation

(Image : Instagram/unownedspaces)

Avec la demande croissante de bois dans l’architecture, daisugi a fourni une solution pour produire plus de bois dans une période plus courte tout en maintenant la qualité et la durabilité.

Des qualités de bois exceptionnelles

(Image : GreenQueen)

Le bois produit par la technique daisugi possède des qualités remarquables. Il est 140 % plus flexible que le cèdre standard, 200 % plus dense et plus résistant, et exceptionnellement durable.

Pratiques forestières durables

(Image : Instagram/unownedspaces)

Daisugi illustre les pratiques forestières durables en utilisant des méthodes d’élagage sélectif qui favorisent la régénération des arbres et la santé de la forêt à long terme.

Importance culturelle et historique

(Image : GreenQueen)

Le Daisugi contribue non seulement à la préservation des forêts, mais revêt également une importance culturelle et historique en tant que technique forestière japonaise traditionnelle transmise de génération en génération.

L’héritage de l’innovation

(Image : Instagram/unownedspaces)

L’héritage du daisugi met en valeur l’ingéniosité des anciennes pratiques forestières japonaises, soulignant l’importance des approches durables dans la gestion des ressources pour les générations futures.

Pratiques forestières durables dans le monde entier

(Image : Canva)

Dans le monde entier, diverses cultures ont développé des pratiques forestières durables, proches de la technique japonaise Daisugi. En Europe, par exemple, des méthodes telles que le taillis et l’écimage sont utilisées depuis des siècles. Le taillis consiste à couper périodiquement les arbres jusqu’à leur base pour favoriser les nouvelles pousses, tandis que l’écimage est similaire, mais consiste à couper plus haut sur le tronc. Ces pratiques permettent une récolte continue des mêmes arbres, garantissant ainsi un approvisionnement durable en bois. En outre, dans les régions tropicales, les pratiques agroforestières combinent l’agriculture et la sylviculture pour créer des systèmes d’utilisation des terres plus diversifiés, plus productifs et plus durables. Ces méthodes ne fournissent pas seulement du bois et d’autres produits forestiers, mais contribuent également à la conservation de la biodiversité, au piégeage du carbone et à l’amélioration de la santé des sols.




Les partenariats public-privé : la face cachée des objectifs de développement durable

[Source : essentiel.news via sentadepuydt]

[Traduction de What is the Global Public Partnership?]

Par Iain Davis

Le Partenariat mondial public-privé (G3P) est le réseau mondial du capitalisme des parties prenantes (stakeholder capitalism) et de leurs partenaires. Ce collectif de parties prenantes (les capitalistes et leurs partenaires) comprend des entreprises mondiales (y compris des banques centrales), des fondations philanthropiques (des philanthropes multimilliardaires), des groupes de réflexion politique, des gouvernements (et leurs agences), des organisations non gouvernementales, des institutions universitaires et scientifiques sélectionnées, des organisations caritatives mondiales, des syndicats et d’autres « leaders d’opinion » choisis.

Le PPP contrôle les finances et l’économie mondiales. Il définit les politiques mondiales, nationales et locales (par le biais de la gouvernance mondiale), puis les promeut par l’intermédiaire des grands médias, qui sont également des « partenaires » du PPP.

En général, ces politiques sont d’abord élaborées par les groupes de réflexion ou « Think tank » pour être ensuite adoptées par les gouvernements. Les gouvernements procèdent à la mise en œuvre des PPP de la gouvernance mondiale sous forme de politiques, législations et lois concrètes.

La gouvernance par la norme et les Think tanks

Dans le cadre de notre modèle actuel de souveraineté nationale westphalienne, le gouvernement d’une nation ne peut pas légiférer dans une autre nation. Cependant, grâce à la gouvernance mondiale, le PPP crée des initiatives politiques au niveau mondial, qui se répercutent ensuite sur les citoyens de chaque pays. Cela se produit généralement par l’intermédiaire d’un distributeur de politiques, tel que le FMI ou le GIEC, et les gouvernements nationaux adoptent alors les politiques recommandées.

La direction politique est fixée au niveau international par la définition autorisée des problèmes et des solutions prescrites. Une fois que le PPP obtient le consensus au niveau international, le cadre politique est établi. Les partenaires du PPP collaborent alors pour veiller à ce que les politiques souhaitées soient élaborées, mises en œuvre et appliquées. C’est ce que l’on appelle souvent le « système international fondé sur des règles ».

De cette manière, le PPP contrôle de nombreuses nations à la fois sans avoir à élaborer des traités. Cela présente l’avantage supplémentaire de rendre extrêmement difficile toute contestation juridique des décisions prises par les partenaires les plus hauts placés du PPP (il s’agit d’une hiérarchie autoritaire).

Les Partenariats Public-Privé

[Voir aussi :
Le vrai fascisme : nous y sommes en plein dedans !]

Revoir le rôle des gouvernements

Le PPP est traditionnellement mentionné dans le contexte de la santé publique, en particulier dans les documents des Nations unies, y compris les documents d’agences des Nations unies telles que l’Organisation mondiale de la santé (OMS). Le document Connecting For Health publié en 2005 par l’OMS, en notant ce que les objectifs du Millénaire pour le développement signifiaient pour la santé mondiale, a révélé l’émergence du PPP :

Ces changements sont intervenus dans un monde où les attentes concernant le rôle du gouvernement ont été revues : le secteur public n’a ni les ressources financières, ni les ressources institutionnelles pour relever les défis, et une combinaison de ressources publiques et privées est nécessaire. L’instauration d’une culture mondiale de la sécurité et de la coopération est vitale… Les prémices d’une infrastructure sanitaire mondiale sont déjà en place. Les technologies de l’information et de la communication ont ouvert des perspectives de changement dans le domaine de la santé, avec ou sans l’aide des décideurs politiques.

Les gouvernements peuvent créer un environnement favorable et investir dans l’équité, l’accès et l’innovation.

Usurper les « investissements publics »

Parler de réviser le rôle des gouvernements signifie que ceux-ci ne sont déjà plus à la barre. Que ce ne sont plus les décideurs politiques traditionnels qui définissent les politiques ; qu’en réalité ce sont les « partenaires » des PPP qui le font. Les gouvernements nationaux ont été relégués à la « création de l’environnement favorable au PPP », en taxant le public et en augmentant la dette d’emprunt de l’État.

Cette dette est acquise aux partenaires dominants des PPP. Ils ne sont pas seulement des créanciers, ils sont aussi les bénéficiaires des prêts qu’ils imposent. Ils utilisent le mécanisme des « investissements publics » pour créer des marchés qui les servent ainsi que leurs partenaires des PPP.

En février 2000, les chercheurs Kent Buse et Gill Walt du George Institute for Global Health ont rédigé un document de référence sur le développement du concept du PPP. Ils ont suggéré que le PPP était une réponse à la désillusion croissante à l’égard du projet des Nations unies dans son ensemble, ainsi qu’à la prise de conscience du fait que les entreprises mondiales jouaient un rôle de plus en plus important dans la mise en œuvre des politiques. Cela correspond au développement du concept de capitalisme des parties prenantes, popularisé pour la première fois dans les années 1970.

L’argent au services des « valeurs universelles »

Buse et Walt ont expliqué comment les PPP sont conçus pour faciliter l’apparition d’un nouveau type d’entreprises. Ces entités étaient amenées à reconnaître leurs pratiques commerciales destructrices. Elles étaient prêtes à assumer leurs erreurs et à s’amender. Pour y parvenir, elles s’associaient aux gouvernements dans l’intention de collaborer à la résolution des problèmes mondiaux. Les menaces existentielles en question sont alors définies par le PPP et par les scientifiques, universitaires et économistes que le PPP a sélectionnés et financés.

Les deux chercheurs ont identifié un discours clé de Davos, intitulé « Unite Power of Markets with Authority of Universal Values » prononcé par Kofi Annan, alors secrétaire général des Nations unies, devant le WEF en 1998, comme marquant la transition vers ce modèle de gouvernance mondiale basé sur le PPP :

Les Nations unies ont été transformées depuis notre dernière rencontre ici à Davos. L’Organisation a subi une refonte complète que j’ai décrite comme une « révolution tranquille ». Un changement fondamental s’est produit. Autrefois, les Nations unies ne s’occupaient que des gouvernements. Aujourd’hui, nous savons que la paix et la prospérité ne peuvent être obtenues sans des partenariats impliquant les gouvernements, les organisations internationales, le monde des affaires et la société civile. Les activités des Nations unies concernent les entreprises du monde entier ».

Buse et Walt ont affirmé que ce changement signifiait l’arrivée d’un nouveau type de capitalisme mondial responsable. Mais, comme nous le verrons, ce n’est pas ainsi que les entreprises voyaient cet arrangement. En effet, Buse et Walt ont révélé la raison pour laquelle le PPP offrait une perspective si séduisante pour les géants mondiaux de la banque, de l’industrie, de la finance et du commerce :

L’évolution des idéologies et des tendances de la mondialisation a mis en évidence la nécessité d’une gouvernance mondiale plus étroite, une question qui concerne à la fois le secteur privé et le secteur public. Nous pensons qu’au moins une partie du soutien aux PPP découle de cette reconnaissance et du désir du secteur privé de faire partie des processus de prise de décision en matière de réglementation mondiale.

Le conflit d’intérêts est évident. Nous sommes simplement censés accepter, sans poser de questions, que les entreprises mondiales s’engagent à faire passer les causes humanitaires et environnementales avant le profit. Un système de gouvernance mondiale dirigé par le PPP est en quelque sorte bénéfique pour nous.

Pour y croire, il faut faire preuve d’une grande naïveté. De nombreuses entreprises parties prenantes du PPP ont été condamnées ou tenues publiquement responsables des crimes qu’elles ont commis. Il s’agit notamment de crimes de guerre. L’accord apparemment passif de la classe politique sur le fait que ces « partenaires » devraient effectivement définir la politique mondiale, les réglementations et les priorités en matière de dépenses, ressemble à de la naïveté infantile.

En réalité, il s’agit plutôt d’une mascarade. Comme l’ont souligné de nombreux universitaires, économistes, historiens et chercheurs, l’influence des entreprises, voire leur domination du système politique, n’a cessé de croître depuis des générations. Les politiciens élus ont longtemps été les partenaires juniors de cet arrangement.

Avec l’arrivée des PPP, nous avons assisté à la naissance du processus qui a formalisé cette relation — qui a créé un ordre mondial cohérent. Les hommes politiques n’ont pas écrit le scénario ; ils se contentent simplement de le suivre à la lettre.

Gouvernance et non gouvernement mondial

Il est important de comprendre la différence entre « gouvernement » et « gouvernance » dans le contexte mondial. Le gouvernement revendique le droit, peut-être par le biais d’un mandat quasi-démocratique, de définir une politique et de décréter une législation (loi).

Les prétendues démocraties représentatives occidentales, qui ne sont pas véritablement des démocraties, pratiquent un modèle de gouvernement national dans lequel les représentants élus forment le pouvoir exécutif qui présente et, en fin de compte, promulgue la législation. Au Royaume-Uni, par exemple, cela se fait par le biais du processus parlementaire.

L’Assemblée générale des Nations unies est peut-être ce qui se rapproche le plus de cette forme de gouvernement national à l’échelle internationale. Elle peut adopter des résolutions qui, bien qu’elles ne lient pas les États membres, peuvent créer de « nouveaux principes » susceptibles de devenir des lois internationales lorsqu’elles sont appliquées par la Cour internationale de justice.

Cependant, il ne s’agit pas vraiment d’un « gouvernement » mondial. L’ONU n’a pas le pouvoir de décréter et de formuler des lois. La seule façon dont ses « principes » peuvent devenir des lois est par le biais d’une décision judiciaire. Le pouvoir non judiciaire de créer des lois est réservé aux gouvernements, et leur portée législative ne s’étend qu’à leurs propres frontières nationales.

En raison des relations souvent tendues entre les gouvernements nationaux, un gouvernement mondial officiel semble de plus en plus difficile à concevoir en pratique. Compte tenu de la nature non contraignante des résolutions de l’ONU et de la lutte internationale pour les avantages géopolitiques et économiques, il n’existe actuellement rien que l’on puisse qualifier de gouvernement mondial.

Il faut notamment tenir compte de l’identité nationale et culturelle. La plupart des populations ne sont pas prêtes à accepter un gouvernement mondial distant et non élu. Les gens souhaitent que leur nation soit souveraine. Ils aimeraient que leurs représentants fédéraux aient davantage de comptes à rendre aux électeurs, et non moins.

Le PPP aimerait certainement diriger un gouvernement mondial, mais imposer un tel système par la force est au-delà de ses capacités. C’est pourquoi ils ont utilisé d’autres moyens, tels que la tromperie et la propagande, pour promouvoir la notion de gouvernance mondiale.

La gouvernance par la technocratie

Zbigniew Brzezinski, ancien conseiller de l’administration Carter et fondateur de la Commission trilatérale, a compris comment faciliter la mise en œuvre de cette approche. Dans son ouvrage de 1970 intitulé Between Two Ages : America’s Role In The Technetronic Era, il écrit :

Bien que l’objectif de former une communauté des nations développées soit moins ambitieux que celui d’un gouvernement mondial, il est plus réalisable. »

Au cours des 30 dernières années, de nombreux PPP ont vu le jour à mesure que le concept de gouvernance mondiale évoluait. Le consensus du WEF sur la gouvernance multipartite a constitué un tournant majeur. Avec la publication en 2010 de Everybody’s Business : Strengthening International Cooperation in a More Interdependent World (L’affaire de tous : renforcer la coopération internationale dans un monde plus interdépendant), le WEF a présenté les éléments de la forme de gouvernance mondiale des parties prenantes du PPP.

Des conseils de l’agenda mondial ont été créés pour élaborer et proposer des politiques couvrant pratiquement tous les aspects de notre existence. Le WEF a créé un organe de gouvernance mondiale correspondant à chaque aspect de la société. Rien n’a été laissé de côté : valeurs, sécurité, santé publique, bien-être, consommation de biens et de services, accès à l’eau, sécurité alimentaire, criminalité, droits, développement durable, systèmes économiques, financiers et monétaires mondiaux.

Le président exécutif du WEF, Klaus Schwab, a précisé l’objectif de la gouvernance mondiale :

Notre but a été de stimuler un processus de réflexion stratégique parmi toutes les parties prenantes sur la manière dont les institutions et les accords internationaux devraient être adaptés aux défis contemporains… Les plus grandes autorités mondiales ont travaillé au sein de conseils interdisciplinaires et multipartites sur l’agenda mondial afin d’identifier les lacunes et les déficiences de la coopération internationale et de formuler des propositions spécifiques pour l’améliorer.

Ces discussions se sont déroulées dans le cadre des sommets régionaux du Forum en 2009, ainsi que lors de la récente réunion annuelle 2010 du Forum à Davos-Klosters, où de nombreuses propositions émergentes ont été testées avec des ministres, des PDG, des dirigeants d’ONG et de syndicats, d’éminents universitaires et d’autres membres de la communauté de Davos.

Le processus de refonte globale a constitué un laboratoire de travail informel ou un marché pour un certain nombre de bonnes idées politiques et d’opportunités de partenariat.

Nous avons cherché à élargir les discussions sur la gouvernance internationale […] afin de prendre des mesures plus préventives et coordonnées sur l’ensemble des risques qui se sont accumulés dans le système international ».

La politique des « défis mondiaux »

En 2010, le WEF a entamé ce qu’il appelle un processus de « refonte globale », dans lequel il définit les défis internationaux et propose des solutions. « Coup de chance » pour le PPP, ces propositions signifiaient plus de contrôle et d’opportunités de partenariat. Le WEF a donc cherché à être le fer de lance de l’expansion de cette gouvernance internationale.

En voici un exemple : En 2019, le gouvernement britannique a annoncé son partenariat avec le WEF pour développer les futures réglementations commerciales, économiques et industrielles. Le gouvernement britannique s’est engagé à soutenir un environnement réglementaire créé par les entreprises mondiales, qui serait ensuite réglementé par les mêmes réglementations qu’elles ont elles-mêmes conçues.

Le WEF ne dispose d’aucun mandat électoral. Aucun d’entre nous n’a la possibilité d’influencer ou même de remettre en question ses jugements. Et pourtant, il travaille en partenariat avec nos gouvernements prétendument élus démocratiquement, ainsi qu’avec d’autres parties prenantes du PPP, pour diriger la planète sur laquelle nous vivons tous.

Le « droit divin » des entreprises

Le capitalisme des parties prenantes est au cœur du PPP. Essentiellement, le PPP usurpe les gouvernements démocratiques (ou tout autre type de gouvernement) en plaçant les entreprises mondiales au centre du processus décisionnel. Bien qu’ils ne tirent leur autorité que d’eux-mêmes, les dirigeants du PPP assument leur propre interprétation moderne du « droit divin des rois » et règnent sans partage.

En janvier 2021, le Forum économique mondial (WEF) a expliqué comment il considérait le capitalisme des parties prenantes :

« La caractéristique la plus importante du modèle des parties prenantes aujourd’hui est que les enjeux de notre système sont désormais plus clairement mondiaux.

Ce qui était autrefois considéré comme des externalités dans l’élaboration des politiques économiques nationales et la prise de décision des entreprises individuelles devra désormais être incorporé ou internalisé dans les opérations de chaque gouvernement, entreprise, communauté et individu. La planète est […] le centre du système économique mondial, et sa santé devrait être optimisée dans les décisions prises par toutes les autres parties prenantes ».

Le PPP supervisera tout. Cela inclut tous les gouvernements, toutes les entreprises, nos soi-disant communautés (là où nous vivons) et chacun d’entre nous individuellement. Les êtres humains ne sont pas la priorité. La priorité, c’est la planète. C’est du moins ce que prétend le WEF.

Contrôle centralisé de la planète

Le contrôle centralisé de la planète entière, de toutes ses ressources et de tous ceux qui y vivent, est au cœur de l’éthique du PPP. Il n’est pas nécessaire d’interpréter les intentions du PPP. Nous n’avons pas à lire entre les lignes. L’introduction de l’initiative « Great Reset » du WEF l’énonce clairement :

Pour améliorer l’état du monde, le Forum économique mondial lance l’initiative du « Great Reset ».

La crise du Covid-19 […] modifie fondamentalement le contexte traditionnel de la prise de décision. Les incohérences, les insuffisances et les contradictions de multiples systèmes — de la santé à la finance en passant par l’énergie et l’éducation — sont plus exposées que jamais.

Les dirigeants se trouvent à un carrefour historique… Alors que nous entrons dans une fenêtre d’opportunité unique pour façonner la reprise, cette initiative offrira des perspectives pour aider à informer tous ceux qui déterminent l’état futur des relations mondiales, l’orientation des économies nationales, les priorités des sociétés, la nature des modèles d’entreprise et la gestion d’un bien commun mondial ».

Il convient de noter que le WEF n’est qu’une organisation partenaire parmi d’autres au sein du PPP. Cependant, il a peut-être été le plus influent en termes de relations publiques tout au long de la pseudo-pandémie. Contrairement aux espoirs des chercheurs Buse et Walt, nous assistons à l’émergence d’une dictature mondiale des entreprises qui ne se soucie pas le moins du monde d’une véritable gestion de la planète.

Disparition de la démocratie

Le PPP déterminera l’état futur des relations mondiales, l’orientation des économies nationales, les priorités des sociétés, la nature des modèles d’entreprise et la gestion d’un bien commun mondial. Aucun d’entre nous n’a la possibilité de participer à ce projet ou à l’élaboration des politiques qui en découlent.

Si, en théorie, les gouvernements n’ont pas à mettre en œuvre la politique du PPP, dans la pratique, ils le font. Depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale, les politiques mondiales font de plus en plus partie de notre vie. Le mécanisme de traduction des initiatives politiques du PPP, d’abord en politique nationale, puis régionale et enfin locale, peut être clairement identifié en examinant les politiques de développement durable.

Les « limites à la croissance »

En 1972, le Club de Rome (CdR), groupe de réflexion indépendant financé par des fonds privés, a publié Les limites à la croissance. Comme nous l’avons vu avec le déploiement de la pseudo-pandémie, le CdR a utilisé des modèles informatiques pour prédire ce qu’il a décrété être les problèmes complexes auxquels est confrontée la planète entière : la « problématique mondiale ».

Les opinions émises par le Club de Rome découlent des travaux commandés au Massachusetts Institute of Technology (MIT) dans le cadre de son modèle dynamique « World3 ». Ce modèle partait du principe que la population mondiale épuiserait les ressources naturelles et polluerait l’environnement au point que « le dépassement et l’effondrement » se produiraient inévitablement.

Il ne s’agit pas d’un « fait » scientifique, mais plutôt d’un scénario suggéré. Jusqu’à présent, aucune des prédictions du modèle World3 ne s’est réalisée.

Le va-et-vient scientifique et statistique sur les affirmations faites dans Les limites de la croissance a été prolifique. Cependant, ignorant tous les doutes, le modèle World3 a été fermement ancré au centre de l’environnement politique du développement durable.

En 1983, la Commission Brundtland a été convoquée par l’ancien Premier ministre norvégien Gro Harlem Brundlandt et par Javier Pérez de Cuéllar, alors secrétaire général des Nations unies. Brundtland était membre du groupe de réflexion du Club de Madrid (un forum d’anciens présidents et premiers ministres) et Pérez de Cuéllar, membre du Club de Rome. En se basant sur les hypothèses très discutables du modèle World3, ils ont entrepris d’unir les gouvernements du monde entier pour mener des politiques de développement durable.

Les objectifs de développement durable

En 1987, la Commission a publié le rapport Brundtland, également connu sous le nom de Notre avenir à tous. Le contrôle (réduction) de la population est au cœur de l’idée de développement durable, telle qu’elle est exposée dans le rapport. Cette décision politique de se débarrasser des gens a valu aux auteurs une reconnaissance internationale et des prix.

Les hypothèses sous-jacentes à ces propositions politiques n’ont pas du tout été remises en question publiquement. Bien qu’un débat académique et scientifique ait fait rage, il n’a pratiquement pas été rapporté. Pour autant que le public le sache, ce qui n’était que des hypothèses et des spéculations non scientifiques étaient des faits avérés. Aujourd’hui, il est impossible pour quiconque de remettre en question ces hypothèses non prouvées et ces modèles manifestement inexacts sans être accusé de « négationnisme climatique ».

Le rapport Brundtland a donné naissance aux objectifs du Millénaire pour le développement qui, en 2015, ont été remplacés par les objectifs de développement durable (ODD) adoptés par les Nations unies. Depuis lors, ces ODD ont été traduits en politique gouvernementale dans un pays après l’autre. Par exemple, en 2019, le gouvernement britannique a fièrement annoncé qu’il s’engageait à respecter les objectifs de développement durable dans le cadre de sa politique de « neutralité carbone » ou « Zéro Émission Nette ».

Les ODD ont déjà eu un impact aux niveaux régional et local dans les comtés, les villes et les arrondissements du Royaume-Uni. Aujourd’hui, presque tous les conseils municipaux du pays disposent d’un « plan de développement durable ».

Indépendamment de l’attitude que l’on peut avoir face aux menaces mondiales auxquelles nous pouvons ou non être confrontés, il est important de connaître l’origine et la voie de distribution de ces politiques. Un groupe de réflexion mondialiste financé par des fonds privés a été à l’origine d’un programme politique qui a conduit à la création d’un cadre politique mondial, adopté par les gouvernements du monde entier et qui impacte aujourd’hui toutes les communautés de la planète (ndlr: par ex. en France, en Belgique, en Suisse).

Les ODD ne sont qu’un exemple parmi tant d’autres de la gouvernance mondiale du PPP en action. Le rôle des politiciens élus dans ce processus est négligeable. Ils servent simplement à mettre en œuvre et à vendre la politique au public.

Peu importe qui est élu, la trajectoire politique est déterminée au niveau de la gouvernance mondiale. C’est la nature dictatoriale du PPP et rien n’est moins démocratique.




Selon une astrophysicienne, le nouveau « Petit Âge glaciaire » a déjà commencé

[Source : report24.news via @silvano_trotta]

Par Heinz Steiner

[Illustration : vecstock (freepik)]

Même si l’on n’en a pas l’impression actuellement en raison de toutes les annonces de « températures record », la Terre se dirige vers un nouveau « petit âge glaciaire », selon une astrophysicienne de renom. Cela est dû à la modification de l’activité solaire, explique-t-elle. Seules des personnes incultes pourraient exiger une réduction du dioxyde de carbone dans l’atmosphère. Toutefois, en raison de l’évolution de notre système solaire, un réchauffement global allant jusqu’à 3,5 degrés Celsius est possible d’ici l’an 2600.

Ces derniers mois, les médias se sont répandus en informations sur de prétendues « températures record ». Le problème est que de nombreuses stations de mesure se trouvent désormais dans des îlots de chaleur en raison de l’urbanisation. Partout où c’est possible, on manipule et on triche, uniquement pour pouvoir présenter des chiffres plus élevés. Sans parler du fait que nous nous trouvons dans une phase El Niño (qui se termine entre-temps), qui est traditionnellement associée à des températures plus élevées. A cela s’ajoute la vapeur d’eau du Hunga Tonga, qui agit également comme un gaz à effet de serre. Tout cela a très peu à voir avec le dioxyde de carbone, comme je l’ai déjà expliqué en détail dans mon livre « Le CO2 n’est pas notre ennemi ».

Le professeur Valentina Zharkova, professeur à l’université de Northumbria à Newcastle, au Royaume-Uni, met même en garde contre une pénurie de ce gaz. Celui-ci n’est pas nocif, explique cette Ukrainienne d’origine, experte en astrophysique. Elle a fait ses études de mathématiques à l’université nationale de Kiev et a obtenu son doctorat à l’observatoire principal de la capitale ukrainienne. Depuis 1992, elle travaille dans différentes universités britanniques. « En fait, nous avons un déficit de CO2 sur la planète, et il est trois à quatre fois moins important que ce que les plantes aimeraient », explique-t-elle. Dans le passé, la part de CO2 était nettement plus élevée et a connu des réductions successives au cours des 140 derniers millions d’années. Ce n’est que maintenant qu’elle commence à augmenter légèrement.

Actuellement, elle se situe à environ 420 parties par million (ppm), soit 0,042 pour cent. Il y a 140 millions d’années, elle était estimée à 2 500 ppm (0,25 pour cent), soit environ six fois plus. Et cela signifiait également un monde plus vert et plus biodiversifié, selon le professeur. Si le CO2 tombait en dessous de 150 ppm (0,015 pour cent), cela signifierait déjà l’extinction de la végétation et de toutes les autres formes de vie. Un niveau dont le monde s’est déjà dangereusement rapproché lors de la dernière période glaciaire, avec 182 ppm (0,018 pour cent).

[Voir aussi :
Climat — La froide vérité
et Dioxyde de carbone — Le gaz de la vie]

« Nous n’avons pas besoin d’éliminer le CO2 parce qu’en fait, nous en aurions besoin de davantage. C’est de la nourriture pour les plantes, qui produisent de l’oxygène pour nous. Les gens qui disent que le CO2 est mauvais ne sont manifestement pas très bons à l’université ou quel que soit l’endroit où ils ont étudié. Seules des personnes sans éducation peuvent tenir des propos aussi absurdes sur le fait que le CO2 devrait être éliminé de l’air », explique le professeur Zharkova. Elle souligne, sur la base des recherches qu’elle a menées au cours des dernières décennies, que le Soleil, contrairement au CO2, joue un rôle important dans le changement climatique de la Terre.

En utilisant les résultats de recherches antérieures, la professeure estime que la température moyenne de la Terre va baisser d’un degré Celsius au cours des 30 prochaines années, et non augmenter comme nous en avertit le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) de l’ONU. Ce faisant, elle explique également que de tels changements abrupts dépendent des cycles de l’activité solaire. Lorsque le soleil est moins actif, son champ magnétique décroissant entraîne une diminution de l’intensité du rayonnement. En effet, moins de rayonnement solaire signifie inévitablement moins de chaleur. Selon Zharkova, un tel changement se produit tous les 350-400 ans (Grand cycle solaire ou GCS), et elle affirme qu’en 2020, nous sommes entrés dans l’un des grands minima solaires (GMS) qui séparent les GCS. Ce GMS durera jusqu’en 2053, après le retour à la normale de l’activité solaire au cours du cycle 28.

Selon elle, les développements attendus sont particulièrement négatifs pour les propriétaires d’installations solaires. « Je n’éprouve que de la compassion pour les personnes qui ont investi dans des installations solaires », déclare la professeure. Si l’on considère qu’en période de faible activité solaire, nous pouvons nous attendre à des hivers plus longs et — comme c’était le cas au 17e siècle — à des chutes de neige pendant de longues périodes de l’année, les perspectives pour les installations solaires ne sont pas très bonnes. « Pendant le minimum de Maunder, il y a eu des années où il n’y a pas eu d’été du tout — il y a eu un bref printemps, puis l’automne et à nouveau l’hiver. Et s’il y a de la neige sur vos panneaux solaires ou si le ciel est nuageux, ils ne servent à rien », dit-elle.

Toutefois, la période de froid à laquelle il faut s’attendre serait nettement plus courte par rapport au réchauffement, qui serait nettement plus long. Cela s’expliquerait par le rapprochement de la Terre du Soleil en raison des forces gravitationnelles de notre étoile centrale et des planètes. Selon elle, ce cycle solaire dure entre 2 100 et 2 300 ans et est appelé cycle de Hallstatt du rayonnement solaire. Le cycle actuel se terminera vers l’an 2600 et, bien qu’il y ait probablement une autre période de faible activité solaire ou GMS (2375-2415) pendant laquelle il fera à nouveau plus froid, elle s’attend à un réchauffement constant du climat mondial au cours des cinq siècles suivants. Sur la base de ses calculs, la professeure estime que la hausse de température attendue sera d’environ 3,5 degrés Celsius d’ici 2600. Et ce, comme nous l’avons dit, en raison du soleil et non du dioxyde de carbone présent dans l’atmosphère.

« Quoi que nous fassions sur Terre, nous ne pouvons pas changer l’orbite du Soleil et des grandes planètes comme Jupiter, Saturne, Neptune et Uranus », explique-t-elle. « Nous ne pouvons rien y faire ». Mais cela montre aussi que nous, en tant qu’Humanité, devrions détourner notre attention du CO2, d’autant plus qu’il ne joue qu’un rôle secondaire en ce qui concerne les températures et que des valeurs plus élevées pourraient aider à éviter de grandes famines grâce au soutien de la flore. Après tout, il s’agit d’une nourriture importante pour les plantes, de sorte que les retards de croissance dus au « petit âge glaciaire » attendu pourraient être au moins un peu compensés.


Site Internet de Valentina Zharkova : https://solargsm.com




Le Pacte mondial des maires et les villes de 15 minutes

[Source : favoris-alcyonpleiades via etresouverain.com]

L’avocate canadienne Lisa Miron parle des villes de 15 minutes et de la progression rapide du coup d’État contre la démocratie au niveau municipal.

Elle parle d’une organisation appelée « Global Covenant of Mayors » — il y a 13 000 villes dans le monde qui suivent les ordres d’un gouvernement de l’ombre — et ces maires suivent des ordres qui ont à voir avec le « changement climatique ». Ils dressent des inventaires de CO2.

Et ils ont découvert que la solution qu’ils entendent mettre en œuvre d’ici 2030 est celle des « interventions sur la consommation ». L’objectif est de 0 kg de viande par personne et par an. Elle dit qu’ils résoudront le problème du changement climatique en nous affamant.

[Voir aussi (en anglais) :

https://www.globalcovenantofmayors.org/our-cities
Liste des villes françaises impliquées pour l’instant :
Acigné
Agglomération Seine-Eure
Aix-Marseille Metropole
Ambazac
Amiens
Amiens Métropole
Angers Loire Métropole
Annecy
Annemasse Les Voirons
Ay-Champagne
Bayonne
Besançon
Betton
Béziers
Bordeaux
Bordeaux Metropole
Bougival
Bourg-La-Reine
Bourgbarré
Bourges Plus
Brécé
Brest Métropole
Bruz
Caen
Capesterre De Marie-Galante
Carrieres-sous-Poissy
Castelnau-Le-Lez
Celles
Cesson-Sévigné
Chalon-Sur-Saône
Chambéry Métropole
Changé
Chantepie
Chartres-De-Bretagne
Châtellerault
Chavagne
Chelles
Chevaigné
Cintré
Clermont-Ferrand
Cluses
Colmar
Communauté D’Agglomération De La Rochelle Et Ville De La Rochelle
Communauté D’Agglomération De Nevers
Communauté d’Agglomération de Niort
Communauté D’Agglomération Du Muretain
Communauté D’Agglomération Du Pays Châtelleraudais
Communauté D’Agglomération Pau Béarn Pyrénéés
Communauté De Communes Au Pays De La Roche Aux Fées
Communauté De Communes Carmausin-Ségala-Carmausin
Communauté De Communes Centre Tarn
Communauté De Communes Cordais Et Causse
Communauté De Communes De La Vallée De Chamonix-Mont-Blanc
Communauté De Communes De Marie-Galante
Communauté De Communes Monts-D’Alban Et Villefranchois
Communauté De Communes Pays Des Sorgues Monts De Vaucluse
Communauté De Communes Val 81
Communauté De Haute Provence
Communauté Urbaine De Strasbourg
Communauté Urbaine Toulouse Métropole
Corps Nuds
Côtes d’Armor, 11 communes en action(s)
Coudekerque-Branche
Coulaines
Dieppe Maritime
Dijon
Dunkerque Grand Littoral
Echirolles
Epinal
Forbach
Fréjus
Gévezé
Grand Angouleme
Grand Besancon
GRAND CHATELLERAULT
Grand Dole
Grand Lyon
Grand Paris Seine Ouest
Grand-Bourg De Marie-Galante
Grand-Montauban Communauté d’Agglomération
Grande-Synthe
Grenoble
Grenoble-Alpes-Metropole (La Métro)
Guipel
Hennebont
Illkirch-Graffenstaden
Ivry Sur Seine
L’Haÿ-Les-Roses
L’Hermitage
La Bastidonne
La Chapelle-Thouarault
La Couronne
La Mézière
La Rochelle – Communauté D’Agglomération Et Ville
Lambersart
Langouet
Langrolay-sur-Rance
Le Gouray
Le Havre
Le Perray-en-Yvelines
Le Rheu
Le Verger
Léhon
Les Mureaux
Lille
Lille Métropole
Lons-Le-Saunier
Loos-En-Gohelle
Loperhet
Lorient
Lorient Agglomération
Lyon
Marseille
Melesse
Merville
Métropole du Grand Paris
Metz
Montgermont
Montmélian
Montpellier
MONTPELLIER MEDITERRANEE METROPOLE
Montreuil
Montreuil-Le-Gast
Mordelles
Mulhouse Alsace Agglomération
Mundolsheim
Mûrs-Erigné
Nantes Metropole
Nice
Nice Côte D’Azur
Nouvoitou
Noyal-Châtillon Sur Seiche
Oberschaeffolsheim
Orgères
Orléans Métropole
Pacé
Parc Naturel Régional Du Haut-Jura
Paris
Parthenay De Bretagne
PAYS DE L’ALBIGEOIS ET DES BASTIDES
Pays De Montbéliard Agglomération
Pessac
Plaine Commune
Plaintel
Plélan-le-Petit
Plémet
Pleslin-Trigavou
Plessala
Plouasne
Plouër Sur Rance
Plumaugat
Poissy
Pont-Péan
Prin-Deyrançon
Quetigny
Quimper
Quimper Communaute
Rennes
Rennes Métropole
Roubaix
Rouen
Saint Etienne Métropole
Saint Germain-en-Laye
Saint Jacques De La Lande
Saint Samson Sur Rance
Saint-Brieuc Armor Agglomération
Saint-Erblon
Saint-Germain-sur-Ille
Saint-Gilles
Saint-Gondran
Saint-Grégoire
Saint-Juvat
Saint-Louis De Marie-Galante
Saint-Médard-Sur-Ille
Saint-Symphorien
Salies
Saulnes
Schiltigheim
Seclin
Sénart
Sète
Sèvres
Strasbourg
Taden
Thionville
Thorigné-Fouillard
Toulouse
Trébédan
Tregueux
Trémereuc
Vezin-Le-Coquet
Vignoc
Ville De Tours
Villers-sur-Mer
Villeurbanne
Vouneuil Sur Vienne
Liste des villes canadiennes impliquées pour l’instant :
Annapolis Royal
Baie-Saint-Paul
Beaconsfield
Boucherville
Brampton
Bridgewater- Ns
Burlington
Caledon
Calgary
Candiac
Canmore
Canton de Lochaber-Partie-Ouest
Cape Breton Regional Municipality
Chatham-Kent
Commission de services régionaux Nord-Ouest
Communauté rurale de Haut-Madawaska
Courtenay
District of Saanich
Durham
Edmonton
Fredericton
Gatineau
Guelph
Halifax
Halton Hills
Hamilton
Kingston
Kitchener
La Sarre
Laval
London- On
Longueuil
Mississauga
Moncton
Montréal
Mount Pearl
Nanaimo
New Glasglow
North Vancouver
Oakville
Orangeville
Ottawa
Prévost
Rivière-du-Loup
Rivière-Verte
Rossland
Salaberry-De-Valleyfield
Saskatoon
Sorel-Tracy
St. Catharines
St. John’s
Surrey
Thunder Bay
Toronto
Township of Huron-Kinloss
Ucluelet
Vancouver
Victoria
Ville d’Edmundston
Ville de Saint-Léonard
Ville de Saint-Quentin
Whitby
Windsor

Villes intelligentes ou politiciens corrompus ?

]






Le climat comme arme sanitaire

Le Climat, c’est la Santé !

[Source : bam.news]
Par Réginald De Potesta De Waleffe

Après une tentative désastreuse de gérer la « crise COVID » et son échec à désigner son origine, on aurait pu croire que l’OMS aurait fait preuve de plus de modestie, mais il n’en est rien.
En manque de crise susceptible de légitimer son emprise, l’OMS a trouvé un nouveau prétexte : Le Climat !
BAM! vous décrit les enjeux d’une tentative de prise de pouvoir mondial.

Depuis « l’Appel à une action d’urgence pour limiter l’augmentation de la température mondiale, restaurer la biodiversité et protéger la santé »1, publié le 4 septembre 2021 dans les pages du Lancet, et le nouveau « narratif » publié ce mois‑ci avec le soutien de la Fondation Rockefeller (dès sa fondation en 1913, la Fondation Rockefeller2 est directement à l’origine de l’ordre sanitaire international avec l’Organisation d’Hygiène à la SDN3) : « Act on Climate — Our Lives Depend on It. A shared narrative for people and organizations urging joint action on climate and health »4 prépare les esprits à faire du climat la probable septième Urgence de Santé Publique de Portée Internationale (USPPI), auparavant réservée aux pandémies : coronavirus (2020), Ebola (2018 et 2014), Zika (2016), poliomyélite (2014) et H1N1 (2009).


Tels sont les critères d’une USPPI : une situation grave, soudaine, inhabituelle ou inattendue, avec des implications sanitaires dépassant les frontières, et qui nécessite une action internationale immédiate5. L’urgence climatique coche toutes les cases pour le Parlement européen qui la déclare en 20196, ou pour l’Archipel du Vanuatu en 20227, sauf que la mer ne monte pas assez vite et le plan d’évacuation8 d’urgence négocié avec l’Australie tombe à l’eau9.

Qu’à cela ne tienne, la situation est pire (sic) que toutes les urgences précédentes10 ! En outre, dès avril 2020, l’OMS et de nombreux commentateurs n’ont cessé d’établir des parallèles entre la crise climatique et ladite pandémie de coronavirus11, comme en atteste le nom du partenariat que la Fondation Rockefeller a noué avec l’OMS : « Partenariat contre les pandémies globales à l’ère du changement climatique »… tout un programme.

Et ça tombe vraiment bien, car aucune maladie ne semble plus pouvoir être étrangère aux conséquences directes de nos émissions de CO212, un peu comme si toutes les affections respiratoires étaient étiquetées « COVID », mais cette fois‑ci, en « climat ». La boucle est bouclée. La santé de tous dépend de tous. Les animaux vecteurs de maladies se déplacent, les vagues de chaleur, incendies, inondations impactent l’eau, le cheptel et les cultures et donc directement la santé humaine. Ce refrain est repris en chœur par les acteurs de la gouvernance mondiale, l’OMS1314, l’ONU15, le Forum Économique Mondial16, les lobbies et les ONG écologistes. Ces dernières sont considérées, à tort, comme l’émanation d’une volonté populaire, alors qu’il ne s’agit ni plus ni moins qu’un racket aux bons sentiments financé largement par les fortunés « sauveurs de l’humanité » comme Rockefeller, Getty, Gates ou Soros pour n’en citer que quelques-uns1718, plutôt que par les contributions des petits donateurs.

La lutte contre le réchauffement climatique anthropique (RCA) n’est plus une menace pour les générations futures, mais passe pour la réalité aux conséquences directes sur la santé des écosystèmes (sic). Les populations les plus défavorisées en sont les premières victimes et « nous ne pouvons laisser personne de côté » (Leave no one behind).19 À votre bon cœur messieurs‑dames, si ce n’est pas pour vous, faites‑le au moins pour les autres… Cela ne vous rappelle rien ? La couverture de santé universelle est d’ailleurs inscrite au programme, avec identité numérique à la clé. C’est pour votre sécurité et si l’on s’y met tous, tout se passera bien, d’ailleurs on s’occupe de tout, vous avez déjà bien assez à faire avec l’inflation, le terrorisme, le retour de la guerre froide, les punaises de lit (quand ce ne sont pas les effets indésirables20 des injections et leur composition…).

Les dernières marches avant le Sommet

1. La COP28 : La Santé d’abord21

La prochaine COP débute ce 30 novembre. Elle est consacrée cette fois à l’avancée du plan d’action et mettra l’accent sur la » santé climatique ». C’est le moment choisi par l’OMS pour affirmer ses prérogatives et d’en faire une COP Santé. Quelques jours avant l’ouverture de la 28e conférence des parties, l’OMS a publié son cadre opérationnel pour construire des systèmes de santé résilients au changement climatique et à faibles émissions de carbone22 concomitamment avec un épais rapport du Lancet en faveur d’une réponse climatique centrée sur la santé23 en guise de caution scientifique.

Risques climatiques pour la santé et les systèmes de santé (source : OMS nov. 2023)

2. Recommandation du Cadre Sendai pour la COP2824

Le processus de Sendai concerne la réduction des risques de catastrophes, avec cinq priorités :

  • Comprendre les risques de catastrophes, tout enregistrer, tout voir, tout modéliser ;
  • Renforcer la gouvernance des risques de catastrophes pour mieux les gérer ;
  • Intervenir en temps réel sur tous les paramètres opérables ;
  • Investir dans la réduction des risques de catastrophes aux fins de la résilience ;
  • Renforcer l’état de préparation aux catastrophes pour intervenir de manière efficace et pour « mieux reconstruire » (Build Back Better) durant la phase de relèvement, de remise en état et de reconstruction.

Les négociations pourraient rendre ce cadre d’action mobilisable même en l’absence de catastrophe, et donc par prévention d’un désastre majeur, comme pourrait en être accusé à tout hasard le dioxyde de carbone, ce fertilisant vital et source unique d’oxygène issu de la photosynthèse. Un bilan carbone imposé à tous les agents économiques permettrait une quantification rigoureuse et le contrôle de ces émissions.

Les discussions se poursuivent à Dubaï jusqu’au 12 décembre.

3. Nouvelle « Convention et Accords de l’OMS » (CA+) prévu le 24 mai 2024. « Santé pour la paix et paix pour la santé »

Le premier Règlement Sanitaire International (RSI) a été établi en 1951. Révisé en 1969, 1981 et 2005, le travail d’une nouvelle mouture a débuté sur le thème « Santé pour la paix et paix pour la santé » qui tire les enseignements de la période COVID.

Les négociations doivent aboutir à un nouveau traité « pandémies » et une réforme du Règlement Sanitaire International (RSI) établi en 2005. L’OMS aspire à des pouvoirs étendus et coercitifs pour remplir les missions qu’elle s’est données. Sauver la paix et le climat sont ses nouveaux défis.

Le projet de texte25 et ses amendements26 donnent à l’OMS le pouvoir de s’auto‑saisir dès lors que sont concernés les sujets suivants : la santé animale, la protection des écosystèmes, la santé humaine (le triptyque « One Health ») et le niveau de CO2. Et le discours climatique catastrophiste officiel couvre d’une manière très opportune ces quatre sujets.

À cela s’ajoute un financement permanent, le droit de qualifier de pandémie n’importe quelle épidémie, le droit de procéder à des confinements, d’activer le passeport vaccinal, d’accroître la surveillance des populations, de censurer, d’autoriser des traitements (d’en discriminer d’autres), de rendre obligatoires et d’organiser des vaccinations éventuelles, de sélectionner les fabricants autorisés, d’imposer une gestion centralisée éclipsant l’autonomie des États membres, souveraineté des États aussi éclipsée par la signature possible d’une partie prenante supérieure (par la définition extensive de partie par le nouveau traité). Ainsi, dans l’éventualité où l’Union européenne serait partie signataire, la Commission européenne, de plus en plus autoritaire (cf. la prolongation de 10 ans des glyphosates) pourrait faire appliquer le nouveau traité aux États membres.

L’opposition à ces développements regroupe les pays africains, l’Iran, la Malaisie, la Russie et le Brésil qui ne voient pas d’un bon œil le tournant unilatéral des hautes instances de l’OMS. Tout récemment le nouveau Premier ministre slovaque s’est formellement opposé à ce nouveau traité, l’accusant de servir les intérêts de l’industrie pharmaceutique27. Nous saurons après la prochaine réunion de l’Organe de Négociation Intergouvernemental (INB) qui se déroule du 4 au 6 décembre s’il y a un « consensus mondial » suffisant pour la ratification aux deux tiers, ce dont il est encore raisonnable de douter, quoique beaucoup d’efforts ont dû être fournis pour huiler les rouages de ces négociations.

Outre l’opposition de certains pays, des citoyens et des organisations se mobilisent. Alertée par la disparition des dernières versions du traité de la « pleine considération pour la dignité, les droits de l’homme et les libertés fondamentales des personnes », CitizenGO, a pu rassembler non moins de 333 500 signatures d’opposants au CA+ de l’OMS en 8 jours à peine.28

Senta Depuydt (Children’s Health Defense) suit ce dossier de très près. Elle appelle à une sortie de l’OMS. Une présentation détaillée qui vaut le détour est disponible sur son site Substack29.

4. Préparation du Sommet pour le Futur en septembre 202430

Un autre processus pourrait également aboutir à une prise de contrôle centralisée au nom d’une urgence planétaire.31

La désignation de menaces systémiques globales s’est toujours accompagnée d’appels à une réponse internationale où les antagonismes et les souverainetés étatiques doivent s’effacer au nom du bien commun et partant, nous conduire à une gouvernance globale : notre agenda commun !

En 2012, dans la foulée de Rio+20, trente-deux scientifiques signent une tribune dans Science : L’urgence planétaire appelle une gestion globale et une gouvernance mondiale. Elle passe par la réforme en profondeur des institutions nationales et internationales32.

Pour faciliter cette transformation et éviter la catastrophe, la Global Challenges Foundation est fondée en 2013. Elle publie un rapport33 qui liste douze menaces fatales pour l’humanité et appelle à une coopération renforcée. Elle fonde un prix de 5 millions de dollars pour l’élaboration d’un plan pour une O.N.U. 2.0. : “The New Shape Prize is the first ever attempt to invite the whole world to come up with the best possible innovative ideas of how we can find a New World Order”, Johan Rockström, Davos 2018.


En 2015, Futur Earth34 établit les bases de l’architecture de cette nouvelle gouvernance globale. La même année, la Commission on Global Security, Justice & Governance produit un rapport35 sur la crise de la gouvernance mondiale. Ses recommandations pour relever les défis majeurs (défaillance des États, prévention des conflits, réchauffement climatique, sécurité de la cyberéconomie…) passe par un dialogue global et, ô surprise, une réforme des institutions internationales.

Quelques mois plus tard, l’Assemblée Générale des Nations Unies (AGNU) dresse l’Agenda 2030 et les 17 Objectifs du Développement Durable (ODD) dont la rosette arc‑en‑ciel orne la boutonnière des Young Global Leaders. L’année 2015 est couronnée par les Accords de Paris de la COP21 et le cap du Net Zero pour 2050 grâce aux marchés d’échanges du carbone, le nouvel étalon de la consommation limitée par votre Pass Carbone.


En novembre 2018, Emmanuel Macron préside la fondation du Forum de Paris sur la Paix36. Les lauréats du New Shape Prize y présentent leurs travaux. La liste des fondateurs et partenaires laisse rêveur : UNESCO, U.E., FMI, World Bank, Rockefeller Foundation, Bill & Melinda Gates Foundation, Carnegie Foundation, Open Society, Microsoft, Amazon, TikTok… Ses travaux sont focalisés sur l’amélioration de… la gouvernance mondiale.

En 2019, l’ONU appelle un plan d’action sur 10 ans pour répondre aux ODD.

En 2020, l’OMS déclare l’USPPI COVID et dans la foulée Klaus Schwab, du Forum Économique Mondial, publie son livre où il appelle un Grand Reset pour lequel le COVID présente « une fenêtre d’opportunité que nous ne pouvons pas rater »37, une répétition générale donc ?

En réponse, les 16 et 17 septembre 2020, le Forum de la Gouvernance Mondiale se tient en virtuel, COVID oblige, avec ce mot d’ordre : « Dessiner une feuille de route pour le futur que nous voulons, pour les Nations Unies dont nous avons besoin ». À cette occasion est constituée une Commission sur la Gouvernance Climatique, soutenue entre autres par la Fondation Rockefeller38, et chargée d’émettre des suggestions de réformes au système global. Ces commissionnaires se voient aussi confier la tâche d’émettre des propositions pour concrétiser la gouvernance mondiale au Sommet pour le Futur. En cas de déclaration d’état d’urgence, ils suggèrent la mise en œuvre d’une plateforme dédiée pour répondre de manière concertée à un choc global.

« Six limites planétaires sur neuf ont été dépassées »39.

Lors de l’AGNU de septembre dernier, la Commission a produit un rapport pour gouverner l’urgence planétaire40 et déclarer que 6 limites planétaires sur 9 qui ont été scientifiquement identifiées sont dépassées (les neuf limites planétaires sont le changement climatique, l’érosion de la biodiversité, la perturbation des cycles biogéochimiques de l’azote et du phosphore, les changements d’utilisation des sols, l’acidification des océans, l’utilisation mondiale de l’eau, l’appauvrissement de la couche d’ozone, l’introduction d’entités nouvelles dans l’environnement — pollution chimique — et l’augmentation des aérosols dans l’atmosphère)41 ! Elle déplore tant l’absence d’initiative au sommet que le manque de réactivité de la société civile qu’elle appelle à se mobiliser pour exiger les évolutions nécessaires. Dès lors, elle recommande que l’AGNU déclare à l’occasion du Sommet pour le Futur une urgence planétaire et convoque une plateforme d’urgence pour coordonner une action concrète42 : L’établissement d’un tableau de bord général pour surveiller les neuf limites planétaires, ses fonctions vitales, ses paramètres et tous nos faits et gestes en temps réel pour assister la gestion du système Terre. Un rapport intermédiaire sera présenté à la COP28.

L’U.L.B. organise une journée d’étude complète et une conférence en soirée sur le sujet des urgences planétaires ce mercredi 13 décembre43.

The Digital World Brain “Neural techniques that invalidate free will”, Jacob Nordangård, octobre 202344

Le plan est déjà prêt

A Big Plan for a Small Planet a été élaboré par la Global Commons Alliance portée par le Club de Rome, le Forum Économique Mondial, le Rockefeller Philanthropy Advisors, la Global Challenges Foundation parmi 70 autres organisations contrôlées par de riches donateurs. Il s’agit d’accélérer le changement de système pour préserver le bien commun (sic)… et voler toutes vos libertés. La formule est simple,une commission planétaire qui établit des objectifs basés sur la science, qui informe les instances qui déclenchent les changements systémiques idoines, lesquels sont évalués en temps réel grâce à l’internet des objets et des corps par la fée intelligence artificielle (sic)45.

« The warming of the climate is no longer merely, or primarily, an environmental issue. It is an energy issue; a business issue; an investor issue; a moral issue; a security issue; an agricultural issue; a coastal issue; a religious issue; an urban issue; in short, a global issue that touches every conceivable facet of human existence. It is a matter of universal concern that cuts across party lines, religious affiliations, class divisions, and demographic distinctions. Therein lies our current opportunity. »

Annual report Rockefeller Brothers Fund 200546

Il faut prendre l’Agenda annoncé au sérieux. Pour empêcher les catastrophes qui nous menacent, il nous faudrait tout mesurer, tout contrôler, tout piloter. Le narratif nous emmène tout droit vers l’état d’urgence : limites planétaires, pandémies, climat et guerres, rien ne va plus. Depuis l’entrée en scène médiatique de Greta Thunberg et son intronisation47 au World Economic Forum de Klaus Schwab, l’urgence climatique et sa litanie de catastrophes inondent les médias officiels. La société tout entière est appelée à entrer en transition comme on entre en religion48. Il ne s’agirait en fait que d’entériner un état de fait.

On nous répète inlassablement que les conséquences du réchauffement seront pires que celles du COVID49. Ce qu’il faut comprendre de cette phrase, c’est que les mesures que l’on s’apprête à prendre seront pires que celles de la précédente USPPI COVID. Progressivement, les droits humains s’effacent du cadre des négociations de la gouvernance des risques.

Les aspirations à une gouvernance mondiale ne sont pas des phénomènes récents, mais plutôt le résultat de décennies d’efforts orchestrés par de riches fanatiques désireux d’accroître leur contrôle sur les populations. Ces derniers engrangent patiemment les bénéfices d’une emprise croissante sur les institutions internationales tout en imprégnant tous les pans de la société de leur idéologie. Leur influence est majeure dans le financement des universités et des fonds de recherche. Cela façonne ainsi le récit propagé par les médias sous leur influence et leur permet, à coup d’ingénierie sociale, d’imposer leur vision d’un monde angoissant et au bord de l’effondrement. Cette soif de contrôle pourrait bien atteindre un tournant décisif avec les développements de la cybernétique où la biologie fusionne avec le monde digital dans un grand tout hyperconnecté. L’identité électronique50, la géolocalisation, le bilan carbone convergent vers l’établissement d’un modèle intrusif et liberticide, omniscient quant à chacun de nos faits et gestes. Ce cauchemar totalitaire imposera une biopolitique au nom du bien commun. Toutefois, derrière cette rhétorique altruiste se profile une menace réelle pour l’humanité. Même si on assiste à une forte montée du scepticisme climatique51 et qu’il reste encore quelques étapes importantes à franchir avant l’adoption d’un tel cadre supranational, il ne faudrait pas négliger les moyens considérables et la détermination implacable des intérêts qui le soutiennent, que ce soit au nom d’une menace réelle, imaginaire ou fabriquée.

« Si vous permettez aux politiciens de violer vos droits en temps de crise,
ils créeront des crises pour violer vos droits ».

Samuel Stemmer

Réginald de Potesta de Waleffe
Pour BAM!





Les résultats des prochaines élections européennes ont été truqués

Le salut est dans le Frexit.
Voter RN ou Reconquête, c’est voter UE !

En juin prochain auront lieu les prochaines élections européennes si d’ici là le monde n’a pas basculé dans le chaos suite à une décision des USA et de leur armée otanienne.

C’est avec émotion que je vous annonce ne plus être complotiste, je suis devenu médium et je vous annonce que les résultats seront faussés.

À quoi bon voter ?

Cette question est légitime en ce qui concerne les élections nationales. Il est évident que le mode de scrutin à deux tours mis en place par De Gaule et sans proportionnelle ne permet pas l’émergence d’une véritable opposition. L’objet était de mettre en œuvre une forme de monarchie républicaine.

Dans ce contexte il est quasi impossible pour un inconnu d’être élu député. Il faut la puissance d’un parti autorisé qui a le droit d’être médiatisé. Quant à Président de la République, c’est totalement IMPOSSIBLE.

Celles et ceux qui sont élus ne le sont uniquement parce qu’ils sont garants d’une absence totale de changement. Quand bien même le voudraient-ils, les traités européens empêchent toute marge de manœuvre.

En revanche il n’en est pas de même concernant les élections européennes où la proportionnelle est de mise.

Un vote « utile » pour des élections européennes ?

Les autres scrutins en France sont à deux tours et à la majorité. Celui qui obtient 50,0000001 % des voix remporte le pactole. Dans ce cas le « vote utile » peut avoir sa place :

« Je vais voter pour machin que je n’aime pas trop au premier tour, car mon candidat favori n’a pas la moindre chance de passer au second tour et je ne veux surtout pas que l’autre enculé gagne. »

Cet argument n’est plus valable pour les élections européennes qui sont à un tour et à la proportionnelle.

Pour les Européennes le seuil électoral est de 5 % ce qui signifie qu’une liste qui obtient à minima 5 % des voix aura à minima un député européen !

Alors oui un vote utile peut (et doit) exister, mais uniquement en favorisant une liste souverainiste plus à même de franchir la barre des 5 % !

Sondages et prospectives

Tous1 donnent environ les mêmes chiffres :

La somme des intentions de vote des partis de cette liste donne plus de 90 % des voix.

Pourquoi me suis-je borné à n’additionner que ces partis alors qu’il y en a d’autres ?

Pour la simple raison que tous affirment leur vassalité à l’égard de l’Union européenne et de son dictateur en chef, Mme Von Der Leyen.

Même les partis comme le Rassemblement National ou Reconquête ne prônent plus la sortie de l’Europe, de l’espace Schengen, de l’Euro, de la CEDH ni de l’OMS ou de l’OTAN. Ils nous parlent désormais de « réformer l’Europe de l’intérieur ». Nous avons bien vu le résultat en Italie avec Meloni qui s’est mise à genoux.

Ils ne parlent même plus d’interroger les Français par référendum sur la sortie de l’UE !

La stratégie du RN est devenue limpide, ils veulent parvenir sur la plus haute marche du podium et ceci n’est autorisé dans notre belle démocratie que si vous vous soumettez aux maîtres du monde partisans du Grand Reset.

Autant il était possible de jouer sur les ambiguïtés lors des précédentes élections européennes en disant que les électeurs qui votaient pour le RN étaient opposés à cette UE, autant ce n’est plus d’actualité, le parti étant devenu UE compatible.

Voter RN, Reconquête ou les autres partis des 90 % du sondage ce n’est pas voter utile, c’est comme voter Macron !

Il n’y a strictement rien de « vote utile » à donner sa voix au RN ou à Reconquête qui ne sont pas ou plus des partis souverainistes.

RN :

Sébastien Chenu, vice-président du Rassemblement National, a déclaré2 le 10 mars 2024 :

« Le Rassemblement national “ne défend pas le Frexit”. »

En ceci il a confirmé les propos du 29 février 2024 de Jordan Bardella3, tête de liste aux européennes et Président du Rassemblement National :

« Nous ne sommes pas pour le Frexit ni public ni caché. »

Voter Rassemblement National, c’est donc voter pour l’UE !

Reconquête4 :

« Pourquoi pas de Frexit, en huit points. »

Il est intéressant de lire leurs arguments qui sont les mêmes que les autres, « nous allons tous crever si l’on quitte l’UE. ». Dire que j’y croyais il y a quelques années.

Vous comprenez bien pourquoi je n’ai pas attribué les intentions de vote pour le RN ou pour Reconquête au Frexit, mais aux partis pro-UE !

LFI :

Tant que j’y suis citons LFI qui sont les champions du monde de l’hypocrisie et de la tromperie.

Ceux-ci parlent d’une 6e république, d’une nouvelle constitution plus démocratique tout en ne prônant pas le Frexit, condition pourtant indispensable pour retrouver une indépendance.

« Jean-Luc Mélenchon n’est pas sur la ligne du “Frexit”, mais ne renie pas complètement cette hypothèse. »

Ben tiens…

EELV5 :

« En tant qu’écologistes, nous défendons l’Europe par conviction de cœur et d’esprit. Parce que nous savons ce que l’idéal européen a apporté et l’espoir qu’il peut encore représenter aujourd’hui, mais aussi parce que nous mesurons, face aux défis économiques, sociaux, environnementaux et démocratiques de notre époque, au besoin de construire des règles qui permettront de lutter contre les inégalités et de répondre à l’urgence climatique, à quel point l’échelon européen est nécessaire et incontournable. »

Toujours aussi merveilleux d’entendre les plus grands dictateurs nous parler de démocratie.

PCF6:

« S’agirait-il alors de prôner une simple “désobéissance” ou un “Frexit” ? Nous ne partageons pas non plus ces discours qui n’ouvrent aucune perspective pour les peuples. »

Je vous fais grâce des autres comme le PS, LR ou Renaissance dont la vassalité vis-à-vis de l’UE n’est plus à démontrer.

En fait si l’on regarde le programme de tous ces partis, il y a deux camps qui se dessinent :

  • Les pro-UE telle qu’elle est et qui veulent accélérer la dictature.
  • Les supposés anti-UE qui font de la diarrhée verbale, des vendeurs de vent, des vendeurs d’illusion, des menteurs qui prônent une « nouvelle UE réformée de l’intérieur » alors que les institutions ne le permettent pas. Notez qu’ils nous la promettent depuis plus de 20 ans.

Houston, nous avons un problème7

Comment est-il possible que plus de 90 % des personnes qui s’apprêteraient à voter soutiennent encore cette Europe ?

Retour vers le futur :

En 2005 les Français se sont vus demander par référendum s’ils voulaient d’une Constitution européenne, s’ils voulaient abandonner une partie supplémentaire de leur souveraineté au bénéfice de l’Union.

À cette époque 54,68 % des Français s’étaient prononcés pour le « non ». Je suis d’autant plus libre d’en parler que j’avais voté « oui », pensant que cette constitution allait apporter plus de démocratie dans cette technocratie libérale européenne.

Pour autant la situation à l’époque n’était pas aussi catastrophique qu’aujourd’hui. Il était encore possible de parler ou de faire un peu rêver d’une Europe de « prospérité économique », de « libertés » et de « paix » sans éclater de rire, ce qui n’est plus le cas aujourd’hui.

Notons que l’argument le plus fort était celui de la paix, grâce à l’Europe il n’y aurait plus de guerre et patati et patata.

Que nous disent les sondages actuels ?

On nous annonce sans froncement de sourcils que les votes pro-politique-européenne seront de 90 % tandis qu’il y aura au maximum 10 % de votes souverainistes !

De qui se moque-t-on ?

Pourriez-vous me dire où sont celles et ceux qui ont voté contre la Constitution européenne en 2005 ?

2005, 54 % de contre, 2024, 90 % de pour ?!

De plus en 2019, lors des précédentes élections européennes, le Rassemblement National avait fait 23 % des voix. Et en 2016 le discours du RN était tout autre8 :

« Marine Le Pen exulte et réclame un “Frexit”. »

« La présidente du Front national va faire du “Brexit” un argument électoral pour la présidentielle de 2017. »

Aujourd’hui le RN est à 100 % contre le Frexit, la soupe est trop bonne pour cracher dedans.

Est-ce à dire que ces 23 % d’électeurs qui approuvaient la sortie de l’UE sont désormais pro-UE au regard des sondages ?

Forte dégradation de la situation et du rêve européen

Nous avons :

  • Une Europe qui a imposé (liste non exhaustive) la dictature sanitaire, les masques, les confinements, le passe sanitaire, une extorsion de consentement pour une injection plus létale que salvatrice et aux effets secondaires interdits de médias. Pour une injection a été approuvée sous les SEULES données fournies par les laboratoires avec des contrats conclus à coup de SMS par une personne non mandatée pour cela et pour lesquels même les députés européens n’ont pas accès !
  • Une UE qui a détruit totalement l’économie à la fois par des traités de libre-échange sans la moindre contrepartie de pays aux normes sanitaires et sociales à des années-lumière des nôtres. De lois dites « écologiques » dont le seul objet est la destruction du tissu industriel européen, la destruction de l’agriculture et donc de notre indépendance. Sans compter la destruction de notre savoir-faire en matière de nucléaire alors même que les pseudo-écolo nous bassinent avec le fameux CO2 qui serait « mortel ». Sans compter toutes les normes désormais rétroactives (qui ne s’appliquent pas uniquement au neuf, mais aussi à l’ancien) sur l’isolation des habitations, les véhicules interdits de rouler alors que fonctionnant parfaitement et j’en passe. Normes qui peuvent être ajoutées au chapitre dictature.
  • Une UE qui finance la guerre à coups de milliards sortis d’un chapeau alors que dans le même temps le gouvernement français connaît un déficit abyssal qui devrait être comblé en supprimant des prestations sociales ou en augmentant des impôts. Europe qui n’emploie plus jamais le mot « paix », qui prône la défaite de la Russie et qui n’hésite même pas à brandir la menace nucléaire. Ces gens n’appellent plus qu’à la mort et à la misère. Ukraine, Palestine, etc., le seul mot d’ordre est « guerre totale » contre le « mal », quitte à envoyer nos enfants à l’abattoir.
  • Une UE qui détruit nos traditions, nos valeurs, nos religions, nos racines et surtout la famille. Qui cherche à nous faire croire qu’il n’y a rien qui nous cimente hormis notre consommation de biens. Une UE qui veut nous imposer le Wokisme, l’identité de genre, l’avortement à neuf mois de grossesse, l’apprentissage de la sexualité et de la masturbation dès la maternelle, la pédophilie avec le droit d’un enfant à consentir une relation sexuelle avec un adulte, l’euthanasie le meurtre pour tous les inutiles, vieux, malades, fous, pauvres… Un monstre, un psychopathe sans âme qui ne prône que l’individualisme et la réussite personnelle.

La dictature en marche, un avenir des plus sombres

Riez les normies lorsque j’écris que :

  • Les gueux devront présenter un QR-code pour sortir et rentrer dans leur quartier.
  • Ils n’auront plus le droit de posséder un véhicule ou si cher pour être « propre » qu’ils ne pourront plus se l’acheter et devront prendre des transports en commun.
  • Avec l’identité numérique et l’Euro numérique, ils pourront dépenser leur argent uniquement en fonction de « critères écologiques » ou de leur « emprunte carbone ».
  • Ils auront le droit de partir en vacances une fois par an, mais dans un rayon compatible avec leur crédit social et leur statut vaccinal.

Ricanez donc quand j’écris que seuls les riches, ceux qui posséderont des voitures « propres » et qui pourront racheter aux gueux du crédit carbone, pourront sauver la planète en partant en vacances en avion quand bon leur semble.

Que d’affirmations aussi gratuites que ridicules ?!

L’horrible réalité des faits

Je ne vous en voudrais pas de glousser à foison, néanmoins permettez-moi de vous rappeler les faits suivants :

S’il y a 20 ans je vous avais annoncé que dans l’avenir :

  • Tu pourras être assigné à résidence sans condamnation ni procès alors que tu es en pleine santé pour protéger la population d’un prétendu « virus ».
  • Tu auras l’obligation d’injecter 11 « vaccins » dès les premiers mois de la vie de ton enfant sans quoi il ne pourra pas fréquenter les collectivités « pour leur santé et pour protéger les plus fragiles ».
  • Des médias internationaux seront fermés du jour au lendemain « pour te protéger de la désinformation » et la censure sera activée sur les médias sociaux. Thierry Breton commissaire européen rédigera le DSA (Digital Services Act) dont l’objectif sera de lutter contre la « Haine, manipulation, désinformation, contrefaçons… Ces dérives touchent de plus en plus de contenus en ligne9 », bref ni plus ni moins que de la censure.
  • Tu n’auras plus le droit d’utiliser ta voiture, même en parfait état de fonctionnement, dans les grandes villes (et ailleurs) pour « protéger la planète ». L’objectif sera l’interdiction de vente de voitures thermiques en Europe dès 2035 alors que l’ensemble des pays non occidentaux verront leur parc de voiture à pétrole exploser. Le plus merveilleux est que ta voiture « propre » achetée pour jeter ton ancien véhicule tueur de planète sera à son tour interdite de circulation cinq ans plus tard au profit d’une autre encore plus propre qui elle-même subira le même sort quelques années plus tard.
  • Tu n’auras plus le droit de louer ton bien, même en informant le locataire, si c’est une « passoire thermique » puis tu n’auras plus le droit de le vendre ou de l’acheter pour « protéger la planète ». Seuls les grands groupes disposeront des ressources financières et des aides de l’Europe afin de faire disparaître un maximum de propriétaires individuels.
  • Toute dissidence, toute opinion contraire à la doxa te verra dénigré et exclu des médias mainstream.
  • Tu n’auras plus le droit de faire l’école à la maison pour tes enfants sans accord de l’administration et justifier les raisons pour « éviter les dérives sectaires ». En revanche tu devras accepter qu’on leur apprenne la masturbation et la possibilité de changer de genre.
  • Tu n’auras plus le droit de faire un feu de cheminée dans un foyer ouvert pour « sauver la planète du réchauffement climatique ». ni de brûler tes déchets verts, même les jours de pluie. Les chaudières à fioul ou à gaz devront être interdites.
  • Tu n’auras pas le droit d’aller au restaurant sans présenter un QR code prouvant ton statut vaccinal pour « protéger la population d’un virus ».
  • Tu devras présenter un QR code pour rentrer chez toi ou pour accéder à un quartier (épreuve JO) pour « empêcher un attentat » tandis que les autorités utiliseront la reconnaissance faciale pour ta sécurité.
  • Tu pourras être dénoncé et condamné si dans un cadre privé tu tiens des propos non autorisés10.

Et je ne vous parle pas de toutes les taxes inventées, citons la merveilleuse taxe d’archéologie préventive qui doit être payée pour des travaux de construction quand bien même il n’y aurait strictement aucun vestige dans votre sous-sol.

Étant donné que 100 % des affirmations précédentes se sont révélées exactes, qu’elles ne relèvent que du fait et non du complotisme, pourriez-vous prendre le risque d’affirmer que mes prospectives dictatoriales sont délirantes ?

Demandez-vous pourquoi l’UE et les États membres veulent tant de l’euro numérique sinon pour y associer un crédit social.

Dans ce contexte épouvantable, vous voudriez me faire croire que les gentils Français qui en leur temps avaient voté contre la Constitution européenne seraient devenus pro-européens alors que la situation empire chaque jour sous tous les fronts ?

Pensez-vous que les anti-constitution d’hier sont devenus débiles au point de croire que leurs malheurs sont liés à Poutine ou au « réchauffement climatique » ?

De qui se moque-t-on ?

Le Frexit11 ou la mort !

Je suis un partisan d’une UE des peuples et démocratique. Mais j’ai conscience que le machin mis en œuvre est exactement le contraire.

Force est de constater que cette Europe est pour l’instant mortifère et il n’y a de solution que de reprendre une souveraineté nationale.

Il n’est désormais plus possible de nous faire le coup d’une France isolée et pauvre face à une Europe forte et riche.

L’UE est morte, notre industrie est morte, les libertés sont mortes, la paix est morte, il ne reste qu’un champ de ruines. Quand la planète et surtout l’Asie parlent, (non pas parlent, mais agissent), de développement, de croissance, cette UE impose diminution des émissions carbone, diminution des consommations d’énergie, diminution de la production, diminution du nombre d’agriculteurs, diminution de la production de viande, etc. bref un modèle 100 % incompatible avec le monde économique.

Une économie qui ne serait basée que sur le tertiaire sans la moindre production relève de l’escroquerie.

Nous dire que seuls nous serions dans une situation catastrophique devrait faire rire quiconque a la moindre notion d’économie et regarde la réalité.

Voter pour un des partis qui font les 90 % du sondage c’est voter pour du vent,
pour du mensonge, pour de la tromperie et pour de la dictature.

De Lutte Ouvrière à Reconquête en passant par Renaissance, quel que soit celui qui arriverait au pouvoir aurait la même politique économique, migratoire, guerrière, dictatoriale et sociétale que les autres.

TOUT se décide au niveau de l’UE !

Les maîtres du monde n’en ont rien à faire de qui gagne ces élections parmi ceux-ci, au point qu’ils n’hésitent pas à arroser des partis de tout bord, car ils sont gagnants quoi qu’il arrive.

En revanche ils craignent le Frexit. Vous en avez la preuve absolue dans les médias qu’ils contrôlent : aucun invité pro-Frexit ; aucun débat pour ou contre le Frexit. Le silence total ou juste quelques phrases pour expliquer qu’il mènerait au chaos économique et à la dictature (fou rire dans la salle).

L’épouvantail du Frexit ne fonctionne plus

Si en son temps le Frexit passait pour une idée aussi délirante que mortelle, il ne faut pas oublier que le Brexit est passé par là. Et même si les médias ne manquent de nous rappeler que les Anglais vivent en enfer depuis, le fait est que le pays ne semble pas jonché de cadavres et de miséreux dans la rue et sans logement.

C’est bien ici que nous voyons que le « à quoi bon voter » s’effondre tel un château de cartes.

J’entends bien que le Frexit n’est pas une solution nécessaire ET suffisante, mais uniquement une solution nécessaire.

D’autant plus nécessaire que le projet des mondialistes est d’ajouter de nouveaux pays membres afin de rendre l’Europe de plus en plus ingouvernable d’un point de vue démocratique et de plus en plus administrée dictatorialement.

Entre le néant de l’UE et l’inconnu du Frexit, mon choix est fait.

À tous les résistants qui lisent ce texte, je dis que le Frexit ne relève pas de l’utopie, nous ne sommes pas plus cons et plus lâches que les rosbifs, si eux l’ont fait nous le pouvons aussi.

Et il y a bien une chose pour laquelle je suis certain est que l’abstention n’est pas de nature à cheminer vers le Frexit alors que le vote pour une liste pro-Frexit est une condition nécessaire (mais non suffisante) pour mettre en place les modalités.

Croyez bien que nos dictateurs ne proposeront jamais de mettre au référendum la question du Frexit si un fort mouvement populaire et politique ne s’impose pas.

Une opposition à l’UE de plus en plus marquée ?

Vous faites quoi des millions de Gilets jaunes, des millions de Français vent debout durant des semaines contre le passe sanitaire ou des agriculteurs qui ont bien compris que l’UE avait pour objectif de les tuer !

Sans compter qu’il y aurait environ 10 millions ou plus d’adultes qui ont refusé l’injection expérimentale.

Pouvez-vous imaginer qu’ils voteraient pour cette UE, pour un prochain abonnement à des injections létales successives ?

Toute cette opposition, partie émergée de l’iceberg se saurait être représentée par ces partis crédités de 90 % des voix !

Où sont passés les 54 % du référendum ?

Nous sommes dans une situation dans laquelle le nombre de Français opposés, déçus, ou trahis par cette UE n’a pu qu’exploser depuis les élections de 2005 et le coup d’État anti-démocratique.

L’IA me dit que 95 % des Français en âge de voter seraient inscrits sur les listes électorales et que cela représenterait début 2024 ce qui correspond à 49,4 millions d’électeurs adultes.

Il serait raisonnable de penser que nous sommes largement plus de 30 % pour ne pas dire plus de 50 % comme pour le référendum, à vouloir dire STOP !

L’occasion d’exister

D’aucuns diraient « à quoi bon voter » pourtant ils étaient 70 % à avoir mis leur bulletin dans les urnes en 2005.

L’adage « qui ne dit mot consent » est une réalité. Je ne vois pas en quoi les maîtres du monde seraient attristés par leur non-participation.

Je vous rappelle que les chiffres finaux sont donnés en fonction du pourcentage d’exprimés et que les absentions ne sont pas comptabilisées. Un vrai décompte dans une démocratie devrait permettre de laisser des chaises vides auquel cas il pourrait devenir intéressant de voir une assemblée avec 40 députés au lieu de 800. Mais ce n’est pas le cas ! Quand bien même l’abstention serait de 80 % (ce qui ne saurait exister) la somme des voix des présentés à l’élection serait quand même de 100 % !

En revanche si nous votons pour une liste souverainiste pro-Frexit, si cette liste obtient à minima 5 % et quand bien même le gars tête de liste serait un traître, nous n’en avons que faire !

Pourquoi ? Pour la simple raison qu’il sera possible de nous compter, nous serons des millions à avoir dit « NON ».

Il n’y a rien d’antinomique à voter lors d’élections européennes pour dire non à cette Europe.

C’est l’unique façon d’exister. Je vous rappelle que les journalistes mainstream, pardon les propagandistes mainstream, ne sont que des putes sans la moindre conscience et que si le camp des souverainistes se met à exister électoralement alors il existera dans les médias.

Pour revenir aux sondages.

Ne nous trompons pas, il est plus que probable que les sondages deviendront la « réalité » de l’élection.

Prenons une hypothèse pessimiste et même illogique au regard du rejet de l’institution européenne auprès de nombreux français.

Ignorons qu’ils soient de plus en plus nombreux à comprendre qu’un Président ou un Député français ne sont que des pions sans le moindre pouvoir et que les lois se décident (à minima) à Bruxelles.

Le taux de participation en 2005 était d’environ 69 %

Le taux de participation pour la dernière élection européenne était d’environ 51 %. Soit 8 % de plus qu’en 2014, cela laissant entendre que les Français semblent comprendre que seules ces élections peuvent peser.

Imaginons que ce taux demeure inchangé et que le différentiel de 18 % d’abstentionnistes par rapport au référendum de 2005 ne soit que des électeurs opposés à cette UE.

Supposons que les contre d’hier soient les contre d’aujourd’hui alors 18 % abstentionnistes + 10 % de souverainistes (selon le sondage), ne donnerait que 28 % contre l’UE.

Où sont passés les 55 % de contre de 2005, où ont disparu les 27 % (55-28) qui manquent ?

Ceci est une preuve du mensonge, laisser entendre que les partis qui veulent rester dans l’UE vont faire 90 % des voix aux élections alors qu’ils n’étaient que 45 % lors du référendum de 2005 relève de la république bananière.

Si les sondages actuels sont convertis en voix alors nous saurons que les élections ont été truquées comme en 2017.

Réveillons-nous, réveillons-les !

Il est d’autant plus difficile de truquer une élection que le nombre de votes à manipuler est important.

Le sujet n’est pas de savoir si les députés qui s’affirment souverainistes vont nous trahir ou pas.

En premier lieu parce que c’est leur faire un procès d’intention et qu’en deuxième lieu ce qui compte ce n’est pas ce qu’ils vont faire, mais le nombre d’électeurs qu’ils représentent.

En ne votant pas, nous ne sommes rien, nous n’existons pas dans les statistiques.

Ne pas voter pour une liste ostensiblement pro-Frexit
c’est laisser le tapis rouge aux mondialistes et à la dictature mondiale.

Il me semble difficile par la suite de se plaindre de la situation et je ne vois pas ce qu’il y aurait de formidable d’aller se saouler jours après jours dans un bar en hurlant « monde de merde, tous des pourritures, il n’y a rien à faire, nous sommes foutus quoique nous fassions ».

Même le français le plus ignorant nourri exclusivement à la bile des médias voit bien la guerre, la dégradation de l’économie, des valeurs et des libertés. Il suffirait de pas grand-chose pour qu’il comprenne (voyez les paysans) que l’UE est notre arrêt de mort.

Les médias censurent le sujet du Frexit, ils vont même jusqu’à dire que les Français sont majoritairement contre pour s’assurer que vous n’iriez pas dans la mauvaise direction.

Informez le peuple et il votera pour le Frexit à n’en point douter.

Voter pour une liste ouvertement pro-Frexit (Philippot, Asselineau, Lalanne, etc. à voir quel est le vote utile parmi celles et ceux qui font la promotion du Frexit) c’est planter une graine dont la forêt contraindra nos dirigeants à provoquer un référendum.

Au pire cela les contraindra à reconnaître que « l’UE est une dictature sur le modèle de la Corée du Nord », ce qui serait préférable à l’escroquerie actuelle laissant croire que nous sommes en démocratie sous censure et violation de nos libertés fondamentales.

Il serait quand même lamentable que la somme des listes pro-Frexit ne fasse que 5 % des voix alors même qu’ils sont plus de 30 %.

Merci.

Alain Tortosa12
28 mars 2024
https://7milliards.fr/tortosa20240328-le-frexit-ou-la-mort.pdf





Poutine et Cipolla face à la stupidité occidentale

Par Nicolas Bonnal

On va donc refaire la guerre.

« Il ne manque pas un bouton de guêtre », disait l’auguste maréchal Le Bœuf en 1870, six mois avant de rendre glorieusement le fort de Metz avec l’illustre Bazaine, un autre maréchal de France…

Flaubert écrit alors dans sa correspondance :

« Ce peuple mérite peut-être d’être châtié, et j’ai peur qu’il le soit. »

Nous sommes arrivés à un tel point dans la catastrophe française et sommes dirigés par de tels idiots que nous ne savons pas si cette nation-machin ruinée et surendettée survivra dans trois ans. Il est vrai qu’une partie des idiots aux affaires veut aussi nous faire disparaître pour obéir au conclave ploutocrate de Davos. Et comme une grande partie de la population est d’accord (télé-addiction, antiracisme, féminisme rousseauiste-sic, humanitarisme BHL, Grand Reset, russophobie, écologie, bellicisme ultra, chasse au pauvre et au carbone ou maintenant aux arbres, demandez le motif), pourquoi se gêneraient-ils ?

Depuis deux ans l’ennemi réduit sans y toucher l’OTAN à de la bouillie de chat ; il l’a fait avec 6 % du budget militaire US (60 milliards contre 1100) et avec un sixième de ses propres troupes, les mêmes qui doivent se faire exterminer par deux ou vingt mille (qui sait alors ?) zouaves français ; en même temps l’Europe avance vers le Grand Reset involontaire (enfin, presque) à coups de pénurie et de passe énergétique, voire de confiscation des comptes bancaires. L’Ukraine entêtée (découvrez le livre de ma femme sur le patriotisme ukrainien qui a toujours été virulent et sous-estimé, surtout par les Russes) va continuer ses opérations. Biden et Blinken seront contents sauf qu’ils peuvent aussi sauter électoralement, ayant fait doubler ou tripler le prix de l’essence dans le premier pays motorisé du monde automobile. On ne parlera pas de l’immobilier et des loyers (3000 dollars mensuels comme prix de base à Miami, 1200 dollars pour un 5 m 2 à New York, voyez le Daily Mail…).

Mais continuons, comme dirait Sartre avec son trio imbécile aux enfers. La France est désindustrialisée et connaît un déficit commercial mensuel de cent milliards… de francs ; l’Allemagne des débiles sociaux-écolo-démocrates connaît ses premiers déficits commerciaux qui vont durer et s’amplifier ; les USA de Biden sont à plus de mille milliards de déficit commercial par an (34 000 milliards de dette ; mais la bourse monte)…

La Russie est excédentaire de 300 milliards d’euros chaque année, devenue grâce aux sanctions la quatrième (elle dépasse le Japon cette année ou la prochaine) puissance économique et la deuxième puissance commerciale du monde (première puissance militaire elle l’était déjà sauf pour les distraits, les néo-Gamelin et autres colonels Goya-Yoda-yoga…).

Mais ne passons pas à côté du grand mystère : l’abrutissement occidental.

J’ai écrit de nombreux textes sur la stupidité. Elle me paraît une marque occidentale dans la mesure où elle est industrialisée depuis l’imprimerie faustienne (voyez Guénon, Barzun, McLuhan, Lévi-Strauss, etc.) : le patriotisme fut une caractéristique de cette stupidité qui est toujours hystérique et violente. Céline en parle très bien de cette « religion drapeautique qui remplaça promptement la première » (c’est dans le Voyage) mais aussi Marshall McLuhan qui étudiant Pope et la Dunciade dénonce le développement industriel du conditionnement psy à cause de l’imprimerie — à qui on doit les sanglantes et interminables guerres de religion ; Flaubert a tonné contre les idées reçues plus tard, et Ortega Y Gasset a dénoncé lui ces terrasses pleines, ces salles de cinéma pleines (Hermann Hesse aussi dans le pauvre Loup des steppes), ces cafés pleins, ces réunions politiques pleines de fascistes, de communistes, de socialistes, de libéraux et maintenant d’européistes et autres mondialistes convaincus. L’Occidental est composé de deux classes : la classe qui prône « l’ineptie qui se fait respecter partout » (Debord) et la classe de « l’imbécillité qui croit que tout est clair » (Debord encore) parce qu’elle l’a vu et cru à la télé ou dans les journaux. McLuhan a été définitif : la rage occidentale vient toujours de l’imprimé.

On est industriellement sous hypnose depuis Gutenberg.

En face il y a la Russie et la Chine et les Brics plus adultes. L’Occident est-il fondamentalement stupide ? Entre révolutions, nationalisme, socialisme, colonisation, décolonisation, Grand Reset et écologie, est-il fondamentalement un continent d’imbéciles, ces imbéciles dit Bernanos dont la colère menace le monde ? Ouvrez vos journaux, écoutez BHL et BFM pour vous en rendre compte.

Le sujet est vaste ; je vais rappeler l’époustouflant professeur italien (souvent des imbéciles, ces professeurs, relisez Molière et son Bourgeois gentilhomme en ce sens) Cipolla et ses cinq lois de la stupidité. Je les donne en annexe mais je rappelle la principale pour moi :

« elle crée des problèmes à un groupe de personnes sans en tirer le moindre bénéfice. »

Cela me paraît résumer notre classe politique actuelle efféminée, gnostique, idéaliste, pleurnicharde, écologiste, humanitaire, ignare et demeurée — mais sélectionnée en ce sens par les tireurs de ficelles façon Fink (BlackRock) ou Klaus Schwab. Car l’occident reste avec sa « culture du carnage » helléno-hébraïque le lieu des tireurs de ficelles. Mais on n’en dira pas plus de peur de passer pour un complotiste (chaque curieux qui DEMANDE OU DONNE UNE EXPLICATION devient un complotiste. Toute explication devient ontologiquement complotiste).

Rappelons donc ces lois de Cipolla sur la stupidité :

« Une personne stupide est une personne qui crée des problèmes à une autre personne ou à un groupe de personnes sans en tirer elle-même le moindre bénéfice. »

Carlo Cipolla avait établi 5 lois immuables de la stupidité :

Loi 1 : Toujours et inévitablement nous sous-estimons le nombre d’individus stupides en « liberté ».

Peu importe le nombre d’idiots que vous imaginez autour de vous, vous sous-estimez invariablement le total. Pourquoi ? Parce que vous partez du principe faux que certaines personnes sont intelligentes en fonction de leur travail, de leur niveau d’éducation, de leur apparence, de leur réussite… Ce n’est pas le cas.

Loi 2 : La probabilité qu’une personne soit stupide est indépendante des autres caractéristiques de cette personne.

La stupidité est une variable constante dans toutes les populations. Toutes les catégories qu’on peut imaginer — de genre, ethnique, religieuse, de nationalité, de niveau d’éducation, de revenus — possèdent un pourcentage fixe de personnes stupides. Il y a des professeurs d’université stupides. Il y a des gens stupides au Forum de Davos, à l’ONU et dans toutes les nations de la terre. Combien y en a-t-il ? Personne ne sait. Voir la Loi 1.

Loi 3 : Une personne stupide est une personne qui crée des problèmes à une autre personne ou à un groupe de personnes sans en tirer soi-même le moindre bénéfice.

Mais les stupides sont eux constants. C’est pour cela qu’ils sont si dangereux.

« Les personnes stupides sont dangereuses et créent des dommages avant tout parce que les gens raisonnables ont du mal à imaginer et à comprendre des comportements aberrants. Une personne intelligente peut comprendre la logique d’un voyou. Une rationalité détestable, mais une rationalité… Vous pouvez l’imaginer et vous défendre… Avec une personne stupide, c’est absolument impossible. Une personne stupide va vous harceler sans aucune raison, pour aucun avantage, sans aucun plan et aucune stratégie… Vous n’avez aucune façon rationnelle de savoir quand, où, comment et pourquoi une créature stupide va attaquer. Quand vous êtes confronté à un individu stupide, vous êtes complètement à sa merci… ».

Loi 4 : les personnes non stupides sous-estiment toujours les dégâts que peuvent faire les individus stupides. Elles oublient en permanence que conclure un marché ou s’associer avec des personnes stupides est une erreur très coûteuse.

Nous sous-estimons le stupide à nos risques et périls.

Loi 5 : Une personne stupide est la plus dangereuse des personnes.

Elle est plus dangereuse qu’un voyou, car nous ne pouvons rien faire ou presque contre la stupidité. La différence entre les sociétés qui s’effondrent sous le poids de leurs citoyens stupides et celles qui surmontent cette difficulté tient à une chose : leur capacité à produire des citoyens se comportant de façon intelligente dans l’intérêt de tous.

Si dans la population non stupide, la proportion de voyous et de personnes agissant à l’encontre de leurs propres intérêts est trop importante : « le pays devient alors un enfer », conclut Marco Cipolla.

Le début de la phase finale de la stupidité postmoderne date des années soixante (on y reviendra) : on a d’un coup la révolution sexuelle (qui accouche de l’avortement puis de la tyrannie LGBTQ), l’antiracisme, le féminisme, l’écologie, le bellicisme humanitaire façon BHL qui rejoint l’apocalypse sauce néo-cons, on a la fin des valeurs, Vatican II, mai 68, les villes nouvelles, l’immigration de remplacement, le binôme télé-bagnole (voir la mère maquerelle d’Audiard), on a le grand effondrement à la romaine (revoir Fellini, Kubrick, Tati, Godard, etc.), et la désindustrialisation aussi, tout cela aboutissant à l’actuelle catastrophe. Enfin on a la tyrannie informatique (Hal 9000 dans 2001).

La stupidité est mortelle.

Sources :

http://www.cefro.pro/media/02/02/1435522111.pdf

Tetyana Bonnal — la poésie patriotique ukrainienne (Amazon.fr)

Nicolas Bonnal — la destruction de la France au cinéma (Amazon.fr)

https://fr.wikipedia.org/wiki/Edmond_Le_B%C5%93uf

https://www.dedefensa.org/article/rene-guenon-et-notre-civilisation-hallucinatoire

https://www.dedefensa.org/article/levi-strauss-et-la-civilisation-cannibale

https://www.dedefensa.org/article/maxime-du-camp-et-le-declin-francais-en-1870




Septembre 2001 aux États-Unis : analyse physique des évènements

Par Christian DARLOT

Résumé :

La version officielle de la destruction des tours de Manhattan et de l’attentat au Pentagone, en septembre 2001, est incompatible avec les lois de la Physique. Mais les principes fondamentaux de la Physique permettent, par une analyse simple, d’identifier le procédé de destruction.

Une version précédente de cet article a été publiée en septembre 2021 sur le site du Saker francophone, cosignée par François ROBY, enseignant-chercheur en Physique, à qui la plus grande part de l’analyse physique est due, mais qui n’a pas souhaité s’associer à cette nouvelle publication.

Christian DARLOT est chercheur en Physiologie.

Table des matières

  • 1 Pas d’avion

    • 1.1 Pas d’avion à Manhattan

      • 1.1.1 Absence de preuve matérielle
      • 1.1.2 Vidéos diffusées dans les médias
      • 1.1.3 Illusion de la mémoire
      • 1.1.4 Impossibilité mécanique
      • 1.1.5 Preuve par l’exemple : duel d’un avion et d’un gratte-ciel en 1945

    • 1.2 Pas d’avion au Pentagone

  • 2 Destruction de trois gratte-ciel

    • 2.1 Structure des immeubles
    • 2.2 Physique newtonienne ou harrypotterrienne ?
    • 2.3 Effondrement sans cause : l’énigme de la tour n° 7
    • 2.4  Effondrement et pulvérisation des tours : d’où provint l’énergie ?

      • 2.4.1 Incendies de bureau
      • 2.4.2 Preuve par l’exemple : incendies de gratte-ciel
      • 2.4.3 Explosions et effondrement
      • 2.4.4 Persistance d’un grand dégagement de chaleur
      • 2.4.5 Déblaiement des ruines

    • 2.5 Fausseté de l’explication officielle

  • 3 Explosions nucléaires souterraines

    • 3.1 Insuffisance des explosifs chimiques, nécessité d’explosifs nucléaires
    • 3.2 Technique de démolition d’urgence prévue dès la construction
    • 3.3 Destruction des tours de Manhattan

  • 4 Conclusions

Les attentats du 11 septembre 2001, à Manhattan et au Pentagone, ont déclenché plus de 20 années de guerre au Proche-Orient, la mort violente ou l’exil de millions de personnes, et la ruine de plusieurs États. Ce désastre se prolonge par la guerre en Ukraine et le génocide en Palestine. Identifier l’origine de ces attentats est donc capital pour comprendre et anticiper l’évolution des relations internationales. Mais le rapport officiel des pouvoirs publics étasuniens présente tant de lacunes et d’impossibilités physiques qu’il n’explique rien. Pourtant le choc d’un avion contre un immeuble et l’effondrement d’une tour sont déterminés par les lois de la Physique. Ces faits peuvent donc être étudiés selon une méthode sûre : l’analyse physique des observations. L’objectivité de principe d’une telle analyse n’empêche pas la compassion envers les victimes, mais au contraire peut permettre d’élucider les causes de leur mort, innocenter des innocents, identifier les coupables et les empêcher de récidiver.

Sources :

Outre le rapport officiel aussi lacunaire que volumineux 1 une recherche sur Internet permet de trouver foison de documents, de photos et de vidéos des évènements à New York. Au contraire, très peu de documents sont accessibles sur l’attentat du Pentagone à Washington, et presque pas sur l’écrasement d’un avion en Pennsylvanie. 2

Selon un principe fondamental de tout débat, la charge de la preuve incombe à qui affirme. La première étape de la recherche de la vérité est donc d’examiner la compatibilité de la version officielle avec les conditions physiques des évènements.

1 Pas d’avion

1.1 Pas d’avion à Manhattan

Le premier souvenir gravé dans les mémoires est celui d’évènements qui n’eurent pas lieu : les frappes de deux avions contre les plus hautes tours de Manhattan.

Nul avion ne frappa ces tours.

Apparemment surprenante, cette affirmation est prouvée par les faits : l’absence de preuve matérielle, le trucage des vidéos, et l’impossibilité physique pour un avion de voler vite à basse altitude, de percer un immeuble et d’y disparaître entièrement.

1.1.1 Absence de preuve matérielle

Un des rares débris trouvés à Manhattan fut un moteur… mais il n’était pas d’un modèle équipant les avions prétendument entrés dans les tours. 3 Des quatre « boîtes noires » (deux par avion) enregistrant les informations sur le vol, pas une ne fut retrouvée. 4 La seule pièce à conviction trouvée dans la poussière d’acier et de béton couvrant les rues fut un passeport miraculeusement intact. 5 Ignifugé ? Jeté par la fenêtre de l’avion, en souvenir, avant le choc ? 

Le rapport officiel conclut donc logiquement que nul indice matériel ne prouve l’identité des avions supposés avoir frappé les tours.

1.1.2 Vidéos diffusées dans les médias

Les vidéos diffusées, et encore disponibles sur Internet, se classent en deux catégories :

1/ Celles diffusées au moment même montrent, sur des images de mauvaise qualité, des silhouettes d’avions à contre-jour, entrant en entier dans les tours sans ralentir. Sur plusieurs vidéos, une silhouette disparaît derrière la tour sud puis pointe le bout de son nez de l’autre côté (ce que les analystes de ces images ont nommé « le nez de Pinocchio »), comme si l’avion l’avait traversée toute entière sans se déformer : un carreau d’arbalète. Montage bâclé, par incrustation d’images en quasi-direct grâce à un tampon de quelques dizaines de secondes rendant le trucage possible, mais hâtif. Aussitôt après cette séquence bizarre, l’image est interrompue pendant une fraction de seconde (un « écran noir »), comme si un technicien, conscient de la bévue, avait voulu la minimiser en interrompant la retransmission. 6

Le jour même, les chaînes de télévision dégagèrent leur responsabilité en plaçant dans les images un encart « By courtesy of… », signalant que ces vidéos n’avaient pas été faites par leur personnel, mais par des personnes extérieures. 7 Cette précaution disparut ensuite.

La vitesse mesurée de l’avion censé avoir frappé la tour sud est proche de 900 km/h8, la vitesse de croisière normale à 10 000 mètres d’altitude, où l’air est trois fois moins dense qu’à la basse altitude où ces avions sont censés avoir volé pour échapper aux radars. Quoique les coefficients de sécurité mécanique en Aéronautique soient d’au moins 3, à une telle vitesse, au niveau de la mer, la structure d’un avion ne pourrait encaisser longtemps les contraintes aérodynamiques et se disloquerait, comme l’association « Pilots for 9/11 Truth » l’a montré. 9

2/ Les vidéos diffusées au cours des jours et semaines suivants, « filmées par des amateurs » tous en lien avec les métiers de l’audiovisuel, sont de meilleure qualité grâce à un temps de calcul plus grand, mais la trajectoire d’un même avion et sa vitesse varient d’une séquence à l’autre. Les avions paraissent encore absorbés par les tours, sans bris d’ailes ni chute de débris.

Traitement des images par incrustation

Ces images sont des montages par incrustation vidéo. Cette technique, désormais à la portée des amateurs (les téléphones portables permettent des effets très divers, même au cours de simples conversations vidéo), était récente en 2001 pour du quasi-direct, et peu connue du grand public. Ces silhouettes d’avions passe-murailles sont impossibles dans le monde réel, mais familières aux connaisseurs de dessins animés.

1.1.3 Illusion de la mémoire

Les silhouettes des avions furent incrustées, mais des explosions eurent bien lieu. 10 Les rues de Manhattan sont larges, ce ne sont pas des ruelles, mais les tours sont hautes par rapport à la largeur des rues. Les passants ne virent donc que des flammes et de la fumée, et pour comprendre ce qui se passait regardèrent les chaînes de télévision diffusant les films truqués. 11 Témoins des explosions, ils crurent de bonne foi avoir vu la frappe des avions. 12

Illusion psychologique classique.

1.1.4 Impossibilité mécanique

Afin qu’il soit léger, un avion est un tube creux en tôle d’alliage d’aluminium de quelques millimètres d’épaisseur, rivetée sur une armature aussi en alliage d’aluminium. Un avion ne peut pénétrer sans déformation visible dans une tour pour une raison simple : le principe des actions réciproques, ou d’égalité de l’action et de la réaction, ou « troisième loi de Newton », valide en statique et en dynamique.

En statique : le haut d’un immeuble pèse sur le bas, et en retour le bas exerce vers le haut une force de soutien égale au poids du haut. La somme est nulle, et l’immeuble reste en équilibre.

En dynamique : lorsque deux objets se heurtent — par exemple deux billes, ou une balle contre un mur —, chacun exerce une force sur l’autre, et ces forces sont égales, mais de sens opposés. Lors du choc d’un avion contre une tour, la partie de l’avion heurtant la façade exerce une force, et la façade exerce sur cette partie de l’avion une force opposée et égale.

Ce principe détermine les lois de résistance des matériaux. Tout outil de découpe doit être plus dur que le matériau qu’il entame. Ainsi, une fraise en acier peut découper du duralumin (un alliage d’aluminium et de cuivre employé en construction aéronautique) parce que l’acier est plus dur que le duralumin. 13 L’effet du choc de deux objets dépend des duretés relatives des matériaux, et celle des aciers de construction est plus grande que celle des alliages aéronautiques. 14 L’analyse détaillée du choc de deux objets non pleins, comme la structure tubulaire d’un avion de ligne et le treillis de poutres d’un gratte-ciel, nécessite des notions précises de Mécanique15, mais dans le cadre de ce principe général.

En Physique comme en tout domaine, les principes généraux déterminent les lois particulières.

Selon le principe fondamental de la dynamique, ou « deuxième loi de Newton », le changement de vitesse d’un objet en mouvement est proportionnel à la force exercée sur lui. 16 L’observation des images vidéo permet d’estimer la décélération de l’avion au moment de la collision supposée. Or la silhouette d’avion ne ralentit pas, ni ne se déforme, pendant qu’elle traverse la façade. La décélération serait ainsi très faible, et donc la force aussi. Puisque les forces exercées par l’avion sur la façade, et par la façade sur l’avion, sont opposées et d’égales intensités, une force très faible aurait causé à la façade les dégâts spectaculaires que le monde entier a vus ! Un avion, un tube en aluminium, aurait pu briser un réseau de poutres en acier sans se déformer, ni même ralentir, sans que les ailes ne se brisent ni même se plient !

Cette impossibilité pour un avion de briser un réseau de poutres en acier sans se déformer est indépendante de l’énergie cinétique (égale au produit de la masse par le carré de la vitesse). Certes, plus l’énergie cinétique est grande, plus graves sont les dégâts, mais, quelle que soit la vitesse, l’objet le moins dur est plus déformé que l’objet le plus dur. 17 Si une canette de soda vide est lancée, même très vite, contre la grille de la Préfecture, la grille sera-t-elle brisée ? Une balle de ping-pong troue-t-elle une raquette sans se déformer ? 18

1.1.5 Preuve par l’exemple : duel d’un avion et d’un gratte-ciel en 1945

Le réseau de poutres en acier constituant la structure extérieure des tours avait été conçu pour résister aux tempêtes et au choc d’un avion de ligne. 19 Cette contrainte réglementaire fut dictée par l’expérience : par un jour de brume, le 28 juillet 1945, un bombardier B-25 heurta l’Empire State Building. La force subie par l’avion dépassa le seuil de résistance d’un tube en aluminium ; il s’écrasa contre la façade, les ailes et la carlingue tombèrent dans la rue, et seules des parties dures des moteurs et du train d’atterrissage trouèrent la façade. Les trois hommes de l’équipage, et onze personnes travaillant dans l’immeuble furent tués. L’incendie fut maîtrisé en trois quarts d’heure. Cette fois, un avion réel frappa un immeuble à une vitesse conforme aux lois de l’Aéronautique, et l’accident respecta les lois de la Physique et du bon sens. 20 Quant à l’Empire State, tel le Veau d’Or, il est toujours debout ; merci d’avoir pris des nouvelles de sa santé.

En résumé :

– Des explosions se produisirent.

– Nulle preuve matérielle de la présence d’avions à Manhattan ne fut jamais trouvée.

– Selon les lois de la Mécanique, un avion ne peut pas frapper un immeuble sans ralentir ni se déformer, ne peut pas entrer dans l’immeuble, et encore moins le traverser de part en part.

– L’expérience prouve qu’un avion s’écrase contre une tour, mais ne la transperce pas, et que la plupart des débris tombent au sol.

– Les vidéos montrant la disparition complète d’un avion dans une tour sont des montages.

Conclusions : nul avion ne frappa les tours de Manhattan ; les explosions furent déclenchées de l’intérieur des immeubles ; les auteurs des vidéos étaient connus des chaînes de télévision.

1.2 Pas d’avion au Pentagone

Nul avion ne frappa non plus le Pentagone. 21 Les photographies ne montrent, sur la pelouse devant la façade, qu’un seul débris métallique, inidentifiable, mais ni bagages éparpillés, ni kérosène en flammes. La fumée noire résulte de la combustion d’un camion.

Un avion de ligne ne peut faire de virage serré comme un chasseur et ne peut rester en rase-mottes sur 600 mètres. 22 Il lui est plus difficile encore de replier les ailes comme une chauve-souris qui se suicide. Le Pentagone n’est pas plus haut qu’un immeuble haussmannien, 23 mètres, et un Boeing 757-200 n’est pas un tapis volant. Faire entrer entièrement un avion de 12 mètres de haut, 47 mètres de long et 38,50 m d’envergure dans un trou de 6 mètres de diamètre, au rez-de-chaussée d’un bâtiment, c’est un exploit technique révolutionnaire. Puisqu’aucun débris ne fut trouvé, les ailes et le train d’atterrissage se seraient évaporés, l’alliage d’aluminium se serait vaporisé (température nécessaire : 3000 °C) et l’alliage très résistant des moteurs se serait sublimé, mais le nez en fibre de carbone aurait percé six épaisseurs de murs. 23 Physique innovante !

Les environs du bâtiment étaient dans le champ de 85 caméras de surveillance, mais seulement quelques images peu nettes ont été publiées. 24 Une tache blanche, oblongue, fugace, peut suggérer un missile tiré d’un avion et des témoins affirmèrent avoir entendu un sifflement strident. 25 Pour échapper aux batteries antiaériennes automatiques, un missile doit être détecté comme « ami ». Autre possibilité, des explosifs auraient été placés dans le bâtiment lors des travaux de rénovation récemment achevés. 26 Des photos prises avant l’écroulement de la façade montrent en effet des débris tombés hors du bâtiment, indiquant une explosion à l’intérieur. Dans les deux cas, des complicités au Pentagone auraient été nécessaires.

L’incendie au Pentagone fut vite éteint par les pompiers. Les Tours Jumelles et le Pentagone étaient certes des bâtiments très différents, mais les mêmes projectiles supposés — des avions de ligne contenant du kérosène — auraient-ils déclenché un feu infernal dans des tours très robustes et un petit incendie dans un bâtiment, certes solide, mais classique ?

En résumé :

– Nulle trace matérielle ne prouve la présence d’un avion.

– Un avion de ligne ne peut effectuer la manœuvre supposée.

– Un avion ne peut entrer (ailes comprises !) dans un trou de 6 m de diamètre.

– Un missile aurait été nécessairement « ami ».

– Les travaux récemment terminés pourraient avoir permis d’installer des explosifs.

Conclusion : nul avion ne frappa le Pentagone.

2 Destruction de trois gratte-ciel

2.1 Structure des immeubles 

La majeure partie de la masse des tours WTC1, WTC2 et WTC7 était constituée d’acier de construction et de béton léger utilisé dans les planchers, et n’était donc pas combustible. Selon le NIST, chacune des tours jumelles contenait 87 090 tonnes d’acier de construction. 27 La masse en service du WTC1 était d’environ 290 000 tonnes (2,9 × 10kg), en accord à la masse par unité de surface de plancher de bâtiments similaires. 28

Dans la plupart des gratte-ciel, tous les étages ont les mêmes dimensions, mais ceux du bas supportent ceux du haut. Cette évidence implique que la structure porteuse est plus robuste en bas qu’en haut. La contrainte de stabilité que la forme de la Tour Eiffel rend bien visible est cachée par l’apparence parallélépipédique des immeubles-tours. 29

Schématiquement, les tours de Manhattan étaient constituées de deux structures emboîtées, et solidarisées au sommet tour par un « chapeau » très résistant :

1/ La structure intérieure, de plan rectangulaire, contenant les cages d’escaliers et les ascenseurs, mesurait 26,5 mètres sur 41 mètres et était constituée, de la base jusqu’au sommet de la tour, de 47 colonnes reliées entre elles par des entretoises, et entourées de panneaux en gypse. Ces colonnes étaient des tubes en acier, de section carrée, typiquement de 35 cm de côté, et dont l’épaisseur des parois décroissait de bas en haut : 5 pouces (12,7 cm) pour les 5 étages les plus bas, 2,5 pouces (6,35 cm) pour les étages au-dessus, et décroissant progressivement jusqu’à ¼ de pouce (6,35 mm) pour les étages 102 à 110. Cette structure supportait 60 % de la charge verticale.

2/ La structure extérieure, de plan carré, supportait 40 % de la charge statique totale. Elle était constituée de 236 colonnes en acier, 59 sur chaque façade, du 6e au 107étage, espacées d’un mètre, encadrant des fenêtres de 60 cm de largeur. Les colonnes des cinq étages du bas étaient plus robustes, et plus espacées afin de permettre l’entrée dans les tours. Cette façade porteuse avait été construite par assemblage décalé de modules préfabriqués, constitués de 3 colonnes sur 3 étages, dont l’épaisseur des parois diminuait de bas en haut, comme dans la structure centrale. Dans la tour sud, au 81étage, niveau de l’explosion (de « l’impact de l’avion »), l’épaisseur était de 0,875 pouce (2,22 cm). Quand souffle un vent fort, la répartition des charges d’une tour varie, la charge dynamique étant alors asymétrique entre les façades. La façade au vent peut même être en tension, d’où l’usage de l’acier pour la structure, car les autres matériaux de construction (pierre, béton…) résistent bien en compression, mais mal en traction. Cette grille solide, en acier, ne peut avoir été traversée par un avion en alliage d’aluminium. 

Pour la sécurité, les colonnes centrales pouvaient supporter trois fois plus que le poids qu’elles ne supportaient réellement, et les colonnes périphériques cinq fois plus.

2.2 Physique newtonienne ou harrypotterrienne ?

Quelques heures à peine après ces effondrements, l’ingénieur en génie civil Zdeněk Bažant les interpréta comme une propagation de la chute de quelques étages, interprétation illustrée par l’image de la « pile d’assiettes » : les étages des Tours Jumelles auraient été comparables à des assiettes accrochées aux structures porteuses — les colonnes du noyau central et de la façade. 30 Les attaches auraient pu supporter le poids d’un étage, mais pas celui de tous les étages situés au-dessus. Si une cause, telle qu’un incendie localisé au niveau des « impacts d’avions », faisait rompre les attaches de quelques étages, ces « assiettes » tomberaient sur celle du dessous, dont les attaches ne résisteraient pas au poids et à l’énergie cinétique des assiettes tombant, et se briseraient à leur tour. Les assiettes déjà décrochées tomberaient alors sur celle encore en dessous. De proche en proche, les assiettes se décrocheraient l’une après l’autre, et toutes dégringoleraient en cascade jusqu’en bas. Raisonnement juste, fondé sur une prémisse fausse : l’attachement d’étages rigides à quelques colonnes par des attaches fragiles.

En fait les étages des gratte-ciel sont solidaires de toutes les colonnes. Même en admettant l’image simpliste de plateaux accrochés à des structures porteuses, chaque plateau aurait été attaché aux 283 colonnes, et toutes les attaches n’auraient pu se rompre au même instant. 31 Une rupture soudaine est possible pour le béton et la maçonnerie, mais l’acier est un matériau déformable à haute température. Améliorés par des décennies de recherche scientifique et technique, les calculs de résistance au feu de l’acier permettent de prévoir le comportement des structures. 32 En regardant si les poutres se déforment, les pompiers peuvent anticiper un risque d’écroulement. Le résultat final de ces chutes en cascade eût d’ailleurs été un tas de « débris d’assiettes », tandis que les structures interne et externe seraient restées debout, tout au plus vacillant par manque d’entretoises. En réalité, une grande part de l’acier et du béton des tours fut réduite en poussière, et les décombres n’étaient pas des entassements de fragments de dalles. La théorie de la pile d’assiettes n’explique pas ces faits, et est incompatible avec les lois de la Physique. Pourtant de vaillants journalistes et de téméraires « experts » médiatiques tentèrent de faire admettre l’impossible. 33

À supposer que des colonnes de soutien aient été cisaillées et que des pans de plancher soient tombés, la résistance de la partie basse de l’immeuble aurait arrêté leur chute, selon le principe de conservation de la quantité de mouvement, car cette partie était plus grande et beaucoup plus massive que la partie haute, et soutenue par les fondations ancrées dans le sol. Tant que le bas resta solide, la force résistante exercée du bas vers le haut resta égale à la force exercée du haut vers le bas. Le haut de l’immeuble ne peut avoir écrasé le bas.

Le haut de l’immeuble n’écrasa pas le bas ; il est tombé parce que le bas ne le soutint plus.

La Physique n’est pas la magie, elle décrit la réalité sur laquelle elle est fondée. Il ne suffit pas, comme dans Harry Potter, d’émettre un vœu pour qu’il se réalise (même de travers). Certes l’Amérique est le continent de tous les possibles, mais les lois de la Mécanique ne s’appliquent-elles pas à Manhattan ?

2.3 Effondrement sans cause : l’énigme de la tour n° 7

Plusieurs heures après les attentats, des incendies s’allumèrent dans une troisième tour, n° 7, située à 150 mètres des tours jumelles, dont elle était séparée par un autre immeuble, et que nul avion n’était censé avoir frappée. Haute de 173 m (47 étages), elle était comparable à la Tour Montparnasse haute de 209 mètres (56 étages). Sa chute fut annoncée plusieurs heures d’avance, même par la télévision BBC, alors qu’elle était encore debout, son image bien visible sur l’écran derrière la présentatrice. Soudain, à 17 h 20, elle s’effondra tout entière en 12 secondes, sur sa base. Par solidarité avec ses grandes sœurs ? Pendant les premières secondes, elle tomba de trente mètres à la vitesse de la chute libre ; après l’avoir d’abord nié, même le NIST dut le reconnaître et admettre que la cause est inconnue. Mais le rapport officiel se contredit en affirmant d’abord « l’effondrement du WTC7 fut un effondrement progressif produit par des incendies » puis (sur la même page !) en mentionnant « une chute libre de la hauteur d’environ 8 étages, selon l’accélération de la pesanteur pendant environ 2,25 s ».

Comment une chute libre pourrait-elle être progressive ?

2.4  Effondrement et pulvérisation des tours : d’où provint l’énergie ?

2.4.1 Incendies de bureau

Le kérosène n’explose pas ; c’est pourquoi il est utilisé en aviation. À supposer même que des avions eussent frappé les tours, le kérosène aurait brûlé en un quart d’heure. Les réservoirs d’un Boeing 757 contiennent au plus 42 680 litres de kérosène, et selon le rapport de la FEMA (Federal Emergency Management Agency Agence fédérale des situations d’urgence), chaque avion transportait 37 900 litres de kérosène. Ce volume est celui d’un cube de 3,35 mètres d’arête, tandis que les deux tours mesuraient 63,4 x 63,4 x 415 mètres. Cinq tours Montparnasse chacune ! 34

Des incendies de bureau durèrent une heure dans la tour sud et une heure et demie dans la tour nord. La plus grande part de l’énergie dégagée par un feu chauffe l’air, d’où la faible efficacité d’un feu dans un âtre, dont la chaleur part surtout par le conduit de cheminée. La quantité d’énergie nécessaire pour atteindre une température donnée dépend de la nature et de la quantité de matériau à chauffer. 35 La température d’un incendie de bureau est 800-900 degrés Celsius. La température de fusion d’un alliage d’acier dépend de la composition chimique, mais reste proche de 1427 °C (1700 K). L’acier commence à mollir vers 600 °C, mais, en une heure, l’air chaud ne peut transmettre au cœur de poutres en acier, épaisses et ignifugées, une quantité d’énergie suffisante pour les ramollir. 36

En outre, une charpente métallique en réseau répartit la chaleur comme un radiateur, donc abaisse la température des poutres. Et comme la chaleur ne diffuse pas instantanément, les structures fléchissent asymétriquement et penchent d’un côté. Les effondrements dus à des incendies ne sont jamais symétriques.

2.4.2 Preuve par l’exemple : incendies de gratte-ciel

En 1975, un incendie dans la tour nord ravagea pendant plusieurs heures la moitié du onzième étage (en bas de la tour), puis se propagea à d’autres étages où il fut bientôt éteint. La structure de la tour ne fut néanmoins pas endommagée. En 1991, un incendie au One Meridian Plaza de Philadelphie dura 18 heures et détruisit 8 des 38 étages. Selon le rapport de la FEMA « Des poutres et des poutrelles se sont tordues ou affaissées… suite à l’exposition au feu, mais les colonnes ont continué à supporter leur charge sans dégât apparent. » 37 En 2004, à Caracas, 20 étages d’une tour de 50 étages brûlèrent pendant 17 heures, mais le gratte-ciel ne s’effondra pas. 38 L’énergie d’un incendie ne peut suffire à détruire un gratte-ciel.

Une relation de cause à effet entre incendie et effondrement est donc exclue.

2.4.3 Explosions et effondrement

Des pompiers et d’autres témoins présents dans les tours entendirent une série d’explosions, au sous-sol, au rez-de-chaussée et dans les étages proches de l’incendie. Des poutres furent éjectées jusqu’à 500 mètres ou s’encastrèrent dans les façades d’immeubles voisins. 39 Les vitesses estimées par analyse des films, image par image, atteignent jusqu’à 110 km/h. Pendant les 7 minutes précédant l’effondrement, une coulée de métal fondu fut filmée tombant du 80e étage d’une façade de la tour Sud, WTC2. L’analyse chimique des décombres identifia des produits de réaction d’un explosif utilisé en démolition, la thermite. Des cordons de thermite auraient causé les coupures obliques nettes, visibles sur des poutres non pulvérisées. Mais des explosifs chimiques ne dégagent pas assez d’énergie pour réduire des bâtiments en poussière, et leur emploi laisse de grands pans de bâtiment d’un seul tenant. 40

Les tours s’effondrèrent en dix à quinze secondes, l’incertitude étant due à la poussière masquant la fin de la chute. 41 Des milliers de tonnes d’acier et de béton furent réduits en grains de quelques millimètres à quelques dixièmes de millimètre, s’élevant en volutes semblables à celles d’explosions volcaniques pyroclastiques, puis se déposèrent en recouvrant les rues d’une couche de poussière épaisse de plusieurs centimètres. Or la quantité d’énergie nécessaire pour broyer un solide est une fonction croissante de la finesse des grains. D’où provint l’énergie ?

Non seulement la pulvérisation des matériaux nécessita beaucoup d’énergie, mais sa rapidité indique une source d’énergie dégageant une grande puissance, concept physique important.

La puissance est le rapport de la quantité d’énergie au temps pendant laquelle elle est émise.Pour démarrer une voiture ou faire décoller un avion, les moteurs doivent fournir beaucoup plus de puissance que pendant un mouvement à vitesse constante, sur route ou en vol.

2.4.4 Persistance d’un grand dégagement de chaleur

La puissance nécessaire pour pulvériser presque instantanément des milliers de tonnes d’acier et de béton est difficile à évaluer, mais une valeur minimale de l’énergie dégagée peut être estimée en considérant l’évolution de la température du site.

Des blocs de béton et d’acier mêlés furent trouvés, dont l’apparence est celle de la lave refroidie. Des températures d’environ 2000 °C furent mesurées. Des photographies célèbres montrent de l’acier rougeoyant retiré de la pile de débris. Quelques citations de témoins font ressentir la réalité du dégagement de chaleur :

– Au dire des pompiers, les semelles de leurs bottes fondaient. Sous les débris, la température était « si intense qu’ils ont rencontré des rivières d’acier en fusion », « comme dans une aciérie ». 42 Ils s’exposaient à des périls comme « la secousse d’un effondrement profondément en dessous, […] ou, dans les premiers temps, les coulées de métal en fusion s’échappant des noyaux chauds et s’écoulant le long des murs brisés à l’intérieur des fondations. » 43

– « 21 jours après l’attaque, l’acier en fusion coulait toujours ».44 « Sous terre, c’était encore si chaud que du métal en fusion a coulé sur les côtés du mur du bâtiment 6. » 45

– « Des éléments en acier, dans la pile de débris, semblent avoir été partiellement évaporés à des températures extraordinairement élevées ». 46

La température de sublimation du fer, principal composant de l’acier, est de 2861 °C (3134 K).

Des relevés de température par thermographie infrarouge aérienne montrèrent, le 16 septembre, des points chauds jusqu’à une température de 747 °C (1020 K). 47 Le 7 octobre 2001, une image thermique montra des températures semblables aux emplacements des trois bâtiments (WTC1, WTC2 et WTC7), quoiqu’ils aient été architecturalement très différents et aient subi des dommages différents. 48 Le refroidissement fut progressif au cours des mois suivants : « Le feu souterrain brûla pendant exactement 100 jours et a finalement été déclaré “éteint” le 19 décembre 2001 ». Quels matériaux combustibles auraient alimenté un « feu souterrain » ? Comment l’air nécessaire à la combustion serait-il parvenu dans le sous-sol ?

Le 12 février 2002, cinq mois après l’effondrement des tours, des mesures par la même méthode révélèrent encore une émission de chaleur. 49 Le sous-sol n’avait donc pas atteint l’équilibre thermique et continuait à se refroidir. Les matériaux sont ainsi restés pendant trois mois à des températures bien plus élevées que celles d’un incendie de bâtiment. Puisque, selon le deuxième principe de la Thermodynamique, l’énergie ne se concentre pas spontanément, ces températures ne peuvent avoir été causées par un « feu souterrain », mais résultaient de l’existence d’une source de chaleur très importante dans la profondeur du sous-sol. 

Les lois du transfert de la chaleur sont couramment employées par les architectes pour dimensionner les circuits de chauffage des bâtiments, et par les ingénieurs pour assurer le refroidissement, en électronique comme en automobile. En estimant la surface d’émission et l’évolution au cours du temps de la différence de température avec l’air ambiant, ces mesures permettent d’estimer la quantité de chaleur totale émise par le site. 50 Elle est énorme, de l’ordre de 1 pétajoule (1015 joules ou 1 000 000 000 000 000 joules), soit la chaleur émise par la combustion de 24 000 tonnes de pétrole, pouvant remplir plus de 10 piscines olympiques. 

2.4.5 Déblaiement des ruines

Élimination des preuves matérielles

Le déblaiement commença aussitôt après la catastrophe, avant toute enquête, et l’acier des décombres fut envoyé en Chine, en Inde et d’autres pays d’Asie. Procédé inhabituel en cas de désastre sans précédent. La soustraction et la dissimulation de preuve sont des délits. 51

Cancers des sauveteurs et des déblayeurs

Des équipes de détection furent envoyées sur place le jour même, habillées de tenues NBC. Les déblayeurs ne restaient que quelques jours avant d’être remplacés, et regrettaient de quitter le chantier à peine devenaient-ils efficaces. Parmi les 80 000 personnes affiliées au programme sanitaire WTC Health Program, à la fin de mars 2021, près de 14 000 souffraient d’un cancer et 1015 en étaient morts. 52 Les cancers des voies respiratoires et digestives furent causés vraisemblablement par des débris d’amiante et des poussières radioactives inhalées ou ingérées. Des cancers de la peau et des lymphomes sont nombreux aussi. Les malades ont constitué des associations de défense et prononcé maintes conférences aux États-Unis. 

2.5 Fausseté de l’explication officielle

En résumé, l’explication officielle enfreint des principes physiques fondamentaux :

– Le principe de conservation de l’énergie : de l’énergie ne peut être créée. Ce principe est fondamental pour toute la Physique (« premier principe de la Thermodynamique »).

– Le principe de dispersion de l’énergie : la chaleur ne peut pas s’être concentrée dans les poutres ni dans le sous-sol (« deuxième principe de la Thermodynamique »).

– Le principe fondamental de la dynamique (« deuxième loi de Newton ») : un projectile ne peut percer une cible sans ralentir.

– Le principe des actions réciproques (« troisième loi de Newton ») : un tube creux en alliage d’aluminium ne peut percer un treillis en acier sans se déformer.

– Le principe de conservation de la quantité de mouvement.

L’explication officielle enfreint encore le principe fondamental de la dynamique, le principe des actions réciproques et le principe de conservation de la quantité de mouvement en affirmant que le bas de chaque tour fut écrasé par le haut. L’effondrement ne peut être dû qu’à la perte de résistance du bas.

D’autres lois, non détaillées dans ce bref article, sont enfreintes par l’explication officielle :

– La loi de diffusion de la chaleur de Fourier : la température du réseau de poutres ne peut être devenue uniforme dans tout l’immeuble.

– La loi de changement d’état des matériaux : la température d’un incendie de bureau ne peut faire fondre de l’acier ni le fragmenter finement. 

– La loi de rayonnement des matériaux selon la température (corps noir) : avant l’effondrement, la couleur des coulées de métal fondu sur une façade, jaune ou blanche, seule information disponible, indique une température de 1200 °C au moins, soit une température supérieure à celle d’un incendie. Ces coulées furent sans doute dues à des réactifs placés localement. 53

L’explication officielle enfreint les principes les mieux établis de la Physique.

Mais la Physique permet aussi de comprendre le mode opératoire.

3 Explosions nucléaires souterraines

Les tours de Manhattan furent détruites par des explosions nucléaires souterraines. Cette « interprétation complotiste délirante » est la seule compatible avec les lois de la Physique. 54

À l’apogée de l’engouement pour l’énergie nucléaire, pendant les années 1950 et 1960, des essais d’emploi d’explosifs nucléaires pour de gros travaux de génie civil, comme creuser des canaux, furent faits en URSS 55 et aux USA56. Mais la pollution résultante les fit abandonner. Toutefois ces essais rendirent réalisable ce procédé de démolition de gratte-ciel. 

3.1 Insuffisance des explosifs chimiques, nécessité d’explosifs nucléaires

Les explosifs chimiques couramment utilisés en démolition ne pulvérisent pas les bâtiments, quoique l’effondrement dégage de la poussière, et les décombres sont des amas de pans de murs et de planchers. Pour fragmenter des milliers de tonnes d’acier et de béton en grains millimétriques, il faudrait une très grande masse d’explosifs, en proportion notable de la masse de l’immeuble, répartie dans toutes les parties de la tour par des dizaines de techniciens pendant des milliers d’heures. Impraticable.

L’énergie chimique libérée par unité de masse d’un explosif classique est déterminée par l’énergie de liaison entre électrons et noyaux, mais celle d’un explosif nucléaire l’est par l’énergie de liaison des nucléons — protons et neutrons — dans les noyaux des atomes. Or l’énergie de liaison entre les nucléons des noyaux est un million de fois plus grande que l’énergie de liaison entre les électrons et les noyaux. En pratique, les matériaux nucléaires opérationnels comportent beaucoup de masse inerte, mais leur densité énergétique reste cependant 10 000 fois plus grande que celle des matériaux chimiques. C’est pourquoi une centrale électrique nucléaire n’est rechargée en combustible que tous les 3 ans, tandis qu’une centrale à charbon est alimentée quasiment en continu, par trains entiers.

Les bombes nucléaires émettent de l’énergie en quelques microsecondes, produisant une puissance inimaginable par l’esprit humain, et causant une onde de choc dont la pression maximale, de l’ordre du milliard d’atmosphères, est beaucoup plus destructrice que celle produite par tout explosif chimique.

Seule une bombe nucléaire émet la puissance suffisante pour réduire quasi instantanément des milliers de tonnes d’acier et de béton en poussière millimétrique, et contient assez d’énergie pour produire la très grande quantité de chaleur lentement dégagée du sous-sol de Manhattan.

En quelques microsecondes, les réactions nucléaires dégagent une énergie énorme, décomposant les roches du sous-sol jusqu’à l’état de plasma, particules sans liaisons à très haute température. 57 L’onde de choc fragmente les roches environnantes. En quelques dixièmes de seconde, une cavité se forme et s’agrandit. Si l’explosion est assez profonde, l’onde atteint la surface du sol, mais ne la soulève pas ; les roches situées entre le haut de la cavité et la surface du sol forment le « toit de la cavité ». L’onde atteignant la surface ne se diffuse pas dans l’air, d’où l’absence de bruit, mais se diffuse dans les objets solides placés sur le sol.

La chaleur de la cavité diffuse dans les roches les fait fondre, et ces deux effets absorbent de la chaleur et font baisser la température du plasma et des gaz, et donc la pression dans la cavité. 58 Lorsque la pression ne suffit plus à soutenir le toit de la cavité, il s’effondre, tombe dans la cavité, et le sol s’affaisse. Qu’une pression souterraine très grande produise une dépression à la surface du sol est un effet contre-intuitif, mais bien étudié. 59

Si l’explosif nucléaire est placé sous un bâtiment à une profondeur convenable, l’onde de choc et l’affaissement du sol peuvent faire écrouler même des gratte-ciel à structure métallique.

La quantité de chaleur restant dans la cavité est une fraction de l’énergie explosive, et son dégagement est retardé par son transfert à travers les roches du toit, tombées dans la cavité. Des éléments radioactifs s’échappent, mais d’autant moins que la profondeur est grande. Au cours de nombreux essais, les physiciens ont mesuré le rayonnement, la température, la dépression du sol, etc., et dès les années 60 ils ont su calculer la forme et les dimensions de la cavité et de la cheminée, selon la nature de la roche encaissante, la profondeur et l’énergie de l’explosion. En France, ces analyses furent faites par le Commissariat à l’Énergie Atomique. 60

Depuis 1963 les essais militaires d’explosions aériennes ont été réduits, puis interdits, et depuis 1974, un traité international a limité la charge des explosions souterraines à 150 kT, soit 0,63 pétajoule. Ces explosions émettent beaucoup moins de particules radioactives dans l’atmosphère que les explosions aériennes ou que l’accident de Tchernobyl. Des mesures sismographiques, hydroacoustiques et infrasoniques, ainsi que le dosage des particules de radionucléides dans l’air, permettent de les détecter et de connaître leurs caractéristiques, même à de grandes distances. Les États peuvent ainsi se surveiller les uns les autres. 61

3.2 Technique de démolition d’urgence prévue dès la construction

La pulvérisation instantanée des tours fut l’effet d’une puissance que seules des bombes nucléaires peuvent dégager. Mais où ces bombes avaient-elles été placées ?

Démolir des gratte-ciel est une entreprise difficile, et les règlements d’urbanisme imposent aux maîtres d’œuvre de proposer, dès la construction, une solution technique de démolition. 62 Un procédé de démolition d’urgence peut avoir été prévu pour les Tours Jumelles, bâtiments exceptionnels, construits selon les meilleures techniques des années 60. Une loge peut avoir été creusée sous le niveau du sous-sol le plus profond de chacune. Cette hypothèse est corroborée par la cotation des hauteurs, sur les plans des immeubles, à partir d’une altitude de référence très en dessous des fondations : 246 pieds, soit 75 m, dans le socle rocheux. 63

3.3 Destruction des tours de Manhattan

Chaque tour fut détruite par l’explosion souterraine d’une bombe nucléaire placée dans la roche, sous les fondations. 64 Plusieurs petites bombes « mini-nuke » n’auraient pas suffi, et n’auraient pas produit l’énorme quantité de chaleur dégagée du sous-sol pendant des mois. L’onde de choc atteignit aussitôt les fondations et se propagea dans l’immeuble. Jusqu’aux trois quarts de la hauteur environ, l’énergie de l’onde brisa des liaisons chimiques et fragilisa les matériaux. 65 La pression maximale de l’onde varie approximativement comme l’inverse du carré de la distance au point de l’explosion ; la quantité d’énergie transmise fut donc moindre dans les étages supérieurs, où l’onde ne causa plus qu’une déformation élastique et diminua moins la résistance mécanique que dans la partie inférieure. 

Sur plusieurs vidéos prises par des caméras placées sur support fixe, l’image tremble 12 s avant la chute des tours, durée pouvant être interprétée comme le délai entre l’explosion et l’effondrement du toit de la cavité. Lorsque cet effondrement ôta à l’immeuble le support des fondations, la partie basse de l’immeuble tomba en se désagrégeant. N’étant plus soutenue, la partie haute tomba en se désagrégeant à son tour, à une accélération d’environ 2/3 de la chute libre, à peine freinée par la cohésion résiduelle de la partie basse et la résistance de l’air. 66

Des explosions déclenchées juste avant la chute prouvent la présence de charges explosives chimiques, dont la mise à feu paraît avoir été synchronisée à celle de la bombe souterraine. 67 Placées en des points choisis de la structure, ces charges ont peut-être désolidarisé le haut et le bas de l’immeuble et coupé une part du train d’ondes, et elles servirent aussi de leurre pour dérouter les enquêteurs. S’il pouvait être consulté, le plan de démolition serait instructif.

Une grande part des matériaux se dissipa en volutes de poussière. D’une hauteur d’environ 20 m, les tas de décombres étaient remarquablement petits par rapport aux immeubles de 420 m. Des relevés aériens par la technique LIDAR montrent que chaque tas était au centre d’une dépression peu profonde. 68

Les débris des tours recevaient de la chaleur issue de la cavité, diffusant à travers les roches comblant la cheminée. L’énergie accumulée maintint le sous-sol à température très haute pendant plus de trois mois. L’émission de radioactivité au cours des semaines suivantes, mais le peu de pollution résiduelle indiquent une fusion plutôt qu’une fission, la fission n’étant nécessaire que pour amorcer la fusion. Les autorités ne furent pas disertes sur la présence de tritium, isotope radioactif de l’hydrogène produit par fusion. Après déblaiement des décombres, la cheminée sous l’emplacement de chaque tour fut couverte par une chape en béton, surmontée d’un grand bassin d’eau. Le béton et l’eau absorbent le rayonnement résiduel des éléments radioactifs présents dans la cavité, de sorte que le site est désormais sans danger.

Quant à l’expression « ground zero », elle désigne depuis huit décennies, en vocabulaire militaire le point de la surface du sol à l’aplomb d’une explosion nucléaire.

Voilà les grandes lignes de l’affaire, faciles à vérifier. Les documents officiels, les études techniques publiées sur Internet, quelques connaissances de base en Physique et un zeste de bon sens suffisent.

Toute interprétation rationnelle des évènements doit expliquer :

1/ L’entrée d’avions de ligne dans des immeubles à structure en acier S’ils ne peuvent pas percer la façade, force est de déduire qu’ils n’étaient pas là.

2/ L’effondrement des trois tours de Manhattan : Tours Jumelles et WTC7.

3/ L’origine de la puissance nécessaire pour pulvériser les tours, et de l’énergie dégagée du sous-sol pendant des mois.

Or la version officielle n’explique rien et est incompatible avec les lois de la Physique. 69

4 Conclusions

Donc les conclusions s’imposent :

1/ Les principes et lois physiques ne s’appliquent pas à Manhattan. Exceptionnalisme.

Dans une stratégie de réindustrialisation des États-Unis, cette particularité serait précieuse pour fabriquer des produits à haute valeur ajoutée.

2/ De l’énergie a été créée, et comme les États-Unis sont un pays très religieux « under God », c’est que Dieu a fait un miracle ; les enquêteurs devraient donc se tourner humblement vers les théologiens pour leur demander d’en expliquer le sens.

3/ À moins qu’une explication plus rationnelle ne soit possible…

Que chacun réfléchisse et conclue !


1 http://wtc.nist.gov/pubs/factsheets/faqs_8_2006.htm Les faits n’ont pas été étudiés par plusieurs équipes d’experts indépendantes qui eussent ensuite confronté leurs avis, et le rapport n’a pas été débattu publiquement. Philip Zelikow, qui dirigea la commission d’enquête, était lié aux gouvernements des États-Unis et d’Israël.

2 Des associations de professionnels, comme Architects and Engineers for 9/11 Truth, ou Pilots for 9/11 Truth, ont analysé ces évènements. http://ae911truth.org/ Parmi d’autres auteurs : Thierry Meyssan 11 Septembre 2001. L’effroyable imposture. Carnot, 2002. Laurent Guyénot : JFK — 11-Septembre, 50 ans de manipulations.

3 Même consciencieux, un accessoiriste n’a pas toujours le matériel nécessaire. Mise en scène bâclée plutôt que restes de catastrophe aérienne. Les autres débris trouvés furent une roue incrustée dans une poutre et un morceau d’aile découvert en avril 2013 entre deux immeubles et entouré d’une corde… Les décombres avaient été pourtant déjà dûment fouillés par des agents du Service National de Sécurité des Transports (National Transportation Safety Board, NTSB) agissant à la requête du Bureau Fédéral d’Enquêtes (Federal Bureau of Investigations, FBI).
https://aitia.fr/erd/esprit-critique-es-tu-la/
http://govinfo.library.unt.edu/911/report/911Report_Notes.htm
http://www.aldeilis.net/fake/1083.pdf http://pacer.psc.uscourts.gov    

4 Les spécifications sont pourtant sévères : enregistrement de 300 paramètres pendant 25 heures ; résistance à l’impact de 3400 G ; résistance à la température de 1100 °C pendant 30 minutes ; résistance à la pression de 7000 mètres d’eau ; émission à 37,5 kHz pour le repérage ; batterie d’une durée de vie de 6 ans. Le numéro des boîtes permet d’identifier l’avion, et leur contenu de connaître les circonstances précédant un accident.

5 http://www.guardian.co.uk/september11/story/0,11209,669961,00.html Depuis, tant de documents d’identité de tant de terroristes ont été trouvés sur des pare-brise après un attentat, que c’en est devenu une coutume.

6 Un citoyen des États-Unis, Alexander Collin Baker, musicien et vidéaste connu sous le nom de « Ace Baker », réalisa une série de 8 vidéos sur le 11 — Septembre 2001, intitulée « The Great American Psy-Opera ». Cette capacité d’analyse critique lui serait venue à la suite d’un accident médical qui modifia son psychisme : https://aitia.fr/erd/eloge-du-handicap/ Dans l’épisode 7 de la série, il interrogea l’auteur de la séquence vidéo, Kai Simonsen, qui s’empêtra pour trouver une explication plausible à ce « fondu au noir », ainsi qu’au zoom « prémonitoire » qu’il effectua juste avant : la caméra transmettait un plan très large sans avion visible, puis zooma très fortement juste avant l’instant fatidique de la collision. À partir de 19 min 20 s, Kai Simonsen affirme que le noir est provoqué par la mise en place d’un doubleur de focale sur l’objectif afin d’obtenir un plan plus serré… mais le plan est exactement le même avant et après la coupure ! Ces huit épisodes, totalisant plus de 4 heures, sont encore visibles en partie en version originale, et en totalité en version sous-titrée en allemand : https://www.youtube.com/user/CollinAlexander

Une version des épisodes 6 à 8, sous-titrée en français par Laurent Guyénot, est visible sur dailymotion :
https://www.dailymotion.com/video/x2546ic
https://www.dailymotion.com/video/x25ff9k
https://www.dailymotion.com/video/x254kr6

7 La rapidité de diffusion prouve que les auteurs des vidéos avaient accès ouvert aux chaînes de télévision. Seuls les frères Naudet présentèrent une vidéo de la frappe du premier avion : des virtuoses du suivi de cible et de l’ajustement de focale. Pourraient-ils être incités à révéler les noms de leurs commanditaires ?

8 Selon le NIST, 542 ± 24 mph soit 872 ± 39 km/h pour l’avion de la tour sud (WTC2).

9 https://web.archive.org/web/20210112064317/pilotsfor911truth.org/WTC2.html et web.archive.org

10 Dans la tour nord, le 91étage avait été loué quelques semaines avant par des « artistes » du groupe Gelatin qui firent pendant quelques jours une « installation » : un hourd dépassant de l’immeuble. Les étages 93 à 100 étaient occupés par la compagnie Marsh & McLennan, dont le PDG était Jeffrey Greenberg, liés aux assureurs et contre-assureurs des tours. Les explosions se produisirent entre les 91e et 98étages.

11 Après la première explosion, les regards étaient rivés sur la face nord de la tour nord. La seconde explosion s’est produite sur la face sud de la tour sud, soit à l’opposé, là où l’attention générale n’était pas fixée.

12 Les journalistes ne mirent pas en avant les propos mesurés des gens prudents. Des témoins affirmèrent n’avoir pas vu d’avions, mais seulement des explosions : https://www.youtube.com/watch?v=qH8SN_RnGEQ

Dans des reportages sur place, diffusés le jour même, quelques personnes interrogées paraissent réciter une leçon apprise, dont le fameux « Harley guy », un homme portant casquette et T-Shirt Harley Davidson, très calme en plein tumulte, et capable, au moment même, de résumer les conclusions des rapports d’enquête futurs et officiels :

13 Les liaisons entre les atomes déterminent la dureté propre des matériaux, comme les alliages métalliques. À forces subies égales, un plus grand nombre de liaisons sont rompues et plus d’atomes sont déplacés dans un alliage d’aluminium que dans un alliage d’acier. L’alliage d’aluminium est donc moins dur que l’acier. Un projectile, comme une balle d’arme à feu, doit être plus dur que la cible pour la percer. De même un couteau coupe du pain parce que les faibles liaisons électrostatiques entre les molécules constituant la croûte et la mie du pain sont brisées, tandis que celles entre les atomes de métal ne le sont pas.

14 La structure extérieure des tours était un réseau de poutrelles en acier, décrit plus bas dans cet article. L’expression « mur rideau » désigne les parois externes des immeubles, où prédomine le verre qu’un choc peut briser ; elle est toutefois impropre, car des colonnes verticales renforcent aussi la façade, surtout dans les hautes tours. Cette fragilité apparente des parois a pu faire croire que des avions pouvaient entrer dans des tours.

15 Comme le moment quadratique d’une poutre.

16 Le principe de conservation de la quantité de mouvement d’un système, principe d’inertie, fonde la Mécanique. De ce principe est déduite la deuxième loi de Newton : « Les changements qui arrivent dans le mouvement sont proportionnels à la force motrice, et se font dans la ligne droite dans laquelle cette force a été imprimée. » L’accélération est égale au rapport de la force à la masse :  ou . Si la force F est nulle, l’accélération est nulle et donc la vitesse du mouvement constante. Le concept d’inertie, l’un des mieux établis de la Physique, fut progressivement précisé par Galilée, Baliani, Torricelli, Descartes, Huygens, puis énoncé explicitement par Hooke, formulé mathématiquement par Newton, et généralisé par Poincaré et Noether.

17 Lors d’un choc d’un objet mobile contre un objet immobile et ne pouvant être mis en mouvement, comme une voiture contre un arbre, l’énergie cinétique se dissipe en déformation des matériaux, puis en chaleur.

18 Attention, un tel cas comporte des pièges. Voir ici : https://aitia.fr/erd/balle-tueuse-de-raquette-info-ou-intox/

19 Selon les architectes, les coefficients de sécurité étaient si grands que les tours jumelles résisteraient à l’impact d’un Boeing 707 ou d’un Douglas DC-8 en pleine charge, volant à 965 km/h : « […] une telle collision causerait seulement des dégâts locaux ne pouvant provoquer l’effondrement ni des dommages conséquents à l’immeuble, et ne mettrait en danger ni la vie ni la sécurité des occupants, hors de la proximité immédiate de l’impact » Henry Hold and company, City in the sky, Times Books, 2003. La documentation de l’étude était conservée dans les bureaux de l’Autorité portuaire, détruits par l’effondrement du bâtiment n° 7 du World Trade Center. Fahim Sadek, Baseline Structural Performance and Aircraft Impact Damage Analysis of the World Trade Center Towers, NIST, 2005, « NCSTAR 1-2 appendix A », p. 305-307

20 https://en.wikipedia.org/wiki/1945_Empire_State_Building_B-25_crash

La plus grande décélération longitudinale que peut subir une carlingue d’avion de ligne sans se froisser est d’environ 10 G, dix fois l’accélération de la pesanteur, le plus que peut encaisser un pilote de chasse. Cette accélération est bien moindre que celle subie par des objets durs lors des chocs les plus anodins ; ainsi deux billes de billard, lors de leur bref contact durant quelques millisecondes, subissent des accélérations de 100 G ou plus.

21 Le journaliste Thierry Meyssan l’affirma dès mars 2002, et fut aussitôt étiqueté « complotiste délirant ». Thierry Meyssan, 11 Septembre 2001 : L’effroyable imposture. Carnot, 2002.

22 À la demande insistante de l’association de « Pilots for 9/11 Truth », les enregistrements de la boîte noire du vol AA77 (prétendument retrouvée) furent déclassifiés par le National Transportation Safety Board (Bureau National de Sécurité des Transports), mais ne furent pas communiqués : le document présenté fut une trajectoire reconstituée en images de synthèse à partir de ces enregistrements supposés. Or elle montre une manœuvre impossible pour un avion de ligne (à 850 km/h !) et aboutissant au-dessus du Pentagone !

23 Avant l’effondrement de la façade, le trou d’entrée était rond. De chaque côté, la façade présentait des dégâts dans un rectangle horizontal, tracé au cordeau, vraisemblablement censé suggérer l’impact des ailes. Le trou de sortie persista et était rond aussi. Or entre l’entrée et la sortie, il y avait une vingtaine de colonnes.

24 Quel crédit accorder à de telles photographies ?

25 Un jeune officier prévint Cheney plusieurs fois de l’approche d’un avion vers Washington, et reçut comme réponse que « les ordres étaient maintenus ». Leurre, avion de ligne ou avion militaire porteur d’un missile ?

26 https://www.youtube.com/watch?v=0SL2PzzOiF8

27 Stephen W. Banovic. Steel inventory and identification. Technical report, NIST, September 2005: p. 55. http://fire.nist.gov/bfrlpubs/build05/PDF/b05030.pdf. Les planchers étaient 110 dalles de béton, de soixante-trois mètres de côté et d’une quinzaine de centimètres d’épaisseur.

28 Gregory H. Urich. Analysis of the mass and potential energy of world trade center tower 1. Journal of 911 Studies, 2007. http://www.journalof911studies.com/volume/200703/GUrich/MassAndPeWtc.pdf.

29 La forme proche d’un arc de parabole des arches de la tour Eiffel participe à leur stabilité, mais la forme parallélépipédique des gratte-ciel impose une grande résistance, surtout en bas, et donc un réseau serré de poutres robustes. Pour éviter le basculement de ces pieux fichés au bord de l’océan, offrant prise aux vents de tempêtes, les fondations étaient profondément implantées dans le granit, sous la couche sédimentaire.

30 Les assiettes ne sont pas supposées empilées, mais suspendues à des poteaux verticaux par de frêles attaches, théorie nommée aux É-U pancake theory « théorie de la crêpe », soutenue par la FEMA (Chapitre 2, 2002).
https://aitia.fr/erd/travaux-diriges-version-serieuse.

31 Un bélier ne fait que transmettre l’énergie cinétique que les servants lui impriment. Pas d’énergie, pas de choc. Sans élan, un bélier ne peut enfoncer une porte. Si des assiégeants placent la tête du bélier contre la porte d’une forteresse sans faire bouger l’engin, les défenseurs peuvent dormir tranquilles.

32 Après une étude expérimentale des effets, sur des structures en acier, de hautes températures pendant plusieurs heures. La FEMA a conclu : « Bien que la température des poutres en acier ait atteint 800-900 °C (1.500-1.700 °F) dans trois des tests, nul effondrement n’a été observé pour les six expériences. » FEMA, World Trade Center Building Performance Study, mai 2002, A-9 Appendix A : Overview of Fire Protection in Buildings.

33 https://www.youtube.com/watch?v=DR1qnvMDh4w Vidéo esclaffatoire, esbaudissante et rigolisible.

34 Les dimensions de la Tour Montparnasse sont 50 x 32 x 209 mètres.

35 L’énergie est une variable extensive et la température une variable intensive.

36 La température d’un feu de kérosène dépend de l’apport d’oxygène ; à l’air libre elle ne dépasse pas 1100 °C et ne peut atteindre 1700 °C que par apport d’air sous pression dans un réacteur dont les matériaux supportent cette température ; or, près des colonnes centrales des tours, à 25 mètres du dehors, l’apport d’air était faible. Selon le NIST, la température de l’air ne dépassa pas 1000 °C pendant 15 à 20 minutes (NIST, Rapport 1-5, 2005). Ce n’est qu’à la fin du XIXsiècle que les sidérurgistes réussirent à construire des fours supportant des températures assez élevées pour faire fondre l’acier, et nécessitant une alimentation en air.

Des photos disponibles sur Internet montrent une femme, identifiée par sa famille, agitant les bras en signe de détresse, debout dans la brèche prétendument faite dans la façade en acier par les ailes en aluminium d’un avion, là où la température était censée être infernale selon la version officielle des évènements.

37 http://www.consensus911.org/fr/point-mc-10-fr/#N_7

38 http://www.consensus911.org/fr/point-mc-10-fr/#N_9 Pour les amateurs de catastrophes :
https://fr.wikipedia.org/wiki/Chronologie_des_grands_incendies Autres incendies de gratte-ciel : 24 février 1972, tour Andraus à Sao Paulo, 30 étages brûlés ; 1er février 1974, tour Joelma à Sao Paulo, 25 étages, embrasement du 12e au 25e étage ; 15 novembre 2010, à Shanghai, un immeuble 28 étages. Certes les tours de Manhattan étaient beaucoup plus hautes, mais ce furent les seules à s’effondrer et être pulvérisées.
https://www.profession-gendarme.com/une-saine-curiosite-amene-souvent-a-la-verite/

39 Jones, Steven, Korol, Robert, Szamboti, Anthony, and Walter, Ted. 15 years later: on the physics of high-rise building collapses. Europhysics News, 47(4):21–26, 2016. Fig. 6. Doi:10.1051/epn/2016402.

40 N. Harrit, J. Farrer, S. Jones, K. Ryan, F. Legge, D. Farnsworth, G. Roberts, J. Gourley, B. Larsen. Active thermitic material discovered in dust from the 9/11 World Trade Center catastrophe. (2009) The Open Chemical Physics Journal, 2 :7-31

41 Estimation: 12,6 secondes pour la tour 1 et 11,5 secondes pour la tour 2. Les tours étaient deux fois plus hautes (415 et 417 m) que la tour Montparnasse (209 m). Le calcul de la durée de la chute libre dans le vide est du niveau d’un baccalauréat scientifique. La formule est en effet :. La hauteur H des immeubles étant de 400 mètres et l’accélération de la gravité G de 9,81 m/s², la durée est d’environ 9 secondes. C’est une borne inférieure : la chute ne peut pas durer moins (et encore la résistance de l’air est-elle négligée). Or la conservation de la quantité de mouvement rend impossible un effondrement accidentel à la vitesse de la chute libre.

42 Lou Lumenick. Unflinching look among the ruins. New York Post, 3 Mars 2004.

43 William Langewiesche. American Ground: Unbuilding the World Trade Center. North Point Press, 2002.

44 James M. Williams, WTC a structural success. The Newsletter of the Structural Engineers Association of Utah, 6:3, 2001.

45 Ken Holden, Département de la conception et de la construction de New York ; Audition publique de la Commission nationale sur les attaques terroristes contre les États-Unis, le 1er avril 2003, National Commission on Terrorist Attacks Upon the United States ; Public hearing, Avril 2003.
http://www.9-11commission.gov/archive/hearing1/9-11Commission_Hearing_2003-04-01.htm [cited2016-06-10].

46 Dr Barnett, professeur d’ingénierie de la protection contre les incendies à l’Institut polytechnique de Worcester ; cité par James Glanz. A nation challenged: The site; engineers have a culprit in the strange collapse of 7 World Trade Center: Diesel fuel. New York Times, 29 novembre 2001.

47 Images of the World Trade Center sites how thermal hot spots on September 16 and 23, 2001.
https://pubs.usgs.gov/of/2001/ofr-01-0429/thermal.r09.html [cited 2017-06-22].

48 Charles K. Huyck and Beverley J. Adams. Emergency response in the wake of the World Trade Center attack:
The remote sensing perspective. Technical report, Multidisciplinary Center for Earthquake Engineering Research, Juin 2002. http://mceer.buffalo.edu/publications/wtc/02-SP05-screen.pdf. Fig. 3.6, p. 22. Images acquises par EarthData au moyen d’un capteur aéroporté Raytheon.

49 EarthData International New York State, Office for Technology. Aerial views and maps of the WTC thermal imagery, 2001. http://www.loc.gov/exhibits/911/911-maps.html.

50 Les détails du calcul peuvent être consultés dans l’article « What is Basic Physics Worth? » de l’un des auteurs, disponible en ligne : https://hal.archives-ouvertes.fr/hal-02004696

51 Le métal envoyé en Chine fut traité par la société Shanghai Baosteel Group Corp.
Des traces ont été effacées : https://www.bollyn.com/#article_16266

52 https://www.cdc.gov/wtc/ataglance.html#member1OrMore

53 Des alliages de métaux à plus basse température de fusion sont employés en soudure.

54 Cette interprétation fut exposée par un personnage atypique prétendant être un ancien officier soviétique spécialisé dans l’armement nucléaire, et disant vivre à présent en Thaïlande, Dimitri Khalezov. Il présenta sa version des événements dans de longs entretiens en anglais, faciles à trouver sur YouTube en effectuant une recherche sur son nom. Il publia aussi un document de plus de 1000 pages intitulé « 911thology » (« onze-septembrologie ») téléchargeable à partir de son site : http://www.911thology.com/
Le magazine Nexus, dans son édition allemande d’octobre-novembre 2010, publia un article dans lequel Khalezov résume sa version de la destruction des tours de Manhattan, téléchargeable sous forme de PDF :
https://www.nexus-magazin.de/files/gratis/artikel/Nex31_Khalezov_DritteWahrheit911.pdf. Une traduction en anglais est disponible : http://www.911thology.com/nexus1.html C’est en tentant de prouver, par un calcul de coin de table, que ses affirmations étaient insensées, que l’un des auteurs de cet article aboutit à la conclusion que l’hypothèse d’une explosion nucléaire souterraine était nécessaire pour expliquer l’énorme énergie dégagée sous forme de chaleur par les décombres de Ground Zero,au cours des mois suivant les attentats.

55 Le lac Chagan, au Kazakhstan, fut ainsi creusé : Explosions nucléaires pour l’économie nationale (Мирные ядерные взрывы в СССР). https://fr.rbth.com/tech/85161-urss-explosions-nucleaires
https://fr.wikipedia.org/wiki/Explosions_nucl%C3%A9aires_pour_l%27%C3%A9conomie_nationale

56 Programme « Plowshare ». https://fr.wikipedia.org/wiki/Op%C3%A9ration_Plowshare

57 Un spécialiste en Physique nucléaire pourrait expliquer la recombinaison du plasma en éléments chimiques. 

58 La pression est une densité d’énergie, quantité d’énergie par unité de volume.

59 Des essais d’explosions nucléaires souterraines furent faits dans le désert du Nevada. Des loges étaient creusées à plusieurs dizaines de mètres de profondeur, et des photos du site montrent un grand nombre de dépressions causées par ces explosions : https://www.youtube.com/watch?v=u1Xe1TUQrpY Underground nuclear subsidence crater. https://www.youtube.com/watch?v=u1Xe1TUQrpY

60 https://inis.iaea.org/collection/NCLCollectionStore/_Public/03/031/3031840.pdf
https://inis.iaea.org/collection/NCLCollectionStore/_Public/35/095/35095014.pdf

61 Les dirigeants des grandes puissances furent certainement alertés par leurs services de renseignement.

62 Dès la construction de tels immeubles, les lignes de rupture des dalles et des poutres et les places des charges explosives sont prévues pour qu’ils s’effondrent dans l’aire de leur base, sans risquer de tomber sur les voisins. Les explosifs chimiques, instables à long terme, ne sont évidemment pas placés lors de la construction.

63 Voir ici la dernière image : http://www.911research.wtc7.net/wtc/evidence/masterplan/index.html
Ces loges sous les immeubles étaient bien sûr vides. Des bombes peuvent avoir été entreposées au sous-sol du bâtiment n° 7 au cours de l’été, lorsque des services de renseignement soupçonnèrent des préparatifs d’attentats. Incidemment la cote de 246 pieds, obtenue par conversion de 75 m, montre que cette partie du plan avait été tracée par des architectes et ingénieurs employant le système métrique.

64 La tour Sud s’effondra à 9 h 59 minutes 4 secondes, et la tour Nord à 10 h 28 minutes et 31 secondes. Les sismographes du laboratoire de Géophysique Lamont–Doherty de l’Université Columbia, à Palisades situé à 37 kilomètres — l’un des laboratoires qui établirent la théorie de la tectonique des plaques — enregistrèrent, juste avant les effondrements, des signaux de magnitude 2,1 dont les décours et les intensités signent des explosions dans le sol. Des signaux géophysiques durant aussi longtemps qu’une dizaine de secondes résultent de trains d’ondes d’assez forte intensité pour diffuser par divers chemins en se réfractant sur les interfaces de terrains de natures différentes. Des explosions calibrées sont utilisées en Géophysique pour l’étude des sols.
http://www.agoravox.fr/actualites/international/article/des-signaux-sismiques-revelent-l-70808

65 Quoique ces immeubles aient contenu des milliers de chaises, de bouilloires électriques, d’ordinateurs, de téléphones, etc., très peu furent retrouvés dans les décombres. Il n’y a pas de marché des reliques, comme il y en eut lors de la démolition du mur de Berlin. Les vingt personnes retirées vivantes des décombres et les 293 corps trouvés étaient hors du parcours de l’onde de choc, que leur localisation permettrait d’étudier. Des 2 800 victimes environ disparues, 1 643 ont été identifiées. En admettant que quelques personnes aient été comptées à tort parmi les disparues, environ un millier de corps manque. Plusieurs mois plus tard, plus de 700 restes humains furent découverts sur le toit de l’immeuble de la Deutsche Bank. Des spécialistes de l’analyse de l’ADN identifièrent des personnes qui travaillaient dans les tours, et des pompiers qui n’étaient pas présents lors des explosions mimant le choc des avions. L’explosion thermonucléaire fut très brève, et par conséquent l’onde de choc contint des fréquences si hautes qu’à cette échelle de temps même la chair se comporte comme une matière rigide et est brisée.

66 Une vidéo https://www.youtube.com/watch?v=3HbD_Q6kmh8 (vers 2 h 5) montre une poutre se dissipant en poussière devant la caméra : ayant perdu sa cohésion, une faible brise suffit à la désagréger. Cette poutre est pourtant une partie du cœur de la tour nord, haute comme un immeuble ordinaire ! 

67 Les tours furent inaccessibles pendant le dimanche précédant l’attentat, officiellement pour des travaux de maintenance ; des charges ont pu être placées alors.

68 https://www.gettyimages.co.uk/detail/news-photo/this-lidar-light-detection-and-ranging-image-of-the-world-news-photo/1164180

69 Quel crédit accorder à une interprétation qui ferait se retourner dans leur tombe Galilée, Newton, Fourier, Lagrange, Carnot, Boltzmann, Kelvin, Poincaré, Planck, Eiffel, mais qui intéresserait Nobel et le dériderait peut-être, en le distrayant des déboires subis par son prix pour la Paix ?




Agenda 2030 — 17 objectifs de destruction durable

[Source : kla.tv]

00:00:00: Introduction
00:02:46: Point 1 – La pauvreté
00:03:21: Point 2 – La faim
00:04:18: Point 3 – Une bonne santé
00:05:59: Point 4 – L’éducation
00:07:08: Point 5 – L’égalité des sexes
00:08:03: Point 6 – L’eau
00:09:27: Point 7 – L’énergie pour tous
00:11:20: Point 8 – La croissance économique
00:13:31: Point 9 – L’industrialisation
00:15:34: Point 10 – Réduire les inégalités
00:16:59: Point 11 – Les villes et les établissements
00:19:42: Point 12 – La consommation et la production
00:24:22: Point 13 – Le changement climatique
00:27:12: Point 14 – Les ressources humaines
00:28:30: Point 15 – La biodiversité
00:30:01: Point 16 – Les sociétés
00:31:16: Point 17 – Moyens de développement et partenariat mondial

Transcription

L’Humanité est secouée par des crises existentielles. Aucun domaine de la vie n’est épargné. Qu’il s’agisse d’économie, de finance, de politique, d’éthique, de médecine ou de tout ce que l’on peut nommer, c’est comme si aucune pierre ne devait rester en place. Mais comment cela se fait-il ? Qu’est-ce ou plutôt qui se cache derrière tout cela ? Un regard investigateur et une réflexion cohérente sont ici nécessaires si l’on ne veut pas se noyer dans la tempête qui ne cesse de s’intensifier.

Le documentaire de 30 minutes qui suit, réalisé par l’association suisse WIR, fait la lumière sur ce chaos qui prend des proportions dramatiques : les criminels les plus malfaisants se sont infiltrés dans les postes de direction de tous les secteurs de notre communauté et poursuivent de manière orchestrée leur Agenda 2030 One World, qui méprise les êtres humains et asservit les peuples.

AGENDA 2030 de l’ONU

L’Agenda 2030 des Nations Unies, annoncé lors du sommet des Nations Unies à New York en 2015, est un « traité mondial pour l’avenir » auquel les gouvernements nationaux devraient adhérer. Cet agenda comprend 17 « objectifs de durabilité » qui semblent bons à première vue. Si l’on y regarde de plus près, on revient toujours aux mêmes acteurs qui ne veulent en réalité rien de moins qu’un contrôle total sur les ressources de notre planète, un gouvernement central mondial unique et donc l’asservissement de tous les peuples. Afin d’exercer une influence dans tous les domaines de la vie et toutes les structures, ces objectifs sont défendus non seulement par les Nations Unies, mais aussi par des partenaires influents tels que le Forum économique mondial avec sa « Grande Réinitialisation ». Depuis plus de 50 ans, le WEF met en relation les personnalités les plus influentes de la politique, des affaires, de la science, des médias, des syndicats, des ONG, de la culture et des églises et les rassemble avec les personnes les plus riches du monde. Elle éduque également les élites politiques et économiques du monde entier depuis plus de 30 ans. Que ce soit Bill Gates, Jeff Bezos, Angela Merkel, Emmanuel Macron, Viktor Orban ou Vladimir Poutine, ils sont tous passés par l’école du WEF en tant que « Young Global Leaders ». Il n’est donc pas étonnant que le fondateur du forum, le professeur allemand Klaus Schwab, soit considéré comme l’une des personnalités les plus influentes aujourd’hui.

L’agenda 2030 des Nations Unies — un programme en 17 points pour la domination mondiale et l’asservissement de tous les peuples !

1. COMBATTRE LA PAUVRETÉ SOUS TOUTES SES FORMES

Des peuples entiers et leurs économies sont délibérément détruits et rendus dépendants des gouvernements afin de conduire les victimes vers un mélange de socialisme numérique et de communisme. L’objectif est de centraliser tous les actifs et ressources, de les enregistrer numériquement et de ne les diffuser ou de les rendre accessibles que sous certaines conditions. Pour y parvenir, les gens doivent être prêts à se soumettre complètement au complexe industriel numérique.

2. ÉLIMINER LA FAIM, ASSURER LA SÉCURITÉ ALIMENTAIRE, AMÉLIORER LA NUTRITION ET PROMOUVOIR L’AGRICULTURE DURABLE

L’agriculture devrait être détruite. Depuis que les agriculteurs sont devenus dépendants des subventions, les mondialistes ont désormais la vie facile. De nouvelles exigences sont constamment créées auxquelles les agriculteurs ne peuvent pas répondre, ne leur laissant aucune option pour gérer leur entreprise. De plus en plus d’entreprises disparaissent. L’objectif est que l’ensemble du secteur agricole d’un pays soit repris par de grandes sociétés et investisseurs internationaux. Ils pourraient recourir au génie génétique et à d’autres méthodes néfastes, produire uniquement des aliments de qualité inférieure ou simplement laisser les terres en jachère pour créer des pénuries alimentaires. Celui qui détient la souveraineté sur la nourriture contrôle l’Humanité.

3. PERMETTRE À TOUS DE VIVRE EN BONNE SANTÉ ET PROMOUVOIR LE BIEN-ÊTRE DE TOUS À TOUT ÂGE

L’accent est mis sur la numérisation et la centralisation de toutes les normes médicales par l’OMS. L’Organisation mondiale de la santé peut imposer des mesures médicales au monde entier sous la menace d’amendes et de sanctions. À cette fin, la responsabilité des mesures médicales de toutes sortes est retirée aux gouvernements nationaux. L’OMS utilisera le soi-disant traité sur la pandémie pour décider dans le monde entier quand et où quelles mesures obligatoires telles que masques, vaccinations, tests, confinements et quarantaine seront ordonnées. De plus, toutes les données de santé devraient être stockées dans une base de données internationale et liées à l’identité numérique de tous les citoyens. Le secteur de la santé devrait être mis au pas à l’échelle mondiale. Toutes les opinions et résultats de recherche en médecine qui s’écartent de ceux de l’OMS sont systématiquement réprimés, persécutés et criminalisés. Les procédures naturopathiques devraient être interdites dans le secteur de la santé et remplacées par des offres éducatives, des produits et des services des industries pharmaceutique et chimique. La santé des personnes est alors entièrement entre les mains de l’OMS, car elle peut également intervenir pour réguler les comportements non conformes des personnes grâce à des données de santé ouvertement visibles. Cela peut avoir pour conséquence que la personne suspecte se voit refuser l’accès à la nourriture et aux médicaments nécessaires.

4. GARANTIR UNE ÉDUCATION INCLUSIVE, ÉQUITABLE ET DE HAUTE QUALITÉ ET PROMOUVOIR LES OPPORTUNITÉS D’APPRENTISSAGE TOUT AU LONG DE LA VIE POUR TOUS

Égalisation globale des systèmes éducatifs et standardisation de la propagande afin de pouvoir garantir partout le même niveau d’endoctrinement pour les enfants et les jeunes. À cette fin, il devrait y avoir un « tronc commun d’éducation », c’est-à-dire une réglementation avec un contenu idéologique obligatoire qui devrait être programmée pour tous. Cela conduit à une rééducation totalitaire dans l’esprit des élites, dans laquelle il ne devrait plus y avoir de valeurs culturellement déterminées. Les idéologies de genre telles que les LGBTQ, le terrorisme climatique et la prétendue santé via la consommation de produits pharmaceutiques chimiques devraient être utilisées pour diviser plus efficacement les gens et les protéger sous le couvert d’une nouvelle religion mondiale, d’un tribunal mondial, d’une police mondiale, d’une banque mondiale, d’une Organisation mondiale de la santé et d’un contrôle de la monnaie numérique mondiale.

5. PARVENIR À L’ÉGALITÉ DES SEXES ET AUTONOMISER TOUTES LES FEMMES ET LES FILLES

La diversité des genres et les LGBTQ visent à normaliser toutes les anomalies créées artificiellement, y compris les tendances pédophiles. Non seulement pour parvenir à la famille traditionnelle et donc à une dissolution et à une décomposition des peuples, mais aussi pour assurer davantage de divisions et de conflits interpersonnels. De cette manière, les femmes salariées peuvent être exploitées encore plus efficacement par les entreprises mondiales, tandis que les enfants peuvent entre-temps être élevés par l’État dans des institutions permanentes et ainsi être endoctrinés idéologiquement beaucoup plus tôt. En détruisant le lien familial, l’objectif est de mettre l’accent sur l’État numérique qui, sous certaines conditions, fournit de la nourriture et un logement, remplaçant ainsi le rôle de la famille.

6. GARANTIR L’ACCÈS DE TOUS À L’EAU ET À L’ASSAINISSEMENT ET ASSURER UNE GESTION DURABLE DES RESSOURCES EN EAU

Les ressources en eau doivent être gérées de manière centralisée. Les États sont poussés à privatiser leurs infrastructures d’eau et à devenir dépendants des entreprises qui peuvent ensuite vendre l’eau aux citoyens à des prix excessifs. La suprématie sur l’eau permet aussi d’avoir la mainmise sur la santé des gens, car l’eau du robinet est déjà enrichie en de nombreux endroits avec des produits chimiques comme le fluor. Cette pratique pourrait être étendue et entraîner de nombreuses maladies chroniques et des symptômes d’intoxication, ce qui fait le jeu de l’industrie pharmaceutique qui peut ainsi distribuer avec profit des substances qui diminuent les symptômes. Comme ils attribueront le manque d’eau créé artificiellement au changement climatique provoqué par l’homme, ils prendront aussi des mesures pour réduire au minimum la consommation d’eau, en particulier dans le domaine sanitaire. Il sera donc possible d’interdire les toilettes traditionnelles et de les remplacer par des variantes sans eau. Celui qui a le pouvoir sur l’eau contrôle en fin de compte, par le biais de son rationnement, qui peut l’utiliser, dans quelle mesure et à quelles fins.

7. GARANTIR L’ACCÈS DE TOUS À DES SERVICES ÉNERGÉTIQUES FIABLES, DURABLES ET MODERNES, À UN COÛT ABORDABLE

Pour des raisons idéologiques, les énergies dites renouvelables, souvent immatures, devraient être soutenues par l’argent des impôts, ce qui entraînerait une hausse considérable des prix de l’électricité. De cette manière, les gens sont obligés de financer des développements qui les plongeront encore plus dans la pauvreté et donc dans la dépendance à l’égard de l’État. Les gens seront obligés d’utiliser et d’installer de nouvelles technologies énergétiques. Comme cela coûte très cher, les gens seront obligés d’emprunter et donc de dépendre du système financier des monopoles ou de céder leurs biens immobiliers à ces mêmes structures mondialistes à un prix inférieur à leur valeur et de s’installer dans des villes de 15 minutes. Des secteurs entiers de l’économie s’effondreront et les petites entreprises et les entreprises familiales disparaîtront de la scène. De cette manière, la domination du marché par les grands groupes pourra être renforcée. Toutes les sources de distribution d’énergie doivent être numérisées afin de pouvoir analyser la consommation de tous les ménages en temps réel. Grâce aux compteurs intelligents, aux thermomètres IOT et autres appareils de mesure connectés, il sera possible de surveiller et de sanctionner les ménages si le gouvernement ou l’intelligence artificielle l’ordonne. L’énergie peut ainsi être rationnée ou totalement coupée à distance. La pénurie entraînera non seulement des profits gigantesques pour les sociétés énergétiques, mais rendra également les gens vulnérables au chantage et contrôlables en permanence. Si les groupes technologiques et les gouvernements continuent d’accroître leur pouvoir et leur influence, les black-out et le rationnement deviendront monnaie courante.

8. PROMOUVOIR UNE CROISSANCE ÉCONOMIQUE SOUTENUE, PARTAGÉE ET DURABLE, LE PLEIN EMPLOI PRODUCTIF ET UN TRAVAIL DÉCENT POUR TOUS

Les effets secondaires des campagnes de vaccination entraînent des pénuries de personnel. Les pays riches feront appel à des travailleurs qualifiés venus de l’étranger, tant qu’ils en auront besoin, et encourageront ainsi la migration de main-d’œuvre. Cela aura un effet négatif sur les pays d’origine de ces migrants, car le manque de personnel qualifié affaiblira leur pays et les laissera livrés à eux-mêmes. Une fois qu’une grande partie des dits travailleurs qualifiés aura migré et que le pays d’origine des migrants menacera de se désintégrer, l’élite mondiale commencera à piller et à brader les pays affaiblis. Mais la migration de main-d’œuvre peut aussi être utilisée comme prétexte pour détruire l’économie du pays de destination. Il suffit d’importer suffisamment de travailleurs non qualifiés pour causer le plus de dégâts possible par manque de compétence professionnelle, car les normes ou procédures de qualité en vigueur ne sont pas maîtrisées. Pour provoquer des troubles, il suffit d’inonder un pays de travailleurs migrants. Cela entraînera des conflits entre les habitants et les migrants, conduisant à des guerres civiles et déstabilisant le pays. Le surplus de personnel artificiellement créé sera exploité par les grandes entreprises pour dicter les conditions de travail. Ainsi, les gens pourront être exploités encore plus efficacement, avec l’approbation des gouvernements. Les valeurs de liberté et de dignité humaine appartiendront alors au passé. Après avoir systématiquement détruit les petites et moyennes entreprises locales et mis au chômage une grande partie de la population, il est facile d’imposer aux victimes une structure en partie socialiste et communiste. De cette manière, on peut rendre le logement, l’énergie ou la nourriture tributaires de l’obéissance ou du budget carbone.

9. BÂTIR UNE INFRASTRUCTURE RÉSILIENTE, PROMOUVOIR UNE INDUSTRIALISATION DURABLE QUI PROFITE À TOUS ET ENCOURAGER L’INNOVATION

Les peuples doivent tous être mis sur un même pied d’égalité. Cela entraînera un abaissement du niveau des pays les plus développés, plongeant ainsi toutes les nations dans une pauvreté sans précédent. La prospérité de la population active sera détruite par une expropriation rampante, tandis que les profits de la classe dirigeante mondiale augmenteront de manière incommensurable. L’ensemble de l’économie et toutes les ressources sont centralisés et surveillés grâce à l’introduction d’instances de gouvernance et de contrôle telles que l’identité numérique, le budget carbone et les monnaies numériques. Toutes les autorités, commissariats de police et tribunaux sont pris en charge par l’intelligence artificielle et les processus numériques automatisés. Les économies nationales sont détruites au profit de grandes sociétés internationales qui agissent conformément à la stratégie communiste à long terme. L’automatisation et la robotique conduisent les gens au chômage et donc à la dépendance à l’égard des gouvernements et conduisent à l’abolition de la propriété privée et à des droits d’usage et de propriété limités en fonction du budget carbone et des monnaies numériques. Les emplois et les écoles existants seront transférés vers la réalité virtuelle. L’accès aux bâtiments physiques ou aux zones de 15 minutes est subordonné à des systèmes d’accès et d’identification numériques. L’habitat est transféré dans des villes modulaires de 15 minutes et des giga-cités à la chinoise, numérisées et entièrement surveillées, dans lesquelles les personnes ne peuvent plus se déplacer librement en raison de la limitation des émissions de CO2, de sorte que l’on peut parler de prisons à ciel ouvert plutôt que d’espace de vie.

10. RÉDUIRE LES INÉGALITÉS DANS LES PAYS ET D’UN PAYS À L’AUTRE

L’objectif est de briser toute indépendance économique et financière en détruisant les secteurs économiques à forte intensité de carbone, en supprimant l’argent liquide et en éliminant toutes les structures qui ne correspondent pas à l’agenda du Forum économique mondial et de l’ONU. Un revenu de base universel doté d’instances de contrôle appropriées via des comptes CO2 et des monnaies numériques permettra d’influencer directement la consommation ou de l’empêcher. Les ethnies seront mélangées afin d’éliminer toute individualité culturelle et religieuse. À cette fin, les partenariats multiculturels seront encouragés. Le renforcement des conflits culturels et religieux conduit à des situations extrêmes qui créent les conditions nécessaires à la restriction d’autres libertés par le gouvernement. Les systèmes éducatif, financier et de santé sont centralisés et uniformisés. Une religion et une culture mondiales sont également introduites sous couvert de paix et d’entente entre les peuples. Pour égaliser les niveaux, la concurrence économique est criminalisée et la propriété privée nationalisée. Les droits sur les ressources seront distribués selon les directives du nouveau gouvernement mondial.

11. FAIRE EN SORTE QUE LES VILLES ET LES ÉTABLISSEMENTS HUMAINS SOIENT OUVERTS À TOUS, SÛRS, RÉSILIENTS ET DURABLES

Les conflits délibérément créés et provoqués par l’immigration de masse et de main-d’œuvre ne vont pas seulement alimenter le chômage et la concurrence qui en découle, mais aussi augmenter la criminalité à un niveau sans précédent. Les protestations des citoyens et les guerres civiles serviront de base pour continuer à restreindre les droits fondamentaux et la liberté de mouvement au niveau local et confiner les gens dans des villes de 15 minutes comme dans un centre de détention. La liberté de mouvement n’existera plus. Elle dépendra du budget carbone et ne permettra de séjourner que dans certaines parties de la ville ou du quartier, afin de protéger le climat et d’assurer la sécurité d’une zone. Les villes et les cités seront transformées en giga-cités de 15 minutes avec une numérisation et une surveillance radicales. Les habitants seront surveillés en temps réel 24 heures sur 24 et les infractions sanctionnées par des amendes, des restrictions du budget carbone ou la détention. Toutes les prestations en espèces seront versées exclusivement sous forme numérique, mais uniquement à ceux qui acceptent le nouveau système et adaptent leur comportement à l’agenda. Les monopoles de la force seront étendus de manière radicale et dotés de droits spéciaux pour pouvoir intervenir dans tous les domaines de la vie en cas de violation de l’agenda. Ainsi, tout citoyen critique à l’égard du gouvernement peut être détenu indéfiniment, ou même tué, sans procès ni inculpation. Des attaques terroristes brutales et des descentes de police impressionnantes sont mises en scène pour intimider les critiques, les réduire au silence et les empêcher d’agir. Avant que la situation ne dégénère complètement, les gens seront désarmés et les lois sur les armes seront adaptées de telle sorte que les victimes n’auront aucune chance de se défendre contre l’agenda totalitaire. L’État adoptera de nouvelles lois d’expropriation afin de pouvoir confisquer les biens de manière arbitraire. Au cours de la première phase d’expropriation, les gens sont soumis à un chantage pour effectuer toutes sortes de travaux de rénovation dans leurs maisons afin d’atteindre les objectifs climatiques. S’ils ne se plient pas aux exigences des autorités et refusent, la deuxième phase d’expropriation criminalisera et interdira la vente, la location et l’occupation de ces logements. Des millions de personnes perdront leurs maisons et leurs terrains, vivront sous la dépendance de l’État et ne trouveront plus d’alternatives aux villes de 15 minutes.

12. ÉTABLIR DES MODES DE CONSOMMATION ET DE PRODUCTION DURABLES

Il y aura des budgets carbone inspirés du système de points de crédit social du modèle chinois, où chacun pourra être puni ou récompensé individuellement pour sa consommation ou son comportement. Une identité numérique sera introduite dans le monde entier. Elle servira de base à l’attribution de portefeuilles numériques. De plus, au cours de l’agenda, des identités numériques implantables seront attribuées à chaque individu dès sa naissance. Tous les documents délivrés jusqu’à présent, tels que le permis de conduire, la carte d’identité, le passeport, l’acte de naissance, les inscriptions au registre foncier, les dossiers médicaux, les brevets, le numéro d’identification fiscale, seront fusionnés en un seul enregistrement numérique pour l’identité numérique. Une instance mondiale de contrat intelligent numérique basée sur l’IA sera créée et régira tous les droits de nutrition, d’utilisation, de santé, de mouvement et de propriété temporaire. Cela détermine qui peut posséder ou utiliser quelque chose temporairement et pour combien de temps. Octroi de droits de mobilité, qui déterminent si l’individu peut se déplacer, avec quels véhicules et dans quel rayon. En outre, on réglemente ce qu’il peut manger et les substances qu’il doit se faire injecter. L’unité monétaire universelle, devise numérique mondiale basée sur une monnaie numérique de banque centrale, sera le seul moyen de paiement. Elle garantit en premier lieu des transactions illimitées entre les gouvernements, les banques et les entreprises. Les fonds des bénéficiaires du revenu de base seront en revanche soumis à conditions et constamment réajustés en fonction de l’obéissance au système. Le moyen de paiement numérique inclura une date d’expiration et sera programmable. Chacun pourra être contrôlé par des points de CO2 et les Nations unies pourront décider comment l’argent numérique peut être dépensé. Les autorités fiscales et de contrôle subordonnées à l’ONU, les services de santé, les médecins et les hôpitaux ainsi que d’autres institutions, auront accès à toutes les données en temps réel et de manière semi-automatisée, afin de pouvoir intervenir dans le comportement de consommation de tous les individus par des interdictions et des sanctions. La délivrance de vaccins, de médicaments et d’autres actes médicaux sera liée au portefeuille, de sorte que les récompenses et les sanctions pourront être appliquées automatiquement si nécessaire. Tous les véhicules seront surveillés en temps réel. En cas de non-respect des zones et des portées autorisées pour le véhicule, les conducteurs se verront dans un premier temps avertis puis sanctionnés par l’immobilisation du véhicule si l’infraction se poursuit. Tous les produits et services, ainsi que le mode de vie, se voient attribuer une empreinte carbone. Celle-ci sera évaluée numériquement et récompensée ou pénalisée par des points, ce qui aura aussi un impact sur le revenu de base. Les entreprises pourront être contrôlées, afin de leur interdire de fabriquer certains produits ou de fournir certains services si ceux-ci ne respectent pas les objectifs climatiques. Pour faciliter l’expropriation future, l’enregistrement et la justification des métaux précieux et des valeurs de toute nature seront obligatoires. Ceux qui possèdent de l’or et de l’argent et qui ne les ont pas enregistrés ne pourront pas les vendre à des organismes officiels, car l’achat ne sera légal que pour les stocks enregistrés. L’expropriation des terres, par exemple pour construire des éoliennes, des fermes solaires ou d’autres systèmes de régénération, sera facilement rendue possible sur la base des objectifs climatiques. Les personnes qui n’ont pas les moyens de transformer leur maison selon les dernières normes climatiques ne pourront pas la louer, la vendre ou l’habiter. En cas de non-respect, les victimes risquent de voir leur crédit CBDC chuter au point de ne plus pouvoir se nourrir. La conception de bâtiments purement utilitaires, dans lesquels les gens vont soit dormir, manger, travailler ou se divertir, sert à isoler davantage les gens les uns des autres. La famille doit être divisée et séparée autant que possible afin de pouvoir contrôler plus facilement les individus. Tandis que les citoyens ordinaires sont dépossédés et privés de toutes leurs libertés, l’élite continuera de gouverner sans restrictions et de bénéficier de toutes les commodités.

13. PRENDRE D’URGENCE DES MESURES POUR LUTTER CONTRE LES CHANGEMENTS CLIMATIQUES ET LEURS RÉPERCUSSIONS

La religion pseudo-scientifique d’un changement climatique soi-disant d’origine humaine et l’alarmisme qui l’accompagne visent à permettre l’uniformisation mondiale et la prise de pouvoir des élites et des sectes de la fin du monde. L’expropriation et le rationnement de toutes les ressources de ce monde doivent être imposés à l’Humanité par une dictature écologique socio-communiste totalitaire à l’aide de la manipulation, de la violence et du chantage. Afin de déséquilibrer complètement les processus naturels de la nature, l’atmosphère est délibérément contaminée par des produits chimiques toxiques. Sous prétexte de pénurie alimentaire, les pesticides, herbicides et fongicides sont de plus en plus utilisés. À cet effet, les aliments naturels sont assimilés aux aliments artificiels et l’obligation d’étiquetage des aliments génétiquement modifiés est abolie. Cela se fait sous le couvert du Codex Alimentarius, de l’Organisation mondiale de la santé et de l’Organisation pour l’alimentation et l’agriculture de l’ONU. Les aliments végétaux sont modifiés au point que les ingrédients essentiels ne sont plus présents et doivent être apportés de l’extérieur via des suppléments, afin d’accroître encore la dépendance vis-à-vis de l’industrie pharmaceutique. Il y aura une alimentation à deux vitesses en fonction du budget carbone et du contrôle de la consommation par les monnaies numériques. Des substances psychoactives seront transformées en aliments ou administrées sous forme de vaccins afin d’influencer et de contrôler davantage la pensée et les actions des gens. Les plantes médicinales qui pourraient favoriser notre santé ou soulager les souffrances des malades et qui concurrencent actuellement les produits de l’industrie pharmaceutique seront interdites et leur utilisation punie. Tous les aliments, l’énergie, l’eau et les produits de la vie quotidienne, jusqu’à la mobilité, recevront une empreinte carbone (CO2) qui sera enregistrée numériquement et associée à l’identité numérique imposée par l’État. Pour atteindre ces objectifs climatiques impossibles à réaliser, on supprime le transport individuel et on le remplace par des véhicules qui roulent tout seuls qui ne seront disponibles à la location ou par abonnement qu’en fonction du nombre de points de CO2. C’est présenté aux gens comme plus sûr et plus respectueux de l’environnement, mais ne sert qu’à restreindre la liberté de mouvement et à exercer un contrôle total. Les critiques et les mouvements d’opposition qui ne croient pas au changement climatique d’origine humaine ou qui remettent en question les 17 objectifs de l’Agenda 2030 des Nations Unies sont pourchassés et réduits au silence.

14. ET LES RESSOURCES MARINES AUX FINS DU DÉVELOPPEMENT DURABLE

Les eaux et leurs ressources seront enregistrées et gérées de manière centralisée ; l’accès ne sera possible que pour des entreprises sélectionnées. Le trafic maritime et donc l’utilisation privée et commerciale des mers, des lacs intérieurs et des rivières seront encore plus restreints et autorisés uniquement sous certaines conditions que les petits pêcheurs peuvent rarement se permettre. Cependant, les grandes entreprises continueront à être autorisées à pêcher, car elles reçoivent le capital nécessaire sous forme de subventions pour se conformer aux nouvelles normes, telles que la numérisation des quotas de capture ou la conversion aux moteurs électriques. Cela rend la pêche moins attrayante, l’offre est réduite et les quelques grands titulaires de licences réalisent d’énormes profits. À l’inverse, cela entraînera une pauvreté encore plus grande dans les pays du tiers monde et une migration massive, ce qui déstabilisera également les pays les plus riches. En outre, l’acidification des mers sera aggravée par l’industrie chimique, ce qui entraînera des conséquences incalculables, notamment la mort de poissons.

15. FORÊTS DE MANIÈRE DURABLE, LUTTER CONTRE LA DÉSERTIFICATION, METTRE FIN À LA DÉGRADATION DES SOLS ET L’INVERSER, ET METTRE FIN À LA PERTE DE BIODIVERSITÉ

Toutes les terres et ressources seront numérisées, les zones environnementales et de protection seront étendues afin de pousser les gens vers les villes de 15 minutes. Les terres agricoles seront gérées et contrôlées de manière centralisée, ce qui permettra d’interdire leur utilisation à tout moment, empêchant ainsi les agriculteurs de cultiver des aliments. Cela provoquera des pénuries alimentaires artificielles. Les commerçants devront acheter les licences correspondantes. L’utilisation des zones naturelles telles que les forêts, les parcs, les montagnes, les prairies, les zones humides et sèches sera davantage réglementée et limitée ou ne sera autorisée qu’avec un certain crédit de carbone. Pour soi-disant éviter les sécheresses et l’extension des zones arides, des moyens chimiques et techniques seront utilisés pour interférer avec les cycles et processus naturels de cette terre. Cela détruira encore plus la biosphère, ce qui est l’un des objectifs des technocrates. Éliminer de façon ciblée des espèces végétales à l’aide de produits chimiques et les remplacer par des plantes génétiquement modifiées qui ne se reproduisent pas d’elles-mêmes et qui, non seulement n’apportent aucune valeur ajoutée, mais détruisent aussi l’équilibre de la nature.

16. PROMOUVOIR L’AVÈNEMENT DE SOCIÉTÉS PACIFIQUES ET OUVERTES AUX FINS DU DÉVELOPPEMENT DURABLE

Les monopoles de la violence sont étendus afin d’imposer aux peuples de la planète des concepts de société destructeurs et artificiels par la force et le chantage. Cela conduira à des exodes et à des guerres civiles. Les traditions et toute individualité des peuples seront supprimées afin qu’une société mondiale uniformisée puisse voir le jour. Les monuments historiques et les œuvres d’art disparaîtront de la sphère publique. De même, on poussera une religion mondiale dans laquelle les gens devront se soumettre à des pratiques sataniques. Le mélange obligatoire des races sera imposé afin d’éliminer à long terme toute individualité des ethnies. Les mariages mixtes sont récompensés par des points et un statut social plus élevé. L’individu ne doit plus pouvoir s’appuyer sur ses fondements culturels. Pour maximiser la confusion, les robots à intelligence artificielle ainsi que des variants de genre créés artificiellement sont mis sur un pied d’égalité dans la société et encouragés. Sous prétexte de l’intérêt supérieur de l’enfant, les organes exécutifs pourront plus facilement retirer les enfants aux familles critiques envers le gouvernement.

17. MONDIAL POUR LE DÉVELOPPEMENT DURABLE ET LE REVITALISER

La structure derrière les Nations Unies est l’instance dirigeante et détient tous les pouvoirs de décision et d’exécution. Les États nationaux disparaissent après que les gouvernements infiltrés ont servi de paratonnerre face au peuple et de facilitateur, puis ont fait leur temps. Toutes les lois et juridictions nationales deviendront superflues, car elles ne proviendront plus que de la structure centrale unique sous forme d’intelligence artificielle.

Le plan des élites a été percé à jour : ils veulent nous conduire vers un avenir dystopique dans lequel nous serons privés de toute liberté. Les structures nationales censées nous protéger ne se rebellent pas contre cet agenda et se mettent ainsi contre les populations. Ce n’est pas étonnant, puisque tous les gouvernements sont déjà infiltrés et dépendent énormément des structures mondialistes, qui contrôlent aussi le système monétaire. Ils voudraient que les gens renoncent complètement à leurs propres libertés et livrent leur propre avenir à la destruction en acceptant le nouvel ordre mondial. C’est à nous, en tant qu’Humanité tout entière, de nous opposer à cet agenda. Et ce, avant qu’il ne soit trop tard.

de hm.

Sources/Liens :

Agenda 2030
https://rumble.com/embed/v3tc9zg/?pub=1r1v2m
https://www.vereinwir.ch/un-agenda-2030/




Les 7 femmes québécoises les plus dangereuses




« UNABOMBER 2030 » Partie 2 — FARM TO FORK: DÉTRUIRE le système alimentaire de l’Humanité

Suite de Unabomber 2030 : Le Great Reset des pommes de terre et des vaches !!!!

[Publication initiale : lafemmedanslehautchateau]

Par Theara

Manifeste original de Unabomber, Theodore Kaczynski :

Voici le nœud gordien

celui qui explique et cause la détresse de dizaines de milliers de fermiers, agriculteurs, éleveurs, pêcheurs en France et en Europe et donne l’explication en détail de leur ruine programmée (et de la nôtre) par L’AGENDA 2030/GREAT RESET des Globalistes.

Toujours présenté pour le « bien de tous », pour la planète et luttant contre le C02 et le « Changement climatique ».

FARM TO FORK — UE:

https://food.ec.europa.eu/horizontal-topics/farm-fork-strategy_en

Document :

https://eur-lex.europa.eu/legal-content/FR/TXT/?uri=CELEX:52020DC0381
[Ci-dessous, la capture PDF de la page du document :]

« Farm to fork » [« de la ferme à la fourchette »] ou aussi Green Deal, approuvé par le gouvernement français, est ce programme européen (et mondial) au cœur de la colère et de la détresse de nos éleveurs, paysans, agriculteurs.

« Farm to fork » exige une BAISSE de la production agricole Européenne de FRANÇAISE de 20 % pour s’adapter à la COP 28, au « Changement climatique » Agenda 2030 visant à faire baisser drastiquement « les émissions de CO2 » d’ici 2050.

Bien sûr l’Agriculture et l’Élevage sont VISÉS avec les mêmes MENSONGES à l’appui que j’ai décryptés dans mon article : Partie 1 de Unabomber 2030 le Great Reset des pommes de terre et des vaches :

Agenda 2030 basé sur une fausse science « climatique » toute acharnée contre le CO2, qui est avant toute chose l’Élément de la VIE, un agenda canular asséné aux masses depuis 40 ans.

https://pgibertie.com/2024/02/24/le-canular-climatique-ne-fait-plus-rire-personne-et-pourtant-le-conseiller-energie-et-agriculture-de-macron-est-un-ecolo-fada/

Bien que de nombreux points semblent très positifs, dans « Farm to Fork » : réduction des pesticides, produits chimiques, de la pollution… Il faut bien tout lire, en détail…

Il faut décoder le double langage, car tout cela est promu au nom du « zéro net carbone » en 2050, pas juste de « la fin des plastiques dans les océans ! »

Or, « ZÉRO NET » est une fausse théorie très dangereuse, une ABSURDITÉ SCIENTIFIQUE conduisant à l’Extinction des ressources de la terre et de ses espèces et non à leur préservation.

LE BUT RÉEL

Brimer et faire disparaître des milliers d’élevages de fermes, d’exploitations ? Pourquoi ?

Pour le contrôle absolu sur la Nourriture pour l’humanité par quelques-uns, avec une main de fer face au petit humain qui doit bien se nourrir tous les jours

Le But est d’asseoir le Règne des grandes entreprises de bio technologie et génétique sur l’Agriculture et l’Alimentation en général et mettre l’IA au cœur d’un nouveau système alimentaire mondial Transnaturel.

Tout cela au nom de « la nature et de l’écologie », au nom d’un « système agricole et élevage durable » triple mensonge, au service de « cette nouvelle Humanité responsable et consentante pour sauver la Planète. »

Nos agriculteurs (hormis les très gros), éleveurs de vaches, moutons, chèvres, poulets fermiers ou de terroir, les pêcheurs, les laiteries de Normandie et fromagers de France sont les premiers à en souffrir et à aller vers leur expropriation, ou la vente de leurs terres, causées par la ruine, taxes, règlements draconiens, jachères, importation de produits toxiques à bas prix, venant d’autres pays par Traités de libre-échange UE, règles bureaucratiques « au nom du Climat » sans fin, menant à une production réduite par ces règles, pas achetée ou achetée à ZÉRO gain, que de la perte ! Et c’est pareil dans tous les pays européens et ailleurs aussi (INDE, CANADA, etc.. )

Seuls les très gros exploitants adhérents au Programme se développent ou font du profit, mais des milliers de petites et moyennes exploitations sont abandonnées, vendues, ou alors les exploitants se suicident !

De plus les cheptels, les volailles, les bêtes sont soumises à des contrôles sanitaires incessants sous prétexte de suspicion de « grippe aviaire » ou autre maladie des bovins par exemple, avec pour RÉSULTAT, en tant que « Prévention des épidémies » par l’OMS, qu’à la moindre suspicion réelle ou supposée d’un poulet ou une vache patraque, des MILLIONS de bêtes sont abattues en France et dans le monde et toutes les autres « vaccinées » dare-dare, avec les nouveaux vaccins vétérinaires à ARN ou ADN. (Qui contiennent aussi du GRAPHÈNE, des HYDROGELS ET de la BIOLOGIE SYNTHÉTIQUE).

SANS OUBLIER LES POISSONS

Ils « vaccinent » sur une chaîne automatisée le poisson norvégien sauce ADN :



« Chaque dose de 0,05 ml contient : Substance active : ADN plasmidique pUK-SPDV-poly2 # 1 codant pour les protéines du virus de la maladie du pancréas du saumon : 6,0 à 9,4 μg. »

LA DÉTESTATION DE LA VIANDE ET DE L’ÉLEVAGE
même traditionnel

est répétée tout au long des documents de Farm to Fork.

Alors que NOUS, demandons la FIN des monstrueux élevages industriels de torture avec millions de poulets ou vaches dans des conditions sanitaires et des conditions de non-vie INNOMMABLES et CRUELLES, en cages, nous demandons la préservation des élevages traditionnels à taille humaine respectant le bien être des animaux, leur accès à la terre, au mouvement en liberté, à l’herbe, aux pâturages, au soleil, à l’air libre, avec une nourriture SAINE et naturelle pour chaque espèce.

Dans Farm to Fork :

la Viande, même l’élevage fermier ou même l’élevage laitier et fromages, sont désignés comme Le problème, l’ENNEMI NUMÉRO UN, avec un record de « gaz à effet de serre » CO2 et de méthane émis et donc designés directement responsables à un haut degré du « Changement climatique » sur Terre.

( FURIEUX MENSONGE au niveau de la réalité et de la SCIENCE)

Or, les obèses, ne changeront rien à leur addiction, les addicts au fast food idem, les Hallal épris de mouton rôti ne changeront rien, les végans hystériques non plus ne changeront rien, les « bio plus que bio » ne changeront rien, les Français épris de bœuf bourguignon non plus, ou pas de sitôt.

COMMENT CONTRAINDRE LES CONSOMMATEURS ?

L’uniformisation industrielle et bio technologique de la nourriture et les « pass carbone » coercitifs feront accepter n’importe quoi, si :

  • 1 ) le prix est assez BAS
  • 2 ) les points carbone du mois sont épuisés en quelques jours par 1 vrai steak et 4 vrais œufs pour votre famille !
  • 3 ) ÇA RESSEMBLE à de la viande ou à des plats traditionnels.

VERS UNE NOURRITURE DE SYNTHÈSE et de LABOS

Sources de protéines de substitution telles que les protéines végétales, microbiennes, marines et dérivées d’insectes ainsi que les substituts de viande (Farm fo Fork document).

3- 1 Recherche, innovation, technologie et investissements

La recherche et l’innovation (R&I) sont des facteurs essentiels pour accélérer la transition vers des systèmes alimentaires durables, sains et inclusifs de la production primaire à la consommation.

La R&I peut contribuer à mettre au point et tester des solutions, à surmonter les obstacles et à mettre au jour de nouvelles perspectives commerciales
Dans le cadre du programme Horizon 2020, la Commission prépare un appel à propositions supplémentaire concernant les priorités du pacte vert pour 2020 pour un montant total approximatif de 1 milliard d’euros.

Dans le cadre du programme Horizon Europe, elle propose de consacrer 10 milliards d’euros à la R&I dans les domaines de l’alimentation, de la bioéconomie, des ressources naturelles, de l’agriculture, de la pêche, de l’aquaculture et de l’environnement,

Ainsi que d’utiliser des technologies numériques et des solutions naturelles dans le secteur agroalimentaire.
L’un des principaux domaines de recherche concernera le microbiome, les denrées alimentaires provenant des océans, les systèmes alimentaires urbains ainsi que l’augmentation de la disponibilité et des sources de protéines de substitution telles que les protéines végétales, microbiennes, marines et dérivées d’insectes ainsi que les substituts de viande (de synthèse).

https://www.kla.tv/GenieGenetique/25436
https://eur-lex.europa.eu/legal-content/FR/TXT/?uri=C.

(D’où j’en déduis que la dernière marotte de BILL GATES sur le MICROBIOME n’est pas arrivée par hasard)
du PDF :
https://food.ec.europa.eu/document/download/472acca8-.
https://food.ec.europa.eu/horizontal-topics/farm-fork.
[ou https://food.ec.europa.eu/horizontal-topics/farm-fork-strategy_en?prefLang=fr&etrans=fr en traduction française]

Il est clair que la révolte agricole Française légitime a été rondement menée sous un contrôle de Syndicats alliés du gouvernement, qui eux adhèrent à l’UE, aux règles, à l’Agenda 2030 ONU et à FARM TO FORK UE, pour tenter de désamorcer la possible révolte incontrôlable de la base, des petits et moyens exploitants, qui eux, sont ruinés par cet agenda.

Le Salon de l’Agriculture survolté et en révolte depuis le 24 février 2024 à PARIS démontre que les agriculteurs et éleveurs n’ont pas été dupes des magouilles et des mensonges du gouvernement et certains comprennent progressivement l’énormité et l’insanité pour eux et pour toute l’HUMANITÉ des plans cachés dans les documents de l’UE et du WEF

UN « GREAT RESET » ANTI NATURE :

Extrait de la vidéo de Ernst Wolff Kla.TV :

« Nous vivons actuellement dans le monde entier un changement d’époque économique et social, l’entrée dans l’ère numérique. Une infime minorité nous y conduit toutefois. Et ce, sans que la majorité ait le moindre droit de regard. Cette minorité, un cartel de puissants groupes financiers et informatiques, poursuit plusieurs objectifs, désormais connus sous le nom de “Great Reset”. Elle veut nous enregistrer tous de manière biométrique, elle veut nous imposer une nouvelle monnaie, c’est-à-dire la monnaie numérique de la banque centrale, et elle veut transformer l’agriculture de fond en comble.

Et ce, grâce à ce qu’on appelle “le smart farming” [l’agriculture intelligente]. Cela comprend l’automatisation du travail des tracteurs et des outils, l’utilisation de drones ou de robots de travail et l’utilisation de l’intelligence artificielle, par exemple par l’application d’algorithmes à la production végétale. Mais ce n’est pas tout.

Le Great Reset dans le domaine de l’agriculture mise avant tout sur les découvertes de la biologie synthétique, c’est-à-dire sur les semences génétiquement modifiées et, depuis peu, sur la viande de laboratoire. Les protagonistes du Great Reset nous vendent tout cela comme des mesures prises dans notre intérêt pour lutter contre le changement climatique.

Les semences doivent soi-disant être manipulées pour rendre les plantes résistantes au changement climatique. Et la viande de laboratoire doit remplacer la viande normale. Puisque les bovins, les porcs et les moutons émettent trop de méthane. Tout cela n’est pas une satire, mais une amère réalité.

Derrière tout cela se cache un business de plusieurs milliards de dollars dans lequel de nombreux grands investisseurs se sont déjà lancés. Mais cela signifie également la soumission totale de l’agriculture à ces investisseurs. Car les licences et les brevets, aussi bien sur les semences résistantes au climat que sur la viande de laboratoire neutre pour le climat, ne reviennent évidemment pas aux agriculteurs, mais aux représentants du cartel.

Le smart farming, soyons clairs à ce sujet, ne contribuera pas plus à sauver le monde que tout le reste de l’agenda climatique.

Le smart farming n’est rien d’autre qu’un énorme business au profit d’une infime minorité et, en outre, la fin de l’agriculture telle que nous la connaissons. La politique joue un rôle particulièrement peu glorieux dans cette évolution fatale, car elle s’est presque entièrement soumise à l’agenda du Great Reset. »

https://www.kla.tv/28044

Viande de Laboratoire :

« Après Singapour, les États-Unis sont le deuxième pays au monde à autoriser la consommation humaine de viande produite artificiellement. Cela pourrait signifier la percée de cette nouvelle technologie. Le marché mondial de la “viande artificielle” est déjà estimé à 247 millions de dollars, avec un taux de croissance annuel de plus de 50 % d’ici 2030. »

Le FOND :

https://www.kla.tv/27996

LES COUPABLES : ONU, OMS et le FEM

Les trois ont déclaré conjointement la guerre aux agriculteurs et aux produits alimentaires traditionnels. Leur Agenda 2030, comme Kla.tv l’a déjà signalé dans plusieurs émissions, s’attaque également aux agriculteurs en particulier.
Voici une brève reprise de l’émission « Agenda 2030 : Étiquetage frauduleux. Comment l’ONU entraîne le monde dans l’abîme » :

https://www.kla.tv/19023

L’objectif 2 de l’Agenda 2030 prévoit selon ses dires d’éliminer la faim, d’assurer la sécurité alimentaire, d’améliorer la nutrition et de promouvoir une agriculture durable. Cependant, l’agriculture naturelle à petite échelle est en train d’être détruite, alors que dans le même temps, les multinationales contrôlent de plus en plus la production alimentaire mondiale par le biais de l’agriculture industrielle, du génie génétique et des produits agrochimiques.

La situation des paysans, qui sont les piliers de notre société, est déplorable, mais ce n’est pas un hasard, comme vous pourrez le constater dans la suite de l’émission. Plus précisément, le sort des paysans est très étroitement lié à celui de nous tous :

Un résumé de l’essai « L’arme alimentaire »

de l’écrivain et journaliste indépendant allemand Tom-Oliver Regenauer, montre comment l’alimentation, base de l’existence, a déjà été utilisée dans l’histoire, et l’est encore aujourd’hui, comme arme contre l’humanité.

Développements actuels :

Compte tenu de cet historique, il serait presque naïf de supposer que l’alimentation ne sera pas utilisée comme arme au 21e siècle. Toutefois, ce n’est pas par le siège ou la destruction de la flotte adverse, mais par une rupture avec les usages, la pénurie artificielle, la contamination par des substances toxiques, des additifs bio technologiques, des matières premières génétiquement modifiées, etc.

Le nombre de personnes gravement menacées par la faim a doublé dans le monde depuis la déclaration de l’état de pandémie. Les confinements dus au Covid et les pertes de récoltes dues à la guerre en Ukraine ont entraîné des pénuries massives et des ruptures d’approvisionnement, beaucoup de choses sont devenues très chères, des exploitations familiales et des petites entreprises ont fait faillite. Les agriculteurs subissent une telle pression en raison de « l’économie verte », de l’agenda zéro CO2, qu’ils ne peuvent pas faire face aux obligations et aux coûts croissants et descendent dans la rue en désespoir de cause. Marc Rutte [Premier ministre néerlandais] a même sorti le matériel militaire contre les révoltes paysannes !
Toute l’industrie alimentaire doit être transformée et les aliments naturels doivent être de plus en plus remplacés par des aliments artificiels. L’exemple le plus célèbre est la viande produite en laboratoire. Depuis de nombreuses années, Bill Gates, devenu le plus grand propriétaire foncier des États-Unis, et Google Ventures [une société de capital-risque] font preuve d’un grand dynamisme dans ce domaine.

Parallèlement, Gates investit beaucoup d’argent dans la recherche et la modification du microbiome, un écosystème complexe composé de bactéries, de champignons, d’archéobactéries et de virus qui, sous le terme général de « flore intestinale », contrôle de manière déterminante les processus digestifs et exerce une grande influence sur le développement mental et physique d’un enfant, en particulier au cours de sa première année de vie. [Référence à l’interview de Heiko Schöning « Covid 2.0 : nouvelle attaque terroriste avec des bactéries !? » www.kla.tv/27963] « C’est ce que veut Gates — qui ne cesse d’exprimer ses préoccupations en matière de “surpopulation” »

ARN ET ADN contaminant les Nourritures et les Vaccins proposes par ONE HEALTH

On peut se sentir encore plus mal à l’aise si on considère que dans un avenir proche, les aliments seront livrés avec de l’ARNm ou de l’ARN ajouté.

Ceux qui tirent profit des grandes sociétés pharmaceutiques, comme Bill Gates, annoncent depuis longtemps leur intention de distribuer ces substances expérimentales et nocives dans les aliments, afin de les faire parvenir aux personnes qui ont refusé l’injection antiCOVID. [Émission d’Ivo Sasek, Banane vaccin, salade d’ARNm & plus : Vaccination forcée inconsciente par les aliments ?! » www.kla.tv/26139]

Théara :

L’ÉLEVAGE AU NIVEAU MONDIAL doit être « VACCINÉ » AVEC DES NOUVEAUX « VACCINS à ARN et ADN »

PROGRAMME ONE HEALTH

Extrait :

« D’abord, les vaccins destinés aux animaux n’ont rien à envier aux vaccins humains quant à l’innovation et aux nouvelles technologies (vaccins recombinants, vecteurs, à ADN et ARN »

https://www.simv.org/actualites/vaccins-veterinaires-le-one-health-en-pratique

https://www.who.int/health-topics/one-health#tab=tab_1

https://www.intvetvaccnet.co.uk/blog/taking-a-one-health-approach-to-tackling-infectious-diseases

Suite article L’Arme Alimentaire :

« Des entreprises comme Bayer et BioNTech travaillent depuis plus de six ans sur des vaccins à ARNm pour le bétail. Le scientifique et co-inventeur de la technologie ARNm artificielle, Robert W. Malone, a souligné à ce propos qu’il y a encore moins de transparence en médecine vétérinaire qu’en médecine humaine en ce qui concerne les procédures de test et d’autorisation. En d’autres termes, le risque pour l’utilisateur final est peut-être encore plus grand que dans le cas des injections COVID. Le gouvernement canadien propose même sur son site web un aperçu détaillé des produits à base d’ARN et d’ADN utilisés dans le pays. Au moins une poignée d’entre eux sont déjà utilisés à grande échelle. Les vaccins basés sur le génie génétique sont donc déjà utilisés, malgré toutes les affirmations contraires. Ils sont simplement commercialisés sous d’autres labels. »

« Les “vaccins autodisséminés”, des vaccins qui se propagent eux-mêmes, devraient aussi bientôt être utilisés. Dans ce cas, les vaccins ne sont administrés qu’à quelques porteurs qui servent de multiplicateurs et transmettent l’information génétique au reste de la population concernée par différentes voies de transmission. »

« De plus, à l’avenir, des spores génétiquement modifiées [Bioengineered Spores] seront utilisées pour contrôler les chaînes d’approvisionnement mondiales. Les microbes seront utilisés comme dispositifs de suivi [Tracking Devices]. Chaque aliment devrait à l’avenir pouvoir être tracé depuis le champ jusqu’à la fourchette dans la bouche. Les données sont converties en ADN, qui est ensuite introduit dans des micro-organismes. Ces micro-organismes peuvent être transférés à tout produit agricole. Qu’il s’agisse de bœuf ou de porc, de légumes, de fruits ou de céréales. Ce “code-barres ADN”, comme l’entreprise appelle cette prétendue innovation, ne peut être détruit ni par la chaleur ou le froid, ni par le lavage et le hachage du produit. De plus, le produit contient des toxines qui, à faible dose, sont toutefois considérées comme — écoutez ! — “généralement inoffensives” ! »

« Toutes ces évolutions dans le domaine de l’alimentation font de l’organisme humain un champ de bataille ! Car l’alimentation peut et va être utilisée comme une arme. Un instrument de domination de quelques-uns en arrière-plan ! »

« Il est évident que l’UE est elle aussi un suppôt de ces dominants, car elle s’engage pour la “régulation” de l’élevage privé et veut rendre de plus en plus difficile l’autoproduction de denrées alimentaires. Au Nigeria, on est même allé plus loin. Après les Bahamas, ce pays africain est le deuxième qui a introduit la monnaie électronique de la banque centrale, la CBDC. »

food.ec.europa.eu
Farm to Fork Strategy

SVP lire partie 1 :
https://wordpress.com/post/lafemmedanslehautchateau.wordpress.com/4787
SUR NOUVEAU MONDE :
https://nouveau-monde.ca/unabomber-2030-le-great-reset-des-pommes-de-terre-et-des-vaches/

Article rédigé par Theara Truth News FRANCE
le 4 février 2024, mis à jour le 25/02/2024
avec de nombreux passages d’émissions de Kla.TV en vidéos et par écrit.




Unabomber 2030 : Le Great Reset des pommes de terre et des vaches !!!!

[Publication initiale : lafemmedanslehautchateau]

Par Theara TRUTH NEWS

Le dernier COMBAT de l’Humanité contre les Élites technocratiques et transhumanistes / SOUTENONS NOS AGRICULTEURS, ÉLEVEURS, PÊCHEURS !

Introduction

https://www.kla.tv/28044

Déjà deux grands pays agricoles qui, face à l’UE et aux gouvernements traîtres de leur pays, ont décidé de monter un parti politique INDÉPENDANT des Agriculteurs Eleveurs.

IRLANDE :

https://www.farmersalliance.ie/

PAYS-BAS

https://www.theguardian.com/environment/2022/nov/18/dutch-pro-farming-party-fires-up-the-anti-establishment-vote

https://www.lifesitenews.com/opinion/the-dutch-farmers-have-created-their-own-political-party-and-its-doing-well-in-the-polls/

ÉCOSSE : ras-le-bol des Agriculteurs éleveurs !

https://expose-news.com/2024/01/25/scottish-farmers-protest-weve-had-enough/

Les IRLANDAIS et NÉERLANDAIS ONT BIEN COMPRIS que le but n’est pas seulement pour leurs gouvernements via l’UE de promouvoir l’importation de produits dévalorisant les leurs, ou de les asphyxier de RÉGLEMENTATIONS et de TAXES et NORMES ou d’augmenter le prix du Gaz oil.

LES INDIENS SE REBIFFENT AUSSI ( Février 2024 ) :

https://videos.lesechos.fr/lesechos/videos/xqux0xq

En fait cela VA BIEN AU-DELÀ : sous prétexte d’« agenda VERT » et « préserver des espèces », sous prétexte d’arrêter le azote « des bouses de vaches », d’amoindrir « le méthane et le CO2 émis par le bétail », les Élites du WEF/ONU/OMS/UE/AGENDA 21 VEULENT SUPPRIMER L’AGRICULTURE et l’ÉLEVAGE TRADITIONNELS.

DOCUMENTAIRE :

https://www.theepochtimes.com/epochtv/nofarmersnofood-5390883

Le prétexte du CO2

Toutes ces absurdités de pollution CO2 ou méthane par ces pauvres bêtes ou par l’agriculture sont évidemment des faits manipulés et sans rapport aucun avec un « global warming » ou « des gaz à effets de serre » dont NI L’HOMME, NI LES ÉLEVAGES, NI LES CULTURES ne sont RESPONSABLES. Ni au Néolithique ni au 21e siècle.

Étant donné que le « méchant CO2 » de AL GORE EST UNE MONUMENTALE ARNAQUE (DOCUMENTÉE) inventée au CLUB DE ROME dès 1972 pour RÉDUIRE LA CROISSANCE, DÉPOPULER, BRIMER, CONTRÔLER l’AGRICULTURE, SAISIR LES TERRES ET PARQUER au final le bétail HUMAIN :
https://lesmoutonsenrages.fr/2023/12/07/la-guerre-des-globalistes-sur-les-elements-de-la-vie-club-de-rome-1972-agenda-2030/ LIMIT TO GROWTH — CLUB DE ROME — 1972

Des variations de températures et du CO2 existent depuis des millénaires et sont dus à des influences de la planète Terre et du système solaire sur le climat de la Terre, pendant des milliers d’années et cela est documenté et prouvé.

https://www.laterredufutur.com/accueil/il-faisait-plus-chaud-au-moyen-age-quaujourdhui

Les causes de variation du climat « dues à l’activité humaine », même celle de L ’ère industrielle, sont négligeables, en tant que valeurs de CO2 en plus ou en moins.

De plus, le CO2 est BON POUR LES PLANTES ET LA PLANÈTE.

Seuls BILL GATES et ses adeptes disent le contraire. Sans preuve. Comme le GIEC.

Bill Gates qui rachète des milliers d’hectares de terres agricoles, de prairies, tandis que les exploitants conduits à la ruine ou au suicide s’en vont.

Pendant ce temps, la réalité agricole

Pendant ce temps les traités de Libre Échange avec l’autre bout du monde sont établis, prouvant l’hypocrisie de l UE et de son « Agenda Vert ».

Pendant ce temps des milliers de poulets ukrainiens ou de pays lointains gavés d’hormones et d’antibiotiques sont déversés sur le marché français, sans étiquette sur les conditions d’élevage, sans informations au Consommateur, ruinant la filière volaille française.

Pendant ce temps l’Agro-industrie ou la Grande Distribution achète un kilo de patates 40 cm et le revend 3, 90 euros ou plus en supermarché..

Idem pour le LAIT les ŒUFS la VIANDE les FRUITS, etc.

Pollution électromagnétique et électrique

Pendant ce temps et pendant cet enfumage « Green Agenda » des centaines d’éleveurs perdent leurs veaux, vaches, poulets, œufs à cause des ANTENNES RELAIS 4G/5G, des ÉOLIENNES et lignes haute tension, tout le VIVANT étant hypersensible à la pollution électromagnétique.

Tous les pollinisateurs et Oiseaux disparaissent à cause de cette pollution EMF intense de micro-ondes sur tout l’environnement, cela est prouvé par plus de 10 000 études scientifiques :

https://www.5gspaceappeal.org/

La seule pollution réelle du 21e siècle est : CHIMIQUE, NANOTECHNOLOGIQUE, ONDES EMF et PLASTIQUE, elle ne vient pas de « gaz à effet de serre »

IRLANDAIS ET NÉERLANDAIS sont en avance sur les « agriculteurs français »

Car ils ont BIEN COMPRIS que le VRAI BUT c’est de les CHASSER de leurs terres et REPRENDRE LES TERRES pour l’AGENDA 21 / 2030 du WEF ONU (dans l’AGENDA 21, c’est BUT des ÉLITES)

Que l’alimentation échappe à l’humanité, aux paysans, aux fermiers, et soit sous total contrôle de LOBBIES, DE SCIENTISTES comme BILL GATES et dirigeants auto proclamés de la planète comme SCHWAB et son WEF, comme l’OMS et L’ONU… Pour passer de l’alimentation traditionnelle à des aliments modifiés par la Biotechnologie, la génétique, l’industrie alimentaire doit être transformée et les aliments naturels doivent être de plus en plus remplacés par des aliments artificiels.

L’invasion numérique

L’agriculture doit selon eux être renouvelée en « SMART FARMING » par le Numérique, la robotisation avec des Algorythmes à la Production au moyen de l’Intelligence artificielle, des drones, du traçage numérique via 5G, des « bio-sensors » dans les animaux, des colliers 5G au cou des vaches, etc..

Évidemment les petits producteurs et éleveurs locaux ou traditionnels doivent être éliminés d’office et ce sont les grands ou les très grands qui vont avoir droit à ce « Smart Farming », à ce « Great Reset des pommes de terre et des vaches » (mon image).

Altération biologique par les vaccins et les OGM

En ce qui concerne les vaccins pour les élevages :

ONU ET OMS ont mis en place un programme récent et DANGEREUX pour les GÉNOMES NATURELS, nommé « ONE HEALTH » qui lie la santé humaine directement à la santé animale, avec un programme mondial de « vaxins » biotechnologiques ou à « ARNm » pour tout le monde (tous les animaux, poulets, humains, poissons, poussins, tomates, salades, etc.)

https://www.woah.org/fr/ce-que-nous-faisons/initiatives-mondiales/une-seule-sante/

« Bayer et BioNTech travaillent depuis plus de six ans sur des vaccins à ARNm pour le bétail. Le scientifique et co-inventeur de la technologie ARNm artificielle, Robert W. Malone, a souligné à ce propos qu’il y a encore moins de transparence en médecine vétérinaire qu’en médecine humaine en ce qui concerne les procédures de test et d’autorisation. En d’autres termes, le risque pour l’utilisateur final est peut-être encore plus grand que dans le cas des injections COVID. Le gouvernement canadien propose même sur son site web un aperçu détaillé des produits à base d’ARN et d’ADN utilisés dans le pays. Au moins une poignée d’entre eux sont déjà utilisés à grande échelle. Les vaccins basés sur le génie génétique sont donc déjà utilisés, malgré toutes les affirmations contraires. Ils sont simplement commercialisés sous d’autres labels. » 

(Source)

Suppression du naturel pour imposer l’artificiel

L’OMS prévient et prétend que l’alimentation, les fermes, les cultures sont néfastes pour l’humanité et la planète !!

Et je vais vous dire ce qui est prévu pour vous et vos enfants, si nous laissons faire et si les agriculteurs et fermiers et pêcheurs disparaissent ou sont empêchés de produire de bonnes choses ou obligés pour les restants d’OBÉIR a des NORMES technocratiques sans fin qui leur feront rendre la Clef des Champs.

D’abord il y a aura une FAMINE MONDIALE OU en tout cas de très sévères RESTRICTIONS ET PÉNURIES pour que ces élites diaboliques puissent faire « le Great Reset des Pommes de terre et des vaches » (c’est une image) et que votre droit à s’alimenter soit sous contrôle d’un ID numérique polyvalent (Identité, Energie, transports, santé et vaccins, « compte bancaire » de monnaie numérique, Alimentation)

Bien sûr la « SOLUTION » « SOLEIL VERT » ARRIVERA DU WEF de l’UE, de TOUS LES GOUVERNEMENTS AUX ORDRES et de l’OMS :

  • Manger des insectes !
https://olivierdemeulenaere.wordpress.com/2021/01/16/lunion-europeenne-veut-vous-faire-manger-des-vers-et-des-insectes-pour-sauver-la-planete/

  • De la viande de chanvre ou de compost
  • De la viande artificielle de BILL GATES poussée en labo ou imprimée en 3D
    Le marché en pleine expansion de la viande artificielle est également dominé par un très petit nombre de géants de l’agroalimentaire qui, eux aussi, sont détenus par BlackRock et Vanguard.
  • Des légumes OGM, aseptisés et VACCINÉS
    Oui vous avez bien lu, VACCINÉS et ainsi soi-disant résistant au « Climate change ».
  • Des FRUITS « VACCINÉS »
  • Du LAIT OGM
    Bien sûr de vaches « VACCINÉES » à ARNm
  • Du lait VÉGÉTAL aussi toxique que l’autre avec des plantes OGM à la base (soja OGM, Riz transgénique, etc.)

Rarement, très rarement, vous aurez droit à du poisson d’élevage ou du vrai poulet ou du bœuf VACCINÉS à VACCINS ARNm pour « votre sécurité », les achats étant décotés de vos points sur votre PASS CARBONE.

GRAPHÈNE, PEG et QUANTUM DOTS sont déjà présents dans toute l’alimentation industrielle : rien que cela produit une altération, une corruption évidente de la biologie (voire des ADN), celle des animaux, de L’HOMME et même des plantes, des poissons, des crevettes, des pommes, des salades, des légumes, etc.

Un quota de protéines animales à ne pas dépasser, sera attribué à chacun, associé à ton pass CARBONE.

Objectif : dépopulation et contrôle

Ainsi le « monde d’après » PSYCHOPATHIQUE du « WEF & CO » compte bien contrôler une population dépendante, sans accès a la nourriture à l’ancienne, une population pucée, vaccinée, hybridée, parquée dans des Smart Cities ou « villes 15 min » sous 5G/ 6G, avec un pass carbone, un ID Numérique et un réseau nano intracorporel graphène/quantum dots/ Luciferase et donc neuromodulable par les ondes, pour le lier au CLOUD et à l’IA à jamais où votre ID Numérique vous permettra ou pas d’acheter votre ration alimentaire.

https://olivierdemeulenaere.wordpress.com/2022/05/19/liran-lance-le-rationnement-alimentaire-couple-a-un-systeme-didentification-biometrique/

Un Transhumain robotisé et obéissant, ne « possédant rien, mais étant heureux », sous le SOMA multiforme du BRAVE NEW WORLD 2.0

« Qui contrôle l’ALIMENTATION
et les terres contrôle le MONDE »

« Qui contrôle l’approvisionnement alimentaire contrôle les gens ; qui contrôle l’énergie peut contrôler des continents entiers ; qui contrôle l’argent peut contrôler le monde. » Cette célèbre citation d’Henry Kissinger sonne de plus en plus juste au fil des semaines.

MANIFESTO « UNABOMBER 2030 »

Chers Paysans, fermiers, éleveurs nous vous soutenons, mais allez vous enfin dire le FOND du PROBLÈME ? Qui est que le WEF veut VOS terres, qu’ils veulent contrôler tous les peuples en contrôlant l’alimentation et la propriété privée (et les annihiler pour leur « monde d’après »), parquer l’Humain dans des villes 15 min sous 5G, dans un monde tout numérique, une vie quasi virtuelle et sans âme, sans plus de contact entre l’Homme et la Nature…

Un de leurs buts premiers pour cela étant d’arriver à exproprier les paysans fermiers, éleveurs, en les poussant au désespoir par la coercition, les taxes, les normes, la misère financière puis les exproprier et récupérer les terres quasiment pour rien. Ce que fait BILL GATES de manière exponentielle. Cet agenda a commencé il y a des décades.

Ils font actuellement semblant de favoriser le BIO, mais ce n’est qu’un stade 1, pour « normer » plus et pourrir la vie et les revenus des non-bios et vice versa.

Mais sachez que favoriser le bio et l’autonomie alimentaire d’un pays d’une région ou d’une famille n’est PAS LEUR AGENDA.

A la place, ils souhaitent une alimentation sous contrôle, au mieux OGM et Production en agrochimique, mais ils veulent AUSSI et FONT déjà de nouveaux vaccins sur les élevages qui se retrouvent vaccinés avec QUOI ? Avec les nouveaux vaccins à ARN m de type vaxin covid (graphène, poisons, métaux, etc.. )

PROGRAMME ONE HEALTH ONU/OMS

Au stade suivant, ils veulent proposer une alimentation de plus en plus synthétique de LABO, viande, légumes et fruits OGM « vaccinés », tout cela soi-disant « antiCO2 », les aliments étant sous Patentes et Propriété des Industriels.

Bien sûr toutes semences naturelles et reproductives qui sont déjà attaquées de tous bords seraient interdites, hors la loi.

Pour cela une bonne « famine pandémique » qui bien sûr serait mise sur le dos du « climate Change » et non sur l’extermination systématique des exploitations par leurs politiques, offrirait le motif et c’est LEUR AGENDA

Quand on voit que ces ÉLITES osent dire que « produire ses propres légumes potagers, produit 5 fois plus de CO2 que l’industrie agricole », TOUT EST DIT !!

ILS MENTENT BIEN SÛR. Y en a-t-il qui sont assez stupides pour les croire ? OUI, des jeunes biberonnés au smartphone, addicts au smartphone et aux vidéos sans intérêt, avec un QI en constante baisse, ne connaissant plus rien de la vie, de la Nature, du monde réel et… C’ETAIT LE BUT.

Solution ?

Comment faire tomber un système aussi puissant ? Je ne sais pas.

Au moins dénoncer et faire savoir

Mais déjà il faut le dire haut et fort, en LE nommant précisément, pas juste parler des normes ou du fait que la vie est dure.

Elle est dure parce qu’une pieuvre au-dessus de tous les gouvernements et même de L’UE dicte un agenda génocidaire, transhumaniste et inhumain de dépopulation, ennemi de TOUT ce qui fait de nous des humains.

Ce même Agenda au final et contrairement à leurs dires de façades et aussi contre la Nature. La Nature originelle que nous aimons et qui nous soutient et nous nourrit, ils n’en veulent pas, car elle ne peut être ni patentée ni contrôlée, ni exportée sur Mars.. Ils la modifient donc de toutes les manières possibles.

Leur délire transhumaniste d’Homme augmenté par la technologie est réel, la Nature augmentée ou « Transnature » envahie de biologie synthétique et de nanobots est leur rêve absolu (voir AVATAR)

« Alors qu’une série d’incendies détruit soudainement des usines de transformation alimentaire, de viande et d’engrais, à une époque où les agriculteurs souffrent et où les problèmes de chaîne d’approvisionnement se font sentir, un système complet d’infrastructure alimentaire traçable a déjà été mis en place dans plusieurs villes et fait son chemin à travers le monde. …

L’USDA et la FDA ont déjà approuvé la viande cultivée en laboratoire, le bétail génétiquement modifié, et financent les globalistes pour la recherche et le développement de l’agriculture cellulaire ainsi que les cultures d’intérieur et les sociétés de génétique. … »

La base d’action des Élites du Club de Rome et leurs successeurs transhumanistes :

La base trompeuse est AGENDA 21 ou AGENDA 2030 un vaste MENSONGE de longue date et très organisé déployé globalement et localement, avec des déclarations alarmistes sur le « global warming », le « climate change », Agenda qui prétend ne vouloir que du bien à la nature et à l’humanité, mais c’est tout l’opposé.

Qui ne parle pas bien sûr des Armes climatiques servant à perturber le climat, stations HAARP, profusion de chemtrails, armes à énergie dirigée ou DEW weapons, canons à micro-ondes, pulsage d’ondes ELF très basses fréquences dans l’atmosphère et l’Ionosphère, satellites 5G en basse orbite (Starlink, One web, One Earth, etc.) tours 5G décimatoires du vivant = ces armes sont si puissantes qu’elles servent à faire à la demande : Ouragans amplifiés, incendies, griller des forets ou des villes ciblées au choix (Californie, Australie, Maui, USA, Canada, monde) activer des tremblements de terre, des tsunamis, des inondations, des précipitations massives ou créer des sécheresses artificielles terribles, faire neiger au Sahara ou en Inde, créer de la neige artificielle, des tornades, etc.

L’Agenda 21 / 2030

L’Agenda 21 / 2030 for « sustainable development » [développement durable] est l’outil parfait de manipulation mentale pour faire faire à l’Humanité ce que l’on veut qu’elle fasse. En fait c’est le Great Reset promu par Schwab, ONU et FEM travaillant en partenariat.

C’est contre l’HUMANITÉ et contre les animaux d’élevage, voués au massacre vaccinal et à une drastique réduction du nombre de bêtes sous prétexte d’« azote, de méthane, de CO2 » produit par les vaches ou les poules !

Présentation EN FRANÇAIS de « Agenda 21 » par ROSA KOIRE.

VISIONNER :



AGENDA 21 AGENDA 2030 : LE BUT

Dans AGENDA 21/ 2030 les ZONES préservées de NATURE sans AUCUNE ACTIVITÉ HUMAINE sont prévues constituer 70, voire 80 % de la surface des terres de la Terre

Un pourcentage des terres serait autorise avec « activité humaine » sous contrôle TRÈS strict

Un autre petit pourcentage des terres serait ULTRA peuplé : ce sont les zones URBAINES CONCENTRÉES et en fait concentrationnaires ou 98 % de la population mondiale doit être poussée à vivre dans un environnement terrible de tout numérique, basé SUR UN ID NUMÉRIQUE avec passeport carbone, passeport vaccinal, alimentation, monnaie numérique, déplacements 15 MN maxi, avec 5G / 6G à tous les coins de rue et dans les domiciles.

Je précise que ce n’est pas que pour les USA, c’est global.

le CO2 et le « climate change » servant AUSSI DE PRÉTEXTE à cet agenda URBAIN de « VILLES INTELLIGENTES » [SMART CITIES] SOUS CONTRÔLE NUMÉRIQUE et ANTENNES 5G/6G + AI

L’addiction des gens des jeunes des enfants au smart phone, au WIFI et l’acceptation du tout numérique, de la monnaie numérique, d’un ID Numérique, de la 5G de la 6G est la BASE ET LE SEUL MOYEN POUR EUX D’INSTAURER CE « GREAT RESET » GLOBAL et LOCAL.
C’est ainsi que le smart phone a été mis dans les mains de la population mondiale, ce n’était pas pour vous libérer, même s’il est très utile au départ, ainsi que l’Internet (voué à être sous contrôle total), mais au final pour vous enfermer.

J’espère que les agriculteurs ont bien conscience qu’ils sont ou vont être manipulés par les syndicats, les gouvernements et certains meneurs, ne rien lâcher, dénoncer le WEF haut et fort, faire tomber Bruxelles

N’obéir à personne. C’est le dernier combat : la liberté, l’humanité et la Nature OU le Transhumanisme, la fin de l’humain et de l’animal naturel et de notre civilisation millénaire, quelque soit le pays et l’ethnie.

Par contre que ces paysans arrêtent de dire qu’ils veulent avoir droit a plus de pesticides à cause de la « concurrence » déloyale étrangère, car c’est contre eux, contre nous, contre les pollinisateurs et contre la terre et le Vivant au final.

Qu’ils COMMENCENT aussi par se rendre compte que les « vaccins » pour leurs bêtes deviennent à présent des armes biologiques destructrices de même TYPE que les vax covid, institués et imposés globalement par le programme ONE Health de OMS ONU qui est déjà en cours !

Qu’ils arrêtent de les « VACCINER » avant que tout déraille au niveau génétique.

Qu’ils vendent au peuple de la nourriture saine, produisant peut-être un peu moins, mais à UN prix PLUS élevé pour eux à la vente, qui les fera VIVRE et sera bien au-dessous de ceux de la grande distribution.

Comment ? Sans les gros intermédiaires Leclerc et compagnie, sans Nestlé, Danone, Lidle, Carrefour, Auchan et sans UE et sans syndicats. 

Sans intermédiaires, que le peuple leur achète leur production, dans les villages, les villes, sur les routes, partout.

Une révolution pacifique globale aussi majeure ne peut avoir lieu que par une conscience aiguë des buts réels du WEF dont l’UE n’est qu’un des petits exécutants, agenda qui avance par stades, masqués, sauf pour ceux qui étudient avec acuité leurs documents et plans.

Lire aussi : https://olivierdemeulenaere.wordpress.com/2022/06/09/les-mondialistes-prennent-le-controle-du-systeme-alimentaire-cela-fait-partie-de-leur-plan-pour-vous-controler/

extrait :

La prise de contrôle du système alimentaire par les mondialistes est en cours — s’ils contrôlent les semences, ils contrôlent la nourriture, et s’ils contrôlent la nourriture, ils peuvent utiliser l’identification numérique pour contrôler l’accès des consommateurs à la nourriture.

L’histoire en un coup d’œil :

  • La prise de contrôle par les mondialistes nous arrive sous tous les angles possibles. Qu’il s’agisse de la biosécurité, de la finance, du logement, des soins de santé, de l’énergie, des transports ou de l’alimentation, tous les changements auxquels nous assistons aujourd’hui n’ont qu’un seul but : forcer la conformité avec le programme des mondialistes.
  • Le système alimentaire mondial, et les sources de protéines en particulier font actuellement l’objet d’attaques coordonnées et intentionnelles visant à provoquer des pénuries alimentaires et la famine.
  • L’élite mondialiste a l’intention d’éliminer l’agriculture et l’élevage traditionnels et de les remplacer par des produits cultivés en intérieur associés à des protéines de remplacement créées dans les laboratoires qu’elle possède et contrôle.
  • Si la présence de centaines de marques alimentaires donne l’apparence d’une concurrence sur le marché, la réalité est que l’industrie alimentaire est monopolisée par moins d’une douzaine de sociétés, qui toutes, à leur tour, sont largement détenues par BlackRock et Vanguard.
  • À terme, votre capacité à acheter de la nourriture sera liée à votre identité numérique et à votre score de crédit social.

Le programme de prise de contrôle par les mondialistes n’est rien d’autre que total. Ils nous attaquent sous tous les angles possibles et, qu’il s’agisse de biosécurité, de finance, de logement, de soins de santé, d’énergie, de transport ou d’alimentation, tous les changements auxquels nous assistons actuellement n’ont qu’un seul but : forcer la conformité avec le programme des mondialistes. »

AUTRE ARTICLE RELIÉ : https://olivierdemeulenaere.wordpress.com/2022/05/11/maladie-guerre-et-famine-le-troisieme-cavalier-du-mondialisme-approche-au-galop/

Autre très bon article : https://nouveau-monde.ca/larme-alimentaire-cest-ce-qui-relie-les-protestations-paysannes-lagenda-2030-et-lattaque-contre-lalimentation/

Theara TRUTH NEWS, 27 janvier 2024

Manifesto « Unabomber 2030 » par Theara
FRANCE

Article de Theara, directement RELIÉ à celui-ci :
https://lesmoutonsenrages.fr/2023/12/07/la-guerre-des-globalistes-sur-les-elements-de-la-vie-club-de-rome-1972-agenda-2030/

Plus de nombreux autres articles de Theara sur le Great Reset, L’Agriculture et l’Élevage et le Transhumanisme, sur Pro Fide Catholica :

https://profidecatholica.com/?s=Theara+

À suivre : partie 2. (https://lafemmedanslehautchateau.wordpress.com/2024/02/04/le-great-reset-des-pommes-de-terre-et-des-vaches-partie-2/
ou « UNABOMBER 2030 » Partie 2 — FARM TO FORK: DÉTRUIRE le système alimentaire de l’Humanité)




Acceptons-nous de devenir des objets connectés ?

[Source : JSF – TV]

Capsule d’Emilie Mugabo à propos de l’omerta sur l’oxyde de graphène et les nanopuces et autres nanocomposants électroniques dans les injections covid et au-delà.

[Voir aussi :
https://www.profession-gendarme.com/droit-de-reponse-demilie-mugabo/
« Le Vaccin Covid est une arme biologique 100% SYNTHÉTIQUE »
Le rôle de l’hydrogel et des points quantiques pour le projet transhumaniste
C’est l’heure du conte « Gain de Fiction »* avec RFK Jr. et ses amis !
Selon selon le Pr Ian Akyildiz les ARNm des vaxins sont en réalité des nanomachines programmées à petite échelle
UN ADIEU À LA VIROLOGIE (ÉDITION POUR EXPERT)
Qu’est-ce que l’oxyde de graphène et les nanotechnologies ont à voir avec la 5G ?
Nanoréseau intégré au corps humain. Extraordinaire dossier réalisé par un scientifique
https://xochipelli.fr/2024/02/de-loxyde-de-graphene-des-nano-tubes-de-carbone-de-ladn-synthetique-dans-les-nano-fibres-des-viandes-cellulaires-cultivees-en-cuves-metalliques-et-dans-les-viandes-animal/
Se débarasser du graphène
et les nombreux articles complémentaires des dossiers :
5G et ondes pulsées,
Implants numériques et contrôle mental
et Vaccins et virus]






Les fissures commencent à apparaître à Davos

[Source : lesakerfrancophone.fr]

Par Simplicius Le Penseur — Le 2 février 2024 — Source Dark Futura

Le WEF 2024 à Davos — la principale retraite des mondialistes — s’est tenu du 15 au 19 janvier. À bien des égards, il s’agissait d’un événement particulier, car c’était le premier conclave de ce type où les élites affichaient une peur et une appréhension palpables face à la direction que prend la société et au retour de bâton d’une humanité de plus en plus défiante.

Officiellement, le climat et la désinformation ont dominé l’ordre du jour de leur programme, qui a été sponsorisé sous le titre « Reconstruire la confiance ».

(Voir vidéo [en anglais] sur l’article original)

Qu’est-ce qui peut bien amener les élites à penser qu’elles ont rompu notre confiance ? se demande-t-on. Il apparaîtra clairement dans leurs moindres gestes au cours du déroulement du symposium que les élites sont terrifiées par les troubles qu’elles ont elles-mêmes créés.

Voici le rapport complet qu’ils ont publié à la veille de la convocation. L’ensemble est modelé sur la hiérarchie des risques suivante, montrant les perspectives à deux ans et à dix ans des risques, classés dans l’ordre :

Il est clair qu’à court terme, c’est la désinformation qui leur donne le plus de fil à retordre. Cela est dû, selon eux, au fait que les deux prochaines années seront riches en élections mondiales cruciales au cours desquelles la désinformation jouera un rôle de premier plan. Pour les perspectives à dix ans, ils battent naturellement les bongos du climat à pleines dents, car cela reste leur plus savant filon.

Dès les premières pages, ils commencent par admettre que la majorité des participants pensent que le modèle mondial unipolaire cessera de dominer au cours de la prochaine décennie :

Ces risques transnationaux deviendront plus difficiles à gérer à mesure que la coopération mondiale s’érodera. Dans l’enquête de cette année sur la perception des risques mondiaux, deux tiers des personnes interrogées prévoient qu’un ordre multipolaire dominera au cours des dix prochaines années, les puissances moyennes et les grandes puissances établissant et appliquant — mais aussi contestant — les règles et normes actuelles.

Le manque de conscience de soi des élites est cependant toujours stupéfiant. En lisant ces pages, on est surpris de constater que toutes les raisons invoquées pour expliquer pourquoi le monde se dirige vers ces eaux troubles pointent directement vers la mauvaise gestion des affaires mondiales par les élites elles-mêmes. Par exemple, ils pensent que le monde se précipite vers cette multipolarité « dangereusement instable » parce que la confiance dans les institutions occidentales, en particulier dans le leadership mondial, s’est érodée. Se sont-ils posé la question de savoir pourquoi il en est ainsi ?

Depuis plusieurs décennies, les États-Unis et leurs vassaux des Nations unies ont écrasé le monde en développement, menant sans relâche la guerre, la terreur et le chaos partout où ils le jugeaient bon. Les pays du Sud sont restés silencieux, attendant leur heure, uniquement parce qu’ils n’avaient pas la capacité de résister correctement. Mais maintenant qu’ils ont acquis cette capacité, nous sommes censés oublier le déchaînement vertigineux de l’Occident et l’étalage flagrant de son hypocrite « État de droit » et de ses « règles fondées sur l’ordre » ?

Ils se rapprochent d’un semblant de conscience de soi dans la section suivante, où ils citent les milliardaires non élus propulsés à de nouveaux sommets de pouvoir et d’influence par l’ère de l’IA comme une source d’inquiétude particulière :

Cela intervient juste après l’annonce que Microsoft vient de franchir le seuil des 3 000 milliards de dollars de capitalisation boursière, dépassant ainsi Apple pour redevenir la « société la plus précieuse » du monde. Apple et Microsoft représentent à eux deux plus de 13 % de l’ensemble du S&P 500.

Nous avons pu constater de visu le pouvoir que Bill Gates a exercé au cours de son ascension vers une sorte d’influence politique mondiale non élue. L’article du WEF craint à juste titre que le caractère « autoréférentiel » de la croissance des start-ups de l’IA permette aux entreprises qui réalisent des percées dans ces technologies, qui incluent l’informatique quantique, d’exercer de vastes pouvoirs en vertu de l’omniprésence de leurs technologies « à double usage et à usage général ».

La capitalisation boursière de Microsoft, qui s’élève à 3 000 milliards de dollars, représente une masse d’argent plus importante que le PIB de la majorité des pays de la planète. Une entreprise unique exerçant un tel pouvoir ne peut être comparée qu’à la Compagnie des Indes orientales des années 1600-1800, qui disposait de sa propre armée privée et pouvait facilement écraser des nations entières.

Mais venons-en à l’aspect le plus intéressant du conclave de cette année : la révolte tranquille des globalistes.

Cette année, on a enfin eu le sentiment que les technocrates globalistes n’étaient plus tous sur la même longueur d’onde. De tels groupes fonctionnent comme un sous-produit de la forte pression exercée sur le groupe pour qu’il se conforme à l’orthodoxie établie. Divers mécanismes permettent de maintenir l’uniformité, depuis les incitations commerciales jusqu’aux menaces pures et simples, en passant par le kompromat. Ainsi, lorsque les globalistes commencent à se révolter contre les leurs, remettant en cause le discours, rompant avec le sacro-saint ordre du jour, il s’agit d’un moment décisif de « rupture de barrage ».

La dernière retraite de Davos a été marquée par plusieurs cas de ce genre. Le plus médiatisé est le grand discours de Javier Milei sur la destruction du monde, qu’il a qualifié de « [planter] les idées de liberté dans un forum contaminé par l’agenda socialiste 2030 ».

En substance, il a prétendu avoir assisté à la réunion du WEF dans le seul but de subvertir les globalistes de l’intérieur. Faites-en ce que vous voulez — je suis moi-même assez ambivalent sur Milei, avec un fort penchant pour le scepticisme. Mais il est indéniable que son discours — en particulier la dernière partie — a servi de moment de raclement de gorge aux étatistes et aux globalistes présents.

Le plus remarquable est que, sur la grande scène du WEF lui-même, il a rejeté de manière significative le mandat du « changement climatique », ou le fait que les humains soient responsables de tout changement naturel dans l’environnement. On ne s’attendait pas à ce que cette déclaration soit prononcée à la tribune de l’institution la plus importante du monde en matière de changement climatique.

Le reste de sa polémique était terne, puisqu’il s’est attardé sur ce terrible cheval de bataille qu’est le « socialisme », le considérant comme le principal cheval de bataille de l’élite du WEF, se positionnant ainsi commodément comme le grand iconoclaste audacieux.

En réalité, Schwab et ses semblables ne se soucient pas le moins du monde de ce type d’encadrement sémantique — ils sont experts dans l’art de coopter et de s’approprier n’importe quel système pour parvenir à leurs fins. Si vous leur donnez le contrôle d’un pays « socialiste », ils utiliseront leur dirigeant fantoche pour imposer des obligations de haut en bas via la « planification centrale » qui correspond à leur agenda ; donnez-leur un pays « capitaliste de libre marché », et ils utiliseront leurs vastes sociétés transnationales pour déraciner et capturer toutes les industries, en les intégrant dans le méga-monopole mondial. En d’autres termes, ce n’est pas un système contre l’autre, c’est l’humanité contre une cabale d’élites financières contrôlant le système bancaire occidental et, par extension, toutes les entreprises et industries.

Prochain sur la liste de la révolte sans précédent de Davos : Stephen A. Schwarzman, PDG de Blackstone.

Stephen A. Schwarzman, PDG de Blackstone, déclare à la foule de Davos que les États-Unis ne sont pas prêts pour quatre années supplémentaires de déficits de 2 000 milliards de dollars de Biden, d’invasion de 8 millions de clandestins et d’un ratio dette/PIB de plus en plus élevé. Il a raison.

(Voir vidéo [en anglais] sur l’article original)

Il est suivi par le PDG de JPMorgan Chase, Jamie Dimon, qui déclare de manière très pressante :

« Si vous ne contrôlez pas les frontières, vous allez détruire notre pays ».

(Voir vidéo [en anglais] sur l’article original)

C’est ce fil X qui a le mieux rendu compte de l’étonnante évolution de l’esprit du temps :

Il y a ici quelque chose d’extrêmement important qui n’est pas reconnu, mais ceux qui savent lire entre les lignes s’en rendent compte et cela effraie les gens : Des éléments de la classe de Davos **se préparent à faire défection vers le mouvement Trump/populiste**.

Le monde actuel est terrifiant pour la classe Davos. Tout va mal, les populistes sont entrés dans le sanctuaire intérieur et disent ouvertement « vous êtes le problème, votre malheur est proche », et on a le sentiment que le système néolibéral international est au bord de l’abîme.

L’économie — qui est ce qui maintient à flot l’ordre international dirigé par les États-Unis (c’est-à-dire l’ordre néolibéral, alias l’empire américain) pour l’instant — est en train de se dégrader. Même si Trump devait *perdre* l’élection présidentielle, il est entendu que la situation se dégraderait.

Et ils ne pensent pas que Trump va perdre. Ces personnes, aussi désemparées qu’elles puissent être, voient également les sondages d’opinion et sentent où vont les choses.

Ce sentiment de malheur imminent crée BEAUCOUP de panique et de déni dans les cercles Démocrates et néolibéraux. Les élections sont impossibles à gagner, les voler à nouveau est plus difficile cette fois-ci parce que tout le monde a compris…

La légitimité de leur système (« méritocratie »/règle de l’expert) s’effondre (« adultes dans la pièce » est désormais une blague), l’environnement international ne peut pas tenir (voir : Ukraine, Israël, Taïwan, la mer Rouge, etc.), la coalition arc-en-ciel à l’intérieur commence à se déchirer elle-même…

Les Démocrates et les néolibéraux — qui ont passé 8 ans à se convaincre et à convaincre tout le monde que Trump était un dictateur imminent — sont convaincus qu’Orange Hitler est sur le point de s’emparer du Reichstag. Et à ce stade, Trump a dit : « Et puis merde, je serai le monstre que vous pensez que je suis ».

Mais voilà : tandis que les Démocrates et les progressistes crient que leur navire est en train de couler et que l’eau glacée les attend, certains centristes néolibéraux à la tête froide regardent les canots de sauvetage et se disent « … en fait, il y a peut-être une issue ici ».

Les membres de la classe de Davos n’en sont pas à leur premier coup d’essai. Ces financiers et hommes d’affaires ont vécu l’ascension de Poutine et la purge des oligarques, Xi faisant de même et imposant des « exigences » aux entreprises désireuses d’accéder au marché, etc.

Aujourd’hui, un bon nombre d’entre eux croient *véritablement* qu’une répétition de ces événements pourrait être à l’ordre du jour pour les États-Unis. Désireux de survivre, certains d’entre eux seront prêts à passer un accord avec le diable. Surtout s’il leur dit « signez maintenant ou sinon ».

« Et si je ne m’inscris pas ? », se disent-ils. « Est-ce que je veux VRAIMENT prendre le risque d’être sur la liste de merde de l’administration Trump ? ». Dans un environnement populiste et anti-élite ? Dans un contexte de récession/dépression imminente ? Dans un environnement mondial de plus en plus multipolaire ? »

Donc, si vous êtes un type de la classe Davos — dans la finance, le capital-investissement, les entreprises multinationales, certains types de think tank/académiques/à but non lucratif qui dépendent des connexions politiques — votre instinct est de SURVIVRE à tout prix. Si cela implique un accord avec le populiste, alors…

L’OP s’inspire de ce nouvel article de Bloomberg :

https://www.bloomberg.com/news/articles/2024-01-19/davos-sees-the-global-economy-settling-into-strange-new-dynamic

Les six membres du panel ont été chargés de résumer l’ambiance à Davos après une semaine où les participants ont eu tendance à donner un visage courageux aux perspectives mondiales, en accentuant la probabilité qu’une récession profonde sera probablement évitée malgré un resserrement monétaire sans précédent pour maîtriser l’inflation.

L’article résume l’ambiance comme étant tendue, les élites inquiètes invoquant même ouvertement la possibilité que le dollar soit détrôné en tant que monnaie de réserve mondiale :

« Si nous ne résolvons pas ce problème (les questions budgétaires), quelque chose va arriver au dollar », a-t-il déclaré. « Si les États-Unis ne parviennent pas à se ressaisir sur le plan budgétaire, à un moment donné, les gens feront ce qu’ils ont fait à la livre sterling et au florin néerlandais il y a des années. »

Certains ont continué à porter des « masques de bravoure », mais d’autres ont exprimé leur incrédulité face à ce qui se passe :

Ken Rogoff, professeur à l’université de Harvard, s’est inquiété de ce que« la situation géopolitique ne ressemble à rien de ce que j’ai pu voir au cours de ma vie professionnelle ».

Enfin, le président de la Heritage Foundation, Kevin Roberts, a couronné la désillusion du WEF en assénant aux technocrates aux yeux écarquillés sa marque unique d’incision éloquente :

(Voir la vidéo [en anglais] sur l’article original)

La polémique de Roberts est ce que celle de Javier Milei aspirait à être. Il a donné la parole aux élites fatiguées, les déshabillant précisément sur les questions que tous les autres ont si peur d’aborder. La vérité, c’est qu’une grande partie des élites globales — même celles qui sont ostensiblement globalistes — ne sont pas d’accord avec les changements les plus extrêmes de ces derniers temps. Elles savent simplement qu’elles doivent porter la cruche d’eau pour BlackRock et consorts afin d’éviter certaines « pénalités » sociales et d’entreprise.

C’est pourquoi il y a de fortes chances que nous assistions dans les années à venir à une sorte de réorientation : les plus raisonnables d’entre eux reviendront du côté de la rationalité. Dans cette optique, la réunion de Davos pourrait être considérée comme l’un des premiers moments canaris dans la mine pour l’orientation des choses.

Les élites sont stratifiées comme tout le reste, ce qui signifie que les contingents les plus radicaux et les plus marginaux continueront à porter la lance de l’avant-garde pour avancer sur de nouveaux territoires. C’est pourquoi, malgré les fractures évidentes et la nervosité qui envahit leur classe pour la première fois, les ultra-radicaux parmi eux ont continué à faire avancer leurs plates-formes extrêmes.

La dernière menace prototypée à Davos est la « maladie X » :

Le directeur général de l’OMS, Tedros Ghebreyesus, a été accosté par un journaliste intrépide alors qu’il se rendait à la soirée de Schwab :

« Quand allez-vous lancer la maladie X ? »

(Voir la vidéo [en anglais] sur l’article original)

Naturellement, l’objectif de cette génération de la peur est de nous ébranler suffisamment pour empêcher l’encre de sécher sur les approbations des thérapies géniques à l’ARNm par le biais de l’éternel « stratagème de la tension sans fin », ainsi que de préparer la table psychologique à l’éventualité d’une nouvelle fausse pandémie pour nous bloquer à un autre point clé, permettant de dissimuler une nouvelle fraude financière ou électorale historique.

Comme à l’accoutumée, l’agenda climatique a occupé la première place de l’événement. Certains des piliers reconnaissables qui ont inlassablement fait grimper le rocher frauduleux sur la colline pendant des années ont à nouveau alimenté le chœur :

Le gagnant de l’assaut le plus flagrant contre la rationalité a été le banquier suisse Hubert Keller pour sa conférence sur les effets néfastes du café sur l’environnement, avec l’implication que ceux qui ont une conscience devraient en boire beaucoup moins (sans parler de l’implication encore plus grave que les élites viendront un jour prendre tout notre café) :

« Chaque fois que nous buvons du café, nous rejetons du CO2 dans l’atmosphère. »

(Voir la vidéo [en anglais] sur l’article original)

Sans blague !

Et pendant que ces dandys minaudant se livraient à des tête-à-tête dans les salles perverses de l’Imaginarium de Klaus Schwab, dans les zones interdites de leurs demesmes, les hordes opprimées étaient entrées dans une frénésie bacchanale ; le rite parisien, en particulier, était un offertoire d’abats pour les siècles à venir :

(Voir la vidéo sur l’article original)

Macron, pendant ce temps, cosplayait avec les rois suédois, indifférent au cri de l’âme de son peuple :

(Voir la vidéo sur l’article original)

Juxtaposition évocatrice ! [NDRL En français dans le texte original anglais.]

Les condamnations ne se sont pas limitées au café, mais, comme d’habitude, à l’ensemble de l’approvisionnement alimentaire, qui, selon l’élite, « carbonise la planète » :

L’information d’entreprise s’est jointe à l’incursion malthusienne chorégraphiée. Cette séquence classe effectivement les enfants dans la catégorie des accumulateurs de carbone :

Un lobbyiste de l’environnement a déclaré mardi aux téléspectateurs de la chaîne d’information britannique GB News que le fait d’avoir des enfants pose un « problème moral » en raison de la quantité de carbone qu’ils produiront au cours de leur vie.

Donnachadh McCarthy a affirmé que les gens devraient avoir moins d’enfants, et qu’avoir un seul enfant est « formidable ».

(Voir la vidéo [en anglais] sur l’article original)

Entre-temps, les capitales européennes se sont embrasées — les supermarchés du Paris dystopique se sont vidés en raison des grèves généralisées des agriculteurs :

(Voir la vidéo sur l’article original)

Aujourd’hui encore, alors que les dirigeants européens se réunissaient au sommet de l’UE à Bruxelles, la dévastation régnait autour d’eux ; une statue de l’industriel John Cockerill a été symboliquement déboulonnée juste devant le parlement :

Des balles en caoutchouc et des canons à eau ont été déployés contre des centaines d’agriculteurs européens qui manifestaient devant le bâtiment du Parlement européen à Bruxelles ce jeudi. Les agriculteurs ont lancé des œufs, des feux d’artifice et des incendies à proximité du bâtiment, tout en exigeant que les dirigeants européens cessent de les punir en leur imposant davantage de taxes et de coûts pour financer un soi-disant« programme vert ».

Mais ne vous inquiétez pas, la Maison Blanche montre l’exemple en remplaçant John Kerry par un nouveau tsar du climat plus « sain » :

https://www.reuters.com/world/us/white-houses-podesta-replace-kerry-us-climate-envoy-wash-post-2024-01-31/

N’êtes-vous pas tout simplement soulagé de voir que certaines des plus brillantes personnalités de cette administration sont affectées aux tâches les plus urgentes ?

Mais le dernier point le plus troublant mis en avant par les globalistes concerne la « désinformation ». Ce qui est le plus frappant, c’est que leur ton correspond à l’urgence exprimée sur d’autres questions évoquées plus haut. Ici aussi, ils ont manifesté une crainte croissante de perdre la guerre des récits et d’aliéner la population.

Cela s’est produit à la suite de licenciements massifs dans l’ensemble des médias d’information et de l’industrie de la publication et de l’impression :

Taylor Lorenz l’a expliqué dans un document d’explication largement diffusé et à regarder absolument :

(Voir la vidéo [en anglais] sur l’article original)

ZeroHedge en a également parlé :

Tout le monde tombe !

BuzzFeed et Vice Media, deux anciens chouchous des médias numériques dont la taille et la pertinence ont diminué ces dernières années, sont susceptibles de devenir encore plus petits.

BuzzFeed, dont les actions ont perdu plus de 97 % de leur valeur depuis son entrée en bourse en 2021, cherche à vendre ses sites de cuisine, Tasty et First We Feast, selon des personnes au fait de la situation. Par ailleurs, Fortress Investment Group, qui a repris Vice en faillite l’année dernière, est en pourparlers pour vendre son site Refinery29, axé sur le style de vie des femmes, ont indiqué d’autres personnes.

Quel est donc le problème, exactement ? Pourquoi l’ensemble du secteur est-il en train de « s’effondrer », comme l’a dit Lorenz ? Et pourquoi les élites font-elles soudain preuve d’une conscience de soi aussi rare et inhabituelle dans leur horreur d’être remplacées ?

Le symposium du WEF a tenté de résoudre le dilemme :

(Voir la vidéo [en anglais] sur l’article original)

Il admet que, pour une fois, les gens exigent de leur journalisme qu’il rende des comptes. Ils veulent savoir comment leurs informations sont sourcées, d’où elles viennent et pourquoi. Et ce, après des années pendant lesquelles les organes d’information des grandes entreprises ont considéré leur liberté comme acquise et ont totalement érodé leur propre fiabilité en prenant des raccourcis, en contournant les règles et en suivant généralement des « règles non écrites » hautement contraires à l’éthique et politisées. Cela inclut les nouvelles normes modernes telles que les « sources anonymes » paresseuses qui remplacent les fuites politisées évidentes, et d’autres choses de ce genre.

Mais le problème le plus important est bien sûr la nouvelle prédominance des médias sociaux et des médias alternatifs, un sujet que j’ai largement abordé dans cet article :

En particulier depuis que Musk a abaissé les garde-fous en rachetant X, l’information [presque] libre circule sans être entravée par les reliques obsolètes des médias d’entreprise. C’est principalement pour cette raison que le consortium de Davos a placé la « désinformation » en tête de liste de ses ennemis à court terme.

L’ignoble dame Von Der Leyen le souligne dans son discours :

(Voir la vidéo [en anglais] sur l’article original)

Il n’est donc pas surprenant qu’elle cite la mise en œuvre par l’UE de la « loi sur les services numériques » comme le summum de la maîtrise de ce fléau existentiel qu’est la « liberté d’expression » et qui les a tant ébranlés. La loi sur les services numériques est un sujet que j’ai également abordé :

https://darkfutura.substack.com/p/censorship-clampdowns-redux-eu-dsa

Sans parler de l’anticipation des mesures de répression massives qui ne manqueraient pas d’arriver, tant la confiance de l’establishment avait été érodée.

Après tout, faut-il s’étonner que des gens comme eux n’arrivent pas à comprendre pourquoi plus personne ne les prend au sérieux ?

Ce qui précède n’est pas une blague, soit dit en passant. Plusieurs grands noms de l’information ont récemment dénoncé le laxisme de la censure chinoise à l’égard de leur poule aux œufs d’or, Israël : NYTimes et CNN notamment. Avez-vous jamais pensé que vous vivriez assez longtemps pour voir la propagande orwellienne à l’envers prendre une tournure telle qu’elle reproche à la Chine d’être trop libre ?

Les personnes qui nous ont fait la leçon sur les dangers de lire en dehors des lignes sont maintenant terrifiées que nous les ayons ignorées et que nous continuions à penser par nous-mêmes.

C’est le problème de ces globalistes : pour cacher leurs crimes, ils doivent continuer à doubler la mise, mais cela demande toujours plus d’efforts et une complexité croissante dans la mise en relation de points improbables et absurdes et dans la gymnastique de l’excuse. C’est un peu comme la théorie de la relativité et la vitesse de la lumière : plus on se rapproche de la vitesse, plus les besoins en énergie deviennent ridiculement irréalistes.

On a de plus en plus l’impression que les élites atteignent un niveau asymptotique, et que l’absurdité de leurs concoctions superposées est sur le point d’éclater.

Simplicius Le Penseur

Traduit par Hervé pour le Saker Francophone




Science du climat : faiblesses et manquements

L’analyse d’un ingénieur

[Source : fr.irefeurope.org]

Par Pascal Iris

Un travail bibliographique, portant exclusivement sur les publications de chercheurs spécialisés reconnus par le GIEC, montre que les modèles de simulation climatique qui sont le cœur de la recherche climatique actuelle et les seuls outils susceptibles de fournir des prévisions chiffrées sont en réalité inexploitables.

Aussi surprenant que cela puisse paraître, ce sont les numériciens du climat qui l’écrivent eux-mêmes dans des publications spécialisées qui restent confidentielles faute de relais médiatiques et institutionnels.

Le présent travail montre qu’en réalité la plus grande incertitude règne en la matière, avec l’incapacité de simuler certains phénomènes atmosphériques dominants (comme les nuages), l’absence de fiabilité des résultats et le caractère contestable de leur exploitation.

Pourtant ces modèles sont à l’origine de l’équation qui mène aujourd’hui le monde occidental vers la fameuse « neutralité carbone en 2050 » qui limiterait la hausse de la température mondiale à environ 1,5 °C par rapport à l’ère préindustrielle.

Pour l’auteur, la société est ainsi entraînée sur la pente brutale de la décarbonation généralisée, malgré l’absence d’une information équilibrée sur l’état réel de la recherche scientifique qui fonde les décisions de politique publique.

Une démarche fondée sur la raison critique.

Pour qu’il n’y ait aucune ambiguïté, posons en préambule qu’il est clair, pour nous comme pour la très grande majorité de la population, que la protection de l’environnement et l’utilisation sobre et rationnelle de l’énergie sont un enjeu majeur pour l’avenir. Il est également indéniable que la température moyenne de l’atmosphère a augmenté ces 200 dernières années.

Aujourd’hui des décisions drastiques et engageant l’avenir sont prises au motif que la science climatique aurait définitivement statué, science qui aurait « parlé », comme il est commun de l’entendre.

Sur le fond, constater l’élévation de température ces 200 dernières années est une chose (assez complexe en soi), en interpréter la cause en est une autre, et quantifier l’avenir une troisième : la thermodynamique de l’atmosphère n’a malheureusement pas la simplicité de la bille qui tombe sous l’effet de la pesanteur !

Elle est au contraire d’une extrême complexité, chacun le reconnaît et il y a un paradoxe entre cette complexité admise et la simplicité de « la seule faute au CO2 ».

Faisant totalement fi de ce paradoxe, les politiques publiques en la matière se résument désormais à la « décarbonation » de la société tout entière.

Alors, que dit vraiment la science du climat ?

Compte tenu des enjeux, il n’est pas inutile de se poser cette question, si peu abordée tant les choses paraissent certaines et sans appel.

Pour le savoir, un travail bibliographique a été entrepris, EXCLUSIVEMENT fondé sur des publications de scientifiques spécialisés reconnus, par le GIEC en particulier, de façon à éliminer tout biais qui pourrait qualifier la démarche de « climatosceptique ».

La modélisation numérique au cœur de la recherche climatique

Aujourd’hui, la climatologie est un large domaine d’étude et de recherche qui relève de nombreuses disciplines scientifiques distinctes les unes des autres (océanographie, glaciologie, hydrologie, astronomie, géologie, thermodynamique, paléoclimatologie, histoire, analyse numérique, physique du rayonnement, etc.).

Aucune de ces disciplines n’est, à elle seule, capable d’une interprétation globale et encore moins d’une évaluation quantitative.

Les seuls outils susceptibles d’évaluer les températures futures de la planète sont les modèles climatiques de simulation, les plus évolués étant dénommés « modèles climatiques globaux ».

Supposés intégrer l’ensemble des facteurs en jeu, ces outils de simulation sont à l’origine de l’équation du GIEC qui gouverne désormais l’avenir de nos sociétés européennes : neutralité carbone en 2050 = espérance d’une élévation de la température moyenne limitée à 1,5 °C en 2100 (par rapport à l’ère préindustrielle).

Si leur rôle est central, quelles sont les capacités réelles de ces modèles ?

Cette question, qui n’est jamais posée publiquement et dont le GIEC ne fait aucunement état dans ses « résumés aux décideurs », mérite pourtant de l’être.

La modélisation du climat est par ailleurs une discipline qui présente la particularité d’être hyper spécialisée, extrêmement complexe et surtout quasi confidentielle parce que les numériciens du climat représentent une infime minorité de chercheurs étiquetés « spécialistes du climat ».

Elle est de ce fait quasi inaccessible, y compris aux autres scientifiques et c’est là un second paradoxe, loin d’être négligeable vu l’importance stratégique de la discipline.

La question du « réglage » des modèles climatiques

Un modèle, c’est la représentation virtuelle et discrétisée d’un domaine au sein duquel se développent des phénomènes physiques que l’on formalise par des équations, dont on estime certains paramètres directeurs non mesurables et qu’on borne par des conditions spécifiques aux limites du domaine.

Qualité des « équations », « conditions aux limites » et « réglage » des paramètres directeurs sont les facteurs clefs de toute simulation numérique.

Des incertitudes peuvent concerner ces trois éléments, mais le plus critique, quand il s’agit de modéliser la géosphère (c’est-à-dire les milieux naturels), est l’estimation des paramètres directeurs des équations, dénommée souvent « calage » ou « réglage » du modèle. On le fait en ajustant les résultats de calcul sur des historiques pertinents de données, quand ils existent, ou bien on les estime comme on peut.

Le réglage est par conséquent un acte essentiel et délicat, consubstantiel à la modélisation elle-même. Les résultats de calcul y sont très sensibles et les paramètres non mesurables sont un des talons d’Achille de la modélisation des milieux naturels, tous les numériciens le savent et ont à gérer ce sujet. Cela fait partie de leur « art » qui ne relève en aucun cas du « presse bouton ».

Un résultat de modélisation doit par conséquent s’accompagner d’une notice sur ces paramètres, les hypothèses qu’ils contiennent et l’incertitude qu’ils produisent sur les résultats de calcul.

Dans le cadre d’une étude d’intercomparaison des modèles à l’échelle internationale reconnue par le GIEC, un article collectif publié en 2017 sous la direction de F. Hourdin du laboratoire de météorologie dynamique (CNRS — Université Pierre et Marie Curie)1 constate la très faible prise en compte de la question du « réglage » des modèles et regrette explicitement que le GIEC ne s’y intéresse pas. L’opacité sur le sujet est signalée par les auteurs qui y voient une lacune importante. Ils appellent explicitement à plus de transparence.

Le papier est très honnête, très direct et en même temps édifiant compte tenu de l’importance du sujet.

Je cite :

« Il existe une subjectivité dans le réglage du modèle climatique […]il est souvent ignoré lors des discussions sur les performances des modèles climatiques dans les analyses multimodèles […] Pourquoi un tel manque de transparence ?

« Cela est peut-être dû au fait que le réglage est souvent considéré comme un élément inévitable, mais sale de la modélisation du climat […]un acte de rafistolage qui ne mérite pas d’être écrit dans la littérature scientifique […]

« Le réglage peut en effet être considéré comme un moyen inracontable de compenser les erreurs de modèle. »

Au-delà de sa clarté, ce propos direct illustre parfaitement une lacune méthodologique majeure, car l’exploitation des résultats s’exonère manifestement de toute documentation sur les hypothèses de calcul, sur les conditions de réglage, sur la sensibilité des résultats aux paramètres, etc. toutes choses élémentaires et encore une fois consubstantielles à la simulation elle-même.

Un jury de thèse demanderait systématiquement ces éléments à un doctorant présentant des résultats de calcul. Cette situation n’est par conséquent pas conforme aux « règles de l’art » et les spécialistes la dénoncent à juste titre.

Mais les auteurs vont plus loin, je cite :

« Vingt-deux groupes sur 23 ont signalé avoir ajusté les paramètres du modèle pour obtenir les propriétés souhaitées, en particulier à la partie haute de l’atmosphère. »

Cette phrase ne peut que susciter davantage d’interrogations : suggérerait-elle que cette opacité permettrait de régler les modèles pour obtenir les résultats souhaités ?

À la recherche des résultats attendus

En creusant davantage, on découvre que tel est bien le cas, au moins dans un cas publié : un modèle, mis en œuvre en 2019 au sein de l’Institut Max Planck de climatologie en Allemagne2, conduisait à une sensibilité climatique à l’équilibre (ECS) de 7 °C jugée irréaliste (la sensibilité climatique est la variation de la température mondiale estimée pour un doublement du CO2 par rapport à l’ère préindustrielle).

On comprend qu’un paramètre de réglage de la convection atmosphérique a été multiplié par 10 par rapport à la valeur initialement estimée, pour corriger la chose et aboutir à une sensibilité considérée comme plus acceptable de 3 °C…

Je cite :

« […] nous avons décidé de viser une sensibilité climatique d’équilibre d’environ 3 °C. La réduction de la sensibilité du modèle a été principalement obtenue en augmentant le taux d’entraînement pour une convection peu profonde d’un facteur 10 […] dans le but de réduire la rétroaction des nuages tropicaux de basse altitude. »

On ne peut que s’interroger sur la pertinence de ce « réglage » de circonstance : pourquoi multiplier par 10 le paramètre jugé correct initialement, pourquoi pas 5, 20 ou 50… ?

Quel est le sens physique d’un tel réglage ?

Cette question précise est essentielle, car si l’on n’est pas capable de clarifier le sens physique d’un réglage, le modèle perd totalement de son intérêt et de sa pertinence : il fait l’objet d’un ajustement opportuniste sans nécessaire cohérence avec la physique des phénomènes simulés.

L’article n’en parle pas alors que c’est un des pièges bien connus du réglage ; on peut faire l’analogie (également bien connue des statisticiens) avec les corrélations sans cause.

Ce réglage montre simplement que, toute chose étant égale par ailleurs et en particulier à effet de serre donné, la mécanique interne de l’atmosphère, en l’occurrence la convection des nuages, a un impact considérable sur la température.

La mise en évidence de l’influence d’un tel « mécanisme interne » ne manque pas d’intérêt, à l’inverse de la température qui, calculée dans ces conditions, n’en présente aucun.

Tout cela pose question et c’est un euphémisme.

Des objets de recherche incertains.

En 2020, F. Hourdin et son équipe précisent la problématique à gérer et les modalités d’amélioration de leur modèle3.

Je cite :

« […]Il est communément admis qu’une grande partie de l’incertitude dans les projections futures du changement climatique avec les modèles climatiques mondiaux provient de la représentation de processus physiques non résolus par ce qu’on appelle des paramétrisations, et en particulier des paramétrisations de la turbulence, de la convection et des nuages. Les mêmes paramétrisations sont également responsables d’erreurs importantes, qui persistent dans la représentation du climat actuel avec les modèles globaux.

« […] L’amélioration des modèles numériques globaux est essentielle pour l’anticipation des changements climatiques futurs.

« […] Les améliorations sont basées sur des changements significatifs du contenu physique ainsi que sur une stratégie de réglage mieux contrôlée. »

Cette analyse confirme sans ambiguïté ce qui est évoqué plus haut, à savoir le champ considérable des inconnues et des insuffisances.

La qualité des équations est problématique puisque la physique de bon nombre de phénomènes n’est pas formulable explicitement, comme les nuages qui jouent un rôle majeur et variable selon leur configuration et leur extension.

Cette publication confirme que les modèles climatiques, sur lesquels tout repose, sont en fait eux-mêmes des objets de recherche, encore peu avancée compte tenu de la difficulté et de la complexité du sujet.

À l’évidence ce ne sont pas des outils numériques d’ingénierie prédictive, comme les modèles de calcul de structure ou de calcul thermique par exemple : dans ces deux cas, les équations sont connues et les paramètres mesurables par voie expérimentale ; il ne s’agit pas de simuler le milieu naturel.

En d’autres termes, le domaine du calcul climatique relève clairement de la « recherche » avec par essence ses incertitudes, ses inconnues et ses obstacles… à ne pas confondre avec la « science », c’est-à-dire un corpus de connaissances établies, fondées sur la théorie et l’expérience.

Cet état de fait n’est pas choquant en soi ; le fait que ce soit un non-dit masqué vis-à-vis des décideurs et du public est en revanche très choquant et révèle un problème épistémologique méconnu, mais majeur.

L’amalgame médiatique entre recherche et science est souvent fait par méconnaissance, abus de langage et confusion des termes.

Des calculs prédictifs inexploitables

Le 5 mai 2022, l’insuffisance majeure des modèles climatiques est explicitement admise dans un commentaire publié dans la revue Nature, co-signé par des spécialistes tout à fait reconnus, dont Gavin A. Schmidt, le directeur du GISS (Goddard Institute for Space Studies de la NASA)4. Le GISS est un des piliers mondiaux de la science climatique officielle.

Ce commentaire, destiné à alerter la communauté scientifique, intitulé « Reconnaître le problème du modèle chaud » se fonde sur la comparaison la plus récente de 50 modèles (CMIP6).

Il indique qu’une part significative de ces outils de dernière génération, supposés plus performants, « surchauffent » et sont incapables de reproduire le passé.

Je cite :

« Avis aux utilisateurs : un sous-ensemble de la dernière génération de modèles “surchauffe” et prévoit un réchauffement climatique en réponse aux émissions de dioxyde de carbone qui pourrait être plus important que celui obtenu à partir d’autres modèles. »

Et les auteurs d’expliquer :

« Auparavant, le GIEC et de nombreux autres chercheurs utilisaient simplement la moyenne et la dispersion des modèles pour estimer leurs impacts et leurs incertitudes. »

Il faut s’arrêter sur cette phrase, car on découvre à l’occasion une situation étonnante : on comprend que le GIEC estimerait la température future de la planète en faisant la moyenne des résultats des modèles climatiques globaux disponibles !

Cette forme de « démocratie numérique » n’a rien de scientifique et, sauf erreur, n’existe dans aucune autre discipline… un peu comme si on décrétait que le bon résultat d’une épreuve de mathématiques au bac n’était pas dans celle de la copie qui a 19/20, mais dans celle qui a 10/20, en faisant une moyenne avec les mauvaises notes qui pèseraient aussi lourd que les bonnes (à supposer qu’il y ait des bonnes notes en modélisation du climat… ce qu’on ne sait pas) !

La validation des modèles n’est manifestement pas faite comme il se doit, c’est-à-dire individuellement ; on fait la moyenne de tous les modèles.

L’incertitude ne repose pas sur une analyse de sensibilité aux paramètres pour chaque modèle, mais sur les écarts entre les modèles pris dans leur globalité.

Cette approche « démocratique » de la recherche est singulière pour ne pas dire baroque et conduit à s’interroger légitimement sur le GIEC qui, s’il s’appuie effectivement sur des résultats de recherche, les exploitent d’une façon sans doute politique, mais en aucun cas scientifique, comme ce type de moyenne inusitée le montre.

Mais l’article va plus loin. Je cite :

« Dans le rapport AR6(ndlr : sixième cycle d’évaluation du GIEC, le plus récent — 2021), ces méthodes simples ne fonctionnent plus(ndlr : il s’agit de cette moyenne): les modèles à haute sensibilité pris isolément n’ont pas le même poids que les autres pour estimer la température globale. Les auteurs du rapport AR6 ont décidé d’appliquer des pondérations à chaque modèle avant d’en faire la moyenne, afin de produire des projections de réchauffement climatique “réévaluées”. »

En d’autres termes, « le principe » qui consistait jusqu’à présent à prendre en compte la moyenne des résultats de tous les modèles pour prévoir l’avenir thermique de la planète n’est désormais plus valable… Les auteurs approuvent le principe d’une « pondération » effectuée par le GIEC de façon à limiter l’impact des modèles les plus récents qui « surchauffent » !

Que dire de cet invraisemblable bricolage manifestement destiné à aboutir aux valeurs qui conviennent ?

En réalité, les auteurs reconnaissent explicitement qu’il est impossible de quantifier l’avenir dans la mesure où il n’est pas possible de prendre en compte tous les facteurs de la thermodynamique atmosphérique (ils reviennent en particulier sur le rôle central des nuages quasi impossibles à représenter numériquement).

Je cite :

« La Terre est un système complexe dans lequel les océans, la terre, la glace et l’atmosphère sont interconnectés, et aucun modèle informatique ne pourra jamais en simuler exactement tous les aspects. […] »

« Les modèles varient dans leur complexité qui font chacun des hypothèses et des approximations différentes sur les processus qui se produisent à petite échelle, comme la formation de nuages. […] »

« Il y a de nombreux aspects du changement climatique que nous ne comprenons pas encore, d’où la nécessité de continuer à améliorer la science du climat. […] »

« Cependant, même si nous connaissions précisément ce volume (gaz à effet de serre), nous ne saurions toujours pas exactement quel serait le niveau de réchauffement de la planète. […] »

Et ils proposent tout simplement de ne plus utiliser ces outils pour faire des prévisions dans le temps !

Telle est la conclusion insoupçonnée à laquelle aboutissent aujourd’hui des spécialistes de haut niveau international, insoupçonnables de « climatoscepticisme », après des décennies de modélisation et de progrès supposés.

Les modèles les plus récents, c’est-à-dire les plus évolués, donnent de « mauvais » résultats, au point de devoir être massivement « pondérés ».

En matière d’évaluation et de prévision quantifiée, ces publications montrent que la science est en réalité du côté de la plus grande incertitude et nous sommes par conséquent très loin d’une ingénierie numérique exploitable contrairement à ce que l’on fait croire.

On ne sait pas évaluer les températures futures, on ne sait pas prendre en compte correctement une partie des phénomènes internes essentiels et cela se comprend très bien vu l’extrême complexité de l’objet simulé.

Ces chercheurs honnêtes l’écrivent, mais cela reste confidentiel faute de relais médiatiques et institutionnels.

Les rapports du GIEC cachent aux décideurs la réalité de ces insuffisances ; au contraire, ils assènent des certitudes : l’homme reste responsable du climat et il y a urgence à agir.

Il faut rappeler à ce stade que l’objet statutaire du GIEC n’est pas d’étudier le réchauffement climatique, mais d’étudier le réchauffement climatique d’origine humaine.

Ce biais originel a manifestement des conséquences considérables sur l’orientation des travaux de recherche à l’échelle mondiale, sachant que les rapports du GIEC sont approuvés formellement par chacun des États et deviennent de ce fait des éléments de politique publique, particulièrement suivis en Europe.

Une unanimité scientifique factice.

Au-delà de la science qui aurait parlé et dont on peut mesurer la faiblesse prédictive, on entend également en permanence qu’il y a unanimité de la communauté scientifique sur le sujet et qu’il faut « écouter les scientifiques ».

La responsabilité centrale du CO2 dans la perspective climatique catastrophique à venir est de ce fait considérée comme une vérité absolue.

Tout scientifique interrogé dans la rue le dira sans doute comme tout le monde, d’autant que le contester pourrait s’avérer préjudiciable à sa carrière. Mais qu’en est-il quand il s’exprime dans le cadre professionnel des publications scientifiques à comité de lecture, c’est-à-dire le seul qui compte ?

La référence est une étude australienne5 parue en 2013 (et reprise par Greenpeace) qui conclut effectivement que 97 % des scientifiques compétents considèrent que le réchauffement climatique est bien d’origine anthropique.

Le diable étant dans les détails, il faut regarder de plus près la méthodologie de l’étude : 11 944 publications (environ 25 000 coauteurs) dont les résumés contiennent les termes « global warming » et « global climate change », parues entre 1991 et 2011 dans des revues à comité de lecture, ont été analysées et classées.

Sur ces 11944, 7970 soit près de 70 % ne donnent aucun avis sur le sujet… et ont été éliminées du « panel » !

Sur les 30 % restantes, en réalité seules 1010 publications (soit 8,5 % du nombre initial) donnent un avis explicite et 986 d’entre elles indiquent effectivement que l’homme est responsable, soit bien 97,6 %. Mais… 97,6 % de 8,5 %, soit… 8,25 % du total !

Ainsi en réalité, 91,5 % de la communauté scientifique concernée ne donne aucun avis explicite professionnel sur la question et l’unanimité affichée par les medias (et Greenpeace) ne porte que sur un peu plus de 8 %. Une étude américaine de même nature publiée en 2021 conduit à des résultats comparables6.

L’unanimité scientifique sur l’origine humaine du réchauffement climatique relève clairement d’une exploitation fallacieuse des chiffres, si l’on s’en tient à la réalité des publications professionnelles sur laquelle est basée cette affirmation.

En matière de chiffres, le dernier rapport du GIEC suscite également bien des interrogations.

Les chiffres du GIEC… pas exactement l’idée qu’on s’en fait

Partons maintenant de l’hypothèse que les évaluations du GIEC sont fiables et intéressons-nous à l’impact du CO2.

Dans son dernier rapport aux décideurs concernant les aspects scientifiques7, il est indiqué (p9 A.1.3) que pour le passé et jusqu’à nos jours, le «probable réchauffement dû à l’homme depuis 1850-1900 est d’environ +1 °C ». Plus loin, il est écrit pour le futur (p35 D1.1) que « chaque tranche de 1000 Gt d’émissions cumulées de CO2 provoque une augmentation probable de la température mondiale de 0,45 °C (meilleure estimation) ».

On peut s’arrêter sur ce chiffre.

Les émissions annuelles de CO2 résultant de la combustion des hydrocarbures représentent aujourd’hui environ 35 GT.

Un calcul simple montre qu’en 2100, dans 80 ans et selon les hypothèses du GIEC, on aboutirait au rythme de la consommation mondiale actuelle (du fait des hydrocarbures) à une hausse de température estimée depuis 1850 de 2,3 °C (1+80*35/1000*0,45 °C = 2,26 °C)… à comparer avec l’objectif de neutralité carbone en 2050 qui conduirait à une hausse comprise limitée à 1,5 °C.

Soit un écart inférieur à 1 °C entre les deux scénarii d’émissions !

Ce faible écart estimé est à mettre en regard de l’objectif de « neutralité carbone en 2050 » qui lui, a contrario, représente bien une révolution industrielle, économique et sociale aussi faramineuse que brutale par rapport à notre mode de fonctionnement actuel où 80 % de l’énergie utilisée dans le monde est d’origine fossile. D’après l’Agence internationale de l’énergie8 en effet, pour atteindre la neutralité carbone en 2050, il faudrait réduire la consommation mondiale de charbon de 90 %, celle de pétrole de 75 % et celle de gaz naturel de 55 %.

Cet objectif de réduction drastique est colossal et ne peut s’obtenir que par une forte décroissance… pour moins de 1 °C d’écart estimé !

C’est assez surprenant, mais pour mieux comprendre, il faut savoir que le GIEC présente en fait différents scénarii d’émission de CO2 d’ici la fin du siècle. La hausse spectaculaire autour de 4,5 °C (voire plus) souvent mise en avant dans les médias, est en réalité « calculée » par le GIEC sur la base du scénario d’émission de CO2 le plus extrême (scénario SSP5-8.5 — voir 8 p.13 — fig. SPM.4) qui prévoit non pas la poursuite de nos émissions au niveau actuel, mais leur multiplication par deux d’ici 2050 puis par trois d’ici 2080… c’est-à-dire une croissance effrénée (et sans doute irréaliste) de la consommation d’hydrocarbures !

Malheureusement, les chiffres présentés dans les médias ne sont jamais assortis des hypothèses qui les sous- tendent, ce qui entretient la confusion.

Pour terminer de façon pratique, notons que la Chine, l’Inde et les pays dits « du Sud » qui représentent l’essentiel de l’humanité fondent leur développement majoritairement sur les énergies fossiles et n’ont pas l’intention d’y renoncer.

La Chine met en œuvre aujourd’hui un programme électro-charbonnier sur dix ans qui représente environ 300 GW, soit 5 à 6 fois la puissance électronucléaire totale installée en France, quand l’Inde multiplie les ouvertures de mines de charbon.

La France pèse moins de 1 % des émissions mondiales.

Un débat d’intérêt public interdit et une société prise en otage

Qu’ont à répondre sur le fond les spécialistes médiatiques de l’urgence (voire de la terreur climatique) et sur quoi fondent-ils précisément leur certitude affichée et chiffrée du rôle majeur, immédiat et catastrophique du CO2 ?

Quand on interroge les spécialistes et des leaders d’opinion, la réponse est toujours la même : pas de réponse. Tout cela est manifestement un non-sujet, n’a pas à être discuté et surtout l’expression du moindre doute apparaît comme une inadmissible transgression.

Or, comme pour tout domaine de recherche scientifique, le doute est non seulement légitime, mais salutaire et le débat contradictoire, nécessaire.

Au nom de quoi la climatologie serait-elle le seul domaine à pouvoir s’y soustraire ?

Les interdits intellectuels sont bien sûr antinomiques avec l’essence même de la recherche et posent un problème éthique, déontologique et épistémologique.

Nos médias donnent une parfaite illustration de cette situation, comme en témoigne la récente charte environnementale de Radio France, dont le premier article est le suivant, je cite :

« Article 1 : Nous nous tenons résolument du côté de la science, en sortant du champ du débat la crise climatique, son existence comme son origine humaine. Elle est un fait scientifique établi, pas une opinion comme une autre. »

Cette position officielle « d’autorité » qui s’exprime à longueur d’antenne sans la moindre contradiction (sur les radios de service public supposées pluralistes par leur statut) illustre à quel point l’idéologie, le militantisme, voire l’endoctrinement, ont pris la main.

C’est ce qui est dénoncé par de nombreux scientifiques au plan international, à l’image de l’américain John Clauser, prix Nobel de physique 2022, ou bien de Steven Koonin9, membre de l’Académie des sciences américaine, ancien sous-secrétaire d’État à la science du département de l’énergie de l’administration Obama.

Si cette affaire ne relevait que d’un débat savant, cela ne poserait pas vraiment de problème ; la tectonique des plaques a mis soixante ans avant d’être admise par la communauté des géologues.

Mais en l’occurrence, il s’agit de l’avenir de notre société et c’est une affaire d’État.

Nos concitoyens sentent bien qu’il y a sur ce sujet quelque chose d’anormal, même s’ils n’ont aucun outil ni aucune information structurée leur permettant des choix éclairés.

Ils ont raison, car on n’a sans doute jamais pris de décisions aux conséquences aussi lourdes sur des fondements aussi faibles.

Il n’est pas trop tard pour les décideurs d’en prendre la mesure et pour les experts d’avoir le courage de s’expliquer publiquement et contradictoirement.

Présentation de l’auteur

Citoyen ordinaire à la retraite, l’auteur est ingénieur (Mines de Nancy) et scientifique de formation (thèse de 3e cycle de mathématique appliquée en géosciences à l’École des Mines de Paris) ; ancien chef d’une entreprise technologique spécialisée dans les modèles numériques de simulation pour l’industrie mécanique et métallurgique (Transvalor SA), il a une expérience pratique de la modélisation numérique appliquée à différents domaines.

Il est familier du milieu de la recherche, ayant été pendant 20 ans directeur de l’association ARMINES, importante structure de recherche partenariale (partenariat recherche publique — recherche privée).

C’est bien sûr à titre strictement personnel qu’il s’exprime, considérant disposer de l’expérience et de la compétence pour exercer sa raison critique sur l’état de l’art de la modélisation climatique qui est à la source des prévisions chiffrées en la matière.

Références bibliographiques

1 Fréderic Hourdin et coll. : « The art and science of climate model tuning » — Bulletin of American Meteorological Society — BAMS mars 2017 98, n° 3, pp. 589-606

2 Thorsten Mauritsen et coll. : Développements dans le modèle du système terrestre MPI-M version 1.2 (MPI-ESM1.2) et sa réponse à l’augmentation du CO2 — Journal of advances in modelling earth systems — 13 janvier 2019

3 Frederic Hourdin, Catherine Rio, Jean-Yves Grandpeix, Jean Baptiste Madeleine, Frédérique Cheruy : La composante atmosphérique du modèle climatique IPSL avec une physique améliorée et mieux réglée — Journal of advances in modelling earth systems — 06 avril 2020.

4 Zeke Hausfather, Kate Marvel, Gavin A.Schmidt et coll. : « climate simulations : recognize the «hot model» problem » – Nature – vol 605 – 5 mai 2022

5 John Cook et coll. : Environmental research letters : Quantifying the consensus on anthropogenic global warming in the scientific literature—Environ. Res. Lett. 8 024024 — 15 05 2013

6 Mark Lynas, Benjamin Z Houlton et coll. : Environnemental research letters : Greater than 99% consensus on human caused climate change in the peer-reviewed scientific l — 19 October 2021

7 GIEC – Changement climatique 2021 — Les bases scientifiques physiques — résumé à l’intention des décideurs. (IPCC_AR6_WG1_SPM)

8 Net zero by 2050 — A roadmap for the global energy sector — AIE — mai 2021

9 Steven Koonin : « Climat, la part d’incertitude » Édition l’Artilleur — 2022




« Transition énergétique », « crise climatique » et autres lubies pour sauver les profits

[Source : France Culture via les7duquebec.net]

La transition énergétique ambitionne de favoriser et valoriser les énergies renouvelables et de baisser la consommation d’énergie. L’historien Jean-Baptiste Fressoz, spécialiste des techniques, explique qu’une nouvelle énergie n’en remplace jamais une ancienne. Au contraire. 💬 « La fonction de la transition énergétique de nos jours est une fonction de procrastination : c’est l’idée que si l’on a un problème de changement climatique, on va faire une transition énergétique comme si c’était possible ».
L’historien des sciences est l’invité de Guillaume Erner.

[NDLR Guillaume Erner est visiblement croyant dans le supposé changement climatique par le CO2. Cependant, cela ne nuit pas nécessairement au reste de son exposé, notamment en ce qui concerne l’imbrication des différentes sources énergétiques.]




La Physique du Climat

Oubliez l’« Effet de serre » et revenez aux fondamentaux

[Source : laphysiqueduclimat.fr.
Ce site a pour objet :

  1. d’héberger un ouvrage en accès gratuit qui définit la (vraie) Physique du Climat
  2. de recevoir des commentaires de lecteurs]

Par Jacques-Marie Moranne et Camille Veyres

Résumé

Une fois déduit l’albédo, la Terre reçoit du soleil un rayonnement très insuffisant (en application de la Loi de Stefan Boltzmann) pour justifier sa température moyenne de 15 °C : la Lune, à la même distance du soleil que la Terre, a une température moyenne de l’ordre de –80 °C ; et la surface du sol, là où se joue finalement notre climat, n’en reçoit elle-même ensuite que les 2/3, l’atmosphère prélevant sa part au passage.

Dans l’autre sens, pour maintenir son équilibre énergétique et thermique, la Terre doit restituer au cosmos l’énergie qu’elle reçoit en permanence du Soleil ; et elle ne peut échanger avec le cosmos que par rayonnement.

Du fait de sa température, la surface du sol terrestre rayonne dans une gamme d’ondes (les infrarouges dits « lointains » ou « thermiques ») où l’air, jusqu’à plusieurs milliers de mètres d’altitude, est totalement opacifié par les bandes d’absorption du CO2 et surtout de la vapeur d’eau, à l’exception d’une étroite bande de fréquences qu’on appelle « Fenêtre atmosphérique ».

Cette opacité empêche la surface de la Terre de restituer par rayonnement toute l’énergie qu’elle reçoit, et il se crée donc un déséquilibre radiatif : la surface de la Terre reçoit plus qu’elle ne peut renvoyer, et donc s’échauffe.

Depuis la surface, l’évacuation de cette chaleur emprunte alors plusieurs voies :

  • la « Fenêtre Atmosphérique » permet d’en évacuer une petite partie par rayonnement direct depuis la surface du sol et des océans au cosmos.
  • Mais l’essentiel est emporté par l’évaporation des océans et l’évapo-transpiration des plantes et des sols, qui, comme au moyen d’un caloduc qui by-passerait la couche opaque, transfère, par convection, une énergie considérable (chaleur latente de vaporisation/condensation) de la surface du sol au sommet des nuages où elle est récupérée par condensation, et s’évacue alors par rayonnement (la vapeur d’eau, raréfiée, n’y faisant plus obstacle). Plus il fait chaud, plus ce caloduc débite : c’est le principal régulateur du climat.
  • Une partie importante de l’air chaud terrestre est également remontée par la convection naturelle, jusqu’au-dessus des nuages, où elle peut également rayonner.
  • Le solde du rayonnement, dans la bande d’absorption du CO2, n’est libéré pour l’essentiel que dans la stratosphère, où le CO2 est suffisamment raréfié pour ne plus y faire obstacle : du fait de l’étroitesse de cette bande, et de l’altitude (et donc de la température) où il se déploie, sa part est très faible.

La température de la surface du sol se stabilise lorsqu’elle est suffisante pour que l’évaporation (évacuation de chaleur latente) et la convection (évacuation de chaleur sensible) compensent son déséquilibre radiatif : cette température « moyenne » se situant alors aux environs de 15 °C.

Ceci démontre au passage le rôle régulateur (et non pas amplificateur) de l’évaporation (et donc de la vapeur d’eau), sans lequel le réchauffement, du fait du déséquilibre radiatif, serait insupportable.

Les facteurs d’équilibre avec les océans et la végétation rendent peu probable ou lointain un doublement de la concentration atmosphérique en CO2 ; mais si un tel doublement devait néanmoins intervenir, il aurait un impact mineur sur la bande d’absorption du CO2, déjà saturée et très étroite, et sur l’élévation de température qu’il pourrait causer ; et cet impact serait largement contrebalancé par une augmentation de débit du caloduc de la vapeur d’eau : au total, l’élévation de température ne pourrait pas dépasser 0,65 °C.

Il faut donc chercher ailleurs les causes du réchauffement climatique actuel, d’autant que les dernières observations semblent plutôt incriminer l’insolation, via, sans doute, une diminution de l’albédo, dont on ne connaît pas les raisons de façon sûre.

Par ailleurs, le climat suit des cycles, qui sont eux-mêmes assez mal connus, mais dont l’amplitude peut être plus importante que l’augmentation que nous subissons.

Enfin, il ne faut pas oublier que le climat est chaotique, et que faire des simulations précises du climat à tel endroit dans 50 ans ou plus relève du doigt mouillé.

Télécharger le livre :

https://laphysiqueduclimat.fr/wp-content/uploads/2024/01/Physique-du-climat_H_A4.pdf

Annexes

Quelques rappels
A1. Air et atmosphère
A2. Les climats
A3. Insolation et stockage de chaleur
A4. Climat, moyennes, et moyennes de moyennes
A5. Rayonnement
A6. Absorption et émission de l’IR thermique par la vapeur d’eau et le CO2
A7. Océans, vapeur d’eau, dioxyde de carbone
A8. Régulation locale et systèmes convectifs, régulation globale et albédo

Fiches Thématiques

Le rétro-rayonnement
La rétroaction de la vapeur d’eau
Les Faits

[Voir aussi :
Climat — Pourquoi la théorie de l’effet de serre est erronée]