S’échapper du syndrome de Stockholm — passer de la peur du virus (leurre) à un danger réel, la Grande Réinitialisation

06/09/2021 (2021-01-29)

Par Dr Nicole Delépine

S’échapper du syndrome de Stockholm[1] — passer de la peur du virus (leurre) à un danger réel, la Grande Réinitialisation

Dans son livre « La peur de la liberté » Eric Fromm décrit un phénomène semblable au syndrome de Stockholm. Il analyse la façon dont le citoyen peut affectionner ou vénérer les figures autoritaires afin d’échapper à l’angoisse que provoquerait une remise en question ou une confrontation au régime politique.

« L’identification à la pensée dominante et l’idéalisation de ceux qui nous régentent deviennent les palliatifs à une réflexion complexe et rationnelle sur la situation sociale vécue. Malgré tous les dommages collatéraux observés en lien avec les mesures sanitaires, les gens qui soutiennent les mesures sanitaires du gouvernement sont-ils en proie à un tel phénomène psychosocial ? »[2].

Le but réel des mesures qu’on nous impose est de mettre les humains en état de sidération pour les rendre complices de nos agresseurs et céder à leur désir, le rêve de l’oligarchie mondialiste. Mais mettre au pas 99 % de la population mondiale au service des milliardaires n’est pas si facile malgré leur puissance financière… qui ne suffit pas toujours, car tout ne s’achète pas dans le monde des humains que ces pervers narcissiques ne connaissent pas.

L’instrumentalisation du covid démasquée [3]

Depuis bientôt un an nous sommes quelques-uns — et heureusement de plus en plus nombreux — à informer sur la grande supercherie de la pseudo-pandémie covid19 liée aux tests PCR incapables de détecter un virus complet susceptible de se transmettre[4] [5], ou du faux risque de contagion par les asymptomatiques mis en scène par les médias. Les chiffres alarmants des malades et morts sont aussi gonflés, additionnant de vrais malades du covid à toutes sortes d’autres causes de mortalité, de l’accident de trottinette à la blessure par balles, tout en interdisant les autopsies[6].

Le spectre de la persistance indéfinie du Covid19 est maintenant entretenu par les mutants (favorisés par les vaccins et leurs taux d’anticorps souvent insuffisants). La vaccination, objectif financier majeur de nos manipulateurs, arrive sur le marché avec de grosses difficultés[7] et des résultats désastreux sur l’épidémie[8] [9]. Il est temps d’en sortir.

Oublions le virus, et armons-nous, au moins intellectuellement, contre la grande réinitialisation

Il est peut-être temps de passer aux raisons profondes de la crise politique mondiale actuelle et de sortir du mensonge Covid, sachant que si vous attrapez cette grippe, il existe de nombreux traitements précoces qui régleront le problème rapidement à condition de les exiger.

Le Great Reset paré du voile du Covid19

L’idée n’est pas nouvelle, puisque depuis les années 70 des documents sortent : livres, vidéos, etc. dont celle de notre célèbre Attali qui demande aux retraités de se suicider à 70 ans[10], sauf ceux de l’oligarchie régnante dont il fait partie (il a dépassé l’âge du suicide qu’il prescrit aux autres).

Un des théoriciens, fondateur en 1971 du forum économique de Davos[11], est Klaus Schwab qui a écrit au moins quatre livres sur le sujet dont le dernier paru en juillet 2020, « Covid et grande réinitialisation » est disponible sur le web[12]. Sa lecture vous libérera de l’idée de « complotisme » et vous montrera les grandes lignes de ce projet terrible, mêlant transhumanisme et fascisme technocratique.

Un livre de science-fiction qu’ils veulent nous imposer dans le monde réel

Nous en donnerons ici quelques extraits reposant essentiellement sur le dernier livre de K.S. pour tenter d’entrevoir les conséquences de sa vision tragique.[13]

« Sa vision fasciste technocratique est une vision transhumaniste tordue, qui fusionnera les humains avec des machines dans des « curieux mélanges de vie numérique et analogique », qui infecteront notre corps avec de la « poussière intelligente » et dans lesquelles la police sera apparemment capable de lire nos cerveaux. »

Nous avons eu quelques échos des espoirs de ces illuminés, par exemple dans les propos de Laurent Alexandre qui fut médecin, largement invité dans les médias, ce qui prouve non seulement la complaisance, mais l’investissement des médias dans ce projet funeste de transhumanisme[14], masqué par des leurres successifs, comme les guerres en Irak ou en Lybie, et depuis un an le pouvoir magique de ce fabuleux virus qui détruirait les hommes.

Non il ne peut rien détruire, sauf si on l’aide via quelques malfaisantes injonctions sanitaires et/ou « vaccin » (expérimentation génique), venu à point pour modifier notre génome et au moins diminuer notre fertilité.

Une triste formation

K.S. (né en 1938) est enfant du « régime policier-État d’Hitler construit sur la peur et la violence, sur le lavage de cerveau et le contrôle, sur la propagande et le mensonge, sur l’industrialisation et l’eugénisme, sur la déshumanisation et la « désinfection », sur une vision glaçante et grandiose d’un « nouvel ordre » qui durerait mille ans. »[15]

Le fascisme du XXIe siècle tente de remodeler l’humanité pour l’adapter aux besoins du capitalisme financier par des moyens ouvertement autoritaires, sous couvert de gouvernance mondiale, de biosécurité, de «nouvelle normalité», de «New Deal pour la nature» et de «quatrième révolution industrielle». Vous reconnaissez ici les thèmes favoris de nos gouvernants et de leur soumission à Greta Grunberg bien formatée par sa famille.

« Schwab, le fondateur octogénaire et président exécutif du Forum économique mondial, se trouve au centre de cette matrice comme une araignée sur une toile géante ».

Le fascisme utilise les pouvoirs l’État pour protéger et faire avancer les intérêts de l’élite ultra riche. Schwab poursuit cette approche dans un contexte insuffisamment dénazifié après la Seconde Guerre mondiale lorsqu’il a fondé en 1971 le Forum européen de gestion à Davos. Il promeut son idéologie du capitalisme d’actionnaires « dans lequel les entreprises sont proches de la coopération avec le gouvernement ».

« Capitalisme des parties prenantes »

L’idée est qu’une entreprise se concentre sur la réponse aux besoins de toutes ses parties prenantes : clients, employés, partenaires, communauté et société dans son ensemble.

Comme le note l’article du magazine Forbes, cela signifie en fait seulement que « les entreprises peuvent continuer à pelleter de l’argent en privé à leurs actionnaires et dirigeants, tout en maintenant un front public d’une sensibilité sociale exquise et d’un altruisme exemplaire ».

Le projet rejette toute idée de démocratie, de domination du système par le peuple, en faveur de la règle : tout pour les intérêts des entreprises. La société n’est plus considérée comme une communauté vivante, mais comme une entreprise dont la rentabilité au bénéfice de l’élite est le seul objectif valable de l’activité humaine.

Son utilisation du terme «parties prenantes» a effectivement redéfini les êtres humains non pas en tant que citoyens, individus libres ou membres de communautés, mais en tant que participants secondaires à une entreprise commerciale massive, dans le but de protéger et d’accroître le pouvoir et la richesse de l’élite capitaliste.

Les «partenariats» que le forum économique mondial de Davos (World Economic Forum) crée visent à remplacer la démocratie par un leadership mondial d’individus choisis par l’élite financière (non élus) dont la tâche n’est pas de servir le public, mais d’imposer la règle du 1 % à ce public avec le moins d’ingérence possible du reste d’entre nous.

Véritable motivation du «capitalisme d’acteurs» : profits et exploitation sous surveillance policière à la chinoise

Hélas, nous ne sommes plus dans un roman de science-fiction, mais bien déjà dans la politique que nous subissons depuis plusieurs décennies, qui s’est déchaînée sans scrupules depuis les trois dernières années. Les mots très durs du Président à l’égard des Français, les riens, les Gaulois réfractaires, etc. ne montrent que sa soumission totale à cette philosophie dont il est un très bon élève. Les «sans dents» de Hollande montrent que le processus était déjà bien engagé. L’entretien tout récent par vidéoconférence de Macron et de K Schwab, à l’occasion du forum de Davos[16] actuel confirme leur étroite collaboration.

L’apôtre de la quatrième révolution industrielle[17]

« Les technologies de la révolution industrielle bouleversent les façons existantes de détecter, de calculer, d’organiser, d’agir et de livrer. Ils représentent des façons entièrement nouvelles de créer de la valeur [= profit] pour les organisations et les citoyens. »

Le sens de «créer de la valeur» n’étant pas clair, il donne quelques exemples :

 « Les drones représentent un nouveau type d’employé permettant de réduire les coûts en travaillant parmi nous et effectuant des emplois qui impliquaient autrefois des personnes réelles »,

« l’utilisation d’algorithmes toujours plus intelligents est d’étendre rapidement la productivité des employés, par exemple, dans l’utilisation de robots de chat (discussions entre humains par internet) pour augmenter (et, de plus en plus, remplacer) « chat humain en direct » de soutien pour les interactions avec les clients par les robots ».

Attention, professions en danger

Selon K.S et affidés, le travail des avocats, analystes financiers, médecins, journalistes, comptables, assureurs ou bibliothécaires peut être partiellement ou complètement automatisé….

Les journalistes feraient bien d’être plus conscients du projet du gouvernement mondialiste et comprendre ce qui les attend si nous laissons faire.

D’ici le milieu des années 2020, 90 % des nouvelles pourraient être générées par un algorithme, la plupart sans aucune intervention humaine (en dehors de la conception de l’algorithme, bien sûr). Le but est 

« une révolution qui change fondamentalement notre façon de vivre, de travailler et de nous relier les uns aux autres, contrairement à tout ce que l’humanité a connu avant ».

Manifestement beaucoup de journalistes sont mal informés ou déjà victimes du syndrome de Stockholm.

Le mythe de l’éducation en ligne

L’épisode confinement sur une grande partie du monde a consisté en une grande expérimentation de l’éducation en ligne QUI FUT UN ÉCHEC. Contrairement aux espoirs des mondialistes et de nombreux professeurs, en particulier d’université, le drame qui se joue actuellement avec l’échec des étudiants à leurs examens, le nombre croissant de décrocheurs y compris dans l’enseignement supérieur, les suicides démontre que le rêve de Davos ne marche pas.

La meilleure éducation en ligne, impliquant « l’utilisation de la réalité virtuelle et augmentée » pour « améliorer considérablement les résultats scolaires » n’est qu’un fantasme qui ne fonctionne pas dans le monde réel.

L’illusion du mythe de la ville intelligente

Les capteurs généralisés et les villes dites intelligentes de notre Méphisto sont en développement, mais rien ne prouve que cela marchera mieux que l’enseignement en ligne.

« Des capteurs « installés dans les maisons, les vêtements et les accessoires, les villes, les réseaux de transport et d’énergie » et les villes intelligentes, avec leurs « plateformes de données » très importantes ».

« Toutes les choses seront intelligentes et connectées à Internet », dit Schwab, et cela s’étendra aux animaux, car « les capteurs câblés dans les bovins peuvent communiquer les uns avec les autres par le biais d’un réseau de téléphonie mobile ».

Il aime l’idée « d’usines de cellules intelligentes» qui pourraient permettre «la production accélérée de vaccins» et les «technologies big data ». Nous y voilà et l’arrivée à toute vitesse dans nos vies de ces vaccins, expérimentations géniques à risque de modification de nos gènes entrent dans cette logique qui ne tombe pas du ciel, mais de la stratégie rêvée des membres de la secte Davos. Il semble que pour être membre, il faut avoir une société à plus de 5 milliards de bénéfice annuel…

Faire de la valeur [= du profit] en cessant de geindre sur nos données privées

Si nous obéissons, nous devrons cesser de nous opposer aux entreprises qui profitent de l’exploitation et de la vente d’informations sur tous les aspects de notre vie personnelle.

« Il sera essentiel d’établir la confiance dans les données et les algorithmes utilisés pour prendre des décisions », insiste M. Schwab.

 « Les préoccupations des citoyens au sujet de la protection de la vie privée dans les structures commerciales et juridiques exigeront des ajustements dans la pensée ».

Fini la pensée autonome, ils veulent nous expliquer quoi penser ! On en voit bien l’expérimentation sur nos chaînes de télévision qui ne nous informent plus, mais nous disent quoi penser sur les faits mensongers qu’ils assènent.

Les technologies de la 4IR[18], déployées via la 5G, représentent des menaces sans précédent pour notre liberté : les outils de la quatrième révolution industrielle permettent de nouvelles formes de surveillance et d’autres moyens de contrôle qui va à l’encontre de sociétés démocratiques et ouvertes. Elles sont déjà fort expérimentées en Chine, modèle actuel de nos gouvernants.

Cela n’empêche pas KS de les présenter sous un jour positif, « la criminalité publique est susceptible de diminuer en raison de la convergence des capteurs, des caméras, de l’IA et des logiciels de reconnaissance faciale ».

Il décrit avec une certaine délectation comment ces technologies « peuvent s’immiscer dans l’espace jusque-là privé de nos esprits, lire nos pensées et influencer notre comportement ».

Science-fiction ou drame moderne ?

« Le prochain modèle d’affaires tendance » pourrait impliquer quelqu’un « échanger l’accès à ses pensées pour l’option de gain de temps de taper un post de médias sociaux par la pensée seule ».

Transhumanisme en marche

Ce nouvel ordre mondial qui tente de s’imposer à nos sociétés sous prétexte d’un petit virus est un transhumaniste qui rêve de mettre fin à la vie humaine et à la communauté naturelle saine.

Les innovations ahurissantes déclenchées par la quatrième révolution industrielle, de la biotechnologie à l’IA, redéfinissent ce que signifie «être humain», tant d’un point de vue biologique que social.

Façonner l’avenir de la quatrième révolution industrielle

Les technologies de la quatrième révolution industrielle ne cesseront pas de faire partie du monde physique qui nous entoure, elles feront partie de nous[19] comme dans les films et séries prémonitoires de Robocop, souhaite K.S. et alliés comme nos dirigeants.

« Certains d’entre nous ont déjà l’impression que nos smartphones sont devenus une extension de nous-mêmes. Les appareils externes d’aujourd’hui, des ordinateurs portables aux casques de réalité virtuelle, deviendront presque certainement implantables dans notre corps et notre cerveau. Les exosquelettes et les prothèses augmenteront notre puissance physique, tandis que les progrès de la neuro-technologie amélioreront nos capacités cognitives ».[20]

Où tracer la ligne entre l’humain et la machine ? Qu’est-ce que cela signifie d’être humain ?

Il invoque un avenir cyborg impliquant « curieux mélanges de la vie numérique et analogique qui redéfinira nos natures mêmes »

Schwab rêve de « puces implantables actives qui brisent la barrière cutanée de notre corps », « tatouages intelligents », « informatique biologique » et « organismes conçus sur mesure ».

Il est ravi d’annoncer que « les capteurs, les interrupteurs de mémoire et les circuits peuvent être codés en bactéries intestinales humaines communes », que « smart dust, des rangées d’ordinateurs complets avec des antennes, toutes beaucoup plus petites qu’un grain de sable, peuvent maintenant s’organiser à l’intérieur du corps » et que « les appareils implantés aideront probablement aussi à communiquer des pensées normalement exprimées verbalement à travers un smartphone “intégré”, et des pensées ou des humeurs potentiellement non exprimées en lisant des ondes cérébrales et d’autres signaux. »

La «biologie synthétique» se profile à l’horizon dans le monde 4IR de Schwab, donnant aux dirigeants capitalistes technocratiques du monde « la capacité de personnaliser les organismes en écrivant de l’ADN ».

Du moins le croient-ils, car ils ont oublié dans leurs rêves les plus fous, la capacité du vivant en général et de l’humain en particulier à s’adapter aux pires attaques. Il leur manque manifestement d’avoir traité des cancers et compris que le dernier remède miracle qui allait faire disparaître le cancer est toujours un mythe et sûrement pour longtemps.

Dans le fameux traité transhumaniste de 2002, Cyborg,[21] vous allez comprendre le rêve de ces milliardaires qui s’ennuient manifestement et reçoivent notre autiste Greta, proche de Soros, à leur forum. Mascotte triste…

Ils feraient bien de tenter de comprendre la flambée de l’autisme parallèle à la multiplication des vaccins obligatoires et du règne de la chimie industrielle. Coïncidence ?

Nous serons les chimpanzés de l’avenir et fiers de l’être

« Si vous êtes heureux avec votre état en tant qu’être humain, alors qu’il en soit ainsi, vous pouvez rester tel que vous êtes. Mais attention — tout comme nous, les humains, nous nous séparions de nos cousins chimpanzés il y a des années, les cyborgs se sépareront des humains. Ceux qui restent en tant qu’êtres humains sont susceptibles de devenir une sous-espèce. Ils seront, effectivement, les chimpanzés de l’avenir. »

Schwab semble faire allusion à l’avenir de l’élite transhumaine artificielle améliorée « supérieure » se séparant de la racaille naturelle.

« Nous sommes au seuil d’un changement systémique radical qui exige que les êtres humains s’adaptent continuellement. Par conséquent, nous pouvons assister à un degré croissant de polarisation dans le monde, marqué par ceux qui embrassent le changement par rapport à ceux qui y résistent.

Cela donne lieu à une inégalité qui va au-delà de la société décrite précédemment. Cette inégalité ontologique séparera ceux qui s’adaptent à ceux qui résistent, les gagnants matériels [les premiers de cordée] et les perdants [les riens, les sans dents, les Gaulois réfractaires] dans tous les sens des mots.

Les gagnants peuvent même bénéficier d’une certaine forme d’amélioration humaine générée par certains segments de la quatrième révolution industrielle [comme le génie génétique] dont les perdants seront privés. Cela risque de créer des conflits de classes et d’autres affrontements différents de tout ce que nous avons vu auparavant. »

Oui, effectivement la résistance sociétale est indispensable

Nous en reparlerons. Nous n’avons pas gagné la bataille contre le gouvernement mondial qui nous enfume avec le climat et le covid19, mais pas perdu non plus. Ils ont oublié la nature humaine, l’humain dans leurs ordinateurs qui ne savent manifestement pas le prendre en compte.

Ceux de Davos qui se rêvent des terminators[22] ont commencé la guerre contre les humains. Ils la perdront si nous nous battons.


Notes

[1] Propension des victimes-otages à sympathiser avec leurs geôliers-bourreaux et à adopter leur point de vue. Ce syndrome a été observé et décrit après un hold-up dans une banque commis en 1973 à Stockholm par deux évadés de prison qui ont pris en otage quatre employés

[2] Ces éduqués non-cultivés. L’ère de la pensée unique : Menace autoritaire et gouvernement mondial — Mondialisation.ca

[3] http://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/les-implications-capitales-de-la-jurisprudence-portugaise-concernant-les-tests-pcr

[4] RAPPORT-DICTATURE-2020.pdf

[5] Procédures internationales en cours sur le TEST PCR contre fabricants et politiques — Docteur Nicole Delépine (nicoledelepine.fr)

[6] Nombreux témoignages dont celui du CDC américain qui avouent que seulement 6 % des décès déclarés Covid étaient directement et uniquement liés au virus

[7] Robin-Ivan Capar — L’Agence norvégienne des médicaments lie 13 décès aux effets secondaires des vaccins. Ceux qui sont morts étaient frêles et vieux Norway — 14/1/2021

[8] Docteur Gérard Delépine — Le vaccin Pfizer augmente-t-il le risque de contamination et de mort par Covid19 ? — France Soir 16/01/2021

[9] Docteur Gérard Delépine — La mortalité en Israël continue d’augmenter, contrairement à ce que dit le Parisien.

[10] Il n’a pas osé demander le suicide à 30 ans comme dans « l’âge de Crystal » film américain réalisé par Michael Anderson, sorti en 1976. ou, dans un monde postapocalyptique, les humains vivent enfermés dans des villes bulles. Leur mode de vie, géré par des ordinateurs et des automatismes. Mais afin de limiter la surpopulation et de pouvoir gérer les ressources alimentaires rationnées, la vie des individus est limitée à 30 ans, où, sous couvert de renaissance, son corps est purement et simplement désintégré. Pour détecter cette phase, une horloge de vie sous forme de cristal, est implantée dans la paume de chaque humain et change de couleur à l’approche du dernier jour.

[11] Actuellement réuni en janvier 2021

[12] https://www.amazon.fr/COVID-19-Grande-R%C3%A9initialisation-Klaus-Schwab-ebook/dp/B08K1H3C3Q

[13] Extraits largement inspirés de l’article Klaus Schwab and his great fascist reset | winter oak de Winter Oak d’octobre 2020

[14] Romain Scotto Transhumanisme : A quoi ressemblera l’homme « augmenté » de 2050 ? 20 minutes santé 3/6/2016 https://www.20minutes.fr/sante/1831643-20160603-transhumanisme-quoi-ressemblera-homme-augmente-2050

[15] Klaus Schwab et sa grande réinitialisation fasciste/https_off-guardian.org/ ?url=https : Fklaus-schwab-his-great-fascist-reset%2F Klaus Schwab and his great fascist reset | winter oak

[16] Site de l’Elysée — Intervention du Président Emmanuel Macron dans le cadre de l’Agenda de Davos organisé par le World Economic Forum 26/1/2021.

[17] Klaus Schwab avec Nicholas Davis, Shaping the Future of the Fourth Industrial Revolution : A Guide to Building a Better World (Genève : WEF, 2018), e-book.

[18] Quatrième révolution industrielle en cours

[19] Dans les films et séries de Robocop, le héros, l’officier Alex Murphy, brutalement assassiné par les membres d’un gang de criminels, est ramené à la vie par l’OCPa, un important conglomérat militaro-industriel et commercial qui le transforme en mi-humain -mi-robot-policier, le RoboCop. Mais la moitié humaine de robocop l’emporte et finit par combattre les dérives mafieuses des dirigeants de la firme qui l’a créé.

[20] Schwab, The Fourth Industrial Revolution (Genève : WEF, 2016), e-book.

[21] Kevin Warwick, I, Cyborg (Londres : Century, 2002), p. 4. Voir aussi Paul Cudenec, Nature, Essence and Anarchy (Sussex : Winter Oak, 2016).

[22] D’après la série de six films américains de science-fiction dont le premier, Terminator réalisé par James Cameron, est sorti en 1984 qui décrit la guerre d’extermination que mènent les robots contre les humains

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