24/12/2020 (2020-12-24)
[Source : noach.es]
Pierre Hillard, qui dénonce depuis 20 ans les arcanes technocratiques abritant les germes d’un Nouvel Ordre Mondial, est de retour. Sa dernière vidéo « Covid-19 : l’étincelle avant le Grand Reset » dans laquelle il rappelle les enjeux messianiques, vient de franchir les 700 000 vues. Le pays retrouverait-il la mémoire ?
1. Bonjour Pierre, peux-tu brosser un tour d’horizon de la situation actuelle STP ?
Depuis l’apparition de la Covid-19 avec ses conséquences sanitaires, sociétales et économiques, nous pouvons affirmer que le processus de concrétisation de la gouvernance mondiale est lancé. La politique de confinement imposée aux Français du 17 mars au 11 mai 2020 a ébranlé les structures économiques du pays. Nous retrouvons des phénomènes similaires dans tous les pays du monde, en particulier l’Europe et l’Amérique du Nord. Comme j’ai souvent eu l’occasion de le dire en conférence ou de l’écrire dans mes livres, la finalité du mondialisme est d’aboutir à un système politique, économique et spirituel déjà exposé dans Utopia de Thomas More, La Nouvelle Atlantide de Francis Bacon, 1984 de George Orwell ou encore dans la série télévisée anglaise en 17 épisodes du Prisonnier de Patrick Mcgoohan. Régime totalitaire, collectiviste et imprégné d’un idéal spirituel issu du monde talmudo-kabbilistique, le système régentant l’humanité et présenté dans ces ouvrages et/ou films semble irréel, impensable en raison de son caractère implacable et inhumain. Et pourtant, nous y sommes ou, plus exactement, nous nous engageons dans cette voie préparée en haut lieu. On peut relever les préparatifs de cette surveillance orwellienne dans la vie de tous les jours. Ainsi, lors du déconfinement progressif de mai à juin 2020, le gouvernement français avait instauré une mesure permettant aux Français de se déplacer dans un rayon de moins de 100 km à partir de leur domicile sans l’obligation de présenter leurs papiers. Or, ironie de l’histoire, nous trouvons cette caractéristique dans le 1984 d’Orwell :
« Il n’était pas facile, en outre, de voyager seul sans attirer l’attention. Pour des distances inférieures à une centaine de kilomètre, il n’était pas nécessaire de faire viser son passeport, mais il y avait parfois des patrouilles qui rôdaient du côté des gares, examinaient les papiers (…) »
1984 – George Orwell (page 158, édition de poche, Folio, 2006).
Parallèlement à cette bascule, nous constatons des tensions multiples s’amplifiant en raison de cette affaire de Covid-19. En effet, l’arrêt de l’activité économique a bouleversé les États en profondeur, ces derniers étant déjà minés par l’endettement public et privé et un chômage déguisé. C’est la goutte d’eau qui fait déborder le vase. Licenciements massifs et pauvreté en hausse sonnent l’hallali des pays développés. Nous entrons dans une nouvelle ère : l’économie verte (sous-entendu la fin de la consommation de masse) et la numérisation dans tous les domaines permettant le contrôle absolu des citoyens. Pour la réédition de Chroniques du Mondialisme L-5 aux Éditions Culture et Racines, j’ai fait une longue conclusion. Celle-ci est une sorte de bilan d’un monde né en 1945 en train de disparaître. Il y est évoqué et expliqué le rôle de nombreux acteurs comme l’Agenda 2030 et l’action du Forum Économique Mondial de Davos sous la direction de Klaus Schwab pour instaurer un nouveau monde liberticide dans le cadre de la grande réinitialisation. Son promoteur n’hésite pas à affirmer dans son dernier livre intitulé Covid-19 : the Great Reset (Covid-19 : la grande réinitialisation) que les objectifs ainsi que celui des élites mondialistes sont le remplacement des idées, des institutions, des processus et des règles actuelles (ndla : souligné par nous). Ce Forum de Davos, initialement prévu en janvier 2021, se réunit l’été prochain afin de lancer officiellement une politique qui est celle conduisant à notre asservissement.
La devise gnostique « Scientia Ingenium Virtus » sur le blason, mot à mot « Science Intelligence Puissance » avec cerf blanc et non un agneau (cornes obligent) est à prendre comme « Pouvoir de la Connaissance ».
[NdNM : (Source : Guy Boulianne. Extraits.)
Bien que la robe que porte Klaus Schwab puisse paraître étrange au premier abord, elle ne cache aucun grand mystère. Il s’agit simplement de la tenue officielle alors qu’il recevait les insignes de docteur honoris causa de l’Université de technologie de Kaunas (KTU), en Lituanie, le 13 octobre 2017. [5] C’est la même chose concernant le blason de l’établissement d’enseignement supérieur et de recherche. La robe cérémonielle et ce blason se composent de plusieurs éléments qui peuvent être assimilés à l’occultisme mais, dans le cas qui nous occupe présentement, cela ne pourrait pas être attribué à Klaus Schwab.
Tous les insignes et attributs académiques de l’Université sont marqués par les armoiries de la KTU. Composé selon les exigences héraldiques strictes, le blason est divisé en trois champs spéciaux : Il est fabriqué à partir de couleurs héraldiques (dites teintures), de leurs combinaisons et de symboles distincts. La partie supérieure gauche des armoiries du KTU est le blason de la ville de Kaunas, qui symbolise l’emplacement de l’université. [6] La partie supérieure droite représente le symbole de la matière, qui incarne la lumière de la science. Un livre ouvert dans la partie inférieure des armoiries porte la devise de l’Université en latin Scientia, ingenium, virtus! (« Science, créativité, vertu! »). [7]
Références
- KTU News : Honorary Doctor of KTU Klaus Schwab: Industry 4.0 Must be Followed by Education 4.0. Kaunas University of Technology, October 16, 2017.
- Le blason de la ville de Kaunas : Le 30 juin 1993, les armoiries historiques de la ville de Kaunas ont été rétablies par un décret présidentiel spécial. Le blason présente un auroch blanc avec une croix dorée entre ses cornes, sur un fond rouge foncé. Les aurochs étaient le symbole héraldique original de la ville, établi en 1400. Le sceau héraldique de Kaunas, introduit au début du XVe siècle sous le règne du grand-duc Vytautas, est le plus ancien sceau héraldique de la ville connu sur le territoire du Grand-Duché de Lituanie. L’emblème actuel est le résultat de nombreuses études et discussions de la part de la Commission de l’héraldique lituanienne, et réalisé par l’artiste Raimondas Miknevičius. Un aurochs a remplacé un bison d’Europe, qui était représenté dans l’emblème de l’ère soviétique utilisé depuis 1969.
• À propos du blason : « De gueules, à un aurochs passant gardien d’argent ensigné d’une croix d’or entre ses cornes ».
• Kaunas a également un plus grand blason, qui est principalement utilisé à des fins de représentation de la ville de Kaunas. Le navire, les trois boules d’or et le texte latin « Diligite justitiam qui judicatis terram » (Chérissez la justice, vous qui jugez la terre) dans le plus grand blason font référence à Saint Nicolas, saint patron des marchands et des marins, qui était considéré en tant que gardien céleste de Kaunas par la reine Bona Sforza. - Brand resources : « Logo and style guide embody KTU identity and ensure that a particular publication is associated with the University ». Kaunas University of Technology.
2. Cela fait un peu plus de 20 ans que tu dénonces les boisseaux technocratiques (UE, Alena, TAFTA…) abritant les germes d’un Nouvel Ordre Mondial messianique dont on voit aujourd’hui l’aube pointée derrière le Grand Reset. Ordo ab Chao ?
En effet, l’architecture qui se présente a été annoncée il y a bien longtemps. On peut l’illustrer avec le cas de Cités et Gouvernements Locaux Unis (CGLU) dont l’objectif est de gérer les villes et communes à l’échelle planétaire dans le cadre de sept sections régionales :
1) Afrique ;
2) Asie-Pacifique ;
3) Eurasie ;
4) Europe ;
5) Moyen-Orient et Asie d’Ouest ;
6) Amérique latine et
7) Amérique du Nord.
Le principe d’une collaboration entre différentes cités n’est pas mauvais en soi en particulier pour trouver des moyens pour lutter contre la pollution ou encore apprendre à mieux gérer l’eau potable par exemple. Mais, comme on peut le constater, l’organisation planétaire se construit à partir de 7 sections régionales au sein desquelles les communautés urbaines s’émancipent peu à peu de l’autorité nationale. Tout cela se construit dans le cadre d’une gouvernance mondiale. Créées en 2004, CGLU est le résultat d’une combinaison d’instituts chargés de s’occuper de la gestion des villes. Il faut rappeler que le plus ancien de ces instituts s’appelle l’Union Internationale des Villes créée en … 1913 1. Avec cet exemple, on se rend compte que cet idéal de gouvernance mondiale et sa mise en pratique est une idée ancienne d’un point de vue matériel. On trouve aussi l’ensemble du programme « merveilleusement » exposé dans les écrits du révolutionnaire Anacharsis Cloots (1755-1794) dont les écrits, plus exactement les originaux de 1792 et 1793, ont été réunis en un seul livre (sans caviardage comme c’est le cas des versions officielles) La République du Genre Humain P-8 aux Éditions Omnia Veritas avec une préface de votre serviteur. Tout y est annoncé : la gouvernance mondiale appelée « République universelle », la technostructure planétaire divisée politiquement en « mille cases départementales », la disparition du catholicisme au profit de la « République Universelle » etc. Cependant, dans la mystique mondialiste, le passage à une étape supérieure repose toujours sur une transition violente. C’est le fameux principe Ordo ab Chao ou encore le Solve et Coagula avec un principe messianique et mystique en arrière-fond lié à l’esprit de la Kabbale. Quand Christine Lagarde, présidente du FMI en 2014, fait l’apologie du chiffre « 7 » dans une vidéo que tout le monde peut consulter 2, cela devrait interpeller plus d’une personne sur cet étrange discours.
La grande réinitialisation ou Great Reset chère à Klaus Schwab, président du Forum Économique de Davos, n’est que l’allume-gaz pour parvenir à un stade supérieur. Nous sommes désormais devant l’immense bascule en cours de réalisation. L’exemple des tensions durant les élections américaines est révélateur d’une situation voulue pour tenter de déstabiliser ce pays dans l’espoir, pour certains, d’aboutir à une guerre civile qui aurait des répercussions planétaires dans tous les domaines. Signalons l’existence du Transition Integrity Project (TIP) mis en forme en juin 2020 dont le but est de prévenir une contestation des résultats électoraux par le président Trump 3. Ce phénomène révèle qu’il n’existe pas « un » État profond mais « des » États profonds rivaux entre eux. Il faut bien comprendre que deux formes de mondialisme s’affrontent : celui de la City de Londres voulant imposer un modèle unique planétaire où les États sont fracassés au profit d’une gouvernance mondiale tandis qu’une frange du monde anglo-saxon américain, de tendance patriote (d’où la fameuse formule : Make America great again), tient à défendre les intérêts politico-économiques mais aussi l’intégrité territoriale du pays. Pour cette frange anglo-saxonne représentée par Trump, les intérêts américains préservés doivent constituer un pilier et pouvoir s’agencer dans le cadre d’une gouvernance et/ou directoire mondial sans pour autant s’évaporer sur l’autel d’une unité planétaire et du libre-échange à tout crin. Concernant la galaxie mondialiste, il faut ajouter l’imprégnation d’un idéal messianique virulent chez certains dirigeants, absent chez d’autres tandis qu’une faction en accepte le principe mais … pas tout de suite (« neutralisation du messianisme » pour reprendre une expression de Gershom Scholem). L’enfer est divers et, surtout, divisé contre lui-même. Mais d’abord et avant tout, le point essentiel à retenir de l’esprit du mondialisme, c’est la volonté d’éradiquer le caractère messianique du Christ, c’est-à-dire l’Incarnation au profit d’un autre messianisme ; celui de la synagogue aveugle en attente de son « Messie » devant rendre sa gloire à Israël au dépens des nations.
3. Tu présentes souvent les oeuvres de Science-Fiction comme les parties du programme d’« Après ». Outre l’orgueil, comment expliques-tu que l’élite balance ce genre d’infos ?
Des livres comme Utopia ou des films comme Elysium sont des instantanés du monde « idéal » voulus par les thuriféraires du mondialisme. Ce sont des puzzles de vérité qui permettent aussi d’imprégner les esprits d’une manière de penser et de réagir. Fort de cette imprégnation, il y a possibilité pour la partie adverse de connaître le trait psychologique de millions de personnes au mental structuré par ces livres et surtout par ces films puisque maintenant peu de personnes lisent. C’est une manière pour les adeptes du contrôle mental d’avoir un coup d’avance.
4. Ton dernier livre Sionisme et Mondialisme L-8 sous-titré « Le sionisme de ses origines au IIIè Reich, 1898-1941 » explique comment l’idéologie nazie a servi la cause sioniste. Comment, avant de l’écrire, as-tu pu imaginer cette improbable entente ?
Concernant la civilisation occidentale et ses caractéristiques, le point clef qu’il faut retenir est celui de l’Incarnation. Le Christ reconnu comme le Fils de Dieu incarné parachève les annonces messianiques de la Bible hébraïque devenue l’Ancien Testament pour les chrétiens. De nombreux Juifs n’ont pas reconnu ce fait et attendent toujours leur « Messie » au service de la seule gloire d’Israël et au dépens des nations. Un nouveau judaïsme, le Talmud, a été élaboré entre 100 et 500 ap. J-C. violemment anti-catholique, il sert de matrice à un idéal messianique juif en attente de son « Messie » en liaison avec la Kabbale, celle-ci étant l’interprétation ésotérique propre à ce milieu. Il s’agit pour les thuriféraires de ce monde révolté de maintenir une unité de pensée via une unité de sang. On est juif par la mère. À l’origine, cette affirmation raciale fut solennellement affichée dans les prescriptions données par Dieu dans le cadre de l’Ancien Testament. En effet, on peut lire dans le Deutéronome VII, 1-5 :
« (…) Tu ne contracteras point de mariage avec elles (ndla : femmes non-israélites), tu ne donneras point tes filles à leurs fils, et tu ne prendras point leurs filles pour tes fils ; car elles détourneraient de marcher après moi tes fils qui serviraient d’autres dieux (…). »
Ces injonctions matrimoniales, choquantes pour des lecteurs du XXIè siècle, doivent se comprendre dans le contexte de l’époque à finalité spirituelle. Selon ces textes religieux, le Messie devait naître du peuple hébreu, plus précisément, au sein de la tribu de Juda, celle-ci devant donner naissance au Messie issu de la famille royale de David. Cet idéal ne pouvait se faire que dans le cadre du mosaïsme débarrassé de toutes influences païennes sous-entendu d’essence satanique. Dans le cas contraire, une altération d’essence démoniaque aurait flétri ce mosaïsme interdisant la concrétisation physique du Messie à la fois Homme et Dieu … sous-entendu l’Incarnation. Ce principe, capital à saisir, fut à nouveau et solennellement proclamé lors du retour de la captivité des Juifs de Babylone (Vè siècle av. J-C). Le représentant religieux Esdras, au nom de ces exigences mosaïques (1er Livre d’Esdras, IX, 3-12 et X, 1-11), exigea le renvoi des femmes étrangères, mariées à des Israélites, et de leurs enfants … chose qui se fit. Comme nous l’avons écrit dans Archives du Mondialisme L-7 (p. 71):
« (…) Ces mesures propres à l’Ancien Testament avaient pour but de maintenir les Hébreux loin de la contamination païenne d’essence démoniaque afin de permettre l’arrivée du Messie au sein d’un peuple spirituellement débarrassé de toute forme de corruption (le nazisme était aux antipodes de cet idéal). »
La non-reconnaissance de la divinité du Christ par les Juifs a conduit ces derniers à conserver ces référents raciaux devenus obsolètes pour les chrétiens. La Révélation, s’adressant à tous les peuples de la terre, n’avait plus besoin de cette protection raciale et ciblée à finalité spirituelle. Ce n’est pas le cas des Juifs rebelles au messianisme christique qui, conservant depuis 2000 ans ce concept et en attente de leur Messie afin d’assurer la seule gloire d’Israël sur les nations, ont imprégné certains peuples d’un tour d’esprit naturaliste pour les détourner du christianisme au profit d’un horizon purement terrestre et racialiste. Il y avait entre nazis et sionistes un fond commun de réflexions reposant sur l’idée de pureté de sang et de supériorité raciale. Le rejet des mariages mixtes caractérisait aussi ces deux mondes. D’une certaine manière, un terrain d’entente était temporairement possible entre ces théoriciens et, en même temps, frères ennemis. Il faut rappeler que le journal de la Fédération sioniste allemande, le Jüdische Rundschau, du 17 septembre 1935 a approuvé les lois de Nuremberg en particulier en condamnant les mariages mixtes. J’ai publié l’article de ce journal avec sa traduction complète en français.
5. Ne peut-on pas expliquer l’Accord de la Haavara par le fait que les autorités nazies y voyaient là un moyen d’exiler les Juifs d’Allemagne avec leur consentement ?
En effet, l’Accord de la Haavara (« Transfert » en hébreu) d’août 1933 ou décret 54/33 est le fruit d’une convergence racialiste entre ces deux mondes reposant sur le principe du miroir inversé. Ce document émanant des autorités nazies fut intégralement publié dans le journal de la Fédération sioniste allemande, le Jüdische Rundschau, le 5 septembre 1933. Les sionistes estimaient que les Juifs allemands étaient étrangers au monde germanique et qu’ils devaient s’installer sur l’antique terre d’Israël. En contre-partie, les nazis considéraient l’élément juif comme un corps étranger à la nation allemande. Chacun était prêt à faire un pas vers l’autre afin de parachever son idéal de pureté raciale à partir d’un territoire bien établi. C’est donc à partir de cet accord qu’une collaboration entre ces deux milieux a perduré jusqu’en avril 1941. C’est à cette date que l’Agence Juive de Berlin, plaque tournante du flux migratoire juif vers la Palestine, a été définitivement fermée. Cependant, comme j’ai pu le montrer dans mon livre, les discussions lançant cette entreprise n’ont pas été entamées par les nazis mais par la République de Weimar au cours de l’année 1932.
Sabbat et Soleil Noir renvoient à Pan et à Saturne ; les cornes et anneaux caractisant ce « Lord of the Ring ».
6. Si le Christ est le premier adversaire à la fois des empires sioniste et nazi (et de tout autre…) cela n’invalide t’il pas la thèse d’un Hitler animé par une foi chrétienne ?
Avant même de citer Hitler, il faut rappeler le point suivant. Les carnets complets de Theodor Herzl, fondateur du sionisme, sont très clairs à ce sujet. Il n’y a qu’un seul ennemi pour ce milieu : le catholicisme. Il n’y pas une seule remarque négative contre l’islam, le bouddhisme et même le protestantisme. Au cours d’une discussion avec l’ambassadeur ottoman à Vienne, Mahmud Nedim, ce dernier rappela à Herzl que les Juifs et les musulmans étaient en accord sur un point essentiel en matière religieuse : « Nous ne reconnaissons pas le Christ comme le Fils de Dieu. » Pour le judaïsme talmudo-kabbalistique rebelle à l’Incarnation, la préservation du sang juif se doit d’être maintenu dans le cadre d’une lignée messianique attendue et espérée depuis 2000 ans. Le nazisme, ce « Reich de 1000 ans », était lui aussi adepte d’une vue totalement anti-chrétienne. Ce fait fut dénoncé avec l’encyclique Mit brennender Sorge en 1937. Rédigée exceptionnellement en allemand et non en latin sous l’égide du futur Pie XII, le cardinal Pacelli, cette encyclique soulignait le caractère violemment anti-catholique de cette idéologie. Précisons que la vie d’Adolf Hitler était aux antipodes du catholicisme. Il n’allais pas à la messe et ne communiait pas. Vivant en concubinage avec Eva Braun pour finalement se suicider, son mode de vie était à l’opposé des préceptes de l’Église. Comme chef d’État chrétien, nous préférons l’Équatorien Gabriel Garcia Moreno (1821-1875). Afin de mieux saisir le caractère anti-chrétien du nazisme, nous présentons les passages clefs de cette encyclique condamnant le national-socialisme sans le citer … pour des raisons propres à la diplomatie vaticane dans le contexte tendu de cette époque. Nous avons mis en gras [surligné] des passages que nous jugeons importants :
« C’est avec une vive inquiétude et un étonnement croissant que, depuis longtemps, Nous suivons des yeux les douloureuses épreuves de l’Église et les vexations de plus en plus graves dont souffrent ceux et celles qui lui restent fidèles (…). Cette inquiétude n’a pas été diminuée par ce que les représentants du vénérable Épiscopat (…) Nous ont fait connaître. (…) Lorsqu’en été 1933, Vénérables Frères, Nous acceptâmes la négociation d’un Concordat [conclu le 20 juillet 1933], que le gouvernement du Reich, reprenant un projet vieux de plusieurs années, Nous proposait, (…) Nous étions guidé par le souci que Notre devoir Nous impose d’assurer en Allemagne la liberté de la mission bienfaisante de l’Église (…). Si l’arbre de la paix, planté par Nous en toute pureté d’intention dans la terre allemande, n’a pas produit les fruits (…) que Nous désirions ardemment, personne au monde,(…) ne pourra dire aujourd’hui que la faute en est à l’Église ou à son Chef. Les expériences des dernières années mettent les responsabilités en pleine lumière ; elles révèlent des intrigues qui dès le début ne visaient qu’à une guerre d’extermination (…), l’ivraie de la méfiance, du mécontentement, de la haine, de la diffamation, d’une hostilité de principe, soit voilée soit ouverte, alimentée à mille sources et agissant par tous les moyens, contre le Christ et son Église. Eux, et eux seuls, avec leurs silencieux ou leurs bruyants complices, sont aujourd’hui responsables si, au lieu de l’arc-en-ciel de la paix, c’est l’orage des funestes luttes religieuses qui se montre à l’horizon de l’Allemagne. [concernant la politique du IIIè Reich à l’égard du Concordat de 1933] (…) une interprétation qui faussait le contrat ou le détournait de son but, ou le vidait de son contenu et aboutissait finalement à sa violation plus ou moins officielle, devint la loi inavouée (…). Aujourd’hui encore, où la lutte ouverte contre l’école confessionnelle, protégée par le Concordat, où la suppression du libre suffrage à ceux des catholiques qui ont le droit de veiller à l’éducation de la jeunesse, manifestent sur un terrain essentiel de la vie de l’Église la gravité impressionnante de la situation et l’angoisse sans exemple des consciences chrétiennes (…). Quiconque identifie, dans une confusion panthéistique, Dieu et l’univers, abaissant Dieu aux dimensions du monde ou élevant le monde à celles de Dieu n’est pas de ceux qui croient en Dieu (…). Quiconque prend la race, ou le peuple, ou l’État, ou la forme de l’État, ou les dépositaires du pouvoir, ou toute autre valeur fondamentale de la communauté humaine ‒ toutes choses qui tiennent dans l’ordre terrestre une place nécessaire et honorable ‒ quiconque prend ces notions pour les retirer de cette échelle de valeurs, même religieuses, et les divinise par un culte idolâtrique,celui-là renverse et fausse l’ordre des choses créé et ordonné par Dieu (…). Prenez garde, (…), à l’abus croissant, dans la parole comme dans les écrits, qui consiste à employer le nom de Dieu trois fois saint comme une étiquette vide de sens (…).
Seuls des esprits superficiels peuvent tomber dans l’erreur qui consiste à parler d’un Dieu national, d’une religion nationale ; seuls ils peuvent entreprendre la vaine tentative d’emprisonner Dieu (…) dans les frontières d’un seul peuple, dans l’étroitesse de la communauté de sang d’une seule race. (…) Nous remercions vos prêtres et tous vos fidèles, qui, dans la défense des droits de la Divine Majesté contre un nouveau paganisme agressif et favorisé, hélas, de bien des matières par des hommes influents, ont rempli et continuent à remplir leur devoir de chrétien(…). Personne ne peut donc dire : je crois en Dieu, cela me suffit en fait de religion (…). [Ne pas mépriser et ne pas rejeter l’Ancien Testament et les Hébreux, peuple élu à l’origine, même s’il est devenu déicide, selon la Tradition de l’Église, par la suite] Dieu a parlé à nos pères par les prophètes. (…)Les Livres sacrés de l’Ancien Testament sont entièrement Parole de Dieu et forment une partie substantielle de Sa Révélation. (…) Ils nous décrivent aussi le peuple choisi (ndla : le peuple hébreu), porteur de la Révélation et de la Promesse, s’égarant sans cesse loin de son Dieu pour se tourner vers le monde. (…) C’est précisément sur ce fond souvent obscur que ressort dans de plus frappantes perspectives la pédagogie de salut de l’Éternel, tour à tour avertissant, admonestant, frappant, relevant et béatifiant ses élus. Seuls l’aveuglement et l’orgueil peuvent fermer les yeux devant les trésors d’enseignement sauveur que recèle l’Ancien Testament. (…) Cette Révélation ne connaît pas de complément apporté de main d’homme, elle n’admet pas davantage d’être évincée et remplacée par d’arbitraires »révélations » que certains porte-parole du temps présent prétendent faire dériver de ce qu’ils appellent le Mythe du Sang et de la Race. (…) Dans vos contrées, Vénérables Frères, retentissent des voix, dont le chœur va sans cesse se renforçant, qui invitent à sortir de l’Église. Parmi les meneurs, il en est plus d’un qui, par leur position officielle, cherchent à faire naître l’impression que cette sortie de l’Église et l’infidélité qu’elle comporte envers le Christ-Roi constituent une preuve particulièrement convaincante et méritoire de la fidélité envers l’État aujourd’hui. Par des mesures de contraintes cachées ou apparentes, (…) l’attachement des catholiques à leur foi (…) est soumise à une pression aussi contraire au droit qu’à la dignité humaine. (…) Si des hommes qui ne sont pas même unis dans la foi au Christviennent vous présenter la séduisante image d’une Église nationale allemande, sachez que ce n’est autre chose qu’un reniement de l’unique Église du Christ (…). [Concernant la grâce] Rejeter cette élévation gratuite et surnaturelle au nom d’un prétendu caractère allemand, est une erreur : c’est combattre ouvertement une vérité fondamentale du christianisme. (…) Aucune puissance coercitive de l’État, aucun idéal purement humain, si noble et si élevé soit-il en lui-même, ne sera jamais capable de remplacer en fin de compte les suprêmes et décisives impulsions que donne la foi en Dieu et au Christ. [Concernant la famille et la jeunesse] Si l’État fonde une jeunesse nationale, cette organisation obligatoire doit être ouverte à tous, et c’est alors ‒ sans préjudice des droits des associations religieuses ‒ pour les jeunes gens eux-mêmes et pour les parents qui en répondent devant Dieu, un droit incontestable et inaliénable d’exiger que cette organisation d’État soit purgée de toutes les manifestations d’un esprit ennemi du christianisme et de l’Église, manifestations qui, tout récemment encore et aujourd’hui même, mettent la conscience des parents chrétiens dans une insoluble alternative, puisqu’ils ne peuvent pas donner à l’État ce qu’il exige qu’en dérobant à Dieu ce qui est à Dieu. (…) Et plus les ennemis s’efforcent de déguiser sous de beaux semblants leurs sombres desseins, plus il y a lieu d’y opposer une méfiance vigilante, une vigilance provoquée à la méfiance par une expérience trop amère. (…) Nous avons pesé chacun des mots de Cette lettre à la balance de la vérité (…). »
7. Sionisme et Mondialisme L-8 clôt la trilogie commencée en 2017 par Atlas du Mondialisme L-6 et poursuivie en 2019 par Archives du Mondialisme L-7. En quoi, ces trois livres forment-ils un ensemble ?
Ces trois ouvrages se complètent de la manière suivante. Atlas du Mondialisme L-6 avait pour objectif de présenter des points essentiels de géopolitique comme la construction européenne ou encore l’évolution politique des États-Unis dans le cadre du mondialisme parallèlement à la mise en place d’institutions pour parachever la gouvernance mondiale. Cependant, afin de bien saisir l’esprit du mondialisme, j’ai étudié le messianisme juif, ses caractéristiques et ses différents avatars (Shimon Bar Kokhba, Sabbataï Tsevi, Jacob Frank, …). La compréhension de ce milieu déchiré en interne par des factions rivales est absolument indispensable à cerner. Par exemple, il est absolument capital de comprendre les préceptes du rabbin Isaac Louria du XVIè siècle et son impact sur certaines communautés judaïques d’essence messianique. Dans le deuxième volume, Archives du Mondialisme L-7, j’ai traité de l’importance de l’Ancien Testament à ne pas rejeter comme le font de nombreuses personnes mêmes chrétiennes. En effet, le fil directeur de ces textes, qu’ils soient, selon les convictions de chacun, d’inspiration divine ou non, est d’annoncer l’Incarnation en la personne du Christ dans le cadre d’un monde païen âpre et dure. Or la non-reconnaissance de celui-ci par les Juifs a conduit ces derniers à élaborer un nouveau judaïsme violemment anti-catholique entre 100 et 500 ap. J-C, le Talmud, code civil et religieux de la synagogue rebelle. C’est ce milieu hostile qui a irrigué les bouleversements spirituels et politiques en Europe voulant mettre à bas la Révélation. C’est d’ailleurs ce que j’ai pu prouver, toujours dans ce livre, avec l’influence du milieu talmudo-kabbalistique dans la Révolution de 1789 conduisant, par la suite, aux préparatifs menant à l’émergence du sionisme ; c’est-à-dire à la volonté de créer un foyer juif en Palestine prélude à la création de l’État juif. C’est justement cette recherche qui m’a poussé à la rédaction du troisième tome Sionisme et Mondialisme L-8. J’ai eu la chance de mettre la main sur les carnets complets de Theodor Herzl mais aussi sur de nombreuses pièces d’archives expliquant les relations entre nazis et sionistes à partir d’un accord conclu entre ces deux mondes, l’accord de la Haavara. Il m’a été possible de prouver qu’une entente, certes souvent tendue, s’est concrétisée permettant de former environ 80 000 Juifs germanophones aux techniques agricoles, horticoles et artisanales dans 42 camps en Allemagne pour les expédier ensuite vers la Palestine sous mandat britannique. Ces Juifs germanophones formés ont constitué le substrat de la toute jeune économie israélienne à la création du pays en 1948.
8. Par ailleurs, tu es très sollicité pour écrire des préfaces de livres s’opposant au mondialisme avec des angles différents. Quelle en serait l’origine commune ?
Effectivement, j’ai eu l’occasion d’écrire de multiples préfaces pour des livres apparemment divers : L’Esprit Révolutionnaire Juif P-9 de Michael Jones, Histoire Secrète de l’Oligarchie Anglo-Américaine P-1 de Carroll Quigley, Le Réseau Rampolla P-5 d’Henri Barbier, La République Universelle du Genre Humain P-8 d’Anacharsis Cloots, De la Salette à Diana Vaughan P-4 de Paul-Étienne Pierrecourt, Le Nouvel Ordre Mondial P-3 de H. G. Wells ou encore Les Conséquences Politiques de la Paix de Jacques Bainville P-10. Les sujets traités par ces livres sont variés. Néanmoins, par des chemins différents, ces ouvrages révèlent que la finalité du sujet traité consiste à aboutir à la mise à mort de la Révélation directement ou par étape. Comme je l’ai déjà indiqué, pour cerner un sujet, il faut toujours saisir le fil directeur à partir d’une masse de documents. L’Incarnation annoncée dans la Bible hébraïque, avec ses conséquences spirituelles et temporelles, représente le point incontournable de la haine talmudo-kabbalistique depuis 2000 ans. Dans cette révolte, on relève cette volonté d’établir une gouvernance mondiale régie par une élite opposée à la Révélation régentant une humanité soumise aux directives du Temple rénové.
9. Justement, cette mystique mondialiste se retrouvant dans le noachisme, le sabbatéo-frankisme ou la gnose est protéiforme. A quels indices peut-on la reconnaître ?
Tout d’abord, s’il fallait résumer la finalité de la mystique mondialiste, nous dirions, en nous référant au spécialiste israélien Gershom Scholem, qu’il s’agit de faire du peuple juif, le peuple prêtre, intermédiaire unique entre le Dieu un et le reste de l’humanité non-juive régie par les lois noachides, cette dernière se trouvant comme simple prosélyte de la Porte au seuil du Temple rétabli pour la plus grande gloire d’Israël. La compréhension du noachisme pour les non-Juifs est essentielle. Nous en avons l’explication dans le livre du rabbin Élie Benamozegh, Israël et l’Humanité, dont j’ai synthétisé les propos dans Atlas du Mondialisme L-6. Régi par sept lois, le noachisme a pour but essentiel de détruire trois points clefs : l’Incarnation, la Sainte Trinité et le sacerdoce catholique.
« Un Maçon est obligé, de par sa Tenure, d’observer la Loi morale, en tant que vrai noachite… »
Article Premier des Constitutions d’Anderson de 1738
Les outils qui rendent possible cet « idéal » se trouvent dans l’esprit de la gnose issue du monde antique (Égypte, Mésopotamie, …) sublimant l’idée que l’homme, parcelle du divin, peut par sa seule intelligence et sa volonté rejoindre ce même divin. Cette gnose, reposant sur la magie et l’évocation des esprits, avait été déjà condamné par le prophète Isaïe (Is. VIII, 19 dans la Bible Hébraïque) sous l’appellation « oboth » et « Iidonime ». Le phénomène est donc ancien. Dès le début de l’ère chrétienne, nous relevons la présence de ce courant cherchant à pervertir l’Église et son enseignement. En effet, sous le règne du pape saint Pierre, Simon le Magicien se présenta à lui pour connaître ses « pouvoirs magiques » moyennant une rétribution financière d’où le mot simonie. Rabroué par l’apôtre, il se convertit faussement au catholicisme afin d’en découvrir les secrets et subvertir la toute jeune Église. Historiquement, nous avons affaire au premier marrane (Juif faussement converti). Par la suite, nous observons une pléthore d’hérésies (arianisme, catharisme, bogomiles, hussisme, protestantisme etc) qui, toutes, reposaient sur des principes remettant en cause les dogmes catholiques pour se rapprocher peu ou prou de l’idéal opposé de la synagogue aveugle. En s’intéressant aux causes profondes de ces mouvements, nous retrouvons toujours par des chemins détournés l’influence du monde juif talmudo-kabbalistique comme c’est le cas avec les cathares acquis au principe du Dieu bon et du Dieu mauvais (le démiurge) et à la migration des âmes ou gilgoul dans le langage kabbalistique. Le siège de la Kabbale au XIIè siècle était, comme par hasard, situé dans le sud de la France. Nous pouvons relever aussi Pic de la Mirandole, auteur de l’ouvrage Neuf Cents Conclusions, qui fut condamné par les autorités de l’Église en 1487 car ses travaux mettaient « la magie et la Kabbale au-dessus des Évangiles ». Comme par hasard, Pic de la Mirandole était très lié aux milieux ésotériques, en particulier à un Juif sicilien faussement converti et devenu prêtre qui s’appelait Abu’l Faradj. Par la suite, nous pouvons relever dans ces multiples influences l’expression « Être suprême », terme cher à la Kabbale pour désigner un Dieu infini, dont nous retrouvons l’emploi dans le préambule de la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme en 1789. Signalons l’existence d’un livre au titre à peine provocateur de l’universitaire juif américain Yuri Slezkine qui, pour définir le XXè siècle, n’a pas hésité à le nommer « Le siècle juif ». Il n’a pas tort.
« Ce noachisme s’impose de plus en plus dans les structures mentales. Ainsi, le Congrès des états-Unis a adopté dans le cadre de « l’Education Day », le 26 mars 1991, la reconnaissance des lois noachides comme socle de la société américaine. »
Connaissez-vous le noachisme ? – Pierre Hillard
10. Merci pour cet entretien. Dernière question quant à l’actualité. Penses-tu que la dictature sanitaire qui vient n’est-elle pas, par ses excès, une fantastique opportunité de réveiller les peuples avant le « Grand Reset ».
Il est vrai que de nombreuses personnes sentent que quelque chose ne va pas. L’instinct de survie se fait sentir et, peu importe l’origine sociale et le niveau d’étude, certains commencent à se poser les vraies questions. Cependant, je crois que la véritable bascule se fera dans l’effondrement financier et économique qui s’annonce. Tout s’écroulera et la famine se fera jour. Certains sauront lutter pour survivre tandis que d’autres seront incapables de le faire car tétanisés par l’horreur du moment. La guerre civile fera rage d’autant plus que des millions d’extra-Européens ne bénéficiant plus des allocations et autres subsides financiers sauront montrer un vif ressentiment à l’égard du pays d’accueil. Le peuple français est pris en étau entre un système politique, la République d’essence talmudo-kabbalistique, et la présence sur son sol de populations allogènes désireuses de conserver leur propre culture. Tout cela se terminera en guerre totale. Les civilisations sont mortelles. Concernant la France, espérons que la Providence saura faire surgir le chef capable de rétablir une civilisation française née du baptême de Clovis. Mais en attendant, que de souffrances en perspectives !
[NOTES]
1 – Cf. https://www.uclg.org/fr/centenaire.
2 – Cf. Christine Lagarde, patronne du FMI, annonce-t-elle en 2014 la venue du Grand Reset pour 2021 ?
3 – Cf. http://transitionintegrityproject.net.
4 – Sources composant la vidéo :
1) Nouvel Ordre Mondial -Pierre Hillard sur Fréquence Evasion ;
2) Intervention de Pierre Hillard – La France à l’épreuve de l’Union Européenne (pour en savoir ;
3) Conférence Pierre Hillard et Piero San Giorgio – Comprendre le Mondialisme et y survivre 2/2 ;
4) Pierre Hillard, spécialiste du mondialisme… origines, découvertes et terrifiantes perspectives ;
5) Songbird | Official Trailer [HD] | Coming Soon.
Cf. articles sur COVID-1984 et précisions complémentaires sur Golden Dawn.
LIVRES DE PIERRE HILLARD
1 – Minorités et Régionalismes dans l’Europe Fédérale des Régions (2001) – Editions François-Xavier de Guibert
2 – La Décomposition des Nations Européennes: de l’Union Euro-Atlantique à l’État Mondial (2005) – Editions François-Xavier de Guibert
3 – La Marche Irrésistible du Nouvel Ordre Mondial : Destination Babel (2007) – Editions François-Xavier de Guibert
4 – La Fondation Bertelsmann et la Gouvernance Mondiale (2009) – Editions François-Xavier de Guibert
5 – Chroniques du Mondialisme (2014) – Editions Culture & Racines
6 – Atlas du Mondialisme (2017) – Editions Culture & Racines
7 – Archives du Mondialisme (2019) – Editions Nouvelle Terre
8 – Sionisme et Mondialisme (2020) – Editions Nouvelle Terre
LIVRES PRÉFACÉS PAR PIERRE HILLARD
1 – Histoire Secrète de l’Oligarchie Anglo-Américaine de Carroll Quigley (2015) – Editions Culture & Racines
2 – La Guerre Secrète Contre les Peuples de Claire Severac (2015) – Editions Kontre Kulture
3 – Le Nouvel Ordre Mondial d’H.G. Wells (2018) – Editions du Rubicon
4 – De la Salette à Diana Vaughan de Paul-Étienne Pierrecourt (2018) – Editions Saint-Rémi
5 – Le Réseau Rampolla d’Henri Barbier (2018) – Editions Saint-Rémi
6 – De la Passion de Notre-Seigneur Jésus-Christ à la Passion de l’Église de Louis-Hubert Remy (2018) – Editions ACRF
7 – Le Monde Occulte des Comic Book de DC Comics à Marvel de Jérémy Lehut (2019) – Editions Omnia Veritas
8 – La République Universelle du Genre Humain d’Anacharsis Cloots (2019) – Editions Omnia Veritas
9 – L’Esprit Révolutionnaire Juif d’Eugene Michael Jones (2019) – Editions Saint-Rémi
10 – Les Conséquences Politiques de la Paix de Jacques Bainville (2020) – Editions du Verbe Haut
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