Les députés russes votent une loi bannissant « la propagande » LGBT+

[Source : medias-presse.info]

[Photo : Viatcheslav Volodine]

« Ne nous imposez pas vos lois contre nature. Nous ne voulons pas devenir, comme vous, Sodome. » a déclaré Viatcheslav Volodine, Président de la Douma.

Nous vous apprenions le 27 octobre dernier que les députés russes avaient voté en première lecture un durcissement de la loi controversée réprimant la « propagande LGBT ».

Un mois plus tard, ce jeudi 24 novembre 2022, un texte renforçant l’interdiction de « propagande » LGBT en Russie a été définitivement voté par les députés russes.

Il interdit de « faire la promotion de relations sexuelles non traditionnelles » à tous les publics, et non plus seulement aux mineurs, dans les médias, sur Internet, dans les livres et dans les films.

« Promouvoir les relations sexuelles non traditionnelles est interdit […] Une interdiction de la promotion de la pédophilie et du changement de genre a également été introduite », a déclaré dans un communiqué le chef de la chambre basse du Parlement (Douma), Viatcheslav Volodine.

Cette loi « va protéger nos enfants et l’avenir de ce pays contre les ténèbres répandues par les États-Unis et les pays européens. Nous avons nos propres traditions et valeurs », a rajouté jeudi Viatcheslav Volodine.

397 députés ont voté pour, 0 contre, et 0 se sont abstenus. Volodin explique :

« C’est la meilleure réponse au Secrétaire d’État américain Blinken. Arrêtez de nous imposer des valeurs étrangères. Vous avez détruit vos valeurs. Nous verrons comment tout cela se termine, mais en tout cas, c’est bien triste. Parce que c’est contre nature. Je ne peux pas le dire autrement ».

Pour que le texte prenne force de loi, il doit encore être validé par la chambre haute du Parlement, le Conseil de la Fédération, et signé par le président Vladimir Poutine, ce qui constitue des formalités.

Pendant ce temps, l’Occident otanien, c’est-à-dire américain, nous impose sa pourriture wokiste LGBTQ+ intersectionnelle et se vautre dans la luxure satanique.




« Il y a une pression politique pour faire taire les opposants ! »

[Source : ]

René chiche, professeur agrégé de philosophie et Martine Wonner, ancienne députée et psychiatre, dénoncent la mainmise des politiques sur les libertés publiques.




Selon le Dr Ana Mihalcea, ils veulent nous transformer en automates sans libre arbitre, grâce à la technologie des vaccins

[Source : favoris-alcyonpleiades]

Le Dr Ana Mihalcea explique que les gens se sont vu injecter des technologies très avancées par le biais de ces armes technologiques appelées « injections Covid-19 », qui ne sont pas des vaccins. Ils veulent pirater les humains comme des animaux et contrôler leur esprit.

[Voir aussi :
Yuval Noah Harari, théoricien oligarchique du piratage de l’humain et de la dépopulation
Le FEM de Klaus Schwab en 2020 : Les humains sont désormais des « animaux piratables » et seront « réingénierisés »
En route vers l’esclavage de l’Humanité ?
Le support philosophique de la Grande Réinitialisation
Piratage d’humains – Individus ciblés
Nanotechnologie et « vaccins »
Nanoparticules et nanotechnologies
La nanotechnologie dans les vaccins
Quelle est la cause réelle du Covid ? Qu’y a-t-il dans ces injections ?
Le Dr Astrid Stuckelberger confirme que les vaccins anti-covid et le test PCR sont en réalité les causes de la maladie Covid, au moins sous forme de variants, à cause notamment du graphène qu’ils contiennent
Dr Astrid Stuckelberger, le faux vaccin et l’oxyde de graphène
L’oxyde de graphène présent dans tous les vaccins fait des vaccinés des bombes à retardement ambulantes
Le graphène, outil de surveillance de la santé, se trouve dans les masques, écouvillons, et… les vaccins. Conséquences potentiellement désastreuses sur la santé humaine
Une ancienne employée de Pfizer confirme la présence d’oxyde de graphène dans les vaccins Covid
Technologie de “neuromodulation” à base de graphène : des biocircuits contrôlent le cerveau à l’aide de graphène piloté par l’IA
Graphène et 5G
Le graphène, outil de surveillance de la santé, se trouve dans les masques, écouvillons, et… les vaccins. Conséquences potentiellement désastreuses sur la santé humaine]






Les « vérificateurs » comme tueurs et nettoyeurs de la Secte SHAA

Par Lucien SA Oulahbib

Il semble bien que peu à peu la vérité (au sens de saisir du réel dans ce qu’il est) éclate, par exemple sur le fait que la majorité actuelle des morts de Covid-19 ont été injectés (du moins aux US) alors que cela a été vendu comme étant impossible (« tous protégés, surtout des formes graves »), et ce même si elle se trouve (encore) empêchée en France puisqu’il est impossible d’avoir les chiffres sur le statut injecté ou non des morts hormis ceux que l’on met sur le dos de la « canicule » et bien sûr sur ledit « dérèglement climatique »…

Mais il y a désormais plus, comme vient de le révéler Idris Aberkane (repris sur Ligne Droite et bientôt FranceSoir au dire d’Aberkane) quant au travail de sape savamment orchestré d’un réseau, auparavant occulte et aujourd’hui dévoilé, d’orcs cybernétiques très bien rodés pour attaquer, planter leurs crocs au-dessous de la ceinture des Raoult, Perronne, etc., tout en s’intitulant pompeusement « vérificateurs », et ce du seul fait qu’ils ont été désignés tels par leurs propres commanditaires ayant pour certains pignon sur rue (agences de presse, médias de grands chemins, appendices divers de Big Pharma, l’un des segments de la Secte SHA) ce qu’Aberkane appelle, judicieusement, un réseau de « blanchiment d’information »…

En effet, fabriquer à la demande de fausses informations mêlées bien sûr avec des « vraies » pour donner le change (ainsi le site incriminé par Aberkane, Fact and Furious aurait un contrat avec l’AFP qui elle-même alimente nombre des médias de grand chemin) a pour objet de salir la réputation d’éminents spécialistes afin de servir les intérêts de diverses branches de la Secte SHAA (Scientiste Hygiéniste, Affairiste, et de plus en plus Alarmiste d’où ce nouvel A ajouté [NDLR par rapport aux précédents articles relatifs à cette « secte SHA »]).

Mais cette dernière, en même temps, subtilité de la fourchette aux échecs, peut aussi montrer patte blanche en soutenant telle ou telle cause dit « juste ». Ainsi Emmanuel Macron expliquera à la réunion des maires qu’il considère la lutte contre la violence comme une question « civilisationnelle » alors que tout montre qu’il ne fait absolument rien contre elle dénonçant les effets tout en chérissant les causes aux diverses impérities : justice privilégiant dans la sanction la restauration et protection de l’agresseur cette réelle victime de « la » société, le sans frontièrisme permettant de « déposséder » encore plus les autochtones de leur terre pétrie comme un paysage de coutumes évolutives propres, enfin saupoudrage électoraliste de subventions diverses données à des ONG aux ordres et aussi aux médias qui se servent des sites comme également Conspiracy Watch pour construire cette actuelle réalité Potemkine blanchissant les uns noircissant les autres…

Ne parlons pas également de la manière dont on parle du conflit entre les régimes de Kiev et de Moscou, blanchissant l’un, noircissant l’autre, jusqu’à désormais classer ce dernier comme quasi État terroriste, à la façon des « démocrates » américains étiquetant certaines voix dissidentes comme relevant du « terrorisme domestique », autre terme pour mettre à l’Index ce qui est nommé « complotiste, conspirationniste » et autres sorts jetés ainsi à l’encontre de ceux qui au fond ont juste quelques mois d’avance sur ce qui s’avérera vrai par la suite…

Rien de nouveau sous le soleil, certes… Mais en attendant que le scandale n’éclate s’amoncellent toutes ces vies brisées et maintenant tous ces morts par dizaines voire centaines de milliers (effets secondaires de [vax] Covid-19, guerres dans le Donbass, au Yémen, répressions néo-maoïstes en Chine, Iran, anti-Kurdes par le nouveau Sultan turc…).

Le tout effacé, reconstruit, comme il se doit.




Comment l’argent de Bill Gates et de FTX a acheté le silence scientifique

[Source : aubedigitale.com]

Par Jeffrey A. Tucker Jeffrey A. Tucker

Avec du recul, il est tout à fait étrange que le monde de la science ait pu rester si silencieux alors même que le monde se verrouillait et que des milliards de vies étaient brisées par les gouvernements du monde entier. Le silence était assourdissant. 

Nous sommes passés d’une lettre du 2 mars 2020 signée par 800 experts en santé publique associés à l’université de Yale – qui mettait en garde contre les quarantaines et les fermetures – à une étrange disparition de presque toutes les voix claires quelques semaines plus tard. Et les choses en sont restées là pendant la majeure partie de deux ans.

Les gouvernements ont été autorisés à créer un vaste carnage sur la base d’une expérience inédite n’ayant absolument aucun précédent dans l’histoire et aucune littérature scientifique ne l’étayant. Même le plan de lutte contre la pandémie de l’Organisation mondiale de la santé ne prévoyait rien de tel que le confinement comme solution à un agent pathogène répandu. À l’époque, il était évident pour moi et pour d’autres que ce silence n’était pas dû à un large accord avec les politiques mais à quelque chose d’autre.

Ce quelque chose, malheureusement, c’était l’argent.

Nous découvrons de plus en plus le rôle accru que la bourse de crypto-monnaies FTX a joué dans l’acheminement de l’argent vers les principaux avant-postes de santé publique et les universitaires des universités Johns Hopkins et Stanford, ainsi que ses liens familiaux avec le département de santé publique de l’université Columbia. Et avant l’ouverture de ce robinet de financement, il y avait la Fondation Gates, qui était clairement passée d’une recherche apparemment non partisane à un soutien total aux confinements.

[Voir aussi :
Les responsables de la santé admettent que Bill Gates dirige le monde
Une lanceuse d’alerte de l’OMS : « Nous vivons une pandémie de mensonges — Bill Gates est aux commandes »
Coup d’État furtif de l’OMS pour dicter le programme de santé mondial de Gates et Big Pharma
Partenariats Public-Privé : de la Fondation Bill et Melinda Gates à Big Pharma
Le monstre de la vaccination GAVI : immunité juridique totale !
GAVI et Bill Gates plus puissants que l’ONU !]

Bien sûr, il n’y a pas une seule explication à ce désastre. L’ensemble de la profession avait déjà été infecté par le virus intellectuel du rationalisme mécaniste et de la modélisation. L’idée était qu’il suffisait d’assembler quelques mathématiques et équations et de laisser l’ordinateur prendre le relais pour obtenir une image de l’évolution de la maladie selon divers scénarios. Ces modèles sont facilement manipulables par de petites modifications des variables.

Deborah Birx s’est entièrement appuyée sur ces modèles pour obtenir de l’administration Trump le feu vert pour le confinement. Et il n’y a plus aucun doute sur cette histoire maintenant que le compte Twitter de Trump est à nouveau vivant. La fin de la censure nous permet de voir comment il a été poussé à rejeter ses meilleurs instincts et à adopter au contraire une politique de confinement, non seulement pendant deux semaines, mais aussi pendant les mois qui ont suivi, jusqu’à critiquer le gouverneur Brian Kemp de Géorgie pour une ouverture que Trump considérait comme « trop précoce. »

(Pour l’anecdote, la restauration du compte de Trump nous permet également de voir que ses deux derniers tweets exhortaient tous les manifestants du 6 janvier 2021 au Capitole à rester pacifiques et à respecter le bleu. Il n’est pas étonnant que l’ancien régime de Twitter ait voulu bloquer son compte et le faire disparaître).

Après avoir étudié de près cette trajectoire, il semble impossible de négliger les motifs politiques ici. Il ne fait aucun doute que de nombreuses élites, en de nombreux endroits, se sont déchaînées au point d’être prêtes à écraser l’ensemble de la société et même à renoncer à deux ans d’éducation pour les enfants afin de chasser Trump du pouvoir. Le complot consistait à l’amener à faire lui-même l’appel initial en lui racontant des mensonges sur la gravité du virus et l’efficacité des confinements. Il ne fait aucun doute qu’il a été trompé.

Cependant, en plus de ces facteurs, on ne peut négliger les facteurs financiers. Il est clair que les subventions accordées à l’époque et pendant les deux années suivantes étaient clairement en faveur des confinements et du Parti démocrate, ainsi que des médias d’élite et de leur ligne narrative selon laquelle l’ouverture équivaut à la mort et les confinements/port de masques/obligations relèvent de l’esprit public.

Un grand nombre de scientifiques qui auraient pu et dû s’exprimer se sont tus ou, pire, ont prêté leur voix pour soutenir le scandale. Cela s’explique en grande partie par le mode de financement de la science au niveau universitaire. Il s’agit d’obtenir la prochaine subvention. C’est tragique, mais il y a là une forte motivation à formuler ses opinions d’une manière qui ouvre la voie à de futures sources de financement.

C’est pourquoi il n’est pas nécessaire que chaque scientifique vendu reçoive des fonds directs de Gates, FTX ou de l’industrie pharmaceutique. Pour contrôler tout un secteur de l’opinion, il suffit de faire courir le bruit qu’une source de financement est là, avec d’innombrables millions, et qu’elle est prête à passer à la caisse.

En conséquence, même les personnes les plus intelligentes et les plus crédibles peuvent être facilement mises au pas. Et il ne fait aucun doute que FTX a rapidement acquis la réputation d’être en quelque sorte préoccupé par la « planification de la pandémie » et que l’ensemble de l’industrie s’est aligné, la main dans le sac. Après tout, FTX a promis 100 millions de dollars de subventions !

C’est pourquoi, selon le Washington Post :

« L’onde de choc de la chute libre de FTX s’est propagée dans le monde de la santé publique, où de nombreux leaders de la préparation à la pandémie avaient reçu des fonds des bailleurs de fonds de FTX ou cherchaient à en obtenir. »

La partie recherche est essentielle ici. Mais la piste de l’argent l’est tout autant. Le FTX a financé les dernières étapes des plus grands essais de thérapies réadaptées pour le COVID. D’innombrables vies étaient en jeu dans ces essais. De nombreux médecins du monde entier avaient obtenu d’excellents résultats dans des circonstances difficiles grâce à des médicaments génériques tels que l’HCQ, l’Ivermectine, la fluvoxamine et d’autres, en particulier lorsqu’ils étaient utilisés avec d’autres vitamines et du zinc. Il était crucial de les tester.

Les résultats ont été soutenus par un blitz médiatique prévisible : ces thérapeutiques ne fonctionnent pas. Entre-temps, l’étude a été sévèrement critiquée, non seulement pour la mauvaise construction de l’étude, mais aussi pour les conflits d’intérêts des chercheurs de haut niveau qui ont également consulté des sociétés pharmaceutiques.

Tout cela est très important, car on a le sentiment que la raison pour laquelle les Instituts nationaux de la santé, la Fondation Gates et les grands médias ont négligé la thérapeutique, en dénigrant tous ceux qui suggéraient qu’il y avait peut-être une meilleure solution, pourrait être liée à la motivation économique de la fermeture des alternatives bon marché aux vaccins.

Le journaliste indépendant Alexandros Marinos a retracé la chronologie de l’étude :

La Fondation Gates a été la première à intervenir, suivie de Rainwater et de FastGrants. FastGrants est un programme établi par la Fondation Charles G. Koch qui a également fini par donner de l’argent au modélisateur Neil Ferguson de l’Imperial College, qui a été le premier à faire la propagande du confinement au Royaume-Uni et aux Etats-Unis. FTX a calqué son propre programme d’octroi de subventions sur FastGrants, puis a repris le financement plus tard dans le processus. (Il y a une ironie suprême ici : le mensonge partout sur internet était que la Déclaration de Great Barrington était financée par Koch, alors qu’en fait ce flux d’argent allait à l’opposition !).

En outre, le Post note que FTX « a accordé 1,5 million de dollars au Center for Innovation in Global Health de l’Université de Stanford en juillet pour des subventions de démarrage destinées à « catalyser la recherche et les innovations qui préparent et aident à prévenir la prochaine pandémie ».

Également :

« Les engagements du Future Fund comprenaient 10 millions de dollars à HelixNano, une start-up de biotechnologie cherchant à développer un vaccin de nouvelle génération contre le coronavirus ; 250 000 dollars à un scientifique de l’Université d’Ottawa cherchant comment éradiquer les virus des surfaces en plastique ; et 175 000 dollars pour soutenir l’emploi d’un récent diplômé de la faculté de droit au Johns Hopkins Center for Health Security. »

Nous ne savons pas combien d’argent Gates/FTX a donné au Center for Health Security de JHU (qui avait sponsorisé l’événement 201), mais c’était suffisant pour que le directeur du centre, Tom Inglesby, revienne complètement sur sa position antérieure contre les confinements pour en devenir un grand défenseur.

« Dans l’ensemble, le Future Fund [FTX] était une force du bien », a déclaré Inglesby au Post. « Le travail qu’ils faisaient essayait vraiment d’amener les gens à penser à long terme… à renforcer la préparation à la pandémie, à diminuer les risques de menaces biologiques. »

Suivre la piste de l’argent de FTX jusqu’à l’établissement de la santé publique révélera sans doute davantage d’informations, surtout si l’on considère que Gabe, le frère de Sam Bankman-Fried, dirigeait une organisation de lobbying entièrement consacrée à la « planification des pandémies. »

Il ne fait aucun doute que toute cette machine est devenue un mastodonte industriel en deux ans. Lorsque j’ai lancé le Brownstone Institute, mon téléphone et mes e-mails ont commencé à exploser d’offres d’argent et de financement, mais toujours avec une condition. Je devais connecter nos scientifiques avec leur réseau de scientifiques dans un système déjà établi.

Il n’y avait aucun doute dans mon esprit sur ce qui se passait : On me demandait de jouer le jeu en échange de gros chèques pour faire fonctionner cette jeune organisation à but non lucratif. D’une certaine manière, cela m’a étonné : On m’offrait un chemin vers la richesse à condition que je vide la mission de son contenu ! Et cela se passait avant même que nous ayons publié la moindre de nos recherches !

Donc, oui, j’ai vu comment ce système fonctionne de première main. Bien sûr, j’ai complètement rejeté l’idée, tout simplement parce qu’y adhérer aurait été contraire à l’objectif premier de la création d’un institut. Et pourtant, mes interlocuteurs présumaient qu’il ne s’agissait là que d’un autre racket dans un espace qui en regorgeait et que je serais heureux de renoncer à tous mes principes en échange d’un financement généreux. Je ne l’ai jamais envisagé, même un seul instant.

Il y a une tragédie grotesque dans tout cela. De grandes personnes ont renoncé à tous leurs principes et à leur intégrité en échange de subventions et de graisses de la part de gros bonnets qui ont utilisé leur argent et leur pouvoir pour détruire le monde en deux ans, et ils ont pu le faire avec très peu d’opposition professionnelle. Et pourtant, nous en sommes là aujourd’hui. Qui sont les véritables stars du monde scientifique aujourd’hui ? Pas ceux qui sont à la remorque de Gates/FTX. Ce sont les hommes et les femmes qui ont pris leur courage à deux mains pour faire ce qui est juste.

Traduction de The Epoch Times par Aube Digitale




Le collectif ou l’humain ?

Les personnels non vaccinés et la voix de la « raison »

(Traces « éventuelles » de complotisme et de second degré dans le texte.)

Qui n’est pas horrifié par toutes ces personnes qui ne pensent qu’à leur petit confort ?
Le Covid aurait dû réveiller les consciences, mais il a été un révélateur d’une insouciance et d’une inconscience coupable.

Comment peut-on encore se réclamer des « droits de l’homme » ou du « droit de chacun à disposer de son corps » en ce début de 21e siècle rayonnant, tout en ignorant les dangers qui nous guettent ?

Ne serait-il pas temps d’oublier les slogans de mai 68 qui dénotaient un égoïsme et un individualisme forcené ?

Que dire de ces parents déconnectés de la « réalité » qui ne voulaient pas que leurs enfants portent un masque.
Au nom de quoi :

  • D’un prétendu droit à respirer librement ?
  • D’un prétendu risque sur la santé que ferait courir ce qu’ils nomment un préservatif facial ?
  • De problèmes d’apprentissage, de gestion des émotions, de dépressions ou de tentatives de suicides ?

Mais ressaisissez-vous !
Qu’est-ce que ces problèmes rarissimes ou imaginaires comparés au risque qu’ils faisaient et font encore courir aux adultes et à nos aînées ?!

Est-ce la société que nous voulons ?

Une société dans laquelle les enfants ne devraient surtout pas sacrifier
leur petit confort pour protéger les anciens.

Vous, oui vous les parents irresponsables, qu’avez-vous dit à votre enfant coupable d’avoir tué ses grands-parents dans la force de l’âge ?
Pourtant, c’est bien vous, parents, les coupables, coupables d’avoir fêté Noël avec eux au lieu de les parquer dans la cuisine, coupables de ne pas avoir porté de masque pendant le repas et coupables d’avoir laissé vos enfants les embrasser !

Ah ! vous me dites qu’ils voulaient serrer dans leurs bras leurs petits enfants, qu’ils étaient enfermés depuis des mois dans leur EHPAD, qu’ils ne voyaient personne, que les visages des personnels étaient masqués, qu’ils déprimaient, n’avaient pas le droit de se rendre dans le jardin, etc.
La belle affaire !
C’est vous les parents, c’était à vous de les protéger, d’imposer le masque jour et nuit à vos enfants.

Qui va vivre désormais avec la culpabilité d’avoir tué leurs grands-parents, c’est bien vos enfants, non1 ?

La liberté de l’individu doit s’effacer au nom du collectif en toutes circonstances !

Voulons-nous d’une société communiste d’entraide obligatoire pour le bien de tous ou pas ?

Les personnels non vaccinés

Je parle un peu durement, mais je vous avoue que c’est pour cacher ma colère vis-à-vis des soignants non vaccinés.

Rendez-vous compte ! Des soignants, des personnels qui sont là pour prendre soin des plus fragiles et qui refusent une petite piquousette !
Ma pensée est bien entendu la même concernant les pompiers qui ont fait de même au mépris de toute vie humaine.

Ah ils ont beau jeu de nous parler de serment d’Hippocrate, de consentement libre et éclairé ou de « Primum non nocere ».

Je suis d’accord, mais dans notre société ce qui compte avant tout c’est le :

En premier lieu, ne pas nuire aux autres !

La santé de chacun doit passer après la santé du groupe si nous voulons faire société.

Celles et ceux qui s’y opposent doivent bien évidemment être exclus pour maltraitance collective !

Maltraitance, maltraitance, je devrais plutôt dire « comportements criminels ».

Le passe vaccinal est souhaitable et moral et il en sera demain de même du passe carbone.

Les égoïstes en bonne santé, asymptomatiques, qui refusaient le masque et la vaccination Covid seront les mêmes qui refuseront de rester chez eux, de se chauffer à 19 °C maximum, renoncer à leur liberté de mouvement ou d’acheter une voiture électrique pour sauver la planète.

Il n’est pas acceptable, par des comportements égoïstes et irresponsables,
de répandre la mort au nom d’une prétendue liberté.

J’en reviens donc à ces soignants et pompiers criminels qui n’ont pas hésité à tuer pour ne pas se vacciner.

Quels sont leurs arguments fallacieux ?

  • Un prétendu droit à disposer de son corps arguant qu’une vaccination ne peut être défaite.
  • Une prétendue absence de recul quant aux éventuels effets secondaires alors que des milliards de personnes sont vaccinées et que tout va bien.
  • Une prétendue inquiétude quant à la technologie novatrice à ARNm et la prétendue utilisation de graphène.
  • Une prétendue absence d’efficacité contre la contagion alors même qu’il ne pouvaient disposer d’aucune preuve de non-efficacité, cela ayant été confirmé récemment par un représentant de Pfizer précisant que cela n’avait jamais été testé.

Nous voyons bien que ces arguments ne font pas le poids au regard de la mortalité terrible de ce Covid pour lequel il n’existe toujours pas de traitement efficace.

Je vous rappelle que d’un point de vue légal, aucun vaccin n’aurait pu voir le jour s’il y avait eu des traitements au moins aussi efficaces que ces vaccins…

Le fait que l’on ait dépensé des milliards pour les mettre au point alors que l’on aurait pu utiliser
des médicaments génériques est bien la « preuve » qu’aucun traitement ne pouvait fonctionner.

Il y a un autre point que ces soignants complotistes n’arrivent pas à appréhender.

C’est parce que le masque protège, que les gestes barrières protègent,
que l’aération des locaux protège, que le lavage des mains protège et que le vaccin protège.
Pour toutes ces raisons, le soignant DOIT AUSSI faire de même,
au risque de mettre en danger le malade protégé, masqué et vacciné.

N’importe quel primitif pourrait comprendre.

Réintégrer les personnels non vaccinés ?

J’en entends des absurdités, mais celle-ci est totalement délirante.
Je veux bien être bon prince et que l’on réintègre celles et ceux qui reconnaîtraient leur faute sur la place publique en reprenant le parcours vaccinal de la première à la cinquième dose…

Encore faudrait-il que l’on nous explique si les soignants doivent d’abord prendre 3 ou 4 doses du vaccin pour la souche qui n’existe plus puis prendre le bivalent pour une souche plus récente qui n’existerait pas non plus.
Mais si les soignants non vaccinés n’ont pas obligation de se faire injecter le vaccin bivalent, pourquoi les non-vaccinés le devraient-ils ?
Mais si les non-vaccinés n’ont pas obligation de se faire injecter le bivalent pourquoi devraient-ils être vaccinés pour une souche qui a disparu depuis longtemps et qui ne protège pas ou plus ?

Quoiqu’il en soit, ce n’est pas le problème, ils doivent se soumettre à l’obligation même si elle est incompréhensible, point final.

Quant aux autres, ceux qui veulent persister dans leur crime, pourquoi devrions-nous les réintégrer ?

Le Président de la République a confié au ministre de la Santé la décision de les réintégrer ou pas, ministre nommé par le 1er ministre, lui-même nommé par le Président.
Dans sa grande sagesse le ministre de la Santé a dit que sa décision reposerait sur le conseil de la Haute Autorité de la Santé, organisme totalement indépendant s’il en est, dont le directeur est nommé par le Président de la République.
Il n’y a donc strictement aucun doute sur le fait que les recommandations de la HAS seront déconnectées de toute pression politique.

Revenons si vous le voulez bien au fond du problème.

On dit ici et là que le Covid est derrière nous alors que nous allons entamer la 8e vague, comme le temps passe…
On dit ici et là que le vaccin ne protégerait pas de la transmission.
Mais quand bien même il ne la bloquerait qu’à 0,3 %, c’est déjà 0,3 % de gagné et comme en plus le produit semble 100 % sans danger, à quoi bon hésiter.

Je vous rappelle que les autorités de santé avaient décrété à juste titre que le rapport bénéfice vs risque pour les enfants était positif quand bien même le risque n’avait pas été évalué spécifiquement pour eux.
Ce qui est logique, le produit étant inoffensif pour les adultes, les enfants étant des mini adultes, il va de soi qu’il était sans danger aussi pour les enfants.
Et quand bien même le risque d’avoir une forme grave pour un enfant en bonne santé était quasi nul, le rapport bénéfice risque était donc positif pour les enfants.
(Le risque est QUASI nul. Il y a donc un risque, et comme le produit est sans danger, CQFD).

Quid de la morale ?

Nous avons de bons soignants qui se sont spontanément injectés par devoir et qui devraient reprendre le travail avec ces monstres d’égoïsme ?

C’est comme si ces non-vaccinés portaient un tee-shirt en salle de soin « rien à branler des autres ».

Vous imaginez l’exemple délétère pour notre belle jeunesse qui a été la première à se masquer et à renoncer à ses interactions sociales pour sauver leurs grands-parents qui seraient par la suite assassinés par des personnels non injectés ?!

Et puis, vous pensez un peu aux patients qui devraient avoir affaire à ces inconscients.

Si vous les réintégrez sans signe distinctif alors les malades vont vivre dans l’angoisse permanente.

« Cette infirmière qui s’approche de moi, qui me soigne,
est-elle vaccinée ou risque-t-elle de me donner la mort ? »

Vous imaginez l’enfer de leur séjour à l’hôpital, un risque d’être tué pendant son sommeil ?

Il existe une alternative qui consisterait à obliger
les soignants non vaccinés réintégrés à porter une blouse jaune.

De fait tout un chacun serait informé de la dangerosité de la personne qui s’approcherait d’elle.

Cette technique éprouvée et séduisante a pourtant ses limites.

Quelle personne saine d’esprit (soignant ou malade vacciné) accepterait
d’être approchée par un non-vacciné ?!

Attendez, je m’emballe.

Vous et moi savons que les hôpitaux sont saturés par les non-vaccinés, bien évidemment.
Vous n’allez quand même pas croire les complotistes qui disent n’importe quoi.
Les médecins qui étaient invités (une fois) puis réinvités (des dizaines de fois) nous disaient bien que seuls les non-vaccinés saturaient leur service.

De fait il y a pléthore de non-vaccinés dans les services qui, débilité oblige, préfèrent être soignés par des non-vaccinés.
Vous voyez où l’extrémisme, la folie devrais-je dire, peut vous amener… attendez ils pourraient même refuser d’être touché par un soignant vacciné !
Ce que je peux vous dire c’est que ce type de complotistes allumés existe et j’en connais.

Il existerait donc une solution parce que nos dirigeants et nos soignants demeurent bons par nature.

J’ai entendu ici ou là quelques colères légitimes de soignants.

« On se casse le cul à sauver la planète de la pandémie,
au début on avait des blouses en sac poubelle,
on a maintenant un vaccin efficace et inoffensif
et ces irresponsables de non-vaccinés vont tout foutre en l’air !
À cause d’eux, on va être obligé de laisser mourir des gens biens (vaccinés)
du fait de la saturation des services par les non-vaccinés. »

De fait, « Laisser crever les non-vaccinés » semblait une hypothèse séduisante et morale.

Je reviens donc à mon idée.
Les non-vaccinés étant légions, il ne serait que justice d’ouvrir dans chaque hôpital un service réservé aux non-vaccinés.
Ce qui n’aurait que des avantages :

  • Permettre aux soignants non vaccinés d’être réintégrés et de s’occuper de ces sous humains.
  • Permettre aux malades et aux soignants vaccinés de ne pas les côtoyer (attention, il faudrait quand même garder la blouse jaune aux soignants non vaccinés et un logo canard jaune pour les malades non vaccinés afin d’éviter tout accident).
  • Permettre aux non-vaccinés de ne pas côtoyer des soignants vaccinés.

Bref du merveilleux pour tout le monde :

Une société inclusive, mais avec des castes.

Aucune indulgence pour les criminels

Certaines voix timides et bien heureusement muselées par les médias sociaux ou la presse mainstream s’élèvent pour « alerter » sur la situation des personnels non vaccinés.

« Les pauvres, ils n’ont plus le droit de travailler depuis plus d’un an. »
« Les pauvres, ils ne touchent plus aucun salaire. »
« Les pauvres, ils n’ont pas droit au chômage. »
« Les pauvres, ils vivent dans une incertitude totale. »

et patati et patata…

Mais pourquoi devrions-nous nous en émouvoir ?
Ils l’ont bien cherché !
Ce n’est pas moi qui les oblige à ne pas travailler, c’est eux qui refusent !

La preuve ?
Il suffit qu’ils remplissent leur devoir, se vaccinent, et ils peuvent recommencer à travailler dès demain !

Ils payent leur obstination et leur manque de civisme et ce n’est que justice.

De toutes les façons, nous voyons bien qu’ils n’ont rien à faire dans cette profession.
Leur égoïsme intégriste prouve à quel point ils ne pensent qu’à eux et que le bien être du patient passe bien après.

Attendez l’autre jour, j’en ai entendu une oser dire « j’ai refusé de vacciner mes patients pour les protéger. »
Elle se fait passer pour une bonne personne arguant qu’ils n’avaient pas reçu « une information juste et exhaustive » et que leur état de santé ne leur permettait pas de donner un « consentement libre et éclairé ».
C’est n’importe quoi !

Il est du devoir de l’État et des soignants de protéger les plus faibles y compris d’eux-mêmes.

Seuls l’État et son bras armé, les soignants, savent
ce qui est bon pour la population et les malades.

Un bon soignant n’a pas la connaissance, l’intelligence, le savoir pour prendre les bonnes décisions, raison pour laquelle les instructions doivent venir d’en haut.

Un bon soignant est là pour obéir, fermer sa gueule
et suivre à la lettre les protocoles.

En l’occurrence, protéger autrui, c’est lui injecter le vaccin Covid quand bien même il est expérimental.

Je ne comprends pas pourquoi il y en a qui n’ont toujours pas démissionné,
Ce geste aurait un minimum de noblesse pour ce qui leur en reste.

La « souffrance » des soignants ?

Nous avons de nombreux témoignages de personnels non vaccinés qui n’en peuvent plus.
Je viens d’apprendre le décès de l’une d’entre-elles qui « se serait suicidée ».

Même si nous ne pouvons pas affirmer que sa suspension en est la cause principale, il nous est impossible de nier que cela aura été de nature à dégrader son état psychologique.

Est-ce à dire que ce que nous pourrions nommer leur interdiction d’exercice et sans salaire une « torture mentale » à leur encontre ?
Notamment le fait qu’ils n’aient aucune projection… « Vais-je être réintégré, vais-je être licencié, cela va se poursuivre combien de temps ? »

Cela pose un problème.

Nous avons vu que l’intérêt du collectif DOIT passer avant l’intérêt de l’individu.

Il ne s’agit pas ici de dire si les mesures prises sont bonnes ou pas, là n’est pas le sujet.

Quand bien même la vaccination serait efficace,
quand bien même le vaccin serait sans effet secondaire,
cela est-il une donnée nécessaire et suffisante
pour imposer la vaccination et suspendre les non-vaccinés ?

Une société qui prône le collectif avant l’individuel ne doit pas se poser cette question !

Imaginez une inondation avec une digue qui a cédé, ce qui pourrait entraîner une coulée de boue pouvant tuer potentiellement 10 000 personnes.
Par « miracle » une voiture s’encastre dans le trou et fait barrage protégeant ainsi la vallée.
Malheureusement il y a dans la voiture une famille avec 3 enfants, dont un bébé de 6 mois.

Ils vont se noyer de façon certaine avec la montée des eaux.
Le seul et unique moyen de les sauver est d’hélitreuiller l’auto avec ses occupants.
Si cela est fait alors la famille est sauvée, mais une coulée de boue risque de tuer 10 000 personnes dont des enfants en bas âge.

Que faites-vous ?

  • Si vous raisonnez en termes de collectif la question ne se pose pas, on laisse la famille se noyer sous nos yeux et le crépitement des flashs des journalistes.
  • Si vous êtes dans l’auto ou de la famille des occupants, vous seriez plutôt pour que l’on vienne les sauver ou au moins les enfants.
  • Si vous êtes dans la vallée, l’idée d’enlever l’auto et de sauver ses occupants ne vous tente guère.

Bien entendu l’idéal serait de sauver tout le monde, mais ce n’est pas toujours possible.

J’en reviens donc aux soignants et en particulier à ce drame
de cette mère qui laisse derrière elle
des enfants en bas âges devenus orphelins « pour le collectif ».

Si nous ne l’avions pas suspendu, on peut raisonnablement supposer qu’elle n’aurait pas mis fin à ses jours et raisonnablement supposer que ses enfants ne seraient pas orphelins.
Est-ce un simple « dommage collatéral » ?

Vous me direz que pour eux le drame est déjà écrit, mais quid des autres ?
Quid de tous ces pères ou mères qui n’en peuvent plus et dont certains vont peut-être passer à l’acte ?
Ils sont comme cette famille dans l’auto.

S’il y avait toujours le Covid, si le vaccin était efficace, s’il avait une mortalité importante, s’il n’y avait pas de traitements ou de possibilités de protéger les plus faibles autrement, si, si, alors on pourrait peut-être se poser la question.

Doit-on suspendre les non-vaccinés au risque de… ?
Ou
doit-on les laisser exercer et voir ce que l’on peut faire autrement ?

Je vous rappelle que depuis l’obligation vaccinale
un médecin n’a même pas le droit de faire de la télémédecine.
Des administratifs non vaccinés qui ne voient jamais les patients sont aussi interdits de travail.

Où est l’intérêt collectif ?

Enfin toutes les affirmations précédentes sur le Covid n’ont pas (ou plus) lieu d’être.
Cela veut dire que ces personnels ne sont pas ou plus une menace pour la société.

Doit-on les pendre en primetime pour l’exemple ?
Doit-on laisser leur corps pourrir et bouffé aux corbeaux pour que lorsque le problème de vaccination obligatoire se posera à nouveau, les soignants soient bien conscients de ce qui les attend s’ils refusent ?

Je vous laisse méditer.

Merci

Alain Tortosa2

23 novembre 202
https://7milliards.fr/tortosa20221123-collectif-ou-individu-obligation-vaccinale.pdf





Rémi Tell : « Ce qui nous a émancipés autrefois se retourne aujourd’hui contre nous »

[Source : sudradio.fr]

Rémi Tell, essayiste, chroniqueur et président du collectif « Peuple libre » et auteur du livre « La Chute de Prométhée » (Perspectives Libres, 2022), était l’invité d’André Bercoff sur Sud Radio le 23 novembre dans « Bercoff dans tous ses états ».

Dans son livre La Chute de Prométhée — Lettre à un démocrate américain, Rémi Tell écrit à un ami américain. Il lui explique pourquoi il a décidé de rompre. L’auteur fait l’inventaire de ce qui s’est passé entre un certain Occident, celui de l’ami américain, et un autre Occident, celui de Rémi Tell.

« J’ai essayé de décrire 2 visions irréconciliables, confirme-t-il. L’Occident prométhéen, ayant poussé la logique de l’émancipation tragique de l’homme par la technique, est en train de se suicider. On le voit sur le plan sociétal, notamment avec les enfants de 7-8 ans qui réalisent des opérations de changement de sexe, sans consentement parental. Et sur le plan économique avec la destruction de la biodiversité et l’émergence d’une “classe d’inutiles” selon les termes d’Harari ».

Pour autant, Rémi Tell n’est pas contre la technique :

« Cette émancipation de l’homme par la technique remplit son office en très grande partie au cours des 19e et 20e siècles. La pauvreté a reculé dans le monde, on se soigne aujourd’hui mieux qu’avant. Ça a mis fin aussi aux guerres [NDLR Pas vraiment, si l’on se base notamment sur les deux Guerres mondiales]. Mais ne connaissant pas la juste mesure, on a été trop loin. Ce qui nous a émancipés autrefois se retourne aujourd’hui contre nous, estime l’auteur. On l’a bien vu durant la crise du Covid, où la libération totale pour quelques-uns est l’asservissement généralisé du plus grand nombre ».

« La technique était un outil d’émancipation, elle est devenue une fin en soi »

La raison en est, selon Rémi Tell :

« La disparition de la matrice première du monde occidental qui est la matrice chrétienne. Lorsque Dieu disparaît, on lui substitue un autre absolu. Ça a été le développement de la technique. Ce qui était un outil devient une fin en soi. Elle se cherche aujourd’hui de nouveaux territoires au premier rang desquels : le corps humain. C’est le transhumanisme, la question de la transidentité, demain le certificat d’identité numérique européen. Tout ça procède d’une vision qui commence sans doute avec la Révolution française et s’achève aujourd’hui dans le crime ».

Rémi Tell aborde notamment « la façon dont l’avortement a été hystérisé aux États-Unis. Jusqu’à empêcher toute entrave à l’avortement dans une quinzaine d’États aux États-Unis, où il n’y a plus aucune restriction, les femmes peuvent accéder à l’avortement jusqu’au terme de la grossesse ». Le choix est-il donc uniquement entre le retour à la religion, ou le transhumanisme le plus dépersonnalisé ? interroge André Bercoff. Pour l’essayiste :

« Dans la domination occidentale sur le monde, il y a eu 2 périodes : européenne et américaine. La période européenne est empreinte de pensée grecque, avec une juste mesure. Ce qui a retenu un certain nombre d’excès. Les États-Unis se sont émancipés de cette vision des choses. Il s’agit de trouver une forme d’équilibre. Si on ne prend pas garde aux excès de la technicisation, nous finirons tous esclaves ! »




Evolution, Dévolution, Science (Maciej Giertych)

[Source : medias-presse.info]

Par Ex Libris

Il manquait, en langue française, un manuel de sciences naturelles qui ne fût pas biaisé par le mythe d’une évolution progressive des êtres vivants au long des âges.

Conçu et rédigé par le Professeur Maciej Giertych, le livre Évolution-Dévolution-Science vient combler cette lacune. Non seulement la vie – immensément complexe dans tous ses processus – n’a pas pu apparaître spontanément mais les faits nous démontrent la « dévolution » : les mutations sont régressives, des espèces disparaissent pour toujours, des maladies génétiques surgissent, les pertes en biodiversité et des pollutions multiples nous obligent à agir pour préserver ce qui peut encore l’être.

Outre la biologie et l’histoire de la terre, ce manuel, très richement illustré et conçu avec beaucoup de pédagogie, expose encore l’impact de l’évolutionnisme sur les mœurs, la politique et les religions. Destiné aux lycéens, abondamment illustré, l’ouvrage intéressera en réalité un large public souvent désinformé sur toutes ces questions. Il s’agit d’une synthèse permettant de confirmer par les données de la science la vision chrétienne d’un univers créé par une Intelligence supérieure, un univers où tout a un sens et où chaque être trouve sa juste place.

Sommaire :

  1. La théorie de l’Évolution : la controverse permanente sur les preuves ;
  2. L’information biologique : la vie est plus que de la chimie ;
  3. L’opposition à la théorie de l’Évolution : des prix Nobel contre l’évolution ;
  4. Théorie de l’évolution et éthique ;
  5. La Théorie de l’Évolution et les religions du monde ;
  6. La Dévolution : l’extinction massive et continuelle des espèces.

L’auteur de ce livre, Maciej Giertych, est né à Varsovie le 24 mars 1936. Après un mastère en sylviculture à Oxford (1958), un doctorat à Toronto (1962), il obtient un doctorat d’enseignement à l’université agronomique de Poznań (1970) où il fut titulaire de chaire. Il a travaillé à l’Académie des Sciences de Pologne (Institut de dendrologie) de 1962 à 2006, avec comme spécialité la génétique des populations sylvicoles. Professeur invité en génétique des populations à l’université Nicolas Copernic de Toruń (1976-1993), en génétique forestière à la Faculté de Sylviculture de Poznań (1966-1969 et 1996-2001), de Varsovie (1969-1990) et de Cracovie (1998-2001). Membre du comité des sciences forestières de l’Académie des Sciences de Pologne (1970-2007) et du Conseil Forestier au ministère de l’Environnement (1995-2000). A représenté la Pologne à l’Union Internationale des Organisations de Recherche forestière (1986-1995). Membre du comité éditorial de Silva Genetica (1973-2001) et des Annales des Sciences forestières (1990-2001). Auteur de 250 publications scientifiques. Membre de la Diète (le parlement polonais) (2001-2004) puis du Parlement européen (2004-2009).

Evolution Dévolution Science, Maciej Giertych, Diffusion CEP, 184 pages couleurs, 22 euros




Qu’est-ce que l’éthique en médecine ?

Par Nicole Delépine, pédiatre cancérologue

Jusqu’à récemment l’éthique en médecine semblait concerner le respect du serment d’Hippocrate, le respect des conventions signées par la France comme la convention d’Oviedo, le respect du consentement éclairé. L’académie de médecine nous avait déjà surpris en juillet 2022 en disant que ne pas CROIRE en la science ne serait pas éthique… La religion scientiste et son intolérance inquisitoriale pointaient déjà le bout de son nez…

Est-ce éthique de faire soigner les hospitalisés par des soignants malades sous prétexte qu’ils ont accepté une injection expérimentale qui ne les empêche pas d’être contaminants ? Ou bien de respecter la liberté de choix de tout citoyen y compris celle des Blouses blanches qui ne sont pas des antivax (ils ont tous été vaccinés dans le passé et ont, presque tous, largement vacciné leurs patients) et qui sont généralement mieux informés que nos dirigeants de la balance avantages/risques des médicaments mis à leur disposition ?

On est interloqué par la prise de parole du nouveau ministre sur la réintégration des soignants :

« la réintégration des soignants non vaccinés au Covid-19 reste à ce stade en suspens. Invité du Grand Jury RTL-Le Figaro-LCI, le ministre Braun a assuré qu’il rendrait son avis dans les mois à venir. Mais il prévient : cette situation pose deux problèmes, l’un sanitaire, l’autre d’“éthique professionnelle”.

« Accepte-t-on que des gens qui ne sont pas suffisamment protégés soient à proximité des gens les plus fragiles ? » Voilà la question soulevée par le ministre pour ce qui est de l’ordre sanitaire. « On meurt encore du Covid, tous les jours en France »

Lequel s’est ensuite longuement arrêté sur le second aspect, celui du « problème d’éthique professionnelle ».

Le même qui est « revenu » au ministre (une rumeur) « aussi par les soignants qui se sont fait vacciner », ont « tenu la ligne pendant deux ans » et ne comprendraient visiblement pas que leurs collègues non vaccinés puissent faire leur retour.

Pour démêler ce nœud, François Braun a expliqué avoir saisi la Haute Autorité de Santé, notamment sur la question des vaccinations obligatoires, ainsi que le Conseil national d’éthique. Ce n’est qu’en possession de ces deux avis que le ministre prendra sa décision, d’ici plusieurs mois.

Dans ce contexte, François Braun a aussi tenu à préciser que la situation ne concerne en vérité que « très peu de médecins » et « 1 050 infirmiers sur les 300 000 ». Il l’a donc assuré : ce n’est pas avec leur retour « qu’on va résoudre les problèmes de l’hôpital ».

Il est ahurissant de lire ces lignes semblant démontrer que le ministre est pour le moins mal informé1, en refusant l’hypothèse qu’il nous mentirait sciemment.2

Non, Mr le ministre, l’injection expérimentale ne protège pas du covid, voire rend plus fragile puisque tous les pays vaccinés sont beaucoup plus contaminés que ceux qui ont refusé la pseudovax de masse. Chacun en fait l’expérience avec ses proches injectés qui font un « covid » après chaque injection et le repasse généreusement à toute la famille. Non cette injection n’a jamais protégé personne comme la littérature internationale et les données officielles de l’OMS le démontrent abondamment.

Le même ministre qui prononce cette phrase : « Accepte-t-on que des gens qui ne sont pas suffisamment protégés soient à proximité des gens les plus fragiles ? » autorise les soignants injectés malades du covid « légèrement » à travailler… De qui se moque-t-on ? Les ARS n’en ont-elles pas averti le ministre ? Il est peu probable qu’un directeur d’hôpital autorise de son propre chef les soignants malades du covid même « légèrement » symptomatiques à approcher les patients, sans l’aval du directeur d’ARS, le grand manitou.

Le ministre a dit :

« On meurt tous les jours en France du covid ».

D’une part, les chiffres déclarés à l’OMS sont très bas avec une moyenne inférieure à 70 patients par jour déclarés covid, donc bien inférieurs par exemple à la mortalité des cancéreux de l’ordre de 500 par jour. De plus faudrait-il encore que ces morts affichés du covid ne soient pas simplement des morts d’autre chose AVEC le covid, et d’autre part que ce covid ne soit pas de fait un spike protéine syndrome, complication de plus en plus connue de l’injection et évidemment contagieuse3.

Pour affirmer ses dires, le ministre devrait exiger de ses services que soient communiqués au public les chiffres de mortalité covid19 chez les vaccinés en fonction du nombre de doses reçues, et chez les non vax. Pourquoi ce refus de transmission des résultats que communiquent les autres pays aux citoyens ?

On peut lire sur Telegram ce tweet hallucinant :

« Braun ment, il n’existe aucune statistique covid sur les morts :

Christine Cotton OFFICIEL (@StatChrisCotton) a tweeté à 4:14 PM on dim., nov. 20, 2022 :

Réponse EFFARANTE de la CADA commission accès aux doc administratifs au Pr Toubiana

Il n’existe aucune donnée relative au statut vaccinal covid des personnes décédées ?

Comment font-ils leurs études PROUVANT que le vaccin ⬇️la mortalité ?4

Mais Christine Cotton affirme :

« Une étude de plus qui prouve que le statut vaccinal des personnes décédées est bien disponible » 5

Le deuxième point abordé par le ministre est l’éthique. Parlons-en. Qu’est-ce que l’éthique médicale ?

On peut lire la définition du Larousse :

Les règles déontologiques, édictées dès le Ve siècle av. J.-C. (serment d’Hippocrate), en appellent aux notions de compétence, de générosité, de dévouement, de désintéressement et de secret médical. Les règles morales protègent le malade de la dérive que pourraient introduire en ce début de xxie siècle les grandes évolutions des sciences de la vie…6

Ou encore la mise au point du Pr Régis dans un journal féminin en juillet 2022 pour les citoyens 7 :

« Les lois permettent de maintenir des limites, des interdits, car ce qui est admissible pour un individu ne l’est pas forcément pour la société.

On parle d’éthique médicale lorsque les acteurs de la santé sont confrontés à la question des limites du supportable, de la vie ou encore du savoir”, 8

Quels sont les principes de l’éthique médicale ?

L’éthique est fondée autour de quatre grands principes :

1. L’autonomie :le respect de la personne de son autonomie, sa capacité à être acteur et à décider de sa propre santé.

2. La bienfaisance : faciliter et faire le bien, contribuer au bien-être du patient. “Il est nécessaire de bien peser le rapport entre les bénéfices et les risques potentiels.”

3. La non-malfaisance : l’obligation de ne pas nuire. “Ne pas intervenir sur le corps du patient dans son accord libre et éclairé”.

4. La justice : apporter le même traitement de façon juste et/ou équitable à tous les patients. “Tout ce qui est possible d’être fait doit l’être pour tous et pas seulement pour certaines catégories de personnes.”

Qui doit respecter une éthique médicale ?

L’ensemble des partenaires, qu’il s’agisse des professionnels de santé ou toute personne intervenant auprès de la personne malade, y compris le malade lui-même”, explique le membre du CCNE.

L’éthique appelle à réfléchir sur les valeurs autour d’un acte médical à l’inverse de la déontologie qui fixe des règles claires. (…)

La bioéthique concerne davantage les conflits de valeurs autour de l’avancée techno-scientifique dans le domaine du vivant comme la procréation médicalement assistée (PMA), la gestation pour autrui (GPA), le don d’organes… »

En bref, car la liste pourrait être longue. Qui a violé les règles d’éthique médicale depuis bientôt trois ans si ce ne sont les grandes organisations internationales qui ont imposé au monde des mesures coercitives, et des injections toujours expérimentales (jusqu’en 2023 au moins), et tous les gouvernements qui les ont diffusés dans les pays occidentaux essentiellement et tous les suiveurs muets comme en particulier, trop de médecins français, trop de journalistes incultes et soumis, associations, éditorialistes désinformés et/ou subventionnés par le pouvoir, etc..

Médecins muets ou, pire, assez fous pour critiquer les vrais savants du domaine à commencer par le PR Raoult, Montagnier, Henrion — Caude, Péronne, etc. Médecins violant la convention d’Oviedo et les principes éthiques de l’Association Médicale Mondiale en proposant aux citoyens un traitement expérimental sans le consentement libre et éclairé sanctifié par le code de Nuremberg après les drames des essais nazis dans les camps et qui devait garantir que jamais au grand jamais on ne referait dans les pays des essais sans consentement.

Le code de Nuremberg et toutes les conventions qui le rappelaient ont été violés par ceux qui ont « imposé » l’injection et tous ceux qui ont obéi en injectant ce produit génique aux citoyens en leur affirmant qu’il était sans danger ÉTHIQUE ? .

Les médecins et soignants qui ont injecté des résidents d’EHPAD par du Rivotril sur injonction des autorités sanitaires sous prétexte de symptômes compatibles avec un covid ont effectivement violé l’éthique la plus minimaliste et tué, en plus des 10 000 personnes non traitées, de nombreux soignants cassés à tout jamais après ce geste infâme.

L’éthique a été violée tout au long des 30 mois de ce faux récit covid sur l’absence de fiabilité des tests PCR fondés sur des taux d’amplification trompeurs, sur l’efficacité du confinement jamais démontrée depuis le Moyen-âge et de la fermeture des écoles, et pire encore sur la colossale exagération de la mortalité covid19 qu’un ministre a osé comparer à la peste pour affoler la population, sur l’interdiction faite aux médecins d’examiner et traiter leurs patients en les menaçant de sanctions de l’ordre instrumentalisé dans ce but.9 10

Des pages entières, et de nombreux livres 11 12 13 14 15 ont été écrits avec d’innombrables références de travaux universitaires démontrant les mensonges répétés auprès des patients et la violation permanente de l’éthique médicale depuis bientôt trois ans.

LA RÉACTION DES AUTRES SOIGNANTS

Autre stupéfaction dans les propos de Mr Braun sur le prétendu refus des soignants injectés de recevoir du renfort des non injectés et du chiffre ridicule de mille soignants empêchés.



Comment un ministre peut — il être si mal informé par ses services ?

Voici les informations en direct du parlement européen :

Le chiffre annoncé par Michèle Rivasi est encore très en dessous de la réalité, mais il est devenu officiel !

Par Médecine du Sens Canal Info

« Une grave menace plane sur quiconque ne salue résigné, tête basse et dos voûté, les ignominies bavées par celui censé nous gouverner. Pris à la gorge, il a été décidé en haute instance que l’instinct de vie concourant à la sociabilité la plus primaire de chacun soit suspendu à la condition d’être vacciné et, pire encore, que soit humilié en son intimité et éloigné de la vie en société tout citoyen non vacciné ! Plus de 1 an ! Suspendu sans salaire, sans chômage ! Il est historique que des soignants soient suspendus pour leur refus d’un vaccin en phase d’expérimentation. Les gens ignorent-ils que des médecins, infirmières, soignants sont toujours suspendus, QUAND BIEN MÊME RIEN n’atteste de l’efficacité de leur mise à pied prolongée ? »

Plus de 240 témoignages dans ce film :



Les soignants sont en lutte pour la réintégration de leurs collègues

Courrier déposé à l’HAS par Huissier le 17/11/2022 : Pourquoi faut-il supprimer l’obligation de vaccination Covid des soignants et assimilés ? Par le Syndicat Liberté Santé

La lettre ICI
L’argumentaire scientifique ICI
Annexe « Obligation vaccinale en Europe » ICI
Annexe « Évaluation vaccins bivalents » ICI

Et rappelons les mots du Dr Hodkinson ancien président du comité du Collège royal des médecins et chirurgiens d’Ottawa, spécialiste en pathologie, y compris en virologie, formé à l’université de Cambridge au Royaume-Uni

Pour mémoire, en août 2021, dans son débriefing FranceSoir BonSens.org, il revenait sur les discours de peur utilisés pour encourager la vaccination et évoquait entre autres, les différents scandales autour de Covid-19. « C’est scandaleux. C’est le plus grand canular jamais perpétré sur un public sans méfiance. La Covid n’est rien d’autre qu’une mauvaise grippe saisonnière. Ce n’est pas le virus Ebola. Ce n’est pas le SRAS.

C’est de la politique qui joue à la médecine, et c’est un jeu très dangereux. LES VACCINÉS SONT DES INNOCENTS QUI VONT AU MASSACRE », disait-il…17

Des sénateurs s’engagent >

Soignants suspendus : des sénateurs accusent le gouvernement « d’obstination coupable » malgré « l’agonie » des hôpitaux (le 20 novembre 2022)18

« Les personnels concernés par cette mesure sont bien plus importants que vous ne le prétendez : à côté des personnels suspendus, combien de libéraux interdits d’exercice, non comptabilisés parmi les “suspendus” ? Combien de demandes de mise en disponibilité ou de démission de la fonction publique par suite de cette mesure non comptabilisées parmi les “suspendus” ? Combien d’étudiants en médecine empêchés de poursuivre leurs études ? », lit-on encore.

Le document, qui cite également les personnels interdits d’exercer en téléconsultation et même de trouver un remplaçant durant leur suspension, qualifie ces mesures de « punitives » et « d’humiliantes » et non pas de « sanitaires ».

Et terminons par ce témoignage de Betty Infirmière, qui est suspendue depuis 431 jours par suite de son refus de vaccination :

15 sept 2021 – 20 Nov 2022

« J’espère un jour pouvoir me dire que ce n’était qu’un cauchemar. »

Elle est syndiquée, Déléguée du Personnel, membre CSE, CHSCT (Comité Hygiène et Sécurité au Travail) et Commission de Soins Infirmiers. Refusant la vaccination covid, elle convient, avec sa direction, d’une rupture conventionnelle.

« En mars 2020, j’ai vu tous mes collègues s’organiser, se rendre disponibles, volontaires, ne comptant pas leurs heures.

Nous avons tout donné de nos personnes, de notre temps. Tous, nous sommes fatigués.

Alors quand cette obligation d’être vacciné pour avoir le droit de continuer à travailler nous est tombée dessus, alors que nous côtoyons quotidiennement de nombreux virus, de maladies, et que nous sommes conscients que nous devons garder tout le temps un système immunitaire au top, nous n’avons pas compris.

Perso, je n’ai pas compris non plus le refus catégorique de la médecine du travail de ne pas me recevoir. Alors que mon médecin lui-même, ainsi que mon employeur, l’ont réclamé.

J’ai rencontré de nombreux soignants suspendus, ou en arrêt maladie, ou qui ont démissionné.

À l’unanimité il en ressort une très grande souffrance, parce que oui, cette pression et cette culpabilité que l’on veut nous faire porter sont insupportables, inhumaines.

Comment peut-on accepter que la France “vire” des pompiers, Médecins spécialisés, Médecins généralistes, Kinés, Sage-femmes, Puéricultrices, Infirmiers, Aide-soignants, ASH, Secrétaires médicales, Techniciens, Aides médico-psychologiques, Éducateurs, Laborantin, Ophtalmo, Opticiens… Et on nous accuse d’être des personnes irresponsables ? C’est le monde à l’envers et ce monde-là je n’en veux pas.

J’espère un jour pouvoir digérer ce que la France fait à tous ces professionnels de santé. »

Betty Infirmière 19


1 Covid-19 : la réintégration des soignants non vaccinés pose un problème d’« éthique professionnelle », selon Braun Par Dinah Cohen Publié le 20 novembre 2022 à 14 h 45 le figaro

2 https://youtu.be/mfOBQiw3b8w 19 nov. 2022
En direct de la table ronde « Justice pour les suspendus : Réintégrons les intégrés ! » du réseau « On sans pass » avec la sénatrice Laurence Muller-Bronn

3 Spike Protein Syndrome. News | ImunoMedica Clinic (imuno-medica.ro) «  il a été largement identifié ce que le Dr Thomas Levy appelle le “syndrome de la protéine Spike”, une pathologie causée par la propagation de la protéine Spike dans tout le corps, soit à la suite de la maladie COVID-19, soit à la suite de la vaccination COVID. Les symptômes sont principalement des réactions auto-immunes et peuvent inclure : insuffisance cardiaque, lésions cardiaques, crise cardiaque, myocardite ; hypertension pulmonaire, thromboembolie et thrombose pulmonaire, lésions du tissu pulmonaire, fibrose pulmonaire possible ; augmentation des événements thromboemboliques veineux et artériels ; Diabète ; les complications neurologiques, y compris l’encéphalopathie, les convulsions, les maux de tête et les maladies neuromusculaires, ainsi que l’hypercoagulabilité et les accidents vasculaires cérébraux ; dysbiose intestinale, maladie inflammatoire de l’intestin et intestin perméable ; lésions rénales ; altération de la capacité de reproduction masculine ; lésions cutanées ; maladies auto-immunes générales, anémie hémolytique auto-immune ; dommages au foie. »

4 @MullerBronnL @noel_sylviane @SGoyChavent https://t.co/KvjloMKU1w

5 https://ansm.sante.fr/uploads/2021/09/24/20210921-cada21v210-covid-diapo3-2021.pdf

6 Komplette Liste auf larousse.fr

7 https://sante.journaldesfemmes.fr/fiches-sante-du-quotidien/2835237-ethique-medicale-definition-exemple-pour-qui-principe/

8 décrit le Pr Régis Aubry, Président la Plateforme national de recherche sur la fin de vie et membre du Comité Consultatif National d’Éthique.

9 EN 2020 LA COVID A BIEN MOINS TUÉ QUE LE DÉFAUT DE SOINS ET LE RIVOTRIL, en 2021 et 2022 arrive le SURMORTALITE VACCINALE, toutes les preuves statistiques d’une pandémie médicamenteuse | LE BLOG DE PATRICE GIBERTIE (pgibertie.com)

10 L’académie de médecine a introduit cette notion d’éthique « En conséquence, l’objectif du maintien de leur suspension ne peut être que l’expression d’une volonté politique. Il faut à cet égard écouter l’Académie de Médecine qui considère que, “le refus de se faire vacciner est incompatible avec le métier de soignant”, mais surtout que “réintégrer les soignants non vaccinés serait une faute” et “compromettrait le climat de confiance et la cohésion qui doivent exister entre (les membres de l’équipe soignante) et avec les malades” (avis du 19 juillet 2022). Pour les opposants à la réintégration des personnels non vaccinés, on ne pourrait laisser des personnes soigner alors qu’elles ne croient pas en la science, mettant en doute l’efficacité des vaccins ou encore, parce qu’il serait normal d’exiger de ceux qui prennent soin des autres qu’ils prennent soin d’eux-mêmes. Certains vont jusqu’à dire qu’en refusant de se faire vacciner, ces personnels auraient démontré qu’ils n’adhéraient pas aux valeurs du soin. » « Le refus de réintégrer les soignants non vaccinés trahit une conception scientiste et puritaine de notre droit » (marianne.net)

On peut s’étonner que l’académie transforme la « science » en une croyance !

11 Christian Perronne, Y a-t-il une erreur qu’ils n’ont pas commise ? Poche 6 janvier 2021, Décidément, Ils n’ont toujours rien compris ! Livre grand format, 31 mars 2021, Les 33 questions auxquelles ils n’ont toujours pas répondu — Livre grand format, 2 novembre 2022

12 Laurent Toubiana, covid 19 — Une autre vision de l’épidémie : Les vérités d’un épidémiologiste

13 Jean-Loup Isambert, Le scandale Ivermectine, Comment et pourquoi ils ont bloqué l’anti-covid19 22 octobre 2021

14 Didier Raoult Epidémies : vrais dangers et fausses alertes 26 mars 2020 (Michel Lafon), Carnets de guerre — Covid-19 —, 11 février 2021, Au-delà de l’affaire de la chloroquine Broché – Livre grand format, 14 octobre 2021

15 Nicole Delépine et Gérard Delépine : Autopsie d’un confinement aveugle, paru le 15 septembre 2020 ; Les enfants sacrifiés du covid, paru le 24 janvier 2022 et tellement d’autres auteurs et livres importants que nous n’avons pas la place de citer.

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18 Soignants suspendus : des sénateurs accusent le gouvernement « d’obstination coupable » malgré « l’agonie » des hôpitaux | FranceSoir

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https://t.me/LaVeriteCensureeoff




Du système de domination au changement de paradigme – La dernière guerre de l’hégémonie financière

[Source : valeriebugault.fr]



1°) Il y a selon vos mots, Valérie Bugault, un “système de domination” qui s’exerce sur les populations occidentales avec un recul des libertés et maintenant une crise énergétique qui découle des sanctions contre la Russie. Quels sont les objectifs de cette stratégie des dirigeants atlantistes ?

  • La crise énergétique française n’est due qu’à 15% au problème d’approvisionnement en gaz russe ;
  • La crise énergétique française est essentiellement due à la trahison des intérêts énergétiques français par les dirigeants successifs qui ont d’abord :

  • Ces conditions de marché (de dupe) ont conduit, particulièrement pour la France et les Français (dindons éternels de la farce fédérale européenne), à des coûts plus élevés par rapport aux solutions reposant sur la coopération transfrontalière.
  • Stratégie, menée par l’UE et par des dirigeants français compradors, de sabotage de l’État français en le privant de ses moyens énergétiques.
    Cf. https://eur-lex.europa.eu/legal-content/FR/TXT/PDF/?uri=CELEX:32019L0944&from=NL

Je rappelle que cette stratégie de soumission par le sabotage ne concerne pas seulement l’énergie mais toute l’économie, l’agriculture avec la PAC, et, bien sûr, la monnaie.

De trahison en sabotage, la France, ne dispose plus d’aucun levier pour assurer sa subsistance de façon autonome.

Nous avons été enchaînés et soumis à des intérêts supranationaux menés par les grandes banques internationalistes. Car la soumission aux intérêts supérieurs atlantistes ne doit pas être considéré du point de vue géographique, en particulier concernant les USA, mais d’un point de vue financier internationaliste.

Les objectifs recherchés sont évidemment, et aujourd’hui officiellement (cf. déclarations d’Attali, Davos, OMS…), le contrôle intégral des ressources et le pouvoir mondial par l’émergence d’un gouvernement mondial dédié.

2°) Concernant l’idée d’un revenu universel, le Sénat a créé une mission commune d’information sur l’intérêt et les formes possibles de mise en place d’un revenu de base en France le 11 octobre dernier. Quels en seraient les résultats ?

Avant de parler des résultats, il faut parler des causes de ce « revenu de base ».

A partir du moment où l’endettement de la France est irrémédiablement en augmentation exponentielle, il entraine de façon mécanique, une augmentation des charges publiques et une disparition des services publics, toutes les ressources étant accaparés par les créanciers du « non-État ».

Ce système entraîne également, de façon automatique, l’augmentation de tous les prix et la disparition du tissu économique formé par les PME – de moins en moins autonomes, tant juridiquement qu’économiquement.

Ce mouvement d’endettement se conjugue avec : 

  • Des ruptures dans les chaînes d’approvisionnement dus notamment à des troubles, parfaitement organisés (par des fermetures arbitraires de l’économie pour des prétextes fallacieux : covid), dans les circuits logistiques ; sans même parler de l’aubaine des crises politique géopolitique utilisées par les accapareurs pour augmenter arbitrairement les prix en organisant la raréfaction de l’offre. Tout ceci aggrave l’appauvrissement général ;
  • L’énorme gain quantitatif (augmentation de la production et donc de l’offre) et qualitatif de production dus à la mécanisation et à la numérisation, bientôt renforcées par la mise en œuvre de l’intelligence artificielle, qui rendent la production de plus en plus facile et performante. Les coûts de production diminuent, mais les prix de vente ne suivent pas la même courbe = les propriétaires des entités de production deviendront toujours plus riches pendant qu’ils supprimeront les emplois et appauvriront les populations ;
  • La mise en œuvre, dans les services, de l’intelligence artificielle va entraîner une baisse mécanique de l’emploie dans ce secteur également.

La conjugaison de l’appauvrissement artificiellement organisé et généralisé avec la perte d’activité et d’employabilité des individus (remplacés par des robots et l’IA) va entraîner des troubles sociaux inévitables. Afin de garder une certaine paix sociale, les banquiers qui supportent l’économie, vont devoir assurer un niveau minimal de vie à une population qui n’aura plus d’activité – du moins celle qui survivra à l’époque troublée que nous vivons – ce qui se traduit en effet par un revenu universel.

Ce revenu universel marquera la soumission totale et définitive des individus aux banques créancières et, par voie de conséquence, la fin de toute liberté.

3°) Toujours dans l’idée d’un contrôle accru, le pass-carbone : où en est-on ?

L’idée du pass, ausweiss des temps modernes, est dans l’air vicié du temps de la soumission, laquelle devient de moins en moins volontaire pour les raisons exposées ci-dessus.

Souvenez-vous comment fut imposé, sous le fallacieux prétexte de « notre bien », le pass sanitaire.

Selon cette méthode, il ne fait aucun doute, qu’en raison des crises énergétiques parfaitement organisées par ceux-là même qui font semblant de les résoudre, le pass carbone sera imposé comme incontournable.

Ils vont, pour l’imposer, prendre prétexte des problèmes énergétiques qu’ils ont créés de toute pièce à plus d’un égard :

  • Par la stratégie de long terme de soumission des États nations qui se traduit par l’asservissement économique des pays européens au moyen des règles de marché imposées par « l’Union Européenne sous contrôle globaliste » ;
  • Par la guerre menée aux pays qui ont les moyens de résister à la domination financière globale, qui se traduit par la disparition d’approvisionnement de l’Europe en gaz russe et par l’augmentation consécutive, plus ou moins liée, des prix du pétrole ;
  • Par l’organisation de défauts de fonctionnement énergétiques organisés par les dirigeants compradors des pays européens :

    • Sabotage des filières énergétiques ;
    • Fermeture de l’économie (covid), générant des impossibilités de travailler ;
    • Défaut d’entretien des circuits énergétiques sous le fallacieux prétexte de manque de moyens financiers, alors que ce manque de moyen est dû à un endettement artificiel de l’État généré par une perte de contrôle de sa monnaie ;
    • Politique irrationnelle du « risque zéro » qui permet d’accroître artificiellement les contraintes règlementaires inutiles pesant sur la production énergétique ;
    • Corruption politique systémique permettant d’imposer des énergies non rentables dans le même temps que les énergies rentables sont sacrifiées…

Ce pass est prévu de longue date, il entre dans la stratégie consistant à prendre l’écologie en otage pour faire passer les véritables victimes des excès industriels, celles qui souffrent de toutes sortes de dégradation de leur environnement, pour leurs auteurs.

Il s’agit in fine d’obtenir la soumission volontaire des populations à leur appauvrissement ultime – qu’ils cachent pudiquement derrière le terme décroissance – et dont elles seront, une fois de plus, les victimes expiatoires.

4°) Brièvement, à quand remonte l’avènement de ce système de domination ? Les peuples n’ont-ils pas toujours été dominés d’une façon ou d’une autre ?

Il faut comprendre que si le concept de domination est aussi vieux que la naissance de l’humanité, ce dernier, tant que les oppresseurs étaient identifiables, soulevait des oppositions et initiait des confrontations, ce qui générait des contrepouvoirs réels.

Tout autre est le système de domination actuel qui repose sur l’anonymat et l’irresponsabilité des décideurs réels. Cet anonymat empêche mécaniquement la manifestation de réactions car il n’est jamais possible d’imputer une faute à une personne précise.

L’anonymat des décideurs réels impose leur irresponsabilité en même temps que leur absolutisme. Ce dernier absolutisme n’a rien, strictement rien à voir, avec le prétendu absolutisme monarchique sans cesse décrié, car il a organisé la disparition de tout type de contrepouvoir.

Le modèle de ce concept, nouveau et très efficace, de domination reposant sur l’anonymat remonte à l’année 1600, qui est la date de création de la première compagnie des indes, britannique en l’occurrence.

Ces compagnies ont servi de modèle à notre système mondial actuel, dans lequel le partenariat public-privé se traduit par la privatisation des profits et par la nationalisation des pertes, jusqu’à la disparition ultime de toute notion de « bien public » et de « bien commun ».

Ce système d’irresponsabilité a aujourd’hui été mis en œuvre à tous les niveaux : monétaire (par l’arrivée des banques centrales), économiques (par l’anonymat capitalistique), et même politiques car le personnel politique, payé par le con-tribuable, ne doit jamais rendre de compte à qui que ce soit pour ses décisions publiques létales.

5°) Ces forces économiques, constitutives de ce système de domination, comment se sont-elles imposées ?

Elles se sont imposées par la ruse, la malversation, le mensonge et la corruption tous azimuts, illimités ; qui se cachaient derrière un faux semblant démocratique, tant dans l’organisation même des États que dans l’organisation du système économique.

Dans cette imposture généralisée, la réalité cachée derrière l’apparence possibilité d’enrichissement privé et collectif (bien-être public), fut toujours l’accaparement par concentration ultime des ressources dans quelques mains anonymes.

6°) Cette crise énergétique et l’inflation qui l’a précédé vont-elles se poursuivre longtemps ? Le krach financier que beaucoup redoutent, comment le voyez-vous survenir ? (Italie, Allemagne, Pays-Bas, faillite de banque) L’UE aura-t-elle une chance de survivre à cet événement ? (chute de l’euro : 0,60 € pour 1$ ?)

Bien sûr, cette multi-crise va se poursuivre jusqu’à son terme, c’est-à-dire jusqu’à la victoire finale soit de la haute finance mafieuse soit des populations libérées de son joug.

L’inaptitude du dollar en tant que monnaie mondiale et le krach financier qu’elle a engendré est à l’origine des problèmes politiques et géopolitiques actuels.

L’origine de la crise est à rechercher dans la défaillance du dollar en tant que monnaie mondiale, sa réalisation provient du fait que la haute finance (devenue spéculative pour cette raison) a mis en danger l’équilibre financier global, laissant une sorte de vide hégémonique dans lequel les pays les plus forts se sont engouffrés pour retrouver leur indépendance économique et politique : Chine en tête mais aussi, Russie, et dans une moindre mesure, Turquie, Iran, Indes, lesquels entrainent – par un mouvement de fond – dans leur sillage peu ou prou, tous les pays victimes de l’hégémonie financière (d’origine) anglo-saxonne depuis le XIXème et surtout le XXème siècle (Egypte, Afrique noire…).

La survie de l’UE n’est en aucune façon souhaitable car ces instances supranationales sont justement nées de l’hégémon financier, lequel contrôlait précédemment les États mais de façon moins centralisée.

Quant à l’euro, qui ferait contrepouvoir au dollar US, il s’agit de l’une des plus grandes supercheries de notre monde frelaté ! Les banques européennes sont toutes sous perfusion de dollars US, ce qui fait de l’indépendance proclamée de l’euro une vaste plaisanterie comme l’explique parfaitement Bruno Bertez[1] :

  • « Certes la BCE semble pouvoir émettre sa propre monnaie, mais c’est sans compter avec la situation réelle des banques euros ! les banques euros recyclent, elles sont suremployées en dollars.

Les banques euros en cas de pepin seront absorbées ou garanties par les pays d’Europe, et le système européen se retrouvera demandeur d’une masse considérable de dollars pour refinancer les engagements de ses banques !

Celles-ci sont surexposées en dollars alors que leur banque centrale, la BCE n’est pas créatrice de dollars. Donc la BCE sera obligée de faire comme elle le fait à chaque crise, elle devra mendier des dollars aux États Unis, elle devra baisser os pantalon pour bénéficier de Swaps en dollars.

Vous comprenez mieux je l’espère la vassalitude structurelle de l’UE ! »

Si les grands argentiers perdent la guerre totale qu’ils ont déclenchée, l’UE ne survivra pas. Si, au contraire, ils la gagnent, non seulement l’UE survivra mais le gouvernement mondial sera en marche.

Dans cette lutte à mort, les intérêts des peuples européens ne sont clairement pas les intérêts défendus par les instances dites européennes et par les dirigeants compradors des pays membres.

Tout ceci explique que le krach financier en cours s’accompagne inévitablement d’une crise géopolitique majeure – je parle ici de guerre mondiale – qui met en scène, d’un côté les pays sous contrôle de la finance anglo-saxonne hégémonique et, de l’autre côté, tous les pays qui entendent recouvrir leur indépendance économique, politique, culturelle et monétaire, Chine et Russie en tête.

7°) Où en est l’Union européenne de son projet de fédéralisation des nations ?

Les grands argentiers profitent des crises pour faire avancer leur agenda, lequel passe par une fédéralisation définitive des territoires compris dans l’UE : c’est ainsi qu’après avoir étendu ses pouvoirs sanitaires, ladite Union Européenne, peu à peu, étend et centralise ses prérogatives au niveaux énergétiques, militaires et policiers, numériques… Le tout dans la plus profonde violation des Traités européens qu’ils ont pourtant eux-mêmes écrits, à leur avantage exclusif…

N’oublions pas que le passeport numérique bio-codé (ADN disponible) est sur le métier européen, piloté par le français Thierry Breton en tant que représentant des tenanciers économiques qui enserrent et soumettent les peuples européens.

J’ajoute que parler de « fédéralisation des nations » n’a pas de sens. On ne peut fédéraliser que des entités politiques qui ne sont pas des nations mais des territoires plus ou moins indépendants.

Fédéraliser une nation signifie la faire disparaître, l’éclater jusqu’à disparition. La fédéralisation des nations passe, de façon mécanique, par le préambule de leur éclatement ; situation précisément vécue par la France depuis la vaste entreprise de « régionalisation » initiée par Mitterrand. Vous voyez que ce mouvement stratégique de disparition de l’État français a des origines lointaines… Il ne s’agit pas, et il ne s’est jamais agi, d’une régionalisation à la française mais d’une régionalisation à visée européenne, destructrice de la nation française.

8°) Dans quelle mesure le conflit à l’Est serait-il susceptible de se transformer en guerre mondiale ?

Dans toutes les mesures possibles. En particulier dans celle où l’hégémon anglo-saxon se trouve contesté par des puissances montantes.

On retrouve aujourd’hui le même schéma d’escalade que celui ayant abouti à la 1ère guerre mondiale. Alors qu’à l’époque l’empire britannique était contesté et mis en danger par la puissance germanique susceptible de s’allier à la Russie, c’est aujourd’hui l’empire américain qui est contesté par la puissance chinoise montante alliée à la Russie.

Mais il s’ajoute aujourd’hui un paramètre nouveau par rapport à la 1ère Guerre Mondiale : la dissociation, au sein des élites anglo-saxonnes dominantes, entre :

  • Les intérêts financiers reliés à la City qui contrôlent tous les paradis fiscaux de la planète (représenté aux USA par le clan Biden) et ;
  • Les intérêts américains stricto-sensu, ceux qui sont géographiquement centrés sur la domination mondiale au profit des intérêts délimités par le territoire américain (Trump).

Cette guerre, intestine à l’hégémon, s’est manifestée par la contestation du dollar en tant que monnaie mondiale par les élites rattachées à la City et au Delaware (plus grand paradis fiscal au monde). Elle a notamment vu la disparition de la banque Lehman Brothers, victime de la vindicte de la J-P Morgan. Elle a également généré la résiliation-démission, inouïe et indédite dans l’histoire de l’Église, d’un pape au profit d’un autre, plus centré autour des intérêts financiers apatrides.

Nous assisterons bientôt, le 8 novembre prochain, à un dénouement partiel de cette guerre avec l’arrivée des mid-terms américaine ; lesquels risquent fort d’entraîner, à terme, la dislocation des USA tels que nous les connaissons, dans un genre de guerre de sécession à rebours.

9°) Vous dites qu’après la volonté atlantiste d’en finir avec la Russie, ça sera le tour de la Chine. Les Américains ont-ils les moyens de soumettre Pékin à leur volonté de domination ? Comment jugez-vous l’opposition du régime chinois à l’hégémonie finissante des Etats-Unis ? Les Etats-Unis sont-ils voués au déclassement ? La Chine a-t-elle intérêt à cette guerre avec l’Amérique alors qu’elle a besoin du marché américain pour ses exportations ?

La Chine est le véritable ennemi des USA en tant qu’empire américain. Elle a, en revanche, longtemps été considérée, peut-être à tort, comme une alliée fidèle par la haute finance apatride, dont le QG est à la City.

Malheureusement pour l’hégémon financier anglo-saxon et heureusement pour les populations du monde, la Chine est aujourd’hui, après de nombreuses années d’assainissement de ses élites compradores par Xi Jinping, en mesure de s’opposer à toute domination externe.

Les Chinois ne veulent plus ni de la domination de la City, ni de celle de l’empire américain. Ils ont acquis, et sont encore en cours d’acquisition, d’une autonomie technologique (armement et espace, cybernétique, numérisation, intelligence artificielle…) qui, avec l’appui des circuits énergétiques russes, leur permettra largement de se passer dans un proche avenir du renfort technologique de l’Ouest.

Ils travaillent par ailleurs à développer, tant d’un point de vue économique que d’un point de vue sociologique, leur propre pays ; ce qui passe par l’aide au développement de tous les pays situés sur les traditionnelles routes de la soie.

C’est ainsi qu’opérant un grand mouvement stratégique historique, la Chine a décidé de lancer les « nouvelles routes de la soie », qui leur permettra d’étendre leur zone commerciale naturelle, de s’affranchir de la domination des transits maritimes par les puissances de l’ouest et, in fine, de se passer de la con-sommation de l’ouest du monde. Inutile de préciser que ce mouvement stratégique de l’État chinois a été perçu par l’hégémon financier anglo-saxon comme une véritable déclaration de guerre !

Quant au papier vert, il est loisible d’imaginer que la Chine est prête à sacrifier ses avoirs en dollar pour reconquérir sa liberté et sa puissance politique.

La Russie, longtemps ennemie des seuls britanniques, pourrait également devenir l’ennemie des intérêts américains stricto sensu en raison du virage économique et politique que la démence occidentale l’a poussé à entreprendre au profit du grand Est, c’est-à-dire de l’Asie en générale et de la Chine en particulier.

Il résulte de cette analyse que non seulement l’empire américain mais aussi toute la zone d’influence occidentale soumise à la puissance financière des banquiers globalistes, est irrémédiablement compromise, promise au déclassement, voire à l’anéantissement, dans un futur proche.

Rappelons au passage que l’armée américaine et l’OTAN (laquelle est dirigée par l’armée américaine) sont les deux jambes de l’hégémonie impériale. Ces deux organisations militaires assurent la pérennité de la puissance financière de l’ouest. Ce qui signifie que la contestation de l’hégémonie monétaire et économique débouchera de façon automatique, sans aucune marge d’erreur, sur une guerre globale d’ordre militaire, la troisième guerre mondiale.

Toutefois, la scission au sein des élites financières impacte également les structures officielles de l’OTAN et de l’armée américaine puisque la stratégie militaire suivie par l’armée américaine et par l’OTAN dépend de l’orientation du Président américain, globaliste ou américaniste.

Mais, ici encore, il faut préciser que les structures secrètes et non officielles (utilisation de mercenaires…) de ces deux entités ont été et restent probablement sous le contrôle des banquiers globalistes siégeant à la City.

Ces subtilités rendent, quel que soit l’orientation du pouvoir politique américain, le jeu géopolitique partiellement imprévisible, et par voie de conséquence, la situation mondiale extraordinairement dangereuse.

Il faut aussi considérer qu’il existe, dans tous les grands pays (Chine, Russie, Inde, Iran…), des joutes et désaccords entre partisans de l’indépendance nationale et partisans du développement du gouvernement mondial lancé par les élites financières dont le Quartier Général se situe à la City of London.

Ainsi l’issue finale de cette guerre qui comprend, d’un côté la volonté de domination financière anglo-saxonne globale et, de l’autre côté l’émancipation des Nations, dépendra, en grande partie, des clans qui prendront le pouvoir interne dans chacun des grands pays : USA, Chine, Russie en tête, mais aussi Turquie, Iran, Brésil, Argentine…

Rappelons que la tendance de fond, devenue réalité politique, est à la prise de contrôle patriotique dans ces pays, en premier lieu en Chine mais aussi en Russie. Ce phénomène explique les multiples tentatives de l’hégémon global pour semer le désordre et créer des changements de régimes dans tous les pays tentés par l’émancipation menée par le tandem Chine-Russie.

10°) Les médias français jugent la Russie aujourd’hui isolée. Qu’en pensez-vous ? La Banque des Règlements Internationaux (BRI) a-t-elle rompu ses liens avec la Russie ?

L’assertion consistant à prétendre que la Russie est isolée est tout simplement grotesque, à la mesure précise de ce que sont devenus les médias en occidents : de purs organes de propagandes au profit de l’hégémon financier dont le bras armé se trouve être, lato sensu (mercenaires y compris), l’armée américaine et l’OTAN.

Avec la réserve, indiquée plus haut selon laquelle il existe, au sein de chacun des grands pays, des partisans du globalisme, il suffit de savoir compter les pays et les populations pour comprendre l’ineptie d’une telle assertion.

La Chine et la Russie étant actuellement dirigés par des partisans de la souveraineté nationale, il faut considérer :

Ainsi, ce n’est plus seulement en terme quantitatif de territoire et de population mais aussi désormais en termes de poids économique et financier que les pays contestant la domination anglo-saxonne doivent être appréciés.

Rappelons que « la Chine est désormais, et de loin, le premier exportateur mondial de marchandises. En valeur, cela représente 2600 milliards de dollars pour l’empire du Milieu, contre 1400 milliards de dollars pour les États-Unis. »(([4] Cf. https://www.lejdd.fr/International/la-chine-est-elle-devenue-la-premiere-puissance-economique-mondiale-4108118#:~:text=La%20Chine%20est%20donc%20d%C3%A9sormais,dollars%20pour%20les%20%C3%89tats%2DUnis)).

Dans cette lutte pour l’émancipation de la Chine et de la Russie du carcan créé par l’hégémon financier, l’UE ne joue qu’un rôle de figurant, de pion amené à être sacrifié militairement après l’avoir été économiquement. Il est tout à fait inutile de mentionner l’UE qui, soumise à la domination globale anglo-saxonne, est un acteur secondaire, déjà sacrifié, en termes de compétitivité économique : aucun État membre de l’UE ne peut, par sa fonction même d’État membre, échapper à cette règle d’airain ; l’application de la dure loi de causalité fait que « soumission » et « sacrifice » vont de pair.

Si, de jure, la Banque des Règlements Internationaux comprend toujours la Russie comme membre officiel(([5] Cf. https://trends.levif.be/economie/banque-et-finance/la-russie-peut-toujours-compter-sur-la-banque-des-reglements-internationaux/article-normal-1531229.html?cookie_check=1665507848#:~:text=La%20Banque%20des%20r%C3%A8glements%20internationaux%20(BRI)%20compte%2063%20membres%2C,fait%20%C3%A9galement%20partie%20des%20membres)), de facto, les liens sont rompus en raison des sanctions infligées par l’occident à la Russie et, en particulier, par la rupture des toute les relations interbancaires avec des établissements russes depuis que Swift a généralement désactivé les banques Russes(([6] Cf. https://www.lemonde.fr/blog/binaire/2022/03/11/pourquoi-couper-la-russie-de-swift/)).

11°) Pourquoi faites-vous de la réforme de l’entreprise un combat d’avant-garde quant à la sauvegarde des peuples ?

Tout simplement parce que les tenanciers du système économique, ceux qui l’ont instauré et répandu comme la peste au niveau mondial, ont pris le contrôle du pouvoir politique – qui n’en est plus un – dans tous les pays occidentaux mais aussi, bien au-delà, dans tous les pays ayant adopté le parlementarisme représentatif et une banque centrale.

Ainsi, il faut déconstruire le radeau de la méduse économique fondé sur l’anonymat et l’irresponsabilité pour avoir une chance de retrouver un réel champ d’action politique disponible aux populations.

12°) Quel modèle politique prônez-vous pour la France et quels seraient les moyens pour y parvenir ?

J’invite toutes les personnes à se préparer à un avenir qui ne ressemblera en rien à ce qu’elles ont déjà connu. Il va falloir faire montre de souplesse et d’adaptabilité, « entreprendre comme si nous étions immortels, et vivre au jour le jour comme si nous allions mourir demain »…

En un mot, j’invite tous les auditeurs à faire face à la réalité de l’effondrement imminent de tout ce en quoi ils ont cru, et à rejoindre le combat de Révoludroit pour préparer un avenir nouveau en réinventant la politique et les institutions.

Comprendre en profondeur les mécanismes de notre asservissement actuel m’a permis d’élaborer les solutions historiques nous permettant d’en sortir. J’ai regroupé ces solutions dans un concept appelé Révoludroit, exposé dans le site internet du même nom(([7] Cf. https://revoludroit.fr/)).

Encore une fois, il ne s’agit pas de réécrire toute l’histoire humaine et repartant de zéro, supprimant au passage tout lien avec notre passé et notre histoire. Car une telle démarche relèverait purement et simplement des mécanismes de domination actuelle, véritable système totalitaire qui appelle à l’avènement d’un homme et d’un État nouveau.

Il s’agit tout au contraire, de tirer des leçons de l’histoire et de faire la synthèse bénéfique de nos expériences politiques :

  • Il s’agit de redonner aux gens un pouvoir politique effectif qui s’applique dans la réalité de leur quotidien => ce qui se traduit dans Révoludroit, par l’instauration de Groupements d’Intérêts ;
  • Il s’agit de réinitialiser le concept de hiérarchie de normes et donc d’État de droit en redécouvrant les grands principes du droit naturel, qui ont été élaborés en Europe tout au long du Moyen-Âge par les grands penseurs de l’Église, en particulier au sein du clergé régulier ;
  • Il s’agit de réinstaurer le concept de droit commun, qui est civil ou n’est pas, dans le respect des normes du droit naturel ; tous les droits d’exception doivent disparaître ;
  • Il s’agit de rendre au pouvoir la responsabilité qui l’accompagne de façon naturelle ; comme de rendre, par principe, à chaque droit le devoir qui va avec ;
  • Il s’agit de rendre à la monnaie son sens naturel initial, perverti par la domination, de type mafieux, des banquiers coalisés au niveau mondial.

Ces quelques principes fondamentaux doivent évidemment être mis en œuvre dans la régulation des relations économiques, ce qui impose une réforme de l’entreprise, mais aussi dans la redéfinition des relations politiques ; la Réforme de l’État s’imposant au même titre que la réforme de l’entreprise.

13°) Croyez-vous à la victoire des nations et des patriotes ou à celle du nouvel ordre mondial et d’un gouvernement mondial ?

Je crois définitivement à la victoire du plus fort et du plus déterminé ; ce dernier élément restant à identifier.

Rien n’est encore écrit :

  • Si les peuples acceptent de se relever et de combattre leur véritable ennemi, le Gouvernement Mondial n’aura aucune chance d’arriver à son terme.
  • Si, en revanche, les populations abruties de propagandes massives, se retournent contre elles-mêmes, en se répandant en guerre civile par exemple, au lieu de combattre leur adversaire, le Gouvernement Mondial arrivera de façon certaine, et probablement plus tôt que nous ne le pensons…




Pour bénéficier de médecins, il faut les libérer ! Les contraintes les font fuir

Par le Dr Gérard Delépine

La liberté est le meilleur stimulant de l’activité médicale et de toute activité. Maintenir l’exclusion des soignants non vaccinés et supprimer la liberté d’installation ne peuvent qu’augmenter le nombre des déserts médicaux.

La tyrannie politique et bureaucratique décourage les médecins

Depuis plus de 20 ans, le mépris des autorités et les contraintes bureaucratiques imposées aux médecins par les ARH puis les ARS, la sécurité sociale ou l’ordre des médecins n’ont cessé de s’alourdir les détournant progressivement de leur sacerdoce.

Durant ces 3 dernières années, les mensonges officiels, les contraintes sans fondement scientifique et les poursuites contre les résistants ont culminé avec des déclarations officielles telles que « En cas de symptômes qui pourraient évoquer le coronavirus, quels qu’ils soient, ne sortez pas, ni pour aller chez le médecin »1, l’interdiction de certaines prescriptions par le ministère de la Santé comme la chloroquine 27 mai 2020 puis de certains antibiotiques, les recommandations voire injonctions du Rivotril pour nos aînés, les poursuites de l’ordre contre les médecins qui ont guéri des malades de covid ou qui ont simplement présenté des faits démentant la propagande officielle.

L’autoritarisme anti-scientifique a atteint un sommet avec l’exclusion des soignants et pompiers non vaccinés, puis son maintien en France alors que tous les autres pays européens l’ont abandonnée.

Récemment France Assos Santé2, qui collabore avec les agences régionales de santé dont la HAS3, a montré son ignorance des faits avérés et joué le rôle de supplétif du gouvernement en demandant la prolongation de l’obligation vaccinale pour les soignants et pompiers et en réclamant l’assignation autoritaire du lieu de première installation des médecins. Deux grosses erreurs.

L’obligation vaccinale de certaines professions n’a aucun intérêt médical, nous prive de soignants aguerris, et décourage les autres

Les pseudo vaccins actuels sont incapables d’empêcher quiconque d’attraper la maladie et de la transmettre. L’évolution de l’épidémie, décrite par les données de l’OMS, montre en effet qu’on a observé 3,5 fois plus de nouveaux cas mensuels depuis les larges campagnes d’injection (en moyenne 1000 nouveaux cas mensuels avant les injections contre 3500 depuis les larges campagnes de pseudo vaccination)

De même les pseudo vaccins sont incapables de protéger des formes graves contrairement aux affirmations répétitives du pouvoir et collabos, puisque la mortalité mensuelle attribuée au Covid a augmenté depuis les injections alors qu’elle est restée stable ou a diminué dans les pays peu vaccinés.

Comment peut-on prétendre que l’administration de pseudo vaccins inefficaces serait capable de protéger les personnes fragiles au contact des soignants 4 ?

En Europe, tous les autres pays ont officiellement reconnu l’inutilité de cette mesure et l’ont supprimée.

Pourquoi une association qui prétend défendre les patients nie-t-elle la réalité des faits et réclame-t-elle la prolongation de cette obligation dont le seul résultat est de nous priver de soignants et pompiers dont nous manquons si cruellement et de désespérer les autres ?

Par ses déclarations France Assos Santé contribue à aggraver le manque de soignants compétents, responsable de l’état catastrophique de l’hôpital5 et des déserts médicaux !

Combien de temps encore nos autorités nieront-elles les faits avérés reconnus par les autorités sanitaires de la totalité des pays voisins et maintiendront-elles cette mesure politique de censure6 destinée à empêcher que les soignants vaccino prudents trop honnêtes7 puissent faire part de leurs doutes et constatations cliniques aux patients ?

La fin de la liberté d’installation entraînera de nouveaux déserts médicaux

Un médecin, par ses obligations professionnelles et en particulier les consultations urgentes, est contraint d’habiter près de son lieu d’exercice. Lui assigner un lieu d’exercice revient à l’assigner à résidence, mesure normalement décidée jusqu’ici par un juge et qui concerne habituellement une personne mise en examen dans le cadre d’une instruction.

Assimiler les nouveaux médecins à des mis en examen ne constitue pas vraiment un signal encourageant de bienvenue.

France Assos Santé prône l’assignation à résidence des nouveaux médecins sans réaliser qu’une telle mesure peut dissuader de faire des études de médecine et inciter davantage de soignants déjà formés à fuir encore plus vers l’étranger.

Ces annonces impactent fortement le bien-être des étudiants. Quatre étudiants sur cinq (81,1 %) ont l’impression de ressentir davantage d’anxiété. 35 % estiment avoir une santé mentale mauvaise ou plutôt mauvaise alors qu’ils n’étaient que 20 % auparavant et un étudiant sur trois (32,7 %) a pensé à arrêter ses études.

On n’attire pas les mouches avec du vinaigre

Le 17/11/22, à l’occasion de la 4e journée de mobilisation contre la création d’une « dixième année » d’études médicales affectées à des stages dans les déserts médicaux initiée par l’ensemble des syndicats médicaux étudiants (Isnar-IMG, Anemf), et des jeunes médecins (ReAGJIR), soutenus par des syndicats seniors (MG France, CSMF, FMF, SML), Yaël Thomas, président de l’Association Nationale des Étudiants en Médecine de France (Anemf)8 rapporte que 54 % des étudiants réfléchissent de plus en plus à exercer en dehors de la France, quand 5,3 % sont sûrs d’exercer ailleurs. Seuls 11,1 % se disent sûrs de rester dans l’Hexagone

Dr Agnès Giannotti, présidente de MG France :

« Nous avons besoin de jeunes médecins, mais les mesures prises ne peuvent que les faire fuir ! »

Dr Corinne Le Sauder, présidente de la FMF :

« Des médecins qui ont beaucoup donné à ce beau métier vont quitter la profession en raison des mesures toujours plus contraignantes. »

Barbara Begault, porte-parole de l’Isnar-IMG :

« Ça fait deux mois que nous sommes ignorés ! Aux yeux du gouvernement, nous ne sommes pas des étudiants, mais juste de la monnaie d’échange. »

« Et quand on fait valoir notre droit de grève, on nous insulte de terroristes. »

« Malgré le mépris et les menaces, nous ne fléchissons pas !’ »

« Non à la coercition ! »9

Comment éviter que notre médecine ressemble à celui des pays pauvres ?

Ce n’est pas défendre les patients que de prôner des mesures autoritaires qui feront fuir encore plus de soignants. Pour reconstruire l’hôpital et obtenir un maillage national équilibré de médecins, il faut écouter leurs revendications.

Halte aux mesures autoritaires !

Réintégration de tous les suspendus avec paiement des arriérés.

Annulation des jugements iniques du conseil de l’Ordre envers les médecins qui n’ont fait que leur devoir en soignant effectivement les malades et/ou en informant la population.

Honorons dignement les soignants avec des salaires et honoraires proches de ceux pratiqués dans les pays voisins.

Dégraissage de la bureaucratie hospitalière et des agences régionales de santé en renvoyant au chevet des malades les médecins qui s’en sont détournés.

Confirmation des libertés de s’exprimer, de soigner, de prescrire des médecins et pour les malades de choisir leur traitement après un consentement libre et éclairé.

Sans soignants, il n’y a pas de médecine ni de soins. France Assos Santé ne l’a malheureusement pas compris et milite avec le gouvernement pour des mesures qui nuiront à terme aux patients.





Le Great Reset cible les enfants. La mode trans lancée

[Source : LHK]

Le président Biden s’exprime sur les enfants trans.

C’est la RTBF-Info belge qui rapportait en 2018 cette vidéo tournée dans une classe avec un titre alléchant : Les enfants aussi aiment les drag queens. Vidéo qui n’a fait que quelques milliers de vues :

« Depuis 2011, les besoins, enjeux et protocoles de soins destinés aux jeunes trans sont largement documentés et il ressort des travaux récents que ces jeunes sont plus à risque de suicide, discrimination, dépression, que leurs pairs. Or, la compréhension des facteurs causaux a changé, il devient évident que les expériences négatives liées à la discrimination sont responsables de ces difficultés psychiques et relationnelles. Lorsque les enfants sont acceptés et soutenus dans leur genre trans, ils ne diffèrent pas des autres enfants. Les structures de soins adaptées offrant un accompagnement respectueux et acceptant la différence de genre sont nécessaires. Trois axes d’intervention sont identifiés : les traitements hormonaux de retard de puberté, voire de puberté croisée, l’accompagnement des familles et la lutte contre le harcèlement scolaire. »

https://www.revmed.ch/revue-medicale-suisse/2018/revue-medicale-suisse-621/un-futur-pour-les-enfants-et-les-jeunes-transgenres-que-savons-nous-sur-les-besoins-et-les-solutions

Le vernis scientifique est indispensable au programme de l’élite globaliste. Il est tout de suite suivi par des statistiques qui valent ce qu’elles valent :

Curieusement, la Suisse, très active en matière de bricolage de l’humain et de la législation qui l’accompagne, ne figure pas dans ce tableau.

[Voir aussi :
Biden approuve les opérations de changement de sexe et l’hormonothérapie pour les mineurs transgenres
Un marché d’un autre genre est né : celui du GENRE
MAUVAIS GENRE chapitre 1 UNE ÉPIDÉMIE MONDIALE
Idéologie LGBTQ+… Un Transgenre raconte sa détransition
La transsexualité dénoncée par une transgenre repentie
Vague de poursuites à l’encontre de psychiatres et de médecins qui ont approuvé les mutilations et les chirurgies transgenres
La théorie du genre a-t-elle transformé en profondeur nos sociétés occidentales ?
Dysphorie de GENRE : le mirage de la TRANSITION
« Une femme est une femme, un homme est un homme » : Poutine s’engage à protéger la Russie de « l’obscurantisme de genre » de l’Occident]]

La Suisse, toujours première de classe s’est préparée dès 2007.

En quoi consistent les traitements hormonaux ? À quel âge commence-t-on le traitement ? Comment s’assure- t- on du bienfondé du diagnostic ? Quel recul a-t-on sur la santé psychologique des enfants traités ?…

Une fondation, Agnodice, qui s’occupe en Suisse de transgenres et de non binaires de moins de 18 ans a été créée dès 2007.

https://agnodice.ch/wp-content/uploads/2021/08/Position_Agnodice_2021_Therapie_transaffirmative_vs-AMQG.pdf
But: la fondation a pour but de promouvoir en Suisse une société considérant la pluralité des genres et de leurs expressions comme une richesse relevant de la diversité humaine: une société qui réponde aux besoins spécifiques des personnes trans, non-binaires ou en questionnement de genre et qui leur offre l’intégralité des droits, responsabilités et opportunités reconnus aux personnes cisgenres. Pour réaliser ce but, la fondation s’efforce notamment de: – Proposer éducation et formation – Faciliter l’accès des personnes concernées aux meilleurs services – Répondre aux demandes des médecins, soignant.x.es, psychothérapeutes, enseignant.x.es, juristes et autres professionnel.x.les – Contribuer au soutien psychologique des personnes concernées et de leurs proches – Protéger la vie privée et professionnelle des personnes concernées – Prévenir et lutter contre l’exclusion sociale, l’exploitation sexuelle et les autres vulnérabilités susceptibles d’affecter les personnes concernées.

Le site de Agnodice a le mérite de jouer la transparence. Et il y est question d’hormonothérapie remboursée par les assurances (l’équivalent de la Sécu française):

Il s’agit d’administrer les hormones sexuelles afin de déclencher la puberté et les changements physiques correspondant au genre désiré. Cette hormonothérapie est précédée d’un bilan sanguin complet et peut prendre différentes formes. Elle est à discuter avec l’endocrinologue ou l’endocrinologue pédiatre. Les effets commencent à se faire ressentir après 2-3 mois et se développent sur plusieurs années. Ce traitement doit être suivi durant toute la vie. Les différentes étapes de ce traitement sont remboursées par l’assurance de base. Si vous rencontrez des problèmes de remboursement, n’hésitez pas à nous contacter rapidement.https://agnodice.ch/portail-enfants-adolescents-proches/vos-droits-suisse/prise-charge-medicale/

Et à qui s’adresse cette fondation? A tous finalement puisque l’âge de leur public-cible est 0 an. Cela va jusqu’à 18 ans. Ca passe forcément par le système scolaire!

https://agnodice.ch/bienvenue/fondation/pour-qui/

La Théorie du genre n’existe pas! Parole de Najat Vallaud-Belkacem.

De l’autre côté de la frontière, on joue la montre politique en jouant sur les mots. Souvenez-vous de M Peillon en 2014.

Les parents d’élèves qui ont osé manifesté sont traités d’intégristes et proches de l’extrême-droite. https://www.lexpress.fr/education/peillon-pas-de-theorie-du-genre-mais-une-education-a-l-egalite-a-l-ecole_1318058.html 2014

Puis en 2016, le pape François met les pieds dans le plat de l’Education française. Selon lui, les manuels scolaires de l’Education nationale française étaient truffés de Théorie du genre.

Le pape François avait déclaré que les manuels scolaires français promouvaient la théorie du genre. La classe politique française lui répond.https://www.tf1info.fr/societe/theorie-du-genre-les-politiques-francais-recadrent-le-pape-francois-2005759.html

Montée au créneau de la ministre de l’éducation de l’époque qui s’est dit choquée de pareille affirmation.

Au micro de France Inter, Najat Vallaud-Belkacem, « s’est dite « en colère » contre « la parole légère et infondée » du pape François, qui accusait dimanche les manuels scolaires français de propager la théorie du genre. »https://www.tf1info.fr/societe/theorie-du-genre-les-politiques-francais-recadrent-le-pape-francois-2005759.html

Puis on s’en prend à ceux qui ont envie d’en savoir plus sur l’éducation reçue par les enfants.

« Je n’imaginais pas que le pape François se laisserait embarquer par des intégristes et leur folie mensongère. Ca me met en colère »Najat Vallaud-Belkacem, octobre 2016

La ministre de l’Education a par ailleurs invité le pape à se renseigner d’avantage sur le sujet. « Je conseille au pape de venir à la rencontre d’enseignants de l’école française et de feuilleter les manuels scolaires ». Dire que le Vatican est mal informé… Bon bref, le public est sommé de laisser tomber le sujet.

« Il faut cesser avec ces inepties », a conclu la ministre de l’Education, réaffirmant que « ce sujet n’existe pas ». 

Soutien total de sa collègue Mme Kosciusko-Morizet :

« Les manuels scolaires je les regarde de près, j’ai deux petits garçons qui ont 11 ans et 7 ans (…) et je n’ai jamais rien trouvé qui ressemble à la théorie du genre ».

Ceux qui veulent voir dans ces thèmes des sujets droite-gauche sont mal informées ou ne veulent pas s’informer. Il y a la Haute finance internationale . Point.

Je retiendrai cette phrase de l’ancienne responsable politique:« Les innovations liées aux transitions énergétique et numérique sont là. Mais elles exigent de nouvelles infrastructures pour répondre aux attentes croissantes de proximité et d’autonomie. Nous devons les anticiper dès maintenant pour rendre possible leur déploiement à grande échelle » https://www.lesechos.fr/finance-marches/ma/nkm-se-lance-dans-le-capital-investissement-1314528
Un manifeste à découvrir
https://comitecedif.wordpress.com/qui-sommes-nous/

Et que veut la haute finance internationale pour vos enfants?

Une action planétaire frappe le secteur des jouets. Influencer l’enfant devient un objectif clairement affiché sous des allures d’innocentes poupées

https://www.santeplusmag.com/les-poupees-transgenres-arrivent-desormais-dans-les-magasin-de-jouets/
https://www.femina.fr/article/barbie-sort-sa-premiere-poupee-transgenre-a-l-effigie-de-l-actrice-laverne-cox?fbclid=IwAR3w5SoshDrawolAYpPzti3OWZJ7FdcA8-TIs-YisEwxEzDLpkrM5GXerbc
https://blogs.lexpress.fr/chica-de-paris/2014/12/22/une-poupee-trans-fait-polemique-en-argentine/

Repenser le genre par National geographic

Version Atlantico.

Des enfants de 3 ans sont recrutés pour étudier la santé des transgenres! 3 ans! Le petit garçon qui enfile les escarpins de sa maman ou le collier de sa grande soeur sont ciblés par ce genre de « scientifiques ».

Depuis 2013,
Kristina Olson , psychologue à l’Université de Washington, mène
une vaste étude à long terme pour suivre la santé et le bien-être des enfants transgenres, ceux qui s’identifient comme un sexe différent de celui qui leur a été attribué. naissance.
Depuis le lancement de l’étude, Olson a également entendu parler des parents d’enfants non conformes au genre, qui défient systématiquement les stéréotypes de genre mais n’ont pas fait la transition sociale.
Il peut s’agir de garçons qui aiment porter des robes ou de filles qui jouent avec des camions, mais qui n’ont pas, par exemple, changé les pronoms qu’ils utilisent.
Ces parents ont demandé si leurs enfants pouvaient participer à l’étude.
Olson a accepté.
Au bout d’un moment, elle s’est rendu compte qu’elle avait recruté par inadvertance un groupe important de 85 participants non conformes au genre, âgés de 3 à 12 ans. Et alors qu’elle restait en contact avec les familles au fil des ans, elle a appris que certains de ces enfants avaient fini par faire la transition.
« Suffisamment d’entre eux le faisaient pour que nous ayons cette occasion unique de revoir nos données pour voir si les enfants qui ont fait la transition étaient différents de ceux qui ne l’ont pas fait », dit Olson. https://www.theatlantic.com/science/archive/2019/01/young-trans-children-know-who-they-are/580366/

Promotion active du concept transgenre par les transhumanistes globalistes

McKinsey

https://www.weforum.org/agenda/2021/11/diversity-inclusion-transgender-workplace/

World economic Forum

Jacques Attali vous explique ce thème du great reset

La convergence de ces trois tendances est claire: nous allons inexorablement vers une humanité unisexe, sinon qu’une moitié aura des ovocytes et l’autre des spermatozoïdes, qu’ils mettront en commun pour faire naitre des enfants, seul ou à plusieurs, sans relation physique, et sans même que nul ne les porte. Sans même que nul ne les conçoive si on se laisse aller au vertige du clonage. https://www.slate.fr/story/67709/humanite-unisexe-biologie-immortalite

LHK

Rappel utile

https://lilianeheldkhawam.com/2020/07/17/un-lobbying-pro-pedophilie-qui-fait-fi-de-la-legislation-une-tolerance-problematique-dossier-vincent-held/
https://lilianeheldkhawam.com/2020/05/20/onu-oms-une-education-sexuelle-explosive-pour-revolutionner-lhumain-dossier-vincent-held/

Bonus

https://video.wordpress.com/embed/MJjCO6ew?cover=1&preloadContent=metadata&useAverageColor=1&hd=1

AJOUT

https://www.lepoint.fr/societe/l-experience-tragique-du-gourou-de-la-theorie-du-genre-31-01-2014-1786513_23.php?fbclid=IwAR1x7EG3PDpKBL33BE7sadanIWgKkk74dyRYqUINpJipy7nRwUDB2_DzT-M

Qu’est-ce que le genre, ce drôle de mot pratiqué des seuls grammairiens ? Il est un complexe outil intellectuel à double face. D’un côté, une grille de lecture pertinente qui questionne les rôles que la société impose à chaque sexe, le plus souvent au détriment des femmes. De l’autre, il abrite une réflexion militante… D’après elle, l’identité sexuelle ne saurait se résumer à notre sexe de naissance ni se restreindre à notre rôle sexuel social. Chacun doit devenir libre de son identité, se choisir, se déterminer, expérimenter… Et basta, l’humanité est arbitrairement divisée en masculin ou féminin.

Les « études de genre », terme traduit de l’anglais gender studies, ne sont pas récentes. Explorées par la fameuse universitaire américaine Judith Butler dans les années 70, elles naissent sous la plume et le bistouri d’un sexologue et psychologue néo-zélandais, John Money. C’est lui qui, en 1955, définit le genre comme la conduite sexuelle qu’on choisira d’habiter, hors de notre réalité corporelle. Or le personnage est controversé. Spécialiste de l’hermaphrodisme à l’université américaine Johns Hopkins, il y étudie les enfants naissant intersexués et s’interroge sur le sexe auquel ils pourraient appartenir. Lequel doit primer ? Celui mal défini que la nature leur a donné ? Celui dans lequel les parents choisiront de les éduquer ? Il est rarement mis en avant par les disciples des études de genre de quel drame humain et de quelle supercherie scientifique le père du genre, John Money, se rendit responsable.

« Lavage de cerveau »

En 1966, le médecin est contacté par un couple effondré, les époux Reimer. Ils sont parents de jumeaux âgés de 8 mois, qu’ils ont voulu faire circoncire. Las, la circoncision de David par cautérisation électrique a échoué, son pénis est brûlé. Brian, son jumeau, n’a, lui, pas été circoncis. Que faire de ce petit David dont la verge est carbonisée ? Money voit dans cette fatale mésaventure l’occasion de démontrer in vivo que le sexe biologique est un leurre, un arbitraire dont l’éducation peut émanciper. Il convainc les parents d’élever David comme une fille, de ne jamais lui dire – ni à son frère – qu’il est né garçon. Le médecin administre à l’enfant, rebaptisé Brenda, un traitement hormonal et, quatorze mois plus tard, lui ôte les testicules. Ses parents la vêtent de robes, lui offrent des poupées, lui parlent au féminin.




Trudeau sacrifie un journaliste canadien parce que Zelensky voulait sa mort

[Source : tfiglobalnews.com]

[Traduction : guyboulianne.info]

Un article de Rohit Yadav (New Delhi, Inde)

Les vrais dirigeants sont tenus de protéger leurs citoyens des conditions défavorables. Surtout les journalistes dans une zone de guerre. Mais le président canadien Justin Trudeau est loin d’être un vrai leader. Après que le journaliste canadien Guy Boulianne a été ajouté à la liste noire de l’Ukraine, Trudeau a refusé de prononcer un mot. L’absence d’intérêt pour la vie du journaliste (Guy Boulianne) est visible dans tous les médias canadiens.

Le journaliste canadien Guy Boulianne a été ajouté lundi à la liste des morts par une organisation nommée « Mirotvorets » qui signifie « pacificateur » en Ukraine. Hélas, sous le régime de Volodymyr Zelensky, la paix s’établit en tuant des gens.

[Guy Boulianne]

Le régime de Zelensky dirigerait une organisation connue sous le nom de Mirotvorets, qui est une unité gérée par l’État sous le service de sécurité ukrainien qui produit une liste de personnes et d’organisations considérées comme des « ennemis de l’Ukraine ».

Mirotvorets est essentiellement une liste rendue publique et qui cible les voix anti-ukrainiennes et anti-Zelensky. Les noms de ceux qui figurent sur la liste sont déclarés être ceux des ennemis du régime, et un arrêt de mort officieux leur est délivré. Une organisation soutenue par le gouvernement comme Mirotvorets qui produit une liste de personnes qu’elle proclame « anti-ukrainiens » ne devrait pas faire partie d’une démocratie saine, car elle motive les groupes illégaux à promouvoir la violence sans avoir besoin d’une action en justice. Plus de 4 000 personnes dont plusieurs ont été inscrites sur la liste noire. Des journalistes comme l’Italien Andrea Rocchelli, l’Ukrainien Oles Buzyna, l’ancien législateur ukrainien Oleg Kalachnikov et la journaliste de guerre Daria Dugina ont tous été mis sur la liste et finalement tués.

Mais, vous vous demandez pourquoi un journaliste de Québec, Guy Boulianne, à 7 000 kilomètres de l’Ukraine a été ajouté à la liste des morts ? Boulianne pense que son article sur Faina Savenkova, une jeune fille de 14 ans de Lugansk est une raison pour laquelle il a fait la liste. La jeune fille de 14 ans a été inscrite sur la liste après avoir souligné la terreur infligée par l’armée ukrainienne dans l’est de l’Ukraine. Elle n’est pas le seul enfant que l’Ukraine considère comme un terroriste, il y a plus de 300 enfants qui ont été ajoutés comme ennemis de l’Ukraine. Elle est passible de la peine de mort en vertu de la loi ukrainienne en tant qu’« info-terroriste » parce qu’elle est considérée comme une menace pour la sécurité nationale. Bouliane a écrit sur sa critique de la triste situation en Ukraine.

Depuis que la nouvelle de Guy Bouliane s’est ajoutée à la liste noire, les médias canadiens sont restés muets sur la question. Aucune manifestation de soutien n’a été vue dans les grands médias canadiens. Rien de l’Association canadienne des journalistes ou de Black Press Media pour Guy Boulianne. Ce sont les mêmes journalistes qui exhortent toujours leur gouvernement à la protection. Vont-ils exiger la protection de Bouliane ? Rien n’a été dit par le gouvernement non plus. Le même Trudeau en 2020 a déclaré qu’une répression du journalisme met la démocratie en danger. Ce serait la responsabilité directe du gouvernement canadien de protéger Guy Boulianne.

Eh bien, s’attendre à ce que le gouvernement Trudeau fasse quelque chose pour Guy Boulianne est absurde. Le gouvernement Trudeau a toujours réprimé les médias indépendants et les journalistes qui dénonçaient leur administration. La situation était encore pire pendant la Covid-19 lorsque des journalistes ont été bousculés et menacés de mort simplement pour avoir fait leur travail.

Par conséquent, le silence sur le nom de Guy Boulianne apparaissant sur la liste des morts de Justin Trudeau de l’Ukraine est compréhensible. Pourquoi Trudeau parlerait-il contre son ami Zelensky, qui s’est fait un nom pour des crimes pervers et inhumains ? Trudeau lui-même est complice dans son propre pays de ce que fait Zelensky en Ukraine. Il n’est pas le messie de la « voix libre ».


[Source : guyboulianne.info]

Jeudi le 10 novembre 2022, François-René Milot de Zradio, a parlé du fait que le nom de Guy Boulianne a été ajouté sur la très sinistre et dangereuse “liste des personnes à assassiner” de Myrotvorets du gouvernement ukrainien. Écoutez l’émission intégrale en cliquant sur ce lien.

Cet extrait de la vidéo est diffusé sur les chaînes Youtube, VKontakte, Rumble, Bitchute, Brighteon, Internet Archive, Odysee et UGEnet, ceci afin que l’information circule le plus loin possible.

À propos de TFI Media et TFI Global

TFI Media est une plateforme d’actualités premium pour le lecteur averti. Les lecteurs de TFI Media choisissent de lire des informations authentiques plutôt que des informations payantes, une écriture de bonne qualité plutôt que des chiffons de gauche somnolents, une analyse bien documentée plutôt que des retombées de l’opinion publique. TFI Media est l’une des plateformes de contenu les plus appréciées en Inde. Aujourd’hui, l’équipe TFI crée plus de 600 articles d’opinion/analyse de recherche professionnelle et plus de 250 vidéos engageantes chaque mois.

Des analyses approfondies aux satires cinglantes, les pièces de TFI ont été admirées et aimées par la communauté Internet. C’est l’orientation de l’équipe et la qualité du produit qui ont fait de TFI Media, l’une des plateformes de contenu les plus « virales » au pays.

L’Indien frustré (The Frustrated Indian / TFI) fondé par Atul Mishra, en tant que page Facebook en 2012, a amassé plus de 1,2 million d’abonnés sur Facebook seul. Atul a lancé TFI pour fournir une plate-forme aux jeunes du pays pour se réunir et échanger des points de vue. Ce qui a commencé avec une page Facebook est devenu un géant des médias sociaux avec une portée combinée de près de 100 millions chaque mois. Aujourd’hui, TFI qui est basé à Noida est une ville de l’Etat indien de l’Uttar Pradesh, est l’une des plateformes de contenu les plus lues, regardées et appréciées au pays.

TFI Global, suivant les traces de ses prédécesseurs (The Frustrated Indian et TFI Post), a été créé pour fournir un récit alternatif non traditionnel aux amateurs de nouvelles, mais cette fois cela est fait pour le public mondial. TFI Post (anciennement rightlog.in) est le site Web de contenu d’opinion/analyse de TFI qui surveille l’actualité nationale. TFI Post est devenu la source incontournable du public averti pour des contenus allant de la politique et de l’actualité à l’histoire en passant par la culture, le sport, le cinéma et les arts. Actuellement, TFI Post est visité par 8 millions d’utilisateurs chaque mois, ce qui en fait l’un des sites Web de contenu les plus visités en Inde. The Frustrated Indian, quant à lui, est le plus grand forum de discussion en ligne indien. The Frustrated Indian a été fondé en 2012 et est devenu une centrale de médias sociaux. Aujourd’hui, L’Indien frustré est suivi par presque tous les politiciens du pays, la plupart des journalistes et un million d’Indiens curieux.


« Que celles et ceux qui se taisent maintenant ne viennent pas pleurer sur ma tombe plus tard ! »

Guy Boulianne




Crise de vocation dans l’église catholique : « Amis pédophiles, devenez curés ! »

Par Alain Tortosa

« Amis pédophiles, devenez curés1! »

Âmes sensibles ou formatées, fuyez ce texte au second degré.

2

Vous et moi assistons bien impuissants à une crise de vocation majeure dans l’Église catholique qui ne fait qu’amplifier depuis des dizaines d’années.

Il faut dire qu’un scandale pédophile par semaine rapporté dans les médias n’est pas de nature à susciter des vocations.

Le curé :

« Pierre-Albert, je vois que tu aimes vraiment beaucoup Jésus, ne voudrais-tu pas faire le séminaire pour devenir curé. »

Pierre-Albert :

« J’aimerais beaucoup mon père, mais l’idée de passer pour un monstre ou d’enculer des enfants ne me tente guère. »

Avouez que ce n’est pas de nature à motiver les personnes saines.

Alors chez les catholiques qui sont déjà coupables d’être majoritairement blancs et hétérosexuels, ce type d’annonce n’est pas de nature à diminuer leur infamie.

Ils rasent les murs et se font discrets en rentrant dans les églises.
Et quand le maire de la commune n’ose plus mettre la crèche traditionnelle à la période de Noël, ils ferment leur gueule.

Les gens « bien », de gauche (pléonasme), progressistes (re-pléonasme), anti-cléricaux (re-re-pléonasme) se confortent dans leur « réalité ».

« OK des curés avouent avoir été pédos pendant des années et il faudrait en plus les féliciter ?! »

L’origine du mal

Nous savons tous que le célibat est l’unique cause de leur perversion.
Tout le monde sait que si les curés pouvaient se marier et tirer un coup, alors le problème de la pédophilie systémique dans l’Église catholique disparaîtrait.

L’équation est connue de tous :

  • Curé.
  • Manque de sexe.
  • Enfants.
  • Enculer.

Pas plus compliqué que cela, toute autre hypothèse n’étant que stupidité ou complotisme.

SEULS les curés sont concernés par cette malédiction !

En effet, les millions de Français qui n’ont aucun partenaire sexuel, voir qui n’en ont jamais eu ou n’en auront jamais, ne sont pas soumis à ces pulsions bestiales contre des enfants.

Avez-vous déjà entendu un homme sain de 40 ans déclarer :

« Je n’avais pas de petite amie, pardon, de petit ami, je n’en pouvais plus, j’ai enculé le fils du voisin en écoutant la chanson d’Yves Duteil3, “Prendre un enfant”. »

Rassurez-vous mes amis lecteurs frustrés (y compris ceux qui s’inventent une femme4), l’instinct pédophile ne se réveille QUE chez les curés.

L’échelle des péchés

Il faut bien comprendre que le curé n’a pas vraiment le choix s’il veut échapper à l’enfer.

La pédophilie est « imposée » d’une certaine manière.

Dans l’échelle des horreurs pour l’Église catholique nous avons du pire au plus anodin :

  • Avoir une femme (et des enfants).
  • Avoir des aventures sexuelles consenties avec un(e) adulte.
  • Se faire des putes.
  • Violer des adultes.
  • Se branler devant Pornhub.
  • Défoncer le cul d’enfants.

Vous comprenez bien en lisant ces lignes que le curé en manque de sexe devant assouvir ses pulsions sexuelles n’a d’alternative que de violer des enfants s’il veut éviter d’aller en enfer.

Écartelé par ses valeurs, sa culpabilité et ses désirs, il ne saurait aller vers un(e) adulte pour avoir des relations sexuelles, comprenez que cela n’aurait strictement aucun sens !

Une formation spécifique

Ne croyez pas que les curés soient lâchés dans la nature sans avoir été formés lors du séminaire.
Imaginez ces pauvres novices se retrouvant au contact d’enfants ne sachant pas ce qui leur arrive et comment gérer leurs pulsions criminelles, mais naturelles.

C’est pourquoi cela est indiqué dans le manuel de formation.
Plusieurs heures sont consacrées à l’école sur la normalité de l’acte pédophile et sur l’échelle des valeurs comme je l’ai rappelé.

Le b-a-ba de la sodomie est ainsi enseigné comme :

  • Devez-vous vous lubrifier la bite à l’huile d’olive bénite ou au WD 40 ?
  • Ne pratiquez pas au-dessus d’une moquette pour éviter les taches de sang à moins de vouloir déclarer un miracle.
  • Choisissez un endroit de préférence à côté de l’orgue pour une meilleure acoustique. Les hurlements des enfants se propagent alors avec harmonie (mais sans bite dans la bouche).
  • Préférez au début des enfants qui viennent de perdre leurs dents de lait pour une fellation afin d’éviter les coupures. (Par la suite des dents neuves extrêmement aiguisées peuvent être source d’un plaisir infini.)

Que les curés ?

Il y a bien ici ou là quelques rares pédophiles dans la société.
Les études prouvent que c’est généralement des gueux, des illettrés à la limite de la débilité, bref des ouvriers.
Il n’est pas impossible que ceux-ci aient raté leur vocation, et il serait intéressant de mener des études en ce sens.

Notez qu’il n’existe aucun pédophile parmi les gens bien comme des enseignants, des notaires, des avocats ou des hommes politiques, etc.
Quant aux réseaux pédophiles, cela relève du fantasme, de la théorie du complot, probablement lancée par le clergé catholique.

Quid des autres religions ?

Il y a ceci d’extraordinaire que la religion catholique est la SEULE dans laquelle le phénomène pédophile est présent, voire généralisé.

Totalement inexistant chez les juifs et les musulmans qui ont eu la chance de ne subir strictement aucun traumatisme sexuel durant leur enfance.
Les protestants, quant à eux, ont la liberté de pouvoir tirer tout ce qui bouge, d’exploiter la misère, de devenir milliardaires, leur évitant ainsi toutes frustrations ou déviances.
Qui aurait entendu parler de scandales sexuels outre-Atlantique ou au Royaume-Uni (chez les protestants bien sûr) ?
Quant aux bouddhistes, ils ont autre chose à faire qu’à se secouer la nouille.

Non je le répète, et vous en avez la preuve en lisant ou en écoutant les médias, le catholicisme est en toute logique, l’UNIQUE religion où sévissent des hordes de pédophiles.

Et les laïcs ?

Tout le monde sait que les laïcs n’ont pas la perversion des curés catholiques.
Vous ne trouverez aucune institution, enseignement, club de sport, colonie de vacances, etc. dans lesquels puissent se produire de tels actes odieux.
Après, je ne suis pas un spécialiste et je vous invite plutôt à vous tourner vers des personnes de talent qui ont fréquenté ces milieux, comme M. Cohn-Bendit, et qui pourront vous en dire beaucoup, beaucoup plus.

Que faire pour se protéger ?

La solution est simple, et je m’adresse tout naturellement aux parents catholiques ici présents, la seule solution étant de changer de religion ou de devenir athée !

Retrouvez votre bon sens et entendez enfin que seul le catholicisme est confronté à ce fléau.
Confiez vos enfants à toutes les institutions que vous voulez, mais surtout pas aux mains des curés pervers !
Ainsi vous serez CERTAINS que vos enfants ne risquent pas de tomber sur un prédateur sexuel, ceux-ci étant EXCLUSIVEMENT cantonnés au catholicisme.

Crise de vocation

Le manque cruel de candidats curés est une réalité, c’est pourquoi j’invite l’institution à faire une campagne de pub afin de recruter massivement :

« Vous êtes pédophile, vous manquez d’enfants à violer, devenez curé5 ! »

Succès assuré au rendez-vous s’il en est.

Conclusion :

Soit les médias sont intelligents, professionnels, honnêtes, ils nous disent donc la Vérité et la religion catholique EST bien LE nid de pédophiles sans conscience, ce qui nous est martelé année après année.
De fait les pédophiles seraient inexorablement et exclusivement attirés par cette religion.

Soit la religion catholique est plus honnête que les autres et a le mérite de dénoncer et de lutter comme elle peut contre un fléau qui est encore souvent dissimulé.
En revanche la pédophilie serait alors au moins aussi présente dans les autres religions ou institutions laïques, mais serait (quasi) systématiquement étouffée et dissimulée.

À vous de déduire ce qui semble le plus logique et probable.

Merci

Alain Tortosa6 (qui va se faire de nouveaux copains.)
21 novembre 2022
https://7milliards.fr/tortosa20221121-catholiques-seuls-pedophiles-ou-pas.pdf

1 Pamphlet virulent, car j’en ai marre qu’on se foute de notre gueule. Texte au second degré pour remettre de la vérité et cesser de stigmatiser unilatéralement et stupidement l’institution catholique.
** Ne convient pas aux mineurs **

2 https://charliehebdo.fr/2020/01/societe/justice/pedophilie-dans-leglise-proces-pere-preynat-souvre-enfin/
Voir des caricatures et imaginez les mêmes publications pour d’autres religions.

3 https://www.youtube.com/watch?v=w4aroHyfiZk
« Prendre un enfant » par Yves Duteil. Vous noterez que le titre exact n’est pas « prendre un enfant par la main ».

4 Comprenne qui pourra.

5 Typiquement le genre de phrases que pourrait faire Charlie Hebdo.

6 Telegram https://t.me/+cNljt4jKWeVW0I1o




Clap de fin pour la francophonie ? Complicité coupable ou cortège funèbre ?

[Source : lequotidien.sn]

Par Amadou Lamine SALL, Poète, Lauréat du Grand Prix International Tchicaya UTam’si de la poésie africaine, Lauréat des Grands prix de l’Académie française.

– Sommet francophone à Djerba 19-20 novembre 2022 –

Congelée, muselée, profanée, désenchantée, désertée, abandonnée à elle-même, dérisoire, précaire, en décomposition avancée ? Oui, la Francophonie va très mal ! Il faut refuser de se taire ! Il faut vite la secouer, la réveiller, la sauver, la ressusciter, la faire aimer, la faire respecter et la faire gagner !
Permettez, avec respect, Monsieur le Président Macron et Messieurs les Chefs d’État et de gouvernement africains francophones !

Vous allez vous réunir à l’occasion du 18e Sommet de la Francophonie, prévu à Djerba, en Tunisie, du 19 au 20 novembre 2022 ! Si vous renonciez à ce sommet, presque personne ne s’en rendrait compte. L’Oif — Organisation internationale de la Francophonie — continuerait, comme si elle n’existait pas, sa douloureuse léthargie et la terre continuerait de tourner.

Il serait temps, d’ailleurs, de faire le bilan de ces sommets devenus soporifiques, à l’exception de ceux qui mettent à l’ordre du jour la nomination du Secrétaire général de la Francophonie. Puis, tout retombe dans l’oubli. Les chefs d’État semblent avoir mieux à faire, que de parler et de s’occuper de Francophonie, de culture tout court. Un sommet extraordinaire de refondation de la Francophonie ferait mieux l’affaire ! Cela ferait du bien à tout le monde. En faisant des bilans d’étape, des évaluations concernant les programmes et résolutions de vos coûteux sommets pour l’Oif, déjà si pauvre, vous vous rendriez compte des échecs accumulés et de la vanité des projets jamais mis à exécution avec succès.
À partir de l’espace géographique, culturel et politique qui la désignait, la Francophonie, depuis sa naissance, a tenté de trouver sa place dans l’espace économique, scientifique, socio-éducatif, juridique, technologique et environnemental. En somme, elle a tout embrassé, surtout beaucoup de vent. Abdou Diouf, tout de même, a laissé des marques grâce à son aura personnelle, son charisme, son épaisseur d’ancien chef d’État, sa reposante et agréable civilité, mais il était trop seul pour faire avancer la Francophonie sur la mise en place du visa francophone.

Rentrons tout de suite dans le vif du sujet : Monsieur le président de la République française, n’auriez-vous pas congelé la Francophonie en décidant de placer à sa tête, une noble ressortissante d’un pays ami, certes, mais qui n’était pas la mieux apte à remplir cette fonction ? Bien sûr, le débat eut lieu et à juste titre ! Mais pourquoi donc avoir placé à ce haut poste, une personne dont le beau pays a découché de la langue française au profit de l’anglais ? Pourquoi avoir fait ce choix incommodant et surréaliste ? Et dire que les chefs d’État et de gouvernement vous ont laissé faire ! Tous coupables, tous soumis, tous complices ou tous endormis, désintéressés, désenchantés ?

Le problème aujourd’hui, c’est l’invisibilité de l’Oif ! Il y a longtemps, bien longtemps, depuis cette nomination, que la Francophonie semble inexistante : silence radio, silence télé, silence presse écrite, silence politique, silence culturel et artistique, voix inaudible, image boueuse, missions mortes. Pourquoi avez-vous laissé se jouer un tel drame ? L’Oif ne le méritait pas et cette belle langue française, non plus, quand on mesure ce qu’elle a été et celle à qui vous l’avez confiée ! Au fond, accuser l’actuelle Secrétaire générale serait presque injuste. Nos hommages Madame ! Ce sont ceux qui l’ont mise là, qui sont coupables de tout, l’invincible, inoxydable, flegmatique guerrier et sentinelle de l’Afrique, membre du Commonwealth, Paul Kagamé compris ! Et vogue la galère !
La Francophonie nous a fait rêver comme elle avait été rêvée à sa naissance par Léopold Sédar Senghor, Diori Hamani et Habib Bourguiba. La langue française, cette si belle femme, est venue habiter une aire géographique, l’Afrique, où elle est presque mieux que chez elle. L’Afrique s’en occupe mieux que la France, mais elle ne peut pas tout faire toute seule ! La conséquence est que la voix de la Francophonie est devenue presque aphone, placée comme en isolement. Nous en sommes profondément préoccupés.

Monsieur le Président Macron, vous qui donnez tant de force et de splendeur à la langue française quand vous la parlez, vous avez réussi à confier la langue de France à une reine venue d’ailleurs qui ne veut pas de cette co-épouse et qui donc s’occupe d’elle, à sa manière. Nulle part, par le monde, aujourd’hui, la voix de la Francophonie ne résonne comme elle résonnait avant. On ne l’entendra à nouveau, véritablement, que dans un an, du 28 juillet au 6 août 2023, en République démocratique du Congo, pour la 9e édition des Jeux de la Francophonie. C’est le lieu unique où la Francophonie se révèle au monde avec toute sa puissance, grâce à une jeunesse nombreuse, engagée, belle, solidaire, optimiste. C’est plutôt là, Monsieur le président de la République française, Excellences, Messieurs les Chefs d’État africains, que vous devriez tous être présents pour recevoir cette jeunesse !

Au demeurant, l’histoire, avec ses ruses, nous donne à observer ce fâcheux et regrettable conflit entre le Rwanda et la RDC qui accueille les prochains Jeux de la Francophonie. Et dire que l’Oif, qui a ajouté à ses plurielles missions celle encore politique d’intervenir pour installer la paix entre ses membres, est dirigée par une ressortissante rwandaise ! Elle serait toute désignée pour prendre son foulard de pèlerine pour aller tenter de résoudre ce drame entre pays francophone et anglophone, elle qui représente à la fois de manière surréaliste les deux entités, statut rare et presque unique de par le monde ! Mais rien ne se passe, du moins que nous sachions !

Vos sommets climatisés et feutrés sont bien loin de ce terrain d’action unique qui est l’avenir de la Francophonie ! Alors, que l’on s’amuse avec tout, sauf avec les Jeux de la Francophonie ! Ces jeux, c’est tout ce qui nous reste pour ne pas être nus, moches, inutiles. Votre prochain Sommet de Djerba en ce mois de novembre 2022 devrait plutôt sauter des étapes avec un ordre du jour exceptionnel dont le but serait de renouveler, dans l’urgence, la haute direction du Secrétariat général de l’Oif ! À la vérité, c’est cela l’urgence. Le moteur n’est pas en panne. Il est mort. La voiture n’est pas à remorquer. Elle est à changer.
Avec respect, nous vous incitons à porter, également, Monsieur le président de la République française, Excellences, Messieurs les Chefs d’État et de gouvernement francophones, un autre regard sur notre institution comateuse, quasi mourante. Il s’agit de toujours garder à l’esprit les principes et missions de la Francophonie qui ne sauraient être pensés, mis en action aujourd’hui, sans faire référence aux quatre constats majeurs rappelés par le poète, écrivain et ancien Secrétaire général de l’Oif, Jean-Louis Roy :

– La tentative d’une vaste globalisation de la culture d’abord, de l’économie et de nombreuses activités humaines ensuite, ayant des effets massifs sur la communauté francophone internationale ;
– L’enrichissement démographique du monde et ses conséquences majeures sur les équilibres actuels et virtuels de la Francophonie, et sa dimension constitutive Nord-Sud ;
– La formidable bataille linguistique qui se déploie au plan mondial et qui met en présence certaines grandes langues asiatiques, la langue arabe, la langue espagnole, à côté de la langue anglaise ;
– Le respect et la prise en compte des réalités et des spécificités culturelles et économiques des peuples francophones du Sud ;

Vous le savez, tout n’est pas mauvais dans la globalisation. « Elle désenclave les communautés culturelles et linguistiques, facilite, accélère et universalise l’accès à tous les patrimoines, fait apparaître le poids réel des contributions scientifiques, technologiques, sociales et culturelles des nations et des communautés. Bref, la masse critique des uns et des autres déborde des cercles autarciques et apparaît désormais dans une fresque vivante. » La Francophonie appartient désormais à cette formidable mise en perspective qui lui permet et qui nous permet, à nous autres acteurs d’Afrique, de peser ce qu’elle vaut et de mesurer ce qu’elle représente réellement.

Au jugement du Haut-conseil de la Francophonie, dans un rapport consacré à l’état de la Francophonie dans le monde, il est écrit que la Francophonie africaine constitue « une chance de développement pour notre communauté qui ne se retrouve sur aucun autre continent ». Voilà pourquoi les chefs d’État et de gouvernement du Sud ne peuvent pas toujours se taire et laisser faire. Fini le suivisme ! Qu’ils prennent donc leurs responsabilités ou qu’ils quittent cet espace où ils n’ont pas leur place !

Quant aux projections démographiques, elles renforcent l’importance actuelle et à venir du Sud francophone africain s’agissant de la sauvegarde, du rayonnement et de l’usage de la langue française dans le monde. En 2020, déjà, dans un monde qui comptait 8 milliards de personnes, 164 millions de francophones vivaient dans les pays du Nord dont 24 millions avaient moins de 20 ans et 640 millions dans les pays du Sud dits francophones dont 280 millions avaient moins de 20 ans. Pour dire, qu’aussi loin que l’on puisse se projeter, la langue française ne disparaîtra pas du paysage linguistique mondial, mais elle pourrait devenir marginale si elle faisait l’impasse sur les trois quarts de ses membres vivant dans la seule région du monde où elle a des chances de se développer, c’est-à-dire le Sud. Voilà encore pourquoi, Messieurs les Chefs d’État et de gouvernement africains, vous devez peser, à chaque fois, sur les grandes décisions politiques de la Francophonie. La seule parole d’un chef d’État français ne peut plus faire loi, bien qu’elle doive compter pour ce qu’elle doit compter, par rapport à la majorité ! Bien sûr, la Francophonie ne se fera pas contre la France ou sans la France, mais avec la France, quels que soient ses velléités, ses intérêts, ses non-dits, ses méfiances, ses priorités nationales ou européennes.
Par ailleurs, la France, il faut le dire, porte l’échec, en premier lieu, de la convention francophone qui prévoyait la circulation des personnes dans l’espace francophone mondial. En effet, « on ne fera pas la Francophonie en fermant les frontières des pays francophones aux francophones, ni en les expulsant ». Le Canada et la France se sont opposés à cette convention. Et pourtant, elle avait été ramenée à l’extrême du raisonnable. « Les nouvelles générations du Sud vont et iront ailleurs avec un lourd bagage de ressentiments, délaissant de plus en plus l’espace francophone du Nord pour le continent américain. »

On avait toujours pensé qu’il serait impossible de bâtir une francophonie politique sans d’abord une francophonie culturelle qui prenne en charge les créateurs francophones, poètes, écrivains, artistes, ceux-là mêmes qui sont le jardin et l’arrosoir de la langue française. On s’est trompé ! Les politiques ont tout pris et sont en train de conduire, dans un cortège tranquille et silencieux, la dépouille de la Francophonie vers son tombeau. Nous ne voulons pas de cet enterrement. Nous voulons vivre et vivre avec la langue française en harmonie avec les langues africaines, pour bâtir un espace de dialogue et d’échange pour le meilleur de l’esprit !

Vous le premier, Monsieur le président de la République française, n’oubliez jamais cette formidable ceinture de fraternité que représente la Francophonie ! De l’Afrique à l’Océanie, de l’Europe à l’Asie, de l’Océan indien au Proche-Orient, en passant par les deux Amériques, voilà que sur les cinq continents, souffle l’esprit d’une grande et belle alliance. Alliance géopolitique, économique et humaine, parce que culturelle. Sauvegardez-là ! Et vous, chefs d’État africains francophones, nous vous demandons avec respect de cesser d’être des acteurs passifs et endormis. Rappelez-vous ce que ce grand historien et écrivain, illustre fils de la France, Alain Decaux, nous dit : « La France est minoritaire dans l’espace francophone ! » Alors, il est temps de mieux comprendre l’enjeu, mieux prendre vos responsabilités. Ensemble, réfléchissez et soumettez le poste de Secrétaire général de l’Organisation internationale de la Francophonie à un appel à candidatures francophone ou faites votre choix en ne donnant pas toute la place à la politique ! La situation actuelle nous a conduits à une panne dommageable au rayonnement de cette Francophonie qui nous tient tant à cœur. N’éteignez pas toutes les lampes !

Pour revenir à la Francophonie et à notre espace de partage, mes respects Monsieur le président de la République française ! Mes respects aux chefs d’État et de gouvernement de ma si chère Afrique ! Aidez-nous à « sauvegarder la dignité du rêve » francophone ! C’est vous qui en possédez les clés ! Qu’elles ouvrent à nouveau les portes de la pensée, du partage, de la beauté de la culture francophone métisse, du rassemblement ! Refondons dès à présent l’Organisation internationale de la Francophonie — Oif — pour refonder notre avenir culturel, artistique, politique commun, autour d’une langue française mariée à d’autres langues africaines aussi belles et fécondantes ! Pardonnez aux « yeux des poètes qui n’ont pas de paupières ». Ils vivent dans une grande et perpétuelle insomnie et attendent « l’étoile du matin » qui est « la lumière et l’illumination ».

Ne tardez plus, Monsieur le Président Macron ! Ne tardez pas, Messieurs les chefs d’État africains francophones ! La Francophonie est à genoux, sèche, sans voix et les reins brisés !
Remettez-lui ses anneaux d’or !




REVUE DE PRESSE DU 21 NOVEMBRE 2022

Par MF

ÉDITORIAL
La vaccination pour l’exemple

On aura donc tout lu, tout vu, tout entendu en matière de justification des mesures dites sanitaires, injections comprises, car le déni l’emporte sur la logique et la science, quand la corruption s’empare du monde de la santé au niveau international. La France est donc l’un des derniers pays à s’arc-bouter sur la non-réintégration des personnels suspendus, alors même que la situation des hôpitaux est catastrophique. L’Ordre continue de s’acharner sur des médecins compétents et intègres, tandis que les injections diminuent l’immunité ou qu’on découvre les graves nodules pulmonaires qui peuvent être causés par les microfibres des masques. Pendant ce temps l’épidémie régresse globalement dans le monde, ainsi que la vaccination, sauf en France qui injecte 4 fois plus que la moyenne.

POLITIQUE ET SOCIÉTÉ

Confinement, inégalités et psychologie des foules pendant la crise Covid

https://qg.media/blog/laurent-mucchielli/confinements-inegalites-et-psychologie-des-foules-pendant-la-crise-du-covid-19/

« Les processus de groupe et la psychologie des foules prédisent que, particulièrement en temps de crise, les gens seront enclins à s’en remettre aux gouvernements et aux autorités pour guider leur comportement.

Il existe également des données montrant que la crise COVID-19 a augmenté la détresse psychologique qui pourrait être liée aux défenses proximales et distales contre les pensées liées à la mort.

Historiquement, le mélange d’idéologie politique et de science, lorsque l’État réglemente la science, a conduit à des résultats désastreux.

La situation actuelle nécessite une guérison collective ».

Les politiques sanitaires ont été imposées à partir de fraudes scientifiques massives

« Corruption mathématique et épidémiologique », par Vincent Pavan, docteur en mathématiques.

« La question se pose maintenant de savoir, quelles décisions les autorités auraient prises en mars 2020, septembre 2020 et juin 2021, sachant que les modèles n’existent pas, que les paramètres ne sont pas connus et qu’on ne peut rien prédire. Car en soi, le Sars-Cov-2 n’est pas grave, le taux de létalité est le même qu’une grippe saisonnière d’intensité moyenne, les hôpitaux n’ont pas été saturés/ 

En France (et dans tous les pays occidentaux) TOUTES les décisions politiques majeures (confinement, passe sanitaire) ont été décidées et justifiées par des études mathématiques. SANS AUCUNE EXCEPTION, toutes ces études mathématiques et numériques reposent sur des escroqueries mathématiques qu’on peut démontrer. Des plaintes sont en cours, malgré une résistance évidente du parquet à mener des enquêtes. Cédric Villani — pourtant alerté et sans doute conscient des escroqueries mathématiques de par son niveau scientifique dans ce domaine — a collaboré à leur diffusion et a refusé de mener les enquêtes nécessaires. »

L’art de faire mentir les chiffres

https://www.covidhub.ch/la-fabrique-dune-pandemie/

« Pas d’hécatombe. Pas d’hôpitaux engorgés par le Covid. Pas de vague de malades/à peine 2 % des hospitalisations en 2020/5000 personnes tuées au Rivotril. / La soi-disant efficacité vaccinale s’est effondrée avec la fin du passe sanitaire/lien entre surmortalité et campagne de vaccination »

Dire la vérité, un préalable à la réconciliation

https://www.francesoir.fr/videos-les-debriefings/jean-dominique-michel-le-prealable-a-la-reconciliation

Un anthropologue de la santé analyse la crise Covid à l’aune de la corruption systémique du système de santé.

La punition pour l’exemple

« Mme FIRMIN ministre déléguée à la santé, refuse la réintégration des personnels non injectés, non parce qu’ils peuvent contaminer, mais parce qu’ils donnent un mauvais exemple aux personnes fragiles »

Soignants suspendus, des sénateurs accusent le gouvernement

https://www.francesoir.fr/politique-france/reintegrations-des-soignants-suspendus-des-senateurs-accusent-le-gouvernement-d

« “obstination coupable alors que l’hôpital est à l’agonie”

mesurespunitives” et « humiliantes » et en rien « sanitaires ».

Appel aux parlementaires

« Les gens pourraient apprendre de leurs erreurs s’ils n’étaient pas si occupés à les nier. »

Une conception scientiste et puritaine du droit

https://www.francesoir.fr/videos-les-debriefings/jean-dominique-michel-le-prealable-a-la-reconciliation

« Ce sont… des arguments principalement moraux qui sont avancés. Ils… traduisent une certaine conception de la santé et de la science. La santé, ce serait avant tout des valeurs du soin — on retrouve en filigrane la théorie du care — et non plus des compétences de soin. Et la science serait une croyance. »

ÉTRANGER

La crise Covid, une hallucination planétaire ?

https://www.aimsib.org/2022/10/30/la-covidomuraille-se-lezarde/

« Mise en examen du PDG de l’AFP pour diffamation envers les réalisateurs du documentaire “Hold-Up”/Ouverture d’une enquête Européenne sur l’illégalité supposée des achats de vaccins anti-Covid par l’Union. / La révolte de certains Députés Européens »

AUSTRALIE, les autorités de santé ne recommandent pas la 5e dose

https://www.francesoir.fr/societe-sante/les-responsables-australiens-de-la-sante-rejettent-une-5e-dose-de-vaccin-anti-covid

En raison de son faible impact sur la transmission.

CANADA, Toronto abandonne l’obligation vaccinale

 « La Ville a déclaré qu’elle réviserait continuellement cette politique, guidée par la science et les preuves »

ITALIE, fin de l’interdiction pour les agents de santé non vaccinés

https://www.reuters.com/business/healthcare-pharmaceuticals/italy-end-ban-health-workers-not-vaccinated-against-covid-2022-10-28/

JUSTICE

Victoire pour le Pr Perronne

« La Chambre Disciplinaire considère que le Pr PERRONNE, au regard de sa qualité d’infectiologue internationalement reconnu avait “l’obligation de s’exprimer dans le domaine qui relève de sa compétence”, durant la crise du COVID. »

Son interview « au défi de la vérité »

https://www.francesoir.fr/videos-le-defi-de-la-verite/perronne-decision-chambre-disciplinaire-ordre-medecin-retour

Cette victoire mènera-t-elle à la réintégration des soignants suspendus ?

https://www.francesoir.fr/tribunes/decision-chambre-disciplinaire-perronne-consequences-soignants-suspendus

« La liberté d’expression est un droit fondamental de tous les citoyens. / Durant la crise Covid, l’Ordre n’a pas respecté ses missions. »

Rien n’est moins sûr, le Pr Stéphane GAYET a été radié par le Conseil de l’Ordre

« J’ai été radié de l’Ordre des médecins pour des prescriptions faites qui n’ont causé aucun accident médicamenteux, ont amélioré la santé des patients, étaient peu onéreuses et ne m’ont rien rapporté. »

Et

https://docteur.nicoledelepine.fr/nouvelle-victime-du-conseil-de-lordre-le-dr-s-gayet-pour-avoir-gueri-ses-patients/

Un blâme pour un médecin ayant compromis la « sécurité » des patients

https://t.palace.legal/nl3/typVXMyPwNNkBzNBiY8A4g

La faiblesse de la sanction prononcée trahit la faiblesse des reproches qui avaient été faits à ce médecin.

Loi à caractère criminel, plainte contre X

http://ctiapchcholet.blogspot.com/2022/11/obligation-vaccinale-contre-la-covid-19.html

Extrait de la lettre du Dr Amine UMLIL :

« Il est aussi constant que l’administration, tout comme le juge, doit lire la loi et le règlement à la lumière du bloc de constitutionnalité, du droit européen et des conventions internationales. En l’espèce, cette loi, instaurant ladite obligation vaccinale est illégale. »

USA, la Cour suprême de New-York réintègre tous les personnels suspendus, avec rattrapage des salaires non versés

https://www.reuters.com/business/healthcare-pharmaceuticals/italy-end-ban-health-workers-not-vaccinated-against-covid-2022-10-28/

« Car le vaccin n’empêche pas un individu de contracter ou de transmettre le virus » 

COVID

Le point sur le Covid et ses variants dans le monde

https://www.covid-factuel.fr/2022/11/19/covid-situation-mondiale-et-variants/

« Un essaim de sous-variants étroitement liés, dérivant tous de la souche omicron/évolution depuis un an avec peu de soucis.

Cela se vérifie par les chiffres.

Ces dix-huit derniers mois, la mortalité aura été divisée par 10. Seule la vague Omicron dépasse la courbe d’évolution, non par sa virulence, mais par sa contagiosité : 3 à 4 fois plus, plus de cas, donc plus de décès, mais pas 3 ou 4 fois plus. »

Courbe des décès dans le monde 

« On vaccine de moins en moins dans le monde, sauf en France, 4 fois plus que la moyenne ! »

STRATÉGIES et TRAITEMENT

Syndrome d’épuisement induit par les masques et leur rôle dans les Covid longs

https://www.epochtimes.fr/comment-les-masques-ont-contribue-au-covid-long-2140451.html

« Dans plusieurs pays, les masques et les tests nasopharyngés fournis par les gouvernements ont été retirés du marché. Des microplastiques, des nanoparticules (de l’oxyde de graphène, du dioxyde de titane, de l’argent, de l’oxyde d’éthylène, des composés de colorants et du PFAS fluorés) et des métaux lourds ont été trouvés dans les masques et dans les tests nasopharyngés./Les masques et les tests ne font pas tous l’objet de contrôles systématiques. Un rapport de l’Institut néerlandais de santé publique (RIVM) publié en novembre 2021 indique que la sécurité des masques ne peut être garantie”. »

La liberté de soins

https://lecourrierdesstrateges.fr/2022/11/18/rendez-nous-la-liberte-de-soins-par-patrick-de-casanove/

« Soigner ne fait pas partie de la stratégie gouvernementale. »

La fin d’un mythe

https://www.francesoir.fr/entretiens/la-fin-d-un-mythe-si-c-est-un-virus-pas-d-antibiotique-interview-du-dr-claude-escarguel

« L’existence des bactéries “coopérantes” à la réplication d’un virus dans le corps humain est déterminante, avait été découverte par le Pr Montagnier et vient d’être confirmée par le Dr Carlo Brogna, du laboratoire italien CRANIOMED ».

Ceci explique l’efficacité des macrolides et cyclines.

Voir le lien ci-dessous :

Heurs et malheurs de l’hydroxychloroquine au fil de la chronologie du Covid

https://www.covid-factuel.fr/2022/11/11/hydroxychloroquine-petit-retour-historique/

Au début, l’HCQ fonctionne en ambulatoire. Le politique s’en mêle, la réserve aux hôpitaux (erreur funeste) et l’échec, logique, jette le discrédit sur la molécule. La messe est dite.

INJECTIONS

Les injections diminuent l’immunité

https://www.francesoir.fr/societe-sante/etude-du-lancet-montre-erosion-immunitaire-vaccines-au-fil-des-mois

Étude parue dans le Lancet :

« La fonction immunitaire des individus vaccinés huit mois après l’administration de deux doses de vaccin Covid-19 était inférieure à celle des individus non vaccinés ».

Et analyse de Jean-Marc Sabatier, directeur de recherche au CNRS.

Feu vert de l’agence européenne du médicament pour les vaccins dès 6 mois

https://www.francesoir.fr/politique-france/feu-vert-de-l-agence-europeenne-du-medicament-pour-les-vaccins-anti-covid-des-l

Absence de fondement scientifique, le Danemark et la Suède ne recommandent plus les injections chez les enfants.

USA, des enfants de 6 mois à 4 ans, cobayes pour le vaccin bivalent.

https://lecourrierdesstrateges.fr/2022/11/18/des-enfants-cobayes-pour-le-vaccin-bivalent-aux-usa/

« le Dr John Moore, immunologiste à la Weill Cornell Medicine, avait déjà déclaré que les nouveaux vaccins seraient “peu ou pas du tout meilleurs” que les formulations précédentes. Pour autant, les autorités sanitaires ferment les yeux, les commandes de vaccin ont été passées et continuent de l’être. »

Un premier vaccin sans aiguille

https://lecourrierdesstrateges.fr/2022/11/17/hexapro-premier-patch-vaccin-anti-covid-teste-en-australie/

« La société de biotechnologie Vaxxas a annoncé le lancement de l’essai clinique de phase I de son premier vaccin sans aiguille nommé HexaPro. La sécurité et l’innocuité du patch font partie des principaux critères d’évaluation. »

EFFETS INDÉSIRABLES

Contamination par les produits d’excrétion des vaccins

https://www.aimsib.org/2022/11/20/la-contamination-par-les-vaccins-a-arnm-est-elle-biologiquement-plausible-a-partir-dun-sujet-vaccine/

« Il existe de nombreux témoignages de personnes non vaccinées ayant présenté des symptômes identiques aux effets indésirables du vaccin après contact avec des personnes fraîchement vaccinées.

Une étude montre un excès de mortalité dans les classes d’âge non vaccinées au début des campagnes de vaccination, qui pourrait s’expliquer par un phénomène de transmission du vaccin ou de ses produits.

les études requises de pharmacocinétique et notamment d’excrétion du vaccin et de ses produits n’ont pas été réalisées malgré la réglementation en vigueur pour les thérapies géniques.

Les vaccins sont tous basés sur la protéine spike, reconnue depuis comme la principale responsable de la pathogénicité du virus SRAS-CoV-2 : si la transmission du vaccin ou du spike est possible, il est logique de retrouver les effets indésirables du vaccin chez des personnes non vaccinées en contact avec des personnes vaccinées. »

Une dose de plus, c’est une dose de trop

« Pour la 2ème fois en une semaine, les meilleurs scientifiques ont rapporté que les boosters d’ARNm Covid “spécifiques à Omicron” sont un gadget marketing. »

RÉSISTANCES

CSI du 10 novembre 2022

https://crowdbunker.com/v/tv1TKqie :



Invité : Denis Rancourt, PhD, Canada

Sujet : Les statistiques, la mort, et leurs manipulations

CSI 17 novembre 2022

https://crowdbunker.com/v/bzrQ1P8r :



Invité : Amine Umlil, pharmacien et responsable de la pharmacovigilance à l’hôpital de Cholet

Sujet : Protection du lanceur d’alerte : quelques règles à connaître

Le véritable Anthony Fauci



Film documentaire tiré du livre de Robert F Kennedy Jr, Le véritable Anthony Fauci, censuré, boycotté des librairies et des bibliothèques, est cependant un best-seller avec plus d’un million d’exemplaires vendus. Pendant plus d’un an de recherches et d’entretiens minutieux et méticuleux, Robert F. Kennedy Jr a mis au jour des vérités choquantes sur la collusion, la tromperie et la manipulation qui affectent la liberté, la santé et la sécurité de nos familles.

Ce documentaire donne la parole à différents experts qui prennent position contre le système de santé actuel, considéré comme criminel et nuisible, et plus particulièrement contre le Dr Anthony Fauci et son rôle dans les épidémies de SIDA et de COVID-19.

HOLD-OUT



« Ce qui est arrivé est impensable, le plus mauvais scenario de science-fiction, et ennuyeux en plus ! »




Abrutis de « complotistes » ?




Appel National à témoignages et hommages aux victimes des injections géniques expérimentales

[Source : Dépêches Citoyennes]

Par Jean-Pierre Eudier, président de la Ligue Nationale pour la Liberté de Vaccination






Les sénatrices Sylviane Noël et Laurence Muller-Bronn envoient une lettre au ministre François Braun pour exiger la réintégration des soignants suspendus

[Source : dissidentofficiel.com]

Les sénatrices Sylviane Noël et Laurence Muller-Bronn, qui sont intervenues de nombreuses fois au Sénat en faveur de la réintégration des soignants et autres personnels suspendus, réitèrent leur appel en adressant cette fois-ci une lettre directement au ministre de la Santé actuel, François Braun. Le moins que l’on puisse dire en lisant celle-ci est que leurs arguments sont franchement imparables, au point que le ministre n’aura pas le choix d’ignorer le message s’il souhaite persister dans le choix funeste de son prédécesseur Olivier Véran. Malheureusement, le fait que les personnes possédant de hautes responsabilités ne soient jamais confrontées frontalement sur leurs arguments est un problème. Cela ne nous empêche pas toutefois d’apprécier la mobilisation et la continuation du combat pour les libertés par les quelques figures du débat public qui ne cèdent pas à la tyrannie.

C’est le cas des deux sénatrices, qui dans cette lettre, fournissent des arguments très forts en faveur de la réintégration des soignants et des pompiers suspendus. Leur lettre a d’ailleurs été cosignée par plusieurs autres sénateurs de tous bords politiques.




La France doit se retirer de l’ONU

Par Lucien SA Oulahbib

Les choses ont bien sûr trop duré. Quelles choses ? Tout : hystérie sur l’alarmisme climatique ; névrose frénétique sur l’hygiénisme pathétique ; destruction en continu de l’agriculture, de l’industrie, malgré quelques soubresauts logistiques numériques (jeux vidéo) qui font le gras des commentateurs de BFM business ; enfin, faux humanisme sur la crise permanente du « réfugisme »… Commençons par ce dernier point…

Le défaut des pourfendeurs actuels vociférant à l’encontre du dernier bateau anti-citoyenneté des « sans frontières » consiste à jouer uniquement en défense (« placés en centre de vacances, ils jouent au foot en exigeant des chaussures neuves, les mineurs de 40 ans se sont enfuis »…) attirant les réponses blockchain sur automatique : « vous n’avez pas de cœur, une goutte d’eau dans le fleuve, ils iront repeupler les villages abandonnés et animer les “métiers sous tension”», or, peu importe ! Le problème n’est pas là, n’a jamais été là, mais plutôt au plus haut niveau lorsque l’ONU refuse toujours d’exclure les « États » mafieux qui se nourrissent non seulement de cette immigration en s’en débarrassant, mais aussi bénéficiant du flux financier qu’elle transmet sitôt en place.

Au fond, ces « États » n’ont jamais été « faillis », car n’ayant JAMAIS été des États, en l’occurrence de « droit » (au sens de la Rule of law). Le reste n’est que baratin.

Quitter l’ONU donc. En créer une autre ? Certainement, mais ce n’est pas la priorité. D’abord parce qu’il n’y a pas de « Communauté internationale », mais que des confrontations d’intérêts entre monstres froids aux visages d’ange. Et depuis la mascarade des dits « réfugiés palestiniens », cette institution est seulement devenue un formidable fromage pour « voraces » avec bien entendu toute une flopée de jeunes naïfs qui commencent à se coller le front sur des œuvres d’art à l’accès banalisé et finissent ensuite leur quarantaine dans les ONG huppées — danseuses à oligarques —, ces parvenus en mal de notoriété dans les Salons où il faut être (et pas seulement « exister » tel un pot de fleurs) surtout si l’on veut aborder telle personne vue-à-la-TV et ensuite l’exhiber dans le 3 étoiles (à la mode) et le 5 étoiles (spa) en vogue.

Qu’un Hubert Védrine participe à cette pantalonnade onusienne en signant une énième pétition de soutien aux palestinistes alors que ces gens ont refusé tous les plans de paix possibles et inimaginables concoctés en plus par leurs « amis » n’enlève rien au fait que cette fabulation a construit le cadre actuel des mensonges tiers-mondistes et aujourd’hui alter-islamiques posant le Nord comme cause absolue des malheurs du Sud et ce depuis au moins 1492, voire les « Croisades » (sans oublier le méchant Charles… Martel qui fait toujours pleurer certaines chaumières…).

Néanmoins, comme il n’y a pas de fumée sans feu, et que depuis ladite « guerre froide » les cowboys US comme les bureaucrates faillis du post-vichisme français ont en effet confondu les révoltes authentiques d’autochtones brimés et les manips des fanatiques léninistes avides de remplir leurs poches de belles femmes et de pognon public, il y a belle lurette que ces bras cassés ont alimenté divers ressentiments, financé des mafias, et créé les causes des malheurs dont ils se plaignent (hypocritement) des effets…

S’agissant maintenant du « reste » (le pauvre climat aux changements manipulés, les maladies à virus fabriqués, la globalisation affairiste enrichissant les mêmes), il va de soi que l’ONU et ses clones (OMS, OMC, BM, UNESCO, UNICEF…) restent les armes de destruction massive des peuples et des nations, en ce sens où loin de les aider à non seulement s’émanciper, mais à se développer qualitativement elles servent d’outils à la Secte SHA pour normaliser les humains qui les animent en corps sans âmes errant d’identité en identité au fil des modes consuméristes.

Mais pourquoi l’ONU et pas l’UE in first place, comme dirait nos amis brexiteurs ?… Parce que cela parle bien plus, tactiquement s’entend, nos compatriotes étant encore bien trop frileux et « addict » pour se passer de leur dose de dette payée en monnaie de singe européenne, sans même une figurine culturelle célèbre sur les billets et pièces comme autrefois sur la monnaie française. Certes, l’Allemagne voudra la place de la France au Conseil de Sécurité, au nom de « l’UE », grand bien lui fasse ! À quoi sert ce « machin » anyway ?… A-t-il empêché quoi que ce soit ces temps-ci ? Que nenni ! Et bien au contraire…

Et puis la Russie et la Chine seront toujours pour l’empêcher de tourner en rond, tandis qu’à l’Assemblée générale les grands États démocratiques comme l’Iran, l’Algérie, la Syrie, etc., feront tout ce qu’il faut pour condamner « l’apartheid »… d’Israël…

Il s’agit donc bien loin d’une boutade que de sortir de l’ONU et vite (en espérant fonder un jour une O.N.L : Organisation des Nations Libres), mais plutôt une question centrale : ainsi, pourquoi refuser le trafic d’esclaves en Méditerranée appelé pompeusement « crise migratoire » ? Parce que ce n’est pas à la France de s’en occuper, mais bien à ces faux États faillis et, à défaut, de leur mentor, l’ONU précisément qui pourrait mobiliser, bien plus qu’elle ne le fait en cette matière, tous ces milliardaires en mal de notoriété pour financer ces camps de réfugiés en attendant, comme l’UE le fait avec la Turquie s’agissant des millions de Syriens.

Mais, alors, diriez-vous, pourquoi quitter l’ONU si vous en appelez toujours à ses services ? Précisément parce qu’elle ne fait pas ce qu’il faut, et ce, comme si c’était exprès… Donc la politique, déjà, de « la chaise vide » serait un pas. Et puis répondre « complotiste » peut être une solution média de grand chemin, mais n’aide pas vraiment, même si ce mantra peut toujours soulager dans les Salons où (dis) paraître…




Sans réglementation, les aliments OGM — génétiquement « modifiés » — sont progressivement remplacés par des aliments génétiquement « édités »

[Source : geopolitique-profonde.com]

L’édition de gènes, une technologie médicale appliquée à la nourriture, sans règlementation

L’édition de gènes est depuis longtemps utilisée principalement pour la recherche, le traitement et la prévention des maladies.

Actuellement, cette technologie est de plus en plus appliquée pour modifier les produits agricoles, afin de créer des espèces plus « parfaites ». De plus en plus d’aliments « génétiquement modifiés » apparaissent sur le marché, notamment des tomates à haute teneur en nutriments et de l’huile de soja à teneur nulle en graisses trans.

Certains affirment que les aliments génétiquement édités sont plus sûrs que les aliments génétiquement modifiés [OGM] (pdf).

Le ministère américain de l’Agriculture (USDA) a précisé en 2018 que la plupart des aliments génétiquement édités n’ont pas besoin d’être réglementés.

Cependant, ces aliments qui apparaîtront de plus en plus sur les tables sont-ils vraiment sans risque ?

Modification génétique 2.0 : des aliments introduits depuis 2021 à l’insu du consommateur?

En septembre 2021, les premiers aliments génétiquement édités – les tomates siciliennes souges – fabriqués avec la technologie CRISPR-Cas9 ont été officiellement mis en vente.

Cette tomate génétiquement éditée contient des niveaux élevés d’acide gamma-aminobutyrique (GABA), qui contribue à réduire la pression artérielle et à favoriser la relaxation.

Des chercheurs japonais retirent un gène du génome de la tomate commune. Après l’élimination du gène, l’activité d’une enzyme dans les tomates augmente, favorisant la production de GABA. La teneur en GABA de cette tomate est quatre à cinq fois plus élevée que celle d’une tomate ordinaire.

Warren H. J. Kuo, professeur émérite du département d’agronomie de l’université nationale de Taïwan, explique que l’édition de gènes et les OGM constituent tous deux une modification génétique, également appelée génie génétique.

La technique la plus ancienne était la modification génétique [OGM], c’est-à-dire la transgénèse, qui consiste à insérer dans une plante ou un animal un gène d’une autre espèce, par exemple un gène bactérien spécifique.

L’objectif de la modification artificielle des plantes et des animaux est :

  • D’améliorer leur résistance aux maladies et aux sécheresses,
  • De favoriser leur taux de croissance,
  • D’augmenter leur rendement,
  • D’améliorer leur teneur en nutriments.

Toutefois, le produit fini présentera les gènes de l’espèce étrangère.

Selon Kuo, la modification transgénique est une « modification génétique 1.0 », tandis que l’édition génétique est une « modification génétique 2.0 ».

L’édition de gènes modifie directement les gènes de l’organisme lui-même, de sorte que la plupart d’entre eux ne présentent pas de gènes étrangers.

Cependant, la technique d’édition de gènes la plus courante, CRISPR-Cas9, introduit des gènes étrangers comme outil d’édition, puis supprime les gènes étrangers transplantés.

Alors que les tomates génétiquement éditées ont été mises sur le marché, le Japon a également approuvé deux types de poissons génétiquement édités par CRISPR : le poisson-tigre et la dorade rouge.

Ces poissons sont génétiquement édités pour accélérer la croissance musculaire. Parmi eux, le poisson-tigre génétiquement édité pèse près de deux fois le poids que l’espèce ordinaire.

En 2019, les États-Unis avaient déjà utilisé une autre technique d’édition génétique pour créer une huile de soja sans gras trans et l’avaient mise sur le marché.

Les aliments génétiquement édités dont la vente a également été approuvée dans le monde entier à ce jour comprennent le soja, le maïs, les champignons, le canola et le riz.

Leur nombre sur le marché est susceptible de fortement augmenter. Les demandes de CRISPR, relatives aux brevets de « produits agricoles commerciaux édités » sont montées en flèche depuis la période 2014/2015.

Les aliments génétiquement édités présentent deux risques majeurs

Les partisans de la modification génétique estiment qu’il s’agit d’une méthode [l’édition de gène CRISPR] permettant de perfectionner les produits agricoles et de résoudre des problèmes tels que les parasites, les sécheresses et les carences nutritionnelles. Mais cette technologie reste une arme à double tranchant.

« Le génie génétique présente effectivement des avantages à court terme, mais il peut entraîner des écueils à long terme », a déclaré Joe Wang, biologiste moléculaire. Wang est actuellement chroniqueur pour The Epoch Times.

Les bovins sans cornes étaient autrefois la célébrité du règne animal, apparaissant dans de nombreux reportages.

De nombreuses races de vaches laitières ont des cornes, mais elles sont écornées pour les empêcher de nuire aux humains et aux autres animaux, et pour gagner de la place dans les mangeoires.

Pour résoudre le « problème » des cornes, la société Recombinetics, spécialisée dans l’édition de gènes, a réussi à produire des bovins sans cornes grâce à des techniques d’édition de gènes il y a plusieurs années.

La société a simplement ajouté quelques lettres d’ADN au génome de bovins ordinaires et leur progéniture n’a pas eu de cornes non plus.

Cependant, quelques années plus tard, un accident s’est produit.

La FDA a découvert que la séquence génétique modifiée d’un taureau contenait une portion d’ADN bactériens comprenant un gène conférant une résistance aux antibiotiques, qui a été l’une des crises sanitaires mondiales de ces dernières années.

Les scientifiques ignorent si ce gène présent dans le bétail génétiquement édité posera ou non un risque plus important que prévu, et la FDA a souligné qu’il ne présentait aucun danger.

Toutefois, John Heritage, microbiologiste retraité de l’université de Leeds, a déclaré au MIT Technology Review que le gène de résistance aux antibiotiques pourrait être absorbé par les bactéries intestinales des bovins et créer des possibilités imprévisibles de propagation.

En réalité, c’est l’un des risques couramment admis des aliments génétiquement modifiés.

Accidents génétiques, de nouvelles sources de toxines

Le problème des accidents imprévus dans le processus de modification génétique se pose pour les aliments génétiquement modifiés, car les techniques transgéniques ne peuvent pas contrôler l’endroit où le gène étranger est intégré dans le chromosome.

Kuo a utilisé l’exemple d’une étude qui a comparé les protéines de soja transgénique et de soja non transgénique.

Ces graines de soja transgéniques étaient initialement dotées d’un seul gène étranger et auraient dû contenir une seule protéine inexistante auparavant.

Or, la comparaison a montré qu’il existait une différence d’environ 40 protéines entre les deux : la moitié des protéines étaient présentes à l’origine, mais ont disparu après la modification transgénique ; l’autre moitié n’était pas présente, mais a été ajoutée après la modification transgénique.

En revanche, les techniques émergentes d’édition de gènes permettent une modification plus précise de gènes spécifiques (pdf). C’est comme si un tailleur modifiait une section d’une fermeture éclair en coupant un segment spécifique et en le remplaçant par un nouveau. Cependant, il peut y avoir des erreurs et des changements inattendus dans le processus de coupe et de réparation, et une autre section similaire de la fermeture éclair peut également être coupée.

Selon Kuo, ce processus peut avoir des effets secondaires imprévus, par exemple si de nouvelles protéines allergisantes ou de nouvelles toxines sont produites.

« La procédure de génie génétique, et cela inclut l’édition de gènes, a le potentiel d’endommager l’ADN »a déclaré le Dr Michael Antoniou, généticien moléculaire, chef du groupe d’expression et de thérapie génétique au King’s College de Londres, dans une interview en avril 2022.

« Si vous modifiez la fonction d’un gène, vous modifiez automatiquement la biochimie de la plante …Cette modification de la biochimie peut entraîner la production de nouvelles toxines et de nouveaux allergènes… c’est ma principale préoccupation. »

L’utilisation des herbicides en augmentation constante

Les résidus d’herbicides constituent une autre préoccupation majeure concernant les aliments génétiquement modifiés.

Culture pulvérisée aux herbicides

La plupart des cultures, qu’elles soient génétiquement éditées ou génétiquement modifiées, comporte des gènes de résistance aux herbicides. Ainsi, lorsque des herbicides sont appliqués aux cultures pour lutter contre les mauvaises herbes, les cultures elles-mêmes ne sont pas endommagées.

Lorsqu’ils plantent des cultures résistantes aux herbicides, les agriculteurs peuvent utiliser ceux-ci « assez généreusement ».

Mais, à long terme, les mauvaises herbes que les agriculteurs ciblent, deviennent elles aussi de plus en plus résistantes aux herbicides, ce qui entraîne un accroissement de leur utilisation et de la résistance des végétaux ciblés.

Depuis l’introduction des cultures génétiquement modifiées résistantes aux herbicides en 1996, l’utilisation de ces derniers a connu une croissance significative chaque année. Les résidus d’herbicides dans les cultures augmentent également.

Des herbicides pourtant reconnus cancérogènes et toxiques à long terme

L’un des herbicides les plus utilisés est le glyphosate sous le nom commercial de Roundup.

Le Centre international de recherche sur le cancer (CIRC) classe le glyphosate parmi les substances cancérigènes du groupe 2A, probablement cancérigènes pour l’homme.

Stephanie Seneff, chercheuse au Massachusetts Institute of Technology (MIT), et Anthony Samsel, consultant scientifique, ont déclaré dans leur étude, que 80 % des cultures génétiquement modifiées, notamment le maïs, le soja, le canola, le coton, la betterave à sucre et la luzerne, sont spécifiquement introduites avec des gènes de résistance au glyphosate.

En plus des problèmes de cancérogénicité, le glyphosate pourrait avoir des effets plus nocifs.

Ils ont rassemblé et examiné 286 études et ont indiqué que le glyphosate inhibe l’activité d’une enzyme dans les mitochondries des cellules du foie – le cytochrome P450 – qui a la capacité de détoxifier et de décomposer les substances toxiques étrangères.

En outre, le glyphosate a également des effets négatifs sur le microbiote intestinal.

Ces effets ne sont pas immédiatement apparents, mais à long terme, ils peuvent contribuer:

  • Aux maladies inflammatoires de l’intestin,
  • À l’obésité,
  • À la dépression,
  • Au trouble déficitaire de l’attention avec hyperactivité (TDAH),
  • À l’autisme,
  • À la maladie d’Alzheimer,
  • À la maladie de Parkinson,
  • À la sclérose latérale amyotrophique (SLA),
  • À la sclérose en plaques, au cancer
  • À l’infertilité
  • Aux anomalies du développement.

Une étude animale publiée dans Environmental Health montre que l’exposition à long terme à des doses ultra-faibles de glyphosate provoque des maladies du foie et des reins chez les rats.

Les aliments génétiquement édités doivent-ils être réglementés ?

Le débat sur la question de savoir si les aliments génétiquement modifiés sont sûrs ou non n’est pas encore tranché.

De nombreux défenseurs de la modification transgénique et de l’édition de gènes estiment que les gens mangent des cultures génétiquement modifiées depuis plus de 20 ans et qu’il n’y a toujours pas de preuve qu’elles aient causé des problèmes de santé humaine.

D’autres soutiennent qu’elles contribuent à des dommages à long terme qui sont encore en train d’être mesurés.

Kuo a déclaré que les aliments génétiquement modifiés ne sont pas des médicaments hautement toxiques causant des problèmes immédiats.

Les problèmes de santé peuvent être le résultat d’un phénomène cumulatif, et il est difficile de les relier à une cause alimentaire unique. Il n’a pas été prouvé, ni exclu, que les aliments génétiquement modifiés soient à l’origine de ces problèmes de santé.

À l’heure actuelle, plusieurs pays ont adopté un principe d’alerte précoce pour les aliments génétiquement modifiés, stipulant que les commerçants doivent étiqueter leurs produits. C’est au consommateur de décider de les acheter ou non.

Les aliments génétiquement édités nécessiteront-ils un étiquetage spécifique ?

Certains affirment que, puisque ces aliments ne présentent pas de gènes étrangers, il ne devrait pas y avoir une telle réglementation.

M. Kuo estime qu’il s’agit d’un argument fallacieux, étant donné que l’outil utilisé pour modifier les gènes originaux était en fait des gènes étrangers, et que la méthode comporte le risque que ces gènes étrangers ne soient pas complètement éliminés.

Il est important de soulever, que les réglementations relatives aux aliments modifiés par édition de gènes sont beaucoup plus souples dans les différents pays que celles relatives aux OGM.

L’USDA [Département de l’Agriculture des États-Unis] a toujours déclaré que les produits agricoles génétiquement édités ne sont pas réglementés.

Les technologues des plantes reçoivent généralement le feu vert quelques mois après avoir soumis leurs demandes à l’agence, ce qui leur permet de cultiver des aliments génétiquement édités sans surveillance.

Outre les États-Unis, le Brésil et l’Australie, ainsi que d’autres pays, ont également adopté des approches réglementaires similaires.

La réglementation européenne est plus stricte. [Pour le moment?]

M. Antoniou affirme que, puisque ces produits agricoles génétiquement édités ne sont pas surveillés, les gènes inattendus qu’ils portent sont libérés dans l’environnement et lui causeront des dommages.

Ils peuvent également nuire au public en raison de la compréhension insuffisante de leurs risques par la communauté scientifique.

Wang a déclaré que les scientifiques qui soutiennent l’édition de gènes pensent que ce qu’ils font maintenant se produira également dans la nature, bien qu’à un rythme plus lent. Ils se contentent de l’accélérer.

« Cependant, les humains ne sont pas des dieux et ne peuvent pas tout contrôler. Lorsque les humains font de telles choses, les chances d’erreurs et de dangers sont définitivement plus élevées que ce qui se passe naturellement », a déclaré Wang.

« Nous, les humains, violons les lois de la nature depuis longtemps », a déclaré Kuo.




Mondial 2022 : Le pari perdu du chantage de l’Occident face au Qatar

[Source : algerie54.dz]

Par Mehdi Messaoudi

Le 2 décembre 2010, à la surprise générale, le Comité exécutif de la FIFA (Fédération internationale de football association) dirigé par le Suisse Sepp Blatter attribue l’organisation de la Coupe du Monde du football 2022 au Petit État du Golfe, le Qatar, au détriment des pays comme les USA ou la Grande-Bretagne.

Lors de cette attribution, personne n’est venu évoquer la démocratie au Qatar ou le respect des Droits de l’Homme malgré les soupçons de corruption qui pesaient sur certains influents membres de la FIFA, comme son président Sepp Blatter, le président de l’UEF (le français Michel Platini) ou le l’ancien secrétaire général de la FIFA (le Français Jérôme Valcke).

Le Qatar est-il devenu moins démocratique et moins respectueux des droits de l’homme aujourd’hui ?

Certainement pas ! Le seul changement opéré dans ce pays est l’arrivée au pouvoir de l’Emir Cheikh Tamim Bin Hamad Al Thani, succédant à son père Hamad Al Thani, ainsi que la réussite à offrir aux participants à la compétition et aux hôtes des infrastructures de haute facture que même les Européens ne peuvent réaliser.
Axer les critiques sur un reportage publié par le tabloïd britannique The Guardian faisant état de la mort de 6500 travailleurs népalais, philippins, pakistanais, bengalais, sri-lankais, afghans et thaïlandais s’avère un léger argument que même l’organisation internationale du travail OIT, ne peut confirmer.

Le Qatar partenaire de l’OTAN lors de l’invasion de la Libye et l’agression contre la Syrie

À juste titre, personne en Occident — gouvernements, médias et ONG des Droits de l’Homme — ne se souciait des droits des travailleurs asiatiques dans les chantiers qataris quand le Qatar offrait ses services et ses finances pour faire chuter la Libye de Mouammar El Gueddafi, au nom du respect des droits de l’homme et de l’exportation de la démocratie au nom de ce qui est appelé « Printemps arabe ». Idem pour la Syrie, dont la civilisation millénaire a été détruite par les Occidentaux, les groupes terroristes et aussi les monarchies du Golfe, dont le Qatar

Le chantage du gaz

Comment est-on arrivé au chiffre macabre de 6500 victimes ? Il est clair que l’argument pue le chantage politico-économique pour des pays occidentaux qui cherchaient à être approvisionnés en gaz qatari pour faire face à un hiver qui s’annonce rude après les sanctions imposées à la Russie.

L’Allemagne, le Royaume-Uni et à un degré moindre la France mènent par le biais des médias Mainstream et des officines, une campagne organisée contre le Qatar qui aurait refusé d’approvisionner ces pays en quantités supplémentaires en GNL, prétextant à juste titre son respect des contrats à long terme conclus avec des pays tiers.

Les dirigeants germaniques qui se sont rendus à Doha n’avaient pas réussi à convaincre les responsables qataris pour obtenir des volumes massifs de GNL dont elle a besoin l’Allemagne pour réduire sa dépendance au gaz russe. Le Qatar, le plus grand fournisseur de GNL au monde, spécifie également des conditions telles qu’une clause de destination qui empêcherait Berlin de réacheminer le gaz vers d’autres régions d’Europe, une condition à laquelle l’Union européenne s’oppose.

Le Qatar est également ferme sur l’indexation au pétrole, liant les contrats au prix du pétrole, ce qui représente la structure de prix de leurs ventes alternatives en Asie, tandis que les Allemands cherchent à être liés à l’indice de référence néerlandais TTF.

En mars dernier, le ministre allemand de l’Économie Robert Habeck s’est rendu au Qatar, en compagnie de responsables des services publics allemands RWE et Uniper, pour discuter de l’achat de volumes supplémentaires, mais aucun accord n’a été conclu jusqu’à présent.

Infantino dénonce l’hypocrisie occidentale

Moins de 24 heures avant le début du Mondial qatari, l’actuel président de la FIFA, Gianni Infantino, ne manqua pas l’opportunité de dénoncer l’hypocrisie occidentale, en balayant des « leçons de morale » qui relèvent de l’« hypocrisie », à la veille du coup d’envoi du plus grand événement sportif planétaire après les Jeux olympiques.

« Ce qui se passe en ce moment est profondément injuste. Les critiques sur le Mondial sont hypocrites », a-t-il en effet dit à l’adresse des journalistes, lors d’une conférence de presse inaugurale.

« Pour ce que nous, les Européens, avons fait au cours des 3000 dernières années, nous devrions nous excuser pour les 3000 prochaines années avant de donner des leçons de morale aux autres. Ces leçons de morale sont juste de l’hypocrisie », a-t-il insisté.

Gianni Infantino s’est dit se sentir aujourd’hui « Qatari, Arabe, Africain, handicapé, et travailleur migrant ».

« Cela me renvoie à mon histoire personnelle, parce que je suis le fils de travailleurs migrants. Je sais ce que cela veut dire d’être discriminé, d’être harcelé, en tant qu’étranger. Enfant, j’étais discriminé (en Suisse) parce que j’étais roux et j’avais des taches de rousseur, j’étais Italien, je parlais mal l’allemand », a soutenu le patron de la FIFA.

Le « corrompu » Blatter avoue son erreur

La sortie inattendue de l’ancien président de la FIFA, l’helvétique Sepp Blatter, est loin d’être innocente à quelques jours de l’entame de la plus prestigieuse compétition, en avouant que l’attribution de la coupe du monde 2022 au Qatar en 2010, était une erreur, rappelant que la rencontre entre Nicolas Sarkozy et Michel Platini pourrait avoir influé sur l’issue du scrutin.

Blatter, âgé de 86 ans, a émis ces commentaires au conglomérat médiatique suisse Tamedia à l’occasion de sa première entrevue d’envergure depuis qu’il a été blanchi en juillet, avec M. Platini, des accusations d’inconduite financière à la FIFA, au terme d’un procès criminel en cour fédérale.

« Ce pays est trop petit, a dit Blatter au sujet du Qatar, le plus petit en taille depuis la tenue de la Coupe du monde en Suisse en 1954. Le soccer et la Coupe du monde sont trop imposants pour sa taille. »

Andrew Jenings et Blast-Infos ne sont pas du même avis que Blatter

Le journaliste écossais Andrew Jennings auteur du livre « scandale de la FIFA », et aussi « carton rouge » révèle les pratiques courantes au sein de la plus grande instance footballistique au monde.

Andrew Jennings a enquêté pendant quatre ans sur les coulisses de la FIFA, sans jamais céder aux pressions. Commissions occultes, élections truquées, marchés suspects et intérêts juteux, rien ne lui a échappé. Un livre choc, totalement explosif, qui avant même sa parution a provoqué la colère de la FIFA et de son président, lesquels ont tenté d’obtenir son interdiction. Ce sont les membres du comité exécutif de la toute-puissante FIFA, qui gèrent plusieurs centaines de millions de dollars par an, dont une bonne partie en liquide, dans l’opacité la plus totale. Leur train de vie ? Très aisé… ce qui n’est guère étonnant quand on découvre qu’à leur salaire confortable viennent s’ajouter des frais personnels souvent surprenants, jamais imposables. Quant à leur président, Joseph « Sepp » Blatter, le mystère est total sur ses émoluments. Comme son prédécesseur, le sulfureux Joào Havelange, il a le sens de la famille, le goût du secret, du pouvoir et de l’argent, et ne recule devant aucun obstacle.

Pour sa part, le média français en ligne Blast-info avait publié une enquête intitulée la « Qatar connection », en publiant un document explosif, au sujet de l’attribution de la coupe du monde 2022 au Qatar.

A contrario, les révélations d’Andrew Jenings et de Blast-info.fr n’ont pas eu d’échos, comparativement au reportage du tabloïd britannique The Guardian.

Quand la FIFA soutenait les dictatures de l’AMSUD

Évoquer aujourd’hui certains critères exigés pour l’attribution des compétitions internationales, comme le respect des Droits de l’Homme, est un grand mensonge. Ni l’occident qui soutient l’armée la plus morale du monde et les crimes les plus démocratiques d’Israël ni la FIFA ne sont en mesure de donner de leçons de morale.

La Russie a été privée de compétition parce qu’elle a « envahi » l’Ukraine, alors que les USA qui avaient envahi l’Irak et assassiné des centaines de milliers d’Irakiens ont été organisateurs du Mondial 1994, et avaient participé à toutes les compétitions (1998, 2002, 2006, 2010, 2014, 2018 et aussi 2022) et s’apprêtent à organiser celle de 2026. Idem pour la France de Sarkozy qui avait détruit la Libye. Cette même France coloniale avait été soutenue par la FIFA en pleine guerre d’Algérie. Une instance qui avait été totalement hostile à l’équipe algérienne du FLN. Lire l’article « La FIFA contre la révolution algérienne » d’Ahmed Bensaada.

Par ailleurs, il faut rappeler que la FIFA avait attribué la coupe du monde 1978 à la dictature argentine, permettant même à l’équipe albiceleste de remporter le trophée. Dans un long article intitulé « Sanctions sportives contre la Russie : Lorsque la FIFA collaborait avec les dictatures militaires », l’auteur et chercheur algérien Ahmed Bensaada évoquait les règles malsaines de l’instance footballistique internationale, devenant un instrument entre les mains des commanditaires du gouvernement mondial et du monde unipolaire.

Le Qatar met à nu les valeurs du néolibéralisme

Aujourd’hui, il est nécessaire de saluer la position des dirigeants qataris opposés à l’exportation des valeurs du néolibéralisme et de l’Open Society, cher à Georges Soros.

Parmi les valeurs que les officines occidentales tentaient d’imposer à Doha : les LGBT, valeur sûre du démantèlement des sociétés au nom de la liberté individuelle. Le Qatar a mis à nu le plan diabolique occidental d’exporter des valeurs étrangères à la société musulmane, de ce pays, en refusant le diktat des ONG et leur propagande destructrice. Place au Football.




Le véritable Anthony FAUCI — Partie 1

[Source : Quantum Leap Traduction]

Film documentaire tiré du livre de Robert F Kennedy Jr, Le véritable Anthony Fauci, censuré, boycotté des librairies et des bibliothèques, est cependant un best-seller avec plus d’un million d’exemplaires vendus.

[Voir Fauci et la grande arnaque du SIDA]

Pendant plus d’un an de recherches et d’entretiens minutieux et méticuleux, Robert F. Kennedy Jr. a mis au jour des vérités choquantes sur la collusion, la tromperie et la manipulation qui affectent la liberté, la santé et la sécurité de nos familles.

Ce documentaire donne la parole à différents experts prenant position contre le système de santé actuel, considéré comme criminel et nuisible, et plus particulièrement contre le Dr Anthony Fauci et son rôle dans les épidémies de SIDA et de COVID-19.

Participants a ce projet :
Quantum Leap Traduction
https://odysee.com/@quantumleaptraduction:2

Quadrillage Traduction
https://odysee.com/@QuadrillageTraduction:1

Le Déclencheur
https://odysee.com/@Q…uestions:6

Elo Trad
https://odysee.com/@Elo:84

Quartz Traduction
https://odysee.com/@Quartz:1

Viviane
https://odysee.com/@vcuendet:1

L’Aile à Stick
https://odysee.com/@laileastick:4

Jeanne Traduction
https://odysee.com/@JeanneTraduction:a

Motous
https://odysee.com/@laurent.scalet:b

Akina
https://odysee.com/@AKINA:7

Ainsi que Mika pour sa participation à la traduction






CBDC : Comment le COVID est devenu la voie de la surveillance financière mondiale

[Source : aubedigitale.com]

Par JOSHUA STYLMAN

Il semble évident depuis un certain temps que le système monétaire actuel est, au mieux, instable. Au pire, c’est un système de Ponzi dont le temps a expiré. Si c’est le cas, je soupçonne les banquiers centraux et les 0,1 % de le savoir et d’être prêts à introduire le nouveau système avant que l’ancien ne s’effondre sur lui-même – même s’ils le pillent au passage avec le transfert de richesse le plus important de l’histoire humaine.

Pour quiconque prête attention à ces tendances, il semble évident que les monnaies numériques des banques centrales (CBDC) seront ce nouveau système.

[Voir aussi :
Les monnaies numériques des banques centrales arrivent — Quelles en seront les conséquences ?
Ce que planifient les banquiers centraux d’après Catherine Austin Fitts
Enjeu stratégique COVID-19: La gouvernance mondiale, la « tyrannie digitale » et le projet de dépopulation]

Tout porte à croire que l’arrivée des CBDC est imminente. Mardi, plusieurs banques mondiales ont annoncé un partenariat avec la Réserve fédérale de New York pour piloter des dollars numériques. Étant donné l’omniprésence des cartes de crédit et de débit, des applications de paiement et d’autres systèmes de paiement en ligne, l’argent numérique ne pouvait que se produire depuis un certain temps. Le risque n’est pas la partie électronique, qui est inévitable – c’est le fait qu’une banque centrale supervisera la monnaie numérique.

De mon point de vue, il est impossible de surestimer le risque présenté par les CBDC. Qu’il s’agisse d’une vision utopique fondée sur de bonnes intentions ou d’un sinistre complot visant à écraser notre souveraineté, le résultat peut être le même : le contrôle. Une monnaie numérique de banque centrale présente tous les inconvénients de la monnaie fiduciaire, plus les couches supplémentaires de surveillance et de programmabilité supervisées par l’État.

De nombreuses personnes de l’équipe Reality se sont probablement senties comme des dissidents au cours des dernières années, simplement parce qu’elles remettaient en question la mentalité du troupeau. Poser des questions ou parler à contre-courant de sujets tels que les origines probables du Covid, l’utilité de la méthode PCR, le risque pour la majorité de la population, les avantages d’un traitement précoce, les avantages de l’immunité naturelle, la sécurité et l’efficacité des vaccins, les avantages et les inconvénients des masques et des confinements, et l’utilité des passeports vaccinaux a créé un environnement où les gens étaient stigmatisés, aliénés ou carrément censurés. Imaginez un système monétaire doté de caractéristiques permettant de modifier socialement notre mode de vie. Par exemple :

  • La santé : « Vous n’avez pas pris votre dose de rappel… désolé, vous n’êtes pas autorisé dans les espaces publics. »
  • Énergie : « Vous avez utilisé votre quota énergétique ce mois-ci… désolé, votre voiture électrique ne démarrera pas. »
  • Alimentation : « Vous avez mangé trop de viande cette semaine… désolé, votre argent n’est bon que pour les plantes (ou les insectes). »
  • Épargne : « Si vous ne prenez pas vos rations bientôt… désolé, votre argent expirera à la fin du mois. »
  • Liberté d’expression : « Vous avez partagé une info avec laquelle nous ne sommes pas d’accord… désolé, notre algorithme vous met à l’amende ». (PayPal s’y met déjà).

Si les CBDC deviennent finalement le nouveau système monétaire, leurs caractéristiques essentielles feront en sorte que les gouvernements mondiaux n’auront plus besoin d’un événement tel qu’une crise sanitaire mondiale pour imprimer de la monnaie ou fermer la société. Des lignes de code peuvent façonner notre comportement et faire en sorte que nous soyons obligés de rester chez nous. La plateforme entière sera conçue pour expulser le travail qui n’est plus jugé nécessaire. Alors que je croyais initialement que les interventions pharmacologiques dirigées par l’État étaient une menace isolée et aiguë à cette époque, il est devenu évident qu’elles n’étaient qu’un tentacule d’une bête beaucoup plus grande. Quelles que soient les forces qui insinuent cette direction dans le monde (je t’observe, Davos), elles se sont révélées être implacables dans leur poursuite de la perpétuation de la peur et du pouvoir.

Je suis bien conscient que cela peut sembler insensé, surtout pour ceux qui n’ont pas prêté attention à cette tendance depuis un certain temps. Il y a quelques années, j’aurais pensé que c’était absurde, mais après avoir été témoin des mensonges, des tromperies et des tentatives de contrôle du gouvernement, je crains que ce ne soit la direction que nous prenons. Si l’on considère que les obligations en matière de vaccins n’avaient aucun objectif médicalement justifiable, il est tout à fait plausible qu’elles n’aient été qu’une rampe de lancement pour normaliser une société « papiers s’il vous plaît ». À New York, où je vivais jusqu’à récemment, la plupart des gens acceptaient les passeports vaccinaux et adoraient l’application mobile Excelsior Pass parce qu’elle était pratique. Combien de personnes éprouveront le même sentiment à l’égard de la monnaie numérique, qui apportera sans aucun doute son lot d’avantages ?

La monnaie numérique de la banque centrale permettra aux gouvernements d’imposer un contrôle du haut vers le bas, à la manière du score de crédit social chinois. Certains banquiers centraux disent tout haut ce qu’ils pensent tout bas. Que ce soit ou non l’objectif du programme, y a-t-il déjà eu un moment dans l’histoire où les gouvernements ont rejeté le pouvoir qui leur est donné ? À ce stade, il ne s’agit pas non plus d’une théorie de chapeaux en alu. Il existe de nombreux exemples montrant que ce type de coercition financière est déjà en cours.

  • Le gouvernement demande maintenant aux gens de demander des cartes plastiques « My Number » équipées de puces électroniques et de photos, qui seront liées aux permis de conduire et aux régimes publics d’assurance maladie. Les cartes d’assurance maladie actuellement utilisées, dépourvues de photo, seront supprimées à la fin de 2024. Les personnes devront utiliser les cartes My Number à la place. »
    Source
  • « Le nouveau laissez-passer garantira l’attribution de quotas de carburant sur une base hebdomadaire. Un code QR sera attribué pour chaque numéro de carte nationale d’identité (CNI), une fois que le numéro d’identification du véhicule et d’autres détails auront été vérifiés. »
    Source
  • « Selon un rapport de 9News Queensland, le ministère a décidé que les enseignants non vaccinés qui ont été autorisés à reprendre leur emploi ce trimestre après avoir été placés en congé sans solde, subiront un autre coup financier, avec une ‘réduction de la rémunération’ pour une période de 18 semaines. »
    Source
  • « L’essai, qui est volontaire, utilisera la reconnaissance faciale pour identifier les personnes et le nombre de billets qu’elles possèdent. La technologie pourrait être étendue pour couvrir les achats automatisés aux stands de concession, aux restaurants et aux bars. »
    Source
  • « Dans le cadre des plans récemment annoncés par le gouvernement, l’Ouganda commencera à récolter les données ADN et biométriques de ses citoyens lorsque leurs cartes expireront en 2024, afin de les utiliser dans son programme d’identité numérique remanié. »
    Source

Ce n’est que la partie émergée de l’iceberg, et c’est mondial. Comme nous l’avons vu avec les confinements, la Chine est le modèle imité en Occident. Comme la progression vers des mesures autoritaires liées à la santé, des mondialistes non élus ayant des intérêts financiers se cachent en arrière-plan.

J’aimerais bien me tromper sur tout cela. Cependant, jusqu’à preuve du contraire, nous devons nous méfier de tous ceux qui perpétuent cette voie dangereuse, quelles que soient leurs motivations.

Pour approfondir ce sujet, je recommande vivement cet essai de Fabio Vighi sur la politique monétaire du covid à long terme. Edward Dowd a également beaucoup parlé de la relation entre le système monétaire et le Covid, notamment lors de cette présentation qui ouvre les yeux. Ensuite, l’excellent Maajid Nawaz a traité des moteurs des CBDC. D’autres, comme Marty BentSaifedean Ammous et Allen Farrington, ont été les premiers à identifier ces risques. Je partage leur évaluation en réalisant que le bitcoin est susceptible de résoudre ce problème.

Si vous ne l’avez pas encore remarqué, l’un des principaux thèmes de ces trois dernières années (au moins) est « liberté contre contrôle ». Ce n’est donc pas une hyperbole de suggérer que l’avenir doit être décentralisé si nous voulons que nos enfants grandissent dans un monde libre.

Traduction du Daily Sceptic par Aube Digitale




La France rétrogradée en musée baisodrome et pétaudière : jusqu’à quand ?

Par Lucien SA Oulahbib

Olivier Passet (sur Xerfi Canal) se demande « comment la France s’évertue à pénaliser le travail qualifié ? »… N’est-ce pas parce qu’il aura été décidé dans les très hautes sphères de la Globalisation FTN que la France serait principalement comme la Grèce, la Tunisie, la Thaïlande un lieu touristique (hot spot) nécessitant des métiers peu qualifiés ?…

Dans ce contexte, rappelons que la Chine reste, on le sait, l’Atelier (avec ses propres sous-traitants) l’Allemagne et l’Italie (en excédent primaire et commercial) fournissant les machines-outils…

D’où la nécessité de réduire le coût des cotisations sociales pour « ces métiers en tension » selon la nouvelle formule désormais consacrée. Ceci implique alors d’importer beaucoup d’immigration, car les salaires sont médiocres pour les autochtones, mais ceci nécessite aussi de reporter les cotisations sur les moyens et hauts salaires restants encore en France (avant que le distanciel intégral ne les fasse également fuir en permettant, mais dans une certaine mesure, la gestion de la logistique) et que cette immigration accepte dans sa majorité de travailler, ce qui n’est pas le cas. Elle préfère attendre d’avoir le statut adéquat qui nécessite cependant d’avoir des enfants pour toucher en priorité les allocations et le logement social ad hoc. D’où la quadrature du cercle actuel : cette situation au bout du bout ne suffit pas à redresser les comptes sociaux malgré les gestions comptables à couteaux tirés de la santé, la justice, l’école, la police, l’armée…

D’où, donc, le déficit chronique du budget global (fonctionnement et social) soutenu certes par la Banque centrale européenne et en sous-main par l’Allemagne, et ce même aujourd’hui (contrairement au théâtre soi-disant de la « mésentente » franco-allemande) malgré l’accident « industriel » de la guerre en Ukraine qui au fond l’arrange bien pour vendre son éolien et son solaire (avec la complicité chinoise, d’où le voyage du chancelier allemand en Chine) sachant qu’elle pourra toujours pomper de l’électricité française, acheter US plutôt que français en matériel militaire, en échange de ce déficit global chronique, quitte même à lui revendre de l’électricité (bientôt hydrogène compris) via le marché européen de l’énergie (même Ubu n’y aurait pas pensé).

Comment faire maintenant pour s’en sortir sur le court et moyen terme si une équipe réellement alternative venait au pouvoir suite à des élections législatives anticipées ?

Il ne sera pas plus possible de sortir, d’entrée de jeu, de la globalisation, tant la dépendance et le déficit commercial sont désormais abyssaux (le Venezuela n’est pas loin en fin de compte), que de réorganiser sur le champ les comptes en particulier sociaux vu le poids grandissant des intérêts de la dette. Néanmoins il serait possible pour y arriver et sans en appeler à la banqueroute (et autres « assignats ») comme le préconisent certains (sans être ni Robespierre ni Bonaparte pour compenser, juste Lénine…) de s’appuyer, immédiatement, sur de réels fonds de pension fonctionnant en blockchain garanti (évitant les risques inconsidérés et les captations bureaucratiques propres aux « cavaleries » diverses…) permettant ainsi d’élargir l’assiette de financement à la fois des diverses assurances sociales et des investissements structuraux pour remettre à flot les Fondamentaux comme le nucléaire, la justice, l’enseignement, la recherche, police et armée….

Cela permettrait également de réduire le taux de prélèvement pour les moyens et hauts salaires (ce qui les ferait rester en France) surtout en cas de « salaire complet », le tout avec un Fonds Commun de Solidarité (FCS) pour les plus démunis et en vue d’amoindrir les coûts onéreux en matière de soins et de formation…

Tout se tient : c’est bien parce que l’on a laissé faire, laissé passer les actions d’une élite ignare et avare compensant sa niaiserie en affaires (nucléaire, sous-marins, hydrogène…) par un excès narcissique et autoritaire à tics totalitaires que l’on se retrouve, citoyens français et amis de la France, en position de rétrogradation d’un pays autrefois puissant et respecté, malgré ses échecs, en république de plus en plus bananière (à l’instar de ce qui se passe désormais en Belgique et aux Pays-Bas).




Ne réintégrons pas les personnels suspendus !

À quoi bon, les hôpitaux ou les casernes de pompiers n’en manquent pas1 !

Par Alain Tortosa

[NRLR Texte utilisant le second degré.]

2

Je ne comprends pas pourquoi des politiques parlent encore des personnels soignants suspendus suite à l’obligation vaccinale, un non-sujet par excellence.

Vous me direz que la France est un des seuls, voir le seul pays qui ne les a pas réintégrés.
Mais ce n’est pas une raison, si les autres pays font n’importe quoi, devrions-nous faire de même ?

Nous n’avons pas à suivre les autres, je vous rappelle que la France, patrie de Rousseau, mère des droits de l’homme, est un phare dans la nuit.

Ayant fait mes armes auprès de France Info « la chaîne de la vérité », je vais vous narrer les faits de telle manière que même Rudy Reichstadt3 serait fier de moi.

Je ne résiste d’ailleurs pas au plaisir de le citer4 :

« Le complotisme est un révisionnisme en temps réel. »

Whaouh !!!

Revenons donc sur les « faits » et uniquement les « faits ».

Tout a débuté lorsque notre gouvernement, dans sa grande sagesse, a décidé de rendre obligatoire la vaccination Covid pour tous les personnels en contact avec les plus fragiles d’entre-nous.

Une raison de se réjouir ?
Absolument pas car cela dénote la déliquescence de notre société !
Rendez-vous compte, en arriver à obliger des soignants à se vacciner alors que cela va de soi.

Tout fout l’camp comme dirait l’autre.
Imaginez que pour leur soit disant « liberté », certains décidaient de ne pas se laver les mains en sortant des toilettes !
Cela dépasse l’entendement.

Leur refus de vaccination était, et est, d’autant plus ridicule que le vaccin Covid était, et est, l’unique solution pour se débarrasser définitivement du fléau.

Calamité qui aurait pu décimer la moitié (riche) de la population mondiale si nous n’avions pas usé de mesures de bon sens.

Maladie dont il n’existe à ce jour strictement aucun traitement efficace comme nous avons pu vous le démontrer maintes fois.
J’invite les crédules à regarder l’hécatombe dans des pays comme le Brésil qui ont traité leur population avec des médicaments vétérinaires douteux et freiné la vaccination.

Ne tombez pas dans le piège en vous référant à d’autres contrées sauvages comme la Suède.
Nous savons tous qu’ils comptent très très mal et qu’il est impossible de comparer leur résultats aux nôtres du fait du différentiel de température mais surtout du nombre d’élans.
Rappelons qu’il y en aurait 300 000 en Suède5 versus quelques dizaines en France, c’est dire à quel point il serait ridicule de comparer les deux pays.
Une fois de plus nous touchons du doigt le coté manipulateur et la stupidité des complotistes.

Un vaccin sûr et efficace !

Un vaccin qui, nous ne le dirons jamais assez, ne présente quasi aucun effet secondaire.
Ici encore je me permets de vous remémorer le b-a-ba :

  • Un non-vacciné qui meurt ne peut décéder QUE du Covid dès lors qu’il positif à un test PCR basé sur la (prétendue?) souche canal historique de Wuhan.
  • Un vacciné qui meurt ne peut décéder QUE de maladies autres que le Covid. Qui plus est, il est inutile de faire un test PCR du fait de la preuve de l’efficacité du vaccin ET son décès est dû à toutes les pathologies (connues et non connues) qu’il pouvait avoir et NON du fait de l’injection.

Vous voyez bien que nous disposons de la preuve de la non-dangerosité du produit.

Et comment pourrait-il en être autrement lorsque le docteur Jérôme Marty, président de l’UFML6, Union Française pour une Médecine Libre, affirme le 14 juillet 20217 :

« Il faut pas tomber dans la facilité, jamais… Il faut se baser sur les vrais lectures scientifiques, savoir qu’on a jamais eu autant de recul sur un vaccin que celui là… il y a 3 milliards de personnes vaccinées… ce qui donne un recul extrêmement important sur les effets secondaires éventuels »

Et de préciser sur RMC :

« On a des milliers d’années de recul sur ce vaccin en fait quand on additionne en quelque sorte le temps de chaque personne qui a été vaccinée. »

À cette date selon le site Ourworldindata8, il y avait 2,03 milliards de vaccinés (et non 3).
2 milliards en 6 mois, on peut dire que c’est l’équivalent de 1 milliard de vaccinés avec un recul de 3 mois. Si l’on multiplie un milliard par 3 mois alors cela fait un recul non pas de quelques milliers d’années mais de 249 millions d’années !

Aujourd’hui selon le même site et avec la même méthode éprouvée de calcul, 5,44 milliards d’individus auraient reçu une dose (nombre dont nous ne pouvons pas douter) après 22 mois depuis le début de la vaccination.

Jérôme Marty continuant à être invité dans les médias sérieux, je peux affirmer sans aucune crainte du ridicule que ;

« Aujourd’hui, nous avons 2,4 milliards d’années de recul sur les effets secondaires des vaccins Covid. »

Si après ça Julien9 et Rudy ne sont pas fiers de moi, c’est à désespérer d’être un scientifique rigoureux.

De la performance du vaccin

Produit efficace à plus de 90% pour empêcher les contaminations et la propagation comme cela a été maintes fois expliqué par nos élites depuis la commercialisation.

Ceci n’a pas été démenti par la représentante de Pfizer au parlement européen10 il y a quelques semaines.
Certains complotistes ont détourné ses propos laissant entendre que Pfizer aurait caché l’inefficacité du produit concernant la transmission.

Mais que nenni !
Elle a simplement répondu :

« Non ! » (le vaccin n’a pas été testé sur sa capacité à stopper la transmission du virus).

Le fait qu’il n’y ait eu strictement aucun test ne prouve en rien l’inefficacité du vaccin dans la transmission, soyons un peu rigoureux que diable !
Bien au contraire même.
La technologie ARNm associée au graphène est tellement novatrice que l’efficacité en devient triviale au même titre qu’une Ferrari EST performante, tests ou pas.

Que faire des « soignants » suspendus ?

Nous devons cesser de les nommer « soignants », ces criminels qui ont refusé l’injection de la vie.

Sans le courage de nos autorités et de notre bien aimé Président qui n’a pas hésité à mouiller sa chemise, ils auraient probablement tués sans vergogne des milliers de petits vieux dans nos hôpitaux.

Le prestigieux Impérial Collège of Médecine11 a démontré en juin 2022 que le vaccin avait sauvé 20 millions de vies !

Je mets au défit quiconque de prouver le contraire.

En revanche je m’étonne d’un chiffre aussi bas, ce qui démontre que les auteurs ont fait preuve d’une extrême prudence.
Un élément de plus, s’il en fallait, montrant que ces irresponsables non vaccinés auraient pu décimer la population hospitalière.

Parler de les réintégrer est totalement indécent !

À mon sens il faudrait plutôt les radier à vie, les déchoir de leur nationalité et les priver de tous les droits (assurance médicale, chômage, etc).

Je vous rappelle que les devoirs de chacun passent avant les libertés individuelles et il n’y a que James Bond qui possède un permis de tuer.

Rappelons quelques données sur l’obligation vaccinale

Elle aurait concerné en France environ 2,7 millions de personnes12.
Parmi lesquelles 1 150 000 personnels soignants.
Il se sont quasi tous vaccinés spontanément comme nous le savons tous.

Le Parisien13 l’a fort bien expliqué dans une publication appelée « Pourquoi la vaccination obligatoire n’a pas provoqué de pénurie de soignants à l’hôpital ».

Ne pouvons-nous pas être un peu rationnel pour une fois ?

Si la suspension de soignants avait pu engendrer la moindre incidence négative dans notre pays en amplifiant une crise de l’hôpital, qui pourrait imaginer qu’il puisse exister un tel taré pour agir de la sorte et imposer leur radiation ?

Ce seul fait de pure logique devrait être de nature à vous démontrer que l’hôpital ne manque pas de personnels ou que les déserts médicaux relèvent du mythe.

Sans compter une prétendue fermeture de services hospitaliers ou d’urgences.

Si nous avons assisté ici ou là à quelques fermetures totales ou tranches horaires, c’est bien la preuve que la population française se porte de mieux en mieux et que cette offre est devenue inutile.

Avouez qu’il faudrait être sacrément con pour imaginer que des soignants en moins pourraient avoir la moindre incidence sur les soins au regard d’une situation totalement objective.

C’est aussi débile que d’imaginer le gouvernement faire appel à des pompiers étrangers non vaccinés pour éteindre des incendies de foret cet été en France alors que des pompiers non vaccinés ne seraient pas réintégrés.
Comment pouvez vous gober de telles inepties ?!

Vous et moi savons bien que les un ou deux pompiers non vaccinés de France ne voulaient tout simplement plus exercer leur beau métier et nous pouvons nous réjouir de leur départ.

Donc concernant les soignants, les vrais chiffres sont connus et ne sont nullement contestés par quiconque de sérieux.
Il y a, inutile d’employer le conditionnel, 15000 personnels non vaccinés, soit 5000 soignants14.
Vous noterez ainsi que deux tiers des personnels employées dans des structures médicales sont donc des administratifs, preuve d’une excellente gestion financière.

La déclaration du Ministre de la Santé, François Braun15 n’est donc que du bon sens.

« Je le redis, la réintégration des soignants non-vaccinés n’est pas une solution.
Elle est d’ailleurs rejetée par leurs collègues et leurs patients. »

La composante psychologique est importante !
Réfléchissez un peu, comment de vrais soignants qui n’ont pas hésité une seconde à se faire injecter pour protéger leurs collègues et leurs patients d’une mort quasi certaine, pourraient à nouveau travailler avec ces monstres d’égoïsme et de cruauté.

Alors même que nous étions en guerre contre le Covid, ces déserteurs ont déclaré « Non, pas pour moi ! »

Ceci a été rappelé hier 16 novembre lors de l’excellentissime émission animée par Cyril Hanouna dans laquelle un courageux directeur d’Ehpad (hélas minoritaire et dont je tairais le nom pour ne pas heurter sa modestie) était là pour rappeler des vérités bien peu mises en avant par les médias mainstream.

Le fait est que la réintégration des soignants suspendus en Italie est un échec total !

Et c’est logique, comment des vrais soignants pourraient leur pardonner le trahison mais aussi mettre en péril tout le processus visant à éradiquer le virus maléfique.

Peut-être avez-vous le sentiment que je radote mais toutes les vérités sont bonnes à répéter :

Les « soignants » non vaccinés sont une menace mortelle aussi bien pour les patients que les soignants qui portent un masque et qui en sont à leur quatrième ou cinquième dose d’un vaccin efficace et sans danger.

Ce directeur a bien fait de rappeler que ces non-vaccinés sont des criminels qui devraient être radiés à vie.

Il est donc totalement logique que les services se trouvent totalement perturbés par la réintégration de ces mauvaises personnes qui ne méritent plus le nom de « soignants ».
Je lui suis d’autant plus reconnaissant de ces informations sur l’Italie que je n’ai pu les retrouver dans la presse française bien complaisante à l’égard des non-vaccinés.

Pour celles et ceux qui l’auraient oublié, je vous rappelle l’enthousiasme des soignants et les queues monstres devant les centres de vaccination.
Ici encore ce grand directeur d’Ehpad n’a pas reculé face aux mensonges d’Hanouna laissant entendre que nombre d’entre-eux se sont vaccinés le couteau sous la gorge de peur de perdre leur emploi ou auraient produit de faux passes.
Mais quelle honte de jeter l’opprobre sur ces héros de l’ombre !

Ne croyez pas ces complotistes qui affirment qu’ils auraient été extrêmement nombreux à avoir fait semblant de se vacciner ou que certains regretteraient amèrement leur injection.
Ceci n’est que délire et désinformation.

Comptons

Soyons purement pragmatiques, 5000 soignants sur environ 100 départements cela fait une moyenne de 50 soignants par département français.
Le ministre Braun16 a justement et humainement rappelé le 8 novembre :

« Ce n’est pas un sujet, c’est peanuts. »

Si on regarde le nombre d’établissements17 en France, soit environ 3000, vous voyez bien que cela ne fait qu’un peu plus d’une personne par centre de soins (1,67 pour être précis).

C’est là que l’on se dit que cette vaccination a vraiment fait l’unanimité.

Prenez conscience de cette réalité totalement crédible :

« UNE seule brebis galeuse par établissement ! »

Cela prouve bien que c’est une idée d’extrême droite de vouloir les réintégrer comme l’a rappelé le ministre.

Moi-même, je serais horrifié à l’idée d’être hospitalisé et manipulé par un non-être non-injecté quand bien même je porte un masque et que j’ai mes quatre doses efficaces plus le numéro complémentaire, la grippe !

Désinformation

Mais pour des raisons purement électoralistes des députés comme Mme Rivasi n’hésitent pas à f aire dans le mensonge en affirmant le 14 novembre dernier le nombre délirant de 130 000 personnels suspendus18

Si l’on prêtait foi à ces mensonges, cela correspondrait à 55000 soignants ou personnels hospitaliers.

En revanche, il y a un problème.
Le ministre affirme que 15000 personnels hospitaliers suspendus correspond à 5000 soignants.

D’aucuns disent19 que la proportion de non-soignants/soignants n’est pas de deux-tiers/un tiers mais l’inverse, soit un tiers de non soignants pour deux-tiers de soignants.
De fait il y aurait à minima selon la député, 36 000 soignants suspendus.

Bien évidemment, ne sont cités que les personnels qui sont suspendus c’est à dire, ni ceux qui ont pris une retraite anticipée, ni ceux qui ont démissionné pour pouvoir continuer à travailler, ni ceux qui ont été mis en arrêt maladie.

Nous ne voyons pas en quoi ces quelques dizaines de milliers de personnels en plus ou en moins pourraient avoir la moindre incidence sur les soins et constituer un soutien à une profession qui ne manque pas de personnels, ainsi que je l’ai démontré.

Il y aurait donc en France, 1 150 000 soignants.

Selon la fédération hospitalière, la profession d’infirmier comporterait 6,6% de postes vacants20. Imaginons que la moyenne soit de 5% toutes professions médicales confondues, ce qui correspondrait à environ 57 000 postes vacants.

Si l’on prête foi aux affirmations foireuses de la député il y aurait à minima plus de 50 000 soignants suspendus, démissionnaires ou en maladie qui auraient été contraints de quitter leur poste.

Si c’était vrai, et bien heureusement tout ceci n’est que manipulation, la réintégration des soignants serait de nature à résoudre le manque de personnels.

Mensonges comme cela est confirmé par cette même fédération qui affirme que les non-vaccinés représentent 0,3% du personnel (donc environ 3400 soignants).
Soit encore moins que les données annoncées par le ministre.

Ce genre de nouvelles ne peut que réchauffer mon cœur meurtri.
C’est quand même merveilleux, non ?

Un seul non vacciné par établissement de santé et on fait des histoires !

C’est bien la raison pour laquelle je vous confirme qu’il n’y a strictement aucun intérêt à les réintégrer.
Cela n’apporterait strictement rien en terme de personnels mais en revanche serait de nature à perturber les bons soignants.

Une personne qui à elle seule pourrait perturber tout un hopital au point de refuser sa réintégration ? Un peu bizarre, non ?

Merci

Alain Tortosa21

17 novembre 2022
https://7milliards.fr/tortosa20221117-ne-pas-reintegrer-les-non-vaccines.pdf





« Il ne fait aucun doute que la tête du serpent est le système financier »

[Source : Quartz Traduction]

Ancien combattant de l’USMC (guerre du Golfe), auteur, militant, analyste géopolitique, Ken O’Keefe a participé à la Openmind Conference de 2015, qui s’est tenue au Danemark. Dans cet extrait, il nous donne son analyse du système financier pensé par des élites corrompues et machiavéliques et nous invite à reprendre notre souveraineté financière pendant qu’il est encore temps.
Un extrait fort pertinent !






Appel aux parlementaires et hommes politiques de bonne volonté

Par Karen Brandin

Chère Madame, cher Monsieur,

Vous avez été nombreux en avril dernier à nous exhorter à aller voter et nous nous sommes rendus aux urnes, même si ce n’est pas aussi massivement qu’attendu.

Vous nous avez ensuite encouragés à écouter attentivement les débats à l’Assemblée Nationale et comme vous, avec vous, nous avons veillé parfois jusque tard dans la nuit, tant nous étions désireux de rester au chevet d’une démocratie que l’on savait depuis des mois déjà, agonisante.

Comme vous nous y aviez encouragés aussi, nous avons joint, écrit à nos députés et nos sénateurs respectifs pour les mobiliser, les assurer de notre vigilance, de notre clairvoyance et les rappeler à leur rôle, leur devoir de porte-voix comme à celui de porte-parole.

En vain trop souvent.

Enfin, lorsque nous avons appris qu’en Italie les soignants non vaccinés allaient être réintégrés puisque c’est le mot consacré, nous avons naïvement cru que la France aurait la décence de ne pas s’entêter dans sa décision inique en plus d’être dégradante de bêtise, de priver un personnel simplement vaccino-prudent, de toute existence sociale. Nous avons naïvement espéré que la France aurait la décence de ne pas s’entêter dans sa décision absurde de SE priver d’un personnel dévoué et ô combien indispensable.

Nous avons eu la faiblesse de penser un instant que la liberté, l’égalité et la fraternité, à force d’être portées, d’être nourries par des voix discordantes exceptionnelles de courage, d’intelligence aussi, celles de médecins magnifiques dont certains ont abattu pour nous servir un travail d’exégèse titanesque de la littérature scientifique, auraient finalement raison de l’idéologie de l’injection génique, devenue injection magique.

Malheureusement, un an et deux mois plus tard, c’est-à-dire une éternité, la situation semble figée et le temps, comme ces soignants, ces pompiers, bel et bien suspendus. À croire que Carl Gustav Jung avait eu une prémonition et évoquait le gouvernement actuel lorsqu’il déclarait :

« Les gens pourraient apprendre de leurs erreurs s’ils n’étaient pas si occupés à les nier. »

Pire, nous apprenions hier via une communication de l’avocat David Guyon que certains praticiens ont été convoqués dans les commissariats, car suspectés de travail dissimulé. C’est-à-dire que l’on reproche finalement à ces citoyens d’oser survivre quand on souhaiterait de toute évidence les voir agoniser, expiant leur faute dans un dernier râle, suppliant qu’on les pardonne d’avoir osé défendre leur intégrité physique.

Faut-il rappeler qu’un soignant est avant tout un citoyen et qu’en tant que tel, il doit pouvoir, avant de se soumettre à un acte médical intrusif et définitif, donner son consentement « libre et éclairé » ?

Faut-il rappeler que ces soignants n’ont commis aucune faute professionnelle en faisant simplement montre d’une prudence et d’un esprit critique qui les honorent au contraire ? or :

« Si j’exécute ce serment et ne l’enfreins pas, qu’il me soit donné de jouir de ma vie et de mon art, honoré de tous les hommes pour l’éternité. »

(Hippocrate)

« Suspendus ; » le mot est terrible mais tellement réaliste dans un monde désormais de marionnettistes car la vie de ces femmes, de ces hommes de conviction continue bel et bien d’être « suspendue » à un fil : celui du bon vouloir d’un ministre de la santé sous influence de la HAS dont on peut d’ailleurs légitimement douter de l’indépendance. L’argumentaire avéré et désormais trans-partisan selon lequel la vaccination ne protège ni de l’infection, ni de la transmission est pourtant largement admis, mais rien n’y fait : pas davantage les tribunes, les témoignages que les manifestations organisées dans la capitale, rassemblements que le gouvernement semble percevoir comme une curiosité sans importance, un débordement marginal, voire tout au plus un simple gravillon dans sa chaussure. Rien de suffisamment gênant en somme, de suffisamment « collectif » non plus sans doute, pour entraver sa marche funeste.

Il faut bien avoir à l’esprit que parmi ces personnes empêchées de travailler, il y a des personnels de haute technicité engagés dans des domaines pointus (urgences, chirurgie, anesthésie) qui, en plus d’être indispensables puisque coutumiers des gestes qui sauvent, doivent impérativement avoir la possibilité d’exercer pour assurer leurs pratiques, affermir leur art et les techniques de prise en charge.

En plus d’une expropriation de biens puisque ces personnes ont été amputées de la totalité de leur salaire, il y a donc une expropriation des savoirs, des savoir-faire et des compétences. C’est inadmissible. C’est inadmissible depuis un an et deux mois.

Bien sûr, des vagues d’indignation naissent aux quatre coins d’une mer déjà tourmentée par un quotidien devenu difficile pour la plupart d’entre-nous, mais malheureusement, elles viennent toutes se briser sur le rivage de nos lâchetés, de notre individualisme.

La France des Lumières devenue France des Ténèbres est donc désormais plongée dans une insondable obscurité qui ne nous honore pas. Alors non, « ce n’est plus Versailles ici ». Ici désormais, c’est la France du mensonge avec sa litanie : « Tous vaccinés, tous protégés, » et celle des rituels, avec : « Je baisse, j’éteins, je décale. »

Il est donc urgent d’agir. Une poignée d’employés de l’entreprise Total a bien réussi le pari de bloquer tout un pays sur des revendications salariales. Comment imaginer, alors que nous sommes des millions, qu’il ne soit pas possible de décider d’une journée France morte où nous porterions collectivement le deuil de notre humanité ; une France figée, silencieuse, recueillie, jusqu’à l’obtention de la réintégration de l’ensemble de ces personnels ? Je compte sur vous et la nécessité de nous rassembler pour que cette action solidaire, loin de toute considération de parti, ne reste pas un vœu pieux.

J’ai conclu ma précédente tribune (https://nouveau-monde.ca/la-parole-en-danger/) par un extrait du célèbre film : « Le cercle des poètes disparus » ; c’est une autre réplique qui me vient aujourd’hui, oh capitaine, mon capitaine :

« Sommes-nous homme ou amibe ? »

Je vous prie d’agréer, Madame, Monsieur l’expression de mes sentiments, les plus respectueux.

Karen Brandin

Citoyenne — Enseignante – Docteure en mathématiques




Le B20 invite le G20 à adopter des passeports vaccinaux internationaux et une identité numérique

[Source : medias-presse.info]

Par Francesca de Villasmundo

Vous avez cru que la pandémie covidienne avec toutes ses folies liberticides, restrictions drastiques, passes sanitaires et Green Pass vaccinal, était derrière vous ? Que nenni, les puissants de ce monde, réunis à Bali pour le sommet annuel du G20, le groupe de 19 pays « aux économies les plus développées » plus l’Union Européenne, en collaboration avec le B20, The Business 20, le forum officiel de dialogue du G20 avec le monde des affaires, vous tiennent et ne veulent pas vous lâcher. La transformation du monde doit s’opérer que les peuples le veuillent ou non ! 

Le B20 a ainsi demandé au G20 d’adopter des passeports vaccinaux selon les normes de l’OMS et de promouvoir les systèmes d’identité numérique. Compte tenu du sommet du Groupe des 20 (G20) du 15 novembre, le Business 20 (B20) a tenu son sommet à Bali, en Indonésie, du 13 au 14 novembre.

Le premier jour du sommet B20, le ministre indonésien de la Santé, Budi Gunadi Sadikin, a déclaré que les pays du G20 devraient adopter un certificat de santé numérique « qui utilise les normes de l’OMS » et qu’il faut essayer d’introduire ce type de passeport vaccinal dans « les réglementations sanitaires internationales » lors de la prochaine Assemblée mondiale de la Santé à Genève.

Les futurs déplacements soumis à la détention d’un passeport vaccinal

« Nous avons un certificat de santé numérique reconnu par l’OMS. Si vous avez été vacciné ou testé correctement, vous pouvez vous déplacer », telle est son idée.

« Les pays du G20 se sont mis d’accord sur ce certificat numérique en utilisant la norme OMS et nous le présenterons à la prochaine Assemblée mondiale de la santé à Genève en tant que révision de la législation sanitaire internationale » continue Budi Gunadi Sadikin. « Pour la prochaine pandémie, au lieu de bloquer le mouvement des personnes à 100% […] il sera possible de garantir un certain mouvement de personnes, de biens et de l’économie », a-t-il conclu lors du sommet B20.

Avant de devenir ministre indonésien de la Santé, Sadikin a occupé de hauts postes, non pas dans le milieu médical comme on pourrait s’y attendre, mais dans le milieu bancaire : à la Banque de Bali, à la Banque Mandiri, à l’ABN AMRO Bank Indonesia, à PT Bank Danamon et à IBM. C’est étonnant cette volonté des banquiers de contrôler les déplacements des personnes…

La demande du ministre indonésien de la Santé concernant un certificat sanitaire numérique, qui fait office de passeport pour les vaccins, fait désormais partie des recommandations de politique officielle du B20 au G20.

Selon le communiqué de presse final du B20 Indonesia 2022, de 132 pages, dans le chapitre des Recommandations politiques au G20, les pays membres devraient « promouvoir de nouveaux échanges et une utilisation stratégique et un partage de la science, de la technologie et des données appropriées pour la détection des crises, créant un cadre de coordination mondial pour l’atténuation future des crises ». En clair, voici écrites quelques-unes des dispositions nécessaires pour mettre en place une gouvernance mondiale à l’échelle supranationale. Un nouvel ordre mondial en somme…

Un Nouvel Ordre Mondial en marche 

Ces recommandations politiques comprennent, sans s’y limiter : l’adoption de la documentation numérique des certificats COVID-19 ; la création de directives solides sur la préparation aux urgences sanitaires pour garantir une réponse coordonnée au niveau mondial aux crises futures, renforcées par une infrastructure sanitaire mondiale « toujours active » et rendue possible par la technologie, la mise en place et l’extension de la reconnaissance mutuelle des vaccins covid-19.

Pourtant l’OMS elle-même conteste la fiabilité des vaccins covid-19, et donc des passeports vaccinaux, pour ralentir et contenir une épidémie de coronavirus : en août 2021, elle a publié un guide de 99 pages sur la mise en œuvre de la documentation numérique des certificats COVID-19, alias passeports vaccinaux, indiquant que « un laissez-passer de santé basé uniquement sur le statut de vaccination individuel peut augmenter le risque de propagation de maladies ».

En effet, il n’a jamais été démontré que les « vaccins contre la covid empêchent la transmission ou l’infection, et il est récemment apparu au Parlement européen que Pfizer n’a jamais testé son produit comme moyen de bloquer la transmission.

Mais bien que ces connaissances soient du domaine public, le B20 continue de recommander des preuves de vaccination comme moyen de voyager.

« Ces passeports vaccinaux servent par nature de forme d’identité numérique » soulignait le Forum économique mondial en février 2022. Et peut-être est-ce bien là l’objectif qui pousse ces puissants à imposer des passeports vaccinaux pour voyager.

« Le G20 devrait soutenir la conception de politiques visant à promouvoir les identités numériques en tant qu’élément constitutif de la confidentialité des données et de la confiance numérique » est d’ailleurs une des recommandations politiques du B20 réuni à Bali en cette année 2022.

Une identité numérique comprend tout ce qui vous rend unique dans le domaine numérique et est un système capable de consolider toutes vos données intimes les plus personnelles, y compris les sites Web que vous visitez, vos achats en ligne, vos dossiers médicaux, vos comptes financiers et les personnes avec lesquelles vous êtes ami sur les réseaux sociaux.

Identité Numérique = crédit social

Ce système d’identité numérique, via le passeport vaccinal universel voulu par le B20 peut donner aux gouvernements et aux entreprises le pouvoir d’inciter, de forcer ou de manipuler autrement le comportement humain au sein d’un système de crédit social.

Les identités numériques peuvent être utilisées pour déterminer quels produits, services et informations sont à la disposition du citoyen lambda et peuvent certainement être utilisées par des organismes publics et privés pour lui refuser l’accès à certains biens. Alors que le B20 promeut cette « recommandation politique » au G20 en soutenant que « le G20 devrait demander aux BMD [Banques multilatérales de développement] d’aider les gouvernements à développer et à mettre en œuvre des systèmes d’identité numérique afin de renforcer l’inclusion », le Forum économique mondial, qui ne cache plus son but de contrôle admet :

« Cette identité numérique détermine les produits, services et informations auxquels nous pouvons accéder – ou, au contraire, ce qui nous est exclu ».




Un marché d’un autre genre est né : celui du GENRE

Par Nicole Delépine, pédiatre cancérologue

https://t.me/DrDelepine

Un nouveau drame appelle notre vigilance : les malheurs de Chloé « TRANSGENRISME »

Une adolescente ex-trans poursuit les médecins qui l’ont mutilée alors qu’elle était mineure. Chloé Cole a reçu des bloqueurs de puberté, des hormones transsexuelles, et subi une ablation de la poitrine à l’âge de 15 ans. Elle a décidé de poursuivre le groupe médical et l’hôpital qui ont facilité sa transition de genre alors qu’elle était mineure. Car aujourd’hui elle regrette profondément ses choix.1 2

[Voir aussi :
MAUVAIS GENRE chapitre 1 UNE ÉPIDÉMIE MONDIALE
Idéologie LGBTQ+… Un Transgenre raconte sa détransition
La transsexualité dénoncée par une transgenre repentie
Vague de poursuites à l’encontre de psychiatres et de médecins qui ont approuvé les mutilations et les chirurgies transgenres
La théorie du genre a-t-elle transformé en profondeur nos sociétés occidentales ?
Dysphorie de GENRE : le mirage de la TRANSITION
« Une femme est une femme, un homme est un homme » : Poutine s’engage à protéger la Russie de « l’obscurantisme de genre » de l’Occident]

L’histoire de Chloé3

« Dès l’âge de neuf ans, Chloé Chole a commencé à “se questionner sur son genre”. À douze ans, elle dit à ses parents qu’elle veut “changer de sexe”. Ne sachant pas quoi faire, ces derniers sollicitent une aide médicale.

Un traitement “radical”

À aucun moment les médecins ne repoussent son “désir de transition”. De 13 à 17 ans, Chloé Cole subit un “traitement radical”, hors autorisation de mise sur le marché et “insuffisamment étudié”, comprenant des bloqueurs de la puberté, un traitement par hormones sexuelles croisées et une double mastectomie.

Devenue adulte, elle regrette d’avoir subi “un traitement médical expérimental et irréversible”. “J’ai pris une décision d’adulte quand j’étais enfant” déclare-t-elle ».

Elle va poursuivre l’hôpital et les professionnels qui « ont effectué, supervisé et, ou, conseillé une hormonothérapie transgenre et une intervention chirurgicale ». Elle demande des dommages-intérêts punitifs. Les adultes m’ont mis en danger.

De fait ils ont manipulé les parents par le mythe du suicide qui menace et qui « serait évité » par ce long parcours médical, radical, irréversible qui pourtant mène plus souvent à l’issue fatale que l’inverse. En effet une étude canadienne montre que le taux de tentatives de suicide est de 3 % chez les hétérosexuels, 15 à 25 % chez les gays, lesbiennes et bi, mais dépasse les 45 % chez les trans comme l’illustre le graphique qui suit.

Chloé se bat pour elle, mais surtout pour tous les autres : « Je veux tenir responsables les adultes qui m’ont mis en danger, parce que ce qui m’est arrivé est horrible, mais cela n’est pas arrivé qu’à moi », insiste la jeune femme. « Cela arrive aux enfants partout aux Etats-Unis, partout en Occident, et cela se répand dans le monde entier »

LE TEMPS DES PROCÈS EST ARRIVÉ

Les procès apparaissent en Californie, en Angleterre et des cliniques jusqu’ici fort rentables sont obligées de fermer.

Comment en sont-ils arrivés là dans les pays anglo-saxons, et comment éviter chez nous les mêmes déviances ?. Aujourd’hui en France allons-nous tenter une nouvelle fois de copier, et reproduire les délires d’outre-Atlantique, d’outre-Manche ou scandinaves, alors même que ces pays commencent à en prendre conscience des dangers que leur permissivité fait courir aux adolescents mal dans leur peau. En France toujours deux décennies de retard…

Un rapport de janvier 2022 remis au ministre Véran montre que le nombre de personnes se disant trans ou en parcours de transition représente 0,013 % de la population (8952 personnes parmi plus de 67 millions de Français). Mais la publicité redondante à la télévision, la formation des petits à l’école à leur soi-disant libre choix entraînent des conséquences…

D’après les données de l’Assurance maladie :

« Les demandes de prise en charge de chirurgie mammaire et pelvienne de réassignation ont quant à elles été multipliées par quatre entre 2012 et 2020, avec respectivement 113 et 462 demandes ».

Par ailleurs :

« Le nombre de séjours en établissements de médecine, chirurgie et obstétrique pour transsexualisme a été multiplié par trois entre 2011 et 2020, passant de 536 à 1 615. »

On se demande pourquoi actuellement un feuilleton ou film récent se croit obliger d’insérer un trans dans le scénario, pourquoi le ministre de l’Éducation nationale semble vouloir traiter ces domaines en priorité et pourquoi de multiples articles de journaux pleurent sur ces pauvres soi-disant « victimes de leur sexe » alors qu’ils le deviendront à coup sûr par l’utilisation généralisée de leur drame privé ;

Pourquoi les dirigeants politiques se croient-ils obligés d’afficher la caractéristique trans de tel ou tel ministre alors que cela ne devrait relever que de leur domaine privé.4

Ils ou elles (iel ?) deviendront victimes à coup sûr si elles sombrent dans ce parcours du combattant qui les rendra à jamais dépendants du système médical (par ailleurs défaillant)…

Pour combien de « satisfaits » ? Et pour combien de temps ? L’idée n’est pas de refuser à quelques rares adultes cette reconnaissance et ces actes médicaux, mais d’informer, avertir enfants et adultes de la terrifiante manipulation qui mène des enfants en bonne santé, mais qui se posent avec plus d’acuité que la moyenne leur devenir sexuel à plonger dans ce parcours médical, ce petit monde fermé dans lequel ils trouvent au début une communauté accueillante, mais qui se transforme selon leurs confidences progressivement en un enfermement pour la plupart.

L’argent : cherchez l’argent, toujours

Malheureusement la soi-disant humanité dont on multiplie les faux sens télévisés en mettant in fine sur le trottoir ou dans la drogue des êtres humains, « migrants » désinformés sur les conditions de vie occidentales, et dépouillés de leurs économies pour payer les passeurs, cette soi-disant humanité est la même qui pousse des enfants à la mutilation, pour satisfaire des prédateurs avides d’argent ou de « belles » interventions de modelage d’un pénis chez une femme ou d’un vagin chez un homme… Appât du gain et distraction de la routine de l’appendicite ou du cancer du côlon d’un chirurgien blasé ou les deux ou encore envie de notoriété ? En tous cas le sort de « l’objet » à remodeler, du patient devenu objet n’a probablement pas grand-chose à voir avec la compassion pour l’enfant ou l’adulte angoissé par sa sexualité, du moins dans la majorité des cas…

Le lobby trans affirmatif a de gigantesques moyens

Soutenu notamment par la fondation Thomson Reuters, la société mondiale de services d’information, et par l’un des plus gros cabinets internationaux d’avocats, Dentons5.

On se demande pourquoi les pouvoirs publics accordent une telle importance aux militants trans-affirmatifs qui ne représentent que très peu de personnes. Pourquoi leur ouvre-t-on les portes des ministères (en premier lieu santé, éducation, etc.), des collectivités locales qui financent abondamment leurs projets 6 ou des autorités administratives comme le Défenseur des droits ou le Contrôleur général des lieux de privation de liberté ?

Les rapports censés orienter les choix de la HAS en matière de recommandations sont confiés à des personnes, tout sauf indépendantes et objectives.7 Plaidant pour leur paroisse et ne tenant aucun compte de l’expérience acquise par les pays pionniers des traitements de transition médicale, et qui justement en reviennent comme la Suède.8

Depuis une vingtaine d’années, la folie du « genre » avait atteint le monde anglo-saxon et scandinave, nous épargnant relativement (en dehors des séries…). Mais récemment la mode « de changer de sexe » dès l’école primaire s’est installée officiellement en imposant aux enseignants d’accepter que l’élève choisisse un nouveau prénom sans l’accord de ses parents.

Le ministre de l’Éducation prétend que l’éducation sexuelle est une priorité dans un pays où les jeunes ne savent plus ni écrire, ni compter, ni calculer même à l’entrée de prépas réputées…

Nous devons nous préoccuper de cette nouvelle dérive pour savoir comment aborder ces sujets délicats, sans braquer, avec nos jeunes, proches, amis, familles, soumis à la pensée unique des réseaux sociaux colonisés par des « militants » d’un seul discours renchéri par France info et co…

Ainsi trop d’adolescents, en recherche d’eux-mêmes se trouvent embarqués dans un parcours de genre, tout malaise étant interprété comme une « dysphorie »9 pourtant rarissime. Les médecins consultés choisis pour leurs « compétences » autoproclamées sont le plus souvent des militants de la transition et orientent systématiquement d’emblée les enfants vers ce type de réponse, oubliant toutes les autres causes de mal être de cette tranche d’âge pour peut traiter moins brutalement.

Un marché juteux et trop de victimes embarquées sans réel diagnostic, sans précaution

Ce serait le règne de l’autodiagnostic ! Une enfant de quatre ans qui se dit garçon a forcément raison et il faut aller dans son sens, c’est ce qu’on explique aux parents perdus et pas préparés à ce genre de déviance, et les enfants de quatorze ans peuvent imposer leur « transition » dans le secret, sans en informer leurs parents.

ON FAIT VOTER AUX DÉPUTÉS LA DÉPATHOLOGISATION DE LA TRANS-IDENTITÉ

Comme si on pouvait choisir son sexe ! Le sexe est une constance biologique déterminée lors de la fécondation par la loterie du mélange des gênes X et Y des parents. Cette reproduction sexuée apporte un avantage biologique à l’espèce qui l’adopte et pour cette raison se retrouve chez toutes les espèces vivantes évoluées. Prétendre qu’on pourrait choisir son sexe ou que celui-ci est uniquement la conséquence d’un apprentissage social est un mensonge éhonté véhiculé parmi les députés, mais surtout les jeunes en souffrance et leurs parents qui ne peuvent plus donner de nécessaires « limites » aux jeunes sans se sentir ou être traités de parents indignes. On ne pourra jamais changer que l’apparence, mais jamais le sexe chromosomique ! Le changement de sexe promis aux jeunes gens est une imposture.

Société de la folie. Essayons de sortir du délire ambiant !

De la loi du 31 janvier 2022 interdisant les pratiques visant à modifier l’orientation sexuelle ou l’identité de genre d’une personne10 qui ont répété à l’envi que « la transidentité n’était pas une maladie » et « que chacun devait être libre de choisir son identité de genre, sans se laisser imposer “un modèle hétéronormé binaire”11. » Cette revendication n’est pas propre à la France. La dernière version de la classification internationale des maladies éditée par l’OMS (CIM 11) vient de transférer « l’incongruence de genre » du chapitre des affections psychiatriques vers celui de la santé sexuelle.

Alors que les soins à la vue de tous sont de plus en plus compromis par le délabrement continu de notre système de santé, la disparition des médecins de famille, la fermeture récurrente des urgences hospitalières et des blocs opératoires repoussant aux calendes grecques une intervention urgente, l’objectif du gouvernement et de ses instances telles la HAS est de créer un HOMME NOUVEAU avec tous les moyens y compris financiers détournés de la sécurité sociale.

Ainsi pour ces avocats d’un nouveau monde rêvé par Huxley et exposé par Laurent Alexandre, le sexe n’existe plus, c’est un fantasme que vous pensez voir à l’échographie prénatale et à la naissance et seul le GENRE existe… Et c’est bien sûr la sécurité sociale, la solidarité nationale qui doit assumer vos fantasmes ou plutôt vos pseudo-fantasmes bien utilisés par les lobbies fournisseurs de clients à la filière transhumaniste.

Ainsi est affirmé le droit à réquisitionner la médecine et la solidarité nationale afin de transformer et mutiler son corps pour le faire correspondre à ses fantasmes :

« Nous passons à un modèle dans lequel la personne détermine librement et elle-même son genre ainsi que le recours à tel ou tel traitement (…) ». « Il s’agit là aussi de mettre en œuvre des moyens du champ médical non pas pour soigner une pathologie, mais pour concrétiser le droit à disposer de soi-même »

Ainsi alors que le choix revient en totalité à la personne, c’est la société qui doit rembourser à 100 % les frais induits chez un être humain considéré comme normal, non malade, mais classé en affection de longue durée pour remboursement total des interventions et autres traitements médicaux.

Il semble bien que le médecin généraliste soit sommé « d’établir un protocole de soins de transition médicale à la demande de son patient non malade (ne pas confondre, sous peine de sanction pour discrimination), c’est-à-dire de lui prescrire les produits hormonaux réclamés et lui fournir des ordonnances nécessaires à la chirurgie. Pourra-t-il s’y refuser ? Avec la loi du 31 janvier 2022, rien n’est moins sûr ».

En résumé un diagnostic établi par la personne (considérée comme non malade, y compris mineure) sans confirmation médicale et un accès AUTOMATIQUE A LA TRANSITION MÉDICALE ET/OU CHIRUGICALE. !

Un drame social et financier,12 mais surtout individuel d’une personne en souffrance, en mal être13 en raison de ce qu’elle pense suite à ses lectures internet, ses participations à des forums influencés par les lobbies très riches, et la confirmation ou l’acceptation quasi automatique des médecins consultés qui appartiennent automatiquement aux lobbies, puisque la personne est orientée vers les « spécialistes ».

Imaginez un instant : je décrète avoir un cancer des ovaires et me fais enlever les gonades et prescrire un traitement hormonal sans avis médical et avec obligation pour le corps médical de me prescrire ces traitements qui seront automatiquement remboursés.

On peut décliner ce modèle pour se sentir avoir une sclérose en plaques et exiger les traitements ou un lymphome… Cela paraît exagéré, mais c’est exactement cela qui se passe en matière de changement de sexe et de son effroyable parcours qui transforme définitivement la personne en malade chronique, tant les traitements hormonaux à vie et la surveillance des sites opératoires s’imposent à vie, sans même parler de ceux, nombreux, qui feront le chemin inverse (détransition et rebelote pour les hormones inverses et les interventions…).

La prudence minimale enterrée

Des vies perturbées, gâchées au nom d’une pseudo liberté et de décisions privées de la plus élémentaire prudence ne respectant même plus, dans le cadre particulier du changement de sexe, des dispositions protectrices du Code civil et du code de santé publique interdisant les interventions mutilantes14 et les prescriptions hors AMM.

Notre société avide de copier les délires new-yorkais ou californiens est entrée dans un nouveau monde, « le meilleur des mondes » d’Huxley15, où au nom d’une pseudo liberté individuelle accrue, on soumet en réalité les esclaves du net et de la propagande télévisuelle via Netflix et autres, à un avenir lourd de drames personnels via les traitements médicaux lourds et les mutilations irréversibles menant trop souvent au suicide.

CHANGEMENT DE PARADIGME IMPOSÉ PAR NOS GOUVERNANTS

Voici la justification de la détermination du gouvernement à imposer ces pratiques qu’on pourrait aussi considérer comme barbares vers un changement de paradigme :

« Les nombreux échanges réalisés par la mission, les évolutions du contexte international (CIM 11) l’ont convaincue qu’un changement de paradigme dans les parcours de soins des personnes trans est à la fois nécessaire, attendu et possible.

Les changements doivent reposer sur des principes éthiques et politiques : dépathologisation de la transidentité, autodétermination des personnes seules à même de définir leur identité de genre, non-discrimination, égalité géographique et sociale d’accès aux soins. Les travaux à venir de la HAS doivent par ailleurs contribuer à intégrer l’état des connaissances, dans les pratiques de soins »16.

Donc la HAS n’aura aucun autre choix que mettre en pratique l’avis du ministre.

On a, dans le même temps, privé les parents de toute autorité, par conditionnement social et menaces pénales pour une fessée, donnant ainsi la toute-puissance sur les cerveaux de nos petits à une école qui n’enseigne plus le français ni le calcul, mais la sexualité, priorité avouée de notre actuel ministre de « l’éducation nationale »17.

Le rapport de janvier 2022 18 qui sert de base à la réflexion de la HAS sur les recommandations qui seront publiées en septembre 2023 est orienté par les lobbies qui l’ont rédigé et fait cruellement la place centrale au modèle « trans-affirmatif » immédiat, y compris pour les mineurs. Est-ce l’avenir que vous voulez pour vos enfants ? Et pourtant la maturité cérébrale ne serait acquise qu’à 24 ans…

Ces rapports préliminaires de janvier 2022 ainsi que le rapport de la HAS de septembre 2022 sur les futures recommandations ne font guère référence aux drames vécus par ces victimes de la mode et des médecins et seulement de façon insuffisante. La note de cadrage de la HAS de septembre 2022 19 avoue qu’elle a peu d’informations sur les « détransitions ». C’est pourtant un point fondamental, ainsi que la comparaison des suicides dans les tranches d’âge comparables et celles des sujets trans ou en parcours de transition.

Rappelons enfin la « définition du parcours de transition », d’après le rapport de l’IGAS 2022.

Les parcours de transition se déclinent en transition sociale, administrative, et médicale.

La transition sociale est le fait de vivre dans son environnement dans un genre social autre que son genre de naissance (de fait sexe de naissance !).

La transition administrative porte sur la modification du prénom et/ou de la mention de sexe à l’état civil.

« La transition médicale concerne l’ensemble des soins médicaux liés à la transition de genre (hormonothérapie, chirurgies). »

Les parcours de transition médicale désignent les parcours au sein du système de santé d’une personne transgenre, visant à d’obtenir les modifications corporelles souhaitées, à l’aide de soins délivrés par des médecins (hormonothérapie, épilation laser) et/ou chirurgiens (plasties de la poitrine, chirurgie pelvienne, etc.) et/ou d’autres professionnels de santé (orthophonie pour féminisation de la voix).

Ces parcours de transition devraient reconnaître l’autodétermination des personnes, permettre un choix éclairé en améliorant l’accès à l’information, rendre possibles des parcours de transition médicale diversifiés dans leur contenu et leurs modalités, faisant une plus grande place à la médecine de 1er recours et au travail en réseau, dépsychiatriser l’entrée dans les parcours, tout en permettant un accompagnement en santé mentale si nécessaire. La doxa officielle ne veut surtout pas « psychiatriser » alors que tous professionnels et proches conviennent que ces personnes ont besoin de soutien psychologique et souvent psychiatrique.

Dans ce rapport de l’IGAS, on note encore que la prévalence de cette dite dysphorie de genre chez les mineurs n’est pas établie.

« Selon une revue systématique de la littérature, à ce jour, la prévalence de la dysphorie de genre chez l’adolescent (âgés de 12 à 18 ans) ne peut pas être établie. Il y a des preuves d’une augmentation de la fréquence de consultation des adolescents pour traitement ces dernières années et les adolescents de sexe féminin à la naissance sont maintenant majoritaires ».

Enfin les troubles associés sont tout de même reconnus par l’IGAS. D’après une revue générale, la vulnérabilité des jeunes transgenres inclut les risques suicidaires, la dépression, l’anxiété, et l’auto-agressivité, ainsi qu’une persécution à l’école autant chez les garçons que chez les filles. » On aimerait des statistiques !

IL EST CLAIR QUE CES SUJETS MÉRITERONT APPROFONDISSEMENT ET SURVEILLANCE POPULAIRE

En effet dans notre société, est passée subrepticement la légalisation de l’avortement devenu infanticide puisqu’autorisée jusqu’à l’âge de neuf mois en août 2021 au sein de la loi dite de bioéthique, sans prise de conscience populaire qui s’étonne aujourd’hui de cette possibilité en Californie, sans savoir que la disposition existe en France.

Est passée également l’autorisation de fabrication de chimères homme-animal dans la même loi passée en catimini.

Peut-on citer également l’expérimentation à grande échelle d’une substance génique expérimentale, appelée fallacieusement vaccin, pour tromper les foules, mais évitée chez les animaux en raison de trop de mortalité dans les premiers essais ?

Alors laisserons — nous sans rien dire des enfants se faire martyriser, mutiler, transformer à un âge où la sexualité est silencieuse chez les plus jeunes, puis questionnable chez les adolescents, sans tenter de les protéger d’une idéologie mondialiste et d’un lobby extraordinairement lucratif…

Les parents ont été dépouillés de leur droit de regard : nous devons le leur rendre.


1 13.11.22 https://m.epochtimes.fr/une-adolescente-ex-trans-poursuit-les-medecins-qui-lont-mutilee-alors-quelle-etait-mineure-2158461.html

2 https://www.foxnews.com/media/detransitioned-teen-hold-gender-affirming-surgeons-accountable

3 Transition de genre chez une mineure : des médecins poursuivis. Publié le 15 novembre 2022, revue de presse génétique.

4 Voir par exemple une ministre de Biden dont l’objectivité sera questionnable en ce domaine

Joe Biden nomme Rachel Levine, première femme transgenre ministre adjointe de la Santé

Cette pédiatre devient ainsi la personne transgenre la plus haut placée au sein du gouvernement américain, une première historique. Joe Biden nomme Rachel Levine, première femme transgenre ministre adjointe de la Santé — Allo Docteurs

5 « Seulement les adultes ? Bonnes pratiques en matière de la reconnaissance légale du genre pour les jeunes ; un rapport sur l’état actuel des lois et du plaidoyer des ONG dans huit pays d’Europe, en mettant l’accent sur les droits de jeunes » : https://www.iglyo.com/wp-content/uploads/2019/11/IGLYO_v3-1.pdf

6 Cf par exemple le site de l’association lyonnaise Chrysalide dont les publications sont subventionnées par le ministère des Solidarités et de la Santé, la région Aura, la Métropole de Lyon, alors qu’elles sont très contestables : https://chrysalide-asso.fr/nos-documents/

7 Voir article La fragile protection des enfants face aux lobbies trans-affirmatifs,

Publié le 25 mars 2022, revue Gènéthique

8 https://www.socialstyrelsen.se/om-socialstyrelsen/pressrum/press/uppdaterade-rekommendationer-for-hormonbehandling-vid-konsdysfori-hos-unga/

9 Le DSM-5 (Manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux — 5e édition) publié en 2015 en version française, définit la dysphorie de genre par : A : la non-congruence marquée entre le genre vécu/exprimé par la personne et le genre assigné, d’une durée minimale de 6 mois et B : le trouble est accompagné d’une détresse cliniquement significative ou d’une altération du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants.

10 Article 225-4-13 du Code pénal : « Les pratiques, comportements ou propos répétés visant à modifier ou à réprimer l’orientation sexuelle ou l’identité de genre d’une personne et ayant pour effet une altération de sa santé physique ou mentale sont punis de deux ans d’emprisonnement et de 30 000 € d’amende ».

11 M. Bastien Lachaud, Compte-rendu de la deuxième séance du 5 octobre 2021

 L’ensemble du parcours médico-chirurgical est financé par l’assurance maladie au titre de la prise en charge d’une affection de longue durée (ALD)

12 « Les soins de transition peuvent, contrairement à ce qu’on observe dans d’autres pays, être pris en charge par la sécurité sociale, pour certains à 100 % en cas d’accès à l’ALD (affection de longue durée). Le nombre de bénéficiaires de l’ALD au titre d’un diagnostic de transidentité ou dysphorie de genre a fortement augmenté depuis 10 ans, tout en restant relativement modeste : 9 000 personnes sont concernées en 2020 dont 3 300 admises dans l’année (soit 10 fois plus d’admissions qu’en 2013 selon la CNAM). 70 % des bénéficiaires ont entre 18 et 35 ans. En 2019, le nombre de demandes et d’avis favorables d’ALD concernant des hommes trans (FtM) a rejoint celui des femmes trans (MtF) » rapport au ministre 2022 ibid 9

13 A-t-on encore le droit de le dire ou de l’écrire sans être accusé de discrimination ?

14 Female to Male (FtM) désigne une femme qui devient homme ; Male to Female (MtF), un homme qui devient femme.

La chirurgie d’affirmation de genre recouvre des interventions de féminisation (création d’un néo-vagin, augmentation mammaire, féminisation du visage…) ; la chirurgie de masculinisation recouvre des interventions des organes génitaux (hystérectomie, métaoidioplastie, phalloplastie…) ou de la poitrine, mastectomie.

15 Le Meilleur des mondes (titre original : Brave New World) est un roman d’anticipation dystopique, écrit en 1931 par Aldous Huxley. Le récit évoque une société futuriste et eugéniste, très hiérarchisée, divisée en différentes castes dont les individus, conçus artificiellement, sont conditionnés biologiquement et psychologiquement afin de garantir la stabilité et la continuité du système.

16 Rapport ibid11 page 6 objectifs imposés : « L’enjeu prioritaire est de renouveler l’organisation des parcours de transition, avec pour principes clefs l’autodétermination, le consentement éclairé, la reconnaissance de la diversité des parcours, une place renforcée des professionnels de santé de premier recours, un travail en réseau et un repositionnement du rôle de la psychiatrie. »

17 Les mesures devraient a priori concerner tous les niveaux scolaires. Elles viseront à lutter contre les « stéréotypes de genre » ainsi que les LGBT-phobies et les violences sexuelles et sexistes.

18 Remis au ministre début 22 rapport_sante_des_personnes_trans_2022.pdf (solidarites-sante.gouv.fr) répond à une saisine du ministre des Affaires sociales et de la Santé faite à deux acteurs de terrain de la prise en charge des personnes, le Dr Hervé Picard, médecin généraliste et médecin de santé publique et Simon Jutant de l’association ACCEPTESS-T, avec l’appui de Geneviève Gueydan de l’IGAS. « Ce rapport intervient un moment qui laisse espérer des progrès possibles ; si la situation et les parcours de soins des personnes trans ont été, et restent encore trop, marqués du sceau de la pathologisation de la transidentité et de sa stigmatisation, des évolutions majeures du contexte peuvent en effet contribuer à de profonds changements. »

19 Parcours de transition des personnes transgenres (has-sante.fr) note de cadrage de la HAS de septembre 2022 en préparation des recommandations prévues pour sept 2023.




Jeu de dupes (tambouille électorale US, missiles Zelensky, délire hygiéniste et alarmiste…)

Par Lucien SA Oulahbib

Comme prévu, les « démocrates » US gardent les deux Chambres, car même avec quelques sièges de moins ils peuvent compter sur les « républicains » anti-russes proches du « complexe militaro-industriel » pour bloquer toute investigation sur les Biden et continuer à alimenter la mafia au pouvoir à Kiev.

Le jeu de dupes continue également pour cette dernière, car croyant que la Secte travaillait principalement pour elle, celle-ci s’aperçoit que l’affrontement actuel sert moins à la soutenir à court terme (même si c’est aussi le cas, car il y a des affaires à faire) que de jouer également plusieurs coups à l’avance (Bobby Fischer était américain après tout) comme d’une part combattre ceux qui refusent le démembrement des corps et des nations, ou d’autre part se servir de cette guerre et des sanctions corrélées pour accélérer l’agenda de la transition cybernétique forçant précisément corps et nations à subir sans anesthésie ou si peu des amputations physiques et métaphysiques, économiques et politiques.

Au nom d’un virus fabriqué en laboratoire (SARS COV 2) et d’une particule bouc émissaire (CO2, confondue avec le CO) il semble bien que les conditions psychologiques et les justifications eschatologiques aient été réunies pour que les populations ainsi apeurées acceptent de voir démembrer leurs fonctions immunitaires internes et externes symbolisées d’ailleurs pour les premières par la chasse aux médecines naturelles ou éprouvées (comme les traitements précoces validés sur des milliards d’individus depuis des dizaines d’années) et pour les secondes par la chasse à tout ce qui veut préserver les corps et les cultures au nom de « la lutte contre l’extrême droite » alors que celle qui est dénommée ainsi a été en très grande majorité bien docile en matière sanitaire et climatique.

Certes, sur les questions d’implantation forcée de populations non citoyennes, d’implantation forcée d’organes génitaux inversés pour adolescents et d’hystérie anti-russe, ces stigmatisés « extrême droite » n’ont pas mis tout à fait le doigt exactement le long de la couture de ce qui reste de pantalon, ce qui déclenche alors les cris d’orfraie des miliciens surveillant les nouveaux comportements greffés.

Les uns sont en effet plutôt attachés à ce que l’implantation forcée d’étrangers chassés par la corruption — soutenue de fait par les mafias et les ONG organisant le transport des nouveaux esclaves (recrutés uniquement pour leurs bras leur ventre et leur sexe) s’accélère (afin d’en faire une clientèle captive à terme, malgré les aléas type De Santis…), le tout sans aucune contestation. Ceci implique que leurs troupes, de plus en plus fanatisées façon « années folles » (type Cabaret et Portier de Nuit) soient encore plus « impactantes » contre « l’extrême droite », ce qui, fantasme décodé, implique de se déchaîner main dans la main (et barres de fer phalliques) avec les Black Blocs et autres Antifa (sous la protection silencieuse, quoique parfois réticente, de la police dite « républicaine »).

Les autres, miliciens du Nouvel Ordre Cybernétique (NOC), se mettent eux à la chasse de tout ce qui se dresse contre son Ordre hygiéniste. Ils traitent, d’une part, de « transphobe » les citoyens de l’Observatoire de la Petite Sirène militant seulement pour que les ados ne soient embrigadés dans des comportements irréversibles avant leur majorité légale, et d’autre part d’« antivax » les personnes qui refusent de voir jusqu’aux bébés être injectés (drogués) par des solutions chimiques artificielles aux bénéfices en réalité purement affairistes (les actions des sociétés afférentes s’envolant, mais sans que l’on parle ici de « superprofits », voire de les taxer…).

Enfin, et par un sortilège étrange, ceux qui auraient pu autrefois militer pour « la paix » se transforment en va-t’en guerre forcenés en appelant à un » quoiqu’il en coûte » invraisemblable, mais pas si illogique néanmoins puisqu’ils sentent bien que les enjeux là-bas ne sont pas seulement géopolitiques, mais civilisationnels, en ce sens où il y a bel et bien une césure entre ceux qui militent pour le démembrement des corps et des nations (les dissipateurs) et ceux qui militent pour leur préservation et leur affinement (les innovateurs) puisque sans innovation la corruption prévaut et rend immobile avant effacement et affaissement comme le prônent ces faux progressistes que sont les démembreurs.

Cette césure (qui n’est pas nouvelle) n’a pas cependant de délimitations aussi précises qu’elle en aurait l’air, et d’ailleurs la poignée de main lors du G20 entre l’autocrate « démocrate » US et le tyran néo-maoïste chinois, en dit long sur la transversalité de l’hygiénisme et de l’affairisme global. Ceci prouve bien qu’il ne s’agit pas seulement d’un conflit Est-Ouest et Nord-Sud, mais aussi d’une lutte (de plus en plus à mort) entre les partisans de la Secte SHA (tout le monde peut y rentrer, mais personne ne peut en sortir à la différence d’une Caste) et les partisans d’une Nouvelle Modernité qui aspirent à ce que les outils universaux de la Science et de la Technique soient au service réel, démocratique, de l’affinement des nations et des individus, et non pas en vue de leur asservissement malgré bien sûr le voile d’ignorance affirmant le contraire.

C’est du moins ce que Les Lumières (Sapere Aude !) avaient apporté comme amendement (conformément au message judéo-chrétien : Adam soutenant le Geste d’Ève justifiant le défi de la singularité humaine, croquer dans le Fruit de la Connaissance du Bien et du Mal) avant que cette liberté, nécessairement délimitée démocratiquement, ne soit pervertie par les partisans multiformes de son démembrement effectif.

Des partisans démembreurs qui ont été pourtant pour beaucoup les ennemis farouches de ce qu’ils nommaient la « démocratie bourgeoise » dont ils sont pourtant maintenant les opiniâtres encenseurs et que, loin de la « dépasser », ils en ont conservé les points négatifs, le tout à leur profit, comme le refus de partager le pouvoir et de rendre plus juste la solidarité ce socle de la Citoyenneté. Ils préfèrent plutôt démembrer celle-ci dans ses frontières, dont les acquis sociaux, et capter celui-ci, le Pouvoir et ses trois branches (puissance, autorité, compétence), tout en disant là aussi le contraire en parlant « au nom de » ; c’est le triomphe du sophisme d’autant plus pompeux qu’il s’éloigne de toute « amitié » (philos) au fondement originaire pourtant des sociétés dites constitutionnelles

Mais nous en sommes sortis désormais. La dimension politique dite « illibérale » n’était pas là, sous le réverbère indiqué, paille ayant permis d’occulter la poutre totalitaire de plus en plus enfoncée, engoncée dans notre Œil.




Piratage d’humains – Individus ciblés



[Voir aussi :
Yuval Noah Harari, théoricien oligarchique du piratage de l’humain et de la dépopulation
Intégrer les nouvelles technologies directement dans notre corps est l’une des ambitions du Forum économique mondial d’ici 2030
Disparition de l’argent liquide et puçage de masse : vers la dictature intégrale
Des armes gouvernementales silencieuses pour mener une guerre secrète contre vous
Les armes électromagnétiques ne sont pas de la science fiction
Armes électromagnétiques, interfaces cerveau-machine, contrôle mental et harcèlement électromagnétique : la réalité a-t-elle rejoint la science-fiction ?
Très important — Émissions de rayonnements à énergie dirigée de cinquième génération (5G) dans le contexte des vaccins Covid-19 à nanométaux contaminés avec des antennes en oxyde de graphène ferreux
Le contrôle des émotions et des pensées par la technologie
Quel sort pour les « sert-pu-à-rien »* humains dans le Nouvel Ordre Mondial ?
L’asservissement par l’intelligence artificielle — Le Putsch transhumaniste
En route vers l’esclavage de l’Humanité ?
Le support philosophique de la Grande Réinitialisation
Grand Jury / Tribunal de l’Opinion Publique — Conclusions finales
Nanotechnologie et « vaccins »]

Capsule à voir absolument :
https://odysee.com/@Vivresainement:f/film-covid-26-raisons-pour-refuser-les-vaccins:8

Voici le lien pour vous inscrire à la plateforme Odysee afin d’éviter la censure et obtenir une récompense :
https://odysee.com/$/invite/@Vivresainement:f

Abonnez-vous à ces associations pour entrer dans la résistance :
https://reaction19.fr/
http://www.bonsens.info/
https://reinfocovid.fr/

Questionnaire pour signaler des effets secondaires :
https://bonsens.info/actualites-bonsens-n-2021-21-du-24-mai-2021/
Regardez ce site pour suivre tous les soldats digitaux :
https://reinfovf.com/

France soir, le seul vrai média d’informations :
https://odysee.com/@francesoir:2
https://www.francesoir.fr/

Version originale : https://www.youtube.com/watch?v=jwFR7tjGItQ

Sources :




L’asservissement par l’intelligence artificielle — Le Putsch transhumaniste

[Source : Joe Massot – Traduction (ICTV – La Vérité Diffusée)]

La présentatrice australienne Maria Zeee reçoit l’ancienne employée de Pfizer spécialisée dans la communication en biotechnologies Karen Kingston pour comprendre comment il faut comprendre la crise que nous traversons(1).

Les injections à ARNm ont été observées avec les technologies de microscopie les plus performantes, révélant qu’elles contiennent des produits tels que l’oxyde de graphène et une quantité de métaux divers. Ces observations ont été également reproduites à travers plus d’une douzaine de laboratoires (quelques sources ci-dessous) confirmant la présence de ces matériaux dont l’utilité se trouve être également décrite dans des brevets transhumanistes, permettant d’ouvrir les portes du piratage des cellules humaines avec la technologie CRISPR CAS9 ou ciseaux génétiques.

[Voir aussi :
Le pot aux roses de la Covid est-il découvert ?
Très important — Émissions de rayonnements à énergie dirigée de cinquième génération (5G) dans le contexte des vaccins Covid-19 à nanométaux contaminés avec des antennes en oxyde de graphène ferreux
Preuve d’un lien entre la Covid-19 et l’exposition aux rayonnements radiofréquences des communications sans fil, y compris la 5G
Les nanoparticules de graphène : Propriétés, applications, toxicité et réglementations
La microscopie électronique à balayage et à transmission révèle la présence d’oxyde de graphène dans les vaccins contre le CoV-19
Nouveau rapport alarmant du groupe de travail sur l’analyse des vaccins en Allemagne et dans d’autres pays
Nanotechnologie et « vaccins »
Une ancienne employée de Pfizer confirme la présence d’oxyde de graphène dans les vaccins Covid]

Les inoculations ayant été réalisées en masse, les ingénieurs de ces bio-nano-technologies issues à la fois de l’industrie des télécommunications et de Big Pharma, avec la complicité des gouvernement corrompus, ont désormais en leur possession un moyen de contrôle inédit sur la population injectée, l’éventail des applications est très large, nous ne connaissons pas encore l’étendue des effets concrètement exploitables.

Refusez les injections, résistez !



Quelques sources :

(1) L’émission originale (Vo en anglais):
https://zeeemedia.com/interview/live-extended-interview-covid-19-injection-hacks-your-brain-enslavement-through-ai-with-karen-kingston/

Observations en laboratoire:

Poornima Wagh:
https://www.bitchute.com/video/btuJXs0glmla/

Mike Adams
https://t.me/VeriteDiffusee/13787

Carrie Madej:
https://www.carriemadej.com/

Laurent Montesino
https://odysee.com/@SEMINERIOSalvatore:5/R%C3%A9v%C3%A9lations-sur-l’injection-par-le-Dr-Laurent-Montesino:9?src=embed

La Quinta Columna
https://rumble.com/v1cde8t–franais-communiqu-urgent-de-la-quinta-columna.html

Observations de l’équipe allemande The Working Group for COVID Vaccine Analysis
https://www.documentcloud.org/documents/22140176-report-from-working-group-of-vaccine-analysis-in-germany

Corrélation de ces propos par le milieu judiciaire:

Raphaël Cohen, directeur du CSAPE:
https://www.csape.international/

Corrélation par le milieu politique

Corrélation sur le but, le fichage par nanopuce, marquage individuels par « points quantiques »
https://t.me/mediainfocitetv/1390

karen kingstonmaria zeeeputschtranshumaniste




Qui sont les nationalistes intégraux ukrainiens ?

[Source : voltairenet.org]

Par Thierry Meyssan

Qui connaît l’histoire des « nationalistes intégraux » ukrainiens, des « nazis » selon la terminologie du Kremlin ? Elle commence durant la Première Guerre mondiale, se poursuit durant la Seconde, la Guerre froide et continue aujourd’hui dans l’Ukraine moderne. De nombreux documents ont été détruits et l’Ukraine moderne interdit sous peine de prison d’évoquer leurs crimes. Il n’en reste pas moins que ces gens ont massacré au moins quatre millions de leurs compatriotes et ont conçu l’architecture de la solution finale, c’est-à-dire l’assassinat de millions de personnes au motif de leur appartenance réelle ou supposée aux communautés juives ou tsiganes d’Europe.

L’agent allemand, penseur du « nationalisme intégral » ukrainien et criminel contre l’Humanité, Dmytro Dontsov (Metipol 1883, Montréal 1973).

Comme la plupart des analystes et des commentateurs politiques occidentaux, j’ignorais l’existence des néonazis ukrainiens jusqu’en 2014. Lors du renversement du président élu, je vivais alors en Syrie, j’ai cru qu’il s’agissait de groupuscules violents ayant fait irruption sur la scène publique pour prêter main-forte aux éléments pro-européens. Cependant, depuis l’intervention militaire russe, j’ai découvert progressivement quantité de documents et d’informations sur ce mouvement politique qui représentait, en 2021, un tiers des forces armées ukrainiennes. Cet article en présente une synthèse.

Au tout début de cette histoire, c’est-à-dire avant la Première Guerre mondiale, l’Ukraine était une grande plaine qui avait toujours été ballottée entre les influences allemande et russe. Présentement, elle n’était pas un État indépendant, mais une province de l’empire tsariste. Elle était peuplée d’Allemands, de Bulgares, de Grecs, de Polonais, de Roumains, de Russes, de Tchèques, de Tatars et d’une très forte minorité juive censée descendre de l’ancien peuple khazar.

Un jeune poète, Dmytro Dontsov, se passionna pour les mouvements d’avant-garde artistique, considérant qu’ils parviendraient à sortir son pays de son arriération sociale. L’empire tsariste étant immobile depuis la mort de la grande Catherine tandis que l’empire allemand était le centre scientifique de l’Occident, Dontsov choisit Berlin contre Moscou.

Lorsque la Grande Guerre éclata, il se transforma en agent des services secrets allemands. Il émigra en Suisse où il édita, pour le compte de ses maîtres, le Bulletin des nationalités de Russie en plusieurs langues appelant au soulèvement des minorités ethniques de l’empire tsariste afin de provoquer sa défaite. C’est ce modèle qui a été choisi par les services secrets occidentaux pour organiser le « Forum des peuples libres de Russie », cet été à Prague(([1] « La stratégie occidentale pour démanteler la Fédération de Russie », par Thierry Meyssan, Réseau Voltaire, 16 août 2022.)).

En 1917, la révolution bolchévique renversa la donne. Les amis de Dontsov prirent fait et cause pour la révolution russe, mais lui resta pro-allemand. Dans l’anarchie qui suivit, l’Ukraine fut divisée de facto par trois régimes différents : les nationalistes de Symon Petlioura (qui s’imposèrent dans la zone tenue aujourd’hui par l’administration Zelensky), les anarchistes de Nestor Makhno (qui s’organisèrent en Novorosssia, la terre qui avait été développée par le prince Potemkine et qui n’avait jamais connu le servage), et les bolchéviques (surtout dans le Donbass). Le cri de guerre des partisans de Petlioura était « Mort aux juifs et aux bolchéviques ! ». Ils perpétrèrent de très nombreux pogroms meurtriers.

Dmytro Dontsov retourna en Ukraine avant la défaite allemande et devint le protégé de Symon Petlioura. Il participa brièvement à la conférence de paix de Paris, mais, pour une raison inconnue, ne resta pas dans sa délégation. En Ukraine, il aida Petlioura à s’allier à la Pologne pour écraser les anarchistes et les bolchéviques. Après la prise de Kiev par les bolchéviques, Petlioura et Dontsov négocièrent le Traité de Varsovie (22 avril 1920) : l’armée polonaise s’engageait à repousser les bolchéviques et à libérer l’Ukraine en échange de la Galicie et de la Volhynie (exactement comme l’administration Zelensky négocie aujourd’hui l’entrée en guerre de la Pologne contre les mêmes terres(([2] « La Pologne et l’Ukraine », par Thierry Meyssan, Réseau Voltaire, 14 juin 2022.)) ). Cette nouvelle guerre fut un fiasco.

Vladimir Jabotinsky, né à Odessa, penseur du sionisme révisionniste. Pour lui Israël était une terre sans peuple, pour un Peuple sans terre.

Pour renforcer son camp, Petlioura négocia en secret avec le fondateur des bataillons juifs de l’armée britannique (la « Légion juive ») et désormais administrateur de l’Organisation sioniste mondiale (OSM), Vladimir Jabotinsky. En septembre 1921, les deux hommes convinrent de s’unir contre les bolchéviques en échange de l’engagement de Petlioura d’interdire à ses troupes de continuer leurs pogroms. La Légion juive devait devenir la « Gendarmerie juive ». Cependant, malgré ses efforts, Petlioura ne parvint pas à pacifier ses troupes, d’autant plus que son proche collaborateur Dontsov encourageait toujours à massacrer les juifs. En définitive, l’accord ayant été révélé, l’Organisation sioniste mondiale se rebiffa contre le régime Petlioura. Le 17 janvier 1923, l’OSM créa une commission d’enquête sur les activités de Jabotinsky. Celui-ci refusa de venir s’expliquer et démissionna de ses fonctions.

Simon Petlioura s’empara du Nord de l’Ukraine. Protecteur des nationalistes intégraux, il sacrifia la Galicie et la Volhynie pour combattre les Russes.

Petlioura s’enfuit en Pologne, puis en France, où il fut assassiné par un juif anarchiste de Bessarabie (l’actuelle Transnistrie). Lors du procès, ce dernier assuma son crime et plaida avoir vengé les centaines de milliers de juifs assassinés par les troupes de Petlioura et Dontsov. Le procès eut un grand retentissement. Le tribunal relaxa l’assassin. C’est à cette occasion que fut fondée la Ligue contre les pogroms, future Licra (Ligue internationale contre le racisme et l’antisémitisme).

Non seulement les nationalistes furent vaincus, mais les anarchistes aussi. Partout les bolchéviques triomphèrent et choisirent, non sans débats, de rejoindre l’Union soviétique.

Dmytro Dontsov édita des revues littéraires qui exercèrent une fascination sur la jeunesse. Il continuait à promouvoir une Europe centrale dominée par l’Allemagne et se rapprocha du nazisme au fur et à mesure de sa montée. Il désigna bientôt sa doctrine comme le « nationalisme intégral » ukrainien. Ce faisant, il faisait référence au poète français, Charles Maurras. En effet, au départ la logique des deux hommes était identique : ils cherchaient dans leur propre culture les moyens d’affirmer un nationalisme moderne. Cependant Maurras était germanophobe, tandis que Dontsov était germanophile. L’expression « nationalisme intégral » est toujours revendiquée aujourd’hui par les adeptes de Dontov, qui prennent soin, après la chute du IIIe Reich, de réfuter le terme de « nazisme » dont les Russes le qualifient, non sans raison.

Selon lui, le « nationalisme ukrainien » se caractérise par :
 « l’affirmation de la volonté de vivre, de puissance, d’expansion » (il promeut « Le droit des races fortes d’organiser les peuples et les nations pour renforcer la culture et la civilisation existantes »)
 « le désir de combattre et la conscience de son extrémité » (il loue la « violence créatrice de la minorité d’initiative »)

Ses qualités sont :
 « le fanatisme » ;
 « l’immoralité ».

En définitive, tournant le dos à son passé, Dontsov devint un admirateur inconditionnel du Führer, Adolf Hitler. Ses disciples avaient fondé, en 1929, l’Organisation des nationalistes ukrainiens (OUN) autour du colonel Yevhen Konovalets. Ce dernier qualifia Dontsov de « dictateur spirituel de la jeunesse de Galicie ». Cependant une querelle opposa Dontsov à un autre intellectuel à propos de son extrémisme qui conduisait à faire la guerre contre tous, lorsque soudain Konovalets fut assassiné. L’OUN (financée par les services secrets allemands) se divisa alors en deux. Les « nationalistes intégraux » se réservant l’OUN-B du nom du disciple préféré de Dontsov, Stepan Bandera.

Durant les années 1932-33, les commissaires politiques bolchéviques, majoritairement juifs, levèrent un impôt sur les récoltes, comme dans les autres régions d’Union soviétique. Combinée avec d’importants et imprévisibles aléas climatiques, cette politique provoqua une gigantesque famine dans plusieurs régions d’URSS, dont l’Ukraine. Elle est connue sous le nom d’« Holodomor ». Contrairement à ce qu’en dit l’historien nationaliste intégral Lev Dobrianski, il ne s’agissait pas d’un plan d’extermination des Ukrainiens par les Russes puisque d’autres régions soviétiques en souffrirent, mais d’une gestion inadaptée des ressources publiques en période de changement climatique. La fille de Lev Dobrianski, Paula Dobrianski, devint une des collaboratrices du président George W. Bush. Elle mena une lutte sans pitié pour faire exclure des universités occidentales les historiens qui n’adhéraient pas à la propagande de son père(([3] « L’Holodomor, nouvel avatar de l’anticommunisme « européen » » (extrait de Le Choix de la défaite), Annie Lacroix-Riz (2010). Famine et transformation agricole en URSS, Mark Tauger, Delga (2017).)).

En 1934, Bandera organisa, en tant que membre des services secrets nazis et chef de l’OUN-B, l’assassinat du ministre de l’Intérieur polonais, Bronisław Pieracki.

À partir de 1939, les membres de l’OUN-B, formant une organisation militaire, l’UPA, furent entraînés en Allemagne par l’armée allemande, puis toujours en Allemagne, mais par leurs alliés japonais. Stepan Bandera proposa à Dmytro Dontsov de devenir le chef de leur organisation, mais l’intellectuel refusa, préférant jouer un rôle de leader plutôt que de commandant opérationnel.

Les « nationalistes intégraux » admirent l’invasion de la Pologne, en application du pacte germano-soviétique. Ainsi que l’a démontré Henry Kissinger, qui ne saurait être suspect de pro-soviétisme, il ne s’agissait pas pour l’URSS d’annexer la Pologne, mais d’en neutraliser une partie afin de se préparer à l’affrontement avec le Reich. Au contraire, pour le chancelier Hitler, il s’agissait de débuter la conquête d’un « espace vital » en Europe centrale.

Dès le début de la Seconde Guerre mondiale, sous les indications de Dmytro Dontsov, l’OUN-B se battit aux côtés des armées nazies contre les juifs et les soviétiques.

La collaboration entre les « nationalistes intégraux » ukrainiens et les nazis se poursuivit avec des massacres permanents de la majorité de la population ukrainienne, accusée d’être juive ou communiste, jusqu’à la « libération » de l’Ukraine par le IIIe Reich à l’été 1941 au cri de « Slava Ukraїni ! » (Gloire à l’Ukraine), le cri de guerre utilisé aujourd’hui par l’administration Zelensky et les démocrates US. À ce moment-là, les « nationalistes intégraux » proclamèrent l’« indépendance » de l’Union soviétique en présence des représentants nazis et du clergé grec orthodoxe, non pas à Kiev, mais à Lviv, sur le modèle de la Garde Hlinka en Slovaquie et des Oustachis en Croatie. Ils formèrent un gouvernement sous le leadership du Providnyk (guide) Stepan Bandera dont son ami Yaroslav Stetsko fut le Premier ministre. On estime à 1,5 million de personnes leur soutien en Ukraine. C’est-à-dire que les « nationalistes intégraux » ont toujours été très minoritaires.

Célébration de l’Ukraine indépendante avec les dignitaires nazis. Derrière les orateurs, les trois portraits affichés sont ceux de Stepan Bandera, d’Adolf Hitler et de Yevhen Konovalets.

Les nazis se divisèrent entre d’un côté le commissaire du Reich pur l’Ukraine, Erich Koch, pour qui les Ukrainiens étaient des sous-hommes et, de l’autre, le ministre des Territoires occupés d’Orient, Alfred Rosenberg, pour qui les « nationalistes intégraux » étaient de vrais alliés. Finalement, le 5 juillet 1941, Bandera fut déporté à Berlin et placé en Ehrenhaft (honorable captivité), c’est-à-dire assigné à résidence comme une haute personnalité. Cependant, les membres de l’OUN-B ayant assassiné les chefs de la faction rivale, l’OUN-M, les nazis sanctionnèrent Stepan Bandera et son organisation, le 13 septembre 1941. 48 de leurs dirigeants furent déportés dans un camp de prisonniers, à Auschwitz (qui n’était pas encore un camp d’extermination, mais seulement une prison). L’OUN-B fut réorganisée sous commandement allemand. C’est à ce moment-là que tous les nationalistes ukrainiens portèrent le serment suivant : « Fils fidèle de ma Patrie, je rejoins volontairement les rangs de l’Armée de libération ukrainienne, et avec joie je jure que je combattrai fidèlement le bolchévisme pour l’honneur du peuple. Ce combat nous le menons aux côtés de l’Allemagne et de ses alliés contre un ennemi commun. Avec fidélité et soumission inconditionnelle, je crois en Adolf Hitler comme dirigeant et commandant suprême de l’Armée de libération. À tout moment, je suis disposé à donner ma vie pour la vérité »

Le serment de fidélité au Führer Adolf Hitler des membres de l’OUN.

Les nazis annoncèrent que l’on avait découvert quantité de corps dans les prisons, victimes des « juifs bolchéviques ». Aussi, les « nationalistes intégraux » célébrèrent leur « indépendance » en assassinant plus de 30 000 juifs et en participant activement au rabattage des juifs de Kiev à Babi Yar, où 33 771 d’entre eux seront fusillés en deux jours, les 29 et 30 septembre 1941, par les Einsatzgruppen du SS Reinhard Heydrich.

Dans ce tumulte, Dmytro Dontsov disparut. En réalité, il s’était rendu à Prague et s’était placé au service de l’architecte de la solution finale, Reinard Heydrich, qui venait d’être nommé vice-gouverneur de Bohême-Moravie. Heydrich organisa le Conférence de Wannsee qui planifia la « solution finale des questions juives et tsiganes »(([4] « The Wannsee Conference in 1942 and the National Socialist living space dystopia », Gerhard Wolf, Journal of Genocide Research, Vol 17 N°2 (2015).
https://doi.org/10.1080/14623528.2015.1027074)). Puis, il créa l’Institut Reinard Heydrich à Prague afin de coordonner l’extermination systématique de toutes ces populations en Europe. L’Ukrainien Dontsov, qui résidait désormais à Prague dans un grand luxe, en devint immédiatement administrateur. C’est donc un des principaux architectes du plus grand massacre de l’Histoire. Heydrich fut assassiné en juin 1942, mais Dontsov conserva ses fonctions et ses privilèges.

Reinhard Heydrich s’exprimant au château de Prague. Il était en charge de gérer la Bohème-Moravie. Cependant sa véritable fonction était de coordonner la « solution finale » des questions juives et tsiganes. Dmytro Dontsov entra dans son équipe en 1942 et supervisa les massacres dans toute l’Europe jusqu’à la chute du Reich. Le château de Prague a été le théâtre de la réunion de la Communauté politique européenne contre la Russie, en octobre dernier.

Stepan Bandera et son adjoint Iaroslav Stetsko furent assignés à résidence au siège de l’Inspection générale des camps de concentration, à Oranienbourg-Sachsenhausen (à 30 kilomètres de Berlin). Ils adressaient des lettres à leurs partisans et aux dirigeants du Reich en toute liberté et ne souffraient d’aucune privation. En septembre 1944, alors que l’armée du Reich reculait et que les partisans de Bandera commençaient à se rebeller contre elle, les deux leaders furent libérés par les nazis et rétablis dans leurs fonctions antérieures. Bandera et Stetsko reprirent la lutte armée, parmi les nazis, contre les juifs et les bolchéviques.

Cérémonie de l’Ordre nationaliste intégral Centuria. Selon l’Université George Washington, en 2021, il avait déjà pénétré les principales armées de l’OTAN.

Mais il était déjà trop tard. Le Reich s’effondra. Les Anglo-Saxons récupérèrent Dontsov, Bandera et Stetsko. Le théoricien du nationalisme intégral fut transféré au Canada, tandis que les deux praticiens du massacre le furent en Allemagne. Le MI6 et l’OSS (prédécesseur de la CIA) récrivirent leurs biographies, faisant disparaître leur engagement nazi et leur responsabilité dans la « solution finale ».

Stepan Bandera durant son exil, célébrant la mémoire de Yevhen Konovalets.

Bandera et Stetsko furent installés à Munich pour organiser les réseaux stay-behind anglo-saxons en Union soviétique. À partir de 1950, ils disposèrent d’une importante station de radio, Radio Free Europe, qu’ils partageaient avec les Frères musulmans de Saïd Ramadan (le père de Tariq Ramadan). La radio était fiancée par le National Committee for a Free Europe, une émanation de la CIA dont son directeur Alan Dulles était membre, ainsi que le futur président Dwight Eisenhower, le magnat de la presse Henry Luce et le réalisateur Cecil B. DeMilles. Le spécialiste de la guerre psychologique et futur protecteur des Straussiens, Charles D. Jackson, en était le président.

Vladimir Jabotinsky, quant à lui, après avoir habité en Palestine se réfugia à New York. Il fut rejoint par Benzion Netanyahu (le père de l’actuel Premier ministre israélien). Les deux hommes rédigèrent les textes doctrinaux du « sionisme révisionniste » et l’Encyclopédie juive.

Bandera et Stetsko se déplaçaient beaucoup. Ils organisèrent des opérations de sabotage dans toute l’Union soviétique, et particulièrement en Ukraine, ainsi que des parachutages de tracts. Pour cela, ils créèrent le Bloc des nations anti-bolchéviques (ABN) qui rassembla leurs homologues d’Europe centrale(([5] Des bulletins du Bloc des nations anti-bolchéviques sont disponibles dans la Bibliothèque du Réseau Voltaire. ABN Korrespondenz (auf Deutsch), ABN Correspondence (in english).)). L’agent double britannique, Kim Philby, informait à l’avance les Soviétiques des actions des bandéristes. Bandera rencontra Dontsov au Canada pour lui demander de prendre la tête de la lutte. Une nouvelle fois, l’intellectuel refusa, préférant se consacrer à ses écrits. Il dériva alors dans un délire mystique inspiré des mythes vikings varègues. Il annonçait le combat final des chevaliers ukrainiens contre le dragon russe. Bandera, quant à lui, s’allia avec le leader chinois Tchang Kaï-Chek qu’il rencontra, en 1958. Mais il fut assassiné l’année suivante par le KGB à Munich.

Obséques du criminel contre l’Humanité, Stepan Bandera.
Tchang Kaï-Chek et Iaroslav Stetsko lors de la fondation de la Ligue anticommuniste mondiale.

Iaroslav Stetsko pousuivit le combat à travers Radio Free Europe et l’ABN. Il alla aux États-Unis pour témoigner devant la Commission des activités non américaines du sénateur Joseph MacCarthy. En 1967, il fonda avec Tchang Kaï-Chek, la Ligue anticommuniste mondiale(([6] « La Ligue anti-communiste mondiale, une internationale du crime », par Thierry Meyssan, Réseau Voltaire, 12 mai 2004.)). La Ligue comprenait de nombreux dictateurs pro-US du monde entier et deux écoles de torture, au Panama et à Taïwan. Klaus Barbie, qui assassina Jean Moulin en France puis Che Guevara en Bolivie, en fit partie. En 1983, Stetsko fut reçu à la Maison-Blanche par le président Ronald Reagan et participa, avec le vice-président George Bush père, aux cérémonies des « Nations captives » (c’est-à-dire des peuples occupés par les Soviétiques) de Lev Dobrianski. Il mourut finalement, en 1986.

Mais l’histoire ne s’arrête pas là. Sa femme, Slava Stetsko, prit sa suite à la tête de ces organisations. Elle aussi parcourut le monde pour soutenir tout combat contre les « communistes », ou plutôt, si l’on se réfère aux écrits de Dontsov, contre les Russes et les Chinois. Lorsque l’URSS fut dissoute, Mme veuve Stetsko se contenta de modifier le titre de la Ligue en Ligue mondiale pour la liberté et la démocratie, dénomination qu’elle a toujours aujourd’hui. Elle se consacra alors à reprendre pied en Ukraine.

Slava Stetsko se présenta aux premières élections de l’Ukraine indépendante, en 1994. Elle fut élue à la Verkhovna Rada, mais ayant été déchue de sa nationalité par les Soviétiques, elle ne put pas siéger. Qu’à cela ne tienne, elle fit venir le président ukrainien, Leonid Kouchma, dans les locaux de la CIA à Munich et lui dicta des passages de la nouvelle Constitution. Aujourd’hui encore, celle-ci stipule en son article 16 : « Préserver le patrimoine génétique du peuple ukrainien relève de la responsabilité de l’État ». La discrimination raciale nazie est donc toujours proclamée par l’Ukraine moderne comme aux pires moments de la Seconde Guerre mondiale.

Slava Stetsko ouvrant la session 2002 de la Verkhovna Rada.

Slava Stetsko fut réélue aux deux sessions suivantes. Elle présida solennellement les séances d’ouverture des sessions du 19 mars 1998 et le 14 mai 2002.

En 2000, Lev Dobriansky organisa un vaste colloque à Washington avec de nombreux officiels Ukrainiens. Il y invita le straussien Paul Wolfowitz (un ancien collaborateur de Charles D. Jackson). Au cours de cette réunion, les « nationalistes intégraux » se mirent au service des straussiens pour détruire la Russie(([7] « Ukraine : la Seconde Guerre mondiale ne s’est jamais terminée », par Thierry Meyssan, Réseau Voltaire, 26 avril 2022.)).

Dmitro Yarosh lors de la fondation du Front anti-impérialiste contre la Russie avec les jihadistes. Il est aujourd’hui conseiller spécial du chef des armées ukrainiennes.

Le 8 mai 2007, à Ternopol, à l’initiative de la CIA, les « nationalistes intégraux » d’Autodéfense du Peuple ukrainien et les islamistes créèrent un « Front anti-impérialiste » anti-Russe sous la présidence conjointe de l’émir d’Itchkérie, Dokka Umarov, et de Dmytro Yarosh (l’actuel conseiller spécial du chef des armées ukrainiennes). Des organisations de Lituanie, de Pologne, d’Ukraine et de Russie participèrent à cette réunion, dont les séparatistes islamistes de Crimée, d’Adyguée, du Daghestan, d’Ingouchie, du Kabardino-Balkarie, du Karatchaïévo-Tcherkessie, d’Ossétie, de Tchétchénie. Ne pouvant s’y rendre du fait des sanctions internationales, Dokka Umarov, y fit lire sa contribution. Rétrospectivement, les Tatars de Crimée ne parviennent pas à expliquer leur présence à cette réunion, sinon leur passé au service de la CIA contre les Soviétiques.

Le président pro-US, Viktor Iouchtchenko, créé un Institut Dmytro Dontsov, à la suite de la « révolution orange ». Iouchtchenko est un exemple du blanchiment anglo-saxon. Il a toujours prétendu n’avoir aucun rapport avec les nationalistes intégraux, mais son père, Andrei, était gardien dans un camp d’extermination nazi(([8] Андрей Ющенко : « Персонаж и легенда », Юрий Вильнер, Yuri Vilner (2007).)). L’Institut Dmytro Dontsov sera fermé en 2010, puis rouvert après le coup d’État de 2014.

Le président Viktor Iouchtchenko, peu avant la fin de son mandat, éleva le criminel contre l’Humanité Stepan Bandera au titre de « héros de la Nation ».

En 2011, les « nationalistes intégraux » parvinrent à faire passer une loi interdisant de commémorer la fin de la Seconde Guerre mondiale parce qu’elle avait été gagnée par les Soviétiques et perdue par les bandéristes. Mais le président Viktor Ianoukovytch refusa de la promulguer. Furieux, les « nationalistes intégraux » attaquèrent le cortège des anciens combattants de l’Armée rouge, passant à tabac des vieillards. Deux ans plus tard, les villes de Lviv et d’Ivano-Frankivsk abolirent les cérémonies de la Victoire et interdirent toute manifestation de joie.

En 2014, les Ukrainiens de Crimée et du Donbass refusèrent de reconnaître le gouvernement issu du coup d’État. La Crimée, qui s’était déclarée indépendante avant le reste de l’Ukraine, le réaffirma une seconde fois et adhéra à la Fédération de Russie. Le Donbass chercha un compromis. Les « nationalistes ukrainiens », conduits par le président Petro Porochenko, cessèrent d’y entretenir des services publics et bombardèrent sa population. En huit ans, ils assassinèrent au moins 16 000 de leurs concitoyens dans l’indifférence générale.

C’est aussi, à partir du coup d’État de 2014, que les milices nationalistes intégrales furent incorporées aux Forces armées ukrainiennes. Dans leur règlement intérieur, elles enjoignent chaque combattant à lire les œuvres de Dmytro Dontsov, notamment son maître-livre, Націоналізм (Nationalisme).

En avril 2015, la Verkhovna Rada déclara les membres de l’Organisation des nationalistes ukrainiens (OUN) « combattants de l’indépendance ». La loi fut promulguée, en décembre 2018, par le président Porochenko. Les anciens Waffen SS eurent droit rétrospectivement à une pension de retraite et à toutes sortes d’avantages. La même loi criminalisa toute affirmation selon laquelle les militants de l’OUN et les combattants de l’UPA collaborèrent avec les nazis et pratiquèrent le nettoyage ethnique des juifs et des Polonais. Publié en Ukraine, le présent article m’enverrait en prison pour l’avoir écrit et vous aussi pour l’avoir lu.

Inauguration d’une plaque commémorative du criminel contre l’Humanité Dmytro Dontsov sur la façade de l’agence de presse d’État Ukrinform. Lors de la cérémonie, le directeur général d’Ukrinform a assuré que Dontsov avait fondé, en 1918, la première agence de presse ukrainienne, UTA, dont Ukrinform est la successeure.

Le 1er juillet 2021, le président Volodymyr Zelenski promulgua la loi sur les peuples autochtones d’Ukraine qui les place sous la protection des Droits de l’homme. Par défaut, les citoyens d’origine russe ne peuvent plus les invoquer devant les tribunaux.

En février 2022, les milices « nationalistes intégrales », qui formaient un tiers des Forces armées du pays, planifièrent une invasion coordonnée de la Crimée et du Donbass. Elles furent arrêtées par l’opération militaire russe visant à appliquer la résolution 2202 du Conseil de sécurité des Nations unies pour abréger le calvaire des populations du Donbass.

La vice-première ministre canadienne, Chrystia Freeland, manifeste son soutien au président Zelensky avec les membres de la section canadienne de l’OUN. Aujourd’hui, Mme Freeland est candidate au secrétariat général de l’OTAN.

En mars 2022, le Premier ministre israélien, Nafatali Bennett, rompant avec le « sionisme révisionniste » de Benjamin Netanyahu (le fils du secrétaire de Jabotinsky), suggéra au président Volodymyr Zelensky de souscrire aux demandes russes et de dénazifier son pays(([9] « Israël abasourdi par les néo-nazis ukrainiens », par Thierry Meyssan, Réseau Voltaire, 8 mars 2022.)). Face aux réactions indignées de ses alliés, il fit démentir ses propos. Enhardi par ce soutien inattendu, le ministre russe des Affaires étrangères, Sergueï Lavrov, osa évoquer le cas du président juif ukrainien en disant : « Le peuple juif dans sa sagesse a dit que les antisémites les plus ardents sont généralement des juifs. Chaque famille a son mouton noir, comme on dit ». C’était trop pour les Israéliens qui s’inquiètent toujours lorsqu’on tente de les diviser. Son homologue d’alors, Yaïr Lapid, rappela que les juifs n’ont jamais organisé eux-mêmes l’holocauste dont ils ont été victimes. Coincé entre sa conscience et ses alliances, l’État hébreu répéta à satiété soutenir l’Ukraine, mais refusa de lui envoyer la moindre arme. En définitive, l’état-major trancha et le ministre de la Défense, Benny Gantz ferma toute possibilité d’un soutien aux successeurs des massacreurs de juifs.

Les Ukrainiens sont les seuls nationalistes à ne pas se battre ni pour leur peuple, ni pour leur terre, mais pour une seule idée : anéantir les juifs et les Russes.

Sources principales :

  • Ukrainian Nationalism in the age of extremes. An intllectual biography of Dmytro Dontsov, Trevor Erlacher, Harvard University Press (2021).
  • Stepan Bandera, The Life and Afterlife of a Ukrainian Nationalist. Fascism, Genocide, and Cult, Grzegorz Rossoliński-Liebe, Ibidem (2014).