La perfidie du chantage à « l’extrême droite »

Par Lucien SA Oulahbib

Il ne se passe pas un jour sans que les thuriféraires de la génuflexion robespierriste-léniniste, aujourd’hui recyclés dans l’alter-djihadisme chic (avec promotion qatarie au Parlement européen…) fasse feu de tout bois non pas devant l’assassinat djihadiste quotidien de leurs « concitoyens » mais uniquement à l’encontre de certains patriotes ulcérés devant l’inaction des fausses forces de « l’ordre », patriotes désireux de prévenir de façon musclée si nécessaire (mais pas plus le couteau de para toujours au fourreau) tout ce débordement lancinant des faux supporters de foot qui auraient été à la moindre incartade au pain sec et à l’eau (et sexuellement malmenés) dans les geôles d’Afrique du Nord, cette pauvre contrée encore et toujours dominée par les juntes apatrides diverses et variées (récusant leurs racines amazighes judéo-chrétiennes et le legs juridico-médico-social français) reléguées à la hâte par une décolonisation ratée.

Que les sbires de la LFI et affiliés soient las de servir de toutous serviles aux macroniens est une chose, mais de là à sans cesse tenter de faire d’une poignée d’identitaires agacés la base centrale d’un coup d’État à venir (comme tente de le faire croire également le gouvernement allemand en roue libre et va-t’en guerre) est bien facile, et fait plutôt penser à l’éternelle tactique stalinienne du « front contre front » amalgamant au fond tout ce qui n’est pas eux dans ladite « extrême-droite » qui d’ailleurs progresse, ne leur en déplaise, dans les urnes malgré ces hurlements répétés au loup (qu’on libère par ailleurs de plus en plus, victoire de l’ensauvagement tous azimuts…).

Ces hurlements à la mort contre « l’extrême droite » ne seraient que peu de choses à vrai dire s’il n’y avait pas précisément cette volonté d’y amalgamer toute critique sur l’illégalité, mieux encore, sur l’inconstitutionnalité de la suppression de fait des frontières d’une part, sur également d’autre part cette volonté scientiste et hygiéniste opiniâtre de nous museler pour rien, sinon un plaisir sadique programmatiquement théorisé par le néo-léninisme, aujourd’hui au service de la Secte SHAA.

Et sa violence politique exigeant d’emblée toutes sortes d’interdictions (alors que juridiquement ces groupes qui patrouillaient n’ont rien « ratonné ») fait exprès de faire de plus en plus peur pour masquer dans tous les sens du terme leurs diverses exactions contre le pays qu’ils détestent en réalité et surtout pour exiger du pouvoir macronien qu’ils servent si servilement des moyens de répression milicienne exigés constamment par leurs créatures obséquieuses hantant de leurs ciseaux pour censure les médias de grand chemin.

Bientôt le moment où toute possession de chien non vert sera interdite et pourchassée… Et rira bien qui pourra rire…




Une marionnette tyrannique hyper raciste a été désignée par Time Magazine comme la « Personne de l’année 2022 »

Volodymyr Zelensky et l’ethnopolitique

Par Thierry Meyssan

Le président Zelensky vient d’être désigné par la revue Time « homme politique de l’année 2022 ». C’est ne pas avoir réalisé son coup de force de juillet, à la faveur de la guerre. Il a fait :
– interdire tous les partis politiques qui s’opposaient à lui ;
– assassiner les personnalités qui lui résistaient ;
– contrôler tous les médias, écrits, audiovisuels et internet ;
– interdire la langue russe ;
– détruire 100 millions de livres ;
– confisquer de nombreux biens des oligarques, y compris de celui qui l’a personnellement financé ;
– nationaliser les biens des investisseurs et sociétés russes ;
– et enfin, interdire l’Église orthodoxe.
Ce faisant, il se conforme à l’objectif énoncé en 1996 dans la Constitution (art. 16) par les « nationalistes intégraux » : « préserver le patrimoine génétique du peuple ukrainien » (sic). C’est l’ethnopolitique, c’est-à-dire une politique reconnaissant les droits des individus, mais fondée sur l’ethnie ukrainienne.

Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a été désigné par Time Magazine comme la « Personne de l’année 2022 » ; un choix évident, selon la rédaction de l’hebdomadaire. En effet, il incarne un courage contagieux qui a permis à son peuple de résister à l’invasion russe.

Pourtant, dans son pays, le pouvoir est progressivement passé, depuis le 25 juillet, de ses mains à celles de son vice-président au Conseil national de Sécurité et de Défense, Oleksiy Danilov. Zelensky se concentrant sur sa fonction de porte-parole du régime, il laisse Danilov préparer les décrets qu’il signe. Les deux hommes ont instauré ensemble un régime de terreur.

Le 17 et le 25 juillet, trois membres du Conseil ont été limogés pour de nombreux faits de trahison rapportés par les fonctionnaires sous leurs ordres :
– le diplomate Ruslan Demchenko,
– l’ami d’enfance de Zelensky et du chef du service de sécurité, le SBU, Ivan Bakanov,
– et l’ancienne conseillère juridique de Zelensky et procureure générale d’Ukraine, Irina Venediktova.

Parlant de ces jours cruciaux, Rinat Akhmetov, l’homme le plus riche d’Ukraine avant la guerre, a déclaré que Zelensky s’était emparé du pouvoir, de tous les pouvoirs, sous couvert de réforme.

Le 26 août sur la chaîne NTA, Oleksiy Danilov a révélé que le Conseil de sécurité et de Défense avait adopté un plan de défense du pays en novembre 2021, c’est-à-dire quatre mois avant l’intervention militaire russe. Ce document était préparé depuis que Zelensky avait rejeté le plan d’un Minsk-3 proposé par Paris, les 8 et 9 décembre 2019. « C’est un énorme document fondamental qui énonce les activités de tous les corps sans exception : qui et comment doit agir dans une situation de loi martiale » a-t-il précisé, le 7 septembre à Left Bank.

ASSASSINER LES OPPOSANTS POLITIQUES

Les assassinats politiques sont en général le fait des « nationalistes intégraux » et non pas des organes gouvernementaux. À tout moment, ils peuvent enlever et faire disparaître, voire exécuter directement dans la rue aux yeux de tous, les opposants politiques. Les victimes sont d’abord des journalistes et des élus. Il ne s’agit pas d’un fonctionnement nouveau puisque ces meurtres ont rythmé la guerre civile depuis 2014.

On pense au député Oleg Kalachnikov, assassiné de onze balles dans la tête sur le seuil de sa maison, en 2015. La police n’a jamais établi ni qui avait effectué l’assassinat, ni qui l’avait commandité.

Cependant, dans certains cas, ils sont le fait du SBU (service de sécurité). Ainsi, l’exécution du négociateur officiel, Denis Kireev, de retour de Kiev où il avait participé aux contacts sans lendemain avec la Russie. Il a été tué en pleine rue, le 6 mars 2022, parce que lors des négociations, il avait osé évoquer les liens historiques entre Kiev et Moscou.

Les dirigeants politiques n’assument pas publiquement ces actes, mais les encouragent. Il affirment que le pays doit être « épuré ». Il ne s’agit pas de tuer les agents de la Fédération de Russie, mais tout porteur de la culture russe ou toute personne qui admet la valeur de cette culture.

Le maire de Kiev, le champion de boxe Vitali Klitschko, a chargé le groupe néo-nazi C-14 de débusquer et de tuer les « saboteurs » parmi les Ukrainiens d’origine slave.

Des procédures pénales ont été ouvertes contre d’anciens hauts responsables de l’État comme le député Yevhen Murayev, l’ex-ministre des Affaires intérieures Arsen Avakov, l’ancien Premier ministre Arseni Iatseniouk, l’ex-secrétaire du Conseil de la sécurité nationale et de la défense Oleksandr Turchynov ou encore contre l’ancien président Petro Porochenko.

Le SBU arrête désormais de nombreux civils qu’il accuse d’avoir collaboré avec les Russes.

INTERDIRE LA LANGUE RUSSE

Alors que, selon les Accords de Minsk II (art. 11, note explicative [1]) du 12 février 2015, les régions du Donbass devaient pouvoir déterminer elles-mêmes leur langue officielle, Oleksiy Danilov a déclaré, le 1er septembre 2022 : « Ce sont eux [les habitants du Donbass] qui doivent trouver une langue commune avec nous, pas nous avec eux. Nous avons des frontières, et si quelqu’un n’est pas satisfait des lois et des règles qui s’appliquent sur le territoire de notre pays, nous ne retenons personne ».

Le 21 octobre, il s’est fait plus précis : « La langue russe devrait disparaître complètement de notre territoire en tant qu’élément de propagande hostile et de lavage de cerveau pour notre population »

CONTRÔLER DES MÉDIAS

Oleksiy Danilov, a déclaré le 20 juillet, en pleine crise du Conseil de Sécurité et de Défense, que de nombreuses personnes que l’on avait l’habitude de voir à la télévision avant « l’agression russe », n’y apparaissent plus. « On ne sait pas où elles sont passées. Le SBU fera des déclarations fortes à leur sujet ». Il les a accusées de rendre compte du point de vue russe : « Implanter ces récits russes ici est une chose très, très dangereuse. Apparemment, nous devrions comprendre ce qu’ils sont. Regardez : nous n’avons pas besoin d’eux. Laissez-les nous quitter, laissez-les aller dans leurs marécages et croasser dans leur langue russe ».

Le Conseil de Sécurité et de Défense avait déjà placé tous les médias écrits et audiovisuels sous sa surveillance. Il avait en outre interdit une centaine de chaînes Telegram qu’il avait qualifiées de « pro-russes ».

DÉTRUIRE 100 MILLIONS DE LIVRES RUSSES

L’Institut du livre ukrainien, qui supervise toutes les bibliothèques publiques, a été chargé, le 19 mai, c’est-à-dire avant la crise du Conseil de Sécurité et de Défense, de détruire 100 millions d’ouvrages [2].

Il s’agissait de détruire tous les livres d’auteurs russes ou imprimés en langue russe ou encore imprimés en Russie. Dans la pratique, une commission a été désignée au sein de la Verkhovna Rada pour s’assurer de la mise en œuvre de cette épuration intellectuelle. Il s’est avéré que l’immense majorité des livres des bibliothèques étaient des ouvrages pratiques de cuisine, de couture, etc. Ils ont attendu un peu avant de passer au pilon, la priorité étant donnée aux auteurs maléfiques comme Alexandre Pouchkine et Léon Tolstoï.

INTERDIRE DES PARTIS POLITIQUES

Les 12 partis politiques d’opposition ont été interdits, un à un. Le dernier en date a été sanctionné le 22 octobre [3]. Leurs élus ont été démis de leurs fonctions.

Seul l’oblast de Transcarpathie (proche de la Hongrie) refuse de démettre les élus locaux issus des partis politiques interdits.

CONFISQUER LES BIENS DES OPPOSANTS ET DES RUSSES

Depuis fin février, l’Agence ukrainienne de recherche et de gestion des avoirs (ARMA), l’organe de la lutte anti-corruption voulu par l’Union européenne, a saisi des biens d’une valeur de plus de 1,5 milliard de hryvnias, soit 41 millions de dollars.

Les oligarques propriétaires de médias ont tous été contraints, un à un, de céder ceux dont ils disposaient. Il s’agit d’un plan général censé libérer le pays de leur influence. Ils conservent cependant le droit de détenir d’autres types de sociétés.

Selon la loi ukrainienne de 2021, les oligarques sont les 86 citoyens possédant au moins 80 millions de dollars, participant à la vie politique et exerçant une grande influence sur les médias. Selon Oleksiy Danilov, il ne devrait plus y avoir d’oligarque à la fin de la guerre.

Le Conseil de Sécurité et de Défense a décidé, le 7 novembre, de nationaliser des usines appartenant aux oligarques, y compris à Igor Kolomoisky, le financier de Volodymyr Zelensky. Elles ont été placées sous administration du ministère de la Défense et devraient être « restituées au peuple ukrainien » à la fin de la loi martiale.
Cette décision s’applique, entre autres, au constructeur ukrainien de moteurs d’avions Motor Sich qui était en conflit avec des investisseurs chinois devant une Cour d’arbitrage à La Haye (affaire Beijing Skyrizon). La Chine, qui réclame 4,5 milliards de dollars à qualifié la nationalisation de « vol ». Selon Beijing : « Depuis 2020, le gouvernement ukrainien a continuellement créé des problèmes, blâmé, réprimé et persécuté les investisseurs chinois sans raison, et a même imposé des sanctions économiques spéciales sans raison, dans l’intention de nationaliser Motor Sich PJSC par des moyens illégaux et de piller sans vergogne les actifs chinois à l’étranger ».

Le Conseil de Sécurité et de Défense a saisi, le 20 octobre, les biens de 4 000 sociétés et individus russes dans le pays.
Cette décision s’applique aussi à des personnalités ukrainiennes qui s’étaient installées en Russie avant la guerre comme les chanteurs Taisiya Povaliy, Ani Lorak, Anna Sedokova et la présentatrice de télévision Regina Todorenko.

INTERDIRE L’ÉGLISE ORTHODOXE

Le Conseil de Sécurité nationale et de Défense ukrainien a décidé, le 1er décembre 2022, d’« interdire aux organisations religieuses affiliées à des centres d’influence de la Fédération de Russie d’opérer en Ukraine », a annoncé le président Zelensky en signant le décret 820/2022 [4]].

Le « Service d’État pour l’ethnopolitique et la liberté de conscience » a été chargée de saisir les
bâtiments de l’Église orthodoxe relevant du patriarcat de Moscou.

Il y a deux semaine, le service de sécurité ukrainien (SBU) a violemment perquisitionné un monastère, accusant des popes d’avoir osé décrire la Russie comme la « Mère patrie ».

Le président Zelensky estime respecter les normes occidentales des Droits de l’homme. En effet, la Cour européenne des Droits de l’homme ne pourra plus enregistrer de plainte provenant de Russie puisque Moscou a quitté le Conseil de l’Europe.

COUPER TOUTES LES RELATIONS AVEC LA RUSSIE

Le 4 octobre, le président Zelensky a signé un décret interdisant toute nouvelle négociation avec la Russie.

Le 1er décembre, Oleksiy Danilov a appelé à « la destruction de la Russie ». Il a précisé son propos ainsi : « Ils ont juste besoin d’être détruits pour qu’ils cessent d’exister en tant que pays, à l’intérieur des frontières dans lesquelles ils existent maintenant… Ce ne sont que des barbares. Et quand vous dites que vous devez vous asseoir à la même table que ces barbares et parler avec eux, je considère que c’est indigne de notre peuple »

Thierry Meyssan




Bilan 2022, science, guerre, économie, religion : l’euthanasie occidentale

Par Lucien SA Oulahbib

Face par exemple à l’orientalisme ambiant qui sculpte en Occident un islam rose bonbon, quel argument fort pourrait démentir ce produit au fond de l’art contemporain étendu partout (semblable à ces alarmistes coulant leur main dans du bitume) ? Imaginons que les principaux recteurs des mosquées françaises (et européennes) se réunissent pour réclamer la réciprocité religieuse dans leurs pays respectifs d’origine, demandant ainsi que ceux-ci permettent la construction de lieux de culte autre qu’islamique d’une part et que d’autre part aucun de leurs fidèles autres que musulmans ne soit discriminé… Si un tel geste fort était fait, alors là oui il serait possible de parler d’un « islam de France, d’Europe » voire des « Lumières » façon Voltaire et Locke lorsqu’ils défendent la « tolérance »…

Mais ce Geste ne viendra pas, pas plus que la construction d’une vision plus modérée de l’accueil français actuel concernant l’immigration, car cela va à l’encontre de tout un discours qui prétend que celle-ci vit actuellement une situation bien pire que celle d’autres migrations, en niant alors ce que vivaient par exemple les journaliers italiens à la fin du 19e siècle lorsqu’ils étaient chassés à coup de pierre dans les rues d’Arles et traités de « ritals », lorsque les mineurs polonais étaient traités de « polaks », les maçons portugais de « portos », les manœuvres et hommes (femmes) de ménage espagnols de « spingouins », les Asiatiques de « chintocks », etc., etc., sans oublier plus largement les animosités récurrentes entre tribus africaines, la guerre permanente entre sunnites et chiites, japonais et coréens, bref, la xénophobie à tous les étages du genre humain et de ses strates ethniques et politiques, parce que personne n’a envie d’être dominé culturellement ou d’être également mis socialement en concurrence alors que l’emploi se fait soit rare soit reste mal payé…

Cette « xénophobie » de fait (avatar également du sentiment d’appartenance, ainsi l’animosité entre Paris et Marseille) n’a donc rien à voir avec un racisme « systémique » comme on peut le connaître… en pays islamiques justement lorsque ces derniers sont non seulement formellement considérés comme bloc ethnoreligieux fermé (le « national » étant l’Oumma et devant (sollen) rester géo-exclusivement arabe dans la direction de ce qui « l’unit ») se voulant donc bien plus supérieur qu’élu au sens juif d’avoir été choisi par la parole divine pour apporter au monde les Dix Commandements puis d’avoir révélé que le Péché Originel Est pardonné (la venue du Fils ou Verbe pour le dire : et on ne peut aller à l’Esprit du Père que par Lui…)

Or, face à ce désir intrinsèque de supériorité symbolisé ainsi par le refus de voir se construire des lieux de culte autres qu’islamique dans les pays dominés par la direction (sans parler de l’absence, radicale, de théâtre, cinéma, pluralité intellectuelle, ou alors qu’en vernis, pour plaire aux dhimmis onusiens) rien ou si peu a été mis en place en Occident, mis à part, par contre, la violence systémique issue spécialement du totalitarisme léniniste allié de plus en plus (malgré l’expérience fâcheuse iranienne et, en amont, algérienne) à cette direction (que l’on voit maintenant s’effectuer dans des facultés françaises dans des prières clandestines) classant immédiatement « d’extrême droite » toute critique, y compris la plus modérée, l’y interdisant ,la chassant comme une malpropre (tout en larmoyant sur les pendus de Téhéran)… Ou refusant de se demander comment est-il possible qu’un supporter dit « marocain » aille monter sur un balcon belge pour lui enlever son drapeau ? Comme s’il s’agissait de prendre l’étendard de l’ennemi… C’est un acte de guerre au sens strict (comme placer le drapeau marocain sur le fronton d’une mairie). On aimerait d’ailleurs entendre l’avis d’une Françoise Degois voyant dans les excès de ces supporters uniquement de l’excitation festive (idem ou presque Alain Bauer…).

Concernant maintenant les autres thèmes quel bilan ?

Très médiocre pour parler pourtant modérément :

  • l’esprit scientifique basé sur le doute et l’accumulation progressive de certitudes atteintes (ou la connaissance distincte de l’opinion soit le dogme positif) est désormais en perdition, tenu du bout des doigts par une poignée de courageux, mais attaquée sans cesse par des gens corrompus et souvent incompétents en plus, par formation ou par production.
  • Qu’il s’agisse de la santé et du climat par exemple les spéculations ont pris la place des observations et, pis, sont imposées comme « croyance » indépassable (à la façon de Sartre présentant « le » marxisme quasiment ainsi). On entend ainsi partout un « je crois à La Science » posé comme progrès alors qu’il s’agit à l’évidence d’une régression vers un nouveau vaudou et ses amulettes magiques comme le masque et l’injection flash qui n’est au fond que la version médicalisée de la drogue dite illégale : car entre exciter un temps quelques anticorps (ce qui n’a rien à voir avec un vrai « vaccin ») et exciter un temps quelques neurones par cocaïne où est la différence sinon temporelle ?… Au fond, le premier geste semble désormais plus dangereux que le second au vu des effets secondaires (plusieurs millions désormais et nous ne sommes qu’au début, il a fallu des dizaines d’années pour admettre la nocivité de certains médicaments voire du… tabac et de l’alcool pris de façon excessive). Quant au climat on voit bien que les observations par satellite et la paléoclimatologie infirment de plus en plus l’alarmisme d’aujourd’hui.
  • Sur la guerre, en particulier entre L’OTAN (via le régime corrompu dominant à Kiev depuis 2014) et la Russie de Poutine, il s’avère que Minsk n’était que poudre aux yeux comme l’ancienne chancelière Merkel vient de l’avouer…
  • Sur l’économie enfin, on voit bien que le nucléaire et l’agriculture sont sacrifiés sous nos yeux malgré l’apparence du contraire, et que peu à peu, William Saurin aidant, les délocalisations s’accélèrent, même si les marchés des actions flambent puisqu’ils sont surtout liés à la planche à billets des banques centrales et bien moins à l’économie réelle touchée doublement par la globalisation, et surtout l’hégémonie allemande forçant à augmenter les coûts de l’énergie électrique en le basant sur l’éolien et solaire articulés au gaz aujourd’hui rare, ce qui fait que l’attractivité française s’affaisse, seules les grandes villes tirent leur épingle du jeu, laissant la porte ouverte à la fragmentation du territoire laissé à l’abandon et aux expériences d’injections d’immigrés censés redresser la « transition démographique » alors que dans le même temps d’aucuns dont le RN veut sacraliser l’avortement qui devait rester l’exception et non pas la règle lorsqu’il s’agit de se séparer d’une vie à naître alors que tant de couples stériles aimeraient en bénéficier…
  • Si l’altruisme prévaut autant le consacrer aux siens, d’abord ceux de la collectivité nationale française, mais, hélas, plusieurs générations d’enseignants, d’écrivains, de politiques et de journalistes ont tout fait pour la salir comme si c’était la France qui avait inventé le colonialisme et la torture, une dimension repérable hélas y compris dans le film sur Simone Veil où n’est guère expliqué que les femmes poseuses de bombes du FLN ont massacré, assassiné, mutilé des centaines d’innocents, même pas militaires, d’où la nécessité d’aller vite pour stopper les autres poseuses de bombe lors de la « bataille d’Alger » . Mais ces considérations ne sont pas expliquées dans leur complexité aux jeunes générations qui vont alors associer à leur ressentiment endémique, enseigné à l’école de la République et dans les officines wahhabites, un désir de revanche anachronique et « disproportionné » voyant en chaque Français un tortionnaire « systémique »…

Le bilan 2022, s’avère, au fond, non seulement médiocre, mais à mépriser, tant l’enfantement d’un tel monstre n’est guère à la hauteur d’un pays comme la France qui a été le phare du monde, et peut encore le redevenir, si et seulement si cependant l’on écarte la fausse élite qui prétend éclairer. Alors qu’elle l’obscurcit et le tire vers la régression néo-esclavagiste multiforme jusqu’à s’en vanter désormais via la pseudo-sexualité du porno SM chic ou sanitaire (les serveurs avec muselière dans les dîners officiels et sans doute en tenue plus olé olé dans les dîners cocaïnés officieux) jusqu’à cette euthanasie vendue sur catalogue au Canada avec une musique d’ambiance qui cherche à créer une atmosphère forte et envoûtante poussant à la mort les gens fragiles à l’instar de ce cannibale allemand qui avait mis une annonce et reçut 400 réponses… Il est vrai que toute une philosophie cannibale en a fabriqué le fondement.




L’ordre des Médecins : les Bons, les Justes et les Méchants

[Source : covid-factuel.fr]

Par Gérard Maudrux

Poursuivi par l’Ordre des médecins qui possède une juridiction d’exception qui ne devrait pas exister dans un pays démocratique, je ne me faisais pas beaucoup d’illusions. Pour moi c’est un tribunal d’exception, car ce sont les mêmes qui définissent ce qu’ils considèrent comme une faute, qui vous poursuivent et qui vous jugent. La justice ne peut être indépendante et donc juste, quand on est à la fois juge et partie. 

J’avais tort : il existe de bons juges, honnêtes, qui ne font pas de politique et jugent sur les faits, contrairement à l’accusation. Si je suis bien tombé, ce n’est malheureusement pas le cas partout, tant il y a de différences d’un département à l’autre, d’une région à l’autre. Ceci n’est pas acceptable, la justice doit être la même pour tous. En effet j’ai rencontré les deux extrêmes : un confrère condamné à 18 mois de suspension pour une ordonnance d’Ivermectine (j’ai écrit une, ce n’est pas un lapsus), et d’autres pour lesquels le département refuse de poursuivre pour 100 prescriptions, au nom de la liberté de prescription, quand celle-ci ne présente pas de danger.

LES MAUVAIS

Je suis convoqué le 17 février 2021 par le CDOM 84, Conseil Départemental de l’Ordre des Médecins du Vaucluse, par téléphone, « pour parler de mon blog », à la demande du CNOM, Conseil National de l’Ordre des Médecins. Sans plus de précision sur les motifs de la convocation, et ayant besoin d’un justificatif de sortie (confinement), je réclame une convocation écrite, et la reçois par mail 2 jours avant, mail précisant que :

« Le Conseil National nous demande de recueillir vos explications sur les affirmations que vous portez au sujet de certains traitements controversés ».

Je me présente donc à cette réunion, avec 3 « confrères » en face de moi. Comme ils n’avaient aucun élément à me présenter, aucun écrit litigieux de ma part pour que je puisse m’expliquer sur un quelconque manquement, je leur propose de lire un courrier que j’avais fait, à destination du Président du National, afin qu’ils le lui remettent. Ce courrier décrivait ce que je faisais, comment, et dans quel esprit. Ils m’ont coupé avant la fin, pour ne me poser qu’une seule et unique question : « quelle est votre spécialité ?», ce qu’ils savaient parfaitement. Je n’ai jamais eu de réponse à ce courrier, ni à la plainte qu’elle contenait.

Première surprise, au lieu de se contenter de transmettre mes explications, démarche demandée par le CNOM et pour laquelle j’avais été convoqué, le CDOM décide de porter plainte devant la chambre disciplinaire, sans que j’aie pu savoir quelle faute j’aurais pu commettre et sans que je puisse m’en expliquer et donc sans que je puisse m’en défendre !  Ils appellent cela sans doute de la confraternité, l’affaire était entendue, ils n’avaient pas l’intention de m’écouter ni de m’entendre, leur décision était prise d’avance.

Le 8 avril 2021, je reçois un courrier m’avisant que « le Conseil a examiné de nombreux articles » (lesquels ?) que j’ai publié dans le Quotidien du Médecin, et « a décidé de porter plainte, considérant que depuis décembre 2020, dans des billets hautement polémiques, vous vous opposez aux recommandations, que vous appelez à prescrire des thérapeutiques non éprouvées, que les études citées ne font pas la preuve de rigueur scientifique ». On me reproche aussi le fait que le QDM soit accessible au grand public, que je ne suis pas infectiologue, et que je sème le trouble chez les médecins et le grand public.

 Ils joignent à la plainte 4 billets et 11 pièces, le tout ne m’ayant jamais été opposé pour discussion, la première convocation étant censée statutairement être une « réunion de conciliation ».

Billet du 30 janvier 2021, où je reprends ce qu’a écrit l’ANSM dans son mémoire au Conseil d’Etat, rappelant aux médecins qui prescrivent, les lois qu’ils doivent respecter avec un lien sur tous les articles des Codes de la Santé Publique, de la Sécurité Sociale et de Déontologie qu’ils doivent respecter, ainsi que le mémoire de l’ANSM qui les autorise à prescrire. Où est le problème ? Interdit de reprendre ce qu’écrit l’ANSM ? Ce n’est pas précisé.

Billet d’actualités du 7 janvier 2021 où je m’étonne de la création d’un “Conseil des citoyens pour la vaccination”, alors qu’il y a déjà pléthore de Conseils traitant du sujet en en citant une quinzaine, auxquels s’ajoute McKinsey, et je pose la question : “à quoi servent toutes ces administrations et tous ces énarques qui nous coûtent très cher ? ». Je signale également les difficultés de mise en place de la vaccination, citant la presse et Xavier Bertrand. Je fais également le tour de l’actualité sur l’ivermectine, avec l’OMS ayant chargé Andrew Hill d’une méta-analyse, je cite ses résultats, et des articles de presse favorables sur Paris Match, The Times, Daily Mail avec liens correspondants, le tout sans commentaire de ma part. Je cite ensuite une étude intéressante sur la nigelle, proposant de faire des études pour confirmer. Je termine sur les vaccins pour dire que j’ai découvert le possible phénomène ADE (anticorps facilitants), qui est à suivre, et j’évoque l’apparition de variants, à surveiller. Des faits, publiés, et des questions. Où est le problème ? Ce n’est pas précisé.

Troisième billet du 31 décembre 2020 sur les vaccins. Là c’est le scandale, la pièce fournie au dossier a été manipulée à charge ! Nous sommes dans la confraternité ! En effet, c’est un billet édité en 4 pages, et ils n’ont donné que 2 pages contrairement aux autres billets de 4 pages, la première et la dernière. Relisez le billet, je cite les 250 vaccins en cours, je parle de l’intérêt du rapport bénéfice/risque, reprochant des commandes passées avant connaître ce rapport, signalant que les laboratoires, pas fous, n’ont pas voulu assumer le facteur risque. Je décris les différents types de vaccins, je parle des risques possibles, posant plusieurs questions sans rien affirmer. Mais surtout après toutes ces questions, je propose pour rassurer, d’aller sur le site de la Société de pathologie infectieuse, avec un lien vers 4 pages rassurantes sur les vaccins. Ceci n’est bien évidemment pas dans les pages fournies mais écartées. Est-il interdit de poser des questions, de s’inquiéter et de rassurer ? Où est le problème ?

Quatrième billet du 2 février 2021 où je démonte, liens à l’appui, les fact-cheking de l’AFP, de l’Inserm et de la Société Française de Pharmacologie. Chacun cite plusieurs études, moi je détaille ce qui est réellement écrit dans ces études citées, en donnant chaque fois les liens, pour que le lecteur puisse se faire lui-même son opinion. Il s’agit d’un débat, est-ce interdit ? On n’a pas le droit de dire que l’on a une interprétation différente ? Eux ont le droit de donner leur opinion sur ces études et pas moi ? En vertu de quel principe ? Quelle loi ? Le débat est-il interdit ? Comme pour les autres pièces, données sans commentaire, les propos interdits ne sont pas précisés, je ne peux donc argumenter et me défendre.

À ces quatre billets, sont jointes 11 pièces surprenantes, toutes en ma faveur :

L’article de Charlotte BERNIGAUD (montrant l’efficacité à 100% de l’ivermectine en ehpad), notre mémoire pour convaincre le Conseil d’Etat (avec notamment le rapport du Dr Andrew Hill pour l’OMS montrant une division par 4 de la mortalité sous ivermectine), le mémoire de l’ANSM précisant entre autres que les médecins peuvent prescrire, en le soulignant dans le texte), le jugement du référé (sans objet l’ANSM ayant démarré l’évaluation 8 jours plus tôt), un courrier de Me TEISSEDRE apportant des éléments complémentaires promis à l’audience, un article d’Ivmmeta.com (devenu c19ivm.org) signalant 40 études (à l’époque) sur l’ivermectine (dont la moyenne donne 89% de résultat en prophylaxie et 78% sur la mortalité), le pré-rapport de HILL pour l’OMS (aux résultats exceptionnels), un article de Pierre KORY qui dit la même chose, une présentation de Paul MARIK (idem), la méta-analyse de Tess LAWRIE, une lettre de Marc WATHELET, virologue, au Ministre de la santé Belge (qui demande la même chose que nous, avec les mêmes arguments), et l’article de Prescrire pour lequel j’ai déposé plainte (ignorée par l’Ordre). Prescrire cite 2 études positives et 9 « négatives », alors que les conclusions de ces études disent le contraire ! J’avais fait un billet pour le démontrer, que le CDOM s’est bien gardé de donner : le débat contradictoire, béaba de la justice, connaît pas !

Manifestement le CDOM 84, pour démontrer que l’Ivermectine est peu recommandable et ne doit pas être prescrite, n’a lu aucune de ces pièces présentées , car toutes démontrent le contraire ! Ou alors il ne sait pas lire.

Par la suite j’ai présenté un mémoire en défense, démontant toute l’accusation infondée, puis le 21 avril 2021, le CDOM 84 a fait une réponse à notre réponse, ajoutant 2 pièces pour étayer son accusation.

La première est la décision négative de l’ANSM, datée du 1 avril 2021. Comment pouvais-je  avoir connaissance de cette décision 4 mois plus tôt ? Drôle d’accusation s’appuyant sur des éléments postérieurs aux faits ! Ceci serait rejeté par n’importe quel tribunal normal. La seconde tente de faire croire à la toxicité de l’Ivermectine avec un article concernant le centre anti poison de l’Oregon, signalant que des américains avaient pris des formes vétérinaires jusqu’à 10 fois la dose (aucun décès). Quel rapport avec les prescriptions faites par des médecins ? De plus c’est ce qui arrive quand on interdit. Personnellement je regarde plutôt les rapports de pharmacovigilance, qui à l’époque (N°18 du 11 janvier 2021), ne signalaient aucun effet secondaire déclaré pour l’ivermectine, même bénin, contre 219 pour le Lopinavir par exemple.

LES JUSTES

Je me présente donc à l’audience le 13 octobre 2022. En face, un Président, magistrat non médecin, Président honoraire des tribunaux administratifs et des cours d’appel administratives, et 6 juges, médecins. Le Président est venu me voir avant, pour me dire de ne pas en vouloir à mon avocat s’il ne plaidait pas, il n’en avait pas le droit, car c’est une procédure écrite, on ne parle que si les juges posent des questions pour éclaircir certains points. Je lui dis que j’avais préparé une petite intervention de 5-10 minutes, il me répond que c’est 5-10 minutes de trop, pas question. Drôle de procédure depuis le début, où l’accusé ne peut s’exprimer face aux juges.

Le rapporteur présente alors le dossier, tout à fait correct, expliquant qu’en gros, j’avais relaté toutes mes démarches avec l’administration, je le (la en fait) sens favorable. Elle ne posera qu’une question au Président du CDOM 84, pour signaler que l’accès au QDM n’est pas si évident que cela pour le public.

Le Président de la Chambre Disciplinaire s’exprime, il a manifestement bien épluché le dossier de A à Z, je sens qu’il a compris beaucoup de choses sur le fond du problème. Après une petite joute amicale entre spécialistes avec mon avocat, concernant les droits à la défense (à laquelle je ne comprends pas grand-chose), il insiste sur son attachement à la liberté d’expression. À la fin, pour appuyer les remarques du rapporteur au président du CDOM 84, il fera une petite erreur en précisant que pour accéder au QDM, il fallait un n° de RPPS. Erreur excusable pour un non médecin, mais surpris de voir que ni le Président du CDOM 84, ni les 6 assesseurs médecins n’ont relevé l’erreur, ce qui montre que les médecins ne lisent pas beaucoup la presse professionnelle, surtout le CDOM 84 qui m’accuse de quelque chose qu’ils ne connaissent pas.

À la fin, le Président me donne la parole par sympathie, « pour que je ne sois pas déçu de n’avoir pas pu parler ». Correct, je fais au plus court, me contentant de ne relever deux points soulevés en audience par le CDOM 84, signalant d’une part que je ne suis pas responsable si le public peut accéder au QDM, et que c’est le cas pour toutes les revues médicales, même les plus pointues, et qu’ensuite, comme le CDOM insistait sur le fait que je ne suis pas infectiologue, je précise que je n’ai jamais eu cette prétention, mais que par contre je suis un de ceux qui en France connaît le mieux l’ivermectine, avec une bibliographie de plus de 450 articles fournis par Medincell.

Le Président clôt la séance (15 mn en tout), en remerciant de manière appuyée sur le fait que je suis venu seul, dans le calme, qu’il l’avait remarqué et apprécié. Je suppose que certains avaient dû le prévenir qu’il y aurait une manifestation. Au début de son intervention, il avait aussi salué la qualité du dossier “très bien argumenté”.

LE DÉNOUEMENT

Fin novembre 2022 je reçois la décision de la chambre disciplinaire : la plainte du CDOM 84 est rejetée, et une somme de 3 000 € est mise à la charge du CDOM.

Suite mais pas fin, il y a 10 jours je reçois une lettre recommandée, le CDOM 84 fait appel, appel qui est suspensif. Je pensais que cela viendrait du National, non c’est le Départemental qui s’acharne. Je dis s’acharne car lors de l’audience, alors qu’on ne lui demandait rien, le Président du CDOM a dit qu’il ne s’agissait pas d’un acharnement à l’égard du Dr Maudrux. Puisqu’il le dit, je suis bien obligé d’en conclure, que devant un dossier si vide, un jugement clair, qu’il n’y a pas de fumée sans feu. Vengeances syndicales, ordinales, de la part de membres du CDOM ? Je n’en sais rien.

Cette action ne vient pas de patients ou de politiques, mais de confrères qui tentent de salir une carrière complète exemplaire, sans aucun faux pas, au service des patients, des confrères dans le bénévolat total, dévouement reconnu par les patients et par les confrères. Ceci pour avoir défendu une certaine idée de la médecine, pour avoir défendu l’obligation de soigner et la liberté de prescription du médecin, tous deux inscrits dans la Loi et le Code de déontologie, et pour avoir voulu appliquer le Serment d’Hippocrate, le Code International d’Ethique, des déclarations Genève de 1947 d’Helsinki de 1964, toutes signées par l’Ordre, et qui stipulent, je cite : « Je partagerai mes connaissances médicales au bénéfice du patient et pour les progrès des soins de santé».

S’ils sont là pour contrôler et empêcher le mensonge, ils ne sont pas là pour interdire le débat scientifique, inventer un délit d’opinion, ignorer la bonne foi si nécessaire (reconnue par les autres tribunaux), et se prendre pour une police politique, au lieu de faire de la médecine. Les polices politiques sont les images les plus sombres de certains pays, et de certaines périodes chez nous.

Distilbène, Dépakine, Médiator, Lévothyrox, Isoméride, hormone de croissance, Stalinon, chlordécone, amiante, Vioxx et d’autres, toutes des affaires soulevées par la base, médecins, patients, contre des substances « éprouvées », et défendues par les autorités. Avec les méthodes actuelles, tous ces produits auraient fait encore plus de morts.

Je ne sais pas ce que donnera l’appel, le CDOM tentant de se rapprocher des donneurs d’ordre pour juger au National après avoir échoué en province, mais ils ont déjà gagné : deux ans de censure, deux ans de soucis, et des frais correspondants à 2 mois de retraite, et c’est reparti pour un tour. Ils n’ont sans doute pas remarqué, que dans confrères, il y a aussi le mot frères.




L’Humanité est-elle condamnée à la disparition, même sans bombe nucléaire ?

« Est-ce bien la Terre qui est en danger ? Depuis plus de quatre milliards d’années, notre planète poursuit, imperturbable, son tournoiement sur elle-même et son parcours en ellipse autour du Soleil ; pour elle, les seules influences venues de l’univers qui soient immédiatement décelables sont les liens gravitationnels qui la rendent solidaire du Soleil et de la Lune ; le premier, par sa masse énorme, la maintient rigoureusement sur son orbite, la seconde, par sa proximité, la stabilise et ralentit peu à peu son mouvement de toupie. Vue de Sirius, son histoire actuelle ne comporte guère d’événements marquants »1

Par contre l’humanité est-elle condamnée si on n’y prend garde ? Pendant que les bobos qui veulent sauver la planète refusent l’extrême bonheur d’avoir un tout petit à élever, câliner, aimer (le sel de la vie), les chutes actuelles de la natalité couplées aux effets précoces connus des injections géniques cumulées (la moitié des femmes injectées aurait déjà des troubles menstruels) et inconnues à long terme font craindre le pire. Les fausses-couches et enfants mort-nés se multiplient même si le mot « coïncidence » a fleuri sur les réseaux… (et pas sur les médias mainstream qui sont muets…)

« Cherchez le coupable » disait Columbo. « Je ne crois pas aux coïncidences, demandez à ma femme ».

Chute de la fertilité2 affirmée par l’ONU

En juillet 2022, l’ONU constatait qu’en 2021 la fécondité moyenne de la population mondiale était de 2,3 naissances par femme au cours de la vie. Elle était de 5 dans les années 1950. Pour l’ONU, elle devrait encore baisser d’ici à 2050 pour atteindre 2,1, soit le taux supposé stabiliser la population. Mais selon la tendance récente observée, le recul pourrait être plus important et plus rapide.3

Ainsi, pour les Échos, la population mondiale risque de diminuer de moitié d’ici à 2100

Au rythme actuel de baisse du taux de fécondité (avant les pseudovaccins covid), la population mondiale pourrait être diminuée de moitié à la fin du siècle à un peu plus de 4 milliards d’habitants. Le pic pourrait être atteint au milieu du siècle avant un déclin certain. L’Europe se verrait amputer de 400 millions d’habitants en quelque 80 années4.

La population chinoise pourrait reculer à 1,17 milliard d’habitants en 2050 au regard de la tendance observée du taux de fertilité du pays. (metamorworks/Shutterstock).

Et encore probablement cet article ne tenait-il pas compte de la baisse importante de la natalité observée depuis l’utilisation à échelle mondiale des injections expérimentales anticovid dont l’effet est dissimulé dans les médias, malgré les évidences statistiques.

Décembre 2022 : la natalité en chute libre en Union européenne et dans le monde :
ET SI LA NATALITÉ CHUTAIT ENCORE PLUS À LA SUITE DU PSEUDOVACCIN ANTICOVID ?

Les effets délétères des injections anticovid géniques expérimentales sont de plus en plus difficiles à cacher même si les chiffres des agences sont éminemment variables. En tous cas il est difficile de ne pas s’inquiéter du taux important de mortalité néonatale et de fausses couches dans les pays hautement « vaccinés ».

Il paraît donc légitime de se demander quel est l’état de la natalité dans nos pays et dans le monde après ces trois ans de délire collectif. D’autant plus que l’ONU prévoyait déjà une descente de la natalité. Nous étions déjà inquiets de l’effet des dégâts environnementaux du fait de la baisse du nombre de spermatozoïdes depuis plusieurs décennies chez nos jeunes hommes (alimentation, rejets hormonaux en masse dans nos eaux, etc. pesticides et modificateurs hormonaux des cosmétiques…).

Les attitudes alarmistes et sectaires de certains d’écologistes peu instruits de la réalité qui essayent de mettre dans la tête de nos enfants l’idée de ne pas faire d’enfants pour « sauver la planète » sont choquantes. Inculture, prétention et vanité vont de pair. Elles conduisent à refuser la paternité ou maternité ; poussent certains à la vasectomie ou à la ligature de trompes ?. Quel manque d’humilité de la part de ces « humains »… D’autres n’hésitent pas à écrire que le changement climatique serait responsable de cette baisse de natalité, mais le mensonge est bien sûr la chose du monde la plus répandue… avec la lâcheté et la bêtise.

PAS DE BABY-BOOM POST CONFINEMENT

Les confinements imposés pendant de longues périodes dans les pays occidentaux et asiatiques avaient conduit certains à prédire un probable baby-boom dans les neuf mois suivants, la consolation de la couette remplaçant les vidéos lassantes. Manifestement il n’en fut rien et les explications fusent, plus ou moins logiques, ou probables.

La dépression collective induite par la succession de peurs suscitées puis répétées comme un mantra par le pouvoir chaque heure de la journée via les médias aux ordres y est sûrement pour quelque chose. L’angoisse d’une guerre nucléaire, d’un réchauffement climatique culpabilisant (dont le rôle humain reste à démontrer), les pénuries organisées (pas de moutarde en France et des rayons pleins en Italie) la hausse du prix de l’essence, la menace de coupures d’électricité, bref le pouvoir ne manque pas d’idées pour maintenir l’angoisse dans la population…

La dépendance aux écrans remplaçant de plus en plus les relations humaines joue aussi un rôle. Une banale observation de clients d’un restaurant conduit à cette désespérante évidence : les gens, couples, familles, ne se parlent plus qu’à travers leurs portables et une réponse même à table est plus vite obtenue via un SMS qu’une conversation normale. La vie virtuelle imposée par nos gouvernants remplacerait-elle la vie réelle ?Des analystes japonais blâment les divertissements nippons, tels que certains mangas ou des jeux vidéo, qui proposent à leurs utilisateurs tout un panel de plaisirs virtuels et les éloigneraient des formes de plaisirs réels.5

Bref les multiples explications se bousculent, dont certaines ne datent pas de l’affaire covid, mais de mauvais esprits (complotistes d’extrême droite… ?) ont osé évoquer le rôle possible des injections géniques dans une probable chute de la natalité.

Quels sont les faits avérés ?

En France, l’INSEE vient de publier des chiffres très alarmants

L’INSEE confirme l’effondrement de la natalité depuis le début de la pseudovaccination.

2 décembre 2022 :

« En 2022, la natalité connaît un décrochage historique, avec des chiffres jamais connus jusqu’ici. Cette tendance qui a commencé à s’affirmer en juin 2022, c’est-à-dire 9 mois après l’atteinte des 85 % de taux de vaccination dans la population, est devenue catastrophique depuis le mois d’août, c’est-à-dire depuis les premiers effets de la troisième dose. Pour l’instant, l’INSEE ne donne aucune explication à ce trou d’air inquiétant pour l’avenir démographique du pays ».

Près de 2 300 enfants sont nés chaque jour en France en septembre 2017. Ils n’étaient plus que 2.100 en 2020, quelques mois après le tout début de l’épidémie de COVID. Ils n’ont été que 2.000 en septembre 2022, 9 mois après le passage à la 3e dose… Pour l’instant, l’INSEE ne donne aucune explication à ce phénomène très inquiétant…

Aux USA la natalité a baissé aussi depuis 2008 6

« Entre 2000 et 2019, le nombre de naissances quotidiennes a diminué en moyenne de 0,39 % par an. Le rythme de la baisse s’est accéléré entre 2010 et 2019, lorsque le nombre de naissances quotidiennes a diminué en moyenne de 0,96 % par an. Mais la baisse a été beaucoup plus forte en 2020 : le nombre moyen de naissances quotidiennes était inférieur de 4,06 % à celui de 2019 ».

Et en 2022, aggravation probable.

VAERS COVID Vaccine Reproductive Health Related Reports

Ces tableaux issus du VAERS de recueil des données américaines pour les CDC et la FDA montrent une augmentation considérable des fausses couches et de la mortalité néonatale depuis la période des vaccins covid.
La même constatation peut se faire sur le tableau des troubles menstruels et hémorragies depuis le début de l’expérimentation.

Selon Brighteon.TV :

« La seule chose qui a changé au début de l’année 2021, c’est que Donald Trump a pleinement lancé l’opération Warp Speed, libérant des milliards d’injections chimiques expérimentales sur le monde. Et environ neuf mois plus tard, les taux de natalité dans le monde entier ont plongé.

Le Dr Naomi Wolf et coll. ont identifié une longue liste de résultats négatifs associés aux vaccins qui vont bien au-delà du simple échec de la reproduction. Ils incluent des problèmes de fertilité masculine affectant le sperme, la fonction de la prostate et donc la fertilité.

La FDA a été informée à ce sujet le 1er avril 2021, sans aucune réponse. Des problèmes de fertilité féminine, qui ont également été ignorés par les régulateurs fédéraux. Des échographies montrant une inflammation et une calcification anormales chez les fœtus environ huit semaines après l’injection. Mais aussi des lésions péniennes dont Pfizer reconnaît l’existence dans ses propres documents internes. Des fausses couches avec un taux variable selon l’âge de la grossesse, mais qui peut atteindre 87,5 %. »

AUTRES EXEMPLES DE BAISSE DE LA NATALITÉ DANS LE MONDE

L’Australie enregistre une baisse de 63 % des naissances après l’introduction des « vaccins » covidés7.

Information publiée par le Bureau australien des statistiques (ABS) depuis le lancement des « vaccins » contre le coronavirus de Wuhan (Covid-19).

D’octobre à novembre 2021, le nombre de naissances a diminué de 21 % par rapport à la moyenne sur une période de 10 ans. De novembre à décembre 2021, soit un mois plus tard seulement, le nombre de naissances a diminué de 63 %.

« Décembre était environ neuf mois après le lancement des vaccins COVID », note David James de LifeSiteNews à propos de la période difficile entre la conception et la naissance.

« La Therapeutic Goods Administration (la FDA australienne) a commis des meurtres de masse contre des citoyens.
Il y a vraiment de fortes chances que personne dans la politique australienne, à l’exception peut-être de quelques individus “marginaux”, ne dise un mot de ces données accablantes. C’est parce qu’elles exposent les vaccins contre la grippe de Fauci comme un outil de dépeuplement
. »

La Therapeutic Goods Administration (TGA), la version australienne de la FDA, a-t-elle pris la peine d’examiner tout cela lorsqu’elle a autorisé, approuvé, puis rendu obligatoires les vaccins contre la grippe de Fauci pour ses citoyens ? Si elle l’a fait, comment la TGA est-elle parvenue à la conclusion que ces vaccins sont sans danger pour tout le monde, et encore moins pour les femmes enceintes ?

Le Dr Luke McLindon, spécialiste de la fertilité, affirme avoir observé une augmentation massive des fausses couches chez ses propres patients après l’introduction des vaccins. Avant l’opération Warp Speed, le taux de fausses couches chez les patients de McLindon était de 12 à 15 %. Aujourd’hui, parmi ses patientes « vaccinées », il a atteint 74 %.

« Il faudra du temps pour répondre aux premières interrogations, mais elles doivent être posées : “Pourquoi la baisse du taux de fécondité se produit-elle ? Pourquoi le taux de mortalité en Australie a-t-il bondi ? » 8

https://www.naturalnews.com/2022-11-17-australia-63-percent-drop-births-covid-vaccines.html

Taiwan a connu une chute similaire de 23 % des naissances après le lancement de l’opération Warp Speed.
La Suisse

a connu un recul inouï (-3,4 écart-types de la moyenne à long terme) de sa natalité, exactement neuf mois après le début de la vaccination anti-Covid de ses citoyens âgés de 20 à 49 ans9

BAISSE DU NOMBRE DE NAISSANCES D’UNE AMPLEUR JAMAIS VUE EN 150 ANS — EST-CE DÛ À LA VACCINATION CONTRE LE COVID-19 ?

Les données fournies par l’Office fédéral de la statistique (OFS) permettent d’établir que, depuis janvier 2022, le nombre de naissances vivantes s’est abaissé comme jamais auparavant en Suisse et dans le canton de Berne1. En février 2022, seules 628 naissances vivantes ont été enregistrées.

D’après nos calculs, cette valeur s’écarte de 3,4 écarts-types de la moyenne à long terme (de janvier 2015 à juin 2022). Il s’agit de la plus forte baisse depuis que l’OFS récolte les données relatives aux naissances vivantes (1872).

« Il est urgent de déterminer les causes précises de cette baisse ». Certes il est impossible de conclure à une causalité sur la base d’une simple corrélation temporelle, mais les observations exposées ci-dessous sont tout de même inquiétantes.

« Tout d’abord, on observe que la forte baisse du nombre de naissances vivantes intervient précisément neuf mois après l’ouverture de la vaccination à toutes les personnes âgées de 20 à 49 ans. Ensuite, en comparant entre les régions, on constate qu’il y a une corrélation entre le recul des naissances et la couverture vaccinale. En Suisse orientale (couverture vaccinale : 49,7 %), les naissances ont reculé de 8,6 % contre 18 % à Zurich (couverture vaccinale : 63,9 %) ».

Les données ne permettent pas de faire de rapprochement entre la dénatalité et le nombre de cas de COVID-19 ou d’hospitalisations liées au COVID-19.

Les graphiques suivants sont tirés du document de 66 pages intitulé « Geburtenrückgang in den Schweizer Kantonen » [Recul de la natalité dans les cantons suisses] publié le 13 août 20222 :

D’après Konstantin Beck, professeur à l’Université de Lucerne et conseiller spécialisé en économie de la santé, cette méthode ne permet pas de prouver formellement qu’il y a un lien entre la baisse du nombre de naissances vivantes et l’accroissement de la couverture vaccinale3.

Néanmoins il suppute :

« Au vu des données dont nous disposons concernant les naissances en Suisse, nous pouvons supposer que la vaccination est à l’origine du surprenant et considérable recul du nombre de naissances vivantes »4.

Israel a publié les conséquences néfastes de l’injection génique sur la mortalité périnatale, les fausses couches spontanées, etc.

Les chiffres officiels d’Israël (02/2022) sur la mortalité périnatale, fausses couches et avortements chez les femmes vaccinées et non vaccinées10 CHD.TV Israël — « Vaccins et allaitement » : un sujet peu paru dans les médias… et pourtant déjà vieux de plusieurs mois » 11

L’Allemagne et la Suède
L’Espagne

Au cœur de la réserve naturelle des Arribes del Duero Fermoselle l’exemple d’une Espagne qui se dépeuple12

Si l’Espagne a enregistré le plus faible taux de natalité de ces 20 dernières années, Fermoselle un triste record : c’est la plus grande municipalité d’Espagne (1131 habitants recensés en 2021) parmi celles qui n’ont pas eu une seule naissance ces deux dernières années. « Nous sommes la capitale d’une Espagne qui se vide », se vantent les habitants, comme s’ils avaient été choisis pour accueillir les Jeux olympiques.

En 2018, il n’y a eu aucun nouveau-né dans le village, et cette année, une fillette est morte quelques jours après sa naissance. « À ce rythme-là, nous allons finir par disparaître », déplore le maire, de retour d’une réunion de la Junta [gouvernement de la région autonome] de Castille et Léon, au cours de laquelle 3,5 millions d’euros de fonds européens ont été débloqués pour protéger les oiseaux du Parc naturel d’Arribes de Duero.

« C’est très bien que l’aigle de Bonelli ou le percnoptère ne s’éteignent pas, je ne dis pas non, mais il ne faudrait pas qu’on s’éteigne nous aussi, fait-il valoir. Qu’est-ce qu’ils vont faire quand on ne sera plus que 4 habitants dans le village ? Nous cloner ? »

José Manuel Pilo a remporté les élections municipales en mai sous les couleurs d’une plateforme citoyenne créée après les incendies qui ont ravagé le village en 2017. Il a mis fin aux 30 ans de règne du Parti populaire (PP, conservateur) et détient la majorité absolue [au conseil municipal]. Il a autant de conseillers municipaux qu’il y a d’enfants inscrits à la garderie municipale : cinq.

Le taux de natalité est au plus bas en Angleterre et au Pays de Galles

En 2018, le taux de natalité a atteint un niveau historiquement bas en Angleterre et au pays de Galles, représentant une baisse de 46 % par rapport au record historique de 1947.

Depuis le début du recensement des naissances en Angleterre et au pays de Galles, le nombre de nouveau-nés n’a jamais été aussi bas, rapporte The Guardian. Le record de naissances avait eu lieu en 1947. Comparé à cette date, le nombre de naissances a chuté de 46 % l’an dernier.

En 2018, 657 076 naissances ont été enregistrées. Cela représente une baisse de 3,2 % par rapport à l’année précédente, et de 10 % par rapport à 2010. Le taux s’est élevé à 11,1 naissances pour 1 000 habitants. « Les chiffres, fournis par l’Institut national des statistiques [l’Office for National Statistics (ONS)], montrent également que le pourcentage de bébés vivants dont la mère n’est pas née au Royaume-Uni a diminué pour la première fois depuis 1990, passant de 28,4 % à 28,2 % », détaille The Guardian.

Le taux de fécondité global a lui aussi baissé. Il était de 1,7 enfant par femme en 2018, soit une baisse de 3,4 % par rapport à l’année précédente. Citée par le quotidien britannique, Ann Berrington, professeure de démographie et de statistiques sociales à l’Université de Southampton, explique ces données par l’évolution des aspirations, l’éducation, mais également l’accès à la contraception.13 Qu’en sera-t-il après les ravages de l’injection génique ?

Beaucoup s’interrogent : @elonmusk

« Ces faibles poids à la naissance et ces malformations du génome humain après le développement du vaccin covid sont tout simplement épouvantables, comment la Terre prévoit-elle de réparer cette erreur d’interprétation génétique créée par l’homme ? »

Et concluons par une belle citation de Victor Hugo :

« Seigneur, préservez-moi, préservez ceux que j’aime, frères, parents, amis, et mes ennemis mêmes dans le mal triomphant, de jamais voir, Seigneur, l’été sans fleurs vermeilles, la cage sans oiseaux, la ruche sans abeilles, la maison sans enfants ! »





Les sales enjeux financiers de la guerre en Ukraine

[Source : Ligne Droite]




Pascal Praud : « Ne plus dire Homme ou Femme, on va tous terminer dans un hôpital psychiatrique »

[Source : RTL]

« Si on ne peut plus utiliser des mots comme Homme ou Femme, je me demande si on ne va pas tous terminer dans un hôpital psychiatrique ! »

Pascal Praud

Débat entre Pascal Praud et Marine, étudiante en droit à Paris




Le Luddite Club : un endroit sans téléphone ni réseaux sociaux

[Source : Nexus]

Aujourd’hui, il peut être difficile d’imaginer la vie sans les smartphones et les réseaux sociaux. Ces technologies font désormais partie intégrante de notre quotidien, mais de plus en plus d’adolescents commencent à se sentir dépassés et stressés par celles-ci.

La connexion continue peut être fatigante et entraîner des sentiments d’anxiété et de peur de manquer. Pour se déconnecter, certains jeunes ont décidé de se mettre au tricot ou adoptent les téléphones à clapet des années 2000. D’autres encore n’hésitent pas à se réclamer du luddisme.

◆ Des casseurs de téléphones ?

C’est le cas de Lola, une étudiante new-yorkaise, qui ne voulait plus être une « screenager », une ado collée à son téléphone. Avec ses amis, elle a décidé de créer, en 2021, le Luddite Club. Ce dernier a été baptisé en l’honneur de l’ouvrier anglais Ned Ludd supposément à l’origine du luddisme, le mouvement des « casseurs de machines » au XIXe siècle. Les luddites étaient contre l’utilisation de la technologie et l’industrialisation. Ils se livraient d’ailleurs à des actes de sabotage contre des usines et des machines. Aujourd’hui, le terme « luddite » désigne plutôt les personnes qui résistent au changement ou aux nouvelles technologies.

◆ Un club ouvert au monde

Il n’est pas nécessaire de se débarrasser de son téléphone pour rejoindre le Luddite Club.

« Certains membres, dont moi, sont passés au téléphone à clapet. D’autres ont encore des iPhone mais essaient de passer moins de temps dessus. Lorsque le club se réunit, la seule règle est la suivante : pas de smartphones ici. Pas de TikTok, pas d’Instagram », explique Lola au média Insider. « Nous discutons de livres ou de nos projets pour le club. Beaucoup de gens dessinent. Certains lisent. »

◆ Une saveur retrouvée

« Sans téléphone, j’ai été obligée de vivre ces moments et de les savourer. Je me suis retrouvée à réfléchir à mes plans pour la journée, ou à un souvenir d’il y a cinq ans, ou alors j’essayais de trouver la réponse à un problème qui me stressait. Peu importe ce à quoi je pensais, c’était beaucoup plus vivant et détaillé qu’auparavant. » Lola ne regrette pas l’époque où son attention était constamment détournée par son téléphone et les vidéos chronophages qu’il proposait. « J’ai aussi commencé à lire davantage et j’arrive à mieux me concentrer. Dans l’ensemble, j’ai l’impression que ma manière de penser s’améliore. »

Image principale par Mircea de Pixabay 




Une organisation suisse veut créer des banques de « sang non-vacciné » contre le Covid

[Source : FranceSoir]

Le rejet du vaccin anti-Covid prend une tout autre forme. « Horrifié » par le sang contenant un vaccin anti-Covid, George Della Dietra, un naturopathe suisse, a fondé Safe Blood Donation (don de sang sain, Ndlr), une organisation à but non lucratif, dont l’objectif est de mettre en relation des demandeurs et donneurs de sang non vaccinés et constituer, à terme, une banque de sang issue des dons de personnes non-vaccinées. En Nouvelle-Zélande, des parents ont refusé que leur enfant malade reçoive du « sang de vacciné » et en ont partiellement perdu la garde mercredi 7 décembre.

George Della Dietra a exprimé dans une déclaration son “horreur” après avoir étudié un sang ayant reçu un vaccin anti-Covid. “Je n’ai jamais vu de sang comme ça. C’était, pour être honnête, la principale raison pour laquelle j’ai commencé tout ça, parce que quand j’ai vu ça, j’étais tellement horrifié”, a-t-il déclaré. Il s’est dit convaincu que « toute cette affaire de vaccination” a pour but de “contrôler les gens”. Il estime ainsi que toute personne n’ayant pas été vaccinée a le droit de recevoir du sang qui ne contient pas de technologie ARNm.

En créant Safe Blood Donation, ce naturopathe explique ainsi sa volonté d’être “une plateforme pour les personnes qui souhaitent avoir le libre choix des donneurs de sang… Qu’ils pensent qu’il existe une véritable théorie du complot, que le Nouvel Ordre Mondial est en train de se produire, ou qu’ils disent simplement qu’ils ne veulent pas de ce sang pour une raison quelconque”a-t-il déclaré.

“Faire pression sur les autorités”

La tâche s’annonce ardue. À se référer au New York Times, environ 71,1 % de la population mondiale a déjà reçu une dose d’un vaccin contre le Covid-19. Aux États-Unis, une étude de septembre 2021 publiée dans le journal de l’American Medical Association affirme que 83,3% des dons de sang avaient des anticorps combinés en raison de la vaccination. “Je reçois des centaines d’e-mails me demandant : ‘Avez-vous du sang, parce que je dois être opéré dans trois semaines’”, a déclaré Della Dietra.

Outre la création de banques de sang “non-vacciné”, SafeBlood Donation, qui compte des membres dans au moins 16 pays, entend “faire pression sur les hôpitaux et les autorités sanitaires du monde entier pour qu’ils autorisent des “dons dirigés” de sang” ne contenant pas de traces du vaccin, explique encore son fondateur. Les membres de cette organisation demandent ainsi aux autorités de modifier leurs politiques. “Dès que nous aurons suffisamment de partenaires médicaux (pour l’application, la collecte et le traitement du sang), nous commencerons par la médiation », affirme son fondateur.

Les autorités médicales n’autorisent effectivement pas ces “dons dirigés”. Les autorités sanitaires de plusieurs pays, comme les États-Unis ou le Canada affirment qu’il y a “aucun risque à recevoir du sang de personnes ayant été vaccinées”. En plus de cela, la réception des dons de sang dans les centres de transfusion n’est pas organisée selon le statut vaccinal des donneurs.

Un couple néo-zélandais perd la garde de son enfant

Les cas de personnes non vaccinées qui demandent un don de sang provenant de personnes non vaccinées, se font de plus en plus entendre depuis l’été dernier. En Nouvelle-Zélande, un couple a perdu mercredi 7 décembre la garde de leur fils de quatre mois en raison de son refus qu’il reçoive du sang provenant de personnes vaccinées avant une opération cardiaque.

Le nourrisson de quatre mois souffre de sténose valvulaire pulmonaire et l’intervention chirurgicale a été retardée. Leur demande de transfuser leur enfant avec un sang « non-vacciné » a été rejetée car les hôpitaux de Nouvelle-Zélande ne séparent pas le sang donné selon le statut vaccinal des donneurs.

Les parents, accusés de « complotisme » par l’avocat de la partie adverse, ont perdu temporairement la garde de leur enfant, les autorités ayant demandé à la justice de leur confier la garde partielle du bébé. Le couple conservera son autorité sur leur enfant à l’exception de ce qui concerne les affaires médicales.




Virginie Joron : « Nous ne sommes qu’au début du scandale sur le Qatar »

[Source : Le Courrier des Stratèges]

Virginie Joron, députée européenne, réagit au scandale Eva Kaili. Elle souligne les relations troubles entre les socialistes européens et le Qatar.




L’affaire Alexandre Juving-Brunet * L’importance de l’examen juridique de la résistance monétaire

[Source : BARON Sylvain]

Par Sylvain Baron

Le 25 novembre 2022, Alexandre Juving-Brunet, patriote dont j’apprécie les initiatives et réflexions, a été incarcéré pour « escroquerie en bande organisée ». Si je ne souhaite pas remettre en cause la volonté d’Alexandre d’outiller la résistance française pour nous battre avec une certaine efficacité, son histoire témoigne que l’on ne peut jouer de la monnaie sans un examen juridique pertinent des mécanismes que l’on souhaite mettre en œuvre. C’est pour le moins, la première partie de l’allocution livrée ici même en plus d’une réflexion sur un tout autre sujet pour conclure cet enregistrement.

Je vous conseille le téléchargement de ce document pour mieux comprendre le cadre juridique autour de la révolte monétaire que je préconise dans cet enregistrement :

[Note de Joseph : par rapport au point particulier exposé ici selon lequel Alexandre se serait posé comme sauveur, ce dernier a plusieurs fois mis en garde contre le fait de le voir ainsi, car il a bien mentionné qu’il ne pouvait rien faire sans les autres.
Pour ce qui concerne Alexandre, voir ici.]




Carte de France des suspendus !

[Source : la-verite-vous-rendra-libres.org]

Suspendus : beaucoup plus de monde que ce qu’on nous dit !

Vous êtes suspendu ?
Contactez directement Marius Jacob :



https://www.google.com/maps/d/u/0/edit?hl=fr&mid=1aGrhoLEC4Sowi-3T-tCJTnZzMbIskGM&ll=47.758316174021616%2C2.087203398463235&z=5

  • Source : Télégram : @mariusjacob7891



REVUE DE PRESSE DU 11 DÉCEMBRE 2022

Par MF

ÉDITORIAL
Fraude, censure et radiations

Partout dans le monde les témoignages affluent au sujet des mécanismes de la censure que viennent renforcer les twitter files, tandis qu’Albert Bourla le PDG de Pfizer refuse toujours de se présenter devant les parlementaires européens, qu’un professeur de médecine japonais dénonce les documents falsifiés et que le projet de gouvernance mondiale de la santé avance à l’OMS. Des voix se lèvent contre le port du masque et les faux positifs, sur fond de graves effets indésirables reconnus par l’ANSM et une explosion mondiale de maladies cardiaques, tandis que certains ordres continuent de radier des médecins pour avoir osé contrer le discours officiel et mensonger.

POLITIQUE ET SOCIÉTÉ

Il y a une organisation globale pour augmenter la censure, selon le Pr PERRONNE

https://www.francesoir.fr/videos-l-entretien-essentiel/christian-perronne-organisation-globale-augmenter-censure

« Il ne faut pas toucher aux enfants (…) Ils font des formes bénignes et ne transmettent pas le virus (…) Faut rester zen. On va nous sortir d’autres causes de peur pour essayer de continuer à nous asservir, mais les gens doivent se sentir libérés de cette pandémie. »

Le Dr Kierzek défend la réintégration des soignants non vaccinés

https://dissidentofficiel.com/le-dr-gerald-kierzek-defend-avec-brio-la-reintegration-des-soignants-non-vaccines-ca-ne-fait-plus-aucun-sens-cette-histoire-video-complete/

« Il est revenu sur… le mythe selon lequel ce serait le nombre de contaminations qui serait à prendre en compte, alors que tout le monde sait que c’est en fait la mortalité causée par le virus qu’il faut surveiller. »

Rétablissons les suspendus dans leurs droits

https://lecourrierdesstrateges.fr/2022/12/08/science-sans-conscience-et-politique-sans-ethique-par-patrick-de-casanove/

« Réintégrer les soignants non vaccinés pourrait être le premier pas pour démonter la machine infernale que les politiques ont mise en route au prétexte des COVID. »

Pour ne pas s’allier avec le RN, LFI retire sa proposition de texte de loi pour la réintégration des soignants suspendus

https://www.francesoir.fr/politique-france/soignants-suspendus-les-insoumis-refusent-de-defendre-le-texte-avec-le-rn-et

Selon le RN : « Macronistes et Insoumis empêchent donc les soignants suspendus de reprendre le chemin des hôpitaux et autres cabinets médicaux. »

Les fraudes de l’émission Complément d’enquêtes du 17 novembre 2022

https://www.francesoir.fr/videos-les-debriefings/nicolas-vedrinesla-presentation-des-preuves-de-complement-d-enquete-est-frauduleuse

« “Au moins une dizaine de fake” : c’est le nombre de fausses preuves qu’affirme avoir identifiées Nicolas Védrines, soignant diplômé en ingénierie et passionné par les études de méta-analyses. »

ÉTRANGER

AUSTRALIE — Mécanismes de la censure à l’heure du Covid 19

https://www.francesoir.fr/videos-les-debriefings/brian-martin

« Brian Martin revient sur les expériences des médecins et des chercheurs qui ont été la cible de cette censure suite à leurs publications ou à leurs déclarations contestant le point de vue officiel sur le covid. Il rend compte des attaques et des méthodes de déstabilisation employées par les tenants du narratif dominant contre les individus critiques des mesures sanitaires et de la politique de vaccination en population générale.
Il expose également les contre-attaques des personnes censurées qui, après une période d’effroi, ont réagi en élaborant des stratégies de défense pour continuer à faire entendre leurs voix/Brian Martin est professeur émérite en sciences sociales à l’Université de Wollongong en Australie. Spécialiste de la censure, il est l’auteur de 22 livres et de centaines d’articles sur la non-violence, les lanceurs d’alerte, les controverses scientifiques, les questions d’information et la démocratie.
 »

Le PDG de Pfizer refuse toujours d’être auditionné par le Parlement européen

https://www.francesoir.fr/politique-monde/le-pdg-de-pfizer-refuse-toujours-d-etre-auditionne-par-les-parlementaires-europeens

« Beaucoup de mystères entourent toujours les commandes de vaccins à ARNm de Pfizer-BioNTech passées avec la Commission, qui s’est aussi refusée à communiquer les prix pratiqués.
Les échanges de SMS entre Ursula von der Leyen et le PDG de Pfizer, sont tenus encore secrets à ce jour. »

JAPON — Le Pr FUKUSHIMA fustige le ministère de la Santé.

Vidéo sans langue de bois, « le Professeur Fukushima demande à ses interlocuteurs de se baser systématiquement sur les faits réels, l’état clinique, la situation des malades et certainement pas sur tous les documents officiels falsifiés, trafiqués depuis le début de la crise sanitaire. »

Royaume-Uni — La liberté académique est morte

https://www.francesoir.fr/societe-sante/la-liberte-academique-est-morte-un-professeur-de-stanford-raconte-son-enfer

Si « les dirigeants universitaires ne défendent pas la liberté académique, ils ne méritent pas les postes qu’ils occupent. »

La première version du traité de l’OMS sur les pandémies

https://lecourrierdesstrateges.fr/2022/12/08/exclu-la-premiere-version-du-traite-oms-sur-les-pandemies/

« Le traité pose donc crûment le “global health governance”, la gouvernance mondiale de la santé, comme solution pour régler les questions de pandémie… »

USA — Suite des twitter files

https://www.francesoir.fr/politique-monde/twitter-files-la-journaliste-bari-weiss-devoile-des-listes-noires-qui-limitaient

La journaliste Bari WEISS a cité le cas du Dr Jay Bhattacharya de l’Université de Stanford, qui avait exprimé son opposition au confinement durant l’épidémie de coronavirus en 2020. « Twitter l’a secrètement placé sur une “liste noire des tendances”, empêchant un reach important. »

JUSTICE

Les radiations continuent, avec celle du Dr Marc Girard, expert auprès des tribunaux

« Je suis radié parce que je mets en danger même mes proches, a fortiori des patients, par mon incompétence apparemment criante — en dépit du fait facilement vérifiable qu’en 40 ans de pratique intensive, je n’ai pas eu un seul sinistre… »

Capsule de Maître X

https://crowdbunker.com/v/ps826jgFZR

Où il est question d’un Conseil de l’Ordre qui rejette une demande d’une CPAM concernant des prescriptions hors AMM, d’un référé qui donne raison à une employée non vaccinée, et d’une plainte auprès de la Cour pénale internationale. Liens sous la vidéo

IRLANDE Enquête sur un décès d’adolescent après vaccin Pfizer

https://www.francesoir.fr/societe-sante/enquete-en-irlande-sur-le-deces-d-un-adolescent-apres-avoir-recu-un-vaccin-pfizer

« L’instruction, qui commençait à la cour de Castlebar, dans le comté de Mayo, en Irlande, pourrait durer des années et aboutir à la mise cause du vaccin du laboratoire américain dans la mort de cet adolescent. »

COVID

Origine du Covid, nouveaux éléments

https://nypost.com/2022/12/03/scientist-with-ny-non-profit-tied-to-wuhan-lab-says-covid-man-made-virus/

« Andrew Huff, qui travaillait pour une organisation à but non lucratif basée à New York qui étudiait les virus, a déclaré que le COVID s’était échappé de l’Institut de virologie de Wuhan, en Chine, il y a plus de deux ans, et a accusé les autorités d’être à l’origine du “plus grand échec du renseignement américain depuis le 11 septembre”, a rapporté samedi le journal britannique The Sun. »

TRAITEMENT et STRATÉGIES

ALLEMAGNE — le président des pédiatres déconseille le port du masque chez les enfants

https://exxpress.at/infektionswelle-praesident-der-kinderaerzte-raet-dringend-von-maskenpflicht-ab/

« C’est précisément le port de masques au cours des 2 dernières années qui a entraîné un affaiblissement du système immunitaire chez les enfants. »

Les masques sont des bâillons inutiles

https://docteur.nicoledelepine.fr/les-masques-sont-des-baillons-inutiles-et-dangereux-pour-la-sante-mentale-et-physique/

« Avoir imposé une telle mesure si totalement inutile, si inconfortable, si toxique en particulier pour les jeunes est une véritable barbarie. Et s’être inspiré pour notre stratégie Covid de celle de la Chine est malheureusement révélateur des valeurs démocratiques de nos dirigeants. »

Le masque est un gadget politique

https://www.lefigaro.fr/vox/societe/gerald-kierzek-le-masque-est-un-gadget-politique-qui-eclipse-la-crise-generale-du-systeme-de-sante-20221209

« L’obligation du port masque, en particulier dans les transports en commun, n’a plus de sens pour différentes raisons. Ses bénéfices n’ont jamais été formellement démontrés pour endiguer une épidémie : les virus de l’hiver sont particulièrement contagieux, masque ou pas. »

Les tests PCR faux positifs sont nombreux

« Les faux positifs sont responsables de dommages individuels et sociétaux importants/Non Mme de Marval, et l’AFPles résultats faux positifs ne sont pas rarissimes, mais au contraire de plus en plus nombreux et ont causé des dommages sanitaires et économiques considérablesaux individus et à la société. »

EFFETS INDÉSIRABLES

L’ANSM annonce au 17 novembre 2022 46 989 effets indésirables GRAVES

« Malgré ce massacre de masse, aucune alerte n’a été lancée par l’ANSM qui estime toujours que la balance bénéfice/risque est positive, ce qui est une première dans toute l’histoire de la médecine moderne. »

Les cobayes de Pfizer ne pouvaient pas signaler les effets secondaires graves

« Le produit dit vaccin de Pfizera bien été distribué sans la moindre preuve de non-dangerosité. »

Explosion de maladies cardiaques post-vaccinales

« Les auteurs d’une étude portant sur 25 patients décédés et autopsiés déclarent qu’au cours des “20 dernières années à l’hôpital universitaire de Heidelberg, ils n’ont vu aucune inflammation (!) comparable dans le muscle cardiaque.” »

RÉSISTANCES

FranceSoir fait appel de la décision de retrait de leur agrément

https://twitter.com/france_soir

« Le directeur de la publication, @xazalbertsouhaite apporter de nouvelles informations aux lecteurs et les remercie pour leur soutien. »

Qui veut la peau de FranceSoir ?

« Du jamais-vu depuis la loi de 1881 qui a instauré le droit d’information et la liberté d’expression, à l’exception de l’occupation. »

CSI n° 82 du 8 décembre 2022

https://crowdbunker.com/v/eggDF4HVK5



Invité : Pierre CHAILLOT statisticien et auteur de la chaîne Décoder l’éco
Sujet : le ministère de la Santé avoue que les non-vaccinés sont bien plus nombreux !




Un article du Dr Joseph Mercola — La refonte de notre système alimentaire est un complot de contrôle : « la nourriture est un médicament »

[Source : guyboulianne.info]

John D. Rockefeller

La destruction planifiée de notre système alimentaire est bien engagée, sous la bannière d’une « refonte » pour une plus grande « équité ». Fin septembre 2022, la Maison Blanche a accueilli la Conférence sur la faim, la nutrition et la santé, au cours de laquelle le président Biden a défini un « objectif audacieux » pour « éradiquer la faim et accroître une alimentation saine et l’activité physique d’ici 2030 ».

L’objectif déclaré est de mettre fin aux maladies liées à l’alimentation, tout en « comblant les disparités entre les communautés les plus touchées ». À première vue, il peut sembler que le gouvernement s’intéresse enfin à la nutrition et réalise son impact sur la santé est une excellente nouvelle. Mais les choses ne sont pas du tout ce qu’elles semblent être.

Méfiez-vous du loup déguisé en mouton

Une longue liste d’entreprises et d’organisations civiques, académiques et philanthropiques ont été identifiées lors de cette conférence comme ayant été choisies pour ouvrir une nouvelle voie vers la santé et le bien-être pour tous. Pour mettre en évidence quelques-uns de ces sauveurs présumés, DoorDash, Google et Warner Bros. sont parmi ceux qui ont amélioré l’accès à la nourriture et l’abordabilité. Danone, Dole, Instacart et Walgreens permettront aux consommateurs de faire et d’avoir accès à des choix sains, et la Fondation Rockefeller fait partie du groupe qui s’attaquera à l’amélioration de la recherche sur la nutrition et la sécurité alimentaire.

Je suis sûr que vous vous sentez déjà chaud et confus, sachant que votre santé et votre sécurité alimentaire sont entre de telles mains compétentes et responsables.

Pour commencer, Biden a affecté 8 milliards de dollars pour financer des entreprises qui effectueront des dépistages nutritionnels et intégreront la nutrition dans les soins de santé, des startups axées sur des solutions à la faim et à l’insécurité alimentaire, et une philanthropie qui « améliore l’accès à des aliments nutritifs, promeut des choix sains et augmente l’activité physique ». Mais comme le rapporte le journaliste d’investigation Corey Lynn :

« Le récit est de convaincre tout le monde que cela est dû au COVID et au changement climatique, et par conséquent, ces soi-disant dirigeants inefficaces auront soudainement à cœur l’intérêt du peuple et feront enfin le travail.

« La réalité est que le déclin économique dû aux blocages, aux perturbations de la chaîne d’approvisionnement manufacturée, à la fermeture de milliers d’entreprises, à l’inflation intentionnelle et aux conditions de santé exploitées pendant et après la pandémie orchestrée est ce qui a créé une perte de revenus, une incapacité à se permettre de la nourriture et du gaz, et une perturbation complète du bien-être de chacun. »

Le triple objectif

Comme l’a détaillé Lynn, l’objectif derrière cette “révolution alimentaire” est triple et n’a rien à voir avec l’amélioration réelle de l’accès à des aliments sains et la réduction du fardeau de la maladie. Il s’agit vraiment de contrôler la population par l’alimentation, en :

1. Faire participer le plus de personnes possible aux programmes SNAP (assistance nutritionnelle supplémentaire) et WIC (femmes, nourrissons et enfants) afin que les achats et les dépenses puissent être contrôlés grâce à des jetons alimentaires numériques. En fin de compte, l’objectif est de faire entrer tout le monde dans un système alimentaire socialiste basé sur des jetons d’aide gouvernementale.

2. Intégrer l’alimentation et la nutrition aux soins de santé afin que les politiques alimentaires et de santé soient regroupées sous un même toit. Cela facilitera la création de nouvelles politiques, le financement et le contrôle dans les deux domaines. Les achats de nourriture et les dossiers médicaux seront liés à votre passeport vaccinal/identité numérique, qui contient également vos dossiers scolaires, vos relevés de voyage, vos relevés de travail et vos comptes bancaires.

« C’est un grand plan directeur. En formant des milliers de médecins à ce nouveau modèle de “la nourriture est un médicament”, en déployant un dépistage nutritionnel, des repas médicaux et en produisant des ordonnances, ils jettent les bases de tout cela », écrit Lynn. « ‘Food is Medicine’ sont LES mots-clés utilisés pour faire campagne, lancer des programmes, modifier les politiques et le financement, agréger les données, lier l’industrie des soins de santé à l’approvisionnement alimentaire et, en fin de compte, dépister, suivre et contrôler les gens par le biais de la nourriture. »

3. Modification des normes alimentaires, des catégories d’aliments et de la nutrition – L’agriculture traditionnelle de céréales et de plantes sera remplacée par la culture verticale en intérieur de semences OGM brevetées, tandis que l’élevage d’animaux sera régulé dans l’oubli afin d’être remplacé par des fermes d’insectes (ce que l’on appelle le micro-élevage), des aliments génétiquement modifiés et de la viande cultivée en laboratoire.

L’histoire se répète

Il peut être tentant pour certains de croire que le gouvernement a finalement changé d’avis et est vraiment déterminé à améliorer la santé publique en abordant la nutrition et en lui donnant le rôle central qu’elle mérite. Si c’est vous, je vous exhorte à considérer l’histoire de la façon dont nous sommes arrivés ici en premier lieu, et comment les mêmes acteurs qui ont détruit notre système alimentaire la première fois prétendent à nouveau être nos sauveurs.

John D. Rockefeller est celui qui a retiré la nourriture de la médecine il y a 112 ans grâce à son financement et à l’ingénierie de mise en œuvre du rapport Flexner. Aujourd’hui, plus d’un siècle plus tard, la Fondation Rockefeller fait semblant de remettre de la nourriture. Cependant, un examen minutieux révèle que la motivation réelle et les objectifs sont identiques.

Il y a un siècle, la nutrition a été éliminée de la médecine afin de prendre le contrôle du système médical et de le rendre dépendant de médicaments brevetés dérivés du pétrole qui ne peuvent pas guérir la cause sous-jacente de la maladie. Maintenant, l’objectif est de contrôler le système alimentaire en le combinant avec la médecine, dont ils ont déjà un contrôle total.

[Voir aussi :
Comment la Médecine Naturelle a été détruite en 1910]

Le plan de Rockefeller pour monopoliser la médecine, la banque et la nourriture

La famille Rockefeller a une longue histoire de destruction de systèmes fonctionnels afin de les remplacer par quelque chose qui leur profite et/ou résout le problème de la surpopulation mondiale. Par exemple, avec General Motors, Rockefeller a secrètement acheté et démantelé le système de transport public aux États-Unis, pour promouvoir le besoin d’une voiture familiale. Ils ont également remplacé les tramways électriques par des bus gourmands en essence pour développer leur activité pétrolière. En 1902, Rockefeller a financé la création du General Education Board, à travers lequel il avait l’intention de contrôler l’éducation publique. D’autres plans soutenus par le pétrole pour façonner et remodeler le système éducatif américain ont suivi, notamment un plan visant à modifier l’enseignement de l’histoire américaine pour promouvoir une vision du collectivisme, ainsi qu’un programme aboutissant à la transformation de la pratique de la médecine.

La phytothérapie basée sur la naturopathie était la norme à cette époque, et Rockefeller a entrepris de faire évoluer l’industrie médicale vers l’utilisation de produits pharmaceutiques dérivés du pétrole à la place. À cette fin, le Rockefeller Institute for Medical Research a été créé en 1901, dirigé par le Dr Simon Flexner qui, à l’époque, était professeur de pathologie expérimentale à l’Université de Pennsylvanie.

Le frère de Flexner, Abraham, a été engagé pour rédiger un rapport sur l’état du système d’éducation médicale américain, et son étude, The Flexner Report, publiée en 1910, a ouvert la voie à Rockefeller pour une refonte complète du système médical américain. À la suite de ce rapport, pratiquement toutes les thérapies médicales naturelles ont été criminalisées et les praticiens ont été mis hors service et remplacés par des médecins “scientifiques” qui ont appris à prescrire des drogues synthétiques brevetables, inventées dans les propres centres de recherche du cartel pétrolier.

À peu près à la même époque, Rockefeller a également pris le contrôle du système financier américain grâce à la création de la Réserve fédérale, établie en 1913. Depuis lors, les Rockefeller sont des courtiers influents dans le secteur bancaire. Ils ont également cherché à consolider le contrôle de l’approvisionnement alimentaire mondial, en utilisant la philanthropie comme couverture. La Fondation Rockefeller a financé la Révolution verte qui a conduit à l’introduction de produits chimiques agricoles à base de pétrole, qui ont rapidement transformé l’agriculture, tant aux États-Unis qu’à l’étranger.

Le programme “Food for Peace” du président Johnson imposait l’utilisation de technologies et de produits chimiques dépendant du pétrole par les bénéficiaires de l’aide, et les pays qui ne pouvaient pas se le permettre ont obtenu des prêts du Fonds monétaire international et de la Banque mondiale. La Fondation Rockefeller a également financé la “révolution génétique” qui nous a apporté des semences génétiquement modifiées brevetables. Aujourd’hui, la Fondation Rockefeller fait partie du casting de la Grande Réinitialisation (The Great Reset), qui cherche à prendre le contrôle total de chaque personne dans le monde – financièrement, médicalement, physiquement et psychologiquement. Et maintenant, enfin, le rêve de Rockefeller de contrôler tous les aspects du système alimentaire – en plus de la finance, de la médecine, de l’énergie, des transports et de l’éducation – se concrétise.

[Voir aussi :
L’asservissement des peuples par le contrôle des ressources]

Comment la Fondation Rockefeller va réinitialiser votre table

En juillet 2020, alors que la pandémie de COVID prenait de l’ampleur, la Fondation Rockefeller a publié un rapport intitulé “Reset the Table: Meeting the Moment to Transform the US Food System” (Réinitialiser la table : rencontrer le moment de transformer le système alimentaire américain). Dans ce document, ils affirment que la pandémie de COVID a provoqué « une crise de la faim et de la nutrition » aux États-Unis « contrairement à tout ce que ce pays a connu depuis des générations ».

Remarquez, la COVID a été déclaré pandémie le 11 mars 2020, donc au moment de la publication de ce rapport Rockefeller, la pandémie n’existait que depuis quatre mois, et bien que certains groupes à haut risque aient connu l’insécurité alimentaire, comme les enfants dont le repas principal est un déjeuner scolaire, les pénuries alimentaires généralisées, en termes d’étagères vides, n’étaient pas très répandues ou particulièrement graves aux États-Unis. Quoi qu’il en soit, selon la Fondation, la pandémie a révélé de profonds problèmes dans le système alimentaire américain qui doivent être “réinitialisés”. Par coïncidence, “Reset the Table” a été publié juste un mois après que le Forum économique mondial (FEM) a officiellement annoncé ses plans pour une “Grande réinitialisation”, et de nombreux contributeurs au document de la Fondation sont membres du FEM.

Il y a beaucoup de détails intéressants dans ce document. Par exemple, à la page 3, il est indiqué que « 94% des décès dus au COVID-19 chez les personnes atteintes d’une maladie sous-jacente, dont la majorité sont liées à l’alimentation ». Ceci est surprenant, étant donné que le régime alimentaire et la nutrition étaient essentiellement absents des discussions publiques et des reportages sur l’infection.

À la page 10, la Fondation déclare que « la nourriture est un médicament » et qu’en « investissant dans des régimes alimentaires sains et protecteurs », les Américains pourront « prospérer et réduire les coûts de santé étouffants de notre pays ». Le rapport poursuit en appelant à l’expansion des programmes de prescription de produits, car « la santé alimentaire et les résultats du COVID-19 sont clairement liés ».

C’est essentiellement mon enseignement au cours des dernières décennies, et plus encore pendant la pandémie, qui m’a finalement valu l’honneur d’être étiqueté comme étant le principal diffuseur de désinformation aux États-Unis. Pourtant, voici la Fondation Rockefeller, entièrement d’accord – du moins en théorie car en fin de compte, leur définition d’une alimentation saine est diamétralement opposée à la mienne, et probablement à la vôtre aussi.

Bastardiser la notion d’une alimentation saine

Depuis plusieurs années, le FEM promeut l’idée qu’il faut s’habituer à manger des mauvaises herbes et des insectes (lire cet article), car l’élevage d’insectes est beaucoup moins cher, nécessite peu de ressources naturelles comme l’eau et pourrait réduire la pollution agricole de près de 99 %. Pendant des années, le FEM a également promu l’idée que les aliments pour animaux cultivés en laboratoire et les cultures génétiquement modifiées sont le seul moyen de nourrir le monde et de sauver la planète.

Sans surprise, le mot “biologique” n’apparaît pas une seule fois dans le rapport de la Fondation Rockefeller, et le mot “naturel” n’est utilisé qu’en référence aux “catastrophes naturelles”. Ceci malgré le fait que le mot « sain » ait été utilisé 33 fois et le mot « durable » 17 fois.

Le terme “protéines alternatives” apparaît une fois, et il n’y a aucune mention de “nourri à l’herbe”. En d’autres termes, leurs versions d’« alimentation saine » et d’« agriculture durable » n’incluent aucun des critères de base pour un approvisionnement alimentaire vraiment sain, nutritif, durable et régénérateur.

Compte tenu de son réseau étroit avec le FEM, il semble raisonnable de conclure que le “régime sain” auquel la Fondation Rockefeller ne cesse de se référer est celui des mauvaises herbes et des insectes, et que les types de changements à la législation et aux normes qu’ils ont l’intention de faire adopter sont ceux liés à ce qui constitue la “nourriture”.

Comment ils entendent prendre le contrôle de la chaîne d’approvisionnement

“Reset the Table” décrit comment ils entendent prendre le contrôle de l’approvisionnement alimentaire et de la chaîne d’approvisionnement sous couvert d’« équité » et de « protection de l’environnement ». Ce sont exactement les mêmes mots-clés utilisés dans la conférence de Biden sur la faim, la nutrition et la santé.

L’une des clés de cette entreprise est la collecte de données. Ils veulent collecter des données sur les dépenses et les habitudes alimentaires de chacun. À cette fin, la Fondation souhaite que tout bascule dans un environnement en ligne, y compris la médecine et l’achat de nourriture. Ceci, bien sûr, rend tout ce que vous faites beaucoup plus facile à surveiller et à suivre. Comme l’a noté Lynn, faire participer les gens aux programmes SNAP et WIC et utiliser des jetons alimentaires numériques permettra également la surveillance et le contrôle.

Une troisième clé du succès réside dans les « changements de politiques, de pratiques et de normes ». Cela comprend sans aucun doute des campagnes visant à changer l’opinion des gens sur les insectes en tant que source de nourriture et la législation connexe. Enfin, l’objectif est de centraliser le contrôle de l’approvisionnement alimentaire dans un bureau exécutif unique, ce qui est parfaitement conforme à l’idée d’un gouvernement mondial unique.

Dans son article, Lynn poursuit en coupant à travers les écrans de fumée en couches pour démêler les véritables intentions derrière le battage médiatique. Ici, je vais me concentrer sur les deux qui me semblent les plus importants. Je vous encourage à revoir le reste dans l’article de Lynn.

L’écran de fumée “La nourriture est un médicament”

En 2023, un partenariat entre la Fondation Rockefeller, l’American Heart Association et la chaîne de supermarchés Kroger lancera une « Food is Medicine Research Initiative » pour générer des preuves pour les programmes Food is Medicine du secteur de la santé et « accélérer la compréhension et l’utilisation par le public des programmes “la nourriture est un médicament” en tant que partie intégrante du système de soins de santé. » Lynn note :

« Bien sûr, la nourriture est un médicament, mais ce n’est pas la véritable intention de cette initiative. En intégrant la nourriture dans la médecine, imaginez comment cela changera le paysage des mécanismes de contrôle mis en place sous le couvert des soins de santé.

« Ce n’est pas la seule avenue que les Rockefeller utilisent pour orchestrer ce changement dans le contrôle alimentaire. Ils sont également l’un des principaux bailleurs de fonds du Center for Good Food Purchasing, avec la Fondation WK Kellogg… et le 11th Hour Project – le véhicule de subvention de la Fondation de la famille Schmidt – l’ancien PDG de Google, Eric Schmidt.

« L’objectif déclaré de ce « Centre » est de gérer le programme d’achat de bonnes denrées alimentaires, qui consiste à amener les institutions à se convertir à leur « transparence de la chaîne d’approvisionnement de la ferme à la fourchette et à passer à un modèle d’achat basé sur les valeurs »

« Blue Cross travaille avec Reinvestment Partners qui gère le programme Eat Well qui fournit des ordonnances de produits aux participants inscrits. Il est lié électroniquement à une carte de fidélité pour un accès à utiliser dans les épiceries participantes… La Fondation Rockefeller finance Reinvestment Partners… »

Le piège de l’assistance alimentaire saine

Le piège qui nous est tendu est celui d’un système alimentaire socialiste contrôlé. Faire participer le plus grand nombre possible aux programmes d’aide alimentaire est la première étape. Bientôt, l’aide alimentaire sera également intégrée à Medicaid. Comme l’a noté Lynn, il ne s’agit pas d’une théorie du complot sans fondement. La cabale révèle ouvertement la véritable intention dans une grande variété de rapports et de documents.

Par exemple, dans le graphique ci-dessous, inclus dans un rapport de 2018 de l’Illinois Blockchain and Distributed Ledger Task Force, ils montrent comment ils ont l’intention de contrôler votre utilisation de « jeton d’alimentation saine » grâce à l’identité numérique et à la monnaie numérique. Dans le cas illustré, un cheeseburger n’est pas autorisé à être acheté, car il est identifié comme un “achat d’aliments malsains”.

Bien que l’exemple implique un demandeur d’aide sociale utilisant des jetons de prestations, ce système s’étendra sans aucun doute pour inclure toutes les personnes et la monnaie courante. C’est juste une question de temps. C’est ainsi que ça commence. Et tandis que les premiers modèles identifieront les fruits et légumes comme des aliments sains, ce qui est « sain » changera à mesure que leur contrôle sur l’agriculture et la fabrication d’aliments s’approfondit.

Rassurez-vous, les recommandations alimentaires saines du gouvernement ne seront jamais exactes et vraies. Pour preuve, je vous donne le Food Compass de la Friedman School of Nutrition Science and Policy, dévoilé fin 2021 comme le dernier et le plus grand en science nutritionnelle, à utiliser désormais pour guider les programmes de soins de santé et d’assistance nutritionnelle dans leurs sélections. Dans cet outil d’orientation nutritionnelle, Lucky Charms, Frosted Mini Wheats, Honey Nut Cheerios, cornets de crème glacée, amandes enrobées de chocolat et M&Ms aux amandes ont tous des scores nutritionnels plus élevés que le fromage cheddar et le bœuf haché.

[En vert : « à encourager ». En jaune : « à modérer ». En rouge : « à minimiser »]

Selon le Food Compass, vous serez en meilleure santé si vous remplacez l’œuf entier, le fromage cheddar et le bœuf haché par des bonbons littéraux. Peut-il y avoir le moindre doute que son but est d’éloigner les gens des aliments naturels sains, vers la malbouffe transformée ? Et CECI est l’outil prévu pour déterminer les types d’aliments que les programmes d’aide à la nutrition et les soins de santé prescriront.

Pourquoi il est si crucial de comprendre le plan

Comme l’a noté Lynn, « Un coup de main est toujours agréable jusqu’à ce qu’il ait des arrière-pensées. » Et quand il s’agit de voir le gouvernement accorder soudainement la priorité à la nutrition en tant que priorité des soins de santé, nous pouvons être sûrs qu’il y a des arrière-pensées à l’œuvre.

« « Bien sûr, l’activité physique pour tous et la réduction du sucre dans les aliments sont des approches bienvenues”, écrit Lynn, “mais le reste de ce programme n’est pas dans le meilleur intérêt des êtres humains ».

« Le problème est qu’en examinant cette fiche d’information [de la Maison Blanche], cela peut sembler être une bonne idée, tout comme l’examen d’un seul livre blanc du FEM pourrait même sembler avoir le potentiel d’être une bonne chose. Cependant, lorsque l’on prend la fiche d’information avec d’innombrables livres blancs, sites Web, financements et autres documents internes et que l’on rassemble le tout, cela dépeint une tout autre histoire.

« Ils savent très bien que la plupart des gens ne rassembleront pas toutes les pièces du puzzle, de sorte qu’ils ne pourront pas voir la réalité de la situation et discerner le véritable programme. C’est pourquoi il est si important de le faire.

« Imaginez si quelqu’un refuse de manger des insectes – il se peut qu’il ne reçoive pas les soins de santé appropriés. Ou que se passe-t-il si l’on refuse de participer au programme de jetons alimentaires et de ne manger que selon les instructions ? Ont-ils simplement perdu leur capacité à recevoir des soins de santé ? … Que se passe-t-il si des vaccins comestibles arrivent sur le marché et qu’ils essaient de les rendre obligatoires dans le cadre de leur régime alimentaire ? …

« Tout comme avec leurs autres programmes qui sont tous liés à celui-ci, le contrôle narratif est assuré par les universités, les associations médicales… et bien d’autres pour apporter une toute nouvelle perspective sur ce à quoi un régime nutritionnel devrait ressembler pour prévenir les maladies… et les gènes. les produits édités, les insectes et les cellules cultivées semblent être la priorité absolue.

« Cela peut sembler être une combustion lente, mais ils mettent en place simultanément plusieurs pièces de la structure, et lorsque cette brûlure atteint enfin l’intérieur des maisons des gens, dans leurs armoires, leurs réfrigérateurs et leurs portefeuilles, il sera trop tard pour annuler toutes les politiques et réglementations qui se sont mises en place. C’est pourquoi il est si important de continuer à diffuser ces informations et à lutter contre ces mécanismes de contrôle. »

SOURCE — Dr Joseph Mercola : « The Redesign of Our Food System Is a Plot for Control ». December 10, 2022 [PDF]


À propos du Dr Joseph Mercola

Le Dr Joseph Mercola est le fondateur de Mercola.com. Médecin ostéopathe, auteur à succès et récipiendaire de multiples prix dans le domaine de la santé naturelle, sa vision principale est de changer le paradigme de la santé moderne en fournissant aux gens une ressource précieuse pour les aider à prendre le contrôle de leur santé.

En raison de ses efforts inlassables pour diffuser des informations importantes sur la santé au public, le Dr Mercola a reçu de nombreux prix et distinctions. En 2009, il a été nommé le meilleur Ultimate Wellness Game Changer, qui récompense « 100 innovateurs, visionnaires et leaders dans 10 catégories qui exploitent le pouvoir des nouveaux médias pour remodeler leurs domaines et changer le monde ».

Il a également reçu des prix prestigieux d’Emord and Associates PC pour ses contributions à la médecine holistique, notamment le prix Sacred Fire of Liberty, le prix Excellence in Health Journalism Award et le Freedom of Informed Choice Award.

Le Dr Mercola a ouvert la voie à des changements révolutionnaires dans le domaine de la santé naturelle. Il est toujours en avance sur la courbe en matière d’information sanitaire innovante, dépassant les limites de la médecine conventionnelle pour apporter des conseils de santé fiables à son public.




Lettre ouverte aux personnes « honnêtes »

Par Lucien SA Oulahbib

Par « honnête » il faut vous l’entendre au sens ancien (1088) de « gentilhomme » qui s’informe du mieux qui soit, sans pédanterie ni forfanterie, sachant que la connaissance se distingue de l’opinion en ce que la première accumule en dogme positif des certitudes irréversibles (la nécessaire distinction entre ce qui « est » nuisible ou ce qui renforce, au-delà de son contenu toujours relatif, la gravitation, la relativité, la distinction entre logique et raison, etc., etc.) alors que la seconde, l’opinion, brasse encore des incertitudes et des sentiments non encore solidifiés par une vérification qui fasse non pas consensus, mais partage, se diffusant peu à peu ou d’un coup à l’instar d’une invention que l’on adopte au fur et à mesure lorsqu’elle prouve son efficience et qu’elle ne se trouve plus hors de portée ; sans cependant mépriser ou accuser l’avis contraire d’activité « réactionnaire » (pour résumer ce qu’en disait Raymond Boudon). Nous sommes bien loin du compte aujourd’hui.

Qu’il s’agisse en effet de ce qui se passe dans le domaine de la santé, de l’économie, l’énergie, « le » climat, « la » situation internationale, ledit « vivre ensemble », l’enseignement, la justice, la solidarité enfin, force est de constater que si vous êtes une personne « honnête » (et vous l’êtes nécessairement sinon vous n’aurez jamais lu ces lignes, ou alors juste pour les dénigrer façon anti-Musk) vous ne vous y reconnaissez plus et depuis longtemps.

Il ne se passe pas un jour sans que l’on apprenne que leurs chiffres sont des leurres tant ils ont été falsifiés ou omis, des courbes simplifiées, des effets naturels diabolisés, des sommes fabuleuses détournées, des contrats corrompus ; sans que l’on ne puisse cependant le prouver encore juridiquement faute d’avoir les processus de falsification sous la main, sinon en découvrant ici et là quelques « vérités » comme l’injection anti Covid-19 qui n’empêche ni la contamination ni l’éclosion des formes graves, pas mieux en tout cas que les traitements précoces interdits et aux vérifications tronquées, ou encore les magouilles FTX avec les régimes « Zelinsky » et Biden (prononcez Biiden)…

Sauf qu’« ils » détournent votre attention en la matière, mesdames et messieurs (dirait la prof de Tango à SciencePo avant de se le faire interdire) sur quelques arbres jetés en pâture (telle cette vice-présidente du Parlement européen en décembre 2022) pour mieux cacher la forêt des contrats au contenu noirci ou occulté comme ceux de ces « vaccins-médicaments » aux effets par ailleurs prétendument positifs alors qu’ils s’avèrent sinon frelatés du moins exagérés et non exempts de graves effets négatifs et dont vous commencez seulement à en connaître le nombre sinon de plus en plus exponentiel du moins excessif (plusieurs millions pour le moment) alors que naguère l’on en stoppait la fabrication pour moins que cela alors que c’est une maladie qui a eu, même au plus fort « pic », un taux de létalité bien inférieur aux infections respiratoires annuelles (plus de quatre millions de morts… par an…)…

La parole « honnête » consisterait, mesdames et messieurs, à mettre tout sur la table, à écouter toutes les parties (Christian Perronne demande ce débat, par exemple) afin de pouvoir distinguer ce qui est encore de l’ordre de l’opinion et ce qui se classe de l’ordre de la connaissance (pour suivre la classification de Raymond Boudon supra). Or, il s’avère que certains intérêts prétendant même parler « au nom de LA Science » (ce qui est un non-sens, cette entité n’existant pas) à l’instar des fanatiques parlant « au nom de Dieu » — ce qui est d’ailleurs un blasphème) font en sorte de faire taire les parties qui contrediraient leurs arguments par la mise à l’Index (donc la mort sociale par quelques faux philosophes en Inquisiteurs) bien loin de la controverse légitime, ce qui est là littéralement malhonnête et donc criminel, méritant alors sanction, comme cela ne va pas tarder, espérons-le, telle cette dite « agence française du médicament » qui vient d’être à nouveau prise la main dans le sac.

D’où cette « lettre ouverte » : il est de plus en plus inconcevable d’accepter que cette situation perdure, à moins de considérer que décidément en Occident sa spécificité, celle de « l’ouverture d’esprit » doit désormais disparaître, dévorée par les anti-démocrates et anti-méritocratie qu’ont toujours été au fond les marxistes-léninistes actuellement à la manœuvre (ces soi-disant critiques de la « démocratie formelle ») ainsi que leurs contraires fascistes satisfaits de quelques lauriers et subsides provenant des peuples non encore résolus d’aller à l’abattoir, mais y allant tout de même tant le trans-courant cybernétique soutenu par les totalitaires de tous bords est fort, se nourrissant même de ce qui le combat (bientôt Macron ira manifester contre le pouvoir… macronien : ne rouspète-t-il pas contre ses ministres ou Biiden alors qu’ils font exactement ce qu’« ils » demandent ?…).

Ces totalitaires (au visage d’ange) sont tous envieux du pouvoir esclavagiste des temps pré judéo-chrétiens et musulman réduisant les corps non marqués par quelques concessions (les dhimmis) à leurs attributs sexués et hygiénistes (le « care ») ce que les nazis commencèrent à accomplir par la purge des impurs, les scientistes d’aujourd’hui finissent cette transformation en cataloguant par exemple de parasites tous ceux qui refusent de se faire injecter ou hara-kiri alors que c’est désormais l’inverse qui prévaut : les injectés sont une menace, déjà pour eux-mêmes, ensuite pour les non-programmés. L’injection est d’ailleurs tout un programme au dire d’un Harari (la version moyenne gamme de la Secte SHAA alors qu’un Enthoven en serait la version bas de gamme, le haut de gamme tirant les ficelles sans le dire…).

Face à cela, l’honnêteté voilà ce qui vous resterait comme aventure dernière, à faire partager dans de réelles « universités populaires »…




Un professeur de Harvard expose Google et Facebook

[Source : cogiito.com]

10 Decembre 2022, par le Dr Mercola

https://articles.mercola.com/sites/articles/archive/2022/12/10/surveillance-capitalism.aspx?ui=bf44c67dbbe698b8fcdd71f20d71cfa1d832c892640d87fefbbbdcc255ad581d&sd=20221129&cid_source=dnl&cid_medium=email&cid_content=art3HL&cid=20221210&cid=DM1303633&bid=1665765878

L’HISTOIRE EN UN COUP D’ŒIL

Dans son livre intitulé « The Age of Surveillance Capitalism », Shoshana Zuboff, psychologue sociale et professeur à Harvard, révèle comment les plus grandes entreprises technologiques du monde ont détourné nos données personnelles – ce que l’on appelle les « flux de données comportementales excédentaires » – à notre insu et sans notre consentement, et les utilisent contre vous pour générer des profits.

Des entreprises comme Facebook, Google et des tiers de toutes sortes ont le pouvoir – et l’utilisent – de cibler vos démons intérieurs, de vous déclencher et de profiter de vous au moment où vous êtes le plus vulnérable pour vous inciter à agir de manière à les servir, commercialement ou politiquement.

Votre existence entière – même vos humeurs changeantes, déchiffrées par un logiciel de reconnaissance faciale – est devenue une source de revenus pour les entreprises, car vous êtes habilement manœuvré pour faire (et généralement acheter) ou penser quelque chose que vous n’auriez peut-être pas fait, acheté ou pensé autrement.

Les expériences massives de Facebook, dans lesquelles l’entreprise a utilisé des signaux subliminaux pour voir si elle pouvait rendre les gens plus heureux ou plus tristes et affecter le comportement réel hors ligne, ont prouvé qu’en manipulant le langage et en insérant des signaux subliminaux dans le contexte en ligne, elle pouvait modifier le comportement et les émotions du monde réel, et que ces méthodes et pouvoirs pouvaient être exercés “sans que l’utilisateur en ait conscience”.

Le système de sécurité Nest de Google intègre un microphone caché qui ne figure dans aucun des schémas de l’appareil. Les données vocales, et toutes les informations fournies par vos conversations quotidiennes, sont extrêmement précieuses pour le Big Data, et viennent s’ajouter à ses capacités de modélisation prédictive en constante expansion.

“Dans une pièce où les gens entretiennent unanimement une conspiration du silence, un mot de vérité résonne comme un coup de pistolet.”

~ Czesław Miłosz1

Ces dernières années, un certain nombre d’individus courageux nous ont alertés sur le fait que nous sommes tous surveillés et manipulés par des collecteurs de big data tels que Google et Facebook, et ont fait la lumière sur la profondeur et l’ampleur de cette surveillance permanente. Parmi eux, Shoshana Zuboff, psychologue sociale et professeur à Harvard.

Son livre, “The Age of Surveillance Capitalism”, est l’un des meilleurs ouvrages que j’ai lus ces dernières années. Il est absolument indispensable si vous vous intéressez à ce sujet et si vous voulez comprendre comment Google et Facebook ont obtenu un contrôle aussi massif de votre vie.

Son livre révèle comment les plus grandes entreprises technologiques du monde ont détourné nos données personnelles – ce que l’on appelle les “flux de données sur les surplus comportementaux” – à notre insu et sans notre consentement et les utilisent contre nous pour générer des profits pour eux-mêmes.

NOUS sommes devenus le produit.

NOUS sommes le véritable flux de revenus dans cette économie numérique.

“Le terme “capitalisme de surveillance” n’est pas un terme arbitraire”, déclare Zuboff dans le documentaire vedette de VPRO Backlight. “Pourquoi ‘surveillance’ ? Parce qu’il doit s’agir d’opérations conçues pour être indétectables, indéchiffrables, enveloppées dans une rhétorique qui vise à nous tromper, à nous obscurcir et à nous embobiner tous, tout le temps.”

La naissance du capitalisme de surveillance

Dans la vidéo présentée, Zuboff “révèle une forme impitoyable de capitalisme dans laquelle aucune ressource naturelle, mais le citoyen lui-même, sert de matière première”.2 Elle explique également comment ce capitalisme de surveillance est né.

Comme pour la plupart des inventions révolutionnaires, le hasard a joué un rôle. Après la crise des dot.com de 2000 qui a fait éclater la bulle Internet, une jeune entreprise nommée Google a lutté pour survivre. Les fondateurs Larry Page et Sergey Brin semblaient voir le début de la fin pour leur entreprise.

Par hasard, ils ont découvert que les “données résiduelles” laissées par les utilisateurs lors de leurs recherches sur Internet avaient une valeur considérable. Ils pouvaient échanger ces données ; ils pouvaient les vendre. En compilant ces données résiduelles, ils pouvaient prédire le comportement d’un internaute donné et garantir ainsi aux annonceurs une audience plus ciblée. C’est ainsi qu’est né le capitalisme de surveillance.

La collecte de données que vous connaissez est celle qui a le moins de valeur

Des commentaires tels que “Je n’ai rien à cacher, donc je me fiche qu’ils me pistent” ou “J’aime les publicités ciblées parce qu’elles facilitent mes achats” révèlent notre ignorance de ce qui se passe réellement.

Nous croyons comprendre quel type d’informations est collecté à notre sujet. Par exemple, vous ne vous souciez peut-être pas que Google sache que vous avez acheté un certain type de chaussures ou un certain livre.

Toutefois, les informations que nous communiquons librement sont les moins importantes des informations personnelles qui sont effectivement recueillies à notre sujet, note M. Zuboff. Les entreprises technologiques nous disent que les données collectées sont utilisées pour améliorer les services, et c’est effectivement le cas pour certaines d’entre elles.

Mais elles sont également utilisées pour modéliser le comportement humain en analysant les modèles de comportement de centaines de millions de personnes. Une fois que vous disposez d’un modèle d’entraînement suffisamment important, vous pouvez commencer à prédire avec précision le comportement de différents types d’individus au fil du temps.

Les données recueillies sont également utilisées pour prédire toute une série d’attributs individuels vous concernant, tels que des traits de personnalité, l’orientation sexuelle, l’orientation politique – “toute une série de choses que nous n’avons jamais eu l’intention de divulguer”, explique M. Zuboff.

Comment les données prédictives sont-elles utilisées ?

Toutes sortes de données prédictives sont transmises avec chaque photo que vous téléchargez sur les médias sociaux. Par exemple, il n’y a pas que les entreprises technologiques qui peuvent voir vos photos. Votre visage est utilisé à votre insu et sans votre consentement pour former un logiciel de reconnaissance faciale, et personne ne sait comment ce logiciel est censé être utilisé.

À titre d’exemple, le gouvernement chinois utilise un logiciel de reconnaissance faciale pour suivre et surveiller les groupes minoritaires et les défenseurs de la démocratie, et cela pourrait se produire ailleurs aussi, à tout moment.

La photo que vous avez téléchargée de vous-même lors d’une fête fournit donc toute une série d’informations précieuses, qu’il s’agisse du type de personnes avec lesquelles vous êtes le plus susceptible de passer du temps, des endroits où vous êtes susceptible d’aller pour vous amuser ou des informations sur la façon dont les muscles de votre visage bougent et modifient la forme de vos traits lorsque vous êtes de bonne humeur.

En rassemblant une quantité stupéfiante de points de données sur chaque personne, minute par minute, le Big Data peut faire des prédictions très précises sur le comportement humain, et ces prédictions sont ensuite “vendues aux entreprises clientes qui veulent maximiser notre valeur pour leur entreprise”, explique M. Zuboff.

Votre existence entière – même vos humeurs changeantes, déchiffrées par un logiciel de reconnaissance faciale – est devenue une source de revenus pour de nombreuses entreprises technologiques. Vous pouvez penser que vous avez votre libre arbitre mais, en réalité, vous êtes habilement manœuvré et amené à faire (et généralement à acheter) ou à penser quelque chose que vous n’auriez peut-être pas fait, acheté ou pensé autrement…

Les expériences de contagion de Facebook

Dans le documentaire, Zuboff met en lumière les “expériences de contagion” massives de Facebook3,4, dans lesquelles l’entreprise a utilisé des signaux subliminaux et des manipulations du langage pour voir si elle pouvait rendre les gens plus heureux ou plus tristes et affecter le comportement réel hors ligne. Il s’avère que c’est possible. Ces expériences ont permis de tirer deux conclusions essentielles :

En manipulant le langage et en insérant des indices subliminaux dans le contexte en ligne, ils peuvent modifier le comportement et les émotions dans le monde réel.

Ces méthodes et pouvoirs peuvent être exercés “en contournant la conscience de l’utilisateur”.

Dans la vidéo, Zuboff explique également comment le jeu en ligne Pokemon Go – qui a en fait été créé par Google – a été conçu pour manipuler le comportement et l’activité du monde réel à des fins lucratives. Elle décrit également le stratagème dans son article du New York Times, en disant :

“Les joueurs du jeu ne savaient pas qu’ils étaient des pions dans un véritable jeu de modification du comportement à des fins lucratives, car les récompenses et les punitions liées à la chasse à des créatures imaginaires étaient utilisées pour attirer les gens vers les McDonald’s, les Starbucks et les pizzerias locales qui payaient l’entreprise pour les “passages”, exactement de la même manière que les annonceurs en ligne payent pour les “clics” vers leurs sites web.”

Vous êtes manipulé tous les jours d’innombrables façons.

Zuboff passe également en revue ce que nous avons appris du scandale de Cambridge Analytica. Cambridge Analytica est une entreprise de marketing politique qui, en 2018, a utilisé les données Facebook de 80 millions d’Américains pour déterminer les meilleures stratégies de manipulation des électeurs américains.

Christopher Wylie, désormais ancien directeur de la recherche de Cambridge Analytica, a dénoncé les méthodes de l’entreprise. Selon Wylie, ils avaient tellement de données sur les gens qu’ils savaient exactement comment déclencher la peur, la rage et la paranoïa chez un individu donné. Et, en déclenchant ces émotions, ils pouvaient les manipuler pour qu’ils consultent un certain site web, rejoignent un certain groupe et votent pour un certain candidat.

La réalité est donc que des entreprises comme Facebook, Google et des tiers de toutes sortes ont le pouvoir – et utilisent ce pouvoir – de cibler vos démons intérieurs personnels, de vous déclencher et de profiter de vous lorsque vous êtes le plus faible ou le plus vulnérable pour vous inciter à agir de manière à les servir, commercialement ou politiquement. C’est certainement quelque chose à garder à l’esprit lorsque vous surfez sur le web et les sites de médias sociaux.

“Il y a seulement une minute, nous n’avions pas beaucoup de ces outils, et nous étions bien”, dit Zuboff dans le film. “Nous vivions des vies riches et bien remplies. Nous avions des liens étroits avec nos amis et notre famille.

Cela dit, je tiens à reconnaître que le monde numérique apporte beaucoup à nos vies, et nous méritons d’avoir tout cela. Mais nous méritons de l’avoir sans payer le prix du capitalisme de surveillance.

Les citoyens du 21e siècle ne devraient pas avoir à choisir entre passer à l’analogique ou vivre dans un monde où notre autodétermination et notre vie privée sont détruites au nom de cette logique de marché. C’est inacceptable.

Ne soyons pas non plus naïfs. Vous mettez les mauvaises personnes au sein de notre gouvernement, à n’importe quel moment, et elles regardent par-dessus leurs épaules les riches possibilités de contrôle offertes par ces nouveaux systèmes.

Il viendra un moment où, même en Occident, même dans nos sociétés démocratiques, notre gouvernement sera tenté d’annexer ces capacités et de les utiliser sur nous et contre nous. Ne soyons pas naïfs à ce sujet.

Lorsque nous décidons de résister au capitalisme de surveillance – à l’heure actuelle, lorsqu’il est dans la dynamique du marché – nous préservons également notre avenir démocratique, ainsi que le type de contrepoids dont nous aurons besoin à l’avenir dans une civilisation de l’information si nous voulons préserver la liberté et la démocratie pour une autre génération.”

La surveillance devient de plus en plus effrayante

Mais la surveillance et la collecte de données ne s’arrêtent pas à ce que vous faites en ligne. Le Big Data veut aussi avoir accès à vos moments les plus intimes – ce que vous faites et comment vous vous comportez dans l’intimité de votre maison, par exemple, ou dans votre voiture. M. Zuboff raconte comment on a découvert que le système de sécurité Nest de Google était équipé d’un microphone caché qui ne figurait sur aucun des schémas de l’appareil.

“Les voix sont ce que tout le monde recherche, tout comme les visages”, explique M. Zuboff.

Les données vocales, et toutes les informations fournies par vos conversations quotidiennes, sont extrêmement précieuses pour le Big Data, et viennent enrichir ses capacités de modélisation prédictive en constante expansion.

Mme Zuboff explique également comment ces types de dispositifs de collecte de données et forcent les utilisateurs à donner leur consentement en prenant en “otage” la fonctionnalité de l’appareil si vous ne voulez pas que vos données soient collectées et partagées.

Par exemple, les thermostats Nest de Google collecteront des données sur votre utilisation et les partageront avec des tiers, qui les partageront avec des tiers et ainsi de suite à l’infini – et Google n’assume aucune responsabilité pour ce que ces tiers pourraient faire de vos données.

Vous pouvez refuser cette collecte de données et ce partage avec des tiers, mais si vous le faites, Google ne prendra plus en charge la fonctionnalité du thermostat ; il ne mettra plus à jour votre logiciel et pourra affecter la fonctionnalité d’autres appareils liés, comme les détecteurs de fumée.

Deux universitaires qui ont analysé le contrat du thermostat Nest de Google ont conclu qu’un consommateur un tant soit peu vigilant quant à l’utilisation de ses données de consommation devrait examiner 1 000 contrats de confidentialité avant d’installer un seul thermostat dans sa maison.

Les voitures modernes sont également équipées de multiples caméras qui alimentent le Big Data. Comme indiqué dans le film, la nouvelle voiture moyenne est équipée de 15 caméras, et si vous avez accès aux données d’à peine 1 % de toutes les voitures, vous avez “connaissance de tout ce qui se passe dans le monde”.

Bien sûr, ces caméras vous sont vendues comme faisant partie intégrante de nouveaux dispositifs de sécurité, mais vous payez cette sécurité supplémentaire avec votre vie privée et celle de tous ceux qui vous entourent.

Les mesures pandémiques érodent rapidement la vie privée

La pandémie actuelle de coronavirus utilise également la “sécurité” comme moyen de démanteler la vie privée. Comme le rapporte le New York Times, le 23 mars 2020 :5

“En Corée du Sud, les agences gouvernementales exploitent les images des caméras de surveillance, les données de localisation des smartphones et les relevés d’achats par carte de crédit pour aider à retracer les mouvements récents des patients atteints de coronavirus et établir les chaînes de transmission du virus.

En Lombardie, en Italie, les autorités analysent les données de localisation transmises par les téléphones portables des citoyens pour déterminer combien de personnes obéissent à un ordre de confinement gouvernemental et les distances types qu’elles parcourent chaque jour. Environ 40 % d’entre eux se déplacent “trop”, a récemment déclaré un responsable.

En Israël, l’agence de sécurité intérieure du pays est sur le point de commencer à utiliser une base de données de localisation des téléphones portables – initialement destinée aux opérations de lutte contre le terrorisme – pour tenter de localiser les citoyens qui ont pu être exposés au virus.

Alors que les pays du monde entier s’efforcent d’endiguer la pandémie, nombre d’entre eux déploient des outils de surveillance numérique pour exercer un contrôle social, allant jusqu’à utiliser les technologies des agences de sécurité sur leurs propres civils…

Pourtant, renforcer la surveillance pour combattre la pandémie maintenant pourrait ouvrir définitivement les portes à des formes plus invasives d’espionnage plus tard. C’est une leçon que les Américains ont apprise après les attaques terroristes du 11 septembre 2001, selon les experts en libertés civiles.

Près de vingt ans plus tard, les forces de l’ordre ont accès à des systèmes de surveillance plus puissants, tels que la géolocalisation et la reconnaissance faciale – des technologies qui peuvent être utilisées à des fins politiques …

Nous pourrions très facilement nous retrouver dans une situation où nous donnons au gouvernement local, étatique ou fédéral le pouvoir de prendre des mesures en réponse à cette pandémie qui modifient fondamentalement la portée des droits civils américains”, a déclaré Albert Fox Cahn, directeur exécutif du Surveillance Technology Oversight Project, une organisation à but non lucratif de Manhattan.”

L’humanité à la croisée des chemins

Zuboff évoque également son travail dans une tribune libre publiée le 24 janvier 2020 dans le New York Times.6,7 “Vous êtes désormais contrôlés à distance. Les capitalistes de la surveillance contrôlent la science et les scientifiques, les secrets et la vérité “, écrit-elle, poursuivant :

“Nous pensions que nous recherchions Google, mais nous comprenons maintenant que Google nous recherche.

Nous supposions que nous utilisions les médias sociaux pour nous connecter, mais nous avons appris que la connexion est la façon dont les médias sociaux nous utilisent.

Nous nous demandions à peine pourquoi notre nouveau téléviseur ou matelas avait une politique de confidentialité, mais nous avons commencé à comprendre que les politiques de ‘confidentialité’ sont en fait des politiques de surveillance…

La vie privée n’est pas privée, car l’efficacité des systèmes de surveillance et de contrôle dépend des parties de nous-mêmes que nous abandonnons – ou qui nous sont secrètement volées.

Notre siècle numérique aurait dû être l’âge d’or de la démocratie.

Au lieu de cela, nous entrons dans sa troisième décennie, marquée par une nouvelle forme d’inégalité sociale que l’on peut qualifier d’”inégalité épistémique” … des asymétries extrêmes de la connaissance et du pouvoir qui en découle, alors que les géants de la technologie prennent le contrôle de l’information et de l’apprentissage lui-même …

Les capitalistes de la surveillance exploitent l’inégalité croissante de la connaissance au nom du profit. Ils manipulent l’économie, notre société et même nos vies en toute impunité, mettant en danger non seulement la vie privée des individus mais aussi la démocratie elle-même …

Pourtant, les vents semblent avoir finalement tourné. Une nouvelle prise de conscience fragile est en train de naître … Les capitalistes de la surveillance sont rapides parce qu’ils ne recherchent ni le consentement authentique ni le consensus. Ils s’appuient sur l’engourdissement psychique et les messages d’inévitabilité pour susciter l’impuissance, la résignation et la confusion qui paralysent leurs proies.

La démocratie est lente, et c’est une bonne chose. Son rythme reflète les dizaines de millions de conversations qui ont lieu… et qui réveillent progressivement le géant endormi de la démocratie.

Ces conversations ont lieu maintenant, et de nombreux signes indiquent que les législateurs sont prêts à se joindre à eux et à diriger. Cette troisième décennie sera probablement déterminante pour notre avenir. Améliorerons-nous l’avenir numérique ou le rendra-t-il pire ? “8,9

Inégalité épistémique

L’inégalité épistémique fait référence à l’inégalité dans ce que vous êtes en mesure d’apprendre.

“Elle se définit comme l’inégalité d’accès à l’apprentissage imposée par les mécanismes commerciaux privés de capture, de production, d’analyse et de vente de l’information. Elle est parfaitement illustrée par l’abîme qui se creuse rapidement entre ce que nous savons et ce que l’on sait de nous”, écrit Mme Zuboff dans sa tribune publiée dans le New York Times.10

Google, Facebook, Amazon et Microsoft ont été le fer de lance de la transformation du marché de la surveillance, se plaçant au sommet de la hiérarchie épistémique. Ils savent tout de vous et vous ne savez rien d’eux. Vous ne savez même pas ce qu’ils savent de vous.

“Ils ont opéré dans l’ombre pour amasser d’énormes monopoles de connaissances en prenant sans demander, une manœuvre que tout enfant reconnaît comme un vol”, écrit Zuboff.

“Le capitalisme de surveillance commence par revendiquer unilatéralement l’expérience humaine privée en tant que matière première gratuite à traduire en données comportementales. Nos vies sont transformées en flux de données.”

Ces flux de données vous concernent, mais ne sont pas pour vous. Tout cela est utilisé contre vous – pour vous séparer de votre argent, ou pour vous faire agir d’une manière qui soit d’une certaine façon profitable à une entreprise ou à un programme politique. Alors, demandez-vous, où est votre liberté dans tout cela ?

Ils vous font danser à leur rythme

Si une entreprise peut vous inciter à acheter des produits dont vous n’avez pas besoin en diffusant une publicité personnalisée et séduisante pour un produit dont elle sait qu’il vous donnera confiance au moment précis où vous vous sentez peu sûr de vous ou sans valeur (une tactique qui a été testée et perfectionnée11), agissez-vous vraiment par votre libre arbitre ?

Si une intelligence artificielle utilisant la modélisation prédictive détecte que vous avez faim (sur la base d’une variété d’indices tels que votre localisation, vos expressions faciales et verbales) et vous envoie une publicité d’un restaurant local au moment même où vous décidez d’aller manger, faites-vous vraiment des choix de vie conscients, autodéterminés et basés sur des valeurs ? Comme le note Zuboff dans son article :12

“L’inégalité des connaissances sur nous produit une inégalité de pouvoir sur nous, et donc l’inégalité épistémique s’élargit pour inclure la distance entre ce que nous pouvons faire et ce qui peut nous être fait. Les scientifiques des données décrivent cela comme le passage de la surveillance à l’actionnement, dans lequel une masse critique de connaissances sur un système de machine permet le contrôle à distance de ce système.

Désormais, les gens sont devenus des cibles pour le contrôle à distance, car les capitalistes de la surveillance ont découvert que les données les plus prédictives proviennent de l’intervention dans le comportement pour régler, rassembler et modifier l’action dans le sens des objectifs commerciaux.

Ce troisième impératif, les “économies d’action”, est devenu un terrain d’expérimentation intense. Nous apprenons à écrire la musique”, a déclaré un scientifique, “et ensuite nous laissons la musique nous faire danser”…

Le fait est qu’en l’absence de transparence des entreprises et de contrôle démocratique, l’inégalité épistémique règne. Ils savent. Ils décident de qui sait. Ils décident de qui décide. L’intolérable désavantage du public en matière de connaissances est aggravé par la perfection des communications de masse des capitalistes de la surveillance, qui en font un éclairage par le gaz….

Le 30 avril 2019, Mark Zuckerberg a fait une annonce spectaculaire lors de la conférence annuelle des développeurs de l’entreprise, déclarant :

” L’avenir est privé. Quelques semaines plus tard, un avocat plaidant de Facebook s’est présenté devant un juge fédéral de district en Californie pour contrecarrer une action en justice d’un utilisateur pour atteinte à la vie privée, arguant que l’acte même d’utiliser Facebook annule toute attente raisonnable en matière de vie privée ‘en droit’.”

Nous avons besoin d’un tout nouveau cadre réglementaire

Dans la vidéo, M. Zuboff souligne qu’il n’existe aucune loi pour mettre un frein à ce tout nouveau type de capitalisme de surveillance, et que la seule raison pour laquelle il a pu prospérer au cours des 20 dernières années est l’absence de lois à son encontre, principalement parce qu’il n’a jamais existé auparavant.

C’est le problème de l’inégalité épistémique. Google et Facebook étaient les seuls à savoir ce qu’ils faisaient. Le réseau de surveillance s’est développé dans l’ombre, à l’insu du public ou des législateurs.

Si nous nous étions battus contre lui pendant deux décennies, nous aurions peut-être dû nous résigner à la défaite, mais en l’état actuel des choses, nous n’avons même pas essayé de le réglementer.

Selon M. Zuboff, cela devrait nous donner de l’espoir. Nous pouvons renverser la situation et récupérer notre vie privée, mais nous avons besoin d’une législation qui réponde à la réalité de l’ampleur et de la profondeur du système de collecte de données. Il ne suffit pas de s’attaquer aux données que nous savons que nous donnons lorsque nous sommes en ligne. Zuboff écrit :13

“Ces contestations du XXIe siècle exigent un cadre de droits épistémiques inscrits dans la loi et soumis à une gouvernance démocratique.

De tels droits interrompraient les chaînes d’approvisionnement en données en sauvegardant les limites de l’expérience humaine avant qu’elles ne soient attaquées par les forces de la datafication.

Le choix de transformer n’importe quel aspect de la vie d’une personne en données doit appartenir aux individus en vertu de leurs droits dans une société démocratique.

Cela signifie, par exemple, que les entreprises ne peuvent pas revendiquer le droit à votre visage, ni utiliser votre visage comme matière première gratuite pour l’analyse, ni posséder et vendre des produits informatiques dérivés de votre visage…

Tout ce qui est fait par les humains peut être défait par les humains. Le capitalisme de surveillance est jeune, il a à peine 20 ans, mais la démocratie est ancienne, enracinée dans des générations d’espoir et de contestation.

Les capitalistes de la surveillance sont riches et puissants, mais ils ne sont pas invulnérables. Ils ont un talon d’Achille : la peur.

Ils craignent les législateurs qui ne les craignent pas. Ils craignent les citoyens qui exigent une nouvelle voie à suivre, tout en insistant sur les nouvelles réponses aux anciennes questions : Qui saura ? Qui décidera qui sait ? Qui décidera qui décide ? Qui écrira la musique, et qui dansera ?”

Comment protéger votre vie privée en ligne

S’il ne fait aucun doute que nous avons besoin d’un tout nouveau cadre législatif pour mettre un frein au capitalisme de surveillance, en attendant, il existe des moyens de protéger votre vie privée en ligne et de limiter les “surplus de données comportementales” recueillies à votre sujet.

Robert Epstein, psychologue chercheur principal à l’American Institute of Behavioral Research and Technology, recommande de prendre les mesures suivantes pour protéger votre vie privée :14

Utilisez un réseau privé virtuel (VPN) tel que NordVPN, qui ne coûte qu’environ 3 dollars par mois et peut être utilisé sur un maximum de six appareils. À mon avis, c’est une nécessité si vous cherchez à préserver votre vie privée. Epstein explique :

“Lorsque vous utilisez votre téléphone portable, votre ordinateur portable ou votre ordinateur de bureau de manière habituelle, votre identité est très facile à voir pour Google et d’autres entreprises. Ils peuvent la voir via votre adresse IP, mais il existe de plus en plus de moyens beaucoup plus sophistiqués de savoir que c’est vous. L’un d’entre eux s’appelle l’empreinte digitale du navigateur.

C’est quelque chose de très inquiétant. En fait, le type de navigateur que vous possédez et la façon dont vous l’utilisez sont comme une empreinte digitale. Vous utilisez votre navigateur d’une manière unique, et juste par la façon dont vous tapez, ces entreprises peuvent maintenant vous identifier instantanément.

Brave offre une certaine protection contre l’empreinte digitale du navigateur, mais vous devez vraiment utiliser un VPN. Ce que fait un VPN, c’est que tout ce que vous faites passe par un autre ordinateur, ailleurs. Cela peut être n’importe où dans le monde, et il existe des centaines de sociétés proposant des services VPN. Celle que je préfère actuellement s’appelle Nord VPN.

Vous téléchargez le logiciel, l’installez, comme vous installez n’importe quel logiciel. C’est incroyablement facile à utiliser. Vous n’avez pas besoin d’être un technicien pour utiliser Nord, et il vous montre une carte du monde et vous cliquez simplement sur un pays.

Le VPN donne l’impression que votre ordinateur n’est pas votre ordinateur. Il crée une sorte de fausse identité pour vous, et c’est une bonne chose. Maintenant, très souvent, je vais passer par les ordinateurs de Nord aux États-Unis. Il faut parfois le faire, sinon on ne peut pas faire certaines choses. PayPal n’aime pas que vous soyez dans un pays étranger par exemple.”

Nord, lorsqu’il est utilisé sur votre téléphone portable, masquera également votre identité lorsque vous utiliserez des applications comme Google Maps.

N’utilisez pas Gmail, car chaque courriel que vous écrivez est stocké de façon permanente. Il devient une partie de votre profil et est utilisé pour construire des modèles numériques de vous, ce qui leur permet de faire des prédictions sur votre ligne de pensée et chaque envie et désir.

De nombreux autres systèmes de messagerie électronique plus anciens, comme AOL et Yahoo, sont également utilisés comme plateformes de surveillance, de la même manière que Gmail.

ProtonMail.com, qui utilise un cryptage de bout en bout, est une excellente alternative et le compte de base est gratuit.

N’utilisez pas le navigateur Chrome de Google, car tout ce que vous y faites est surveillé, y compris les frappes au clavier et toutes les pages Web que vous avez visitées. Brave est une excellente alternative qui prend la confidentialité au sérieux.

Brave est également plus rapide que Chrome et supprime les publicités. Il est basé sur Chromium, la même infrastructure logicielle que Chrome, de sorte que vous pouvez facilement transférer vos extensions, vos favoris et vos signets.

N’utilisez pas Google comme moteur de recherche, ni aucune extension de Google, comme Bing ou Yahoo, qui tirent tous deux leurs résultats de recherche de Google.

Il en va de même pour l’assistant personnel Siri de l’iPhone, qui tire toutes ses réponses de Google.

Les moteurs de recherche alternatifs suggérés par Epstein incluent SwissCows et Qwant.

Il recommande d’éviter StartPage, car il a été récemment racheté par une société de marketing en ligne agressive, qui, comme Google, dépend de la surveillance.

N’utilisez pas de téléphone portable Android, pour toutes les raisons évoquées précédemment. Epstein utilise un BlackBerry, qui est plus sûr que les téléphones Android ou l’iPhone. Selon lui, le prochain modèle de BlackBerry, le Key3, sera l’un des téléphones portables les plus sécurisés au monde.

N’utilisez pas les appareils Google Home dans votre maison ou votre appartement – Ces appareils enregistrent tout ce qui se passe chez vous, qu’il s’agisse de paroles ou de sons tels que se brosser les dents ou faire bouillir de l’eau, même lorsqu’ils semblent inactifs, et renvoient ces informations à Google.

Les téléphones Android écoutent et enregistrent également en permanence, tout comme Nest, le thermostat domestique de Google, et Alexa d’Amazon.

Effacez votre cache et vos cookies – Comme l’explique Epstein dans son article :15

“Les entreprises et les pirates de toutes sortes installent constamment du code informatique invasif sur vos ordinateurs et vos appareils mobiles, principalement pour vous surveiller mais parfois à des fins plus infâmes.

Sur un appareil mobile, vous pouvez effacer la plupart de ces déchets en allant dans le menu des paramètres de votre navigateur, en sélectionnant l’option “confidentialité et sécurité”, puis en cliquant sur l’icône qui efface votre cache et vos cookies.

Avec la plupart des navigateurs d’ordinateurs portables et de bureau, le fait de maintenir trois touches enfoncées simultanément – CTRL, MAJ et DEL – vous permet d’accéder directement au menu correspondant ; j’utilise cette technique plusieurs fois par jour sans même y penser.

Vous pouvez également configurer les navigateurs Brave et Firefox pour qu’ils effacent automatiquement votre cache et vos cookies à chaque fois que vous fermez votre navigateur.”

N’utilisez pas Fitbit, car il a été récemment acheté par Google et leur fournira toutes vos informations physiologiques et vos niveaux d’activité, en plus de tout ce que Google possède déjà sur vous.

Sources et References




« Ça peut pas faire de mal. » — « C’est mieux que rien. » — Masque, peur, sidération, épuisement, etc.

Par Alain Tortosa

Préambule :

Ce texte s’appuie sur l’hypothèse que les trois théories (croyances) suivantes sont vraies :

  • Il existerait des entités virus1 que l’on n’a jamais pu observer in vivo qui se reproduiraient et survivraient en tuant des cellules hôtes.
  • Ces virus seraient contagieux et il y aurait transmission depuis un patient zéro vers une population de plus en plus importante jusqu’à la « vague » suivante.
  • Il serait possible de contrôler ces virus, de contenir, de prévenir, voire de les éradiquer par des mesures pharmaceutiques (médicaments, vaccins, etc.) et non pharmaceutiques (masques, confinements, etc.).

Vous ne pouvez pas croire en l’épidémie de Covid et aux mesures préconisées depuis le début de la crise sans adhérer pleinement à ces trois théories précédentes. Ce texte s’adresse donc principalement à celles et ceux qui y croient.

La « Vérité » :

Les « complotistes » étudient, critiquent, se font leur vérité quand bien même ils se tromperaient. En revanche, la quasi-totalité des vérités des humains lambda semble une adhésion pure et simple à l’information reçue (famille, amis, enseignants, spécialistes, médias, etc.)

Pour dire autrement :

« La vérité du commun des mortels est la vérité de la société. »

Elle n’est en aucune façon le fruit d’une réflexion, d’une critique ou de recherches personnelles.

Plus « l’information » distillée par les médias sera monocorde et plus la vérité sera simpliste et binaire.

Nous en avons eu une preuve flagrante avec les trois sujets suivants :

  • Covid.
  • Guerre en Ukraine.
  • Réchauffement climatique.

Sur ces trois sujets, et il y en a plein d’autres, il y a « consensus ». 100 % des médias mainstream, qu’ils soient dits de gauche ou dits de droite, tiennent exactement le même discours (à un ou deux pour cent près).

Il m’est arrivé de « discuter » avec des membres de l’Église du coronavirus et leur demander de m’expliquer leurs croyances. En entendant leur discours, j’étais inexorablement poussé à leur dire :

« Je ne te demande pas de me répéter le discours de BFM, du Figaro ou de Libération que je connais,
je te demande TON opinion. »

La plupart des humains croient « savoir » alors que dans les faits
ils ne sont que les « croyants » d’une religion inculquée par la société.

Pour être totalement honnête, les « complotistes » ne sont pas à l’abri de la croyance et peuvent parfois basculer dans une « anti-foi ». Ils prendront comme « Vérité » l’exact inverse du discours officiel sans étudier par eux-mêmes pour débusquer des mensonges.

Adhésion :

Hormis les « complotistes », espèce reconnue contagieuse par les autorités qui font tout pour les contrôler en espérant les éradiquer, la population a adhéré dans son ensemble aux mesures gouvernementales de « lutte contre le virus ».

Comme indiqué précédemment, cette adhésion est totalement déconnectée d’un travail de recherche, d’analyse et de critique personnelle.

« Si tout le monde (civilisé, non pas les complotistes malades, antisémites d’extrême droite) le dit et le répète,
c’est que c’est vrai ! »

Vérités :

Le public a donc majoritairement adhéré aux vérités suivantes citées au début de l’épidémie :

  • Le Covid est un virus inconnu « vachement dangereux ». (Dans les faits, il circulait des mois avant la déclaration officielle et n’est devenu dangereux qu’au moment où les médecins se sont vus interdits de soigner comme à l’accoutumée.)
  • Nouveau virus, donc absence de traitements, quand bien même il était d’une catégorie banale (coronavirus).
  • Les confinements sont efficaces – « logique », il suffit de s’isoler pour ne pas croiser de virus. (Ici encore, point de questionnement, point de références aux études passées, point de comparaison entre les pays qui confinent et ceux qui ne confinent pas. La Vérité vient d’en haut et on la croit. »
  • Le masque est « efficace ».
    [Le public qui adhère à l’inefficacité et à la dangerosité du masque en début de crise, grâce aux conseils des autorités, vérité scientifique rapportée par l’OMS, se met à adhérer tout autant à son « efficacité » et à l’obligation de le porter en tout lieu. Preuve s’il en est de l’adhésion aux paroles d’évangile sans la moindre réflexion de fond.]
  • Les gestes barrières sont efficaces.
    (Idem, aucune référence aux études ou aux statistiques. Notez que le spécialiste médiatique affirme et on ne lui demande JAMAIS ses sources.)
  • Le « vaccin » est efficace.
    (Se référer à mes écrits précédents. Il est intéressant de voir comment le public a suivi dès lors que les autorités ont déclaré qu’il était sûr et efficace. Et ce quand bien même l’autorisation de mise sur le marché était conditionnelle, que l’on était encore en phase expérimentale, que l’on vendait une technologie ARNm jamais déployée à grande échelle, et qu’il faut en général 10 ans de recul avant de commercialiser un nouveau vaccin. Ici, rien, même pas peur !)

Tout ceci étant bien entendu martelé 24 heures sur 24 par tous les médias, tout un chacun devenant à son tour le porte-parole de ces « vérités ».

Usure :

Notons qu’il existe un phénomène d’usure et de saturation.

L’objectif de la dictature est de nous maintenir dans la peur pour nous faire adhérer et même réclamer nos chaînes. La peur sidère, ou dit plus simplement, la peur rend con !

Le problème est que notre cerveau se lasse de la peur, il finit par mettre en place des contre-mesures afin de pouvoir se remettre à fonctionner.

Un exemple simple à comprendre est celui du soldat sur un champ de bataille. Je ne l’ai pas vécu, mais nous voyons bien que les premiers jours sont un enfer de chaque seconde.

« Vais-je me prendre une balle, un obus, un gaz mortel, un missile ou pire, une visite de Macron ? »

Impossible de dormir dans ces conditions !

Si vous retournez voir ce pauvre bougre quelques semaines plus tard, et s’il est encore vivant, vous pourrez voir qu’il dort comme un bébé au milieu de l’enfer et du chaos.

Pourquoi ? Pour la simple raison qu’il a fait de son quotidien (le champ de bataille) une réalité sur laquelle il n’a pas de prise.

Il en est de même du Covid :

  • Dans un premier temps nos gouvernants nous décrivent l’enfer.
  • Puis ils prennent soin de nous le rappeler au quotidien, le tout avec quelques permissions en dehors du front (faire souffler du chaud et du froid en permanence).
  • Ils nous expliquent enfin que nous pouvons vaincre et que notre survie dépend de nous, de notre capacité à obéir aveuglément aux injonctions, quand bien même celles-ci seraient contradictoires.
    [C’est la même stratégie employée pour la crise de l’énergie. Les coupures aléatoires, pour faire peur, se sont pas « le fait de sanctions énergétiques à l’égard de Poutine, le fait de céder aux lobbies dits écologiques et de fermer des centrales nucléaires », mais de « la responsabilité du public qui doit faire cuire ses pâtes pendant 10 minutes dans de l’eau à 30 °C. »]
  • Semaine A, vous n’avez pas le droit de vous asseoir sur la plage avec le haut-parleur qui vous rappelle la menace et les consignes. Semaine B on vous dit qu’il ne faut surtout pas se déplacer, au risque de se faire contaminer ou de contaminer sur cette plage.
  • Les personnes sont dans la panique, elles obéissent sans se poser la moindre question.

Le battage médiatique est tel que l’être humain ne peut pas dormir dans sa tranchée, maintenu dans une même peur, durant des mois ou des années.

Nous assistons de plus en plus à la perte de peur du Covid.
Pas forcément qu’il est perçu comme « gentil », mais que le phénomène d’usure est là.

On n’y croit plus…

« Vous nous avez dit que si on se confinait on le flinguerait ! »
« Vous nous avez dit que si on portait un masque on le flinguerait ! »
« Vous nous avez dit que si on se faisait tester on le flinguerait ! »
« Vous nous avez dit que si on se vaccinait on le flinguerait ! »
« Vous nous avez dit que si on avait un QR code on le flinguerait ! »

Et là « vous dites qu’il faut faire une deuxième, troisième, quatrième, cinquième dose et vous n’osez plus dire que cela le tuera ! »

« Vous dites qu’il est indispensable de faire un truc auquel vous ne semblez même pas croire et qui ne servira de fait à rien ! »

Les autorités n’osent plus dire qu’une mesure sera efficace, mais juste « nécessaire » !

Il y a une combinaison de « c’est l’enfer » avec « on ne gagnera jamais », affirmant que l’ennemi aura toujours un coup d’avance.

Le discours est :

« il y a une pluie de bombes, prends un antalgique ! »

Raisons pour lesquelles nous avons eu droit à l’Ukraine 24 heures sur 24 et maintenant le réchauffement climatique.

Il n’y a plus que LCI qui fait de l’Ukraine non-stop à la télé.

Bruno Lemaire nous disait il y a plus de huit mois que la Russie serait à genoux avec les sanctions.

LCI continue de le répéter jour après jour.

« Poutine est foutu, l’économie russe est aux aboies, ils n’ont plus de missiles, etc. »

Le Français voit que les prix de l’énergie ou des denrées alimentaires explosent et n’en a plus rien à faire de Poutine. Le « nous allons nous prendre une ogive nucléaire sur la gueule et Poutine va visiter la tour Eiffel avec les troupes » ne fonctionne plus.

Le cobaye humain standard est saturé, il en a marre !

Panne de la vaccination

Une grande partie des Français est lassée et semble ne plus avoir vraiment peur du Covid. Ils ne sont plus convaincus de l’efficacité des mesures et encore moins du « sauveur », l’injection expérimentale ! La preuve en est du taux ridiculement bas d’injections du bivalent2.

Au 4 décembre, il y avait officiellement (chiffres probablement mensongers comme tous les autres) 3,1 % de Français injectés pour 80 % avec une seule dose. Pour ce qui est de la première dose, l’électro-encéphalogramme est plat depuis le début de l’année, plus de candidats à la première.

J’en reviens au bivalent, seuls 10 % des plus de 70 ans sont censés l’avoir reçu. D’autant plus intéressant que les personnes de plus de 80 ans ne sont pas à plus de 10 % non plus.

On sait que c’est une population captive en maison de retraite ou une population qui suit presque aveuglément les conseils de son médecin traitant sans poser de questions. Cette donnée permet ainsi d’affirmer que :

« Les médecins généralistes ont, eux aussi, renoncé au vaccin Covid. »

Relance de l’épidémie ?

Depuis quelques jours le gouvernement essaie de lancer la 9e vague pour introduire de l’angoisse pour les fêtes. Je ne suis pas dans le secret de Satan et je ne sais donc pas si c’est juste pour relancer le marché d’un produit qui n’intéresse plus ou pour relancer la dictature sanitaire.

La relancer ou tout du moins prendre le pouls de la population…

Est-elle prête à gober de nouveau et repartir comme en 14 ? Masques, confinements, vaccination obligatoire, passe sanitaire ? Je ne le sais pas.

Pour autant même les autorités et les corrompus sont bien timides et semblent marcher sur des œufs.

Les spécialistes et les politiques sont de retour, mais pour dire que « les personnes à risque » doivent porter le masque dans les lieux publics. Ils parlent d’une nécessité de rappel vaccinal uniquement pour cette même population. Exit les recommandations pour tout le monde.

Est-ce à dire qu’ils ont peur du procès, peur que les effets secondaires des injections expérimentales leur sautent au visage ? C’est assez crédible.

Le « tous vaccinés, tous protégés » est dans les poubelles de l’histoire, nul n’ose le dire encore.

De là à imaginer qu’ils vont relancer une fausse vague à un niveau biblique avec à nouveau des fausses saturations et des faux morts du Covid, j’ai quelques doutes, même si l’on peut s’attendre à tout de la part de psychopathes. Il n’en demeure pas moins vrai que la situation demeure anxiogène aussi bien pour les covidistes que pour les complotistes.

Les faits suite aux effets d’annonce

Pour autant nous voyons bien que les annonces gouvernementales, aussi bien des autorités que des médecins corrompus (ou avec conflit d’intérêts), ont leur effet.

Le fait est que le nombre de personnes masquées augmente. Je ne pense pas qu’elles soient toutes dans un mode « au secours on va tous mourir ». Le retour du masque chez les paniqués serait d’autant plus étrange que rien ne leur interdisait de continuer de le porter.

Jamais un quelconque responsable politique
ou médecin médiatique n’a annoncé la fin de l’épidémie en France !

Au contraire, le discours sur le retour du Malin en automne est généralisé.

J’entends que le mouton paniqué ne pense pas ou peu, mais quand même, si vous avez vraiment peur de mourir du Covid, d’autant plus que vous avez 5 doses d’un vaccin « efficace », il demeure relativement « logique » de le porter.

Cette augmentation n’est donc pas un effet de panique, mais de « prudence » (cela me fait mal aux tripes d’écrire de telles contre-vérités scientifiques).

J’ai donc, sinon l’intime conviction, la croyance que cette augmentation du nombre de masques repose sur mon titre !

« Ça peut pas faire de mal, c’est mieux que rien. »

C’est pas bien grave ? Là est le danger ! (Pour la santé, nos libertés et la démocratie.)

Nous l’avons croisé si souvent depuis des mois le fameux « c’est pas bien grave ».

  • « Quelques semaines de confinement, c’est pas bien grave si ça peut permettre de se débarrasser du virus. »
  • « Quelques heures de masques par jour c’est pas bien grave si cela permet de contrôler l’épidémie et diminuer les contaminations. »
  • « Scanner un QR code, c’est pas bien grave, après tout qu’est-ce qu’elles (les autorités) en ont à faire de savoir si je suis allé au resto. »
  • « Se faire injecter un produit expérimental c’est pas bien grave si cela peut éviter un séjour en réanimation et de décéder d’une maladie mortelle. »
  • Etc.

Ce qu’il y a de formidable avec l’assujetti, c’est que « rien n’est grave », quel que soit le sujet!

  • Interdire la circulation de véhicules anciens ?
  • Interdire de dépasser le 90 km/h sur autoroute ?
  • Interdire (conseiller, car ils ne peuvent pas contrôler) de chauffer à plus de 19 °C ?
  • Interdire de fumer.
  • Obliger une ceinture de sécurité.
  • Censurer la liberté d’expression.
  • Interdire de prendre l’avion.
  • Obliger un vaccin expérimental pour des millions de personnes en contact avec le public.
  • 11 vaccins obligatoires à la naissance.
  • Faire des délestages d’électricité dont nous serions les responsables.
  • Etc., etc., etc.

Il y a des centaines d’autres exemples que nous ne voyons même plus au quotidien tant nous sommes habitués. Que répondre ?

« C’est pas bien grave ! »

De toutes les façons, pour cette population obéissante, « rien n’est grave » du moment qu’elle a un toit, à manger et qu’elle peut regarder le foot !

Il faut dire que le matraquage est ininterrompu, nous expliquant en novlangue que « la liberté c’est l’interdit ».

« Ça peut pas faire de mal » et « c’est mieux que rien. »

Qu’est-ce qui pousse à l’adhésion aux mesures les plus délirantes ou liberticides ?

Cette masse obéissante n’est pas extrémiste, car :

  • Si la majorité des masqués actuels ne sont pas paniqués à l’idée de mourir du virus.
  • Si la majorité des masqués n’est pas intimement convaincue de l’efficacité de la mesure.
  • Si la majorité des masqués pense que « c’est pas bien grave » de le porter. À noter que le « c’est pas bien grave » pourrait durer pendant 40 ans en l’absence d’opposition…

Le moteur est certainement lié de fait au « ça peut pas faire de mal »

À noter que les croyances sont les mêmes pour les couvre-feux, distanciations, confinements, QR-codes, passe vaccinal, etc., le leitmotiv demeure : « ça peut pas faire de mal ».

La conjonction de « y’a pas besoin d’en faire une affaire d’État »
combiné à « ça peut pas faire de mal » est la porte ouverte à la dictature de masse.

Ce concept de danger lié à des effets secondaires directs ou indirects semble difficilement appréhendable par cette population molle qui obéit sans se poser de (vraies) questions.

Il faut dire que les médias sont « d’une grande aide ».

Tout individu qui émet l’hypothèse d’une dangerosité du confinement,
du masque ou du vaccin et j’en passe,
est immédiatement factchecké, calomnié, censuré puis mis au ban de la société.

C’est d’une grande aide pour ne pas se poser de questions.

Concernant les masques, je pense qu’il est difficile pour le commun des mortels d’y voir une nuisance ou un danger. (Sans même tenir compte des autorités qui rassurent et mentent sur ce sujet).

Ils ne voient qu’un bout de tissu qui semble d’autant plus inoffensif qu’il est notamment utilisé par des chirurgiens. Le fameux argument « imparable ».

Bien heureusement, il est pris soin de passer sous silence :

  • Qu’un chirurgien ne le porte pas douze heures par jour.
  • Qu’il est changé à minima toutes les quatre heures ou entre chaque opération.
  • Qu’il est porté en atmosphère contrôlée, dans un lieu où la température n’excède pas les 19 °C.
  • Qu’il n’est jamais manipulé, enlevé, remis, déplacé.
  • Qu’il est porté par un adulte formé à son usage.
  • Qu’il a pour objet de protéger des bactéries et certainement pas des virus !

Quelques dangers directs ou indirects du masque :

  • Augmente la quantité de CO2 inhalé.
  • Nid à champignons, bactéries qui se développent dans le milieu humide (d’autant plus qu’il est gardé pendant des heures, des semaines ou des mois, rangé dans une poche et manipulé hors protocole).
  • Substances chimiques inhalées dont microparticules qui se retrouvent dans les poumons.
  • Graphène selon les modèles de masque.
  • Perturbations dans la communication non verbale
  • Problèmes d’apprentissage des langues et des émotions.
  • Induction de la peur d’autrui, autrui qui devient potentiellement un danger mortel.
  • Problèmes relationnels, amplification de troubles psychologiques.
  • Détruit la convivialité, la légèreté, le vivre ensemble.
  • Rend visible une épidémie dont on ignorerait l’existence sans les médias ou le masque.
  • Sentiment de sécurité illusoire. (Comme le contrôle technique générateur d’accidents du fait d’un excès de confiance dans un véhicule âgé.)
  • Et pour ceux qui croiraient à son efficacité, dangereux, car il mettrait à mal les défenses immunitaires, exposerait à des maladies et condamnerait le porteur à le garder jusqu’à sa mort.

Le plus délirant est qu’il est déclaré indispensable
pour des personnes qui ont des problèmes respiratoires !

Les faits sur la dangerosité réelle du masque n’entrent pas
dans le processus décisionnel de le porter ou pas.

Quand bien même l’ensemble des dangers sont ou seraient connus, ils ne sont jamais additionnés.

Le porteur pourra dire « oui, c’est vrai » à propos d’une affirmation, mais n’en fera pas un tout, un objet dangereux (sans même parler de son inefficace légendaire).

Penser que le masque c’est dangereux, c’est comme penser que l’excès de sucre c’est dangereux ou que la cigarette est dangereuse. C’est un danger relatif, presque imaginaire !

Paradoxe des peurs et de la réalité de la menace

C’est là que l’on touche du doigt un énorme paradoxe.

Ce public n’a pas peur de porter pendant des heures, des jours,
des semaines, des mois un produit factuellement dangereux.

Une dangerosité dont on peut discuter des conséquences, mais dont nul (honnête) ne peut nier la réalité. Je vous rappelle que nous naissons sans masque et que l’espèce a pu survivre jusqu’à présent. Que le masque est à l’intérieur de notre corps dans nos systèmes de défense contre les agressions extérieures.

La peur de cet objet objectivement dangereux n’est pas conscientisée.

En revanche :

Les porteurs de masque ont peur d’un virus qu’ils n’ont jamais vu
pour lequel ils ont besoin de faire un test pour savoir s’ils sont « malades »
et dont la mortalité est statistiquement anodine.

Qui connaît une personne jeune, en bonne santé, non vaccinée, qui aurait été terrassée par ce virus ? Je pense que je peux répondre sans risque : Personne !

Je peux affirmer que les masqués dans la rue ou dans le bus sont aussi les vaccinés. Vous connaissez peut être une exception sait-on jamais ?!

Plus vous avez de doses de rappels et plus il est probable
que vous ayez peur de ce virus et plus vous êtes masqué.

Et c’est là que l’on touche au merveilleux. Le multi-injecté croit que son vaccin le protège des formes graves. Il en est à ce point convaincu qu’à sa sortie de réa diagnostiqué Covid, il pourra déclarer sans sourciller :

« Heureusement que j’étais vacciné », sous-entendu que le vaccin lui a sauvé la vie.

N’espérons pas faire pénétrer le doute et lui suggérer que le dit vaccin serait totalement inefficace ou pire, à l’origine de ses troubles.

Le multivacciné est donc à la fois intimement convaincu de l’efficacité
de ses injections et en même temps, a d’autant plus peur du Covid qu’il a de doses !
Plus il sera protégé et plus il sera prompt à remettre un masque.

Ce multirécidiviste de l’injection « efficace et inoffensive » se sentira protégé d’un virus mortel par un masque dont la dangerosité réelle sera de fait totalement inexistante.

Parler d’un rapport bénéfice vs risque pour le masque n’a donc pas de sens pour celui qui le porte « volontairement ».

Face à la peur de mourir :

  • La dangerosité réelle du masque devient imaginaire.

Tandis que :

  • L’efficacité imaginaire du masque devient réelle, réelle, car anxiolytique.

La question est donc :

Cette masse a-t-elle encore assez peur pour se masquer massivement et exiger plus de dictature ou pas ? L’augmentation du nombre de masques dans la rue ou les magasins n’est pas forcément rassurante, mais il est à mettre en balance avec le taux ridicule de personnes qui ont fait leur bivalent.

Merci.

Alain Tortosa3.
7 décembre 2022.
https://7milliards.fr/tortosa20221207-masque-peut-pas-faire-de-mal.pdf




L’opération psychologique spéciale « CoqueVide/19 », l’Holocauste Vaccinal et l’Orchestration de la Famine en Marche

[Source : xochipelli.fr]

Par Dominique Guillet

Publié le 17 novembre 2022

C’est une compilation, pêle-mêle, de tous mes écrits, à la pelle nourricière – et à l’appel des Muses – sur Xochipelli.fr

Voici une présentation de tous mes Essais, Cantos, Traductions, rédigés depuis mars 2020. Ils concernent l’opération psychologique spéciale que j’ai sur-nommée “CoqueVide/19”, l’Holocauste Vaccinal et l’Orchestration de la Famine en Marche. Ils concernent, également, la mise en exergue des différents vecteurs technologiques que les Globalistes tentent de mettre en place afin de chimériser l’Humain. Il s’agit,  principalement, des nano-particules et des nano-technologies – dont la graphénisation universelle de tous les secteurs de la vie quotidienne… en synergie avec le déploiement de la 5G. 

Cette compilation présente 57 liens vers des essais, des dossiers, des Cantos, etc. Elle n’inclut pas 34 très longues monographies médicinales rédigées durant la même période. Manifestement les Muses m’inspirent et je les expire par tous les pores de mon écriture. 

Cette compilation est pêle-mêle du point de vue de la thématique car elle est, strictement, chronologique. En “annexes”, j’ai rajouté deux de mes Cantos satiriques,  de 2018, très prophétiques, si je puis, quant au déroulement des “événements” de ces trois dernières années. J’ai, également, rajouté mes essais portant sur les insectes chimériques, sur l’alimentation insectivore et sur la, mal-nommée, agriculture cellulaire car ces abominations hyper-technologiques, et synthétiques, sont annonciatrices de la Famine en Marche. 

L’objectif de cette compilation n’est pas d’auto-fortifier mes territoires de gratification, comme l’écrivait Henri Laborit… car je suis au Plaisir de la Mère. Il est de faciliter l’accès à une source abondante et généreuse d’informations eu égard à la Guerre ouverte à l’encontre de tous les Peuples. 

Ces informations sont, de plus, totalement gratuites… et je ne propose même pas de T-shirts à la vente. Par contre, quant aux T-shirts, il est vrai que notre fille Laetitia en fait de superbes au service des activistes de France… avec la Jacquerie – très proche, dans l’Ariège, de l’Association Kokopelli. 

Mon dernier ouvrage – publié à l’automne 2019, peu avant le début de la fausse pandémie orchestrée, en France, par la PharMacronie – sera, enfin, bientôt disponible à la vente : Los Cantos de Xochi


“De l’oxyde de Graphène, des nano-tubes de carbone, de l’ADN synthétique, dans les nano-fibres des viandes cellulaires cultivées en cuves métalliques… et dans les viandes animales.” Décembre 2022 :

Déclaration d’Intentions

Après avoir posté mon dernier très volumineux dossier sur la Chitinisation des Peuples, et alors que je contemplais, dans l’atmosphère de mon foyer, des volutes de fumée de ganja tentant de contre-balancer les contaminations des chemtrails nano-technologiques – mon Rigpa m’a informé qu’il était fort probable que l’oxyde de graphène, ou toute autre forme de graphène, soit au menu, occulte, des “viandes cellulaires, en 3D”… qui sont annoncées comme étant le summum de la révolution alimentaire durable, circulaire, éco-friendly, blablabla. Et que le graphène soit, sans doute même, au coeur de certaines viandes animales… Je suis alors parti en quête… et cette quête fut fructueuse.

Aujourd’hui, nous assistons à un accroissement cellulaire – hyperbolique et hystérique –  de start-ups se lançant dans l’aventure des viandes cellulaires… et autres abominations, prétendument alimentaires, “cultivées” en cuves métalliques à partir de cellules-souches – de boeuf, de canard, de homard, de crevette… Ces soupes cellulaires sont nourries avec des levures transgéniques chimériques (et moult autres substances industrielles) et elles sont structurées par des hydrogels, ou autres polymères, constitués de nano-substances tout autant industrielles – et toxiques. 

Les “viandes cellulaires” sont, également, dénommées “viandes en 3D”, “viandes cultivées”, “viandes synthétiques”, “viande in vitro”, “viandes de laboratoire”,“fausses viandes”, “fake meats”, et, même, “viandes propres”…

L’expression, “viande propre”, est propulsée par le gang des (prétendus) écologistes, promouvant toutes les fadaises de type “New Green Deal”, et elle implique que son contraire – à savoir la “viande sale” – soit produite à partir d’animaux d’élevage qui constitueraient, intrinsèquement, une abomination détruisant la Nature. Tout va bien?

Les “viandes synthétiques” constituent un élément fondamental de la “4ème révolution industrielle” du dément Klaus Schwab et, tous les jours, je prie la Terre-Mère afin qu’elle active la Grande Réinitialisation, terminale, de cet ignoble eugéniste – une forme de Grand Reset sans Risettes – qui se prend pour le nouveau Messie Vert, et Universel, sur Terre.

Mon intention déclarée et transparente, pour cet essai,  est de mettre en exergue que certains de ces hydrogels, ou autres polymères, sont, déjà, à base d’oxyde de graphène, de nano-tubes de carbone, ou autres dérivés de graphène, pour la confection et la structuration des dites viandes cellulaires. Il est, également, de mettre en exergue que ces hydrogels, à base de graphène, sont présents, également, dans de nombreuses viandes animales: soit dans les emballages, soit par le biais des “vaccins” animaux anti-grippes, soit en injection directe, soit dans les films “protecteurs” prétendument comestibles. 

J’affirme, de plus, que le graphène va devenir, très rapidement, l’un des éléments essentiels dans la création de tissus musculaires, ou autres tissus, dénommés “viandes cellulaires”, destinés à “l’alimentation humaine”. 

Le 17 novembre 2022, la FDA, aux USA, donnait sa première autorisation concernant la commercialisation de viande cellulaire – en l’occurence, le poulet cellulaire de Upside Foods. [53] Upside Foods fabrique de la viande cultivée par cellules en utilisant des prélèvements d’animaux vivants ainsi que « des animaux récemment abattus qui faisaient déjà partie du système alimentaire ».

Les “prélèvements de cellules d’animaux récemment abattus” ne sont pas sans rappeler le film-culte Soleil Vert que j’ai évoqué, dans mon dernier essai Homo chimericus. Dans le cas de Soleil Vert, les prélèvements des décédés font, également, partie du système alimentaire… des non-décédés.

Pourquoi le graphène va t-il constituer la base d’une grande partie des fausses viandes cellulaires? Parce que la famille du graphène est, déjà, depuis une bonne douzaine d’années, l’un des éléments fondamentaux dans une pléthore d’applications médicales: vaccins, nano-vecteurs de remèdes allopathiques, senseurs, etc… dont – et c’est ce qui nous importe ici – la régénération des tissus des muscles, des os, des cartilages, des nerfs, etc.

En effet, les industriels de la viande cellulaire, ou en 3D, sont intéressés par la grande capacité de différenciation myogénique conférée par l’oxyde de graphène, ou les nano-tubes de carbone – entre autres capacités… réelles ou fabulées. 

Il leur est donc très aisé de s’associer à des firmes opérant dans le secteur des nano-fibres médicales, ou d’utiliser leurs brevets, car ces firmes ont, déjà, une quinzaine d’années de pratiques.

Pourquoi le graphène va t-il constituer la base d’une grande partie des fausses viandes cellulaires? Parce que le graphène – autrefois onéreux car provenant de Chine et concocté à l’aide de technologies coûteuses – est, maintenant, excessivement bon marché à la production depuis que de nouveaux procédés permettent de le fabriquer à partir de n’importe quelle bio-masse carbonée. 

En janvier 2020, le graphène se vendait encore très cher: entre 67 000 et 200 000 dollars la tonne. 

Et, de le fabriquer, en particulier, grâce aux procédés révolutionnaires inventés, à l’Université Rice de Houston, au Texas, par le chimiste internationalement reconnu, James Tour. 

James Tour est l’un des 5 chimistes les plus mondialement reconnus. Par conséquent, ses prises de position sont tolérées – d’autant plus qu’il possède plus de 600 brevets – malgré qu’il professe un paradigme Yahvéiste, strictement anti-néo-Darwiniste et promouvant, même, le “Dessein Intelligent”/“Intelligent Design”. 

James Tour a totalement raison, dans sa conception de l’Evolution,  si ce n’est qu’il faille remplacer les prétentions du mythe Yahvéiste par les perceptions, et visions, authentiques, et organiques, du monde Gaïen – et, qui plus est, en fusion avec le monde Gaïen. 

Selon James Tour : 

« Le monde jette 30 à 40% de la nourriture, parce qu’elle se dégrade, et les déchets plastiques sont une préoccupation mondiale. Nous avons déjà prouvé que toute matière solide à base de carbone, y compris les déchets plastiques mélangés et les pneus en caoutchouc, peut être transformée en graphène… Essentiellement, nous piégeons les gaz à effet de serre, comme le dioxyde de carbone et le méthane, que les déchets alimentaires auraient émis dans les décharges. Nous convertissons ces carbones en graphène et nous ajoutons ce graphène au béton, réduisant ainsi la quantité de dioxyde de carbone générée par la fabrication du béton. C’est un scénario environnemental gagnant-gagnant grâce au graphène ». 

L’une des méthodes les plus prometteuses pour produire du graphène à grande échelle est l’utilisation de l’exfoliation chimique associée à la réduction chimique pour obtenir de l’oxyde de graphène réduit.

Comme le rapporte la revue Nature, le graphène flash est fabriqué en 10 millisecondes en chauffant des matériaux contenant du carbone à 3000 Kelvin (environ 2726° Celsius). Selon James Tour : 

« Le matériau source peut être presque tout ce qui contient du carbone. Selon M. Tour, les déchets alimentaires, les déchets plastiques, le coke de pétrole, le charbon, les déchets de bois et le biochar sont des candidats de choix. » 

Ainsi qu’il est précisé, le lent processus géologique – par lequel le carbone évolue vers son état fondamental, le graphite – est fortement accéléré par un pic de chaleur mais il est arrêté au bon moment, au stade du graphène.

Selon les promoteurs, et les prometteurs, du graphène, le recyclage des déchets en trésor (de graphène) est le fondement de l’économie circulaire. A savoir que les poubelles constitueraient le graphène du Futur? 

Si le contenu des poubelles quotidiennes, et les déchets en tous genres, constituent les sources du graphène du futur – dont les industriels veulent tous nous imprégner – ils ne pourront pas constituer, en même temps, la bio-masse nécessaire à l’alimentation des insectes pour la production industrielle de protéines “alternatives”. 

La bio-masse se faisant de plus en plus rare, de par la destruction programmée de l’agriculture-élevage, un jour – si les Peuples ne descendent pas dans la rue pour chasser les Prédateurs – il faudra choisir entre transformer les déchet organiques, ou les déchets plastiques, ou en graphène… ou en aliments pour insectes… ou en sources de nécro-carburants. 

Comme les nano-particules de graphène peuvent être produites à partir de n’importe quelle bio-masse carbonée, il est très aisé de mentionner sur les brevets, ou autres propagandes, afférents aux viandes, et autres aliments, dits “cellulaires”, que leur confection comporte des extraits de “produits naturels” et, surtout, “non-animaux”. 

Voir par exemple cette étude, de 2016, intitulée “Graphene quantum dots from fishbone carbon nanofibers”, [65] qui porte sur la production de points quantiques de graphène à partir de nano-fibres de carbone obtenues en processant des arêtes de poisson. 

En effet, n’importe quelle bio-masse signifie: de la paille de riz, des grains de riz, de la paille de blé, de la pelouse, des excréments de chien, des champignons, des filtres de cigarette, des biscuits, du miel, des écorces d’arbre, du charbon de bois, etc, etc. Tous ces éléments permettent de fabriquer, quasiment instantanément, du graphène ou des points quantiques de carbone. 

Voir la méga-étude récente, de septembre 2021, intitulée “A Review of Graphene: Material Synthesis from Biomass Sources”. [33]

Il existe une autre méthode ayant recours à des températures inférieures à celles utilisées par James Tour au Texas. Durant ce processus, la lumière du soleil est concentrée, par une lentille biconvexe, pour former un point lumineux focalisé, avec une température élevée supérieure à 1000°C, qui peut directement convertir les pelures de fruits en nano-feuilles de graphène – en 2 à 3 secondes.

Voir l’étude, de juillet 2022, intitulée “Concentrated Solar Induced Graphene” [41] qui a recours à des pelures de banane, de melon, de noix de coco, d’orange, etc.

En conclusion de cette Déclaration d’Intentions. Il est possible, aujourd’hui, que je dissémine des informations précieuses, “dans le désert des embouteillages”, comme le chantait Jacques Higelin… dont les hurlements de révolte animèrent notre jeunesse fougueuse…

… et très fugueuse eu égard au paradigme mortifère de la démocratie déliquescente. 

En effet, je comprends fort bien que d’aucuns ne veuillent pas s’intéresser à cette problématique… affirmant qu’ils ne toucheront jamais à cette sorte de “nourriture” que constituent les “viandes cellulaires” – tout autant que les “viandes végétales” et les “viandes insectueuses”. 

Mais se sont-ils posé la question de savoir si les dérivés du graphène ne contamineraient-pas, également, les viandes animales ?

Nonobstant, à moins que l’on ne consomme que des produits agricoles issus de l’agriculture biologique – et encore – il est certain que plus personne, dans nos sociétés modernes, ne peut retracer la totalité des substances qui sont introduites dans la nourriture quotidienne des populations – souvent à leur insu. Et c’est sans évoquer la problématique criminelle des Chemtrails qui constituent, en soi, un énorme dossier d’investigations.

Je précise “et encore” pour l’agriculture biologique car, depuis la rachat d’un très grand nombre d’entreprises bios par la mafia des multinationales alimentaires, on ne peut être sûr de rien… si ce n’est que l’appât du gain soit le moteur de leur rachat. Voir mes quelques essais sur la “Bio Piratée” – sur le blog de l’Association Kokopelli.

Cultivez votre jardin et prenez-en de la graine!

Aujourd’hui, si les multinationales de l’alimentaire, les banques, les fonds financiers, etc, (et autres Banksters), investissent lourdement dans l’industrie des fausses viandes – à base d’insectes, de plantes chimérisées, de levures chimériques, de cellules de souche… – c’est que le mot d’ordre a été lancé. Par qui? Par Klaus Schwab, et son gang de voyous mafieux, du Forum Economique Mondial.

On retrouve, sur la web, des photographies de Klaus Schwab et du président Mitterrand, datant de 1976. Cette fripouille a trainé dans les anti-chambres présidentielles Françaises depuis un demi-siècle. Tout comme son comparse Attali, Jacques a dit, dont le bon élève de l’opposition contrôlée, Juan Branco, sévit sur les réseaux sociaux depuis quelques années – en se prétendant le pourfendeur de Macron et l’avocat des pauvres… sur mode de litanie salvatrice Marxiste, et Bolchévique, perpétuellement réchauffée depuis 1848.  A quand l’invitation de Juan Branco, au titre des Jeunes Leaders adoubés par Klaus Schwab?

Fin 2021, il y avait, déjà, plus d’une centaine d’entreprises de production de viande cellulaire et de produits de la mer cellulaire.  Il y en aura, bientôt, plusieurs centaines si les Peuples laissent le gang de voyous, formés par Klaus Schwab, en position d’Autorités. Et c’est sans évoquer les autres centaines de firmes, dans le monde, produisant, en cuves métalliques, du faux lait, des faux oeufs, de la viande à base de plantes, des faux poissons, des fausses crevettes, de la fausse soie, de multiples produits à base d’insectes, etc, ad nauseam. Sans oublier, la fausse artémisinine et le faux THC!!

Ce sont, ainsi, des milliards d’euros d’argent public qui sont investis dans toutes ces productions industrielles dites alimentaires… pendant que l’orchestration de la destruction du secteur de l’agriculture-élevage est en cours… 

… et, par conséquent, l’Orchestration de la Famine Pandémique. 

Au sujet de l’intitulé de mon nouveau cycle d’essais :
“Orchestration de la Famine Pandémique”

Ce présent essai est le quatrième de ma nouvelle séquence dénommée “Orchestration de la Famine Pandémique”. Le premier essai s’intitule “La Grippe Aviaire H5N1 est-elle la prochaine fausse Pandémie orchestrée par les Globalistes Vaccinalistes et Eugénistes? Ou serait-ce, plutôt, un mutant H5N1 au parfum de CoqueVide mutin?” [78]; le second essai s’intitule “Homo chimericus: les processus de Chitinisation, par l’alimentation insectivore, en synergie avec les processus de Graphénisation, vont engendrer un nouvel organisme humain chimérique et connecté” [77]; et le troisième s’intitule “Soleil Vert en 2022? Chitinisation de l’Organisme Humain par une Alimentation Insectivore fondée sur le Recyclage des Déchets Agro-Industriels, des Plastiques en tous genres, des Excréments Humains… et bientôt des Cadavres Humains?” [76].

Je titre “Orchestration de la Famine Pandémique”, pour mes quatre derniers dossiers, volumineux, publiés en cette année 2022, en redonnant au terme “Pandémie” sa signification étymologique authentique – et essentielle. 

En effet, le terme “Pandémie” signifie, tout simplement, “le Peuple entier”, “tout le Peuple”, “l’intégralité du Peuple” – ou, même, “tous les Peuples”… lorsque notre imagination s’enflamme aux cris de l’Insurrection en Marche. 

“Pandémie” est issu des termes Grecs: “πᾶν, pân” et “δῆμος, dễmos” signifiant “tout” et “Peuple”. 

C’est en 1666, sans plaisanter, qu’est apparu, pour la première fois, le terme “Pandemic” dans l’ouvrage du médecin Anglais, Gideon Harvey (le père), intitulé “Morbus Anglicus, or the Anatomy of Consumptions” – en relation avec une pathologie qui serait généralisée.

En fait, Gideon Harvey, utilisa deux termes “Pan­demick” et “Endemick”. Endémique, quant à lui, provient du Grec “ἐνδημία/endêmía” signifiant “séjour” et du Grec “ἔνδημος/éndêmos” signifiant “Indigène” – à savoir “ἐν/en pour “dans” et “δῆμος/dễmos” pour “peuple”. Endémique signifie, littéralement, “dans le Peuple”. 

Il est important de souligner la parenté de ces deux termes, Indigène et Séjour, dans l’esprit des travaux de Lev Gumilev sur l’Ethnogenèse.

Le médecin Gideon Harvey l’utilisa une seule fois, plus précisément, dans le texte suivant, au chapitre 1 : «… which instances do evidently bring a Consumption under the notion of a Pan­demick, or Endemick, or rather a Vernacular Disease (a disease alwayes reigning in a Countrey) to England; that is a common disease owing its rise to some common ex­ternal and perennal (lasting all the year) cause of a Countrey; as a Consumptive Air, or a Consumptive Dyet. viz. eating much Flesh, drinking Hopt drink, &c ».

Subséquemment, ce terme “Pandémie” ne serait apparu qu’en 1752, dans la langue Française – dans le dictionnaire de Trévoux. Selon la définition actuelle du Larousse, une pandémie serait une “Épidémie étendue à toute la population d’un continent, voire au monde entier”. 

Cette définition n’a strictement rien à voir avec l’essence de terme “pandémique” et elle ne peut qu’aggraver les syndromes de dissonance cognitive induits, chez les populations, par de multiples campagnes mensongères, et génocidaires, totalement fondées sur la peur. 

Ainsi, par exemple, les manipulations de l’OMS, l’Organisation pour le Massacre Sanitaire, eu égard à ce concept de “pandémie”, ont été orchestrées par ses directeurs Tedros Adhanom Ghebreyesus et Soumya Swaminathan – la fille de l’archi-criminel Mankombu Sambasivan Swaminathan, le père de la pseudo “Révolution Verte” en Inde, un grand allié de Monsanto et de la Mafia Agro-Pharma.

D’ailleurs, n’est-il pas surprenant, sur le plan des synchronicités pandémiques, que c’est, également, en cette année fatidique, 1666, qu’apparut, ex judaismo – en Turquie, à Izmir – Sabbatai Zevi, un nouveau Messie qui prenait sa tête de Turc pour une incarnation divine… et qui déclencha une nouvelle pandémie, messianique, dans toute l’Europe – dont les répercussions génocidaires se font encore sentir de nos jours.

En effet, certains individus, au comportement très psychopathique, souffrent, manifestement, d’un syndrome virosant de “délégation divine” qui les incite à tout contrôler, à tout réglementer, à tout posséder, à tout voler, à tout spolier – et à eugéniser et génocider les Peuples… selon leur bon vouloir. Il est à noter que les plus virosés d’entre eux se prétendent, même, des êtres humains divinisés sur Terre.

Si d’aucuns ressentent quelque doute concernant ma vision globale, il ne leur est que d’écouter les déclarations récentes de Yuval Noah Harari, le guru psychopathe et  autiste de Klaus Schwab, qui va jusqu’à déclarer que le Forum Economique Mondial a eu tellement de succès, dans ses entreprises, qu’il en a acquis des pouvoirs divins de création et de destruction. Historiquement, cette prétention à un droit divin, sur les Nations, ne date pas de Yuval Noah Harari: elle remonte au Deutéronum mais elle est, aujourd’hui, publiquement, et ouvertement, proclamée – du moins, pour ceux qui ont des oreilles pour entendre.

En fait, Yuval Noah Harari est, intimement, convaincu que lui-même, Klaus Schwab – et d’autres dans leurs rangs et “castes” – n’ont plus besoin d’attendre un quelconque Messie car ils constituent, eux-mêmes, des divinités incarnées sur Terre. Et quelle serait leur mission? 

Leur mission “divine” est “justement”, comme diraient les Tzaddik, de conduire les troupeaux humains bêlants vers un statut, non pas divinisé, mais “augmenté” – à savoir, “augmenté” parce que connecté à la Toile par la 5G. Il s’agit, intrinsèquement, de chimériser la destinée d’une entité, anciennement “humaine”, dont le biologique aura fusionné avec l’électronique par le biais de nano-particules métalliques – dont, principalement, des dérivés du graphène – de dérivés de chitine et, peut-être, même, par le recours à de l’ADN synthétique. 

Klaus Schwab, le grand prêtre du Tikun Olam nano-technologique, au parfum de graphène, a même affirmé que si les Humains l’écoutent : « ils ne posséderont rien, ils seront graphénisés, ils seront fusionnés avec le Réseau… et ils seront Heureux ». 

Production de viande cellulaire, durable, circulaire, nutritive,
éco-friendly, sans souffrances animales, etc.

Que contiennent les viandes cellulaires – en sus, potentiellement, de dérivés de graphène, de chitosane et d’ADN synthétique? 

Qu’en-est-il donc, réellement, de l’alimentation dite “naturelle” dont sont gavées les cellules de l’agriculture cellulaire tissulaire ainsi que les cellules de l’agriculture cellulaire par fermentation?

Comme toutes les cellules vivantes à l’intérieur d’un organe vivant au sein d’un organisme vivant – lui-même lové au sein d’une Biosphère vivante – les cellules confinées artificiellement, en captivité de cuves plastiques ou métalliques, ont besoin pour survivre, et se multiplier, de lipides, de protéines, d’acides aminés et d’hydrates de carbone… en sus de vitamines et autres oligo-éléments. 

Les cellules mammaliennes ont, également, besoin d’une technologie très sophistiquée car les cuves industrielles de l’agriculture cellulaire ne fonctionnent pas avec de l’huile de coude! Elles nécessitent beaucoup d’énergie de stimulation, de brassage… et d’élimination du célèbre produit de la respiration cellulaire: le dioxyde de carbone ou CO2. L’agriculture cellulaire en cuves est, strictement, dépendante d’une source permanente d’électricité.

Tout d’abord, des cellules souches embryonnaires; des cellules mésenchymateuses; des cellules souches totipotentes; des cellules souches multipotentes; des cellules souches pluripotentes; des cellules souches pluripotentes induites (artificiellement créées de par l’ajout de facteurs de transcription); des cellules souches adultes; des cellules souches satellites; des progéniteurs fibro-adipogéniques; des fibroblastes primaires; des neurones; des cellules gliales; des cellules endothéliales de la veine ombilicale humaine; des cellules musculaires lisses; des architectures/échafaudages; des protéines mitogéniques recombinantes (bovine FGF2); de l’activine A recombinante rat, souris, humain; du facteur de croissance transformant β recombinant rat, souris, humain; de l’albumine; du facteur de croissance épidermique; du facteur de croissance humain insulino-like 1; des levures chimériques; des algues chimériques; des bactéries chimériques; du glucose; du galactose; du sucrose; du maltose; des lipides; des hormones; des mycoprotéines; du glucomannane; des polyamines (spermidine, spermine et putrescine); des cytokines; du cholestérol; de la léghémoglobine chimérique; des cyanobactéries.

Les cyanobactéries sont les entités vivantes les plans anciennes sur la planète Terre et il en existe plus de 7500 espèces répertoriées à ce jour. Si l’on se réfère à une étude publiée sur le net, les cyanobactéries croissent, également, sur milieu minéral. Voici, par exemple, l’une des recettes pour la culture de ces cyanobactéries: nitrate de sodium, monohydrogénophosphate de potassium, sulfate de magnesium heptahydraté, chlorure de calcium dihydraté, acide citrique monohydraté, EDTA disodique, carbonate de sodium, citrate de fer ammoniacal… en sus de “mélanges métaux” (H3BO4, MnCl2, 4 H2O, ZnSO4, 7 H2O, etc, etc). [71] 

Quant à la léghémoglobine chimérique, c’est l’entreprise Impossible Foods qui a développé une souche de levure chimérique, contenant un gène de soja, afin de produire cette léghémoglobine recombinante. 

Il existe de très nombreuses souches de levures chimériques pour la production de protéines recombinantes dans le secteur de l’agriculture cellulaire. Les principales espèce de levure chimérisée pour la production de protéines recombinantes sont Saccharomyces cerevisiae, Pichia pastoris, Yarrowia lipolytica, Hansenula polymorpha, Schizosaccharomyces pombe, Kluyveromyces lactis. Ce sont ces mêmes levures chimériques qui jouent, également, un rôle fondamental dans la production de protéines recombinantes qualifiées de “thérapeutiques” par Big Pharma. Ces protéines pharmaceutiques représentent, en effet, un marché annuel de près de 100 milliards de dollars. Elles sont particulièrement utilisées pour la production des “vaccins” de la Pharmacratie génocidaire.

Des acides aminés: alanine, hydrochlorure d’arginine, asparagine, acide aspartique, cystine, acide glutamique, glutamine, hydrochlorure d’histidine, isoleucine, leucine, hydrochlorure de lysine, méthionine, phénylalanine, proline, sérine, thréonine, tryptophan, sel de disodium de tyrosine, valine. 

Les cellules en cuves doivent être alimentées, également, avec de la glutamine, un acide aminé qui est considéré comme “de 10 à 100 fois plus important” [73] (en fonction des vendeurs glutamineurs), pour la confection d’aliments cellulaires, que d’autres acides aminés tels que la tyrosine et la cystine. La glutamine s’obtient, par exemple, à partir d’un savant mélange de glucose, de liqueur de maïs fermenté, de sulfate d’ammonium, de phosphate de monopotassium, de sulfate de magnésium heptahydraté, de sulfate de manganèse monohydraté, de sulfate de zinc heptahydraté. La glutamine s’obtient, également, par hydrolyse de protéines telle que celle du gluten. 

Pour la culture cellulaire, la multinationale de Big Pharma, Merck, par exemple, propose des produits et autres solutions à base de glutamine. Certaines de ces solutions sont, parfois, agrémentées d’un cocktail d’antibiotiques, telles que la gentamicine, la pénicilline, la streptomycine… [79]  Mais qui va s’offusquer du fait que la viande cellulaire soit nourrie aux antibiotiques lorsque la viande organique industrielle en est imprégnée depuis des dizaines d’années?

Des vitamines: adénine, biotine, chlorure de choline, pantothénate de calcium, acide folique, inositol, niacinamide, hydrochlorure de pyridoxal, riboflavine, hydrochlorure de thiamine, vitamine B12. 

Des sels inorganiques: ammonium métavanadate, chlorure de calcium, chlorure de cuivre, sulfate de cuivre, citrate de fer, nitrate de fer, sulfate ferrique, sulfate de manganèse, sulfate de magnésium, acide molybdique, chlorure de nickel, chlorure de potassium, nitrate de potassium, bicarbonate de soude, chlorure de sodium, métasilicate de sodium, phosphate dibasique de sodium, sélénite de sodium, chlorure stannique, sulfate de zinc heptahydraté. 

Divers autres intrants: albumine, dexaméthasone, dextrose, éthanolamine, HEPES (ou acide 4-(2-hydroxyéthyl)-1-pipérazine éthane sulfonique), acide linoléique, phosphatidylcholine, rouge de phénol, putrescine, pluronic F68 (un stabilisateur cellulaire), insuline humaine recombinante, pyruvate de sodium, acide thioctique, thymidine, transferrine, lactoferrine, fibronectine, laminine. 

Il est très vraisemblable qu’il existe une foultitude d’autres substances “suspectes”, dans les médium de culture, mais les industriels de l’alimentation cellulaire vont invoquer le secret professionnel afin de ne pas en divulguer la liste. En effet, certains de ces industriels, au moment de la phase dénommée “différenciation cellulaire”, y introduisent du sérum de foetus de veau, du sérum de foetus bovin, du sérum de cheval ou, encore, des extraits d’embryon de poulet

Les esprits curieux sont invités à consulter une étude Française (rédigée en Anglais, bien sûr) de l’Inserm/CNRS intitulée “Complex Interactions between Human Myoblasts and the Surrounding 3D Fibrin-Based Matrix”. Il y est évoqué quelques substances entrantes dans un médium dont la mission est d’alimenter des cultures cellulaires de muscles humains extraites d’un quadriceps d’un garçon de 12 ans. Ce sont du sérum de cheval, du sérum de foetus de bovin, des antibiotiques (pénicilline et streptomycine), du phosphate sodique de dexaméthasone, de l’aprotinine… [80] Ces cultures cellulaires sont cultivées dans des médiums industriel – dénommés, par exemple, Ham’s F10 ou Ham’s F12, produits par Gibco – qui contiennent une gamme impressionnante d’acides aminés, de vitamines, de sels inorganiques et autres intrants à l’instar de la liste extensive présentée ci-dessus. [81] 

Les esprits curieux sont invités, également, à investiguer les relations potentielles existant entre ces sérums animaux et les pathologies humaines… D’autant plus lorsque l’on prend conscience que lors de la “Grippe Espagnole” de 1918/1920 – qui était une pneumonie bactérienne ainsi que je l’ai expliqué dans mon essai “Vaccinations Anti-Méningite et Pathologies Respiratoires Imputées au Coronavirus ID/2019” [82] – les sérums, médications et vaccins, concoctés par la Fondation Rockefeller et distribués dans le monde entier, étaient élaborés dans des chevaux vivants. D’ailleurs, c’étaient ces mêmes chevaux, de laboratoire, qui étaient utilisés pour la préparation de divers sérums supposément à l’encontre de la méningite, du tétanos, de la diphtérie… A savoir, les mêmes chevaux qui jouaient le rôle de “bio-fermenteurs” lorsqu’ils étaient inoculés avec divers pathogènes afin de produire des sérums à des millions d’exemplaires – afin de “nécro-fermenter” les corps humains Dès le début des années 1890, le docteur Emile Roux – un émule de Pasteur l’Imposteur – utilisait, à Paris, des chevaux comme usines vivantes afin de produire, à grande échelle, du sérum riche en “anticorps” contre la toxine bactérienne diphtérique. [83]

Dans la mesure où la présence de sérums et extraits de foetus animaux pourrait faire tousser les hystériques du véganisme, les industriels et chiméristes de l’agriculture cellulaire font de leur mieux pour leur substituer d’autres substances, protéiques ou non – prétendument moins suspectes. Il s’agit, par exemple, d’extraits de champignons shiitake ou d’hydrolysats de soja ou, encore, de transferrine, d’insuline, de séricine, de sélénite, divers acides aminés, diverses vitamines, etc, etc.

En fait, cette soupe cellulaire est, authentiquement, une “soupe à la grimace” dans le sens étymologique du terme Latin “grima” – signifiant “masque”. L’agriculture cellulaire est une mascarade alimentaire dont la fonction première est de participer à la destruction systématique de l’agriculture/élevage afin d’affamer les Peuples – par sous-nutrition ou par non-nutrition. Il n’est que temps de faire tomber leurs Masques… et tant d’autres Masques! 

Le Good Food Institute promeut, officiellement, le Graphène, et les nano-tubes de carbone – et même l’ADN synthétique – au menu des viandes cellulaires

Le Good Food Institute, contrairement à ce que sa dénomination pourrait laisser évoquer, n’a pas pour vocation de promouvoir une bonne nourriture saine,  savoureuse, attrayante, équilibrée et non toxique. Sa mission est de promouvoir le secteur de l’industrie des “protéines alternatives”- et, principalement, celui des viandes cellulaires. 

Le Good Food Institute a été créé en 2016. Son budget annuel, provenant de gros dons de fondations (telle la Fondation Bill Gates) et autres industriels, est de l’ordre de 53 à 56 millions de dollars. 

Le Good Food Institute employait, en date de janvier 2022, plus d’une centaine de scientifiques, techniciens, médiatiques, propagandistes, et autres lunatiques, dont la mission est de développer les viandes cellulaires et les nouvelles protéines. Le Good Food Institute possède une très mauvaise réputation générée par des accusations, récurrentes, d’environnement de travail toxique. Tellement récurrentes que certains financement se sont taris. [75]

Le Good Food Institute publie une pléthore de rapports sur la production de substances “fausses”: viande, poisson, lait, oeufs à base de cellules tissulaires et/ou cellules fermentées – et, aussi, à base de plantes. [28] Tout autant que des rapports sur le développement, sur les investisseurs, etc, au sein de ce secteur.

Les “experts” auto-proclamés, auto-prophétiques et, surtout, hystériques, du Good Food Institute, annoncent un marché de 370 milliards de dollars, dès 2035, en ce qui concerne les fausses viandes, les faux poissons, les faux crustacés… Selon le Good Food Institute, ce seraient 1380 millions de dollars levés, auprès d’investisseurs, par les sociétés de production de viande cellulaire durant l’année 2021.

Selon le très célèbre cabinet McKinsey, de toutes les corruptions, impliqué, également, dans les fausses viandes et les faux poissons – en sus de fausses missions au profit de la PharMacronie –  la viande cultivée pourrait représenter un chiffre d’affaires de 25 milliards de dollars, d’ici 2030. [26]

Selon un rapport, fantasmagorique, du Good Food Institute, la fausse viande cellulaire, en comparaison du vrai boeuf, nécessiterait 95% moins de terre; elle produirait de 74 à 87% de moins “d’émissions de gaz de serre”; elle générerait 94% en moins de pollution des nutriments, etc. [27]

En ce qui concerne notre dossier présent, à savoir le graphène dans les nano-fibres des viandes en 3D. Dans l’étude récente, du Good Food Institute, de janvier 2022, intitulée “Scaffolding Biomaterials for 3D Cultivated Meat: Prospects and Challenges” [5], il est spécifiquement mentionné, au sujet des échafaudages, de viande en 3D, contenant un tripeptide constitué d’arginine, de glycine et d’acide aspartique, que « l’ajout d’oxyde de graphène a encore amélioré la capacité de différenciation myogénique ».

C’est, en fait, par exemple, ce qu’affirmait, également, cette étude, de 2015, intitulée “Graphene oxide-stimulated myogenic differentiation of C2C12 cells on PLGA/RGD peptide nanofiber matrices”. [21]

L’expression-clé est, ici, “différenciation myogénique”. De nombreuses études, plus anciennes, prétendument pour le secteur médical, ont affirmé que l’oxyde de graphène améliore, fortement, la capacité de “différenciation myogénique” – dans l’ingénierie tissulaire.

“Nano-sized graphene oxide coated nanopillars on microgroove polymer arrays that enhance skeletal muscle cell differentiation”. Décembre 2021. [22]

“Graphene Oxide Scaffold Stimulates Differentiation and Proangiogenic Activities of Myogenic Progenitor Cells”. 2020. [18]

“Myoblast differentiation on graphene oxide”. 2013. [19]

“Three-Dimensional Printable Gelatin Hydrogels Incorporating Graphene Oxide to Enable Spontaneous Myogenic Differentiation”. 2021. [20]

Il ressort de ces quelques études, prises en exemples, que si la confection d’hydrogels, à base d’oxyde de graphène, permet une différenciation myogénique spontanée dans le secteur de l’ingénierie tissulaire de muscles humains, ou autres tissus… elle peut, également, le permettre pour le secteur de l’ingénierie tissulaire de muscles “cultivés” à partir de cellules de vache, de canard, etc. N’est ce pas? 

Pour rappel. Le Good Food Institute fut l’un des sponsors du Pavillon des systèmes alimentaires durant la COP 27 en Egypte qui, rappelons-le, a mis les “protéines alternatives” à l’honneur. Voir mon précédent dossier. 

D’autant plus que le Good Food Institute se permet de mentionner, très clairement, dans son dossier très technique – intitulé “Deep dive: Cultivated meat scaffolding” –  le recours au graphène, aux nano-tubes de carbone, à l’ADN – et autres polymères synthétiques –  pour la confection des échafaudages de la viande cellulaire. [51]

« De même, les cellules satellites musculaires peuvent s’auto-renouveler lorsqu’elles sont cultivées dans un substrat qui correspond à la rigidité de leur niche de cellules souches native (Gilbert et al., 2010 ; Safaee et al., 2017). Le réglage de la rigidité peut être obtenu par une réticulation accrue, l’ajout de nano-tubes de carbone (Shin et al., 2012), de graphène (Martín et al., 2017), d’ADN (Chen et Seelig, 2019), ou la modification de matériaux polymères naturels ou synthétiques avec des groupes latéraux photoréticulables. Il est important de noter que ces groupes photoréticulables permettent une polymérisation rapide, ce qui permet l’encapsulation des cellules au cours d’un processus tel que la bio-impression (discuté plus loin). Les échafaudages de viande cultivée peuvent donc être construits avec divers matériaux polymères composites qui dictent la rigidité dans une orientation spatiale pré-modélisée pour reproduire l’architecture de la graisse, du muscle et du tissu conjonctif que l’on trouve dans un produit carné souhaité. En effet, des études ont démontré que les propriétés de rigidité d’un seul hydrogel pouvaient orienter les cellules souches vers l’os et la graisse (Freeman et Kelly, 2017). Par ailleurs, l’hydrogel lui-même peut être dissous dans un mélange de milieux de culture cellulaire et de cellules, ce qui favorise la fixation et la propagation des cellules. Mosa Meat décrit l’utilisation d’un hydrogel dissous chargé de cellules pour positionner les cellules dans un appareil dédié à la différenciation ou à la structure cellulaire (Breemhaar et Post, 2019) »[51]

Les échafaudages de viande cultivée peuvent donc être construits avec divers matériaux polymères composites, et synthétiques, qui dictent la rigidité dans une orientation spatiale pré-modélisée pour reproduire l’architecture de la graisse, du muscle et du tissu conjonctif que l’on trouve dans un produit carné souhaité.

De plus, dans ce même dossier, le Good Food Institute réitère, très clairement, le recours à des bactéries et à des levures recombinantes, à savoir des bactéries et à des levures chimériques, génétiquement manipulées – communément libellées des OGMs.

« Des expérimentations récentes suggèrent que les protéines de soja texturées peuvent servir d’échafaudage viable pour la fixation des cellules souches bovines (efficacité d’ensemencement >80% sans fonctionnalisation préalable) et leur prolifération (Ben-Arye et al., 2020). Certains polymères synthétiques, comme les PEG, sont également approuvés par la FDA. Comme mentionné précédemment, la majorité de ces polymères n’ont pas de domaines fonctionnels pour l’adhésion cellulaire ; cependant, ils peuvent être fonctionnalisés avec des peptides RGD (arginine, glycine et acide aspartique) ou combinés avec des composants fonctionnels comestibles tels que la gélatine (Enrione et al., 2017). Il est important de noter que ces échafaudages ont également tendance à être abordables et évolutifs en termes de composants de matières premières, les limites d’échelle étant principalement déterminées par la méthode de fabrication (discutée plus loin). Certaines entreprises ont démontré de manière indépendante la production à grande échelle de protéines telles que le collagène à l’aide de levures ou de bactéries recombinantes, ce qui pourrait servir de plateforme future pour la création de biomatériaux utilisés par l’industrie de la viande cultivée. Enfin, nombre de ces biomatériaux ont également été utilisés pour l’ingénierie tissulaire des os (Levengood et Zhang, 2014), ce qui pourrait s’appliquer à la viande cultivée si des produits avec os sont un jour recherchés. »

Faut-il préciser qu’aux USA, parmi les “biomatériaux” comestibles approuvés par la FDA, – pour la réalisation d’échafaudages comestibles pour la culture de viande cellulaire – se trouvent la pectine, la gomme gellane, le chitosane, la gélatine, la cellulose, le glucomannane, l’amidon, le gluten et l’alginate, entre autres… 

En effet, ce n’est pas de chance pour cette grande partie de la population allergique au gluten, par exemple, car la gluténine est utilisée comme ingrédient des échafaudages de la viande cultivée. [23]

Par exemple, selon une étude, la résistance à la traction, des nanofibres de gélatine, est passée de 8,29 ± 0,53 MPa à 21 ± 2,03 MPa après l’incorporation d’oxyde de graphène[29]

De plus… car cela n’est pas tout. Le Good Food Institute – dans sa référence au recours au graphène, aux nano-tubes de carbone, à l’ADN, etc, pour la confection des échafaudages de la viande cellulaire – renvoie à l’étude de Sifang Chen et de Georg Seelig, de 2019, intitulée “Programmable patterns in a DNA-based reaction-diffusion system”, dont la présentation ne manque pas de susciter de profondes interrogations. Qu’en pensez-vous?

Est-ce dire que le Good Food Institute promeut l’ajout d’ADN synthétique dans les échafaudages des viandes cellulaires?

Il semble, effectivement, qu’il en soit ainsi. 

« La biologie offre la preuve irréfutable que des “matériaux vivants” macroscopiques peuvent émerger de réactions entre biomolécules diffusantes. Nous montrons ici que l’auto-organisation moléculaire pourrait être une approche tout aussi puissante pour l’ingénierie de matériaux synthétiques fonctionnels. Nous présentons un hydrogel programmable incorporant de l’ADN qui produit des motifs réglables à l’échelle centimétrique. Nous générons ces motifs en mettant en œuvre des réseaux de réactions chimiques par le biais de complexes d’ADN synthétiques, en intégrant les complexes dans l’hydrogel et en les déclenchant avec des brins d’ADN d’entrée appliqués localement. Nous démontrons d’abord la formation de motifs en anneau autour d’une cavité circulaire d’entrée et montrons que la largeur et l’intensité de l’anneau peuvent être réglées de manière prévisible. Ensuite, nous créons des motifs de complexité croissante, y compris des anneaux concentriques et des motifs non isotropes. Enfin, nous montrons des modèles d’interférence “destructifs” et “constructifs”, en combinant plusieurs modules de formation d’anneaux dans le gel et en les déclenchant à partir de sources multiples. Nous montrons également que les simulations informatiques basées sur le modèle de réaction-diffusion peuvent prédire et informer la programmation des modèles cibles ».

Au sujet de l’ADN synthétique. Voir le communiqué de Mik Andersen: “Communiqué de Mik Andersen à propos de nano-tubes d’ADN dans le vaccin CoqueVide de Janssen”. [46]. Voir également le post “BREAKING NEWS!!! La preuve ultime que nous attendions de Mik Andersen: Auto-Assemblage de Cristaux d’ADN”. [63] Voir également “Communiqué de Mik Andersen au sujet de “nano-points” de Graphène dans les vaccins.” [54]

Comment le grand public peut-il se douter que ces ingénieurs parlent du burger en viande “cellulaire, équitable et circulaire”, qu’il vient d’acheter pour son repas de midi, lorsqu’ils évoquent des composants structurels à l’échelle nano-métrique de 50 à 500 nm? 

Pour mémoire: 1 nm = 1 millionième de millimètre.

« D’autres paramètres tels que la forme, le volume et la rugosité des pores doivent également être pris en compte. Idéalement, la récapitulation de la matrice extra-cellulaire devrait se faire à l’échelle des composants structurels mêmes de le matrice extra-cellulaire (c’est-à-dire à une échelle de 50 à 500 nm de diamètre) tandis que la porosité de l’échafaudage devrait être à l’échelle du micromètre pour permettre l’invasion et la migration des cellules. Ce principe général a été difficile à imiter. Toutefois, des techniques sophistiquées permettant de fabriquer de grands échafaudages d’hydrogel dotés de ces propriétés commencent à faire leur apparition (voir plus loin). Enfin, étant donné qu’un tissu créé pour la consommation n’a pas besoin d’être fonctionnel à l’intérieur d’un corps, un échafaudage conçu pour être moins densément peuplé et organisé par ses propriétés sensorielles en aval peut être plus facile à réaliser. Une fois peuplée, la structure pourrait être comprimée au moment de la récolte ou structurée davantage en un produit final ». [51]

La question se pose, ensuite, de savoir si le passage suivant fait référence à des hydrogels à base de graphène, sous quelque forme… qui serait “biodégradable” sous quelque mode.

« Des considérations de conception minutieuses ont été faites en ingénierie tissulaire pour utiliser des matériaux non immunogènes, biodégradables avec des sous-produits biologiquement inertes (car ils sont destinés à être insérés dans le corps à des fins de médecine régénérative (Bajaj et al., 2014). De même, un échafaudage qui se biodégrade en sous-produits inertes serait souhaitable pour la viande cultivée, non seulement pour éviter que des matériaux non comestibles soient incorporés dans un produit final, mais aussi en permettant aux cellules de remplacer l’échafaudage d’hydrogel par leur propre matrice extra-cellulaire native. En effet, les hydrogels sont généralement des substrats statiques qui, à eux seuls, ne parviennent pas à reproduire dynamiquement les interactions spatio-temporelles entre une cellule et la matrice extra-cellulaire. Une méthode pour surmonter ce problème consiste à incorporer des liaisons transversales dégradables par protéolyse (Khetan et al., 2013 ; Patterson et Hubbell, 2010), qui permettent à des enzymes naturellement sécrétées, telles que les métalloprotéinases matricielles, de dégrader le substrat de l’hydrogel – ce qui permet la migration des cellules et l’établissement de la réciprocité dynamique décrite précédemment. Une série d’autres méthodes, telles que les polymères photodégradables (Kloxin et al., 2009) et les produits chimiques uniques permettant une réticulation médiée par la lumière (Guvendiren et Burdick, 2012), ont également été développées par les bio-ingénieurs, permettant une récapitulation plus précise de la dynamique cellule/matrice extra-cellulaire. ». [51]

Dans les viandes cellulaires commercialisées : des nano-fibres, à base de graphène et de chitosane, qui ne révèlent JAMAIS leur identité

L’une des compilations du Good Food Institute présente, environ, 230 entreprises, de par le monde, impliquées dans la production de fausses viandes et de faux poissons ou autres produits marins – à savoir impliquées directement ou indirectement. [43] [64] 

De nouveau, pour toutes ces viandes cellulaires commercialisées, il est plus que vraisemblable que des dérivés du graphène se cachent dans des nano-fibres qui ne révèlent pas leur identité réelle. 

En fait, le Good Food Institute présente deux compilations qui correspondent à deux niveaux de produits commercialisés dans le secteur des fausses viandes et, plus généralement, dans le secteur de l’agriculture dite cellulaire – et même dans le secteur de l’industrie à protéine d’insectes en ce qui concerne l’un des niveaux. 

La première compilation se nomme “Entreprises axées sur la viande et les fruits de mer cultivés” et elle en décline 153 différentes. Ces sociétés, “en aval”, sont impliquées directement, dans les raffineries produisant les substances terminales, à savoir celles qui sont proposées au grand public: fausse viande, faux lait humain, faux oeuf, faux cuir, fausse soie, faux THC, fausse artémisine, etc, etc.

La seconde compilation se nomme “Entreprises ayant des initiatives dans le domaine de la viande cultivée et des fruits de mer”. Cette dénomination concerne les entreprises qui sont impliquées, “en amont”, dans la production de divers éléments “cellulaires” au bénéfice des ingénieries tissulaires des secteurs alimentaires ou  hospitaliers: cellules embryonniques humaines, architectures/échafaudages, cellules-souche pluripotentes, fibroblastes primaires, neurones, cellules gliales, transferrine, lactoferrine, insuline, protéines mitogéniques recombinantes (bovine FGF2), etc, etc.

Donc, aujourd’hui, si l’on veut connaître les éléments authentiques composant les faux produits de l’agriculture cellulaire, il est nécessaire d’enquêter auprès des firmes industrielles, en amont, qui déclinent, sur leur site web, la liste de ce qu’ils proposent, commercialement parlant, à toutes les sociétés industrielles, en aval, dont la fonction est de produire des aliments “alternatifs” en cuves métalliques. 

En effet, les sociétés produisant de faux aliments possèdent des blogs mirobolants avec des discours de propagande sanglotante (durable, circulaire, eco-friendly, sans souffrances animales, etc, etc); des attaques, à peine déguisées, à l’encontre de l’agriculture/élevage; et, même, des photographies de leurs raffineries industrielles, de leurs cuves métalliques – comme si c’était orgasmant d’un point de vue gastronomique  et sensoriel…

Mais, jamais, JAMAIS, avec la liste des ingrédients.

La liste authentique des ingrédients, de la viande cellulaire, est laissée à l’imagination, fertile et fébrile, de tous les nigauds, et autres bobos, qui la consomment en se pâmant et en glapissant qu’ils ont atteint le nirvana de la gastronomie universelle. A quand un Guide Michelin, “Woke”, des grands crus, et autres cuvées légendaires, de fausses viandes en cuves métalliques? 

Qui plus est, le Forum Economique Mondial, souhaite-t-il éliminer, après l’élevage, toutes les vignes du monde – au prétexte d’éliminer le dioxyde de carbone? A quand les vins cellulaires, cultivés dans des cuves métalliques, à partir de levures chimériques? 

Dans le cadre de ce dossier, par trop volumineux, déjà, je ne vais pas m’attarder à étudier les produits cellulaires – et autres prétentions cellulaires – de l’industrie du même nom. Je vais me contenter d’en évoquer quelques unes.

En effet, lorsque l’on a compris l’arnaque intrinsèque, que constitue la viande cellulaire, il est aisé de la repérer car elle est reproductible, et reproduite, par toutes les entreprises du secteur: il s’agit d’une alimentation totalement chimérique, et synthétique (avec mêmes des dérivés de Graphène) enrobée de discours propagandistes fondés sur du fake – au même titre que la fake viande.

J’ai même abandonné de tenter de décrypter les brevets, de toutes ces start-ups, car ils sont libellés de telle sorte à laisser entendre que d’autres éléments peuvent s’ajouter à la liste qu’ils incluent dans leur requête d’exclusivité – grâce à la formule magique  “sans s’y limiter”.

L’une de ces start-up, la première sur une liste, dénommée “3D Bio Tissues”, et issue de l’université Newcastle, [40] présente “son ambition de produire des tissus bio-équivalents pour l’agriculture clinique et cellulaire” en précisant qu’elle « applique de nouveaux processus de fabrication bio-inspirés pour générer des structures complexes ». Ce qu’elle propose: “une modélisation tissulaire en tant que plateforme d’ingénierie interne qui adopte une approche ascendante et bio-inspirée de l’ingénierie tissulaire pour créer des tissus structurés, fonctional et scalables” – à savoir pour des applications médicales ou pour l’agriculture cellulaire, selon ses déclarations. [56] Son co-fondateur, Che John Connon, est un spécialiste des hydrogels. 

Nous sommes au coeur de la nov-langue, tout aussi creuse que ses concepteurs. Il est à noter l’usage récurent du préfixe “bio”: “tissus bio-équivalents”, “approche bio-inspirée”, “bio-impression”, “bio-réacteur”, “bio-fermenteur”, “bio-imagerie”, “bio-compatible”, “bio-matériau”,“bio-résidu”, “bio-composite”, “bio-polymère”, “bio-dégradable”.

Quant à l’expression “agriculture clinique”, est-ce l’erreur d’un stagiaire? Ou s’agit-il, peut-être, d’un aveu de diagnostic quant à l’impact, d’une telle alimentation cellulaire, sur l’organisme humain?

Une autre de ces start-up, dénommée “BioLead” vend des produits cellulaires pour l’agriculture cellulaire, pour les applications médicales, pour les bio-technologies, pour l’immunothérapie et les recherches cellulaires. [44] 

Ils proposent, par exemple, pour le secteur de la viande cellulaire, toute une gamme de substances insolites [45]: transferrine; lactoferrine; insuline; protéines mitogéniques recombinantes (bovine FGF2); activine A recombinante rat, souris, humain; facteur de croissance transformant β recombinant rat, souris, humain; albumine; facteur de croissance épidermique; facteur de croissance humain insulino-like 1. 

Comme médium de culture cellulaire pour viande, poisson, oeufs, ils proposent les références DMEM, DMEM/F12, L15. Par exemple, DMEM signifie Dulbecco’s Modified Eagle Medium. Les cellules cultivées avec succès, dans ce DMEM, comprennent les fibroblastes primaires, les neurones, les cellules gliales, les cellules endothéliales de la veine ombilicale humaine et les cellules musculaires lisses.

Il est à noter que certaines sociétés de production de viande cellulaire travaillent à partir d’un échafaudage à base de protéines de soja. Question: s’agit-il, seulement, de protéines de soja?

En effet, l’étude, de 2018, intitulée “Polyphenol-induced cellulose nanofibrils anchored graphene oxide as nanohybrids for strong yet tough soy protein nanocomposites” porte sur la confection de “nano-fibrilles de cellulose induites par des polyphénols et ancrées dans de l’oxyde de graphène comme nano-hybrides pour des nano-composites à base de protéines de soja à la fois solides et résistants.” [36] 

On ne peut clore un tel dossier sans évoquer, en passant, les viandes en 3D qui sont produites – comme des fusils-mitrailleurs, de par le monde – avec des “encres”, ad hoc, et qualifiées, même, de “bio-encres”.

Doit-on présumer qu’elles sont qualifiées de “bios” parce qu’elles participent à des processus alimentaires, prétendument, donc de vie … au contraire de la pléthore d’armes légères et lourdes confectionnables, aujourd’hui, avec une bonne imprimante en 3D – et les substances adéquates… que l’on pourrait qualifier de “nécro-encres”, de par leur fonction.

Le Good Food Institute présente, ainsi, dans ses articles très techniques, un exposé concernant la fabrication des viandes cellulaires, en 3D, qui sont confectionnées grâce au recours à des “bio-encres” pour la “bio-impression”. [51]

« La bio-impression 3D est une technique de fabrication dans laquelle des solutions pré-polymères ou des solutions pré-polymères contenant des cellules (c’est-à-dire une bio-encre) sont déposées sur un substrat couche par couche sous la direction d’un processus de conception assistée par ordinateur. Ces fichiers résultent, généralement, de données de bio-imagerie réelles – telles que des scans de tissus par résonance magnétique et par tomographie  assistée par ordinateur – mais ils peuvent, également, être générés par l’utilisateur pour former des types de géométrie illimités. Des stratégies d’imagerie similaires peuvent être réalisées pour reproduire des morceaux de viande spécifiques. Il existe plusieurs types de bio-impression ».

Une étude, de mai 2021, par exemple, intitulée “Graphene Oxide-Embedded Extracellular Matrix-Derived Hydrogel as a Multiresponsive Platform for 3D Bioprinting Applications” se rapporte à l’utilisation de“bio-encres” à partir d’hydrogels confectionnés avec de l’oxyde de graphène ou de l’oxyde de graphène réduit – pour l’ingénierie tissulaire. [47]

Il existe deux types de “bio-encres”: avec ou sans échafaudage. Une “bio-encre” à base d’échafaudage est, par essence, un hydrogel qui est imprimé avec des cellules. Et ces hydrogels sont, bien souvent, confectionnés à base de graphène.

Par exemple, la société Allevi 3D propose, pour l’ingénierie cellulaire – et, donc, potentiellement pour la production de viandes en 3D – un “bio-matériau”, flexible, conducteur et  “bio-compatible” qui est composé à plus de 90% de Graphène… afin d’élaborer des muscles, des tissus cardiaques, des nerfs, etc… [57] 

Que cachent les nano-fibres des viandes cellulaires commercialisées, par exemple, par Gelatex et Matrix Meats?

En juillet 2022, la société Estonienne, Gelatex Technologies a annoncé développer une nouvelle technologie, révolutionnaire, d’échafaudage de viande cellulaire. [4]

Gelatex a annoncé la possibilité de produire suffisamment d’échafaudages pour soutenir la production annuelle de 300 tonnes de viande cultivée. La technologie de l’entreprise aurait, déjà, permis de réduire le coût des échafaudages de 100 000 euros à 1 000 euros par kilogramme. Les projections futures pourraient aboutir à des coûts d’échafaudage inférieurs à 20 € par kilogramme de viande cultivée, d’ici une décennie. 

Le directeur de Gelatex, Martens, a déclaré que les plus grandes unités d’électrospinning (technologie actuellement utilisée) disponibles sur le marché peuvent produire 360g/h – l’unité semi-industrielle de Gelatex, elle, peut déjà produire jusqu’à 5kg/h. Une telle capacité de production représente suffisamment de nanofibres pour la production de 1300 kg de viande en une seule journée de travail de huit heures. Grâce à ce débit de production beaucoup plus élevé et à une consommation d’électricité réduite de 28%, M. Martens estime que le coût des nanofibres peut être réduit jusqu’à 90%.

Le fondement de cette technologie est l’électrospinning qui selon la définition technique « est un procédé de mise en œuvre des polymères qui, sous l’action d’un champ électrique intense (de l’ordre de 1 kV/cm), permet l’élaboration de membranes nanofibreuses (diamètre de fibres de l’ordre de 50 nm à 1 μm) à partir de solutions de polymères ou de polymères à l’état fondu ». Voir le dossier de l’ICPPES: Electrospinning et Nanofabrication pour la Santé et l’Energie.  [35]

En 2019/2020, Gelatex Technologies, a déposé deux brevets – US20210155764A1 [3] et EP3839120A3 [2] – qui porte sur un matériau constitué de nano fibres, non tissées, à base de gélatine. Ces deux brevets ont été publiés en septembre 2021 mais sont en attente d’acceptation. 

Selon l’intitulé du brevet : 

« Le procédé comprend la production de nanofibres de gélatine ; la production d’un matériau nanofibreux en utilisant les nanofibres de gélatine produites ; et le traitement du matériau nanofibreux par un agent de réticulation pour former des liaisons d’adhésion dans le matériau nanofibreux et pour obtenir le matériau non tissé nanofibreux. »

Selon la description du brevet : 

« De plus, en option, la solution de traitement comprend une charge. Les exemples de charge comprennent, sans s’y limiter, des particules de silice hydrophiles ou hydrophobes, de la terre de diatomée, du carbonate de calcium, du noir de carbone, de la montmorillonite ou d’autres argiles. La concentration de la charge dans la solution de traitement peut aller jusqu’à 75%. »

Il est bien précisé “sans s’y limiter”.

Il est vrai qu’il n’y est nullement précisé que ce matériau de charge, de remplissage, puisse être du graphène ou des nano-tubes de carbone. Cependant, l’un des requérants de ce brevet, au bénéfice de sa société Gelatex Technologie, est Uno Mäeorg – qui est affilié à l’université de Tartu en Estonie. Uno Mäeorg est un spécialiste du graphène. 

J’ai carrément demandé, par e-mail, aux deux propriétaires de Gelatex Technologie, Märt-Erik Martens et Mari-Ann Meigo Fonseca, s’il était avéré que leurs échafaudages de nano-fibres étaient à base de graphène – d’autant plus de par la présence de Uno Mäeorg – mais ils ne m’ont pas encore répondu. En effet, si cela est avéré, c’est à l’insu des consommateurs végan de fausses viandes.

En effet, il est l’auteur, ou le co-auteur, d’une pléthore d’études portant sur le carbone, les nano-particules de graphène, ou autres nano-particules, les nano-tubes de carbone, les aérogels, etc. 

Par exemple, l’étude, de 2018, intitulée “Effect of contact material and ambient humidity on the performance of MWCNT/PDMS multimodal deformation sensors”, qui porte sur des senseurs confectionnés à partir de nano-tubes de carbone à multiples parois, une forme de graphène, comme remplisseurs conducteurs. [1]

Il n’est donc pas nécessaire de déployer d’immenses efforts d’imagination pour concevoir que le graphène, sous toutes ses formes, constitue le matériau de base des nano-fibres de Gelatex, en Estonie, pour sa production annuelle de 300 tonnes de viande cellulaire. 

Il est plus que vraisemblable qu’il en soit de même pour les hydrogels de Matrix Metas aux USA et ce n’est, sans doute, pas une coïncidence que le Food Navigator, US, leur ait consacré un article dans la même foulée: “From mush to meat? Talking edible scaffolfing with Gelatex and Matrix F. T.” [74]

En effet, Eric Jenkusky, le directeur de la société Matrix Meats, (Matrix F. T), lors d’un interview, en août 2021 [24], a déclaré que la technologie de confection de nano-fibres, que sa société utilise pour la confection de viande cellulaire, datait d’une quinzaine d’années et qu’il la licenciait de la société Nanofiber Solutions – qui est dédiée à la dite médecine régénérative à partir de polymères. 

Cela fait, au moins, une bonne douzaine d’années que le graphène est, abondamment, utilisé dans tous les secteurs médicaux de l’ingénierie tissulaire – mais je n’ai pas enquêté sur l’ancienneté d’autres types de nano-fibres utilisées avec les mêmes objectifs. 

Eric Jenkusky évoque des nano-fibres à base de polycaprolactone…  sans en dire beaucoup plus – car, comme pour Gelatex Technologies, il s’agit de “secrets professionnels” fondés sur la technologie de l’électrospinning.

Matrix Meats prétend être en relations de développement actif avec 14 compagnies, de 7 pays, dans le secteur de la viande cellulaire.

Or, il existe de nombreuses études et expérimentations portant sur les composites à base de polycaprolactone, de chitosane… et de graphène. Ainsi, par exemple, cette étude, de février 2022, intitulée “The effect of polycaprolactone/graphene oxide electrospun scaffolds on the neurogenic behavior of adipose stem cells”. [25] 

Selon cette étude, la présence d’oxyde de graphène, dans l’échafaudage en polycaprolactone, augmente l’attachement des cellules, leur prolifération, leur infiltration dans l’échafaudage et leur différenciation neuronale.

Ou cette étude, d’octobre 2022, intitulée “Preparation, Properties, and Application of Graphene-Based Materials in Tissue Engineering Scaffolds” [72] qui précise que :

« L’oxyde de graphène a été utilisé pour modifier les échafaudages de chitosane et les échafaudages de polyuréthane/polycaprolactone. » [72]

Du Graphène dans les viandes animales

Depuis que la Quinta Columna, le professeur Pablo Campra – ainsi que de nombreux autres chercheurs de par le monde – ont informé les Peuples de la présence de graphène, et de nano-technologies, dans les injections CoqueVide/19, des dizaines de milliers de personnes ont entrepris d’analyser microscopiquement une pléthore de substances alimentaires ou médicinales… [34] ou tout simplement d’utiliser des aimants afin de vérifier s’il y existait un phénomène de magnétisation [32]

De nombreux témoignages ont, ainsi, émergé, sur le web, de viandes emballées totalement magnétisées. 

Tout autant que de nombreux témoignages de graphénisation de remèdes, de cosmétiques, d’aliments, etc…

Je rappelle, une nouvelle fois, que des solutions aqueuses, et autres sérums physiologiques, à l’oxyde de graphène, ont été commercialisées depuis 2015, au moins, par des grosses sociétés industrielles Chinoises. Voir mon essai d’août 2021, “Une Pandémie d’Oxyde de Graphène”. [48]

1. Le phénomène de magnétisation pourrait être induit par des vaccins pour les animaux – par exemple, les vaccins dits à “l’ARNm”, le messager fourre-tout – qui ont été tout autant graphénisés que les vaccins humains… et qui ne contiennent, sans doute, pas plus d’ARN que n’en contiennent les injections CoqueVide.  

Les vaccins humains ont été graphénisés depuis 2019, au moins, mais ils ont été nano-particulés, métalliquement, depuis 2015, au moins. Voir le scandale du VaccineGate en Italie en 2016. [55]

D’ailleurs, dès 2015, en Allemagne, et aux USA, la Mafia Pharmacratique expérimentait, sur des humains, avec des injections ARNm à l’encontre des fabulés virus H10N8 et H7N9. [31] Le saviez-vous?

Il existe, par exemple, depuis quelques années, un vaccin pour porc, à “l’ARNm”, anti-grippal (H3N2 cluster IV), en deux doses, [30] ainsi qu’une vaccin anti-grippe, à “l’ARNm”, pour les volailles. [42] Pour ces deux injections, la firme Harris Vaccines donne les précautions, très explicites, suivantes [49]:

« Ne pas vacciner dans les 21 jours précédant l’abattage. Congeler à -80°C pour une conservation à long terme. Utiliser dans les 7 jours si le produit est conservé à 4°C. Utiliser tout le contenu lors de la première ouverture/perforation. En cas de réactions anaphylactiques, administrer de l’épinéphrine ».

Comme nous avons pu le constater, avec toutes les autres injections anti-CoqueVide, de la Mafia Pharmacratique, les extrêmes basses températures de conservation sont requises afin que le graphène ne commence pas à floculer sous l’effet de la chaleur ambiante. 

Question: que se passe-t-il si la viande est vendue dès la vaccination? Des paysans Espagnols ont, par exemple, mis en ligne une vidéo d’un poulet, prêt à la vente, dont le corps continuait de pulser sous l’effet d’une énergie inconnue. Serait-ce celle de l’oxyde de graphène activé par une source d’énergie proche?

En parlant d’énergie inconnue, avez-vous vu des vidéos filmant des injectés CoqueVide réagir, au point d’injection, à un senseur électrique? En voici une: [58].

2. Le phénomène de magnétisation pourrait être induit par les emballages… car, aujourd’hui, de nombreux emballages contiennent de l’oxyde de graphène au prétexte de protéger les aliments qu’ils contiennent à l’encontre de bactéries, de champignons, etc. Nonobstant, les témoignages de magnétisation de viandes prennent bien soin, également, de les désemballer afin de mettre en exergue ce phénomène “contre-Nature”. 

Au sujet des emballages graphénisés, voir mes divers posts: [37]  [38]  [39].

3. Le phénomène de magnétisation pourrait être induit par l’injection d’une substance structurante, à savoir un polymère à base d’oxyde de graphène – afin d’améliorer la texture, et la présentation commerciale, sur les étals des super-marchés, de viandes (aux hormones de croissance) non structurées et trop molles, en raison des conditions épouvantables de l’élevage hyper-industriallisé, et hyper-pharmaceutique.

A savoir, une injection opérée dans l’objectif de conférer un peu plus d’échafaudage cellulaire –  comme pour la structuration des soupes cellulaires que j’ai évoquée –  afin que la viande cultivée puisse acquérir une structure en 3D.

4. Finalement, ce phénomène pourrait être induit par la présence, de plus en plus fréquente, de “films comestibles”, souvent invisibles, qui recouvrent les viandes, ou d’autres produits, afin de leur conférer des capacités bactéricides, etc – ou d’organiser la transmission d’informations de par leur capacité “smart”.

C’est un dossier à élucider à part, et je vais l’aborder dans la prochaine section, car ces “films comestibles” sont souvent gavés de graphène… afin de gaver les populations d’un vecteur nano-métallique qui puisse les raccorder au réseau – à leur insu et contre leur accord.

Franchement, pourquoi les industriels de la viande animale n’auraient-ils pas recours, libéralement, au graphène  alors qu’ils le font pour les “viandes cellulaires”? 

Du Graphène dans les films comestibles des viandes animales

Pourquoi intégrer du Graphène dans les films comestibles des viandes animales – ou d’autres substances alimentaires? Pour des raisons, prétendument, sanitaires. L’étude ci-dessous mentionnée, de septembre 2020, [70] en présente un bref résumé.

« Aujourd’hui, en plus des emballages biodégradables souhaitables, la recherche mondiale s’intéresse au développement d’emballages alimentaires actifs pour prolonger la durée de conservation, améliorer la sécurité et maintenir les propriétés organoleptiques. Les bio-composites, avec des dérivés de graphène, peuvent présenter une activité antioxydante, antimicrobienne et antifongique, comme l’ont étudié de manière approfondie Carvalho et al. La capacité de piégeage des radicaux d’oxyde de graphène réduit peut apporter une activité antioxydante aux biocomposites. Les films à base de Chitosane, avec 20-33% en poids d’oxyde de graphène réduit, ont montré une augmentation de l’inhibition dans la gamme de 54% à 82% après 8 heures d’incubation et cette activité peut éviter l’oxydation des aliments emballés. 

Les propriétés antimicrobiennes et antifongiques des nano-structures à base de graphène sont fondées sur leur capacité à induire une perturbation de la membrane cellulaire et un stress oxydatif qui compromettent la prolifération et la sporulation bactériennes. Les biocomposites avec des dérivés de graphène ont révélé des propriétés antibactériennes in vitro contre un large spectre de micro-organismes pathogènes (tels que Enterococcus faecalis, Staphylococcus epidermidis, Escherichia coli, Staphylococcus aureus, Staphylococcus haemolyticus, et Bacillus subtilis). La modification de surface des dérivés du graphène avec des huiles essentielles ou d’autres composés métallique – tels que des nano-particules d’argent, d’oxyde de zinc ou de dioxyde de titane – a été adoptée comme stratégie pour améliorer le potentiel antimicrobien inhérent de ces nano-structures.  Récemment, un film, composé de nano-tubes de carbone/acide polylactique/cinnamaldéhyde, a révélé un grand potentiel d’application comme film d’emballage alimentaire antibactérien actif à libération contrôlée avec un effet actif prouvé jusqu’à 21 jours. Des activités antifongiques de biocomposites contenant des nano-structures de carbone contre Aspergillus niger, Cryptococcus neoformans, Candida tropicalis, Candida albicans, Botrytis cinereas, et Rhizopus spp. ont également été décrites. » 

La première question que tout être sensible devrait se poser est la suivante. Si les dérivés du graphène possède une telle capacité à induire une perturbation de la membrane cellulaire, et un stress oxydatif, par exemple chez des bactéries se développant sur de la viande, pourquoi en serait-il autrement en ce qui concerne les éléments de l’organisme humain – les cellules, les bactéries et les virus?

Les mises en gras sont de mon fait afin de mettre en exergue que tout est fondé sur les dérivés de graphène… et sur le Chitosane qui est, rappelons-le, dérivé de la Chitine. Voici quelques autres études portant sur les diverses formes de graphène utilisées dans les films alimentaires – comestibles ou non.

“Edible Films on Meat and Meat Products”. Novembre 2021. [52] Cette étude présente, dans le détail, les divers polysaccharides – tels que le chitosan, la pectine, les gommes, l’amidon, la cellulose, l’alginate, le carraghénane et les furcellaran – qui sont utilisés dans les films comestibles.

Dans la section du furcellaran, cette étude précise ce qui suit:

« Les films de furcellaran présentent un aspect transparent légèrement jaunâtre. Dans de nombreuses applications, les films transparents sont préférés car ils peuvent mettre en valeur le produit emballé et influencer l’intention d’achat du consommateur. L’incorporation d’extrait de thé vert, de yerba mate et de nano-particules d’oxyde de zinc, a rendu la couleur jaune plus intense. Les films de furcellaran avec des nano-charges – points quantiques de carbone, nano-particules d’oxyde de graphène et nano-particules de maghémite – ont indiqué un effet inhibiteur contre la croissance de Salmonella enterica, principalement parce que la matrice polymère contient des groupes sulfate réactifs. Les nano-composites de points quantiques de carbone ont montré un effet inhibiteur sur la croissance de Staphylococcus aureus (Gram positif) et Escherichia coli (Gram négatif). Le furcellaran peut être l’un des composants de base dans la production de films “intelligents” tels que des matériaux d’emballage ayant des propriétés actives et/ou intelligentes. » [52]

Dans la section du chitosan, cette étude précise ce qui suit :

« Le chitosan est un polysaccharide cationique de haut poids moléculaire qui présente une grande capacité de formation de films et des activités antimicrobiennes. Le film de chitosan a été utilisé comme matériau d’emballage pour la conservation de différents aliments, en particulier lorsqu’il est associé à d’autres matériaux filmogènes. L’enrobage des aliments avec des films de chitosan permet d’abaisser la pression partielle d’oxygène dans l’emballage, de maintenir la température avec un transfert d’humidité entre l’aliment et son environnement, de contrôler la respiration et de décliner la déshydratation. En outre, le chitosan est utilisé pour la désacidification, la fixation de la texture, l’amélioration de l’effet émulsifiant, la saveur naturelle et la stabilisation de la couleur des aliments. Les films à base de chitosan sont clairs, flexibles et résistants, ils résistent bien aux graisses, aux huiles et à l’oxygène, mais sont très sensibles à l’humidité »[52]

“Graphene Derivatives in Biopolymer-Based Composites for Food Packaging Applications”. Septembre 2020. [70] Cette étude est extrêmement précise, et technique, eu égard aux différents types de polymères qui sont utilisés pour la préservation des viandes:  argile, cellulose, chitosane, pullulan, gélatine… et, surtout, les “bio-composites”, ou “bio-polymères”, à base de dérivés du graphène comme matériaux d’emballage alimentaire.

La plus grande partie de cette étude est consacrée aux dérivés du graphène. Il est à noter que le facteur de comestibilité est mentionnée, à quelques reprises, pour certains de ces polymères… mais il ne l’est pas pour les dérivés du graphène.

En fait, il ne l’est pas dans cette étude mais, ainsi que mentionnée précédemment, il l’est dans l’étude portant sur le furcellaran fonctionnalisé avec des points quantiques de carbone ou de l’oxyde de graphène.

“Green Coating Polymers in Meat Preservation”. Novembre 2021. [59] Cette étude porte sur le recours à des polymères verts comestibles pour la préservation de la viande. Les polymères verts sont définis comme des polymères biodégradables provenant de ressources de la biomasse ou de voies synthétiques et d’origine microbienne qui sont formés de structures mono ou multicouches.

Ce peut être des polymères “verts”… produits par voies synthétiques. 

“Graphene Oxide Bionanocomposite Coatings with High Oxygen Barrier Properties”. 2016. [60] Cette étude présente le développement de films bio-nano-composites sur du poly(éthylène téréphtalate) possédant des propriétés exceptionnelles de barrière à l’oxygène. Le pullulan et l’oxyde de graphène ont été utilisés comme phase polymère principale et comme bloc de nano-construction, respectivement. 

D’autres nano-particules sont utilisées dans des films comestibles recouvrant la viande: des nano-particules d’argent [69] ou des nano-tubes de dioxyde de titane [61]

Il existe, même, une étude intitulée “Controlled release and antibacterial properties of PEO/casein nanofibers loaded with Thymol/β-cyclodextrin inclusion complexes in beef preservation”, [62] qui porte sur la fabrication de nano-fibres, composées de caséine  et d’oxyde d’éthylène, chargées de β-cyclodextrine et de thymol avec pour objectif, prétendu, de conserver plus longtemps la viande de boeuf. Il n’est pas précisé si ce film de nano-fibres est comestible ou non. 

Annexe 1. Du Graphène dans les Ingénieries tissulaires humaines

Depuis une quinzaine d’années, le graphène, sous toutes ses formes, est omniprésent dans les technologies médicales dont l’objectif est de créer des tissus musculaires, des tissus osseux, etc – chez l’Humain – dans le cadre d’une médecine que les scientifiques déments n’hésitent pas, même, à qualifier de “médecine régénératrice”. 

Pourquoi, donc, le graphène ne serait-il pas, de même, prévalent dans tous les processus technologiques consistant à créer des échafaudages cellulaires dans la fabrication de fausses viandes? A savoir, au même titre que la chitine et le chitosane. 

Le site PubMed, du ministère de la santé US, lorsqu’interrogé avec les termes “Graphene / Tissue / Engineering”, présente plus de 1500 entrées. 

L’étude récente, “Graphene Oxide–Protein-Based Scaffolds for Tissue Engineering: Recent Advances and Applications”, de mars 2022, présente un bon résumé quant à la nature de ces échafaudages cellulaires. [6]

« Le microenvironnement physiologique natif pouvant être adapté localement pour le processus de régénération. pour le processus de régénération, de nombreux biomatériaux ont été étudiés pour permettre l’infiltration, la division et la différenciation des cellules implantées. Les échafaudages sont nécessaires pour imiter le microenvironnement cellulaire du tissu spécifique afin de favoriser la croissance, la différenciation et la prolifération des cellules. Les échafaudages doivent imiter le microenvironnement cellulaire d’un tissu spécifique afin de favoriser la croissance, la différenciation et la prolifération des cellules, de fournir une morphologie physiologique appropriée et de permettre la co-culture de diverses cellules. D’un point de vue mécanique, les échafaudages fournissent stabilité mécanique et de forme au tissu réparé. D’un point de vue biologique, les échafaudages sont des architectures qui soutiennent le développement de la matrice extracellulaire (MEC) et l’établissement des cellules. En outre, la perméabilité du tissu reconstruit est un élément clé pour permettre le transfert des nutriments des milieux de culture. pour permettre le transfert des nutriments depuis les milieux de culture et favorise l’élimination des produits secondaires nocifs du matériau sans nuire à la santé. secondaires nocifs du matériau sans affecter négativement les conditions de culture. En outre, le nouvel échafaudage doit être stable pendant un certain temps pour permettre au tissu endommagé de se réparer ou de retrouver sa capacité à se développer. endommagé de se réparer ou de retrouver la capacité d’être restauré. La biodégradabilité en fonction du temps est un autre aspect important à prendre en compte pour les échafaudages tissulaires afin de permettre la prise en charge des cellules pour favoriser le processus de guérison. 

Ces dernières années, des polymères synthétiques et naturels ont été utilisés pour l’ingénierie tissulaire, et il a été prouvé que les caractéristiques des échafaudages dépendent de la structure et de la concentration du polymère, de la taille des pores, de la flexibilité, de la rigidité, etc. Les polymères synthétiques tels que l’acide polylactique, l’alcool polyvinylique, le poly (lactique-co-glycolique) et le poly ε-caprolactone ont été utilisés pour la préparation d’échafaudages 3D en raison de leur porosité, de leurs performances mécaniques et de leur temps de dégradation facilement ajustables. Grâce à leur biocompatibilité supérieure, les polymères naturels tels que la gélatine, le collagène, le chitosane, l’alginate, l’élastine et la fibrine ont attiré l’attention des chercheurs pour la préparation d’échafaudages 3D qui reproduisent fidèlement la vascularisation des tissus natifs et les interconnexions des canaux qui permettent la perfusion des nutriments et la diffusion de l’oxygène pendant la régénération.»

L’étude encore plus récente, “Preparation, Properties, and Application of Graphene-Based Materials in Tissue Engineering Scaffolds”, d’octobre 2022, [72] affirme que : 

« L’oxyde de graphène a été utilisé pour modifier les échafaudages de chitosane et les échafaudages de polyuréthane /polycaprolactone…. Les échafaudages d’ingénierie tissulaire préparés avec des matériaux à base de graphène présentent une bonne biocompatibilité, d’excellentes propriétés mécaniques et une forte orientation des cellules, ce qui permet d’induire pleinement la prolifération et la différenciation des cellules d’ensemencement. Cette revue décrit brièvement les matériaux de base pour la préparation des échafaudages d’ingénierie tissulaire, et se concentre sur la préparation, la performance et l’application des matériaux à base de graphène dans l’ingénierie tissulaire, fournissant une compréhension suffisante du graphène appliqué à la médecine régénérative. »

En effet, il est important de souligner que les dérivés du graphène sont utilisés, très souvent, conjointement au chitosane, dérivé de la chitine, dans la fabrication d’échafaudages cellulaires permettant de créer de nouveaux tissus dans le corps humain: l’ingénierie tissulaire chimérique à base d’hydrogels. Il existe une foultitude d’études publiées à cet égard – à savoir plus d’une centaine – depuis l’année 2011. [7]  [8]  [9]  [10]  [11]  [12]

C’est ce que j’ai voulu mettre en exergue dans mes deux derniers volumineux dossiers: les Autorités vont tenter de Graphéniser et de Chitiniser au maximum les Peuples – tout autant que les viandes cellulaires… qui sont supposées remplacer les vraies viandes à terme. 

Le site de PubMed en décline, déjà 23, pour l’année 2022. En voilà quelques-unes:

“Synthesis and Characterization of Chitosan-Containing ZnS/ZrO2/Graphene Oxide Nanocomposites and Their Application in Wound Dressing”. Cette étude porte sur la confection d’un polymère nano-composé d’oxyde de graphène, de chitosane, de sulfure de zinc et de dioxyde de zirconium afin de créer des échafaudages pour des nano-films permettant de réparer, plus rapidement, les lésions cutanées. [68]

“Fabrication of Conductive Tissue Engineering Nanocomposite Films Based on Chitosan and Surfactant-Stabilized Graphene Dispersions”. Septembre 2022. Cette étude porte sur la fabrication de films en nanocomposites de chitosane et de graphène, avec une biomécanique, une électroconductivité, et une biocompatibilité modulables, en ayant recours au polyvidone et au polymere Pluronic F108 comme stabilisateurs d’émulsion pour l’ingénierie tissulaire conductrice. [14]

“Study on Long-Term Tracing of Fibroblasts on Three-Dimensional Tissue Engineering Scaffolds Based on Graphene Quantum Dots”. Septembre 2022. Cette étude porte sur l’utilisation de points quantiques d’oxyde de graphène, de points quantiques d’amino-graphène et de points quantiques de graphène carboxyl pour tracer les  fibroblastes de la peau humaine. [15]

“Effect of carbon based fillers on xylan/chitosan/nano-HAp composite matrix for bone tissue engineering application”. Février 2022. Cette étude porte sur l’analyse de l’effet des charges dérivées du carbone (oxyde de graphène ou oxyde de graphène réduit) sur le potentiel microstructurel, mécanique et ostéoinductif de la matrice composite xylan/chitosan/HAp (hydrocarbures aromatiques polycycliques) pour une application d’ingénierie du tissu osseux. [16]

“Evaluating the effect of graphene oxide PEGylation on the properties of chitosan-graphene oxide nanocomposite scaffold”. Mai 2022. Cette étude porte sur la fonctionnalisation de l’oxyde de graphène avec du polyéthylène glycol (PEG) pour comprendre l’effet de l’oxyde de graphène recouvert de PEG sur les propriétés de l’échafaudage nanocomposite à base de chitosane. [17]

“Soleil Vert en 2022? Chitinisation de l’Organisme Humain par une Alimentation Insectivore fondée sur le Recyclage des Déchets Agro-Industriels, des Plastiques en tous genres, des Excréments Humains… et bientôt des Cadavres Humains?” Novembre 2022

“Récapitulatif de mes divers Vecteurs de Transmission sur la Toile… au plaisir de la Générosité et du Mutualisme”

Nouvelles des Brigades Anti-Graphène. Novembre 2022

Réseau de nano-communications intra-corporel : récapitulatif des 49 dossiers de Mik Andersen” 

“Récapitulatif de mes 25 articles corrélés aux dossiers de Mik Andersen”

“Homo chimericus: les processus de Chitinisation, par l’alimentation insectivore, en synergie avec les processus de Graphénisation, vont engendrer un nouvel organisme humain chimérique et connecté”. Octobre 2022

“Nouvelles des Brigades Anti-Graphène. Octobre 2022”

“Nouvelles des Brigades Anti-Graphène. Juin 2022”

“Nouvelles des Brigades Anti-Graphène. Mai 2022”

“Grand Minimum Solaire, Catastrophes Alimentaires et Sanitaires. 10. 2022: Orchestration de la Famine Pandémique”La Grippe Aviaire H5N1 est-elle la prochaine fausse Pandémie orchestrée par les  Globalistes Vaccinalistes et Eugénistes? Ou serait-ce, plutôt, un mutant H5N1 au parfum de CoqueVide mutin? Avril 2022

“Récapitulatif des preuves irréfutables – en photographies et vidéos – de la présence de graphène et de nano/micro-technologies dans les injections CoqueVide”.  Avril 2022

“Récapitulatif des articles, études et vidéos, prouvant l’inexistence du Sars-CoV-2”

“Nouvelles des Brigades Anti-Graphène. Avril 2022”

“Nouvelles des Brigades Anti-Graphène. Mars 2022”

“Auto-Assemblage de Cristaux d’ADN. Mik Andersen”. Février 2022

“Nouvelles des Brigades Anti-Graphène. Février 2022”

“Présentation des analyses microscopiques des vaccins CoqueVide Pfizer en Nouvelle Zélande”

“Le Graphène dans l’Atmosphère” Janvier 2022

“Le Graphène dans l’Agriculture” Janvier 2022

“Nouvelles des Brigades Anti-Graphène. Janvier 2022”

“Los Cantos de Xochi. Au sujet du 666, du Carbone, du Graphène et de la Bête” Janvier 2022

“Dossier d’accompagnement technique des articles du blog C0r0n@ 2 Inspect”. Décembre 2021

“Los Cantos de Xochi. Le Nom du Graphène Tout Irradiant!” Décembre 2021

“Nouvelles des Brigades Anti-Graphène. Décembre 2021”

“Los Cantos de Xochi. L’Enfant-Vaudou sur l’Autel Vaccinal de la PharMacronie” Décembre 2021

“Nouvelles des Brigades Anti-Graphène. Novembre 2021”

“La Fraude du Covid 19 et la Guerre à l’encontre de l’Humanité” Novembre 2021

“VaccineGate. Présentation et Traduction par feu Serge Rader”

“Des encres à base de graphène comme bio-senseurs dans les vêtements, dans les chaussures… et dans les tatoos!” Novembre 2021

“Los Cantos de Xochi. Rudy Reichstadt: le Guru Conspirationniste de la Meute Médiatique” Novembre 2021

“Los Cantos de Xochi. Sexe, Vaccins and Rock the Dolls! Le Sperme au Parfum de Graphène: un Terminator de la Fertilité Féminine?” Novembre 2021

“La Couronne Nécro-Moléculaire de Graphène” Octobre 2021

“Toxicité des nano-particules de Graphène pour le système de reproduction des insectes, des poissons et des mammifères” Octobre 2021

“Nouvelles des Brigades Anti-Graphène. Octobre 2021”

“Sources d’Anti-Oxydants pour Détruire la Couronne Nécro-Moléculaire d’Oxyde de Graphène”. Septembre 2021

“Los Cantos de Xochi. Le Sacrement de la Vaccination et le Culte Covidien de l’Enfant-Vaudou” Septembre 2021

“Nouvelles des Brigades Anti-Graphène. Septembre 2021”

“Une Pandémie d’Oxyde de Graphène?” Août 2021

“Los Cantos de Xochi: Nous Sommes en Guerre de Guérison à l’encontre d’un Virus bien Visible”  Août 2021

“L’Agriculture Cellulaire, Chimérique et Confinée en Cuves Stériles”.

“Los Cantos de Xochi. 2020: Grand Minimum Solaire, Catastrophes Alimentaires et Sanitaires. 09” “L’Agriculture Cellulaire, Chimérique et Confinée en Cuves Stériles”. Mai 2020

“Los Cantos de Xochi: Psychose, Macronavirose, Vaccinose et Pot aux Roses. 02” Mars 2020

“Los Cantos de Xochi: Psychose, Macronavirose, Vaccinose et Pot aux Roses. 01” Mars 2020

“Los Cantos de Xochi. 2020: Grand Minimum Solaire, Catastrophes Alimentaires et Sanitaires. 08” Psychose Pulmonaire sur Mode de Coronavirus au Parfum Chimérique de Chauve-Souris avec un Zeste de VIH… et une Pincée d’Ebola? Mars 2020

“Protocoles de Plantes Médicinales pour les Grippes et autres pathologies respiratoires” Février 2020

“Zéolithes Médicinales pour se Décontaminer et se Déhalluciner le Mental” Janvier 2020

“Los Cantos de Xochi. 2020: Grand Minimum Solaire, Catastrophes Alimentaires et Sanitaires. 07” Un Holocauste Vaccinal d’Amplitude Planétaire. Décembre 2019

“Los Cantos de Xochi. En Guise de Déguisements Sémantiques et Mantiques” Novembre 2019

“Los Cantos de Xochi. 2020: Grand Minimum Solaire, Catastrophes Alimentaires et Sanitaires. 06” 2020-2055: un Nouveau Cycle de Pandémies Planétaires? Novembre 2019

“Los Cantos de Xochi. Un Temple de la Sorcellerie sur les Cendres de la Cathédrale Consumée?” Novembre 2019

“Los Cantos de Xochi. 2020: Grand Minimum Solaire, Catastrophes Alimentaires et Sanitaires. 05” Greta Thunberg en Croisade de Gogos Climatiques. Novembre 2019

“Los Cantos de Xochi. 2020: Grand Minimum Solaire, Catastrophes Alimentaires et Sanitaires. 04” 2019: Début du Nouveau Cycle de Famines Planétaires? Octobre 2019

“Los Cantos de Xochi. 2020: Grand Minimum Solaire, Catastrophes Alimentaires et Sanitaires. 03” 2020-2055: un Nouveau Cycle de Famines Planétaires? Octobre 2019

“Los Cantos de Xochi. 2020: Grand Minimum Solaire, Catastrophes Alimentaires et Sanitaires. 02” Lorsque Greta, le Gratin des Pantins Climatiques, Surfe sur le Sacrifice des Enfants… Octobre 2019

“Los Cantos de Xochi. 2020: Grand Minimum Solaire, Catastrophes Alimentaires et Sanitaires. 01” La Chimérisation d’Insectes Mâles Exterminateurs : un Prétexte pour le Grand Remplacement? Octobre 2019

“Los Cantos de Xochi. Au Festival des Quenelles de l’Humour: Macron dégage!!!”  31 décembre 2018

“Los Cantos de Xochi: Dansez la Vaccinade vers la Grande Hommelette Finale!” 20 mars 2018

Les insectes chimériques sont-ils le dernier radeau de l’agriculture pesticidée?” Décembre 2017

La loi Biodiversité de juillet 2016 : un tremplin pour les insectes chimériques dans l’agriculture ?” Août 2016




Les publicités mensongères doivent être poursuivies, particulièrement celles pour les faux-vaccins !

Par le Dr Gérard Delépine

Les gouvernants des pays occidentaux, le président des USA et la Commission européenne ont accordé aux fabricants de vaccins une large impunité pour les éventuelles complications liées à leurs injections expérimentales. Chacun devrait se demander sur quels fondements.

Après la révélation de tant d’effets secondaires — dont certains graves et parfois mortels (plus de 70 000 décès reconnus par les agences officielles américaine (VAERS), anglosaxonne (MHRA) et européenne (eudragivilance pour l’UE) — cela conduit de nombreux groupes de médecins et de citoyens à demander un arrêt pur et simple de ces injections. La vaccination H1N1 avait été stoppée après 53 décès comme celui de la grippe aviaire. Alors des millions de complications et des milliers de décès recensés devraient pour le moins conduire à cet arrêt des injections. On ne peut même plus parler ici de principe de précaution tant il est enterré.

Les fabricants ont obtenu la clause d’impunité sur la « qualité » des produits tant aux USA qu’en UE. Alors que faire ? Ils sont protégés d’avoir fabriqué des médicaments dangereux, mais pas de la publicité mensongère si largement déployée à leurs sujets. C’est ce que pointe le gouverneur de Floride.

PLAINTE EN JUSTICE POUR FAUSSE DÉCLARATION

Lors d’une réunion privée du Parti républicain de Floride1, le gouverneur Ron De Santis a annoncé que son administration prévoyait de tenir les fabricants de vaccins pour responsables d’avoir fait de fausses déclarations concernant les vaccins à ARNm COVID-19 et qu’il les traduirait en justice.2

Selon « Florida’s Voice », le chirurgien général Ladapo, responsable sanitaire de l’état, a conforté ces déclarations en rappelant une étude réalisée en octobre 2022 qui conclut que les pseudo vaccins COVID-19 sont « beaucoup moins sûrs que les autres vaccins » et que « les jeunes adultes n’ont pas besoin de se faire vacciner ».

En France, nous avons subi la même propagande mensongère de Pfizer, de Moderna, Astrazeneca, et du gouvernement par des publicités répétitives sur les écrans de TV (au nom du ministère de la Santé et payées par nos impôts !) par des éditorialistes, des journalistes, des pseudo-experts « médecins » ou « scientifiques », tant sur l’efficacité alléguée que sur l’absence de risques des injections. Pourquoi ne pourrions-nous pas suivre pas l’exemple de la Floride ?

Il faut que cesse la fausse information sur tous sujets à la télévision, sur les fausses pandémies, comme sur le changement climatique, l’efficacité des éoliennes et la guerre en Ukraine. L’éthique rappelée par la charte du journalisme devrait revenir à l’ordre du jour avec la vérification des informations et non la multiplication d’embauches de « fact-checkers » qui ont menti encore plus que les journalistes ordinaires.

En France la loi ne parle pas de publicité mensongère, mais « de pratiques commerciales trompeuses ».

Les « pratiques commerciales trompeuses » sont définies par les articles L121-2 à L121-5 du Code de la consommation comme des informations fausses ou de nature à induire le consommateur en erreur, en omettant une information importante ou en la communiquant de façon ambiguë.3

Ou bien lorsque la publicité fait exprès de ne pas présenter une information pour induire le consommateur en erreur et est susceptible d’avoir des conséquences sur le comportement du consommateur.

Une pratique commerciale peut être déloyale pour une catégorie de personnes et pas pour une autre. C’est le cas si le public visé est vulnérable en raison de son âge, de sa crédulité ou d’une infirmité mentale par exemple.

L’association Réaction19 avec maître Carlo Brusa a d’ailleurs protesté contre la publicité généralisée « tous vaccinés, tous protégés » par le dépôt d’une plainte en avril 2022.4

La propagande qui nous a été imposée en faveur des pseudovaccins a comporté des pratiques commerciales trompeuses, qui se poursuivent encore largement, de la bouche même du nouveau ministre de la Santé ou de la présidente du COVARS qui a remplacé le conseil scientifique au moment où le PR Delfraissy commençait à lâcher quelques vérités à la télévision.

EXEMPLES DES PLUS GROS MENSONGES À PROPOS DU PSEUDOVACCIN

Comment les firmes ont-elles pu prétendre dans leurs communiqués de presse que « l’efficacité de leurs injections dépasse les 90 % », en se basant uniquement sur un taux d’anticorps à deux mois et non pas sur la protection observée qu’elle procurerait aux vaccinés contre la maladie ?

Nous avons tous autour de nous de très nombreux exemples de personnes complètement vaccinées qui ont souffert de covid et même de récidives de covid. Les données publiées par l’OMS montrent d’ailleurs qu’au niveau mondial, la généralisation des pseudo vaccins (13 milliards de doses injectées au 7 12 2022) a été suivie d’une accélération par 3,5 du rythme mensuel des contaminations !

Le slogan « tous vaccinés tous protégés » répété partout et même affiché sur les panneaux des autoroutes est totalement mensonger. La démonstration du caractère trompeur de cette annonce en a été faite dès juillet 2021 par l’exemple du porte-avions HMS Queen Elizabeth. Mais la publicité mensongère s’est poursuivie.

Une forme plus pernicieuse de ce mensonge a été diffusée à l’aide d’une simulation biaisée5 manifestement commandée par le gouvernement canadien prétendant que « les vaccinés pourraient être contaminés par les non-vaccinés » ! Alors qu’un vrai vaccin protège le vacciné de la maladie quel que soient ses contacts et, qu’en cas d’inefficacité, l’injection des non-vaccinés ne peut pas protéger les vaccinés !

D’après les courbes tracées par l’Université John Hopkins illustrant les données publiées par l’OMS, l’incapacité des vaccins à protéger la population est évidente en France, comme dans le reste du monde. Malgré un taux d’injection de plus de 80 %, plus de la moitié des Français ont été infectés alors que les Africains très peu injectés (<10 %) ont été beaucoup moins atteints.

Cette incapacité des pseudo vaccins à empêcher les transmissions et donc à protéger autrui a d’ailleurs été reconnue par le ministère dans son mémoire de défense lors du procès intenté par un octogénaire vacciné qui voulait échapper aux restrictions sanitaires6 :

« Le vaccin… n’empêche pas d’être porteur du virus et de le transmettre aux tiers ».

Lorsque les slogans précédents ont été totalement démentis par les faits avérés, la propagande mondiale a prétendu que les injections protégeraient des formes graves7 8 en s’appuyant sur des articles biaisés des promoteurs des injections comme les CDC ou d’Epipharm, d’autant plus suspects que la CADA a récemment répondu qu’aucun groupe défini par son statut vaccinal n’avait été étudié dans notre pays.

Les données officielles de l’OMS montrent d’ailleurs que les pseudo vaccins ne protègent pas des formes graves ni de la mort attribuée au covid, puisque les pays les plus vaccinés souffrent d’une mortalité 10 à 100 fois plus élevée que celle observée dans les pays les moins vaccinés.

LE NOMBRE DES EFFETS TOXIQUES DU PSEUDOVAX EST CONSIDÉRABLEMENT PLUS ÉLEVÉ QUE L’ENSEMBLE DE TOUS CEUX LIÉS AUX AUTRES VACCINS

L’un des autres mensonges plus couramment diffusés concerne la tolérance des pseudo vaccins présentés comme sûrs et largement éprouvés, alors qu’ils sont issus d’une technologie jusqu’ici non utilisée en infectiologie, que leurs essais phase 3 ne sont pas terminés et que les signalements tant auprès du VAERS (service américain de recensement des complications post vaccinale) que d’Eudravigilance ( organisme européen de pharmacovigilance) dépassent dès maintenant ce qui a été enregistré dans les décennies précédentes pour tous les autres (vrais) vaccins réunis.

Globalement, effets toxiques des pseudovax anticovid comparés à l’ensemble de ceux des vaccins administrés en UE de 2010 à NOV. 2022 :

Et aux USA depuis 1990 :

Et que dire de la plaquette publicitaire de la célèbre APHP remise aux femmes enceintes ?

Cette plaquette délivrée par l’APHP dans les maternités des hôpitaux parisiens aux femmes enceintes promeut l’injection génique expérimentale via des affirmations mensongères sur les effets indésirables des vaccins ARN sur elles et sur les fœtus volontairement minimisés, pour les inciter à se faire vacciner pendant leur grossesse.

Dans la plaquette on peut lire : « un peu de fièvre, maux de tête, et quelques réactions allergiques, mais symptômes rares et bénins et aucun effet sur le développement du fœtus » (Exit les thromboses à répétition, les nombreuses fausses couches, les morts in utero, les mort-nés, les malformations, l’empoisonnement du lait maternel passés sous silence et pourtant révélés dans les rapports grossesse de l’ANSM)9 10

ACTEURS ET VICTIMES DE LA PROPAGANDE

Quant aux artistes connus qui ont voulu faire la promotion du pseudovaccin, rendant obligatoire l’injection pour autoriser les fans à assister à leur concert, certains en paient le prix fort.

Justin Bieber11 et Céline Dion12, Bruce Willis qui proclamaient leur foi dans les pseudo vaccins Covid et dont les carrières ont dû être interrompues après leur vaccination, vont-ils suivre l’exemple de Ron De Santis et poursuivre Pfizer pour fausses déclarations concernant les vaccins à ARNm COVID-19  ?

L’avenir nous le dira.





Bilan carbone et avenir radieux




« Présence » de l’Algérie au Forum africain tenu à Dakhla occupée : Karim Amellal serait l’instigateur de l’escroquerie diplomatique

[Source : algerie54.dz]

Par Mehdi Messaoudi

Dans un récent article publié par Algérie 54 en date du 7 décembre 2022, intitulé « L’Algérie victime d’une escroquerie diplomatique à Dakhla occupée », nous avons attiré l’attention des pouvoirs publics sur l’usurpation de qualité d’un prétendu représentant de l’Algérie à une rencontre tenue à Dakhla, ville sahraouie occupée par le Maroc, qualifié par ce dernier de « reconnaissance » algérienne du « plan d’autonomie du Maroc sur les territoires sahraouis » rejeté par la RASD et la communauté internationale favorables à l’organisation d’un référendum d’autodétermination du Peuple sahraoui.

Comme nous l’avons déjà souligné l’escroc diplomatique « représentant » de l’Algérie au Forum Africain de l’intelligence économique n’est autre que le fantoche du Makhzen Kader Abderrahim, chercheur à l’IRIS, spécialiste du Maghreb et maître de conférences à Sciences Po Paris, auteur de Géopolitique de l’Algérie. Et paradoxalement, un féroce hostile à la politique algérienne qui représenta le pays qu’il n’a jamais épargné d’hostilités et de haine, comme l’attestent ses sorties propagandistes sur les plateaux de France24 et TV5.

Sur ce registre, il est important de souligner que l’instigateur de cette opération destinée à ternir l’image de l’Algérie n’est autre que le ministre délégué de la Méditerranée, nommé par le président français Emmanuel Macron, en l’occurrence Karim Amellal

Karim Amellal, sous-produit du CRIF

Karim Amellal, le protégé d’Emmanuel Macron et de la journaliste activiste Meriem Amellal-Lalmas, de France 24 et anciennement de I24, s’est fait connaître par sa participation active à la loi Avia, destinée à mettre hors circuit tout média ou site opposé à la politique française et israélienne.

Karim Amellal, fondateur du site Chouf Chouf, hostile à l’Algérie, est l’un des anciens journalistes propagandistes macroniens, ayant travaillé pour la promulgation de la loi Avia, portant le nom de son initiatrice, accompagnée dans son élaboration par Gil Taieb, vice-président du CRIF, promoteur du sionisme en France. Selon Gil Taieb du CRIF, Karim Amellal, Laetitia Avia et lui-même avaient remis le mois de septembre de l’année 2018 à l’ancien premier ministre français Édouard Philippe le rapport sur la haine contre le racisme et l’antisémitisme sur Internet.

Le naufragé projet UMP de Sarkozy, ressuscité par Macron via son supplétif Amellal

L’Union Pour la Méditerranée, lancée en grande pompe en juillet 2008, par l’ancien président français Nicolas Sarkozy, dans la foulée du processus de Barcelone 1995, destinée à intégrer Israël dans un mécanisme de normalisation avec ce régime, a signé sa mort avec l’invasion de la Libye en 2011, l’assassinat de son leader Mouammar El Gueddafi, et l’agression sur la Syrie dans le cadre du plan d’exportation de la démocratie et du Regime Change. Il a fallu attendre quelques années encore avec l’arrivée d’Emmanuel Macron au pouvoir à l’Élysée, pour relancer le projet, mais d’une manière différente, via les créneaux culturel, sportif et de l’économie des connaissances en particulier les Startups. L’adoption de la loi Avia puis la loi sur le séparatisme ouvrirent la voie à l’intronisation de Karim Amellal pour piloter le projet via les pays opposés à toute normalisation avec Israël en particulier l’Algérie, sous l’impulsion du puissant CRIF.

D’ailleurs ce n’est pas un hasard, si Karim Amellal est invité en décembre 2020 par la Confédération Algérienne du Patronat Citoyen dirigée par Sami Agli. (https://algerie54.dz/2020/12/19/ongiste/)
Dans le même sillage, il faut souligner l’activisme implicite de Karim Amellal, lors de la tenue des derniers Jeux Méditerranéens d’Oran, soutenu par des supplétifs néocolonisés locaux, et à l’occasion de la dernière visite du président français Emmanuel Macron à Oran avec les tentatives inespérées de promouvoir la culture des LGBT, via le musée dédié à Yves-Saint-Laurent symbole de la colonisation française de l’Algérie.

Quel rôle joue l’ambassadeur Gouyette ?

Faisant l’objet d’une pétition des internautes en décembre 2020, l’ambassadeur de France à Alger François Gouyette coordonnerait avec Amellal la mise en œuvre de certaines actions « suspectes » à l’adresse de la jeunesse algérienne à des objectifs inavoués. Les visites récurrentes du diplomate français à l’intérieur du pays, à l’instar de sa dernière visite effectuée à l’université Mouloud Maameri à Tizi Ouzou, ouvrent la voie à toutes les spéculations.

Il convient de rappeler que le diplomate français avait joué un rôle très actif en Libye lors de l’invasion de l’OTAN en 2011 et l’assassinat de Mouammar El Gueddafi.

Amellal, à la solde de l’organisation terroriste du MAK

Le protégé du président français Emmanuel Macron n’a jamais caché son soutien pour l’organisation terroriste du MAK et son maître chanteur Ferhat M’henni, comme nous l’avons déjà souligné dans un article publié en août 2022

Il convient de rappeler que suite à l’inscription de l’organisation du MAK comme organisation, terroriste, suite à son implication dans les incendies criminels ayant ravagé plusieurs wilayas du pays dans le cadre du complot mené contre l’Algérie, Karim Amellal n’a pas tardé à s’attaquer publiquement aux autorités algériennes.

Durant cette période le site électronique « Seven info » citant des sources concordantes, révélait que l’ambassadeur de France à Alger, en l’occurrence François Gouyette, aurait actionné ses réseaux pour permettre à l’activiste Karim Amellal de passer à l’antenne de la radio nationale, si ce n’était l’intervention de certains patriotes qui veillaient au grain.

https://algerie54.dz/2022/12/10/diplomatie-escroquerie-2/

M.M




La 4e Dimension — L’HOMME OBSOLÈTE

[Source : NEWDIMENSION]

Rodney Woomsworth est un bibliothécaire qui « ne sert plus à rien » dans un État totalitariste futuriste dans lequel les livres et la religion sont jugés inutiles et pernicieux pour la société. Déclaré coupable d’obsolescence, il choisit, ayant le choix des modalités de son exécution, d’être tué dans son appartement par l’explosion d’une bombe à minuit précise…





Sobriété, écologie, inclusion… Et si les monastères avaient mille ans d’avance ?

[Source : fr.aleteia.org]

Par Agnès Pinard Legry

Recherche d’authenticité, gage de qualité, circuits courts, conviction religieuse… Les produits monastiques séduisent un large public. S’ils existent depuis plusieurs siècles, ils répondent plus que jamais aux aspirations actuelles et aux nouveaux modes de consommation comme en témoigne L’Artisanat monastique qui commercialise quelque 4.500 produits monastiques. Une économie multiséculaire, certes, mais qui n’en laisse pas moins toute sa place à l’innovation.

Et si, derrière les épais murs des monastères, se trouvaient bel et bien le monde de demain ? On y trouve bien sûr l’annonce du Royaume et la promesse de la résurrection. Mais aussi, de manière très pragmatique, un modèle économique qui répond aux exigences d’aujourd’hui. Sobriété, écologie, inclusion… Et si les moines et moniales des centaines de monastères qui maillent la France avaient mille ans d’avance ?

Il y a d’abord la finalité. L’économie monastique n’est pas centrée sur elle-même : elle doit permettre aux moines et moniales de vivre correctement, mais aussi de venir en aide à ceux qui les sollicitent. Les moines d’aujourd’hui travaillent pour permettre à leur communauté de vivre selon les principes de la sobriété heureuse et, si possible, de gagner du superflu pour le distribuer aux plus nécessiteux. Notre-Dame d’Aiguebelle, Saint Pierre de Chartreuse, les clarisses de Troyes, l’abbaye de Boulaur… Les moines et moniales qui y vivent et prient y travaillent aussi pour subvenir aux besoins de leurs communautés et agir auprès des plus démunis. Une vie qui s’articule bien souvent autour de la fameuse règle de saint Benoît, « ora et labora » (“prie et travaille”). Saint Benoît de Nursie a en effet proposé que ses moines vivent en communauté, alliant la prière et la lecture au travail manuel. « Cette introduction du travail manuel, imprégné de sens spirituel, était révolutionnaire », reconnaît le pape François dans son encyclique Laudato Si’.

« On a appris à chercher la maturation et la sanctification dans la compénétration du recueillement et du travail. Cette manière de vivre le travail nous rend plus attentifs et plus respectueux de l’environnement, elle imprègne de saine sobriété notre relation au monde. »

Un travail qui respecte la Création

Mais attention, un travail qui se doit d’être effectué dans le respect le plus total de la terre, de la Création. À l’abbaye cistercienne de Boulaur, dans le Gers, les sœurs produisent ainsi de la farine de sarrasin. Elles cultivent le sarrasin sur leurs terres, et moulent la farine dans leur propre moulin. Un travail pour lequel elles ont obtenu le label BIO. Mais pour les sœurs de Boulaur, cela va plus loin qu’un label. Elles viennent de s’embarquer dans la création d’un lieu de vie et de partage : un écotone. Elles souhaitent ainsi développer une « zone de rencontre entre l’écosystème de la vie monastique » et celui du monde extérieur. Miser sur le bio, c’est également ce qu’ont fait les cisterciennes de Rieunette, dans l’Aude, en développant toute une gamme de cosmétiques bio réalisés à partir des plantes de leur jardin. Et pour ne rien gâcher, les contenants de ces cosmétiques sont tous en verre recyclable..! 

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Les religieuses de Rieunette, dans l’Aude.
Marie Dumain

Le travail monastique, c’est aussi la réalisation de produits qui ont du sens et sont en phase avec les tendances actuelles. Une récente étude réalisée par YouGov montre par exemple que 81% des Français ont entendu parler de la tendance « zéro déchet » et 91% considèrent qu’il est important de les réduire. Alors si les religieux ne sont « dans le monde mais pas du monde », cela ne les empêche pas d’avoir un temps d’avance et d’innover. Les clarisses de Marseille ont ainsi embrayé en proposant des lingettes démaquillantes lavables en remplacement des traditionnels cotons jetables. Et, pour rester tendance, ces délicates lingettes comptent une face en gaze de coton colorée et une autre en éponge de bambou pour les peaux sensibles. Une excellente alternative écologique ! et d’autres monastères n’ont pas attendu la tendance « zéro déchet » pour proposer, par exemple, des cosmétiques solides : c’est le cas par exemple de Notre-Dame de Ganagobie, monastère situé dans les Alpes de Haute Provence, qui propose depuis les années 1990 une incroyable gamme de savons solides, baumes et produits cosmétiques réalisés dans le plus grand respect de la nature et pour le plus grand bonheur des aspirants « zéro déchet ». 

4.500 produits référencés par l’Artisanat monastique

Des produits de qualité diffusés dans toute la France grâce à L’Artisanat monastique, un réseau de sept boutiques (Paris, Bordeaux, Lyon, Nantes, Marseille, Rennes et Toulouse) et d’un site en ligne qui commercialise quelque 4.500 produits monastiques. En achetant et revendant les produits des monastères au juste prix, cette entreprise permet aux moines et moniales de continuer à vivre de leur travail. L’Artisanat monastique poursuit plus largement une triple mission : accompagner des communautés dans la création de leurs gammes de produits pour répondre au besoin du marché, former des moines et moniales dans les activités professionnelles qu’ils ont choisies et financer du matériel de production et d’outillage professionnel.

Enfin, à l’heure où « l’inclusion » dans la société et dans le monde professionnel est devenu un terme dans l’air du temps (et heureusement !), il est bon de rappeler que les religieux n’ont pas attendu 2022 pour vivre et travailler avec des personnes porteuses de handicap. Les petites sœurs de l’Agneau confectionnent une délicieuse tisane digestive aux trois menthes. Le supplément de ces tisanes ? Elles ont été réalisées par des religieuses porteuses de trisomie 21, l’institut des Petites sœurs Disciples de l’Agneau, à vocation contemplative, offrant aussi à des jeunes filles trisomiques la possibilité de réaliser leur vocation religieuse.

Si le respect de la nature, l’offre de produits « zéro déchet » et bio ou encore l’inclusion au travail sont des piliers de l’économie monastique et correspondent à des tendances actuelles, l’engouement pour le « made in abbaye » s’explique aussi, tout simplement, par une recherche d’authenticité. Car oui, les produits monastiques ont un supplément de sens. « Le moine est un personnage consensuel profondément moderne et le monde monastique à des choses à nous apprendre quant à notre rapport au travail, à l’environnement », assure ce jeune cadre parisien amateur de produits d’abbaye.

« En consommer et plus largement réfléchir au travail monastique, c’est se rappeler de la richesse gastronomique, culturelle et spirituelle de notre pays mais aussi – et peut-être surtout – que la sobriété peut être bien, belle et bonne. »

En savoir plus

Créée en 1951, l’association à but non lucratif  « Aide au Travail des Cloîtres » (ATC) et son bras commercial sous la marque « Artisanat Monastique » contribuent à distribuer quelque 4.500 produits de plus de 150 communautés religieuses en France et en Europe. La majorité des administrateurs de l’ATC sont des religieux, moines et moniales, et de ce fait l’Artisanat Monastique est considéré comme une œuvre d’Église. Cette appartenance au monde monastique distingue L’Artisanat monastique des autres distributeurs de produits monastiques à but lucratif.

En partenariat avec

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Aide médicale à mourir : est-ce encore un soin ?

Par Docteur Chantal Brichet-Nivoit

Réflexions à la suite de deux journées organisées conjointement par
l’université Paris Cité, l’IIREB, le Centre de Recherche en droit public, la SFFEM,
À l’Université Paris Cité, site Saint-Germain, 45 rue des Saints-Pères,
Les 24 et 25 octobre 2022

Le sujet traité est si délicat, si sensible, que j’ai questionné bon nombre de personnes avant de jeter sur ce papier mes propres pensées. Vous lirez aussi ce que d’autres auteurs ont dit à propos de la souffrance, de la représentation que l’être humain se fait de la mort, et des moyens qu’il a inventés pour en supporter la réalité, notamment au travers des religions. Bien peu d’individus arrivent à voir la mort comme une nécessité écologique et à ne point s’en inquiéter. La sagesse arrivant chez quelques-uns avec l’âge, « la soif de vivre (à ce moment-là) devient moins grande », nous disait Emmanuel Hirsch. La mort est scandale lorsqu’elle arrive trop tôt. Elle est naturelle dans le grand âge. Au-delà de la mort, et même des douleurs de la maladie qui y conduit, ce sont les souffrances morales qui empoignent la plupart de nos contemporains. En effet :

« Les pires souffrances de l’homme sont celles qu’il redoute, car le grand obstacle c’est toujours la représentation et non la réalité »

Etty Hillesom, dans « une vie bouleversée ».

La mort rend anxieux beaucoup d’entre nous ; elle affole, elle tourmente, car elle est inconnue de tous les vivants. La mort angoisse certains, elle est plongeon dans cette éternité redoutée. C’est la plus grande crainte de l’homme. Si cette peur frôle la terreur, cela se nomme thanatophobie. Dans ce monde, à une époque où chacun veut décider du moment où un évènement arrivera, comme une naissance, ne pas pouvoir être maître du jour et de l’heure de sa mort déplaît à une grande partie de la population ; avoir la maîtrise sur tout, durant toute son existence, est le rêve fou de nos concitoyens. Par ailleurs :

« La pire des souffrances, c’est celle qu’on ne peut pas partager »

 Emmanuel Carrère.

La mort arrivant à n’importe quel moment, il peut arriver qu’on se retrouve seul à cet instant où l’on bascule dans l’inconnu. Prévoir sa mort en faisant agir un autre pour « passer de vie à trépas » permet d’avertir ses proches et d’être entouré. C’est une illusion et un leurre que de penser qu’ainsi tout ira mieux, car le mourant qu’on assassine reste seul pour le grand passage. Et sur cet acte qui va devenir médical, de tuer un patient sur sa demande, une amie répond ainsi à ma question est-ce encore un soin ? : « effectivement, tuer n’est pas prendre soin de son patient ». Et ajoute « notre société fait tout pour ignorer la mort ; il en est de même de la vieillesse ».

Maintenant, voyons comment les médecins vivront cette action d’injecter un produit létal à leurs patients. Leur part d’humanité réelle ne sera-t-elle jamais interpellée ? Leur conscience ne viendra-t-elle pas leur dire l’abomination d’un tel geste, lorsque, justement, ce sera leur tour d’être sur un lit de mort ? Dans la thèse de William Dalbin et Mathieu Guymard, Nancy 2020, on peut y lire page 29 :

« Que penser de la responsabilité du médecin à qui incombe d’une part un rôle de prévention du suicide et d’autre part une institutionnalisation éventuelle d’un “suicide assisté” ? »

Ce dont je m’aperçois, c’est que bien peu savent ce que le poète libanais Khalil Gibran connaissait, à savoir que « les souffrances ont donné vie aux plus grandes âmes, les personnages les plus éminents portent en eux des cicatrices » ; de même, Marcel Proust avait observé que « pour apaiser la souffrance, il faut d’abord la vivre jusqu’au bout » et Arthur Koestler nous apprend que « la souffrance a ses limites, pas la peur ». Or la patience est une vertu qui se perd ; elle nous apprend pourtant la sagesse. De même, Confucius avait observé que :

« Nulle pierre ne peut être polie sans friction, nul homme ne peut parfaire son expérience sans épreuve ».

Pour continuer de citer les grands esprits, j’écrirais une phrase de Stefan Zweig :

« Toute souffrance est lâche, elle recule devant la puissance du vouloir-vivre qui est ancré plus fortement dans notre chair que la passion de la mort ne l’est dans notre esprit »

dans « 24 heures de la vie d’une femme » :
(Pauvre Zweig qui a basculé à la fin de sa vie dans « la passion de la mort ».)

Je n’ai pas posé comme préalable la distinction entre douleur qui est d’origine physique et peut généralement être apaisée, et souffrance psychique qui, théoriquement, devrait l’être aussi par le monde « psy » qui en a fait sa vocation. Si vous demandez à un ancien dépressif qui a eu aussi à se faire soigner, par exemple, d’un cancer, vous pouvez être sûr qu’il vous répondra que la souffrance mentale est la pire chose qui puisse arriver à l’homme. Baudelaire disait : « sois sage, ô ma douleur, et tiens-toi tranquille », comme si par ses pensées il pouvait l’atténuer. Mais la souffrance morale est tourment qui nous prend, nous emporte et nous rend autre : nous ne sommes plus alors qu’un nœud d’idées morbides vues comme infinies. Quant à Voltaire, il jugeait « la douleur… aussi nécessaire que la mort ».

Pour finir sur ce chapitre, c’est à un confrère que je laisserai la parole, que je connais puisqu’il a jugé « très bien » mon premier article qui était sur « la personne de confiance » : Martin Winckler exilé au Canada qui déclare qu’« en chacun de nous sommeille un bourreau. Le tien, es-tu sûr qu’il dort ? » Si la loi nous donne le droit, à nous médecins, de devenir des meurtriers, allons-nous profiter de celle-ci pour assouvir une vilaine soif de pouvoir, dont celui d’éliminer le vieillard qui nous rappelle que nous sommes mortels ? Je pense nécessaire de rappeler qu’en temps de guerre, le militaire sait qu’il peut donner la mort, mais aussi la recevoir. Que risque-t-on face à un mourant ? De recevoir notre reflet futur qui nous affole. En gommant la mort, sera-t-on protégé de celle-ci pour autant ? Bien sûr que non.

J’ai fait appel à diverses personnes pour rédiger cet article ; elles m’ont envoyé des coupures de journaux, dont une de La Vie d’octobre 2022, N° 13, où il est écrit :

« Il est tellement plus facile de permettre à ceux dont on rend les conditions de vie trop difficiles, en EHPAD notamment, de quitter le terrain et pour moins cher »

Au Canada le Dr Saba reproche au gouvernement de favoriser l’euthanasie pour des raisons économiques, plutôt que d’investir dans les soins palliatifs. Le Dr Stéphanie Kafie déclare que :

« De nombreuses demandes d’AMM étaient en fait une demande de soins palliatifs de bonne qualité et lorsqu’on lui prodiguait ces soins, le patient changeait d’avis ».

Certains ont fait le lien avec l’avortement qui élimine l’enfant à naître. C’est aux deux extrémités de la vie qu’on supprime celle-ci. Notre société vit une révolution dans ses mœurs, définie ainsi par René Guénon :

« Ceux qui ont voulu renverser tous les dogmes ont créé à leur usage, nous ne dirons pas un dogme nouveau, mais une caricature de dogme, qu’ils sont parvenus à imposer à la généralité du monde occidental ; ainsi ont été établies, sous prétexte d’“affranchissement de la pensée” les croyances les plus chimériques qu’on ait jamais vues en aucun temps ».

Et plus conclure, je citerai une phrase de l’Ecclésiaste que citait souvent mon père : « Vanité des vanités, tout est vanité ».

Allons-nous prendre « un peu de poison de-ci de-là, pour se procurer des rêves agréables, et beaucoup de poison enfin, pour mourir agréablement », disait Nietzsche, dans « ainsi parlait Zarathoustra » ? Les risques de dérapage d’une loi au départ bien encadrée peuvent arriver. Le livre d’Edward W. Keyserlingk (1979) est, à cet égard, intéressant. Intitulé « le caractère sacré de la vie ou la qualité de la vie du point de vue de l’éthique, de la médecine et du droit : étude écrite pour la commission de réforme du droit au Canada ».

On peut y lire cette observation :

« Sous le régime nazi, l’euthanasie et les expériences réalisées ont commencé avec des intentions » humaines », et n’ont pas, à leur début, revêtues un aspect raciste. Graduellement, cependant, pas après pas, l’euthanasie volontaire pour les malades en phase terminale s’est transformée en une euthanasie involontaire imposée à toute personne jugée inutile à la société ou aux ennemis de l’État, y compris les retardés mentaux et en particulier les Juifs ».

Précédent historique à ne pas oublier.

Vous voudrez bien m’excuser pour mon style, lourd et pesant, car il m’a été pénible et difficile d’écrire sur ce sujet. Cela bouleverse toute ma conception du soin, du dévouement, du respect de la vie. Je souhaite que jamais le droit d’être objecteur de conscience ne cesse. Dans la « revue canadienne de bioéthique Vol2, N° 2 » (diffusion numérique le 13/06/22), Louise Bernier note ceci :

« Il semble que la mise en œuvre des droits reconnus par les législateurs et les tribunaux en contexte d’avortement et d’aide médicale à mourir connaît, en pratique, un problème d’effectuation ».

Ira-t-on jusqu’à réquisitionner des praticiens pour cette besogne de bourreau ? J’espère que, si la loi passe, elle ne conduise pas à l’euthanasie non désirée, et surtout pas à l’eugénisme.

À l’opposé, lorsque le sujet dont je traite est gai, les mots sautillent, se réjouissent, et forment une ronde ; ils coulent de source et me font du bien. Car j’ai besoin de joie pour créer de la beauté et de la légèreté. Hélas l’actualité est triste, en ce 25 novembre, journée consacrée aux violences faites aux femmes, où l’on m’annonce que la député et médecin Martine Wonner est interdite d’exercer injustement pour un an, et la mort du poète Christian Bobin. Lequel a écrit ceci : « lorsque les mots ne franchissent pas les lèvres, ils s’en vont hurler au fond de l’âme » et créent des drames ; des maladies et des tragédies si nul n’est à côté pour les écouter, les recueillir, et les redire. On meurt plus de solitude et de manque de sollicitude, que de toute autre chose.

Pour finir, je laisserai la parole à Lucien Bonnafé qui disait :

« On juge du degré de civilisation d’une société à la manière dont elle traite ses marges, ses fous et ses déviants ».

La vieillesse n’est-elle pas à une extrémité de la vie, à sa marge ? La santé étant désormais promue comme une quasi-obligation, les malades ne sont-ils pas « à la marge » de la société ?

Docteur Chantal Brichet-Nivoit
Médaillée du Prix Robert Debré
Santé publique-Éducation
Membre de Mensa-France
Correspondantede l’Académie Internationale d’Éthique Médecine et Politique Publique


La loi sur l’aide médicale à mourir risque de passer en France.

Hier, un débat auquel j’assistais, avait lieu avec des représentants de chaque religion, y compris un Lama bouddhiste, rue Saint Guillaume à Sciences Po.
Alain Claeys, qui fut à l’origine de la loi Claeys Léonetti, était là ; j’ai un peu discuté avec lui.
Il m’a dit qu’il fallait faire évoluer la loi qu’il avait pourtant voulue. Ceci parce que dans 20 départements il n’existe pas d’unité de soins palliatifs « et ce n’est pas qu’une question d’argent ».

Je n’ai pas été étonnée de la réponse que m’a faite le Dr Véronique Fournier, qui a dit qu’une sorte de devoir de tuer devrait parfois exister parce que nous médecins, devions, selon elle, avant tout soulager. Mais elle nous a surtout parlé de l’arrêt des soins lorsqu’ils ne sont plus qu’un acharnement thérapeutique.

En réalité, nous devons « d’abord ne pas nuire », alors, est-ce que tuer s’accorde avec « ne pas nuire » ?
L’étymologie du mot revient à dire que nuire, c’est causer un dommage, ici, irréversible. 

C’est l’Imam qui a le mieux résumé la situation en évoquant « l’interdit (fondamental) de donner la mort » ajoutant que « si la loi AMM passe (on ouvre) une brèche dans cette digue (protectrice) ». Puis il précisa que :

« La personne qui se dit libre est (en fait) sous l’emprise de la société ».

Mgr de Romanet déclara :

« La mort, c’est une affaire spirituelle et non médicale »,

puis :

« L’homme est tourmenté par la déchéance de son corps ».

Le pasteur a dit :

« On n’aime pas, dans notre société de la vitesse, une fin de vie qui traîne ».

La conclusion a été que la première raison de ce désir d’être exécuté en fin de vie est la solitude et l’isolement, ainsi que le sentiment d’être « un poids » pour la société et/ou les siens. La peur joue un rôle central dans cette société déchristianisée.

Pour ma part, je pense que les prières sont apaisantes, par le rythme régulier qui en émane. « C’est comme la cohérence cardiaque », m’a dit une infirmière. Pour une mort douce, je pense qu’il faut être en accord avec l’univers, apaisé, sans crainte.

Car la douleur physique peut être éliminée, ne reste alors que la souffrance mentale ou plutôt existentielle, induite par la peur de l’inconnu, ce « passage » sur une autre rive, ou « vers le Ciel » dans les religions qui ont été, pour la plupart, établies afin d’apaiser les humains craintifs (et vivre ensemble en paix) grâce aux prières, tel le chapelet commun aux catholiques, musulmans, et bouddhistes.

Ce petit mouvement des doigts rappelle les frissons de joie, le cœur qui bat, le bruissement des feuilles dans les bois, la mer ondulante, le clapotis des lacs, le vent qui fait claquer les voiles, la ronde des enfants, la danse qui émeut, l’archer sur le violon, le cliquetis du tricot, et tant d’autres choses vivantes et vibrantes.

Le grand Rabbin Haïm Korsia insista sur l’importance de tenir la main du mourant. 

Ma mère qui n’a plus réussi à tricoter un jour, car elle devenait trop malvoyante, a souhaité alors la mort, car le tricot est un puissant anxiolytique. Comme le chapelet.

Elle a eu la chance de mourir dans son sommeil, selon son souhait, comme ma grand-mère.

La vie s’arrête lorsque tout mouvement cesse. C’est le mouvement de l’air sur les cordes vocales qui fait crier le nouveau-né. Et on sait alors qu’il est vivant. Alors, si je peux vous donner un conseil, c’est de bouger jusqu’à la fin de vos jours, ne serait-ce que vos doigts, comme moi, qui les agite sur mon clavier, avec bonheur. Je m’émerveille de les voir trouver tout seuls la place des lettres sans besoin de regarder autre chose que l’écran ; mes mains connaissent ce que mon esprit ignore. Ce sont ces gestes du quotidien, semi-automatiques, qui semblent préserver de l’Alzheimer, et la passivité devant les écrans, de TV notamment, qui y conduit sans doute.

Léonard de Vinci ne disait-il pas que « le mouvement est le principe de toute vie » ? 
Le proverbe 31 au verset 13 dit en parlant d’une femme admirable :
« elle travaille de ses mains avec ardeur ». et verset 19 « ses mains s’activent ».
Autrefois les femmes avaient toujours « un ouvrage » à portée de main.

Et il y a un proverbe pour dire que « la paresse est mère de tous les vices ».

Quel que soit notre âge, nous pouvons nous rendre utile à la société. 

Docteur Chantal Brichet-Nivoit




France — Mesures de préparation et de gestion de crise en cas de survenue d’une mesure de délestage électrique programmé

[Circulaire communiquée par courriel]

Paris, le

Monsieur le préfet de police
Mesdames et Messieurs les préfets de zones de défense et de sécurité
Mesdames et Messieurs les préfets de département (métropole, hors Corse)

Objet : Mesures de préparation et de gestion de crise en cas de survenue d’une mesure de délestage électrique programmé

Le contexte de crise énergétique que nous connaissons conduit le Gouvernement à mettre tout en œuvre pour garantir les meilleures conditions pour le passage de l’hiver. Cela passe d’abord par le plan de sobriété qui a été annoncé, assorti de mesures visant à lisser les pics de consommation électrique, et soutenu par une campagne de communication grand public. Cela passe, dans le même temps, par le remplissage de nos stocks de gaz, la maximisation de la production de nos capacités renouvelables et thermiques disponibles et le suivi de la disponibilité du parc nucléaire. Cela passe enfin par la sécurisation de notre capacité d’importation. L’ensemble de ces leviers s’ajoute aux dispositifs usuels à la main du gestionnaire du réseau de transport RTE (baisse de tension, interruptibilité, EcoWatt).

Si ces leviers, mobilisés pour augmenter les marges de manœuvre du système électrique cet hiver, tant sur la production que sur la consommation, venaient à être insuffisants, un plan national de délestage électrique pourrait être mis en œuvre sur le territoire de la métropole (hors Corse). La nécessité de recourir à cette mesure reste fortement liée à l’aléa climatique. Elle vise à soulager ponctuellement le système électrique pour éviter un blackout généralisé qui aurait des conséquences beaucoup plus lourdes. L’hypothèse de devoir recourir à ces coupures partielles et programmées ne peut être à ce jour ni exclue, ni confirmée : il convient donc de s’y préparer.

Le délestage est une mesure exceptionnelle, mise en œuvre en dernier recours par les gestionnaires du réseau électrique, pour éviter un déséquilibre du système électrique national. Il prend la forme de coupures électriques programmées, avec comme objectif une durée de deux heures consécutives, affectant alternativement des portions de départements : ainsi, sur les quelques 39 millions de clients (environ 34 millions de clients résidentiels et 5 millions de non résidentiels), les éventuelles coupures programmées ne devraient pas concerner plus de 4 millions de clients simultanément, pour une durée de deux heures, à l’exclusion des sites critiques (hôpitaux, points d’importance vitale…) que vous avez protégés par arrêté préfectoral. Les périodes de délestage, si elles doivent intervenir, concerneront les pics de consommation électrique, donc les jours de semaine, et les créneaux horaires indicatifs de 8h à 13h et de 18h à 20h. L’information précisant les lieux concernés et indiquant les créneaux horaires de coupures sera disponible la veille, vers 17h. Le 18 novembre, RTE a indiqué que ses analyses pointaient le mois de janvier comme étant le plus à risque.

Les interruptions de l’alimentation électrique, quoique rares et généralement liées à des phénomènes exceptionnels, ne sont pas inconnues des Français. La durée moyenne de coupure par client est de l’ordre d’une heure par an. Elles sont cependant susceptibles d’affecter, le cas échéant, leurs activités et la vie quotidienne. C’est pourquoi elles appellent une anticipation de leurs conséquences et des mesures palliatives à mettre en œuvre pour que l’activité normale des territoires le cas échéant et tour à tour concernés en soit affectée le moins possible. Un dispositif de communication nationale, préventive et pédagogique, est prévu à destination du grand public.

Une des conséquences les plus significatives de l’interruption de la distribution électrique est qu’elle entraînera des interruptions de communications électroniques (téléphonie mobile et fixe). Dans ces périmètres, les usagers ne pourront pas joindre les services de secours (numéros d’appels d’urgence 15, 17, 18, 115, 196). Dans ces situations, l’usage du 112 sera un palliatif car il s’agit d’un numéro accessible quel que soit l’opérateur, donc avec des chances bien plus élevées que l’appel soit acheminé, dès lors que la zone d’émission serait couverte par au moins un opérateur. L’État assurera une communication spécifique pour faire connaître et inciter à l’utilisation du 112. Vous disposerez, dans vos COD, de la cartographie des zones qui ne seraient pas couvertes par le 112.

La présente circulaire a pour objet de vous apporter des précisions sur les mesures de préparation à engager au plan départemental dès à présent et la conduite à tenir pendant la période hivernale. Il vous est demandé d’associer dès l’étape de préparation l’ensemble des acteurs (services de l’Etat, acteurs économiques et associatifs…), notamment pour définir les mesures palliatives et de renforcement de la sécurité qu’il vous appartiendra de préparer et de mettre en œuvre en situation de délestage. Vous conduirez sans délai des réunions avec les élus et les collectivités territoriales. Elles permettront une parfaite appréhension des risques et enjeux ainsi qu’une approche partagée des travaux à conduire pour articuler les dispositifs à mettre en œuvre en cas de coupure, notamment avec les maires qui doivent disposer de toutes les informations leur permettant de s’y préparer.

Par ailleurs, toutes les hypothèses permettant de réduire la puissance appelée aux heures de pointe continuent à être étudiées au niveau national, et se traduiront éventuellement par des directives complémentaires.

Le dispositif que je vous demande dès à présent de mettre en œuvre s’articule en quatre phases : une phase de préparation (I), une phase de suivi renforcé (II), une phase de mobilisation opérationnelle (III), une phase de direction des opérations (IV).

I. Préventivement, une phase de préparation : la promotion des mesures de sobriété, du dispositif EcoWatt et la mise à jour des plans de continuité d’activité

1. En anticipation :
Mobilisation des acteurs :

Je vous demande de réunir sans délai les services de l’Etat et les principaux acteurs publics et privés de votre département. Il s’agit tout d’abord d’inciter les acteurs locaux à réduire leur consommation électrique, en particulier lorsqu’un signal EcoWatt orange ou rouge est émis. Cet échange doit également les amener à engager l’identification des répercussions d’éventuels délestages, et de se préparer dans le cadre de leurs plans de continuité d’activité :

• Les opérateurs locaux, administrations et entreprises doivent entreprendre au plus tôt une campagne de vérification et de tests en condition réelle de leurs moyens de redondance électrique, en particulier des groupes électrogènes.
• Les acteurs publics et privés doivent être invités à procéder à une revue, et si nécessaire une mise à jour de leurs plans de continuité d’activité. Vous porterez une attention particulière aux gestionnaires de services publics d’eau et d’assainissement, dont les systèmes doivent être optimisés pour éviter les déversements d’eaux usées dans les milieux aquatiques et pour anticiper l’impact du délestage sur leurs services.
• Comme il vous l’a été demandé, vous avez mis à jour par arrêté la liste des consommateurs prioritaires qui ne seront pas délestables. Chacun d’eux doit être informé directement et individuellement qu’il est « non délestable ». Les arrêtés que vous avez pris ne sont pas publiés et les listes ne doivent en aucun cas être divulguées car, outre les sites indispensables à la prise en charge dans les structures de soins, ils désignent des structures essentielles à la continuité de la vie de la nation. Pour tous les autres consommateurs, en cas de questionnement, et même pour ceux qui bénéficient de la proximité d’un site prioritaire qui les rend par contiguïté non délestables, vous indiquerez que le site doit se considérer comme « délestable ».

• Certains départements sont desservis par des entreprises locales de distribution d’électricité (ELD), dont les processus de délestages et outils d’information peuvent être différents de ceux décrits dans la présente circulaire. Je vous invite à prendre leur attache dès à présent pour connaître leur situation et les outils déployés.

Par ailleurs, les acteurs associatifs, réservistes et citoyens doivent être d’ores et déjà sensibilisés et associés pour être en mesure d’intervenir, à votre demande ou celle des maires, si des délestages devaient se produire.

Dispositions à prendre concernant les personnes vulnérables :

Les ARS sont en charge du recensement des patients à haut risque vital (PHRV). Vous vérifierez que ces listes ont bien été transmises aux Gestionnaires de Réseaux de Distribution (ENEDIS ou ELD) qui les auront bien prises en compte. En cas de délestage, l‘information des PHRV incombe à ENEDIS ou aux ELD, pour leur périmètre géographique de responsabilité. Les PHRV seront, donc, en premier lieu, contactées par ENEDIS (ou ELD), à partir de J-3 et jusqu’à J-2 pour s’assurer de leur information et de leur connaissance du signal EcoWatt rouge. ENEDIS tiendra informées les ARS de toute situation particulière qui nécessiterait une prise en charge adaptée. En cas de nécessité, en principe résiduelle, il vous reviendra d’assurer, sur indication de l’ARS, l’organisation des éventuels déplacements de ces personnes.

Au-delà de ces personnes à haut risque vital, je vous demande de porter, en liaison avec les maires, une attention particulière aux personnes vulnérables. En particulier, vous pourrez rappeler aux communes la nécessité de procéder à l’inscription des personnes vulnérables sur leurs registres de personnes fragiles (cf. article L121-6-1 du code de l’action sociale et des familles).

Il vous appartiendra, en liaison avec les maires, de vous assurer que ces personnes auront connaissance du signal EcoWatt rouge à J-3 et, en cas d’équipement médical, que celui-ci ait une alimentation électrique autonome suffisante pour une coupure électrique supérieure à deux heures. Dans le cas contraire, il conviendra que les services de secours procèdent à une évaluation de la nécessité de procéder à une évacuation préventive des personnes concernées vers l’établissement de santé le plus proche de leur lieu de résidence, ou un site prévu à cet effet disposant d’une alimentation électrique.

Les opérateurs téléphoniques :

Un travail important est réalisé au plan national avec les opérateurs de communication électronique, auxquels sera prescrit de mettre en place une information détaillée à destination de leurs clients sur les moyens de communication disponibles ou non en cas de délestage. Sauf exception, la téléphonie mobile et l’internet ne fonctionneront pas dans les zones privées d’électricité, et la reprise électrique peut être perturbée. Les lignes cuivre, avec prise téléphonique fonctionnelle en T, pourront être opérationnelles.

2. Dispositif de veille :

Vous disposez des données produites par le site internet EcoWatt (www.monecowatt.fr) de RTE. L’outil EcoWatt s’apparente, pour le système électrique, à un outil de prévision météo. Il présente trois niveaux de vigilance sur une carte permanente de la métropole (hors Corse) :

  • Signal vert : la consommation électrique est jugée normale ;
  • Signal orange : le système électrique est tendu. Les éco-gestes sont à privilégier ;
  • Signal rouge : le système électrique est très tendu sur certains créneaux horaires. Des coupures électriques sont inévitables si la consommation d’électricité ne diminue pas dans ces créneaux.

Le dispositif permet ainsi de connaître l’état du réseau électrique pour le jour en cours et les trois suivants et les moments où les éco-gestes auront le plus d’impact sur le système. Ces informations vous permettent également d’anticiper la montée en puissance de votre dispositif territorial.

A compter du 1er décembre 2022, la CIC assurera une veille renforcée du dispositif. Elle sera mise en alerte en fonction des données de RTE et sera activée au plus tard à J-3 en cas de signal EcoWatt rouge.

En complément des informations fournies par les centres opérationnels ministériels sur le sujet, vous transmettrez toute information utile au Centre de Veille du ministère de l’Intérieur (centredeveille@interieur.gouv.fr).

II. Une phase de suivi renforcé dès l’émission d’un signal orange ou rouge

1. Modalités de l’émission du signal

Chaque jeudi, RTE identifie, en fonction des données météorologiques, des informations sur la disponibilité des moyens de production et des interconnexions, un possible recours au délestage entre le samedi 0h00 et le vendredi de la semaine suivante jusqu’à 23h59 (à l’exception des samedi, dimanche et des jours fériés, qui ne devraient pas être concernés en raison de la baisse de l’activité). RTE communique cette information à la CIC qui est dès lors susceptible d’être activée en format crise.

A partir de J-3, et tant que RTE confirme la possibilité d’un délestage, le gestionnaire émettra publiquement un signal EcoWatt orange ou rouge sur les créneaux horaires concernés. L’émission de ce signal conduirait RTE et ENEDIS à déclencher leur plan national de délestage. Celui-ci se décompose de la manière suivante :

A J-3 : RTE émettra un signal orange ou rouge sur EcoWatt
A J-2 : RTE confirmera la prévision d’un signal rouge sur EcoWatt

L’information sera largement diffusée au plan national. Il vous est demandé de la relayer auprès des élus de vos départements, en signalant que cette alerte porte sur la probabilité d’un délestage mais, à ce stade, sans précision sur les zones géographiques concernées. Il est par ailleurs possible qu’une alerte à J-3 ne soit par la suite pas confirmée, en raison d’évolutions favorables.

La communication « grand public », sera alors principalement portée par les gestionnaires de réseau (RTE et ENEDIS), en coordination avec l’État.

L’information sur les éco-gestes, générant des économies d’énergie, est à amplifier, dès J-3, à destination de l’ensemble des acteurs et de l’ensemble de la population. Toute baisse de la consommation en jour J est susceptible de réduire la portée finale du délestage. C’est pourquoi il est essentiel de continuer à relayer les messages du Gouvernement en matière de sobriété électrique (Plan de sobriété et campagne « Chaque geste compte ») qui contribueront grandement à augmenter les marges de manœuvre du système électrique tout au long de l’hiver et de l’année 2023.

Un test national est prévu par Enedis et RTE le 9 décembre, auxquelles les préfectures seront associées sous forme d’exercice sur table.

III. La phase de mobilisation opérationnelle

A J-1 : RTE confirme définitivement le signal rouge sur Ecowatt

A 15h, RTE produira une première prévision de puissance à délester, chiffrée pour chaque « agence de conduite » régionale. Cette information sera transmise à ENEDIS, et visible sur EcoWatt. Il s’agira d’une information prévisionnelle, qui fera basculer en « rouge », indistinctement à ce stade, l’ensemble des départements de la zone géographique couverte par l’agence d’ENEDIS.

Vous pourrez donc, dès 15h, activer vos COD de sorte à ce qu’ils soient opérationnels, pour le cas où votre département serait confirmé à 17h comme partiellement délestable. De la même manière, l’activation d’une Cellule d’information du public (CIP) est recommandée, pour soulager le cas échéant les standards des préfectures qui pourraient être fortement sollicités.

Vers 17h, ENEDIS produira une première version de son plan de délestage, qui vous permettra de savoir si votre département est concerné. Le site « coupures-temporaires » d’ENEDIS (https://coupures-temporaires.enedis.fr) permettra alors d’informer le grand public sur les villes ou arrondissements concernés. La recherche d’une adresse précisera si celle-ci est concernée et indiquera l’heure précise de la coupure électrique. Le site EcoWatt renverra vers cette page d’information du site d’ENEDIS.

Dès cette confirmation, vos centres opérationnels départementaux devront être pleinement opérationnels.

La CIC sera parallèlement informée de la répartition précise des délestages et l’intégrera dans l’outil SIG SYNAPSE.

A 19h30, en cas de dégradation des prévisions sur la base d’une évaluation plus précise et actualisée, RTE procédera à une mise à jour des puissances et/ou des tranches horaires à délester. Ces éléments seront alors transmis à ENEDIS, qui fera à son tour une mise à jour de son plan initial de délestage.

A partir de 21h30, dans cette hypothèse de mise à jour du plan de délestage à la hausse, ENEDIS actualisera et diffusera les zones géographiques, la liste des communes et arrondissements concernés.

En complément, l’outil SIG SYNAPSE sera alimenté dans la soirée du J-1 par un ensemble de données, vous permettant de visualiser les zones précises qui feront l’objet d’un délestage. Les impacts sur le réseau télécom seront également visibles au travers de couches de données particulières mises à disposition. L’accès à cette cartographie devra respecter des règles de confidentialité qui vous seront précisées dans un message spécifique.

NB : RTE/ENEDIS ne modifieront pas leurs prévisions de délestages entre 21h30 et 6h du matin. Pour éviter la mise à disposition d’informations en évolution, les éventuels derniers ajustements ne seront visibles du grand public qu’à 6h du matin. Elles ne concerneraient qu’un éventuel allègement des délestages voire un évitement des coupures (en cas de prévision de délestage de faible puissance). SYNAPSE sera mis à jour après le traitement des nouvelles données au fur et à mesure de leur actualisation par ENEDIS.

IV. La phase de direction des opérations J-1, à partir de 17h

Si votre département est concerné, il vous appartiendra de centraliser les demandes d’informations et d’engager le travail sur la gestion du suivi de l’impact des coupures électriques. ENEDIS s’est engagé à assurer une présence physique dans chaque COD concerné.

Dès l’annonce d’une mesure de délestage programmée sur votre département, je vous demande de mettre en œuvre en priorité les mesures suivantes :

• Compléter l’information nationale par un dispositif adapté de communication de crise local. Dans ce cadre, une foire aux questions (FAQ) vous sera transmise pour vous permettre de répondre aux principales interrogations de nos concitoyens et de la presse. Des supports seront également mis à votre disposition pour accompagner vos efforts de pédagogie sur les réseaux sociaux notamment. Ce dispositif de communication territoriale en amont de la période de délestage est essentiel, et vous permettra de délivrer des consignes de sécurité élémentaire à destination de la population. En complément, vous déploierez votre propre dispositif de communication territoriale, adapté aux dispositions que vous mettrez en vigueur.

• Assurer l’information du conseil départemental, du conseil régional ainsi que les élus du département.

• Demander aux maires concernés d’activer une « cellule de crise » dans le cadre des PCS pour les communes qui en sont équipées, et de prévoir en mairie, ou dans des lieux prédéfinis en fonction de la taille de la commune et désignés aux populations, une présence physique en capacité de relayer l’alerte aux services de secours, de santé et de sécurité, pendant la durée du délestage et de la coupure éventuelle du réseau téléphonique.

• Les écoles se situant dans un secteur concerné par un délestage le matin n’accueilleront pas les enfants pour l’ensemble de la demi-journée. Une restauration adaptée à l’heure du déjeuner dans les écoles et établissements délestés demeure un objectif. Un travail local doit être mené avec les collectivités locales pour adapter les transports scolaires à ces situations.

• Il vous est demandé, dans les départements ou régions concernés, de mener sans délai un travail local avec les autorités organisatrices de transport, pour examiner les questions relatives aux transports guidés du quotidien. La capacité effective à faire circuler sur l’intégralité de leur parcours, pendant des horaires de délestage, des trains de banlieue, des métros ou des tramways doit être soigneusement vérifiée. Si des conditions nominales ne peuvent être garanties, leur circulation devra être arrêtée avant le début du délestage.

• Mettre en place, dans les zones délestées, une présence humaine de type « garde postée » dans l’ensemble des centres d’incendie et de secours, des brigades de gendarmerie et des postes de police afin d’être en capacité de réceptionner physiquement une demande de secours, les réseaux radio des forces de sécurité intérieure, du SAMU et des sapeurs-pompiers, exclus du délestage, permettant ensuite le déclenchement des moyens de secours.

• Mobiliser tout volontaire (associations agréées de sécurité civile, réserves communales, dispositifs de participation citoyenne) pour assurer une présence de proximité dans les communes. Mobiliser en complément l’association départementale de radioamateurs de sécurité civile.

• Les centres de réception des appels des numéros d’urgence nationaux sont résilients : les numéros d’appels d’urgence territoriaux de la gendarmerie nationale (17), de la police nationale (17), des sapeurs-pompiers (18), du SAMU (15), des urgences sociales (115) et du sauvetage maritime (196) sont en capacité de recevoir des appels, car secourus de manière autonome ou inscrits sur les listes d’usagers prioritaires. Vous veillerez à renforcer les centres opérationnels de réception des appels par des agents de liaison, afin de faciliter les échanges entre ces centres, et renforcer le nombre d’opérateurs de prise d’appels en particulier pour la plateforme départementale de réception des appels 112. Ces renforcements devront être effectués au moins 2h avant le délestage et jusqu’à minimum 2h après le délestage.

Le 112 devrait être moins impacté par les perturbations du réseau de téléphonie, en raison de son statut particulier qui lui permet d’être relayé par n’importe quel opérateur. Cependant, face aux perturbations pouvant affecter le réseau de téléphonie en zone délestée, il pourrait être impossible pour les usagers d’émettre des appels.

La cartographie fournie par les opérateurs et disponible sur SYNAPSE vous permettra d’identifier ces zones sans aucune couverture des appels urgents, y compris le 112. Dans cette configuration spécifique, il conviendra, en complément des mesures générales précédentes :

• D’encourager la population à assurer une présence aux côtés d’une personne âgée ou vulnérable, et, en cas de nécessité, rallier ou aider à rallier des points desservis par la téléphonie ou des sites d’accueil identifiés (brigades de gendarmerie, commissariat de police, centre de secours, mairies…) ;

• D’organiser la présence physique durant les périodes de délestage sur les emprises de services publics de secours et de sécurité (pompiers, police, gendarmerie, police municipale…) afin de prendre en compte une demande inopinée de secours d’urgence par un citoyen venant au contact ;

• De déployer physiquement sur le terrain des moyens permettant de maintenir une couverture radio dans les zones sans couverture (moyens satellitaires, dispositifs de l’ADRASEC, etc.).

Des fiches, détaillant, secteur par secteur (écoles, justice, transports routiers, chaîne du froid…) les mesures d’accompagnement prises au plan national et les actions nécessaires au niveau local vous seront communiquées et seront enrichies régulièrement.

V. Le dispositif de communication autour d’un éventuel plan national de délestage électrique programmé

Un dispositif de communication nationale est organisé sur la question des éventuels délestages.
Il s’articule en deux temps :

• Une communication grand public préventive et pédagogique, visant à sensibiliser en amont le grand public. Dans ce cadre, une foire aux questions vous sera transmise, permettant de répondre aux principales interrogations de nos concitoyens et de la presse. Des supports seront par ailleurs être mis à votre disposition pour accompagner vos efforts de pédagogie sur les réseaux sociaux notamment. Une communication spécifique sur le recours au numéro d’appel d’urgence 112, seul à même de capter les communications par les antennes-relais en fonctionnement, quel que soit l’opérateur, sera déployée.

• Une communication grand public en cas de délestage électrique, principalement portée par les gestionnaires de réseau (RTE et ENEDIS), en coordination avec l’Etat. En complément de ce dispositif national, vous organiserez la communication départementale à l’annonce de la période de difficultés d’approvisionnement en électricité. Ce dispositif de communication, comprenant des consignes élémentaires de sécurité, spécifiques et locales est essentiel, notamment dès le déclenchement d’un signal EcoWatt rouge, et jusqu’au seuil de déclenchement d’un éventuel délestage.

Vous rendrez compte à la CIC de la mise en œuvre de ces mesures.




Alexandre Havard : « On arrive à la fin des mensonges »

[Source : Epoch Times France]

D’origine française, russe et géorgienne, Alexandre Havard vit à Moscou depuis une quinzaine d’années. Diplômé en droit, il a exercé le métier d’avocat avant de se consacrer au développement du système du Leadership Vertueux : une approche du leadership fondée sur la science de la vertu élaborée par les anciens Grecs.

Lors de notre entretien, Alexandre Havard a évoqué les grands défis auxquels notre civilisation est confrontée, dépeignant une société peuplée d’êtres pusillanimes, esclaves de leurs désirs et de leurs passions, où la vertu, la transcendance et l’altruisme ont laissé place au relativisme, au consumérisme et à l’individualisme.

« Le principal problème est anthropologique, nous ne savons plus du tout ce qu’est l’Homme. Les principes de la nature humaine n’existent plus. C’est le subjectivisme, l’individualisme total à tous les niveaux. […] Il n’y a plus de ratio, plus de logos, plus de dialogue, plus de vérité objective. Il reste la sensiblerie, l’émotivité, la soif de pouvoir. »

« Les gens n’ont plus aucun point de référence, c’est la confusion la plus absolue. Dans l’idéologie libérale, on emploie des mots qui signifient exactement l’inverse. On vit le système orwellien. Chez Orwell, les gens ne se rendent même plus compte qu’ils sont dans un totalitarisme », ajoute-t-il.

Inspiré par la vie et les réflexions du dissident soviétique Alexandre Soljenitsyne, le fondateur du système du Leadership Vertueux est revenu sur le discours prononcé par l’écrivain russe à l’université de Harvard en 1978, dans lequel il fustige le déclin du courage parmi les intellectuels occidentaux et le rejet de toute spiritualité au profit d’une conception purement légaliste de la vie.

« La civilisation occidentale fait trop confiance au droit. On pense qu’avec le droit on peut régler tous les problèmes, parce qu’on règle le problème des institutions. Mais le droit ne règle pas le problème de l’Homme. Si, dans les institutions, on a des individus qui ne respectent pas les principes de la nature humaine, on aboutit à un totalitarisme masqué beaucoup plus dangereux qu’un totalitarisme démasqué », souligne A. Havard.

« Beaucoup de gens pensent qu’ils sont superbes, remarquables, démocrates, amoureux de l’Humanité, que ce sont de grands humanistes. Et le jour où ils sont face à eux-mêmes, ils se rendent compte que c’est une mascarade, que cela n’a rien à voir avec la vérité sur eux-mêmes. […]. Ils vont passer des moments terribles car c’est le temps de la vérité », poursuit-il.

« Toute cette façade juridique que l’on appelle la démocratie va bientôt s’effondrer complètement, et on verra la réalité de nos propres yeux. Cette réalité, c’est le chaos qui règne dans le cœur des gens parce qu’ils ont cessé d’être des Hommes. »

Selon lui, les temps troublés que nous vivons aujourd’hui sont pourtant une occasion de renouer avec notre nature profonde et d’élever notre conception de la vie.

« Tout peut arriver à n’importe quel moment et beaucoup plus rapidement qu’on ne le pense. Les choses les plus terribles peuvent nous arriver, mais il faut prendre cette réalité comme une occasion extraordinaire de grandeur, une occasion de développer les vertus et de faire un effort de transformation personnelle. C’est maintenant le moment d’agir. »

Et Alexandre Havard de conclure :

« La vie n’est pas une fin en soi. Il y a des idées, des réalités pour lesquelles ça vaut la peine de mourir. Il y a des choses qui sont au-dessus de la vie : la Vérité, le Bien, l’Amour, la Beauté. Ma vie n’a de sens que dans la mesure où elle est au service de ces choses qui sont au-dessus de moi. »

Retrouvez l’analyse intégrale d’Alexandre Havard dans la vidéo.

00:00 Introduction.
04:41 En quoi sommes-nous face à un bouleversement anthropologique ? Quels sont les principaux défis que nous sommes appelés à relever ?
10:47 Notre société est-elle toujours en quête de sens et de transcendance ?
13:57 Doit-on s’inquiéter du transhumanisme et des perspectives offertes par le développement des sciences et des techniques ?
17:08 En quoi les enseignements du passé peuvent-ils nous aider à surmonter les défis auxquels nous sommes confrontés ?
21:37 Que dit le développement de la « cancel culture » de l’évolution de notre société.
35:31 Quelle est l’essence du Leadership Vertueux ? En quoi favorise-t-il l’épanouissement individuel et collectif ? 49:24 Que peuvent nous apporter les vertus théologales ?
58:54 En quoi est-il important de faire un travail sur soi avant de vouloir transformer la société ?
1:04:31 Quelles sont les vertus des périodes de crise ? Sont-elles un moment nécessaire pour que chacun révèle sa nature profonde et élève sa conception de la vie ?





La rage de démembrer envoûte les marionnettes officielles de la Secte

Par Lucien SA Oulahbib

Comment les arrêter ? Des créatures grimaçantes, seringue à la main, courent, masquées, à votre gauche en agitant des chiffres biaisés (quel est le statut d’injecté ou non des personnes testées « positives », malades, mortes… ?) et des créatures hilares, hagardes, ciseau à censure à la main, ou avec couteau ou machette courent enturbannés (de façon invisible aussi) à votre droite…

Aiguille scientiste, muselière hygiéniste, ciseau à censure et couteau djihadiste s’entrelacent ainsi et forment drapeau,

celui de la Secte SHAA qui a donc ainsi et bel et bien ses assassins, ses docteurs Mengele et Moreau, et aussi ses défenseurs aux griffes (de luxe) acérées, appelés « journalistes », doublés, adoubés par des « vérificateurs » (y compris des centrales nucléaires…), nettoyeurs et orcs enveloppant façon Matrix l’ensemble de cette meute de drones cyberhumains en action…

Prenez d’abord comme exemples récents la pseudo loi sur « l’immigration » qui refuse de lier salaire et motivation pour les emplois en « tension », ou encore les recommandations de plus en plus pressantes sur la fausse protection injectable (alors que la grippe frappe bien plus fort ces semaines). Et que penser ensuite de la gabegie énergétique alimentée par des ensorceleuses et autres jeteurs de sorts qui continuent à nier l’abandon cynique du nucléaire (voir le dernier aveu de Dominique Voynet) au profit de l’éolien et solaire (même couplé au gaz devenu rarissime par ailleurs…), alors que cela ne marche tout simplement pas, et ce plus encore en hiver et avec un prix exorbitant montrant la soumission de la France à l’Allemagne en échange de son droit à s’endetter et à enrichir les marionnettes au pouvoir ?

Prenez maintenant tout cela ensemble, touillez, et vous assistez bel et bien à une avalanche, permanente, de non-sens, un démembrement effroyable et furieux, un déchaînement au cœur des neurones avec amoncellement de « vagues » (virus froid et crimes) sans vague à l’âme, celle-ci n’existant plus, vendue au diable par les Dorian Gray qui nous « gouvernent » (qui gèrent, mal en plus, ce démembrement).

« Ami entends-tu le vol noir des corbeaux sur nos plaines ? », ami vois-tu à nouveau ce vol qui reprend, certains corbeaux parlant de « main qui ne tremblera pas » à l’instar de celle du bourreau au moment de couper les têtes de pourtant innocents ?…

La muselière sanitaire ne sert à rien (même en salle d’opération tant les virus sont microscopiques), tant pis (Poutou « plus antilibéral que moi tu meurs » ne le sait même pas…), mais, politiquement, elle sert beaucoup (la preuve avec Poutou, voire Zemmour qui a défendu tout cela également — on l’a vu avec la muselière tout en défendant la piquouse). Et cette cécité sanitaire s’avère bien être un indicateur de soumission, d’adoration même. Les plus âgés votent Macron. Les moins âgés habitant en « métropole » aussi (ces centres de commandement multiforme : politique économique et culturelle), mais votent bien sûr Nupes d’abord. Puis tous, macronistes et mélenchonistes, les deux M, s’allieront toujours le temps d’un vote au second tour puisqu’ils ont objectivement le même agenda : démembrement de la France, de sa laïcité, de sa culture, de ses acquis civilisationnels, et de sa base ethnique…

Et puis, et « en même temps », maintenant que les animaux sont de plus en plus interdits dans les autres cirques, il s’avère que, comme dans la Planète des singes — les humains, surtout les blancs, étant assignés à les remplacer (déjà dans les télé-réalités) —, ces députés font aussi parties de ces nouveaux animaux fabriqués par ce Moyen-âge cybernétique : ils animent ainsi le cirque de la détestation simulée à l’Assemblée, quitte par exemple à sacrifier les soignants suspendus, comme se justifient les marionnettes de la Nupes — pour ne pas « mêler » leurs votes avec ceux de « l’extrême droite », pérorent-elles (le RN n’étant pourtant pas interdit et ayant même des députés (marionnettes))… 

Aussi, et au final, dans ce laboratoire géant qu’est devenue la Terre avec ses salles d’expérimentations spécialisées en Chine, en Europe, en France, « on » somme donc les rats humains, députés, académiciens, journalistes, intellectuels, artistes compris, à (se faire) « injecter » en permanence (mentalement, corporellement…) les « bons » comportements. Peu importe les effets indésirables (physiques et mentaux…). Ceci permet de « décaler » jusqu’à plus soif les choses du quotidien, ou (sur)vivre, sur mode SDF, chez soi, Les misérables en temps réel, Cosette, la petite fille aux allumettes comme horizon et non plus Barbie ou « Blanche » Neige…

Et il faut continuer à bombarder, et en permanence, tous ces rats humains avec les ondes du « dire-tout-et-son-contraire », continuer donc à mentir sur la crise énergétique et dénoncer ceux qui propageraient la « peur » comme le fait Emmanuel Macron, ne plus jamais parler de Minsk 2 et dénoncer Poutine, marteler que Fessenheim était trop « vieille » (alors qu’elle venait d’être remise à neuf, adoubée par l’Autorité nucléaire), et pourtant en appeler à la culpabilité, attaquer sans cesse Raoult et menacer maintenant de se « suicider » si on « les » embête encore, clament certains vérificateurs/nettoyeurs, inquiets et énervés de voir leur fromage de délation frelatée être de plus en plus dénoncé…

Mais « dénoncé » pour quoi faire au fond ? Dénoncer ce que tout le monde sait déjà ?… Ce que tout le monde (ou presque) accepte ?… Le tout dans un silence assourdissant ?… L’hypnose et l’envoûtement continuent… De plus belle. La preuve ? Même des organes de presse prétendus « alternatifs » n’invitent que ceux qui ne sont pas étiquetés « extrême-droite » par les médias de grand chemin…




France — Vous comprenez pourquoi ils veulent désarmer les Français ?

[Source : Ma France]




Chine — Machine arrière sur la politique sanitaire pour éviter la révolution ?

[Source : Le Grenier de l’éco] (Il y a neuf jours)

« Dans cette vidéo je vous parle de ce qu’il se passe en Chine à savoir les plus grosses protestations depuis les affrontements de la place Tian’amen et le bain de sang répressif qui avait suivi. Potentiellement, ce qui se passe en Chine peut déstabiliser le pouvoir en place, car là, la population ne comprend plus pourquoi elle est à ce point maltraitée par ses propres dirigeants. »

Charles Sannat


[Source : insolentiae.com]

Par Charles Sannat

Finalement contrairement à ce que titrait le Canard Enchaîné avec cet humour légendaire du palmipède, sur Xi Jinping qui ne ferait jamais « ma Chine arrière » et bien si !

Le président chinois est sans doute moins prétentieux que le grand timonier français et dispose finalement d’un sens de la survie.

C’est heureux pour le peuple chinois qui n’en pouvait plus des délires du 0 Covid.

La Chine annonce un assouplissement général des règles sanitaires contre le Covid-19 d’après le journal le Monde !

« La Chine abandonne son approche stricte de lutte contre le coronavirus après des manifestations historiques de colère à travers le pays. Alors que le quotidien de centaines de millions de Chinois continue d’être marqué par les contraintes sanitaires, la Chine a annoncé mercredi 7 décembre un assouplissement général des règles sanitaires contre le Covid, autorisant certains cas positifs à effectuer leur quarantaine à domicile.

Selon les nouvelles consignes « les personnes infectées asymptomatiques et les cas légers qui peuvent être isolés à domicile le seront de manière générale ». C’est un changement radical par rapport à la norme en vigueur depuis presque trois ans, qui exigeait que tout cas positif soit emmené dans un centre de quarantaine. Il ne sera plus nécessaire d’afficher un code de santé vert sur son téléphone pour accéder à la majorité des bâtiments publics.

Par ailleurs, le pays va « réduire davantage la portée des tests à l’acide nucléique et en réduire la fréquence », alors qu’il demandait jusque-là aux habitants de se tester plusieurs fois par semaine pour pouvoir accéder à tout lieu public. L’annonce de mercredi comprend aussi la limitation de l’ampleur du confinement aux étages d’appartements touchés et aux immeubles individuels, plutôt qu’à des quartiers.

Autre nouveauté : il sera désormais possible de voyager d’une province chinoise à l’autre sans avoir à présenter un test PCR négatif de moins de quarante-huit heures, et aucun test ne sera non plus exigé à l’arrivée. »

Il y a pourtant de plus en plus de cas de Covid en Chine… et ils ne manqueront pas de croître puisque nous en sommes déjà chez nous à la 9ème vague, alors les Chinois ont du retard de variants à rattraper !

Il suffira au gouvernement de Pékin de ne plus compter les cas et tout se passera bien.

Avec la coupe du monde retransmise en Chine où le parti faisait rajouter des masques informatiquement sur chaque visage, cela ne passait plus et la population en Chine comprenait bien que le monde entier vit désormais non masqué. La bonne nouvelle c’est que même en Chine la liberté avance. En Iran aussi.

Charles SANNAT

« Ceci est un article ‘presslib’, c’est-à-dire libre de reproduction en tout ou en partie à condition que le présent alinéa soit reproduit à sa suite. Insolentiae.com est le site sur lequel Charles Sannat s’exprime quotidiennement et livre un décryptage impertinent et sans concession de l’actualité économique. Merci de visiter mon site. Vous pouvez vous abonner gratuitement à la lettre d’information quotidienne sur www.insolentiae.com. »

Source Le Monde.fr ici




Japon — Le Pr Fukushima fustige les responsables de la gestion de la crise sanitaire

[Source : LLP]

Ce n’est certainement pas une critique gratuite mais il est intéressant de constater ici à quel point ce soignant japonais, le Pr Fukushima, crie, il gueule pour se faire entendre face à un ministère de la santé totalement incompétent et inactif car la situation sanitaire est dramatique dans son pays suite aux vaccinations massives d’ARN messager anti Covid-19. Nous avons clairement l’impression qu’en France, même les soignants les plus éveillés, ne se rendent pas compte de l’extrême gravité de la situation.

Ce que l’on peut retenir de cette vidéo c’est le fait que le Professeur Fukushima demande à ses interlocuteurs de se baser systématiquement sur les faits réels, l’état clinique, la situation des malades et certainement pas sur tous les documents officiels falsifiés, trafiqués depuis le début de la crise sanitaire.




Gisèle Picard, 83 ans, ex-prisonnière politique

[Source : tribunaldelinfaux.com]

Par Julie Levesque

Infirmière au Japon durant la guerre du Vietnam, prisonnière politique durant la tyrannie covidienne, Gisèle Picard, 83 ans, est bien connue des militants anti-mesures. Complice de François Amalega dans les manifestations contre le couvre-feu, Gisèle a préféré passer une nuit en prison pour défendre ses convictions, même si les policiers lui ont donné le choix d’aller à l’hôtel :

« Je leur ai demandé s’ils payaient ma nuit. Ils m’ont dit non, alors je leur ai dit emmenez-moi en prison ! »

[Voir aussi :
Dissidence au Québec — François Amalega, héros de la résistance
Le Guerrier Pacifique, François Amalega, préfère mourir que de se soumettre à un gouvernement tyrannique qui émet des décrets liberticides]

Apportez-lui votre support moral lors de son procès le 8 décembre au 25 Lafayette à Longueuil à 9h30.

[Sous forme audio :]

Un gros merci à ceux qui appuient mon travail en le partageant ou en faisant un don!

Virement Interac : tribunaldelinfaux@gmail.com (réponse: tribunal)

Stripe : https://buy.stripe.com/8wMbKy3i26CM6cw7ss

Où me trouver :

https://linktr.ee/julielevesque




L’anthropologue Jean-Dominique Michel parle du totalitarisme et de l’influence de Bill Gates sur les États

[Source : Le Courrier des Stratèges]

Interview de Jean-Dominique Michel sur la folie covidienne… L’occasion d’évoquer de nombreux sujets, comme le rôle de Bill Gates ou de la Chine dans la définition de la politique occidentale.




Belgique — La propagande transgenre dès la maternelle : le cri d’alarme d’une pédopsychiatre

[Source : medias-presse.info]

En Belgique francophone, la nouvelle version du guide EVRAS, « guide d’Education à la Vie Relationnelle, Affective et Sexuelle », utilisé dès les classes maternelles, suscite de nombreuses inquiétudes parmi les parents après les mises en garde de plusieurs pédopsychiatres qui estiment que certains passages sont « inadéquats », voire « dangereux » pour les jeunes enfants.

Le nouveau guide a été rédigé par l’ASBL O’YES, obsédée par les questions sexuelles, et la très maçonnique Fédération laïque des centres de planning familial.

Sophie Dechêne, pédopsychiatre spécialiste de la petite enfance, annonce d’emblée que plusieurs parties de ce manuel « répondent à des questions que les enfants ne se posent pas ».

Ainsi, lorsque ce manuel traite de l’identité sexuelle :

Dès 5 ans, prendre conscience que son identité de genre peut correspondre ou ne pas correspondre à celle assignée à la naissance. Dès 9 ans, âge où se produit la grande partie du développement pour les corps mâles et les corps femelles, la notion de transgenre apparaît. Il s’agit d’informer l’enfant sur la possibilité de prendre des hormones ou de recourir à des opérations chirurgicales.

Sophie Dechêne met en garde :

« Il y a évidemment un risque d’intrusion psychique chez l’enfant qui est potentiellement traumatique avec un risque de conséquences sur la santé mentale au long terme et même sur la vie sexuelle d’adulte ».

Le guide prévoit aussi de sensibiliser l’enfant, dès 9 ans, à la liberté de choisir son, sa ou ses partenaires. Et toujours à 9 ans, reconnaître que les partages de sextos ou de photos de nudes peuvent être excitants et être source de plaisir. Se sentir ainsi libre d’en envoyer dans le consentement.

« C’est tout à fait inadmissible. Cela doit être revu et corrigé. Un enfant de 9 à 11 ans ne doit pas faire de sexto, et s’il en fait un, c’est que quelque chose ne tourne pas rond dans sa vie quotidienne et il faut consulter », souligne Sophie Dechêne.




La collusion de l’État, des médias et de BigTech a un nom. Serait-ce “fascisme” ?

[Source : h16free.com]

[NDLR À propos de la question soulevée dans le titre, voir aussi :
Le vrai fascisme : nous y sommes en plein dedans !]

Si l’on regarde la presse de grand chemin, la semaine écoulée fut parcourue des mêmes atermoiements énergétiques que d’habitude, des sempiternelles pleurnicheries politiques et sociales que la France connaît depuis trop longtemps et qui l’engluent dans un surplace maintenant problématique. En revanche, du point de vue des réseaux sociaux, la même semaine fut au contraire riche d’enseignements…

Si l’on suit un peu l’actualité balayée par un Twitter décidément très différent de ce qu’il fut il y a encore un mois, difficile de voir un lien avec les niaiseries assommantes et les sujets volontairement distractifs que la presse de grand chemin continue de traiter. L’écart entre le réseau social de Musk et la presse étatique subventionnée est très troublant.

Comment ne pas voir la gourmandise presque obscène avec laquelle cette presse grand public s’est jetée sur les discours délirants d’une starlette hollywoodienne dont les saillies antisémites laissent perplexe, et l’absence totale, résolue et franchement inquiétante de tout traitement des révélations contenues dans les e-mails du Dr Fauci ?

Pour rappel, Anthony Fauci est le directeur de l’Institut national des allergies et maladies infectieuses aux États-Unis et fut le responsable de la réponse gouvernementale américaine à la récente pandémie, de février 2020 jusqu’à décembre 2022, mois où il prend (commodément) sa retraite. Or, le Fauci en question accumule ce qui ressemble à des mensonges sur sa façon de gérer la crise en question, les protocoles en place, et surtout l’origine du virus. Les e-mails qui viennent d’être publiés montrent maintenant sans l’ombre d’un doute que le virus sort bien du laboratoire de Wuhan et qu’il est le résultat de manipulations génétiques (gains de fonction) en partie financés par l’institut de Fauci lui-même.

[NDLR Concernant l’hypothèse du virus manipulé en laboratoire, voir :
C’est l’heure du conte « Gain de Fiction »* avec RFK Jr. et ses amis !]

Dans ce cadre, les déclarations lunaires de Kanye West tombent à pic. Elles agitent la sphère politique, jettent de l’huile sur le feu de tensions raciales toujours présentes aux US, et font rapidement oublier le désastre de l’administration de la Santé au sujet du coronavirus. Bonus additionnel : plus personne ne semble vouloir parler de l’affaire Balenciaga, éventée sur Twitter encore, qui révélait pourtant l’appétit étrange de la marque pour la pédophilie, maintenant présenté comme une malencontreuse erreur de casting photographique. Et même si, d’habitude, absolument rien dans ce genre de photos publicitaires haut de gamme n’est laissé au hasard, même si l’accord final pour la publication des clichés n’est jamais le fruit d’une personne unique, tout le monde dans la presse de grand chemin semble vouloir croire à des choix infortunés.

Pratique.

On devra s’interroger sur le fait que ces révélations majeures (e-mails de Fauci, pédophilie dans une grande marque de mode) ont été complètement minimisée par toute la presse occidentale. On pourra s’interroger aussi, encore plus fermement, sur l’absence de tout traitement des révélations contenues dans les “Twitter Files” qu’Elon Musk a fait paraître vendredi dernier.

Ces “Twitter Files” – dont on pourra apprécier une partie du contenu en français ici – établissent sans l’ombre d’un doute que la plateforme maintenant possession d’Elon Musk, a utilisé tout son poids pour influencer la campagne électorale et l’élection présidentielle américaine en 2020. Pire : recevant des demandes de certains membres (démocrates) du Congrès et du Parti Démocrate, et ayant été démarchée par le FBI quelques semaines auparavant pour s’assurer qu’aucune “désinformation” ne serait diffusée, la plateforme s’est empressée de censurer et faire disparaître certaines informations compromettantes pour la campagne de Joe Biden, à commencer par ce qui concernait l’ordinateur portable de son fils Hunter dont le contenu, relaté par le New-York Post, fut rapidement (mais faussement) attribué à de la propagande russe et donc banni de toute discussion sur Twitter puis l’ensemble des réseaux sociaux occidentaux.

Depuis, on sait que l’ordinateur appartenait bien à Hunter, qu’il n’y avait pas plus de désinformation russe que de beurre en broche, et les preuves s’accumulent à présent montrant que le fils de Joe Biden a largement profité de la position de son père sous l’administration Obama pour des gains personnels, du trafic et du recel de trafic d’influence, des détournements de fonds et plus encore comme en témoigne l’impressionnant dossier Marco Polo dont ces lignes avaient déjà parlé précédemment.

Comme il se doit, la presse grand public n’évoque quasiment pas le sujet : tout ce qui pourrait nuire à Biden ne mérite même pas un entrefilet et surtout si cela revient à montrer sa totale collusion avec l’appareil d’État. La façon dont elle réagit actuellement en dit long sur ce qui la préoccupe ; les célébrités, les politiciens et les journalistes qui s’agitent autour de la liberté d’expression revenue sur Twitter en disent beaucoup plus long sur eux-mêmes que sur Twitter. Aucun d’entre eux n’est plus dans le camp de la raison, de la paix et de la liberté d’expression, mais tous se situent bien plus clairement dans celui de l’émotion brute, du conflit et de la censure.

La réaction récente de l’Union Européenne vis-à-vis de Musk et de Twitter illustre fort bien ce dernier point : en réclamant un retour d’une modération ferme établie selon les règles arbitraires de la Commission, les autorités européennes montrent assez bien où elles se situent dans le théâtre actuel et ce n’est vraiment pas du bon côté de l’Histoire.

À présent qu’est clairement établi, sans le moindre doute, que Twitter, tout en prétendant jouer de neutralité, faisait en réalité de la censure de contenu sur ordre d’un parti politique, on ne peut qu’imaginer ce qui se passait, au même moment, sur Facebook ou d’autres réseaux, et au sein d’autres entreprises comme Google ou Apple. Il sera impossible, à présent, de croire qu’il n’y avait pas de collusion globale de ces BigTech avec l’establishment de gauche américaine, et plus largement occidentale tant on retrouve les mêmes problématiques des deux côtés de l’Atlantique.

Avec ces Twitter Files, il est maintenant prouvé que l’État et les BigTech ont clairement agi de concert, se sont coordonnés pour étouffer tout discours différent de l’officiel, pour écraser et effacer toute opinion dissidente dans plusieurs grands sujets politiques, depuis l’élection 2020 aux États-Unis jusqu’à l’origine du virus du covid, en passant par l’efficacité et l’innocuité de plus en plus évasives des vaccins.

[NDLR Concernant l’hypothèse d’une nouvelle maladie baptisée Covid-19 soit due à un supposé nouveau « virus » (lui-même trafiqué ou non), voir aussi :
La virologie : pseudoscience au service de la domination
Le docteur Julien Devilléger nous présente une synthèse qui expose des preuves : Le « Virus SARS-CoV-2 » est-il responsable du COVID-19 ?
Le Covid à travers la théorie des germes, 150 ans d’escroquerie scientifique sur les virus ?
Coronavirus — La stratégie utilisée : celle du cheval de Troie
Preuve d’un lien entre la Covid-19 et l’exposition aux rayonnements radiofréquences des communications sans fil, y compris la 5G]

On pourra se demander s’il existe un mot pour une forme de gouvernement dans laquelle l’État fait plier les intérêts des entreprises privées vers les siens. Ah mais, sapristi, oui, bien sûr ! Il s’agit de fascisme !

« FASCISME
Vous pensez vraiment que ce sera si évident ? »