Sous le signe de Baal : Eustace Mullins et le culte noir des vaccins

Par Nicolas Bonnal

La crise actuelle aura permis à un certain nombre de gens jusque-là distraits de comprendre que le monde moderne (et postmoderne) n’est qu’un techno-fascisme au service des oligarchies marchandes, elles-mêmes tenues par des réseaux sataniques. Un des auteurs américains les plus importants reste bien sûr Eustace Mullins. La conspiration en ce moment est si énorme, ramifiée et compliquée qu’elle en devient folle. Rationaliste et marxiste, Debord se demandait pourtant qui diable pouvait gouverner en démocratie ; nous aussi.

Dans son livre Meurtre par injection, bien traduit par le courageux Aladin Belarbi, Mullins s’en prend à toute la monstrueuse médecine moderne qui montre en ce moment son visage totalitaire et assassin ; je vais reprendre ce qu’il écrit sur les vaccins :

« L’un des rares médecins à avoir osé s’élever contre le monopole médical, le Dr Robert Mendelssohn, en accentuant sa position contre la médecine moderne la définissait comme une église aux quatre eaux bénites. La première d’entre elles, la “Vaccination”. Le Dr Mendelsohn l’avait qualifiée de “sécurité douteuse”. Cependant, d’autres médecins ont été plus explicites. »

Mullins fait le lien avec le chevalier « chloros » de l’apocalypse. Il ne faut pas avoir peur de recourir aux symboles, car nos monstres au pouvoir y ont tout le temps recours (cf. la chouette à Macron, voyez vigilantcitizen.com [ou Macron et son hibou]). Mullins donc :

« De ces quatre éléments, que l’on pourrait aussi appeler les Quatre Cavaliers de l’apocalypse; surtout connus pour causer la mort et la destruction dans leur sillage et dont le plus pernicieux avec ses effets à long terme serait sans aucun doute la vaccination. Cette pratique va directement à l’encontre de la découverte des experts médicaux holistiques modernes que le corps à une défense immunitaire naturelle contre la maladie. »

Le vaccin est un sacrement au service des puissances :

« La religion de la médecine moderne prétend que l’unique absolution contre le péril de l’infection est dispensée par l’eau bénite de la vaccination. Donc en injectant dans le système biologique une infection étrangère qui fera alors un miracle médical et conférera une immunité à vie, d’où le terme “immunisation”. La plus grande hérésie qu’un médecin puisse commettre est d’exprimer publiquement tout doute sur l’une des quatre eaux saintes, mais la plus profondément ancrée dans la pratique médicale moderne est sans nul doute cette multitude de programmes de vaccination. »

L’obligation n’est pas venue avec le coronavirus ou autre ; elle a toujours été là :

« Pourtant, dans l’État de Virginie, et dans beaucoup d’autres États, les parents sont obligés de faire vacciner leurs enfants par la profession médicale qui se fait payer pour ce service, mais en fait également des clients et patients potentiels et assure son avenir. L’écrivain se souvient bien des années vingt, alors écolier en Virginie, où pendant des semaines alors qu’aucune obligation de vaccination ne soit ordonnée par les autorités, chaque matin, l’enseignant commençait les cours en demandant : “Clarence, as-tu apporté ton certificat de vaccination aujourd’hui ?” Apparemment, il s’agissait là de la plus urgente question du système éducatif, ayant priorité sur les questions telles que les leçons et les études. »

Et Mullins alors évoque justement le culte de Baal (au culte duquel nous fûmes initiés moi et les enfants de mon âge par la télévision gaulliste) :

« Dans mon livre “La malédiction du Canaan”, j’ai écrit sur le rite du sacrifice d’enfant comme une pratique qui semble avoir pris fin avec la destruction du culte de Baal il y a environ cinq mille ans. Malheureusement, le culte de Baal semble être fermement ancré dans l’établissement actuel qui est souvent connu sous le nom risible, de la Fraternité De La Mort. Il est troublant de voir à quel point le système éducatif s’empresse d’accepter chaque nouvelle agression envers nos petits écoliers, tout en se moquant de toute mention de moralité ou de religion, ceci fait bien sûr en endoctrinant solennellement les enfants de six ans dans les avantages d’un “style de vie alternatif” dans leurs préférences sexuelles. »

L’obsession pédophile et sacrificielle est déjà là :

« L’objectif actuel de l’Association Nationale de L’Éducation semble plutôt être la distribution à l’école de préservatifs par les enseignants, que le démarrage des activités de la journée.

L’urgence de ma vaccination n’était pas qu’il y ait une épidémie dans ma ville, Roanoke, ni pour dans les soixante années à venir. L’urgence était qu’aucun enfant ne soit épargné par le sacerdoce du culte de Baal, on n’échappe pas au sacrifice sur l’autel des pédophiles. »

Puis Mullins s’intéresse aux nombreuses, aux innombrables même morts inexplicables :

« Ces dernières années, de nombreux hommes et femmes dans la fleur de l’âge sont morts subitement, souvent après avoir assisté à une fête ou un banquet. Je suis convaincu qu’environ 80% de ces décès sont dus à l’inoculation ou à la vaccination qu’ils ont subie; qui sont bien connues pour causer des maladies cardiaques graves et permanentes. Les médecins légistes les qualifient toujours de “mort naturelle”. Un tel avertissement est toutefois inexistant dans les livres médicaux, dussent-ils être académiques ou populaires. »

Mullins écrit même :

« Le Dr Clarke n’a jamais vu de cas de cancer chez une personne non vaccinée. »

Parlant du Sida, Mullins écrit :

« Le monopole médical cherche désespérément une sorte de “vaccination’’ contre ces fléaux, et finira sans aucun doute par concocter un “vaccin plus redoutable que la maladie elle-même’’. Depuis le début, nos experts médicaux les plus éminents nous ont fièrement informés que le SIDA est incurable, ce qui n’est guère l’approche que nous attendons de ceux qui exigent que nous acceptions leur infaillibilité en tout ce qui touche à la médecine. »

La pratique de la vaccination est déjà un danger universel il y a cinquante ans :

« …le Dr J. M. Peebles de San Francisco, a écrit un livre sur le vaccin, dans lequel il dit : ”La pratique de la vaccination, imposée en toutes occasions par la profession médicale avec la connivence politique et rendue obligatoire par l’État, est devenue non seulement la principale menace et le plus grand danger pour la santé de la génération montante, mais aussi l’outrage suprême aux libertés personnelles des américains ; la vaccination obligatoire, empoisonnant la circulation sanguine avec de la lymphe brute sous prétexte qu’elle empêcherait la variole, a été une page des plus sombres du siècle dernier. »

Et l’on découvre que l’on préfère déjà les porcs aux humains :

« Tout à coup, d’Atlanta, est venu le plan du CDC pour une campagne nationale de vaccination contre la “grippe porcine”. Le fait qu’il n’y ait pas eu un seul cas connu de cette grippe n’a pas dissuadé Big Pharma de suivre le plan. Les éleveurs de porcs avaient été choqués par les démonstrations du vaccin sur quelques porcs, qui s’effondraient et mourraient. On peut aisément imaginer l’angoisse de Big Pharma jusqu’à ce qu’un jeune homme brillant remarque: “Eh bien, si les éleveurs de porcs refusent de l’injecter à leur bétail, notre unique marché restant est de l’injecter aux humains. »

Retour sur la grippe espagnole :

« En conséquence, les hôpitaux militaires ont été remplis, non pas de blessés de combat, mais de victimes du vaccin. L’épidémie s’appelait “la grippe espagnole”, une appellation délibérément trompeuse, qui visait à dissimuler son origine.

Cette épidémie de grippe a fait vingt millions de victimes; ceux qui ont survécu étaient ceux qui avaient refusé le vaccin. »

Et on ne parlera ni de la variole ni de la polio… Je vous laisse découvrir ce livre extraordinaire.

Sources




Hôpital St Jacques, Besançon : Des soignants brûlent leur diplôme et jettent leur blouse pour protester contre les mesures sanitaires

[Source : Aphadolie]

Le 26 août 2021, devant l’hôpital St-Jacques à Besançon, des soignants révoltés ont organisé une action contre le Pass sanitaire pour accéder à l’hôpital ainsi que la vaccination obligatoire. « On ne pensait pas que ça allait finir comme ça », s’exclame une des soignantes en déchirant son diplôme.

Des soignants brûlent leur diplôme et jettent leur blouse pour protester contre les mesures sanitaires



Des soignants continuent de se mobiliser contre le Pass sanitaire et la vaccination obligatoire. 120 personnes se sont rassemblées devant l’hôpital Saint-Jacques, ce jeudi, après l’appel à manifester des syndicats FO, FSU et Sud.

Des infirmières ont ensuite brûlé des diplômes et jeté leur blouse, en symbole.

Une introduction orale avant l’action

Un communiqué commun à trois syndicats (Force ouvrière, Fédération syndicale unitaire et Sud solidaire) a été lu en début d’évènement pour situer leurs prises de positions actuelles dont voici quelques extraits :

« Les participants et participantes sont invitées à apporter un objet emblématique de leur travail méprisé. (…) blouse, équipement de protection, copie de diplôme etc. (…)  Le gouvernement par la loi du 6 août 2021 instrumentalise la crise sanitaire pour attaquer à nouveau le droit du travail. Des dizaines de salariés ayant pourtant fait la preuve de leur dévouement et de leur efficacité il y a peu, contraints et contraintes d’aller au travail sans protection, ont été parfois réquisitionnés malgré leur positivité. (…) se voient maintenant menacés de privation de salaire, de rupture de contrat de travail si elles ou ils refusent le vaccin.

Le gouvernement instrumentalise la crise pour organiser un contrôle et une surveillance généralisée sur la population et diviser la population entre vaccinés et non-vaccinés. Il instrumentalise la crise pour empêcher l’accès aux soins d’un certain nombre de malades ne disposant pas du précieux pass sanitaire. Ne reculant devant aucune remise en cause des droits des salariés, le gouvernement attaque le droit de grève.

Le jeudi 5 août, le ministre de la Santé a déclaré devant la presse lors d’une visite au centre hospitalier d’Aix-en-Provence : “Vient un temps où ces personnes n’auront plus le loisir de faire grève, puisque par définition, cette obligation vaccinale s’appliquera”. (…) En même temps la casse de l’hôpital public continue : suppression des lits, des postes, réorganisation ubuesque des services ».

Des soignants et des patients à protéger

Nous avons pu entrer en contact avec Ludivine Vinel, secrétaire générale de Force ouvrière au CHU de Besançon, qui a lancé le préavis de grève illimitée le 6 août 2021 et qui a organisé l’action du 6 août :

« Je suis indignée par le fait qu’on puisse suspendre mes collègues comme des malpropres, après les deux années particulièrement difficiles que nous venons de vivre. Je suis moi-même vaccinée depuis février, mais à cette époque, on avait la liberté de choisir. Comment ferons-nous sans mes collègues quand auront lieu les prochaines vagues épidémiques automnales et hivernales ? Et même hors période épidémique ! Ils sont essentiels. Vous rendez-vous compte qu’au CHU de Besançon, depuis octobre 2020, il n’y a plus de services de suites et de réadaptation ? Plus de vingt patients ont dû être redirigés ailleurs depuis, faute de médecin ! Et comment peut-on refuser l’accès aux soins à des patients qui n’auraient pas de Pass sanitaire ? C’est intolérable. C’est pour ces raisons que notre syndicat a lancé un préavis de grève illimitée dans le Doubs à compter du 9 août 2021, aux côtés de FSU et Sud Solidaire ».

Une force grandissante

Cette action n’est pas la première et ne sera sans doute pas la dernière, même si certains soignants militants sont actuellement réprimandés, convoqués ou menacés d’être suspendus pour leurs idées. Maria Cloarec, infirmière et membre du collectif soignants du département 05, nous explique que la première a eu lieu le 5 août 2021 à Briançon, qui a été suivie par Digne-les-Bains et Montélimar. Quant à Besançon, une autre action a été annoncée pour le 2 septembre 2021 devant l’espace Mandela pour protester contre le Pass sanitaire dans les lieux culturels et pour soutenir le personnel vacataire précaire qui risquent de perdre leur emploi, quelques jours après la manifestation du samedi 28 août Place de la Libération contre les mesures sanitaires actuelles.

Mobilisation devant l’hôpital St Jacques contre le Pass sanitaire à Besançon



Dans la continuité des actions proposées par l’Intersyndicale (FO 25, FSU25, Solidaires 25).

Les participants sont invités à apporter un objet de leur travail méprisé qui sera brûlé : blouse, équipement de protection, copie de diplôme, etc…


sources :

• nexus.fr/soignants-brulent
• 25.force-ouvriere.org/tous-ensemble-le-lundi-09-aout-a-16-h-30-sur-le-parvis-du-chru-de-besancon
• francebleu.fr/120-personnes-rassemblees-devant-l-hopital-saint-jacques-pour-protester-contre-le-pass-sanitaire




Selon Maître Carlo Brusa, les injections anti-Covid en France sont totalement illégales

[Source : Réaction19 (reaction19.fr)]




Lettre ouverte adressée à l’Agence européenne des médicaments (EMA) et à son équivalent anglais (MHRA) par des survivants de l’Holocauste et certains de leurs descendants

[Source : Truth11.com]

Open letter addressed to the European Medicines Agency (EMA) and its English equivalent (MHRA) by Holocaust survivors and some of their descendants.(([1] Holocaust survivors send open letter to the MHRA demanding an end to the Covid-19 Vaccine roll-out because they are seeing another Holocaust unfold before their eyes | Truth11.com))

Lettre ouverte adressée à l’Agence européenne des médicaments (EMA) et à son équivalent anglais (MHRA) par des survivants de l’Holocauste et certains de leurs descendants


August 25, 2021

Mesdames et Messieurs,

Nous, les survivants des atrocités commises contre l’humanité pendant la Seconde Guerre mondiale, nous sentons tenus de suivre notre conscience et d’écrire cette lettre.

Il est évident pour nous qu’un autre holocauste de plus grande ampleur se déroule sous nos yeux. La majorité de la population mondiale ne réalise pas encore ce qui se passe, car l’ampleur d’un crime organisé comme celui-ci dépasse leur champ d’expérience. Nous savons pourtant. On se souvient du nom de Josef Mengele. Certains d’entre nous ont des souvenirs personnels. Nous vivons un déjà-vu si horrible que nous nous levons pour protéger nos pauvres frères humains. Les innocents menacés comprennent désormais des enfants, et même des nourrissons.

En seulement quatre mois, les vaccins COVID-19 ont tué plus de personnes que tous les vaccins disponibles combinés de mi-1997 à fin 2013 — une période de 15,5 ans. Et les personnes les plus touchées ont entre 18 et 64 ans — le groupe qui ne figurait pas dans les statistiques Covid.

Nous vous demandons d’arrêter immédiatement cette expérience médicale impie sur l’humanité.

Ce que vous appelez « vaccination » contre le SRAS-CoV-2 est en réalité un empiétement blasphématoire sur la nature. Jamais auparavant la vaccination de la planète entière n’avait été réalisée en délivrant un ARNm synthétique dans le corps humain.

C’est une expérience médicale à laquelle le Code de Nuremberg doit être appliqué.

Les 10 principes éthiques de ce document représentent un code d’éthique médicale fondamental qui a été formulé lors du procès des médecins de Nuremberg pour garantir que les êtres humains ne seront plus jamais soumis à des expérimentations et procédures médicales involontaires.

Principe 1 du Codex de Nuremberg :

(a) « Le consentement volontaire du sujet humain est absolument essentiel. Cela signifie que la personne concernée doit avoir la capacité juridique de donner son consentement ; doit être situé de manière à pouvoir exercer le libre choix, sans l’intervention d’aucun élément de force, de fraude, de tromperie, de contrainte, d’excès ou de toute autre forme ultérieure de contrainte ou de coercition ; et devrait avoir une connaissance et une compréhension suffisantes des éléments du sujet en cause pour lui permettre de prendre une décision éclairée et éclairée.

(b) Ce dernier élément exige qu’avant l’acceptation d’une décision affirmative par le sujet expérimental, il lui soit fait connaître la nature, la durée et le but de l’expérience ; la méthode et les moyens par lesquels elle doit être menée ; tous les inconvénients et dangers raisonnablement prévisibles ; et les effets sur sa santé ou sa personne qui peuvent éventuellement provenir de sa participation à l’expérience.

(c) Le devoir et la responsabilité de vérifier la qualité du consentement incombent à chaque individu qui initie, dirige ou s’engage dans l’expérience. C’est un devoir et une responsabilité personnels qui ne peuvent être délégués à autrui en toute impunité.

Remarque pour (a) : Il n’est pas question d’une décision libre. Les médias de masse répandent la peur et la panique et utilisent la règle de la propagande de Goebbels en répétant des contrevérités jusqu’à ce qu’on les croie. Depuis des semaines, ils appellent à l’ostracisme des non-vaccinés. S’il y a 80 ans c’étaient les juifs qui étaient diabolisés comme des propagateurs de maladies infectieuses, aujourd’hui ce sont les non-vaccinés qui sont accusés de propager le virus. Intégrité physique, liberté de voyager, liberté de travailler, toute coexistence a été enlevée aux gens pour leur imposer la vaccination. Les enfants sont incités à se faire vacciner contre le jugement de leurs parents.

Remarque pour (b): Les 22 effets secondaires terribles déjà énumérés dans l’autorisation d’utilisation d’urgence de la FDA n’ont pas été divulgués aux sujets de l’essai expérimental. Nous les énumérons ci-dessous au profit du public mondial.

Par définition, il n’y a jamais eu de consentement éclairé.

En attendant, des milliers d’effets secondaires enregistrés dans de nombreuses bases de données sont enregistrés. Alors que les soi-disant numéros de cas sont bipés à des intervalles de 30 minutes par tous les médias, il n’y a aucune mention des effets secondaires indésirables graves, ni comment et où les effets secondaires doivent être signalés. Pour autant que nous le sachions, même les dommages enregistrés ont été supprimés à grande échelle dans chaque base de données.

Le principe 6 du Code de Nuremberg exige : « Le degré de risque à prendre ne doit jamais dépasser celui déterminé par l’importance humanitaire du problème à résoudre par l’expérimentation ».

La « vaccination » contre le Covid s’est avérée plus dangereuse que le Covid pour environ 99 % de tous les humains.

Comme l’a documenté Johns Hopkins, dans une étude portant sur 48 000 enfants, les enfants ne courent aucun risque de contracter le virus. Vos propres données montrent que les enfants qui ne sont pas exposés au virus ont eu des crises cardiaques après la vaccination ; plus de 15 000 ont subi des événements indésirables, dont plus de 900 événements graves. Au moins 16 adolescents sont décédés suite à la vaccination aux États-Unis. Comme vous le savez, à peine 1 % environ sont signalés. Et les chiffres augmentent rapidement au moment où nous écrivons. Avec vos connaissances.

Principe 10 du Code : « Au cours de l’expérience, le scientifique responsable doit être prêt à mettre fin à l’expérience à tout moment, s’il a des raisons probables de croire, dans l’exercice de la bonne foi, d’une compétence supérieure et d’un jugement prudent exigé de lui, que la poursuite de l’expérience est susceptible d’entraîner des blessures, une invalidité ou la mort du sujet expérimental.

Environ 52 % de la population mondiale aurait reçu au moins une injection.

La divulgation honnête du nombre réel de « vaccinés » blessés, en phase terminale et décédés dans le monde se fait attendre depuis longtemps. Ce sont des millions en attendant. Fournissez-nous maintenant le nombre réel de victimes du vaccin Covid.

Combien suffiront à éveiller votre conscience ?

Liste des effets indésirables connus de la FDA avant l’approbation d’urgence

  1. Syndrome de Guillain-Barré
  2. Encéphalomyélite aiguë disséminée
  3. Myélite transverse
  4. Encéphalite/encéphalomyélite/méningo-encéphalite/méningite/encéphalopathie
  5. Convulsions/convulsions
  6. AVC
  7. Narcolepsie et cataplexie
  8. Anaphylaxie
  9. Infraction aiguë du myocarde
  10. Myocardite/péricardite
  11. Maladie auto-immune
  12. Décès
  13. Grossesse et issues de la naissance
  14. Autres maladies démyélinisantes aiguës
  15. Réactions allergiques non anaphylactiques
  16. Thrombocytopénie
  17. Coagulation intravasculaire disséminée
  18. Thrombo-embolie veineuse
  19. Arthrite et arthralgie/douleurs articulaires
  20. Maladie de Kawasaki
  21. Syndrome inflammatoire multisystémique chez les ENFANTS
  22. Maladie renforcée par le vaccin.

Signé

Survivants des camps de concentration, leurs fils, filles et petits-enfants, y compris les personnes de bonne volonté et de conscience.




Un message de Robert F. Kennedy, Jr. un an après le rassemblement historique de Berlin : « L’heure est à la désobéissance civile (pacifique) ! »

[Source : Children’s Health Defense Europe (childrenshealthdefense.eu)]



Robert F. Kennedy Jr. explique dans cette vidéo récente pourquoi nous devons tous nous mobiliser maintenant et résister par la désobéissance civile pacifique.

Maintenant que la FDA a « approuvé » le vaccin Covid de Pfizer, de nombreuses questions restent sans réponse.
Comme de nombreuses études nous le montrent, le vaccin ne présente aucun avantage en terme de mortalité toute cause confondue.

Le vaccin n’a pas d’impact positif sur la mortalité globale et il met en danger les groupes d’âge les plus jeunes.
« Un enfant en bonne santé n’a aucun risque de contracter cette maladie. Et pourtant, le risque lié au vaccin est très élevé. »

Il est devenu clair : il ne s’agit pas de santé. Il s’agit de contrôle.

C’est pourquoi nous devons tous faire entendre notre voix et exprimer notre opposition.


TRANSCRIPTION

0:00:01.2 : Je suis Robert F. Kennedy, Jr. et je suis très heureux d’être de retour parmi vous et d’avoir l’occasion de m’adresser à tous mes amis de Berlin et aux militants et amoureux de la liberté de toute l’Europe. Nous sommes aujourd’hui le 23 août, et je voudrais commencer par vous parler de quelques études qui ont été publiées récemment et dont nous devrions tous avoir connaissance. L’une d’entre elles, probablement la plus importante, est l’essai clinique de MERCK, de Pfizer, pour son vaccin Covid-19. Nous disposons maintenant de six mois de données que Pfizer était tenu de déposer auprès de la FDA et de les montrer au public. Et quiconque qui sait lire peut voir dans ces données la preuve frappante que ce vaccin ne présente aucun avantage en termes de mortalité toutes causes confondues. Cela signifie que les personnes qui ont été vaccinées sont plus nombreuses à mourir que celles qui ont eu le placebo. Et si vous allez dans le detail et l’analyse du vaccin, ce que cette étude montre est que le vaccin empêche un petit nombre de décès dus au Covid-19, mais pour chaque vie sauvée par le vaccin contre le Covid-19, trois personnes sont mortes d’une crise cardiaque. Parmi les vaccinés, il y a eu 20 décès, et dans le groupe placebo, 14 décès.

0:01:46.7 : Cela indique que certains groupes d’âge spécifiques ou certaines personnes avec comorbidités peuvent prendre ce vaccin, mais il serait tout à fait immoral pour un gouvernement ou une entreprise d’imposer ce vaccin à tout être humain réticent à se faire vacciner.

0:02:12.1 : Une autre étude dont je vais vous parler était une version pré-publiée de l’étude du Lancet le 10 décembre. Elle s’appelle Chau et al. C-H-A-U, et elle a été réalisée par l’Oxford Research Group, qui regroupe l’Université d’Oxford et Ho-Chi-Minh-City. Cette étude s’est intéressée aux personnels de santé de première ligne qui ont été confinés pendant plusieurs mois à Ho-Chi-Minh-City pendant la résurgence du variant Delta. L’étude montre que les personnes vaccinées présentaient un nombre très, très élevé du variant Delta dans leur pharynx et leurs narines. En fait, ils avaient une concentration du variant Delta dans leurs narines 250 fois plus importante que quiconque ayant contracté le Coronavirus n’avait avant la vaccination.

0:03:22.1 : Eh bien, cela montre que quelque chose dans le vaccin dégage les pharynges nasales pour faire de vous un porteur… Un porteur pré-symptomatique du Covid, donc au lieu d’arrêter la réplication virale, et au lieu d’arrêter la transmission, le vaccin facilite presque certainement la transmission ! Selon cette étude, ces personnes qui avaient le Covid dans leur nez pouvaient transmettre le Covid à d’autres travailleurs. Et il est presque certain qu’ils le transmettaient aussi à des patients non vaccinés et à d’autres personnes de leur entourage.

Une chose fondamentale à retenir est que les vaccins ne sauvent pas de vies. Nous savons, grâce à la première étude, à l’étude Pfizer et à l’étude d’Oxford, que cela n’empêche pas la transmission, et qu’en fait, cela peut l’augmenter. Ce sont les données scientifiques les plus certaines que nous ayons aujourd’hui.

La troisième étude que je voudrais vous faire connaître est une étude de Johns Hopkins, publiée dans The Lancet. L’étude de Johns Hopkins montre qu’il est pratiquement impossible de trouver un enfant en bonne santé dans le monde qui soit mort du Covid-19. Les enfants ont un risque nul, un enfant en bonne santé a un risque nul avec cette maladie, et pourtant le risque du vaccin lui est très élevé !

0:04:56.8 : En fait, nous constatons qu’avec le vaccin, les personnes les plus susceptibles de tomber malades, ou de mourir, sont les jeunes. Le Covid-19 a tendance à tuer des personnes très âgées avec des comorbidités, mais le vaccin a tendance à blesser, à nuire et à tuer des personnes jeunes, qui sont au début de leur vie. Et les personnes qui ont un infarctus du myocarde à cause de ce vaccin, des maladies du myocarde à cause de ce vaccin, ne guérissent jamais. Leur cœur se transforme simplement en tissu cicatriciel et ne guérit pas.

0:05:33.2 : La raison pour laquelle je parle des études est qu’aujourd’hui, la FDA a promulgué une approbation sans précédent, qu’elle présente de manière très bizarre.

0:05:52.7 : Comme une approbation officielle du vaccin Pfizer. La signification de cette approbation est qu’elle permettra aux gens d’imposer légalement le vaccin dans notre pays. Mais ce qui est étrange, c’est qu’il n’y a eu aucun respect de processus réglementaire… La FDA a ignoré tout le processus réglementaire, elle n’a pas convoqué le comité d’experts extérieurs qui approuve normalement les nouveaux vaccins. Ils n’ont pas créé de notice pour le fabricant. Ils n’ont pas expliqué la science sur laquelle ils se basent. Ils n’ont pas expliqué les données sur lesquelles ils se basent. Ils ne disent même pas techniquement qu’il s’agit d’une approbation. Ils l’encadrent en quelque sorte dans leur lettre comme une extension du processus d’utilisation d’urgence; ils l’encadrent dans leurs communiqués de presse comme une approbation. Et dès que cette mesure prise a été, l’armée américaine a déclaré aux soldats qu’ils devaient être vaccinés avant vendredi ou être renvoyés sans honneur. Et dans tout le pays, les entreprises privées et entreprises publiques imposent maintenant des mandats.

Je vous dis tout cela parce que je veux être clair avec vous… les gens qui poussent ces vaccins, qui ont poussé depuis le début cette étrange entreprise sont sortis du placard, et ont révélé aujourd’hui qu’ils ont abandonné toute prétention de parler de santé publique, de démocratie et de protection du public. Ils ont fait savoir très clairement au public qu’il s’agit de pouvoir, et d’imposer un totalitarisme d’un genre que l’humanité n’a jamais connu. Tous les régimes totalitaires de l’histoire ont cherché à contrôler tous les aspects du comportement humain.

0:08:08.3 : Ils n’ont jamais été capables de le faire parce que, bien sûr, le gouvernement ne pouvait pas lire dans votre esprit, ni vous suivre toute la journée, vous empêcher de parler à certaines personnes, de vous suivre chez vous et savoir ce que vous faites…. A qui vous parlez et ce que vous dites. Mais devinez quoi ? Les gouvernements d’aujourd’hui ont ce pouvoir. Et nous savons qu’ils l’utilisent, et qu’ils utilisent cette urgence comme une excuse pour imposer un contrôle totalitaire sur chacun d’entre nous. Un niveau de contrôle autoritaire qu’aucun gouvernement dans l’histoire n’a eu. Et à ce stade, nous avons maintenant le devoir, à mon avis, de résister. Et de résister à chaque occasion que se présente à vous. Chacun d’entre nous doit s’engager dans de multiples désobéissances simples et pacifiques chaque jour.

0:09:06.5 : Je fais cela depuis de nombreuses années, et je n’ai jamais dit à personne qu’il fallait sacrifier son travail, sa réputation ou ses revenus en sortant et en parlant de ces questions, cela a toujours été dangereux. Depuis 17 ans que je fais cela, j’ai toujours été confronté à la censure, à diverses formes d’intimidation et de punition. Mais j’ai été particulièrement capable, résilient, grâce à d’autres choses que j’ai dans ma vie, mon nom, ma réputation, mon gagne-pain… Le fait que je sois avocat, les avocats ont tendance à être tolérants envers la dissidence. Et donc j’avais une capacité à faire face à ce genre d’attaques d’une manière que beaucoup de gens n’ont pas. Et j’ai toujours évité de dire aux autres, « Vous devez sortir et parler de ce que vous croyez. »

0:10:02.0 : Les gens venaient me voir et me disaient, « Je suis d’accord avec vous, mais j’ai trop peur pour en parler », et je disais, j’ai toujours dit, « C’est bon ». Vous nous soutenez discrètement. Vous n’avez pas besoin de vous exposer.

Et aujourd’hui, je vous dis quelque chose de différent : « nous devons tous commencer à nous exposer » Nous devons dire aux gens dans la rue, « si on vous empêche d’entrer dans un magasin, vous devez parler au propriétaire du magasin ». Ça ne veut pas dire qu’il ne faut pas être poli, doux et pacifique. Dieu était poli, doux et pacifique et il a quand même résisté. Et nous devons résister de cette façon. Il y a une histoire célèbre où Henry David Thoreau était en prison pour avoir protesté, pour avoir refusé de payer ses impôts parce que l’argent de ses impôts servait à soutenir la guerre hispano-américaine, qu’il considérait comme une guerre injuste. Et le célèbre philosophe qui était son ami, Ralph Waldo Emerson, est venu dans sa cellule de prison dans le Massachusetts, et il a parlé à Thoreau à travers  les barreaux de la fenêtre… Et il a dit, « David, que fais-tu là-dedans ? » Et Henry David Thoreau lui a dit : « Ralph, qu’est-ce que tu fais là dehors ? » Et c’est la question que nous devons maintenant poser à tout le monde, « Que faites-vous là dehors ? » Nous devons tous descendre dans la rue, nous devons tous résister.

0:11:34.0 : Si votre travail vous dit que vous devez vous faire vacciner et que vous ne croyez pas que c’est bon pour votre santé, ne le faites pas ! Faites-vous virer et poursuivez-les en justice ! Nous devons résister. Il s’agit du même type de crise désespérée que celle à laquelle les fondateurs de notre pays ont été confrontés pendant la Révolution américaine, et nombre d’entre eux ont renoncé à leur vie, à leurs moyens de subsistance, à leurs biens, à leur argent, à leur santé afin de nous fournir notre Déclaration des droits de ce pays, la Constitution. Ils savaient qu’il y avait des choses bien pires que la mort : la perte de nos libertés. Et ils ont sacrifié leurs vies et leurs moyens de subsistance, afin que nous puissions avoir cette constitution. Mais au cours des 12 derniers mois, nous avons perdu cette Déclaration des droits, nous avons perdu la possibilité d’avoir des procès avec jury dans notre pays pour les entreprises qui fabriquent des produits imprudents et négligents qui nous blessent. Nous avons perdu les droits de propriété que nous avions autrefois dans ce pays où un million d’entreprises ont été fermées du jour au lendemain sans compensation équitable et sans procédure régulière… Nous avons perdu la capacité de parler librement. Nous avons perdu la possibilité de pratiquer notre culte pendant toute une année, les institutions religieuses et les églises ont été fermées dans notre pays sur simple décision du gouvernement, bien que les magasins d’alcool aient été déclarés commerces essentiels et laissés ouverts.

0:13:03.2 : Mais la Constitution ne protège pas les magasins d’alcool, elle protège les églises. Aujourd’hui, nous avons perdu la capacité de participer à la réglementation. La réglementation est maintenant faite par des non-élus… c’est un docteur qui dirige maintenant le gouvernement américain. Il n’y a pas de processus réglementaire, il n’y a pas d’avis et de commentaires sur les règles. Il n’y a pas de participation du public. Il n’y a pas d’audiences publiques. Toutes les étapes habituelles de la promulgation de notre réglementation, qui exigent la participation du public, ont toutes été abandonnées. Et donc nous avons donc désormais perdu notre démocratie maintenant en Amérique. Et nous l’avons perdue dans toute l’Europe, et nous l’avons perdue au Canada, et nous l’avons perdue en Australie. Et la seule façon de nous défendre contre ces forces très sinistres, les barons voleurs de la Silicon Valley, les grandes institutions bancaires, l’armée et les agences de renseignement qui collaborent à ce processus, à cette prise de pouvoir totalitaire, à ce coup d’État contre la démocratie et la liberté libérale occidentale que nous voyons aujourd’hui. Toutes ces forces collaborent les unes avec les autres pour nous asservir. Et nous devons nous lier les uns aux autres, et nous devons riposter.

Et chacun d’entre vous doit faire au moins trois désobéissances civiles pacifiques par jour ! Et nous devons commencer à faire ça partout, et c’est comme ça que nous allons recruter de nouvelles personnes pour notre cause, et que nous allons commencer à résister !

0:14:55.5 : Je tiens à vous remercier tous pour vos efforts pour venir à Berlin, et je sais que je verrai beaucoup d’entre vous sur les barricades.

Merci !




« Affaire » Mucchielli : misère de la sociologie académique

Par Lucien Samir Oulahbib

Soit donc l’attaque frontale contre les deux articles de Mucchielli (dont un fut censuré par Médiapart) de huit « éminents » sociologues (un de plus que les « 7 mercenaires » et quatre de moins que les « 12 salopards », la différence étant que ceux-là se battaient pour une noble cause). Nos huit janissaires s’en sont donc pris à l’analyse « mucchiellienne » des décès liés supposément aux injections expérimentales — ce qu’ils contestent fortement sans que pour autant l’on sache sur quoi ils s’appuient en réalité (lire la réponse de Mucchielli) puisque selon le site officiel européen comptabilisant les « effets indésirables », AUCUN DÉCÈS n’est en fait signalé, donc tout va bien… 

Une petite anecdote : ayant appris la chose et connaissant l’un de ces huit inquisiteurs (puisqu’ils exigent que le CNRS rappelle « fermement » à l’ordre Mucchielli), je lui fais juste part de mon étonnement (sur un site dédié aux « professionnels ») tout en lui indiquant naïvement sans doute que s’il veut de plus amples informations sur toute la problématique incluant également les diverses études frauduleuses contre les traitements précoces (sur lesquelles nos huit bretteurs sont restés cois, semble-t-il) il peut aller sur le site de FranceSoir.fr afin de visionner les réponses d’éminents spécialistes sur toutes ces questions (ce que nos huit pourfendeurs ne sont pas) et qu’en tous les cas il existe de nombreux témoignages montrant que sur le terrain des médecins ont soigné et sauvé des vies

Patatras ! Que n’ai-je pas dit ?! Et ne voilà-t-il pas qu’il me sort des arguments de café de commerce (avec « passe » sans doute), genre les résultats empiriques ici et là ne comptent pas, que Raoult s’est trompé, que FranceSoir est un site conspirationniste, et enfin que des études très « solides » montrent que les traitements précoces ne marchent pas. Puis il m’indique sur un ton qui se voulait sans doute compatissant qu’il est devenu « membre de l’Académie de Médecine » (alors qu’il est sociologue) et que je suis, moi, plutôt dans une spirale idéologique dangereuse, celle du lavage de cerveau en quelque sorte. Et il le dit sans se rendre compte peut-être qu’il est en fait en train de se décrire, alors que, me concernant, je m’appuie, depuis le début, UNIQUEMENT sur des données et des analyses rassemblées et effectuées par des spécialistes n’ayant aucun conflit d’intérêts et dont les travaux ont été validés par des pairs également incorruptibles.

Mais il y a plus : lorsque je lui ai parlé de l’analyse frauduleuse du Lancet, non seulement il m’a rétorqué qu’elle a été retirée depuis, « ce qui est bien la preuve qu’en science on sait reconnaître ses erreurs » a-t-il écrit effrontément, alors que cela a été fait sur la pression de savants et d’influenceurs outrés de tels mensonges, mais, également, il n’a tenu aucunement compte de l’historique des interdictions des traitements précoces, du fait que les études supposées ont été réalisées avec des surdoses, qu’il existe enfin des enjeux financiers, politiques, stratégiques, que tout cela s’articule avec les restrictions à venir sur cette autre emphase qu’est devenu le « réchauffement climatique » qui serait dû essentiellement « aux activités humaines » (et les nouvelles contaminations aux « non vaccinés », mais oui comme en Israël et ailleurs dans les pays ultra shootés), ce qui n’est toujours pas démontré, pas plus que l’efficacité des quatre injections expérimentales au vu des demandes actuelles d’une » troisième » dose (en six mois), alors que pour la grippe, au moins, il ne s’agit que d’une nouvelle par AN.

Cerise sur le gâteau : comme ce sieur voulait un « débat » serein (je l’avais traité de lyssenkiste à un moment) et que j’avais tenté de lisser mon propos diplomatiquement, ne voilà-t-il pas qu’il me bloque brutalement sur le site dédié, brisant ainsi une relation épistolaire de quelques années, lui qui avait travaillé (et travaille encore) avec des élèves de Raymond Aron (dont la fille est membre des huit juges autoproclamés), lui qui a subi par ailleurs les foudres de toute la Secte des bourdieusiens et foucaldiens (dont fait d’ailleurs partie plus ou moins Mucchielli que j’avais critiqué sur ses analyses quant à la délinquance de l’islam et son refus de voir Alain Bauer créer une section de criminologie à l’Université française, je l’ai fait dans La disparition du crime dans la sociologie contemporaine et dans plusieurs articles), mais ce sociologue qui m’a ainsi rayé de sa carte mentale, ce membre de l’Académie de Médecine, reproduit ce qu’il subit, imitant ses pourfendeurs en exigeant la tête de Mucchielli au lieu d’élever le débat en lui proposant par exemple (je ne parle même pas de moi, illustre inconnu) d’échanger des arguments sur une radio ou une chaîne…

Loin s’en faut ! Fort de son statut d’académicien, sans doute (visant aussi peut-être un poste à l’OMS qui sait…), ce sieur en vient non seulement à refuser les conditions d’un débat serein, mais à préjuger du caractère « conspirationniste » a priori des critiques en considérant que ces dernières ont nécessairement des projets « idéologiques et politiques », alors qu’il s’agit tout simplement de refuser que l’on s’en prenne aux libertés fondamentales sur la base d’une maladie somme toute peu létale et mortelle (du moins si l’on sait compter — mort « du » et non « avec » —, le tout par AN et non de façon cumulée) et, surtout, une maladie qui EST soignable, du moins si l’on met l’argent adéquat pour la recherche préventive, les maladies chroniques, les lits hospitaliers, etc., etc. au lieu de le dépenser inutilement dans des tests, passes, vigiles aux portes des hôpitaux afin que n’y entrent que des gens non malades en quelque sorte (Ubu aurait-il osé ?).

Cette affaire m’a rendu triste, et en même temps confiant, triste parce que des gens si savants sur lesquels, je me disais, qu’« on » aurait pu un peu compter dessus contre les wokes, queers et idiots utiles des djihadistes, non seulement ils s’écroulent à la première charge de ces derniers en rampant et susurrant, mais en plus ils adoubent maintenant la Secte hygiéniste scientiste affairiste globaliste en lui mangeant dans la main (sans compter les Polony, Onfray, Julliard…). Mais cette anecdote m’a rendue aussi confiant parce que cela éclaircit bien le terrain, et ce très rapidement, ce qui permet ainsi à de nouveaux et (très) jeunes et brillants bretteurs de monter au créneau : rira bien qui pourra rire tout en se regardant sans culpabilité dans une glace.




Une étude israélienne montre enfin que l’immunité naturelle est 13 fois plus efficace que les vaccins pour arrêter le variant Delta

[Source : nicolasbonnal.com]

Photo de Tyler Durden

PAR TYLER DURDEN

Le Dr Anthony Fauci et le reste des conseillers COVID du président Biden se sont encore une fois trompés sur « la science » des vaccins COVID. Après avoir dit aux Américains que les vaccins offrent une meilleure protection que l’infection naturelle, une nouvelle étude en Israël suggère que le contraire est vrai : l’infection naturelle offre une bien meilleure protection contre la variante delta que les vaccins.

L’étude a été décrite par Bloomberg comme « la plus grande analyse du monde réel comparant l’immunité naturelle – acquise grâce à une infection antérieure – à la protection fournie par l’un des vaccins les plus puissants actuellement utilisés ». Il y a quelques jours, nous avons noté à quel point il était remarquable que la presse grand public donne enfin la parole aux scientifiques pour critiquer la pression du président Biden pour commencer à distribuer des coups de rappel. Eh bien, cette étude remet davantage en question la crédibilité de s’appuyer sur les vaccins, étant donné que l’étude a montré que les vaccinés étaient finalement 13 fois plus susceptibles d’être infectés que ceux qui étaient infectés auparavant, et 27 fois plus susceptibles d’être symptomatiques.

Voici un extrait d’un rapport de Science Magazine :

La nouvelle analyse s’appuie sur la base de données de Maccabi Healthcare Services, qui compte environ 2,5 millions d’Israéliens. L’étude, dirigée par Tal Patalon et Sivan Gazit de KSM, la branche de recherche et d’innovation du système, a révélé dans deux analyses que les personnes qui ont été vaccinées en janvier et février étaient, en juin, juillet et la première moitié d’août, de six à 13 ans. fois plus susceptibles d’être infectées que les personnes non vaccinées qui ont déjà été infectées par le coronavirus. Dans une analyse, comparant plus de 32 000 personnes dans le système de santé, le risque de développer un COVID-19 symptomatique était 27 fois plus élevé chez les vaccinés, et le risque d’hospitalisation huit fois plus élevé.

Cette fois, les données laissent peu de doute sur le fait que l’infection naturelle est vraiment la meilleure option pour se protéger contre la variante delta, malgré le fait que les États-Unis ne reconnaîtront pas que les personnes déjà infectées possèdent des anticorps les protégeant du virus.

En tant que premier pays à atteindre une large couverture vaccinale, Israël se trouve désormais dans une situation impensable : le nombre de cas quotidiens a atteint de nouveaux records alors que la variante delta pénètre la protection des vaccins comme un couteau brûlant tranchant du beurre.

Source : Bloomberg

À tout le moins, les résultats de l’étude sont une bonne nouvelle pour les patients qui ont déjà lutté avec succès contre le COVID, mais montrent le défi de compter exclusivement sur les vaccinations pour surmonter la pandémie.

« Cette analyse a démontré que l’immunité naturelle offre une protection plus durable et plus forte contre les infections, les maladies symptomatiques et les hospitalisations dues à la variante delta », ont déclaré les chercheurs.

Malheureusement, l’étude a également montré que toute protection est limitée dans le temps. La protection offerte par l’infection naturelle diminue avec le temps, tout comme la protection offerte par les vaccins : le risque d’un cas delta de percée vaccinale était 13 fois plus élevé que le risque de développer une deuxième infection lorsque la maladie d’origine s’est produite en janvier ou février 2021. C’est considérablement plus que le risque pour les personnes qui étaient malades plus tôt dans l’épidémie.

De plus, donner une seule injection de vaccin à ceux qui avaient déjà été infectés semblait également renforcer leur protection. Pourtant, les données ne nous disent rien sur les avantages à long terme des doses de rappel.(…)

https://www.zerohedge.com/covid-19/ends-debate-israeli-study-shows-natural-immunity-13x-more-effective-vaccines-stopping




Le virus existe-t-il ? Le CoV-2 du SRAS n’a toujours pas été isolé ? « La plus grande fraude de l’histoire de la médecine »

[Source : Centre de Recherche sur la Mondialisation]

Par Prof Michel Chossudovsky

L’enfer est vide, tous les démons sont ici.

William Shakespeare, The Tempest, 1610-1611

Introduction

Une série de mensonges et d’affabulations sont utilisés pour justifier des décisions politiques de grande envergure qui, au cours des 18 derniers mois, ont littéralement détruit la vie des gens dans le monde entier.

La « fausse science » est utilisée pour justifier le confinement, la distanciation sociale, le masque facial, l’interdiction des rassemblements sociaux, des événements culturels et sportifs, la fermeture de l’activité économique, qui sont tous maintenus comme moyen d’éradiquer le « virus tueur ».

Qui est ce « virus tueur » qui a été personnifié par les médias et nos gouvernements, tenu pour responsable du déclenchement du chaos économique et social dans le monde entier ?

Vous vous souvenez peut-être qu’au plus fort de l’effondrement financier de février 2020, « V le Virus » a été tenu pour responsable du plus grand krach boursier depuis 1929.

Le « virus tueur » a-t-il été identifié ? Le SRAS-CoV-2 a-t-il été isolé ?

Cet article passera en revue cette question litigieuse qui se dresse depuis le début de la crise en janvier 2020. Une partie de cette analyse est basée sur des recherches menées au début de 2020.

La question centrale soulevée dans cette analyse est la suivante: l’OMS et les autorités sanitaires nationales fournissent-ils des preuves fiables et irréfutables que le présumé virus SRAS-CoV-2 a été isolé/purifié à partir d’un « échantillon non falsifié prélevé d’un patient malade » ?

Alors que le présumé virus a été initialement défini comme le nouveau coronavirus 2019 (2019-nCoV) en janvier 2020, l’Organisation mondiale de la santé (OMS) a déclaré en janvier 2020 qu’elle n’avait pas en sa possession de détails concernant l’isolement/l’épuration et l’identité du 2019-nCoV.

Et comme les détails concernant l’isolement / la purification n’étaient pas disponibles, l’OMS a décidé de « personnaliser » le test de réaction en chaîne de la polymérase à transcription inverse en temps réel (rRT-PCR) en utilisant le prétendu virus du SRAS 2003 « similaire » (rebaptisé ultérieurement SRAS-1) comme « point de référence » pour la détection de fragments génétiques du nouveau 2019-nCoV.

Ce que cette décision implique, c’est que le nouveau 2019-CoV-2 n’est PAS un nouveau virus. Il a été classé par les autorités chinoises et l’OMS comme « semblable » au SRAS-CoV de 2003 ainsi qu’au SRMO. 

2003 Le CoV-SRAS a ensuite été renommé SRAS-CoV-1.

Historique : Isolement du virus

Autorités sanitaires chinoises

Les autorités chinoises ont annoncé le 7 janvier 2020 qu‘ »un nouveau type de virus » avait été identifié « semblable à celui associé au SRAS et au MERS » (rapport connexe, ce n’est pas la source originale du gouvernement chinois). La méthode sous-jacente est décrite ci-dessous :

Nous avons recueilli et analysé prospectivement des données sur les patients atteints d’une infection à nCoV 2019 confirmée en laboratoire par RT-PCR en temps réel et séquençage de prochaine génération.

Les données ont été obtenues à l’aide de formulaires de collecte de données standardisés partagés par l’OMS et le Consortium international pour les infections respiratoires aiguës aiguës et émergentes à partir de dossiers médicaux électroniques. (c’est nous qui soulignons)

L’article suivant intitulé A new coronavirus associated with human respiratory disease in China « (En Chine, un nouveau coronavirus associé à une maladie respiratoire affectant les humains) (Nature, 3 février 2021) a été parmi les premiers à faire rapport sur le nouveau coronavirus chinois :(…) [Nous] avons recueilli du liquide de lavage broncho-alvéolaire (BALF) et effectué un séquençage méta-transcriptomique profond. L’échantillon clinique a été manipulé dans un laboratoire de niveau de biosécurité 3 au Shanghai Public Health Clinical Center. L’ARN total a été extrait de 200 μl de BALF et une bibliothèque méta-transcriptomique a été construite pour le séquençage en bout de paire (150 pb de lecture) à l’aide d’un Illumina MiniSeq comme décrit précédemment 4,6,7,8..Au total, nous avons généré 56 565 928 lectures de séquence qui ont été de novo-assemblées et criblées pour des agents étiologiques potentiels.(…)La séquence génomique de ce virus, ainsi que ses terminaisons, ont été déterminées et confirmées par PCR à transcription inverse (RT-PCR)10 et 5′/3′ amplification rapide des extrémités de l’ADNc (RACE), respectivement. Cette souche virale a été désignée sous le nom de coronavirus WH-Human 1 (WHCV) (et a également été appelée « 2019-nCoV ») et sa séquence génomique entière (29 903 nt) a reçu le numéro d’accession GenBank MN908947.L’organisation du génome viral du WHCV a été déterminée par l’alignement de la séquence avec deux membres représentatifs du genre Betacoronavirus : un coronavirus associé à l’homme (SRAS-CoV Tor2, numéro d’accession GenBank AY274119) [2003] et un coronavirus associé aux chauves-souris (chiroptelle SL-CoVZC45, numéro d’accession GenBank MG772933) . (Nature, 3 février 2020)

Il n’est pas clair, d’après les citations ci-dessus ni sur les documents consultés, si les autorités sanitaires chinoises ont entrepris un isolement/purification du spécimen provenant d’un patient.

Centres de contrôle et de prévention des maladies (CDC) aux États-Unis

À la suite de l’annonce chinoise du 28 janvier 2020, le CDC a déclaré que le virus corona novela avait été isolé. La déclaration du CDC datée du 28 janvier 2020 (mise à jour en décembre 2020) est sans équivoque :

Le SRAS-CoV-2, le virus qui cause la COVID-19, a été isolé en laboratoire et est disponible pour la recherche par la communauté scientifique et médicale.


Calendrier :

  • Le 20 janvier 2020, le CDC a reçu un échantillon clinique prélevé sur le premier patient américain infecté par le SRAS-CoV-2. Le CDC a immédiatement placé l’échantillon en culture cellulaire pour développer une quantité suffisante de virus pour l’étude.
  • Le 2 février 2020, le CDC a généré suffisamment de SRAS-CoV-2 cultivé en culture cellulaire pour être distribué aux chercheurs médicaux et scientifiques.
  • Le 4 février 2020, le CDC a expédié le SRAS-CoV-2 au dépôt de ressources BEI.
  • Un article traitant de l’isolement et de la caractérisation de cet échantillon de virus est disponible dans Maladies infectieuses émergentes.

(…)

Une façon importante pour le CDC d’appuyer les efforts mondiaux visant à étudier et à en apprendre davantage sur le SRAS-CoV-2 en laboratoire était de cultiver le virus en culture cellulaire et de veiller à ce qu’il soit largement disponible. Les chercheurs de la communauté scientifique et médicale peuvent utiliser le virus obtenu à partir de ces travaux dans leurs études.

Les souches du SRAS-CoV-2 fournies par le CDC et d’autres chercheurs peuvent être demandées gratuitement auprès du référentiel de ressources de recherche sur la biodéfense et les infections émergentes (BEI) icône externe par les établissements établis qui répondent aux exigences de l’EIM. Ces exigences comprennent le maintien d’installations et de programmes de sécurité appropriés, ainsi que l’expertise appropriée. BEI fournit des organismes et des réactifs à l’ensemble de la communauté des chercheurs en microbiologie et en maladies infectieuses. (C’est nous qui soulignons).

Voir également l’étude connexe qui a été affichée sur le site Web des CDC.

Les CDC reconnaissent que le CoV-2 du SRAS n’a pas été isolé.

Le document officiel du CDC, (daté du 21 juillet 2021) intitulé « CDC 2019-Novel Coronavirus (2019-nCoV) Real-Time RT-PCR Diagnostic Panel » se lit comme suit :

Étant donné qu’aucun isolat viral quantifié du nCoV 2019 n’était disponible pour le CDC au moment de la mise au point du test [janvier 2020] et que cette étude a été menée, des essais conçus pour la détection de l’ARN 2019-nCoV ont été testés avec des stocks caractérisés d’ARN complet transcrit in vitro (gène N ; accession GenBank : MN908947.2) du titre connu (copies d’ARN/μL) enrichi en un diluant consistant en une suspension de cellules A549 humaines et d’un milieu de transport viral (TMV) pour imiter l’échantillon clinique. (c’est nous qui soulignons, page 40)

Comparez l’énoncé ci-dessus à l’avis du 28 janvier 2020 des CDC confirmant l’isolement du SRAS-CoV-2:

Le 20 janvier 2020, le CDC a reçu un échantillon clinique prélevé sur le premier patient américain infecté par le SRAS-CoV-2. Le CDC a immédiatement placé l’échantillon en culture cellulaire pour développer une quantité suffisante de virus pour l’étude.


Voir l’analyse des réponses du CDC dans la section ci-dessous sur les demandes d’accès à l’information.

L’Organisation mondiale de la santé (OMS) n’a pas entrepris l’isolement / la purification d’un spécimen

D’après les documents cités ci-dessous, les autorités chinoises n’ont pas fourni à l’OMS un échantillon de SRAS-CoV-2   isolé / purifié.

Et comme les détails concernant l’isolement n’étaient pas disponibles, l’OMS a décidé de « personnaliser » son test de réaction en chaîne de la polymérase à transcription inverse en temps réel (rRT-PCR) en utilisant un soi-disant isolat du virus SRAS-CoV « similaire » à celui de 2003 (rebaptisé ultérieurement SRAS-CoV-1) en tant que « point de référence » (ou proxy) pour détecter les fragments génétiques du SRAS-CoV-2 2019.

L’OMS a demandé l’avis du Dr. Christian Drosten, et ses collègues de l’Institut de virologie de Berlin à l’hôpital Charité. L’étude intitulée « Détection du nouveau coronavirus 2019 (2019-nCoV) par RT-PCR en temps réel ») a ensuite été soumise à l’OMS.

Alors que l’étude de Drosten et al a confirmé que « plusieurs séquences génomiques virales avaient été libérées », dans le cas du 2019-nCoV, « des isolats de virus ou des échantillons de patients infectés n’étaient pas disponibles …« 

Les recommandations à l’OMS étaient les suivantes :

« Les séquences génomiques suggèrent la présence d’un virus étroitement lié aux membres d’une espèce virale appelée CoV liée au syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS), une espèce définie par l’agent de l’épidémie de SRAS de 2002/03 chez l’homme [3,4].

Nous rendons compte de l’établissement et de la validation d’un flux de travail de diagnostic pour le dépistage du nCoV 2019 et la confirmation spécifique [à l’aide du test RT-PCR], conçu en l’absence d’isolats de virus disponibles ou d’échantillons de patients originaux. La conception et la validation ont été rendues possibles par l’étroite parenté génétique avec le SRAS-CoV-1 de 2003 et facilitées par l’utilisation de la technologie des acides nucléiques synthétiques. »

(Eurosurveillance, 23 janvier 2020, soulignez-le).

Ce que cette déclaration audacieuse suggère, c’est que l’isolement / purification du nCoV 2019 n’était pas nécessaire et que la « validation » serait rendue possible par « l’étroite parenté génétique avec le SRASCoV-1 de 2003″.

Les recommandations de l’étude Drosten (soutenue et financée par la Fondation Gates) concernant l’utilisation du test RT-PCR appliqué au 2019-nCoV ont ensuite été fermement approuvées par le directeur général de l’OMS, le Dr. Tedros Adhanom. (Pour plus de détails, voir Michel Chossudovsky, Livre électronique, chapitre II).

Liberté d’information : Aucun dossier sur l’isolement-purification du SRASCoV-2 

Un important projet d’enquête continu et détaillé de Christine Massey, M.Sc. de l’Ontario, Canada, s’intitule :

Freedom of Information Requests: Health/ Science Institutions Worldwide “Have No Record” of SARS-COV-2 Isolation/Purification

Demandes d’accès à l’information : Les établissements de santé et scientifiques du monde entier « n’a aucun dossier » d’isolement/purification du SRAS-COV-2 (travail en cours depuis 2020)

par Fluoride Free Peel, le 04 août 2021

Un texte connexe montre la liste des institutions contactées

90 établissements de santé et de sciences dans le monde entier n’ayant même pas réussi à citer un seul enregistrement de purification du « SRAS-COV-2 », par n’importe qui, n’importe où, jamais 

Par Fluoride Free Peel, le 04 août 2021

Le rapport d’enquête fournit une documentation détaillée basée sur les demandes d’accès à l’information adressées à quatre-vingt-dix établissements de santé / sciences dans un grand nombre de pays.

Les réponses à ces demandes confirment qu’il n’existe aucun dossier d’isolement / purification du SRASCoV-2 « ayant été effectué par quiconque, n’importe où, jamais ».

« Les 90 établissements de santé / sciences qui ont répondu jusqu’à présent ont fourni et/ou cité, au total, zéro dossier de ce type :

Nos demandes [sous la « liberté d’information »] n’ont pas été limitées aux dossiers d’isolement effectués par l’institution respective, ni aux documents rédigés par l’institution respective, mais étaient plutôt ouvertes à tout document décrivant l’isolement/la purification du « virus de la COVID-19 » (alias « SRAS-COV-2) effectué par quiconque, jamais, n’importe où sur la planète. »

Le Centre de contrôle et de prévention des maladies (CDC)

L’auteur de ce rapport a contacté la CCL sous la forme de quatre demandes distinctes : 2 novembre 2020, 1er mars 2021, 3 mars 2021, qui sont examinées ci-dessous :

Le 2 novembre 2020 :

Les CDC ont admis qu’ils n’avaient aucun dossier d’isolement/purification réel par qui que ce soit, n’importe où, jamais, par quelque méthode que ce soit » :USA-CDC-Virus-Isolation-Response-Scrubbed.pdf

Le 1er mars 2021 :

Les CDC ont de nouveau clairement indiqué qu’ils n’ont toujours aucun dossier sur l’isolement du « SRAS-COV-2 » effectué par quiconque, n’importe où sur la planète, jamais… tout simplement pas en tant que tel. Au lieu de cela, les CDC ont absurdement laissé entendre que l’isolement/purification du « SRAS-COV-2 » nécessiterait la réplication d’un « virus » sans cellules hôtes et est donc impossible. (La demande n’avait rien à voir avec la réplication.)

https://www.fluoridefreepeel.ca/wp-content/uploads/2021/03/CDC-March-1-2021-SARS-COV-2-Isolation-Response-Redacted.pdf

Le 3 mars 2021 :

Les CDC ont une nouvelle fois omis de fournir/citer tout document décrivant l’isolement/la purification du « SRAS-COV-2 » par qui que ce soit et où que ce soit… mais ils ne se contentent plus de le dire (comme ils l’ont fait le 2 novembre) ; au lieu de cela, ils font de la figuration en citant l’étude de Harcourt et al. qui est la même que celle publiée sur le site Web des CDC

Les CDC n’ont toujours pas fourni/cité d’enregistrements décrivant l’isolement/purification du « SRAS-COV-2 » par quiconque n’importe où… mais n’ont plus simplement dit (comme ils l’ont fait le 2 novembre) ; au lieu de cela, ils font de la réthorique en citant l’étude de Harcourt et al. qui est la même que celle publiée sur le site Web des CDC :

https://www.fluoridefreepeel.ca/wp-content/uploads/2021/03/CDC-March-3-2021-SARS-COV-2-purification-FOI-response.pdf

Le 7 juin 2021 :

Les CDC ont admis qu’ils n’avaient aucun dossier de purification « SRAS-COV-2 » à partir d’un échantillon de patient par macération, filtration et utilisation d’une ultracentrifugeuse, par quiconque, n’importe où, jamais :

https://www.fluoridefreepeel.ca/wp-content/uploads/2021/06/CDC-FOIA-request-response-no-records-SARS-COV-2-purification.pdf

Résultats concluants de l’enquête

Ce que l’auteur de ce rapport incisif et détaillé a confirmé, c’est que :

Chaque établissement n’a pas fourni ne serait-ce qu’un seul dossier décrivant l’isolement, alias purification de tout « virus COVID-19 » directement à partir d’un échantillon de patient qui n’a pas été falsifié pour la première fois avec d’autres sources de matériel génétique. (Ces autres sources sont généralement les cellules rénales de singe alias « Vero » et le sérum bovin fœtal).

Voici 5 pdf de compilation contenant les réponses à la FOI de 79 institutions dans 22 pays/juridictions, concernant l’isolement/la purification/l’existence du « SRAS-COV-2 », ainsi que des courriels d’auteurs d’études qui ont affirmé avoir « isolé le virus » et un courriel du chef du laboratoire de consultants en microscopie électronique diagnostique des agents pathogènes infectieux de l’Institut Robert Koch d’Allemagne, dernière mise à jour le 13 juillet 2021

La capture d’écran d’une sélection de réponses est fournie ci-dessous : Nouvelle-Zélande, Canada, Royaume-Uni.

Consultez les archives complètes des lettres et des réponses. Ce travail a été entrepris sur une période de plus de 12 mois.

Réponse de Public Health England

Il ressort de l’étude détaillée ci-dessus qu’il n’y a aucune preuve que le virus du CoV-2 du SRAS a été isolé/purifié à partir de l’échantillon d’un patient, comme en témoignent les réponses « en vertu de la liberté d’information » (FOI) de quelque 90 établissements de santé / sciences dans le monde entier.

Jusqu’à présent (le 9 juillet 2021) 27 institutions canadiennes ont fourni leurs réponses. (cliquez sur le lien pour accéder à la liste)

République d’Irlande : « Le virus n’existe pas »

« Gemma O’Doherty est journaliste d’investigation en Irlande.

« Cette enquête irlandaise sur la Covid montre que le ministère de la Santé refuse de confirmer l’existence d’un « virus » par écrit. Confirmation révélant que le virus n’a jamais été isolé. »

VIDÉO



« Dans le cadre de notre action en justice, nous avions exigé la preuve que ce virus existe réellement [ainsi que] la preuve que les confinements ont réellement un impact sur la propagation des virus ; que les masques faciaux sont sûrs et dissuadent la propagation des virus – ils ne le font pas. Il n’existe pas de telles études ; que la distanciation sociale est basée sur la science – ce n’est pas le cas. C’est inventé ; que la recherche des contacts (traçage) a une incidence sur la propagation d’un virus – bien sûr que non. Cette organisation ici – est en train de tout inventer au fur et à mesure. » – Gemma O’Doherty

Isolement du virus. La bataille juridique en Alberta. Patrick King

Patrick King. Le virus n’a pas été isolé !

« Non, je n’ai pas gagné le procès ». [Cependant] « Ils n’ont pas les preuves ».

La vidéo suivante montre Patrick King dans sa bataille juridique contre le gouvernement de l’Alberta.

Il y a beaucoup de gens en Alberta et dans le monde qui luttent contre le grand mensonge.

Vidéo : Patrick King incarne la Vérité.



REGARDER SUR ODYSEE, ou BITCHUTE, ou REGARDER SUR RUMBLE 

[Voir aussi : Un citoyen canadien de l’Alberta demande la preuve de l’existence du SARS-CoV-2 au tribunal, une semaine plus tard toutes les restrictions sont levées dans cette province]

Mot de la fin : « La plus grande fraude médicale de l’histoire du monde »

Le CoV-2 du SRAS n’a pas été isolé. Le virus existe-t-il ?

Ni les autorités chinoises, ni les CDC, ni l’OMS, ni les gouvernements nationaux, ni les autorités scientifiques / sanitaires n’ont fourni de preuve que le CoV-2 du SRAS a été isolé / purifié.

Sur la base des recherches d’enquête de Christine Malley, nous avons accès aux réponses de nombreux gouvernements et autorités sanitaires, y compris celle fournie par la République d’Irlande à la journaliste Gemma O’Doherty.

Ce que cela signifie, c’est que tout le récit [officiel] de la Covid s’écroule.

Nous avons été systématiquement induits en erreur.

Tout ce que vos gouvernements vous ont dit est un mensonge, un amalgame de mensonges et de faussetés.

Il n’y a pas de véritable pandémie. L’isolement / purification du virus n’a pas été réalisé.

Toutes les politiques adoptées par les gouvernements du monde entier, qui étaient prétendument imposées pour « sauver des vies », sont illégales, socialement destructrices et en violation des droits humains fondamentaux.

Ces politiques ont contribué à « détruire la vie des gens ».

Le Dr. Stephen Frost qualifie la prétendue « pandémie de Covid » comme « la plus grande fraude médicale de l’histoire de l’humanité ».

Dès le début, en janvier 2020, le test RT-PCR défaillant et invalide a été utilisé pour « détecter » le présumé virus SARS-CoV-2 de 2019, malgré le fait que les détails concernant l’isolement/la purification du virus original n’étaient pas disponibles.

Toutes les décisions politiques de grande envergure imposées aux personnes à l’échelle mondiale étaient basées sur une banque de données de faux cas positifs associée à de fausses données sur la mortalité et se rapportant à des décès attribués à la maladie Covid-19.

Freiner la prétendue pandémie de SRAS-CoV-2 par l’imposition de masques faciaux, la distanciation sociale, la fermeture des économies nationales est tout simplement criminel et ces mesures n’ont aucune légitimité.

La souche originale du CoV-2 du SRAS n’a pas été isolée / purifiée : comment cela peut-il affecter le processus de prétendue »détection » de « variants mortels » du virus original ?

Mortalité et morbidité : Bien qu’il n’y ait « Pas de virus tueur », il y a un « vaccin tueur ».

Alors que le virus SARS-CoV-2 est présenté par les médias et les gouvernements comme un « virus tueur » (alors qu’en fait l’OMS et les CDC le décrivent comme « similaire à la grippe saisonnière »), un vaccin anti Covid-19, totalement invalide et inefficace, est actuellement imposé à l’ensemble de la population de la planète : 7,9 milliards de personnes.

Il s’agit d’une entreprise [pharmaceutique] de plusieurs milliards de dollars dans laquelle Pfizer est le chef de file, établissant ainsi un monopole quasi mondial pour la vente et la distribution du vaccin tueur à ARNm.

Question importante :

Comment Big Pharma a-t-elle réussi à développer un vaccin (parrainé par l’OMS, GAVI, la Fondation Gates et al) dont le rôle est de « protéger les gens » contre un virus qui n’a pas été isolé/purifié à partir d’un « échantillon non altéré prélevé sur un patient malade » ?

De plus, le CoV-2 du SRAS 2019 a été classé comme similaire au CoV-SRAS de 2003, ce qui signifie que le CoV-2 du SRAS 2019 n’est pas un nouveau virus.

La légitimité du projet de vaccin contre la Covid repose sur les centaines de milliers de faux cas positifs RT-PCR dans le monde entier combinés à de fausses données sur la mortalité lié à la Covid.

Le vaccin à ARNm de Big Pharma a entraîné d’innombrables décès et séquelles [injuries] dans le monde entier. Cela n’est pratiquement pas rapporté par les grands médias.

Bien que nous n’ayons pas de chiffres pour l’ensemble de la planète, les derniers chiffres officiels de l’Union européenne et des États-Unis sont révélateurs. Gardez à l’esprit qu’ils sous-estiment considérablement les tendances réelles de la mortalité et de la morbidité liées au vaccin :UE/EEE/Suisse au 31 juillet 2021 – 20 595 décès liés à l’injection de Covid-19 et plus de 1,94 million de séquelles [injuries], selon la base de données EudraVigilance.

Royaume-Uni au 21 juillet 2021 – 1 517 décès liés à l’injection de Covid-19 et plus de 1,1 million de blessures, selon le système de carton jaune de la MHRA.

États-Unis au 23 juillet 2021 – 11 940 décès liés à l’injection du vaccin anti Covid-19 et plus de 2,4 millions de séquelles, selon la base de données VAERS.

TOTAL pour l’UE / le Royaume-Uni/ les États-Unis – 34 052 décès liés à l’injection de Covid-19 et plus de 5,46 millions de blessures signalées – le 1er août 2021

Notez Bien : Il est important de savoir que les chiffres officiels ci-dessus (rapportés aux autorités sanitaires) ne représentent qu’un faible pourcentage des chiffres réels. En outre, les gens continuent de mourir (et de subir des blessures) des vaccins tous les jours. (D4CE)

Alors, pourquoi les gouvernements font-ils pression sur les gens pour qu’ils se fassent vacciner ?

Les chefs d’État et de gouvernement du monde entier font l’objet de pressions, de pots-de-vin, de cooptation et/ou de menaces de la part de puissants intérêts financiers pour qu’ils acceptent le consensus sur le vaccin anti Covid.

Le passeport vaccinal est la phase finale constituant une transition vers la tyrannie numérique.

L’étude et les rapports analysés dans cet article devraient être utilisés pour confronter les politiciens ainsi que pour informer et sensibiliser les gens dans les villes, les villages, à travers le pays, au niveau national et international.

À ce stade de notre histoire, la solidarité est absolument fondamentale.

Le virus existe-t-il ?

Les gouvernements et l’OMS n’ont aucune preuve sur laquelle s’appuyer. Et Bill Gates non plus.

Ce que nous devons chercher, c’est de faire face à un consensus très fragile, basé sur la fraude et la tromperie.

Michel Chossudovsky

Le 10 août 2021

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[Voir aussi :
Pour en finir avec les virus et le Nouvel Ordre Mondial]
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Lien vers l’article original:

Does the Virus Exist? SARS-CoV-2 Has Not Been Isolated? “Biggest Fraud in Medical History”,
publié le 10 août 2021.

Traduit par Maya pour Mondialisation 

Note de l’auteur

Je remercie grandement Christine Massey pour ses recherches approfondies et ses enquêtes sur la question de l’isolement / purification du virus.

À propos de l’auteur

Michel Chossudovsky est un auteur primé, professeur d’économie (émérite) à l’Université d’Ottawa, fondateur et directeur du Centre de recherche sur la mondialisation (CRG), Montréal, rédacteur en chef de Global Research.

Il a entrepris des recherches sur le terrain en Amérique latine, en Asie, au Moyen-Orient, en Afrique subsaharienne et dans le Pacifique et a beaucoup écrit sur les économies des pays en développement en mettant l’accent sur la pauvreté et les inégalités sociales. Il a également entrepris des recherches en économie de la santé (Commission économique des Nations Unies pour l’Amérique latine et les Caraïbes (CEPALC), FNUAP, ACDI, OMS, gouvernement du Venezuela, John Hopkins International Journal of Health Services (19791983)

Il est l’auteur de douze livres, dont The Globalization of Poverty et The New World Order (2003), [traduit en français : La mondialisation de la pauvreté], America’s « War on Terrorism » (2005), The Globalization of War, America’s Long War against Humanity (2015).

Il contribue à l’Encyclopaedia Britannica. Ses écrits ont été publiés dans plus de vingt langues. En 2014, il a reçu la médaille d’or du mérite de la République de Serbie pour ses écrits sur la guerre d’agression de l’OTAN contre la Yougoslavie. On peut le joindre à l’adresse suivante :crgeditor@yahoo.com

Voir Michel Chossudovsky, Notice biographique

Articles de Michel Chossudovsky sur Global Research

La source originale de cet article est Mondialisation.ca

Copyright © Prof Michel Chossudovsky, Mondialisation.ca, 2021




Après la suspension du passe sanitaire dans les Yvelines, obtenez la même chose près de chez vous !

[Source : lecourrierdesstrateges.fr]

Par Éric Verhaeghe

Dans les Yvelines, le passe sanitaire ne sera plus d’application dans les centres commerciaux. Ainsi vient d’en décider le juge des référés du tribunal administratif de Versailles, à la demande d’un habitant du département, lui-même avocat. Cette importante décision fondée sur le principe selon lequel l’État ne peut empêcher les personnes d’accéder aux biens de première nécessité, même sous un motif sanitaire, est facilement transposable sur le reste du territoire national. Voici un mode d’emploi pour demander la même mesure au Préfet de votre département, avec l’aide de Maître X, notre conseillère secrète !


Suspension du passe sanitaire par le tribunal administratif de Versailles from Société Tripalio

Dans les Yvelines, le tribunal administratif se prononçait hier en référé sur la question épineuse de l’instauration du passe sanitaire dans les centres commerciaux. On se souvient que l’avis du Conseil d’Etat avait mentionné la difficulté d’inscrire dans la loi une disposition revenant à exclure une partie de la population de l’accès aux biens de première nécessité. La loi avait finalement prévu de laisser les Préfets instaurer ce passe sanitaire au vu des situations locales… liberté dont le gouvernement a abusé en imposant des mesures générales d’inaccessibilité aux centres commerciaux par décision préfectorale. 

L’avocat Yoann Sibille, habitant des Yvelines, a déposé un recours contre cette mesure en considérant notamment qu’elle portait une atteinte excessive à la liberté d’aller et venir. Le tribunal administratif l’a suivi, en constatant d’abord que Maître Sibille était un habitant des Yvelines, ce qui lui conférait “l’intérêt à agir” contre cet arrêté. Il faut bien s’arrêter sur ce point, car il signifie que vous ne pourrez pas déposer un recours contre un arrêté pris dans un département où vous n’habitez pas…

Un motif transposable à votre département

La juge des référés de Versailles, Julie Florent, a développé une argumentation au fond assez logique pour justifier l’annulation du passe sanitaire dans les centres commerciaux : l’atteinte à la liberté des personnes, notamment à la liberté d’accéder à des biens de première nécessité, est disproportionnée. On ne peut donc fermer un centre commercial purement et simplement aux personnes qui ne détiennent pas un passe sanitaire. Le Préfet doit s’assurer que l’accès aux biens de première nécessité y est garanti (achats alimentaires et pharmacie, en particulier). 

C’est une décision importante, dans la mesure où elle permet de faire jurisprudence ailleurs. Tout centre commercial peut en effet faire l’objet d’une décision identique…

Les bons conseils de Maître X pour obtenir la même décision chez vous

Maître X (elle souhaite conserver l’anonymat, mais j’atteste de sn existence) a rédigé pour vous un courrier à envoyer à votre Préfet de département pour obtenir les mêmes dispositions concernant le centre commercial près de chez vous. 

Elle vous conseille de verser une copie de l’ordonnance du tribunal administratif de Versailles pour étayer votre argumentation. 

La démarche à suivre demande un peu de rigueur :

vous trouvez au Bulletin départemental les références de l’arrêté préfectoral interdisant l’accès des non-vaccinés aux centres commerciaux

vous adaptez le courrier-type suivant :

Mme/M. ………….
Préfet de ………..
……………………..
 ……………………

Concerne – Accès aux biens de première nécessité

TA Versailles 24/8/2021
Recommandé avec A.R.

 

   Madame/Monsieur le Préfet,

   Par un arrêté n° ………………………………..en date du …………………………, vous avez rendu obligatoire le contrôle des “passes sanitaires” à l’entrée de différents centres commerciaux du département.

La liste des centres commerciaux concernés figure dans cet arrêté est la suivante :

  • ….
  • ….
  • ….

   Dans une ordonnance rendue hier en référés par le Tribunal administratif de Versailles, et dont copie en annexe pour votre facilité, il a toutefois été considéré que la restriction de l’accès aux commerces proposant des biens de première nécessité n’était pas conforme aux dispositions légales en vigueur, et notamment la loi n° 2021-689 du 31 mai 2021 relative à la gestion de la sortie de crise sanitaire modifiée par la loi n° 2021-1040 du 5 août 2021 et le le décret n° 2021-699 du 1er juin 2021 modifié par le Décret n° 2021-1059 du 7 août 2021. En effet, l’application combinée de ces dispositions doit malgré tout garantir l’accès des personnes ne disposant pas de passe sanitaire aux biens et services de première nécessité.

    En conséquence, le tribunal administratif de Versailles, faisant application de la loi, a levé cette mesure avec effet immédiat comme vous le constaterez à la lecture de cette ordonnance.

   Afin d’assurer aux citoyens du territoire l’égalité de traitement notamment consacrée par l’article 1er de la Constitution, il semble dès lors nécessaire, pour le département des Pyrénées Atlantiques, et conformément à la décision rendue, d’ajouter à  votre arrêté du 16 août dernier un arrêté qui prévoira les conditions garantissant l’accès des personnes ne disposant pas de passe sanitaire aux établissements commercialisant des biens de première nécessité situés dans l’enceinte de ces centres commerciaux.

   Vous remerciant par avance de bien vouloir me confirmer que des dispositions seront prises en ce sens, je vous prie de croire, Monsieur le Préfet, à l’expression de mes salutations distinguées.

vous joignez une copie de l’ordonnance du tribunal de Versailles

Vous envoyez le tout par lettre recommandée

Ne manquez pas de nous tenir informés de vos démarches, cela nous intéresse. 




Pour ce chirurgien, « vaccination » = génocide

[Source : nrpyrenees.fr]

Par Sophie Loncan/C.Vignes

Dans le cadre de la manifestation qui s’est déroulée samedi dernier à Tarbes, un chirurgien de l’hôpital a qualifié la vaccination de « génocide » et appelé l’auditoire, huit cents personnes environ, à la refuser. L’établissement hospitalier a fait un signalement.

« Nous sommes choqués par les propos de ce praticien. » Le service de communication de l’hôpital de Tarbes indique que la direction de l’établissement a signalé le discours public de l’un de ses chirurgiens orthopédiques, tenu dans le cadre de la manifestation anti-pass et anti vaccin samedi 21 août à Tarbes, auprès de l’Agence régionale de santé (ARS) Occitanie.

Lors de sa prise de parole, le chirurgien orthopédique Arnaud Huboud-Peron, micro en main devant le hall d’entrée de l’hôpital de Tarbes face à 800 manifestants, déclare : « Cette injection est responsable de… alors on appelle ça des effets indésirables, mais ça s’appelle des complications. Ce qui se passe actuellement est dramatique car à l’hôpital, depuis hier (vendredi 20 août), deux jeunes de 17 et 20 ans ont des myocardites deux jours après la vaccination. »

Interrogés sur cette affirmation, le service de communication de l’hôpital de Tarbes et Manon Mordelet, directrice de l’ ARS Hautes-Pyrénées, disent « ne pas vouloir aller sur ce terrain et outrepasser le secret médical. » Laurie Lassalle, directrice de la communication du centre hospitalier d’ajouter : » De plus, nous ne savons pas comment il peut affirmer une telle chose. Parle-t-il de patients hospitalisés dans son service ou dans d’autres ? Tout ça est très vague. »

Mais le praticien va plus loin et appelle à un « refus de l’injection » , qu’il qualifie de « génocide. » Interrogé dans l’auditoire à propos de solutions thérapeutiques efficaces, le docteur Huboud-Peron répond que « oui, elles existent. L’hydroxychloroquine, l’azithromycine, l’ivermectine, le zinc, la vitamine D, la vitamine C, tout ça, ça fonctionne, ça marche très bien. Mes collègues en ville qui ont utilisé ces protocoles n’ont hospitalisé aucun patient », a affirmé le professionnel de santé, Des propos qui soulèvent de vives réactions dans la communauté médicale et scientifique.

Indignation et incompréhension

L’affaire est pour le moins « sérieuse », déclare la directrice de l’ ARS 65. « Oui, j’ai pu, comme beaucoup d’autres, visionner les vidéos où le docteur Huboud-Peron. Il y tient des propos qui interrogent sur la déontologie de ce professionnel de santé. Des propos qui devront être minutieusement analysés par le Conseil de l’Ordre, que nous avons immédiatement saisi. Ensuite, il appartient à la direction de l’hôpital de saisir le Centre National de Gestion qui gère les praticiens hospitaliers, et voir quelles sont les suites à donner à cette affaire. »

Chose faite du côté de la direction de l’hôpital qui précise « que les consignes de cette autorité compétente en la matière sont attendues et seront appliquées par l’établissement. Ce praticien est en congés depuis le 16 août et reprend le travail le 30. Nous ne l’avons donc pas revu. »

Pour le docteur Le Coustumier, président de la commission médicale d’établissement, « le docteur Huboud-Peron est un excellent chirurgien qui tient à bout de bras son service, dans des conditions difficiles. Mais il aurait dû se cantonner à son rôle de chirurgien qu’il accomplit parfaitement. Je rappelle que dans notre serment d’Hyppocrathe, la première chose c’est de ne pas nuire au patient. »

Pour l’heure, nous ne sommes pas parvenus à joindre le chirurgien. Un entretien entre Christophe Bouriat, directeur de l’hôpital de Tarbes, et le praticien pourrait se tenir lundi prochain, à leur retour respectifs de congés, selon le service communication du centre hospitalier de Bigorre.

Le chirurgien orthopédique de l’hôpital de Tarbes, Arnaud Huboud-Peron, micro en main devant le hall d’entrée de l’hôpital de Tarbes face à 800 manifestants.




Utiliser le paracétamol contre la Covid est une erreur thérapeutique majeure!

[Source : AIMSIB]

Attention, cet article est complexe mais pourtant absolument fondamental pour qui souhaite comprendre que la médecine ne se décrète pas sur les bancs de l’Assemblée Nationale. Non, en cas de Covid, le paracétamol ne doit pas être utilisé « en attendant d’aller mieux », car vous « irez » en vous aggravant. Merci au remarquable Jean Umber, ancien chimiste à l’ENS St Cloud, de nous en démontrer factuellement le mécanisme. On précise immédiatement que les références constantes à wikipédia sont intentionnelles, ce site démontre un sérieux sans faille en matière de chimie. Alors pourquoi l’absurde antienne gouvernementale Doliprane-domicile-dodo peut mener à … Décès? Bonne lecture…

Introduction

À la lecture de l’article du 6 janvier 2021 publié par France-Soir (1): « Le paracétamol aurait-il tué ? » , j’ai voulu approfondir mes propres connaissances à son sujet, et essayer d’étayer de manière plus rationnelle leur thèse, qui, à mon avis, n’allait pas jusqu’au bout des questions posées. Mon étude porte à penser que la paracétamol a favorisé l’apparition de difficultés respiratoires au bout du temps nécessaire pour que la quantité de glutathion cellulaire devienne insuffisante pour gérer le métabolisme d’absorption de l’oxygène. Tout ce qui suit étant connu dès 2018, on peut se demander quel a été le motif (obscur) de l’ordre de prescription du paracétamol, exclusivement à tout autre AINS.

Paracétamol

Je me suis intéressé pour la première fois au paracétamol vers l’an 2000, après avoir découvert dans un bouquin de chimie organique (2) à la page 1357 le mécanisme (partiel) de l’action du paracétamol sur le glutathion. Il était indiqué que le métabolisme humain oxyde le paracétamol en une iminoquinone (3), laquelle réagit par la suite avec le soufre du glutathion pourrait donner une liaison stable soufre carbone qui enlève toute propriété antioxydante au glutathion.

Je m’étais intéressé auparavant à ce glutathion (L-γ-glutamyl-L-cysteinyl-glycine) (4) , car il était beaucoup question de ce tripeptide dans la survie des HIV positifs, particulièrement de la part l’équipe de Herzenberg à Stanford, US (5). C’est à cette époque que je m’étais dit que, si la trithérapie fonctionnait si bien, c’était peut-être aussi à cause du soufre de la lamivudine (6), ce qui pouvait permettre de compenser plus ou moins la déficience en glutathion. Cette même équipe de Herzenberg (Ghezzi et al) s’est également intéressé au problème du paracétamol (7).

Je m’intéressais également de longue date (depuis que j’ai découvert la chimie grâce à Linus Pauling à l’âge de 12 ans) aux divers oxydes de l’azote car je me suis étonné de la grande diversité des structures azote – oxygène. Ce n’est que vers l’an 2000 également que je découvris l’importance métabolique du monoxyde d’azote (8) et des peroxynitrites (9) que je découvris par la même occasion. C’est Koppenol (10) qui a détaillé tout cela en 1998.

Rôle des NO-synthases

Je compris mieux alors l’importance des NO-synthases (11) que l’on retrouve finalement dans beaucoup de cellules vivantes, puis celle du peroxynitrite formé très rapidement, sans catalyseur, par réaction instantanée du monoxyde d’azote NO sur l’ion superoxyde O-O(-) (12). Car ces deux structures comportent toutes deux un électron célibataire qui leur permet de se lier très facilement. Une des principales caractéristiques biochimiques de ces peroxynitrites est leur capacité à réagir, en présence de CO2, avec les cycles aromatiques phénoliques (ou mieux, riches en électrons) par formation facile et rapide d’un composé nitré: fixation d’un groupement NO2 sur un cycle benzénique, cela explique par exemple la formation naturelle du chloramphénicol (13). Pacher et al. décrivent les propriétés physiologiques de ces deux composés (14).

Naproxène, amoxicilline

En furetant, je suis tombé vers 2010 dans une librairie sur un ouvrage de McMurry et Begley (édité par de Boeck en 2008) : « Chimie organique des processus biologiques« . J’y ai trouvé quelque chose qui me permettait d’utiliser les connaissances acquises précédemment : à partir de la page 363, ils décrivent les résultats des études sur la biosynthèse des prostaglandines (15), responsables en particulier des phénomènes inflammatoires. Ils indiquent p 366, que les peroxynitrites sont les initiateurs probables de cette synthèse. Je me suis dit alors : si les peroxynitrites sont piégés, les prostaglandines ne se formeront pas. Mais qu’est-ce qui piège ces peroxynitrites ? On l’a vu plus haut : ce sont en particulier les phénols et les cycles benzéniques riches en électrons. Exemples : le naproxène (16), qui est un éther de naphtol (17), son cycle est encore plus riche en électrons que celui du paracétamol. On se rend rapidement compte que tous ces AINS sont de la même famille chimique. Il en est de même pour le paracétamol.

A noter que l’amoxicilline (18) est également un phénol, ce qui pourrait lui conférer des propriétés antiinflammatoires expliquant sa rapidité d’action par rapport à celle d’autres pénicillines.

Prostaglandines

Il me fallait trouver les travaux de référence. Je les ai trouvés dans la publication de Schildknecht et al. (2008) : « Acetaminophen inhibits prostanoid synthesis by scavenging the PGHS-activator peroxynitrite » (19). Ils donnent bien entendu les références des autres travaux qui confortent leur expérience. Je trouvais par la même occasion une confirmation possible à mon hypothèse concernant le mécanisme de l’inhibition de certaines prostaglandines par le paracétamol.
Cependant, il y avait une contradiction entre les deux réactions biochimiques attribuées au paracétamol. Selon Herzenberg (20) , Clayden (21), Jaeschke (22), Tatiana Obukhanych, le paracétamol modifié (oxydé) par le cytochrome CYP2E1 (23), agit comme un oxydant et forme un adduct avec le glutathion, adduct éliminé par la suite, avec donc consommation du paracétamol, qui donc n’est plus en quantité suffisante pour permettre d’enrayer la synthèse des prostaglandines, où il joue au contraire le rôle de réducteur chimique.

Les travaux de Chan et al en 2018 (24) permettent de résoudre ce paradoxe. On constate que l’adduct ipso (voir schéma p 2), qui met en jeu non seulement le groupement thiol (-SH) du glutathion, mais également ceux des protéines comme la cystéine (25), conserve son pouvoir oxydant et va réagir avec un nouveau groupement thiol (du glutathion ou d’une protéine) en décomposant l’adduct ipso pour former un disulfure (noté Pr-S-S-G ici)(Pr = protéine soufrée, G étant le glutathion) en libérant le paracétamol (APAP). Le bilan est donc nul pour le paracétamol dont la concentration va demeurer constante, et la véritable réaction consiste en l’oxydation des thiols (-SH)x2 en disulfures (-S-S-) par le cytochrome, réaction qui n’a pas lieu dans le métabolisme normal. Le paracétamol reste donc disponible pour bloquer la synthèse des prostaglandines.

Ce comportement chimique du paracétamol montre qu’il agit comme un catalyseur (26). Il catalyse donc la diminution par oxydation de la quantité de thiols (glutathion) disponibles et il empêche l’oxydation de l’acide arachidonique (27) en prostaglandine (28).

Le travail de Khomich et al. (2018) (29) montre bien l’association de l’augmentation des entités oxydantes réactives (ROS et NOS) dans les maladies virales respiratoires, ainsi que la diminution de l’antioxydant principal, le glutathion (GSH), que l’on ne doit surtout pas confondre avec le glutathion oxydé GSSG (un disulfure) qui lui, justement est le produit de la réaction des ROS (ou NOS) avec GSH.

La première conclusion générale est qu’il ne faut pas faire diminuer la quantité de glutathion circulant, et que toute action en ce sens est une erreur,…, que nos « autorités » ont faite en imposant le paracétamol. L’apparition de difficultés respiratoires au bout de 10 jours pourrait bien être le fait des 4g de paracétamol prescrits journellement.

Conclusion

D’ailleurs, pourquoi avoir imposé l’évitement des autres AINS, sinon pour utiliser cette propriété du paracétamol consistant à faire diminuer le glutathion, ce que ces autres ne possèdent pas ?
Autre étude importante, celle de Hati et al. (2020) : « Impact of Thiol–Disulfide Balance on the Binding of Covid-19 Spike Protein with Angiotensin-Converting Enzyme 2 Receptor  » (30) dont le résumé succinct est le suivant : la liaison entre la Spike et le récepteur ACE2 est d’autant plus faible que la quantité de groupement thiol est importante : thiols = glutathion.

On retrouve le fait que la maladie est d’autant plus dangereuse que le taux de glutathion est faible, tendance que l’on retrouve bien entendu d’abord chez les personnes âgées, mais aussi sans doute chez celles ayant abusé de paracétamol. Les personnes décédées de la covid n’auraient-elles pas présenté un important déficit en glutathion ?

Et cette alerte pourrait également être appliquée à la « thérapie génique », qui est censée faire produire cette protéine spike par la cellule vivante.

Je rebondis sur l’article d’André Fougerousse (31) qui indique que c’est bien l’excès d’oxydants qui est à l’origine de la thrombose, oxydants qui sont normalement réprimés par le glutathion. Les thromboses associées à la spike ne seraient donc pas dues au hasard.

Ces deux références se retrouvent dans l’analyse de Sestili et Fimognari : « Paracetamol-Induced Glutathione Consumption: Is There a Link With Severe COVID-19 Illness? » (32)

Le rôle du glutathion est bien entendu beaucoup plus étendu. J’ai voulu mettre en exergue deux points qui nous concernent particulièrement aujourd’hui.

Jean Umber
Aout 2021

Notes et sources:

(1) https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/covid-19-le-paracetamol-aurait-il-tue
(2) Clayden, Greeves, Warren, Wothers chez Oxford University Press https://www.academia.edu/35755359/Organic_Chemistry_By_Clayden_Greeves_Warren_and_Wothers
(3) https://fr.wikipedia.org/wiki/N-Ac%C3%A9tyl-p-benzoquinone_imine
(4) https://fr.wikipedia.org/wiki/Glutathion
(5) https://www.pnas.org/content/94/5/1967
(6) https://fr.wikipedia.org/wiki/Lamivudine
(7) https://herzenberglab.stanford.edu/sites/g/files/sbiybj10046/f/publications/lah579_cysdef.pdf
(8) https://fr.wikipedia.org/wiki/Monoxyde_d%27azote
(9) https://fr.wikipedia.org/wiki/Peroxynitrite
(10) https://www.researchgate.net/publication/26351868_The_chemistry_of_peroxynitrite_a_biological_toxin
(11) https://fr.wikipedia.org/wiki/Oxyde_nitrique_synthase
(12) https://fr.wikipedia.org/wiki/Peroxynitrite
(13) https://fr.wikipedia.org/wiki/Chloramphénicol
(14) https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC2248324/pdf/nihms38119.pdf
(15) https://fr.wikipedia.org/wiki/Prostaglandine
(16) Le naproxène est largement utilisé en médecine à ce jour sous son nom DCI mais aussi sous les noms commerciaux d’Apranax©, Antalnox©, Alève©…   
https://fr.wikipedia.org/wiki/Naprox%C3%A8ne
(17) https://fr.wikipedia.org/wiki/Naphtol
(18) Antibiotique de la famille des Béta-lactamines universellement utilisé à ce jour, vendu seul sous son nom de DCI, mais aussi sous des noms commerciaux tels que Clamoxyl© : En association avec de l’acide clavulanique l’assemblage a vu le jour sous le nom d’Augmentin© en France.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Amoxicilline
(19) https://faseb.onlinelibrary.wiley.com/doi/full/10.1096/fj.06-8015com
(20) https://herzenberglab.stanford.edu/sites/g/files/sbiybj10046/f/publications/lah579_cysdef.pdf
(21) https://www.academia.edu/35755359/Organic_Chemistry_By_Clayden_Greeves_Warren_and_Wothers
(22) https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/21296090/
(23) https://en.wikipedia.org/wiki/CYP2E1
(24) https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC6166671/pdf/zjw2034.pdf
(25) https://fr.wikipedia.org/wiki/Cystéine
(26) https://fr.wikipedia.org/wiki/Catalyse
(27) https://fr.wikipedia.org/wiki/Acide_arachidonique
(28) https://fr.wikipedia.org/wiki/Prostaglandine
(29) https://www.mdpi.com/1999-4915/10/8/392/htm
(30) https://pubs.acs.org/doi/10.1021/acsomega.0c02125
(31) https://www.aimsib.org/2019/11/17/lexplication-sur-la-thrombose-qui-va-vous-en-boucher-un-coin/
(32) https://www.frontiersin.org/articles/10.3389/fphar.2020.579944/full#B24




Teinture Mère d’aiguilles de pin sylvestre

[Source : NewsLetter de Michel Dogna]

Par Michel Dogna

Cette newsletter s’adresse particulièrement à trois catégories de gens :

  • Ceux qui se sont laissés vaxxer à regret pour avoir le droit de continuer à gagner leur vie et nourrir leur famille.
  • Ceux qui, bernés par les mensonges de la télé, se sont fait vaxxer volontairement et sont maintenant très inquiets par ce qu’ils ont appris depuis sur les risques de santé graves, voire mortels, qu’ils encourent maintenant.
  • Ceux qui ne sont pas vaxxés mais qui risquent d’être infectés par la proximité permanente ou imprévisible de vaxxés qui sont en fait des pollueurs ambulants de graphène.

Mais elle ne s’adresse pas à ceux qui pensent avoir fait un choix judicieux et sage.
À ce sujet, je voudrais ici mettre en défaut un raisonnement tronqué venant des « Zélites médico-politiques » concernant les sujets fragiles, que par une grande mansuétude on place prioritaires pour bénéficier du « vaxxin sauveur », il s’agit bien sûr des gens âgés, particulièrement ceux des EHPADs, mais aussi des gens à risques comme les diabétiques et les obèses, dont les défenses immunitaires sont souvent déficientes.

Or on sait que la première ligne de défense anti graphène (poison confirmé) est le L-glutathion, alors que celui-ci est automatiquement en déficit chez ces gens-là. Devinez qui risque de gagner la partie… Alors ne pensez-vous pas qu’il s’agirait plutôt d’une volonté de « débarrasser le plancher » des éclopés considérés comme des encombrants inutiles ?

Comment peut-on encore croire des politiques qui depuis toujours n’ont fait que nous mentir sur tout ? Ceux qui n’ont pas encore compris que nous vivons dans un monde à l’envers où les cadeaux sont toujours empoisonnés, sont bien naïfs.

Une compartimentation regrettable des spécialités médicales

Différentes sommités de la recherche en virologie ont sonné l’alarme en affirmant qu’il n’y aurait aucun retour en arrière possible pour les doubles vaxxés, particulièrement au niveau des dégâts physiologiques et neurologiques résultant de ces faux vaxxins ARNm. Cela n’a pas empêché des millions de gens sous hypnose TV de courir les yeux fermés se faire injecter le poison libérateur… Evidemment les alerteurs indépendants n’ont jamais eu accès TV.

En outre, je me demande pourquoi les sommités connues de la virologie qui ont accès au moins à Internet continuent à tourner en rond, centrés sur les coronas V, persistant à ignorer les vrais agents du crime parfait contenus dans les vaxxins, en l’occurrence l’oxyde de graphène, la protéine Spike S (au graphène) et le gel hydroalcoolique. Je rappelle que c’est ce qu’ont trouvé plusieurs labos espagnols selon La Quinta Columna, après avoir analysé des ampoules de « vaxxin » Pfizer, mis à part quelques mini ingrédients d’usage et aucune trace de souche corona ! Ce qui prouve bien que ce n’est pas fait pour vaxxer mais pour empoisonner.

L’histoire compliquée de la suramine

De son côté, le Docteur Judy Mikovits, chercheuse de haut niveau, pensait qu’il était impossible que les promoteurs criminels de l’holocauste vaxxinal n’aient pas prévu une échappatoire pour eux-mêmes et leurs protégés.

Ainsi, Judy Mikovits et ses collaborateurs ont fini par découvrir la botte secrète que ces gens avaient à disposition confidentielle dans le corps médical depuis près de 100 ans, la Suramine, utilisée pour le traitement de la maladie du sommeil humaine (causée par des parasites, les trypanosomes).

Or cette suramine est dérivée du bleu trypan appelé ainsi parce qu’il tue les trypanosomes. Celui-ci a été synthétisé pour la première fois par le scientifique allemand Paul Ehrlich en 1904. Mais ce n’est pas tout, car lorsque l’on remonte la filière des chimistes, on apprend que le trypan est lui-même dérivé de la toluidine, issue du toluène… qui est extrait de l’huile de pin !
Et cela a été la piste de Judy Mikovits.

Bref historique des aiguilles de pin sylvestre

L’histoire nous montre que les aiguilles de pin sylvestre, ou de différentes autres espèces de pin, ont été largement utilisées depuis des millénaires chez différents peuples comme les amérindiens, si bien que ce pin était surnommé « l’arbre aux mille vertus ». Les herboristes du monde entier connaissent depuis longtemps les bienfaits de ces aiguilles de pin en tisane, en Teinture Mère, en poudre, ou en huile essentielle.
Aussi, la richesse des aiguilles de Pin sylvestre en pinène et multiples autres constituants volatils ou non volatils, et en vitamine C (le Pin a été utilisé dans le soin du scorbut) et A, leur confère un pouvoir guérisseur reconnu ciblant particulièrement les affections respiratoires en tant que :

  • Antiseptique,
  • Anti-inflammatoire,
  • Expectorant,
  • Mucolytique,
  • Antioxydant puissant (d’après une étude sud-coréenne en 2011),
  • Stimulant de la corticosurrénale.

Mais aussi de :

  • Booster l’état général,
  • Améliorer la circulation sanguine et lymphatique,
  • Favoriser la diurèse et donc éliminer les toxines.

Une piste en impasse

Là nous entrons dans un sac d’embrouilles avec la recherche de la suramine – version naturelle – supposément concentrée dans les aiguilles, celle-là non agressive comparée à celle qui est de synthèse :

L’analyse d’une teinture mère réalisée à partir d’aiguilles de Pin sylvestre fraîchement récoltées, étude faite par un laboratoire sérieux et doté d’appareillages performants, n’a révélé aucune trace de suramine.
La teinture mère contient le précurseur de cette molécule, le toluène (découvert initialement dans le Baumier de Tolu, un grand arbre d’Amérique du sud, d’où le nom de ce composant) : le toluène est en effet soluble dans l’éthanol contenu dans l’alcool impliqué dans la fabrication de la teinture mère.

Mais cet extrait ne contient pas de suramine, molécule obtenue par voie de synthèse, comme expliqué ci-dessus : la suramine n’est présente dans aucune plante, elle ne se trouve pas à l’état naturel : cette molécule est une création de la chimie analytique ! L’infusion d’aiguilles de Pin sylvestre ne contient pas non plus de suramine, pas plus que la teinture mère ou tout autre extrait du Pin sylvestre, ou tout autre espèce de Pin !

Alors pourquoi ça marche ?

Il est clair que si Judy Mikovits avait raconté des sottises, pourquoi l’aurait-on empêché de parler en la mettant en prison (comme JB Fourtillan) ? A notre avis, elle ne s’est pas trompée sur les résultats, mais a dû mal interpréter la complexité du processus réel de l’action thérapeutique des aiguilles – la suramine serait donc un faux drapeau, et il y aurait autre chose qui fait le travail, mais quoi ?

  1. Notre problème central est la neutralisation du graphène qui est un peroxydant. Or les extraits d’aiguilles de pin étant, nous l’avons vu, un puissant antioxydant apportent une aide extérieure importante au L-glutathion, principal antioxydant endogène qui peut être très insuffisant.
     
  2. Par ailleurs tout le monde sait que les pinèdes dégagent beaucoup d’ions négatifs extrêmement tonifiants qui donnent une sensation de légèreté. Les aiguilles en sont en grande partie le siège.

D’un autre côté l’oxyde de graphène étant électropositif a besoin d’être dans un milieu électropositif pour pouvoir fonctionner. A noter aussi sa capacité exceptionnelle de conduction électrique et magnétique.
Ceci a donné lieu, chez des milliers de personnes à des phénomènes amusants d’aimantation de petits objets ferreux sur le point d’inoculation du vaccin.
Mais malheureusement aussi à des réactions dramatiques presque immédiates de gesticulations violentes incontrôlables et continues insupportables à voir (pauvres gens !) – Il semble que tout le système cérébro-spinal soit en court-circuit.

La vérité est que les extraits d’aiguilles de pin peuvent neutraliser l’électropositivité du graphène le rendant inactif et le piégeant magnétiquement. Pour en savoir plus, je vous renvoie en référence à la thèse d’un scientifique anglais – cliquez sur :

https://tel.archives-ouvertes.fr/tel-01325244

Comme le dit Hugo Barès :

La suramine, c’est l’antidote du graphène pour les élites,
mais les aiguilles de pin, c’est l’antidote du peuple.

Conclusion

Les gros dommages physiques et psychiques post-vax peuvent être grandement évités ou atténués grâce aux aiguilles de Pin sylvestre en préventif avant le vax, ceci permettant de se mettre en règle naturellement sans trop de risques avec le scandaleux passeport vert.

En curatif post vax, il parait aussi possible dès le départ de bloquer le graphène, mais je ne suis pas sûr que par la suite il soit possible de rattraper tous les dégâts déjà occasionnés.

  • NOTA :
    Vu sur ProFide Catholica : en Espagne les produits dérivés d’aiguilles de Pin ont été interdits courant mai 21 !
    C’est bien la preuve que ça marche !…

Recommandations PRÉ ET POST VAX

Alcoolature ou Teinture Mère d’aiguilles fraiches de pin sylvestre

  • 15 gouttes dans de l’eau avant chacun des 3 repas, pendant 25 jours, cure à renouveler après arrêt d’une semaine. Un flacon de 100 ml suffit pour deux cures. 
     

Nota : Hélas, il est possible que beaucoup de gens
n’aient pas accès à ces informations ou n’y croiront pas,
parce que cela ne sera pas diffusé à la télé…

Garantie Qualité

  • Les aiguilles de Pin sylvestre sont coupées et mises en macération sur le site même de la cueillette, dans de la Blanche d’Armagnac 55°, certifiée Demeter et Ecocert.
  • La teinture mère est labellisée Ecocert, Nature et Progrès, Demeter. Elle a un titre alcoolique de 35° environ.

Commande

Vous pouvez vous procurer la Teinture Mère d’aiguilles de pin sylvestre ici :




L’évêque orthodoxe Mar Mari Emmanuel s’en prend à présent aux fers de lance du Nouvel Ordre Mondial et de la vaccination Covid

[Source : Le libre penseur]



Voir aussi : L’évêque Mar Mari Emmanuel s’adresse au gouvernement Australien




Cri désespéré d’une maman divorcée contre l’accord du père pour l’injection expérimentale !

Par Nicole Delépine

Lue sur Vk (partagé par Penoa A que nous remercions), une lettre d’une maman divorcée désespérée de l’accord unilatéral de son ex-mari pour la thérapie génique expérimentale :

« Bonjour,

J’espère que vous lirez mon message.

Je suis maman d’un garçon de 12 ans. Son père vient de le vacciner contre ma volonté. Je suis effondrée. L’amendement proposé par le député parlementaire Sasha Houlié est inhumain et créé un précédent terrible pour tous les parents séparés ou divorcés, avec l’autorisation de vaccination possible donnée uniquement par l’un des deux parents.

J’ai écrit une lettre de réponse à son père, et je vous la partage ici, en espérant qu’elle donne du courage à beaucoup de parents en souffrance.

Merci pour vos partages nombreux, force et courage, nous vaincrons !

Ainsi tu as décidé seul du destin de notre enfant, honte à toi !

Comment oses-tu faire une telle chose, alors même que tu sais que j’y suis formellement opposée, et que je te l’ai notifié à maintes reprises par écrit ?

Comment oses-tu imposer un essai expérimental à notre fils qui n’a que 12 ans et toute sa vie devant lui ?

Comment oses-tu le mettre en danger alors qu’il est en bonne santé et qu’il n’y a jamais eu autant de morts et d’effets secondaires pour des prétendus vaccins, notamment chez les adolescents ?

Comment oses-tu me dire de ne pas s’en prendre à lui et de t’ériger de la sorte comme le protecteur que tu n’as pas voulu être pour ton unique enfant ?

Honte à toi !

Penses-tu donc que tu as ce pouvoir là tout simplement parce qu’un décret, qui remet en question le principe-même de l’autorité parentale partagée, le stipule ?

Quelles sombres motivations t’animent, pour que tu précipites une vaccination inefficace, dangereuse, et inutile de la sorte ?

Penses-tu donc que lorsque toute cette mascarade sera dévoilée, et les innombrables effets secondaires et morts ne pourront même plus se compter, que les criminels complices seront traduits en justice, penses-tu donc que tu t’en sortiras indemne ?

Penses-tu donc que ton confort est plus important que la sauvegarde de nos libertés pour notre génération et les générations futures ?

Penses-tu donc que les inventeurs mêmes des tests PCR et de l’ARN messager, qui critiquent violemment l’utilisation de leurs inventions dans le cadre de dépistage de masse ou de vaccination, soient des illuminés ?

Penses-tu donc que ton fils, qui te posera des questions dans quelques jours, quelques mois ou même quelques années sur ce que tu as fait pour le protéger, te pardonnera quand il comprendra que tu as failli à ton devoir de protection parentale ?

Penses-tu donc que ton fils ne reviendra pas vers toi pour te demander des comptes l’heure venue, sur tous les dommages possibles sur sa santé ?

Honte à toi !

Tu as fait des choix qui ne t’appartiennent pas, et qui auront possiblement de lourdes conséquences sur son futur.

Tu n’as pas exercé ton devoir d’information impartiale auprès de ton fils des risques encourus, et a préféré privilégier ton confort immédiat et égoïste.

Honte à toi !

Je me décharge par la présente de toutes les conséquences médicales et financières occasionnées par cette thérapie génique que tu as choisi unilatéralement de lui faire injecter et te tiens seul responsable auprès de ton fils de tous les effets secondaires qu’il pourrait encourir à court, moyen et long terme.

J’espère du fond de mon cœur que notre fils sera épargné et qu’il pourra vivre longtemps et en bonne santé.  

»

Comme pédiatre et cancérologue d’enfants et contact de nombreuses familles connues au cours de mon exercice, je partage cette lettre qui reflète le drame vécu par tant de familles séparées et qui voient leur difficultés décupler par cette autorisation unilatérale d’un des deux parents !

Quelle cruauté supplémentaire infligée aux parents séparés ! Parents, vous avez aimé l’autre assez pour donner ensemble la vie à un enfant! Au nom de cet amour maintenant évanoui, respectez l’autre et son avis et ne donnez pas votre enfant comme cobaye à une expérimentation dont lui ne peut rien attendre (le covid n’atteint pas les enfants sans comorbidité sévère (trouble immunitaire, cancers etc.). Et les effets secondaires graves semblent encore plus fréquents que chez les gens âgés comme les atteintes cardiaques.

Laissez votre enfant disposer de sa vie lorsqu’il sera adulte sans lui infliger cette injection morbide, pour des facilités immédiates (voyages, resto, etc.. ) et aux conséquences à long terme inconnues et terrifiantes pour de nombreux généticiens.

Ne laissons pas les décideurs actuels diviser la nation entre vaccinés et non vaccinés, ni entre parents divorcés. Tenons la barre d’une société civilisée.




Le soma de Huxley et le vaccin mondialiste : feint-sacrement, destruction de l’empire US et avènement de l’ordre banquier universel

[Source : nicolasbonnal.com]

Par Nicolas Bonnal

Les mondialistes se rapprochent de leur but. Ils détruisent à Kaboul et ailleurs ce qui reste d’empire américain, même si les distraits pensent que cela met fin au Nouvel Ordre Mondial — alors que cela ne fait que le mettre en place. L’Amérique était une dernière protection, il serait temps de le dire. Voyez mon texte sur le tyran de Syracuse Denys (une femme prie pour que ce tyran reste au pouvoir) : elle a en effet compris que le tyran suivant est toujours PIRE. C’est maintenant que l’on va déguster avec la tyrannie des banquiers et des informaticiens.

Ils sont obsédés par ce vaccin imposé. Il doit bien y avoir une raison. Je me suis rappelé alors du soma de Huxley. Et comme je préfère la copie à l’original (le « retour » au Meilleur des mondes »), je le relis et lis ceci :

« Le soma était une plante dangereuse, si dangereuse qu’elle rendait même malade le grand dieu du ciel en personne, Indra. Les simples mortels mouraient parfois d’une dose un peu trop forte, mais l’expérience procurait une telle béatitude transcendante et une telle illumination qu’elle était considérée comme un privilège qu’on ne pouvait payer trop cher. »

https://youtu.be/A9OuIaU9JPU

Le soma (boisson védique et sacrée bien expliquée par Guénon) chez Huxley a une fonction politique. Il est là pour assurer le pouvoir et la nouvelle autorité temporelle, comme le feint-sacrement est là pour assurer le pouvoir satanique de la mondialisation qui accompagne l’écroulement de l’empire américain décidé par Davos à Kaboul — à ce propos lisez Thomas Luongo qui est le seul à l’avoir compris avec nous et qui annonce la prise du pouvoir par Yellen en lieu et place de Biden et Harris. Nous serons nus devant les banquiers.

Mais autorité rime vite avec tyrannie et avec maladie. Voyez le texte straussien de mon ami Laurent Guyénot sur cet instinct sacerdotal qui rend définitivement fous les hommes : Nietzsche en parlait déjà (Généalogie, première dissertation). Huxley :

« Aussi, ce genre de toxicomanie n’était-il pas un vice personnel, mais bien une institution politique, l’essence même de la Vie, de la Liberté et de la Poursuite du Bonheur garanties par la Déclaration des Droits. Mais ce privilège inaliénable des sujets, précieux entre tous, était en même temps l’un des instruments de domination les plus puissants dans l’arsenal du dictateur. L’intoxication systématique des individus pour le bien de l’État (et, incidemment, pour leur propre plaisir) était un élément essentiel du plan des Administrateurs Mondiaux. »

Les administrateurs sont mondiaux dans le Meilleur des Mondes. Huxley est toujours plus fort qu’Orwell : l’État est mondial chez lui, la drogue omniprésente, le citoyen abruti plus qu’apeuré. Il poursuit :

« Karl Marx déclarait que la religion était l’opium du peuple, mais dans le Meilleur des Mondes la situation se trouvait renversée : l’opium, ou plutôt le soma, était la religion du peuple. Comme elle, il avait le pouvoir de consoler et de compenser, il faisait naître des visions d’un autre monde, plus beau, il donnait l’espoir, soutenait la foi et encourageait la charité. »

Le vaccin c’est la religion et c’est le corps de cet Antéchrist mondialiste d’ailleurs encouragé par tous les clergés ; d’où la chasse aux hérétiques. Dans le monde réellement renversé, le vrai est un moment du faux, disait Debord en reprenant Hegel. Évidemment la drogue ou le soma sont dangereux comme le vaccin :

[Voir aussi : La religion de l’Antéchrist]

« Par exemple, le calmant classique est l’opium, mais c’est aussi un stupéfiant dangereux qui, depuis les temps néolithiques jusqu’à aujourd’hui, a fait des toxicomanes et ruiné des santés sans nombre. On peut en dire autant de l’alcool, euphorisant classique, qui, selon les termes du psalmiste, “réjouit le cœur de l’homme”. Malheureusement, il ne fait pas que cela ; pris en quantités excessives, il provoque la maladie, l’accoutumance et, depuis huit à dix mille ans, il a été une cause majeure de crimes, de chagrins domestiques, de dégradation morale et d’accidents évitables. »

Dans la religion (ou la contre-religion, mais elles se rejoignent en ce moment, malheureusement), tout est contrôle et possession des esprits. Aujourd’hui cette possession assistée par ordinateur fonctionne à merveille, même dans la rue ou le métro. Dans le monde postmoderne (le Retour au Meilleur des mondes date de 1957), tout n’est que contrôle et manipulation. Huxley précise que la démocratie est un luxe qu’on ne peut plus se payer (trop de gens et trop de consommation) :

« Pendant ce temps, des forces impersonnelles sur lesquelles nous n’avons presque aucun contrôle semblent nous pousser tous dans la direction du cauchemar de mon anticipation et cette impulsion déshumanisée est sciemment accélérée par les représentants d’organisations commerciales et politiques qui ont mis au point nombre de nouvelles techniques pour manipuler, dans l’intérêt de quelque minorité, les pensées et les sentiments des masses. Ces procédés seront étudiés dans les chapitres suivants ; bornons-nous pour le moment à ces forces impersonnelles qui sont en train de rendre le monde si peu sûr pour les démocraties, si peu hospitalier pour la liberté individuelle. »

Le discours est libéral et néolibéral (toujours pour les imbéciles en retard d’une guerre : même Malraux avait compris déjà que le capitalisme n’était plus qu’une volonté d’organisation), mais la réalité est étatique et super-étatique :

« Un état de crise continu justifie le contrôle continu de tout et de tout le monde par les agents du gouvernement et c’est précisément cette tension entretenue à quoi l’on peut s’attendre, dans un monde où la surpopulation crée une situation telle que la dictature sous les auspices communistes devient presque inévitable. »

Le virus et la crise permettent comme on sait de liquider les derniers petits commerces. Huxley disait déjà avec l’exemple du fascisme sous les yeux que ces commerces étaient condamnés : la nuit de cristal avait détruit le petit commerce juif en Allemagne et c’est ce à quoi nous avons affaire en ce moment, mais à un niveau mondial.

« Dans un tel univers, les Petits, avec leurs fonds de roulement insuffisants, sont gravement désavantagés ; dans la concurrence avec les Gros, ils perdent leur argent et finalement leur existence même, en tant que producteurs indépendants — les Gros les ont dévorés. À mesure que les Petits disparaissent, la puissance économique en vient à être concentrée entre des mains de moins en moins nombreuses. Dans une dictature, les Grosses Affaires, rendues possibles par des progrès techniques constants et la ruine des Petites Affaires qui en est résultée, sont sous le contrôle de l’État — c’est-à-dire celui d’un groupe peu nombreux de chefs politiques et des soldats, policiers, fonctionnaires exécutant ses ordres. »

Et Huxley de mettre les points sur les I :

« Dans une démocratie capitaliste comme les USA, elles sont sous la coupe de ce que le professeur C. Wright Milis a appelé I’Élite du Pouvoir. »

Nous étions calculés depuis longtemps. La suite va être effarante (voyez mon texte sur Sitra et le 666) d’autant que la foule ne comprend toujours pas et ne comprendra pas. Elle regardera la télé et dénoncera les hérétiques qui ne sont pas vaccinés. Mais au point où on en est…

Sources principales :





Le jour où j’ai compris la supercherie

[Source : REINFOCOVID]

Par Alain MANET

Dans un contexte dominé par la terreur, la peur, lorsque le vaccin est apparu, inondé par les informations toutes plus alarmistes les unes que les autres, j’ai vu du soleil, même si je me disais « comment est-ce possible, si simple, si vite ? ». Mais comme 100 % des médias disaient c’est formidable et qu’« il n’existe que cela »…

Ma mère, 87 ans, était inquiète, impossible d’avoir un rendez-vous par téléphone pour avoir « son vaccin ». Je prends rendez-vous pour elle par internet. Elle est rassurée. Elle prend sa 1re dose, puis la deuxième… qui la fatigue beaucoup quelques jours…

Puis elle appelle : elle est chez elle, essaie de colmater une hémorragie nasale sans succès. Appel des pompiers. Le médecin présent lui demande ce qui se passe :

« Je crois que c’est un vaccin, en 87 ans je n’ai jamais saigné du nez.
— C’est lequel ?
— Cominarrty, répond-elle.
— Ah, oui, ça ne m’étonne pas ».

Aux urgences, une grosse mèche dans le nez, très douloureuse. Ramenée chez elle, une heure plus tard, 2e hémorragie, sa petite fille arrive, une flaque de sang par terre, tout se déverse par l’autre narine : pompiers, retour à l’hôpital où l’on met une deuxième mèche en expliquant que cela aurait dû être fait avant… ?

Sa petite fille la récupère debout, accolée à un mur dans le couloir d’entrée. Il y a le COVID, faut pas rester là… Je la récupère, car j’habite loin pour la surveiller le week-end, le sang coule, elle prie, elle pense qu’elle va mourir.

J’essaie de refaire des mèches… ça ne tient pas, trop de sang et dès qu’elle touche, ça part. Je vais dans le plus grand hôpital du département. D’abord aux vaccinations. Un monsieur est en train de rassurer les futurs vaccinés :

« vous verrez, c’est sûr à 99 % ».

« Bonjour, je suis les 1 %
— Pardon ?
— Oui ma mère est assise là et elle fait des hémorragies depuis sa vaccination, que fait-on ? »

Le médecin m’attrape vite le bras devant les futurs vaccinés inquiets…

« Mais monsieur, il faut aller aux urgences, ici on ne s’occupe pas de cela ».

À l’autre bout de l’hôpital, les urgences, il faut attendre pour faire l’admission. J’explique. La personne qui fait l’admission lève les bras au ciel :

« Et encore une de plus, ça n’arrête pas, et dire qu’ils veulent que nous, on se vaccine ! Ça ne risque pas !!! ».

Et il donne un coup de coude à sa collègue :

« Tu as vu ? Encore une Pfizer ! ».

Les mèches sont refaites, 18 de tension. On donne donc un médicament pour faire tomber la tension, l’hémorragie se calme.

Je réclame un bilan sanguin, il faut insister, mais il est fait et on repart. Finalement, qu’est-ce que cela veut dire ? J’appelle la pharmacovigilance, il faut saisir un formulaire compliqué.

« Vous ne l’avez pas dans vos données ?
— Non, il faut le saisir vous-même ».

Je fais le dossier sur internet et rappelle :

« Pourriez-vous me dire si vous avez eu beaucoup de cas et si vous avez une solution ?
— Non, le cas de votre maman, on n’a pas vu et il faut qu’elle voie son médecin ».

Mais alors ces fameux centres de pharmacovigilances qui alimentent l’ANSM des cas graves, si l’hôpital ne fournit pas les données, si l’interne dit qu’il ne voit passer que cela alors que le centre de pharmacovigilance n’est qu’à 300 mètres dans le même hôpital….Qu’est-ce que cela veut dire sur la validité des données que l’on communique ? Qu’arrive-t-il aux personnes qui ont des effets graves, vu qu’on leur dit : « circulez ! Allez voir votre médecin » ????

Son médecin :

« Oh ! À votre âge, il faut prendre ces médicaments toute votre vie. C’est plus sûr.
— Mais je n’en ai jamais eu besoin avant. Je ne peux pas arrêter au bout d’un mois ou 2 ?
— Non, c’est dangereux ».

………?????

Nous avons effectivement basculé dans un autre monde, le monde du vaccin incontestable, celui qui ne doit pas poser de problèmes. S’il en pose, il faut cacher les victimes, ne pas les comptabiliser, si elles meurent en silence c’est même mieux. De toute façon, elles gênent le « progrès », celui qui est « en marche ». Si on ne répond pas bien au vaccin, si on le conteste on ne marche pas.

Depuis c’est un combat, car même avec ce témoignage, on peine à convaincre de la dangerosité. Je ne suis même pas arrivé à convaincre mes enfants. L’un est allé, angoissé, dans un centre, car il avait peur qu’on lui interdise d’aller enseigner aux enfants à la rentrée et faire sa première année de professeur… Dans le centre on demande :

« Pour quelle raison venez-vous ?
— Pour le PASS.
— Ah, oui, c’est le cas de tous ceux que j’ai vus aujourd’hui ».

Il était le 1000e piqué de la journée.

« Il faut remplir et signer le formulaire de consentement ».

Consentement de quoi, pour quoi et pour qui ? Pour dire que l’on accepte ce que l’on nous impose ? Quelle est cette mascarade ? Pour que l’État se décharge de toute responsabilité ?

Il ne soigne déjà plus les malades du vaccin, il ne les reconnaît même pas. Il dit qu’ils n’existent pas ! Et que dire des dizaines de millions pour payer les vigiles des hôpitaux payés pour empêcher des malades d’entrer à l’hôpital.

Nous avons en quelque mois inventé le PASS de la HONTE.

Alors, résistons à ce monde dirigé par toute cette cruauté, pour nous, pour nos enfants, pour l’avenir de l’humanité, pour rester libre et pouvoir avoir des choix.

Alain MANET




Piqûre de rappel : Pfizer et les pharmaceutiques au pouvoir

[Source : journaldemontreal.com]

CA_LeoPaul_Lauzon

Par
LÉO-PAUL LAUZON
 
24 octobre 2013

La société américaine Pfizer est la plus grosse compagnie pharmaceutique au monde et elle n’est pas mal plus importante et plus riche que le Canada. En termes de ressources économiques, le Québec est un nain par rapport à Pfizer et à la tyrannie du cartel pharmaceutique qui font la pluie et le beau temps dans le monde grâce à leurs milliers de lobbyistes, d’universitaires franchisés, de groupes de recherches commandités et d’ex-politiciens à leur emploi. Comme pour les pétrolières, les banques, les chemins de fer, les firmes de génie, etc., et on repassera pour la supposée vive concurrence qu’est censée se livrer les agents économiques de tout marché. Dans plusieurs secteurs économiques, la concurrence et de ce fait l’économie de marché ne sont que des vues de l’esprit.

Mentionnons aussi que comme à l’accoutumée, Québec est chiche envers le monde ordinaire mais très généreux avec la caste supérieure, ce qui se concrétisera par le versement annuel de plusieurs centaines de milliers par année en fonds publics versés par la province à des pharmaceutiques milliardaires. Ça fait que c’est le Québec qui est le plus généreux en aide gouvernementale et où le prix des médicaments est le plus élevé au Canada. Même en leur donnant notre chemise, les mammouths pharmaceutiques en veulent toujours immonde et à flusher des milliards d’employés.

L’éthique et Pfizer

Commençons par une «joke» à vous faire mourir de rire. Elle vient de Scott Wilks, un haut dirigeant de Pfizer Canada, qui a dit très sérieusement, en entrevue au journal Les Affairesdu 7 avril 2012 que : «Il faut payer les médicaments à un prix équitable». Imaginez, faut avoir du front, et un gros en plus de ça, tout le tour de la tête pour nous parler de «prix équitable» des médicaments en particuliers et «d’équité» en général. Franchement, les pharmaceutiques qui détournent des milliards de dollars annuellement dans les paradis fiscaux par le biais de leurs filiales qui y logent et de leurs prix de transfert; des cadeaux princiers qu’ils distribuent aux médecins, aux pharmaceutiques et aux chercheurs universitaires pour services rendues à leur publicité trompeuse et mensongère, etc.

Tiens, prenons le titre de cet article de journal du 8 août 2012 : «Pfizer versera 60 millions$ US pour une affaire de corruption» et de celui-ci du 3 septembre 2009 : «Pfizer paie une amende record pour publicité abusive». Un petit 2,3 milliards$ US en amende auquel, selon moi, il aurait fallu aussi condamner les dirigeants de l’entreprise à la prison. Il y a aussi cet article du 10 décembre 2010 qui nous signale que «Pfizer a embauché des enquêteurs privés chargés de trouver des informations incriminantes sur le ministre de la justice du Nigéria qui poursuivait le géant pharmaceutique pour 75 millions de dollars» et également cet autre du 31 mai 2008 intitulé «Depo-Provera. Le recours collectif contre Pfizer peut aller de l’avant». Et après, ils ont le culot de se faire les apôtres de l’éthique et de la responsabilité sociale.

À genoux devant Pfizer

Contrairement à son engagement pris en 1987 d’investir 10% de leurs revenus en recherche au pays, en échange de subventions et de faveurs comme la durée prolongée de vie des brevets, de façon unilatérale et en vrai petit dictateur, Pfizer met fin à ses belles promesses : «Pfizer remet en question son engagement» (La Presse, 8 décembre 2010). Et nos élus affranchis s’écrasent face à ce comportement despotique.

Et même si c’est le Québec qui leur en donne le plus sur le bras de la population, Pfizer ne fait «pas de promesse pour le Québec» (16 mai 2012). Pfizer peut toutefois aider les provinces à «mieux gérer et prévoir ses coûts lorsque de nouveaux médicaments sont inscrits sur les listes». On appelle ça du mépris. Ce sont ces mêmes canailles qui provoquent intentionnellement des pénuries de médicaments moins rentables afin de vendre au gros prix leurs nouveaux médicaments qui sont quasi identiques aux vieilles pilules.

Des promesses de pertes d’emplois

Contrairement à ce que disent les boss de Pfizer, oui, ils peuvent faire des promesses de…. Pertes d’emplois et soyez assurés qu’ils tiennent parole. Tiens, prenons le titre de ces articles de journal récents : «Autre coup dur pour la recherche à Montréal. Pfizer élimine 150 postes» (3 février 2011). Puis, Pfizer dans Saint-Laurent : Quarante postes abolis» (26 mai 2012) et enfin : «Hémorragie dans l’industrie pharmaceutique. Pfizer sabre 300 emplois, dont la majorité à Montréal» (29 octobre 2012). Pourtant, Stephen Harper nous avait juré que les importantes baisses d’impôt sur le revenu consenties aux entreprises allaient créer des jobs, stimuler l’investissement et la croissance et créer beaucoup de richesse. Un autre mensonge des politiciens.

La recherche fondamentale sous-traitée

Et dire que nos gouvernements récidivent et nous enfoncent encore plus dans les entrailles du cartel pharmaceutique en sortant la recherche fondamentale pour de nouveaux médicaments des universités afin de les sous-traiter à des bineries biotechnologiques privées subventionnées à fonds par des fonds publics et à des fonds d’investissement spéculatifs qui s’associent aux transnationales pharmaceutiques. Ça, ça fait que les affairistes, les spéculateurs et les multinationales s’enrichissent et la population s’appauvrit et devient toujours à la merci du diktat des géants pharmaceutiques. Faut faire comme plusieurs pays et compte tenu de l’importance des médicaments pour le bien-être et la souveraineté de tout peuple et de leurs prix sur les budgets des familles et de la santé publique, faut remettre dans les institutions publiques la recherche fondamentale en santé. C’est trop important pour laisser ça à des gens qui sont principalement guidés par la cupidité bien avant le bien commun et la santé des gens. On a qu’à voir comment l’industrie pharmaceutique est peu émue par les millions de décès reliés aux VIH, s’est comportée en Afrique, ce qui fait dire que dans certains pays on meurt plus du sida que ou, encore, les profits avant la santé.




Toxicité du sans-fil : jugement américain historique

[Source : La Maison du 21e siècle]

La Cour d’appel des États-Unis pour le circuit du District de Columbia se prononce en faveur des groupes de santé environnementale et des pétitionnaires ; elle estime que la FCC a violé la loi sur la procédure administrative et n’a pas répondu aux commentaires sur les dommages environnementaux. 

Source : Communiqué de l’Environmental Health Trust (EHT)

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Ce vendredi 13 août, la Cour d’appel des États-Unis pour le circuit du District de Columbia a statué dans l’affaire historique EHT et al. v. the FCC que la décision de décembre 2019 de la Federal Communications Commission (FCC) de conserver ses limites de sécurité de 1996 pour l’exposition humaine aux radiations sans fil était « arbitraire et capricieuse. »

Le tribunal a estimé que la FCC n’avait pas répondu aux « preuves documentaires selon lesquelles l’exposition aux rayonnements RF à des niveaux inférieurs aux limites actuelles de la Commission peut avoir des effets négatifs sur la santé sans rapport avec le cancer ». En outre, l’agence a fait preuve d’une « absence totale de réponse aux commentaires concernant les dommages environnementaux causés par les rayonnements RF ».

« Nous sommes ravis que le tribunal ait confirmé la règle de droit et ait estimé que la FCC doit fournir un dossier d’examen raisonné pour les milliers de pages de preuves scientifiques soumises par Environmental Health Trust et de nombreuses autres autorités expertes dans cette affaire qui fait jurisprudence. Aucune agence n’est au-dessus de la loi. Le peuple américain est bien servi », a déclaré le Dr Devra Davis, président de Environmental Health Trust.
Environmental Health Trust tiendra une conférence de presse lundi. Heure à déterminer.

Edward B. Myers, avocat de Environmental Health Trust, le principal requérant dans l’affaire EHT et al. v. the FCC, a déclaré :

« Le tribunal a accordé les demandes de révision parce que, contrairement aux exigences de la loi sur la procédure administrative (APA), la commission n’a pas fourni d’explication motivée pour son affirmation selon laquelle ses lignes directrices protègent adéquatement contre les effets nocifs de l’exposition aux rayonnements de radiofréquence ».

« Je suis très heureux de voir que la Cour d’appel américaine pour le circuit du District de Columbia a statué que la FCC a ignoré des décennies d’études sur les effets nocifs potentiels des radiations des téléphones cellulaires sur la santé et qu’elle doit examiner adéquatement ce matériel avant de prendre une décision sur une nouvelle réglementation des téléphones cellulaires », a déclaré le Dr Jerome Paulson, ancien président du Conseil de la santé environnementale de l’Académie américaine de pédiatrie et maintenant professeur émérite de pédiatrie et de santé environnementale et professionnelle à l’École de médecine et des sciences de la santé de l’Université George Washington et à l’École de santé publique de l’Institut Milken.

« Il est très important que le tribunal ait décidé que la FCC doit se pencher sur les impacts des rayonnements de radiofréquences sur la santé des enfants accumulés depuis 1996. » 

La soumission de l’American Academy of Pediatrics (APA) à la FCC demandait une révision des limites de sécurité pour protéger les enfants et les femmes enceintes.

En annulant la détermination de la FCC pour son manque de décision raisonnée, le tribunal a écrit que la commission ne peut pas s’appuyer sur des agences comme la Food and Drug Administration (FDA) si les conclusions de la FDA sont fournies sans explication.

« Si l’imitation peut être la plus haute forme de flatterie, elle n’atteint même pas le faible seuil d’analyse raisonnée requis par l’APA en vertu de la norme d’examen déférente qui régit ici. L’adoption inexpliquée par une agence d’une analyse déraisonnable ne fait qu’aggraver le vide analytique au lieu de le vider. En d’autres termes, deux maux ne font pas un bien », a écrit la Cour.

Le tribunal a également noté que la FCC n’a pas répondu à environ 200 commentaires versés au dossier par des personnes ayant souffert de maladies ou de blessures dues aux rayonnements électromagnétiques.
Le tribunal a ordonné à la commission de

« (i) fournir une explication motivée de sa décision de conserver ses procédures de test pour déterminer si les téléphones cellulaires et autres appareils électroniques portables sont conformes à ses lignes directrices,

(ii) aborder les impacts des rayonnements RF sur les enfants, les implications pour la santé d’une exposition à long terme aux rayonnements RF, l’omniprésence des appareils sans fil et d’autres développements technologiques qui ont eu lieu depuis la dernière mise à jour des lignes directrices de la commission,

et (iii) aborder les impacts des rayonnements RF sur l’environnement. »

Télécharger la décision du 13 août 2021 de la Cour d’appel des États-Unis, District of Columbia Circuit ENVIRONMENTAL HEALTH TRUST, ET AL, PETITIONNAIRES c. FEDERAL COMMUNICATIONS COMMISSION ET ÉTATS-UNIS D’AMÉRIQUE

Cette affaire historique porte sur la décision de la FCC de ne pas mettre à jour les limites d’exposition aux rayonnements sans fil des téléphones cellulaires, des tours de téléphonie cellulaire et des appareils sans fil qu’elle avait fixées en 1996. Les experts de l’Environmental Health Trust soutiennent depuis longtemps que les limites dépassées de la FCC font courir des risques aux Américains partout dans le monde, surtout à l’ère de la 5G. En réponse à la décision historique du tribunal, l’Environmental Health Trust et les pétitionnaires ont publié les déclarations supplémentaires suivantes : Devra Davis PhD, MPH, présidente de l’Environmental Health Trust, auteure de Disconnect : The Truth About Cell Phone Radiation, What the Industry Is Doing to Hide It and How to Protect Your Family.

Si les téléphones portables étaient une drogue, ils auraient été interdits il y a des années. La 5G n’aurait jamais été autorisée à être commercialisée. Un nombre sans cesse croissant d’études publiées – ignorées par la FCC – indique clairement que l’exposition aux rayonnements sans fil peut entraîner de nombreux effets sur la santé, en particulier chez les enfants. La recherche indique que le rayonnement sans fil augmente le risque de cancer, endommage la mémoire, altère le développement du cerveau, a un impact sur la santé reproductive, et bien plus encore. De plus, la façon dont la FCC mesure notre exposition quotidienne aux rayonnements des téléphones cellulaires et des tours de téléphonie cellulaire est fatalement erronée et donne un faux sentiment de sécurité. 

L’Environmental Health Trust a soumis des centaines de pages de preuves scientifiques à la FCC au cours des dernières années, documentant les données scientifiques montrant les dommages, la nécessité pour les agences de santé de créer des limites de sécurité qui protègent contre les effets biologiques, et l’urgence d’une politique d’infrastructure qui donne la priorité aux communications câblées plutôt qu’aux communications sans fil pour réduire l’exposition du public. Bien qu’il reste beaucoup de travail à faire, la décision d’aujourd’hui est une étape importante dans la protection des personnes contre les dommages causés par l’exposition aux rayonnements sans fil.

Malheureusement, l’industrie des télécommunications est en train de pousser des millions de nouvelles antennes sans fil 5G dans les quartiers et des milliards de nouveaux appareils sans fil, mettant chaque jour davantage de personnes en danger.

Alors que nous célébrons la victoire d’aujourd’hui, nous devons regarder vers l’avenir. Que faisons-nous à partir de maintenant ? Nous avons besoin d’une audience du Congrès sur la façon dont cette agence a opéré au-dessus de la loi pour s’assurer que cela ne se reproduira plus jamais. S’engager dans la 5G ne fait qu’assurer le succès commercial de la vente de nouveaux appareils et ne peut pas combler la fracture numérique où de nombreux groupes défavorisés n’ont pas accès aux technologies de base. Comme nous l’expliquons en détail dans la lettre de l’EHT au président Biden, la priorité en matière d’infrastructure devrait être accordée aux connexions Internet câblées plutôt que sans fil. Les États-Unis ont besoin d’un plan d’action fédéral sur la question du rayonnement sans fil qui devrait être informé par les dernières données scientifiques montrant que les niveaux actuels de rayonnement peuvent nuire à la santé humaine et à l’environnement.  

Theodora Scarato MSW, directrice exécutive de Environmental Health Trust et pétitionnaire dans cette affaire

C’est une victoire pour nos enfants, notre avenir et notre environnement. La décision de la Cour devrait être un signal d’alarme dans le monde entier. Les téléphones cellulaires et les réseaux sans fil n’ont fait l’objet d’aucun test de sécurité avant leur mise sur le marché il y a plusieurs décennies. Comme le souligne la Cour dans son arrêt, le silence des agences fédérales de la santé et de l’environnement « ne constitue pas une explication motivée de la décision de la Commission ». Cet arrêt souligne l’absence d’examen scientifique de l’ensemble des recherches scientifiques visant à garantir la protection des personnes et de l’environnement. Aucune agence fédérale n’a examiné la science indiquant des impacts sur le cerveau, la reproduction, les arbres ou la faune – ni la Food and Drug Administration, ni les Centers for Disease Control, ni le National Cancer Institute, ni l’Environmental Protection Agency. Pendant des décennies, chacune de ces agences a minimisé les effets sur la santé des radiations sans fil sur leurs sites Web publics. Un scientifique financé par les télécoms a rédigé des pages web qui seront mises en ligne par notre gouvernement fédéral. Lorsque les gens essaient d’empêcher la construction d’une tour cellulaire devant chez eux, leurs élus leur répondent qu’ils ne peuvent pas prendre en compte la question des effets sur la santé en raison de la loi sur les télécommunications de 1996. Il faut que cela cesse.

Nous avons besoin d’une enquête sur la façon dont notre pays s’est retrouvé dans cette situation et d’un plan d’action fédéral pour veiller à ce que cela ne se reproduise plus jamais. Il est impératif que nos agences fédérales agissent immédiatement pour protéger la santé humaine et l’environnement.  

Déclaration de Cindy Franklin de Consumers for Safe Cell Phones, une organisation qui était un pétitionnaire dans l’affaire

La FCC doit maintenant admettre que ses directives d’exposition vieilles de 25 ans sont bidons. Nos agences de réglementation fédérales sont mandatées pour protéger les personnes et l’environnement des dommages biologiques connus résultant de l’exposition aux rayonnements de radiofréquences micro-ondes. Cette décision montre qu’elles n’ont pas réussi à faire leur travail. L’industrie du sans-fil ne peut plus se cacher derrière les soi-disant directives d’exposition « sûres » de la FCC. 

Déclaration de Liz Barris de la fondation People’s Initiative

Ce jour est attendu depuis longtemps ! Tant de gens souffrent des effets des radiations sans fil et tant de gens ne font même pas le lien entre leurs symptômes, leurs maladies, leurs cancers et même leurs décès et les radiations qui en sont la cause parce qu’ils font confiance à leur gouvernement ! La FCC n’a répondu à AUCUN des documents qui lui ont été soumis et qui montrent que les gens sont blessés par TOUS les types de radiations sans fil, des téléphones cellulaires et du Wi-Fi aux compteurs intelligents et aux tours de téléphonie cellulaire. Nous avons besoin de limites, soutenues par la science, qui ne nuisent pas aux personnes ni à notre environnement et, jusqu’à présent, la science montre que le seul rayonnement sans fil sûr est l’absence de rayonnement sans fil. Des connexions ethernet câblées avec des portails de prise partout pour les téléphones cellulaires et l’internet pourraient être notre meilleure option.  

Déclaration d’Ellen Marks, présidente de la California Brain Tumor Association

Nous sommes ravis que le tribunal se soit prononcé contre la FCC et ait mis en lumière la collusion entre l’industrie des télécommunications, la FCC et la FDA. Trop de personnes ont souffert inutilement et cette folie doit cesser. C’est sans aucun doute un pas dans la bonne direction et j’apprécie le travail acharné de toutes les personnes impliquées.  

Extrait de la déclaration du Dr Joel Moskowitz de l’Université de Californie, Berkeley

Aujourd’hui, le barrage du déni a commencé à se fissurer. Une cour d’appel fédérale s’est prononcée contre la Federal Communications Commission (FCC) en faveur des défenseurs de la sécurité des communications sans fil. Cette décision représente une victoire dans le combat mené depuis des décennies pour que notre gouvernement adopte des limites d’exposition aux rayonnements sans fil qui protègent notre santé et l’environnement. La Cour a statué que la FCC doit « fournir une explication motivée de sa détermination que ses directives protègent adéquatement contre les effets nocifs de l’exposition aux rayonnements de radiofréquences non liés au cancer » et justifier ses procédures de test pour les téléphones cellulaires et autres appareils sans fil.

J’espère que cette décision servira de signal d’alarme au Congrès et à l’administration. En 2015, une publication du Centre d’éthique de l’Université Harvard, Captured Agency, résultant d’une enquête sur le contrôle de l’industrie sur la FCC, concluait : « En tant qu’agence capturée, la FCC est un exemple parfait de corruption institutionnelle. Les fonctionnaires de ces institutions n’ont pas besoin de recevoir des enveloppes gonflées d’argent liquide. Mais même leurs efforts les mieux intentionnés sont souvent écrasés par un système qui favorise de puissantes influences privées, généralement au détriment de l’intérêt public. »  La FCC n’a pas d’expertise en matière de santé et doit s’en remettre aux agences sanitaires fédérales pour obtenir des conseils sur l’établissement de limites de sécurité sans fil. Cependant, le Congrès a financé les recherches de l’Agence de protection de l’environnement sur le rayonnement sans fil dans les années 1990. Le CDC s’est appuyé sur des scientifiques affiliés à l’industrie pour formuler des recommandations sur les rayonnements sans fil. Bien que la FDA se soit rangée du côté de la FCC, l’agence a rejeté à tort les résultats des recherches qu’elle avait demandées, à savoir l’étude de 30 millions de dollars du National Toxicology Program qui a trouvé des « preuves évidentes » d’une augmentation de l’incidence du cancer due aux radiations des téléphones portables chez les rats mâles et des dommages à l’ADN chez les rats et les souris mâles et femelles dus à l’exposition aux radiations des téléphones portables. 

À propos de l’affaire

Dans l’affaire EHT et al. v. the FCC, les pétitionnaires ont fait valoir que la FCC a ignoré des milliers de pages de recherches et de témoignages d’experts montrant les effets nocifs des rayonnements de radiofréquences sans fil sur les humains, la faune et l’environnement lorsqu’elle a décidé que les limites des rayonnements sans fil de 1996 n’avaient pas besoin d’être mises à jour avec un examen complet de la santé et de la sécurité.

L’Environmental Health Trust a déposé son dossier devant la Cour d’appel avec Consumers for Safe Cell Phones, Elizabeth Barris et Theodora Scarato, MSW. Ils étaient représentés par l’avocat Edward B. Myers. L’affaire d’EHT a ensuite été consolidée avec une affaire distincte déposée par Children’s Health Defense, Michelle Hertz, Petra Brokken, Dr. David O. Carpenter, Dr. Toril Jelter, Dr. Paul Dart, Dr. Ann Lee, Virginia Farver, Jennifer Baran, et Paul Stanley M.Ed. Children’s Health Defense était représenté par les avocats Scott McCollough et Robert Kennedy Jr. Les preuves ont été déposées conjointement. Scott McCullough a représenté Environmental Health Trust, Children’s Health Defense, et les pétitionnaires lors des arguments oraux.

Les plaidoiries ont eu lieu le 25 janvier 2021 devant un panel de trois juges de la Cour d’appel des États-Unis pour le circuit du District de Columbia, dont les juges Karen Henderson, Patricia Millett et Robert Wilkins.

Edward B. Myers, avocat de l’Environmental Health Trust, est déjà intervenu dans l’affaire opposant le Natural Resources Defense Council (NRDC) et plusieurs tribus amérindiennes à la FCC. Dans cette affaire antérieure, le tribunal a confirmé la pertinence de la loi sur la politique environnementale nationale (NEPA). Le NRDC a également déposé un mémoire d’amicus curiae dans l’affaire EHT et al. contre FCC.

La FCC est représentée en interne par William J. Scher, Ashley Stocks Boizelle, Jacob M. Lewis et Richard Kiser Welch. 

Décision finale du tribunal

Lire le 13 août 2021 United States Court of Appeals, District of Columbia Circuit ENVIRONMENTAL HEALTH TRUST, ET AL, PETITIONERS v. FEDERAL COMMUNICATIONS COMMISSION AND UNITED STATES OF AMERICA,

Lire les mémoires et preuves sur le site de l’EHT.

À propos de l’Environmental Health Trust

L’Environmental Health Trust, un organisme scientifique à but non lucratif, travaille sur les radiations sans fil et la santé depuis une décennie. Les scientifiques de l’EHT ont publié de nombreuses études sur les effets nocifs des rayonnements électromagnétiques sur la santé et organisé des conférences scientifiques nationales et internationales sur la question.

La cofondatrice et présidente de l’EHT, Devra Davis PhD, MPH, a été l’une des directrices fondatrices du Board on Environmental Studies and Toxicology du National Research Council, National Academy of Sciences (NAS) des États-Unis, et a travaillé sur de nombreuses expositions environnementales, des produits chimiques au plomb en passant par la pollution atmosphérique. Parmi les rapports de la NAS qu’elle a dirigés figurent ceux qui recommandent de supprimer la fumée de tabac des avions et de l’environnement des jeunes enfants. Elle a également été nommée par le président Clinton au Chemical Safety and Hazard Investigation Board, a été conseillère principale du secrétaire adjoint à la santé du ministère américain de la santé et des services sociaux et a fait partie de l’équipe de scientifiques du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat qui a reçu le prix Nobel de la paix avec l’honorable Al Gore, en 2007.

Le Dr Ronald Herberman, cofondateur de l’EHT, a fondé l’Institut du cancer de l’université de Pittsburgh (UPCI) et a contribué à la découverte de cellules tueuses naturelles capables de tuer le cancer. En 2008, Herberman, alors directeur de l’UPCI, a émis les premières recommandations d’une institution médicale américaine à sa faculté et à son personnel pour qu’ils réduisent les radiations des téléphones portables dans un mémo de l’UPCI présenté dans l’article du New York Times Researcher warns of brain cancer risk from cell phones.

La note de Herberman de 2008 a été incluse dans la première des 27 ébauches du guide sur les téléphones cellulaires du Département de la santé publique de Californie, finalement publié en 2017 après une action en justice intentée contre l’État par le Dr Joel Moskowitz de l’Université de Californie Berkeley qui en a forcé la publication.

Le Dr Davis a témoigné lors de l’audience de la sous-commission du Sénat américain de 2009 sur les effets de l’utilisation des téléphones portables sur la santé, non seulement sur les données scientifiques, mais aussi sur les attaques de l’industrie contre les scientifiques qui ont découvert des effets nocifs à des niveaux non thermiques. Elle a également expliqué en détail aux sénateurs les avertissements en petits caractères des fabricants de téléphones portables, qui recommandent de garder le téléphone à distance du corps. (Transcription complète de l’audition et vidéo du Cable-Satellite Public Affairs Network ou C-SPAN) Le Dr Ronald Herman a témoigné lors de l’audition du Congrès de 2008 Tumeurs et utilisation des téléphones portables : Ce que dit la science, sur les preuves scientifiques indiquant que les enfants sont plus vulnérables aux radiations des téléphones portables et reçoivent des expositions plus élevées que les adultes. (Transcription complète de l’audition et vidéo C-SPAN). 

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Theodora Scarato

Theodora Scarato

Theodora est directrice générale de l’Environmental Health Trust (EHT) où elle dirige les programmes et coordonne les programmes scientifiques aux États-Unis et à l’étranger avec les conseillers scientifiques de cet organisme. Elle est l’analyste politique principale et la chercheuse de la base de données de l’EHT sur la collection la plus complète d’informations sur les actions politiques concernant les téléphones cellulaires et le sans fil.

Mme Scarato a publié un document de référence sur les raisons et les moyens de réduire les radiofréquences sans fil dans les bâtiments et a fait des présentations aux National Institutes of Health, à la Commission 5G de l’État du New Hampshire, au San Francisco Teachers Union, à l’Université de Californie à San Francisco et à l’American Federation of Teachers. Elle siège au conseil d’administration de PhoneGate Alert.

Elle a cofondé plusieurs organisations, tant au niveau local que national, qui s’intéressent aux questions de santé et de sécurité environnementales. En tant que psychothérapeute clinique, elle a travaillé pendant vingt ans avec des enfants et des adolescents, notamment en dirigeant un programme de thérapie intensive pour l’éducation spécialisée dans les écoles du comté de Montgomery et en travaillant comme psychothérapeute dans une clinique spécialisée dans le traitement du TDAH. Ses recherches portent non seulement sur les effets de l’exposition aux rayonnements, mais aussi sur les effets socio-affectifs de la surutilisation des technologies.




Le psychiatre Alessandro Meluzzi : « Les VIP reçoivent de “faux vaccins”, je le jure sur la tête de ma fille ! »

[Source : lemediaen442.fr]

Par Marcel D. 

Lors d’un cycle de conférences « De la Santé et de la Liberté » organisé par l’Association Santé Active, au Parc Ausa près de Serravalle, Saint-Marin, Alessandro Meluzzi, célèbre médecin italien, psychiatre, essayiste, a parlé des thèmes de l’Information-Communication, Liberté Individuelle-Liberté Sociale et des effets psychologiques des limitations aux libertés individuelles, en relation avec la santé.

Dans un extrait de son discours circulant sur les médias sociaux, qui est devenu viral, Meluzzi affirme que « La plupart de ceux qui ont été vaccinés, à partir d’une certaine sphère, ont fait de faux vaccins. J’en suis sûr, ils me l’ont aussi proposé ! Je le jure sur ma fille adorée. »

À cette occasion, nous demandons à nos lecteurs de se remémorer le scandale de la première tentative de vaccination de masse — qui avait échouée — avec le H1N1. Le gouvernement allemand avait un vaccin spécial contre la grippe, réservé au gouvernement. Le quotidien Bild détenait une bombe et avait cité des experts accusant le gouvernement d’ « offrir une médecine de seconde classe à ses citoyens ». Un vaccin qui ne contient pas d’adjuvants pour les VIP et un vaccin-merdasse pour la populace.

Qu’est-ce qui a changé aujourd’hui ? Rien ! Il reste toujours des privilégiés, comme les députés et sénateurs qui votent le pass sanitaire, donc l’obligation vaccinale pour les Français et s’en exemptent pour eux-mêmes. Ils ne sont pas soumis à ce qu’ils imposent au peuple.

Florian Philippot : « Richard Ferrand a refusé le pass sanitaire pour accéder à l’Assemblée nationale. Eh oui, tout ça c’est pour les gueux ! » a réagi le président des Patriotes.

Marcel D. pour Le Média en 4-4-2.




Compte rendu sur la plainte à la CPI pour génocide et crimes contre l’humanité à partir d’armes biologiques concernant Sars-cov2 et le vaccin covid19

Source : Nicole Delépine

CSAPE

Collectif des Syndicats et Associations Professionnels Européens

Secrétaire général Tel : 33 (0)6 12 55 63 20 – Directeur juridique Tel : 33 (0)6 79 61 44 22

Nous contacter : csape.sg@hotmail.com – site : www.csape.international

COMMUNIQUE DE PRESSE 22/08/2021

Par LEPILLER Patrice SG et COHEN Raphaël DJ

Plainte conjointe d’avocats internationaux à la CPI pour génocide et crimes contre l’humanité à partir d’armes biologiques concernant Sars-cov2 et le vaccin covid19

Comme certains le savent, le 28 Juin 2021 le CSAPE a déposé une plainte de 64 pages accompagnée de 371 preuves toutes factuelles à la Cour pénale internationale, le conjecturel (comme la presse ou autres) ayant été écarté.

Le 02 juillet 2021, le CSAPE a reçu un accusé de réception officiel de la CPI et un numéro d’affaire (OTP-CR-271/21).

Suite à des évènements de collusion dont nous garderons les détails pour l’instant, le 27 juillet nous nous sommes rendus à la CPI pour déposer les preuves. L’accès étant refusé pour raison invoquée de période de congés nous les avons renvoyées sur place par recommandé avec accusé de réception.

Le 28 juillet à 12:55 la CPI a accusé réception des preuves et le 29 juillet au matin à 09:06, elle tentait d’écarter la plainte, précisant toutefois qu’elle pouvait être réétudiée sous réserve de nouveaux éléments de preuves, au motif que les éléments allégués (code de Nuremberg et autres) ne semblent pas relever de la CPI et qu’elle n’a pas à se substituer aux Etats !

Un appel a été introduit à la CPI le 10 aout 2021, les motifs de la décision du procureur s’avérant impropres à caractériser un rejet n’étant pas conforme au Statut de Rome tel que rappelé par la Chambre d’appel et en y ajoutant des éléments nouveaux.

Nous continuons à rassembler et à examiner de nouvelles preuves qui pourraient être utilisées dans notre demande à la CPI si elle était acceptée pour enquête.

Nous avons également établi activement des liens avec des avocats et des chercheurs du monde entier.

Nous avons le plaisir d’annoncer que des avocats de la Slovaquie, du Royaume-Uni et de la République tchèque se sont joints à nous et que le 12 août 2021, nous avons envoyé une plainte conjointe à la CPI avec une demande d’autorisation d’accepter cette soumission conjointe.

Nous avons soumis des preuves préliminaires pour les allégations qui nous sont communes, tout en demandant de nous réserver le droit de faire examiner par la CPI les allégations spécifiques à nos pays individuels, à savoir :

Pour le France, nous avons demandé un examen pour crime contre l’humanité, atteinte à la dignité humaine, mise en servitude, génocide.

Nous avons également demandé, dans notre plainte commune, un moratoire immédiat sur l’ensemble du programme de produits expérimentaux « vaccins COVID-19 » dans les quatre pays et la fin des tests sur les personnes asymptomatiques.

Nous sommes heureux d’annoncer également avoir obtenu des déclarations sous serments d’experts de premier rang, dont le chercheur et cardiologue nucléaire Dr Richard M. Fleming, le Dr Kevin Mc Cairn, le neuroscientifique et expert en maladies neurologiques, ainsi que le biologiste virologue professeur Luc Montagnier lauréat prix Nobel pour ses travaux sur le virus du VIH et d’autres, dont pour l’instant, leur anonymat est maintenu jusqu’à ouverture d’enquête.

Nous avons maintenant des preuves irréfutables que le virus SRAS-CoV-2 et les produits expérimentaux « vaccins COVID-19 » sont des armes biologiques délibérément conçues qui ont été libérées en deux phases sur les peuples du monde entier.

Nous avons eu l’amabilité de recevoir un accès exclusif à un exemplaire anticipé des travaux du Dr Richard M. Fleming, «Le COVID-19 est-il une arme biologique ? Une étude scientifique et médico-légale», qui fournit les preuves irréfutables à la CPI sur la nature d’arme biologique du virus SRAS-CoV-2 et des prétendus produits expérimentaux « vaccins COVID-19 ».

Nous attendons maintenant la décision de la CPI pour savoir si :

a) elle autorise en principe la présentation d’une demande conjointe par plusieurs pays.

b) elle accepte notre  » demande d’enquête  » conjointe.

Compte tenu de la nature extrêmement grave de la situation qui prévaut dans nos quatre pays en ce qui concerne l’escalade de l’apartheid médical, la perte des libertés et des droits fondamentaux et le nombre très élevé et sans cesse croissant de décès et d’effets indésirables graves subis par les personnes ayant reçu les produits expérimentaux « vaccins COVID-19 », nous avons attiré l’attention de la CPI sur la nécessité urgente pour la Cour d’agir rapidement et sans plus attendre et, à cette fin, nous avons demandé une réunion à La Haye dès que possible.

Dans l’attente d’une réponse de la CPI, nous restons en discussion avec des avocats d’autres pays qui n’ont pas encore déposé leurs demandes individuelles auprès de la CPI, mais qui ont indiqué qu’ils souhaitaient se joindre à nous et nous avons l’intention de leur apporter toute notre assistance.

Nous publierons d’autres éléments dès que nous aurons des nouvelles.

Quoi qu’il arrive nous sommes motivé à employer tous les moyens, tous les recours, pour que la vérité et la justice sortent.

Nous comprenons que la CPI ne travaille pas de manière isolée au sein d’autres institutions internationales et que les procureurs peuvent être soumis à diverses pressions politiques.

Cependant, nous voulons croire que la substance de nos allégations et les preuves présentées sont si fondamentales que la CPI remplira son rôle international et la raison de son existence, enquêtera de manière approfondie sur nos allégations et condamnera les criminels.

Si notre confiance s’avère illusoire, nous mettrons toutes les preuves scientifiques et factuelles à la disposition du public mondial.

En attendant, nous tenons à remercier toutes les personnes qui, à leur manière, contribuent à la lutte pour la vérité et la justice, voire pour l’avenir même de l’humanité, de nos enfants.

LEPILLER P.
Secrétaire général
COHEN R.
Directeur juridique

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CSAPE – Collectif des Syndicats et Associations Professionnels Européens enregistré sous le n° 20210012

Siège social : Les Tricolores, 15, rue des Halles – 75001 PARIS – FRANCE – site : www.csape.international




Hommage au Pr Raoult et à tous les combattants de la Liberté

par Nicole Delépine

21 AOÛT

De magnifiques et énormes manifestations dans plusieurs villes et de plus en plus de petites villes et de villages qui participent avec quelques milliers et centaines de milliers de manifestants, qui au total s’accumulent… On nous avait promis le déclin avec les retours de vacances, il n’en fut rien, des villes comme TOULON ou PARIS entre autres décrivent des cortèges très longs. Plein de vidéos sur anonyme citoyen, sur Telegram convaincront les plus pessimistes.

Mais en tant que collègue médecin, je voudrais poster une mention spéciale pour les hommages au Pr Raoult et les milliers et centaines de milliers de personnes à PARIS MARSEILLE et probablement dans beaucoup d’autres endroits qui ont scandé son nom pendant de longues minutes.

Quelle émotion pour nous tous médecins honnis de la dictature des puissants, d’entendre les peuples reconnaitre celui qui est le symbole du traitement précoce depuis mars 2020, celui qui a sauvé beaucoup de patients considérés comme perdus et refoulés des hôpitaux en particulier parisiens et sont arrivés à l’IHU après quelques heures de voiture ou de train et ont été pris en charge d’emblée sans discrimination.

Il semble même que la belle-fille du président soit arrivée en hélicoptère et fut soignée là-même où un directeur ami du chef suprême veut rayer la science, la vraie, pas celles des serviteurs de big pharma de notre pauvre France.

Semaine après semaine, et sans tenir compte des rumeurs politiciennes sur la taille de sa coupe de cheveux ou son look, le professeur Raoult a informé les Français par une vidéo émanant de l’institut sur les faits constatés sur ses patients et rien que les faits.

Ceux qui ont suivi ses vidéos ainsi que d’autres de ses brillants adjoints menacés également par la machine à détruire du pouvoir, ont compris au fur et à mesure l’intérêt des traitements précoces, l’arnaque du Remdésivir pourtant soutenu par tous les médecins de plateaux financés par GILEAD, le caractère plus que discutable de l’intérêt du pseudovaccin, même si le professeur Raoult a tenté de calmer le jeu par une vidéo conciliante. Rien n’y a fait, le copain du président nommé à la tête des hôpitaux de Marseille a déjà dégommé le Dr Fouché réanimateur pour délit d’opinion, et le Pr Raoult.

Ne doutons pas que les autres suivent si la colère populaire globale n’est pas suffisamment forte pour faire reculer la dictature qui s’installe.

Remarquons au passage les conflits d’intérêt entre ce directeur et les labos pharmaceutiques

En attendant, remontons-nous le moral en pensant à l’émotion qu’a dû ressentir le Pr Raoult de ces hommages populaires devant son IHU et partout ailleurs. Comme dit un internaute, Véran peut en être vert de jalousie, car il ne peut imaginer que son nom ne soit scandé dans la rue que pour demander sa démission, au minimum, d’autres parlent de prison…

Notons qu’en plus d’avoir popularisé les traitements précoces dans le monde qui en a profité largement pour des milliards d’individu disposant de ces médicaments peu chers si besoin.

“Le Mali avec 0,4% de vaccinés, qui traite avec le protocole du Professeur Raoult, comptabilise 26 morts par million d’habitants, avec des infrastructures sanitaires à des années-lumière de celles de la France…. qui a, elle, 1728 morts par million d’habitants ? Mais en France on fait l’autruche ?”-

Raoult

« a dépisté quand personne ne dépistait, a soigné avec des anticoagulants et de l’oxygène en ambulatoire avant tout le monde, a travaillé avec l’administration et les marins pompiers pour sauver les EHPAD… Bref la méthode que tous ont fini par adopter ».

MAIS BIEN PIRE ENCORE le Pr Raoult dénonce de plus en plus ouvertement les conflits d’intérêt :

« Les conflits d’intérêt ont atteint un niveau de toxicité qu’il va falloir résoudre. Vous ne pouvez pas laisser des gens qui manient des milliards avoir une liberté totale dans leurs relations avec le monde de la santé »

vidéo du PR RAOULT

« Une foule impressionnante scande #Raoult Raoult devant l’IHU Marseille à envoyer à BFMTV svp #Manifs21aout » et puis Liberté Liberté et la MARSEILLAISE

La magnifique manifestation de Florian Philippot, ses soutiens et de nombreux autres à Paris a dû également réchauffer le cœur de notre professeur classé internationalement comme le meilleur ou un des meilleurs virologues au monde, mais méprisé par nos décideurs et par tant d’éditorialistes incompétents et imbus de leurs nouvelles fonctions de médecins ou mercenaires de plateaux.
Elle nous a tous réchauffés prouvant que des centaines de milliers de Français et probablement plus font encore la différence entre véritable science, médecine fidèle à Hippocrate et rien que pour eux nous pouvons et devons poursuivre ensemble ce combat. Ce dernier devient de plus en plus grotesque quand on voit des personnalités comme le pr Montagnier – qu’ils n’ont pas réussi à corrompre – et ont dû se contenter de leur traiter de gâteux, poursuivi par le Conseil de l’Ordre…

QUI sont-ils pour se permettre l’attaque de Raoult, Perronne, Montagnier et tant d’autres coupables d’avoir guéri leurs patients avec les traitements précoces, peu chers, de leur avoir évité la réanimation et les essais thérapeutiques par Remdésivir ou autre imposés par l’AP-HP et affidés
Le Conseil de l’Ordre fait tout ce qu’il peut pour rappeler ses honteuses origines de Vichy et la dénonciation par des médecins collabos des résistants et des médecins juifs…

Voici la belle prestation parisienne :

« Dans le cortège parisien, des dizaines de personnes ont agité des pancartes “Touche pas à Raoult”. En tête de cortège, l’avocat Fabrice Di Vizio et Florian Philippot. Le chef de file des Patriotes ironise sur le remplacement de Didier Raoult :

“C’est normal, c’est la promotion des médiocres, de l’environnement qui entoure Monsieur Macron, des gens serviles. Il faut les mettre à la place des vrais qui savent, des vrais qui travaillent depuis 40 ans sur le sujet, c’est honteux. Il (le Pr Raoult) a créé l’IHU en 2011, il le dirige, il peut encore le diriger, il l’a demandé. C’est quoi son péché mortel ? C’est d’avoir soigné les gens, c’est d’avoir dépisté avant les autres, c’est d’avoir dit avant les autres qu’il y avait des variants, c’est d’avoir dénoncé les conflits d’intérêt et la corruption ? C’est ça, son péché mortel ? Sûrement.”



Et celui qui tente d’évincer Raoult, François Crémieux, nouveau patron de l’APHM, qui a viré Raoult, proche de Macron est aussi au comité stratégique d’un labo, associé à Pfizer effectuant des recherches sur un traitement COVID.

Nicole Delépine




La dangerosité des nouveaux vaccins anti-covid est un fait historique

[Source : REINFOCOVID]

Par : Laurent MUCCHIELLI, sociologue, directeur de recherche au CNRS Hélène BANOUN, pharmacien biologiste, PhD, ancienne chargée de recherches à l’INSERM Emmanuelle DARLES, maîtresse de conférences en informatique à Aix-Marseille Université Éric MENAT, docteur en médecine, médecin généraliste Vincent PAVAN, maître de conférences en mathématique à Aix-Marseille Université Amine ULMILE, pharmacien des hôpitaux, praticien hospitalier, unité de pharmacovigilance du Centre hospitalier de Cholet

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La vaccination anti-Covid, destinée à l’intégralité de la population, appliquée à marche forcée, ne fait l’objet d’aucun débat en France. Il s’agit en effet d’une idéologie politique (incarnée et promue activement par le président de la République en personne) et non d’une idée scientifique, ni d’une stratégie de santé publique. La science comme la santé publique sont des choses complexes, des séries de vérités partielles, adaptables et révisables en fonction des réalités de terrain ou d’expérience. Dans toutes les idéologies (politiques ou religieuses), le débat est au contraire posé en termes binaires et enfantins. On est pour ou contre, et le monde se divise entre amis (ici les pro-vax) et ennemis (ici les anti-vax). Que cette idéologie ait pris le pouvoir en France et qu’elle impose les termes mêmes du débat est une catastrophe à tous points de vue : intellectuel, démocratique et sanitaire.

Les influenceurs se déchaînent, certains journalistes les suivent

Dans un tel contexte, la mise en évidence d’une dangerosité vaccinale inédite associée aux quatre vaccins anti-covid anglo-saxons (Pfizer, Moderna, AstraZeneca et Janssen) constitue une dissonance cognitive telle que beaucoup ne peuvent tout simplement pas l’entendre. La réalité est pourtant que l’un de ces quatre vaccins (celui d’AstraZeneca) a déjà été suspendu en février-mars 2021 dans de très nombreux pays et définitivement retiré voire interdit dans certains d’entre eux (le Danemark, la Norvège, la Suisse, l’Afrique du Sud, le Venezuela ainsi que les Etats-Unis). De fait, nous avons montré dans notre précédent article que ce vaccin était manifestement responsable du niveau de déclarations de décès particulièrement élevé au Royaume-Uni, qui l’a utilisé massivement (s’agissant du produit d’une firme suédo-britannique). Pourtant, à la fin du mois d’avril, Emmanuel Macron continuait à le recommander et cherchait à « casser la défiance » des Français à son égard, nous expliquait alors Le Monde. Position idéologique et non scientifique ou médicale, avons-nous déjà dit. Et la plupart des commentateurs s’exprimant dans le débat public s’y enferment derrière le président. Toutes ces personnes qui, pour une raison ou une autre, se sont impliquées dans la campagne gouvernementale de vaccination générale (élus, hauts fonctionnaires, médecins, journalistes, etc.), ne peuvent pas discuter tranquillement du problème posé. Ils y voient une remise en cause insupportable de l’idéologie qu’ils ont adoptée. Dès lors, au lieu de contribuer à réfléchir au problème et à l’étayer de données ou d’arguments, ils cherchent le moyen de l’évacuer purement et simplement. Et, comme l’on sait, le meilleur moyen de faire disparaître un message est de tuer le messager.

Le journal Mediapart, sur lequel l’un d’entre nous publie toute son enquête sur la gestion politico-sanitaire de cette crise depuis la fin du mois de mars 2020, a ainsi censuré notre dernier épisode (republié toutefois ici et ici) et ce malgré notre appel préalable au dialogue. Sa décision – cocasse pour un journal qui prétendait jusque-là défendre la liberté d’expression et les lanceurs d’alerte – a donné des ailes à la meute des influenceurs et lobbyistes qui nous dénigrent de toutes les façons possibles sur les réseaux sociaux depuis un an et demi. Cette fois-ci, non contents de voir notre travail censuré, ils ont ensuite harcelé sur Twitter l’institution (le CNRS) du premier signataire de cet article, espérant ainsi lui nuire de façon personnelle et directe. D’autres journalistes se sont empressés de le répercuter dans des articles, comme ici au Figaro, avec quelques copier-coller.

Il semble que notre lancement d’alerte du 30 juillet n’a pourtant pas été inutile. Ainsi, la Direction générale de la santé a envoyé un message d’alerte (« DGS-Urgent, n°2021-75 ») à tous les professionnels de santé le 3 août, pour leur demander de « maintenir un suivi des échecs vaccinaux ». Le lendemain (4 août), la revue Prescrire a mis à jour « de façon anticipée » sa fiche relative aux « effets indésirables connus mi-2021 des vaccins covid-19 à ARN messager », reconnaissant notamment des complications cardiaques graves jugées toutefois « très rares ». On va voir que cette « rareté » se discute (voir note 1).

Mais revenons aux arguments employés pour justifier la censure. A lire un peu l’ensemble des commentaires suscités ici et là par notre précédent article, il apparaît que toutes les personnes qui prétendent avoir de vrais arguments intellectuels n’en ont en fin de compte que deux. Ces deux arguments sont de type méthodologique. Ils visent à contester l’usage des déclarations d’effets indésirables remontés par la pharmacovigilance, et ils concluent invariablement que nous avons alarmé à tort et qu’en réalité tout va bien. Le premier argument est l’« imputabilité », le second la « mortalité attendue » (voir par exemple les verbatims de médecins collectés dans la dépêche de l’AFP écrite contre notre article). Les deux notions sont, en soi, tout à fait intéressantes et importantes à discuter. Mais leur détournement à des fins rhétoriques de protection de l’idéologie vaccinale est facile à montrer.

Imputabilité et mortalité attendue : les vrais-faux arguments du déni

Sur le papier (ou plutôt devant un écran d’ordinateur), les choses peuvent être discutées sans fin et dans un confort intellectuel rassurant. Cela s’appelle la ratiocination. Dans la vraie vie, les choses sont à la fois plus simples et plus brutales pour les personnes directement concernées par les effets indésirables des médicaments. Pour les victimes, il s’agit de savoir comment affronter ces effets parfois graves dans un contexte général de déni. Pour les soignants, il s’agit de savoir comment catégoriser et enregistrer ces effets apparus très rapidement (le plus souvent dans les 48h) après la vaccination.

Concernant l’imputabilité, notre précédent article posait déjà explicitement le problème : il est évident qu’il est très difficile de déterminer la cause exacte d’un effet indésirable grave lorsque le malade présente (ou présentait s’il est décédé) des comorbidités importantes, ou lorsque son dossier médical est insuffisamment connu. Le raisonnement vaut d’ailleurs aussi pour les morts réputés causées par la covid. Et c’est aussi pour cette même raison que, quel que soit le médicament concerné (vaccin ou autre), il ne faut jamais l’administrer uniformément mais bien au cas par cas en fonction de l’état de santé général de la personne et des éventuelles spécificités de son histoire médicale. De plus, en matière de mortalité, la preuve ultime de l’imputabilité qu’est la répétition du même symptôme à la suite de la même médication ne peut par définition pas être fournie (on ne meurt qu’une fois…). Il n’en reste pas moins qu’il existe des faits (des effets indésirables graves sont constatés dans les heures et les jours qui suivent un acte médical) et qu’il n’est pas possible de s’en débarrasser d’un revers de la main au prétexte que la causalité directe (a fortiori unique) n’est pas établie. C’est un peu comme si on voulait contester l’existence d’un homicide au motif que l’on n’a pas encore trouvé le coupable. Les déclarations de pharmacovigilance relatives aux effets indésirables graves de la vaccination sont là, il faut les interpréter et non tenter de les cacher sous le tapis.

Concernant la « mortalité attendue », l’argument utilisé par nos savants critiques nous paraît tout aussi rhétorique. Il consiste à dire au fond qu’il est normal que des gens meurent à tout âge, vaccinés ou pas, et donc qu’il n’y a pas lieu de s’interroger plus avant sur les décès. Mais aucun des utilisateurs de cet argument n’est allé vérifier réellement si cette mortalité était attendue ou pas. Par ailleurs, en quoi le fait que des gens meurent tous les jours d’un cancer invalide-t-il l’interrogation sur la responsabilité de la vaccination quand le malade en question meurt dans les heures qui suivent l’injection ? Il nous semble que l’argument sert encore une fois à évacuer la question au lieu de la problématiser.

En fin de compte, ces deux arguments sont incapables d’aider à comprendre le réel que nous avons sous les yeux et qui peut se résumer le plus souvent ainsi : un médecin constate l’apparition d’effets indésirables plus ou moins graves dans les heures qui suivent un acte vaccinal, il fait donc un signalement de ce qui lui apparaît logiquement comme étant lié d’une façon ou d’une autre à cet acte vaccinal qui vient juste d’être pratiqué. Qu’y a-t-il de compliqué à comprendre dans cette situation très concrète de la vie quotidienne ? Rien en réalité.

Enfin, et de manière très révélatrice, nos critiques semblent n’avoir lu que la première partie d’un article qui en comportait deux. La première était consacrée aux données françaises de pharmacovigilance. La seconde fournissait des comparaisons avec la Grande-Bretagne, les Pays-Bas, les Etats-Unis et la communauté européenne. Et, dans le cas des Etats-Unis, nous avons montré que la preuve du caractère inédit de la mortalité liée aux nouveaux vaccins anti-covid est fournie par la comparaison temporelle. On va y revenir ici en détail. Puis on étudiera les données suisses, qui convergent elles aussi vers le constat d’une mortalité vaccinale inédite liée à ces nouveaux vaccins anti-covid.

La comparaison confirme que nous avons affaire à un événement historique

Que l’on pense que la comptabilité des effets indésirables par la pharmacovigilance les exagère ou au contraire les minimise (ce qui est communément admis en pharmacovigilance), le problème ne varie guère d’une année sur l’autre. Et les mêmes problèmes d’interprétation des déclarations se posent pour d’autres vaccins, ceux contre la grippe saisonnière par exemple. Or la mortalité associée en Occident à la vaccination anti-covid du fait des 4 vaccins ADN ou ARN fabriqués par des firmes anglo-saxonnes constitue un fait historique inédit. Mis en graphique, à partir ici des années américaines de pharmacovigilance (VAERS) qui recense les effets indésirables associés aux vaccins depuis 1990, cela donne ceci (Figure 1) :

Figure 1 : la mortalité associée aux vaccins aux Etats-Unis de 1990 à 2021

Que cela plaise ou non, nous avons bien affaire à un événement historique qu’il faut essayer de comprendre et non de cacher sous le tapis. Précisons qu’il ne s’agit pas là de vagues imputations déclarées des semaines voire des mois après la vaccination. Ce sont des effets qui ont été constatés principalement dans les 7 jours suivant immédiatement l’injection (Figure 2). Nous sommes donc bien dans la situation concrète résumée ci-dessus.

Figure 2 : les délais de survenue des morts associés aux vaccins anti-covid aux Etats-Unis

Comme nous l’avions indiqué dans notre précédent article, la base de données américaine recense les effets indésirables des médicaments depuis 1990. Il est donc possible de comparer cette mortalité des nouveaux vaccins anti-covid à celle de tous les autres vaccins administrés depuis 31 ans dans ce pays. La première analyse que nous en avions faite comporte une erreur de calcul qui nous avait amené à estimer que la campagne vaccinale anti-covid était responsable d’environ 36% du total des décès associés à la vaccination depuis 1990. Nous n’avions pas vu en effet qu’il existait des doubles comptages dans les résultats affichés. Nous avons donc refait le calcul et le résultat est plus impressionnant encore. Aux Etats-Unis, après l’actualisation du 30 juillet 2021, ce sont 10 672 décès qui sont remontés en pharmacovigilance comme associés à la vaccination depuis 1990, sur la totalité des vaccins utilisés. Parmi eux, 2 842 sont associés au vaccin anti-covid de Moderna, 2 768 à celui de Pfizer, 545 à celui de Janssen et 28 dont la marque de vaccin n’est pas connue. Le total des quatre donne un total de 6 183 décès, ce qui équivaut à près de 58% du total de la mortalité associée à un vaccin quel qu’il soit depuis 31 ans. Ceci est bien un événement historique inédit. L’interprétation est ouverte au débat. Mais le fait, lui, ne peut pas être évacué.

Le détail des décès, hospitalisations et incapacités permanentes aux Etats-Unis

Les décès associés à la nouvelle vaccination anti-covid sont évidemment les effets indésirables les plus graves. Mais, comme on le résume dans le tableau 1 ci-dessous, les données américaines donnent aussi à voir des invalidités graves (près de 7 000 fin juillet), des morts fœtales (près de 300) et des hospitalisations (près de 28 000).

Tableau 1 : effets indésirables les plus graves des vaccins anti-covid aux USA

Source : VAERS

Il est par ailleurs possible d’observer la répartition par tranches d’âges de ces effets indésirables graves associés à la vaccination anti-covid. Le tableau 2 ci-dessous en donne la répartition pour tous les cas où l’âge est connu. On y observe sans surprise que les effets les plus graves (décès et invalidités permanentes) sont logiquement concentrés aux âges les plus avancés, c’est-à-dire sur les personnes les plus fragiles. 63% des cas concernent ainsi les personnes âgées de plus de 60 ans. Toutefois, on note qu’un quart des cas concernent les personnes âgées de 40 à 59 ans, et que près de 12% des cas concernent même les jeunes adultes (18-39 ans).

Tableau 2 : répartition par classes d’âge des effets indésirables les plus graves des vaccins anti-covid aux USA

Source : VAERS

Mortalité, létalité : la comparaison prouve la dangerosité inédite de ces vaccins à ARN messager

Dans notre précédent article, nous indiquions que les données de la VAERS permettent de comparer la mortalité associée aux vaccins anti-covid à la mortalité vaccinale globale aux Etats-Unis depuis 30 ans. Nous venons de confirmer et même d’amplifier le constat : à elle seule et en seulement 6 mois, la vaccination anti-covid représente donc 58% de la totalité de la mortalité vaccinale depuis 31 ans. Nous avions également fait la comparaison avec les vaccins contre la grippe saisonnière (influenza seasonal) et constaté que, sur la même période, ces vaccins sont associés à 1 106 décès (soit 6,66% du total de la mortalité vaccinale globale). Il faut donc conclure que, aux Etats-Unis, en 6 mois, la vaccination anti-covid a contribué à tuer 9 fois plus de personnes que la vaccination anti-grippe en 31 ans.

Certains commentateurs honnêtes nous ont reproché à juste titre d’avoir discuté la mortalité mais pas la létalité, faute de fournir des données sur l’ampleur des vaccinations autres que covid ces dernières années. Nous avons donc cherché cette information qui est publiée sur le site du Center for Disease Control and Prevention. On y constate (sans surprise) que les Etats-Unis sont un pays qui vaccine énormément contre la grippe saisonnière ces dernières années. De 23,3 millions de doses injectées en 1990-1991, l’on est passé à 193,8 millions en 2020-2021. Au cours des 4 dernières années (2017-2020), près de 650 millions de vaccins contre la grippe ont été réalisés. Et 194 déclarations de décès ont été enregistrées dans la base. Cela donne donc une létalité potentielle extrêmement faible de 1 décès pour 3,3 millions d’injections. La vaccination anti-grippe saisonnière n’est donc pas dangereuse pour les populations.

Mais voici la comparaison avec les vaccins anti-covid : en 2021, en six mois, environ 165 millions de personnes ont été entièrement vaccinées aux Etats-Unis. Et nous avons vu que 6 183 décès ont été déclarés. Cela donne donc une létalité potentielle extrêmement forte de 1 décès pour 27 000 injections. En d’autres termes, la létalité potentielle des nouveaux vaccins anti-covid est environ 120 fois supérieure à celle des vaccins anti-grippe saisonnière.

Les données de la pharmacovigilance suisse confirment l’alerte

Alerté par un article publié par le pasteur Martin Hoegger sur le blog de l’économiste Liliane Held-Khawam, nous avons également exploré le site de l’agence suisse de pharmacovigilance (Swissmedic). Les données mises à disposition permettent de faire des calculs équivalents à ceux que nous avons fait pour les Etats-Unis. En voici les principaux résultats.
Du 1er janvier au 21 juillet 2021, plus de 4,5 millions de personnes ont reçu ces nouveaux vaccins en Suisse. Et la pharmacovigilance fait remonter 2 782 effets non graves (soit environ 1 cas sur 1 600), 1 537 effets graves (soit environ 1 cas sur 3 000) et 128 morts (soit environ 1 cas sur 35 000, ce qui est cohérent avec ce que nous avons constaté pour d’autres pays européens).

M. Hoegger a ensuite fait avec les données suisses le même raisonnement et le même type de calcul que nous. Il a comparé cette mortalité associée aux nouveaux vaccins anti-covid à celle des précédents vaccins contre la grippe saisonnière. Il a ainsi constaté que, en 9 ans (de 2011 à 2019), 99 événements indésirables graves ont été déclarés, ainsi que 2 décès. Partant du constat officiel qu’environ 14% de la population suisse a été vaccinée contre la grippe en 2018-2019, et en appliquant ce taux à toute la période, il estime donc qu’environ 10,5 millions de vaccinations anti-grippe ont été effectuées en Suisse en 9 ans. Cela donnerait donc un taux infime de 1 décès pour plus de 5 millions de vaccinations anti-grippe.

Par comparaison, la vaccination anti-covid a concerné environ 4,5 millions de personnes en Suisse au 21 juillet, pour 128 décès associés, ce qui donne un taux de 1 décès pour 35 000 vaccinations, soit une létalité potentielle environ 140 fois supérieure à celle des vaccins contre la grippe saisonnière. Voici à nouveau un constat, qu’il faut interpréter et non dissimuler.

Conclusions

Comme écrit à la toute fin de notre précédent article, la mortalité associée aux vaccins anti-covid est manifestement inédite dans l’histoire de la médecine moderne. Et toutes les ratiocinations autour de la question de l’imputabilité ou de la mortalité attendue ne sont que des diversions servant à masquer une réalité qui dérange l’ordre établi. Ceci n’est pas sans rappeler la controverse sur l’hydroxychloroquine où la discussion méthodologique des doctus cum libro (« Comment, vous n’avez pas randomisé en double aveugle ? mais ça ne vaut rien alors ! ») servait à éviter d’avoir à aller voir sur le terrain (médical) si ce traitement précoce permettait ou non de réduire le nombre et/ou la sévérité des maladies. La réalité de terrain est que ces nouveaux vaccins provoquent incroyablement plus d’effets indésirables plus ou moins graves que les autres vaccins destinés à la population générale, et qu’il faut une forte dose d’aveuglement idéologique ou d’hypocrisie pour ne pas le reconnaître. En Allemagne, le débat a au moins le mérite d’exister entre médecins et scientifiques (un exemple ici). En France, l’idéologie l’interdit et le pouvoir exécutif veille à ce qu’elle s’impose sans partage. Comme le disait déjà Roland Gori en 2019, dans le contexte du mouvement des Gilets jaunes, le président de la République ne gouverne pas les Français, il les soumet.

Voir et entendre tellement de journalistes et d’« experts » (ou supposés tels) disserter sur la méthodologie de la pharmacovigilance a quelque chose que l’on imagine difficilement supportable pour les personnes qui subissent ces effets indésirables. Cette population qui obéit au terrible chantage qui lui est fait (vaccine-toi sinon tu ne pourras plus travailler, tu ne pourras plus aller au restaurant, au cinéma, au musée, au concert ou au parc d’attractions, tu ne pourras plus voyager, etcetera), qui s’en soucie ? Qui la protège ? Personne. Elle doit s’auto-organiser. C’est ainsi que, parallèlement au Réseau des victimes d’accidents vaccinaux constitué en 2018 par des victimes du vaccin contre l’hépatite B, un groupe baptisé « Recensement effets indésirables vaccin Covid Officiel » s’est créé sur Facebook mi-juillet et a rassemblé 200 000 abonnés en à peine trois semaines. Mais qui sait s’il ne sera pas censuré par Facebook cette fois-ci ? Comme les innombrables témoignages qui se multiplient sur les réseaux sociaux. Rappelons aussi à tous que le portail officiel de signalement des « événements sanitaires indésirables », destiné aussi bien aux soignants aux malades, se trouve ici.

Concluons. L’examen des données disponibles suggère clairement qu’une mortalité vaccinale inédite est en train de se développer partout en Occident, en lien avec l’usage des nouveaux vaccins anti-covid. Le débat est ouvert sur l’interprétation, mais le fait est là, sous nos yeux. Et cette mortalité vaccinale n’est que la pointe émergée de l’iceberg des effets indésirables graves. Même réduite à ses plus élémentaires principes de déontologie (primum non nocere), l’approche de cette question en termes de santé publique devrait donc conduire à suspendre d’urgence la campagne vaccinale, à étudier beaucoup plus en détail les données de cette pharmacovigilance (en particulier selon les classes d’âge et en fonction des différents facteurs de risque) et, au terme d’une analyse bénéfices/risques méticuleuse, à déterminer à quelles catégories bien précises de la population il est possible de proposer la vaccination sans risque que les effets secondaires graves soient plus nombreux que les formes graves de la Covid dont elle est censée les protéger. Par cet article, comme par le précédent, nous appelons donc solennellement les gouvernements des pays occidentaux à suspendre immédiatement cette campagne vaccinale afin que, dans le cadre d’enquêtes parlementaires, des comités scientifiques et médicaux indépendants du pouvoir exécutif puissent analyser les données de pharmacovigilance dont nous disposons à l’échelle mondiale et les exposer à l’ensemble des citoyens en toute transparence.

Note :

(1) La « rareté » est une notion bien vague. Est-ce 1 pour 1 000 ? Un pour 10 000 ? S’agissant de la plus grande opération de vaccination de toute l’histoire, la question est importante aussi bien sur le plan scientifique que sur celui de la santé publique (et de son éthique). De ce dernier point de vue, nous avons vu (cet article et le précédent) que, dans les pays occidentaux, la mortalité vaccinale présumée des nouveaux vaccins anti-covid est probablement de l’ordre de 1 décès pour 30 000 vaccinations intégrales. Pour 30 millions de vaccinations, cela fait donc 1 000 décès. Pour 300 millions, 10 000 décès. Etcetera. Est-ce assumable éthiquement ? Par ailleurs, sur le plan scientifique, la question est également importante. En effet, indépendamment même de toute autre question méthodologique (transparence des protocoles, représentativité de l’échantillon, sincérité des analyses, etc.), les essais cliniques des industriels ont porté sur des populations de 30 000 (Moderna) à 44 000 personnes (Pfizer), ce qui peut paraître important vu de loin. En réalité, divisé en deux groupes (un groupe vacciné, un groupe placebo), cela donne des populations vaccinées d’environ 15 000 à 22 000 personnes. De sorte que des effets indésirables très graves (a fortiori mortels) survenant dans 1 cas sur 30 000 peuvent ne jamais y avoir été constatés.




Urgent: pourquoi un week-end décisif ?

[Source : La Minute de Ricardo]



[Voir aussi :
La clef de la libération
Note sur l’avenir
L’avenir se crée maintenant
Liberté et responsabilité
Souveraineté
Comment s’unir
Dépasser le conflit
Quand la paix existera-t-elle vraiment ?
Masse critique
Prendre sa santé en main
Sortir de la crise
L’âme d’une nation
L’enjeu majeur de notre époque
Entendre et écouter pour communiquer, maintenant et dans l’Humanité future
Note sur les problèmes et les opportunités]




La catastrophe vaccinale de Gibraltar

Par Dr Gérard Delépine

22/08/2021

La plupart des pays occidentaux ont suivi, sans débat public, les recommandations de l’OMS et font depuis plusieurs mois une propagande forcenée et des chantages innombrables pour imposer des pseudo-vaccins expérimentaux en prétendant qu’ils pourraient stopper l’épidémie.

L’analyse de l’évolution de l’épidémie Gibraltar, champion mondial de l’injection Astra Zeneca permet d’évaluer son efficacité réelle en population, qui est très éloignée de ce qu’annoncent les communiqués de victoire de leurs fabricants répétés en permanence par les médias et notre gouvernement.

Le succès inégalé de la campagne Astra Zeneca sur le pourcentage de traités

Le mardi 8 décembre 2020, les travailleurs espagnols du secteur de la santé et des soins à Gibraltar ont été les premiers à être vaccinés contre le coronavirus

Au 17 août 2021, en termes de pourcentage de la population injectée, le succès de la campagne est inégalé avec un total de 78 570 doses ont été administrées dans ce petit état de 30 000 habitants et 115 % de la population (+ les travailleurs espagnols) reçu leurs deux doses depuis plus de 4 mois

Mais on ne juge pas un traitement préventif au nombre de personnes traitées, mais uniquement à ses conséquences sur l’évolution du nombre des contaminations journalières, de la mortalité quotidienne et des complications post médicamenteuses observées.

Explosion post vaccinale du nombre des contaminations

Les injections ont commencé le 8 décembre alors que l’épidémie modérée jusqu’alors était en diminution régulière depuis 4 semaines, et que le nombre total de cas depuis le début de l’épidémie s’élevait à 1034 après 9 mois d’épidémie.

Les deux mois qui ont suivi la vaccination ont été marqués par une augmentation considérable des contaminations journalières, Les cas confirmés ont doublé entre le 8 décembre (1 104 cas) et le 1er janvier (2 212), atteignant 3 109 cas le 9 janvier. La hausse s’est depuis ralentie, avec 973 cas supplémentaires en 19 jours (4 082 cas confirmés au 28 janvier).

Ces 2 mois post injection ont établi les records mensuels de contaminations depuis le début de l’épidémie leur nombre s’élevant à 3135 en 60 jours (3 fois plus que lors des 300 jours d’avant la vaccination)

Cette augmentation des cas post injection durant plusieurs semaines ou mois est observée dans plus de 90 % des pays qui ont beaucoup vacciné.

Cette évolution immédiatement défavorable montre que le pseudo-vaccin est incapable d’empêcher la transmission de la maladie et parait même susceptible de l’exacerber transitoirement.

L’augmentation post vaccinale précoce des contaminations n’a été amoindrie que depuis le reflux global de l’épidémie qui a abouti à une pause de l’épidémie dans presque tous les pays, vaccinés ou pas, confinés ou pas.

6 mois plus tard, depuis le 10 juillet 2021, l’injection Astra Zeneca se révèle incapable d’éviter une reprise de l’épidémie, exactement comme en Grande-Bretagne ou en Israël ou 40 % des nouvelles personnes contaminées sont vaccinées ce que Reuters traduit clairement :

« Israël constate une baisse de la protection vaccinale de Pfizer contre les infections ».

À Gibraltar les injections Astra Zeneca ne constituent manifestement pas la solution du Covid, mais plutôt un problème supplémentaire. Que vaut un traitement préventif qui dans une population totalement vaccinée est suivi dans un premier temps d’une flambée de la maladie et qui plus tard se révèle incapable d’éviter une reprise de l’épidémie ?

Dans l’histoire des vaccinations, aucune ne s’est montrée aussi inefficace sur la propagation de la maladie cible, ni aussi incapable d’éviter les nouvelles poussées.

Hécatombe post vaccinale précoce

L’injection Astra Zeneca a été suivie d’une véritable hécatombe Avant les injections Astra Zeneca Gibraltar recensait 6 morts attribuées au Covid 19. Quatre mois après la campagne d’injections, au 15 mars 2021, le total s’élève à 96 atteignant une mortalité par million d’habitants record de 2795/Million contre 1715/M en France et 389/M en Biélorussie très peu vaccinée.

Le mois de janvier a établi le record mensuel de la mortalité, regroupant à lui seul près des deux tiers (67/96) de la totalité des morts depuis le début de l’épidémie dans ce pays et depuis la reprise de l’épidémie quelques morts supplémentaires sont à craindre.

La « vaccination Astra Zeneca », loin de diminuer le risque létal de la maladie, paraît au contraire l’avoir exacerbé durant cette période post vaccinale.

Les autorités sanitaires de Gibraltar démentent que la campagne de pseudo vaccination puisse être responsable de la situation pour ne pas admettre leur culpabilité, mais ne proposent aucune explication alternative crédible à cette catastrophe sanitaire avérée.

Une telle hécatombe post vaccinale précoce ne peut pas être attribuée au seul hasard, car elle a été également observée dans la quasi-totalité des pays qui ont beaucoup vacciné (Israël, Grande-Bretagne, Émirats Arabes Unis, Seychelles, Mongolie, Uruguay…)

Comment expliquer cet échec cuisant ?

En attendant que des travaux scientifiques expliquent les causes de cet échec, de nombreuses hypothèses peuvent être soulevées. L’une des plus probables est que les pseudos vaccinations se heurtent au phénomène d’anticorps facilitants déjà responsable de l’échec du Dengvaxia aux Philippines (contre l’épidémie de dengue) et des vaccins contre les précédentes épidémies à coronavirus (SRAS en 2003 et MERS en 2012).

La possibilité de cette complication avait été soulevée par l’Académie de médecine française, dans son communiqué du 11 janvier 2021.(([1] Communiqué de l’Académie : Élargir le délai entre les deux injections de vaccin contre la Covid-19 : quels risques pour quels avantages 11 janvier 2021))

Le trop faible niveau d’immunité observée après la première injection, accusée de pouvoir faciliter l’émergence de variants et l’échec de la vaccination a été aussi signalé par 5 membres du comité scientifique français, dont le Pr Delfraissy dans une courte lettre au BMJ.(([2] Laetitia Atlani-Duault, Bruno Lina, Franck Chauvin, Jean-François Delfraissy, Denis Malvy Laetitia Atlan Immune evasion means we need a new COVID-19 social contract Lancet Public Health 2021
Published Online February y 18, 2021
https://doi.org/10.1016/S2468-2667(21)00036-0))

« Des études suggèrent que l’émergence et la propagation des variants du SRAS-CoV-2 sont corrélées à l’absence de protection immunitaire robuste après une première exposition à des virus (de type sauvage) antérieurs, voire à un vaccin. Cette évolution, associée à l’émergence de mutants de fuite immunitaire, a non seulement été observée avec le SRAS-CoV-2, mais également avec d’autres virus… En outre, la dynamique de l’immunité collective naturelle ou vaccinale dans les régions où ces variants ont émergé pourrait avoir exercé une pression substantielle sur l’écosystème viral, facilitant l’émergence d’un variant avec une transmissibilité accrue La fin tant attendue de cette crise sanitaire mondiale pourrait être continuellement reportée, car de nouvelles variantes émergent et l’évasion immunitaire réduit l’efficacité de la vaccination à court et moyen terme. »

Les mesures soi-disant sanitaires, réelle expression d’une dictature qui s’installe

Un débat vaccinal serein est actuellement impossible à court terme en France comme dans tous les pays qui ont beaucoup vacciné, car complètement pollué par la situation politique.

Reconnaître l’échec de la vaccination porterait en effet un coup aux gouvernements qui l’ont conseillée.

Il faut donc s’attendre à ce que les gouvernements et les médias qui leur sont proches continuent de clamer la victoire de la vaccination contre le méchant virus. Car comme l’analysait un panel de scientifiques indépendants dans le BMJ,(([3] Covid-19 : Social murder, they wrote—elected, unaccountable, and unrepentant
BMJ 2021 ; 372 doi :
https://doi.org/10.1136/bmj.n314)) quel que soit le pays « quiconque ose dire la vérité au pouvoir est antipatriotique, déloyal ou “radical”»

Dans quelques mois, un bilan plus objectif pourra être tiré. C’est peut-être ce que veulent éviter les ministres de la Santé israéliens, avec leur volonté réitérée d’imposer le pass pour forcer leurs compatriotes à se faire vacciner.

Pour un senior qui se souvient de la guerre de 1939-1945 ou plus souvent maintenant des témoignages terribles de la génération de ses parents ou grands-parents, voire pour les férus d’histoire plus jeunes (il en reste), l’obligation du port d’un badge de couleur (ouf ce n’est pas une étoile, ouf elle n’est pas jaune !) par un gouvernement juif ou français est incroyable, consternant, invraisemblable, insupportable.

Elle rappelle l’avertissement de Bertolt Brecht et de Margaret Steffin dans la résistible ascension d’Arturo Ui « le ventre est encore fécond d’où est sortie la bête immonde » et les leçons d’Hannah Arendt sur la banalité du mal :

« le mal ne réside pas dans l’extraordinaire, mais dans les petites choses, une quotidienneté à commettre les crimes les plus graves. »

Espérons que la majorité des peuples qui n’a probablement pas la mémoire courte saura RÉSISTER à cet effroyable et monstrueux pied de nez de l’Histoire.

Manifestement, suffisamment de données permettent aujourd’hui d’affirmer que le vaccin ne protège pas de la contagion, ni les vaccinés, ni les autres, et d’ailleurs nos dirigeants avouent qu’ils poursuivront port du masque, distanciation, chez les vaccinés et les autres.

Le pass ne constitue, comme le masque et le couvre-feu, qu’un outil d’asservissement sans intérêt sanitaire et l’accepter représente un signe de soumission, dont le but est une société à la chinoise que rêvent de mettre en place les dirigeants actuels nourris à la coopération franco-chinoise et que les Veran, et bien d’autres reconnus comme « young leaders » franco-chinois.

Pour terminer, méditons la tirade du secrétaire général de l’ONU le 22 février qui fut diffusée à juste titre sur les réseaux sociaux (mais si peu relayée à la TV) :

« Brandissant la pandémie comme prétexte, les autorités de certains pays ont pris des mesures de sécurité sévères et adopté des mesures d’urgence pour réprimer les voix dissonantes,
abolir les libertés les plus fondamentales,
faire taire les médias indépendants
et entraver le travail des ONG. »

Antonio Guterres, Secrétaire Général de l’ONU
Conseil des droits de l’homme du 22 février 2021 Source : Site de l’ONU (
ONU Info)

Le chef de l’Organisation des Nations Unies ajoute, notamment :

« Des défenseurs des droits humains, des journalistes, des avocats, des militants, et même des professionnels de la santé, ont fait l’objet […] de poursuites, et de mesures d’intimidation et de surveillance pour avoir critiqué les mesures — ou le manque de mesures — prises pour faire face à la pandémie. Les restrictions liées à la pandémie servent d’excuses pour miner les processus électoraux, affaiblir les voix des opposants et réprimer les critiques. »

Compte tenu de cet échec, que peut-on conseiller aux citoyens ?

  • Attendre et résister aux pressions et chantages pour le pseudo-vaccin,
  • distribuer des tracts rappelant l’échec patent des pseudo vaccins en Israël et en Grande-Bretagne et des pass,
  • harceler nos représentants politiques,
  • manifester pacifiquement tous les samedis,
  • bouder les lieux qui demandent le pass.

Devrons-nous regagner dans la rue nos libertés ignoblement confisquées ?





Bill Gates détient des actions importantes à la fois dans Pfizer et BioNTech, et il est le principal bailleur de fonds de l’Agence britannique de réglementation des produits de santé et de médecine

[Source : ZEjournal]

Une enquête a révélé que la Fondation Bill & Melinda Gates est le principal bailleur de fonds de l’Agence britannique de réglementation des produits de santé et de médecine, et que la Fondation détient également des actions importantes dans Pfizer et BioNTech.

La médecine et les produits de soins de santé Regulatory Agency (MHRA) a prolongé l’autorisation d’urgence de l’ARNm Pfizer / BionTech Commission paritaire de recours au Royaume – Uni pour lui permettre de donner aux enfants âgés de 12 – 15 sur le 4 e Juin ici 2021.

À l’époque, le directeur général de la MHRA, le Dr June Raine, a déclaré que la MHRA avait « examiné attentivement les données d’essais cliniques chez les enfants âgés de 12 à 15 ans et a conclu que le vaccin Pfizer est sûr et efficace dans ce groupe d’âge et que les avantages l’emportent sur tout risque ».

Nous nous demandons si le Dr June Raine et la MHRA ont même lu les résultats de l’étude extrêmement courte et petite. S’ils l’avaient fait, ils auraient vu que 86% des enfants de l’étude ont subi une réaction indésirable allant de légère à extrêmement grave.

Seulement 1 127 enfants ont participé à l’essai, mais seulement 1 097 enfants ont terminé l’essai, dont 30 n’ont pas participé après avoir reçu la première dose du vaccin Pfizer. Les résultats n’indiquent pas pourquoi les 30 enfants n’ont pas terminé l’essai.

Les informations sont accessibles au public et contenues dans une fiche d’information de la FDA qui peut être consultée  ici  ( voir page 25, tableau 5 et suite ).

Il ne faisait aucun doute que la MHRA autoriserait d’urgence l’utilisation du vaccin Pfizer/BioNTech chez les enfants si l’on considère qu’un certain M. Bill Gates détient des actions à la fois dans Pfizer et BioNTech et est le principal bailleur de fonds de la MHRA .

La Fondation Bill & Melinda Gates a acheté des actions de Pfizer en 2002, et en septembre 2020, Bill Gates a veillé à ce que la valeur de ses actions augmente en annonçant aux médias grand public dans une interview à CNBC qu’il considérait le coup de Pfizer comme le leader du Course au vaccin contre le Covid-19.

« Le seul vaccin qui, si tout se passait parfaitement, pourrait demander la licence d’utilisation d’urgence d’ici la fin octobre, serait Pfizer. »

La Fondation Bill & Melinda Gates a également acheté « par coïncidence » pour 55 millions de dollars d’actions de BioNTech en septembre 2019, juste avant que la prétendue pandémie de Covid-19 ne frappe.

La MHRA a reçu une subvention de la Fondation Bill & Melinda Gates en 2017 à hauteur de 980 000 £ pour une « collaboration » avec la fondation. Cependant, une demande d’accès à l’information à laquelle la MHRA a répondu en mai 2021 a révélé que le niveau actuel des subventions reçues de la Fondation Gates s’élève à 3 millions de dollars et couvre « un certain nombre de projets ».

Pouvons-nous vraiment faire confiance à la MHRA pour rester impartiale alors que son principal bailleur de fonds est la Fondation Bill & Melinda Gates, qui détient également des actions dans Pfizer et BioNTech ? Nous ne le pensons pas.
– Source : The Daily Expose (Royaume-Uni)




Les Etats-Unis autorisent pleinement le vaccin de Pfizer, obligation vaccinale pour l’armée

[Source : RT en français]

[Photo : © KIM HONG-JI Source: Reuters]

Washington a pleinement approuvé le vaccin de Pfizer, qui bénéficiait jusqu’ici d’une autorisation temporaire d’urgence. Dans la foulée, le Pentagone a annoncé que le vaccination contre le Covid allait devenir obligatoire dans l’armée américaine.

L’Agence américaine des médicaments, la Food & drug administration (FDA), «a approuvé le premier vaccin contre le Covid-19» dans le pays, a-t-elle déclaré ce 23 août dans un communiqué. Le vaccin de Pfizer bénéficiait depuis décembre d’une autorisation d’urgence. Il continue à être disponible pour les enfants et adolescents de 12 à 15 ans sous cette autorisation conditionnelle, a précisé la FDA.Lire aussi L’EMA examine de possibles nouveaux effets secondaires liés aux vaccins anti-Covid à ARN messager

«Même si des millions de personnes ont déjà reçu de façon sûre des vaccins contre le Covid-19, nous reconnaissons que pour certains, cette autorisation pourra donner plus de confiance dans la vaccination», a déclaré la responsable par intérim de la FDA, Janet Woodcock, citée dans le communiqué. «L’importante étape d’aujourd’hui nous rapproche un peu plus de renverser le cours de la pandémie aux Etats-Unis», a-t-elle ajouté. 

«Nous avons évalué les données scientifiques et les informations incluses dans des centaines de pages [et] conduit notre propre analyse de la sûreté et de l’efficacité» du vaccin, a détaillé Peter Marks, responsable scientifique au sein de la FDA. Il a précisé que le processus de production du vaccin avait également été vérifié, y compris via des visites d’usines.

Cette autorisation complète pourrait permettre à certaines autorités d’imposer la vaccination sans crainte de recours légaux. De fait, dans la foulée l’homologation définitive du sérum de Pfizer, le Pentagone a annoncé que le vaccin contre le Covid-19 allait devenir obligatoire dans l’armée américaine.

«Maintenant que le vaccin de Pfizer a été approuvé, le ministère va diffuser une directive imposant à tous les personnels engagés de se faire vacciner», a ainsi déclaré le porte-parole militaire John Kirby. 




Les CDC enterrent une étude selon laquelle le port du masque par des élèves ne présente « aucun avantage statistiquement significatif »

[Source : Aube Digitale]

Il y a moins de trois mois, les Centers for Disease Control (CDC) ont publié une étude à grande échelle, pour la plupart ignorée, sur la transmission du virus Covid-19 dans les écoles américaines. Cette étude a conclu que si le fait de masquer les enseignants alors non vaccinés et d’améliorer la ventilation était associé à une baisse des niveaux de transmission du virus dans les écoles – la distanciation sociale, les barrières dans les salles de classeles filtres HEPA et le fait d’obliger les élèves à porter des masques n’ont pas entraîné de bénéfice statistiquement significatif.

Quelques grands médias ont couvert sa publication en rappelant brièvement le résumé de l’étude : le fait de masquer les enseignants non vaccinés et d’améliorer la ventilation en augmentant la quantité d’air frais était associé à une moindre incidence du virus dans les écoles. Ce sont des mesures de bon sens, et le fait qu’elles semblent fonctionner est rassurant mais pas surprenant. D’autres résultats tout aussi importants de l’étude ont cependant été absents du résumé et n’ont pas été largement rapportés. Ces conclusions jettent un doute sur l’impact de bon nombre des mesures d’atténuation les plus courantes dans les écoles américaines. La distanciation, les modèles hybrides, les barrières dans les salles de classe, les filtres HEPA et, surtout, l’obligation de masquer les élèves n’ont pas eu d’effet bénéfique statistiquement significatif. En d’autres termes, on ne peut pas dire que ces mesures soient efficaces.

NYMag

Selon le rapport, les scientifiques estiment que la décision des CDC d’omettre intentionnellement les conclusions sur le masquage des élèves dans un résumé de l’étude équivaut à une « mise sous pli » des conclusions – la pratique consistant à enterrer les études qui n’ont pas de résultats statistiquement significatifs.

« Le fait qu’une exigence de masquage des étudiants n’ait pas permis de démontrer un bénéfice indépendant est une conclusion importante et très intéressante », selon Vinay Prasad, professeur associé au département d’épidémiologie et de biostatistique de l’université de Californie à San Francisco. « Elle aurait dû être incluse dans le résumé ».

L’épidémiologiste Tracy Hoeg, auteur d’une autre étude des CDC sur la transmission du Covid-19 dans les écoles, a déclaré que « le résumé donne l’impression que seul le masquage du personnel a été étudié », ajoutant « alors qu’en réalité, il y avait cette détection supplémentaire importante sur une exigence de masquage des étudiants n’ayant pas d’impact statistique. »

Comme le note Twitchy, David Zweig du NYMag s’est demandé pourquoi les États-Unis exigent le port de masques alors que d’autres pays ne le font pas.

David a été rejoint par d’autres personnes soulignant des faits similaires :

Plus d’informations via Twitchy :

Mais il n’y a pas que cette étude des CDC. Il n’y a aucune étude que Zwieg – ou qui que ce soit – puisse trouver qui « montre de manière concluante que le port de masques par les enfants à l’école a un quelconque effet sur leur propre morbidité ou mortalité ou sur le taux d’hospitalisation ou de décès dans la communauté qui les entoure » :

En attendant, comme nous l’avons noté à plusieurs reprises la semaine dernière, de nombreuses études concluent que les masques n’offrent qu’une protection minimale, voire nulle.

  1. https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2021.05.18.21257385v1.full-text
  2. https://swprs.org/face-masks-evidence/
  3. https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/29395560/
  4. https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/32590322/
  5. https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/15340662/
  6. https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/26579222/
  7. https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/31159777/
  8. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC4420971/
  9. https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2020.04.01.20049528v1
  10. https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2020.03.30.20047217v2
  11. https://www.nejm.org/doi/full/10.1056/NEJMp2006372
  12. https://jamanetwork.com/journals/jama/fullarticle/2749214
  13. https://www.cmaj.ca/content/188/8/567
  14. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC5779801/
  15. https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/19216002/
  16. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC4420971/
  17. https://academic.oup.com/cid/article/65/11/1934/4068747
  18. https://www.jstage.jst.go.jp/article/bio/23/2/23_61/_pdf/-char/en
  19. https://link.springer.com/article/10.1007/BF01658736
  20. https://www.journalofhospitalinfection.com/article/0195-6701(91)90148-2/pdf90148-2/pdf)
  21. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC2493952/pdf/annrcse01509-0009.pdf
  22. https://web.archive.org/web/20200717141836/https://www.cidrap.umn.edu/news-perspective/2020/04/commentary-masks-all-covid-19-not-based-sound-data
  23. https://www.nap.edu/catalog/25776/rapid-expert-consultation-on-the-effectiveness-of-fabric-masks-for-the-covid-19-pandemic-april-8-2020
  24. https://www.nap.edu/read/25776/chapter/1#6
  25. https://wwwnc.cdc.gov/eid/article/26/5/19-0994_article
  26. https://academic.oup.com/annweh/article/54/7/789/202744
  27. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC6599448/
  28. https://www.acpjournals.org/doi/10.7326/M20-1342
  29. https://link.springer.com/article/10.1007/s00392-020-01704-y
  30. https://clinmedjournals.org/articles/jide/journal-of-infectious-diseases-and-epidemiology-jide-6-130.php?jid=jide
  31. https://www.sciencedirect.com/science/article/abs/pii/S1130147308702355

Alors pourquoi fait-on porter aux enfants américains des sacs d’avoine tous les jours ?

Traduction de Zero Hedge par Aube Digitale


[Voir aussi :
Covid : la validité de l’imposition du port du masque s’effondre à son tour !
Effets nocifs des masques]




Traitement Covid-19 : première étude scientifique sur l’homme avec du dioxyde de chlore à usage thérapeutique

[Source : Andreas Kalcker – Site officiel]

[Ndlr : le dioxyde de chlore est un produit chimique plutôt dangereux.]

Andreas Kalcker

ÉTUDES CLINIQUES AVEC LE DIOXYDE DE CHLORE

Un espoir de mettre fin à la pandémie de COVID-19.

L’étude clinique a montré que le dioxyde de chlore est efficace chez les patients traités par ClO2 par voie orale et que son utilisation dans la pandémie COVID-19 devient et se positionne comme un grand espoir de le contrôler, sur la base des fondements scientifiques révélés dans des recherches antérieures.

Le dioxyde de chlore s’est avéré bénéfique dans le traitement du COVID-19, rendant la RT-PCR négative à 7 jours chez cent pour cent des patients qui l’ont pris pendant l’étude clinique, atténuant rapidement leurs symptômes associés à cette maladie et réduisant considérablement les paramètres de laboratoire à la normale dans un espace de 14 à 21 jours.

En outre, les chercheurs ont observé que les patients qui consommaient du dioxyde de chlore comme traitement du COVID-19 réduisaient également considérablement les symptômes post-maladie, par rapport aux patients non traités avec ClO2.

Nous sommes confrontés à une solution qui peut mettre fin à la pandémie, désormais scientifiquement prouvée.

CDS sauve des vies ! Vous avez maintenant l’occasion de lire la première étude clinique multicentrique réalisée dans plusieurs pays d’Amérique latine qui démontre clairement que le dioxyde de chlore est un traitement totalement efficace contre le COVID-19

Voir l’étude clinique




Le chercheur Walter Chesnut prévient: “Les injections répétées seront mortelles”

[Source : 1scandal.com]

La protéine de pointe du vaccin covid détruit l’immunité naturelle et la Télomérase

Une analyse indépendante de l’échec immunitaire qui a tendance à se produire après qu’une personne se soit “vaccinée” pour le coronavirus a révélé qu’au moins l’une des causes est une accumulation de protéines de pointe induites par le vaccin à l’intérieur du corps.

Walter Chesnut de WMCResearch.org prévient que la “réponse immunitaire robuste” déclenchée par les injections “peut avoir un coût mortel”, que cela se manifeste immédiatement ou plus tard.

Après avoir examiné une étude scientifique évaluée par des pairs et une conférence informative, Chesnut a découvert qu’une fois que les protéines de pointe du vaccin s’installent vraiment et commencent à faire ce pour quoi elles ont été conçues, la télomérase d’une personne injectée devient inactivée.

La télomérase, au cas où vous ne la connaîtriez pas, est une enzyme de l’ADN humain qui régule le vieillissement. À mesure que les télomères qui encapsulent l’ADN se raccourcissent avec le temps, le vieillissement commence vraiment à s’accélérer.

Cela suggérerait que les injections COVID accélèrent le processus de vieillissement.

https://twitter.com/Parsifaler/status/1426720994367057920?ref_src=twsrc%5Etfw%7Ctwcamp%5Etweetembed%7Ctwterm%5E1426720994367057920%7Ctwgr%5E%7Ctwcon%5Es1_&ref_url=https%3A%2F%2F1scandal.com%2Fle-chercheur-walter-chesnut-previent-les-injections-repetees-seront-mortelles%2F

L’étude dont Chesnut a tiré ses conclusions, publiée dans le Journal of Bacteriology & Parasitology , “démontre de manière convaincante” que les protéines de pointe du vaccin ont “des effets délétères sur la télomérase , altérant sa synthèse”, explique Chesnut.

« quand cette activité est inhibée, il faut du temps pour que l’épuisement inévitable des cellules immunitaires apparaisse », ajoute-t-il. « Cela peut être le « cadeau » caractéristique du cheval de Troie de la protéine de pointe. Quelle que soit la réponse immunitaire de courte durée, c’est de l’or du fou qui remplace la capacité du système immunitaire à se reconstituer. »

Les vaccins Covid détruisent la télomérase des gens tout comme la chimiothérapie, les faisant vieillir rapidement

Ce phénomène est déjà observé en Israël, l’un des pays les plus vaccinés au monde. contre le Covid.  Les effets à long terme des injections s’accélèrent dans leur manifestation, montrant que les protéines de pointe du vaccin “peuvent être chroniquement présentes” dans le corps des personnes où elles “suppriment continuellement la télomérase”.

Sans télomérase, prévient la conférencière Elizabeth Blackburn, « les cellules clés du corps sont incapables de se reconstituer et « s’épuisent » bien avant qu’elles ne le devraient au cours d’une vie normale. »

Vous pouvez regarder la conférence de Blackburn ci-dessous :

« Nous voyons essentiellement les effets de la CHIMIOTHÉRAPIE avec la protéine de pointe. Mais d’une manière tout à fait unique », dit Chesnut. « Les cellules à réplication rapide sont épuisées. Nous pouvons maintenant expliquer les rapports trop courants de perte de cheveux, par exemple. »

En d’autres termes, les vaccins contre le Covid bombardent le corps des gens avec des protéines de pointe qui agissent de la même manière que la chimiothérapie, provoquant l’effondrement de leur système immunitaire et le non-renouvellement. Ce ne sont rien de plus que des injections mortelles déguisées en « médicaments ».

Cela expliquerait pourquoi la grande majorité des nouveaux patients « covid » admis dans les hôpitaux sont des personnes qui ont reçu les injections par obéissance au gouvernement et paient désormais le prix de leur erreur.

Rien de tout cela n’est une surprise pour quiconque a prêté attention à tout ce que les experts indépendants ont mis en garde concernant les vaccins et leurs protéines de pointe. 

“Ils vont bientôt mendier un remède contre cette nouvelle peste qu’ils ont invitée dans leur corps”, a écrit un commentateur d’ Infowars sur ce qui deviendra finalement de tous ceux qui ont pris le jab.

« Peut-être que les ‘morts vaccinés’ seront le groupe qui se soulèvera et détruira leurs créateurs, un peu comme dans le livre « Frankenstein ». Ce serait ironique, mais je suis sûr que ces salauds qui ont fabriqué le « vaccin » ont déjà envisagé ce scénario comme une possibilité. »

Un autre commentateur a demandé pourquoi les Américains permettaient à des gens comme Fauci de s’en tirer en poussant ouvertement ces injections de génocide alors qu’il menaçait de fermer à nouveau le pays si les réfractaires «non vaccinés» refusaient d’obéir à ses ordres.

Il semble de plus en plus que la véritable “pandémie” se cache à l’intérieur des vaccins et que le virus n’était qu’une ruse pour amener les gens à faire la queue et à recevoir des injections mortelles, dont le contenu serait ensuite “déversé” sur d’autres, y compris des personnes qui a refusé les vaccins en premier lieu.

Dans un tweet plus récent sur la façon dont les gens peuvent faire face à la destruction des télomères induite par le vaccin, qui est associée à la maladie d’Alzheimer, à la maladie de Parkinson, à la ferroptose, à l’hypothalamus et à l’autophagie, Chesnut a tweeté un lien vers un article sur le champignon reishi – voir ci-dessous :

https://twitter.com/Parsifaler/status/1427711144605667333?ref_src=twsrc%5Etfw%7Ctwcamp%5Etweetembed%7Ctwterm%5E1427711144605667333%7Ctwgr%5E%7Ctwcon%5Es1_&ref_url=https%3A%2F%2F1scandal.com%2Fle-chercheur-walter-chesnut-previent-les-injections-repetees-seront-mortelles%2F

La protéine de pointe du vaccin covid « désactive la transcription de / épuise les télomères AUF1 et WRN », a écrit Chesnut dans un autre tweet. « C’est une catastrophe. C’est ce dont vous ne voyez maintenant que le début. »

« Vous pouvez SUPPRIMER LES TELOMERES », prévient en outre Chesnut. « Nous rapportons ici que les cellules dépourvues de WRN présentent une SUPPRESSION DES TÉLOMÉRES. Une forme de mort cellulaire que vous ne connaissez peut-être pas : la létalité synthétique. Épuisement du WRN induit. »

N’oubliez pas de consulter le site Web de Chesnut pour vous tenir au courant de ses dernières recherches.

Vous trouverez plus d’informations sur le programme de vaccination contre le coronavirus de Wuhan (Covid-19) sur ChemicalViolence.com .

Les sources de cet article incluent :
Infoguerres.com
WMCResearch.org
Archive.is
NaturalNews.com




Les effets de la vaccination sur le sang

[Source : reseauinternational.net]

Voici une vidéo très didactique qui montre l’impact de la vaccination sur le sang au microscope.

Elle constitue une démonstration visuelle de tous les articles qui décrivent la survenue des thromboses, tronc commun, semble-t-il, à toutes ces injections.

Elle a aussi l’avantage d’être courte. « Une image vaut mille mots… »




[Ndlr : les ondes pulsées telles que le Wi-Fi, la 4G et la 5G produisent des effets similaires.
Voir Existe-t-il un lien entre la 5G et CoVid-19 ?]




Guide juridique pour la liberté vaccinale

[Source : Ligue Nationale Pour la Liberté des Vaccinations (infovaccin.fr)]

06.08.2021 – GUIDE JURIDIQUE LOI PASS SANITAIRE

Publication d’un Guide juridique pour la liberté vaccinale et contre le pass sanitaire

La Ligue nationale pour la liberté des vaccinations (LNPLV) vient de publier un « Guide juridique pour la liberté vaccinale » pour aider les Français à contrer par des moyens légaux une ségrégation sanitaire manifestement hors-la-loi. 

La nouvelle loi instaurant le pass sanitaire pour les activités du quotidien et l’obligation vaccinale, bien qu’adoptée par les deux assemblées le 25 juillet dernier , puis validée par le Conseil Constitutionnel le 5 août 2021, entre en totale contradiction avec tous les textes de Droit, qu’ils soient nationaux, européens ou internationaux. 

Conformément à sa mission et ses statuts, la Ligue entend contribuer à faire respecter les droits et libertés des citoyens, notamment leur intégrité physique.

Face au désarroi manifeste des Français confrontés à un Etat désormais sans foi ni loi, nous mettons à disposition un guide juridique de 40 pages qui rassemble : 

– les avis juridiques de plusieurs cabinets d’avocats
– des modèles de courrier à adresser aux employeurs ou aux institutions
– un « rappel à la loi » vis-à-vis de toute personne qui obligerait à la vaccination ou interdirait l’accès à un lieu, comme les hôpitaux
– un mémo récapitulatif à joindre à vos courriers, réalisé par Me de Araujo-Recchia

C’est un devoir citoyen urgent de se défendre par tous les moyens juridiques possibles contre cette nouvelle discrimination !
Nous appelons donc nos concitoyens à se saisir massivement de cette boîte à outils juridique en la partageant avec le plus grand nombre et en passant rapidement à l’action !

GUIDE JURIDIQUE pour la LIBERTE VACCINALE.V1.0.pdf




Témoignage d’un Gendarme en août 2021 qui refuse de participer à l’expérimentation des thérapies géniques anti COVID

[Source : @GaumontRene]

https://twitter.com/GaumontRene/status/1429412321420578816?s=20



Ce que Véran n’a pas osé vous dire en face sur le danger des vaccins

[Source : Le Courrier des Stratèges (lecourrierdesstrateges.fr)]

Par Éric Verhaeghe

Le danger des vaccins est le grand tabou de la communication gouvernementale. Il n’est en effet pas facile d’expliquer qu’on s’apprête à sacrifier consciemment une partie de sa population pour satisfaire à un programme d’obligation vaccinale dont chaque jour montre qu’il n’est pas exempt de calculs économiques. Donc, officiellement, c’est du circuler, y a rien à voir ! les vaccins sont sûrs ! Sauf que… la communication gouvernementale laisse transpirer de terribles aveux sur les sacrifices qui se préparent. Il est désormais de notre devoir de les relever et de les porter à la connaissance du public, égarés par des médias subventionnés aux ordres.

Les dangers des vaccins, vous le remarquerez, ne sont que très mollement niés par le gouvernement. On ne trouvera (étonnamment) nulle part une campagne claire pour “rassurer”, ce qui est en soi à la fois l’une des explications du malaise actuel de la société française, et l’un des plus terribles aveux de cynisme commis par l’équipe de guignols au pouvoir. 

Ce silence gêné du gouvernement sur les dangers du vaccin s’explique assez simplement par le fait que personne, dans les allées du pouvoir, ne doute de la nocivité des produits que les Français sont supposés se faire inoculer dans une obéissance aveugle. 

Quand la loi reconnaît les dangers des vaccins

Aucun journaliste subventionné (trop occupé à dénoncer les complots sans doute) n’a pris le temps de le noter, mais la loi du 5 août 2021 ne comporte aucune ambiguïté sur les dangers des vaccins. Son article 18 écrit ceci :

La loi a donc pris soin de régler la question de la “réparation intégrale des préjudices directement imputables” aux vaccins que les soignants vont recevoir pour le bien du groupe, de la société et de l’immunité collective. Elle annonce, de façon “classique”, dirait-on, que les réparations seront décidées par l’Office national d’indemnisation des accidents médicaux, des affections iatrogènes et des infections nosocomiales, qui est un établissement public en charge des accidents médicaux

Autrement dit, c’est l’Etat qui sera chargé d’établir la faute de l’Etat qui a ordonné des injections dangereuses avec une légèreté confondante, et c’est l’Etat qui fixera lui-même le montant des réparations qu’il doit aux victimes. 

La précision n’est pas anodine : s’agissant de vaccins expérimentaux, on aurait pu imaginer un cadre d’indemnisation relevant directement des juridictions civiles. Mais le gouvernement a pris soin, par avance, de modérer l’addition qu’il s’attend à payer. 

Véran anticipe des décès

Je recommande vraiment à tout le monde de lire attentivement cet article L 3111-9 du code de la santé publique, qui fut créé… par Agnès Buzyn pour maîtriser les coûts d’indemnisation dus à la campagne de vaccination obligatoire aux onze vaccins pour les enfants. Le texte apporte cette terrible précision :

L’offre d’indemnisation adressée à la victime ou, en cas de décès, à ses ayants droit est présentée par le directeur de l’office.

Si un infirmier meurt demain quelques heures après avoir reçu une injection, sa femme aura le plaisir de recevoir un courrier du directeur de l’office lui proposant une petite gratification pour Noël, à prendre ou à laisser. C’est de la procédure classique. 

Il était utile de la rappeler pour redire que, lorsque Véran exhorte la moitié du pays à passer à la piqûre, il n’a aucune illusion sur le fait que des gens mourront. Tout cela est écrit, prévu, administré.

Les explications emberlificotées sur les femmes enceintes : Véran, ton nez s’allonge !

Une autre farce cynique officielle qui mérite d’être retenue tient à la vaccination des femmes enceintes. Selon Olivier Véran, vacciner une femme enceinte dès les premiers jours de grossesse ne pose pas de problème. Il est sûr qu’on dispose forcément de beaucoup de recul sur le sujet, et que le ministre pouvait, sans complexe, mettre en scène la vaccination de sa collègue Olivia Grégoire. 

Les esprits un peu rigoureux auront noté que ces discours officiels reposent sur une étude publiée par le New England Journal of Medicine, qui dit en réalité le contraire des propos qu’on lui prête

On relira ici sa conclusion :

Preliminary findings did not show obvious safety signals among pregnant persons who received mRNA Covid-19 vaccines. However, more longitudinal follow-up, including follow-up of large numbers of women vaccinated earlier in pregnancy, is necessary to inform maternal, pregnancy, and infant outcomes.

(Les découvertes préliminaires ne montrent pas d’alarmes de sécurité évidentes parmi les femmes enceintes qui ont reçu des vaccins à ARN messager. Cependant, des suivis plus longs, incluant des suivis sur un plus grand nombre de femmes vaccinées précocement dans leur grossesse, est nécessaire pour collecter des éléments sur les mères, la maternité et les enfants). 

Voilà qui aurait dû tempérer fortement les ardeurs inoculantes d’Olivier Véran. Mais les médecins de l’hôpital de Grenoble savent mieux que le reste du monde ! Donc, Véran a dit que les femmes enceintes ne prenaient aucun risque en recevant leur vaccin dès les premiers jours de grossesse. 

Sauf que… ce n’est pas exactement ce qui est dit par le conseil d’orientation stratégique sur la vaccination anti-COVID (si, si, ça existe !), dans son brillant avis putassier du 21 juillet 2021 : 

On vous recommande de bien lire ce tissu (dont la concision étonne) de circonvolutions purulentes, concentré en quelques lignes (vu l’absence d’importance du sujet, pourquoi se fatiguer à argumenter et à analyser, un torchon suffit) :

1) il n’y a aucun argument pour parler d’un danger de la vaccination pendant les premiers jours de la grossesse

2) les femmes qui le souhaitent peut donc être vaccinées dès le premier jour

3) mais s’il s’agit de les obliger, rien avant le quatrième mois. 

Mais si ces vaccinologues sont si sûrs de leur fait et de l’innocuité des vaccins, pourquoi n’assument-ils pas d’imposer le vaccin dès le début de la grossesse ? Seraient-ce parce qu’ils savent qu’en réalité, c’est dangereux, mais qu’ils ne veulent pas le dire pour ne pas mettre leur ministre en porte-à-faux (et ne pas rater une promotion) ? D’ailleurs ne rappellent-ils pas dans leur premier paragraphe qu’une vaccination précoce peut donner lieu à des “complications obstétricales” et des “conséquences pour le foetus” au cours du 3è trimestre ?

Je ne sais pas vous, mais moi, quand je lis un texte plein d’embrouilles sur un sujet aussi sensible, je suis tout de suite en alerte et je regarde les nez s’allonger. Il y a du mensonge dans l’air !

Véran connaît les dangers des vaccins

N’ayez en tout cas aucune illusion sur le cynisme gouvernemental. Personne n’a le moindre doute sur le fait que l’obligation vaccinale fera des victimes, des handicapés à vie, des morts. Tout cela est déjà budgété et préparé. Y compris chez les foetus. 




De la Puissance Pure au 21e siècle

Lucien SA Oulahbib

Par Lucien SA Oulahbib

La fascination sourde envers la puissance chez l’humain s’avérerait également biologique et plus précisément « féline » : la mise à mort, y compris non nécessaire, étant chez ces espèces un plaisir, d’où leurs accointances, immémoriales, entre « mammifères » tendance fauve. Et leurs rapports sexuels eux-mêmes reflètent cette attraction, y compris aujourd’hui, malgré ce souhait également présent depuis le début de maturation raffinée chez l’humain, du moins si le coït veut durer au-delà de sa conservation morbide narcissique et reproductrice (en ce sens, l’érotisme n’est toujours pas réductible à la pornographie…).

Mais à l’époque du narcissisme exacerbé par l’écran, le coït dru prend de plus en plus le dessus par l’onanisme direct et indirect (la starification) et plus symboliquement par le viol (politique) des foules, y compris via des leaders excitant dans cette direction de fascination envers la puissance pure en distribuant de plus en plus par exemple les rôles non plus à partir d’une autorité liée à une compétence, mais à la servilité (ainsi aujourd’hui l’éviction de Didier Raoult).

Qu’il s’agisse en fait (et rapidement rappelé) de l’absolutisme, du léninisme, du monarchisme, du fascisme et du nazisme, ce sont tous les avatars de cette adoration du « Pouvoir Pur » malgré bien sûr les propos contraires (celui d’avoir droit de vie et de mort — aujourd’hui sociale — avec les nouveaux interdits qui se déploient sous nos yeux à la façon d’un incendie volontaire), celle en un mot de soumettre et d’en jouir vite. Ainsi la fascination actuelle envers « la » Science et « la » technique symbolisés par l’injonction de l’injection hygiéniste (la létalité de C-19 étant pourtant infime alors que le soin reste de fait interdit hors injection) puisque toutes ces tendances observent bien, au-delà des nuances, que la puissance de contraindre jusqu’à faire mourir est bien première dans l’organisation du pouvoir, au-delà des divergences dans les cooptations. Ainsi le refus de prescrire de manière précoce a engrangé des centaines de milliers de morts, comme l’indique ce site décidément incontournable, ce qui fascine comme œuvre totale, au-delà des ratiocinations (qui ont d’ailleurs besoin de victimes sacrificielles comme Perronne, Raoult, Fouché…)

https://c19legacy.com

Certes les léninistes se prétendant issus des Lumières anti ou pan/théistes, se sont voulus plus ouverts dans le recrutement, à la manière des premiers chrétiens (les musulmans les imitant, du moins en apparence, car il n’y a pas de porte de sortie chez eux) à partir du moment où l’on obéit aux principes de la Secte (les nuances y étant cependant admises, mais sur des points secondaires du moins en période faste).

Les monarchistes absolutistes les fascistes et les nazis issus de la dégénérescence d’une aristocratie ayant échoué déjà spirituellement, restreignent l’accès du Pouvoir au « faisceau » (aujourd’hui le « réseau ») et à la « race », ce que reprennent les néo-léninistes ayant remplacé les léninistes premier cru (les staliniens et leurs frères jumeaux trotskistes) dans l’un et l’autre aspect. Il suffit d’analyser leur OPA dans les médias et les courroies de transmission : justice, enseignement, grands corps étatiques, et aujourd’hui ONG, Fondations…

D’où une alliance objective entre ces deux dits « extrêmes », mais ce non pas contre « Le Système » contrairement à ce qui est dit, mais contre l’individu et les droits naturels que l’idée de Nation avait protégés (en amplifiant celle de Patrie) par la méritocratie malgré la dureté de la stratification (que l’aristocratie française fut incapable d’assouplir). Ainsi, malgré leur diatribe antilibérale (affublée du préfixe « néo ») les avatars léninistes comme les fascistes et nazis s’avèrent être devenus les courroies de transmission de la Secte Globale du fait déjà de leur adoubement au scientisme hygiéniste (et aussi affairiste, car sans l’huile des subsides publiques et privées ces courroies se seraient cassées depuis des lustres).

Mais aussi parce que la Secte au Pouvoir a désormais intégré tous leurs discours (en disant le contraire bien sûr), ce qui fait par exemple qu’un Enthoven pourrait appeler dit-il à voter Marine Le Pen contre Mélenchon lors d’un hypothétique second tour à la présidentielle, car ce dernier n’est plus qu’un doublon devenu inutile, la Secte ayant intégré le discours indigéniste et queer depuis longtemps, tout en lui intimant cependant quelques limites (la charge officielle contre « l’islamo-gauchisme » à l’Université), car dans le Jardin des Variétés (ou des Folklores) de la Culture neutralisée (au sens schmittien) il faut de tout, et non pas seulement un mélange indistinct.

Et « le Peuple dans tout ça ? » (en paraphrasant la question de Napoléon » Et Dieu dans tout ça ? » lorsque De La Place lui présenta son explication du système solaire) : « Sire je n’ai pas besoin de cette hypothèse » ; les De La Place d’aujourd’hui indiquent qu’il faut faire de la place, qu’il n’y a plus « besoin du peuple » (remplacé de plus en plus par des machines et des logiciels au niveau des services de base), déjà en le réduisant non pas en « individus », mais en fragments (les identités multiples, « identitaires » compris, une variété certes plus « authentique », mais variété quand même…) jusqu’à faire douter sur tout ce qui peut rester de « naturel » (comme un « système immunitaire »).

Ainsi, le Soi individuel après avoir été loué un temps est devenu maintenant un obstacle au même titre que les terres à déforester d’autrefois parce qu’il s’agit désormais non plus de lui vendre des objets externes, mais de lui vendre de plus en plus des pensées, désirs, jouissances (ou l’intelligence artificielle s’insinuant telle une hydre). Ou comment le corps-éponge à instruire de l’Encyclopédie est aujourd’hui de plus en plus domestiqué par la normalisation des médias et de l’enseignement actuel : ils en sont les vecteurs intermédiaires.
Il s’agit aussi de lui injecter des organes (bio-numériques déjà au niveau « nano »), ce qui avait déjà été commencé avec tout ce qui peut de plus en plus médicaliser le corps humain (la consommation médicamenteuse bat des records chaque année, et il faut éliminer la concurrence naturopathe qui a pris bien trop de place suite aux révoltes des années 60 qui n’avaient pas été encore récupérées par le gauchisme cherchant à retrouver son indépendance face au léninisme). Ceci fait que peu à peu la supposée bonne santé s’avère être un handicap (même si elle peut faire rêver à l’ombre des séries en fleurs) puisque cette « nature humaine » peut toujours transmettre sans le savoir tout un ensemble d’éléments à risques : pensées, virus, attitudes dominatrices, comportements égoïstes (comme le refus de se soumettre)… D’où le rétablissement et renforcement de divers interdits en sus des nouveaux…

C’est alors bien là non seulement le Retour (éternel il est vrai) de la Puissance Pure, mais aussi de son extension planétaire, celle-là même qui possède droit de vie et de mort (particulièrement au XXe siècle prétendument « avancé ») et dont les nouveaux propriétaires tels les pharaons et empereurs romains en sont devenus les « dieux sans bornes ».

La « République des lettres », elle, se contente désormais d’en chroniquer les querelles olympiennes.

Mais nul ne peut dire cependant que les jeux soient faits. Les Empires pourrissent toujours par la tête avant d’imploser. Ce qui nécessite de bien s’y préparer. Car il semble bien que la France ait toujours son mot à dire, n’étant toujours pas une puissance moyenne spirituellement et techniquement parlant malgré les assauts sourds et secs de la Secte cherchant à en assécher la « substantifique moelle »…