Comment échapper à la suspension sans salaire dans la fonction publique ?

[Source : lecourrierdesstrateges.fr]

par Éric Verhaeghe

La suspension sans salaire est-elle inévitable dans la fonction publique, pour les membres des professions soumises à l’obligation vaccinale qui refusent de se vacciner ? Nous proposons ici une lecture alternative des textes en vigueur depuis le 5 août 2021 : de notre point de vue, une réaction juridique vigoureuse est possible pour limiter les dégâts et éviter une catastrophe financière complète pour ceux qui souhaiteraient ne pas être vaccinés. Voici un rapide mode d’emploi.

https://youtu.be/BcT0lv0hpBs

La suspension sans salaire dans la fonction publique est une sanction très lourde et… telle qu’elle est présentée par la loi du 5 août 2021, elle a toutes les apparences d’une disposition inconstitutionnelle et contraire à la Charte Européenne de Sauvegarde des Droits de l’Homme. 

Suspension sans salaire et sanction disciplinaire

Rappelons en effet que suspendre un fonctionnaire en lui ôtant son salaire est une sanction disciplinaire et, en soi, il s’agit de l’une des pires sanctions imaginables, puisqu’elle revient à priver la personne de tout revenu du jour au lendemain. 

Or… une sanction disciplinaire obéit dans des règles, en particulier au principe du contradictoire : toute personne sanctionnée doit pouvoir présenter ses arguments, sa “défense”, à l’autorité qui la sanctionne. Dans la fonction publique, ce principe du contradictoire passe forcément par une commission paritaire où des représentants élus du personnel doivent pouvoir défendre les impétrants. 

Assez curieusement, la loi du 5 août 2021 n’a prévu aucun de ces dispositifs. Elle réserve un pouvoir unilatéral à l’employeur sans “contradictoire”. 

Une procédure inconstitutionnelle selon les Sages

Pour mémoire, le Conseil Constitutionnel a rappelé le 10 mai 2019 que le respect du contradictoire, aussi appelé les “garanties disciplinaires”, était une obligation constitutionnelle, tirée de l’article 16 de la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen (DDHC). Cette jurisprudence récente sanctionnait une disposition applicable à l’administration pénitentiaire, qui prévoyait que certaines sanctions pouvaient être prises de façon unilatérale. 

On s’amusera de voir le Conseil Constitutionnel changer à ce point d’avis en deux ans à peine…

Une procédure inconventionnelle

Mais le bloc de constitutionnalité français n’est pas le seul corpus qui fait planer de nombreux doutes sur la suspension unilatérale sans traitement. La Convention Européenne des Droits de l’Homme (CEDH), dans son article 6, prévoit également un droit au procès équitable. Le guide d’application de cet article 6 rappelle que ce droit s’applique aux sanctions prises contre des fonctionnaires. 

La loi du 5 août 2021 paraît totalement contraire à cette convention…

Référé-suspension et inconventionnalité

S’il est peu probable qu’un tribunal administratif contrevienne à la validation de la loi par le Conseil Constitutionnel (même si le Conseil Constitutionnel disait, il y a deux ans, le contraire de ce qu’il dit aujourd’hui), il y a de fortes chances pour qu’un tribunal administratif se montre plus réceptif à la violation de la Convention Européenne des Droits de l’Homme. Nous vous recommandons donc, si vous faites l’objet d’une suspension dans le cadre de la loi du 5 août, de lancer un “référé-suspension” auprès du tribunal administratif compétent, pour demander la levée de la mesure d’interruption du salaire. 

Vous pouvez arguer, dans ce référé, de la violation de l’article 6 de la Convention Européenne des Droits de l’Homme, puisque vous êtes sanctionné sans procédure contradictoire. Dans ce cadre, nous vous recommandons d’exiger le maintien de votre salaire en attendant que la situation se résolve. Une suspension conservatoire avec maintien du salaire n’est en effet pas une sanction… et ne suppose pas de principe du contradictoire. 




Preuves que le pass sanitaire et les vaccins COVID étaient prévu depuis 2019. Attali en parlait même en…1979 !

[Source : Divulgation.fr]

Par Angel

Avant même que l’OMS ne parle de pandémie, en date seulement du 11 Mars 2020, nous avons découvert des documents dont la plupart ont déjà été publiés, mais visiblement oubliés, ou passés en catimini.

Le pass sanitaire décidé pour l’Europe le 12 septembre 2019

Lors d’un sommet avec les chefs d’États et l’OMS, il est sorti un rapport sous PDF, une feuille de route, dans lequel il est indiqué le désir de l’union européenne d’instaurer une « carte de vaccination européenne », et pour 2022, ils l’appellent carrément « passeport sanitaire ».

Lien du rapport :
https://ec.europa.eu/health/sites/default/files/vaccination/docs/2019-2022_roadmap_en.pdf

Et l’AFP et LCI se contredisent totalement pendant ce temps, quant à ce PDF de la commission européenne qui a été assez partagé à l’époque mais oublié depuis. Ils ne s’attendaient tellement pas à cette réaction des peuples, pas si dupes, qu’ils tentent de le justifier par plusieurs moyens en se prenant les pieds dans le tapis.

C’est assez drôle de les voir se perdre dans leurs mensonges et manquer de coordination.
Source :
https://www.lci.fr/sante/oui-la-commission-europeenne-reflechit-a-un-passeport-vaccinal-et-cela-fait-plusieurs-annees-2175528.html

Mais attendez, vous n’êtes pas au bout de vos surprises. Le journal « Le Monde », en Décembre 2019 officialisait déjà l’instauration d’un passeport sanitaire en phase de test, en Afrique, subventionné par Bill Gates, comme par hasard.

Source :
https://www.lemonde.fr/afrique/article/2019/12/19/le-kenya-et-le-malawi-zones-test-pour-un-carnet-de-vaccination-injecte-sous-la-peau_6023461_3212.html

Et si cela ne vous suffisait pas, la firme ModernaTX, qui comme Pfizer a développé un vaccin à ARNm toujours en phase de test dont l’efficacité n’est pas prouvée tout comme la balance bénéfices/risques, et les effets secondaires très présents, a publié un document passé inaperçu concernant le développement d’un vaccin à ARN messager contre le coronavirus, 4 mois avant la déclaration de pandémie par l’OMS:

Source.
Regardez la dernière phrase :
« Vaccin à ARNm coronavirus développé par le NIAID et Moderna », page 105
Source
Daté du 12 Décembre 2019 comme marqué ci dessus, page 107

La manipulation est de plus en plus avérée dans la tête des gens, le réveil est en marche et ils ne pourrons plus berner les peuples aussi longtemps qu’ils le désirent. Ils pensaient instaurer le pass sanitaire dans une suite logique de leur plan dictatorial, mais les européens en ont décidé autrement.

Tout est résumé dans cette interview de Philippe de Villiers, à partir de la 31è minute. Il développe tout ce que l’on vient de démontrer, en allant plus loin, expliquant que la prochaine étape est le crédit social si on laisse faire.

https://youtu.be/LsntxWX9bX8

Cadeau en bonus, une internaute qui filme en direct des affiches parlant du pass sanitaire placardées dans les rues, avec comme date d’impression…Janvier 2020. Soi disant une faute de frappe, selon la réponse du premier ministre. Ça fait beaucoup tout de même non ?

https://twitter.com/GaumontRene/status/1422891981320097800

Attali en 1979 évoquait le pass sanitaire pour aujourd’hui

Édifiant, tout simplement.



Quand tout ce paragraphe mortifère & liberticide de l’histoire de l’humanité sera fini, ne revenons pas à 2018. Bâtissons ensemble un système alternatif, respectueux et durable, car si nous revenons à la matrice, ils voudrons toujours et encore nous asservir.

Victoire de la lumière.




Pass sanitaire et vaccination obligatoire : la stratégie diabolique de Macron

[Source : E&R via ZEjournal]

C’est un fait que les vaccinés – simple, double ou triple (avec le « rappel » Bourla) – se sont fait avoir : ils pensaient être libres après leur injection, ils sont ferrés dans un lieu sinistre qui se referme derrière eux. Maintenant, il faut un pass pour avoir une vie prétendument normale, alors que tout est anormal avec un passeport intérieur, qui en outre flique le citoyen du matin au soir. Le premier pas vers l’acceptation de la non-liberté a été fait, le retour en arrière sera beaucoup plus dur. Heureusement, grâce aux non-vaccinés et aux anti-pass, il reste un espoir. Les citoyens encore libres attendent donc la dégradation de la situation pour que les prisonniers réalisent leur erreur, et tendent la main aux hommes libres. Cela viendra.

En attendant, une nouvelle, ou plutôt une fuite organisée a retenu notre attention, et elle révèle bien des choses sur la stratégie de ce président maléfique. Si l’on considère que Macron est un simple président de la République, un petit banquier de chez Rothschild, forcément néolibéral, progressiste et malin, on ne peut pas tout comprendre à la situation actuelle.

Si l’on ajoute qu’il se prend pour l’antéchrist, pour le fils du Diable, alors les choses deviennent plus claires. Ce n’est pas de gaieté de cœur qu’on utilise les termes du registre diabolique pour qualifier Macron et sa stratégie, c’est parce que les points de concordance sont multiples : le tableau de l’Élysée, la Bête de l’événement, le séparatisme forcené (la joie sadique d’être le Grand Diviseur), la destruction de Notre-Dame, les prêtres assassinés… Là on n’est plus dans un film de série B, mais bien dans le réel, un réel dont la structure cachée affleure.

[Voir aussi : Le pass sanitaire bientôt retiré selon Martin Blachier?]

Ceci étant dit, passons à la « fuite » du château du prince des ténèbres françaises, puisque les Français vivent actuellement dans des ténèbres, organisées par celui qui éteint une à une toutes les lumières.

Donc Blachier, que l’on a surnommé la girouette du palais, et qui aurait l’oreille du Petit Dictateur, diffuse la rumeur selon laquelle le pass serait bientôt retiré. Le pass, c’est tout simplement l’outil de coercition pour les résistants à l’ordre macronien, ou au Nouvel Ordre mondial, celui des mondialistes ennemis de l’humanité. Ils l’ont prouvé à maintes reprises, même s’ils cachent leur projet diabolique derrière un humanisme qui n’est que de mots.

Alors pourquoi envoyer Blachier annoncer très officieusement que le pass va disparaître ? D’abord pour faire baisser la tension dans la rue, qui ne fait qu’enfler, chaque samedi, malgré les scores de mobilisation grotesques annoncés par l’Intérieur, et repris servilement, sans aucun travail de vérification, par les médias mainstream. On sait qu’ils n’ont pas le choix : ils sont soit en faillite, soit en chute libre.

Mais l’astuce du fils du Diable va plus loin : en jouant avec le chaud et le froid, au Blachier et au Véran, il entretient la confusion dans l’esprit des Français, qui sont totalement désorientés. Or, l’objectif est justement la désorientation, pour emmener le troupeau à l’abattoir. La désorientation de l’ennemi est un élément important de victoire dans une guerre, et Macron, la recrue des mondialistes, a lancé une guerre contre le peuple de France.

Mais pourquoi les mondialistes en veulent autant à la France ? Digression.

Les mondialistes veulent, pour être le seul modèle, la seule possibilité, que la France, ce pays des arts, de la culture, de l’amour et des libertés, ne soit plus un modèle pour le monde entier. En clair, qu’elle soit détestée. C’est pourquoi les Attaliens nous infligent et nous injectent des gens qui ont été élevés dans la haine de notre pays. Ils veulent détruire la douceur de vivre française, ce modèle qui ne cadre pas avec la dette, le mensonge, le mercantilisme et le Diable. Ils veulent que l’humanité déteste la France, que le modèle mercantile évince le modèle épicurien pour devenir le seul sur le marché, et que le Marché domine tout. Que le désintéressement et les relations gratuites soient éradiquées, que la famille explose, que le couple disparaisse, que l’Amour s’efface devant la Consommation.

Ils s’en prennent, grâce à leur infiltré au poste de président, à l’âme de notre nation, à notre esprit de résistance (pléonasme), et tous les vices sont utilisés dans ce but ignoble. Aujourd’hui, par exemple, pour détruire le moral des parents, ils veulent vacciner les enfants, jusqu’aux bébés ! Une presse indigne prête ses pages à ce projet littéralement maléfique :

« Dans une interview donnée à Nice Matin Philippe Babe, chef du service adjoint des urgences pédiatriques de l’hôpital Lenval de Nice, s’inquiète de la croissance du nombre d’hospitalisations de nourrissons.
Dix bébés de moins de trois mois ont été hospitalisés en deux semaines, phénomène qui n’était pas du tout observé pendant les vagues précédents. Les nourrissons souffrent de fièvre et présentent des symptômes fébriles et ont en commun d’avoir un des parents, parfois les deux qui sont positifs au Covid-19 et la plupart du temps non-vaccinés, explique le médecin dans les colonnes du quotidien régional ». (20 Minutes)

La carotte, et le bâton, c’est la sempiternelle stratégie des dominants. La carotte, c’est Blachier, le bâton, c’est Véran, ou Attal, au choix.

Voici d’abord le fil Twitter de Véran sur la Martinique, en date du 12 août 2021, à 9h17 PM (21h17). Accrochez-vous bien, et ne manquez pas la pointe finale, qui n’est pas de Véran…

« Je viens en Martinique pour dire les choses. La vague de covid qui frappe les Antilles est la conséquence d’une vaccination trop faible. Elle fait des milliers de malades, des dizaines de morts par jour et met en tension le système sanitaire. Mes pensées vont vers les familles.

Pour faire face, des centaines de médecins et soignants ont pris un vol avant-hier depuis Paris pour sauver des vies après mon appel à la mobilisation. Je leur dis mon admiration et ma reconnaissance. Nous organisons déjà les prochains renforts depuis la métropole.

Pour faire face, nous renforçons les hôpitaux Antillais en oxygène, en traitements de pointe comme les anticorps monoclonaux, en matériels de protection, en lits d’hôpitaux. Nous organisons des évacuations sanitaires vers la métropole.

La situation sanitaire, je le dis et pèse mes mots, est sans commune mesure avec ce que j’ai pu voir jusqu’ici. La virulence des variants, la puissance de l’épidémie, les jeunes patients sont une réalité que chacun doit regarder en face. Avec courage, sang froid et détermination.

Je le dis, sans provocation, mais avec ma conviction de médecin, et de ministre. Le retard pris par la vaccination ne peut plus durer. C’est une affaire trop grave pour que nous ne réussissions pas à protéger au plus vite la population.

Il y a ici des vaccins pour tout le monde, les mêmes qu’en métropole et que dans la plupart des pays occidentaux. Efficaces, sûrs, ils sauvent des vies partout, en quantité.

85 % des médecins de l’hôpital de Fort-de-France sont vaccinés. Faites leur confiance, plutôt qu’à ceux qui sèment la peur et la discorde en espérant y récolter un peu de célébrité ou de pouvoir. Le konseye pa le peye.

L’hôpital est rempli de malades qui avaient peur du vaccin au lieu d’avoir peur du virus. C’est insupportable, parce que c’est évitable. Nous ne baisserons jamais les bras, nous tiendrons, ensemble. Kimbé rèd ! »

Doc / Prof. Laurent Thines @LaurentThines

•Bon Olivier – OK, tu as en partie raison… Mais pour l’autre partie, tu te fous un peu du monde…non ? Tu as vu la gueule du système sanitaire aux Antilles, bon sang ?

Et pendant que Véran joue de la psychose (un pipeau) en Martinique, Attal en joue en métropole.

Attal nous menace d’un nouveau confinement, parce que nous ne serions pas assez vaccinés (alors que le virus se fout objectivement du vaccin) :

« C’est un motif d’espoir quand même sur le fait qu’on n’ait pas à reprendre des mesures comme celles malheureusement qu’on prend aux Antilles pasque la vaccination n’est pas au rendez-vous. Maintenant je peux pas l’exclure par principe, mais plus on continuera à se faire vacciner, plus les Français iront se faire vacciner, plus on mettra derrière nous le risque d’avoir à reprendre des mesures très dures de confinement ».

https://www.youtube.com/embed/Jh2hYCqGZPM

Le message, ou plutôt les messages, sont clairs : la rue est en train de monter une barricade contre les délires du Petit Dictateur, qui tente de faire baisser la tension avec la fuite d’une fausse promesse d’assouplissement sur l’Ausweis. De l’autre côté, via le porte-parole de Pfizer – le stagiaire Attal –, le pouvoir maintient la pression et formule un nouveau chantage au confinement, qui serait la faute des non-vaccinés, histoire de bien fracturer le pays entre vax et antivax.

La dernière pierre de cette stratégie scélérate est apportée par France Inter, qui ne trouve rien à redire à la vaccination des enfants :

« Il y a fort à parier que le sujet de la vaccination des moins de 12 ans va se poser à la rentrée prochaine. Avec la grande contagiosité du variant delta, le retour à l’école pose question, et les autorités, comme les médecins y réfléchissent ».

Il faut oser, en trois lignes, balancer autant de désinformation, et de désinformation dangereuse. Le sujet ne va pas « se poser » tout seul, comme par enchantement, c’est le pouvoir politique qui le pose, et l’impose.
La « contagiosité du variant delta » n’a rien à voir avec une dangerosité, et ce n’est pas parce que la Martinique a un système hospitalier défaillant (par volonté politique centrale) qu’il faut imaginer un tsunami de morts.
Enfin, on aimerait que les parents soient associés à la fameuse réflexion entre les « autorités », qui n’en ont plus beaucoup, et les « médecins », qui se prêtent à cette politique immonde. Nous qui pensions que les médecins étaient faits pour soigner… Heureusement, il en reste !

Pour bien comprendre ce qu’est la désinformation à la sauce France Inter, voici le premier paragraphe de sa propagande nauséabonde, sachant qu’en période de fortes chaleurs, et donc de pollution atmosphérique dans les villes, les bébés, comme les octogénaires, ont toujours souffert :

« Un virus plus contagieux, c’est un virus plus contagieux pour tout le monde, et donc aussi pour les enfants, et même les nouveau-nés. On l’a vu la semaine dernière avec cette alerte lancée par l’hôpital pédiatrique Lenval à Nice : une dizaine de bébés de moins d’un mois ont été hospitalisés ces derniers jours, dans un contexte de forte incidence épidémique (taux d’incidence supérieur à 600) pour cause de covid. Ils avaient de la fièvre (autour de 39°) et des problèmes gastriques. Rien de gravissime mais leur très jeune âge a justifié une hospitalisation de quelques jours. Leurs parents n’étaient pas vaccinés ».




Ayant autopsié plus de 40 personnes mortes dans les 15 jours suivant la vaccination anti-Covid, le Dr Schirmacher trouve qu’un décès sur trois serait dû au vaccin

[Source : PLANETES360]

Le Dr Schirmacher a autopsié plus de 40 personnes mortes dans les 15 jours suivant la vaccination. À son avis, c’est bien le vaccin qui a provoqué le décès de 30 à 40 % d’entre elles : pour lui, les suites fatales de la vaccination sont sous-estimées.

Voir aussi :
Des morts vaccinés non-déclarés ? Il faut autopsier davantage, selon le Dr Peter Schirmacher (francesoir.fr)




Le Dr Astrid Stuckelberger confirme que les vaccins anti-covid et le test PCR sont en réalité les causes de la maladie Covid, au moins sous forme de variants, à cause notamment du graphène qu’ils contiennent

[Source : soleilverseau.com extraite de LA UNE TV – édition spéciale 14/08/2021]

[Ndlr : d’autres causes sont possibles et envisageables, puisque notamment la Covid-19 couvre notamment les symptômes de la grippe. La protéine Spike présente dans les vaccins procure aussi certains des symptômes de cette « maladie ».]

Petit extrait vidéo de la deuxième partie santé de l’émission du 14 Août 2021, de la nouvelle chaîne d’information ALTERNATIVE Française LA UNE TV (launetv.com), présentée par Richard BOUTRY. Écoutons le Dr Astrid Stuckelberger. Ses propos à propos du vaccin et du test PCR font froid dans le dos ! L’humanité est en danger.

Durée : 8 min



[Voir aussi, sur le graphène :
Dr Astrid Stuckelberger, le faux vaccin et l’oxyde de graphène
L’oxyde de graphène présent dans tous les vaccins fait des vaccinés des bombes à retardement ambulantes
Le graphène, outil de surveillance de la santé, se trouve dans les masques, écouvillons, et… les vaccins. Conséquences potentiellement désastreuses sur la santé humaine
Une ancienne employée de Pfizer confirme la présence d’oxyde de graphène dans les vaccins Covid
Technologie de “neuromodulation” à base de graphène : des biocircuits contrôlent le cerveau à l’aide de graphène piloté par l’IA
Graphène et 5G
Le graphène, outil de surveillance de la santé, se trouve dans les masques, écouvillons, et… les vaccins. Conséquences potentiellement désastreuses sur la santé humaine

sur le magnétisme dans les vaccins anti-Covid :
Vaccins covid aimantés, l’incroyable scandale arrive
Actionner un interrupteur dans la tête
Est-ce que les vaccinés sont vraiment magnétisés ?
Magnétisme vaccinal : complément d’informations et d’hypothèses
Confirmation d’un composant magnétique dans les « vaccins » à ARNm
The Guardian, 2016 : Une protéine « Magneto » génétiquement modifiée contrôle à distance le cerveau et le comportement
Santé : des nanoparticules magnétiques dans les cellules que l’on peut commander à distance!
Dr Astrid Stuckelberger, le faux vaccin et l’oxyde de graphène

sur les nanoparticules et l’hydrogel :
Que viennent faire les nanotechnologies dans les vaccins ?
Nanoparticules d’hydrogel et nanocomposites pour l’administration nasale de médicaments / vaccins
L’opération Coronavirus travaille main dans la main avec l’Agenda des nanotechnologies
Que pourraient-ils mettre dans le vaccin COVID?

sur le non isolement du SRAS-CoV-2 et des virus :
Déconstruction de l’arnaque Covid : les documents Ministère de la Santé admettent que le CDC n’a jamais isolé de « virus covid-19 » … le test PCR ne détecte que le BRUIT des instruments
Virus fantôme : à la recherche du SARS-CoV-2
Virus Mania : Comment Big Pharma et les médias inventent les épidémies
Comment l’analyse du génome crée des virus fictifs
87 institutions sanitaires/scientifiques du monde entier n’ont pas réussi à citer un seul cas d’isolement et de purification du “SARS-COV-2”, par qui que ce soit, où que ce soit, jamais
Comment créer votre propre “nouveau virus” généré par ordinateur
Pour en finir avec les virus et le Nouvel Ordre Mondial

sur la contagion :
La contagion : quelques éléments de réponse, a contrario de la funeste doxa actuelle
Le mythe de la contagion virale — Pourquoi les virus (incluant les « coronavirus ») ne sont pas la cause des maladies
La microbiophobie ambiante est hors de contrôle ! De nouvelles perspectives sur la véritable nature des virus
Le culte de la virologie – Documentaire
Réfutation de la virologie par le Dr Stefan Lanka
La théorie des germes : Une erreur fatale
Épidémies et contagions :

Selon une nouvelle approche théorique, les phénomènes de contagion épidémique n’impliqueraient jamais de bactéries et de virus naturels en tant que causes initiales (mais tout au plus comme conséquences, le rôle des bactéries et virus étant notamment de décontaminer, nettoyer, purifier, éliminer des déchets, permettre l’assimilation de certaines substances…). Ils proviendraient en réalité de diverses autres causes, éventuellement combinées :
►environnement pollué (air, eau, aliments contenant notamment pesticides et additifs alimentaires, électromagnétisme, radioactivité, etc.) ;
►information microzymienne et cellulaire perturbées ;
►hygiène de vie déplorable, misère, famine, peur, détresse affective, psychosomatique (somatisation du mal mental matérialisée en mal physique) ;
►modification des paramètres bioélectroniques ;
►influences cosmo-telluriques, électromagnétiques, saisonnières, cycliques ;
►causes iatrogènes, vaccins (avec notamment les adjuvants),
►etc.
Concernant les causes électromagnétiques (notamment le Wi-Fi, le Bluetooth, la 3G, la 4G, la 4G+ et la 5G), électriques (par les champs en provenance des lignes électriques, spécialement à haute tension) et magnétiques (par les conducteurs électriques dès qu’ils sont parcourus par des courants), il est utile de se rappeler que le corps humain — comme l’a mentionné Astrid Stuckelberger dans la vidéo — est électrique, parcouru en permanence par de minuscules courants (dans les influx nerveux, dans les mitochondries lors de la production d’ATP à partir du glucose, etc.), et magnétique, et qu’il suffit de très faibles valeurs de champs électriques ou magnétiques ou d’intensité d’ondes électromagnétiques pour perturber plus ou moins gravement ces délicats processus.

sur la protéine spike :
Appel aux autorités sanitaires et politiques à reconsidérer la vaccination de masse au vu des observations scientifiques récentes sur le SARS-CoV-2 et la protéine Spike
Dr Antoine Achram : traitement préventif covid, et antidote contre la molécule Spike produite par les vaccinés
“La protéine Spike est elle-même toxique et dangereuse pour l’homme” déclare le Pr Bridle

sur l’inefficacité des “vaccins” anti-covid :
L’obligation vaccinale : sans aucune logique médicale !
“Vaccins” anti-covid : témoignage d’une pédiatre texane devant le Sénat US
Les décès et effets indésirables liés aux vaccins anti-COVID sont secrètement dissimulé

sur la vaccination :
Citations médicales sur les vaccinations
Anthrax, Arsenic, Pasteur et ses moutons
Dossier Vaccins

sur l’écouvillon du test PCR :
Oui les écouvillons nasaux sont dangereux !
Les écouvillons du test PCR pourraient contenir des « microdispositifs en forme d’étoile » délivrant un vaccin
Test PCR et écouvillons : attention si vous prenez des anti-coagulants!
Ce que cache le test PCR ?

sur la fraude des tests PCR :
Précisions scientifiques sur l’arnaque du test PCR
Les implications capitales de la jurisprudence portugaise concernant les tests PCR
Union Européenne — TESTS PCR ET AFFAIRE COVID : UN SCANDALE INTERNATIONAL
Tests PCR condamnés en justice, mais toujours imposés à répétition aux hospitalisés et aux soignants !
Des experts internationaux suggèrent que jusqu’à 90 % des cas canadiens de COVID pourraient être des faux positifs

sur le dépeuplement possible :
Le dépeuplement et le vaccin à ARNm
Dépeuplement ? Les docteurs Wodarg et Yeadon demandent l’ARRÊT immédiat de toutes les études vaccinales anti-Covid-19 qu’ils considèrent dangereuses
L’ancien vice-président de Pfizer, Dr Michael Yeadon estime que les vaccins à ARNm COVID causeront des réactions indésirables graves
Les médias alternatifs sont-ils des oiseaux de mauvais augure ? Les vaccinés contre la Covid-19 seraient-ils prédisposés à mourir dans les mois suivants ?
Comment les « vaccins » Covid-19 pourraient détruire la vie de millions de personnes
Si le vaccin anti-Covid n’empêche pas l’infection, l’hospitalisation ou la mort, à quoi sert-il ?
L’oxyde de graphène présent dans tous les vaccins fait des vaccinés des bombes à retardement ambulantes
Combien de temps les vaccinés doivent-ils vivre ?]




Quand le Dr Tess Lawrie en appelle au sursaut de tous les médecins du monde

[Source : AIMSIB]

par Nicolas Moreux

Son message résonne comme celui d’une résistante qui a décidé le 25 avril 2021 que la tyrannie galopante, imposée par l’industrie pharmaceutique et soutenue par tout un système, a assez duré.  Que d’émotion, de colère, de tristesse mais aussi d’espoir, en voici la traduction française. L’AIMSIB accueille officiellement Nicolas Moreux, passionné par l’éthique et curieux de ce qui se fait dans le monde y compris chez l’Oncle Sam, au sein de ses rédacteurs. Médecins de tous les pays, chercheurs, journalistes généralistes ou spécialisés, politiciens, membres d’organisations de santé locales et internationales, salariés de l’industrie pharmaceutique et des réseaux sociaux, avocats et juristes, citoyens : le moment d’agir arrive. Cet article arrive pile à l’heure pour réjouir le Dr Antony Fauci puisque l’ivermectine répond parfaitement au cahier des charges qu’il détaillait le 5 août… Bonne lecture.

L’appel de Tess Lawrie

Quelques réflexions sur l’Evidence Based Medicine – EBM

Traduit de l’anglais par NM

« Avant que nous ne terminions cette journée, je souhaitais partager avec vous quelques réflexions sur l’Ivermectine et l’état de la situation concernant l’Evidence Based Medicine.
En tant que scientifique dont la mission était de fournir les preuves basées sur les principes de l’Evidence Based Medicine, j’ai constaté que l’approche hiérarchique, avec les revues systématiques et les méta-analyses positionnées au sommet de la pyramide et les opinions d’experts et de scientifiques tout en bas n’est plus appropriée. Cela est dû en partie au fait que l’intégrité des revues systématiques et des méta-analyses ont été dégradées petit à petit par les exigences associées aux essais randomisés considérés comme l’étalon or [les présumés « Gold-Standard » qui seraient les seuls valides] des études cliniques.

Ces fameux Grands Essais Cliniques Randomisés en Double Aveugle favorisent l’industrie pharmaceutique. Ils sont devenus si consommateurs en ressources que la production d’un dossier de 70 pages intégrant protocole et synthèse de la recherche requiert des mois de travail d’experts capables de passer toutes les subtilités indispensables en termes de processus et de d’habilitations. Sans compter que chaque essai coûte plusieurs millions de dollars ([souvent plus de 20 millions de dollars]). Toutes ces subtilités dans les éléments attendus jouent le jeu de l’industrie pharmaceutique qui est la seule qui peut financer de telles études.

Les Grands Essais Cliniques pour les médicaments génériques et les traitements non pharmaceutiques qui mériteraient d’être évalués pour un grand nombre de conditions virales et de traitements contre certains cancers sont très rares. En effet, pour être transparent, il n’y a pas d’argent à gagner sur ces derniers et il n’y a pas de financement disponible.

Dans mon expérience de chercheuse sur les nouveaux traitements contre le cancer, il est très fréquent que les découvertes réalisées dans les premières études montrant des bénéfices et ayant conduit à l’Approbation de Mise sur le Marché (AMM) soient contredits par des études complémentaires montrant qu’il n’y a en fait aucun bénéfice.

Cependant, à ce moment-là le médicament dispose déjà de son AMM et la société pharmaceutique a déjà engrangé des milliards.

Pour cette raison, je mets en garde contre le fait de prendre pour argent comptant sans remise en question les données fournies par les sociétés proposant ces nouveaux traitements. Et je suggère très fortement qu’il y ait une évaluation indépendante de ces données.

Cette évaluation ne doit pas être faite par des chercheurs financés avec des moyens quasi-illimités – financements et bourses – de l’industrie pharmaceutique et leurs acolytes parmi les associations financées par des philanthropes ou d’autres formes d’organisations caritatives. Les chercheurs en charge de ces évaluations doivent être indépendants et sans conflits d’intérêts.

Il est temps que nous reconnaissions et questionnions le rôle de l’industrie pharmaceutique et des institutions qui étaient par le passé reconnues pour leur intégrité scientifique, tout comme le rôle des soit-disant Partenariats Public Privé avec ces organisations.

Ils ont facilité la corruption de la science et de notre profession. Ceux qui définissent les protocoles des essais et contrôlent les données contrôlent aussi les résultats. Ainsi, ce système et le rôle de l’industrie – les essais cliniques conduits par l’industrie – doit prendre fin.

Les données des études en cours et futures concernant les traitements du COVID doivent être traitées et analysées de manière indépendante. On ne peut se fier à aucun résultat qui ne serait pas complètement transparent.

Pour ce qui concerne la pyramide de l’Evidence Based Medicine, il est nécessaire de mettre en place une nouvelle approche, une approche intégrée qui remplacera l’approche actuelle hiérarchique.

La pyramide doit, à mon avis, être remplacée par une figure plus appropriée : le cercle. Au centre l’intégralité des données disponibles issues de différentes sources : méta-analyse et analyse systématique des études randomisées représenteraient certaines des sources tout comme les études observationnelles, les données pragmatiques recueillies sur le terrain, les données qualitatives relatant les points de vue et expériences tout comme les opinions des docteurs experts. Ainsi, les décisions cliniques pourraient être prises sur une base bien plus holistique.

Toutes ces données différentes sont critiques pour obtenir une vue d’ensemble et leur intégration a été complètement oubliée dans l’évaluation de toutes les interventions proposées au public au cours de l’année passée. Au lieu de cela, les autorités ont pris ça et là dans la science et identifié des scientifiques pour appuyer leurs processus de décisions. »

Tess Lawrie continue, dans la foulée, sur l’exemple de l’ivermectine

« L’histoire de l’ivermectine a mis en évidence le fait que nous sommes à un point de bascule de l’histoire médicale où la preuve scientifique rigoureuse, notre formation et notre expérience, les outils que nous utilisons pour soigner et nos connexions avec nos patients sont systématiquement discrédités par une désinformation constante et sans pitié alimentée par la cupidité de certaines sociétés.

L’histoire de l’ivermectine montre que nous, le peuple, nous avons eu tort d’avoir une confiance aveugle dans nos institutions et avons sous-estimé le niveau de corruption imposé par l’argent et le pouvoir.

Il semblerait que si nous avions utilisé l’ivermectine en 2020, quand nos collègues médecins à travers le monde ont d’abord alerté les autorités de son efficacité, des millions de vies auraient potentiellement pu être épargnées et cette pandémie avec toutes ses souffrances et dégâts collatéraux aurait été freinée plus rapidement.

Depuis, des centaines de millions de personnes ont été impliquées dans la plus grande expérience médicale jamais réalisée par l’industrie : vaccination de masse avec une thérapie nouvelle et non éprouvée. Des centaines de milliards seront empochés par l’industrie pharmaceutique payés par nous le peuple.

Avec les politiciens et les autres non-médecins qui nous dictent quoi prescrire aux malades, nous, médecins, avons été mis dans une situation telle que notre capacité à respecter notre serment d’Hippocrate est assiégée. A ce point de bascule, nous devons donc choisir si nous devons rester les otages d’organisations corrompues, d’autorités de santé, de l’industrie pharmaceutique tout comme de ces milliardaires sociopathes. Ou bien réussirons nous à tenir notre engagement moral de commencer par ne pas nuire en faisant toujours le mieux pour ceux qui nous confient leur santé.

Cette deuxième option nécessite que nous contactions de manière absolument urgente tous nos collègues à travers le monde pour décider quels sont les médicaments éprouvés et sûrs de la pharmacopée qui peuvent être utilisés contre le COVID en tenant des forums comme celui-ci, libre de tout conflit d’intérêt, et en nous organisant tous ensemble pour résister à la tyrannie médicale qui nous a été imposée tout comme au public depuis un an.

Pour cela, je suggère que nous formions une nouvelle Organisation Mondiale de la Santé, une Organisation de Santé qui représente l’intérêt et la santé du peuple non ceux des entreprises et des milliardaires. Une organisation centrée sur l’optimisation de la santé des humains et de leur potentiel et non sur la contraception et le contrôle de la population. Une organisation centrée sur l’humain.

Et notre rôle de médecin n’a jamais été aussi important parce que jamais par le passé nous n’avons été complices d’engendrer autant de souffrances. J’appelle tous les médecins ici, à regarder leur cœur et à se rappeler leur serment pour que nous puissions avancer unis et avec le plus grand courage pour protéger ceux que nous soignons.

– Merci »

(1 – document en anglais traduit ci-dessus in extenso par NM)

« Qui est Tess Lawrie ? » me direz-vous…

Si ce message se passe de commentaires, vous retrouverez ci-dessous quelques éléments précisant qui est Tess Lawrie et qui vous permettront de mieux comprendre sa démarche, de suivre ses conférences et interventions. Mais Tess Lawrie n’est pas seule. Elle est désormais très investie dans BIRD (British Ivermectin Recommandation Deployment) (2) et est une intervenante régulière des réunions du FLCCC (Front Line Covid19 Critical Care) (3) dont vous trouverez les activités ci-dessous. Vous trouverez aussi des liens additionnels, des références pour aller plus loin sur les problématiques de la corruption systémique.

Et bien, le mieux est de jeter un œil à son parcours, ses interviews récentes et ses publications :

Titulaire d’un doctorat en médecine, Tess Lawrie a grandi, étudié la médecine et a obtenu son doctorat en Afrique du Sud, où elle a pratiqué la médecine clinique et la chirurgie. Elle est fondatrice et directrice de la société Evidence Based Medical Consultancy (E-Bmc) à Bath, au Royaume-Uni (4). Cette société indépendante travaille au niveau mondial (OMS) et national (NHS au Royaume Uni) pour les assister dans les différentes tâches associées aux études cliniques.

Vous découvrirez particulièrement ses positions et publications via :

  • Son message vidéo accompagnant la lettre ouverte au Premier Ministre du Royaume Uni, Boris Johnson dans lequel elle demande que l’ivermectine puisse être utilisée. (5 – document en anglais, non traduit)
  • Les interviews réalisées récemment pour
    • Réinfo-Covid (6) cette référence semble censurée,
    • France Soir (7 – interview traduite en français),
  • Bret Weinstein dans Dark Horse Podcast dans laquelle elle détaille la méta-analyse qui vient d’être publiée sur l’ivermectine en prophylaxie et en traitement. Elle s’y indigne aussi de la différence de traitement scientifique, médiatique et politique entre les vaccins contre le COVID et l’ivermectine. Vous retrouverez en particulier (min 18 de l’interview) le moment où elle reprend en direct la méta-analyse est fait la simulation d’exclure l’étude égyptienne controversée… et montre que même en excluant cette étude les résultats de la méta-analyse restent très robustes en faveur de l’utilisation de l’ivermectine (8 – interview en anglais)
  • et ses apparitions régulières dans les réunions hebdomadaires du FLCCC (Front Line Covid19 Critical Care) (9 – conférences en anglais, non traduites).
  • Sa lettre ouverte à la présidente du Medicines and Healthcare Products Regulatory Agency, dans laquelle elle demande l’arrêt de la vaccination au Royaume Uni et la mise en place de mesures sanitaires pour soutenir les personnes vaccinées présentant des Effets Indésirables Graves (10 – lettre en anglais).
  • Et bien entendu, sa contribution majeure à la méta-analyse sur l’ivermectine publiée très récemment (11 – traduite en français)
  • Vous pouvez bien sûr suivre l’actualité de la communauté de BIRD (British Ivermectin Recommandation Deployment) (2) et tout particulièrement l’intégralité des vidéos des séminaires en accès gratuit (12 – conférences en anglais). La diversité des intervenants (médecins cliniciens, chercheurs, analystes de données) donne un éclairage sur chaque aspect de la science qui est passé sous silence par la majeure partie des autres médias et de la communauté scientifique.

Pour rappel ou précision pour les plus informés, le samedi 24 juillet était la journée de l’ivermecine. En avez-vous entendu parler ?

« Scoop : Olivier Véran pense que l’ivermectine peut avoir un effet »

Gérard Maudrux, dans son post du 23 juillet 2021, nous fait une synthèse des derniers rebondissements concernant l’ivermectine en France (13).

« Olivier Véran pense que l’ivermectine a une présomption d’efficacité, mais il ne peut le dire. En tous cas, il refuse de dire le contraire.

En mai 2021, 1500 médecins ont fait un recours gracieux auprès du ministre de la Santé, conformément à l’article L.5322-2 du Code de la Santé Publique, pour faire réétudier la décision de l’ANSM, concernant le refus d’une RTU pour l’ivermectine.

Dans ce recours, une question simple et directe était posée au ministre, mais aussi au médecin, interpellé par ses confrères :

« En votre âme et conscience, pensez-vous honnêtement et sincèrement qu’il n’y a aucune présomption d’efficacité comme le prétend l’ANSM ?  Nous souhaitons une réponse claire à cette question. »

Le Ministre a « botté en touche », ce qui est clairement un aveu : il a refusé d’écrire au-dessus de sa signature qu’il n’y avait pas de présomption d’efficacité de l’ivermectine. S’il le pensait, il lui aurait été très facile de nous envoyer promener, s’appuyant sur les conclusions de ses services, ce qu’il n’a pas fait. Face à l’évidence des faits, il ne pouvait le faire. En ne reprenant pas à son compte ce refus, ses motifs, c’est aussi quelque part clairement un désaveu de la position de l’ANSM, que nous critiquons et qu’il n’a pas repris. »

Pour rappel, le « recours gracieux » vaut, à lui seul, une lecture détaillée des références utilisées par l’ANSM au regard des études disponibles. (14)

Mais, y-a-t-il des exemples de manque de transparence en lien avec l’ivermectine ?

Vous avez découvert le FLCCC (Front Line Covid19 Critical Care) (3). Parmi les docteurs les plus impliqués dans cette organisation, notons particulièrement les docteurs Paul Marick (le chercheur que l’on voit peu) (15), Pierre Kory (le « diplomate », comme on dirait chez Reinfo-Covid, et qui est venu soutenir la cause de l’ivermectine au Sénat Américain) (16) et Joseph Varon (le « Chasseur de Covid » – « Covid Hunter ») (17).

Le rôle des médias mainstream

Le cas de Joseph Varon est passionnant, il a été interviewé par toutes les chaines américaines locales et nationales de tous les bords politiques (CNN, MSSBC, Fox News,…) mais aussi mondiales : l’avantage avec ce médecin est qu’il parle 9 langues. Il tient son surnom de « Chasseur de Covid » du fait qu’il a travaillé sans relâche 407 jours consécutifs dans son hôpital United Memorial Medical Center de Houston Texas donnant à la date de l’interview qu’il donne ici à Ivory Hecker (18 – en anglais) 1 640 interviews à travers le monde, ayant traité 1 293 patients hospitalisés dont seulement 86 sont décédés soit une mortalité de 6,7%. A chaque interview, il a pu détailler les protocoles pour les patients hospitalisés – MATH+ (19) et en traitement préventif (prophylaxie) – I-MASK (20) (intégrant entre autres l’Ivermectine) développés au sein du groupe du FLCCC qu’il a implémentés et contribué à faire évoluer au fur et à mesure de l’évolution de ses connaissances liées au COVID.

Et pourtant, jamais aucune référence n’a été faite au sujet de ces protocoles dans les 1 640 reportages à l’issue du montage et des coupures éditoriales. Etonnant donc d’encenser un médecin, de le présenter comme un héros sans jamais oser donner la recette de ses résultats : son implication sans relâche bien sûr mais aussi les protocoles de traitement et de prévention.

Ivory Hecker, journaliste de Fox News, a quitté ses fonctions après avoir expliqué comment elle a été « interdite de parole » sur le sujet de l’ivermectine en particulier dans cette courte vidéo (18 – en anglais). La qualité du son est parfois dégradée mais l’interview et les vidéos complémentaires d’Ivory Hecker sont nécessaires car elle fait partie des rares journalistes qui ont osé s’insurger contre l’omerta imposée par les rédactions mondiales. Elle a osé privilégier l’information des citoyens quitte à abandonner le salaire et la situation qui étaient les siens au sein de sa rédaction.

Et en France, quels sont les journaux Mainstream qui sortent de la doxa dont parle Laurent Muchielli (21 – en français) pour donner un éclairage différent ? Combien de « Fact checkers » nous ont ouvert les yeux sur l’origine du Covid avant que Brice Perrier dans son livre « Aux origines du mal » (22) n’apporte des éléments tangibles montrant que le virus se serait peut-être échappé d’un laboratoire ?

Et bien ce sont les mêmes qui, inlassablement, vont apporter les preuves que l’ivermectine n’est pas le remède que l’on veut croire. Une simple revue de presse de la situation en Inde, de son évolution et de la situation actuelle, comparée à l’analyse des données faite par Juan Chamier (23 – en anglais) dans son article de TrialSite News (24 – traduite en français) nous éclaire sur le biais de conformité de la majeure partie des médias.

Pour ce qui est de la France, il est intéressant de voir que les journaux réputés d’opposition, ceux qui sont restés vent debout quand il s’agissait de religion, de terrorisme, ces mêmes journaux sont cruellement absents aujourd’hui. Heureusement quelques aiguillons tentent de réveiller les journalistes par trop apathiques. C’est dur d’être vacciné par des cons… (25) En référence à la Une de Charlie Hebdo du 28 juillet 2021 titrant « Hitler débordé par les antivax » et figurant Hitler à la plage dans une bouée licorne et disant « C’est dur d’être cité par des cons ! ». Lettre à Charlie à propos de sa fascination vaccinale et de ses positions réductionnistes vis à vis des opposants au sésame sanitaire par Jean-Paul Bourdineaud • 29 juillet 2021

Notons, pour la France toujours, que le Club de Mediapart s’est illustré il y a deux semaines en décidant de supprimer le dernier billet de blog de Laurent Muchielli publié au sujet de la pharmaco-vigilance des vaccins COVID et dans lequel l’auteur s’appuyait exclusivement sur les données officielles de pharmaco-vigilance européenne. Le CNRS, au sein duquel travaille le sociologue, a lui aussi pris ses distances avec Laurent Mucchielli à la suite de la publication de ce billet polémique précisant que l’auteur s’exprimait à titre personnel et non en sa qualité de chercheur au CNRS. Cette histoire fait d’ailleurs échos à ce qui est arrivé à notre ami Amine Umlil (fondateur et CTIAP au sein de l’hôpital de Cholet où il est le responsable de la pharmaco-vigilance (26) avec le directeur de l’hôpital de Cholet.

La censure rencontrée dans les médias mainstream se propage ainsi même sur des médias qui permettaient jusqu’à récemment de proposer des points de vue divergents de la pensée monolithique.

Vous retrouverez ici la synthèse de cet article diffusé lors du Conseil Scientifique Indépendant (27), les raisons officielles proposées par la direction de Médiapart (28) ainsi que la réponse de Laurent Muchielli et l’article de Laurent Muchielli republié sur France Soir (29).

Saluons, en tout cas, ceux qui ouvrent la voie et jouent leur rôle d’informer les citoyens.

Le rôle des politiques

Pierre Kory est intervenu devant le Sénat américain le 8 décembre 2020 (30 – interview en anglais) pour faire état des connaissances et pratiques en matière de repositionnement de médicaments et en particulier de l’ivermectine en prévention et en traitement. Après son intervention, et depuis 9 mois désormais, peu de politiciens des Etats Unis ou d’Europe de l’ouest ont soutenu sa démarche. Peu ont contribué à faire connaître et appliquer les traitements précoces et la prévention recommandée.

Il faut aller chercher les hommes et femmes politiques courageux et résolument engagés dans d’autres régions du monde.

Dans de nombreux cas, il aura suffit qu’une figure de proue s’empare du sujet, fasse un discours intégrant l’ivermectine pour que les réactions en chaine se produisent, que les recherches en ligne sur l’ivermectine augmentent, que les ventes d’ivermectine augmentent et que les résultats se fassent sentir dans la chute des nombres de cas, des hospitalisations puis de la baisse de la mortalité.

  • Jorge Ivan Ospina, le maire de Cali en Colombie : son annonce de début juillet 2020 a vu l’opposition du ministre de la santé, de l’organisme de santé Colombien et même du président du pays et bien entendu de l’OMS. Mais ses apparitions répétées dans les médias ont déclenché un pic des ventes d’ivermectine dans de nombreux états du pays, les cas ont atteint un plateau puis ont décliné. L’étude de Juan Chamie sur le sujet montre que la baisse de la mortalité liée au COVID est très significativement corrélée à l’utilisation de l’ivermectine (p-values très proches de 0). (23 – en anglais)
  • Olivia Lopez, la Secrétaire à la Santé pour la ville de Mexico annonce que la ville de Mexico a utilisé l’ivermectine depuis décembre 2020. Le même scénario qu’en Colombie se reproduit à l’identique (23 – en anglais).
  • Gérard Maudrux, dans son billet de blog dur 28 mai 2021 nous décrivait comment les politiciens des Etats indiens de l’Uttar Pradesh, de Uttarakhand et de Dehli ont contribué à faire reculer le Covid par leur volonté politique et malgré l’opposition de l’OMS (31 –  en français). Il est nécessaire de prendre le recul pour mieux comprendre la complexité de la situation, les différences entre Etats, les pressions des organisations de santé nationales et internationales pour aborder le sujet de l’Inde :  c’est ce qui est fait dans cet article de TrialSite News (24 – traduit en français).
  • Au Bangladesh, chercheurs, médecins et politiques, manquant de moyens ont eux aussi opté pour l’ivermectine.
  • En Europe, il faut aller chercher la Slovaquie et la République Tchèque pour trouver des politiques engagés allant à contre-courant de la seule solution vaccinale (23 – en anglais).

Le rôle des médecins

Bien entendu, chaque médecin, chacun d’entre nous a un rôle à jouer dans cette crise. Il ne faut pas attendre la venue d’un messie et de ses apôtres qui, à eux seuls apporteraient la solution. Chaque médecin, qu’il soit membre de l’AIMSIB, du Conseil Scientifique Indépendant, de Réinfocovid, du CTIAP ou de toute autre organisation, ou bien qu’il soit totalement indépendant,… chaque médecin a un rôle à jouer. Il n’est pas trop tard, chers et chères confrères soignants. Manifestez votre engagement, comme ce médecin généraliste qui prend la parole ouvertement en préambule de la manifestation de samedi 14 août 2021 à La Rochelle (32) ou comme d’autres médecins, infirmières et soignants qui, soutenus par la population et les politiques locaux, osent défier les contraintes et parler publiquement.

Médecins, ne laissons pas nos 10 confrères menacés par l’Ordre National des Médecins sans rien faire. Médecins, ne laissons pas nos patients sans traitement. Médecins, ne laissons pas quelque autorité que ce soit nous dicter ce que nous devons prescrire ou non. Soyons les gouttes d’eau qui feront déborder ce vase bien trop plein, Manifestons-nous, élevons la voix, montrons, nous-aussi, la voie à ceux qui préfèrent, pour l’instant encore, rester dans l’anonymat. Publions nos témoignages sur les réseaux sociaux, contactons les médias locaux et nationaux, mobilisons nos confrères.

Les thèmes qui auraient aussi mérité d’être détaillés ici…

Il faudrait aussi ici se poser les questions sur les rôles des scientifiques, des organisations de santé nationales et internationales et tout particulièrement du rôle central de l’Organisation Mondiale de la Santé et des revues scientifiques ce qui fera l’objet d’études complémentaires.

Docteur Fauci, une bonne nouvelle pour vous

Le Docteur Fauci (33) est, depuis 1984, directeur de l’Institut national des allergies et maladies infectieuses (NIAID), un centre de recherche du département américain de la Santé et surtout nommé à la Cellule de Crise de l’administration Trump (et prolongé dans ses fonctions sous l’administration Biden) sur le coronavirus (White House Coronavirus Task Force), jouant un rôle de premier plan tant en termes de communication sur le virus qu’en termes de stratégie et de conseil pour le combattre. Il passait un appel sous forme de cahier des charges synthétique pour une molécule permettant la prévention et le traitement précoce du Covid.

L’équipe du FLCCC s’est directement emparée du sujet répondant mot à mot à cet appel montrant point à point que l’Ivermectine est la réponse aux demandes du Docteur Fauci. La vidéo humoristique mérite de faire le tour du monde même pour les non-anglophones. (34 – vidéo en anglais)

Corruption Systémique

Vous trouverez, pour poursuivre la réflexion, trois références sur les problématiques de la corruption systémique dans le domaine de la médecine.

Peter Goetzsche « Remèdes mortels et crime organisé : Comment l’industrie pharmaceutique a corrompu les services de santé »

Peter Goetzsche faisait un état des lieux dans son livre « Remèdes mortels et crime organisé : Comment l’industrie pharmaceutique a corrompu les services de santé » de 2013.

Il y aborde, entre autres, les chapitres suivants pour ce qui concerne la corruption et convoque des experts pour mettre en lumière chacun des points :

  • Le crime organisé, modèle d’affaires des grosses compagnies pharmaceutiques
  • 4 Très peu de patients tirent avantages des médicaments qu’ils consomment
  • Les essais cliniques, la rupture du contrat social avec les patients
  • 6 Les conflits d’intérêts dans les périodiques médicaux
  • 7 L’influence corruptrice de l’argent facile
  • 8 A quoi donc s’affairent les milliers de médecins à la solde de l’industrie ?
  • 9 Vendre sous pression
  • 10 L’impuissance de la régulation des médicaments
  • 11 L’accès public aux données des agences du médicament
  • 19 Intimidation, menaces et violences pour protéger les ventes
  • 20 Démolir les mythes de l’industrie
  • 21 La faillite générale du système commande : une révolution

Jean-Dominique Michel

Jean-Dominique Michel et en particulier son intervention du 21 mai 2021 au sein de l’IHU Méditerranée Infection (35 – en français).

Jean-Dominique Michel est aussi un intervenant régulier du Conseil Scientifique indépendant où il aborde fréquement les problèmes d’étique et de corruption systémique.

Les conflits d’intérêts en médecine : le programme de l’IHU

et abordé récemment encore lors des jeudis de l’IHU (36 – en français)

Merci à tous ceux qui seront arrivés jusque là. Rappelez-vous que désormais, c’est vous qui avez un devoir moral. Celui de vous engager concrètement ici et maintenant, celui d’agir, celui de témoigner, celui d’être un membre actif de la société civile, celui de soigner vos patients.

Notes et sources :

(1 – vidéo en anglais) L’appel de Tess Lawrie ; Conclusion du 25 avril 2021 – Deuxième jour de la Première Conférence Internationale de l’ivermectine contre le COVIDhttps://www.palmerfoundation.com.au/dr-tess-lawries-powerful-closing-address-at-the-international-ivermectin-for-covid-conference%E2%80%8B/(2) Actualité de la communauté de BIRD (British Ivermectin Recommandation Deployment)https://bird-group.org/(3) Site du FLCCC (Front Line Covid19 Critical Care)https://covid19criticalcare.com(4) E-mbc : le site de la société créée et dirigée par Tess Lawriehttps://ebmcsquared.org/(5 – en anglais) Sa demande de commencer à sauver des vies avec l’ivermectine au Premier Ministre du Royaume Uni Boris Johnsonhttps://www.healthrising.org/forums/threads/a-letter-to-mr-boris-johnson-from-uk-scientist-dr-tess-lawrie-calling-on-him-to-start-saving-lives-with-ivermectin.6481/(6) Son interview par Jennifer Hibberd pour RéinfoCovidhttps://reinfocovid.fr/base_documentaire/interview-de-la-dr-tess-lawrie-par-la-dr-jennifer-hibberd-sur-livermectine/(7 – en français) France Soir

https://www.francesoir.fr/videos-les-debriefings/le-scandale-de-livermectine-tess-lawrie-le-retour
(8 – vidéo en anglais) Bret Weinstein dans Dark Horse Podcast
https://odysee.com/@BretWeinstein:f/TessLawrie:0
(9 – vidéo en anglais) Tess Lawrie lors de l’une de ses interventions pour le FLCCC
https://covid19criticalcare.com/videos-and-press/
(10) Royaume Uni du 9 juin : lettre à la présidente du Medicines and Healthcare Products Regulatory Agency
https://b3d2650e-e929-4448-a527-4eeb59304c7f.filesusr.com/ugd/593c4f_b2acdef3774b4e9ca06e9fae526fd5cd.pdf
(11) Méta-analyse Ivermectine
https://journals.lww.com/americantherapeutics/abstract/9000/ivermectin_for_prevention_and_treatment_of.98040.aspx
(12 – vidéo en anglais) Les vidéos du premier séminaire mondial sur l’ivermectine
https://bird-group.org/conference-post-event/
(13) Blog de Gérard Maudrux du 23 juillet 2021
https://blog-gerard.maudrux.fr/2021/07/23/scoop-olivier-veran-pense-que-livermectine-peut-avoir-un-effet/
(14) Blog de Gérard Maudrux du 12 mai 2021 : recours gracieux auprès du ministre
https://blog-gerard.maudrux.fr/2021/05/12/ivermectine-recours-gracieux-aupres-du-ministre/
(15) Paul Marik
https://covid19criticalcare.com/?s=marik
(16) Pierre Kory
https://covid19criticalcare.com/?s=Pierre+Kory
(17) Joseph Varon
https://covid19criticalcare.com/?s=varon+joseph
(18 – vidéo en anglais) Ivory Hecker, ancienne journaliste de Fox News, interviewe le « Chasseur de Covid » Joseph Varon
https://www.youtube.com/watch?v=frwkkeH6mwM
(19) MATH+ protocole développé au sein du groupe du FLCCC
https://covid19criticalcare.com/covid-19-protocols/math-plus-protocol/
(20) I-MASK protocole développé au sein du groupe du FLCCC
https://covid19criticalcare.com/covid-19-protocols/i-mask-plus-protocol/
(21) Blog de Laurent Muchielli
https://blogs.mediapart.fr/laurent-mucchielli/blog
(22) Brice Perrier interviewé sur Thinker View
https://www.youtube.com/watch?v=1wul4z8pmzU
(23 – vidéo en anglais) Juan Chamie – Analyste de données pour BIRD
https://www.youtube.com/watch?v=jBjULEZWl6c&t=677s
(24) Etat des lieux sur la situation en Inde par Trial Site News
https://trialsitenews.com/the-outbreak-in-india-initial-review-of-the-data/
(25) C’est dur d’être vacciné par des cons

https://criigen.org/lettre-a-charlie-cest-dur-detre-vaccine-par-des-cons/

(26) Lettre ouverte de Amine Umlil CTIAP
http://ctiapchcholet.blogspot.com/2021/08/lettre-ouverte-au-cng-information.html
(27) Laurent Muchielli sur la Pharmaco-vigilance des vaccins COVID lors du CSI de 29 juillet – à partir de la minute 6
https://odysee.com/@ludovicgarcia7500:c/CSI-16-R%C3%A9union-publique-du-Conseil-scientifique-ind%C3%A9pendant:2?
(28) La justification de la Rédaction de Médiapart sur la suppression du billet de blog de Laurent Muchielli
https://blogs.mediapart.fr/la-redaction-de-mediapart/blog/040821/notre-sante-face-au-covid-vrais-debats-et-fausses-sciences
(29) Le droit de réponse de Laurent Muchielli et l’article supprimé
https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/la-vaccination-covid-lepreuve-des-faits-2eme-partie-une-mortalite-inedite
(30 – vidéo en anglais) Pierre Kory intervient au sénat américain le 8 décembre 2020 (vidéo à partir de 28 minutes)
https://www.youtube.com/watch?v=k8RyV3VEDKI
(31) Gérard Maudrux dans son blog du 28 mai 2021 fait un état des lieux des 3 principaux états Indiens où l’ivermectine a été utilisée
https://blog-gerard.maudrux.fr/2021/05/28/inde-covid-et-ivermectine-suite/
(32) Intervention publique de ce médecin de La Rochelle

(33) Que dit wikipédia du Docteur Fauci ?
https://fr.wikipedia.org/wiki/Anthony_Fauci
(34 – vidéo en anglais) Paul Marick et Pierre Kory ont de quoi rendre le Docteur Fauci heureux : l’ivermectine répond à toutes ses demandes  https://bird-group.org/making-dr-fauci-happy/
(35) Jean-Dominique Michel : La médecine et la santé publique à l’épreuve du Covid
https://www.youtube.com/watch?v=WUkcsSnVzl0&t=1773s
(36) Les Jeudis de l’IHU – Conflits d’intérêts
https://www.youtube.com/watch?v=ZeSHT87hzC4




Psychose collective — Comment une population entière devient psychiquement malade

[Source : Sott.net]

Par Dylan Charles — Waking Times

« La psychose collective est une épidémie de folie et elle se produit lorsqu’une grande partie de la société perd le contact avec la réalité et sombre dans les illusions. »

Lorsque la plupart des gens entendent le terme de psychose collective, ils pensent que cette psychose s’applique à tout le monde sauf à eux-mêmes. Toutefois, dans la réalité que nous partageons, nous sommes tous fortement influencés par les mêmes forces négatives, qui ont depuis des décennies maintenant attaqué la psyché publique, et sont devenues progressivement plus efficaces grâce à la science et à leur capacité à influencer de manière subtile et discrète le subconscient de nos esprits.

Nous sommes tous les cibles d’une guerre menée dans le but de tuer nos facultés mentales et de les priver de la capacité de s’engager dans une pensée rationnelle et un discours logique et raisonnable.

« On peut répondre à la logique par la logique, mais pas par l’illogisme. L’illogisme désoriente ceux qui pensent clairement. »

Dans ma quête pour comprendre les conséquences sur les populations du conditionnement collectif, de la manipulation mentale et de l’endoctrinement qui suintent du moindre recoin de notre société, j’ai découvert qu’utiliser les mêmes outils que ceux utilisés contre les populations, à savoir la reprogrammation du subconscient, constitue un moyen d’extirper de l’esprit ces influences extérieures.

Dans la situation qui est la nôtre aujourd’hui, nous ne pouvons pas nous attendre à ce que les tendances actuelles en matière de médias, de propagande et de censure changent en notre faveur de sitôt. Si nous ne dirigeons pas la lumière de la vérité sur nos propres vies, nous risquons d’être entraînés par le troupeau, de suivre le mouvement juste pour faire partie d’une tribu qui ne fait que nous maintenir dysfonctionnels, effrayés et en mauvaise santé.

La présentation suivante [vidéo en fin d’article – NdT] est très utile pour comprendre, d’un point de vue historique et philosophique, ce qu’est la psychose collective et comment elle se manifeste dans notre monde par les catastrophes sociales et les tragédies les plus dévastatrices.

En tant que coach en maîtrise de soi, j’aide les individus à débusquer les illusions échafaudées au cours de leur vie par leur histoire personnelle et par les influences culturelles qui nous poussent à nous conformer et à participer à la panique. Puisque ces influences veulent nous faire perdre le contact avec la réalité, nous devons donc nous défendre en prenant le contrôle total de nos esprits, de nos corps et de nos comportements.

Le totalitarisme est à notre porte. Il représente la suppression de l’individu. Notre arme dans cette guerre est notre individualité unique, et lorsque l’on acquière pleinement ce potentiel, les forces extérieures qui déchirent cette société ne peuvent tout simplement plus nous dominer et nous entraver. Si vous souhaitez obtenir de l’aide pour comprendre comment ces forces vous poussent à saboter votre propre vie et à ne jamais suivre la voie de la maîtrise de soi, contactez-moi ici. Dans ce contexte insensé de psychose collective, j’aime aider les gens à se rappeler qui ils sont vraiment.

Note du traducteur : Les lecteurs pourront aussi se référer aux articles suivants :

Le contenu de la vidéo — située en fin d’article — est d’une telle importance, qu’il nous a paru évident de mettre à la disposition de nos lecteurs la traduction que voici [après l’image ci-dessous] :

Citation Robert Hare Psychopathie
© Sott.net adapté en français de hare.org


« Les masses n’ont jamais eu soif de vérité. Elles se détournent des preuves qui ne sont pas à leur goût, préférant déifier l’erreur, si l’erreur les séduit. Celui qui peut leur fournir des illusions est facilement leur maître ; celui qui tente de détruire leurs illusions est toujours leur victime. »

Gustav Le Bon

Selon le psychologue Carl Jung, la plus grande menace pour la civilisation ne réside pas dans les forces de la Nature, ni dans une quelconque maladie physique, mais dans notre incapacité à faire face aux forces de notre propre psyché. Nous sommes nos propres pires ennemis ou, comme le dit un proverbe latin : « l’homme est un loup pour l’homme ».

Note du traducteur : Les forces de la Nature semblent toutefois corrélées et exponentielles à l’état plus ou moins généralisé et profond de cette psychose collective. Voir notre article Planète X, comètes et changements terrestres par James M. McCanney – Ce qui se profile à l’horizon et l’ouvrage Les changements terrestres et la connexion anthropocosmique.

Dans son ouvrage Civilization in Transition, Jung affirme que ce proverbe « est une triste mais éternelle lapalissade » et que nos tendances de loup se manifestent surtout aux moments de l’Histoire où la maladie mentale devient dans une société la norme plutôt que l’exception, une situation que Jung a appelée une épidémie psychique :

« En effet, il devient de plus en plus évident que ce n’est pas la famine, ni les tremblements de terre, ni les microbes, ni le cancer, mais l’homme lui-même qui constitue le plus grand danger pour l’homme, pour la simple raison qu’il n’existe aucune protection adéquate contre les épidémies psychiques, qui sont infiniment plus dévastatrices que la pire des catastrophes naturelles. »

Carl Jung, La vie symbolique

Dans cette vidéo, nous allons explorer la plus dangereuse de toutes les épidémies psychiques : la psychose collective. Une psychose collective est une épidémie de folie qui se produit lorsqu’une grande partie de la société perd le contact avec la réalité et sombre dans le délire [ou comme le nomme Ariane Bilheran ou encore Martha Stout, la paranoïa – NdT]. Un tel phénomène ne relève pas de la fiction.

Deux exemples de psychoses collectives sont les chasses aux sorcières aux États-Unis et en Europe aux XVIe et XVIIe siècles, ainsi que la montée du totalitarisme au XXe siècle. Pendant les chasses aux sorcières, des milliers d’individus, principalement des femmes, ont été tués non pas pour les crimes qu’ils avaient commis mais parce qu’ils étaient devenus les boucs émissaires de sociétés devenues insensées :

« Dans certains villages suisses, il ne restait pratiquement plus aucune femme en vie une fois la folie meurtrière consumée. »

Frances Hill, Une illusion de Satan

Lorsqu’une psychose collective se développe, les résultats sont dévastateurs. Jung a étudié ce phénomène et a écrit que les individus qui composent la société infectée « deviennent moralement et spirituellement inférieurs », qu’ils « s’abaissent inconsciemment à un niveau intellectuel inférieur », qu’ils deviennent « plus déraisonnables, irresponsables, émotionnels, erratiques et peu fiables » et, pire encore, que « les crimes que l’individu seul ne pourrait jamais supporter sont librement commis par le groupe [frappé par la folie]. »

Ce qui aggrave les choses, c’est que les victimes d’une psychose collective sont inconscientes du phénomène. De même qu’un individu devenu fou ne peut faire abstraction de son esprit pour observer ses erreurs, de même il n’existe pas de point d’Archimède à partir duquel ceux qui vivent une psychose collective peuvent observer leur folie collective.

Mais quelles sont les causes d’une psychose collective ?

Pour répondre à cette question, nous devons d’abord explorer ce qui conduit un individu à la folie. Bien que de nombreux déclencheurs potentiels existent, tels qu’une consommation excessive de drogues ou d’alcool, des lésions cérébrales et d’autres maladies, nous ne nous intéresserons pas ici à ces causes physiques.

Nous allons nous intéresser aux déclencheurs psychologiques, ou à ce que l’on appelle les déclencheurs psychogènes, en tant qu’ils sont les responsables les plus courants d’une psychose collective. La cause psychogène la plus répandue d’une psychose est un flot d’émotions négatives, telles que la peur ou l’anxiété, qui plonge l’individu dans un état de panique. Une fois plongé dans un état de panique, l’individu cherche naturellement à s’en extraire pour éviter d’être épuisé mentalement et physiquement par cet état d’hyperémotivité.

Si l’on peut échapper à l’état de panique par des moyens adaptatifs tels que se confronter à la menace qui suscite la peur et la vaincre, un autre moyen de s’en extraire est de traverser une crise psychotique.

Note du traducteur : Ce qui rejoint les travaux menés par le Dr Kazimierz Dabrowski, que l’on retrouve dans son ouvrage La formation de la personnalité par la désintégration positive, dans lequel il « décrit les caractéristiques individuelles et universelles de la personnalité, les méthodes qui participent à son façonnage, et présente des études de cas de personnalités célèbres comme Saint-Augustin et Michel-Ange qui démontrent la nature concrète et normative du développement de la personnalité. Pour Dabrowski, la personnalité ne va pas de soi — elle doit être consciemment créée et développée par l’individu. »

Une crise psychotique n’est pas une descente dans un état de désordre plus profond, comme beaucoup le croient, mais une réorganisation de son propre monde expérientiel qui mêle réalité et fiction, ou illusions et réalité, d’une manière qui aide à mettre fin aux sentiments de panique.

Silvano Arieti, l’un des plus grands spécialistes de la schizophrénie du XXe siècle, explique les étapes psychogènes qui mènent à la folie : il y a d’abord

« [la] phase de panique — lorsque le patient commence à percevoir les choses d’une manière différente, qu’il en a peur, qu’il semble confus et qu’il ne sait pas comment expliquer les choses étranges qui se produisent. »

Silvano Arieti, Interprétation de la schizophrénie

L’étape suivante est ce qu’Arieti appelle une phase de perception psychotique, au cours de laquelle un individu

« parvient à rassembler les choses [en] concevant une manière pathologique de voir la réalité, [qui lui permet] d’expliquer ses expériences anormales. Ce phénomène est appelé perceptif parce que le patient distingue enfin un sens et des connexions à ses expériences. […] Mais la perception est psychotique parce qu’elle est basée sur des illusions et non sur des approches adaptatives et favorables à la vie qui permettraient de faire face aux menaces — quelles qu’elles soient — qui ont conduit à la panique. »

En d’autres termes, les illusions permettent à l’individu paniqué d’échapper au flot d’émotions négatives, mais c’est au prix d’une perte de contact avec la réalité. C’est pourquoi Arieti affirme que l’épisode psychotique peut être considéré comme « une façon anormale de gérer un état d’anxiété extrême. »

Si un flot d’émotions négatives entraînant la panique peut déclencher une crise psychotique chez un individu faible et vulnérable, une population d’individus faibles et vulnérables poussée à la panique par des menaces réelles, imaginaires ou fabriquées peut entraîner une psychose collective. Mais comme les illusions peuvent prendre de nombreuses formes et que la folie peut se manifester d’innombrables façons, la manière spécifique dont se déroule une psychose collective sera différente selon le contexte historique et culturel de la société infectée.

À l’époque moderne, toutefois, c’est la psychose collective du totalitarisme qui apparaît comme la plus grande menace. Arthur Versluis écrit que :

« Le totalitarisme est le phénomène moderne de la centralisation totale du pouvoir de l’État couplée à l’oblitération des droits humains individuels : dans l’État totalisé, il y a ceux qui sont au pouvoir, et il y a les masses objectivées, les victimes. »

Arthur Versluis, Les nouvelles inquisitions

Dans une société totalitaire, la population est divisée en deux groupes, les dirigeants et les dirigés, et les deux groupes subissent une transformation pathologique. Les dirigeants sont élevés à un statut presque divin qui est diamétralement opposé à notre nature d’êtres imparfaits facilement corrompus par le pouvoir. Les masses, quant à elles, sont transformées en sujets dépendants de ces dirigeants pathologiques et acquièrent un statut psychologiquement régressif et infantile.

Hannah Arendt, l’une des plus éminentes spécialistes du XXe siècle de cette forme de régime, a qualifié le totalitarisme de tentative de transformation de « la nature humaine elle-même ». Mais cette tentative de transformation ne fait que transformer des esprits sains en esprits malades, comme l’a écrit le médecin néerlandais qui a étudié les effets mentaux de la vie sous le totalitarisme :

« […] il existe en fait beaucoup de choses comparables entre les réactions étranges des citoyens [sous le joug] du [totalitarisme] et de leur culture dans son ensemble, d’une part, et les réactions du […] schizophrène malade, d’autre part. »

Joost A.M. Meerloo, Le viol de l’esprit — La psychologie du contrôle de la pensée, du menticide et du lavage de cerveau

Note du traducteur : Le menticide est, selon la définition médicale qui en est donnée, une atteinte systématique et intentionnelle à l’esprit conscient d’une personne.

La transformation sociale qui s’opère sous un régime totalitaire est fondée et soutenue par des illusions. Car seuls les hommes et les femmes trompés régressent au statut enfantin de sujets obéissants et soumis, et cèdent le contrôle total de leur vie aux politiciens et aux bureaucrates. Seule une classe dirigeante trompée croit qu’elle possède la connaissance, la sagesse et la perspicacité nécessaires pour contrôler complètement la société selon une approche qui va du sommet vers la base.

Et ce n’est que sous le charme des illusions que l’on peut croire qu’une société composée de dirigeants assoiffés de pouvoir, d’une part, et d’une population psychologiquement régressée, d’autre part, conduira à autre chose qu’à des souffrances massives et à la ruine sociale. La psychose collective du totalitarisme a été induite à de nombreuses reprises au cours de l’histoire, et comme l’explique Meerloo :

« Il ne s’agit que de réorganiser et de manipuler les sentiments collectifs de la manière appropriée. »

La méthode générale par laquelle les membres d’une élite dirigeante peuvent accomplir ce dessein est appelée menticide, l’étymologie de ce mot étant « une mise à mort de l’esprit », et comme l’explique encore Meerloo :

« Le menticide est un vieux crime contre l’esprit humain, mais systématisé à nouveau. C’est un système organisé d’intervention psychologique et de perversion judiciaire par lequel une [classe dirigeante] peut imprimer [ses] propres pensées opportunistes dans l’esprit de ceux qu'[elle] prévoit d’utiliser et de détruire. »

Joost A.M. Meerloo, Le viol de l’esprit

Préparer une population au crime de menticide implique d’abord de semer la terreur afin de placer la population dans un état de panique qui la prépare à une plongée dans les croyances délirantes d’une psychose. Une technique particulièrement efficace pour atteindre cet objectif consiste à utiliser des vagues de terreur. Dans le cadre de cette technique, les vagues de terreur sont ponctuée de périodes de calme, mais chacune de ces périodes de calme est suivie de la production d’une vague de peur encore plus intense, et ainsi de suite, ou comme l’écrit Meerloo :

« Chaque vague de terreur […] engendre plus facilement ses effets — après un temps de répit — que celle qui l’a précédée, car les populations sont encore désorientées par leur expérience précédente. La moralité devient de plus en plus basse, et les effets psychologiques de chaque nouvelle campagne de propagande deviennent plus forts ; elle atteint un public déjà amadoué. »

Alors que la peur prépare une population au menticide, l’utilisation de la propagande pour diffuser des informations erronées et favoriser la confusion quant à la source des menaces et à la nature de la crise, contribue à briser l’esprit des masses. Les responsables gouvernementaux et leurs laquais médiatiques peuvent utiliser des rapports contradictoires, des informations insensées et même des mensonges flagrants, car plus ils sèment la confusion, moins la population sera capable de faire face à la crise et d’atténuer sa peur de manière rationnelle et adaptée.

La confusion, en d’autres termes, accroît la susceptibilité d’une plongée dans les délires du totalitarisme, ou comme l’explique Meerloo :

« On peut répondre à la logique par la logique, mais pas par l’illogisme. L’illogisme désoriente ceux qui pensent clairement. Le gros mensonge et les absurdités répétées de façon monotone ont plus d’attrait émotionnel […] que la logique et la raison. Pendant que [les gens] cherchent encore un contre-argument raisonnable au premier mensonge, les totalitaires peuvent [les] assaillir avec le suivant. »

Joost A.M. Meerloo, Le viol de l’esprit

Jamais auparavant dans l’Histoire, des moyens aussi efficaces n’ont existé pour manipuler toute une société et la faire basculer dans la psychose d’un totalitarisme. Les Smartphones et les médias sociaux, la télévision et l’Internet, tous associés aux bots qui diffusent propagande et algorithmes pour rapidement censurer le flux d’informations indésirables, permettent aux individus au pouvoir d’agresser facilement l’esprit des masses. Qui plus est, la nature addictive de ces technologies signifie que de nombreuses personnes se soumettent volontairement à la propagande de l’élite dirigeante par un usage réitéré dans une proportion remarquable :

« La technologie moderne apprend à l’homme à prendre pour acquis le monde qu’il regarde ; il ne prend pas le temps de prendre du recul et de réfléchir. La technologie l’attire, l’entraîne dans ses rouages et ses mouvements. Pas de repos, pas de méditation, pas de réflexion, pas de conversation — les sens sont continuellement surchargés de stimuli. [L’homme] n’apprend plus à questionner son monde, l’écran lui offre des réponses toutes faites. »

Joost A.M. Meerloo, Le viol de l’esprit

Mais les dirigeants totalitaires en devenir peuvent prendre une mesure supplémentaire pour augmenter les probabilités d’une psychose totalitaire, à savoir isoler les victimes et perturber les interactions sociales normales.

Lorsqu’il est seul et qu’il n’a pas d’interactions normales avec ses amis, sa famille et ses collègues de travail, un individu devient bien plus susceptible de développer des illusions pour plusieurs raisons : premièrement, il perd le contact avec la force corrective de l’exemple positif. En effet, tout le monde n’est pas dupe des machinations de l’élite dirigeante et les individus qui voient à travers la propagande peuvent aider à libérer les autres de l’assaut menticide. Toutefois, si l’isolement est imposé, le pouvoir de ces exemples positifs diminue considérablement.

Mais une autre raison pour laquelle l’isolement augmente l’efficacité du menticide est que, comme beaucoup d’autres espèces, les êtres humains sont plus facilement conditionnés à de nouveaux schémas de pensée et de comportement lorsqu’ils sont isolés, ou comme l’explique Meerloo à propos des travaux du physiologiste Ivan Pavlov sur le conditionnement comportemental :

« Pavlov a fait une autre découverte importante : le réflexe conditionné pouvait être développé plus facilement dans un laboratoire calme avec un minimum de stimuli perturbateurs. Tous les dresseurs d’animaux le savent par expérience ; l’isolement et la répétition patiente des stimuli sont nécessaires pour apprivoiser les animaux sauvages. Les totalitaires ont suivi cette règle. Ils savent qu’ils peuvent conditionner leurs victimes politiques plus rapidement si elles sont maintenues dans l’isolement. »

Joost A.M. Meerloo, Le viol de l’esprit

Note du traducteur : Il s’agit un processus également connu sous le nom d’inhibition transmarginale :

« L’inhibition transmarginale décrit la réaction d’un organisme soumis à d’intenses stimuli. Ivan Pavlov a découvert que les organismes avaient différents niveau de tolérance. Il explique : « La différence héréditaire fondamentale entre les gens réside dans la vitesse à laquelle ils atteignent le point de rupture, et ceux qui s’effondrent rapidement possèdent un type de système nerveux fondamentalement différent. Ironiquement, l’acronyme populaire TMI signifie Too Much Information (trop d’informations), ce qui peut être un facteur commun de l’inhibition transmarginale dans la culture contemporaine. À l’époque, j’ai pris conscience de ce qui se passait ; les techniques découvertes/développées par Pavlov pour amener les chiens au point de rupture en provoquant chez eux un état de stress sont aujourd’hui utilisées sur la population humaine à l’échelle mondiale. »

Seule, désorientée et battue par des vagues de terreur, une population victime d’une attaque de menticide sombre dans un état désespéré et vulnérable. Le flot incessant de propagande transforme des esprits autrefois capables de pensée rationnelle en terrains de jeu de forces irrationnelles et, le chaos tourbillonnant autour d’eux et en eux, les masses aspirent à un retour à un monde plus ordonné. Les totalitaires en devenir peuvent maintenant faire le pas décisif, ils peuvent offrir une porte de sortie et un retour à l’ordre dans un monde qui semble évoluer rapidement dans la direction opposée.

Mais tout cela a un prix : les masses doivent renoncer à leur liberté et céder le contrôle de tous les aspects de leur vie à l’élite dirigeante. Elles doivent renoncer à leur capacité d’être des individus autonomes et responsables de leur propre vie, et devenir des sujets soumis et obéissants.

Les masses, en d’autres termes, doivent sombrer dans les délires de la psychose totalitaire. Le médecin Joost Meerloo écrit :

« […] les systèmes totalitaires du XXe siècle représentent une sorte de psychose collective. Dans un tel système, que ce soit de manière progressive ou soudaine, la raison et la décence humaine commune ne sont plus possibles : il ne reste qu’une atmosphère omniprésente de terreur, et une projection de l’ennemi, que l’on imagine être parmi nous. Ainsi, la société se retourne contre elle-même, poussée par les autorités dirigeantes. »

Mais l’ordre d’un monde totalitaire est un ordre pathologique. En imposant une stricte conformité et en exigeant des citoyens une obéissance aveugle, le totalitarisme prive le monde de la spontanéité sur laquelle reposent de nombreuses joies de la vie et la créativité, ferment de la progression de la société.

Le contrôle total induit par cette forme de règne — quel que soit le nom qu’on lui donne et qu’il soit le fait de scientifiques et de médecins, de politiciens et de bureaucrates, ou d’un dictateur — engendre la stagnation, la destruction et la mort à grande échelle. Aussi, la question la plus importante à laquelle le monde est confronté est peut-être de savoir comment prévenir le totalitarisme. Et si une société a été dès les premiers stades induite dans cette psychose collective, peut-on en inverser les effets ?

Bien que l’on ne puisse jamais être sûr du pronostic d’une folie collective, il existe des mesures à prendre pour contribuer à sa guérison. Cette tâche, cependant, nécessite de nombreuses approches différentes, de la part de nombreuses personnes différentes. Car, tout comme l’attaque menaçante est multiple, la contre-attaque doit l’être aussi.

Selon Carl Jung, pour ceux d’entre nous qui souhaitent contribuer à ramener de la raison dans un monde en proie à la psychose, la première étape consiste à mettre de l’ordre dans notre propre esprit, et à vivre d’une manière qui serve d’inspiration aux autres :

« Ce n’est pas pour rien que notre époque réclame la personnalité rédemptrice, celle qui peut s’émanciper de l’emprise de la [psychose] collective et sauver au moins sa propre âme, celle qui allume un phare d’espoir pour les autres, proclamant qu’il y a ici au moins une personne qui a réussi à extirper son identité de l’attachement funeste de la psyché de groupe. »

Note du traducteur : Ce qui revient à adopter la bonne attitude dans les moments difficiles :

« Je crois qu’un chemin peut s’ouvrir, qu’une porte peut devenir visible, qu’un lieu où l’on pourra trouver abri et nourriture peut se présenter à nous si l’on est capable — même dans les moments les plus difficiles — de maintenir en permanence une présence à Soi. Cette conviction est présente dans chaque fibre de mon être. Mais je sais aussi que maintenir une telle vigilance à ce niveau de réalité pourrait ne pas être possible. Mais qu’importe : cela ne signifie pas que l’on doit renoncer à essayer. Et si vous échouez ? Si vous êtes resté fidèle à vous-même et aux vôtres, et si vous avez dans la vie donné le meilleur de vous-même, alors cela n’a pas d’importance. Vous avez cristallisé votre âme. »

Voir aussi : L’hystérie collective du Covid-19 et le « processus alchimique de l’humanité » 
et Ne perdez pas espoir, nous sommes faits pour affronter le défi de cette époque

Mais en supposant que l’on vive sans être sous l’emprise de la psychose, d’autres mesures peuvent être prises : premièrement, les informations qui contredisent la propagande doivent être diffusées aussi loin et aussi largement que possible. Car la vérité est plus puissante que la fiction et les falsifications colportées par les dirigeants totalitaires en devenir, et leur succès dépend donc en partie de leur capacité à censurer le libre flux d’informations.

Une autre tactique consiste à utiliser l’humour et le ridicule pour délégitimer l’élite au pouvoir ou comme l’explique Meerloo :

« Nous devons apprendre à traiter les démagogues et les aspirants dictateurs qui se trouvent dans notre entourage […] avec l’arme du ridicule. Le démagogue lui-même est presque incapable d’humour d’aucune sorte, et si nous l’abordons par le biais de l’humour, il commencera à s’effondrer. »

Une tactique recommandée par Vaclav Havel, un dissident politique sous le régime communiste soviétique qui devint plus tard président de la Tchécoslovaquie, est de construire ce que l’on appelle des « structures parallèles ». Une structure parallèle est une forme d’organisation, d’entreprise, d’institution, de technologie ou de recherche créative qui existe au sein d’une société totalitaire de manière physique, mais qui lui est extérieur sur le plan moral. Dans la Tchécoslovaquie communiste, Havel a constaté que ces structures parallèles étaient plus efficaces que l’action politique pour combattre le totalitarisme. En outre, lorsque suffisamment de structures parallèles sont créées, une « deuxième culture » ou une « société parallèle » se forme spontanément et fonctionne au sein d’un monde totalitaire comme une enclave de liberté et de bon sens. Ou comme Havel l’explique dans « Le pouvoir des sans-pouvoir », publié dans son Essais politiques :

« […] Qu’est-ce que des structures parallèles sinon un espace où l’on peut vivre une vie différente, une vie qui est en harmonie avec ses propres objectifs et qui, à son tour, se structure en harmonie avec ces objectifs ? Qu’est-ce que ces premières tentatives d’auto-organisation sociale sinon les efforts d’une certaine partie de la société […] pour se débarrasser des aspects auto-entretenus du totalitarisme et, par conséquent, pour s’extraire radicalement de sa participation au système […] totalitaire ? »

Note du traducteur : « Le Pouvoir des sans-pouvoir », de Vaclav Havel, constitue une méditation sur ce que signifie la « dissidence ». Voici un autre extrait, dans lequel il s’adresse aux responsables de la dictature communiste en Tchécoslovaquie :

« Derrière une apparence de « normalisation », vous avez installé le règne de la peur, du mensonge et de la corruption à tous les niveaux. Vous assurez la ruine du pays en étouffant la création et en voulant, à terme, abolir toute mémoire collective, toute vie sociale autonome pour régner sur un peuple anesthésié et une société désintégrée. Cela, nous le refusons. »

Il s’agit pour les citoyens sous le joug d’un totalitarisme de revendiquer les droits de la conscience morale individuelle, les droits à refuser le mensonge, à restaurer la responsabilité personnelle et la parole publique. Ce qui revient à dire que la solution est de « tourner le dos » au totalitarisme pour ne pas sombrer avec lui, et de développer sur la base d’intérêts communs, des groupes qui formeront une alternative de vie, comme l’explique très bien Louis Fouché, par exemple :

Mais ce qu’il faut avant tout pour empêcher une plongée totale dans la folie du totalitarisme, c’est l’action du plus grand nombre de personnes possible. De même que l’élite dirigeante ne reste pas passive, mais prend des mesures délibérées pour accroître son pouvoir, de même un effort actif et concerté doit être fait pour ramener le monde dans la direction de la liberté.

Dans un monde en proie aux illusions du totalitarisme, cet œuvre peut représenter un immense défi, mais comme l’a noté Thomas Paine :

« La tyrannie, comme l’enfer, n’est pas facile à vaincre ; pourtant, nous avons pour nous cette consolation que plus le conflit est dur, plus le triomphe est glorieux. »

Thomas Paine, La Crise américaine

À propos de l’auteur

Dylan Charles est le rédacteur en chef de Waking Times et l’animateur de « Battered Souls : A Podcast About Transformation », tous deux consacrés aux idées de transformation personnelle, d’éveil sociétal et de renouveau planétaire. Son parcours personnel est profondément inspiré par les plantes médicinales chamaniques et les arts du Kung Fu, du Qi Gong et du Yoga. Après avoir vécu sept ans au Costa Rica, il vit maintenant dans les Blue Ridge Mountains, où il pratique le jiu jitsu brésilien et aime passer du temps avec sa famille. Il a écrit des centaines d’articles, touchant et inspirant des millions de personnes dans le monde entier.


Cet article a été créé et publié à l’origine par Waking Times et Dylan Charles sous licence Creative Commons. Il peut être publié à nouveau librement avec l’attribution appropriée, la biographie de l’auteur et cette déclaration de copyright.

Source de l’article initialement publié en anglais le 9 août 2021 : Waking Times
Traduction de l’article et de la transcription vidéo : Sott.net




Le problème du diagnostic en psychiatrie

[Source : Collège Antithétique (college-antithetique.org) via Les moutons enragés (lesmoutonsenrages.fr)]

Par Alexandre MOREAU

DSM-5

« Le diagnostic en psychiatrie pose des problèmes sans équivalent dans les autres disciplines médicales. Il en résulte une fréquente incompréhension avec le médecin psychiatre. »

Le psychiatre, à la fois juge et partie

Le paradigme par lequel on « psychiatrise », on oppose la maladie et la santé, ce manichéisme est lui-même déjà un biais d’interprétation. Si on pense comme un marteau, tout ne ressemble qu’à des clous.

Le premier problème du diagnostic en psychiatrie est précisément qu’il est à l’initiative du psychiatre et non du patient ou rarement de ce dernier.

Si j’ai une jambe ensanglantée, je demande un diagnostic.. mais en psychiatrie rien de tel. Lors d’un internement sous contrainte l’individu ne fera pas de lui-même la démarche de demander un diagnostic. Lors d’un internement avec le consentement de l’individu, ce dernier peut lui-même douter de la pertinence qu’il a à demander un diagnostic ou à se faire hospitaliser.

En psychiatrie le psychiatre est à la fois juge et partie, non seulement il détermine si l’individu nécessite un diagnostic, à sa place, mais de surcroît il établit le diagnostic. C’est un peu comme si un juge dans un tribunal ordonnait à un individu de déposer plainte contre un tiers, alors même que ce dernier individu ne le désirerait pas.

La solution est donc là, avant de commettre un internement sous contrainte et avant même d’établir un diagnostic, y compris avec le consentement de l’individu, il faut préalablement déterminer si l’individu nécessite un diagnostic, en étudiant les conditions qui amènent l’individu au psychiatre, ce qui n’est jamais fait.

Il en résulte des quiproquos entre le patient et le psychiatre, ainsi que des biais d’interprétation. À titre d’exemple, on ne compte plus les victimes de pédophilie qui furent à tord « psychiatrisées » et internées, alors que les policiers très souvent peuvent croire la victime là où le psychiatre lui déni sa qualité de victime. Exemples, dans le documentaire « Enfance volée chronique d’un déni ».

On ne compte plus aussi les victimes d’agressions physiques ou de harcèlements qui se trouvant en état de choc devant un psychiatre se font interner, ce dernier étant incapable de faire la distinction entre un état de choc et une pathologie mentale. Il n’y a presque jamais de procès dans ces cas contre les psychiatres.

Tout cela pour la raison que le travail qui consiste à préalablement étudier les conditions qui amènent un individu devant un psychiatre, avant d’établir un diagnostic, n’est dans les faits jamais réalisé. Est-ce que l’individu qui se présente à un psychiatre a dormi ? Est-ce qu’il a mangé ? Est-ce qu’il a bu ? Ces simples questions à titre d’exemple ne sont jamais étudiées, au point que par exemple la victime d’une improbable traque par un agresseur et qui serait retrouvée en état de choc, serait par le psychiatre accusée de s’être elle-même déshydratée, sous-alimentée et mise elle-même en danger.

Les stéréotypes du psychiatre

Le psychiatre peut en de nombreuses circonstances, tout confondre. Il peut projeter sur l’individu ses propres stéréotypes, ses croyances, très souvent un freudisme à deux sous et les thèses obscurantistes autant que marchandes du DSM qui s’évertuent à classifier les maladies mentales comme d’autres rajoutaient des cercles concentriques aux épicycles de Ptolémée.(([1] Les épicycles de Ptolémée sont un modèle mathématiquement fonctionnel mais faux, pour décrire le mouvement des planètes par rapport à la terre. Dans ce modèle il s’agissait d’ajouter de nouveaux cercles concentriques à chaque fois qu’une nouvelle observation ne correspondait pas au modèle.)) Il en résulte que le psychiatre peut inventer des maladies qui n’existent pas, pour justifier son art, le plus souvent pour se protéger juridiquement ou encore pour ouvrir de nouveaux marchés à la pharmacopée et aux hôpitaux psychiatriques, qu’ils soient publics ou privés..

Le diagnostic psychiatrique réalisé par la police et/ou le SAMU

Avant de réaliser un diagnostic il faut se demander si l’individu est ou non un patient. D’ailleurs les termes ont leur importance, puisque l’individu qui est présenté à un psychiatre, y compris la première fois est immédiatement qualifié de patient. L’individu est ainsi jugé coupable d’un désordre mental avant même qu’un diagnostic ne soit posé. Pire, il est jugé coupable dès la prise en charge par le SAMU et/ou par la police, en amont d’une hospitalisation. Le diagnostic psychiatrique est en réalité réalisé par le SAMU et/ou par les policiers avant de l’être par le psychiatre, dans le cas notamment des hospitalisations sous contrainte. Les policiers et/ou le SAMU viennent ainsi présenter « un fou » à un psychiatre, ce qui suffit déjà à influencer le psychiatre pour que son diagnostic soit biaisé.

Si dans les affaires de pédophilie il se trouve que la police aura plus tendance à croire la victime que le psychiatre, dans d’autres affaires ce peut être l’inverse et le psychiatre ne remet dans les faits jamais en question la pertinence du jugement ou des déclarations de policiers et/ou du SAMU qui peuvent lui amener un individu à diagnostiquer.

Si par exemple le SAMU et/ou la police présentent à un psychiatre un individu qui « errait dans les rues » ou encore, qui fut retrouvé « endormi au bord d’une route », quelques soient les causes qui pouvaient placer un tel individu dans un tel état, la probabilité la plus grande est qu’il soit interné sous la contrainte du Préfet ou d’un proche. Ce proche pourrait lui-même tout ignorer de ce qui serait advenu à un tel individu et il serait manipulé par le psychiatre pour qu’il accorde sa signature pour faire interner cet individu.

Le psychiatre par réflexe professionnel, biais d’interprétation et habitude, aura tendance à ne chercher qu’à « psychiatriser ».

On dispose ainsi de l’exemple de cet homme qui hurlait sous les fenêtres du palais de l’Elysée et qui fut séquestré et drogué en psychiatrie pour ce seul fait, alors que n’en déplaise à la police ou à la psychiatrie, déconsidérer le Président de la République sous les fenêtres de son palais n’est pas la preuve d’une maladie mentale.

De la notion de « maladie mentale »

La notion même de maladie mentale est sujette à caution. Il existe des phénotypes, des proxémies, des synergologies, en somme, des comportements, qui sont le produit d’adaptations réussies ou manquées à l’environnement social, mais faut-il les qualifier de maladies pour autant ?

A titre d’exemple, un manque d’éducation est-il une maladie nécessitant un traitement ? Quelqu’un à qui ses parents n’apprendraient pas l’autonomie lors de sa petite enfance, à faire pipi et caca tout seul, à l’âge adulte serait considéré comme « fou », souffrant d’une maladie mentale, pourtant il ne le serait pas, il manquerait simplement d’éducation. Il y a donc une confusion entre maladie et analphabétisme éducatif. Ce manque d’éducation peut causer à l’âge adulte toutes sortes de troubles additionnels qui causent l’instabilité sociale de l’individu et lorsqu’on drogue un tel individu en psychiatrie ce n’est donc pas pour le guérir, puisqu’il n’est pas malade, mais ce n’est que pour protéger la société de ce dernier.

La notion même de maladie mentale est ainsi sujette à caution, dans un domaine ou même une dysfonction neurocognitive peut être l’outil de l’excellence ou du génie. Les maladies par ailleurs on aussi leur utilité et cela est complètement dénié par la psychiatrie, tout étant une question de degré.

Une étiologie imaginaire des maladies mentales

Le problème en psychiatrie est qu’on ignore la cause de maladies mentales de fait imaginaires. Comme les épicycles de Ptolémée on érige des modèles artificiels pour expliquer une réalité et des causes qu’on ne comprend pas et qu’on ne sait pas expliquer.

Un médecin cancérologue est apte à prouver à son patient qu’il a bien un cancer, contrairement au psychiatre qui est parfaitement incapable de faire la preuve de son diagnostic. Il en résulte que pour un même patient il existe autant de diagnostics différents qu’il existe de psychiatres. Rarissimes sont les patients qui en psychiatrie obtiennent le même diagnostic de plusieurs psychiatres différents.

La démarche est irrationnelle et obscurantiste, lorsqu’une psychiatrie rationnelle devrait être exclusivement basée sur l’observation de comportements et de phénotypes dument détaillés pour chaque patient, que l’on accepterait de juger antisociaux, inadaptés ou erronés.

En réalité la psychiatrie est donc aussi un acte politique, c’est une morale et tout cela est incroyablement fragile.

Entre le fait d’interner les opposants politiques ou le fait de libérer tous « les fous », la psychiatrie se cherche un équilibre qui n’est pas basé sur la science et elle invente pour cela une étiologie et des maladies qui n’existent pas.

Tout cela est très fragile car la psychiatrie est avant tout un art.

À tout le moins il faut poser la question des devoirs de l’Homme.

De la « psychiatrisation » des « terroristes »

À titre d’exemple sont ainsi « psychiatrisées » les revendications territoriales armées.

Le tueur d’Allemagne qui le 19 février 2020 fit 9 morts à Hesse en tirant sur des kebabs, fut unanimement qualifié de « fou » par les médias, les politiques et la psychiatrie, à titre posthume. Sauf qu’à la lecture de ses thèses il s’avérait n’être qu’un combattant qui proclamait par les armes une revendication territoriale au seul profit des autochtones allemands.

A contrario les auteurs d’attentats islamo-fondamentalistes sont eux aussi presque toujours « psychiatrisés » alors qu’ils ne sont eux aussi que dans l’expression d’une revendication de conquête territoriale armée en occident.

Est-ce qu’une revendication territoriale par les armes ou des actes de guerre sont la preuve d’une folie et d’une maladie mentale ?

On en revient donc bien à la question politique et au caractère éminemment politique du diagnostic en psychiatrie.

Les référentiels nosographiques en psychiatrie

On ne peut réformer la psychiatrie dans un sens ou dans un autre sans risquer sa destruction par le politique, tout est extrêmement fragile, simplement les psychiatres ont-ils eux-mêmes conscience de l’obscurantisme que constituent leurs référentiels ? Font-ils semblant ou croient-ils à leur propres mensonges ?

Que ces référentiels nosographiques (DSM etc.) ayant l’apparence de la crédibilité par l’argument d’autorité qu’ils constituent soient un mal nécessaire, je veux bien l’entendre, qu’ils soient un mal nécessaire pour éviter la politisation de la psychiatrie, je veux bien l’entendre, mais que les psychiatres soient assez incompétents pour être eux-mêmes dupes de leurs bases référentielles, c’est inadmissible.

La réalité est que dans les faits le diagnostic psychiatrique n’est basé sur rien de rationnel, tout dans le diagnostic n’est fondé que sur la subjectivité du psychiatre, son préjugé, sa culture, ses mœurs, ses habitudes, son bon sens ou son sens commun.., toutes les innombrables erreurs de diagnostics (exemple : Jean-louis Caccomo) et l’expérience de Rosenhan suffisent à le démontrer.

Pour une psychiatrie antithétique

Aussi il faut inventer une psychiatrie antithétique, à charge et à décharge pour le patient et une approche modérée des cas indécidables, avec la possibilité même que de tels cas soient admis comme possibles en psychiatrie.

Plutôt que de soumettre le patient à un juge des libertés très souvent inutile, peut-être faut-il penser une psychiatrie dans laquelle il existerait des « psychiatres commis d’office », chargés de faire libérer les patients, en opposition à d’autres psychiatres qui eux auraient la charge de les faire interner.




Répétition générale ou situation sans direction ?…


Par Lucien Samir Oulahbib

Les affairistes hygiénistes et leurs cyborgs boomers continuent donc à faire peur (« dramatisons madame », souffla le Préfet Tartarin…) en mélangeant les services hospitaliers (soins intensifs et réa. Or dans ces cas le malade n’est pas en situation de se faire interviewer pour quémander une piquouse, n’est-ce pas…), masquant ainsi le fait qu’ils empêchent toujours et depuis le début les traitements précoces*. Tout en agitant non plus seulement la « quatrième vague », mais LA vague de « 15 m » selon le GIEC (mais n’est-ce pas plutôt une vague, un tsunami totalitaire qui émerge plutôt ?).

Maintenant, « ils » veulent littéralement marquer les Français comme s’ils étaient des veaux (alors qu’il s’agissait d’une boutade gaullienne), mais comme nous sommes dans l’hyperréalisme intégral (la peinture ayant été par exemple réduite à mettre en scène le matériel pour en faire), la santé de son côté est donc devenue un vulgaire problème vétérinaire, au même titre qu’une barquette de viande avec sa date de péremption de six mois (ou la nième dose ad vitam aeternam) avec passeport à la clé, au clic vert ou rouge bien visible sur les immenses panneaux de points et de courbes projetés sur les écrans hologrammes (cette vraie peinture de l’art contemporain véritable) que l’on peut même voir de la piscine privée entre deux lignes de coke et trois jeunes et jolies courbes pan-sexuées. Le tout a été débattu le mardi au soir en « Conseil de défense » et entériné le mercredi matin au « Conseil des ministres » en France. Ou comment, par un tour de passe-passe (politique), « l’État français a disparu »

Voilà pour le constat. Mais motus des élites plutôt « savantes » qui soit entérinent soit discutent du sexe des anges pour les plus lucides, ou alors qui ne dit mot consent. Il semble bien cependant que la « rue » s’en rende compte et de plus en plus, cherchant à s’enfuir de ce triangle des Bermudes (vortex redoutable) en renouant avec le Réveil de novembre 2018 qui avait été empêché, tué dans l’œuf du fait de son manque de programme clair et de direction par les remugles néo-léninistes venus s’y agglutiner sur le tard, mais muselés heureusement aujourd’hui par leur propre impéritie scientiste (mais « prolétarienne »).

Aujourd’hui, cette « crise » endémique a enfanté un second œuf en attente de sa fécondation. Et au vu de ce qui se passe ces deux mois d’été, c’est inédit, ou alors cela fait penser à ce fameux août 1914 lorsque la guerre avait été brutalement déclarée alors qu’il faisait si beau et bon pour conter fleurette et plus encore à « l’ombre des jeunes filles en fleur » et des coquelicots du bois joli…

Aujourd’hui, la guerre nouveau genre « nous » a bel et bien été déclarée un 12 juillet 2021 par un Exécutif, exécutant, comme sa fonction l’indique, toute une panoplie d’ordres dictés par ce globalisme hypocondriaque à l’ego hypertrophié, tant à force de se mouvoir dans le labyrinthe médiatique ses sbires ne font plus de différence entre leurs fantasmes et la réalité (comme l’exigeaient Deleuze et Foucault : le fantasme doit être réalisé et non pas refoulé), ce qui fait que ce processus de fabrication de « l’Œuvre » non plus « française » doit s’accélérer à coup de films catastrophes sanitaires et climatiques vécus en temps réel ou 4DX permanente (et le régime maoïste en remet une secousse supplémentaire en bonus dans « l’épouvante » comme en décembre 19).

Aujourd’hui « nous » voilà à nouveau au « front », les jeunes envoyés au casse-virus, y compris les « cadets », tant le régime vermoulu du quantitativisme hygiéniste scientiste affairiste lance ses dernières troupes dans la bataille qu’il a fomentée lui-même (comme dans toute bonne tyrannie). Sauf que le temps ne roule plus pour lui lorsque les trois quarts de la population ne votent plus ou, à l’inverse, acceptent de se faire piquer pour un hamburger ou une sauterie — un nihilisme populaire appliqué. La jeunesse qui meurt bien plus de cette injection expérimentale que de la maladie s’en va la fleur au fusil en croyant participer à une expérience LSD tant vantée par les boomers alors qu’ils peuvent y laisser leur peau — une attitude mentale sans direction, propice à tous les embrigadements qui ont secrété les deux à trois centaines de millions d’assassinés du 20e siècle (si l’on fait le compte global des deux guerres et des génocides racialistes et classistes), siècle le plus « scientifique » pourtant qui soit.

Le tribunal international ad hoc qui sans doute aura à punir tous ces responsables coupables d’envoyer ainsi jusqu’à ces jeunes à la mort devra être sans pitié. Sa main ne devra pas trembler, même s’il s’agit de la si fascinante Milady. 

Ce n’est pas la seule perspective à effleurer, mais comme le mouvement se prouve en marchant, les propositions et positions s’affichent déjà et nous savons ce que nous ne voulons plus. À charge maintenant de reconstruire une nation effective au sens où la France ne doit plus être seulement la « fille aînée de l’Église », mais une Mère souveraine, celle-là même qui signale au Christ que les mariés n’ont plus de vin et malgré sa protestation (de se voir ainsi dérangé dans sa quiétude), Marie indique aux gens « Tout ce qu’il vous dira faites-le »… Ou comment transformer l’eau du quotidien en vin pétillant et délicieux : la vie humaine, en dialogue, permanent, avec ce qui la dépasse. Sans attendre de « sauveur suprême » cependant, ou la quadrature du cercle (Rhombe).


(*Réseau Sentinelles : « En France métropolitaine, la semaine dernière [2021s31, 2-8 août 21], le taux d’incidence des cas d’infection respiratoire aiguë [IRA] vus en consultation [ou en téléconsultation] de médecine générale a été estimé à 75 cas pour 100 000 habitants [IC 95 % [59 ; 91]]. »

* « En France métropolitaine, la semaine dernière [2021s31, 2-8 août 21], le taux d’incidence des cas de diarrhée aiguë vus en consultation de médecine générale a été estimé à 74 cas pour 100 000 habitants [IC 95 % [58 ; 90]]. »)




Le pass sanitaire bientôt retiré selon Martin Blachier?

[Source : Sputnik France (sputniknews.com)]

[Photo : © AFP 2021 PHILIPPE LOPEZ]

Martin Blachier a indiqué au micro de LCI le 13 août dans l’émission 24h Pujadas que le pass sanitaire serait bientôt retiré par le gouvernement. Le médecin semble pourtant avoir une position floue concernant la vaccination.

Bientôt la victoire pour les opposants au pass? C’est en tout cas ce qu’a affirmé Martin Blachier le vendredi 13 août au micro de LCI dans l’émission 24h Pujadas. Ce même pass qui est entré en vigueur le 9 août pour pouvoir accéder à de nombreux lieux publics comme les cafés, les restaurants ou les infrastructures sportives est à l’origine des manifestations qui se déroulent dans tout le pays depuis un mois.

D’après Blachier, le gouvernement souhaitait augmenter la couverture vaccinale et «ils l’ont eu». Il poursuit en affirmant que le pass est un boulet pour l’exécutif et qu’Emmanuel Macron l’a compris puisqu’il «ne parle que de la vaccination». Le médecin développe son propos en affirmant que le Président n’a jamais défendu l’idée du pass sanitaire et laisse ce rôle à Gabriel Attal et Olivier Véran, qui eux-mêmes se retrouvent en porte-à-faux vis-à-vis de leurs convictions.

«Le gouvernement est dans un moment charnière, ils vont faire semblant d’être encore pour ce pass sanitaire, pour que les gens continuent de se faire vacciner en se disant j’en aurai besoin, mais en même temps il ne faut pas qu’ils disent qu’ils vont le retirer rapidement. Ça va être un moment difficile à gérer.»

Un fervent opposant au pass sanitaire?

Le docteur Martin Blachier est un habitué des plateaux télé ces derniers jours. Le 9 août, toujours sur LCI, il avait affirmé que le pass sanitaire n’était d’aucune utilité s’il n’était plus un moteur du nombre de vaccinations journalières. Hier encore sur Cnews, il affirmait qu’il créait des conditions pour que les gens se contaminent entre eux. Il ajoutait que son utilité était en train d’être réfutée puisqu’au niveau international de nombreux scientifiques affirment que ce n’est pas la solution. Et que le gouvernement allait devoir étudier d’autres options puisqu’on «ne peut plus rien faire».

​Une prise de position floue concernant la vaccination

Si ces dernières prises de parole peuvent sembler apporter un peu d’espoir aux anti-pass sanitaire, il faut malgré tout prendre du recul. En effet, dans le même temps et à plusieurs reprises dans différentes émissions de LCI et Cnews, Martin Blachier évoquait qu’au niveau mondial les gouvernements privilégient le passeport vaccinal, une solution dont il serait plutôt partisan. Paradoxalement, il affirmait hier que le vaccin, en particulier celui de Pfizer «ne protège pas si bien que cela».

Si on analyse ses prises de position, on sait qu’il est de manière ferme et convaincue un partisan de l’obligation vaccinale pour les personnes âgées et les adultes, mais qu’il y est opposé pour les enfants, lui-même en ayant en bas âge. Des propos qu’il a lui-même martelés à plusieurs reprises au printemps dans diverses émissions.

​Enfin, il est fermement opposé aux anti-vax qui n’ont rien à voir avec les opposants au pass sanitaire. Selon Blachier, ils «sont sans scrupules et utilisent les pires méthodes qui font extrêmement mal dans le monde entier». Pour lui, Emmanuel Macron «a eu raison d’être ferme face à ces gens parce qu’il ne faut pas être mou face à (eux)».




Une étude révèle que les enfants nés pendant le confinement ont perdu des points de QI et présentent des troubles du fonctionnement cognitif

[Source : anguillesousroche.com]

Le manque de contact humain et les masques sont à blâmer.

Une nouvelle étude a révélé que les scores moyens de QI des jeunes enfants nés pendant la pandémie ont chuté de 22 points, tandis que les performances verbales, motrices et cognitives ont toutes souffert du confinement.

« Avec une stimulation limitée à la maison et moins d’interaction avec le monde extérieur, les enfants de l’époque de la pandémie semblent avoir obtenu des résultats étonnamment bas aux tests conçus pour évaluer le développement cognitif », rapporte le Guardian.

L’étude a été menée par des chercheurs de l’Université Brown et a porté sur 672 enfants nés à la fois avant et après le début de la pandémie, en mars 2020.

« Au cours de la décennie précédant la pandémie, le score moyen de QI aux tests standardisés pour les enfants âgés de trois mois à trois ans tournait autour de 100, mais pour les enfants nés pendant la pandémie, ce chiffre a dégringolé à 78 », selon l’étude.

Les chercheurs ont conclu que la principale raison de l’altération du fonctionnement cognitif était le manque de stimulation et d’interaction à la maison.

Selon l’auteur principal de l’étude, Sean Deoni, « la capacité à rectifier le tir diminue à mesure que l’enfant vieillit », ce qui signifie que cette base inférieure risque d’avoir un impact sur l’enfant tout au long de l’adolescence et jusqu’à l’âge adulte.

Comme le note Michael Curzon, tous ces facteurs ont été exacerbés par les mesures d’enfermement qui tenaient les bébés et les jeunes enfants à l’écart des autres enfants, ainsi que par les masques.

« Les enfants nés au cours de la dernière année de confinement – à un moment où le gouvernement a empêché les bébés de voir des parents âgés et d’autres membres de la famille élargie, de socialiser dans les parcs ou avec les enfants des amis de leurs parents, et d’étudier les expressions des visages derrière les masques des habitants dans les espaces publics intérieurs – ont des performances verbales, motrices et cognitives globales considérablement réduites par rapport aux enfants nés avant, selon une nouvelle étude américaine. Les tests sur l’apprentissage précoce, le développement verbal et le développement non verbal ont tous donné des résultats très inférieurs à ceux des années précédant les confinements. »

L’étude a été menée dans l’État de Rhode Island et portait sur des enfants majoritairement blancs.

Le sort des enfants issus de milieux socio-économiques moins favorisés, dont la plupart ne sont pas blancs, sera probablement bien pire.

Cependant, ne vous attendez pas à ce que de nombreux gauchistes, qui ont en général soutenu avec véhémence les confinements draconiens, s’en soucient beaucoup.




Italie, Espagne, ces pays où le passe sanitaire est remis en question par des magistrats et des tribunaux

[Source : medias-presse.info]

Par Francesca de Villasmundo

Il n’a fallu que quelques jours, ou semaines, pour que le passe sanitaire ait du plomb dans l’aile en Espagne et en Italie.

En Espagne, pays décentralisé, le passe sanitaire ne passe pas : en Galice, c’est le tribunal régional qui vient d’en suspendre l’usage estimant que la décision a été prise par le gouvernement régional sans l’en informer. Décision prise ce jeudi 11 août par la justice de la communauté autonome de Galice. Cette suspension concerne les bars, les restaurants et les boîtes de nuit. D’après plusieurs médias espagnols dont ElPeriodico.com, la décision prise par le gouvernement galicien de rendre obligatoire ce passe sanitaire a été attaquée par la justice régionale qui accuse le gouvernement autonome de ne lui avoir jamais soumis cette mesure. La mise en place du passe sans que le tribunal régional n’en soit informé avait été prise par Alberto Nunez Feijoo, actuel président de la région de Galice, lequel avait présenté une loi sanitaire en novembre 2020 pour infliger une amende de 3 000 euros aux Galiciens qui refusent la vaccination.

La décision de justice de Galice suit celle identique du tribunal de justice des îles Canaries qui a aussi suspendu le passe sanitaire le 29 juillet dernier. Le média espagnol Eldiario.es explique que la justice a pris cette décision estimant que des droits ont été bafoués. La justice de deux autres communautés autonomes espagnoles (Cantabrie et Andalousie) ont également suspendu le passe Sanitaire au début du mois d’août comme le révèlent plusieurs sources dont ABC.es.

En Italie, la contestation contre le« Green Pass » a, à sa tête, des magistrats. « Un document publié dans le journal officiel de la Magistrature Démocratique, le courant historique des juges de gauche évoque ”une violation de la constitution”, peut-on lire dans le quotidien italien Il Giornale.it. Les mots sont plus que durs envers le gouvernement en place : cette violation, écrivent les magistrats, est voulue par « gouvernement aplati sur la logique de l’urgence » et réalisée grâce à « un pouvoir policier généralisé ».

« Il s’agit en fait d’une sorte d’appel aux robes rouges dans toute l’Italie, écrit Il Giornale, pour empêcher les mesures gouvernementales anti-Covid de se concrétiser : le décret sur le pass vert “devrait être inappliqué”. Et l’attaque implique aussi toute hypothèse de sanctions à l’encontre de ceux qui ne vaccinent pas : “Son refus doit être protégé et non recouvert d’un moralisme apocalyptique”. »

« Le document a un titre explicite, continue l’article italien, Sur le devoir constitutionnel et communautaire de non-application du décret du laissez-passer vert, et a été publié dans le dernier numéro de Questione Giustizia, le magazine officiel de Md. Il n’est pas signé par des magistrats mais par un groupe de constitutionnalistes réunis sous le sigle « Future Generations ». Mais il est clair que la décision de publier le document sans prendre aucune distance signifie qu’au sein du courant, la ligne de pensée s’est enracinée. En revanche, déjà ces derniers jours sur certains chats internes à l’Association nationale des magistrats, le document avait été divulgué par des membres de Md connus pour contester ouvertement la stratégie gouvernementale de lutte contre la pandémie.

(…)Le décret-loi, selon le document, produit ”des effets de discrimination multiples”, et ”finirait par constituer l’imposition indirecte d’une obligation de vaccination (…) il aboutirait à la violation de la liberté individuelle”. Et tout cela pour imposer un vaccin “encore en phase expérimentale n’ayant obtenu qu’une certification d’urgence” et malgré “le manque de preuves sur sa capacité à limiter l’infection”.

(…) Le texte attaque également la possibilité pour les gestionnaires de lieux publics de vérifier le certificat vert : qui se définit comme un ”transfert de pouvoirs de police à des sujets totalement non qualifiés” ; et l’attribution de cette faculté aux gérants est définie ”de faible soutenabilité juridique” : un ”modèle de régulation fluide et invasif qui met en grande tension toutes les garanties des libertés individuelles telles qu’elles nous sont transmises par nos Constituants” ».

Le document des magistrats de gauche se conclut par cet avertissement : « les vaccins anti Covid 19 peuvent être raisonnablement encouragés mais pas imposés, même pas à des catégories à risque ». Sinon le droit à la santé collective devient un « droit tyrannique ».

Francesca de Villasmundo




Le trans-numérique contre le pétrole

[Source : plumenclume.org]

Par ISRAEL ADAM SHAMIR

Commençons par une bonne nouvelle. Un mois d’août resplendissant, le dernier mois d’été, a béni le Nord ! Le soleil brille, les lacs sont encore assez chauds pour la baignade, les champignons sont prêts à être cueillis, les framboises sauvages sont pourpres et sucrées, les fauves rousseurs de Bambi gambadent dans la forêt qui s’étend jusqu’à notre maison d’été ; Dieu est dans son paradis – tout va pour le mieux ! À moins que….? Malgré les efforts incessants pour nous faire basculer dans la panique et le désespoir, on ne jette pas si facilement ce monde robuste dans la tourmente, et il y a même des signes d’amélioration (même si des nuages orageux planent toujours à l’horizon).

Les gens quittent les grandes villes pour s’installer dans des villes plus petites, inversant ainsi une longue tendance. Les capitales surpeuplées ont commencé à se débarrasser de leurs habitants excédentaires. Stockholm a commencé à libérer sa population ; Moscou fait de même. Les Russes innovateurs réfléchissent à des plans pour reconstruire leur capitale dans la lointaine Sibérie, laissant Moscou en plan. Les salaires des ouvriers agricoles et dans le bâtiment augmentent, car les travailleurs invités ne sont pas faciles à trouver. Alors que le flux de migrants et de réfugiés se tarit, oui, les salaires des travailleurs ont commencé à augmenter.

Les voyages internationaux sont devenus si compliqués que seuls les très riches ou les très obstinés s’aventurent encore à l’étranger, de sorte qu’il y a davantage de tourisme intérieur – une activité qui était presque éteinte. Pourquoi un Suédois, un Britannique ou un Russe sain d’esprit passerait-il des vacances dans son propre pays, alors qu’il est moins cher et plus exotique d’aller en Espagne, en Turquie ou en Grèce ? Maintenant, avec ces entraves sans fin, ils préfèrent dépenser leur temps et leur argent dans leur propre pays. Un Suédois découvrira les forêts de montagne de Bergslagen ou la ville médiévale de Gotland ; un Russe pourra visiter les monastères de Vologda, oubliés il y a des siècles dans la nature sauvage du Nord, ou parcourir les magnifiques montagnes de l’Altaï ; un Britannique, au lieu des îles Canaries, pourra désormais se rendre dans les rudes Cornouailles ou visiter la majestueuse cathédrale de Salisbury. Nous n’avions jamais été très sensibles à la mondialisation, et notre désir a été exaucé : la mondialisation, c’est fini. Il s’agit sans aucun doute d’un résultat positif d’une évolution très négative.

Cependant, le durcissement des régimes se poursuit partout dans le monde. Certaines libertés élémentaires dont personne ne doutait, si élémentaires que nous ne savions même pas qu’elles étaient des libertés, comme aller au bistrot, allumer une cigarette, conduire sur quelques kilomètres, discuter avec les copains, flirter avec les filles, dépenser son argent de poche, dire ce que l’on pense, tout cela a été balayé comme l’ivraie sur l’aire de battage. Le droit de se réunir, de manifester, de décider de son propre sort, et même le droit de disposer de son propre corps sont désormais considérés comme insalubres et crapuleux. Les autorités prétendent toujours le faire dans notre intérêt, parce qu’elles savent ce qui est le mieux pour nous.

Il y a quelques années, elles se sont attaquées aux fabricants de tabac ; les juges les ont déclarés coupables de chaque cas de cancer et leur ont imposé des milliards d’amendes. Les gens ont applaudi ; personne n’aime les grandes entreprises. Ce n’est que plus tard qu’elles ont commencé à rendre la vie impossible aux personnes qui avaient cette innocente habitude. Maintenant, ils s’en prennent aux compagnies pétrolières. Elles sont grandes et sales ; personne ne les aime. Mais très bientôt, nos factures de chauffage, nos frais de transport et de nourriture vont monter en flèche. Et nous découvrirons alors que se chauffer en hiver n’est pas un droit naturel, mais un grand luxe.

Aujourd’hui, le prix du pétrole a de nouveau baissé, poursuivant la tendance à la baisse. Pourtant, le prix à la pompe ne baisse jamais, et nous ne pouvons donc pas profiter de ce résultat de la guerre du pétrole. Mais quelqu’un en profite : les géants du numérique. Le pétrole mammouth a été vaincu dans le discours par des géants numériques élégants. Il y a vingt ans, lorsque les États-Unis se sont lancés dans les guerres du Moyen-Orient, il était de bon ton de qualifier chacune d’entre elles de « guerre du pétrole », à moins d’être prêt à faire face à une accusation d’antisémitisme (à Dieu ne plaise !). C’est en vain que nous faisions remarquer que Big Oil n’avait pas besoin du pétrole irakien et ne pouvait pas en tirer profit. Nous avons fait remarquer que l’Afghanistan n’avait pas de pétrole, mais l’invasion était toujours présentée comme une guerre pour le pétrole. Les compagnies pétrolières étaient impuissantes à contrer l’accusation sans pointer du doigt Israël, et elles n’ont pas bronché, elles ont gardé un silence de pierre.

Maintenant, nous avons une offensive sérieuse contre les compagnies pétrolières. Les démocrates ont rédigé un projet de loi visant à taxer Exxon, Chevron et une poignée d’autres grandes compagnies pétrolières et gazières, en affirmant que les plus grands pollueurs du climat devraient payer pour les inondations, les incendies de forêt et autres catastrophes que les scientifiques ont liées à l’usage de « combustibles fossiles ». La taxe devrait rapporter 500 milliards de dollars pour la prochaine décennie. Avant de vous réjouir de la chute des grands pétroliers bellicistes, n’oubliez pas qu’ils transféreront chaque centime de cette taxe sur vous, leurs clients. Et qui fait pression pour cette taxe ? Nos chers philanthropes, dit le New York Times :

« Ces compagnies pétrolières et leurs dirigeants sont de loin les parties les plus responsables de la crise climatique », a déclaré Lee Wasserman, directeur du Rockefeller Family Fund, un groupe philanthropique qui a contribué à l’élaboration de la législation proposée. Les compagnies pétrolières ont accusé le Rockefeller Family Fund de financer une conspiration climatique en finançant des recherches qui ont été utilisées dans des litiges contre l’industrie des combustibles fossiles. 

L’histoire remonte à 2016, lorsque la famille Rockefeller a été accusée d’encourager et de financer les enquêtes et les campagnes contre les compagnies pétrolières. Nous poursuivons dans la version non payante, et donc tout public: 

Les deux organisations journalistiques qui ont enquêté sur l’Exxon Mobil ont été financées par des philanthropies Rockefeller, bien que les organisations disent que leurs donateurs n’ont aucun regard sur ce qu’ils écrivent.

Elle est bien bonne, celle-là! Les donateurs seraient donc aussi susceptibles de soutenir The Unz Review que les publications qu’ils soutiennent effectivement, hum!

Les Rockefeller ont également soutenu des groupes comme Greenpeace et 350.org qui ont enquêté et critiqué l’entreprise. Une conférence sur le pétrole et le climat s’est tenue dans les bureaux partagés par deux fonds de la famille Rockefeller avec l’intention « d’établir dans l’esprit du public qu’Exxon est une institution corrompue qui a poussé l’humanité (et toute la création) vers le chaos climatique et de graves dommages ». Alan Jeffers, un porte-parole d’Exxon Mobil, a déclaré dans une interview : « À chaque fois que nous avons vu l’entreprise faire l’objet d’attaques, il y avait un lien de retour vers le Fonds des frères Rockefeller ou le Fonds de la famille Rockefeller. »

Pour nous, il est particulièrement pertinent que le plus ancien scénario connu de la pandémie de Covid et de la réponse privilégiée à celle-ci (Lockstep 2010 – et voici un « déboulonnage de cette accusation » plutôt ridicule) ait été créé par cette même famille Rockefeller, ce vieil ennemi de l’humanité. Leur emprise unique sur les États-Unis avait été ostensiblement brisée en 1911 par une décision de la Cour suprême, mais comme l’hydre mythique, elle s’est fait repousser de nouvelles têtes et elle est revenue à ses vieux jeux de contrôle. Le Covid et l’Agenda vert semblent être inséparables comme des frères siamois, tous deux nés et militarisés par la grâce de ces « philanthropes » internationaux.

Il n’y a pas si longtemps, ils nous exhortaient à nous débarrasser de nos fidèles réfrigérateurs parce qu’ils provoquaient des « trous dans la couche d’ozone » ! Personnellement, je m’en tape, du Green Deal et de son austérité obligatoire.

Sous la bataille bruyante contre les compagnies pétrolières, l’économie réelle est tranquillement étranglée par l’économie numérique. Vous pouvez choisir de regarder encore plus profondément dans le terrier du lapin d’Alice au pays des merveilles,  et d’entrevoir ce qui se cache en dessous. Vous y découvrirez le programme transhumaniste, une idée singulière qui consiste à créer des surhommes androïdes et à se débarrasser des humains ordinaires. La négation de Dieu est à la base de cette idée. Nietzsche l’a popularisée au début du XXe siècle, après avoir lancé sa célèbre boutade « Dieu est mort ». C’est Julian Huxley, le frère d’Aldous Huxley, qui lui a donné le nom de transhumanisme.

L’idée a connu un essor dans les périphéries de la pensée soviétique en raison de son environnement totalement impie. La version pop se trouve dans les livres de science-fiction écrits par les frères Strugatsky. Ils affirment que la transhumanité est la prochaine étape logique de l’évolution, aboutissant inévitablement à des créatures immortelles, connectées à des ordinateurs et incroyablement intelligentes. Les transhumains hériteront de la terre, tandis que les humains ordinaires pourront vivre leur vie naturelle avant de s’éteindre. C’est ici qu’intervient l’idée du revenu de base universel, version moderne du pain et du cirque romains – il s’agit de l’argent que fourniront  les transhumains supérieurs pour permettre aux humains ordinaires de poursuivre leur vie inutile jusqu’à leur disparition naturelle.

Cette étrange idée post-soviétique (ou plutôt anti-soviétique) a été importée dans la Silicon Valley par les informaticiens russo-juifs qui ont formé le noyau de Google. De là, elle s’est répandue parmi le personnel de la haute technologie jusqu’à attirer l’attention des super-riches, qui ont toujours voulu être spéciaux et pas seulement riches. Yuval Noah Harari, écrivain israélien à succès, est devenu l’un des prophètes du transhumanisme, niant l’existence même d’une âme humaine et du libre arbitre. [en anglais :]

Le transhumanisme est la base idéologique de la Wokerie (ou Wokisme ou Wokitude), une façon particulière de parler et de penser qui souligne le statut spécial et supérieur de chacun. Selon Scott Alexander, la wokitude est une religion à mystères inventée par des universitaires pour se sentir supérieurs à vous. Les gens ordinaires n’aiment pas ça, mais on leur fait comprendre que les wokes ont plus d’argent et de pouvoir, et que c’est une raison suffisante pour faire comme eux. C’est une foi, mais ce n’est pas une foi pour tout le monde comme l’était le christianisme. C’est une foi pour la classe dirigeante. La version arienne du christianisme constituait une foi semblable pour les dirigeants de l’Espagne wisigothique jusqu’à ce que les Maures viennent gâcher la fête. La foi judaïque est un autre exemple de religion pour l’élite, faisant de la vie des masses un véritable enfer. Vous ne pouvez pas comprendre les temps que nous traversons si vous n’êtes pas au courant de cette foi cachée de nos supérieurs.

Les transgenres sont exaltés et promus par les médias appartenant à l’élite pour préparer l’humanité à l’avènement du transhumain. Idem pour les vaccins covididiques qui sont promus et poussés avec une vigueur sans précédent. Cela n’est pas fait dans le but de tuer l’humanité, comme le soupçonnent les anti-vaxx, ni dans le but de nous sauver tous du redoutable covid, comme le croient les vaxxeurs. C’est un pas dans la direction de la transhumanité. L’économie numérique, le revenu de base universel, la transsexualité et les vaccins ARNm obligatoires constituent une stratégie d’évolution rapide dont les visionnaires d’aujourd’hui espèrent qu’elle préparera les masses à accepter une super-race transhumaine.

Mais ce sont des choses qui visent loin et profond. Il y a beaucoup d’escroqueries à réussir avant que leur rêve puisse se matérialiser. Revenons au niveau observable, à la lutte actuelle pour l’énergie. La pandémie de Covid a diminué la demande de pétrole en 2020 et 2021, ce qui a permis à l’agenda vert de se développer. Ce n’est pas suffisant ; l’avenir des Verts a besoin d’une autre attaque contre le pétrole, et le variant Delta de Covid fournira l’occasion. La chute actuelle des prix du pétrole a été interprétée comme l’anticipation de reconfinements imminents, tout d’abord en Israël, pays fortement vacciné. Aux États-Unis, malgré une forte vaccination urbaine, on compte 250 000 nouveaux cas par jour, et on entend des demandes stridentes de limitation de l’activité commerciale.

La Chine est un acteur puissant face à Big Oil ; elle dispose de peu de pétrole en propre ; elle est obligée de l’acheter à l’étranger et a donc tout intérêt à faire baisser les prix du pétrole. C’est pourquoi, bien que la Chine compte un nombre dérisoire de personnes souffrant de covidie (125 nouveaux cas ! mille fois moins qu’aux États-Unis), elle limite toujours fortement les voyages. La version chinoise de Google, Baidu, indique que le trafic à Pékin a baissé de 30 % par rapport à la semaine dernière. Bien sûr, nous pourrions expliquer ces mesures draconiennes en invoquant le respect de la Chine pour la vie humaine, mais leur participation à la guerre mondiale du pétrole l’explique peut-être mieux. Les Chinois continuent tranquillement à faire tourner leur économie au charbon, ce qui montre à quel point leurs partenaires verts dans la guerre du pétrole ne craignent pas le changement climatique. Idem pour les États-Unis : Un projet d’accord visant à mettre fin à l’exploitation du charbon n’a pas été repris dans le communiqué de la réunion du G7 de juin en Grande-Bretagne, apparemment parce que l’administration Biden craignait une réaction négative dans le pays.

De toute façon, le client, c’est-à-dire vous, finira par payer plus cher ; en tout cas, c’est l’idée. En Europe, les prix du gaz naturel ont grimpé de 1000 %, rapporte Bloomberg ; le gaz n’est plus bon marché, mais il reste nécessaire pour réchauffer les Européens au cours de l’hiver à venir. Voilà ce qui se passe: le prix est élevé parce que les bureaucrates de l’UE ont basé leurs calculs sur les prix au comptant, qui sont généralement moins chers que les prix des contrats à long terme, et qu’ils avaient prévu d’entuber les fournisseurs de gaz naturel russes, mais ces derniers jours, la tendance s’est inversée en raison du déficit de gaz et de l’augmentation de la demande.

Les Russes étaient censés être les premières victimes de l’agenda vert, du Covid et de la tarification du gaz naturel au comptant, mais apparemment, le grand judoka Poutine-san est une fois de plus sorti vainqueur. Le prix du gaz au comptant était censé appauvrir la Russie, mais il lui a apporté la richesse. L’attaque contre les compagnies pétrolières américaines et britanniques par les pourvoyeurs du Green Deal a, contre toute attente, fait le jeu des compagnies pétrolières russes. La Russie devra payer une taxe climatique, mais cette dépense sera répercutée sur leurs clients internationaux. Le Green Deal a déjà fait de la Russie le deuxième exportateur de pétrole vers les États-Unis, après le Canada.

Le gaz naturel russe arrivera très bientôt, peut-être avant la fin du mois d’août, en Allemagne par le North Stream II, le nouveau gazoduc achevé la semaine dernière. C’est exactement à temps pour contrer la hausse des prix, alors qu’un déficit gazier se fait sentir dans toute l’Europe. Le président Biden a accepté, dans un accord semi-secret avec la chancelière Merkel, de lever les objections américaines au gazoduc européen. L’une des raisons invoquées est une pénurie mondiale de gaz naturel, la Chine et l’Asie du Sud-Est en achetant de plus en plus. Cela aussi est lié au Green Deal, car ses concepteurs considèrent que le gaz naturel est le moins polluant et le moins dommageable des combustibles naturels.

Cette évolution a permis à Poutine de couper l’herbe sous le pied aux autorités ukrainiennes qui avaient tenté de jouer les premiers violons dans l’orchestre anti-russe. Jusqu’à présent, le gaz naturel russe était acheminé vers l’Europe par d’anciens gazoducs de construction soviétique traversant l’Ukraine et entraînant de lourdes taxes de transit au profit de Kiev. Désormais, avec l’achèvement de North Stream II, la majeure partie du gaz ira directement en Allemagne. Le gaz européen deviendra considérablement moins cher ; les Ukrainiens avaient l’habitude de voler une grande partie du gaz destiné à l’Europe occidentale, oscroquaient les deux parties pour les frais de transit. Cela signifie que l’Ukraine aura moins de bénéfices pour jouer ses petits jeux anti-russes. Il n’est pas impossible que le peuple ukrainien comprenne que son avenir réside dans l’amitié avec la Russie, car l’inimitié ne lui a rapporté aucun bénéfice. Selon un récent sondage, près de la moitié des Ukrainiens vivant à l’est et au sud de ce pays fragmenté ressentent une grande affinité avec les Russes et approuvent la vision de M. Poutine selon laquelle les Ukrainiens et les Russes ne forment qu’un seul peuple. Les prix du pétrole et les gazoducs font des merveilles dans l’esprit des gens !

Dans mon récent article, le professeur Roman Zubarev parle de ces changements en termes de « pic pétrolier », le concept d’un déclin inévitable des combustibles naturels extraits. Il y a une dizaine d’années, le pic pétrolier faisait fureur dans les médias, mais depuis, il n’est pratiquement plus mentionné. Cependant, une analyse récente de Fred Pierce, analyste de YaleEnvironment 360, arrive à la même conclusion et va même plus loin : Le pic pétrolier est déjà derrière nous. Apparemment, cela s’est produit en 2019. En mai dernier, des militants en colère contre les politiques climatiques d’ExxonMobil ont remporté trois sièges au sein de son conseil d’administration ; les actionnaires de Chevron ont voté pour obliger l’entreprise à commencer à réduire ses émissions ; et un juge néerlandais a décidé que Shell devait réduire ses émissions de 45 % d’ici 2030. Le pétrole est en voie de disparition, tout comme les voyages et les nombreux autres plaisirs que nous goûtions jadis. Seul l’avenir nous dira si le pétrole a disparu parce que nous n’en avons plus ou parce qu’il a été déclaré démodé, mais dans tous les cas, les élites inspirées par le numérique et le transhumanisme ont décidé de le mettre à la retraite.

Nous pensons que la principale victime de tout cela sera le consommateur américain. Le maladroit Donald Trump se souciait de ce grand pays et de ses habitants, mais n’a pas pu faire grand-chose ; les élites qui s’abreuvent maintenant aux sources du pouvoir ne pourraient pas se soucier moins des Américains ordinaires. Elles ont une vision plus élevée de la transformation de l’humanité et du remodelage de son cours. C’est vous qui paierez pour cela, que cela vous plaise ou non, mais ça, ils s’en moquent.

Les États-Unis de Biden ont moins d’appétit pour les aventures militaires ; l’idéologie du woke est fortement anti-testostérone. C’est une raison suffisante pour le retrait de l’Afghanistan et de l’Irak. On ne peut pas s’attendre à ce que les wokes veuillent aller se battre dans des pays du tiers-monde, loin des plaisirs urbains de New York et de la Californie. Et si leur idéologie élitiste, ou trans-foi, est abominable, mais les conséquences internationales pourraient être positives pour le monde.

En résumé

Nous vivons une lutte titanesque entre un futur numérique contre notre passé pétrolier. Cela explique une grande partie du drame covidique. Dans cette lutte, la Chine, sans pétrole, s’oppose à Big Oil, même au prix de lourdes restrictions et de blocages pour sa population. La Russie s’abstient de participer à l’attaque du « Green Deal » contre les producteurs de pétrole américains, tout en profitant de la hausse de la demande de gaz russe. La Russie dispose de son propre vaccin, elle est donc plutôt à l’abri des pressions orchestrées par les pandémies. L’Afghanistan et l’Irak ne sont plus d’actualité pour les élites de Biden ; elles ont des combats plus urgents à mener chez elles, avant tout contre les nationalistes américains. C’est pourquoi l’empire se retire. En fin de compte, les transhumanistes impies seront vaincus, comme l’ont été tous leurs prédécesseurs, à moins qu’ils n’atteignent d’abord leur « Singularité » (leur nom pour l’avènement de l’Antéchrist). Mais ne nous inquiétons pas trop de l’avenir, car il est dit (Mt, 6:34) : « ne vous inquiétez donc pas du lendemain, car le lendemain aura soin de lui-même. À chaque jour suffit sa peine ».

https://www.unz.com/ishamir/trans-digital-vs-oil/

Écrit en collaboration avec Paul Bennett.

Joindre l’auteur: israelshamir@gmail.com

Traduction: MP.




Pourquoi les intellectuels de gauche ont-ils eux aussi viré hygiénistes totalitaires ?

Par Lucien Samir Oulahbib

La riposte de Jean-Paul Bourdineaud(([1] Professeur à l’Université de Bordeaux, où il enseigne la biochimie, la microbiologie et la toxicologie environnementale tout en étant chercheur dans ces divers domaines)) à l’attaque en dessous de la ceinture de Charlie Hebdo et de Libération qui ont franchi allègrement le point Godwin (« à droite d’Hitler » en gros) en présentant les contestataires de l’actuelle politique dite « sanitaire » comme étant(([2] selon ce qu’en rapporte Bourdinaud)) « une bande d’obscurantistes totalement déraisonnables, anti-scientifiques, voire sectateurs, et penchant vers l’extrême-droite (celle trumpienne, au minimum) » en dit long sur les prétentions (non étonnantes à vrai dire) de toute une frange de pseudo-intellectuels tels Enthoven, Naulleau, Onfray, BHL, Ferry (le journal Marianne et le site Mediapart ostracisant on l’a déjà dit ici Mucchielli) et cherchant obstinément à continuer de donner le La (malgré leurs échecs retentissants dans tous les domaines), comme ils l’ont toujours fait en réalité, y compris et surtout en matière de santé si l’on entend par là (suivant ici Descartes dans la 6° partie du Discours de la Méthode, 192-193*) une certaine manière de penser notre corps dans le monde.

Ils en sauraient plus, en soi, comme ça, et c’est dit, un point c’est tout, en tout cas bien plus, mais oui, que tout le monde, en particulier à « droite » (qui a trop confiance en la « nature », en son système immunitaire, car celui-ci semble être [pour ces intellectuels] une relique, un dernier terrain vague…). D’où cette prégnance présente d’histrions et d’écrivaillons qui bien qu’étant complètement incompétents en matière de santé (ne parlons pas d’économie, de politique étrangère, mais aussi de philosophie, de littérature, d’arts…) viendront railler un Raoult, un Perronne, une Henrion-Caude, parce que pour eux, mais oui, la messe est dite face à ce virus présenté façon nouveau conte de Grimm comme étant effroyablement monstrueux, pire que la peste, bien sûr ma bonne dame, qui ravage jusqu’aux jeunes (un ici et là), d’où la nécessité « vaccinale », solution unique au-dessus de tout (über alles), alors que pour les corona aux variants innombrables, même les vétérinaires ont abandonné, par exemple s’agissant des chats, tant l’hécatombe des effets secondaires s’avérait pire que le mal. Mais que nenni ! mon bon monsieur. Taïaut, taïaut, à cheval sur son baudet, Don Quichotte armé de sa seringue bionique vient ainsi épauler les nouveaux dragons déguisés en moulins à paroles. Peu importe si cela touche plutôt certaines catégories et les pays dits « développés » (l’hécatombe prévue en Afrique et en Asie ne vient pas. qu’à cela ne tienne, fourguons-leur le Remdesivir et les « vaccins » quitte à graisser la patte de dirigeants déjà corrompus) et en avant pour l’injection des… bambins (nouveaux babouins) !…

Cette génération « je sais tout », à force de réagir dans les émissions d’opinion sur n’importe quoi, s’est (dé)construit un ego si hypertrophié que toiser de haut un spécialiste critique s’avère être une billevesée, une chiquenaude, surtout lorsque l’on trône dans les Salons qui comptent sur des milliers de « followers » (ex-groupies). Et puis une piquouse de plus ou de moins, entre deux shoots de coke, d’amphé, d’opioïdes et quelques bidouillages « high tech », tous azimuts (insémination, blocage hormonal…), what a big deal my dear fellow… [« quelle grosse affaire mon cher ami !… »]

Si l’on creuse un peu maintenant, quoique toujours trop rapidement, vers quelques profondeurs analytiques, il s’avère que toutes ces prétentions en matière de santé sont la continuité quasi directe de toutes les vieilles railleries possibles et inimaginables sur lesdites bondieuseries « réactionnaires, obscurantistes » — aujourd’hui « complotistes » — (telles les méditations, recherches de sérénité via la sophrologie, l’homéopathie) et autres « remèdes de bonne femme » dans lesquels sont de plus en plus catalogués ces savoirs ancestraux (jusqu’à traquer la lavande désormais) qui soignaient bon an mal an les maux physiques et mentaux (au-delà des manques évidents en matière de conservation de la nourriture, de lutte contre les mauvaises moisissures, contaminations liées aux égouts à ciel ouvert). Tous ces remèdes ressurgissent aujourd’hui cependant depuis les années « new Age » par toute une naturopathie et autres « médecines douces », les ayant désormais triés avec le bon dosage. Or la pensée dite « logique » (puis « matérialiste ») et se prétendant issue des « Lumières » a toujours choisi les remèdes académiques normés (que raillèrent Molière et Romains…) et écarté les gêneurs (Pasteur [Ndlr : Pasteur semble pourtant, au contraire d’un Béchamp tombé dans l’oubli, être très encensé par le côté académique ou matérialiste.], Mendel, Einstein…) suivant ici les « scolastiques » (Galilée, Bruno…), hormis un très bref intermède de sympathie avec les mouvements « romantiques » à la suite de Rousseau et Goethe (alliant Poésie et Science) et autres « symbolistes (les Parnassiens), jusqu’aux « surréalistes », alors que la plupart de ces « éclairés » aura peu à peu arrimé son supposé « réalisme » (pétri de biais idéalistes) vers un naturalisme physicaliste qui circonscrit les phénomènes charnels, y compris « inconscients », a des « forces » forcément obscures qu’il s’agit de dompter, canaliser, éradiquer, aseptiser, telles ces eaux sauvages que les barrages savants des « castors » labellisés made in Science viennent domestiquer

Le tout en reproduisant tous les travers pourtant dénoncés par une innombrable littérature à propos de « l’absolutisme », de « l’ordre moral », de la « dictature bourgeoise » sur les cœurs, les corps et leurs esprits, déployant ainsi sous nos yeux toute une panoplie inquisitrice que l’on croyait révolue à l’heure du « relativisme post-moderne ». Aujourd’hui celui-ci s’avère encore pire que l’absolutisme d’antan (y compris au niveau « écologique », sommant certaines tribus africaines d’abandonner leurs coutumes afin de sauver des « espèces en danger » — ne parlons pas du climat ni des rapports politiques du GIEC, nouveaux contes de Grimm là aussi), ayant cependant, il est vrai, substitué la mort sociale à la mort physique, cette dernière étant cependant pourtant là, mais cela ne se voit pas, tant les corps réduits aux choix « multiplex » manifestent encore leur « esprit critique » par des variations insignifiantes au sein d’une culture de plus en plus réduite à l’état de ruines, mais illuminées (dernier « cri » de l’Aufklärung)…

Au fond, que serait une « riposte laïque » dans sa profondeur de champ sinon renouer avec cet esprit que la gauche comme la droite ont « détruit » ? Ou comment permettre à tout un chacun d’avoir l’audace de penser hors des tutelles thuriféraires ? Sapere aude ! disait le vieux Kant, ce « questionniste » complotiste avant l’heure, selon nos grands penseurs (de TPMP à l’Institut)…

Descartes, Discours de la Méthode, 192/193 :

« (…) sitôt que j’ai eu acquis quelques notions générales touchant la physique, et que, commençant à les éprouver en diverses difficultés particulières, j’ai remarqué jusques où elles peuvent conduire, et combien elles diffèrent des principes dont on s’est servi jusques à présent, j’ai cru que je ne pouvois les tenir cachées sans pécher grandement contre la loi qui nous oblige à procurer autant qu’il est en nous le bien général de tous les hommes : car elles m’ont fait voir qu’il est possible de parvenir à des connoissances qui soient fort utiles à la vie ; et qu’au lieu de cette philosophie spéculative qu’on enseigne dans les écoles, on en peut trouver une pratique, par laquelle, connoissant la force et les actions du feu, de l’eau, de l’air, des astres, des cieux, et de tous les autres corps qui nous environnent, aussi distinctement que nous connoissons les divers métiers de nos artisans, nous les pourrions employer en même façon à tous les usages auxquels ils sont propres, et ainsi nous rendre comme maîtres et possesseurs de la nature. Ce qui n’est pas seulement à désirer pour l’invention d’une infinité d’artifices, qui feroient qu’on jouiroit sans aucune peine des fruits de la terre et de toutes les commodités qui s’y trouvent, mais principalement aussi pour la conservation de la santé, laquelle est sans doute le premier bien et le fondement de tous les autres biens de cette vie ; car même l’esprit dépend si fort du tempérament et de la disposition des organes du corps, que, s’il est possible de trouver quelque moyen qui rende communément les hommes plus sages et plus habiles qu’ils n’ont été jusques ici, je crois que c’est dans la médecine qu’on doit le chercher. Il est vrai que celle qui est maintenant en usage contient peu de choses dont l’utilité soit si remarquable : mais, sans que j’aie aucun dessein de la mépriser, je m’assure qu’il n’y a personne, même de ceux qui en font profession, qui n’avoue que tout ce qu’on y sait n’est presque rien à comparaison de ce qui reste à y savoir ; et qu’on se pourroit exempter d’une infinité de maladies tant du corps que de l’esprit, et même aussi peut-être de l’affoiblissement de la vieillesse, si on avoit assez de connoissance de leurs causes et de tous les remèdes dont la nature nous a pourvus. (…) »




«Vous tuez la France»

[Source : RT en français]

[Photo : © Frédéric Scheiber Source: Reuters.
Le Premier ministre Jean Castex dans le centre de Carcassonne le 11 août 2021 avec le maire Gérard Larrat lors d’une visite axée sur l’application du pass sanitaire.]

En visite dans l’Aude, le Premier ministre a été interpellé de vive voix par une passante bien décidée à lui signifier son opposition aux restrictions et au pass sanitaire, qui, selon elle, tuent la France, les restaurateurs et les artisans.

Lors de sa visite à Carcassonne (Aude) ce 11 août, le Premier ministre s’est fait interpeller par une passante visiblement très remontée contre la gestion de la crise par le gouvernement, et notamment la mise en place du pass sanitaire. La scène a été captée par les caméras de BFM TV. 

« Et en plus, vous paradez alors que tout le monde là,
on est traités comme des chiens »

« Vous tuez la France monsieur, vous tuez la France et les commerçants. Et vous tuez aussi tous les artisans qui sont en train de mourir, voilà ce que vous faites», a lancé la femme en croisant le cortège du Premier ministre qui déambulait dans les rues de la ville. Et en plus, vous paradez alors que tout le monde là, on est traités comme des chiens », poursuit la passante, véhémente. 

« Je ne parade pas, et je n’ai tué personne, au contraire, j’en ai sauvé. On essaye d’en sauver », se défend alors le chef du gouvernement.

Pas de quoi convaincre son interlocutrice, qui insiste : 

« Je ne pense pas, demandez aux restaurateurs, ils sont en train d’essayer de survivre ici. On peut quand même manger sur une terrasse sans pour autant infecter qui que ce soit je crois, qu’on soit vaccinés ou pas. »

« De toute façon, votre vaccin c’est pas un vaccin », conclut-elle, dans ce qui s’apparente à une référence aux vaccins à base d’ARN messager.

La scène s’est déroulée après le Conseil de défense sanitaire auquel le Premier ministre a assisté depuis la préfecture de l’Aude. Le but de sa visite dans la ville de Carcassonne était notamment de défendre le pass sanitaire le cas échéant, et d’en constater l’application sur le terrain.




Covid : comment l’irrationalité s’est emparée de nos sociétés

[Source : Contrepoints]

[Illustration : Fakurian Design sur Unsplash — Fakurian Design]

Application des travaux de psychologie cognitive au cas de la gestion de l’épidémie de covid

Par Samuel Fitoussi.

Face au covid, il existe un dilemme fondamental entre liberté et santé, entre la sévérité des restrictions et le nombre de vies sauvées. Le rôle des pouvoirs publics est de trouver le bon compromis, à la faveur d’analyses coûts-bénéfices.

Or, depuis dix-huit mois, un certain nombre de biais et d’erreurs systématiques de raisonnement faussent la rationalité des décisions et favorisent la mise en place de restrictions excessives.

Le texte qui suit est une application des travaux de psychologie cognitive au cas de la gestion de l’épidémie.

LE BIAIS D’ANCRAGE

29 janvier 2020. Donald Trump annonce la suspension de tous les vols en provenance de la Chine. La décision est condamnée unanimement : on trouve choquant qu’un homme bafoue avec tant de légèreté la liberté de voyager de millions de personnes.

En juillet 2021, Joe Biden annonce que tout voyageur – même vacciné – provenant de Chine, du Royaume-Uni, d’Irlande, du Brésil, d’Afrique du Sud, d’Inde, d’Iran et de n’importe quel pays membre de l’Union européenne, se verra refuser l’entrée sur le sol américain. Aucune condamnation.

Que s’est-il passé entretemps ?

Dans un magasin, si le premier t-shirt que vous voyez coûte 9 euros, le second à 25 euros vous paraîtra cher. Si le premier t-shirt coûte 50 euros, le second à 25 euros vous paraîtra bon marché.

C’est le biais d’ancrage, mis en lumière pour la première fois en 1974 par Daniel Kahneman et Amos Tversky, psychologues israéliens. Une première information vous fournit un référentiel arbitraire en fonction duquel vous raisonnez ensuite.

Au printemps 2020, face à une situation d’urgence absolue – hôpitaux débordés, pénuries d’équipements et de tests, méconnaissance du virus – la plupart des pays occidentaux se tournent vers une solution de dernier recours : le confinement. Survenu très tôt dans la crise, le confinement crée ce référentiel, ce cadre cognitif par lequel nous évaluons depuis toutes les autres restrictions.

À l’annonce de chaque nouvelle mesure, nous nous souvenons que nous avons accepté pire et en concluons que la nouvelle mesure (restrictions de voyages, couvre-feux à 21 heures, à 20 heures, à 19 heures, à 18 heures, masque à l’extérieur, QR codes pour s’assoir en terrasse) est acceptable.

Et donc, pour en revenir aux États-Unis : en comparaison avec l’interdiction de dépasser les frontières de nos appartements, l’interdiction de franchir certaines frontières nationales nous paraît être un non-évènement.

[Ndlr : ici, il y a un autre facteur probablement aussi déterminant dans l’absence de réactions négatives face à l’annonce de Biden en comparaison du tollé contre celle de Trump, c’est la très forte disproportion de soutien médiatique entre les deux personnages. Trump avait 97 % des médias dominants contre lui, alors que Biden dispose d’un fort support.]

LE BIAIS D’ACTION

Évoqué pour la première fois par les économistes Richard Patt et Anthony Zeckhauser en 2000, le biais d’action désigne la croyance – plutôt logique en apparence – que face à un problème, il est toujours préférable d’agir que de ne pas agir. Le biais explique par exemple pourquoi l’homéopathie plait tant pour soigner des petits maux et pourquoi au football, les gardiens choisissent presque toujours, face à un penalty, de plonger plutôt que de rester au milieu, solution qui leur offrirait pourtant une meilleure chance d’arrêter le ballon.

En janvier 2021, lorsque le gouvernement décale le couvre-feu de 19 heures à 18 heures, l’impact sanitaire est probablement nul (voire négatif puisque l’on incite aux rassemblements intérieurs) mais au moins, on ne reste pas les bras croisés.

En juillet 2021, les maires ou préfets qui rétablissent l’obligation du port du masque en extérieur ne sauvent aucune vie, mais peuvent mieux se regarder dans la glace : ils agissent.

Dans les deux cas, la perte de bien-être pour les Français est en revanche bien réelle. On peut se demander combien de restrictions, depuis 18 mois, répondent uniquement au besoin instinctif de « faire quelque chose ».

Le biais d’action explique aussi pourquoi le principe de précaution est toujours évoqué de manière asymétrique. On entend que par précaution, il faut confiner 66 millions de personnes 6 semaines (agir), car on connait mal la maladie, [Ndlr : et peut-être pour signer une fois de plus le 666 ?] alors qu’on entend moins que par précaution il ne faut pas confiner 66 millions de personnes six semaines (ne pas agir) car on connait mal les effets du confinement.

LE BIAIS D’ILLUSION DE CONTRÔLE

Théorisé par Ellen Langer, psychologue américaine, ce biais désigne notre tendance à sous-estimer l’importance des facteurs externes et à surestimer l’importance des facteurs internes, à n’expliquer une situation donnée que par des causes sur lesquelles on possède un levier d’action.

Pendant les périodes de sécheresse, certaines tribus sacrifiaient des enfants pour apaiser les dieux. Si la sécheresse prenait fin, c’était grâce au sacrifice, sinon il fallait sacrifier d’autres enfants. Au bout d’un moment, la situation finissait toujours par s’améliorer, validant la stratégie des chefs de tribu.

En France depuis 18 mois, quand les courbes descendent c’est grâce aux restrictions, quand elles montent c’est parce qu’on n’a pas assez restreint.

C’est le biais d’action qui encourage la tribu à sacrifier des enfants, c’est le biais d’illusion de contrôle qui conduit à s’en féliciter. C’est le biais d’action qui nous encourage à fermer les remontées mécaniques, c’est le biais d’illusion de contrôle qui nous conduit à nous en féliciter.

LE BIAIS D’INSENSIBILITÉ AUX ORDRES DE GRANDEUR

En 1992, William Desvousges, économiste américain, demande à trois groupes de participants combien chacun serait prêt à payer pour sauver un certain nombre d’oiseaux de la noyade.

Résultat : les participants qui peuvent sauver 20 000 oiseaux souhaitent payer moins (78 dollars) que ceux qui peuvent en sauver 2000 (80 dollars), tandis que ceux qui peuvent en sauver 200 000 ne donnent que 88 dollars. Conclusion : l’importance que nous accordons à un problème n’est quasiment pas affectée par le nombre de personnes que le problème affecte.

Daniel Kahneman – lauréat du prix Nobel d’économie en 2002 pour ses travaux sur les biais cognitifs – donne l’explication suivante : puisqu’il est impossible de se représenter un très grand nombre d’éléments, nous réduisons le problème à une seule image mentale, un prototype. Pour évaluer la souffrance de 2000 ou de 200 000 oiseaux, les participants imaginent un oiseau se débattant dans l’eau – image indépendante du nombre d’oiseaux concernés.

Lorsque l’on cherche à estimer ce qui est plus grave entre, par exemple, 5000 morts supplémentaires du covid ou l’instauration du port du masque obligatoire dans les écoles, on imagine, d’un côté, une personne âgée en détresse respiratoire et de l’autre, un écolier masqué. La première image étant infiniment plus dramatique que la seconde, on en conclut que la seconde option est préférable à la première. Le fait qu’ils soient 5000 à être concernés par la première et 12,9 millions par la seconde n’entre pas en considération.

LE BIAIS D’INSENSIBILITÉ À LA DURÉE

En 1993, Kahneman diffuse à des sujets plusieurs vidéos désagréables, d’intensités et de longueurs variables. Il leur demande ensuite de classer les vidéos des plus déplaisantes aux plus plaisantes. L’unique facteur qui influence le classement : l’intensité des images. La longueur de la vidéo ne joue aucun rôle. C’est le biais d’insensibilité à la durée : nous jugeons la valeur d’une expérience en fonction du plaisir moyen qu’elle nous apporte sans égard pour le temps qu’elle dure et donc pour la somme de bien-être ou de mal-être qu’elle nous fournit.

En octobre 2020, lorsque le gouvernement choisit de mettre en place un couvre-feu, il est prévu qu’il durera six semaines. Au fil des mois, alors que le couvre-feu ne cesse d’être reconduit, presque tous ceux qui approuvaient sa mise en place le 17 octobre continuent d’approuver sa reconduction, comme si le prolongement de la mesure dans le temps n’exerçait aucune influence sur sa balance coût-bénéfice.

Nous succombons au biais d’insensibilité à la durée : nous jugeons « le couvre-feu », pas « un couvre-feu d’une durée de… ». Le processus mental à l’œuvre est semblable à celui du biais précédent : qu’il s’agisse d’un couvre-feu de six semaines ou de huit mois, l’image mentale que nous utilisons pour estimer son coût est la même : une soirée moyenne sous couvre-feu.

LE BIAIS DE VICTOIRE DES POSITIONS LES MOINS COÛTEUSES SOCIALEMENT

Il a imposé l’idée que la saturation des réanimations avait un coût infini.

En mars 2020, il est décidé que nous n’accepterons pas la saturation des réanimations et les désastres qu’elle impliquerait (décès, tri des patients, déprogrammations, soignants exténués, chaos…). Sauf qu’à ce stade, nous croyons que l’alternative à la saturation des réanimations est un confinement de un mois, pas trois confinements et 8 mois de couvre-feux. Peu importe, nous ne remettrons plus jamais en cause l’idée que la non-saturation des réanimations doit être la ligne rouge guidant les politiques publiques et acceptons donc l’hypothèse implicite suivante : la saturation des réanimations possède un coût infini.

Pourquoi cette hypothèse s’est-elle imposée comme une évidence ?

Octobre 2020. Arguez qu’il faut re-confiner le pays, on risque de vous rétorquer que vous ne savez pas mener d’analyse coût-bénéfice. Arguez qu’on peut accepter la saturation des réanimations, on risque de vous traiter d’égoïste sans âme.

Une des deux positions plus coûteuse socialement est donc moins exprimée. Puisque notre cerveau associe les idées beaucoup répétées avec ce qui est vrai (biais de vérité illusoire) la seconde position perd des adhérents, elle est repoussée à la marge du débat. Il devient donc de plus en plus coûteux de la tenir (puisqu’en plus d’être un égoïste vous devenez un extrémiste), elle est donc encore moins exprimée, perd d’autres adhérents, est repoussée davantage à la marge. Elle finit par disparaître complètement des cerveaux. Cercle vicieux, généralisable à un tas de sujets, qui montre que ce n’est pas uniquement la validité d’une position qui la rend dominante mais aussi (et parfois surtout) son acceptabilité sociale.

Notez que je n’écris pas qu’il fallait accepter la saturation des réanimations, simplement que le choix de ne pas l’accepter a été effectué pour les mauvaises raisons, puisqu’il qu’il a été admis arbitrairement qu’on n’optimiserait pas la balance santé (y compris réanimations) – liberté, mais la balance santé – liberté sous contrainte de non-saturation des réanimations. De façon toute aussi arbitraire, il aurait pu être décidé qu’on optimiserait la balance santé – liberté sous contrainte de ne pas imposer à 66 millions de Français 8 mois d’affilée sous couvre-feu et confinement. Ce qui aurait impliqué une ligne rouge et donc un élément au coût infini : irrationnel aussi.

LA CROYANCE SELON LAQUELLE ON NE PEUT PAS LAISSER DES GENS MOURIR

Nous faisons chaque année des choix de société qui impliquent que la vie humaine a un prix. Par exemple, les 10 000 à 15 000 morts annuels de la grippe sont évitables, mais on choisit de ne pas les éviter car on considère que le différentiel de liberté entre une situation avec des restrictions anti-grippe et une situation sans restrictions possède un coût social plus élevé que celui des décès.

Ainsi, il existe un nombre de décès X que l’on préfère à la suppression d’un degré de liberté Y, un ratio décès évités/bien-être supprimé X/Y en dessous duquel une restriction n’est plus acceptable.

C’est à la lumière de cette réalité qu’il faut évaluer le bien-fondé de chaque nouvelle restriction, plutôt qu’au nom de principes abstraits.

LA CROYANCE SELON LAQUELLE LA LIBERTÉ DES UNS S’ARRÊTE LÀ OÙ COMMENCE CELLE DES AUTRES

Depuis 18 mois, cette formule est brandie pour justifier toute nouvelle mesure. Elle est fausse, dangereuse, et porteuse de projets de sociétés totalitaires. Dans le cadre du covid, la liberté de faire x ou y s’arrêterait là où commencerait la liberté d’un autre de ne pas se faire contaminer.

D’abord, la formule est disqualifiée par le fait qu’on peut, en toute situation, la renverser :

La liberté de l’un de ne pas se faire contaminer s’arrête là où commence la liberté de l’autre de faire x ou y.

Ensuite, pour la grippe, on constate chaque année que la liberté des uns de prendre le métro sans masque (par exemple) ne s’arrête pas là où commence celle des autres de ne pas être contaminés. Il y a un donc un niveau de risque que l’on est en droit de faire courir aux autres. Le covid étant plus létal et contagieux que la grippe, il est possible que ce soit, dans la plupart des situations, la liberté des uns à ne pas être contaminés qui mérite de primer par rapport à celle des autres de vivre librement. Mais l’exemple montre que la formule n’est pas absolue et qu’il faut raisonner au cas par cas, en balance liberté supprimée pour l’un, liberté obtenue (santé) pour l’autre.

En outre, il faut noter que l’accessibilité d’un vaccin modifie complètement la balance car il atténue les bénéfices liés à la réduction de la probabilité de contamination (une contamination entraîne 90 % moins de formes graves aujourd’hui), alors qu’il ne change pas le coût des restrictions.

Toutes choses égales par ailleurs, une restriction justifiée par la balance liberté supprimé-liberté obtenue il y a 6 mois n’est donc plus forcément justifiée aujourd’hui.

LE BIAIS DES COÛTS IRRÉCUPÉRABLES

En 1973, les gouvernements français et britannique découvrent que Le Concorde, leur projet d’avion supersonique, ne pourra pas être rentable. Pour ne pas « perdre » les 300 millions d’euros déjà investis, ils décident de mener le projet à son terme. Bilan : 1,5 milliard d’euros dépensés pour un retentissant échec commercial. Influencés par une décision prise antérieurement, les gouvernements français et britannique ont succombé au biais des coûts irrécupérables.

Octobre 2020. Alors que le nombre de cas de covid explose, le gouvernement est confronté à un dilemme : confiner la France à nouveau ou accepter des milliers de décès supplémentaires ? Un élément complique l’analyse : choisir la deuxième option, ce serait rendre, a posteriori, le premier confinement vain, puisque la plupart des décès évités au printemps surviendraient à l’automne. C’est donc en partie la volonté irrationnelle de ne pas « avoir fait tous ces efforts pour rien » qui guide le choix de re-confiner, plutôt qu’une analyse mettant en balance les coûts et bénéfices futurs des différentes options.

Lors de guerres déclenchées par des rois trop orgueilleux, il fallait ne jamais capituler pour que les soldats ne soient pas morts en vain.

Aujourd’hui, il faut restreindre éternellement la liberté pour que les confinements n’aient pas été vains.

LE BIAIS DE PENSÉE DÉSIDÉRATIVE

Il s’agit du biais qui nous pousse à former nos croyances non pas en fonction de la réalité mais en fonction de ce qu’il est agréable d’imaginer.

Depuis 18 mois, beaucoup sont tombés sous l’emprise d’une pensée désidérative : nous n’avons à compromettre ni notre santé ni notre liberté puisque nous pouvons éradiquer le virus.

Prenant leurs désirs pour des réalités, ces commentateurs passent à côté du fait que la situation des pays zéro-covid n’est en rien comparable avec la situation française : ces pays ont agi tôt, n’ont pas six frontières terrestres, ne font pas partie d’une union politique de 447 millions d’habitants, et surtout, il n’est pas donné qu’ils s’en sortent mieux que la France sur la durée. Tant pis, cette pensée désidérative a beaucoup d’influence dans le débat public, puisqu’elle motive consciemment ou inconsciemment la position de beaucoup de partisans d’un durcissement des mesures : pourquoi laisser traîner le problème alors qu’il suffirait de taper un grand coup pour en finir ?

En 2011, Christopher Booker, écrivain britannique, décrit ce qu’il nomme le cycle du fantasme (les parenthèses sont les miennes) :

Lorsque nous nous lançons dans une ligne de conduite inconsciemment motivée par une pensée désidérative (nous pouvons vaincre le virus), tout peut sembler aller bien pendant un certain temps : c’est l’étape du rêve (le confinement). Mais ce faux-semblant ne peut jamais être réconcilié avec la réalité et cela conduit à une étape de frustration dès que les choses commencent à mal tourner (la remontée des courbes), ce qui incite à un effort plus déterminé pour maintenir le fantasme en vie (re-confinement).

Le biais de pensée désidérative nous pousse aussi à sous-estimer la durabilité de ce qui nous affecte négativement.

En mars 2020, nous sommes persuadés que le confinement n’est qu’une courte parenthèse et que la vie normale (le monde d’après, encore mieux que le monde d’avant) ne tardera pas à reprendre. Aujourd’hui, une des raisons du large soutien au passe sanitaire est la certitude qu’il disparaîtra dans quelques mois. Personne n’a envie de présenter pendant plusieurs années un QR code pour s’asseoir en terrasse et donc personne ne s’imagine qu’il faille pendant plusieurs années présenter un QR code pour s’asseoir en terrasse. Pourtant, les vaccins nécessiteront sûrement des rappels.

LE BIAIS DE CONFORMISME

En 1951, Salomon Asch, pionnier de la psychologie sociale, pose à plusieurs participants une question simple.

Certains répondent seuls : ils se trompent dans moins de 1 % des cas.

D’autres, soumis à la même question, observent d’abord six autres participants (des complices de l’expérimentateur), choisir, unanimes, une mauvaise réponse. Ceux-ci se conforment, dans 37 % des cas, au choix des six complices.

C’est l’illustration du biais de conformisme : nous avons tendance à adopter sans fondements rationnels les comportements de ceux qui nous entourent.

Plusieurs raisons l’expliquent.

Premièrement, nous considérons que si les autres modifient leur comportement, ils possèdent peut-être des informations que nous n’avons pas et/ou comprennent mieux la situation que nous. C’est ce que Salomon Asch nomme l’influence informationnelle.

En février, lorsque l’Italie est frappée par le virus, la seule région qui a connu une tension hospitalière comparable est la région de Wuhan. Incertaine de la voie à suivre, l’Italie se conforme donc à la méthode chinoise : le 9 mars, elle confine ses 60 millions d’habitants. Les dirigeants italiens auraient-ils même eu l’idée d’employer une telle méthode sans le précédent chinois ?

Deuxièmement, dès lors que face à un problème, certains agissent, la charge de justification est modifiée : ce n’est plus à ceux qui adoptent le comportement d’expliquer pourquoi ils agissent, mais à ceux qui n’agissent pas de justifier leur inaction. Il s’agit d’une forme de pression sociale. Dans les jours qui suivent la décision italienne, dans les pays touchés par la maladie il devient plus difficile de justifier de ne pas confiner que de justifier de confiner. Preuve de la modification de cette charge de justification : depuis 18 mois, c’est le choix suédois de ne pas confiner qui est scruté et interrogé.

Enfin, (surtout ?) il est toujours beaucoup moins coûteux de se tromper avec les autres (diffusion de la responsabilité) que seul (s’exposer, cible unique, aux critiques).

Ainsi, il sera souvent rationnel de préférer la quasi-certitude d’avoir tort avec la majorité au petit risque d’avoir tort seul (voire au risque d’avoir raison seul). C’est ce que Salomon Asch nomme l’influence normative.

En mars 2020, Boris Johnson attend sept jours avant de se conformer à la décision des autres grandes nations européennes (la France confine le 17, le Royaume-Uni le 24) : il subit encore, dans l’opinion publique, les répercussions de ce choix.

Phénomène de mimétisme qui soulève une question intéressante : que ce serait-il passé si le virus n’était pas né en Chine, dictature qui par essence accorde moins de poids à la liberté, mais dans une démocratie libérale ?

LE BIAIS D’INDUCTION

Le problème de l’induction désigne le fait d’utiliser le passé pour prédire le futur et donc de surestimer la probabilité que le futur ressemble au passé.

Une idée énoncée dès le XVIIIe siècle par le philosophe David Hume :

Ce n’est pas la raison mais l’habitude qui permet de supposer que le futur sera conforme au passé.

Et reprise de façon amusante par Bertrand Russell, qui ironise sur la mauvaise surprise qui attend le poulet raisonnant par induction :

L’homme qui l’a nourri tous les jours finit par lui tordre le cou.

Dans le cadre politique, le biais d’induction nous pousse à sous-estimer la probabilité de chamboulements majeurs dans les 10, 20 ou 50 prochaines années. Ainsi, lorsque nous évaluons les conséquences à long terme des restrictions, nous projetons ces conséquences dans une France semblable à celle d’aujourd’hui et accordons peu d’égard aux coûts liés à la constitution d’un précédent.

Par exemple, le fait que les confinements et les couvre-feux soient devenus des outils de politique publique conventionnels augmente la probabilité d’utilisation de ces outils dans le futur. Problème auquel nous accordons peu d’égard puisque le biais d’induction nous projette dans un monde où nous serons toujours d’accord (ou pas trop en désaccord) avec les justifications des confinements.

De même, si on n’est pas anti-vaccin, on aura tendance à sous-estimer la probabilité que l’on puisse un jour se retrouver dans la frange de la population qui refuse une pratique sociale ou médicale encouragée par le gouvernement.

Ainsi, lorsque l’on analysera les coûts du passe sanitaire, on accordera un poids insuffisant aux conséquences de la normalisation du procédé d’exclusion d’une partie de la population possédant certaines convictions (ici, convictions anti-vaccin).

LE BIAIS DE DICTATURE DES MINORITÉS INTRANSIGEANTES

Nassim Nicholas Taleb, qui a théorisé le processus, prend l’exemple d’un dîner où deux invités sur vingt sont des juifs pratiquants. Asymétrie fondamentale : les non-juifs peuvent manger de la nourriture casher alors que les juifs pratiquants ne peuvent pas ne pas manger casher. L’hôte préparera donc un dîner casher. La préférence d’une minorité est imposée à tous.

Dans le cadre du covid, il existe de nombreuses asymétries de ce type.

Par exemple : une personne ne craignant pas le virus accepte de porter un masque, alors qu’une personne craignant le covid refusera certaines interactions avec des interlocuteurs non-masqués. Imaginez qu’un vendeur préfère interagir sans masque mais ne connaisse pas les préférences du client qui entre dans sa boutique. Le client préfère lui aussi interagir sans masque mais ne connaît pas les préférences du vendeur.

Dans le doute, les deux garderont leur masque : le coût potentiel de ne pas le porter (l’autre peut refuser l’interaction ou formuler une remontrance) est supérieur au coût de le porter (buée dans les lunettes). La préférence d’une minorité intransigeante est imposée alors même qu’aucun membre de cette minorité n’est présent.

Limitée au phénomène ci-dessus, la dictature de la minorité est plutôt bénéfique, le covid étant une maladie contagieuse. Le problème, c’est qu’il s’agit d’un processus sans fin. Lorsque le port du masque devient la norme, une nouvelle minorité intransigeante naît, exigeant qu’on s’écarte de la situation en place pour aller vers une nouvelle norme permettant encore davantage de limitation des risques. Et de cette nouvelle norme naissent encore d’autres intransigeants…

L’important est donc de garder en tête que les codes de conduite en vigueur ne reflètent pas toujours les préférences de la majorité. La loi, puisqu’elle permet de renforcer ou d’affaiblir ces normes, doit tenir compte de ce biais.

LE BIAIS DE MÉCONNAISSANCE DE L’EFFET NOCEBO

Il conduit à une surestimation de l’ampleur du problème posé par le covid long.

Le 24 juin 2021, The Guardian publie un article abondamment repris affirmant que 37,7 % des malades du covid développent un covid long, c’est-à-dire des séquelles persistant plus de 12 semaines après leur rétablissement.

La méthodologie de l’étude : on présente à 508 707 anciens malades une liste de 29 symptômes (variant d’insuffisance respiratoire à simple fatigue) et on leur demande s’ils souffrent encore d’au moins l’un de ces symptômes. Il y a 37,7 % de réponses positives.

Le 31 décembre 2020, Pfizer publie les résultats d’efficacité de son vaccin. Chez les 2298 participants du groupe contrôle (ceux à qui on n’a rien injecté, mais qui ne le savent pas) 33,4 % déclarent ressentir, suite à l’injection, de la fatigue, 33,7 % des maux de tête, 11,7 % des coups de froid, et 10,8 % des douleurs musculaires. C’est l’effet nocebo : lorsque l’on s’attend à souffrir, le cerveau peut anticiper la douleur et déclencher par lui-même des symptômes psychologiques ou même réels. Dans l’estimation de l’ampleur du covid long, en plus de l’effet nocebo, s’ajoute un autre biais : la fausse attribution de maux réels (fatigue, dépression…) au fait d’avoir eu le covid.

Ainsi, il est évident que :

  1. La plupart des études qui visent à estimer la réalité du covid long, puisqu’elles ne comparent pas avec un groupe contrôle (idéalement, des patients qui croiraient avoir eu le covid mais ne l’auraient pas eu, ce qui est impossible à trouver en pratique), surestiment massivement l’ampleur du phénomène.
  2. Plus les médias reprendront ces études sans esprit critique en alarmant sur les prétendus dangers du covid long, plus les gens souffriront du covid long.

Ce biais peut sembler mineur mais il devient important de le pointer du doigt car à mesure que la couverture vaccinale progresse et que sont éliminées la plupart des formes graves de la maladie, le danger du covid long sera de plus en plus évoqué pour justifier la poursuite de certaines restrictions.

LE BIAIS DE CONFIRMATION

Le biais de confirmation est le fait de remarquer de manière disproportionnée ce qui permet de confirmer ses opinions pré-existantes.

Si, par exemple, l’auteur d’un texte sur les biais cognitifs pense que les restrictions sanitaires ont été excessives, il risque de s’intéresser uniquement aux biais ayant conduit à trop restreindre la liberté, oubliant que d’autres biais ont pu avoir l’effet inverse.




« Lettre ouverte aux non vaccinés »

[Source : Les 7 du quebec]

À l’heure où la France a basculé dans la tyrannie suite à la démission de son «Conseil constitutionnel» (sic) de remplir sa mission d’être garant des droits et libertés fondamentales, je re-publie traduite par mes soins et in extenso la lettre ouverte publiée par le Pr Denis Rancourt et sept autres scientifiques canadiens..

Il paraît presque lointain le temps où les endoctrinés nous moquaient lorsque nous évoquions la perspective d’une société à la chinoise où les personnes et leurs corps seraient devenus la propriété des états (et des groupes qui les contrôlent). Se gaussaient avec force ricanements de la perspective d’une vaccination obligatoire avec un produit génique expérimental et d’un pass sanitaire établissant un véritable apartheid avec des citoyens de première et de seconde zone.

Nous y sommes désormais. Étant donné que cela n’a plus rien à voir avec une quelconque réalité sanitaire, il semble en effet s’agir un plan bien huilé qui se déroule au mépris de toute réalité.

Les « résistants » (oui, je continuerai à les appeler pour ce qu’ils sont face aux dirigeants et aux collaborateurs de cette dérive évidemment totalitaire) ont bien besoin de soutien, d’encouragement et de réconfort.

Les « élites » ayant vendu leur âme (cf. cette cohorte « d’éthiciens » qui viennent nous expliquer à quel point tout ceci est éthique alors que des « scientifiques » prétendent trouver que les opposants sont en quelque sort des démeurés) à nous de cultiver, entretenir et muscler la nôtre.

Oh, by the way, le Massachussets Institute of Technology (l’équivalent de l’EPFL en plus prestigieux) a mis en lumière qu’à l’inverse, les personnes sceptiques (qualité rationnelle faut-il le rappeler…) sont en moyenne plus éduquées et cultivées que ceux qui adhèrent aveuglément à des injonctions « sanitaires » de plus en plus aberrantes et liberticides. Et n’ont dans leur immense majorité aucun lien avec les théories complotistes : elles savent simplement se questionner sur la question complexe d’un rapport bénéfice – risque…

Quand il s’agira de remettre les « Corruption & Propaganda Awards », il y aura pléthore de nominés chez nous comme ailleurs.

D’ici là, veillons à rester pleinement lucides sur la réalité de ce qui se déroule, dont la trame semble (hypothèse forte) pertinemment résumée par le physicien et spécialiste de l’ « Intelligence Artificielle », Philippe Guillemant :

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[Voir aussi : Philippe Guillemant : « Si on accepte l’identité numérique, ça sera trop tard »]

Le chercheur de l’OCLA, le Dr Denis Rancourt, et plusieurs collègues universitaires canadiens ont écrit une lettre ouverte pour soutenir ceux qui ont décidé de ne pas accepter le vaccin COVID-19.

Le groupe insiste sur le caractère volontaire de ce traitement médical ainsi que sur la nécessité d’un consentement éclairé et d’une évaluation individuelle des risques et des bénéfices. Ils rejettent la pression exercée par les responsables de la santé publique, les médias et les médias sociaux et les concitoyens.

Le contrôle de notre intégrité corporelle pourrait bien être l’ultime frontière de la lutte pour la protection des libertés civiles.

Lettre ouverte aux non vaccinés

Tu n’es pas seul ! Au 28 juillet 2021, 29 % des Canadiens n’avaient pas reçu de vaccin contre la COVID-19 et 14 % de plus n’avaient reçu qu’une seule injection. Aux États-Unis et dans l’Union européenne, moins de la moitié de la population est entièrement vaccinée, et même en Israël, le « laboratoire du monde » selon Pfizer, un tiers des personnes restent totalement non vaccinées. Les politiciens et les médias ont adopté un point de vue uniforme, faisant des non-vaccinés des boucs émissaires pour les difficultés qui continuent de se produire après dix-huit mois d’alarmisme et de confinement. Il est temps de remettre les pendules à l’heure.

Il est tout à fait raisonnable et légitime de dire « non » à des vaccins insuffisamment testés pour lesquels il n’existe aucune science fiable. Vous avez le droit de faire valoir la souveraineté sur votre propre corps et de refuser les traitements médicaux si bon vous semble.

Vous avez raison de dire « non » à une atteinte à votre dignité, votre intégrité et votre autonomie corporelle. C’est votre corps, et vous avez le droit de choisir. Vous avez raison de vous battre pour vos enfants, contre leur vaccination de masse à l’école.

Vous avez raison de vous demander si un consentement libre et éclairé est possible dans les circonstances actuelles. Les effets à long terme sont inconnus. Les effets transgénérationnels sont inconnus. La dérégulation de l’immunité naturelle induite par le vaccin est inconnue. Les dommages potentiels sont inconnus, car la déclaration des événements indésirables est retardée, incomplète et incohérente entre les territoires.

Vous êtes pris pour cible par les médias grand public, les campagnes d’ingénierie sociale du gouvernement, les règles et politiques injustes, les employeurs collaborateurs et le harcèlement sur les médias sociaux. On vous dit que vous êtes maintenant le problème et que le monde ne peut pas revenir à la normale si vous ne vous faites pas vacciner. Vous êtes vicieusement visés en tant que bouc émissaire de la propagande et même les personnes qui vous entourent font peut-être pression sur vous. Rappelez-vous : ce n’est pas vous le problème.

Vous êtes accusé à tort d’être une usine pour les nouvelles variantes du SRAS-CoV-2, alors qu’en fait, selon des scientifiques de premier plan, votre système immunitaire naturel génère une immunité contre plusieurs composants du virus. Cela favorisera votre protection contre une vaste gamme de variants viraux et empêche toute propagation à qui que ce soit (contrairement au vaccin, NdT).

Vous avez raison d’exiger des études indépendantes évaluées par des pairs, et non financées par des sociétés pharmaceutiques multinationales. Toutes les études évaluées par des pairs sur l’innocuité et l’efficacité à court terme ont été financées, organisées, coordonnées et soutenues par ces sociétés à but lucratif ; et aucune des données d’étude n’a été rendue publique ou disponible pour les chercheurs qui ne travaillent pas pour ces entreprises.

Vous avez raison de remettre en question les résultats préliminaires des essais vaccinaux. Les valeurs élevées revendiquées d’efficacité relative reposent sur un petit nombre d’ »infections » déterminées de manière ténue. Les études n’étaient pas non plus en aveugle, où les personnes administrant les injections savaient ou pouvaient déduire si elles injectaient le vaccin expérimental ou le placebo. Il ne s’agit pas d’une méthodologie scientifique acceptable pour les essais de vaccins.

Vous avez raison dans vos appels à une diversité d’opinions scientifiques. Comme dans la nature, nous avons besoin d’une polyculture de l’information et de ses interprétations. Et nous n’avons pas cela en ce moment. Choisir de ne pas prendre le vaccin laisse de la place à la raison, à la transparence et à la responsabilité. Vous avez raison de demander : « Qu’arrive-t-il ensuite lorsque nous abandonnons l’autorité sur notre propre corps ? »

Ne soyez pas intimidés. Vous faites preuve de résilience, d’intégrité et de courage. Vous vous rassemblez dans vos communautés, élaborez des plans pour vous entraider et défendez la responsabilité scientifique et la liberté d’expression, qui sont nécessaires à l’épanouissement de la société. Nous sommes parmi ceux qui sont à vos côtés.

Angela Durante, PhD
Denis Rancourt, Ph.D.
Claus Rinner, PhD
Laurent Leduc, PhD
Donald Gallois, PhD
John Zwaagstra, PhD
Jan Vrbik, PhD
Valentina Capurri, PhD




Les Racines de nos Maladies

[Source : Elke Arod]

Autisme, hyperactivité, allergies, intolérances, maladies auto-immunes, tous ces fléaux se répandent aujourd’hui dans des proportions déconcertantes.

À l’heure où l’industrie alimentaire relayée par les grandes surfaces propose en standard quasi-incontournable de la nourriture dénaturée, où la composition des médicaments reste incomplète même pour les médecins, où le moindre objet de notre quotidien contient des substances chimiques, il est urgent de s’interroger sur la véritable origine des pathologies contemporaines.

Entre témoignage et exposé scientifique, Elke Arod nous fait part dans son ouvrage d’un véritable chemin de croix : celui d’une mère qui tente de comprendre d’où viennent les maux de son fils malade, alors que la médecine semble incapable de l’aider. Un ouvrage qui dénonce, révèle et propose une nouvelle approche de l’individu et de la nutrition basée sur une expérience réussie depuis plus de vingt ans auprès de nombreuses personnes touchées par diverses pathologies de civilisation.

L’importance de la nutrition, bien plus qu’un effet de mode

Des bonbons contenant des parfums synthétiques dangereux au poulet à la dioxine, en passant par le poisson au mercure, cet ouvrage lève le voile sur la composition nocive de la plupart des aliments proposés à la consommation. Elke Arod en profite pour mettre fin à de trop nombreuses idées préconçues sur la base de notre alimentation : par exemple, il faut savoir que le lait contient moins de calcium que certains autres nutriments. Il s’avère par ailleurs être un facteur d’aggravation du diabète. Est également dénoncée la présence de métaux lourds et de nanoparticules dans notre nourriture, nos cosmétiques et la majorité des produits dont nous nous servons quotidiennement. Une omniprésence dont les dangers sont expliqués par l’auteure, d’une plume fluide et sans détour.

Le corps, ses maux et les troubles du métabolisme

Comment fonctionne notre intestin ? En quoi les protéines, notamment les enzymes (Matrix Metallo Protéase) qui nous constituent sont-elles importantes ? Mercure, aluminium, que penser de la présence de ces métaux toxiques dans certains vaccins et amalgames dentaires toujours utilisés ? Connaître son métabolisme pour faire face aux mécanismes toxiques auxquels il est soumis, tel a été la démarche d’Elke Arod et celle qu’elle nous propose d’adopter à notre tour. Son parti pris est clair: en synergie avec les médecines traditionnelles, c’est la médecine nutritionnelle individualisée qui doit être priorisée de manière incontournable contre ces troubles. Il en va de notre santé et de celle de nos enfants.

L’AUTEURE

Elke Arod est la présidente de l’Association STELIOR, Centre international de recherches et d’études sur les troubles du métabolisme et du comportement de l’enfant et de l’adulte. Elle a mis à profit sa rude expérience personnelle pour élucider les causes des principales pathologies de notre époque. Ses recherches approfondies lui ont permis de mieux comprendre plusieurs mécanismes physiologiques fondamentaux et de pointer du doigt le mercure, en partie responsable de la plupart des maux qui affligent nos contemporains (autisme, allergies, intolérances, cancers…).

C’est en 1993 qu’elle crée la première Association qui est devenue ensuite le Centre STELIOR à Genève, entourée d’un Collège de nombreux scientifiques et de spécialistes internationaux reconnus tels que le Pr Boyd Haley, le Pr Karl L. Reichelt…

Par la suite, sur l’insistance du Conseiller d’État de la Santé du Canton de Genève de l’époque, elle crée la première école de nutri-détoxicologie, délivrant un diplôme reconnu par l’ASCA Suisse. Les thérapeutes peuvent ainsi pratiquer sa méthode sous l’égide de l’Académie de nutri-détoxicologie de Genève. Dans cet ouvrage, vous découvrirez comment ce centre propose d’informer et de venir en aide à tous ceux auxquels la médecine traditionnelle n’a pu apporter qu’une réponse fragmentaire à leurs problèmes toxicologiques et nutritionnels de santé.


Un exemple de source toxique :

Sur 1.000 bambins vaccinés, Elke Arod, nutri-détoxicologue, avance le chiffre effarant de 808 nourrissons touchés par de multiples maladies




[Voir aussi :
Santé. Métaux lourds : tous les Français contaminés, enfants y compris
Prendre sa santé en main
La microbiophobie ambiante est hors de contrôle ! De nouvelles perspectives sur la véritable nature des virus
Nestlé dit que la majorité de son portefeuille de produits alimentaires est mauvais pour la santé
Des études montrent que la religion et la spiritualité sont positivement liées à une bonne santé mentale. La nouvelle science de la neurothéologie
Le Dr Gaétan Brouillard et l’importance de la pensée dans la santé
Enquête Choc — Les vaccins ont-ils vraiment sauvé l’humanité ?
Pasteur versus Béchamp – La crise du coronavirus relance une controverse vieille de 150 ans]




Le Dr Ryan Cole au sujet des myocardites vaccinales: « une fois qu’une cellule cardiaque est endommagée, elle l’est pour toujours »

[Source : fawkes-news.com]






La destruction de notre système de soin et les mesures sanitaires détruisent notre économie

Par Gérard Delépine

[Illustration : imgscan contrepoints 2013-2433 santé.]

[Voir aussi sur economiematin.fr]

Il y a vingt ans notre système de soins était reconnu comme l’un des meilleurs du monde. Maintenant nous sommes au-delà du 20e rang mondial. Et la surcharge prétendue des services de réanimation constitue le prétexte à des contraintes liberticides qui achèvent l’économie mise à mal, non pas par l’épidémie, mais par les mesures inutiles censées la combattre.

Certes le gouvernement Macron n’est pas le seul responsable de la destruction de notre système de santé, mais toutes ses actions n’ont fait qu’aggraver considérablement la situation.

La diminution du nombre de lits et la prise de contrôle de la médecine par la bureaucratie

Toutes les politiques sanitaires depuis plus de vingt ans sont décidées par des non-médecins(([1] Un médecin est une personne qui traite non pas des maladies mais des malades en tenant compte de leur nature unique (antécédents, besoins…) )) qui considèrent que la santé a uniquement un coût qu’il faut absolument abaisser. Ils ont drastiquement diminué le nombre de lits. Entre 2000 et 2015, « le nombre de lits d’hôpitaux en France a diminué de 15 %,(([2] Gaëtan Lafortune économiste à l’OCDE. Diminution du nombre de lits à l’hôpital mais hausse de la population selon un rapport de l’OCDE France info 24/11/2017. 
https://www.francetvinfo.fr/sante/hopital/diminution-du-nombre-de-lits-a-l-hopital-mais-hausse-de-la-population_2483265.html)) alors que la population a augmenté de 10 % et a fortement vieilli. Le nombre de lits pour 1000 habitants est ainsi descendu de 8 à 6,1 tandis que les besoins de soins d’une population plus nombreuse et plus âgée grandissaient.(([3] https://www.francetvinfo.fr/sante/hopital/salaires-des-infirmiers-nombre-de-lits-niveau-de-la-dette-neuf-graphiques-pour-comprendre-la-situation-des-hopitaux-avant-les-annonces-d-edouard-philippe_3709593.html))

Et malgré la pandémie, Gouvernement et autorités sanitaires continuent de fermer des centaines de lits d‘hospitalisation temps plein dans les hôpitaux. En mai 2020, le ministre de la Santé Olivier Véran affirmait qu’il fallait « sortir du dogme de la fermeture des lits » mais c’est une promesse reniée de plus.(([4] Le gouvernement continue de supprimer des lits d’hospitalisation : la carte des hôpitaux concernés – Basta ! (bastamag.net) ))
 

Une gestion dispendieuse qui oublie la raison d’être de l’hôpital

Un hôpital devrait être conçu pour répondre aux besoins de la population. Mais la gestion uniquement financière a détourné le système hospitalier de sa mission fondatrice. Les directeurs favorisent systématiquement les activités rentables, poussent les soignants à multiplier les actes intrusifs et abandonnent celles qui le sont moins dans le système de paiement à l’acte (tout ce qui relève de la clinique. C’est l’une des raisons de l’abandon des services des urgences au profit des actes de chirurgie réglée, plus rentables.

Les services de gestion ont été considérablement hypertrophiés aux dépens des services de soin. En trente ans, dans certains hôpitaux de l’AP-HP, le rapport nombre de gestionnaires/ nombre de lits a été multiplié par 10 tandis que celui soignants/lits stagnait.

Et cette gestion n’est pas efficace : lorsque le ministère constatant l’état déplorable des ordinateurs du service nous a alloué un budget dédié pour y remédier la direction nous a imposé le service d’achat centralisé qui a acquis le matériel à un prix nettement supérieur à celui du marché de l’époque, matériel qui ne nous ait d’ailleurs pas parvenu car il aurait été volé le soir même de sa livraison à l’hôpital !

Ce n’est pas seulement d’argent que l’hôpital a besoin mais d’une gestion peu couteuse, transparente et efficace, recentrant les moyens disponibles vers le soin et les soignants et limitant, comme à l’armée en temps de crise, les effectifs de « l’arrière » à un pourcentage réduit de l’effectif total. Donner plus de ressources à l’hôpital pour augmenter le nombre de non soignants est inutile, voire malfaisant.

Les politiques ont limité fortement le nombre de médecins car former des médecins revient cher d’autant que le temps de formation d’un médecin est long (10 ans). Augmenter le numérus clausus nécessiterait d’augmenter les moyens des facultés de médecine qui sont aujourd’hui au maximum de leurs capacités d’accueil. Un rapport de l’OCDE note que si entre 2000 et 2015, le nombre de médecins en France est resté stable (3,3 médecins pour 1000 habitants), « il a augmenté presque partout » en Europe. La France qui affichait un niveau « plus élevé que la moyenne européenne en 2000 », se situe désormais en-dessous. Et la baisse est particulièrement marquée pour les médecins généralistes qui constituent les soignants de première ligne contre le Covid19 entre autres maladies.

Ces médecins français sont en outre relativement âgés : plus de 50 % d’entre eux ont plus de 55 ans, En 2025, la France aura perdu un médecin généraliste sur quatre en vingt ans.(([5] https://www.lemonde.fr/sante/article/2016/06/02/le-manque-de-medecins-generalistes-s-accentue_4930689_1651302.html)) Actuellement plus de 5,4 millions de personnes, soit 8 % de la population, vivent dans des zones où l’accès à un médecin généraliste est limité. Sans alternative, ils se tournent alors régulièrement vers les urgences constamment débordées.

La démotivation des soignants culmine avec l’obligation d’un pseudovaccin expérimental

Bien avant la crise du Covid les soignants criaient à l’aide par des tribunes, une grève des urgences qui durait depuis près d’un an et des manifestations réprimées avec violence. Pour un représentant syndical, « à force de ronger l’hôpital public, on en a atteint l’os ». Depuis le début de la crise Covid le gouvernement a affiché son mépris des soignants en leur interdisant de traiter les malades selon leur expérience, le ministre dictant leur ordonnance : pas d’antibiotiques ni de chloroquine, Doliprane seul pour les formes bénignes, Rivotril pour achever les vieux. Maintenant il veut leur imposer une injection expérimentale inefficace suscitant des préavis de grève dans de nombreux hôpitaux. Les soignants ne sont pas des antivax, mais ils savent que l’inefficacité du traitement expérimental Pfizer se confirme chaque jour davantage comme le montrent les données officielles de l’état hébreux, et ils en constatent chaque jour directement les effets secondaires aux urgences, dont certains mortels

« La France est en guerre » a déclaré le président en mars 2020. Mais quel général peut espérer gagner une guerre en réduisant le nombre de ses soldats de première ligne, en les désarmant ? en fermant les lits d’hospitalisation temps plein, en leur interdisant de traiter précocement, et en cassant le moral des troupes par le mépris qu’il affiche à leur égard en voulant leur imposer des pseudo-vaccins qu’ils savent inefficaces et dangereux.

Et quel soldat peut encore avoir confiance en un général qui s’est parjuré après son allocution du 24 novembre 2020 où il déclarait « Je veux aussi être clair : je ne rendrai pas la vaccination obligatoire » ?

Au total, il aurait suffi d’une dizaine de milliards et d’écouter les soignants pour remettre l’hôpital au niveau de 2000 et redonner confiance aux personnels. Macron a répondu qu’il n’y a « pas d’argent magique » à leur consacrer, mais les mesures prises en urgence parce que l’hôpital risquait d’être débordé ont déjà couté 400 milliards. Et l’hémorragie financière continue à saigner la France et à détruire l’économie.

Le mirage de la sanctuarisation par la vaccination

Le ministre prétend pouvoir transformer les hôpitaux en sanctuaire sans covid par la vaccination. Mais sait-t-il vraiment de ce qui se passe dans le monde réel où un taux de 100 % de vaccinés ne protège pas des reprises de l’épidémie ?

Un exemple récent d’échec de sanctuarisation par les pseudovaccins est celui du porte avion britannique Queen Elizabeth. 1300 marins à bord, tous complètement vaccinés depuis plus de 4 mois. Une escale. Et trois jours plus tard une épidémie éclate avec plus de 100 cas.

L’exemple de Gibraltar démontre qu’un taux de vaccination record est loin de protéger la population. Ce micro-état de 34000 habitants a commencé l’injection d’Astra Zeneca en décembre2020 et, au terme d’une campagne éclair, est parvenu à une couverture vaccinale de 115 % (car elle concernait aussi les travailleurs espagnols).

Malheureusement cette couverture vaccinale record a été suivie d’une dissémination colossale de la maladie, d’une mortalité record (95 morts soit 2794/Million contre 1049/M aux Pays-Bas et 189/M en Norvège) et n’a pas empêché la reprise récente de l’épidémie par le variant delta.

Un plus petit exemple, plus proche de nous, est celui des moines retraités de Vendée. À Chavagnes-en-Paillers, entre le 14 avril et le 21 avril, tous les prêtres retraités des Fils de Marie Immaculée ont reçu l’un des « vaccins » expérimentaux ARNm, à l’exception d’un prêtre infecté auparavant. Sur les 22 prêtres vaccinés, 21 sont tombés malades et sept sont décédés dans un délai de deux à trois semaines et demie.

Le mirage de la création de sanctuaires par les vaccins, né de simulations virtuelles, n’existe pas dans le monde réel.

L’inefficacité des pass sanitaires

L’inefficacité des pseudo-vaccins actuels expliquent l’inefficacité des pass sanitaires que la loi scélérate récente instaure. Donnons-en quelques exemples :

Les 20 000 participants du festival Verknipt à Utrecht se sont crus protégés par leur pass sanitaire vérifié à l’entrée via l’application CoronaCheck. Mais quelques jours après le festival, plus de mille d’entre eux participants ont été infectés dont une majorité de vaccinés. Au moins 448 festivaliers auraient été infectés le premier jour et 516 le deuxième jour.

Les 50 000 participants des festivals tests Canet Rock, Vida et Cruïlla qui ont eu lieu en Catalogne, entre le 1er le 11 juillet ont présenté à l’entrée des pass valides ou des tests négatifs et porté des masques. Dans les jours qui ont suivi 2300 personnes se sont révélés contaminés : 466 participants au Vida Festival, 956 au Canet Rock, et 857 à la Cruïlla, soit au total 842 de plus que dans les groupes témoins équivalents.

L’Autriche a instauré un pass sanitaire obligatoire pour l’accès aux restaurants, aux hôtels, aux théâtres, aux concerts, dans les stades ou les salles de sport le 1er juillet 2021 alors que l’épidémie régressait (taux moyen lissé sur 7 jours : 79 nouvelles contaminations journalières).

Depuis l’instauration du pass, l’épidémie est repartie de plus belle et se stabilise à 6 fois la valeur d’avant passe (479 cas/jour).

En France aussi, le pass n’empêche pas les clusters : 80 contaminations dans une discothèque à Lille, 44 dans les Vosges ou encore une trentaine d’adolescents dans un camping en Corse.

L’inefficacité sanitaire du pass et son caractère discriminatoire inédit l’ont fait abandonner dans la plupart des pays qui l’ont essayé : après un mois à Moscou, deux mois en Israël, quatre mois au Danemark…Et de nombreux pays démocratiques l’ont jugé anti constitutionnel : les USA, la Grande-Bretagne, la Suède, les Pays-Bas…

Alors pourquoi la loi scélérate impose-telle une discrimination majeure attentatoire aux libertés fondamentales, inefficace et abandonnée par presque tous ceux qui l’ont essayé ?

Les mesures dites sanitaires tuent la population, mais aussi l’économie

Ces mesures prétendument sanitaires(([6] Aucune des contraintes majeures (masque en extérieur, confinement, couvre-feux, fermeture des restaurants et café en terrasse, pseudovaccin) n’a scientifiquement prouvée qu’elle était efficace)) visent à masquer la responsabilité de nos gouvernants dans la destruction de notre système de santé. Mais elles aggravent considérablement la situation du pays en rajoutant aux victimes directes de la maladie les victimes collatérales des mesures sanitaires, une crise sociale, scolaire, et économique et politique majeure.

Le confinement et le plan blanc ont aggravé la mortalité globale par les refus et retards de soins, des maladies aigues et chroniques, l’arrêt des programmes de prévention, multiplié les troubles psychiatriques, multiplié les décrochages scolaires, aggravé la pauvreté et le chômage et détruit inutilement une partie de notre économie.

Les pertes financières ont touché plus fortement les pauvres aggravant d’autant leur pauvreté.(([7] Annie Firlej, Émilie Pawlowski Insee Des conséquences financières du premier confinement plus ou moins marquées selon les territoires))

Au deuxième trimestre de l’année 2020, l’INSEE indique une baisse de 13,7 % du PIB par rapport au trimestre précédent (dont -31 % en avril) ce qui constitue un des plus gros chocs économiques qu’a connus la France depuis 1945. L’impact du 2e confinement a été moins violent (-11,6 % de PIB en novembre) grâce à des mesures moins drastiques et la réouverture des commerces non-essentiels deux semaines avant la levée du confinement. Au total, d’après l’INSEE, l’économie française a subi une chute du produit intérieur brut de 8 % en 2020,(([8] Victor Amoureux, Jean-Cyprien Héam, Thomas Laurent (Insee Les comptes de la Nation en 2020 No 1860
Paru le : 28/05/2021 
https://www.insee.fr/fr/statistiques/5387891)) bien supérieure à celle observée dans les pays qui n’ont pas subi de confinement (tel que la Suède où la chute du PIB n’a atteint que 2,8 %(([9] https://www.tradesolutions.bnpparibas.com/fr/explorer/suede/apprehender-le-contexte-economique)) ou les Pays-Bas où elle est d’environ 3,8 %(([10] https://www.tradesolutions.bnpparibas.com/fr/explorer/pays-bas/apprehender-le-contexte-economique)))

La responsabilité des restrictions sanitaires dans ce désastre économique sans précédent est confirmée par la proportionnalité de la chute des PIB et l’intensité des restrictions imposées aux populations selon le schéma ci-après publié par le Monde. Ceux qui ont fait pire que nous sont ceux qui ont appliqué les mesures ls plus restrictives de liberté (Italie, Espagne, Grande-Bretagne :

La poursuite d’une propagande covid terroriste et de mesures restrictives comme le pass sanitaire continue d’entraver la reprise économique et risque de condamner une grande partie des secteurs les plus durement touchés comme le spectacle, le tourisme, les restaurateurs,(([11] https://www.youtube.com/watch?v=kdQUxa1VaB0)) les transports. l’hôtellerie qui ne peuvent redémarrer sans le retour de la clientèle internationale et des voyageurs d’affaires que le pass qui n’existe pas dans leurs pays rebute.

L’incertitude a forcé les Français qui le pouvaient à économiser. Mais pour qu’ils reprennent le chemin des commerçants et relancent l’économie, il faut leur redonner confiance dans la parole de l’état et dans le futur.

Cela nécessite de reconnaitre que les pseudovaccins actuels et le pass ne sont pas efficaces contre le variant delta puisqu’il a d’abord prospéré dans les pays qui les ont utilisés.

Dire enfin la vérité : qu’il est plus contagieux mais très peu dangereux et qu’il n’y donc aucune raison pour que la vague en cours submerge les hôpitaux. Reconnaître enfin que la suppression de toutes les mesures sanitaires en Grande-Bretagne le 19 juillet par B. Johnson a été suivie d’une forte baisse es contaminations et qu’il ne faut donc pas en avoir peur en France.

La poursuite de la propagande de terreur par le gouvernement et les médias covid terroristes nous condamne à une stagnation économique sans fin.





GAVI et Bill Gates plus puissants que l’ONU !

[Source : zonefr.com]



[Source originale en anglais : W.H.O. WHISTLEBLOWER CONNECTS THE DOTS | The HighWire]




Ricardo : « Nous allons gagner la guerre »

[Source : La Minute de Ricardo]

Urgent: programme et vision !



Nous les résistants du peuple de France allons gagner la guerre !

Première bataille à gagner: stopper le pass sanitaire car il est contraire :
Aux droits de l’homme, article 2
À la constitution française, article 55
Au code civil, article 16
Au code pénal, article 225
Au code du travail, article 11.32
Au code de santé publique, article R27.31
Au code de déontologie médicale, article 36
Au serment d’Hippocrate
À la loi du 13 Juillet 1983
À la loi nᵒ 2002-3032 appelée loi Kouchner
Au Conseil de l’Europe, résolution 97 article 5
À la déclaration d’Helsinki de 1996
À la déclaration de Genève de 1948
À la déclaration de Nuremberg de 1945
Si quelqu’un vous empêche d’allez où que ce soit, relevez l’identité des personnes qui entravent votre liberté de circulation, elles seront punies le jour venu, condamnées pour non respect de toutes ces lois et surtout pour discrimination!

Deuxième bataille à gagner: stopper l’injection des wax !

On ne lâchera rien ! Même si Macron ne le veut pas, nous on sera là ! Vive la France !




Non, Louis Fouché ne s’est pas couché

[Source : Matthieu Lebrac]

[Ndlr : la vidéo suivante peut représenter une réponse à Louis Fouché s’est-il couché ?
Jean Robin envisage une résistance guidée par un ou plusieurs leaders qui peuvent avoir un rôle de sauveur, alors que Louis Fouché évoque une résistance bien davantage basée sur l’action, éventuellement souterraine (à l’image de la résistance lors de la Seconde Guerre mondiale), avec création de réseaux de différents ordres pour préparer la société de demain. Jean Robin se définit comme Chrétien et il se trouve sans doute marqué par le concept d’un Christ sauveur, alors que pour Louis Fouché, le Christ est déjà venu et il ne s’agit plus de l’attendre en tant que sauveur. Une certaine interprétation de textes bibliques prophétiques le montre d’ailleurs plutôt comme une sorte de Juge-Roi destiné à mettre en place une forme de société directement inspirée du divin.]




Philippe Guillemant : « Si on accepte l’identité numérique, ça sera trop tard »

[Source : Bas Les Masques]

https://youtu.be/gWzGQruMXO0



Un médecin de Rennes affirme qu’elle ne voit pas de cas COVID dans son hôpital mais beaucoup d’effets indésirables des vaccins

[Source : fawkes-news.com]




L’avocat maître Prigent rappelle à la télévision que les traités internationaux priment le droit français et que le Passe sanitaire est illégal

[Source : rumble.com]






Effets catastrophiques de la piqûre anti-Covid

Par Nicole Delépine

Il rêvait d’être pilote de chasse, il restera malade cardiaque dans le meilleur des cas si ce faux vaccin ne l’emporte pas dans les prochains jours. Il rêvait de vacances en Grèce avec sa copine, il ne partira jamais, mort dans les heures qui ont suivi l’injection supposée « libératrice »…

Comment vont réagir tous ces « jeunes » vaccinés qui se croient libres, enfin, après des mois de privation de liberté, alternant entre confinement et restrictions de degré variable, lorsque leur belle liberté va être entachée d’accidents vasculaires, d’un ami ou d’un copain, qui se multiplient après quelques mois d’euphorie, et, au minimum, de nouvelles privations, si les manifestations n’emportent pas ce pass de la honte dans la tempête populaire ?

L’exemple du « modèle » israélien devrait les avertir, mais comme chacun sait, il n’y a plus d’infos, que des mensonges à la télévision et des éléments sur les réseaux sociaux désavoués par les trolls. Alors on va à la plage, on verra bien…

Pourtant un regard sur la base de données officielles devrait au moins semer le doute avant d’aller se faire injecter cet OGM et devrait au moins faire réfléchir autant que pour acheter un shampoing bio…

Si le projet de ce papier était une revue exhaustive des effets secondaires des injections géniques, il devient impossible sur un temps court, car les événements graves ou sérieux (appelés « blessures » trop souvent dans les textes par suite d’une mauvaise traduction de l’anglais) sont trop nombreux pour permettre un rapport rapide pourtant nécessaire pour les « candidats » au vaccin sur injonction gouvernementale et médiatique. Nous citerons donc ici quelques articles significatifs.

LE NOMBRE D’EFFETS INDÉSIRABLES DÉCLARÉS EN LIEN AVEC LES VACCINS ANTI-Covid A DÉJÀ LARGEMENT DÉPASSÉ, EN QUELQUES MOIS, LE TOTAL DES EFFETS INDÉSIRABLES RAPPORTÉS, DEPUIS LA CRÉATION DE LA BASE DE PHARMACOVIGILANCE DE L’OMS EN 1968, POUR LES 15 VACCINS LES PLUS DISTRIBUÉS.(([1] https://www.businessbourse.com/2021/08/03/dr-eric-menat-je-nai-jamais-vu-une-augmentation-aussi-importante-des-effets-secondaires-officiels-plus-de-100-fois-quavec-tous-les-autres-vaccins-reunis/))

L’Étude d’Enzololo(([2] https://blogs.mediapart.fr/enzo-lolo/blog/120721/Covid-19-les-vaccinsvu-travers-la-pharmacovigilance
Covid-19 — Les vaccins vus à travers la pharmacovigilance de l’OMS 12 juil. 2021 Par Enzo Lolo — Mediapart fr Enquête dans les données de pharmacovigilance mondiale de l’OMS.
Notons que Médiapart a censuré le document ! selon l’auteur enzololo le 5 août : « Ça devient presque anecdotique dans le paysage, mais Mediapart vient de supprimer mon billet d’il y a quelques jours “les vaccins vus à travers la pharmacovigilance de l’OMS” (que je vous mets en PJ). Le plus humiliant est qu’ils se justifient par ce truc d’une dégoulinante nullité mâtinée de malhonnêteté intellectuelle :
https://factandfurious.com/fact-checking/non-les-effets-indesirables-des-vaccins-covid19-ne-sont-pas-dix-fois-superieurs-aux-autres-vaccins »)) de début août rapporte les éléments importants des bases de pharmacovigilance disponibles et les synthétise.

« La base de pharmacovigilance de l’OMS, VigiBase, n’est pas accessible au public. Mais une version simplifiée l’est : VigiAccess. Cette base de données collecte et résume les événements indésirables déclarés par les systèmes de pharmacovigilance officiels de plus de 110 pays dans le monde, pour tous les médicaments existants ».

La page d’accueil précise que pour chaque événement indésirable enregistré, le médicament est « soupçonné », mais que cela ne signifie pas automatiquement qu’il soit la cause de l’événement ». De façon générale, on estime que seulement 1 % à 10 % des événements indésirables réels sont rapportés.

Vaccins anti-Covid : depuis décembre 2020, donc essentiellement en 2021, alors que 3,3 milliards de doses avaient été administrées à 2 milliards de personnes : pour toutes les tranches d’âges pour lesquelles les vaccins anti-Covid ont été autorisés :

le nombre d’effets indésirables déclarés en lien avec vaccins anti-Covid a déjà largement dépassé, en quelques mois, le total des effets indésirables rapportés, depuis la création de la base de pharmacovigilance de l’OMS en 1968, pour les 15 vaccins les plus distribués.

Selon l’OMS : les effets indésirables des vaccins anti-Covid sont inhabituellement nombreux : l’OMS en a déjà enregistré 1,37 million (soupçonnés), quand les 15 familles de vaccins les plus courants en ont suscité moins de 1,7 million en 50 ans (soupçonnés aussi).

Comment nier qu’il s’agit d’un signal inquiétant ? Et précisons que tous ces vaccins répertoriés ont également été distribués à des millions de personnes dans le monde et chaque année et que le nombre global de vaccins anticovid injectés n’est pas supérieur aux vaccins classiques administrés et n’explique donc pas ce pic énorme d’effets secondaires graves.

Selon la VAERS :

La base de pharmacovigilance états-unienne VAERS montre de façon plus détaillée : 9048 décès pour lesquels on soupçonne les vaccins anti-Covid, alors que la pire année jusqu’ici en avait vu 605 déclarés, par suite d’un vaccin. Et 7463 personnes que les effets indésirables laissent handicapées. C’est également cohérent avec ce que semble révéler EudraVigilance pour l’Europe, avec une hausse des décès rapportés après la vaccination anti-Covid sans commune mesure avec ce qui se voyait jusqu’ici.

Les dernières données de VAERS incluent 2 nouveaux rapports de décès d’adolescents à la suite du vaccin Covid. Les données VAERS publiées début août par les CDC ont montré un total de 545 338 rapports d’événements indésirables de tous les groupes d’âge à la suite de vaccins contre la Covid, et un nombre de décès atteignant 12 366 et 70 105 effets délétères graves entre le 14 décembre 2020 et le 30 juillet 2021.(([3] Les données proviennent directement des rapports soumis au Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS), le principal système financé par le gouvernement pour la déclaration des effets indésirables des vaccins aux États-Unis.
Chaque vendredi, VAERS rend publics tous les rapports d’accidents vaccinaux reçus à une date précise, habituellement environ une semaine avant la date de délibération. Les rapports soumis au VAERS nécessitent une enquête plus approfondie avant qu’un lien de causalité puisse être confirmé.))

Si l’on exclut les « déclarations étrangères » déposées dans VAERS, 443 201 événements indésirables, dont 5 739 décès et 35 881 accidents graves, ont été signalés aux États-Unis.

Aux États-Unis, 344,9 millions de doses de vaccin contre la Covid avaient été administrées en date du 30 juillet :

139 millions de doses du vaccin de Moderna

193 millions de doses de Pfizer

13 millions de doses du vaccin Johnson & Johnson (J&J) contre la Covid.

Sur les 5 739 décès signalés aux États-Unis sur cette base au 30 juillet, 13 % sont survenus dans les 24 heures suivant la vaccination, 19 % dans les 48 heures suivant la vaccination et 34 % chez des personnes qui ont présenté des symptômes dans les 48 heures suivant la vaccination.

Ces chiffres sont bien inférieurs aux chiffres évalués par d’autres sources qui montent à 45 000 décès qui seraient directement liés aux pseudovaccins anticovid.(([4] https://leohohmann.com/2021/06/21/behind-the-vaccine-veil-doctor-cites-whistleblowers-inside-cdc-who-claim-injections-have-already-killed-50000-americans/)) Mais rappelons une nouvelle fois que ces injections sont encore en essai thérapeutique en phase 3 en AMM conditionnelle et qu’avant la « crise Covid », l’essai d’un médicament nouveau était toujours stoppé après quelques dizaines de décès au maximum (grippe aviaire après 26 décès, H1N1 après cinquante décès, etc..). Les milliers de morts indéniables dans le monde entier auraient dû faire stopper en urgence cette expérimentation, si elle relevait vraiment de la médecine.

EN CE QUI CONCERNE LES ENFANTS DE 12 à 17 ans

Les données américaines de cette semaine pour les jeunes de 12 à 17 ans montrent :

•15 741 événements indésirables au total, dont 947 jugés graves et 18 décès signalés. Deux des neuf décès étaient des suicides.

« Les décès les plus récents signalés comprennent un garçon de 15 ans (VAERS ID. 1498080) qui avait déjà eu la Covid, a reçu un diagnostic de cardiomyopathie en mai 2021, et est décédé quatre jours après avoir reçu sa deuxième dose du vaccin de Pfizer le 18 juin, lorsqu’il s’est effondré sur le terrain de soccer et est entré en tachycardie ventriculaire ; et une jeune fille de 13 ans (VAERS ID. 1 505 250), décédée après avoir souffert d’une maladie cardiaque après avoir reçu sa première dose de Pfizer. »

•Parmi les autres décès, mentionnons deux garçons de 13 ans (VAERS ID. 1 406 840 et 1 431 289), décédés deux jours après avoir reçu le vaccin de Pfizer, un garçon de 13 ans, décédé après avoir reçu Moderna (VAERS ID. 1 463 061), trois jeunes de 15 ans (VAERS ID. 1 187 918, 1 382 906 et 1 242 573), cinq jeunes de 16 ans (VAERS ID. 1 420 630, 1 466 009, 1 225 942, 1 475 434 et 1 386 841) et trois jeunes de 17 ans (VAERS ID. 1 199 455, 1 388 042 et 1 420 762).

• 2 323 cas d’anaphylaxie ont été signalés chez des jeunes de 12 à 17 ans, dont 99 %

ont été attribués au vaccin de Pfizer.

• 406 cas de myocardite et de péricardite (inflammation cardiaque) avec 402 cas attribués au vaccin de Pfizer.

• 77 rapports de troubles de la coagulation du sang, avec tous les cas attribués à Pfizer.

RAPPELONS QUE LES ENFANTS NE RISQUENT RIEN DU Covid :
AUCUN MORT D’ENFANT OU DE JEUNE SANS COMORBIDITÉ

Où est le bénéfice par rapport à ce risque indéniable de l’injection ?

Selon les CDC les chiffres sont comparables(([5] Dans l’ensemble, l’étude des CDC a examiné les effets secondaires chez les jeunes de 12 à 17 ans signalés au Système de déclaration des effets secondaires des vaccins (VAERS) entre le 14 décembre 2020 et le 16 juillet 2021. Le VAERS est le principal système financé par le gouvernement pour la déclaration des effets indésirables des vaccins aux États-Unis.))

Une étude publiée par les Centers for Disease Control and Prevention a montré que 9 246 événements indésirables ont été signalés chez les adolescents âgés de 12 à 17 ans, dont 863 événements graves, 14 décès et 397 rapports de myocardite.

Les CDC ont reconnu que près de 400 enfants âgés de 12 à 17 ans avaient souffert d’inflammation cardiaque après avoir reçu le vaccin Pfizer/BioNTech.

L’étude des CDC a également inclus 14 rapports de décès après la vaccination chez les adolescents. Parmi les personnes décédées, quatre étaient âgées de 12 à 15 ans, et 10 sont survenues chez des jeunes de 16 à 17 ans.

Les décès examinés par les CDC comprenaient deux rapports d’embolie pulmonaire, deux suicides, deux hémorragies intracrâniennes, un rapport d’insuffisance cardiaque et un trouble sanguin rare.(([6] L’auteure correspondante du CDC, Anne M. Hause, Ph.D., a déclaré :
« Les impressions concernant la cause du décès n’indiquaient pas une tendance suggérant une relation de cause à effet avec la vaccination ; toutefois, la cause du décès de certains défunts est en attente de la réception de renseignements supplémentaires.
Tous les décès ont été examinés par les médecins des CDC et six décès sont en attente d’une analyse plus approfondie. Aucun des rapports de décès n’a été déterminé comme avoir été causé par une inflammation cardiaque. »))

Le mois dernier, The Defender a fait état d’un garçon de 13 ans qui, selon une autopsie préliminaire, est mort d’une myocardite trois jours après avoir reçu sa deuxième dose du vaccin Pfizer.

Les autorités sanitaires du Michigan ont signalé le décès de l’enfant de 13 ans aux CDC, qui ont déclaré enquêter. On ne sait pas si la mort du garçon est l’une des six personnes qui font toujours l’objet d’une enquête du CDC.

Résultats globaux pour les jeunes de 12 à 17 ans

Selon l’étude des CDC,(([7] CDC Study on 12- to 17-Year-Olds Who Got Pfizer Vaccine: 397 Reports of Heart Inflammation, 14 Deaths • Children’s Health Defense (childrenshealthdefense.org) )) en date du 16 juillet, environ 8,9 millions d’adolescents américains âgés de 12 à 17 ans avaient reçu le vaccin Pfizer-BioNTech. Le VAERS a reçu 9 246 déclarations après la vaccination de Pfizer-BioNTech dans ce groupe d’âge — 90,7 % d’entre elles concernaient des effets secondaires non graves et 9,3 % des déclarations d’effets secondaires graves, y compris la myocardite (4,3 % ou 397 déclarations).

Les CDC ont également examiné les événements indésirables pour le groupe d’âge des 12 à 17 ans signalés au cours de la même période à V-safe, un système de surveillance de la sécurité basé sur un téléphone intelligent contrôlé par les CDC et des partenaires privés.

Selon l’étude, 129 000 adolescents américains âgés de 12 à 17 ans se sont inscrits à V-safe après la vaccination Pfizer BioNTech. Ils ont signalé des réactions locales (63,4 %) et systémiques (48,9 %) avec une fréquence similaire à celle rapportée dans les essais cliniques de préautorisation. Les réactions systémiques étaient plus fréquentes après la dose deux.

L’étude a indiqué qu’un petit nombre de participants V-safe ont déclaré qu’ils avaient été hospitalisés après la vaccination, cependant V-safe n’enregistre pas de raison d’hospitalisation, et il n’est pas possible de déterminer si l’hospitalisation était liée à la vaccination. Bien qu’elles soient exécutées par le CDC, les données V-safe ne sont pas accessibles au public.

Réactions les plus courantes liées à la myocardite

Bien que l’étude des CDC n’ait lié ouvertement aucun des décès survenus dans le groupe des 12 à 17 ans à l’inflammation cardiaque, elle a révélé que les événements indésirables graves les plus fréquemment signalés dans ce groupe d’âge comprenaient des douleurs thoraciques, une augmentation des niveaux de troponine,(([8] Enzyme que l’on dose en cas de suspicion d’infarctus pour confirmer le diagnostic)) une myocardite, une augmentation de la protéine c réactive et des résultats négatifs du test SARS-CoV-2. Selon les CDC, les résultats étaient compatibles avec un diagnostic de myocardite, inflammation du muscle cardiaque qui peut conduire à l’arythmie cardiaque et la mort.

Selon les chercheurs de l’Organisation nationale pour les maladies rares, la myocardite peut résulter d’infections, mais « le plus souvent, la myocardite est le résultat de la réaction immunitaire du corps aux dommages cardiaques initiaux ». Selon la Mayo Clinic, une myocardite sévère peut endommager de façon permanente votre muscle cardiaque, ce qui peut causer une insuffisance cardiaque définitive.

RISQUES ACCRUS DE MYOCARDITE ET DE PÉRICARDITE SIGNALÉS PAR LA FDA SUR FICHES D’INFORMATION PFIZER

Le 25 juin, la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis a ajouté un avertissement aux fiches d’information des patients et des fournisseurs pour les vaccins Pfizer et Moderna contre la Covid indiquant un risque accru de myocardite et de péricardite après la vaccination. Les mises en garde indiquent que les rapports d’effets secondaires suggèrent des risques accrus de myocardite et de péricardite, en particulier après la deuxième dose et avec apparition des symptômes quelques jours après la vaccination.

La mise à jour de la FDA a fait suite à un examen de l’information et à une discussion par la réunion de l’ACIP(([9] Advisory Committee on Immunization Practices.
Le Comité consultatif sur les pratiques de vaccination (ACIP) est un comité des Centers for Disease Control and Prevention (CDC) des États-Unis qui fournit des conseils sur le contrôle efficace des maladies évitables par la vaccination dans la population civile des États-Unis.)) le 23 juin, au cours de laquelle le comité a reconnu 1 200 cas d’inflammation cardiaque chez des jeunes de 16 à 24 ans et a déclaré que les vaccins contre la Covid à ARNm devraient porter une déclaration d’avertissement.

Les responsables de la santé ont déclaré que les avantages de recevoir un vaccin contre la Covid l’emportent toujours sur les risques. Les médecins et autres commentateurs publics ont accusé les CDC lors de la réunion d’exagérer le risque de Covid pour les jeunes et de minimiser le risque des vaccins.

Pfizer et son partenaire vaccinal BioNTech ont soumis une demande en mai à la FDA demandant l’approbation complète de la FDA de son vaccin contre la Covid. Pfizer a été le premier fabricant de vaccins contre la Covid aux États-Unis à demander une approbation complète.

ACCIDENTS PRÉOCCUPANTS CHEZ LES JEUNES VACCINES : LES SUICIDES ET TROUBLES DU COMPORTEMENT

Les données récentes du VAERS concernant les jeunes vaccinés contre le Covid montrent aussi des troubles de la sérié psychiatrique : suicide, tentatives de suicide — idées suicidaires, changements d’état mental dangereusement altérés/psychose chez les jeunes sans AUCUN antécédent de maladie mentale.

On peut lire quelques descriptions sur twitter : un jeune de 17 ans de l’Ohio décédé par suicide 4 jours après avoir reçu son injection. Un autre du même âge du Michigan, mort par suicide avec une arme à feu 8 jours après le vaccin. Un garçon de 17 ans en Iowa a fait 2 tentatives de suicide commençant 10 jours après l’injection fatidique.

« Il a dit que c’était comme si un interrupteur était éteint dans sa tête. Sa dépression et son anxiété ont empiré. Il n’a pas mangé pendant une semaine… »

Il était toujours écœuré. Il suit une thérapie. Sa mère a dit qu’il n’était plus le même depuis qu’il s’est fait vacciner.

Une fille de 15 ans en Géorgie en bonne santé et sans aucun antécédent de maladie mentale, a décompensé 14 jours après la 2e dose. On « l’a trouvée désorientée, pieds nus, errant dans le quartier au milieu de la nuit ». Les dépistages de drogue et le bilan médical sont tous négatifs.

Et d’autres témoignages décrits par @AMcA32449832(([10] Le 1 er août 2021 Tweet : 18 ans garçon de Virginie-Occidentale — en bonne santé, psychose développée 4 jours après la vaccination, nécessitant une hospitalisation de 27 jours)) sur twitter.

FERTILITÉ ET PSEUDOVACCIN

Depuis plusieurs mois des généticiens attirent l’attention sur les risques importants de ces injections sur la fertilité, étant donné l’attraction de la fameuse protéine spike, que nous fabriquons à la suite du « vaccin », pour les ovaires et les testicules.

Les vaccins contre le coronavirus attaquent le placenta et la fertilité, le Dr Yeadon demande aux femmes de les rejeter.(([11] 7 AOÛT 2021 Les vaccins contre le coronavirus attaquent le placenta et la fertilité, le Dr Yeadon demande aux femmes de les rejeter | Aube Digitale))

« Les Drs Wolfgang Wodarg et Michael Yeadon expliquent que le nouveau vaccin contient une substance similaire à celle produite par le corps de la femme lorsqu’elle attend un enfant (syncitine 1), substance qui, chez la mère, sert à produire le placenta qui nourrit le bébé.

Il est donc possible que les anticorps de la femme vaccinée (anticorps programmés pour détruire le virus) confondent la syncytine 1 contenue dans le morceau de virus avec la syncytine 1 produite par le corps de la femme en vue de la grossesse, empêchant par conséquent la formation du placenta.

Les vaccins anti-Covid à ARNm agiraient donc comme un abortif permanent puisque l’absence de placenta ferait mourir de faim l’embryon humain, mais ne l’empêcherait pas d’être conçu. »

Par conséquent, vaccination de masse peut vouloir dire “stérilisation de masse”(([12] 10 bonnes raisons de refuser le vaccin contre la Covid — Résumé. (wordpress.com) ))

Possible complication d’autant plus insupportable que les femmes sans antécédent particulier en âge de procréer ne risquent rien du Covid. Il serait indispensable qu’elles soient en tous cas correctement informées de ce risque.

LES VACCINS ANTICOVID, LA PROTÉINE SPIKE ET SES COMPLICATIONS CARDIOVASCULAIRES : AVC, INFARCTUS, perte de cohérence de mémoire chez personnes âgées, troubles du comportement chez les plus jeunes, etc.

« La protéine de pointe est une protéine pathogène. C’est une toxine. Elle peut causer des dommages dans notre corps s’elle entre en circulation.

L’ARNm pénètre dans votre circulation sanguine et s’accumule dans divers organes, principalement la rate, la moelle osseuse, le foie, les glandes surrénales et, chez les femmes, les ovaires. La protéine de pointe se rend également dans votre cœur, votre cerveau et vos poumons, où des saignements et/ou des caillots sanguins peuvent survenir, et est expulsée dans le lait maternel. »

Dr. Byram Bride

Une fois dans votre circulation sanguine, la protéine de pointe se lie aux récepteurs plaquettaires et aux cellules qui tapissent vos vaisseaux sanguins. Comme expliqué par Bridle, lorsque cela se produit, plusieurs choses peuvent se produire :

1. Les plaquettes peuvent s’agglutiner. Les plaquettes, ou thrombocytes, sont des cellules spécialisées de votre sang qui arrêtent le saignement. Lorsqu’il y a des dommages aux vaisseaux sanguins, ils s’agglutinent pour former un caillot sanguin. C’est pourquoi nous avons vu des troubles de la coagulation associés à la fois au [SRAS-CoV-2 de] la Covid-19 et aux vaccins.

2. Cela peut provoquer des saignements anormaux (en particulier des troubles des règles chez des vaccinées ou proches de vaccinées qui auront récupéré de la protéine spike)

3. Dans votre cœur, cela peut causer des problèmes cardiaques

4. Dans votre cerveau, il peut causer des dommages neurologiques

Il est important de noter que les personnes qui ont été vaccinées contre Covid-19 ne devraient pas donner de sang, vu comment le vaccin et la protéine de pointe sont tous deux transférés. Chez les patients fragiles recevant le sang, les dommages pourraient être mortels.(([13] Chercheur : « Nous avons fait une grosse erreur » sur le vaccin Covid-19 + La charge de la preuve incombe à Big Pharma… » 27 juillet 2021 par mirastnews in Europe/Par le Dr Joseph Mercola))(([14] Le médecin émérite Sucharit BHAKDI qui explique clairement les phénomènes de coagulation post vaccinaux.
Vidéos doublées en français :
https://odysee.com/@reseau-influence:a/Message-urgent-DR-Sucharit-Bhakdi-et-le-changement-de-narratif- (covid19) — (post%C3%A9-par-Dr-Perronne) — (1) : 7?src=embed))

Malheureusement actuellement les centres de transfusion français n’abordent pas ce lourd sujet.

Nous ne pouvons détailler ici tous les accidents liés à ces perturbations de la coagulation et aux thrombus qui en découlent et qui selon certains seraient visibles sur 60 % des IRM cérébrales de personnes vaccinées. Elles sont donc à risque et il est conseillé aux vaccinés d’obtenir de leur médecin une surveillance de dimères tous les 15 jours et si ceux-ci sont élevés d’obtenir une IRM cérébrale et un examen cardiaque. Prévenir ces accidents vasculaires serait à discuter avec votre docteur, éventuellement via de petites doses d’aspirine au cas par cas en fonction de vos autres traitements, etc. et pas à l’aveugle.

Enfin citons simplement les inquiétudes des cancérologues devant la multiplication des cancers nouveaux et des rechutes y compris chez des patients en rémission depuis longtemps. Une veille à ce sujet s’impose pour le moins de même que sur l’apparition de maladies neurodégénératives chez les vaccinés. L’histoire est loin d’être écrite.

VACCINATION NON SEULEMENT INUTILE, MAIS MORTIFÈRE

Et pourtant ces pseudovaccins ne protègent ni les vaccinés ni les autres. Voyez les expériences à ciel ouvert d’Israël et de Grande-Bretagne.

En Israël,

« 85 à 90 % des hospitalisations actuelles concernent des vaccinés » à 2 doses. 95 % des patients hospitalisés pour une forme sévère de Covid-19 sont des vaccinés !(([15] https://vigilance-pandemie.info/2021/08/09/israel-vaccines-hospitalises/ à lire en totalité si vous voulez comprendre ce qui nous arrive))

En Grande-Bretagne un rapport de Public Health England précise que

« sur les 257 personnes qui sont mortes de Covid entre le 1er février et le 21 juin, 163 avaient déjà reçu au moins une dose du vaccin, ce qui représente environ 63,4 % ».

LE REMÈDE CONTRE L’HYSTÉRIE ET LA FOLIE VACCINALE ? LE PEUPLE

Les manifestations populaires pacifiques rejetant l’obligation d’un pass sanitaire qui a incité tant de jeunes et de professionnels dans les dangers d’une vaccination inutile pour eux doivent s’amplifier.

La résistance au pass via la désertification des terrasses sera également efficace, car partagée. Les multiples photos de cafés vides des Champs-Élysées à la Bretagne, etc. donnent espoir que ce boycott du pass et des mesures liberticides ait la même efficacité qu’en Russie où il sauta en trois semaines, boycott accompagné de plaintes aux administrations.(([16] 2 millions de plaintes en 3 semaines, et victoire ! — Boris Karpov (tvs24.ru)
« Il faut savoir que depuis 10 ans, le gouvernement russe a développé des services en ligne parfaitement efficaces. Vous voulez écrire au FSB ? Au procureur ? Au percepteur ? A un ministre ? Ça se fait en ligne ! Réponse garantie sous 10 jours ! Des juristes préparent donc des lettres “standard” de plaintes contre le maire de Moscou, destinées à toutes les administrations. Car bien sûr les mesures sont totalement illégales et violent tous les codes, et la Constitution !
Un porte-parole de la Prokurature de Moscou déclare qu’ils reçoivent en moyenne 5 000 plaintes par jour, tous les jours. Et les gens écrivent au FSB pour accuser le maire de “trahison”, au ministère du travail pour se plaindre de la violation du code du travail, etc., etc. C’est un véritable raz de marée. »))





La nouvelle escroquerie du variant Delta. Pourquoi arrêter de mentir et manipuler si cela fonctionne si bien ?

Par Alain Tortosa

Taux d’incidence

Nous sommes inondés tous les jours sur les médias par le taux d’incidence qui ne fait qu’exploser à cause du fameux variant Delta…

Je vous avoue humblement ne pas avoir encore compris comment cette nouvelle vague serait aussi terrible, voir plus que les précédentes, alors même que 80 % des personnes à risque sont vaccinées d’un vaccin « efficace » et que les vaccinés d’un vaccin « efficace » sont menacés par les non-vaccinés !

Voici l’évolution quotidienne officielle de ce taux d’incidence.

Nous voyons sur ces courbes qu’il est en hausse depuis le 24 juin où il était de 3 pour 100 000 habitants pour passer à 33,7 au 19 juillet.

Il est depuis en légère baisse à 32,3 au 23 juillet… étrange…

Petit cours de rattrapage pour celles et ceux qui se réveillent d’un an de coma :

  • Le taux d’incidence est le pourcentage de personnes positives pour 100 000 habitants ! Si lundi vous testez 100 personnes et mardi 200, à épidémie constante, vous aurez deux fois plus de positifs et donc un taux d’incidence doublé !
  • C’est le nombre de personnes positives à un test PCR qui détermine le taux, test PCR dont il suffit de régler le nombre de cycles d’amplification pour le rendre positif [à volonté]. [Ndlr : Plus le taux est élevé et plus le pourcentage de faux positifs est important, atteignant presque 100 % de faux positifs à partir de 40 cycles d’amplification].
  • Le taux d’incidence du réseau sentinelle qui comptabilise les personnes symptomatiques et non uniquement positives est généralement 10 fois plus faible.

Je retiendrai donc de cette courbe que le taux d’incidence est complètement bidon.

Il est pour autant « bizarre » de constater une légère diminution depuis peu alors qu’il est impossible de corréler aux dernières vaccinations ou au retour massif de l’obligation de masques dans la rue.

Nombre de tests

Cette courbe est absolument vitale pour prouver l’escroquerie de la fameuse terrible vague que « nous sommes en train de subir ».

Cela pourrait faire rire si cette « vague » n’était pas l’outil utilisé pour rendre pass sanitaire et vaccination obligatoires sans compter le retour de couvre-feux et masques obligatoires pour le plus grand plaisir des vaccinés qui doivent commencer à constater que le gouvernement s’est foutu d’eux.

Les chiffres du nombre de tests parlent d’eux-mêmes !

Nous sommes passés de 315 000 tests quotidiens le 21 juin à 715 000 le 23 juillet.

  • L’explosion du taux d’incidence est donc mathématiquement impactée par ce doublement du nombre de tests quotidiens. Si vous cherchez de vraies courbes exponentielles, vous êtes servis !
  • Il n’y a JAMAIS eu autant de tests quotidiens en France hormis pour le pic de Noël dernier où il ne fallait surtout pas contaminer grand-mère qui a mangé seule dans la cuisine.
  • Le Premier ministre ose dire que 95 % des positifs sont non vaccinés (et jeunes) alors même que ce sont les personnes non vaccinées (et statistiquement plus jeunes) qui font des tests PCR pour aller au spectacle et aller en Corse ! Pourquoi des vaccinés se feraient tester, même symptomatiques, « protégés » par leur vaccin !

Nombre de patients en soin critique

Nous constatons une très légère hausse des patients en soin critique qui était en baisse depuis le 24 avril.

Elle était de 859 au 21 juillet pour passer à 952 au 28 juillet.

  • Je vous rappelle qu’il suffit d’être positif au Covid pour rentrer dans ces statistiques quand bien même vous auriez un cancer en phase terminale.
  • 1500 personnes décèdent environ par jour, le gouvernement dispose donc d’un réservoir conséquent de personnes pour faire une fausse vague comme il l’a déjà fait.
  • 952, c’est le nombre de personnes en soin critique (et non en réanimation comme les médias corrompus aiment à le dire). Il y a environ 19 000 lits de soin critique en France ce qui veut dire que les personnes positives au Covid utilisent 5 % des lits de soin critique… Quelle panique !
  • Le taux d’incidence était de 2 au 19 juin et il augmenterait depuis plus d’un mois ! Où sont les morts ? Je vous rappelle qu’en mars 2020 le délai médian entre la contamination et le décès était de 21 jours.
  • Si cette épidémie de positifs dus au méchant Delta était une épidémie de malades, nous aurions dû voir une explosion du nombre de personnes en réanimation et de décès, preuve que c’est une fausse épidémie et qu’ils vont devoir mentir sur les hospitalisations, les réanimations et les décès pour nous faire croire à la nouvelle « vague ». Et ce avec le concours des pourritures de chefs de service qui passent à la télé et mentent sciemment !

Taux de positivité

Celui-ci peut présenter un intérêt, car il mesure le pourcentage de personnes positives ramené au nombre de personnes testées.

Il est donc indépendant du nombre de tests effectués.

  • Le fait que le gouvernement et les médias utilisent systématiquement le taux d’incidence de personnes positives (et non le taux de positivité) pour qualifier l’épidémie est une PREUVE que l’objectif est de mentir et manipuler.
  • Le taux de positif est relativement neutre, mais influencé par l’échantillon testé. Si on pratique des tests dans des clusters, on va automatiquement le fausser. Il faudrait tester le même échantillon pour pouvoir comparer.
  • Le taux de positif est aussi totalement influencé par le nombre de cycles des tests PCR. Il peut donc aussi être manipulé.
  • Fait intéressant, le taux de positivité vient d’avoir un pic de 4,9 le 20 juillet. Si on le compare à la troisième « vague », lorsque celle-ci a débuté il était de 5,8, soit supérieur au pic actuel !
  • Le dernier pic de positivité était le 20 juillet, mais le 21 juillet, le 22 juillet et le 23 juillet qui sont en semaine (non influencés par les données du We), le taux de positivité a sensiblement diminué.

Alors que nous sommes en « pleine vague » avec une « augmentation exponentielle du nombre de cas », pouvez-vous m’expliquer comment le taux de positivité pourrait diminuer 3 jours de suite ?

La réponse est simple, nous sommes à nouveau victimes d’une escroquerie pour nous faire consentir à la vaccination de masse.

Cette vague est tellement bidon que le gouvernement n’aura pas de choix que de tricher encore plus pour nous « prouver » « l’horreur qui nous attend » !

Alain Tortosa

https://7milliards.fr/tortosa20210727-escroquerie-nouvelle-vague.pdf




France : mensonges et manipulation pour faire croire à l’efficacité de la vaccination anti-covid

Par Alain Tortosa

Les départements les plus touchés seraient les moins vaccinés ?

Mensonge d’État !

Le Premier ministre a déclaré(([1] https://www.europe1.fr/politique/covid-19-jean-castex-juge-dramatique-la-situation-en-outre-mer-4060057))

« Il y a vraiment une différence nette, visible entre les populations qui se vaccinent et celles qui ne se vaccinent pas »

« L’état d’urgence sanitaire dans un certain nombre de territoires d’outre-mer où la situation est dramatique, car ils sont rétifs à la vaccination ».

Depuis quelques jours, politiques, médecins médiatiques arrosés et journaleux martèlent que le regain d’épidémie se situe dans les pays qui ont le moins vacciné !

C’est un mensonge !

Regardez les données officielles fournies par les autorités sanitaires ci-après :

Comme vous pouvez le constater, il n’y a strictement AUCUNE corrélation entre le taux d’incidence et le taux de vaccination d’une région !

Il n’y a qu’à regarder La Guyane, Saint-Martin ou la Martinique et il en est de même en métropole.

D’autre part, même si c’est moins net, nous pouvons constater que les départements avec fort taux d’incidence ont, dans ces exemples, un taux de dépistage (nombre de tests) important !

Nous sommes donc face à un nouveau mensonge, mais de taille.

Les Français sont manipulés pour leur faire croire que les départements les moins vaccinés sont les plus exposés, mais c’est un mensonge !

Nous avons ici la preuve que la vaccination est de ce point de vue un échec et qu’elle n’est pas de nature à protéger de cette épidémie de « cas » [Ndlr: personnes testées positif au test PCR, mais étant le plus souvent en bonne santé (considérées alors comme « asymptomatiques ».] de la « 4e vague ».

Alain Tortosa

https://7milliards.fr/tortosa20210730-mensonge-efficacite-vaccination.pdf


Mensonges et manipulations, non la vaccination ne protège pas !

« Entrées hospitalières et décès de patients Covid-19 selon le statut vaccinal et la présence de la mutation L452R »(([2] https://solidarites-sante.gouv.fr/IMG/pdf/2021-07-23_-_sivic-sidep-vacsi_premiers_resultats_-_drees-2.pdf))

L’étude de la DRESS conclut que

« Les non-vaccinés représentent près de 85 % des entrées hospitalières, que ce soit en hospitalisation conventionnelle ou en soins critiques. »

Un bon coup de poing dans la gueule pour ceux qu’on nomme les « antivax », non ?

Pas si sur !

Petite précision… les auteurs précisent que

« les enseignements à en tirer sont plus fragiles, en raison de la faiblesse du nombre de cas identifiés sur cette première période d’étude ».

Il est bien entendu que ni les politiques, ni les médecins médiatiques corrompus ou illettrés et encore moins les médias putalopes ne tiendront compte de cette remarque et feront de cette étude une VÉRITÉ !

Parlons d’abord de quelques biais :

  • La Dress, direction de l’administration centrale des ministères sanitaires et sociaux est un organisme public sous la tutelle de différents ministères. Quand votre ministère vous dit depuis des mois que la vaccination est non seulement efficace, mais aussi la seule voie, je ne suis pas certain que vous puissiez pondre une étude à charge. Et ce d’autant plus quand son directeur, Fabrice Lenglart, a été nommé fin 2019 par Macron.
  • La légende urbaine veut que les vaccinés soient censés ne pas faire de formes graves. Sans être des extrémistes manipulés, des médecins de base et non informés vont avoir une tendance naturelle à largement hospitaliser des non-vaccinés par peur de formes graves…
  • Imaginons que ces données bidons soient vraies… Je vous rappelle qu’une personne positive au Covid avec un cancer en phase terminale qui décède est considérée décédée du Covid. J’imagine aussi qu’il reste quelques médecins intègres qui ne s’amusent pas à vacciner pour le plaisir ou pour l’argent des personnes en fin de vie qui n’auraient aucun bénéfice à être vaccinées hormis le risque de les précipiter plus vite dans la mort..

Imaginons que l’affirmation de cette étude soit exacte et qu’une écrasante majorité des hospitalisés soient non vaccinés…

De fait, plus il y aurait de vaccinés dans une région et moins il y aurait d’hospitalisations !

Les départements les plus vaccinés devraient donc avoir le plus faible taux d’hospitalisation…

Voyons quelques chiffres officiels :

(Source geodes.santepubliquefrance.fr, données au 26 juillet 2021)

Je vous rappelle (voir plus haut) qu’il n’y a AUCUNE corrélation entre le taux d’incidence et le taux de vaccination.

Par exemple la Guyane avec son taux de vaccination de 20,9 % devrait avoir un taux d’incidence identique à celui de la Martinique dont le taux est de 1000 alors même que le taux en Guyane est seulement de 240 !

Il en est de même en métropole avec l’Essonne qui a 15 points de moins pour la vaccination que les Alpes-Maritimes avec un taux d’incidence de 153 pour l’Essonne versus 585 pour les Alpes-Maritimes.

Mais quid des hospitalisations qui devraient être moindres dans les départements les plus vaccinés ?

Si l’on compare le taux de personnes hospitalisées pour 100 000 habitants en Guadeloupe et en Martinique qui ont un taux de vaccination assez proche, nous constatons que la Martinique, officiellement au bord du gouffre, compte 38 personnes hospitalisées Covid pour 100 000 habitants versus 29 pour la Guadeloupe qui a pourtant un demi-point de moins en vaccination.

Leurs taux d’hospitalisation devraient être proches et pourtant il y a 28 % de plus d’hospitalisations en Martinique.

Pour la métropole, la Haute-Corse et le Haut-Rhin sont à moins de 6 personnes hospitalisées pour 100 000 habitants alors que les Pyrénées-Orientales et les Alpes-Maritimes sont à plus de 13 personnes hospitalisées pour 100 000 habitants (plus de deux fois plus) malgré leurs 10 points de plus de vaccinés.

Vous pourriez alors critiquer ces chiffres en disant que les personnes hospitalisées l’étaient déjà en partie ou largement avant la vaccination.

J’ai donc comptabilisé le nombre de personnes entrant à l’hôpital entre le 1er juillet et le 26 juillet.

Ici encore la Guadeloupe avec un demi-point de moins de vaccination que la Martinique compte 35 admissions pour 100 000 habitants versus 56 pour la Martinique.

En métropole, L’Essonne ou la Haute-Corse sont à moins de 8 admissions pour 100 000 habitants tandis que les Pyrénées-Orientales ou les Alpes-Maritimes sont à plus de 11 admissions pour 100 000 habitants malgré environ 10 points de plus de vaccination pour ces derniers !

On pourrait multiplier les exemples à l’infini comme l’Aude, entre Pyrénées-Orientales et l’Hérault qui est moins vacciné, a un taux d’incidence plus faible, et moins d’hospitalisations que ses voisins !

Nous avons ici la preuve d’une absence TOTALE de corrélation (tantôt plus, tantôt moins) entre le taux de vaccination d’un département et le nombre d’admissions à l’hôpital !

Cette étude n’a donc strictement aucune valeur scientifique et est de nature à manipuler une fois de plus la population pour lui faire croire que la vaccination réduit drastiquement les hospitalisations.

C’est tout simplement FAUX ! La réalité des chiffres prouve le contraire, l’inefficacité de la vaccination !

Je vous rappelle que le gouvernement s’appuie sur ces études erronées ou frauduleuses pour rendre la « vaccination » de produits expérimentaux obligatoire !

Nous devons continuer à éclairer le public sur ces mensonges !

Alain Tortosa

https://7milliards.fr/tortosa20210801-mensonge-vaccination-hospitalisations.pdf





Le Dr Zelenko qui a soigné 6000 patients de la Covid alerte sur les « vaccins »

[Source : odysee.com]






Ressources contre les mesures Covid

Par Joseph Stroberg

Récapitulatif des articles du site qui mentionnent les ressources juridiques et d’autres natures contre les mesures prétendument « sanitaires », mais en fait sociopolitiques. (Essentiellement pour le Québec et/ou pour la France, selon les cas)

Modèle de lettre de réponse aux autorités françaises scolaires ou universitaires pour les parents incités (parfois avec menaces) à faire « vacciner/injecter » leurs enfants avant la rentrée scolaire ou universitaire

Comment surseoir à la vaccination : les clés pour défendre ses droits

LETTRE-TYPE À ADRESSER À VOTRE DÉPUTÉ et AUX SÉNATEURS DE VOTRE DÉPARTEMENT pour lui demander d’être contre le Pass Sanitaire

Outils juridiques contre les dispositions “anti covid”

Contraventions COVID : ressources (au Québec)

Un citoyen canadien de l’Alberta demande la preuve de l’existence du SARS-CoV-2 au tribunal, une semaine plus tard toutes les restrictions sont levées dans cette province

Pass sanitaire et injection obligatoire : les conseils de « guerre » de Me de Araujo-Recchia et Me di Vizio

NO PASS : POURQUOI UN RECOURS CEDH ? – NO PASS !!! (en provenance d’un commentaire)

Pour les non-vaccinés qui espèrent le rester :

Ne paniquez pas ! Il n’est pas forcément nécessaire d’être un héros pour échapper à l’injection expérimentale forcée !

Conseil de Maître DiVizio aux parents inquiets d’une vaccination de leur enfant à l’école sans leur consentement parental

Déclaration à faire signer au médecin qui voudrait vous vacciner de force

« Je n’ai pas accepté le test PCR à l’aéroport et j’étais dans mon droit »

Une association française contre les mesures Covid-19

Voir aussi la rubrique Avocats dans le menu en haut du site.

Sur un plan intérieur :

La clef de la libération




Contraventions COVID : ressources (au Québec)

[Source : Le Tribunal de l’infaux (tribunaldelinfaux.com)]

Voici des ressources pour ceux et celles qui ont reçu des contraventions en lien avec les mesures sanitaires.

Vous trouverez :

A- L’avis juridique de Me Dominic Desjarlais, l’avocat de la Fondation pour la défense des droits et libertés du peuple.

En résumé, vous pouvez demander une remise pro forma de l’audition (reporter à une date ultérieure) afin de faire des démarches pour vous trouver un avocat ou produire une requête attaquant la constitutionnalité du décret et de la mesure.

B- Autres ressources et liens utiles.

A- RÉSUMÉ DE L’AVIS JURIDIQUE DE ME DOMINIC DESJARLAIS

1. Contester la contravention

Pour contester une contravention, vous avez 30 jours. Demandez la divulgation de la preuve.

Exemple :

« Bonjour,

J’ai reçu le constat d’infraction 100400 5000******.

Je souhaite plaider non coupable.

Veuillez s’il-vous-plaît me transmettre la divulgation de la preuve.

Merci de confirmer la réception de ce courriel.

Cordialement,

VOTRE NOM »

Voici l’information du Bureau des amendes:

« Vous voulez plaider non coupable et contester votre constat d’infraction

Vous pouvez enregistrer votre plaidoyer de non-culpabilité :

Par courriel à l’adresse amendes@justice.gouv.qc.ca , en indiquant votre nom, votre numéro de constat d’infraction et votre choix de plaidoyer.

Par la poste à l’adresse apparaissant sur votre constat ou par télécopieur au 418 644-8486, en utilisant le coupon-réponse de votre constat d’infraction ou de la correspondance reçue.

Vous serez alors avisé par la cour du Québec de la date prévue pour la tenue du procès. »

2. Si vous recevez un avis d’audition, présentez-vous à l’endroit, la date et l’heure indiquée.

– Si vous ne pouvez pas vous présenter :

  • Contactez la partie poursuivante (le Bureau des infractions et des amendes du Ministère de la Justice, toutes les informations sont sur la 2e page du constat). Cliquez ici pour le site web, les coordonnées et la FAQ.
  • Demandez de reporter l’audition en expliquant votre motif.
  • Confirmez par écrit toute remise de l’audition.

– Si vous n’arrivez pas à communiquer avec la partie poursuivante :

  • Présentez-vous devant le tribunal à la date et l’heure convenues, sinon un jugement par défaut pourrait être prononcé contre vous.

3. Lorsque vous vous présentez devant le tribunal pour une première date d’audition, dites si vous êtes prêt à procéder ou non. Vous pouvez demander une remise pro forma.

  • Représentation :
  • Représenté par un avocat : Si vous souhaitez être représenté par un avocat, notamment pour attaquer la constitutionnalité du décret et/ou de la mesure, vous pouvez demander une remise d’audition afin de faire des démarches en ce sens. Vous pouvez demander un délai de 60 à 90 jours.
  • Représenté seul : Si vous souhaitez vous représenter seul et souhaitez attaquer la légalité et/ou la constitutionnalité du décret et/ou de la mesure, vous pouvez demander de reporter le dossier en indiquant le délai nécessaire pour produire une requête attaquant la constitutionnalité du décret et de la mesure, ainsi qu’un avis selon l’article 76 du Code de procédure civile, requis lorsque la constitutionnalité d’une loi ou d’un décret gouvernemental est attaqué.

4. La suite dépendra des démarches entreprises. Une date d’audition devra éventuellement être fixée une fois que toutes les parties seront prêtes à procéder.


B- AUTRES LIENS UTILES

Extrait pertinent :

« À cet égard, la Cour suprême du Canada a établi le principe judiciaire voulant qu’il faille impérativement une habilitation législative expresse pour imposer ou créer, par règlement ou une taxe, des infractions et des pénalités. En d’autres termes, il faut que la loi prévoie expressément le pouvoir d’adopter des sanctions pénales. Or la LSP ne le prévoit pas dans le chapitre XIV relativement aux sanctions pénales (articles 138 à 142). Son pouvoir de réglementation de l’article 136 ne saurait non plus lui permettre.

Ainsi, rien dans la Loi sur la santé publique n’autorise le gouvernement à adopter des mesures conférant des pouvoirs discrétionnaires aux policiers ou à imposer des sanctions pénales. »

Extrait pertinent :

« Le décret dispose ensuite qu’il est « interdit à l’exploitant d’un lieu qui accueille le public d’y admettre une personne qui ne porte pas un couvre-visage ou de tolérer qu’une personne qui ne porte pas un couvre-visage s’y trouve ». Des exceptions sont toutefois prévues pour une personne qui :

2. déclare que sa condition médicale l’en empêche […]

2.2 Le droit à l’égalité Selon les circonstances, certains enjeux liés au caractère discriminatoire de l’obligation prévue au décret pourraient par ailleurs être soulevés. Ainsi, la Commission avait souligné dans la FAQCOVID-19 présentée sur son site Internet que l’obligation du port du masque pourrait, par exemple, constituer un fardeau important pour des personnes en situation de handicap.

En l’espèce, précisons que le décret prévoit cependant une exception, permettant à l’exploitant d’un lieu qui accueille le public d’admettre ou de tolérer la présence d’une personne ne portant pas de couvre-visage si cette personne « déclare que sa condition médicale l’en empêche ».

Aux termes du décret, il ne repose donc pas sur l’exploitant du lieu public ou sur le commerçant de vérifier le bien-fondé de cette déclaration. De fait, toute démarche intrusive menée par le responsable du lieu public concerné, visant à vérifier si la personne en situation de handicap qui invoque l’exception présente réellement une condition médicale qui l’empêche de porter un couvre-visage, serait susceptible de porter atteinte au droit au respect de sa vie privée (article 5 de la Charte) ainsi qu’au droit d’avoir accès aux moyens de transport ou aux lieux publics et au droit de conclure, en pleine égalité, un acte juridique ayant pour objet des biens ou des services ordinairement offerts au public sans discrimination, en lien avec un handicap (articles 10, 12 et 15).

La Commission retient néanmoins que l’exception relative à la condition médicale prévue au décret doit viser à permettre l’exercice, en pleine égalité, des droits des personnes en situation de handicap dont la condition les empêche effectivement de porter le masque. Pour ce faire, la mise en œuvre de l’obligation pourrait nécessiter, pour les exploitants des lieux publics visés, une recherche d’accommodement afin de ne pas porter atteinte indument au droit des personnes en situation de handicap d’exercer leurs droits et libertés en toute égalité – que ce handicap soit visible ou non. » (Soulignements ajoutés)

  • Tweet du Gouvernement du Québec à propos du billet médical, 3 août 2020 :

« Une personne exemptée doit seulement déclarer : « j’ai une condition médicale qui m’empêche de porter le masque ». Elle n’a pas à nommer la condition ou à présenter un billet médical. Nous travaillons à transmettre l’information le mieux possible. Merci pour votre commentaire! » (Soulignements ajoutés)

  • Vidéo de Me Dominic Desjarlais et Stéphane Blais (juillet 2021) : Le point sur le juridique

Sur Rumble :

https://rumble.com/vkvbou-crise-sanitaire-au-qubec-le-point-juridique.html



Sur Facebook :



  • Vidéo de Lily Monier, vers 4 minutes elle parle des contraventions :



  • Avis juridique (intégral) de Me Dominic Desjarlais :

Extraits pertinents de l’avis juridique de Me Dominic Desjarlais :

« Tout d’abord, si une personne veut contester un constat d’infraction qu’elle a reçu, elle doit transmettre un plaidoyer de non-culpabilité par la poste à l’adresse indiquée sur ce constat sur le constat et ce, dans les 30 jours de la réception du constat.

Par la suite, lorsqu’une personne reçoit un avis d’audition elle doit se présenter à l’endroit la date et l’heure indiquée dans l’avis d’audition.

Si une personne ne peut se présenter pour un motif quelconque à la date indiquée dans l’avis d’audition, il est important qu’elle contacte dès que possible avant cette date la partie poursuivante afin de demander le report de l’audition en expliquant son motif et de confirmer par écrit avec le poursuivant toute remise de l’audition convenue.

Si une telle communication n’est pas possible avec le poursuivant il est important que la personne se présente devant le tribunal à la date et à l’heure indiquée dans l’avis d’audition, à défaut de quoi un jugement par défaut pourrait être prononcée contre elle.

Lorsqu’une personne se présente devant le tribunal pour une première date d’audition elle doit indiquer au tribunal si elle est prête à procéder ou non.

Il se peut qu’une personne qui se présente devant le tribunal pour la première fois désire être représenté par un avocat pour la suite du dossier notamment pour attaquer la constitutionnalité du décret et de la mesure en vertu de laquelle elle a reçu un constat d’infraction auquel cas elle doit alors en informer le tribunal et demander une remise pro forma de l’audition à une date ultérieure afin d’effectuer les démarches nécessaires pour se trouver un avocat. Elle doit alors indiquer le délai raisonnable dont elle aurait besoin pour se trouver un avocat qui la représenterait dans le dossier selon notre expérience un délai minimal de 60 ou même de 90 jours pourrait être demandé pour ce faire.

Par ailleurs si une personne désire se représenter seule il se peut qu’elle ne soit pas prête à procéder lors de la première date d’audition: par exemple dans le cas des infractions aux mesures COVID-19 une personne pourrait vouloir attaquer la légalité et/ou la constitutionnalité du décret en vertu duquel l’infraction dont elle est accusée a été édictée et/ou attaquer la constitutionnalité de la mesure (port du masque, couvre-feu, etc.) à laquelle elle est accusée d’avoir contrevenu. Dans un tel cas, la personne pourrait demander le report du dossier pro forma à une date ultérieure en indiquant le délai dont elle estime avoir besoin pour produire une requête attaquant la constitutionnalité du décret et de la mesure, ainsi qu’un avis selon l’article 76 du code de procédure civile qui est requis lorsque la constitutionnalité d’une loi ou d’un décret gouvernemental est attaqué.

Quant à la suite possible d’un dossier donné cela dépendra des démarches qui pourraient être/seront entreprises. Ultimement une date d’audition de la cause au mérite devra éventuellement être fixée dans le cours du dossier une fois que toutes les parties auront déclaré être prête à procéder. »

BONNE CHANCE À TOUS!

Et n’oubliez jamais ceci :




« Les vaccinés sont des innocents qui vont au massacre » Dr Roger Hodkinson

[Source : Sott.net]

« Les scientifiques savent, ils ont juste peur de le dire. »

Éminent professeur à Alberta, une des plus grandes universités du Canada, Roger Hodkinson alerte sur les produits expérimentaux nommés « vaccins » anti-Covid-19 et sur les manipulations des discours face à la maladie, dont il explique qu’aujourd’hui nous savons que ce n’est « pas pire qu’une mauvaise grippe saisonnière. »

Le professeur Roger Hodkinson : « nous vivons actuellement un cauchemar médical. » Professeur en pathologie, ancien PDG d’un grand laboratoire privé à Edmonton, dans l’Alberta, actuellement dirigeant d’une petite entreprise de biotechnologie, le professeur Roger Hodkinson est l’ancien président du comité du Collège royal des médecins et chirurgiens d’Ottawa. Il a aussi occupé pendant les 20 dernières années le poste de président d’une société de biotechnologie médicale basée en Caroline du Nord, chargée de vendre un test Covid-19. Il est spécialiste en pathologie, y compris en virologie, et a été formé à l’université de Cambridge au Royaume-Uni. Il a également déclaré en novembre 2020 qu’ils s’agissait du « plus grand canular jamais perpétré sur un public sans méfiance ».

Dans la vidéo qui suit, il explique :

« Je n’ai plus rien à prouver, j’ai une carrière très bien remplie, je me sens obligé de me lever et de prendre des coups. Dans la grande majorité, je suis triste de le dire, les médecins et scientifiques tombent dans la décision binaire du choix entre l’éthique et le revenu, et choisissent le revenu car ils savent que s’ils se lèvent ils vont se faire massacrer. »

Dans cet entretien, le professeur Roger Hodkinson revient sur les discours de peur pour encourager les injections expérimentales nommés « vaccins » anti-Covid-19 et évoque entre autres, les différents scandales autour du Covid-19 tels que Ferguson et ses grotesques modélisations et les falsifications de Fauci. Un témoignage avec des paroles intenses. Pour le professeur Roger Hodkinson, « nous vivons actuellement un cauchemar médical ».

« […] L’échelle des complications potentielles en dehors de la dépendance des anticorps, l’échelle des complications qui pourraient se produire est si gigantesque que c’est un vrai cauchemar. Et le grand public, ces innocents voués au massacre, est gardé intentionnellement ignorant [par la propagande]. Pas seulement par le manque de contre propagande, mais par une opération psychologique destiné spécifiquement avec une grande sophistication à installer la peur afin que la « vaccination » soit encouragée. Si ce n’est pas la conséquence la plus malsaine de cette triste période de l’Histoire de la médecine, c’est tout simplement scandaleux. Et c’est pourquoi je me lève et je m’exprime.
[…]
Je ne veux pas descendre dans le terrier du lapin pour défendre le « vaccin ». Analyser les données sur le « vaccin » et patati et patata, non, c’est une distraction. Vous échouerez dans les arguments contre les personnes qui le défendent. Vous devez revenir aux bases, aux bases fondamentales : pour commencer, il n’y jamais eu d’urgence de santé publique. Il n’y a aucune raison de se précipiter pour commercialiser ces produits. Le simple fait qu’ils soient maintenant disponibles pour le mauvais prétexte, n’est pas une raison pour les utiliser sur qui que ce soit.
[…]
La « vaccination » doit être arrêtée immédiatement. [Ces produits] sont dangereux, ils n’ont pas été testés [de la manière habituelle, à savoir cliniquement avec un suivi des patients et un groupe témoin]. Il n’y a pas de raison de les utiliser tant qu’il n’aura pas été prouvé qu’ils sont sûrs. Ils utilisent le mot « sûr » de la manière la plus orwellienne qui soit.
[…]
Les gouvernement n’écoutent pas les bonnes personnes, ils écoutent les gens qui ont un intérêt direct dans leur propre survie. Et leur propre survie dépend de leurs accords avec le gouvernement. »

Et bien plus plus dans la vidéo qui suit :



Un debriefing proposé en partenariat avec BonSens.org

La version originale de cette vidéo (en anglais) est disponible ici.

Source partielle de l’article : FranceSoir
Doublage en français : Quantum Leap




Déconstruction de l’arnaque Covid : les documents Ministère de la Santé admettent que le CDC n’a jamais isolé de « virus covid-19 » … le test PCR ne détecte que le BRUIT des instruments

[Source : numidia-liberum.blogspot.com]

Par Mike Adams.

Dans cet article :

  • Aucun matériel de référence certifié isolé pour le virus « Covid-19 ».
  • Les tests PCR qui trouvent des résultats « positifs » pour Covid enregistrent simplement le résultat d’un fond amplifié d’instrument.
  • La FDA admet que les tests PCR ont été développés sans aucun échantillon de virus covid-19 isolé. Donc, ils ont simulé le virus.
  • La virologue Dr Judy Mikovitz confirme que les coronavirus courants et les virus de singe sont frauduleusement étiquetés « Covid ».
  • Le Dr Jane Ruby explique l’absence de tout isolat viral et pourquoi la pandémie est basée sur une fraude scientifique coordonnée.
  • Les documents du CDC FOIA révèlent la preuve que le CDC n’a jamais isolé Covid-19.
  • L’arme biologique à protéines de pointe – spike – est réelle, et les « vaccins » contre le virus sont des piqûres mortelles pour parvenir à la dépopulation.
  • La directrice  du CDC, Walensky, admet que le vaccin contre le Covid n’arrête pas les infections covidiennes.
  • Le sénateur Rand Paul appelle les Américains à résister à la tyrannie covidienne.

[Voir aussi :
40 faits à connaître : la véritable histoire de la « Covid »
Virus Mania : Comment Big Pharma et les médias inventent les épidémies
« Virus », des décennies d’escroqueries ?
Comment l’analyse du génome crée des virus fictifs
Comment créer votre propre “nouveau virus” généré par ordinateur
Les jeux sont faits : la véritable origine de ce qu’ils appellent Covid-19
À quel point les virus sont-ils morts ?
C’est l’heure du conte « Gain de Fiction »* avec RFK Jr. et ses amis !
Confirmation écrite : les scientifiques ne peuvent apporter aucune preuve de l’existence d’un virus pathogène
Dr Sam Bailey — Pourquoi les pathogènes n’existent pas]

L’année dernière, lorsque les sceptiques de l’arnaque covid disaient « qu’il n’y a pas de virus covid », je n’étais pas du tout d’accord. En tant que scientifique de l’alimentation publié, propriétaire de laboratoire et inventeur de deux brevets publiés basés sur l’analyse par spectrométrie de masse, je savais que le SARS-CoV-2 avait été séquencé génomiquement. J’ai sûrement pensé à tort qu’il avait été isolé, purifié et déterminé comme étant la cause de la maladie de Covid-19.

Un an plus tard, il s’avère que les sceptiques avaient raison. Et les avertissements de personnes comme le Dr Thomas Cowan, Sally Fallon, le Dr Andrew Kaufman, Jon Rappoport, David Icke et d’autres étaient justes. (Je me suis depuis excusé auprès d’eux dans un podcast public.)

Comment ai-je réalisé que l’establishment médical et scientifique avait fabriqué tout cela ? Et quelle est l’explication de la maladie très réelle que les gens connaissent ?

Je vais partager cette histoire ici, mais en bref, les virus du rhume et les fragments de virus de singe trouvés dans les vaccins contre la grippe sont mal étiquetés « Covid », et il existe une arme biologique à protéine de pointe armée qui est distribuée via des injections de vaccin. Tout cela est réel. Mais il n’existe pas de virus Covid-19 réel, physique et isolé qui a été récolté sur des personnes malades et dont il a été démontré qu’il infecte d’autres personnes et les rend malades. Ce à quoi nous assistons vraiment ici, semble-t-il maintenant, ce sont trois choses distinctes :

1) Un cocktail de virus du rhume étiquetés « Covid » qui circulent et provoquent des maladies chez certaines personnes, très probablement en raison du manque d’exposition du système immunitaire aux virus de type sauvage pendant tous les blocages mondiaux.

2) Une nanoparticule toxique de protéine de pointe armée qui est injectée à des personnes sous forme de « injection  de caillots »… et elle est probablement en train de se détacher/disperser, provoquant des effets secondaires nocifs chez d’autres personnes non vaccinées.

3) Un schéma PCR « casdémique »(([1] « “Casdémie” Covid : le cartel bancaire est le moteur de l’agenda »)) entièrement frauduleux conçu pour signaler presque tout le monde comme « positif » basé presque entièrement sur le nombre de cycles que les instruments de préparation d’échantillons PCR doivent effectuer, amplifiant ainsi le bruit de l’instrument jusqu’à devenir « positif ». Presque tout peut être signalé comme « positif », y compris les fragments de matériel génétique provenant des vaccins antigrippaux des années précédentes.(([2] « Le mystère des 3 présidents décédés après avoir bloqué la distribution des vaccins anti-covid dans leur pays »))

Ces trois choses – combinées à la programmation d’hystérie de masse par les médias – ont atteint un niveau de peur mondiale et de terrorisme psychologique que le monde n’a jamais vu auparavant. Mais tout est basé sur des mensonges. Et voici comment nous le savons.

Aucun matériel de référence certifié pour le virus SARS-CoV-2 « covid-19 » isolé

En tant moi-même propriétaire de laboratoire, publiant des analyses scientifiques et analyste des spécifications de masse, je suis extrêmement familier avec le processus d’utilisation de matériaux de référence certifiés (certified reference materials CRM) pour valider les méthodes d’analyse et les séquences d’étalonnage des instruments. (J’ai passé beaucoup trop de soirées à créer des dilutions en série d’étalons à l’aide d’une pipette Gilson, croyez-moi…)

Voici comment le processus fonctionne normalement dans un laboratoire scientifique légitime :

Étape 1) Acquérir le CRM de la chose que vous souhaitez tester (« analyte »). Cela signifie acquérir un étalon purifié et isolé avec une concentration connue, généralement dans un support tel que l’eau, ou sous forme de poudre sèche. Par exemple, lorsque je teste le mercure dans les aliments, j’ai une norme de mercure certifiée avec une concentration connue de mercure, dissous dans l’eau, l’acide nitrique et l’acide chlorhydrique.

Étape 2) Exécutez le CRM en tant qu’échantillon, à différentes concentrations, pour créer une « courbe » qui enseigne efficacement à l’instrument à quoi ressemble l’analyte et comment le détecteur de l’instrument réagit aux différentes concentrations de l’analyte.(([3] Dans le domaine de la métrologie et plus particulièrement de la chimiométrie, un analyte est une substance ou un produit chimique constituant le centre d’intérêt d’une procédure d’analyse chimique, toxicologique ou écotoxicologique.)) Le résultat final est une « courbe quantique » qui sera utilisée à l’étape 3.

REMARQUE : Les instruments « correspondront » à la chose que vous recherchez par une variété de méthodes, en filtrant toutes les autres choses qui ne correspondent pas. Dans le travail de spécification de masse, les molécules sont identifiées par leur masse moléculaire, les schémas de fragmentation des ions et le temps d’élution sur les colonnes de chromatographie. Pour qu’une substance corresponde, elle doit atteindre tous ces paramètres. Dans les tests PCR, une « correspondance » est une séquence génomique constituée de paires de bases, définie dans une bibliothèque numérique qui peut ou non avoir été exécutée par rapport à une norme physique réelle dans le monde réel.

Étape 3) Faites passer des échantillons inconnus dans l’instrument (sérum sanguin, urine, salive, eau, extraits d’échantillons alimentaires, etc.) et voyez si l’échantillon inconnu contient l’un des éléments que vous recherchez (l’analyte). Comme vous avez construit une courbe quantique, vous pouvez également déterminer la concentration de l’analyte dans l’échantillon d’origine. Ceci est généralement décrit comme la masse sur le volume, telle que ng/ml (nanogrammes par millilitre). Un nanogramme est un milliardième de gramme. Lorsque nous testons les aliments pour le glyphosate, nous pouvons détecter aussi peu que 1 nanogramme par millilitre, ce qui vous en dit long sur l’extrême sensibilité des instruments haut de gamme.

C’est le processus pour tester quelque chose et identifier la quantité de quelque chose qui se trouve dans quelque chose d’autre. Par exemple, si vous deviez déterminer si quelqu’un est malade du « Covid », vous devrez déterminer la concentration de virus Covid-19 dans son sang (c’est-à-dire la « charge virale »). C’est la science/biologie 101.

Alors, quel est le problème ?

Vous seriez stupéfait de réaliser à quel point la fraude scientifique est profonde. Considérez ces points critiques :

Point n° 1 : Il ne semble pas y avoir de matériaux de référence certifiés isolés et purifiés disponibles pour le SARS-CoV-2 « Covid ». J’ai vu des entreprises qui prétendent vendre des « isolats » contenant des virus Covid, mais dans leur propre description, elles expliquent que leurs flacons contiennent du matériel génétique provenant de « cellules hôtes » (cellules humaines) ainsi que de cellules de sérum bovin, ce qui signifie que c’est un ragoût de cocktail de je-ne-sais-quoi. Pourtant, cela s’appelle un « isolat ».

Exemple concret: BEI Resources, qui propose ce qu’ils appellent un « isolat » de covid-19, que vous pouvez trouver sur ce lien. Comme la description l’indique pour ce covid-19 « isolat : »

… Ce produit ne convient pas comme préparation d’antigène de cellule entière car la teneur en protéines est largement apportée par la cellule hôte et le sérum bovin fœtal utilisé lors de la propagation du virus.

En d’autres termes, la plupart du matériel génétique de l’« isolat » provient en fait de cellules humaines. Ce n’est donc pas du tout un isolat. Le virus Covid n’est pas isolé. En fait, cet « isolat » contient du matériel génétique viral, du matériel génétique humain et du matériel génétique bovin, ainsi que tous les autres virus présents dans le sang des humains et des vaches. Cela pourrait être des millions de nanoparticules différentes présentes, chacune contenant ses propres séquences de matériel génétique.

Point #2 : Si vous n’avez pas de matériaux de référence isolés et certifiés, vous ne pouvez pas développer un test d’analyse légitime. Et c’est exactement ce qu’admet la FDA dans ses propres documents, qui indiquent que puisque les virus Covid-19 n’étaient pas disponibles pour le développement du test PCR, ils l’ont « simulé » en utilisant des cellules humaines et des fragments de coronavirus de banque de gènes. D’après le propre document de la FDA :

Étant donné qu’aucun isolat de virus quantifié du 2019-nCoV n’était disponible pour une utilisation par les CDC au moment où le test a été développé et où cette étude menée, des tests conçus pour la détection de l’ARN 2019-nCoV ont été testés avec des stocks caractérisés d’ARN complet transcrit in vitro… dopés dans un diluant composé d’une suspension de cellules humaines A549 et d’un milieu de transport viral (VTM) pour imiter l’échantillon clinique.

En d’autres termes, ils ont truqué le virus Covid en utilisant des cellules de banque de gènes qui ont été délibérément et faussement étiquetées « Covid ». C’est ainsi que le test PCR a été développé. La FDA admet tout. Le test PCR est une fraude.

Point n°3 : Si vous n’avez pas d’isolat CRM, vous ne pouvez pas étalonner les instruments par rapport à un échantillon connu. Et cela signifie que les tests PCR ne sont pas calibrés par rapport à quoi que ce soit de réel et de physique. Au lieu de cela, ils s’appuient sur des bibliothèques numériques téléchargées fournies par nul autre que le CDC, le même groupe paravent de Big Pharma qui est le fer de lance de cette arnaque covid.

Point n°4 : les instruments de PCR sont incapables d’analyse quantitative. Les coups « positifs » ne sont que des bruits de fond amplifiés. Aucun instrument PCR ne peut vous dire quelle quantité de matériel génétique a été trouvée dans un échantillon original. Il peut simplement détecter la présence de matériel sur une base oui/non. En science de laboratoire, cela s’appelle une analyse « qualitative », pas une analyse quantitative.

Dans l’analyse qualitative, le facteur clé est la « limite de détection » (« Limit of Detection » LOD) de l’instrument. Dans quelle mesure l’échantillon créera-t-il encore un « hit » ( succès/coup ) pour l’instrument ? Dans tous les instruments, pour que la LOD soit scientifiquement valide, elle doit être quelque chose qui dépasse le bruit de fond, sinon elle n’a aucun sens scientifique. Tous les instruments produisent un bruit de fond, qui sont des « pics » ou des « hits » qui représentent la statique du détecteur, pourrait-on dire. Ceux-ci existent à un niveau d’arrière-plan même lorsque vous n’exécutez rien dans l’instrument.

Pour vous montrer à quoi cela ressemble, considérez le graphique suivant.

Il montre des résultats de spécification de masse sur un spectre de masses. L’axe horizontal ici est m/z (masse sur charge), qui est simplifié en « masse » pour une discussion générale. C’est la masse des molécules ou des particules détectées.

Remarquez les lignes rouges et oranges au bas de chaque graphique. C’est en grande partie un bruit de « fond » dans toutes les masses. Remarquez ensuite le très haut pic orange qui s’élève au-dessus de l’arrière-plan. C’est la masse de la molécule qu’ils recherchent. Il peut s’agir d’un pesticide, d’un contaminant, d’un nutriment, etc.

Il est important de noter que si je devais augmenter l’amplification du détecteur, le « bruit de fond » au bas de l’écran s’étendrait verticalement pour remplir l’écran. L’écran entier serait un « hit » sur chaque masse, car l’amplification est augmentée. C’est l’équivalent de ce que font les instruments PCR lorsqu’ils exécutent plus de 30 cycles. Ils amplifient le bruit, puis prétendent avoir eu un « hit » sur le covid.

Mais parce qu’ils l’ont amplifié tant de fois, ils ont effacé toute capacité de dire avec certitude ce qu’ils ont, ou même combien ils ont. Parce que le LOD (Limit of Detection) est scientifiquement invalide s’il ne peut pas extraire un pic du bruit de fond.

En règle générale, dans la validation de méthode, votre LOD doit être au moins trois fois plus élevé que le bruit de fond, ce qui signifie qu’un « pic » doit être trois fois plus élevé que le bruit de fond. Tout ce qui est inférieur à cela est considéré comme un faux bruit de fond. Et lorsque vous effectuez un travail quantitatif, vous avez généralement besoin d’un signal au moins 10 fois supérieur au bruit de fond.

Pourtant, les instruments PCR prennent le bruit de fond et l’amplifient jusqu’à ce qu’ils obtiennent un résultat « positif ». Ce « positif » est alors absurdement appelé un « cas de Covid », même s’il ne signifiait littéralement rien d’un point de vue scientifique légitime.

L’ensemble du processus utilisé aujourd’hui via la PCR est une science complètement bidonnée qui ne passerait même pas l’audit d’un laboratoire scientifique le plus élémentaire. C’est d’ailleurs pourquoi la plupart de ces habillages du PCR ne sont pas accréditées ISO. Ils ne pouvaient pas passer un seul audit. (Mon laboratoire est accrédité ISO avec un audit annuel, y compris les tests de précision de quantification à l’aveugle des instruments de spécification de masse pour s’assurer que nous atteignons la précision de nos objectifs.)



Dr. Judy Mikovitz confirme tout dans une récente interview

Dr. Judy Mikovitz, auteur de Ending Plague (PlagueTheBook.com), a confirmé tout cela dans une récente interview avec moi. Non seulement a-t-elle confirmé qu’il n’y a pas de virus Covid-19 isolé qui a été récolté et purifié sur une personne malade et dont il a été prouvé qu’il provoque une maladie chez une autre personne ; Elle a également confirmé que le Dr. Fauci a spécifiquement choisi un échantillon militarisé/armé de laboratoire qui a été infecté par un cocktail de coronavirus à utiliser comme base pour la recherche sur le gain de fonction.

En d’autres termes, le Dr. Fauci savait qu’il était en train de construire un ragoût viral frankensteinien, que le frauduleux CDC et ses complices de la communauté scientifique ont labellisé « covid ». Soutenus par l’hystérie des médias de masse, ils pourraient amener la plupart de la population à se soumettre à un vaccin pour inoculer à la population des bio-armes que sont les protéines de pointe, conçues et développées dans le cadre du financement et des directives de Fauci.

Ainsi, la vraie histoire ici est que Fauci et le CDC ont utilisé les coronavirus communs pour simuler la pandémie de Covid afin d’injecter aux gens une véritable arme biologique : la protéine de pointe augmentée.

Surtout, le Dr. Mikovitz confirme que tout cela provient de l’armée américaine qui est impliquée  dans le développement et le déploiement de cette arme biologique de dépopulation mondiale (la protéine de pointe) ;



Dr. Jane RUBY offre une explication exceptionnelle du canular de Covid lors d’une récente émission Stew PETERS

Dans une autre vidéo accablante, Dr. Jane Diamond, une contributrice à l’émission de Stew Peters (StewPeters.TV) confirme toute cette histoire, révélant que le virus Covid-19 n’a jamais été isolé, ni purifié et ou montré comme provoquant une maladie de Covid. La plandémie est une colossale arnaque :



Les documents FOIA(([4] Loi sur la liberté d’information (FOIA) – Comme toutes les agences fédérales, le CDC est tenu de divulguer les dossiers demandés par écrit par toute personne, à moins que les dossiers (ou une partie des dossiers) ne soient protégés contre la divulgation par l’une des neuf exemptions contenues dans la loi.)) du CDC ne révèlent aucun « Covid-19 » isolé du virus existant.

Enfin, de nouveaux documents FOIA ont fait surface, révélant que le CDC n’a jamais isolé de virus covid-19. Une Canadienne du nom de Christine Massey aurait déposé de multiples demandes auprès du CDC, en vertu de la loi sur la liberté d’information :

Toutes les études et/ou rapports en possession, sous la garde ou le contrôle du CDC et/ou de l’Agency for Toxic Substances and Disease Registry (ATSDR) décrivant la purification de tout virus « COVID-19″ (y compris B.1.1.7, B.1.351, P.1 et toute autre « variante ») (via la macération, la filtration et l’utilisation d’une ultracentrifugeuse ; également appelé parfois par certaines personnes « isolement »), directement à partir d’un échantillon prélevé sur un humain malade, où l’échantillon du patient n’a pas été préalablement combiné avec une autre source de matériel génétique (c’est-à-dire des cellules rénales de singe alias cellules Vero ; du sérum bovin fœtal).

Dans une lettre de réponse datée du 7 juin 2021, le CDC a répondu :

Une recherche dans nos dossiers n’a révélé aucun document relatif à votre demande. Plus précisément, le National Center for Immunization and Respiratory Disease informe que le CDC ne purifie ni n’isole aucun virus COVID-19 de la manière décrite par le demandeur.

La demande FOIA est identifiée sous le numéro 21-01075-FOIA.

En d’autres termes, le CDC n’a jamais isolé ni purifié aucun virus COVID-19, point final.

Le site web du Dr Robert O. Young révèle des documents supplémentaires montrant que le CDC n’a jamais isolé et purifié le virus HPV, le virus de la rougeole, le virus MERS, le virus Zika ou le virus de la polio, entre autres.

(Nous nous efforçons d’entrer en contact avec Christine Massey pour confirmer l’étendue de ses demandes de FOIA et l’inviter à une interview).

Le 21 juillet de cette année, le CDC a annoncé qu’il retirait son autorisation pour le test PCR actuel pour le covid-19, déclarant que le test PCR ne serait plus considéré comme une science valide après le 31 décembre de cette année. Il est ensuite indiqué qu’un nouveau test PCR « facilitera la détection et la différenciation du SRAS-CoV-2 et des virus de la grippe », ce qui signifie que le nouveau test serait capable de faire la différence entre le covid et le rhume. Cela implique que le test actuel — celui qui a été utilisé pour pousser l’hystérie mondiale de la pandémie de covid — ne permet pas une telle différenciation.

En fait, il semble que le CDC ait fabriqué la science derrière les « pandémies » mondiales pendant des décennies, en utilisant les médias pour répandre l’hystérie de masse là où aucune pandémie n’existait. L’un des meilleurs cas, et le plus récent, est celui du virus Zika, où les médias grand public criaient que les bébés nés de nouvelles mères en Floride naîtraient avec des têtes réduites (microcéphalie) à cause du virus Zika. Tout comme dans le cas du covid, des milliards de dollars ont été versés à des sociétés pharmaceutiques pour la recherche d’un vaccin contre le Zika, qui s’est avéré n’être rien de plus qu’un battage publicitaire.

La directrice du CDC Walensky admet que le vaccin contre le Covid n’empêche pas l’infection ou  la transmission du variant Delta du Covid

Pour ajouter au démantèlement de ce canular du vaccin contre le covid-19, le directeur du CDC, le Dr Rochelle Walensky, vient d’admettre quelque chose d’étonnant sur CNN : Les vaccins contre le covid-19 ne préviennent PAS les infections au covid-19. Ils n’empêchent pas non plus les gens de transmettre la « variante Delta » de ce que le CDC appelle le virus covid.

En fait, Walensky vient d’admettre que les passeports vaccinaux sont inutiles et ne prouvent rien. Si une personne « totalement vaccinée » peut quand même attraper et transmettre le covid, alors le passeport vaccinal n’est rien de plus qu’une preuve d’obéissance, et non une preuve d’immunisation.

Voici le Dr Walensky qui dit tout cela sur CNN, et non, ce n’est pas une vidéo « deep fake ». C’est aveu clair :



Le virus du Covid-19 est un canular, mais la protéine Spike est très réelle et assez meurtrière comme arme.

Alors que le virus covid-19 semble n’être rien d’autre que des virus du rhume ou des virus de singe renommés, la nanoparticule toxique de protéine spike — qui est maintenant injectée par le biais de vaccins — est une arme biologique mortelle initiée aux États-Unis, puis augmentée à Wuhan en utilisant l’argent des contribuables américains.

Il semble maintenant évident que l’objectif de l’hystérie des covidés était d’inciter les gens à accepter des injections de protéines spike, intentionnellement mal étiquetées « vaccins ». Ces protéines, à partir desquelles le vaccin covid est maintenant appelé « piqûre de coagulation », provoquent des caillots sanguins, des lésions neurologiques, des accidents vasculaires cérébraux, des crises cardiaques, des avortements spontanés et des lésions vasculaires universelles, même selon le Salk Institute, un organisme à vocation généraliste. Extrait de leur article sur la protéine spike et ses effets néfastes sur le système cardiovasculaire humain :

Aujourd’hui, une nouvelle étude majeure montre que les protéines spike du virus (qui se comportent très différemment de celles codées en toute sécurité par les vaccins) jouent également un rôle clé dans la maladie elle-même.

… Le document fournit pour la première fois une confirmation claire et une explication détaillée du mécanisme par lequel la protéine endommage les cellules vasculaires. On s’accorde de plus en plus à dire que le SRAS-CoV-2 affecte le système vasculaire, mais on ne comprenait pas exactement comment il le faisait. De même, les scientifiques qui étudient d’autres coronavirus soupçonnent depuis longtemps que la protéine spike contribue à endommager les cellules endothéliales vasculaires, mais c’est la première fois que ce processus est documenté.

Dans la nouvelle étude, les chercheurs ont créé un « pseudovirus » qui était entouré de la couronne classique de protéines spike du SRAS-CoV-2, mais qui ne contenait pas de véritable virus. L’exposition à ce pseudovirus a entraîné des lésions des poumons et des artères d’un modèle animal, ce qui prouve que la protéine spike seule suffit à provoquer la maladie. Des échantillons de tissus ont révélé une inflammation des cellules endothéliales qui tapissent les parois des artères pulmonaires.

La protéine spike a été développée en tant qu’arme biologique afin de provoquer des symptômes généralisés qui peuvent ensuite être faussement étiquetés « covid », puis cités pour promouvoir encore plus d’injections de vaccins contenant davantage d’armes biologiques à base de protéine spike. Le « virus » covid-19 n’est qu’un cocktail de virus de singe et de virus du rhume, tandis que la protéine spike – qui est la cible antigénique des vaccins – provoque des lésions vasculaires, des problèmes d’infertilité, des dommages au système immunitaire, etc.

Quel est l’objectif de tout cela ? La dépopulation, bien sûr.

C’est une arme de dépopulation pour réaliser l’extermination massive de la race humaine.

La protéine spike est une arme de dépeuplement. Le « vaccin » est une piqûre d’extermination/suicide à la Soleil vert qui a été reconditionnée en « médicament ». La « pandémie » était une hystérie médiatique montée en épingle pour créer la panique et une demande généralisée pour le vaccin afin que les gens ne résistent pas aux piqûres d’extermination.

Et cela signifie que beaucoup de ceux qui ont pris le vaccin seront bientôt morts parce que le but de cette fausse pandémie était de débarrasser le monde de milliards d’êtres humains.

https://youtu.be/3TGqLsnao5o
Preview du film Soleil vert avec Charlton Heston

Cela signifie également que toute personne qui suit ce mouvement est complice d’un meurtre génocidaire et de crimes contre l’humanité. Cela inclut les journalistes, les scientifiques, les médecins, les gouverneurs, les responsables de la FDA/CDC/OMS, et même les pharmaciens et les infirmières locaux qui administrent ces injections mortelles à des hommes, des femmes, des enfants et même des personnes âgées. Leurs crimes contre l’humanité font passer l’Holocauste de la Seconde Guerre mondiale pour un jeu d’enfant en comparaison. L’holocauste des vaccins covidés risque de massacrer des milliards d’êtres humains avant que les criminels ne soient arrêtés.

En fait, vous assistez à une campagne mondiale d’extermination massive déguisée en réponse de santé publique à une pandémie.

Il s’agit de l’escroquerie « scientifique » la plus sinistre et la plus diabolique jamais perpétrée dans l’histoire de la civilisation connue. Il s’agit, en toute honnêteté, d’une tentative mondialiste d’extinction de l’homo sapiens, d’une sorte de « nettoyage ethnique à l’échelle planétaire » visant à débarrasser le monde des humains et à faire place à un scénario insensé qu’ils espèrent voir se réaliser.

Il est temps pour tous les êtres humains qui souhaitent préserver la race humaine de se lever pacifiquement et de résister à cette tentative d’extermination génocidaire contre l’humanité.

C’est pourquoi le sénateur américain Rand Paul appelle maintenant les Américains à résister aux verrouillages et aux mandats de masquage, déclarant : « Nous n’avons pas à accepter les mandats, les verrouillages et les politiques nuisibles des petits tyrans et des bureaucrates sans cervelle. Nous pouvons simplement dire non, pas encore. » Il poursuit :

« Ils ne peuvent pas tous nous arrêter. Ils ne peuvent pas empêcher vos enfants d’aller à l’école. Ils ne peuvent pas fermer tous les bâtiments gouvernementaux — bien que j’aie une longue liste de ceux qu’ils devraient fermer. Nous ne sommes pas obligés d’accepter les mandats, les fermetures et les politiques néfastes des petits tyrans et des bureaucrates incompétents. Nous pouvons simplement dire non, pas encore.

Monsieur le Président Biden, nous n’accepterons pas les mandats de vos agences ni les mesures de confinement que vous avez annoncées », a déclaré Paul. « Personne ne devrait suivre les mandats de masque anti-science du CDC.

Nous ne vous permettrons pas de faire plus de mal à nos enfants cette année encore. »

Nous avons tous été trompés, les amis. Tout cela n’a rien à voir avec la santé publique, le sauvetage de vies ou l’arrêt d’une quelconque pandémie. Il s’agit d’une mise en scène élaborée et coordonnée visant à inciter les gens à se suicider par des injections d’armes biologiques afin que les mondialistes puissent éliminer quelques milliards de personnes de la planète et faire progresser leur tyrannie et leur contrôle autoritaire sur les survivants.

Il peut également s’agir d’une couverture pour leur plan de réinitialisation financière, qui fera s’effondrer les monnaies fiduciaires du monde, détruira tous les actifs monétaires des moutons et consolidera la propriété de tout dans les mains de l’élite mondialiste.

C’est pourquoi les gouvernements du monde entier retiennent maintenant leurs propres citoyens en otage, exigeant que des quotas de vaccins soient atteints afin de débloquer une « liberté » limitée qui sera bien sûr complètement révoquée une fois que la prochaine « variante » sera identifiée.

J’explique tout cela dans ce podcast puissant et urgent qui a été publié pour la première fois vendredi dernier :



Toute l’arnaque des covidés est en train de s’effondrer. Restez à l’écoute pour en savoir plus. Regardez les vidéos sur Brighteon.com et Banned.video pour apprendre la vérité que Big Tech ne permet à personne de partager. Si vous voulez vivre et survivre à ce génocide mondial, lisez NaturalNews.com et suivez ma chaîne sur Brighteon :
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