Nanoparticules et nanotechnologies

[Source : Pascal Prod’]




Jetez ces masques que je ne saurais voir ! Jetez les muselières qui ne protègent personne !

Par Gérard Delépine

Pour faire semblant de combattre le virus Omicron, le ministre de la Santé (?) vient d’annoncer, qu’après l’interdiction du pop-corn dans les cinémas, l’interdiction du casse-croûte dans le train, et l’interdiction de manger ou boire debout dans les bars, il faudra prolonger le port du masque aux enfants à partir de 6 ans dans les écoles pendant huit heures de suite et même dans la cour ou les séances de sport ! Aberration et torture prolongée des enfants !

Mais comment peut-on être aussi peu scientifique et aussi tyrannique ?

Cette mesure ne peut avoir aucun impact positif sur la transmission du Covid.

Ses conséquences délétères sur la santé physique et psychique sont connues.

Ignorance crasse ? Sadisme ordinaire ? Dans l’Histoire, le massacre des innocents n’a été utile qu’à la satisfaction des sadiques.

Quelques déclarations de l’OMS

En juin 2020, le Dr Mike Ryan, directeur exécutif du programme d’urgence sanitaire de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), a déconseillé le port d’un masque facial en mars, précisant :

« Il n’y a aucune preuve spécifique suggérant que le port de masques par la population aurait un avantage potentiel.

Il existe des preuves suggérant le contraire dans l’utilisation abusive du port du masque, ou de son l’ajustement incorrect ».(([1] https://twitter.com/WHO/status/1244639057398902785))

La Dr Maria Van Kerkhove de l’OMS, a recommandé :

« Dans la communauté, nous ne recommandons pas le port de masques sauf si vous êtes malade et comme mesure pour empêcher la propagation de votre part ».(([2] https://www.cnn.com/2020/03/30/world/coronavirus-who-masks-recommendation-trnd/index.html))

« les essais randomisés ne suggèrent pas un effet bénéfique des masques faciaux »

« Pour les personnes en bonne santé, l’obligation du port du masque est peu susceptible d’arrêter la propagation… ».(([3] https://www.businessinsider.com/who-no-need-for-healthy-people-to-wear-face-masks-2020-4))

En dehors du milieu médical exposé, le masque ne sert à rien.(([4] Pour protéger les malades des germes que pourraient leur passer les soignants et non pour les virus qui ne sont pas stoppés par toutes les sortes de masques.))

Au 12/2/2022, la consultation de la base de données médicales américaines PubMed liste 2448 articles répondant aux mots clefs « facial Mask covid ». Parmi ces 2448 articles, aucun ne rapporte d’étude randomisée prouvant que le port généralisé du masque diminue le risque de transmission du covid19.(([5] https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/19216002/))(([6] https://www.cambridge.org/core/journals/epidemiology-and-infection/article/face-masks-to-prevent-transmission-of-influenza-virus-a-systematic-review))(([7] https://onlinelibrary.wiley.com/doi/epdf/10.1111/j.1750-2659.2011.00307.x))(([8] https://jamanetwork.com/journals/jama/fullarticle/2749214))(([9] https://onlinelibrary.wiley.com/doi/epdf/10.1111/jebm.12381))(([10] https://www.qeios.com/read/1SC5L4))

Les articles qui prônent l’obligation du masque ne rapportent aucune étude réelle du port du masque par la population générale, mais des simulations reposant sur des hypothèses très incertaines.(([11] halte aux prophètes ! Analysons les faits, stoppons la Peur — Docteur Nicole Delépine (nicoledelepine.fr) ))

Ils se basent sur des expériences de laboratoires mesurant les charges virales autour de malades et les propriétés de filtration des différents types de masques suggérant que le masque pourrait diminuer le risque de contaminations. Leurs conclusions prudemment exprimées au conditionnel sont ensuite reprises à l’affirmatif par les médias et utilisées par les dirigeants à l’appui de leurs décisions tyranniques.

L’utilisation de masques par les malades contagieux qui toussent et par le personnel médical qui les traite est logique, mais même dans ces situations particulières son efficacité réelle n’a pas été établie scientifiquement, singulièrement contre les virus.

La seule étude randomisée (Danmask 19)(([12] Bundgaard H et al. Effectiveness of Adding a Mask Recommendation to Other Public Health Measures to Prevent SARS-CoV-2 Infection in Danish Mask Wearers: A Randomized Clinical Trial. Annals of Internal Medicine 2020)) publiée conclut :

« La recommandation de porter des masques chirurgicaux pour compléter d’autres mesures de santé publique n’a pas réduit le taux d’infection par le SRAS-CoV-2 chez les porteurs ».

L’examen des courbes de contaminations dans les pays qui se masquent montre d’ailleurs que cette mesure n’a aucun effet visible d’atténuation de l’épidémie. Bien au contraire. Ainsi en France le nombre de contaminations journalières n’a jamais été aussi élevé que lorsque le masque a été rendu obligatoire.

La comparaison des contaminations journalières en France masquée et en Suède non masquée confirme l’inutilité de l’obligation des masques.

Alors pourquoi nos dirigeants imposent-ils cette mesure dont l’utilité n’a jamais été prouvée scientifiquement ?

Le masque est une muselière

En réalité les obligations de porter des masques n’ont jamais eu pour but de contrôler le virus — elles ont toujours eu pour but de contrôler les gens.(([13] Les mystères du masque, entre déraison, soumission, panique et contagion (francesoir.fr) juin 2020))

Le masque constitue un signe de servitude, comme jadis dans l’Empire romain, le collier que portaient les esclaves (mais au moins les colliers d’esclaves ne gênaient pas leur respiration).

L’obligation du masque est encore plus aberrante et scandaleuse chez l’enfant

Le port du masque, inefficace chez l’adulte, est doublement injustifié chez l’enfant, car celui-ci ne craint rien du covid et ne transmet pas la maladie.

Le seul protocole sanitaire réellement justifié à l’école serait la suppression de toutes ces mesures inutiles et toxiques et de demander aux enfants et adultes malades de rester à domicile jusqu’à la fin de la période de possible contagion.(([14] Comme on l’a toujours fait en cas de grippe ou d’autre maladie contagieuse.))

En Suède les écoles sont restées ouvertes sans mesures contraignantes et aucune conséquence nocive sur les contaminations dans la population n’a été observée.(([15] Vlachos J, Hertegård E, B Svaleryd H. The effects of school closures on SARS-CoV-2 among parents and teachers. Proc Natl Acad Sci U S A. 2021 Mar 2;118(9):e2020834118. doi : 10.1073/pnas.2020834118. PMID : 33574041 ; PMCID : PMC7936333.))(([16] School closures and SARS-CoV-2. Evidence from Sweden’s partial school closure
Jonas Vlachos, Edvin Hertegård, Helena Svaleryd medRxiv 2020.10.13.20211359; doi: https://doi.org/10.1101/2020.10.13.20211359 Proceedings of the National Academy of Sciences doi: 10.1073/pnas.2020834118))(([17] Jonas F. Ludvigsson, MD, Ph.D. Karolinska Institute, Stockholm, Suède Écoles ouvertes, Covid-19 et morbidité des enfants et des enseignants en Suède N Engl J Med 2021 ; 384 : 669-671 DOI : 10.1056/NEJMc2026670))

Les protocoles sanitaires imposés aux enfants français ne constituent donc que des brimades inutiles, sauf pour leur enseigner la soumission.

Le port prolongé du masque est nocif

Il s’accompagne d’une moindre hygiène des mains et d’un contact plus fréquent de celles-ci avec le visage créant ainsi une nouvelle voie de transmission possible en plus d’autres effets insupportables.

Maux de tête

Une étude randomisée japonaise de 2009 conclut :

« Les sujets masqués étaient significativement plus susceptibles de souffrir de maux de tête pendant la période d’étude ».

Un article de 2014(([18] https://medcraveonline.com/JLPRR/effects-of-long-duration-wearing-of-n95-respirator-and-surgical-facemask-a-pilot-study.html)) rapporte qu’environ un tiers des travailleurs avait des maux de tête avec le masque, la plupart avaient des maux de tête préexistants qui étaient amplifiés et 60 % avaient besoin d’analgésiques pour les soulager.

En mai 2020, une étude(([19] https://bmcpublichealth.biomedcentral.com/articles/10.1186/1471-2458-12-106))(([20] https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/32232837/)) a observé que 81 % des soignants qui portaient un masque développaient des maux de tête, certains avaient des maux de tête préexistants qui étaient aggravés par les masques, et tous avaient l’impression que les maux de tête affectaient leur performance au travail.

Le port prolongé du masque entraîne une hypoxie

la plupart des études montre que les masques peuvent provoquer une hypoxie et une hypercapnie.

En 2008, des chercheurs ont mesuré l’effet des masques faciaux sur 53 chirurgiens à l’aide d’un oxymètre avant et à la fin des interventions. Ils ont découvert que le masque réduisait les niveaux d’oxygène dans le sang proportionnellement à la durée de port du masque.

Chaque jour ou presque, des professionnels de diverses spécialités insistent sur les inconvénients spécifiques à leur domaine. Les dentistes sont inquiets.

Le docteur François Thibault, de la Baule, rappelle que le port du masque nous fait passer en respiration buccale, perturbant notre respiration.

« le flux d’air étant insuffisant par des narines couvertes et les conséquences néfastes sont nombreuses. L’air n’est plus suffisamment réchauffé et dépoussiéré comme il doit l’être lors du passage normal dans les fosses nasales avant d’arriver aux poumons. Le sang chaud qui arrive du cerveau n’est plus refroidi au contact de cet air froid. Notre cerveau surchauffe et fatigue. »

« Nous nous auto-intoxiquons par le gaz carbonique que nous rejetons dans le masque. L’hypercapnie, terme scientifique qui désigne une trop forte concentration de CO2 dans le sang, constitue un vrai risque pour le cerveau qui consomme à lui seul 20 % de l’oxygène total qui rentre par les poumons. Les conséquences peuvent aussi conduire à une dépression du système nerveux central, une élévation de la fréquence cardiaque, des sautes d’humeur et de fatigue, des nausées, des vomissements, jusqu’à la perte de conscience ».

« Il est important de respecter au moins 2 pauses par jour de 10 minutes en extérieur, dit-il. La pause est plus facile pour les adultes qui peuvent sortir quelques minutes, voire faire une pause cigarette. Les petits sont à la merci de leurs enseignants souvent terrorisés victimes de la propagande des médias et de leurs syndicats ».

« Par la respiration buccale, nous asséchons notre bouche et raréfions la salive protectrice des dents et des muqueuses ».

Les ophtalmologistes observent des conjonctivites rebelles à tout traitement chez les porteurs de lunettes. L’air inspiré peut-être chargé de microscopiques fibres constituantes des masques dont le marquage « CE » ne garantit pas complètement l’innocuité et qui viennent coloniser les alvéoles pulmonaires, portes ouvertes aux futurs problèmes respiratoires graves.

Le dentiste alerte sur les « néfastes conséquences du port du masque dont on mesurera peut-être les conséquences dans quelques années, comme on l’a fait trop tard pour l’amiante ».

Les orthophonistes insistent aussi sur le rôle physiologique de la respiration nasale interdite par le masque.

« La respiration buccale pose de nombreux problèmes : abolition du rôle du nez dans le filtrage des virus et bactéries, sécheresse buccale, halitose (mauvaises odeurs) et caries, dysharmonie du développement de la mâchoire et du visage.

La respiration buccale court-circuite le rôle de filtrage préventif du nez. »

Mais de plus :

« la respiration buccale a un retentissement sur la croissance de la sphère faciale. Lorsque la respiration est nasale (normale), la langue modèle l’arcade supérieure en y prenant une grande place. C’est ce qui permet une croissance harmonieuse de la face (palais large, dents alignées). Lorsque la respiration est buccale, la langue est positionnée sur le plancher de la bouche, elle ne joue pas son rôle d’expansion de l’arcade supérieure. Le palais reste étroit, les dents avancent, le visage grandit en longueur, les os et les muscles de la face se développent de façon disharmonieuse(([21] https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/20129889/)). La sécheresse buccale entraîne une déshydratation des cordes vocales provoquant des hemmages (raclement de la gorge) et des tensions, crispation des muscles des organes phonateurs qui, à long terme, peuvent créer des nodules, voire des polypes et par conséquent une dysphonie. La désorganisation du mécanisme respiratoire peut entraîner un essoufflement et des forçages vocaux(([22] http://chinois.discipline.ac-lille.fr/quoi-de-neuf/revue-de-presse/2020-11-mgen_livret_voixmasque_novembre2020-1)) débouchant également sur des dysphonies ».

« Le port du masque impacte de manière non négligeable les apprentissages du langage, de la lecture, la construction des émotions, les comportements des enfants mais aussi la vue ou encore le développement des fonctions oro-myo-faciales ».

Pour l’environnement, l’obligation généralisée du port du masque est une catastrophe créant chaque année en France près de 50 000 tonnes de déchets non recyclables potentiellement contaminés.(([23] Virus, champignons, bactéries))

Il ressort de cette revue de la littérature qu’il n’y a pas de preuves que le port d’un masque de quelque nature que ce soit ait un impact significatif sur la prévention de la propagation du virus. 

Au contraire, il existe de nombreuses preuves que le port continu d’un masque facial peut provoquer des maux de tête, une hypercapnie et une hypoxie et peut rendre l’infection beaucoup plus grave.

Le devoir du médecin

En plus de protéger la santé de leurs patients, les médecins doivent également fonder leurs actions sur la Déclaration de Genève de 1948, révisée en 2017 selon laquelle, chaque médecin s’engage à mettre la santé et la dignité de son patient au premier plan et, même sous la menace, de ne pas utiliser ses connaissances médicales pour violer les droits de l’homme et les libertés civiles.

Dans le cadre de ces constatations, nous propageons donc une action explicitement médicale, tenant compte de la réalité factuelle scientifique contre la prétendue efficacité générale des masques, et des effets individuels indésirables pour les porteurs de masque.

Si vous n’êtes pas malade, ni au contact direct prolongé de malades, jetez votre muselière qui ne constitue qu’un instrument d’apprentissage à la soumission comme étudie le dernier livre de Roland Gori, « la fabrique de nos servitudes ».(([24] Editions Les liens qui libèrent))





Laurent Mucchielli décrit l’état du monde à partir de la crise Covid

[Source : AIMSIB]

J’ai également beaucoup apprécié le combat de Laurent Mucchielli et son livre en est le reflet que beaucoup auront intérêt à lire pour mieux comprendre ce qui s’est passé depuis deux ans
Merci à lui de son effort de synthèse dans son livre « la doxa du covid »

Nicole Delépine

Il fallait s’y attendre, quand un immense sociologue formé à l’histoire, de surcroît parfaitement imperméable aux pressions extérieures, décide de publier un ouvrage sur la crise de la Covid-19, les révélations et les mises en accusations pleuvent dru. Toutes y sont disséquées, démontrées, évidemment parfaitement sourcées. On plaint presque tous ceux qui apparaissent au fil du livre, car on comprend que quand la justice se penchera enfin sur leurs implications diverses et variées, leurs projets d’avenir s’en verront radicalement modifiés. (…)

Ins Montagnier

Vincent RELIQUET (V.R.) – Cher Laurent, il faut d’abord te présenter à notre public bien que probablement ce préalable ne soit plus d’une très grande utilité aujourd’hui. Tu es chercheur au CNRS depuis 1997, médaillé par lui, élevé au grade de directeur de recherche en 2006, tu as participé à la réalisation d’une foule énorme d’ouvrages et d’articles (*). Depuis le début de la crise sanitaire, tu as publié toute une enquête sur ton blog chez Mediapart mais hélas ta liberté de parole, qu’on aurait attendu comme plutôt encouragée sur ce type de site, t’a valu de découvrir la censure en août 2021, poussé par un collectif de « bien-pensants » qui souhaitait laisser toute la place au récitatif covid officiel. Tu leur as pardonné depuis ?

Laurent MUCCHIELLI (L.M.) – Non, j’estime que ce que fait Mediapart depuis le début de cette crise est impardonnable. Je peux évidemment comprendre toutes les personnes qui doutent et qui hésitent, ou encore celles qui ont suivi le discours officiel au début mais le regrettent aujourd’hui. J’en connais beaucoup, y compris dans mon entourage. Nous avons tous été victimes d’une propagande industrielle et politique massive. Mais je ne peux pas oublier celles et ceux qui ont joué un rôle aussi actif et nocif dans le débat public que Mediapart. La chasse à l’homme qu’ils ont décidé d’orchestrer (avec d’autres journalistes parisiens, au Monde, à Libération, à l’Express, à Marianne notamment) au détriment de Didier Raoult est une faute à la fois intellectuelle et morale car, derrière le personnage qui a évidemment ses qualités comme ses défauts, des questions majeures de stratégie sanitaire étaient en jeu. Questions qu’ils ont fortement contribué à rendre invisibles et incompréhensibles en concentrant l’attention sur une seule personne, déchaînant contre elle cette espèce de cancel culture qui a envahi les réseaux sociaux et où tous les coups sont permis dans le but de tuer symboliquement les personnes. Et ils ont fait le même coup à d’autres comme le Dr Louis Fouché. Loin d’aider à réfléchir collectivement et d’apporter du débat contradictoire, ils ont parfaitement servi la propagande industrielle et politique du moment. Ceci s’est illustré jusqu’à la caricature vis-à-vis des nouvelles thérapies géniques improprement appelées « vaccins ». Leur positionnement pro-vax (pour reprendre ces raccourcis ordinaires du débat public) est confondant de simplisme et de naïveté. Ils ont ainsi joué un rôle important dans le naufrage de la gauche politique durant cette crise. Pire encore, ils ont joué un rôle dans la dérive autoritariste d’un gouvernement qui n’a trouvé aucun contre-pouvoir capable de lui rappeler les limites à ne pas franchir.

Leur attitude à mon égard participe de cet ensemble. Pour faire court, en transformant mon blog en une sorte de mini-revue en ligne où j’ai publié près de 70 articles et 46 auteurs (universitaires et/ou médecins pour la plupart), je leur amenais une véritable contre-enquête, un véritable débat contradictoire et accessoirement des lecteurs. Ils auraient pu s’en réjouir, nous aurions même pu travailler en collaboration plus étroite. J’ai tenté à plusieurs reprises de dialoguer en écrivant à Edwy Plenel, à Fabrice Arfi ainsi qu’à la rédaction de la partie blog du journal. Je n’ai reçu en retour qu’un grand silence méprisant. Eux qui prétendent défendre la liberté d’expression, valoriser les lanceurs d’alerte et faire alliance avec les intellectuels critiques, ont pourtant fait exactement le contraire. Ils m’ont d’abord invisibilisé le plus possible sur leur propre site (via des procédés de shadow-banning), et finalement ils m’ont censuré à quatre reprises. Et pas simplement moi mais aussi les universitaires et les médecins que je publiais, nous traitant de complotistes et de propagateurs de « fake news », en chœur avec des lobbies liés aux industries pharmaceutiques, se réclamant de la « vraie science » et qui sont spécialisés dans le harcèlement en ligne, l’attaque ad hominem et la dénonciation calomnieuse. On a connu mieux que ce parti-pris superficiel digne d’une chaîne d’information en continu. Edwy Plenel se vante d’avoir sorti l’affaire Cahuzac, il devrait se souvenir que cette affaire était aussi celle de mallettes qui transitaient entre la Suisse et Paris, ayant pour origine un grand industriel de la pharmacie qui est devenu milliardaire grâce à la gestion calamiteuse de cette épidémie.

Se faisant, Mediapart s’est mis au même niveau que tous ces petits sites de prétendu « fact-checking » que l’on voit fleurir sur Internet et qui permettent à quelques influenceurs à la mode de propager leur médiocrité intellectuelle dans le débat public. Je pense à « Fact and furious » créé par un ancien militaire (Antoine Daoust) qui se fait manifestement un devoir de protéger le gouvernement contre toute critique de sa politique de santé. Je pense à « Conspiracy watch », dont le fondateur (Rudy Reichstadt) est un proche des milieux de pensée extrême-droitisant, dont on se souvient de la façon dont, après un sondage de l’IFOP, il se moquait des « pauvres gens » qui pouvaient penser que le virus avait pour origine un accident de laboratoire à Wuhan. Ce ridicule ne l’empêche pas d’être invité jusque sur les plateaux de télévision du service public, à la place des chercheurs qui ont de véritables compétences sur ce sujet. Je pense encore à « La Tronche en biais », alias Thomas Durand, un influenceur qui utilise YouTube et des outils de « co-financement » anonymes comme Tipeee pour faire commerce de la propagande, qui est aussi accueilli comme rédacteur par le magazine de l’Association Française pour l’Information Scientifique (AFIS), un lobby aux positions pro-OGM, pro-glyphosate, pro-big-pharma, pro-nucléaire et j’en passe, tout en se permettant de se proclamer « indépendant » (quelle farce !).

Alors oui, c’est bien un naufrage pour Mediapart, et cela m’attriste beaucoup car j’étais un soutien et un abonné de la première heure, qui donc s’en ira désormais proposer ailleurs son travail de chercheur désintéressé et d’intellectuel engagé.

V.R. – Quand on veut savoir « à qui on a affaire » aujourd’hui s’agissant d’un personnage public, c’est très simple : on regarde d’abord ce qui s’écrit d’officiel sur le web et en général on est vite renseigné sur la façon dont l’establishment le considère. Par exemple ta page Wikipédia [1] nous fait comprendre immédiatement que tu sens depuis peu franchement le souffre, regarde :

Wikipedia, capt. écran

Tu as suscité « une guerre d’édition » ! Espérons que tu ne vas pas faire sauter le serveur de leur site et quelques lignes plus loin la catastrophe se confirme : tu serais l’auteur de « propos controversés et propagateur de fausses nouvelles sur la dangerosité du virus…/… participant à la désinformation sur la pandémie de la Covid-19 ». On pourrait pleurer de tristesse devant tant d’imbéciles accusations, dont la puérilité et l’absence de fond démontre toute la nullité partisane de tes détracteurs chez Wikipedia. Sérieusement, de tels écrits t’ont-ils blessé voire gênés dans l’exercice de ton travail quotidien de chercheur ?

L.M – Tu connais le dicton sur la bave du crapaud et la blanche colombe… Non, sincèrement, je ne suis pas atteint par le torrent d’imbécilités plus ou moins malveillantes qu’on peut trouver sur Internet aujourd’hui me concernant. Cela ne fait que confirmer et exemplifier mon analyse du fonctionnement du débat public. L’un des volets de mon enquête consiste précisément à essayer de comprendre comment un ensemble d’acteurs (parmi lesquels la plupart des journalistes) se sont de facto associés pour organiser la clôture du débat public, l’érection de frontières entre ce qu’il est permis ou non de penser et de dire, contribuant massivement à imposer comme seule légitime la narration globale que j’appelle la Doxa du Covid. Quant à Wikipedia, chacun comprend désormais que cette entreprise collective au départ pleine de promesses démocratiques (comme Internet et les réseaux sociaux de manière générale) et animée par des bénévoles enthousiastes, est devenue le lieu d’une lutte d’influence où les trolls et les lobbyistes se déchainent pour imposer la vision du monde découlant de leurs intérêts politiques ou commerciaux. C’est triste là encore, mais c’est la réalité. Tous les chercheurs et tous les enseignants doivent en tirer les leçons et expliquer notamment aux jeunes qu’ils ne doivent pas manipuler ce site naïvement. Wikipedia n’est pas une « encyclopédie en ligne » où l’on pourrait se faire une connaissance minimale de l’état des savoirs sur n’importe quelle question. Beaucoup de contenus sont utilement informatifs mais ils perdent toute neutralité dès que les questions posées prennent une dimension politique ou économique. Ils deviennent alors au mieux l’expression du point de vue dominant dans le débat public d’un pays, à un moment donné de son histoire, au pire l’expression de la petite propagande des influenceurs qui ont réussi provisoirement à gagner la « guerre d’édition » dont tu parles.

V.R. – Avant d’aborder le fond de ton dernier ouvrage, je souhaiterais que tu visionnes ce sujet diffusé pendant le JT de TF1 en février 2010 par Corinne Lalo (aimsib) [2] et Etienne Bourbotte, au sujet de la grippe porcine de 2009 :https://www.youtube.com/embed/GfB–uQA4iU?controls=0

L.M. – Ce rappel est salutaire. L’espèce d’amnésie qui a frappé un peu tout le monde en février-mars 2020 est l’une des choses qui m’a le plus étonné. L’affaire de la pandémie de grippe H1N1 en 2009-2010 a en effet de nombreux points communs cruciaux avec ce que nous venons de vivre. Cela ressemble à une sorte de premier essai non transformé pour les industries pharmaceutiques, le philanthrocapitalisme de la galaxie Bill Gates et tous leurs affidés que l’on trouve dans les organisations supranationales comme l’OMS et la Commission européenne, ainsi que dans la haute administration sanitaire et parmi les politiques dans de nombreux pays du monde, à commencer bien sûr par les riches pays occidentaux. Le drame est que nous n’avons pas su tirer les leçons d’H1N1. La raison fondamentale, à mon avis, est la sous-estimation de l’ampleur et de l’efficacité des trafics d’influence et de la corruption organisée par ces industries et par ce philanthrocapitalisme. Les quelques outils de contrôle supplémentaires mis en place après 2009 ont montré leurs terribles limites. A quoi cela sert-il d’obliger les médecins à déclarer leurs liens d’intérêts avec les industries si, le moment venu, aucun d’entre eux n’a l’honnêteté d’en faire état quand il intervient dans les médias ou même dans une enceinte parlementaire ? Et si aucun journaliste n’a ni la présence d’esprit de faire trois clics sur son ordinateur pour chercher ces liens d’intérêt, ni le courage de les signifier à son interlocuteur lorsque celui-ci s’exprime publiquement sur les stratégies sanitaires à adopter ?

Voyez aussi le déni de la pharmacovigilance en matière d’effets indésirables des nouvelles thérapies géniques. Cette affaire trahit globalement un échec cuisant pour la démocratie sanitaire à laquelle beaucoup travaillent depuis des décennies. Nos instruments de contrôle de l’industrie et de protection des populations sont clairement sous-calibrés. Ils n’ont pas pesé lourd face à la déferlante de la communication biaisée de l’OMS et des gouvernements, suscitée par les puissances financières qui leur murmurent aux oreilles.
Entendons-nous bien : l’épidémie de 2020-21 est clairement plus redoutable que celle de 2009. Cela semble dû essentiellement à la contagiosité et la mutagénicité plus fortes du Sars-CoV-2 dont il est presque certain désormais qu’il est le produit accidentel d’expériences virologiques de laboratoire menées en Chine avec le soutien financier massif des Etats-Unis. Or, précisément, les corrupteurs sont allés jusqu’à tenter d’interdire même ce questionnement sur l’origine du virus, le qualifiant de « complotiste ». Et la plupart des gens sont tombés dans le panneau.

V.R. – Tu portes à notre connaissance une nouvelle proprement inouïe et qui a échappé à nombre d’entre nous : En 2020 le vrai patron de l’OMS, à savoir son financier Bill Gates, a réussi à publier un article dans le New England Journal of Medicine ! [3] On y lit qu’il veut sauver des vies, ce qui demeure pour le moins suspect quand on connaît sa position résolument « réductionniste » qu’il souhaite appliquer à la population du monde. Mais le meilleur est à venir, il écrit : « …/… Scientists sequenced the genome of the virus and developed several promising vaccine candidates in a matter of days, and the Coalition for Epidemic Preparedness Innovations is already preparing up to eight promising vaccine candidates for clinical trials .” [4] Ton avis sur l’intrusion de Gates l’informaticien dans la médecine des épidémies ?

https://www.nejm.org/doi/full/10.1056/NEJMp2003762

L.M. – Pendant longtemps, j’ai vécu sur le souvenir de mes cours de fac en droit international (j’ai fait du droit avant de faire de l’histoire et de la sociologie) où l’on présentait à juste titre l’OMS comme une organisation financée par les pays occidentaux. Mais c’était à la fin des années 1980… En 2019, mon attention avait été attirée par le petit livre d’un journaliste français (Lionel Astruc, L’art de la fausse générosité. La fondation Bill et Melinda Gates, Actes Sud). Et en 2020, dès que j’ai compris que l’OMS était en train de créer une nouvelle panique mondiale, comme en 2009, j’ai commencé à chercher des informations sur les enjeux financiers sous-jacents. J’ai, entre autres, fait une chose très simple : regarder le financement de l’OMS. J’ai fait alors cette « découverte » :  Le premier financeur de l’OMS n’est plus le gouvernement américain, c’est un financeur privé : Bill GatesJ’ai poursuivi en essayant d’objectiver le réseau de fondations et d’associations philanthropiques, de partenariats et de systèmes de dons (défiscalisés bien entendu), mis en place ces vingt dernières années par celui qui fut longtemps l’homme le plus riche du monde (avant d’être détrôné par Jeff Bezos, propriétaire d’Amazon, et Elon Musk, propriétaire de Tesla). J’ai alors compris que le Sars-CoV-2 était l’occasion rêvée, l’aubaine tant attendue, de déployer le grand projet de vaccination intégrale du monde dont Bill Gates ne se cache pas, et ce depuis des années. Sa présence dans le champ des politiques mondiales de santé est devenue tellement banale que l’on peut en effet assister, médusé, à ce que je raconte page 77 de mon livre, à savoir le fait que Bill Gates peut se permettre et se voir autorisé, par une rédaction soi-disant scientifique et indépendante, à publier un article dans une des plus prestigieuses revues médicales du monde (le New England Journal of Medicine) en avril 2020. Article dans lequel on trouve un concentré de la doxa : c’est la « pandémie du siècle », le virus est hyper-dangereux même pour les gens « en bonne santé », mais tout va bien car la science va fabriquer un vaccin sûr et efficace « en quelques jours », là où il fallait des années jusque-là. On croit rêver, et pourtant ce n’est pas le cas.

La philanthropie de Bill Gates alimente la machine capitaliste

Lionel Astruc est l’auteur d’une enquête approfondie sur la Fondation Bill et Melinda Gates. Créée en 2000 par l’un des hommes les plus riches de la planète, Bill Gates, le père de Microsoft (fortune personnelle estimée à 96,5 milliards de dollars, selon le classement Forbes 2019), la Fondation Bill et Melinda Gates se donne pour missions la lutte contre la pauvreté, la protection de la santé, le renforcement de l’éducation, la promotion d’une agriculture intensive…

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V.R. –  A partir de la page 79, tu nous brosses un portrait glaçant de l’expansion financière des firmes pharmaceutiques et parallèlement tu cites Jean-Dominique Michel, un autre de nos membres d’élite, qui ne cesse jamais de dénoncer la « corruption systémique » [5] régulièrement utilisée par ces entreprises. Quelques exemples consternants sont relatés dans ton ouvrage. Sans tout révéler, peux-tu nous en dire un mot ici ?

L.M. L’essentiel tient en trois constats :
1) Le premier est celui de l’importance de ce secteur économique et financier. Avec près de 1 200 milliards de dollars américains de chiffre d’affaires en 2019, soit une multiplication par 3 depuis le début du 21ème siècle, l’industrie pharmaceutique est devenue l’un des plus grands secteurs industriels du monde et peut-être le plus rentable de tous. Les grands groupes pharmaceutiques qui se sont constitués rivalisent désormais avec l’industrie pétrolière, les groupes bancaires, les GAFAM, l’industrie du luxe, l’industrie automobile et les cigarettiers. Ils font partie de ces multinationales interconnectées par le jeu des participations croisées dans l’actionnariat, qui dominent le monde et y imposent leurs intérêts. Ils développent également les mêmes stratégies de maximisation des profits que la plupart de ces multinationales (rachats d’entreprises, licenciements dans les pays d’origine, délocalisation dans les pays pauvres, tricherie sur les prix, évasion fiscale, lobbying intense, détournement des aides publiques à leur profit, etc.). Les patrons de ces firmes sont parmi les mieux payés du monde et les dividendes qu’elles reversent à leurs actionnaires sont parmi les plus importants du monde. Ils sont donc devenus un acteur central du nouveau capitalisme financier dominant la planète.
2) Le second constat est que ces gigantesques groupes pharmaceutiques dominent non seulement le marché mondial des médicaments, mais ils influencent aussi de plus en plus la recherche médicale, au point de la contrôler en grande partie dans certains domaines. Les fameux essais cliniques (ou essais thérapeutiques) sont financés et réalisés très majoritairement par ces industriels, parfois à la demande des agences publiques comme la Food and Drug Administration aux USA ou l’Agence Européenne du Médicament. C’est dans cette mouvance politico-industrielle que s’est fixée une sorte d’ersatz de l’Evidence Based Medecine (« médecine fondée sur des preuves ») avec ces méthodes statistiques de randomisation donnant l’illusion d’une démonstration mathématique infalsifiable, à grand renfort de données collectées à l’aide de moyens financiers que seule l’industrie peut généralement s’offrir, créant ainsi des standards artificiels souvent inaccessibles pour la recherche publique indépendante. Le principe est de substituer le calcul statistique à l’expérience clinique, la démonstration mathématique à la pratique médicale. Conséquence d’un tel système : un nombre croissant de médecins-chercheurs multiplient les publications sur les maladies et les médicaments, lors même qu’ils n’en ont pas de pratique médicale. Les malades sont devenus de simples unités statistiques.
3) Et le troisième constat est relatif au trafic d’influence et à la corruption, qui est plus forte que jamais. Les laboratoires payent des études à ces médecins-chercheurs testant leurs médicaments, ils en déterminent les protocoles et vont jusqu’à payer plusieurs milliers d’euros par patients inclus dans l’étude. Ils organisent également des boards et autres « réunions stratégiques » dans lesquels les médecins-chercheurs sont associés à la détermination des projets des laboratoires et pour lesquels ils sont fréquemment payés entre 1 000 et 2 000 euros la journée. Les laboratoires financent également les voyages et tous les frais de ces médecins-chercheurs pour qu’ils aillent présenter leurs résultats dans des colloques internationaux dont l’organisation est elle-même très largement financée par les industriels. Dans certains cas, ces derniers vont jusqu’à réaliser eux-mêmes les études dans leurs laboratoires et proposer ensuite à des médecins universitaires plus ou moins renommés de les signer de leurs noms. Cela s’appelle le ghostwriting et a donné lieu à de nombreuses fraudes ces dernières années, à l’image du Lancet Gate en mai 2020.
Mais la question de la corruption ne se limite pas à l’univers médical. Ce qui donne à la corruption une ampleur démesurée, c’est aussi la transformation des rapports entre organisations publiques et privées. En cause, la circulation des mêmes personnes entre ces deux univers aux logiques de fonctionnement et aux finalités pourtant théoriquement opposées (le bien public pour les unes, l’enrichissement personnel pour les autres). Au-delà même du phénomène que l’on appelle en France le « pantouflage », le problème majeur qui se pose désormais est celui du changement de la nature de ces relations. Nous avons été habitués à penser un monde dans lequel les puissances publiques (Etats et organisations supranationales) sont un peu les gendarmes du monde économique privé. Or, ce monde est en train de disparaître sous nos yeux.  Nous entrons dans un monde où les puissances publiques deviennent des partenaires des groupes commerciaux privés dont certains ont de fait acquis autant de pouvoir qu’un Etat. Ceci se voit très bien dans plusieurs pays, dont la France. Ceci devrait faire l’objet de grandes discussions politiques. Je n’en vois guère pour le moment.

V.R. – De Gilead à Air France, tu me vois venir ? Qu’est-ce qu’il faut retenir en peu de mots sur cette énorme boite américaine méconnue en France qu’est Gilead ?

L.M. – Le groupe américain Gilead Sciences emploie près de 12 000 personnes et a fait un chiffre d’affaires de 22,5 milliards de dollars en 2019. Parmi ses actionnaires, figurent certains des plus gros fonds d’investissement américains. Le premier est The Vanguard Group, concurrent direct de Black Rock (le plus gros gestionnaire d’actifs du monde et l’un des plus importants actionnaires du CAC40). Vanguard est par ailleurs le premier actionnaire d’Apple, possède 5% d’Amazon et est entré au capital de nombre de grandes entreprises françaises. Même chose pour le second actionnaire de Gilead, Capital Research and Management, qui possède des parts du capital de la Caisse des Dépôts et Consignations, de Veolia, de Bouygues, de Schneider, de la Société Générale, de Pernod et d’Air France. Nous sommes donc bien ici au cœur du capitalisme financier actuel, c’est-à-dire celui qui est entièrement dominé par les banques et autres fonds d’investissements contrôlant l’actionnariat des grandes entreprises et ayant pour logique fondamentale la maximisation de la valeur pour l’actionnaire.

Au demeurant, la suite n’aurait pas dû surprendre tant Gilead était déjà connu pour pratiquer une exagération des prix à des fins d’enrichissement maximum. Je rappelle dans mon livre l’affaire du Sovaldi dans la lutte contre l’hépatite C, affaire qui a fait la fortune de Gilead. Dès le tout début de la crise du Covid, ce dernier a voulu refaire le coup en faisant acheter par tous les pays du monde un antiviral pour traiter le Covid : le Remdesivir. L’industriel y travaille depuis l’épidémie du virus Ebola qui traversa l’Afrique de l’Ouest en 2014-2015. Les recherches montreront pourtant par la suite que ce médicament était déjà inefficace sur Ebola. Mais qu’à cela ne tienne, face à la nouvelle pandémie de coronavirus, tout l’enjeu pour cet industriel était de convaincre que son produit était le plus efficace pour traiter les personnes infectées, et lancer ainsi sa production industrielle de masse. Il a en ce sens déployé toute sa puissance de lobbying et de trafic d’influence, au point que, dès le départ, l’OMS et un certain nombre de chercheurs importants dans plusieurs pays occidentaux (tels Yazdan Yazdanpanah et Franck Chauvin en France, tous deux membres du Conseil scientifique Covid-19, le second étant aussi le président du Haut Conseil de la Santé Publique qui fera d’emblée barrage à la proposition de l’IHU de Marseille au profit du Remdesivir) annonçaient déjà que l’antiviral de Gilead était la solution la plus prometteuse. Étrangement, tandis qu’elle bloquera l’hydroxychloroquine, l’Agence Nationale de Sécurité du Médicament (ANSM) délivrera très rapidement une autorisation de mise sur le marché (AMM) pour le Remdesivir.
On sait aujourd’hui que ce médicament est inefficace et même dangereux. Il n’est quasiment plus utilisé dans les pays occidentaux. Mais si Gilead est passé une fois encore à côté du jackpot mondial, il s’est quand même enrichi grâce à la seconde grande stratégie des nouvelles industries capitalistiques : la spéculation boursière. Enfin, son intense lobbying lui permettra de parvenir tout de même à fourguer pour 1,2 milliard de son produit à l’Union Européenne fin 2020, avant que cette dernière ne s’en débarrasse vers les pays pauvres en ayant de surcroît l’indécence de présenter la chose comme de la générosité. La chose se reproduira du reste avec le « vaccin » d’AstraZeneca. Je note toutefois que certains pays africains (comme le Nigeria) ont bien compris l’arnaque et répondent « non merci » à cette fausse générosité.

V.R. – Le délire corruptif qui règne à l’Agence Européenne du Médicament (EMA) semble t’avoir particulièrement intéressé, je te remercie d’ailleurs d’avoir cité un de mes articles dans ta démonstration. Ce passage de ton livre est vraiment sidérant…

L.M. – L’affaire Ursula Von der Leyen est un révélateur du trafic d’influence et de la corruption qui sévissent en effet au sein de la Commission européenne et d’agences comme l’EMA. Madame négocie personnellement avec le PDG de Pfizer des contrats dont le contenu est étrangement tenu top secret, tout en ayant un mari travaille dans l’industrie des biotechs et un fils qui travaille chez Mc Kinsey, le cabinet de conseil qui s’enrichit démesurément en organisant la communication (i.e. la propagande) des campagnes vaccinales de nombreux pays (dont la France). Et quand on demande des comptes à madame, elle répond qu’elle a malencontreusement effacé ses conversations avec monsieur Bourla, avec lequel on la voit s’enlacer à la cérémonie de l’Atlantic Council récompensant les meilleurs business-leaders du moment. On nous prend vraiment pour des imbéciles et c’est gros comme le nez au milieu du visage. Et pourtant, à une ou deux exceptions près (comme Etienne Campion à Marianne), aucun journaliste ne s’en est inquiété. Voilà typiquement le sujet d’intérêt public majeur dont un journal comme Mediapart aurait dû s’emparer, plutôt que de s’enfermer dans sa haineuse petite entreprise de démolition de Didier Raoult. Et les intellectuels ne valent guère mieux hélas. Où sont passés tous les universitaires et les journalistes dits « d’investigation » qui ont travaillé ces dernières années sur ces phénomènes de lobbying et de corruption organisée par les industriels, comme sur les nouvelles formes de marketing, de propagande et autres méthodes de story telling ? Toute cette affaire est une dramatique défaite de la pensée.

V.R. – Tu abordes ensuite le point le plus crucial de ton livre, à mon avis, et c’est ce que tu appelles le « viol des foules », qui ne comprend pas cette manipulation mentale abominable se met immédiatement en position de se faire à nouveau duper lors de la prochaine crise, le Dr Pascal Sacré avait déjà abordé ce phénomène chez nous, il y a un an [6]…

L.M. – J’ai intitulé ce chapitre « Le viol des foules par la propagande politique », reprenant le titre d’un vieux livre de Serge Tchakhotine, paru en 1939, interdit en France et même brûlé ensuite par la Gestapo. Les dictatures n’aiment pas que l’on objective leurs stratégies d’endoctrinement des masses. Mais il faut croire que les démocraties ne l’aiment pas non plus. A moins qu’elles ne soient déjà plus vraiment des démocraties. Quoi qu’il en soit, j’analyse effectivement les formes et les contenus de l’intense propagande que le gouvernement français (parmi d’autres) a déployé pour faire croire à la population que le vaccin était la fin de l’histoire, qu’il fallait d’urgence injecter à tout le monde (adultes, personnes âgées, enfants, femmes enceintes) ces produits prétendus « totalement sûrs », qui allaient « nous débarrasser de l’épidémie » (en bloquant la contagion) et qui étaient « efficaces à 95% » pour empêcher les formes graves de Covid. Ah, la magie des chiffres…

Je montre que, pour réaliser cette grande manipulation, le gouvernement a usé de toutes les ficelles et tout le registre de la propagande : technique de « la bouse blanche » consistant à envoyer dans les médias des médecins triés sur le volet pour vanter les mérites de la nouvelle politique vaccinale, technique du « choix truqué » consistant à placer les citoyens devant un prétendu choix entre la solution qu’on veut leur imposer et une fausse alternative en réalité inacceptable (du genre : préférez-vous être vaccinés ou reconfinés ?), et enfin bien entendu la technique de « la grenouille ébouillantée » consistant à amener progressivement les gens vers le point d’arrivée prévu en réalité dès le départ, mais en y allant par étapes, à coups de demi-mensonges successifs, afin de faire accepter très progressivement quelque chose qui, si il avait énoncé d’emblée, aurait été jugé inacceptable pour beaucoup. En l’occurrence, il fallait amener doucement les citoyens à renoncer à une de leurs libertés fondamentales en acceptant l’idée que seule une vaccination intégrale et forcée de la population s’imposait pour nous « libérer » de l’épidémie.

V.R. – L’heure de nous quitter est venue. Nous ne sortons pas de ton interview beaucoup plus optimiste qu’au moment où nous l’avons abordée, mais avec une envie bien plus grande de dévorer ton passionnant bouquin. Vivement le tome II, on s’y prépare avec délectation. Ton mot de la fin ?

L.M. – D’abord je te remercie de me donner ainsi la parole et de traiter mon travail avec sérieux. Le tome 2 paraîtra en mars, il reprendra les meilleurs « épisodes » de ma série initiée en mars 2020, avec 40 chapitres et 30 auteurs. C’est un travail collectif qui n’est certainement pas parfait mais dont je suis fier et qui me donne le sentiment d’avoir fait ce que je devais faire.

Ensuite un mot pour dire que j’avais depuis longtemps l’habitude d’être attaqué, essentiellement par l’extrême droite, du fait de mes travaux sur la sécurité (qui montrent notamment comment on passe là aussi son temps à effrayer la population pour mieux vendre de l’idéologie sécuritaire et des technologies très coûteuses comme la vidéosurveillance). Mais depuis le début de la crise du Covid, j’ai été couvert d’insultes et de calomnies à un point que je n’avais jamais connu. Et surtout, indépendamment des affidés des industriels et des intellectuels de cour (comme le très macroniste Gérald Bronner qui a publié contre moi en août 2021, dans Le Monde, une tribune aussi agressive que dénuée de contenu, avant d’être nommé par l’Elysée à la tête d’une commission), la plupart de ces insultes sont venues de gens qui disent appartenir à la gauche intellectuelle et politique. Certains sont même allés jusqu’à m’accuser de complicité avec l’extrême droite, moi qui la combat depuis 30 ans et qui y avait consacré tout mon dernier livre paru juste avant le premier confinement (La France telle qu’elle est. Pour en finir avec la complainte nationaliste, Fayard, 2020). C’est dire à quel point nous sommes en pleine confusion mentale. Il faudra du temps pour en sortir et essayer de rebâtir quelques digues intellectuelles et éthiques. La chose est essentielle car l’histoire est loin d’être terminée. D’autres crises sécuritaires, sanitaires et écologiques sont à venir. Et si nous ne sommes pas mieux armés pour les affronter, j’ai peur que les dégâts individuels et collectifs soient plus importants encore, notamment que l’idéal démocratique finisse par disparaître au profit d’une gestion autoritaire des biens publics par des intérêts privés.

Crédit photo : © Editions Eolienne

(*) Ouvrages de Laurent MUCCHIELLI :

Direction d’ouvrage

  • Histoire de la criminologie française, Paris, L’Harmattan, 1995, 535 p. (ISBN2-7384-3136-4, notice BnF no FRBNF36685469)
  • Avec Massimo Borlandi, La Sociologie et sa méthode : les règles de Durkheim un siècle après, Paris, L’Harmattan, 1995, 415 p. (ISBN2-7384-4033-9, notice BnF no FRBNF35804890)
  • Avec Dominique Duprez, Les Désordres urbains : regards sociologiques, Chêne-Bourg-Genève, Médecine et hygiène, 2000, 440 p. (ISBN2-8257-0726-0, notice BnF no FRBNF37733537)
  • Avec Philippe RobertCrime et sécurité : l’état des savoirs, Paris, La Découverte, coll. « Textes à l’appui », 2002, 438 p. (ISBN2-7071-3620-4, notice BnF no FRBNF38811277)
  • Gendarmes et voleurs : de l’évolution de la délinquance aux défis du métier, Paris, L’Harmattan2007
  • Avec Véronique Le Goaziou, Quand les banlieues brûlent : retour sur les émeutes de novembre 2005, Paris, La Découverte, 2eédition 2007
  • Avec Marwan MohammedLes Bandes de jeunes : des blousons noirs à nos jours, Paris, La Découverte, 2007
  • La Frénésie sécuritaire : retour à l’ordre et nouveau contrôle social, Paris, La Découverte, 2008
  • Avec Pieter Spierenburg, Histoire de l’homicide en Europe, de la fin du Moyen Âge à nos jours, Paris, La Découverte, 2009
  • Avec Xavier Crettiez, Les Violences politiques en Europe : un état des lieux, Paris, La Découverte, 2010, 336 p. (ISBN9782707164582)
  • Avec Christian Mouhanna,La police contre les citoyens ?, Nîmes, Champ social, coll. « Question de société », 2011, 182 p. (ISBN978-2-35371-105-5)

En collaboration

Notes et sources:

[1] https://fr.wikipedia.org/wiki/Laurent_Mucchielli
[2] https://www.aimsib.org/2021/12/09/encore-des-hormones-mais-pour-combien-de-temps/
[3] Gates B,Responding to Covid-19 — A Once-in-a-Century Pandemic? N Engl J Med 2020; 382:1677-1679 DOI: 10.1056/NEJMp2003762 https://www.nejm.org/doi/full/10.1056/NEJMp2003762
[4] Traduction : Les scientifiques ont séquencé le génome du virus et développé plusieurs vaccins candidats prometteurs en quelques jours, et la Coalition for Epidemic Preparedness Innovations prépare déjà jusqu’à huit vaccins candidats prometteurs pour des essais cliniques.
[5] Michel JD, Covid : anatomie d’une crise sanitaire, Paris, HumenSciences, 2020, p.109
[6] Pascal Sacré, « Pavlov ou la Covid-19, comprendre l’inhibition transmarginale » https://www.aimsib.org/2021/01/17/pavlov-ou-la-covid-19-comprendre-linhibition-transmarginale/




L’avenir du Covid ? Vers la fin…

Par Alain Tortosa

Le passe vaccinal va disparaître même s’il peut tenir encore un moment du fait des hôpitaux « normalement » saturés…

Grâce aux actuels et futurs variants du rhume 19, il sera aisé d’affirmer que les hôpitaux sont remplis de patients (positifs) Covid comme le font les autorités depuis des mois…

(C’est d’autant plus facile de le dire que les hôpitaux sont toujours saturés, car c’est le principe de gestion retenu, principe qui n’est pas forcément condamnable, mais que l’on doit assumer. Il serait logique d’appeler gaspillage de l’argent public, des hôpitaux pleins à 10 % qui emploieraient des personnels à ne rien faire.)
(Je vous rappelle qu’il n’existe pas de statistiques distinguant les patients malades du Covid et les patients positifs à un PCR et asymptomatiques.)

Bref, il sera facile de montrer qu’un pourcentage extraordinaire de patients en soins-critiques sont positifs au Covid.
Et comme nous avons la chance d’avoir environ 1800 décès par jour en France, il sera toujours aisé de déclarer journellement des centaines de personnes en fin de vie et positives au Covid « décédées du Covid ».

Donc sur le papier le scénario Covid peut fonctionner pendant des dizaines d’années…

Le problème est que même les plus croyants sont obligés de voir une certaine réalité :

  • Quasi tout le monde a contracté la dernière version du virus.
  • Les vaccinés ont, au moins autant sinon plus, contracté le « virus de la mort ».
  • Quasi personne n’a connaissance d’une personne relativement jeune et en bonne santé qui aurait été « terrassée par l’odieux virus »… En deux ans nous n’avons toujours pas enjambé de cadavres dans la rue.

Le seul bastion qui résiste encore et qui tient plus d’un mantra que d’une réalité scientifique est le fameux « le vaccin nous protège des formes graves ! »

Pardon, il existe un deuxième mensonge, et de taille, qui est « le vaccin est totalement inoffensif ».

Bon an, mal an, une partie du peuple accepte l’idée d’un « vaccin » efficace pendant trois mois, qui n’empêche pas de tomber malade ni de contaminer autrui…

Même Delfraissy, qui est en très bonne position au top 50 des menteurs, a reconnu publiquement que c’était une sorte de « médicament vaccin »…

Toute la question est donc de savoir combien de temps ces mensonges tiendront encore…

La croyance en l’innocuité des vaccins relève d’une volonté affichée de ne pas regarder les données officielles…
Cette croyance peut tenir tant que le « vacciné » ou son entourage ne souffre pas d’effets secondaires dont il peut ignorer le lien.

Nous connaissons (tous) des vaccinés qui ont souffert d’effets secondaires plus ou moins graves des injections, mais qui ne font pas le lien pour la simple raison que le reconnaître c’est reconnaître sa propre bêtise.

« Comment ai-je pu être assez stupide pour m’injecter quatre doses de cette merde ! »

C’est donc la réalité de l’inefficacité de l’injection associée à la réalité des effets secondaires qui font que des millions de Français n’ont pas (encore ?) fait leur troisième dose.

Le gouvernement est coincé dans une quadrature du cercle :

  • Convaincre que le vaccin n’est pas efficace et ne permettra pas de mettre fin à l’épidémie pour obliger de nouvelles doses et poursuivre les mesures dictatoriales.
  • Convaincre que le vaccin est efficace pour inciter les non-vaccinés.

Le mythe de la vaccination « efficace » ne tient que par les « formes » graves.

Le slogan pro-injection est uniquement :

« Le vaccin empêche de mourir ! »

Il devient de fait indispensable que les morts du Covid ne soient que des non-vaccinés !

Mais quand bien même les données ne sont que mensonges, les autorités sanitaires reconnaissent que la moitié ou la majorité des morts sont aussi des vaccinés.

La pirouette « c’est logique qu’il y ait plus de morts chez les vaccinés, car il y a plus de vaccinés que de non-vaccinés » est totalement ridicule et elle est pourtant gobée par des débiles qui ont totalement oublié qu’un vaccin est censé vous empêcher de mourir…

Les autorités sortent alors de leur chapeau :

« En fait les vaccinés décédés sont des immunodéprimés et il est normal que le vaccin soit inefficace pour cette population. »

Attention le mal de tête !

Nous devons donc nous vacciner pour « ne pas faire de formes graves, mais uniquement quand le vaccin est efficace pour nous. »

Je me permets donc la question idiote.

« Qui meurt du coronavirus ? »

« Les gens qui ont de bonnes défenses immunitaires ? »

Je ne le pense pas… et je crois que c’est plutôt l’inverse…

La version officielle serait donc qu’il est vital de se vacciner pour éviter de faire des formes graves que l’on ne fait pas naturellement quand on a de bonnes défenses immunitaires. Alors même qu’il est totalement inutile de se vacciner lorsque l’on a de mauvaises défenses immunitaires…
On a quand même réussi à inventer le « vaccin » qui n’empêche pas la contamination et qui ne protège pas ceux qui devraient être protégés et qu’il est donc « indispensable » de répandre.

Le « boost » pourrait, quant à lui, avoir des effets totalement délétères par la répétition d’une attaque sur des défenses affaiblies…

Le citoyen à qui l’on avait promis la liberté grâce à la vaccination constate que l’épidémie est bien présente alors que 90 % de la population est officiellement vaccinée. Il est bien obligé de douter de l’efficacité de ce produit quand bien même l’ennemi désigné devient le « non-vacciné ».

Le fait qu’il soit obligé de faire un rappel tous les trois mois devrait le conduire à penser que c’est un traitement préventif, non curatif et certainement pas un vaccin qui, rappelons-le, est toujours en phase expérimentale.

Produit qui n’empêche donc pas de mourir si on doit mourir du fait de ses défenses immunitaires défaillantes… (abîmées par les confinements, les distanciations, le port du masque…)

Pour poursuivre ses doses, il faut vraiment avoir envie d’aller au restaurant ni discuter avec personne et se contenter d’écouter BFM.

L’ensemble de ces éléments fait que la vaccination est condamnée à plus ou moins long terme…

Même les mainstream commencent à dire quelques vérités et les citoyens en ont marre…

Planifions un relâchement pour les élections afin d’obtenir quelques voix supplémentaires, et ce avec quelques mois de trêve…

Cette « libération » permettra de perdre 90 % des résistants qui seront heureux d’aller au restaurant ou au camping et qui auront la naïveté de croire que « la liberté est de retour »…

Tout en sachant que le dernier bastion à tomber sera le masque à l’intérieur, seul et unique outil permettant de rendre visible la menace fantôme et de faire d’autrui un danger potentiellement mortel…

Mais la loi permettant d’avoir recours au passe de la honte se terminant en juillet, il ne serait pas illogique qu’un « nouveau variant beaucoup plus contagieux et à la dangerosité inconnue » se présente un peu avant la date butoir.

De fait il n’est pas non plus illogique de penser qu’une nouvelle « vague » pourrait être programmée en juin…

Ce serait sans doute la vague « test », celle qui permettrait de déterminer si le peuple est encore prêt à gober cette plandémie que le réseau Sentinelles n’a toujours pas vue…

En revanche si le peuple ne gobe plus alors la dictature devra très très vite enchaîner sur le « changement climatique » et mettre en place des lois liberticides pour poursuivre et accélérer la marche vers notre asservissement.

Merci.

Alain Tortosa

13 novembre 2022
http://7milliards.fr/tortosa20220213-avenir-fin-covid.pdf




Passe vaccinal : la femme médecin de santé publique qui fait tomber les sénateurs de leurs fauteuils

[Source : lecourrierdesstrateges.fr]

par LaurianeB

La Commission des affaires sociales s’est réunie mardi 8 février pour entendre la Docteur Alice Desbiolles, médecin de santé publique et épidémiologiste. En 1h et 45 minutes, avec un calme olympien, l’intervenante met en pièces détachées le passe vaccinal, démonte la stratégie sanitaire gouvernementale, désosse les schémas de modélisation, abat les fondations de la vaccination des enfants et donne une bonne leçon de déontologie médicale à toute l’assemblée. Les sénateurs, n’ayant pas l’habitude d’entendre une voix si dissonante sur la gestion du Covid, sont ressortis de cet entretien complètement désarçonnés (mais nous ça va).

Les Sénateurs ont dû se mordre les doigts d’avoir invité cette médecin de santé publique. En voulant se donner l’illusion de donner la parole à tous les bords, ils n’avaient peut être pas soupçonné à quel point cette dernière n’a pas l’air d’avoir peur des représailles venant de ses pairs. Oups. 

L’instauration du passe vaccinal ne repose sur aucun critère scientifique

Pour rappel la Commission des affaires sociales est en charge de contrôler l’action du gouvernement dans la mise en place du passe vaccinal. Ses travaux ont débuté le 1er février et elle a 6 mois pour remettre un rapport et formuler des propositions.

La Sénatrice Chantal Deseyne intervient la première en donnant son ressenti sur la décision de changer le passe sanitaire en passe vaccinal. Elle a l’impression que c’est un outil qui sert uniquement à renforcer (voire à forcer tout court) la vaccination, mais jusqu’à présent aucune donné scientifique probante n’est venue étayer cette décision (ce que nous vous avions rapporté une première fois ici). Peut-on mesurer l’impact du dispositif et est-il toujours nécessaire ?

La réponse du Docteure Desbiolles est sans appel, il n’existe à ce jour aucun rationnel scientifique ou donnée probante su l’efficacité du passe sanitaire ni aucune étude de bonne qualité avec un fort niveau de preuve.

De plus, les différents passes ont effectivement renforcé la vaccination, mais pas chez les personnes les plus vulnérables. Il n’aide en rien à pondérer la saturation des hôpitaux puisqu’un rapport interne récent de l’AP-HP précise que la plupart des déprogrammations d’interventions sont dues à un départ du personnel soignant.

Une étude du conseil d’analyse économique considère bien que 4000 morts ont pu être évités grâce à la mise en place de ce dispositif mais un des ses auteurs est membre du conseil de scientifique, on ne peut pas recommander un outil et juger impartialement de son efficacité.

En réalité, ce qui a contribué à la mise en place du passe vaccinal, ce sont les données de modélisation, pour lesquelles le médecin en santé publique émet de grandes réserves – sans blague. 

Des outils de mesure remplis de biais

Depuis mars 2020, il y a un recours systématique aux modélisations pour justifier les décisions de santé publique. Alice Desbiolles explique que les modélisations ont un niveau de preuve extrêmement faible, elles n’ont pas vocation à servir de base pour instaurer de telles mesures contraignantes sur la population.

Qui plus est, aucune évaluation a posteriori sur la confrontation des modèles avec le réel n’a été effectuée.

Par exemple, la base de décision à l’implémentation du passe sanitaire dépend de l’avis du conseil scientifique datant du 6 juillet 2021 , partant de l’hypothèse que les vaccins réduisent le risque d’hospitalisation de 95%, le risque d’infection de 80% et de transmission de 50%.

L’intervenante remet aussi en cause la neutralité des bulletins épidémiologiques hebdomadaires publiés par Santé Publique France. Le dernier en date indique que la part de patients ne présentant pas de comorbidités a augmenté, en oubliant de préciser plus de 80% des patients actuellement en réanimation ont au moins une comorbidité. En plus, le surpoids a disparu des facteurs de risques et toutes les classes d’âge sont mélangées.

TousAntiCovid rapporte un nombre de patients hospitalisés en réanimation et en soins critiques, mais en soins continus l’indicateur de référence est le nombre de lits. Comment peut-on comparer plusieurs services avec un indicateur différent ?

Elle regrette également le manque de données s’agissant des enfants. Sur les causes de soit disant décès Covid chez l’enfant et sur l’efficacité de la vaccination chez les 11-18 ans, Santé Publique France ne communique qu’à l’oral, et pour cause …

Les études concernant la vaccination des enfants ne sont pas probantes

La sénatrice Laurence Cohen interroge sur l’utilité de la vaccination des enfants, vu que les écoles sont fortement touchées par l’épidémie. Pour rappel, l’évaluation du vaccin à destination des enfants est toujours en cours jusque 2026 selon ClinicalTrials.gov.

Selon Mme Desbiolles, le virus circule partout, les écoles ne sont que la représentation de la circulation virale à l’échelle du pays. La vaccination des plus jeunes sur ce type de virus peut être une  stratégie contreproductive. En Allemagne par exemple, lorsqu’on a mis en place la vaccination contre la varicelle, on a observé une forte augmentation  du nombre de formes graves de varicelle chez les adultes vaccinés.

Le suivi médian des sujets de l’étude en cours est de 2 mois et le panel représente peu de personnes. Pour la Docteure il est clair que l’étude n’est pas assez probante pour mettre en lumière de potentiels effets indésirables.

Enfin, elle rappelle que le port du masque dans les écoles ne fait l’objet d’aucun rationnel scientifique ni d’aucun essai clinique de bonne qualité. L’OMS ne recommande pas de faire l’activité physique avec un masque « On impose des choses aux enfants en dépit du bon sens et de données sérieuses ».

Merci, Madame, nous sommes toujours en attente d’un éclair de génie de la part du Conseil d’Etat.

La stratégie zéro covid est vouée à l’échec, alors pourquoi persister ?

La sénatrice Emilienne Poumirol demande elle s’il est possible de faire un éventuel mea culpa et de changer de stratégie, elle qui a toujours plaidé pour la vaccination obligatoire.

La vaccination obligatoire en population générale fait partie de la Stratégie dite « zéro covid », qui a été abandonnée dans la plupart des pays qui ont tenté de la pratiquer.

Il existe des réservoirs animaux, il est totalement illusoire de prétendre pouvoir éradiquer un virus de cette nature par la vaccination. De plus, le risque d’échappement vaccinal induisant une pression de sélection est réel (simulé par un modèle du CRNS en 2022). 

Enfin – l’apothéose de l’entretien, du miel à mes oreilles – elle rappelle le principe le plus basique qui soit et qui n’aurait jamais dû être oublié : on ne protège pas un individu contre son gré. L’obligation vaccinale n’a pas sa place dans sa vision de la médecine, qui a vocation à être suggestive, et pas normative. Le respect du consentement des personnes est un élément majeur de la progression du droit des patients, consacré par la loi Kouchner de 2002.

Aller dans le sens d’une telle démarche romprait définitivement le lien de confiance entre la population et les scientifiques, les politiques et la médecine.

L’audition se termine dans une ambiance tendue, certains Sénateurs n’acceptant pas l’idée de remettre en cause la stratégie adoptée jusqu’alors. Alice Desbiolles conclu en mettant les pendules à l’heure – et en énonçant ce principe cher à tout juriste :

« La charge de la preuve de l’efficacité d’une politique publique incombe à la puissance qui l’a mise en place, ce n’est pas à moi de démontrer que cela fonctionne ou que cela ne fonctionne pas ».

Nous saluons ici la parfaite déontologie dont a fait preuve Alice Desbiolles tout au long de son audition. Quand certains Sénateurs minimisent et ricanent au fait de présenter un passe pour accéder à l’hôpital et qu’on lui répond « oui mais c’est un passe sanitaire, pas vaccinal …» elle récite à la lettre le serment d’Hippocrate. Et oui, l’éthique, ça calme. 

Toute sa démonstration est parfaitement sourcée, de bout-en-bout, dans des termes clairs et précis (il y en a pour qui c’est le métier), contrairement à d’autres président de conseil scientifique qui viennent les mains dans les poches affublés d’une assurance déconcertante et d’une attitude qui laisserait presque penser que c’est l’auditionné qui auditionne.  

Le Président de séance Alain Milon ne sait pas trop comment conclure la séance et se dit perturbé car trop de scientifiques ont un point de vue différent. Tant mieux, les choses avancent, mercredi 9 janvier a été décidé la mise en place d’une nouvelle commission d’enquête sénatoriale sur les effets secondaires des vaccins.

On y arrive.




Didier Raoult rend hommage au Professeur Luc Montagnier. Mise à jour

[Source : Sud Radio]


Une grande droiture et une profonde intégrité

Nous sommes particulièrement touchés par la disparition du Professeur Montagnier. Au-delà de son œuvre scientifique majeure et de sa vie consacrée au service de la science, il a témoigné toute sa vie durant d’une grande droiture et d’une profonde intégrité. Et malgré cela, si peu de considération de la part de ceux qui monopolisent la parole depuis deux ans…
Nous adressons toutes nos condoléances à sa famille ainsi qu’à toutes les personnes affectées par son départ.

Le professeur Montagnier nous rétablit dans notre héritage avec cette seule phrase :

“L’homme gagnera s’il se concentre sur la loi de la nature et uniquement sur cela”.

N’en déplaise aux chantres du scientisme, le chemin de la Liberté s’ouvre à nous.

Le collectif Reinfo Covid.






Par Dr. Édouard Broussalian

Mort du Pr. Luc Montagnier

France Soir, le dernier journal libre en France, a été le premier à annoncer la mort du Pr. Montagnier. Moi qui me croyais blindé, j’ai eu de la peine à contenir quelques larmes. Je ne le connaissais pas personnellement, n’ayant jamais eu la chance de le rencontrer, je ne manquais cependant jamais ses interventions.

Si sa mort résonne aussi fort dans nos cœurs d’homéopathes c’est parce que seul le semblable agit sur le semblable : il appartenait à cette rare catégorie du vrai scientifique. Pas celui qui manipule des éprouvettes ou un microscope, pas celui qui exécute son boulot pour se payer une belle bagnole, mais bien celui qui est à la recherche de la Vérité.

Je n’avais de cesse d’admirer son courage tranquille devant la meute des journalistes corrompus et autres « anti-fakemed » laquais des mondialistes. Il a été l’un des premiers à comprendre la dimension électromagnétique liée avec le vivant. A ce titre il a vaillamment défendu l’homéopathie au risque de sa carrière professionnelle.[1]

Ce qui suscitera l’étonnement des générations futures c’est comment un homme de cette stature scientifique aura été jeté en pâture à des rats à peine pubères et dont le seul mérite personnel consiste en l’acquisition de la bipédie. Seules les dictatures présentent cette capacité à détruire ce qui est grand pour fonctionner avec les êtres les plus veules.

Montagnier n’a évidemment pas mordu à l’hameçon du COVID dont il aura été aussi l’un des premiers à dénoncer haut et fort l’escroquerie. Honte à tous les « scientifiques » qui se sont tus ou qui ont cherché à le ridiculiser. Leur soumission à l’omerta est la preuve qu’ils ne sont pas à la recherche de la vérité, maudits soient ces nains qui trahissent les idéaux de tous les géants qui les ont précédés.

Lincoln a dit une chose que nos tyrans mondialistes gorgés d’inculture crasse[2] ignorent, à savoir qu’on « peut tromper une partie du peuple tout le temps et tout le peuple une partie du temps, mais on ne peut pas tromper tout le peuple tout le temps. » Comme je l’ai déjà maintes fois répété, seule l’insurrection nous sortira de cette dictature. Elle démarre enfin grâce aux Convois de la Liberté. La peur changera de camp avec le Grand Réveil.

Alors seulement le Pr. Montagnier pourra enfin prendre la place qui lui revient et figurer au Panthéon des plus grands.

  • [1] Il suffit de lire la presse mainstream pour y découvrir les ragots habituels. Entre autres abjections, sur RFI.FR on apprenait que :
    « La communauté a même un terme pour ce phénomène : la « nobelite », la maladie du Nobel. Cette tendance qu’ont certains lauréats du prix à mettre à profit leur notoriété pour défendre des thèses pseudo-scientifiques à propos de sujets sur lesquels ils n’ont jamais travaillé. »
    N’est-il pas curieux que personne ne dénonce les prix Nobels qui condamnent des sujets sur lesquels ils n’ont jamais travaillé ?
  • [2] Cette formulation était répétée à l’envi par Pierre Desproges dès les années 1980. Il aimait à dénoncer la progression de l’incurie dans la société.



Terrain Le Film – Partie 1 : La Grippe Des Cigognes

[Source : cv19.fr]

TERRAIN expose le canular tyrannique de la pandémie mondiale, construite sur le modèle erroné de la maladie, connu sous le nom de “théorie des germes”. Ce documentaire en deux parties explore la théorie du terrain, un modèle de santé fonctionnant en symbiose avec la nature pour promouvoir le bien-être et la guérison, sans recourir à un paradigme médical corrompu et défaillant.

TERRAIN motive et inspire les spectateurs à comprendre le pouvoir et la responsabilité du consentement.

La première partie de TERRAIN remet en question la théorie des germes, un système de croyance obsolète et non scientifique basé sur des fraudes et des mauvaises interprétations.

Un film produit par Marcelina Cravat et Andrew Kaufman.
Avec le Dr Andrew Kaufman, le Dr Barre Lando, le Dr Stefan Lanka, le Dr Mark McDonald, le Dr Tom Cowan, le Dr Kelly Brogan, le Dr Samantha Bailey, Sayer Ji, Sally Fallon, Peggy Hall, Tony Roman, Alphonso Faggiolo et Veda Austin.



Terrain — 2e partie

https://odysee.com/@cv19:b/Terrain-Le-Film-Partie-1-la-grippe-des-cigognes:3

Sous-titres par https://cv19.fr

Bande annonce : https://odysee.com/@cv19:b/Terrain-Le-Film-Bande-Annonce:0

Pour soutenir et en savoir plus sur le projet : https://terrainthefilm.com/




Comment reconnaître que les virologues nous ont trompés ?

[Source : cv19.fr]

Par le Dr. Mark Bailey

La question de l’existence de virus pathogènes reste importante, car la croyance en de tels virus mobilise des milliards de dollars de ressources et de fonds de recherche. Ces deux dernières années, nous avons également vu comment un prétendu virus peut être utilisé comme un outil politique pour mettre les populations au pas. Ce n’est pas la première fois que cela se produit : par exemple, la “découverte” du VIH dans les années 1980 a donné naissance à une industrie de plusieurs milliards de dollars et a également été utilisée à des fins politiques dans la plupart des régions du monde. (Les erreurs concernant l’existence de la particule du VIH et le fait qu’elle soit à l’origine du SIDA sont décrites dans Virus ManiaFR. Pour ceux qui souhaitent approfondir le sujet, je recommande le magnus opus de The Perth Group sur ce sujet).

“Les virus sont de petits parasites intracellulaires obligatoires qui, par définition, contiennent un génome d’ARN ou d’ADN entouré d’une enveloppe protéique protectrice, codée par le virus.”

Medical Microbiology, 4th edition, 1996

Le journaliste indépendant Jeremy Hammond, qui se présente comme exposant la “dangereuse propagande d’État” entourant le COVID-19 et les dangers des vaccins, a ainsi fait la curieuse déclaration suivante en 2021 :

“l’affirmation fausse selon laquelle le SARS-CoV-2 n’a jamais été isolé (c’est-à-dire que son existence n’a jamais été prouvée) nuit considérablement à la crédibilité du mouvement pour la liberté de la santé et repose sur une ignorance totale de la science (le virus est constamment isolé et son génome entier est séquencé par des scientifiques du monde entier)”.

Jeremy Hammond, 9 mars 2021

Je dirais que l’ignorance est du côté de Hammond, qui semble parvenir à sa conclusion en répétant essentiellement les affirmations des virologues et en rassurant le public sur la validité de leurs méthodologies. Ces dernières semaines, nous avons également vu le Dr Joseph Mercola présenter l’interview de Hammond et le blog de Steve Kirsch (qui fait également appel à l’autorité de la virologie) comme des “preuves” de l’existence du SARS-CoV-2. Kirsch déclare s’appuyer sur “les avis des experts en qui j’ai confiance”, ce qui signifie qu’il a remis l’argument entre les mains d’autres personnes plutôt que d’enquêter lui-même sur la question. Mais est-il sage pour ces combattants de la liberté sanitaire qui s’opposent aux “experts” de l’establishment COVID de ne pas également remettre en question les virologues de l’establishment ?

Le Dr Andy Kaufman a produit une réfutation point par point du soutien de Hammond à la méthodologie d’”isolement” de la virologie moderne ici, tandis que le Dr Tom Cowan a prévenu que nous ne faisions que commencer à démanteler les absurdités de la virologie ici. Le Dr Sam Bailey a publié de nombreuses vidéos sur la question de l’isolement des virus, dont la plupart ont été interdites sur YouTube mais peuvent encore être trouvées sur Odysee. En outre, dans un essai que j’ai cosigné avec le Dr John Bevan-Smith, nous décrivons le premier pilier de la fraude COVID-19FR comme l’utilisation abusive du terme “isolement” par la virologie. En résumé, comme les virologues n’ont pas été en mesure d’isoler physiquement le moindre virus au siècle dernier, ils ont simplement changé la définition du mot, de sorte que même les virologues admettent que le terme est désormais utilisé de manière vague. Une situation étrange lorsque la méthode scientifique exige une terminologie précise.



J’ai observé au cours des deux dernières années que de nombreux scientifiques, médecins et journalistes sont heureux de sauter par-dessus ce gouffre de l’”isolement” et de citer les “génomes de coronavirus” déposés dans des bases de données comme preuve que le virus doit exister. Par exemple, Steve Kirsch écrit dans son blog que :

“Je sais que Sabine Hazan a vérifié que la séquence du virus obtenue auprès de l’ATCC correspondait exactement à ce qu’elle a trouvé chez les personnes atteintes du virus.”

Steve Kirsch, 10 janvier 2022

Il cite l’article de Hazan “Detection of SARS-CoV-2 from patient fecal samples by whole genome sequencing” comme preuve de cette affirmation. Kirsch admet qu’il ne sait pas comment les génomes ont été créés, mais ses…

“amis scientifiques semblent satisfaits avec eux. À 2 000 $ la dose, je ne pense pas qu’ils commercialiseraient le produit s’il était contaminé et inutile. Ai-je tort ?”

Steve Kirsch, 10 janvier 2022

Malheureusement, il semble avoir été dupé par la façade high-tech du génie génomique de la virologie, où des “virus” sont créés à partir de diverses séquences génétiques détectées. En fait, il arrive que les séquences ne soient pas vraiment détectées du tout, comme l’expose le Dr Stefan Lanka dans ce qui pourrait être le coup de grâce de la virologieFR.



L’article de Hazan peut servir d’exemple de la méthodologie défectueuse utilisée pour créer ces “génomes de virus”. L’équipe de recherche a obtenu des échantillons de matières fécales de 14 participants et a procédé à l’examen des séquences génétiques qu’elle pouvait détecter dans ces échantillons. Le premier problème se pose dans la section “méthodes”, lorsque l’équipe déclare que “le contrôle positif du SARS-CoV-2 de l’ATCC (SARS-CoV-2 inactivé par la chaleur, VR-1986HK ; souche 2019-nCoV/USA-WA1/2020) a été inclus tout au long du traitement de l’échantillon”. Comment ont-ils su que l’échantillon contenait le virus inactivé ? Parce que l’ATCC (American Type Culture Collection) l’affirme sur son site Web en déclarant que “cette souche a été isolée à l’origine d’un cas humain dans l’État de Washington et a été déposée par les Centers for Disease Control and Prevention”. Et comment les CDC ont-ils su qu’ils avaient le virus ? Parce qu’ils ont affirmé l’avoir trouvé dans cet article.

“Coronavirus 2 du syndrome respiratoire aigu sévère
d’un patient atteint d’une maladie à coronavirus, États-Unis”
Mais où était le virus ?

Dans le document des CDC, il est dit qu’ils ont recueilli “des spécimens cliniques d’un patient ayant contracté le COVID-19 lors d’un voyage en Chine et qui a été identifié à Washington, aux États-Unis”. Ils ont conclu que le patient avait le COVID-19 sur la base d’un résultat de PCR qui a détecté certaines séquences dites provenir du SARS-CoV-2. Mais à ce stade, ils n’avaient aucune preuve de l’existence d’un virus – tout ce qu’ils avaient, c’était quelques séquences génétiques détectées chez un patient atteint d’une infection virale présumée. Après avoir réalisé une expérience de culture tissulaire en tube à essai sur leur échantillon clinique et prétendu qu’il y avait des preuves de la présence d’un virus en raison d’effets cytopathiquesFR non spécifiques, ils ont commencé à construire leur “génome”. Ils déclarent que “nous avons utilisé 50 μL de lysat viral pour l’extraction de l’acide nucléique total pour les tests de confirmation et le séquençage.” Il s’agit d’un autre tour de passe-passe, car il n’a pas été démontré que le “lysat viral” provenait d’un virus, il s’agit simplement d’une soupe de cultures de cellules fragmentées et d’autres additifs.

L’affirmation selon laquelle ils ont “extrait l’acide nucléique des isolats” est tout aussi trompeuse. Ils ont laissé entendre qu’ils ont isolé un virus et qu’ils savent quelles séquences d’ARN proviennent de son contenu. Cependant, cela nécessiterait que les prétendues particules virales soient réellement isolées physiquement par purification, ce qu’ils n’ont pas fait. Et je dis “présumées” parce que même s’ils purifiaient les particules, il faudrait encore démontrer qu’elles répondent à la définition d’un virus – y compris le fait d’être un parasite et l’agent causal de la maladie – ce qui n’a pas été démontré par ces auteurs ni par aucun autreFR.

Dans tous les cas, comment ont-ils su quelles séquences génétiques appartenaient au “virus” en premier lieu ? Ils ont “conçu 37 paires de PCR emboîtées couvrant le génome sur la base de la séquence de référence du coronavirus (numéro d’accession GenBank NC045512)”. Et d’où vient cette “séquence de référence” ? Cela se rapporte à l’article de Fan Wu, et al décrivant l’homme de 41 ans qui a été admis à l’hôpital central de Wuhan le 26 décembre 2019 avec une pneumonie bilatérale et malgré l’absence de nouvelles caractéristiques cliniques, on a dit qu’il était atteint d’une maladie qui a ensuite été appelée “COVID-19”.

Voir : La fraude du Covid-19 et la guerre contre l’humanité

Le spécimen était constitué de lavages pulmonaires bruts, il contenait donc un mélange de cellules humaines et potentiellement toutes sortes d’autres micro-organismes et fragments génétiques. Ils ont simplement affirmé qu’il y avait un virus dans le mélange. À partir de cet échantillon mixte, ils ont généré à l’aveugle des dizaines de millions de séquences différentes, puis ont mis leur logiciel au travail pour voir comment ils pouvaient les assembler. Pour réaliser cet “ajustement”, le logiciel a recherché des “contigs”, c’est-à-dire des zones où différents fragments semblent avoir des séquences qui se chevauchent. Parmi les centaines de milliers de séquences hypothétiques générées de cette manière, ils ont constaté que la plus longue séquence “continue” que l’ordinateur a pu créer faisait environ 30 000 bases et ont conclu que cette création informatique devait être le génome du nouveau virus présumé.

Ils pensaient qu’il s’agissait du génome parce que leur séquence de 30 000 bases générée de manière hypothétique était similaire à 89,1 % à ” un isolat de coronavirus (CoV) de chauve-souris semblable au SRAS, le SL-CoVZC45 “. Le “génome” de l’”isolat” de CoV de chauve-souris a été généré en 2018 après que “19 paires d’amorces PCR dégénérées ont été conçues par alignement multiple des séquences SARS-CoV et SL-CoV de chauve-souris disponibles déposées dans GenBank, ciblant presque toute la longueur du génome.” En d’autres termes, ils connaissaient déjà la séquence à rechercher sur la base des séquences qui avaient été précédemment déposées dans la GenBank. Mais comment les producteurs de ces séquences déjà déposées savaient-ils qu’ils avaient trouvé des génomes viraux ? Bienvenue dans le raisonnement circulaire de la virologie moderne.

Pour expliquer la boucle dans laquelle les virologues semblent être pris au piège, cet article de 2019 publié dans Virology illustre bien le problème :

“Trois méthodes principales basées sur le HTS [séquençage à haut débit] sont actuellement utilisées pour le séquençage du génome entier viral : le séquençage métagénomique, le séquençage par enrichissement de cible et le séquençage par amplicon PCR, chacune présentant des avantages et des inconvénients (Houldcroft et al., 2017). Dans le séquençage métagénomique, l’ADN (et/ou l’ARN) total d’un échantillon comprenant l’hôte mais aussi des bactéries, des virus et des champignons est extrait et séquencé. C’est une approche simple et rentable, et c’est la seule approche qui ne nécessite pas de séquences de référence. Au contraire, les deux autres approches HTS, l’enrichissement des cibles et le séquençage des amplicons, dépendent toutes deux d’informations de référence pour concevoir les appâts ou les amorces.”

Maurier F, et al, “A complete protocol for whole-genome sequencing of virus from clinical samples,” Virology, May 2019.

On touche là à la racine du problème. Les génomes de référence “viraux” sont créés par séquençage métagénomique, mais celui-ci est effectué sur des spécimens bruts (tels que des lavages de poumons ou des cultures de tissus non purifiés) et l’on déclare ensuite que les séquences sélectionnées sont d’origine virale. Il y a donc déjà deux problèmes : premièrement, il n’y a pas eu d’étape (c’est-à-dire de purification) pour montrer que les séquences proviennent de l’intérieur de “virus” et deuxièmement, comme décrit ci-dessus, les “génomes” générés par ordinateur sont simplement des modèles hypothétiques assemblés à partir de petits fragments génétiques, et non quelque chose dont l’existence a été prouvée dans la nature comme une séquence entière de 30 000 bases. Cependant, ces modèles in silico deviennent alors effectivement le “virus” et une entité telle que le SARS-CoV-2 est créée. Une fois que la première séquence de ce type est déposée dans une base de données, le “virus” peut être “trouvé” par d’autres grâce aux mêmes techniques métagénomiques défectueuses. Ou, comme l’indique l’article de Virology, il peut être “trouvé” par enrichissement de la cible et séquençage de l’amplicon (généralement par PCR), mais cela nécessite de disposer d’une séquence de référence… c’est-à-dire d’un modèle inventé in silico par séquençage métagénomique où la provenance des fragments génétiques était inconnue.

Il n’y a aucune partie dans le processus ci-dessus qui établit soit :

1) la composition génétique de toute particule imagée ou imaginée ; ou
2) la nature biologique de ces particules, c’est-à-dire ce qu’elles font réellement.

C’est une belle nanoparticule,
mais de quoi est-elle faite et que fait-elle ?

Pouvons-nous maintenant revenir à l’article de Hazan pour constater qu’il s’agit d’un exercice inutile de virologie absurde. Ils déclarent qu’avec leur “contrôle positif du SARS-CoV-2 provenant de l’ATCC”, les “génomes des patients ont été comparés au génome de référence du SARS-CoV-2 Wuhan-Hu-1 (MN90847.3)”. Le numéro d’accès MN90847.3 fait référence au “génome” actualisé qui aurait été trouvé chez l’homme de 41 ans de Wuhan, comme indiqué ci-dessus dans l’article de Fan Wu et al. La boucle est bouclée : à aucun moment il n’a été démontré qu’il y avait un virus en suivant cette piste de “génomes”. L’équipe de Fan Wu n’a jamais trouvé de virus, elle a simplement affirmé que sa simulation informatique de séquence génétique était une “nouvelle souche de virus à ARN de la famille des Coronaviridae”, sans prouver que la séquence existait dans la nature ou provenait de l’intérieur d’un virus. Par conséquent, il n’y a pas eu de “détection du SARS-CoV-2 à partir d’échantillons de matières fécales de patients” comme le prétend le titre de l’article de Hazan, à moins que “SARS-CoV-2” ne signifie des séquences génétiques d’on-ne-sait-quoi provenant d’on-ne-sait-où. Peu importe où ou à quelle fréquence ces séquences sont détectées – il n’a jamais été prouvé qu’elles étaient de nature virale. Ainsi, lorsque Steve Kirsch affirme que Hazan “a vérifié que la séquence du virus obtenue de l’ATCC correspondait exactement à ce qu’elle a trouvé chez les personnes atteintes du virus”, il se trompe.

De quel “virus” parle-t-il ?

Auteur : Dr. Mark Bailey
Mark est un chercheur dans le domaine de la microbiologie, de l’industrie médicale et de la santé qui a travaillé dans la pratique médicale, y compris les essais cliniques, pendant deux décennies.

Source (en anglais) : https://drsambailey.com/covid-19/warning-signs-youve-been-tricked-by-virologists/




L’invention du SARS-CoV-2

[Source : cv19.fr]

Deus Ex Machina et l’invention du ” SARS-CoV-2 “

Par Dr. Mark Bailey

Un mathématicien allemand travaillant avec le Dr Stefan Lanka vient de publier un rapport intitulé “Analyse structurelle des données de séquençage en virologie — Une approche élémentaire à l’aide de l’exemple du SARS-CoV-2“. Il fournit encore plus de preuves que les virologues sont pris dans un monde de simulations informatiques – des simulations qui ne sont pas fiables même selon leurs propres termes, sans compter qu’elles sont déconnectées de la réalité. Cette analyse est une contribution importante qui expose un autre élément de l’anti-science utilisée pour soutenir cette fausse pandémie. En outre, il s’agit d’un démantèlement technique de la manière dont tous les “virus” sont inventés et ensuite “trouvés”, dans un jeu de tromperie permanent.

Voir : « La fraude du Covid-19 et la guerre contre l’humanité » (présentation vidéoEN)

L’article est très technique et nécessite une certaine compréhension de la manière dont les virologues créent un “génome”, en partant d’un échantillon brut provenant d’un patient prétendument infecté par le virus “COVID-19”. Pour vous faciliter la tâche, j’ai produit un résumé des principales conclusions, présentées ci-dessous :

  • Il a été démontré qu’aucune des séquences génétiques utilisées pour produire les génomes du ” SARS-CoV-2 ” ne provenait de l’intérieur d’un virus. L’origine des fragments génétiques n’est pas claire.
  • La séquence originale de novo du ” SARS-CoV-2 ” construite par ordinateur et publiée par Fan Wu et al n’a pas pu être reproduite par la méthodologie décrite dans leur article, ce qui soulève des questions sur la façon dont ils l’ont produite et ont annoncé le nouveau ” virus ” au monde.
  • Les protocoles PCR sont calibrés sur des séquences d’origine non confirmée que l’on retrouve clairement chez de nombreux humains et apparemment aussi chez d’autres chosesIl n’a pas été démontré que le processus PCR permettait de détecter un “virus”, et encore moins de diagnostiquer une maladie inventée appelée “COVID-19”.
  • Les virologues se trompent eux-mêmes en effectuant des amplifications à 35 ou 45 cycles, car cela peut entraîner la “détection” de séquences qui ne sont même pas présentes dans l’échantillon. En effet, la méthodologie peut aboutir à la “détection” de n’importe quelle séquence qu’ils espèrent trouver.
  • Fan Wu et al auraient pu trouver de meilleures correspondances pour le “VIH” et le “virus de l’hépatite D” que pour “un nouveau coronavirus” chez leur homme de 41 ans de Wuhan, qui a présenté une pneumonie comme l’un des premiers cas déclarés de “COVID-19”. S’ils veulent trouver un “virus”, tout dépend de ce qu’ils demandent à l’ordinateur de chercher.

Bien sûr, cela a beaucoup plus de sens quand on s’attaque à la racine du problème : le ” SARS-CoV-2 ” n’est rien de plus qu’une simulation informatique et il n’y a jamais eu de virus à l’origine – tout cela est une fraude mondialeFR. La virologie semble ignorer qu’elle s’enfonce davantage dans une crise épistémologique, et pas seulement dans le domaine de la génomique, comme le souligne cet article de Mike Stone. Dans l’article de Stone, j’ai remarqué dans la section des commentaires que le Dr Valendar Turner du Perth Group a souligné que feu Sir John Maddox, ancien rédacteur en chef de Nature, avait lancé un avertissement pertinent en 1988. Il semble que ceux qui s’immergent dans le monde des techniques de détection moléculaire indirecte risquent de ne plus voir la forêt derrière les arbres, comme il le déclarait si justement :

“N’y a-t-il pas un danger, en biologie moléculaire, que l’accumulation de données prenne tellement d’avance sur leur assimilation dans un cadre conceptuel que les données finissent par constituer un obstacle ? Le problème vient en partie du fait que l’excitation de la chasse laisse peu de temps à la réflexion. Il y a des subventions pour produire des données, mais pratiquement aucune pour prendre du recul et réfléchir.”

Maddox, J. Nature 335, 11 (1998)

Nous nous efforcerons de continuer à dénoncerFR ces méthodologies antiscientifiques et d’encourager les autres à se demander si l’industrie de la virologie, qui représente des milliards de dollars, et les “traitements” bidon qui y sont associés et qui proviennent du gigantesque complexe pharmaceutique, aident réellement les gens à améliorer leur santé. Pour ceux d’entre nous qui voient qu’il n’y a aucune base solide à tout cela, il n’y a aucune chance que nous suivions les conseils des médecins et des scientifiques qui font la promotion de ces modèles malsains. Et, ce qui est peut-être encore plus important, nous savons qu’il ne faut prendre aucun des produits pharmaceutiques frauduleux et de plus en plus pervers qui sont le produit de cette pseudo-science et qui sont utilisés comme véhicules pour délivrer des composants néfastes et non répertoriés. Une fois de plus, vous pouvez éviter tous ces problèmes en indiquant :

Où est le virus* ?

*Particule minuscule qui est un parasite intracellulaire obligatoire (c’est-à-dire capable de se répliquer et transmissible) contenant un génome entouré d’une enveloppe protéique protectrice, codée par le virus.

Auteur : Dr. Mark Bailey
Mark est un chercheur dans le domaine de la microbiologie, de l’industrie médicale et de la santé qui a travaillé dans la pratique médicale, y compris les essais cliniques, pendant deux décennies.

Source (anglais) : https://drsambailey.com/covid-19/deus-ex-machina-and-the-invention-of-sars-cov-2/




Lettre ouverte à l’Académie de Médecine : « La plaidoirie de la déficience intellectuelle aggravée est la seule à pouvoir vous tirer d’affaire »

[Source : FranceSoir]

Auteur(s): Mehdi Belhaj Kacem, pour FranceSoir

LETTRE OUVERTE — Chères et chers membres de l’Académie Nationale de Médecine,

Votre réputation n’est plus à faire. C’est vous qui avez, il y a déjà plus d’un an, prescrit à la population de remettre son masque entre deux bouchées pendant les repas, ou de ne pas parler dans les transports en commun, derrière les mêmes masques, pour limiter la transmission du virus, et autres conseils frappés au sceau du bon sens et de la rationalité.  Comme le dit un comique génial, récemment censuré sur YouTube, Sébastien Recchia : « Si ces gens sont médecins, moi, je suis spécialiste en fission nucléaire ».

Je ne doute pas une seconde que des expressions comme “conflits d’intérêt” ou “compte en banque offshore” soient totalement absentes de votre vocabulaire, et donc que vous soyez, déontologiquement, au-dessus de tout soupçon.

C’est donc en vertu de votre réputation, de votre compétence et de votre intégrité inattaquables que vous vous êtes fendus, tout récemment, d’un communiqué à l’adresse du personnel enseignant français, en particulier des directrices et directeurs d’école, intitulé sobrement : “Vaccination des enfants de 5-11 ans : ne plus hésiter”. Le menteur compulsif qui nous tient lieu de ministre de la Santé a commencé à prêcher publiquement en ce sens : ça sent, comme on dit, le tir croisé. Pour vous appuyer dans vos louables efforts, vous pouvez d’ores et déjà compter sur le médecin et haut franc-maçon Gilbert Deray (dont le nom évoque étrangement Gilles de Rais…), l’un des plus visibles sur les plateaux télévisés, et aussi l’un des mieux payés par l’industrie pharmaceutique en France ; sa spécialité étant la néphrologie, on peut dire que le fait de quitter gaillardement son domaine de compétence est, dans le monde où nous vivons, un sport très à la mode. Le plus grand penseur politique des cinquante dernières années, Guy Debord, qualifiait ce monde de “société du spectacle”, et disait qu’on y assistait à “la fin carnavalesque de la division du travail”.

“Un financier va chanter, un avocat va se faire indicateur de police, un boulanger va exposer ses préférences littéraires, un acteur va gouverner, un cuisinier va philosopher sur les moments de cuisson comme jalons dans l’histoire universelle. Chacun peut surgir dans le spectacle afin de s’adonner publiquement, ou parfois pour s’être livré secrètement, à une activité complètement autre que la spécialité par laquelle il s’était d’abord fait connaître.”

Au plus haut niveau, par exemple, on intronisera président de l’OMS (Organisation Mondiale du Sadisme) quelqu’un qui n’a jamais fait d’études de médecine, mais est plutôt connu, dans son pays, comme assassin, tortionnaire et dissimulateur d’épidémies de choléra. Le principal bâilleur de fonds de la même Organisation, qui dirige nos vies depuis deux ans, un informaticien médiocre, mais multimilliardaire eugéniste, qui n’a jamais étudié la médecine non plus, sera baptisé “médecin du monde” par la chaîne télévisée qu’il finance tout aussi bien. Enfin, un neurologue mythomane va vacciner de ses propres mains des femmes enceintes. Vous avez donc de qui tenir, vous qui n’êtes que les sous-fifres de ces gens-là.

Vous n’aurez jamais fait état, dans vos communiqués, des effets traumatisants et débilitants que deux années du port du masque auront provoqué sur nos enfants, diminuant considérablement leur taux d’oxygénation, et les mutilant d’une gamme presque infinie de capacités cognitives, ainsi que de leurs capacités de concentration. Pire, vous aurez avalisé les mesures qui ont déterminé cet état de fait, et donc collaboré activement à la martyrisation de toute une génération de têtes blondes. Vous aurez parrainé ce tournant civilisationnel majeur, qui consiste à rendre des enfants responsables de leurs parents et grands-parents (“si tu ne fais pas ce qu’on te dit, tu mets en danger la vie de papi et mami”), lors même que, dans toutes les innombrables cultures anthropologiques connues à ce jour, c’était le contraire qui était censé fonctionner, et les parents et grands-parents être responsables de leurs enfants et petits-enfants. J’avoue appartenir à cette vieille école, comme en témoigne la présente lettre, de façon sans doute déplorable à vos yeux “progressistes”.

Je suis un citoyen français, écrivain et philosophe, et père d’un merveilleux enfant de six ans. J’ai fait de très nombreuses interventions publiques depuis un an pour défendre l’avenir de ce dernier, et c’est donc plus que jamais à ce titre que je m’adresse à vous. Soit dit en passant : par mon métier, j’ai l’amour de la belle langue, et la mère de mon fils est professeure d’italien, à ses heures poétesse. Je trouve que la moindre des choses, quand on rédige des communiqués prenant une responsabilité si grave concernant la vie de nos enfants, c’est tout de même d’écrire un français correct. Or, à vous lire, la chose laisse largement à désirer, comme j’en donnerai quelques exemples croquignolets.

Je commence par la fin de votre communiqué, car là s’y trouve l’essentiel, à savoir vos consignes au corps enseignant pour populariser la “vaccination” de masse de nos lardons. De toute façon, peu importe l’endroit par lequel on prend votre lettre : celle-ci consiste en un frichti psychédélique d’aberrations sémantiques, une insulte à chaque ligne de la rationalité discursive, un copier-coller aléatoire d’inconsistances logiques.

« Afin de prévenir les risques individuels et collectifs liés à l’imprévisible évolution de la pandémie, les Académies recommandent de hâter la vaccination des enfants âgés de 5 à 11 ans contre la Covid-19… » C’est une sorte d’oxymore modal, comme il en abonde tant depuis deux ans de délire “sanitaire” à crâne ouvert : si l’évolution de cette “pandémie” est imprévisible, comment faites-vous pour la “prévenir” ? Toujours la “fin carnavalesque” de la division du travail : nous attendions des médecins, et nous avons en fait affaire à des diseuses de bonne aventure. Il faut “prévenir” une “pandémie” qui, de l’avis de nombreux spécialistes, est en train de s’éteindre partout. Au-delà des spécialistes, c’est l’écrasante majorité des gouvernements qui le pense, des pays de l’Est à l’Angleterre et à l’Espagne, des pays scandinaves à (au-delà de l’Europe) Israël, le pays le plus “vaccinoleptique” du monde : partout, les dictatoriales “mesures sanitaires” ont été levées, passe “sanitaire” ou “vaccinal” compris. Les quelques pays qui font un baroud d’honneur (c’est-à-dire de déshonneur) en ce sens, se comptent en Europe sur le doigt d’une main : France, Italie, Allemagne, Autriche et Belgique.

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Pourquoi donc, attendu ce tableau d’ensemble, se “hâter”, toutes affaires cessantes, de “vacciner” des enfants qui ont un taux de survie de 99,998 % à ce virus ? Voici vos arguments : le variant Omicron atteint bien davantage les enfants que les autres (variants), même si ses symptômes sont ceux d’un simple rhume. Pourquoi donc, depuis que la vaccination existe, n’a-t-on donc pas vacciné les enfants contre le rhume ? Pourquoi la chose devient-elle tout à coup si urgente, et même frénétiquement nécessaire ? Mystère et boule de gomme.

Vous surenchérissez ensuite dans “l’art” de l’antiphrase : « Le bénéfice individuel doit être clairement expliqué aux parents : c’est un bénéfice direct incontestable par l’induction d’une immunité qui sera plus forte que celle induite par l’infection seule, ou qui la renforcera, et protègera les enfants en réduisant le risque de formes graves lié à de nouveaux variants, à court et moyen termes. » Si la “vaccination” induit une immunité plus forte que celle garantie par l’infection seule, comment pouvez-vous savoir que celle-ci ressortira renforcée par l’injection ? Cette phrase est, encore une fois, une insulte à la logique modale la plus élémentaire. Puis, vous reprenez du service divinatoire : il y aura, c’est certain, de nouveaux variants, et la “vaccination”, qui n’a pas protégé les adultes et adolescents des variants surgis après les injections, y parviendra pourtant avec nos enfants, par on ne sait quel miracle performatif. Bien plus : les meilleurs spécialistes du monde ont établi que lesdits nouveaux variants provenaient directement de la frénésie “vaccinale”. L’antiphrase est donc encore plus spectaculaire que sa simple forme signifiante immédiatement intelligible : vous conseillez, pour combattre les éventuels futurs variants, d’exercer la pratique même qui les provoque.

Vous devriez donc, à mon humble avis, retirer cette lettre de votre site, et vous adresser plutôt au personnel enseignant au titre suivant : vous réapprendre à vous exprimer dans un français correct, au sens de Boileau : “ce que l’on conçoit bien s’énonce clairement”. À l’inverse, et comme vous le démontrez à chaque ligne, quand on a vocation à justifier l’injustifiable, à argumenter l’intenable, ou à être un vulgaire camelot, on s’enlise dans un marécage sémantique putride, où se noient toutes les règles élémentaires de ce qu’un illustre collègue, Ludwig Wittgenstein, appelait la “grammaire logique”.  

Vous n’en continuez pas moins sur cette prometteuse lancée, en nous disant “vouloir atteindre le plus rapidement possible une bonne couverture vaccinale”. Il est merveilleux de constater qu’un mot relevant plus du business model que de la santé, « couverture vaccinale », a remplacé le bon vieux mot qui désignait le bénéfice qui était attendu, naguère encore, d’un vaccin, à savoir l’immunité. Car ces vaccins n’empêchent ni la transmission ni l’infection (comme il est de notoriété officielle, et comme chacun a pu les constater dans son entourage), et le Covid-19 ne menace pas les enfants. Pourquoi voudrait-on les « couvrir », si ce n’est pour écouler des marchandises achetées en excès démentiel avec nos impôts, et qu’on ne pourra bientôt plus administrer à des adultes, excédés par la multiplication de « doses de rappel » d’un produit qui n’a si manifestement servi jusqu’ici à rien ? Ce sont les pays les plus vaccinés, comme Israël, Gibraltar ou… la France, qui ont enregistré les plus hauts taux de contamination, les plus grands nombres d’hospitalisations, ainsi que les pics de mortalité les plus verticaux. “On ne change pas une équipe qui perd” : telle semble être la devise, depuis deux ans, de nos plus hautes autorités “sanitaires”.

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Mais si, mais si, nous avancerez-vous en désespoir de cause, le vaccin a une utilité : celle de protéger les personnes à risque, lit-on à tout instant dans la presse oligarchique et subventionnée dont vous vous faites les vertueux relais, à moins que ce ne soit l’inverse. “Protéger les plus fragiles”, nous serine-t-on à longueur de temps pour promouvoir la panacée “vaccinale” universelle, et désormais à nos chères têtes blondes. Demain, leur demandera-t-on de marcher avec une canne parce que leur grand-père boite ? De porter des lunettes parce que leur tonton est bigleux ? « Tu dois protéger papi et mami, tous deux triples vaccinés, donc censément protégés, en te vaccinant contre une maladie qui ne te concerne pas, et qui n’empêche personne d’être contaminé ou infecté. » Autant leur dire de marcher sur la tête ; ou, de manière plus “crédible”, à quatre pattes, au prétexte que le virus circule à un mètre de hauteur du sol à peu près.

Vous envisagez ensuite plusieurs moyens « d’augmenter l’offre de vaccination (…) pour les enfants » (toujours le registre lexical du business) :

1° « en diversifiant les personnes autorisées à vacciner les enfants ». Là, je dois admettre que vous faites preuve d’une certaine générosité. Ce ne seront plus seulement les soignants, médecins ou infirmières, qui profiteront de la manne vaccinale en étant surpayés à vacciner à tour de bras : une infirmière peut se “faire” près de 12 000 euros de plus-value par mois grâce à cette activité, et un médecin s’est publiquement vanté de s’être “fait” plus de 165 000 euros grâce à la “vaccination” depuis plus d’un an. Mais il est hors de doute que toute cette mobilisation vise à une protection désintéressée de la santé publique. Il semblerait pourtant que cette “mobilisation totale”, comme le disait l’écrivain Ernest Jünger, ne suffise pas. À suivre votre “logique” jusqu’au bout, on pourrait convoquer à la rescousse les vétérinaires, les mécaniciens, les bouchers, les coiffeurs. À ce compte, le plus simple est encore, bien sûr, de demander au personnel enseignant lui-même d’apprendre à jouer de la seringue, sans prendre les balourds détours phraséologiques de votre lettre.

Dans la foulée, pourquoi ne pas aussi rééduquer vos collègues de l’Ordre des médecins, en leur administrant la piqûre de rappel sémantique suivante, totalement oubliée par eux depuis deux ans : que le but premier d’un médecin, c’est tout de même de soigner, non de sommer les malades de rester chez eux en prenant du Doliprane, ou de faire la promotion de potions chimiques expérimentales.

2° « en allégeant les obstacles administratifs qui limitent l’accès des enfants à la vaccination ». Ach ! La lourdeur administrative ! Quelle entrave à l’efficacité ! Car oui, sans toutes ces lois, ces codes civils, ces codes de Nuremberg ou d’Helsinki, ces conventions d’Oviedo, ces déclarations des droits de l’homme, tout serait tellement plus simple. On organiserait une sortie scolaire au vaccinodrome de Skyrock, et hop ! La fête à la piquouze pour tous les enfants, avec confiseries et joujous gratuits à la clé. Il est même permis d’interpréter cette phrase faussement anodine en un sens politiquement plus radical : ces enfants, pour lesquels la notion de « consentement libre et éclairé » n’a pas de sens, doivent aussi bien être soustraits au consentement de leurs parents. L’État sait mieux que ces abusifs géniteurs ce qui est bon pour leurs rejetons. Les Académies, comme la vôtre, qui pourvoient les conseils appuyant ces États bienveillants, et qui ont donné tant de preuves de leur rationalisme, de leur intégrité et de leur efficacité depuis deux ans, ne font qu’appuyer ce changement de paradigme civilisationnel, à côté de quoi les plus délirantes mesures prises par les pires régimes totalitaires du vingtième siècle sont de la petite bière. Nos remuants moutards doivent être matés sans ménagement, en étant de plus en plus soustraits à l’autorité de leurs parents, et livrés pieds et poings liés à la gestion des États, des Académies et des Multinationales bienfaisants.

3° « en favorisant les prises de rendez-vous de vaccination pour les enfants scolarisés ». Cela veut dire, par exemple, en les convoquant chez la directrice, où les attendrait l’institutrice ou la dame de la cantine une seringue à la main ? Vous parlez plus loin d’”équipes mobiles” : pourquoi ne pas dès lors inventer un nouveau jeu, sur le mode de la chasse à courre, où ce seraient les professeurs de sport qui cavaleraient derrière les enfants rétifs à l’injection-miracle ? Pourquoi ne pas organiser des rodéos vaccinaux, où l’on attraperait nos gosses récalcitrants au lasso ? Comme on disait en mai 68 : “l’imagination au pouvoir”, que diable !

4° « en organisant des séances de vaccination à l’école par des équipes mobiles, en concertation avec la médecine scolaire ». Si la médecine scolaire est de la partie, alors, c’est rassurant, et nous pouvons enfin respirer un bon coup (votre lettre a tout de même quelque chose de suffocant). Car la médecine scolaire est censée être correctement informée du caractère encore expérimental de ces thérapies géniques, qui n’ont reçu qu’une autorisation provisoire de mise sur le marché, suite à des essais cliniques dont il a été démontré (le “Pfizergate”) qu’ils ont été truqués.

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Vous évitez, dans cette lettre d’anthologie, de faire état des plus de 40 000 morts officiellement enregistrés à ce jour dans la seule Europe suite aux injections de masse, comme des plus de 3 000 000 d’effets indésirables, dont la moitié très grave ; mais vous mettez cependant en avant, toujours munis de votre cartomancie, la “rareté des effets indésirables post-vaccinaux” sur nos enfants.

5° « en “allant vers” les enfants porteurs de comorbidités et non vaccinés pour convaincre les parents de la nécessité de les vacciner face au risque de formes graves ». Là encore, votre maniement du français m’est tout à fait opaque. Pourquoi mettre “allant vers” entre guillemets, et en italiques ? Peut-être faites-vous là usage de quelque langage initiatique. Serait-ce trop vous demander que de m’en livrer quelques clés ? Car sinon, prise dans sa littéralité, la phrase est encore une fois une pure aberration sémantique : c’est en se jetant sur les enfants très fragiles que les enseignants vont convaincre les parents ? Avec vous, il y a décidément besoin d’explication de texte, voire d’exégètes spécialisés… On ne peut en tout cas pas vous reprocher votre manque d’inventivité. Depuis deux ans, la psychose covidiste a installé toute une Novlangue qui foule aux pieds tout ce qui nous tenait lieu jusque-là de rationalité clinique : “porteur asymptomatique”, “comorbidités”, “cas contact”… c’est à chaque ligne que vous enrichissez ce qui constituera un jour le Dictionnaire des idées covidistes, qui aura son Flaubert, ou son Léon Bloy.

6° « en utilisant tous les moyens d’information et de communication dévolus à l’éducation pour la santé afin de convaincre et rassurer les parents hésitants ». Ici, je sais bien que vous demander d’économiser l’usage des périphrases relèverait du vœu pieux, comme de vous conseiller d’aller plus droitement au but : “mettez en place tous les moyens de propagande dont vous disposez, pour convaincre les parents sceptiques d’utiliser sur leurs enfants un produit qui s’est déjà avéré inefficace, et souvent dangereux, sur eux-mêmes”. Ici, vous êtes en parfaite affinité avec la stratégie communicationnelle de notre président, qui a pourvu les médias grand public de trois milliards d’euros depuis son investiture ; argent qu’il eût été malvenu d’utiliser pour construire des hôpitaux, ou pourvoir de nouveaux lits ceux qui existent déjà. Le même a payé presque aussi grassement, pour la gestion de la prétendue “crise”, un cabinet d’affaires connu pour sa responsabilité dans la mort de plus de 500 000 américains.

7° « Les bénéfices collectifs de la vaccination des enfants doivent aussi être rappelés dans plusieurs domaines (scolaire, familial, état psychique, social, …), ainsi que le renforcement de l’immunité collective, nécessaire pour réduire la propagation des virus et limiter la possible émergence de nouveaux variants. » Cette phrase synthétise à merveille tout votre sérieux. Car, comme l’écrasante majorité d’entre vous se tient dans un confortable anonymat, il est impossible de vous demander publiquement quels sont vos domaines exacts de compétence. Cette phrase vous trahit, et nous les fait deviner en un éclair : vous êtes en vérité toutes et tous dentistes, au sens moyenâgeux du terme, tel notre ministre de la Santé, qui a quitté depuis deux ans sa spécialité neurologiste pour l’extraction de gencives signifiantes.

Car nous les avons vus, en deux ans, les “bénéfices” incommensurables du type d’instructions que vous nous avez délivrées sans compter : sur le plan “scolaire”, un sabotage presque total de l’éducation de nos enfants ; sur le plan “familial”, une sorte d’instauration de la guerre civile domestique (par exemple, “booster” les taux de divorce en statufiant sur le fait que l’autorisation d’un seul des parents est suffisante pour faire de l’enfant un cobaye) ; sur le pan de “l’état psychique”, une exponentiation vertigineuse des troubles psychiatriques, dépressifs et suicidaires chez nos adolescents et chez nos enfants ; sur le plan social, une aimable atmosphère de délation, de persécution et de pulsions génocidaires à l’encontre des non-vaccinés, qui rappellent les heures les plus glorieuses de notre longue histoire.

8° Je finis par mentionner ce qui constitue peut-être la perle de votre prosopopée informe, et qui prend une forme tout anodine, entre parenthèses : “La rareté des effets indésirables post-vaccinaux doit être mise en balance avec l’existence de formes sévères (PIMS, myocardite, Covid long) dont la fréquence risque d’augmenter avec la recrudescence des cas symptomatiques actuellement observés chez l’enfant.” Passe encore que vous vouliez faire accroire que c’est le virus lui-même qui provoque chez des enfants en bonne santé des PIMS et des Covids longs. Mais la myocardite ? Toute personne correctement informée sait que c’est avec la “vaccination” de masse qu’a commencé la flambée de myocardites (et de péricardites) chez d’innombrables jeunes gens et adolescents en parfaite santé. Et donc vous couronnez votre lamentable laïus par un mensonge patenté où, comme très souvent depuis deux ans, on inverse la relation de cause à effet (le sociologue Baudrillard parlait de façon prémonitoire de “précession des effets sur les causes”).

Je serais donc vous, je prévoirais de plaider, à l’avenir, la débilité mentale précoce, plutôt que de vous voir acculés à avouer le mensonge délibéré ; car il est impossible d’ignorer cet effet secondaire massif auprès de nos jeunes gens et adolescents. Promouvoir cette injection en pleine connaissance de connaissance sera donc, quand viendra l’heure des comptes, considéré comme sciemment criminel. La plaidoirie de la déficience intellectuelle aggravée, à laquelle votre prose invertébrée fournit de très solides arguments, est la seule à pouvoir vous tirer d’affaire. Prenez donc les devants, dès maintenant, et présentez sans plus attendre, dans votre future lettre publique, vos excuses à la population, pour deux années de mensonges patentés, et à jets continus.

Je finis cette lettre sur un appel d’offres public : j’aimerais savoir qui se cache, depuis deux ans, derrière tous ces entérinements “scientifiques” des mesures gouvernementales. Comme je l’ai dit plus haut, l’écrasante majorité d’entre vous se terre dans le plus confortable anonymat. Même les médecins de plateaux télévisés sont, à ce titre, plus loyaux que vous. Or, le jour où une démocratie digne de ce nom aura recommencé à exister en France, vous aurez, comme tous les complices de la mascarade quasi-littérale que nous subissons depuis deux ans, à répondre de vos prises de position en matière de santé publique : et ce, non seulement sur le plan de la médecine physique et mentale, mais aussi sur le plan politique, économique, social.

Voilà, je vous laisse sur ces menues considérations. Veuillez en tout cas ne surtout pas recevoir, en aucune façon, l’expression de mes salutations distinguées, ni celle de ma sympathie, pas plus que de mes cordialités.

Auteur(s): Mehdi Belhaj Kacem, pour FranceSoir




Mgr Viganò soutient les camionneurs canadiens : « Il faut prendre position, se battre pour la liberté ! »

[Source : lemediaen442.fr]

L’archevêque Carlo Maria Viganò a fait l’éloge des camionneurs canadiens qui protestent contre l’obligation vaccinal et les a exhortés à prier pour que la cause de la liberté triomphe de la tyrannie.

« Votre protestation, chers amis camionneurs canadiens, rejoint un chœur mondial qui veut s’opposer à l’établissement du Nouvel Ordre Mondial sur les décombres des États-nations. »


Chers frères et sœurs camionneurs canadiens,

Le coup d’État mondial qui, au cours de ces deux années de farce psycho-pandémique, a été mené par l’élite mondialiste apparaît plus clairement si nous ne nous limitons pas à considérer ce qui s’est passé dans des nations individuelles, mais élargissons notre regard à ce qui s’est passé partout.

Votre protestation, chers amis camionneurs canadiens, rejoint un chœur mondial qui veut s’opposer à l’établissement du Nouvel Ordre mondial sur les décombres des États-nations, à travers la Grande Réinitialisation voulue par le Forum économique mondial et par les Nations-Unies sous le nom d’Agenda 2030 . Et nous savons que de nombreux chefs de gouvernement ont participé à l’ École des jeunes leaders de Klaus Schwab — les soi-disant Global Leaders for Tomorrow — à commencer par Justin Trudeau et Emmanuel Macron, Jacinta Ardern et Boris Johnson, et avant cela Angela Merkel, Nicolas Sarkozy et Tony Blair. 

Il semblerait que le Canada soit – avec l’Australie, l’Italie, l’Autriche et la France – l’une des nations les plus infiltrées par les mondialistes. Et dans ce projet infernal, il ne faut pas seulement considérer la farce psycho-pandémique, mais aussi l’atteinte aux traditions et à l’identité chrétienne – en fait, plus précisément à l’identité catholique – de ces pays. 

Vous l’avez compris instinctivement, et votre aspiration à la liberté s’est manifestée dans toute son harmonie coordonnée, se dirigeant vers la capitale Ottawa. Chers camionneurs, vous rencontrez de grandes difficultés, non seulement parce que vous renoncez à votre travail pour manifester, mais aussi à cause des conditions météorologiques défavorables, des longues nuits dans le froid et des tentatives d’évacuation auxquelles vous faites face. Mais parallèlement à ces difficultés, vous avez également connu la proximité de nombre de vos concitoyens, qui comme vous ont compris la menace qui se profile et veulent vous soutenir dans la contestation contre le régime. Permettez-moi également de vous exprimer mon soutien et ma proximité spirituelle, à laquelle je joins la prière pour que votre manifestation soit couronnée de succès et puisse également s’étendre à d’autres pays. 

De nos jours, nous voyons tomber les masques des tyrans du monde entier, et malheureusement nous voyons aussi tant de conformisme, tant de peur, tant de lâcheté chez des personnes que nous considérions jusqu’à hier comme des amis, même parmi les membres de notre famille. Pourtant, précisément à cause de cette situation extrême, nous découvrons avec étonnement des gestes d’humanité faits par des étrangers, des signes de solidarité et de fraternité de la part de ceux qui se sentent proches de nous dans le combat commun. Nous découvrons tant de générosité et tant d’envie pour nous secouer de cette torpeur. Nous découvrons que nous ne sommes plus disposés à subir passivement la destruction de notre monde imposée par une cabale de criminels sans scrupules, assoiffés de pouvoir et d’argent. 

Dans cette attaque incessante contre le monde traditionnel, non seulement votre mode de vie et votre identité ont été touchés, mais aussi vos biens, vos activités et votre travail. C’est le Great Reset, c’est l’avenir promis par des slogans comme Build Back Better, c’est l’avenir de milliards de personnes contrôlées dans chacun de leurs mouvements, dans toutes leurs transactions, dans chaque achat, chaque pratique bureaucratique, chaque activité. Des automates sans âme ni volonté, privés de leur identité, réduits à disposer d’un revenu universel qui leur permet de survivre, de n’acheter que ce que d’autres ont déjà décidé de mettre en vente, transformés par un sérum génétique en malades chroniques. 

Aujourd’hui plus que jamais, il est essentiel que vous preniez conscience qu’il n’est plus possible d’assister passivement : il faut prendre position, se battre pour la liberté, exiger le respect des libertés naturelles. Mais plus encore, chers frères canadiens, il faut comprendre que cette dystopie sert à établir la dictature du Nouvel Ordre mondial et à effacer totalement toute trace de Notre Seigneur Jésus-Christ de la société, de l’histoire et des traditions des peuples. 

Manifestez pour vos droits, amis canadiens : mais que ces droits ne se limitent pas à une simple revendication de la liberté d’entrer dans les supermarchés ou de ne pas se faire vacciner : que ce soit aussi une revendication fière et courageuse de votre sacro-saint droit d’être des hommes libres. Mais votre démonstration doit être celle de la vraie liberté, vous rappelant que c’est la Vérité – c’est-à-dire Notre-Seigneur Jésus-Christ – qui seule peut vous garantir la liberté : la vérité vous rendra libre .

Prions pour que le Christ revienne régner dans la société, dans vos cœurs et dans vos familles. Prenez l’arme spirituelle du Saint Rosaire et priez la Sainte-Vierge, sainte Anne, saint George et les saints Martyrs canadiens pour protéger votre patrie.

Je voudrais conclure mon appel en vous demandant de prier avec moi, avec les paroles que Notre-Seigneur nous a enseignées : qu’elles soient le sceau de ce réveil, de cette libération nationale. Prions-le tous ensemble, à voix haute, pour que notre prière monte jusqu’au Ciel, mais aussi pour qu’elle résonne puissamment sur ces places, dans ces rues, jusqu’aux palais des puissants :

Notre Père, qui es aux cieux, que ton nom soit sanctifié ; que ton règne vienne ; que ta volonté soit faite sur la Terre comme au Ciel. Donne-nous aujourd’hui notre pain quotidien. Et pardonne-nous nos offenses, comme nous pardonnons à ceux qui nous ont offensés. Et ne nous soumets pas à la tentation; mais délivre-nous du mal. Amen.

Carlo Maria Viganò, archevêque

7 février 2022.

[Voir aussi :
L’archevêque Viganò lance une mise en garde contre le programme du nouvel ordre mondial « clairement anti-humain »
L’archevêque Carlo Maria Vigano appelle à une alliance anti-mondialiste internationale
DELIVREZ-NOUS DU MAL – Considérations sur le Great Reset et sur le Nouvel Ordre Mondial, par Mgr Viganò
L’archevêque Carlo Maria Viganò envoie une lettre ouverte au Président des Etats-Unis Donald Trump concernant le « Great reset »
Conférence de l’archevêque Carlo Maria Viganò : « Comment la Révolution de Vatican II sert le Nouvel Ordre Mondial »
Pour Mgr. Viganò, ce sont les mêmes acteurs derrière le confinement et les manifestations actuelles
Mgr Vigano écrit à Trump : la lutte contre l’État profond est de nature biblique et les émeutes au nom de George Floyd sont provoquées par les enfants des Ténèbres
La vérité contre la peur
Deep State et Deep Church: le programme commu]




Le combat pour les libertés paye ! Au 11 février 2022 quatre provinces canadiennes vont être libérées grâce aux convois de la liberté

Par Gérard Delépine

Il y a trois semaines, dans un silence assourdissant des médias, les camions de la liberté ont commencé leur croisade contre les mesures prétendument sanitaires qu’imposaient les dirigeants canadiens et en particulier le passe vaccinal.

Trudeau et sa clique ont d’abord méprisé les camionneurs, puis les ont accusés d’être des complotistes, des suprémacistes blancs (l’une des figures du mouvement est une Indienne !), puis d’être manipulés par Moscou.

Il a affirmé qu’ils n’étaient qu’une poignée.

Mais sur les routes, les camionneurs ont partout été salués par la population.

Des manifestants applaudissent depuis un pont au-dessus d’une autoroute proche de Toronto le convoi de camions qui convergeait vers Ottawa, jeudi 27 janvier 2022 | COLE BURSTON/AFP

et les policiers ont refusé de les arrêter.

Fin janvier, ils ont occupé Ottawa dans le calme comme ils l’avaient promis et Trudeau s’est caché dans sa propriété sous protection policière pendant près d’une semaine, car il aurait été infecté par le Covid malgré ses trois doses.

À Ottawa, malgré l’état d’urgence décrété par le maire, l’occupation du centre-ville autour du parlement s’est poursuivie dans le calme.

« La situation actuelle est complètement hors de contrôle, car ce sont les protestataires qui font la loi », a déploré dimanche 6 février 2022, le maire Jim Watson sur une radio locale, constatant que les manifestants « sont beaucoup plus nombreux que nos policiers ».

L’état d’urgence est décrété.

Pour mettre fin à l’occupation de la ville, le maire prévient :

« Toute personne qui tenterait d’apporter un soutien matériel (carburant, etc.) aux manifestants risque d’être arrêtée. Cette mesure est désormais en vigueur. »

Dimanche 6 février, la police d’Ottawa a indiqué avoir procédé à 7 interpellations et 100 contraventions…(([1] https://twitter.com/OttawaPolice/status/1490657893657546753)) Peter Sloly, chef de la police d’Ottawa reconnaissant qu’il n’avait « pas suffisamment de ressources pour arrêter les manifestants ».

Le Centre de justice pour les libertés constitutionnelles (JCCF), un groupe juridique représentant le Freedom Convoy à Ottawa, a déclaré que :

« la police enfreindrait la loi si la police tentait d’intimider ou d’arrêter des personnes qui apportent de la nourriture ou d’autres fournitures à des camionneurs qui exercent pacifiquement leurs charte, droits et libertés à Ottawa ».

« Les personnes qui apportent de la nourriture, de l’eau, de l’essence ou d’autres fournitures aux camionneurs qui manifestent pacifiquement n’enfreignent aucune loi. Il n’y a aucun fondement à cette menace policière », a déclaré l’avocat du JCCF, Nicholas Wansbutter dans un communiqué.

Certaines provinces canadiennes ont annoncé qu’elles annulaient leurs mandats de vaccination alors que les camionneurs canadiens protestataires continuent de bloquer les principales artères à la frontière canado-américaine et obstruent la capitale canadienne malgré la répression de la police d’Ottawa.

Premières victoires

Le Premier ministre de l’Alberta, Jason Kenney, a annoncé lors d’un point de presse le 8 février que le programme de passeport vaccinal de la province prendrait fin à minuit et que la plupart des règles sanitaires de la province seraient terminées dans les trois semaines. Kenney a annoncé que les règles de masque obligatoires seront annulées pour les enfants de moins de 12 ans dans tous les contextes et pour tous les enfants dans les écoles.

Le 8 février 2022, le Premier ministre de la Saskatchewan, Scott Moe, a également déclaré que son gouvernement commencerait à lever ses ordonnances de santé publique en cas de pandémie selon une approche progressive, à compter de lundi 14 février avec la suppression de son programme de passeport vaccinal.

Le Québec, qui avait précédemment annoncé son intention d’imposer des amendes punitives aux non-vaccinés, a déclaré le 8 février que la plupart des restrictions seraient levées d’ici le 14 mars. Le Premier ministre du Québec, François Legault, a signalé la levée des mesures Covid dans sa juridiction d’ici la mi-mars.

« Nous devrons apprendre à vivre avec le virus. Il y aura peut-être une sixième vague éventuellement, mais nous devrons vivre avec Covid »

La province des îles du Prince Edward a également annoncé qu’elle allait supprimer les restrictions prétendument sanitaires.

Tamara Lich, l’une des leaders du mouvement, répondant à Trudeau qui refuse pour l’instant d’abolir les mesures sanitaires a déclaré :

« Notre départ se fera quand le Premier ministre fera la bonne chose et mettra fin à toutes les obligations et restrictions ».

Ces premières victoires montrent que les protestations populaires massives peuvent faire reculer les tyrans.

Effectivement les choses bougent puisqu’au Parlement fédéral, les conservateurs menés par Candice Bergen ont présenté une motion demandant au gouvernement de Trudeau de présenter un plan pour mettre fin aux obligations vaccinales et aux restrictions sanitaires d’ici la fin du mois.

Cette motion pourrait être adoptée grâce à l’appui du Bloc québécois Mario Simard qui s’est dit favorable.

CONVOI DE LA LIBERTÉ français. Le convoi de la liberté est en route

Les premiers véhicules doivent arriver à Paris ce vendredi 11 février 2022.



[Voir aussi :
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LE Grand Réveil de l’Amérique ! Mise à jour 3
La majorité des Canadiens souhaitent maintenant la fin de toutes les restrictions sanitaires
Le Canada tout entier s’est joint au convoi, sauf Trudeau qui accuse Freedom Convoy 2022 de propager la haine, le racisme et la violence
Désinformation contre le convoi de la liberté, de la part d’un organe de propagande mainstream
Les médias mainstream canadiens continuent bien sûr de mentir. Mise à jour 5
Les routiers canadiens roulent vers la capitale Ottawa contre le pass vaccinal]




Le major de l’Armée canadienne Stephen Chledowski rompt les rangs et répand la VÉRITÉ !! Mise à jour

[Source : TableRonde]

[Ndlr : la traduction n’est pas très bonne, mais le lecteur francophone parviendra malgré tout à saisir le sens général.]

[Mise à jour : voir plus bas la transcription de la vidéo par Guy Boulianne]


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[Source : Guy Boulianne]

Bonne journée, les amis. Je m’appelle le Major Stephen Chledowski. J’ai servi le Canada dans les Forces armées canadiennes pendant plus de 20 ans. Je suis titulaire d’un baccalauréat spécialisé en sciences politiques. Et j’ai occupé plusieurs postes de commandement dans l’armée. J’ai un message urgent pour tous les Canadiens.

Depuis près de deux ans, nos propres représentants élus du gouvernement utilisent les tactiques d’intimidation de la peur, de l’intimidation, de la coercition et la violence financière et physique contre nous pour obtenir le respect de certaines procédures médicales répétées. Nous disons à nos enfants que l’intimidation est mal. Nous savons ce qu’il faut faire, si nous permettons à nos dirigeants de nous faire cela. Ils ont sciemment et à maintes reprises violé les plus hautes lois du pays dans la Charte canadienne des droits et libertés, ainsi que d’autres accords internationaux signés sur les droits de la personne. Les Canadiens ont été amenés à croire que c’est le même gouvernement qui supprime vos libertés au nom de la sécurité. Eh bien, un jour, récompensez-vous simplement avec vos libertés si vous vous conformez simplement aux règles et aux ordonnances sanitaires en constante évolution.

C’est la définition même de la tyrannie. Pas la démocratie. Les humains sont par nature libres. Les rois et les reines et les copains du gouvernement ne peuvent pas vous donner vos droits humains fondamentaux. Ils sont naturellement les vôtres. Ils ne peuvent pas être donnés. Ils ne peuvent pas être pris. Ils ne pouvaient qu’être supprimés. Dans la Charte des droits et libertés, la reine Elizabeth reconnaît dans la loi nos libertés fondamentales. Les gouvernements fédéral et provinciaux du Canada ont choisi, grâce à un ensemble de mesures bien planifiées et orchestrées, de vous tromper, de vous duper et de vous effrayer. Les personnes mêmes qui les ont élus et paient leurs salaires pour se conformer à la suppression de nos droits humains fondamentaux. Ils nous ont sciemment trahis, vous et moi, sous prétexte de sécurité.

Le jour du Souvenir passé, alors que je me tenais devant le cénotaphe militaire de Fredericton pour honorer mes camarades qui ont donné leur vie pour la liberté des autres. J’ai entendu le premier ministre du Nouveau-Brunswick, le premier ministre Higgs, et notre députée Jenica Atwin dire au public à quel point il était spécial que ces braves militaires aient donné leur vie pour leur liberté. Cette même liberté que ces mêmes menteurs et trompeurs travaillent activement en ce moment à supprimer. J’étais là. Un soldat de près de 21 ans en tant qu’officier supérieur dans l’Armée canadienne, en tant que vétéran de l’Afghanistan, participant à l’Opération Médusa, la plus grande opération de combat pour le Canada depuis la guerre de Corée, où j’ai vu mes propres camarades courageux se battre, se blesser et mourir. Mais je suis également resté là en tant que personne qui n’a pas pris l’injection de COVID-19.

L’ironie.

Donc, même si j’ai servi ce pays et que cela a été un honneur de le faire et un honneur absolu. Comme plusieurs milliers de Canadiens qui choisissent l’autonomie corporelle et le choix professionnel, je ne peux plus partager les mêmes privilèges maintenant, comme manger au restaurant, sortir en public pour un événement ou même voyager à travers les provinces pour voir mon enfant. Cela arrive à beaucoup d’autres.

Ces traîtres du gouvernement à la liberté suppriment les droits des personnes mêmes qu’ils prétendent honorer, et cela m’a fait mal au ventre. Ces gouvernements canadiens se concentrent maintenant sur nos enfants avec une thérapie génétique médicale qui est maintenant prouvée par des revues médicales répétées, des études non pas pour prévenir l’infection au COVID ni pour empêcher sa transmission à d’autres. Pour nos enfants, la maladie grave et la mort sont inexistantes à cause du COVID-19, à moins que votre enfant ne soit dès le début chroniquement en mauvaise santé. Pourtant, la toxine contenue dans cette injection aura de graves effets néfastes et permanents sur l’immunité de votre enfant. Ce fait de dommages naturels aux lymphocytes T et à l’ADN a également été révélé récemment par des études de scientifiques médicaux. J’appelle la communauté médicale à mettre un terme immédiat aux injections de ces enfants jusqu’à ce que le public canadien puisse recevoir les données exactes et véridiques de ces blessures par injection de COVID qui se sont déjà produites.

Le public canadien a le droit de pouvoir faire des choix médicaux éclairés, surtout pour leurs petits enfants, de leur dire à maintes reprises de manière sûre et efficace et de ne pas leur donner ce choix est un crime, et c’est aussi un génocide. Les médias et le gouvernement doivent mettre un terme immédiat à toute censure médicale scientifique et au silence des professionnels de la santé qui ne se conforment pas à votre programme, ainsi qu’entendre les victimes de blessures par injection de COVID. Le public canadien a le droit d’entendre les membres de nos communautés et les familles qui ont été blessés par cette procédure.

J’en appelle à mes camarades militaires et policiers. Vous tous. Nous tous qui avons prêté le serment personnel de protéger notre famille, nos amis et nos communautés, de vous lever maintenant et de protéger vos proches contre cette tyrannie médicale imposée par le gouvernement. Vous avez choisi de servir parce que vous vouliez redonner à votre communauté, et au lieu de cela, le gouvernement a retourné votre amour pour la communauté et votre loyauté contre vous. Et vous êtes maintenant une arme contre ceux-là mêmes que vous aimez.

Frères et sœurs, vous ne pouvez pas exécuter éternellement et à jamais les mesures gouvernementales aveugles qui utilisent la peur et la violence, et aussi être pour vos proches et pour la liberté. Vous devez choisir. Je vous demande de choisir votre famille et votre communauté. C’est pourquoi vous servez, et c’est le moment pour vous d’être un héros pour vos proches. Ils méritent la vérité. Ils méritent d’être protégés. J’appelle également tous les Canadiens à s’unir en solidarité. Liberté et amour pour notre communauté. La liberté de choisir qui vous voulez être, où vous voulez vivre, ce que vous voulez vivre et apprendre, quelle est votre spiritualité et ce que vous voulez pratiquer, qui vous voulez aimer. Ce que vous voulez mettre dans votre propre corps est le fondement de notre démocratie au Canada. Nous ne pouvons pas laisser la liberté mourir avec cette génération.

Que Dieu bénisse à jamais les citoyens libres du Canada.



Covid-19 — Ne croyez pas les prophètes de malheur. Examinez les faits

Par Gérard Delépine

[Illustration : « Priestess of Delphi » de John Collier, 1891]

Vouloir connaître l’avenir, un rêve dangereux

L’homme a besoin de sécurité. Pour s’exonérer des inquiétudes liées aux vicissitudes de la vie. Il aime se rassurer avec des prédictions. Mais croire en celles-ci peut entraîner des conséquences funestes.

Crésus, voulant savoir si la guerre contre l’Empire perse lui serait favorable, alla consulter l’oracle de Delphes. La Pythie lui prédit « si tu fais la guerre, un grand empire s’effondrera ». Il fit la guerre et son empire s’effondra.

Avant de déclarer la guerre contre le Covid-19, Macron consulta l’oracle de l’Imperial College de Londres qui prédit :

« si tu ne fais rien, tu pourrais déplorer 500 000 morts en France ».

Macron le crut, mit la population française en résidence surveillée et fit de la France l’un des pays d’Europe occidentale où la mortalité du Covid19 est l’une des plus élevées.

Au 9 janvier 2021, les 5 grands pays européens qui ont confiné à l’aveugle se retrouvent dans le top 5 européen de la mortalité par million d’habitants avec une mortalité de 2531/M en Belgique, 2383/M en Italie, 1967/M en Espagne, et 1914/M en France.

Contrairement aux prédictions de Ferguson, le confinement aveugle a été suivi d’une mortalité Covid 19 accrue.

Simulations et prophéties

Les confinements et les mesures liberticides qu’on nous a imposés ne reposent sur aucun fait scientifique constaté dans le monde réel, mais uniquement sur la terreur inspirée par la prophétie apocalyptique de Ferguson, simple simulation mathématique basée sur des hypothèses fausses.

Cette Pythie britannique a remplacé le dieu Apollon par un ordinateur et tire ses prédictions de simulations numériques, utilisant des programmes informatiques modélisant un phénomène dont ils peuvent à volonté modifier les constantes de base.

Les modélisations se sont révélées très fécondes dans les sciences dures (physique, chimie, mathématiques) dont les lois sont immuables. Mais l’HOMME n’est pas un objet comme les autres.

Appliquées sans discernement à des phénomènes biologiques et/ou reposant sur des hypothèses incertaines, ces prédictions ne valent guère mieux que celles de Nostradamus. Leur danger particulier est qu’auréolées de l’aspect scientifique de l’informatique, des statistiques et modélisations soient considérées comme fiables et utilisées par des politiques crédules soumis au mythe de la technique, pour décider une action dans le monde réel, et particulièrement dans le domaine médical.(([1] Delepine : Quand les résultats de simulations mathématiques remplacent les résultats réels dans l’information médicale diffusée par les médias
https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/quand-les-resultats-de-simulations-208775))

Les êtres vivants, tous différents, tous uniques, sont beaucoup plus complexes que des entités mathématiques et s’adaptent aux menaces. Croire que les humains se conforment toujours aux prévisions issues d’algorithmes et de scénarisations de données revient à nier leur humanité. C’est en cela que la médecine diffère largement des sciences exactes et qu’elle périclite, depuis qu’elle est dirigée par des chercheurs se prétendant scientifiques et non plus par des docteurs au chevet des malades.

Les lourds antécédents de Ferguson auraient dû alerter

Ferguson avait prédit que la grippe H1N1 serait une pandémie meurtrière et que seul le vaccin pourrait éviter l’hécatombe. Au Canada il avait prédit 8000 morts et en France plus de 20 000. Au Canada il y en a eu moins de 500 et en France 312.

Ses prédictions catastrophiques et la campagne de propagande de R Bachelot nous ont coûté plus de 2 milliards d’euros en achat de vaccins et de Tamiflu et causé de trop nombreuses victimes de la vaccination inutile.

En 2001, ses prédictions sur la fièvre aphteuse ont entraîné l’abattage de 6 millions de bovins, décision aujourd’hui considérée comme aberrante et qui a coûté environ 6 milliards de livres aux éleveurs anglais.

En 2002, le prophète Ferguson affirma que la maladie de la vache folle tuerait environ 50 000 Britanniques. À la fin de l’épidémie, on en recensa 177.

En 2005, il prédit que la grippe aviaire tuerait 65 000 Britanniques. Il y en eut au total 457.

Sa surestimation considérable des risques a concerné aussi l’Ebola.

Les erreurs grossières des simulations de Ferguson sur les épidémies passées auraient dû inciter nos dirigeants à être plus circonspects, à ne pas croire aveuglément ce prophète de malheur et à ne surtout pas appliquer ses préconisations dont les conséquences sanitaires, sociales et économiques (qu’il n’a jamais prises en compte) ont été catastrophiques, même si nos gouvernants tentent de le cacher par de nouvelles simulations publicitaires réalisées à la demande par des élèves français de Ferguson.

Que des prédictions soient fausses n’a rien d’étonnant. Ce qui l’est davantage c’est d’une part l’importance des surestimations (10 à 20 fois supérieure à la réalité) et d’autre part leur caractère systématiquement pessimiste. Une erreur due au hasard aurait été tantôt trop pessimiste, tantôt trop optimiste. Statistiquement le caractère toujours catastrophique de ses prédictions ne peut pas être dû au hasard (p<0,02). Cette improbabilité statistique traduit-elle un modèle faux ou une volonté délibérée de tromper ses lecteurs pour les terroriser ?

La prophétie Covid totalement délirante de Ferguson(([2] NICOLE DELEPINE : LES DESSOUS DU RAPPORT CLASSÉ SECRET DÉFENSE DE FERGUSON ET LE CONFINEMENT
Economie matin 11/08/2021
http://www.economiematin.fr/news-rapport-confinement-ferguson-secret-critique-decision-politique-delepine))

Détaillée dans le rapport 9 de l’Imperial College(([3] Report 9: Impact of non-pharmaceutical interventions (NPIs) to reduce COVID-19 mortality and healthcare demand 16 March 2020 Imperial College COVID-19 Response Team DOI: https://doi.org/10.25561/77482
https://www.imperial.ac.uk/media/imperial-college/medicine/mrc-gida/2020-03-16-COVID19-Report-9.pdf)) prophétisait, un pic de mortalité vers le 3e mois de l’épidémie, avec des hôpitaux bondés et des lits de soins intensifs saturés.

« Pour une épidémie non maîtrisée, nous prévoyons que la capacité en lits de soins intensifs sera dépassée dès la deuxième semaine d’avril, avec un pic de la demande en soins intensifs plus de 30 fois supérieur à l’offre maximale possible dans les deux pays et un nombre total de décès de 510 000 en Grande-Bretagne et de 2,2 millions aux USA, et cela sans tenir compte des morts supplémentaires liées à l’absence de traitement d’autres maladies du fait de la saturation des hôpitaux. »

Ce scénario de film d’horreurn’est pas de la science, mais au mieux de la science-fiction-film-catastrophe évoquant les prédictions de Nostradamus.

Par exemple, le rapport 9 estimait que sans confinement la Suède verrait ses hôpitaux débordés en quelques semaines et obligés de trier les malades. Il prévoyait 70 000 morts en 6 mois. Au 6 février 2022, sans confinement ni mesures autoritaires, les hôpitaux suédois n’ont jamais été débordés, et le nombre de morts a atteint 16 100, soit 4 fois moins que les prédictions de Ferguson, en quatre fois plus de temps. Et rappelons-le : sans masque, sans distanciation forcée, sans fermeture d’écoles, ni de restaurant ou de musée.

Fort de leur certitude quasi religieuse, N Ferguson et ses élèves ne sont même pas rigoureux.

Ainsi dans un article rédigé pour justifier a posteriori le bien-fondé des mesures sanitaires autoritaires, ils se vantent d’avoir sauvé 3 millions d’Européens grâce au confinement. Dans cet article, scandaleusement diffusé par Nature,(([4] Ferguson ment grossièrement et le journal Nature le publie 11/01/2021 à 16:27 France soir
https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/ferguson-ment-grossierement-et-le-journal-nature-le-publie)) ils publient un tableau qui détaille pays par pays le « nombre de morts évitées par le confinement » et affirment avoir sauvé 560 000 Allemands et 26 000 Suédois grâce au confinement.

Mais les auteurs de cette escroquerie n’ont pas remarqué que ni les Suédois ni les Allemands n’avaient confiné !

Le 25 mars 2020, Neil Ferguson interrogé par la commission parlementaire britannique de la science et de la technologie a reconnu que sa première estimation était trop pessimiste et a ajouté « les deux tiers des gens qui mourront seraient de toute façon morts dans l’année ». Aveu tardif et exprimé sans remords. 

Le gouvernement par la peur et le chantage aux libertés

Depuis le début de la crise, à chaque fois que la situation réelle s’améliore, les « enfermistes » inventent une nouvelle prophétie catastrophe pour raviver la peur et imposer de nouvelles restrictions des libertés.

Comme Veran sonnant l’alarme en fin juin 2021 :

« Une nouvelle vague de Covid dès la fin juillet » !

Arnaud Fontanet :

« À la rentrée, en septembre-octobre, on aura une nouvelle vague de cas » de Covid-19.

Jean-François Delfraissy :

« On doit se souvenir de ce qui s’est passé l’été dernier : on était à des chiffres à peu près comparables, et on a vu la deuxième vague en septembre ».

Comme l’Institut Pasteur :

« Sous des hypothèses réalistes concernant le R0 du variant dominant et la couverture vaccinale cet automne (2021), un pic d’hospitalisations important est possible en l’absence de toute mesure de contrôle de l’épidémie »

Car depuis le début de la crise les propagandistes de Big Pharma qui nous gouvernent ont compris que le moyen le plus efficace de contraindre la population à subir des injections expérimentales, inutiles et dangereuses est le chantage aux libertés « vous serez libres si vous vous vaccinez ».

Puis comme tous les maîtres chanteurs, dès que vous leur cédez, ils renient leur promesse (vaccinés, mais pas plus libres) et augmentent leurs exigences : une injection de plus, puis une autre et encore une autre…

Ce n’est pas pour rien que dans les séries policières les victimes des maîtres chanteurs se retrouvent souvent contraintes pour se libérer, de les assassiner.

Il n’y a plus de raison d’avoir peur

Depuis juin 2021 la mortalité quotidienne moyenne est de 100/J, soit environ 6 % de la mortalité globale.

Le pic Omicron a été atteint le 28 janvier 2022 et l’épidémie a déjà régressé de près de 50 %.

Une fois la vague Omicron passée, l’immunité naturelle protégera enfin la population, comme auraient dû le faire les injections anti-covid s’il s’agissait de vrais vaccins réellement testés.

D’ailleurs, la très grande majorité des agences sanitaires du monde entier appellent maintenant à traiter le covid comme une grippe ordinaire.

Il ne faut pas davantage avoir peur de la suppression des mesures sanitaires qui nous pourrissent la vie depuis deux ans.

Partout dans le monde les peuples se réveillent de l’hypnose qu’avaient suscitée ces prophéties catastrophes et les gouvernements, sous la pression, sont contraints de supprimer leurs mesures restrictives de liberté.

Continuons le combat pour accélérer le respect de nos droits fondamentaux.





Convois de la liberté : après la sidération du peuple, la sidération de la caste

[Source : lecourrierdesstrateges.fr]

Par Éric Verhaeghe

Les convois de la liberté vont-ils renverser définitivement un régime honni ? On peut le souhaiter. Après deux ans d’humiliations covidiennes, il faut que le Stalingrad déclenché par Macron en juillet 2021, qu’il est en train de perdre, ne s’arrête pas à une simple défaite ponctuelle. Il faut pousser notre avantage jusqu’à Berlin, rétablir la démocratie, et laver notre honneur.

Les convois de la liberté marchent sur Paris, où ils devraient arriver vendredi. Nul ne connaît à ce stade l’étendue du mouvement, ni ses intentions exactes. Encore que…

Mais ce mouvement pourrait tout à fait indiquer un renversement en profondeur : après avoir gouverné à force de sidération, par une série de coups brutaux bien orchestrés, la caste pourrait très bien, désormais, être victime des méthodes qu’elle a utilisées. 

On se régale !

Sidération au Canada, avec les convois de la liberté

Signe des temps, les convois de la liberté sont mondialisés, comme les mesures liberticides adoptées pour prétendument lutter contre le COVID et protéger notre santé. 

L’opération a débuté au Canada, là où brillent les bons élèves de la mondialisation. Tous ceux qui veulent retrouver l’impressionnante liste de Young Global Leaders schwabisés promus par Justin Trudeau soit comme ministres soit comme ambassadeurs peuvent se référer à mon article d’hier, qui est aussi le premier chapitre de mon livre, et accessoirement la description de la première étape du Great Reset, que j’appelle l’Agenda du Chaos. 

En faisant mes recherches, j’en suis resté bouche bée. Les Young Global Leaders sont un véritable nid de vipères. Tu découvres brutalement que, sous une pierre ou une motte de terre que tu croyais anodine, grouille toute une population de serpents sournois prêts à mordre. 

L’erreur de Trudeau, qui s’est comporté comme le premier de la classe devant maître Schwab, est de ne pas avoir compris qu’il n’était pas taillé pour le rôle. Et un matin, il s’est révélé avec un véritable siège d’Ottawa mené par tout le petit peuple, bien décidé à le dessouder de son siège. 

On se délecte par avance de la gestion de la crise canadienne. 

Car tous ceux qui ont suivi l’affaire ont bien noté que la caste et ses médias ont, au Canada comme en France, commencé par nier l’évidence : le peuple gronde, le peuple se révolte, mais ils refusaient de l’entendre. 

Comme chez nous, la nomenklatura canadienne a réagi par le déni, la surdité, le mépris, l’arrogance. Quoi ? Deux ans après une impressionnante campagne d’abrutissement des masses, le peuple bouge encore ?

Oh que oui ! et l’absurde maire d’Ottawa a beau déclarer l’état d’urgence, les blocages continuent. 

Je pense ici à tous ceux qui répètent à l’envi depuis plusieurs mois qu’il faut se contenter de manifester sagement pour ne pas justifier l’instauration de l’état d’urgence par Macron. Mais démonstration est faite ! l’état d’urgence ne change rien. Un blocage est un blocage, et quand le peuple prend possession de la rue, la police ne peut plus rien. 

En France, la sidération va-t-elle changer de camp ?

Deux ans d’abrutissement ! c’est bien le mot. Deux ans que nous petit-déjeunons, déjeunons, soupons quotidiennement avec le spectacle d’une maladie dont on ne connaît toujours pas le véritable nombre de victimes, mais qui est brandie comme une image du Diable par des prêtres exorcistes. 

Car deux ans d’abrutissement, ce sont d’abord deux années d’une formidable régression intellectuelle de la caste, qui s’est mue en grande inquisitrice pour effrayer tous les sceptiques. Qu’on ne me parle plus jamais des “Lumières” qui seraient détenues par nos dirigeants. Ils ne sont que des talibans morbides, des Savonarole, noyés dans les peurs et les calculs tordus pour cacher leur incompétence et leur incapacité à gouverner sans mobiliser le populisme des peurs primales.

Deux ans d’abrutissement à subir des dîners de famille où le beau-père t’épuisait avec son angoisse de la maladie, et où la belle-soeur te reprochait de ne pas être vacciné. Deux interminables années où n’importe quelle stupidité dite sur TF1 ou France Inter, ou écrite dans n’importe quel torchon du style de 20 Minutes devenait prétexte à un appel au génocide. 

Combien de diplômés, de médecins, d’enseignants, de hauts fonctionnaires sous hypnose manifeste n’avons-nous pas dû subir, durant ces deux ans, en acceptant leurs humiliations, leurs mensonges manifestes, leurs dénis, leurs injures, leurs menaces, leurs appels à la haine ?

Combien d’innocents Rudy Reichstag et Tristan Mendès-France n’ont-ils pas dénoncé comme dignes du bûcher durant ces deux ans d’occupation intérieure ?

Une belle épuration, moi, je leur mettrais. 

Et c’est bien ce qu’on peut leur souhaiter, à tous ces menteurs, ces imposteurs, ces trouillards, ces lâches, qui se sentaient forts parce que le Petit Timonier de l’Elysée leur flattait la croupe et leur répètait qu’ils étaient les meilleurs. Un bon renversement de la sidération. Je veux les voir mouiller leur culotte en rendant des comptes pour tous ces moments où nous avons dû cacher notre qualité de citoyens de la République. 

Dira-t-on un jour combien la grandeur de la France a été humiliée par tous ces fakes qui ont prétendu détenir la vérité, qui nous ont forcé à tricher avec de faux passes sanitaires pour rentrer dans un café, qui nous tiennent à l’écart des théâtres, des concerts, des musées, de la culture dont ils sont des usurpateurs ? 

Je suis pour qu’ils paient chèrement ces moments d’incompréhension dans les yeux de ma fille, lorsque je lui expliquais qu’aller au ski, au poney, au restaurant, au musée, à la bibliothèque municipale risquait de devenir compliqué parce que nous appartenons aux pestiférés que le pouvoir a désigné comme indésirables. 

Ils nous ont volé du temps de vie, avec leurs conneries. Qu’ils réparent maintenant, au centuple. 

Le Young Global Leader Gabriel Attal continue à forer droit

Alors que les signaux virent au rouge pour la caste mondialisée depuis plusieurs semaines, leur cécité continue, et leurs petits soldats s’obstinent à forer droit dans le granit. 

Regardez Gabriel Attal. Il fait partie de la promotion 2020 des Young Global Leaders. C’est un homme de Davos. L’un des pions de l’Agenda du Chaos. Lorsque ces occupations mondialisées lui en laissent le temps, il est accessoirement porte-parole du gouvernement.

Cruelle ironie de cette France au bord du gouffre où son gouvernement s’exprime par la bouche d’une tête à claques stipendiée par les apatrides. 

Que nous dit-il ? 

Que le passe vaccinal, accouché dans la douleur il y a quinze jours, sera “levé” dans un mois. Et il ajoute que la France est l’un des pays d’Europe qui a imposé le moins de contraintes dans la lutte contre le COVID. 

Mais de qui se moque-t-il ?

Je me souviens encore de ce 15 août 2021 où, dans ma bonne ville de Liège, j’ai fait la fête au milieu d’une foule sans masque quand, en France, il était interdit de danser dans les bars, et il était interdit d’entrer dans les bars sans passe sanitaire.

Attal ment. Attal est aux ordres. Attal, par arrivisme, a trahi son pays pour servir la soupe aux profiteurs de la mondialisation. 

Je ne forme qu’un voeu, expiatoire, aujourd’hui : ils nous ont trahi, qu’ils paient, et qu’ils paient chèrement. 

Je l’ai écrit plusieurs fois. Le 12 juillet 2021, Macron a vendu son âme au Great Reset en imposant d’inutiles souffrances à son peuple. Il s’est lancé dans une bataille de Stalingrad qu’il est en train de perdre. 

Ne nous contentons pas de lui infliger une défaite ponctuelle. Poussons notre avantage jusqu’à Berlin. Assiégons-le dans son bunker. 

Je vois les camions, les voitures, les motos affluer sur Paris, et je ne forme qu’un voeu : celui de cet ultime siège, que j’espère victorieux, pour laver l’infamie dont nous avons été victime. 

Que la caste mondialisée sache enfin ce qu’il en coûte de mépriser le peuple et l’intelligence. 




Les mensonges des médias et les rites sacrés de la secte des « vaccins » Covid

[Source : Sott.net]

Par Kit Knightly — OffGuardian

La couverture médiatique de la mort de Szilveszter Csollany montre que le fait d’être catalogué comme « anti-vaccin » dépend davantage de ce que l’on pense que de ce que l’on fait.

© Inconnu
Traduction de l’image : Voir ci-dessous.

The Independent a fait une entrée précoce (et en force) dans la course au prix du « pire journalisme de l’année », en rapportant hier la mort de l’entraîneur de gymnastique hongrois Szilveszter Csollany avec le titre :

« Le médaillé d’or olympique anti-vaccin Szilveszter Csollany meurt du Covid, à 51 ans »

[à gauche sur l’image – NdT]

Le problème flagrant de ce titre apparaît clairement trois paragraphes après le début de l’article :

« Alors que Csollany avait, selon le [journal hongrois Blikk] exprimé des opinions anti-vaccination sur les médias sociaux, le sextuple médaillé des championnats du monde avait été vacciné pour pouvoir continuer à travailler comme entraîneur de gymnastique. »

[à droite sur l’image – NdT]

Le traitement journalistique est épouvantable, pernicieux jusqu’à en être criminel.

Les preuves fournies pour les prétendues « opinions anti-vaccination » de Csollany sont inexistantes. Des ouï-dire de seconde main, au mieux. Aucune citation directe, aucune source indiquée. OffGuardian aurait honte de publier quelque chose d’aussi peu convaincant. N’importe quel média devrait en avoir honte.

Mais, bien sûr, ce n’est pas la partie la plus scandaleuse — comme vous pouvez le voir dans la partie [mise en gras – NdT] de la citation ci-dessus — le supposé « anti-vaccin » avait été « vacciné ».

Enfouir cela dans l’article, avec un tel titre, est une tromperie délibérée. Ils savent que de nombreuses personnes liront le titre et supposeront qu’il n’a pas été « vacciné » sans jamais lire l’article en lui-même, et ils comptent là-dessus pour répandre une impression intentionnellement fausse. La définition même de la désinformation.

Après avoir délibérément déformé la vie de cet homme, ils en font de même pour sa mort. Ils ne lui accordent même pas le respect d’une évaluation honnête quant à ses dernières semaines de vie et ignorent totalement toutes les questions pertinentes relatives à sa santé.

Ils ne se demandent jamais pourquoi un homme de 51 ans, auparavant en bonne santé, a dû être placé sous respirateur, ni comment une pneumonie associée à l’usage d’un respirateur ou un traumatisme induit par ce dernier ont pu contribuer à son décès.

L’article admet volontiers qu’il est mort « du Covid » alors qu’il avait été « vacciné », mais il ne tente même pas de l’expliquer, et se contente d’une phrase en l’air qui suggère « qu’il a contracté le virus peu de temps après avoir été « vacciné » et qu’il n’avait donc pas accumulé suffisamment d’anticorps », ce qui n’est étayé par aucun avis ou source médicale.

Après avoir admis qu’il avait ÉTÉ « vacciné », et seulement peu de temps avant sa mort, l’article n’envisage même pas une seconde la conclusion logique évidente : le « vaccin » a pu jouer un rôle dans sa mort, ou l’a carrément tué. Il ne réfute même pas l’idée, il refuse simplement de reconnaître son existence.

Mais en réalité, le pire aspect de ce trou noir d’intégrité n’est pas le titre délibérément trompeur, ni le manque d’éthique journalistique la plus élémentaire, c’est bien plus profond que cela. Un message tacite est dissimulé dans la tonalité de l’écriture, et on peut également observer la présence d’un glissement des définitions linguistiques.

La pensée implicite enfouie dans le texte est la suivante : même s’il a été « vacciné », ses prétendus doutes signifient qu’il était toujours un « anti-vaccin » et qu’il méritait donc de mourir. Qu’en exprimant ses « opinions anti-vaccination », il a attiré sur lui la malédiction du Covid. Comme s’il avait attiré la colère de Dieu en proférant une hérésie. Ce n’est pas la première fois que nous voyons le récit officiel tenter, voire réussir, à séparer le sens du terme « anti-vaccin » du statut vaccinal d’une personne.

En Australie, le Premier ministre des Territoires du Nord Michael Gunner a récemment déclaré aux médias :

« Si vous soutenez ou confortez quelqu’un qui argumente contre le vaccin, vous êtes un anti-vaccin, peu importe votre statut personnel en matière de vaccination. »

Oui, en Australie, un anti-vaccin peut être une personne « vaccinée » qui « conforte » une autre personne opposée au « vaccin », et elle n’a pas besoin d’être d’accord avec celle qui est anti-vaccin, tolérer son point de vue est suffisant. C’est un système de croyance digne de l’âge des ténèbres, dans lequel il suffit d’entendre parler d’hérésie pour être souillé. Tout cela fait partie de la redéfinition, ou plutôt de l’élargissement de cette dernière, de ce que signifie, à la base, le terme « anti-vaccin » dans l’esprit des gens. Encore un autre « pivotement de notre langue ».

Note du traducteur : Sur « pivoter le langage », voir l’article de l’auteur, traduit et publié par Sott.net : Covid — Sournois et radical, le CDC modifie le sens du statut vaccinal

Szilveszter Csollany est accusé d’avoir « exprimé des opinions anti-vaccination » sur les médias sociaux, mais dans le climat actuel, cela peut signifier presque n’importe quoi : s’opposer aux obligations vaccinales, aux passeports vaccinaux ou à l’injection pour lesenfants de vaccins toujours en phase de test. Toutes ont été décrites comme des positions « anti-vaccin ». Vous pourriez avoir reçu tous les vaccins [« habituels » – NdT] qui vous ont été proposés, mais si vous refusez le « vaccin » Covid parce que les données de sécurité à long terme sont méconnues, vous serez quand même qualifié d’« anti-vaccin ».

Et désormais, vous pouvez vous bien faire « vacciner », mais vous serez catalogué comme un « anti-vaccin » parce que vous avez déjà exprimé des doutes ou posé des questions. L’injection est devenue l’équivalent littéral d’un rite religieux, dans lequel vos croyances sont tout aussi importantes que vos actions, peut-être même plus. Les « vaccins » sont « sans danger et efficaces », tel est le mantra de l’ère moderne, scandé dans les chapelles télévisées.

Au début, on disait aux gens qu’en étant anti-vaccin, ils allaient mourir, car les « vaccins » sont le sang nouveau du Christ, et en les acceptant dans son cœur, on est promis à la vie éternelle. Ce conditionnement est allé si loin que les gens l’inversent et le recrachent : désormais, si vous mourez, vous devez forcément avoir été anti-vaccin. Être « vacciné », mais ne pas croire au « vaccin », est tout aussi hérétique que de rejeter le « vaccin », et dans un tel esprit, vous resterez non « vacciné ».

Et comme une cucking stool des temps modernes, si — comme le pauvre Szilveszter Csollany — vous vous faites injecter le « vaccin » et mourez quand même, cela montre seulement que votre foi n’était pas assez forte, que vous étiez secrètement un anti-vaccin dans l’âme, et la presse le mentionnera dans votre nécrologie. Les médias parlent tous de cette façon.

Note du traducteur : Une cucking stool était une chaise attachée au bout d’une perche, utilisée autrefois pour plonger les délinquants dans un étang ou une rivière en guise de punition. Elle était notamment utilisée Angleterre et en Écosse.

Je ne sais pas du tout s’ils le font de façon malhonnête pour créer cette atmosphère bizarre de ferveur religieuse, ou s’ils ne réalisent même pas qu’ils le font de façon malhonnête pour créer cette atmosphère bizarre de ferveur religieuse à force d’être pris par le fanatisme. Et je ne sais pas ce qui est le pire.

Quoi qu’il en soit, le but est clair : établir un monde où être « anti-vaccination » n’est plus défini par ce que vous faites, mais par ce que vous dites et pensez, voire même ce que vous permettez aux autres de penser. Une étiquette passe-partout, si vague qu’elle est fonctionnellement dénuée de sens, mais universellement appliquée à toute personne qui s’écarte d’un seul degré du courant dominant, la transformant en un outlander qui doit être absolument évité.

C’est vraiment une secte. Il n’y a pas d’autre façon de le décrire.

Source de l’article initialement publié en anglais le 26 janvier 2022 : OffGuardian
Traduction et emphases : Sott.net




Grand Jury, jour 1 : extrait de la transcription écrite de l’intervention de Reiner Fuellmich, le résumé parfait de la pLandémie !

[Source : la-verite-vous-rendra-libres.org]

[Voir aussi :
Premier jour du procès : Reiner Fuellmich s’adresse au Jury, et expose les faits. Mise à jour]

Je m’appelle Reiner Fuellmich, et j’ai le plaisir d’être l’un des membres d’un groupe d’éminents avocats et juristes internationaux qui collaborent depuis de nombreux mois dans cette affaire très importanteCette affaire, qui implique les crimes les plus odieux contre l’humanité, commis sous le couvert d’une pandémie de Coronavirus à l’échelle mondiale, ne semble compliquée qu’à première vue. Mais lorsque vous rassemblez toutes ces pièces, toutes ces petites pièces du puzzle, comme nous le ferons pour vous, avec l’aide de nombreux experts renommés et d’autres témoins au cours de cette procédure, vous constaterez quatre séries de faits.

Premièrement, il n’y a pas de pandémie de Corona, mais seulement une plandémie de tests PCR, alimentée par une opération psychologique élaborée visant à créer un état de panique constant parmi la population mondiale. Ce programme a été planifié de longue date. Son précurseur, qui a finalement échoué, était la grippe porcine il y a une douzaine d’années. Et il a été concocté par un groupe de super riches psychopathes et sociopathes qui haïssent et craignent les gens en même temps, n’ont aucune empathie et sont animés par le désir de prendre le contrôle total de nous tous, les peuples du monde. Ils utilisent nos gouvernements et les grands médias, qu’ils possèdent littéralement pour les deux, pour véhiculer leur propagande panique 24 heures sur 24, 7 jours sur 7.

Deuxièmement, le virus lui-même peut être traité de manière sûre et efficace avec des vitamines C, D, du zinc, etc. Et aussi avec l’utilisation non autorisée de l’Ivermectin, de l’Hydroxychloroquine, etc. Mais toutes ces méthodes de traitement, non pas alternatives, mais réelles, ont été interdites par ceux qui utilisent le prétexte de cette pandémie pour atteindre leur objectif ultimequi est de faire en sorte que tout le monde reçoive, comme nous le montrerons dans cette procédure, des injections expérimentales non seulement inefficaces, mais aussi très dangereuses, voire mortelles.

[Note de Joseph : en toute rigueur scientifique, ce n’est pas le virus lui-même qui est traité, sachant notamment qu’il n’a jamais été isolé (voir :
L’enterrement de la théorie virale
La fraude du Covid-19 et la guerre contre l’humanité
Le virus inexistant — une interview explosive de Christine Massey
Fausse science, données invalides : il n’y a pas de « cas Covid-19 confirmé » ; il n’y a pas de pandémie
Le virus existe-t-il ? Le CoV-2 du SRAS n’a toujours pas été isolé ? « La plus grande fraude de l’histoire de la médecine »
Déconstruction de l’arnaque Covid : les documents Ministère de la Santé admettent que le CDC n’a jamais isolé de « virus covid-19 » … le test PCR ne détecte que le BRUIT des instruments
Virus fantôme : à la recherche du SARS-CoV-2
Un virus ? Quel virus ? – Dr Mark Bailey), mais les symptômes attribués à une maladie nommée Covid-19 et dont les causes sont manifestement autres qu’un virus naturel.]

Troisièmement, les mêmes personnes qui ont fait de la grippe porcine, qui s’est finalement avérée être une grippe bénigne, une pandémie il y a douze ans, en changeant d’abord la définition de ce qu’est une pandémie et en créant ensuite la panique, ont créé cette pandémie de Corona. La grippe porcine a été leur première véritable tentative de créer une pandémie. Et tout comme l’un de ses objectifs à l’époque était de détourner notre attention des activités frauduleuses flagrantes de leur industrie financière, qu’il serait plus approprié d’appeler la mafia financière, qui était devenue visible avec la crise de Lehman, c’est également l’un des principaux objectifs de cette pandémie de Corona aujourd’hui.

Si nous avions regardé de plus près lors de la crise de Lehman, au lieu de croire aveuglément les promesses de nos gouvernements selon lesquelles les auteurs de ces crimes financiers seraient tenus pour responsables, nous aurions vu qu’ils ont pillé et saccagé nos caisses publiques pendant des décennies, et nous aurions vu que nos gouvernements ne sont plus nos gouvernements, mais qu’ils ont été pris en mains par l’autre partie par le biais de leur principale plate-forme, le Forum économique mondial, qui a commencé à créer ses propres leaders mondiaux par le biais de son programme Young Global Leaders dès 1992, les premiers diplômés étant Angela Merkel et Bill Gates. Et nous aurions déjà compris à l’époque ce que nous allons vous montrer maintenant, à travers cette procédure, ces crimes financiers n’ont pas été contestés par nos politiciens parce qu’ils aident et encouragent ceux qui les commettent et profitent de ces crimes.

Quatrièmement. En fin de compte, cependant, nous vous montrerons, à vous, le jury, que le but principal de l’autre partie est d’obtenir un contrôle total et complet sur nous tous.
Cela implique la finalisation de leur pillage en détruisant délibérément nos petites et moyennes entreprises, nos commerces de détail, nos hôtels et nos restaurants, afin que des plateformes telles qu’Amazon puissent prendre le relais. Et cela implique le contrôle de la population, qui, selon eux, nécessite à la fois une réduction massive de la population et la manipulation de l’ADN de la population restante, à l’aide, par exemple, d’injections expérimentales d’ARNm.
Mais cela nécessite également, selon eux, la destruction délibérée de la démocratie, de l’État de droit et de nos constitutions par le chaos, afin que nous acceptions finalement de perdre nos identités nationales et culturelles et que nous acceptions à la place un gouvernement mondial unique sous l’égide de l’ONU, qui est maintenant sous leur contrôle total, et leur Forum économique mondial, un passeport numérique, dont chaque mouvement est surveillé et contrôlé, et une monnaie numérique, que nous ne pourrons recevoir que d’une seule Banque mondiale, la leur, bien sûr.

À la fin de la procédure, et après que vous ayez entendu toutes les preuves, nous sommes convaincus que vous recommanderez des mises en accusation contre les six accusés présumés : Christian Drosten d’Allemagne, Anthony FAUCI des États-Unis, Tedros de l’Organisation mondiale de la santéBill GatesBlackRock et Pfizer.

Mesdames et Messieurs, cette affaire concerne un programme de longue haleine d’un groupe de personnes ultra riches et de leur mafia financière basée à la City de Londres et à Wall Street, qui consiste à utiliser une pseudo-pandémie comme un prétexte derrière lequel, pendant que notre attention est portée sur la pandémie, ils veulent achever leurs efforts de plusieurs décennies pour obtenir un contrôle total et complet sur nous tous. Il existe de nombreuses plateformes sur lesquelles ce groupe s’est réuni et a discuté de cet agenda, mais la plus importante est celle du Forum économique mondial, qui a été inventé en 1971 par Klaus Schwab, alors âgé de 33 ans.

Ses membres sont 1000 entreprises mondiales ayant un chiffre d’affaires annuel d’au moins 5 milliards de dollars, des hommes politiques, des représentants des médias, des scientifiques et d’autres personnalités dites de haut niveau.
Ils se réunissent une fois par an à Davos, mais il existe d’autres réunions de ce type, par exemple en Chine. Et depuis 1992, ils ont créé et nous ont présenté leur propre groupe de leaders politiques pour le monde. Parmi les premiers diplômés, comme je l’ai déjà dit, on trouve Angela Merkel et Bill Gates en 1992. D’autres sont Sebastian Kurz, jusqu’à récemment chancelier d’Autriche, Justin Trudeau, Premier ministre du Canada, Jacinda Ardern, Premier ministre de Nouvelle-Zélande, Emmanuel Macron, Président de la France, et beaucoup, beaucoup d’autres.

Ce groupe, qui est maintenant appelé la Clique de Davos, -la publication The Great Reset de Klaus Schwab est l’une des sources les plus importantes pour cette organisation, promeut ouvertement le transfert des actifs du monde vers ce groupe de personnes super riches, de sorte qu’en 2030, les gens ordinaires ne posséderont rien et seront heureux, comme il est explicitement indiqué dans leur gouvernement mondial unique, avec une monnaie numérique qui nous sera donnée par leur Banque mondiale unique. Et ils encouragent aussi ouvertement, en étroite collaboration avec des gens comme le défendeur putatif Bill Gates, les Rockefeller et d’autres, la réduction drastique de la population mondiale et la manipulation de l’ADN de la population restante jusqu’au transhumanisme.

Leur objectif le plus important est, cependant, l’implosion contrôlée, par eux, bien sûr, du système financier complètement pillé et l’introduction simultanée d’une monnaie numérique émise par une Banque Mondiale Unique contrôlée par eux, et tout aussi important, l’introduction d’un gouvernement mondial sous l’ONU, qui est passé sous leur contrôle total en 2019. À cette fin, ils ont fait des plans concrets pour cette plandémie de Corona depuis au moins le printemps 2001 : l’opération Dark Winter, suivie d’une autre répétition de ce type : l’exercice lockstep de la Fondation Rockefeller en 2010. Enfin, l’Event 201 en octobre 2019 à New York, parrainé par le Johns Hopkins Center for Health Security, la Fondation Rockefeller, le Forum économique mondial et la Fondation Bill et Melinda Gates.

Membres du jury, nous allons appeler un certain nombre de différents témoins experts très renommés de tous les horizons de la science, mais aussi des témoins qui témoigneront des dommages qu’ils ont subis suite à l’obtention des injections expérimentales. […]


[Source : http://myreader.toile-libre.org/uploads/My_620229c67d6b4.pdf]

Transcription complète

Grand Jury – Session 1

https://youtu.be/ELTFNkCdzjA

  • Viviane Fischer — Avocate d’Allemagne
  • Ana Garner — Avocate des États-Unis
  • Rui Fonseca e Castro — Juge du Portugal
  • Deana Sacks — Avocate des États-Unis
  • Reiner Fuellmich Avocat des États-Unis et d’Allemagne
  • Dipali Ojha Avocate d’Inde
  • Dexter L-J. Ryneveldt — Avocat d’Afrique du Sud

00:17 Viviane Fischer :

Bonjour et bienvenue au premier jour de la procédure du grand jury. Nous sommes ici dans une salle qui a été spécialement construite à cet effet, pour entendre des témoins et des experts sur ce qui s’est passé dans la crise de Corona. Et nous sommes reliés à un groupe international d’avocats. Et pour commencer, je donne la parole à l’avocate Ena Garner des États-Unis d’Amérique.

00:46 Ana Garner :

Merci Viviane. C’est un honneur et un plaisir pour moi de participer à cette enquête du grand jury international. Un grand jury criminel contre certains des auteurs qui, dans une collaboration criminelle mondiale, ont commis des crimes contre l’humanité sur la population mondiale entière sous la forme d’une pandémie planifiée appelée Covid-19. Nous, un groupe d’avocats internationaux et un juge, menons une enquête criminelle sur le modèle des procédures du Grand Jury des États-Unis. Cette enquête du grand jury sert de modèle de procédure légale, pour présenter à un jury composé de citoyens du monde, toutes les preuves disponibles du crime contre l’humanité qu’est le Covid-19, à ce jour contre les dirigeants, organisateurs, instigateurs et complices qui ont aidé, encouragé ou participé activement à la formulation et à l’exécution d’un plan commun pour une pandémie.

Les crimes faisant l’objet de l’enquête comprennent tous les actes accomplis ou omis par une personne dans la poursuite d’un dessein commun, de commettre des crimes contre l’humanité, et tous ces actes criminels condamnés dans les différentes communautés de jurés à travers le monde. Cette enquête est du peuple, par le peuple et pour le peuple. Elle sera désignée sous le nom de « Tribunal de l’opinion publique ». N’ayant pu trouver un tribunal pour entendre les preuves réelles dans les cours de justice du système actuel, nous entreprenons cette procédure en dehors du système actuel et sur la base du droit naturel. Celle-ci, à son tour, est fondée sur la ferme conviction que chaque personne peut facilement distinguer le bien du mal et ce qui est bon ou mauvais. Cette procédure pourrait être l’un des événements extrajudiciaires les plus importants de l’année.

Nous, en tant que groupe d’avocats internationaux, présenterons des preuves réelles provenant de vrais experts, tels que des scientifiques, des historiens, des médecins, ainsi que des victimes. Il n’y a pas d’acteurs dans cette présentation, seulement des personnes réelles qui désirent apporter la justice au monde. Et nous avons besoin de votre aide. La raison de la mise en place d’un processus de grand jury est que notre monde est à un stade critique de l’humanité, qui dépendra du réveil de tous les peuples, afin inverser un cours qui pourrait modifier à jamais la façon dont nous vivons en tant qu’humains libres, nous devons inverser la trajectoire de ce cours maintenant. Et la représentation d’une enquête du grand jury est le moyen le plus rapide que nous connaissons pour apporter les preuves devant le tribunal public du monde. Vous, le peuple. Aux États-Unis, seuls les procureurs de district ou les procureurs généraux des différents États sont autorisés à engager de telles procédures pénales. Mais comme personne ne l’a fait aux États-Unis, nous venons vous présenter les preuves sous une forme calquée sur ce type de procédure judiciaire qui est courante aux États-Unis.

Nous basons ce modèle sur le grand jury pénal américain. En général, le grand jury détermine si les preuves sont suffisantes pour prononcer une mise en accusation criminelle contre un ou plusieurs accusés. Il se déroule à huis clos, et ni l’accusé ni son avocat ne sont présents dans ce type de procédure. Cependant, nous effectuons ce processus sous les yeux du tribunal de l’opinion publique. Vous, le peuple. Le but de cette enquête est de révéler les preuves qui pourraient être utilisées dans ce type de procédure dans votre juridiction. Nous vous invitons à nous rejoindre dans une transparence ouverte en utilisant de vraies preuves, de vrais avocats, un vrai juge et de vrais témoins experts, qui pourraient être présentés dans une véritable procédure de grand jury criminel devant les tribunaux des États-Unis. L’histoire de la réussite de ce pays a été écrite par des personnes qui ont fait confiance à la gouvernance constitutionnelle pour le peuple. Nos ancêtres ont relevé les défis épiques de notre histoire sur la base de notre Constitution. C’est cette Constitution et sa reconnaissance des droits et libertés naturels qui ont libéré des êtres humains libres du joug de la Couronne britannique. Par conséquent, reconnaissant l’urgence, nous vous demanderons, en tant que tribunal de l’opinion publique, d’examiner les preuves présentées, afin de réclamer nos droits et libertés accordés à chaque personne dans ce pays et dans le monde à la fin de cette procédure.

5:34 Viviane Fischer :

Merci, Mme Garner, je voudrais me tourner vers le juge Rui Fonseca e Castro, qui préside cette procédure. Monsieur Fonsesca, bonjour.

5:47 Rui Fonseca e Castro :

La légitimité du tribunal de l’opinion publique s’appuie sur le Droit Naturel. Au cours des deux dernières années, nous avons assisté à l’effondrement fulgurant de l’État de droit démocratique. Au nom d’une idée de biens communs qui n’a jamais été entérinée, les droits et libertés les plus fondamentaux nous ont été retirés, et nous pouvons déjà sentir l’approche d’une gigantesque vague de victimes. Les systèmes judiciaires, autrefois bastions des droits et libertés fondamentaux, ne remplissent plus leurs fonctions. C’est-à-dire qu’il n’y a plus de juges à Berlin.

Devons-nous attendre sans rien faire que nous soyons complètement anéantis ? Ou plutôt, assumer nos responsabilités en tant que membres de nos communautés ? C’est notre droit et surtout notre devoir, envers le peuple et les générations futures de résister à l’oppression et à la tyrannie. La loi naturelle, immanente pour les êtres humains, indépendamment de sa positivité, nous donne des droits sacrés de résistance à l’oppression. Si les Constitutions sont la source des droits et libertés fondamentaux, le droit naturel est sa source originelle.

Le droit naturel confère au peuple la légitimité de défendre les droits et libertés fondamentaux, face à des États devenus tyranniques. Nous voyons bien maintenant l’incapacité des systèmes de justice nationaux et internationaux à protéger les peuples contre la tyrannie qui s’est installée. C’est donc dans le droit naturel, et le droit non écrit inhérent à la condition humaine que ce tribunal de l’opinion publique trouve sa légitimité pour engager la procédure judiciaire qui va commencer aujourd’hui. Merci.

8:10 Viviane Fischer :

Merci pour cette introduction, M. le juge Fonseca e Castro. Je voudrais maintenant donner la parole à l’avocate Diana Paula Sachs des États-Unis d’Amérique.

8:34 Deana Pollard Sacs :

Bonjour. Je m’appelle Deana Pollard Sacs, et depuis 22 ans, je suis professeur de droit, spécialiste de la constitution, militante des droits civils et avocate. Je suis ici aujourd’hui pour discuter de l’origine de notre clause de liberté, qui remonte à la loi naturelle, et pour expliquer pourquoi les vaccins Covid-19 sont tous inconstitutionnels selon notre jurisprudence historique. Le 4 juillet 1776, nos Pères Fondateurs ont signé la Déclaration d’Indépendance. Et voici ce qu’ils ont dit :

« Nous tenons ces vérités pour évidentes, que tous les hommes sont créés égaux, qu’ils sont dotés par leur Créateur de certains droits inaliénables, que parmi ceux-ci se trouvent la vie, la liberté et la recherche du bonheur. »

En 1891, notre Cour suprême, dans une affaire appelée Botsford, a expliqué que la liberté médicale est inaliénable et constitue l’un des droits les plus précieux que nous puissions avoir.

Ils ont dit :

« Aucun droit n’est considéré comme plus sacré ou n’est plus soigneusement gardé par la “Common Law” que le droit de chaque individu à la possession et au contrôle de sa propre personne, libre de toute contrainte ou interférence d’autrui, à moins que par une autorité claire et incontestable de la loi, le droit d’une personne puisse être considéré comme un droit d’immunité totale, à laisser en paix ».

En 1914, le juge Cordozo, qui devint plus tard juge à la Cour suprême des États-Unis, s’exprimait ainsi :

« Tout être humain adulte et sain d’esprit a le droit de déterminer ce qu’il doit faire de son propre corps, et un chirurgien qui pratique une opération sans le consentement de son patient commet une agression pour laquelle il est responsable des dommages. »

Ces mêmes concepts et déclarations textuelles de nos tribunaux ont été réitérés au fil des décennies. En 1990, par exemple, dans une affaire appelée Cruzan contre le directeur du département de la santé du Missouri, la Cour suprême a essentiellement affirmé que chaque individu a le droit de refuser un traitement médical. Cela remonte à la common law anglaise. Et voici ce que le juge Brennan a dit dans l’affaire Cruzan :

« Le droit anglo-américain part du principe d’une autonomie complète. Il s’ensuit que chaque homme est considéré comme le maître de son propre corps, et qu’il peut, s’il est sain d’esprit, interdire expressément l’exécution d’une intervention chirurgicale destinée à sauver sa vie ou tout autre traitement médical. »

Comment se fait-il alors que nos gouvernements nous imposent un traitement médical sans consentement, pas un vrai consentement. Ils contraignent nos concitoyens à prendre un vaccin de nature expérimentale sous la menace de perdre leurs moyens de subsistance, leurs maisons et leur éducation. Eh bien, notre gouvernement s’appuie sur une affaire appelée Jacobson contre Massachusetts. Je vais donc vous expliquer ce cas et vous dire pourquoi il va dans notre sens, à savoir que nous avons le droit de choisir la médecine et les traitements médicaux pour notre corps. L’affaire ne soutient pas les fabricants de vaccins et ne soutient pas les mandats de vaccination. En 1902, lors d’une petite pandémie pop qui a tué des centaines de millions de personnes dans le monde, l’État du Massachusetts a adopté une loi stipulant que chaque personne devait être vaccinée contre la variole ou payer une amende de cinq dollars. C’est exactement ce que disait la loi. C’était une loi du type « soit ou » donnant aux gens l’option de payer une amende de 5 dollars s’ils ne veulent pas se faire vacciner.

M. Jacobson pensait que sa liberté d’action le protégeait à la fois de la vaccination et du paiement de l’amende de 5 dollars. Il est donc allé jusqu’à la Cour suprême des États-Unis après avoir payé l’amende de 5 $ et a voulu récupérer son argent. Et la Cour suprême a examiné les preuves médicales. Le vaccin contre la variole était utilisé depuis 100 ans. Il était utilisé dans le monde entier avec une grande efficacité et permettait d’enrayer l’une des pires pandémies de l’histoire du monde. Après avoir examiné attentivement les preuves médicales, après avoir formulé des conclusions concernant l’efficacité et l’innocuité du vaccin et la nécessité du vaccin antivariolique, le tribunal a décidé que M. Jacobson ne pouvait pas récupérer ses 5 $. Maintenant, gardez à l’esprit que M. Jacobson pensait qu’il était dans l’intérêt de la liberté de circuler en ville et d’être vu dans toute la ville sans être vacciné. Il a donc fait étalage du fait qu’il n’était pas vacciné parce qu’il croyait avoir le droit de sortir et de se promener sans le traitement médical qu’il ne voulait pas. Et donc l’opinion de la cour était basée sur tous ces faits. Ces faits ne soutiennent pas les mandats Covid aujourd’hui. En fait, l’une des dernières choses que la cour a dites dans l’affaire Jacobson contre Massachusetts, et je cite, nous décidons maintenant seulement que la loi couvre le cas présent et que rien n’apparaît clairement qui justifierait que cette cour la considère comme inconstitutionnelle et inopérante dans son application au plaignant M. Jacobson. Il y a plusieurs raisons expliquant pourquoi M. Jacobson ne cautionne pas les mandats de vaccination proposés aujourd’hui concernant le coronavirus.

Tout d’abord, il y a une énorme différence concernant les risques publics encourus. La pandémie de variole tuait jusqu’à 60 % des personnes dans les villages où elle sévissait. Entre 20 et 60 % des gens mouraient, soit un taux de mortalité global d’environ 30 %. À certaines périodes, plus de 90 % des bébés exposés à la variole mouraient. Maintenant, comparez ça au Covid-19, il tue une minuscule fraction de 1 % des gens. Le risque public n’est même pas comparable.

La deuxième chose est que les vaccins Covid-19 ne sont pas vraiment des vaccins. Contrairement à l’histoire des vaccins, qui arrêtaient l’infection et la transmission, ces vaccins ne font ni l’un ni l’autre. Ces vaccins expérimentaux n’existent pas depuis 100 ans. Ils n’ont pas été essayés et testés, et nos concitoyens sont soumis à des vaccins expérimentaux alors qu’aucun d’entre nous ne sait vraiment quels en seront les effets à long terme. Et enfin, la loi dans l’affaire Jacobson contre Massachusetts donnait la possibilité aux gens de payer 5 $. Aujourd’hui, cela reviendrait à un peu moins de 150 $. Comparez cela à des gens qui perdent leur gagne-pain, tout ce pour quoi ils ont travaillé, leur maison et leur étude universitaire parce qu’ils refusent de se soumettre à un vaccin expérimental. Il n’y a tout simplement aucune comparaison possible. Jacobson contre Massachusetts ne soutient pas les fabricants de vaccins ni les obligations en matière de vaccins. Alors certains d’entre vous se demandent peut-être pourquoi les mandats de vaccination du Covid n’ont pas été déclarés totalement inconstitutionnels ?

Eh bien, certains l’ont été. Mais il y en a un qui a résisté à l’examen de la Cour suprême le 13 janvier 2022. Je veux donc expliquer que, tout d’abord, le mandat de vaccination des travailleurs de la santé découle de la clause sur les impôts et les dépenses de la Constitution américaine, qui se trouve à l’article 1, section 8. Le Congrès a toujours eu une grande latitude pour imposer des conditions aux fonds fédéraux. Donc vous prenez l’aigre avec le doux. Et si vous voulez de l’argent fédéral, vous devez vous soumettre aux conditions du Congrès. Tout au long de l’histoire, le Congrès a été autorisé à mettre des conditions à la réception des fonds de Medicare et de l’assurance-maladie et a spécifiquement autorisé des conditions pour limiter la transmission des maladies transmissibles. Malgré tout, l’opinion était de cinq contre quatre, avec seulement cinq juges convenant que le mandat de vaccination pour les travailleurs de la santé a passé le test initial pour voir si oui ou non la cour arrêterait l’application du mandat de vaccination. Mais la vraie question est, comme l’a indiqué le juge Thomas, pourquoi l’efficacité du vaccin n’a-t-elle pas été prise en compte ? Elle n’a pas été prise en compte. Et le juge Thomas l’a dit très clairement dans sa position dissidente, rejointe par trois autres juges. La raison pour laquelle l’efficacité et la sécurité du vaccin n’ont pas été prises en compte est que la question n’était pas devant la Cour. Sur les 22 États qui ont contesté le mandat de vaccination, aucun n’a affirmé que le mandat violait la clause de liberté. La clause de liberté est l’endroit où nous trouvons nos libertés médicales. Tout au long de l’histoire, la clause de liberté a été utilisée pour nous protéger contre des procédures médicales non désirées et même pour nous permettre d’exiger les actes médicaux que nous souhaitons.

Vous verrez donc derrière moi une photo de la Cour suprême des États-Unis. J’ai été confronté au fait que, lorsque nos juges se verront présenter les faits médicaux concernant l’efficacité du vaccin, la nécessité du vaccin et la manière dont nos gouvernements intimident et contraignent les gens à se faire vacciner contre leur gré, la Cour soutiendra nos droits à la liberté et déclarera tous les vaccins inconstitutionnels. Plus tard dans la journée et dans les jours qui suivent, vous entendrez un certain nombre de professionnels de la santé expliquer pourquoi ce vaccin n’a rien à voir avec les vaccins du passé. Je vous encourage donc à rester à l’écoute et je vous remercie de nous avoir suivis.

18:12 Viviane Fischer :

Merci, Mme Deana Pollard Sacs, pour votre déclaration introductive. Je voudrais maintenant donner la parole au Dr Reiner Fuellmich, avocat en Allemagne, pour une présentation générale.

18:25 Reiner Fuellmich :

Merci. Bonjour. Je m’appelle Reiner Fuellmich, et j’ai le plaisir d’être l’un des membres d’un groupe d’éminents avocats et juristes internationaux qui collaborent depuis de nombreux mois dans cette affaire très importante. Cette affaire, qui implique les crimes les plus odieux contre l’humanité, commis sous le couvert d’une pandémie de Coronavirus à l’échelle mondiale, ne semble compliquée qu’à première vue. Mais lorsque vous rassemblez toutes ces pièces, toutes ces petites pièces du puzzle, comme nous le ferons pour vous, avec l’aide de nombreux experts renommés et d’autres témoins au cours de cette procédure, vous constaterez quatre séries de faits.

Premièrement, il n’y a pas de pandémie de Corona, mais seulement une plandémie de tests PCR, alimentée par une opération psychologique élaborée visant à créer un état de panique constant parmi la population mondiale. Ce programme a été planifié de longue date. Son précurseur, qui a finalement échoué, était la grippe porcine il y a une douzaine d’années. Et il a été concocté par un groupe de super riches psychopathes et sociopathes qui haïssent et craignent les gens en même temps, n’ont aucune empathie et sont animés par le désir de prendre le contrôle total de nous tous, les peuples du monde. Ils utilisent nos gouvernements et les grands médias, qu’ils possèdent littéralement pour les deux, pour véhiculer leur propagande panique 24 heures sur 24, 7 jours sur 7.

Deuxièmement, le virus lui-même peut être traité de manière sûre et efficace avec des vitamines C, D, du zinc, etc. Et aussi avec l’utilisation non autorisée de l’Ivermectin, de l’Hydroxychloroquine, etc. Mais toutes ces méthodes de traitement, non pas alternatives, mais réelles, ont été interdites par ceux qui utilisent le prétexte de cette pandémie pour atteindre leur objectif ultime, qui est de faire en sorte que tout le monde reçoive, comme nous le montrerons dans cette procédure, des injections expérimentales non seulement in-efficaces, mais aussi très dangereuses, voire mortelles.

Troisièmement, les mêmes personnes qui ont fait de la grippe porcine, qui s’est finalement avérée être une grippe bénigne, une pandémie il y a douze ans, en changeant d’abord la définition de ce qu’est une pandémie et en créant ensuite la panique, ont créé cette pandémie de Corona. La grippe porcine a été leur première véritable tentative de créer une pandémie. Et tout comme l’un de ses objectifs à l’époque était de détourner notre attention des activités frauduleuses flagrantes de leur industrie financière, qu’il serait plus approprié d’appeler la mafia financière, qui était devenue visible avec la crise de Lehman, c’est également l’un des principaux objectifs de cette pandémie de Corona aujourd’hui. Si nous avions regardé de plus près lors de la crise de Lehman, au lieu de croire aveuglément les promesses de nos gouvernements selon lesquelles les auteurs de ces crimes financiers seraient tenus pour responsables, nous aurions vu qu’ils ont pillé et saccagé nos caisses publiques pendant des décennies, et nous aurions vu que nos gouvernements ne sont plus nos gouvernements, mais qu’ils ont été pris en main par l’autre partie par le biais de leur principale plate — forme, le Forum économique mondial, qui a commencé à créer ses propres leaders mondiaux par le biais de son programme Young Global Leaders dès 1992, les premiers diplômés étant Angela Merkel et Bill Gates. Et nous aurions déjà compris à l’époque ce que nous allons vous montrer maintenant, à travers cette procédure, ces crimes financiers n’ont pas été contestés par nos politiciens parce qu’ils aident et encouragent ceux qui les commettent et profitent de ces crimes.

Quatrièmement. En fin de compte, cependant, nous vous montrerons, à vous, le jury, que le but principal de l’autre partie est d’obtenir un contrôle total et complet sur nous tous. Cela implique la finalisation de leur pillage en détruisant délibérément nos petites et moyennes entreprises, nos commerces de détail, nos hôtels et nos restaurants, afin que des plateformes telles qu’Amazon puissent prendre le relais. Et cela implique le contrôle de la population, qui, selon eux, nécessite à la fois une réduction massive de la population et la manipulation de l’ADN de la population restante, à l’aide, par exemple, d’injections expérimentales d’ARNm.

Mais cela nécessite également, selon eux, la destruction délibérée de la démocratie, de l’État de droit et de nos constitutions par le chaos, afin que nous acceptions finalement de perdre nos identités nationales et culturelles et que nous acceptions à la place un gouvernement mondial unique sous l’égide de l’ONU, qui est maintenant sous leur contrôle total, et leur Forum économique mondial, un passeport numérique, dont chaque mouvement est surveillé et contrôlé, et une monnaie numérique, que nous ne pourrons recevoir que d’une seule Banque mondiale, la leur, bien sûr.

À la fin de la procédure, et après que vous ayez entendu toutes les preuves, nous sommes convaincus que vous recommanderez des mises en accusation contre les six accusés présumés : Christian Drosten d’Allemagne, Anthony FAUCI des États-Unis, Tedros de l’Or-ganisation mondiale de la santé, Bill Gates, BlackRock et Pfizer.

Mesdames et Messieurs, cette affaire concerne un programme de longue haleine d’un groupe de personnes ultra riches et de leur mafia financière basée à la City de Londres et à Wall Street, qui consiste à utiliser une pseudo-pandémie comme un prétexte derrière lequel, pendant que notre attention est portée sur la pandémie, ils veulent achever leurs efforts de plusieurs décennies pour obtenir un contrôle total et complet sur nous tous. Il existe de nombreuses plateformes sur lesquelles ce groupe s’est réuni et a discuté de cet agenda, mais la plus importante est celle du Forum économique mondial, qui a été inventé en 1971 par Klaus Schwab, alors âgé de 33 ans.

Ses membres sont 1000 entreprises mondiales ayant un chiffre d’affaires annuel d’au moins 5 milliards de dollars, des hommes politiques, des représentants des médias, des scientifiques et d’autres personnalités dites de haut niveau.

Ils se réunissent une fois par an à Davos, mais il existe d’autres réunions de ce type, par exemple en Chine. Et depuis 1992, ils ont créé et nous ont présenté leur propre groupe de leaders politiques pour le monde. Parmi les premiers diplômés, comme je l’ai déjà dit, on trouve Angela Merkel et Bill Gates en 1992. D’autres sont Sebastian Courts, jusqu’à récemment chancelier d’Autriche, Justin Trudeau, Premier ministre du Canada, Jacinda Ardern, Premier ministre de Nouvelle-Zélande, Emmanuel Macron, Président de la France, et beaucoup, beaucoup d’autres.

Ce groupe, qui est maintenant appelé la Clique de Davos, — la publication The Great Reset de Klaus Schwab est l’une des sources les plus importantes pour cette organisation, promeut ouvertement le transfert des actifs du monde vers ce groupe de personnes super riches, de sorte qu’en 2030, les gens ordinaires ne posséderont rien et seront heureux, comme il est explicitement indiqué dans leur gouvernement mondial unique, avec une monnaie numérique qui nous sera donnée par leur Banque mondiale unique. Et ils encouragent aussi ouvertement, en étroite collaboration avec des gens comme le défendeur putatif Bill Gates, les Rockefeller et d’autres, la réduction drastique de la population mondiale et la manipulation de l’ADN de la population restante jusqu’au transhumanisme.

Leur objectif le plus important est, cependant, l’implosion contrôlée, par eux, bien sûr, du système financier complètement pillé et l’introduction simultanée d’une monnaie numérique émise par une Banque Mondiale Unique contrôlée par eux, et tout aussi important, l’introduction d’un gouvernement mondial sous l’ONU, qui est passé sous leur contrôle total en 2019. À cette fin, ils ont fait des plans concrets pour cette plandémie de Corona depuis au moins le printemps 2001 : l’opération Dark Winter, suivie d’une autre répétition de ce type : l’exercice lockstep de la Fondation Rockefeller en 2010. Enfin, l’Event 201 en octobre 2019 à New York, parrainé par le Johns Hopkins Center for Health Security, la Fondation Rockefeller, le Forum économique mondial et la Fondation Bill et Melinda Gates.

Membres du jury, nous allons appeler un certain nombre de différents témoins experts très renommés de tous les horizons de la science, mais aussi des témoins qui témoigneront des dommages qu’ils ont subis suite à l’obtention des injections expérimentales. Après nos déclarations préliminaires, nous commencerons dans une semaine par appeler d’anciens membres de l’armée américaine, James Bush, qui a participé à l’opération Dark Winter en 2001, d’anciens membres des services de renseignement britanniques Brian Gerrish et Alex Thompson, et les journalistes d’investigation Whitney Web et Matthew Erett, et d’anciens employés et conseillers de l’Organisation mondiale de la santé, le Dr Sylvia Barront et le Dr Astrid Stuckelberger. Ils nous expliqueront le contexte historique et géopolitique de ce à quoi nous sommes confrontés, et ils nous montreront comment cet agenda a été planifié depuis au moins 20 ans, en commençant par l’opération Dark Winter en 2001, et une dizaine d’années plus tard, le scénario lockstep de la Fondation Rockefeller, pour finir par la répétition générale, l’Event 201 en octobre 2019. Et ils expliqueront comment, alors qu’il n’y avait pas de cas — ce dont ils avaient besoin pour déclarer une urgence de santé publique de portée internationale, ils les ont créés. En demandant à l’accusé Drosten d’inventer l’histoire des infections asymptomatiques qui n’existent pas, et comment ce test PCR peut détecter par un dépistage de masse de personnes parfaitement saines, celles qui sont infectées, c’est un mensonge, comme nous le montrerons.

Nous poursuivrons avec le prochain groupe de témoins, le Dr Wolfgang Wodarg, pneumologue expérimenté et ancien membre du Bundestag allemand et du Conseil de l’Europe, qui a réussi à démasquer la première tentative de pandémie de la partie adverse, la grippe porcine d’il y a douze ans, comme une grippe bénigne. Le professeur Ulrike Kammërer, biologiste de l’université de Vertzbroke, le docteur Mike Yeadon, ancien vice-président de Pfizer, le docteur Sylvia Barront, le docteur Astrid Stuckelberger, le professeur Dolores Chill de l’université de Dublin, le professeur Antonia Tagati d’Italie, le professeur Berkholtz d’Allemagne. Ces experts vont nous expliquer ce qui se cache derrière la légende de l’épidémie du marché humide de Wuhan. Ils montreront que le virus n’est pas plus dangereux que la grippe ordinaire. Le test PCR ne peut rien nous dire sur les infections, mais il est la seule base de toutes les mesures anti-Corona, y compris la mesure ultime, les soi-disant vaccins. Et les soi-disant vaccins sont non seulement inefficaces, mais aussi extrêmement dangereux. Indépendamment de l’origine naturelle ou humaine du virus, notre système immunitaire est parfaitement capable de faire face au virus, comme le prouve un taux de létalité des infections compris entre 0,4 ou 0,5 % ou même moins. Il n’y a eu aucune surmortalité nulle part, avant le début des injections expérimentales. Il n’y a même pas eu de cas au début de 2020. Cependant, ils avaient besoin de cas pour déclarer une urgence de santé publique de portée internationale, car c’était la seule base sur laquelle il serait possible, selon leurs propres règles inventées et acceptées par tous les gouvernements des États membres de l’Organisation mondiale de la santé, d’utiliser de nouveaux médicaments non testés — les injections expérimentales — sur des personnes.

Après une première tentative ratée d’annoncer cette urgence de santé publique de portée internationale parce qu’il n’y avait pas de cas, ils ont réessayé fin janvier 2020 après avoir créé des cas à l’aide de ce désormais tristement célèbre test PCR de Drosten, et ont annoncé cette urgence de santé publique de portée internationale deux semaines plus tard. Ces experts nous diront que ces cas étaient presque tous des résultats de tests faussement positifs, rien d’autre.

Le prochain groupe d’experts est composé du Dr Thomas Binder de Suisse, du Dr Brian Artist du Texas, du Dr Shankara Chetty d’Afrique du Sud, du Dr Wolfgang Wodarg d’Allemagne et de John O’Looney, Undertaker d’Angleterre. Ces experts nous expliqueront comment, dès le départ, nous avons été les témoins d’une interdiction délibérée et totalement insensée des méthodes normales, efficaces et sûres de traitement des maladies respiratoires et, à la place, à une obligation de traitements qui doivent aujourd’hui être considérés comme des fautes médicales graves. Intubation, Remdesivir, Midazolam.

John O’Looney expliquera comment il a d’abord cru les allégations de l’autre partie concernant une pandémie, et a même aidé la BBC à diffuser sa propagande de panique, jusqu’à ce qu’il réalise que sous le couvert de la pandémie, des gens étaient tués intentionnellement.

Nous appellerons ensuite le groupe suivant d’experts, dont le professeur Alexandra Henrion Caude de France, le Dr Mike Yeadon, le professeur Sucharit Bhakdi d’Allemagne, le professeur Luc Montagnier de France, le Dr Vanessa Schmidt Kruga d’Allemagne, le Dr Robert Malone, inventeur de la technique du vaccin ARNm des États-Unis, et la professeur Anna Blochat, pathologiste d’Allemagne. Ils nous montreront que si le virus n’a pas provoqué de surmortalité, son taux de survie est de 99,97 %. Les injections tuent maintenant des gens et ont causé une surmortalité allant jusqu’à 40 % depuis septembre, en raison d’un empoisonnement par la protéine spike et de l’arrêt de notre système immunitaire.

Le Dr Mike Yeadon nous expliquera comment un groupe de scientifiques a même trouvé des preuves concrètes que les fabricants de vaccins expérimentent des dosages mortels, pour voir comment les effets secondaires mortels peuvent être manipulés de manière à ce que la population ne comprenne pas immédiatement ce qui se passe.

Le groupe d’experts suivant nous expliquera comment on a pu en arriver là. Ce groupe comprend le professeur Matthias Desmond de Belgique, le docteur Ariane Bilheran de France, le docteur Meredith Miller des États — Unis, le professeur Harald Walach d’Allemagne et Stefan Kuhn, employé du ministère allemand de l’Intérieur. Ces experts nous expliqueront comment l’autre partie, après avoir établi rapidement l’urgence de santé publique de portée internationale, nous a présenté le confinement, les obligations absurdes et dangereuses du port du masque et la distanciation sociale très nuisible, à la fois physiquement et psychologiquement, jusqu’à ce qu’ils arrivent à leur objectif ultime, les injections inefficaces et dangereuses, voire mortelles. Et ils nous expliqueront en détail comment notre consentement à tout cela a été rendu possible par une gigantesque opération psychologique dont le message de panique nous a été transmis par la propagande implacable des médias grand public et de nos politiciens, tous deux détenus par l’autre camp.

Le groupe d’experts suivant comprend Leslie Manukin, ancienne banquière d’affaires américaine, Naomi Wolf, journaliste et auteur américaine, Anzwef, économiste allemand, le professeur Christian Christ, économiste allemand, le professeur Hogareko, économiste allemand, et Marcus Karl, économiste allemand. Ces experts nous expliqueront en détail la destruction intentionnelle de nos économies et la manière dont l’autre camp travaille à un crash contrôlé du système financier afin d’échapper aux crimes qu’il a déjà commis au cours des dix dernières années, des décennies de pillage de nos caisses publiques jusqu’à ce qu’il ne reste plus rien, et d’introduire une Banque Mondiale Unique, une monnaie numérique et un passeport numérique.

Le dernier groupe d’experts comprend Matthew Erett, un journaliste d’investigation du Canada, Vera Sharav, une survivante de l’Holocauste, Ilana Rachel Daniel d’Israël, le rabbin Smith de New York, Patrick Wood, un expert en technocratie des États-Unis, Avital Livni d’Israël. Dans la dernière partie de l’enquête, ces experts nous expliqueront comment une partie importante du programme de l’autre camp est liée au contrôle de la population, ou plutôt à l’eugénisme. Après la Seconde Guerre mondiale, l’eugénisme avait mauvaise réputation, comme l’a dit Julian Huxley, qui a fondé l’ensemble de l’UNESCO. Mais lui et le très grand groupe de personnes qui soutenaient l’idée de l’eugénisme allaient bientôt pouvoir poursuivre leurs efforts dans ce sens, il l’a expliqué ouvertement.

Les parallèles entre ce qui s’est passé il y a 80 ans et ce qui se passe maintenant ne doivent pas être ignorés. Vera Sharav nous le rappellera.

Après avoir entendu toutes les preuves, nous ne doutons pas que vous recommanderez des actes d’accusation contre tous nos défendeurs putatifs pour crimes contre l’humanité. Merci.

36:30 Viviane Fischer :

Merci pour cette vue d’ensemble et aussi pour nous avoir donné un aperçu de l’ensemble des experts que nous allons entendre. Je voudrais maintenant revenir à l’avocate Ena Garner des États-Unis, pour nous donner plus d’informations sur le test PCR.

36:52 Ana Garner :

Merci. Pour comprendre l’énormité de la planification de cette collaboration criminelle à l’échelle mondiale, nous devons commencer par la base de la pandémie. C’était un gros mensonge. C’était un mensonge pour les gouvernements du monde de déclarer, presque à l’unisson, une pandémie mondiale. Un mot comme tant d’autres impliqués dans ce récit officiel, dont la définition a été modifiée pour répondre aux objectifs du programme.

Plus précisément, ce dont je voulais parler, c’est du grand mensonge basé sur le test PCR, sur les tests. Ce n’est pas une pandémie, mais une « casedémie ». Les informations qui nous ont été données par le CDC et la FDA sur le test PCR sont manifestement fausses, et nous aurons des éléments pour le prouver. En fait, cette méthode n’est pas du tout un test, pas un test de diagnostic, mais une technologie de fabrication génétique, qui recherche des bribes de code spécifiques et les amplifie en les doublant à chaque cycle. Son inventeur, Karry Mullis, qui a obtenu un prix Nobel pour le procédé qu’il a inventé, a déclaré qu’il n’a jamais été question d’en faire un outil de diagnostic valable, et il est connu de tous ceux qui l’utilisent qu’il ne peut pas détecter d’infection active. Drosten, l’un des accusés, le savait. Il savait que le test n’avait aucun sens et qu’il était faux. Cependant, ce test a été utilisé pour créer une panique mondiale et l’obtempération. Le CDC a même admis que son propre test, récemment retiré, était basé sur des échantillons truqués. Les seuils de cycle grossièrement excessifs recommandés par l’OMS, c’est-à-dire le nombre d’amplifications que subit une petite quantité de matériel génétique, pour déterminer s’il y a quelque chose de présent, sont bien au-delà des normes de l’industrie, et ils rendent tout test inutile, avec des résultats faussement positifs à des taux approchant les 100 %. Des études ont montré que le taux de faux positifs de ce test PCR est en fait plus proche de 97 %. Cela signifie que 3 % de la population dont le test est positif sont peut — être malades de quelque chose, mais nous ne savons pas de quoi ils sont malades, parce que le test ne le détermine pas. Ce test a été utilisé de manière abusive dans le monde entier pour justifier frauduleusement l’existence d’une pandémie et pour déterminer des chiffres de cas et de décès faussement gonflés.

Nous démontrerons par des preuves claires et convaincantes que les défendeurs ont participé à ce mensonge mondial et ont qualifié une maladie largement dispersée géographiquement, avec des taux de survie équivalents à ceux d’une grippe saisonnière, de pandémie permettant de fausses déclarations mondiales d’urgence de santé publique. À partir de cette situation d’urgence qui dure maintenant depuis près de deux ans, les gouvernements ont imposé des restrictions draconiennes, la séparation et l’isolement des populations vulnérables, comme les personnes âgées et les enfants, ainsi que la mise en place de vaccins obligatoires dans le monde entier.

Nous savons que la prochaine étape sera la mise en place de passeports vaccinaux, qui verrouilleront encore plus notre planète, ainsi que des camps de quarantaine partout. Notre confiance a été trahie par la corruption du système, et nous vous fournirons des faits vérifiables prouvant que nous avons tous été gravement trompés pour croire à un gros mensonge. Et les objectifs finaux étant, selon les termes de l’un des accusés, Bill Gates, de vacciner chaque homme, femme et enfant de la planète, avec des injections expérimentales modifiant les gènes.

Ces tests PCR ont été utilisés pour augmenter le nombre de cas et de décès. Examinons la définition d’un cas. Historiquement, un cas était une personne malade, et pas seulement un test positif en l’absence de tout symptôme. Avec des tests effectués dans le monde entier sur des personnes en bonne santé, ils ont grossièrement gonflé le nombre de cas. Et cela nous est diffusé en permanence par les médias grand public, par le Department of Highway Signs aux États-Unis et peut — être dans d’autres pays, et a été utilisé pour inciter la panique et l’obtempération dans le monde entier.

Les inconvénients importants sont la raison pour laquelle le test PCR ne devrait être effectué que sur des patients symptomatiques et pourquoi un test positif ne devrait être considéré que comme un seul facteur de tout diagnostic. Vous ne pouvez pas diagnostiquer quelqu’un en l’absence de symptômes cliniques et en l’absence de diagnostic médical.

Nous nous retrouvons donc à tester des personnes en bonne santé en grand nombre, ce qui donne lieu à des chiffres faussement gonflés et à la panique. Le CDC et la FDA ont reconnu ce potentiel, tout comme les auteurs de ces crimes, que nous allons présenter.

Les preuves montreront que Drosten, qui prétend avoir inventé le test du Covid-19, était conscient de ses limites et de sa fausseté. Le test n’était spécifique d’aucun virus ni d’aucune bactérie. Par conséquent, il est inutile pour déterminer ce qui pourrait même causer des symptômes. Ce à quoi le test est bon, c’est à provoquer une panique mondiale. Même les morts, autre chiffre faussement gonflé, qui doit être examiné à la lumière de ces faux tests PCR. Un décès avec un test PCR positif est considéré comme un décès dû à Covid. Que vous ayez été admis à l’hôpital à la suite d’un accident de voiture, d’une crise cardiaque ou même d’un accouchement. Si vous avez été testé positif et que vous êtes décédé dans les 28 jours environ suivant votre test, votre décès a été attribué à Covid-19. Même notre CDC a admis, plus tard au cours de la pandémie, que 95 % des décès attribués au Covid étaient dus à d’autres causes. C’était simplement basé sur un faux test. Les fabricants savaient aussi tout cela, y compris je cite : « l’inventeur du test Covid-19, Drosten ».

Nous assistons maintenant à un message de peur qui a provoqué une discrimination institutionnalisée contre les personnes qui ne choisissent pas d’être vaccinées et qui ne choisissent pas d’être testées. Ceci est moralement répréhensible selon toute norme humaine. Le résultat de ces faux tests est un énorme préjudice catastrophique pour les populations du monde entier. Il y a des scientifiques et des médecins qui témoigneront de l’énorme préjudice catastrophique qui a été causé par ces tests. La preuve juridique de l’intention et de la connaissance se trouve dans les divers documents de la FDA et les documents connexes, et ils sont conçus pour obscurcir et égarer même les avocats qui lisent et parcourent ces documents. Comme vous pouvez commencer à le voir ici, les piliers de la narration officielle du Covid et celle des médias, qui sont une seule et même chose, tombent comme des dominos lorsque l’on montre les preuves.

Il existe des preuves irréfutables de fraude et de malfaisance multiforme dans tout le régime Covid. Si vous avez le courage et l’honnêteté intellectuelle de les regarder, de les étudier et de les considérer équitablement, faites-le. Cela peut être choquant pour certains, incroyable pour d’autres, mais je vous assure que ces preuves sont réelles et inquiétantes. L’une des choses qui en découlent est que le système doit prétendre que la seule réponse à ces nombres exagérés de cas et de décès est les vaccins, et ils ont fait cela pour que leur utilisation d’urgence soit autorisée et qu’ils figurent sur les calendriers des enfants. Et c’est ce qui va suivre. Merci de votre attention.

44:54 Viviane Fischer :

Merci beaucoup Mme. Garner pour cette voix additionnelle. J’aimerais maintenant me tourner vers Dipali Ojha, de l’Inde. Est-ce que vous nous entendez ?

45:09 Dipali Ojha :

Oui. Merci beaucoup. Bonjour à tous. Je suis l’avocate Dipali Ojha, d’Inde. C’est un grand honneur pour moi de présenter ma déclaration d’ouverture au Grand Jury du Tribunal populaire de l’opinion publique. Je remercie le Juge Rui Da Fonsesca et tous mes collègues juristes pour cette présentation pleine d’espoir et de perspicacité.

En mars 2020, la plupart d’entre nous ont été pris au dépourvu lorsque les gouvernements du monde entier ont annoncé le début d’une pandémie supposée être créée par un nouveau virus SARS — CoV2 qui pourrait provenir de Wuhan, en Chine. Dès la déclaration de la pandémie, une série d’annonces sans précédent a été faite, comme la fermeture des frontières internationales, l’arrêt complet des vols internationaux, l’obligation de porter un masque, le respect d’une distance sociale et des mesures des plus mortelles comme le confinement. En Inde, les services ferroviaires se sont arrêtés net pour la première fois en 167 ans d’histoire. Chaque pays a rapidement adopté des mesures similaires, censées prévenir et contrôler la propagation de l’infection.

Dans cet état de chaos, de panique, de choc, d’incertitude et de peur, la plupart d’entre nous se fient aux médias grand public comme source d’informations authentiques sur ce virus et les ravages qu’il a provoqués chez nous. L’un des aspects les plus marquants de la communication que nous recevons constamment des gouvernements et des autorités sanitaires du monde entier est qu’il n’existe aucun remède connu contre le virus Sars-Cov-2. Dans plusieurs pays, les patients malades se voyaient refuser l’admission dans les hôpitaux et étaient renvoyés chez eux en prétextant qu’il n’y avait pas de remède à cette maladie. Pendant cette phase, il y avait des médecins honnêtes et des médecins de première ligne qui traitaient les patients avec d’anciens médicaments, ce qui n’est certainement pas un phénomène nouveau dans le courant de la médecine allopathique. Et certains médecins ont proposé leurs propres protocoles de traitement sur la base de leur vaste et riche expérience clinique.

Tandis que les médecins font leur devoir solennel de sauver la vie de leurs patients de la meilleure manière possible, en utilisant de vieux médicaments dont la sécurité a été prouvée, en association avec des suppléments comme le zinc, la vitamine C, la vitamine D, etc., nous avons assisté à une opposition véhémente de la part des mêmes autorités sanitaires qui étaient à la tête de la conception de la réponse à la pandémie. L’agitation de ces autorités sanitaires s’est manifestée par le rejet de toute information révélant l’efficacité des traitements précoces et l’existence de thérapies alternatives pour traiter les patients atteints du Covid-19.

Toute personne d’intelligence ordinaire aurait trouvé cela déraisonnable dans la mesure où sauver des vies serait évidemment le premier et le plus important des objectifs, surtout lorsque les médecins, sur la base de leur expertise clinique, affirmaient pouvoir guérir les patients grâce aux traitements précoces.

Je vais dévier ici un moment pour partager avec vous quelque chose du point de vue de mon pays, l’Inde. En Inde, nous avons une riche tradition de systèmes de médecine alternative comme l’Ayurveda, le Siddha, le Unani et d’autres systèmes de guérison comme la naturopathie et l’homéopathie. En fait, il existe un ministère spécifique au sein du gouvernement indien appelé AYUSH, qui est un acronyme pour Ayurveda, Yoga et Naturopathie, Unani, Siddha et Homéopathie.

Les médecins reconnus qui sont formés pour pratiquer ces systèmes de médecine alternative ont traité avec succès des patients Covid-19. Cependant, après le lancement de ces vaccins expérimentaux, nous ne devrions pas les appeler des vaccins. En fait, il s’agit d’injections, ce qui serait une description plus appropriée. Après le déploiement de ces injections expérimentales, le blocage de toute discussion autour des traitements alternatifs semble être devenu plus prononcé, y compris le licenciement des médecins qui ont préconisé des traitements précoces pour le Covid, ceux qui ont proclamé que les traitements précoces étaient effectivement sûrs et efficaces. Certains médecins ont même fait l’objet de mesures disciplinaires de la part de leur conseil médical. Certains ont été ridiculisés publiquement et ont risqué l’annulation ou la suspension de leur licence médicale.

Une telle réaction académique de la part des autorités sanitaires, des gouvernements et des conseils médicaux était en soi un signal d’alarme indiquant que quelque chose, quelque part, n’allait pas et n’était pas correct. Il est intéressant de noter que la plupart des personnes qui dictaient les réponses pour le Covid-19 des pays du monde entier ne traitaient même pas les patients Covid, mais ne prêtaient aucune attention aux médecins honnêtes et diligents qui traitaient réellement les patients sur le terrain avec un traitement précoce.

Comme mon savant collègue l’a déjà souligné, la raison possible du blocage de toute information concernant l’efficacité des traitements précoces pour l’autorisation d’utilisation d’urgence qui n’est accordée que lorsqu’il n’y a pas de médicament adéquat, premièrement approuvé et disponible pour le traitement.

L’affirmation selon laquelle il n’y a pas de traitement pour le Covid-19 a permis aux fabricants de vaccins de demander l’autorisation d’utilisation d’urgence. En outre, les entreprises pharmaceutiques bénéficient d’une immunité lorsque cette autorisation leur est accordée. Je souhaite informer ici qu’en Inde, il n’existe pas de dispositions spécifiques comme celles établies par la FDA américaine concernant l’octroi d’une autorisation d’utilisation d’urgence et que, par conséquent, jusqu’à récemment, les traitements alternatifs ou les médicaments de traitement précoce faisaient partie du protocole national indien de gestion du Covid.

L’Ivermectine et l’Hydroxychloroquine étaient inclus dans un protocole national jusqu’à fin septembre 2021. En fait, des États comme l’Uttar Pradesh et Goa en Inde se sont fait connaître au niveau mondial pour avoir démontré avec succès l’utilisation de l’Ivermectine dans le contrôle de la propagation du Covid-19 et la guérison rapide des patients. Cependant, ces réussites ont été délibérément sapées et supprimées par toutes ces personnes et plateformes médiatiques compromises qui ont lourdement investi dans des entreprises de vaccins ou qui ont un intérêt direct, sous une forme ou une autre, à ce que le succès de ces médicaments de traitement précoce ne soit pas connu de tous. L’absence manifeste de tout débat scientifique sur l’efficacité des traitements précoces, associée au musellement des voix qui tentent de faire connaître l’efficacité des médicaments de traitement précoce, est un signe clair que les gouvernements et les autorités sanitaires du monde entier poussent le vaccin comme la seule solution pour guérir le Covid-19.

Un autre aspect spécifique à l’Inde est qu’il n’y a pas d’immunité pour les fabricants de vaccins en Inde, ce qui a été confirmé par une déclaration sous serment déposée par le gouvernement indien auprès de la Cour suprême de l’Inde. Récemment, nous avons aidé à fournir une pétition à la Haute Cour de Bombay par un père qui a perdu sa fille suite à la première dose de ces vaccins expérimentaux. Il a demandé une indemnisation d’environ 1,3 milliard de dollars pour la perte de la vie de sa fille.

C’est le deuxième cas que nous avons aidé à déposer. Le premier cas a été déposé en novembre 2021 par une mère qui a perdu son jeune fils suite à la première dose de ces vaccins expérimentaux. Dans ce cas, le fils a été contraint de prendre le vaccin expérimental afin d’accéder au système de transport public qui ne permet qu’aux personnes vaccinées de voyager, conformément à l’ordre administratif du gouvernement. En plus de la compensation monétaire pour la perte de la vie de son fils à cause de ces injections expérimentales, cette mère a également demandé une enquête approuvée par la Première Agence d’Investigation d’Inde sur le rôle de toutes les personnes impliquées dans l’enchaînement des événements, depuis les fabricants de ces vaccins, les personnes en charge de la réponse au Covid-19 ici en Inde et tous ceux qui ont prétendu que ces vaccins Covid sont 100 % sûrs et efficaces.

Nous nous attendons à ce que plusieurs plaintes soient déposées dans tout le pays dans un avenir proche par des victimes de ces expériences médicales.

Il serait inapproprié d’appeler ces produits des vaccins, car les vaccins sont censés fournir une immunité contre une maladie. Alors que l’on nous avait promis que les vaccins Covid nous protégeraient d’un virus prétendument mortel, nous constatons aujourd’hui que ces vaccins Covid n’empêchent pas d’entrer en contact avec la maladie et n’en arrêtent pas la transmission. En outre, ces vaccins ont montré qu’ils avaient des effets secondaires graves, y compris des décès, de sorte qu’il est impossible de justifier des produits médicaux expérimentaux qui n’arrêtent ni l’infection ni la transmission.

En outre, les personnes vaccinées sont tenues de suivre le comportement approprié en cas de confinement, de rester à l’intérieur, de porter des masques et de respecter les distances sociales.

Il y a un autre aspect alarmant de la manière dont ces injections expérimentales sont administrées à la population mondiale que je souhaite porter à votre attention. Il s’agit du consentement éclairé et de la manière dont les lois établies autour du consentement éclairé ont été ouvertement violées.

Dans le procès que nous avons intenté ici en Inde, outre les précédents judiciaires spécifiques à l’Inde établis par nos tribunaux, nos hautes cours et la Cour suprême, nous avons également cité les dispositions de la Déclaration universelle sur la bioéthique et les droits de l’homme de 2005, qui imposent de fournir des informations détaillées au public afin d’obtenir son consentement éclairé à de telles expérimentations médicales.

Toutes ces dispositions ont été violées. Par exemple, l’article 3 de la Déclaration universelle sur la bioéthique et les droits de l’homme stipule que la dignité humaine, les droits de l’homme et les libertés fondamentales doivent être pleinement respectés et que l’intérêt et le bien — être de l’individu doivent avoir la priorité sur le seul intérêt de la science et de la société.

De même, l’article 6 de la même déclaration stipule que toute intervention médicale préventive, diagnostique et thérapeutique ne peut être mise en œuvre qu’avec le consentement préalable, libre et éclairé de la personne concernée, fondé sur des informations adéquates. Ce consentement doit, le cas échéant, être exprimé et peut être retiré par la personne concernée à tout moment et pour toute raison sans inconvénient ni préjudice.

Il existe également un autre jugement de référence que nous avons cité dans les procédures que nous avons déposées, à savoir le jugement rendu par la Cour suprême du Royaume-Uni dans l’affaire Montgomery contre Lanarshire Health Board, qui date de 2015. Alors que nous discutons des points cruciaux concernant l’absence de consentement éclairé et la violation de plusieurs conseils et accords internationaux dans ce processus de déploiement de ces vaccins expérimentaux, la partie adverse, M. Global, s’appuie généralement sur un examen très peu convaincant pour justifier ces produits médicaux expérimentaux, à savoir que les avantages l’emportent sur les risques.

Nos témoins experts présenteront les preuves qui montrent l’étendue de la façon dont ces produits expérimentaux ont infligé à la population les effets sérieux et graves de ces injections, y compris des décès, le manque de transparence autour des données des essais cliniques, la sous-déclaration des décès causés par ces vaccins, toutes ces preuves que nos experts présenteront au grand jury lors des prochaines audiences démoliront complètement ce raisonnement, couramment utilisé pour pousser ces vaccins expérimentaux que les avantages de ces injections expérimentales l’emportent sur les risques.

Pour conclure, je souhaite attirer l’attention du jury sur ce qui suit. La raison pour laquelle les autorités déclarent qu’il n’y a pas de traitement pour le Covid-19 n’est pas claire jusqu’à aujourd’hui puisqu’il n’y a pas eu de débat scientifique ou de discussion entre les personnes en charge de la réponse Covid dans les pays et les médecins, les scientifiques et les docteurs qui prétendent avoir une histoire de succès prouvée et documentée autour du traitement précoce efficace. Deuxièmement, il n’y a eu aucune initiative, aucun effort pour mener des essais cliniques sur l’efficacité des médicaments de traitement précoce de la part des personnes responsables de la conception de la réponse officielle des pays au Covid. Il y a eu un déni général concernant l’immunité naturelle ou l’immunité développée après une infection naturelle, malgré la publication de plusieurs études à cet effet.

Les grandes entreprises technologiques censurent délibérément quiconque choisit de parler de l’existence de traitements alternatifs et du fait qu’ils sont plus sûrs que les injections expérimentales.

Enfin, le fait que de vieux médicaments, pour lesquels il existe de nombreuses données sur la sécurité, soient ignorés et qu’une injection médicale expérimentale lancée à la hâte soit présentée comme sûre et efficace. Nous savons qu’il n’y a aucune transparence autour des données sur les essais cliniques réalisés. Compte tenu du nombre d’effets indésirables signalés chaque jour dans le monde, ces produits expérimentaux sont tout sauf sûrs.

Nos témoins experts couvriront chacun de ces aspects en détail lors des prochaines audiences. Et je suis persuadé qu’après avoir examiné les éléments de preuve amenés au dossier, le grand jury sera parfaitement équipé pour évaluer le rôle et la complicité de chaque personne, chaque entité, chaque organisation impliquée dans la commission de ces horribles crimes contre l’humanité.

Merci de votre attention.

59:12 Viviane Fischer :

Merci beaucoup. Maintenant, l’avocat Dexter Ryneveldt d’Afrique du Sud est avec nous. Pouvez-vous nous entendre ?

59:25 Dexter Ryneveldt :

Je vous entends très bien.

59:28 Viviane Fischer :

Fantastique. La parole est donc à vous.

59:31 Dexter L-J. Ryneveldt :

Merci beaucoup. Mes sincères excuses. Je suis Dexter Ryneveldt, un avocat pour la défense des droits en Afrique du Sud. C’est avec un grand honneur et une grande reconnaissance que je vous présente, membres de ce jury, une déclaration du tribunal de l’opinion publique, une déclaration d’ouverture.

Tout d’abord, je tiens à remercier Lemuel Malloy, Yvonne Katsanda, Kabura Monieki et Walter Mashillo, ainsi que tous les courageux témoins blessés par le vaccin Covid-19 dans le monde entier, pour leur aimable assistance et leur participation.

Je vais commencer par ce que Thomas Payne a dit il y a 200 ans, et qu’il a d’ailleurs énoncé de manière très éloquente :

« Les plus grandes tyrannies sont toujours perpétrées au nom des causes les plus nobles ».

Cette déclaration est encore plus pertinente aujourd’hui qu’elle ne l’était il y a 200 ans, et elle le sera encore pendant des années et des siècles.

La question posée à vos honorables membres du jury, quelle est la cause la plus noble ? Elle a été et est toujours exploitée depuis le début de cette pandémie de SARS-CoV-2 Covid-19, qui n’est autre que la cause qui englobe : santé du corps, santé de l’esprit, se résumant à la santé de l’humain. Nous pouvons tous convenir que la cause la plus noble est ce qui est dans le meilleur intérêt de la santé humaine et comment cela affecte notre famille et nos amis, ainsi que notre capacité à générer un revenu. Les preuves présentées montreront exactement comment les défendeurs ont orchestré et manipulé cette cause la plus noble qu’est la santé humaine pour faire avancer l’agenda du contrôle total et de la domination sur une population qui ne s’en rend pas compte, et comment ils ont fait de sérieuses incursions dans les droits populaires, constitutionnels et inaliénables et la liberté. Depuis le début de la pandémie, mesdames et messieurs les jurés, les défendeurs ont déployé et investi des efforts et des sommes considérables dans les relations publiques. En fait, leurs campagnes de relations publiques, avec l’aide des grands médias d’entreprise, capitalisent ces préoccupations de la santé humaine pour leurs bénéfices financiers et leurs aspirations à la domination et au contrôle total.

À leur avantage, ils utilisent le slogan « suivez la science ». C’est une phrase d’accroche que nous connaissons tous si bien. Car chaque fois qu’ils parlent, ils justifient toujours l’expression « suivons la science », « c’est ce que la science » dit pour justifier et légitimer leurs politiques publiques de santé pour le soi-disant bien commun dans le monde entier avec les mesures de confinements.

En abordant les préoccupations de santé humaine en ce qui concerne le Covid-19, les questions pertinentes suivantes doivent être posées, mesdames et Messieurs.

La première question, quelle est la vraie nature du virus SARS-CoV — 2 ? Est-il vraiment nouveau ? Et si oui, dans quelle mesure pouvons-nous dire qu’il est nouveau ? La réponse courte à cette question est non, il n’est pas nouveau. Ici, les preuves apportées par les experts médicaux et scientifiques montreront sans l’ombre d’un doute que nous n’avons pas affaire à un nouveau virus. En fait, mesdames et messieurs, membres de ce jury, le virus SARS — CoV — 2 peut à bien des égards être considéré comme une grippe saisonnière, sa composition est très comparable au virus SARS-CoV-1.

La deuxième question que nous devons poser est la suivante : existe-t-il des traitements médicaux appropriés et viables pour combattre la maladie de Covid-19 ? Sans entrer dans trop de détails, ma collègue Dipali Ojha a clairement indiqué que, oui, en effet, ils facilitent les traitements alternatifs. Et pas seulement les traitements alternatifs faciles, mais ils facilitent les traitements alternatifs qui marchent.

Et c’est la preuve qui vous sera très certainement présentée à chacun. La troisième et dernière question que nous devons poser par rapport à cette préoccupation est : quel est le taux de survie au Covid-19 ?

Une fois de plus, les preuves montreront que la prévision du taux de survie au début de la pandémie n’était rien d’autre qu’une prévision statistique informatisée utilisée pour susciter la peur. Et je crois que nous connaissons tous très bien cette peur qui a été instillée en chacun d’entre nous. Mais en réalité, le taux de survie est de 99,5 %. Certains experts prouveront même que le taux de survie peut atteindre 99,97 %. Le taux de mortalité réelle actuel est loin de correspondre aux prévisions statistiques informatisées. En fait, le taux de mortalité de la grippe saisonnière est plus élevé que celui du Covid-19. Rien que cette déclaration, Mesdames et Messieurs, doit nous amener à réfléchir et à nous demander si cela en valait la peine. Toutes les mesures de confinement, d’aseptisation, de distanciation sociale ? Cela en valait-il vraiment la peine ?

Les trois questions que je viens de vous poser, membres du jury, nous amènent aux États-Unis, à la Bibliothèque nationale de médecine des États-Unis. Il s’agit d’un atelier qui a été mené et je vais en tirer une citation, que vous pouvez rechercher Internet. Il s’agit d’une réponse rapide aux maladies infectieuses par des contre-mesures médicales, mettant en œuvre des capacités durables grâce à un partenariat permanent entre les secteurs public et privé. Et dans lequel le Dr Peter Daszak a écrit au Dr Anthony Fauci : je cite :

« De facto, une crise de maladie infectieuse bien réelle, présente et à un seuil d’urgence, est souvent largement ignorée. Nous devons faire mieux comprendre au public la nécessité de contre – mesures médicales, telles que le simple vaccin contre le coronavirus. Les médias sont un facteur clé et l’économie suivra le battage médiatique. Nous devons utiliser ce battage à notre avantage pour aborder les vrais problèmes. Les investisseurs réagiront lorsqu’ils verront des bénéfices à la fin du processus.»

Fin de citation.

Cette citation en elle-même, Mesdames et Messieurs, est incriminante. Elle est sans ambiguïté. Elle expose le plan derrière la pandémie. Et par un simple clic sur un bouton, membres du jury, vous pouvez rechercher vous-même sur Internet qui sont les bénéficiaires financiers de cette pandémie. Sans nul doute, ce sont les investisseurs. Ce sont les actionnaires des compagnies de vaccins, au grand désespoir de la population, des hommes et femmes ordinaires. Quelle est l’intention ultime pour anéantir les petites et moyennes entreprises ? Les seules entreprises florissantes actuellement sont les sociétés pharmaceutiques et les grands conglomérats technologiques. Nous voyons aussi l’impact direct que cela a eu sur les petits magasins et sur les entreprises de taille moyenne aussi. Les déclarations qui vous seront présentées indiqueront clairement pourquoi les citoyens ont participé aux expériences médicales mondiales sur les vaccins, et le noyau du système de croyances des participants aux vaccins, — et vous l’entendrez de la bouche des victimes blessées par ces vaccins, le noyau du système de croyances qui explique pourquoi ils ont participé à cette expérience médicale, est qu’ils pensaient que ce serait dans leur meilleur intérêt sanitaire et, en fin de compte, financier.

Donc, avec cet ensemble, nous voyons qu’il y a un lien direct : je dois le faire pour ma santé et si je ne le fais pas, je vais y perdre financièrement, je ne serai pas en mesure de gagner un revenu. Et c’est pour cela que je vous expose l’intérêt financier. S’ils ne participent pas aux vaccins expérimentaux, ils risquent de perdre leur revenu. Ce n’est rien d’autre que de la coercition et du chantage, c’est le moins qu’on puisse dire. C’est ce que nous appelons, Mesdames et Messieurs, l’approche de la carotte et du bâton. Les preuves présentées permettront d’élucider les processus et protocoles d’expérimentation médicaux, éthiques qui doivent toujours être respectés lors de la réalisation d’expériences médicales de masse. Les expériences médicales doivent respecter les normes les plus élevées de l’éthique médicale définies dans la Déclaration d’Helsinki, le code de Nuremberg, ainsi que la prescription législative codifiée de chaque pays respectif. Les preuves montreront que, sans nul doute, la Déclaration d’Helsinki, le code de Nuremberg et le code de conduite pour les expériences médicales de chaque pays ont été violés. En fait, ils sont toujours violés avec cette vaccination obligatoire. C’est poussé dans le monde entier.

Et tout cela a été accompli avec le slogan « suivez la science ». Les preuves montreront que le SARS-CoV-2, le Covid-19, peut se comparer à une grippe ordinaire. Honorables membres du jury, l’inventeur de l’ARNm, le Dr Robert Malone, a mentionné sur de multiples plateformes médiatiques alternatives les raisons pour lesquelles les vaccins expérimentaux à ARNm Covid-19 sont dangereux et constituent une fraude avec possibilité de graves séquelles à long terme. Entre autres, il peut s’agir de myocardites, de péricardites, et les preuves l’indiqueront clairement. Nous vous présenterons aussi un large aperçu des tests médicaux et scientifiques de laboratoire menés dans le passé sur la technologie médicale à ARNm jusqu’à ce jour, et pourquoi il n’est pas prudent de déployer les vaccins à ARNm à l’échelle mondiale, sur une population sans méfiance. Les preuves seront corroborées par des pharmacologues, des toxicologues, des immunologistes, des virologistes, des physiologistes et des biochimistes, entre autres. Mais ce n’est qu’un prélude aux preuves qui seront présentées par le professeur Bhakdi, le professeur Palmer ou le Dr Wodarg. Et je cite :

« Dans l’ensemble, il est évident qu’une nouvelle méthode d’introduction de matériel génétique dans les cellules humaines, par le biais d’adénovirus ou de virus adéno-associés est frauduleuse en entraîne des effets secondaires dangereux, dont les causes ne sont pas encore entièrement claires. Si de tels risques peuvent être acceptables dans le cas d’affections sinon incurables comme l’amyotrophie spinale, il est absolument irresponsable de les imposer à des personnes en bonne santé qui présentent peu ou aucun risque de connaître un jour un Covid-19 sévère.»

Fin de citation.

Membres du jury, pour comprendre pleinement l’étendue du plan derrière cette pandémie, nous devons mettre l’attention sur la mesure dans laquelle les défendeurs ont supprimé la procédure standard ou suivi la science. Nous n’avons pas besoin d’aller trop loin pour comprendre le plan de jeu. Nous pouvons simplement examiner comment ils ont changé les définitions épidémiologiques, médicales et scientifiques, pour les adapter et justifier leur mantra « suivre la science ». En dernière analyse, nous devons étudier comment ils ont changé, adapté les définitions médicales et scientifiques. Et les définitions dont nous parlons sont les suivantes : pandémie, endémie, vaccins, immunité collective et immunité naturelle. Les preuves médicales et scientifiques montreront comment ces définitions ont été modifiées, adaptées pour correspondre aux crimes prémédités et intentionnels des accusés, de crime contre l’humanité.

Les adaptations des principales définitions épidémiologiques, médicales et scientifiques sont criminelles, en ce sens qu’elles suivent le récit scientifique. Elles ne sont pas en phase avec les normes et pratiques épidémiologiques bien établies. Les preuves illustreront clairement les divergences entre le récit « suivez la science » et les informations et données médicales et scientifiques objectives et bien établies. Honorables membres du jury, j’attire votre attention sur une citation de Booker T. Washington. Je cite :

« Un mensonge ne devient pas vrai, ce qui est faux ne devient pas juste, et le mal ne devient pas le bien simplement parce que c’est accepté par la majorité. »

Même si la majorité, pour les besoins du raisonnement, — et je veux juste revenir rapidement en arrière, car la citation s’arrête à majorité — même si la majorité, pour les besoins du raisonnement accepte les définitions médicales et scientifiques déformées, on ne peut pas les considérer comme correctes ou véridiques. Un simple changement de définitions médicales et scientifiques, effectué sur un coup de tête sans justifications médicales et scientifiques claires et exemptes d’ambiguïté, ne peut justifier aucun changement chez les patients, et ne peut donc pas être considéré comme une vérité. Peu importe le nombre de fois que les défendeurs et/ou leurs collaborateurs répètent un mensonge, dans le cas qui nous occupe, les médias, il ne peut devenir vrai. Les questions les plus importantes dans l’esprit de la population, d’honorables membres du jury, sont les suivantes : comment se fait — il que les défendeurs aient pu faire autant de progrès dans le déploiement de la pandémie planifiée et des vaccins ? Pourquoi un nombre considérable de personnes se sont — elles laissées prendre au récit de la pandémie des défendeurs au point de se présenter pour être vaccinées avec un vaccin expérimental à ARNm Covid-19 ?

Pour répondre à cette question, nous devons nous pencher sur le concept suivant : l’astroturfing. Je vais vous lire la définition d’astroturfing tirée de Merriam Webster :

« Activité organisée destinée à créer la fausse impression d’un mouvement populaire généralisé et spontané, en faveur ou en opposition à quelque chose, comme une politique, mais qui est en réalité initiée et contrôlée par un groupe ou des organisations dissimulées, comme des entreprises. »

Des preuves seront fournies pour montrer comment les accusés et les co-conspirateurs ont mobilisé le soutien de la population et déployé les grands médias pour faire progresser le programme de meurtre de masse mondial prémédité, en convainquant une partie de la population d’accepter volontairement les vaccins expérimentaux de thérapie génique Covid-19. Nous démontrerons qu’à travers la formation d’un état psychologique de masse à grande échelle, l’équité mentale du peuple a été intoxiquée. En conséquence directe, le peuple a fait confiance au récit du courant dominant, même s’il était totalement absurde et manifestement faux. Je vous laisse avec la citation suivante d’Aristote. Elle résume l’essence même de notre situation actuelle au niveau local. Mais avant de le citer, ce tribunal de l’opinion publique vous demande de considérer dûment toutes les preuves qui seront présentées dans leur totalité et de trouver en vous la force de voir la vérité telle qu’elle est.

C’est une plandémie et non une pandémie. Et quand vous regardez les deux mots plandémie, pandémie, il y a une lettre qui est différente et c’est le « l ». Donc ce que nous disons, nous allons présenter toutes les preuves. Vous apprendrez exactement pourquoi nous sommes là où nous sommes, et à la suite de cela, vous pourrez dire en toute confiance, j’ai appris, donc je vais prendre ce L majuscule et je vais l’insérer dans le mot pandémie, ce n’est pas une pandémie, c’est une pLandémie.

Les preuves sont claires et directes. En conséquence, les preuves présentées aujourd’hui sont suffisantes pour constituer une preuve prima facie contre tous les accusés et leurs actes d’accusation peuvent être, en fait doivent être émis contre les accusés et leurs capacités personnelles ou professionnelles, ainsi que contre les co-conspirateurs dans chaque pays du monde qui ont joué un rôle instrumental en colportant la grande illusion de suivre la science jusqu’à causer littéralement la mort. Et voici la citation d’Aristote :

« Les gouvernements qui ont le souci de l’intérêt commun, sont constitués selon des principes de justice stricts et sont donc des régimes véritables. Mais ceux qui n’ont en vue que l’intérêt des gouvernants sont tous des régimes défectueux et pervertis, car ils sont despotiques, alors qu’un État est une communauté d’hommes libres ».

Je vous remercie, honorables membres du jury.

1:20:06 Viviane Fischer :

Merci, M. Ryneveldt. Et merci à tous pour les déclarations préliminaires. Nous sommes arrivés à la fin des déclarations préliminaires et je voudrais faire savoir au jury, aux téléspectateurs que vous pouvez faire partie du jury. Nous avons mis en place une adresse électronique, contact@grand-jury.net, où vous pouvez nous contacter, si vous êtes, par exemple, un avocat et que vous souhaitez soutenir cet effort pour fournir les preuves afin que les mises en accusation puissent commencer. N’hésitez pas à nous contacter. Également si vous êtes une victime, si vous avez eu des problèmes, par exemple avec votre entreprise, si vous avez subi des dommages liés à la vaccination, si vous avez subi toutes sortes de pertes ou de restrictions, vous pouvez prendre contact avec nous et nous pouvons présenter votre cas, peut-être même ici, pendant que la procédure est en cours ou sous une autre forme, par exemple sur un site Web afin que le monde entier sache ce qui vous est arrivé.

1:21:22 Reiner Fuellmich :

Quelques mots de conclusion pour aujourd’hui, peut-être. Nous apprécions beaucoup la participation des téléspectateurs à cette procédure. C’est une procédure modèle. Et je dirai au nom de l’ensemble du groupe d’avocats, que vous avez rencontré pour certains, et d’autres que vous verrez pendant la suite de la procédure lorsque nous interrogerons les témoins, par exemple, que je tiens à vous remercier et à vous implorer de nous soutenir, de regarder cela, de dire au monde ce qui se passe réellement, parce qu’il n’y a pas beaucoup de sources auxquelles vous pouvez faire confiance. Il y a quelques sources. Celle-ci est l’une d’entre elles. Et nous pensons que c’est l’une des plus importantes d’entre elles. Car ce que nous faisons ici, ce que nous entreprenons, c’est de vous donner une image complète, une image complète de ce qui s’est passé et de ce qui se passe. Parce que ce n’est qu’en voyant le tableau complet que vous arriverez à la conclusion que nous ne pouvons pas faire confiance à ceux en qui beaucoup d’entre nous ont l’habitude de faire confiance. Nos gouvernements ne sont plus nos gouvernements. Nos institutions ont été infiltrées par ceux qui commettent ces crimes contre l’humanité. Plus important encore, une fois que vous aurez réalisé cela, vous arriverez également à la conclusion que c’est seulement nous, le peuple, qui ferons la différence. Nous mettrons fin à tout cela et nous nous assurerons qu’il y aura un nettoyage après coup, y compris les procédures nécessaires pour que justice soit faite. Et afin de traduire en justice ceux qui ont commis ces crimes contre l’humanité. Merci beaucoup.




Le « convoi de la liberté » également interdit à Bruxelles

[Source : dhnet.be]

[Photo SYSPEO/SIPA]

La grande manifestation européenne est censée déferler sur Paris ce week-end, mais a été interdite.

[Voir aussi :
https://www.lesechos.fr/monde/europe/bruxelles-interdit-a-son-tour-le-convoi-de-la-liberte-1386097]

Le « convoi de la liberté » annoncé pour lundi à Bruxelles se verra interdire l’accès à la capitale belge et européenne. Via leurs cabinets respectifs, la ministre de l’intérieur Annelies Verlinden, le ministre-président bruxellois Rudi Vervoort, et le bourgmestre de la Ville de Bruxelles Philippe Close ont annoncé jeudi midi qu’ils mettaient les moyens fédéraux, régionaux et locaux en place pour empêcher le blocage de la Région de Bruxelles-capitale.

Plusieurs appels ont été lancés pour organiser, dans les capitales européennes, des « convois de la liberté » inspirés d’un mouvement motorisé lancé au Canada pour protester contre les restrictions sanitaires.

Jeudi, en début de matinée, la préfecture de Paris a annoncé leur interdiction dans la capitale française où un convoi était annoncé à partir de vendredi. A Bruxelles, un appel au ralliement a été lancé. On évoque plutôt la journée de lundi, le 14 février.

Mais les autorités compétentes ont indiqué dès jeudi que l’accès à la capitale belge serait également interdit.

« Afin de faire face au convoi de la liberté qui n’a à ce jour pas fait l’objet d’une autorisation de manifester car aucune demande n’a été envoyée, la ministre de l’intérieur Annelies Verlinden, le ministre-président Rudi Vervoort et le bourgmestre de Bruxelles, Philippe Close, mettent les moyens fédéraux, régionaux et locaux en place pour empêcher le blocage de la Région de Bruxelles-capitale », ont-ils précisé dans un communiqué diffusé via le cabinet du ministre-président Vervoort.

Voir la suite sur dhnet.be




Les données officielles du gouvernement du Canada indiquent que les personnes entièrement vaccinées ne sont qu’à quelques semaines du syndrome d’immunodéficience acquise (SIDA)

[Source : resistance-mondiale.com]

Les données du gouvernement du Canada sur le Covid-19 suggèrent que la plupart des personnes “entièrement vaccinées” développent un syndrome d’immunodéficience acquise (SIDA) complet induit par le vaccin Covid-19, après avoir confirmé que le système immunitaire des personnes entièrement vaccinées s’est déjà dégradé à une moyenne de moins 81 %.

[Voir aussi :
Les données officielles indiquent que les personnes triplement vaccinées développent le syndrome d’immunodéficience acquise (SIDA) à un rythme alarmant

Au contraire du scientisme ambiant depuis plusieurs décennies, la rigueur scientifique tend à démontrer qu’il n’existe aucun lien causal entre VIH et SIDA, mais que ce syndrome qui couvre les symptômes de plusieurs maladies provient en fait d’intoxications (aggravées par la malnutrition). Voir :
Dr. Claus Köhnlein – Du SIDA au Covid-19 : une arnaque qui dure depuis plus de 40 ans
Le SIDA et la Renaissance de l’Hypothèse de Duesberg
Le SIDA depuis 1984 : Aucune preuve d’une nouvelle épidémie virale – même pas en Afrique
Fauci et la grande arnaque du SIDA
La pseudo vaccination anti-Covid est elle-même source d’intoxications multiples, dont celle due à la protéine Spike.]

Les chiffres de la Covid-19 canadienne sont produits par le gouvernement du Canada (voir ici).

Leurs dernières données sont disponibles en format pdf téléchargeable ici.

La page 20 et suivantes des données sur les cas de Covid-19 depuis le tout début de la campagne de vaccination contre le Covid-19 au Canada le 14 décembre 20 jusqu’au 15 janvier 22 –

À première vue, il semblerait que le Canada connaisse actuellement une pandémie de personnes non vaccinées, les personnes entièrement vaccinées n’étant pas loin derrière. Mais cette apparence est une fraude.

En examinant un rapport publié précédemment avec des chiffres sur les cas entre le 14 décembre 2020 et le 4 décembre 2021, puis en effectuant une simple soustraction, nous sommes en mesure de déduire le nombre de cas de Covid-19 par statut vaccinal entre le 5 décembre 2021 et le 15 janvier 2022, et ils sont stupéfiants.

Voici le tableau du nombre de cas par statut vaccinal entre le 14 décembre 2020 et le 4 décembre 2021, grâce au don de la ‘WayBackMachine ‘ –

Le tableau suivant montre le nombre de cas par statut vaccinal entre le 5 décembre 2021 et le 15 janvier 2022, une fois que nous soustrayons simplement les chiffres du 4 décembre des chiffres du 15 janvier dans les deux tableaux ci-dessus –

Comme vous pouvez le voir clairement, malgré l’énorme discrimination contre les non vaccinés par le Premier ministre canadien Justin Trudeau, le Canada connaît une pandémie de personnes entièrement vaccinées, avec ce groupe démographique enregistrant un nombre choquant de 492 893 cas entre le 5 décembre et le 15 janvier 2022, contre seulement 61 971 cas parmi la population non vaccinée.

Au Canada, selon le rapport du 4 décembre, 22,2 millions de personnes sont au moins doublement vaccinées et 23,2 millions de personnes sont au moins partiellement vaccinées.

Selon les statistiques officielles, la population du Canada en 2020 était estimée à 38,01 millions –

Par conséquent, puisque 23,1 millions de personnes au Canada ont reçu au moins une seule dose d’un vaccin contre la Covid-19, cela laisse environ 14,81 millions de personnes au Canada qui ne sont pas vaccinées contre la Covid-19 .

Le gouvernement du Canada ne parvient pas à produire les taux de cas par 100 000 qui nous permettront de déterminer l’efficacité du vaccin dans le monde réel, mais heureusement, nous pouvons déterminer nous-mêmes quels sont ces taux de cas.

Pour calculer le taux de cas non vaccinés pour 100 000, il suffit de diviser la taille de la population non vaccinée par 100 000, puis de diviser le nombre de cas par la réponse à l’équation précédente.

Population = 14,81 millions / 100 000 = 148,1
Nombre de cas = 61 972 / 148,1 = 418,4

Ce qui signifie que le taux de cas non vaccinés est de 418,4 cas de Covid-19 pour 100 000 habitants.

Nous effectuons ensuite un calcul similaire pour les personnes entièrement vaccinées –

Population = 22,2 millions / 100 000 = 222
Nombre de cas = 492 893 / 222 = 2 220,23

Ce qui signifie que le taux de cas entièrement vaccinés est de 2 220,23 cas de Covid-19 pour 100 000 habitants.

Ensuite, nous pouvons utiliser la formule d’efficacité du vaccin de Pfizer pour déterminer l’efficacité du vaccin dans le monde réel.

Taux de cas non vaccinés – Taux de cas vaccinés / Taux de cas non vaccinés = Efficacité du vaccin
418,4 – 2 220,23 = -1 801,83/ 418,4 x 100 = moins -430,6 %

Par conséquent, l’efficacité réelle du vaccin Covid-19 au Canada est de MOINS-430,6 %. Cela signifie que les personnes entièrement vaccinées sont 5,3 fois plus susceptibles d’être infectées par le Covid-19 que la population non vaccinée. C’est ce que la vaccination a fait aux Canadiens.

Mais l’efficacité d’un vaccin n’est pas vraiment une mesure d’un vaccin, c’est une mesure de la performance du système immunitaire d’un vacciné par rapport à la performance du système immunitaire d’une personne non vaccinée.

Le vaccin Covid-19 est censé entraîner votre système immunitaire à reconnaître la protéine de pointe de la souche originale du virus Covid-19. Pour ce faire, il demande à vos cellules de produire la protéine de pointe, puis votre système immunitaire produit des anticorps et se souvient de les utiliser plus tard si vous rencontrez à nouveau la partie pointe du virus Covid-19.

Mais le vaccin ne traîne pas après la formation initiale, il laisse votre système immunitaire s’occuper du reste. Ainsi, lorsque les autorités déclarent que l’efficacité des vaccins s’affaiblit avec le temps, ce qu’elles veulent vraiment dire, c’est que la performance de votre système immunitaire s’affaiblit avec le temps.

Le problème que nous voyons ici est que le système immunitaire ne revient pas à son état d’origine et naturel. Si c’était le cas, les résultats de l’infection par Covid-19 seraient similaires aux résultats parmi la population non vaccinée.

Au lieu de cela, il continue de décliner à un rythme qui signifie que la population non vaccinée a un système immunitaire plus performant, ce qui signifie que les injections de Covid-19 déciment le système immunitaire des personnes entièrement vaccinées.

Mais pour déterminer les performances du système immunitaire, nous devons modifier légèrement le calcul utilisé pour déterminer l’efficacité du vaccin et diviser notre réponse par le plus grand des taux de cas vaccinés ou non vaccinés.

Taux de cas non vaccinés – Taux de cas vaccinés / le plus grand taux de cas non vaccinés / vaccinés = Performance du système immunitaire

418,4 – 2 220,23 = -1 801,83/ 2220,23 x 100 = moins-81,55 %

Cela signifie que les Canadiens entièrement vaccinés ont actuellement une réponse immunitaire inférieure de 81,55 % à celle des non-vaccinés contre le Covid-19.

Par conséquent, le Canadien moyen entièrement vacciné n’a plus que 18,45 % de son système immunitaire pour lutter contre certaines classes de virus et certains cancers, etc. La question est de savoir quand les 18,45 % restants de son système immunitaire seront épuisés ?

Si nous recommençons tout ce que nous avons fait ci-dessus avec les chiffres tirés du rapport Covid-19 du gouvernement du Canada contenant des données jusqu’au 4 décembre 2021 , et un autre rapport précédent contenant des données jusqu’au 13 novembre 2021 , nous pouvons déterminer le vrai- l’efficacité mondiale des vaccins et les performances du système immunitaire entre le 14 novembre et le 4 décembre 2021.

Cela nous permettra de voir le taux de déclin entre le 14 novembre et le 15 janvier 2022.

Voici les chiffres sur les cas par statut vaccinal entre le 14 décembre 2020 et le 13 novembre 2021 –

Il ne nous reste plus qu’à les soustraire des chiffres du 4 décembre pour calculer le nombre de cas par statut vaccinal entre le 14 novembre et le 4 décembre 21.

Le tableau suivant nous montre la réponse –

La majorité des cas étaient encore parmi les personnes entièrement vaccinées, mais comme vous pouvez le voir, les niveaux par rapport aux non vaccinés étaient loin des niveaux observés entre le 5 décembre et le 15 janvier 2022.

Sur la base des niveaux de vaccination à l’époque, ces chiffres équivalent à un taux de cas de 91,45 pour 100 000 parmi les non vaccinés et à un taux de cas de 101,06 parmi les personnes entièrement vaccinées.

Par conséquent, l’efficacité du vaccin dans le monde réel entre le 14 novembre et le 4 décembre 21 équivalait à moins-10,5 %, et la performance du système immunitaire à moins-9,5 %.

Cela signifie qu’entre le 4 décembre et le 15 janvier 2022, l’efficacité du vaccin a chuté de 420,5 % et les performances du système immunitaire ont chuté de 71,6 % par rapport aux chiffres enregistrés entre le 14 novembre et le 4 décembre 2021.

Nous n’osons pas vous dire ce que cela pourrait signifier pour le système immunitaire des personnes entièrement vaccinées au Canada d’ici la fin février 2022.

Ces chiffres vraiment étonnants montrent que nous sommes plus de 5 fois plus à l’abri du Covid-19 que les vaccinés dans une chambre, un restaurant, un bar, une discothèque, un train, un bateau ou un avion rempli de personnes non vaccinées que nous ne le sommes avec ” personnes complètement vaccinées ».

Il semble également que les non vaccinés atteignent l’immunité du sous-groupe contre Covid-19 alors que les vaccins entièrement vaccinés sont empêchés de l’atteindre par les vaccins.

Les chiffres canadiens ont détruit le dossier des passeports pour les vaccins partout dans le monde et prouvent à eux seuls le cas d’une interdiction immédiate de la thérapie génique et de la vaccination aux protéines de pointe.

Si les personnes entièrement vaccinées se débrouillent si mal contre Covid-19, c’est parce que les anticorps induits par le vaccin contre la protéine spike Alpha sont pratiquement inutiles contre Omicron. Ainsi, la détérioration progressive du système immunitaire causée par la production incessante de la protéine spike n’a presque rien pour se cacher, rien pour se protéger.

Le Royaume-Uni compte 72,1 % de la population double vaccinée, 55,6 % de la population triple vaccinée, 5,8 % de la population partiellement vaccinée et 22,1 % de la population non vaccinée ( ourworldindata ). Les Britanniques s’en tireront donc un peu moins bien que les Canadiens en ce moment, avec un pourcentage nettement plus élevé de victimes de la vaccination.

Les données officielles du gouvernement canadien sur le Covid-19 montrent que toute personne entièrement vaccinée sera atteinte du SIDA à médiation vaccinale dans un laps de temps très court, à moins que quelque chose ne change radicalement. La partie du système immunitaire qui reste actuellement capable de combattre l’Omicron se sera dissipée.

Cela entraînera un lourd fardeau pour les services de santé du Canada, ainsi que des souffrances et des décès massifs. Tout cela nous a été infligé par un système de santé corrompu. Ce doit être le plus grand but contre son camp de l’histoire médicale.

Source : https://dailyexpose.uk/2022/02/06/canada-gov-data-suggests-fully-vaccinated-developing-ade/




Le convoi de la liberté en France et ailleurs dans le monde — 9 février… Mise à jour 3

Mise à jour 3





Mise à jour 2











Mise à jour

Depuis la Bretagne, malgré la pluie (les deux vidéos suivantes) :






Covid-19 — Corruption, pandémie et meurtre

[Source : csape]

L’origine du virus N.C.O.V.19 à travers la corruption de l’État français au service de puissances étrangères, pour la plus grande expérimentation criminelle sur l’espèce humaine depuis l’holocauste.

On voit notamment dans la vidéo :

  • la preuve de l’utilisation de fœtus humains pour fabriquer les vaccins et les pseudo vaccins ;
  • le seul vrai but des tests PCR utilisés prétendument pour tester la Covid-19 est en fait de récolter l’ADN humain pour augmenter les banques de données relatives à l’ADN.

« Nous avons contacté la quasi totalité des hommes politiques en France. Tout ce que nous disons est appuyé par des preuves scientifiques factuelles, des preuves gouvernementales, et ces hommes politiques n’ont jamais pris la peine de nous rappeler. Ils se servent de la pandémie pour se faire, on va dire, un auditoire. »

« Aujourd’hui, seul l’être humain, le citoyen, pourra arrêter tout ça. Ils sont dix milles. Nous sommes 68 millions. »

« Enlevez vos masques et sortez dans la rue ! »

[Voir aussi :
Les données officielles indiquent que les personnes triplement vaccinées développent le syndrome d’immunodéficience acquise (SIDA) à un rythme alarmant
La clef de la libération
et :
L’enterrement de la théorie virale]






France info diffuse une publicité mensongère visant les enfants !

Par Gérard Delépine

Ce 7 février 2022 vers 16 h, j’écoutais France Info lorsque j’entendis une publicitémensongère qui a fleuri un temps sur les panneaux des autoroutes avant d’être heureusement abandonnée.

« Enfant de 5 à 11 ans, vous pouvez vous vacciner pour vous protéger et protéger les autres »

Comment le ministère de la Santé peut-il faire diffuser une publicité aussi mensongère ?

Les enfants jeunes sont naturellement protégés de la maladie et ne font que très exceptionnellement des formes graves.

Ils peuvent être contaminés par leurs parents, mais ne risquent pratiquement rien contrairement à ce qu’affirment certains médecins et journalistes des plateaux télé. Lors de la première vague, selon les chiffres de l’Organisation Mondiale de la Santé et du National Health Service ils ne représentaient que 1 à 2 % des cas et le plus souvent sans aucun symptôme.

Daniel Lévy-Bruhl, pédiatre et épidémiologiste, rappelait qu’en juin 2021 on recensait depuis le début de la crise « 13 décès d’enfants, dont 10 étaient considérés comme imputables au Covid-19 » précisant :

« Il n’y avait qu’un seul enfant dont le décès était survenu dans un contexte où la seule cause possible était le Covid-19. Pour les autres enfants, soit ils avaient des facteurs de risque, soit le décès est survenu dans un contexte où plusieurs éléments ont pu contribuer à l’issue fatale et en particulier des infections sévères parmi lesquelles on a retrouvé le Sars Cov-2 ».

Par comparaison, la grippe saisonnière tue chaque année entre 7 et 10 enfants… Pour les enfants le Covid est 3 à 10 fois moins mortifère que la grippe banale.

Ils ne peuvent donc espérer aucun bénéfice personnel d’un pseudo vaccin par ailleurs incapable de prévenir l’infection.

Promettre aux enfants « vaccinez-vous pour vous protéger » est donc un pur mensonge.

Les enfants ne contaminent pas les autres et leur vaccination ne peut donc pas protéger les autres

Plus de 20 études épidémiologiques dans plus de dix pays(([1] National Institute for Public Health and the Environment. Ministry of health, welfare, and sport. Netherlands. Children and COVID-19. Available:
https://www.rivm.nl/en/novel-coronavirus-covid-19/children-and-covid-19))(([2] Heavey L, Casey G, Kelly C, et al. No evidence of secondary transmission of COVID-19 from children attending school in Ireland, 2020. Euro Surveill 2020;25:2000903.))(([3] Centre national de recherche et de surveillance de la vaccination. COVID-19 dans les écoles — L’expérience en NSW. Nouvelle-Galles du Sud, Australie : Centre national de recherche et de surveillance sur l’immunisation ; 2020 Google Scholar)) ont recherché opiniâtrement des contaminations à partir d’enfants de moins de 18 ans : aucune n’a pu mettre en évidence un seul exemple réellement probant.

— L’étude de Santé Publique France(([4] Kostas DANIS et al pour Santé Publique France Cluster of coronavirus disease 2019 (Covid-19) in the French Alps, 2020 Clinical Infectious Diseases Oxford University Press for the Infectious Diseases Society of America)) est très démonstrative. L’enfant des Contamines a été en contact, alors qu’il était malade, avec 172 personnes, dont 112 élèves et professeurs dans trois écoles et un ski-club. Il n’a contaminé personne, même pas les deux autres enfants de sa fratrie.

— L’étude de l’institut Pasteur(([5] A Fontanet et al SARS-CoV-2 infection in primary schools in northern France: A retrospective cohort study in an area of high transmission medRxiv 2020)) sur les écoles primaires de Crépy-en-Valois a porté sur 1340 personnes, dont 139 infectées (81 adultes et 58 enfants). Parmi 510 élèves de six écoles primaires, ils ont identifié trois enfants de trois établissements différents qui étaient infectés au moment où les écoles étaient encore ouvertes. Aucun de ces trois enfants n’a contaminé quiconque, qu’il s’agisse d’autres élèves ou d’adultes.

— L’étude Coville(([6] Prévalence du portage du SRAS — Cov2 chez les enfants asymptomatiques et légèrement symptomatiques (COVILLE)
https://www.clinicaltrials.gov/ct2/show/NCT04318431))(([7] Prévalence du portage du SARS–CoV2 chez l’enfant asymptomatique et pauci symptomatique, étude transversale, prospective, multicentrique, observationnelle en soins primaires
https://www.infovac.fr/docman-marc/public/covid-19/1689-coville-study/file)),
dirigée par le professeur Robert Cohen, portant sur 600 enfants âgés de 0 à 15 ans conclut : « sans histoire de Covid parental, l’enfant n’a rien. »

B Lee et W. V. Raszka confirment dans une revue générale publiée dans Pediatrics(([8] Benjamin Lee et William V. Raszka Covid19 transmission children are not to blame Pediatrics aug 2020, 146 e2020004879; DOI :
https://doi.org/10.1542/peds.2020-004879)): « transmission du COVID-19 et enfants : l’enfant n’est pas à blâmer. »

Promettre aux enfants « vaccinez-vous pour protéger les autres » est donc totalement mensonger.

D’ailleurs, les pseudo vaccins actuels sont incapables d’arrêter les épidémies.

Pour s’en convaincre, il suffit de regarder les évolutions du nombre de nouveaux cas journaliers dans les pays qui ont vacciné le plus comme Israël :

Ou en Grande-Bretagne :

Ou la France injectée à 80 %

Je croyais qu’il existait une loi interdisant la publicité mensongère… et de surcroît de la publicité pour un médicament remboursé par la sécurité sociale… Les temps ont changé.





« Convoi de la liberté », la révolte populaire ne faiblit pas malgré la répression et les menaces

[Source : lecourrierdesstrateges.fr]

Les manifestations contre les mesures sanitaires se poursuivent dans la capitale canadienne. Une situation « hors de contrôle » pour le maire de la ville qui sollicite l’aide des autorités fédérales. La « répression » a déjà commencé, la police d’Ottawa a menacé d’arrêter quiconque apporterait de l’essence ou un autre soutien matériel aux camionneurs. Autre manœuvre de coercition, la plateforme de récolte de dons « GoFundMe », grâce à laquelle les organisateurs du « Freedom Convoy » canadien ont réussi à récolter dix millions de dollars, a communiqué qu’elle ne leur reverserait pas les fonds. À l’instar des milliers de camionneurs canadiens qui protestent dans la capitale Ottawa, les camionneurs d’autres pays ont commencé à organiser leurs propres versions du « Freedom Convoy ».

Le maire d’Ottawa déclare l’état d’urgence

Le maire d’Ottawa, Jim Watson, a déclaré l’état d’urgence alors qu’environ 500 camions et véhicules du « Freedom Convoy » continuent de s’attarder dans les rues de la capitale canadienne pour protester contre les mandats de vaccination.

“Déclarer l’état d’urgence reflète le grave danger et la menace pour la sûreté et la sécurité des résidents posés par les manifestations en cours et souligne la nécessité du soutien d’autres juridictions et niveaux de gouvernement”, a déclaré la ville dans un communiqué.

Une situation «hors de contrôle», Jim Watson. La capitale fédérale a besoin de renforts pour mettre fin à l’état de «siège» dans lequel elle se trouve, a-t-il expliqué dans une lettre au gouvernement, plaidant pour l’envoi de 1800 policiers supplémentaires. «Nous devons mettre fin à cette manifestation, mais nous ne pouvons pas le faire seuls», a reconnu lundi le chef de la police Peter Sloly, appelant lui aussi «à l’aide».

Le chef de la police d’Ottawa a laissé entendre que les Forces armées canadiennes pourraient devoir être appelées pour gérer les manifestants persistants dans la capitale canadienne.

“Il s’agit d’un problème national, pas d’un problème d’Ottawa“, a déclaré le chef de la police d’Ottawa, Peter Sloly , lors d’une séance d’information aux conseillers municipaux. “Je suis de plus en plus inquiet qu’il n’y ait pas de solution policière à cela.”

Justin Trudeau, de retour en personne à la Chambre des communes, après une semaine d’isolement pour cause de Covid, a déclaré “Il faut que ça cesse”.

Néanmoins, le premier ministre a admis que l’envoi de l’armée pour mettre fin au mandat anti-vaccin et à la manifestation anti-gouvernementale qui a paralysé la capitale nationale pendant près d’une semaine n’est “pas dans les cartes pour le moment”.

Insensibles aux déclarations politiques, les manifestants, eux, continuent de réclamer “la levée des obligations vaccinales, des restrictions, et le rétablissement des droits et des libertés des Canadiens”, a déclaré lundi Tamara Lich, l’une des organisatrices du mouvement, lors d’un live sur YouTube.

“Nous essayons, en ce moment, de tendre la main à tous les partis fédéraux afin que nous puissions commencer des pourparlers et voir comment nous pouvons avancer”, a-t-elle ajouté.

Les politiciens “ne savent pas quoi faire de nous. Mais tout ce qu’ils ont à faire, c’est de revenir à la raison. C’est à eux de résoudre ça”, a estimé auprès de l’AFP John Lambert, 59 ans, camionneur et manifestant.

Trudeau amplifie la répression

“Quiconque tenterait d’apporter des supports matériels (gaz, etc.) aux manifestants pourrait faire l’objet d’une arrestation. L’application est en cours”, a annoncé la police dans un tweet arborant la mention “IMPORTANT”.

Les manifestants, de leur côté, se sont dits étonnés de l’élan de soutien de leurs concitoyens canadiens. 

“Le soutien a été incroyable”clame un camionneur. “Je n’ai jamais rien vu de tel. Je n’ai jamais été aussi fier d’être Canadien.”

Nicholas Wansbutter, qui a été engagé par le Justice Centre de Calgary pour représenter le « Freedom Convoy », a condamné les actions de la police d’Ottawa comme potentiellement illégales

“Les personnes qui apportent de la nourriture, de l’eau, de l’essence ou d’autres fournitures aux camionneurs qui manifestent pacifiquement n’enfreignent aucune loi. Il n’y a aucun fondement à cette menace policière. “, a déclaré Wansbutter dans un communiqué.

« Dans une société libre et démocratique régie par la primauté du droit, les citoyens peuvent librement s’associer les uns aux autres, y compris pour donner et recevoir des biens et des cadeaux. Il n’y a aucune loi qui permettrait à la Police d’Ottawa d’arrêter des personnes pour avoir donné du carburant ou de la nourriture à un autre Canadien », a poursuivi Wansbutter. 

“Les camionneurs eux-mêmes exercent leurs libertés d’expression, d’association et de réunion pacifique, comme ils ont légalement le droit de le faire.”

La police d’Ottawa a annoncé, dimanche 6 février, que plus de 450 contraventions avaient été émises depuis samedi matin pour des infractions allant du bruit excessif et des violations de la ceinture de sécurité aux plaques d’immatriculation obstruées et aux silencieux inappropriés. Ils ont également annoncé avoir ouvert 97 enquêtes pénales liées au Freedom Convoy.

Encore plus absurde, un juge ontarien a accordé, lundi 7 février, une injonction de 10 jours interdisant aux camionneurs stationnés dans les rues du centre-ville d’Ottawa de klaxonner constamment.

“Tonner un klaxon n’est pas l’expression d’une grande pensée à ma connaissance”, a déclaré le juge de la Cour supérieure de l’Ontario, Hugh McLean, lors d’une procédure judiciaire, selon la CBC.

La plateforme GoFundMe suspend la collecte de fonds du mouvement des camionneurs canadiens

Le GoFundMe a été lancé le 14 janvier par Tamara Lich, qui est également secrétaire du parti séparatiste occidental Maverick. Elle indique que l’argent servira à payer le carburant ainsi que la nourriture et l’hébergement des camionneurs participants.

La page GoFundMe pour soutenir le “Freedom Convoy” des camionneurs canadiens approchait les 10 millions de dollars lundi 1er février, soit plus d’argent que les principaux partis politiques fédéraux du Canada n’ont collecté au cours du dernier trimestre de 2021.

Des reportages avaient commencé à circuler la semaine dernière, signalant que la page GoFundMe pour “Freedom Convoy 2022” avait été gelée et que les organisateurs devaient expliquer comment les millions de dollars de fonds collectés seraient dépensés

«Cette cagnotte est actuellement suspendue car nous la vérifions afin de nous s’assurer qu’elle est conforme à nos conditions d’utilisation et aux lois et réglementations applicables» : telle est la mention ajoutée par la plateforme de financement participatif GoFundMe le 2 février à propos de la collecte de soutien.

La plateforme précise «collaborer avec les forces de l’ordre locales» à cet effet.
« Nous avons maintenant la preuve par les forces de l’ordre que la manifestation auparavant pacifique s’est transformée en occupation, avec des rapports de police faisant état de violence et d’autres activités illégales. ». Un narratif que Trudeau et les libéraux employaient aussi pour discréditer le mouvement quelques jours auparavant.

Après avoir versé le premier million récolté aux organisateurs, la plateforme a décidé de geler les neuf millions restants et de clore la campagne de dons

Le Justice Centre for Constitutional Freedoms , le cabinet d’avocats basé à Calgary, a annoncé qu’il représentait le Freedom Convoy 2022 à Ottawa et qu’il avait une équipe d’avocats sur le sol fournissant une assistance et des conseils juridiques.

“L’équipe juridique du Justice Center travaille au nom des organisateurs du convoi pour s’assurer que tous les fonds collectés par GoFundMe sont remis aux camionneurs aux fins prévues“, a déclaré le cabinet d’avocats dans un communiqué.

Preuve que ce « racket » choque, le gouverneur de Floride, Ron DeSantis, a déclaré que lui et le procureur général de l’État enquêteraient sur GoFundMe après que la plate-forme en ligne de financement participatif ait mis fin à la campagne de financement officielle canadienne “Freedom Convoy”. Confronté à des allégations de fraude, GoFundMe est ensuite revenu sur sa position concernant la redistribution des fonds et a déclaré qu’il rembourserait automatiquement les milliers de donateurs.

Un vent de liberté qui s’internationalise

Des camionneurs du monde entier roulent en solidarité avec le convoi canadien. Des initiatives comparables ont été observées à Leeuwarden aux Pays-Bas, à Schwerin en Allemagne, ou encore à Canberra en Australie.

Au moins 1 000 personnes se sont rassemblées près du Parlement à Canberra pour protester contre le mandat du vaccin et les restrictions, a rapporté samedi le Canberra Times. Les organisateurs ont appelé 5 millions d’Australiens à converger vers la capitale avant le retour du Parlement le 8 février.

Les camionneurs à travers l’Europe prévoient également des convois. Un groupe du World Freedom Convoy sur Signal prévoit deux manifestations distinctes, a rapporté le Brussels Times . En une semaine environ, 40 000 personnes ont rejoint le chat Signal. Les camionneurs prévoient de se rendre dans leurs capitales respectives le 7 février, et le groupe européen élargi se dirigera vers Bruxelles le 14 février.

Aram Lemmer, propriétaire d’une entreprise et organisateur en Autriche, a déclaré au Toronto Star que lui et deux autres organisateurs s’étaient engagés à envoyer 2 500 véhicules à Vienne en convoi le 13 février, y compris des voitures, des camions, des tracteurs et des cyclistes. Ils exigent que le gouvernement renonce à toutes les restrictions et démissionne. 

En France, le mouvement semble monter en puissance puisque des centaines de publications ont été postées sur les réseaux. Parmi elles, des appels à la mobilisation pacifique et des offres pour fournir logement, boissons, nourriture, ou couvertures en guise de soutien. De plus en plus d’automobilistes affichent également leur participation au mouvement en publiant des photos de leur véhicule avec une feuille A4 accrochée sur le tableau de bord ou un sticker: “je soutiens le convoi de la liberté”.

Sans surprise les syndicats ont indiqué qu’ils ne participeront pas au convoi.

“Aujourd’hui, on n’a pas de renseignements démontrant que cela s’organise de manière importante”, a répondu ce mardi 8 février sur BFMTV, le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin. “Mais nous sommes attentifs et la réponse de l’Etat sera extrêmement ferme si c’est le cas.”

Enfin côté américain, un groupe de camionneurs prévoit une manifestation aux États-Unis, se rendant au Capitole américain à Washington, DC.

Brian Brase, co-organisateur de la manifestation américaine, a déclaré à que l’effort des camionneurs américains était “un peu moins de 140 000 personnes lorsque Facebook nous a censuré”Le 2 février, Facebook a supprimé une page Facebook intitulée “Convoy to DC 2022”.

Brase a déclaré que des camionneurs de partout aux États-Unis appelaient à se joindre à l’effort. “Nous avons des entreprises de camionnage de tout le pays qui nous appellent, chauffeurs”, a-t-il déclaré. Il a taquiné un communiqué de presse majeur avec des détails le mardi 8 février. “Le volume de réponse… Je vais dire que nous serons aussi grands que le Canada, sinon plus.”

Le soulèvement du peuple canadien est incroyable et ce « siège » de leur capitale Ottawa se fait avec un niveau d’intelligence rarement vu auparavant. Ils savent à quoi s’attendre en détail de la part des médias, des agitateurs/contre-manifestants ainsi que des personnes introduites dans la foule pour causer des problèmes.

Ils ont apporté assez de fournitures pour être là pendant des semaines. Ils ont installé des cantines et des services dans les rues.

Ce sont des gens qui savent ce qu’ils font et Trudeau le sent. Malgré cela il s’obstine comme en atteste son gouvernement libéral qui tente de ressusciter un projet de loi sur la censure en ligne. 




Coronavirus — paSS — Qui soutient le convoi de la liberté ?

[Source : mai68.org via les7duquebec.net]

Internationalisation du convoi de la liberté

Enregistré sur France 2 le 8 février 2022 après 20h

Cliquer ici pour télécharger la vidéo

La contestation ne concerne pas seulement le paSS, mais aussi le coût de la vie, et certainement bien d’autres choses.

Ça va de l’extrême droite aux anarchistes

Enregistré sur France 3 le 8 février 2022 après 19h30

Cliquer ici pour télécharger la vidéo

D’après Jean-François Amadieu, le pouvoir fait l’unité contre lui :

« Ça va, si vous voulez de gens qui sont proches de l’extrême droite, et de mouvements politique de l’extrême droite, jusqu’à des militants ou des activistes qui sont plutôt de sensibilité anarchiste. »

Note de do : En réalité, ce n’est pas question de « politique », mais de lutte de classe.

Dans la lutte des classes, en réalité, on ne s’occupe pas de savoir quel parti politique récupère habituellement quelles voix. On s’occupe seulement de savoir à quelle classe (prolétariat ou bourgeoisie) appartient tel ou tel.




Manifestations à Londres et NY en soutien au Convoi de la Liberté

[Source : tvlibertes.com]

Lundi 7 février dernier, des centaines d’employés de la ville de New York sont descendus dans les rues pour manifester leur opposition à la vaccination obligatoire, qui devrait prendre effet le 11 février prochain.

Ils ont également apporté leur soutien au convoi de la liberté des camionneurs canadiens qui paralyse depuis près de deux semaines la ville d’Ottawa.

Les mêmes manifestations, et pour les mêmes raisons, se sont aussi déroulées à Londres lundi 7 février dernier.




La Polynésie réclame l’arrêt des mesures liberticides liées à la Covid et aux pseudo vaccins




Dr Wodarg : extrême prudence en raison de la dissimulation de la composition du vaccin Covid 19 !

[Source : Kla.tv]



Arne Burkhardt et Walter Lang, pathologistes de Reutlingen, ont pu confirmer pour la première fois que la protéine Spike, produite dans le corps par le vaccin Covid-19, pourrait être responsable d’inflammations et de lésions des vaisseaux sanguins pouvant entraîner la mort.

Des militants américains ont montré, en analysant les dommages causés par les vaccins, à quel point les lots de vaccins ont des effets extrêmement variables, allant de l’absence quasi-totale d’effets secondaires à des milliers de complications très graves, souvent mortelles. Cela est dû à une composition différente des doses de vaccin, ce qui ne devrait pas exister et qui est passé sous silence par Big Pharma, la politique et les médias.

Regardez maintenant les conclusions novatrices et les recommandations urgentes que le Dr Wodarg, spécialiste allemand en immunologie, donne sur ces faits.


Bonjour chers « promeneurs » ! [à l’écran : nom que se donnent en Allemagne les manifestants depuis l’interdiction de manifester]

Je suis heureux de pouvoir m’adresser à vous. Ces derniers temps, j’ai beaucoup réfléchi et j’ai appris beaucoup de nouvelles choses. Après m’être occupé des virus pendant de nombreuses années, je n’ai en fait plus guère envie de m’occuper de ce sujet, car il n’y a en fait rien de nouveau en matière de virus. Il y a du nouveau dans la biotechnologie. La biotechnologie prend un essor prodigieux, car elle s’est mise au service de ceux qui veulent changer le monde, qui veulent étendre leurs intérêts, étendre leur pouvoir. Avant, ils le faisaient avec des guerres. Aujourd’hui, les guerres sont difficiles. Aujourd’hui, celui qui déclenche une guerre doit s’attendre à devenir lui-même une victime. Aujourd’hui, on utilise d’autres choses pour faire peur et la biotechnologie s’y prête très bien. Elle fait des choses qui sont très petites, on ne peut les voir qu’avec des appareils spéciaux. On peut y croire ou ne pas y croire. Les effets des interventions biotechnologiques arrivent parfois beaucoup plus tard.

Cette pandémie à laquelle on nous fait croire à l’aide du test PCR, est en totale contradiction avec ce que la plupart des gens vivent. Et ils font à nouveau l’expérience de la grippe cet hiver. Certains l’ont attrapée ; elle a touché un grand nombre de personnes, certaines en meurent. Mais ce qui est nouveau cette année, cet hiver, c’est qu’après un an d’applications génétiques et biotechnologiques imposées à des milliards de personnes, les prétendus vaccins, qui sont en fait des interventions génétiques, ont des conséquences. Au début, il était très difficile de savoir quelles étaient ces conséquences, ce n’était pas toujours le cas. Certaines personnes ont eu des effets secondaires très graves, d’autres n’ont rien ressenti du tout ou ont seulement ressenti quelque chose à l’endroit de l’injection. Il y a eu des séries où, dans une maison de retraite, beaucoup de ces personnes qui avaient reçu cette injection sont mortes peu après. Il y a ces nombreux sportifs, ces jeunes hommes musclés qui ont reçu une injection dans le muscle et qui ont ensuite eu une myocardite ou une insuffisance cardiaque. Donc il y a eu beaucoup de phénomènes différents que nous avons vus, mais ce n’était pas non plus chez tout le monde. Maintenant, on voit un peu plus clair dans cette obscurité : après que quelques scientifiques très, très intelligents ont analysé de plus près les données de la base de données des effets secondaires VAERS [Vaccine Adverse Event Reporting System] aux États-Unis. Ils ont en effet constaté que seuls quelques lots provoquaient ces effets secondaires graves. La plupart des lots ne provoquent presque pas d’effets secondaires, pas plus d’effets secondaires que d’autres vaccins connus également. Mais quelques lots sont très dangereux. Certains ont entraîné un risque trois mille fois plus élevé que les vaccins normaux, d’autres un risque mille fois plus élevé, deux mille fois plus élevé. Et des centaines, voire des milliers de personnes en sont mortes. Cela signifie qu’en fait, ce n’est pas possible, parce que les seringues qui sont vendues doivent contenir la même chose partout. Et cela n’existe pas ailleurs, qu’un prétendu vaccin contienne parfois quelque chose de dangereux et parfois non.

Nous assistons actuellement à l’apparition d’une toute nouvelle technologie censée nous immuniser, mais ce n’est pas le cas. Car ces injections dans le muscle ne nous empêchent pas de continuer à être infectés par des virus et de transmettre ces virus. Même de transmettre les Coronavirus, même le variant Omicron, qui est l’un des nombreux variants à venir, elle se transmet. Et nous nous contaminons avec eux. Mais ce n’est pas ce qui nous rend si malades, ce qui nous rend malades maintenant, ce qui rend beaucoup de gens malades, ce sont les effets secondaires de ces injections. Ce sont les thromboses dues aux protéines Spike. Ce sont aussi les inflammations, les déficiences immunitaires qui apparaissent. Tous ces effets sont dus en partie aux protéines formées dans le corps, ou au fait que le système immunitaire est réorienté dans le corps et que le système immunitaire n’est pas confronté à des parties de virus là où il le fait habituellement, c’est-à-dire dans la bouche et le pharynx, mais quelque part dans le corps. Et ça irrite le système immunitaire, ça le perturbe et ça conduit à des réactions erronées. En outre, comme on le sait maintenant, les protéines Spike peuvent pénétrer dans le noyau des cellules immunitaires et peuvent y provoquer de graves perturbations et entraîner une déficience immunitaire. Cela aussi est de plus en plus observé, mais curieusement, ce n’est pas le cas partout. Sinon, des millions de personnes mourraient et des millions de personnes tomberaient malades dès maintenant. Nous ne savons pas si des millions de personnes ne tomberont pas malades plus tard à cause des effets à long terme. Mais ce qu’on observe dans la banque de données, c’est que justement, pour certains lots, beaucoup tombent malades, mais ça veut dire que les entreprises pharmaceutiques ne mettent pas toujours la même chose dans les seringues.
Et ça ne doit pas se produire, nous avons en fait des autorités de contrôle qui garantissent que c’est une norme, que ce qui est écrit est bien ce qu’il y a dedans. Elles ne le font pas. Et ça s’explique à mon avis par le fait que nous avons maintenant, ce qu’on appelle la « procédure télescopique ». Nous sommes soi-disant en situation de pandémie, et dans cette situation beaucoup de choses sont autorisées, qui ne le seraient jamais autrement.

Il y a des phases où les vaccins sont testés : Phase un – deux – trois – et ensuite l’autorisation de mise sur le marché et ensuite une étude d’observation – phase quatre – encore après. En fait, nous sommes dans la phase quatre, où toutes les autres étapes devraient déjà avoir eu lieu. Mais nous savons que pour beaucoup de ces vaccins, il n’y a pas eu de véritables tests sur les animaux. Et beaucoup de choses n’ont pas été exclues. Des essais n’ont été réalisés que sur des personnes en bonne santé, bien que ces vaccins soient maintenant recommandés pour les malades et même pour les femmes enceintes ! Cela signifie que beaucoup de choses sont inconnues et que beaucoup de choses sont en train d’être testées.

Et c’est bien sûr une énorme opportunité. Il y a maintenant 128 fabricants de vaccins différents qui font des essais cliniques – certains même avec des virus qui se reproduisent eux-mêmes ; c’est-à-dire des vaccins qui se reproduisent eux-mêmes – jadis cela n’aurait jamais été autorisé. Et le patron de Bayer a lui-même déclaré lors du « Global Health Summit » à Berlin : « Il est étonnant de voir tout ce que les gens acceptent maintenant. Il y a deux ans, personne n’aurait accepté ce qu’on injecte aujourd’hui. Et l’industrie est ravie ; ils ont de nombreux brevets, ils peuvent maintenant tout essayer, et personne ne le remarque. Le comité d’éthique approuve tout…, après tout, c’est une pandémie. Et maintenant, beaucoup se réjouissent déjà des nouveaux vaccins, des vaccins qu’on prétend meilleurs. Ils essaient quelque chose qui n’existait pas auparavant. Et ils ne savent pas comment ils vont l’essayer. Il existe les études pour la détermination de la dose, le vaccin est injecté à forte dose à des gens et à dose plus faible à d’autres. Nous observons la même chose actuellement, par exemple Biontech l’a fait avec des millions de personnes aux États-Unis. Ils ont eu des seringues, des lots, qui ont eu 3 000 fois plus de létalité – 3 000 fois plus d’effets toxiques, d’autres ont eu 2 500 fois plus, puis ils en ont eu une avec 2 000 fois d’effets toxiques, puis avec 1 500, 1 000 et 500. Ils ont donc correctement titré, et cela pendant la phase quatre. D’habitude, on le fait avec peu de gens en phase deux. Et maintenant, on le fait comme ça, sans que personne ne le remarque.

Et vous, chers médecins, vous êtes d’accord avec cela ! Vous faites ces injections. Vous transformez vos patients en cobayes. Saviez-vous que ce sont des expériences qui sont faites ici ? Vous pouvez le lire, c’est publié dans les données VAERS. J’ai mis les sources sur mon site et je l’explique également. Ce qui se passe actuellement est un crime. Ce sont des essais sur l’homme – ; et les gens ne sont pas d’accord, ils sont contraints de le faire. C’est une chose très grave que de transformer en cobayes des personnes qui n’ont pas le choix. Cela s’est déjà produit en Allemagne et a conduit aux procès de Nuremberg. Et ces personnes qui ont fait cela ont été condamnées. Ce qui se passe actuellement ce n’est pas un hasard ; mais ce sont des expériences qu’on fait volontairement, et intentionnellement. Et on profite de la peur des gens et de la prétendue « situation d’urgence » et de la stupidité des politiciens qui laissent passer ça, et de la corruption des institutions qui sont censées nous protéger. Ils nous exposent à ces expériences. La biotechnologie donne des possibilités inimaginables. Maintenant pendant la pandémie, ils peuvent essayer tout ce qu’ils voulaient essayer depuis longtemps. Mais les politiques qui sont censés nous protéger ne le comprennent manifestement pas, ou alors ils sont corrompus.

Je peux bien imaginer que certains le comprennent très bien, ceux qui sont particulièrement bruyants et qui nous disent : c’est nécessaire, il faut le faire. Ceux qui ont aussi de très bonnes relations avec l’industrie. Je suis consterné par cette énergie criminelle que nous observons, et surtout que les médecins acceptent ça et y participent. Je me réjouis qu’il existe désormais une base de données dans laquelle on peut faire des recherches. Si on va sur Google, on la trouve sous le titre : « How bad is my batch » « A quel point mon lot est mauvais ». Là, on peut voir lesquelles de ces doses étaient très dangereuses, lesquelles sont moins dangereuses. Bien sûr, il est possible que les doses futures n’y figurent pas encore. Mais si vous devez ou voulez vous faire injecter ou si vous y êtes contraint et que vous voulez quand même le faire, demandez à votre médecin s’il sait de quel lot il s’agit, s’il s’agit d’un des lots dangereux ou d’un lot qui ne l’est pas, où il n’y a que du sel de cuisine, ou qui ne contient rien de nocif.

Demandez à votre médecin, ne vous faites pas injecter n’importe quoi. Chaque médecin devrait savoir quels lots lui sont livrés et devrait être sûr qu’on a vérifié ce qu’il y avait dedans, non ? Nous savons maintenant qu’il n’y a pas la même chose dans tous les lots. C’est interdit. Nous savons que cela se fait quand même. On nous force à prendre ces injections. Et c’est pourquoi, chers médecins, vous devez demander ces informations, demandez ce que vous avez reçu, ce qu’on vous a livré. Chers pharmaciens, demandez : « qu’est-ce que vous me livrez-là ? Comment puis-je être sûr de ce qu’il y a dedans ? » Et chers patients, dites NON. Dites non à l’injection si vous n’êtes pas sûr qu’il s’agisse d’un produit contenant ce qui est écrit. Et même dans ce cas, dites non. Car vous ne pouvez toujours pas être sûr – ce sont des criminels qui sont à l’œuvre. Et vous ne devez pas vous livrer à ces criminels. J’espère vraiment que notre justice se remettra en marche. Elle pourrait bien sûr se rendre immédiatement chez Biontech, confisquer les ordinateurs, aller immédiatement voir ce qui se passe réellement. Vérifier immédiatement, dans les livres, dans les ordinateurs, partout, pour voir ce qu’ils ont fait. Mais notre justice préfère aller voir les médecins qui essaient de protéger les patients de ces injections et elle fouille le cabinet de ceux-ci plutôt que d’aller voir ces criminels. Nous vivons dans un monde terrible.

Les gens qui sont responsables de tout cela, qui ont planifié cela depuis longtemps, ils abusent des biotechnologues et des virologues et des pharmacologues pour entretenir notre peur. Les gens qui meurent maintenant dans les hôpitaux, prétendument avec le Covid, la plupart d’entre eux meurent des effets secondaires des injections. Et quand on dit que ceux qui se trouvent dans les hôpitaux sont tous des non vaccinés ! Vous savez, les non vaccinés, ce sont aussi des gens qui ont reçu le vaccin, l’injection, au cours des 14 derniers jours et qui ne sont pas encore comptés parmi les vaccinés. Mais c’est justement pendant ces 14 premiers jours que se produisent les effets secondaires aigus et graves. Cela signifie que de nombreuses personnes sont rendues malades en recevant une injection et on les compte parmi les non vaccinés. Ce qui est bien sûr totalement faux et c’est délibérément un aveuglement épidémiologique.

C’est incroyable tout ce qu’on nous demande de faire. Et je trouve merveilleux que vous descendiez dans la rue. Je trouve ça merveilleux que vous vous défendiez et que vous ne vous laissiez pas transformer en victimes d’un projet criminel. Je vous remercie tellement de vous engager et je vous souhaite tout le bonheur possible, une bonne santé et beaucoup de plaisir les uns avec les autres quand vous vous promenez dans les rues lors des manifs pacifiques. Vous ne devez pas avoir peur les uns des autres, les personnes vaccinées qui ont survécu ne doivent pas non plus avoir peur. Et j’espère qu’il n’y aura pas de conséquences à long terme pour ceux qui n’ont pas eu d’effets secondaires. Restons unis, vaccinés et non vaccinés. Et chassons les criminels de la maison, afin que nous puissions à nouveau débattre et nous entendre démocratiquement, conformément à notre loi fondamentale, dans des conditions de vie normales, comme nous en avons l’habitude. Restez courageux. Restez engagés. Restez unis.
Et oui, à la prochaine fois. Au revoir, Wolfgang Wodarg.

de hm

Sources / Liens : Dr. Wodarg zu den verschwiegenen Covid-19-Impf-Zusammensetzungen
https://www.bitchute.com/video/JqINeUu312v3/




La fin du Covid. Libres, enfin libres… encore que…

Par Alain Tortosa

[Humour]

Et oui, le grand jour est arrivé, le Covid est mort, nous n’avons plus besoin de masques protecteurs, de confinements régulateurs de virus, de vaccinations altruistes et de passe-vaccinal libérateur…

Ah ! nous l’attendions depuis longtemps et cela prouve à tous les complotistes que la méthode gouvernementale était la bonne.

Bon, d’accord, nous allons devoir payer l’addition avec de nouvelles taxes ou une inflation de 10 %, mais c’était ça ou l’extinction de l’espèce humaine.

Libres, libres, nous sommes libres…

Libres, oui, mais pas de faire n’importe quoi comme pourrait nous le répéter notre Président bienfaiteur lumineux ou Valérie Pécresse, tous deux grands défenseurs des libertés s’il en est !

Je vous rappelle que le monde est très très dangereux.
Poutine nous menace ainsi que le terrorisme !

Alors oui le monde est débarrassé… pardon, le monde contrôle l’odieux Sars-cov2, mais la menace peut revenir à tout moment. Nous avons vu comment, nous, frêles Occidentaux, sommes fragiles face à la violence d’un virus qui ne respecte même pas les frontières. Pour protéger la population, nous n’avons pas hésité à investir massivement dans le personnel de sécurité chargé de contrôler les mauvais Français.

Qui sait si le monstre ne va pas revenir demain ou dans deux ans ? (les scientifiques de Wuhan prépareraient la V3 avec l’aide de Fauci et autres instituts français.)

Nous devons plus que jamais rester vigilants et demeurer dans la peur si possible 24 heures sur 24… Nous sommes peut-être à l’aube d’un conflit nucléaire mondial ! Je vous rappelle que les Russes sont des psychopathes sans âme qui n’aiment pas leurs enfants.

Et comme dit le dicton « un Français endetté, c’est bien, mais un Français dans la peur, c’est mieux ».

Attention, ces menaces ne sont rien face au défi qui nous attend ! Cela fait des années que gouvernements et médias corrompus nous y préparent, mais maintenant il va falloir rentrer dans le dur.

« Nous devons sauver la planète Terre de nous-mêmes ! »

Nous sommes face à un défi énorme que l’homme (pardon « iel ») n’a jamais connu.

Si nous ne le faisons pas, les générations futures (s’il y a des survivants) ne nous pardonneront jamais de ne pas avoir acheté de voitures électriques.

Les mêmes experts qui ont modélisé l’épidémie sont formels et unanimes.

Il y a de plus un consensus sur la planète pour dire que dans dix ans, si nous ne faisons rien, il y aura la fonte totale des glaces, la disparition des ours polaires ainsi que 30 % à 50 % des espèces vivantes, et une montée des océans de 23,82 mètres.

Qui pourrait douter de ces prévisions à 5 ou 10 ans quand nous constatons la redoutable précision de la météo à 5 jours !

Pour revenir au réchauffement, tout le monde sait que la chaleur n’est pas propice à la vie et que les jungles luxuriantes se trouvent aux pôles. Nous savons tous que les différentes ères glaciaires ont permis l’explosion de la vie sur Terre.

Et autre point à considérer, le réchauffement climatique devrait entraîner d’énormes sécheresses et la fin de la pluie. Là aussi il faudrait être le dernier des idiots pour imaginer que plus de chaleur entraînerait plus d’évaporation et donc plus de précipitations… Tout le monde sait qu’à l’équateur il pleut beaucoup moins qu’en Antarctique !

Bref, c’est la catastrophe annoncée et assurée…

Des centaines de millions de personnes vont mourir de faim et de soif (heureusement c’est des pauvres) et des milliards d’individus (là aussi des pauvres, ouf) vont devoir se déplacer vers des zones moins arides…

Disons que s’ils venaient chez nous ce serait moins drôle…

Pourtant cela ferait des économies de transport…

Ben oui, réfléchissez un peu… Aujourd’hui nos esclaves vivent à des milliers de kilomètres pour produire notre richesse et nous permettre de vivre dans l’opulence. Si nous avions des ghettos, par exemple dans le Larzac où personne ne veut vivre, les pauvres pourraient produire local… C’est ça l’écologie ! Il suffirait de leur donner un statut de sous-homme, sur le modèle des non-vaccinés, et ainsi il ne serait que justice que le fruit de leur travail leur permette tout juste de ne pas crever de faim.

Et en plus on pourrait créer des parcs à thème selon le type d’esclaves, ce qui pourrait permettre de faire des sorties Week-end pour les enfants… Sans compter que plutôt que d’acheter un dinosaure en plastique « made in China » à la boutique du parc, on pourrait acheter une phalange d’un enfant de six ans tranchée du matin par une machine-outil…
Du Bio ET du local !

Bon, je me suis un peu égaré, mais dès que l’on pense avenir de l’homme et progrès sociaux, je suis intarissable… J’espère ne pas avoir volé trop d’idées à Valérie, qu’elle m’en excuse…

Donc l’Armageddon est pour demain si nous n’agissons pas.

La France doit relever ce défi et être un phare pour la planète Terre et les planètes voisines.

Alors on va rester sans rien faire, assister à la fin du monde ?

Décidément l’homme n’apprend rien de son histoire Regardez les catastrophes dans la galaxie…
Sans aller si loin, il suffit de se tourner vers Mars. Il y a quelques milliards d’années, c’était une planète verdoyante avec une atmosphère respirable, des lacs et des rivières. Et voilà, il suffit qu’une tribu de macaques énarques établisse une colonie pour que, quelques dizaines d’années plus tard, la planète soit telle qu’on la connaît, hostile et sans vie.

Il faut donc « prendre le taureau par les cornes » ou comme dirait nos amis du Québec libre « ne pas niaiser avec la puck ».

Il nous faut désigner l’ennemi, ennemi qui est identifié depuis des dizaines d’années… Naïvement certains croyaient que c’était la surexploitation des ressources, la croissance infinie, la surconsommation, les produits chimiques, les pollueurs… mais que nenni !

« L’ennemi est bien entendu le CO2… »

Quel être décérébré pourrait ignorer que ce gaz est mortel ?! Rendez-vous compte que des imbéciles pensent que la surface forestière mondiale pourrait augmenter du fait du CO2 dont se nourrissent les plantes ?! Mais quelle stupidité !

Heureusement, le sujet est suffisamment sérieux pour que des imbéciles ne s’en mêlent pas.

C’est bien lui, le CO2, qu’il faut combattre, mais surtout pas les produits chimiques, les pesticides et tous les autres gaz à la dangerosité totalement marginale. Et fermons les yeux sur les pollutions engendrées par l’exploitation des terres rares qui rendraient stériles pour des dizaines d’années les zones d’extraction et de mise en valeur.
Ba-li-ver-nes.

Oui mes frères, permettez-moi cette familiarité, nous devons redoubler d’efforts pour lutter contre ce fléau.

Stop à l’égoïsme et à l’individualisme, l’heure est à la solidarité et à l’union telle que nous avons connu l’ébauche dans ce combat contre l’odieux Covid.

Pour lutter contre ce fléau, le conseil de défense a décidé de mesures phares :

  • Port obligatoire du masque à partir de 3 mois pour se protéger des polluants et diminuer la quantité de CO2 expulsée par chaque individu.
  • Confinement durant les pics de pollution (peuvent durer entre 24 heures et 6 mois).
  • Interdiction de tous véhicules de plus de 3 ans afin de favoriser les véhicules propres.
  • Limitation des déplacements individuels avec crédit kilométrique et taxe carbone.
  • Abaissement de la vitesse sur autoroutes à 50 km/h pour diminuer les émissions.
  • Interdiction de prendre l’avion sauf pour les personnes indispensables à la marche du pays.
  • Passeport climatique pour des raisons d’éthique et de solidarité. Il ne s’agirait pas de laisser des petits cons aux poumons obstrués saturer nos réanimations alors que nous, les bons Français, aurions fait les efforts nécessaires.
  • Stage de rééducation pour les irréductibles. Ici nous pouvons pointer du doigt l’irresponsabilité de ces salopards de complotistes qui manipulent les honnêtes gens simples d’esprit en leur laissant croire que l’évolution climatique serait un phénomène naturel.
  • Modification de la Constitution et du Code pénal avec introduction du délit pénal de « criminel climatique ».

C’est grâce à ces mesures pondérées, de bon sens, mais efficaces que nous pourrons contenir le réchauffement climatique.

Nous sommes bien conscients qu’il faudra faire plus et même beaucoup plus pour sauver la planète, mais le gouvernement soucieux, une fois de plus, du bien-être de chaque Français a décidé de faire preuve de pédagogie et avancer doucement.

Il a notamment déclaré « jamais nous ne toucherons à l’habitat individuel ».

Ceci n’a pas empêché Sainte Greta, canonisée par notre nouveau pape transgenre récemment élu, et prix Nobel de la paix ET de l’économie pour cinq années consécutives, de faire une crise de nerfs et déclarer que « vous devriez avoir honte, bande de cons, il faut aller beaucoup plus loin » comme :

  • Interdiction de l’habitat individuel.
  • Interdiction de véhicules individuels motorisés.
  • Interdiction de faire plus de 1,5 enfant (permis vert obligatoire).
  • Interdiction de chauffer sa maison à plus de 15 degrés.
  • Interdiction des avions publics (seuls les jets privés seront autorisés).
  • Interdiction de porte-containers à moteurs (à voiles en tissu bio uniquement).
  • Interdiction de courir pour toute personne à partir de 3 ans.
  • Interdiction des aires de jeu pour enfant.
  • Interdiction de surproduction de CO2 par la respiration. Taxe, amende et prison pour les plus grands producteurs.
  • Date de péremption de 3 ans sur tous les biens de consommation avec obligation de les remplacer par leur équivalent écologique.

Grâce à cet élan de l’humanité, encore plus beau que la solidarité qui a pris naissance contre le Covid, les progrès vont être extraordinaires.

Déjà des chercheurs imaginent des modifications génétiques sur l’humain qui permettraient de moins consommer d’oxygène et donc de moins expulser de CO2. Un vaccin est en cours de mise au point (à prendre tous les 15 jours) qui ferait baisser notre consommation de 30 % et plus à chaque rappel. Il a déjà été prouvé qu’il était sans le moindre effet secondaire à long terme.

Vous voyez bien que l’avenir est radieux et qu’il faudrait vraiment être de mauvaise foi pour s’en offusquer.

Grâce à toutes ces mesures, nous serons demain tous libres et nos enfants nous remercieront.

À nous faire regretter le Covid ?

Merci

Alain Tortosa.

1er février 2022
https://7milliards.fr/tortosa20220201-fin-covid-tous-libres.pdf




Roumanie : Un sondage montre que les deux tiers de la population savent que le covid est une arnaque

[Source : Aube Digitale]

Les populations se réveillent tout doucement.

Via le Romania Journal :

Plus de 60% des Roumains pensent que la pandémie de Covid19 a été provoquée par les élites mondiales pour imposer un contrôle sur la population mondiale. En outre, près de 30 % d’entre eux pensent qu’il existe un plan mondial d’implantation de puces par la vaccination, selon le chapitre sept du sondage d’opinion intitulé « Méfiance du public : l’Ouest vs l’Est, la montée du courant nationaliste à l’ère de la mésinformation et le phénomène des fausses nouvelles » réalisé par INSCOP Research en partenariat avec Verifield et commandé par le think tank STRATEGIC Thinking Group.

En ce qui concerne les théories du complot répandues, selon près de deux tiers des Roumains (65,7 %), la pandémie de Covid-19 a été provoquée par les élites mondiales pour imposer un contrôle sur la population mondiale. Moins d’un tiers (28,4%) pense que la pandémie de Covid-19 s’est produite naturellement, comme d’autres pandémies dans l’histoire de l’humanité. 5,9% des répondants ne savent pas ou ne répondent pas à cette question.

Par ailleurs, 28,5 % des personnes interrogées pensent qu’il existe un plan mondial d’implantation de puces par la vaccination, tandis que 66 % rejettent cette théorie et 5,5 % ne savent pas ou ne répondent pas.

Exposition aux fake news

En ce qui concerne l’intention d’exposition personnelle aux fausses nouvelles, 54,7% des personnes interrogées considèrent qu’au cours des derniers mois, elles ont été exposées à des fausses nouvelles ou à des mésinformations dans une très large mesure (contre 55,6% en septembre 2021, 50,1% en juin 2021 et 55% en mars 2021), et 41,8% qu’elles ont été exposées dans une faible ou très faible mesure / pas du tout (contre 40,8% en septembre 2021, 45,6% en juin 2021 et 42,6% en mars 2021). 3,6% ne savent pas ou ne répondent pas à cette question (contre 3,6% en septembre 2021, 4,3% en juin 2021 et 2,5% en mars 2021).

« En ce qui concerne la vulnérabilité des Roumains à la mésinformation, nous notons les réponses inquiétantes concernant deux types de complots largement diffusés au cours des deux dernières années. Ainsi, un peu plus d’un quart des Roumains croient qu’il existe un plan mondial d’implantation de puces par la vaccination, et près de deux tiers pensent que la pandémie a été provoquée par les élites mondiales pour imposer un contrôle sur la population mondiale. Ce dernier chiffre ne reflète pas un déni de la pandémie et de ses graves effets, mais la tentation d’une très grande partie de la population pour les interprétations conspirationnistes, alimentées un temps par la mésinformation, les fausses nouvelles, certaines même diffusées par diverses voix influentes en Roumanie ou dans le monde, au détriment des explications raisonnables, acceptées par la communauté scientifique concernant les causes naturelles du virus COVID19 », a déclaré Remus Ștefureac, président de Strategic Thinking Group.

Quels sont les pays qui soutiennent la propagande ?

Concernant les pays qui soutiennent les actions de propagande, 27,3% des Roumains pensent que la Russie est la principale source d’actions de propagande, de mésinformation et de fausses nouvelles en Roumanie (contre 18,1% en septembre 2021, 25,2% en juin 2021, 24% en mars 2021). Dans le même temps, l’Union européenne est considérée comme la principale source de propagande, de mésinformation et de fausses nouvelles en Roumanie par 17% des répondants (contre 18,5% en septembre 2021, 13,8% en juin 2021, 18,5% en mars 2021), tout près de la Chine avec 17,7% (contre 14,3% en septembre 2021, 12,2% en juin 2021, 14,9% en mars 2021).

La Hongrie vient ensuite avec 5,4% (contre 6,9% en septembre 2021, 8% en juin 2021, 9,2% en mars 2021), les États-Unis – 4,9% (7,3% en septembre 2021, 7,9% en juin 2021, 9,2% en mars 2021) et l’Allemagne – 3,8% (2,2% en septembre 2021, 3,5% en juin 2021, 3,3% en mars 2021).

« La perception de la dimension conspirationniste du contrôle mondial est plus forte parmi le segment de la population ayant un niveau d’éducation primaire et de faibles revenus et vivant dans les zones rurales, mais, apparemment paradoxalement, lorsque le sujet de la cause de la pandémie de COVID est abordé, la part de la population qui croit en ce scénario augmente non seulement parmi les personnes vivant dans les zones urbaines et ayant un niveau d’éducation secondaire, mais aussi parmi la population ayant un niveau d’éducation supérieur et des revenus élevés. »

Les pays pauvres seront toujours plus terre à terre. Il faut avoir un niveau de domestication vraiment élevé pour croire que Poutine mange des bébés et que ce sont les antivax qui perpétuent le covid.




Non, les vaccins ne sont pas gratuits pour les Français ! C’est une grosse fake news de la parole officielle!

[Source : nicolasvidal.substack.com]

Le coup de gueule de Nicolas Vidal ce jeudi 27 janvier dans Ligne Droite, la matinale de Radio Courtoisie : « Non les vaccins ne sont pas gratuits ! C’est une fake news ! Le vaccin est payé par tous les contribuables français vaccinés et non-vaccinés ! À part que Martin Hirsch ou Emmanuel Macron aient payé de leurs poches ces vaccins sans nous le dire! »




Les effets secondaires graves des injections expérimentales éclatent au grand jour dans le monde entier

Par Nicole Delépine

Protégeons les injectés ! Qu’ils stoppent cette intoxication et protégeons les enfants ! Que les parents ne les condamnent pas à un avenir incertain !

La plupart des injectés ne veulent pas entendre parler des drames post injections et préfèrent continuer à écouter la pensée magique de Véran et de ses complices malgré leurs mensonges permanents.

Pourquoi ? Difficulté à reconnaître qu’on s’est trompé ? Drame psychologique personnel ? Pourtant, regarder la réalité en face pourrait leur éviter d’aggraver leur état avec les autres doses que Veran veut imposer de plus en plus fréquemment. Il existe manifestement une toxicité cumulative, en particulier en matière de problèmes cardiaques et neurologiques. Tentons de les informer par des tracts, des discussions à la sortie des magasins, pendant les manifestations, etc.

Tentons de les informer le plus doucement et humainement possible, car ce sont des victimes. Victimes du viol des consciences par les médias, les patrons, mais aussi des familles angoissées qui ont harcelé les vaccino prudents jusqu’à ce qu’ils se laissent « convaincre » et deviennent des « malgré nous ».

N’ajoutons pas un jugement de valeur aux pressions subies et mensonges médiatiques répétés qu’ils ont subis. Informons-les pour qu’ils épargnent leurs enfants.

Rappelons d’emblée qu’aussi bien aux USA qu’en UE ou en Grande-Bretagne, ou en Suisse le nombre d’effets délétères est extrêmement élevé par rapport aux complications enregistrées des vax depuis trente ans.

Toutes les classes d’âge ont été atteintes par les effets secondaires, y compris les plus âgées

Chez les sujets âgés, à haut risque par leurs pathologies sous-jacentes de tous types (artérite, etc.), la mortalité a été élevée lors des premières doses, mais le lien de causalité directe est systématiquement nié.

Sauf en Norvège (https://www.lindependant.fr/2021/01/15/covid-19-la-norvege-annonce-le-deces-de-23-personnes-suite-a-des-injections-du-vaccin-pfizer-9313761.php), où après la mort post vaccinales de 23 pensionnaires de maison de retraite les autopsies réalisées chez 13 d’entre eux suggéraient que des effets secondaires courants pourraient avoir contribué à des réactions graves chez les personnes âgées fragiles.

À la suite de ces constatations, l’agence sanitaire a recommandé de ne pas injecter les personnes âgées de plus de 80 ans. « Pour les personnes les plus fragiles, même des effets secondaires relativement légers peuvent avoir des conséquences graves ». « Pour ceux qui ont une durée de vie restante très courte de toute façon, les avantages du vaccin peuvent être marginaux ou non pertinents ».

De nombreux vieillards sont morts rapidement après leur première dose par AVC, infarctus ou « mort subite » en plus des gens âgés en EHPAD ou en HAD « euthanasiés » sans leur volonté au Rivotril (de l’ordre de 10 000).

Et le pouvoir a poussé à les injecter sous prétexte de leur fragilité qui n’a que renforcé les risques de l’injection. Encore maintenant, on entend trop souvent dire qu’on pourrait réserver le « vax » aux plus de 65 ans, alors qu’il existe des traitements précoces efficaces et que les plus vieux restent des citoyens à part entière qui ont aussi la liberté de penser et d’accepter ou non ce poison. S’exonérer d’un refus total de ces thérapies géniques est inacceptable…

Chez les gens de tous âges porteurs d’une maladie chronique, on note de plus en plus des aggravations de ces pathologies spécifiques : cancers(([1] Thérapies géniques anticovid et cancers — Docteur Nicole Delépine (nicoledelepine.fr) )) (y compris en rémission avec évolution rapide), maladies neurologiques de type SEP, etc., et autres auto-immunes de tous genres.

Chez les plus jeunes, la survenue de myocardites(([2] MYOCARDITES POST VACCIN COVID : RISQUE INACCEPTABLE CHEZ L’ENFANT QUI NE RISQUE RIEN DU VIRUS – Docteur Nicole Delépine (nicoledelepine.fr) )) post injections a rapidement été notée, d’autant plus fréquente que le « vacciné » est plus jeune et en particulier chez les adolescents. Nous sommes très inquiets pour les plus petits qui commencent à être injectés sans raison sanitaire réelle.

Chez les femmes, de nombreux troubles des cycles menstruels qui durent, fausses couches augmentées de façon importante, naissance de nouveau-nés qui décèdent rapidement dans le mois qui suit la naissance, ont rapidement attiré l’attention depuis les premiers mois des injections, qui auraient dû faire interrompre les vax de la part du corps médical et refuser de la part des citoyens, et imposer au minimum un moratoire.

Point actuel sur les chiffres publiés sur différents sites officiels

Selon le site américain VAERS

VAERS data des Centers for Disease Control & Prevention

Total de 1 071 856 déclarations d’événements indésirables dans tous les groupes d’âge après injection anti-COVID :

22 607 décès et 178 994 événements graves entre le 14 décembre 2020 et le 21 janvier 2022.

Les données DMED (pharmaco vigilance des armées américaines) ont fuité

Avec les principaux effets secondaires constatés par comparaison aux années antérieures. Précisons qu’il s’agit d’une population jeune en bonne santé donc ces chiffres sont particulièrement inquiétants.(([3] Il y a une tentative de relativiser en changeant l’année de comparaison, mais ces chiffres restent instructifs))

  • Tachycardie : augmentation de 202 %
  • Cancer du testicule : augmentation de 269 %
  • Dysfonctionnement ovarien : augmentation de 337 %
  • Migraines : augmentation de 352 %
  • Embolie pulmonaire : augmentation de 368 %
  • Infertilité féminine : augmentation de 372 %
  • Néoplasmes de la thyroïde et d’autres glandes endocrines : augmentation de 374 % 08
  • Démyélinisation : augmentation de 387 %
  • Cancer du sein : augmentation de 387 %
  • Syndrome de Guillain-Barré : augmentation de 451 %
  • Tumeurs malignes des organes digestifs — augmentation de 524 %
  • Sclérose en plaques : augmentation de 580 %
  • Tumeurs malignes de l’œsophage : augmentation de 794 %
  • Maladies du système nerveux : augmentation de 948 %
  • Hypertension : augmentation de 2 081 %

Myocardites en fonction de l’âge rapportées par le VAERS

Les atteintes cardiaques ont été les premières à inquiéter sérieusement les Israéliens au début des injections massives. Elles ont été rapidement constatées aux USA et demeurent un drame terrible pour les jeunes particulièrement touchés dont parallèlement les risques du covid lui-même étaient zéro.(([2] MYOCARDITES POST VACCIN COVID : RISQUE INACCEPTABLE CHEZ L’ENFANT QUI NE RISQUE RIEN DU VIRUS – Docteur Nicole Delépine (nicoledelepine.fr) )) Insistons sur le fait que l’atteinte cardiaque même si elle ne tue pas tous les patients affectés reste une lésion définitive qui va compromettre l’espérance de vie du sujet très probablement et en tous cas le rendre incapable d’activités sportives intenses.

Taux d’effets secondaires : les chiffres sur le site du gouvernement du Canada

Des effets secondaires graves post-vaccination « par 100 000 doses administrées et non par 100 000 personnes »

Selon le site de l’ANSM pour la France

Selon le site de l’UE 27 pays

Et dans le détail des pathologies

Drame chez les enfants pourtant à risque zéro du covid :

Via t.me/vaccinosceptique

DRAME CHEZ LES SPORTIFS

https://etouffoir.blogspot.com/2022/01/vaccins-des-sportifs-et-des-athletes-du.html?m=

VACCINS —Des sportifs et des athlètes du monde entier perdent leur carrière, leur santé et parfois leur vie, par suppression tyrannique de leur droit à disposer d’eux-mêmes.

Conclusion

Il est évident que l’accumulation des effets secondaires déclarés dans le monde n’est plus possible à résumer en un article, tant les données sont importantes en nombre et qualité. Ce petit résumé a pour but de rappeler la dangerosité de ces injections toujours expérimentales et donc d’aider à résister à l’injection de commodité par lassitude du harcèlement.

Mais comme le répète Mike Yeadon inventeur de la technique et lanceur d’alerte inquiet des conséquences de sa création, l’effet de l’injection est irréversible, tant pour les conséquences rapides que surtout pour les effets à long terme.

Protégez vos enfants. REFUSEZ TOUTE INJECTION.





Premier jour du procès : Reiner Fuellmich s’adresse au Jury, et expose les faits. Mise à jour

[Source : Jocelyne Pauliac Traduction]

[Voir :
Reiner Fuellmich : « Le procès du Comité Corona contre Bill Gates, Fauci, BlackRock… devrait commencer le 5 février »]

[Note de Joseph : ce procès sort du cadre du Système, sachant qu’il aurait eu peu de chances de voir le jour dans ce dernier et surtout d’aboutir à des condamnations. Néanmoins, s’il parvient à démontrer clairement la culpabilité des accusés, qu’en sera-t-il du verdict et de sa mise en application ? Dans le cadre du Système, les moyens pour ce faire restent aussi très limités, en comparaison de ceux des accusés. Et hors du cadre, qui (ou quoi) serait en mesure de faire appliquer les éventuelles peines ou condamnations ?]


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Mise à jour






L’ancien tireur d’élite de Trudeau coordonne la sécurité bénévolement pour les camionneurs après sa démission pour refus de se faire vacciner

[Source : Annie Tissot]

[Lors de sa démission :]

« Les officiers de police doivent connaître les limites de leur autorité.
Même en période d’urgence l’Emergency Act garantit les droits fondamentaux aux Canadiens : droit de se déplacer, droit à la liberté, à la sécurité, droit à ne pas être retenu sans raison, égalité devant la loi, droit à la protection…

Selon la Loi Suprême du Canada je suis engagé « à faire respecter la loi »

Je ne peux être complice de la politique fédérale : elle est injuste, contraire aux droits fondamentaux.
Notre devoir est de faire appliquer la loi, d’empêcher les crimes, d’enquêter sur les violences. Je pense aux intimidations envers nos scientifiques, aux médicaments retirés.
Nous demandons une enquête sur ces actes criminels. Le peuple est divisé, en colère.
Si nous refusons la soumission, sans violence, notre nombre grandira. Si nous continuons à obéir rien ne changera et nous en serons responsables. »

Vidéo en anglais :



[Voir aussi, en français :
Canada SPÉCIAL :
un courageux policier de la GRC dénonce la gestion tyrannique et illégale de la crise Covid]


[Source : resistance-mondiale.com]

Le caporal Daniel Bulford, un ancien tireur d’élite de la RCMP (Royal Canadian Mounted Police) qui a été démis de ses fonctions après avoir refusé de se faire vacciner, a un nouvel emploi : il soutient les opérations de sécurité pour les bénévoles du programme “Adoptez un camion”.

Avant que la conférence de presse pour les médias dignes de confiance couvrant le Convoi de la Liberté ne commence, The Counter Signal a rencontré Bulford, qui a confirmé qu’il ne protège plus le Premier Ministre ingrat.

Beaucoup se souviendront de Bulford pour une interview explosive avec The Counter Signal l’année dernière, dans laquelle il s’est prononcé contre le mandat de vaccination, qualifiant la décision du gouvernement d’imposer un tel mandat de “comportement de type autoritaire”.

Tous ceux qui souhaitent regarder l’interview complète peuvent le faire en cliquant ici.



M. Bulford, ardent défenseur de la liberté des Canadiens et porte-parole de Mounties 4 Freedom, a démissionné en raison de son refus de se conformer au mandat.

Oui, après avoir servi son pays pendant plus de dix ans, il a été congédié à cause d’une décision médicale très personnelle.

Il s’est ensuite entretenu avec Rebel News, expliquant les raisons qui l’ont poussé à rester sur ses positions et à ne pas se conformer au mandat.


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“Je fais partie d’une catégorie que l’on pourrait considérer comme étant à faible risque – j’ai presque 40 ans, juste un peu moins, je suis en très bonne santé, très actif, je n’ai pas de comorbidités sous-jacentes – et j’ai intégré à mon style de vie, depuis probablement l’école secondaire, le fait de prendre la santé et la forme physique au sérieux”, a expliqué M. Bulford.

De toute évidence, sa passion pour la défense de ses concitoyens canadiens n’a pas diminué d’un iota, et il a maintenant un travail tout aussi important pour protéger les camionneurs qui l’apprécient sans doute plus que Trudeau ne l’a jamais fait.

Source : https://www.thecountersignal.com/news/former-sniper-for-trudeau-is-now-head-of-freedom-convoy-security


[Source : GlobalNews]

Le porte-parole de la manifestation des camionneurs affirme avoir des « informations très fiables » selon lesquelles personne n’a été arrêté

S’adressant aux journalistes jeudi à Ottawa (Ontario), Daniel Bulford, ancien agent de la GRC et actuel porte-parole des manifestations du « Convoi de la liberté 2022 », a déclaré qu’il disposait d’« informations très fiables » selon lesquelles personne directement associé à la manifestation n’avait été arrêté ou inculpé par la police, malgré les rapports faisant état de multiples arrestations liées aux manifestations de camionneurs en cours dans la capitale nationale.




Trudeau en Conflit d’Intérêts 

[Source : latableronde]

Quand il impose la Vaccination Obligatoire aux camionneurs et aux employés Fédéraux, M. Justin Trudeau est en Conflit d’Intérêts car il a déjà acheté 400 Millions de Vaccins pour une population de 40 Millions de Canadiens pour la somme astronomique de Mille Millions de Dollars qui lui rapportent des ristournes aux deux compagnies pharmaceutiques dont il est actionnaire. En effet, il détient 40% des actions de la Pharmaceutique Acuitas qui détient les brevets des nanoparticules utilisés dans les vaccins ARN… C’est illégal ! Ça s’appelle un Kickback en Anglais. Voir la vidéo plus bas…

 »P.M. Justin Trudeau Failled to Disclose that the Canadian Government Gets a Kick-Back for every one of the Pfizer & Moderna (Vaccine) Shots Because Two Pharmaceuticals of B.C. are the ones who invented the lipid particles that are Licensenced to inject the pathogen into everybody. Canada Win$ Everytime there is a Shot…This May Explain Why M. Trudeau ordered 10 Time$ More Vaccine$ than there are Canadians »…

This is called Racketeering, a type of organized crime or a Conflict of Interest …

Dr David Martin Ph.D, a spokesperson for global intellectual property accountability and quality reform, a former Assistant Professor at the University of Virginia’s School of Medicine.

Start at the 19th minute of this 40 min Video

[Traduction :

Le Premier ministre Justin Trudeau a omis de révéler que le gouvernement canadien reçoit une ristourne pour chacune des injections de Pfizer et Moderna (vaccins), car ce sont deux sociétés pharmaceutiques de la Colombie-Britannique qui ont inventé les particules lipidiques qui sont autorisées à injecter l’agent pathogène à tout le monde. Le Canada gagne à chaque fois qu’il y a un vaccin… Cela peut expliquer pourquoi M. Trudeau a commandé 10 fois plus de vaccins qu’il n’y a de Canadiens…

C’est ce qu’on appelle le racket, un type de crime organisé ou un conflit d’intérêts …

Dr David Martin Ph.D, un porte-parole pour la responsabilité de la propriété intellectuelle mondiale et la réforme de la qualité, un ancien professeur adjoint à l’école de médecine de l’Université de Virginie.

Commencez à la 19e minute de cette vidéo de 40 minutes.]