L’Union européenne s’associe au gouvernement néerlandais pour fermer les fermes laitières, bovines, porcines et avicoles à travers le pays ! Bonne voie vers la famine

07/05/2023 (2023-05-07)

[Source : information645]

(Natural News) Les « coupures climatiques » sont là. L’Union européenne s’associe au gouvernement néerlandais pour fermer définitivement les exploitations laitières, bovines, porcines et avicoles aux Pays-Bas. Il y a à peine un an, le gouvernement néerlandais a annoncé un plan visant à réduire les émissions d’azote dans tout le pays de plus de 50 % d’ici 2030.
Le 2 mai, la Commission européenne a approuvé un plan qui paierait les éleveurs pour qu’ils ferment indéfiniment les zones de conservation désignées s’ils s’engagent à ne jamais reprendre la même activité d’élevage ailleurs. Les réglementations environnementales de l’UE sont une menace pour les libertés économiques fondamentales et les répercussions auront un impact sur les droits de l’homme et l’approvisionnement alimentaire lui-même.

Le Green Deal européen soudoie les petits agriculteurs pour qu’ils ferment définitivement

Dans le cadre du Green Deal européen, les gouvernements soudoient les petits et moyens agriculteurs pour qu’ils arrêtent définitivement leurs opérations parce que leurs installations produisent des niveaux élevés d’azote. L’azote est désormais étiqueté comme un « polluant » qui devrait être réduit de 50 % dans toute l’Europe. Dans le cadre du Green Deal, il est « nécessaire et approprié » d’« améliorer les conditions environnementales des zones ciblées et de permettre une production de haute qualité, durable et respectueuse de l’environnement », ce qui implique la fermeture de centaines de petites exploitations. Le gouvernement néerlandais a prévu un budget d’environ 1,47 milliard d’euros (1,62 milliard de dollars) pour rembourser les agriculteurs et les fermer définitivement.

Les fonds seront utilisés pour indemniser les agriculteurs « jusqu’à 100 % » des pertes qu’ils subissent après avoir accepté « volontairement » de fermer les sites d’élevage laitiers, bovins, porcins et avicoles. La Commission européenne appelle ces rachats des « subventions directes ».

Dans le cadre du plan du gouvernement, ces nouveaux rachats de petites et moyennes exploitations sont appelés « programmes ». Le gouvernement néerlandais maintiendra les programmes en vigueur jusqu’en février 2028, jusqu’à ce que la plupart des exploitations agricoles soient regroupées entre les mains de quelques-uns. La Commission européenne affirme que les régimes sont « proportionnés » et que la compensation « apporte des effets positifs qui l’emportent sur toute distorsion potentielle de la concurrence et des échanges dans l’Union européenne ».

Les agriculteurs ne sont éligibles aux rachats que s’ils peuvent prouver qu’ils ont produit pendant cinq années consécutives. Les mondialistes du WEF à l’origine du nouveau plan savent que les Pays-Bas sont l’un des principaux exportateurs de viande et de produits agricoles dans le monde. Selon l’Office national des statistiques, les exportations agricoles néerlandaises s’élevaient à 122,3 milliards d’euros l’année dernière. Les agriculteurs se battent contre les nouvelles règles environnementales qui menacent leur existence même, mais le gouvernement néerlandais conspire avec le WEF.

L’UE détruit les libertés fondamentales et restreint la production alimentaire, le tout pour le « plus grand bien ».

Robbin Voorend est l’un de ces agriculteurs qui se sont prononcés sur le Green Deal européen. Les programmes gouvernementaux d’émissions d’azote ont déjà réduit sa production animale de 90 à 95 %. Le producteur laitier Martin Neppelenbroek atteste que le gouvernement a abattu 95 % de son troupeau.

Ces stratagèmes ne suffiront pas à convaincre chaque agriculteur de fermer ses portes, donc des pots-de-vin et des paiements supplémentaires seront inclus dans le plan plus large. Dans le cadre du programme LBV-plus de 975 millions d’euros (1,77 milliard de dollars), certains agriculteurs qui arrêtent les opérations à haut niveau d’azote recevront jusqu’à 120 % de compensation de la capacité de production perdue. Dans le cadre du Green Deal européen, les États membres peuvent accorder à certains agriculteurs un « bonus vert » supplémentaire de 20 % — s’ils ferment leurs exploitations pour des raisons « environnementales ».

La commentatrice politique néerlandaise Eva Vlaardingerbroek estime que les rachats de l’UE pourraient fermer définitivement 3 000 fermes néerlandaises ou plus.

« C’est comme ça qu’ils font : ils mettent un couteau sous la gorge des agriculteurs. Ils s’assurent de ne pas renouveler leurs licences, ils les affligent chaque jour de nouvelles règles et restrictions, puis leur offrent un pot-de-vin, sachant que beaucoup le prendront par pur désespoir. Tout est si ignoble », a écrit Vlaardingerbroek, tout en remettant en question la légalité du gouvernement interdisant aux agriculteurs de recommencer.

« Toute l’idée de l’UE était censée concerner la liberté de circulation et la liberté des travailleurs. Ce sont des trucs de l’URSS de niveau supérieur », a averti Vlaardingerbroek.

Les sources comprennent :

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