Tests PCR condamnés en justice, mais toujours imposés à répétition aux hospitalisés et aux soignants !

Par Dre Nicole Delépine

Tests PCR[1] condamnés en justice, mais toujours imposés à répétition aux hospitalisés et aux soignants[2] !

« Nous sommes tous des Indiens maintenant »

Faux et usages de faux

Depuis plusieurs mois, la politique dite sanitaire des pays qui suivent les consignes de l’OMS, prend comme prétexte le taux des contaminations basées sur les tests PCR, pour justifier des mesures antidémocratiques inefficaces, quel que soit l’état épidémique réel de leur propre pays[3].

À partir de mai-juin 2020, les vrais malades Covid (ceux qui consultent leurs médecins de ville, vont aux urgences et sont hospitalisés pour traitement) se sont raréfiés. Pour continuer à imposer les mesures liberticides du projet Schwab (forum de Davos), nos dirigeants ont remplacé le décompte des malades par de faux malades, « les cas » simples porteurs d’un test PCR positif, même asymptomatiques (quand ce ne fut pas par le décompte des consultations de SOS Médecins ou aux urgences pour crainte de covid !).

Contexte des plaintes multiples

Les auditions d’une centaine de scientifiques, médecins, économistes, avocats et personnes invitées par le Comité coronavirus de Berlin depuis le 10 juillet 2020 organisé par Maître Reiner Fuellmich et al. ont montré que le scandale Corona n’a jamais porté sur la santé.

Le coronavirus provoquant le covid19 n’est pas plus dangereux que celui des grandes grippes de l’ère des transports aériens. La dangerosité de cette nouvelle souche de coronavirus est semblable à celui d’une grippe sévère, non seulement selon les études du Pr J. Ioannides (Université Stanford), mais aussi selon l’évaluation de l’OMS récente.

En résumé, voici les constatations majeures de Reiner Fuellmich et coll. qui ont permis d’éclairer l’escroquerie mondiale[4].

Les tests PCR sont de faux étalons-or qui permettent toutes les manipulations

Les tests PCR inventés par Drosten en janvier 2020 ne sont pas adaptés au dépistage des infections Covid19 actives. La direction de l’OMS les a pourtant recommandés à toute vitesse, comme l’étalon-or mondial pour la détection du covid19 deux jours après la publication de Drosten en janvier 2020[5].

Dénoncée entre autres depuis plusieurs mois par le Pr Denis Rancourt au Canada, le Dr Pascal Sacré, réanimateur belge, l’arnaque est ensuite analysée collectivement et de très nombreux articles y sont consacrés dans la littérature internationale, sans effet pour l’instant.

Le 27 septembre, 22 scientifiques font une analyse indépendante « par les pairs » de l’article original de Drosten et Corman et démontrent que le travail présente 9 erreurs majeures qui rendent les tests invalides pour le diagnostic d’infection par Sars-CoV-2. Dans leur publication de novembre 2020,[6] les chercheurs déclarent :

« l’utilisation des tests PCR en tant que méthode de mesure des infections, n’est pas seulement un non-sens scientifique,

mais a apparemment été délibérément conçue pour créer autant de faux positifs que possible (et paniquer ainsi le monde). »

Ceci est grave, car même si la supercherie était visible, nous n’avions pas imaginé une falsification préméditée. Ces universitaires internationaux très respectés ont rédigé un article de demande de rétractation appelant le rédacteur en chef du journal à retirer immédiatement ce non-sens. [7]

Les asymptomatiques positifs ne sont pas des malades

La deuxième affirmation faite par Drosten en janvier 2020 selon laquelle il existe des malades porteurs d’infections asymptomatiques est également fausse. Une étude récente chinoise vient de le prouver à nouveau par une grande étude impliquant 10 millions de personnes de Wuhan, que les asymptomatiques « positifs » n’excrètent pas de virus et sont incapables de contaminer leurs contacts. [8]

Une personne qui ne présente aucun symptôme est en bonne santé. En conséquence, cela signifie que personne ne doit avoir peur des autres s’ils ne présentent pas de symptômes, et ne doit pas les forcer à se masquer.

Personne ne doit avoir peur d’un résultat de test positif et ne doit pas imaginer que la personne asymptomatique testée positive est infectée.

La surcharge des lits hospitaliers est récurrente et voulue (fermeture continue des lits) :

Les images pénibles de lits dans les couloirs d’hôpitaux réapparaissent presque chaque année pendant les épidémies hivernales de grippe ou de bronchiolite chez les tout petits. Elles sont maintenant instrumentalisées pour attiser la panique Covid.

Il n’y a toujours pas de surmortalité globale en Allemagne, il est « normal » que davantage de personnes meurent en hiver. Idem en France.

La clique de Davos au pouvoir veut faire disparaître la classe moyenne et les petits commerces

On peut supposer que la clique de Davos se sentant assez puissante a décidé de prendre directement le pouvoir. Elle est composée d’élites autoproclamées des entreprises mondialisées, de la finance et de dirigeants politiques, qui collaborent intensivement depuis au moins 20 ans dans le cadre des réunions de l’organisation privée World Economic Forum (WWF).

Paul Schreyer décrit très clairement cette imbrication des « élites » dans son rapport « Jeux de simulation de pandémie ».[9][10]

Et l’ancienne vice-ministre du Logement et banquier d’investissement américaine C. Austin Fitts explique dans « Catherine Austin Fitt’s Full Interview Planet Lockdown : « comment ces « élites » s’emparent économiquement des actifs de la classe moyenne ».

Des secteurs de la restauration et de la vente au détail sont autoritairement fermés par le confinement, de sorte que ces entreprises ne peuvent plus générer de revenus, payer leurs charges, ni rembourser leurs emprunts. L’aide est annoncée, mais en réalité versée avec grande parcimonie, ou pas du tout, afin de conduire ces entreprises à la faillite pour permettre ensuite à des « investisseurs » fiscalement privilégiés par leur implantation mondiale, de les reprendre pour presque rien.

https://www.youtube.com/watch?v=qoILpvheLWE
[Vidéo déjà censurée].

Alors, comment se défendre ?

Si seulement 10 % de la population le reconnaît, le château de cartes s’effondre immédiatement.

Il faut informer sur la supercherie de la pandémie et les moyens de s’en sortir, dont les procédures judiciaires

Vers les litiges : « un certain nombre d’institutions et de cabinets d’avocats du monde entier se sont coordonnés afin de faire établir les antécédents susmentionnés avec l’aide des tribunaux, puis d’exiger une compensation de la part des bailleurs de fonds et des entreprises responsables pour les nombreuses victimes du confinement reposant sur les tests PCR de Drosten ».

Riposte mondiale juridique organisée

Les différends juridiques qui se déroulent actuellement dans le monde ne surviennent pas au hasard, mais résultent principalement d’une planification conjointe détaillée par les scientifiques et les avocats impliqués.

LES ÉLÉMENTS PRINCIPAUX UTILISÉS EN JUSTICE CONTRE LES TESTS PCR DROSTEN

Les fautes majeures de la supercherie mise en place par Drosten en janvier 2020 sont exposées ici.

Erreurs dans la conception et le protocole des tests PCR pour SARS-CoV-2 [11]
  • « Le virus n’a pas été correctement isolé » la séquence génétique complète n’est pas incluse pour servir d’étalon — or » ou de guide standard pour le test PCR. »
  • « Conception inadéquate des “amorces” avec faible spécificité pour la détection de SARS-CoV-2. »
  • « Protocole de test inefficace, permet de conclure comme positif un échantillon avec seulement des fragments de virus SARS-CoV-2 (donc non infectieux) ou même d’autres coronavirus différents du SARS-CoV-2 qui peuvent être présents jusque chez 30 % de la population. »
  • « Nombre de Cycles d’amplification recommandé trop élevé (au-dessus de 40) qui sensibilise excessivement le test, générant de la positivité chez les personnes en bonne santé. »
  • « On constate qu’à Ct = 25, jusqu’à 70 % des patients sont positifs en culture et à Ct = 30 cette valeur tombe à 20 %. Notons que même à Ct = 35, valeur utilisée pour signaler un résultat positif pour la PCR, moins de < 3 % des personnes testées PCR positifs ont des cultures positives ». (Jaafar, décembre 2020). »
  • « Le nombre de cycles recommandé pour les échantillons SARS-CoV-2 par l’étude Corman et Drosten […] varie entre 40 et 45 cycles, ce qui entraîne la positivité pour les échantillons non contagieux. »
  • « Parce que le corps humain a en moyenne 10 micro-organismes (virus, bactéries, levures, champignons, protozoaires) pour chaque cellule humaine, il est très difficile d’isoler le matériel génétique d’un seul micro-organisme dans un échantillon. Et c’est pourquoi ce test n’est utile que dans des conditions de laboratoire. »
  • « Le pharynx humain est l’un des plus contaminés du règne animal, il est très difficile d’isoler un échantillon viral purifié. » « L’écouvillon pharyngé réalisé pour les diagnostics de coronavirus est généralement contaminé par un matériel génétique abondant et qui, lors de son amplification, il peut facilement fausser les résultats. »
  • « une bonne proportion de “nouveaux” cas bénins et de personnes ne sont pas infectieux ou contagieux, éliminent simplement les particules virales inoffensives que leur système immunitaire a combattues efficacement. » (Santos, 23 Septembre 2020).

L’inventeur de la PCR, Karys Mullis avait d’emblée averti que ce n’était pas un test permettant seul un diagnostic. Ce test manque de spécificité, en particulier lorsqu’il ne recherche qu’un marqueur (un seul fragment du virus). Et ce seul marqueur peut éventuellement se retrouver dans le génome d’autres virus tels que d’autres coronavirus sources d’infection saisonnière banale.

Pour pallier cette spécificité trop faible, les Chinois en recherchent plusieurs. La sensibilité et la spécificité dépendent beaucoup du nombre de cycles d’amplification réalisé ; lorsque ce nombre est faible, le test est spécifique, mais peu sensible ; mais lorsque le nombre de cycles d’amplification augmente et dépasse les 30, le test est très sensible, mais la spécificité diminue fortement.

En France, comme dans beaucoup d’autres pays, le nombre d’amplifications dépasse les 40 (pourquoi, qui a décidé ?) entraînant un nombre considérable de faux positifs. Et même lorsque le test est juste, il ne signifie pas que la personne est malade, mais seulement qu’elle a rencontré le virus ». Ceci a conduit le directeur général de la santé à demander un avis en septembre 2020, devant la polémique PCR de plus en plus difficile à étouffer[12].

Avis concernant l’interprétation de la valeur de Ct

« Par saisine de la DGS en date du 11 septembre 2020, le Directeur Général (Pr J.SALOMON) et la conseillère médicale Dr WORMS (cellule de gestion de crise sanitaire) de la DGS ont demandé à la Société Française de Microbiologie en lien avec le Centre National de Référence (CNR) des Virus respiratoires d’émettre un avis concernant l’interprétation de la valeur de Ct (cycle threshold, estimation de la charge virale) obtenue en cas de RT-PCR SARS-CoV-2 positive sur les prélèvements cliniques respiratoires réalisés à des fins diagnostiques ou de dépistage.

« En médecine, même en situation épidémique ou pandémique, il est dangereux de placer les tests, examens, techniques au-dessus de l’évaluation clinique (symptômes, signes). C’est le contraire qui garantit une médecine de qualité. »

On a plaisir à lire cette évidence, mais on aimerait qu’elle soit appliquée en pratique quotidienne.

« La limite (faiblesse) principale du test RT-PCR, dans la situation pandémique actuelle, est son extrême sensibilité (faux positif) si on ne choisit pas un seuil de positivité (Ct) adapté. Aujourd’hui, des experts préconisent d’utiliser un seuil Ct maximal à 30 ».

« Ce seuil Ct doit être renseigné avec le résultat RT-PCR positif afin que le médecin sache comment interpréter ce résultat positif, surtout chez une personne asymptomatique, afin d’éviter des isolements, quarantaines, traumatismes psychologiques inutiles ».

« Outre la mention du Ct utilisé, les laboratoires doivent continuer de garantir la spécificité de leurs kits de détection au SRAS-CoV-2, en tenant compte de ses mutations les plus récentes, et doivent continuer d’utiliser trois gènes du génome viral étudié comme amorces ou, sinon, le mentionner. »

La société de microbiologie insiste sur une évidence oubliée pendant les derniers mois, l’IMPORTANCE DE LA CLINIQUE !

« Comme tout résultat biologique, l’interprétation qui doit en être faite pour estimer le risque infectieux doit prendre en compte divers paramètres tels que :

  • La symptomatologie présentée par le patient puisque la toux et les éternuements sont les symptômes majoritairement associés à un risque d’aérosolisation dans l’environnement.
  • La date de début des signes cliniques pour les patients symptomatiques.
  • Le statut immunitaire individuel et la présence de comorbidités.
  • Les conditions environnementales de l’individu (entourage familial, vie en collectivité, situation d’hospitalisation, prise en charge en EHPAD…). »[13]

COMMENT LES TESTS POSITIFS SIGNALÉS CHAQUE SOIR À LA TÉLÉVISION PEUVENT-ILS AVOIR BÉNÉFICIÉ DE CETTE PROCÉDURE MÉDICALE NORMALE devenue exceptionnelle ?

« il convient de limiter au maximum les analyses de RT-PCR SARS-CoV-2 itératives chez les individus ne présentant pas de formes graves et de privilégier les stratégies de levée d’isolement selon une approche clinique prenant en compte les délais de précautions recommandées.

Ainsi, les réanalyses doivent être considérées au cas par cas et uniquement si la situation clinique l’exige (immunodépression profonde, nouveaux symptômes respiratoires quel que soit le résultat du bilan de sérologie anti-SARS-CoV-2, en cas de bilan pré hospitalisation/admission en structure collective si jugé nécessaire) »

Pourquoi avoir autorisé les gens à s’auto-prescrire, à répétition de surcroît, les tests gratuits (payés par nos cotisations) sans aucune régulation médicale ?

L’avis récent de l’OMS déconseille les tests PCR à l’aveugle

Mais cela continue en France et le ministre prévoit un million de tests chez les jeunes qui ne sont presque jamais malades (et jamais gravement), ne contaminent personne, ni les autres enfants ni les adultes. C’est inadmissible.

Le document du 7 décembre 2020, publié le 14 décembre, par l’Organisation Mondiale de la Santé, confirme que les tests utilisés pendant toute la période de médiatisation à outrance 24h/24h (presque toute l’année 2020 jusqu’à la date de cette notice (WHO-identifier 2020/5 version 1) au moins, sont non conformes pour la détection du SARS-CoV-2.

Rappelons-nous les études critiques et solides précitées, ainsi que les affirmations de l’inventeur du PCR. 97 % de faux positifs publiés comme positifs au public et souvent comme « malades » ont été utilisées — en France et dans le monde —, pour la définition de la politique de santé nationale et internationale, pour confiner, limiter et ruiner la santé, la vie sociale et économique des habitants de la France et d’une grande partie des pays de la planète.

La complicité évidente de la presque totalité des médias avec le pouvoir politicofinancier est capitale, car tous les textes cités ici sont publics et disponibles facilement. Le ministre qui soi-disant soigne son dossier pénal ne se rend-il pas compte qu’il aggrave son cas à chaque décision antiscientifique, comme celle de tester un million de jeunes, et de mettre sur le marché des « vaccins géniques » très insuffisamment testés en particulier chez les pensionnaires d’Ehpad ?

La très tardive notice de l’OMS de décembre 2020 précise :

« Les utilisateurs de réactifs RT-PCR doivent lire attentivement la notice d’utilisation pour déterminer si un ajustement manuel du seuil de positivité de la PCR est nécessaire pour tenir compte de tout bruit de fond pouvant conduire à ce qu’un échantillon avec une valeur de seuil de cycle élevé (Ct) soit interprété comme un résultat positif.

Le principe de conception de la RT-PCR signifie que pour les patients présentant des niveaux élevés de virus en circulation (charge virale), relativement peu de cycles seront nécessaires pour détecter le virus et donc la valeur Ct sera faible.

Inversement, lorsque les échantillons renvoient une valeur Ct élevée, cela signifie que de nombreux cycles ont été nécessaires pour détecter le virus. Dans certaines circonstances, la distinction entre le bruit de fond et la présence réelle du virus cible est difficile à établir. »

Le vent tournerait-il ?

Plaintes internationales en cours

Il est évident que ces énormes aberrations dans l’usage du test PCR, pivot de la justification des mesures liberticides quasi mondiales, ont conduit à des réactions juridiques. Les plaintes se sont multipliées dans le deuxième semestre 2020, partout où la politique publique autour du test PCR suit la politique de santé dictée pour l’Organisation Mondiale de la Santé[14] et l’étude truquée de Cormen-Drosten[15].

Les procédures sont de plus en plus nombreuses. Nous rapportons ici quelques exemples centrés sur la supercherie du test PCR, mais de nombreuses autres sont en cours contre le port du masque, contre les vaccins géniques[16], contre le confinement, etc.

Allemagne

Une pandémie de tests

L’action en Justice du Dr Fuellmich[17][18] est symbolique et reproductible : le test Drosten ne peut détecter à lui seul aucune infection, et il n’y a pas de « malades asymptomatiques », et donc pas de pandémie (au mieux une pandémie de test PCR). Ceci est d’une importance capitale pour les décisions de tous les litiges juridiques menés dans le monde entier.

Cela devrait provoquer selon Fuellmich « l’effondrement du château de cartes des fraudeurs pandémiques ». En combien de temps ? Diffusons les informations le plus vite et le plus largement possible.

Tout ce qui est établi aux États-Unis, au Canada, en Australie, en Italie, en France, etc. dans ce contexte, avec l’aide de témoins et d’experts, peut être utilisé comme preuve dans toutes les autres juridictions du monde. Cela donne du poids et gagne du temps.

Nouvelles des Procès contre le test PCR du Dr Wodarg et du procès contre Drosten, par Reiner Fuellmich

« Ce procès est en cours devant le tribunal régional de Berlin sous le numéro de dossier 27 O 436/20.

En raison d’un “oubli” extrêmement étrange, la plainte n’a été signifiée à l’autre partie que des semaines après son dépôt. Il semblerait que les frais de justice que nous avons payés aient été imputés par “inadvertance” comme paiement sur une facture finale, et ce n’est que lorsque — après notre appel — cet “oubli” a pu être clarifié, la présentation de la plainte à l’autre partie a eu lieu… Bizarre…

Le procès sera finalisé dans les prochains jours puis soumis au tribunal régional de Berlin ».

Une forme de recours collectif allemand :  informations par Maître Fuellmich

« Nous travaillons avec un groupe d’avocats pour préparer un certain nombre de procès, mais surtout (parce que c’est plus rapide et moins cher) un grand nombre de demandes de dommages et intérêts contre les responsables.

Les dommages garantissent que les marionnettes visibles Drosten, Wieler, mais aussi les responsables de la Leopoldina[19] et d’autres (y compris ceux personnellement responsables auprès des autorités des décrets de quarantaine et autres) sont mis sous pression, mais la justification nécessaire des demandes de compensation prend alors plusieurs mois ».

Pendant ce temps, quelques-uns des litiges juridiques précédents (qui concernent tous les tests PCR et les asymptomatiques) avec les preuves nécessaires (audition de témoins et d’experts) seront menés.

Leurs résultats pourront être utilisés pour le jugement de la procédure parallèle, qui jusque-là « dormait » comme procédure de relance, car ces litiges, jusque-là dormants, ne peuvent plus conduire à un résultat différent, sur fond de faits établis dans les précédents parallèles.

Canada : « Nous sommes tous des Indiens maintenant »

Nous avons rapporté antérieurement la procédure collective[20]. Les plaignants exigent des déclarations contre les gouvernements fédéral, provincial et municipal, sur une base provisoire, pour suspendre les mesures COVID-19 jusqu’à ce que la nécessité de telles mesures soit démontrée par la science et l’opinion médicale.

Ils demandent des

  • Dommages-intérêts généraux pour douleur, souffrance et perte de la jouissance de la vie
  • Dommages spéciaux dont le montant reste à déterminer
  • Dommages pour perte de revenu et/ou autre perte économique pour des montants déterminés
  • Les dommages-intérêts punitifs
  • Intérêts avant et après jugement conformément aux tribunaux Loi, LRO 1990, ch. C43 tel que modifié
  • Les frais de cette action sur une base d’indemnité substantielle plus la TVA
  • Tout autre redressement que cette honorable Cour peut juger juste

Le recours collectif canadien est de fait le recours collectif international pour toutes les victimes du confinement et des tests PCR.

Les avocats canadiens autour de Michael Swinwood ont déposé ce recours collectif. Le groupe de plaintes — initialement représenté — se compose des Indiens et, entre autres, d’un groupe de petits entrepreneurs et d’un représentant des handicapés.

Ce procès — contrairement à tous les autres procès intentés jusqu’à présent — fournit également un aperçu clair du contexte historique des structures de pouvoir construites au cours des siècles, derrière la clique de Davos mentionnée ci-dessus.

Les Indiens (Algonquins) en tant que groupe de plaignants revêtent une importance particulière, car ils ont été la cible de tentatives de génocide par les soi-disant conquérants pendant des siècles — tout comme les Indiens aux États-Unis et en Amérique latine.

Maintenant, comme l’explique Michael Swinwood, nous sommes tous des Indiens !

Procès du test PCR à New York le 16 décembre 2020

Les collègues américains dirigés par Robert F. Kennedy, Childrens Health Defence Group — conseillé par les mêmes experts que Fuellmich — ont déposé une plainte contre le test PCR à New York au nom d’un certain nombre de plaignants.

Autres états des États-Unis [21]

« L’État de Floride demande une étude des tests PCR, pour donner suite à plusieurs expertises menées dans les États du Massachusetts, de New York et du Nevada. »

« 1. Les experts ont compilé trois ensembles de données avec des responsables des États du Massachusetts, de New York et du Nevada qui concluent : “Jusqu’à 90 % des personnes testées positives ne portaient pas de virus”.

« 2. Le Wadworth Center, un laboratoire de l’État de New York, a analysé les résultats de ses tests de juillet à la demande du NYT : 794 tests positifs avec un Ct de 40 : “avec un Ct seuil de 35, environ la moitié de ces tests PCR ne peuvent plus être considérés comme positifs”, a déclaré le NYT. Environ 70 % ne seraient plus considérés comme positifs avec un Ct de 30 ».

« 3. Une nouvelle étude de l’Infectious Diseases Society of America a constaté qu’à 25 cycles d’amplification, 70 % des tests PCR “positifs” ne sont que des “cas” puisque le virus ne peut pas être cultivé (il est incomplet et incapable de se reproduire). Et à 35 cycles : 97 % des positifs ne sont pas cliniques ».

« 4. La PCR ne teste pas la maladie, il teste un fragment d’ARN spécifique et c’est le pivot clé. Lorsque vous montez à 25 cycles d’amplification, 70 % des résultats positifs ne sont pas vraiment “positifs” au sens clinique du terme, car cela ne peut pas vous rendre malade, vous ou quelqu’un d’autre. »

Le Portugal

a jugé qu’il était parfaitement illégal de placer un citoyen en quarantaine sur la base d’un « test PCR non fiable ».Cette décision récente et importante a été rendue par la Cour d’appel de Lisbonne le 11 novembre 2020 (1783/20.7T8PDL.L1-3, Margarida Ramos de Almeida. Ce premier jugement d’une cour d’appel du Portugal a donc acté que les tests PCR ne sont pas capables de détecter des infections ou diagnostiquer même des maladies. L’assignation à résidence était inconstitutionnelle.

Le tribunal portugais a levé le 11 novembre le confinement de 4 touristes allemands isolés pour avoir trouvé chez l’un d’entre eux un test PCR positif pour SARS-Cov-2.

« Au vu des preuves scientifiques actuelles, ce test est, en lui-même, incapable de déterminer, au-delà de tout doute raisonnable, qu’une telle positivité correspond, en fait, à l’infection d’une personne par le virus SRAS-CoV-2 »[22].

CONSÉQUENCES EN ALLEMAGNE DE LA JURISPRUDENCE PORTUGAISE ET ÉQUATORIENNE

Cette décision de la cour d’appel du Portugal entache tous les jugements des tribunaux administratifs allemands, obligés de reconnaître en référé que les tests PCR ne peuvent détecter aucune infection.

Mais néanmoinsau cours d’une perversion évidente de la loi — des tribunaux allemands ont estimé que malgré des déclarations erronées se référant aux tests PCR, ils devraient tout de même suivre l’institut Robert Koch et accepter la menace de demandes excessives sur le système de santé ! Où va la justice allemande ?

L’Équateur

Une décision de la Cour constitutionnelle équatorienne annoncée le 2 et 21 janvier a décidé que toutes les mesures anti-Corona étaient jusqu’à présent basées sur de simples hypothèses sans aucune base factuelle.

Au bout de 9 mois, les juges pensent qu’il doit enfin être possible pour les politiciens de communiquer des déclarations claires et fondées sur des preuves, et de fonder leurs mesures sur elles. Comme cela n’est pas le cas, toutes les mesures sont déclarées inconstitutionnelles[23] (lien vers le jugement sur le site du Comité Corona et celui des demandes de dommages-intérêts).

Les avocats allemands regrettent que le tribunal équatorien donne une leçon sur l’état de droit aux tribunaux allemands ! Aucun des tribunaux administratifs qui ont jusqu’à présent statué sur les demandes urgentes en Allemagne, pas même la Cour constitutionnelle fédérale, n’a jusqu’à présent pris cette décision d’inconstitutionnalité qui devrait s’appliquer également en Allemagne, en l’absence de preuves de la valeur du test PCR.

Conclusion : espoir de libération des peuples via les procédures juridiques

La liste des plaintes internationales ici survolée s’allonge de jour en jour, faisant espérer que le Droit fera exploser la supercherie des tests PCR et des mesures qui en découlent à travers la panique organisée. En effet confinement, masques et vaccins ne trouvent plus aucune justification possible par les dirigeants et médias à partir du moment où sera démontrée largement qu’il n’y a pas pandémie renouvelée, au maximum une pandémie de tests !

Ne vous faites plus tester ! N’acceptez pas les tests chez vos enfants dont le risque létal est quasiment zéro. Sans tests, pas de pandémie.


[Notes]

[1] Coût des tests PCR évalués en décembre par l’express : 2,7 Milliards d’€… Pour achever la sécurité sociale ?

[2] Une soignante d’EHPAD me disait en être à son dixième test en 2 mois… Et si vous arrivez pour une fracture de jambe, vous n’échappez pas au test avant tout autre soin !

[3] Curieusement cette similitude est soulignée par les médias à longueur d’émission pour justifier les mesures aberrantes du gouvernement !

[4] Newsletter 355, 6 janvier 2020 : Money Talks VI et les procès mondiaux

[5] Lui-même coéditeur de la revue ce qui lui a permis une pony express « revue par le comité de lecture » en deux jours

[6] Review Report by an International Consortium of Scientists in Life Sciences (ICSLS) – Corman-Drosten et al., Eurosurveillance 2020 (Updated : 29.11.2020)

[7] Conclusions de l’article original de Cormen-Drosten « le travail présente 9 erreurs graves qui déterminent l’invalidité des tests PCR pour Sars-CoV-2.
« Parmi les auteurs, l’ancien chef de la recherche de Pfizer, Dr Michael Yeadon, le généticien Kevin McKernan, initiateur du projet sur le génome humain, qui possède divers brevets dans le domaine des Diagnostics PCR, le généticien moléculaire Dr Pieter Borger, le Dr Fabio Frankchi, microbiologiste et immunologiste Prof. émérite Dr Makoto Ohashi et biologiste cellulaire Prof. Dr Ulrike Kämmerer. »
« Les scientifiques ont demandé au magazine Eurosurveillance de retirer l’article “Détection du nouveau coronavirus 2019 (2019-nCoV) par RT-PCR en temps réel”, publié dans le numéro 25 en janv. 2020 qu’ils jugent non scientifique. » « Ceci représente la base des tests PCR et cette critique invalide totalement son utilité. »
Ils ont noté les conflits d’intérêt, toujours absents de la version PubMed
« Olfert Landt PDG de TIB Molbiol (le plus grand et le plus important fabricant de tests PCR). »
« Marco Kaiser chercheur principal pour GenExpress et conseiller scientifique de TIB Molbiol. »
TIB Molbiol, société qui aurait été la « première » à produire les kits de PCR (Light Mix) sur la base du protocole publié dans le manuscrit Drosten : « Nous rapportons l’établissement et validation d’un flux de travail de diagnostic pour la détection et la confirmation spécifiques du 2019-nCoV, CONÇU EN L’ABSENCE D’ISOLATIONS DE VIRUS DISPONIBLES OU D’ÉCHANTILLONS ORIGINAUX DE PATIENTS. La conception et la validation rendues possibles grâce à l’étroite relation génétique avec le SRAS-CoV 2003 et technologie des acides nucléiques synthétiques. » (Drosten, 2020) »

[8] Les bien-portants, dits « asymptomatiques », ne transmettent pas le Covid19 : étude chinoise sur 10 millions de personnes ! (francesoir.fr)

[9] Il y décrit également comment ces « élites » ont essayé pendant des années de conserver leur pouvoir illégitime, l’étendre à l’infini à l’aide des mécanismes de contrôle les plus massifs et inhumains avant que les objets de ces mécanismes de contrôle — à savoir nous — le remarquions et s’y opposent.

[10] Prof. Dr Rainer Mausfeld explique (complètement indépendamment de Corona en début 2019), dans sa conférence « Pourquoi les agneaux se taisent-ils » comment la politique pendant de nombreuses années — inaperçue du public — a mis en scène à plusieurs reprises la peur et la panique afin d’amener les gens à soutenir des décisions politiques qu’ils ne soutiendraient pas autrement. https://www.youtube.com/watch?v=-kLzmatet8w

[11] D’après le rapport très détaillé de German Sarlangue avec totalité des références : adoratio : Dossier RT-PCR (adoratioiesuchristi.blogspot.com)

[12] SOCIÉTÉ FRANÇAISE DE MICROBIOLOGIE (SFM) « Avis du 25 septembre 2020 de la Société Française de Microbiologie (SFM) relatif à l’interprétation de la valeur de Ct (estimation de la charge virale) obtenue en cas de RT-PCR SARS-CoV-2 positive sur les prélèvements cliniques réalisés à des fins diagnostiques ou de dépistage » Version 1 25/09/2020.
https://www.sfm-microbiologie.org/wp-content/uploads/2020/09/Avis-SFM-valeur-Ct-excr%C3%A9tion-virale-_-Version-Finale-25092020.pdf

[13] actuellement mi-janvier, les résultats PCR rendus au patient ne mentionnent pas systématiquement le nombre de Ct

[14] Le conseil mondial de l’OMS dicte très officiellement la conduite sanitaire des pays signataires dont la France (francesoir.fr)

[15] Christian Drosten : l’heure des comptes ? (francesoir.fr)

[16] En Italie Dr Renate Holzeisen :« action en annulation de l’approbation des vaccins factuellement non testés et hautement dangereux contre la Commission européenne », qui au moins pour les fabricants Bioentech/Pfizer et Moderna sont en réalité des expériences génétiques — interdites — sur l’homme par la législation en cours.
En France procédure contre les vaccins géniques par Maître Brusa : voir www.reaction19fr

[17] « Le test PCR va au tribunal » : au Portugal, mais aussi en Allemagne et dans de nombreux pays (francesoir.fr)

[18] Vers le faire part de décès des tests PCR (francesoir.fr)

[19] Même principe que notre conseil scientifique français

[20] Canadian National Procedure Against WHO and its Allies (francesoir.fr)
Procédure nationale canadienne contre l’OMS et ses alliés (francesoir.fr)

[21] : ADRIANA AVILES, Individually and as Parent and Natural Guardian of N.A., N.A. and A.A., STEPHANIE DENARO, Individually and as Parent and Natural Guardian of D.D. and H.D., CHRISTINE KALIKAZAROS, Individually and as Parent and Natural Guardian of Y.K., GAETANO LA MAZZA, Individually and as Parent and Natural Guardian of R.L., CRYSTAL LIA, Individually and as Parent and Natural Guardian of F.L., and CHILDREN’S HEALTH DEFENSE vs. BILL de BLASIO, in his official capacity as Mayor of the City of New York, DR. DAVIS

[22] « Correlation between 3790 qPCR positives samples and positive cell cultures including 1941 SARS-CoV-2 isolates » par Rita Jaafar, Sarah Aherfi, Nathalie Wurtz, Clio Grimaldier, Van Thuan Hoang, Philippe Colson, Didier Raoult, Bernard La Scola, Clinical Infectious Diseases, ciaa1491, https://doi.org/10.1093/cid/ciaa1491, à https://academic.oup.com/cid/advance-ar

[23] lien vers le jugement sur le site du Comité Corona et celui des demandes de dommages-intérêts https://ricapod.buzzsprout.com/1409218/7133344-verfassungsgericht-kippt-ausnahmstatus-wir-machenauf ?




Le 3e confinement n’aura pas lieu si la supercherie des tests PCR est dénoncée

Par Dr Nicole Delépine

Le gouvernement et l’ensemble des médias aux ordres nous affirment que Noël est dangereux et accusent déjà les Français d’être responsables d’un prochain confinement.

Mais en réalité, la décision des prochains confinements n’a rien à voir avec l’évolution de l’épidémie : le président applique strictement les recommandations de Ferguson dont la prophétie1 2 prévoyait 6 vagues successives de maladie et prescrivait 6 confinements pour que les populations exténuées acceptent de se faire vacciner.

Peu leur importe que ces prédictions soient totalement fausses et que les confinements causent bien plus de morts que le non-confinement. Le président croit en ses maîtres et sa foi ne serait pas discutable. Il fait partie d’un ensemble mondial et joue son rôle le plus correctement possible. Certes nous faire croire à l’épidémie devient de plus en plus difficile, mais pourquoi ne pas essayer et en tous cas imposer.

Les prédictions de Ferguson sont totalement fantaisistes.

La démarche scientifique consiste à confronter les hypothèses aux faits constatés ; si les faits démentent, l’hypothèse doit être abandonnée. Mais ni le conseil scientifique, ni le conseil de défense, ni le président ne paraissent le savoir ou plutôt ne voient pas le problème de cette façon. Un programme est par l’OMS3, ils le suivent.

Des erreurs de 1000 % sur les prévisions de mortalité ! La prophétie Ferguson annonçait 70 000 morts en Suède et 100 000 aux Pays bas si ces pays ne confinaient pas. Ils n’ont pas confiné et au 7/12/2020, près d’un an d’épidémie, ils n’en déplorent respectivement que 7067 et 9674. Dans ces deux cas, la simulation Ferguson se trompe donc de 1000 %. Est-ce étonnant ? Combien de Français déjà exilés en Suède pour éviter le suicide ?

Des erreurs totales sur la saturation des services hospitaliers

Les prophéties de Ferguson et de ses élèves étrangers affirmaient qu’en l’absence de confinement aveugle et policier les services hospitaliers seraient dépassés et qu’on ne pourrait plus soigner les malades ordinaires. Cela n’a été observé qu’en Italie et pour une courte période.

En France, pendant que les médias faisaient pleurer les foules sur la surcharge de certains services de réanimation des hôpitaux publics, que le gouvernement mettait en scène des TGV Covid, des évacuations sanitaires aériennes et dressait un hôpital militaire de campagne dans l’Est4, les services de réanimation des cliniques privées étaient vides et devaient mettre leur personnel au chômage puisque les ARS leur avaient interdit d’opérer, pour qu’elles puissent accueillir des malades Covid qu’elles n’en ont, à de rares exceptions, jamais vus. Depuis début novembre et cette pseudo deuxième vague, les témoignages concordants de médecins expliquent que les malades atteints de pathologies pulmonaires sont essentiellement atteints de pathologies bactériennes ou liées à des champignons, favorisées par les masques portés en continu dans des conditions très différentes du port en salle blanche ou en salle d’opération que les twittos de bonne foi ou trolls s’évertuent à comparer.

De plus, contrairement à l’objectif affiché du confinement aveugle, les pays qui l’ont imposé ont abandonné les malades non-covid les transformant en victimes collatérales du confinement en raison de l’absence de soins (près de 30 000 morts collatérales du confinement en France).

Dans les pays qui ont refusé le confinement aveugle (Suède, Pays-Bas, Biélorussie, Finlande) les services hospitaliers n’ont jamais été dépassés et pu assumer leur rôle en soignant tous les malades, covid et non-Covid

Une erreur de 250 % sur l’efficacité du confinement

En Belgique, la mortalité observée ne correspond pas non plus aux prédictions de Ferguson qui prétendait que le confinement limiterait à 3300 décès au 7 mai. Ce jour-là malgré un confinement encore plus strict qu’en France, il y avait déjà presque 3 fois plus de morts que prévu.

Tout vrai scientifique, constatant de pareilles erreurs, les reconnaîtrait et modifierait son modèle pour le mettre en conformité avec la réalité. Mais Ferguson se comporte-t-il en croyant et ne met-il donc pas sa foi en doute ? Ou bien se comporte en fidèle sujet de l’OMS et de Bill Gates et établit les prévisions attendues, comme d’habitude.

Les analyses de Ferguson sur l’efficacité du confinement sont des escroqueries

Ferguson et ses élèves se glorifient sans cesse de l’efficacité des confinements. Au lieu de comparer les faits observés dans les pays qui confinent à l’aveugle à ceux qui ne confinent pas, ils comparent le nombre de morts observés à ceux qu’ils avaient prévus et qualifient la différence de « sauvés par le confinement ». Des sauvés virtuels !

Plus ils se sont trompés dans leur simulation initiale, et plus ils se glorifient du confinement !

C’est ainsi qu’un trio français de l’EHESP qui avait estimé le 16/3 la mortalité Covid-19 à 110 005 a prétendu, un mois plus tard, que le confinement aurait sauvé 60 000 Français !

PROPAGANDE À LA GOEBBELS

Fiction de propagande bourrée d’erreurs méthodologiques bien mises en évidence par des épidémiologistes sérieux6 7 8. La comparaison des résultats des pays qui ont confiné à l’aveugle comme la France, à l’Allemagne qui n’a pas confiné montre que le confinement français a abouti à une sur mortalité Covid19 (400 %) et à au moins 30 000 morts Covid supplémentaires (auxquels il faut ajouter 20 000 à 30 000 morts collatérales par défaut de soins et 10 000 suicides à venir).

L’équipe de Ferguson a revendiqué avoir sauvé 3 millions d’européens par le confinement9 10 en faisant la différence entre les morts virtuels de ses prévisions folles et la réalité.

Mais en voulant trop se glorifier, on se démasque. Ainsi, dans leur tableau qui détaille les sauvés virtuels par pays, ils affirment que le confinement aurait « sauvé » 26 000 Suédois et 560 000 Allemands, alors que ni la Suède, ni l’Allemagne n’ont confiné leurs populations, la Suède se contentant de conseils et l’Allemagne ayant utilisé la technique traditionnelle de l’endiguement que le rapport 9 affirmait incapable d’enrayer l’épidémie.

Que le comité de lecture de Nature ait pu accepter de publier une telle aberration confirme, comme celui du Lancet, qu’ils ne sont plus à la hauteur de leurs réputations, mais au service de la coalition Big Pharma finances.

LA MANIPULATION DES PEUPLES PAR LES TESTS FAUX POSITIFS, À DÉMASQUER D’URGENCE

Et c’est le scénario canular/catastrophe et les faux tests positifs qui continuent de guider notre politique sanitaire !

Les tests rendus positifs grâce à une amplification démente

« Le PCR — Polymerase Chain Reaction » est inadapté pour diagnostiquer seul la COVID-19 et encore plus pour savoir si une personne est contagieuse ou pas. Cette technique consiste à « amplifier (multiplier) » les petits segments d’ADN retrouvés dans les prélèvements pour voir s’ils correspondent à une partie du virus. Le test ne recherche donc pas un virus entier capable de se reproduire dans les cellules de l’hôte, mais de simples fragments de l’ARN viral qui ne sont en aucun cas infectieux.

En France, le nombre de cycles d’amplification n’est jamais fournis avec le résultat (sur interdiction par le gouvernement aux laboratoires). Il atteint le plus souvent 45, comme en Allemagne.

Or à ce niveau d’amplification, considérablement exagéré, la positivité ne signifie pas que le testé est malade, ni contagieux.

C’est sur ces données scientifiquement indiscutables que la cour d’appel portugaise11 12 13 a fait libérer des touristes allemands mis en quarantaine forcée sur la seule foi d’un test positif. Dans ses attendus14, il est clairement statué :

« Le test PCR retenu n’est en aucun cas un élément de certitude pour poser le diagnostic à coronavirus 19 et ne doit pas être utilisé à ces fins.
Le diagnostic d’une infection doit être posé par un médecin inscrit à l’ordre et seulement par un médecin après examen clinique et examens paracliniques prescrits par lui s’il le juge nécessaire.
Un test positif ne signifie pas que vous êtes contagieux ».

Pour transmettre la maladie, une personne contaminée doit recéler des virus entiers (son génome complet) et l’excréter en quantité suffisante.
Pour évaluer la contagiosité d’une personne infectée, il faut donc voir si les prélèvements permettent de faire pousser le virus en culture. Deux très larges études récentes comparant positivité des tests (3790 tests positifs) et positivité des cultures montrent qu’il existe une bonne corrélation (supérieure à 70 % des cas) pour un nombre de cycles d’amplification inférieur à 25, puis qu’elle diminue fortement à mesure que le nombre de cycles augmente (environ 10 % pour 34 cycles et moins de 5 % au-delà)

Au niveau d’amplification couramment réalisé en France la contagiosité n’est possible que dans 3 % des cas positifs. Dans 97 % des cas, le testé ne peut transmettre la maladie et est mis en quarantaine sans raison sanitaire valable.

Pour rendre ce test utile à la santé publique, il faudrait ne retenir que les tests positifs avec nombre de cycles d’amplification inférieur à 30.

Mais dans ce cas le nombre quotidien de positifs chuterait fortement et passerait au-dessous de 5000, ce que ne désire manifestement pas notre gouvernement qui veut prolonger le plus longtemps possible l’état d’urgence et l’enfermement des Français, la fermeture catastrophique des restaurants, bars et universités, etc.

DÉMASQUER L’IMPOSTURE DES TESTS PCR QUI ENTRAÎNE LES MESURES LIBERTICIDES COMME LE CONFINEMENT EST L’URGENCE ACTUELLE

Les autres mesures en découlent. Si les Français prennent conscience qu’il n’y a plus d’épidémie, les malades actuels relevant d’autres pathologies infectieuses en particulier, il n’y aura plus de panique, ni peur et ils résisteront mieux à la propagande infâme du vaccin qui pourrait nous sauver.

Notons que le but de ce scénario tragique du covid devrait continuer au-delà du vaccin comme l’a expliqué le ministre. Il faudrait poursuivre la distanciation, le masque jusqu’à ce que le plan de Davos du forum économique et social soit achevé. Ce plan n’est pas une idée complotiste. Il est à la disposition de tous sur internet dans le livre de Klaus Schwab paru en juillet 2020.

Seuls des mouvements de protestations massifs ramèneront nos dirigeants totalitaires à la raison et à respecter la démocratie. Ne protestons pas seulement pour la réouverture des magasins, des restaurants, des spectacles, des églises, des salles de sport, ou des stations de sports d’hiver.

Battons-nous pour toutes nos libertés fondamentales ! Les suédois, les néerlandais, les finlandais, les Allemands n’ont jamais été confinés et pleurent beaucoup moins de morts que nous. Le confinement tue inutilement la France et les Français. À bas cette mesure moyenâgeuse ! Vive la démocratie et la liberté !

Notes

  1. N. Ferguson. Report 9 : Impact of non-pharmaceutical interventions (NPIs) to reduce COVID-19 mortality and healthcare demand 16 March 2020 Imperial College COVID-19 Response Team.
  2. Delépine : Les dessous du rapport classé secret défense de Ferguson et le confinement Economie.
  3. Le conseil mondial de l’OMS dicte très officiellement la conduite sanitaire des pays signataires dont la France (francesoir.fr).
  4. Qui resta vide ou presque.
  5. Roux J, Massonnaud C, Crépey P (2020) COVID-19 : One-month impact of the French lockdown on the epidemic burden. https://www.ea-reperes.com/wp-content/uploads/2020/04/ImpactConfinement-EHESP-20200322v1.pdf.
  6. Éric Le Bourg, Quentin de Larochelambert, Jean-François Toussaint : Étude critique d’une modélisation des effets du confinement.
  7. Gilles PECH de LACLAUSE, Arnaud DELENDA : Confinement strict, surcharge hospitalière et surmortalité. Analyse statistique et étude mathématique de l’épidémie de Covid 19 10 mai 2020.
  8. Aurélie Haroche : Quand les politiques confondent modélisations mathématiques et astrologie [Paris, le samedi 25 avril 2020 – De 300 000 à 500 000 morts de Covid-19 en l’absence de confinement, dans le pire des cas. C’est la terrifiante prédiction qui avait été présentée par les chercheurs de l’Imperial College concernant la France. Pour tous les pays du monde, d’aussi sinistres perspectives(…) JIM.fr – Les posts]
  9. Seth Flaxman, Swapnil Mishra, Axel Gandy : Estimating the effects of non-pharmaceutical interventions on COVID-19 in Europe. Nature https://doi.org/10.1038/s41586-020-2405-7 (2020).
  10. Delépine : Comment se gargariser d’avoir sauvé virtuellement plus de 3 000 000 d’européens. Toute honte bue ! Dimanche 14/6/2020.
  11. 11 novembre 2020, décision de la 3ème chambre pénale de la cour d’appel de Lisbonne Margarida Ramos de Almeida Ana Paramés.
  12. Vers le faire part de décès des tests PCR (francesoir.fr).
  13. http://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/les-implications-capitales-de-la-jurisprudence-portugaise-concernant-les-tests-pcr.
  14. Acórdão do Tribunal da Relação de Lisboa disponible en portugais sur http://www.dgsi.pt/jtrl.nsf/33182fc732316039802565fa00497eec/79d6ba338dcbe5e28025861f003e7b30



Les Français manipulés — Des arguments pour les avocats, des preuves pour les juges

Par Alain Nicolaï et Joseph Stroberg

Rappel :

L’Assemblée nationale face à ses responsabilités

[Article publié à l’origine sur le site de Michelle d’Astier de la Vigerie, puis repris sur de nombreux sites, dont http://www.profession-gendarme.com.]

L’Assemblée nationale est l’institution française qui forme, avec le Sénat, le Parlement de la Cinquième République. Son rôle est de débattre, de proposer, d’amender et de voter les lois, et de contrôler l’action du Gouvernement.

À la différence du Sénat, elle a le pouvoir de forcer la démission du gouvernement par le vote d’une motion de censure. Elle siège au palais Bourbon à Paris. (Wikipéda)

En octobre 2019 un virus inconnu apparait subitement à Wuhan, puis touche, quasiment l’ensemble de la planète dont la France en février 2020. Le gouvernement français prend des mesures en urgence pour limiter la prolifération de l’épidémie dans notre pays. Certaines de ces dispositions semblent temporaires.

L’Assemblée Nationale est fermée.

À la fin du confinement les parlementaires retournent au Palais Bourbon. Les citoyens qui ont élus ces députés pour les représenter pensent alors que ceux-ci vont reprendre normalement leur travail pour recadrer les mesures prises par le gouvernement dans l’urgence, et qui ne sont pas en phase avec la Constitution, comme la privation de libertés instaurés par le confinement. Mais ce n’est pas le cas. Aussi le gouvernement décide sans aucun débat de reconfiner le 31 octobre 2020 alors que le 11 octobre 2020, un des hauts responsables de l’OMS, le Dr David Nabarro, candidat présenté par le gouvernement britannique pour le poste de Directeur général de l’OMS en 2017, a fait l’annonce que le confinement entier d’une population est nuisible.

À voir. Nicole Delépine :

CONFINEMENT MEURTRIER: TOUT CE QUE L’ON NE VOUS A PAS DIT, ABERRATION HUMAINE, SANITAIRE, ÉCONOMIQUE

Et cet article :

Coronavirus : L’OMS déconseille aux dirigeants de recourir, de nouveau, au confinement

Tout aussi grave, l’affaire Raoult.

La France est le seul pays au monde à avoir interdit formellement l’hydroxychloroquine le 27 mai 2020 à la suite d’un article de la revue médicale The Lancet publié quelques jours avant. « L’hydroxychloroquine n’est plus autorisée contre le Covid-19. A la suite d’un avis défavorable du Haut Conseil de la santé publique, le gouvernement a abrogé les dispositions dérogatoires autorisant la prescription de l’hydroxychloroquine contre le Covid-19 à l’hôpital en France, hors essais cliniques. « Que ce soit en ville ou à l’hôpital, cette molécule ne doit pas être prescrite pour les patients atteints de Covid-19 », a réagi le ministère de la santé dans un communiqué. » Journal Le Monde du 27 mai 2020.

Suite aux protestations d’une partie de la communauté scientifique mondiale ayant démontré que l’article de The Lancet était une falsification grossière écrite par des « scientifiques » à la solde de laboratoires privées, l’hydroxychloroquine a été de nouveau autorisé ultérieurement en France mais sans publicité. Cependant les Français peuvent regretter amèrement une telle prévention contre ce traitement comme le démontre par exemple ce.

Constat, après la réouverture de l’Assemblée nationale il n’y pas eu de débats sérieux sur ce sujet en ce lieu, conséquence l’hydroxychloroquine a de nouveau été interdite en France par le gouvernement le 23 octobre 2020 sur un avis de l’Agence du médicament.

Nous apprenons que le Pr Didier Raoult va porter plainte contre l’Agence Nationale de Sécurité du Médicament pour « mise en danger de la vie d’autrui » par l’intermédiaire du très efficace Maitre Fabrice Di Vizio, avocat des médecins libéraux, dont la plainte pour « abstention volontaire » est à l’origine des perquisitions du jeudi 15 octobre 2020.

« Les gendarmes de l’OCLAESP (Office central de lutte contre les atteintes à l’environnement et à la santé publique) et les policiers de l’OCLCIFF (Office central de lutte contre la corruption et les infractions financières et fiscales) ont coordonné jeudi 15 octobre, sur huit lieux simultanés et sur dix sites de perquisitions, la première opération de police de l’enquête orchestrée par la commission d’instruction de la CJR (Cour de Justice de la République).

Plus de 100 policiers, gendarmes et enquêteurs ont été mobilisés pour cette grande action de justice et de vérité contre mensonges et impunité. Accompagnés de spécialistes en informatique, ils ont aspiré toutes les données des téléphones portables sur les logiciels cryptés, les informations sur ordinateurs et les boîtes mails des ministres Agnès Buzyn, Olivier Véran, Edouard Philippe, et l’ancienne porte parole Sibeth Ndiaye. Mais aussi du directeur général de la Santé, Jérôme Salomon puis la directrice générale de Santé publique France, Geneviève Chêne. » Source Lucien Cavelier.

Lucien Cavelier est un des trois soignants qui est à l’origine de la création de ce collectif de médecins appelé C19 qui avait annoncé le jeudi 19 mars son intention de porter plainte contre l’ancienne ministre de la santé, A. Buzyn, et le premier ministre, E. Philippe, devant la Cour de Justice de la République, estimant que ces derniers « avaient conscience du péril et disposaient des moyens d’action, qu’ils ont toutefois choisi de ne pas exercer ». Leur initiative est appuyée par une pétition en ligne écrite le 21 mars qui avait déjà recueilli 500 000 signatures en trois semaines.

Conclusion :

« À la fin, qu’est-ce qu’on va suggérer ? Que tout le monde reste enfermé toute sa vie parce qu’il y a des virus dehors ? Mais vous êtes tous fous. Vous êtes devenus tous cinglés. » (Didier Raoult)

Nos députés portent une énorme responsabilité sur l’évolution de la crise de 2020. Ils semblent comme anesthésiés, et même fascinés, par les forces obscures qui les empêchent de voir clair, à l’exception de quelques-uns, qui, à l’image de Martine Wonner essaye de les faire réagir.

https://youtu.be/JeliScgfETY
Intervention brillante de Martine Wonner à l’Assemblée Nationale.

“Ainsi commence le fascisme. Il ne dit jamais son nom, il rampe, il flotte, quand il montre le bout de son nez, on dit : C’est lui ? Vous croyez ? Il ne faut rien exagérer ! Et puis un jour on le prend dans la gueule et il est trop tard pour l’expulser.” 

Françoise Giroud.

En résumé, pour bien mettre les points sur les i :

  • Toutes les mesures prises depuis le début du premier confinement sont anticonstitutionnelles.
  • Presque toutes les principales institutions françaises sont en léthargie : Assemblée Nationale, Sénat, Conseil Constitutionnel, Conseil d’État, Autorité judiciaire…
  • Dans ce pays la justice est d’une lenteur extrême. Un exemple : la plainte du collectif de médecins appelé C19 qui a été déposée en mars 2020 ; les plaignants sont convoqués chez le juge en janvier 2021.
  • La France est le seul pays au monde à avoir interdit l’hydroxychloroquine.
  • Le samedi 10 octobre 2020, le Dr David Nabarro, arrivé en 2018 en deuxième position lors de l’élection à la présidence de l’OMS derrière le sulfureux Tedros Adhanom Ghebreyesus (candidat de Bill Gates et de la finance), a déconseillé le confinement entier d’une population. Que s’est-il passé fin octobre 2020 en France ?
    Précisions complémentaires :

Mais il y a mieux. Le Saviez-vous ?

Le conseil mondial de l’OMS dicte très officiellement la conduite sanitaire des pays signataires dont la France

http://www.francesoir.fr/le-conseil-mondial-de-loms-dicte-tres-officiellement-la-conduite-sanitaire-des-pays-signataires-dont

  • Marc van Ranst (actuellement membre du Comité scientifique coronavirus qui donne des avis aux autorités de la santé en Belgique) a fait une conférence en janvier 2019 devant des membres du Royal Institute of International Affairs — plus souvent appelé Chatham House qui est l’un des think tanks (groupe de réflexion) les plus influents au monde — pour expliquer comment il a géré en 2009 l’épidémie de la « grippe mexicaine » en Belgique. Vous allez voir, c’est très instructif !
https://youtu.be/3OAQ4QTv_3M
Les bons conseils de Marc van Ranst en cas de pandémie
  • l’Ordre des Médecins est dans le collimateur de la Cours des Comptes, notamment pour conflit d’intéret :

Un rapport accablant pour l’Ordre des médecins (infodujour.fr)

  • Le Quotidien du Médecin a publié une très bonne nouvelle le 10 décembre 2020 :
https://blog.gerardmaudrux.lequotidiendumedecin.fr/2020/12/10/le-traitement-du-covi-19-existe-2-ivermectine-efficace-a-100/
https://blog.gerardmaudrux.lequotidiendumedecin.fr/2020/
12/10/le-traitement-du-covi-19-existe-2-ivermectine-efficace-a-100/

.

  • La Bosnie-Herzégovine vient de donner une leçon à la France, le soit disant pays des Droits de l’homme.

Cour constitutionnelle de Bosnie-Herzégovine : la mesure de restriction de mouvement et de port de masques est une violation des droits humains fondamentaux — Affaire AP-3683/20

La mortalité en France selon les données officielles de l’Insee (Institut national de la statistique et des études économiques). Analyse de Décoder l’éco.

Cela fait maintenant 1 an que l’on entend parler quotidiennement du coronavirus. Cela fait bientôt 9 mois que toute la vie politique et économique vit au rythme des décisions prises uniquement pour répondre à la peur de ce virus. Depuis le début de la crise, de nombreuses voix dénoncent l’excessivité des mesures prises au regard des épidémies que l’on vit chaque année. Toutes ces voix sont désormais cataloguées dans le camp bien pratique des complotistes. Autrefois, l’inquisition faisait taire tous ceux qui osaient contredire le clergé. Aujourd’hui la société entière organise la censure de ceux qui sortent du discours bien établi. Dans cette vidéo, on va voir que depuis mars dernier, on ne constate absolument aucune surmortalité pour les moins de 50 ans. Je vous montrerai où aller chercher toutes les données des décès en France et comment faire les calculs pour que vous puissiez le faire vous-même si vous voulez et vérifier que je n’invente absolument rien. J’exploite uniquement des données de l’état civil français. On verra ensuite les effets du coronavirus sur la mortalité des plus âgés et je ferai la comparaison avec la grippe pour que vous puissiez faire vos conclusions. La mienne est simple : au regard des chiffres officiels des décès, il n’y a absolument aucune raison objective de mettre en place un confinement généralisé ou même d’imposer à toute la population n’importe quelle règle. On peut en revanche comprendre l’intérêt d’avertir les Français des risques et en particulier les plus âgés pour qu’ils puissent faire leur choix et prendre les précautions qu’ils souhaitent. Mais même dans ce cas, il faut se poser la question de pourquoi ce n’était pas fait avant, puisque quand on regarde les chiffres, on se rend compte que des épidémies mortelles, on en a tous les ans, tous les hivers.

Décoder l’éco

Et le meilleur pour la fin : la trahison de Macron envers son peuple

Discours d’ouverture du sommet « Finance en commun » prononcé par Emmanuel Macron le 12 novembre 2020 :


En Droit, les preuves ne peuvent en aucun cas être considérés comme de la diffamation.

« Respecter la vérité, quelles qu’en puissent être les conséquences pour lui-même, et ce, en raison du droit que le public a de connaître la vérité. »

Extrait de la Charte de Munich sur les droits et les devoirs du journaliste

Nouveau Monde (Alain Nicolaï et Joseph Stroberg) 




Les lendemains d’une lettre ouverte qui a fait du bruit

[Source : FranceSoir]

Auteur(s): Frédéric Vidal pour FranceSoir

La lettre ouverte aux journalistes de France et d’ailleurs semble avoir attisé les réseaux sociaux et quelques journalistes.

Si 99 % des réactions ont été très positives et je remercie leurs auteurs pour ce soutien massif, parmi les 1 % restants, certains ont soulevé plus ou moins poliment la question des statistiques sur laquelle, pour être franc, je les attendais un peu. Une petite mise au point s’impose donc.

Car c’est bien sur les chiffres de l’INSEE que je m’appuie pour dire que le COVID-19 est à ce jour un non-événement statistique. Entendez par-là qu’il n’y a pas de surmortalité significative en 2020 en France par rapport aux décennies précédentes. Ceux qui m’ont parfois brutalement contredit n’ont à l’évidence rien vérifié d’eux-mêmes, ils ont gobé la propagande telle quelle et en ont fait la leur. Ce point est capital, parce que lorsqu’on élimine ce sur quoi s’appuie la politique de la peur, plus rien de cette politique ne devrait avoir le moindre sens sous l’angle de vue strictement sanitaire.

Il convient donc d’être factuel. Lorsqu’on observe la courbe ci-dessous, on place d’un coup d’œil l’année 2020 et son pic de mars/avril dans son ensemble par rapport aux 70 dernières années. Vous retrouverez les concordances de cette courbe dans les tableaux visibles un peu plus bas. N’oublions pas que depuis 10 ans la mortalité annuelle augmente avec plus de 600.000 morts en France, en raison d’un vieillissement graduel de la population et l’arrivée de la génération des premiers baby-boomers à l’âge moyen de la mortalité, comme le montre la seconde courbe ci-dessous.

Ce qui est particulièrement significatif et édifiant, c’est de regarder la situation statistique officielle (INSEE) qui a conduit au premier confinement. Il est donc pertinent d’éplucher le premier trimestre 2020 et pourquoi pas même les 4 premiers mois.

Cela demande une certaine persévérance pour dénicher dans les méandres du site de l’INSEE ce qui nous intéresse là et ne pas se contenter des interprétations orientées du dossier COVID proposé à l’accueil.

Étant d’un esprit prudent par les temps qui courent, j’ai sauvegardé le contenu des pages édifiantes, dont voici quelques copies d’écran (valeur pour mille habitants).
Source : https://www.insee.fr/fr/statistiques/serie/000436395

Le 17 Mars 2020 on a donc confiné la France entière pour la première fois de son histoire, sous prétexte d’une pandémie terrifiante qui surchargeait les hôpitaux et allait décimer la population. Si le gouvernement « laissait circuler le virus », c’est au moins 400.000 morts supplémentaires à déplorer », assénait E. Macron, quelques mois après que l’Imperial College à Londres ait informé en Mars le conseil scientifique français d’une fourchette de 300 à 500.000 morts…

Logiquement, la situation des semaines qui précédent le 17 mars ont conduit à cette décision historique. Examinons donc les statistiques de l’INSEE de janvier, février et mars qui ont pu justifier le début de cette dictature sanitaire.

Ne reste qu’à sortir la calculette, additionner les nombres, faire la moyenne sur ces 3 mois et ramener en pourcentage le nombre de décès du premier trimestre. Calcul élémentaire que n’importe qui peut vérifier.

Pourcentage des décès du premier trimestre sur la population :

2020 = 1,04 %
2019 = 1,06 %
2018 = 1,06 %
2017 = 1,05 %

Si l’on inclut avril en plus, où déjà l’on ratissait très large sur l’étiquetage COVID des décès liés à d’autres causes, dont tous ceux de la grippe saisonnière, on obtient ceci :

2020 = 1,09 %
2019 = 1 %
2018 = 1,03%
2017 = 1 %

En remontant un peu plus loin dans le temps, de manière non exhaustive, la situation devient « catastrophique » selon les critères actuels :

1985 = 1,11 %
1978 = 1,13 %

La planète s’est-elle arrêtée de tourner en 1978 et 1985 ? S’est-elle arrêtée aussi en 2017, 2018 et 2019 ? Ne faut-il pas chercher ailleurs les causes de cette mise en confinement qui a ruiné l’économie, la santé et les libertés fondamentales ?

Les chiffres parlent d’eux-mêmes et les faits, même complotistes, sont têtus. « Fake News » chantent en chœur les journalistes et les trolls du web qui n’ont apparemment rien vérifié par eux-mêmes ou l’on fait et se sont tus. Ne nous y trompons pas, ce syndrome de la pensée unique est plus qu’un syndrome. C’est une pathologie pour certains, une doctrine pour d’autres.

Autre vérification pertinente, si l’on compare les pics hivernaux sur janvier/février/mars de chaque année, on voit qu’entre 1975 et 2020 il y a 8 années très comparables à 2020 dont 5 égales ou pires (en rouge). Ramené là aussi en pourcentage, le pic de mars/avril 2020 est de 0,103 % de mortalité. Je vous laisse comparer :

– 2020 : 0,103 %
– 2017 : 0,102 %
– 1997 : 0,100 %
– 1985 : 0,103 %
– 1984 : 0,102 % (pic sur 2 mois consécutifs ! Soit plus de morts)
– 1980 : 0,101 %
– 1978 : 0,107 %
– 1976 : 0,103 % (pic sur 2 mois consécutifs ! Soit plus de morts)
– 1975 : 0,104 %

Quelqu’un se souvient-il qu’on ait arrêté le monde ces années-là, instaurant une dictature politico-sanitaire, ruinant les économies, la santé des gens et sabotant leurs libertés les plus essentielles ? Les faits sont décidément têtus.

À ce constat s’ajoute le fait statistique aggravant que l’âge médian de la population a toujours reculé pour atteindre 41 ans en 2020. Pour le dire autrement, on mourait davantage avant avec une population plus jeune, qu’en 2020 avec une population plus âgée. Et ne parlons pas du fait que ceux qui ont déclenché la maladie survivent à plus de 99 %.

Voilà pour les stats. Pour finir sur ce point, rappelons que les preuves s’accumulent que les chiffres COVID sont gonflés de toutes sortes de décès relevant d’autres causes, dont tous ceux de la grippe qui ont statistiquement disparu cette année. Ce qui signifie que tous les chiffres que vous venez de voir sont officiels, mais à l’évidence bidonnés.

La seconde arme de la peur sur laquelle s’articule la dictature sanitaire est le test de dépistage PCR

Là, ça ira vite. Pour faire court, selon un grand nombre de professionnels de la santé à travers le monde et selon son inventeur lui-même, qui n’ont pas de conflits d’intérêts contrairement à ceux qui hantent quotidiennement les plateaux TV, ce test n’a aucune validité. Et la question se pose du pourquoi avoir choisi ce test et pas un autre ?

https://www.youtube.com/embed/57YQjM5_30E

Son inventeur, Karry Mullis, l’expliquait déjà en 1997, n’en déplaise au journal Le Monde à qui ça semble avoir échappé lorsqu’il a affirmé que cette information était un fake, mais qui a tout de même fini par publier dans une tribune le 7 Novembre 2020 que ce test était « un non-sens épidémiologique ». Karry Mullis est mort en août 2019, juste avant le début de l’apparition du COVID.

Les faux-positifs sont d’autant plus nombreux qu’au-delà de 30 cycles le test est déjà très douteux et qu’au-delà de 35 cycles il révèle à peu près n’importe quoi, y compris des résidus de virus mort qui sont autant de faux positifs. En France on pratique entre 40 et 45 cycles selon le conseil scientifique ! Ce qui a été dénoncé par plusieurs spécialistes et journalistes comme un test qui fournit jusqu’à 90 % de faux positifs (New York Times du 02/09)… Pour rappel, un cycle est une amplification d’une partie du génome x fois, un peu comme un microscope grossit x fois. On attend toujours des arguments de la part des détracteurs.

Pour en finir, une dernière petite courbe édifiante des pandémies de 1857 à 2020, du genre de celles qu’on ne voit pas à la télé :

Le matraquage médiatique quotidien des chiffres de la peur basés sur une réalité imaginaire, est aujourd’hui le bras armé d’une politique terroriste. Et je pèse mes mots.

Toute cette politique de la terreur s’appuie sur des statistiques manipulées et un test inadapté, offrant une manipulation aisée sur laquelle on peut jouer à la baisse ou à la hausse en fonction des besoins du moment. Cette politique que veulent pérenniser les pouvoirs, ne fructifie à ce jour que grâce à la complicité des médias de masse qui l’alimentent sans répit, tout en dissimulant les décrets passés, la nature des projets de loi en discussion et tout en essayant de contrer leurs contradicteurs sans arguments sérieux et souvent sans argument du tout. Le projet de loi que vient de retirer provisoirement le gouvernement est le sceau d’une dictature. En voici un extrait, ne perdez pas de vue que ce n’est plus un décret mais une loi :

Art. L. 3131‑9 : « 6° Le Premier ministre peut, le cas échéant dans le cadre des mesures prévues aux 1° à 5°, subordonner les déplacements des personnes, leur accès aux moyens de transports ou à certains lieux, ainsi que l’exercice de certaines activités à la présentation des résultats d’un test de dépistage établissant que la personne n’est pas affectée ou contaminée, au suivi d’un traitement préventif, y compris à l’administration d’un vaccin, ou d’un traitement curatif. Le décret mentionné au deuxième alinéa du présent article précise l’étendue de cette obligation ainsi que ses modalités d’application s’agissant notamment des catégories de personnes concernées. »

Cette guerre mondiale contre les peuples, là aussi je pèse mes mots, est avant tout une guerre de l’information. Et ceux qu’ils redoutent le plus sont ceux qu’ils nomment « complotistes », qui de plus en plus nombreux, délaissant leur vie privée et leur travail, se relaient partout pour faire circuler la vérité en lieu et place des journalistes.

À ce jour le seul virus massivement dangereux est celui de la propagande. Ce qui ne veut pas dire qu’il faut baisser la garde sur le plan sanitaire, surtout au moment où l’une des plus grandes usines de fabrication d’hydroxychloroquine vient de brûler…

Le COVID-21 pointe en effet déjà son nez et il n’est pas exclu que la nature et la qualification du danger changent. D’autant qu’au moment où j’écris ces lignes, il semble se passer quelque chose de significatif en Chine. Scénarisation ou réalité, l’avenir nous le dira.

Le point positif, c’est que de plus en plus de gens en perte de liberté vont finir par se demander d’où sortent soudainement tous ces virus et leurs mutations, qui servent si bien l’avènement précipité du Nouvel Ordre Mondial annoncé depuis des années, calqué sur le modèle de crédit social et de surveillance numérique du parti communiste chinois.

Chaque nation fait face comme elle peut aux techniques de manipulation des masses à l’œuvre. Mon opinion du moment est que la France n’a pas encore touché le fond, mais que ça ne saurait tarder et que ce sera là l’opportunité de se relever pacifiquement et de commencer à assécher le marais.

Pour terminer, quelques critiques parfois violentes, mais toujours sans arguments, ont été formulées quant à mon allusion à la pédocriminalité institutionnalisée. Il est toujours désolant de constater une telle ignorance du sujet quand tant sont morts à travers le monde d’avoir essayé de la révéler. A leur décharge, je conçois bien toutefois que des esprits sains ne peuvent imaginer pareille ignominie. 

Je n’y répondrai pas aujourd’hui. Cela nécessite un article à part entière et même plusieurs, tant le sujet est vaste et nécessite de la rigueur. Le temps est venu de le faire. Croyez-moi ou pas, ça ne fait que commencer.
 

Frédéric Vidal est un ancien journaliste.

Auteur(s): Frédéric Vidal pour FranceSoir




Lettre ouverte aux journalistes de France et d’ailleurs – MàJ

[Sources : Urantia-Gaïa et FranceSoir]

par Le Passeur (sur Urantia-Gaïa) ou Frédéric Vidal (ancien journaliste, pour FranceSoir)

[NdNM : Les deux sources distinctes de ce même texte ne se mentionnent pas mutuellement. Que peut-on en déduire ? Est-ce que Le Passeur est un pseudonyme de Frédéric Vidal ?]

Je m’adresse à vous tous journalistes des médias de masse de France et d’ailleurs, mais surtout à celles et ceux d’entre vous qui se sentent très mal à l’aise dans leur métier depuis quelques mois. Je sais que vous êtes nombreux à vous reconnaître ainsi.

Vous êtes aujourd’hui en dissonance, comme le sont de nombreux agents de ce que l’on appelle aujourd’hui les « forces de l’ordre » et qu’on appelait il n’y a pas si longtemps les « gardiens de la paix ». Tout comme eux vous avez doucement glissé ces dernières années vers des valeurs contraires à ce qui vous animait et vit encore en vous. Vous avez lentement dérivé du statut de journaliste à celui de propagandiste, de l’information à la désinformation, par dissimulation, mais aussi par le mensonge brut.

Cette année 2020, la pente s’est accrue et tout s’est précipité. Le plan annoncé par les lanceurs d’alerte depuis des années, ceux-là-même que vous appeliez complotistes, est lancé et vous entraîne à une vitesse vertigineuse, bousculant rudement vos ultimes inhibitions s’il en reste. Vous voilà aujourd’hui acteurs d’un sinistre canular, pris dans une spirale folle parce que ces dernières années vous avez progressivement accepté l’inacceptable au regard de votre déontologie professionnelle piétinée.

Vous ne dites rien sur la réalité de cette fausse pandémie, dont les chiffres officiels (voyez ceux de l’INSEE) montrent qu’il n’y a eu aucune surmortalité en 2020 par rapport aux décennies précédentes. Elle est pourtant le mensonge que vous nourrissez avec grand zèle chaque jour et sur lequel repose la mise en place accélérée de la dictature du nouvel ordre mondial.

Vous ne dites rien de ce qui se passe aux États-Unis depuis l’élection présidentielle, laissant croire que Biden a gagné en tout honneur et que Trump n’est qu’un mauvais perdant. C’est le contraire de la vérité, vous le savez, Biden ne sera sûrement pas président. Et ce qui se passe là-bas alors que j’écris ces mots va impitoyablement déferler sur le monde et faire imploser bien des « démocraties » occidentales. Comment pensez-vous vous en sortir ?

Vous ne dites rien de la pédocriminalité sataniste institutionnalisée dans nos pays occidentaux, suggérant au mieux que ce sont des phénomènes isolés alors que c’est la base religieuse de l’organisation et du fonctionnement des psychopathes qui manipulent le monde avec votre complicité.

La liste est interminable de ce que vous ne dites pas d’essentiel parce que vous n’avez jamais pris la peine de vous y pencher ou que vous avez fait le choix de l’occulter sciemment. Au mieux, vous obéissez à l’inique et ce n’est pas davantage excusable.

Derrière le paravent de cette mascarade politico-sanitaire, vous avez choisi de servir la soupe que tendent au bas peuple les 1 % des 1 % les plus riches de ce monde organisé par et pour la corruption. Une guerre mondiale contre tous les peuples est en cours pendant que vous les divertissez en agitant les ombres de la caverne de Platon, dans l’intérêt d’une poignée malveillante et despotique que par lâcheté vous continuez à servir à travers vos médias.

Je suis désolé si les mots sont durs, mais l’heure n’est plus aux litotes.

Pour celles et ceux d’entre vous qui ont abordé ce métier par vocation, votre position est intenable. Vous ne pouvez plus fermer les yeux sous prétexte de factures à payer en fin de mois. Vos enfants, s’ils ne sont pas eux aussi sous hypnose, s’en foutent de vos factures, mais pas de leur avenir.

La situation demande du courage à toutes et tous. Chaque jour, de plus en plus n’ont pas de quoi répondre à leurs besoins essentiels. Ils sont conduits là pour devenir pleinement dépendants de ceux-là même qui ont allumé l’incendie. Ils seront alors précipités à épouser une société dont personne en conscience ne voudrait, en-dehors des psychopathes qui en sont les instigateurs, mais qu’ils risquent en inconscience d’accepter pour retrouver l’illusion d’un bol d’air. Une société mondialiste, liberticide et génocidaire, que vous-mêmes ne voulez pas pour vos enfants et leurs descendants. Qu’allez-vous faire pour eux et pour vous ?

Cette dictature sans précédent par son ampleur, calquée sur le modèle du parti communiste chinois, est en marche forcée, vous l’avez vu, vous le voyez parce que s’il vous reste la curiosité, le flair et la quête de la vérité qui sont l’essence du journalisme, vous en avez l’information, comme tous ceux qui vous ont remplacé au pied-levé, l’ont. Je parle des lanceurs d’alerte et de tous ceux qui les relaient, ceux que l’on nomme les soldats numériques. Car oui ce sont des soldats puisque nous sommes en guerre. Beaucoup de ceux-là sont tombés au fil des années, mis à l’écart, internés, assassinés, « suicidés ». Certains même étaient journalistes, comme Julian Assange pour ne nommer que lui dont l’actualité est encore brûlante. Il est une honte pour vous tous qui l’avaient abandonné et parfois renié.

Lorsque la maison brûle et qu’on est à l’intérieur, on ne se demande plus s’il est risqué ou non d’essayer d’éteindre les flammes, pas plus qu’on fait la moue sur qui vient nous aider à les maîtriser.

Encore faut-il accepter de voir l’incendie. Je concède qu’à ce jour, bien des aveugles sont aussi devenus sourds, c’est ainsi que leur psyché se protège de regarder en face les illusions qui les ont jusque-là bercées. Je ne m’adresse pas à eux, je sais qu’ils s’effondreront lorsque trop de révélations auront brisé leurs dénis.

Aujourd’hui, avec cette fausse pandémie sans mortalité supérieure à une grippe, l’un des plus grands mensonges de l’humanité, car il y en a d’autres encore plus grands qui seront mis en lumière, orchestre le déroulement d’un plan préparé depuis très longtemps pour la mise en place d’un pouvoir sans partage, qui ne se cache plus et dont les aspects occultes sont plus terribles encore que la plupart ne l’imaginent.

L’arme absolue qui garantira la réussite de cette offensive est l’information.

VOUS êtes cette arme, que vous le vouliez ou non. Vous servez directement la cause des agresseurs, c’est ce pour quoi vous êtes aujourd’hui payés. Pensez-vous vous supporter longtemps dans ce rôle ? Il n’y a pourtant rien de mauvais en vous, au contraire, écoutez ce qui crie tout au fond de vous et libérez-vous de ce poids que votre conscience ne pourra jamais digérer.

Les peuples du monde entier ont besoin de vous, ils ont besoin que vous leur donniez la juste information, celle qui leur permettra de ne pas succomber, de se libérer de l’illusion qui les conduira sinon vers un esclavage absolu. Leur conditionnement fait qu’ils n’ont pas la capacité pour la plupart d’aller eux-mêmes chercher cette information à la source, ni même auprès des journalistes citoyens qui présentent la seule alternative, ils sont trop formatés, tétanisés par les techniques de manipulation des masses pratiquées au quotidien, ils sont sous hypnose.

Seule une minorité n’est pas captive de cette camisole mentale. Si cette minorité grandit chaque jour, elle ne suffit pas encore. Les lanceurs d’alerte n’ont pas cessé d’informer, d’apporter les preuves de ce qu’ils avançaient, mais ils ne peuvent atteindre ceux qui restent rivés devant leurs téléviseurs et croient encore en vos mensonges.

Alors que faire dans votre mal-être ? Avoir le courage, comme le fera bientôt j’espère le peuple de France, de renverser les pouvoirs iniques. C’est un devoir, qui même s’il n’a jamais été appliqué reste inscrit dans la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen de 1793.

Reprenez vos salles de rédaction et vos studios TV, ne vous préoccupez pas de ceux qui les possèdent et vous ont achetés, écartez les corrompus et commencez à diffuser la vérité. Si vous le faites, il y aura des risques bien sûr mais mesurés, et vous ne serez pas seuls, appelez le peuple à venir protéger vos bâtiments des tentatives du pouvoir de les reprendre. Appelez les policiers et les militaires courageux à faire de même. Il y en a autant chez eux à vivre le même malaise que vous.

N’attendez pas de n’avoir plus rien à perdre, ça sera trop tard. Les choses peuvent encore se faire sans violence, mais quand vous n’aurez plus rien, quand les peuples n’auront plus rien, la violence sera très difficile à endiguer. C’est ce qu’il nous faut tous conjurer, tant qu’on le peut encore, en agissant dans le bon timing.

Une partie de la jeunesse n’a plus d’espoir, sa colère grandit, parfois sa révolte. Une autre partie est amorphe. Elle se sent acculée contre un mur devant un gouffre sans avenir. Les artisans et les PME qui sont le tissu social et l’économie réelle de nos pays sont aux abois, les classes les plus pauvres s’appauvrissent encore, la classe moyenne est en voie de destruction. Tout cela va très vite désormais car c’est planifié en ce sens par ceux qui se désignent comme « l’élite » avec votre complicité et parfois vos collusions, vos conflits d’intérêts, votre corruption.

D’ici cinq ans, soit le monde sera en paix et se réorganisera sur les bases de nouveaux systèmes de gouvernance, soit il sera l’enfer mondialiste et ultra-matérialiste que promeuvent les classes dominantes pédosataniques.

Cela dépend de tous, mais de vous particulièrement, parce que vous détenez l’arme de l’information qu’ils utilisent pour maintenir les peuples dans la peur et la soumission, par le mensonge et la répression. Si la répression concerne les militaires et les policiers, qui se retrouvent aujourd’hui devant les mêmes choix, le mensonge est votre affaire, vous avez le pouvoir de le faire cesser.

L’Histoire se fera et pour qui sait voir entre les lignes, malgré les sombres apparences du moment, elle s’écrira le moment venu dans le sens d’une grande libération et pas d’un enfermement. Je vous le dis, ceux que vous servez perdront et devront faire face à leurs crimes et leurs responsabilités, du plus petit au plus grand. Vous avez le pouvoir de vous inscrire dans le bon sens de l’Histoire ou dans le mauvais.

L’important n’est pas ce que vous avez fait jusqu’à maintenant, mais ce que vous allez faire à présent. C’est cela qui sera retenu. Respectez-vous, respectez-nous.

Le Passeur.

Source : http://www.urantia-gaia.info 
(faites circuler et merci de respecter l’intégralité du texte.)




Gestion des épidémies – Étude sur l’exploitation médiatique, commerciale ou politique de la peur, et sur l’avènement d’un totalitarisme « sanitaire »

[Source : Konfedera.org]

[Auteur : François Jortay]

Gestion des épidémies

Màj : 30 juil. 2020   –   # pages : 64 

1. Résumé
2. Introduction
 2.1. Auteur
 2.2. Objectif
 2.3. Méthode
 2.4. Conseils de lecture
3. Modèles mathématiques
 3.1. Principes
 3.2. Limites des modèles mathématiques
 3.2.1. Stochasticité
 3.2.2. Sensibilité
 3.2.3. Irréductibilité
 3.2.4. Réalité
 3.3. Modèles et idéologies
 3.3.1. Interprétations abusives
 3.3.2. Neil Ferguson
4. Modèle SIR
 4.1. Système d'équations
 4.2. Hypothèses
 4.3. Taux de reproduction
 4.4. Immunité collective
 4.5. Stratégies
 4.6. Mortalité
 4.7. Charge hospitalière
 4.8. Valeur scientifique du "R zéro"
 4.8.1. Le fumigène R0
 4.8.2. Calcul du R0
 4.8.3. Utilisations du R0
5. SIR et la grippe
6. SIR et covid-19
 6.9. Paramétrage en début de confinement
 6.10. Paramétrage en fin de confinement
 6.11. Rebond de l'enfermement cognitif
 6.12. Bilan
 6.13. Typologie des facteurs d'inefficacité
7. Suivi en temps réel
 7.1. Ressources
 7.2. Définitions
 7.3. Mesure
 7.3.1. Taux d'infection
 7.3.2. Taux de mortalité et létalité
8. Stratégies anti-épidémiques
 8.1. Principes de gestion anti-épidémique
 8.2. Immunité collective
 8.3. Stratégie non pharmaceutique (SNP)
 8.3.1. Principes
 8.3.2. Efficacité de la SNP
 8.3.3. Effets pervers de la SNP
 8.3.4. Conclusion
 8.4. Stratégie pharmaceutique (SP)
 8.4.1. Traitements
 8.4.2. Dépistage
 8.5. Principe de précaution ?
 8.6. Quelle stratégie appliquer ?
9. covid-19 : analyse d'un délire collectif
 9.1. QUOI : Info vs réalité
 9.1.1. Charge hospitalière
 9.1.2. Mortalité toutes causes
 9.1.3. Différences entre pays
 9.2. Agents du délire collectifs
 9.2.1. Entreprises "d'information"
 9.2.2. Atlantisme anti-chinois
 9.2.3. Scientifiques de plateau TV
 9.2.4. Personnel médical
 9.2.5. Gouvernements
10. Contexte économique
 10.1. Concurrence chinoise
 10.2. Big Data & Pharma Inc.
 10.3. Extrémisme vert
11. Problématique politique
12. Conclusion

Résumé

https://konfedera.org/gestion-epidemies#resume

  1. La thèse que les entreprises « d’information » et certains scientifiques propagent concernant covid-19 est la suivante : covid-19 est un virus nouveau. Il en résulte que :
    (i) il n’existe ni médicament spécifique ni vaccin ;
    (ii) personne n’est immunisé (absence d’anticorps) ⇒ il n’existe pas de barrière physiologique à sa propagation, qui est alors rapide.
    Par conséquent, pour éviter le risque de surcharge du système hospitalier, il faut imposer le confinement général des populations, ce qui aura pour effet de retarder et d’abaisser le sommet de la courbe épidémique. On gagnerait ainsi du temps pour augmenter la capacité hospitalière et développer des médicaments/vaccins spécifiques avant le pic épidémique. Ce raisonnement peut sembler imparable, et pourtant il est totalement erroné car :

    • une partie de la population est immunisée de naissance et/ou par immunité croisée (anticorps non-spécifiques);
    • certains médicaments non spécifiques sont efficaces;
    • il est n’est pas possible de développer les capacités hospitalières de façon substantielle et des médicaments/vaccins spécifiques réellement efficaces en moins de cinq ans. Ces mesures conduiraient en outre à maintenir une (très large) surcapacité hospitalière et à augmenter sans fin le nombre des médicaments et vaccins (on peut toujours considérer qu’un virus est « nouveau » dès que l’on découvre – grâce au progrès scientifique qui est sans fin – des « différences » par rapport aux autres membres de sa famille virale).
    • pour freiner substantiellement la propagation d’un virus le coût des mesures à appliquer (confinement, distanciation, masques, lavages) est tellement élevé que même en milieu hospitalier – pourtant équipé de tout le matériel nécessaire et où les règles sanitaires sont strictement appliquées par des professionnels avec un haut niveau de formation – on n’arrive pas à neutraliser les infections nosocomiales ; certaines des mesures sanitaires sont en réalité appliquées pour des raisons juridiques et d’image de marque (la concurrence joue aussi dans le secteur hospitalier).

  2. Extinction. Les épidémies ont une évolution dont la courbe a la forme d’une cloche, ce qui signifie qu’au début elles montrent en général une croissance exponentielle. Or toutes les épidémies s’éteignent naturellement avant d’avoir contaminé 100% de la population. Et la plupart avant même d’avoir atteint le taux théorique d’immunité collective, pour des raisons encore inconnues mais très probablement liées au virus lui-même et/ou aux écosystèmes dans lesquels il évolue.
  3. Modèles. Le recours à des modèles mathématiques à des fins de suivi épidémique et de prévision est irrationnel car :

    • dans le cas des virus « nouveaux », leur paramètres sont inconnus et ne peuvent être correctement évalués en temps réel (c-à-d en cours d’épidémie) en raison de biais de mesure ne pouvant être corrigés qu’au moins douze mois après le début de l’épidémie;
    • quant aux virus en général, c-à-d connus ou non, leurs caractéristiques (les valeurs attribuées aux paramètres des modèles) ne sont pas stables dans le temps (voire même non plus dans l’espace), en raison de la nature écosystémique c-à-d complexe des phénomènes infectiologiques.On constate d’ailleurs une très forte propension de ces modèles (ou de leur paramétreurs ?) à produire des « prévisions » qui s’avèrent in fine de gigantesques surestimations du taux de mortalité des épidémies.

  4. Rebonds. Il suffit que le nombre de tests augmente (par exemple suite à la surmédiatisation de « prévisions » catastrophistes) pour qu’augmente le nombre d’infectés recensés. Il résulte de cet effet de recensement que la gestion épidémique ne doit surtout pas être pilotée en fonction de l’évolution du taux d’infection, mais en fonction du taux de mortalité (toutes causes !) par rapport à la population (PS : dans le cas où la hausse du nombre de tests est provoquée par l’annonce de « prévisions » catastrophistes l’effet de recensement induit donc un effet de prophétie auto-réalisatrice).
  5. Mortalité. En Europe, région du monde la plus touchée par covid-19, la mortalité toutes causes sur l’ensemble de l’année 2020 aurait probablement été la plus basse des quatre dernières années s’il n’y avait eu les décès attribués à covid-19, mais principalement causés par une mauvaise stratégie anti-épidémique.
  6. Causes. Les pouvoirs médiatique, académique et politique ne s’en sont jamais cachés : pour qu’un maximum de gens appliquent les mesures de la stratégie « non pharmaceutique » (SNP : confinement, distanciation, masques, lavages) il faut faire peur à la population. La SNP implique donc la terreur, or celle-ci induit de graves effets délétères :
    • la panique, qui inhibe les capacités cognitives :
      • des décideurs politiques : ainsi pour libérer des lits d’hôpitaux en prévision d’une prétendue « possible explosion » (sic) du nombre de malades sévères de la covid-19 il a été décidé d’isoler un maximum de vieillards dans les maisons de repos … qui ne disposent ni du matériel ni de personnel pour soigner les cas graves;
      • des médecins hospitaliers : ainsi plus de 50% de la mortalité hospitalière attribuée à covid-19 serait causée par les intubations abusives.
    • le stress psychique, qui inhibe le système immunitaire (NB : ces effets sont démultipliés par l’isolement qu’implique le confinement général);
    • la peur de la contamination, qui inhibe la demande et l’offre de services médicaux.D’autre part des effet d’entraves ont encore accru la mortalité attribuée à covid-19 :

    • une réglementation médicale pénalisant l’utilisation de médicaments « non spécifiques » même dans une situation « de crise » face à un virus « nouveau »;
    • le confinement général entrave la production & distribution de biens et services indispensables à la lutte contre l’épidémie (médicaments, respirateurs, …).

  7. Précaution. L’invocation du principe de précaution par les conseillers scientifiques de nombreux gouvernements pour « justifier » l’imposition de la stratégie préventive dite « non pharmaceutique » (SNP : confinement, distanciation, masques, lavages) est fallacieuse. En effet le principe de précaution ne consiste pas à appliquer une mesure incertaine sous prétexte qu’elle pourrait peut-être fonctionner, mais au contraire à ne pas appliquer une mesure sans être certain que ses effets pervers ne l’emportent pas sur ses supposés effets positifs.
  8. Dépistage. Le dépistage est utile mais très coûteux :

    • en termes financiers ⇒ il doit être limité aux groupes à risque;
    • en termes démocratiques ⇒ son éventuelle obligation doit faire l’objet d’un référendum (organisé en période non épidémique).

  9. Médias. Au cours des dernières décennies, comme de tout temps, des virus considérés comme « nouveaux » se sont répandus sur la quasi totalité de la planète (pandémie). Dans la plupart des cas on a également assisté à une hystérie collective, mais jamais avec une intensité telle que pour covid-19 (et en particulier on n’avait pas eu recours au confinement et masques généralisés c-à-d obligatoires). La perte d’audience des médias « d’information », suite à la concurrence d’Internet, pousse ces entreprises à toujours plus de catastrophisme afin de booster l’audimat. Pour ce faire elles n’ont aucune peine à trouver des scientifiques prêts à cautionner le catastrophisme afin de briller sous les spotlights des plateaux TV, ou encore des médecins hospitaliers pour qui le catastrophisme est l’occasion de revendiquer plus de financement public.
  10. Big pharma. Des articles scientifiques sérieux qui réfutent la vision catastrophiste de la situation sont censurés tandis que des articles d’une médiocrité manifeste sont publiés par les revues scientifiques les plus reconnues (prévisions catastrophistes, prétendue absence de traitement, prétendue efficacité de la SNP, …). Cela n’est certainement pas étranger au fait que de nombreux médecins chercheurs sont intoxiqués par des sources d’informations « scientifiques » produites par l’industrie pharmaceutique, et souvent ont carrément des conflits d’intérêt avec celle-ci.
  11. Surfeurs. Des forces économiques ont pu « surfer » sur la vague médiatique, et ainsi l’amplifier, en considérant que le coût économique de quelques mois de confinement général est très inférieur aux gains récurrents d’un changement de paradigme économique permis par le choc émotionnel :

    • le potentiel financier et politique du « Big data » est tel (il concerne la quasi totalité des secteurs économiques) que de très fortes pressions ont pu être exercées sur les décideurs politiques afin que ceux-ci exploitent la vague médiatique catastrophiste pour amener les populations à accepter le traçage de leur vie privée;
    • alors que jusqu’au début des années 2000 le libre-échange international était la pierre angulaire de l’idéologie atlantiste, on assiste à un rétro-pédalage intégral de la part des pays atlantistes depuis que cette logique se retourne contre eux (concurrence de la Chine) ⇒ la théorie du « nouveau risque épidémique » est l’occasion de « justifier » ce revirement idéologique.

  12. Démocratie. Étant donné que l’on découvre régulièrement de « nouveaux » virus en raison du développement des techniques de détection, il en résulte logiquement que si les populations ne se révoltent pas contre le confinement général et le traçage de nos relations, ces pratiques irrationnelles deviendront la norme. Prenons garde que ne s’installe un peu partout sur la planète des régimes qui, au nom de « la protection d’autrui », justifieraient notamment le traçage des individus, les vaccins obligatoires et la répression de la contestation.
  13. Responsabilités. Dans le délire collectif autour de covid-19 il y a une immense responsabilité des entreprises « d’information » ainsi que des scientifiques qu’elles médiatisent. D’autre part de nombreux scientifiques conscients de la supercherie ont fait preuve de suivisme en se taisant (ce qui n’est pas sans rappeler la coupable passivité de l’élite allemande lors de la montée en puissance du nazisme durant les années 1930).
  14. Réaction. Des délires tels que celui de 2020 se reproduiront s’il n’y a pas de prise de conscience :

    • au niveau individuel : de la nuisibilité de l’info-dépendance;
    • au niveau collectif : de la nécessité d’une prise de contrôle démocratique des moyens de production de l’information et du savoir.

Partagez cette étude en copiant/collant son adresse sur les réseaux sociaux ou dans un email :
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et en ajoutant le texte de présentation :
Étude sur l’exploitation médiatique, commerciale ou politique de la peur, et sur l’avènement d’un totalitarisme « sanitaire ».

masque-X1.gif

Agissez également dans le monde réel : marquez une barre verticale sur votre masque pour dénoncer l’avènement du totalitarisme « sanitaire ». P.S. Pourquoi une barre verticale : (1) facile à tracer sur les masques en accordéon ; (2) symbolise un citoyen debout, qui ne se couche pas devant l’exploitation de la peur. Ne portez le masque que là où c’est obligatoire.

Introduction

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Auteur

https://konfedera.org/gestion-epidemies#auteur

Je suis économiste de formation. En tant que chercheur libre, mon approche est fondée sur la transdisciplinarité c-à-d la spécialisation du chercheur dans la pluridisciplinarité – à ne pas confondre avec l’interdisciplinarité, qui est la collaboration de spécialistes dans des thématiques multidisciplinaires. Cette approche est certes ambitieuse voire prétentieuse, mais le lecteur pourra constater son énorme potentiel analytique, confirmé par la montée du présent article – sans équivalent dans son approche transdisciplinaire – dans la plupart des moteurs de recherche (Google, Bing, Yahoo, Qwant, DuckDuckGo, …), sur la thématique de gestion des épidémies.

J’attire enfin l’attention du lecteur sur un fait important : ayant banni la TV de mon domicile depuis l’année 2000, je ne suis pas info-dépendant.

Pour plus d’information sur mes domaines d’activité voir la page d’accueil de mon site portail jortay.net.

Objectif

https://konfedera.org/gestion-epidemies#objectif

En Chine, où l’épidémie est terminée, le taux de mortalité morts / population est de seulement 0,03 % pour l’agglomération de Wuhan (le foyer de l’épidémie, 11 millions d’habitants) et 0,0002 % pour l’ensemble de la Chine (1,386 milliard d’habitants) [source]. On comparera utilement ce dernier taux avec le taux correspondant de la grippe en France, soit 0,02 % [source].Taux de mortalité morts / population (%)

covid-19 (Chine) Grippe (France) covid-19 / Grippe
0,03 (Wuhan) 0,02 1,5
0,0002 (Chine) 0,01

Nomenclature : covid-19 est le nom de la maladie (« COronaVirus Disease 2019« ) tandis que SARS-CoV-2 est celui du virus (« Severe Acute Respiratory Syndrome COronaVirus 2« ) [source].

Nous verrons dans la section consacrée à l’analyse du catastrophisme médiatique que le gouvernement chinois a imposé le confinement général – NB : dans la seule région de Wuhan (le foyer épidémique) – pour des raisons de politique intérieure et extérieure. Il ne pouvait s’agir de raisons médicales car il n’existe, à notre connaissance, aucune étude scientifique sérieuse ni aucun manuel d’épidémiologie recommandant l’application du confinement général pour neutraliser une épidémie. Le tableau ci-dessus montre ainsi que le confinement général (i) n’a pu empêcher la propagation du virus dans le reste de la Chine, et (ii) que le taux de mortalité y est (très) inférieur alors que le confinement général n’y a pas été appliqué. Il y a donc une forte probabilité qu’une partie considérable du surplus de mortalité dans la région de Wuhan fut causée par les effets pervers du confinement général. Nous verrons qu’il existe de nombreux et solides arguments confirmant cette thèse.

Régulièrement des continents sont confrontés à des pandémies d’agents infectieux nouveaux (grippes aviaires, H1N1, SARS, MERS, Ebola, chikungunya, Zika, …), causant des morts, et dont la croissance est exponentielle. À chaque fois il existe un risque plus ou moins élevé que le système hospitalier soit surchargé. À chaque fois les médias d’information ont suscité une atmosphère de panique. Mais jamais on avait atteint un état d’hystérie et de délire collectif tel qu’avec covid-19. En particulier jamais on avait appliqué le confinement général.

Pourquoi alors la stratégie préventive dite « non pharmaceutique (SNP : confinement, distanciation, masques, lavages) a-t-elle été appliquée lors de l’épidémie de covid-19 en 2020 alors qu’il n’existe pas de critère objectif permettant de déterminer un niveau de risque de mortalité au-delà duquel il faudrait appliquer la stratégie SNP, et en-dessous duquel cela ne serait pas nécessaire.

epidemie.jpeg

Il importe de trouver la réponse à cette question car la similitude du phénomène covid-19 avec la guerre (la vraie), cette autre folie collective, est flagrante. Or en situation de guerre, il n’y a plus de place pour le débat : si vous critiquez le gouvernement, celui-ci et ceux qu’il a rallié à lui grâce à la panique, vous accusent de jouer le jeu de l’ennemi meurtrier. Cette vision réductrice a pour effet d’inhiber (voir criminaliser) le débat public et partant l’intelligence collective. Cela conduit à l’incapacité collective de s’adapter intelligemment à l’évolution de la situation et des informations disponibles. Il en résulte généralement des catastrophes. Ainsi en cédant à la panique on peut perdre une guerre face à un ennemi même insignifiant (prophétie autoréalisatrice).

Pour ce faire la suite du présent article est composée de dix parties :

• Modèles mathématique
• Modèle SIR
• SIR et la grippe
• SIR et covid-19
• Suivi en temps réel
• Stratégie anti-épidémiques
• covid-19 : analyse d’un délire collectif
• Contexte économique
• Problématique politique
• Conclusion

Méthode

https://konfedera.org/gestion-epidemies#methode

Cette étude est une publication en édition continue (commencée début mars 2020) : elle fait quotidiennement l’objet de plusieurs mises à jour (corrections, ajouts, structuration, …) ⇒ le lecteur qui souhaite améliorer sa compréhension de la problématique et la mettre à jour (NB : auprès d’un chercheur non info-dépendant) est invité à relire cette étude tous les trois mois.

Les sources sont toutes scientifiques. Quelques articles de presse sont cités, soit parce qu’il s’agit d’interviews ou cartes blanches de scientifiques, soit pour montrer que si les entreprises « d’information » ont besoin de se fabriquer un capital confiance c’est aussi pour le consommer – c-à-d conditionner l’opinion publique – lorsqu’elles en reçoivent instruction.

Les sources sont systématiquement mentionnées par lien hypertexte, ce qui fait de cette étude, via son sommaire, une base de données très pratique sur les thématiques de la gestion épidémique en général et de covid-19 en particulier.

Conseils de lecture

https://konfedera.org/gestion-epidemies#conseils-de-lecture

Vous sentez que quelque chose de puissant, grave et potentiellement durable est en train de se produire, qui dépasse largement le cadre de cette « pandémie meurtrière ». Mais vous vous sentez également impuissant(e), ce qui augmente votre anxiété. La solution est de réagir par une action inscrite dans le long terme : « un petit peu, mais chaque jour« . Un petit peu de quoi ? Et bien, pour commencer, d’étude ! Le reste viendra naturellement, via les liens que vous allez ainsi construire … et qui seront autant d’opportunités pour le futur de votre parcours de vie (NB : les plus grandes crises sont des occasions de « saut évolutionniste » … pour qui ne reste pas dans la passivité).

La compréhension du présent document est accessible par quiconque a terminé ses études secondaires. Cependant il est relativement long (plus de 60 pages) et son abord est parfois ardu. Cela est inévitable en raison de la sophistication des forces en action. Ce travail ne se lit donc pas en une fois mais un petit peu chaque jour (par exemple donnez-vous une semaine ou un mois pour le lire). Si certains passages vous paraissent difficiles lisez-les malgré tout, puis passez à la suite. Cela vous permettra d’avoir une vue d’ensemble lors de l’indispensable seconde lecture.

Lors de la première lecture évitez, autant que faire se peut, de cliquer sur les (nombreux) liens, sinon vous allez vous noyer. Ne consultez éventuellement les liens que lors de la seconde lecture.

Enfin, avant de vous lancer, je vous invite à lire d’ors et déjà cet extrait d’un autre article, concernant l’info-dépendance, phénomène dont vous êtes probablement victime …

Modèles mathématiques

https://konfedera.org/gestion-epidemies#modeles-mathematiques

Dans cette section nous allons exposer les principes de base de la modélisation mathématique. Ensuite nous en énoncerons les limites. Enfin nous illustrerons l’influence (très sous-estimée) de l’idéologie sur l’utilisation des modèles mathématiques.

Principes

https://konfedera.org/gestion-epidemies#modeles-mathematiques-principes

La modélisation mathématique d’un phénomène naturel permet au moins trois types d’utilisation :

  1. explication : faciliter l’étude de ce phénomène (enseignement & recherche) en reproduisant sont fonctionnement par une simulation simplifiée (en laboratoire ou sur ordinateur);
  2. prévision : prédire son évolution future … mais cela n’est possible que pour les phénomènes dont la valeur des paramètres est stable dans le temps ainsi que dans l’espace considéré (notion de référentiel);Cette stabilité des paramètres est vérifiée dans le cas de phénomènes tels que la chute d’un corps, mais nous verrons que ce n’est pas le cas des phénomènes épidémiques autres que in vitro.
  3. exploitation : élaborer des techniques pour exploiter ou au contraire neutraliser ce phénomène.

Corrélation. Ainsi le modèle M ≡ y = a * x + b décrit une relation (linéaire) entre des variables x et y, les grandeurs a et b étant considérées (à tort ou à raison) comme constantes et par conséquent qualifiées de « paramètres ».

Mesure vs calcul. En présentant le modèle comme ci-dessus plutôt que, par exemple, comme M ≡ a * x + b * y = c on suggère que x est la variable d’entrée (input) et que y est la variable de sortie (output), c-à-d que x est mesurée, tandis que y est calculée. NB : cela n’implique pas nécessairement une causalité entre les deux, mais peut se justifier par exemple parce qu’il est moins coûteux de calculer y que de le mesurer.

Causalité. Tel que formulé ci-dessus, c-à-d sans indices de temps, le modèle ne dit rien quant à une éventuelle causalité soit de x sur y, ou inversement, ou les deux (boucle de rétroaction), ou/et d’une ou plusieurs variables non représentées dans le modèle. Du point de vue physique l’effet d’une relation causale ne peut être instantanée, sauf à supposer qu’un corps peut se déplacer, du lieu de la cause à celui de l’effet, à une vitesse infinie c-à-d supérieure à celle de la lumière, ce qui dans l’état actuel de la science physique est généralement considéré comme impossible. La cause doit donc nécessairement précéder temporellement son effet. Par conséquent une causalité de x sur y devrait être formulée par : yt+k = a * xt + b où k est le temps écoulé entre une variation de x et son effet sur y.

Calcul descriptif ou prédictif. On pourra alors tirer les conclusions suivantes sur les possibilités d’utilisations du modèle M ≡ y = a * x + b :

  • si relation asynchrone yt+k = a * xt + b ⇒ au temps t=0 je peux prédire yk si j’ai la possibilité de mesurer x0;
  • si relation synchrone yt = a * xt + b ⇒ au temps t=0 :

    • je peux calculer y0 après avoir mesuré x0 (/ ou inversement), ce qui est généralement moins coûteux que de mesurer y0 (/ ou x0) ; mais il s’agit d’un calcul descriptif et non pas prédictif ;
    • il m’est impossible de prédire ni xt ni yt car pour cela je devrais connaître la valeur de leur(s) éventuelle(s) variable(s) déterminante(s) (on dit aussi « explicatives« ) en t=0, or le modèle M ≡ yt = a * xt + b ne contient pas les équations exprimant leurs relations avec xt et yt (soit parce que le phénomène est stochastique soit parce que le modèle est incomplet).

La valeur calculée y0 (descriptive) ou yk (prédictive) sera d’autant moins proche de sa valeur réelle que les erreurs de mesure de x0a et b seront élevées, et que la valeur de chacun de ces deux paramètres a et b ne sera pas constante (ou suffisamment peu variable, puisque dans le monde réel les véritables constantes sont relativement rares).

Dimensions temporelle et spatiale

Les notions de variables et constantes concernent les dimensions temporelle et spatiale : une grandeur change (variable) ou pas (constante) :

  • avec le temps qui passe ⇒ dimension temporelle ;
  • selon le lieu (et donc l’individu) ⇒ dimension spatiale.

À noter que le temps est de dimension 1 (une droite) et ne peut évoluer que dans le sens positif (on ne peut reculer dans le temps), tandis que l’espace est de dimension 3 (voire plus) et un corps peut s’y déplacer dans les deux sens positif (avancer) et négatif (reculer) d’une droite, ainsi que dans toutes ses directions. D’autre part le temps passe inexorablement tandis qu’un corps peut être soit à l’arrêt soit en mouvement.modele-mathematique.png

Modèle épidémiologique SIR

Un modèle est donc nécessairement une représentation simplifiée de la réalité. Il y a là une rationalité économique : on veut pouvoir reproduire (simuler) un phénomène au moyen d’un système le plus simple possible (petit nombre de variables et paramètres, relations linéaires, …). Cela ne veut pas dire qu’il n’est pas possible de simuler un phénomène complexe (grand nombre de variables et paramètres, relations non linéaires, effets de rétroactions, …), c’est même dans ce cas qu’un modèle programmé dans un ordinateur permet de dépasser les limites de l’intuition humaine. Il serait donc injuste d’assimiler ces modèles à l’allégorie de la caverne.

Il importe cependant de faire preuve de prudence dans les modes d’application et l’interprétation des modèles. La relative facilité à les concevoir et « faire tourner » peut rapidement conduire au fétichisme du jouet mathématique voire à un enfermement cognitif (tels qu’observés chez de nombreux adeptes des modèles astrologiques), consistant notamment à croire que la modélisation mathématique constitue la démonstration d’une thèse alors qu’elle n’en est que la formulation.

Ainsi en économie et épidémiologie les modèles mathématiques doivent être constamment reparamétrés (la valeur des paramètres doit être réévaluée) pour qu’ils puissent simplement reproduire les phénomènes observés. L’instabilité temporelle (voire même spatiale) des paramètres – due à la nature écosystémique des phénomènes économiques et épidémiologiques – induit l’impossibilité pour ces modèles de prédire le développement futur de ces phénomènes. Dans ce dernier domaine la mutabilité des virus ou bactéries (qui en font de nouveaux objets biologiques dont les propriétés sont alors supposées inconnues) ne fait qu’accroître cette incertitude.

Limites des modèles mathématiques

https://konfedera.org/gestion-epidemies#limites-modeles-mathematiques

Neil Ferguson, le physicien converti à l’épidémiologie qui en 2020 a réussi à convaincre de nombreux gouvernements que l’épidémie de covid-19 allait provoquer au moins 55 millions de morts si l’on appliquait pas le confinement général, est pourtant connu pour ses prévisions aussi catastrophistes … qu’erronées [source] :

  • en 2005 il prédit que la grippe aviaire tuerait 200 millions de personnes : il y eu quelques centaines de victime;
  • en 2009, il prédit que la grippe porcine tuerait 65.000 Britanniques : il y eu moins de cinq cents victimes;

Dans aucun de ces deux cas, le confinement général n’a été appliqué. Heureusement car sinon les adeptes des modèles épidémiologiques auraient affirmé que la catastrophe a été évitée grâce au confinement général. En 2020, ce fut malheureusement différent …

L’incapacité d’un modèle à simplement reproduire un phénomène (par simulation dans un laboratoire ou sur un ordinateur) autrement qu’en adaptant la valeur des paramètres, implique l’impossibilité de prédiction par ce modèle.

D’autre part l’incapacité de reproduction systématique (c-à-d sans devoir adapter la valeur des paramètres) peut avoir trois types de causes :

  • phénomène est stochastique (c-à-d soumis au hasard) ⇔ les paramètres du modèles sont variables dans le temps et l’espace.
  • le phénomène est déterministe (c-à-d non soumis au hasard) mais :

    • sensible aux conditions initiales;
    • ou bien la mesure des valeurs d’entrées (et des paramètres en cas d’instance nouvelle) ne peut être réalisée correctement qu’après la fin du phénomène (cette cause sera développée dans la section consacrée aux limites des modèles épidémiologiques);
    • ou bien le modèle est incomplet (réductionnisme voire irréductibilité).

Stochasticité

Un phénomène stochastique (c-à-d soumis au hasard) ne peut-être reproduit qu’en adaptant à chaque fois la valeur des paramètres du modèle puisque ceux-ci sont par nature variables dans le temps et l’espace. Par conséquent il est impossible de prédire l’évolution d’un phénomène stochastique.

Avec le développement des capacités de traitement des donnés (quantité et vitesse) sont apparus des modèles dits « stochastiques« . Ils concernent des quantités « macroscopiques » vues comme des moyennes statistiques de quantités microscopiques (par exemple la pression et la température d’un volume gazeux). Le principe est ici que l’instabilité exponentielle du système « microscopique », c-à-d l’imprévisibilité des variables du niveau micro, n’impliquerait pas l’imprévisibilité de moyennes statistiques au niveau macro. Il existe cependant des situations particulières dites « critiques » où l’on observe un phénomène de « transition de phase » c-à-d tel que le système « hésite » de façon imprévisible et changeante entre deux chemins possibles [source].

Sensibilité

Les scientifiques avaient l’habitude de penser que si l’on pouvait isoler un système des influences de son environnement et le décrire à l’aide d’un nombre réduit de variables, il serait à la fois déterministe et prévisible. Mais on sait aujourd’hui que pour être prévisible, un système doit être déterministe et stable : de petites incertitudes sur l’état initial du système ne doivent pas s’amplifier trop vite, sinon toute prédiction sur le comportement futur du système devient illusoire [source]. Des systèmes déterministes, c-à-d dont l’état futur est complètement déterminé par leur état présent, peuvent donc être imprévisibles. Et cela n’a rien à voir avec la complexité : ce phénomène de sensibilité aux conditions initiales concerne également les systèmes simples (petit nombre de variables, relations linéaires, …).

Sensibilité aux conditions initiales

Dans cette animation en boucles (30 sec.), après quelques secondes les deux pendules se désynchronisent brusquement [source].

Un système est dit chaotique si une infime perturbation de son état initial peut bouleverser entièrement son évolution. Un système chaotique n’est pas nécessairement complexe.

Irréductibilité

Les modèles mathématiques reposent sur un certain nombre d’hypothèses – notamment la formulation des relations entre variables (les équations), la valeur des paramètres (les supposées « constantes » de ces équations) et conditions initiales – supposées représenter la réalité.

Voici quelques hypothèses sur les modes de transmission du virus covid-19, tirées de l’article de Neil Ferguson [source], sur base duquel de nombreux gouvernements ont décidé d’appliquer la distanciation sociale (confinement et masque généralisés) lors de l’épidémie de 2020 :

  • « 30% des hospitalisés le seront en soins intensifs, et 50% de ceux-ci meurent » ;
  • « le nombre de contacts par individu dans les écoles est le double de celui observé ailleurs » ;
  • « la période d’incubation est de 5,2 jours » ;
  • « l’infectiosité survient 12 heures avant le début des symptômes pour les symptomatiques, et 4,6 jours après l’infection pour les asymptomatiques » ;
  • « le taux de propagation R0=2,4 » ;
  • « les symptomatiques sont 50% plus contaminants que les asymptomatiques » ;
  • « deux tiers des symptomatiques le sont suffisamment pour s’auto-confiner dans les 24 heures suivant l’apparition des symptômes, et sont hospitalisés dans les cinq jours » ;
  • « la durée d’hospitalisation est de 8 jours pour les cas non critiques et 16 jours pour les cas critiques » ;
  • « 70% des ménages respectent les mesures sanitaires » ;
  • « le taux de contact sur le lieu de travail est diminué de 25% (distanciation) » ; …

Dans la section #modeles-mathematiques-principes nous avons vu que l’intérêt des modèles réside précisément dans leur simplicité. Mais lorsqu’un phénomène est difficilement modélisable et que par conséquent les modèles n’arrivent pas à simplement reproduire correctement ses instances (ce qui implique évidemment l’incapacité de prédire celles-ci) des scientifiques qui ont investi leur carrière dans cette voie peuvent être tenté, plutôt que de changer de domaine de recherche, de s’obstiner en augmentant sans fin le nombre des variables, paramètres et équations (ce qui est le cas des modèles dérivés de SIR). Il en résulte des modèles complexes qui non seulement ne sont pas plus performants mais qui en outre sont beaucoup plus difficiles à comprendre, de sorte qu’ils n’ont plus aucun intérêt (notamment pour l’enseignement). C’est le cas notamment en économie et épidémiologie/infectiologie, qui semblent bien être des phénomènes irréductibles.

L’incapacité prédictive des modèle épidémiologiques (sauf effet du hasard) n’est pas étonnante car la dynamique des maladies transmissibles est extrêmement complexe. On observe ainsi une grande diversité dans la nature et la puissance des vecteurs : tous ne transmettent pas la maladie de la même manière, certains individus étant plus contaminants mais moins malades (par exemple les enfants) tandis que d’autres sont plus sensibles mais moins contaminants (par exemples les personnes âgées).

D’autre part les comportements culturels, comme cracher par terre et consommer peu ou beaucoup de certains aliments, peuvent induire des différences dans la propagation et la létalité d’un virus. Les maladies infectieuses sont donc des maladies d’écosystème. Par conséquent même si un modèle fonctionnait bien pour tel pays il pourrait ne pas fonctionner du tout pour d’autres pays. À cette variabilité spatiale s’ajoute une variabilité temporelle : les écosystèmes sont par nature changeant d’une année à l’autre (cf. la grippe qui chaque année peut changer de nature au niveau de sa virulence ou/et ténacité).

Didier Raoult – premier expert mondial dans le domaine des maladies transmissibles selon le classement expertscape – dénonce « une façon de transformer en mathématiques des phénomènes extrêmement complexes qui n’est jamais lucide » [source]. Il y a une incapacité des modèles mathématiques à représenter la complexité des maladies transmissibles, qui plus est dans le cas de virus nouveaux et/ou à mutations fréquentes. Aucun modèle ne peut prendre en compte toute l’hétérogénéité spatiotemporelle d’un contexte écoépidémiologique, ni même le degré de transmissibilité ou la vulnérabilité à une infection. On notera ainsi le gigantesque réductionnisme consistant à ramener à la seule problématique de propagation d’un virus celle, beaucoup plus complexe, de neutralisation de ses effets sur la santé publique.

Réalité

L’incapacité éventuelle d’un modèle mathématique à représenter un phénomène naturel n’est pas nécessairement liée à la conception (erronée ou incomplète) du modèle, mais peut aussi s’expliquer par l’inexistence du phénomène modélisé. Par exemple est-il certain que les notions « d’incidence épidémique d’un virus », de « maladie virale » ou encore de « taux de mortalité d’une maladie », correspondent à une quelconque réalité ? Ainsi lorsque nous pensons mesurer la durée moyenne d’une maladie virale nous ne mesurons en fait que des indicateurs dont nous supposons qu’il permettent de mesurer le début et la fin d’un concept que nous appelons « maladie virale ».

Ainsi la notion de « réalité » est liée à celles de « définition » et de « complexité » : pour comprendre la complexité du monde, c-à-d pouvoir agir sur lui ou par rapport à lui, nous en définissons des objets, dont nous mesurons les valeurs. Ce faisant nous pouvons éventuellement ouvrir des portes sur des applications (R&D), mais peut-être aussi nous éloignons-nous d’autres voies plus intéressantes (enfermement cognitif).

Modèles et idéologies

https://konfedera.org/gestion-epidemies#modeles-et-idéologies

Les modèles mathématiques ne sont pas seulement soumis à des contraintes logiques et physiques. Ils sont aussi l’objet d’utilisations abusives, fruits de leur incompréhension ou de motivations non scientifiques (idéologiques, financières, égotiques, …).

Interprétations abusives

https://konfedera.org/gestion-epidemies#interpretations-abusives

Illustrer vs
démontrer

Comprenons bien que les résultats d’un modèle mathématique ne constituent aucunement une démonstration (c-à-d une preuve) de la thèse modélisée ! Un modèle mathématique ne fait rien d’autre que de produire des valeurs (les « résultats du modèle ») correspondant à différentes valeurs de ses paramètres. Un modèle permet seulement d’illustrer différents scénarios d’une thèse (par exemple : « le confinement général permet de retarder et abaisser le sommet de la courbe épidémique« ), mais cela ne démontre pas cette thèse (ainsi il est certes incontestable que les modèles astrologiques produisent des prévisions, mais cela ne prouve en rien que ces modèles sont effectivement capables de prédire l’avenir).

La plupart des journalistes, décideurs politiques et même des scientifiques tombent dans le piège de cette confusion. C’est alors que peut entrer en jeu la manipulation des paramètres.

Valeurs des
paramètres

Nous avons vu que les résultats d’un modèle sont des scénarios correspondant à différentes valeurs des paramètres. Ces paramètres sont déterminés par les utilisateurs du modèle, mais sont généralement entachés de deux types de biais :

  • estimations erronées : les valeurs initiales, les variables d’entrées et les paramètres peuvent être :

    • mesurées sur l’épidémie en cours ; ⇒ ces valeurs sont d’autant moins pertinentes que les biais de mesures seront importants (cf. infra la section « #suivi-temps-reel« );
    • mesurées sur de précédentes épidémies considérées comme « potentiellement similaires » ⇒ ces valeurs sont d’autant moins pertinentes que l’épidémie en cours est différente des celles utilisées comme référentiels ;
    • calculées à partir d’autres modèles ⇒ ces modèles ne sont plus alors que des objets divinatoires.

  • intérêts financiers/politiques/égotiques : ce dernier biais ne doit pas être sous-estimé : on peut faire dire beaucoup de chose (ce que l’on veut ?) à un modèle ; or des résultats catastrophistes augmentent les chances de médiatisation d’un modèle, et donc de ses auteurs …

On passe alors au stade suivant de la confusion voire manipulation : faire passer une valeur calculée pour une valeur observée.

Mesure
vs calcul

Les modèles peuvent être utilisés comme instrument d’analyse descriptive, par exemple pour calculer une valeur (estimation) lorsque sa mesure n’est pas disponible ou trop coûteuse. Il n’y a là rien d’abusif, sauf si on ne le mentionne pas. Or la plupart des articles de presse mélangent sans distinction des données mesurées et des données calculées (donc provenant de modèles), ce qui a pour effet que des valeurs calculées (qui peuvent être très éloignées de la réalité) sont présentées comme valeurs mesurées.

Enfin en toile de fond de ces confusions voire manipulation, il y a la question fondamentale de la causalité.

Corrélation
vs causalité

Une autre pratique abusive est d’interpréter une simple corrélation entre deux variables comme étant une relation de causalité selon laquelle l’une déterminerait l’autre. Exemple : « la vitesse de croissance de l’épidémie a diminué peu après l’implémentation du confinement général », alors que vitesse diminue toujours après une première phase exponentielle.

Conclusion. Quelques lignes extraites d’une étude scientifique [source], et qui nous rappellent que les modèles doivent être interprétés avec prudence et sens critique :

  • « Certaines études antérieures ont signalé différente valeurs de R0 (de 1,40 à 6,49 avec une moyenne de 3,28) en raison de différentes sources de données, périodes et méthodes statistiques » (p. 16).
  • « (…) nous avons fixé les valeurs de plusieurs paramètres sur la base d’études épidémiologiques antérieures sans tenir compte de l’incertitude, ce qui pourrait réduire la précision de nos résultats » (p. 17).
  • « L’impact des interventions doit être considéré dans son ensemble et nous n’avons pas pu évaluer les stratégies individuelles par la courbe épidémique » (p. 17).
Neil Ferguson

https://konfedera.org/gestion-epidemies#Neil-Ferguson

Le graphique hyper-catastrophiste ci-dessous est le résultat d’une modélisation mathématique réalisée par le physicien anglais Neil Ferguson de l’Imperial College London. Selon ce graphique – publié le 16 mars 2020 c-à-d au début de l’épidémie de covid-19 en Europe – les malades sévères de covid-19 (c-à-d qui nécessiteront une hospitalisation) représenteront près de 300 fois les capacités hospitalières (30.000 % !) en l’absence de confinement général …

Une modélisation catastrophiste de covid-19covid19-modele.png

Ligne rouge : capacité hospitalière en lits de soins intensifs. Courbes : différents scénarios d’utilisation de la capacité selon la stratégie appliquée. Conclusion : dans tous les cas la capacité hospitalière serait submergée … [source]. Voir aussi cette interface de simulation.

Lysensko du
néolibéralisme

Étant donné qu’augmenter les capacités hospitalières dans de telles proportions est quasiment impossible à court et même moyen terme (et cela sans parler de la faisabilité politique et économique d’une surcapacité permanente en dehors des périodes d’épidémies) ces « prévisions » permettent de « justifier » les politiques néolibérales de santé : le recours récurrent au confinement général permettrait d’abaisser le niveau requis de capacité hospitalière ! Le caractère délirant de ces prévisions et de la politique de santé qu’elles impliquent a valu à Ferguson le sobriquet de « Lysenko du néolibéralisme« .

Rappelez-vous : au début de l’épidémie le message officiel était que le confinement permettrait de reculer le sommet épidémique et de nous donner ainsi du temps pour augmenter la capacité hospitalière. Or absolument aucun programme de développement de la capacité hospitalière n’a été mis sur pied, ni aucune entreprise publique de fabrication de masques et de respirateurs n’a été créée. Pourtant l’on nous assure que l’épidémie pourrait durer des années et que le pire pourrait être à venir. Il n’y a plus aucune connexion entre les discours médiatiques et la réalité.

Expert en
catastrophisme

Ferguson, qui s’est fait connaître grâce à ses prévisions catastrophistes, a bien compris que ce qui compte le plus ce n’est pas la valeur scientifique mais médiatique des prévisions épidémiques [source] : plus il exagère plus il gagne en notoriété publique, et plus ils obtient des contrats en tant qu’expert, notamment auprès de l’OMS, la Banque mondiale, l’Union européenne et de nombreux gouvernements [source]. Ferguson est devenu un véritable business man du catastrophisme épidémique. En 2008 il fonda le MRC Centre for Global Infectious Disease qui reçut plusieurs dizaines de millions de dollars de la Bill & Melinda Gates Foundation [source].

Ferguson fait évidemment des émules. Et en 2020 il prédit avec l’états-unien Anthony Fauci que Covid-19 devrait tuer au moins 55 millions d’humains dans le monde ! Le nombre final est de 540.000 soit cent fois moins. Et il s’agit là d’une estimation (début juillet 2020) qui sera certainement fortement revue à la baisse lorsque l’on obtiendra les statistiques mondiales de mortalité toutes causes permettant de prendre en compte les morts avec covid-19 enregistrés comme mort par covid-19. Il conviendra également de déterminer la part les décès causés par les effets pervers du confinement général et du climat de terreur qu’il a suscité.

Car cette fois Ferguson a réussi à convaincre de nombreux gouvernements, qui ont imposé le confinement général malgré le scepticisme de nombreux scientifiques, comme en témoigne ces extraits révélateurs d’un article du journal Le Monde du 15 mars 2020, concernant l’influence de Ferguson sur la stratégie du gouvernement Français pour gérer la crise covid-19 [source] :

  • « Cette projection évalue le scénario le plus sombre, avec les hypothèses de mortalité les plus élevées et en l’absence de mesures radicales de prévention. »;
  • « Selon ces modélisations confidentielles, dont Le Monde a eu connaissance, l’épidémie de Covid-19 pourrait provoquer en France, en l’absence de toute mesure de prévention ou d’endiguement, de 300 000 à 500 000 morts. »;
  • « Précision extrêmement importante : ce scénario a été calculé en retenant les hypothèses de transmissibilité et de mortalité probables les plus élevées, et ce en l’absence des mesures radicales de prévention et d’éloignement social qui viennent d’être prises »;
  • « Les résultats pour la France ont été présentés jeudi 12 mars à l’Elysée. Quelques heures avant que le président ne prenne solennellement la parole devant les Français pour expliquer « l’urgence » de la situation. »;
  • « Il existe des incertitudes quant aux hypothèses retenues et au comportement du virus – pourcentage d’asymptomatiques, transmissibilité, impact des mesures de quarantaine »;
  • « différentes modélisations ont été présentées jeudi matin puis jeudi après-midi à Emmanuel Macron par le conseil scientifique, mais qu’il n’existe pas de consensus parmi les scientifiques qui le composent. »;
  • « Il y a eu plusieurs documents de travail qui ont été présentés, pas de document de synthèse, explique un conseiller du chef de l’Etat. On ne peut donc pas considérer qu’une étude fournie par l’un de ses membres reflète l’avis du conseil scientifique dans son ensemble. »;
  • « les chiffres évoqués [de 300 000 à 500 000 morts en cas d’absence de mesures d’endiguement] sont infiniment supérieurs à ceux communiqués par le ministère de la santé, ils apparaissent disproportionnés »;
  • « C’est toute la difficulté de cette stratégie, qui n’avait jusqu’à présent jamais été envisagée pour un virus circulant de façon globalisée, en raison de son coût économique et social.»
Théoricien
du NRE

Neil Ferguson a pris pour habitude de qualifier ses détracteurs de « théoriciens du complot ». Il n’est pourtant nul besoin d’invoquer un « complot » pour expliquer qu’un scientifique arrive à exploiter habilement les processus médiatico-politiques pour promouvoir sa carrière professionnelle. On pourrait par contre qualifier Ferguson d’habile théoricien du « nouveau risque épidémique » (NRE), et de charlatan.

Modèle SIR

https://konfedera.org/gestion-epidemies#modele-SIR

Le modèle mathématique SIR est le modèle épidémiologique de base. Les modèles mathématiques se distinguent par leur degré de complexité (nombre de variables & paramètres, types de relations), mais leurs principes fondamentaux sont généralement identiques, et sont les plus visibles/compréhensibles dans les modèles les plus simples.

Système d’équations

Le modèle de base de la plupart des modèles épidémiologiques est appelé SIR [source1source2]. Il sépare la population en trois groupes, des individus du premier passant progressivement au second puis au troisième : « Susceptible » (c-à-d contaminables) ⇒ « Infected » (c-à-d infectés) ⇒ « Removed » (c-à-d retirés, le terme « résistants » est aussi utilisé en français). Pour éviter certaines confusions de notation nous allons ici remplacer le nom « Removed » par « Excluded » (exclus).

Ce dernier groupe – qui en raison de la sous-estimation de certaines de ses composantes, joue un rôle majeur dans la nature catastrophiste des modèles épidémiologiques – comprend :

  • les immunisés :

  • les guéris :

    • naturellement;
    • par traitement en médecine de ville;
    • par traitement en milieux hospitalier (cas sévères).

  • le décédés par le virus (et qu’il s’agira de distinguer des personnes décédées « avec le virus » mais pour d’autres raisons).

N.B. Cette version basique du modèle suppose donc que les personnes guéries sont immunisées. Il n’est pas ici nécessaire de lever cette hypothèse, car nous verrons que l’augmentation du nombre de variables ne change rien à l’incapacité des modèles épidémiologiques à reproduire la réalité autrement qu’en adaptant à chaque fois la valeur de leurs paramètres.

Mathématiquement la relation entre ces trois groupe est :

St + It + Et = 1(1)

En dérivant (1) par rapport au temps on obtient :

dS/dt + dI/dt + dE/dt = 0(2)

On peut alors décrire la dynamique des flux S –> I –> E au moyen d’un système d’équations différentielles tel que :

dS/dt = – β * It * St(3)
dI/dt = β * It * St – It / λ(4)
dE/dt = It / λ(5)

Lecture : durant la période dt, le flux net de I (c-à-d dI) est égal (au signe près) au flux sortant de S (dS) moins le flux rentrant dans E (dE).

Description des paramètres :

  • β (bêta) : alors que le produit It * St est une mesure de la probabilité de contact entre un susceptible et un infecté, β est une mesure de la probabilité de contamination du premier par le second, et est (abusivement) dénommé « incidence »;N.B. β est supposé constant dans le temps. Nous verrons cependant que ce paramètre, en raison de sa variabilité et difficulté de mesure, constitue (avec la valeur initiale E0), l’une des principales causes de l’incapacité des modèles épidémiologiques à prédire le développement d’une épidémie.
  • λ (lambda) est la durée moyenne de contagiosité = maladie = guérison (NB : cette égalité est une simplification de la réalité) ; plus λ est bas plus il y a de guérisons par unité de temps : à la limite λ = dt ⇒ dE = I ; 1 / λ est donc considéré comme le coefficient le plus simple pour exprimer dE/dt en fonction de de It ; dans la mesure où les individus guéris sont immunisés 1/λ est donc le « taux d’immunisation » ;

Hypothèses

Il faut bien comprendre que β et λ ne sont que des objets mathématiques, dont la pertinence en tant que représentation des phénomènes physiques qu’ils modélisent (incidence épidémique d’un virus ou d’une bactérie, et durée de maladie/contagiosité) n’est fondée que si les valeurs de ces paramètres, ou leur moyenne, sont constantes dans le temps et l’espace. C’est cette constance spatio-temporelle de la valeur des paramètres qui lie leur objet mathématique au phénomène physique modélisé. Si la stabilité spatio-temporelle des paramètres n’est pas observée alors on ne peut affirmer que le modèle représente la réalité. Il ne pourra ainsi éventuellement « reproduire » par le calcul les différences instances épidémiques d’un virus ou d’une bactérie (c-à-d dessiner la courbe avec les valeurs correctes du sommet épidémique, de sa date, et de la largeur moyenne de la courbe en cloche) que par l’adaptation de la valeur des paramètres. Dans ces conditions il est évidemment impossible que le modèle puisse prédire l’évolution d’une épidémie.

N.B. Cette problématique de stabilité spatio-temporelle ne doit pas être confondue avec celle des biais de mesure des paramètres (que nous traiterons dans la section #mesure-des-variables).

On notera ainsi le gigantesque raccourci que représente le modèle SIR, en résumant en trois lignes d’équations différentielles des phénomènes d’écosystèmes complexes, englobant les problématiques :

  1. épidémiologiques : propagation d’un virus;
  2. infectiologiques : contamination d’individus;
  3. médicales :

    1. développement éventuel de symptômes sévères (c-à-d nécessitant un traitement médical);
    2. traitements médicaux :

      • symptomatiques;
      • curatifs (ou préventif dans le cas de la vaccination);

Taux de reproduction

https://konfedera.org/gestion-epidemies#SIR-taux-reproduction

À partir de l’équation dI/dt = β * It * St – It / λ (4) on montre que :

  • il y a croissance du nombre d’infectés dès que (tant que) :
    dI/dt > 0    ⇔
    β * It * St – It / λ > 0    ⇔β * St * λ > 1(6)

Le membre de gauche de (6) est supposé représenter le nombre moyen de personnes contaminées par individu infecté (*), et est par conséquent appelé « taux de reproduction » (noté Rt) :Rt = β * St * λ(7)

(*) Ce qui est inexact : il ressort de dI/dt = β * It * St – It / λ (4) que le nombre moyen de personnes contaminées par individu infecté c-à-d dI / I * λ = ( β * St * λ – 1 ) * dt.

Un épidémie est donc neutralisée dès que Rt < 1.

Le tableau ci-dessous est une réalisation graphique du modèle. On y voit notamment que la valeur de Rt (courbe hachurée orange, échelle de droite) baisse au fur et à mesure de l’épidémie, et que le sommet de la courbe rouge (infectés) correspond au passage de Rt en-dessous de 1. La baisse théorique continue de Rt s’explique évidemment par sa relation positive avec St, qui diminue tout au long de l’épidémie : Rt = β * St * λ(7).

Nous parlons de baisse théorique de Rt car le modèle SIR repose du l’hypothèse que la valeur moyenne de β et λ serait stable dans le temps et l’espace. Dans la section #R-zero-valeur-scientifique nous verrons (i) que cette hypothèse n’est généralement pas vérifiée, ce qui explique qu’en matière de prévisions les modèles épidémiologiques ne peuvent faire mieux qu’un tirage au sort parmi des résultats possibles, et (ii) que les paramétreurs des modèles épidémiologiques ont en outre une forte propension à exagérer la valeur de ces paramètres.sir-60-15.gif

Tableur SIR.ods

Le modèle SIR montre donc bien que le taux de reproduction (Rt) diminue de toute façon c-à-d même sans politique de distanciation sociale (à supposer que celle-ci soit efficace …). Les entreprises « d’information » et leur conseillers scientifiques vous ont-il informé de ce fait ? Non, il vous ont plutôt asséné, jour après jour, que la baisse de Rt était due aux mesures de distanciations sociales, alors que toutes les pandémies de virus « nouveaux » depuis au moins la seconde guerre mondiale ont été gérées avec succès sans ces mesures autoritaires.

Immunité collective

https://konfedera.org/gestion-epidemies#SIR-immunite-collective

Le concept théorique d’immunité collective permet d’expliquer pourquoi les épidémies s’éteignent naturellement avant d’avoir contaminé 100% de la population.

Face à n’importe quel virus il y a toujours une partie de la population qui est immunisée : de naissance, par vaccin, par immunité croisée ou par guérison immunisante. Tous ces individus sont repris dans le groupe Et, avec E0 composé des personnes qui en t=0 sont immunisées de naissance, par vaccin ou par immunité croisée.

À partir de St + It + Et = 1 (1)   ⇔
St = 1 – It – Et     ⇒
substitué dans β * St * λ > 1 (6)   ⇒
β * ( 1 – It – Et ) * λ > 1    ⇔
Et > 1 – It – 1 / ( β * λ )

L’épidémie est donc neutralisée dès que Et – c-à-d la part de la population qui est immunisée (ou décédée par le virus) – est supérieure à E*t (« E étoile ») qui est tel que :

E*t = 1 – It – 1 / ( β * λ )(8)

C’est pourquoi E*t est appelé « taux d’immunité collective« .

Et en particulier l’épidémie ne pourra pas même démarrer – c-à-d I0 = 0 – si Et est supérieur à :

E*0 = 1 – 1 / ( β * λ )(9)

Autrement dit, si une épidémie s’est déclenchée c’est nécessairement « parce que » Et était inférieur à E*0.

Taux d’immunité collectiveimmunite-collective.png

La courbe bleue (E*t) n’est rien d’autre qu’une symétrie de la courbe rouge (It)
β=0,60 ; λ=15 [tableur]

On peut également exprimer E*t en fonction des variables plutôt que des paramètres : en substituant Rt = β * St * λ (7) ⇔ 1 / ( β * λ ) = St / Rt dans E*t = 1 – It – 1 / ( λ * β ) (8) ⇒

E*t = 1 – It – St / Rt(10)

de sorte que :

E*0 = 1 – S0 / R0(11)

Mécanisme

Il découle de It = 1 – St – Et (1) une modélisation probabiliste de l’extinction naturelle de toute épidémie (courbe en cloche) avant contamination (et potentielle extermination) de 100% de la population : la valeur de E*t détermine un seuil au-delà duquel la probabilité de propagation du virus est trop faible relativement au nombre de susceptibles St c-à-d de potentiels vecteurs de transfert.

Plus précisément, selon les modèles épidémiologiques, les facteurs explicatifs de l’extinction naturelle des épidémies sont de deux types :

  • la baisse des flux entrant dans It : dS/dt de dI/dt = β * It * St – It / λ (4) ;
  • la hausse des flux sortant de It : dE/dt de dI/dt = β * It * St – It / λ (4).

La forte propension des modèles épidémiologiques (ou faut-il parler plutôt de leurs paramétreurs ?) à produire des prévisions qui s’avèrent ex post de gigantesques surestimations du taux de mortalité des épidémies (cf. Neil Ferguson) peut s’expliquer notamment par la sur-estimation du taux d’immunité collective E*t = 1 – It – 1 / ( β * λ ) (8) via :

  • au niveau des variables (dont valeurs initiales) : la sous-estimation de It et de E0 ;
  • au niveau des paramètres : la surestimation de β (virulence) ou de λ (durée d’infection/contagiosité), donc la sous-estimation (en cours d’épidémie) du nombre de personnes immunisées par guérison.;

Parmi les causes de surestimation du risque épidémique, outre les manipulations des épidémiologistes charlatans (cf. infra la section #scientifiques-de-plateaux-TV), il y a aussi la sous-estimation de l’immunité collective (via E0 dans le paramétrage des modèles épidémiologiques). L’animation suivante montre qu’une sous-estimation de E0 (ici courbe verte démarrant à 0% vs 40%) se traduit par une surestimation du sommet de la courbe des infections (en rouge, 70% vs 30%). À noter qu’en raison notamment de l’immunité de naissance et de l’immunité croisée ce phénomène de sous-estimation de E0 joue même en cas de virus « nouveaux ».

Effet de la sous-estimation de E0immunite-collective.gif

NB : ces paramétrages sont arbitraires.
Tableur SIR.ods

Autres causes. Nous verrons plus loin que l’incapacité des modèles épidémiologiques à prédire le développement d’une épidémie (sauf effet du hasard), et en particulier leur propension à surestimer le risque épidémique (où s’agit-il d’une propension des paramétreurs ?), peut avoir des causes exogènes. Parmi ces causes il y a très probablement la non prise en compte de facteurs opérant en amont du phénomène épidémique, et spécifiques aux virus ou aux écosystèmes (le modèle est alors dit « incomplet »). Autrement dit le concept de taux d’immunité collective ne permet pas d’expliquer pourquoi, sans politique de distanciation sociale, les épidémies s’éteignent généralement avant d’avoir atteint le taux d’immunité collective.

Stratégies

https://konfedera.org/gestion-epidemies#SIR-strategies

Nous avons vu supra que la décroissance du nombre de contaminés (seconde partie de la courbe en cloche) correspond à une situation telle que Rt = β * St * λ < 1 (7), et que par conséquent l’on peut théoriquement neutraliser une épidémie en abaissant tout ou partie des paramètres β et λ. Pour ce faire on peut distinguer deux types possibles de stratégie :

  • non pharmaceutique (notée SNP) : qui est préventive, ancienne et fortement contraignante;
  • pharmaceutique (notée SP) : qui est curative (donc réactive, sauf pour ce qui concerne les vaccins), moderne et faiblement contraignante.
SNP

Il s’agit d’abaisser la valeur du paramètre β (probabilité ≈ vitesse de contamination) par des mesures de distanciation sociale (isolement et hygiène). L’animation suivante compare les courbes épidémiques « sans SNP » (β=0,6 ; λ=15) et « avec SNP » (β=0,2 ; λ=15).sir-beta.gif

β = 0,6 –> 0,2 [tableur].

La stratégie SNP peut être appliquée à au moins deux niveaux d’intensité, selon que son application est générale (c-à-d sur l’ensemble de la population : confinement général) ou ciblée (c-à-d sur les seuls groupes à risque).

SP

Il s’agit (i) d’abaisser le paramètre λ (durée de la maladie=contagion) et d’augmenter la variable Et (comprenant les guéris) au moyen de médicaments (traitement), et (ii) d’augmenter la valeur initiale E0 au moyen de vaccins (prévention). L’animation suivante compare les courbes épidémiques « sans SP » (β=0,6 ; λ=15) et « avec SP » (β=0,6 ; λ=5).sir-lambda.gif

λ = 15 –> 5 [tableur].

Comparaison

Les deux stratégies abaissent le sommet de la courbe épidémique (de 68% à 32%), ainsi que le niveau d’immunité collective neutralisante (de 89% à 67%). La stratégie SNP a en outre pour effet de retarder le pic épidémique (du 30° au 100° jour).

N.B. Ces chiffres sont fonction des valeurs attribuées aux paramètres. Ils n’ont donc pas ici de signification absolue.

Mais corrélativement le confinement général freine l’immunisation collective : dans la simulation du graphique suivant, alors que vers le quarantième jour 50% de la population a été immunisée naturellement, mois de 1% de la population est immunisée si l’on a appliqué plutôt la SNP, et il faut alors attendre jusqu’au début du cinquième mois pour atteindre les 50%.

Immunisationimmunisation-comparaison.png

Référentiel : β=0,60 ; λ=15
SNP : β=0,20 ; λ=15
SP : β=0,60 ; λ=5
[tableur SIR.ods]

Étant donné que le confinement général freine l’immunisation collective, il résulte de E*t = 1 – It – St / Rt (10) que, corrélativement, le taux de reproduction baisse nettement moins vite que dans le cas d’une stratégie SP.

Taux de reproductiontaux-reproduction.png

Référentiel : β=0,60 ; λ=15
SNP : β=0,20 ; λ=15
SP : β=0,60 ; λ=5
[tableur SIR.ods]

Mortalité

https://konfedera.org/gestion-epidemies#SIR-mortalite

On constante à la vue des équations (3) à (5) que le modèle SIR ne traite pas le taux de mortalité. Nous proposons donc ici une définition et un mode d’évaluation de cette statistique essentielle pour toute politique de gestion des épidémies.

Le taux de mortalité  Mt = Σ ΔMt / Popul. = Σ ΔMt(12)

  • Popul. = 1 en vertu de St + It + Et = 1 (1) ; les variables sont ainsi dites « normalisées« ;

Mortalitémortalite.png

β=0,60 ; λ=9 ; μ=0,2% [tableur SIR.ods]

Une valeur théorique de ΔMt et donc de Mt peut être calculée en évaluant le paramètre μ représentant le ratio du nombre de décès journaliers par rapport au nombre de nouvelles infections :

ΔMt = μ Δ+It    (13)

Pour ce faire on calcule à la date n la moyenne μ = 1/n * ∑t=0n μt = 1/n * ∑t=0n ΔMt / Δ+It

De sorte que :

Mt ≈ ∑t=0n ΔMt = μ * ∑t=0n Δ+It(14)

On pourra également calculer un taux de létalité (Lt), défini comme le nombre de morts par rapport au nombre total de personnes étant ou ayant été infectées :

Lt = ∑t=0n ΔMt / ∑t=0n Δ+It = Mt / ∑t=0n Δ+It(15)

Dont la valeur théorique est μ étant donné (14).

Le taux de létalité n’est donc rien d’autre que le taux de mortalité divisé par le taux d’infection totale (c-à-d y compris les personnes ayant été infectées et qui ne le sont plus). Il est donc plus élevé que le taux de mortalité puisque le taux d’infection qui le divise est inférieur à un. Ou, pour dire les choses plus simplement : comparer le nombre de morts à la seule population des infecté donne évidemment un taux plus élevé que si l’on compare le nombre de morts à l’ensemble de la population.

N.B. La moyenne μ, et partant les définitions (14) et (15), n’ont d’utilité que si μ est stable dans le temps (entre épidémies d’un « même » virus), et dans l’espace (entre différentes régions durant une épidémie). Or nous verrons que cette condition n’est généralement pas vérifiée en raison de la nature écosystémique, et donc complexe, des phénomènes infectiologiques !

Résultat

Étant donné la formulation du taux de mortalité en fonction de It la courbe de mortalité suit l’évolution de la courbe épidémique (sauf qu’ici il y a accumulation ⇒ pas de courbe en cloche).

Taux de mortalités théoriques selon la stratégieSIR-mortalite.png

Référentiel : β=0,60 ; λ=9
SNP : β=0,20 ; λ=9
SP : β=0,60 ; λ=3
∀ : μ=0,002 (décès journaliers / nouvelles infections )
Tableur : SIR.ods

Le lecteur pourra vérifier dans le tableur que :

  • si on abaisse la valeur de β les courbes s’abaissent et sont retardées;
  • si on abaisse la valeur de λ dans une même proportion on observe le même phénomène sauf que l’effet retard est plus faible.

Cependant il est peu probable que les deux stratégies soient également efficaces (SIR.ods > feuille « Synthèse » > lignes 2 et 3 : xβ = xλ). Nous verrons dans la section #efficacite-strategie-non-pharma de nombreux faits suggérant que le taux d’efficacité de la stratégie SNP pourrait être inférieur à celui de la stratégie SNP (x β < xλ). Ainsi si xβ=2 pour xλ=3 alors l’effet retard de la stratégie SNP (distanciation sociale) passe de trois à un mois et, surtout, le taux de mortalité final est plus élevé que celui de la stratégie SP (traiter).

Hypothèse de faible efficacité relative de la stratégie SNPSNP-x-faible-mortalite.png

Référentiel : β=0,60 ; λ=9
SNP : β=0,30 ; λ=9 ; xβ=2
SP : β=0,60 ; λ=3 ; xλ=3
∀ : μ=0,002 (décès journaliers / nouvelles infections )
Tableur : SIR.ods

Voilà probablement une des raisons expliquant la forte mortalité de covid-19 dans les pays ayant appliqué la stratégie SNP (cf. infra : #mortalite-differences-entre-pays). Nous verrons que l’effet de faible efficacité du confinement général (cf. infra : #efficacite-strategie-non-pharma) illustré ici est renforcé par ses effets pervers (cf. infra : #effets-pervers-strategie-non-pharma).

Charge hospitalière

https://konfedera.org/gestion-epidemies#SIR-charge-hospitaliere

On constante à la vue des équations (3) à (5) que le modèle SIR ne traite pas le taux d’hospitalisation. Nous proposons donc ici une définition et un mode d’évaluation de cette statistique essentielle pour toute politique de gestion des épidémies.

Selon notre définition le taux d’hospitalisation (noté Ht) est la valeur normalisée (en pourcentage de la population) du nombre journalier de lits occupés par les infectés sévères du virus (les autres pouvant rester à leur domicile). Une façon de le calculer consiste à ajouter à la charge hospitalière du jour précédent les entrants du jour, moins les sortants du jour (vivants ou décédés) :

Ht = Ht-1 + Δ+Ht – ΔHt(16)

où H1 = H0 = Δ+H0 de sorte que l’on peut calculer une valeur théorique de Ht par :

  • Δ+Ht = σ * Δ+It(17)
    où σ (« sigma ») est le pourcentage de personnes infectées nécessitant une hospitalisation ;
    pour évaluer σ on calcule à la date n la moyenne σ = 1/n * ∑t=0n Δ+Ht / Δ+It
  • ΔHt = Δ+Ht-λ = σ * Δ+It-λ(18)
    où λ (« lambda ») est la durée de contagiosité = maladie = guérison (NB : cette égalité est une simplification de la réalité) ⇔ le nombre de sortants est égal à celui des entrants d’il y a λ jours.
    NB : dans les statistiques épidémiques publiées par les agences de santé les sorties d’hospitalisation concernent généralement les seules sortes en vie ⇒ il faut leur ajouter la part des décès en milieu hospitalier du jour pour obtenir le ΔHt de (18).

de sorte que :
Ht = Ht-1 + σ * Δ+It – σ * Δ+It-λ    ⇔

Ht ≈ Ht-1 + σ * ( Δ+It – Δ+It-λ )(19)

Enfin la charge hospitalière (notée CHt) est :

CHt = Ht / k(20)

  • k, la capacité hospitalière, est mesurée par le taux de lits de soins intensifs c-à-d pour les cas sévères (patients sous respirateur, …) ou critiques (dysfonctionnement de multiples organes, choc septique, …) toutes causes confondues.

  • N.B. La moyenne σ, et partant les équations (19) et (20), n’ont d’utilité que si σ est stable dans le temps (entre épidémies d’un « même » virus), et dans l’espace (entre différentes régions durant une épidémie). Or nous verrons que cette condition n’est généralement pas vérifiée en raison de la nature écosystémique, et donc complexe, des phénomènes infectiologiques !
  • Alors que le taux de mortalité est de type Stock à flux entrant / Stock fixe (⇒ il augmente constamment puis se stabilise à sa valeur finale de l’épidémie), le taux de charge hospitalière est de type Stock à flux entrant et sortant / Stock fixe.
Résultat

Le graphique suivant montre un résultat notable du modèle SIR : la stratégie SNP (confinement général) a théoriquement pour effet de retarder le sommet de l’épidémie, et par conséquent celui de la charge hospitalière, nettement plus que la stratégie SP.

Charge hospitalière théorique selon la stratégieSIR-charge-hospitaliere.png

Référentiel : β=0,60 ; λ=9
SNP : β=0,20 ; λ=9
SP : β=0,60 ; λ=3
∀ : μ=0,002 (décès journaliers / nouvelles infections )
∀ : σ=0,001 (taux d’hospitalisation)
∀ : k=0,003 (capacité hospitalière)
Tableur : SIR.ods

Même réflexion que pour le taux de mortalité : il est peu probable que les deux stratégies soient également efficaces (SIR.ods > feuille « Synthèse » > lignes 2 et 3 : xβ = xλ). Nous verrons dans la section #efficacite-strategie-non-pharma de nombreux faits suggérant que le taux d’efficacité de la stratégie SNP pourrait être inférieur à celui de la stratégie SNP (xβ < xλ).

Si l’efficacité de la stratégie SNP sur son paramètre β est relativement moins efficace que la stratégie SP sur son paramètre λ – par exemple xβ=2 pour xλ=3 – alors le graphique devient comme suit : SNP retarde toujours le sommet mais celui-ci est plus haut que si l’on applique plutôt la stratégie SP ! Si cela fait passer la charge hospitalière au-delà de la capacité on aura alors une nouvelle aggravation de la mortalité !

Hypothèse de faible efficacité relative de la stratégie SNPSNP-x-faible-hospitalisation.png

Référentiel : β=0,60 ; λ=9
SNP : β=0,30 ; λ=9 ; xβ=2
SP : β=0,60 ; λ=3 ; xλ=3
∀ : μ=0,002 (décès journaliers / nouvelles infections )
∀ : σ=0,001 (taux d’hospitalisation)
∀ : k=0,003 (capacité hospitalière)
Tableur : SIR.ods

Voilà qui renforce la thèse selon laquelle la forte mortalité de covid-19 dans les pays ayant appliqué la stratégie SNP (cf. infra : #mortalite-differences-entre-pays) fut causée non pas par le virus mais par le confinement général. Nous verrons que l’effet de faible efficacité du confinement général (cf. infra : #efficacite-strategie-non-pharma) illustré ici est renforcé par ses effets pervers (cf. infra : confinement-effets-pervers).

On pourra à priori objecter que les deux stratégies SNP et SP pourraient être appliquées complémentairement, mais nous exposerons dans la section #effets-pervers-strategie-non-pharma leur très difficile compatibilité.

Valeur scientifique du « R zéro »

https://konfedera.org/gestion-epidemies#R-zero-valeur-scientifique

Nous allons ici montrer la nature trompeuse voire fallacieuse de cet objet mathématique cher aux épidémiologistes adeptes des modèles mathématiques.

Le fumigène R0

https://konfedera.org/gestion-epidemies#R-zero-enfumage

Dans la section #SIR-taux-reproduction nous avons vu que la valeur théorique du taux de reproduction (Rt) baisse toujours, quelle que soit la stratégie anti-épidémique appliquée, et même sans stratégie du tout ! La raison, mathématique, est sa relation positive avec St dans Rt = β * St * λ (7), or St diminue tout au long de l’épidémie ⇒ Rt aussi.

Taux de reproduction (valeurs fictives)taux-reproduction.png

Évolution du taux de reproduction selon la stratégie : non pharmaceutique (SNP c-à-d confinements, masque & lavages) ou pharmaceutique (SP c-à-d traitement avec médicaments spécifiques ou non).

Or durant l’épidémie de covid-19 des conseillers scientifiques de nombreux gouvernements ont scandaleusement abusé l’opinion publique en affirmant que la baisse de Rt serait le résultat du confinement !

Ces scientifiques ne sont-il pas plutôt cautions que conseillers scientifiques ?

En Belgique, pays où le taux de mortalité lié à covid-19 est le plus élevé au monde, ce fut notamment le cas du très médiatisé Yves Coppieters, professeur à l’École de santé publique de l’université libre de Bruxelles. Dans cette cette « analyse prédictive » (sic) publiée le 10 avril 2020, Coppieters, constatant une baisse du paramètre β, affirme avec ses coauteurs que « le confinement résulte en une chute spectaculaire de la force d’infection du paramètre β, de 0,594 avant le confinement à 0,156 après confinement (…) » !

Incompétence ? Or le graphique suivant montre que déjà avant le confinement βt était dans une tendance baissière, et de plus grande ampleur ! Par conséquent la moyenne avant n’importe quelle date est évidemment supérieure à la moyenne calculée sur la période après cette date arbitraire ! Alors, selon vous, le Pr. Yves Coppieters et tous les épidémiologistes qui font ce genre de chose sont-il des incompétents ou des charlatans … ?

Beta avant et après le confinement (covid-19 Belgique)beta-preconf.png

Tableur covid19-be, feuille « J90 » > colonnes J et K

Les charlatans ne sont pas nécessairement des incompétents : c’est parfois même en raison de leurs compétences que certains peuvent « offrir » (sic) leurs services pour servir de « caution scientifique » (cf. #scientifiques-de-plateaux-TV).

De nombreux scientifiques sont abusés par cet écran de fumée cognitif qu’est le très médiatisé « taux de reproduction de base » ou « R zéro« . Le lecteur attentif se demandera quelle est la différence entre le taux de reproduction en t=0 R0 = β * S0 * λ (7) et le taux de reproduction « de base ». La réponse – hautement ambiguë lorsque l’on utilise la notation R0 plutôt que de dire « taux de base« , et R0 plutôt que de dire « taux initial » – est que le taux de base est un type de valeur moyenne (*) des Rt (donc valeurs de βt et λt), calculée sur la période précédant une date arbitraire et de durée arbitraire …

(*) Il existe divers types de moyenne : arithmétique, géométrique, harmonique, quadratique [source] …

Calcul du R0

https://konfedera.org/gestion-epidemies#R-zero-calcul

Voici comment le concept de « R zéro » est mathématiquement construit. Partant de dI/dt = β * It * St – It / λ (4) ⇔ It+1 = It + ( β * It ) * St – It / λ on va exprimer βt en fonction du taux de croissance des It :

soit it+1 = ( It+1 – It ) / It    ⇒
it+1 = βt * St – 1 / λ    ⇔

βt = ( it+1 + 1 / λ ) / St(21)

que l’on substitue dans Rt = βt * St * λ (7) ⇒ :

Rt = it+1 * λ + 1(22)

Or on peut montrer [approfondir] que le taux croissance moyen d’une variable It entre t=0 et t=n peut être calculé par la formule :

i = ln( It / I0 ) / t   ⇔(23)

It = I0 * e i * t(24)

où (24) est l’équation d’une courbe (exponentielle) moyenne qui représentera d’autant mieux le nuage des points constitués par la série réelle des It que celui-ci sera proche d’une exponentielle.

Courbe de régressionestimation.png

Δ+It : période pré-confinement en Belgique.
[Tableur covid19-be.ods > feuille « Data »].

Dès lors – pour en revenir au modèle SIR – en remplaçant it par i dans (22) on obtient le taux de reproduction de base :

R0 ≈ i * λ + 1(25)

De même dans βt = ( it+1 + 1 / λ ) / St (21) on pourra également remplacer it par i ⇒ si St est proche de 1 (ce qui est le cas durant les premières semaines d’une épidémie, voire même durant toute l’épidémie lorsque celle-ci ne touche qu’une petite partie de la population) on obtient la valeur correspondante de beta (correspondant à cette période) :

β0 ≈ R0 / λ(26)

Alors que le taux de reproduction initial R0 fait sens (du moins en tant qu’objet mathématique), le taux de reproduction de base R0, en tant que moyenne est une absurdité : c’est une moyenne « gloubi-boulga », que de nombreux épidémiologistes évoquent par suivisme, sans comprendre vraiment de quoi ils parlent.

Ceci dit, malgré l’égalité β0 ≈ R0 / λ (26), β conserve sa pertinence … du moins théorique car en pratique la stabilité spatio-temporelle de sa valeur, même en temps que moyenne, est illusoire.

Utilisations du R0

https://konfedera.org/gestion-epidemies#R-zero-utilisations

Nous venons de montrer que la notion de R0 ne fait pas sens. Mais supposons maintenant que ce n’est qu’une autre façon d’écrire R0 ⇔ le taux de reproduction de base c’est le taux de reproduction initial. Nous allons voir que même dans ce cas le concept de R zéro n’a quasiment aucune utilité.

Comparaisons
spatiales ?

Théoriquement ce R0 pourrait être utilisé pour comparer la situation de différents pays dans le cas d’une même épidémie. Cependant en pratique, la pertinence de R0 comme référentiel de comparaison est illusoire pour deux raisons :

  • d’une part il faut pouvoir garantir que la date initiale (le zéro) correspond au même stade de développement de l’épidémie dans chaque pays, ce qui requiert de définir de façon non ambiguë ce qu’est est un « même stade de développement d’une épidémie », et de pouvoir le mesurer avec une marge d’erreur pas trop grande … ;Par exemple ce que l’on considère comme le début des premiers décès liés à tel virus est en réalité le moment à partir duquel on a commencé à attribuer (à tort ou à raison) des décès à ce virus, ce qui très différent.
  • d’autre part il faut tenir compte de la structure sociale et démographique des pays, car les maladies transmissibles sont des phénomènes d’écosystème.
Comparaisons
temporelles ?

On pourrait également utiliser R0 pour comparer les épidémies saisonnières d’un virus connu … ce qui revient à reconnaître l’instabilité temporelle des paramètres β et λ, et par conséquent l’incapacité des modèles épidémiques à prédire l’évolution d’une épidémie d’un virus « connu ». Les épidémiologistes adeptes des modèles mathématiques sont décidément des contorsionnistes du concept …

« Prévisions »

Ici on peut (enfin) oublier le concept de R zéro, et se concentrer sur le paramètre β. Des épidémiologistes poussent le charlatanisme ou l’incompétence jusqu’à affirmer qu’avec le modèle SIR (ou ses dérivés) on peut prédire l’évolution future de la propagation d’un virus nouveau (c-à-d dont on ne connaît pas les paramètres …) ! Affirmer cela témoigne d’une incroyable incompréhension des principes élémentaires de l’analyse statistique. On pourrait le comprendre dans le chef d’étudiants de première année, mais pas de chercheurs universitaires ! Voici de quoi il s’agit.

Le graphique suivant reproduit les statistiques de contamination (Δ+It en rouge) publiées par l’agence de santé publique belge. La courbe verte est la moyenne mobile sur 7 jours des valeurs It, et qui a pour effet de « lisser » la courbe des données brutes. La courbe noire est la courbe de régression du graphique supra qui permet également de lisser les données brutes, mais cette fois au moyen de l’équation d’une courbe typique calculée à partir du taux de croissance des Δ+It de la période considérée, en l’occurrence la période pré-confinement. La courbe est visiblement exponentielle, ce qui est la forme prise par la plupart des épidémies durant le premier quart de leur durée totale. Durant leur deuxième quart – dont il est impossible de prédire la date – la courbe devient de type logarithmique, c-à-d que son creux est alors tourné vers le bas (dérivée seconde négative), alors qu’il était tourné vers le haut durant le premier quart (dérivée seconde positive).

Courbe de régression vs moyenne mobileregression-covid19

Tableur covid19-be.ods (feuille « Data »).

Une erreur souvent commise par des personnes ne comprenant pas bien les principes élémentaires de l’analyse statistique est de considérer en J18 que la partie de la courbe noire au-delà du jour 18 prédit ce qui se produira après cette date (et dans le cas de l’épidémie de covid-19 il vont donc en déduire, erronément, que c’est le confinement qui a ralenti l’épidémie). Or en l’occurrence il est faut de croire que le passé permet de prédire l’avenir.

Il serait d’ailleurs tout aussi abusif d’utiliser le graphique suivant pour affirmer que le confinement a aggravé la situation. La courbe bleue est la courbe de régression calculée sur les 23 premiers jours de la même série. Ce n’est qu’à J23 que l’effet théorique (c-à-d supposé) du confinement peut impacter les statistiques d’infection puisque le confinement a été appliqué à partir du 19 mars, et que l’incubation est de 4 jour (source). Or le graphique montre qu’à J23 la courbe épidémique prenait la forme d’une cloche, qui est la forme habituelle des courbes épidémiques. Pouvons-nous pour autant autant en déduire que le sommet était atteint, mais que le confinement a alors aggravé la situation ? Non ! Quelle crédibilité accorderiez-vous à un météorologiste qui vous prédirait du beau temps la semaine prochaine parce c’était le cas la semaine passée ?

Fin mars s’était déjà plié ?covid19-J23

Dans des écosystèmes le passé ne permet pas de prédire l’avenir. Tableur covid19-be.ods (feuille « Data »).

Le confinement a certes aggravé la situation mais on ne peut pas le démontrer de cette façon là, puisque par cette méthode on ne peut pas non plus démontrer que le confinement a pu neutraliser l’épidémie. Pour démontrer que le confinement a aggravé l’épidémie nous utiliserons le raisonnement logique en montrant que la stratégie SNP (i) ne peut être efficace (#efficacite-strategie-non-pharma) , et (ii) est en outre contre-productive (#effets-pervers-strategie-non-pharma).

Mais ne brûlons pas les étapes, et comparons maintenant SIR à la réalité des statistiques de la grippe, puis de covid-19.

SIR et la grippe

https://konfedera.org/gestion-epidemies#SIR-vs-grippe

La grippe est une des maladies les plus répandues et connues : on connaît tous ses paramètres. Par conséquent on peut tester la cohérence du modèle SIR en y injectant les paramètres de la grippe (aiguë en l’occurrence) et observer si ses résultats sont cohérents avec la réalité. Nous allons faire cet exercice pour le cas de la Belgique car ce pays ayant connu le plus haut taux de mortalité durant l’épidémie covid-19, il sera la référence de la section suivante consacrée à covid-19.

Paramètres de/pour la grippe aiguë :

  • Vaccination : MIN(E0) = 50% [source].NB : (i) une partie de la population est immunisée de naissance et (ii) l’ensemble de la population bénéficie de l’immunité croisée.
  • Virulence : β = 0,6 ; durée maladie (infection) : λ = 6 jours ; sommet épidémique : t (Max It) = 90° jour [source];
  • infectés : ∑Δ+It = 10% de la population; # taux hospitalisation : σ = 0,1% des infectés [source];
  • Mortalité : MAX(Mt) = 0,02 % de la population [source : il s’agit de la moyenne en France car l’agence de sante belge ne semble pas publier cette donnée pourtant fondamentale : vérifier].

Une donnée complémentaire, également fondamentale, est la capacité hospitalière (toutes pathologies), mesurée en nombre de lits aigus : k = 0,003 de la population [source].

On peut catégoriser ces paramètres en deux types :

  • paramètres ouverts (ou libres) : E0 et β : leur valeur est difficile voire impossible à mesurer (forte incertitude) ⇒ ce sont les paramètres d’ajustement;
  • paramètres fermés (ou imposés) : λ , ∑Δ+It , t (Max It) , σ , k , Mt : leur valeur est relativement facile à mesurer (faible incertitude) ⇒ ce sont les paramètres de référence;

Dans le modèle SIR les relations de causalité entre ces deux groupes est : E0 et β ⇒ t (Max It) et ∑Δ+It. Afin de pouvoir calculer des taux d’hospitalisation (Ht) et de mortalité (Mtthéoriques j’ai complété le modèle par ΔMt = μ * Ht ((13) et Ht = Ht-1 + σ * ( Δ+It – Δ+It-λ ) (19) de sorte qu’au total :

E0 et β ⇒ t (Max It et ∑Δ+It ⇒ σ ⇒ Ht ⇒ μ ⇒ Mt

Nous sommes maintenant parés pour procéder au paramétrage de SIR afin de vérifier sa capacité à reproduire l’épidémiologie grippale telle qu’elle est observée chaque année.

Paramétrage
épidémiologique

Le tableau ci-dessous montre les résultats du modèle SIR. On constate que ∑Δ+It (cellule D12) est près de quatre fois supérieur à la valeur réelle (B12). Le lecteur pourra vérifier dans le tableur SIR.ods que pour abaisser ce montant à environ 10% on peut modifier le paramétrage de diverses combinaisons de paramètres ouverts, notamment :

  • paramétrage « β » (colonne E) : β : 0,60 (D6) ⇒ 0,385 (E6);
  • paramétrage « E0 » (colonne F) : E0 : 50% (D5) ⇒ 67% (F5);

Si l’on adapte plutôt I0 : 0% (D4) ⇒ 38% (G4) il y a extinction dès le début : R0<1 (G8). Cette situation ne correspond pas au profil de la grippe ⇒ ce paramétrage est rejeté.sir-grippe.png

Vert : paramètres ouverts ; rouge : paramètres fermés.
Tableur : SIR.ods

Mais le paramétrage n’est pas achevé car les sommets épidémiques t (Max It (E10 et F10) représentent trois à quatre fois la valeur observée (B10). Nous allons alors procéder à un second tour de paramétrage (tableau ci-dessous) en combinant maintenant deux variables ouvertes :

  • paramétrage « β + I0 » : par itérations successives on abaisse β puis on augmente I0 jusqu’à ce que les valeurs théoriques de t (Max It et ∑Δ+It correspondent à leur valeur réelle;
  • paramétrage « E0 + I0 » : par itérations successives on augemente E0 puis on augmente I0 jusqu’à ce que les valeurs théoriques de t (Max It et ∑Δ+It correspondent à leur valeur réelle;

sir-grippe-2.png

Tableur SIR.ods

Résultats
politiques

Observons alors les différents résultats au niveau des variables qui déterminent la stratégie anti-épidémique (c’est pourquoi je parle de résultats « politiques ») : les taux d’hospitalisation et de mortalité :

  • mortalité : il faut fixer μ (taux de létalité, ligne 13) à environ 0,002 (en moyenne, pour mille nouvelles infections il y a deux nouveaux décès) pour obtenir un taux de mortalité théorique (H14 et I14) égal au taux réel (B14);
  • hospitalisations: qu’il s’agisse du paramétrage β+I0 ou E0+I0, le niveau de charge hospitalière maximale liée à la grippe est inférieur à 1% (H18 et I18).

Ce taux de charge hospitalière ne semble pas correspondre aux statistiques hospitalières affichant des taux de charge hospitalière toutes causes pouvant atteindre 95% durant les épidémies annuelles de grippe [FRABEL].

Que faut-il en conclure ? :

  • que dans la simulation ci-dessus les valeurs de StIt et Et sur les premiers jours (disons la première semaine) ne sont pas des valeurs réelles ?

    • mais nous verrons dans la section suivante qu’injecter des valeurs réelles dans le modèle ne démontre toujours pas sa capacité à représenter la réalité infectiologique.

  • que le mode de calcul de la charge hospitalière proposé par nous (#SIR-charge-hospitaliere) n’est pas pertinent ?

    • celui utilisé pour calculer une charge de 95% l’est-il ? [exemple].

  • que les affirmations selon lesquelles le taux maximum de lits occupés approcherait les 100% quasiment chaque année sont mensongères ?

    • ces mensonges, qui pourraient être motivés par la volonté d’éviter une réduction des subsides publics, ne sont possibles que si l’État ne contrôle jamais la validité de cette statistique hospitalière …;

  • que le modèle SIR n’a aucune valeur scientifique ou que la notion de « paramètres de la grippe » ne représente aucune réalité autre que des valeurs moyennes, variables dans le temps … ?

SIR et covid-19

https://konfedera.org/gestion-epidemies#SIR-vs-covid19

Passons maintenant à covid-19. La situation diffère en ce que, contrairement à la grippe, covid-19 est supposément nouveau de sorte que ses paramètres sont inconnus. Mais d’autre part nous disposons ici de statistiques mesurées pour les variables d’entrée, alors que dans la section précédente consacrée à la grippe il ne s’agissait que de valeurs calculées.

Nous allons ici montrer une façon d’évaluer les paramètres d’un virus en temps réel c-à-d dans l’urgence.

N.B. Nous allons donc faire temporairement abstraction du fait que ce paramétrage en temps réel est irrationnel en raison de biais de mesure en temps réel des variables, qui ne pourront être corrigés qu’après l’épidémie (et dans le cas des virus saisonniers, après douze mois). Notons que ce seul fait de biais de mesure en temps réel des variables (cf. infra #mesure-des-variables) suffit à lui seul pour qualifier d’irrationnelle toute politique de gestion épidémique d’urgence de type préventive c-à-d la distanciation sociale (confinement et masque généralisés).

La présente section est néanmoins très importante car elle permet de comprendre comment les modèles sont utilisés et comment leur interprétation peut être fabriquée. On fera ainsi l’exercice, sur base des valeurs déterminées par le paramétrage, d’évaluer la charge hospitalière théorique ajoutée par covid-19, telle qu’elle était prévue au début du confinement (en J18). On la comparera alors au maximum réellement atteint sur la période finissant à J90, pour constater que la charge hospitalière a atteint un maximum … 16% en J35.

Principes de paramétrage

https://konfedera.org/gestion-epidemies#principes-parametrage-modele

La démarche empirique que nous allons développer ici va nous permettre de mieux comprendre (i) la logique du modèle et (ii) la nature des données directement mesurables.

Nous utilisons les données épidémiques de covid-19 et cela pour la Belgique. Ce pays est particulièrement intéressant car le taux de mortalité de covid-19 y fut le plus élevé au monde. Il en résulte que certaines conclusions que nous tirerons de son analyse éclairerons l’impact de covid-19 dans les autres pays.

Première constatation : les données – collectées par l’agence belge de la santé (epistat.wiv-isp.be/Covid/) – qui concernent le modèle SIR sont « les nouveaux cas journaliers de contamination ». Ce ne sont donc pas les It du modèle SIR, mais les flux entrants (que nous notons Δ+It) dans It. En effet It est un stock, dont la variation est déterminée par ces flux entrants en provenance de St, ainsi que par les flux sortants vers Et (que nous notons ΔIt).

Le système d’équations différentielles présenté plus haut – qui constitue le noyau du modèle SIR – montre que la valeur théorique des Δ+It est β * It * St, et que la valeur théorique des ΔIt est It / λ

dS/dt = – β * It * St (3)
dI/dt = β * It * St – It / λ (4)
dE/dt = It / λ (5)

De sorte que dans notre tableur (covid19-be.ods) les valeurs théoriques de StIt et Et sont calculées comme suit :

St+1 = St – β * It * St(27)
It+1 = It + β * It * St – It / λ(28)
Et-1 = Et + It / λ(29)

Par conséquent on obtient les valeurs pseudo-réelles de StIt et Et en substituant les valeurs observées Δ+It à leur formulation théorique ( β * It ) * St :

St+1 = St – Δ+It(30)
It+1 = It + Δ+It – It / λ(31)
Et+1 = Et + It / λ(32)

Je parle de valeurs « pseudo-réelles » car elles dépendent de la valeur attribuée :

  • aux conditions initiales S0I0 et E0;
  • aux paramètres β et λ.

Nous allons faire pendant quelques instants abstraction du fait que (i) il n’est pas possible d’estimer correctement les conditions initiales sauf peut-être à imposer un système totalitaire de surveillance permanente de la population, et fondé sur l’abolition de toute forme de vie privée ; (ii) les paramètres β et λ – qui sont des moyennes mesurées sur des périodes spécifiques – ne sont pas stables dans le temps voire non plus dans l’espace.

Puisque nous disposons maintenant des séries pseudo-réelles de StIt et Et nous pouvons alors calculer les valeurs théoriques des Δ+It (valeur observées ou qui seront observées), données par β * It * St. Nous pourrons alors évaluer une valeur théorique du paramètre β par une méthode itérative « essai-erreur » consistant à adapter les valeurs des paramètres β et λ et conditions initiales S0I0 et E0 jusqu’à ce que les deux courbes correspondent : lorsque ce sera le cas la valeur correspondante de β sera sa valeur de paramètre.

La situation initiale (t=0) est la suivante :

  • au début du confinement on pensait que la valeur de λ (durée de contagiosité) était de 10 jours mais on sait aujourd’hui qu’elle est de 20 jours sans traitement et 6 avec traitement ⇒ on choisit la valeur moyenne : λ=(20+6)/2=13 ;
  • nous supposerons I0 = 0,000001 et on testera deux valeurs pour E0 : 0% et 50% ⇒ S0 = 1 – I0 – S0;
  • β sera alors la variable d’ajustement, en commençant à 0.

On pourra alors réaliser les deux paramétrages différents.covid19-parametrages.png

Tableur covid19-be.ods

Il suffit alors de commencer à β=0 et d’augmenter sa valeur ⇒ la courbe théorique (hachurée dans le graphique ci-dessous) s’approche de la courbe réelle (en bleu) ⇒ on arrête lorsque l’on obtient le meilleur ajustement entre les deux courbes ⇒ on obtient alors la valeur moyenne de β … telle qu’elle était au début du confinement (18 mars 2020).

Paramétrage itératif de la courbe épidémique de covid-19 : début du confinementparametrage-covid19-pre.png

Tableur covid19-be.ods

On va maintenant pouvoir comparer les prévisions correspondant à chacun de ces deux paramétrages. Ce qui nous intéresse du point de vue pratique, c-à-d de la gestion d’une épidémie, ce sont les prévisions du taux de charge hospitalière (NB : le présent article montre l’impossibilité de prévisions correctes dans le domaine épidémiologique et surtout infectiologique, mais faisons « comme si » afin de bien comprendre la nature de cette impossibilité). Ces prévisions calculées au moment où le confinement fut décidé sont mentionnées dans les cellules D18=3479% et E18=1740% !

Prévisions par paramétrage : début du confinementcovid19-previsions-par-parametrage.png

Vert : paramètres, rouge : prévisions. Tableur covid19-be.ods

k (capacité hospitalière, ligne 14). Si l’on mesure la capacité hospitalière par les seuls lits équipés de respirateurs la valeur de k passe de 0,003 à 0,0001, ce qui a pour effet de faire grimper les taux de charge hospitalière anticipé à respectivement 104374% et 52189% : soit 500 à 1000 fois la capacité hospitalière ! [source : cette source est sujette à caution car le médecin citant k=0,0001, non seulement commet de grossières erreurs de raisonnement par rapport au modèle SIR, mais en outre a dans le même article cité d’autres statistiques erronées].

Paramétrage en début de confinement

https://konfedera.org/gestion-epidemies#SIR-parametrage-debut-confinement

On va lire maintenant le tableau précédent sur base du paramétrage de la colonne D qui, étant le plus catastrophiste, correspond à l’anticipation qui a pu être faite par le gouvernement et ses conseillers scientifiques au début du confinement (18 mars 2020) :

  • capacité hospitalière : les cas de covid-19 représenteront une charge d’environ 3500% de la capacité hospitalière soit 35 fois celle-ci ! (cellules D18) en J88 (cellule D17);
  • mortalité : à la fin de l’épidémie (qui, comme indiqué en D10 durerait environ 2*91 jours soit six mois !) le taux de mortalité aura atteint 3,56% de la population belge (D18), soit environ 400.000 personnes ! Ces chiffres représentent 178 fois la mortalité de la grippe durant ses années les plus létales ! Et en fait la mortalité serait certainement beaucoup plus élevée si, comme le prédit le modèle, les capacités hospitalières sont dépassées.

Comment des chiffres aussi fantasques, n’ayant jamais été observés par le passé, n’ont-il pas attiré l’attention d’une large partie de la communauté scientifique ?

Comme dans tout modèle, l’output est fonction de l’input (paramètres et valeur initiales). Au moment où le confinement général fut décidé (18 mars 2020) les valeurs observées des paramètres justifiaient-ils une telle mesure (jamais appliquée depuis au moins la seconde mondiale, et a notre connaissance recommandée dans un aucun manuel d’épidémiologie). Le tableau suivant compare les paramètres d’incidence (β), de létalité μ = 1/n * ∑t=0n ΔMt / ΔI+t (13) et d’hospitalisation σ = 1/n * ∑t=0n ΔHt / ΔI+t (17), de covid-19 avec ceux de la grippe (aiguë) :

  1. le taux d’incidence de covid-19 représenterait seulement un tiers de celui de la grippe;
  2. le taux de mortalité de covid-19 (mesuré par μ) serait 20 fois supérieur à celui de la grippe;
  3. le taux d’hospitalisation de covid-19 (mesuré par σ) serait 340 fois supérieur à celui de la grippe.

Paramètres covid-19 vs grippeparametres-covid19-grippe.png

Sources : covid19-be.ods ; #SIR-vs-grippe.

Il est étonnant de constater que le message propagé par les entreprises « d’information » et les scientifiques de plateau TV disait l’exacte contraire de ce tableau, à savoir que la létalité du virus était faible mais que sa virulence était élevée. Quoi qu’il en soit de la nature quantitative (β) ou qualitative (μ) du risque de la catastrophe prédite par le modèle SIR, dans les deux cas les statistiques de mortalité et d’hospitalisation qui nourrissent celui-ci en temps réels (et sur base desquelles de supposées prévisions sont calculées) ne sont de toute façon pas crédibles. En effet nous verrons dans la section #mesure-des-variables que les statistiques de mortalité et d’hospitalisation collectées en cours d’épidémie c-à-d quasiment en temps réel sont sujettes à de très importantes révisions (généralement à la baisse) lorsqu’on est en mesure de mesurer ces statistiques correctement, ce qui n’est possible qu’au moins douze mois après le début de l’épidémie (ce que rappellent les lignes 2 et 3, concernant la représentativité temporelle et spatiale de l’échantillon de mesure).

D’autre part il est frappant de constater que le ratio COV/GRI(σ) ne se situe pas entre ceux de COV/GRI(β) COV/GRI(μ) mais (largement) au-dessus, alors que σ est pourtant très probablement déterminé par β et μ. Un autre facteur a donc joué. Ne s’agit-il pas du catastrophisme ultra-anxiogène entretenu par l’appareil d’État (gouvernement, entreprises « d’information », scientifiques, …) qui aurait dopé les hospitalisations, aussi bien dans le chef des patients (demande) que des médecins (offre) ?

Comparons maintenant les prévisions faites en J18 avec la réalité observée en J90.

Paramétrage en fin de confinement

https://konfedera.org/gestion-epidemies#SIR-parametrage-fin-confinement

Mesures

Comme le montre le tableau suivant, il apparaît en J90 que la charge hospitalière de covid-19 a finalement atteint un maximum de 16% (E18) en J35 (E17). L’épidémie n’aura duré qu’environ trois mois (E10 : 42*2=84) au lieu de six. Quant au taux de mortalité il est finalement de 0,08% (E14) de la population.

Ce taux de mortalité de 0,08% est encore trois fois plus élevé que la grippe, mais sera certainement revu à la baisse en raison des biais de mesure statistique en cours d’épidémie évoqués infra (#suivi-temps-reel). En outre c’est la mortalité toute cause qui compte, or nous verrons infra (i) que celle-ci est très loin de représenter trois fois le niveau de 2017 ou 2018 (#mortalite-toutes-causes) et (ii) que le surplus de mortalité attribué à covid-19 pourrait ne pas être causé directement par le virus mais par les effets pervers de la panique induits par le catastrophisme médiatique.

SIR vs réalité (tableau)SIR-vs-realite-tableau.png

Tableur covid19-be.ods

Mais n’oublions pas les remarques faites dans la section précédente concernant la valeur informative des statistiques collectées en temps réel : ces montants de 16% et 0.08% seront presque certainement revus à la baisse, et de façon substantielle !

Analyse

La validité des mesures n’est que la première partie de la problématique. L’analyse des causalités est la seconde. Ainsi le graphique suivant compare la prévision du modèle en J18 (hachuré rouge) et la réalité constatée en J90 (ligne bleue), concernant les flux entrants journaliers dans le groupe It.

SIR vs réalité (graphique)SIR-vs-realite-graphique.png

Rouge : prévision en J18. ; bleu : réalité observée en J90. Tableur covid19-be.ods

On pourrait alors être tenté d’en conclure que si la courbe réelle (en bleu) est inférieure à la courbe théorique (hachurée en rouge), c’est grâce au confinement général, ce que ne manquent évidemment pas de faire les gouvernements et leurs conseillers (… dans les pays qui ont appliqué le confinement général).

Cependant ce raisonnement revient à affirmer que les modèles épidémiologiques seraient en mesure de prédire l’avenir. Or l’expérience montre que ce n’est pas le cas. Il ne pourrait d’ailleurs en être autrement car les moyennes sur base desquelles les « prévisions » sont calculées ne sont pas constantes dans le temps et l’espace. Cette instabilité des paramètres épidémiologiques, les médecins praticiens (à ne pas confondre avec les statisticiens et chercheurs de laboratoire) la constatent régulièrement : les infections virales saisonnières (en particulier la grippe) peuvent changer fortement de nature certaines années, au niveau de leur virulence (β), ténacité (λ) ou/et létalité (μ). Et même à supposer que les moyennes épidémiologiques seraient constantes, on ne les connaît pas pour covid-19 puisque c’est supposément un virus « nouveau ».

Enfin force est de constater que le graphique ne montre pas d’effet de retardement (et c’est même le contraire qu’on y voit !). Or nous avons vu supra que le confinement général a théoriquement pour effet non seulement d’abaisser le sommet épidémique mais aussi de le retarder (cf. #SIR-strategies), ce qui est précisément la raison invoquée pour « justifier » le confinement (entre guillemets car nous verrons dans la section #strategie-non-pharmaceutique que cette « justification » est non démontrée, et très probablement fausse). Le confinement n’aurait-il pas l’effet que la théorie des modèles épidémiologiques lui attribue … ?

Il est à cet égard intéressant de constater les paramétrages réalisés (par ajustement des courbes théoriques à la courbe réelle) en J90, donc à la fin de l’épidémie. Le tableau suivant en montre deux parmi les quatre présentés dans la feuille « Paramétrages ». Le premier s’inscrit dans la logique du scénario catastrophiste choisi par le gouvernement. Le second par contre suggère que la durée moyenne de la maladie serait nettement inférieure à ce que les catastrophistes prétendaient.

Paramétrage en fin d’épidémiecovid19-ajustements-finaux-tableau.png

Tableur covid19-be.ods

Or l’animation suivant montre que le second scénario correspond à un bien meilleur ajustement des courbes …

Paramétrage en fin d’épidémiecovid19-ajustements-finaux-graphique.gif

Tableur covid19-be.ods

Rebond de l’enfermement cognitif

https://konfedera.org/gestion-epidemies#SIR-rebonds

Si en J90 on choisit le paramétrage s’inscrivant dans la logique de celui choisi par le gouvernement en J18, on est alors dans la configuration décrite dans le graphique suivant :

  1. bleu hachuré : prévision faite en J18 (début du confinement);
  2. rouge continu : réalité observée en J90;
  3. rouge hachuré : prévision faite en J90 : selon le modèle un rebond est inévitable.

Prévisions en J18 et J90rebond-graphique.png

Tableur covid19-be.ods

Pourquoi en J90 le modèle prévoit-il un rebond ? Pour répondre à cette question il faut aller voir dans la feuille « J90+prévision » du tableur le passage de la ligne 92 à 93, c-à-d lorsque l’on passe des valeurs observées aux valeurs théoriques. Or cette transition remplace la valeur semi-réelle de β (0,024 dans K91) par sa valeur de paramètre (0,1 dans D6 et dans la colonne K à partir de K92), ce qui correspond à une remontée de Rt de 0,3 < 1 à 1,3 > 1, instantanément ! Ainsi le passage de la ligne 92 à 93 dans la colonne J montre que it, le taux de croissance de It, en passant de sa valeur observée, qui est négative, à sa valeur théorique devient brusquement … positive.

Si vous en concluez que la courbe épidémique réelle va repartir à la hausse, c’est exactement comme si vous affirmiez que ce n’est pas le modèle ou son interprétation qui sont déficients, mais la réalité qui n’est pas adaptée à ceux-ci. C’est une forme de folie, que je qualifie « d’enfermement cognitif« .

Rappels : (i) il n’est pas possible de prédire la courbe épidémique d’un virus, qui plus est lorsque celui-ci est nouveau ; (ii) le risque zéro n’existe pas ; (iii) lors des précédentes pandémies de virus « nouveaux » on a jamais imposé la stratégie non pharmaceutiques aux populations ; (iv) les études scientifiques réfutant l’efficacité de la SNP sont censurées [source].

Micro-rebonds. D’autre part n’oublions pas que l’on observe des micro-résurgences dans toute phase descendante d’un épidémie. Il est d’autant plus important de ne pas perdre cela de vue que le développement des systèmes de suivi épidémique augmente nécessairement le nombre de ces « alertes », ce qui donne l’illusion que les épidémies seraient plus sujettes à des résurgences que par le passé. En effet les virus n’apparaissent pas ex nihilo ni ne « disparaissent » comme par miracle. Lorsque l’on dit qu’un virus « a disparu » cela signifie en fait que sa quantité par unité d’espace géographique est redescendue en-dessous d’un certain niveau, c-à-d est « sortie des radars statistiques ». Et régulièrement des micro-résurgences se produisent : le virus réapparaît brièvement dans le radar puis disparaît. D’autre part le degré de focalisation du « radar » peut être déterminé arbitrairement par le gouvernement, qui a ainsi la possibilité de faire apparaître des « résurgences », des « nouveaux foyers » pratiquement où et quand il le décide, car le nombre de personnes infectées est toujours (très) supérieur au nombre de personnes testées. Autrement dit : pour trouver il suffit de tester.

Et ce n’est pas les virus qui manquent : il y a une vingtaine de virus associés aux seules infections respiratoires qui circulent dans le monde en même temps [source]. On pourrait quasiment chaque année, du début à la fin, focaliser l’opinion publique sur des micro-résurgences de tel ou tel virus.

Macro-rebonds. Enfin rappelons que l’évolution de la mortalité toutes causes est d’une régularité remarquable, sous la forme d’une sinusoïdale. Cette dynamique est due principalement aux variations des propriétés physico-chimiques de température et d’humidité de l’air, qui influencent le métabolisme des organismes vivants ainsi que la propagation des virus et bactéries. Il est quasiment certain que les adeptes des modèles épidémiologiques vont continuer d’abuser l’opinion publique en associant ces vagues annuelles à des « rebonds ».

Mortalité toutes causes en France (janvier 2015 à juin 2020)mortalite-toutes-causes-france.png

Source : insee.fr

Il fait peu de doute que les entreprises « d’information » et leur scientifiques de plateau TV vont de plus en plus exploiter tous ces filons pour en en tordre la réalité …

Bilan

https://konfedera.org/gestion-epidemies#bilan

Nous allons ici résumer les points soulevés par les sections précédentes consacrées aux paramétrage ex ante et ex post des modèles épidémiologiques.

  1. Les modèles épidémiologiques sont dans l’incapacité de reproduire la réalité autrement qu’en adaptant à chaque fois la valeur des conditions initiales et paramètres. Dans ces conditions il est impossible que ces modèles puissent prédire le développement d’une épidémie (il ne peuvent le faire avec plus de succès que par un tirage au sort de résultats possibles).
  2. Pourquoi des gouvernements ont-ils accordé une quelconque valeur à des statistiques complètement déconnectées de la réalité, et alors que l’on sait que les statistiques épidémiques collectées en temps réel sont généralement très éloignées de la réalité, et ne peuvent être corrigées que ex post ? (cf. infra #suivi-temps-reel).
  3. Affirmer qu’une catastrophe sanitaire a pu être évitée grâce au confinement revient à affirmer que les modèles épidémiologiques seraient en mesure de prédire l’avenir, or cela n’est pas possible si les moyennes sur base desquelles les « prévisions » sont calculées ne sont pas constantes dans le temps (cf. supra : #R-zero-valeur-scientifique); et même à supposer que les moyennes épidémiologiques seraient constantes, on ne les connaît pas pour des virus supposés nouveaux.Nous verrons en outre dans #efficacite-strategie-non-pharma que la faisabilité et l’efficacité de la SNP (confinement, distanciation, masques, lavages) n’ont pas été clairement démontrées.
  4. Aucun effet de retardement n’a été observé, ce qui confirme la non pertinence des modèles épidémiologiques et de la distanciation sociale (confinement et masque).
  5. Le paramétrage le plus réaliste que nous avons identifié suggère que la durée moyenne de la maladie serait nettement inférieure à ce que l’on pensait.
  6. On observe des micro-résurgences (rebonds) dans toute phase descendante d’une épidémie. Quant aux macro-résurgences, les fameuses « secondes vagues » (cf. « le pire est à venir » des manipulateurs catastrophistes et des incompétents) il ne s’agit que des annuelles pandémies saisonnières.

Typologie des facteurs d’inefficacité

https://konfedera.org/gestion-epidemies#SIR-typologie-facteurs-inefficacite

La plupart des modèles épidémiologiques sont fondés sur le modèle de base SIR. Or force est de constater une forte propension de ces modèles (ou de leurs paramétreurs ?) à produire des prévisions qui s’avèrent ex post de gigantesques surestimations du taux de mortalité des épidémies (cf. Neil Ferguson).

Par « prédire l’évolution d’une épidémie » nous entendons « prédire les valeurs déterminant la position et forme caractéristique de sa courbe en cloche : niveau et date du sommet, ainsi que largeur moyenne de la cloche ». D’autre part comme il n’existe pas de relation stable dans le temps et l’espace permettant de prédire le taux futur de mortalité à partir du taux d’infection il en résulte que le taux qui importe du point de vue de la gestion anti-épidémique c’est le taux de mortalité (toutes causes) par rapport à la population, et non pas le taux d’infections !

Ces erreurs de prévisions récurrentes peuvent avoir deux types de causes :

  • endogènes :

    • erreurs d’estimation de valeurs initiales :

      • sous-estimation de I0 ;
      • surestimation de S0 ;
      • sous-estimation de E0 (immunité collective), notamment par la sous-estimation du nombre de personnes immunisées de naissance et/ou par immunité croisée.

    • erreurs d’estimation de valeurs de paramètre :

      • surestimation de β (virulence);
      • surestimation de λ (durée d’infection/contagiosité), donc sous-estimation (en cours d’épidémie) du nombre de personnes immunisées par guérison.

  • exogènes : la non prise en compte de causes spécifiques liées aux virus eux-mêmes ou aux écosystèmes (le modèle est alors dit « incomplet ») : ainsi il est hautement probable que les épidémies s’éteignent naturellement pour d’autres raisons qu’un trop faible nombre d’individus susceptibles.

En outre toutes les erreurs d’estimations (c-à-d les causes endogènes) peuvent avoir deux sources, qui peuvent se cumuler :

  • erreurs de mesure (ce point sera approfondi dans la section suivante);
  • instabilité, dans le temps et l’espace, des paramètres épidémiologiques et hospitaliers.Ainsi les médecins praticiens (à ne pas confondre avec ceux des organisations internationales ou des facultés de médecine) constatent régulièrement de substantielles modifications des paramètres, ce qu’ils expriment en langage courant en disant que la grippe fut « plus virulante » (β) telle année ou « moins tenace » (λ) ou encore moins létale (μ) telle autre année ou dans telle autre région du pays.

De peu scrupuleux scientifiques utilisateurs de modèles épidémiologiques (généralement fondés sur le modèle de base SIR) – plutôt que de reconnaître l’inefficacité de ces modèles – adaptent continuellement la valeur des valeurs initiales et paramètres afin que les valeurs calculées (ex post !) correspondent aux valeurs qui ont été mesurées. Il disent alors « Regardez comme notre modèle décrit parfaitement la réalité ! ». Et ceux qui ont la mémoire courte ou qui ne sont pas bien informés en concluent que ces modèles peuvent prédire l’avenir d’une épidémie … alors que ceux-ci se trompent systématiquement (sauf effet du hasard), puisqu’il ne sont pas en mesure de reproduire la réalité observée sans que soit adaptée la valeur des paramètres.

Et c’est sans parler des virus nouveaux, donc inconnus, pour lesquels il n’est même pas besoin d’invoquer tous ces faits pour conclure à l’inutilité des modèles épidémiologiques !

Suivi en temps réel

https://konfedera.org/gestion-epidemies#suivi-temps-reel

Nous allons voir qu’en raison d’importants biais de mesure la plupart des statistiques épidémiques décisives – susceptibles (St), infectés (It), exclus (Et) et surtout le taux de mortalité toutes causes par rapport à la population (la plus importante du point de vue de la gestion anti-épidémique) – ne peuvent être évaluées correctement qu’après l’épidémie et, dans le cas des maladies saisonnières, au moins douze mois après le début de l’épidémie.

Ce fait rend donc non pertinente l’utilisation des modèles comme instrument de gestion anti-épidémique puisque leurs valeurs d’entrée sont généralement très éloignées de la réalité (PS : les scientifiques qui prétendent « suivre l’épidémie au jour le jour pour conseiller le gouvernement » sont donc nécessairement guidés par des motivations autres que scientifiques). Il est donc irrationnel de fonder la gestion d’urgence des épidémies sur la stratégie préventive dite « non pharmaceutique » (confinement, distanciation, masques, lavages). Il faut par contre faciliter les mesures réactives, dont celles liées au traitement des malades.

Enfin, étant donné qu’il suffit qu’augmente le nombre de tests réalisés (par exemple suite à l’annonce de « prévisions » catastrophistes) pour qu’apparaisse une « seconde vague » (prophétie auto-réalisatrice), il résulte de cet effet de recensement que la gestion anti-épidémique doit évidemment être pilotée en fonction du taux de mortalité (toutes causes) par rapport à la population, et surtout pas en fonction du taux d’infections, comme le confirme la comparaison des graphes suivants.

Ressources

https://konfedera.org/gestion-epidemies#suivi-ressources

Sites de référence en matière de centralisation de statistiques nationales durant l’épidémie de covid-19 en 2020 :

  • worldometers.info/coronavirus. Ce site aux données clairement présentées fut très suivi durant l’épidémie de covid-19. Cependant il n’y a quasiment aucune transparence concernant l’organisation derrière ce site ainsi que ses méthodes. Elle affirme traiter les données au moyen d’un « algorithme propriétaires », ce qui pose la question de la distinction entre données observées/récoltées et données estimées/calculées (cf. supra #mesure-vs-calcul). Ce site génère des revenus publicitaires, ce qui doit susciter une grande prudence quant la valeur que nous attribuons à ces statistiques. Il en va de même de toute personne dont le contrat de travail est lié à la persistance de l’épidémie (par exemple des chercheurs universitaires). Voir aussi wikipedia.org/wiki/Worldometer.
  • ourworldindata.org/coronavirus. Un site de l’université d’Oxford. Voir aussi : wikipedia.org/wiki/Our_World_in_Data.
  • who.int/emergencies/diseases/novel-coronavirus-2019/situation-reports/ Le site de l’OMS, dont on peut se demander dans quelle mesure elle n’est pas une façade du lobby pharmaceutique (comme le FMI l’est pour le lobby bancaire). Ainsi en 2010 le British Medical Journal (BMJ) et le Bureau of Investigative Journalism de Londres ont révélé que plusieurs experts ayant participé à la rédaction des directives de l’OMS face à une pandémie grippale ont reçu des rémunérations de Roche et GlaxoSmithKline, deux firmes impliquées dans la fabrication de médicaments ou de vaccins contre la grippe [source 2010].

Dans un futur peut-être pas très éloigné ces fonctions de centralisation pourraient être assurées aussi par une Confédération des États souverains incitant à la transparence au niveau des sources originelles ainsi que des méthodes utilisées par celles-ci

Définitions

https://konfedera.org/gestion-epidemies#definitions

On ne mesure correctement que ce que l’on a défini précisément. Il importe également de comprendre la nature des relations entre les variables mesurées. Ces deux points sont l’objet de la présente section.

On peut distinguer au moins deux types de maladies transmissibles, selon que le vecteur est endogène (exemple : postillons) ou exogène (exemple : moustiques).

# infectés > # symptomatiques. En général la plupart des personnes infectées ne développent que des symptômes bénins, parfois tellement insignifiants qu’elles ne s’en rendent pas compte (ce qui est problématique dès lors qu’elles sont contaminantes, mais d’autant moins que le taux de mortalité est faible). Parmi les symptomatiques une partie ne se présentent pas à un service médical et guérissent naturellement (c-à-d sans traitement). Donc seuls les autres symptomatiques seront traités et enregistrés (par cette voie) dans les statistiques !

# infectés > # testés. Il résulte du point précédent que seule une partie des infectés seront examinés, de sorte que le nombre de personnes diagnostiquées positives (« confirmed cases ») sous-estime le nombre réel de personnes infectées (NB : nous utilisons indifféremment les termes « infecté » et « contaminé »). Ce n’est que si 100% de la population a été examinée que le nombre de diagnostiquées positifs est égal au nombre de contaminés (PS : en pratique on testera plutôt un échantillon représentatif de la population).

# testés > # positifs. Seules les personnes testées comme porteuses du virus ou de ses anticorps devraient être considérées comme infectées (virus) ou comme ayant été contaminées par celui-ci (anticorps). Cependant en l’absence éventuelle de moyens de tests virologiques ou sérologiques les médecins s’en remettent à d’autres formes de diagnostic, notamment basés sur l’identification de symptômes (mesure de température, scanner, …). Un diagnostic est positif si le patient est porteur (virus ou anticorps) ou symptomatique, et négatif dans le cas contraire. Un partie des diagnostics se révéleront plus tard comme erronés, quantitativement ou/et qualitativement (identification incorrecte de l’agent pathogène).

# positifs > # décès. Sauf si mauvaise gestion épidémique (cf. Belgique avec covid-19).

# infectés > # contagieux. Seule une partie des personnes contaminées sont contagieuses, notamment parce que la période de contagiosité est généralement inférieure à la durée de l’infection.

La période d’incubation est la durée entre la contamination et l’apparition de symptômes. Une question est de savoir si l’individu contaminé est contagieux pendant la période d’incubation, parce que dans l’affirmative il n’applique pas de mesures pour ne pas contaminer autrui (à supposer que cela soit faisable et souhaitable).

Guéri ⇒ immunisé. En général les personnes guéries (notion de charge virale négative), que ce soit par traitement ou naturellement, ne peuvent plus ni contaminer ni être contaminées (notion de « maladie immunisante »). « Traiter » un individu malade c’est notamment abaisser sa charge virale en-dessous d’un niveau correspondant à la disparition (i) des symptômes de la maladie et (ii) de la contagiosité de l’individu (NB : ceci concerne le premier stade de la maladie, or celle-ci peut évoluer vers des pathologies différente, souvent plus sévères, et alors que la charge virale a disparu).

Ces définitions étant précisées, nous pouvons maintenant analyser les limites de la mesure en temps réel des taux de mortalité et d’infection.

Mesure

https://konfedera.org/gestion-epidemies#mesure

Nous allons ici exposer la problématique du choix et de la mesure des variables de pilotage de la gestion épidémique qui, dans l’ordre croissant de pertinence, sont les taux d’infection, d’hospitalisation et de mortalité.

Taux d’infection

https://konfedera.org/gestion-epidemies#taux-infection

Effet de
recensement

Il suffit que le nombre de tests augmente (par exemple suite à la surmédiatisation de « prévisions » catastrophistes) pour qu’augmente le nombre d’infectés recensés, et qu’apparaisse ainsi une « seconde vague » … qui n’en est pas une puisqu’on ne fait ici qu’éclairer une réalité déjà existante mais qui était non mesurée (« dans l’ombre »).

Cet effet est illustré par la comparaison des deux graphiques suivants montrant l’absence de corrélation entre nouvelles infections et nouveaux décès.

Infections et décès « covid-19 » en Suèdesuede-covid19.png

Source

Dans le cas où la hausse du nombre de tests est provoquée par l’annonce de « prévisions » catastrophistes l’effet de recensement induit donc un effet de prophétie auto-réalisatrice. Cet effet fut exploité par les conseillers scientifiques catastrophistes de nombreux gouvernements (PS : je dis « exploité » car il s’agit probablement moins d’incompétence que de charlatanisme dans le chef de ces scientifiques, comme nous verrons dans les sections #scientifiques-de-plateaux-TV et #big-pharma-data).

prophétie-autoréalisatrice.jpg

Comprenons bien que le taux d’infection ne reflète que les seules infections recensées (nouvelles ou cumulées), or celles-ci peuvent augmenter alors que demeure constant le nombre total des infectés ou ayants été infectés. En effet comme montré dans la section précédente :
# infectés > # symptomatiques
# infectés > # testés
# testés > # positifs
# positifs > # décès (sauf si mauvaise gestion épidémique).

Indicateur
biaisé

Enfin si l’on ajoute à cet effet de recensement le fait qu’il est souvent difficile de distinguer entre décès par le virus et décès avec le virus (problème d’identification), il en résulte que la gestion épidémique ne doit surtout pas être pilotée en fonction de l’évolution du taux d’infection, mais en fonction du taux de mortalité toutes causes par rapport à la population.

La comparaison des deux graphiques ci-dessus explique pourquoi les épidémiologistes de plateaux TV font exactement le contraire : leur objectif est d’être réinvité le plus souvent possible afin d’accroître leur célébrité, or pour maximiser ses chances d’être réinvité sur les plateaux TV il faut tenir un discours catastrophiste (qui dope l’audimat).

Taux de mortalité et létalité

https://konfedera.org/gestion-epidemies#taux-mortalite

D’autre part le graphique suivant montre que le taux de mortalité par rapport à la population (Mt) ne peut être évalué qu’une fois l’épidémie terminée.

Taux de mortalité de covid-19 en Belgiquemortalite-covid19.png

Tableur covid19-beLe même principe vaut donc pour le taux de létalité – Mt / ∑t=0n ΔI+t(15) – c-à-d le nombre de morts par rapport au nombre total de personnes étant ou ayant été infectées .

Mortalité et létalité (Belgique 2020)mortalite-letalite-1.png

NB : notez la différence d’échelles. Tableur covid19-be.

La presse, toujours avide de sensationnalisme, préfère évidemment le taux de létalité car il est nettement plus élevé. Malheureusement de nombreux journalistes parlent indifféremment de taux de mortalité, même lorsqu’il s’agit de taux de létalité. Ainsi au début de l’épidémie de covid-19 le taux de létalité a parfois été frauduleusement comparé au taux de mortalité de précédentes épidémies de coronavirus, attisant ainsi la panique.

Mortalité et létalité de covid-19 (Belgique 2020)mortalite-letalite-2.png

Tableur covid19-be

Il convient enfin de ne pas confondre le taux de létalité Mt / ∑t=0n ΔI +t avec Mt / It. Ce dernier ratio n’a pas de signification car il compare un stock constamment croissant (Mt) avec un stock d’abord croissant puis décroissant (It) sous l’effet des guérisons ΔI –t devenues plus nombreuses que les nouvelles infections ΔI +t.

Mortalité et létalité de covid-19 (Belgique 2020)infection-mortalite.png

Tableur covid19-be

La nécessité d’attendre la fin de l’année n’est pas du qu’au fait de la croissance du taux de mortalité et létalité. On peut classer les autres facteurs selon qu’ils jouent au niveau du numérateur ou dénominateur :

  • Numérateur :

    • Concentration temporelle. Durant l’épidémie de covid-19 les effets pervers du catastrophisme médiatique et du confinement général (cf. infra #effets-pervers-strategie-non-pharma) ont accéléré et concentré la dynamique létale sur une très courte période, ce qui explique le pic plus fin et plus élevé que les années précédentes, où la distanciation sociale obligatoire n’a jamais été appliquée. Par conséquent il est hautement probable que la mortalité sur le reste de l’année sera historiquement très basse.
    • Mortalité toutes causes. Il y a aussi la difficulté de faire la distinction entre les décès « par le virus » et ceux « avec le virus » ⇒ c’est la mortalité toute cause qu’il faut regarder. Cela peut conduire à des corrections ultérieures.

Il y a-t-il eu avec covid-19 un phénomène d’amplification, initié par le business des « infos » pour booster l’audimat, puis amplifié par du personnel médical hospitalier pour appuyer des revendications financières (moyens matériels et salaires) ? Pour ce faire les décès avec covid-19 ont-ils été systématiquement enregistrés comme décès par covid-19 ? Dans l’affirmative cela a-t-il enclenché un effet de prophétie auto-réalisatrice via les effets pervers de la panique : décisions politiques absurdes (*), vieillards « se laissant partir », etc ? Dans ce cas on serait dans un phénomène auto-entretenu par lequel la mesure d’une variable accélère son évolution future !

(*) En Belgique les maisons de retraite ont reçu instruction de ne plus hospitaliser leurs résidents quel que soit le problème qu’ils avaient ! [source].

  • Dénominateur : la problématique concerne ici le taux de létalité, et découle du fait que infectés > testés > positifs, ⇒ si l’on prend le nombre de testés positifs comme une estimation du nombre d’infectés on sous-estime le dénominateur du taux de létalité, de sorte que l’on surestime celui-ci ; et comme il n’est pas réaliste de tester toute la population on a alors trois options :

    • calculer le taux de létalité plutôt en fonction du nombre des personnes hospitalisées (dont on peut supposer qu’elles sont quasiment toutes infectées), mais cette population n’est pas du tout représentative de l’ensemble de la population (on peut cependant utiliser ce taux pour des comparaisons entre hôpitaux ou secteurs hospitaliers nationaux);
    • calculer les valeurs futures (c-à-d théoriques) des It au moyen du modèle SIR, mais il n’a pas été démontré que les prédictions calculées par le modèle correspondent à la réalité ⇒ on préférera la solution suivante;
    • identifier la présence d’anticorps contre l’agent pathogène dans le sang (signe d’un infection passée) chez tous les membres d’un groupe d’individus supposés constituer un « échantillon représentatif de la population ».

J’ignore si ce test sur groupe représentatif a été réalisé : je n’ai rien lu ni entendu à ce sujet. Quoi qu’il en soit force est de constater que les très catastrophistes (et donc influents) épidémiologistes ont ici un second (*) intérêt à focaliser l’attention de l’opinion publique et des décideurs politiques sur le taux de létalité plutôt que sur le taux de mortalité, qui ne requiert pas de mesurer ou calculer It …

(*) le premier étant que sa valeur est beaucoup plus élevée que celle du taux de mortalité (cf. supra), ce qui nourrit d’autant plus le catastrophisme que la confusion entre les deux est entretenue.

Stratégies anti-épidémiques

https://konfedera.org/gestion-epidemies#strategies

Nous commencerons cette section par la présentation des principes fondamentaux de la gestion épidémique. Puis nous préciserons le rôle joué en toile de fond par le phénomène d’immunité collective. Ensuite nous développerons une analyse pratique des deux types de stratégie (SNP et SP) dont nous avions présenté les fondements théoriques dans la section #SIR-strategies. Enfin, sur base des ces éléments, nous répondrons à la question : quelles stratégie appliquer ?

Principes de gestion anti-épidémique

https://konfedera.org/gestion-epidemies#principes

Dans la section consacrée au modèle SIR nous avions défini deux types théoriques de stratégie anti-épidémique :

  • non pharmaceutique (notée SNP) :

    • consistant à abaisser la valeur du paramètre β (incidence épidémique du virus) par des mesures de distanciation sociale (isolement, masques et lavages);
    • elle est préventive, ancienne et fortement contraignante.

  • pharmaceutique (notée SP) :

    • consistant à :

      • abaisser le paramètre λ (durée de la maladie=contagion) et augmenter la variable Et (comprenant les guéris) au moyen de médicaments (traitement);
      • augmenter la valeur initiale E0 au moyen de vaccins (prévention);

    • elle est essentiellement curative, moderne et faiblement contraignante.

La présente section étant consacrée à l’épidémiologie non plus théorique mais pratique, nous allons ici compléter cette typologie en prenant en compte les possibilités et contraintes d’application.

Le tableau suivant synthétise les modalités de stratégies épidémiques :

  • on peut les classer en trois groupes (colonne A) : prévention, dépistage, traitement;
  • chacune peut être implémentée en mode volontaire (colonne D) ou coercitif (colonne E);
  • toutes renforcent l’immunité collective (colonne F), sauf le confinement général qui la ralentit (le dépistage étant neutre sauf s’il conduit au confinement général);
  • l’immunité collective n’est pas une stratégie à proprement parler mais plutôt un phénomène naturel opérant en toile de fond de chacune des stratégies.

strategies.png

(*) Par « confinement » on entend l’isolement des individus ainsi que les mesures d’hygiène : lavage des mains + port de gants et masques.

En essayant de remplir les colonne D et E du tableau le lecteur comprendra pourquoi le confinement général à l’échelle internationale n’avait jamais été appliqué (ni recommandé) avant covid-19 :

  • il ne peut être pleinement impliqué que par la coercition (dont la coercition psychique, consistant à terroriser la population par de quotidiens messages ultra-anxiogènes : exemple1exemple2);
  • à supposer qu’il soit réaliste et effectif, le confinement retarde l’immunisation collective : or cet effet négatif ne peut être considéré comme tolérable sous le prétexte qu’il permettrait de gagner du temps pour développer les capacités hospitalières et des médicaments/vaccins spécifiques, car il est n’est pas possible de réaliser ces développements de façon substantielle et réellement efficace en moins de trois ans; et même si cela était possible ce ne serait pas rationnel d’un point de vue économique et écologique comme réponse systématique aux virus « nouveaux » (il y a mieux à faire).

Immunité collective

https://konfedera.org/gestion-epidemies#strategie-immunite-collective

Dans la section consacrée au modèle SIR nous avons vu l’équation E*t = 1 – It – 1 / ( β * λ ) (8) qui exprime la valeur de Et au-delà de laquelle, la croissance du nombre d’infectés (It) serait impossible. C’est pourquoi E*t est appelé « taux d’immunité collective« .

L’équation (8) n’exprime pas de causalité mais seulement une corrélation entre E*t et It, c-à-d que lorsque It arrête de croître sa valeur correspond à une valeur de Et égale à E*t. Et inversement lorsque Et atteint la valeur de E*t c’est que nécessairement It arrête de croître. Mathématiquement cela s’exprime par :

E*t = 1 – It – 1 / ( β * λ )  ⇔   It = 1 – E*t – 1 / ( β * λ )(33)

On peut interpréter cette expression mathématique de façon intuitive en disant que si la répartition spatiale de la population It est uniforme (ce qui est une des hypothèses du modèle SIR) il existe une valeur minimale de It en-dessous de laquelle – c-à-d une valeur maximale de Et au-delà de laquelle – le virus n’arrive plus à se propager faute de suffisamment de vecteurs. Cette interprétation surlignée en jaune permet d’expliquer pourquoi une épidémie s’éteint naturellement avant que le virus ait contaminé l’intégralité de la population au sein de laquelle il se propage.

Mais qu’est ce qui fait qu’un individu est immunisé ? Il y a trois voies possibles d’immunisation (synonyme « d’exclusion » c-à-d le fait d’appartenir au groupes des exclus du risque de contamination ) :

  • de naissance ;
  • par guérison d’une maladie immunisante;

    • Toutes les maladies ne seraient pas immunisantes.
    • Une guérison peut être naturelle (sans traitement médical) ou non (avec traitement médical).

  • par vaccination;
  • par immunité croisée.

Mais s’il n’existe ni vaccin ni traitement spécifique les individus ne peuvent donc être immunisés que :

  • de naissance ;
  • par guérison d’une maladie immunisante :

    • soit naturellement;
    • soit au moyen d’un traitement médical non spécifique.

  • par immunité croisée.

La dite « stratégie » d’immunité collective consiste en fait à ne compter que sur les stratégies de type SP (traitement) c-à-d sans prévention ni dépistage. Elle repose sur le pari que le pic de l’épidémie, c-à-d le nombre le plus élevé de personnes contaminées par unité de temps ne dépassera pas les capacités matérielles et humaines du système médical.

Compter sur les seules stratégies SP (traitement + immunité collective en toile de fond) pour gérer une épidémie est donc d’autant plus justifié que le produit incidence x mortalité est faible. Avant covid-19 cette stratégie du laisser faire était systématiquement appliquée dans les épidémies et pandémies de virus « nouveaux » (entre guillemets car un virus n’est jamais totalement nouveau puisqu’une mutation est toujours partielle). Ainsi chaque année des épidémies létales et dont la propagation connaît un stade exponentiel, sont finalement maîtrisées sans confinement général. Par conséquent, chaque année nous sommes confrontés au risque que le système hospitalier soit surchargé. Et certaines années cela est (légèrement) le cas, ce qui implique que des malades sont moins biens soignés voire pas du tout, et que certains en meurent.

Le nombre de ces décès est implicitement considéré comme « acceptable » au regard des coûts sociaux, économiques et politiques :

  • soit d’une surcapacité hospitalière garantissant qu’aucune épidémie ne provoque de surcharge (mais cela n’est pas prévisible …);
  • soit du recours systématique au confinement général (donc même pour les épidémies saisonnières), ce qui aurait pour effet d’instaurer quasiment chaque année le confinement général et le traçage des personnes (mais cela est-il politiquement, économiquement et socialement souhaitable ?) …

Dans les sections consacrées aux problématiques économiques et politiques de la gestion anti-épidémique nous analyserons cet arbitrage. Mais avant il nous faut détailler les différentes composantes de la gestion anti-épidémique.

Stratégie non pharmaceutique (SNP)

https://konfedera.org/gestion-epidemies#strategie-non-pharmaceutique

Nous allons ici traiter successivement des principes, de l’efficacité douteuse et des effets pervers de la stratégie non pharmaceutique (SNP), dont nous avions exposé les principes théoriques dans la section #SIR-strategies. Les éléments de cette stratégie sont : confinement, distanciation, masques, lavages.

Principes

Cette stratégie (qui à notre connaissance n’était mentionnée dans aucun article d’épidémiologie avant covid-19) s’applique aux épidémies se propageant par contacts interindividuels directs, et non par le biais d’un vecteur tel un moustique. Elle consiste à inciter voire forcer l’ensemble de la population à appliquer des mesures dites de « distanciation sociale » :

  • limiter le nombre de contacts : confinement général : fermeture des crèches et écoles, isolement des malades, suppression des rassemblements publics, réduction des mouvements de population, … ;
  • limiter la probabilité de contamination lors de contacts, par des mesures d’hygiène : lavage des mains, port de gants et masques de protection, maintient d’une distance de deux mètre entre individus.

Détail des mesures de confinement général : France ; Belgique.

Les partisans de cette stratégie affirment, sur base de modèles épidémiologiques tels que le modèle mathématique SIR, que celui-ci aurait pour effets [source] :

  • d’abaisser le sommet de la courbe épidémique ⇒ on réduit le risque que la capacité hospitalière soit dépassée par le nombre de cas sévères;
  • de retarder le sommet de la courbe épidémique ⇒ on gagne du temps pour augmenter la capacité hospitalière et en particulier le nombre de lits de soins intensifs (mais nous verrons que cet argument est erroné).

En théorie l’ensemble de ces mesures seraient très efficaces : appliquées pleinement elles permettraient de stopper l’épidémie en quelques semaines.

NB : dans le monde moderne (entendez « depuis la seconde guerre mondiale ») toutes les épidémies saisonnières s’éteignent naturellement en quelques semaines … sans confinement ni port du masque généraliés !

Le graphique suivant illustre le principe de fonctionnement du confinement général.reductionnisme-epidemie.gif

Confinement général : l’un télétravaille, l’autre ne se rend pas à ce barbecue, une troisième ne voyage pas en avion, et le dernier reste à la maison …

On notera que l’animation ci-dessus – qui illustre la stratégie de confinement général, consistant à abaisser la valeur de β – vaut aussi bien pour illustrer l’immunisation collective, ainsi que la stratégie « dépister & traiter » (si l’on suppose que la guérison est immunisante) consistant à abaisser la valeur de λ. Pour s’en rendre compte il suffit de remplacer le commentaire en-dessous de l’animation par « l’un est immunisé, l’autre est immunisé, une troisième est immunisée, et le dernier est immunisé » (de naissance, par immunité croisée, par guérison, par vaccin).

Dans le cas de virus « nouveaux », dont la virulence et la létalité sont donc inconnues (NB : … à supposer que ces notions aient un sens dans la réalité, ou autrement dit, que les paramètres des objets mathématiques les modélisant soient constants dans le temps et l’espace), la stratégie préventive qu’est le confinement général est fondée sur le principe de précaution c-à-d une spéculation : au moment où l’on décide d’appliquer ou non des mesures préventives (zone verte), moment qui se trouve proche de T=0, on ne sait pas avec précision (notions d’estimations hautes et basses de la propagation effective) quel sera ex post le positionnement relatif de la courbe épidémique par rapport à la capacité hospitalière.

capacites-hospitalieres.png

Selon le positionnement ex post des courbes par rapport à la capacité hospitalière (cf. graphique ci-dessus), ont pourra tirer l’une de trois types possibles de conclusion :

  • Capac. hospit. 1 : le coût social et économique de la stratégie de distanciation a permis de minimiser le nombre de malades ne pouvant être traités : la surface verte au-dessus de la ligne de capacité 1 est inférieure à la surface bleue au-dessus de cette ligne ;
  • Capac. hospit. 2 : le coût social et économique de la stratégie de distanciation a permis de réduire à zéro le nombre de malades ne pouvant être soignés : la surface verte est inférieure à la ligne de capacité 2, de sorte que l’on a pu éviter un nombre de décès équivalent à la surface bleus située au-dessus de la ligne de capacité 2 (on suppose que les malade non traités meurent) ;
  • Capac. hospit. 3 : le coût social et économique de la stratégie de distanciation fut inutile.
Vagues
suivantes

Le confinement général ayant pour effet de freiner le phénomène naturel d’immunisation collective, il en résulte (selon le modèle SIR) que lorsque ce confinement sera levé – parce qu’il aura ramené la valeur de Rt (taux de reproduction) en-dessous de 1, c-à-d que l’on aura dépassé le sommet de la courbe épidémique – celle-ci repartirait à la hausse dès que Rt sera repassé au-dessus de 1. On pourrait alors « s’inscrire », selon le modèle SIR, dans un cycle de confinements et dé-confinements, qui durera tant que l’on aura pas développé de médicament spécifique ou de vaccin (ce qui est impossible en moins de trois ans), ou tant que la réglementation médicale pénalisera l’usage de médicaments non spécifiques pour réduire la charge virale des infectés.

Les adeptes de l’épidémiologie mathématique, prisonniers de leur « logique », sont ainsi conduits dans un enfermement cognitif : c’est le confinement qui fait baisser l’épidémie, donc si on lève le confinement alors l’épidémie repart à la hausse. Ces croyants ne voient plus la réalité des faits historiques (le confinement général n’a jamais été appliqué dans le monde moderne) mais seulement les « prévisions » de leur modèle.

Ce cycle de confinements et dé-confinements est un moindre mal, affirment les promoteurs de cette stratégie, car on aura ainsi pu retarder le sommet de la courbe épidémique, ce qui permet selon eux de gagner du temps pour augmenter la capacité hospitalière, ainsi que pour développer un médicament spécifique et/ou un vaccin.

Le problème est ici qu’il n’est pas possible, en moins de trois ans, ni d’augmenter substantiellement la capacité hospitalière (cf. le graphique de Ferguson), ni de développer un nouveau traitement ou vaccin réellement efficace (ce qui prend cinq fois plus de temps).

Capacités
hospitalières

Il n’est pas possible d’augmenter substantiellement en quelques mois la capacité hospitalière d’un pays. Construire les bâtiments est une chose, mais les équiper d’unités de soins intensifs requiert du matériel complexe et surtout du personnel compétent. Or ces ressources ne peuvent être créées en quelques mois, qui plus est si le système productif est entravé par un confinement général. Dans une situation de crise c-à-d d’urgence, ces ressources ne peuvent qu’être redistribuées entre hôpitaux. Or comme il n’est pas possible de prévoir les régions qui seront en surcharges et celles qui ne le seront pas, cette réallocation ne peut être réalisée que dans l’urgence, ce qui rend sa faisabilité peu réaliste, qui plus est si le système productif est entravé par un confinement général. Les affirmations des gouvernements qui ont prétendu l’avoir fait (et alors qu’ils n’étaient pas même en mesure de gérer efficacement les seuls stocks de masques de protection) sont donc probablement mensongères et concernent au mieux des lits de soins non-intensifs.

Médicament
ou vaccin

Il n’est pas possible de développer un médicament spécifique ou un vaccin efficaces (et non nuisibles) en moins de deux ans (y compris l’autorisation de mise sur le marché), car cela prend d’habitude cinq à dix fois plus de temps ! En outre le confinement général allonge la durée de R&D, en entravant la production et distribution de biens et services qui lui sont indispensables. Pendant ce temps ce même confinement général aura fait des ravages, notamment sur la mortalité (cf. infra).

Les raisonnements développés dans cette section sur les principes du confinement général reposent sur l’hypothèse implicite que son efficacité ne serait pas qu’une spéculation théorique. Mais est-bien le cas ?

Efficacité de la SNP

https://konfedera.org/gestion-epidemies#efficacite-strategie-non-pharma

Les deux graphiques précédents présentant les principes de la stratégie non pharmaceutique (confinement, distanciation, masques, lavages) peuvent paraître pertinents, et l’on est alors tenté de croire que « oui, ça fonctionne bien comme cela, et le résultat obtenu est bien celui-là ». Cependant nous avons montré supra que les modèles mathématiques – dont les deux graphiques précédent illustrent la logique – ne sont eux-mêmes que l’illustration d’une thèse, ce qui n’en constituent nullement une démonstration. Pour démontrer une thèse il faut la confronter à la réalité des faits … qui en matière de maladie transmissible est extrêmement plus complexe qu’un système de trois équations, car liée aux écosystèmes.

Interrogé fin mars 2020 par le journal français Le Parisien sur l’efficacité du confinement général, le professeur Didier Raoult, premier expert mondial en maladies transmissibles selon l’indice expertscape, répond en ces termes : « Jamais on n’a pratiqué ainsi à l’époque moderne. On faisait ça au XIXe siècle pour le choléra à Marseille. L’idée du cantonnement des gens pour bloquer les maladies infectieuses n’a jamais fait ses preuves. On ne sait même pas si ça fonctionne. C’est de l’improvisation sociale et on n’en mesure pas du tout les effets collatéraux » [source].

L’analyse de l’efficacité de la SNP (confinement, distanciation, masques, lavages) doit distinguer deux cas selon que l’on considère :

  • le seul secteur hospitalier, qui est équipé de tout le matériel nécessaire et où les règles sanitaires sont strictement appliquées par des professionnels avec un haut niveau de formation;
  • l’ensemble des lieux publics et privés, où le matériel est moins disponible, où les règles sont appliquées moins strictement, et par des individus à formation de tous niveaux et domaines.

Or l’on constate que même en milieu hospitalier on n’arrive pas à neutraliser totalement les infections nosocomiales.

En effet, l’analyse de l’efficacité des mesures de neutralisation du risque d’infection soulève au moins trois questions :

  1. dans quelle proportion ces mesures permettent-elles d’abaisser le taux d’agents pathogènes par unité volumique dans l’espace ?
  2. dans quelle proportion la baisse du taux d’agents pathogènes par unité volumique se traduit-elle par une baisse du taux d’infections ?
  3. au regard de cette baisse du taux d’infections, les ressources consacrées à ce résultat ne seraient-elles pas plus productives si elles étaient allouées à d’autres aspects du service médical, par exemple les traitements (notion de coût d’opportunité) ?

En fait la seule certitude concernant les mesures sanitaires en milieu hospitalier c’est leur utilité juridique [source] et d’image de marque (NB : la concurrence joue aussi dans le secteur hospitalier).

On comprend alors pourquoi ces mesures sont très probablement illusoires lorsqu’il s’agit de les faire appliquer en tous lieux, en toutes circonstances, à tout instant et par tout le monde. Et cela alors que les plus fines particules expectorées peuvent rester en suspension dans l’air pendant plusieurs heures, donc y voyager au gré des courants d’air et se fixer n’importe où (et y rester infectieuses pendant plusieurs jours).

Ainsi le masque est à usage unique, et pour une durée de trois heures. Il doit être posé et retiré sans le toucher (!), ou bien avec lavage des mains avant et après le port (chaque fois !). Il ne doit jamais être porté sur le front, sur le cou ou dans la poche (ce que quasiment tout le monde fait …), au risque de contaminer son porteur en cas de repositionnement. [source].

Même dans un état totalitaire il ne serait pas réaliste de croire en l’efficacité de ces mesures. Il est donc particulièrement inquiétant de constater qu’une revue d’articles scientifiques réfutant l’efficacité des masques, réalisée par le physicien Denis Rancourt et publiée en avril 2020 sur researchgate.net fut censurée le mois suivant : archive.org – PDF

Interview de Denis Rancourt avant la censure (42m28s – mai 2020)

L’argumentation de researchgate.net pour « justifier » la censure de cette revue d’articles scientifiques est hallucinante et extrêmement inquiétante [email-rancourt-researchgate.pdf]. Voici la réaction de Denis Rancourt.

Réaction de Denis Rancourt après la censure (4m35s – mai 2020)

Enfin on tombe dans le délire le plus total avec l’obligation du port du masque même par les asthmatiques ! Ou encore avec la possibilité pour ceux-ci de porter plutôt une visière : ainsi donc il n’y aurait pas de propagation par les particules fines en suspension dans l’air ? On voit bien dans ces arguments contorsionnistes que les motivations réelles du port obligatoire du masque n’ont rien à voir avec la science.

Confinement

Quant au confinement proprement dit, on ne peut l’appliquer à une large population sur des périodes de plusieurs semaines car les gens doivent sortir au moins pour aller (i) chercher de la nourriture (sauf à constituer massivement des stocks, ce qui n’est pas gérable globalement) ; (ii) sur leur lieu de travail (les services qui peuvent être réalisés par télétravail ne représentent qu’une partie du PIB). Que ce soit sur leur lieu de travail comme dans leur domicile, il ne leur est pas possible d’appliquer en permanence la distanciation (un mètre cinquante), le port du masque et de gants, le lavage des mains (après chaque contact sans gants). À supposer que ces mesures soient appliquées parfaitement sur le lieux de travail (par exemple par le licenciement des réfractaires pour faute grave) il en résulterait un très forte baisse de productivité, de sorte que la production de biens et services vitaux pourraient ne plus être garantie.

Enfin, face à un virus, les mesures de confinement et d’hygiène peuvent-elle être d’une quelconque efficacité lorsqu’elles ne sont pas appliquées intégralement, par tous, en tous lieux, en toutes circonstances, 24h/24 ? Est-il raisonnable de croire qu’elles sont « quand même un petit peu efficaces même si on ne les applique que partiellement » ? Et dans l’affirmative, n’existe-t-il pas un niveau d’application partielle en-dessous duquel elles deviennent totalement inefficaces ? Dans ce cas, quel est ce niveau ? Enfin lorsque l’on compare ce faible résultat à son coût médical, économique et démocratique, demeure-t-il rationnel ? Jusqu’à l’année 2020 la réponse officielle et scientifique à cette question était non. Pourquoi ce brusque changement … ?

Bilan

La distanciation sociale n’est donc pas une stratégie pertinente, quelle que soit la thèse que l’on adopte concernant son efficacité :

  • à supposer que l’ensemble des mesures de la SNP (confinement, distanciation, masques, lavages) aient un effet substantiel sur la courbe épidémique lorsqu’elles sont appliquées intégralement, il faut pour cela maintenir un niveau minimum de discipline de la population en entretenant en permanence un climat de terreur via les médias « d’information », et en instaurant un régime policier fondé notamment sur la dénonciation des contrevenants. Mais voulons-nous d’une telle société ?
  • on notera d’autre part la paradoxale tolérance des gouvernements français [source] et belges [source1] par rapport aux manifestations anti-trump de début juin 2020 (donc avant l’extinction de l’épidémie) contre le racisme de la police US (et contre Trump) : ainsi donc l’interdiction des rassemblements est une question de vie ou de mort … sauf pour certaines manifestations ! Voilà qui met sérieusement en question la véritable motivation de la distanciation sociale (confinement et masque). Ces manifestations, dont de nombreux participants ne portaient pas de masque, n’ont d’ailleurs pas été suivies d’une remontée de la courbe épidémique, ce qui confirme que confinement et masque n’ont pas d’effet substantiel. Et pourtant un mois plus tard (11 juillet 2020) le gouvernement belge a rendu le port du masque obligatoire, sans doute pour « rentabiliser » les stocks achetés (après le sommet épidémique !) par ce même gouvernement qui avait fait déclarer l’inutilité des masques lorsque ceux-ci étaient indisponibles !

Didier Raoult sur le confinement et le masque (0m5s – juin 2020)

Selon le premier expert mondial en maladies transmissibles le confinement et le port du masque en public ne sont pas des décisions scientifiques mais politiques.

Et nous n’avons pas encore évoqué le gros point faible du confinement général : ses effets pervers …

Effets pervers de la SNP

https://konfedera.org/gestion-epidemies#effets-pervers-strategie-non-pharma

Les pouvoirs médiatique, académique et politique ne s’en sont jamais cachés : pour qu’un maximum de gens appliquent les mesures de la stratégie SNP (confinement, distanciation, masques, lavages) il faut faire peur à la population [exemple1exemple2]. La SNP implique donc la terreur, or celle-ci induit de graves effets délétères :

  • la panique, qui inhibe les capacités cognitives :

    • des médecins hospitaliers : ainsi plus de 50% de la mortalité attribuée à covid-19 serait causée par les intubations abusives ! [source];
    • des décideurs politiques : ainsi pour libérer des lits d’hôpitaux en prévision d’une prétendue « possible explosion » (sic) du nombre de malades sévères de la covid-19 il a été décidé d’isoler un maximum de vieillards dans les maisons de repos, or plus de la moitié des décès attribués à covid-19 ont eu lieu en dehors du milieu hospitalier, en l’occurrence essentiellement dans les maisons de repos [source p.10]; on peut classer ces décès en deux groupes selon leur niveau d’infection :

      • gravement infectés : décès par manque de soins, ces homes ne disposant ni du matériel ni du personnel formé pour soigner les cas graves [source];
      • peu ou pas infectés : nombreux décès provoqués par « l’effet de glissement » : privés d’affection familiale, terrorisés par les messages gouvernementaux ultra-anxiogènes et par les décès autour d’eux, beaucoup de vieillards se sont « laissés partir ».

  • le stress psychique, qui inhibe le système immunitaire (NB : ces effets sont démultipliés par l’isolement qu’implique le confinement);
  • la peur de la contamination, qui inhibe la demande et l’offre de services médicaux.L’agence de santé publique française notait dans son bulletin du 16 avril 2020 que « depuis le début de la période de confinement, l’activité toutes causes aux urgences a fortement diminué pour toutes les classes d’âges » [source].

D’autre part des effet d’entraves ont encore accru la mortalité attribuée à covid-19 :

  • une réglementation médicale pénalisant l’utilisation de médicaments non spécifiques même dans une situation « de crise » face à un virus « nouveau »;
  • le confinement général entrave la production & distribution de biens et services indispensables à la lutte contre l’épidémie (médicaments, respirateurs, …).
Conclusion

https://konfedera.org/gestion-epidemies#strategie-non-pharma-conclusion

L’analyse factuelle et logique à laquelle nous venons de procéder confirme les conclusions de l’analyse statistique (cf. supra #SIR-vs-covid19) : l’efficacité théorique du confinement général est non démontrée, fortement surestimée et peu probable, notamment en raison de ses effets pervers qui eux sont par contre très sous-estimés.

Appliquer malgré tout la distanciation sociale en vertu du principe de précaution relève du comportement magique car ce principe ne justifie aucunement d’appliquer des mesures irrationnelles. Il ne s’agit donc ni plus ni moins que d’une croyance irrationnelle, conduisant à un principe de précaution tout comme des gens vont à l’église ou à la mosquée dans l’espoir – sait-on jamais – d’être admis au paradis l’échéance venue (PS : au Moyen Âge le commerce des indulgences a d’ailleurs exploité ce type de croyance).

Les adeptes de l’épidémiologie mathématique rétorqueront que les victimes causées par ses effets nuisibles du confinement général sont moins nombreuses que les personnes qu’il protège supposément de la contamination.

Cependant les faits statistiques infirment cette thèse :

  • comparaison spatiale : le taux de mortalité fut plus élevé dans la région de Wuhan (où le confinement général fut appliqué) que dans le reste de la Chine (où le confinement général ne fut pas appliqué);
  • comparaison temporelle : les taux de mortalité des précédentes pandémies de virus « nouveaux » sont inférieurs à celui de COVID-19 « malgré que » (ou parce que) le confinement général ne fut pas appliqué.

La question demeure donc : pourquoi le confinement général fut-il appliqué pour covid-19 alors que selon Didier Raoult – un des premiers experts mondiaux en maladies transmissibles – cette pandémie n’avait rien d’exceptionnel, et que jamais dans le moderne le confinement n’a été appliqué pour neutraliser une épidémie (son efficacité n’ayant jamais été démontrée).

La réponse à cette question n’est pas de nature scientifique mais politique et économique. Il en a résulté que des gouvernements ont fortement aggravé la situation : la mesure historiquement exceptionnelle du confinement général a suscité la panique dans la population ⇒ effets pervers ⇒ aggravation de la létalité du virus. C’est typiquement un phénomène bien connu des économistes sous le nom de prophétie autoréalisatrice (« self-fulfilling prophecy »).

Stratégie pharmaceutique (SP)

https://konfedera.org/gestion-epidemies#strategie-pharmaceutique

Nous allons ici traiter de la stratégie pharmaceutique (SP), dont nous avions exposé les principes théoriques dans la section #SIR-strategies. Les éléments de cette stratégie sont : traitement, dépistage & confinement ciblés

Traitements
https://konfedera.org/gestion-epidemies#traitements

Nous parlons ici des traitements médicaux pharmaceutiques (c-à-d chimiques) et mécaniques (respirateurs, etc.), donc liés à stratégie SP, par opposition à la stratégie SNP qui est de nature préventive.

Symptomatique
vs curatif

On a souvent pour habitude de distinguer traitements symptomatiques vs curatifs d’une maladie, tout en distinguant ceux de nature préventive. Cependant cette approche dichotomique du traitement médical est simpliste :

  • symptomatiques : on peut favoriser la guérison naturelle en atténuant les symptômes (dans le cas de covid-19 : fièvre, toux et dyspnée) au moyen de médicaments habituels pour ces symptômes, donc éventuellement au moyen de médicaments non spécifiques à la cause des symptômes : selon des estimations le seul traitement symptomatique peut réduire de moitié le taux de mortalité [source].
  • curatifs : le traitement curatif peut être appliqué avant l’apparition de symptômes ; le traitement curatif d’une infection virale ou bactérienne consiste notamment à abaisser sa charge virale ou/et bactérienne en-dessous d’un niveau correspondant à (i) la contagiosité de l’infection et (ii) l’apparition des symptômes de la maladie.

Ressource : drugvirus.info.

Repositionnement

En situation d’urgence et en l’absence de vaccin ni traitement curatif spécifique, il faut concentrer les ressources scientifiques disponibles sur le « repositionnement » c-à-d la recherche de médicaments existants permettant de traiter le nouveau virus. L’avantage du repositionnement c’est que ces médicaments sont déjà agréés, donc immédiatement disponibles. En outre leurs effets secondaires, posologie et interactions sont connues. Dans le cas de covid-19 le repositionnement fut réalisé avec succès et une rapidité stupéfiante (qui a suscité beaucoup de jalousies …) par l’équipe du Pr. Raoult (sur base de recherches chinoises sur des médicament antipaludiques). Il a ainsi été confirmé que les pays qui utilisent principalement des médicaments antipaludiques comme traitement de covid-19 voient une dynamique plus lente des décès quotidiens, le nombre de décès parmi les cas critiques étant divisé par deux [source].

Une façon d’identifier des médicaments candidats pour un repositionnement est donnée par le cas de la Chloroquine : en Italie covid-19 se serait répandu essentiellement dans les régions qui avaient été touchées par le paludisme … dont la Chloroquine est un traitement [à confirmer par une source crédible].

L’efficacité de certains médicaments non spécifiques peut donc s’expliquer par au moins deux causes :

  • les mutations sont toujours partielles, de sorte qu’un virus (ou une bactérie) n’est jamais totalement « nouveau » (ou, autrement dit, les mutations mineures ne sont-elles pas la règle plutôt que l’exception ?) ⇒ la notion de familles de virus, pour lesquelles des médicaments non spécifiques à tous les membres sont efficaces;
  • des traitements symptomatiques – donc éventuellement au moyen de médicaments non spécifiques à la cause des symptômes – peuvent réduire de moitié le taux de mortalité.

Le repositionnement repose donc sur un savoir qui doit s’accumuler par la pratique. Ce fait plaide en faveur d’une certaine liberté de médication non spécifique, et cela pas seulement en période d’épidémie.

Médecine de guerre. Dans une situation de crise telle que la pandémie covid-19 – virus nouveau pour lequel il n’existe pas de médicament spécifique – l’utilisation immédiate de ces traitements non spécifiques devrait être appliquée dans des conditions moins strictes que celles habituellement requises (réplication des résultats par d’autres équipes, étude randomisée en double-aveugle, …). La situation s’apparente en effet à une situation de guerre, ce qui requiert logiquement l’application d’une médecine de guerre. Dans ce cas la primauté doit être redonnée temporairement aux médecins traitants (l’art de la médecine) sur la méthodologie scientifique applicable en situation hors crise (« temps de paix »).

On s’étonnera donc à juste titre de de l’accusation portée par le journal Le Monde à l’encontre du Pr. Raoult, premier expert mondial en matière de maladies transmissibles selon l’indice expertscape, que le journal a accusé de propager une « fake news » (sic) en annonçant les résultats d’une étude scientifique suggérant l’efficacité d’un traitement non spécifique pour covid-19 : source).

Diagnostiquer et traiter (18m25s – 16 mars 2020)

Selon Raoult il n’existe dès aujourd’hui aucune barrière autre que politique au dépistage et au traitement de covid-19 [fiches de la présentation].

Covid-19

France. L’équipe du Pr. Raoult recommande (et applique) l’association d’hydroxychloroquine (200 mg x 3 par jour pour 10 jours) et d’azithromycine (500 mg le 1er jour puis 250 mg par jour pour 5 jours de plus), dans le cadre des précautions d’usage de cette association (avec notamment un électrocardiogramme à J0 et J2), et hors AMM. Dans les cas de pneumonie sévère, un antibiotique à large spectre est également associé [source1 ; source2]. Ce traitement permettrait de réduire le temps de portage moyen du virus (durée entre le début et la fin de l’infection, et donc de la contagiosité possible) de 20 jours [source] à 6 jours. L’efficacité du protocole hydroxychloroquine+azithromycin a été confirmée par une étude publiée le 27 mai 2020 par le International Journal of Infectious diseases [source].

Chine. Les autorités chinoises ont autorisé l’utilisation :

  • du favipiravir (un médicament antigrippal dont l’utilisation clinique a été approuvée au Japon en 2014) après un essai clinique montrant une bonne efficacité contre covid-19 et n’ayant provoqué aucune réaction adverse [source];
  • des médicaments de la médecine traditionnelle chinoise [source].

Angleterre. En Angleterre le gouvernement a autorisé l’utilisation du dexaméthasone chez les patients les plus atteints [source].

Covid-19
cas « sévères »

Plus de 50% de la mortalité covid-19 serait causée par les intubations abusives ! « L’intubation serait trop facilement pratiquée chez patients Covid-19 selon une reco publiée dans The American journal of Tropical Medicine and Hygiene et citée par Stat, un journal américain en ligne. La sémiologie des pneumonies sévères en cas Sras-Co-2 serait différente de celle observée classiquement. L’hypoxie serait en fait mieux tolérée, notamment chez les patients de moins de 60 ans. Elle ne doit pas conduire à la mise en place systématique d’un respirateur artificiel. Certains médecins ont même recours à des dispositifs utilisés dans l’apnée du sommeil. Au total, les auteurs estiment à une réduction de la mortalité de plus de 50 % chez les patients Covid-19 grâce à la prescription moins fréquente de l’intubation » [source]. « Mortality rates for those who received mechanical ventilation in the 18-to-65 and older-than-65 age groups were 76.4% and 97.2%, respectively. Mortality rates for those in the 18-to-65 and older-than-65 age groups who did not receive mechanical ventilation were 1.98% and 26.6%, respectively » [source].

Voilà qui illustre les effets de la panique sur les capacités cognitives des médecins ! Il en résulte un effet de prophétie autoréalisatrice. La société ne pourra faire l’économie d’un procès du business de « l’info » et de ses scientifiques de plateau TV.

Dépistage

https://konfedera.org/gestion-epidemies#depistage

Définition. Par dépistage on entend le test d’une population, pour identifier les personnes infectées mais non symptomatiques (qui peuvent transmettre la maladie), et ainsi :

  • informer les personnes de leur état, voire les contraindre à une action (isolement, vaccination, …);
  • évaluer le taux d’immunité collective, ce qui requiert soit de tester 100% de la population (ce qui n’est pas souhaitable) soit de tester un échantillon supposé « représentatif de la population ».

Coût. À supposer que le dépistage soit pertinent (c-à-d faisable, efficace et souhaitable) il est cependant très coûteux :

  • en termes financiers ⇒ il doit être ciblé;
  • en termes démocratiques ⇒ son éventuelle obligation doit faire l’objet d’un référendum (organisé en période non épidémique).

Ciblage. Le dépistage devrait être ciblé sur deux types de « groupes à risque » :

  • type « blanc » : les personnes avec une haute probabilité de développer des symptômes sévères, par exemple des personnes âgées avec polypathologie chronique (hypertension, diabète, maladies cardiovasculaire, cancers, …) ;
  • type « noir » : les super-contaminateurs :

    • individus avec forte charge virale ;
    • individus avec nombre élevé de contacts (dans le temps et l’espace).

Il s’agit alors de :

  • isoler les groupes blancs ⇒ dépister au sein de ce groupe et diminuer la charge virale des positifs, même en l’absence de symptômes ;
  • dépister au sein des groupes noirs (par exemple les enfants) ⇒ isoler les positifs et réduire leur charge virale.

Les groupes à risque représentent souvent un faible pourcentage de la population.

Les groupes blancs sont immédiatement observables puisque c’est précisément leur apparition (les décès causés par l’infection virale) qui attire l’attention. Les groupes noirs peuvent alors être identifiés puis caractérisés par l’analyse du processus de contamination des membres du groupe blanc.

Quelques formes de tests :

  • le test PCR mesure la présence de l’ARN viral, attestant ainsi la contamination et son intensité; il est réalisé sur un prélèvement nasal;
  • le test sérologique (par exemple ELISA) mesure la présence d’anticorps dans le sang, (et partant l’immunisation);
  • imagerie (par exemple scanning des poumons dans le cas de covid-19) : permet de repérer des symptômes (mais avec plus d’incertitude que les tests quant à l’agent pathogène);
  • scanners rapides de la température corporelle; …

Recommandations du gouvernement français pour les prélèvement de dépistage par RT-PCR :

Si nécessaire les tests peuvent être proposés (ou imposés) dans les aéroports, ports et postes frontières. Et des cliniques ambulantes peuvent réaliser des tests partout sur le territoire, avec résultats envoyés par SMS le lendemain. Si possible le test peut être réalisé par les personnes elles-mêmes au moyen d’un kit disponible en pharmacie et dans les grandes surfaces.

Pas de
traçage

En Corée du Sud et en Chine, les personnes ayant eu des contacts avec des individus contaminés furent recherchées de manière systématique afin d’être testées à leur tour et confinées de force. Nous pensons cependant que c’est aller trop loin, et fut probablement motivé par des considérations plus politiques que scientifiques. Selon nous le traçage doit être volontaire et ne peut donc être imposé : c-à-d que si Alice accepte d’être tracée et qu’elle rencontre Bob qui n’a pas accepté d’être tracé, un contact entre Bob et Alice ne peut être enregistré.

Principe de précaution ?

https://konfedera.org/gestion-epidemies#principe-precaution

L’invocation du principe de précaution par les conseillers scientifiques de nombreux gouvernements pour « justifier » l’imposition de la stratégie préventive dite « non pharmaceutique » (confinement, distanciation, masques, lavages) est fallacieuse. En effet le principe de précaution ne consiste pas à appliquer une mesure incertaine sous prétexte qu’elle pourrait peut-être fonctionner, mais au contraire à ne pas appliquer une mesure sans être certain que ses effets pervers ne l’emportent pas sur ses supposés effets positifs.

Ainsi associer le principe de précaution à une obligation est absurde. Soit on applique le principe de précaution en recommandant aux gens d’appliquer telle ou telle mesure, soit on contraint la population d’appliquer une mesure mais dans ce cas il faut qu’il y ait certitude que des effets pervers ne l’emportent pas sur les effets positifs supposés.

La vidéo suivante compare l’analyse rationnelle du physicien Denis Rancourt aux propos hallucinants de l’épidémiologiste Yves Coppieters.

Covid-19 et principe de précaution : Rancourt vs Coppieters (2020- 2m5s)

Quelle stratégie appliquer ?

https://konfedera.org/gestion-epidemies#meta-strategie

Nous nous situons dans le cas d’une pandémie d’un virus « nouveau » (« worst case« ) :

  1. Cette situation n’est pas nouvelle, et fut chaque fois gérée avec succès dans le monde moderne sans recourir au confinement, distanciation et port du masque généralisés.
  2. Toutes les épidémies s’éteignent naturellement avant d’avoir contaminé 100% de la population. Et la plupart avant même d’avoir atteint le taux d’immunité collective, pour des raisons encore inconnues mais très probablement liées au virus lui-même et/ou aux écosystèmes dans lesquels il évolue. Sans ce phénomène comment la population mondiale aurait-elle pu croître ?
  3. Le recours à des modèles épidémiologiques à des fins de suivi épidémique et de pilotage de gestion anti-épidémique doit être absolument rejeté car :
    • dans le cas des virus « nouveaux », leur paramètres sont inconnus et ne peuvent être évalués en temps réel (c-à-d en cours d’épidémie) en raison de biais de mesure ne pouvant être corrigés qu’une année après le début supposé de l’épidémie;
    • pour la plupart des virus, connus ou non, les paramètres ne sont stables ni dans le temps ni dans l’espace, en raison de la nature écosystémique c-à-d complexe des phénomènes infectiologiques.

    On constate d’ailleurs une très forte propension de ces modèles (ou de leur paramétreurs ?) à produire des « prévisions » qui s’avèrent in fine de gigantesques surestimations du taux de mortalité des épidémies.

  4. Il résulte du point précédent qu’il est irrationnel d’appliquer une politique de gestion épidémique d’urgence de type préventive c-à-d la stratégie SNP (confinement, distanciation, masques, lavages généralisés). Est rationnelle la stratégie pharmaceutique (SP), qui est réactive.N.B. Aucun manuel d’épidémiologie sérieux ne recommande l’application généralisée de la stratégie SNP. Il n’existe d’ailleurs pas de critère objectif permettant de déterminer un niveau de risque de mortalité au-delà duquel il faudrait appliquer la stratégie SNP, et en-dessous duquel cela ne serait pas nécessaire.
  5. Dans le cas d’épidémie de virus « nouveau », donc en l’absence de traitement spécifique, il faut utiliser des médicaments non spécifiques (« repositionnement« , médecine de guerre). Dans la mesure où il s’agit là d’un savoir qui doit s’accumuler par la pratique, la réglementation devrait veiller à rendre celle-ci possible.
  6. Le dépistage est utile mais très coûteux :
    • en termes financiers ⇒ il doit être limité aux groupes blancs et noirs (cf. section précédente);
    • en termes démocratiques ⇒ son éventuelle obligation doit faire l’objet d’un référendum (organisé en période non épidémique).

    On peut résumer comme suit ses principes d’application :

    • s’il existe des groupes à risque ⇒ dépistage ciblé au sein des seuls groupes à risque noir et blanc ;
    • si toute la population est également à risque ⇒ dépistage massivement ⇒ confiner et traiter les seuls positifs.

  7. Étant donné qu’il suffit qu’augmente le nombre de tests réalisés (par exemple suite à l’annonce de « prévisions » catastrophistes) pour qu’apparaisse une « seconde vague », il résulte de cet effet de recensement que la gestion anti-épidémique doit évidemment être pilotée en fonction du taux de mortalité (toutes causes) par rapport à la population, et surtout pas en fonction du taux d’infections.Prendre en compte l’intelligence collective (juin 2020- 0m52s)
  8. Enfin concernant la problématique internationale de la gestion épidémique je n’ai à ce jour lu aucun argument scientifique justifiant de façon convaincante la fermeture des frontières. Cela n’est pas très étonnant puisque cette mesure revient in fine à appliquer le confinement aux nations. Il s’agit là encore d’une stratégie de nature politicienne et non pas scientifique.

Analysons maintenant pourquoi dans le cas de covid-19 ces principes évidents et connus depuis des dizaines d’années n’ont pas été appliqués.

covid-19 : analyse d’un délire collectif

https://konfedera.org/gestion-epidemies#covid-19-analyse-delire-collectif

Cette section est composée de deux parties. La première compare vérité médiatique et réalité statistique. La seconde identifie les agents du délire collectif autour de covid-19 ainsi que leurs possibles motivations.

QUOI : Info vs réalité

https://konfedera.org/gestion-epidemies#info-vs-realite

Cette section est composée de trois parties :

Charge hospitalière

https://konfedera.org/gestion-epidemies#charge-hospitaliere

Dans la section #SIR-parametrage-fin-confinement nous avons vu que la charge hospitalière liée à covid-19 a atteint un maximum de 16% en Belgique, pays où le taux de mortalité de covid-19 fut le plus élevé au monde. Les quotidiennes « informations » assénées quotidiennement, selon lesquelles les capacités hospitalières étaient « au bord de la rupture », étaient donc soit biaisées (cas particuliers médiatisés comme fait général) soit tout simplement mensongères (nous analyserons les possibles motivations de ces malversations dans la section #agents-delire-covid19).

covid-19 : hôpitaux débordés … vraiment ? (1m7s – avril 2020)

On notera d’autre part que plus de la moitié des décès ont eu lieu en dehors du milieu hospitalier, en l’occurrence essentiellement dans les maisons de repos ! [source p.10]. Et cela parce que, mis sous pression par le catastrophisme extrêmement agressif des médias « d’information » [exemple], le gouvernement a paniqué et pris la décision absurde d’interdire aux maisons de repos d’hospitaliser leurs résidents quel que soit le problème qu’ils avaient ! source].

Mortalité toutes causes

https://konfedera.org/gestion-epidemies#mortalite-toutes-causes

L’évolution de la mortalité toutes causes montre une régularité cyclique, sous la forme d’une sinusoïdale calquée sur les saisons annuelles. Cette dynamique est due principalement aux variations des propriétés physico-chimiques de température et d’humidité de l’air, qui influencent le métabolisme des organismes vivants ainsi que la propagation des virus et bactéries.

Ainsi dans le graphique suivant la courbe hachurée inférieure montre que la mortalité globale est relativement constante d’une année à l’autre, avec le sommet en début d’année et le creux en milieu d’année. NB : ce ne sont pas les hauteurs maximales de la courbe qui sont déterminantes mais la surface en-dessous, sur des périodes identiques (mortalité « intégrale »). Si l’on prend chaque fois la période commençant vers octobre de l’année précédente on voit que la surface de 2020 est légèrement supérieure à celle de 2018 ou de 2017.

La tendance sur les pics des années 2017 à 2019, étant baissière, suggère que la mortalité en 2020 aurait été inférieure à celle de 2019 s’il n’y avait eu la panique et le confinement général. Cependant on ne peut ici inférer le futur à partir du passé.

Mortalité toutes causes en Europe (janvier 2016 à 29 juin 2020)mortalite-toutes-causes-europe.png

Source

Quelle est la cause de ce pic très élevé et très fin de 2020, jamais observé lors des précédentes épidémies ? Et pourquoi est-il observé même chez les adultes de moins de 65 ans ?

Pour tenter de répondre à cette question constatons un premier fait atypique : ce pic n’est observé que dans environ 50% des pays européens ! Deuxièmement il apparaît en même temps (troisième semaine de mars 2020) et juste après la mise en confinement et la recommandation faite par l’OMS de préparer les hôpitaux à des afflux massifs de patients nécessitant une aide respiratoire. Cela suggère donc que c’est le mode de gestion épidémique qui a provoqué le pic, et non pas le virus ! Des faits documentés confirment cette thèse :

  • en Belgique, où plus de la moitié des décès ont eu lieu en dehors du milieu hospitalier, en l’occurrence essentiellement dans les maisons de repos [source p.10], celles-ci avaient reçu instruction du gouvernement de ne plus hospitaliser leurs résidents quel que soit le problème qu’ils avaient ! [source];
  • plus de 50% de la mortalité covid-19 serait causée par les intubations abusives : « Mortality rates for those who received mechanical ventilation in the 18-to-65 and older-than-65 age groups were 76.4% and 97.2%, respectively. Mortality rates for those in the 18-to-65 and older-than-65 age groups who did not receive mechanical ventilation were 1.98% and 26.6%, respectively » [source].

Étudions maintenant le rapport entre mortalité covid-19 et mortalité toutes causes.

Polypathologies

Abstraction faite des décès causés par la mauvaise gestion épidémique, la plupart des décès des personnes positives à covid-19 sont en réalité causés par des pathologies chroniques (hypertension, diabète, maladies cardiovasculaire, cancers, etc). À nouveau la mortalité est abusivement attribuée au virus alors qu’elle résulte ici de la combinaison de ces affections.

Le tableau suivant montre les dix premières causes de mortalité dans le monde. On constate que la plupart sont très impliquées dans la mortalité attribuée, à tort ou à raison, à covid-19.mortalite-mondiale-causes.png

Source : OMS.

La létalité de covid-19 est très faible pour des personnes saines : le cas du navire de croisière US Diamond Princess suggère ainsi un taux de létalité (morts/infectés) de seulement 1% pour les personnes âgées en bonne santé [source].

Didier Raoult – premier expert mondial en maladies transmissibles selon le classement expertscape – rappelle qu’il y a une surmortalité saisonnière, que l’on a attribuée à la grippe pendant très longtemps, et qui en réalité représente probablement toutes sortes de mortalités associées à des infections virales y compris leur conséquences [source]. Ainsi près de 30% des cas suspects de covid-19 seraient en réalité des grippes … [source].

Regroupement
statistique

Par conséquent, si tous ces décès sont classés comme comme « décès par covid-19 » – donc y compris ceux qui sont en réalité des « décès avec covid-19 » – il en résulte que le taux de mortalité de covid-19 surestime la réalité, et sera donc revu à la baisse dans les mois à venir. Il est donc possible que les statistiques de mortalité globale de 2020 seront caractérisées par un nombre anormalement bas de décès causés par le diabète, les crises cardiaques, les cancers, etc, qui auront été classés comme « décès par coronavirus » plutôt que « décès avec coronavirus ».

Méthodes
de calcul

La source du graphique de mortalité toutes-causes en Europe supra est euromomo.eu, une agence nationale danoise, qui centralise les données en provennce d’agences nationales d’autres pays européens [liste des partenaires]. Cependant la comparaison des graphiques pour la France montre que la « méthode de calcul » utilisée peut donner une image très différente, du moins pour l’année 2020 … (NB : il faut comparer la surface en-dessous de la courbe sur des périodes de mêmes longueur et dates : notion de mortalité intégrale).

Mortalité toutes causes en France (janvier 2016 à juin 2020) selon la sourcemortalite-toutes-causes-france-comparaison.png

Sources : euromomo.eu – insee.fr

Il faut alors se poser des questions sur la validité du graphique supra concernant la mortalité toute cause sur l’ensemble de l’Europe : comment se fait-il que le maximum relatif de 2020 pour l’Europe montre un maximum relatif si proche de celui de la France (pays avec une des plus fortes mortalités en 2020) alors que – comme nous allons le voir dans la section suivante – la moitié des pays européens n’ont pas de surplus de mortalité en 2020 … ?

Différences entre pays

https://konfedera.org/gestion-epidemies#mortalite-differences-entre-pays

Faits

Il est extrêmement étonnant de constater qu’aucun pic notable de mortalité n’a été constaté durant la « pandémie de covid-19 dans près de la moitié des pays européens, alors qu’au même moment on observait un pic historique dans les autres pays … [source] :

  • pas de pic notable : Allemagne, Autriche, Danemark, Finlande, Grèce, Hongrie, Norvège, Portugal;
  • pic historique : Angleterre, Belgique, Espagne, France, Hollande, Italie, Suède, Suisse.

Ce fait suggère que la cause de cette dichotomie ne serait pas naturelle mais liée à la gestion de l’épidémie.

Causes

Les maladies transmissibles constituent un phénomène d’écosystème, c-à-d extrêmement complexe (grands nombre de facteurs, relations non linéaires, effets de rétroaction, etc) qui peuvent expliquer que dans deux pays voisins une même pandémie pourra avoir des effets très différents. Parmi ces facteurs de différenciation il y a probablement :

  1. la capacité hospitalière, l’intuition suggérant une corrélation négative avec le taux de mortalité;
  2. la densité de population, l’intuition suggérant une corrélation positive avec le taux de mortalité;
  3. les pratiques culturelles;
  4. les particularités régionales aléatoires, comme par exemple les nombreuses affections respiratoires chroniques en Chine en raison de la pollution atmosphérique, ou encore en Iran suite aux intoxications chimiques durant la guerre contre l’Irak;
  5. le type de stratégie anti-épidémique appliquée et son intensité; …

Par conséquent lorsque l’on étudie les causes de différences d’incidence d’une même pandémie entre pays, il faut pouvoir déterminer la part de chacun des ces facteurs. Dans les cinq ci-dessus la dernière a une particularité importante qui la distingue des autres : elle peut être changée du jour au lendemain.

Capacité
et densité

Sur base des statistiques de mortalité covid-19 actuelles l’analyse statistique ne révèle pas de corrélation significative, ni avec le taux de lits de soins intensifs, ni avec la densité de la population [source]. Ces résultats contre-intuitifs sont-ils observés chaque année (une possible explication étant la nature multifactorielle des maladies transmissibles) ou bien sont-ils une exception ?

Pratiques
culturelles

Une différence dans la consommation d’un aliment particulier peut avoir pour effet que telle substance se retrouvant dans les organismes en quantités moyennes très différentes entre deux pays pourra avoir pour effet des sensibilités différentes par rapport à un virus ou une bactérie. D’autres habitudes culturelles comme le fait de cracher par terre peuvent se traduire par une propagation plus rapide d’un agent pathogène. Et l’on peut probablement trouver d’autres exemples presque à l’infini …

Stratégie
nationale

Notre analyse statistique (dont la taille de l’échantillon doit être élargie) suggère une certaine corrélation positive entre taux de mortalité et stratégie SNP (mesurées en degrés de confinement) : les pays ayant appliqué une stratégie de confinement fort (degré 3/3) – c-à-d le confinement général – ont généralement un taux de mortalité supérieur à celui observé dans les pays ayant appliqué un confinement faible (degré 1/3) – c-à-d le confinement ciblé sur les seuls groupes à risque.

Mortalité vs stratégie SNP (confinement)mortalite-SNP.png

Source

Les données du graphique proviennent du tableau ci-dessous : les carrés représentent les pays de la colonne A, les valeurs d’abscisse correspondent à la colonne B, et les valeurs d’ordonnée à la colonne E.

Mortalité vs stratégiesmortalite-vs-strategie-tableau.png

SNP : stratégie non pharmaceutique (confinement)
1 : confin. faible – 2 : confin. moyen – 3 : confin. fort
SNP : stratégie pharmaceutique (dépistage & traiter)
Source

Le cas de la Suède est très intéressant : bien que faisant partie du groupe 2 (SNP), son taux de mortalité est relativement élevé, ce qui pourrait s’expliquer par le fait que le taux de dépistage (stratégie SP) dans ce pays est très bas. La Belgique est un autre cas intéressant : ce pays, dont le taux de mortalité attribué à covid-19 est le plus élevé, est passé de SP(1) à SP(2) durant le mois d’avril.tests.png

Source

Cependant on ne distingue pas de corrélation notable entre taux de mortalité et stratégie SP (dont l’intensité est mesurée en nombre de tests par 1000 hab.). Cela avoir deux causes possibles : (i) le nombre encore limité de pays repris dans le tableau (nous allons l’augmenter) ; (ii) le nombre de test est un moins bon indicateur de la stratégie SP que le degré de liberté des médecins d’appliquer des traitements non spécifiques.

Mortalité vs stratégie SP (dépister & traiter)mortalite-SP.png

Source

Pour illustrer la thèse d’une corrélation positive de la stratégie SNP, et négative de la stratégie SP relativement au taux de mortalité, nous utilisons l’indice combiné niveau de confinement – niveau de nombre de tests (⇒ échelle de 1-3=-2 à 3-1=2). Nous trouvons effectivement une corrélation positive, mais faible (< 0,5).

Ainsi, confrontés à un virus nouveau les pays dont la législation médicale est très restrictive en matière d’autorisation de médicaments (interdiction d’utiliser des médicaments non spécifiques même pour traiter un virus nouveau) auront par conséquent un faible niveau de SP (et donc une valeur relative élevée pour le paramètre λ du modèle SIR). Le gouvernement peut alors être tenté de compenser par un fort niveau de SNP, ce qui a théoriquement pour effet d’abaisser la valeur du paramètre β, mais selon nous d’augmenter la mortalité en raison d’une part de l’inefficience pratique du confinement général (cf. supra #efficacite-strategie-non-pharma), et d’autre part de ses effets pervers (cf. supra #effets-pervers-strategie-non-pharma).

Mortalité vs stratégie SNP(+) + SP(-) (dépister & traiter)mortalite-SNP+SP.png

Source

Covid-19 : Les mensonges de l’OMS (Prof. Denis Rancourt) (38 min. – 2020)

Nous sommes arrivés ici à la fin de l’analyse statistique du phénomène covid-19, qui confirme la thèse selon laquelle c’est la panique et le confinement général, et non le virus, qui constitueraient la cause essentielle de surmortalité (modérée) de covid-19 dans certains pays. L’analyse statistique permet de mesurer rationnellement un phénomène et d’ainsi corriger nos perceptions, qui sont très influencées par les médias de masse. Ce qui nous conduit à la section suivante …

Agents du délire collectifs

https://konfedera.org/gestion-epidemies#agents-delire-covid19

Nous allons ici montrer que le délire collectif autour de covid-19 fut une parfaite illustration :

  • de ce que les phénomènes sociaux sont généralement multifactoriels ;
  • d’un effet « boule de neige », c-à-d cumulatif, par lequel les facteurs originels en induisent d’autres, qui renforcent les premiers par boucle de rétroaction.

Nous allons analyser les agents de ces phénomènes en distinguant agents sources (la vague) et agents induits (les surfeurs, qui ont pour effet d’amplifier la vague) :

  1. agents sources :

    • entreprises « d’information »;
    • atlantisme anti-chinois;

  2. « surfeurs » :

    • scientifiques de plateaux TV;
    • personnel médical;
    • gouvernements.

Entreprises « d’information »

https://konfedera.org/gestion-epidemies#catastrophisme-mediatique

La concurrence que représentent les médias sociaux pour les entreprises « d’information » incite ces entreprises à toujours plus de catastrophisme (« biased news ») afin de doper l’audimat et partant les revenus publicitaires. Ainsi dans le cas de l’épidémie covid-19 ces médias « professionnels » ont annihilé chez les infos-dépendants toute capacité d’analyse des faits statistiques, en les matraquant de messages catastrophistes focalisant sur des cas particuliers (exemple) mais en passant sous silence le fait que chaque année on observe de tels cas dits « atypiques » rien qu’avec la grippe saisonnière.

Les médias ont également dénigré des informations contrecarrant le très rémunérateur catastrophisme (audimat = revenus publicitaires). Ainsi le journal Le Monde a accusé Didier Raoult – premier expert mondial en matière de maladies transmissibles – d’avoir propagé des « fake news » dans sa vidéo annonçant la disponibilité d’un traitement de l’infection à covid-19 [source] !

covid-19 : hyper-hystérisation (8m03s – 2020)

Voici le témoignage surjoué de Christine Borowiak, une journaliste de la RTBF (télévision publique belge) qui s’est rendue à l’hôpital pour des symptômes grippaux. Seule différence, le nom de cette maladie est covid-19.

Atlantisme anti-chinois

https://konfedera.org/gestion-epidemies#atlantisme-anti-chinois

Une autre force de fond, et tout aussi manifeste, fut le biais anti-chinois des entreprises « d’information » occidentales (pudiquement dénommée « presse »). Les parts de marchés gagnées par la Chine dans le commerce international depuis le début des années 2000 poussent les pays occidentaux à abandonner le principe de libre échange. Ce points sera développé plus loin (#contexte-economique). Nous allons ici nous concentrer sur la réaction du gouvernement chinois face à cette campagne médiatique, alors que la Chine fut la source de l’épidémie de covid-19.

Il suffit de suivre la presse chinoise (peopledaily.com.cnnews.cnscmp.com) pour constater que le gouvernement chinois est extrêmement sensible à son image internationale. Selon notre analyse, s’inspirant de la technique du judo (exploiter l’attaque – ici médiatique – de l’adversaire), le gouvernement chinois a ainsi surfé sur la vague médiatique (voire même l’aurait amplifiée) pour positionner la Chine en champion de la gestion des épidémies, une fois la « bataille » gagnée « avec brio », et d’autant plus facilement que l’épidémie n’avait rien d’exceptionnelle. Ainsi le confinement général de l’agglomération de Wuhan (foyer de l’épidémie) – visuellement très spectaculaire – n’avait aucune nécessité de santé publique, mais fut motivé par des raisons d’image du gouvernement chinois dans l’opinion publique étrangère, et aussi semble-t-il pour des raisons de politique intérieure, liées aux relations entre pouvoir central et régions.

Scientifiques de plateau TV

https://konfedera.org/gestion-epidemies#scientifiques-de-plateaux-TV

Les entreprises « d’information » n’ont aucune peine à attirer sur leur plateau ou dans leurs colonnes des scientifiques considérant être injustement méconnus, et espérant que la fréquentation des plateaux de télévision et les contributions dans les colonnes de la presse écrite, leur permettra – en alimentant le catastrophisme – d’enfin briller sous les spotlights. Il existe d’ailleurs dans le jargon des médias « d’information » professionnels un terme pour dénommer ces experts : des « bons clients » [exemples pour la Belgique].

Spectacle médiatique. Le temps d’antenne et l’espace rédactionnel sont limités par de fortes contraintes liées à l’audimat et aux proportionnels revenus publicitaires. Il en résulte que le discours de ces scientifiques est simplifié à outrance, ce qui facilite son détournement en « biased news » à des fins économiques ou politiques.

Incompétents ou
charlatans ?

À la question « s’agit-il d’incompétence ou de compromission ? » on pourrait être tenté de répondre qu’il s’agit de compromission étant donné le haut niveau de formation de ces scientifiques. Cependant il ne faut pas sous-estimer la possibilité d’une gigantesque incompétence chez certains scientifiques spécialisés dès qu’ils sortent de leur domaine de compétence. Ainsi un sommet d’absurdité fut atteint en Belgique par le très médiatisé Marc Van Ranst, professeur à la Katholieke Universiteit Leuven lorsqu’il s’est exprimé en faveur, si nécessaire, d’un confinement « à la Wuhan » (foyer de l’épidémie en Chine) c-à-d d’un couvre-feux (!) national [source]. Ce faisant le virologue oublie (i) que grâce aux cellules locales du Parti Communiste – dont il n’existe aucune organisation équivalente en Europe – les habitants de toute la province du Hubei étaient dépistés et ravitaillés (nourriture et médicaments) [source], (ii) que cette province était approvisionnée par les provinces chinoises environnantes, ce qui ne pourrait être le cas en Europe, vu l’absence flagrante de solidarité et de coordination au sein de l’UE. C’est donc à un effondrement de la société belge qu’aurait conduit une telle mesure. Comment se fait-il qu’après avoir énoncé de telles inepties ce scientifique ait pu conserver la moindre crédibilité ?

Personnel médical

https://konfedera.org/gestion-epidemies#delire-collectif-soignants »

La politique « libérale » de l’UE a pour effet d’asphyxier les entreprises publiques du service public en réduisant progressivement leur financement public. Il en résulte des conditions de travail de plus en plus difficiles pour le personnel médical ⇒ dégradation de la qualité des services ⇒ les citoyens sont ainsi poussés vers des entreprises privées plus chères [ France : L’hôpital public au bord de la crise de nerfs (avril 2018) ; Belgique : Hôpitaux publics bruxellois: le ras-le-bol des blouses blanches (juin 2019) ]. Dans le contexte catastrophiste de covid-19, certains médecins et infirmières ont pu amplifier l’effet boule de neige en cédant à la panique (crainte de surcharge au pic de l’épidémie) ou en exagérant leur situation pour revendiquer plus de moyens financiers pour les hôpitaux.

covid-19 : hôpitaux débordés … vraiment ? (1m7s – avril 2020)

Gouvernements

https://konfedera.org/gestion-epidemies#delire-collectif-gouvernements »

Une fois mis au pied du mur par l’hystérie médiatique, la plupart des gouvernements s’y soumettent. Peut être certains décideurs politiques (ou leurs « sponsors » …) ont-ils aussi vu dans l’hystérie collective une opportunité pour faire avancer des mesures controversées (protectionnisme, politique anti-immigration, vaccination obligatoire, traçage de nos relations, …) ?

Quoi qu’il en soit la méthode utilisée – consistant à terroriser la population (et de façon très hypocrite, comme le montre l’extrait vidéo ci-dessous) – est inacceptable.

Comment un gouvernement terrorise la population (1m07s – mars 2020)

Chaque jour à 11 heures le gouvernement belge organisait une conférence de presse, présentée par des scientifiques, et consistant essentiellement (i) à mentionner le nombre de nouveaux décès ; et (ii) à répéter inlassablement les mêmes instructions. Or citer chaque jour le nombre de nouveaux décès sans les placer en perspective (notamment par rapport au nombre quotidien de victimes de la grippe saisonnière) n’a aucune valeur informative, et ne peut avoir pour effet que de terroriser la population.

Des pratiques telles que celle illustrée par la vidéo ci-dessus mettent gravement en question la crédibilité des gouvernements et de la communauté scientifique (le monsieur qui parle dans la vidéo ci-dessus est un scientifique qui fut ultra-médiatisé par la presse belge, et d’une façon qui n’est pas sans rappeler la création de « héros nationaux » par les régimes totalitaires : exemple). Leur volonté manifeste d’attiser la peur par des effets de focalisation pose une question légitime : quelles autres pratiques manipulatoires les gouvernements sont-ils prêt à appliquer pour convaincre la population d’accepter, par exemple, le traçage de leurs relations privées ? Ainsi parmi ces autres mesures il y a-t-il la modification de statistiques « pour le bien de la population » ?

  • Un autre exemple flagrant de manipulation sémantique apparaît dans les articles de presse évoquant le traçage « des malades » plutôt que celui « des citoyens » en général [vérifier]. Or par définition le traçage ne se limite pas qu’aux malades car si ceux-ci étaient identifiables en tant que tels le traçage ne serait plus nécessaire.
  • Les manipulations de l’opinion publique par des scientifiques « respectables et bien-pensants » existent dans d’autres domaines que l’épidémiologie, comme en témoigne cet exemple dans le domaine de l’écologie.

Contexte économique

https://konfedera.org/gestion-epidemies#contexte-economique

Diverses forces économiques ou idéologiques ont pu jouer un rôle substantiel dans le phénomène de surmédiatisation catastrophiste de covid-19.

Concurrence chinoise

Depuis 2015 la Chine est la première puissance économique mondiale en terme de PIB mesuré en PPA [source]. Il suffit d’observer les messages anti-chinois propagés par les entreprises « d’information » occidentales pour constater que cette concurrence déplaît fortement aux classes dirigeantes des pays atlantistes. Alors que jusqu’au début des années 2000 le libre-échange international était la pierre angulaire de l’idéologie atlantiste, on assiste à un rétro-pédalage intégral de la part des pays atlantistes depuis que cette logique se retourne contre eux. Pour « justifier » ce retournement de veste, la prégnance du réchauffement climatique et le risque épidémique ont manifestement été amplifiés par les entreprises « d’information » occidentales ainsi que par les dites « organisations non gouvernementales ».

Sur l’exploitation médiatique du réchauffement climatique : allocation-universelle.net/developpement-durable#rechauffement-climatique.

Mondialisation ? La modification actuelle des rapports de forces commerciales ne doit pas être confondue avec la mondialisation des échanges, qui est un phénomène ancien. Le transport maritime intercontinental est florissant depuis plusieurs siècles, et le transport intercontinental par avion existe depuis huit décennies [source]. Par conséquent il est faux d’affirmer qu’il y aurait depuis quelques années une augmentation de la propagation des épidémies en raison de la mondialisation. Les épidémies ne sont ni plus nombreuses ni plus virulentes. Par contre leur suivi statistique et la médiatisation de ce suivi ont augmenté exponentiellement depuis les années 1990 (début d’Internet grand public), avec tous les biais de mesures et d’interprétations qu’illustre le phénomène sociologique covid-19 (cf. supra #suivi-temps-reel).

Big Data & Pharma Inc.

https://konfedera.org/gestion-epidemies#big-pharma-data

En suscitant une paranoïa collective la décision d’imposer le confinement général a fortement stimulé le marché des vaccins ainsi que celui du big data (le traçage des individus est une source de revenus gigantesques pour les entreprises qui collecteront et revendront ces données). Le « LancetGate » illustre parfaitement les dérives auxquelles peut conduire l’appât du gain.

LancetGate

Surgisphère est une société de Big Data dont les données mensongères ont été utilisées pour produire (en mai 2020) deux articles scientifiques discréditant l’hydroxychloroquine comme traitement de covid-19 [article-1article-2]. Parmi les auteurs de ces deux articles figurent Sapan S. Desai, fondateur de Surgisphère, et Mandeep Mehra, qui avait collaboré avec la société pharmaceutique Gilead Science. Mehra a menti en déclarant n’avoir pas de conflits d’intérêts : en avril 2020 il avait participé à une conférence sponsorisée par Gilead et concernant Covid-19 [source]. Des conflits d’intérêt entre Mehra et des entreprises pharmaceutiques, dont Gilead et Bayer, avaient été mentionnés en 2013 [source]. Malgré le caractère évident des fraudes (cf. vidéo ci-dessous) les deux articles de mai 2020 furent publiés dans des revues scientifiques réputées : The Lancet pour le premier article et New England Journal of Medicine pour le second. Ces revues furent contraintes de se rétracter [rétractation-1rétractation-2].

Commentaires de Didier Raoult sur le « LancetGate » (15m26s – 2 juin 2020)

Fin juin 2020 l’Agence européenne des médicaments (EMA) publia un avis recommandant l’autorisation du Remdesivir, un médicament concurrent de la Chloroquine (et beaucoup, beaucoup plus cher) produit par … Gilead [source] ! En avril 2020, la même EMA avait publié un avis défavorable à la Chloroquine [source], alors que sur la seule année 2019 trente six millions de comprimés de ce médicaments avaient été consommés dans le monde, sans ordonnance [source] !

De nombreux chercheurs du secteur médical sont intoxiqués par des sources d’informations « scientifiques » formatées et conditionnées par l’industrie pharmaceutique, et ont en outre des conflits d’intérêt avec elle.

Enfin on notera à quel point la gestion de covid-19 par de nombreux appareils d’État (gouvernement, scientifiques de plateaux TV, presse, …) est cohérente dans la combinaison de ses effets favorables au business pharmaceutique :

  • « nouvelle normalité » de « l’ennemi invisible et omniprésent » (terreur médiatique) ⇒ distanciation et stress ⇒ inhibition permanente du système immunitaire des individus ⇒ élargissement du marché des vaccins, dans le temps et l’espace;
  • dénigrement voir interdiction des médicaments non spécifiques ⇐ qui accepterait de se faire vacciner si un traitement peu coûteux est disponible … ?
Data
business

Le potentiel financier et politique du « Big data » est tel (il concerne la quasi totalité des secteurs économiques) que de très fortes pressions ont pu être exercées sur les décideurs politiques afin que ceux-ci profitent de la vague médiatique catastrophiste de covid-19 pour amener les populations à accepter le traçage de leur vie privée. On notera à cet égard le fait pour le moins surprenant que dans de nombreux pays le « déconfinement » (sic) à été conditionnalisé à l’application du traçage [exemple] !

Il apparaît que la plupart des citoyens ne participent pas spontanément au traçage. Il est donc plus que probable que celui-ci sera imposé aux populations de façon plus insidieuse. Ainsi dès le mois de juin 2020, alors que l’épidémie était déjà quasiment éteinte, l’accès à des services publics (dont des piscines) fut converti – en un temps record – à la réservation préalable par Internet, en sous-traitant la gestion du système à des entreprises privées (par exemple qweekle.com). Pour réserver il faut obligatoirement mentionner un numéro de téléphone en plus de l’adresse email. Quant à ceux qui n’ont pas accès à Internet, tant pis pour eux (mais de toute façon ils n’intéressent pas les entreprises du data business).

Idem pour le traçage (!), avec des sociétés telles que devside.com, en dehors de véritable démocratique et dans le silence assourdissant du pouvoir judiciaire.

Dans tous ces cas, comment les procédures d’appel d’offre ont-elles pu être appliquées correctement dans un délai aussi court … ?

Extrémisme vert

Décroissants. L’extrémisme vert commence-t-il à prendre des proportions inquiétantes, notamment dans le milieu des universités ? Depuis quelques années une dangereuse idéologie, issue notamment de la théorie des jeux, est en train de se développer dans le milieu scientifique, selon laquelle il serait rationnel d’imposer la supposée « vérité scientifique » par la contrainte (psychique ou physique) plutôt que par le seul partage du savoir. Se pourrait-il que des scientifiques enfermés dans leurs convictions se soient convaincus de la nécessité de tromper l’opinion publique au nom de la décroissance ? J’invite le lecteur qui croirait que j’exagère à lire ce cas que j’ai personnellement constaté … et documenté.

PIB jusqu’au premier trimestre 2020pib.png

Source

Problématique politique

https://konfedera.org/gestion-epidemies#problematique-politique

Pour exposer cette problématique il faut considérer deux cas de figures correspondant chacun à l’une des deux stratégies théoriques SNP et SP (cf. supra #SIR-strategies) :

  • SP : le gouvernement reconnaît le fait que les modèles épidémiologiques ne peuvent prévenir l’avenir d’une épidémie ⇒ la capacité hospitalière est régulièrement adaptée à l’évolution observée de la demande de services de soins hospitaliers, en termes qualitatifs (« quels services ») et quantitatifs (« en quelles quantités »)

    • ⇒ selon le budget alloué aux soins de santé et la qualité de leur gestion il y a dans certains pays une surcapacité durant toute l’année, alors que dans les autres pays on observe régulièrement des périodes (généralement assez courtes) durant lesquelles la capacité est dépassée, ce qui se traduit par une surmortalité.

  • SNP : le gouvernement croit dans la capacité (i) des modèles épidémiologiques à anticiper l’évolution d’une épidémie, et (ii) de la stratégie SNP (confinement, distanciation, masques, lavages) à abaisser et reculer le sommet de l’épidémie ⇒ cette stratégie sera appliquée à chaque fois que l’on découvrira des virus « nouveaux » et aussi longtemps qu’il n’y aura pas de médicament ou vaccin efficace ⇒

    • au niveau santé publique : le gouvernement pourra « justifier » la suppression de la surcapacité hospitalière, ce qui se traduira par de très fréquentes surcharges dès lors que les hypothèses i et ii sont erronées et que les effets pervers du confinement sont avérés ;
    • au niveau politique : régression vers un régime totalitaire;
    • au niveau économique : baisse de la production & consommation.

Éthique et
démocratie

Les forces extrêmement puissantes qui en 2020 ont réussi à imposer la stratégie SNP s’appuyaient sur un argument implicite qu’on pourrait qualifier de « zéro mortalité épidémique » et qui s’oppose au principe (lui aussi implicite) qui était la norme avant 2020, à savoir un « nombre tolérable de victimes« . Celui-ci peut à priori paraître scandaleux ou auto-destructeur, et pourtant nous l’appliquons en n’interdisant pas le transport routier (PS : les accidents de la route constituent une des dix premières causes de mortalité).

D’autre part la stratégie SNP risque fort d’être appliquée en permanence. Il y a en effet une vingtaine de virus associés aux seules infections respiratoires qui circulent dans le monde [source], causant tous des victimes. En outre le nombre des virus par continent augmente en raison de la mondialisation, et le nombre des virus connus augmente avec le progrès scientifique [source]. D’autre part des infections peuvent se transmettre pendant plusieurs dizaines d’années, avant de s’atténuer et de disparaître [source].

Fusion
écologisme
libéralisme

Les écologistes radicaux pourraient voir dans le totalitarisme SNP un moyen d’imposer la décroissance aux populations. D’autre part on pourrait assister en occident à une fusion idéologique entre écologisme et libéralisme atlantistes dès lors que pour celui-ci la décroissance serait le prix à payer pour neutraliser la Chine.

Notons également le rôle joué par l’Union européenne, qui depuis trente ans, lentement mais sûrement, étrangle les services publics et les entreprises publiques du secteur médical, ce qui a pour effet d’en dégrader la qualité des services, et d’ainsi pousser les patients (du moins les plus aisés …) et le personnel médical vers des entreprises privées [approfondir].taux-lits-soins-intensifs.png

Source

Conclusion

https://konfedera.org/gestion-epidemies#conclusion

Hystérie
collective

Malgré que covid-19 fut précédé d’autres pandémies de virus nouveaux (grippes aviaires, H1N1, SARS, MERS, Ebola, chikungunya, Zika, …) dont nous savons que leurs surmédiatisations catastrophistes n’était pas fondées, il semble que nous sommes incapables d’apprendre les leçons du passé, y compris de nombreux scientifiques. Avec covid-19 une barre a été franchie : le confinement général et le port obligatoire du masque sont le signe que les modèles-jouets nous ont fait perdre confiance dans la nature c-à-d dans la vie.

Étant donné que (i) la pandémie de covid-19 n’a, au niveau modial, rien de particulier par rapport aux précédentes pandémies de virus « nouveaux » ; et (ii) que l’on « découvre » régulièrement de « nouveaux » virus (suite au progrès scientifique), il en résulte logiquement que si les populations ne se révoltent pas contre le confinement général, celui-ci deviendra la norme. Or nous avons montré qu’en appliquant le confinement général on ne neutralise pas une pandémie, mais on massacre la démocratie, la santé psychique de la population et le développement économique.

Info &
savoir

Business de « l’info ». Le délire collectif covid-19 qui a submergé la planète illustre la puissance aussi phénoménale que délétère des médias « d’information ». S’agit-il d’une forme de coup d’État version 21° siècle, ou du dernier soubresaut d’un pouvoir médiatique contesté par les réseaux sociaux c-à-d par la démocratie ?

Médias vs réseaux sociaux : qui dit la vérité (1m05s – 2020)

Le conférencier est Didier Raoult, le premier expert mondial dans le domaine des maladies transmissibles.

On notera, dans le chef des journalistes, un comportement d’inversion accusatoire consistant à accuser « les réseaux sociaux » de propager des « fake news ». Or si cela est certes exact il reste à démontrer que globalement ces réseaux nuiraient à la qualité de l’information. Or de récentes recherches scientifiques sur l’intelligence collective suggèrent plutôt le contraire [approfondir].

Opportunisme médical. On notera également le rôle néfaste joué par une partie du personnel médical qui, cédant à la panique (crainte de surcharge au pic de l’épidémie) et/ou pour revendiquer plus de moyens financiers pour les hôpitaux, a exagéré la gravité de la situation : #delire-collectif-soignants.

Modèles épidémiologiques. Nous avons d’autre part démontré la réalité du charlatanisme de l’épidémiologie mathématique et l’ampleur des force « tectoniques » qui sont en train de nous mener vers le totalitarisme, par le biais d’une déconnexion totale du business de « l’info » et du « savoir » par rapport à la réalité.

Totalitarisme
sanitaire

Le délire médiatique autour de COVID-19 nous rappelle qu’aucun citoyen ne devrait renoncer à sa capacité de jugement (le bon sens populaire), quel que soit le domaine. Il ne faut pas abandonner le pouvoir aux scientifiques de plateau TV. La science doit convaincre et non pas contraindre.

La contrainte – fondée ici sur le chantage au supposé risque porté à autrui (« tu obéis et tu te tais sinon je t’accuse d’être un meurtrier potentiel ») – est très probablement le résultat de la corruption de décideurs politiques par le « lobbying » du business pharmaceutique (vaccins obligatoires) et du « big data » (traçage), comme montré et documenté dans la section #big-pharma-data;

Démocratie
directe

Les faits exposés dans cet article confirment la nécessité d’une prise de contrôle démocratique des moyens de production de l’information et du savoir. Cette évolution devrait selon nous se réaliser en parallèle avec la création d’une Confédération mondiale de démocraties directes souveraines. Nous avons montré dans d’autres publications que ces démocratie du 21° siècle ne pourront exister qu’en faisant du statut de grande entreprise (dont les banques et les entreprises « d’information ») un monopole public, et en gérant ces entreprises publiques sous statut de coopératives publiques.

Toute démarché collective étant la somme d’actions individuelles il importe que chacun prenne conscience de la nuisibilité de l’info-dépendance et de la nécessité absolue de détruire la TV et de résilier son abonnement.(34)Sélectionner une langue​▼

Infos


Une publication de François Jortay




COVID19: Débunkage du narratif officiel

[Source : Jean-Dominique Michel]

[Auteur : ANNES BOURIA – Pharmacien]

Chers amis et compagnons de ré-information,

Je vous propose 10 points de débunkage à propos du narratif officiel de la crise sanitaire et des croyances du grand public autour du Covid :

1) Le covid19 est un virus dangereux

Le Sars-cov2, alias Covid19, est potentiellement dangereux pour certaines catégories de la population (tout comme les autres infections respiratoires), sinon,… pas tant que ça. Du moins, pas autant que ce que l’on a cru au début.

Le taux de mortalité est évalué entre 0,2 et 0,65% [1]. C’est 5 à 15 fois moins que les 3% donnés en début de pandémie. De plus, la mortalité par tranche d’âge est éloquente [2] : seules les personnes âgées payent, malheureusement, un lourd tribut à cette maladie.

Sans parler du fait que beaucoup de « morts covid » (probablement en majorité) sont en fait des décès de patients déjà très faibles chez qui le virus a joué un rôle marginal [3].

Les cas graves chez les personnes en dessous 50 ans et en bonne santé sont totalement anecdotiques ! En tout et pour tout, on observe une large proportion d’asymptomatiques [4] ou peu symptomatiques (l’équivalent d’un rhume ou d’un état grippal), moins de 5% de patients covid+ doivent être hospitalisés, et 1 à 2% de cas graves [5,6] pour l’ensemble des contaminés qui sont en majorité des personnes âgées et fragiles.

Avec près de 80% d’asymptomatiques [7] et une médiane des décès à plus de 80 ans [8]… On peut trouver pire comme affection.

2) Le virus est inconnu

Ce virus est nouveau, mais on ne peut plus dire qu’il soit inconnu à l’heure actuelle. C’est un cousin du 1erSRAS, identifié en Chine en 2002, et bien documenté. Après quasiment 1 an d’observations, c’est le sujet pour lequel il y a eu le plus de publications médicales scientifiques en 2020.

Ce virus, bien qu’il reste quelques zones d’ombres autour de lui, on commence à bien le connaitre…

3) Il n’y a pas de traitements

Faux ! L’orthodoxie méthodologique protocolaire des milieux académiques acoquinés au monde de l’industrie pharmaceutique s’attache aux essais statistiques randomisés en double aveugle. Mais ce n’est ni de la médecine, ni de la science. La médecine c’est soigner les gens, quant à la science elle consiste principalement en l’observation… Et dans ce domaine, l’observation faite par les praticiens de terrain à travers le monde  a mis en évidence plusieurs associations qui donnent de bons résultats [9] : l’association Hydroxychloroquine/Azithromycine/Zinc [10] ou l’association Macrolide/Céphalosporine/Zinc [11] semblent éviter les formes graves à condition d’être prises tôt dans l’infection. Utilisée en Afrique, l’Artemisia annua semble aussi avoir une efficacité contre le covid [12].

Aux stades plus avancés, l’on peut recourir aux corticoïdes comme la dexaméthasone [13], les anticoagulants[14] pour éviter les phénomènes de thromboses, ou encore l’oxygénothérapie [15].

L’on n’aura peut-être plus besoin d’intuber les patients en soins intensifs, qui en réalité étaient arrivés à l’hôpital à des stades très avancés de la maladie car on avait choisi de ne pas soigner les gens durant l’épidémie !

4) Toutes les personnes touchées ont des séquelles

Tout d’abord, un grand nombre de viroses peuvent engendrer des séquelles organiques à des niveaux divers, y compris cardiaques ou neurologiques [16,17] .

Ici, il est impossible de se prononcer sans avoir plus de recul. Mais ce tableau semble loin de représenter la réalité.

Selon l’académie française de médecine [18], 30% des patients hospitalisés présentent diverses séquelles 6 semaines après la rémission.

Ces séquelles vont de la fatigue aux difficultés respiratoires en passant par des troubles neurologiques, rénaux ou cardiaques. Il semblerait que ces séquelles soient potentiellement réversibles, mais encore une fois il est trop tôt pour être catégorique.

Donc il s’agirait d’un tiers des patients hospitalisés (qui sont déjà une minorité des cas- 5%) qui présenteraient des séquelles à des degrés divers.

Quant aux graves atteintes pulmonaires peu réversibles, on les observe surtout dans les stades très avancés [19], et les intubations, dont l’utilité médicale est remise en question [20], y ont fortement contribué.

5) Il va y avoir/ on assiste à une deuxième vague

Le concept de deuxième vague ne repose sur aucun modèle épidémiologique d’infections virales. Il se base sur l’épisode de la pandémie de grippe espagnole il y a un siècle [21], mais non transposable aux conditions actuelles.

L’on nous a prédit, voire annoncé, cette deuxième vague à de nombreuses reprises depuis la fin du pic épidémique européen d’avril, mais ce fut à chaque fois des pétards mouillés.

Nul ne peut prédire l’avenir, mais les modèles épidémiologiques viraux observent des constantes [22] : un pic épidémique où l’infection est très virulente, puis s’estompe. Ensuite, soit le pathogène disparaît (comme ce fut le cas du 1er SRAS) soit il mute, s’adapte à son hôte et devient cyclique/saisonnier (comme c’est le cas de la grippe et d’autres virus endémiques [23]).

A ce jour, en Europe, aucune reprise observable en terme clinique ou de hausse significative de la mortalité n’a été observée [24].

Nous ne savons pas de quoi l’avenir est fait, en revanche, les spéculations catastrophistes vont bon train !

6) Il y a une augmentation des « cas »

Il ne s’agit pas de « cas » au sens médical ou clinique du terme. Ce qu’il se passe dans de nombreux pays d’Europe, c’est que les capacités et les politiques de test ont été élargies [25].

Ce que les autorités, ainsi que la presse, recensent sont uniquement des tests sérologiques (prise de sang) ou PCR (écouvillon dans le nez) protocolaires où l’on détermine si un individu a été en contact avec le virus. Mais cela ne signifie pas nécessairement que la personne est malade ni contagieuse [26]. D’autant que 75% des positifs sont asymptomatiques [27], cela signifie, au pire qu’ils sont en période d’incubation, ou que leur système immunitaire a géré le virus et que le patient est potentiellement immunisé.

Voilà comment faire passer de bonnes nouvelles pour des mauvaises !

Sans compter que les tests PCR sont très sensibles et font sortir jusqu’à 90% de « cas » sans infection en cours ni contagiosité ! [28] Et à raison de 3% sur l’ensemble des tests… cela correspond à la moyenne en termes de taux de positivité en France et en Belgique notamment depuis l’élargissement des campagnes de testing… [29]

7) Il faut imposer des règles à tout le monde pour protéger les personnes vulnérables

Il s’agit du sophisme sur lequel repose toute la politique sanitaire coercitive si l’on tient compte des données épidémiologiques par tranche d’âge.

Oui, les personnes âgées et/ou présentant des facteurs de risque sont invités à se protéger. Mais le reste de la population n’a pas à maintenir toutes ces règles sanitaires étant donné qu’elles présentent peu de risques et sont donc potentiellement un vivier pour construire l’immunité collective de la population. Et cette immunité collective, c’est réellement le meilleur moyen de protéger les personnes à risque à moyen terme [30].

Au début de l’épidémie, on a imposé toutes les mesures sanitaires car l’on n’avait pas encore d’immunité collective, aujourd’hui les mesures qui sont prisent empêchent de l’atteindre. Comme pour l’affaire des masques, c’est à n’y rien comprendre…

8) Le vaccin est LA panacée, notre « seule chance »

Tout d’abord, il n’est pas certain qu’il puisse aboutir, ni qu’il soit totalement efficace.

Quand bien même, quel intérêt y a-t-il à vacciner toute une population pour une affection aussi peu létale dans les tranches d’âges qui correspondent à la population active ?

Il faut également signaler que les vaccins contre les rétrovirus, comme le covid, sont extrêmement compliqués à élaborer dans la mesure où ces virus mutent très vite [31].

Ajoutez à cela que ce vaccin semble être élaboré à la hâte, sans recul, avec des technologies inédites [32]… Faudra y réfléchir à deux fois avant d’accepter une vaccination massive, sachant que selon certaines études, on constate une immunité (croisée) déjà présente chez certains individus allant jusqu’à 50% de la population [33]. Ce qui expliquerait cette large proportion d’asymptomatiques.

Si un vaccin est élaboré, il devra être réservé aux personnes à risque exclusivement. Mais l’imposer ou le conseiller à l’ensemble de la population, à ce stade, c’est une ineptie !

9) Le confinement et le port du masque obligatoire sont des solutions efficaces

Le confinement et l’obligation du port du masque sont des mesures politiques et non médicales. Elles ne reposent sur aucune preuve scientifique d’efficacité. ABSOLUMENT RIEN !

D’ailleurs, les pays n’ayant imposés aucune de ces mesures (la Suède, un cas intéressant [34], la Biélorussie) ou de manière allégée (Allemagne, Pays-Bas) ont peu ou prou les mêmes courbes épidémiques [35] sans surmortalité significative, et s’en sortent même mieux que les pays qui ont imposé ces règles de manière drastique (Belgique, France, Italie,Espagne)!

Que l’on soit clair :

Il y a une différence entre dépister, isoler et traiter des malades contagieux (comme il s’est toujours fait en matière d’épidémie), et confiner aveuglément l’ensemble de la population sans discernement et sans prise en charge de proximité. Certaines études ont même montré l’effet inverse de celui escompté [36], sans parler de la mortalité secondaire (suicides, maladies non dépistées) ainsi que des conséquences sociales et économiques catastrophiques.

Il y a aussi une différence entre porter CORRECTEMENT, de manière hygiénique, un masque de protection type FFP2 ou chirurgical dans les lieux clos et bondés en phase de pic épidémique lorsque le risque est grand (on nous avait d’ailleurs dit que c’était inutile à l’époque), et imposer de porter des bouts de tissus ou des masques chirurgicaux mal utilisés, sans règles d’hygiène préalable, y compris en extérieur et en dehors d’un pic épidémique par-dessus le marché. C’est de la grosse foutaise, pardon !

Non définitivement, le confinement aveugle et le port du masque obligatoire entraînent plus d’inconvénients que d’avantages escomptés [37,38].

10) Les autorités savent ce qu’elles font

Il est dans certains esprits l’idée que la classe dirigeante a le pouvoir parce qu’elle le mérite ou qu’elle a une capacité à diriger. C’est une croyance qu’il paraît urgent de réviser !

Le système politique et le pouvoir hiérarchique des instances autoritaires en général fonctionnent par conformisme et cooptation, certains disent même médiocratie. [39] C’est-à-dire que les hauts dirigeants choisissent à des postes subalternes des individus plutôt médiocres mais obéissants et reconnaissants.

Dans ce contexte, les personnes qui cherchent à accéder à des postes de pouvoir et de responsabilité sont rarement compétentes, honnêtes ou bienveillantes. Albert Jaccard avait prévenu en 1994 déjà : « Nous sommes en train de sélectionner les gens les plus dangereux » disait-il.

Ce sont des gens qui avouent rarement leurs erreurs, persistent dans leurs fourvoiements et ont leur ambition carriériste comme principal objectif.

Sans parler de leurs conseillers technocrates, souvent en conflits d’intérêts évidents, qui ont des visions totalement déconnectées des réalités et agissent plus par idéologie que pragmatisme.

Un sacré cocktail !

C’est pourquoi, en conclusion, il est urgent de mettre fin à cette hystérie politico-médiatique ainsi qu’aux mesures sanitaires contre-productives, anti-démocratiques et sans fondements médicaux ni scientifiques.

ANNES BOURIA – Pharmacien

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Références

  1. https://theconversation.com/how-deadly-is-the-coronavirus-the-true-fatality-rate-is-tricky-to-find-but-researchers-are-getting-closer-141426?fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE
  2. https://www.cdc.gov/coronavirus/2019-ncov/hcp/planning-scenarios-archive/planning-scenarios-2020-05-20.pdf?fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE
  3. https://www.cdc.gov/nchs/nvss/vsrr/covid_weekly/index.htm?fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE#Comorbidities
  4. https://arxiv.org/abs/2006.08471?utm_source=Nature+Briefing&utm_campaign=59d57f54e5-briefing-dy-20200706&utm_medium=email&utm_term=0_c9dfd39373-59d57f54e5-45555106&fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE
  5. https://www.cdc.gov/coronavirus/2019-ncov/covid-data/covidview/index.html?fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE#hospitalizations
  6. https://covid-19.sciensano.be/sites/default/files/Covid19/COVID-19_THEMATIC%20REPORT_COVID-19%20HOSPITALISED%20PATIENTS_FR.pdf
  7. https://www.journaldequebec.com/2020/05/28/jusqua-80-de-cas-de-covid-silencieux?fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE
  8. https://www.liberation.fr/direct/element/la-repartition-par-age-des-deces-lies-au-coronavirus-ressemble-a-une-mortalite-classique_112144/?fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE
  9. https://academic.oup.com/aje/advance-article/doi/10.1093/aje/kwaa093/5847586?fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE
  10. https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2020.05.02.20080036v1?fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE
  11. https://www.lejournaldumedecin.com/actualite/azithromycine-etc-la-controverse-gronde-autour-du-cocktail-anti-covid-19-de-medecins-generalistes/article-normal-47443.html?fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE7
  12. https://www.rtbf.be/info/societe/detail_l-artemisia-une-plante-antipaludeenne-efficace-contre-le-coronavirus?id=10570600&fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE
  13. https://www.rtbf.be/info/societe/detail_coronavirus-le-dexamethasone-efficace-contre-les-formes-graves-ne-doit-pas-etre-donne-au-debut-de-la-maladie?id=10544918&fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE#:~:text=La%20dexam%C3%A9thasone%2C%20premier%20m%C3%A9dicament%20%C3%A0,un%20essai%20clinique%20publi%C3%A9s%20vendredi.
  14. https://www.revmed.ch/covid-19/Risque-thrombotique-veineux-induit-par-le-SARS-CoV-2-prevalence-recommandations-et-perspectives
  15. https://www.allodocteurs.fr/maladies/maladies-infectieuses-et-tropicales/coronavirus/covid-19-loxygenotherapie-pourrait-eviter-lintubation_29764.html?fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE
  16. https://www.coeuretavc.ca/articles/comment-les-virus-endommagent-ils-le-coeur?fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE
  17. https://www.gbpf.be/images/uploads/congres/Frere-Julie_Infections_virales_du_SNC.pdf?fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE
  18. http://www.academie-medecine.fr/avis-de-lacademie-les-sequelles-de-la-covid-19/?fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE
  19. https://www.publichealthontario.ca/-/media/documents/ncov/covid-wwksf/2020/07/what-we-know-covid-19-long-term-sequelae.pdf?la=en&fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE
  20. https://www.lesechos.fr/idees-debats/sciences-prospective/coronavirus-les-medecins-sinterrogent-sur-le-bon-usage-des-respirateurs-1195147?fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE
  21. https://uclouvain.be/fr/decouvrir/la-grippe-espagnole-de-1918-suscitait-elle-la-meme-peur-que-le-coronavirus.html?fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE
  22. https://www.lindependant.fr/2020/04/29/professeur-didier-raoult-99-des-cas-de-coronavirus-en-france-auront-eu-lieu-avant-le-19-mai,8867698.php?fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE
  23. https://www.lequotidiendumedecin.fr/archives/pourquoi-le-froid-plait-aux-virus-respiratoires?fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE
  24. https://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/coronavirus/infographies-covid-19-morts-hospitalisations-age-malades-l-evolution-de-l-epidemie-en-france-et-dans-le-monde-en-cartes-et-graphiques.html?fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE
  25. https://swprs.org/covid-just-a-casedemic/
  26. https://www.rtbf.be/info/societe/detail_coronavirus-vous-avez-un-test-pcr-positif-et-vous-ne-l-etes-peut-etre-pas-ou-vous-n-etes-pas-contagieux?id=10578123&fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE
  27. https://www.sciensano.be/fr/coin-presse/analyse-covid-19-75-des-personnes-positives-au-sars-cov-2-etaient-asymptomatiques-au-moment-du-test?fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE#:~:text=Parmi%20ceux%2Dci%2C%203%20%25,encore%20tout%20%C3%A0%20fait%20clair.
  28. https://www.nytimes.com/2020/08/29/health/coronavirus-testing.html?fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE
  29. https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2020.04.26.20080911v2.full.pdf
  30. https://www.grippe65plus.fr/histoires/immunit%C3%A9-collective-prot%C3%A9ger-les-membres-vuln%C3%A9rables-de-la-communaut%C3%A9?fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE
  31. https://sante.lefigaro.fr/actualite/2015/09/10/24095-vaccin-contre-sida-pourquoi-cest-difficile?fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE
  32. https://blogs.mediapart.fr/franck-noir/blog/300720/covid19-les-vaccins-marn-seraient-inefficaces-et-potentiellement-dangereux?fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE
  33. https://www.lexpress.fr/actualite/societe/sante/la-moitie-de-la-population-possederait-une-immunite-au-covid-19-pre-existante_2132005.html?fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE
  34. https://www.thesun.co.uk/news/12591827/sweden-coronavirus-case-rate-lower-denmark-norway-lock-down/
  35. https://www.worldometers.info/coronavirus/?fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE
  36. https://meteopolitique.com/Fiches/Epidemie-Pandemie/analyse/confinement/Absence-de-base-probante-pour-soutenir-le-confinement-general-de-la-population-du-Canada.pdf?fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE
  37. https://www.express.co.uk/life-style/health/1320428/Coronavirus-news-lockdown-mistake-second-wave-Boris-Johnson?fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE
  38. http://www.francesoir.fr/societe-sante/chronique-covid-ndeg12-bas-les-masques-trop-dincertitudes-sur-leurs-inconvenients-leur?fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE
  39. https://www.cairn.info/revue-le-philosophoire-2016-2-page-17.htm?fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE
  40. https://www.youtube.com/watch?v=9v9updAv018



Ils ont osé nous demander de piquer nos patients pour les faire partir le plus vite possible

[Source en italien : Maurizio Blondet]

[Traduction automatique corrigée]

« Ils ont osé nous demander de piquer nos patients pour les faire partir le plus vite possible »

Maurizio Blondet   18 novembre 2020  

La rumeur circulait depuis des mois dans le monde médical français. Le Monde avait écrit un article pour dire qu’ils étaient sans fondement, faux, intoxiqués. Maintenant, un titre apparaît où un médecin dit : « Ils ont osé nous demander de piquer nos patients pour les faire partir le plus tôt possible » . Elle s’est déroulée dans des maisons de retraite pour non autosuffisantes (EPHAD en France, comme nous avons RSA [en Italie]). Et cela est confirmé sur la chaîne France 3 par la diffusion le 18 novembre à 21h05 de l’enquête « Covid-19: que se passe-t-il vraiment dans les maisons de retraite? ». Le site Internet de la chaîne consacre un article et une vidéo à cette enquête, dont le thème principal est le tristement célèbre « décret Rivotril » du 29 mars et ses conséquences pour les professionnels de santé et leurs patients.

Rivotril sous forme injectable est mortel pour les patients souffrant d’insuffisance respiratoire. Le gouvernement a autorisé l’utilisation du Rivotril, par ce décret, au motif que l’Hypnovel manquait, ce qui était nécessaire pour les soins palliatifs de fin de vie; ces vieillards devaient être tenus à l’écart des unités de soins intensifs…

« Au milieu de la première vague de l’épidémie de Covid-19, au printemps 2020, le gouvernement a autorisé l’utilisation de médicaments palliatifs qui sont généralement interdits » , indique désormais le rapport sur France 3. Le programme s’intitule « Evidence against » ( Pièces à conviction), et a recueilli des témoignages d’agents de santé scandalisés par cette décision. « Lorsque nous avons reçu ces directives, nous avons été stupéfaits », raconte Sandra Rotureau, directrice de la santé. « Lorsqu’une personne âgée n’est pas hospitalisée [faute de lits] et que ce qui lui est proposé, c’est une sédation dès qu’elle a des difficultés à respirer… ma première réaction est de me souvenir : « Comment, on nous demande de pratiquer une euthanasie passive avec nos résidents ? » ». […] Notez la formulation. « Euthanasie » est le moment où le patient a demandé à être activement aidé à mourir. « L’euthanasie passive » n’existe pas. Ça s’appelle un meurtre.

Dans une autre résidence publique non identifiée, un médecin EPHAD, le visage couvert, avoue « un sentiment d’horreur ». « Je ne suis pas autorisé à prescrire quelque chose qui guérirait les gens [fait allusion à l’hydroxychloroquine] s’ils étaient affectés, mais je suis autorisé « à les faire partir… doucement » ».

« Nous avons raccourci la souffrance des gens? J’appelle ça de l’euthanasie », poursuit-elle, extrêmement bouleversée. « Que nous ayons osé nous demander de piquer nos patients pour les faire partir plus vite est insupportable.[…] ».

Il a également été constaté que les médecins qui travaillaient pour les EHPAD avaient demandé aux infirmières d’injecter [le contenu de] la seringue mortelle, les chargeant ainsi d’un sentiment de culpabilité qui n’aurait pas dû leur peser. Ceci ressort d’une audition de la commission d’enquête de l’Assemblée nationale.

La bassesse et la lâcheté. Et le silence complice, le silence des médias alors que le nombre de décès dans les maisons de retraite assistées augmentait de façon spectaculaire grâce au décret Rivotril. « Certains soignants ont déclaré qu’ils ne faisaient que soulager les malades, mais ils se taisent sur le fait que sur le certificat de décès, ils ont pu écrire la « cause du décès: Covid » sans aucune preuve ni test », utilisant également une euthanasie passive pour augmenter le nombre de décès par Covid, ce qui rapporte aussi en France aux hôpitaux, même si ce n’est pas les 2 mille euros par jour de l’Italie [NdNM : la subvention reçue par l’hôpital en cas de décès par la covid-19 est plus importante que pour d’autres causes déclarées de décès. Même chose au Canada].

« Covid: attitudes criminelles? ». Gérard Maudrux, chirurgien urologue, demande à voix haute dans un magazine du domaine [l’urologie], de raconter comment [les membres de] sa famille ([qui travaillent] tous dans le secteur hospitalier) ont été malades de la Covid, assez gravement, avec comme seule thérapie recommandée par les autorités : « Le paracétamol. L’utilisation d’antibiotiques n’est expressément pas recommandée. Pour mes trente premiers patients traités de cette manière j’ai eu 3 problèmes : un décès à domicile, une fibrillation auriculaire le deuxième et une hospitalisation de réanimation de trois semaines le troisième ». Puis, en étudiant, le médecin découvre dans un journal australien les effets de la vermectine (un anti-helminthes!)  « Je connais bien le traitement de deux épidémies de gale dans la maison de retraite; les résultats après 48 heures sont stupéfiants : la disparition des signes cliniques pour tous. Trop heureux de partager ces résultats, je pense que je fais une faveur, j’en parle, ce qui m’a valu de sévères critiques de la part de collègues et d’un pharmacien. Et l’ avertissement de l’Ordre ».

Et il cite « les confrères de StopCovid19, qui ont collecté plus de 700 cas traités [à la chloroquine et aux antibiotiques] et qui ne publient pas en raison des menaces reçues. N’oublions pas qu’au 19 avril, contre la Covid, 100 000 patients avaient reçu de l’azithromycine, 41 000 de la chloroquine et 10 000 les deux (source Assurance Maladie). Combien de vies avez-vous sauvées? Combien d’hospitalisations évitées? L’observation sur le terrain a-t-elle encore une valeur? ».

Un autre médecin parle de la mort sur ordonnance. Et il écrit: « En d’autres temps, des procédures judiciaires auraient été mises en place et la justice pénale aurait été adressée pour se prononcer sur l’éventuel caractère pénal du décret Rivotril, adopté en contradiction avec tous les textes et la jurisprudence en matière de fin de vie. Aujourd’hui, le virus a le dos large pour permettre des actes injustifiables, susciter la peur et l’angoisse généralisées, établir une dictature que nos ploutocrates réclament depuis des années »; et expose le nombre de flacons de Rivotril (« remboursé par le service de santé », précise-t-il) énormément augmenté pendant la « pandémie », et en relation directe avec la surmortalité dans les maisons de retraite ces semaines-là.

Tribunaux vers lesquels il est inutile de se tourner pour dénoncer ces crimes et cette imposture, le paracétamol comme seule thérapie « recommandée » par les comités technico-scientifiques, menaces aux médecins qui découvrent des remèdes efficaces, interdiction de l’hydroxychloroquine. Et, à la place, Rivotril en ampoules pour injection létale. Il est impressionnant de découvrir que les directives sont identiques en Italie et en France.

Mais plus encore, voir à quelle vitesse la dictature de la ploutocratie totale est tombée, dans son Grand Reset, au niveau qu’on nous apprend depuis 50 ans à considérer comme un mal absolu : l’attitude génocidaire du nazisme, l’euthanasie des bouches inutiles à grande échelle, l’injection mortelle par décret, l’asservissement volontaire des juges et le silence total des médias dans ce qui se profile comme le plus gigantesque crime contre l’humanité jamais commis. Des décennies de cours moralisateurs dans les écoles, des documentaires sur l’Holocauste, des journées de mémoire répétées de manière obsessionnelle, des visites d’écoliers à Auschwitz, des appels à la vigilance : prenez garde que le nazisme ne revienne pas ! Regardez ! Le voici, et les journaux télévisés appellent des « négationnistes » les foules qui, dans toute l’Europe, se rebellent contre l’esclavage et contre cette barbarie indescriptible, Le titre de la République

[Voir des vidéos sur le site originale en italien, en fin d’article.]




Décryptage de la Pandémie de Covid-19. Un exercice d’ingénierie sociale

[Source : Les 7 du Québec à partir du Saker Francophone]

[Commentaires de] Robert Bibeau

Nous vous proposons aujourd’hui un texte que les hypocrites médias mainstream qualifie de « complotiste ». C’est qu’à travers quelques élucubrations sataniques (sic) l’auteur  présente une bonne synthèse de faits avérés concernant cette pandémie qui a les apparences d’un exercice en vue d’une guerre bactériologique en préparation. Laissons de coté les interprétations diaboliques de Grand Complot de l’Ordre Nouveau et examinons les données qu’il expose.  Pour ce qui est de l’idéologie du « conspirationnisme« , voici une citation de L’Idéologie allemande qui remet les choses en perspective:  «À toute époque, les idées de la classe dominante sont les idées socialement dominantes : autrement dit, la classe qui est la puissance matérielle dominante de la société est en même temps la puissance spirituelle dominante. La classe qui dispose des moyens de la production matérielle dispose en même temps, de ce fait, des moyens de la production intellectuelle, si bien qu’en général, elle exerce son pouvoir sur les idées de ceux à qui ces moyens font défautLes pensées dominantes ne sont rien d’autre que l’expression en idées des conditions matérielles dominantes, ce sont ces conditions conçues comme idées, donc l’expression des rapports sociaux qui font justement d’une seule classe la classe dominante, donc les idées de sa suprématie.»  

Robert Bibeau. Éditeur https://les7duquebec.net


Tout le monde a pu voir récemment un certain nombre de très grands médecins et de professeurs en infectiologie, immunologie, génétique ou virologie se succéder sur les plateaux de télévision et de radio pour expliquer qu’ils ne comprenaient rien à la gestion de cette crise de la Covid-19 et aux différentes situations politiques paradoxales qui se sont enchaînées dès l’apparition du SARS-COV2 dans le monde.

Le professeur Christian Peronne, brillant médecin-professeur français exerçant à l’hôpital de Garches en région parisienne est l’un d’entre eux. Apparaissant de plus en plus interloqué émission après émission, il vient de publier récemment un livre dans lequel il recense « les erreurs majeures» que le gouvernement français aurait commis durant cette crise.

Or Monsieur Peronne fait radicalement fausse route comme d’ailleurs la plupart «des gens normaux» qui pensent que Boris Johnson s’est retrouvé à côté de la plaque ou encore qu’Agnès Buzin et son Comité scientifique «se sont retrouvés dépassés».

Le souci c’est qu’en réalité, les gouvernements de la planète n’ont commis aucune erreur même si c’est ce que l’on voudrait bien nous faire croire. Ils n’ont fait que suivre les consignes qui leur étaient données par le Conseil Mondial lequel est sous l’emprise totale des eugénistes et malthusiens tels que Bill Gates ou David Rockfeller. (sic – le conspirationnisme pointe son nez. ndlr).

Au total, ce ne sont pas moins de 194 états dans le monde qui ont ratifié le Règlement Sanitaire International (RSI – 2005) de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS). Règlement, rappelons-le, qui prévoit qu’en cas de crise sanitaire majeure, tous les états membres s’engagent à respecter toutes les consignes émanent du Conseil Mondial et à faire en sorte que toutes ces consignes priment sur les lois et les codes juridiques des états.

Mais nous allons développer tout ceci un peu plus loin car c’est très important, d’autant plus que le Parlement Européen a fait promulguer une loi extrêmement dangereuse le 10 juillet 2020 afin de permettre la vaccination des individus et de leur inoculer des OGM dont on ne sait absolument rien.

Qu’il s’agisse de Christian Peronne en France, d’Alberto Zangrillo en Italie ou de Denis Rancourt au Canada, on est toujours dans le même cas de figure. Celui où des gens innocents, naïfs et fondamentalement bons ne voient jamais «le Mal» tel que l’on devrait le voir, c’est-à-dire dans son essence la plus absolue et la plus machiavélique qui soit. Ils en sont incapables car ils pensent que tout le monde est comme eux.

Ils ne voient que des imperfections, des incohérences, des incompétences et des erreurs commises. Et comme leur nature est intègre et qu’ils sont des gens fondamentalement honnêtes, ils sont incapables de percevoir et de comprendre que cette crise du COVID vient de très loin et qu’elle a été intégralement orchestrée de A à Z. (sic. disons que c’est une hypothèse de recherche. ndlr).

Est-ce que quelqu’un se rappelle de la cérémonie macabre de l’ouverture des Jeux Olympiques de Londres en 2012 ? Non ? Et bien il faut la revoir. Le thème tournait autour d’une pandémie et pour tous les passionnés d’eurythmie, l’événement était truffé d’images satanistes et maçonniques. (un autre petit coup de complotisme. NDLR)

Alors prémonition, prédiction ou hasard ?

En termes d’hypothèse tout est possible mais nous allons voir que rien n’est dû au hasard. Avec le recul, nous pouvons même penser que toutes ces histoires de nems de chauve-souris mal cuits et de pangolin mal grillé pour être revendu par un «Street cooker» dans un marché de Wuhan ne sont que des histoires pour enfants. Rien d’autre. (ici le conspirationniste renvoi les autres conspirationnistes à leurs marmites. ndlr).

La preuve est que nous sommes déjà à la mi-septembre et nous n’avons toujours pas trouvé de patient « zéro ». Tout nous laisse penser que nous le trouverons pas (exact. ndlr).

La réalité est bien plus scabreuse, bien plus machiavélique et bien plus maléfique que tout ce à quoi l’on veut nous faire croire.

Le hasard, comme le disait Einstein« c’est Dieu qui se promène incognito » et en arabe, ce terme désigne la chance ou le succès. C’est-à-dire, au sens probabiliste du terme, le fait qu’un événement considérablement improbable et incertain se réalise avec une précision divine.

Si tel est peut-être le cas dans le domaine de la physique quantique et relative ou encore dans le domaine des statistiques, c’est-à-dire dans ces domaines des sciences exactes où Dieu se promène partout entre la masse du proton, la fleur de vie et le nombre d’or, ce qui relève de la certitude, c’est que dans le domaine de la physique des affaires politiques, de l’ingénierie sociale et du contrôle des populations — et des pandémies évidemment —, Dieu n’y est pour rien.

L’homme en revanche y est quasiment pour tout et les crises ne sont bien souvent rien d’autres que des zones d’incertitudes, de risques et d’opportunités dans lesquelles ceux qui maîtrisent les événements et le temps, réalisent de formidables sauts qualitatifs. Ce qui veut bien dire que les crises sont délibérément organisées et déclenchées à des fins précises et aux moments voulus.

Dans la réflexion, la planification, l’organisation, le contrôle des médias, la manipulation génétique, la recherche d’armes biologiques et bactériologiques, la dissémination délibérée d’un virus ou derrière un lockstep [traduction compte tenu du contexte : verrouillage] économique et un lockdown [traduction : confinement] des populations, l’homme est partout. Il pense à tout.

Qu’il s’agisse du conditionnement éducatif de nos enfants, de la manipulation des foules, de la répression et de l’intimidation des groupes réactionnaires comme ce fut le cas en France avec les gilets jaunes ou qu’il s’agisse de terrorisme affectif, l’homme pense vraiment à tout.

Pour vous convaincre par les sentiments, par exemple, la fabrique du consentement vous répétera, jusqu’à ce que vous le répétiez vous-même à vos semblables, par mimétisme social ou par amour de la servitude volontaire, que vous ne devez surtout pas rendre visite à vos grands-parents dans leur maison de retraite au prétexte que vous pourriez les tuer en leur transmettant un virus mortel.

Adorable petite fille jouant avec le chapeau d’un homme âgé sur fond de nature. Le concept de deux générations différentes.

Un peu comme si Orwell vous disait que « la guerre c’est la paix, la liberté c’est l’esclavage, l’ignorance c’est la force ».

Sans doute est-ce là encore un non sens qui créé évidemment de la dissonance cognitive mais beaucoup le croient. La naïveté des hommes est sans limite.

Qu’importe que ceux qui nous aiment et qui ne vivent maintenant que pour voir leurs petits enfants grandir, meurent de solitude, de stress et d’angoisse, de soif, d’abandon ou de désespoir, l’important est que vous, vous ne soyez pas responsable de leur mort.

En France, le 27 mars 2020, le gouvernement n’a pas hésité à interdire le traitement des patients atteint de la COVID-19 par hydroxychloroquine, basant son décret sur l’étude truquée de la revue « The Lancet » et si les responsables de cette revue ont reconnu leur erreur, le gouvernement lui n’a pas changé d’avis.

Déclarant ainsi dangereuse, une molécule prescrite depuis plus de 60 ans à travers toute la planète et dont le Docteur Fauci disait, en 2005 dans un article, que cette molécule était d’une efficacité redoutable pour traiter le SARS-COV1 mais aussi tous les coronavirus.

Alors complot contre la santé ou hasard de calendrier ?

Il y a quelques jours, le New York Times publiait encore un article dans lequel l’auteur expliquait que le confinement avait tué 10 fois plus de gens que le virus lui-même mais cette information est passée totalement inaperçu dans les médias européens.

Par le terrorisme émotionnel, pour vous donner un autre exemple, la fabrique médiatique du consentement vous fera toujours croire que si vous ne voulez pas que votre bébé meure dans d’atroces souffrances, vous devez impérativement le vacciner contre une bonne douzaine de maladies et ce, avant même que son corps ait acquis sa propre immunité.

Qu’importe que votre enfant devienne plus tard autiste ou que les effets secondaires irréversibles de ces vaccins le rendent stérile ou développent chez lui, 30 ou 40 ans après, toutes sortes de maladies neuro-dégénératives qui seront beaucoup plus graves que les maladies contre lesquelles il est censé être immunisé.

L’important, pour tous ces ministres de la santé qui ne sont en réalité rien d’autres que les représentants commerciaux des grands firmes pharmaceutiques, est juste que vous injectiez toute une série de vaccins payants dans le corps de ce petit être encore fragile et innocent, cet incroyable miracle de la nature.

Seuls comptent pour eux le volume des ventes, la rentabilité des investissements consacrés à la recherche et au développement et la hausse du cours de l’action de la société.

L’homme de pouvoir et assoiffé de contrôle, a toujours la fâcheuse tendance à toujours vouloir se prendre pour le Créateur et à toujours vouloir tout manipuler et refaire à sa place et je ne parle pas là des chefs d’état et des gouvernements qui ne sont que de simples exécutants. Je parle de ceux qui ont réellement le pouvoir. Ceux qui financent les bourses d’études et les campagnes électorales de ceux-là mêmes qui deviendront ensuite leurs débiteurs. Ceux dont on ne parle jamais  (ou moins souvent disons. ndlr).

Pourtant ces acteurs de l’ombre impriment la monnaie et décident de votre paix si vous leur contractez un prêt ou installez une de leurs banques centrales sur votre territoire. Le cas échéant, comme ce fut le cas en Libye, ils décident de vous renvoyer à l’âge de pierre.

« Le monde », disait Nicholas Butler« se divise en 3 catégories : un très petit nombre qui fait se produire les événements, un groupe un peu plus important qui veille à leur exécution et les regarde s’accomplir, et enfin une vaste majorité qui ne sait jamais ce qui s’est produit en réalité ».

Ce que nous proposons ici est une grille d’analyse de la situation d’aujourd’hui car oui, l’homme de pouvoir et de contrôle souhaite tout contrôler et surtout quand il s’agit de contrôler l’avenir et l’évolution démographique et génétique de notre espèce.

L’opération COVID-19 est une pure opération d’ingénierie sociale et nous allons le voir.

Derrière la terreur et la psychose, plus de contrôle et encore moins de Liberté

Les eugénistes et les malthusiens disent souvent que rien n’est plus dangereux pour notre planète et notre avenir que la surpopulation.

À Alberton, dans l’état de Géorgie aux États-Unis, ces grands penseurs de l’avenir de l’humanité ont même gravé cette recommandation démographique dans le marbre et pour être bien sûr que personne ne l’oublie, ils l’ont faite graver et écrire en 8 langues sur 6 énormes blocs de marbre ne pesant pas moins de 108 tonnes.

Maintenez l’humanité en dessous de 500 millions d’individus en perpétuel équilibre avec la nature.

Très bien et merci du conseil mais nous sommes actuellement 7,5 milliards d’individus et pour atteindre cet objectif, je pense que nous avons ici « un léger » problème. Alors comment faire…

John Holdren et Paul et Anne Ehrlich ont apporté des solutions. Ils les ont même écrites et publiées dans un livre qui s’appelle « ECOSCIENCE ». Un livre fou dans lequel on peut lire toute une série de mesures pour mener à bien cette opération de réduction de la population planétaire comme le fait d’« ajouter des stérilisants dans l’eau du robinet et les aliments de base, des perturbateurs endocriniens, de légaliser les drogues et les neurotoxiques » ou encore de « libérer des virus hautement pathogènes ». Voilà qui est intéressant.

Rien n’est inventé et tout est dans ce livre qui est « La référence et la bible » des mondialistes tels que Bill Gates ou David Rockfeller lequel disait encore il y a quelques années que « nous sommes à la veille d’une transformation globale et tout ce dont nous avons besoin, c’est d’une bonne crise majeure pour que les nations acceptent le Nouvel Ordre Mondial »  (une crise de complotisme. ndlr).

John Holdren a été un collaborateur particulier d’Obama et il est un ami proche des Clinton, de Bill et Melinda Gates et de David Rockfeller.

En mai 2010, la Fondation Rockfeller a publié un rapport extrêmement intéressant sur son site.

Il s’intitule : «Scenarios for the Future of Technology and International Development ». Ce rapport est public et tout comme dans ECOSCIENCE, on y trouve tout ce qu’il faut savoir sur les pandémies, les confinements et les vaccins. De plus en plus intéressant n’est-ce pas.

A la page 18 de ce rapport, on y trouve un chapitre intitulé « LOCKSTEP », c’est-à-dire la mise à l’arrêt ou le verrouillage économique mondial en cas de pandémie. Certes il ne s’agit que d’un scénario sous forme de dystopie mais aujourd’hui il est malheureusement bien réel et tout ce qui nous est arrivé y est décrit avec une précision inouïe.

Or on ne peut pas comprendre la crise de la COVID-19, comme c’est le cas pour les professeurs Perrone, Raoult, Henrion-Caude, Toubiana ou Toussaint, si l’on ne se donne pas la peine de contextualiser ce jalon sanitaire dans le temps long [long terme]. C’est-à-dire de le voir comme l’étape d’un programme mondialiste plus global et plus complexe.

Les auteurs de ce scénario morbide n’ont fait que se pencher sur la question du comment faire pour arrêter l’économie mondiale et imposer toutes sortes de restrictions et de mesures aux populations. Ils ne sont pas à l’origine de ce projet pour ce qui est de l’aspect économique, écologique et logistique, de l’exploitation et de la gestion de nos ressources. L’idée est née en 2005, dans le rapport Meadows réactualisé. C’est là où il était déjà question de LOCKSTEP à un horizon de 15 ans.

Il est intéressant de noter que le premier vice-président du Club de Rome a été David Rockfeller. Celui-là même qui a commandé le premier rapport Meadows et qui a été publié en 1972.

Dès l’antiquité les mésopotamiens, les égyptiens et les chinois recensaient leur population pour s’assurer un parfait contrôle démographique. Il s’agissait d’une question existentielle fondamentale car c’est de la bonne gestion des ressources caloriques et des effectifs humains aptes à défendre puis assurer la protection de l’espace vital, que dépendait la survie du groupe.

Cette question du recensement et de la maîtrise démographique des populations, à des fins martiales ou socio-économiques, pour le travail dans les champs puis dans les mines et les manufactures, a toujours obsédée les hommes et a toujours fait partie de notre histoire. C’est une question essentielle.

Ce qui vient bousculer cette question plutôt simple pour notre époque, c’est l’arrivée de l’intelligence artificielle.

Il n’y a pas de hasard rappelons-le. Tout est calculé et pensé plusieurs dizaines d’années à l’avance (ceci est absolument faux – et les prévisions sont toujours hight or low. ndlr [NdNM : la réalité est plus probablement située quelque part entre ces deux affirmations]).

En démographie, il est même très courant de faire des projections sur plusieurs centaines d’années (jamais confirmées. ndlr).

Bill Gates, dans une interview accordée à John Kennedy Junior et qui a été publié dans le magazine mensuel George en février 1997 sous-titrée « guide pour le futur 2020 », il dit exactement ceci : « je finance des projets d’éducation, je finance le contrôle de population, je suis très impliqué dans le programme United Way ». C’est à la page 101 du magazine pour ceux qui ont chez eux ce numéro qui se vend sur le marché des collectionneurs à plus de 5000$.

Pendant que la plupart d’entre nous avons le nez dans le guidon ou vivons comme les rats de Didier Desor, c’est-à-dire à essayer de survivre dans cette « rat race » perpétuelle sans comprendre réellement le sens du miracle de la vie, d’autres réfléchissent pour nous.

Ils pensent, prévoient et organisent nos vies, à tort ou à raison, jusqu’à décider de qui est utile sur cette planète et qui ne l’est plus.

S’il faut bien comprendre une chose aujourd’hui, c’est que l’accélération technologique et l’accélération de l’innovation, mais surtout la pénétration de l’intelligence artificielle dans tous les aspects de notre vie quotidienne, vont inéluctablement changer le monde pour toujours.

Il faut être vraiment naïf ou incroyablement rêveur pour croire que les fondations telles que la fondation Rockfeller ou la fondation Bill et Melinda Gates investissent des milliards de dollars dans la recherche biologique et bactériologique ou dans les vaccins pour le bien être de l’humanité (voici une vérité avérée. ndlr).

Comment peut-on croire naïvement un seul instant que ceux qui veulent nous sauver des virus et des pandémies  sont ceux-là même qui essaient de maîtriser et de réduire la population ? (Les mêmes qui financent la recherche sur ces virus létaux. ndlr).

Muammar Kadhafi, paix à son âme, dans son extraordinaire et mémorable discours du 23 septembre 2009 à l’ONU, disait que « les virus étaient créés et propagés dans le monde pour que les entreprises pharmaceutiques fassent des profits grâce à la vente des médicaments ».

Il ajoutait que « les médicaments et les vaccins ne devaient pas être vendus. Les médicaments ne se vendent pas. Annoncez la gratuité des médicaments et des vaccins dans le monde », disait-il «  et vous n’aurez plus jamais de virus en circulation car les virus sont créés pour que des vaccins soient mis au point pour que les grandes entreprises capitalistes en tirent profits » (Voilà deux autres vérités avérées que Kadhafi a osé répéter… il en est mort. ndlr).

 Kadhafi avait-il tort à ce sujet ? Rien n’est moins sûr. Mais attendez, tout n’est pas qu’une question de profit.

Il y a environ un peu plus de 2 ans et demi, le 11 janvier 2017 plus exactement, le docteur Antony Fauci que nous ne présentons plus, nous prophétisait avec une certaine audace et un aplomb dont lui seul a le secret, qu’il n’avait « aucun doute sur le fait que Donald Trump aurait à faire face à une pandémie avant la fin de son mandat ».  (???)

Événement incroyable mais vrai, Donald Trump et le monde entier affrontent aujourd’hui une pandémie.

Curieuse prédiction n’est-ce pas ? Surtout lorsque l’on sait que l’intégralité des médias de la planète à l’époque titrait quotidiennement que Donald Trump était un fou et un va-en-guerre et que nous étions tous les jours à 2 doigts de l’apocalypse ou d’une guerre atomique généralisée.

Rappelez-vous de ce qu’écrivait la presse française en 2017 même si le ton est toujours le même : Donald Trump veut la guerre contre « Rocket Man » et la Corée du Nord, Donald Trump peut déclarer la guerre à Rohani ou encore Donald Trump menace Maduro et les vénézuéliens.

Résultat après presque 4 ans de présidence : zéro guerre et plusieurs accords de paix signés grâce à son action. Alors virus de la nature ou virus délibérément propagé ?  (Question tout à fait pertinente. ndlr).

Dans un rapport de l’OMS publié en septembre 2019 et qui s’intitule Global Preparedness Monitoring Board et dont un des auteurs est Antony Fauci, il est exactement question de la dissémination délibérée d’un virus respiratoire mortel à des fins d’exercice sur la période septembre 2019-septembre 2020.

Au paragraphe « Indicateurs de progrès », il est écrit :

Les Nations Unies (y compris l’OMS) organisent au moins deux exercices de formation et de simulation à l’échelle du système, dont un couvrant la dissémination délibérée d’un agent pathogène respiratoire mortel.

L’OMS met au point des facteurs déclencheurs intermédiaires pour mobiliser une action nationale, internationale et multilatérale dès le début d’une flambée, afin de compléter les mécanismes existants pour les stades ultérieurs et plus avancés d’une épidémie dans le cadre du RSI (2005).

Le Secrétaire général de l’Organisation des Nations Unies convoque un dialogue de haut niveau avec les responsables de la santé, de la sécurité et des affaires étrangères pour déterminer comment le monde peut faire face à la menace d’une pandémie due à un agent pathogène respiratoire mortel, et pour gérer la préparation aux épidémies dans des situations complexes où règne l’insécurité.

The world looks wobbly" according to The World in 2019

Dans le magazine hebdomadaire The Economist et dans un des numéros paru en fin d’année 2018 et qui s’intitule « The World In 2019 », il était déjà question de la survenue d’un événement exceptionnel qui allait semer la mort et l’apocalypse à travers le monde.

Sur la première de couverture, où les fans de ce magazine y trouvent toujours une page entière consacrée à l’eurythmie où le jeu consiste à deviner (ou se préparer) pour tous les événements de l’année à venir, on peut y voir beaucoup de dessins comme notamment ceux du président chinois en Pinocchio (le menteur), un QR code sur un téléphone, un ARN incomplet ou encore une cigogne portant un bébé avec un code barre.

Mais les plus intéressants de tous ces dessins sont les figures représentant les 4 cavaliers de l’apocalypse, le panda fâché regardant Donald Trump et le pangolin.

Alors pour en revenir à nos probabilités et aux événements improbables et incertains, c’est-à-dire aux cygnes noirs, pourquoi diable les Rothschild, qui sont les propriétaires de ce magazine et les initiateurs de ce jeu annonciateurs pour initiés, ont-ils choisi le pangolin pour figurer sur cette première de couverture alors qu’il existe près de 8 millions d’espèces animales dans le monde ?

J’en avais déjà parlé dans un article paru en février 2019 intitulé « Vers davantage de contrôle et moins de liberté » mais je n’avais toutefois pas précisé que l’événement dont il était question et qui allait survenir en 2019, allait être une pandémie.

Il est vrai aussi que le fait de voir ce panda fâché dévisager Donald Trump et qui reste inflexible et déterminé peut nous laisser penser que l’apparition du SARS-COV2 dans le monde relève d’un début de guerre bactériologique entre la Chine et les États-Unis.

D’autant plus qu’il y a environ un peu plus d’un 1 an, le 5 août 2019, nous apprenions par l’intermédiaire du New York Times qui rapportait dans un de ses articles, que l’armée de terre américaine venait juste d’ordonner la fermeture du laboratoire militaire de Fort Detrick dans le Maryland. Laboratoire militaire de classe Pathogène 4 (P4) donc de très haute sécurité, rappelons-le, et dans lequel ne sont effectuées que des recherches au contact de virus exceptionnellement mortels à des fins de production d’armes biologiques et bactériologiques.

Il est important par ailleurs de noter que le laboratoire de Fort Detrick avait déjà été au cœur de plusieurs scandales aux États-Unis dont celui qui a donné lieu à l’affaire « Drop Kick », opération militaire durant laquelle l’armée américaine a délibérément relâché dans des zones civiles des centaines de milliers de moustiques porteurs de la malaria à des fins de tests.

Il s’agit juste d’une parenthèse importante pour bien faire comprendre aux lecteurs que quand une organisation militaire ou scientifique veut relâcher un virus dans la nature à des fins d’exercice ou de test, il ne s’agit pas de complotisme. Cela existe et l’opération « Drop Kick » n’a pas été une erreur et un cas isolé. (Voilà d’autres faits avérés. ndlr).

Si à cela on ajoute d’autres événements tels que l’assassinat étrange du chercheur sino-américain Bing Liu, la fuite rocambolesque de la chercheuse chinoise Juan Tang pour se réfugier dans l’ambassade chinoise de San Francisco et dans le même temps la fuite « à la Spy Game » de la chercheuse et spécialiste mondiale des coronavirus Li-Meng Yan vers les États-Unis, il y a vraiment de quoi être dérouté.

Cependant, après quelques mois de réflexion et un peu de recul, ce que nous trouvons sur le site du Forum Économique Mondial nous démontre bien que la première hypothèse est la bonne, la seconde est un leurre.

À savoir que nous sommes bien dans le cas où la dissémination délibérée d’un virus respiratoire mortel a pour objectif d’amener l’humanité à changer de paradigme.

Si vous vous rendez sur le site du Forum Économique Mondial et que vous vous allez sur l’onglet « platforms » et que vous cliquez ensuite sur « covid action platform » vous y lirez déjà des informations extrêmement intéressantes.

Déroulez ensuite votre curseur et cliquez après sur le graphique en forme de coronavirus tel que celui-ci-dessous. C’est le même. Il va s’afficher et devenir interactif.

Cliquez ensuite sur « Avoiding COVID-19 Infection and Spread ». C’est stupéfiant.

Vous y verrez clairement que si vous voulez sortir de cette pandémie et en éviter d’autres, la seule piste qui vous est proposée est celle du gouvernement mondial, de la transhumance [du transhumanisme] et la voie du vaccin.

Alors si nous savons déjà beaucoup de choses sur le gouvernement mondial, l’intelligence artificielle et l’homme augmenté, ce que nous savons moins en revanche et dont nous avons moins connaissance, ce sont toutes ces choses satellites au vaccin et c’est là, où les choses deviennent très intéressantes.

Dans le brevet qu’a déposé Microsoft le 26 mars 2020, il est écrit :

L’activité du corps humain associée à une tâche fournie à un utilisateur peut être utilisée dans un processus de minage d’un système de cryptomonnaie. Un serveur peut fournir une tâche à un dispositif d’un utilisateur qui est couplé de manière à communiquer avec le serveur. Un capteur couplé de manière à communiquer avec un dispositif de l’utilisateur ou compris dans ce dernier peut détecter l’activité corporelle de l’utilisateur. Des données d’activité corporelle peuvent être générées sur la base de l’activité corporelle détectée de l’utilisateur. Le système de cryptomonnaie de la présente invention couplé de manière à communiquer avec le dispositif de l’utilisateur peut vérifier si les données d’activité corporelle satisfont une ou plusieurs conditions définies par le système de cryptomonnaie, et attribuer une cryptomonnaie à l’utilisateur dont les données d’activité corporelle sont vérifiées.

Alors quelques questions se posent et elles sont les suivantes :

  • Comment va-t-on équiper tous les êtres humains de censeurs qui pourront à la fois détecter le mouvement des bras et des jambes, la position assise ou couchée, l’activité physique de l’activité cérébrale ?
  • Quel est le rapport entre les cryptomonnaies, la 5G et les données d’activité corporelle ?
  • Est-ce que le futur vaccin contenant cet ARN génétiquement modifié et dont l’autorisation de mise sur le marché a été voté ce 10 juillet 2020 par le parlement européen n’a pas vocation à modifier notre ADN et le rendre facilement identifiable par un réseau d’intelligence artificielle ?

Même s’il est difficile de répondre à ces questions dans l’immédiat, il est très important de bien comprendre que l’ère dans laquelle nous entrons est inéluctablement celle de l’intelligence artificielle. Dans cette nouvelle ère, ce qui est également très probable est le fait que beaucoup d’êtres humains n’y trouveront sans doute plus leur place et deviendront obsolètes. (Un autre assertions très plausible en effet. ndlr).

Ils seront progressivement éliminés. (Ca c’est moins certain –  c’est le problème des complotistes – ils déifient leurs bourreaux et pensent que les péquenots victimes du système ne peuvent pas résister ni se révolter.  Erreur – Leurs crimes nous feront réagir à coup sur. ndlr [NdNM : la réalité pourrait, encore une fois, se situer plutôt entre ces deux affirmations.]).

De la même façon qu’aujourd’hui les chiens robots sont venus progressivement remplacer les soldats au devoir, à la surveillance frontalière ou en zone de guerre, il est évident que le Capital de demain ne pourra pas garder et payer les gens à la maison à ne rien faire car absolument tout sera remplacé par l’intelligence artificielle. Y compris la police et l’armée et ce n’est absolument pas une fiction. (Oui, beaucoup de fiction à mon avis. ndlr).

Quant aux autres, ceux qui resteront, les augmentés, ils seront tous inéluctablement tous bio-connectés à une intelligence artificielle qui les gérera ou les éliminera s’il y a lieu de le faire. Nous le répétons, ce n’est pas de la science fiction et nous ne sommes pas dans un film.

Tout ceci est la réalité mais il est encore très difficile de la saisir dans le temps présent alors que la compréhension de l’ensemble du projet s’inscrit, elle, dans le temps long [long terme].

Cette « pandémie » qui a été mise au point par tous ces gens machiavéliques qui décident de l’avenir des peuples et dirigent le monde, n’a rien d’un jeu pour enfant.

Comme l’explique l’OMS à travers ses publications et comme le publie également le Forum Économique Mondial sur son site, nous sommes en droit de nous demander quelle sera alors l’issue de cette partie finale qui se jouera entre ceux qui veulent nous contrôler et nous posséder d’une part et ceux qui ne veulent pas de ce projet d’autre part ? (Le prolétariat ne veut pas [et] ne peut pas tolérer ces projets et il sera acculé – obligé – de réagir pour ne pas périr. ndlr).

Pour répondre à ces nombreuses questions qui pointent du doigt les incompétences et les erreurs des gouvernements dans la gestion de cette crise et cet entretien de la terreur par les effets statistiques via la propagande médiatique, force est de constater qu’il ne s’agit pas d’erreur mais bien de stratégie.

Le 18 octobre 2019, au Johns Hopkins Center for Health Security à New York, il s’est sans doute tenu, concernant l’avenir du monde, la réunion la plus importante de toute l’année 2019.

Il s’agit de l’Event 201.

Cette réunion, organisée en partenariat entre le centre John Hopkins, la fondation Bill et Melinda Gates et le Forum Économique Mondial, avait pour objectif de préparer l’exercice dont parle l’OMS dans son Global Preparedness Monitoring Board de 2019. Elle s’est tenue en public avec des invités triés sur le volet et sous forme d’une pièce de théâtre où chacun avait un rôle bien précis. La simulation consistait à se préparer à la prochaine pandémie mondiale qui, selon les chiffres avancés lors de cette réunion, allait faire plus de 65 millions de morts sans compter les dégâts incommensurables qu’une telle catastrophe allait provoquer sur l’économie globale : soit une chute du PIB mondial de 11 points.

Ce qui est intéressant à savoir c’est que tous les gouvernements et la plupart des grands médias de la planète étaient au courant de cette réunion. Seulement personne n’en a parlé. La consigne était de ne pas en parler. Pourtant cet exercice n’était pas qu’une simulation, c’était une véritable préparation à la pandémie qui allait venir quelques semaines plus tard mais si vous répétez cela, vous serez désigné comme complotiste et vous serez discrédité à vie.

Si vous regardez bien le parcours professionnel des personnages politiques en fonction, vous verrez que la plupart des Ministres de la santé viennent presque tous du privé et ont tous des liens plus ou moins étroits avec les plus grandes entreprises pharmaceutiques de la planète (une autre vérité avérée. ndlr).

Et alors diront les libéraux dont je fais partie ? Est-ce interdit ? Bien sûr que non. Oui c’est légal et ce n’est pas mal en soi.

Mais comment ces gens, qui sont censés travailler pour le bien-être et l’intérêt des peuples et des nations, peuvent agir en même temps dans l’intérêt des entreprises pharmaceutiques, dont le seul objectif et unique est de rendre malade les peuples et les nations pour ensuite leur revendre des traitements sous licences afin de faire un maximum de profits ?

N’y a-t-il pas là un conflit d’intérêt ? Bien évidemment que oui.

Rappelez-vous, car nous l’avons vu plus haut, qu’en cas de crise sanitaire mondiale, comme c’est le cas avec la crise du COVID-19, tous les états membres doivent impérativement accepter de suivre les consignes du Conseil Mondial lequel est dirigé actuellement par Madame Gro Harlem Brundtland.

Une charmante dame très connue pour avoir échappé à la mort lors de la tuerie d’Utoya en Norvège et dont le père, Gudmund Harlem, était redevable à la fondation Rockfeller qui a bien voulu financer ses études de médecine.

La création et la présentation du Conseil Mondial a été officiellement annoncée par communiqué de presse par l’OMS le 24 mai 2018. Son rôle est, en cas de pandémie, de réunir tous les dirigeants du monde et de leur donner les consignes à suivre pour endiguer la pandémie en cours sur leur territoire. Sa création est le résultat d’un travail conjoint entre l’OMS et le Groupe de la Banque Mondiale.

Petit flashback intéressant concernant la Banque Mondiale.

Le 28 juin 2017, la Banque Mondiale, qui est une Banque censée aider les pays les plus pauvres de la planète, a eu l’incroyable idée d’émettre sur le marché des obligations des « Pandemic Bonds ». C’est-à-dire des bons obligataires à un horizon de 3 ans basés sur un risque de pandémie.
Une idée folle n’est-ce pas ? Pas tant que ça à vrai dire surtout si vous êtes une banque, un fond de pension ou un fond d’investissement et que vous êtes au courant, — et en droit financier cela s’appelle le délit d’initié —, qu’il va y avoir une pandémie.

A votre avis, combien de banques accepteraient de se lancer, — de façon hasardeuse —, dans l’émission de telles obligations sans avoir la certitude de ramasser le jackpot avant la fin du contrat ? Aucune.

Mais comment voulez-vous prévoir une pandémie ? C’est tout simplement impossible.

Alors en quoi consistent ces pandemics bonds ? C’est très simple.

La Banque Mondiale vend pour X millions de dollars de bons à des fonds, des sociétés ou des états en misant sur le fait qu’il y aura une pandémie avant le 15 juillet 2020. Ceux-ci fonctionnent comme des contrats d’assurance avec des rendements allant jusqu’à 12%. Si une pandémie est déclarée avant le 27 juin 2020, alors les acheteurs de ces contrats perdent leur mise et une partie de l’argent collecté est reversé aux pays les plus pauvres de la planète (75 états). S’il n’y a pas de pandémie, les investisseurs récupèrent leur mise de départ et les intérêts qui en découlent.

Aujourd’hui, toutes les structures qui ont investi dans les pandemics bonds disent qu’il y a anguille sous roche et ont perdu leur mise. Ce qui est intéressant également à noter c’est que les pays les plus pauvres de la planète n’ont toujours pas touché leurs aides. Ces contrats, en effet, qui prenaient en compte le virus concerné, le début de la pandémie, son évolution ou encore le nombre de morts, etc, étaient en réalité bien plus complexes qu’ils n’en avaient l’air.

Pour Arturo Bris, professeur de finance, il n’y a aucun doute :

« Les gens qui sont à l’origine de la création et de l’émission des pandemic bonds étaient au courant du fait qu’il allait y avoir une pandémie de coronavirus avant le 15 juillet 2020 ».

Ce sont de graves accusations mais sont-elles infondées et farfelues ? Pas si sûr.

A ce stade, il est maintenant très difficile de défendre l’idée que le SARS-COV2, qui provoque cette pathologie respiratoire dénommée la COVID-19, est un virus venu de la nature et que personne n’était au courant comme il est encore plus difficile de croire que tout le monde a été surpris et pris de court et que tous les gouvernements de la planète ont été des amateurs.

Peut-être que la Chine a menti, comme un Pinocchio sur une page de couverture, et peut-être même que l’état profond chinois a été complice dans la dissémination délibérée de ce virus et dans le lancement théâtral de cette pièce tragique et funeste. Nous ne le saurons peut-être jamais.

Mais ce qui est certain et que nous commençons à comprendre, c’est que dans cette ère où l’intelligence artificielle est censée remplacer l’homme, nous irons de surprise en surprise.

Le vaccin final et le projet « Trust Stamp » de Bill Gates

Le souhait de Bill Gates et des eugénistes, et qui est de vouloir coûte que coûte contrôler et vacciner toute la planète sous couvert d’avancées humanitaires et philanthropiques, ne date pas d’hier.

Comme le montre la photo ci-dessous, on peut y voir le père du créateur de Microsoft, en pose très confiante avec David Rockfeller et son petit fils. Il est au milieu et c’est très révélateur.

Le projet conjoint « Trust Stamp » de la fondation Bill et Melinda Gates, de la fondation Rockfeller et de Mastercard consiste à vacciner tous les êtres humains avec des alibis infantiles, comme par exemple la lutte contre le blanchiment ou la lutte contre le trafic d’être humains, comme on peut le lire sur l’onglet « humanitaire » du site.

La réalité est tout autre et d’ailleurs, les premières expériences sont déjà en cours en Afrique de l’Ouest. Intéressant de voir que c’est toujours en Afrique, en Inde ou dans les régions les plus pauvres de la planète que Bill Gates et ses amis philanthropes essaient toujours leurs dernières trouvailles (une autre vérité avérée. ndlr).

L’organisation « ID2020 », qui est également le nom d’un autre projet conjoint de vaccination planétaire piloté par Bill Gates et dont les principaux partenaires sont là encore les fondations Gates et Rockfeller, s’engagent à fournir une identité numérique aux milliards de sans papiers qui migrent à travers le monde.

S’agissant du vaccin, qui est déjà en train d’être massivement inoculé en Afrique et au Bangladesh et qui contient non seulement l’ARN capable de modifier notre génome en temps réel mais aussi les nanoparticules censées interagir avec les réseaux d’intelligence artificielle auquel tous les vaccinés seront connectés, il est impossible dans l’immédiat de prédire quels seront les effets premiers et les effets secondaires.

Du point de vue juridique, les citoyens vaccinés n’auront aucun recours possible pour se défendre car, comme vous le savez sans doute, aucune des sociétés qui développent et produisent des vaccins n’est passible de poursuite devant un tribunal de par le monde ni devant une quelconque juridiction. Dans ce domaine, les entreprises pharmaceutiques bénéficient d’une immunité judiciaire sans limite. (Voilà une autre vérité avérée et extrêmement dangereuse. ndlr).

Du point de vue technique et salutaire, dans le cas où tout le monde serait vacciné et répertorié selon le projet ID2020 étendu et où nous devrions évoluer dans un système verrouillé tombé aux mains de radicaux fous et totalitaires, il serait impossible de se défendre et de se retourner contre ceux qui n’auraient qu’un clic à effectuer pour nous ôter la vie au cas où il nous viendrait l’idée de vous révolter ou de vouloir contester un ordre.

La COVID-19 est bien la crise majeure dont parlait David Rockefeller il y a quelques années.

Les eugénistes-malthusiens-transhumanistes ont actuellement le pouvoir et il va être très difficile de leur ôter. L’argent est bien souvent le nerf de la guerre et ils en impriment à profusion. Ce sont eux qui ont le doigt sur l’imprimante et elle tourne à plein régime. (Non, c’est le Grand capital international qui possède tout le pouvoir — relire Marx ci-haut — les eugénistes reflètent les idées d’une faction des intellectuels au service de ces ploutocrates… comme d’autres idéologues qui décrivent le monde mais ne le dirigent pas. ndlr [NdNM : Bill Gates et les Rockefeller font partie du Grand capital international et en sont assez probablement au sommet avec les Rothschild et quelques autres familles]).

Dans un récent article publié sur le site de Futurama, qui présente la start-up « Neuralink » et ses travaux, les auteurs expliquent très bien la velléité du transhumanisme qui est de connecter l’homme à la machine, c’est-à-dire l’Humanité à l’intelligence artificielle, via un « neural lace », c’est-à-dire un implant greffé au cerveau.

Alors certes, les travaux de cette société appartenant au célèbre milliardaire Elon Musk en sont encore à implanter des puces sur les cerveaux des cochons mais les premiers résultats sont déjà là et ils sont prometteurs.

Derrière l’argument du progrès et de l’aide que va apporter ce nouveau système d’assistance neurologique aux paralysés, aux sourds et aux malentendants, aux aveugles, aux malades d’Alzheimer ou de Parkinson, il existe une autre réalité dans les coulisses du transhumanisme et celle-ci n’est jamais mise en avant. Elle réside dans la prise de pouvoir qui pourrait donner, à une seule personne, le contrôle de toutes ces intelligences artificielles et par là même le contrôle total sur une humanité connectée.

Car il n’y a aucun doute sur le fait qu’après avoir greffé les cochons ne vienne le moment de greffer les hommes. (C’est tout à fait plausible. ndlr).

Qu’en sera-t-il si vous ne contrôlez plus vos pensées, vos faits et vos gestes ? Qu’en sera-t-il si l’intelligence à laquelle vous êtes connecté subit un bug ?
Que pourrez-vous faire si vous n’avez plus le contrôle de votre vie, de votre corps, le contrôle sur vos enfants ? Que pourrez-vous faire si quelqu’un venait à pirater l’intelligence à laquelle vous êtes connecté et à en prendre le contrôle ?

Il n’est pas évident de répondre à toutes ces questions.

Pour vous donner un exemple de dérive, sachez qu’en ce moment même, si jamais vous sortez sans masque ou que vous refusez d’en porter un dans les rues de la région du Québec, et bien vous risquez de vous retrouver dans des camps pour détenus ayant peut-être la COVID pour une durée de 14 jours. Vous en sortez, vous rentrez chez vous et là, la police vous contrôle à nouveau. Vous repartez en camp pour détenus COVID et ainsi de suite tant que durera la situation d’urgence sanitaire. C’est en tout cas ce qu’expliquait le docteur Jacques Girard lors d’une intervention publique le 2 septembre dernier sans toutefois répondre à la question d’une journaliste qui lui demandait où étaient enfermés les dissidents à cette crise.

Vous l’avez compris, l’état de crise sanitaire dans lequel nous sommes plongés depuis déjà plus de 6 mois, autorise les autorités à arrêter quelqu’un sur une simple suspicion et à le détenir 14 jours.

À partir de là, personne n’est autorisé à savoir où l’interpellé est détenu ni à avoir la garantie qu’il ne mourra pas potentiellement de la COVID pour être ensuite incinéré comme le veut le protocole sanitaire.

Ce qui est plus facile également de comprendre en revanche, c’est que ceux qui pensent, décident et dirigent ce monde ont déjà commencé à jouer avec le feu et ils ne sont plus en mesure de le contrôler. Un peu comme si un joueur dans un casino n’arrivait plus à se contrôler et à s’arrêter.

L’OMS, dans son GPMB de 2019, parle bien de « deux exercices » de formation et de simulation à l’échelle du système, dont un couvrant la dissémination délibérée d’un agent pathogène respiratoire mortel.

Le premier, nous le connaissons. Il a consisté en la dissémination délibérée du SARS-COV2, à alerter les populations sur le danger mortel de contracter le virus, arrêter l’économie, confiner les populations et leur rendre une semi-liberté sous conditions. C’est-à-dire qu’elles portent le masque et qu’elles acceptent un ou des éventuels reconfinements jusqu’à ce que le Conseil Mondial ordonne la fin officielle de la pandémie ou fournisse une fausse solution : le vaccin.

Le second consistera probablement à vacciner toute la population mondiale et à lui inoculer tout ce dont nous avons parlé plus haut avec l’alibi de vouloir tous nous sauver de la COVID-19, cette maladie qu’ils ont en réalité eux-mêmes propagée. Maladie qui, au passage, est extrêmement dangereuse pour les familles qui veulent se promener sur la plage, mais qui est sans aucun danger pour les manifestations Black Lives Matter que les autorités du monde entier ont autorisées. (Une autre vérité avérée. ndlr).

Voilà plus de 40 ans maintenant que les chercheurs de tous les pays essaient de développer un vaccin contre le virus qui provoque chez l’homme le Syndrome d’Immunodéficience Acquise (SIDA).

Y sont-ils arrivés malgré les budgets pharaoniques qui leur ont été attribués ? Non.

Et vous savez pourquoi ? Parce qu’il est impossible de se prémunir contre des virus qui s’adaptent et évoluent en passant d’un organisme vivant à un autre, d’un homme à un autre.

[NdNM : la théorie virale n’est qu’une théorie non pleinement démontrée. La théorie des exosomes semble expliquer mieux et plus complètement les phénomènes « épidémiques ». Voir : La théorie des exosomes contre celle des virus, Un article du Dr Stefan Lanka 2020 réfute l’idée fausse du virus et 5G, virus et covid-19]

Les coronavirus sont une famille de rétrovirus à ARN très répandus et chaque année, dans tous les pays, les instituts d’infectiologie en dénombrent à chaque fois 4 ou 5 nouveaux plus ou moins coriaces. Tantôt ils sont bénins, tantôt ils peuvent provoquer des complications respiratoires sévères.

En France et dans le reste de l’Europe, ils sont très nombreux à circuler dans les cours d’école, dans les transports en commun ou dans tous les lieux publics.

Dès que nous approchons des moments de fortes amplitudes thermiques, dans les saisons où nous passons du chaud au froid ou du froid au chaud très rapidement, tous ces virus, qui sont dit saisonniers, se manifestent et s’installent. Ils nous rendent malade et puis disparaissent.

Un article publié sur le site Sciences et Avenir et dont le sujet est dans le titre : « et si on ne trouvait jamais de vaccin ? » explique plutôt bien et gentiment les dessous de la recherche vaccinale sur les virus à ARN.

A-t-on trouvé un vaccin contre SARS-COV1 ? Non. Il n’en existe pas et on en trouvera jamais, alors par quel miracle trouverons nous un vaccin contre le SARS-COV2 ?

C’est une foutaise et c’est la même foutaise que celle du trou dans la couche d’ozone. Rappelez-vous tout l’argent qu’ont prélevé les gouvernements via toutes sortes de taxes pour sauver le trou dans la couche d’ozone. Puis on n’en a plus parlé du jour au lendemain. (Une autre vérité avérée. ndlr).

Mais les humbles veillent et vous posent la question : où est passé le trou dans la couche d’ozone ?

Les véritables objectifs des dirigeants de ce monde ne sont pas de sauver l’humanité mais de lui donner le coup de grâce. Ce qu’ils veulent c’est lui imposer un contrôle total et totalitaire et réduire le nombre d’individus à un seuil gérable du point de vue démographique et politique, et de faire en sorte que sa mise en servitude soit définitive.

Il y a quelques jours à peine, le professeur Raoult de l’IHU de Marseille, dont nous ne sommes ni les contradicteurs ni les admirateurs, disait qu’il y avait en circulation sur le sol français, non pas une souche de coronavirus SARS-COV2 mais 7 différentes. Des souches mutantes. C’est-à-dire des souches ayant changé au fur et à mesure qu’elles passaient d’un hôte à un autre.

Ce qui est surtout intéressant de savoir concernant la souche originelle du SARS-COV2, c’est qu’il n’est absolument pas un virus provenant de la nature mais qu’il est issu d’un croisement, comme l’affirme la professeur Li-Meng Yang, une spécialiste mondiale des coronavirus. Elle est aujourd’hui réfugiée au États-Unis et protégée par le FBI.

Dans une interview accordée à la chaine NewsMax il y a environ 1 mois, elle expliquait que ce virus, sur lequel elle travaillait en particulier lorsqu’elle était en fonction au laboratoire P4 de Wuhan en Chine, n’a rien de naturel et qu’il est le croisement de deux coronavirus ; celui du pangolin et celui de la chauve-souris.

[NdNM : dans la théorie des exosomes, les prétendus « virus » seraient en fait des « exosomes » produits par nos propres cellules ou par celles des animaux, lorsqu’elles sont agressées d’une manière ou d’une autre — par déficience en nutriments, par des toxines ou des poisons divers (pesticides, additifs alimentaires, produits chimiques ménagers, polluants atmosphériques, etc.), par le froid, le manque de soleil, la peur et le stress ou même par des ondes électromagnétiques pulsées telles que celles du Wi-Fi, de la 4G et de la 5G. Les exosomes produits par nos cellules sont éjectés de notre corps en particulier par la sudation, favorisée par la fièvre en cas de besoin. S’ils se retrouvent en contact avec d’autres organismes, ils sont perçus comme des éléments étrangers et éjectés pareillement sans faire spécialement de dommages, mais surtout sans s’y multiplier, car ils ne sont que des conséquences des agressions subies par les cellules, pas les véritables causes. Les nombreuses prétendues « mutations » des virus ne sont que l’expression de la grande variété du matériel génétique humain et de l’adaptation partielle du corps à ces agressions. On peut ainsi déduire de cette théorie scientifique révolutionnaire que manipuler des virus en laboratoire P4, pour en faire de nouvelles sortes de virus supposément plus mortels, n’aura jamais les effets escomptés et ne produira jamais d’hécatombe. Il est pratiquement démontré que le SRAS-COV2 n’a pas produit de surmortalité par rapport aux années précédentes, et pour cause si cette théorie est avérée. À l’inverse, la peur, le stress, le port du masque, le confinement, les vaccins, le Wi-Fi, la 5G… agressent nos cellules et produisent des effets qui seront facilement perçus comme épidémiques, puisqu’ils sont produits en masse, grâce notamment aux propagandes de peur des médias mainstream, aux campagnes vaccinales contre la grippe et autres maladies et à l’expansion des réseaux de communication sans fil.]

Le professeur Luc Montagnier, prix Nobel de médecine pour avoir découvert le virus du SIDA, a été quant à lui le premier francophone à dénoncer le fait incroyable et étrange que dans le génome du SARS-COV2, on y retrouvait des séquences génétiques du virus du SIDA.

Dans une interview accordée à la chaîne Thana TV, il explique cette manipulation, ces insertions et les dérives qui guettent l’humanité tout en s’inquiétant du fait que nous « vivons dans un monde de fous » pour reprendre ses termes.
(Voilà une autre vérité avérée. Je ne dirais pas un monde de fous – je dirais un monde capitaliste décadent rendu au bout de son destin et que le grand capital ne sait pas mieux faire que de tenter de le faire perdurer. Il faut l’abolir. ndlr [NdNM : le « grand capital » se partage facilement la vedette avec le communisme en ce qui concerne les conséquences négatives sur la vie humaine et planétaire. Plusieurs dizaines de millions de personnes ont été victimes de génocides sous des régimes communistes. Mao Zedong, Joseph Staline et Pol Pot sont parmi les principaux assassins.])

Alors qu’allons-nous dire à nos enfants lorsqu’ils ils nous demanderont pourquoi nous n’avons rien fait lorsqu’il était encore temps ?

À ce stade, il n’y a plus aucun doute que les mesures contradictoires et paradoxales prises par les autorités sanitaires durant la gestion de cette crise n’ont pas d’autres objectifs que de créer de la dissonance cognitive chez les individus afin de briser leur rationalité.

Cette dissonance nous empêche ainsi de réfléchir et d’en arriver à la conclusion que nous vivons une véritable manipulation. Comment se fait-il qu’aucun grand média mainstream n’apporte de contradiction ou ne remettent en question toutes les mesures sanitaires gouvernementales qui jusqu’ici n’ont été que des échecs ?

N’y a-t-il pas là une communication de programmation et de conditionnement ?

Joseph Goebbels disait : « un mensonge répété à quelqu’un restait toujours un mensonge mais un mensonge répété 1000 fois et partout devenait une vérité ». C’est terrible à dire mais malheureusement c’est exactement ce qui en train de se passer et c’est entre autre pour cette raison que Luc Montagnier dit que nous vivons dans un monde de fous.

Plus personne n’ose contester le port du masque alors que des centaines d’études à travers le monde ont démontré que, non seulement il était inefficace mais qu’il était également dangereux. On ne compte plus le nombre de personne ayant eu des troubles ou des accidents à cause du port prolongé du masque. Et la semaine passée, une fille de 13 ans est décédée en Allemagne après s’être évanouie dans le bus à son retour de l’école. Une autopsie est en cours.

Certains le portent par conviction, et là on ne peut rien faire pour eux, car une fois que l’on adhère au dogme politico-médiatique il est très difficile d’en sortir, sinon c’est le monde qui s’écroule et là, très peu de gens sont prêts pour ça. C’est-à-dire sortir de la Matrice et suivre le lapin blanc.

D’autres le portent par obligation, par peur du qu’en dira-t-on, par peur d’enfreindre la loi ou par peur de la verbalisation même s’ils sont convaincus de son inutilité. Et là c’est pire car c’est la voie toute tracée vers un totalitarisme nouveau, une dictature parfaite.

Aldous Huxley écrivait dans Le meilleur des mondes : 

« La dictature parfaite serait une dictature qui aurait les apparences de la démocratie, une prison sans murs dont les prisonniers ne songeraient pas à s’évader. Un système d’esclavage où, grâce à la consommation et au divertissement, les esclaves auraient l’amour de leur servitude ».

Nous y sommes non ?  (NON nous n’y sommes pas – dans l’énoncé précédent il est stipulé que les esclaves consomment et se divertissent – mais de fait, le confinement appauvrit tout le monde – tuent les pauvres et paupérises les petits-bourgeois. Le grand capital creuse sa tombe parmi les prolétaires enragés. Voilà ce qui nous oppose aux conspirationnistes qui croient que la game is over! ndlr [NdNM : capitalisme et communisme sont les deux idéologies majeures — et systèmes — sur lesquelles s’appuient les élites mondiales pour construire leur Nouvel Ordre Mondial qui en fait la synthèse. S’imaginer que l’un vaut mieux que l’autre est probablement illusoire.]).

Les gouvernements ne  font pas d’erreurs lorsqu’ils vous disent, au plus fort de la contagion, que les masques sont inutiles. Pas plus qu’ils n’en font lors des lendemains tranquilles, au plus fort de l’été lorsque les hôpitaux sont vides, lorsqu’ils vous disent le contraire. Qu’il faut porter le masque pour vous protéger et protéger les autres.

Ce n’est pas une erreur lorsqu’ils vous disent que vous devez porter le masque au travail entre collègues mais pas au restaurant avec les mêmes collègues.

En réalité, les gouvernements créent chez vous de la dissonance cognitive, c’est-à-dire une mise en situation dans laquelle tous vos jugements entre en contradiction les uns avec les autres et vous amènent à des situations de blocages et d’égarement. Vous êtes ainsi beaucoup plus vulnérable et beaucoup plus perméable à des consignes que vous n’auriez sûrement pas acceptées si votre raison fonctionnait normalement.

Ils nous rendent malade de stress et d’anxiété

Le fait de porter un masque nous entretient dans un climat de terreur qui repose sur une menace que nous ne voyons ni ne percevons. Ce qui amplifie nos angoisses et notre stress et impacte directement notre système immunitaire qui s’affaiblit à force d’anxiété. Du point de vue psychologique, nous savons que la peur est très mauvaise conseillère. Lorsque nous avons peur, nous sommes beaucoup plus enclins à accepter toutes sortes de mesures liberticides et contraignantes. Les ingénieurs sociaux le savent et la journaliste canadienne Naomie Klein a écrit un excellent ouvrage sur le sujet, « La stratégie du choc ».

Au-delà du fait qu’il s’agit d’un livre très critique sur les dérives de l’ultralibéralisme, l’ouvrage met surtout en lumière le fait que les gouvernements profitent de plus en plus fréquemment de certains événements majeurs, telles que les attaques terroristes (cas du 11 septembre 2001) ou les insurrections populaires (cas des gilets jaunes en France), https://les7duquebec.net/archives/253109  pour renforcer leur arsenal juridique (perquisitions sans commission rogatoire, restriction des libertés, assignation à résidence, fichage des individus, renforcement des contrôles, etc.) visant à restreindre les libertés individuelles de chacun sans toutefois apporter une réelle sécurité aux populations.

Est-ce que les états d’urgence qui ont été instaurés dans plusieurs États du monde ont été ensuite retirés ? Non et ils sont toujours en vigueur.

Est-ce que l’état d’urgence qui perdure en France depuis le massacre de l’équipe de Charlie Hebdo en 2015 a t-il empêché l’attentat de Nice ? Non. Absolument pas. Une des grandes entourloupes du gouvernement Valls a été de faire croire aux français qu’il allait lutter contre les injustices sociales et les idéologies radicales en installant partout des caméras et des portiques de sécurité.

L’état d’urgence, en réalité, n’a fait que renforcer les pouvoirs des forces de l’ordre établi et des gouvernements sous prétexte de lutter contre le terrorisme et les français l’ont accepté. La peur de mourir, égorgé par Mohamed le gérant de la petite épicerie du bas de l’immeuble ou par Youcef à coups de balai entre deux nettoyages de voirie était trop forte et allait bien au-delà de la raison.

Notre réalité dans ce monde ne se base et ne se construit qu’à partir de ce que nous renvoient nos sens et lorsqu’ils sont biaisés ou ne sont plus tout à fait fonctionnels, c’est tous les repères qui s’effondrent. Nous nous retrouvons là dans une position d’extrême vulnérabilité voire même de perdition. Comme des baleines dépourvues de leur système d’écholocation.

Nous perdons ainsi confiance en nous et dans les autres, tous nos repères et nos valeurs s’estompent et nous nous en remettons volontiers au bon vouloir de l’autorité.

C’est en quelque sorte un peu ce qui se passe lorsque nous tombons malades et que nous nous rendons chez le médecin. Pour guérir et recouvrer notre santé, nous ingurgitons tout ce qu’il nous donne et bien souvent sans lire attentivement la notice.

Nous nous retrouvons comme des enfants dans les mains de nos parents.

Les gouvernements, qui ont malheureusement bien compris cette mécanique anthropologique et ces leviers psychosociaux depuis très longtemps, concèdent des budgets considérables à l’ingénierie sociale. L’art de manipuler les masses.

Nous avons parlé un peu plus haut du laboratoire militaire P4 de Fort Detrik dans le Maryland, n’est-ce pas. Saviez-vous que ce laboratoire était également très connu pour avoir abrité durant plus d’un demi-siècle le plus grand centre de recherche mondial sur le contrôle mental ?

Il est vrai que c’est effrayant, mais ce n’est que la réalité. Si les structures supra-étatiques telles que l’OMS et le Conseil Mondial n’ont jamais eu autant de pouvoir, comme nous l’avons vu durant cette crise, le drame réside surtout dans le fait que ces organes ne sont absolument pas indépendants en toutes matières car elles dépendent elles aussi d’autres structures pour les financer.

Qu’il s’agisse de Madame Brundtland ou du controversé Monsieur Adhenom Ghebreyesus, tout nous laisse supposer aujourd’hui que ces acteurs internes ne sont que des femmes et des hommes de paille.

Le véritable chef d’orchestre est la main qui donne, jamais celle qui reçoit et depuis que les États-Unis ont annoncé qu’ils ne financeraient plus l’OMS, c’est la Fondation Bill et Melinda Gates qui est devenue le premier contributeur.

Or sans réel contre-pouvoir, les populations du monde sont à la merci totale de ces supra-structures qui gèrent les crises qu’elles ont elles-mêmes sans doute orchestrées et provoquées.

Tout le monde aujourd’hui comprend bien que quelque chose cloche, que l’on ne nous dit pas la vérité et que les chiffres sont truqués et manipulés et que surtout, plus rien ne sera comme avant.

Oui, il y a un plan de gouvernance mondiale et même un aveugle le verrait. De Georges Bush à Nicolas Sarkozy, toutes les grandes personnalités politiques n’ont eu cesse de le répéter et personne ne le nie. Ce n’est absolument pas du complotisme, « c’est notre projet » pour reprendre les termes exacts d’Emmanuel Macron car effectivement c’est un projet bien réel.

Nous avons tendance à oublier qu’il y a déjà une première ébauche de gouvernement mondial et elle s’appelle l’ONU. Que fait-elle ? Elle ne fait qu’adopter des résolutions qui ne servent à rien hormis brasser du vent.

Est-ce que l’ONU a aidé à ce que la souveraineté des états les plus pauvres de la planète soit respectée ? Non. L’ONU a-t-elle fait quelque chose pour les palestiniens ? Rien.

Le Proche et le Moyen-Orient aujourd’hui sont dans un chaos inédit.

Est-ce que l’ONU a empêché les bombardements de la Yougoslavie, de l’Irak, de la Libye ou de la Syrie ? La réponse est non.

Est-ce que les Américains ont apporté la démocratie et les droits de l’homme en Afghanistan depuis qu’ils y ont mis les pieds en 2001 ? Non. Sont-ils toujours là-bas ? Oui. 19 ans dans un pays pour rien.

La seule chose qui ait évolué en Afghanistan c’est la production d’héroïne et elle a explosé, entraînant par principe de cause à effet une hausse vertigineuse de sa consommation aux États-Unis pour atteindre un niveau alarmant.

On ne fait pas de guerre pour sauver les veuves et les orphelins et les milliardaires ne nous veulent pas du bien. Il faut arrêter de se leurrer. Ils ne sont intéressés que par leurs profits et leur salut.

C’est à nous de nous réveiller et d’arrêter de nous faire promener comme des enfants immatures et irresponsables et de concevoir un système pour décider tous ensemble de ce qui est bon pour notre avenir et notre planète.

La première chose à faire est déjà de nous déconnecter de tous ces instruments de conditionnement que sont les médias conventionnels qui ne font que servir la soupe à leurs propriétaires et leurs actionnaires principaux. Nous devons impérativement nous réapproprier les différents canaux d’information de grande écoute et participer à l’éducation des peuples afin qu’ils se réveillent et ne se fassent plus endormir comme des enfants.

La seconde est de veiller à ce que n’arrivent jamais au pouvoir des hommes et des femmes avides et cupides, et de créer un système de protection qui procure une immunité et une sécurité sans faille aux personnes vertueuses qui ont à cœur le bien être de l’humanité et de la nature.

A ce jour, ce sont plus de 655 000 américains qui ont déposé une pétition à la maison blanche pour que le gouvernement américain ouvre une enquête sur les objectifs cachés de la fondation Bill et Melinda Gates et sur le GAVI. Il n’y a aucun doute que nous entendrons parler, dès cet automne, des suites qui seront données à la pétition. Sûrement après les élections du 3 novembre.

Il est extrêmement important de faire la lumière sur les origines et les objectifs cachés de cette pandémie et de traduire en justice tous les différents protagonistes liés de près ou de loin à cet épisode funeste de l’histoire de l’humanité. (Un autre point qui nous différentie des complotistes. Nous ne faisons aucune confiance à l’État et à ses institutions corrompues et à ses ONG stipendiées et nous n’endossons aucune pétition ou appel à la « justice » des riches.  Ainsi, les laboratoires militaires P4 sont ceux-là même qui ont exfiltré et échappé ce SRAS Cov-2. Ces  45 laboratoires de guerre doivent être détruits. Seule la révolution nous permettra d’imposer cette sentence sans appel. ndlr).

Nous devons tout faire pour que cette pandémie nous serve de leçon et surtout qu’elle soit la première et la dernière.

Amar


Note du Saker Francophone

En ces temps troublés où le monde semble prêt à basculer d'un côté ou l'autre de la montagne, Amar vous propose sa vision des événements. Il s'appuie sur un certain nombre de faits en proposant une vision dystopique de l'avenir.

Rien n'est cependant écrit et même si la volonté de certains s'affiche clairement, la partie est en cours. Il est aussi possible de tirer d'autres conclusions et d'imaginer tout un ensemble de scénarios de prospective.



Les données INSEE démontrent qu’il est impossible d’avoir 30 800 morts en plus en France en 2020 à cause du COVID-19!

[Source : FranceSoir]

Auteur(s): Docteur Peter EL BAZE pour FranceSoir

TRIBUNE : D’après les chiffres officiels de l’INSEE du nombre de morts toutes causes confondues du 1er janvier au 31 juillet 2020 en France, on nous annonce une surmortalité de 30 800 morts Covid en plus par rapport à l’année précédente. 

Ceci n’est pas possible et nous en faisons la démonstration

Commençons par regarder le nombre total de morts en France entre le 1 janvier et le 31 juillet des 3 années : pour 2018 il est de 363 955, en 2019 de 362 900 et en 2020 de 379 200.  Ceux sont les décès toutes causes pour la France.   Par différence, il y a donc + 15 245 décès en plus en 2020 qu’en 2018 et + 16 300 décès en plus entre 2020 et 2019.

Logiquement, il est impossible qu’il y ait plus de 16 300 morts de plus en 2020 (quelqu’en soit la cause, COVID ou PAS COVID).

Un ajustement est aussi nécessaire

Pour être plus complet, il faut enlever de ce chiffre maximum de 16 300 morts en surplus par rapport à 2018 :

  • Les 2000 à 3000 morts/an qui s’ajoutent chaque année à cause de l’augmentation de la population et de son vieillissement.
  • Les morts en mars-avril-mai 2020 d’autres pathologies par privation de soins à cause du confinement. Et ceux-là se chiffrent en millier.

En conséquence, le chiffre ajusté du nombre de morts en France est obligatoirement très inférieur à 14 500 dont une petite partie à cause du COVID-19.

Une correction basée sur des indices mondiaux

En appliquant le taux de mortalité mondial moyen actuel de 0,011% à la France, on obtient environ 7 000 morts, ce qui serait cohérent avec l’Allemagne qui déclare 9000 morts pour 84 millions d’habitants.

Un peu de bon sens, la France qui a une des meilleures médecines du monde ne peut pas avoir 400% de morts en plus que la moyenne mondiale !

La majorité des certificats de décès cochés morts COVID-19, ne sont pas morts à cause du COVID-19

  • Une incitation financière à cocher la case Covid, elle est de 5000 euros/certificat dans les hôpitaux et de 55 euros en médecine de ville,
  • Une recommandation de pas chercher de preuve médicale (test, autopsie) mais une simple suspicion,
  • Une recommandation de ne pas faire de diagnostics différentiels avec les autres pathologies graves du patient (Insuffisance cardiaque, HTA, cancers, etc) présentes chez 99% des patients décédés.

Les arguments erronés qui ne manqueront pas d’être évoqués

  • Diminution des morts pas accidents de la route en mars-avril : les 200 morts en moins d’accidents de la route du fait du confinement ne changent rien à ces chiffres.
  • En 2020 il y a 14 000 personnes qui auraient dû mourir et ne sont pas mortes sans aucune raison (soit 24 000 sur l’année).  Ce genre de miracle n’existe pas en médecine, cela n’est jamais arrivé dans l’histoire sauf l’année suivante d’une guerre.
  • 14 000 personnes malades ne sont pas mortes grâce au confinement et aux masques.  La réalité c’est que le confinement général est responsable au contraire de milliers de morts en plus parmi les millions de malades chroniques graves par manque de soins, les cabinets de ville et consultation hospitalières étaient vides, même en chimiothérapie !

En épidémiologie, les deux grandes causes de variations de la mortalité sont les guerres et les épidémies.

Mathématiquement il est démontré que le chiffre de 30 800 morts à cause du Covid-19 est impossible.

Que si tous les morts supplémentaires en 2020 étaient tous A CAUSE du Covid-19, leur chiffre ne peut pas dépasser 14 500 et probablement beaucoup moins.

Docteur Peter EL BAZE, Ex Médecin Attaché des Hôpitaux du CHU de Nice, ancien Chef du Service de Médecine Interne A1, Les Sources, Nice. Créateur des logiciels médicaux Megabaze et Oncobaze (chimiothérapies).




Mortalité toutes causes confondues pendant la COVID-19 : Pas de fléau et une signature probable d’homicide de masse par la réponse du gouvernement

[Source : Le Saker Francophone]

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Par Denis G. Rancourt – Source Research Gate

Les dernières données sur la mortalité toutes causes confondues par semaine ne montrent pas une charge hivernale de mortalité statistiquement plus importante que pour les hivers précédents. Il n’y a pas eu de peste. Cependant, un « pic COVID » étroit est présent dans les données, pour plusieurs juridictions en Europe et aux États-Unis.

Ce « pic COVID » de mortalité, toutes causes confondues, présente des caractéristiques uniques :

  • Sa netteté, avec une largeur à mi-hauteur maximale de seulement 4 semaines environ ;
  • Son retard dans le cycle de la saison infectieuse, avec une augmentation subite après la semaine 11 de 2020, ce qui est sans précédent pour tout pic aigu ;
  • La synchronisation du début de sa poussée, sur tous les continents, immédiatement après la déclaration de la pandémie par l’OMS ; et
  • Son absence ou sa présence d’un état à l’autre des États-Unis pour la même écologie virale sur le même territoire, étant corrélée aux événements des maisons de retraite et aux actions du gouvernement plutôt qu’à un quelconque discernement de la souche virale connue.

Ces caractéristiques du « pic COVID », ainsi qu’un examen de l’histoire épidémiologique et des connaissances pertinentes sur les maladies respiratoires virales, m’amènent à postuler que le « pic COVID » résulte d’un homicide de masse accéléré de personnes immunovulnérables et de personnes rendues plus immunovulnérables par des actions gouvernementales et institutionnelles, plutôt que d’être la signature épidémiologique d’un nouveau virus, quel que soit le degré de nouveauté du virus du point de vue de la spéciation virale.

Les données sur les causes de décès sont intrinsèquement peu fiables

L’attribution de la cause de la mort, avec les maladies infectieuses et la comorbidité, est non seulement techniquement difficile (par exemple, Simonsen et al., 1997 ; Marti-Soler et al., 2014) mais aussi contaminée par les préjugés des médecins, la politique et les médias.

Cela est connu depuis que l’épidémiologie moderne a été pratiquée pour la première fois. Voici Langmuir (1976) qui cite le célèbre pionnier William Farr, à propos de l’épidémie de grippe de 1847 :

Farr utilise cette épidémie pour réprimander légèrement les médecins sur leurs vues étroites en soulignant que de fortes augmentations ont été observées non seulement avec la grippe elle-même, mais aussi la bronchite, la pneumonie et l’asthme et de nombreuses autres causes non respiratoires, déclare-t-il : … il existe une forte disposition chez certains praticiens anglais non seulement à localiser la maladie, mais aussi à ne voir que la maladie locale. Par conséquent, bien qu’il soit certain que la mortalité élevée enregistrée soit le résultat immédiat de l’épidémie de grippe, les décès évoqués pour cette cause ne sont que de 1 157.

Et, ce biais est généralement reconnu par les principaux épidémiologistes (Lui et Kendal, 1987) :

… la décision de classer les décès en « pneumonie et grippe » est subjective et potentiellement incohérente. D’une part, l’effet de la grippe ou de la pneumonie liée à la grippe peut être sous-estimé car les maladies chroniques sous-jacentes, en particulier chez les personnes âgées, sont généralement mentionnées comme cause de décès sur le certificat de décès. D’autre part, après que l’activité grippale a été publiquement déclarée, il peut y avoir une tendance accrue à classer les décès comme étant dus à « la pneumonie et la grippe », ce qui amplifie le taux d’augmentation des décès liés aux 2 ou, lorsqu’une baisse de l’activité grippale est déclarée, il peut en résulter un biais vers la diminution de la classification des décès liés à « la pneumonie et la grippe ». Aucune enquête n’a été réalisée pour évaluer ces possibilités.

On peut raisonnablement s’attendre à ce que dans le monde actuel des médias sociaux, avec une « pandémie » déclarée par l’Organisation mondiale de la santé (OMS), ce biais ne soit que plus important par rapport à sa présence lors d’épidémies passées de maladies respiratoires virales.

Par exemple, il est difficile d’interpréter la synchronicité de la déclaration du COVID-19 par l’OMS comme une pandémie et le début de l’augmentation observée des cas et des décès de COVID-19 comme étant le produit d’une coïncidence ou de la capacité de prévision extraordinaire du système mondial de surveillance de la santé :

Figure 1 : Nombre de cas COVID-19 signalés dans le monde et nombre de décès attribués à la COVID-19 signalés, par jour. Les données de l’OMS ont été consultées le 30 mai 2020. Les lignes verticales au crayon indiquent la date à laquelle l’OMS a déclaré la pandémie.
Figure 2 : Nouveaux cas de COVID-19 signalés dans le monde, par jour, en distinguant les continents. Les données de l’OMS ont été consultées le 30 mai 2020. La ligne verticale au crayon indique la date à laquelle l’OMS a déclaré la pandémie.

Au contraire, à la lumière des épidémies passées, il est plus probable que ce remarquable phénomène de synchronicité résulte d’attributions biaisées, dans le contexte souple de l’utilisation de tests de laboratoire fabriqués en urgence et non validés, d’évaluations cliniques d’un ensemble générique de symptômes et d’une attribution incertaine de la cause du décès dans des circonstances de comorbidité complexes.

C’est pourquoi les études épidémiologiques rigoureuses s’appuient plutôt sur des données de mortalité toutes causes confondues, qui ne peuvent être modifiées par un biais d’observation ou de déclaration (comme l’indiquent Simonsen et al., 1997 ; et voir Marti-Soler et al., 2014). Un décès est un décès définitif.

La mortalité dans la charge hivernale d’une année sur l’autre dans les pays des latitudes moyennes est très régulière

La mortalité humaine moderne dans les régions à climat tempéré des latitudes moyennes est fortement saisonnière. Les graphiques du nombre de décès toutes causes confondues par unité de temps (mois, semaine, jour), dans des régions données, présentent un schéma annuel, avec une amplitude de pic à creux de 10 à 30 % de la valeur de base du creux, en grande partie indépendamment des agents pathogènes spécifiques qui peuplent les saisons spécifiques. Une forte mortalité se produit en hiver, et est donc inversée dans les hémisphères nord et sud (par exemple, Marti-Soler et al., 2014).

Pour les États-Unis, le phénomène est bien illustré dans cette figure de Simonsen et al. (1997) :

Figure 3 : Mortalité toutes causes confondues, par semaine, pour les États-Unis, 1972 à 1993 (Simonsen et al., 1997 ; d’après leur Fig. 1).

Dans un tel graphique, la zone située sous un pic, par rapport à son niveau de référence minimal, est le nombre total de décès annuels l’hiver, au-dessus du niveau de référence minimal. Le nombre « excédentaire » de décès annuel ainsi calculé, ici (dans la période 1972-1993), est toujours d’environ 8 à 11 % du total des décès annuels au niveau de référence minimal, ainsi que d’environ 8 à 11 % de la mortalité annuelle toutes causes confondues.

Cette « surmortalité » régulière et saisonnière, ou charge hivernale, a été un défi épidémiologique à comprendre, même si, à commencer par Farr, de nombreux épidémiologistes l’ont initialement attribuée presque entièrement aux maladies respiratoires virales de type grippe saisonnière.

Néanmoins, l’angoissante difficulté à comprendre la ou les causes de ce schéma remarquablement régulier et global (les deux hémisphères, mais inversé) persiste, comme l’illustrent les propos de Marti-Soler et al. (2014) (références omises) :

Étant donné que la mortalité due au cancer ne présente pratiquement pas de schéma de saisonnalité, la saisonnalité de la mortalité globale est principalement due à la saisonnalité de la mortalité due aux MCV [maladies cardiovasculaires] et à la mortalité non due aux MCV et non due au cancer. Pour ces conditions, et en particulier pour les MCV, l’exposition au froid est une explication plausible de la saisonnalité observée, étant donné la relation entre le climat froid et la latitude. Plusieurs études longitudinales ont démontré qu’une baisse de la température extérieure était associée à une augmentation de la mortalité toutes causes confondues. Cependant, d’autres facteurs dépendant de la latitude, tels que les habitudes alimentaires, l’exposition au soleil (taux de vitamine D) et les agents parasitaires et infectieux humains pourraient également jouer un rôle. L’ampleur du schéma saisonnier de la mortalité due aux MCV était plus élevée que celle de la mortalité toutes causes confondues. Le caractère saisonnier de la mortalité due aux MCV pourrait être dû en partie à la saisonnalité conjointe de plusieurs facteurs de risque connus de MCV, comme décrit précédemment. De même, les facteurs liés au mode de vie, tels que l’alimentation et l’activité physique, ont également tendance à différer pendant les mois d’été et d’hiver. De plus, l’exposition au froid augmente la dépense énergétique, la vasoconstriction périphérique et la post-charge cardiaque, ce qui peut déclencher une ischémie myocardique et un accident vasculaire cérébral. Enfin, l’infection grippale à tendance hivernale peut également être un déclencheur de décès dus à des maladies cardio-vasculaires en exacerbant les conditions de ces maladies ou en raison de complications secondaires. C’est probablement le cas de la concentration des polluants atmosphériques.

La saisonnalité de la mortalité non liée aux MCV et non liée au cancer peut être liée au fait que les maladies pulmonaires obstructives chroniques et la pneumonie sont des maladies fréquentes dans cette catégorie et que ces maladies sont exacerbées par la grippe, d’autres infections de type grippal et les concentrations de polluants atmosphériques, qui sont toutes plus fréquentes en hiver. Quelques autres maladies de la catégorie des maladies non dues aux MCV et non dues au cancer présentent également un schéma saisonnier, par exemple la dépression, le suicide et les hémorragies variqueuses de l’œsophage.

Pourquoi la mortalité dans sa charge hivernale est-elle si régulière et persistante ?

Même la saisonnalité de la partie « pneumonie et grippe » (P&G) qui représente une grande partie de ce que Marti-Soler et al. quantifient comme « mortalité non due aux MCV et non due au cancer » n’a été comprise qu’il y a dix ans. Jusqu’à récemment, on se demandait si le schéma annuel des P&G était principalement dû aux changements saisonniers de la virulence des agents pathogènes ou aux changements saisonniers de la sensibilité de l’hôte (par exemple, l’air sec provoquant une irritation des tissus, ou la diminution de la lumière du jour entraînant une carence en vitamines ou un stress hormonal). Voir, par exemple, Dowell (2001). Dans un sens, la réponse est « ni l’un ni l’autre ».

Dans une étude qui fait date, Shaman et al. (2010) ont montré que le schéma saisonnier de surmortalité des maladies respiratoires (P&G) peut être expliqué quantitativement sur la seule base de l’humidité absolue, et son impact direct sur la transmission des pathogènes aéroportés.

Lowen et ses collègues (2007) ont démontré que le phénomène de contagiosité des virus aériens dépend de l’humidité dans la transmission réelle de maladies entre cobayes, et ont examiné les mécanismes sous-jacents potentiels de l’effet de contrôle mesuré de l’humidité.

Le mécanisme sous-jacent est que les particules ou les gouttelettes de la taille d’un aérosol chargées d’agents pathogènes sont neutralisées à une demi-vie et diminuent de manière linéaire et significative avec l’augmentation de l’humidité absolue ambiante. Ce mécanisme est basé sur les travaux fondateurs de Harper (1961). Harper a montré expérimentalement que les gouttelettes porteuses de virus et d’agents pathogènes étaient inactivées dans des délais de plus en plus courts, à mesure que l’humidité absolue ambiante augmentait.

Harper a soutenu que les virus eux-mêmes étaient rendus inopérants par l’humidité (« décomposition viable »), mais il a admis que l’effet pouvait être dû à l’élimination physique ou à la sédimentation gravitationnelle des gouttelettes (« perte physique ») : « Les viabilités des aérosols rapportées dans cet article sont basées sur le rapport entre la charge virale et la numération radioactive dans les échantillons de suspension et de nuages, et peuvent être critiquées au motif que les matériaux de test et de traçage n’étaient pas physiquement identiques ».

Cette dernière (« perte physique ») me semble plus plausible, puisque l’humidité absolue aurait pour effet physique universel de provoquer la croissance par condensation et la sédimentation gravitationnelle des particules/gouttelettes (et, inversement, la perte par évaporation et aérosolisation), et que tous les agents pathogènes viraux testés ont essentiellement la même « décomposition » due à l’humidité. En outre, il est difficile de comprendre comment un virion (de n’importe quel type de virus) dans une gouttelette serait attaqué ou endommagé au niveau moléculaire ou structurel par une augmentation de l’humidité ambiante. Un « virion » est la forme complète et infectieuse d’un virus en dehors d’une cellule hôte, avec un noyau d’ARN ou d’ADN et une capside. Aucun mécanisme moléculaire réel ou autre de la « décomposition viable » d’un virion par l’humidité à l’intérieur d’une gouttelette, postulée par Harper (1961), n’a, à ce jour, été expliqué ou étudié, alors que la sédimentation gravitationnelle (« perte physique ») est bien comprise.

Quoi qu’il en soit, l’explication et le modèle de Shaman et al. (2010) ne dépendent pas du mécanisme particulier de la décomposition des virions en aérosol/gouttelettes induite par l’humidité absolue. Le modèle d’épidémiologie virale régionale saisonnière quantitativement démontré par Shaman est valable pour l’un ou l’autre mécanisme (ou combinaison de mécanismes), que ce soit la « décomposition viable » ou la « perte physique ».

La percée réalisée par Shaman et al. n’est pas seulement un sujet académique. Elle a de profondes implications en matière de politique de santé, qui ont été entièrement ignorées ou négligées dans la pandémie actuelle de coronavirus :

  • Cela signifie que le caractère saisonnier de la mortalité des P&G est directement lié à la contagiosité des maladies respiratoires virales contrôlée par l’humidité absolue.

Si mon point de vue sur le mécanisme est correct (c’est-à-dire « perte physique » plutôt que « décomposition viable »), alors :

  • Cela implique en outre que le vecteur de transmission doit être de petites particules d’aérosol en suspension dans l’air, respirées profondément dans les poumons, à l’intérieur ; et non des voies de transmission hypothétiques comme un contact réel avec un fluide ou un fomite, et non de grosses gouttelettes et de la salive (qui sont rapidement éliminées de l’air par gravitation, ou capturées dans la bouche et le système digestif).
  • Et cela signifie que la distanciation sociale, les masques et le lavage des mains peuvent avoir peu d’effet sur la propagation réelle de l’épidémie pendant la saison hivernale (voir : Rancourt, 2020).

En ce qui concerne la modélisation épidémiologique, les travaux de Shaman impliquent que, plutôt que d’être un nombre fixe (dépendant uniquement de la structure spatio-temporelle des interactions sociales dans une population complètement et variablement sensible, et de la souche virale), le nombre de reproduction de base de l’épidémie (R0) dépend principalement de l’humidité absolue ambiante. Pour une définition du R0, voir HealthKnowlege-UK (2020) : R0 est « le nombre moyen d’infections secondaires produites par un cas typique d’infection dans une population où tout le monde est sensible ».

Shaman et al. ont montré que le R0 doit être compris comme variant selon les saisons entre des valeurs d’été humide légèrement supérieures à « 1 » et des valeurs d’hiver sec généralement aussi élevées que « 4 » (voir par exemple leur tableau 2). En d’autres termes, les maladies respiratoires virales infectieuses saisonnières qui sévissent chaque année dans les régions à climat tempéré passent d’une contagion intrinsèquement légère à une contagion virulente, simplement en raison du mode de transmission biophysique contrôlé par l’humidité absolue de l’air, largement indépendamment de toute autre considération.

En outre, il a été démontré que les concentrations de virus dans l’air intérieur (dans les garderies, les centres de santé et à bord des avions) existent principalement sous forme de particules d’aérosol de diamètre inférieur à 2,5 μm, comme le montrent les travaux de Yang et al. (2011) :

La moitié des 16 échantillons étaient positifs, et leurs concentrations totales en virus variaient de 5 800 à 37 000 copies du génome m-3. En moyenne, 64 % des copies du génome viral étaient associées à des particules fines de diamètre inférieur à 2,5 μm, qui peuvent rester en suspension pendant des heures. La modélisation des concentrations de virus à l’intérieur a suggéré une force de source de 1,6 ± 1,2 × 105 copies du génome m-3 dans l’air h-1 et un flux de dépôt sur les surfaces de 13 ± 7 copies du génome m-2 h-1 par mouvement brownien. Sur une heure, la dose d’inhalation a été estimée à 30 ± 18 dose infectieuse médiane en culture tissulaire (TCID50), suffisante pour induire l’infection. Ces résultats apportent un soutien quantitatif à l’idée que la voie aérosol pourrait être un mode important de transmission de la grippe.

Note de l'auteur
"h-1" signifie "par heure".
"m-3" signifie "par mètre cube" et indique un volume. "m-2" signifie "par mètre carré" et indique une surface.
"m-3 h-1" signifie donc "par mètre cube par heure".

Ces petites particules (inférieures à 2,5 μm) font partie de la fluidité de l’air, ne sont pas soumises à la sédimentation gravitationnelle et peuvent donc être respirées profondément dans les poumons.

La question suivante est la suivante : combien de particules chargées d’agents pathogènes de ce type sont nécessaires pour provoquer une infection chez une personne ayant une capacité moyenne de réponse immunitaire ?

Yezli et Otter (2011), dans leur examen de la dose infectieuse minimale (DIM), soulignent les caractéristiques pertinentes :

  • la plupart des virus respiratoires sont aussi infectieux chez l’homme que dans les cultures de tissus ayant une sensibilité optimale en laboratoire
  • la MID à 50 % de probabilité (« TCID50 ») se situe, de manière variable, entre 100 et 1000 virions
  • il y a généralement 103-107 virions par gouttelette de grippe aérosol de 1 μm à 10 μm de diamètre
  • la MID à 50 % de probabilité s’insère facilement dans une seule gouttelette aérosolisée

Pour en savoir plus :

  • Haas (1993) fournit une description classique de l’évaluation dose-réponse.
  • Zwart et al. (2009) ont fourni la première preuve en laboratoire, dans un système virus-insecte, que l’action d’un seul virion peut être suffisante pour provoquer une maladie.
  • Baccam et al. (2006) ont calculé, à partir de données empiriques, qu’avec la grippe A chez l’homme, « nous estimons qu’après un délai de ~6 h, les cellules infectées commencent à produire le virus de la grippe et continuent à le faire pendant ~5 h. La durée de vie moyenne des cellules infectées est de ~11 h, et la demi-vie du virus infectieux libre est de ~3 h. Nous avons calculé le nombre de reproduction de base [dans le corps], R0, qui indique qu’une seule cellule infectée peut produire ~22 nouvelles infections productives ».
  • Brooke et al. (2013) ont montré que, contrairement aux hypothèses de modélisation précédentes, bien que toutes les cellules infectées par le virus de la grippe A dans le corps humain ne produisent pas une progéniture infectieuse (virions), néanmoins, 90 % des cellules infectées sont significativement affectées.

L’examen ci-dessus signifie que toutes les maladies respiratoires virales qui frappent chaque année les populations des régions tempérées sont extrêmement contagieuses pour deux raisons : (1) elles sont transmises par de petites particules d’aérosol qui font partie de l’air fluide et remplissent pratiquement tous les espaces d’air clos occupés par les humains, et (2) une seule de ces particules d’aérosol porte la dose infectieuse minimale (DIM) suffisante pour provoquer une infection chez une personne, si elle est inhalée dans les poumons, où l’infection est initiée.

C’est pourquoi le schéma de mortalité toutes causes confondues est si solidement stable et réparti dans le monde entier, si l’on admet que la majorité de la charge est induite par des maladies respiratoires virales, tout en étant relativement insensible à l’écologie virale saisonnière particulière pour cette classe opérationnelle de virus. Cela explique également pourquoi le schéma est inversé entre l’hémisphère nord et l’hémisphère sud, indépendamment des voyages aériens touristiques et d’affaires et ainsi de suite.

Les virologues et les généticiens voient les souches, les mutations et les espèces virales (Alimpiev, 2019), comme un homme avec un marteau voit des clous. De même, il existe des récompenses professionnelles pour l’identification de nouveaux agents pathogènes viraux et la description de nouvelles maladies. Pour ces raisons, les scientifiques n’ont pas vu la forêt mais les arbres.

Mais les données montrent qu’il existe un schéma persistant et régulier de mortalité dans la charge hivernale, indépendamment des détails, et que la répartition du nombre de décès excédentaires d’une année sur l’autre est bien limitée (environ 8 à 11 % de la mortalité annuelle totale, aux États-Unis, de 1972 à 1993). Malgré tout ce qu’on dit sur les épidémies, les pandémies et les nouveaux virus, le schéma est résolument constant.

Une anomalie digne de panique, et d’une ingénierie socio-économique mondiale nocives, devrait consister en une mortalité de charge hivernale annuelle d’origine naturelle statistiquement supérieure à la norme. Cela ne s’est pas produit depuis l’unique pandémie de grippe de 1918 (Hsieh et al., 2006).

Les trois épidémies récentes qualifiées de pandémies, à savoir la pandémie H2N2 de 1957, la pandémie H3N2 de 1968 et la pandémie H1N1 de 2009, n’ont pas été plus virulentes (en termes de mortalité annuelle dans la charge hivernale) que les épidémies saisonnières régulières (Viboud et al., 2010 ; Viboud et al., 2006 ; Viboud et al., 2005). En fait, l’épidémie de 1951 a été jugée plus meurtrière, sur la base des données de P&G, en Angleterre, au Pays de Galles et au Canada, que les pandémies de 1957 et 1968 (Viboud et al., 2006).

Un modèle simple de virulence de facto des maladies respiratoires virales

Face à la persistance et à la régularité de la charge hivernale de la mortalité, on est tenté de proposer que les propriétés spécifiques (structurelles, moléculaires et de liaison) de l’agent pathogène viral d’une maladie respiratoire particulière ne sont pas aussi déterminantes pour la mortalité que les virologues le suggèrent. Au contraire, il est possible que la mortalité, dans une population donnée exposée à ces agents pathogènes viraux hautement contagieux qui envahissent les poumons, soit principalement contrôlée par la répartition de la population en terme de capacité et de préparation du système immunitaire.

Une charge virale pénètre dans les poumons. Une fois que l’antigène viral est reconnu, une réponse immunitaire se met en place1. Une « guerre » dynamique s’ensuit entre le virus qui se reproduit et se propage en infectant les cellules de la paroi des poumons, et le système immunitaire qui fait tout ce qu’il peut pour identifier, localiser et détruire les cellules infectées avant que lesdites cellules infectées ne puissent être productives du virus.

La réponse immunitaire est extraordinairement exigeante pour les ressources énergétiques métaboliques de l’organisme (c’est pourquoi il faut « nourrir un rhume », « se reposer » et « rester au chaud »). La demande en énergie métabolique est prioritaire et peut concurrencer les demandes des fonctions corporelles essentielles et les réponses immunitaires à d’autres agents pathogènes. C’est pourquoi les personnes souffrant de maladies « liées à l’âge » et de comorbidité sont particulièrement exposées : leur taux d’apport d’énergie métabolique au système immunitaire est limité par leurs co-conditions, et la demande n’est pas satisfaite à un rythme suffisamment élevé pour gagner la « guerre ». Voir : Straub (2017) ; Bajgar et al. (2015).

Dans une vue simple de l’infection (que je propose pour illustration), un individu donné, ayant un état de santé donné, ne peut fournir de l’énergie métabolique au système immunitaire que jusqu’à un certain taux maximum de fourniture, pendant la phase cruciale de la « guerre ». C’est ce que l’on appelle le « taux d’apport énergétique pour la réponse immunitaire » : RS. Le RS est exprimé en unités d’énergie par unité de temps, J/s, ou en calories par seconde. Si le RS est suffisant pour « gagner la guerre » et est maintenu suffisamment longtemps, alors l’individu se remet de l’infection et le système immunitaire stocke une mémoire moléculaire de l’antigène viral, ce qui réduit considérablement la demande en énergie pour les futures réponses immunitaires aux attaques du même virus ou d’un virus suffisamment similaire. Si la réponse immunitaire est insuffisante, l’individu succombe au virus et meurt.

Par conséquent, le virus saisonnier peut être caractérisé comme ayant une valeur de RS spécifique au virus, dites RSv, qui est le seuil de RS pour la survie de la personne infectée. Si RS > RSv, alors la personne se rétablit. Si RS < RSv, alors la personne meurt. Plus le RSv est élevé, plus le virus est virulent, et vice versa.

Une population humaine donnée (nationale ou régionale) aura une distribution donnée des valeurs de RS associée aux différents membres de la population.

Mathématiquement, cette distribution peut être représentée comme une densité de probabilité des valeurs de RS. Une valeur de densité de probabilité comporte des unités de nombre de personnes par unité d’intervalle de RS. La surface totale sous la courbe de densité de probabilité est la population, de la nation ou de la région.

La figure 4 illustre trois distributions hypothétiques des valeurs de RS, dans trois populations différentes de taille égale. Ici : « Allemagne/Germany » (ligne bleue continue) correspond à une population occidentale actuelle, qui ne compte pas une population âgée particulièrement nombreuse ; « Italie » (ligne bleue pointillée) correspond à une population occidentale actuelle qui compte une population âgée nombreuse ; et « Stressed » (ligne rouge continue) correspond à une population d’individus soumis à un stress métabolique (ou sanitaire) élevé, comme cela a pu être le cas en Angleterre en 1918.

Un tel stress pour la santé peut être dû à une carence nutritionnelle, à un manque de nutriments essentiels ou de vitamines, à des niveaux élevés d’agents stressants environnementaux, de toxines ou d’agents pathogènes, à une pénurie de logements [ou de la capacité à le chauffer, NdSF](« fuel poverty« ), à des conditions de travail oppressives, à l’oppression de la domination sociale, à l’abus de substances provoquant des lésions organiques, etc. Il existe une vaste littérature sur ces facteurs. Comme point d’ancrage, voir : Sapolsky (2015) ; Sapolsky (2005).

Figure 4 : Densités de probabilité des valeurs de RS, pour trois populations de taille égale mais différant par leur niveau de stress et leur vulnérabilité en matière de santé, comme expliqué dans le texte. Les trois lignes verticales, tracées au crayon et intitulées « 1 », « 2 » et « 3 », montrent trois valeurs de RSv différentes, spécifiques à chaque virus, comme expliqué dans le texte. Les zones hachurées sont les fractions (de la surface totale) représentant les fractions de mortalité pour le virus le moins virulent ayant la valeur RSv étiquetée « 1 ».

Dans ce modèle, la mortalité comparative entre les populations, pour un agent pathogène viral donné, est donc déterminée par les différents états de santé (distributions des valeurs de RS des individus) des populations infectées comparées.

Cela concerne le cycle complet de l’infection et de la guérison. Il en dit peu sur les taux de mortalité quotidiens et les distributions par âge, qui dépendent de la propagation naturelle ou forcée de l’infection, qui à son tour n’est pas nécessairement uniforme dans le temps et l’espace mais peut plutôt cibler des segments particuliers de la population, comme les personnes confinées dans des institutions.

En outre, la distribution des valeurs de RS pour une population donnée peut changer de manière significative au cours d’une épidémie, si les segments vulnérables sont soumis à des facteurs de stress supplémentaires en matière de santé, par exemple.

Analyse de la mortalité toutes causes confondues de COVID-19 et les modélisations de déconvolutions

À la lumière du contexte et des outils conceptuels ci-dessus, nous pouvons maintenant examiner les données liées au COVID-19, à ce jour. Pour de bonnes raisons (voir ci-dessus), nous ignorons les données relatives aux décès et les modélisations de déconvolutions des décès P&G par rapport à d’autres décès jugés saisonniers pour des raisons non liées aux agents pathogènes viraux saisonniers. Nous nous concentrons sur la mortalité toutes causes confondues, par semaine.

La mortalité toutes causes confondues n’est pas susceptible de biais et est actuellement disponible pour plusieurs juridictions. Nous utilisons les données brutes sans aucune manipulation, et nous ne modifions pas les données pour les « corriger » en fonction des changements de la population totale ou de la structure d’âge d’une population.

Pour les données, nous nous appuyons sur le CDC (USA), les données des instituts nationaux pour l’Angleterre et le Pays de Galles, et les compilations graphiques du centre EuroMOMO. Nous n’utilisons que les dernières semaines qui sont déclarées complètes (« >100% », CDC) ou jugées de qualité suffisante pour être publiées. Malheureusement, certaines juridictions telles que le Canada peuvent être caractérisées comme lentes et réfractaires aux demandes.

La figure 5 montre la mortalité toutes causes confondues par semaine pour l’Angleterre et le Pays de Galles, à partir de 2010. Les baisses soudaines sur une semaine sont des incohérences dans la comptabilité et dans les délais de certification des décès, qui sont comptées dans la ou les semaines suivantes. La ligne verticale rouge indique la date à laquelle l’OMS a déclaré la pandémie.

En déclarant la pandémie, le directeur général de l’OMS, Tedros Adhanom, a notamment déclaré2 :

[…] Dans les jours et les semaines à venir, nous nous attendons à voir le nombre de cas, le nombre de décès et le nombre de pays touchés augmenter encore plus. […] Et nous avons appelé chaque jour les pays à prendre des mesures urgentes et énergiques. Nous avons tiré la sonnette d’alarme haut et fort. […]

Il ne s’agit pas seulement d’une crise de santé publique, mais d’une crise qui touchera tous les secteurs – chaque secteur et chaque individu doit donc être impliqué dans la lutte.

J’ai dit dès le début que les pays doivent adopter une approche pan-gouvernementale et sociétale, construite autour d’une stratégie globale pour prévenir les infections, sauver des vies et minimiser l’impact. […]

Je rappelle à tous les pays que nous vous demandons d’activer et de renforcer vos mécanismes d’intervention d’urgence ; de communiquer avec votre population sur les risques et la manière dont elle peut se protéger – c’est l’affaire de tous ; de trouver, isoler, tester et traiter chaque cas et de retracer chaque contact ; de préparer vos hôpitaux ; [C’est moi qui souligne, NdA].

Les propos d’Adhanom ont soit constitué la prévision de santé publique la plus remarquable jamais faite pour l’Angleterre et le Pays de Galles (et de nombreuses juridictions dans le monde, voir ci-dessous), soit quelque chose d’autre pourrait expliquer le pic de mortalité toutes causes confondues qui a immédiatement suivi sa déclaration.

Figure 5 : Mortalité toutes causes confondues par semaine pour l’Angleterre et le Pays de Galles, à partir de 2010. Les baisses soudaines d’une semaine sont des incohérences dans la comptabilité et dans le délai de certification des décès, qui sont comptées dans la ou les semaines suivantes. La ligne verticale rouge indique la date à laquelle l’OMS a déclaré la pandémie COVID-19.

Il est important de noter que le nombre total de décès « excédentaires », toutes causes confondues, la charge hivernale pour la saison se terminant en 2020 (zone au-dessus de la ligne de base de l’été), n’est pas statistiquement plus élevé que pour les années passées, et il reste à voir jusqu’à quel point le creux de l’été 2020 sera bas.

Ce que l’on peut appeler le « pic COVID » est une caractéristique étroite (figure 5). Par rapport à la ligne de base estivale, la largeur totale à mi-hauteur du pic est d’environ 5 semaines. Il se distingue par le fait qu’il se situe à la fin de la saison infectieuse et qu’il s’élève bien au-dessus de la bosse plus large de la charge hivernale.

Ce « pic COVID » est un événement unique dans l’histoire épidémiologique de l’Angleterre et du Pays de Galles. Cette caractéristique unique est-elle due à un agent pathogène viral inhabituellement nouveau, ou à la réponse unique, sans précédent et massive du gouvernement à la déclaration de pandémie de l’OMS ?

Notez qu’un tel « pic COVID » n’implique pas une virulence intrinsèque du virus. Cela signifie seulement que les décès de personnes vulnérables, ou de personnes rendues vulnérables, sont survenus dans un court laps de temps. Par exemple, les personnes qui seraient mortes dans les semaines ou les mois suivants peuvent voir leur décès accéléré par l’intervention humaine, ou celles qui se remettent encore d’une infection virale peuvent être poussées dans des conditions de vie plus précaires et plus stressantes.

Un « pic COVID » analogue s’est produit dans les données du centre EuroMOMO pour l’Europe (figure 6). Là encore, le nombre total de décès excessifs, toutes causes confondues, de la charge hivernale pour la saison se terminant en 2020 (zone au-dessus de la ligne de base estivale) n’est pas statistiquement plus élevé que pour les années passées, et la date de déclaration de la pandémie est indiquée par une ligne rouge verticale.

Figure 6 : Mortalité toutes causes confondues par semaine. Données du centre EuroMOMO pour l’Europe, consultées le 1er juin 2020. La date de déclaration de la pandémie est indiquée par une ligne verticale rouge.

Ce qui ressemblait à une saison 2020 « douce » et concluante s’est transformé en « pic COVID » immédiatement après la déclaration de la pandémie par l’OMS.

Passons maintenant aux États-Unis, où les données actuelles sont facilement accessibles, tant au niveau national qu’au niveau de chaque État, grâce au CDC.

La figure 7 montre la mortalité toutes causes confondues par semaine pour les États-Unis, à partir de 2014. Ici, la base de référence pour l’été est d’environ de 46 000 à 52 000 décès par semaine, qui augmentent avec l’augmentation de la population totale. La ligne verticale rouge indique la date à laquelle l’OMS a déclaré la pandémie de COVID-19.

Figure 7 : Mortalité toutes causes confondues par semaine pour les États-Unis, à partir de 2014. La ligne verticale rouge indique la date à laquelle l’OMS a déclaré la pandémie COVID-19. Les zones hachurées ou grisées représentent les décès toutes causes confondues de la charge hivernale pour chaque année.

Ici encore, nous constatons que le nombre total de décès toutes causes confondues de la charge hivernale pour la saison se terminant en 2020 (zone au-dessus de la ligne de base estivale) n’est pas statistiquement plus élevé que pour les dernières années. Il n’y a aucune preuve, uniquement en termes de nombre de décès saisonniers, qui suggère un événement catastrophique ou un agent pathogène exceptionnellement virulent. Il n’y a pas eu de « fléau ». La charge hivernale, au cours de ces années, se situe constamment dans une fourchette d’environ 6 à 9 % de la mortalité annuelle totale toutes causes confondues, et les variations d’une année sur l’autre sont typiques des variations historiques.

D’autre part, il existe à nouveau un « pic COVID », qui présente les caractéristiques uniques suivantes :

  • Il est remarquablement net ou étroit, sa largeur à mi-hauteur du pic, par rapport à la ligne de base de l’été, n’étant que de 4 semaines environ. En comparaison, les pics importants des saisons infectieuses se terminant en 2015 et 2018 ont une largeur maximale de 14 et 9 semaines, respectivement.
  • Il se produit plus tard dans la saison infectieuse que tout autre pic important jamais observé aux États-Unis, et il augmente après la semaine 11 de 2020.
  • Sa montée survient immédiatement après la déclaration de la pandémie par l’OMS, en parfaite synchronisation, comme on peut le voir en Europe, en Angleterre et au Pays de Galles, qui sont séparés des États-Unis par un océan.

Le « pic COVID » dans les données américaines provient de « points chauds », comme la ville de New York (NYC). La figure 8 montre la mortalité toutes causes confondues par semaine pour NYC, à partir de 2013. La ligne verticale rouge indique la date à laquelle l’OMS a déclaré la pandémie COVID-19.

Figure 8 : Mortalité toutes causes confondues par semaine pour NYC, à partir de 2013, en noir. La ligne verticale rouge indique la date à laquelle l’OMS a déclaré la pandémie de COVID-19. La ligne grise représente simplement les mêmes données sur une échelle verticalement élargie et décalée, à des fins de visualisation. (156 correspond à 2016)

Les données de NYC n’ont aucun sens épidémiologique. Le « pic COVID » ici, à première vue, ne peut pas être interprété comme un processus normal de maladie respiratoire virale dans une population sensible. Des effets locaux, tels que l’importation de patients d’autres juridictions ou de fortes densités de personnes vulnérables institutionnalisées ou hébergées, doivent au moins être en jeu.

Ce qui est également frappant, c’est que certains des États américains les plus peuplés, qui comptent un grand nombre de cas mesurés et signalés, et un grand nombre de personnes présentant les anticorps, ne présentent pas de « pic de COVID ». (Les anticorps caractéristiques sont produits et présents dans le corps des individus qui ont été infectés et récupérés suite à leurs réponses immunitaires. Par exemple, voir l’étude de terrain sur les anticorps pour la Californie réalisée par Bendavid et al, 2020).

Ceci est illustré pour la Californie à la figure 9 et pour le Texas à la figure 10.

Figure 9 : Mortalité toutes causes confondues par semaine pour la Californie, à partir de 2013. La ligne verticale rouge indique la date à laquelle l’OMS a déclaré la pandémie de COVID-19. Les zones hachurées ou grisées représentent les décès toutes causes confondues dans la charge hivernale pour chaque année.
Figure 10 : Mortalité toutes causes confondues par semaine pour le Texas, à partir de 2013. La ligne verticale rouge indique la date à laquelle l’OMS a déclaré la pandémie COVID-19. Les zones hachurées ou grisées représentent les décès toutes causes confondues dans la charge hivernale pour chaque année.

De plus, aucun des sept États qui n’ont pas imposé de confinement (Iowa, Nebraska, Dakota du Nord, Dakota du Sud, Utah, Wyoming et Arkansas) n’a de « pic COVID ».

La présence d’un « pic COVID » est positivement corrélée avec la part des décès attribués selon COVID-19 survenant dans les maisons de retraite et les centres de vie assistée, selon cette carte :

Interprétation du « pic COVID » dans la mortalité toutes causes confondues

Étant donné le caractère unique du « pic COVID » de la mortalité toutes causes confondues :

  • Sa netteté, avec une largeur à mi-hauteur maximale de seulement 4 semaines environ ;
  • Son retard dans le cycle de la saison infectieuse, qui augmente après la semaine 11 de 2020, ce qui est sans précédent pour toute caractéristique de pic aigu ;
  • La synchronisation du début de sa poussée, sur tous les continents, et immédiatement après la déclaration de la pandémie par l’OMS ; et
  • Son absence ou sa présence d’un état à l’autre des États-Unis pour la même écologie virale sur le même territoire, est corrélée aux événements dans les maisons de retraite et aux actions du gouvernement plutôt qu’à un quelconque discernement de la souche virale connue.

Compte tenu de l’examen ci-dessus des connaissances sur les maladies respiratoires virales saisonnières :

  • Les schémas de mortalité toutes causes confondues, robustes, persistants et réguliers de la charge hivernale, à travers l’ère moderne de l’épidémiologie et entre les nations de deux hémisphères ;
  • La nouvelle compréhension (2010) que la transmissivité est contrôlée par l’humidité absolue, et que le vecteur de transmission est constitué de petites particules d’aérosol qui pénètrent profondément dans les poumons ;
  • La reconnaissance croissante de la budgétisation de l’énergie métabolique comme paradigme pour comprendre la mort par maladies infectieuses avec des conditions de comorbidité, tout en reconnaissant que le système immunitaire a un contrôle hiérarchique sur la budgétisation de l’énergie métabolique, en second lieu après la connaissance d’un danger externe imminent ; et
  • La compréhension croissante du rôle dominant du stress métabolique (y compris la cognition du stress, le stress perçu) dans la diminution de la capacité de réponse du système immunitaire.

Je postule que le « pic COVID » représente un homicide de masse accéléré de personnes immunovulnérables, et de personnes rendues plus immunovulnérables, par des actions gouvernementales et institutionnelles, plutôt qu’une signature épidémiologique d’un nouveau virus, indépendamment du degré de nouveauté du virus du point de vue de la spéciation virale.

Enfin, mon interprétation du « pic COVID » comme étant la signature d’un homicide de masse par la réaction du gouvernement est étayée par plusieurs documents institutionnels, rapports de médias et articles scientifiques, comme les exemples suivants.

Deux articles scientifiques abordent ce sujet :

  • Hawryluck et autres (2004), sur le syndrome de stress post-traumatique (SSPT) résultant d’une quarantaine médicale.
  • Richardson et al. (2020), sur la preuve statistique que les ventilateurs mécaniques ont tué des patients atteints de COVID-19 critique.

Parmi les articles de presse et les mémos institutionnels, on peut citer

  • « Une nouvelle étude révèle que presque tous les patients atteints de coronavirus mis sous respirateur sont morts« , News Break | The Hill 04-23, 23 avril 2020.
    « De nouvelles données sur les soins de santé suggèrent que près de la moitié des patients atteints de coronavirus placés sous respirateur meurent, selon le premier rapport de CNN. Les données ont été recueillies à Northwell Health, le plus grand système hospitalier de l’État de New York. Elles ont révélé qu’environ 20% des patients atteints de COVID-19 sont décédés, et que 88 % des patients placés sous respirateur sont morts ».
  • « La fille blâme le ‘chaos’ de la pandémie de COVID-19 pour le déclin rapide de sa mère« , par Arthur White-Crummey, Regina Leader-Post, 29 mai 2020.
    « La mère de Sue Nimegeers n’a jamais eu le COVID-19, mais elle la compte toujours parmi les victimes de la maladie. Elle n’a jamais été testée positive, mais le chaos de la pandémie elle-même autour de nous, nous le pensons, nous l’a prise beaucoup trop tôt », a déclaré Nimegeers au conseil d’administration de l’Autorité sanitaire du Saskatchewan (SHA) vendredi.
  • « Un rapport « profondément inquiétant » sur les foyers de soins de l’Ontario a été publié« , BBC, 27 mai 2020.
    « M. Ford a déclaré qu’une enquête complète a été lancée sur les allégations selon lesquelles les installations sentaient la nourriture pourrie, infestée de cafards et de mouches, et que des personnes âgées étaient laissées pendant des heures criant au secours alors que le personnel ne répondait pas ».
  • « Rien ne peut justifier cette destruction de vies humaines« , Yoram Lass, ancien directeur du ministère de la santé israélien, sur l’hystérie autour de Covid-19, spiked-online, 22 mai 2020.
    « Yoram Lass : C’est la première épidémie de l’histoire qui s’accompagne d’une autre épidémie – le virus des réseaux sociaux. Ces nouveaux médias ont entraîné un lavage de cerveau de populations entières. Ce que vous obtenez, c’est de la peur et de l’anxiété, et une incapacité à regarder les vraies données. Et donc, vous avez tous les ingrédients pour une hystérie monstrueuse. C’est ce qu’on appelle en science un feedback positif ou un effet boule de neige. Le gouvernement a peur de ses électeurs. C’est pourquoi il met en œuvre des mesures draconiennes. Les électeurs regardent les mesures draconiennes et deviennent encore plus hystériques ».
    – Cuomo minimise les appels à une enquête fédérale sur les décès dus aux coronavirus dans les maisons de retraite : « Demandez au président Trump« , par Andrew O’Reilly | Fox News, 20 mai 2020.
    « Le gouverneur new-yorkais Andrew Cuomo a rejeté mercredi les appels au ministère de la justice pour qu’il ouvre une enquête sur le nombre massif de décès dans les maisons de retraite de l’État lors de la pandémie de coronavirus – affirmant qu’il ne faisait que suivre les directives de l’administration Trump et des Centers for Disease Control and Prevention. Bien qu’aucune enquête officielle n’ait été annoncée, cette spéculation intervient alors que sa directive du 25 mars dernier, qui exigeait que les maisons de retraite accueillent de nouveaux patients infectés par le COVID-19, est passée au crible ».
  • DATE : 25 mars 2020
    A : Administrateurs de maisons de soins infirmiers, directeurs de soins infirmiers et planificateurs de sorties d’hôpital
    DE : Département de la santé de l’État de New York
    Conseil : sorties d’hôpital et admissions dans les maisons de soins
    (Supprimé de : coronavirus.health.ny.gov)
    « Pendant cette urgence sanitaire mondiale, toutes les maisons de retraite doivent se conformer à la réception accélérée des résidents qui reviennent des hôpitaux. Les résidents sont jugés aptes à retourner dans un établissement de soins de santé lorsque le médecin de l’hôpital ou son représentant détermine que le résident est médicalement stable pour le retour. […] Aucun résident ne peut se voir refuser sa réadmission uniquement sur la base d’un diagnostic confiné ou suspecté de COVID-19. Il est interdit aux maisons de retraite d’exiger d’un résident hospitalisé qui est déterminé comme étant médicalement stable qu’il subisse un test de COVID-19 avant son admission ou sa réadmission ».
  • « Les foyers de soins et les centres de vie assistée représentent 42 % des décès par COVID-19 : Une statistique surprenante qui a de profondes implications sur la façon dont nous avons géré la pandémie de coronavirus », par Gregg Girvan, FREOPP, 7 mai 2020.
    « Sur la base d’une nouvelle analyse des rapports de décès COVID-19 par État, il est clair que l’aspect le plus sous-estimé de la nouvelle pandémie de coronavirus est son effet sur une population spécifique d’Américains : ceux qui vivent dans des maisons de soins infirmiers et des centres d’assistance ».
  • « Coupable – de respirer« , par Tony Heller, Tony Heller YouTube Channel, 24 mai 2020.
    « Les confinements ont été vendus il y a des mois dans l’idée d’ »aplatir la courbe ». Dans la plupart des endroits, il n’y a jamais eu beaucoup de courbe à aplatir, mais les dispositifs de confinement sont toujours en place. Des dizaines de millions de personnes voient aujourd’hui leur vie détruite – pour crime de respiration ».
  • « Le « massacre » des résidents des maisons de retraite en Italie : Les patients atteints de Covid-19 dans l’épicentre du virus en Italie, en Lombardie, ont été transférés dans des maisons de retraite par une résolution officielle aux conséquences catastrophiques », par Maria Tavernini et Alessandro Di Rienzo, TRT World, 20 avril 2020.
    « Accueillir des patients du Covid-19 dans des maisons de retraite, c’était comme allumer une allumette dans une botte de foin. »
  • « Mise à jour Coronavirus : Comment le renforcement des hôpitaux pour le COVID-19 a contribué à la crise des soins de longue durée au Canada« , par Jessie Willms et Hailey Montgomery, Globe & Mail, 20 mai 2020.
    « La plupart des résidents des maisons de retraite et de soins qui ont succombé au COVID-19 au Canada sont morts dans des établissements frappés par le virus et manquant de personnel, les lits d’hôpitaux étant vides ».
  • « Il n’y a pas de preuve que les confinements ont sauvé des vies. Il est incontestable qu’ils ont causé un grand préjudice« , par Briggs, wmbriggs.com, 14 mai 2020.
    « En fin de compte, cela ne se résume pas à des statistiques au niveau du pays ou même de la ville. C’est une question de personnes. Chaque individu attrape le virus ou non, vit ou meurt. Pas à cause de son pays, mais à cause de lui-même, de sa santé, de sa situation. Tout individu peut avoir bénéficié d’une mise en quarantaine et d’une perte d’emploi. Tout comme n’importe quel individu peut avoir connu une mauvaise fin après un confinement ».
  • « Les hôpitaux sont mieux payés pour inscrire leurs patients sur la liste COVID-19« , par Tom Kertscher, POLITIFACT, 21 avril 2020.
    « La norme veut que l’assurance maladie paie à l’hôpital environ trois fois plus pour un patient qui utilise un respirateur que pour un autre. L’assurance-maladie ajoute 20 % à ses paiements réguliers aux hôpitaux pour le traitement des victimes du COVID-19. C’est le résultat d’une loi fédérale de relance ».
  • « CDC : 80 000 personnes sont mortes de la grippe l’hiver dernier aux États-Unis, le plus grand nombre de décès en 40 ans« , par Associated Press, STAT News, 26 septembre 2018.
    « On estime que 80 000 Américains sont morts de la grippe et de ses complications l’hiver dernier – le plus grand nombre de décès dus à cette maladie depuis au moins quatre décennies. Le directeur des Centers for Disease Control and Prevention, le Dr Robert Redfield, a révélé ce total dans une interview accordée mardi soir à The Associated Press ».

Denis G. Rancourt

Chercheur, Association des libertés civiles de l’Ontario (ocla.ca)



Références scientifiques

Notes

  1. Voir : « Le système immunitaire : Cellules, tissus, fonction et maladie« , revue médicale par Daniel Murrell, MD le 11 janvier 2018 – Rédigée par Tim Newman, sur medicalnewstoday.com, consulté le 1er juin 2020
  2. « Discours d’ouverture du directeur général de l’OMS lors du point de presse sur COVID-19«  – 11 mars 2020



Covid-19 – Un virus monstrueux ou un alibi idéal pour tromper l’humanité ?

[Source : Réseau International]

par Candice Vacle.

Le Pr. Didier Raoult, plus grand expert mondial dans le domaine des maladies transmissibles[1], dit, à propos de la gravité du covid 19 :

« Tout le délire autour de la gravité monstrueuse de cette maladie est déraisonnable. Ce n’est pas vrai. Globalement ça ne présente pas à la fin une surmortalité exceptionnelle. C’est grave chez les sujets déjà à risques, qu’il fallait essayer de détecter et de traiter le plus tôt possible ».

En bref, selon le Pr Raoult le covid 19 n’est pas aussi grave que ce que l’on nous dit. Qui est ce « on » ? Sans doute, pense-t-il, aux médias mainstream, au gouvernement, aux scientifiques ayant des conflits d’intérêts avec les industries pharmaceutiques ou l’OMS.

Soyons précis, le Pr Raoult ne dit pas, pour autant, pas qu’il s’agit d’une maladie bénigne. Lui-même, à propos du covid 19, parle de « maladie aiguë »[2] et des « risques de sequelles […] absolument considerables »[3].

En se basant sur ce recadrage du Pr. Raoult, il apparaît une fois de plus (voir mes messages précédents) que la version officielle de la crise du covid 19, dont les médias mainstream se font l’écho, est partiale, partielle, voire erronée.

Il est urgent d’informer les citoyens sur le fait que les médias mainstream exagèrent de manière insensée la gravité du covid 19.

Pourquoi cette exagération récurrente du danger du covid 19 et ce point de vue unilatérale des médias mainstream ?

Est-ce que ce discours officiel vise à manipuler la réalité ?

Le Docteur Gérard Delépine, chirurgien orthopédique et oncologue, explique de troublantes coïncidences qui peuvent s’apparenter à de la manipulation tant dans les domaines médiatiques, scientifiques ou institutionnels concernant la crise du covid 19. Dans cette excellente vidéo

parmi les nombreux exemples qu’il donne, il dit:
« 5 jours après que le comité local de Wuhan […] disait utiliser la chloroquine et que ça le r paraissait intéressant […] 5 jours. La chloroquine n’était plus en vente libre en France après que Mme Buzin a décidé par arrêté. […] C’était soi-disant par hasard. Il y a une chronologie bizarre ».

Il fait référence à l’hydroxychloroquine qui le 13 janvier 2020 a été classée sur les listes des substances vénéneuses par Mme Buzin Ministre des solidarités et de la santé alors que ce médicament était en vente libre depuis des décennies.

La députée italienne Sara Cuniale va jusqu’à dénoncer courageusement au Parlement Italien la mafia médicale, l’Etat profond (c’est-à-dire les groupes secrets qui influencent l’Etat), le groupe Bilderberg, le tatouage quantique, ID2020 et demande au Président italien la traduction de Bill Gates devant la Cour Pénale Internationale pour crime contre l’humanité. Elle dit :
« Vous continuez à anesthésier les esprits au travers des médias mainstream corrompus. » « Bill Gates […] prophétisait une pandémie qui a ensuite été simulée dans le « Event 201 » en accord avec ses amis de Davos. Et depuis plusieurs décennies, il est engagé à développer un plan de dépopulation et à exercer un contrôle dictatorial sur les politiques mondiales. Il a dit : […] « Si nous faisons un bon travail avec les nouveaux vaccins, les soins de santé et la procréation, nous pouvons réduire la population mondiale de 10-15%. » « Nous, ensemble, avec les citoyens, allons multiplier les feux de la résistance pour qu’il soit impossible de nous réprimer tous »[4].

En bref, la députée italienne Sara Cuniale pense que Bill Gates a des vues génocidaires avec ses vaccins pour réduire la population.

Est-ce que Bill Gates a bien dit la phrase citée par Sara Cuniale ?

Oui. Vous pouvez le vérifier dans cette vidéo

Comment la vaccination pourrait réduire la population ? Bill Gates ne l’explique pas dans cette vidéo. Selon le journal Le Monde, par la phrase citée, il faut comprendre que « ce n’est pas la population que Bill Gates espère réduire de 10 à 15 %, mais son accroissement » en utilisant entre autre les vaccins.

Il faut être extrêmement prudent avec les propos du journal Le Monde sur Bill Gates car ce journal est arrosé de millions de dollars par la Fondation Bill Gates depuis des années. Plus de 2 millions de dollars juste pour 2019[5].

L’Event 201, dont parle cette députée, c’est l’événement 201. C’est un exercice de haut niveau sur les pandémies qui a été organisé, entre autre, par la Fondation Bill Gates en partenariat avec le Forum économique mondial de Davos, le 18 octobre 2019 à New York. Cet exercice a été réalisé car « les experts s’accord[aient] à dire que ce n'[était] qu’une question de temps avant que l’une de ces épidémies ne devienne mondiale – une pandémie aux conséquences potentiellement catastrophiques. »

Comment est-il possible que les participants du Forum de Davos qui sont des dirigeants politiques et d’organisations gouvernementales du monde entier (tels Angela Merkel chancelière fédérale d’Allemagne ou Christine Lagarde alors directrice générale du Fonds monétaire international) n’ont pas prévu une pandémie mondiale alors qu’ils avaient connaissance de l’Event 201 ? Ils n’ont même pas prévu le minimum, à savoir les masques[6],[7].

Robert F. Kennedy quant à lui tend à penser que « les puissants États et les entreprises utilisent […] la crise actuelle pour supprimer les droits fondamentaux et intensifier les pressions pour promouvoir les vaccins et la surveillance. » Et il craint « que Bill Gates – et son associé de longue date Tony Fauci – dirige d’une manière ou d’une autre notre meilleur des mondes » en utilisant la haute technologie comme par exemple la 5G ou des puces d’implants. Ces puces « avec des interrupteurs marche/arrêt sans fil » pourraient délivrer des doses thérapeutiques. « Connaissant le zèle […] de M. Gates pour le contrôle de la population, certains clients pourraient toutefois craindre que le système soit également activé à distance », dit-il.

Si on cumule l’exagération du danger du covid 19 par les médias mainstream pointée du doigt par le Pr Raoult (et d’autres personnes[8]), les coïncidences troublantes décrites par Dr. Delépine, les accusations de la députée italienne Sara Cuniale, les « aberrations » malheureuses de la gestion de la crise du covid 19 dont l’absence de masques a été l’apothéose, et ce que je vous ai déjà expliqué dans mes derniers messages[9], fleurit une première hypothèse valable et logique :

Les Français (et l’humanité) sont manipulés sur le sujet du covid 19.

L’humanité est trompée.

Puis, se présente une seconde hypothèse glaçante : le covid 19 est le prétexte d’une vaccination, pièce maîtresse d’un contrôle des populations et de la planification d’un génocide ou d’une stérilisation de l’humanité pour réduire la population.

Candice Vacle
Journaliste – Pays Bas

https://www.infosperber.ch/Artikel/Politik/Konzerne-Grossbanken-Die-geheime-Macht-der-Bilderberg-Gruppe

https://www.investigaction.net/fr/author/candice-vacle/?act=sp

https://reseauinternational.net/lepr-raoult-discredite-la-gestion-francaise-de-la-crise-du-covid-19-devant-le-senat/

—————————————————-

[1] http://expertscape.com/ex/communicable+diseases

[2] p.55 https://gomet.net/didier-raoult-devant-les-senateurs/3

[3] p.12 https://gomet.net/didier-raoult-devant-les-senateurs/3

[4] Vidéo à partir de la minute 23:06 https://m.youtube.com/watch?v=K-guvF2psqA

[5] https://www.gatesfoundation.org/How-We-Work/Quick-Links/Grants-Database/Grants/2019/03/OPP1210145 ( Le Monde Afrique est une partie du journal Le Monde https://www.lemonde.fr/signataires/le-monde-afrique/)

[6] https://www.centerforhealthsecurity.org/event201/

[7] https://fr.weforum.org/agenda/2019/01/qui-participe-a-davos-2019/

[8] https://www.athle.ch/2020/04/26/covid-19-a-ne-pas-manquer-notre-interview-de-criseavec-jean-dominique-michel/

[9] :




Des médecins allemands ont constitué une Commission extra-parlementaire Covid-19

Des médecins allemands ont constitué une Commission extra-parlementaire Corona.
(Vidéo avec sous-titres disponibles en anglais, italien et français).

Cette commission vient appuyer ce que de nombreux complologues et experts comprennent de la situation et souhaite aussi faire la lumière sur le sujet de la covid-19 et des mesures gouvernementales prises.

Site officiel : https://acu2020.org/

Transcription en français :
https://acu2020.org/wp-content/uploads/2020/07/Texte-ACU-francais.pdf

https://vimeo.com/434999409?ref=fb-share&fbclid=IwAR14mgk8cCN8QVlqbJJfMTcUMc8vY8EOf…

Texte de la transcription en français :

Transcription – Texte, ACU (03.07.2020)

Mes chers concitoyens,

Bienvenue à l’ACU, la commission d’enquête extra-parlementaire sur la Corona. Si le Parlement ne le fait pas, alors nous, les citoyens, sommes appelés à le faire nous-mêmes.

Commission d’enquête extra-parlementaire de la Corona, nous allons enquêter sur les raisons pour lesquelles ces mesures restrictives ont été appliquées dans notre pays au cours de la CoVid-19, sur les raisons pour lesquelles les gens souffrent maintenant et sur la proportionnalité de cette maladie, qui a en fait été causée par un virus SARS-CoV-2. Nous avons de sérieux doutes quant à la proportionnalité de la manière dont ces mesures restrictives ont été prises. Cela doit être examiné et, étant donné que ni les parlements, ni les partis d’opposition, ni les partis au pouvoir n’ont convoqué de commission et que celle-ci n’en est même pas au stade de la planification, il est grand temps que nous prenions les choses en main maintenant. Nous inviterons et entendrons ici, au sein du Cercle des porte-parole de Corona, des experts de tous les horizons, issus des domaines de la médecine, des affaires sociales, du droit, de l’économie et bien d’autres encore. SRAS-CoV- 2.

Des experts de renom ont déjà aimablement accepté d’être présents. Outre le cercle des orateurs, mon collègue le professeur HADITSCH et mon collègue le Dr SCHIFFMANN, je voudrais également me présenter. Je m’appelle Heiko SCHÖNING, je suis un simple médecin de Hambourg. Ma motivation personnelle est que je suis un père, comme beaucoup d’autres dans ce pays ont des enfants et nous voyons que nos enfants souffrent maintenant, non seulement parce que les terrains de jeux ont été fermés, mais aussi parce qu’ils sont séparés les uns des autres. Et pour les adultes, c’est encore pire.

Nous nous demandons pourquoi les parents ne sont plus autorisés à rendre visite à leurs parents, par exemple dans la maison de retraite. Le danger d’infection est-il si grand ? Avons-nous vraiment un virus mortel ici ? Avons-nous la rage ou la peste ? Et nous avons de sérieux doutes à ce sujet ! Nous n’avons pas la peste ! Mais l’honnêteté est une chose qui aide vraiment. Le célèbre prix Nobel Albert CAMUS l’a déjà exprimé dans son merveilleux livre « La Peste ». Nous voulons garantir cette honnêteté et cette transparence ici à l’ACU, au sein de la commission d’enquête extra-parlementaire de la Corona.

C’est pourquoi des experts du domaine de la médecine comme le Prof. BHAKDI, de l’économie comme Prof. OTTE ou encore du système juridique comme Prof. JUNGBLUT et bien d’autres qui ont déjà accepté de venir. Et bien sûr, nous invitons également ici tous les experts du gouvernement, des instituts publics, de l’Institut Robert Koch et, bien sûr, de l’étranger. Il sera rendu complètement transparent. Les déclarations des experts seront diffusées en direct, sans montage, vous pouvez les regarder sur internet. Nous allons créer un site web et nous aurons bien sûr besoin de plus de ressources pour cela. Par conséquent, veuillez nous soutenir dans cette initiative citoyenne, dans cette initiative citoyenne ACU.

Quel est le meilleur scénario ? Nous verrons que nous n’avons pas besoin d’avoir plus peur, comme nous l’avons fait avec les vagues normales de grippe ces dernières années, car c’est exactement ce qu’il semble être. Mais pourquoi ont-ils pris ces terribles mesures ?

Par exemple, un rapport interne du ministère fédéral de l’intérieur a déterminé que 90 % de toutes les opérations nécessaires en Allemagne n’ont pas été réalisées, ce qui a touché 2,5 millions de personnes. Et dans ce rapport, il est également écrit que 5 000 à 125 000 patients sont morts à la suite des mesures gouvernementales. Donc des gens, des compagnons, des concitoyens qui sont déjà morts ou qui sont encore en train de mourir. Ce rapport avait le statut du 7 mai 2020, c’est aussi la raison pour laquelle nous prenons maintenant en main cette commission d’enquête sur la Corona, car nous ne pouvons plus attendre.

Et il est plus que grossièrement négligent que les agences gouvernementales n’exposent pas ces choses en grand et, en fait, cela semble être une mise en scène. Car les données scientifiques montrent déjà qu’il n’y a pas de base pour ces mesures. Nous nous demandons donc tous, y compris dans le monde des affaires bien sûr, – même si ce sont surtout des vies humaines qui sont en jeu ici – qui en profite ? Nous essayons de répondre à ces questions ici aussi. Cui bono ? Qui en bénéficie ?

Merci beaucoup, également pour votre soutien jusqu’à présent et nous nous réjouissons de recevoir d’autres ressources ainsi que de votre coopération. Une fois de plus, nous invitons tout le monde, y compris l’autre partie, à s’exprimer ici, et ce sera également affiché de manière transparente sur Internet. Et bien sûr, nous sommes également disponibles pour une conférence de presse. Nous demandons donc à l’Association fédérale des conférences de presse d’ouvrir les salles pour nous et pour la presse internationale. Merci beaucoup.

Je passe maintenant la parole à mon collègue, le Dr Bodo SCHIFFMANN.

Oui, merci beaucoup, Monsieur SCHÖNING,

Pourquoi la commission d’enquête extra-parlementaire sur la Corona est-elle nécessaire ?

Parce que nous avons affaire à un manque de proportionnalité. Les gouvernements doivent prendre des décisions et, dans les situations d’urgence, comme une pandémie, ils doivent également prendre des mesures qui peuvent, à première vue, restreindre les droits fondamentaux. Mais ils sont également tenus de revoir constamment ces mesures et de les assouplir le plus rapidement possible afin d’éviter les dommages collatéraux, comme l’a mentionné M. SCHÖNING.

Au lieu de cela, nous obtenons des chiffres sans rapport, des chiffres qui ne sont susceptibles d’attiser la peur qu’en additionnant simplement les cas de maladie et en ne montrant pas qu’il y a une disproportion entre le nombre de personnes testées et celui des personnes réellement infectées. Les structures existantes qui fonctionnent bien, comme la loi sur la protection contre les infections, sont simplement suspendues et remplacées par quelque chose de nouveau, qui est beaucoup plus drastique, et la seule chose qui vient du gouvernement est l’appel constant à la vaccination contre une maladie dont nous savons maintenant très bien, grâce à de nombreuses études internationales, qu’elle est très comparable aux maladies de la grippe, que les taux de mortalité ne sont pas plus élevés qu’avec les fortes vagues de grippe et que les mesures ne peuvent pas être justifiées par cela. C’est une ignorance effrayante de la part d’études internationales reconnues et d’experts de tous les domaines, qu’ils soient virologistes, bactériologues, épidémiologistes ou même économistes, qui ne sont tout simplement pas entendus ou sont ignorés. Pire encore, on les traite de menteurs, de charlatans ou de théoriciens du complot, ce qui ne manquera pas de devenir le mot d’ordre de l’année 2020.

Au lieu de cela, on annonce une vaccination qui peut être très dangereuse, une vaccination sans nécessité médicale, parce qu’il n’y a plus de preuves. Il n’y a même plus assez de personnes en Allemagne qui tombent malades pour qu’un vaccin puisse être testé sur elles. Et il s’agit d’une nouvelle forme de vaccination, dite à ARN, qui, contrairement aux vaccinations précédentes, est capable de modifier le matériel génétique. Et peut causer des dommages incalculables aux personnes. Et ici, il faut aussi penser au principe médical « pas de mal », « nil no cere ».

C’est la responsabilité des médecins et nous espérons ici aussi que d’autres médecins y participeront et y réfléchiront, car nous, médecins, ne devons pas faire plus de mal que de bien aux patients.

Ma motivation, ce sont mes grands-parents et mes parents, qui m’ont appris que si j’ai le sentiment que les droits fondamentaux sont restreints, que la démocratie est restreinte, que la presse n’est plus une presse libre, mais que vous avez le sentiment qu’il s’agit de propagande, que si les opinions étrangères sont censurées, supprimées, alors vous devez sortir dans la rue, alors vous devez devenir actif, ou vous devez essayer d’informer le public vous-même, par exemple, comme vous le feriez avec un comité d’enquête de la Corona. Car bien sûr, il y a toujours le danger que le pouvoir corrompt, et qu’à un moment donné, les politiciens ne puissent plus le voir avec la bonne mesure et le bon objectif.

J’ai vu un danger de perte de la démocratie, et je vois chaque jour de plus en plus d’efforts pour transformer notre ordre démocratique libre de base en un État de surveillance, avec des applications de contrôle des esprits et de surveillance et autres, sous le couvert de lois de protection contre les infections.

Dans le meilleur des cas, nous arrivons à la conclusion qu’il faudrait une clarification juridique complète du contexte de ces mesures scientifiquement, médicalement et humainement excessives, que les responsables devraient également être tenus pour responsables et que des situations telles que la grippe porcine, avec des vaccinations qui ont laissé des séquelles chez les gens, pour une maladie pour laquelle il n’était pas nécessaire de vacciner, ne devraient jamais se reproduire ! Et toutes les mesures qui ont été prises doivent être réduites, car elles ont été élaborées sur fond de scénarios d’horreur qui ne se sont jamais concrétisés et qui sont néanmoins constamment maintenus à un niveau élevé pour faire craindre à la population une maladie mortelle qui n’existe pas sous cette forme. Et la meilleure chose qui en sortira, bien sûr – et cela doit arriver – est la fin immédiate du verrouillage, la fin de l’obligation de porter des masques. À une époque où il n’y avait plus du tout de cas de maladie, un appel a été lancé le 29 mai de cette année pour rendre obligatoire le port du masque dans les cabinets médicaux.

Au cours des dernières semaines – nous sommes le 20 juin 2020, il y a quinze jours, nous avons eu de grandes manifestations de masse contre le racisme dans 20 villes allemandes avec plus de 20 000 participants – si ce virus sous cette forme avec ce taux d’infection était réellement encore répandu en Allemagne, alors nous devrions pouvoir enregistrer une augmentation massive du nombre d’infections aujourd’hui, mais ce n’est pas le cas.

Et cela prouve que les mesures ne peuvent plus être justifiées d’aucune manière.

Merci beaucoup.

Merci beaucoup à M. SCHIFFMANN

Je voudrais souligner une fois de plus que ce que nous faisons ici est totalement non partisan, il ne s’agit pas de droite ou de gauche, il ne s’agit pas de gros ou de mince, d’homme ou de femme. Il s’agit en fait de vie et de mort pour beaucoup, d’une grande qualité de vie pour les adultes, mais aussi pour nos enfants. C’est notre principale motivation – également pour les générations futures – pour faire face aux circonstances auxquelles nous avons nous-mêmes été exposés ces derniers mois.

Nous, les citoyens, devons retrouver notre souveraineté et nous en prenons aussi le droit, parce que nous l’avons. Nous nous basons sur la Loi fondamentale. Dans la Loi fondamentale, que je tiens ici dans ma main, il y a un article merveilleux, l’article 20, paragraphe 4, « Toute personne a le droit de résister si aucune autre mesure ne permet de remédier à la situation ».

Nous pouvons peut-être aussi considérer cette commission d’enquête extra-parlementaire sur la Corona comme l’une des dernières mesures et espérer que ceux – qui sont au gouvernement, qui ont également prêté serment de ne pas nuire aux gens, mais d’aider ceux qui défendent notre pays, que nous leur rappelons également à tous, fonctionnaires, officiers, médecins, oui, tous les concitoyens sont appelés à y prendre part ici, et les terribles circonstances, – que nous vivons tous réellement, nous le voyons dans les rues, nous le vivons dans nos familles et aussi personnellement avec nos amis et nos parents.

Nous devons faire quelque chose à ce sujet. Et je suis également heureux que nous n’ayons pas seulement la perspective allemande, mais que nous puissions également apporter une perspective internationale dans le processus. Et c’est pourquoi je suis également heureux que nous avons un véritable expert en la matière dans le cercle des orateurs de l’ACU, la commission d’enquête extraparlementaire de la Corona, le professeur HADITSCH d’Autriche.

Je vous en prie.

Oui, merci beaucoup et meilleurs vœux de ma part.

M. SCHÖNING, c’est un grand honneur pour moi et, pour être franc, quelque chose qui me tient à cœur de participer à la commission d’enquête extra-parlementaire de l’ACU sur la Corona.

Si nous descendons au niveau des faits, nous devons nous poser les questions suivantes : pourquoi cette commission d’enquête est-elle nécessaire ?

Cette enquête est nécessaire car, dès le départ, soit par négligence grave, soit délibérément, sans le devoir de diligence nécessaire, c’est-à-dire sans la moindre considération pour les dommages collatéraux, des décisions irresponsables et inappropriées ont été prises, qui ont également porté atteinte aux droits démocratiques fondamentaux et foulé aux pieds les devoirs éthiques.

On a évidemment aussi tenté de compenser des fautes flagrantes, comme la négligence de ceux qui ont besoin de protection – et je vous rappelle les personnes en maison de retraite – par des mesures draconiennes et non ciblées, peut-être pour éviter à justifier ces fautes non plus, ou du moins à détourner l’attention de ces problèmes.

Que ce soit finalement non intentionnel, c’est-à-dire basé sur l’ignorance, ou intentionnel – ce qui aurait alors été fait avec des motifs douteux – est en fait sans importance. En tout état de cause, cela disqualifie les décideurs eux-mêmes.

Compte tenu de l’ampleur des décisions prises, les deux options décrites ci-dessus doivent nécessairement faire l’objet d’un examen détaillé, et cela peut être fait à nouveau à partir de l’expérience de la présentation extrêmement unilatérale par la politique et la radio d’État – ou les médias d’État, en fin de compte uniquement par une commission d’enquête indépendante, c’est-àdire également extra-parlementaire, de la corona.

Ma motivation personnelle pour y participer est que je suis un spécialiste en microbiologie, virologie et épidémiologie des infections, et je suis profondément consterné par l’approche non objective d’un point de vue professionnel.

Certaines personnes vont se demander ce que j’entends par cette approche non objective. À cela s’ajoute la constante, même dans les médias, d’esquisses de scénarios du « pire », de comparaisons inappropriées qui font peur, on ne pense par exemple qu’à ce mot d’ordre parfait et inqualifiable de « conditions italiennes », qui était au mieux vrai pour certaines régions du nord de l’Italie et où, en fait, les régions du sud de l’Italie moins bien approvisionnées, ont fait face à tout cela relativement sans problème.

Des représentations inadéquates et flagrantes de tendances menaçantes, qui dans la pratique ne se sont jamais concrétisées – et si l’on avait correctement évalué la situation dès le départ, compte tenu de la qualité du système de soins de santé en Allemagne – n’auraient jamais pu se concrétiser de cette manière.

Je suis aussi un médecin généraliste de formation. – Mais surtout en tant que médecin, je ne pouvais plus tolérer cette approche méprisante de la santé et des êtres humains, car [elle] est en contradiction flagrante avec la compréhension et l’éthique professionnelles de chacun d’entre nous. Cette peur permanente, on pourrait dire la peur panique, les dommages psychologiques et sociaux qui peuvent en être déduits, les dommages médicaux et économiques gigantesques et enfin, mais pas des moindres, les interventions massives dans toute notre vie culturelle et de club sont, je crois, au moins en tant que médecin à orientation holistique, une raison et une motivation suffisantes pour se lever et lutter contre cette folie.

Face à la catastrophe, qui ne peut être évaluée du tout à l’heure actuelle, il semble nécessaire, avec tout le respect que je vous dois, bien sûr, mais en termes non équivoques, d’insister pour que ces décisions soient évaluées objectivement et pour que les décideurs soient tenus responsables si une faute est avérée.

Le point de vue de la commission d’enquête est bien sûr aussi un peu comme ceci : à quoi pouvonsnous nous attendre, quel est le meilleur scénario ?

Selon moi, tous les citoyens – ou du moins les collègues médecins – devraient se sentir concernés par la pensée d’Hippocrate, à savoir par le principe « nil no cere », c’est-à-dire « ne pas faire de mal », et tout le monde, même ceux qui ne font pas partie des médias qui ont prêté serment à la ligne gouvernementale, devrait s’informer, poser des questions critiques et procéder à des contrôles de plausibilité. Et puis on découvrira que Bergame n’est pas l’Italie, Ischgli pas l’Autriche, New York pas les États-Unis et une fête de carnaval à Heinsberg, un immeuble à Göttingen et des abattoirs, où qu’ils soient, ne sont pas l’Allemagne.

Elle devrait également devenir visible pour tous,

  • que le système de santé allemand n’a même jamais commencé à courir le risque de se décompenser, c’est-à-dire d’être surchargé,
  • que des mesures telles que le taux de doublement et ce nombre innommable « R 0 » étaient principalement destinées à faire pression sur la population par la peur et que l’absence de référence au nombre de tests effectués était communiquée de manière non objective et manipulatrice, que des chiffres faux et peu fiables ont été utilisés pour les décès, pour l’intimidation,
  • que le nombre d’affaires était déjà en baisse significative bien avant le « lockdown »,
  • qu’une obligation générale de port de masque ordonnée 4 semaines plus tard, franchement 4 semaines plus tard – était factuellement non fondée, illégale et psycho-socialement irresponsable,
  • que l’adhésion incorrigible à des mesures et à des déclarations déjà réfutées, c’est-à-dire contre une meilleure connaissance et des preuves avérées dans ce contexte, est une infraction pénale et
  • qu’en fin de compte, un changement radical des structures décisionnelles de la politique des partis se fait attendre, car c’est la seule façon d’empêcher de manière fiable la poursuite ou la répétition de cette approche antidémocratique.

Je souhaite à l’ACU, la commission d’enquête extra-parlementaire de la Corona, tout le succès possible dans l’examen objectif de toutes ces questions de conflit. Bonne chance.

Merci beaucoup, Monsieur HADITSCH.

Je voudrais conclure en soulignant une fois de plus pourquoi nous faisons cette ACU, la Commission d’enquête extra-parlementaire. Nous ne voulons pas attendre les parlements ou les autres qui pourraient venir plus tard, à un moment donné, parce que la pression est maintenant, maintenant les gens souffrent. Maintenant nos semblables souffrent, et maintenant un grand nombre de personnes ont déjà été blessées, certaines ont même perdu la vie. Tout comme cela a été [prédit] dans le rapport interne du ministère fédéral de l’Intérieur. Ils sont morts à cause des mesures prises par le gouvernement! Et cela n’est évidemment pas proportionné.

Je voudrais rappeler pourquoi il est si urgent que nous devons prendre les choses en main maintenant, surtout lorsque personne d’autre ne le fait qui pourrait être plus sollicité. Partout dans le monde, il y a toujours des gens qui ont un arrêt cardiaque. Tout le monde a le risque à 100% – à un moment donné au moins – tout le monde arrêtera son cœur.

La bonne nouvelle : vous pouvez maintenant aussi revivre, réanimer et il existe un guide sur la manière de le faire. Et cette directive a été modifiée au niveau international au début du mois d’avril, et au fil du temps, elle a également été modifiée en Allemagne. Et cette directive, Imaginez cela, dit maintenant, « en raison du risque élevé d’infection par le CoVid-19 et des dommages considérables qui pourraient en résulter », vous ne devez plus donner de souffle, Il faut l’imaginer, « vous devez maintenant mettre un chiffon sur votre bouche ». Cela signifie que beaucoup plus de personnes dans le monde vont mourir maintenant, car il est scientifiquement prouvé que si vous appuyez et respirez, beaucoup plus de personnes survivent. La surmortalité est ainsi produite en plus dans les statistiques. Nous devons également renverser cette directive sur la réanimation.

C’est exactement ce que nous pouvons constater et nous serons en mesure de fournir ensemble, au sein de cette commission d’enquête, des preuves complètes que nous n’avons pas la peste ou le virus mortel. C’est une bonne nouvelle!

Mais nous devons nous poser la question suivante : pourquoi en est-il ainsi? Pourquoi ces mesures sont-elles en place? Qui en bénéficie?

Nous ne voulons pas attendre que nous-mêmes, nos amis, nos parents, subissions des dommages personnels et physiques.

Il faut que nous travaillions ensemble maintenant!

Et je ne peux qu’inviter, car il n’y a pas de société derrière nous : pas de société de médias, pas de riches, pas de fondations. Mieux nous sommes équipés en ressources, plus nous pouvons faire ce travail de manière professionnelle et rapide, y compris au niveau international. Nous le publierons également en plusieurs langues, dans la mesure de nos possibilités. Tout le monde est invité à aider ici, dans le meilleur esprit public. C’est pourquoi je vous remercie vivement pour tout le soutien que vous nous avez apporté jusqu’à présent.

Merci beaucoup.




La science est concluante : les masques et les respirateurs n’empêchent PAS la transmission des virus

[Source originale anglaise (PDF) : Masks Don’t Work]

[Author:] Dr. Dennis Rancourt, PhD
researchgate.net

[NdNM : version française trouvée sur un forum sans mention du traducteur]

Commentaire :
Cette revue de la littérature scientifique sur le port de masques chirurgicaux et autres comme moyen de prévenir la transmission du SRAS-CoV-2 et donc d'empêcher de contracter la "Covid-19" a été publiée il y a un mois.

Résumé

Les masques et les respirateurs ne fonctionnent pas. Des études approfondies d’essais contrôlés randomisés (ECR) et des méta-analyses d’études d’ECR ont montré que les masques et les respirateurs ne fonctionnent pas pour prévenir les maladies respiratoires de type grippal, ou les maladies respiratoires que l’on pense être transmises par des gouttelettes et des particules d’aérosol.

En outre, les données physiques et biologiques pertinentes que j’ai examinées sont telles que les masques et les respirateurs ne devraient pas fonctionner. Il serait paradoxal que les masques et les respirateurs fonctionnent, compte tenu de ce que nous savons sur les maladies respiratoires virales : La principale voie de transmission est celle des particules d’aérosols à long temps de séjour (< 2,5 μm), qui sont trop fines pour être bloquées, et la dose infectieuse minimale est inférieure à une particule d’aérosol.

Le présent document sur les masques illustre la mesure dans laquelle les gouvernements, les médias grand public et les propagandistes institutionnels peuvent décider d’opérer dans le vide scientifique ou de ne sélectionner que des données scientifiques incomplètes qui servent leurs intérêts. Une telle insouciance est certainement aussi le cas avec l’actuel confinement mondial de plus d’un milliard de personnes, une expérience sans précédent dans l’histoire médicale et politique.

Revue de la littérature médicale

Voici les principaux points d’ancrage de la vaste littérature scientifique qui établit que le port de masques chirurgicaux et de respirateurs (par exemple, « N95 ») ne réduit pas le risque de contracter une maladie avérée :

– Jacobs, J. L. et al (2009) « Use of surgical face masks to reduce the incidence of the common cold among health care workers in Japan » : A randomized controlled trial », American Journal of Infection Control, volume 37, numéro 5, 417 – 419.

« Les travailleurs de la santé masqués de N95 étaient nettement plus susceptibles d’éprouver des maux de tête. Il n’a pas été démontré que l’utilisation de masques faciaux chez les travailleurs de la santé présentait des avantages en termes de symptômes de rhume ou de refroidissement. »

– Cowling, B. et al (2010) « Face masks to prevent transmission of influenza virus : A systematic review », Epidemiology and Infection, 138(4), 449-456. doi:10.1017/S0950268809991658

Aucune des études examinées n’a montré un bénéfice du port d’un masque, que ce soit chez les travailleurs de la santé ou les membres de la communauté dans les ménages (H). Voir les tableaux récapitulatifs 1 et 2.

– bin-Reza et al (2012) « The use of masks and respirators to prevent transmission of influenza : a systematic review of the scientific evidence« , Influenza and Other Respiratory Viruses 6(4), 257-267.

« Il y a eu 17 études admissibles. […] Aucune des études n’a établi de relation concluante entre l’utilisation de masques⁄respirateurs et la protection contre l’infection par le virus influenza« .

– Smith, J.D. et al. (2016) « Efficacité des respirateurs N95 par rapport aux masques chirurgicaux pour protéger les travailleurs de la santé contre les infections respiratoires aiguës : revue systématique et méta-analyse« , CMAJ mars 2016, cmaj.150835 ; DOI : 10.1503/cmaj.150835

« Nous avons identifié 6 études cliniques … Dans la méta-analyse des études cliniques, nous n’avons trouvé aucune différence significative entre les respirateurs N95 et les masques chirurgicaux en ce qui concerne le risque associé (a) d’infection respiratoire confirmée en laboratoire, (b) de maladie de type grippal, ou (c) d’absentéisme au travail déclaré« .

– Offeddu, V. et al (2017) « Efficacité des masques et des respirateurs contre les infections respiratoires chez les travailleurs de la santé : A Systematic Review and Meta-Analysis », Clinical Infectious Diseases, Volume 65, Issue 11, 1 December 2017, Pages 1934-1942, https://doi.org/10.1093/cid/cix681

« L’évaluation autodéclarée des résultats cliniques était sujette à des biais. La preuve d’un effet protecteur des masques ou des respirateurs contre une infection respiratoire vérifiée (IRM) n’était pas statistiquement significative » ; selon la figure 2c de ce document :

[image]

Radonovich, L.J. et al (2019) « N95 Respirators vs Medical Masks for Preventing Influenza Among Health Care Personnel : A Randomized Clinical Trial », JAMA. 2019 ; 322(9) : 824-833. doi:10.1001/jama.2019.11645

« Parmi les 2862 participants randomisés, 2371 ont terminé l’étude et ont représenté 5180 saisons de travail. … Parmi le personnel de santé ambulatoire, les respirateurs N95 par rapport aux masques médicaux tels que portés par les participants à cet essai n’ont entraîné aucune différence significative dans l’incidence de la grippe confirmée en laboratoire« .

Long, Y. et al (2020) « Effectiveness of N95 respirators versus surgical masks against influenza : A systematic review and meta-analysis », J Evid Based Med. 2020 ; 1- 9. https://doi.org/10.1111/jebm.12381

« Au total, six ECR impliquant 9 171 participants ont été inclus. Aucune différence statistiquement significative n’a été constatée dans la prévention de la grippe confirmée en laboratoire, des infections virales respiratoires confirmées en laboratoire, des infections respiratoires confirmées en laboratoire et des affections de type grippal à l’aide de respirateurs N95 et de masques chirurgicaux. La méta-analyse a indiqué un effet protecteur des respirateurs N95 contre la colonisation bactérienne confirmée en laboratoire (RR = 0,58, 95 % IC 0,43-0,78). L’utilisation d’appareils respiratoires N95 par rapport aux masques chirurgicaux n’est pas associée à un risque moindre de grippe confirmée en laboratoire« .

Conclusion concernant les masques qui ne fonctionnent pas

Aucune étude RCT dont les résultats ont été vérifiés ne montre que le port d’un masque ou d’un respirateur est bénéfique pour les travailleurs de la santé ou les membres de la communauté dans les ménages. Il n’existe aucune étude de ce type. Il n’y a aucune exception. De même, il n’existe aucune étude qui montre un bénéfice d’une politique générale de port de masques en public (plus d’informations à ce sujet ci-dessous).

De plus, s’il y avait un avantage à porter un masque, en raison de son pouvoir de blocage contre les gouttelettes et les particules d’aérosol, le port d’un respirateur (N95) devrait être plus avantageux que celui d’un masque chirurgical. Pourtant, plusieurs grandes méta-analyses, et tous les ECR, prouvent qu’il n’y a pas un tel avantage relatif. Les masques et les respirateurs ne fonctionnent pas.

Le principe de précaution tourné sur la tête avec les masques

À la lumière de la recherche médicale, il est donc difficile de comprendre pourquoi les autorités de santé publique n’appliquent pas systématiquement ces résultats scientifiques bien établis, étant donné que les dommages psychologiques, économiques et environnementaux répartis résultant d’une recommandation générale de porter des masques sont importants, sans parler des dommages potentiels inconnus dus à la concentration et à la distribution des agents pathogènes sur et à partir des masques utilisés.

Dans ce cas, les autorités publiques iraient à l’encontre du principe de précaution (voir ci-dessous).

Physique et biologie des maladies respiratoires virales, et pourquoi les masques ne fonctionnent pas

Afin de comprendre pourquoi les masques ne peuvent pas fonctionner, nous devons revoir les connaissances établies sur les maladies respiratoires virales, le mécanisme de variation saisonnière de la surmortalité due à la pneumonie et à la grippe, le mécanisme de transmission des maladies infectieuses par aérosol, la physique et la chimie des aérosols et le mécanisme de la dose infectieuse minimale.

Outre les pandémies qui peuvent survenir à tout moment, les latitudes tempérées connaissent un surcroît de mortalité due à des maladies respiratoires qui est saisonnier et qui est causé par des virus. Voir, par exemple, l’étude de Paules et Subbarao sur la grippe (2017). Ce phénomène est connu depuis longtemps et le schéma saisonnier est extrêmement régulier.

Par exemple, voir la figure 1 de Viboud (2010), qui présente une « série chronologique hebdomadaire du rapport entre le nombre de décès dus à la pneumonie et à la grippe et le nombre total de décès, basée sur la surveillance de 122 villes aux États-Unis (ligne bleue) ». La ligne rouge représente le ratio de base attendu en l’absence d’activité grippale », ici :

Le caractère saisonnier du phénomène n’a été largement compris qu’il y a une décennie. Jusqu’à récemment, on se demandait si le phénomène était principalement dû à un changement saisonnier de la virulence des agents pathogènes ou à un changement saisonnier de la sensibilité de l’hôte (par exemple, un air sec provoquant une irritation des tissus ou une diminution de la lumière du jour provoquant une carence en vitamines ou un stress hormonal). Voir, par exemple, Dowell (2001).

[image]

Dans une étude qui fait date, Shaman et al. (2010) ont montré que le schéma saisonnier de la mortalité due aux maladies extra respiratoires peut être expliqué quantitativement sur la seule base de l’humidité absolue et de son impact direct sur la transmission des agents pathogènes dans l’air.

Lowen et ses collègues (2007) ont démontré le phénomène de virulence des virus aériens dépendant de l’humidité dans la transmission réelle de maladies entre cobayes, et ont examiné les mécanismes sous-jacents potentiels de l’effet de contrôle mesuré de l’humidité.

Le mécanisme sous-jacent est que les particules ou gouttelettes d’aérosol chargées d’agents pathogènes sont neutralisées au cours d’une demi-vie qui diminue de manière monotone et significative avec l’augmentation de l’humidité ambiante. Ce mécanisme est basé sur les travaux fondateurs de Harper (1961). Harper a montré expérimentalement que les gouttelettes porteuses de virus et d’agents pathogènes étaient inactivées dans des délais de plus en plus courts, à mesure que l’humidité ambiante augmentait.

Harper a soutenu que les virus eux-mêmes étaient rendus inopérants par l’humidité (« décomposition viable »), mais il a admis que l’effet pouvait être dû à l’élimination physique ou à la sédimentation des gouttelettes par l’humidité (« perte physique ») : « Les viabilités des aérosols rapportées dans cet article sont basées sur le rapport entre le titre du virus et la numération radioactive dans les échantillons de suspension et de nuages, et peuvent être critiquées au motif que les matériaux de test et de traçage n’étaient pas physiquement identiques ».

Ce dernier point (« perte physique ») me semble plus plausible, puisque l’humidité aurait un effet physique universel de provoquer la croissance et la sédimentation des particules/gouttelettes, et que tous les agents pathogènes viraux testés ont essentiellement la même « décomposition » due à l’humidité. En outre, il est difficile de comprendre comment un virion (de tous les types de virus) dans une gouttelette serait attaqué ou endommagé au niveau moléculaire ou structurel par une augmentation de l’humidité ambiante. Un « virion » est la forme complète et infectieuse d’un virus en dehors d’une cellule hôte, avec un noyau d’ARN ou d’ADN et une capside. Le mécanisme réel de cette « décomposition viable » d’un virion par l’humidité à l’intérieur d’une gouttelette n’a pas été expliqué ni étudié.

En tout état de cause, l’explication et le modèle de Shaman et al. (2010) ne dépendent pas du mécanisme particulier de la décomposition des virions en aérosol/gouttelettes par l’humidité. Le modèle d’épidémiologie virale régionale saisonnière quantitativement démontré par Shaman est valable pour l’un ou l’autre mécanisme (ou combinaison de mécanismes), que ce soit la « décroissance viable » ou la « perte physique ».

La percée réalisée par Shaman et al. n’est pas seulement un point académique. Elle a plutôt de profondes implications en matière de politique de santé, qui ont été entièrement ignorées ou négligées dans la pandémie actuelle de coronavirus.

En particulier, le travail de Shaman implique nécessairement que, plutôt que d’être un nombre fixe (dépendant uniquement de la structure spatio-temporelle des interactions sociales dans une population totalement sensible, et de la souche virale), le nombre de reproduction de base de l’épidémie (R0) est fortement ou principalement dépendant de l’humidité absolue ambiante.

Pour une définition du R0, voir HealthKnowlege-UK (2020) : R0 est « le nombre moyen d’infections secondaires produites par un cas typique d’infection dans une population où tout le monde est sensible ». Le R0 moyen pour la grippe serait de 1,28 (1,19-1,37) ; voir l’étude exhaustive de Biggerstaff et al. (2014).

En fait, Shaman et al. ont montré que le R0 doit être compris comme variant selon les saisons entre des valeurs d’été humide à peine supérieures à « 1 » et des valeurs d’hiver sec généralement aussi élevées que « 4 » (voir par exemple leur tableau 2). En d’autres termes, les maladies respiratoires virales infectieuses saisonnières qui sévissent chaque année sous les latitudes tempérées passent d’une contagiosité intrinsèquement légère à une contagiosité virulente, simplement en raison du mode de transmission biophysique contrôlé par l’humidité atmosphérique, indépendamment de toute autre considération.

Par conséquent, toute la modélisation mathématique épidémiologique des avantages des politiques médiatrices (telles que la distanciation sociale), qui suppose des valeurs de R0 indépendantes de l’humidité, a une grande probabilité d’être de peu de valeur, sur cette seule base. Pour des études sur la modélisation et sur les effets de la médiation sur le nombre effectif de reproduction, voir Coburn (2009) et Tracht (2010).

Pour faire simple, la « deuxième vague » d’une épidémie n’est pas une conséquence du péché humain concernant le port de masque et la poignée de main. Il s’agit plutôt d’une conséquence inévitable d’une forte augmentation de la contagiosité de la maladie, due à la sécheresse de l’air, dans une population qui n’a pas encore atteint l’immunité.

Si mon point de vue sur le mécanisme est correct (c’est-à-dire la « perte physique »), alors le travail du Shaman implique nécessairement que la haute transmissibilité due à la sécheresse (grand R0) provient de petites particules d’aérosol en suspension dans l’air ; par opposition aux grosses gouttelettes qui sont rapidement éliminées de l’air par gravité.

Ces petites particules d’aérosol en suspension dans l’air, d’origine biologique, sont de tout type et sont partout, y compris jusqu’à la taille d’un virion (Despres, 2012). Il n’est pas totalement improbable que des virus puissent ainsi être physiquement transportés sur des distances intercontinentales (par exemple, Hammond, 1989).

Plus précisément, il a été démontré que les concentrations de virus dans l’air intérieur (dans les garderies, les centres de santé et à bord des avions) existent principalement sous forme de particules d’aérosol de diamètre inférieur à 2,5 μm, comme dans les travaux de Yang et al. (2011) :

« La moitié des 16 échantillons étaient positifs, et leurs concentrations totales en virus variaient de 5800 à 37 000 copies du génome m-3. En moyenne, 64 % des copies du génome viral étaient associées à des particules fines de moins de 2,5 µm, qui peuvent rester en suspension pendant des heures. La modélisation des concentrations de virus à l’intérieur a suggéré une force de source de 1,6 ± 1,2 × 105 copies du génome m-3 air h-1 et un flux de dépôt sur les surfaces de 13 ± 7 copies du génome m-2 h-1 par mouvement brownien. Sur une heure, la dose d’inhalation a été estimée à 30 ± 18 dose infectieuse médiane en culture tissulaire (TCID50), suffisante pour induire l’infection. Ces résultats apportent un soutien quantitatif à l’idée que la voie aérosol pourrait être un mode important de transmission de la grippe« .

Ces petites particules (< 2,5 μm) font partie de la fluidité de l’air, ne sont pas soumises à la sédimentation gravitationnelle et ne seraient pas arrêtées par un impact inertiel à longue distance. Cela signifie que le moindre défaut d’ajustement facial (même momentané) d’un masque ou d’un respirateur rend la norme de filtration du masque ou du respirateur tout à fait inappropriée. En tout état de cause, le matériau de filtration lui-même de N95 (taille moyenne des pores ~0,3-0,5 μm) ne bloque pas la pénétration du virion, sans parler des masques chirurgicaux. Par exemple, voir Balazy et al. (2006).

Le manque d’efficacité du masque et l’inhalation par l’hôte ne représentent cependant que la moitié de l’équation, car il faut également tenir compte de la dose infectieuse minimale (DIM). Par exemple, si un grand nombre de particules chargées d’agents pathogènes doivent être délivrées au poumon dans un certain délai pour que la maladie s’installe, alors un blocage partiel par un masque ou un tissu peut suffire à faire une différence significative.

D’autre part, si la MID est largement dépassée par les virions transportés dans une seule particule d’aérosol capable d’échapper à la capture par le masque, alors le masque n’a aucune utilité pratique, ce qui est le cas.

Yezli et Otter (2011), dans leur examen de la MID, soulignent les caractéristiques pertinentes :

  • la plupart des virus respiratoires sont aussi infectieux chez l’homme que dans les cultures de tissus ayant une sensibilité optimale en laboratoire
  • on pense qu’un seul virion peut suffire à induire une maladie chez l’hôte
    la MID à 50 % de probabilité (« TCID50 ») se situe, de façon variable, entre 100 et 1000 virions
  • il y a généralement 103-107 virions par gouttelette de grippe aérolisée de diamètre 1 μm – 10 μm
  • la MID à 50 % de probabilité s’insère facilement dans une seule (une) gouttelette aérolisée

Pour en savoir plus :

  • Haas (1993) fournit une description classique de l’évaluation dose-réponse.
  • Zwart et al. (2009) ont fourni la première preuve en laboratoire, dans un système virus-insecte, que l’action d’un seul virion peut être suffisante pour provoquer une maladie.
  • Baccam et al. (2006) ont calculé, à partir de données empiriques, qu’avec la grippe A chez l’homme, « nous estimons qu’après un délai de ~6 h, les cellules infectées commencent à produire le virus de la grippe et continuent à le faire pendant ~5 h. La durée de vie moyenne des cellules infectées est de ~11 h, et la demi-vie du virus infectieux libre est de ~3 h. Nous avons calculé le nombre de reproduction de base [dans le corps], R0, qui indique qu’une seule cellule infectée peut produire ~22 nouvelles infections productives ».
  • Brooke et al. (2013) ont montré que, contrairement aux hypothèses de modélisation précédentes, bien que toutes les cellules infectées par le virus de la grippe A dans le corps humain ne produisent pas une progéniture infectieuse (virions), néanmoins, 90 % des cellules infectées sont significativement affectées, plutôt que de simplement survivre indemnes.

Tout cela pour dire que : si quelque chose passe (et c’est toujours le cas, quel que soit le masque), alors vous allez être infecté. Les masques ne peuvent pas fonctionner. Il n’est donc pas surprenant qu’aucune étude impartiale n’ait jamais trouvé un avantage au port d’un masque ou d’un respirateur dans cette application.

Par conséquent, les études qui montrent la capacité de barrière partielle des masques, ou qui montrent que les masques peuvent capturer de nombreuses grosses gouttelettes produites par un porteur de masque qui éternue ou tousse, à la lumière des caractéristiques du problème décrites ci-dessus, ne sont pas pertinentes. Voir, par exemple, des études de ce type : Leung (2020), Davies (2013), Lai (2012) et Sande (2008).

Pourquoi il ne peut jamais y avoir de test empirique d’une politique nationale de port de masque

Comme mentionné ci-dessus, il n’existe aucune étude qui montre un bénéfice d’une politique générale de port de masques en public. Il y a une bonne raison à cela. Il serait impossible d’obtenir des résultats sans ambiguïté et sans parti pris :

  • Tout avantage du port de masque devrait minime, non détecté dans des expériences contrôlées, qui serait noyé par les effets plus importants, notamment l’effet important du changement de l’humidité atmosphérique.
  • Les habitudes de conformité et d’ajustement des masques seraient inconnues.
  • Le port du masque est associé (corrélé) à plusieurs autres comportements de santé ; voir Wada (2012).
  • Les résultats ne seraient pas transférables, en raison des différences d’habitudes culturelles.
  • La conformité est obtenue par la peur, et les individus peuvent s’habituer à une propagande basée sur la peur, et peuvent répondre essentiellement de manière disparate.
  • Le contrôle et la mesure de la conformité sont pratiquement impossibles et sont sujets à de grandes erreurs.
  • – Il est notoire que les déclarations volontaires (comme dans les enquêtes) sont biaisées, car les individus ont la conviction intéressée, que leurs efforts sont utiles.
  • La progression de l’épidémie n’est pas vérifiée par des tests fiables sur de larges échantillons de population, et repose généralement sur des visites ou des admissions à l’hôpital non représentatives.
  • Plusieurs agents pathogènes différents (virus et souches de virus) provoquant des maladies respiratoires agissent généralement ensemble, dans la même population et/ou chez les individus, et ne sont pas résolus, tout en ayant des caractéristiques épidémiologiques différentes.

Aspects inconnus du port du masque

De nombreux préjudices potentiels peuvent découler des politiques publiques générales de port de masques, et les questions suivantes restent sans réponse :

  • Les masques utilisés et chargés deviennent-ils des sources de transmission accrue, pour le porteur et les autres ?
  • Les masques deviennent-ils des collecteurs et des réservoirs d’agents pathogènes que le porteur du masque éviterait autrement en respirant sans masque ?
  • Les grosses gouttelettes capturées par un masque sont-elles atomisées ou pulvérisées en composants respirables ? Les virions peuvent-ils s’échapper d’une gouttelette en évaporation collée à une fibre du masque ?
  • Quels sont les dangers de la croissance bactérienne sur un masque usagé et chargé ?
  • Comment les gouttelettes chargées d’agents pathogènes interagissent-elles avec les poussières et les aérosols de l’environnement capturés sur le masque ?
  • Quels sont les effets à long terme sur la santé des travailleurs de la santé, tels que les maux de tête, résultant d’une respiration entravée ?
  • Y a-t-il des conséquences sociales négatives pour une société masquée ?
  • Y a-t-il des conséquences psychologiques négatives au port d’un masque, en tant que modification comportementale basée sur la peur ?
  • Quelles sont les conséquences environnementales de la fabrication et de l’élimination des masques ?
  • Les masques perdent-ils des fibres ou des substances qui sont nocives lorsqu’elles sont inhalées ?

Conclusion

En formulant des recommandations et des politiques de port du masque à l’intention du grand public, ou en approuvant expressément cette pratique, les gouvernements ont à la fois ignoré les preuves scientifiques et fait le contraire de suivre le principe de précaution.

En l’absence de connaissances, les gouvernements ne devraient pas élaborer des politiques qui ont un potentiel hypothétique de causer des dommages. Le gouvernement a un obstacle à franchir avant d’entreprendre une vaste intervention d’ingénierie sociale ou de permettre aux entreprises d’exploiter des sentiments fondés sur la peur.

En outre, les individus doivent savoir qu’il n’y a aucun avantage connu à porter un masque dans une épidémie de maladie respiratoire virale, et que des études scientifiques ont montré que tout avantage doit être résiduellement faible, comparé à d’autres facteurs déterminants.

Sinon, quel est l’intérêt de la science financée par les pouvoirs publics ?

Le présent document sur les masques illustre la mesure dans laquelle les gouvernements, les médias grand public et les propagandistes institutionnels peuvent décider d’opérer dans un vide scientifique ou de ne sélectionner que des données scientifiques incomplètes qui servent leurs intérêts. Une telle insouciance est certainement aussi le cas avec l’actuel confinement mondial de plus d’un milliard de personnes, une expérience sans précédent dans l’histoire médicale et politique.


Bibliographie

• Baccam, P. et al. (2006) « Kinetics of Influenza A Virus Infection in Humans », Journal of Virology Jul 2006, 80 (15) 7590-7599; DOI: 10.1128/JVI.01623-05
• Balazy et al. (2006) « Do N95 respirators provide 95% protection level against airborne viruses, and how adequate are surgical masks? », American Journal of Infection Control, Volume 34, Issue 2, March 2006, Pages 51-57. doi:10.1016/j.ajic.2005.08.018
• Biggerstaff, M. et al. (2014) « Estimates of the reproduction number for seasonal, pandemic, and zoonotic influenza: a systematic review of the literature », BMC Infect Dis 14, 480 (2014).
• Brooke, C. B. et al. (2013) « Most Influenza A Virions Fail To Express at Least One Essential Viral Protein », Journal of Virology Feb 2013, 87 (6) 3155-3162; DOI: 10.1128/JVI.02284-12
• Coburn, B. J. et al. (2009) « Modeling influenza epidemics and pandemics: insights into the future of swine flu (H1N1) », BMC Med 7, 30.
• Davies, A. et al. (2013) « Testing the Efficacy of Homemade Masks: Would They Protect in an Influenza Pandemic? », Disaster Medicine and Public Health Preparedness, Available on CJO 2013 doi:10.1017/dmp.2013.43
• Despres, V. R. et al. (2012) « Primary biological aerosol particles in the atmosphere: a review », Tellus B: Chemical and Physical Meteorology, 64:1, 15598, DOI: 10.3402/tellusb.v64i0.15598
• Dowell, S. F. (2001) « Seasonal variation in host susceptibility and cycles of certain infectious diseases », Emerg Infect Dis. 2001;7(3):369-374. doi:10.3201/eid0703.010301
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• Haas, C.N. et al. (1993) « Risk Assessment of Virus in Drinking Water », Risk Analysis, 13: 545-552. doi:10.1111/j.1539-6924.1993.tb00013.x
• HealthKnowlege-UK (2020) « Charter 1a – Epidemiology: Epidemic theory (effective & basic reproduction numbers, epidemic thresholds) & techniques for analysis of infectious disease data (construction & use of epidemic curves, generation numbers, exceptional reporting & identification of significant clusters) », HealthKnowledge.org.uk, accessed on 2020-04-10.
• Lai, A. C. K. et al. (2012) « Effectiveness of facemasks to reduce exposure hazards for airborne infections among general populations », J. R. Soc. Interface. 9938-948
• Leung, N.H.L. et al. (2020) « Respiratory virus shedding in exhaled breath and efficacy of face masks », Nature Medicine (2020).
• Lowen, A. C. et al. (2007) « Influenza Virus Transmission Is Dependent on Relative Humidity and Temperature », PLoS Pathog 3(10): e151.
• Paules, C. and Subbarao, S. (2017) « Influenza », Lancet, Seminar| Volume 390, ISSUE 10095, P697-708, August 12, 2017.
• Sande, van der, M. et al. (2008) « Professional and Home-Made Face Masks Reduce Exposure to Respiratory Infections among the General Population », PLoS ONE 3(7): e2618. doi:10.1371/journal.pone.0002618 Shaman, J. et al. (2010) « Absolute Humidity and the Seasonal Onset of Influenza in the Continental United States », PLoS Biol 8(2): e1000316. https://doi.org/10.1371/journal.pbio.1000316
• Tracht, S. M. et al. (2010) « Mathematical Modeling of the Effectiveness of Facemasks in Reducing the Spread of Novel Influenza A (H1N1) », PLoS ONE 5(2): e9018. doi:10.1371/journal.pone.0009018
• Viboud C. et al. (2010) « Preliminary Estimates of Mortality and Years of Life Lost Associated with the 2009 A/H1N1 Pandemic in the US and Comparison with Past Influenza Seasons », PLoS Curr. 2010; 2:RRN1153. Published 2010 Mar 20. doi:10.1371/currents.rrn1153
• Wada, K. et al. (2012) « Wearing face masks in public during the influenza season may reflect other positive hygiene practices in Japan », BMC Public Health 12, 1065 (2012).
• Yang, W. et al. (2011) « Concentrations and size distributions of airborne influenza A viruses measured indoors at a health centre, a day-care centre and on aeroplanes », Journal of the Royal Society, Interface. 2011 Aug;8(61):1176-1184. DOI: 10.1098/rsif.2010.0686.
• Yezli, S., Otter, J.A. (2011) « Minimum Infective Dose of the Major Human Respiratory and Enteric Viruses Transmitted Through Food and the Environment », Food Environ Virol 3, 1-30.
• Zwart, M. P. et al. (2009) « An experimental test of the independent action hypothesis in virus-insect pathosystems », Proc. R. Soc. B. 2762233-2242


À propos de l’auteur
Dennis Rancourt est titulaire d'un doctorat de l'Université de Toronto (1984) et a été professeur de physique à l'Université d'Ottawa.



Vaccins et virus

Notes :

  • Le principe de la vaccination repose sur la croyance dans le caractère nocif et contagieux des bactéries et des virus, alors que le corps héberge en permanence des dizaines de milliers de bactéries et un million de milliards de virus (ou plus exactement d’« exosomes » et autres composants ou déchets génétiques produits par le corps lui-même). Plusieurs des articles suivants tendent à démontrer que la théorie des germes et sa fille, l’hypothèse virale, sont fallacieuses et ont été scientifiquement réfutées. [Parmi les plus démonstratifs et/ou élaborés, certains sont présentés sur fond de couleur saumon pâle. Ceux estimés incontournables sont de plus entourés de rouge.]
  • Les entreprises pharmaceutiques gagnent des milliards avec les vaccins et pseudo vaccins.
  • Un autre paradigme médical se dessine, basé sur la nature électromagnétique et vibratoire du corps autant que biochimique et sur l’idée fondamentale que la maladie découle en premier lieu de déséquilibres (par excès et/ou déficiences) dans un ou plusieurs plans de la vie humaine (physique, chimique, vital, affectif, émotionnel, mental, psychique… et même spirituel).

Une étude japonaise confirme l’existence d’éléments artificiels autoassemblés dans les vaccins anticovid

« Des échantillons soigneusement conservés ont été cultivés dans une gamme de milieux distincts pour observer les relations de cause à effet immédiates et à long terme entre les injectables et les cellules vivantes dans des conditions soigneusement contrôlées. De telles recherches permettent de tirer des conclusions raisonnables sur les blessures observées dans le monde entier depuis que les injections ont été administrées à des milliards d’individus.

En plus de la toxicité cellulaire, nos résultats révèlent de nombreuses entités artificielles autoassemblées visibles — de l’ordre de 3 à 4 x 10 6 par millilitre d’injection — allant d’environ 1 à 100 µm, voire plus, de formes très différentes. »


Médicaments, effets secondaires : la mort. Les laboratoires nous trompent

L’auteur de Médicaments, effets secondaires : la mort. Les laboratoires nous trompent, John Virapen, a été à la tête d’Eli Lilly, devenue célèbre grâce au Prozac, le premier inhibiteur sélectif de la recapture de la sérotonine (ISRS, SSRI en anglais), un type d’antidépresseur ayant atteint un statut de rockstar et basé la théorie aujourd’hui déboulonnée du débalancement chimique dans le cerveau.

Entre autres scandales, John Virapen nous raconte comment il a fait du Prozac un « blockbuster », alors qu’il était président d’Eli Lilly Suède. Il expose les essais bâclés de la firme et les milliers de suicides et de meurtres sordides par « des gens au comportement jusque-là normal qui sombrent en quelques jours dans une folie suicidaire ou meurtrière ».

« Pour la première fois, un haut dirigeant d’une grande firme internationale témoigne de l’intérieur et se révolte. Ce livre criant de vérité se lit comme un roman policier, un roman noir, mais ce n’est pas un roman. Il décrit, pièces en main, la falsification des études cliniques, la dissimulation des accidents mortels aux agences de contrôle, les mensonges systématiques aux généralistes par les visiteurs médicaux et surtout la corruption des experts universitaires infiltrés dans les agences d’État et celle des politiques. »

(Audios)

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La nature et le but de la maladie

En 1976, Terry C. Fry a mis au point un cours de sciences de la santé qui a été traduit en plusieurs langues et intégré au programme de l’université de Paris.

Voici celui consacré spécialement à la véritable cause des maladies et qui devrait être enseigné aux médecins et autres personnels soignants.

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Ça sent la mort pour la pseudoscience qu’est la virologie

Dans les coulisses, des personnes très intelligentes et ingénieuses ont entrepris de mettre à l’épreuve les méthodes de la virologie. Ces personnes se sont inspirées des travaux du Dr Stefan Lanka et de ses expériences de contrôle réalisées en 2020, qui ont ouvert les yeux de nombreuses personnes sur la fraude en matière de culture cellulaire.


L’hypothèse des germes — Partie 1

Selon l’Encyclopaedia Britannica, la « théorie » des germes, qui affirme que certaines maladies sont causées par l’invasion de l’organisme par des micro-organismes trop petits pour être visibles, a « longtemps été considérée comme prouvée ». Selon l’université de Harvard, cette « théorie » a été « développée, prouvée et popularisée en Europe et en Amérique du Nord entre 1850 et 1920 environ ». Wikipédia affirme que la « théorie » des germes est « la théorie scientifique actuellement acceptée pour de nombreuses maladies ». Des articles publiés dans des revues scientifiques affirment que Louis Pasteur et Robert Koch « ont fermement établi la théorie des germes de la maladie » et qu’ils « ont prouvé pour la première fois la théorie des germes de la maladie dans la seconde moitié du dix-neuvième siècle ». Ainsi, si nous devions écouter ce que déclarent les sources dominantes, il semblerait que la « théorie » des germes ait été scientifiquement prouvée sur la base des preuves établies par Louis Pasteur et Robert Koch. Il faut croire que les travaux de ces deux hommes ont permis de « prouver » l’hypothèse initiale des germes et de l’élever au rang de théorie scientifique. Mais est-ce vraiment le cas ? Pasteur et Koch ont-ils apporté les preuves scientifiques nécessaires à la confirmation de l’hypothèse des germes ? Que faut-il pour accepter ou rejeter une hypothèse ? Comment une hypothèse devient-elle une théorie scientifique ?

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Des souris et des fous

Une étude publiée dans le prestigieux journal Nature est censée « prouver » que le « SARS-COV-2 » est bien un pathogène. L’étude s’intéresse à la « résistance génétique » d’un grand nombre de souris que les chercheurs auraient « infecté » avec le virus. Cependant, elle ne fournit aucun groupe témoin, cache des résultats qui ne s’accordaient probablement pas avec ceux attendus, et triche ou entretient un gros flou artistique sur les autres, mais ne démontre rien sur le plan scientifique, au point que Pierre Chaillot se demande si elle ne relève pas d’un canular.

(Vidéo 14 min)

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Deux alternatives à Big Pharma vaccinaliste

Les deux alternatives principales qui sont apparues depuis l’opération psychologique Covid-19 (qui avait manifestement pour but de vacciner massivement l’Humanité avec des nanoparticules particulières sont les suivantes) :


Comment les vaccins anticovid peuvent-ils produire des maladies à prion comme Creutzfeldt-Jakob ?

La maladie de Creutzfeldt-Jakob est un des effets secondaires relevés suite aux vaccinations contre la Covid. La protéine spike des vaccins à ARNm a été suspectée de la produire. Problème : ces protéines sont supposées provenir de virus, mais aucun virus pathogène n’a jusqu’à ce jour été réellement isolé en suivant la méthode scientifique ; où sont les études qui isolent et caractérisent chimiquement de manière scientifique des protéines spike dans les vaccins ? Des observations et analyses menées par diverses équipes de chercheurs ont par contre relevé la présence de graphène dans les vaccins. L’étude suivante montre le mécanisme par lequel le graphène affecte la protéine prion.


L’étude de référence sur la rougeole n’apporte aucune preuve de l’existence d’un « virus » de la rougeole

L’article de John Franklin Enders de 1954 est considéré comme la preuve définitive de la découverte d’un « virus » de la rougeole. Cette preuve a été présentée comme l’« isolement » de la rougeole et a servi de base à l’élaboration du vaccin. Il a également jeté les bases de l’utilisation d’expériences de culture cellulaire comme moyen de cultiver des « virus », ainsi que des affirmations qui en découlent, selon lesquelles les preuves indirectes connues sous le nom d’effets cytopathogènes (ou cytopathiques) peuvent servir de mesure de substitution pour les « virus » présents dans la soupe toxique de la culture cellulaire. La lecture de l’article et des conclusions d’Enders révèle cependant une histoire complètement différente de celle de l’isolement d’un « virus ». Voici les points saillants de son article :


Aveuglés par la pseudo-science

« Mes récents échanges avec les défenseurs de la virologie et de la théorie des germes sur Twitter m’ont vraiment ouvert les yeux sur l’enracinement de l’endoctrinement et sur la façon dont l’esprit critique et la logique ont été complètement effacés chez de nombreuses personnes. Non seulement il y a une incompréhension fondamentale du dogme que ces personnes tentent de défendre, mais elles n’ont même pas une connaissance pratique de ce qu’est la science ou de la manière de distinguer la vraie science de la fausse science, c’est-à-dire de la pseudoscience. Ils ne savent absolument pas ce qu’est la méthode scientifique et pourquoi ce processus doit être respecté pour que les connaissances acquises soient considérées comme de la science. Bien que cela puisse être pardonnable pour le profane, beaucoup de ces personnes avec lesquelles j’interagis se considèrent comme des scientifiques et des éducateurs. Ce sont des microbiologistes, des immunologistes, des chercheurs et des enseignants. Il est impardonnable de ne pas comprendre ce que la science est ou n’est pas censée être à ce niveau. Cependant, lorsque l’on comprend que le système éducatif, par le biais de la mémorisation et de la régurgitation répétée de la rhétorique pseudo-scientifique, est conçu pour produire des esclaves de l’industrie qui n’ont pas la capacité de penser de manière critique et logique, cela commence à avoir du sens. » (Mike Stone)


Armes biologiques ?

La notion de « pathogènes » et « d’armes biologiques » créées grâce à des expériences de « gain de fiction » continue de susciter la peur chez ceux qui ne réalisent pas encore que le concept tout entier est basé sur des prémisses anti-scientifiques. Malheureusement, les histoires sur les « laboratoires biologiques » continuent de susciter des craintes injustifiées et d’agir pour maintenir les gens dans la plantation de la théorie des germes. En conséquence, ils restent piégés dans un faux paradigme et incapables d’apprécier pleinement ce qui rend réellement les gens malades.

Dans cette vidéo, est soulignée une fois de plus l’absence totale de preuves de l’existence des armes biologiques et comment les médias de masse ont ouvertement poussé ces récits fondés sur la peur depuis début 2020 pour aider à soutenir l’industrie de la « pandémie » et tout le mal qui accompagne la biosécurité de l’État de surveillance.

(Vidéo 27 min)


Le Camouflage Permanent du DDT

Les affirmations selon lesquelles les insecticides protègent les personnes des vecteurs de maladies tels que les tiques (par exemple, la maladie de Lyme) et les moustiques (par exemple, la dengue et la fièvre jaune) reposent sur le dogme de la théorie des germes et sur le concept scientifiquement non étayé de « pathogènes ». L’examen des études fondamentales a universellement révélé que les microbes en eux-mêmes ne rendent pas malades les personnes en bonne santé.
Malgré ces faits gênants, « en 1945, contre l’avis des chercheurs qui avaient étudié la pharmacologie du composé et l’avaient trouvé dangereux pour toutes les formes de vie, le DDT a été autorisé aux États-Unis et dans d’autres pays pour une utilisation générale par le public en tant qu’insecticide ». Ce n’était certainement pas la dernière fois que le slogan « sûr et efficace » était utilisé pour introduire un nouveau produit à grande échelle auprès d’un public non averti.
Ce qui s’est passé par la suite a été l’une des plus grandes dissimulations d’empoisonnement de masse et d’« épidémies » de l’histoire connue, utilisant le poliovirus imaginaire comme couverture habituelle. Bien que l’utilisation du DDT ait finalement été interdite dans la plupart des pays, le scandale se poursuit encore aujourd’hui avec une application massive en Inde et en Afrique. Comme si cela ne suffisait pas, pourquoi la « Convention de Stockholm » se fait-elle l’apologiste de cette tromperie permanente ?

(Vidéo > 20 min)


Pourquoi je ne crois pas qu’il y ait eu un virus Covid

Le Dr Mike Yeadon est titulaire d’un diplôme en biochimie et toxicologie et d’un doctorat en pharmacologie respiratoire. Il a passé plus de 30 ans à diriger la recherche sur les nouveaux médicaments dans certaines des plus grandes entreprises pharmaceutiques du monde, il a quitté Pfizer en 2011 en tant que vice-président et scientifique en chef pour les allergies et les maladies respiratoires. Il s’agissait du poste de recherche le plus élevé dans ce domaine au sein de Pfizer. Depuis qu’il a quitté Pfizer, le Dr Yeadon a fondé sa propre société de biotechnologie, Ziarco, qui a été vendue en 2017 à Novartis, la plus grande société pharmaceutique du monde.

« Je suis de plus en plus frustré par la façon dont le débat est contrôlé autour de la question des origines du prétendu nouveau virus, le SRAS-CoV-2, et j’en suis venu à ne plus croire qu’il ait jamais été en circulation et qu’il ait causé des maladies et des décès à grande échelle. Il est inquiétant de constater que presque personne n’envisage cette possibilité, bien que la biologie moléculaire soit la discipline dans laquelle il est le plus facile de tricher. En effet, il n’est pas possible de le faire sans ordinateur, et le séquençage nécessite des algorithmes complexes et, surtout, des hypothèses. En modifiant les algorithmes et les hypothèses, il est possible de modifier considérablement les conclusions. »


L’indispensable vitamine C

Entretien avec Michel Dumestre sur cette vitamine indispensable à la vie humaine, mais que le corps ne sait pas produire.

(Vidéo 43 min)


La Vérité sur le virus du Sida

On pourra découvrir dans les vidéos et articles présentés ici, que non seulement le supposé virus du SIDA (dénommé HIV) n’a jamais été scientifiquement isolé en respectant la méthode scientifique (notamment à l’aide d’expériences de contrôle), mais que cette maladie n’est qu’un ensemble de symptômes qui varient selon le pays impliqué.


Leçons du passif de la secte injectologique — Les CoronaX-Files

Un historique du passif eugéniste et corrompu de la secte vaccinologique (Jenner, Pasteur, Salk, etc.) et de ses dérives depuis le début de son existence, de son contrôle pseudo sanitaire du troupeau humain, par la peur et l’empoisonnement tous azimuts (DDT, pesticides, médicaments, nourriture, eau, air, chemtrails, ondes, pollution, manque d’hygiène, etc.), saupoudré de propagande via les pots de vin et la pression totalitaire auprès des institutions médicales, la politique et les médias.

(Vidéo 1 h 32)


« Le Vaccin Covid est une arme biologique 100% SYNTHÉTIQUE »

Astrid Stuckelberger est de retour pour parler de son expérience au sein de l’Organisation mondiale de la santé et du rôle complexe que celle-ci joue dans la tyrannie covidienne.
Le 16 mars 2020, Anthony Fauci a reçu un courriel de Michael Liu lui demandant de « verrouiller le monde, maintenant ».
L’un des aspects de l’histoire du Covid-19 est que le monde entier a été infecté par le « virus » au même moment.
D’un point de vue médical, il est impossible qu’un virus se propage dans le monde entier dans le laps de temps où les premiers cas ont été signalés en Chine.
Les autopsies ont été interdites pour empêcher les analystes de vérifier si les gens mouraient d’un virus respiratoire.
Il existe des preuves irréfutables que les rayonnements de la 5G peuvent tuer et rendre les gens malades.
Charles Morgan, qui a soutenu une grande partie des recherches du Dr Stuckelberger, affirme que l’oxyde de graphène et d’autres nanotechnologies ont été utilisés pour prendre le contrôle de la main d’un chirurgien afin de faire effectuer des interventions chirurgicales par des médecins inexpérimentés.
Cette nouvelle technologie, combinée à l’IA, permettra au contrôle mental et à la programmation prédictive de devenir encore plus dangereux pour l’humanité.

« Les personnes qui véhiculent le narratif ARNm-spike sont plus que des menteurs : ils déforment la vérité et la science de façon à diriger les gens sur la mauvaise piste, les empêchant de comprendre, d’analyser et de trouver des remèdes »

(Vidéos)


La légende du vaccin

Le mythe des microbes pathogènes, comme responsables des maladies, va prochainement s’effondrer ; personne ne sait à quel moment, mais il est certain qu’on ne peut plus sérieusement continuer à répéter cette erreur et ce mensonge historique, compte tenu de la masse des données qui s’est accumulée sur la question, grâce notamment à la crise artificielle du coronavirus.

Quand la société occidentale va-t-elle comprendre l’imposture de Pasteur et réaliser que les virus ou les bactéries ne sont pas la cause des maladies ? Combien de temps faudra-t-il encore avant que les « croyants » dans le monomorphisme, la « théorie du germe », réalisent l’archaïsme de cette conception des choses et leur ignorance devenue anachronique ?

Selon ce grand scientifique français encore largement méconnu en France, Antoine Béchamp, un bon équilibre du terrain biologique est à la base de la santé. Il put établir par ses travaux la loi du « polymorphisme bactérien », cette connaissance étant actuellement appliquée par les écoles de thérapeutique de pointe qui abandonnent clairement la loi du monomorphisme conçue par Pasteur. Les chocs émotionnels, les carences nutritionnelles, le stress, le manque d’hygiène, les agressions environnementales sont les causes d’un déséquilibre du terrain biologique et c’est cela qui explique la maladie et non pas une attaque kamikaze de micro-organismes parasites se saisissant de cette opportunité pour s’attaquer depuis l’extérieur à une forteresse corporelle défendue par une armée de défenseurs immunitaires entraînés !

Cette vision des choses est dépassée par la réalité de la connaissance scientifique actuelle, mais cette croyance archaïque continue son chemin dans les cerveaux conditionnés par le narratif disant le dogme au service d’un système médical organisé en pouvoir. C’est l’ignorance qui explique l’adhésion conventionnelle à ce dogme désuet d’une médecine totalitaire et en cela obscurantiste, très en retard sur les acquis de la recherche…


Les Remèdes Naturels qu’« ILS » ne veulent pas que vous connaissiez

Ce véritable manuel de santé nous dévoile notamment :
• Les petits secrets cachés des gouvernements
• Comment le système nous manipule
• Pourquoi tout n’est qu’une histoire d’argent, avant tout
• Comprendre pourquoi nous tombons malade
• Appréhender les remèdes naturels
• Savoir quoi faire pour guérir de pratiquement tout et ne plus être malade
• Et bien plus encore…

(Avec vidéo de présentation. 10 min)


Dossier vaccin enfants : poison ou protection ?

« 😳 Après avoir vu ça, je peux vous garantir que plus personne ne fera injecter un vaccin à son bébé. »

(Vidéos)


Pour quelles raisons la virologie est-elle complètement non scientifique ?

« En raison de ce qui s’est passé ces deux dernières années, jamais auparavant autant de personnes n’avaient remis en question les fondements de la virologie, car les données scientifiques avancées sont tout sauf crédibles. Il est temps que la virologie soit analysée à la loupe », déclare John Blaid, chercheur indépendant.

Afin d’éclairer les problèmes de la virologie, il est utile de faire d’abord un survol historique pour comprendre où tout a commencé. Au 19e siècle, de nombreuses expériences ont été menées avec des bactéries pour tenter de trouver la cause de diverses maladies, mais lorsque plusieurs de ces expériences ont échoué, l’idée est née qu’il devait y avoir quelque chose de plus petit que les bactéries qui était à l’origine des maladies. Cette chose a été appelée un virus. Ce qu’il est important de noter ici c’est que la définition d’un virus à l’époque était différente de celle d’aujourd’hui. Une recherche rapide sur l’origine du mot nous conduit au mot latin virus, qui signifie poison ou substance nocive.


Pourquoi manger biologique ?

En médecine naturelle, ce que l’on ingère fait partie des 9 facteurs de la santé intégrale.

Le bio c’est le naturel, le vivant, c’est la nourriture originelle depuis toujours, c’est interdire les Organismes Génétiquement Modifiés (OGM). Ensuite est venu le progrès, et l’homme a commencé à s’affaiblir, à dégénérer, à tomber malade et à prendre beaucoup de médicaments.

Le bio c’est de la saveur et de l’odeur, c’est moins d’eau, plus de nutriments et d’antioxydants qui permettent une meilleure nutrition et protection cellulaire.

Le bio c’est moins de pollution environnementale, c’est meilleur pour la biodiversité et notre santé.


Next Dose 3 — Faut-il encore des preuves ?

Direct avec Next Dose, Ricardo Delgado, Astrid Stuckelberger et Dominique Guillet sur le contenu des vaxins et ses implications.

Une remise en question autant du discours officiel que de l’alternatif autour de la Spike.

Il vaut mieux être ouvert d’esprit pour regarder jusqu’au bout.

(Vidéo 2 h 37)


Qu’est-ce que l’oxyde de graphène et les nanotechnologies ont à voir avec la 5G ?

La recherche scientifique et les rapports faisant état de graves dommages causés aux vaccins confirment les conclusions inquiétantes concernant les ingrédients des vaccins. Entretien avec le biostatisticien Ricardo Delgado Martin sur l’oxyde de graphène et la nanotechnologie dans les vaccins Covid : qui a ordonné l’inclusion de ces substances toxiques et quel est leur rapport avec la technologie mobile 5G ? Comprenons-nous désormais mieux l’Agenda 2030 et le plan du Forum Économique Mondial ?


Comment Big Pharma corrompt la science, les médecins et les politiques publiques de santé

« Les industries pharmaceutiques ont pris le contrôle de notre santé, en corrompant massivement non seulement le milieu de la recherche médicale, mais aussi celui des autorités de contrôle nationales et internationales, ainsi que le monde de l’édition scientifique médical. »


L’opération COVID est-elle une guerre contre la réalité ?

Conférence.

(Vidéo 1 h 37)


La fraude qu’est la virologie expliquée en 19 minutes

(Vidéo 20 min)


La Nouvelle Biologie

Conférence du Dr Stefan Lanka.

(Vidéos)


ARNm et dommages causés par les vaccins

Lorsque les virologues ont inventé l’idée des virus Corona, ils ont intégré une protéine, qu’ils avaient trouvée dans leurs cultures cellulaires, dans le modèle de virus sous forme de protéines spike. Cette protéine, la syncytine, s’est avérée plus tard être typiquement humaine, ce que les virologues comme les critiques passent sous silence. Comme cette protéine est toujours détectée lors de « prétendues lésions par ARNm », les critiques affirment qu’il s’agit de la protéine spike des virus Corona. S’ils avaient effectué des expériences de contrôle sur des « tissus sains », ils auraient trouvé de la même manière cette protéine ou son acide nucléique partout.


Le château de cartes de la théorie des germes

Le grand public, dans le présent comme dans le passé, n’est que trop disposé à croire ce qu’on lui dit tant que l’histoire est simple et facile à comprendre. Il se laisse contrôler, croyant en des entités pathogènes invisibles dont il n’a jamais été prouvé scientifiquement qu’elles existaient comme causes de maladies. Il n’est pas disposé à consacrer du temps et des efforts à enquêter pour vérifier si les simples fantasmes de la théorie des germes qu’on lui a vendus sont, en fait, vrais. C’est pourquoi il a été beaucoup trop facile pour le monde entier de s’enfermer sous le faux prétexte d’une « pandémie », alors qu’il n’y avait rien de tel. Il n’y avait même pas l’ombre d’une preuve scientifique de l’existence d’un nouveau « virus » pathogène, et encore moins de la propagation rapide d’une « nouvelle maladie » à travers le monde. Toute personne ayant consacré un peu de son temps et de ses efforts à la recherche et à la compréhension de la situation aurait facilement démasqué l’escroquerie dès le début. Cependant, le grand public, sans vraiment réfléchir à la question, a abandonné sa propre autorité aux conteurs, acceptant volontiers l’histoire sur la base de la propagande de peur fournie par les médias grand public, comme cela a été le cas tout au long du siècle dernier.

Heureusement, tout le monde n’a pas accepté de céder son esprit aux intérêts particuliers qui cherchent à obtenir le pouvoir et le contrôle de l’histoire. De nombreux scientifiques et médecins respectés se sont opposés à la théorie des germes qui a été élaborée à partir des années 1800.


Approche de la santé par la reconnaissance de la dimension vibratoire du corps

Un entretien au cours duquel les deux intervenants Béatrice Milbert et Philippe Bobola, médecin et physicien, rappellent que matière et vibration sont, selon la physique quantique, complémentaires et non opposées. La prise en compte de cette complémentarité débouche sur un spectre large d’approches thérapeutiques elles-mêmes complémentaires de la médecine allopathique.

(Vidéo 1 h 15)


5 échecs spectaculaires de la théorie des germes

Le manque de preuves scientifiques rattrape ceux qui s’accrochent à la théorie des germes et à l’existence des virus. Nous voyons maintenant certains promoteurs des « pathogènes » s’emporter plutôt que d’être prêts à discuter de la longue histoire des expériences ratées. Combien de temps encore pourront-ils maintenir cette façade auprès de leur public ?

La « théorie des germes » est une appellation frauduleuse, car il s’agit d’une hypothèse réfutée plutôt que d’une théorie scientifique.

(Vidéo 25 min)


Une autre vision des maladies infantiles

(Vidéo 43 min)


Faut-il encore croire aux viru$, à la contagion et aux pand€mi€s ?

Quand on y réfléchit bien, la dérive totalitaire que nous subissons depuis quelques années est presque entièrement fondée sur la triple croyance que :
1) les viru$ existent et qu’on peut les manipuler pour les rendre plus virulents ;
2) les viru$ sont la cause des maladies et qu’ils se transmettent par un mécanisme de contagion ;
3) les pandémies représentent une menace infiniment mortelle pour l’immense majorité des êtres humains vivant sur terre…

De cette triple croyance découle la légitimation de toutes les mesures les plus folles et les plus liberticides, au nom de la protection des populations, leur faisant croire qu’elles ne peuvent en aucun cas compter sur leur immunité naturelle et qu’aucun autre remède n’existe en dehors des vaccins salvateurs…

(Vidéo 1 h 15)


« Je ne me tairai pas »

Ce film est une incitation à remettre en question des choses qui nous sont présentées comme des faits depuis près de quarante ans.

(Vidéo 1 h 20)


Explication de la maladie de la vache folle

Un article paru en 2002, passé sous les radars, mais qui reste d’actualité.

Depuis 1986, l’infâme syndrome neurodégénératif connu sous le nom d’encéphalopathie spongiforme bovine (ESB) fait battre le cœur de l’agriculture britannique. La maladie a entraîné l’anéantissement de milliers de bovins, tandis que son analogue humain, la nouvelle variante de la maladie de Creutzfeld-Jakob (vMCJ), a gâché la vie d’un nombre croissant de jeunes gens. En outre, l’épidémie de spongiformes a créé un champ de bataille féroce entre les nations, les intérêts particuliers, les partis politiques, les agriculteurs, les victimes et les consommateurs.


L’illusion multimilliardaire du « VIH » révélée au grand jour

Le journaliste anglais Neville Hodgkinson a été un témoin actif de la controverse du SIDA au début. Il nous rappelle les incohérences du narratif officiel et il est toujours bon de bien se les mettre en tête.


Le mensonge sur la maladie de Lyme

Lorsqu’il s’agit de maladies redoutées, la maladie de Lyme se classe parmi les pires. Cependant, l’histoire du grand public pose un problème majeur. La « nouvelle » maladie n’est apparue que dans les années 1970, les tiques et les « germes » Borrelia ayant été accusés peu après.

Il est temps d’exposer les documents scientifiques sur lesquels repose toute cette histoire et de souligner un autre problème fondamental : comment cette « maladie » peut-elle être diagnostiquée ?

Il s’agit d’un sujet important, car les campagnes de marketing impliquant les tiques comme cause d’une grande épidémie et même comme « armes biologiques » potentielles ont déjà commencé…

(Vidéo > 20 min)


La machine de censure d’Internet de l’UE face aux victimes des vaxins

En ce moment même, des millions de victimes du vaccin Covid errent dans le monde entier à la recherche d’une aide, mais celle-ci ne leur est plus accordée par personne. Ni récemment par la commission STIKO, COMMISSION PERMANENTE DE VACCINATION ALLEMANDE, qui a publié de généreuses recommandations de vaccination pour l’ensemble de la population.
Le chef de la commission STIKO recommande justement à toutes les victimes de vaccinations de taire tout lien entre leur préjudice et les vaccins, afin de pouvoir les aider. Mais là encore, il ne s’agit que de théorie et de poudre aux yeux.
En effet il n’existe plus un seul point de contact pour les victimes de la vaccination. Elles doivent payer elles-mêmes tous les examens, car leurs lésions dues aux vaccins ne sont pas reconnues comme maladie. Le chef de la commission STIKO en personne affirme donc qu’il n’y a pas de problème pour les victimes de la vaccination uniquement si elles n’établissent aucun lien avec une vaccination. Quelle est l’honnêteté de cette affirmation ? Il révèle ainsi pourquoi si peu de dommages liés à la vaccination sont enregistrés. Et le ministre de la Santé justifie également l’absence de centres d’accueil pour les victimes de la vaccination.

(Vidéo 26 min)


Dr Luis Marcelo Martínez : « La protéine Spike n’a jamais existé »

Le docteur argentin Luis Marcelo Martínez, généticien médical, a passé en revue toute la littérature virologique depuis 1912 et est certain que la protéine Spike n’a jamais existé. Il explique également pourquoi il est peu probable qu’une personne vaccinée soit contagieuse.

(Vidéo < 9 min)


Pierre Chaillot : « Il est faux de dire que l’on a isolé un virus »

Énorme intervention de Pierre Chaillot qui n’hésite pas à bousculer le formatage intellectuel de Corinne Reverbel et Christian Perronne en leur démontrant point par point qu’il est faux de dire qu’un virus a été isolé !

(Vidéo < 8 min)


Dr David A. Hughes : « Qu’y a-t-il dans les soi-disant “vaccins” COVID-19 ? » — Preuves d’un crime mondial contre l’humanité

Entre juillet 2021 et août 2022, des preuves d’ingrédients non divulgués dans les “vaccins” COVID-19 ont été publiées par au moins 26 chercheurs/équipes de recherche dans 16 pays différents sur les cinq continents à l’aide d’analyses spectroscopiques et microscopiques. Bien qu’ils fonctionnent en grande partie indépendamment les uns des autres, leurs résultats sont remarquablement similaires et mettent en évidence le danger clair et présent auquel la population mondiale s’est fait mentir concernant le contenu des « vaccins » COVID-19. Cela soulève de graves questions sur le véritable objectif des injections expérimentales dangereuses qui ont jusqu’à présent été administrées à 5,33 milliards de personnes (plus des deux tiers de la race humaine), y compris des enfants, apparemment sans leur consentement éclairé concernant le contenu. Les découvertes surprenantes incluent des structures géométriques à arêtes vives, des structures fibreuses ou tubulaires, des formations cristallines, des « microbulles » et une éventuelle nanotechnologie à auto-assemblage. Le sang des personnes qui ont reçu un ou plusieurs “vaccins” COVID-19 semble, cas après cas, contenir des corps étrangers et être gravement dégradé, les globules rouges étant généralement en formation de Rouleaux. Prises ensemble, ces 26 études constituent un argument puissant pour que toute la force de l’investigation scientifique soit portée sur le contenu du “vaccin” COVID-19. Si les conclusions de ces 26 études sont confirmées, alors les implications politiques sont tout simplement révolutionnaires : un crime mondial contre l’humanité a été commis, dont chaque gouvernement, chaque régulateur, chaque organisation médiatique établie et toutes les professions ont été complices.


Pour en finir avec les plandémies

La virologie pour les pays en développement… et les fanatiques du virus.

Dr Sam Bailey et les Coronavirus de Reiner Fuellmich.

(Vidéos)


40 faits à connaître : la véritable histoire de la « Covid »

Voici tous les faits et sources clés actualisés concernant la prétendue « pandémie », pour vous aider à comprendre ce qui s’est passé dans le monde depuis janvier 2020 et à éclairer ceux de vos amis qui seraient encore prisonniers du brouillard de la « nouvelle normalité ».


Commentaires sur le VIH de Montagnier

« Nous remercions Djamel Tahi et Huw Christie de nous avoir demandé de commenter les réponses données par le Professeur Luc Montagnier dans son interview avec Djamel Tahi. Avant de commenter, nous avons pensé qu’il serait utile de commencer par un bref rappel des méthodes utilisées pour prouver l’existence des rétrovirus, et des preuves apportées par Montagnier et coll. 1983 de l’existence du “VIH”. »

Un groupe de scientifiques australiens affirme que personne jusqu’à présent n’a isolé le virus du SIDA, le VIH. Pour eux, les règles d’isolement des rétrovirus n’ont pas été soigneusement respectées pour le VIH. Ces règles sont les suivantes : culture, purification du matériel par ultracentrifugation, photographies au microscope électronique (ME) du matériel qui présente des bandes à la densité du rétrovirus, caractérisation de ces particules, preuve de l’infectivité des particules.


Dr Alain Scohy sur la vaccination

(Vidéo 28 min)


À quel point les virus sont-ils morts ?

Voici une interview de Stefan Lanka par un magazine allemand traitant de la Santé, interview qui permet de mieux intégrer des points fondamentaux sur l’arnaque virale.

Toutes les affirmations sur l’existence du virus sont réfutées.


L’invention du « virus Ebola »

Voici le travail de recherche de Mike Stone sur l’arnaque du « virus Ebola ».


Qu’est-ce qui nous rend réellement malades ?

Brève présentation de l’ouvrage.


Un nouveau paradigme médical

La médecine d’aujourd’hui se préoccupe d’éventuels dépistages précoces et dépense des millions d’euros pour éventuellement trouver un traitement pour tous les cancers ; pourtant, des millions de personnes meurent encore des cancers. Est-ce la bonne voie ? Ne devrions-nous pas plutôt nous préoccuper de comprendre pourquoi un cancer se déclenche ? Comment notre mode de vie est concerné ? Quel est le rôle de la génétique ? Pourquoi le cancer touche-t-il telles personnes et pas telles personnes ? Si une substance est cancérigène pourquoi ne tue-t-elle pas toutes les personnes en contact avec elle ? On comprend bien que le cancer est relié à l’histoire personnelle de l’individu. Elle touche tous les niveaux de son être : physiques, physiologiques et spirituelles. La médecine d’aujourd’hui ne peut répondre à cette nouvelle approche.


Dis Papy, ça sert à quoi les vaccins depuis 1885 ?

Gérard Mannig, informaticien en retraite et citoyen éveillé, observe et critique depuis longtemps la qualité du niveau des prises en charge sanitaires dans nos pays démocratiques, comme la vaccination, ses gardiens du temple, ses grands argentiers et ses coupables accointances. Où l’on apprendra au passage pour quelles raisons les médecins sont si régulièrement complètement nuls en vaccinologie et pourquoi ils préfèrent « faire confiance dans leurs institutions » ainsi que dans « la grande sagesse de leur Conseil de l’Ordre ».


Débarrasser le corps du graphène

L’oxyde de graphène, une substance toxique pour l’homme, aurait été trouvé dans les « vaccins » Covid 19, dans les réserves d’eau, dans l’air que nous respirons grâce aux chemtrails, et se trouve même dans notre alimentation.

Il interagit et est activé par les fréquences électromagnétiques (« EMF »), spécifiquement la gamme plus large de fréquences trouvées dans la 5G qui peut causer encore plus de dommages à notre santé.

Les symptômes de l’empoisonnement à l’oxyde de graphène et de la maladie des rayonnements CEM sont similaires aux symptômes décrits dans le Covid.


Nanotechnologie et « vaccins »

En activant la fonction Bluetooth de votre téléphone portable, vous pouvez constater qu’apparaissent des codes MAC des appareils qui se trouvent dans votre environnement, des appareils connus et aussi des inconnus… On retrouve donc éventuellement son imprimante, son casque, une enceinte acoustique, d’autres téléphones… Quant aux adresses MAC inconnues, elles sont dynamiques ou variables. Leur période de diffusion est également variable. Des spécialistes de ces questions, comme Germàn Sarlangue, Julien Devilleger et d’autres, ont observé que ces codes étaient à mettre en lien avec les injections d’ARNm de Pfizer et Cie… Ils ont également remarqué que ce phénomène MAC n’existait pas lorsqu’il était recherché sur les personnes non « vaccinées ».


Go Virus Go !

Le Dr Stefan Lanka (…) raconte le « Procès du virus de la rougeole ». Stefan Lanka avait promis 100 000 euros à qui prouverait de manière scientifique l’existence du virus de la rougeole. Suite à l’action du Robert Koch Institut (équivalent allemand de l’Institut Pasteur) par l’intermédiaire d’un médecin (le Dr Bardens) Lanka a été traduit en justice et sommé de payer les 100 000 euros. Après un premier jugement, en sa défaveur, car bâclé et rempli de vices de forme, il a porté l’affaire devant la Cour d’Appel de Stuttgart qui lui a donné raison, jugement confirmé par la plus haute juridiction allemande, la Cour Fédérale de Justice de Karlsruhe.

Ce jugement, qui disait textuellement qu’aucune étude scientifique n’avait prouvé l’existence du virus de la rougeole — et plus généralement l’existence des virus, aurait dû être un coup de tonnerre dans le monde médical et dans tous les médias. À cette occasion, ces derniers se sont révélés être ce qu’ils sont réellement : des merdias qui ignorent tout simplement ce qui les dérange et pourrait les empêcher de profiter des offrandes versées par les laboratoires. Il va sans dire qu’aucun laboratoire ou institution de santé publique ne s’est hasardé, et pour cause, à « remettre le couvert » lors d’un autre procès.


La face cachée de la campagne de vaccination — cas des « vaccins » à ARNm et ADN

(ebook gratuit au format pdf à télécharger et partager)

Découvrez pourquoi la pandémie de Covid-19 est sans doute la plus grosse arnaque de tous les temps et comment les artisans de cette escroquerie se sont organisés pour berner la population mondiale avec la complicité de l’OMS, des gouvernants et des médias mainstream. Découvrez en quoi consiste la démarche scientifique pour ne plus vous faire pigeonner par la propagande covidiste et l’argument d’autorité. Découvrez aussi les objectifs cachés du pass sanitaire/vaccinal et de la campagne de vaccination de masse. Découvrez enfin pourquoi la Résistance contre le covidisme est une nécessité, que vous soyez vacciné ou non.


Les injections sont-elles sûres et efficaces ?

Analyse des injections à partir des données officielles après rappel des analyses sur les données Covid-19.

(8 vidéos)


À quoi sert la vaccination de masse ? De l’infertilité au transhumanisme…

LHK : « Ce qui est appelé vaccin aujourd’hui semble se rapprocher toujours plus d’un outil de bricolage génétique qui permettrait aux dieux de l’enfer du Great Reset de prendre le contrôle de la production et de l’exploitation humaine. Une image qui m’a frappée récemment est la suivante. Elle sort directement des tiroirs de sympathisants de l’UE. »


« Virus », des décennies d’escroqueries ?

Couvertes pas l’industrie, les facultés de médecine, pharmacie, les médias et les politiques…

Le Covid est-il le mensonge de trop ?


Le Covid à travers la théorie des germes, 150 ans d’escroquerie scientifique sur les virus ?

Le dérèglement climatique au secours de Big Pharma ?

Tour d’horizon des problèmes autour de la théorie virale.
Et la prochaine étape probable quand la vaccination ne fera plus recette.


Micropucage des enfants et nanotechnologies dans les injections anti-Covid : une réalité qu’ils ne cachent plus

Deux annonces ont circulé dans les derniers jours de ce mois d’août qui faisaient encore réagir la presse subventionnée il y a quelques mois seulement : l’Agence Européenne du Médicament (AEM) a annoncé examiner un nouveau vaccin anti-Covid faisant intervenir des nanotechnologies. D’autre part, l’un des représentants du Forum Économique de Davos a exprimé l’idée « qu’il existe des raisons solides et rationnelles de micropucer les enfants ». À leurs yeux, la population semble être prête à accepter l’inacceptable et c’est ce qui ferait la force de la troïka du Forum Économique Mondial (FEM) et de ses ambassadeurs. Récapitulatif d’une manipulation basée sur un agenda bien huilé.


La Fin de la Théorie des Germes — Documentaire

Ce documentaire aborde en détail les différents mythes et procédures sur lesquels repose la théorie des germes pathogènes, prétendument à l’origine de phénomènes de contagion, aussi appelée théorie des germes ou théorie microbienne.

L’histoire des épidémies telle que la poliomyélite, la variole et la grippe espagnole est retracée et le jargon des virologues et leurs techniques comme la PCR, le séquençage, l’effet cytopathique, le microscope électronique, les cultures cellulaires, l’isolement, la purification ou encore le concept d’anticorps sont analysés pour mieux comprendre sur quoi repose la virologie moderne et la théorie des germes dans son ensemble.

(Vidéo > 2 h 30)


Toxicologie contre Virologie : L’Institut Rockefeller et la fraude criminelle de la polio

L’un des résultats du prétendu nouveau coronavirus qui a émergé publiquement en 2019 est que la spécialisation médicale de la virologie a été élevée à une stature presque divine dans les médias. Peu de gens comprennent les origines de la virologie et son élévation à un rôle de premier plan dans la pratique de la médecine d’aujourd’hui. Pour cela, il faut se pencher sur les origines et la politique du premier institut de recherche médicale américain, l’Institut Rockefeller pour la recherche médicale, aujourd’hui l’Université Rockefeller, et ses travaux sur ce qu’il prétendait être un virus de la polio.


Le mythe de la contamination épidémique

Examen du socle de l’idéologie sanitaire actuelle qui ne repose sur aucune expérience et est contredite par les statistiques : la contamination
(Vidéo 1 h 25)


Confirmation écrite : les scientifiques ne peuvent apporter aucune preuve de l’existence d’un virus pathogène

La vision du monde de tous ceux qui défendaient avec véhémence que l’existence du coronavirus avait été démontrée scientifiquement doit et va s’effondrer.


Démontage de la théorie virale

L’existence des virus de la polio, de la rougeole, du VIH, du CMV, de l’EBV, de l’hépatite C, de l’Ebola, de la grippe, du Zika et maintenant du coronavirus a-t-elle été démontrée et scientifiquement prouvée ?


Covid-Arnaque. L’HISTOIRE de la grippe. UNE HISTOIRE IMPORTANTE POUR EN PARLER AUTOUR DE VOUS

Le mot « influenza » (« grippe ») est originaire d’Italie. Le premier enregistrement de cette maladie étrange et inexplicable s’est produit vers l’année 1580. Alors que le phénomène se reproduisait, des observateurs perspicaces ont reconnu qu’il avait tendance à « apparaître » simultanément à plusieurs endroits, parfois sur plusieurs continents. Afin d’expliquer ce fait cognitivement dissonant, les « scientifiques » italiens ont examiné les enregistrements des taches solaires et ont remarqué que les épidémies semblaient toujours coïncider avec des pics d’activité des taches solaires.


Citations médicales sur les vaccinations

Citations et sources bibliographiques concernant les vaccinations.


L’inquiétante histoire des vaccins

Ce livre nous concerne tous ! Profitant de la crise du Covid-19, la médecine foule au pied le plus grand de nos principes républicains : la liberté !
Marc Menant démonte dans ce livre coup de poing les travers de cette médecine en reprenant son histoire et en dénonçant ses impostures !
Quel bouleversement nous vivons ! Antivax ou pro Vax, ce livre nous concerne tous.
La médecine a profité de la crise du Covid-19 pour s’arroger le principe le plus noble, le plus fragile et le plus emblématique, celui de notre  » liberté « . Au nom de la science, elle lui a substitué celui de la  » santé publique. »
Tous se sont rendus coupables d’un délit d’illusion de bonne santé.
Délit évitable par la vaccination qui – garantissent certains infectiologues – force le système immunitaire à la production de l’indispensable, stock d’anticorps.
Vous allez découvrir pourquoi seule l’histoire des vaccins depuis Pasteur peut nous aider sur ce débat au cœur de nos vies.
Une éclairante et nécessaire histoire d’éminents chercheurs et de leurs impostures dûment établies, dont la première, celle du légendaire, du mythique Pasteur ! Car tout commence avec lui.


Le plus gros mensonge de l’histoire: La base de données est erronée. Il n’y a jamais eu de pandémie. Les mandats Covid, y compris le vaccin, sont invalides.

Les « cas confirmés Covid-19 » par PCR n’ont aucun sens. Le projet de test d’antigènes et à domicile de plusieurs milliards de dollars est faux.


Effets secondaires des vaccins : les scientifiques allemands jettent plusieurs pavés dans la mare

Tabou pour certains, scandale pour d’autres, les effets secondaires de la vaccination anti-Covid sont un sujet de plus en plus prégnant, qui prend la forme d’une dangereuse cocotte minute… Médecins et scientifiques allemands travaillent d’arrache-pied à ce que la glace soit brisée. Si bien que la presse mainstream n’arrive plus à éluder la question et se voit bien obligée de rapporter des propos pour le moins inquiétants quant à la campagne de vaccination.


Effets toxiques des vax anticovid sur le cycle menstruel et la fonction érectile

ATTENTION ! NOS VOTES ENGAGENT AUSSI VOTRE SANTÉ. Si nous insistons sur les dangers d’une vaccination obligatoire anticovid toujours expérimentale qui pourrait être imposée en cas de renouvellement du mandat de l’actuel président ou d’une élection de V. Pécresse, voire de Jadot et Hidalgo, c’est que les malheurs s’accumulent chez les vaccinés !


Toxicité des « vaccins anti-Covid »

Dans cette période plus qu’étrange, alors que les sous-citoyens français vont redevenir « citoyens » le 14 mars (sauf les soignants suspendus, qui restent sous-citoyens), juste à temps avant les élections présidentielles en France, après 2 ans de « crise Covid », on sait : qu’il n’y a pas eu de pandémie ; que les « syantifiques » ont relayé le discours dominant par ignorance, naïveté, conformisme ou corruption ; que la solution magique promue (l’injection expérimentale) pour résoudre la pandémie bidon était non seulement également bidon mais aussi potentiellement dangereuse ; que les fabricants de ces injections bidons sont des entreprises habituées à mentir et à fournir des données bidons pour vendre leurs drogues et autres injections plus ou moins expérimentales.


Vous aviez raison, Président Thabo Mbeki

L’histoire du VIH/SIDA. Le scandale a débuté le 23 avril 1984. L’histoire qui était « trop grosse pour échouer » était remplie de lacunes et cela devint clair lorsqu’en 1992 une Enquête Fédérale américaine a révélé que le Dr Robert Gallo avait commis une fraude scientifique.


Parlons contamination

Votre croyance – par les influences de toutes sortes que vous subissez – en un « virus » défini comme étant un agent pathogène contagieux et dangereux crée chez vous des peurs, plus ou moins conscientes. Ces peurs créent des stress oxydatifs et des lésions invisibles de votre terrain, ce qui s’additionne aux effets des toxines déjà présentes en quantités plus ou moins importantes dans votre organisme. Nous subissons en effet diverses pollutions et agressions de par notre environnement et tout ce que nous ingérons et inhalons, tant sur le plan physique que psychique, ce qui est générateur de quantité de toxines au niveau cellulaire.


Terrain Le Film – Partie 1 : La Grippe Des Cigognes

TERRAIN expose le canular tyrannique de la pandémie mondiale, construite sur le modèle erroné de la maladie, connu sous le nom de “théorie des germes”. Ce documentaire en deux parties explore la théorie du terrain, un modèle de santé fonctionnant en symbiose avec la nature pour promouvoir le bien-être et la guérison, sans recourir à un paradigme médical corrompu et défaillant. TERRAIN motive et inspire les spectateurs à comprendre le pouvoir et la responsabilité du consentement. La première partie de TERRAIN remet en question la théorie des germes, un système de croyance obsolète et non scientifique basé sur des fraudes et des mauvaises interprétations. (Vidéo 55 min)


Comment reconnaître que les virologues nous ont trompés ?

La question de l’existence de virus pathogènes reste importante, car la croyance en de tels virus mobilise des milliards de dollars de ressources et de fonds de recherche. Ces deux dernières années, nous avons également vu comment un prétendu virus peut être utilisé comme un outil politique pour mettre les populations au pas. Ce n’est pas la première fois que cela se produit : par exemple, la “découverte” du VIH dans les années 1980 a donné naissance à une industrie de plusieurs milliards de dollars et a également été utilisée à des fins politiques dans la plupart des régions du monde.


L’invention du SARS-CoV-2

Un mathématicien allemand travaillant avec le Dr Stefan Lanka vient de publier un rapport intitulé “Analyse structurelle des données de séquençage en virologie – Une approche élémentaire à l’aide de l’exemple du SARS-CoV-2FR“. Il fournit encore plus de preuves que les virologues sont pris dans un monde de simulations informatiques – des simulations qui ne sont pas fiables même selon leurs propres termes, sans compter qu’elles sont déconnectées de la réalité. Cette analyse est une contribution importante qui expose un autre élément de l’anti-science utilisée pour soutenir cette fausse pandémie. En outre, il s’agit d’un démantèlement technique de la manière dont tous les “virus” sont inventés et ensuite “trouvés”, dans un jeu de tromperie permanent.


Analyse structurelle des données de séquençage en virologie — Une approche élémentaire à l’aide de l’exemple du SARS-CoV-2

Stefan Lanka, en collaboration avec un mathématicien anonyme, a rendu publiques ses recherches sur l’analyse du génome du SARS-CoV-2 et des techniques et méthodes questionnables utilisées par les virologues.


L’enterrement de la théorie virale

Pour déterminer la validité d’une théorie scientifique touchant une discipline particulière, il est bien davantage utile de connaître la démarche scientifique et le propre de la science que d’être un expert du domaine en question. Le propre de la science est le doute, la remise en question des connaissances acquises à la lumière de nouvelles données ou informations, par exemple suite à l’exploration de nouvelles voies ou à l’observation du réel sous un nouvel angle de vue ou selon une nouvelle perspective. Une théorie explicative de phénomènes observés ne peut être véritablement d’ordre scientifique que si elle est contestable par l’argumentation ou l’expérimentation dans le cadre de la démarche scientifique. Si a contrario elle se pose en vérité absolue ou définitive, alors elle ne relève pas de science, mais de superstition ou de croyances religieusement ou affectivement entretenues. À la lumière de nombreux faits et constats, nous allons tenter de montrer ici en quoi la théorie virale ne relève pas de science, mais de scientisme et de croyances erronées.


Lettre ouverte aux services de police de l’Ontario, relative à l’absence de preuves de l’existence du SRAS-CoV-2

Procédure de violation, de responsabilité et mise en demeure, avec des preuves vérifiées, et avec un groupe de pairs la présente à la « commission des services de police de Peterborough. Bref exposé des faits « COVID-19 », incluant des transgressions et des responsabilités :


L’interprétation erronée du virus — 2e partie

Début et fin de la crise corona, par le Dr Stefan Lanka. (…) Un des deux faits décisifs pour le SARS et la crise corona c’est qu’au moins 20 à 30 % de toutes les pneumonies sont atypiques. Les causes de la pneumonie atypique sont clairement connues et par conséquent on ne doit PAS affirmer qu’elles sont dues à un nouveau virus. Cette information est censurée par les infectiologues et virologues et est le fondement des peur et panique actuelles, parce que l’on crée l’impression chez ceux qui sont affectés, dans le public et chez les responsables politiques que la pneumonie atypique serait particulièrement dangereuse et souvent fatale (…)


La fausse idée appelée virus — La rougeole à titre d’exemple

Contrairement à ce que croient la majorité des gens, il n’y a pas de virus pathogène. Les affirmations au sujet de l’existence des virus et des maladies virales sont basées sur de mauvaises interprétations historiques et non, comme on le pensait dans le passé, sur des fraudes ou des tromperies délibérées. Nous avons maintenant du mieux, dans le sens positif des découvertes « scientifiques » et des explications pour l’origine, la thérapie et la prévention des maladies, et pas seulement des maladies « virales ».


La nanotechnologie dans les vaccins

Précisions par La Quinta Columna sur les composants de nanotechnologie dans les vaccins Pfizer, Moderna, Johnson & Johnson et AstraZeneca et sur leurs effets.


Ebola : briser les mensonges et la supercherie

Nous sommes avertis, de temps en temps, qu’une nouvelle épidémie d’Ebola (ou de Marburg) pourrait se propager. C’est l’une de ces attractions à venir dans le théâtre qui montre un film de virus après l’autre. (…) La campagne massive pour faire croire que le virus Ebola peut attaquer à tout moment, après le moindre contact, est plutôt réussie. (…) Pour ne pas résoudre les problèmes du peuple, une histoire servant de couverture est nécessaire, une histoire qui disculpe la structure du pouvoir.


La fin de la virologie : la 3e phase des expériences témoins du SARS-CoV-2

Après les deux clous précédents enfoncés dans le cercueil de la théorie virale, dans cette troisième phase, le Dr Stefan Lanka montre qu’en appliquant la même technique que celle utilisée par les virologues, en utilisant les acides nucléiques qui ne proviennent pas de matériel supposé infectieux, mais de tissus humains, d’animaux et de plantes sains, vous pouvez construire le génome de n’importe quel « virus ». (Vidéo 8 min)


Dr. Andrew Kaufman – La théorie virale mise à mal

Après avoir étudié la biologie moléculaire au MIT, le Dr Kaufman a obtenu son diplôme de médecine à l’université de Caroline du Sud, puis s’est spécialisé en psychiatrie au centre médical de l’université de Duke. Des virus aux injections et aux médicaments, cette vidéo (> 1 h 20) aborde les hypothèses de base qui sous-tendent l’ensemble du récit sur le covid.


L’effondrement de l’hypothèse virale

Urmie Ray est docteur puis chercheur en mathématiques de l’Université de Cambridge, ancienne professeur de mathématiques à l’université de Reims, et associée à diverses périodes avec l’Institut Max Planck de Bonn (Allemagne) notamment. Urmie a démissionné de son poste de professeur d’université afin de se consacrer pleinement à l’étude de questions culturelles et historiques et ainsi mieux comprendre l’époque actuelle. Après une analyse de la déformation de la science en dogme dans son dernier livre : « On Science : Concepts, Cultures, and Limits » (Routledge, 2021), elle s’est depuis 2020 intéressée notamment à « l’hypothèse virale », sur laquelle est basée toute la justification des mesures inédites actuelles. (Vidéo > 1 h 40)


Autres articles liés à la théorie virale,
la vaccination,
l’industrie pharmaceutique,
ou la santé en général :

La vérité sur la désintoxication — Soutenir les processus naturels de votre corps
Organisation Mafieuse de la Santé
Vos pensées contrôlent votre ADN !
Et si notre organisme n’était pas du tout stérile ? Un siècle d’erreurs scientifiques
Besoin urgent d’agir en ce qui concerne le SARS-CoV-2 et la vaccination obligatoire contre la rougeole
Quelques bons gros mensonges scientifiques
Comment la Médecine Naturelle a été détruite en 1910
avec le rapport Flexner (cité dans l’article)
1968-2018 : la descente aux enfers !
Si seulement les humains étaient aussi bons que les animaux. Le monde aurait alors de l’espoir
Coup de froid
Prendre sa santé en main
L’arc-en-ciel invisible – Une histoire de l’électricité et de la Vie

Articles sur la thérie virale :
La vérité sur la rage, le virus de la mosaïque du tabac, le graphène et les résultats de la 2e phase des expériences témoins
La fraude du Covid-19 et la guerre contre l’humanité
Un virus ? Quel virus ? – Dr Mark Bailey
Pourquoi il n’y a aucune preuve que le “SARS-CoV-2” soit contagieux et responsable d’une maladie
Dr Valentina Kiseleva  Le virus et autres mythes
Le SIDA et la Renaissance de l’Hypothèse de Duesberg
Le SIDA depuis 1984 : Aucune preuve d’une nouvelle épidémie virale – même pas en Afrique
Comment créer votre propre “nouveau virus” généré par ordinateur
Fauci et la grande arnaque du SIDA

Sur le graphène :

https://xochipelli.fr/2023/09/recapitulatif-de-22-etudes-scientifiques-recentes-promouvant-les-derives-de-graphene-dans-les-vaccins-medications-masques-filtres-de-ventilation-vetements-encres-etc-pour-lutter-contre-le-sars/
Oxyde de graphène et nanotechnologies dans les injections : marquage de l’humanité ?
Des champignons contre le graphène
Comprendre le graphène
Sources d’Anti-Oxydants pour Détruire la Couronne Nécro-Moléculaire d’Oxyde de Graphène
Quelle est la cause réelle du Covid ? Qu’y a-t-il dans ces injections ?
Le Dr Astrid Stuckelberger confirme que les vaccins anti-covid et le test PCR sont en réalité les causes de la maladie Covid, au moins sous forme de variants, à cause notamment du graphène qu’ils contiennent
Dr Astrid Stuckelberger, le faux vaccin et l’oxyde de graphène
L’oxyde de graphène présent dans tous les vaccins fait des vaccinés des bombes à retardement ambulantes
Le graphène, outil de surveillance de la santé, se trouve dans les masques, écouvillons, et… les vaccins. Conséquences potentiellement désastreuses sur la santé humaine
Une ancienne employée de Pfizer confirme la présence d’oxyde de graphène dans les vaccins Covid
Technologie de “neuromodulation” à base de graphène : des biocircuits contrôlent le cerveau à l’aide de graphène piloté par l’IA
Graphène et 5G
À quoi pourraient bien servir des bio-nanocapteurs en oxyde de graphène?

Sur le magnétisme dans les vaccins anti-Covid :
Vaccins covid aimantés, l’incroyable scandale arrive
Actionner un interrupteur dans la tête
Est-ce que les vaccinés sont vraiment magnétisés ?
Magnétisme vaccinal : complément d’informations et d’hypothèses
Confirmation d’un composant magnétique dans les « vaccins » à ARNm
The Guardian, 2016 : Une protéine « Magneto » génétiquement modifiée contrôle à distance le cerveau et le comportement
Santé : des nanoparticules magnétiques dans les cellules que l’on peut commander à distance!
Dr Astrid Stuckelberger, le faux vaccin et l’oxyde de graphène

Sur les nanoparticules et l’hydrogel :
Le secret des vaxins
Nouveau dossier : Vaccins Covid et contrôle des populations via les nanoréseaux injectés
Que viennent faire les nanotechnologies dans les vaccins ?
Nanoparticules d’hydrogel et nanocomposites pour l’administration nasale de médicaments / vaccins
L’opération Coronavirus travaille main dans la main avec l’Agenda des nanotechnologies
Que pourraient-ils mettre dans le vaccin COVID?

Sur le non isolement du SRAS-CoV-2 et des virus :
Déconstruction de l’arnaque Covid : les documents Ministère de la Santé admettent que le CDC n’a jamais isolé de « virus covid-19 » … le test PCR ne détecte que le BRUIT des instruments
Virus fantôme : à la recherche du SARS-CoV-2
Virus Mania : Comment Big Pharma et les médias inventent les épidémies
Comment l’analyse du génome crée des virus fictifs
87 institutions sanitaires/scientifiques du monde entier n’ont pas réussi à citer un seul cas d’isolement et de purification du “SARS-COV-2”, par qui que ce soit, où que ce soit, jamais
Comment créer votre propre “nouveau virus” généré par ordinateur
Pour en finir avec les virus et le Nouvel Ordre Mondial

Sur la contagion :
La contagion : quelques éléments de réponse, a contrario de la funeste doxa actuelle
Le mythe de la contagion virale — Pourquoi les virus (incluant les « coronavirus ») ne sont pas la cause des maladies
La microbiophobie ambiante est hors de contrôle ! De nouvelles perspectives sur la véritable nature des virus
Le culte de la virologie – Documentaire
Réfutation de la virologie par le Dr Stefan Lanka
La théorie des germes : Une erreur fatale
Épidémies et contagions :

Selon une nouvelle approche théorique, les phénomènes de contagion épidémique n’impliqueraient jamais de bactéries et de virus naturels en tant que causes initiales (mais tout au plus comme conséquences, le rôle des bactéries et virus étant notamment de décontaminer, nettoyer, purifier, éliminer des déchets, permettre l’assimilation de certaines substances…). Ils proviendraient en réalité de diverses autres causes, éventuellement combinées :
►environnement pollué (air, eau, aliments contenant notamment pesticides et additifs alimentaires, électromagnétisme, radioactivité, etc.) ;
►information microzymienne et cellulaire perturbées ;
►hygiène de vie déplorable, misère, famine, peur, détresse affective, psychosomatique (somatisation du mal mental matérialisée en mal physique) ;
►modification des paramètres bioélectroniques ;
►influences cosmo-telluriques, électromagnétiques, saisonnières, cycliques ;
►causes iatrogènes, vaccins (avec notamment les adjuvants),
►etc.
Concernant les causes électromagnétiques (notamment le Wi-Fi, le Bluetooth, la 3G, la 4G, la 4G+ et la 5G), électriques (par les champs en provenance des lignes électriques, spécialement à haute tension) et magnétiques (par les conducteurs électriques dès qu’ils sont parcourus par des courants), il est utile de se rappeler que le corps humain est électrique, parcouru en permanence par de minuscules courants (dans les influx nerveux, dans les mitochondries lors de la production d’ATP à partir du glucose, etc.), et magnétique, et qu’il suffit de très faibles valeurs de champs électriques ou magnétiques ou d’intensité d’ondes électromagnétiques pour perturber plus ou moins gravement ces délicats processus.

Sur la protéine spike :
Appel aux autorités sanitaires et politiques à reconsidérer la vaccination de masse au vu des observations scientifiques récentes sur le SARS-CoV-2 et la protéine Spike
Dr Antoine Achram : traitement préventif covid, et antidote contre la molécule Spike produite par les vaccinés
“La protéine Spike est elle-même toxique et dangereuse pour l’homme” déclare le Pr Bridle

Sur l’inefficacité des “vaccins” anti-covid :
L’obligation vaccinale : sans aucune logique médicale !
“Vaccins” anti-covid : témoignage d’une pédiatre texane devant le Sénat US
Les décès et effets indésirables liés aux vaccins anti-COVID sont secrètement dissimulé

Sur la vaccination :
Citations médicales sur les vaccinations
Anthrax, Arsenic, Pasteur et ses moutons
Dossier Vaccins

Sur l’écouvillon du test PCR :
Oui les écouvillons nasaux sont dangereux !
Les écouvillons du test PCR pourraient contenir des « microdispositifs en forme d’étoile » délivrant un vaccin
Test PCR et écouvillons : attention si vous prenez des anti-coagulants!
Ce que cache le test PCR ?

Sur la fraude des tests PCR :
Des courriels de 2020 font voler en éclats l’escroquerie du test PCR covid
Précisions scientifiques sur l’arnaque du test PCR
Les implications capitales de la jurisprudence portugaise concernant les tests PCR
Union Européenne — TESTS PCR ET AFFAIRE COVID : UN SCANDALE INTERNATIONAL
Tests PCR condamnés en justice, mais toujours imposés à répétition aux hospitalisés et aux soignants !
Des experts internationaux suggèrent que jusqu’à 90 % des cas canadiens de COVID pourraient être des faux positifs

Sur le dépeuplement possible :
Le dépeuplement et le vaccin à ARNm
Dépeuplement ? Les docteurs Wodarg et Yeadon demandent l’ARRÊT immédiat de toutes les études vaccinales anti-Covid-19 qu’ils considèrent dangereuses
L’ancien vice-président de Pfizer, Dr Michael Yeadon estime que les vaccins à ARNm COVID causeront des réactions indésirables graves
Les médias alternatifs sont-ils des oiseaux de mauvais augure ? Les vaccinés contre la Covid-19 seraient-ils prédisposés à mourir dans les mois suivants ?
Comment les « vaccins » Covid-19 pourraient détruire la vie de millions de personnes
Si le vaccin anti-Covid n’empêche pas l’infection, l’hospitalisation ou la mort, à quoi sert-il ?
L’oxyde de graphène présent dans tous les vaccins fait des vaccinés des bombes à retardement ambulantes
Combien de temps les vaccinés doivent-ils vivre ?

Sur la 5G :
« Le ciel nous tombe sur la tête ! Le ciel nous tombe sur la tête ! »
Graphène et 5G
Étude sur les liens entre le Covid-19 et les rayonnements électromagnétiques, y compris la 5G
PhoneGate, l’enquête sur un scandale sanitaire mondial
Existe-t-il un lien entre la 5G et CoVid-19 ?
Dossier 5G et ondes pulsées

Sur la théorie de l’évolution et d’autres approches :
La théorie de l’évolution : un camouflet pour la science
La théorie incohérente de l’évolution et ses effets pernicieux sur notre mode de pensée
Créationnisme, darwinisme… Pourquoi pas ni l’un ni l’autre ?
Âme génétique et résonance morphique
Catastrophes naturelles et pollution mentale]

Meurtre par injection

Dans « Meurtre par injection : histoire de la conspiration mondiale contre la santé », Eustace Mullins décrit, preuves à l’appui, la prise de contrôle par un groupe privé aux mains des Rockefeller de toute l’organisation de la santé aux États-Unis, depuis les facultés de médecine jusqu’aux organismes dits caritatifs, en passant par l’industrie pharmaceutique et les assurances médicales. Mais il y a pire dans ce qu’a découvert l’auteur : cette mainmise a été permise grâce à la complaisance, voire la complicité d’agents fédéraux censés œuvrer pour le bien commun et non pour les intérêts d’une petite élite financière aux visées messianiques et impérialistes.

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Vaccins : Enjeux et décryptages

Face à la levée de boucliers, et aux interrogations anti-vaccinales que connaît la France aujourd’hui, un éclairage s’impose : c’est de cette volonté que naît l’idée de réunir professionnels de la santéet spécialistes du sujet, non alignés sur la pensée unique des médias dominants. Nous avons sélectionné pour vous des intervenants venus des quatre coins de la France, pour la première fois réunis autour d’une même table, afin de traiter de ce sujet sensible : des origines jusqu’aux causes, en passant par les intérêts en jeu, tout en vous…


Informations méconnues sur la vaccination des enfants

(Vidéo 22 min)


Des scientifiques remettent en question les préceptes fondamentaux de la virologie. Les virus existent-ils vraiment ?

Un certain nombre d’experts en santé favorables à la liberté, dont l’ancien vice-président de Pfizer, le Dr Michael Yeadon, remettent désormais en question non seulement l’existence du COVID-19, mais aussi celle de tous les virus.


La réfutation de la « théorie » des germes il y a un siècle

Les histoires inédites des Drs Powell & Fraser, les hommes à l’origine de certaines des séries d’expériences les plus dévastatrices qui ont réfuté la « théorie » des germes de la maladie.


Merrill Chase a involontairement réfuté l’existence d’anticorps en 1942

En 1942, l’immunologiste Merrill Chase et son collègue biologiste, médecin et immunologiste Karl Landsteiner de Rockefeller ont accidentellement réfuté l’idée que les « anticorps » protégeaient l’organisme contre les maladies « infectieuses ». Cette découverte est due à la volonté des chercheurs de comprendre comment l’« immunité » contre la tuberculose pouvait être transférée. Les chercheurs ont tenté de mieux comprendre en étudiant un processus connu sous le nom de sensibilisation, qui consiste à exposer un organisme à un antigène (toute toxine ou substance censée déclencher des réactions « immunitaires ») afin d’induire une réponse « immunitaire », préparant ainsi théoriquement le système « immunitaire » à réagir plus fortement et plus rapidement lors d’expositions ultérieures au même antigène.


L’hypothèse des germes — partie 2

Où l’on apprend que l’hypothèse des germes a été réfutée involontairement par Pasteur et Koch, ainsi que par les divers chercheurs indépendants qui l’ont mise à l’épreuve. Elle n’aurait jamais dû être élevée au rang de théorie scientifique.


Graphène : de micro à nanotechnologie

Le docteur Laurence Kayser accueille Guillaume et Sébastien pour une émission hors normes sur la nanotechnologie vaccinale à base de graphène en lien avec l’Internet des corps qui sera effectif avec la 6G vers 2030.

(Vidéo 2 h 24)

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Bienfaits de la médecine chinoise (Acupuncture, Alimentation, Qi Gong)

Découvrez les bienfaits de la médecine chinoise avec le spécialiste Jean Pélissier, interviewé par Fabien Moine et Carole Fouché et dont le nouveau livre « regard sur la médecine chinoise » sort aux éditions Exuvie Acupuncture, Qi gong, alimentation, massage tuina et spiritualité sont au programme de ce live !

(Vidéo 1 h)


Le lait cru de nouveau à la croisée des chemins

La campagne contre le lait cru a commencé par un article fabriqué de toutes pièces paru en 1945 dans le magazine Coronet, faisant état d’une épidémie mortelle de brucellose dans une ville inexistante, ce qui a conduit à l’adoption de lois restrictives contre le lait cru dans le Michigan à partir de 1948.

Une présentation PowerPoint réalisée en 2007 par un fonctionnaire de la FDA a faussement dénigré le lait cru en utilisant des rapports erronés ; aucun de ces rapports n’a prouvé que la pasteurisation aurait permis d’éviter les prétendues épidémies.

L’annonce faite en 2024 par l’USDA attribue les symptômes observés chez les vaches laitières à la grippe aviaire sans que la présence du virus dans le lait ait été confirmée, en s’appuyant sur des méthodes de test PCR douteuses.

Malgré les affirmations, il n’existe aucune preuve, évaluée par des pairs, de la transmission à l’homme de la grippe aviaire hautement pathogène à partir du lait cru.


Le jeu de l’ivermectine

Sam Bailey : « Dans cette vidéo, nous examinons l’histoire de l’un des médicaments les plus vendus au monde, y compris l’article de virologie grand public de 2020 qui affirmait qu’il s’agissait d’un agent “antiviral”. Alors que cet article a pu être partagé des dizaines de millions de fois, en revanche, ceux d’entre nous qui discutaient des expériences des virologues ont été frappés par des grèves et des interdictions sur les plateformes des grandes technologies. Il y a quelque chose de très suspect dans le récit de l’Ivermectine, d’autant plus que sa mythologie continue de croître avec de nouvelles affirmations selon lesquelles elle pourrait être un traitement contre le cancer. »

(Vidéo 23 min)


Les virus n’existent pas — Réfutation de la théorie virale

1- Réfutation par le bon sens appliqué au narratif de la théorie virale.
2- Réfutation scientifique.


Après investigation, le Dr Mike Yeadon ne croit plus aux méchants virus

« Je suis formellement convaincu que les maladies respiratoires aiguës que nous appelons rhumes et grippes (« maladies de type grippal ») ne sont pas causées par des particules infectieuses submicroscopiques appelées virus et qu’elles ne sont pas contagieuses.

Pour un certain nombre d’autres maladies attribuées à des virus, telles que le « VIH/SIDA » et la « polio », j’ai suivi la piste des preuves suffisamment loin pour affirmer également qu’il n’y a aucune preuve qu’elles soient causées par de tels virus. Au contraire, et comme pour le « Covid-19 », elles sont plus justement appelées syndromes (puisque les symptômes allégués varient dans des proportions extraordinaires) et sont des attributions erronées d’un ensemble d’autres maladies. Dans chaque cas, les personnes sont réellement malades. C’est simplement que le diagnostic est erroné et qu’il n’est pas viral. »

« … j’en ai appris suffisamment pour dire que je pense que la virologie est totalement frauduleuse. »

« L’idée que nous risquons à tout moment l’émergence d’une pandémie ou d’une maladie grave et hautement infectieuse est un mensonge central que je considère aujourd’hui comme une contre-vérité évidente.
Le voyage a été étrange et semé d’embûches. Le plus étrange, c’est de montrer à des gens intelligents les preuves qui étayent ma position actuelle sur les maladies respiratoires aiguës et de constater qu’elles ne les émeuvent pas. »


La fin du mythe infectieux — cas de la grippe espagnole

Voici quelque chose que vous ne verrez jamais dans les médias grand public. Lors de la grippe espagnole de 1918, considérée comme étant due au « virus » le plus contagieux de tous les temps, des chercheurs du service de santé publique et de la marine américaine ont tenté de déterminer les causes de la grippe et son degré de contagiosité réel. Cependant, les résultats de leurs expériences ont prouvé que la grippe n’est pas du tout infectieuse. Voici un bref aperçu de ce qui s’est passé au cours de ces études :


Le but : vous enlever vos poulets

Alors que tout le monde a été distrait par la fraude liée au COVID-19, de nombreux autres aspects de l’agenda mondialiste sont restés en arrière-plan. L’une d’elles est le retrait de la volaille et des œufs de l’approvisionnement alimentaire.

La soi-disant grippe aviaire est utilisée comme prétexte pour abattre des centaines de millions d’oiseaux. Certaines personnes seront peut-être surprises d’apprendre qu’il s’agit essentiellement d’une reprise d’un récit qui a été testé pour la première fois il y a vingt ans.

En 2005, une publication a détruit la science frauduleuse utilisée pour inventer une pandémie inexistante. Jetons un coup d’œil aux articles dont ils ne veulent pas que vous voyez alors qu’ils tentent de vous enlever vos poulets.

(Vidéo < 20 min)


L’escrodémie Covid-19 et SRAS-CoV-2, le virus qui n’a jamais existé

Si vous n’aviez encore rien compris ou si vous aviez raté quelque chose en ce qui concerne les « virus », la « pandémie », le « SRAS-CoV-2 »… bref si vous ne comprenez toujours rien à ce qui se passe, Poornima Wagh reprend tout à zéro et vulgarise le domaine afin que tout le monde puisse suivre.
Occasion unique de rattrapage et à ne pas manquer pour tout comprendre.

(Deux vidéos)
Mise à jour (2/4/2024) : suite à ces vidéos, Poornima Wagh a été l’objet d’une investigation journalistique sur son cursus et semble avoir menti à ce sujet, ce qui pourrait ruiner malheureusement sa prestation.


La science cachée — La cause des maladies n’est pas les germes, mais le terrain

Robert Young et Andy Kaufman discutent de leurs découvertes de la théorie révolutionnaire du terrain d’Antoine Bechamp après qu’il a examiné les cellules au niveau moléculaire et découvert que la maladie et la mauvaise santé découlent d’environnements internes malsains et acides, découvrant des fragments de vie granulaire au-delà des structures cellulaires, nucléaires et d’ADN qu’il a appelées « microzymas » (plus tard ou apparemment par coïncidence appelées historiquement « protits », « somatides », « bions » par d’autres scientifiques, similaires en fait, dit le Dr Andy Kaufman, aux cellules souches) dont des scientifiques comme Gunther Enderlein et Marie Bleker ont découvert qu’elles avaient la capacité de donner vie à des cellules saines ou à des bactéries et levures de différentes sortes dans des environnements acides, qui se forment principalement pour essayer de nettoyer les acides et les toxines, et qui peuvent reprendre la forme de cellules saines après le nettoyage des déchets toxiques dans un environnement alcalin approprié, selon un processus extraordinaire et fascinant jusqu’ici caché à la conscience du plus grand nombre par les « germologues » de la science moderne façonnée par la pharmacie : le pléomorphisme.

Grâce à la présentation détaillée et variée des deux médecins, ce panel sur le terrain offre un tournant dans la compréhension publique de la santé et de la maladie, qui a été détournée jusqu’à présent par les virologues et les fabricants de vaccins qui soutiennent un paradigme malade axé sur le profit et dirigé par Big Pharma, et qui, sous l’égide des prédateurs et des abuseurs de pouvoir à l’OMS et au WEF, ainsi que des gouvernements mondiaux qui leur font des courbettes, s’est immobilisée en s’accrochant à sa valise inacceptable et absurde de Pandémie à jamais.

(Vidéo 1 h 25)


Covid, pandémie imaginaire des personnes ayant subi un lavage de cerveau

« RACONTEZ-MOI votre expérience personnelle de Covid 19. En fait, attendez, ne le faites pas. Je crois que je l’ai déjà entendu un million de fois. Vous avez perdu tout sens de l’odorat et du goût — et à quel point tout cela était alors bizarre ? Vous avez été étonné pendant des jours. Vous avez eu une drôle de toux sèche, d’une sécheresse et d’une irritation sans précédent dans toute votre carrière de tousseur. Vous avez déjà eu la grippe quelques fois et, quand on a une vraie grippe, on le sait. Mais là, ce n’était vraiment pas la grippe. C’était tellement différent de tout ce que vous avez connu que vous ne seriez pas surpris d’apprendre qu’il avait été modifié en laboratoire avec toutes sortes de protéines de pointe et d’additifs de gain de fonction, peut-être même jusqu’à des fragments du virus du SIDA…

Oui, c’est vrai. Pardonnez-moi d’empiéter sur le domaine sacré et personnel de votre expérience vécue. Mais puis-je suggérer prudemment que rien de ce que vous avez vécu ne valide nécessairement la théorie des fuites de laboratoire ? Cela démontre plutôt le pouvoir de la susceptibilité, du lavage de cerveau et d’une imagination débordante. Vous avez vécu — comme nous tous — une période de deux ans au cours de laquelle les anecdotes sur la santé sont devenues une monnaie d’échange précieuse. Alors que dans les années précédant la “pandémie”, personne ne s’était intéressé aux détails sanglants de votre rhume, tout le monde a soudain voulu comparer ses notes pour savoir s’il avait eu la même chose que vous — ou, de préférence, pour être à la hauteur, encore pire. Cela a créé un mécanisme d’autorenforcement de l’escalade de la panique : plus tout le monde en parlait, plus la “pandémie” devenait irréversible.

Pendant ce temps, dans le monde réel, les preuves tangibles — par opposition aux preuves anecdotiques — de cette « pandémie » restaient obstinément inexistantes. »


Ricardo Delgado & Astrid Stuckelberger : vaccins, guerre ouverte contre les peuples ?

Une émission du Dr Éric Loridan
Invités : Astrid Stuckelberger & Ricardo Delgado de la Quinta Columna.
Sujet. Nanotechnologie dans les vaccins : guerre ouverte contre les peuples ?

Ricardo Delgado & Astrid Stuckelberger sont les voix principales de la Résistance et de la dissidence. Les plus crédibles, les plus intègres, les plus compétentes. Grâce à leurs expertises nous avons la confirmation que ces prétendus « vaccins » ne sont qu’un concentré de nanotechnologie et constitue de fait, un danger mortel pour la santé.

Ricardo et Astrid abordent le sujet tabou sur le graphène et démontrent que cette campagne d’injections n’est rien d’autre qu’une machination criminelle à l’échelle planétaire. Un crime contre l’humanité construit sur le plus grand mensonge de l’Histoire.

« Il faut frapper le Serpent à la tête… » dit Ricardo…

(Vidéo 2 h 11)


Récompense virale de 1 500 000 euros

1,5 million d’euros offerts pour un virologue qui apporte la preuve scientifique de l’existence d’un corona virus, y compris des expériences de contrôle documentées de toutes les étapes de la preuve.

Pour l’instant personne n’a touché la récompense.


Pourquoi abandonner la théorie virale

Pourquoi le fait de réaliser que les virus pathogènes n’existent pas est une étape cruciale pour réduire la peur et créer une société meilleure.

(Vidéo < 30 min)


Dr Lee Vliet : 5G et mortalité Covid

(Vidéo 7 min)


L’opprobre de la syphilis

(Vidéo 23 min)


« Nous vivons dans “The Truman Show”. Tout est mensonge. C’est l’empoisonnement qui provoque la maladie »

Le Dr Lee Merritt, chirurgienne orthopédique américaine et experte en armes biologiques, explique qu’elle essaie de faire comprendre aux gens que nous vivons dans « The Truman Show ». Il existe une fausse réalité scientifique et c’est ainsi que nous sommes contrôlés.

(Vidéo 7 min)


Ce qu’on ne nous a pas appris sur la peste

La « peste » ou « peste noire » aurait anéanti la moitié de la population européenne au milieu des années 1300, méritant ainsi le titre de pandémie la plus meurtrière de tous les temps. La bactérie Yersinia Pestis serait à l’origine de la mort de toutes ces personnes et la maladie était si infectieuse qu’il était fatal de se trouver à proximité d’un cas.

De nombreux aspects de ce récit ne tiennent tout simplement pas la route, en particulier le fait que la théorie des germes et les postulats de Koch ont été réfutés à de nombreuses reprises au cours du siècle dernier.
Comme l’ont déclaré nos amis italiens après leur récent entretien avec le Dr Mark Bailey, ces contes de fées ont enfermé le monde dans un faux paradigme de la maladie pendant des générations.

Les théoriciens actuels des germes ont ignoré de nombreux faits gênants, notamment un compte rendu beaucoup plus détaillé des cas de peste en Australie au siècle dernier.

Dans cette vidéo, le Dr Sam Bailey examine la science qui sous-tend cette maladie soi-disant contagieuse et explique pourquoi l’un des joyaux de la couronne de la mythologie « pandémique » est tombé en désuétude.

(Vidéo 25 min)


Dr Tom Cowan — Nexus se fait piéger par l’IHU (de Marseille)

Le Dr Cowan aborde les points suivants :
– La polio a-t-elle été réellement éradiquée en Inde ?
– Les règles d’isolement des rétrovirus et les exigences minimales logiques pour établir l’existence indépendante du VIH.
– Discussion sur la manière dont Nexus a été manipulé par l’IHU.

(Vidéo 1 h)


L’homme qui rendait inutiles les transfusions de sang !

René Quinton était face à son plus grand défi : prouver que la simple eau de mer est substituable sans dommage à la partie essentielle de notre liquide interne : le sang…


La médecine moderne : un château bâti sur du sable ?

Toute recherche scientifique repose sur des dogmes particuliers, y compris (ou peut-être surtout) la biomédecine. Il est plus facile pour certains « scientifiques » de perpétuer des faussetés que d’admettre qu’ils se sont trompés, d’abandonner des idées de longue date et de repartir de zéro. De nombreux scientifiques préfèrent s’intéresser à des domaines de recherche à la mode afin d’obtenir des récompenses et des subventions plutôt que de remettre en question des croyances et des dogmes de longue date.

C’est exactement ce qui s’est passé avec la médecine moderne, car trop d’argent et trop de réputations sont en jeu. Si l’on n’a pas le droit de remettre les choses en question, alors ce n’est pas de la vraie science.

Les théories erronées en médecine ont gaspillé des milliards et causé des dommages incalculables. Imaginez s’ils devaient admettre que tant d’années de recherche et d’innombrables carrières universitaires ont été gaspillées à poursuivre des idées qui n’ont aucun fondement dans la réalité.

Grâce à la pseudo-pandémie Covid, la corruption de l’establishment médical n’a jamais été aussi évidente pour autant de personnes.


UN ADIEU À LA VIROLOGIE
(ÉDITION POUR EXPERT)

La virologie a inventé le modèle du virus, mais n’a jamais réussi à satisfaire à ses propres exigences. On prétend que les virus provoquent des maladies après s’être transmis entre des hôtes tels que l’homme, mais les preuves scientifiques de ces affirmations font défaut. L’un des plus grands échecs de la virologie a été l’incapacité d’obtenir des particules virales directement à partir des tissus des organismes dits atteints de maladies « virales ». Afin d’obscurcir cet état de fait, les virologues ont eu recours à la création de leurs propres méthodes pseudo-scientifiques pour remplacer la méthode scientifique de longue date, ainsi qu’à la modification du sens des mots dans le dictionnaire afin d’étayer leurs pratiques anti-scientifiques. Par exemple, un isolat « isolé » ne nécessite pas (pour les virologues) l’existence physique des particules pour obtenir le statut d’« isolat ».


La médecine spirituelle — Soigner l’âme pour guérir le corps

Une conférence de Luc Bodin, dans le cadre de la 3e rencontre entre médecines conventionnelle et naturelle.

(Vidéo 1 h 2)


Le bioterrorisme, ça n’existe pas (jusqu’à preuve du contraire)

… Comme le potentiel pathogène d’aucun virus n’a jamais été démontré scientifiquement, on ne voit pas très bien comment des chercheurs, fussent-ils imprudents ou mal intentionnés, auraient pu conférer une quelconque toxicité au virus couronné. …

… il n’existe pas de preuve (scientifique) qu’un germe bactérien puisse être « militarisé » et employé comme arme létale.


Expliquer l’effet nocebo, la contagion émotionnelle et l’hystérie collective

Au début de la pandémie, il était difficile de comprendre pourquoi tant de gens agissaient de manière aussi irrationnelle et autodestructrice. (…)

Une étude publiée en 2007 a rapporté le cas d’un homme ayant fait une overdose d’antidépresseur après une dispute avec sa petite amie, avalant les 29 pilules qui lui avaient été données dans le cadre de l’étude. Transporté d’urgence à l’hôpital, sa tension artérielle extrêmement basse, 80/40 et son rythme cardiaque élevé, 110 battements/minute. Les médecins et les infirmières l’ont gavé de sérum physiologique et ont réussi à faire remonter sa tension artérielle à 100/62.

Mais le médecin qui est vraiment parvenu à le sortir de là est celui qui lui a dit que les pilules qu’il avait avalées étaient en fait des placebos et ne contenaient aucun médicament. Il faisait partie du groupe de contrôle ! En l’espace de quinze minutes, la tension artérielle et le rythme cardiaque de l’homme sont redevenus normaux.


Le Cancer revisité

La peur primitive de son propre corps, qui sommeille inconsciemment chez l’être humain depuis des siècles et qui s’est développée au fil de l’histoire, est particulièrement forte lors des diagnostics de cancer. À cause de ces diagnostics, les gens croient que le mal qui sommeille dans leur corps s’est réveillé et qu’il est devenu plus fort que ce qui est sain.

Le cancer apparaît comme une confirmation de la prophétie. Les traitements mortels sont acceptés. La souffrance et la mort qui en résultent sont la preuve finale. Rien n’est remis en question.


Pourquoi tous les « virus » proviennent-ils des laboratoires ?

L’histoire de la « fuite du laboratoire » du COVID-19 est diffusée sur les plateformes grand public depuis le début de l’année 2020.
Cependant, de nombreux membres de la communauté dite « de la liberté » présentent l’histoire comme une dissimulation de haut niveau. Ils affirment que la recherche est devenue incontrôlable et que des « agents pathogènes artificiels » sont en liberté.
Sur quelles preuves s’appuient ces affirmations ?
Comprennent-ils vraiment les articles essentiels de virologie sur le « gain de fonction » ?
Dans cette vidéo, nous verrons pourquoi tous les « virus » proviennent de laboratoires, mais aussi pourquoi vous n’avez rien à craindre.

(Vidéo 21 min)


Génétique : Le génome en dissolution

En 2006, 25 généticiens se sont réunis à l’université de Californie à Berkeley pour répondre à cette question apparemment simple : qu’est-ce qu’un gène ? Mais la tentative de définir précisément le concept de base de leur discipline s’est avérée extrêmement difficile. La réunion d’experts a failli tourner au désastre…

La recherche médicale, en particulier, est confrontée à de nouveaux défis. Les premières esquisses montrent que le corps et l’âme, leur santé, leur maladie, leur développement et leur vieillissement sont soumis à une interaction génétique dont la complexité dépasse toutes les conceptions antérieures. Les généticiens doivent abandonner l’image d’un génome stable, dont les modifications sont des exceptions pathologiques. Le génome de chaque individu est en constante transformation. Par conséquent, chaque organisme, chaque être humain, voire chaque cellule du corps, est un univers génétique en soi.


La vérité sur les antibiotiques

Les antibiotiques sont souvent considérés comme l’une des plus grandes découvertes de la science médicale. On leur attribue le mérite d’avoir sauvé des dizaines de soldats pendant la Seconde Guerre mondiale et des millions de vies depuis lors. Cependant, cette histoire promulguée par l’establishment médical et l’industrie pharmaceutique pose des problèmes majeurs.

Dans cette vidéo, est examinée l’histoire de la pénicilline et l’état des preuves scientifiques, y compris les préoccupations récentes concernant la « résistance aux antimicrobiens ». Les antibiotiques sont-ils toujours utiles et pourquoi semblent-ils parfois fonctionner si la théorie des germes de la maladie présente des failles fatales ?

(Vidéo 19 min)


Les folies de Peter McCullough

Le Dr Peter McCullough est un héros pour de nombreux membres de la communauté de la liberté médicale et a été l’une des voix les plus importantes dans la lutte contre les vaccins COVID.

Cependant, le Dr Mark Bailey et le Dr Kevin Corbett, vétéran de la lutte contre les virus, commentent et réfutent en détail les affirmations du Dr McCullough relatives aux « virus ». Il s’agit d’une question vitale, car ces affirmations maintiennent les gens dans le piège non seulement de l’illusion virale, mais aussi du paradigme allopathique au sens large.

(Vidéo 1 h 5)


Ces malades qui pensent pour nous

(Vidéo > 1 h)


Les progrès de la médecine ?

Une conférence du Dr François Plantey.

(Vidéo > 50 min)


La science-fiction de l’immunité collective et de l’altruisme vaccinal

Beaucoup de personnes ont accepté la vaccination anti-covid pour protéger leurs proches et contribuer à l’immunité collective. Mais qu’entend-on vraiment par « immunité collective » ? Cette expression peut se comprendre comme la somme des immunités individuelles. En réalité, elle désigne une théorie basée sur un modèle mathématique qui prétend mettre en équation le phénomène de la contagion. Ce modèle justifie des obligations vaccinales liberticides au nom d’un « altruisme sociétal »… Comme nous allons le découvrir, la théorie de l’immunité collective, véritable raison d’État, n’a jamais apporté la preuve de sa validité. Par ailleurs, le concept de « contagion » s’avère lui aussi bien fragile ! Finalement, loin de contribuer au contrôle des infections, les vaccinations de masse nous entraînent inexorablement vers la déprogrammation de notre immunité.


Changement de personnalité post-injection : pourquoi ?

(Vidéo 7 min)


Rappel — Dégrader l’oxyde de graphène

(Vidéo < 12 min)


Sous la peau

Dr Larry Palevsky : « L’un des principaux facteurs que l’on retrouve dans le cerveau des personnes atteintes de la maladie d’Alzheimer est la nanoparticule d’aluminium qui est directement liée aux vaccins que nous administrons. »


Dr Sam Bailey sur l’histoire du Shedding vaxinal

Si la quasi-totalité de la communauté des défenseurs de la liberté de la santé s’accorde à dire que les vaccins COVID-19 sont dangereux, de nombreux désaccords subsistent sur les raisons de cette dangerosité. Il y a aussi la question de savoir si l’excrétion de particules par les vaccinés peut rendre malades les non-vaccinés.

Le Dr Peter McCullough a réalisé un travail remarquable en 2021, en mettant en garde le monde contre les dangers des injections de COVID-19. Toutefois, en 2022, nous avons été déçus de le voir applaudir la pseudo-science des virologues. Malheureusement, il suscite aujourd’hui la peur en promouvant l’absurdité de l’excrétion vaccinale.

Examinons l’état des preuves scientifiques concernant le « shedding » et révélons les véritables origines de ce récit.

(Vidéo > 20 min)


LE TAUX DE DECES Covid des Amish est 90 fois plus faible que pour les Américains masqués, enfermés, injectés

Les Amish sont morts du Covid à un taux 90 fois inférieur à celui du reste de l’Amérique « J’ai fait le calcul », a témoigné @stkirsch devant le Sénat de l’État de Pennsylvanie.

« C’est possible parce que les Amish ne sont pas vaccinés. Et parce que les Amish n’ont pas suivi une seule directive du CDC »


Selon selon le Pr Ian Akyildiz les ARNm des vaxins sont en réalité des nanomachines programmées à petite échelle

Dans cette conférence, le professeur Ian Alkyildiz du Georgia Institute of Technology donne un aperçu de son travail au cours des 15 dernières années en matière de développement de systèmes de communication térahertz pour l’Internet de tout.


Le Mythe de l’Infection

La Rougeole par les Chiffres.

La rougeole est devenue la maladie favorite pour provoquer la panique de l’épidémie. Ce qui est amusant parce que c’est une des maladies les plus bénignes. Mais, d’un autre côté, elle est utile, parce que les symptômes surgissent encore régulièrement. Ce n’est certainement pas le SIDA ou la maladie de la Vache folle, mais alors pour ces deux maladies-là personne ne prétend qu’il existe un vaccin. Le SRAS (Syndrome Respiratoire Aigu Sévère) a été une grande panique pendant un moment (tout comme début 2020 le coronavirus Covid-19), et puis il a complètement disparu (sans vaccin). Personne ne veut affirmer que le virus Ebola se propage en Occident parce que cela créerait une énorme panique. La grippe, et bien elle, elle a un vaccin, mais tout le monde admet qu’il n’est pas très bon. La rougeole est un monstre bien pratique.

Le CDC admet que la grande majorité des cas de rougeole ne présentent pas d’effets durables (parmi lesquels le décès est manifestement le plus permanent), mais il affirme qu’elle a le potentiel de mutiler et de tuer, c’est pour cela que la vaccination vaut la peine, à n’importe quel prix (surtout si vous ignorez le risque des effets secondaires du vaccin).


Pourquoi s’inquiéter de vaccins quand l’hypothèse virale n’a jamais été démontrée après plus de 70 ans de tentatives faussement scientifiques ?

« Virus » pathogènes : les Drs Bailey, Cowan et Kaufman répondent à Del Bigtree.

(Vidéo < 1 h 20)


Le VACCIN COVID comme boîte à outils pour fabriquer l’homme que vous serez demain

(Vidéo 17 min)


Dr Sam Bailey — Pourquoi les pathogènes n’existent pas

Beaucoup d’entre nous, qui peuvent affirmer que les virus n’existent pas, trouvent plus facile de le faire, car la virologie est un dérivé de la théorie des germes.
Si la « théorie » des germes est erronée, il n’y a aucun sens à rechercher de prétendus organismes submicroscopiques responsables de maladies. C’est pourquoi les théoriciens des germes ne veulent pas non plus que l’on gratte sous la surface de la soi-disant « science » des bactéries.
Voyons pourquoi le concept de « pathogènes » est un échec total en soi, depuis les postulats de Koch jusqu’à certaines expériences modernes sur les animaux.

(Vidéo > 20 min)


Les jeux sont faits : la véritable origine de ce qu’ils appellent Covid-19

Ricardo Delgado : « Malgré les preuves, ils continuent de nier. »

Des milliers de personnes, certaines vivant dans la ville de Séville (Espagne) et d’autres en streaming dans le reste du monde, ont pu contempler au microscope le contenu des vaccins, gardés secrets comme n’importe quelle arme de guerre.
Cet événement a eu lieu juste au troisième anniversaire de cette période de dystopie qu’ils ont appelée pandémie, causée par un virus tueur et contagieux qui n’existe pas, pas plus que les vagues épidémiques et les variants. Et oui, à la place, des milliers d’antennes 5G irradient des corps humains innocents, victimes du grand mensonge du système, inoculés avec une substance appelée vaccin qui contient de l’oxyde de graphène réduit, un nanomatériau qui marque l’avenir de l’humanité sur son chemin vers le transhumanisme.


Dr Sam Bailey : Pourquoi faisons-nous cela ?

Dans une vidéo déclarative, les docteurs Bailey sont rejoints par le Dr Thomas Cowan et le Dr Andrew Kaufman pour publier une déclaration commune intitulée « Pourquoi faisons-nous cela ? » Celle-ci aborde le fossé qui s’est creusé au sein de la communauté de la liberté entre les positions « pro-virus » et « non-virus ».

Les quatre docteurs en médecine expliquent brièvement pourquoi ils poursuivent leur dénonciation de la théorie virale comme étant fallacieuse, voire frauduleuse, et ne relevant pas de science.

(Vidéo 20 min)


Les horreurs du vaccin HPV : Meurtre et invalidité dus au Gardasil, POURSUITE EN COURS, et lettre d’éminents rabbins disant « Ne vous faites pas vacciner ! »

Dans quel but a-t-on donné du poison à ces enfants ?

L’objectif déclaré du Gardasil est de prévenir une MST (Maladie Sexuellement Transmissible) qui pourrait éventuellement entraîner un cancer du col de l’utérus lorsque les enfants seront beaucoup plus âgés.

Mais il n’existe aucune preuve que le vaccin soit réellement efficace pour prévenir le cancer. Il s’agit d’une imposture qui ne fait que provoquer la mort et la misère.


Comment le corona a tué Pasteur

Yves Rasir : « Il y a trois ans, le 29 janvier 2020 exactement, je publiais ma première infolettre sur ce qui ne s’appelait pas encore le covid-19. Dans ce billet, je déplorais déjà la psychose délirante qui allait entraîner, sous prétexte sanitaire, un déferlement totalitaire hallucinant. Dès ce premier édito consacré au Corona Circus (*), j’exprimais cependant ma conviction qu’à toute chose malheur est bon. Le monde allait enfin réaliser que la médecine pasteurienne fait fausse route, que sa théorie du germe ne tient pas debout et que les virus sont innocents des méfaits qu’on leur impute. Trente-six mois plus tard, force est de reconnaître que mon optimisme était quelque peu béat. Même chez les résistants à la mascarade coronavirale et au traquenard vaccinal, il y a une grande majorité de gens qui continuent de penser que les microbes sont la cause des maladies infectieuses et que celles-ci sont incontestablement contagieuses. Ce double mythe introduit par Louis Pasteur au 19e siècle n’en finit plus d’empoisonner les esprits. Ce ne sont pourtant pas les preuves de son inanité qui manquent ! Durant ces trois années, nous avons collecté quantité d’indices indiquant que le virus couronné n’était pour rien dans cette pseudo-pandémie. Le vrai coupable reste à identifier, mais il y a toute une série d’éléments permettant de disculper l’hypothétique sars-cov-2 dans la survenue de grippes légèrement atypiques et de leurs complications pneumopathiques. (…) Pour nous, le corona n’a jamais tué personne, si ce n’est le saint patron de la virophobie et sa fausse théorie. »


Et si la biologie moderne avait (presque) tout faux ?

La biologie moderne repose grandement sur la vision de Louis Pasteur à la fin du 19ème siècle, vision qui a encore en 2023 un statut de quasi-religion.

Pourtant, des visions alternatives du vivant permettent de mieux le comprendre et ainsi de mieux appréhender la santé de manière générale. Ainsi, les travaux du chercheur français Antoine Béchamp (1816-1908) et en particulier sa découverte des microzymas pourraient revenir sur le devant de la scène et casser le dogme pasteurien afin de contribuer à une médecine d’avenir réellement scientifique.

Jérémie Mercier reçoit Alain Scohy, médecin et psychothérapeute, habitué des observations de tissus biologiques au microscope à fond noir, et qui livre une interprétation différente du vivant par rapport à celle de la biologie moderne, en s’appuyant sur les découvertes d’Antoine Béchamp.

(Vidéo 1 h 20)


Rappel — La Chine, la 5G et le coronavirus de Wuhan : le nouveau virus de l’empereur

Y aurait-il un lien entre le Coronavirus et la 5G ? Le chercheur et biologiste du bâtiment Paul Doyon a écrit un article brillant exposant les preuves. Et comment vous pouvez vous protéger : une stratégie de protection basée sur les champs électromagnétiques. Avertissement : il s’agit d’un article basé sur la science lourde avec près de 100 références à des études.


C’est l’heure du conte « Gain de Fiction »* avec RFK Jr. et ses amis !

Après le 11 septembre, les armes biologiques sont devenues une préoccupation majeure avec des histoires effrayantes sur la possibilité que des échantillons de variole soient diffusés par aérosol contre des citoyens américains, obligeant l’administration Bush à stocker des vaccins. Il y avait des histoires terrifiantes de chercheurs recréant avec succès le génome de la grippe espagnole grâce à l’ingénierie inverse, ce qui était considéré comme une certitude de tomber accidentellement entre de mauvaises mains. Des mémos secrets ont été dévoilés de scientifiques recherchant la possibilité qu’al-Qaida ou ISIS utilise d’une manière ou d’une autre Ebola pour le bioterrorisme. Des rapports de laboratoires bricolant et modifiant génétiquement certains « virus » afin de les rendre plus mortels ont commencé à remplir les ondes des médias grand public. Les gens étaient conditionnés à se recroqueviller à l’idée que le terroriste acharné sécurise d’une manière ou d’une autre une arme biologique « virale » et déchaîne un fléau contagieux sur le monde. Les mini épidémies se produisent presque tous les deux ans depuis l’introduction du SRAS en 2003, préparant stratégiquement les masses pour l’événement du siècle avec le « SRAS-COV-2 ». Des théories ont été brandies sur le fait que les coupables invisibles impliqués dans ces épidémies étaient des créations concoctées en laboratoire et déchaînées sur la population sans méfiance. Ainsi, avec l’incertitude entourant l’origine animale du « SRAS-COV-2 », ce n’était qu’une question de temps avant que l’idée ne soit émise que ce n’était pas l’œuvre d’un « virus » naturel sautant d’un animal à l’autre et faisant des ravages à travers le monde avec une grippe légère. Ce « virus », associé à aucun nouveau symptôme de maladie, avait dû être créé de manière diabolique par des scientifiques fous dans les laboratoires de Wuhan.

Bien sûr, c’est un scénario qui est parfaitement logique pour les non informés, car l’Institut de virologie de Wuhan est en plein centre de Wuhan et ils ont une longue histoire d’expérimentation avec des « coronavirus » et des chauves-souris. Peu importe que les preuves du « SRAS-COV-2 » soient inexistantes, car dans ce scénario les virologues de Wuhan ont génétiquement conçu un tout nouveau « virus » à partir des restes d’autres « virus », conduisant ainsi à la « pandémie » même qui y est née. Ce « virus », créé grâce à des recherches secrètes sur le gain de fonction, avait dû s’échapper accidentellement du laboratoire ou être délibérément libéré à des fins néfastes. Cette intrigue de science-fiction conçue pour les films est défendue par ceux qui n’ont jamais remis en question le manque de preuves scientifiques de l’existence de « virus ». Cependant, pour ceux qui ont étudié ce sujet en profondeur, il est absolument clair que le récit du gain de fonction/de l’arme biologique/de la fuite de laboratoire est un appât basé sur la peur utilisé pour maintenir ceux qui remettent en question le scénario pharmaceutique officiel accrochés aux mensonges du complexe médico-industriel.


La virologie : pseudoscience au service de la domination

Tests PCR, absence de virus isolés, existence des exosomes, la « méthode » des virologues, le « séquençage » génétique… : un tour d’horizon des preuves du caractère non scientifique de la virologie.


Le docteur Julien Devilléger nous présente une synthèse qui expose des preuves : Le « Virus SARS-CoV-2 » est-il responsable du COVID-19 ?

Voici une synthèse du Dr Julien Devilléger, exposant les « preuves » fournies à ce jour d’un « virus SARS-CoV-2 » prétendument responsable du Covid, mais qui relèvent d’une farce.


Big Pharma (ô surprise !) a créé de toutes pièces la peur de l’hépatite B… pour vendre ses nouveaux vaccins

C’est l’une des interviews les plus révélatrices de l’histoire de l’industrie pharmaceutique.

En 1997, la revue Sciences et Avenir a publié un entretien avec un cadre du grand laboratoire pharmaceutique qui produisait le vaccin contre l’hépatite B.


The Big Reset – Le documentaire non censuré sur la vérité de la pandémie

Dénonciation et conséquences de la plandémie Covid-19. Peut-on empêcher la finalisation du Nouvel Ordre Mondial qui mènera autrement à une tyrannie mondiale ?

(Vidéo 2 h 16)


Documentaire : Consentement non éclairé

Un regard approfondi sur le récit du Covid 19, qui le contrôle et comment il est utilisé pour injecter une nouvelle technologie non testée dans presque chaque personne sur la planète.
Ce film explore notre récente perte des droits de l’homme tout en évoquant l’impact dévastateur des mandats et l’histoire très émouvante de la perte d’un être cher.
Écoutez la vérité de médecins et de scientifiques qui n’ont pas peur de s’opposer à Big Pharma et à l’élite qui profite de ces mandats.

(Vidéo > 2 h)


Coronavirus — La stratégie utilisée : celle du cheval de Troie

C’est un cheval de Troie qui trompe nos esprits et nos corps, dans le but de rendre possible la réalisation de l’agenda mondialiste sur la mutation du Génome humain dont la finalité est celle d’un contrôle radical de toutes les populations du Globe !


Démantèlement de l’hypothèse virale

Le « virus de la rougeole » comme exemple. Les raisons pour lesquelles on devrait douter au sujet des affirmations concernant les virus. Que sont les virus et que ne sont-ils pas ? Comment l’existence des virus est-elle expérimentalement prouvée ?

Les scientifiques doivent douter. Ils doivent même douter de tout. Surtout de ce qui leur est cher, à savoir leurs propres découvertes et représentations. Cette règle de base du travail scientifique a pour but d’éviter les dérives et de mettre en évidence celles qui existent. De même, tout le monde a le droit de douter, si ce n’était pas le cas nous serions en dictature. De plus, la science n’est pas limitée à quelques institutions et spécialistes. Toute personne, disposant des connaissances nécessaires et des méthodes appropriées, peut et a le droit de pratiquer la science.

La science n’est science que si les affirmations sont vérifiables et compréhensibles et permettent des prédictions.


Nouveau rapport alarmant du groupe de travail sur l’analyse des vaccins en Allemagne et dans d’autres pays

Les programmes de vaccination COVID-19 doivent être arrêtés immédiatement. Le groupe de travail allemand pour l’analyse du vaccin COVID a rendu publiques ses premières conclusions dans un rapport de grande envergure :

1. Des substances toxiques ont été trouvées dans tous les échantillons de vaccins COVID-19 – sans exception.
2. Les échantillons de sang de toutes les personnes qui ont été vaccinées ont montré des changements marqués.
3. Plus la stabilité de l’enveloppe des nanoparticules lipidiques est grande, plus les effets secondaires du vaccin sont fréquents.

Dr Ana Maria Mihalcea :
« En tant que médecin, je suis horrifiée par cette information. Je veux que tout le monde voie ça, ce n’est pas normal. C’est une preuve indéniable. C’est l’agenda transhumaniste de l’IA dans toute sa force. Les vaccins doivent être arrêtés. C’est ce qu’on injecte aux enfants. On l’injecte à des gens bien qui ne savent rien de l’agenda diabolique qui se cache derrière les vaccins. Il y a tellement d’informations irréfutables maintenant, et tous les responsables doivent être tenus pour responsables. Lisez ceci. Regardez-le. Ceci a été injecté à 68 % de la population mondiale.

Je suis de tout cœur avec ceux qui ont cela dans leur corps. Faites quelque chose, partagez-la, parlez-en. Sauvez l’humanité. Merci »


Les coupables de la crise corona sont clairement identifiés

Voici un article fondamental qui montre bien que toute la virologie est une escroquerie.

Les virologues qui prétendent que des virus entraînent la maladie sont des fraudeurs scientifiques et doivent être poursuivis devant des tribunaux.


VIRUS TUEUR ??

Qu’est-ce qu’un virus ? Descendez au fond de l’antre où se cache le mystérieux virus et remettez tout en question. La pandémie bidon de coronavirus est une mystification monumentale, bien au-delà de ce que vous pourriez imaginer.


Surmortalité en Europe chez les jeunes depuis cet été : pourquoi le Sénat refuse-t-il de publier les données de mortalité post-vaccinale ?

Le site Euromomo (European mortality monitoring) propose des indicateurs pour suivre la mortalité des pays européens. Depuis l’été 2021, le nombre de décès des 15-44 ans européens est sorti de la « moyenne normale » calculée par le site, avec un dépassement quasi continu de la zone de surmortalité. Mais de quoi peuvent bien mourir nos jeunes depuis cet été ?


Sous le signe de Baal : Eustace Mullins et le culte noir des vaccins

La crise actuelle aura permis à un certain nombre de gens jusque-là distraits de comprendre que le monde moderne (et postmoderne) n’est qu’un techno-fascisme au service des oligarchies marchandes, elles-mêmes tenues par des réseaux sataniques. Un des auteurs américains les plus importants reste bien sûr Eustace Mullins. La conspiration en ce moment est si énorme, ramifiée et compliquée qu’elle en devient folle. Rationaliste et marxiste, Debord se demandait pourtant qui diable pouvait gouverner en démocratie ; nous aussi.
Dans son livre Meurtre par injection, bien traduit par le courageux Aladin Belarbi, Mullins s’en prend à toute la monstrueuse médecine moderne qui montre en ce moment son visage totalitaire et assassin.


Les Racines de nos Maladies

Autisme, hyperactivité, allergies, intolérances, maladies auto-immunes, tous ces fléaux se répandent aujourd’hui dans des proportions déconcertantes.
À l’heure où l’industrie alimentaire relayée par les grandes surfaces propose en standard quasi-incontournable de la nourriture dénaturée, où la composition des médicaments reste incomplète même pour les médecins, où le moindre objet de notre quotidien contient des substances chimiques, il est urgent de s’interroger sur la véritable origine des pathologies contemporaines.
(Avec vidéo > 13 min)


Antidote au délire sanitaire et vaccinal des gouvernements et des médias dominants

La propagande de peur basée sur une lecture biaisée et tronquée des statistiques officielles est ici contrée par Pierre Chaillot dans plusieurs vidéos.


Le journal LE MONDE travaille pour Bill Gates et la désinformation vaccinaliste

“Je n’étais pas le seul à me demander quelle mouche avait piqué le journal LE MONDE en lisant les articles publiés sur papier ou sur son site à propos des vaccins et de la Loi d’obligation vaccinale de 2018.
Comment expliquer que ce Journal du soir [supposé intelligent, bien informé, objectif et au-dessus de tout soupçon de conflits d’intérêt, sauf avec les compagnies bancaires qui désormais le possèdent] puisse propager insolemment des informations aussi biaisées sur la médecine des vaccins sans jamais donner la parole à un esprit critique susceptible d’introduire le moindre doute dans cette idéologie antiscientifique ?”


Enquête Choc — Les vaccins ont-ils vraiment sauvé l’humanité ?

Depuis 1900, les taux de mortalité ont connu une baisse spectaculaire de 74 pour cent dans les pays développés, en grande partie grâce à une nette diminution des décès dus aux maladies infectieuses. Quelle part de cette baisse est due aux vaccins ? L’histoire et les données fournissent des réponses claires qui comptent beaucoup dans le débat actuel sur les vaccins, car la course pour trouver celui contre le Covid-19 nous pousse vers un vaccin qui pourrait être obligatoire pour tous.


Bill Gates, « expert en santé publique » : investir dans les vaccins, c’est payant!

Dès le début de la pandémie de coronavirus, Bill Gates est devenu un expert des pandémies, des maladies infectieuses, des vaccins, et des mesures de santé publique. Il fait depuis office de personne ressource pour les grands médias sur tout ce qui touche le coronavirus.
La liste d’entrevues des grands médias avec Bill Gates à ce sujet est consternante.


Vaccins, puçage, réseau d’influence, OMS : Bill Gates est-il le roi du monde ?

Alors que l’épidémie de coronavirus a paralysé presque toute la planète, certains médias relaient que le vaccin est la seule solution pour une sortie définitive du confinement. Plus que quiconque, celui qui agite aujourd’hui ce spectre n’est autre que Bill Gates. Il a adopté, avec sa Fondation Bill & Melinda Gates, une position claire et déterminée, allant jusqu’à annoncer vouloir vacciner 7 milliards de personnes contre le Sars–CoV–2. Il me semble nécessaire de m’interroger sur le rôle précis que joue ce magnat sur le destin du monde.


Épidémies et contagions

Il n’y a pas d’épidémie au sens généralement entendu, c’est-à-dire par contagion microbiologique. Il y a des gens malades avec des symptômes plus ou moins semblables au même moment. Nous sommes 7,7 milliards d’êtres humains sur Terre (beaucoup trop), il n’est absolument pas étonnant d’avoir quelques centaines de milliers d’individus avec des symptômes similaires dans une même période… Surtout que les causes sont toujours identiques (Voire fiche : Les 9 paramètres de la santé ou de la maladie). La moyenne pour une grippe est 1 personne sur 1000 qui a des symptômes grippaux. Pour l’obésité aux USA c’est 350 personnes sur 1000.


Déclaration sur l’isolement des virus

La controverse sur la question de savoir si le virus du SRAS-CoV-2 a jamais été isolé ou purifié se poursuit. Toutefois, en se fondant sur la définition du mot “isolement”, le bon sens, les lois de la logique et les impératifs de la science, toute personne impartiale doit arriver à la conclusion que le virus SRAS-CoV-2 n’a jamais été isolé ou purifié. Par conséquent, on ne peut trouver aucune confirmation de l’existence du virus. Les conséquences logiques, de bon sens et scientifiques de ce fait sont les suivantes :


L’inventeur de l’ARNm interrogé sur les dangers de l’injection

►Le Dr Robert Malone est l’inventeur de la plate-forme technologique de base des vaccins à ARNm et à ADN. Il est très préoccupé par le manque de transparence des effets secondaires, la censure de la discussion et l’absence de consentement éclairé qu’entraînent ces vaccins.
►La protéine libre de la pointe du SRAS-CoV-2 est biologiquement active — contrairement aux hypothèses initiales — et provoque de graves problèmes. Elle est responsable des effets les plus graves observés dans le COVID-19, tels que des troubles de la coagulation, des caillots sanguins dans tout le corps et des problèmes cardiaques.
Ce sont les mêmes problèmes que nous constatons aujourd’hui chez un nombre impressionnant de personnes qui ont reçu le « vaccin » COVID-19.
►La protéine de pointe présente également une toxicité pour la reproduction.


Virus Mania : Comment Big Pharma et les médias inventent les épidémies

Nous ne vivons pas une épidémie, nous vivons une épidémie de peur.
“La Virus Mania est une maladie de la société moderne. Pour la guérir, il faudra vaincre la peur, la peur étant le virus contagieux le plus mortel, le plus efficacement transmis par les médias… l’erreur est humaine, mais entretenir l’erreur est diabolique”.(…)
Le Dr Kohnlein réfute scientifiquement les idées reçues selon lesquelles le SARS Coronavirus, le SIDA, la grippe asiatique, l’hépatite, la polio et le cancer du col de l’utérus sont causés par un virus.


Pasteur versus Béchamp – La crise du coronavirus relance une controverse vieille de 150 ans

“Je ne perçois pas la crise du coronavirus de la même façon que la plupart des gens. Pour moi, elle constitue plutôt l’occasion d’ouvrir à nouveau une controverse scientifique vieille de 150 ans que la plupart des pays occidentaux ont oubliée.
Le scientifique français Louis Pasteur (1822-1895) est largement célébré comme « le père de la théorie des germes » — l’idée que nous devenons malades lorsque notre corps est envahi par des organismes étrangers tels que des bactéries, des moisissures, des champignons(…)
Ce que l’on sait moins, c’est que d’autres scientifiques français œuvrant à cette époque dans le même domaine avaient des convictions pour le moins différentes, connues sous le nom de « théorie du terrain ».”


Vaccination : une vidéo du Docteur Robert F. Kennedy…

(…)considérons toutes les maladies chroniques qui, selon la FDA, sont associées aux vaccins. Cent cinquante maladies figurent maintenant sur les notices des vaccins. La raison pour laquelle elles figurent sur les notices des produits, c’est que la FDA a déterminé que ces lésions étaient vraisemblablement causées par des vaccins.
Il s’agit d’une épidémie de maladie chronique.


Voir https://reseauinternational.net/correctif-de-ma-derniere-news-vaccination/


Crime vaccinal – Ils accusent un Prix Nobel de mauvaise science !

« Comment le Pr Luc Montagnier, Prix Nobel de médecine, est-il devenu l’Ennemi Public N°1 en France ? C’est ce qu’explique l’article que je vous fais suivre.
Il a été écrit par Pierre Lance, dont j’aime beaucoup le style.
Régalez-vous ! »
Eric Müller


«
Les enfants non vaccinés ne présentent pas plus de risques pour la
population que les enfants vaccinés », explique une immunologiste de
Harvard aux législateurs étasuniens

Je m’appelle Tetyana Obukhanych et je suis titulaire d’un doctorat en immunologie. J’écris cette lettre dans l’espoir qu’elle corrigera plusieurs fausses idées reçues sur les vaccins et afin de vous aider à avoir une compréhension juste et équilibrée de la vaccination, s’appuyant sur une théorie acceptée et de nouvelles découvertes scientifiques.
Les enfants non vaccinés représentent-ils une menace plus grande pour la population que les enfants vaccinés?


Cas
de rougeole aux États-Unis: l’Association des médecins et chirurgiens
américains (AAPS) s’oppose à l’obligation vaccinale imposée par le
gouvernement fédéral

Cas de rougeole aux États-Unis: l’Association des médecins et chirurgiens américains (AAPS) s’oppose à l’obligation vaccinale imposée par le gouvernement fédéral: quelques citations de la déclaration envoyée au Comité sénatorial de la santé (29 février 2019) ÉTONNANTES DÉCLARATIONS À LIRE, À PARTAGER ET À CONSERVER… « L’Association des médecins et chirurgiens américains (AAPS) s’oppose fermement à toute ingérence du gouvernement fédéral dans les décisions médicales, y compris les vaccins prescrits. Après avoir été pleinement informés des risques et des avantages d’une procédure médicale, les patients ont le droit de rejeter ou d’accepter cette procédure. La réglementation…


Fauci et la grande arnaque du sida

Le tout nouveau livre de Robert F. Kennedy Jr., « Le vrai Anthony Fauci : Bill Gates, Big Pharma, et la guerre mondiale contre la démocratie et la santé publique », n’est pas le livre d’un politicien qui cherche à attirer l’attention. C’est le livre d’un homme déterminé à mettre sa réputation, sa carrière et sa vie en jeu dans la lutte contre le bioterrorisme des gouvernements captifs de l’industrie pharmaceutique. Il appelle à l’insurrection de masse, et son dernier mot est : « On se retrouvera sur les barricades ! »


Alfred Russel Wallace : Quarante-cinq ans de statistiques d’enregistrement, prouvant que la vaccination est à la fois inutile et dangereuse

Au début des années 1880, Wallace participa au débat sur l’obligation de la vaccination contre la variole. Il pensait à l’origine que c’était une question de choix personnel mais après avoir étudié certaines des statistiques fournies par les militants anti-vaccination, il en vint à mettre en doute l’efficacité du vaccin.
La théorie des microbes, sources de maladies, était alors très récente et loin d’être universellement acceptée ; d’autre part personne n’en savait suffisamment sur le système immunitaire humain pour comprendre pourquoi la vaccination fonctionnait. Quand Wallace enquêta, il découvrit des cas où les défenseurs de la vaccination avaient utilisé des statistiques plus que discutables. Toujours méfiant vis-à-vis de l’autorité, il devint convaincu que la diminution des cas de variole ne devait pas être attribuée à la vaccination elle-même mais à une meilleure hygiène et que les médecins avaient un intérêt particulier à vouloir promouvoir le vaccin. Wallace et d’autres opposants signalèrent que la vaccination, souvent effectuée dans de mauvaises conditions sanitaires, pouvait être dangereuse.


Nanoparticules d’hydrogel et nanocomposites pour l’administration nasale de médicaments / vaccins

Au cours des dernières années, l’administration nasale de médicaments a attiré de plus en plus d’attention et a été reconnue comme la voie alternative la plus prometteuse pour la médication systémique de médicaments limitée à l’administration intraveineuse. De nombreuses expériences sur des modèles animaux ont montré que les supports à l’échelle nanométrique ont la capacité d’améliorer la délivrance nasale de médicaments peptidiques / protéiques et de vaccins par rapport aux formulations de solutions médicamenteuses conventionnelles.


Vaccins: le système immunitaire ne fait plus la différence entre ce qu’il doit rejeter et lui-même

Lors de l’Audition publique du comité de santé publique de la proposition de loi concernant les immunisations qui a eu lieu le 19/02/2020, le Dr Larry Palevsky nous révèle que les scientifiques en Europe ont découvert que les virus et les bactéries qui sont injectés dans le corps en même temps que les adjuvants créent le mimétisme moléculaire. Cela signifie que le corps voit ces virus comme étant étrangers, mais malheureusement trouve des morceaux de ces virus qui correspondent aux siens. Et le système immunitaire ne fait plus la différence entre ce qu’il doit rejeter et lui-même.
(Vidéo 4 mn)


Effets catastrophiques de la piqûre anti-Covid

Il rêvait d’être pilote de chasse, il restera malade cardiaque dans le meilleur des cas si ce faux vaccin ne l’emporte pas dans les prochains jours. Il rêvait de vacances en Grèce avec sa copine, il ne partira jamais, mort dans les heures qui ont suivi l’injection supposée « libératrice »… Comment vont réagir tous ces « jeunes » vaccinés qui se croient libres, enfin, après des mois de privation de liberté, alternant entre confinement et restrictions de degré variable, lorsque leur belle liberté va être entachée d’accidents vasculaires, d’un ami ou d’un copain, qui se multiplient après quelques mois d’euphorie, et, au minimum, de nouvelles privations, si les manifestations n’emportent pas ce passe de la honte dans la tempête populaire ?


Anthrax, Arsenic, Pasteur et ses moutons

L’anthrax est officiellement une infection causée par la bactérie Bacillus anthracis. Elle peut se manifester sous quatre formes : cutanée, pulmonaire, intestinale et par injection. Les symptômes commencent entre un jour et plus de deux mois après que la personne ait contracté l’infection.
La forme cutanée se présente sous la forme d’une vésicule noire caractéristique. La forme par inhalation se manifeste par de la fièvre, des douleurs thoraciques et un essoufflement. La forme intestinale se manifeste par une diarrhée (qui peut contenir du sang), des douleurs abdominales, des nausées et des vomissements. La forme injectable se manifeste par de la fièvre et un abcès au point d’injection du médicament.(…)
Les symptômes de l’empoisonnement à l’arsenic sont remarquablement similaires à ceux de l’”anthrax”, notamment l’apparition de lésions cutanées noires. Comme l’anthrax, l’arsenic peut empoisonner par contact avec la peau, par inhalation et par le tube digestif. Si une injection contient de l’arsenic, elle provoquera une lésion au niveau du site.(…)
Le véritable mystère est de savoir pourquoi les scientifiques de l’époque n’ont pas fait le lien entre l’anthrax et l’arsenic.


La microbiophobie ambiante est hors de contrôle ! De nouvelles perspectives sur la véritable nature des virus

Vous pensez que le coronavirus s’est échappé d’un laboratoire de Wuhan ? Vous pourriez souffrir de microbiophobie. Espérez-vous qu’un vaccin vous protégera contre le coronavirus ? Vous êtes probablement microbiophobe. Vous sentez-vous à l’abri du coronavirus en portant un masque, en vous isolant et en gardant une distance sociale ? Vous êtes certainement atteint de microbiophobie. La microbiophobie rampante – qui perturbe nos vies en raison de peurs irrationnelles des micro-organismes tels que les virus – est hors de contrôle dans nos sociétés ! Mais que sont exactement ces microbes terrifiants appelés virus ? D’où viennent-ils dans la nature ? Que font-ils et où vont-ils quand ils ont fini de faire ce qu’ils font ? Malgré la microbiophobie de notre société liée aux pandémies, toutes les tentatives visant à éviter le quadrillion [un million de milliards] de virus (1 000 000 000 000 000) qui se cachent dans et sur le corps humain sont vaines.


Effets secondaires et décès liés aux injections expérimentales anticovid

Recueil de données officielles disponibles. Concernant l’Union Européenne, pour ceux qui aimeraient vérifier les chiffres publiés sur les effets secondaires déplorés et signalés en UE, voici la source et la marche à suivre


Le mythe de la contagion virale — Pourquoi les virus (incluant les « coronavirus ») ne sont pas la cause des maladies

Traduction de la table des matières et d’extraits du livre The Contagion Myth.
(Partie 1 : EXPOSER LA THÉORIE DU GERME
CHAPITRE 1 : CONTAGION
CHAPITRE 2 : ÉLECTRICITÉ ET MALADIE
CHAPITRE 3 : PANDÉMIES
CHAPITRE 4 : DU SIDA AU COVID
CHAPITRE 5 : TESTER L’ARNAQUE
CHAPITRE 6 : EXOSOMES
CHAPITRE 7 : RÉSONANCE
Partie 2 : QU’EST-CE QUI CAUSE LA MALADIE?
CHAPITRE 8 : L’EAU
CHAPITRE 9 : ALIMENTATION
CHAPITRE 10 : TOXINES
CHAPITRE 11 : L’ESPRIT, LE CORPS ET LE RÔLE DE LA PEUR
Partie 3: CHOIX…)


Ce que nous dit Bill Gates en ce 30 avril 2020 concernant la vaccination mondiale

Voici une publication envoyée à l’instant par Bill Gates, via ses « Gates Notes », à l’intérieur de laquelle il se targue lui-même d’être le plus grand bailleur de fonds au monde pour les vaccins. De suivre attentivement les recommandations et ambitions de Bill Gates nous donne, je crois, une réelle perspective des visées de cette crise de la COVID-19. Assurément, la vaccination à l’échelle planétaire est à l’agenda !


Alerte Vaccins

Le pharmacien Serge Rader est un connaisseur des médicaments, de leurs effets secondaires et de leur prix au niveau européen. Il est l’auteur d’un livre « Vaccins oui ou non » sur la contamination des vaccins à nanoparticules.
(Vidéo 30 mn)


Vaccinations obligatoires : j’ai choisi mon camp !

« Chère amie, cher ami,
Oui, j’ai choisi mon camp dans l’affaire des 11 vaccins.
Dès que l’on commence à s’intéresser à ce débat on est immédiatement frappé par le dogmatisme des prises de positions.
D’un côté les « pro », de l’autre les « anti ». A chaque fois que l’on est confronté à un dogme, on pourrait, pardon, on devrait s’interroger : mais qu’y a-t-il derrière, qu’y a-t-il que l’on ne nous dit pas ?
Je n’ai pas l’ambition démesurée de répondre à cette question, encore moins d’ériger un troisième dogme.
Je souhaiterais plutôt vous proposer une réflexion personnelle qui vous permettra de vous positionner dans ce débat complexe et enflammé.
Je voudrais d’abord éliminer, d’emblée, les deux camps les plus « ultra » :(…) »


Les croyances du Dr Vadeboncoeur sur les vaccins et l’autisme

(…)Dans son article « Vaccins et autisme : croire ou savoir » publié dans L’actualité, le Dr Alain Vadeboncoeur cite une « vaste et solide étude » publiée en 2014 sur l’absence de liens entre les vaccins et l’autisme.
(…)Le Dr. Vadeboncoeur a-t-il lu l’étude? Si oui, il vient de démontrer ou son incapacité à comprendre des études scientifiques ou son intention de manipuler l’opinion publique. S’il n’a pas lu l’étude, eh bien il aurait dû la lire avant de faire ces conclusions erronées parce que l’étude n’a aucunement démontré l’absence de lien entre « les vaccins et l’autisme ».
Regardons ce que dit réellement cette étude.


Docteur
Richard Moskowitz, médecin depuis plus de 50 ans: L’hystérie actuelle
au sujet de la rougeole ne repose nullement sur la science ; il s’agit
de « scientisme », d’une foi quasi religieuse dans les vaccins

Le Dr Richard Moskowitz est médecin depuis 1967. Il a fait ses études à Harvard en sciences biochimiques et a reçu son diplôme de médecin à l’Université de New-York en 1963. Après avoir fait un graduat en philosophie à l’Université du Colorado, il a effectué un stage à l’hôpital St. Anthony de Denver.
En 2015, lorsque la première hystérie au sujet de la rougeole a éclaté dans les médias, le Dr Moskowitz a eu la gentillesse de nous autoriser à publier son article : The Case against immunizations qui reste l’un de ses écrits les plus brillants sur le sujet que nous ayions jamais publié. Pour réaliser ce travail, le Dr Moskowitz s’est, bien entendu, appuyé sur ses connaissances du sujet comme sur des décennies de pratique de la médecine clinique.


Liens




L’arc-en-ciel invisible – Une histoire de l’électricité et de la Vie

[Image tirée de : http://www.astronoo.com/fr/articles/spectre-electromagnetique.html]

[Source de l’article : La Maison du 21e siècle]

Voici
une lecture pour les récalcitrants qui croient encore que seuls les
effets thermiques des ondes peuvent nuire à la santé. Il s’agit d’un
livre écrit par Arthur Firstenberg qui nous plonge dans l’histoire de
l’électricité et de la Vie depuis le 18ème siècle. Ce livre
nous dévoile que les scientifiques connaissent les effets biologiques
depuis plus de deux siècles! L’ingénieur en mécanique (spécialisé en
aéronautique) Sosthène Berger a réalisé un résumé fort utile de ce livre de 508 pages dont une bibliographie de 134 pages.

L’arc-en-ciel invisible – Une histoire de l’électricité et de la Vie par Arthur Firstenberg

(Titre d’origine en anglais:  The Invisible Rainbow – A History of Electricity and Life)


L’arc-en-ciel invisible – Résumé informatif

Introduction

Concernant l’auteur

Arthur Firstenberg
est un scientifique et journaliste à l’avant-garde de la démolition du
tabou concernant l’innocuité des champs électromagnétique sur le Vivant.
Il est diplômé en mathématique de l’Université de Cornell et a
fréquenté l’Université de Californie, Irvine School of Medicine, de 1978
à 1982, études qu’il a dû interrompre à cause de séquelles subséquentes
à une dose excessive de rayons-X. Depuis, il s’est consacré à la
recherche, à la consultation, comme auteur et comme orateur dans le
domaine des effets environnementaux des radiations électromagnétiques.

Concernant l’ouvrage

Ce
livre remarquablement documenté et bien référencé est une pierre
angulaire dans le sens qu’il retrace le déploiement de
l’électricité dans notre civilisation, sous le jour de son interaction
avec le matériel Vivant, depuis les tout débuts de sa découverte dans
les années 1750, jusqu’à nos jours comprenant même des projections dans
le futur. À noter que le titre se réfère à l’ensemble du spectre
électromagnétique comprenant les couleurs de l’arc-en-ciel, mais
également toutes les fréquences invisibles, comme le sont
les radiofréquence ou les champs générés autour des fils conducteurs.

1ère partie : l’électricité capturée dans une bouteille

En
1746, les premières découvertes liées à l’électricité virent le jour en
Europe. L’expérience de Leyde consistait à mettre en évidence le fluide
électrique grâce au frottement de la main sur un globe de verre mis en
rotation rapide. L’électricité statique produite faisait grande
impression dans les écoles, les foires et chez les privés qui
avaient les moyens financiers d’acquérir ce dispositif, en produisant
qui des arcs électriques, qui des électrocutions passagères. Le
phénomène de mode était tel qu’il était mal vu de penser que cette
électricité pouvait être dangereuse, même que les
électrocutions produisait céphalées, saignements de nez, fatigues chez
certains expérimentateurs ainsi que chez les animaux utilisés dans les
tests. La société était prise d’électromanie et les plus fervents à se
faire électrocuter en bonne compagnie, entre deux coupes de champagne
commencèrent à percevoir des symptômes néfastes. Malgré tout,
les établissements médicaux s’équipèrent de la fiole de Leyde (ancêtre
du condensateur) à des fins d’expérimentations médicales pour les
avortements ou d’autres applications. Ainsi naquit un tout nouveau
domaine de connaissances concernant les effets biologiques de
l’électricité sur les gens, les plantes, les animaux, connaissances qui
étaient alors bien plus vastes que celles de nos médecins contemporains
qui voient au quotidien des patients atteints des effets de
l’électricité sans même les reconnaître et qui pour la plupart ignorent
jusqu’à l’existence de ces connaissances.

Le sourd entend et le boiteux marche

Notant
les effets – rarement positifs – plus souvent négatifs de l’application
de tensions électriques aux organismes vivants, les chercheurs et
médecins en ont conclu que les organismes vivants fonctionnent en
conjonction avec l’électricité. Certaines guérisons ont été obtenues en
utilisant l’électricité, comme par exemple en 1851, le
neurologiste Duchenne qui traita la surdité de quelques dizaines de
patients au moyen d’impulsions électriques appliquées localement.
D’autres mises en évidence de la stimulation des systèmes nerveux,
cardiaque, cardiovasculaire, gustatif, sudatoire et autres,
par l’électricité produite dans des couples galvaniques furent
expérimentées, notamment par Volta en Italie, parmi d’autres chercheurs
en occident. Il fut constaté que le nombre des effets curatifs était
nettement moindre que les effets délétères dont on peut lire la liste
et qui comprennent les symptômes de l’électro-sensibilité (ES ) connus
aujourd’hui, comme céphalées, vertiges, nausées, confusion mentale,
fatigue, dépression, insomnie, etc.

Sensibilité électrique

Le
botaniste français Thomas-François Dalibard – qui a mené des
expériences électriques sur le Vivant – confie à Benjamin Franklin dans
une lettre datée de 1762 qu’il ne peut plus aller de l’avant pour cause
d’intolérance électrique de son organisme. C’est un des premiers
électro-hypersensibles (EHS) déclaré formellement. A en lire le
contenu, ce botaniste devait être fortement affecté. D’autres
professeurs et chercheurs font la même et triste expérience et doivent
cesser leurs travaux. Même le si renommé Benjamin Franklin fut atteint
d’une maladie neurologique chronique durant ses recherches sur
l’électricité, dès 1753, et les symptômes font largement penser à
de l’électro-hypersensibilité. Tant et si bien qu’à la fin du 18 ème
siècle, il fut de renommée populaire que l’électricité pouvait rendre
malade, selon le sexe, la morphologie et la condition physique des
individus. De même, on avait observé que certains individus réagissaient
fortement aux changements de météo, souvent corrélés à des
modifications électriques de l’atmosphère. Certains de ces sujets sont
connus jusqu’à nos jours, comme Christophe Colomb, Dante, Charles
Darwin, Benjamin Franklin, Goethe, Victor Hugo, Leonardo DaVinci, Martin
Luther, Michel-Ange, Mozart, Napoléon, Rousseau, et Voltaire.

La route délaissée

Durant
les années 1790, la science se trouva face à une crise d’identité quant
à l’interprétation et l’unification des quatre différents fluides que
sont l’électricité, la lumière, le magnétisme et la chaleur. Pour ce qui
est de l’électricité, on avait d’un côté la perception selon Luigi
Galvani qui considérait que l’électricité faisait partie intégrante
du Vivant et de l’autre Volta qui pensait que l’électricité n’était
qu’un effet « secondaire » des réactions chimiques internes au vivant.
Volta, inventeur de la pile électrique fort utile et pouvant
potentiellement être la source de retombées pécuniaires, eut gain de
cause contre la vision plus globale de l’interaction entre électricité
et vivant.

Maladie électrique chronique

Dès
la fin du 19 ème siècle, le paysage des villes fut métamorphosé par
l’installation de lignes de télégraphe partout dans les pays
industrialisés. Cette technologie utilisait des tensions de l’ordre de
80 volts sur un seul conducteur, le retour du signal se faisant par
la Terre. Alors naissent les premiers courants vagabonds auxquels le
Vivant fut exposé. On vit alors apparaître des maladies de civilisation
telle que la neurasthénie dont furent affectés Frank Lloyd Wright et
Theodore Roosevelt parmi d’autre personnalités. Notons au passage que la
neurasthénie s’apparente de très près à l’électro-hypersensibilité,
terme plus moderne pour désigner la même sensibilité à l’électricité.
Les télégraphistes employés à manipuler le courant électrique envoyé
dans les lignes, donc exposés à des champs électromagnétiques importants
furent frappés du mal télégraphique pour la moitié d’entre-eux environ.
Encore une fois, les symptômes étaient les mêmes que ceux de l’EHS.
Plus tard, vers 1915, ce furent les téléphonistes qui seront confrontés
aux même symptômes, car exposés durant de longues heures aux
champs électromagnétiques des communications, devant leur pupitre. En
1989, il fut noté qu’a Winnipeg, 47 % des opérateurs téléphoniques
étaient atteints des mêmes symptômes. 

Toutefois, en 1894, un
célèbre psychiatre viennois écrivit un article dont l’influence
fut grandement néfaste à tous les malheureux qui souffraient du mal
télégraphique, de neurasthénie, du syndrome des micro-ondes ou d’EHS. Au
lieu de voir la cause extérieure de la pollution électromagnétique, il
attribue ces symptômes à des pensées désordonnées ou à des émotions mal
contrôlées. Ainsi, on médicalise des millions de citoyens affectés par
le smog électronique au lieu de réduire leur exposition à ce polluant.
Sigmund Freud renomma la neurasthénie – dont on connaissait bien
l’origine électrique – en névrose d’angoisse ou attaque d’anxiété ou
encore attaque de panique. Ainsi, le déploiement sans précaution de
l’électrification put continuer sans entrave. A noter qu’en Russie, la
neurasthénie est listée comme maladie environnementale car la
redéfinition abusive de Freud fut refusée.

Le comportement des plantes

Sir
Jagadis Chunder Bose ainsi que d’autres chercheurs menèrent de
nombreuses expérimentations électriques sur les plantes et d’autres
organismes vivants, avec des résultat démontrant de nets effets. Il
découvrit que les nerfs végétaux ou animaux ont des comportements
variables et que la résistivité de ceux-ci peut fortement varier
en fonction du courant appliqué et de sa polarité. Aussi, il nota que
l’intensité de courant nécessaire à modifier la conductivité des nerfs,
respectivement la tension appliquées est infinitésimale, de l’ordre de
0,3 microampères (0,3*10-6 ). Il se trouve que ce courant
est nettement inférieur au courant induit par une conversation
téléphonique au moyen d’un cellulaire. Bose découvrit également que le
seuil de bio-activité d’un courant est de un femtoampère (1*10-15 )
! Comme ce chercheur étaient également versé dans les transmissions par
radiofréquences, il essaya de soumettre une plante à un signal radio
de 30 MHz à 200 mètres de distance et constata que la plante retarda sa
croissance durant le temps de l’émission. De même il démontra que la
circulation de la sève dans la plante était ralentie lorsque celle-ci
était irradiée par le même signal radio.

Maladie électrique aiguë

Dans
les années 1880, Londres fut alimentée en courant continu, mais
certains physiciens avaient découvert que la distribution du courant
alternatif générait moins de pertes ohmiques dans les fils. Il s’en
suivit une bataille des courants malgré que de nombreux scientifiques
dénonçaient les effets plus dangereux du courant alternatif,
dont Edison. D’ailleurs, ironiquement, c’est bel et bien du courant
alternatif qui est utilisé dans la chaise électrique, justement parce
qu’il est plus nocif. Tout le monde sait que le courant électrique de
secteur est… alternatif ! 

En 1889, l’électrification à grand
échelle débuta aux États-Unis et peu après en Europe. Cette même année,
comme par hasard, les médecins furent pris d’assaut par des malades de
la grippe qui jusque là n’apparaissait que rarement. Les symptômes
des victimes étaient bien plus neurologiques, du style neurasthénie, à
l’exclusion de troubles respiratoires. Cette pandémie dura quatre ans et
fit au moins un million de morts. 

En 2001, l’astronome canadien
Ken Tapping démontra que les trois derniers siècles de pandémies
grippales étaient corrélés à des pics d’activité solaire magnétique, sur
un cycle de onze ans. Il a également été constaté que certaines
épidémies de grippe se répandent sur des contrées énormes en juste
quelques jours, fait difficilement explicables par la contagion de
proche en proche. De même, de nombreuses expériences liées à
la contagion de proche en proche par contact, par projections de mucus
ou autres procédés se révélèrent infructueuses. 

Depuis 1933 à nos
jours, les virologues ne peuvent présenter aucune étude expérimentale
démontrant que la grippe se propage par contact normal entre
personnes. Toutes les tentatives ont échoué.

Le mystère de l’île de Wight

En
1904, les abeilles commencèrent à mourir sur l’île de Wight, suite à
l’installation d’émetteurs d’ondes radio par Marconi. Ces émetteurs
travaillent sur des fréquences proches du mégahertz. 

De l’autre
côté de la Manche, Jacques-Arsène d’Arsonval démontra que les
signaux électromagnétiques « pointus et crochus » sont beaucoup plus
toxiques que les signaux sinusoïdaux. 

En fait, Marconi, après un
an et demi d’expérimentation avec des émetteurs radio, en pleine santé à
22 ans, a commencé à développer des fièvres. Ces accès ne
disparurent pas jusqu’à la fin de sa vie. En 1904, alors qu’il était
occupé à réaliser un émetteur puissant pour des communications
transatlantiques, ces fièvres étaient si intenses qu’on a pensé à la
malaria. En 1905, il se maria à Beatrice O’Brien et après leur lune de
miel, ils s’installèrent sur l’île, à proximité d’un émetteur. Aussitôt
que Béatrice fut installée, elle nota des acouphènes. Après trois mois,
elle tomba malade d’une mauvaise jaunisse. Elle dut rentrer à Londres
pour donner naissance à un bébé qui ne vécut que quelques semaines et
mourut de « causes inconnues ». Dans le même laps de temps,
Marconi passa plusieurs mois dans la fièvre et le délire. Entre 1918 et
1921, il souffrit de dépression suicidaire, alors qu’il travaillait sur
un émetteur à ondes courtes. En 1927, alors qu’il était en voyage de
noce de son deuxième mariage, il s’effondra de douleurs thoraciques et
fut diagnostiqué de graves troubles cardiaques. Entre 1934 et 1937
alors qu’il développait la technologie micro-ondes, il subit neuf crises
cardiaques, la dernière le tua à l’age de 63 ans. 

Sur la même
île, à Osborn House, la reine Victoria fut atteinte
d’hémorragies cérébrales et mourut le soir du 22 janvier 1901, juste au
moment ou Marconi mit en marche un nouvel émetteur à moins de vingt
kilomètres de là. 

En 1901 il n’y avait « que » deux émetteurs
alors qu’en 1904, il y en avait quatre, faisant de ce cette île
l’endroit le plus irradié de la planète, ne laissant plus aucune
place aux abeilles pour survivre. En 1906, une enquête fut menée pour
constater que 90 % des abeilles avaient bel et bien disparu sans raison
apparente… De nouvelles colonies furent apportés sur l’île mais celle-ci
succombèrent également en une semaine. 

Cette épidémie se
propagea à travers l’Angleterre puis à travers le monde occidental pour
se stabiliser peu à peu, jusqu’à ce que les armées s’équipent de divers
émetteurs radio de haute puissance, vers la fin du premier conflit
mondial, en 1918, provoquant comme on l’a vu ci-dessus, la pandémie de
grippe espagnole qui en réalité débuta aux États-Unis, dans la Naval
Radio School de Cambridge, Massachusetts avec 400 cas. Cette épidémie se
propagea rapidement à 1 127 militaires au Camp Funston (Kansas), où
on avait introduit les connexions sans fil. Ce qui intrigua les médecins
fut que 15 % de la population civile était affectée de saignements de
nez alors que 40 % des marins de la US Navy en souffraient. D’autres
saignements apparurent également et un tiers des morts l’étaient par
hémorragie interne des poumons ou du cerveau. En fait, c’est la
composition du sang qui était modifiée, mesurée par le temps de
coagulation plus que doublé. Ces indications jurent avec les effets des
virus respiratoires de la grippe, mais sont totalement cohérents avec
les effets néfastes de l’électricité. Une autre incohérence était que
les victimes étaient pour deux tiers des jeunes en bonne santé. Encore
un symptôme atypique de la grippe, le pouls descendait à des valeurs de
36 à 48, alors que ce genre de situation sont courantes lorsqu’on est
exposés aux champs électromagnétiques. Aussi, certains purent être
soignés par des administrations massives de calcium. 

Le Dr.
Militaire George A. Soper, témoigna que le virus se propageait plus vite
que la vitesse de déplacement des personnes. Différentes expériences
furent menées pour contaminer des sujets de proche en proche, par
contact direct, ou inoculation de mucus ou de sang, sans pouvoir
démontrer la contamination. 

On observe que chaque nouvelle
pandémie de grippe correspond à une nouvelle avancée technologie
électrique, comme la grippe asiatique de 1957-58 subséquente
à l’installation d’un puissant système de surveillance par radars, la
grippe de Hong-Kong dès juillet 1968, subséquente à la mise en service
de 28 satellites militaires de surveillance spatiale à la hauteur des
ceintures de Van Allen nous protégeant des rayonnements cosmique.

L’enveloppe électrique de la Terre

La
Terre en rotation avec son centre constitué en majorité de fer,
protégée par, en premier lieu la ionosphère, puis la plasma-sphère –
délimitée par les ceintures de radiation de Van Allen entre 1 000 et 55
000 km d’altitude –, et sa traîne qu’est la magnétosphère, exposée aux
vents solaires en provenance de notre astre du jour, constitue une sorte
de dynamo, un système électrique complexe. Les échanges électriques
entre la croûte terrestre et l’atmosphère, voire la ionosphère sont
permanents et constants. Ils sont en équilibre précaire et une sorte de «
respiration » électrique, de tout le système a permis à la vie de se
développer sur notre planète chargée de ions négatif, par opposition à
la ionosphère chargée positivement. On note un champ électrique vertical
moyen de l’ordre de 130 volts par mètres, avec des valeurs
pouvant s’élever à 4 000 volts par mètre dans les orages par exemple. En
1953, on a aussi découvert un des paramètres primordiaux de cette
oscillation électrique de notre environnement, avec les fréquences de
Schumann (Winfried) respirant à 7,83 hertz, avec des harmoniques à 14,
20, 26, 32 Hz, appelées Très Basses Fréquences (TBF) ou Very Low
Frequencies (VLF).

Pas étonnant que les organismes vivant dans cet
environnement se soient imprégnés de ces valeurs physiques et que par
exemple nos rythmes cérébraux se situent dans ces plages de fréquences,
comme le rythme alpha entre 8 et 13 Hz. Si nous percevons les fréquences
visible – du bleu au rouge –, du spectre électromagnétique, certains
animaux sont en mesure de voir d’autres fréquences électromagnétiques,
comme les abeilles qui voient les ultra-violets ou ces salamandres ou
poissons-chat qui peuvent voir les basses fréquences électriques, alors
que les serpents voient les infra-rouges. 

Des expériences en
laboratoire sur les hamsters, par exemple, démontrèrent que la réduction
de la température et de la durée du jour ne suffisait pas à les mettre
en hibernation. De même, des hamsters élevés en cage de Faraday
refusaient d’hiberner même que les paramètres de lumière et de
température étaient hivernaux, jusqu’au moment où la protection de
Faraday fut supprimée. D’autres expériences furent menées, par exemple
en 1967, à l’institut Max Plank, par le physiologiste Rütger Wever,
en utilisant deux chambres enterrées, sans fenêtre ni contact extérieur,
l’une blindée électromagnétiquement, l’autre non. Il fut démontré que
dans la chambre blindée, les rythmes circadiens des sujets volontaires
se désynchronisaient et pouvaient varier entre 12 et 65 heures, avec des
troubles métabolique, alors que les sujets de la chambre immergée dans
les champs terrestres gardaient un rythme cohérent proche de 24
heures et que leur métabolisme continuait de fonctionner plus
normalement. On a démontré scientifiquement que le Vivant a besoin
d’être baigné dans le système électromagnétique de notre environnement
naturel pour bien fonctionner. 

D’ailleurs, l’acupuncture,
médecine traditionnelle millénaire chinoise utilise nos propriétés
électriques en modifiant les connexions des méridiens. Il fut
démontré récemment, dès les années 1950, que ces méridiens correspondent
bel et bien à des circuits électriques et que le Qi chinois correspond à
la notion d’électricité. Ces méridiens ont double fonctions, d’une part
ils transportent les informations et l’énergie interne à l’organisme
d’un organe à l’autre, mais encore, ils servent d’antennes pour capter
les flux électromagnétiques environnementaux. 

Au début des années
1970, les physiciens atmosphériques découvrirent que le
champ magnétique terrestre était passablement dérangé par l’activité
électrique humaine. En effet, en injectant un signal dans l’espace et en
captant son écho, on s’aperçut que le signal initial avait été modifié
par des multiples des 60 Hz du réseau électrique utilisé en Amérique du
Nord. 

Ceci n’empêcha pas de lancer le projet HAARP pour délibérément modifier les propriétés électromagnétiques de notre planète. 

De
même, les ceinture de Van Allen nous protégeant des rayons cosmiques,
ont été déjà altérées par notre activité électrique et il se pourrait
qu’initialement, ces ceintures double n’aient été qu’une ceinture simple
qui, face à l’émission de charges électriques humaines dans l’espace se
soient détériorées en son milieu. 

Des observations satellites
montrent que les rayonnements produits par les lignes de haute tensions
occultent souvent les rayonnements naturels des éclairs. 

Dans ce
contexte, il est logique de penser que les pandémies de grippes connues
ces dernière décennies soient liées à l’activité électrique humaine.

Porphyrines et la base de la Vie

Dans
toute transformation d’énergie dans le domaine biologique, les
porphyrines [pigments formés de quatre molécules de pyrrole] sont
impliquées. Si nos nerfs peuvent fournir leur office, c’est grâce entre
autre aux porphyrines qui sont impliquées dans le fonctionnement de nos
cellules. Ce sont des molécules spéciales qui sont l’interface
entre l’oxygène et la vie. Ces molécules sont hautement réactives et
elles interagissent avec les métaux toxiques ou les éléments
synthétiques issus du pétrole, les champs électromagnétiques, qui s’ils
sont en excès provoquent la porphyra, plus une
sensibilité environnementale qu’une maladie. 

Les recherches du Dr
William E. Morton démontrèrent que les personnes atteintes
de sensibilité chimique multiples (MCS) sont également à 90% déficientes
en l’une ou l’autre formes d’enzymes porphyriques, de même que pour les
personnes électro-hypersensible, ce qui signifie que les deux formes de
sensibilités ne sont que des manifestations différentes d’une même
cause. La porphyrie découverte en 1891 affecte environ 10% de la
population moderne et son apparition est concomitante avec
l’électrification générale de l’Occident dès 1889. 

Les
porphyrines sont centrales dans le smog électronique non pas seulement à
cause de l’EHS, la MCS ou la porphyrie, mais également en ce qui
concerne les maladies cardiovasculaires, le cancer, le diabète, du fait
qu’elles sont impliquées dans une multitude de processus énergétiques
biologiques. 

Le biologiste Allan Frey ainsi que Wlodzimierz
Sedlak démontrèrent dans les années 1960 que nos organismes ont bien une
composante bio-électronique et que certaines de nos cellules se
comportent tantôt comme des conducteurs, ou des capacitances, ou
des semi-conducteurs (transistors) comme les composant que nous trouvons
dans nos appareillages électroniques. Ainsi, il en va de la myéline
–gaine de nos nerfs–, qui contient de la porphyrine intriquée avec du
zinc. Si des poisons environnementaux comme les produits chimiques ou
métaux toxiques affectent cet équilibre, la gaine est altérée, ce qui
change l’excitabilité des nerfs qu’elle entoure. Le système nerveux
entier devient alors hyper-réactif au stimulus de toutes natures, comme
les champs électromagnétiques. Le système entre dans un état
d’instabilité divergente, l’effet devenant la cause. 

Contrairement
à la conception que les mitochondries sont les éléments de nos
cellules produisant l’énergie, l’idée que la gaine de myéline est une
mitochondrie géante voit le jour. 

La connexion entre porphyrie et
zinc a été découverte dans les années 1950 par Henry Peters à la
Medical Schoold du Wisconsin. Les patients souffrant de porphyrie et
de symptômes neurologiques excrétaient beaucoup de zinc dans les urine,
ainsi il lui vint à l’idée qu’une chélation du zinc pourrait améliorer
leur état. Il constata une amélioration, malgré l’idée répandue qu’une
carence en zinc est liée aux troubles cités. De même, certaines
expériences montrent que la chélation du zinc améliore la condition
d’Alzheimer. Une équipe médicale australienne démontra par autopsie que
les cerveaux de sujets atteints d’Alzheimer contenaient deux fois plus
de zinc que ceux de patient sains.

2e partie : au présent

Cœur irritable

En
1980, les arrêts cardiaques chez les jeunes athlètes étaient rares,
seulement neuf cas sur l’année. Á partir de cette date, les cas
augmentèrent constamment de 10% par année jusqu’en 1996 ou soudainement
ce taux doubla pour atteindre 64 cas puis, 66 l’année suivante et 76 la
dernière année de l’étude. La communauté médicale américaine n’avait pas
d’explication, tandis qu’en Europe, en 2002, un appel des
médecins environnementaux allemands demandait un moratoire sur les
antennes-relais car leurs ondes provoquaient des troubles
cardiovasculaires. C’était l’Appel de Fribourg

Le Dr Samuel Milham,
épidémiologiste du département de la santé américain, démontra dans ses
travaux que les maladies cardiovasculaires, le diabète et le
cancer sont largement, si pas entièrement provoqués par l’électricité. 

Paradoxalement,
les études sur le cholestérol datant du début du vingtième siècle
ne démontraient pas un risque plus élevé de maladies cardiovasculaires
corrélées au taux de cholestérol, contrairement à ce qui est communément
admis de nos jours. Une étude sur les animaux du zoo de Philadelphie
montre que de 1916 à 1964, le taux de cholestérol chez les mammifères et
les oiseaux augmenta d’un facteur 10 à 20, alors que leur régime
alimentaire était resté strictement le même ! Le paramètre qui
avait drastiquement changé était bien l’augmentation des
radiofréquences. 

Durant la seconde guerre mondiale, un certain
nombre de soldats se plaignit de symptômes similaires à la neurasthénie.
D’abord, on pensa selon la doctrine de Freud, qu’ils étaient affectés
de trouble anxieux, puis, une étude sur 144 cas fut menée par le Dr
Mandel Cohen. Cette étude révéla qu’effectivement, ces soldats
étaient physiologiquement moins résistants, avec un cœur irritable. Ils
souffraient d’une difficulté d’assimilation de l’oxygène et devaient
respirer deux fois plus que leurs collègues en meilleure santé pour
capter suffisamment d’oxygène. Il s’avéra que leurs
mitochondries étaient inefficientes. Au bout du compte, il fut démontré
que ces soldats étaient hypersensibles au sens général, mais en
particulier à l’électricité. 

En Union Soviétique, dès les années
1950, il fut aussi observé que les radiofréquences modifiaient les
électrocardiogrammes des personnes exposées, par la modification de
l’efficacité des mitochondries. (Lire l’article de Firstenberg sur l’histoire de l’électrohypersensibilité.)

Les diagrammes de Milham des statistiques
du nombre de morts par maladies cardiaques en fonction du degré
d’électrification des états américains en 1931 et 1940 sont en
outre également très explicites, ne laissant aucun doute quant à la
toxicité des champs électromagnétiques sur la cœur, innocentant le
cholestérol et l’alimentation jugée trop riche en graisses.

La transformation du diabète

Thomas
Edison, impliqué dans les découvertes liées à la technologie électrique
et donc baignait dans les champs électromagnétiques plus que le reste
de ses concitoyens de l’époque fut diagnostiqué d’une maladie fort rare
en 1882, le diabète. Un autre chercheur, Alexander Graham Bell, actif
dans le domaine de la télégraphie et inventeur du téléphone, était connu
pour ses plaintes incessantes concernant ses symptômes de
neurasthénie, appelés aujourd’hui EHS. En 1915, il fut diagnostiqué de
diabète également. 

En 1876, l’ouvrage Diseases of Modern Life
par Ward Richardson décrit le diabète comme une maladie moderne rare,
causée par l’épuisement aux travaux mentaux ou par choc du système
nerveux. 

Naturellement, l’apport excessif en sucre toxique et
addictif dans notre alimentation moderne a la part belle pour expliquer
qu’aujourd’hui, le diabète, incluant le pré-diabète, touche plus de la
moitié des américains. Mais l’explication est simpliste. 

Elliot Joslin
a montré qu’entre 1900 et 1917, l’apport en sucre avait augmenté de 17%
alors que la mortalité par diabète avait doublé. Plus tard, en 1987,
une étude sur les Amérindiens fut menée, démontrant des proportions
radicalement différentes de mort par diabète selon les territoires,
variant de 7 pour mille dans le nord-ouest à 380 pour mille en Arizona !
Durant ces années, ni le mode de vie ni le régime alimentaire
ne pouvaient justifier un pareil écart. Par contre un facteur
environnemental peut expliquer une telle différence. En effet,
l’électrification des réserves d’indiens fut inégalement menée et celles
du nord-ouest n’ont été électrifiées que bien plus tardivement.
Par contre, la réserve de l’Arizona est située aux abords immédiat de
Phoenix. Par ailleurs cette communauté indienne avait sa propre
installation électrique et son entreprise de télécommunication. 

Un
autre exemple étant la population brésilienne, gros producteur de sucre
depuis des siècles qui ne connaissait pas le diabète en 1870 alors
qu’il apparaissait déjà comme maladie de civilisation en Amérique du
Nord. Aujourd’hui encore, les Brésiliens consomment 70 kg de sucre
raffiné par an et par personnes, plus que les Nord-Américains, et malgré
cela, ils ont passé deux fois et demi moins de cas de diabète qu’aux
USA. 

Au Bhoutan, le diabète était pratiquement inexistant
jusqu’en 2002, après que l’électrification du pays ait commencé. En
2004, 634 nouveaux cas de diabète furent annoncés, en 2005 944, en 2006
1 470, en 2007 2 540 avec 15 morts. En 2012, on dénombra 91 morts et le
diabète était la huitième cause de mortalité dans le pays, malgré que le
régime alimentaire n’avait pas changé ! 

Le smog électronique
agissant sur les mitochondries, comme nous l’avons vu au chapitre
précédent, empêche une bonne utilisation du sucre absorbé, à savoir
la combustion du sucre. Celui-ci, ne pouvant pas être converti en
énergie mécanique est stocké sous forme de graisse par l’organisme. 

Les diagrammes des statistiques du nombre de morts par diabète
en fonction du degré d’électrification des états américains en 1931 et
1940 sont en outre également très explicites, ne laissant aucun doute
quant à l’implication des champs électromagnétiques sur l’apparition du
diabète à grande échelle, innocentant la consommation de sucre, dans une
certaine mesure. 

En 1997, on note aux USA, une augmentation des
cas de diabète de 31 %, sur une année. Elle correspond exactement à
l’introduction massive des téléphones cellulaires dans ce pays. 

Cancer et le déficit de Vie

En 2005, la Cour suprême d’Italie condamna le Cardinal Roberto Tucci,
président sortant de Radio Vatican d’avoir créé par négligence, une
nuisance publique en polluant l’environnement de radiofréquences. En
effet, dans la période de 1997 à 2003, les enfants demeurant dans un
rayon de 12 kilomètres des antennes eurent des taux de leucémie,
lymphomes ou myélomes huit fois supérieurs à ceux qui résidaient à une
plus grande distance. Il en alla de même pour les adultes, avec un taux
sept fois supérieur. 

Otto Heinrich Warburg docteur et professeur
allemand, prix Nobel de médecine en 1931, démontra que le cancer est une
régression des cellules privées d’oxygène, les poussant à se multiplier
anarchiquement comme dans un monde primitif où l’oxygène n’était pas
présent tel qu’il l’est aujourd’hui. La privation d’oxygène initiale est
elle due à un dysfonctionnement des mitochondries, dont on a vu
ci-dessus qu’il peut être provoqué par les champs électromagnétiques ou
d’autres polluants comme la fumée, les pesticides, les additifs
alimentaires et la pollution de l’air. Le même principe de déficit
d’oxygène aux cellules est valable pour le diabète et c’est pourquoi, on
trouve un taux plus élevé de cancers chez les diabétiques que dans le
reste de la population. 

Au zoo de Philadelphie, dans la période
de 1901 à 1955, on nota une élévation du taux de tumeurs malignes chez
les mammifères variant entre 2 fois plus et 22 fois plus entre les deux
dates. 

Des statistiques de morts par cancer montrent une bonne
corrélation entre l’électrification des pays et le taux de cancers. Par
exemple aux USA, sur le période de 1841 à 1850, le taux était de 6,6
pour mille. Il fit plus que doubler pour la prochaine période de 1851 à
1860, avec un taux de 14 pour mille. L’explication est fournie par
le déploiement massif du télégraphe en 1854. 

En 1914, parmi les
63 000 Amérindiens vivant dans des réserves sans électrification, on
dénombra deux morts par cancer, alors que dans le reste du pays le taux
de mortalité par cancer était 25 fois plus élevé. 

Entre 1920 et
1921, la mortalité par cancer augmenta entre 3 et 10 % dans les
pays occidentaux, suite à l’introduction des premières stations
d’émission radio AM. 

Les chercheurs suédois Olle Johansson et Orjan Hallberg
démontrèrent une nette corrélation entre les taux de cancer du sein, de
la prostate et des poumons, avec l’exposition de la population aux
radiofréquences. Ils ont consigné une augmentation significative de ces
taux en 1920, 1955, 1969 et une diminution (!) en 1978, ce
qui correspond à l’évolution du smog provoqué par les radiofréquence,
respectivement l’introduction de la radio AM, celle de la radio FM et la
TV1, arrivée de la TV2 en couleur, puis cessation des émission en radio
AM. Ces même chercheurs ont également découvert une excellente
corrélation linéaire entre le nombre d’émetteurs radio FM par unité
de surface et l’incidence des mélanomes, les endroit exposés ayant 11
fois plus de mélanomes que les zone blanches. De plus, ils ont mis en
évidence que les mélanomes n’apparaissent que rarement sur les zones du
corps les plus exposées au soleil, comme le front, le nez, les épaules
et les pieds, mais plutôt aux endroits du corps habituellement protégés
du soleil. Qui plus est, la prolifération des cancers de la peau arriva
avant la mode des vacances balnéaires ou l’exposition solaire est
intense. La démonstration est faite que les mélanomes ne sont pas
l’objet principal du soleil, mais celui des radiofréquences. 

Les diagrammes des statistiques de la mortalité par cancer
en fonction du degré d’électrification des états américains en 1931 et
1940 sont en outre également très explicites, tels qu’ils le sont pour
le diabète et les maladies cardiovasculaires, ne laissant aucun doute
quant à l’implication des champs électromagnétiques sur la prolifération
des cancers. 

Les données honnêtes concernant les tumeurs du
cerveau sont rares car le lobby de la téléphonie mobile s’est infiltré
depuis des décennies dans ce milieu pour mandater des études biaisée.
L’une d’elle montrant même une diminution de l’incidence de
tumeurs corrélée à l’usage intensif du téléphone cellulaire! Toutefois,
un chercheur de l’Université de Calgary mit en évidence une augmentation de 30 % d’incidence de tumeur malignes du cerveau sur la période de 2012 à 2013 et Dr Lennart Hardell,
professeur d’oncologie à l’hôpital universitaire d’Orebro en Suède,
démontra que 2 000 heures d’usage d’un cellulaire augmente le risque de
tumeur d’un facteur compris entre trois et huit, dépendant de l’âge du
sujet et de ses habitudes téléphoniques. 

En 2000, Neil Cherry analysa les taux de cancer des enfants de San Francisco
en fonction de la distance entre leur résidence et l’émetteur
télévision et radio FM Sutro Tower. Les enfants vivant sur des collines
ou sur des crêtes furent plus touchés. Ceux qui vivaient à moins de un
kilomètre de l’antenne eurent des occurrences 9 fois supérieures de
leucémies, 15 fois plus pour le lymphome, 31 fois pour le cancer du
cerveau. Dans l’ensemble, un taux 18 fois supérieur à ceux qui vivaient
en dehors de ce rayon de un kilomètre.

Vie ralentie

Dans
le Traité pratique de l’épuisement nerveux de George Miller Beard,
électrothérapeute et ami de Thomas Edison, publié en 1880, on peut lire
une observation intrigante : Même si ces difficultés ne sont pas
directement fatales, qu’elles n’apparaissent pas directement dans les
tables de mortalité, au contraire, elles pourraient tendre à prolonger
la vie et à protéger l’organisme des maladies inflammatoires, il n’en
demeure pas moins que la souffrance est énorme. Ceux qui souffraient le
plus semblaient plutôt jeunes pour leur âge. Plus loin, Beard note
qu’une rare maladie semble plus volontiers habiter les sujets
neurasthéniques que le reste de la population, il s’agit du
diabète. Beard, avait déjà observé que l’extension de l’espérance de vie
n’allait pas de paire avec la qualité de celle-ci. La mystérieuse
corrélation entre les souffrances des neurasthéniques – dont les
symptômes sont les même que ceux des personnes électrohypersensibles
contemporaines –, et l’extension de leur vie montrait du doigt
un dysfonctionnement majeur. 

En outre, de longue date il a été
observé qu’un mode de vie ascétique, doté d’une alimentation pauvre en
calorie avait pour faculté de prolonger l’espérance de vie et la santé.
C’est par exemple le cas de la population d’Okinawa dont le nombre de
centenaires est quarante fois supérieur à la population des préfectures
plus riches, situées plus au nord. 

Des chercheurs dans le domaine
du vieillissement ont souligné que le moteur de notre vie est le
système de transport des électrons dans les mitochondries de
nos cellules. C’est là que se combinent l’air que nous respirons et ce
que nous mangeons, à une cadence qui détermine notre taux de
vieillissement, d’où notre espérance de vie. Si un ralentissement de la
combustion réalisé au sein de nos cellules en modérant la quantité
d’énergie acheminée peut être bénéfique, un autre mode de
ralentissement peut par contre lui être néfaste. C’est l’empoisonnement
de la chaîne de transport des électrons. Une des possibilités
d’empoisonnement est l’exposition chronique aux
champs électromagnétiques artificiels. Cette pollution qui ne cesse de
croître exerce des forces extérieures sur les électrons de nos
mitochondries, les ralentissant, privant nos cellules d’oxygène et
provoquant les symptômes de l’EHS.

Vous dites que vous pouvez entendre l’électricité ?

En
1962, une femme contacta l’université de Santa Barbara (CA, USA) pour
qu’on l’aide à trouver la source du son mystérieux qu’elle entendait
partout chez elle, dans un quartier pourtant calme. Cela l’empêchait de
dormir et nuisait à sa santé. Des mesures montrèrent effectivement des
champs électromagnétiques particulièrement forts émanent de tous les
conducteurs électriques, aussi bien du réseau que des radiateurs
ou autres éléments métalliques, mais le stéthoscope restait quant à lui,
silencieux. L’ingénieur se livra à une expérience, enregistrant sur
bande les champs mesurés et les diffusa à la femme affectée par ces
bruits. Elle confirma que c’est bien ce qu’elle entendait. Ainsi, cette
femme entendait les champs électromagnétiques de son environnement. Des
installations de mise à la terre et des filtres électroniques
furent installées afin de réduire les perturbations à un niveau
acceptable. 

Mais auparavant, entre autres chercheurs, Volta avait
déjà expérimenté la production de sons variés en appliquant une tension
au niveau des oreilles avec succès. Bien plus tard, dans les années
1960 également, le biologiste Allan Frey publia des articles sur la capacité de certains sujets à entendre les émissions d’une installation de radar. 

Le
modèle mécanique de fonctionnement de l’oreille tel qu’il est enseigné
dans les écoles ne permet pas d’expliquer ces phénomènes observés.
Constatant cela, le biochimiste Lionel Naftalin développa un nouveau
modèle de fonctionnement de l’oreille humaine, prenant en compte le
phénomène de piézo-électricité, bien connu et utilisé par les
électroniciens, qu’il découvrit dans le gel recouvrant les cils de
l’oreille interne. Dans ce gel trouvé nul part ailleurs dans le corps
humain et ayant des propriétés électriques très particulières, une
tension de 100 à 120 millivolts était présente, ce qui est beaucoup dans
le domaine de la bio-électronique. Ce gel piézo-électrique transforme
les ondes sonores en un signal électrique communiqué aux cils de
l’oreille interne. Ce nouveau modèle révisé du fonctionnement de
l’oreille humaine permet alors d’expliquer que, non seulement certains
sujets dans certaines conditions arrivent à entendre un
signal électromagnétique, mais également que tant de citoyens
contemporains souffrent d’acouphènes, ou encore que certains groupes de
citoyens entendent le bourdonnement (hum), un peu partout autour de la planète à raison de 2 à 11% de la population. 

Aujourd’hui,
environ 44 % des adultes américains ont des acouphènes à divers niveaux
d’intensité, alors qu’en Suède, le nombre de jeunes affectés était de
12 % en 1997 et de 42 % en 2006 ! Ces bruits parasites sont en grande
partie le résultat d’un environnement fortement pollué en champs
électromagnétiques artificiels de toutes natures.

Abeilles, oiseaux, arbres et humains

Alfonso
Balmori Marinez, biologiste espagnol, a corrélé la densité de
population de moineaux aux valeurs d’irradiations en radiofréquences de
leurs endroits de vie. Dans les lieux le plus irradiés, au-dessus de 3
V/m, les moineaux ne peuvent plus vivre, alors qu’ils sont encore 42
sujets par hectare si le niveau est de 0.1 V/m. Il a également observé
une nette modification du comportement des cigognes qui se battent au
sein du couple plutôt que de construire le nid ou couver les œufs, si
elle sont à proximité (200 m) d’une antenne-relais. 

Le
Royaume-Uni a classifié le moineau domestique comme espèce en voie
de disparition après que sa population ait décliné de 75 % entre 1994 et
2002, période qui coïncidence avec le déploiement de la téléphonie
mobile. 

Les éleveurs de pigeons voyageurs de plusieurs continent
constatent que jusqu’à 90 % des volatiles lâchés ne retrouvent pas le
chemin de retour au pigeonnier, alors que traditionnellement, cette
proportion était négligeable. En 2000, les éleveurs anglais tentèrent de
modifier le trajet de la course afin d’éviter les antenne-relais pour
laisser une meilleure chance aux pigeons. En 2004, ces mêmes éleveurs
mandatèrent de plus amples études sur l’impact des micro-ondes sur les
pigeons. 

En 2002, le US National Park Service diffusa une note
aux biologistes étudiant le comportement des animaux sauvages expliquant
que les puces RFID de localisation par radiofréquences attachées à ces
animaux peuvent radicalement modifier leur comportement du fait des
radiofréquences générées. 

Dans des milieux pollués par les champs
électromagnétiques, les pinsons n’arrivent pas à s’orienter pour la
migration, alors que s’ils sont dans une cage de Faraday, ils
y parviennent. 

Une expérience sur les têtards de crapaud élevés
dans deux bassins distincts, à 140 mètres d’une antenne-relais, l’un
sans blindage électromagnétique et l’autre avec, montra un taux de
mortalité de respectivement 90 % et 4 % ! 

On trouve le même genre
d’effets délétères chez les insectes, lorsqu’ils sont soumis au smog
électronique que nous rencontrons au quotidien, et le Dr Panagopoulous
ayant expérimenté sur les drosophiles, nous informe que les expositions
aux micro-ondes à des niveaux communs, ne serait-ce que quelques minutes
par jour durant quelques jours, sont le pire agent stressant dont nous
ayons connaissance dans nos vies courantes. Pire que les produits
chimiques ou les champs électromagnétiques basse fréquences. 

Les
abeilles sont également impactées comme nous l’avons vu au début de ce
résumé traitant de l’île de Wight. Le Dr Daniel Favre (Suisse) a
démontré qu’en présence de micro-ondes, les abeilles émettent le son
typique entendu lors de l’essaimage, ce qui porte à croire que les
insectes veulent fuir la source d’émission. Communément, on incrimine le
varroa dans le syndrome d’effondrement des colonies, mais on oublie
que cette mite a cohabité durant longtemps avec les abeilles. De plus,
on observe que même une colonie morte n’est aujourd’hui pas prise
d’assaut par les parasite, alors que c’était le cas « avant ». On
incrimine également les pesticides, mais comme on l’a vu plus haut, les
abeilles de l’île de Wight avaient bien disparu à 90 % sans que
l’endroit n’ait été traité aux pesticides. La véritable cause de
l’effondrement des colonies, ces sont les champs électromagnétiques
humains, spécialement la téléphonie mobile. 

Dans les années 1980,
un nouveau sujet d’actualité vit le jour : la mort des forêts. Le blâme
fut jeté sur les pluies acides, mais les régions les plus reculées,
baignées que dans de l’air pur furent touchées également. Des recherches
en Allemagne et en Suisse furent entreprises. Effectivement, le sol des
forêts touchées était acide, mais on détermina par observation et par
expérimentation que cette acidité peut également provenir
d’une électrolyse lente du sol via les arbres exposés à des ondes radar,
par exemple. D’ailleurs, les arbres des crêtes étaient plus touchés car
plus exposés par les nouveaux radars installés dans les années 1970. 

Une
autre observation fut faite lors de la chute du mur de Berlin. Les
gigantesques radars russes à Skruda qui irradiaient fortement toute la
région dans leur tâche de surveillance de l’ouest, avaient provoqué des
dégâts non seulement à la forêt, mais aux animaux et aux hommes
également. Après de multiples études, on trouva notamment que les
cercles de croissance des arbres durant les années de fonctionnement des
radars étaient nettement moins large qu’avant ou après celles-ci. 

A
Schwarzenbourg, en Suisse, une antenne de radio à ondes courtes fut
installée en 1939, puis la puissance d’émission fut augmentée à 450 kW
en 1954. S’en suivit une dégradation de la santé des habitants qui se
plaignaient des symptômes propres à l’EHS. Les enfants de ce village
avaient des difficultés à l’école et semblaient ne pas pouvoir accéder à
une formation supérieure contrairement aux enfants des villages voisins
moins exposés. Enfin, en 1992 une étude fut menée, confirmant que les
paramètres des analyses physiologiques des Hommes et des animaux du lieu
étaient anormales, ceci dans un rayon de 900 mètres autour de
l’antenne. Il fut également constaté que les anneaux de croissance des
arbres étaient compressés, mais seulement du côté d’où venaient les
radiations. Le 28 mars 1998, l’émetteur fut arrêté et une étude «
avant-après » fut réalisée, démontrant que le taux de mélatonine des 58
sujets testés remonta. Un villageois de 50 ans put enfin dormir une nuit
complète sans interruption, pour la première fois de sa vie. Le 29 mai
1996, Philippe Roch, directeur de l’Office de l’environnement déclara «
qu’une corrélation entre les troubles du sommeil et les opérations de
transmissions était prouvée ».

Au pays des aveugles

Combien
faudra-t-il encore attendre avant de pouvoir dire « ton cellulaire me
tue ! » plutôt que « Je suis électrohypersensible ». Et pourtant le
nombre de gens souffrant de céphalées à cause de l’usage de leurs
cellulaires est énorme. En 2010, deux tiers des étudiants à l’université
ukrainienne interrogés admirent le fait. La question étant qu’il n’est
pas socialement acceptable de l’admettre ouvertement. Madame Gro Harlem Brundtland
était EHS, alors qu’elle dirigeait l’Organisation mondiale de la
santé. Elle ne s’en cachait pas, mais un an plus tard, elle a dû laisser
sa place. Les autres personnages publiques de haut rang ne seront pas
aussi loquaces. 

Seule une minorité des personnes souffrant de la
pollution électromagnétique savent de quoi elles souffrent, alors qu’une
large majorité l’ignore. La population entière est électrocutée à
distance et l’on doit presque s’excuser d’être électrosensible ou
plus exactement électrohypersensible, comme si on devait s’excuser
d’être « cyanurehypersensible », car la vérité est que l’électricité
telle qu’utilisée actuellement est toxique. D’ailleurs, les graphes
statistiques montrent clairement une augmentation de la mortalité des
citoyens de neuf villes américaines, peu après la mise en service
des premières antenne-relais. Cette surmortalité va de 25 à plus 80 %. 

Une
enquête demandant aux New-Yorkais de s’annoncer si un certain nombre
de symptômes relatifs à l’EHS étaient apparus chez eux à partir du 15
novembre 1996, par le biais d’un journal quotidien, récolta des
centaines de témoignages, toutes classes raciales ou sociales
confondues. La date en question était celle de la mise en service
du premier réseau de téléphonie mobile cellulaire. 

L’organisation Cellular Phone Task Force
qu’Arthur Firstenberg a démarrée en 1996, croule sous les demandes
d’aides de personnes blessées par les radiofréquence micro-ondes. Il
semble qu’il n’y ait bientôt plus nulle part où aller tant les émetteurs
de toutes natures ont proliféré, tant WiFi, que WiMAX, stations radar
ou encore les irradiations venant du ciel, comme les satellites de
télécommunication. 

Pr Olle Johansson,
du célèbre institut Karolinska décernant les prix Nobel de médecine,
s’occupa dès 1977 de démontrer les effets du smog électronique sur le
Vivant. Le succès de ses études le marginalisa dans son institut, les
budgets pour ses recherches disparurent, il reçut des menaces de mort et
à une occasion, il échappa de peu à une tentative de meurtre par
sabotage de sa moto. Malgré tout, il continue d’informer le monde sur la
vérité pour défendre, entre autre, les EHS dont la vie est un enfer
sur Terre. Il est dégoûté de la façon dont les autorités de pays
soit-disant « démocratiques » laissent tomber les victimes des
radiofréquences. 

Dr Erica Mallery-Blythe
a la double nationalité anglaise et américaine, termina ses études en
1998. En 2007, suivant son mari pilote de F-16 aux USA, elle
devint sévèrement atteinte par l’EHS, à son insu. Ses recherches sur
internet lui permirent enfin de comprendre ce qui lui arrivait. Elle se
demanda en tant que médecin, comment une atteinte aussi profonde et
invalidante pouvait exister sans qu’elle n’en ait jamais entendu parler
dans sa profession. Par acquit de conscience, elle décida de se
soumettre à un IRM, afin d’éliminer tous risques de cancer du cerveau.
Elle crut que sa fin était imminente alors que les pulsations hautes
fréquence furent enclenchées. Elle retrouva toute sa santé et sa
vitalité à la Death Valley épargnée des radiofréquence. Désormais, elle
se consacre à informer et aider les au moins 5 % de personnes EHS,
totalement laissées pour compte par les autorités. 

Yury Grigoriev,
considéré comme le grand-père de la recherche sur le CEM en Russie, est
très inquiet pour les jeunes en particulier, tout en mentionnant que
c’est la première fois dans l’histoire de l’humanité que l’on expose
ouvertement son cerveau aux micro-ondes, ce qui est grave aux yeux d’un
radiobiologiste. Il cite notamment une étude coréenne démontrant que le
trouble du déficit de l’attention (ADHD) chez les enfants va de pair
avec l’usage du cellulaire connecté. 

Leif Salford,
un neurochirurgien suédois, et son équipe, prouva dans la fin des
années 1990 que le cellulaire rend perméable la barrière
hémato-encéphalique, provoquant la maladie d’Alzheimer. En 2003 ils
démontrèrent qu’une exposition unique de seulement deux heures laisse
des dommages permanents au cerveau. 

En 2015, des scientifiques
turcs irradièrent des rats, une heure par jour pendant un mois, au moyen
d’ondes typiques de téléphone cellulaire. Les rats irradiés avaient 10
% de moins de cellules cérébrales que ceux qui avaient été épargnés. La
même équipe expérimenta sur des rattes portantes, pendant 9 jours au
même taux de radiations. Leur descendance montrait des dégénérescences
de leur cerveau, moelle épinière, cœur, reins, foie, rate, thymus et
testicules. La même expérience répétée sur des jeunes rats provoqua une
atrophie de la moelle épinière avec diminution de la myéline, similaire à
ce que l’on observe dans la sclérose en plaque. 

En septembre
1998, les 66 premiers satellites de la téléphonie spatiale furent mis
en service, causant un accroissement de la mortalité nationale
américaine de près de 5 %, durant les deux semaines suivantes. Durant la
même période, on observa que les oiseaux ne volaient plus et les
personnes EHS étaient spécialement malades. Aujourd’hui, nous sommes
survolés par environ 1’100 satellites artificiels, mais plusieurs
entreprises projettent de lancer jusqu’à 4 600 nouveaux satellites de
communication chacune d’ici 2020, pour couvrir toute la planète en accès
internet rapide. Il s’agit de Google, Facebook, SpaceX, OneWeb et
Samsung. En 1968, même la première flottille de 28 satellites militaires
provoqua une pandémie de grippe mondiale. Contrairement
aux antenne-relais dont les radiations sont très atténuées en arrivant
dans la magnétosphère, les satellites agissent directement sur celle-ci,
selon des mécanismes encore mal compris, compromettant la Vie sur
Terre. Nous oublions les avertissements de Ross Adey, le grand-père de
la bio-électromagnétique et du physicien atmosphérique Neil Cherry
que nous sommes électriquement réglés pour le monde nous entourant et
que le niveau d’exposition en radiofréquences sûr est zéro. Le besoin
urgent d’agir contre cette initiative potentiellement catastrophique
peut être réalisé en s’approchant de l’association Global Union Against Radiation Deployment from Space (GUARDS)

En
2014, le médecin Tesuharu Shinjyo publia une étude « avant-après ». Il
évalua la santé de 122 habitants d’un immeuble sur lequel étaient
installées des antenne-relais. 21 souffraient de fatigue chronique, 14
de vertiges ou maladie de Ménière, 14 de céphalées, 17 de douleurs ou
infections oculaires, 14 d’insomnies, 10 de saignements de
nez chroniques. Cinq mois après que les antennes aient été éliminés, il
ne subsista que 2 cas d’insomnies, 1 cas de vertiges, 1 cas de céphalées

L’urgence en matière de droits humains qui touche des
centaines de millions de citoyens à l’échelle planétaire et l’urgence
environnementale menaçant d’extinction de si nombreuses espèces
végétales et animales doit être affrontée avec clairvoyance.


Pour sensibiliser les étudiants et les scientifiques, l’association ARA a fait don du livre “The Invisible Rainbow – A History of Electricity and Life” d’Arthur Firstenberg aux bibliothèques universitaires de Genève, Fribourg, Lausanne, Zürich, Berne et Bâle.
Le livre (ISBN 978-0-692-68301-9) est disponible en prêt via https://www.swissbib.ch




Covid-19 : on tient un suspect !

[Source : Néo Santé]

Ça va, vous tenez le coup dans ce monde devenu fou ?   Moi, je vous avoue que la situation commence déjà à me peser. Je n’ai jamais supporté que mes enfants soient tristes, or ma fille aînée m’a confié hier sa tristesse d’avoir assisté à une violente dispute dans un magasin entre trois personnes : l’une d’entre elles avait approché les deux autres à moins d’1,5 m, ce qui ne leur a pas plu du tout !  Voilà où nous conduit cette virophobie démentielle ayant accouché du confinement généralisé.  Il faut stopper ce cauchemar au plus vite ! Cette semaine, je pare au plus pressé et je me focalise sur la situation en Italie. Comme le répète invariablement l’infectiologue Didier Raoult dans ses vidéos devenue virales, les pandémies sont une fiction. Ça n’existe pas, ça n’a jamais existé et ça n’existera  sans doute jamais. Les flambées épidémiques sont écosystémiques et doivent s’analyser dans leur contexte biotopique.  De quel(s) déséquilibre(s) relationnel(s) entre les êtres humains et leur environnement sont-elles la conséquence ?   Concernant Wuhan, nous en sommes réduits au jeu des hypothèses. Selon une source que je ne citerai pas encore car je n’ai pas pu la recouper, une pollution majeure suivie d’une vive protestation populaire durement réprimée pourrait avoir été le facteur déclencheur. Mais il faudrait pouvoir longuement enquêter sur place pour étayer cette possibilité. Laissons la Chine de côté puisque, de toute façon, la maladie baptisée Covid-19 et attribuée au coronavirus SARS-Cov2 y a quasiment disparu. Ce qui n’est pas du tout le cas de l’Italie qui a enregistré presque le double  de décès avec une population 22 fois inférieure. Comment expliquer  une telle tragédie ?

Deux observations s’imposent d’emblée. La première, c’est qu’il ne s’agit pas d’une crise frappant l’Italie dans son ensemble, ni même l’Italie du Nord qui compte ¾ des victimes. L’épicentre de l’épidémie italienne se situe plus précisément en Lombardie, région qui s’octroie 2/3 du fromage macabre. C’est impressionnant et ça  s’est concrètement traduit par des crématoriums débordés et des colonnes de véhicules militaires emportant les cercueils vers d’autres cimetières que ceux de Bergame et Brescia. Images glaçantes qui parlent mieux que les statistiques.  La deuxième chose à noter, c’est que les médias se trompent et nous trompent en affirmant  sans cesse que « cette maladie concerne tout le monde ». Selon le rapport officiel du 17 mars  de l’Istituto Superiore di Sanità, l’âge moyen des personnes décédées était de 79,5 ans (3  ans de moins que l’espérance de vie à la naissance) et  seulement  0,8% des victimes n’avaient pas de pathologies antérieures. Un quart en avait une, un autre quart deux et la moitié trois.  Dans l’ordre, les plus fréquentes étaient l’hypertension artérielle, le diabète et les cardiopathies ischémiques. Dans 20% des cas, il y avait présence d’un cancer et dans 13% des cas,  celle d’une BPCO (Bronchopneumopathie Chronique Obstructive).  Qu’on le veuille ou non, que ça plaise ou non,  la Covid-19  fauche très préférentiellement les vieilles personnes déjà très malades. Il n’y a aucun cynisme à constater cette réalité. Si on pense, comme moi,  que le virus n’est pas seul en cause, il reste cependant à élucider  la surmortalité lombarde. Pollution automobile ?  Le trafic à Milan est beaucoup plus intense que dans les villes les plus touchées, et pas plus dantesque que dans d’autres métropoles. Défaillances du système de santé ? Au contraire, données et témoignages indiquent que les infrastructures et le personnel médical sont ce qui se fait de mieux en Italie,  pays où les soins sont totalement gratuits. À mon avis,  c’est justement l’accès facile à cette offre abondante qui pose question. Dans un de ses ouvrages majeurs (Némésis médicale , 1975), le penseur écologiste Ivan Illich montrait déjà que passé un seuil de développement, la médecine occidentale moderne devient « contre-productive », c’est-dire que ses inconvénients commencent à dépasser ses avantages, ses risques à peser plus lourds que ses bénéfices. Dans le monde industrialisé, l’art de guérir est  ainsi devenu  celui de nuire à la santé. S’il parvient paradoxalement à repousser l’âge de la mort, c’est au prix d’une morbidité (nombre de malades dans la société) plus répandue.

Vous me voyez venir ?  J’insiste en effet  sur la composante iatrogénique de la crise sanitaire  italienne. Selon le rapport cité plus haut (*), 83 % des patients diagnostiqués, pris en charge et décédés ont reçu des antibiotiques, 52%   des médicaments antiviraux et 27% de la cortisone. On peut bien sûr supposer que nombre d’entre eux ont reçu les trois traitements en même temps. Le rapport  est muet sur l’usage d’antipyrétiques et d’anti-inflammatoires non-stéroïdiens (AINS) mais on peut également se douter que ces substances chimiques sapant le pouvoir d’auto-guérison sont employées sans retenue et sans discernement. Selon une de mes amies habitant là-bas et lisant la presse locale,  la chloroquine fait  aussi partie de l’arsenal médical d’au moins un hôpital. Or  si elle est certainement peu nocive (le contraire se saurait puisqu’ on l’emploie depuis plus de 70 ans), la molécule préconisée par le Dr Raoult n’est  quand  même pas un bonbon pour la toux. Au-delà d’1 g par jour, elle peut mener à l’intoxication et celle-ci est fatale dans 20% des cas.  La mise sous oxygène ? Dans une infolettre précédente, je vous ai signalé que cette pratique était loin d’être anodine et qu’elle pouvait  sérieusement léser les poumons.  Mais savez-vous que la version supérieure de cette technique,  le respirateur artificiel, nécessite d’endormir les patients ?  L’anesthésie générale, ce n’est pas non plus un geste médical dépourvu de risque létal.  En additionnant tous ces facteurs potentiellement iatrogènes, on obtient  une explication non négligeable du désastre nord-italien. Toutefois, je vous avoue que je gambergeais pas mal ces deux dernières semaines : même si elle compte  pour beaucoup, la iatrogénie subie peu avant ou pendant les soins intensifs ne suffit certainement  pas à expliquer l’ampleur du drame en Italie. Il y avait forcément autre chose, mais quoi ? 

La semaine dernière, je mentionnais une étude américaine montrant que la vaccination anti-grippale  favorise les infections à coronavirus. C’est une pièce importante à verser au dossier mais ça n’explique toujours pas la flambée lombarde.  Ailleurs dans le pays et dans plein d’autres pays, ce vaccin inutile et dangereux est conseillé et injecté à de nombreux vieux de plus de 60 ans. Si la valence influenza était si délétère, ça se verrait davantage.  J’en étais encore à me creuser la cervelle quand j’ai reçu, il y a deux jours, un article saisissant de Dominique Guillet. Pour ceux qui ne le connaissent pas, cet explorateur de l’univers végétal est le fondateur de l’association française Kokopelli, qui a mené avec succès le combat pour la liberté de commercialiser et d’échanger des  semences non inscrites aux catalogues officiels.  Entérinée par une décision européenne, cette victoire  devrait lui valoir mille fois le prix Nobel alternatif. Quand il ne poursuit pas cette lutte libertaire et qu’il ne rédige pas des monographies sur des plantes alimentaires ou médicinales, Dominique Guillet fait du journalisme citoyen et publie le résultat de ses investigations sur son site internet. Dans le long article qu’il a mis en ligne avant-hier et que vous pouvez lire en cliquant ici,  le fouineur amateur (mais néanmoins très pro) révèle une information à mes yeux capitale : en janvier dernier,  la Lombardie a été le théâtre d’une grande campagne de vaccination contre les méningocoques. Suite à une mini-épidémie de méningite bactérienne ayant impacté… 6 personnes (avec 2 décès), les autorités régionales ont en effet décidé de vacciner massivement et gratuitement la population. En quelques semaines, plus de 33.000 personnes ont reçu le vaccin. Hier, Dominique m’a envoyé une information supplémentaire tout aussi cruciale :  comme vous pouvez le vérifier en cliquant ici la campagne de vaccination était déjà en cours à l’automne 2019 ! Ce détail est essentiel parce c’est aussi en automne qu’est apparue en Lombardie une étrange épidémie de pneumonies bizarres nécessitant des examens radiologiques spéciaux. Vous ne le croyez pas ? Regardez cette séquence télévisée où le professeur  Giuseppe Remuzzi, Directeur de l’Institut Mario Negri de Recherches Pharmacologiques de Milan, répond aux questions d’un journaliste plutôt énervé.  Incroyable mais vrai, cette interview est passée le 22 mars sur CGTN, chaîne de télévision internationale… chinoise, sorte de Russia Today à la sauce Xi Jinping !  Comme en atteste ce communiqué, la presse chinoise met le paquet sur cette enquête car elle soupçonne le coronavirus d’avoir été importé d’Italie en Chine !  Je m’interroge : comment  se fait-il que cette nouvelle sensationnelle n’ait pas encore fait le buzz dans toutes les rédactions du globe ? Si j’ai loupé cet énorme scoop dans l’actualité, merci de me corriger. 

En fait, on se fiche un peu de savoir dans quel sens a voyagé un hypothétique virus relativement inoffensif.  Ce qui est très important à vérifier, c’est s’il y a un lien entre la vaccination et la multiplication de pneumonies atypiques en Italie.  Vous en doutez ? La probabilité est pourtant très élevée.  Parmi leurs effets secondaires très pervers, les vaccins ont en effet pour conséquence de modifier l’écologie microbienne. La nature ayant horreur du vide,  la niche écologique devenue vacante par l’immunisation artificielle est immédiatement occupée par d’autres espèces de bactéries, plus insidieuses ou plus dangereuses. C’est ainsi que les épidémies de poliomyélite  ont surgi dans la foulée de la vaccination massive contre la diphtérie, ou que de nouvelles formes d’hépatite (C,D, E, etc..) sont apparues en rançon des vaccinations contre les formes A et B.  Ou encore que les méningites ont gagné en fréquence et en  sévérité depuis qu’on les combat vaccinalement. Bien étudié, ce phénomène de « remplacement épidémique »  a récemment fait l’objet d’une analyse par le Dr Michel de Lorgeril dans le 5ème livre de sa série « Vaccins et société », celui consacré aux méningites bactériennes.  Dès janvier 2012, la revue Néosanté avait lancé l’alerte sur cette catastrophe écolo-sanitaire en publiant un dossier intitulé « Vaccins et microbes : les relations désastreuses », rédigé par notre collaboratrice française Françoise Joët, ex-présidente de l’ALIS  (Association Liberté Information Santé). Cet article magistral et toujours actuel  est en accès libre sur notre site et vous pouvez le consulter en cliquant ici. Que devrait-on faire maintenant  que le suspect vaccin est identifié ?  À mon sens, il faudrait d’urgence vérifier le statut vaccinal des décédés italiens et de leurs proches. Le vérifier aussi dans les autres régions (françaises, espagnoles…) où un nombre anormalement grand de graves pneumonies sont signalées. Certes, l’éventuelle corrélation ne va pas démontrer un lien de causalité. Et le cas échéant,  le puissant lobby vaccinaliste investirait les médias à leur solde pour brandir l’argument habituel de la « coïncidence temporelle » entre vaccinations et maladies. Mais qui serait encore dupe ?  Qui croirait encore à la pertinence des dogmes pasteuriens ? Pour ma part, je lance un appel solennel à l’exploitation de cette piste potentielle. Et je compte sur vous pour faire un maximum de bruit en diffusant ce billet tous azimuts. Je vous embrasse d’avance… sans distanciation sociale.

Yves Rasir