Lettre du Président Trump à la Présidente de la Chambre des Représentants

Honorable Nancy Pelosi
Présidente de la Chambre des Représentants
Washington, DC 20515

Chère Madame la Présidente,

Je vous écris pour vous exprimer mes
protestations les plus vives et les plus énergiques contre la croisade
partisane visant ma destitution, menée par les Démocrates à la Chambre des Représentants. Cette
mise en accusation est un abus de pouvoir, sans précédent et inconstitutionnel,
de la part des législateurs démocrates, sans égal durant près de deux siècles
et demi d’histoire législative américaine.

Les articles de mise en accusation introduits par le comité judiciaire de la Chambre ne sont valides sous aucune norme de théorie constitutionnelle, d’interprétation ou de jurisprudence. Ils n’incluent aucun crime, aucun délit, ni aucune infraction d’aucune sorte. Du mot destitution, détestable en lui-même, vous avez déprécié l’importance !

En actant cette invalide destitution,
vous violez le serment que vous avez prêté en entrant en fonction, vous rompez
votre allégeance à la Constitution, vous déclarez une guerre ouverte à la
démocratie américaine. Vous osez invoquer les Pères fondateurs des
États-Unis d’Amérique dans la poursuite d’un plan qui vise à annuler des
élections, vos actions malveillantes affichent un absolu mépris des fondements
des États-Unis d’Amérique, et votre conduite inqualifiable menace de détruire
ce que nos Pères fondateurs se sont engagés à construire. Non seulement vous
les offensez, mais pire encore, vous offensez la foi des Américains en répétant
«Je prie pour le président», alors que vous savez que ce n’est pas vrai, sauf à
prendre vos mots au sens négatif. Ce que vous commettez est terrible, mais
c’est vous qui devrez vivre avec, pas moi !

Votre premier chef d’accusation : «Abus
de pouvoir», n’est qu’une invention de votre imagination, totalement
fallacieuse, sans valeur et sans fondement. Vous savez que j’ai eu une
conversation parfaitement innocente avec le président de l’Ukraine. J’ai
eu
ensuite une deuxième conversation et vous la citez déformée,
frauduleusement
dénaturée. Il y en avait heureusement une transcription, et vous savez
par
cette transcription (qui a été rapidement rendue publique) que le
paragraphe contesté
était inattaquable. J’ai dit au Président Zelensky : « Je voudrais
cependant que vous nous rendiez service, parce que notre pays a
eu des difficultés et que l’Ukraine en sait long  ». J’ai
dit : « faites-nous » une
faveur et non « faites-moi », à « notre
pays » et non à « une campagne
électorale ». J’ai mentionné ensuite le Procureur
général des États-Unis. Chaque fois que je parle avec un dirigeant
étranger, je mets les intérêts de l’Amérique en premier, tout comme je
l’ai
fait avec le Président Zelensky.

Vous transformez un désaccord politique
entre deux branches de l’État en un crime passible de destitution : cela
n’est pas plus légitime que le pouvoir exécutif accusant les membres du Congrès
de crimes pour l’exercice légitime de leur pouvoir législatif.

Vous savez parfaitement que le vice-président Biden a utilisé son
statut, et un milliard de dollars d’aide américaine, pour contraindre
l’Ukraine à licencier un procureur qui enquêtait sur l’entreprise
versant des millions de dollars à son fils. Vous le savez parce que
Biden s’en est vanté et que cela était retransmis en vidéo. Biden a
déclaré ouvertement : « Je leur ai dit: “Je vous préviens que vous
n’aurez pas le milliard de dollars”… Je les ai regardés et j’ai dit :
“Je pars dans six heures ; si le procureur n’est pas limogé, vous
n’aurez pas l’argent”. Eh bien, ce fils de pute, il a été licencié ! »
Joe Biden lui-même a admis il y a quelques jours, dans une interview sur
la Radio publique nationale, que cela « avait l’air mauvais ».
Cependant  vous essayez de me destituer en m’accusant faussement de ce
que Joe Biden admet avoir réellement fait.

Le Président Zelensky a déclaré à
plusieurs reprises que je n’avais rien fait de mal et qu’il n’y avait aucune
pression. Il a dit que c’était un «bon appel téléphonique», il a dit «je
ne ressens aucune pression», il a explicitement précisé «personne ne m’a poussé».
Le ministre ukrainien des Affaires étrangères a aussi déclaré très clairement : «Je
n’ai jamais vu aucun lien direct entre enquête et assistance en matière de
sécurité », et dit qu’il n’y avait« aucune pression ». Le sénateur Ron Johnson
du Wisconsin, un sympathisant de l’Ukraine, qui a rencontré le président
Zelensky, a déclaré : « À aucun moment au cours de cette
réunion … il n’y a eu mention, de la part de Zelensky ou de tout autre Ukrainien,
d’aucune pression pour faire quoi que ce soit en échange de l’aide militaire ».
De nombreuses réunions ont eu lieu entre des représentants de l’Ukraine et ceux
de notre pays. L’Ukraine ne s’est jamais plainte une seule fois de
pression exercée – pas une seule fois ! L’ambassadeur
Sondland a déclaré que je lui avais dit : «Pas
de contrepartie. Je ne veux rien. Je ne cherche rien. Je veux seulement
que le président Zelensky fasse ce qui est juste et ce pourquoi il a été élu. »

Votre deuxième chef d’accusation :
«Obstruction au Congrès», est absurde et dangereux. Les Démocrates de la
Chambre tentent de destituer un Président des États-Unis dûment élu, au motif qu’il
revendique des droits prévus par la Constitution, lesquels ont été revendiqués
par tous les gouvernements des deux partis politiques tout au long de
l’histoire de notre nation. A ce compte, tous les Présidents américains
auraient pu être mis en accusation. Le professeur de droit Jonathan Turley,
pourtant de gauche, vous a mis en garde lorsqu’il s’est adressé aux Démocrates
du Congrès: « Je ne saurais trop insister sur ce point… si vous destituez
un Président, si vous l’accusez de crime parce qu’il va devant les tribunaux,
c’est un abus de pouvoir. C’est votre abus de pouvoir. Vous faites exactement
ce que vous reprochez au Président ».

Tout le monde, vous y compris, sait ce
qui se passe réellement. Le candidat que vous aviez désigné, a perdu l’élection
présidentielle en 2016 par un raz-de-marée électoral (306-227 au Collège
électoral), mais vous et votre parti ne vous êtes jamais remis de cette
défaite. Vous avez développé un cas caractérisé de ce que beaucoup de
médias appellent le Trump Derangement Syndrome, et malheureusement vous
n’en guérirez jamais ! Vous ne voulez pas et vous ne
pouvez pas accepter le verdict des urnes lors de la grande élection de 2016.
Vous avez donc passé trois années de suite à tenter d’inverser la volonté du Peuple
américain et d’annuler son vote. Vous voyez la démocratie comme votre
ennemi !

Présidente Pelosi, vous avez admis la
semaine dernière, lors d’un forum public, que la tentative de votre parti pour
me destituer dure depuis « deux ans et demi », bien
avant que vous ayez entendu parler d’un appel téléphonique avec
l’Ukraine. Dix-neuf minutes après ma prestation de serment, le Washington
Post publiait un article intitulé : « La
campagne pour destituer le Président Trump a commencé ». Moins de trois mois après mon
investiture, la représentante Maxine Waters déclarait : « Je vais me
battre tous les jours jusqu’à ce qu’il soit destitué. » Les Démocrates de
la Chambre des Représentants ont présenté la première résolution de destitution
contre moi quelques mois après mon investiture, au prétexte de ce qui sera regardé
comme l’une des meilleures décisions de notre pays (comme le prouve le récent
rapport de l’Inspecteur général) : le licenciement de James Comey – dont
le monde sait maintenant qu’il est l’un des flics les plus corrompus que notre
nation ait jamais eu. Une Représentante déchaînée et délirante, Rashida
Tlaib, déclarait quelques heures seulement après sa prestation de serment : « On va y
aller, nous destituerons ce sal***ard ». Le
représentant Al Green déclarait en mai : « Je
crains que si nous ne destituons pas ce Président, il sera réélu. » C’est un
fait, vous et vos alliés avez dit et avez fait tout cela bien avant d’avoir
entendu parler du Président Zelensky et de ce qui concerne l’Ukraine. Vous
le savez très bien, cette campagne de destitution n’a rien à voir avec
l’Ukraine, ni avec la conversation tout à fait correcte que j’ai eue avec son
nouveau Président. Cela n’a à voir qu’avec votre tentative d’annuler l’élection
de 2016, et de voler celle de 2020 !

Le Représentant Adam Schiff a triché et
a menti tout du long jusqu’à maintenant, allant même jusqu’à fabriquer
frauduleusement, à partir de rien, une conversation imaginaire avec le
président Zelensky d’Ukraine et à lire au Congrès sa fabrication, comme si elle
était de moi. Ses mensonges éhontés et ses tromperies, qui débutent dès la
fausse affaire de l’ingérence russe, sont l’une des principales causes de la
situation dans laquelle nous sommes aujourd’hui.

Vous et votre parti tentez frénétiquement de détourner l’attention de
l’extraordinaire santé économique des États-Unis, du boom incroyable de
l’emploi, du marché boursier record, de la montée en flèche du taux de
confiance, et de l’amélioration du niveau de vie. Votre parti ne peut
tout simplement pas rivaliser avec nos résultats : 7 millions de
nouveaux emplois ; le taux de chômage le plus bas jamais enregistré pour
les Afro-Américains, les Hispano-Américains et les Américains d’origine
asiatique ; une armée reconstruite et pour nos grands vétérans, une
assurance santé complètement réformée, avec choix et
responsabilités ; plus de 170 nouveaux juges fédéraux et deux juges à la
Cour Suprême ; des réductions historiques de taxes et de
réglementations ; la suppression du mandat individuel ; la première
baisse de prix des médicaments sur ordonnance depuis un demi-siècle ; la
première création depuis 1947 d’un nouveau corps d’armée américain, la
Force spatiale ; une forte protection du Deuxième amendement ; une
réforme de la justice pénale ; un califat de Daech vaincu, et
l’élimination du numéro un du terrorisme mondial, al-Baghdadi ; le
remplacement de l’accord commercial désastreux de l’ALENA par
l’excellent USMCA (Mexique et Canada) ; un premier accord commercial de
première phase avec la Chine ; de nouveaux accords commerciaux massifs
avec le Japon et la Corée du Sud ; le retrait du désastreux accord
nucléaire avec l’Iran ; l’annulation de l’injuste et coûteux Accord de
Paris sur le climat ; être devenu le premier producteur mondial
d’énergie ; la reconnaissance de la capitale d’Israël, l’ouverture de
l’ambassade américaine à Jérusalem et la reconnaissance de la
souveraineté israélienne sur le plateau du Golan ; une formidable
diminution de l’immigration clandestine, la fin du catch-and-release
et la construction d’une barrière frontalière au sud – ce n’est que le
début de la liste, il y en a beaucoup plus. Alors que vous, vous ne
pouvez pas défendre vos politiques extrémistes – frontières ouvertes,
migration de masse, forte criminalité, impôts débilitants, assurance
maladie socialisée, destruction de l’industrie énergétique américaine,
avortements aux frais des contribuables, élimination du Second
amendement, droit et justice imbus de théories d’extrême gauche
radicale, enfin partisane et permanente obstruction du bon sens et du
bien commun.

Je préfèrerais sincèrement cesser de
dire que vous êtes un parti de Do-Nothing Democrats. Malheureusement je doute
que vous me donniez jamais l’occasion de le faire.

Après trois ans d’enquêtes injustes et
injustifiées, 45 millions de dollars dépensés, 18 procureurs démocrates enragés,
toute la force du FBI dirigée par des chefs désormais avérés totalement
incompétents et corrompus, vous n’avez RIEN trouvé ! Peu
de personnages auraient pu endurer et passer un tel barrage. Vous ne savez
pas, ni ne vous souciez, du dommage et des blessures que vous avez infligés aux
membres de ma famille merveilleuse et aimante. Vous avez dirigé une mise
en examen frauduleuse contre un Président des États-Unis démocratiquement élu,
et vous recommencez.

Il n’y a pas beaucoup de gens qui
auraient pu supporter la charge que vous m’avez fait subir au cours de cette
période, et qui aurait pu cependant avoir tant fait pour le succès des
États-Unis d’Amérique et de ses citoyens. Au lieu de donner la priorité à
notre pays, vous avez décidé de le déshonorer davantage. Vous avez
complètement échoué avec le rapport Mueller, puisqu’il n’y avait rien à
trouver, alors vous avez décidé d’instrumentaliser le premier faux venu, ce
coup de téléphone avec l’Ukraine – même si c’était un appel correct – et
quoiqu’il y ait beaucoup de gens des deux côtés autorisés à écouter la
conversation, quand je parle à l’étranger.

Vous êtes ceux qui interfèrent dans les
élections américaines. Vous êtes ceux qui renversent la démocratie
américaine. Vous êtes ceux qui entravent la justice. Vous êtes ceux
qui apportent douleur et souffrance à notre République pour votre propre
intérêt égoïste, personnel, politique, et partisan.

Avant la Farce de la Destitution, c’était
la Chasse aux Sorcières Russes. Contre toute évidence et au mépris de la
vérité, vous et vos députés avez prétendu que ma campagne électorale était de
connivence avec les Russes – un grave, malveillant, diffamatoire mensonge, une
fausseté comme jamais. Vous avez troublé et tourmenté notre nation par une
histoire entièrement fabriquée, achetée illégalement à un espion étranger par
Hillary Clinton et le Comité National Démocrate, afin d’attaquer notre
démocratie. Et quand ce mensonge monstrueux a été discrédité et que cette
conspiration démocrate s’est effondrée, vous ne vous êtes pas excusé. Vous
ne vous êtes pas rétracté. Vous n’avez pas présenté vos excuses. Vous
n’avez été capable d’aucun remord, d’aucune conscience. Au lieu de cela,
vous avez continué avec une autre croisade diffamatoire et vicieuse – vous avez
monté une tentative de cibler et diffamer une personne innocente. Tout
cela motivé par calcul politique personnel. Votre Présidence et votre
parti sont pris en otage par vos représentants les plus dérangés, de la plus radicale
extrême gauche. Chacun de vos membres vit dans la peur d’être éliminé par
un adversaire socialiste lors d’une primaire – c’est cela qui motive la Destitution. Regardez
le challenger du Représentant Nadler. Voyez votre cas et celui des
autres. N’entraînez pas notre pays dans la chute de votre parti.

Si vraiment vous vous souciez de libertés et de la liberté de notre
nation, vous consacreriez vos vastes ressources d’enquête à exposer
toute la vérité concernant les horribles abus de pouvoir du FBI, avant,
pendant et après les élections de 2016, y compris l’utilisation
d’espions contre ma campagne électorale, la présentation de fausses
preuves à un tribunal de la FISA, et la dissimulation de preuves à
décharge afin de mettre en accusation l’innocent. Le FBI a des gens
formidables et honorables, mais sa direction était inepte et
corrompue. Il m’a semblé que ces révélations étaient de nature à vous
toucher personnellement, car lors de votre conférence de presse, le jour
où vous avez annoncé la Destitution, vous l’avez lié directement à
l’affaire russe complètement discréditée, déclarant à deux reprises que
« tous les chemins mènent à Poutine », alors que vous savez que c’est un
mensonge abject. J’ai été beaucoup plus dur avec la Russie que le
Président Obama aurait pu même songer.

Tout membre du Congrès qui vote en
faveur de la Destitution – contre tout élément de vérité, de fait, de preuve et
de principe légal – montre à quel point il insulte les électeurs et combien il
déteste vraiment l’ordre constitutionnel américain. Nos Pères Fondateurs
craignaient la tribalisation des politiques partisanes, et vous donnez vie à
leurs pires craintes.

Pire encore, j’ai été privé des plus
élémentaires droits constitutionnels accordés à la défense, dès le début de
cette mascarade de Destitution et jusqu’à présent. On m’a refusé les
droits les plus fondamentaux, y compris celui de présenter mes preuves, la
présence de mon propre avocat, de confronter mes accusateurs, d’appeler et de
contre-interroger des témoins, comme ce soi-disant lanceur d’alerte qui a
commencé toute cette farce avec sa fausse dénonciation d’une conversation
téléphonique, sans aucun rapport avec celle qui a réellement eu lieu. Dès
que j’ai publié la transcription de l’appel, les faussaires ont été surpris et déstabilisés.
Ils n’imaginaient pas que ce pouvait être publié. Alors le soi-disant lanceur d’alerte
et le deuxième dénonciateur ont disparu. Ils étaient démasqués, leur rapport
était frauduleux, on ne pouvait plus nous permettre de les confronter.
Autrement dit, dès que le contenu de la conversation fut public, tout votre
complot a implosé, mais cela ne vous a pas empêché de continuer.

Même aux sorcières de Salem une
procédure plus équitable a été accordée.

Vous et d’autres membres de vos comités avez
souvent dit que la procédure de Destitution doit être bipartite – elle ne l’a
pas été. Vous avez dit qu’elle était de nature à diviser l’opinion – cela
est vrai au-delà de ce que vous auriez cru possible – et cela ne fera
qu’empirer !

Tout cela n’est qu’une tentative de coup d’État illégal et partisan
qui, selon les récents sondages, échouera gravement au bureau de
vote. Vous n’êtes pas seulement derrière moi, pour la présidentielle,
vous êtes derrière tout le Parti républicain. À cause de cette injustice
colossale, notre parti est plus uni que jamais. L’histoire vous jugera
sévèrement pour avoir poursuivi cette mascarade de Destitution. Votre
héritage sera d’avoir converti la Chambre des Représentants, un organe
législatif vénéré, en une Chambre étoilée de persécution partisane.

Le plus insultant est peut-être votre fausse démonstration de
solennité. Vous avez apparemment si peu de considération pour le Peuple
américain que vous escomptez qu’il croie que vous envisagez cette
Destitution  avec tristesse, réserve et à contrecœur. Aucune personne
intelligente ne croit ce que vous dites. Depuis le moment où j’ai
remporté l’élection, le Parti démocrate est possédé par la Fièvre de
Destitution. Sans réticence. Sans retenue. Vous vous moquez de la
Destitution et vous cachez mal votre haine de ma personne, du Parti
républicain et des dizaines de millions d’Américains patriotes. Les
électeurs sont sages et voient au travers de ce jeu vide, creux et
dangereux auquel vous jouez.

Je suis convaincu que le peuple
américain vous tiendra, vous et les Démocrates, pleinement responsables lors
des prochaines élections de 2020. Il ne pardonnera pas de sitôt votre
perversion de la justice et votre abus de pouvoir.

Beaucoup trop reste à faire pour
améliorer la vie de nos concitoyens. Il est temps, pour vous et les
hautement partisans Démocrates du Congrès, de cesser immédiatement ce fantasme
de Destitution et de reprendre le travail pour le Peuple américain. Bien
que je ne m’attende pas à ce que vous le fassiez, je vous écris cette lettre pour
l’Histoire, afin que mes pensées soient gravées de façon permanente et
indélébile.

Dans cent ans, lorsque les gens
repenseront à cette affaire, je veux qu’ils la comprennent et qu’ils en tirent
des leçons, afin que rien de tel ne puisse plus jamais arriver à un autre Président.

Cordialement,

Le président des États-Unis d’Amérique, 
DONALD J. TRUMP

cc: Sénat des États-Unis
Chambre des représentants des États-Unis

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Traduction de Patrick Vallois pour Dreuz.info.