Un appel de Vincent Lindon: «Comment ce pays si riche…»

[Photo d’entête : KENZO TRIBOUILLARD. AFP]

[Source : Mediapart]

Par Fabrice Arfi

Le comédien a confié à Mediapart une longue réflexion, lue face caméra chez lui, sur ce que la pandémie révèle du pays qui est le nôtre, la France, sixième puissance mondiale empêtrée dans le dénuement (sanitaire), puis le mensonge (gouvernemental) et désormais la colère (citoyenne). Un texte puissamment politique, avec un objectif: ne pas en rester là.

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«Spécialiste en rien, intéressé par tout », comme il se définit lui-même, Vincent Lindon cultive une parole publique rare que la crise insensée que nous vivons a libérée. Radicalement absent des réseaux sociaux – il n’est ni sur Facebook, ni sur Twitter, ni Instagram, ni nulle part de ce genre –, le comédien a décidé de confier à Mediapart une longue réflexion, lue face caméra chez lui, sur ce que la pandémie révèle du pays qui est le nôtre, la France, sixième puissance mondiale empêtrée dans le dénuement (sanitaire), puis le mensonge (gouvernemental) et désormais la colère (citoyenne).

Ce n’est pas un comédien qui s’exprime ici, et encore moins un artiste coincé dans son écosystème, celui de la culture ; le mot est d’ailleurs absent de son texte. Non pas que le sujet ne lui soit pas d’une importance cruciale – il l’est, vu le péril qui guette (voir nos articles ici, ici, ou ) –, mais c’est au-delà de cet horizon que regarde le comédien.

Vincent Lindon parle à hauteur de citoyen. Un citoyen qui, d’où il est – et qui sait d’où il vient et où il est –, regarde la cité tétanisée par une crise sanitaire agissant au fil des semaines comme le puissant bain révélateur d’autres crises (sociale, politique et morale) qui sourdent dans le pays depuis si longtemps.

L’homme qui, probablement comme peu d’acteurs avant lui, a su incarner les voix indignées et les corps fourbus que le néolibéralisme détruit le temps d’une vie, livre ici un texte puissamment politique, au plus beau sens du terme. Il y est évidemment question de la crise de l’hôpital, mais aussi des institutions de la Ve République, du présidentialisme, de répression policière, de justice fiscale ou de corruption. En creux, de cette « décence commune » chère à Orwell qui semble tant manquer à notre époque.

Pour écrire son texte, Vincent Lindon s’est fait un peu journaliste – il a interrogé des spécialistes de médecine ou d’économie avant de prendre la plume. Il est aussi un peu politique – il ne fait pas que s’indigner, il propose.

C’est, en d’autres termes, un citoyen total, qui veut apprendre pour comprendre, comprendre pour juger, juger pour proposer, avec un objectif : ne pas en rester là. Afin que le monde d’après ne soit pas celui des idées d’avant qui ont concouru à cette perte que la pandémie fait ressentir à chacun de nous, bien sûr à des degrés divers, jusque dans son intimité confinée.

Images et montage: Max Jouan ; production : Pierre Cattan


Ci-dessous la retranscription du texte de Vincent Lindon :

Comment ce pays si riche…

Traversé par le flot incessant des commentaires, désorienté par l’addition d’analyses souvent contradictoires, j’ai tenté de réfléchir à la question la plus banale : mais comment avons-nous pu en arriver là ? À cette situation inédite, littéralement stupéfiante.

Spécialiste en rien, intéressé par tout, il m’a paru pourtant utile de contribuer en faisant entendre une voix simplement citoyenne. Suis-je légitime pour interpeller nos dirigeants, tous professionnels de la chose publique, tous diplômés des meilleures écoles ? Pas plus qu’un autre sans doute, mais pas moins non plus, ayant pris soin de consulter nombre d’avis autorisés, notamment dans le domaine de la santé, où André Grimaldi [professeur émérite de diabétologie au CHU de la Pitié-Salpêtrière – ndlr] m’a apporté son éclairage.

Comment ce pays si riche, la France, sixième économie du monde, a-t-il pu désosser ses hôpitaux jusqu’à devoir, pour éviter l’engorgement des services de réanimation, se résigner à se voir acculé à cette seule solution, utile certes, mais moyenâgeuse, le confinement ? Nous qui, au début des années 2000 encore, pouvions nous enorgueillir d’avoir le meilleur système de santé du monde.

C’était avant.

Avant que s’impose la folle idée que la santé devait être rentable, puisque tout désormais devait être marchandise, jusqu’à la vie des hommes.

Un espoir s’était pourtant levé avec le nouveau chef de l’État Emmanuel Macron, et son programme promettant un « investissement massif dans le système de santé ». Hélas, l’élection acquise, il préféra poursuivre l’action de ses prédécesseurs. S’il n’est donc que le dernier avatar d’une même politique, il porte pourtant une responsabilité particulière, pour avoir ignoré tous les signaux d’alerte.

Douze mois de grève des urgences ? Les patients patienteront.

1 200 chefs de service démissionnent de leurs fonctions administratives ? Moins de paperasse.

Présence massive des soignants dans toutes les manifestations ? Sortez les LBD et les grenades de désencerclement…

Au-delà de la santé, c’est l’ensemble du secteur public qui subit depuis des décennies les coups de boutoir des présidents qui se succèdent avec toujours la même obsession : réduire la place de l’État dans l’économie. La recette est simple : privations pour ce qui coûte (l’éducation, la justice, la police, l’armée, la santé…) et privatisations pour ce qui rapporte.

Tandis que les budgets des ministères régaliens sont comprimés et les salaires de leurs fonctionnaires bloqués, la grande braderie est ouverte. Villepin solde les autoroutes, Nicolas Sarkozy fait absorber Gaz de France par un groupe privé, Suez, et enfin François Hollande, sous la férule de Macron, démembre Alstom pour le plus grand profit de l’américain General Electric.

Avec l’arrivée d’Emmanuel Macron, la fête continue. Deux entreprises publiques, la Française des jeux (FDJ) et Aéroports de Paris (AdP), sont très rentables ? Vendez-les !

Pour comprendre l’attachement aveugle de notre président à cette ligne idéologique, il est nécessaire de revenir sur trois années d’exercice de son pouvoir, que notre Constitution a voulu absolu.

Qu’en retenir ?

Dès les premiers jours, une évidence : le goût du nouveau président pour la pompe et les rites de la monarchie, se mettant régulièrement en scène dans les décors de la royauté ; ainsi a-t-il choisi le palais du Louvre pour son intronisation, marchant seul devant la pyramide, le château de Versailles pour recevoir Vladimir Poutine, l’empereur du Japon ou 150 millionnaires high-tech et, enfin, celui de Chambord pour célébrer son 40e anniversaire.

Une prédilection annoncée par des déclarations antérieures – en 2015, il affirmait déjà : « Dans la politique française, l’absent est la figure du roi, dont je pense fondamentalement que le peuple français n’a pas voulu la mort » – et confirmée jusque dans son programme, qui prévoyait de rétablir les chasses présidentielles. Ce qui n’a rien d’un détail.

L’ego comblé, le jeune homme allait pouvoir s’attaquer à son grand œuvre : bâtir cette « start-up nation » où les « premiers de cordée » allaient tirer vers les cimes ces « Gaulois réfractaires ». Au pas de charge : suppression de l’ISF et allègement de l’impôt sur les profits financiers pour les uns, réformes restrictives du droit du travail ou des allocations chômage et baisse des APL pour les autres. Cinq euros en moins sur les APL ! Mais qu’est-ce qui peut bien passer par la tête d’un dirigeant pour accoucher d’une aussi mauvaise idée ? La brume des sommets obscurcit-elle le jugement au point de lui faire oublier le poids des symboles ? C’était donc ça le « en même temps » macronien, des offrandes pour ceux qui n’ont besoin de rien, des sacrifices pour ceux qui ont besoin de tout ?

Mais c’est le premier été du quinquennat, et tout semble encore permis au conquérant de l’Élysée. Malgré quelques protestations, le nouveau monde impose ses lois grâce au soutien de sa majorité obéissante et reconnaissante.

Premier grain de sable à l’été 2018, l’affaire Benalla et son traitement rocambolesque, qui jette une lumière crue sur la conception et les pratiques du pouvoir.

Avec l’automne, un vent se lève, une révolte inattendue et pourtant évidente : des femmes et des hommes en jaune envahissent les ronds-points et les Champs-Élysées, naturellement accompagnés par une très faible minorité qui prétexte le port de la chasuble pour casser plutôt que pour revendiquer, une revendication légitime qui emporte l’adhésion de l’opinion, contraignant le gouvernement à un repli tactique : 10 milliards jetés à la hâte pour tenter d’éteindre la colère sociale.

Trop tard. Les sacrifiés de la mondialisation ultralibérale veulent plus. Plus de moyens, certes, mais aussi plus de pouvoirs, notamment celui de contrôler ceux dont la mission est de les représenter.

Après la carotte, vient le temps du bâton. Une répression brutale, policière, avec mains arrachées et manifestants éborgnés, mais aussi judiciaire, avec une distribution massive de condamnations fermes. Pendant que les pouvoirs exécutif et judiciaire répriment, les législateurs ferraillent pour imposer une réforme des retraites dont une majorité des Français ne veut pas.

Occupés à bâtir leur nouveau monde, les responsables n’accordent qu’une attention distraite à un virus agressif qui, parti de Chine, va très vite ravager la planète et envahir la totalité de l’espace politique, donnant à nos gouvernants l’occasion de montrer l’étendue de leur compétence.

Dans les hôpitaux, la situation est dramatique. On manque de tout, de masques, de gel, de tests, de respirateurs, de lits et de personnels en réanimation. Le 29 février, après que le Covid-19 a fait ses premières victimes en France, Édouard Philippe convoque un conseil des ministres extraordinaire consacré au virus. Une grande décision en ressort : utiliser le 49-3 pour faire adopter la réforme des retraites !

Alors que l’épidémie progresse, se faisant pandémie, le pouvoir s’affole, s’agite comme un poulet sans tête. Sur quoi s’interroge l’exécutif aux premiers jours de mars ? Mais sur le maintien des municipales, bien sûr ! La veille du premier tour, le premier ministre joue les contorsionnistes, invitant les Français à rester chez eux, mais, en même temps, à aller voter. Chapeau l’artiste !

Pendant que nos voisins allemands se mettent en ordre de bataille, le gouvernement français peaufine sa communication.

Une seule stratégie, mentir.

Relayant le discours présidentiel, l’équipe gouvernementale multiplie les déclarations absurdes et contradictoires. Ainsi affirme-t-on successivement qu’il ne s’agit que d’une « grippette », que l’épidémie, comme le nuage de Tchernobyl, ne touchera pas la France – alors même qu’à notre frontière sud, l’Italie est frappée –, puis qu’elle est « sous contrôle », avant de devoir avouer la gravité de la situation.

Sur la question cruciale des masques de protection, la parole officielle est schizophrène : aux premiers temps, leur utilité est affirmée. D’ailleurs, il y en a des millions en stock, prêts à être distribués à la population en cas de besoin. La menace virale se précisant, les masques sont soudain déclarés inutiles, voire dangereux puisqu’on ne sait pas s’en servir. Ce qui est fort opportun, puisque les stocks se sont volatilisés.

Pschitt…

Plus de masques.

Pas même de quoi équiper tous les soignants qui doivent monter au front armés de leur seul courage. Bon, d’accord, pas de masques, mais ils arrivent. Quand ? Mais demain, bien sûr ! Hélas, les jours et les semaines passent, la pénurie persiste. Ignorés, méprisés et matraqués quelques semaines plus tôt, les soignants sont désormais portés aux nues.

Pour le commun des Français, le confinement est la règle, chômage technique pour les uns, télétravail pour les autres. Tous les Français ? Non. Pour les caissières, les livreurs, les éboueurs, les policiers ou les pompiers, l’activité doit se poursuivre, quels que soient les périls. Eux qui formaient le gros des bataillons en gilet jaune, naguère vilipendés, sont désormais officiellement essentiels. Exit les premiers de cordée, place aux premiers de corvée.

Le 23 avril, dans une adresse solennelle à la nation, le président Macron annonce enfin le déconfinement pour le 11 mai. Pourquoi le 11 plutôt que le 5 ? Pourquoi mai plutôt que juin ? Parce que.

Deux semaines plus tard, le premier ministre en dévoile les conditions. Acte 1 : réouverture des crèches et des écoles primaires. Curieux puisqu’elles avaient été les premières à être fermées, avant même le début du confinement, au motif qu’elles étaient un lieu hautement favorable à la propagation du virus… Évidemment économique – il s’agit bien sûr de libérer les parents de l’obligation de garder leurs jeunes enfants, pour leur permettre de reprendre le travail –, la véritable raison de ce choix sera passée sous silence, voire niée, alors même qu’elle est audible : vouloir éviter l’effondrement total de l’activité et son cortège de drames est après tout une motivation hautement respectable.

Empêtré dans ses mensonges et ses omissions, le pourvoir tergiverse. Très vite, le discours s’infléchit : l’obligation de retourner en classe ne s’appliquera pas systématiquement. Les maires, les préfets pourront décider, ou non, de s’y conformer.

Mieux, les parents seront libres de garder leurs enfants à la maison. Dans les milieux favorisés, on n’hésitera guère. Mais dans les milieux plus modestes, le dilemme est cornélien. Alors que le chômage enfle, dois-je exposer mon enfant au risque de tomber malade, ou accepter l’éventualité de perdre mon emploi ? Et si les parents sont d’avis contraires, le couple pourra-t-il résister, notamment si les choses tournent mal ? Questions sans réponses…

Une bonne nouvelle, pourtant : les masques arrivent. Des masques en tissu, lavables et réutilisables. Efficaces ? « Oui, dit le Pr Grimaldi, contre la transmission du virus. Mais comme ils n’empêchent pas le porteur d’être infecté lui-même, la mesure ne vaut que si elle s’impose à tous, dans l’espace public au moins. » Prisonnier de son discours récent, le gouvernement ne peut se résoudre à rendre obligatoires partout ces masques qu’hier encore il déclarait inutiles. « Pourtant, ajoute le Pr Grimaldi, on a le droit de se tromper, mais le devoir de reconnaître ses erreurs. »

Au rythme où s’enchaînent les événements, ce droit à l’erreur pourrait bien m’être utile, mes propos risquant de devenir rapidement caducs, tant les stratégies gouvernementales oscillent, sinon à la vitesse de la lumière, au moins à celle où se propage le virus.

En termes de gestion et de communication de crise, je ne sais pas qui aurait pu faire mieux, mais je ne vois pas qui aurait pu faire pire.

En mettant au jour ses insuffisances, cette crise pourrait-elle être l’occasion d’une refonte radicale de notre démocratie ? Dans un discours célèbre, Churchill affirmait que c’était là « le pire des systèmes, à l’exclusion de tous les autres ». Mais, ajoutait-il aussitôt, « la démocratie n’est pas un lieu où on obtient un mandat déterminé sur des promesses, puis où on en fait ce qu’on veut ».

Si l’on s’accorde pour ne pas changer de système, alors il faut changer LE système.

Mais l’urgence est ailleurs. Déjà insupportables, les inégalités ont explosé avec la pandémie. Confinés dans des logements exigus ou contraints d’affronter les périls, les plus fragiles vivent des jours terriblement difficiles. Et leurs lendemains ne chantent pas. Après la crise sanitaire, ils seront sûrement les premières victimes de l’inévitable catastrophe économique et sociale.

Que faire ?

L’État ne pouvant pas tout, il me paraît impératif d’innover. Comment ? En demandant aux plus grosses fortunes une solidarité envers les plus démunis. Cette idée, juste et légitime, pourrait prendre la forme d’une contribution exceptionnelle, baptisée « Jean Valjean », conçue comme une forme d’assistance à personnes en danger, financée par les patrimoines français de plus de 10 millions d’euros, sans acrobaties, à travers une taxe progressive de 1 % à 5 %, avec une franchise pour les premiers 10 millions d’euros.

À période exceptionnelle, contribution exceptionnelle. Même si j’applaudirais évidemment tout amendement visant à pérenniser cet effort de réduction des inégalités. Après tout, une fois peut devenir coutume.

D’après les économistes que j’ai pris soin de consulter, cette contribution devrait représenter environ 36 à 37 milliards d’euros, qui seront distribués aux quelque 21,4 millions de foyers trop pauvres pour être assujettis à l’impôt sur le revenu.

Compte tenu de l’urgence, l’État assurerait la trésorerie et abonderait marginalement la collecte, leur distribuant sans délai et sans prélèvement, la somme de 2 000 €, à charge pour lui de recouvrer ultérieurement le produit de la contribution « Jean Valjean ».

Même si je ne doute pas un instant que les plus riches de nos concitoyens se réjouiront de l’occasion ainsi offerte de montrer leur patriotisme et leur générosité, il me paraît prudent que les législateurs mettent en place des sanctions suffisamment dissuasives pour décourager les improbables mauvaises volontés. Je pense ici, surtout, à nos compatriotes domiciliés fiscalement à l’étranger, évidemment conviés à manifester leur solidarité.

Mon rôle n’est évidemment pas d’entrer dans le détail de ces sanctions. Je voudrais néanmoins en proposer une, essentiellement symbolique – car je crois, moi, à la force du symbole : alléger les réfractaires de leurs pesantes décorations (Ordre du mérite ou Légion d’honneur, par exemple) pour leur permettre de gambader librement dans les couloirs des hôpitaux étrangers, voire français, où ils seraient évidemment les bienvenus après avoir refusé de financer notre système de santé national et plus généralement notre service public. En un mot, leur pays.

Bien sûr, je sais que ces précautions seront sans nul doute inutiles, tous ces privilégiés étant bien conscients de ce qu’ils doivent au pays qui les a formés et souvent enrichis. Mais la confiance n’excluant pas la prudence, de telles dispositions ne sauraient nuire.

Après cette mesure d’urgence, il sera temps de nous pencher sur les moyens de réparer notre démocratie. Comment ? On pourra s’étonner que je me pose la question et plus encore que j’essaie d’y répondre. Alors, sans prétendre détenir des solutions – j’ai gardé le sens du ridicule –, je me risque à évoquer quelques pistes de réflexion.

Instituer des contre-pouvoirs

La Constitution de la Ve République avait été taillée sur mesure pour le général de Gaulle. Un costume bien trop grand pour ses récents successeurs. D’autant que, depuis l’instauration du quinquennat, le président dispose toujours, et pendant toute la durée de son mandat, d’une franche majorité au Parlement. Élue en même temps que lui, grâce à lui et sur son programme, l’Assemblée nationale a logiquement la même couleur que l’Élysée et le législatif n’a donc pas vocation à s’opposer à l’exécutif.

Quant au pouvoir judiciaire, son indépendance n’est que théorique, tant il est simple de le contrôler par le jeu des nominations et des promotions. Depuis Montesquieu, qui a théorisé la séparation des pouvoirs (il n’en connaissait que trois, lui), un quatrième s’est imposé : la presse. Problème : neuf milliardaires en possèdent l’immense majorité, on ne s’étonnera donc pas que l’intérêt des puissants soit ménagé dans le traitement de l’information. Impuissante politiquement, la contestation s’exprime là où elle le peut encore, dans la rue et dans les sondages d’opinion.

Responsabiliser les élus

Les élus devront être comptables de leur action devant le peuple dont ils ont obtenu la confiance. Une élection, c’est quoi ? C’est l’histoire d’un mec qui arrive et qui dit : « Faites-moi confiance, voilà ce que je vais faire », et qui, une fois élu, ne le fait pas. À la place, il fait autre chose ou rien. Eh bien non, ça ne peut plus marcher comme ça. En cas de défaillance, il est nécessaire qu’ils puissent être démis de leur fonctions, démocratiquement, c’est-à-dire si une fraction de citoyens le propose et si une majorité d’électeurs l’exige.

Insistons : cette mesure doit s’appliquer à tous les élus, jusqu’au président de la République, qui, en France, ne peut être démis par personne en cours de mandat, ni même être jugé depuis la scandaleuse décision du Conseil constitutionnel sous la présidence du douteux Roland Dumas.

Sanctionner sévèrement les dérives,

pour interdire l’alliance mortifère entre les copains et les coquins. Depuis des décennies, aucun élu, même le plus corrompu, ne craint les rigueurs de la loi. Il y a à cela une excellente raison : la prison, c’est pour les autres. Eux pourront toujours solliciter les meilleurs avocats et multiplier les procédures des décennies durant, jusqu’au moment où les juger n’aura plus aucun sens.

D’où une proposition en trois points :

  1. Rendre passible de longues années de prison ferme tout acte de corruption avérée d’un élu. Parce qu’elle menace dangereusement la démocratie, en décourageant le vote notamment, la corruption politique me paraît un crime plus grave qu’un braquage de banque. Excessif ? Je ne pense pas. Enfant, je me souviens que, sur les billets de banque, il était inscrit que « la fabrication de fausse monnaie [était] passible des travaux forcés à perpétuité ». Pas une goutte de sang versée, pourtant, mais une atteinte criminelle au bien commun.
  2. Définir des couloirs judiciaires dédiés, pour éviter qu’on ne juge que des cadavres. L’ensemble des procédures, appel et cassation compris, devra être bouclé dans les 12 mois suivant l’ouverture de l’instruction.
  3. Augmenter fortement la rémunération des hommes et des femmes qui choisiront de servir la collectivité avec compétence, zèle et intégrité. Pourquoi ? Pour avoir les meilleurs. Pour leur éviter la tentation. Et pour rendre inexcusable qu’ils y cèdent.

Constitutionnelles, électorales ou judiciaires, ces propositions de réforme peuvent apparaître éloignées des préoccupations immédiates, en ces temps troublés surtout.

Je les crois pourtant essentielles. Même si elles ne résolvent pas l’ensemble des problèmes auxquels notre époque est confrontée, elles m’apparaissent nécessaires pour rétablir l’indispensable confiance du peuple en ses représentants, enfin comptables de leurs promesses comme de leur action, et responsables de leurs erreurs.




« Laissons les médecins prescrire » : la résistance des médecins libéraux s’organise

[Source : France Soir]

Violaine Guérin laissons les prescrire
Louise BERTRAND

Auteur(s): Guy Courtois pour FranceSoir

GRANDE INTERVIEW de Violaine Guérin, co-fondatrice du mouvement « Laissons les médecins prescrire »


Guy Courtois pour FranceSoir : Pouvez-vous vous présenter ? 

Violaine Guérin : Je m’appelle Violaine Guérin j’ai 60 ans, future retraitée, et je dois dire que la crise me fait dire qu’il va falloir penser à s’arrêter. Il y a une dégradation du système de santé qui est insupportable pour les gens comme moi qui ont connu d’autres temps. Je suis endocrinologue et gynécologue médicale, mon domaine de recherche est l’immunologie. Je suis une chercheuse à la fois en science fondamentale et en science clinique. Je suis pour quelques semaines encore également présidente de l’association : « Stop aux Violences Sexuelles », (note 2) qui porte une stratégie de santé publique. 

FS : Quelles sont vos valeurs ? Vos engagements dans la vie ? 

VG : Mes valeurs tournent beaucoup autour de l’humanité. Je suis convaincue que les personnes, les êtres humains, sont des belles personnes dès lors qu’elles n’ont pas été fracassées par la violence. Nous vivons dans une société extrêmement violente. J’essaie de travailler pour que les gens comprennent ça. C’est un peu central dans ma vie. J’ai eu la chance de passer un peu de temps de ma vie dans les déserts, avec les Touaregs, et cela m’a beaucoup recentrée sur ce qui est essentiel dans la vie.

Donc je suis assez « dépouillée » de beaucoup de superflus. 

FS : Pouvez-vous nous présenter le mouvement « Laissons les médecins prescrire » ? (note 3)

VG : C’est un mouvement qui s’est créé de façon extrêmement spontanée, suite aux décrets successifs qui ont été publiés et qui ont fini par restreindre totalement la liberté de prescription des médecins libéraux; ces décrets n‘ont pas touché les médecins hospitaliers. Ça a été un choc, je pense que cela a créé beaucoup d’émotion parce que c’est la première fois, dans l’histoire de la médecine en France, que l’on s’attaque à cela. Les médecins se sont agrégés les uns les autres en un noyau dur.

Et cette période de confinement a favorisé les choses parce que tout le monde était sur les réseaux sociaux, les gens essayaient de comprendre.

FS : Pourquoi ce nom « Laissons les médecins prescrire » ? 

VG : On a décidé de faire simple : le nom veut exactement dire ce que ça veut dire, c’est on ne peut plus basique : ne touchez pas à la liberté de prescription. Et puis c’était un appel très simple et clair, car il y avait des informations disant que des traitements pouvaient marcher. Ce qu’il s’est passé c’est que la crise a été gérée de façon hospitalo-centrée, et

vous n’avez quasiment pas entendu parler pendant la crise des médecins libéraux, qui sont en première ligne

Dans la gestion de la crise, on a complètement occulté les médecins libéraux en donnant instruction aux patients « appelez le 15 ». Les patients, dans une communication de terreur, pour beaucoup n’allaient même plus voir la personne qui les connait le mieux, à savoir leur médecin traitant ! On a vidé l’hospitalisation privée pour soi-disant faire de la place et diminuer la tension sur l’hôpital public. Mais cette hospitalisation privée n’a pas été remplie, alors qu’elle aurait dû l’être. On a décidé d’évacuer des malades de certaines zones parce que les hôpitaux publics étaient débordés alors qu’en Alsace, en Lorraine, en Ile-de-France des cliniques privées étaient vides et s’étaient organisées pour recevoir des patients infectés par le COVID-19.

On a organisé un grand transfert de patients en zone saine ce qui est totalement contraire à la notion de confinement, ce d’autant plus que les soignants n’avaient pas tout le matériel non plus pour se protéger, ce qui a été vecteur de contamination de zones saines.

FS : Quand le mouvement s’est-il créé ? 

VG : Après toutes ces incohérences, les médecins se sont regroupés, ont échangé. Le collectif a été créé la semaine du 23 mars en raison du blocage de la liberté de prescription des décrets successifs les 23 puis 25 et enfin 26 mars.

On commençait à être très inquiet de ce qu’il se passait, de la gestion et de la communication sur la crise. 

FS : Donc c’est vous qui avez créé ce mouvement ? 

VG : Nous sommes plusieurs médecins à travailler de façon très rapprochée sur le sujet des violences sexuelles, et plusieurs d’entre nous ont fait partie de ce mouvement à son début. D’autres médecins s’y sont retrouvés comme le Dr Martine Wonner, ex députée LaREM qui nous avait reçus à l’Assemblée Nationale sur ce sujet des violences et qui a fait partie des créateurs du collectif. 

FS : Concrètement combien étiez-vous de médecins ? 

VG : Au départ une quarantaine dont le Dr Thierry Lardenois, président de la CARMF (Caisse Autonome de Retraite des Médecins de France) que nous avions contacté très tôt, la CARMF relayant des informations sur la crise. À part les syndicats, la CARMF est un des grands acteurs de la médecine libérale. Nous lui avons expliqué ce que l’on voulait faire, c’est-à-dire conduire une étude avec des médecins malades pour valider ou pas sur une plus grande échelle les données de la première étude de l’équipe du Pr Didier Raoult. Nous n’avons pas du tout pris parti, mais simplement pris en compte une information sur une étude préliminaire qu’il était essentielle de vérifier. Thierry Lardenois, comme Martine Wonner, avaient déjà acquis une grande expérience en Lorraine et en Alsace sur la problématique COVID-19, au moment où il y a eu la suppression de la liberté de prescription. Donc ils avaient une vision déjà extrêmement claire de ce qu’il se passait et de la gravité de la situation.  Thierry Lardenois, ainsi que d’autres médecins du collectif qui suivaient des patients en EHPAD, nous donnaient des informations de terrain, et on voyait bien qu’il y avait un décalage entre ce que disait le gouvernement et la réalité du terrain. C’était des situations médicales surréalistes.

Les médecins généralistes ont reçu des protocoles ne visant pas à soigner mais à trier des malades, à les endormir au Rivotril, etc. Tout ça, vous commencez à peine à en entendre parler, mais cela a été terrible pour les médecins, les soignants et les familles. 

FS : Le Rivotril ?

VG : C’est un neuroleptique qu’on utilise en fin de vie, en médecine de soins palliatifs. Les médecins généralistes ont reçu des protocoles de soins palliatifs qui accélèrent la fin de vie. 

FS : Ça semble surréaliste : on n’autorise pas l’hydroxychloroquine mais on utilise le Rivotril. 

VG : C’est exactement ça et c’est la contradiction qu’a soulignée le sénateur Alain Houpert au Sénat lors des questions au gouvernement. Le Dr Houpert a interpelé le Premier Ministre, en rappelant que ces décrets nous avaient contraints d’enfreindre notre serment d’Hippocrate en ne pouvant pas porter assistance à nos patients. Il a rappelé que l’hydroxychloroquine a été interdite alors qu’il n’y avait aucune raison de le faire, non seulement en raison des statistiques sur les effets secondaires du médicament entre 2017 et 2019, mais également en raison des recommandations d’usage par un Professeur qui est une référence scientifique au niveau mondial. Il a aussi souligné qu’on demandait aux médecins de prescrire du Rivotril hors AMM (Autorisation de Mise sur le Marché) parce qu’on ne leur mettait pas à disposition les moyens de soigner leurs patients. Le Premier Ministre n’a pas répondu, c’est une secrétaire d’État qui a répondu à côté de la plaque en disant qu’il n’y avait aucune étude démontrant l’efficacité de l’hydroxychloroquine, occultant nombre de publications internationales prouvant le contraire, lorsque l’hydroxychloroquine est prescrite dans le cadre préconisé par le Pr Raoult, c’est-à-dire à un stade précoce de la maladie. 

FS : Quels objectifs se donne-le mouvement ? 

VG : À l’origine il y avait un objectif unique : retrouver la liberté de prescription des médecins libéraux. Avec le temps, on s’est aperçu qu’il y avait énormément de dysfonctionnements. On voyait bien qu’il se passait plein de choses anormales y compris dans les régions « moins sous tension ». Donc forcément on a essayé de comprendre ce qu’il se passait. Aujourd’hui on ne peut pas dire qu’on ait une vision totalement claire des choses mais il y a quand même énormément de points qui nous interpellent. On a surtout regardé le plan sanitaire: par exemple, il n’y avait pas de masques alors qu’il y a eu des instructions de détruire des masques en janvier par les ARS (Agences Régionales de Santé), officiellement parce qu’ils étaient périmés;

on a appris qu’il y avait des offres de masques faites au gouvernement qui avaient été refusées, etc.

Il n’y avait pas de surblouses. Je suis allée m’occuper de confrères et consœurs malades: pour aller ausculter les gens chez eux, j’ai mis un pantalon de k-way, une veste k-way, des gants MAPA parce qu’il n’y avait pas de gants, juste un vieux masque chirurgical périmé, et un foulard sur la tête.  C’était ça la réalité. 

Il y a eu des problèmes avec chaque type de matériel. On peut encore prendre l’exemple de respirateurs commandés par l’état auprès d’entreprises publiques, inutilisables car ne correspondant pas aux spécifications techniques d’un respirateur de réanimation. C’est aussi du gaspillage de l’argent public.

Sans oublier la problématique des tests qu’on n’arrivait pas à avoir, alors qu’on sait très bien qu’on aurait pu acheter des tests à la Chine, à l’Allemagne, etc. Alors qu’est-ce qui se joue ? Est-ce qu’on veut faire travailler les entreprises françaises ? Il y a d’autres intérêts ? Les institutions veulent tout contrôler ?

Tout ça, quand on est en train de voir les gens mourir, c’est surréaliste. 

Et cela se poursuit ! On a eu l’info il y a quelques jours d’un médecin généraliste du Var qui a dit qu’on leur avait remis quelques masques FFP2 et masques chirurgicaux, tous périmés. Et il a fait de l’humour en disant « c’est peut-être parce qu’on est en zone verte », alors qu’on dit à la radio et à la télévision que maintenant tous les médecins sont équipés, etc. Anne Roumanoff est venue à notre aide. Elle a fondé une association « Solidarité avec les soignants », en urgence, qui a fourni du matériel aux médecins, aux hôpitaux et aux cliniques mais aussi aux médecins de terrain. Je l’ai rencontrée, et elle m’a dit qu’il y avait plusieurs sociétés qui vendaient des masques, que l’on pouvait passer des commandes, qu’elle avait identifié des fournisseurs. Elle achetait des masques et d’autres matériels utiles et nous les remettait. C’est en discutant avec elle que je me suis aperçue que ce n’est pas qu’on n’avait pas de masques, c’est qu’on ne voulait pas les acheter, puisque quelqu’un comme Anne Roumanoff, grâce aux dons faits à son association, était capable d’en acheter.

FS : On ne voulait pas, ou on ne savait pas les acheter ? 

VG : Si Anne Roumanoff est capable d’identifier qui vend des masques dans le monde, de passer commande, je pense que le gouvernement peut le faire. Donc il y a un problème là. Il y a eu d’autres associations qui ont été créées pour aider les soignants et cela a été le même schéma. 

FS : Est-ce que ce mouvement a été soutenu par tous les médecins, ou est-ce qu’il y a eu au contraire des critiques ? 

VG : Il y en a eu très peu, mais il y a surtout des médecins qui sont dans leur peur, menacés par les Conseils de l’Ordre entre autres et les ARS (Agences Régionales de Santé). 

FS : Que peuvent faire les ARS contre un médecin ? 

VG : Les ARS font une gestion administrative de la médecine. Les médecins libéraux sont régulièrement menacés de multiples maux et d’amendes s’ils n’appliquent pas les directives. Il y a beaucoup de médecins qui, soit parce qu’ils débutent soit pour d’autres raisons, exécutent des décisions qui ne sont pas dans l’intérêt final des patients ni de la médecine au sens large. Donc les gens font ce qu’on leur demande de faire même s’ils ne sont pas en accord. Tous les mois, ou tous les trois mois, vous recevez combien vous avez consommé de médicaments, d’actes biologiques, et il y a des petites étoiles si vous dépassez la moyenne etc. Donc on vous demande des comptes sur plein de choses, et certains médecins se voient menacés s’ils ne sont pas dans le cadre et ce sans analyse fine de leur pratique qui peut précisément expliquer des valeurs hors cadre.

Des médecins lorrains ont reçu des avertissements, par leurs conseils de l’Ordre, pour des prescriptions qui n’étaient pas illégitimes en situation de crise sanitaire. Ces prescriptions n’ont pas mis en danger la vie de leurs patients, et qui plus est, ils avaient donné leur consentement à des prescriptions d’azithromycine avec du zinc par exemple. 

FS : On n’avait pas le droit non plus de prescrire de l’azithromycine ? 

VG : Si, mais pas de dire que ça marche bien pour traiter le Covid-19, en ville, avec du zinc de ce que j’ai compris. Il y a des médecins de Lorraine qui l’ont fait parce que le zinc est un antioxydant dont l’intérêt a été évoqué dans certaines publications internationales. Patients et médecins en ont parlé sur les réseaux sociaux, ils ont même fait des vidéos en disant que ça avait marché. Ils en ont parlé pour donner des clés à leurs confrères. Il faut bien garder en tête le contexte de crise et d’une communication anxiogène de type  » vous risquez tous de mourir du COVID-19″.

C’est le rôle des médecins de chercher des solutions thérapeutiques, ce d’autant plus que le gouvernement répétait : « il n’y a pas de traitement du Covid-19 ». 

FS : Didier Raoult a-t-il déjà été embêté, menacé, sur l’une de ses études qui soi-disant n’aurait pas été déclarée si elle n’avait pas été observationnelle ?

VG : J’ai lu cela dans la presse. Si c’est réel c’est une tentative d’intimidation. Les médecins n’ont pas à déclarer un usage compassionnel (hors AMM). C’est un contrat entre un médecin et son malade, et le consentement du malade est requis. C’est d’ailleurs cette approche qui a permis de grandes découvertes. Mais aujourd’hui, l’administration veut tout contrôler et cela entache la liberté de prescription. À force de tout contingenter et de tout mettre dans des rails, dans des grilles, on ne fait plus de la médecine, on fait des statistiques.

Je rappelle que pour un patient donné, la survie à l’infection n’est pas de 14, 28 ou 92% mais de 0 ou de 100%.

FS : Pourquoi le gouvernement tient-il cette position-là ? 

VG : Je pense que c’est multifactoriel. Sur la France il y a eu des guerres d’égo entre les patrons. Il y a aussi du passif dans le milieu de l’infectiologie sur la maladie de Lyme.

FS : Comment savez-vous ça ? Est-ce quelque chose dont vous êtes certaine ou s’agit-il simplement d’une rumeur ? 

VG : C’est un médecin du collectif qui nous a expliqué qu’on pourrait aussi analyser la crise avec une lunette « le camp pro-traitement des Lyme » contre le camp qui ne veut pas entendre parler du traitement, dont la direction générale de la Santé. Je pense qu’il faut aussi voir l’intérêt des lobbys, de l’industrie pharmaceutique, qui sont à l’action. Quand vous entendez des gens dire que « 4 à 5 % seulement de la population française est immunisée » : qu’est ce qui permet de dire ça ? Alors qu’on n’a pas fait de sérologie à large échelle dans notre pays. Qui sait, il y en a peut-être 15%, 20% ? En ce moment on prépare tout le monde à : « Vous allez acheter un vaccin à la rentrée ». Et L’OMS affirme des choses non justifiées. Je me suis confrontée avec une de leurs membres sur un plateau télévision qui disait « On ne s’immunise pas du COVID-19, les anticorps ne sont pas neutralisants… il faudra revacciner tous les ans… ». Je lui ai demandé ce qui lui faisait dire ça et lui ai expliqué qu’elle ne pouvait pas affirmer cela puisque le virus n’a été identifié qu’en janvier 2020, et qu’au moment où l’interview se passe, on a à peine 7 mois de recul sur la maladie.

Toute cette désinformation et cette terreur dans laquelle on plonge la population fait sacrément réfléchir.

FS : Donc globalement, il n’y a pas eu de médecins qui se sont opposés à vous ? 

VG : Dans les libéraux non, très peu. Personne ne s’est opposé à notre mouvement. Les médecins hospitaliers ont commenté une guerre médiatique mais pas le sujet de l’atteinte à la liberté de prescription; elle ne les touchait d’ailleurs pas directement. Certains hospitaliers ont rejoint le collectif. 

FS : Combien de médecins êtes-vous aujourd’hui à votre avis ?

VG : On est plus de 1250, cela grandit chaque jour. Mais dans le collectif, vous avez aussi des soignants (sages-femmes, kinésithérapeutes, infirmières et infirmiers, aides-soignants), des pharmaciens, des avocats, des bénévoles, des citoyens tous choqués par cette atteinte à la liberté de prescription.

Nous communiquons par mail et avons installé des fils de discussion sur une messagerie instantanée.

FS : Quand quelqu’un adhère reçoit-il des messages ?  Vous avez une messagerie où tout le monde échange : Comment ça fonctionne ?

VG : L’adhésion est accueillie par un mail de bienvenue, précisant les actions majeures du moment. Il y a plusieurs fils de discussion pour les personnes souhaitant partager des expériences, s’entraîder et comprendre ce qu’il se passe. Il y a également un fil spécifique pour les soignants au sens large et un pour les médecins. Sur ce dernier on assure une veille des données scientifiques internationales et nous les analysons. Le fil des bénévoles est plus pratique « Est-ce que je peux fabriquer des masques pour tels médecins dans telle région, pour telles sages-femmes, etc. ».

En ce moment les gens ont peur du déconfinement, on voit également des questions à ce sujet.

FS : Des personnalités ont-elles rejoint le mouvement depuis sa création ?

VG : Il y a très peu de personnalités, les deux premières ont été le président de la CARMF Thierry Lardenois et Martine Wonner députée LaREM récemment exclue pour avoir pris des positions médicales plus que politiques. Et je dirais que c’est bien ainsi, même si des personnalités de renom ont clairement pris la parole pour souligner l’action du collectif. Car ce sont vraiment des médecins de terrain qui alertent sur cette atteinte à la prescription, en dehors de toute considération politique, économique, lobbyiste, etc. Le Dr Emmanuel Sarrazin, urgentiste à Tours, a rejoint le collectif également dans cette dimension d’atteinte à la liberté de prescription, alors qu’en parallèle il fait parti d’un autre collectif de médecins qui a initié un dépôt de plainte contre l’ex-ministre de la santé et le Premier Ministre sur le sujet de la carence de matériel. Il y a ainsi un certain nombre de médecins qui travaillent dans d’autres collectifs.

Il va être important aujourd’hui que les collectifs travaillent en synergie afin qu’une telle cascade de dysfonctionnements ne se reproduise plus jamais.

FS : Quels sont les autres collectifs ?

VG : Il y a différents collectifs et il y a les syndicats, qu’on a peu entendu pendant la crise à part celui du docteur Jérôme Marty l’UFML (Union Française pour la Médecine Libre) qui a été très présent dans la communication. Les médecins sont peu syndiqués. On ne peut pas dire que Syndicats et Conseils de l’Ordre, aient vraiment porté haut et fort les revendications des médecins pendant la crise. 

FS : Avez-vous changé vos objectifs par rapport à ceux initiaux ou bien avez-vous commencé à adresser d’autres problématiques ?

VG : On a essayé de comprendre, et ce faisant, nous sommes tombés sur des choses qui nous interpellent et qu’il va falloir traiter comme informations.

Notre objectif premier est toujours là : c’est de rétablir la prescription de l’hydroxychloroquine en médecine de ville.

FS : Pourquoi la prescription de l’hydroxychloroquine a-t-elle été interdite aux médecins généralistes selon vous ?

VG : Le gouvernement a invoqué une toxicité mais on sait très bien que l’hydroxychloroquine bien prescrite, bien surveillée ne pose pas de problème particulier.

FS : Même par un médecin généraliste ? 

VG :  Il faut rappeler qu’elle était en vente libre jusqu’au 15 janvier. Ça aussi, ça fait partie de l’incompréhension totale. Il s’agissait d’un médicament qui était en vente libre, donc vous alliez en pharmacie le 14 janvier vous demandiez quatre boîtes d’hydroxychloroquine et on vous les donnait, sans ordonnance. Et puis tout d’un coup on dit que c’est le médicament le plus dangereux au monde. Le Dr Martine Wonner, a revêtu sa casquette de parlementaire et a demandé à l’ANSM (Agence Nationale de Sécurité du Médicament et des produits de Santé) les données de pharmacovigilance de cette molécule entre 2017 et 2019.

Et l’analyse des données a bien montré qu’il n’y avait pas eu de problème majeur sur les trois années antérieures.

Après des échanges avec certains confrères de service de réanimation je crois avoir compris une chose dont on parle peu. Le problème avec l’hydroxychloroquine est qu’elle a été prescrite au début de l’épidémie avec beaucoup d’espoir et que mes confrères hospitaliers ont eu à faire face à ce qui a été étiqueté comme « effets secondaires cardiaques », sans que l’on ait pris le temps d’analyser chaque dossier. Il y a ensuite eu une confusion dans la communication puisqu’on a mis sur le même plan arrêt pour effet secondaire et arrêt pour inefficacité. Qui plus est, un dossier de pharmacovigilance demande beaucoup de travail d’analyse pour vérifier si un événement qui peut ressembler à un événement indésirable est bien un événement indésirable d’une molécule donnée. C’est ce qu’on appelle l’analyse d’imputabilité.

Je sais de source sûre que ce travail n’a pas encore été fait et qu’on a communiqué sur ces arrêts de traitement de façon déraisonnable, sans prendre en compte que les patients à qui l’hydroxychloroquine avait été prescrite, étaient à un stade clinique grave, avec souvent des comorbidités dont des pathologies cardio-vasculaires, parfois même méconnues des patients, que ces patients pouvaient avoir des atteintes cardiaques du COVID-19 (qui s’avèrent nombreuses) et étaient en plus sous d’autres thérapeutiques elles-mêmes potentiellement responsables d’effets indésirables.

En période d’urgence, il est compliqué de faire ces enquêtes de pharmacovigilance. Il faudra vraiment faire une analyse sérieuse et professionnelle des dossiers de pharmacovigilance pour vérifier si le problème majeur était ou pas l’hydroxychloroquine et si un lien était établi avec la molécule, de savoir si elle a été prescrite à des gens qui n’auraient pas dû la recevoir.

Dans tous les cas, ce cadre de prescription n’était pas du tout celui préconisé par l’équipe de l’IHU Méditerranée qui conseillait de l’utiliser en synergie avec l’azithromycine à un stade précoce de la maladie.

FS : Pourquoi de la désinformation ?

VG : Ça c’est ce qu’il faut analyser, c’est le travail des journalistes et pas le mien. Quel est le rôle des lobbys, etc. ? Comme tous, j’ai entendu la Professeure Karine Lacombe pendant des semaines tenir des propos défavorables à l’hydroxychloroquine et dire, il y a quelques jours, que sa prescription pouvait être envisageable en phase précoce. Entre-temps la presse a rappelé les conflits d’intérêt des uns et des autres.

Tout cela est sans doute encore plus complexe.

FS : Quelles sont les grandes réalisations qu’a fait le mouvement « Laissons les médecins prescrire » ?

VG : La première chose qu’on a faite c’est de demander au gouvernement de conduire une étude sur 1000 médecins COVID plus. On a envoyé au Ministère de la Santé le protocole, le cahier d’observation et on a demandé d’obtenir la délivrance du Plaquenil® pour les médecins dans cette étude. On avait appelé au préalable Sanofi et on savait que le laboratoire était prêt à nous donner des boîtes, même gratuitement, mais le laboratoire ne pouvait le faire sans le feu vert de la direction générale de la santé. Comme nous avons eu une fin de non-recevoir, les médecins qui devaient centraliser les observations, ont conduit une étude rétrospective sur les dossiers de patients qu’ils avaient traités du COVID-19 avant le blocage de l’hydroxychloroquine. 

Cette étude menée chez 88 médecins, soignants et leur famille, met en avant l’intérêt de la prescription de l’azithromycine seule et de l’association azithromycine-hydroxychloroquine. Ce qu’il est important d’affiner maintenant rapidement, ce sont les indications médicales de tel ou tel traitement.

Quel profil clinique de patient sera traité au mieux avec l’azithromycine seule et quel autre profil avec l’association.

D’autres actions, grâce aux membres du collectif, sont mises en place. Les juristes suivent avec attention les textes de lois qui sont en train de sortir, comme un texte en préparation pouvant mettre en danger les réserves financières de structures telles que la CARMF.

Nous avons préparé un recours devant le Conseil d’État, mis en attente temporairement mais qui pourrait redevenir d’actualité.

FS : Comment expliquez-vous la faillite des médias aujourd’hui ?

VG : Je pense que les médias maintenant sont détenus par des groupes d’influences et des groupes industriels, et que la presse n’a plus rien à voir avec le journalisme d’il y a trente ans. C’est bien qu’il y ait des journalistes, des médias indépendants qui se créent, mais ils n’ont pas la force de frappe des structures largement financées. Ce qui me choque énormément ce sont les interventions de personnes qui se disent spécialistes santé et qui sont totalement incompétentes sur le sujet du jour. Quant à certains médecins embauchés sur certaines chaînes qui se permettent de commenter la prise en charge du COVID-19 et de contredire nos propos, alors qu’ils/elles n’ont à l’évidence pas suivi un seul patient atteint de la maladie, c’est également grave.

FS : Il semble que lorsque vous voulez aborder le sujet de l’hydroxychloroquine à la télévision, on ne vous laisse quasiment pas parler. Comment l’expliquez-vous ?  

VG : Maintenant on fait du show, on ne fait pas du journalisme, on ne cherche pas forcément à faire de l’information. Ça crée sur du « short term » et ça empêche les réflexions. Les réseaux sociaux permettent l’existence de médias indépendants et l’échange entre les citoyens, et c’est bien. Il faut aussi que toutes et tous nous fassions notre expérience par rapport à toutes ces nouvelles technologies, et développions un esprit critique vis-à-vis de certaines news. 

Le collectif reçoit des tas de mails, je reçois même des courriers à mon cabinet et je ne suis pas la seule, “merci pour votre action, on est là, défendez les citoyens, continuez de vous battre…” C’est surréaliste. En fait je pense que beaucoup de gens de la population sont lucides, mais après, il y a interdiction de parler. Tout le monde est manipulé.

“Ne parlez pas, ne bougez pas, soyez confinés, ne sortez pas du rang, ne vous réunissez pas à plus de 10 personnes”. Cette crise questionne les libertés individuelles.

Un collectif, c’est important. Nous y avons puisé de la force dans une période dramatique sur le plan médical. De nombreux médecins ont été malades, certains très gravement, avec des séquelles, sans parler des morts. C’est toute la communauté des soignants qui a été touchée et quand il s’agit de nos patients, vous avez pu mesurer à quel point cette communauté est solidaire.

Nous nous devons de faire en sorte qu’une telle catastrophe ne se reproduise jamais, c’est pour cela que de nombreuses actions vont se poursuivre ou être initiées par la communauté médicale.

Mais c’est aussi à chaque citoyen d’agir pour l’avenir de sa santé et celle de sa famille.


[Notes]

Auteur(s): Guy Courtois pour FranceSoir




Le confinement, tout ce que l’on ne vous a pas dit : aberration humaine, sanitaire, économique

[Source : France Soir]

Auteurs : Dr Gerard Delépine chirurgien oncologue et statisticien et Xavier Azalbert

ANALYSE : Le communiqué du 2 juin du conseil scientifique se décerne un satisfécit sans regarder les faits et tente par des scénarios improbables (issues de modélisation erronées) de faire perdurer la peur qui paralyse la population et l’empêche de défendre ses libertés.  Ainsi il prétend sans avoir étudié cette cinétique :  

« La période du confinement a permis de ralentir la dynamique de l’épidémie de façon marquée »

L’utilisation des analyses de rupture de tendance lui aurait permis de constater que le confinement aveugle et policier à la française n’a été suivi du moindre ralentissement des contaminations dans aucun des pays qui l’a pratiqué et que la baisse des contaminations a été observée bien plus tard (5 semaines) et naturellement de la même manière dans les pays confinés ou pas.

La comparaison entre la Belgique et les Pays bas permet de suggérer même que le confinement strict accélère les contaminations.

Epidémie terminée et « en même temps » confinement relatif poursuivi 

Les conséquences du confinement sont désastreuses et vont nous faire souffrir plusieurs années. Alors que ces deux mois et demi furent délétères pour la France, les limites lourdes à la liberté imposées par le gouvernement empêcheraient-elles la vie de reprendre normalement, tant sur le plan psychique que médical, scolaire, social, économique?

Pourtant nous sommes en fin d’épidémie et les quelques cas encore décelables ne justifient en aucun cas de bloquer 67 millions d’habitants. En revanche, ils justifieraient d’un traitement efficace, utilisé dans le monde entier.

Pourquoi les en priver et en conduire certains à une maladie éventuellement longue sur plusieurs semaines ?

Un but subliminal : poursuivre la terreur ?

Ceci nous conditionnerait à accepter des vaccins (qui ne verront sûrement jamais le jour), ou au moins une drogue chère comme le Remdesivir de Gilead. Il suffit de jetter un rapide coup d’œil aux cours en Bourse de Gilead et de laboratoires tonitruants sur un éventuel vaccin, pour voir que les acrobaties médiatiques du genre Lancet ne sont pas gratuites. Elles permettent, en quelques jours, de doper le cours de l’action boursière et pour les initiés de gagner beaucoup d’argent.

Depuis le desserrement du confinement policier mortifère qui nous a été imposé inutilement, le lobby de la peur essaie d’entretenir la panique créée par les médias et le gouvernement, afin de maintenir notre soumission et l’abandon de notre bien le plus précieux, notre liberté.

En témoignent de nombreux articles mensongers qui prétendent que le confinement aurait « sauvé des vies », qu’il faut « craindre une deuxième vague » d’épidémie parce que « l’immunité collective serait insuffisante » (note 1,2,3), que « l’application stop Covid serait utile ». Même le syndicat des avocats a dénoncé cette application à éviter absolument et à désinstaller, si elle a été installée silencieusement lors d’une mise à jour de votre portable (Note 4).

En réalité, l’épidémie se termine en France comme partout en Europe. Il n’y aura pas de vraie deuxième vague de Covid19, car cela n’est jamais observé dans les maladies virales (Note 5). Et il ne faut pas se préoccuper de la faible prévalence de la maladie dans la population, car l’observation des épidémies précédentes montre que l’immunité collective ne détermine presque jamais leur évolution. L’enthousiasme pour les tests, toujours peu au point, et non spécifiques, ne repose que sur l’envie du gouvernement de perpétuer la peur, et de nous maintenir dans l’angoisse de nouvelles contaminations. Ils n’ont pas d’intérêt alors que l’épidémie est terminée.

Ne cédez pas à la pression des médias et des autorités pour vous faire ficher ; l’usage du test est devenu une arme politique pour faire croire qu’on s’occupe de son peuple, de sa ville. Il n’a plus aucun intérêt à ce stade de disparition de cette virose. 

Le confinement aveugle et policier n’a ni diminué, ni ralenti l’épidémie

Contrairement aux prédictions issues des simulations qui l’ont motivé (Note 6), le confinement policier n’a ni ralenti, ni diminué la propagation de l’épidémie. Plutôt que de croire aux annonces de propagande basées sur les succès virtuels de modélisations biaisées (Note 7) qui encensent cette technique moyenâgeuse et inefficace (Note 8), ou de ceux qui veulent à tout prix se consoler d’avoir été emprisonné sans faute, il faut regarder les faits réels, les faits observés, les faits constatés.

Résultats comparatifs des pays confinés ou non, d’après les chiffres OMS

Les données publiées par l’OMS prouvent que la propagation de l’épidémie n’a été ni retardée, ni amoindrie par le confinement aveugle dans aucun des pays qui l’ont imposé à leur population.

Dans les pays confinés, les évolutions du nombre de contaminations quotidiennes avant et après le verrouillage, ne montrent en effet aucun signe de discontinuité (Note 9), ni dans leurs taux de croissance, ni dans leurs temps de doublement. Cette remarque a été le sujet d’un article bien documenté (Note 10). Ceux qui prétendent que le confinement aurait évité l’accélération, protégeant de fait d’une surcharge des hôpitaux, sont démentis par les faits que démontrent les résultats comparés entre pays voisins de même culture.

Résultats comparatif par pays sur le confinement – FranceSoir

Résultats comparatif par pays sur le confinement - FranceSoir

Infections cumulées Belgique versus Pays-Bas

Et si on compare la propagation de l’épidémie dans les pays adeptes du confinement autoritaire à la française à celle observée dans les autres pays, on s’aperçoit que le confinement aveugle a été délétère. A titre d’exemple, la comparaison des courbes d’infections cumulées entre la Belgique (confinée) et les Pays-Bas (non confinés), pays proches, suggère que le confinement policier aurait même pu accélérer l’épidémie. En effet c’est dix à quinze jours après le début du confinement belge que la propagation de l’épidémie s’accélère dans ce pays, alors qu’elle reste stable aux Pays-Bas non confinés.

Le confinement aveugle augmente le risque d’infection – FranceSoir

Le confinement aveugle augmente le risque d'infection - FranceSoir

Le bilan médical actuel du confinement aveugle franco-italien appliqué aussi en Belgique et en Espagne est catastrophique

Pour évaluer la balance avantages/risques du confinement, il ne faut pas se baser sur les résultats des simulations (Note 10) qui inventent des morts virtuels, théoriques, mais se baser uniquement sur les faits réels, avérés et publiés.

Mortalités comparées

D’après les données publiées par l’OMS le 30 mai 2020 (note 11), la mortalité directe du Covid19 est beaucoup plus élevée dans les pays qui ont pratiqué le confinement aveugle (sans séparer les porteurs de virus des autres) et autoritaire (avec contrôle policier), que dans ceux qui ont pratiqué la quarantaine ciblée (réservée aux seuls porteurs de virus) et fait confiance à leurs citoyens (conseillés et non astreints à domicile).

Au 29 mai 2020, exprimée par million d’habitants, la mortalité officielle directement liée au Covid19 atteint 810 en Belgique, 621 en Espagne, 548 en Italie et 459 en France, pays adeptes du confinement aveugle et policier, contre 100 en Allemagne, 98 au Danemark et 4 à 7 dans les pays asiatiques démocratiques qui n’ont pas confiné leur population.

En adoptant les mesures sanitaires de l’Allemagne, nous aurions probablement 23 000 morts de Covid19, en moins à déplorer. Et sans aucune mesure sanitaire, à l’instar des Pays-Bas, nous pourrions avoir eu 6100 morts directes du Covid19 en moins.

Mortalités comparées par méthode de confinement – FranceSoir

Mortalités comparées par méthode de confinement - FranceSoir

Morts de Covid19 ou suspectés, et morts « politiques « liées aux conséquences d’une mesure politique et non sanitaire (note 12)

A ce surplus de mortalité directe lié au confinement aveugle, il convient d’ajouter les victimes collatérales et en particulier les malades souffrant de pathologies chroniques (cancéreux, cardiaques, déprimés) qui ont subi l’arrêt des traitements prévus, arrêt imposé par le plan Blanc (note 13) et les nouveaux malades qui n’ont pas pu être diagnostiqués, ni traités du fait de l’interdiction d’opérer les malades non reconnus urgents par les agences régionales de santé.

Les morts pendant le confinement, et les décès anticipés, non dus au Covid19 mais au retard de soins (note 14)

Depuis le début du confinement, 75000 nouveaux cancers auraient dû être diagnostiqués si les chirurgiens avaient pu opérer. Même l’académie de chirurgie s’en inquiète dans son communiqué du 15 Mai : « depuis la mise en place du Plan Blanc le 13 mars, 85% des 7,2 millions d’interventions chirurgicales programmées chaque année en France ont été reportées, soit près d’1,1million d’actes (CNAMTS, ATIH). Il en résulte des risques d’aggravation dus au retard de prise en charge, non seulement en oncologie, mais également dans les autres disciplines ».

Plus d’un million d’interventions auraient été déprogrammées, remises aux calendes grecques, puisqu’on ne sait toujours pas quand le véritable déconfinement aura lieu, et que les mesures déjà discutables au début de l’épidémie sont maintenant imposées alors qu’elles sont aujourd’hui devenues complètement inutiles.

De combien de morts supplémentaires ces retards aux traitements seront-ils responsables ? Et cette rupture de soins ne concerne pas uniquement la cancérologie, mais a touché toutes les pathologies non Covid, qu’il s’agisse de cardiologie (infarctus dont seulement la moitié des malades attendus se sont présentés en consultation), de neurologie (là aussi moitié moins d’accidents vasculaires constatés à l’hôpital), d’endocrinologie, rhumatologie etc. (note 15)

Alors que l’épidémie se termine et que les hôpitaux sont aux trois quarts vides, le plan blanc a interdit jusque récemment aux chirurgiens d’opérer (note 16), blocage maintenu par les agences régionales de santé pour une durée indéterminée et un nombre croissant de victimes supplémentaires. (note 17). L’étau semble se desserrer, mais les cliniques craignent de manquer de produits anesthésiques, alors que les besoins en réanimation sont en grande baisse.

Le bilan médical du confinement devra aussi prendre en compte les complications psychologiques et en particulier les suicides liés à l’astreinte à domicile, aux pertes de salaires et au chômage que constate déjà la presse australienne (note 18, 19 20)et qui pourrait atteindre jusqu’à 150000 victimes aux USA si le déconfinement est trop lent (note 21). Ce bilan n’est pas près d’être terminé.

Les raisons du dramatique échec médical du confinement à la française

Les simulations des prophètes de l’OMS qui ont convaincu de nombreux gouvernements de confiner aveuglément leurs populations ont très largement surestimé le risque réel de la maladie virale et oublié les autres pathologies, le gain espéré de leur mesure et refusé de prendre en compte les complications médicales, sociétales et économiques qui s’annoncent catastrophiques. Nos gouvernants, plutôt que de croire ces prophètes de malheur auraient dû suivre l’exemple des pays asiatiques démocratiques qui ont protégé leurs populations du covid19 et des complications du confinement policier aveugle à la française.

Dans toute l’histoire de l’humanité la lutte contre les épidémies repose sur l’hygiène, la compréhension des modes de propagation des maladies infectieuses, la mise en place de mesures efficaces de désinfection et la séparation des porteurs de germes de la population saine.  Ainsi, actuellement le règlement sanitaire international prévoit en cas de peste, l’isolement de tout le groupe de voyageurs, même si une seule personne est touchée, tandis qu’en cas de fièvre jaune ou de choléra, seul l’isolement de la personne atteinte est obligatoire.

Le confinement aveugle de toute une population tel qu’il nous a été imposé est une mesure connue pour être inefficace. En France, elle avait été utilisée pour la dernière fois lors de la peste de Marseille entraînant la mort de la moitié de la population de la ville, sans empêcher la diffusion de la maladie à toute la Provence avec 70 000 victimes supplémentaires. Cette méthode du passé, remise à la mode par la dictature chinoise, a été présentée par le mathématicien -prophète de l’OMS, N Ferguson comme la méthode la plus efficace (note 23 24) de lutte contre l’épidémie.

Mais la simulation de l’Imperial College n’avait apparemment pas envisagé que le confinement d’un adulte malade à la maison (avec seulement du doliprane) constituait le meilleur moyen de contaminer toute la famille, voire les voisins.

Un confinement aveugle sans réflexion

Il eut fallu réfléchir à l’illogisme d’enfermer soignants, policiers ou agents de transport RATP, bus, etc. exposés à de fortes charges virales qui vont et viennent avec leurs familles bloquées à domicile, en milieu clos peu aéré (en raison de la peur transmise sur les médias du vol de virus à travers l’air extérieur, « au-dessus d’un nid de coucous »).

Même si les autorités n’y avaient pas pensé, rien ne les empêchait de rajuster la mise lorsqu’il apparut au début de l’épidémie et la virulence du coronavirus que les soignants étaient les plus rapidement et fortement touchés. D’ailleurs soulignons que les autorités nous ont vanté, tout au long de cet enfermement liberticide accompagné de mesures humiliantes, le modèle de Wuhan. Mais les Chinois, eux, recherchaient avec opiniâtreté les citoyens fiévreux dans les appartements et extrayaient les personnes suspectes pour les isoler rapidement de leur famille.

Nous n’avons retenu que l’autoritarisme chinois, mais moins la logique sanitaire.

Incompétence ou malveillance des ARS ?

Les directions des Agences Régionales de Santé ont imposé aux responsables d’EHPAD de garder les infectés de retour des urgences, y compris après un séjour à l’hôpital où ils avaient été étiquetés Covid19. Ils revinrent sans traitement autre que le doliprane et donc rien ne permettant de faire baisser la charge virale. Ils rejoignirent les autres résidents au moins dans les premières semaines et personne ne s’étonna de la forte contamination chez les ainés, de plus fragiles. N’auraient-ils pas dû comprendre qu’ils favorisaient ainsi la contamination de tous les pensionnaires pourtant les plus fragiles d’entre nous, ceux qu’ils devaient protéger ?

Au-delà du 20 Mars et la circulaire précédent le décret Rivotril du 26 mars (note 24) interdisant le traitement actif des ainés et autorisant l’injection de Rivotril en cas d’insuffisance respiratoire possiblement Covid, les patients ne furent même plus envoyés aux urgences pour préciser le diagnostic. Les habituels infarctus, embolies pulmonaires ou pneumonie bactérienne furent laissés de côté et le résident atteint bientôt euthanasié et étiqueté Covid19.

Que penser du ministre dont les décrets ont interdit la chloroquine soi-disant dangereuse pour prôner le Rivotril à coup sûr mortel en cas de complications respiratoires !

Curieusement, les simulations n’imaginèrent pas non plus que les soignants (qui ne disposaient pourtant pas de protection lors du premier mois de l’épidémie) puissent contaminer leurs malades venus consulter ou leurs voisins dans les transports publics.

Ni que les employés des transports publics et les policiers puissent être contaminés et contaminants parce que non protégés (même interdits de l’être par leur ministre). On entendit ainsi un haut responsable de la santé déclaré à la télévision que les soignants malades s’étaient infectés chez eux !

La sommation de ces erreurs explique que les pays adeptes du confinement strict, mais sans isolement des malades ou des personnes à risque, comme les soignants, comptent davantage de morts que ceux qui ont pratiqué les méthodes médicales éprouvées de l’endiguement (quarantaine) et même que ceux qui n’ont presque rien imposé à leurs populations (Pays-Bas, Suède, Islande).

Le rôle et la responsabilité de l’OMS, ainsi que de Neil Ferguson de l’Imperial College seront à évoquer en détail lors d’une enquête sur le devenir et l’efficacité de nos contributions à cette organisation ainsi qu’à ses publications.  La confiance n’excluant pas le contrôle, il sera d’autant plus important de conduire un audit approfondi des recommandations faites par l’OMS qui a ce jour donne plus le sentiment de se comporter comme la FIFA jadis.  Verra-t-on le prochain scandale venir des modes opératoires de l’OMS ? FIFA gate, OMS gate ?

Il faudra aussi auditer les décisions publiques autoritaires qui ont été prises en France ont été particulièrement nocives et justifient des enquêtes approfondies (note 25) pour éviter que cela ne puisse se reproduire.  Un regard sur la politique italienne de réduction de la mortalité journalière est parlant.

Italie tendance avant et après hydroxychloroquine FranceSoir

Italie tendance avant et après hydroxychloroquine FranceSoir

Heureusement, l’épidémie se termine en France comme dans les autres pays d’Europe

Les données publiées par l’OMS montrent que l’épidémie se termine en Europe continentale et en Méditerranée orientale. Depuis la seconde semaine d’avril, le nombre moyen quotidien de nouvelles contaminations a régulièrement diminué ; ce recul atteint 92% en France et dépasse les 85% chez la plupart de nos voisins, même ceux qui présentaient les plus gros chiffres de contaminations depuis le confinement.

L’épidemie recule dans les pays voisins FranceSoir

L'épidemie recule dans les pays voisins FranceSoir

La comparaison de l’évolution de l’épidémie en Belgique et aux Pays-Bas, proches par leur situation géographique et leurs modes de vie, est particulièrement frappante et questionne une fois de plus sur l’utilité même du confinement. En effet, les Pays-Bas, qui n’ont pas restreint les libertés publiques, bénéficient de la même régression (83%) de l’épidémie et dans les mêmes délais que la Belgique confinée policièrement après avoir pleuré au total 344 décès par million d’habitants contre 810/1000000 en Belgique.

Il n’y aura pas de deuxième vague (note 26) ou se sera une vaguelette comme pour les autres épidémies

Lors des épidémies virales il n’existe pratiquement jamais de deuxième vague du même virus. Il y a eu précédemment deux épidémies comparables : le SRAS et le Mers et aucune ne s’est exprimée en plusieurs vagues.

Après quelques mois et sans qu’on ne sache pourquoi, l’épidémie s’éteint même si au total peu de personnes ont été immunisées. Contrairement à ce que prétendent les simulations et en particulier celle de Ferguson ou de ses élèves de l’institut Pasteur parisien, ce n’est pas le pourcentage de personnes immunisées qui explique l’arrêt des contaminations.

Le professeur Jean-François Toussaint, lors d’un entretien à la Charente Libre, précise que l’hypothèse d’une deuxième vague est très peu crédible « sur l’analyse dans les 188 pays qui ont déclaré des cas et sur la dynamique évolutive de la maladie ».

Mais certaines épidémies, comme la grippe dont le virus ne dure le plus souvent qu’une saison, reviennent chaque année.

Et jusqu’ici, nous surmontions ces épreuves sans imposer à la population des mesures autoritaires injustifiées et souvent ubuesques qui ont aggravé la situation sanitaire immédiate et impacté l’économie pour plusieurs années.

Le tsunami économique qui nous attend sera pire que celui de 1930

Selon l’Observatoire Français des Conjonctures Economiques (Note 27), les huit semaines de confinement ont déjà diminué le PIB 2020 de 120 milliards d’euros (soit 5 points de PIB). Les secteurs les plus durement touchés sont ceux des transports, de l’hébergement et de la restauration, la construction et les activités de loisirs et le commerce de détail. En tenant compte du rétablissement ralenti par la persistance incongrue des mesures de déconfinement, l’impact global pour 2020 serait de -10 points de PIB.

D’après l’INSEE, le PIB français diminuerait d’environ 20 % au deuxième trimestre 2020 (après –5,8 % au premier). Ce serait la plus forte récession depuis la création des comptes nationaux français en 1948. Même si l’activité économique revenait intégralement à son niveau d’avant crise dès le mois de juillet, le PIB français diminuerait de 8 % sur l’année 2020, or un retour aussi rapide à la normale semble peu réaliste. L’impact global de la crise sanitaire en 2020 sera donc certainement supérieur à ce chiffre.

L’Organisation Internationale du Travail alerte sur les ravages sanitaires et sociaux de la crise qualifiant l’impact sur l’emploi de profond, d’une grande portée et sans équivalent. 1,25 milliard de travailleurs sont exposés à des licenciements, pertes d’activité et de revenus, du fait du confinement dans le monde.

Comme toutes les grandes crises économiques, celle de 2020 a été baptisée :  celle du « Grand Confinement » par Gita Gopinath.  Selon les prédictions du FMI, l’économie mondiale va connaître « sa pire récession depuis la Grande Dépression ».

Et lorsqu’on constate que l’étendue (5 817 385 infectés) et la mortalité mondiale (362 705) du Covid19 au 30 mai, se situent dans la fourchette basse des grippes saisonnières (environ 20 millions d’infectés et 290 000 à 550 000 morts), on peut déplorer que les mesures injustifiées pour lutter contre une fausse pandémie aient créé une vraie misère.

En urgence, lever les mesures liberticides inutiles et toxiques

Ces constatations conduisent à demander en urgence aux décideurs de lever les mesures coercitives de confinement encore imposées : 

Reprendre les activités scolaires partout, à tous les âges et sans mesure de distanciation ni masques, particulièrement chez les petits très traumatisés par ce théâtre tragique.

Libérer les « EHPAD » dans lesquels nos ainés sont devenus des bêtes de zoo, dans leurs prisons même pas dorées. (Note 28) Signez les pétitions pour accélérer leurs sorties de prison, alors que leur seule faute est le grand âge et/ou la dépendance.

Libérez l’activité économique, dans les cafés, restaurants etc. Ces mesures de distanciation imposées sont grotesques, alors que l’épidémie se termine et bloquent de fait la reprise économique dont le pays a tellement besoin.

Impérativement rendre aux médecins de ville et d’hôpital leur liberté de soigner, en particulier libérer la prescription de chloroquine après le triste feuilleton de l’étude biaisée ou inventée du Lancet et la décision brutale du ministre d’aggraver encore le décret mortifère du 26 Mars.

Abroger les décrets liberticides du 26 mars et sa prolongation injustifiée.

Faire stopper complètement le plan blanc, afin que les chirurgiens puissent reprogrammer leurs patients, les rassurer et finalement les soigner. Le bilan spécifique du plan blanc devra être passé à la loupe, car complètement inutile et extrêmement toxique pour les patients et leurs équipes chirurgicales. 

Selon Frédéric Bizard, « l’impact sur le volume de la crise Covid19 a été estimé en chirurgie avec une baisse comprise entre 1,7 million et 2 millions d’actes chirurgicaux, soit une chute du volume comprise entre 25% et 29% selon la date de levée du plan blanc. L’évolution des tarifs a été estimée selon les engagements gouvernementaux de 2019 pour les années 2020 à 2022 en chirurgie.  L’impact économique global est compris entre 4,2 milliards d’euros et 5 milliards d’euros de baisse des dépenses de chirurgie pour l’assurance maladie en 2020 ». (Note 29)

Activités médicales interdites pour RIEN ! Tout Covid, rien que Covid

Les lits libérés restèrent vides tant en privé qu’en public, et la surcharge en réanimation jamais soulagée par cette privation générale d’activité, les ARS, encore elles, ayant refusé de transférer les malades dans les lits privés (sauf en IDF dans quelques établissements), préférant jouer à la guéguerre à coups d’hélicoptères, et de TGV avec transferts en France ou à l’étranger.  En public, ce fut la même chanson, pas d’autres malades que covid19 sauf urgence extrême. Les internes se sont beaucoup ennuyés pendant deux mois et racontent avec beaucoup d’émotion les pertes de chance de leurs patients « habituels ».

Quant au Ségur (Note 30), il est certain que si l’on en espère quelque chose, il serait impératif qu’il se déroule avec une équipe neuve, sous la houlette d’un ministre non responsable des erreurs récentes avant et pendant la crise sanitaire, et surtout après la prise de position ahurissante du ministre de la santé interdisant la chloroquine sur la foi d’un article complètement caviardé, qu’il ne peut avoir lu, et qui fait de nous la risée du monde entier.

Bien curieux film que la gestion de ce Covid19 qu’aucun scénariste n’aurait osé écrire. Pas crédible !


[Notes]

Note 1 : Jean-François Delfraissy, le Président du conseil scientifique, a annoncé que « le taux d’immunité de la population française face au coronavirus est plus faible que prévu ».

Note 2 : Simon Cauchemez dans Le Monde « dans tous les cas, on sera très loin des 70 % dont on aurait besoin pour pouvoir faire une sortie du confinement sans problème »

Note 3 : Toute cette propagande de la terreur repose sur des simulations mathématiques dont « l’étude de Pasteur qui a utilisé l’un des meilleurs modèles qui existe actuellement » ; ce modèle prédisait 70000 morts en Suède si elle refusait de confiner. La Suède n’a pas restreint les libertés et ne comptait au 30 mai que 4266 morts soit quatorze fois moins qu’annoncé.

Note 4 : Allez sur réglages, confidentialité, puis santé avec un cœur rouge et là si installée, désinstaller et vérifier régulièrement, sauf si vous souhaitez cette application, mais ce doit être un choix et non pas une manœuvre cachée.

Note 5 : La soi-disant « deuxième vague » de la grippe espagnole était en fait une poussée d’infections bactériennes favorisées par la malnutrition et l’épuisement de la population après l’épidémie de grippe ; une telle complication ne peut plus se reproduire depuis l’arrivée des antibiotiques (sauf si on refusait d’en donner aux patients comme cela s’est passé avec l’injonction Rivotril et rien d’autre, imposée en début d’épidémie de Covid, mais les français se seront réveillés.

Note 6 :  http://www.economiematin.fr/news-rapport-confinement-ferguson-secret-cri…

Note 7 https://ripostelaique.com/le-confinement-na-pas-sauve-61-000-vies-mais-i…

Note 8 La dernière fois que cette technique a été utilisée en France au 18ème siècle, elle a abouti à la mort de 50% de la population marseillaise sans empêcher l’extension de l’épidémie à la Provence (70000 morts supplémentaires) et à l’Italie.

Note 9 : Analyse de recherche de changement de tendance (break point analysis) négative = aucune différence sur la vitesse de propagation du virus n’est apparue entre la période d’avant le confinement et pendant le confinement. Le confinement n’a pas ralenti l’épidémie contrairement à trop de racontars sur les TV. Seuls les chiffres font foi.

Note 14 : http://www.academie-chirurgie.fr/admin/uploads/media/photo/0001/03/6ef75…

Note 15 : http://academie-chirurgie.fr/admin/uploads/media/photo/0001/03/449c6ce34…

Note 16 : www.economiematin.fr/news-ouverture-bloc-operatoire-danger-malades-confi… ?

Note 17 : https://youtu.be/eay-Txlr-GQ

Hôpitaux & Cliniques : Interdiction d’opérer » Dr Nicole DELÉPINE 16 MAI 2020

Note 18 : https://www.telegraph.co.uk/news/2020/05/07/australia-fears-suicide-spike-due-virus-shutdown/

Note 19 : https://www.breitbart.com/health/2020/05/07/report-suicide-rise-from-lockdowns-to-kill-more-than-coronavirus-in-australia/

Note 20 : https://www.sbs.com.au/news/australia-s-suicide-rate-could-surge-due-to-economic-fallout-of-coronavirus

Note 21 : Petterson, Steve et al. “Projected Deaths of Despair During the Coronavirus Recession,” Well Being Trust. May 8, 2020. WellBeingTrust.org

Note 22 : Présentée comme le technique ‘extinction’ de la maladie dans la simulation du rapport 9 d l’Impérial College

Note 23 : http://www.economiematin.fr/news-rapport-confinement-ferguson-secret-cri…

Note 24 : https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/decret-rivotril-compassion…

Note 25 : Car il s’agit de récidivistes ; les précédentes simulations de Ferguson sur le Sida, la grippe H1N1, la maladie de la vache folle, l’Ebola ont été toutes aussi fausses, exagérant à chaque fois considérablement les risques

Note 26 : http://docteur.nicoledelepine.fr/covid19-genese-et-consequences-dune-hys…

Note 27 : Evaluation au 20 avril 2020 de l’impact économique de la pandémie de COVID-19 et des mesures de confinement en France”,

Note 28 : https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/epidemie-terminee-mesures-224795

Note 29 : Et combien d’autres professions impactées : « l’activité chirurgicale génère en amont du geste opératoire de l’activité pour d’autres secteurs (secrétariats médicaux, analyses biologiques, prothèses, masques, produits d’hygiène, activités de recherche…) ainsi qu’en aval (infirmières, aide soignantes, kinésithérapeutes en ville, soins de suite, ambulances, taxis, laboratoires d’anatomopathologies…). »

Note 30 : http://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/les-contes-de-segur-revus-et-…

Auteur(s): Dr Gerard Delépine chirurgien oncologue et statisticien et Xavier Azalbert pour FranceSoir




Quand les profits et la politique dirigent la science: Les dangers de l’accélération d’un vaccin à la « vitesse de distorsion »

[Source : Mondialisation.ca]

Par Ellen Brown

Plus de 100 entreprises sont en compétition pour être les premières dans la course à la mise sur le marché d’un vaccin COVID-19. C’est une course contre la montre, non pas parce que le taux de mortalité augmente, mais parce qu’il diminue – au point qu’il pourrait bientôt y avoir trop peu de sujets pour prouver l’efficacité du médicament.

C’est ce qu’affirme Pascal Soriot, directeur général d’AstraZeneca, une société pharmaceutique britanno-suédoise qui est en tête de la course. M. Soriot a déclaré le 24 mai,

« Le vaccin doit fonctionner et c’est une question, et l’autre question est que, même s’il fonctionne, nous devons être en mesure de le démontrer. Nous devons agir aussi vite que possible avant que la maladie ne disparaisse afin de pouvoir démontrer que le vaccin est efficace ».

Si la maladie disparaît d’elle-même, pourquoi consacrer des milliards de dollars au développement d’un vaccin ? Le ministère étasunien de la santé et des services sociaux (HHS) a déjà accepté de fournir jusqu’à 1,2 milliard de dollars à AstraZeneca et 483 millions de dollars supplémentaires au leader étasunien Moderna pour développer ses candidats expérimentaux. « En tant que contribuables américains, nous sommes en droit de nous demander pourquoi », écrit William Haseltine dans Forbes.

Les deux sociétés ont attiré des milliards d’investisseurs privés et n’ont pas besoin d’argent des contribuables, et les paris spéculatifs du gouvernement sont faits sur des technologies non éprouvées aux premiers stades des essais. Les bénéfices iront aux entreprises et à leurs actionnaires, tandis que le coût de l’opération sera supporté par le public. Les fabricants de vaccins sont protégés de toute responsabilité pour les dommages causés par les vaccins par le National Vaccine Injury Compensation Program et la loi PREP de 2005, qui imposent plutôt des dommages-intérêts au gouvernement et aux contribuables étasuniens.

Les effets systémiques à long terme, notamment le cancer, la maladie d’Alzheimer, les maladies auto-immunes et l’infertilité, peuvent prendre des décennies à se développer. Mais le décor est déjà planté pour les vaccinations obligatoires qui seront « déployées » par l’armée américaine dès la fin de l’année. Le HHS, en collaboration avec le ministère de la défense, a attribué un contrat de 138 millions de dollars pour 600 millions de seringues préremplies de vaccin contre les coronavirus, marquées individuellement avec des puces RFID traçables. C’est suffisant pour deux doses destinées à la quasi-totalité de la population étasunienne.

La COVID-19, comme d’autres coronavirus, devrait muter au moins chaque saison, ce qui soulève de sérieuses questions sur les allégations selon lesquelles un vaccin quelconque serait efficace. Malgré 30 ans d’efforts, aucun vaccin efficace n’a jamais été mis au point pour aucune des nombreuses souches de coronavirus, en raison de la nature même du virus. En fait, les personnes vaccinées peuvent avoir un risque plus élevé de maladie grave et de décès lorsqu’elles sont ensuite exposées à une autre souche du virus, un phénomène connu sous le nom d’« interférence du virus ». Un précédent vaccin contre le SRAS, dont l’efficacité était reconnue parce qu’il produisait des anticorps contre le virus, n’a jamais été mis sur le marché parce que les animaux de laboratoire ont contracté des symptômes plus graves lors de la réinfection, et la plupart d’entre eux sont morts. Selon des rapports en provenance de Chine et de Corée du Sud, même les personnes qui s’étaient précédemment remises du COVID-19 ont été réinfectées par le virus. Si les anticorps créés naturellement en réponse au virus sauvage ne protègent pas contre les infections futures, les anticorps plus faibles déclenchés par le vaccin ne fonctionneront pas non plus.

Les chercheurs travaillant avec le vaccin d’AstraZeneca ont affirmé que les études préliminaires avaient été couronnées de succès parce que les singes de laboratoire ont tous survécu et ont formé des anticorps contre la COVID-19, mais les données rapportées plus tard ont montré que les animaux ont tous été infectés lorsqu’ils ont été mis au défi, ce qui soulève de sérieux doutes sur l’efficacité du vaccin. Mais ces préoccupations n’ont pas dissuadé le SHH, qui procède à « vitesse grand V » pour mettre les nouvelles technologies sur le marché.

Accélération de la mise au point du vaccin à ARNm de Moderna

La société de biotechnologie Moderna, le leader étasunien, a été autorisée à sauter les essais sur les animaux avant de se précipiter sur les essais sur l’homme. Elle a obtenu l’approbation accélérée de la FDA pour son vaccin à « ARN messager », une innovation qui n’a jamais été approuvée pour la commercialisation ou prouvée dans un essai clinique à grande échelle. Le principal avantage des vaccins à ARNm est la rapidité avec laquelle ils peuvent être déployés. Créés en laboratoire plutôt qu’à partir d’un vrai virus, ils peuvent être produits en masse à grande échelle de manière rentable et ne nécessitent pas de stockage au froid ininterrompu. Mais cette rapidité s’accompagne d’un risque d’effets secondaires importants.

Lors d’une conférence du TED en 2017 intitulée « Réécrire le code génétique » , l’actuel médecin en chef de Moderna, le Dr Tal Zaks, a déclaré : « Nous sommes en train de pirater le logiciel de la vie … ». Comme l’a expliqué un médecin dans un article paru dans The UK Independent le 20 mai dernier :

Le vaccin à ARN messager de Moderna … utilise une séquence de matériel génétique à ARN produite en laboratoire qui, lorsqu’elle est injectée dans votre corps, doit envahir vos cellules et détourner les mécanismes de fabrication de protéines de vos cellules appelés ribosomes pour produire les composants viraux qui entraînent ensuite votre système immunitaire à combattre le virus. …

À bien des égards, le vaccin se comporte presque comme un virus à ARN lui-même, sauf qu’il détourne vos cellules pour produire les parties du virus, comme la protéine de pointe, plutôt que le virus entier. Certains vaccins à ARN messager s’auto-amplifient même… Les vaccins à ARN messager présentent des risques uniques et inconnus, notamment la possibilité qu’ils génèrent de fortes réponses à l’interféron de type I qui pourraient entraîner une inflammation et des maladies auto-immunes.

Comme le souligne le magazine Science, l’ARN qui envahit de l’extérieur de la cellule est la marque d’un virus, et notre système immunitaire a développé des moyens pour le reconnaître et le détruire. Pour éviter cela, le vaccin à ARNm de Moderna se faufile dans les cellules encapsulées dans des nanoparticules, qui ne sont pas facilement dégradées et peuvent provoquer une accumulation toxique dans le foie. Un virus auto-amplifié créé en laboratoire, qui échappe aux défenses des cellules en étant furtif, semble intrinsèquement risqué. En fait, les « virus furtifs » sont classés comme « armes biologiques ».

Alors que des traitements à base de coronavirus bon marché et éprouvés depuis longtemps, avec des décennies de tests de sécurité, sont décrits comme dangereux et non prouvés pour traiter le COVID-19, personne ne semble s’intéresser aux risques de voir les nouveaux vaccins mis sur le marché à la hâte comme seule alternative viable pour relancer l’économie.

Pourquoi la hâte?

L’argument initialement avancé pour accélérer la mise au point d’un vaccin COVID-19 était que l’ampleur de la pandémie nécessitait l’arrêt de toute l’économie jusqu’à ce qu’un vaccin soit trouvé. Mais les prévisions catastrophiques antérieures ont été fortement revues à la baisse. Le taux de mortalité par coronavirus de 3,4 % avancé par l’Organisation mondiale de la santé et les Centers for Disease Control (CDC) étasuniens au début de la pandémie a été rétrogradé par les CDC en mai à un niveau compris entre 0,2 et 0,3 %, soit moins d’un dixième des estimations initiales. La projection informatisée de 2,2 millions de décès étasuniens publiée par l’Imperial College de Londres en mars, qui a déclenché des fermetures dans l’ensemble des États-Unis, s’est également révélée « incroyablement » exagérée. En fait, les chercheurs qui ont écrit dans le UK Telegraph le 16 mai dernier l’ont qualifié de « l’erreur logicielle la plus dévastatrice de tous les temps ». Ils ont écrit que « nous virerions n’importe qui pour avoir développé un code comme celui-ci » et que la question était « pourquoi notre gouvernement n’a pas obtenu un second avis avant d’avaler la prescription d’Imperial ».

Voici un graphique du taux de mortalité réel de la COVID-19 en Suède, qui n’a pas verrouillé son économie, par rapport au taux prévu par le modèle du Collège impérial sans verrouillage :

La Suède a en fait mieux réussi que de nombreux pays industrialisés qui ont verrouillé leur économie. Depuis le 5 juin, la Belgique, le Royaume-Uni, l’Espagne et l’Italie, qui ont tous verrouillé leur économie, comptaient plus de décès par million que la Suède, tandis que la France, les Pays-Bas, l’Irlande, les États-Unis, la Suisse et le Canada en comptaient moins. La Suède se situait dans la fourchette médiane. D’autres chercheurs n’ont pas trouvé de corrélation entre les confinements et les décès à cause de la COVID-19.

Dans d’autres nouvelles du CDC, le 23 mai, l’agence a indiqué que les tests d’anticorps utilisés pour déterminer si les gens ont développé une immunité au virus sont trop peu fiables pour être utilisés.

Mais rien de tout cela ne semble atténuer le battage médiatique et le déluge d’argent investi dans les derniers vaccins expérimentaux. Et c’est peut-être là le but de l’exercice – extraire autant d’argent que possible d’investisseurs crédules, y compris le gouvernement étasunien, avant que le public ne découvre que les principes fondamentaux de ces actions ne soutiennent pas le battage publicitaire. Si nous avons besoin de sept milliards de doses de vaccins avant que la vie ne revienne à la normale, comme le prétend Bill Gates, la manne des profits est énorme ; et il n’est pas nécessaire que les fabricants de vaccins agissent avec prudence, puisque le gouvernement prendra en charge la facture des blessures causées par les vaccins.

Moderna : Une « licorne » de plusieurs milliards de dollars qui n’a jamais mis un produit sur le marché

Moderna, en particulier, a été soupçonné de gonfler le cours de ses actions avec des données d’essai préliminaires peu fiables. Le 18 mai, ses actions ont fait un bond de 30 %, après la publication d’un communiqué de presse annonçant les résultats positifs d’un petit essai préliminaire de son vaccin contre le coronavirus. Après la fermeture du marché, la société a annoncé une offre d’actions visant à lever un milliard de dollars ; et les 18 et 19 mai, les dirigeants de Moderna ont vendu pour près de 30 millions de dollars d’actions pour un profit de 25 millions de dollars.

Le 19 mai, cependant, les actions ont rechuté, après que STAT News ait remis en question les résultats des tests de la société. Une réponse aux anticorps n’a été rapportée que pour huit des 45 patients, ce qui n’est pas suffisant pour une analyse statistique. Cette réponse était-elle suffisamment significative pour créer une immunité ? Et qu’en est-il des 37 autres patients ?

Robert F. Kennedy Jr. a qualifié les résultats de « catastrophe » pour la société. Il a écrit le 20 mai :

Trois des 15 cobayes humains de la cohorte à forte dose (250 mcg) ont subi un « effet indésirable grave » dans les 43 jours suivant la piqûre de Moderna. Moderna … a reconnu que trois volontaires ont développé des effets systémiques de grade 3, définis par la FDA comme « Empêchant l’activité quotidienne et nécessitant une intervention médicale ».

Moderna n’a autorisé que des volontaires exceptionnellement sains à participer à l’étude. Un vaccin ayant ces taux de réaction pourrait causer des blessures graves chez 1,5 milliard d’humains s’il était administré à « chaque personne sur terre ».

Un volontaire du nom de Ian Haydon a soutenu les marchés lorsqu’il est apparu sur CNBC pour dire qu’il se sentait bien après avoir reçu le vaccin. Mais il a révélé plus tard qu’après la deuxième piqûre, il a eu des frissons et une fièvre de plus de 103°, a perdu conscience et « s’est senti plus malade que jamais« . Et ce n’étaient là que les effets indésirables à court terme. Les effets dégénératifs à long terme ne seront pas connus avant des années.

Le 22 mai, l’action de Moderna avait chuté de 26 % par rapport à son plus haut niveau précédent, ce qui a fait passer sa hausse de 30 %, selon un communiqué de presse trompeur, pour une opération de « pompage et de déversement ». Le 19 mai, sur CNBC, Jacob Frankel, un ancien avocat de la Securities Exchange Commission, a déclaré que l’offre d’actions de Moderna, qui suivait les nouvelles à sensation, était le type d’action qui attirerait l’attention de la SEC, et qu’elle pouvait avoir une composante criminelle.

Double usage ? Un autre regard sur le vaccin à ARNm de Moderna

Le titre de Moderna a plus que triplé cette année, atteignant une capitalisation boursière de plus de 22 milliards de dollars. Selon STAT News, c’est « un exploit étonnant pour une société qui ne vend actuellement aucun produit ». De nombreuses sociétés qui développent activement les vaccins contre la COVID-19 ont des antécédents plus longs et plus impressionnants. Pourquoi ce vif intérêt pour cette start-up « licorne » qui n’est entrée en bourse qu’en 2018 et qui n’a aucun antécédent de succès commercial ?

L’action de Moderna a connu sa première hausse après que l’Organisation mondiale de la santé a annoncé, le 24 février, que le monde devait se préparer à une pandémie mondiale, faisant s’effondrer les marchés boursiers partout. Le lendemain, dans un communiqué de presse opportun, Moderna a annoncé que les tests de son vaccin sur les humains commenceraient en mars, ce qui a fait monter en flèche le cours de ses actions de près de 30 %. Les méga-investisseurs ont gagné des dizaines de millions de dollars en une seule journée, y compris BlackRock, le plus grand gestionnaire d’actifs au monde, qui a gagné 68 millions de dollars le 25 février dernier. BlackRock a été appelé « la quatrième branche du gouvernement » après avoir été chargé en mars de distribuer jusqu’à 4,5 billions de dollars de crédit de la Réserve fédérale par le biais de « véhicules spéciaux » établis par le Trésor et la Fed.

Moderna a d’autres amis haut placés, dont le Pentagone. Il y a plusieurs années, Moderna a reçu des millions de dollars de la Defense Advanced Research Projects Agency (DARPA) du Pentagone, ainsi que de la Fondation Bill et Melinda Gates. Peut-être le fait que le vaccin à ARNm de Moderna soit un « virus furtif » qui chevauche des nanoparticules pour échapper aux défenses des cellules explique-t-il l’intérêt de la DARPA pour cette technologie. La DARPA a été à l’origine de la création des vaccins à ADN et à ARN, en finançant les premiers travaux de recherche et de développement de Moderna et d’Inovio Pharmaceuticals Inc.

Dans un document de 2010 intitulé « Biotechnologie : Genetically Engineered Pathogens« , l’armée de l’air américaine a reconnu qu’elle étudiait « les agents pathogènes génétiquement modifiés qui pourraient constituer de graves menaces pour la société », notamment « les armes biologiques binaires, les gènes de conception, la thérapie génique en tant qu’arme, les virus furtifs, les maladies liées à l’échange d’hôtes et les maladies de conception ». En décembre 2017, plus de 1 200 courriels publiés dans le cadre de demandes de dossiers publics ont révélé que l’armée américaine est désormais le principal bailleur de fonds de la technologie controversée d’ « extinction génétique » connue sous le nom de « gene drives » (guidage génétique). Comme l’a fait remarquer la journaliste Whitney Webb dans un article du 4 mai, « ces « interrupteurs génétiques » pourraient également être insérés dans de vrais humains par le biais de chromosomes artificiels, qui – tout comme ils ont le potentiel de prolonger la vie – ont également le potentiel de la raccourcir ».

La guerre biologique est interdite par les traités internationaux, mais l’Institut de recherche médicale sur les maladies infectieuses de l’armée à Fort Detrick déclare que ses investigations visent à « protéger le combattant des menaces biologiques » et à protéger les civils des menaces pour la santé publique. Même si cela est vrai, les techniciens de l’armée sont-ils suffisamment compétents pour bricoler le code génétique sans appuyer sur un ou deux interrupteurs par erreur ?

L’armée pense à la guerre, les compagnies pharmaceutiques et les investisseurs pensent aux profits, les politiciens envisagent de mettre un vaccin sur le marché pour que le pays puisse retourner au travail, et même les régulateurs contournent les tests de sécurité appropriés dans la précipitation de faire vacciner toute la population mondiale. Cela signifie que c’est à nous, les destinataires de ces nouveaux vaccins OGM non testés, d’exiger un contrôle sérieux avant que les militaires ne se présentent à nos portes avec leurs seringues préremplies à puce RFID dans le courant de l’année.

Ellen Brown

Article original en anglais :

When Profits and Politics Drive Science: The Hazards of Rushing a Vaccine at “Warp Speed”, le 4 juin 2020

Traduit par Maya pour Mondialisation

L’image d’en-tête est tirée de Natural News

[À propos de l’auteure]

Ellen Brown est avocate, présidente du Public Banking Institute et auteur de treize livres, dont Web of Debt, The Public Bank Solution et Banking on the People : Democratizing Money in the Digital Age (La démocratisation de l’argent à l’ère numérique). Elle co-anime également une émission de radio sur PRN.FM intitulée « It’s Our Money« . Ses plus de 300 articles de blog sont publiés sur EllenBrown.com. Elle contribue fréquemment à Global Research.

La source originale de cet article est Mondialisation.ca
Copyright © Ellen Brown, Mondialisation.ca, 2020




La Révolution du masque

[Source : Entre la Plume et l’Enclume]

Par Israël Adam Shamir

Qui aurait imaginé que les manifestations pour Floyd seraient le meilleur vaccin contre le Coronavirus? Les mêmes qui nous avaient averti que le virus serait un fléau mortel et que la seule solution était de rester à la maison, nous ordonnent maintenant de faire des marches, tous au coude à coude contre la police! Ils ont donc sous leur commandement l’épouvantable pandémie, et le pouvoir de dire: la voilà qui arrive, ou bien non finalement. Toutes les manifs n’ont pas le même potentiel curatif: il est très dangereux de manifester contre le confinement, mais il est parfaitement hygiénique de manifester contre la police, disent-ils.

Les experts de la santé supportent les manifestations anti-police
« En tant qu’avocats de la santé publique, nous ne condamnons pas ces rassemblements comme étant un risque de transmission de la covid-19… Ceci ne devrait pas être confondu avec une posture permissive pour tous les rassemblements, spécialement pour les manifestations contre les ordres de confinement. »

On aura rarement vu un tel retournement de veste tout en souplesse. Hier c’était le confinement, aujourd’hui mettons le feu. Les masques qu’ils voulaient nous faire arborer ont également changé de signification. Ce n’est plus l’amulette contre le fléau, un morceau de tissu qui ferait reculer le virus terrifié, comme par magie; maintenant, c’est l’insigne de la révolution. Après les révolutions colorées, orange, pourpre, verte, après les révolutions fleuries, de la rose et de la tulipe, vive la révolution du masque!

Le masque, c’est un signe que vous prenez au sérieux l’histoire officielle du Covid, comme le fait de porter une gousse d’ail en sautoir implique que vous croyez à l’imminence d’un assaut de vampires. Le Covid, c’est la nouvelle normalité; il est intégré au discours des « éveillés ». Les beaux visages blancs, à la manif, se protègent avec des masques; les beaux visages noirs n’ont pas besoin de masques, parce qu’il est évident qu’ils sont du côté du bien.

Les masques, ça sert à cacher la défaite. Le coronavirus, c’est un truc qui n’a pas marché. Le virus a déçu ses admirateurs. Notre collègue Anatoly Karlin avait promis que le corona tuerait des millions de gens et coulerait l’économie mondiale. Oops! Non seulement le petit Corona-chan n’a pas tué des millions de gens, il n’est même pas arrivé, en bien des lieux, à ajouter une juste pelletée pour améliorer les chiffres des défunts. Voyez par exemple le taux de mortalité de la Norvège. Avec le Corona (en 2020), on a eu moins de morts que sans, au cours des cinq années précédentes. Et il n’a gère contribué au total, le salop!

La Norvège s’est infligée un confinement très douloureux pour arriver à ce chiffre record, si bas, et si inutile, qui casse les statistiques. La Suède n’a pas eu de confinement du tout. Les Suédois sont restés libres de se déplacer, d’aller au café, de travailler, de se détendre. Le virus n’a pas entravé le cours normal de leurs existences. Et le résultat n’est pas mal non plus; les Suédois sont morts avec leur Corona exactement autant que sans le fieffé virus, en 2018, par exemple.

Le Corona a tout juste ajouté  400 morts à la moisson de 2018, pas un petit million, pas le moindre millier. En en voyant le résultat, la premier ministre norvégienne a dit: « on aurait dû faire comme la Suède ». C’était dur à assumer, pour une Norvégienne, parce qu’entre voisins, ils ont de vieux comptes à régler; mais elle l’a fait quand même.

Partout dans le monde, le « on s’est fait avoir » est un sentiment qui gagne, dans la population. Dans la sobre Allemagne, le Comité spécial des experts a établi que des millions de gens ont été livrés à leur triste sort, comme résultat des mesures gouvernementales. 125 000 patients sont déjà morts ou vont mourir, parce qu’on a remis à plus tard l’opération chirurgicale dont ils avaient besoin. Des milliers de gens se sont suicidés; l’espérance de vie a reculé; des millions de gens ont des problèmes psychiatriques sérieux, concluent les experts, comme résultat du confinement. Le gouvernement allemand a tenté de cacher le rapport, et les médias germaniques n’en ont pipé mot.

Le confinement n’a pas sauvé de vies, et il a probablement coûté beaucoup de vies, a estimé le professeur Michael Levitt, de l’université de Standford, et prix Nobel. Il avait prévu que le Royaume Uni serait débarrassé du Covid en quelques semaines, et cela s’est vérifié dans la quinzaine suivante. Le virus est en train de disparaître tellement vite de Grande Bretagne que nous n’avons pas pu trouver assez de gens contagieux pour faire des essais de vaccins viables sur des volontaires en bonne santé, a dit un chercheur d’Oxford, et certains scientifiques envisagent d’infecter à dessein des volontaires avec le virus. On est très loin des rêves de Bill Gates et de l’OMS, du film Contagion qu’on nous avait annoncé, des milliards d’humains en attente du vaccin salvifique. Il n’y a même pas assez de gens malades pour tester leurs produits…

C’est fini, cette histoire de coronavirus. Il va partager nos existences comme tant d’autres virus, mais son puissant jumeau le virus de la panique va lui fausser compagnie. Certaines personnes sont outrées: le fantasme des millions de morts s’est effondré, mais la stratégie du confinement a creusé des cratères dans l’économie familiale, et a arrosé d’une manne exceptionnelle les Poches profondes. Au Royaume Uni, ce sont des milliers de locataires qui vont bientôt se retrouver à la rue. Aux US, ils y a 40 millions de chômeurs mais les Poches profondes ont ajouté une couche d’un demi billion de dollars à leur magot.

Semaines de pandémie : 11
Chômeurs : 42,6 millions
Augmentation de la fortune des milliardaires : 565 milliards de dollars (+19,15%)

Il va falloir que ces gens-là justifient leurs agissements, car les peuples vont demander des comptes. Peut-être, à Dieu ne plaise, qu’ils pourraient demander une petite taxe spéciale pandémie, de 105% sur les  bénéfices de certains? Et ce sont eux, avec leurs médias, qui se sont jetés sur le cadavre de George Floyd, comme sur une occasion unique de changer de trajectoire en plein vol.

Les Maîtres du Discours ont bricolé un agenda pour les masses depuis des années; il y a des gens formatés par cet agenda. Ils pensent et agissent comme on leur dit de le faire. Ils font des marches quand on leur dit « en marche ». Ils restent à la maison quand on leur dit de ne pas sortir. Ce sont des braves gens, ils veulent faire le bien, ils aiment la vertu et le font savoir, il est facile de les flatter en invoquant leur supériorité morale. Ils prennent leurs ordres de marche dans les journaux libéraux dominants. Ils n’ont pas beaucoup de capacités critiques; il suffit de leur dire ce qui est bon et bien, ils embrayent. Ostensiblement, ils font savoir qu’ils sont des humains meilleurs que ces égotistes qui ne pensent qu’à eux, qui méprisent la vertu et qui embrassent n’importe quel préjugé. Malheureusement, leur supériorité morale est basée sur un mensonge.

Ce sont des membres dévots de l’église alternative juive pour les gentils « en éveil » de l’Occident. Certains sont des croyants fanatiques; d’autres sont des hypocrites ou simplement des fidèles par habitude. Gardons à l’esprit la qualité quasi  religieuse de ce mouvement; il serait vain d’y rechercher le moindre bon sens, la moindre logique. Dans la mesure où ils constituent une église, ils dénient toute légitimité à toute  autre ligne de pensée et de conduite. S’ils étaient dirigés par de bons bergers avisés, ils pourraient constituer une force morale de poids, dans le monde, mais ils n’ont pas cette chance. (1)

La création de ce troupeau « éveillé » et obéissant est la plus grande réussite des Maîtres du discours. La coronapanique a amplifié le phénomène. Les gens sont devenus psychotiques, mentalement affaiblis, malléables. Les Maîtres ont fourni le discours sur la supériorité morale: ils prétendent que leurs adeptes ne s’enferment pas, eux, pour sauver leur peau, mais pour sauver les vieux et les êtres fragiles d’une mort certaine. Quiconque n’est pas d’accord veut donc que les êtres fragiles succombent « pour le PIB ». Tous ceux qui ne portent pas de masque sont des gens qui veulent la mort des vieux, comme dans ce dialogue:

Paul Williams, @thepaulwilliams

Moi – J’ai hâte que le rugby et le tennis reprennent.

Twitter – Vous voulez que tout le monde meure de Covid et vous êtes heureux de tousser à la figure des retraités, autant dire aller lécher les bords de leurs tasses de thé, Paul ?

C’est forcément un mensonge. Ce n’est pas seulement le PIB qui a souffert, comme l’a affirmé notre collègue Karlin en intitulant Dulce et Decorum Est Pro PIB Mori ! sa tentative pour rester dans la tonalité morale élevée ; « vous savez, nous on prend soin des vieux, mais vous, tout ce qui vous intéresse, c’est le salut du PIB sans âme », s’écrie-t-il. Non, nous parlons de ces milliers de trépassés à cause du confinement, et d’une perte incommensurable de liberté.

Non pas que je méprise le PIB. L’économie, c’est important, surtout pour les pauvres et la classe moyenne. Les Poches profondes se remplissent encore plus vite avec le confinement. Donc, si vous voulez jouer au petit jeu de la surenchère morale, vous pouvez riposter: « restez chez vous pour Wall Street »!, ou « restez chez vous pour les Poches profondes »!

Après avoir encouragé les manifestations pour Floyd, ils ont oublié leur bluff sur la terrible contagion du coronavirus. Mais  leur nouvelle cause est également basée sur un mensonge. On a pu lire sur des banderoles: « Celui qui ne marche pas en mémoire de George Floyd, est un sale con. Celui qui ne s’agenouille pas est un tueur. » C’est péremptoire et stupide.

Les chrétiens ont de meilleures réponses. Nous n’avons pas à nous repentir des péchés des autres. Nous n’avons pas à nous repentir de l’esclavage ou du meurtre de Floyd parce que nous n’avons mis personne en esclavage, et ce n’est pas nous qui avons tué ce gars-là. L’idée même de culpabilité collective est étrangère aux chrétiens. C’est une idée juive, mais les juifs ne sont pas assez bêtes pour accepter de porter quant à eux de la moindre faute collective. Ils aiment attribuer une culpabilité collective aux goyim, rendant même les Américains coupables de l’holocauste, mais jamais à eux-mêmes. Si vous mentionnez le rôle important que les Juifs ont joué dans la traite des esclaves, vous serez traité d’antisémite, expulsé de la société bien élevée et houspillé : « Est-ce que TOUS les Juifs faisaient le commerce d’esclaves noirs ? Sûrement pas ! »

Seulement voilà, ça marche parce que l’Église du Réveil fournit un très important sentiment d’unité, comme le fait toute église. Aujourd’hui, nous sommes unis, assis à la maison, et nous sauvons des vies en portant des masques. Maintenant, nous marchons ensemble en portant des masques et en sauvant des vies. Les êtres humains ont besoin de conseils moraux et d’unité, ainsi que de privations volontaires et de frustration sexuelle: c’est l’Église du Réveil qui pourvoit à tout ça.

C’est une Nouvelle Internationale, ce Wokintern [après le Komintern]. Il y a des manifestations dans le monde entier pour soutenir cette Révolution américaine, et cela rappelle le soutien universel à la Révolution russe de 1917. Il y a pourtant une différence importante : en 1917, les travailleurs industriels du monde entier ont soutenu la Révolution soviétique ; en 2020, ce sont les hipsters [personnes qui suivent les dernières tendances et modes.] du monde entier qui soutiennent la Révolution du masque.

La Révolution du masque suit à la lettre le manuel du Dr Gene Sharp. On y parle de construire la base révolutionnaire, d’avoir un symbole, d’exploiter au maximum le meurtre d’un citoyen par la police. C’est ce qui a été mis sur les rails lors des  printemps arabes, et en Europe de l’Est aussi. Il faut avoir une victime, c’est une condition sine qua non. En Égypte, c’est la mort du jeune Khaled Mohamed Saeed qui avait déclenché le Printemps arabe ; en Tunisie, le jeune Bouazizi qui s’était  immolé par le feu après avoir été maltraité par la police ; en Algérie, son exploit avait été suivi par celui de Bouterfif. En Russie, en août 1991, trois jeunes hommes avaient été accidentellement écrasés par un char d’assaut, et leur sang a servi de carburant au coup d’État d’Eltsine. George Floyd n’est que le dernier de cette longue liste de noms de victimes traînées sur l’autel de la révolution.

Suite à une nouvelle admonestation de Gene Sharp, les maîtres délégitiment le régime actuel de Trump et sabotent son soutien au sein de la police et des forces armées. En l’espace d’une journée, trois juges (nommés par Clinton et Obama) ont interdit à la Maison Blanche de bannir de ses propres conférences de presse un journaliste qui s’était mal conduit. Des lanceurs de cocktails Molotov ont été condamnés à une simple assignation à résidence par un juge de Brooklyn. Vendredi, le maire de Washington a demandé au président Trump de retirer tous les agents de la police fédérale qui font respecter la loi, et les troupes de la Garde nationale ; plus tôt, elle avait exigé le retrait des troupes et elle avait eu gain de cause. Le président Trump veut déployer 10 000 soldats à Washington, mais son secrétaire à la Défense, Mark Esper, n’est pas d’accord. « Mad Dog » Mathis, le chien enragé, attaque Trump. Les hauts républicains Bush, Romney et Powell retirent leur soutien à Trump.

Le contrôle des médias est la chose la plus importante dans la liste des choses à faire selon Gene Sharp. Les révolutionnaires ont le contrôle total des journaux, et luttent maintenant pour la domination des réseaux sociaux. Les employés de Facebook organisent des débrayages virtuels pour protester contre les posts de Trump. Les messages de M. Trump ont été qualifiés de « fake news » sur Twitter. C’est un tournant. Twitter a déclenché l’avalanche, en s’attaquant au Président et a en montrant qu’on pouvait le faire impunément. Les grandes multinationales ont suivi. Ce sont les principales bénéficiaires de la révolution du masque qui va achever le démantèlement de l’État tel que nous le connaissons.

On ne fait pas d’omelette sans casser des œufs. Le contrôle des médias, c’est tout bon ; la police démoralisée, excellent ; les juges de votre côté, parfait ; l’armée neutralisée, quelle merveille ; mais vous aurez toujours besoin de jeunes prêts à se salir les mains et à en découdre, physiquement, dans le monde réel.

 Le peuple de l’éveil, ce sont des gens toujours plus forts pour brailler que pour faire le coup de poing. C’est cette carence qui a fait échouer l’excellent mouvement Occupy Wall Street. Il semble que ce qu’on appelle Antifa soit un petit mouvement comptant quelques dizaines de militants pour l’ensemble des États-Unis. Mais c’est un attrait pour la classe marginale noire : ils sont assez pugnaces et peuvent être cornaqués chaque fois que cela est nécessaire. Et si certains d’entre eux suivent George Floyd au royaume des ombres, encore mieux : la révolution a besoin de martyrs.

Notre collègue Le Saker estime qu’il ne peut s’agir d’une révolution : « pour qu’une révolution ait lieu, il faut une force capable de changer non pas la ou les personnes au pouvoir, mais de changer fondamentalement le régime, la politique elle-même, et de la remplacer par autre chose ». C’est un  romantique à l’ancienne. Les révolutions de couleur font bel et bien changer de régime à une nation donnée, qui passe d’un pouvoir présidentiel fort à un pouvoir direct des multinationales, comme cela s’est produit dans tant de pays.

Nous en avons la confirmation directement de la bouche des intéressés. Sur The Atlantic, l’un des principaux à avoir alimenté le RussiaGate, Franklin Foer, le confirme : « Ce qui se passe dans les rues – avec des fonctionnaires qui refusent de coopérer – ressemble beaucoup aux révolutions qui ont renversé les dictateurs en Serbie, en Ukraine et en Tunisie… Ce à quoi les États-Unis assistent ressemble moins au chaos de 1968, qui avait divisé une nation, et plus aux mouvements non-violents [et entièrement financés par George Soros et al] qui ont gagné un large soutien de la société dans des endroits comme la Serbie, l’Ukraine et la Tunisie, et ont balayé les dictatures comme celles de Milošević, Ianoukovitch et Ben Ali. Et cela, même si le mandat de Trump va se terminer par une élection » [si l’élection ne parvient pas à évincer Trump, il y aura une nouvelle élection, selon les nouvelles règles améliorées, jusqu’à ce qu’il soit battu, comme ce fut le cas en Serbie et en Ukraine].

Naturellement, aux États-Unis, ce sera différent de la Serbie ou de la Géorgie. Cela se passera en mode atlantique, ou mondialiste. Les États-Unis redeviendront le leader de l’OTAN ; les troupes américaines resteront partout à l’étranger ; le port du masque sera inscrit dans un amendement constitutionnel ; les écoles passeront à l’enseignement à distance à perpétuité ; les vaccinations seront obligatoires, sauf si vous êtes prêt à rester enfermé chez vous pour le restant de vos jours.

La foi chrétienne sera marginalisée. C’est déjà le cas dans les faits, puisque la chrétienté (tant occidentale qu’orientale) n’a plus eu de communion, plus de liturgie pendant des mois. Les évêques anglicans ont demandé à ce que l’ouverture des églises soit reportée, parce que, nul ne l’ignore, assister à un service divin, c’est beaucoup plus dangereux qu’une manifestation anti-police. L’évêquette de Washington DC s’est rangée du côté des émeutiers qui ont brûlé l’église du président, contre le président qui s’y était rendu. « [Trump] n’a pas prié », a déclaré Mariann E. Budde, l’évêque épiscopalienne de Washington. « Il n’a pas mentionné George Floyd, il n’a pas mentionné l’agonie des personnes qui ont été soumises à ce genre d’expression horrible du racisme et de la suprématie blanche pendant des centaines d’années. » Il est clair que cette dame appartient à l’Église crypto-juive du Réveil, et l’Église épiscopalienne est morte, en pratique.

Peut-être que la police va disparaître. Certaines villes très « éveillées » ont déjà cherché à éliminer la police. « Les villes se demandent s’il n’est pas temps de désengager la police et de « réimaginer » la sécurité publique, dit le New York Times. — Au lendemain du meurtre de George Floyd, certaines villes se demandent si l’on ne demande pas à la police de faire des tâches qu’elle n’a jamais été censée faire. Les budgets sont en cours de réévaluation ». Les multinationales à l’origine de la révolution n’ont pas besoin de la police — elles ont leur propre sécurité d’entreprise, parfaitement capable de faire face à leurs problèmes. Et elles ne se soucient pas de savoir si votre quartier sera protégé par la police, ou si vous serez obligé de faire garder vos rues la nuit par votre fidèle Colt. Ils ne se soucient pas que vous restiez enfermé, que vous soyez agressé ou que vous soyez pillé, c’est le prix de la soi-disant liberté, l’autre nom du nouveau féodalisme numérique.

La révolution du masque en est à ses débuts : elle garde ses troupes de choc l’arme au pied et enthousiastes. L’étape suivante viendra après les élections, lorsqu’une victoire de Trump ne sera pas reconnue par la concurrence. « i le vote servait à quelque chose, on ne nous laisserait pas voter », a déclaré un petit Américain futé. Et cette fois, ce n’est pas un vote qui tranchera, à moins que les Américains ne votent pour le candidat démocrate. Après quatre années de préparation passées à diaboliser et à disqualifier Donald Trump, après une demi-année passée à enfiévrer leurs adeptes, les Démocrates, menés par l’Église du Réveil, ont bien l’intention de prendre le pouvoir même s’ils ne gagnent pas par le vote.

Peut-être que Donald Trump et ses partisans feraient bien de frapper avant qu’il ne soit trop tard. Il y a beaucoup de bons gros trésors qui appellent au pillage légitime, tout d’abord Wall Street. La sous-classe noire ne s’intéresse pas à ces banques ; mais l’État peut très bien les piller, sans faire de casse. L’État peut s’emparer des réseaux sociaux et d’autres choses très utiles. La décision de Trump de faire revenir d’Allemagne 10 000 GI est judicieuse. Le retour rapide des vétérans d’Afghanistan et d’Irak, des Philippines et du Japon devrait suivre. Ils profiteront de Washington DC et de la Silicon Valley. Il ferait mieux, Trump, d’oublier la Chine, l’Iran et la Russie et de se concentrer sur sa survie. Il doit absolument se préparer pour le 4 novembre et être prêt pour la rupture de l’Union si le pire devait arriver.


(1) Il y a des personnalités noires pour soutenir Trump et pour démasquer les imposteurs. Voir ici deux vidéos du rappeur Lord Jamar: https://www.egaliteetreconciliation.fr/Le-rappeur-americain-Lord-Jamar-Black-Lives-Matter-est-un-mouvement-finance-par-Soros-et-dirige-par-59698.html. La résistance au mensonge existe aussi chez les Africains (un facteur parmi d’autres pour expliquer que le virus n’arrive pas à y creuser son trou?) et chez les descendants d’Africains, dans tous les pays du monde, même s’il est difficile d’en trouver la trace dans les médias. (ndt)

Traduction : Maria Poumier

Joindre l’auteur: adam@israelshamir.net

Source : https://www.unz.com/ishamir/the-mask-revolution/




Américanisation des esprits? «On se demande comment l’universalisme républicain français pourra encore tenir»

[Source : Sputnik France]

Par Edouard Chanot

La tragédie de George Floyd ne manquera pas d’avoir des conséquences morales et légales à long terme dans les pays occidentaux. Et sans doute pour le pire, selon l’avocat Thibault Mercier, qui observe le «dogme de l’antidiscrimination» avancer de notre côté de l’Atlantique.
Entretien-choc.

​Ben & Jerrie’s appelant sur Twitter à mettre fin à la «suprématie blanche», Uber offrant la livraison à des commandes auprès de restaurants «détenus par des noirs». Les plus grandes marques ont, elles aussi, contribué à la ferveur mondiale, dans la foulée de la mort tragique de George Floyd. Le refus de toute discrimination, idéologie de la décennie? Quand on lui pose la question, l’avocat Thibault Mercier, président du cercle Droit et liberté, nous corrige du tac au tac:

«On est bien loin de mesures dites “anti-discriminatoires”! Il apparaît plutôt que la déclaration de Ben & Jerries est, si ce n’est une incitation à la haine et à la violence, à tout le moins une incitation à la discrimination “à raison de la race.”»

© Sputnik .
Avocat, Thibault Mercier est président
du Cercle droit & liberté.
Il a publié le livre « Athéna à la borne,
discriminer ou disparaître » (éd. PGDR, 2019)

Et l’avocat de souligner qu’un tel délit serait puni en France d’un an d’emprisonnement et de 45.000 euros d’amende. Même crainte pour Uber, qui ne pourrait mettre en œuvre sa préférence pour les restaurateurs noirs en France sans craindre de sanction: de ce côté de l’Atlantique, une telle offre promotionnelle serait passible de trois ans d’emprisonnement et 45.000 euros d’amende. «Le cadre légal français ne permet pas ce genre de discriminations,» tranche Thibault Mercier avant d’ajouter: «… pour le moment

L’heure est à la contrition publique

Si les mises en scène de séances de contrition publique ont envahi le Web, dévoilant des policiers ou des «blancs» à genoux, priant pour expier leurs supposés péchés racistes, le monde des affaires n’a pas non plus manqué d’être touché: «les grandes entreprises, et particulièrement leurs services de communication, suivent l’opinion publique –qui n’est pas nécessairement l’opinion majoritaire, rappelons-le utilement– par conformisme plus que par intérêt

Un conformisme qui fait loi, pour les salariés comme pour les clients, et incite à l’uniformisation des comportements à travers l’Occident. Ainsi, Me Thibault Mercier relate-t-il que l’un des plus grands cabinets d’affaires anglo-saxons, installé en France, en a récemment fait les frais: un associé blanc, installé à Londres, avait été accusé de racisme pour avoir employé le mot «noir» dans un email de soutien au mouvement Black Lives Matter (les vies noires comptent) envoyé à tous les cabinets de la firme à travers le monde. Pire: «il a ensuite été avéré que cet email avait été validé par des associés “noirs” du cabinet!» Une anecdote ubuesque: «jusqu’à quelles absurdités l’idéologie antiraciste nous mènera-t-elle?»

Si la France semble pour l’heure encore relativement préservée, des bouleversements seraient-ils à prévoir? Chez les voisins allemands, c’est le cas: à Berlin, une loi vient de passer, inversant la charge de la preuve sur fond de lutte contre les discriminations raciales: en cas de violences policières, ce sera aux forces de l’ordre de prouver qu’elles n’enfreignent pas la Loi. À quand en France? «L’envie du pénal est toujours très intense dans notre pays», estime Me Mercier:

«Il n’est pas impossible que le gouvernement ou la majorité parlementaire nous annonce un projet de loi pour étoffer le dispositif anti-discriminatoire.» 

Dans son essai Athéna à la borne, discriminer ou disparaître (Éd. PGDR, 2019), notre interlocuteur recensait «pas moins de 25 chefs de discriminations interdites en France.» Les bonnes intentions auraient donc généré selon lui un véritable système menaçant «le moindre choix d’être assimilé à l’une de ces discriminations interdites

Le premier flic de France à genoux?

Mais avant même de penser aux lois, Me Mercier rappelle que les termes du débat public sont déjà imperceptiblement modifiés, l’actualité en donnant des exemples quotidiens, sous la pression évidente du Comité Adama.

En cause ici: les déclarations successives du ministre de l’Intérieur, annonçant la fin des contrôles d’identité comme «critère d’évaluation d’activité» ou encore la «suspension systématique» des policiers en cas de «soupçon avéré de racisme.» Un «oxymore», selon notre interlocuteur, mais surtout la preuve d’un abandon supplémentaire du pouvoir politique face à l’idéologie anti-discriminatoire. De quoi révolter notre interlocuteur: «l’émotion dépasse les règles juridiques», a déclaré par ailleurs Christophe Castaner en évoquant les manifestations non autorisées du comité Adama. Un véritable aveu selon Thibault Mercier: «c’est désormais l’opinion médiatique et les réseaux sociaux qui font Loi

Très précisément, celui-ci dénonce la faiblesse des autorités face aux accusations de «contrôles au faciès», synonymes de discriminations systématiques, pour ne pas dire systémiques. Car si Jacques Toubon, défenseur des droits, a relevé qu’un jeune homme noir ou arabe aurait «vingt fois plus de chances d’être contrôlé», la question serait plus épineuse, estime Me Mercier:

«Personne ne saurait prouver si les “discriminations” dont se plaignent ces jeunes gens sont réellement fondées sur la “prétendue race” ou sur d’autres critères, comme le code vestimentaire ou leur attitude générale, par exemple.»

Une idéologie qui ne manque pourtant pas d’avoir des conséquences dramatiques: «avec de telles mesures, on se demande comment les forces de l’ordre vont pouvoir continuer à travailler…», estime-t-il, faisant remarquer que certains d’entre eux n’osaient déjà plus procéder à des interpellations «par peur d’être accusés de racisme».

​Une américanisation de l’esprit européen

L’instrumentalisation de l’affaire Floyd par le comité Adama et la racialisation du débat fait en définitive craindre le pire à notre interlocuteur: «on se demande bien comment l’universalisme républicain français pourra encore tenir face à l’américanisation des esprits européens.» Non préparée à cette «racialisation du débat public», la France pourrait bien, selon Thibault Mercier, voir le vivre-ensemble lui échapper. Et la «guerre de tous contre tous» s’imposer à elle?




Catholiques et Juifs de New York poursuivent le maire de la ville pour violation de leurs droits pendant la « pandémie »

[Source : News Front via Réseau International]

Une plainte a été déposée contre le gouverneur de New York, Andrew Cuomo, et le maire de la ville, Bill de Blasio, pour violations présumées des droits religieux constitutionnels des New-Yorkais pendant la pandémie de coronavirus, a rapporté vendredi le National Review.

Catholiques et Juifs de New York poursuivent le maire de la ville pour violation de leurs droits pendant la pandémie

Les prêtres catholiques Steven Soos et Nicholas Stamos et les fidèles juifs ultra-orthodoxes Elchanan Perr, Daniel Schonborn et Mayer Mayerfeld ont déposé une plainte dans le district nord de New York, selon la publication.

D’après la plainte, certaines restrictions prises par les autorités pour endiguer la propagation de l’épidémie auraient violé les droits des personnes pratiquantes garantis par le premier amendement de la Constitution.

La plainte allègue notamment que des fidèles ont été la cible de menaces de poursuites pénales et de 1.000 dollars d’amende pour violation des mesures interdisant les rassemblements, alors que des manifestations généralisées avaient lieu dans tout l’État après la mort de George Floyd le 25 mai.

« Les mesures liées au Covid-19 prétendent être neutres, mais elles n’interdisent pas les activités laïques mettant en danger l’intérêt de l’État dans le domaine de la santé publique, de la même manière qu’elles proscrivent les activités religieuses », a déclaré l’avocat des plaignants, Christopher Ferrara.




L’effondrement de l’empire américain

[Source : Le Saker Francophone]


Par Dmitry Orlov – Source Club Orlov

The Collapse of the American Empire - Is America a nation in ...
L’effondrement de l’empire américain

Paul Craig Roberts, qui était secrétaire adjoint au Trésor dans l’administration de Ronald Reagan, a annoncé que l’effondrement des États-Unis est inévitable. Pour étayer cette conclusion, il cite quelques Russes dont il respecte les opinions : Andrei Raevsky – alias The Saker – et Dmitry Orlov –  votre serviteur. Je suis flatté, bien sûr, mais je n’ai jamais prétendu que l’effondrement des États-Unis était évitable. « Tous les empires finissent par s’effondrer ; aucune exception ! » Je n’ai pas cessé de le répéter. Depuis que j’ai commencé à écrire sur ce sujet en 2006, je n’ai jamais hésité sur ce point.

À l’époque, j’avais écrit [en français, NdT] :

« L’effondrement des États-Unis semble aussi peu probable aujourd’hui que l’effondrement de l’Union soviétique ne l’était en 1985. L’expérience du premier effondrement peut être instructive pour ceux qui souhaitent survivre au second ».

L’effondrement des États-Unis vous semble-t-il beaucoup plus probable aujourd’hui qu’en 2006 ? Si oui, c’est un bon signe ; sinon, vous devriez manger plus de poisson. Il est riche en oméga-3, ce qui permettra à votre cerveau de mieux fonctionner.

Je ne ressens pas d’envie particulière de me joindre à Paul Craig Roberts et d’annoncer que les États-Unis viennent d’atteindre le point de non-retour car, à mon avis, ils ont dépassé ce point depuis longtemps. Je trouve également assez fâcheux que cette détermination dépende de l’opinion de quelques Russes ; les Américains devraient décider eux-mêmes quand leur empire se sera suffisamment effondré pour appeler son effondrement par son nom : un effondrement. De plus, je ne veux pas participer à l’effondrement de l’Amérique parce que cela contredit la politique russe informelle concernant la chose, qui est bien résumée dans la phrase lapidaire ВСЁ САМИ – « tout par eux-mêmes » : les Américains peuvent s’écrouler sans l’aide de personne, c’est pourquoi les Russes refusent de lever le petit doigt pour ça. Conformément à cette politique, mon objectif est d’informer sur l’effondrement, et non d’y participer.

Et conformément à mon objectif d’informer sur l’effondrement, je souhaite vous fournir les outils pour décider si, et dans quelle mesure, l’Empire américain s’est effondré. Mon approche traite l’Amérique comme un Empire, et suppose qu’elle repose sur les trois mêmes piliers que tous les autres empires depuis leur apparition il y a plusieurs milliers d’années. Ces trois piliers n’incluent pas des éléments secondaires tels que la richesse financière, la puissance économique, la puissance militaire, la supériorité technologique, une population importante ou de vastes possessions territoriales. Les trois piliers sont composés de constructions mentales essentielles. Sans ces constructions, un empire se froisse comme un costume bon marché. L’Empire américain a déjà possédé ces constructions mentales en abondance. Je veux vous donner les moyens de décider par vous-même s’il les a encore.

Beaucoup de gens fondent actuellement leur appréciation de l’ampleur de l’effondrement de l’Amérique sur trois choses :

1. Black Lives Matter et le chaos qui l’accompagne, avec de nombreuses villes américaines pillées et incendiées, une police rendue inefficace et un taux de criminalité qui explose, des gens qui ont peur d’exprimer des opinions contraires à celles que la gauche totalitaire considère comme appropriées par crainte de perdre leur carrière et leur emploi. [C’est le phénomène Cancel culture, NdT]

2. L’effondrement de l’économie américaine et avec elle du marché de l’emploi, avec environ la mise à l’écart de la moitié de la population valide en âge de travailler, des vagues d’expulsion de locataires, de saisie des biens des propriétaires/débiteurs et de faillites d’entreprises, en particulier dans le secteur des services, jusqu’alors largement surdimensionné et parasité. Environ la moitié des propriétaires – détenteurs de prêts hypothécaires – sont prêts à vendre parce qu’ils ne voient pas comment continuer à payer leurs traites.

3. L’effort totalement insensé de contenir le coronavirus en utilisant des demi-mesures inefficaces qui gênent ceux qui ont très peu de chances d’en mourir – la grande majorité – tout en faisant tout ce qui est possible pour infecter les personnes vulnérables, âgées et les malades, afin de collecter ensuite quelques milliers de dollars supplémentaires auprès des compagnies d’assurance médicale ou du Trésor américain tout en les tuant lentement à l’aide de machines de respiration pulmonaire artificielle.

Non pas que ce soit de bonnes nouvelles, mais ce sont les symptômes d’une maladie sous-jacente, et non ses causes, qui sont de nature beaucoup plus générale et systémique. Ces symptômes sont peut-être d’une gravité sans précédent, mais ils ne sont certainement pas sans précédent dans leur ensemble.

Examinons chacun d’entre eux :

1. Aux États-Unis, la vie des Noirs compte – tous les 20 à 30 ans environ, mais presque jamais le reste du temps, pendant lequel on considère qu’il est bien de laisser les Noirs s’entre-tuer, de les emprisonner en masse et de contribuer à leur déchéance en leur fournissant un logement et en distribuant de l’argent et de la nourriture à des familles noires sans père. La routine est maintenant si bien rôdée qu’elle peut être recyclée à l’infini ; ainsi, le Rodney King de 2001 a été réincarné en George Floyd de 2020. Et n’oublions pas l’émeute raciale de Chicago en 1919.

En tout cas, ce n’est pas nouveau et ceux qui pensent que cela conduira à une sorte de mouvement révolutionnaire seront certainement déçus. Les révolutions nécessitent des dirigeants et une vision, et les dirigeants de ce mouvement n’ont rien à offrir en dehors de tactiques de protestation, qui ont également été recyclées. De manière emblématique, le poing levé, symbole de ce mouvement, a fait surface dans presque toutes les révolutions de couleur lancées par les États-Unis dans le monde entier, et il ne s’agit donc que de retours de bâtons.

Dans la politique américaine, les Afro-Américains sont des pions politiques manipulés en permanence à des fins partisanes, notamment par le parti Démocrate. Ils sont des pions politiques depuis la guerre civile, qui était un conflit économique – une lutte pour arracher économiquement le Sud à l’Empire britannique – l’abolition de l’esclavage était une fable moralisante pour cacher la soif de sang des industriels du Nord. En tant que pion politique permanent, la société afro-américaine est maintenue au plus près du point d’ébullition, prête à se révolter au moindre faux pas. Cette condition fait que la société afro-américaine dégénère de plus en plus à chaque génération qui se succède.

Actuellement, les Démocrates sont les instigateurs et les complices des émeutes raciales et du chaos qui en découle, dans une tentative désespérée d’empêcher la victoire de Trump lors de sa réélection. Ce faisant, ils contribuent à détruire le pays de l’intérieur, alors que Trump fait un travail de destruction à l’échelle internationale. Il s’agit d’une manifestation de la séparation des préoccupations au sein du duopole Républicain-Démocrate, ce qui n’est pas nouveau non plus : il est de tradition que les républicains s’occupent de la politique étrangère tandis que les démocrates se concentrent sur la politique intérieure.

Le fort penchant pour l’autodestruction est peut-être un peu nouveau, mais ce n’est pas la seule sphère dans laquelle l’Amérique s’autodétruit actuellement. C’est probablement un symptôme de la sénescence générale de son élite dirigeante. Beaucoup de ses membres dirigeants, y compris les deux candidats à la présidence – Trump et Biden – ainsi que beaucoup d’autres, ont largement dépassé l’âge de la retraite et, très probablement, sont trop séniles pour donner un sens à un monde en mutation rapide. Ils ne sont encore capables que de deux choses : s’accrocher au pouvoir et s’enrichir aux frais de l’État.

Quoi qu’il en soit, des émeutes raciales et d’autres manifestations politiques ont déjà eu lieu auparavant et l’empire américain a continué malgré tout.

2. L’économie américaine s’effondre en effet, et ce depuis plusieurs générations. À un moment donné, probablement vers 1970, lorsque la production américaine de pétrole conventionnel a atteint son maximum, il a été décidé qu’il devrait être possible de permettre aux Américains de vivre perpétuellement au-dessus de leurs moyens en s’endettant de plus en plus tout en accusant des déficits commerciaux toujours plus importants avec le reste du monde.

Bien entendu, cette technique, appelée conventionnellement « pousser le bouchon toujours un peu plus loin », est vouée à l’échec. Chaque fois que l’on pousse le proverbial bouchon un peu plus loin, le gouffre s’approfondit – il s’élève aujourd’hui à plus de 28 000 milliards de dollars pour la seule dette souveraine des États-Unis. Et puis on atteint une petite colline et le bouchon vous revient dessus et vous réduit en miettes. Il semble que cette colline a été rencontrée en 2019 – bien avant que le coronavirus ne commence à faire la une des journaux.

À l’heure actuelle, des millions d’Américains ont perdu leurs moyens de subsistance et succomberont en temps voulu à la malnutrition, à des problèmes médicaux non traités, à l’abus d’alcool et de drogues et, principale cause de mortalité, au désespoir. Cela se produit déjà de plus en plus.

Mais même un tel événement ne suffirait pas à mettre définitivement fin à l’empire américain. Après tout, suffisamment de personnes sont mortes pendant la Grande Dépression pour que celle-ci soit qualifiée d’acte de génocide – puisqu’elle était tout à fait évitable. Le fait fondamental à garder à l’esprit est que les États-Unis ne sont pas un État social et qu’ils ne se consacrent pas au bien-être de leur population. Pour parler franchement, aux États-Unis, la plupart des gens ne comptent pas – ils sont une ressource à utiliser pour faire des profits et amasser des richesses pour le petit nombre qui compte – ceux qui possèdent la ressource. C’est moins un pays qu’un country club ; et si vous n’en êtes pas membre, votre bien-être n’a aucune importance. Vous pouvez mourir en masse et être remplacé plus tard par l’immigration. Où sont les descendants des « coolies » chinois qui ont construit le chemin de fer transcontinental ? Rien ne prouve qu’un grand nombre d’entre eux soient jamais rentrés en Chine. Il est fort probable qu’on leur a simplement donné assez d’opium pour qu’ils se suicident tranquillement.

Ainsi, même un profond échec économique ne signifiera pas nécessairement la fin de l’Empire américain – car ce n’a pas été le cas jusqu’à présent. Les États-Unis peuvent simplement se défaire d’une grande partie de leur population, en la remplaçant au besoin par des migrants en meilleure santé, moins gâtés, mieux éduqués et plus disciplinés et recommencer à zéro, car il y aura encore des profits privés à réaliser jusqu’à ce que le tout dernier arbre, rocher ou tas de gravats soit vendu au plus offrant.

3. La panique face aux coronavirus a été des plus commodes. Elle a été utilisée comme excuse pour les nombreux échecs de ceux qui échouent et comme couverture pour divers types d’activités défensives utiles pour ceux qui n’échouent pas. La Chine et la Russie l’ont utilisée comme prétexte pour mettre au point leurs systèmes de soins de santé et de défense civile afin de contrecarrer toute future attaque bioterroriste américaine. Les Européens, avec leurs résultats lamentables et embarrassants, l’ont utilisée pour démontrer l’état de délabrement de leurs systèmes de soins de santé – à une exception notable : l’Allemagne – ainsi que leur désunion interne en ne se prêtant pas mutuellement assistance. D’un autre côté, ils ont pu utiliser le coronavirus pour arrêter la migration incontrôlée. Et les Américains ont utilisé le coronavirus comme excuse pour couvrir leur échec économique, qui a précédé la peur du virus et l’arrêt économique qui s’en est suivi.

Aujourd’hui, certains membres de l’élite américaine tentent d’utiliser la peur du coronavirus à des fins partisanes afin de détrôner Trump. Selon les statistiques publiées, le coronavirus a tendance à être beaucoup plus infectieux et beaucoup plus mortel dans les États contrôlés par les Démocrates que dans ceux contrôlés par les Républicains – un signe clair que les statistiques sont fausses, puisque les virus ne sont que des brins d’ARN enfermés dans une membrane protéique et, en tant que tels, n’ont pas d’affiliation politique. S’ils semblent être politiquement affiliés, cela indique qu’ils sont utilisés à des fins de propagande.

Outre l’affiliation politique, un autre excellent prédicateur du taux de mortalité des coronavirus est la prévalence des maisons de retraite. Les personnes âgées meurent toujours de quelque chose, et le coronavirus se trouve être l’agent mortel du jour, tandis que les maisons de retraite offrent un environnement propice à la propagation du virus, étant remplies de personnes dont le système immunitaire est affaibli et qui sont proches de la mort pour d’autres raisons.

Malgré la surchauffe de la presse et toutes les tactiques d’intimidation déployées par les épidémiologistes pour gagner leur vie, le coronavirus ne rend pas les gens malades, ni ne les élimine en masse, sans parler de tuer suffisamment d’enfants ou de personnes saines en âge de travailler pour qu’il ait une importance économique. Il est donc farfelu de penser qu’un problème médical aussi mineur suffirait à renverser un empire puissant.

Donc, cessons de considérer des problèmes aussi insignifiants que les émeutes raciales, les dépressions économiques et les virus respiratoires inhabituellement dangereux comme les causes profondes de l’effondrement de l’Empire Américain. Considérons plutôt que cet empire, comme n’importe quel autre, repose sur trois piliers : la culture, l’idéologie et l’histoire. Si l’un d’entre eux est absent, l’effondrement de l’empire devient probable. Éliminez les trois, et son effondrement est assuré. Vers les années 1970, ces trois piliers étaient au sommet de leur forme ; aujourd’hui, ce n’est plus le cas. Voici à quoi ressemble chacun de ces trois piliers dans le contexte de l’Amérique d’aujourd’hui.

Culture

La culture aux États-Unis n’a jamais atteint le même niveau que, disons, Tolstoï ou Dostoïevski, mais c’était en fait un atout majeur. Comprendre Tolstoï ou Dostoïevski demande une éducation et un sens inné des valeurs morales, ce qui les rend difficiles à vendre à un public ignorant, distrait et immature. Le grand art, dans la mesure où il existe aux États-Unis, est une importation de luxe. Le public des concerts de musique classique est généralement composé de médecins, d’avocats, de dentistes et d’étudiants dans cette discipline, qui étudient pour se produire devant des médecins, des avocats et des dentistes.

Les Américains ont renoncé à tout cet apprentissage fantaisiste et ont créé une culture de super-héros vêtus de lycra qui, inévitablement, sauvent le monde d’un désastre certain. Ils ont montré au monde des machos comme Arnold Schwarzenegger, Bruce Willis et Sylvester Stallone et des salopes sexy délurées comme Julia Roberts et bien d’autres.

Pendant un certain temps, les Américains ont réussi à dominer le monde dans le domaine de la musique populaire. Ils y sont parvenus en créant le genre de musique qui permettait aux libidineux pathologiques et aux immatures de donner libre cours à leurs pulsions de base. Et ils ont créé une mode qui se dispensait de toutes les subtilités de la distinction sociale et réduisait toutes les apparences à des t-shirts, des blue-jeans et des casquettes de base-ball, le tout éclaboussé de logos à la mode, transformant malgré eux les gens en hommes-sandwichs qui paient pour faire la pub de ceux qui s’enrichissent sur leur dos – au sens propre !

Pendant un temps, la planète entière a tout gobé, surtout les jeunes. Les subtilités de la tradition culturelle locale ont été remplacées par un sabir mondial générique axé sur le plus petit dénominateur commun – une jeunesse ignorante et facilement titillée. Un argent fantastique a été gagné simplement en faisant des copies d’enregistrements, ou en cousant des étiquettes de créateurs sur des vêtements basiques assemblés dans un enfer du tiers monde.

Ariel de Disney

Et puis les Américains sont passés à la vitesse supérieure et ont tout détruit. Le Terminator est une pseudo-femme multi-genre avec une personnalité schizophrénique, et Ariel de Disney est une transgenre trop bronzée. Le capitaine Jack Sparrow a été viré de la série Pirates des Caraïbes à la suite d’une longue et pénible bataille juridique avec son ancienne femme – le comble pour un capitaine de pirates. Les Américains ont décrété que le rap – produit d’une culture de ghetto complètement dégénérée – est vraiment une musique réelle plutôt que ce qu’elle est fondamentalement, c’est-à-dire un bruit obscène, grossier, violent, raciste et misogyne.

Les peuples d’Eurasie, d’Afrique et d’Amérique, du Nord et du Sud, ont maintenant pris conscience du fait que tous ces excréments culturels américains ne sont tout simplement pas normaux, quelle que soit la norme humaine prise comme étalon. Il s’agit d’un produit défectueux que les entreprises culturelles américaines vomissent dans le cadre d’un effort motivé par le profit pour gagner de l’argent tout en corrompant l’esprit des jeunes, à commencer par la population des États-Unis elle-même, qui est son public captif. En regardant ces résultats, le monde voit les Américains tels qu’ils sont en réalité – éternellement infantiles, décadents, sexuellement paumés, vulgaires et aux mœurs dissolues – et il frissonne de dégoût.

Pire encore, les Américains restent dans l’ensemble totalement aveugles à ce regard extérieur, et imperméables au ridicule perçu par presque tout le reste de la planète. L’ambassadeur des États-Unis à Moscou a récemment accroché le drapeau arc-en-ciel LGBT à côté du drapeau américain, ce qui a provoqué une surprise amusée chez les Moscovites : « Pourquoi l’ambassade LGBT hisse-t-elle un drapeau américain ? »

Un empire dont la culture – qui était l’une de ses principales exportations mais qui est devenue un ridicule objet de dérision presque universelle – peut-il durer beaucoup plus longtemps ?

L’idéologie

Pour comprendre la nature de l’idéologie américaine, il est nécessaire de retracer l’histoire du christianisme occidental. À Rome, le christianisme s’est d’abord répandu comme la religion des plébéiens et des esclaves, dont certains ont été martyrisés pour leur foi, mais ont trouvé des adhérents parmi les épouses des patriciens. Sa popularité a fini par croître au point qu’il a supplanté les anciens cultes païens et est devenu la religion d’État de l’Empire romain. L’Empire a ensuite organisé un exode de l’ancienne Rome – dans la langue de l’Apocalypse, la Prostituée de Babylone qui s’asseyait sur sept collines – vers la Nouvelle Rome – alias Constantinople et maintenant Istanbul – où il a continué pendant un autre millier d’années sous le nom d’Empire romain d’Orient, alias Byzance. Pendant ce temps, l’ancienne Rome a été largement abandonnée et a perdu la plupart de sa population. Ses égouts ne fonctionnaient plus, mais les aqueducs continuaient de fonctionner, ce qui en faisait un marécage impaludé.

Et puis ce marécage fut hanté par un minuscule État-nation sectaire dirigé par des moines – dont beaucoup étaient homosexuels et pédophiles – qui ont eu le culot de revendiquer la suprématie spirituelle sur le monde entier. Contrairement au christianisme originel, qui était basé sur un modèle communautaire, le culte papal était une corporation qui prélevait et collectait des impôts – à un taux fixe de 10%, appelé dîme – et contrôlait une grande partie de l’économie. Son chef était doté d’une infaillibilité semblable à celle de Dieu, en fait, il était déifié comme les empereurs romains de l’ère des dieux païens. Le Vatican a été érigé en siège de Dieu sur la planète Terre. Toutes les commandes passées au Ciel par les individus, afin de leur éviter les feux de l’enfer, devaient être acheminées par le siège social pour approbation. Le billet d’entrée au paradis s’appelait une indulgence. Ce faisant, l’appel au communalisme qui est partout dans l’enseignement du Christ a été fortement atténué.

Finalement, certaines personnes en ont eu assez de ces bêtises et se sont rebellées. Le mouvement rebelle s’est appelé protestantisme, et il a engendré de nombreuses sectes. À quelques exceptions près – certaines sectes anabaptistes – au lieu de s’orienter vers le christianisme communaliste originel, les protestants s’en sont éloignés encore plus en s’orientant vers l’individualisme : plutôt que d’être une affaire à régler par la médiation de l’Église, le salut est devenu une affaire strictement personnelle entre un individu et son sauveur – qui, pour autant que l’on sache, pourrait être un démon déguisé. Cela allait directement à l’encontre des premiers enseignements chrétiens : « Ce n’est pas toi qui m’as choisi, mais moi qui t’ai choisi… », a dit Jésus. (Jean 15:16) La position qui place Dieu à l’intérieur de sa précieuse personne est absurdement solipsiste et choisir son « sauveur personnel » est comme choisir son éruption volcanique, son ouragan ou son astéroïde.

Mais les protestants sont allés encore plus loin. Si le salut était une affaire strictement personnelle, alors la grâce de Dieu l’était aussi, et la façon la plus objective d’évaluer si l’on était doté de la grâce de Dieu était de regarder sa valeur nette : les bienheureux étaient évidemment les riches, et plus on était riche, plus on était béni. Très vite, il s’est agi de réaliser l’œuvre de Dieu pour amasser des richesses en les retirant à tous ceux qui, en fonction de leur valeur nette, n’étaient pas aussi favorisés par le Tout-Puissant. Ajoutez un peu de racisme, les races les plus sombres n’étaient clairement pas aussi bénies que les blancs, et vous arrivez à un élément essentiel de l’idéologie impérialiste occidentale. Soit dit en passant, selon cette idéologie, il n’y avait rien de mal à un peu de génocide. Les Américains ont donc perpétré un génocide contre les Indiens d’Amérique, les Britanniques contre à peu près tout le monde, et les Allemands – derniers arrivés dans l’impérialisme occidental – contre les Juifs et les Tziganes, non pas comme une sorte d’aberration criminelle, mais comme une grande et honorable quête.

La dernière étape consistait à retirer Dieu de l’équation. Or, la bonté d’un homme n’était déterminée que par un seul critère : les sommes d’argent en sa possession. La richesse pouvait être amassée par le crime, mais à condition que le criminel n’ait jamais été condamné pour ce crime, sa richesse, en soi, était une preuve non équivoque de sa bonté.

Entrez dans le rêve américain : voici un continent entier à exploiter, et n’importe qui – mais blanc – de n’importe quelle partie du monde pourrait venir en Amérique et « faire le job » – c’est-à-dire amasser des richesses fabuleuses. Cela ferait de lui une bonne personne. Les autres, dont la tentative de réaliser ce rêve devait échouer, mourraient dans la rue, mais cela n’aurait pas d’importance car, dans une logique un peu circulaire, étant fauchés, ils n’étaient pas bons du tout. L’idée que les membres des races sombres – et de certains autres groupes, comme les Irlandais – étaient plus pauvres et donc moins bien lotis, a été conservée, ce qui fait qu’il est bon et approprié de les exploiter pour son enrichissement personnel.

La simplicité de ce système et les possibilités qu’il offrait ont attiré des scélérats de toute l’Europe et d’ailleurs vers le pays des opportunités. De nombreuses vies ont été perdues et de nombreuses grandes fortunes ont été faites. Mais lorsque les années 1970 sont arrivées, les opportunités pour les nouveaux arrivants ont commencé à s’amenuiser et l’idée que le travail acharné et un peu de chance étaient ce qu’il fallait pour « réussir » en Amérique a été remplacée par quelque chose d’entièrement différent : le fait de naître dans la bonne famille avec la bonne quantité de richesses et les bonnes relations politiques est devenu un facteur exagérément déterminant de succès.

Comme il était devenu plus difficile de s’enrichir en travaillant dur, il est devenu plus facile de s’enrichir en poursuivant son employeur pour harcèlement sexuel ou discrimination. Au lieu de travailler dur, il est devenu plus facile de tomber dans une fosse sur un chantier de construction et de vivre ensuite des prestations d’invalidité. Vivre des allocations du gouvernement est devenu une bien meilleure option que d’essayer d’obtenir une somme d’argent équivalente en travaillant pour lui. Et pour les personnes encore employées, de moins en moins nombreuses, la recherche d’un emploi s’est transformée en une course à l’échalote toujours plus stressante, humiliante et précaire, pour un job qui pouvait prendre fin à tout moment. Le rêve américain est ainsi devenu un cauchemar.

Histoire

Dans toute culture, la création et les mythes fondateurs sont universels – chaque petit groupe et tribu en possède. Peu importe que vous pensiez que votre peuple a été arraché à un coquillage par un corbeau – comme le croient les tribus indiennes du Nord-Ouest américain – ou que vous croyiez que vous descendez de l’âme désincarnée d’un extraterrestre qui existait il y a 75 millions d’années – comme le pensent les croyants de la Dianétique de Ron Hubbard. Nos cerveaux fonctionnent de manières mystérieuses, et l’une d’entre elles est telle que si vous n’avez pas de mythe fondateur, vous ne savez pas qui vous êtes ni comment vous devez penser, ressentir et agir.

Il est également assez typique pour les humains de développer et de raconter des histoires épiques sur leurs grands ancêtres : des histoires de héros courageux qui ont lutté contre des monstres et des démons – et qui ont gagné. Ces histoires, lorsqu’elles sont racontées aux jeunes, les rendent fiers d’être qui ils sont et désireux de prouver leur valeur. Toutes ces histoires prodigieuses n’ont pas forcément une fin heureuse : certaines peuvent évoquer des échecs et des défaites épiques et être consignées dans des ballades et des lamentations tristes, mais elles n’en sont pas moins édifiantes parce qu’il y a de la dignité dans la souffrance, surtout si cette souffrance a une cause valable et qu’elle comporte un élément de martyre.

On pourrait s’attendre à ce qu’il soit un peu difficile d’extraire une série d’histoires heureuses et édifiantes de quelque chose qui est apparu au cours du processus consistant à interpréter malencontreusement les Saintes Écritures en remplaçant le communalisme par l’individualisme, puis en remplaçant Dieu par Mammon, et enfin en remplaçant tout cela par un simple lucre dégoûtant, tout en massacrant, asservissant, violant et pillant, d’abord en Amérique du Nord et ensuite dans le reste de la planète. Et pourtant, c’est ce qui a été fait !

La solution a été de concocter une histoire presque entièrement fausse. Dans tous les cas, un faux récit de bien-être a été substitué à ce qui s’est réellement passé dans le but de cacher ou de déguiser les véritables impératifs et motifs et de les remplacer par des fables moralisatrices synthétiques.

Ainsi, un important mythe fondateur est celui des Pèlerins – alias les Puritains – qui ont débarqué sur le Mayflower à Plymouth, Massachusetts, qui ont célébré Thanksgiving avec les Indiens locaux, et qui ont ensuite fondé la colonie de la baie du Massachusetts en 1630. Sauf qu’ils n’étaient pas des pèlerins, mais des colons – membres d’un étrange culte sectaire – et que les Indiens locaux, qui parlaient assez bien anglais et commerçaient beaucoup avec eux, auxquels ils vendaient une herbe sauvage locale que l’on pensait efficace contre la syphilis, qui ravageait l’Angleterre à l’époque – ne voulaient rien avoir à faire avec les puritains. Ces derniers, incapables de chasser, de cultiver ou de pêcher, et désespérés par la faim, ont pillé les potagers des Indiens. Cela ne les a pas aidé à se faire aimer des habitants de la région. Ils disaient des bêtises bizarres sur Dieu et, de plus, sentaient mauvais – pas le genre de personne qu’on invite à une fête de la récolte. De plus, étant membres d’une secte extrémiste, ils ne fêtaient même pas Noël, et donc ils ne seraient pas venus s’ils avaient été invités. Mais ils n’auraient pas pu être invités à une fête de Thanksgiving en tout cas, car la fête de Thanksgiving a été créée par Abraham Lincoln bien plus de deux siècles plus tard. Elle a ensuite été reconvertie pour vendre des dindes congelées, avec de faux pèlerins ajoutés comme gadget publicitaire.

Un autre jour férié important aux États-Unis, le 4 juillet, annoncé comme la fête de l’indépendance, est le résultat d’une révolte fiscale, où de riches colons ont refusé de payer des impôts au trésor impérial britannique alors que le commerce entre la Grande-Bretagne et les colonies se poursuivait. Cette séparation superficielle a eu d’autres avantages au fil du temps : elle a permis aux États-Unis de perpétuer la traite des esclaves au-delà de la loi sur la traite de 1807 et de la loi sur l’abolition de l’esclavage en 1833 ; elle a également permis aux États-Unis de tirer profit du commissionnement de corsaires servant essentiellement comme une colonie de pirates. Mais à bien des égards, les États-Unis et l’Empire britannique sont restés unifiés, et c’est ce qui a permis à l’Empire américain de prendre le relais de l’Empire britannique au lendemain de la Seconde Guerre mondiale. Tout cela fait que l’expression « Independence Day » – jour de l’indépendance – n’est pas appropriée.

Par ailleurs, la guerre américano-mexicaine de 1846-1848 (connue sous le nom d’Intervención Estadounidense au Mexique) a été un cas flagrant d’agression territoriale, à la suite de laquelle les États-Unis ont saisi et annexé une grande partie du territoire mexicain. La plupart des souvenirs de cet événement honteux ont été effacés par la suite, et tout ce qui a été conservé est le symbole héroïque de Fort Alamo qui reste un piège à touristes très populaire jusqu’à ce jour.

La plat de résistance pour falsifier et blanchir l’histoire américaine reste la guerre de Sécession. Chaque année, les États-Unis produisent une nouvelle récolte de diplômés qui croient sincèrement qu’il s’agissait de libérer les esclaves alors qu’en fait, ce sont les industriels du Nord qui ont fourni les armes et qui ont voulu réorienter le flux de marchandises exportées depuis le Sud, en particulier le coton, de la Grande-Bretagne vers l’Amérique du Nord en détruisant la petite classe de propriétaires de plantations du Sud qui étaient de solides alliés de la Grande-Bretagne. La libération des esclaves était un spectacle secondaire destiné à donner à cette pure guerre d’agression un vernis moralisateur. Les esclaves n’ont pas vraiment été libérés de toute façon : il y avait la ségrégation, le redlining, les politiques sociales destinées à miner les familles noires, et à ce jour l’esclavage noir est très en vogue dans les prisons privées américaines. Les lois américaines contre le métissage ont été copiées avec empressement par les nazis allemands et utilisées contre les Juifs. Si l’on considère tout cela, la suggestion selon laquelle les blancs du Nord ont sacrifié leur vie pour libérer les esclaves alors que les blancs du Sud – dont la grande majorité n’avait aucun lien avec l’esclavage – ont sacrifié leur vie pour maintenir les noirs en esclavage est tout simplement risible. Et pourtant, c’est ce que les écoliers américains sont obligés de croire.

Certains événements historiques n’ont pas pu être blanchis et sont donc soigneusement oubliés. Par exemple, la guerre de 1812, au cours de laquelle des troupes noires défilant sous le drapeau britannique ont occupé Washington et incendié la Maison Blanche, n’offre pas le bon type de symbolisme et est donc passée sous silence. De même, un examen minutieux des relations des États-Unis avec les indiens autochtones d’Amérique du Nord présente une histoire de génocide qui est, strictement si on s’en tient aux chiffres, le pire génocide jamais perpétré dans l’histoire de l’humanité. Il est donc considéré comme impoli de le mentionner ne serait-ce qu’une fois.

En dehors de la guerre civile américaine, le plus grand crime contre la vérité historique a été commis par les Américains en ce qui concerne la Seconde Guerre mondiale. Pendant la plus grande partie du conflit, 80 % des troupes allemandes ont été déployées sur le front de l’Est, tandis que sur le front de l’Ouest, les nations se sont rendues sans grand combat, puis ont travaillé dur pour contribuer à l’effort de guerre nazi contre l’URSS. Alors que les Américains et les Britanniques étaient formellement alliés à l’URSS contre l’Allemagne, ils souhaitaient ardemment que le Troisième Reich défasse, occupe et démembre l’URSS. Et bien que l’on fasse grand cas du Lend Lease, en vertu duquel les États-Unis fournissaient du matériel de guerre à l’URSS, ces fournitures étaient payées d’avance en or, dans l’attente d’une défaite soviétique rapide, mais ont été pour la plupart livrées après que la défaite de l’Allemagne a été assurée, et n’a pas représenté plus de 12 % du matériel de guerre total fourni à l’Armée rouge ; par conséquent, cela ne pouvait pas être décisif.

En dépit de l’abondante documentation d’archive de ces faits historiques, les Américains continuent de raconter que ce sont eux qui ont gagné la guerre. Le récent discours de Donald Trump lors de la cérémonie de remise des diplômes de West Point, au cours duquel il s’est payé de mots face aux diplômés qui « ont conduit l’Amérique à la victoire sur les sinistres nazis et fascistes impériaux il y a 75 ans » en est un exemple. Il n’a pas mentionné le fait que la guerre avait été gagnée par l’Armée rouge et que les États-Unis avaient joué un rôle secondaire, ne se joignant au conflit que pour s’approprier une partie du butin et seulement après que la défaite de l’Allemagne nazie ait été assurée. Et dès que le projet de destruction de l’URSS par l’Allemagne nazie se fut soldé par un échec, l’alliance a été oubliée et on est passé à la guerre froide et à un effort total pour tenter de détruire l’URSS par une première frappe nucléaire – qui s’est également soldée par un échec.

L’affirmation erronée selon laquelle ce sont les États-Unis qui ont vaincu Hitler est un grave affront à la mémoire historique des Russes pour l’immense sacrifice qu’eux et les autres peuples soviétiques ont fait pour assurer cette victoire. C’est bien plus qu’un exemple de mauvais goût ; c’est un cas de vol de mémoire, et c’est maintenant illégal selon la loi russe. L’un des amendements à la constitution russe, adopté avec un soutien public écrasant le 1er juillet 2020, est le suivant « 67.3 La Fédération de Russie honore la mémoire des défenseurs de la Patrie et protège la vérité historique. Il n’est pas permis de diminuer l’importance de l’exploit du peuple dans la défense de la Patrie ». Ce que Trump a dit à West Point fera automatiquement de lui un criminel en Russie ; tant pis pour son plan secret de demander l’asile politique là-bas une fois que la situation à Washington sera devenue incontrôlable.

Une véritable histoire qui reflète avec précision à la fois les victoires et les défaites, à la fois les actes d’héroïsme et les atrocités, et qui se souvient des grands dirigeants autant que des despotes, des traîtres et des méchants, est indestructible, et un peuple qui est capable d’accepter tout ce qu’il a été, en acceptant le bien et le mal, est inébranlable dans son identité. Le problème d’une histoire construite sur des mensonges est que les mensonges constituent une base très fragile.

Les statues publiques sont en train d’être renversées aux États-Unis en ce moment même. Washington, Jefferson, Lincoln et bien d’autres encore moins connus sont descendus de leur piédestal. Tandis qu’ils se tenaient encore debout, ils ont servi de prétexte à des narratifs prétendûment historiques que l’on disait héroïques et vertueux. Mais que pensez-vous qu’il en ressortira une fois le voile déchiré ?

L’histoire apprend aux gens qui ils sont. Mais qu’est-ce qu’une histoire pleine de mensonges raconte aux gens, si ce n’est qu’on leur a menti sur ce qu’ils sont ?

Il peut être douloureux d’admettre que l’Empire américain est en train de s’effondrer pour les raisons énumérées ci-dessus. La bonne nouvelle est que, pour vous épargner cette peine, vous pouvez toujours suivre la tradition politique américaine contemporaine et rejeter la faute sur la Russie. Je vais vous faciliter la tâche : ce qui suit est un extrait du roman L’art de la touche délicate (Искусство лёгких касаний) de Victor Pelevin, qui est un grand théoricien de la guerre psychologique. Il ne semble pas y avoir de traduction anglaise de ce roman, et la traduction ci-dessous est donc la mienne [avec certaines de mes propres clarifications ajoutées entre crochets].

« Une attaque cynique [psychologique] a été planifiée contre les dirigeants politiques du monde libre. Après l’activation du Russiagate, la « Chimère-Tsar », les Américains allaient se rendre compte qu’un sénateur de Washington et une actrice d’Hollywood exercent la même profession, à la différence que l’actrice souffle à l’oreille d’Harvey Weinstein tandis que le sénateur souffle à celle de Bibi… Je m’excuse, mais ensuite vient une théorie conspirationniste tellement ridicule qu’il est gênant de la répéter. Idéalement, dit Izyumin, tout politicien occidental qui n’est pas une canaille complète et évidente doit être dénoncé comme un agent russe.

À quel résultat cela devait-il mener ?

Les Américains auraient l’impression de ne pas vivre dans une république libre, mais dans un empire oligarchique pourri et que leur pays est le même genre de démocratie contrôlée à distance que [l’URSS], avec le même genre d’application sélective de la loi et d’élections frauduleuses, tout cela basé sur des mensonges. La seule différence serait la manière dont cette gestion totalitaire serait organisée et où la fraude serait cachée… Et, bien sûr, il y aurait une attaque contre la culture. Ce serait la même image sans joie : la tambouille hollywoodienne de synthèse, la publicité obligatoire [pour l’armée et la police], des membres bien entraînés de la classe créative [exposés] dans leurs vitrines sur Internet et des sociétés qui s’efforcent de s’adapter au programme gauchiste en étendant leurs toiles d’araignée high-tech dans l’obscurité spirituelle et en se préparant à poser des pièces de monnaie sur les yeux des futurs cadavres…[C’était une coutume hongroise de fermer les yeux des morts avec des pièces d’argent parce que, s’ils restent ouverts, nous verrions notre propre mort capturée dans leurs yeux, NdT]. Le plus important serait une attaque contre l’identité. La « Chimère-Tsar » créerait une sorte de miroir aux alouettes dans lequel un Américain verrait en lui un animal dépendant et effrayé, préoccupé en permanence par sa survie personnelle, censé à chaque étape démontrer des opinions politiques correctes et un patriotisme superficiel, semblable à celui de l’homme soviétique des années 70. La forme finale, entièrement déployée, de la Chimère a été décrite comme suit : l’Amérique contemporaine est comme l’Union soviétique totalitaire de 1979 avec les LGBT [plus les Black Lives Matter et les Antifa] à la place de la Ligue de la jeunesse communiste, la gestion des entreprises à la place du Parti communiste, la libération sexuelle à la place de la répression sexuelle et l’aube du socialisme à la place du crépuscule du socialisme… la différence étant que dans l’URSS des années 1970, il était possible d’importer des blue-jeans d’Amérique alors que l’Amérique contemporaine est le genre d’URSS où personne n’apportera jamais de blue-jeans. Il était possible de quitter cette URSS, alors que les Américains seraient coincés là où ils sont. Et il n’y aura pas non plus de « Voice of America », juste trois sortes différentes de « Pravda » et un seul immortel changeant de forme [le secrétaire général du Comité central du Parti communiste, Leonid] Brejnev qui se bat violemment contre lui-même. »

Selon Pelevin, la « Chimère-Tsar » rencontrerait une force de dissuasion fabriquée aux États-Unis. Si la Russie osait activer la « Chimère-Tsar » , les États-Unis activeraient leur force de dissuasion, ce qui entraînerait une destruction mutuelle assurée. Cela constitue une bonne intrigue pour un roman, mais elle est historiquement inexacte, car il est clair que les États-Unis avaient préparé leur contre-mesure avant que la « Chimère-Tsar » russe ne soit mise au point, et ils n’ont pas hésité à l’utiliser. Elle avait un nom de code simple et brutal : La fosse à purin géante.

Les États-Unis l’ont déployée contre la Russie dès le milieu des années 1980. Son but était simple : faire croire aux dirigeants russes que leur pays, l’URSS, était une fosse à purin géante, indigente, corrompue, décrépite et vouée à l’extinction. Elle a été si efficace qu’elle a incité les derniers dirigeants soviétiques, dont Gorbatchev et Eltsine, à se tourner vers la trahison pure et simple. L’URSS s’est rapidement effondrée – un résultat qui dépassa les attentes les plus folles. Cet événement a déclenché la mort prématurée de plusieurs millions de Russes qui sont morts de désespoir. Il s’agissait bel et bien d’un acte de génocide.

Miraculeusement, la Russie a réussi à se remettre de cette expérience, et près de trois millions de visiteurs internationaux lors de la Coupe du monde de football en 2018 ont été les témoins d’un pays transformé : modernisé, bien géré, efficace, amical et sûr. C’est à ce moment-là que la chimère de la fosse à purin géante a cessé de fonctionner. Les médias américains et occidentaux continuent à produire un tir de barrage de fausses mauvaises nouvelles sur la Russie, mais les seuls qui prétendent encore les croire sont les Occidentaux eux-mêmes, ainsi que certains membres de l’opposition politique russe financés par l’étranger et payés pour le croire : « Il faut arrêter de parler… d’enseigner des choses qu’ils ne faudrait pas, uniquement par lucre ». (Tite 1:11) Parmi les victimes les plus pathétiques de la fosse à purin géante figurent les immigrants russes en Occident qui s’y accrochent pour justifier l’exil qu’ils se sont imposé.

Quant aux Russes, ils ont vus leur reflet dans les yeux du monde et ont aimé ce qu’ils ont vu. Cette théorie de la conspiration est « tellement ridicule qu’il est embarrassant de la répéter », mais au moment où la Russie était prête à déployer la « Chimère-Tsar«  contre les États-Unis, ces derniers avaient déjà tiré la chasse d’eau et se trouvaient sans défense face à cet assaut minutieusement calculé. Cela fait une bonne histoire, n’est-ce pas ? Mais c’est tout ce que c’est … une histoire.

Mais l’Empire américain n’est pas une histoire, c’est une pompe à richesse. Trois cent millions de personnes ont besoin qu’elle fonctionne – pour obtenir un tribut du reste du monde – pour continuer à se vautrer dans le luxe du style de vie du premier monde au lieu de plonger rapidement dans celui du tiers-monde et de se retrouver dans la ruine.

Quel est le rapport avec les trois piliers que sont la culture, l’idéologie et l’histoire ? Permettez-moi de développer cette question pour vous : qu’attendez-vous d’un peuple dont les icônes culturelles sont des super-héros qui ont perdu leurs super-pouvoirs, dont l’idéologie repose sur la croyance en la bonté d’un lucre sale qui tombe en poussière à cause de l’abus de la planche à billet, dont le bien-être repose sur sa capacité à recevoir l’aumône de cette même planche à billet et dont l’histoire a été réduite à une litanie d’atrocités qu’aucune humiliation publique ne peut racheter ?

C’est une question à laquelle vous devez réfléchir.

Dmitry Orlov


Le livre de Dmitry Orlov est l’un des ouvrages fondateurs de cette nouvelle « discipline » que l’on nomme aujourd’hui : « collapsologie » c’est à-dire l’étude de l’effondrement des sociétés ou des civilisations.

Traduit par Hervé, relu par JJ pour le Saker Francophone




Comment l’exécutif trompe les français avec des textes illégaux !

Source : https://www.youtube.com/c/REACTION19WEBTV/videos

Par Maître Carlo Alberto BRUSA

https://youtu.be/f_bXOsMfTYM

DECLARATION QUI ETABLIT L’ILLEGALITE DE LA
CONTRAVENTION DE 4EME CLASSE QUI SERAIT IMPUTEE EN
CAS DE DEFAUT DU PORT DU MASQUE DANS LES LIEUX
IMPOSES PAR LE DECRET DU 10/07/2020




Facebook et Mark Zuckerberg se placent au-dessus de la souveraineté des états — un séisme social

[Source : France Soir]

Auteur(s) : Xavier Azalbert pour FranceSoir

Le rôle des GAFAM dans la crise du Covid-19 (Google, Apple, Facebook, Amazon et Microsoft) devient de plus en plus contesté.  D’un côté ils ont facilité le télétravail, la continuité de l’activité, le lien social et l’échange d’information avec une augmentation du trafic et de l’usage des services et outils offerts. D’un autre leur rôle de « média » devient de plus en plus contesté culminant avec la déclaration de Mark Zuckerberg ce mercredi 29 juillet lors d’une audition sur la loi antitrust :

« Si quelqu’un dit que l’hydroxychloroquine est un remède contre la COVID, nous le retirerons »

Un jour avant Twitter, Facebook et YouTube avaient tout simplement censuré des tweet de Donald Trump, ou une vidéo de médecins demandant la liberté de prescrire et relatant le traitement réussi avec de patients Covid-19.  A ce jour la vidéo du Dr Sapan Desai, le fondateur de Surgisphere, dont l’étude frauduleuse a été retirée, est elle toujours en ligne!  Un séisme dans le monde des GAFAM et des réseaux sociaux.  Les citoyens se plaignent de plus en plus de la couverture de la crise par les médias mainstream.  Cette perte de confiance envers la parole des médias, entraine une augmentation des échanges entre citoyens ou les médias alternatifs.  

Ce qu’il y a de plus important à la lecture de cette déclaration est lié au fait que Facebook a probablement la moitié de ses 2.6 milliards d’utilisateurs dans des pays ayant choisi une thérapie médicale contre la Covid 19 incluant de l’hydroxychloroquine.  A la lecture de la déclaration de Zuckerberg, des questions ont fusé sur internet

« à quoi joue Facebook à supplanter la souveraineté de nos états » écrit un internaute. 

Il sera intéressant d’observer comment les citoyens de ces pays, devant cette « censure subie », blacklistent à leur tour Facebook ou YouTube ou Twitter.

« Le courage, c’est de chercher la vérité et de la dire ; c’est de ne pas subir la loi du mensonge triomphant qui passe ».

Jean Jaurès, Discours à la jeunesse, 1903.

Le monde d’après Covid-19 amène les citoyens vers des paradoxes importants.  La plupart questionnent la politique de Trump, ses déclarations fracassantes, son omni présence sur les réseaux sociaux, et ce que certains vont jusqu’à caractériser comme un « manque d’intelligence ». Au travers de ces évènements récents, Trump ressortira-t-il comme incarnant le pragmatisme et le « bon sens » devant l’adversité de ses opposants à la course à la maison blanche, ou les lobbys des BigPharma qui paraissent avoir noyauté les instances les plus profondes des états ?  La position de la Chine sur son indépendance sur les outils des réseaux sociaux sera-t-elle considérée aujourd’hui comme une position saine vis-à-vis des GAFAM alors qu’il y a encore quelques temps les mêmes observateurs considéraient la censure chinoise comme inacceptable ?

Les recommandations du comité judicaire de la Chambre sur la loi antitrust concernant Amazon, Apple Facebook Google seront révélatrices de ce que l’avenir réserve.  En guise d’introduction lors de l’audition, il a été fait référence à la situation monopolistique des transports ferroviaires au début du siècle dernier, puisque le citoyen américain n’avait pas qu’un choix unique.  Aujourd’hui l’histoire se répète puisque les citoyens n’ont pas d’autres choix que de passer par un des GAFAM.  Il y a 20 ans Bill Gates et Microsoft étaient devant cette commission, pour défendre leur comportement monopolistique et dominant au moment où Google lançait son service de recherche sur internet et navigateur.  Cette semaine ils étaient absent.

Une audition de plus de 5 heures

Lors d’une audition du comité judiciaire de la Chambre sur la loi antitrust avec les PDG d’Amazon, Apple, Facebook et Google, le PDG de Facebook, Mark Zuckerberg, a déclaré que les publications positionnant l’hydroxychloroquine en tant que remède contre le coronavirus seraient supprimées.

« Nous ne voulons pas devenir les arbitres de la vérité. Je pense que ce serait une mauvaise position pour nous et non ce que nous devrions faire », a déclaré Zuckerberg. « Mais sur des éléments spécifiques, si quelqu’un va sortir et dire qu’il est prouvé que l’hydroxychloroquine guérit le COVID, alors qu’en fait il n’a pas été prouvé qu’il guérit le COVID, et que cette déclaration pourrait conduire les gens à prendre un médicament qui dans certains cas, certaines données suggèrent que cela pourrait être nocif pour les gens, nous pensons que nous devrions supprimer cela. « 

« Mark Zuckerberg: Si quelqu’un dit que l’hydroxychloroquine est un remède contre le COVID, nous le retirerons. « 

Jim Sensenbrenner membre du congrès a défié Zuckerberg et a suggéré qu’il s’agissait d’un «sujet légitime de discussion» et que les patients et leurs médecins devraient décider si l’hydroxychloroquine est le bon médicament:

«Il y a encore un débat sur son efficacité sur le traitement ou la prévention du COVID-19 et je pense que c’est un sujet de discussion légitime et qu’il appartiendrait à un patient et à son médecin de déterminer si l’hydroxychloroquine était le bon médicament, vous savez, compte tenu des circonstances.

Facebook et Zuckerberg supplantent donc la liberté de prescrire et l’opinion des médecins individuels

Zuckerberg a insisté sur le fait que Facebook rendrait la décision finale, quelle que soit l’opinion de certains médecins sur la question, et que la position de Facebook est la suivante:

«Déclarer qu’il existe un remède éprouvé pour le COVID alors qu’il n’y en a pas, en fait, pourrait encourager quelqu’un pour aller prendre quelque chose qui pourrait avoir un effet indésirable, alors nous le supprimons. »

Ce commentaire intervient deux jours après la censure par Facebook, YouTube et Twitter  d’une vidéo virale et de messages de plusieurs médecins soutenant l’hydroxychloroquine comme option de traitement du coronavirus .

Le Dr Simone Gold, médecin et avocat certifié par le conseil d’administration qui était l’organisateur principal de la conférence de presse censurée, a déclaré qu ‘

«il y a toujours des points de vue opposés en médecine» et que les options de traitement pour le coronavirus devraient être débattues et discutées, non censurées et silencieuses.

La liberté d’expression : Un droit humain fondamental, pilier de toutes les libertés civiques, énoncé à l’article 19 de la Déclaration universelle des droits de l’homme. De même que la liberté d’information et la liberté de la presse, la liberté d’expression pose la base de tous les autres droits. Les droits de l’homme s’appliquent aussi bien en ligne qu’hors ligne. 

Le débat médical restant légitime, l’expression de cette censure ayant des conséquences importantes sur la santé ne saurait reposer sur une personne unique.




Ce que nous prépare la science: resterons-nous encore des humains?

[Source : Oumma]

par Chems Eddine Chitour

« La Science a fait de nous des dieux avant même que nous méritions d’être des hommes»

Jean Rostand (biologiste)

Il est d’usage de dire et d’écrire que la science à terme, a vocation à tout expliquer et que rien n’arrête le progrès catalysé, justement, par une science conquérante dont on affirme qu’elle s’oppose à la religion en ce sens que les miracles sortent de plus en plus des laboratoires poussant ainsi les religions dans leurs derniers retranchements surtout quand elles font preuve de concordisme qui est la grande erreur à ne pas faire.

La science est par essence dynamique et donc sujette à  un éternel réajustement, ce qui ne devrait pas être le cas des religions par postulat d’essence divine valables en tout temps et en tout lieu. Souvenons de Galilée – convoqué par l’Eglise, pour avoir affirmé simplement que la terre était ronde et tournait autour du soleil –. Son avocat dans sa plaidoirie eut cette phrase lumineuse : « Galilée ne vous dit comment aller au ciel, mais comment est le ciel ».

S’il est vrai par exemple que la science nous a délivré des superstitions, qu’elle a permis à l’homme des loisirs du fait de la mécanisation du monde grâce aux inventions scientifiques et à la mécanisation du monde, il n’en demeure pas moins, que la science, d’une façon inexorable, s’attaque d’une façon frontale à l’homme ou plutôt à ses certitude fruit d’un héritage bimillénaire mais de moins en moins sûres.

La science fait prendre conscience à l’homme de son insignifiance dans l’univers, et dans le même temps elle l’aide à vaincre la douleur, la maladie, lui permettant à terme l’immortalité. Que devient alors le paradis ou l’enfer. «Si Dieu n’existe pas disait Dostoïevski, alors tout est permis.» Nous allons dans cette petite réflexion apporter quelques prévisions à court terme de la science pour les prochaines années en rendant d’abord hommage à un pionnier de la science-fiction qui, il y a cinquante ans avait prévu des bonds pour la science qui nous paraissent de nos jours tout à fait banals, alors qu’à l’époque c’était le rêve.

Voitures autonomes, ordinateurs… ce qu’Asimov avait prédit pour 2014

De tous temps,  les hommes ont tenté par l’imagination de sortir du présent et de s’évader dans le monde du futur.  Il en fut ainsi d’ Aldous Huxley avec « Le meilleur des Mondes » et de tant d’autres comme Georges Orwell. Souvenons dans les années 70,  on parlait de l’an 2000 comme un horizon indépassable. Le film « Odyssée de l’Espace » inspiré du roman de   Arthur Clarke en a rendu compte dans un film culte.

S’agissant de futurologie dans le domaine de la technologie, il est impossible d’évoquer  l gourou de cette discipline. En l’occurrence Isaac Asimov. En 1964,  ce  grand auteur de science-fiction  publie dans la foulée un essai dans les colonnes du New York Times en essayant de s’imaginer à quoi pourrait ressembler, un demi-siècle plus tard, l’Exposition universelle de 2014.  Asimov entrevoit l’ère des objets robotiques et connectés en évoquant des cuisines conçues pour «préparer des auto-repas, chauffant l’eau et la transformant en café; grillant le pain et le bacon; cuisant, pochant ou brouillant des oeufs, etc.» Les robots «ne seront ni courants ni très élaborés mais ils existeront».

En revanche, les machines et ordinateurs règneront en maîtres, «beaucoup plus miniaturisés»  s’apparentant à des «cerveaux» intelligents. Asimov prévoit également l’avènement des voitures autonomes (les fameuses Google Cars?), la fabrication d’organes artificiels, l’augmentation de l’espérance de vie et de la population mondiale (avec les problèmes qui l’accompagnent)… Une de ses prédictions sonne comme une esquisse de l’Internet: «Les communications se feront par visioconférence et vous pourrez à la fois voir et entendre votre interlocuteur. L’écran, en plus de vous permettre de voir les gens que vous appelez, vous permettra également d’accéder à des documents, de voir des photographies ou de lire des passages de livres.» (1)

Les inventions actuelles: rien n’arrête l’imagination 

Asimov a fait des émules et les projets ne mettent pas longtemps à devenir des réalités. Ainsi, on veut combattre le changement climatique. Envoyer du soufre dans la stratosphère ou fertiliser les océans avec du fer: des scientifiques tentent de refroidir la planète par tous les moyens. Devant l’incapacité des nations à oeuvrer ensemble dans la lutte contre le réchauffement climatique, des scientifiques ont commencé à explorer une alternative audacieuse: refroidir la planète. Substitutif ou palliatif, la géo-ingénierie regroupe les techniques qui permettraient, non pas de réduire nos émissions, mais de freiner, voire inverser le dérèglement climatique.» (2).

Une autre initiative menée au large du Canada a en revanche bel et bien abouti. Le Guardian révélait en octobre dernier [2013 ndR] qu’une société américaine avait déversé 100 tonnes de sulfate de fer dans l’océan Pacifique, menant ainsi la plus grande expérience – et la plus controversée – jamais enregistrée en la matière. L’objectif: fertiliser l’océan, ou plutôt stimuler le plancton grâce aux particules de fer, avec la promesse (outre de capturer du carbone absorbé par le plancton) de ramener les saumons dans cette zone géographique. Un succès apparemment, mais dont les conséquences environnementales sont encore douteuses.» (2)

Les robots de Google: pour le meilleur ou pour le pire

Google a confirmé vendredi 13 décembre 2013 avoir racheté – pour un montant inconnu – l’entreprise américaine de robotique Boston Dynamics. Travaillant main dans la main avec le Pentagone et la Defense Advanced Research Projects Agency (Darpa), la société est célèbre pour ses créatures mécaniques à l’agilité et à la rapidité inégalées. Un marché qui pourrait générer plus de 4 000 milliards de dollars par an à l’horizon 2025. Sept boîtes de robotique acquises en six mois, Boston Dynamics va rejoindre les sept autres entreprises de robotique achetées par Google, un réseau bâti en à peine six mois par le géant du Net. Séparée du fameux Google X Lab où voient le jour la plupart des inventions futuristes de la firme, la division robotique est pilotée par Andy Rubin, g&eacu
te;niteur d’Android. (…) Tandis qu’Amazon teste ses drones, Google s’immisce également dans les services de livraison sans cacher sa volonté d’automatiser le processus. Des colis livrés par des robots frappant à votre porte après être descendu d’une Google.» (3)

«Mais où va Google? s’interroge Philippe Vion-Dury, A quoi pensent ses fondateurs Sergey Brin et Larry Page? (…) Et Google pense grand, vraiment grand. Il suffit de regarder la liste des acquisitions réalisées par la firme depuis sa création. Avant 2013, tous les rachats étaient destinés à développer et optimiser des services directement liés à Internet, que ce soit dans le domaine de la photo, de traitement des données, mesures d’audience, logiciels cartographiques, publicité, blogging… (…) En 2013, les entreprises avalées par le glouton de Mountain View traitent de domaines aussi variés que les réseaux neuronaux, la compréhension du langage naturel, les énergies renouvelables, les «smartwatches», la reconnaissance de mouvement ou, bien sûr, la robotique. (…)»(3)

Pour Google «la vie privée, une anomalie» Une confirmation du Big Brother

Georges Orwell dans son ouvrage : « 1984 », décrivait le concept de Big Brother, depuis passé dans le langage courant de la critique des techniques modernes de surveillance. L’adjectif « orwellien » est également fréquemment utilisé en référence à l’univers totalitaire imaginé par l’écrivain anglais. Que devient la vie privée, voire le libre-arbitre, dans ce meilleur des mondes promis par Google?

«La vie privée, une anomalie.» «On doit cette phrase écrit Philippe Vion-Dury à Vint Cerf qui n’est autre que le «chef évangéliste de l’Internet» de Google. Cet homme, considéré comme l’un des pères fondateurs d’Internet, avance que vivre sans aucune intimité n’a non seulement rien de neuf, mais rien de bien inquiétant. «Il sera de plus en plus difficile pour nous de garantir la vie privée.» Cette déclaration peut nous choquer, nous faire peur. Elle est cohérente avec le discours du patron de Google, Eric Schmidt, président du conseil d’administration et ancien P-DG de la firme au célèbre slogan «Don’t be evil»(ne soit pas maléfique).»(4)

«Pas question poursuit Phlippe Vion-Dury d’éthique ici, juste de fiabilité technique «Il y a beaucoup, beaucoup de choses que Google pourrait faire, mais choisit de ne pas faire… «Les gens veulent que Google leur dise quelle est la prochaine action qu’ils devraient faire.» Si vous avez raté un épisode, le grand projet de Google tient en un mot: «Personnalisation». Le but ultime de la firme est de créer pour chaque individu un Internet à sa taille, conçu pour lui et par lui (à son insu), afin que finalement, Google lui soit totalement indispensable. (…) Google est moral «Si vous faites quelque chose que vous souhaitez que personne ne sache, peut-être devriez vous commencer par ne pas le faire.» (…) La philosophie Google est assez simple: au même titre que nous nous baladons dans le monde réel munis de papiers d’identité, notre vie numérique doit porter une empreinte qui permette de nous identifier.» (4)

L’avenir selon Google: si vous n’êtes pas connecté, vous êtes suspect! 

La prophétie d’Orwell est plus que jamais à l’œuvre. Big Brother veille sur vous. D’abord à notre insu et depuis Google.  Il nous est fait injonction de nous « déclarer » L’ambition finale: écrire l’avenir. C’était le thème central de l’ouvrage signé par Eric Schmidt, ancien P-DG de Google, intitulé «A nous d’écrire l’avenir» (éd; Denoel, novembre 2013). On trouve dans le premier chapitre des ébauches de technologies futuristes à foison, allant d’algorithmes contrôlant à peu près tout à des implants externes pour ne rien oublier, en passant par des caissons holographiques pour se téléporter virtuellement dans un autre lieu. La mort elle-même n’est finalement qu’un problème à résoudre, un «miracle à l’envers» selon Ray Kurzweil, gourou du transhumanisme et chef de l’ingénierie chez Google. (4)

Pierre Haski abonde dans le même sens en analysant l’ouvrage cité plus haut en expliquant qu’on peut être suspect rien qu’en refusant : deux pontes de Google promettent une apocalypse dont seuls les géants de la technologie pourront nous sauver: «Les deux auteurs annoncent la fin de la vie privée et de l’anonymat à l’ère numérique, avec l’apparition de «la première génération d’êtres humains à avoir un dossier indélébile».(…) Pire, le refus de se plier à cette ère du tout-connecté sera suspect aux yeux des autorités, tous régimes confondus: «Un gouvernement pourra suspecter que les personnes qui choisiront de rester totalement à l’extérieur ont quelque chose à cacher et sont donc plus susceptibles de violer la loi. Les gouvernements, par précaution antiterroriste, pourront faire un fichier des ´´gens cachés´´. (…) Dans leur conclusion, les auteurs nous expliquent qu’en fait, les sociétés de technologie sont les mieux placées pour sauver le monde. (…) Le monde vu par Google est donc relativement simple: la technologie va nous faire entrer dans une époque pleine de menaces pour l’individu, pour les sociétés, pour les Etats. Et seul le savoir-faire de ceux qui maîtrisent la technologie peut nous permettre d’éviter les catastrophes. CQFD.» (5)

Nanotechnologie: les incroyables applications 

Nano-aliments dont le goût change à volonté, matériaux de construction qui s’auto-réparent, objets qui se constituent à partir de l’air ambiant, microprocesseurs à l’échelle d’un millième de millimètre, membres du corps qui repoussent… La nanotechnologie ne se contente pas de créer à partir de l’atome, elle nous fait miroiter des applications à faire pâlir la science-fiction.

La nanotechnologie a généré 147 milliards de dollars sur l’année 2008. Les prévisions sur le milieu de la décennie tablent sur 3000 milliards de dollars. Le premier secteur appelé à connaître une révolution en profondeur est celui des aliments. (…) Autre application qui défie l’imagination: la médecine «régénérative». Le professeur Alan Russel de l’Université de Pittsburgh travaille sur la régénération de membres du corps avec le soutien des militaires. «Si un triton peut le faire, pourquoi pas nous?» explique Russell! (…) Les chercheurs évoquent la possibilité de créer des muscles artificiels avec une force 50 fois plus importante que celle d’un muscle humain.

Parmi les autres inventions fulgurantes celle de l’Internet que l’on porte sur soi. Il s’agit d’une montre connectée et «intelligente» qui devrait permettre à son propriétaire de vérifier ses appels, ses courriels ou ses SMS en regardant simplement son poignet, grâce à un lien permanent avec son smartphone. Certains analystes prédisent comme étant la prochaine révolution: celle des «wearable technologies», «les technologies qu’on porte sur soi». Des lunettes connectées se commandent à la voix et sont capables d’enregistrer des vidéos ou même de diffuser des informations directement dans notre champ de vision. En juin, un chirurgien espagnol a pratiqué une opération avec ses Google Glass sur le nez, celle-ci a été diffusée en direct sur le Web, ce qui a permis à des médecins situés à Stanford, de superviser les gestes de leur confrère. Ceux-ci voyaient tout ce que le praticien avait sous les yeux!» (6)

Le transhumanisme et l’immortalité 

La proximité des dirigeants de Google avec les gourous du transhumanisme peut laisser penser qu’ils envisagent peut-être de réaliser les rêves d’Isaac Asimov. Peter Diamandis expose l’une de ses thèses maîtresses, à savoir que les technologies de l’information sont en train de révolutionner les solutions aux problèmes de l’humanité.

« Diamandis, Kurzweil et Itzkov pensent que d’ici 2045, les progrès exponentiels de la technologie des ordinateurs et des robots vont révolutionner l’histoire humaine via la création d’ordinateurs intelligents et conscients, surpassant de très loin le cerveau d’Homo sapiens. Ils repousseraient les limites biologiques et cognitives de l’Homme, mais ils permettraient aussi aux individus de devenir immortels en téléchargeant leur conscience dans une enveloppe robotique humanoïde débarrassée des faiblesses humaines. De la conscience artificielle: cela pourrait bien nécessiter des ordinateurs quantiques et justement, Google a fait grand bruit il y a quelque temps en achetant un calculateur quantique à la société D-Wave. Le transhumanisme et l’idée du téléchargement de la conscience sont dans l’air du temps. (…) Google veut-il s’afficher comme un acteur majeur des idées des transhumanistes, qui, pour mémoire, se proposent d’utiliser la technologie et la science pour résoudre tous les problèmes de l’humanité, comme le vieillissement et la mort? On peut se poser la question, d’autant que le 18 septembre 2013, Google a annoncé le lancement de Calico une entreprise s’attaquant au défi «de l’âge et des maladies associées». Le Time n’a d’ailleurs pas hésité à cette occasion à titrer: Google peut-il résoudre le problème de la mort?»(7)

En 40 ans, nul doute que les progrès auront fait un bond gigantesque pour améliorer notre vie ou notre environnement. De la fusion nucléaire aux nano aliments en passant par la médecine réparatrice qui nous promet à terme, l’immortalité, les nouveaux matériaux et toutes les innovations sont autant de chantiers qui voient les applications envahir notre quotidien qui sera, cependant de plus en plus surveillé.  Nous allons vers l’homme réparé et l’inquiétude sur le siège de l’âme est d’actualité. Un chirurgien italien nous promet d’ailleurs, la greffe d’une tête pour 2020!!!

IBM aussi comme Google, envisage la création d’un ange gardien numérique capable de veiller sur une personne. Nous rejoignons de ce fait le Big Brother prévu par Orwell et mis ne œuvre par Google. On «s’occupera» de vous pour peu que vous mettiez le pied à l’étrier de la Toile… Vous êtes alors «fichés» voire fichus, car tout ce que vous faites est vu et su au grand jour.

Nous sommes dans le monde d’Orwell, voire dans Le meilleur des mondes dont parlait un autre géant de la littérature fiction en l’occurrence Aldous Huxley. Google à force de nous conditionner arrivera dans les faits à confirmer ces prophéties auto-réalisatrices. Le mythe prométhéen de Descartes: «L’homme maître et possesseur de la nature» est dangereux. Si la science, même si elle aspire à nous sauver, a plus que jamais d’éthique pour garder à l’homme sa personnalité, son libre- arbitre voire son humanité ou ce qu’il en restera. A ce titre l’Inde vient de déclarer que les dauphins sont des personnes non humaines et qu’à ce titre, elles ne doivent pas être maltraitées… On voit les frontières entre espèces que l’on croyait gravées dans le marbre , se brouillent

Assurément la boutade de Jean Rostand revêt toute sa signification , la science nous promet de devenir des Dieux , mais sommes nous des hommes au sens de la dignité humaine ? Que restera t-il de l’homme et de sa dignité dans cinquante ans ? La question est posée car Asimov, Huxley Orwell d’une façon ou d’une autre prévoient l’avènement d’une société oligo-humaine qui tient le pouvoir et d’une armée d’esclaves –scorie d’une paléo-humanité- qui , on l’aura compris, seront en compétition avec des robots humanoïdes autrement plus performants.

[Notes]

1. Philippe Vion-Dury 
http://www.rue89.com/2014/01/02/voitures-autonomes-ordinateurs-quasimov-avait-predit-2014-248728

2. http://www.rue89.com/2013/07/19/les-projets-fous-geo-ingenieurs-reparer-climat-244358

3. http://www.rue89.com/2013/12/16/diable-google-veut-faire-tous-robots-248377

4. Philippe Vion-Dury
http://www.rue89.com/2013/11/21/vie-privee-anomalie-les-dogmes-flippants-google-247726

5. http://www.rue89.com/2013/05/07/lavenir-selon-google-si-netes-connecte-etes-suspect-242084

6. Sarah Belouezzane :
http://www.lemonde.fr/technologies/article/2013/09/03/internet-je-l-ai-dans-la-peau-ou-presque_3470272_651865.html

7. Laurent Sacco: Google et le rêve d’Isaac Asimov Futura-Sciences 19 12 2013




Berlin : énorme foule de manifestants pour le discours historique de Robert Kennedy Jr

[Source : FranceSoir]

Berlin : Enorme foule de manifestants pour le discours historique
de Robert Kennedy Jr
FranceSoir

Auteur(s) : FranceSoir

Berlin, capitale de l’Allemagne est souvent témoin de moments historiques.  Le discours hier de Robert Kennedy Jr en fait partie. Avocat spécialisé dans le droit environnemental, il s’est depuis longtemps élevé contre les dangers des politiques vaccinales de l’OMS ainsi que les mauvaises intentions de Bill Gates. Loin d’être découragé par le destin tragique de son père Bobby Kennedy et de son oncle John Fitzgerald Kennedy élu Président des États-unis en 1961, il s’est adressé librement à de nombreux allemands mobilisés contre les politiques sanitaires autoritaires.  Pendant que d’autres manifestations de moindres ampleurs prenaient forme à Londres, Zurich ou Paris Robert Kennedy Jr s’est exprimé pendant une dizaine de minutes. 

Le ton est vite donné dans sa phrase d’introduction

«  Chez moi aux Etats Unis les journaux disent que je me suis exprimé devant 5000 nazis »

Pour passer aux choses sérieuses  

« La seule chose dont vous avez besoin pour transformer les gens en esclaves, c’est la peur. »

Une manifestation passée sous silence par les médias

Selon le Monde la manifestation importante de Berlin aurait été dispersée, cependant le discours de Robert Kennedy Jr a bien eu lieu et certaines photos et vidéo qui circulent sur internet attestent autrement.

Senta Dupuy, journaliste et présidente de la branche européenne de l’association Children’s Health Defense présidée par Robert Kennedy Jr, il pouvait y avoir un million de manifestants ou plus. Nous avons passé plusieurs jours à vérifier de ne pas être en violation avec les règlementations en vigueur sur les confinements et dans le respect des lois.  Mr Kennedy est donc venu à l’occasion de la réunion inaugurale de la branche européenne de l’association que je préside.

« On a commencé avec une minute de silence d’une manifestation pacifique que les médias tentent aujourd’hui de dépeindre comme extrémiste. » 

Ce discours acéré devrait marquer l’histore au moment où le gouvernement français a pris des mesures pour éviter et interdire les rassemblements de plus de 5000 personnes.

Robert Kennedy Jr : Merci. Chez moi, les journaux disent que je suis venu ici aujourd’hui pour parler à 5000 nazis. (…)  Je vois cette foule, et je vois le contraire du nazisme.  Je vois des gens qui aiment la démocratie, qui veulent un gouvernement ouvert. Je regarde cette foule, je vois tous les drapeaux de l’Europe, je vois des gens de toutes les couleurs, je vois des gens de toutes les nations, de toutes les religions, tous soucieux de la dignité humaine, de la santé des enfants et de la liberté politique.

C’est le contraire du nazisme.

Les gouvernements aiment les pandémies, et ils aiment les pandémies pour les mêmes raisons qu’ils aiment la guerre. Parce qu’elle leur donne la possibilité d’imposer à la population des contrôles que celle-ci n’accepterait jamais autrement…

Les dirigeants n’inventeront pas de règles et de règlements arbitraires pour orchestrer l’obéissance de la population. Nous voulons des officiels de la santé qui n’ont pas de liens financiers avec l’industrie pharmaceutique et qui travaillent pour nous, pas pour Big Pharma…

 Il y a soixante-quinze ans, Hermann Göring a témoigné au procès de Nuremberg, et on lui a demandé comment il avait fait pour que les Allemands acceptent tout cela. Et il a dit “c’est une chose facile, ça n’a rien à voir avec le nazisme. Cela a à voir avec la nature humaine. Vous pouvez le faire dans un régime nazi. Dans un régime socialiste, dans un régime communiste, dans une monarchie et une démocratie.

La seule chose dont vous avez besoin pour transformer les gens en esclaves, c’est la peur.

Il y a soixante ans, mon oncle John Kennedy est venu dans cette ville. Il est venu ici à Berlin parce que Berlin était la ligne de front contre le totalitarisme mondial. Et aujourd’hui encore, Berlin est en première ligne contre le totalitarisme mondial…

Ils n’ont pas fait un très bon travail en matière de protection de la santé publique, mais ils ont fait un très bon travail en utilisant la quarantaine pour introduire la 5G dans toutes nos communautés…

La raison est la surveillance et la collecte de données. Ce n’est pas pour vous et moi. C’est pour Bill Gates, Zuckerberg, Jeff Bezos et tous les autres millionnaires. Bill Gates a dit que sa flotte de satellites pourra observer chaque centimètre carré de la planète 24h sur 24. Ce n’est que le début, il sera en mesure de vous suivre sur tous vos appareils intelligents grâce à la reconnaissance biométrique, via vos GPS.

La pandémie est une crise de convenance pour les élites qui dictent ces politiques. Elle leur donne la possibilité d’anéantir la classe moyenne pour détruire les institutions de la démocratie, de transférer toutes nos richesses à une poignée de milliardaires pour s’enrichir en appauvrissant le reste d’entre nous. Et la seule chose entre eux et nos enfants, c’est cette foule qui est venue à Berlin…

Nous allons exiger le retour de notre démocratie. Merci à vous tous de vous battre.

Pour voir le discours intégral traduit en français, cliquez sur la vidéo : 

https://youtu.be/2saebN1OU1o?list=PL9E110621678B33E4

Les conséquences sont nombreuses pour notre démocratie. Robert Kennedy Jr viendra-t-il s’exprimer en France lors d’une prochaine manifestation ?

Difficile d’obtenir les chiffres du nombre de participants à la manifestation du 29 août 2020. Le chiffre de 1 000 000 nous a été mentionné par un membre organisateur sans que nous ne puissions obtenir de validation officielle.

Cependant cette vidéo donne une idée de la foule.  Ils étaient a priori bien plus que 30 000 participants.

https://youtu.be/jMRaC-RhXKQ?list=PL9E110621678B33E4

Auteur(s) : FranceSoir




PÉTITION : LA 5G VIOLE LES DROITS DE L’HOMME : STOP 5G !

[Source et signature de la pétition : ici]

[Ajustements : Nouveau Monde]


Auteur(s) : Alliance Française et Européenne Stop 5G

Destinataire(s) : ASSEMBLÉE nationale, SÉNAT, CONSEIL d’ÉTAT, PDG des Télécoms, ARCEP, ANSES, Parlement européen, ONU, Assemblée nationale, Sénat

L’appel international 5G arrêt du déploiement de la 5G sur terre et dans l’espace a été validé et signé par plus de 250 scientifiques, appel qui a été enregistré au Parlement européen et présenté à l’ONU.

https://www.5gspaceappeal.org/the-appeal

Plus de 250 scientifiques de plus de 40 pays ont exprimé leur « préoccupation sérieuse » concernant l’accroissement permanent et universel de l’exposition aux champs électromagnétiques par les technologies du sans-fil avant l’ajout du déploiement de la 5G.

Ils font référence aux « nombreuses études scientifiques récentes qui ont démontré que ces champs électromagnétiques affectent les organismes vivants à des niveaux d’exposition bien en dessous des valeurs limites internationales ».

Ces effets accroissent le risque de cancer et le stress cellulaire, augmentent l’apparition de radicaux libres nocifs, de dommages génétiques, de changements structurels et fonctionnels du système reproductif, de déficits d’apprentissage et de mémoire, de désordres neurologiques, sanguins, cardiaques, nerveux et forts impacts négatifs sur le bien-être.

Ces dommages n’affectent pas seulement l’homme, mais aussi la faune et la flore selon un nombre croissant d’études.

Les entreprises de télécommunications à l’échelle mondiale sont bien résolues, avec l’appui des gouvernements, à déployer dans les deux prochaines années, le réseau sans fil de cinquième génération (5G).

Cette décision produira ce qui est considéré comme un changement sociétal sans précédent à l’échelle mondiale.

Nous aurons, ainsi, des maisons « intelligentes », des entreprises « intelligentes », des autoroutes « intelligentes », des villes « intelligentes » et des voitures autonomes.

Pratiquement tout ce que nous achetons et possédons depuis les réfrigérateurs et les machines à laver jusqu’aux cartons de lait, en passant par les brosses à cheveux et les couches pour bébés, contiendra des antennes et des micropuces et sera connecté sans fil à l’internet.

Toute personne sur terre aura accès instantanément à des communications sans fil à très haut débit et à faible latence, et ce dans les coins les plus reculés de la planète, jusque dans les forêts pluviales, au milieu de l’océan et dans l’antarctique.

Ce que la plupart des gens ignorent, c’est que cette nouvelle réalité entraînera aussi un changement environnemental sans précédent à l’échelle planétaire. Il est impossible d’imaginer la densité prévue des émetteurs de radiofréquences. Outre les millions de nouvelles stations de base terrestres 5G qui seront installées et les 20 000 nouveaux satellites qui seront lancés dans l’espace, 200 milliards d’objets émetteurs, selon nos estimations, feront partie de l’internet des objets d’ici 2020, et un milliard d’objets quelques années plus tard.

Chapitre 1 : Le déploiement de la 5G VIOLE LA DÉCLARATION DES DROITS DE L’HOMME et le CODE DE NUREMBERG

https://www.un.org/fr/universal-declaration-human-rights/

Article 3 : Tout individu a droit à la vie, à la liberté et à la sûreté de sa personne.

Article 5 : Nul ne sera soumis à la torture ni à des peines ou traitements cruels, inhumains ou dégradants.

Article 7 : Tous sont égaux devant la loi et ont droit sans distinction à une égale protection de la loi. Tous ont droit à une protection égale contre toute discrimination qui violerait la présente Déclaration et contre toute provocation à une telle discrimination.

Article 8 : Toute personne a droit à un recours effectif devant les juridictions nationales compétentes contre les actes violant les droits fondamentaux qui lui sont reconnus par la constitution ou par la loi.

Article 12 : Nul ne sera l’objet d’immixtions arbitraires dans sa vie privée, sa famille, son domicile ou sa correspondance ni d’atteintes à son honneur et à sa réputation. Toute personne a droit à la protection de la loi contre de telles immixtions ou de telles atteintes.

Article 30 : Aucune disposition de la présente Déclaration ne peut être interprétée comme impliquant pour un État, un groupement ou un individu un droit quelconque de se livrer à une activité ou d’accomplir un acte visant à la destruction des droits et libertés qui y sont énoncés.

Le déploiement de la 5G viole le Code de Nuremberg

La déployer sur les populations représente une expérience technologique et médicale sur les populations et l’environnement sans le consentement des personnes, au péril de leur bien-être de leur santé et même de leur vie.

Pourquoi aussi « expérience médicale » ?

Parce que les ondes EMF sont utilisées en médecine depuis les années 1920 au moins pour soigner, traiter des maladies, en RUSSIE aux USA et dans d’autres pays du monde.

Certaines ondes et fréquences peuvent soigner, d’autres peuvent blesser. C’est un fait scientifique et médical établi.

Que sont les fréquences de la 5G ?

3,5 GHz, 26 GHz, 60 GHz et au-delà : FRÉQUENCES PULSÉES TRÈS ÉLEVÉES MICRO ONDES et MILLIMÉTRIQUES en système MIMO BEAM FORMING.

De façon à transmettre les énormes quantités de données nécessaires pour l’internet des objets, la technologie 5G, une fois pleinement déployée, utilisera des ondes millimétriques, qui ne traversent pas aisément la matière solide.

Il faudra donc que les entreprises de télécommunications installent des stations de base tous les 100 mètres dans toutes les zones urbaines du monde entier.

À la différence de la technologie sans fil des générations précédentes où une seule antenne diffuse des ondes sur une superficie importante, les stations de base de la 5G et les équipements connexes seront dotés d’antennes à balayage électronique actif qui, ensemble, émettront des faisceaux d’ondes électromagnétiques focalisés, orientables, analogues aux faisceaux laser qui se chevauchent entre eux.

Chaque téléphone 5G renfermera des dizaines d’antennes minuscules, qui ensemble, essaieront de capter un faisceau étroitement focalisé auprès du pylône le plus proche.

La US Federal Communications Commission (FCC) a adopté des règles autorisant que la puissance effective de ces faisceaux atteigne 20 watts, soit dix fois de plus que les niveaux autorisés pour les téléphones actuels.

Chaque station de base de la 5G renfermera des centaines voire des milliers d’antennes pointant simultanément de multiples faisceaux d’ondes électromagnétiques, analogues aux faisceaux laser, vers tous les téléphones mobiles et les autres appareils de son aire de service.

Cette technologie est dite à « entrées et à sorties multiples » ou MIMO.

Selon les règles de la FCC, la puissance rayonnée effective des faisceaux d’une station de base de la 5G pourrait atteindre 30 000 watts pour 100 MHz du spectre, ce qui équivaut à 300 000 watts par GHz de spectre, c’est-à-dire des niveaux de puissance des dizaines voire des centaines de fois supérieurs aux niveaux autorisés pour les stations de base actuelles

La 5G utilise des ondes électromagnétiques autrefois utilisées dans le domaine militaire dans la gamme des extrêmes hautes fréquences (EHF) provoquant des dommages considérables à tout ce qui est fait majoritairement fait d’eau (dont nous humains sommes constitués). Les effets sur le cerveau sont aussi bien connus aujourd’hui.

ÉTUDES des Armées : https://eveilhomme.com/wp-content/uploads/2020/06/Declassified-Russian-mmWave-Study-1977.pdf

CIA : https://archive.org/details/cia-millimeter-waves-1

Dr. Martin Pall : http://www.stop5g.be/fr/doc/ondes.brussels_5G-et-limites-d-exposition_Martin-Pall_nov-2019.pdf

C’est donc bien une expérience industrielle, médicale, voire militaire, sur les populations.

AVIS du PARLEMENT EUROPÉEN :

2 — Résolution 1815 du Conseil de l’Europe :

http://assembly.coe.int/nw/xml/xref/xref-xml2html-fr.asp?fileid=17994

Compte tenu de ce qui précède, l’Assemblée recommande aux États membres du Conseil de l’Europe :

« de porter une attention particulière aux personnes “électrosensibles” atteintes du syndrome d’intolérance aux champs électromagnétiques et de prendre des mesures spéciales pour les protéger, en créant par exemple des “zones blanches” non couvertes par les réseaux sans fil. »

8.1.4

Chapitre 2 : POLLUTION

Pollution ÉLECTROMAGNÉTIQUE

La 5G augmenterait le brouillard électromagnétique existant, déjà beaucoup trop élevé avec, entre autres, la 2G, la 3G et la 4G, le Wi-Fi, le Bluetooth, les compteurs communicants d’électricité (Linky), d’eau et de gaz (Gazpar) et leurs infrastructures annexes. [Elle utilise] des fréquences jamais encore utilisées, dans le spectre des micro-ondes et ondes millimétriques, extrêmement nocives pour le vivant.

Pollution ÉNERGÉTIQUE

Explosion de la consommation électrique, de la facture énergétique, de l’exploitation de matériaux rares avec travail d’enfants en Afrique, mise au rebut de milliards de téléphones portables obsolètes.

Danger CYBER SÉCURITÉ

voir la presse mainstream.

Chapitre 3 : 5G ET SOCIÉTÉ — le BIG RESET

Travail, lien social, qualité de vie, respect de la personne humaine : « THE BIG RESET »

la 5G annonce et entérinerait le projet global et globaliste de société mondiale, aberrant, inhumain, avec chômage massif, mépris du travail humain, de la biologie humaine et, in fine, transhumanisme :

le site du World Econonic Forum décrit en détail ce « monde d’après » sous 5G du « Big Reset »

https://intelligence.weforum.org/topics/a1G0X000006NvAbUAK?tab=publications&searchTerm=

La 5G fait partie et est une nécessité absolue pour ce qu’ils nomment le « Big Reset » ou « monde d’après » :

Les fers de lance du Big Reset (organisé de fond en comble par les globalistes) sont la 5G, puis la génétique, la modification OGM du génome des humains, la biotechnologie, la nano technologie, les neura links, l’Intelligence artificielle, les Robots, le mixage de l’homme et des ordinateurs, la smart dust [poussière intelligente], les nano bots, nano bots en médecine, les vaccins à RNA étranger, les vaccins par technique CRISP d’inserts d’ADN étranger, les vaccins par electro portatio, l’ID numérique pour tous (ou ID 2020, V pass ou V code numérique sur smart phone) = passeport de santé, carnet de vaccination numérique sous la peau, nano particules invasives dans les vaccins, etc.

https://intelligence.weforum.org/topics/a1Gb0000001j9vlEAA?tab=publications&searchTerm=

Le réseau 5G servira de support pour l’internet des objets (IdO), le « tout connecté » avec des milliards de micro chips dans toutes les variétés d’objets de la vie courante, de la voiture à la télévision au frigo en passant par la brosse à dents les vêtements, pour aller vers l’agenda tout numérique « tout connecté » dont parle Monsieur Macron et tous les autres chefs d’État.

Selon ce « Big Reset », les villes doivent devenir des Smart Cities gérées par l’intelligence artificielle, avec des robots ou systèmes de AI de plus en plus présents, sacrifiant des millions d’emplois, sacrifiant insectes abeilles, de très nombreux oiseaux et arbres, impactant la santé des habitants et provoquant des maladies chroniques et des décès des personnes les plus fragiles. Les personnes âgées n’y auront quasiment plus de place.

SURVEILLANCE

La 5G est LA technologie nécessaire à la SURVEILLANCE massive, au traçage de tous en tout lieu, au V code ou « health passport » post covid, à la biométrie, à la reconnaissance faciale :

https://www.youtube.com/watch?v=y6axbBtXgLk

https://www.youtube.com/watch?v=y6axbBtXgLk
TOUS SURVEILLÉS/ARTE

Chapitre 4 : DÉSASTRE ENVIRONNEMENTAL pré-déploiement et post-déploiement de la 5G

5/ Les ondes utilisées, dites micro-ondes ou ondes millimétriques sont facilement bloquées par des obstacles comme les feuilles des arbres. Il faut donc enlever des arbres à défaut d’augmenter la fréquence de pénétration des ondes. Et c’est ce qui se passe dans de nombreuses villes européennes et en France.

La nocivité des ondes électromagnétiques pulsées est déjà démontrée par des milliers de publications scientifiques indépendantes des multinationales des télécoms, comme le rapport Bioinitiative de 2012 qui montre des dégâts irréversibles sur tous les êtres vivants annonçant une catastrophe sanitaire et écologique à venir. Des effets très néfastes ont été constatés sur les oiseaux, les souris et les rats, les insectes (abeilles, fourmis, mouches) ainsi que des vers nématodes et des bactéries et les mammifères.

Dans leur hâte à mettre en œuvre la 5G et encourager l’utilisation sans contraintes de l’espace, l’Union européenne, les États-Unis et les gouvernements nationaux à l’échelle mondiale prennent des mesures pour assurer un environnement réglementaire « libre d’obstacles ». Aussi, interdisent-ils aux autorités locales d’appliquer les lois environnementales et, « dans l’intérêt d’un déploiement rapide et rentable », ils suppriment les « fardeaux inutiles »… comme les procédures de planification locales (décret État français durant le confinement 2020 permettant aux télécoms de passer au-dessus des mairies et procéder à de rapides installations d’antennes sans concertation avec la commune ni autorisation des Mairies).

Les animaux de ferme souffrent déjà terriblement de dommages liés aux champs électromagnétiques et en meurent. Des éleveurs, en France, ont assigné l’État en justice à ce propos.

Les EMF émis par des antennes relais, téléphonie mobile exponentielle, et autres sources font que les oiseaux sont en disparition mondiale à cause de ces champs EMF toxiques les irradiant dans leurs habitats naturels et durant leurs migrations.

Dans les zones 5G, les abeilles meurent, les insectes disparaissent totalement, les arbres exposés aux antennes proches se dessèchent et meurent, ce qui est déjà le cas avec la 4G LTE (Californie, Usa UK, London, Europe).

La 5G : irradiante partout en ville dans le mobilier urbain, « small cells » cachées dans tout le mobilier urbain, mais aussi sur les routes, les autoroutes, tout près des trajets en TGV et dans les campagnes ou villages à terme :

La 5G n’est efficace que sur de courtes distances. Elle nécessitera le déploiement d’un réseau très dense de petites antennes très proches les unes des autres, aussi cachées sous terre, sur les lampadaires LED de rue, arrêts de bus, panneaux, petites bornes 5G et wi-fi plantées sur le trottoir, boîtiers de wi-fi WIGI à 60 GHz arrimés aux bâtiments et aux maisons privées, cela de partout : près des habitations, des crèches, des hôpitaux des bureaux et dans les rues.

Investir dans le développement du réseau de fibre optique permettrait une vitesse de communication 10 000 fois plus grande que celle du sans-fil à l’abri des cyberattaques et sans danger pour la santé et l’environnement.

CHAPITRE 5 : Viol de l’ESPACE et des Traités internationaux de non-prolifération de technologies et armes dans l’Espace

ESPACE : 40 000 à 50 000 satellites 5G dans l’espace en basse orbite sont prévus par les sociétés privées SpaceX de Elon Musk, One Web, Amazon, Facebook, et d’autres compagnies. Elon Musk en a déjà lancé une bonne centaine (sur des milliers).

Stations de base spatiales de la 5G : Au moins cinq entreprises proposent d’offrir la 5G depuis l’espace, à partir de 20 000 satellites regroupés en basse et moyenne orbite qui couvriront la terre de puissants faisceaux d’ondes électromagnétiques focalisés et orientables (balayage électronique actif).

Chaque satellite émettra des ondes millimétriques ayant une puissance effective de rayonnement pouvant atteindre 5 millions de watts depuis des milliers d’antennes disposées en réseaux à commandes de phase (permettant un balayage électronique).

Même si l’énergie qui frappe le sol à partir des satellites est moins puissante que celle transmise par les antennes terrestres, elle touchera des régions reculées qui échappent au balayage d’autres émetteurs et s’ajoutera au rayonnement induit par les milliards d’objets connectés grâce aux antennes relais de la 5G basées au sol.

Mais qui plus est, les satellites stationneront dans la magnétosphère de la Terre, qui exerce une influence importante sur les propriétés électriques de l’atmosphère.

L’altération de l’environnement électromagnétique de la Terre pourrait bien représenter une menace encore plus grande pour la vie que le rayonnement des antennes basées au sol. Des astronomes par centaines demandent l’arrêt des lancements de satellites 5G.

L’espace selon les traités et principes des Nations unies relatifs à l’espace extra-atmosphérique (1967), les activités prenant place dans l’espace extra-atmosphérique doivent être menées

« de manière à éviter les effets préjudiciables de leur contamination ainsi que les modifications nocives du milieu terrestre ».

(art. IX)

Les Lignes directrices aux fins de la viabilité à long terme des activités spatiales (2018) indiquent que

« Les États et les organisations internationales intergouvernementales devraient […] tenir compte, dans la mesure du possible, des risques, pour les personnes, les biens, la santé publique et l’environnement, associés au lancement, à l’exploitation en orbite et au retour des objets spatiaux ».

[ligne directrice 2.2 c)]

Chapitre 6 : VIOLATION des CONVENTIONS INTERNATIONALES

Déployer la 5G revient à mener une expérience scientifique, technologique et médicale sur les populations du globe et sur tout l’environnement naturel.

Ceci représente, incluant à la fois le déploiement 5G terrestre et le déploiement de milliers de satellites 5G en orbite terrestre basse :

  • un viol des Conventions internationales
  • un viol de la Déclaration universelle des droits de l’homme,
  • un crime selon le code de Nuremberg

Des ententes internationales sont violées :

La Déclaration universelle des droits de l’homme (1948) énonce que

« Tout individu a droit à la vie, à la liberté et à la sûreté de sa personne ».

(art. 3)

Enfants et devoir de diligence

Selon la Convention relative aux droits de l’enfant des Nations Unies :

« Les États parties s’engagent à assurer à l’enfant la protection et les soins nécessaires à son bien-être » (art. 3), « assurent dans toute la mesure possible la survie et le développement de l’enfant »

(art. 6)

et

« à lutter contre la maladie et la malnutrition […] compte tenu des dangers et des risques de pollution du milieu naturel ».

(art. 24 c)

Le Code de Nuremberg (1947) s’applique aux expériences sur les êtres humains, ce qui inclut par conséquent le déploiement de la 5G lequel introduit un niveau d’exposition plus élevé et inédit au rayonnement de radiofréquence, dont l’innocuité n’a pas fait l’objet de test au préalable.

Or,

« le consentement volontaire du sujet humain est absolument essentiel ».

(art. 1)

L’exposition à la 5G sera involontaire.

« L’expérience ne doit pas être tentée lorsqu’il y a une raison a priori de croire qu’elle entraînera la mort ou l’invalidité du sujet ».

(art. 5)

Les conclusions de plus de 10 000 études scientifiques et la voix de centaines d’organisations internationales représentant des centaines de milliers de membres ayant subi des dommages invalidants et ayant été déplacées de leurs foyers par les installations de communications sans fil déjà en place, sont « des raisons a priori de croire que la mort ou l’invalidité » pourraient survenir.

Un viol des Conventions internationales sur l’Espace et celles de la Protection de l’environnement.

Une atteinte de type terrestre et spatial de la sécurité de millions, voire milliards de personnes et de tout l’écosystème terrestre ainsi qu’une atteinte à la Sécurité militaire et celle des prévisions météo mondiales.

Environnement

La Déclaration de Stockholm de la Conférence des Nations Unies sur l’environnement (1972) énonce que

« Les rejets de matières toxiques ou d’autres matières […] en des quantités ou sous des concentrations telles que l’environnement ne puisse en neutraliser les effets doivent être interrompus de façon à éviter que les écosystèmes ne subissent des dommages graves ou irréversibles ».

(principe 6)

La Charte mondiale de la nature (1982) préconise que

« les activités qui risquent de causer des dommages irréversibles à la nature seront évitées […] et lorsque les effets nuisibles éventuels de ces activités ne sont qu’imparfaitement connus, ces dernières ne devraient pas être entreprises ».

(art. 11)

D’après la Déclaration de Rio sur l’environnement et le développement (1992),

« Les États ont […] le devoir de faire en sorte que les activités exercées dans les limites de leur juridiction ou sous leur contrôle ne causent pas de dommages à l’environnement dans d’autres États ou dans les zones ne relevant d’aucune juridiction nationale. »

(principe 2)

Le Rapport du Sommet mondial pour le développement durable (2002) des Nations Unies fait état du besoin urgent de

« Lancer des initiatives internationales […] pour trouver des solutions politiques nationales et régionales plus efficaces aux risques que fait peser l’environnement sur la santé ».

[par. 54 k)]

La Convention africaine sur la conservation de la nature et des ressources naturelles (2017) recommande que

« Les Parties […] prennent toutes les mesures appropriées pour prévenir, atténuer et éliminer, le plus possible, les effets nuisibles sur l’environnement, notamment ceux causés par les substances radioactives, toxiques et autres substances et déchets dangereux. »

Chapitre 7 : les NORMES internationales de sécurité établies par l’IRCNIP sont invalides

Les études scientifiques valides et indépendantes doivent être utilisées pour la cessation du déploiement de la 5G en France et en Europe.

Les normes de l’Ircnip, servant de base à l’Arcep, à l’Anses aux télécoms et aux états dans le monde, n’ont aucune valeur scientifique et médicale :

Les organismes de réglementation ont délibérément exclu les preuves scientifiques d’effets nocifs l’industrie et les gouvernements sont les seules parties prenantes au débat sur le développement de la 5G, tandis que les scientifiques spécialistes des champs électromagnétiques internationaux de renom qui ont documenté les effets biologiques sur les êtres humains, les mammifères, les insectes et les végétaux, ainsi que les effets alarmants sur la santé et l’environnement dans des milliers d’études publiées dans des revues dotées de comités de lecture ont été exclus.

La raison qui explique le caractère inadéquat des lignes directrices actuelles applicables à la sécurité est que les conflits d’intérêts des organismes chargés d’établir les normes

« en raison de leurs relations avec les compagnies de télécommunication ou d’électricité empêchent de parvenir à l’impartialité qui devrait régir l’établissement des normes d’exposition publique au rayonnement non ionisant ».

92

Le professeur émérite Martin L. Pall décrit de manière détaillée les conflits d’intérêts, et il dresse la liste des études importantes qui ont été exclues, aux chapitres 1, 5 et 6 de son examen de la littérature.

Dans la résolution de 2008 de l’Évaluation à mi-parcours du plan d’action européen en matière d’environnement et de santé 2004-2010,

« le Parlement européen […] constate que les limites d’exposition aux champs électromagnétiques fixées pour le public sont obsolètes […] que ces limites ne tiennent évidemment pas compte de l’évolution des technologies de l’information et de la communication ni, d’ailleurs des recommandations préconisées par l’Agence européenne pour l’environnement ou encore des normes d’émission plus exigeantes prises, par exemple, par la Belgique, l’Italie ou l’Autriche et qu’elles ne tiennent pas compte de groupes vulnérables comme les femmes enceintes, les nouveau-nés et les enfants ; »

D’après la Résolution 1815 (Conseil de l’Europe 2011), il faut

« Prendre toutes les mesures raisonnables pour réduire l’exposition aux champs électromagnétiques, notamment aux radiofréquences émises par les téléphones portables, et tout particulièrement l’exposition des enfants et des jeunes » […].

La santé de tous les citoyens du monde entier et de ceux de la FRANCE et de tous les écosystèmes est en jeu ainsi que nos libertés et le droit à la vie privée.

Toute information nécessaire aux maires, aux ministres, aux sénateurs, aux députés, aux particuliers,

aux médecins, aux associations pour l’environnement et les études scientifiques en lien se trouve ici dans l’appel international stop 5G Terre et Espace :

STOP 5G Terre et Espace : https://www.5gspaceappeal.org/the-appeal

Merci.

ACTIONS

  • Envoyer cette pétition à votre mairie ou à votre député
  • Envoyer cette pétition au Sénat
  • Envoyer cette pétition à des avocats anti 5G (my smart cab ou autre)
  • Boycotter tout téléphone 5G et tous les objets connectés sans fil
  • Préférer une connexion filaire au wi-fi chez soi
  • Limiter autant que possible l’utilisation du téléphone mobile ; le mettre en 3G pour réduire l’exposition.
  • Diffuser l’information sur le scandale de la 5G.
  • Interpeller les professionnels de santé, votre opérateur de téléphonie mobile, votre maire, vos régions et les ministres de la SANTÉ, de l’urbanisme, de l’ÉCOLOGIE, la presse et les médias locaux.

SIGNER l’AUTRE pétition : lettre aux maires de France stop 5G

https://www.mesopinions.com/petition/social/lettres-aux-maires-france-stop-5g/99633




Correspondance entre Guy Boulianne et le capitaine Poussel, président de l’Association des officiers de réserve et réservistes du Pays d’Aix

[Source : Guy Boulianne et Profession Gendarme]

[Auteur : Guy Boulianne]

Le 31 juillet dernier, je présentais sur mon site internet le dossier intitulé : « Rapport d’enquête d’un groupe d’officiers de réserve sur la pandémie de COVID-19 et ses liens avec le SARS-CoV-2 et d’autres facteurs ». Un mois plus tard, je diffusais la traduction anglaise du document, à la demande de Mme Claire Edwards : « Cher Guy. Je viens de finir la traduction en anglais du rapport fait par des officiers français. Si vous voulez poster le document sur votre site, je serais reconnaissante. » (lire)

Mme Claire Edwards a travaillé pour les Nations Unies en tant que rédactrice et formatrice en écriture interculturelle de 1999 à 2017. Depuis mai 2018, elle collabore avec Arthur Firstenberg pour la publication de l’Appel international pour arrêter la 5G sur Terre et dans l’espace (5gspaceappeal.org). Elle a mis en garde le Secrétaire général des Nations Unies contre les dangers de la 5G lors d’une réunion avec le personnel des Nations Unies en mai 2018, appelant à une cessation de son déploiement dans les lieux d’affectation des Nations Unies. Mme Edwards m’écrivait dans une correspondance :

« Quant on lit le document, il est évident — comme d’ailleurs j’ai écrit dans mon résumé que j’ai ajouté au début de la traduction — qu’il a du avoir été écrit par des gens d’un niveau d’éducation élevé, des professionnels, et que parmi eux, à mon avis, il y a des médecins et avocats et en effet des officiers qui comprennent ce que c’est qu’une guerre. Il n’est pas possible qu’un groupe d’activistes se mettent ensemble pour rédiger un tel document. Il est tout a fait crédible.

« Mais la preuve qu’il soit exactement ce que les auteurs prétendent, c’est qu’ils ont dit qu’ils avaient rayé tous leur noms et affiliations du document, mais ils en ont raté un, à partir duquel je sais exactement qui ils sont : AORA [Association des officiers de réserve et réservistes du Pays d’Aix]. J’ai laissé leur vrai nom de l’association à l’intérieur du document. Au début quand je l’ai trouvé, je l’avais mis sur la couverture, mais en réfléchissant, j’ai pensé qu’il serait mieux de leur laisser le choix de se révéler. » — (courriel de Claire Edwards, vendredi le 28 août 2020)

Afficher ce document sur Scribd

VEUILLEZ PRENDRE NOTE : J’ai moi-même communiqué avec l’Association des officiers de réserve et réservistes du Pays d’Aix pour savoir si ce fameux « Rapport d’enquête d’un groupe d’officiers de réserve sur la pandémie de COVID-19 et ses liens avec le SARS-CoV-2 et d’autres facteurs » avait bel et bien été préparé par les enquêteurs du Pôle santé de l’AORA : « J’ai besoin d’authentifier ce document, à savoir s’il s’agit d’un vrai ou d’un faux ». Voici ce que le capitaine Luc Poussel, président de l’AORA, me répondit le 1er septembre dernier :

Bonjour Monsieur BOULIANNE,

Je suis le capitaine POUSSEL, président de l’AORA. Je rentre de voyage et je viens de prendre connaissance de votre courrier. Malheureusement, malgré tous les liens que vous m’avez donnés, je ne suis pas arrivé à retrouver l’article que vous me signalez.

Notre pôle Santé se compose de huit personnes qui ont pour mission de fournir les secouristes lors de nos activités sur le terrain. Seules quatre d’entre elles sont des professionnelles de la santé, un Médecin anesthésiste, une infirmière petite enfance, un infirmier dans un hôpital et une infirmière libérale. Durant le confinement nous avons activé tous nos pôles pour ne pas laisser nos membres dans l’inaction. Le pôle santé avait pour mission de fournir une conduite à tenir. Nous avons diffusé ses résultats aux cinq cent adresses de notre fichier le 8 avril 2020. Vous trouverez en pièces jointes le corps du message et la pièce jointe du message qui n’est autre que le fruit de l’expérience professionnelle d’une infirmière membre du pôle santé.

Le huit mai [voir la note ci-dessous], en soirée, le pôle santé a reçu le document PDF, transmis par un de ses membres. Si vous me parlez de ce document, il s’agit d’un véritable réquisitoire contre la 5G. Nous l’avons archivé comme exemple type de désinformation. Pour le crédibiliser, il porte une cocarde. Il est présenté comme le fruit du travail d’un groupe d’officiers de Réserve, et signé « la responsable du groupe d’enquête ».

Ce texte est une démarche politique en recherche d’un hébergeur crédible. L’AORA a du paraître la première marche facile à gravir dans leur ascension pour sa crédibilisation. Mais nous ne sommes pas tombés dans ce vulgaire piège. Cependant, suite à votre courrier, je constate que les coupables persistent sans signer à poursuivre leur quête de crédibilité.

Malheureusement, régulièrement de tristes individus tentent de nous piéger de la sorte. Nous avons eu droit aux lignes hautes tensions, aux micro-ondes, aux extraterrestres et tant d’autres sujets pour lesquels nous ne possédons aucun moyen scientifique pouvant nous permettre de nous y intéresser. Régulièrement nous sommes mêlés aux théories du complot. « L’Armée se prépare pour lutter efficacement contre le complot judéo-maçonnique », « contre le remplacement des populations européennes », « contre une invasion extraterrestre », etc. … Il s’agit toujours de « fuites émanent d’officiers bien informés qui cachent leur nom pour ne pas subir de représailles » !

Mais les préoccupations de l’AORA, (comme toutes les associations de réservistes), ne se situent pas dans ces peurs débiles ni dans la 5G. Elles sont plus matérialistes : Autoriser les forces de l’ordre, les réservistes et les membres de la fédération française de tir à porter une arme pour lutter efficacement contre le terrorisme. Remettre en place le service militaire. Recommencer à produire notre armement et nos munitions pour avoir une véritable indépendance nationale en matière de défense. Enlever les stupides limites d’âges pour servir son pays et les remplacer par des critères physiques. Lutter contre la bêtise humaine qui veut nous pousser à changer nos appellations de grades. Je citerai pour exemple l’appellation « CHEFFE » pour une femme alors qu’il serait si simple de décréter que « CHEF » serait une appellation autant féminine que masculine. On dirait un chef, et une chef. On dit bien un capitaine, et une capitaine ! Etc. …

Au risque de vous décevoir, non seulement la 5G n’est pas notre préoccupation, mais en plus nous sommes favorable à son développement et à tout ce qui peut nous faciliter la victoire. Un Réserviste a un rapport avec la mort qui se trouve diamétralement opposé à celui des populations oisives. Notre espérance de vie est liée à la durée du conflit dans lequel on va être engagé et à son intensité, pas à la virulence d’un virus ou à la durée d’une exposition à un rayonnement. En acceptant de servir les armes nous avons consciemment renoncé à une longue espérance de vie. Chaque jour que nous vivons en plus est un bénéfice inespéré !

J’ai apprécié votre délicatesse lorsque vous m’avez écrit « Je sais que vous êtes probablement tenus par le secret, ou du moins par la discrétion, » et c’est la raison pour laquelle je vous réponds. Les associations de réservistes ne détiennent pas de secret. Elles ne sont que des « compagnons de route » de nos militaires professionnels.

Bien sûr ce que disent les présidents d’associations ne plait pas toujours aux militaires de carrière qui dirigent nos Armées. Faisant partie de ceux qui disent tout haut ce qu’ils pensent j’en suis à ma trente quatrième année de grade de capitaine. Mais le principal ce n’est de se faire bien voir, il réside dans l’énergie que l’on met à faire évoluer les situations. Aussi, même si je ne partage pas votre inquiétude sur la 5G, du moment que votre démarche est honnête je vous encourage à continuer. Cependant, vos recherches devront aborder aussi bien les côtés négatifs que les côtés positifs sans quoi votre travail ne sera qu’un réquisitoire et vous ne pourrez plus vous prétendre « chercheur de vérité ».

Je pense vous avoir répondu. Si ce n’est pas le cas, ou si vous avez d’autres questions, n’hésitez pas à me les poser.

Je vous prie d’agréer, Monsieur, mes respectueuses salutations.

Le capitaine POUSSEL LUC président de l’AORA

Voici ma réponse en date du 1er septembre 2020 :

Cher capitaine POUSSEL, président de l’AORA.

Je suis très heureux que vous ayez pris la peine de me répondre par ce long message. Celui-ci met les choses en perspective. Il est certain que je vais retirer ce document de mon site internet (N.B.: J’ai décidé après coup de laisser le document disponible à la lecture). Me donnez-vous l’autorisation de partager votre message sur mon site internet afin d’avertir les gens que ce fameux « Rapport d’enquête d’un groupe d’officiers de réserve sur la pandémie de COVID-19 et ses liens avec le SARS-CoV-2 et d’autres facteurs » est un faux en quête de légitimité ? J’avertirai aussi l’Association Professionnelle Gendarmerie qui avait partagé le document sur son site internet.

J’ai bien compris que le réseau 5G est en fait un système d’armes non létales à énergie dirigée, et que ces armes ont toute leur utilité au sein des forces armées pour combattre l’ennemi (jnlwp.defense.gov / youtu.be/zvP_v4UOXt4 / youtu.be/kzG4oEutPbA). Par contre, nous pouvons aussi comprendre les inquiétudes de la partie civile qui craint que cette technologie 5G ne soit utilisée par des politiciens sans scrupule (partie civile) dans le but de prendre le contrôle sur les populations (reconnaissance faciale, identité numérique, système de crédit social comme en Chine, perte de la vie privée, etc.). On ne peut nier cela non plus. Le général Antoine Martinez a bien compris les inquiétudes de la population, lui qui se présentera aux prochaines élections présidentielles.

Les armées doivent défendre leurs populations à l’extérieur, mais aussi à l’intérieur du territoire. Ici, au Québec, je peux vous dire que la crise de Covid-19 est utilisée par notre gouvernement pour instaurer une dictature. Je crois que c’est la même chose dans plusieurs pays, dont la France. Je ne suis pas un « théoricien du complot ». J’essaie d’avoir une lecture des faits la plus objective possible. Au Québec, un enfer social est en train de s’installer. C’est un fait et j’en suis très inquiet (comme plusieurs de mes compatriotes) ! L’ennemi est entre nos murs.

La France et le Québec (Nouvelle France) ne forment qu’un seul peuple. Les Québécois sont les fils de la France. Or, nous sommes actuellement dirigés par des imposteurs, que se soit en France, au Québec ou ailleurs. Pourrons-nous rêver du jour où les militaires s’allieront au peuple pour contrer le joug de la tyrannie qui s’instaure un peu partout dans nos pays ? Je le souhaite vraiment.

Pour terminer, si vous me permettez, je ne suis pas d’accord lorsque vous écrivez : « populations oisives ». Ce n’est pas parce que l’on fait partie de la population civile, que nous sommes nécessairement oisifs. Nous avons tous notre rôle à jouer dans cette société. Sachez que j’ai un très grand respect pour les militaires car — justement — ils jouent un rôle crucial et essentiel dans nos sociétés.

Encore une fois, je vous remercie d’avoir répondu à mon message. J’en suis très heureux et je ferai les ajustements nécessaires concernant ce fameux « Rapport d’enquête d’un groupe d’officiers de réserve sur la pandémie de COVID-19 et ses liens avec le SARS-CoV-2 et d’autres facteurs ».

Je vous prie d’agréer, capitaine Poussel, l’expression de mes meilleurs sentiments,

Guy Boulianne

Voici la réponse du capitaine Luc Poussel en date du 2 septembre 2020 :

Bonsoir Monsieur BOULIANNE,

J’assume toujours tout ce que je dis et tout ce que j’écris, je ne vois donc aucune objection à ce que vous utilisiez mes écrits comme bon vous semble.

Je suis entièrement d’accord avec vous lorsque vous écrivez « Ce n’est pas parce que l’on fait partie de la population civile, que nous sommes nécessairement oisifs ». Je suis avant tout un civil, retraité des mines de charbon. Je travaillais à 1400 mètres sous terre. D’autres sont des travailleurs qui pendant leurs loisirs militent pour des causes diverses et variées, toutes plus nobles les unes que les autres. Mais tous réunis, nous ne constituons qu’une infime partie de la population. Et cette population qui se contente de consommer est heureuse comme elle vit. Pourquoi vouloir lui imposer notre façon de voir les choses ? Cette population a choisi un mode de vie que je qualifie de « oisif ». C’est son choix, je le respecte et je suis même persuadé qu’elle a raison de vivre ainsi. Après tout, que l’on croit à un paradis, à rien où en la réincarnation, nous ne faisons qu’un passage sur terre. Car même les réincarnés ne se souviennent pas des vies précédentes.

Autant vivre ce passage du mieux possible.

Pour moi, mon choix est rudimentaire. Je suis républicain parce que je suis attaché à ma liberté qui compte plus que tout au monde. Et je suis autant attaché à ma dignité que je défendrai aussi jusqu’à la mort. Dans les années quatre-vingts aux moments les plus chauds de la guerre froide une partie de la population terrorisée par le spectre d’un conflit nucléaire criait « plutôt rouge que mort ! ». Moi j’attendais les soviets dans mon char AMX 30 !!!

Continuez à vous battre pour vos valeurs. Mais soyez sûr de votre cause car rien n’est plus terrible que de se réveiller un matin en réalisant que l’on a défendu les intérêts d’un « gourou » qui nous avaient menti !

Très respectueusement.

Le capitaine POUSSEL

J’ai envoyé un autre courriel au capitaine Poussel pour lui dire que j’avais reçu un message anonyme de cette adresse : officier@free.fr. Voici ce que la personne m’écrivait : « Monsieur Bouliane, Nous vous serions très reconnaissant(e)s d’effacer de votre site les références à l’AORA, qui mettent en péril grave des officiers qui sont aussi père et mère de famille. Vous remerciant de votre compréhension, et vous félicitant pour votre courageuse oeuvre de diffusion. » J’ai voulu répondre à cet individu mais le message m’est revenu. J’ai demandé au capitaine Poussel de me confirmer que ce message provenait bel et bien de son association, ce qu’il réfuta catégoriquement. Je vous rappelle que le capitaine Poussel est le président de l’Association des officiers de réserve et réservistes du Pays d’Aix (AORA).

Cette correspondance a été rendue publique avec l’aimable autorisation du capt Luc Poussel.

NOTE :
  1. Dans son premier courriel en date du 1er septembre 2020, le capitaine Luc Poussel, m’écrit que le pôle santé de l’AORA a reçu le document PDF le 8 mai, alors que le rapport qui circule depuis le tout début est daté du 13 mai 2020. Ceci est illogique. Je vous rappelle que ce rapport a été interdit de diffusion. Toutefois, « devant l’urgence et la gravité des faits », il a été décidé de le communiquer à la société civile, tout en prenant soin de l’expurger des références au Groupe et des sigles de l’Unité. Je laisse donc le soin à mes lecteurs de faire leur propre réflexion.



Message d’alerte international de professionnels de santé aux gouvernements et aux citoyens du monde

[Source : Cogiito]

Image by PublicDomainPictures from Pixabay

Voici une des prises de position les plus importantes de professionnels de la santé concernant l’imposture du COVID-19. Vous pouvez la télécharger et la diffuser comme bon vous semble.

Plus de personnes seront informées et prendront connaissance de ce document, plus nous pourrons conserver notre liberté de penser, d’être et d’action.

Diffusez, diffusez… Freedom, Freedom, Freedom!

STOP : À LA TERREUR, À LA FOLIE, À LA MANIPULATION, À LA DICTATURE, AUX MENSONGES ET À LA PLUS GRANDE ARNAQUE SANITAIRE DU 21E SIÈCLE

FR-international-alert-message
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26 Août 2020,

Nous, professionnels de santé, à travers plusieurs pays au monde :

1. 

Nous disons : STOP à toutes les mesures folles et disproportionnées qui ont été prises depuis le début pour lutter contre le SARS-CoV-2. (confinement, blocage de l’économie et de l’éducation, distanciation sociale, port de masques pour tous, etc) car elles sont totalement injustifiées, elles ne sont basées sur aucune preuve scientifique et elles violent les principes de base de la médecine basée sur les preuves. Par contre, nous soutenons bien sûr les mesures raisonnables comme les recommandations de lavage des mains, d’éternuer ou de tousser dans son coude, utiliser un mouchoir à usage unique, etc.

Ce n’est pas la première fois que l’humanité fait face à un nouveau virus : elle a connu le H2N2 en 1957, le H3N2 en 1968, le SARS-CoV en 2003, le H5N1 en 2004, le H1N1 en 2009, le MERS-CoV en 2012 et fait face tous les ans au virus de la grippe saisonnière. Pourtant, aucune des mesures prises pour le SARS-CoV-2 n’a été prise pour ces virus-là. On nous dit :

«MAIS, LE SARS-COV-2 EST TRÈS CONTAGIEUX» 

ET NOUS RÉPONDONS :

C’EST FAUX.

Cette affirmation est d’ailleurs rejetée par des experts de renommée internationale1.

Une simple comparaison avec les autres virus permet de constater que la contagiosité du SARS-CoV-2 est modérée2,3. Ce sont des maladies comme la rougeole qui peuvent être qualifiées de très contagieuses. Par exemple, une personne atteinte de rougeole peut infecter jusqu’à 20 personnes alors qu’une personne infectée par ce coronavirus n’en contamine que 2 ou 3, soit : 10 fois moins que la rougeole.

« MAIS, C’EST UN VIRUS NOUVEAU » 

ET NOUS RÉPONDONS :

H1N1 et les autres virus qu’on a cités était aussi des virus nouveaux. Pourtant : on n’a pas confiné les pays, on n’a pas bloqué l’économie mondiale, on n’a pas paralysé le système éducatif, on n’a pas fait de distanciation sociale et on n’a pas dit aux gens sains de porter des masques. De plus, certains experts disent qu’il est possible que ce virus circulait déjà avant mais qu’on s’en est pas rendu compte4.

«MAIS, ON N’A PAS DE VACCIN» 

ET NOUS RÉPONDONS :

Au début de l’H1N1 on n’avait pas non plus de vaccin, comme à l’époque du SARS-CoV. Pourtant : on n’a pas confiné les pays, on n’a pas bloqué l’économie mondiale, on n’a pas paralysé le système éducatif, on n’a pas fait de distanciation sociale et on n’a pas dit aux gens sains de porter des masques.

« MAIS, CE VIRUS EST BEAUCOUP PLUS MORTEL » 

ET NOUS RÉPONDONS :

C’EST FAUX.

Car rien que comparé à la grippe et si on prend en compte la période entre le 1er Novembre et le 31 Mars, il y a eu au niveau mondial -lorsque ces mesures ont été prises – : 860,000 cas et 40,000 morts alors que la grippe dans la même période de 5 mois infecte, en moyenne, 420 millions de personnes et en tue 270,000. De plus, le taux de létalité annoncé par l’OMS (3,4%) était largement surestimé et était rejeté dès le début par d’éminents experts en épidémiologie5. Mais, même en prenant ce taux de létalité, on constate que ce coronavirus est trois fois moins mortel que celui de 2003 (10%) et 10 fois moins mortel que celui de 2012 (35%).

«MAIS, LA COVID-19 EST UNE MALADIE GRAVE» 

ET NOUS RÉPONDONS :

C’EST FAUX.

Le SARS-CoV-2 est un virus bénin pour la population générale car il donne 85% de formes bénignes, 99% des sujets infectés guérissent, il ne constitue pas un danger pour les femmes enceintes ainsi que les enfants (contrairement à la grippe), il se propage moins rapidement que la grippe6 et 90% des personnes décédées sont des personnes âgées (qui doivent, bien sûr, être protégées comme les autres populations à risque). C’est pour cela que des experts ont qualifié de «délire» l’affirmation que c’est une maladie grave et ont affirmé, le 19 Août dernier, que «ce n’est pas pire que la grippe»7.

« MAIS, IL Y A DES PERSONNES ASYMPTOMATIQUES » 

ET NOUS RÉPONDONS :

Dans la grippe aussi, 77% des sujets infectés sont asymptomatiques et ils peuvent aussi transmettre le virus8. Pourtant : on ne dit pas, chaque année, aux sujets sains de porter des masques et on ne fait pas de distanciation sociale malgré que le grippe infecte 1 milliard de personnes et en tue 650,000.

«MAIS, CE VIRUS ENTRAÎNE UNE SATURATION DES HÔPITAUX» 

ET NOUS RÉPONDONS :

C’EST FAUX.

La saturation ne concerne que quelques hôpitaux mais on fait croire aux gens que tout le système hospitalier est saturé ou que la saturation est imminente alors qu’il y a des milliers d’hôpitaux dans certains pays. Est-il raisonnable et vrai d’attribuer, par exemple, à 1000 ou 2000 hôpitaux une situation qui ne concerne que 4 ou 5 hôpitaux ? Rien d’étonnant, aussi, au fait que certains hôpitaux soient saturés car il s’agissait de foyers épidémiques (comme la Lombardie en Italie ou New-York aux USA). Il ne faut pas oublier que les hôpitaux de beaucoup de pays ont été submergés (y compris les soins intensifs) lors de précédentes épidémies de grippe9 et qu’à cette époque, on parlait même de : « tsunami » de patients dans les hôpitaux, « d’hôpitaux saturés », de tentes érigées à l’extérieur des hôpitaux, de « zones de guerre », « d’hôpitaux effondrés » et d’un « état d’urgence ». Et pourtant : on n’a pas confiné les pays, on n’a pas bloqué l’économie mondiale, on n’a pas paralysé le système éducatif, on n’a pas fait de distanciation sociale et on n’a pas dit aux gens sains de porter des masques.

2. 

NOUS DISONS : STOP à ces mesures folles à cause, aussi, de leurs conséquences catastrophiques qui ont déjà commencé à apparaître : suicide de gens angoissés comme ça été rapporté en Chine, développement de pathologies psychiatriques, paralysie du parcours éducatif des élèves et des étudiants à l’université, impacts négatifs et dangers sur les animaux, négligence des autres maladies (surtout chroniques) et augmentation de leur mortalité, augmentation des violences conjugales, pertes économiques, chômage, crise économique majeure (peu de gens savent que la crise économique de 2007-2008 a entraîné le suicide d’au moins 13,000 personnes rien qu’en Europe et en Amérique du Nord), graves conséquences sur l’agriculture, déstabilisation des pays et de la paix sociale et risque de déclenchement de guerresUn editorial5 publié dans l’European Journal Of Clinical Investigation a dénoncé, dès le début, les méfaits : des mesures extrêmes prises non fondées sur des preuves, des informations exagérées sur la dangerosité réelle du virus et des fake news propagées (y compris par des grandes revues). Certains ont même comparé cette pandémie à la celle de la grippe de 1918, ce qui est un MENSONGE et une manipulation puisqu’elle a tué 50 millions de personnes, ce qui n’a absolument rien à voir avec le nombre de morts de ce coronavirus.

3. 

Nous REFUSONS l’obligation des applications de traçage des contacts comme c’est le cas dans certains pays car le SARS-CoV-2 est un virus bénin qui ne justifie pas une telle mesure. D’ailleurs, selon les recommandations internationales et quelle que soit la sévérité d’une pandémie (modérée, élevée, très élevée), le traçage des contacts n’est pas recommandé. Lors des épidémies de grippe, faisons-nous un traçage des contacts ? Pourtant, le virus de la grippe infecte beaucoup plus de gens et comporte plus de populations à risque que ce coronavirus.

4. 

Nous disons : STOP à la censure des experts et des professionnels de santé pour leur empêcher de dire la vérité10 (surtout dans les pays qui se disent démocratiques).

5. 

Nous partageons l’avis des experts qui dénoncent l’inclusion des dépistages dans le comptage des cas, même si les sujets sont bien portants et asymptomatiques.

Ceci a abouti à une surestimation des cas. On rappelle que la définition11 d’un cas en épidémiologie est : 

«la survenue de nombreuses issues possibles : maladies, complications, séquelles, décès. Dans la surveillance dite syndromique, on définit comme cas la survenue d’évènements non spécifiques tels que des groupements de symptômes ou des motifs de recours aux soins, hospitalisations, appels de services d’urgence».

Nous disons donc : il faut séparer les dépistages des cas et il faut arrêter de les mélanger.

6. 

Nous partageons l’avis des experts qui dénoncent le fait qu’aucune distinction n’est faite entre les personnes mortes du virus et les personnes mortes avec le virus (avec des co-morbidités), le fait que la cause du décès soit imputée au SARS-CoV-2 sans test ni autopsie et que des médecins soit mis sous pression pour que la COVID- 19 soit marquée comme cause de décès, même si le patient est décédé d’autre chose. Ceci aboutit à une surestimation du nombre de morts et constitue une manipulation scandaleuse des chiffres car au cours des épidémies de grippe saisonnière par exemple, on ne travaille pas de cette façon. D’autant plus que 20% des patients COVID sont co-infectés par d’autres virus respiratoires aussi12. Après réévaluation, seuls 12% des certificats de décès dans un pays européen13 ont montré une causalité directe du coronavirus. Dans un autre pays européen, les professeurs Yoon Loke et Carl Heneghan ont montré qu’un patient qui a été testé positif mais traité avec succès puis sorti de l’hôpital, sera toujours compté comme un Décès COVID même s’il a eu une crise cardiaque ou a été fauché par un bus trois mois plus tard.

Le directeur du CDC (Centers for Disease Control and Prevention) d’un pays en Amérique du Nord a reconnu, le 31 Juillet, que des hôpitaux avaient bien une incitation financière perverse à gonfler les chiffres de décès dus au coronavirus.

7. 

Nous partageons l’avis des experts qui ont mis en garde contre l’intubation quasi- systématique de certains patients, due à la peur folle du virus. Il faut que les protocoles soient modifiés car ils ont abouti à un nombre élevé de morts14.

8. 

Nous disons qu’il est important qu’une révision des performances analytiques et cliniques des tests mis sur le marché soit faite, y compris les tests virologiques.

Beaucoup de kits sont utilisés actuellement alors qu’une partie importante de leurs performances (par exemple : la spécificité analytique, surtout pour les quatres coronavirus saisonniers) n’a pas été évaluée, ce qui est grave car en plus des cas de faux négatifs, la littérature rapporte des faux positifs inquiétants, ce qui peut surestimer le nombre de cas et de morts. Selon un professeur de microbiologie7, le taux de faux positifs peut atteindre 20%. Certains articles scientifiques qui rapportent ces cas de faux positifs ont été censurés15. Nous disons donc : STOP à l’obligation des tests de dépistage à cause de ce manque de fiabilité et du manque de vérification de leurs performances et parce que rien dans ce coronavirus (qui est un virus bénin et avec un taux de létalité faible) ne le justifie. Comme nous l’avons dit : la grippe infecte chaque année 1 milliard de personnes, soit : 30 fois plus que le SARS-CoV-2 et pourtant, aucun test n’est exigé pour les voyages.

9. 

Nous disons aux citoyens : n’ayez pas peur, ce virus est bénin sauf si vous faites partie des populations à risque.

Si les chaînes de télévision font la même chose avec la grippe, les chiffres seront beaucoup plus élevés que pour le coronavirus ! La télévision vous rapportera chaque jour en moyenne : 3 millions de cas et 2,000 morts de grippe. Et pour la tuberculose, la télévision vous rapportera chaque jour en moyenne : 30,000 cas et 5,000 morts. En effet, le virus de la grippe infecte chaque année 1 milliard de personnes et en tue 650,000 et la tuberculose infecte chaque année 10,4 millions et tue 1,8 million de personnes. De plus, à la TV on vous parle de « cas » alors qu’il s’agit de dépistages et non pas de cas. Un article scientifique, SARS-CoV-2 : fear versus data (SARS-CoV-2 : peur versus données), publié dans l’International Journal of Antimicrobial Agents, a démontré que le danger du virus était surestimé et que la peur pourrait être plus dangereuse que le virus lui- même.

10. 

Nous disons aux citoyens : le lavage des mains est un réflexe qu’on doit avoir tout au long de notre vie, qu’il y ait le coronavirus ou pas, car c’est la mesure d’hygiène la plus efficace.

Mais, porter un masque lorsqu’on n’est pas malade et pratiquer la distanciation sociale, ça ne fait pas partie de l’hygiène ou de la préservation de la santé publique mais c’est de la folie.

Porter un masque longtemps comporte plusieurs effets indésirables pour votre santé16 et le transforme en nid à microbes.

« Le virus peut se concentrer dans le masque et lorsque vous l’enlevez, le virus peut être transféré dans vos mains et ainsi se propager »,

a déclaré le Docteur Anders Tegnell, épidémiologiste.

Lorsqu’on lui a demandé si les gens se mettaient plus en danger en portant des masques, le Docteur Jenny Harries a répondu :

« en raison de ces problèmes de manipulation [des masques], les gens peuvent se mettre plus en danger ».

Même les dentistes ont récemment mis en garde contre les effets graves sur la santé bucco-dentaire car ils constatent que le port de masque de façon prolongée entraîne des maladies telles que des caries, des maladies parodontales ou une très mauvaise haleine.

«Nous voyons beaucoup de gens avec plus d’inflammation, plus de caries et de maladies des gencives… Nous constatons une inflammation des gencives des gens qui sont en bonne santé depuis toujours et des caries chez des personnes qui n’en ont jamais eu auparavant… Environ 50% de nos patients sont impactés par cela »,

déclare le Docteur Rob Ramondi, un dentiste.

« Les gens ont tendance à respirer par la bouche plutôt que par le nez lorsqu’ils portent un masque… La respiration buccale provoque la sécheresse de la bouche, ce qui entraîne une diminution de la salive. La salive est ce qui combat les bactéries et nettoie vos dents… Les patients nous disent : « wow, mon haleine sent, j’ai besoin d’un nettoyage ». [mais] quand vous avez une mauvaise haleine, soit vous avez déjà une maladie parodontale, soit vous avez beaucoup de bactéries sur votre langue à cause de la bouche sèche… Les maladies des gencives – ou les maladies parodontales- entraîneront éventuellement des accidents vasculaires cérébraux et un risque accru de crise cardiaque»,

explique le docteur Marc Sclafani, un autre dentiste.

De plus, beaucoup d’entre vous se plaignent de ces masques, surtout dans cette période estivale. Vous devez savoir que la bouche et le nez ne sont pas faits pour être obstrués.

Ce que vous portez est un masque, en apparence mais une muselière de votre liberté, en réalité.

D’autant plus que, comme le disent plusieurs experts dont le Professeur Yoram Lass, l’épidémie est terminée dans la majorité des pays et ceux qui vous disent le contraire sont des MENTEURS. En vous disant que l’épidémie n’est pas terminée, en brandissant la menace d’une 2e vague (qui ne repose sur aucune preuve), en vous demandant de porter un masque et de faire de la distanciation sociale, le but est, en fait, de prolonger la peur jusqu’à la fabrication d’un vaccin et pour qu’il soit mieux accepté par vous.

11. 

Nous disons aux compagnies aériennes : plusieurs études scientifiques ont montré un lien entre l’excès d’hygiène et le développement de maladies comme les maladies allergiques, les maladies auto-immunes, les maladies inflammatoires ou certains cancers. C’est ce que l’on appelle en médecine : l’hypothèse hygiéniste.

Donc, arrêtez les opérations de désinfection et enlevez les masques ainsi que les combinaisons protectrices ridicules de vos employés qu’on a vues dans les médias17. Faire cela relève de la folie.

Les aéroports doivent aussi arrêter la prise de température ainsi que les quarantaines. Le SARS-CoV-2 n’est pas la peste noire. Vous aussi, comme les citoyens, vous avez été manipulés.

12. 

Nous disons aux gouvernements : levez toutes les restrictions et les obligations sur les citoyens (état d’urgence, port de masque obligatoire, distanciation sociale, etc) car elles sont stupides et purement dictatoriales et n’ont rien à voir avec la médecine ou l’hygiène ou la préservation de la santé publique.

Il n’y a aucune raison scientifique ou médicale pour que des citoyens non malades portent un masque 5.

Le Docteur Pascal Sacré, anesthésiste-réanimateur, a dit :

«Obliger tout le monde à les porter tout le temps, alors que l’épidémie disparaît, est une aberration scientifique et médicale».

Le Professeur Didier Raoult dit :

«La décision du confinement comme la décision des masques… ne reposent pas sur des données scientifiques…».

Les Docteurs Lisa Brosseau et Margaret Sietsema, expertes en protection respiratoire, disent :

«Nous ne recommandons pas d’exiger du grand public qui ne présente pas de symptômes de maladie de COVID-19 de porter régulièrement des masques en tissu ou chirurgicaux car : il n’y a aucune preuve scientifique qu’ils sont efficaces pour réduire le risque de transmission du SARS-CoV-2…».

Le Professeur Maël

Lemoine a précisé aussi que le changement de discours sur les masques est : « politique, pas scientifique ».

Dans certains pays asiatiques, les gens portent des masques toute l’année (pour se protéger, entre autres, de la pollution). Est-ce que ce port généralisé des masques dans ces pays leur a évité d’avoir des épidémies de coronavirus ? Est-ce que ce port généralisé des masques dans ces pays leur évite d’avoir chaque année des épidémies de grippe ou d’autres virus respiratoires ? La réponse est bien sûr : non. D’autre part, avec les 8 millions de tonnes de plastique qui sont déjà déversées chaque année dans les océans, les masques et les gants viennent ajouter une nouvelle menace et constituent une pollution particulièrement dangereuse pour notre santé et pour la faune. Rien qu’en Italie, si seulement 1% des masques actuellement utilisés étaient jetés dans la nature, ce sont 10 millions de masques qui finiraient chaque mois dans l’océan18. De plus, les masques chirurgicaux mettent jusqu’à 450 ans à se décomposer ! Nous disons donc aux gouvernements :

13. 

Nous disons aux forces de l’ordre : les citoyens vous doivent beaucoup car vous êtes tous les jours les garants de leur sécurité et du respect de l’ordre et de loi. Mais, faire respecter la loi ne veux pas dire se soumettre de manière aveugle à des ordres injustes. C’est cette erreur qui a conduit à la seconde guerre mondiale et à la mort de 50 millions de personnes. Nous vous disons donc : faites respecter la loi mais pas l’injustice et la dictature, refusez d’imposer ces mesures, refusez de verbaliser vos concitoyens (lorsqu’ils ne portent pas un masque par exemple), ne les frappez pas, ne les emprisonnez pas. Ne soyez pas les instruments de la dictature. Soyez du côté des citoyens et suivez le bel exemple des policiers Américains qui ont soutenu les citoyens en s’agenouillant avec eux. Nous vous assurons que ces mesures n’ont rien à voir avec la médecine ou l’hygiène ou la préservation de la santé publique, c’est de la dictature et de la folie.

STOP à ces mesures illégales et dangereuses du port obligatoire du masque.

14. 

Nous disons aux citoyens : il faut respecter la loi. Mais, ceci ne veux pas dire la soumission aveugle à la folie, à l’injustice ou à la dictature. C’est cette soumission aveugle des citoyens aux lois injustes qui a conduit à la seconde guerre mondiale avec la mort de 50 millions de personnes. Vous êtes nés libres et vous devez vivre libres, donc : n’ayez pas peur et si vous n’êtes pas malades : enlevez les masques.

Sortez de chez vous comme vous le souhaitez et sans distanciation sociale, mais faites-le pacifiquement et sans aucune violence. Les professeurs Carl Heneghan et Tom Jefferson, épidémiologistes avec une grande expertise dans la médecine basée sur les preuves, disent :

« Il n’y a aucune preuve scientifique pour soutenir la règle désastreuse de deux mètres. Des recherches de mauvaise qualité sont utilisées pour justifier une politique aux conséquences énormes pour nous tous ».

15. 

Nous disons qu’il faut une réforme totale de l’OMS.

Les succès de l’OMS sont incontestables : des millions de vies ont été sauvées grâce aux programmes de vaccination contre la variole et la consommation de tabac a été réduite dans le monde. Mais, le problème majeur de l’OMS est qu’elle est depuis plusieurs années financée à 80% par des entreprises (notamment des laboratoires pharmaceutiques) et des donateurs privés (dont une fondation très connue) et les faits s’accumulent : fausse alerte sur l’H1N1 sous l’influence des lobbies pharmaceutiques, complaisance troublante envers le glyphosate que l’OMS avait déclaré sans danger en dépit des victimes de l’herbicide, aveuglement face aux conséquences de la pollution liée aux compagnies pétrolières en Afrique, minoration des bilans humains des catastrophes nucléaires de Tchernobyl à Fukushima et des désastres de l’utilisation de munitions à uranium appauvri en Irak ou dans les Balkans, non-reconnaissance de l’Artemisia pour protéger les intérêts des entreprises pharmaceutiques malgré qu’elle a prouvé son efficacité dans le traitement du paludisme.

L’indépendance de l’organisation est compromise tout à la fois par l’influence des lobbies industriels – surtout pharmaceutiques – et par les intérêts de ses États membres, en particulier : la Chine. Le président d’un pays a dit : «Je pense que l’Organisation Mondiale de la Santé devrait avoir honte parce qu’ils sont devenus les porte-paroles de la Chine». L’institution de Genève, qui avait sous- estimé la menace Ebola (plus de onze mille morts) est de surcroît accusée de négligence vis-à-vis des maladies tropicales, au profit de marchés plus juteux. Une enquête réalisée en 2016 (l’OMS dans les griffes des lobbyistes)19 a livré une édifiante radiographie de l’OMS en dressant le portrait d’une structure fragilisée, soumise à de multiples conflits d’intérêts. Cette investigation a montré combien, à l’OMS, les intérêts privés dominent les enjeux de santé publique. Il n’est pas acceptable que l’argent qui la finance vienne principalement d’une seule personne et qu’elle soit infiltrée par des lobbies. Récemment, l’OMS s’est décrédibilisée encore plus en tombant dans le piège du Lancet Gate alors qu’un simple étudiant aurait découvert la fraude.

À l’époque de la grippe H1N1 : le Docteur Wolfgang Wodarg, président de la commission santé de l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe, a critiqué l’influence de l’industrie pharmaceutique sur les scientifiques et les fonctionnaires de l’OMS, déclarant qu’elle a conduit à la situation où « inutilement des millions de personnes en bonne santé étaient exposées au risque de vaccins mal testés » et que, pour une souche de grippe, elle était « beaucoup moins nocive » que toutes les épidémies de grippe précédentes20Il a eu totalement raison puisque, plus tard, le vaccin a fait 1,500 victimes de narcolepsie dont 80% des enfants, comme on va le voir. Il a aussi reproché à l’OMS d’avoir alimenté la crainte d’une « fausse pandémie », l’a qualifiée de « l’un des plus grands scandales médicaux de ce siècle » et a demandé l’ouverture d’une enquête.

En effet, les critères pour déclarer une pandémie (comme la sévérité) ont été modifiés par l’OMS sous l’influence des lobbies pharmaceutiques afin qu’ils puissent vendre les vaccins aux pays du monde.

Selon un rapport21 de l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe sur le gestion de la grippe H1N1, y compris par l’OMS :

« gaspillage de fonds publics importants et existence de peurs injustifiées relatives aux risques de santé… De graves lacunes ont été identifiées en ce qui concerne la transparence des processus de décision liés à la pandémie, ce qui soulève des préoccupations sur l’éventuelle influence que l’industrie pharmaceutique aurait pu exercer aux égards des principales décisions relatives à la pandémie. L’assemblée craint que ce manque de transparence et de responsabilité ne fasse chuter la confiance des citoyens dans les avis des grands organismes de santé publique ».

L’histoire se répète aujourd’hui avec exactement les mêmes acteurs et la même compagne de peur. L’ancien secrétaire général du département de santé publique de l’OMS a révélé dans une autre enquête (TrustWHO) qu’à l’époque de H1N1, personne n’avait peur à l’OMS et qu’il ne connaît personne à l’OMS qui s’est fait vacciner, y compris l’ancienne directrice générale : la Chinoise Margaret Chan 22. Bien qu’il soit un haut responsable à l’OMS, il été exclu ainsi que la plupart de ses collègues d’une réunion entre la directrice générale et les entreprises pharmaceutiques fabricatrices de vaccin avec comme motif : « c’est une réunion privée »

16. 

Nous disons qu’il faut qu’une enquête soit ouverte et que certains responsables de l’OMS soient interrogés, en particulier celui qui a fait la promotion internationale du confinement, qui est une hérésie d’un point de vue médical et une arnaque qui a égaré le monde.

En effet, le 25 Février 2020 : le chef de la mission d’observation internationale du coronavirus en Chine a loué la réponse apportée par Pékin à l’épidémie23. Il a dit que la Chine a réussi par des méthodes «à l’ancienne», a souligné que «le monde avait besoin des leçons de la Chine», qu’il faudrait s’en inspirer et que s’il avait la COVID-19, il aimerait se faire soigner en Chine !

Une fois, il a aussi qualifié la Chine24 de «très ouverte» et «très transparente». Comment peut-on croire à ces déclarations ? Comment peut-on croire que s’il avait la COVID-19, il irait se soigner en Chine ? Comment peut-on croire que le monde doit s’inspirer de la Chine et que la lutte de l’épidémie doit se faire avec des « méthodes à l’ancienne » ?
Ce qui est hallucinant, c’est qu’il a réussi à faire avaler ses salades au monde entier. Car malheureusement : depuis ses déclarations et le rapport qu’il a supervisé (où on peut lire que les méthodes chinoises sont : « agiles et ambitieuses »), les pays du monde ont mis en place des mesures disproportionnées et ont suivi aveuglément l’OMS en confinant leurs populations. La peur et la psychose ont été propagées en présentant le SARS-CoV-2 comme un virus très dangereux ou à mortalité massive alors que ce n’est absolument pas le cas.

Heureusement, une interview réalisée avec lui a montré une partie importante de la vérité et les conflits d’intérêts de l’OMS avec la Chine lorsqu’une journaliste lui a posé une question sur le refus de l’adhésion de Taiwan (qui est en conflit avec la Chine) par l’OMS : il a fait semblant de ne pas entendre la question puis quand cette dernière lui a été reposée, il a coupé la communication ! (la vidéo a été visionnée plus de 8 millions de fois)25. C’est lui aussi qui a dit fin Février :

« Il n’existe actuellement qu’un seul médicament duquel nous pensons qu’il pourrait avoir une réelle efficacité : le remdesivir » .

Comment peut-il dire cela avant même la sortie des résultats ? Et pour quelles raisons l’a-t-il dit ?

Des élus Canadiens de la Chambre des communes26 ont même sommé ce responsable de l’OMS à comparaître après qu’il eut refusé des invitations à témoigner devant le comité permanent de la santé. Même, le chef intérimaire du Parti conservateur Canadien a mis en doute l’exactitude des données de l’OMS sur la COVID-19. En effet, dire que la Chine a diminué le nombre de cas ou a bien géré l’épidémie et a aplani la courbe grâce au confinement est un pur mensonge et n’est basé sur aucune preuve car personne n’est capable de donner le chiffre du nombre de cas ou de morts en Chine si elle n’avait pas appliqué le confinement. En plus, des mois après : le monde a découvert que ces chiffres n’étaient même pas vrais ! Récemment, trois pays Africains ont expulsé des représentants de l’OMS parce que, selon certains de ces états, ils falsifiaient le nombre de cas en les gonflant.

Les gens qui sont derrière le confinement, la psychose et la terreur mondiales, lorsqu’ils voient la ruée des gens vers les magasins, les gens se disputer pour des pâtes ou du papier toilette, les distances d’1 mètre comme si c’était la peste, les gens confinés comme s’ils étaient des animaux, les rues désinfectées, les policiers frappant les citoyens qui sortent, les drones et les hélicoptères mobilisés, les gens sortant avec des attestations, le port de masque malgré la fin de l’épidémie et le fait que les gens ne soient pas malades, il n’est pas exclu qu’ils soient en train de rire de la facilité avec laquelle ils ont manipulé des pays entiers et peut être même qu’ils les traitent de moutons.

La folie a atteint le point où dans certains pays : des plages ont été désinfectées avec de l’eau de javel, des pompiers moustachus et barbus interdits de travail, des plexiglas ont été installés partout (même dans les classes des écoles) comme si c’était la peste noire, un train a été arrêté parce qu’une personne ne portait pas le masque, des familles privées de voir leurs morts (comme si le virus allait sauter du corps et les mordre), des septuagénaires verbalisées pour être sorties jeter les poubelles et même des pièces de monnaie et des billets de banque provenant de l’étranger ont été « isolés » !

Comment les pays ont-ils pu accepter de tomber dans ce niveau de folie, de stupidité et de dictature ? Surtout ceux qui se disent démocratiques. Tout ça pour un virus qui entraîne 85% de formes bénignes et pour lequel 99% des gens infectés guérissent. L’OMS a exhorté le monde à copier la réponse de la Chine à la COVID-19 et elle a réussi ; chaque pays du monde, en suivant aveuglément l’OMS, est devenu une copie conforme de la Chine.

QUELQUES PAYS SEULEMENT ONT REFUSÉ D’IMITER BÊTEMENT LES AUTRES, COMME LA SUÈDE OU LA BIÉLORUSSIE QUI PEUVENT ÊTRE FÉLICITÉS.

Le président d’un pays européen a eu raison de dire : «Il ne s’agit que d’une psychose plus dangereuse que le virus lui-même». Des experts de renommée internationale ont qualifié l’alerte mondiale de «disproportionnée. Le Professeur Jean-François Toussaint a dit : «Il me semble que l’OMS a une très grande responsabilité en n’ayant pas su établir la priorité, en ayant continué inlassablement à répéter qu’il s’agissait d’une menace pour l’humanité» (Journal International de Médecine, 13 Juin 2020).

17. 

Nous disons qu’il faut arrêter de suivre aveuglément l’OMS, car ce n’est pas une société savante et loin d’être indépendante, comme on l’a vu.

Interrogée sur la raison de la décision de rendre 11 vaccins obligatoires, une ancienne ministre de la santé27 d’un pays européen a répondu :

« C’est une décision de santé publique qui répond, en fait, à un objectif mondial de l’OMS qui demande aujourd’hui à tous les pays du monde d’obtenir 95% d’enfants vaccinés pour les vaccins nécessaires ».

Nous recommandons, aussi, aux gouvernements de bien choisir les experts qui les conseille et d’éviter ceux qui ont des liens avec les laboratoires pharmaceutiques ; Un grand professeur en infectiologie a fait cette remarque sur certains experts d’un pays européen :

« Un membre éminent de la commission maladies transmissibles de ce haut conseil a ainsi touché 90,741 euros de l’industrie pharmaceutique, dont 16,563 euros d’ [un laboratoire pharmaceutique qui produit une molécule concurrente de l’hydroxychloroquine]. Or c’est ce haut conseil qui a rendu le fameux avis interdisant l’hydroxychloroquine, sauf aux mourants… Je ne vois pas de trace dans cet avis du respect de la procédure de gestion des conflits d’intérêts… Si un membre présente un conflit d’intérêts majeur, il doit quitter la séance et ne pas participer aux débats ni à la rédaction de l’avis… Or, en bas de cet avis, on ne mentionne pas les conflits d’intérêts ni le nombre de membres qualifiés ayant participé au vote. C’est un grave manquement au règlement ».

Un ancien rédacteur en chef du New England Journal of Medicine a déclaré :

« La profession médicale est achetée par l’industrie pharmaceutique, non seulement en termes de pratique de la médecine, mais aussi en termes d’enseignement et de recherche. Les institutions académiques de ce pays se permettent d’être les agents rémunérés de l’industrie pharmaceutique. je pense que c’est honteux »28

Ceci ne doit bien sûr pas être généralisé sur tout le monde.

18. 

Nous disons aux gouvernements : ne suivez plus -dans les épidémies- les modélisations mathématiques qui sont des choses virtuelles sans lien avec la réalité et qui ont égaré le monde à plusieurs reprises et ont servi de justification aux politiques folles de confinement.

En effet, une université européenne qui a des liens forts avec l’OMS avait dit que :

  • 50,000 britanniques seront morts de la maladie de la vache folle alors qu’au final seulement 177 sont décédés.
  • la grippe aviaire allait tuer 200 millions de personnes alors que 282 seulement sont décédés.
  • la grippe H1N1 allait tuer 65,000 britanniques alors que 457 seulement sont décédés29.

Le taux de mortalité a été aussi exagéré alors que la grippe H1N1 s’est révélée finalement beaucoup moins dangereuse, ce qui a incité beaucoup de gens à dénoncer l’argent, le temps et les ressources considérables déployés pour une grippe bénigne. À l’époque, la presse a découvert que le recteur de cette université30, qui a conseillé l’OMS et les gouvernements, a reçu un salaire de 116,000 £ par an du fabricant de vaccin contre l’H1N1.

Et aujourd’hui, c’est sur la base du même modèle défectueux, développé pour la planification de la pandémie de grippe, qu’ils ont donné leurs prévisions astrologiques sur la COVID-19 ; ils ont dit que 500,000 mourront au Royaume-Uni, 2,2 millions aux Etats-Unis, 70,000 en Suède et entre 300,000 et 500,000 en France31 ! Qui peut croire ces chiffres fous ? C’est pour cela que le Professeur Didier Raoult qualifie ces modélisations de :

«forme moderne des divinations».

Le Professeur John Ashton a également dénoncé ces prédictions astrologiques et le fait qu’elles aient une sorte de statut religieux. De plus, la presse a découvert que celui qui, dans cette université, a incité les gouvernements au confinement ne respecte même pas ce qui leur préconisait32. Là aussi, une enquête mérite, d’être menée auprès de certains responsables de cette université européenne. Le Professeur Jean-François Toussaint a dit à propos du confinement :

« Il faut à tout prix éviter qu’un quelconque gouvernement ne reprenne un jour une telle décision. D’autant que l’instrumentalisation de la pandémie avec des confinements généralisés pour la moitié de l’humanité n’aura abouti qu’à renforcer les régimes autoritaires et à suspendre les campagnes de prévention des grandes maladies mortelles. En France, les simulations estimant que 60,000 vies ont été sauvées sont de pures fantaisies ».

Le fameux slogan international : «Restez chez vous, sauvez des vies» était une affirmation tout simplement mensongère.

Au contraire, le confinement a tué beaucoup de gens.

19. 

Nous REFUSONS l’obligation vaccinale et nous REFUSONS l’obligation d’un certificat de vaccination contre le coronavirus pour voyager, pour les raisons suivantes :

  • Le vaccin n’est pas indispensable car 85% des formes sont bénignes, 99% des sujets infectés guérissent et les enfants ainsi que les femmes enceintes ne sont pas des sujets à risque. De plus, une grande partie de la population est déjà protégée contre le SARS-CoV-2 grâce à l’immunité croisée acquise avec les coronavirus saisonniers33. Dire qu’on n’en est pas sûr est UN MENSONGE et émettre des doutes sur la durée ou l’efficacité de cette protection est une manipulation visant à protéger le business plan du vaccin.
  • C’est un virus à ARN, donc plus propice à des mutations et le vaccin risque d’être inefficace.
  • Des essais de vaccin sont réalisés dans la précipitation34 et certains appellent à accélérer les procédures de tests et à se passer des habituels essais sur les animaux, sans comprendre les risques pour la sécurité pourrait entraîner des revers injustifiés pendant la pandémie et à l’avenir.
  • Les précédents essais de vaccins contre les coronavirus sont inquiétants34 :
    en 2004, l’un des vaccins mis au point contre le SRAS avait provoqué une hépatite chez les animaux sur lesquels il avait été testé. Un autre vaccin en phase de test avait causé de graves lésions pulmonaires aux animaux de laboratoire, les rendant plus fragiles à de futures infections. Des vaccins développés contre un autre coronavirus, le virus de la péritonite infectieuse féline, augmentaient le risque pour les chats de développer la maladie causée par le virus. Des phénomènes similaires ont été observés dans des études animales pour d’autres virus, y compris le coronavirus qui cause le SRAS.
  • Certains vaccins sont testés par des entreprises qui n’ont aucune expérience dans la fabrication et la commercialisation des vaccins et qui utilisent des technologies nouvelles en médecine dont on ne connaît ni les bénéfices ni les risques pour la santé.
  • La recherche de profit financier de nombreuses entreprises pharmaceutiques aux dépens de la santé des populations (sans généraliser bien sûr sur la totalité).
    Le patron d’une entreprise pharmaceutique a dit devant ses actionnaires lors de la grippe H1N1 :

«Ce vaccin, ça sera une opportunité significative en termes de revenus. C’est un joli coup de fouet pour nous, pour le chiffre d’affaires et pour le cash flow»27.

L’ancien ministre de la santé d’un pays européen a déclaré le 23 Mai 2020 :

« Quand il y a une épidémie comme le Covid, nous on voit : mortalité, quand on est médecin,… ou on voit : souffrance. Et il y a des gens qui voient : dollars… Vous avez des grands laboratoires qui disent : c’est le moment ou jamais de gagner des milliards »35.

Le 16 Juin 2020, le Professeur Christian Perronne, spécialiste des maladies infectieuses, a dit sur Sud Radio à propos du vaccin contre le coronavirus : 

« On n’en a aucun besoin…Tout ça, c’est une histoire purement commerciale ».

Le site internet du magazine Nexus a publié le 07 Août l’avis du Docteur Pierre Cave qui dit :

« L’épidémie est terminée en France… En tant que médecin, je n’hésite pas à anticiper les décisions du gouvernement : il faut non seulement refuser ces vaccins [contre la Covid-19], mais dénoncer et condamner la démarche purement mercantile et le cynisme abject qui ont guidé leur production ».

Les violations éthiques scandaleuses dans de nombreux essais cliniques :

Comme les pays occidentaux ne leur permettent pas de violer les principes éthiques, de nombreux laboratoires pharmaceutiques (sans généraliser sur la totalité) réalisent leurs essais cliniques de médicaments et de vaccins dans les pays en développement ou pauvres où des expériences sont menées sur des gens sans qu’ils en aient la moindre connaissance et sans leur consentement. Le rapport36 rédigé par Irene Schipper (SOMO briefing paper on ethics in clinical trials) a montré des manquements éthiques choquants et très graves ; dans un essai clinique, par exemple, des femmes Africaines ont contracté le VIH et sont devenues ensuite malades du SIDA. Cet essai clinique a été financé par une fondation ainsi qu’un laboratoire très connus. Dans certains pays, ces essais cliniques scandaleux ont été accomplis avec la complicité des autorités locales sur fond de conflits d’intérêts.

Une entreprise pharmaceutique : AstraZeneca a conclu un accord avec plusieurs pays qui lui permet d’obtenir l’immunité de toute plainte légale, au cas où le vaccin devait finalement montrer des effets secondaires nocifs. En d’autres termes, ce sont les états et pas AstraZeneca qui indemniseront les victimes, c’est-à-dire avec l’argent des citoyens !

À ce propos, nous disons aux citoyens : Protestez MASSIVEMENT contre cet accord scandaleux, honteux et profondément injuste jusqu’à ce qu’il soit supprimé.

Il faut refuser cette utilisation IRRESPONSABLE de votre argent. Même des experts Belges ont été «choqués» par cet accord.

Les scandales des vaccins dangereux voire mortels élaborés en période d’épidémie et on va citer deux exemples (nous ne sommes, évidemment, pas des anti-vaccins puisque ça signifie remettre en cause les découvertes d’Edward Jenner) :

Le scandale du vaccin contre l’H1N1 : il a été testé sur un faible nombre de personnes et malgré cela, il a été commercialisé comme étant sûr en 2009. Mais, un an après, des inquiétudes ont été exprimées en Finlande et en Suède concernant une éventuelle association entre la narcolepsie et le vaccin. Une étude de cohorte ultérieure en Finlande a signalé un risque 13 fois plus élevé de narcolepsie après la vaccination chez les enfants et les jeunes âgés de 4 à 19 ans, dont la plupart des cas étaient apparus dans les trois mois suivant la vaccination et presque tous dans les six mois. Il a fallu attendre 2013 pour qu’une étude publiée dans le British Medical Journal confirme ces résultats pour la Grande Bretagne, aussi37. Au total, ce vaccin dangereux a entraîné 1,500 cas de narcolepsie rien qu’en Europe et 80% des victimes sont des enfants. Une partie du personnel médical du NHS vacciné a été touchée aussi par la narcolepsie.

La narcolepsie est une maladie neurologique chronique et incurable où les patients s’endorment de façon incontrôlable, ils subissent des accès brusques de sommeil de quelques minutes qui surviennent n’importe où et n’importe quand dans la journée (somnolence diurne) et ils sont victimes aussi de crises impressionnantes de cataplexie (brusque relâchement du tonus musculaire engendré par une émotion forte comme un éclat de rire, de colère ou de surprise. Cela peut provoquer une faiblesse au niveau des genoux, une impossibilité à articuler ou parfois même une chute pendant quelques secondes). Elle endommage la fonction mentale et la mémoire et peut entraîner des hallucinations et des maladies mentales.

Peter Todd, un avocat qui représentait bon nombre des plaignants, déclarait au Sunday Times: 

« Il n’y a jamais eu de cas comme celui-là auparavant. Les victimes de ce vaccin sont incurables et à vie et auront besoin de nombreux médicaments ».

Parmi les enfants victimes du vaccin : Josh Hadfield (huit ans), qui prend des médicaments anti- narcolepsie coûtant 15,000 £ par an pour l’aider à rester éveillé pendant la journée à l’école. 

« Si vous le faites rire, il s’effondre. Sa mémoire est abattue. Il n’y a pas de remède. Il dit qu’il souhaite qu’il ne soit pas né. Je me sens incroyablement coupable de l’avoir fait vacciner »,

a déclaré sa mère38

Les familles ont subi un calvaire qui a duré 7 ans pour obtenir gain de cause en justice. Et au lieu que ça soit le laboratoire pharmaceutique qui les indemnise, c’est les états38,39 qui l’ont fait, c’est-à-dire avec l’argent du citoyen !

Le scandale du vaccin mortel contre la dengue dans un pays asiatique40, en 2018 :

Selon le bureau de la procureure Persida Acosta, 500 enfants sont décédés à la suite de ce vaccin et plusieurs milliers sont malades. Certains ont besoin d’opérations, pour résorber le sang après des hémorragies sévères. La plupart des familles n’en ont pas les moyens. Pour la procureure, les responsabilités se partagent entre le laboratoire qui a vendu « un vaccin dangereux » et le gouvernement qui a mis en place une campagne de vaccination « massive et indiscriminée », dans des conditions déplorables.

Le docteur Erwin Erfe, qui travaillait pour le bureau du procureur, pratiquait des autopsies d’enfants deux à trois par semaine avec toujours les mêmes résultats : « Des hémorragies internes, notamment au niveau du cerveau et des poumons…et des organes enflés ». Ce vaccin s’annonçait pourtant comme un triomphe planétaire ; en 2015, le laboratoire confirmait en grande pompe la mise sur le marché d’un vaccin révolutionnaire contre la dengue. C’était une première mondiale, le produit de vingt ans de recherche et 1,5 milliard d’euros d’investissements. Pourtant dès le début, des voix se sont élevées dans la communauté scientifique :

Le docteur Antonio Dans a tenté d’alerter sur les résultats non concluants des premiers essais cliniques. Aux Etats-Unis, le Professeur Scott Halstead, un spécialiste mondialement reconnu de la maladie, qui s’inquiétait, a même envoyé une vidéo diffusée au Sénat du pays en question pour l’exhorter à suspendre le programme de vaccination. L’ancienne ministre de la Santé du pays en question a été inculpée dans ce scandale.

« C’est l’appât du gain, qui a tué ces enfants »,

estime la procureure Persida Acosta.

20. 

Nous disons : STOP à toutes ces mesures folles, dictatoriales et sûrement pas sanitaires et à cause desquelles des drames se produisent chaque jour :

Une adolescente s’est suicidée en Grande Bretagne parce que le confinement pour elle durait 300 ans41, une femme enceinte a souffert le martyre lors de son accouchement en France42, un adolescent aux États-Unis nécessitera une intervention chirurgicale après avoir été agressé par un couple à qui il a demandé de porter le masque.

Une infirmière a également été agressée en France et un chauffeur de bus est même mort à cause aussi de ces mesures illégales du port obligatoire de masques, 60,000 patients cancéreux risquent de décéder en Angleterre à cause des retards de diagnostic et de traitement selon le Professeur Karol Sikora, 12,000 personnes dans le monde risquent de mourir chaque jour de la faim (selon Oxfam), le nombre d’arrêts cardiaques a été multiplié par deux dans certains pays43, des entreprises tombent en faillite, 305 millions d’emplois à plein temps sont détruits – touchant particulièrement les femmes et les jeunes- selon l’organisation internationale du travail, un homme est mort à cause du masque aux Etats-Unis44, etc. Même les oiseaux souffrent de ces mesures dangereuses et se retrouvent piégés et tués à cause des masques :

« Le pauvre animal trébuchait et tombait sans cesse. Les élastiques du masque s’étaient resserrés autour de ses pattes, dont les articulations étaient gonflées et le faisaient souffrir… J’ai bien peur que ce goéland soit la première d’une longue série de victimes »,

ont déclaré des employés de la société royale pour la prévention de la cruauté animale, à la BBC le 20 Juillet et l’oiseau a subi ce supplice pendant une semaine ! Il faut préciser aussi que la cause initiale et première du drame de George Floyd est le confinement : s’il n’y avait pas de confinement, il n’aurait pas perdu son emploi, il aurait été le 25 Mai à son travail, il n’aurait pas été assassiné, les pillages de magasins et les incendies comme les affrontements avec la police ne se seraient jamais produits, le chaos aux Etats-Unis aurait été évité et George Floyd serait aujourd’hui encore vivant parmi nous.

21. 

Nous disons aux gouvernements : TOUT doit revenir immédiatement à l’état normal (y compris la ré-ouverture des services hospitaliers, du transport aérien, de l’économie, des écoles et des universités) et cette prise d’otages mondiale doit cesser car vous avez su, preuves à l’appui, que vous comme les citoyens, vous avez été victimes de la plus grande arnaque sanitaire du 21e siècle. 

Le professeur Carl Heneghan a déclaré le 23 août que la peur qui empêche le pays de revenir à la normale n’est pas fondée, selon l’Express. Les Professeurs Karina Reiss et Sucharit Bhakdi ont sorti, en Juin, un livre appelé : «Corona : fausse alarme ?»45.

Le maire d’une ville en Europe a déclaré : «Le climat diffusé sur [le sujet du coronavirus] est particulièrement lourd et devient suspect»

Le Docteur Olivier Chailley a écrit un livre intitulé : «Le virus de la peur ou comment le monde entier est devenu fou».

Le Professeur Sucharit Bhakdi (qui a écrit, aussi, une lettre à Angela Merkel) a dit à propos des mesures prises, y compris celles du confinement :

« mesures grotesques, absurdes et très dangereuses… un impact horrible sur l’économie mondiale… auto- destruction et suicide collectif… ».

Une enquête internationale et indépendante doit être ouverte et les responsables doivent être jugés.

22. 

Nous disons aux citoyens :

pour vous maintenir dans le troupeau, il est possible que certains vont essayer de nous discréditer par tous les moyens, par exemple en nous accusant de conspirationnistes ou de complotistes, etc. Ne les écoutez pas, ce sont des MENTEURS car les informations qu’on vous a données sont : médicales, scientifiques et documentées.

23. 

Nous disons aux citoyens : cette lettre ne doit pas vous pousser à la violence envers qui que ce soit. Réagissez pacifiquement. Et si un professionnel de santé signataire de cette lettre sera attaqué ou diffamé ou menacé ou persécuté : soutenez-le MASSIVEMENT.

Chers citoyens : beaucoup de scientifiques, d’éminents professeurs de médecine et de professionnels de santé à travers le monde ont dénoncé ce qui se passe et il est temps de vous réveiller !

Si vous ne dites rien, de nouvelles mesures dictatoriales « made in China » seront imposées. Vous devez REFUSER ça.

Nous vous assurons que ces mesures n’ont rien à voir avec la médecine ou l’hygiène ou la préservation de la santé publique, c’est de la dictature et de la folie.

Le Docteur Anders Tegnell a dit :

« Le monde est devenu fou» en mettant en place les confinements qui «vont à l’encontre de ce que l’on sait sur la gestion des pandémies de virus ».

24. 

Nous invitons les professionnels de santé du MONDE ENTIER à être forts et courageux et à faire leur devoir de dire la vérité, à nous rejoindre MASSIVEMENT dans le collectif :

United Health Professionnals et à signer cette lettre en envoyant les 4 informations suivantes :

prénom, nom, profession et pays à :

join.unitedhealthprofessionals@gmail.com

La liste des signataires sera mise à jour régulièrement.

« Le monde ne sera pas détruit par ceux qui font le mal, mais par ceux qui les regardent sans rien faire ».

ALBERT EINSTEIN

SIGNATAIRES :

Professor Martin Haditsh, microbiology, infectious disease and tropical medicine specialist, AustriaGhislaine Gigot, general practitioner, France
François Pesty, pharmacist, France
Catherine Raulin, general practitioner, France
Laurent Hervieux, general practitioner, France
Geneviève Magnan, nurse, France
Jean-Pierre Eudier, dental surgeon, Luxembourg
Andrée Van Den Borre, dental surgeon, Belgium
Mauricio Castillo, anesthesiologist and intensive care physician, Chile
Marie-Claude Luley-Leroide, general practitioner, France
Daniele Joulin, general practitioner, France
Mohamed Zelmat, clinical biologist, France
Nadine Blondel, nurse, France
Hélène Banoun, clinical biologist, France
Estelle Ammar, speech therapist, France
Caroline Durieu, general practitioner, Belgium
Doris Stucki, psychiatrist, Switzerland
Jessica Leddy, licensed acupuncturist, United States of America
Fabien Quedeville, general practitioner, France
Michel Angles, general practitioner, France
Dominique Carpentier, general practitioner, France
Christophe Cornil, plastic surgeon, France
Pierre Brihaye, ear, nose and throat specialist, Belgium
Elizabeth Luttrell, certified nursing assistant, United States of America
Tasha Clyde, nurse, United States of America
Walter Weber, internal medicine and oncology specialist, Germany
Professor Pierre-Francois Laterre, anesthesiologist and intensive care physician, Belgium
Sylvie Lathoud, clinical psychologist, France
Karim Boudjedir, hematologist, France
Caroline Heisch, osteopath, France
Eric Blin, physiotherapist, France
Vincent Schmutz, dental surgeon, France
Zieciak WB, ears nose and throat surgeon, South Africa
Virginie Merlin, nurse, Belgium
Gabriel Brieuc, anesthesiologist, Belgium
Marie-José Eck, general practitioner, France
Patricia Grasteau, nursing assistive personnel, France
Christine Villeneuve, psychotherapist, France
Philippe Voche, plastic surgeon, France
Gérard Bossu, osteopath, France
Elaine Walker, emergency medicine physician, United States of America Richard Amerling, nephrologist, United States of America
Phil Thomas, general practitioner, South Africa
Manfred Horst, allergologist and immunologist, France
Sybille Burtin, public health physician, France
Chantal Berge, nurse, France
Denis Agret, emergency medicine and public health physician, France Mélanie Dechamps, intensive care physician, Belgium
Prosper Aimé Seme Ntomba, dental surgeon, Cameroon
Sandrine Lejong, pharmacist, Belgium
Professor Jan Zaloudik, surgical oncology, Czech Republic
Cerise Gaugain, midwife, France
Delphine Balique, midwife, France
Marion Campo, midwife, France
Olivier Chailley, cardiologist, France
Johan Sérot, physiotherapist, France
Arlette Fauvelle, pharmacist, Belgium
Farooq Salman, ear, nose and throat specialist, Irak
Olga Goodman, Rheumatologist, United States of America
Pascal Leblond, nurse, France
Sybille Morel, nurse, France
Marie-Thérèse Nizier, physiotherapist, France
Graziella Mercy, nurse, France
Pierre Maugeais, general practitioner, France
Carrie Madej, internal medicine specialist, United States of America Victor Gomez Saviñon, cardiac surgeon, Mexico
Martin Boucher, nurse, Canada
Evelyne Nicolle, pharmacist, France
Agnès Dupond, general practitioner, France Azad Mitha, general practitioner, France Ines Heller, physiotherapist, France
Marie Laravine, nurse, France
Khaleel Kareem, anesthesiologist and intensive care physician, Irak Tonya Davis, certified nursing assistant, United States of America Mary Baty, dental hygienist, United States of America
Luis Angel Ponce Torres, physician, Peru
Professor Christophe de Brouwer, public health physician, Belgium Corinne Dodelin-Bricout, pediatrician, France
Jana Schwiek, pharmacist, Germany
Thierry Gourvénec, pédopsychiatrist, France
Stefan Landshamer, pharmacist, Germany
Christine Schirmann, physiotherapist, France
Jean Pierre Garcia, general practitioner, France
Thomas Haase, pharmacist, Germany
Louis Fouché, anesthesiologist and intensive care physician, France Michael Knoch, physician, Germany
Claire Charton Promeyrat, nurse, France
Paul-Conrad Delaëre, physiotherapist, France
Manon Dannenmuller, physioterapist, France
Catherine Solignac-Fernström, immunoallergist, France Cécile Andri, physician, Belgium
Perrine Terrasse, physiotherapist and nutritionist, France Maria Ojeda, physiotherapist, France
Cornelia Schielein, pharmacist, Germany
Felix Schielein, pharmacist, Germany
Christine Dubois, nurse, France
Angelique Huet, nursing assistive personnel, France
Noémie Marguet, general practitioner, France
Michel Charluet, physiotherapist and osteopath, France Hind Mahmoudi, nurse, Switzerland
Isabelle Riou, nurse, France
Jean-François Bertholon, physiologist, France
Clotilde Branly, midwife, France
Isabelle Ducros, nurse, France
Caroline Viane, allergist, France
Edouard Descat, radiologist, France
Matthias Pietzner, pharmacist, Germany
Catherine Salvi-Defrasne, general practitioner, Switzerland Brigitte Debourg, nurse, France
Amandine Thomasset, psychiatrist, France
Nathalie Garcia-Bonnet, general practitioner, France Christiane Conte Guiraud, endocrinologist, France
Martine Matthey, nurse, France
Daniela Engel, general practitioner, France
Florent Collonge, physiotherapist, France
Hélène Feuvrier-Romand, general practitioner, France Olivier Catry, physiotherapist, Luxembourg
Elena Andrei, general practitioner, Romania
Dorothée Bordier, pharmacist, Switzerland
Sophie Biénabe, emergency medicine physician, France Francesco Martini, digestive surgeon, France
Bruno Valois, general practitioner, France
Florence Jonville, nurse, France
Céline Deladreue, pharmacist, France
Laura Meyer, physiotherapist, Belgium
François-Xavier Clément, anesthesiologist, Switzerland Leandro Patterson Silva, general practitioner, Cuba
Pierre Gautron, nurse, France
Corinne Daurat, nurse, France
Emmanuel Agyemang, nurse, France
Jean-Philippe Wispelaere, nurse, France
Marc Keucker, legal medicine specialist, France
Marta Barreda González, general practitioner and public health specialist, Spain Carmela Scuncio, nursing assistive personnel, Switzerland
Didier Mariéthoz, nutritionnist, Switzerland
Murielle François, pediatrician and endocrinologist, France
Alain Roguet, dental surgeon, France
Christine Albanel, dental surgeon, France
Delphine Rive, general practitioner, France
Jérôme Le Bihan, general practitioner, France

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45. Karina Reiss, Sucharit Bhakdi. Corona Fehlalarm? Zahlen, Daten und Hintergründe. Goldegg. Juin 2020. https://www.amazon.de/Corona-Fehlalarm-Daten-Fakten- Hintergründe/dp/3990601911
Olivier Chailley. Le virus de la peur ou comment le monde entier est devenu fou. Bookelis. Avril 2020. https://www.bookelis.com/sciences-humaines/40471-Le-virus-de-la-peur.html




L’histoire se répète ?

[Source : Profession Gendarme]

Analyse de la situation par un avocat québécois. Voir la subtilité de l’obligation du port du masque à la minute 12 pour diviser les gens etc… Voir aussi vers la minute 30 ce qui est dit à propos des facilités sur les marchés, les appels d’offres, etc… qui viennent aussi d’être décidé en France ces jours-ci. Il y a vraiment une volonté délibérée de transformer l’homme en esclave soumis à tout. L’ensemble de la réflexion est intéressante.


L’histoire se répète ?

Covid-19 Entrevue avec Me Jean Dury / Avocat

En 2009, il faisait une sortie marquée à l’émission de Jean-Luc Mongrain en concordance avec la loi sur la santé publique et, la vaccination obligatoire dans le cadre de la pandémie de grippe H1N1.

Cette semaine, ThéoVox l’a rencontré afin de faire le pont entre ces deux soi-disant pandémies et, les dangers néfastes d’une société glissant sous un régime dictatorial et communiste.

Me Jean Dury est un avocat spécialisé en droit pénal et criminel depuis 40 ans. Il est un ardent défenseur des droits de l’homme…

Ne manquez pas cette entrevue riche en échange ! Bonne écoute !

L’Équipe ThéoVox

Source : Youtube

https://youtu.be/pVp45aaBMPE



Manifeste pour un nouveau monde

Par Joseph Stroberg

Table des matières

Introduction

Alors que la Balance, avec notamment ses idées de justice, de justesse, d’harmonie, d’équilibre et d’équité, devrait symboliser et caractériser une bonne partie des systèmes d’organisations et de gouvernements humains, dans les faits, l’Humanité a presque toujours dû subir les pires aspects du symbole opposé, le Bélier(([1] Ces deux symboles astrologiques sont utilisés comme commodité pour tirer parti de leur pouvoir analogique.)). Ainsi, même sous couvert de démocratie, les peuples ont trop souvent dû endurer la tyrannie d’individus ou de groupes avides de pouvoir et de contrôle sur les autres et sur les situations. Les « chefs » de tous ordres, par autoproclamation, par ruse, par la force ou par tout moyen plus ou moins coercitif, violent ou malhonnête, se sont généralement levés pour écraser la masse de ceux qu’ils devraient au contraire servir. Leur profil psychologique a souvent relevé de psychopathie. Celle-ci était parfois extrême. Ils pouvaient alors tuer en série sans éprouver le moindre remords.

Alors que l’Humanité se rapproche davantage de la maturité après ses crises d’adolescence marquées notamment par les deux guerres mondiales et par la prétendue guerre au terrorisme, il serait temps de vivre la société sur des bases plus responsables, plus volontaires, plus créatrices, plus constructives… en bref plus adultes. Il serait donc temps d’envisager l’organisation et la vie sociales sous l’angle d’une réelle liberté telle que l’individu responsable et de bonne volonté peut y prétendre. Si un enfant peut encore devoir s’en remettre à l’autorité parentale ou tutélaire tant qu’il n’est pas capable d’assumer lui-même toutes les fonctions et tous les choix pouvant incomber à un être humain mature, un adulte responsable a-t-il encore besoin d’un gouvernement ou de toute autre forme de parent social pour vivre et s’épanouir individuellement et collectivement? La réponse qui sera développée ici est : non! Non, il n’a plus besoin de père ni de mère pour lui dicter quoi faire et ne pas faire. Il est assez grand pour décider en toute conscience de travailler ou de créer seul ou en collaboration dans le cadre de son projet de vie et de ses subsidiaires. Il est assez responsable et mature pour pouvoir s’associer au besoin dans le cas où ses objectifs rejoindraient temporairement ceux d’autres individus, ceci tout le temps nécessaire jusqu’à leur réalisation finale. Il est assez lucide pour pouvoir décider d’éventuelles personnes pouvant le représenter lorsqu’il ne peut assumer lui-même certaines tâches, ceci tant et aussi longtemps qu’il le souhaite.

La planète dispose encore de suffisamment de ressources pour que tous les individus et peuples puissent mener à terme leurs créations et leurs productions de biens et de services. Cependant, il sera nécessaire d’envisager sérieusement, puis de concrétiser, un partage de toutes les ressources planétaires, ou au moins un libre accès à ces dernières en fonction de l’importance des projets. Il sera également nécessaire de ne plus faire dépendre la concrétisation ni la réussite d’un projet de considérations financières. Et pour cela, le système économique lui-même devra être profondément réformé et ne plus dépendre de l’avidité d’une minorité d’individus thésaurisateurs ou contrôlants. Le pouvoir devra sortir des mains des élites actuelles pour passer dans celles de la grande masse des individus responsables. Seul un homme souverain est en mesure d’utiliser son plein potentiel et d’en faire bénéficier autrui librement.

Liberté, responsabilité, partage et bonne volonté seront parmi les notions les plus importantes présidant à la construction d’une nouvelle société, plus humaine, plus juste et plus sereine. Le respect des autres, de la vie en général et des lois naturelles, condition indispensable à l’établissement de relations saines, sera largement encouragé, stimulé et enseigné pour que toutes les générations, toutes les ethnies et toutes les cultures et traditions puissent vivre en harmonie suffisante et qu’enfin les guerres disparaissent de la surface de la Terre.

Un monde en Balance

Dans un monde dynamique comme celui de la Terre et de son humanité, l’équilibre ne peut être synonyme de fixité ni de rigidité. Le cycliste maîtrise son véhicule et son mouvement par la souplesse, la réactivité, les réflexes, l’adaptabilité… Tout groupe, système ou organisme humain gagne à éviter des lois et règlements trop rigides de même que toute tendance coercitive ou abusivement contraignante s’il veut durer dans une paix et une harmonie suffisantes. Un étau peut assurément maintenir un cycle en position verticale, mais tout aussi sûrement, il l’empêche d’avancer. Un groupe abusivement contrôlé n’aura guère d’autre choix que la révolte ou l’éclatement s’il veut retrouver une liberté de mouvement et pouvoir évoluer selon son souhait.

La Balance ne trouve sa pleine expression, l’entière manifestation de son symbole, que dans une perspective dynamique synonyme de liberté de mouvement et de choix. L’équilibre d’un couple ne vient pas de l’égalité de ses membres, encore moins de l’identité entre l’homme et la femme, mais d’un échange perpétuel d’énergies entre les deux, d’une libre circulation d’amour, de pensées, de sentiments, de sensations et d’actions allant de l’un à l’autre, puis de l’autre à l’un. La fluidité et la souplesse des individualités, leur accueil de la différence représentée par l’autre, leur respect pour la vie sous toutes ses formes… contribuent à l’équilibre et l’harmonisation des échanges de toutes natures au sein du groupe qu’elles constituent, ceci depuis le couple jusqu’à la nation et même à l’Humanité dans son ensemble.

Les êtres sont tous fondamentalement différents, et même deux clones physiques ne seraient pas habités par la même conscience. Dans les faits, il n’y a ni égalité physique (sachant que certains naissent aveugles, d’autres déficients intellectuels, d’autres atteints d’une maladie génétique pour l’instant incurable… alors que d’autres naissent dans un corps presque parfait, en excellente santé et avec une intelligence qui relève du génie), ni d’égalité de conditions (sachant que certains naissent dans des lieux ou des familles disposant de très peu de moyens physiques, affectifs, intellectuels, culturels ou encore spirituels… pendant que d’autres sont très bien lotis dans les mêmes secteurs). En conséquence, si la Balance peut signifier « égalité », ce n’est pas à un niveau aussi formel qu’il faut la chercher ou la revendiquer.

L’égalité à laquelle doit légitimement pouvoir prétendre n’importe quel individu est celle de « traitement », c’est-à-dire de quelle manière on va le traiter, le soigner, l’aider ou encore le considérer par rapport aux autres. À ce niveau, il peut revendiquer l’égalité. Qu’il soit de telle ethnie, de telle culture, de telle tradition ou confession religieuse, de tel milieu social, de telle intelligence… plutôt que tels autres ne doit rien changer aux rapports que l’on entretient avec lui, à ce dont les autres peuvent lui faire bénéficier, à la manière dont justice peut lui être rendue, etc. Sans une telle égalité de traitement, il n’y a ni équité, ni justice, ni harmonie possibles. En conséquence, les individus devront apprendre à faire fi de leurs différences apparentes pour chercher à se rapprocher sur le plan de la conscience et ainsi améliorer les rapports humains pour le bien de tous et de la planète.

Par-dessus tout, les êtres humains gagneront à apprendre à ne plus chercher à imposer leur propre vision des choses en tant que prétendus détenteurs de la Vérité. Si une telle vérité absolue existe et si éventuellement certains êtres peuvent percevoir certaines de ses facettes, tout individu dispose du droit légitime et naturel de ne pas voir ou de ne pas accepter cette vérité ou certaines de ses facettes, autrement dit, il a le droit à l’erreur. En conséquence, personne ne devrait chercher à imposer ses vues à autrui. Au contraire, les êtres gagnent à partager idées et points de vue. L’enrichissement mutuel provient du partage librement effectué et librement reçu.

Si un groupe veut se donner des règles, coutumes, traditions ou autres éléments pouvant traduire une certaine idée qu’il se fait de la vérité, ses membres peuvent être libres de les accepter (et restent alors intégrés à ce groupe) ou bien de les discuter, remettre en question ou refuser (et dans ce dernier cas peuvent librement quitter le groupe si celui-ci n’admet aucune dérogation). Un groupe s’enrichit et évolue d’autant plus qu’il est prêt à remettre en question règles ou fondements, ceci sous la pression d’événements extérieurs comme sous l’impulsion de certains de ses membres.

Un monde en Balance repose sur le respect, l’acceptation, l’accueil intégral de toutes ses composantes, représentants du règne humain aussi bien que des animaux, végétaux et minéraux. Ainsi notamment, une utilisation juste et judicieuse des ressources minérales présente autant d’importance et de nécessité que la justice et l’équité au sein des relations humaines.

Parmi les plus grandes significations de la Balance se trouvent les idées conjointes de justice et de justesse. Et cette dernière notion recouvre d’ailleurs aussi celles de vérité et d’authenticité. Ce qui est juste pour l’un est ce qui convient non seulement à l’individu concerné, mais aussi à l’ensemble du groupe dont il fait partie, et même à l’ensemble de l’Humanité. La justice qui lèse un être pour rendre justice à un autre n’est pas réellement juste. La sagesse permet de trouver un moyen de rendre justice sans léser personne. Au besoin, une telle sagesse est le fruit du partage des expériences et réflexions de divers individus. Un degré de sagesse qui ne peut être atteint seul peut l’être par la mise en commun des ressources intellectuelles et spirituelles de plusieurs.

Un monde en Balance est aussi un monde harmonieux, sur tous les plans. Il est beau, non seulement parce que la nature est respectée, mais également parce qu’il est mis en valeur par les « jardiniers » de la Terre. Il est pacifié par la recherche prioritaire de l’entente entre les êtres et du bénéfice commun provenant notamment de l’échange et du partage.

Une humanité ne peut devenir harmonieuse et équilibrée que par la reconnaissance des psychopathes afin de les empêcher dorénavant de nuire aux autres, à la société, à la planète et en fait aussi à eux-mêmes en tant que consciences. Une telle action relève de la responsabilité de tous ainsi que de tout éventuel dispositif éducatif mis en place. La psychopathie et la sociopathie peuvent être considérées comme des maladies psychologiques et, comme toute maladie, il faut en rechercher les causes, même lointaines, pour ensuite s’efforcer d’y remédier au mieux. Une guérison définitive ne peut provenir de l’élimination des symptômes, mais des causes, ainsi que d’un rééquilibrage de l’être après les dysharmonies et déséquilibres divers induits par sa maladie.

La psychopathie trouve une de ses causes fondamentales dans la coupure d’un lien avec la Conscience et dans une optique de vie fondamentalement matérialiste et égocentrique, optique découlant le plus souvent elle-même de peurs plus ou moins fondamentales, comme la peur de la mort et celle de perte de contrôle. Sa guérison devra faire appel à un processus d’accompagnement du malade l’amenant à retrouver son essence immortelle et la confiance en la vie, à accepter puis accueillir par conséquent sa vulnérabilité physique, à découvrir ou redécouvrir que son vrai et plein potentiel humain ne passe pas par l’exploitation des autres… Progressivement, le malade en phase de guérison et de réappropriation de sa véritable nature passera du service envers lui-même au service envers les autres et le monde.

L’inclination naturelle

Les êtres humains ont de manière naturelle et spontanée l’une des sept tendances suivantes dans leur interaction avec le monde formel (voir l’annexe I) :

  • Ils tendent à diriger les autres ou les processus amenant la création ou la disparition de formes d’organisations, d’échanges et de tout autre aspect ou système intervenant dans la vie collective;
  • Ils tendent à l’organisation cohérente ou au maintien de la cohésion de tout ce qui intervient dans la vie collective;
  • Ils stimulent les autres dans divers aspects de la vie collective, animent ou inspirent;
  • Ils tendent à l’harmonisation des individus, des diverses formes sociales ou de multiples aspects de la vie collective;
  • Ils recherchent, dans divers aspects de la vie, de nouvelles formes et les lois qui les régissent;
  • Ils cherchent à préserver les formes existantes et les acquis de la manière la plus idéale possible;
  • Ils cherchent à incarner les nouvelles formes découvertes ou envisagées, dans le respect des cycles naturels et de l’ordre des choses.

Dans la vie sociale et collective, ils peuvent tout naturellement jouer les rôles respectifs suivants :

  1. Direction (Tête, systèmes nerveux et cérébral);
  2. Organisation (Cœur, système circulatoire);
  3. Échanges, éducation (Poumons, Système respiratoire);
  4. Conciliation, assimilation, harmonisation (Systèmes digestif et urinaire);
  5. Recherche, enquête, invention (Systèmes hormonal, glandulaire et électrique);
  6. Service (Systèmes musculaire et d’entretien(([2] La notion de Système immunitaire suppose l’existence de méchants virus et autres microorganisme, alors que la théorie des germes et sa fille la théorie virale ont été scientifiquement réfutées au profit d’une approche basée sur le terrain. Dans un nouveau paradigme de la Santé, elle sera remplacée par celle de système d’entretien, de réharmonisation, et de nettoyage.)) );
  7. Création, construction (Systèmes reproductif, osseux, articulaire et tégumentaire);

Tendance à la direction

Les individus du premier groupe gagneront à considérer leur rôle non plus en termes de contrôle ou de coercition, mais de navigation. Ce seront les pilotes des projets communs. Ils seront chargés, d’un commun accord, d’amener le vaisseau à destination, celle librement choisie par tous ceux qui s’y embarquent. Chaque pilote disposera d’un plan, d’une feuille de route ou de navigation et, connaissant l’objectif du « voyage », s’efforcera au mieux de trouver la direction la plus appropriée, évitant les obstacles, prenant d’éventuels raccourcis, toujours dans un souci du bien-être des passagers. Les passagers accordent leur confiance au navigateur et celui-ci doit s’en montrer digne. Un pilote qui n’accomplit pas sa tâche de manière suffisamment humaine, efficace et sûre peut se voir retirer temporairement ou définitivement son rôle au profit d’un autre pilote espéré plus compétent ou moins fatigué.

Les notions actuelles de chef, directeur, président ou roi… seront remplacées par celle de navigateur, dans un esprit qui ne prédisposera pas aux abus de pouvoir. Tout navigateur ou pilote de projet collectif (comme celui de vivre ensemble en harmonie suffisante dans un même village ou dans une même nation) sera choisi librement d’une manière ou d’une autre par les individus qu’il mènera vers l’objectif commun. Il pourra être reconnu tacitement par ceux-ci, du fait de qualités et capacités déjà amplement démontrées, ou élu unanimement ou majoritairement par suffrage universel direct ou représentatif, etc. selon les modalités définies par toutes les personnes concernées, d’un commun accord. En d’autres termes, aucun peuple ni groupe ne se verra plus imposer un « chef » plus ou moins irresponsable et autocratique qui n’aurait pas de comptes à lui rendre. Les divers groupements humains seront libres de se choisir des pilotes divers pour tels ou tels projets et de les révoquer à tout moment. Le pouvoir émanera désormais de la base de la pyramide. Et tout navigateur sera en définitive avant tout un serviteur des peuples et des individus.

Tendance à l’organisation, à la planification ou à la cohésion

Les individus de ce second groupe montrent des prédispositions à l’organisation cohérente et inclusive des systèmes et des groupes. Ils s’efforcent d’en favoriser et d’en maintenir la cohésion. Ils établissent et entretiennent les voies concrètes et subtiles de communication entre les différentes parties d’un système ou d’un groupe. Si les navigateurs suivent les plans, eux les produisent ou peuvent servir de copilotes (les premiers décident du voyage ou de sa destination et les seconds établissent la feuille de route). Lorsqu’ils démontrent leurs qualités de cœur, ils représentent un contrepoids à l’autorité des navigateurs, un paratonnerre permettant d’éviter les abus de pouvoir grâce à la mise en avant de l’éthique. Ils sont parfaitement capables d’établir les règles de fonctionnement de tout système organisé ou social pour que celui-ci fonctionne de la manière souhaitée, du moins en théorie, car ils peuvent avoir besoin de l’appui de personnes appartenant davantage à d’autres groupes, notamment pour en peaufiner les détails relativement aux réalités concrètes et aux lois humaines, naturelles et/ou physiques. Ils savent organiser des réunions diverses entre individus ou entre groupes et peuvent également servir de ciment ou de facteur attracteur par leur charisme naturel lorsqu’il est n’est pas inhibé pour une raison ou une autre.

Les notions actuelles de ministre, gestionnaire, administrateur ou commissaire seront remplacées par celle plus générale et synthétique d’organisateur, dans un esprit d’alléger et de simplifier les divers systèmes humains et la vie sociale (comme individuelle) au lieu de chercher à mieux les contrôler, enrégimenter, catégoriser, morceler. Dans ce but, les individus de ce groupe gagneront à dépasser leurs peurs telles que celle de perte de contrôle. C’est malheureusement trop souvent la peur, particulièrement celle de la mort, qui est la cause la plus fondamentale des comportements extrêmes, aberrants ou destructeurs. Et c’est son dépassement qui permet la libération des plus belles qualités humaines. La peur transforme les capacités en défauts, alors que son dépassement réveille les qualités et le potentiel jusqu’alors endormis.

Tendance aux échanges ou à l’éducation

Les individus de ce troisième groupe montrent une inclination naturelle vers la stimulation des autres, par exemple sur le plan mental avec des idées philosophiques ou d’avant-garde, les échanges sur différents plans (commerciaux, affectifs, intellectuels)… l’éducation, l’enseignement, la transmission d’idées, l’animation de réunions ou de groupes… Ils savent trouver ce qu’il convient pour motiver les autres selon leurs centres d’intérêt que ce soit par l’argent, l’information, la connaissance, le jeu ou tout autre moyen potentiellement attracteur. Ils peuvent être ainsi les champions du marketing comme de la manipulation financière, aussi bien que des théories les plus fumeuses pourvu qu’elles aient un vif côté attrayant. Animateurs ou inspirateurs, ils ont souvent besoin de contacts et se complaisent dans les liens relationnels les plus divers, sauf dans les cas de certaines inhibitions qui peuvent les pousser au contraire à des comportements les plus misanthropes ou à de fortes tendances solitaires. Si les navigateurs sont la tête et les nerfs, et les organisateurs le cœur et le sang, eux sont les poumons et l’air dont les hommes ont besoin aussi bien pour vivre que pour se libérer de la pesanteur matérielle.

Les notions actuelles de commercial, de professeur, d’instructeur et d’animateur… seront synthétisées dans celle de motivateur pour stimuler, inspirer, favoriser non plus les préoccupations les plus matérialistes et égoïstes, mais les idées, idéaux, projets et réalisations les plus nobles, les plus libérateurs, les plus constructifs dont les individus et les peuples soient capables. En matière d’éducation et d’enseignement, l’accent sera désormais placé sur la découverte et la stimulation du potentiel individuel et collectif pour le bien-être commun.

Le motivateur, c’est à la fois le carburant dont a besoin de vaisseau pour atteindre le but de son voyage, mais aussi l’air ou le comburant sans lequel le carburant ne peut se consumer pour libérer son énergie. Dans un groupe, c’est celui qui dynamise, qui donne un élan, qui donne envie d’aller plus loin ou de se dépasser. C’est lui qui peut sans doute le mieux soutenir à la fois le pilote et le copilote ainsi même que tout l’équipage et les passagers. C’est finalement la source d’énergie du vaisseau, des projets, des groupes… et le ferment des jeunes générations qui prendront la relève.

Tendance à l’harmonisation des relations ou de l’environnement

Les personnes de ce quatrième groupe sont celles qui démontrent le plus d’intérêt, de propension et de facilité pour rendre beau et harmonieux tout ce qui les entoure, aussi bien sur le plan relationnel qu’environnemental. Si elles veulent éviter tout retard dans la matérialisation de ce qui peut effectivement contribuer à la beauté et à l’harmonie, elles gagneront à éviter tout conflit qui pourrait notamment découler d’une trop forte tendance à vouloir imposer leurs normes ou idées dans ces domaines. Elles peuvent être à l’aise en général aussi bien avec des tâches décoratives que dans l’arbitrage de conflits ou dans la recherche de solutions justes en cas de litiges. Elles sont habituellement précises, minutieuses et méthodiques et leurs éventuelles créations artistiques sont marquées par l’harmonisation des couleurs et des formes, avec une pureté des lignes toute mathématique. Elles seront recherchées pour agrémenter tout environnement aussi bien artificiel que naturel, pour améliorer aussi bien l’intérieur de maisons que l’aspect d’un paysage ou d’un jardin.

Leur rôle essentiel est celui de conciliateur entre différents individus ou groupe aussi bien qu’entre différents éléments de construction, de mobilier ou de toute autre création humaine. Elles amènent les différentes parties à collaborer, à s’entendre, à s’unir, à fonctionner en synergie… en bref, à s’harmoniser et à comprendre davantage le point de vue de l’autre dans le cas de conciliation relationnelle. Leur fonction ne doit surtout pas dériver vers l’imposition de leurs propres points de vue aux autres, mais de développer puis de mettre en œuvre leur art d’amener les autres à trouver compromis judicieux et solutions qui puissent satisfaire suffisamment toutes les parties, ou encore à leur permettre de trouver le meilleur moyen de réparer des préjudices qu’elles auraient provoqués. Les juges, notaires, avocats et autres magistrats et légistes disparaîtront au profit des conciliateurs. Les lois elles-mêmes, s’il continue à en exister certaines, ne seront plus que très générales et en nombre extrêmement réduit en comparaison des milliers de lois et règlement touchant actuellement toutes les nations et tous les secteurs de la vie.

Analogiquement, les conciliateurs sont ceux qui assurent la tenue de route du véhicule ou du vaisseau. Ils font en sorte que ce dernier arrive à destination en gardant son intégrité. Pour cela, ils contribuent à éliminer ce qui pourrait provoquer des vibrations catastrophiques, des chocs trop violents entre les diverses énergies et structures impliquées, entre les différents individus et groupes… D’un autre point de vue, ils représentent le système digestif et d’élimination des déchets. Ils assimilent ce qui peut l’être, accordant les vibrations, formes et énergies de ce qui est accueilli à l’ensemble existant et rejetant ce qui ne peut ou ne veut s’intégrer. Ils seront notamment particulièrement consultés en cas d’immigration ou de venue d’individus ou de groupes dans une région ou dans un projet existant, comme dans l’éventualité où certains d’entre eux se révéleraient réfractaires à toute intégration et pourraient nécessiter un bannissement ou une exclusion. Leur rôle sera sans doute un des plus difficiles et ils devront démontrer un grand recul face aux situations qu’ils seront amenés à gérer.

Tendance à la recherche, à l’étude, à l’enquête ou à l’exploration

Les personnes de ce cinquième groupe démontrent une tendance naturelle à la recherche, l’interrogation, l’étude, l’investigation ou l’exploration d’un ordre ou d’un autre. Elles fonctionnent de manière dominante sur le plan mental, même si leurs idées ou réflexions peuvent se concrétiser en inventions ou en découvertes (historiques, géographiques, scientifiques)… Elles sont généralement attirées par divers domaines scientifiques (y compris la criminologie), par le journalisme d’enquête ou encore par les grands voyages exploratoires (y compris l’exploration intérieure). Pour éviter cristallisation mentale et enfermement dans des raisonnements improductifs, elles gagnent à écouter leur intuition supérieure en synergie avec le mental, à laisser libre cours à leur créativité et leur imagination, à s’ouvrir l’esprit à tous les possibles…

Les différentes disciplines scientifiques actuelles pourront se fondre avantageusement dans la notion de découvreur. Si les personnes fonctionnant davantage dans ce groupe passent beaucoup de temps à chercher, étudier, enquêter ou explorer, ce qui les motive est ce qu’elles pourront découvrir au bout du compte, même si cela doit leur prendre toute la vie. Elles ont une plus grande facilité que d’autres à trouver des solutions à divers types de problèmes et de questions. Elles sont inventives et astucieuses. Elles peuvent mettre toutes leurs ressources et leur grande concentration au service de la recherche d’une solution à un problème donné ou d’une théorie explicative d’un phénomène.

Les découvreurs et tout ce que cela implique ici sont comparables au système hormonal. Les hormones sont produites pour apporter une solution à une situation donnée, par exemple pour favoriser la croissance du corps lorsque c’est nécessaire ou encore pour réguler la glycémie ou la température du corps. La réponse hormonale est fonction de la question corporelle ou du déséquilibre à régler. Les découvreurs peuvent également être en analogie avec le système électrique (connu plus traditionnellement comme le système des méridiens d’acupuncture) marquant une différence de résistance électrique de la peau en des points particuliers en rapport avec l’état d’un organe donné. En effet, par différents moyens, les découvreurs peuvent établir des diagnostics sur un système ou sur un organisme donné, notamment par des stimuli-réponses. Les découvreurs sont aussi comparables aux ingénieurs chargés de fabriquer par exemple le meilleur moteur pour le vaisseau ou de concevoir la meilleure coque (forme et matière comprises).

Tendance à la préservation, à la conservation ou au service

Les individus de ce sixième groupe sont les plus tournés vers la préservation de tout ce qui peut constituer leur environnement concret comme plus subtil. Ils protègent donc aussi bien leur famille que leur nation, leur territoire, leur maison, leur jardin, leur véhicule, leur corps, leur réputation, leurs valeurs, leurs croyances… et ceci du mieux qu’ils peuvent, de la manière la plus idéale possible à leurs yeux. Ils sont marqués par l’idéalisme en général et un certain esprit perfectionniste, cherchant les meilleurs moyens pour conserver, faire durer, entretenir, maintenir, soigner… Parmi les sept groupes, ce sont ceux qui sont naturellement les plus enclins à se dévouer corps et âme aux autres, aux organisations et aux systèmes dans le but notamment de maintenir les liens, les équilibres, les structures et les mécanismes.

Les notions de soldat, de policier, de pompier, de secouriste, de fonctionnaire… disparaîtront ou seront absorbées dans celle plus générale de veilleur. Les individus de ce groupe veilleront particulièrement à ce que toutes les formes existantes de relations humaines et de systèmes divers (philosophiques, éducatifs, religieux, sociaux, économiques)… reconnus soient maintenues en bon état, voire perfectionnées. Ils gagneront pour cela à éviter toute tendance extrémiste ou fanatique qui serait grandement préjudiciable à la poursuite de leur rôle et à l’atteinte des objectifs auxquels ils apportent leur dévotion. Leur plus grand défi sera probablement celui de savoir garder le sens de la mesure et une modération suffisante à leur dévouement pour leur tâche ou pour une cause.

Les veilleurs représentent les mécaniciens du vaisseau dans lequel l’humanité est embarquée. Ils contribuent à la réparation des pannes et dysfonctionnements, à la lubrification des rouages, à la réparation ou au soin des éléments défectueux, à l’adjonction de protections (peinture, antirouille, vernis, blindage…). Ils représentent aussi les muscles du corps, en tant que force et ardeur au travail, et le système immunitaire, dans leur capacité à protéger et à défendre. Ce sont les agents ouvriers dévoués et indispensables à la bonne marche de toute entreprise, quelle qu’en soit l’ampleur. Même le pilote ne peut rien faire sans un vaisseau en état de marche.

Tendance à la construction, à la création ou à l’ordre

Les personnes de ce septième et dernier groupe sont les plus sujettes à se préoccuper de la matérialisation des projets, de toute forme de création et même de procréation, de toute naissance… ceci en respectant au mieux l’ordre des choses et les lois naturelles tels qu’ils peuvent en avoir une connaissance instinctive ou innée. Ils cherchent à faire correspondre les mondes symboliques et archétypaux avec la forme la plus matérielle, à établir un lien entre le haut et le bas, entre le divin ou le « magique » et l’humain. Ils ont une plus grande tendance que les autres à suivre des rythmes de tâches ou de travail, à s’adonner à des rituels quotidiens ou mensuels, à calquer leurs créations sur le déroulement des saisons… Dans un groupe, ils savent spontanément qui devrait occuper telle place et effectuer telle fonction. Ils ont généralement un attrait plus marqué pour les ballets, les cérémonies et les rites de quelque domaine que ce soit. Ils représentent la structure et l’ordre, le vaisseau lui-même. Ce sont les agents de la matérialisation des projets, les maîtres d’œuvre, les maçons, les charpentiers, les artisans en général… et même les dessinateurs et autres techniciens. Si les membres humains du quatrième groupe se trouvent en affinité naturelle avec la beauté et l’harmonie, eux le sont avec l’ordre, l’agencement et l’articulation des choses. Ils connaissent ou établissent les liens entre les divers éléments d’un système, les rapports qui existent entre les choses, les correspondances, les analogies…

Les individus de ce groupe gagneront à éviter l’extrême tendance de la maniaquerie et des manies obsédantes qui finissent toujours par les emprisonner ou les hypnotiser ainsi que par provoquer des tendances au rejet de la part des autres plus ou moins assommés par la répétition implacable de ces manies ou de ces rites quasi permanents. À la base et en essence, un individu de ce groupe est un constructeur et ne devrait nullement adopter un comportement favorisant au contraire la destruction. Parfois, celle-ci peut s’avérer nécessaire ou la meilleure solution, par exemple lorsqu’une vieille bâtisse menace de s’écrouler. Cependant, elle doit être mûrement réfléchie et se faire dans un but au final constructeur (pour construire une maison neuve).

Par analogie, les constructeurs sont à la fois le système reproductif (créateur de nouvelles entités humaines ou plus exactement des véhicules amenant leur incarnation) et les systèmes assurant la structure du corps (os, peau, cheveux, articulations)… Ils représentent le vaisseau qui permet la manifestation, la concrétisation de l’objectif du voyage. Ils sont ou créent les véhicules d’incarnation des projets, ceci dans le respect des rythmes et des lois de l’Homme comme de la nature.

[Précision : les dénominations des sept groupes en termes de navigateurs, organisateurs, motivateurs, conciliateurs, découvreurs, veilleurs et constructeur représentent essentiellement un résumé de leurs caractéristiques, un peu de la même manière que l’on parlait de la noblesse, du clergé, des marchands et des serfs pour discerner dans le passé quatre grandes tendances fonctionnelles ou organisationnelles disposées alors de manière pyramidale, sachant que les sept groupes gagnent à collaborer horizontalement. Voir aussi Changer le Système ?]

Collaboration entre les tendances

Les sept différents groupes représentés par les tendances naturelles correspondantes gagnent à collaborer en sachant que leur synergie est bénéfique à tous, alors que les dissensions, la compétition, les conflits, les abus de la part des uns ou des autres… sont largement préjudiciables non seulement à ceux qui les subissent directement, mais aussi au final et par retour du bâton à ceux qui les engendrent ou les stimulent. Si certains groupes présentent des affinités plus évidentes dans la réalisation de certaines tâches ou de certains objectifs communs, tous peuvent intervenir pour parvenir plus rapidement et plus efficacement au résultat projeté.

Il existe deux lignes principales d’affinités et d’énergies entre les sept groupes. La ligne que l’on pourrait qualifier d’active ou créatrice est la suivante :

  • 1)- le navigateur décide par exemple d’un projet ou d’une direction au sein du projet;
  • 3)- le motivateur stimule pour la réalisation projetée;
  • 5)- le découvreur envisage et trouve comment réaliser le projet;
  • 7)- et finalement, le constructeur concrétise le projet.

La ligne passive ou conservatrice est constituée des groupes restants

  • 2)- l’organisateur assure la cohésion du projet et de ses participants;
  • 4)- le conciliateur harmonise les éléments relatifs au projet et ses participants;
  • 6)- et le veilleur veille à la bonne marche du projet, à sa sécurité, aux soins des participants…

Les tendances dominantes peuvent être respectivement schématisées ainsi :

  • Décision — Inspiration — Invention — Manifestation
  • et Cohésion — Harmonisation — Préservation

Les moyens ou outils utilisés sont alors :

  • Force (ou Impulsion) — Adaptation — Mental — Incarnation (ou Liaison)
  • et Conscience — Vibration — Idéalisme

Et les principes ou énergies de base correspondants sont :

  • Volonté — Intelligence — Connaissance — Ordre
  • et Amour — Harmonie — Dévotion

Pour la réalisation équilibrée, les deux lignes gagnent à coopérer. Si l’impulsion fournie par un navigateur, l’expression de sa volonté, ou encore sa décision est abusivement autoritaire ou égocentrée et ne laisse notamment pas une place suffisante à la conscience, l’amour et l’éthique, les conflits ou les souffrances engendrées amèneront au moins des effets collatéraux destructeurs ou nocifs, au point éventuellement d’interrompre prématurément le projet ou de le concrétiser dans une direction qui n’avait pas du tout été souhaitée au départ.

En dehors des deux lignes majeures précédemment évoquées, il existe d’autres affinités particulières entre les différents groupes. Voici quelques exemples :

  • La Connaissance déployée et nécessaire au niveau du cinquième groupe est transmutée en Sagesse au niveau du second par l’intervention de l’éthique, de la conscience, du respect et de l’intuition. Au contraire, la science sans conscience ni éthique n’amène le plus souvent que des inventions destructrices ou asservissantes et favorise la guerre plutôt que la paix.
  • La beauté recherchée par le quatrième groupe est plus sûrement manifestée grâce à une collaboration directe avec le septième. Dans le cas contraire, on a des situations telles que la construction d’une très belle maison en elle-même, mais dans un village de style très différent qui la rend finalement disgracieuse par rapport aux autres. Ou encore, un peintre a beaucoup de belles couleurs dans sa tête, mais ne parvient pas à les étendre adéquatement sur une toile, par manque de sens pratique ou de technique.
  • L’inventivité du cinquième groupe a besoin des aptitudes et du réalisme du septième pour produire des inventions concrètes qui soient réellement utiles à l’époque et au lieu considéré.
  • La cohésion recherchée par le second groupe est plus sûrement atteinte grâce au dévouement d’individus du sixième, largement prédisposés à la préservation des formes et systèmes existants ou au maintien des conditions permettant de faire aboutir un projet.
  • Sans le sens de l’ordre du septième groupe, l’organisation du second peut rester lettre morte.

En raison de sa complexité, un être humain peut avoir des tendances et affinités relatives à plusieurs des sept groupes, voire à tous dans certains cas, à des degrés divers. Cependant, il a généralement une tendance principale nettement dominante par rapport aux autres. Il ne sera pas aussi habile avec les tendances, aptitudes et qualités des autres groupes. Ce qu’il ne peut faire facilement seul peut par contre être grandement facilité par l’aide et l’intervention de personnes des autres groupes (au moins une personne de chacun d’eux) pour les situations les plus complexes qui font intervenir un grand nombre de paramètres.

De même que les organes fondamentaux du corps sont indispensables à sa vie et sa bonne marche, les sept groupes sont indispensables à la vie et à la bonne marche de l’Humanité. Tous les types d’individus ont donc leur importance et gagnent non seulement à se respecter, mais aussi à collaborer le plus étroitement. La santé de la planète dépend dans une large mesure de la nature des relations humaines.

Une humanité adulte

Par analogie avec l’âge adulte d’un être humain et la maturité censée le caractériser alors, une société adulte repose sur des principes bien différents de celle encore adolescente ayant marqué notamment le vingtième siècle et le début du vingt et unième. On peut légitimement attendre d’une civilisation enfin adulte qu’elle connaisse et applique les différents principes de fonctionnement suivants :

Principes fondateurs

  • Les peuples, groupes et individus sont souverains.
  • La liberté des uns s’arrête là où celle des autres commence.
  • La paix, l’ordre naturel et l’harmonie du monde découlent notamment de :

    • la bonne volonté;
    • l’utilisation intelligente des connaissances;
    • le partage équitable ou la libre disposition des ressources et techniques;
    • l’orientation vers le service et l’entraide;
    • le sens des responsabilités;
    • l’expression de la compassion.

  • L’épanouissement individuel est autant utile au groupe que la cohésion du groupe est utile à l’individu.
  • Toute action constructive et optimale découle d’une juste utilisation de l’énergie, conforme à la Loi d’économie : la nature suit toujours la ligne de moindre résistance.
  • Les échanges de services et de biens entre individus et/ou groupes peuvent se faire sans recours à une quelconque forme d’argent ou de monnaie s’ils s’accordent dans ce sens.
  • Une loi humaine ne peut être juste que si elle a une application universelle, sans aucune exception. Les êtres humains qui participent à la création, l’application et le respect d’une loi y sont également assujettis. Dans une société humaine juste, il ne peut y avoir ni privilèges ni dérogations. Pour qu’une loi puisse être applicable aussi bien à tous les types de personnes et à tous les âges, elle doit être suffisamment simple et générale, comme les énoncés suivants :

    • ne fais pas à autrui ce que tu ne voudrais pas subir toi-même;
    • on reçoit d’autrui en fonction de ce que l’on donne;

  • La maturité humaine n’attend pas nécessairement le nombre des années, mais se caractérise par la capacité à assumer soi-même ses propres choix, actes, propos et idées… Elle ne peut être basée sur des critères raciaux, intellectuels, affectifs, organiques, ni physiques. Une personne limitée physiquement ou sensoriellement, par exemple, peut très bien démontrer un caractère « adulte » avant d’avoir atteint son plein développement physique, voire dans certains cas avant même son adolescence.
  • Si un individu se définit et conçoit lui-même comme étant « adulte » ou mature, tout groupe qui l’inclut doit au moins lui laisser la chance de le démontrer ou, mieux, doit le considérer comme tel tant que son comportement ne vient pas le contredire de manière flagrante ou chronique.
  • Tout individu « adulte » a le droit de ne pas reconnaître un groupe ou un individu se prévalant de le gouverner (ou d’administrer certains aspects de sa vie ou certains de ses biens) et de ne pas en suivre les directives et les lois. La reconnaissance et l’acceptation de gouvernements, d’administrations, d’organisations et de lois doivent se faire sur une base volontaire. C’est l’individu adulte qui choisit librement les éventuelles personnes qu’il charge de gérer certains aspects de sa vie sociale et collective.
  • Si une collectivité est suffisamment mûre pour se passer de gouvernements, rien ne l’oblige à se choisir un chef pour la diriger, sachant que l’organisation collective peut se faire sur la base de réseaux et de mise en commun de ressources lorsque la majorité des individus manifeste de la bonne volonté.

Liberté et sens des responsabilités

L’une des caractéristiques et qualités majeures d’un être humain adulte est le sens des responsabilités, la capacité à assumer ses propres responsabilités sans rejeter cela sur autrui. Cela sous-entend entre autres l’engagement, l’implication réelle dans les projets dont on fait partie, l’acceptation entière de son propre rôle dans un projet, un groupe ou la société en général.

La responsabilité que l’on assume ne peut par ailleurs pas être finalisée ni même réellement effective si elle ne s’accompagne pas d’un sens suffisant de l’éthique. Quelqu’un ayant peu d’éthique n’assume généralement que les fonctions et tâches pour lesquelles il a quelque chose à gagner et il ne le fait que partiellement, que dans la mesure où cela concerne sa réputation ou l’affecte d’une manière ou d’une autre. Un individu dénué d’éthique se fiche complètement des conséquences de ses actes et paroles quand ceux-ci n’ont a priori aucun impact probable sur lui-même, sa réputation et sa vie, ou encore lorsqu’il croit contrôler suffisamment ceux qui par exemple pourraient nuire à sa réputation s’ils venaient à révéler ce qu’il a réellement fait et dit. Il est souvent prêt à tout pour améliorer les conditions matérielles de sa vie et pense qu’il peut maîtriser son destin s’il a suffisamment de moyens matériels pour éviter les impondérables. Par contre, il ne se préoccupe nullement de la manière dont il peut affecter la vie des autres. Il se croit libre parce qu’il a simultanément la capacité de bousculer la destinée d’autrui et celle de préserver la sienne, ceci en usant de son argent ou de son pouvoir. Cependant, il est prisonnier de la matière, de sa vision matérialiste des êtres humains et de la vie, de sa peur de manquer ou de perdre le contrôle sur sa propre vie… Sa prison n’est peut-être pas matérielle, même si certaines de ses « victimes » pourraient le réclamer, mais elle est psychique.

Un être humain qui ne manifeste pas d’éthique lorsqu’il assume ses responsabilités ou prétend le faire, n’est en fait pas adulte, mais se comporte bien davantage comme un adolescent, voire comme un enfant capricieux. Il « achète » sa liberté matérielle au détriment de sa liberté spirituelle et psychique. Au contraire, l’individu qui démontre un sens des responsabilités doublé d’éthique sait que même s’il ne maîtrise sans doute pas les grandes lignes de son destin, même si les circonstances de la vie l’amenaient à se retrouver matériellement démuni ou enfermé, les conséquences de ses actes peuvent malgré tout se révéler déterminantes non seulement pour lui, mais aussi pour un grand nombre d’autres personnes qui lui sont liées de près ou de loin. Il libère sa conscience et son psychisme en assumant son rôle, ses tâches et ses fonctions de la manière la plus éthique possible.

« … [la] liberté reste illusoire, factice ou seulement très temporaire
si elle n’est pas fondée à la fois sur la responsabilité et sur la vérité,
car l’irresponsabilité et le mensonge la détruisent plus ou moins rapidement. »

Changer le Système ?

Liberté ⇔ Responsabilité + Vérité

La liberté intérieure, celle qui pour l’âme et conscience est de loin la plus déterminante et a le plus d’impact, n’existe pas sans la mise en œuvre d’un sens suffisant des responsabilités et d’éthique. De plus, l’absence prolongée de liberté intérieure finit par produire des effets dans la forme, dans la matière concrète, dans la vie manifestée… et l’individu en vient tôt ou tard à expérimenter une variété ou une autre de prison matérielle, même s’il détenait auparavant les plus grands moyens concrets qui auraient dû en principe lui épargner de telles conséquences.

Ce qui vaut pour l’individu vaut aussi pour les groupes. Aussi, une société qui ne se libère pas intérieurement, qui se laisse enfermer psychiquement par de la propagande, des menaces, des rêves inaccessibles ou encore une approche matérialiste qui lui fait oublier son essence, alors, tôt ou tard, elle subit une dictature plus ou moins implacable, évidente et durable. Une telle société n’est pas adulte et n’assume pas ses responsabilités ou le fait sans démontrer réellement d’éthique. Elle vit dans la peur ou dans le rêve et l’illusion. Plus elle se pose en victime, et plus elle subit de contraintes, de violence, de viols… et plus elle a peur… jusqu’à ce que l’instinct de survie ou un vif appel de la Conscience se manifeste et lui fasse relever l’échine et la tête, jusqu’à ce qu’elle décide de faire face en adulte, jusqu’à ce qu’elle se rende compte qu’en fait elle n’a plus rien à perdre, car elle a déjà perdu l’essentiel.

Une société adulte démontre sens des responsabilités et de l’éthique. De tels sens peuvent et gagnent à être enseignés dès les plus jeunes années, dans le cadre de l’apprentissage familial comme de toute éventuelle structure sociale ou commune éducative. Et toute société s’avère finalement le reflet de ses systèmes éducatifs et de la manière d’enseigner aux jeunes générations comment devenir adultes et comment découvrir leur potentiel.

Une pédagogie favorisant la responsabilisation, l’éthique et l’épanouissement individuel et collectif peut combiner les approches suivantes :

  • stimuler le goût de la découverte et celui d’apprendre par soi-même;
  • éviter le plus souvent possible de fournir des réponses toutes faites, mais développer chez le jeune sa capacité à trouver par lui-même, à déduire, à analyser, à réfléchir, à discerner, à remettre en question…;
  • employer aussi bien la répétition que les éléments de surprise, le rythme que l’aléatoire, le structuré que l’imprévisible… pour permettre le meilleur enregistrement de ce qui est appris (la soudaineté et l’imprévu facilitant la pénétration de l’information, et le rythme et la répétition favorisant son intégration, son ancrage);
  • recourir à des formes ludiques;
  • stimuler la participation et l’implication;
  • stimuler la créativité et l’imagination;
  • remplacer l’esprit de compétition par celui d’entraide, favoriser les projets communs;
  • laisser la liberté de suivre ou non tel enseignement;
  • laisser la liberté de l’orientation des objectifs de vie;
  • stimuler la réflexion sur les conséquences des actes et des paroles, chaque fois que l’occasion se présente;
  • stimuler l’empathie et la capacité à se mettre à la place des autres;
  • éveiller la curiosité, élargir les horizons;
  • varier les supports (audiovisuel, informatique, écrit, mise en situation, jeux de rôles)…;
  • amener à réaliser l’importance du respect des autres et des enseignants.

Partage des ressources

Aucun individu, aucun groupe ne disposent de la moindre légitimité à s’approprier une partie des ressources planétaires (minérales, végétales, animales, énergétiques, géographiques)… au détriment des autres. Celles-ci n’appartiennent à personne si ce n’est à la planète elle-même.

Un monde en Balance nécessite non seulement une utilisation juste des ressources naturelles et une collaboration entre les différents règnes de la nature, mais aussi une utilisation juste et libre de toutes les formes d’énergies, dont les énergies psychiques et mentales humaines. Une conséquence en est la mise à disposition générale libre et gratuite de toutes les ressources naturelles. Une autre en est que les ressources humaines (psychiques, mentales, intellectuelles, sensorielles, émotionnelles, physiques, spirituelles, éducatives)… représentent un bien commun qu’il serait vain de vouloir s’approprier individuellement et dont la transmission libre assure la multiplication des bénéfices pour tous.

La libre circulation des énergies, notamment de pensées et de sentiments, entre divers individus ou divers groupes nécessite l’élimination de tout ce qui est susceptible de l’entraver. Les entraves à une telle circulation sont, entre autres, l’irrespect, le dédain, le goût ou l’obsession du secret, l’absence d’authenticité (ou la fabrication d’images de soi et d’une personnalité factice), la peur, la violence, la haine… La peur elle-même est souvent la cause originelle de nombreux excès émotionnels et comportementaux, dont la volonté de contrôle de soi, des situations, des ressources et/ou des individus. Et la recherche de contrôle sur des groupes et des personnes est favorisée par le non-partage de l’information et de la connaissance pour garder ainsi un pouvoir sur autrui. Dans un monde réellement harmonieux et libre, tout ce qui concourt au secret, au contrôle et aux abus de pouvoir n’a plus sa place. Et des aberrations telles que les Services secrets, les Renseignements militaires ou apparentés et les sociétés secrètes n’existent plus. Dans un tel monde, les êtres humains cherchent avant tout à faire bénéficier autrui de leurs propres ressources, connaissances et potentiels, sachant qu’au final tout le monde en tire bénéfice.

La concentration des ressources entre les mains d’une minorité qui par ailleurs tend à se considérer comme l’élite mondiale n’est possible que par l’abandon de la souveraineté individuelle et collective au profit de cette minorité manipulante. Au cours et au travers des âges, cette minorité est parvenue à faire croire au reste de l’Humanité qu’elle seule avait la capacité à gérer concrètement les affaires humaines et les ressources permettant de le faire. Elle y est parvenue en dépit du fait que cette gestion laissait dramatiquement de côté l’essence et la conscience de l’individu et qu’elle dégradait considérablement l’environnement naturel. En recourant à des artifices, des ruses, de la désinformation, de la manipulation et un abrutissement général des masses, l’élite en est venue finalement à produire deux résultats radicalement opposés :

  • d’un côté, une grande partie de l’Humanité est maintenant comparable à une armée de zombis, d’aveugles ou de dormeurs, voire de moutons qui se laissent tranquillement amener à l’abattoir;
  • de l’autre, une fraction croissante a su tirer profit de conditions contraignantes, avilissantes et/ou abrutissantes en y réagissant, transcendant ses limitations concrètes par une ouverture de plus en plus importante sur les plans plus subtils que sont les mondes émotionnels, mentaux, psychiques, spirituels, supramentaux…

Les conditions instaurées par une prétendue élite mondiale pour contrôler les peuples et les ressources naturelles sont celles qui invariablement et inéluctablement amènent la libération psychique d’une masse critique d’individus, désormais souverains et capables de ne plus fonctionner dans les systèmes imposés ainsi que de changer conséquemment le visage du monde. Cette masse critique ne reconnaît alors plus comme légitimes ni valables les conventions, règles et lois imposées par l’élite, mais leur attribue un haut degré de caractère pernicieux, déshumanisant, pervers et/ou débilitant qui éloignait l’Homme de son essence en le retournant davantage à l’état de bête. Elle recourt spontanément au partage, à la responsabilisation et à la bonne volonté tant au niveau individuel que dans ce qu’elle cherche à mettre en œuvre au profit de tous.

Le partage profite à tous, autant à ceux qui donnent qu’à ceux qui ont davantage besoin de recevoir. Ce qu’un individu donne lui est retourné d’une manière ou d’une autre, sur un plan ou un autre, au moins par la vie et ses circonstances, ainsi que par la gratification subtile que cela procure. Au contraire, ce qu’il thésaurise ou s’approprie abusivement contribue à l’enfermer dans des peurs (comme celle de manquer ou de perdre), dans des mécanismes autodestructeurs (par culpabilité, même étouffée), dans une tour d’ivoire ou encore dans des attitudes et énergies noires (méchanceté, égoïsme, avarice, misanthropie, cruauté)… qui peuvent toujours finir par nuire un jour à sa santé mentale ou physique.

Le partage des ressources est une des conditions indispensables à la création d’un monde de paix, de beauté et d’harmonie.

Argent et échanges

L’argent étant une forme d’énergie (voir l’annexe II), s’il est utilisé dans des échanges de services ou de biens, son équivalence est celle de l’énergie dépensée pour réaliser le service ou créer le bien. En conséquence, s’il continue à circuler et à être utilisé dans certaines régions ou nations, il ne sera plus basé sur l’or ni sur un quelconque arbitraire tel qu’une monnaie locale, mais sera compté en unités énergétiques telles que la Calorie ou le Joule (ou éventuellement en unités horaires si l’on considère qu’en première ou grossière approximation les êtres humains travaillent en moyenne à peu près à la même vitesse).

L’énergie dépensée en un temps donné pour effectuer un certain travail, une action ou un mouvement sur un plan formel (comprenant physique, émotionnel et intellectuel) sera directement monnayable. Son estimation sera effectuée au besoin par les personnes compétentes dans le domaine des ressources énergétiques (physiciens en thermodynamique, notamment) et auxquelles on reconnaîtra ce type de compétences.

En absence d’estimation précise de la valeur d’un travail, d’une action ou d’un mouvement, une approximation plus ou moins grossière (basée, par exemple, sur une connaissance empirique de l’énergie moyenne habituellement dépensée en un temps donné pour accomplir un travail, une action ou un mouvement équivalents), pourvu que les différentes parties s’accordent sur cette approximation.

La valeur d’une ressource naturelle (minérale, par exemple) sera déterminée et modifiable en fonction de la technique particulière et de l’énergie conséquente utilisées pour son exploitation.

La valeur d’un objet ou d’un bien sera déterminée ou estimée en fonction de l’énergie dépensée pour le créer, selon les moyens utilisés et la dépense d’énergie physique (électrique, mécanique, musculaire…), émotionnelle et/ou intellectuelle pour y parvenir.

Un service est considéré comme un travail ou une action. Il peut être gratuit ou monnayable, selon le souhait de la personne qui le rend. En cas de demande de rémunération, sa valeur sera basée sur les mêmes critères que pour tout autre travail ou toute autre action, comme exposé plus haut.

Un travail, une action, un mouvement, un service, un bien… ne seront monnayés à un prix donné que si les deux parties (le donneur et le receveur) s’accordent sur sa valeur.

L’argent n’est pas indispensable et les échanges peuvent reposer sur la notion de don, sachant que ce que l’on donne un jour peut être retourné sous une forme ou une autre un jour suivant. On donne un jour et l’on reçoit un autre jour.

Centre monétaire

Pour faciliter les échanges accomplis par le moyen monétaire (par ceux qui choisiront ce moyen), il sera établi, si possible au niveau international, un centre monétaire unique remplaçant toutes les banques, y compris « centrales » ayant existé jusqu’alors. Un tel centre pourra cependant être d’abord mis en place uniquement dans une nation ou une région particulière, comme prototype.

Ce centre monétaire sera le cœur du nouveau système économique et la nouvelle forme d’argent, d’inspiration énergétique pure, en sera le sang, le fluide vital.

Le potentiel monétaire (et donc de prêt) du centre monétaire sera évalué sur la base de la totalité des ressources naturelles (de la planète, de la nation, ou de la région, selon l’échelle du centre institué), augmentée du produit intérieur brut sur un an et du capital immobilier privé et public.

Chaque année, le total des prêts alloués ne pourra dépasser le potentiel monétaire ainsi défini.

Tout prêt sera consenti au taux fixe de zéro pour cent, soit sans aucun intérêt.

Le centre monétaire sera la seule institution habilitée à prêter de l’argent aux êtres humains de la planète, de la nation ou de la région au sein de laquelle il sera institué, et toutes les transactions telles que le paiement de salaires pourront passer par lui.

Contrairement aux systèmes actuels pour lesquels les individus travaillent pour gagner de l’argent, ils recevront de l’argent pour travailler! Plus précisément, les salaires seront payés en début de périodes (semaines, quinzaines ou mois)… et remboursés par le travail. De même, les artistes et autres créateurs emprunteront l’argent qui sera estimé nécessaire à un travail créateur donné et rembourseront par la réalisation de la création.

Tous les échanges monétaires pourront passer par le centre, sans que ce soit une obligation. Les créateurs et les travailleurs du centre monétaire lui-même seront payés selon le même principe.

En fait, un tel centre monétaire pourrait très bien se ramener à l’équivalent d’un livre comptable d’enregistrement des entrées et des sorties (ou des dettes et des crédits).

Lorsque deux individus s’accordent sur la valeur d’un travail, d’un bien ou d’un service, celui qui achète peut choisir de recourir au centre financier s’il ne dispose pas d’un montant d’argent équivalent ni ne peut fournir en échange un autre travail, bien ou service de valeur équivalente et accepté comme terme de l’échange. Auquel cas, le receveur emprunte l’argent au centre et le donneur diminue d’autant sa propre dette éventuelle au centre, voire y dispose maintenant d’un crédit.

Pour les transactions avec les planètes, nations ou régions étrangères (selon l’échelle du centre) qui ne voudront ou ne pourront pas suivre le modèle d’échange ainsi institué, il sera adopté des taux d’intérêt et de change d’un commun accord en tenant compte des potentiels et réalités économiques des autres planètes, nations et régions considérées, ou les échanges pourront se faire par troc, au moins tant que l’économie de ces autres planètes, nations ou régions reposera sur un système d’intérêts ou d’usures.

Les régions et les villes elles-mêmes, en tant que regroupements humains, emprunteront à la banque centrale pour la réalisation de leurs grands travaux et pour leur fonctionnement annuel. Il n’y aura donc plus besoin d’un système d’impôts et de taxes.

Pouvoir et potentiel

Le pouvoir individuel est la capacité à utiliser la volonté transpersonnelle ou divine, ou le désir personnel ou égoïste pour produire des actions d’un ordre ou d’un autre. Dérivé de la notion scientifique de puissance, le pouvoir est, en d’autres termes, la capacité à effectuer un certain nombre de tâches, travaux ou actions en un temps donné. Plus l’individu est capable d’accomplir d’actions diverses (paroles, écrits, créations, manipulations, ordres, travaux)… ou d’atteindre d’objectifs différents en un temps donné et plus son pouvoir est grand.

Le pouvoir se conjugue selon les plans et les moyens considérés. Un individu peut ainsi disposer d’un grand pouvoir concret, notamment sur les événements sociaux ou sur les conflits, mais n’avoir qu’un pouvoir insignifiant sur des sphères plus subtiles, comme celles relatives à l’éducation ou aux mondes spirituels.

À puissance ou pouvoir donné, il peut y avoir des différences de résultats dans les faits. Cela dépend pratiquement de la manière dont l’individu utilise et applique son pouvoir dans et sur la Forme (les mondes formels ou concrets). Certaines orientations peuvent être destructrices ou au contraire constructrices. Certaines peuvent contribuer à façonner quand d’autres déforment ou dénaturent. Certaines produisent des souffrances alors que d’autres les soulagent…

Dans un monde en Balance, on ne recherche pas une application coercitive, mégalomane, psychopathe, ni égoïste du pouvoir, mais on utilise le pouvoir personnel avec intelligence et amour dans le but du développement puis de l’utilisation du potentiel personnel et collectif au service du bien commun.

L’enrichissement maximal d’un groupe, sur tous les plans, provient au départ du libre développement du potentiel de chacun de ses membres, puis de l’expression de ce potentiel dans le respect des autres et en toute conscience et responsabilité. Le développement du potentiel devrait être une des préoccupations principales de tout éducateur.

Le véritable pouvoir, c’est avant tout celui d’être soi-même et d’assumer ses propres choix, le pouvoir d’être et de donner de soi avant celui d’avoir ou de prendre des autres. Une société matérialiste, mettant en avant la possession matérielle et l’assouvissement égoïste des désirs sans se préoccuper des répercussions sur les autres, favorise le pouvoir formel destructeur ou contrôlant. Au contraire, une société basée sur des valeurs plus idéalistes ou spirituelles telles que l’altruisme, le respect des autres et de soi, la bonne volonté et le partage favorise l’expression du pouvoir intérieur, de création, de manifestation et de transcendance du potentiel humain quasi illimité.

La vie est mouvement et lorsque l’inertie d’une forme, d’un objet, d’un être ou d’un groupe s’oppose au mouvement de la vie, de la volonté ou du pouvoir d’action d’un être ou d’un groupe, alors, il y a friction et cette friction engendre généralement de la souffrance. Pour éliminer la friction entre vie ou mouvement d’une part et forme ou matière d’autre part, un troisième élément, un lubrifiant, est nécessaire. Entre la vie et la forme, le lubrifiant est la conscience. Entre le pouvoir et l’individu ou le groupe qui l’exerce, le lubrifiant est l’éthique. Le troisième élément est celui qui permet le lien, la synthèse, la cohésion, la synergie entre les deux autres qui autrement engendrent de la friction (ou de la souffrance) en raison de leurs natures ou de leurs mouvements antagonistes.

Vie Conscience Forme individuelle ou collective

Pouvoir Éthique Action individuelle ou collective

Volonté de mouvement — LubrifiantInertie s’opposant au mouvement

Potentiel créateur Inspiration Création

Le potentiel créateur et le pouvoir personnel ne portent des fruits mûrs et sains dans la matière, ne se concrétisent sous forme de manifestations tangibles et de créations concrètes constructives que par l’intervention de la conscience, de l’éthique et de l’inspiration. En absence de conscience, d’éthique, d’inspiration…, les fruits produits sont empoisonnés, engendrent la souffrance et la destruction. En présence de ces dernières, au contraire, l’être humain se réalise pleinement, développe et exprime son potentiel quasi infini… et la société commune, résultat et synthèse des potentiels et actions individuels, se dirige vers un nouvel âge d’or.

Conclusion

Face à toute nouvelle perspective socioculturelle et politique, on peut se poser la question de son caractère éventuellement utopique. Quand et comment alors passe-t-on de l’utopie au réalisable? De manière générale, un projet ou une vision devient concrétisable par un groupe lorsque les conditions suivantes sont réunies :

  • les moyens concrets, notamment technologiques et scientifiques, de le réaliser existent;
  • certains aspects au moins du projet ou de la vision ont déjà pu être manifestés à petite échelle, spatialement et temporellement;
  • une partie suffisante du groupe impliqué a développé une conscience adaptée à ce projet ou cette vision et devient apte à en percevoir et comprendre les implications, les fondements et même la nécessité (ceci devant le caractère critique d’une situation présente, par exemple);
  • la volonté collective de voir le projet réalisé ou la vision manifestée devient plus importante que la résistance inertielle des volontés opposées, pour une raison ou une autre, au projet ou à la vision.

Face à la vision présentée dans le manifeste, au début du vingt et unième siècle, les deux premières conditions sont remplies, au moins en grande partie, et la troisième semble en voie de réalisation. La condition cruciale, non encore effective, est la dernière.

L’Humanité ou un groupe particulier peut satisfaire les quatre conditions par les moyens respectifs suivants :

  • le progrès scientifique et technologique et/ou le progrès parapsychique de l’Homme;
  • l’imagination, la créativité, l’inspiration et le désir ou la volonté de nouveauté;
  • l’éducation des consciences, processus plus ou moins subtil ne passant pas nécessairement par les structures éducatives existantes;
  • le phénomène d’entrainement des consciences et du mental humain par des pionniers qui dans certains cas extrêmes vont jusqu’à sacrifier leur vie et permettre que leur sang nourrisse le germe de la vision jusqu’à la complète floraison, parfois des centaines ou même des milliers d’années plus tard.

Des pionniers sacrifiés ont parsemé l’Histoire humaine et même si leur vision et le message subséquent ont parfois rarement été compris, les traces qu’ils ont laissées dans les consciences sont indélébiles, les germes vitaux qu’ils y ont déposés croissent lentement, mais implacablement et la puissance de leur exemple sert encore des millions d’êtres. Aujourd’hui, l’Humanité en crise est mûre pour une des plus importantes remises en question des formes sociales, culturelles, éducatives, économiques et autres, pour un changement radical d’orientation, pour la naissance effective d’un nouveau paradigme, pour un pas de géant dans l’avenir…

Annexes

Annexe I
Correspondances

1 2 3 4 5 6 7
Navigateurs Organisateurs Motivateurs Conciliateurs Découvreurs Veilleurs Constructeurs
Choix des formes à incarner, à préserver et à détruire Organisation cohérente et inclusive des formes Inspiration et stimulation pour amener les nouvelles formes adaptables aux formes existantes ou pour fonctionner efficacement avec les formes établies Harmonisation des anciennes et des nouvelles formes ainsi que des individus fonctionnant par ou dans des formes sociales ou collectives. Adaptation des formes (et des lois qui les régissent) Découverte de nouvelles formes et des lois qui les régissent Préservation des formes de la manière la plus idéale possible Incarnation des nouvelles formes dans le respect des cycles de vie naturels des diverses formes existantes et de l’ordre des choses
(Légende  : C = conscience ; V = vie ; F = forme)

Affinités des groupes

Le tableau suivant (en deux parties) représente essentiellement une base de réflexion par analogies.

Rôle Navigateur Organisateur Motivateur
Organes Tête Cœur Poumons
Chakra Coronal Cardiaque Laryngé
Systèmes Nerveux Circulatoire Respiratoire
Plan Essence/
Esprit
Conscience/
Âme
Intuition/
Inspiration
Qualité Volonté Amour/Sagesse Intelligence
Action Décider Organiser Communiquer
Concepts liés Liberté Responsabilité Échange
Sentier octuple Moyens justes et Éveil Attention juste et Éveil Parole juste et Éveil
Gestion de la Forme Choix des formes à incarner, à préserver ou à détruire Organisation cohérente et inclusive des formes Adaptation inspirée des nouvelles formes à l’existant et stimulation pour fonctionner avec
Rôle Conciliateur Découvreur Veilleur Constructeur
Organes Estomac Glandes endocrines Organes sensoriels Squelette et gonades
Chakra Solaire Frontal Sacré Coccygien
Systèmes Digestif et urinaire Hormonal et électrique Sensoriel et d’entretien Reproducteur et musculaire
Plan Forme/
Personnalité
Mental/
Intellect
Émotionnel/
Affectif
Physique/
Matériel
Qualité Justice Connaissance Dévotion Ordre
Action Harmoniser Imaginer Idéaliser Manifester
Concepts liés Assimilation/
Élimination
Réflexion Sécurité (Pro)création
Sentier octuple Vision juste et Éveil Pensée juste et Éveil Effort juste et Éveil Action juste et Éveil
Gestion de la Forme Harmonisation des anciennes et des nouvelles formes ainsi que des individus qui les utilisent ou y participent Découverte de nouvelles formes et des lois qui les régissent Préservation idéale des formes Incarnation des nouvelles formes dans le respect des lois naturelles et de l’ordre des choses

Annexe II
La nature de l’argent




Masques, tests, vaccins, prévention, actions et recours…

[Source : L’INFORMATION DÉVOILÉE via Fils de Pangolin]

« Si une étude montre que le masque permet de limiter les infections, ben dites-le moi, merci ! »


Cette compilation de faits sourcés reprend autant que possible des propos de médecin et d’experts relayés par les grands médias.

Table des matières

  • Convention de lecture 1
  • Enfants 2
  • Masque 4
  • Vaccins 12
  • Traitements 15
  • Tests 16
  • Actions et recours 18
  • Stratégie gouvernementale et médiatique 21
  • Index des intervenants 25

Convention de lecture

Afin de faciliter la lecture, les données seront présentées de la façon suivante :

Intervenant Propos Source

Les conclusions et analyses des auteurs apparaissent en italique.

Vous trouverez les détails sur les intervenants dans la section « Index des intervenants. »

Merci de lire et de partager cette œuvre collective. Ce recueil se veut simple pour aider au plus vite les gens qui ne respirent plus naturellement. De nouvelles publications sont prévues dans les mois qui viennent.

Dernière version à jour : https://cutt.ly/3gwbehp

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  1. Enfants
France Soir « Les grands-parents peuvent aller chercher leurs petits-enfants à l’école et les embrasser sans risques ! »« Tribune : Lors de sa conférence du 26 août, le premier ministre a déconseillé aux grands parents d’aller chercher leurs petits enfants à l’école. Une telle recommandation paraît ignorer les données acquises de la science. Ses conseillers lisent-ils la littérature médicale internationale ? l’informent-ils ? »« L’enfant et l’adolescent (jusqu’à 19 ans) n’ont aucune raison scientifique de porter un masque. »« Les masques courants, incapables d’empêcher la transmission d’un virus d’un enfant qui ne le transmet pas même sans masque n’a donc aucune justification chez l’enfant.Or il gêne les travaux scolaires, empêche la communication non verbale si précieuse pour apprécier le suivi d’un cours et sa compréhension par les élèves. Il retire une grande partie de leur humanité à ses voisins au moment où se nouent l’essentiel des contacts, des amitiés et des amours adolescentes. »« Sanitairement inutile chez l’enfant, il est scolairement et socialement très toxique. Les petits-enfants n’infectent pas leurs grands-parents. »« Sur près de 25 millions de contaminations comptabilisées par l’OMS le 30.08.2020 et dans plus de 5000 articles étudiant les Covid infantiles référencés par PubMed (publication médicale), aucun cas de contamination de grands-parents par leurs petits-enfants n’a été démontré. »« On peut donc rassurer les aînés : le contact avec les petits-enfants (de moins de 19 ans) ne les expose aucunement à la contamination par le coronavirus.Les enfants ne transmettent pas la maladie !Les enfants ne propagent pas le coronavirus, ni à leurs grands-parents, ni aux autres adultes, ni à leurs camarades. » https://bit.ly/3kBeqEi
Dr. DELEPINE Nicole « Le port obligatoire du masque pour les enfants, c’est de la maltraitance ». https://bit.ly/3c0hrv3 
« L’Indépendant » Retour à l’école à Wuhan sans masque ni distances de sécurité. https://bit.ly/2HlhsOU 
  1. Masque
Dr. VAN KERKHOVE Maria L’OMS a déclaré le 8 juin 2020 que :« Les individus asymptomatiques ne transmettent pas le COVID ». https://bit.ly/32ev3Qd
France Soir Les masques courants en papier ou en tissu sont incapables d’arrêter les virus (c’est d’ailleurs spécifié sur leur emballage).« Ils ne sont pas destinés à protéger l’individu qui le porte mais ambitionnent de diminuer le risque de contaminer l’entourage. » https://bit.ly/3kBeqEi 
OMS « Les inconvénients probables de l’utilisation du masque par des personnes en bonne santé dans le grand public comprennent :• potentiel accru de risque d’auto-contamination en raison de la manipulation d’un masque facial et du contact ultérieur avec les yeux avec des mains contaminées.une auto-contamination potentielle qui peut survenir si les masques non médicaux ne sont pas changés lorsqu’ils sont mouillés ou sales. Cela peut créer des conditions favorables à l’amplification des micro-organismes.• maux de tête potentiels et / ou difficultés respiratoires, selon le type de masque utilisé• développement potentiel de lésions cutanées du visage, de dermatite irritante ou d’aggravation de l’acné, en cas d’utilisation fréquente pendant de longues heures.• difficulté à communiquer clairement.• inconfort potentiel.• problèmes de gestion des déchets ; élimination incorrecte des masques entraînant une augmentation des déchets dans les lieux publics, risque de contamination des nettoyeurs de rue et danger pour l’environnement.• difficulté à communiquer pour les personnes sourdes qui se fient à la lecture labiale.• désavantages ou difficulté à les porter, en particulier pour les enfants, les personnes ayant des troubles du développement, les personnes souffrant de maladie mentale, les personnes âgées souffrant de troubles cognitifs.• danger de le porter pour les personnes souffrant d’asthme ou de problèmes respiratoires ou respiratoires chroniques, celles qui ont subi un traumatisme facial ou une chirurgie buccale maxillo-faciale récente, et ceux qui vivent dans des environnements chauds et humides.• … » https://bit.ly/3jX6WLB
Maintenant réfléchissez au budget masques jetables d’une famille avec 2 enfants. A 95 centimes d’euros le masque, il est estimé à plus de 220 euros par mois. Pensez-vous que des gens modestes qui ont perdu leur emploi avec le Covid-19 vont faire passer leurs derniers deniers dans des masques. Bien sûr que non.En revanche, par crainte de l’amende ou par peur du Covid-19, ils vont porter un masque souillé, périmé, dangereux et qu’ils auraient dû jeter depuis longtemps. Et s’il s’agit de masques en tissu, discutez avec les gens et constatez que le lavage de ce dernier n’est pas effectué ou de façon insuffisante.Bref, un peu à la façon des médicaments dont nous ignorons les effets secondaires indiqués dans la notice sous prétexte de faire confiance à des praticiens désinformés voire achetés, nous portons des masques par pur dogmatisme et cela peut avoir de graves conséquences à long terme. Car on ne peut comparer des chirurgiens qui restent relativement statiques dans l’air conditionné d’un bloc opératoire à des gens qui déambulent activement, parfois à l’extérieur par plus de 30°C. Les effets secondaires des masques sont alors incomparables.
Dr. LORIDAN Eric  « Si vous trouvez une étude qui montre que le port du masque au bloc opératoire permet de limiter les infections de sites opératoires, ben dites-le moi, merci. » https://bit.ly/2ZWqXdL
Pr. RANCOURT Denis « Aucune étude ne prouve une quelconque utilité du masque pour prévenir les maladies respiratoires virales, que ce soit en intérieur ou en extérieur. Point final. »« Le virus se transmet par des particules aérosols et le masque ne peut rien contre cela. »« Il n’y a pas plus de gens qui meurent depuis 1972 de toutes les maladies respiratoires ou toute cause. »« L’état impose une règle qui n’est pas basée sur la science, le danger c’est qu’on s’habitue à obéir à des règles absurdes de l’autorité pour un futur totalitaire. C’est une hiérarchie de dominance, driftée vers un état totalitaire »« Atteinte au souffle de vie, charge virale évacuée lors de l’expiration, en plein air il n’y a pas de stagnation de charge virale. »Pendant le confinement, les médias dominants ont reproché à Raoult l’absence d’Essai Contrôlé Randomisé (ECR) attestant de l’efficacité de l’Hydroxychloroquine (HCQ). Sachez qu’il existe des dizaines d’ECR montrant que le masque est parfaitement inutile contre les virus.  Sources vidéo :https://bit.ly/3hPj005 https://bit.ly/2FUAScu
Pour plus d’informations, consultez la traduction en français de l’étude du Pr Denis Rancourt :https://bit.ly/3ibstzJ https://bit.ly/2R2QHAk Source originale en anglais : https://bit.ly/337IrVs 
Pr. RANCOURT Denis Une autre étude au sujet du masque montre que les résultats de 14 Essais Contrôlés Randomisés […] n’ont pas permis de conclure à un effet substantiel sur la transmission de la grippe (confirmée en laboratoire). De même, nous avons trouvé des preuves limitées de l’efficacité d’une meilleure hygiène et d’un meilleur nettoyage de l’environnement. https://bit.ly/3bBCRhG
Pr. RANCOURT Denis Encore une étude ? Celle-ci explique : « Notre étude systématique a trouvé peu de preuves que l’utilisation de masques puisse réduire le risque d’infections respiratoires virales.Dans le cadre communautaire, nous n’avons trouvé aucune preuve concernant l’utilisation de masques par le grand public en dehors de la maison… » https://bit.ly/35gvwTz
Pr. RANCOURT Denis Une dernière étude ? Elle explique que l’usage du masque dans le milieu médical ou le grand public n’apporte aucune différence en termes de transmission de maladies grippales confirmées en laboratoire. https://bit.ly/32b6gMJ
Bref la science de la meilleure qualité disponible nous montre que tous ceux qui imposent le port du masque font appel à leurs suppositions et leurs croyances, pas à la science factuelle. Porter un masque (chirurgical, FFP1,2,3) dans le but de prévenir les maladies respiratoires virales, ce n’est pas de la science c’est de la religion.
M6 Voici une vidéo montrant que même les médias dominants parlent de l’effet asphyxiant du masque entraînant la baisse des capacités cognitives à commencer par la vue (impeccable pour conduire donc…) https://bit.ly/33yFoHg
Statista Comment expliquer qu’en termes d’incidence COVID (morts par million d’habitants), la Suède s’en tire mieux sans confinement et sans masques que la Belgique, le Royaume-Uni, l’Espagne, l’Italie, le Brésil et les USA ? https://bit.ly/2FSM7Cm
Dr. GUNDRY Steven Le rôle du masque est de bloquer la chute de bactéries dans des plaies ouvertes en bloc opératoire.Il n’a jamais été question de filtrer des virus. Et même en bloc opératoire, c’est UN DOGME, une tradition.Le masque a été conçu pour filtrer les bactéries et non pas les virus (bien trop petits) mais l’abrasion de la peau par le masque génère des fragments (avec bactéries) qui se détachent et tombent quand même dans les plaies.  https://bit.ly/3hbOVHQ
Pr. DESUTER Gauthier  « Les enseignants masqués ne tiendront pas !Un médecin laryngologue s’inquiète de la multiplication des pathologies qui découleront du port du masque imposé aux enseignants pendant plusieurs heures.Une hérésie physiologique :Dès lors, demander à un enseignant, ou toute autre profession vocale, de porter un masque en permanence est une hérésie physiologique. Non seulement les flux d’air sont ralentis mais le masque constitue une barrière à la propagation de l’onde sonore. Cela rend déjà la voix conversationnelle fastidieuse mais surtout cela rend la voix projetée im-po-ssi-ble !A quoi le professionnel de la voix s’expose-t-il ? Outre une fatigue professionnelle d’installation quasi immédiate, il sera à haut risque de lésions traumatiques des cordes vocales. En effet, au déficit respiratoire répondra une tentative de compensation – bien illusoire – par un forçage laryngé créant hémorragies, polypes et nodules.Ces lésions rendent dysphonique et parfois même aphonique. La sanction est sans appel : chirurgie suivie d’une longue rééducation logopédique avec convalescence de trois mois. Certains présenteront malgré tout des séquelles permanentes.Déjà des premiers cas :En forçant les enseignants à porter le masque en classe, nous nous exposons à un afflux de pathologies vocales dans les mois qui viennent.Les premiers cas frappent déjà à nos portes de laryngologistes.Pour conclure je dirais qu’imposer le masque aux enseignants durant leurs cours est comparable à l’action de placer un sabot dans un métier à tisser tels qu’y procédaient les ouvriers nordistes au XIXe siècle afin de démarrer une grève. Mesdames, Messieurs les décideurs, sans modifications des règles vous allez casser l’outil… et ce sera du sabotage ! » Le Soir du 07/09/2020 : https://cutt.ly/rfA5l4r 
Pr. PERRONE Christian « Les masques ne servent à rien sauf pour les soignants, sauf pour les personnes qui ont des symptômes, pour leur entourage dans certaines circonstances. Même dans les endroits clos, pour moi le masque à l’école c’est un délire total, alors que les gamins ne sont pas malades. Même dans les open-spaces dans les entreprises ont devrait dire aux gens si vous avez des symptômes restez chez vous, appelez votre médecin faites un test, on vous dépiste l’entourage notamment les collègues au travail. Sinon on va le porter pendant des mois jusqu’au vaccin du printemps. »   https://cutt.ly/8fA83qD
Dr. GARCIA ALONSO Marisa Marisa Garcia Alonso a décidé de faire des tests microbiologiques sur les masques qu’ils soient en tissu ou chirurgicaux, qu’ils aient été peu ou trop utilisés, mais dans tous les cas, des masques qui avaient été portés par des personnes réelles dans des situations réelles. Le 17.07.2020Le Masque est dangereusement contaminé selon l’infectiologue espagnole« Il faudrait qu’on les enlève avec des pincettes, puis les déposer dans un sac, de préférence en papier, ou en tissu, pour qu’il puisse absorber la transpiration, car les sacs en plastique favorisent la poussée des champignons.Rallonger la vie d’un masque pourrait occasionner de l’acné jusqu’au problème digestif. » Plusieurs pathologies dermiques sur le visage, des patients qui ont présenté de la sinusite ou beaucoup d’autres, avec des herpès sur les lèvres, ou des otites, des maux de gorge par infection. Il y a diverses pathologies si nous favorisons la prolifération des bactéries rhino-buccales. L’utilisation des masques en continu sans les changer ni les laver régulièrement peut favoriser la prolifération anormale des bactéries dans notre cavité buccale. J’ai juste l’intention de mettre tout le monde au courant. »Un grand merci à Marisa Garcia Alonso compte Instagram pour avoir pris l’initiative de faire ce test et nous montrer ces expérimentations empiriques éclatantes ! Source vidéo traduite en français : https://bit.ly/3hgjV9z
Dr. KHOURY Antoine
Dr. ROO Eliane  « Comment les températures élevées affectent la peau de notre visage quand celle-ci est couverte en permanence : Acné, dermatite péribuccale, problèmes de rosacées, parce que les masques retiennent la chaleur et l’humidité »« Le bureau des affaires sanitaires ordonne que les communes renvoient les masques FFP2 en provenance de Chine en raison d’incompatibilité avec la norme Européenne. »Il est intéressant de noter que les masques chirurgicaux (exigés dans les avions plutôt que les masques en tissu) sont souvent fabriqués dans des conditions d’hygiène déplorable. De plus il est marqué sur les boîtes de masques que ces derniers ne protègent pas contre les virus. https://bit.ly/3hiIHGh
Del Bigtree Hypoxie (O2), hypercapnie (CO2) et comorbidités : Une expérience de Del Bigtree mesure l’oxygène sous un masque et montre le danger de le porter. Analyse du niveau de dioxyde de carbone et les problèmes de santé potentiels : 10 000 PPM en 10 respirations, soit un seuil extrêmement dangereux…atteint en moins d’une minute.. https://cutt.ly/7fA6Zmq
Une autre vidéo nous montre la baisse du niveau d’oxygénation liée au port du masque. https://cutt.ly/RfA6V2S
CDC (Centres pour le contrôle et la prévention des maladies) Rapport du CDC aux Etats Unis : 94% des morts du Covid19 étaient à risque (comorbidités). Source CDC (voir le texte sous comorbidities) : https://cutt.ly/ofA6MiR
Dr. A BUTTAR Rashid
M6
Porter le masque n’est pas sans DANGER. Ceux qui le recommandent aveuglément sont des irresponsables. Voici ce à quoi on s’expose :– Intoxication par accumulation de pathogènes (champignons, bactéries, etc.)– Hypoxie (baisse de l’oxygène dans le sang) et hypercapnie (augmentation du CO2 dans le sang)– Maux de tête (dûs à l’hypoxie et l’hypercapnie)– Baisse des capacités cognitives à commencer par la vue (impeccable pour conduire donc…)On met son corps en stress chronique en portant le masque, cela fait monter le cortisol, l’hormone du stress, et baisser les lymphocytes T qui sont en 1ère ligne des défenses immunitaires contre les maladies respiratoires virales. Plusieurs médecins le disent, comme le Dr Rashid A Buttar. Donc en portant le masque en permanence on devient la cible idéale pour la prochaine grippe saisonnière…
Sans parler plus généralement de l’effet nocebo de la société anxiogène que cela génère. On ne voit plus un seul sourire, c’est terrifiant. L’hormone du stress, le cortisol est liée au manque de respirations complètes et profondes.« Un stress chronique conduit à sa production chronique, responsable d’une série de dérèglements comme l’hypertension, la baisse de la réponse immunitaire, la dépression, les troubles cardio-vasculaires et le cancer. »
Dr. BUTTAR (7m43s) :https://bit.ly/30H9CWxM6 :https://bit.ly/33yFoHg
Dr. KORBA BOUDGHENE Catherine « Les dangers du port du masque sont un manque d’oxygénation des cellules, une diminution de l’échange entre l’oxygène et le dioxyde de carbone, et des problèmes de peau comme staphylococcie de la face…Alors l’organisme se met en acidose respiratoire, et là on devient déjà malade avec une baisse de l’immunité et une fatigue chronique. » https://cutt.ly/gfZzPEa
Dr. FOUCHE Louis  « Le masque… tout le monde le sait que c’est une imposture.Renouez avec le réel, ayez du contact social, c’est très important. » https://cutt.ly/VfLicU6
  1. Vaccins
Pr. MONTAGNIER Luc « Je crois que les vaccinateurs oublient ce principe d’Hippocrate : ne pas nuire. »« On est dans un monde de fous, un monde de fous ! ».« Les scientifiques sont achetés, américains, français, anglais. Ils sont payés pour dire ce qu’ils disent. »« Les vaccins parfois sont mauvais, il faut le dire et je le dis vraiment il faut le dire très fort, si vous avez quelqu’un qui est atteint par le Covid-19, vous risquez de le faire mourir dans les jours ou semaines qui suivent. Si vous avez quelqu’un qui a une chimiothérapie bien équilibrée contre un cancer, vous le vaccinez contre la grippe, vous allez le tuer aussi très rapidement, il faut le dire ça, les vaccinations interférentes sont très mauvaises, donc ceci doit être retenu. »« Un vaccin je répète, il peut être très mauvais, il peut être bon, mais il faut le démontrer et ceci prend du temps, et il y a des exemples en Italie du Nord notamment où l’on a vacciné contre la méningite toute une population et c’est là qu’on a vu le pic de mort augmenter de façon très importante. Je crois que les vaccinations oublient ce principe d’Hippocrate : ne pas nuire. Ce sont des médecins qui vaccinent donc c’est à eux de mettre la barrière éthique. »« Le virus COVID-19 est une manipulation humaine. »  https://cutt.ly/ufA7oXX
Pr. MONTAGNIER Luc « Nous sommes arrivés à la conclusion qu’effectivement y avait eu une grande manipulation au sujet de ce virus. On a ajouté par-dessus des séquences notamment du VIH le virus du sida. Ce n’est pas naturel c’était un travail de professionnel, un travail de biologiste moléculaire, un travail très minutieux on peut dire d’horloger, au niveau des séquences. »« Dans quel but, ça n’est pas clair… Mon travail c’est d’exposer les faits c’est tout, je n’accuse personne; je ne sais pas qui a fait ça et pourquoi. » https://bit.ly/3iR3nXm 
La médecine aurait-elle oublié la véritable prévention ? Plutôt que de vous administrer à tout prix des substances chimiques fabriquées en laboratoire, pourquoi ne vous recommande-t-elle pas :- de cultiver une bonne immunité naturelle en prenant soin de votre corps (alimentation saine, sommeil, exercice doux et régulier, soleil, forêt, mer…)- de ne pas mettre de masque- de vous interroger sur le rapport bénéfice/risque des vaccins- de limiter les ondes électromagnétiques (WIFI, DECT, mobile…)- et d’éviter les médias anxiogènesA ce stade du document vous avez compris que les intérêts de l’industrie pharmaceutique influencent la conduite de nos dirigeants et des médias dominants. Et après les masques, ils ont l’intention de vous imposer des vaccins
Pr. FOURTILLAN Jean-Bernard Dr. RADER Serge Dr. SCHALLER TalDr. MADEJ Carrie Le futur vaccin COVID-19Voici deux vidéos traitant du futur vaccin Covid19. Toutes les données mentionnées ont été scrupuleusement vérifiées par des médecins. Maintenant c’est à vous de choisir. https://cutt.ly/hfCL2XJ  https://cutt.ly/dggBdgh
Info Vaccin France Le libre consentement face aux vaccinsLe site « Info Vaccin France » propose une manière de faire valoir vos droits face à l’obligation vaccinale. Attention cette démarche n’est pas dénuée de risques. Nous vous recommandons de bien réfléchir avant d’agir et de vous faire assister par un avocat (ex : Me Brusa) pour valider les fondements juridiques de votre démarche. https://bit.ly/3cy3AfK https://lh6.googleusercontent.com/OzODDzXkypRyl8eqEx8ysJbl4uRY7OHq8P2JJoua1khfUc0s5EhAm2VxLhmFFbK_5wxxeCJtlD71Hma1QN0-79gez0npJ46Qa_BGKoZJmgimCRinKztC5_v0ak1rhXcA2xPs4KTi
Pr. FOURTILLAN Jean-Bernard Le Pr Jean Bernard Fourtillan se bat pour mettre fin au scandale de l’aluminium dans les médicaments à usage humain : pansements gastriques, vaccins, etc. Téléchargez son certificat d’expertise qui vous permet de vous opposer, pour vos enfants ou vous-même, à l’administration de ces médicaments mortifères interdits d’après les normes de la FDA depuis 1989 et de l’OMS depuis 1996. https://bit.ly/3kGjlE1 
Pr. FOURTILLAN Jean-Bernard Dans une interview, le Pr Fourtillan s’explique en détail sur :- ses découvertes révolutionnaires (cycle éveil sommeil)- sa lutte avec l’ANSM (Agence Nationale de Sécurité du Médicament)– l’aluminium dans les médicaments et les vaccins et les solutions pour s’en débarrasser https://cutt.ly/dfCKASf 
Le Monde Rappel important sur les erreurs médicales :Des données de l’OMS ont permis d’avancer ceci en 2015 : « Avec 15 millions d’hospitalisations en France en 2013, le nombre de décès liés aux erreurs médicales pourrait ainsi avoisiner les 50 000 (137 par jour), en faisant la troisième cause de mortalité du pays après les cancers et les maladies cardio-vasculaires. »En 2013, un rapport sur l’iatrogénie (conséquences néfastes liées aux soins), rédigé par le pharmacologue Bernard Bégaud et par l’épidémiologiste Dominique Costagliola, relevait que « des études de pharmacovigilance permettent d’avancer la fourchette de 10 000 à 30 000 décès attribuables chaque année en France à un accident médicamenteux (soit 27 à 82 par jour) ». Sans compter ceux dus à d’autres causes médicales ou chirurgicales. Le Monde 03/05/2016 : https://bit.ly/35YjcI8 
Vous pensez toujours que les dirigeants de ce monde vous protègent ? Observez de quelle manière les politiques sanitaires et sociales agissent sur l’évolution de la mortalité d’un pays. Faites appel à votre intuition et vous saurez si le système prend réellement soin de vous. Tout ceci pourrait être évitable si on faisait de la prévention…
  1. Traitements
Médecins américains Des médecins américains dénoncent la désinformation autour du Covid, de l’hydroxychloroquine et des masques inutiles voire nocifs.Les traitements préventifs et curatifs existent : Pas besoin de muselière ni de vaccinIl existe un protocole simple et peu cher qui soigne avec succès les gens à risque (comorbidités), c’est le protocole de Raoult : Hydroxychloroquine (HCQ) + Azithromycine (AZ) + Zinc. Et l’HCQ est aussi un très bon préventif à faible dose. Ce sont des médecins américains en première ligne du Covid qui le disent. Leur vidéo a subi une censure sur tous les réseaux. https://cutt.ly/6fA6zxI  
France Soir Le gouvernement français a refusé de soigner les gens avec l’HCQ et nos anciens ont même été achevés en EPADH avec le Rivotril en injection. Les pays qui ont le moins de morts ont utilisé des tisanes, ou le protocole de Raoult : HCQ + AZ. Il le tient d’ailleurs des premiers bons résultats obtenus en Chine au début de la crise. Un article chez France Soir compare la France à l’Allemagne qui a 5 fois mieux géré la mortalité grâce à l’HCQ https://bit.ly/2FKet22  
HCQ Trial Observez également en temps réel avec les liens ci-dessous, que les pays qui ont utilisé l’HCQ de façon précoce ont 73,1% de morts en moins. https://hcqtrial.com/  
Pr. RAOULT Didier Des mots et des chiffres qui rassurent :1. « Des études cliniques observationnelles ou randomisées dont la somme montre que l’hydroxychloroquine (à 4.70 euros) est efficace pour prévenir la mort. Dans certains de ces travaux il y a une diminution de 50% de la mort. C’est un point important je vous rappelle, ni le médicament Remdesivir (à 2450 euros qui a de graves effets secondaires sur les reins) ni le Lopinavir/Ritonavir, n’ont jamais eu une étude publiée montrant qu’il y avait une prévention de la mortalité : 0 ! »« Donc le seul produit dans lequel il y a une prévention de la mortalité c’est l’Hydroxychloroquine, seule ou associée à l’Azithromycine. »2. « De toutes les études publiées avec le portage viral, seul l’hydroxychloroquine diminue le portage viral. »« Dans ce monde on finit par avoir l’impression qu’il suffit d’avoir droit à la parole ou de faire des communications pour que ce soit la vérité. Mais la vérité c’est pas ça, c’est les études, c’est les chiffres, c’est la mortalité, et ça on ne peut pas tricher, ça finit par sortir. » https://bit.ly/2RSLWtG
  1. Tests
Pr. RAOULT Didier Pas fiables, blessants, contaminésIls obligent les gens à se faire tester juste pour un éternuement, ou un rhume ou un « cas contact », alors que la personne n’a aucun symptôme !Une personne guérit simplement de ses maux de tête, de ventre, ou gorge par une tisane de menthe, thym, ortie, sans même parler d’Artemisia…Ces tests ne sont pas fiables : IHU Marseille Pr. RAOULT expert infectiologue :« Nous, on a eu jusqu’à 44% de faux positifs, donc il faut faire attention. » https://cutt.ly/gfZnHvl 
Le Parisien Ce test blesse les parois internes des narines. Nous avons tous des témoignages d’enfants qui saignent du nez, et d’adultes dont la narine les démange pendant 24 heures.Ce test coûte cher : « Avec 1,19 million de tests réalisés dans la semaine du 7 septembre, la France, devenue troisième pays testeur au monde, a dépensé 88 millions d’euros pour détecter les cas contaminés.Depuis le début de la pandémie, plus de douze millions de contrôles, très majoritairement par la technique dite RT-PCR, avec prélèvement nasal par écouvillon, ont été réalisés, portant la facture globale à près de 917 millions d’euros cette semaine.Facture prise en charge à 100 % par l’Assurance maladie. A ce rythme, 30 millions de tests auront été réalisés à la fin d’année et plus de 2,2 milliards d’euros dépensés. »« Profitant de la tension, quelques laboratoires parisiens en abuseraient, promettant des résultats sous 48 heures, moyennant 80 ou 100 euros le test, a révélé Europe 1. Des pratiques fermement condamnées par l’Assurance maladie ce mercredi 16 septembre. » https://bit.ly/3cj8EnY 
Radio Canada Avec ces tests on peut vous contaminer au Covid-19.« 7000 écouvillons contaminés de la part de l’Agence de la santé publique du Canada. En Colombie-Britannique, il y en avait 30 000.Au Manitoba, 8800 tests de dépistage en provenance du Laboratoire national de microbiologie étaient contaminés.Le Nouveau-Brunswick a également reçu 6400 trousses de dépistage contaminées.En Ontario, le premier ministre Doug Ford a lui aussi confirmé qu’une livraison de 100 000 écouvillons en provenance d’Asie était arrivée contaminée par de la moisissure plus tôt ce mois-ci. »
Se faire tester alors que l’on n’est pas réellement malade créer un effet nocebo (du latin : « je nuirai ») qui a lui seul peut rendre malade :« La maladie du désenchantement » c’est prouvé par le scanner cérébral, « des zones s’éteignent ». Pr. RAOULT.8.5 millions de Français hypocondriaques et 2 millions agoraphobes,  à cause de leur propagande de peur ces chiffres vont augmenter. 
22 avril 2020 : https://bit.ly/33NRPhi 
Pr. RAOULT Didier « Faire les choses raisonnablement, faut faire attention on a beaucoup de PCR à contrôler, qui sont positifs en dehors, il faut faire attention tout le monde n’a pas les mêmes critères.On a entre 30 et 40% de PCR (test avec prélèvement naso-pharyngé par écouvillon) qui sont faussement positifs ; qui viennent se faire contrôler, et qui sont négatifs en réalité, donc il faut faire attention.Nous on le signale à nos autorités pour qu’ils ne soient pas pris en compte comme des nouveaux cas. »  (Les médias ne parlent pas des faux positifs, ils préfèrent relayer la peur.)« Pendant plus de 3 jours y a eu 1 mort ce qui fait 0.06% de létalité » (soit 99.94% de gens guéris) 01/09/2020 : https://bit.ly/3clWgUv  
  1. Actions et recours
Médecins pour la vérité « Médecins pour la vérité », 140 professionnels de santé : La conférence s’est tenue le 25 juillet 2020 avec les orateurs suivants :Le Dr. Natalia Prego Cancelo, le Dr. Rafael Gazo Lahoz, le Dr. María José Martínez Albarracín, le Dr. Angel Ruiz-Valdepeñas Herreros et le Dr Heiko Schöning.Les médecins prestigieux d’Argentine comme le Dr. Chinda Brandolino, le Dr. Mario Borini, le Dr. Eduardo Yahbes, le Dr. Ramiro Salazar des épidémiologistes argentins, entre autres, y ont également participé.Les médecins María José Martínez Albarracín et Angel Ruiz-Valdepeñas Herreros ont été licenciés et menacés d’être professionnellement radiés. Le collectif a présenté une conférence remettant en cause la version officielle du Coronavirus. Plus de 140 professionnels de santé le composent.L’événement a commencé par l’intervention du Dr.Heiko Schöning, représentant de la Commission d’enquête extra-parlementaire sur la Corona allemand et s’est terminé par un examen des 4 points fondamentaux d’enquête auprès du gouvernement et des autorités espagnoles par l’association Médicos por la Veridad.« Avec des données, des chiffres et des analyses bien fondées, il a été révélé l’incohérence et l’erreur des décisions qui sont prises dans le monde pour lutter contre la pandémie de COVID-19. »Le port du masque est très dangereux pour les gens qui travaillent en mouvement, avec énergie comme le personnel des EHPADS, des restaurants, des collèges et lycées qui sont pris pour des déménageurs et des nettoyeurs de Covid-19. https://bit.ly/3iPkhpk
Dr. CRABBE Jean Michel Dr Jean Michel CRABBE, seconde lettre au conseil de l’ordre des médecins :« Je dénonce publiquement de graves violations du Code de Déontologie et du Serment d’Hippocrate par l’Ordre des médecins lui-même. »« Le port du masque, l’isolement des sujets en bonne santé et la distanciation sociale sont des mesures inventées en 2020, qui ne s’appuient sur aucune expérience passée, sur aucune étude scientifique, et ne figurent dans aucun ouvrage de médecine. »« Au service des médecins dans l’intérêt des patients », l’Ordre des médecins devait informer les praticiens d’une façon objective, dénoncer les mesures de prévention non validées scientifiquement et dangereuses. »« En conclusion, l’Ordre des médecins doit être traduit devant ses propres instances disciplinaires et jugé pour manquements graves aux missions qui lui sont confiées et à l’éthique médicale.Dr. Jean-Michel Crabbé » Lettre du 27 août 2020 : https://bit.ly/3iOVzVW
Initiative CitoyenneKRUSI EmaDr. SCHALLER TalCREVECOEUR Jean-Jacques
Transparence Coronavirus
Soignants belges : 24 professionnels de santé belges témoignentUn collectif de 250 professionnels de la santé recommande :- de prendre soin de son système immunitaire par la compréhension du rôle essentiel de la respiration, de la nourriture ;- d’apprendre à connaître l’Artemisia une plante simple qui guérit.« Plus de 26 soignants ont déposé plainte à l’Ordre des Médecins, contre la Ministre belge fédérale Maggie De Block , 9 autres experts et Mme Wilmès Sophie 1ère ministre provisoire. Ils ont écrit à tous les parlementaires, pour demander l’arrêt immédiat de tout ce qui est une atteinte à l’intégrité physique et une violation de la loi sur les droits du patient qui prévoit le libre consentement. » Site d’Initiative Citoyenne : https://cutt.ly/bfA5Fm4 Source des propos en vidéo : https://cutt.ly/Ef0mWKQhttps://lh3.googleusercontent.com/1Kve9VUlAnWL-sieHRUE0-SWiEqcyKewLeygRi4Ele5JrOM6iHDUjvLa4_BE-17TwJaJaCzUnZf_rhtGTVwm3GU28jRWpGozaf8uHhbTJuL8Tx7IxKBf_gC4WI1EX3Dreo3nzANY
Site du collectif Transparence Coronavirus : https://cutt.ly/3fA5NOk
Comité de 200 médecins Un comité de 200 médecins a lancé un message d’alerte mondial dans un dossier international de 29 pages : Message d’alerte international de professionnels de la santé aux gouvernements et aux citoyens du monde :STOP : à la terreur, à la folie, à la manipulation, à la dictature, aux mensonges et à la plus grande arnaque sanitaire du 21e siècle.Nous invitons les professionnels de santé du MONDE ENTIER à être forts et courageux et à faire leur devoir de dire la vérité, à nous rejoindre MASSIVEMENT dans le collectif :United Health Professionnals et à signer cette lettre en envoyant les 4 informations suivantes :prénom, nom, profession et pays à : join.unitedhealthprofessionals@gmail.com https://cutt.ly/pfA82uX 
Me. BRUSA Carlo Alberto Contre les mesures illégales du gouvernement : confinement, masque… « Le masque n’est pas une thérapie. »« Le droit est plus fort que les lois injustes et les règles détournées. »« Utilisez le droit pour porter l’esprit de la liberté. »Selon un courrier réponse de l’ordre des médecins à Maître Brusa, les docteurs peuvent faire un certificat pour déroger au port du masque.Les amendes sont illégales, vous pouvez contacter l’association Réaction19 de Maitre Brusa et vous y inscrire pour la somme modique de 10€. Vous pourrez alors obtenir une aide personnalisée ainsi que des documents utiles et prêts à l’usage :– feuille de route pour contester une contravention– lettre type de contestation de contravention pour non-port du masque– déclaration d’illégalité des contraventions en cas de défaut de port du masque- etc. https://bit.ly/33AZteE
Site association Réaction19 : https://reaction19.fr/
  1. Stratégie gouvernementale et médiatique
Dr. TROTTA Pascal « Peu de médecins osent élever la voix, pourquoi j’ose élever la voix, c’est parce que nous sommes face à une immense manipulation, une manipulation d’opinions. »« Vous respirez un véritable bouillon de culture. On a laissé mourir les personnes âgées dans les EPADHS. Ce n’est pas un problème médical, c’est un problème politique et cela c’est beaucoup plus grave. La France est devenue la Corée du nord de la médecine naturelle.Ces juges intelligents du Tribunal Administratif le 25 Septembre 2020 ont rétorqué l’arrêté préfectoral et ont dit : Le masque est une atteinte grave à la liberté d’aller et de venir, c’est une atteinte à la dignité de la personne. »« Il s’agit d’une dictature virale à des fins politiques. On prépare par cette soumission généralisée au masque, à la soumission généralisée aux vaccins. On est donc face à une immense manipulation financière qui n’a rien à voir avec la médecine que nous pratiquons, nous les médecins de terrain, nous sommes en train de rentrer dans un régime soviétique. »« Le docteur Michel GEFFARD a été radié de l’ordre des médecins parce qu’il guérissait la sclérose en plaque. 30 gendarmes sont venus le 23 septembre à son domicile et l’ont arrêté parce qu’il continuait à soigner des patients. »C’est ça la réalité de la médecine en France. Voilà ce qui est arrivé à ces médecins courageux qui trouvent des traitements, ils sont enfermés à domicile, ils n’ont plus le droit de parler à leur malade, plus le droit de parler à leurs élèves, plus le droit de continuer leurs recherches. C’est ça l’état de la médecine en France et dans d’autres pays. »« La vérité, c’est comme l’eau : ça finit toujours par passer. » https://cutt.ly/RfA6dWR
Dr. PROVENZANO Sandro « Là on essaye de nous affaiblir en nous forçant, obligatoirement à porter le masque dans des endroits clos, maintenant même dans des endroits ouverts, on se balade en pleine nature et on doit porter des masques, c’est de l’ineptie.Je crois qu’en 25 ans de médecine je n’ai jamais vu une telle mascarade et alors quoi, il faut oublier tous nos cours, tous nos cours d’immunité ?Mais ce n’est plus ça la médecine, c’est de la prescription pour big pharma, c’est de suivre « les guidelines » inscrite pas par les scientifiques, mais de nouveau par les lobbyistes.J’espère que beaucoup de gens vont se réveiller de cette situation. » https://cutt.ly/OfA7Le6 
Dr. WONNER Martine  Elle rejoint le Pr. Perrone et confirme la « Privation de liberté » : car elle a voté contre la loi titrée : Sortie de l’état d’urgence sanitaire, mais cette loi votée avant l’été permet au gouvernement, à l’exécutif de prendre toutes les décisions qu’ils veulent sans les parlementaires.« C’est la première fois depuis la 5ème république que les parlementaires sénateurs ou députés, n’ont plus leur rôle fondamental à jouer, d’évaluation et de contrôle du gouvernement. La démocratie aujourd’hui, elle est masquée, bâillonnée et les parlementaires aujourd’hui ne servent à rien. »« Des bureaucrates de la haute administration, des ministères de paris ont interdit en France, aux médecins d’exercer leur ART par 2 décrets du 25 et 26 Mars, qui étaient en plus là encore illicites. Puisque la loi qui s’impose et qui est dans le code de santé publique, article 515-1 qui donne l’obligation aux médecins de traiter, et dans notre constitution le droit inaliénable c’est l’accès au soin, et l’obligation de protéger la santé de tout le monde, et encore + les plus vulnérables. » Débat vidéo « Wonner – Perronne – Sibilia » : https://bit.ly/33IFoTL 
Pr. TOUSSAINT Jean-François Le Professeur a signé un manifeste avec différents scientifiques : « Nous ne voulons plus être gouvernés par et dans la peur. » A tous les docteurs merci de rejoindre ce manifeste.« Plus de la moitié actuellement et probablement les trois quart, voir 9 sur 10 des cas positifs diagnostiqués sont des gens qui ne sont pas contagieux… » Sud Radio le 14/09/20 : https://bit.ly/2ZXw7pY
Pr. TOUSSAINT Jean-François « Pendant la canicule les personnes à risque ont 10 fois plus de chance de mourir du fait de la chaleur que du Covid. Il faut enlever les vêtements chauds et ce qui bloque les voies aériennes supérieures, donc le masque. » 12/08/2020 (à 9m28s):https://bit.ly/3kRRtgs https://lh3.googleusercontent.com/KsBvFXtAH_9_6vfS1rZ_3f4rhBFteF1gjqWMLWkFvDdJ8ZQJupgoMOS-k6hHT33gMnWqipWCFuKWyaapzU9P6KRwwZ0DnEWFMnxtJsFhazb0nAuRS1I8iF9uYwFGC1CmpjfvGSR2
Pr. TOUSSAINT Jean-François « Le gouvernement annonce et assume de ne plus gouverner sur la réalité des choses. »« On arrive maintenant à des situations aussi dramatiques que de faire croire que les petits enfants sont responsables de la mort de leurs grands-parents, c’est cette séquence unique qui se trouve projeté actuellement sur les écrans de télévision. Et la 2ème qui aboutit à faire naître des enfants alors que leur mère est sous un masque avec des difficultés respiratoires, et au moment le plus important où elle donne la vie, les faire passer pour des tueuses en séries » Cnews le 28/09/2020 :https://cutt.ly/6f2dU9D
DUCROCQ François « La pénurie des masques pendant l’épidémie du Covid 19 a été voulue, organisée et assumée. Tel est le sens de mon témoignage de chef d’entreprise à travers les nombreuses démarches, les mails reçus et échangés. La vidéo est longue, (13.33 min) mais elle va vous permettre de comprendre ce qui s’est réellement passé. » https://cutt.ly/PfA6Q9c 
Dr. FOUCHE Louis
BRZEZINSKI Zbigniew, Mika
ORWELL Georges « Dans des temps de tromperie généralisée, le seul fait de dire la vérité est un acte révolutionnaire. » Georges Orwell.
KAFKA Franz Apprendre, réfléchir, comprendre, évoluer… La littérature nous offre cette chance.Saisissons-la et ne nous laissons pas anesthésier par l’indifférence et la paresse!« Un livre doit être un coup de hache dans la mer gelée qui est en nous. »
  1. Index des intervenants

B

BEGAUD, Bernard: Professeur de Pharmacologie à l’Université de Bordeaux. Membre de l’unité de recherche INSERM U657 « Pharmaco-épidémiologie et évaluation de l’impact des produits de santé sur les populations ». Il est aussi président du département du transfert de la recherche et des finances de l’Université de Bordeaux.

BRZEZINSKI, Zbigniew : Ancien conseiller à la sécurité nationale (USA).

BRZEZINSKI, Mika : Journaliste.

BRUSA, Carlo Alberto : Avocat. Chargé de cours de Droit à l’Université de Paris II Assas et de l’Université Paris IV, Panthéon Sorbonne et a commencé son activité d’avocat en 1994. En 1996 il créait son cabinet individuel.

C

COSTAGLIOLA, Dominique : Biomathématicienne et épidémiologiste. Ses domaines de compétence vont de la biostatistique à l’épidémiologie, en particulier la pharmaco-épidémiologie, sans oublier les essais thérapeutiques et la modélisation. En termes d’applications, ceux-ci couvrent l’infection à VIH, l’hémophilie, le médicament et la transfusion.

CRABBE, Jean-Michel : Le docteur Jean-Michel Crabbé exerce la médecine depuis plus de trente ans, d’abord comme médecin généraliste, puis comme praticien dans un centre de réadaptation fonctionnelle. Depuis 1984 il étudie le domaine du rêve, de la chronobiologie et les interactions psychosomatiques. Il a notamment publié : Sommeil et rêves (Ellébore, 2003) et L’Échec de la médecine occidentale (Ellébore, 2005).

D

DELEPINE, Nicole : Pédiatre, oncologue et ancien chef de service en cancérologie pédiatrique à l’Assistance publique-Hôpitaux de Paris.

DESUTER, Gauthier : Laryngologue aux cliniques universitaires Saint-Luc (Bruxelles).

DUCROCQ, François : Chef d’entreprise.

E

EAUBELLE, Gregory : Président de l’association EVIDENCE.

F

FOUCHE, Louis : Praticien hospitalier. Centre interrégional des brûlés de la méditerranée.

FOUCHE, Louis : Médecin anesthésiste-réanimateur.

FOURTILLAN, Jean-Bernard : Expert en pharmacologie et en toxicologie et ancien professeur des universités.

G

GARCIA ALONSO, Marisa : Pharmacienne spécialisée en analyses cliniques et directrice d’une pharmacie et d’un laboratoire microbiologique à Madrid. Elle est spécialiste en micro-immunothérapie, en microbiote intestinale et en maladie de Lyme.

GEFFARD, Michel : un chercheur, un excellent médecin qui a trouvé un traitement efficace de la sclérose en plaque, il est docteur à Bordeaux.

GUNDRY, Steven : Pionnier de la chirurgie cardiaque chez le nourrisson.

K

KHOURY, Antoine : Microbiologiste.

KORBA BOUDGHENE, Catherine : Médecin généraliste à Nice.

L

LORIDAN, Eric : Chirurgien général à Boulogne-sur-Mer.

M

MONTAGNIER, Luc : Biologiste virologue, Prix Nobel de physiologie ou médecine de 2008, pour la découverte, en 1983, du virus de l’immunodéficience humaine (VIH).

O

ORWELL, Georges : Ecrivain. L’adjectif « orwellien » est également fréquemment utilisé en référence à l’univers totalitaire imaginé par cet écrivain anglais.

P

PERRONE, Christian : Médecin et professeur des universités-praticien hospitalier français, spécialisé dans le domaine des pathologies tropicales et des maladies infectieuses émergentes, et ancien président de la commission spécialisée Maladies transmissibles du Haut Conseil de la santé publique.

PROVENZANO, Sandro : Médecin généraliste.

R

RANCOURT, Denis : Chercheur et ancien professeur titulaire de physique, ancien directeur de laboratoire reconnu internationalement, a publié plus de 100 articles dans des revues scientifiques de 1er plan.

RAOULT, Didier : Spécialiste français des maladies infectieuses et professeur de microbiologie. Il est un spécialiste émergent des maladies infectieuses tropicales à l’École de médecine et de médecine assistante de Marseille et à l’Institut des maladies infectieuses (IHU) du CHU de Marseille.

ROO, Eliane: Dermatologue de l’Académie espagnole de dermatologie et vénérologie.

T

TOUSSAINT, Jean-François : Professeur de physiologie à l’Hôtel-Dieu (AP-HP, université Paris-Descartes), directeur de l’Institut de recherche biomédicale et d’épidémiologie du sport (Irmes) à l’Institut national du sport, de l’expertise et de la performance (Insep).

TROTTA, Pascal : Ancien Interne des Hôpitaux de Paris, radiologue, homéopathe, nutritionniste et acupuncteur auriculaire.

V

VAN KERKHOVE, Maria : Epidémiologiste américaine des maladies infectieuses. Avec une formation en pathogènes à haut risque, elle est spécialisée dans les maladies infectieuses émergentes et est basée dans le programme des urgences sanitaires de l’Organisation mondiale de la santé

W

WONNER, Martine : Médecin psychiatre et élue députée dans la 4ème circonscription du Bas-Rhin.




Covid-19 et Masque : Déclaration de la Dre Simone Gold à la Cour suprême, 17/10/2020

[Source : America’s Frontline Doctors]

Transcription :

En tant que médecin urgentiste et avocat, parlons des masques. Tout d’abord, ne tournons pas sur la pointe des pieds autour du grand éléphant dans la pièce. Les faits ne sont pas contestés : les masques ne sont absolument pas pertinents pour bloquer le virus SARS-CoV-2. Si vous en doutez, vous devez regarder notre session éducative Démystifier le mythe des masques. J’encourage chacun à faire sa propre recherche sur Internet et à découvrir qu’avant que les masques ne deviennent politiques en mars 2020, il n’y avait même jamais eu de tentative de prétendre que des masques, et encore moins des bandanas, puissent arrêter un virus. C’est une invention complète. Un virus mesure 1/1 000 de la taille d’un cheveu. Considérez ce que l’empereur Fauci a dit, lorsqu’on lui a demandé s’il est SÛR que les masques fonctionnent. N’oubliez pas qu’il n’est pas nouveau dans le jeu, c’est l’œuvre de sa vie depuis des décennies. Il n’y a AUCUNE chance que ce soit une erreur et il n’y a AUCUNE chance que le SRAS-CoV-2 soit différent de tout autre virus à ARN sur lesquels il a travaillé pendant des décennies.

« Lorsque vous êtes au milieu d’une épidémie, le port d’un masque peut aider les gens à se sentir un peu mieux et peut même bloquer une gouttelette, mais cela n’offre pas la protection parfaite que les gens pensent que c’est. Et souvent il y a des conséquences involontaires, les gens continuent de jouer avec le masque et ils continuent de toucher leur visage. »

« Il est également clair que les masques ont un rôle symbolique. Les masques… sont des porte-bonheur qui peuvent contribuer à accroître le sentiment de sécurité et de bien-être perçu par les TS [Travailleurs dans le domaine de la Santé]… Bien que de telles réactions ne soient pas strictement logiques, nous sommes tous sujets à la peur et à l’anxiété, surtout en période de crise… La plus grande contribution des protocoles de masquage généralisé pourrait être de réduire la transmission de l’anxiété. »

Je vous le dirai clairement, mes amis américains : les médias vous ont menti ! La propagande n’est pas un phénomène nouveau. Thomas Jefferson a déclaré : « L’homme qui ne lit rien du tout est mieux éduqué que l’homme qui ne lit que des journaux. » Et John F. Kennedy a fait remarquer que peu importait si la propagande a un objectif sinistre. « Le grand ennemi de la vérité n’est très souvent pas le mensonge… mais le mythe : persistant, persuasif et irréaliste. »

De nos jours, les Américains se divisent en trois groupes : ceux qui reconnaissent la propagande, ceux qui l’ont subie avec succès et ceux qui s’en moquent — nous laisserons de côté ces derniers. Mon message s’adresse aux adeptes du masque qui n’ont pas encore réalisé qu’ils sont victimes de propagande et qui pensent aussi que ce n’est « pas grand-chose » d’obliger d’autres personnes à porter un masque. En fait, l’obligation de port du masque pose trois problèmes énormes.

Premièrement, elle répand la peur et l’hostilité qui changent la culture américaine. Nous sommes moins amicaux, moins interactifs, plus hostiles, plus rapides à être en colère contre nos concitoyens. Les masques sont une grande source de division sociale. Il y a une honte du masque et une signalisation de vertu du masque. Il y a la conformité sociale et il y a la police citoyenne des trottoirs, des avions et des restaurants. Et en plus de l’hostilité, les masques apportent un sentiment palpable de peur qui est totalement injustifiée par les faits. Il y a de vrais êtres humains qui croient qu’eux ou d’autres seront malades s’ils ne portent pas de masque. C’est tragique.

Deuxièmement, l’obligation de port du masque pose un problème insurmontable de liberté civile. Dans le système juridique américain, le gouvernement ne peut pas forcer de se couvrir le visage parce que tous les droits qui ne sont pas expressément accordés au gouvernement appartiennent au peuple. Le gouvernement n’a ni la loi commune ni le droit légal d’imposer une tenue. Empiéter sur un droit qui appartient au peuple est extrêmement dangereux. L’un de nos pères fondateurs, le 4e président James Madison, a déclaré : « (…) il y a plus d’exemples de réduction de la liberté du peuple par des empiétements graduels et silencieux que par des usurpations violentes et soudaines. Il convient de s’alarmer dès que l’on porte atteinte à nos libertés. Nous considérons que c’est le premier devoir des citoyens et l’une des caractéristiques les plus nobles de la révolution. Les hommes libres d’Amérique n’ont pas attendu que le pouvoir usurpé se soit renforcé. »

Troisièmement, le port de masques est un problème de sécurité nationale. Lorsque la plupart des citoyens de notre pays peuvent être si facilement persuadés de faire quelque chose qui est si clairement contraire à notre propre Constitution, nos ennemis en prennent certainement note. Nous télégraphions littéralement notre faiblesse et nos divisions sociales à nos ennemis.

Maintenant, à ces Américains qui ont vraiment peur : nous sommes médecins. Nous sommes là pour vous aider avec des faits qui réduiront votre peur. D’abord les faits, puis l’émotion, puis l’appel à l’action.

Premièrement, les faits. Remarquez que ce que les « experts » disent depuis des mois est faux — il n’y a pas deux millions de morts, notre système de santé n’a pas été débordé, il y avait 10 fois plus de ventilateurs que ce dont nous avions besoin, presque tout le monde survit et le traitement précoce fonctionne. Vous ne devez pas ignorer votre propre expérience de vie ! Si tout ce que vous aviez à faire pour arrêter un virus était de tenir un papier de soie devant votre visage, nos ancêtres l’auraient appris il y a des siècles et votre grand-mère vous l’aurait appris !

Deuxièmement, l’émotion. Considérez ce que le président Jefferson a dit il y a 200 ans : que les journaux sont de la propagande, et aussi ce que le président John F. Kennedy a souligné plus tard, à savoir que peu importait si la propagande est un mensonge ou un mythe. Kennedy a déclaré: « Le grand ennemi de la vérité n’est très souvent pas le mensonge … mais le mythe : persistant, persuasif et irréaliste. » Réalisez simplement que ce n’est pas parce que vous croyez ou sentez que quelque chose est vrai que ça le rend vrai. Il y a eu une campagne de propagande massive pour vous faire croire quelque chose. Mais vous avez le pouvoir de réfuter la propagande. Comment ? Une recherche sur Internet prouve qu’aucun scientifique n’a jamais cru que les masques chirurgicaux (sans parler des bandanas !) étaient pertinents contre un virus, jusqu’à la Covid-19. Le mythe des masques vient des politiciens et quand quelque chose se passe en politique, on peut être sûr que c’est fait dans un autre but.

Troisièmement, un appel à l’action pour les croyants masqués qui se sont fâchés contre les gens qui ne porteront pas de masque : je vous invite maintenant à doubler votre colère ! Mais dirigez votre colère vers les gens qui vous ont menti — ce sont les gens qui sont en colère qui ont le pouvoir de réparer les divisions sociales. Nous avons besoin que vous mettiez votre colère à la bonne place. Libérez toute votre fureur sur le complexe médiatique professionnel qui vous a menti et menti et encore menti.

Et le dernier appel à l’action pour tous les Américains : les soi-disant experts ne cessent de vous dire qu’un bandana peut arrêter un virus 1000 fois plus petit qu’un cheveu. À quel point pensent-ils que vous êtes stupide ?! À tous les Américains, nous disons : nous ne serons plus dupes !

« Le petit empereur n’a pas de vêtements ! » [« Le roi est nu ! »]




L’Assemblée nationale face à ses responsabilités

[Source : Michelle d’Astier de la Vigerie]

[Auteur :] Alain Nicolai

L’Assemblée nationale est l’institution française qui forme, avec le Sénat, le Parlement de la Cinquième République. Son rôle est de débattre, de proposer, d’amender et de voter les lois, et de contrôler l’action du Gouvernement.

À la différence du Sénat, elle a le pouvoir de forcer la démission du gouvernement par le vote d’une motion de censure. Elle siège au palais Bourbon à Paris. (Wikipéda)

En octobre 2019 un virus inconnu apparait subitement à Wuhan, puis touche, quasiment l’ensemble de la planète dont la France en février 2020. Le gouvernement français prend des mesures en urgence pour limiter la prolifération de l’épidémie dans notre pays. Certaines de ces dispositions semblent temporaires.

L’Assemblée Nationale est fermée.

À la fin du confinement les parlementaires retournent au Palais Bourbon. Les citoyens qui ont élus ces députés pour les représenter pensent alors que ceux-ci vont reprendre normalement leur travail pour recadrer les mesures prises par le gouvernement dans l’urgence, et qui ne sont pas en phase avec la Constitution, comme la privation de libertés instaurés par le confinement. Mais ce n’est pas le cas. Aussi le gouvernement décide sans aucun débat de reconfiner le 31 octobre 2020 alors que le 11 octobre 2020, un des hauts responsables de l’OMS, le Dr David Nabarro, candidat présenté par le gouvernement britannique pour le poste de Directeur général de l’OMS en 2017, a fait l’annonce que le confinement entier d’une population est nuisible.

à écouter. Nicole Delépine :

CONFINEMENT MEURTRIER: TOUT CE QUE L’ON NE VOUS A PAS DIT, ABERRATION HUMAINE, SANITAIRE, ÉCONOMIQUE

et cet article:

Tout aussi grave, l’affaire Raoult.

La France est le seul pays au monde à avoir interdit formellement l’hydroxychloroquine le 27 mai 2020 à la suite d’un article de la revue médicale The Lancet publié quelques jours avant. « L’hydroxychloroquine n’est plus autorisée contre le Covid-19. A la suite d’un avis défavorable du Haut Conseil de la santé publique, le gouvernement a abrogé les dispositions dérogatoires autorisant la prescription de l’hydroxychloroquine contre le Covid-19 à l’hôpital en France, hors essais cliniques. « Que ce soit en ville ou à l’hôpital, cette molécule ne doit pas être prescrite pour les patients atteints de Covid-19 », a réagi le ministère de la santé dans un communiqué. » Journal Le Monde du 27 mai 2020.

Suite aux protestations d’une partie de la communauté scientifique mondiale ayant démontré que l’article de The Lancet était une falsification grossière écrite par des « scientifiques » à la solde de laboratoires privées, l’hydroxychloroquine a été de nouveau autorisé ultérieurement en France mais sans publicité. Cependant les français peuvent regretter amèrement une telle prévention contre ce traitement comme le démontre par exemple ce.

Constat, après la réouverture de l’Assemblée nationale il n’y pas eu de débats sérieux sur ce sujet en ce lieu, conséquence l’hydroxychloroquine a de nouveau été interdite en France par le gouvernement le 23 octobre 2020 sur un avis de l’Agence du médicament.

Nous apprenons que le Pr Didier Raoult va porter plainte contre l’Agence Nationale de Sécurité du Médicament pour « mise en danger de la vie d’autrui » par l’intermédiaire du très efficace Maitre Fabrice Di Vizio, avocat des médecins libéraux, dont la plainte pour « abstention volontaire » est à l’origine des perquisitions du jeudi 15 octobre 2020.

« Les gendarmes de l’OCLAESP (Office central de lutte contre les atteintes à l’environnement et à la santé publique) et les policiers de l’OCLCIFF (Office central de lutte contre la corruption et les infractions financières et fiscales) ont coordonné jeudi 15 octobre, sur huit lieux simultanés et sur dix sites de perquisitions, la première opération de police de l’enquête orchestrée par la commission d’instruction de la CJR (Cour de Justice de la République).

Plus de 100 policiers, gendarmes et enquêteurs ont été mobilisés pour cette grande action de justice et de vérité contre mensonges et impunité. Accompagnés de spécialistes en informatique, ils ont aspiré toutes les données des téléphones portables sur les logiciels cryptés, les informations sur ordinateurs et les boîtes mails des ministres Agnès Buzyn, Olivier Véran, Edouard Philippe, et l’ancienne porte parole Sibeth Ndiaye. Mais aussi du directeur général de la Santé, Jérôme Salomon puis la directrice générale de Santé publique France, Geneviève Chêne. » Source Lucien Cavelier.

Lucien Cavelier est un des trois soignants qui est à l’origine de la création de ce collectif de médecins appelé C19 qui avait annoncé le jeudi 19 mars son intention de porter plainte contre l’ancienne ministre de la santé, A. Buzyn, et le premier ministre, E. Philippe, devant la Cour de Justice de la République, estimant que ces derniers « avaient conscience du péril et disposaient des moyens d’action, qu’ils ont toutefois choisi de ne pas exercer ». Leur initiative est appuyée par une pétition en ligne écrite le 21 mars qui avait déjà recueilli 500 000 signatures en trois semaines.

Conclusion :

« À la fin, qu’est-ce qu’on va suggérer ? Que tout le monde reste enfermé toute sa vie parce qu’il y a des virus dehors ? Mais vous êtes tous fous. Vous êtes devenus tous cinglés. » (Didier Raoult)

Nos députés portent une énorme responsabilité sur l’évolution de la crise de 2020. Ils semblent comme anesthésiés, et même fascinés, par les forces obscures qui les empêchent de voir clair, à l’exception de quelques-uns, qui, à l’image de Martine Wonner essaye de les faire réagir.

Intervention brillante de Martine Wonner à l’Assemblée Nationale. 

“Ainsi commence le fascisme. Il ne dit jamais son nom, il rampe, il flotte, quand il montre le bout de son nez, on dit : C’est lui ? Vous croyez ? Il ne faut rien exagérer ! Et puis un jour on le prend dans la gueule et il est trop tard pour l’expulser.” Françoise Giroud.




Un collectif de médecins et scientifiques alerte sur les dangers du nouveau confinement

[Source : Alternatif Bien-Être]

[Auteur :] Rodolphe Bacquet

Chers amis, 

Une tribune regroupant 300 universitaires, scientifiques, professionnels de la santé, du droit, de l’éducation et du social, a été publiée il y a trois jours sur le site Internet Regards.fr.

 Je suis comme vous, je n’en avais pas entendu parler.

 Car AUCUN grand média n’a évoqué cette tribune.

 Heureusement le bouche à oreille fonctionne et j’ai pu y avoir accès grâce à un ami médecin.

 J’ai été surpris par la véhémence de cette tribune, mais je partage leur colère.

Leurs arguments sont sans appel.

Je vous en envoie le texte intégral ci-dessous… en attendant avec impatience vos commentaires.

Bien à vous,

Rodolphe


[Texte publié le vendredi 29 octobre 2020 :]

Près de 300 universitaires, scientifiques, professionnels de la santé, du droit, de l’éducation et du social, ainsi que des artistes, se déclarent « atterrés » par des discours officiels qui dramatisent indûment la réalité afin de justifier des mesures de confinement.

C’est un secret de polichinelle : le reconfinement était envisagé depuis l’été dernier. La stratégie de communication du ministère de la Santé s’est déployée autour de cette perspective depuis plus de deux mois, de façon à le faire accepter par la majorité de la population le jour J. Les médias mainstream lui ont fourni une aide décisive. Ils sont le relais et l’instrument privilégiés de cette communication.

Et, force est hélas de constater qu’ils jouent très bien le rôle qui leur a été assigné. S’appuyant mécaniquement sur les chiffres, cette communication consiste à ne s’intéresser qu’aux indicateurs les plus alarmants, en les changeant au fil du temps si celui qu’on utilisait ne permet plus d’envoyer le message espéré.

Et si un indicateur a une évolution en dents de scie, la communication se fait uniquement les jours où les chiffres augmentent. Il n’y a qu’un seul message possible.

Avant-hier, 27 octobre, la manipulation a encore opéré. La totalité des médias a titré sur les prétendus 523 morts : « Du jamais vu depuis le confinement ». Or ce chiffre était faux. Selon Santé Publique France, il y a eu 292 morts à l’hôpital le 27 octobre, contre 257 la veille (le 26) et 244 (en baisse donc) le 28. Mais l’on ajoute les morts en EHPAD qu’une fois tous les quatre jours en les cumulant. Prétendre compter les morts quotidien ce jour-là revient donc à gonfler artificiellement les chiffres. Et c’est étonnamment ce qui s’est passé la veille de l’allocution annoncée du président de la République, qui a repris à son compte ce chiffre faux. Est-ce un détail ? Non, ce n’est hélas qu’un exemple parmi beaucoup d’autres.

Une deuxième vague prétendue « plus terrible encore que la première »

C’est le président du « Conseil scientifique » (M. Delfraissy) qui le disait il y a quelques jours : arriverait une deuxième vague « plus forte encore que la première » et nous serions déjà dans « une situation critique ». Ce genre de prédiction catastrophique constitue une manipulation d’un Conseil qui n’est pas scientifique mais politique. Rien ne permet non plus d’affirmer que, sauf confinement, « d’ici quelques mois, c’est au moins 400.000 morts supplémentaires à déplorer », comme l’a pourtant prétendu hier soir le président de la République. Enfin, il est également faux de dire que nous ferions comme tous nos voisins européens. A ce jour, seuls l’Irlande et le Pays de Galles ont reconfiné la totalité de leur population.

Il serait urgent de revenir à la raison. Selon les chiffres de Santé Publique France, sur les près de 15 millions de tests effectués à ce jour, 93% sont négatifs. Et parmi les 7% restant de la population testée positive, plus de 85% ont moins de 60 ans ; il s’agit donc essentiellement de personnes qui ne risquent pas de faire une forme grave de la maladie. Au final, moins de 1% de la population est donc « à risque » et c’est uniquement elle qu’il faut protéger.

Autre façon de le dire : au cours de la période récente (entre le 1er septembre et le 20 octobre, jour où nous avons fait ce calcul), 7.621.098 personnes ont été testées. Sur cette même période, 38.100 individus ont été hospitalisés (0,5%) et 6.593 ont été admis en réanimation (0,09%) avec un test positif au Covid. En d’autres termes, depuis le 1er septembre, sur cet énorme échantillon de la population de 7,6 millions, la probabilité moyenne pour un individu lambda (sans distinction d’âge ou de comorbidité) de ne pas être hospitalisé est de 99,5% et celle de ne pas être admis en réanimation est de 99,91%.

Justifier le reconfinement de 67 millions de Français sur cette base s’appelle un délire.

Hier, le 28 octobre, 3045 personnes étaient en réanimation. Comment parler de saturation lorsque l’on se souvient que, fin août, le ministre de la Santé annonçait 12.000 lits disponibles si besoin (quatre fois plus donc). Où donc sont ces lits ?

On dit alors : « Oui, mais l’hôpital est submergé par le Covid ».

Manipulation encore, pour trois raisons. D’abord, les tests ayant été généralisés depuis juillet, toute personne entrant à l’hôpital porteuse d’une trace du Covid est comptée comme un « hospitalisé Covid » même si elle vient en réalité pour son cancer ou son hypertension. Et c’est la même chose si elle entre en réanimation ou si elle décède.

Ensuite, si les chiffres de l’hospitalisation et de la réanimation augmentent bel et bien, cela n’a rien d’exceptionnel : c’est au contraire ce qui se produit chaque année à la même époque (automne-hiver) mais que l’on fait semblant d’avoir oublié. Un Alzheimer généralisé s’est-il emparé de nos politiques et des journalistes ? Faut-il rappeler qu’en janvier 2020, à la veille de la crise du Covid, 1000 médecins dont 600 chefs de service des hôpitaux avaient menacé de démissionner pour dénoncer « un hôpital public qui se meurt » ?

La vérité est que les gouvernements ne veulent pas investir dans l’hôpital public où l’on maltraite les professionnels et où l’on a perdu près de 70.000 lits en 15 ans lors même que la médecine de ville est saturée et que les services d’urgence voient leur fréquentation augmenter d’année en année. Oui, l’hôpital est en tension mais ce n’est pas fondamentalement à cause du Covid ! C’est essentiellement à cause de la maltraitance politique dont ce service public est l’objet de manière générale depuis plus de 20 ans, et tout particulièrement depuis que les politiques y ont introduit comme partout une politique du chiffre et de la rentabilité inspirée du management des grandes entreprises.

La vie sociale amputée, la démocratie en péril

La vérité est que le confinement (qui sera peut-être prolongé au-delà du 1er décembre) crée bien plus de problèmes qu’il n’en résout. Son bilan mondial n’est associé à aucune réduction mesurable de la mortalité tandis que son principal résultat observable est d’abord de mettre au chômage des centaines de milliers et peut-être demain des millions de personnes, surtout évidemment parmi les plus fragiles (emplois précaires, CDD, intérim, personnes payées à la prestation, saisonniers, etc.), et de menacer de disparition la plupart des petites entreprises, souvent familiales, autres que les commerces de bouche, dont l’activité quotidienne est la seule source de revenu. Gageons que les très grands groupes s’en satisferont car ils les rachèteront sans doute demain.

Ces mesures de confinement ont ensuite pour effet d’amputer la vie sociale de la plupart des liens sociaux autres que familiaux. Un certain style de vie et de pensée embourgeoisé s’en satisfaisait certes au printemps dernier, chaque enfant ayant sa chambre pour vivre son intimité, son ordinateur pour rester en contact avec l’école et son smartphone avec forfait illimité pour échanger en permanence avec ses amis, les parents faisant du télétravail, sortant chaque jour faire leur footing dans des rues et des espaces verts « où on entendait de nouveau les oiseaux », et se faisant livrer des repas à domicile s’ils avaient la flemme de faire à manger ou la peur d’aller se mêler à la populace dans un supermarché.

Mais de quelle proportion de la population cette vie est-elle le quotidien en confinement ? Qui ne voit que le confinement fait exploser les inégalités sociales, les échecs scolaires, les violences intra-familiales, les troubles psychologiques et les renoncements au soin ? Qui ne sait qu’il entraîne déjà dans d’autres pays des soulèvements et des émeutes de la faim ? Et qui comprend que les oiseaux ont bon dos et que ces petits moments de répit procurés par la panique des humains ne sont rien au regard de leur lente extinction ?

Quant à la démocratie, elle est mise sous cloche par l’état d’urgence permanent et le confinement. Qu’est-ce qu’une démocratie sans liberté d’aller et venir, de se réunir et de manifester ? Qu’est-ce qu’une démocratie où il n’y a quasiment plus personne dans les hémicycles des assemblées parlementaires ? Qu’est-ce qu’une démocratie où la justice est paralysée faute de pouvoir audiencer ? Qu’est-ce qu’une démocratie où, finalement, il n’y a plus qu’un pouvoir exécutif ? Qu’est-ce qu’une démocratie où tout ceci s’impose par la peur et la culpabilisation, voire la censure et la mise en accusation de quiconque refuse d’y céder ?

Chacun, en conscience, tirera les conséquences qu’il veut de tous ces dramatiques constats. Nous n’appelons pas à la révolution et nous ne faisons pas de politique partisane. Mais nous voulons dire que nous en avons plus qu’assez qu’on nous demande de nous comporter comme les moutons de Panurge au nom d’un principe de précaution totalement dénaturé et d’interprétations statistiques relevant de la manipulation.

Nous réclamons qu’on en finisse avec cette panique sanitaire, qu’on donne aux soignants les moyens de remplir leurs missions de santé publique, qu’on cesse de violenter des pans entiers de la société et qu’on sorte de cet état d’urgence permanent pour bâtir démocratiquement une politique sanitaire consensuelle.

Signataires :

  • Laurent Mucchielli, sociologue, directeur de recherche au CNRS
  • Laurent Toubiana, chercheur épidémiologiste à l’INSERM, directeur de l’IRSAN
  • Jean Roudier, professeur de médecine, rhumatologue, directeur de l’unité INSERM UMRs 1097
  • Paul Touboul, Professeur de cardiologie à l’université Lyon 1
  • Pierre-Yves Collombat, ancien sénateur du Var, ancien vice-président de la commission des lois
  • Jean-François Toussaint, professeur de physiologie à l’Université de Paris, ancien président des Etats Généraux de la Prévention
  • Marc Rozenblat, président du syndicat National des médecins du sport-santé
  • Christian Celdran, Directeur Régional des Affaires Sanitaires et sociales (DRASS) honoraire
  • Chantal Brichet-Nivoit, médecin et correspondante de l’Académie d’Ethique à l’Université de Paris
  • Dominique Eraud, médecin, présidente de la coordination nationale médicale santé environnement
  • Louis Fouché, médecin anesthésiste, réanimateur hospitalier
  • Bernard Marsigny, médecin anesthésiste réanimateur hospitalier
  • Gilles Perrin, médecin anesthésiste réanimateur
  • Bernard Swynghedauw, biologiste, directeur de recherche émérite à l’INSERM
  • Rose-Marie Castello, médecin du Travail
  • Sroussi Hubert, médecin généraliste (Montbéliard)
  • Cécile Bourdais, maîtresse de Conférences en Psychologie à l’Université Paris 8 Vincennes à Saint-Denis
  • Marie Estripeaut-Bourjac, professeur Émérite à l’Université de Bordeaux
  • Rémy Marchal, professeur des universités à l’École Nationale Supérieure d’Arts et Métiers
  • Marie-Laure Cadart, médecin et anthropologue
  • Jean-Jacques Vallotton, médecin généraliste (39)
  • Florence Lair, radiologue libérale, Blois
  • Gilles Guglielmi, professeur de droit à l’Université Paris II Panthéon-Assas, Directeur du Centre de Droit public comparé
  • Éric Desmons, professeur de droit public, université Sorbonne Paris Nord
  • Alain Wurtz, professeur émérite de Chirurgie Thoracique, Université de Lille
  • Bernard Dugué, ingénieur des Mines, docteur en pharmacologie, docteur en philosophie
  • Elizabeth Oster, avocat à la Cour, ancien membre du Conseil National des Barreaux
  • Arnaud Rey, chercheur en psychologie au CNRS
  • Mathias Delori, politiste, chargé de recherche CNRS
  • Alexandra Menant, docteur en biologie, chercheuse au CNRS
  • Alain Deville, physicien, professeur émérite à l’Université Aix-Marseille
  • Thierry Oblet, Maître de Conférences en Sociologie, Université de Bordeaux
  • Éric Plaisance, professeur de sociologie à l’Université Paris Descartes
  • Thierry Flaget, Conseiller principal d’éducation
  • Marc Cognard, professeur de biologie et physique-chimie en lycée
  • Cesare Mattina, enseignant/chercheur à Aix-Marseille Université
  • Nathalie Chapon, Enseignante et Chercheure à Aix-Marseille Université
  • Elise Carpentier, professeur de droit public à l’Université d’Aix-Marseille
  • Marc Roux, professeur Honoraire de Zootechnie
  • Pascale Gillot, Maître de conférences en philosophie, Université de Tours
  • Charalambos Apostolidis, Professeur de droit international à l’Université de Bourgogne
  • Didier Blanc, Professeur de droit public à l’Université de Toulouse
  • Christophe Leroy, Biologiste, Docteur en Biologie Moléculaire et Cellulaire
  • Dominique Domergue Anguis, gynécologue
  • Evelyne Fargin, professeur de chimie à l’Université de Bordeaux
  • David Lepoutre, professeur de sociologie, Université de Paris Nanterre
  • Isabelle Vinatier, professeur émérite de sciences de l’éducation à l’Université de Nantes
  • Marie Touzet Cortina, Maître de Conférences à l’Université de Bordeaux
  • Murielle Dellemotte, Médecin du Travail
  • Monique Lamizet, médecin
  • Bernard Lamizet, ancien professeur d’université à Sciences Po Lyon
  • Monique Romagny-Vial, professeur des universités
  • Jean-Jacques Robin, Juriste ancien directeur d’établissements médico-sociaux
  • Sébastien Aubert, professeur agrégé de Génie Mécanique, Ecole Nationale Supérieure d’Arts et Métiers
  • Laurence Maury, psychologue (psychologie sociale et cognitive)
  • Isabelle Aubert, Maitre de conférences HDR à l’Université de Bordeaux
  • Thierry Gourvénec, pédopsychiatre
  • Michèle Leclerc-Olive, chercheure retraitée CNRS-EHESS
  • Hélène Banoun, pharmacien biologiste, Docteur ès-sciences pharmaceutiques
  • André Cayol, enseignant chercheur retraité de l’Université de Compiègne Sorbonne
  • Shanti Rouvier, Docteure en Psychologie Clinique et Psychopathologie
  • Jean-Michel de Chaisemartin, psychiatre des Hôpitaux Honoraire
  • Gilles Mottet, enseignant artistique compositeur
  • Marta Barreda, Médecin généraliste, spécialiste en Santé Publique
  • Camille Allaria, Sociologue, chercheuse associée au CNRS
  • Pierre Duchesne, Psychanalyste
  • Michel Angles, médecin généraliste (12)
  • Daniel Robinson, médecin généraliste (Ecully)
  • Jean-Pierre Eudier, Chirurgien-Dentiste
  • Christian Perronne, médecin infectiologue
  • Christine Claude-Maysonnade, avocate (Tarbes)
  • Eugenia Lamas, chercheuse en éthique, INSERM
  • Hervé Joly, directeur de recherche CNRS, Lyon
  • Sylvie Laval, psychiatre
  • Daniel Chollet, médecin pneumologue
  • Brigitte Agostini, infirmière libérale, Propriano
  • David Esfandi, psychiatre-addictologue, Bordeaux
  • Thiou Sandrine, médecin généraliste à Besançon
  • Ariane Bourgeois, Avocat au Barreau des Hauts-de-Seine
  • Emmanuelle Lemonnier, médecin généraliste, Villenave d’Ornon
  • Jean-Jacques Coulon, médecin généraliste Bourges
  • Marc Richevaux, magistrat, maître de conférences à l’Université du Littoral Côte d’Opale
  • Jean-François Lesgards, biochimiste, chercheur au CNRS
  • Brigitte Weiss, Médecin généraliste
  • Laura Giusti, Médecin psychiatre
  • Mylène Weill, biologiste, directrice de recherche au CNRS
  • Eric Bouvier, pharmacien
  • Bernard Cornut, polytechnicien
  • Mohamed Zelmat, biologiste médical
  • Dominique Jaulmes, médecin retraitée, ancien PHTP AP-HP
  • Anne Marie Begue-Simon, ancien maître de conférences des Universités en sciences humaines, ancien médecin et expert honoraire près des Tribunaux
  • Tanguy Martinelli, médecin généraliste à Issigeac (Dordogne)
  • Caroline Mecary, Avocate aux barreaux de Paris et du Québec, Ancien Membre du Conseil de l’Ordre
  • Bernard Banoun, Professeur de littérature allemande, Sorbonne Université, Faculté des Lettres
  • Hugues Debotte, Conseiller en droit
  • Sendegul Aras, avocat au barreau de Strasbourg, Membre du Conseil de l’Ordre
  • Amandine Thomasset, psychiatre, praticien hospitalier
  • Lisbeth Girard Claudon, Médecin généraliste
  • Benoît Rousseau, juge des libertés et de la détention (Cayenne)
  • Cécile Fortanier, docteur en Économie de la Santé, Cadre Hospitalier
  • Delphine Rive, médecin généraliste (Rezé)
  • Claude Gautier, professeur de philosophie, École Normale Supérieure de Lyon
  • Nathalie Caradot, médecin généraliste
  • Michel Soussaline, chirurgien AIHP- ACCAHP
  • Nicolas Sembel, professeur de sociologie à Aix-Marseille Université
  • Roland Pfefferkorn, professeur émérite de sociologie à l’Université de Strasbourg
  • Maryse Esterle, sociologue, enseignante-chercheure honoraire de l’université d’Artois
  • Lucie Jouvet Legrand, Maîtresse de Conférences en Socio-Anthropologie
  • Caroline Petit, chercheuse au CNRS, USR 3608
  • Pascal Lardellier, Professeur de sciences de la communication à l’Université de Bourgogne
  • Aurélia Vessière, Chercheur en maladies infectieuses
  • Marie-José Minassian, philosophe
  • Fausto Lanzeroti, Ostéopathe D.O.
  • Jean-Marc Le Gars, Avocat au Barreau de Nice
  • Michel Deshaies, Professeur de Géographie, Université de Lorraine
  • Thierry Orsiere, Ph D HDR, Ingénieur de Recherche en Toxicologie Génétique à Aix Marseille Université
  • Jean-Luc Viaux, professeur émérite de psychologie à l’Université de Rouen
  • Jacques Bouaud, chercheur en informatique médicale
  • Jean-Michel Crabbé, médecin généraliste (Besançon)
  • Patrick Bellier, pneumologue
  • Isabell Erhardt, médecin généraliste
  • Franklin Joulie, Chirurgie Gynéco-Obst (Nantes)
  • Pascal Sacré, Anesthésiste-réanimateur
  • Aurélien Dyjak, docteur en sociologie, formateur
  • Jean-Luc Stanek, Santé Navale et chirurgien-dentiste
  • Jeanine Jemet, médecin généraliste
  • Rosa Gutierrez Silva-Lenud, infirmière, diplômée en Santé publique
  • Claude Amzallag, musicien
  • Bénédicte Helfer, Expert Science de Régulation
  • Nicole Foulquier, Avocat (Beziers)
  • Claude Murtaza, médecin généraliste
  • François Gastaud, Chirurgien orthopédiste
  • Gérard Ostermann, Professeur de Thérapeutique, Médecine Interne, Psychothérapeute
  • Michel Boudet, Médecin généraliste
  • Anne-Elisabeth Migeon, Diététicienne/Nutritionniste
  • Béatrice Adam, Kinésithérapeute
  • Maylis Ferry, post-doctorante en science politique au Centre Émile Durkheim
  • Pierre Sonigo, directeur de recherche et développement
  • Rik Verhellen, médecin généraliste
  • Alain Le Hyaric, Médecin de Santé publique, Paris
  • Koryna Socha médecin, PH, docteur en sciences médicales
  • Jean Baptiste Mouzet, praticien hospitalier gériatre, Maine-et-Loire
  • Gérard Le Roux, médecin généraliste retraité
  • Jean Jacques Gandini, Avocat honoraire, Montpellier
  • Marie Monguet, psychologue clinicienne
  • Jean-Marc Rehby, médecin généraliste (Lille)
  • François de Chabalier, psychiatre, épidémiologiste
  • Cynthia Galand, infirmière diplômée d’état
  • Jérôme Reynier, Docteur en psychologie sociale
  • André-Pierre Bouillet, médecin généraliste (Talant)
  • Jean-Dominique Michel, socio-anthropologue
  • Maryse Pechevis, Avocat à la Cour (Montpellier)
  • Nadège Pandraud, enseignant-chercheur à Aix-Marseille Université
  • Didier Delaitre, médecin légiste, Le Bourget
  • Peter El Baze, médecin Ancien attaché des Hôpitaux du CHU de Nice
  • Heike Freire, philosophe et psychologue, spécialiste de la Pédagogie Verte
  • Dominique Leiber, médecin généraliste
  • Pascal Roman, Professeur de Psychologie clinique, psychopathologie et psychanalyse à l’Université de Lausanne
  • Maxime Langevin, Doctorant en mathématiques appliquées
  • Hélène Chollet, Docteur en médecine
  • Béatrice Petit, médecin généraliste
  • Raphaël Sendrez, masseur-kinésithérapeute et ostéopathe
  • Nicole Chaudiere, pharmacienne
  • Karim Souanef, maître de conférences en sociologie à l’Université de Lille
  • Vincent Manns, médecin généraliste acupuncteur
  • Martine Mérour, pneumologue
  • Myriam Balsat, médecin généraliste
  • Yves-Marie Mattheyses, Infirmier Anesthésiste
  • Anne Atlan, Directrice de Recherches au CNRS, Généticienne des populations et Sociologue
  • Caroline Mouzet-Heaulme, Médecin généraliste
  • Dominique Bouvier, pharmacienne
  • Nicole Roattino, pharmacienne Praticien Hospitalier
  • Evelyne Jaumary-Lapeyre, avocat, docteur en Science Politique
  • Sybille Burtin-Philibert, Médecin spécialiste de Santé Publique
  • Laurent Durinck, médecin anesthésiste
  • Véronique Ahari, médecin nutritionniste
  • Nathalie George, médecin du travail et épidémiologiste
  • Frédéric Schnee, médecin gériatre coordonnateur en Ehpad
  • Thierry Medynski, médecin généraliste
  • Teddy Francisot, Avocat à Montpellier
  • Blanche Magarinos-Rey, avocate au Barreau de Paris
  • André Bonnet, avocat au barreau de Marseille
  • Hélène Palma, maître de conférences à l’Université d’Aix-Marseille
  • Jean Luc Wabant, avocat
  • Guy Chapouillié, Professeur Emérite à l’ENSAV de Toulouse
  • Évelyne Gandais, Dermatologue
  • Nicole Karsenti, Médecin généraliste
  • Fabien Giboudot, médecin généraliste (39)
  • Gwennola Nouet Berthelot, docteur en médecine (49)
  • Édith Delbreil, avocate au barreau d’Avignon
  • Serge Rader, Pharmacien, Paris
  • Valérie Giraud, Sage-femme sexologue
  • Emmanuel Sarrazin, médecin généraliste
  • Franck Enjolras, psychiatre et anthropologue
  • Anne Catherine Martin, médecin généraliste
  • Paul-André Bellot, chirurgien dentiste
  • Francine Barouch, médecin Homéopathe (Nice)
  • Catherine Delmas, médecin généraliste, Toulouse
  • Jean Emsallem, médecin angéiologue
  • Morgane Miègeville, cadre de santé
  • Patricia Melot, médecin généraliste
  • Sylvie Huitorel, infirmière libérale (56)
  • Marc Arer, médecin généraliste (Saint-Etienne)
  • Philippe Bos, anesthésiste-réanimateur retraité
  • James Masy, maître de conférences en sciences de l’éducation à l’Université Rennes 2
  • Benoit Marpeau, maître de conférences en histoire, université de Caen-Normandie
  • Anne-Gabrielle Mottier, orthophoniste
  • Lidia Wacheux, aide-soignante
  • Bénédicte Dassonville, médecin généraliste
  • Christophe Dargere, sociologue, chercheur associé au Centre Max Weber
  • Tamara Baron, psychologue
  • Dominique Géraud-Coulon, médecin rééducateur (Gap)
  • Pierre Maugeais, médecin généraliste (30)
  • Françoise Giorgetti-D’Esclercs, médecin Oto-rhino-laryngologiste, CHU Marseille
  • Paul Report, retraité, ancien magistrat des tribunaux administratifs et cours Aude Meesemaecker, infirmière, naturopathe, Montpellier
  • Marianne Bordenave-Jacquemin, maître de conférences en physiologie végétale, Sorbonne-Université
  • Emmanuel Krivine, chef d’orchestre, directeur honoraire de l’orchestre national de France



La dynamique de réduction

[Source : https://mfmeuron.blog.tdg.ch via Réseau International]

par Marie-France de Meuron.

Je suis frappée par toutes les réductions dans lesquelles nous sommes plongés actuellement, comme si nous devions être acculés au fond d’une impasse, non seulement économique, mais aussi mentale, culturelle, sanitaire, sociale, sociétale, fraternelle, en un mot …existentielle ! Chacun ou chaque groupe de personnes en subit les inconvénients ou alors en tirent les avantages, dans la mesure inéluctable où nous sommes soumis à des lois d’équilibre inhérentes au cosmos.

Un philosophe nous rappelle une disposition d’esprit appropriée à diverses circonstances : «  Ressentir ce qu’exige la situation : la juste émotion, vis-à-vis du bon objet, au bon moment et au juste degré ».

Mais sommes-nous encore à même de fonctionner avec tous nos potentiels et capacités ? La peur devient le maître à penser dans plusieurs situations quotidiennes. Elle conduit ainsi à une réduction de la réflexion de maintes décisions des autorités. Un auteur présente bien l‘envergure du problème à l’annonce du reconfinement : « Covid : quand la gouvernance perd la raison. Arrêter un pays parce qu’un coronavirus continue de circuler est une folie aux conséquences incalculables ».

On peut lire aussi : « la Confédération mise désormais de plus en plus sur les masques pour lutter contre le coronavirus« . Ainsi, on en arrive à une réduction de la vision en misant sur un paramètre alors que les lois du développement d’une maladie sont bien plus complexes. Réduction qui s’accompagne d’une réduction du vocabulaire : « Alain Berset a appelé lundi à une remobilisation générale face au coronavirus…., il a souligné « le besoin d’une réaction forte » alors que le Conseil fédéral annoncera mercredi de nouvelles mesures« . Cette réaction forte n’est qu’au niveau de mesures qui ont prouvé leurs limitations, rien au niveau de la réceptivité des êtres humains aux microorganismes ni aux conditions environnementales qui influencent cette propagation.

De son côté, le Figaro relève : « Couvre-feu : « Liberté et responsabilité deviennent des mots sans valeur en France ». Que nous reste-t-il quand nos activités sont pareillement brimées et que la responsabilité de notre santé est détenue par des mesures sanitaires ou des experts limités à leurs spécialités qui, de ce fait, en perdent la vue d’ensemble et écartent même des professeurs chevronnés voire licencient des médecins – dont on a urgemment besoin – parce qu’ils informent de la réalité des faits dans leurs interactions, faits que le système dirigeant réduit à des données chiffrées (même si enrobés de propos grandiloquents).

Je suis très perplexe quant au type de réduction de la réflexion scientifique qui aboutit par exemple à un revirement fondamental effectué par un virologue, suivi par tous ceux qui s’appuient sur lui et ceci malgré le fait qu’il avait déjà effectué un tel revirement lors de la grippe porcine. Il est affligeant qu’on doive en arriver à utiliser la voie juridique pour replacer la vérité et chercher à se faire dédommager des conséquences dramatiques de ce revirement.

Nous sommes témoins aussi de la réduction de la pensée politique avec l’illusion qu’on peut supprimer ce virus, sans imaginer les gros couacs possibles « Si le vieux continent adopte une stratégie de « contrôle » de la circulation du virus, l’Australie et la Nouvelle Zélande tentent de « supprimer » toute apparition de foyer épidémique. Une politique qui s’accompagne de restrictions drastiques des libertés individuelles« . Cette réduction est telle qu’on oublie qu’il y a des soins à porter à la population autres que ceux nécessités par le covid-19. « Mais le coût des politiques mises en place n’est pas simplement économique : un coût humain parfois considérable est aussi à déplorer. Ces dernières semaines, la presse anglophone faisait état de l’augmentation de la mortalité chez les enfants de la ville de Melbourne en raison de la hausse des accidents domestiques survenus suite aux mesures de confinement. » À quoi se sont ajoutées les conséquences infectieuses dues à des « Seringues et appareils réutilisées dans un hôtel de quarantaine ».

La dynamique en cours réduit les êtres humains à des sujets – considérés comme des objets du moment où ils sont comptabilisés en tant que cas – stigmatisés par le coronavirus, hospitalisés ou morts sans tenir compte de leurs propres états de santé à la source de leurs vulnérabilités ; leurs identités humaines ont également été réduites quand ils ont dû mourir à l’écart de leurs êtres chers.  Dans le même ordre d’idée, on réduit la dignité et la protection des humains à des mesures préventives, masques, confinements, vaccins au lieu de les soigner pour renforcer leurs immunités. C’est une simplification qui montre à quel point la pratique médicale s’est réduite.

C’est aussi dans la méthode de diagnostic qu’on trouve une réduction en un test PCR qui lui-même détient ses propres limitations puisque remis en cause par divers médecins qualifiés. « Mensonges, maudits mensonges et statistiques sanitaires du Royaume-Uni : Le danger mortel des faux positifs« . L’article est très long mais démontre bien à quel point le sujet est complexe et que vouloir gérer une épidémie en s’appuyant sur ces tests est très réducteur alors quecomme l’affirme très fermement l’auteur : « La méthode scientifique ne quitte jamais une personne qui a suivi une formation et travaillé comme scientifique professionnel ».

Un médecin soulève aussi le problème d’obtenir un indicateur qui différencie une PCR positive forte d’une PCR positive faible. Par conséquent on constate une réduction de la valeur du test.

De plus, la population fait preuve d’une réduction de conscience : « En se soumettant aux tests PCR avec docilité, la population maintient sans le savoir la propagande de terreur (non basée sur les faits) des gouvernements ainsi que l’état de « transe hypnotique » induit par les mesures autoritaires liées à la crise sanitaire ».

En réalité aujourd’hui, la science se confond avec les mathématiques, les statistiques, les modélisations, l’économie et la politique. Il est ainsi beaucoup plus facile de discourir en s’appuyant sur des chiffres sonnants et trébuchants. Chacun en vient à donner son avis, sûr des chiffres à sa disposition et sans connaissances de l’ensemble de la situation. De ce fait, deux prix Nobel d’économie recommandent un confinement de tout le territoire du 1er au 20 décembre. « Ils affirment encore : « Les citoyens responsables vont bientôt faire face à des dilemmes cornéliens entre leurs différents devoirs, et il est déraisonnable de ne pas les guider dans ces choix ». Ainsi, ils prétendent guider les citoyens « responsables » en réduisant leurs pouvoirs de soupeser les différents paramètres en jeu puisqu’ils devraient se soumettre au confinement. Leurs sources d’information sont bien réduites puisque « le directeur régional de l’Organisation mondiale de la santé pour l’Europe, Hans Kluge, estime que les gouvernements devraient cesser d’appliquer des mesures de confinement, sauf en cas de « dernier recours », car l’impact sur d’autres domaines de la santé et du bien-être mental est plus néfaste ».

Un chirurgien urologue de longue expérience se pose la question fondamentale : « Pourquoi le gouvernement se prive-t-il, et nous avec, volontairement, de ce qui peut peut-être marcher, quand on n’a rien d’autre à proposer ? » Il donne son avis bien planté dans la réalité concrète et propose : « Covid : d’autres solutions que le confinement ? » On peut évoquer ici une réduction des moyens d’action.

Alors que d’autres solutions sont offertes pour renforcer la santé de la population et de ceux qui prennent la responsabilité des systèmes de leurs corps, voilà que j’apprends « L’ANNULATION DU SALON THERAPEIA des 21 & 22 NOVEMBRE 2020, à YVERDON ». À souligner aussi que lors du premier confinement, les thérapeutes alternatifs avaient reçu l’ordre de fermer leurs centres de soins. On assiste vraiment là à une réduction des moyens de prévention des maladies, en réduisant la visée à un seul virus, alors que la santé découle d’un équilibre de très nombreux microorganismes. Ce n’est pas parce qu’on lui voit une couronne au microscope qu’il faut le nommer empereur de tous les microbes !

Le projet de donner un terme à cette épidémie est concentré sur un vaccin, donc réduit à un mode de lutter contre un microorganisme. Seulement voilà, le concept du vaccin paraît simple et on cherche à en persuader le peuple en réduisant au maximum, d’une part, les paramètres nécessaires à sa création et, d’autre part, les multiples réponses des organismes humains à qui, de plus,  il est injecté de force dans la mesure où la barrière épidermique n’est pas prise en compte. D’autre part, de premières alertes sont lancées suite à une recrudescence de la covid 19 après la vaccination antigrippale. Ce qui s’expliquerait par une réduction d’immunité due à cet autre vaccin.

Il est cocasse de mentionner que pour faire un vaccin, on doit passer par une réduction d’un virus à un modèle breveté car le naturel ne peut pas être breveté. Donc même dans ce cas le système scientifique passe par une dynamique réductrice!

Nous sommes confrontés aussi à la réduction des traitements possibles en relation aussi avec les divergences dans le monde médical, tant entre les médecins eux-mêmes que dans leurs dénis des autres médecines qui peuvent présenter un effet important spécialement au stade précoce de la maladie. Comme le rappelle avec beaucoup de conscience un médecin de famille : « Covid-19 : on ne soigne pas des tests, mais des personnes malades ! » Il est vraiment tragique qu’on doive rappeler qu’il ne s’agit pas de réduire les êtres humains à des résultats de tests.

La réduction des traitements va aussi à la réduction des aînés : « Entre le mois de mars et le mois de mai dernier 13 464 doses « supplémentaires » de Rivotril ont été délivrées Cela pourrait représenter un tiers voire la moitié de tous les décès pendant la « pandémie » ! Cette molécule est destinée à abréger les souffrances des malades de la Covid« . Abréger arbitrairement les souffrances avec un médicament est une réduction du vécu et non un accompagnement actif avec bienveillance dans une intention d’apaisement.

On réduit aussi l’état de santé globale par un stress à répétition, en créant une épidémie de peur avec ses conséquences que décrit si bien « la Dre G. F., médecin-psychiatre : La peur hypnotique distillée jour après jour dans tous les médias nous maintient dans un état de sidération qui empêche toute réflexion et toute mise en perspective de ce qui nous arrive. »

Un informaticien explique le processus de la propagande de la peur et comment plus personne ne croit plus à rien – réduction de la confiance –Sur sa lancée dynamique, il démontre comment l’élan de vie peut « regonfler les voiles », semer dans l’esprit des gens « les graines de l’analyse critique » et « Rompre la spirale de la peur« .

En plongeant dans la peur, on se retrouve dans un état de soumission dans la passivité comme nous le décrypte un professeur de cardiologie.

Voici une nouvelle qui laisse songeuse : « L’Argentine ne parvient pas à enrayer l’avancée du coronavirus. Malgré des mesures d’isolement prises très tôt et le plus long confinement du monde dans Buenos Aires et sa région, le pays paie un lourd tribut à la maladie ». Un pareil constat démontre un manque d’initiative pour trouver soi-même, en fonction des lieux et de ses habitants, des solutions plus efficaces. Cette rigidité à persister plus que tout autre pays à un confinement qui n’apporte pas de réel bénéfice dénote d’une forte réduction de l’imagination !

Dans un autre domaine, on veut aussi imposer un mode de travailler monobloc qui semble techniquement et conceptuellement satisfaisant. Toutefois, « Covid-19 : les entreprises ne sont pas prêtes pour une nouvelle période de télétravail obligatoire. La réduction de considération pour les travailleurs déjà éprouvés conduit à une situation pénible : « L’absence d’interactions sociales peut engendrer une perte de performance chez le collaborateur s’il se sent trop isolé« .

De son côté, un économiste accuse le gouvernement français de réduire les emplois comme du jamais vu depuis la Deuxième Guerre Mondiale. Le premier confinement a détruit 700 000 emplois, qui se transformeront bientôt en une destruction d’un million d’emplois, et même 1,5 million d’emplois après le deuxième confinement, selon les économistes.

Evidemment, d’autres pays déplorent aussi la perte d’emploi : 30 000 emplois menacés chez Lufthansa ou en Suisse : « Jusqu’à 100 000 emplois menacés dans la restauration. Mardi, le président de Gastrosuisse a manifesté son inquiétude face aux nouvelles mesures qui touchent le secteur de la restauration. Des emplois sont à la clé ».

On peut aussi évoquer la réduction des pouvoirs quand nous apprenons que « Macron reconfine, la société française à nouveau bloquée. Pour la première fois, en régime d’exception sanitaire, la bureaucratie s’imagine vivre sans la société ou, au pire, la remplacer dans son fonctionnement essentiel. Effectivement « Coronavirus : à qui profite la crise économique mondiale ? Ainsi, la réduction de l’économie est « recyclée »…

Voici un exemple très percutent d’un autre type de dynamique réductive, tant pour celui qui en est l’acteur par sa réduction de l’éthique que pour celui qui la subit et s’appauvrit atrocement : « Le FMI profite de la « pandémie » pour endetter 81 pays ! L’énorme bouleversement économique causé par la « pandémie » du Covid-19 offre une occasion unique de modifier fondamentalement la structure des sociétés. Le Fonds monétaire international (FMI) profite des bouleversements actuels pour continuer de mettre en œuvre des mesures d’austérité quasi perpétuelles à travers le monde ».

Avec toutes les mesures, nous subissons aussi la réduction de la démocratie. Un commentateur, Cornelle V l’exprime ainsi : « Il y a peu, si on nous avait dit que la démocratie et la liberté seraient abolies en Europe occidentale, qui l’aurait cru ? ? ?

Personne ! ! !

Aujourd’hui, pour des raisons SANITAIRES, la démocratie et les libertés, C’EST FINI ! FINI !

Des mesures de confinement et de couvre-feu sont prises par les gouvernements SANS PASSER PAR LES PARLEMENTS, et sont appliquées sans que personne ne proteste ! Et tout à coup, tous les partis politiques sont devenus aphones ! APHONES! On n’entend plus rien !

Réduction aussi de la scolarisation des enfants : « Les écoles belges prolongent les vacances de la Toussaint. Pourtant, le bilan de l’école à distance est contrasté selon l‘expérience d’autres écoles.

J’ai lu aussi une observation qui mérite réflexion pour sa grande portée :  les masques conduisent à la réduction de notre espace public par l’espace médical« .

Les services religieux sont également réduits : Réduc des fidèles à Noël. Même le pape se soumet à César et ses mesures sanitaires alors qu’on  prétend que c’est en raison de la « pandémie » : « Le pape privé de fidèles pour les cérémonies de Noël, Le souverain pontife officiera sans fidèles pour les messes de l’Avent et de Noël en raison de la « pandémie » de Covid-19. Les cérémonies, qui se dérouleront « sous une forme privée », seront diffusées en ligne ». Sans doute, le pape est privé de ses fidèles mais on ne mentionne pas la réduction des interrelations entre les fidèles qui, par leurs ferveurs et leurs compassions peuvent être des sources de santé bien plus intenses et fondamentales que leurs éventuels postillons !

L’imposition des masques nous incitent à la réduction de la conscience de respirer : même en sortant d’un lieu clos, les gens n’ont plus conscience de la limitation de l’air inspiré et du milieu clos dans lequel ils expirent et certains gardent leurs masques, de même que dans leurs voitures.

Nous arrivons à la réduction de l’autonomie par le puçage que je ne développerai pas ici. Qui rejoint aussi la perte d’autonomie de forger son système immunitaire, aussi bien quand il y a des restrictions de sortir, des interdictions de fréquenter des lieux sains ou encore par vaccins obligatoires.

Nous subissons aussi l’arbitraire de la réduction des vidéos selon leurs messages hors pensée unique à laquelle les médecins sont censés se soumettre. Certains restent fidèles à eux-mêmes et cherchent à éveiller leur confrères par un « Message d’un médecin américain à tous les médecins. La Conscience doit prévaloir sur les réponses programmées du conditionnement mental humain et de la manipulation par la peur ». Malgré des millions de vue en 2 ou 3 jours, elle a été supprimée par les grands réseaux, ce dont Le Monde informe. Évidemment, on trouve l’accusation de « désinformation » mais aucune explication de ce qui anime les auditeurs à écouter les critiques de médecins concernant le port du masque et leurs intérêts à prescrire de l’hydroxychloroquine.

La pensée unique prêche principalement pour les études randomisées en double aveugle, comme un credo fondement de sa science. Malgré les réductions qu’elles présentent, on leur accorde la priorité en évacuant les études observationnelles qui sont davantage ciblées. Je ne vais pas approfondir ici car cela nécessiterait de discuter d’une église qui décrète « hors de Moi, point de salut ! »

Dynamique de réduction hors du contexte du coronavirus

Évidemment, cette dynamique ne date pas du déclenchement de l’épidémie mais s’est mise en place en quelques décennies, tout en s’intensifiant ces dernières années.

Il est question de la réduction de la population. Cette dynamique a stimulé différentes initiatives. Parmi elles, je relève : Stérilisation de masse au Kénya suite à une vaccination.

Dans un tout autre domaine, on peut se poser la question du pourquoi on réduit autant les témoins des attentats en France en les tuant. Il me semble que les policiers ont assez de métier pour neutraliser sans tuer aussi fréquemment des humains malfaisants.

Encore sur un tout autre plan, le service du feu a renoncé dans ma commune à faire son contrôle. Y aurait-il réduction des risques en cas de confinement ?!

Quel avenir pour la dynamique de réduction ?

Une réduction est une forme de contraction, donc elle va appeler une décontraction car les forces de vie restent actives, même en apparente sourdine. Elles vont amener une expansion qui correspond bien à la dynamique de croissance et d’évolution de tout être vivant.

Il nous reste à demeurer vigilants pour repérer les prémisses de ces forces de décontraction et d’expansion afin de ne pas les retenir davantage, ce qui amène des souffrances et, surtout, d’avoir la joie de découvrir l’expansion de notre santé.

Quelles prises de conscience nous incite-t-elle à faire ?

J’ai retenu 2 vidéos soigneusement présentées par des hommes bien impliqués dans leurs témoignages.

La première nous fait ressentir l’état de violence que nous avons accumulée et qui nous a conduits à oublier toute forme de vie à commencer par nous-mêmes. Si nous acceptions d’entreprendre un retournement de nos attitudes, alors « LE CORONAVIRUS EST NOTRE SAUVEUR – Déclic-19

La seconde nous invite à « Saisir les opportunités de la COVIDCOMÉDIE (crise admirablement orchestrée) ». L’auteur cherche à répondre aux questions indispensables si nous voulons nous libérer de l’emprise de l’ambiance actuelle : Comment conserver un esprit apaisé, une joie de vivre avec toute cette manipulation autour de nous, cette COVIDCOMÉDIE, cette crise inventée de toute pièce ? Comment saisir les opportunités de cette crise ? Est-il possible de rester centré, aligné avec ses valeurs, de voir les opportunités de la crise, de continuer à avoir des projets, des rêves, de l’enthousiasme, alors que l’oppression et la dictature s’imposent de plus en plus autour de nous ?

Marie-France de Meuron




La mondialisation… en marche — 9 alertes rouges

[Source et auteur :] Alain Nicolaï
[Cf : L’Assemblée nationale face à ses responsabilités]

[Avec la participation de Nouveau Monde]

Neuf alertes rouges pour vous faire bien comprendre que leur « Monde d’après » sera bien pire que le monde d’hier.

Alerte rouge n° 1 : La haute finance.

Préambule :

À l’origine, la monnaie était créée et gérée par les États, au fil du temps des intérêts privés ont réussi, à force de manigances et de coups tordus, à déposséder les États de la création monétaire. Par exemple, la FED, Federal Reserve System [Système de Réserve Fédérale], la Réserve fédérale est la banque centrale des États-Unis, est un organisme privé.

« Il y a tant de présidents (américains) qui ont lancé des avertissements à répétition contre le pouvoir de l’argent ! Tant de sessions au Congrès et d’affaires juridiques qui ont incontestablement démontré le caractère privé de la Réserve Fédérale ! »

Hongbing Song, La guerre des monnaies, Le Retour aux Sources, Paris, 2013, page 123.

Ce système propulsé par le FMI, c’est étendu pratiquement à l’ensemble de la planète, actuellement de très rares États sont encore maîtres de leurs monnaies comme la Corée du Nord et Cuba.

« Donnez-moi le contrôle de la monnaie d’une nation et je n’aurai pas à me soucier de ceux qui font les lois. »

Mayer Amschel Rothschild (1743–1812)

« Je pense que les institutions bancaires sont plus dangereuses pour nos libertés que des armées entières dressées. »

Thomas Jefferson, président des États-Unis de 1801 à 1809.

« Lorsqu’un gouvernement est dépendant des banquiers pour l’argent, ce sont ces derniers, et non les dirigeants du gouvernement, qui contrôlent la situation, puisque “la main qui donne est au-dessus de la main qui reçoit”. […] L’argent n’a pas de patrie ; les financiers n’ont pas de patriotisme et n’ont pas de décence ; leur unique objectif est le gain. »

Napoléon Bonaparte 

« Je suis un homme des plus malheureux. J’ai inconsciemment ruiné mon pays. Une grande nation industrielle est contrôlée par son système de crédit. Notre système de crédit est concentré dans le privé. La croissance de notre nation, en conséquence, ainsi que toutes nos activités sont entre les mains de quelques hommes. Nous en sommes venus à être un des gouvernements les plus mal dirigés du monde civilisé, un des plus contrôlés et dominés, non pas par la conviction et le vote de la majorité, mais par l’opinion et la force d’un petit groupe d’hommes dominants. »

Woodrow Wilson, président des États-Unis de 1913 à 1921.

Alerte rouge n° 2 : Le capital et le capitalisme

« Au demeurant, la survie de l’entreprise n’est pas un objectif de l’économie de marché : celle-ci cherche en effet à assurer la maximisation de la rentabilité du capital, ce qui passe par la réallocation (sic) permanente dans les secteurs les plus rentables, fut-ce au prix de la destruction des entreprises qui, à un moment donné, l’utilisent. Leur survie n’est donc pas de l’intérêt du capitalisme et elles ne survivent qu’aussi longtemps qu’elles permettent à ceux qui y investissent de faire le maximum de plus-values et de profits : et leur loyauté ne résiste pas à une chute de l’espérance de gains. L’entreprise est ainsi, pour l’actionnaire, comme une sorte de prostituée dont le mépris qu’elle inspire à son client augmente avec le plaisir qu’elle lui procure. »

Jacques AttaliSurvivre aux crises Fayard, Paris, 2009, page 207.

Qu’en conclure ?

1) À la lecture de ce texte, on comprend facilement que le sort des travailleurs, et donc de leurs familles, est le cadet de leurs soucis. Plus surprenants, l’entreprise et donc les entrepreneurs sont aussi jetés sans état d’âme avec l’eau du bain !

2) On comprend aussi facilement que ces gens-là n’ont aucun respect pour le travail. Ils n’ont de considération que pour la rente et les profits.

3) La dernière phrase est d’un cynisme absolu, elle révèle abruptement la mentalité égoïste de certains capitalistes. Par respect pour l’espèce humaine, on ose cependant croire que cet état d’esprit est exceptionnel !

« Le moteur du capitalisme financier apparaît plus clairement que jamais : la cupidité. »

« Les marchés, étant globaux sans que l’état de droit le soit, prennent peu à peu le pas sur l’état de droit de chaque nation et sur la démocratie supposée le fonder. »

« Nul ne peut évidemment croire que le capitalisme financier se moralisera tout seul. À l’heure actuelle, il est prêt à tout, ou presque, pour que les contribuables aient assez peur de leur propre avenir pour accepter sans trop rechigner de financer ses erreurs. Mais, sitôt qu’il le pourra, il recouvrera sa superbe et recommencera à se développer dans son intérêt propre, en poussant les autres à s’endetter pour son seul bénéfice. »

« Depuis que le capitalisme a pris le pouvoir, la crise semble même être son état naturel. »

Jacques AttaliLa crise, et après ? Fayard, Paris, 2008.

« Les pouvoirs n’aiment terroriser les peuples que lorsqu’ils disposent aussi d’un moyen de les rassurer. »

Jacques Attali, Au-delà de nulle part. LGF — Livre de Poche, Paris, 1999.

Alerte rouge n° 3 : Les médias et le pouvoir.

4 agences de presse influencent toute la population mondiale. www.réseauinternational.net

« Les agences de presse sont rarement le point de mire du public. Pourtant, elles sont parmi les catégories de médias les plus influentes et en même temps parmi les moins connues. Ce sont des institutions clés avec une importance substantielle pour chaque système de médias. Elles sont le centre nerveux invisible qui relie toutes les parties de ce système. »

(Wolfang Vyslozil, ancien gérant d’APA)

C’est l’un des aspects les plus importants de notre système médiatique, et pourtant presque inconnu du public ; la plus grande partie des nouvelles internationales dans tous les médias principaux provient de quatre agences de presse seulement : New York, Londres, Paris et Berlin. La position de monopole de ces agences a plusieurs conséquences : elles déterminent le choix des reportages, elles décident de quoi on parle et de quoi on ne parle pas, et il est évident que les reportages sont très uniformes et ils sont souvent simplement copiés. (www.réseauinternational.net)

Rappel :

« Les riches achètent les médias pour donner de l’information bien choisie aux pauvres » ce qui dit autrement veut dire qu’on nous cache beaucoup de choses.

Bourdieu

Encore une manipulation de Macron : faire payer les Français pour la dette de la presse, Les médias officiels vous enfument, Macron veut nous faire payer l’addition. (Résistance verte)

Dans son édito du Trimestriel d’informations Tous contribuables de septembre — novembre 2020, son directeur Eudes Beaufreton résume parfaitement la situation actuelle :

« Car avec la crise du covid, l’État a réussi ce tour de force extraordinaire (avec l’aide des médias dominants) de nous faire croire que sans son intervention à tout bout de champ, nous allions tous mourir. »

Le Viol des foules par la propagande politique, Serge Tchakhotine, Tel Gallimard, Paris, Présentation par l’éditeur. Quatrième de couverture.

Censuré en 1939 par le ministère français des Affaires étrangères, détruit en 1940 par les Allemands, ce livre a été finalement réédité au début des années 1950 dans sa version actuelle augmentée et actualisée. C’est un traité classique de psychologie sociale qui cherche à démonter comme à comprendre les mécanismes auxquels obéissent les foules, les masses et, plus généralement, la formation de la volonté politique et l’action politique. Quatre impulsions affectives primaires sont mises en œuvre par la manipulation propagandiste et idéologique : l’agressivité, l’intérêt matériel immédiat, l’attirance sexuelle au sens large, la recherche de la sécurité et de la norme. Cette psychologie sociale discute, bien sûr, Freud, mais aussi Jung, Tarde et Pavlov. C’est bien évidemment sur le terrain historique de l’affrontement entre propagande nazie et résistance social-démocrate que l’auteur se situe dans un premier temps pour analyser les raisons du fulgurant succès de Hitler et celles de l’échec de la démocratie. Mais il étend ses investigations au-delà de ces événements, et traite aussi de la propagande soviétique, de l’affrontement idéologique de la guerre froide, du pacifisme, bref des formes générales de la propagande, de sa réussite ou de son échec, ainsi que des moyens d’y résister, ce qui conduit l’auteur, savant biologiste, à parler ici en sociologue et, surtout, en pédagogue.

Alerte rouge n° 4 : La politique politicienne.

« La politique ne consiste pas à faire taire les problèmes, mais à faire taire ceux qui les posent. » « Quand vous êtes embêtés, embrouillez tout. »

Henri Queuille, membre du parti radical-socialiste, plusieurs fois ministre sous la Troisième République française.

Un bel exemple de politicards qui a fait des émules… En premier et essentiellement, ce genre de chenilles républicaines ne fondent leurs causes que sur leurs intérêts personnels. Ils cherchent le pouvoir, non pas pour aider honnêtement leurs semblables, mais pour les dominer et en tirer, seul, ou avec d’autres, des avantages et/ou des profits.

« La majorité des hommes politiques, à en croire les éléments dont nous disposons, ne s’intéressent pas à la vérité, mais au pouvoir et au maintien de ce pouvoir. Pour maintenir ce pouvoir, il est essentiel que les gens demeurent dans l’ignorance, qu’ils vivent dans l’ignorance de la vérité, jusqu’à la vérité de leur propre vie. Ce qui nous entoure est donc un vaste tissu de mensonges, dont nous nous nourrissons. »

Harold Pinter, prix Nobel de littérature en 2005.

« Des tireurs de ficelles aux sociétés plus au moins secrètes, des organisations de parti aux comités, tous ont une action sournoise d’accaparement des institutions et d’emprise sur les fonctionnaires ; ils choisissent les candidats, font les élections, domestiquent et corrompent les élus, pour aboutir à ce que le monde de l’argent et le monde de la politique tendent, de plus en plus, à ne faire qu’un. »

André Tardieu, Ancien Président du Conseil, 1936.

La Théatrocratie de Platon

La mise en scène du pouvoir politique est la façon dont ses détenteurs donnent à voir la nature de ce pouvoir aux yeux de ceux qu’ils gouvernent, de leurs pairs ou leurs rivaux.

Il semble qu’assez vite le principe de l’affichage symbolique des différences se transforme en un exercice psychologique du pouvoir, et l’autorité des hommes et femmes qui détiennent le pouvoir politique va être non seulement affichée, mais également dramatisée et mise en scène au travers d’une symbolique stéréotypée ou non.

En fonction des sociétés, de la conjoncture historique, ces mises en scène ont été destinées à impressionner, rassurer, mystifier, terrifier, ou simplement berner les spectateurs.

La mise en scène peut donc avoir une fonction heuristique, illustrant les différentes responsabilités du pouvoir aux yeux des sujets, promouvoir l’éthos de la personne publique ou au contraire jouer un rôle de désinformation analogue à celui de la propagande en insistant sur le pathos. Certaines mises en scène peuvent même être classées dans l’arsenal de propagande du pouvoir.

Ce souci de jouer sur l’apparence, à l’aide de techniques proches de celles du théâtre et du spectacle en général, existe dans de nombreux domaines du pouvoir, et dans toutes les formes de pouvoir politique. (Préambule de l’article de Wikipédia sur la Théocratie)

Alerte rouge n° 5 : Le Nouvel Ordre Mondial.

Nous avons vu dans un précédent article, que la société secrète des Skull & Bones, issue de l’Université de Yale, « dont les membres les plus actifs de l’organisation viennent d’un noyau d’environ 20 à 30 familles, attachées à la défense de leur héritage et de leur lignée. » (Skull and Bones, l’élite de l’Empire) n’hésite pas à signer leurs interventions dans la crise du covid-19.

Par ailleurs, il faut savoir que des réunions soi-disant informelles, avec des participants triés sur le volet, se tiennent régulièrement depuis des années, comme celles du groupe Bildeberg, de la Trilatérale, ou du Forum de Davos… sans que la grande presse s’en occupe particulièrement. Le groupe Bilderberg, Conférence de Bilderberg ou Club Bilderberg, créé en 1954 est un rassemblement annuel d’environ cent trente personnes, composé en majorité de personnalités de la diplomatie, des affaires, de la politique et des médias. Les fondateurs et promoteurs étaient le prince Bernhard des Pays-Bas (qui était le président de la réunion jusqu’en 1976) et le conseiller politique polonais Józef Retinger. La Trilatérale (ou Commission trilatérale) est une organisation privée créée en 1973 à l’initiative des principaux dirigeants du groupe Bilderberg et du Council on Foreign Relations, parmi lesquels Henry Kissinger, Zbigniew Brzezinsk et David Rockefeller. Le Forum de Davos ou Forum Économique Mondial est plus connu… Suite à la crise du covid-19, ce dernier, et sans aucun doute les précédents, veulent nous imposer des décisions prises dans notre dos… comme le montre clairement le site du Forum Économique Mondial (Davos) qui propose unilatéralement leurs soi-disant solutions pour leur « Monde d’après », en annonçant un « Great Reset », une « grande réinitialisation », c’est-à-dire un nouveau système mondial basé sur leurs seules décisions prisent en dehors du système démocratique.

En fait, la crise du covid-19, et la crise économique qui en découle, ne leur sert que de prétexte pour camoufler la faillite du système monétaire actuel. Elle leur permettra de justifier la création à plus ou moins long terme d’un gouvernement mondial et l’édification d’un nouveau système monétaire basé sur une monnaie (dématérialisé ?) entièrement sous leur contrôle. En résumé, les citoyens verront les pouvoirs s’éloigner encore plus d’eux, ils n’auront plus aucune prise sur les décisions les concernant, ils deviendront les jouets de forces obscures… et pour finir, pour le mieux, ils seront plumés.

Valérie Bugault le dit clairement :

« J’ajoute que la fin du dollar en tant que monnaie internationale est la condition sine qua non pour qu’advienne une monnaie mondiale viable, du moins selon les critères de fonctionnement économiques et monétaires imposés par les banquiers internationaux. Or, la fin du dollar comme monnaie mondiale suppose la fin de l’hégémonie de l’empire américain. Dès lors, il devient facile de comprendre que certains membres décisionnaires de cet empire se sont violemment opposés, et s’opposent encore violemment, à ce projet qui aboutira à une disparition de leur situation dominante. Cette partie des dirigeants américains qui se rebellent peut être qualifiée de patriote, il s’agit des gens qui étaient ouvertement impliqués dans la domination du monde par les Américains eux-mêmes. À l’opposé, ces derniers ont pour pires ennemis internes les globalistes apatrides, dont la tête se situe à la City of London, et qui œuvrent en sous-main pour l’avènement d’un gouvernement mondial, lequel suppose la disparition de l’empire US. »

Extrait de l’article Géopolitique du coronavirus I – entretien avec Valérie Bugault 
Stratégika. 15 avril 2020.

De plus, en consultant le site du Forum Économique Mondial (Forum de Davos) vous pourrez constater qu’après avoir pendant des décennies pollué la planète, ils veulent maintenant nous faire croire qu’ils se sont transformés en écologistes vertueux, ils prennent vraiment les gens pour des imbéciles…

Un exemple flagrant est le décret passé en douce début juillet 2020 par le gouvernement Macron sur les milieux aquatiques. Il fera sans doute comprendre définitivement aux écolos et aux amoureux de la nature que ce gouvernement se moque d’eux. Un décret scélérat autorise la destruction des moulins, canaux, étangs et plans d’eau sur simple formalité, sans étude d’impact ni enquête publique ! (hydrauxois)

Alerte rouge n° 6 : L’OMS, Bill Gates et le mauvais usage du pouvoir et de l’argent.

« Pour mettre en place un gouvernement mondial, il est nécessaire de retirer des esprits leur individualisme, leur loyauté aux traditions familiales, leur patriotisme national, et leurs dogmes religieux. »

Dr George Brock Chisholm, premier Directeur général de l’OMS, de 1948 à 1953.

OMS — Fonds privés… (L’OMS dans les griffes des lobbyistes ?). Le problème majeur de l’OMS est qu’elle est depuis plusieurs années financée en grande partie par des entreprises (notamment des laboratoires pharmaceutiques) et des donateurs privés (dont la fondation Bill et Mélinda Gates, son plus grand « donateur », qui prône la vaccination à outrance tous azimuts (BILL GATES : L’INCROYABLE ARNAQUE DERRIÈRE SA FONDATION)

C’est pour cela, sans aucun doute, que Tedros Adhanom Ghebreyesus, qui n’a aucun diplôme en médecine, a été nommé Directeur général de l’Organisation Mondiale de la Santé en 2017 malgré les très lourdes casseroles qu’ils traînent derrière lui. (Les crimes de Tedros Adhanom, directeur général de l’OMS)

« C’est une expérience éternelle que tout homme qui a du pouvoir est porté à en abuser. »

Montesquieu — Du pouvoir.

Alerte rouge n° 7 : La crise protéiforme du Covid-19 en France et dans le monde, symptôme d’un monde en perdition.

1) Depuis plusieurs siècles, on sait que la méthode la plus efficace pour stopper une épidémie est la quarantaine. Quarantaine (XIIs) dérivé de quarante d’abord au sens de « espace de quarante jours », au XVIIs, âge de quarante ans » et « « isolement de quarante jours » (pour éviter la contagion). Dictionnaire étymologique et historique de la langue française, Baumgartner et Ménard, La Pochothèque, Paris, 1996, page 655.

2) De nombreux pays dans le monde ont utilisé ce processus avec un franc succès. Ils ont testé les malades et les ont immédiatement isolés de la population, cassant ainsi la chaîne de propagation du virus.

3) Le point sur les différents tests (Journal des femmes).

4) Les tests PCR n’isolent pas et ne détectent pas le covid-19 comme tel, ils montrent simplement que les testés ont toute une série de virus et de bactéries dans leur corps, ceci n’ont peut-être aucun rapport avec le covid-19. Cependant, quand l’individu est déclaré positif (après un délai de plusieurs jours), il est déclaré systématiquement positif au covid-19. (Il y a des directives pour surestimer considérablement le nombre de décès dans tous les pays)
Article FranceSoir : La grande supercherie des tests PCR, 90 % des cas positifs ne sont pas malades ni contagieux.
[Voir aussi : Le directeur scientifique de Pfizer déclare que la « deuxième vague » a été truquée lors de tests covid faussement positifs, « la pandémie est terminée ».]

5) Des tests nettement plus précis et rapides (30 min) existent, ils furent utilisés depuis le début de la crise par plusieurs pays, au début en Asie, Japon, Corée du Sud, Hong-kong… puis en Europe, Luxembourg, Allemagne, Autriche… ils permirent de détecter rapidement les positifs et de les isoler pour éviter la contagion. (ASIE – ÉPIDÉMIE: Sortir du confinement par les tests sérologiques d’immunité au Covid 19)

6) Un Conseil Scientifique dont plusieurs membres ont des liens avec des intérêts privés, des entreprises pharmaceutiques. Cette collusion a été dénoncée par le Pr Raoul lors de son audition par le Parlement, le 24 juin 2020. Didier Raoult explique, par ce constat, alors qu’il en est membre, son refus d’y siéger. Malgré cette dénonciation faite il y a plusieurs mois déjà aux yeux de tous, ce Conseil Scientifique continue de fonctionner en l’état comme si de rien n’était, en donnant son avis au gouvernement qui le suit.

7) Vous voulez voir quelle est la nature des liens avec des intérêts privés ? Il est bien évident que ceux qui profitent de cette manne ne peuvent pas avoir de jugements objectifs. Ils ne peuvent pas être impartiaux. (Top 13 du classement des revenus récents versés par l’industrie pharmaceutique et Crise sanitaire : le retour des accusations de conflit d’intérêt)

8) Le gouvernement français, s’appuyant sur les recommandations du conseil scientifique, décide le confinement de l’ensemble de la population. Avant le confinement le port du masque est déconseillé, après le confinement il est imposé !!!

9) En nombre de décès, les pays ayant confiné, comparés avec ceux qui ont testé avec des tests fiables et rapides et n’ont pas confiné l’ensemble de la population (CONFINEMENT MEURTRIER: TOUT CE QUE L’ON NE VOUS A PAS DIT, ABERRATION HUMAINE, SANITAIRE, ÉCONOMIQUE)

10) En France, les effets pervers du confinement. Conclusion de l’article Évaluation de la virulence du SRAS-CoV-2 en France… à partir de la mortalité toutes causes confondues de 1946 à 2020 — Denis G. Rancourt, Ontario Civil Liberties Association, Marine Baudin et Jérémie Mercier, Mercier Production.

“La politique nationale soudainement appliquée de quarantaine forcée et le stress psychologique qu’elle a généré chez les personnes âgées fragiles ont certainement contribué de manière importante à la diminution de l’efficacité de la réponse du système immunitaire à une maladie respiratoire virale (Comas-Herrera, Zalakaín, et al., 2020) et c’est aujourd’hui l’explication la plus probable de la majeure partie du pic de mortalité massif et étroit qui s’est produit en mars-avril 2020 en France. Le même mécanisme fonctionnerait dans n’importe quel cadre (établissement, foyer de groupe, maison, hôpital) où les personnes vulnérables sur le plan de la santé sont isolées et sensibles au stress psychologique.” (Comment le stress rend malade).

11) La France est le seul pays au monde à avoir interdit l’hydroxychloroquine le 27 mai 2020 à la suite d’un article de la revue médicale The Lancet publié quelques jours avant. “L’hydroxychloroquine n’est plus autorisée contre le Covid-19. À la suite d’un avis défavorable du Haut Conseil de la santé publique, le gouvernement a abrogé les dispositions dérogatoires autorisant la prescription de l’hydroxychloroquine contre le Covid-19 à l’hôpital en France, hors essais cliniques. « Que ce soit en ville ou à l’hôpital, cette molécule ne doit pas être prescrite pour les patients atteints de Covid-19 », a réagi le Ministère de la Santé dans un communiqué.” Journal Le Monde du 27 mai 2020. Suite aux protestations d’une partie de la communauté scientifique mondiale ayant démontré que l’article de The Lancet était une falsification grossière écrite par des « scientifiques » à la solde de laboratoires privés, l’hydroxychloroquine a été de nouveau autorisée ultérieurement en France, mais sans publicité. Cependant, les Français peuvent regretter amèrement une telle prévention contre ce traitement. (Tout comme l’Allemagne , le petit Luxembourg a été sauvé par l’hydroxychloroquine)

12) Tous les médecins savent qu’en cas d’épidémie le terrain est primordial. Un sujet ayant de faibles défenses immunitaires aura nettement plus de prédispositions à attraper un mauvais virus. Cela tombe sous le sens, en cas d’épidémie, il est indispensable pour la population de renforcer ses défenses immunitaires. Pour cela il faut prendre des compléments alimentaires, des vitamines par exemple, des probiotiques, pratiquer une ou des activités physiques modérées, bien dormir et… se déstresser. Pourtant en France lors de cette épidémie, et encore de nos jours, une chose ahurissante c’est produite, le gouvernement nous a bombardé incessamment de messages officiels du Ministère des Solidarités et de la Santé nous recommandant, la distanciation, le port du masque (avec retard à l’allumage)… mais jamais, au grand jamais, nous n’avons reçu de sa part, avec autant d’acharnement, le message pourtant fondamental, et même vital, que nous devons impérativement renforcer nos défenses immunitaires !!!

La mise à jour de cette omission plus que suspecte est d’une portée considérable, à l’évidence, ce gouvernement privilégie la contrainte abrupte, l’infantilisation, la peur…, au détriment du bon sens.

13) Cet aspect essentiel de la prévention n’ayant pas manifestement été pris suffisamment en compte par les autorités sanitaires françaises et les responsables politiques, on peut se demander si en droit juridique ils ne peuvent pas être attaqués pour « Abstention volontaire ». L’article 223-6 du Code pénal (article 63-1 de l’ancien Code pénal) condamne l’abstention volontaire de porter assistance à une personne ou des personnes en périls.

14) Rappel : Dans l’article précédent Le Choc en Retour nous avons présenté le livre du Pr Perronne Y a-t-il une erreur qu’ils n’ont pas commise ? Ce qui dit autrement veut dire : ils ont commis toutes les erreurs possibles. (https://www.alternativesante.fr/coronavirus/y-a-t-il-une-erreur-qu-ils-n-ont-pas-commise)

15) Antoine Hubert : La gestion de la crise du covid est délirante, par Chantale de Senger. L’administrateur délégué d’Aevis Victoria, Antoine Hubert, déplore la gestion actuelle de la crise du Covid-19. (https://www.bilan.ch/economie/antoine-hubert-la-gestion-de-la-crise-du-covid-est-delirante ou “Il faut arrêter d’écouter les médias français. La France est probablement le pays d’Europe qui a le plus mal géré cette crise” selon A. Hubert)

16) Le seuil épidémique a été modifié en juillet 2020 par les autorités sanitaires françaises sans que la population en soit avertie. (FranceSoir) Une preuve irréfutable d’une manipulation à grande échelle.

17) En termes d’importance et de décès, l’épidémie du covid-19 n’arrive qu’en dixième position des épidémies depuis 1945. Alors pourquoi un tel battage ? [NdNM : En fait, il ne semble y avoir eu que la Grippe asiatique
et la Grippe de Hong Kong à atteindre un niveau comparable ou supérieur à la mortalité attribuée à la covid-19, si l’on fait abstraction des maladies endémiques ou épidémiques comme le sida, la tuberculose, le paludisme, etc.. Voir Mortalité dans le monde]

https://www.youtube.com/watch?v=baRauK8yV04

18) On a la méchante impression que tout est fait pour bidouiller les chiffres. (Chronique Covid N°29 – « Santé Publique France a-t-elle manipulé les chiffres d’incidence pour faire croire à une aggravation de la pandémie dans plusieurs gros départements ? » et le point 6 dans Message d’alerte international de professionnels de santé aux gouvernements et aux citoyens du monde)

https://youtu.be/JeliScgfETY
Excellente intervention de Martine Wonner à l’Assemblée Nationale

19) À ce stade, au niveau des rapports de l’État et des citoyens, on se demande où est passé le vrai débat démocratique. Peut-on encore avoir encore dans ce pays, et dans d’autres, un vrai débat contradictoire, où l’avis de ceux qui n’ont pas le pouvoir est pris en compte, afin de comprendre ce qu’il en est réellement dans la réalité ? Ne sommes-nous pas tombés directement dans un système qui impose de force sa vision des choses, sans s’occuper de l’objectivité ?

20) Laurent Toubiana, Chercheur épidémiologiste à l’INSERM et directeur de l’Institut de recherche pour la valorisation des données de santé (IRSAN), étudie l’évolution de la Covid-19 en France depuis début mars. Son analyse est sans appel : l’épidémie est terminée ! Il l’affirme par un article publié le 15 septembre 2020 (lien). Nous sommes curieux de voir combien de temps mettra le gouvernement pour prendre en compte cette bonne nouvelle… (« J’affirme que l’épidémie est terminée » : entretien exclusif avec un épidémiologiste en colère)

21) La fin de l’épidémie en France est confirmée par les propos des Drs Nicole et Gérard Delepine lors d’une émission du 17 septembre 2020 de LCI. À la fin, André Bercoff, nous surprend en nous disant qu’à cette date, à Amsterdam tout le monde circule sans masque.

22) Décompte morbide faux présenté le week-end du 20 septembre 2020 aux journaux télévisés de 20 h et démenti 3 h 30 plus tard quand les gens dormaient. (https://qactus.fr/2020/10/03/q-infos-excellentissime-toussaint-detruit-le-gouvernement-en-7-minutes/)

23) Le 2 octobre 2020 L’épidémie est terminée en Europe.

24) Comme à Wuhan. (D’après Philippe Klein, médecin français à Wuhan : « L’épidémie est terminée en Chine, la vie a repris son cours »).

25) À l’évidence nous sommes en présence d’un gouvernement partial et mal conseillé par des intérêts privés. Ce gouvernement, qui fait principalement de la communication, est, à l’évidence, pour le moins, d’une insigne incompétence. Toute une série de mesures basées sur aucun fondement scientifique le prouve abondamment, citons un seul exemple, dans une liste qui est longue comme le bras : l’interdiction d’achat d’alcool à partir de 20 h. Ce qui signifie qu’un client peut acheter le contenu d’un caddy de vodka à 19 h 59, mais pas une bouteille à 20 h. Conséquence de toutes ces aberrations scientifiquement injustifiables, les citoyens sont les vrais cocus de cette crise. Une preuve de plus ci-dessous, avec la promotion du vaccin anti-covid qui ne servira à rien compte tenu des mutations du virus.

26) Raoult explique qu’il existe déjà sept mutants de la Covid et vous ne devez pas le savoir ; car c’est toute la stratégie de vaccination qui est en cause — YouTube le censure…, par Patrice Gibertie.

“Les virus mutent, cela ne fait aucun doute, c’est d’ailleurs pour cette raison que le vaccin de la grippe doit être mis à jour chaque année.

La vidéo où s’exprimaient hier Laurence Camoin, Professeur d’Hématologie, et Didier Raoult a été censurée un temps par YouTube. Pourquoi ? 

De « grandes personnalités du monde scientifique » qui se répandent sur les réseaux sociaux en messages de haine irrépressible (après être allées jusqu’à déblatérer sur Didier Raoult dans le New York Times) sont probablement à l’origine de signalements multiples.

Vous ne devez rien savoir des différentes mutations du virus, et des facteurs thrombotiques sur lesquels agit l’hydroxychloroquine, médicament utilisé de façon de plus en plus massive dans le monde. « Il n’y a pas un seul virus. Nous, on a détecté sept mutants qui ont circulé », a indiqué le chercheur marseillais. Selon lui, « ce n’est probablement pas une mauvaise nouvelle ».

“Depuis juillet, depuis l’apparition de ce deuxième acte, les génomes que nous avons ne sont pas les mêmes que ceux que nous avions avant […] Il n’y a pas un seul virus. Nous, on a détecté sept mutants qui ont circulé […] Les mutations que nous voyons sont associées avec la dégradation des organismes [du virus, NDLR]. Quand ça se passe, c’est que ça va mal pour la bestiole”, a affirmé Didier Raoult à Radio Classique…………………..

Le gouvernement français, d’autres états, la Commission Européenne, l’OMS… après avoir dédouané l’industrie pharmaceutique en cas de problèmes résultant de la vaccination (Le Figaro) continuent imperturbablement à prôner la vaccination de masse…

27) L’État allemand, comme l’État français, a profité du confinement pour installer dans notre dos des antennes pour la 5G qui est au demeurant, d’après de nombreux scientifiques, très nocive. (Expansion rapide de la 5G pendant le confinement : coïncidence ou calcul ?)

28) Le 11 octobre 2020, un des hauts responsables de l’OMS, le Dr David Nabarro, candidat présenté par le gouvernement britannique pour le poste de Directeur général de l’OMS en 2017, a fait l’annonce que le confinement entier d’une population est nuisible. Qui en France vous l’a fait savoir ? Certainement pas le gouvernement ! (Coronavirus : L’OMS déconseille aux dirigeants de recourir de nouveau au confinement et Strategika)

29) Une  décision inacceptable : le port du masque est obligatoire dans les écoles à partir de six ans. (Ils osent imposer le masque aux enfants de 6 ans !)

30) Pour couronner le tout, nous apprenons par l’intermédiaire d’avocats que la mise en place des mesures sanitaires prises en France lors de la crise du covid-19 est anticonstitutionnelle. !!!!  Elles ont été prises en dehors du cadre juridique légal défini par la Constitution, prouvant incontestablement de la sorte que le gouvernement français en ne respectant pas le processus légal défini par la Constitution a agi en dehors de La Loi. (https://youtu.be/SVNUhN20igY)

Toutes les mesures prises par le gouvernement depuis le début de la crise sont anticonstitutionnelles

Valérie Bugault, Avocate

31) Se pose alors une question, ne serait-on pas face à une gigantesque manipulation aux services d’intérêts privés ? Une manipulation qui nous ramène aux heures les plus sombres de l’Histoire, et qui fera passer l’anticyclone des Açores qui avait repoussé le nuage de Tchernobyl, ou, la soi-disant présence d’armes de destructions massives en Irak, qui avait motivé la seconde guerre du Golfe, pour des mensonges d’enfants de chœur.(Covid-19: Le jeu des chiffres: La « deuxième vague » est basée sur des statistiques « fake »)

Alerte rouge n° 8 : La stratégie du choc

La stratégie du chocmontée d’un capitalisme du désastre, Naomi Klein, Actes Sud, Arles, 2010.

Présentation de l’Éditeur. Quatrième de couverture.

Qu’y a-t-il de commun entre le coup d’État de Pinochet au Chili en 1973, le massacre de la place Tiananmen en 1989, l’effondrement de l’Union soviétique, le naufrage de l’épopée Solidarnosc en Pologne, les difficultés rencontrées par Mandela dans l’Afrique du Sud post-apartheid, les attentats du 11 septembre, la guerre en Irak, le tsunami qui dévasta les côtes du Sri Lanka en 2004, le cyclone Katrina, l’année suivante, la pratique de la torture partout et en tous lieux — Abou Ghraïb ou Guantanamo — aujourd’hui ?

Tous ces moments de notre histoire récente, répond Naomi Klein, ont partie liée avec l’avènement d’un « capitalisme du désastre ».

Approfondissant la réflexion militante entamée avec son best-seller No Logo, Naomi Klein dénonce, dans La stratégie du choc, l’existence d’opérations concertées dans le but d’assurer la prise de contrôle de la planète par les tenants d’un ultralibéralisme tout-puissant. Ce dernier met sciemment à contribution crises et désastres pour substituer aux valeurs démocratiques, auxquelles les sociétés aspirent, la seule loi du marché et la barbarie de la spéculation.

Remarquablement conduite et documentée, cette histoire secrète du libre marché, qui dessine une nouvelle éthique de l’investigation journalistique, s’affirme comme une lecture indispensable pour réévaluer les enjeux des temps présent et à venir, vis-à-vis desquels les citoyens du monde portent, ensemble, une responsabilité impossible à déléguer.

« Au lendemain de la Grande Dépression, Keynes proposa l’instauration d’une économie mixte et réglementée, c’est-à-dire la révolution de la politique gouvernementale qui instaura le New Deal et ses diverses incarnations aux quatre coins du monde. C’est ce système de compromis, de freins et de contrepoids que la contre-révolution lancée par Milton Friedman visait à démanteler, un pays après l’autre. Vu sous cet angle, le capitalisme prôné par l’École de Chicago a effectivement un point commun avec d’autres idéologies dangereuses : la recherche d’une pureté inaccessible, d’une table rase à partir de laquelle bâtir une société modèle entièrement revue et corrigée.

C’est du reste cette volonté de création totale, de puissance divine, qui explique l’attrait qu’exercent les crises et les catastrophes sur les idéologues néolibéraux. Seule l’apocalypse est à la hauteur de leurs ambitions. »

Page 37. 

Alerte rouge n° 9 : La mort de la démocratie.

« Il ne peut y avoir de choix démocratique contre les traités européens. » 

Jean-Claude Junker, 28/01/2015.

Jean-Claude Junker, ancien président de la Commission Européenne, retranscrit dans Der Spiegel en décembre 1999 :

« Nous prenons une décision, nous la mettons sur la table et nous attendons pour voir ce qui se passe, si elle ne provoque pas de rejet, parce que la plupart des gens ne comprennent rien à ce qui a été décidé, nous poursuivons, pas à pas, jusqu’au point de non-retour ».

Qu’en conclure ?

1) Si un président d’un organisme démocratique se permet de prononcer de telles affirmations sans être sanctionné par ceux qui l’ont élu, cela signifie qu’au moins la majorité des membres de cette institution ne les trouve pas choquantes et les partage.

2) Compter sur l’ignorance de la population pour prendre des décisions ne peut pas être considéré comme un principe de gouvernement honnête.

3) Devant de tels propos et l’absence de réactions des députés européens, il ne faut pas qu’ils s’étonnent de l’écœurement d’une grande partie de la population pour le monde politique. Sans compter qu’ils ont le culot de se faire passer pour des démocrates respectueux de leurs électeurs alors, qu’en fait, consciemment ou inconsciemment, la plupart sont fascinés par le pouvoir, ce qui, dans les cas extrêmes, aboutit au fascisme.

À propos de la crise du covid-19. Certains sont tellement imbus de leur personne, sont tellement sûrs de ne risquer rien et d’être aux dessus des Lois, qu’ils n’hésitent pas sur le site du Forum Économique Mondial 5fem) à étaler leur plan au grand jour en prônant « The Great Reset » (https://www.weforum.org/great-reset). La crise du covid-19 n’est pas une pandémie, c’est une « plandémie ». Elle a été planifiée longtemps à l’avance. La preuve ci-après. (lien disque, à la rubrique covid du FEM) Un travail aussi considérable, publié sur leur site ne peut pas se faire dans l’urgence. Le site du Forum Économique Mondial a publié ces textes sur son site dès le lendemain de la déclaration par l’OMS d’une pandémie mondiale !!!!!!! 

Pour confirmer cette impression, il nous semble nécessaire de porter à la connaissance des lecteurs, les deux articles suivants que les médias dominants se gardent bien de vous faire connaître : le premier nous alerte sur les manœuvres de la haute finance et le deuxième sur les menaces technologiques dues aux progrès d’une science sans conscience et pervertie !!!! Premier article : Le bon virus au bon moment (et LE PHARMA-DOLLAR) par Andréas Cecchi. Deuxième article : Décryptage de la Pandémie de Covid-19. Un exercice d’ingénierie sociale machiavélique par Amar.

À ce stade, un faisceau d’informations et de preuves s’accumule pour nous faire comprendre que la mondialisation est en marche et qu’elle touche quasiment l’ensemble des pays à des degrés divers.

Quoiqu’il en soit, nous partageons entièrement le point de vue de Kenneth Roth qui est un procureur général américain et le directeur exécutif de Human Rigth Watch depuis 1993. « Le covid-19 pourrait devenir notre prochaine guerre contre le terrorisme. » Ci-dessous, début de l’Article de Serge Bussart dans le journal Le Temps.

“Les restrictions imposées pour combattre la crise sanitaire due au coronavirus inquiètent les défenseurs des droits fondamentaux. Elles pourraient durer bien au-delà de la fin de la pandémie. Directeur exécutif de Human Rights Watch, Kenneth Roth rappelle les effets encore durables de telles mesures aux États-Unis après les attentats du 11 septembre 2001.

Le Covid-19 est-il l’occasion rêvée pour les autocrates en puissance de renforcer leur pouvoir ? Certains scientifiques voient une corrélation entre une plus forte prévalence de maladies au sein d’une population et un surcroît de politiques autoritaires.

Guantanamo toujours ouverte

Le prolongement des confinements, l’engagement de l’armée et de la police pour les faire respecter, la suspension apparemment temporaire des parlements au profit du pouvoir exécutif sont des mesures sans doute nécessaires. Mais leurs effets à long terme inquiètent. Des mesures d’exception sont nécessaires face à l’urgence sanitaire de la pandémie de SARS-CoV-2. Montesquieu ne disait-il pas : « Il y a des cas où il faut mettre, pour un moment, un voile sur la liberté comme on cache les statues des dieux. » Selon les défenseurs des droits fondamentaux toutefois, nombre de libertés qui sont au cœur des démocraties, liberté d’expression, d’association, de manifestation, de la presse, etc. sont en danger. Ils tirent la sonnette d’alarme.

Directeur exécutif de Human Rights Watch (HRW), Kenneth Roth le dit sans ambages :

“Il y a un vrai danger que la pandémie de Covid-19 devienne notre nouvelle guerre contre le terrorisme, une excuse pour divers gouvernements pour saper les droits fondamentaux en exploitant les peurs des gens.”

Le New-Yorkais a pu observer ce phénomène :

“Une fois que les gouvernements ont acquis de nouveaux pouvoirs, il est difficile pour les citoyens d’exiger de retrouver leurs droits, analyse-t-il. Prenez les attentats du 11 septembre 2001 aux États-Unis. Certaines des mesures d’exception prises par le gouvernement américain sont toujours en place. La prison de Guantanamo est toujours ouverte. Les assassinats ciblés sont toujours pratiqués et la surveillance de masse continue.”

Le Patriot Act américain a laissé des traces.

Dans le contexte du Printemps arabe, en 2011, les peuples ont pu s’exprimer l’espace de quelques mois, mais lorsque la répression s’est mise en route, il a été écrasé. “Or aujourd’hui, le Printemps arabe a vécu. Mais, poursuit Kenneth Roth, les mesures d’exception sont toujours là. L’Égypte est un État policier, la Syrie mène une guerre désastreuse.”

Abus de l’état d’urgence en France

Les organisations de défense des droits humains ont dénoncé à l’époque les abus de l’état d’urgence en France au lendemain des attentats terroristes de novembre 2015. Les dispositions d’exception prises à cette période appartiennent désormais au droit commun. Quand le président Emmanuel Macron déclare que “nous sommes en guerre” contre le coronavirus, la métaphore est forte et susceptible de sensibiliser un public au vrai danger de la pandémie. Mais un tel vocabulaire guerrier pourrait justifier des mesures répressives “et transformer une crise sanitaire en crise sécuritaire”, prévient Florian Bieber dans Foreign Policy.

Face au Covid-19, la Chine a limité comme peu d’autres les libertés individuelles en usant du bâton autoritaire. Les démocraties limitent elles aussi ces libertés au nom du combat justifié contre la pandémie. Tout est question de proportionnalité. Ces jours-ci (avril 2020), la Corée du Sud est montrée en exemple pour son dépistage systématique qui a permis de contenir la propagation du Covid-19.

Séoul “a transmis des informations détaillées et très claires sur le mouvement de personnes à tout individu qui aurait pu avoir des contacts avec eux”, nuance toutefois le directeur de HRW.

Le Covid-19 est un prétexte tout trouvé pour renforcer de façon massive la surveillance digitale des citoyens…”

La mort de la démocratie

Il devient de plus de plus évident que la démocratie française est en voie d’extinction. Sa disparition ne se produit pas sous la forme de l’instauration d’une dictature sanglante: élimination physique des opposants, interdictions des partis, suppression du droit de vote et de la liberté de presse. Mais ce n’est guère mieux: elle meurt de l’indifférence. Les Français votent de moins en moins. Aux six législatives partielles de dimanche, la participation connaissait un nouvel effondrement. L’abstention dépasse 79 % dans la 1re circonscription du Haut-Rhin, 82 % dans la 5e de Seine-Maritime et dans la 3e de Maine-et-Loire, 84 % dans la 1re de la Réunion, 83,4 % dans les Yvelines et atteint même 87 % dans la 9e circonscription du Val-de-Marne. Dans ce contexte, le parti présidentiel LREM se ridiculise: aucun de ses candidats n’atteint le niveau pour se présenter au second tour. L’un d’eux réalise à peine 3%! Certains se rassurent à l’idée que seule l’élection présidentielle intéresse les Français. Ils se voilent la face, refusent de voir la réalité. Qu’est-ce qu’une démocratie sans partis politiques, sans projets ni débat d’idées, avec des médias largement formatés, sans parlement, sans députés, sans électeurs, sans peuple? Dans l’avenir tel qu’il s’esquisse, il ne restera in fine en guise de paysage politique qu’un petit pitre élyséen élu avec l’adhésion initiale de 10% des électeurs*, un pantin bavard, gesticulant du matin au soir, au-dessus des cendres de feue, la démocratie, pour donner l’illusion du mouvement.  Mais qui aura l’indécence ou la stupidité de qualifier un tel système de démocratie?

Maxime Tandonnet

Conclusion sur la crise covid-19.

En octobre 2019 un virus inconnu apparaît subitement à Wuhan, puis touche quasiment l’ensemble de la planète, dont la France en février 2020. Le gouvernement français prend des mesures pour limiter la prolifération de l’épidémie dans notre pays. Cependant, face aux trop nombreuses décisions non scientifiques, apparemment incohérentes et absurdes, prises par les pouvoirs publics, auquel s’additionne le suspect feu roulant de la puissance médiatique qui assènent ses « vérités » sans créer de véritables débats, petit à petit, des citoyens, peut-être plus lucides, ou moins naïfs, sont amenés à s’interroger sur la vraie nature de cette crise… Nous avons limité sciemment à trente et un points notre séquence sur le coronavirus, comprenant qu’une fois lancée leur opération de manipulation, celle-ci deviendra permanente tant qu’ils n’auront pas atteint leur objectif… ou qu’ils soient arrêtés par les citoyens les plus conscients.

Quoiqu’il en soit, à la lecture de tout ce qui précède, et plus particulièrement de ce qui est annoncé comme imminent sur le site du gang du Forum Économique Mondial, on peut se rendre compte que la mafia du Nouvel Ordre Mondial est prête à tout pour en finir définitivement avec la démocratie et nos républiques.

Ce qui est prévisible, c’est qu’en France ceux qui jouent constamment sur la peur, nous donneront le coup de grâce quand la grippe saisonnière fera son apparition et saturera comme chaque année les hôpitaux. (lien hôpitaux Delepine) À moins que les perquisitions en cours ou la Commission d’Enquête Sénatoriale composée d’hommes politiques intègres nous en débarrassent avant. 

Aussi, nous les citoyens de bases, nous les travailleurs, nous les abstentionnistes, nous les véritables Gilets Jaunes de la Victoire…, nous qui voulons simplement vivre en paix, une vie libre, dans une République la plus exemplaire que possible, nous vous disons qu’en tant que citoyens conscients de vos manipulations grossières nous ne tomberons jamais dans votre piège diabolique.

En conséquence, nous, en tant qu’authentiques républicains, en tant qu’authentiques démocrates, sachant que la crise du covid-19 a forcément complètement bouleversé le paysage politique français, nous vous attendons pacifiquement avec nos bulletins de vote aux prochaines échéances électorales.

Conclusion générale.

« La crétinisation des mieux éduqués est extraordinaire. »

« La vraie fracture n’est aujourd’hui plus sociale, mais éducative. »

Emanuel Todd. Libération du 6 septembre 2017.

C’est bien ce que révèle la crise du covid-19. Ne nous voilons pas la face devant ces vérités énoncées par ce sociologue reconnu.  Les gogos de tous les milieux sociaux se font enfumer, certains ont même contribués, de bonne foi, à l’établissement de ce régime d’asservissement. Cela  ne vous rappelle t-il pas  les heures les plus sombre de notre histoire.    

« Ainsi commence le fascisme. Il ne dit jamais son nom, il rampe, il flotte, quand il montre le bout de son nez, on dit : C’est lui ? Vous croyez ? Il ne faut rien exagérer ! Et puis un jour on le prend dans la gueule et il est trop tard pour l’expulser. »

Françoise Giroud.  

Surtout ne vous voilez pas la face, depuis le 5 novembre 2020 nous sommes en dictature

Voir aussi :

Médias : on nous cache tout :

Pétition qui porte notamment sur Un collectif de médecins et de scientifiques qui alerte sur les dangers du nouveau confinement, sur le problème de la saturation des hôpitaux par manque de lits et sur la saisonnalité de l’accès aux urgences.

https://www.euromomo.eu/graphs-and-maps :

La réalité des chiffres sur le Covid-19 d’après des sources officielles européennes. (La comparaison des statistiques européennes prouve combien nous nous plantons…).


Diffusion libre de droits 




La fille du maire de New York se dit heureuse que « Biden ait pu voler, non, euh, gagner » l’élection

[Source : Anguille sous roche]

Chiara de Blasio, militante de BLM et fille du maire socialiste de New York Bill de Blasio, fait une nouvelle fois sensation sur Internet, cette fois-ci à la suite d’une interview troublante dans la rue où elle a déclaré aux journalistes combien elle était excitée que Joe Biden ait pu « voler » l’élection de 2020.

Les choses n’ont fait qu’empirer à partir de là.

« Pour moi, c’est vraiment spécial parce que maintenant nous avons la première femme présidente noire, asiatique, en fonction, élue », a déclaré la première fille de New York aux journalistes, omettant le mot « Vice » de « Vice-Président » tout en faisant écho aux pensées de millions d’Américains qui pensent que Kamala Harris dirigera le show dans une hypothétique administration Biden-Harris.

« Et Joe Biden a été capable de voler…non…euh…gagner…il a été capable de gagner l’élection », a ensuite déclaré de Blasio au journaliste.

https://twitter.com/theangiestanton/status/1326284622381129729?s=20

NationalFile rapporte : Les remarques sont arrivées alors que les gauchistes envahissaient les rues de New York pour célébrer les médias grand public en déclarant Joe Biden vainqueur de l’élection présidentielle de 2020 – une déclaration qui n’a aucun poids alors que plusieurs États du champ de bataille se dirigent vers des recomptages et que le président Trump prépare une armée d’avocats et de politiciens pour porter devant les tribunaux les rapports sur la fraude électorale massive parrainée par les démocrates.

L’étrange interview télévisée de la jeune de Blasio ne marque pas la première fois qu’elle devient virale en ligne grâce à son apparition lors d’une prise de contrôle des rues de New York par l’extrême gauche.

Au cours de l’été, elle a été arrêtée pour son rôle dans une série d’émeutes meurtrières de Black Lives Matter et sa photo a été publiée sur le compte Twitter du syndicat NYPD.

Comment les policiers de New York peuvent-ils protéger les citoyens des « anarchistes en émeute » alors que « la fille du maire, qui lance des objets, est l’une d’entre eux », s’interroge le syndicat dans un post qui a ensuite été censuré par Twitter.




Lettre ouverte à Maître Di Vizio, aux Professeurs Raoult et Perronne et au Docteur Fouché

[Source : Profession Gendarme]

Un ami de Profession-Gendarme, ancien trader, nous adresse copie de la lettre qu’il vient de poster à l’intention des personnalités citées en titre.

Chers Maître Di Vizio, Professeur Raoult, Professeur Perronne, Docteur Fouché,

Avant toute chose je tiens à vous faire part de mon admiration pour votre travail et tous ces efforts que vous déployez avec tant de constance et de courage pour défendre la santé, la vie, le bien commun, la vérité et en définitive, la démocratie.

Ceci étant dit, je souhaitais à travers ce message apporter quelques éléments complémentaires sous-jacents qui me semblent très importants dans le cadre de cette crise du Covid et de cette lutte acharnée pour décrédibiliser le travail du Pr Raoult, de ses collègues et de l’efficacité de l’hydroxychloroquine en général.

Le professeur Raoult et son protocole sont d’une certaine manière le caillou dans la botte de cartels et de groupes d’influence extrêmement puissants qui en plus de vouloir obtenir des gains et des plus valus astronomiques sont animés par un désir ardent de mettre en place un nouveau système basé sur un nouveau paradigme qui leur sera encore bien plus favorable que celui qui prévalait jusqu’à ce jour.

Et cela dépasse largement le domaine purement médical… Ceci se fera au détriment du vivant, de la santé, des libertés et de la démocratie.

Biotechs, Newtech et plus valus à 5 chiffres

Je reçois de temps à autre un bulletin d’information boursière conçu par des analystes financiers connectés au cœur nucléaire qu’est Wall Street.

Celui du mois de juillet proposait de prendre le train de la douzième prophétie de Bill Gates, sachant que les onze premières se sont réalisées comme prévue et que la douzième devrait elle aussi se réaliser, car d’une certaine manière, l’on peut dire qu’elles sont toutes auto réalisatrices, compte tenu de la puissance de feu et du pouvoir d’influence du prédicateur en question, de tous ses apôtres et de leurs armées, pour parler de manière métaphorique. (Je vous laisse deviner qui…)[*]

En fait cette prophétie prêche pour la mise en place d’une nouvelle société où sera célébré l’avènement des newtechs, des biotechs, le tout supervisé par le lobby de la finance internationale.

Les objectifs de cours, ou plutôt de plus valus sont de l’ordre de 15 000 % et plus.

La date butoir pour prendre le train était le 22 septembre; cela m’angoissait quelque peu car ayant enquêté minutieusement sur cette affaire depuis le début, je savais qu’ils allaient accélérer la cadence durant l’automne et cette date du 22 septembre me confortais dans mon ressenti.

Pour parvenir à de tels objectifs de cours, il faut bien entendu en finir avec l’ancien modèle: c’est un peu comme dans le cas d’un breuvage; pour le savourer, il faut vider le verre de son contenu, le laver et ensuite y verser le nouveau breuvage.

C’est aussi un peu comme pour reconstruire un pays, s’enrichir et donner du travail à ses entreprises et à ses copains; on bombarde à volonté, on rase tout et ensuite, on reconstruit avec des financements internationaux en endettant les nations détruites… Beaucoup de pays en ont déjà fait les frais; c’est à notre tour maintenant !

En réalité, ces newtechs et biotechs misent sur ce virus, sur les confinements, les vaccins, le tout contrôle, la digitalisation à outrance de la société et de l’être humain, sur l’effondrement de notre système et de notre économie pour implémenter leur modèle et en tirer tous les avantages inhérents tant en terme de richesse que de pouvoir.

Quand on a une idée des individus et des fonds d’investissement qui sont impliqués dans cette dynamique, l’on peut imaginer que parier n’est pas seulement parier…

Ces individus sans scrupules ont généralement de quoi donner un coup de pouce voire même les moyens de tout orchestrer pour que le business model arrive à son terme.

J’ai été trader et analyste de marché, et je sais que tout ou presque est manipulation et que rien de ce qui se produit n’est fortuit, sinon qu’il y a dans la plus grande partie des cas des commanditaires très puissants qui créent des tendances, des contre tendances et des événements déterminés pour potentialiser ou engendrer des dynamiques  et obtenir les objectifs recherchées in fine.

Ceci, ni la presse ni la radio ni la TV vous l’expliquera … Au contraire, ces médias sont les outils des maîtres de l’ingénierie sociale qui contrôle les esprits des braves gens pour les mener à « bon port » en les manipulant à souhait .

Nota: Si les liens ci dessous sont inactif, merci de copier-coller dans votre navigateur ou moteur de recherche

Je vous recommande de regarder par exemple l’évolution du cours de Moderna où Bill Gates et ses amis ont pas mal d’implications.

Voir l’évolution sur un an (1A) sur le graphique. Mettre le curseur sur le top du 17 juillet; c’est édifiant ! L’on comprends dès lors que l’hydroxychloroquine devient très gênante pour ce genre de biotech et tant d’autres encore…

https://www.boursorama.com/cours/MRNA/

[Historique pour MODERNA en date du 17 juillet 2020 :
Dernière valeur 94.85
Variation +15.94%
Volume 102 538 515
Ouverture 83.36
+ Haut 95.21
+ Bas 82.61

Dans un autre domaine, regardons l’évolution d’entreprises comme Amazon et Netflix ces derniers mois et notamment pendant la période du premier confinement… Ca donne le vertige, mais ça n’est rien comparé à d’autres entreprises qui sont impliquées dans la mise en place du nouveau modèle sociétal et économique… Lorsque les gens sont confinés ou qu’ils doivent porter un masque en tout lieu, ils finissent par prendre un abonnement chez Netflix et faire leurs courses chez Amazon, surtout si nos gouvernants bienveillants obligent les commerces non essentiels à fermer et à mourir, de même pour la culture, le spectacle, la restauration etc. Graphique Amazon : voir sur un an, (1A) et se positionner sur le top du 02 septembre…

https://www.boursorama.com/cours/AMZN/

[Historique pour Amazon en date du 2 septembre 2020 :
Dernière valeur 3 531.45
Variation +0.92%
Volume 3 866 667
Ouverture 3 550.00
+ Haut 3 550.00
+ Bas 3 486.69

Voir Netflix ; Évolution sur un an (1A) Voir l’évolution entre le 18 mars et le dernier top (pic haussier) 

https://www.boursorama.com/cours/NFLX/

[Historique pour Netflix en date du 1er septembre 2020 :
Dernière valeur 556.55
Variation +5.10%
Volume 9 506 934
Ouverture 532.58
+ Haut 557.39
+ Bas 532.45

Voilà pourquoi il est important de tout détruire même si cela doit créer des drames, de la ruine, des suicides, de la maladie, de la dépression, etc. Comme l’a dit Macron, c’est une guerre, oui une guerre, contre les peuples, une guerre silencieuse, sans bombes, avec pour seules armes des médias corrompus à la solde de politiques ayant prêté allégeance à des cartels aux finalités plus que douteuses, tout ceci en échange de compte off shore bien garnis et bien cachés derrière des montages d’ingénierie financière…

Ces acteurs économiques ont en actifs financiers des sommes qui dépassent le PIB de plusieurs pays européens tels que la France, L’Allemagne, La G.B, L’Italie etc. Ils ont de grands pouvoirs d’influence et infiltrent les institutions, les réseaux politiques… Et en échange de quelques faveurs financières, ils obtiennent ce qu’ils souhaitent si vous voyez ce que je veux dire…

Nous avons plus ou moins fait le tour de cette affaire Gilead et de son Remdésivir et il est évident qu’il y a des conflits d’intérêts à bien des niveaux et dans bien des pays… Il y a aussi probablement des délits d’initiés pour ce qui à trait aux cours de bourse de l’action, autant pour parier à la hausse que pour parier à la baisse (V.A.D) ( Connaissance à l’avance de l’évolution du cours de bourse pour se positionner à la hausse ou la baisse et profiter du delta de plus value).

Mais il est plus que probable que l’on observe le même phénomène avec beaucoup d’autres entreprises impliquées dans cette affaire du covid… Il est très facile pour ces gens très puissants et très influents de « suggérer » aux responsables politiques de tel ou tel pays de prendre telle ou telle décision afin d’obtenir tel ou tel résultat dans le but de parvenir à tel ou tel objectif…

J’ai aussi travaillé dans le domaine des réductions de consommations énergétiques avec des grandes industries et des administrations, et quelle ne fut pas ma surprise de découvrir des liens de corruption et des conflits d’intérêt atteignant des niveaux très préoccupants, en dépit du beau discours officiel… Je ne rentrerai pas dans les détails mais tout cela est franchement très inquiétant… Le système est gangrené, et ce à beaucoup de niveaux et dans des domaines très vastes et très variés… Nous avons affaire à de véritables mafias en cols blancs qui opèrent en bandes organisées avec le soutien logistique des médias mainstream et de l’ingénierie sociale.

Nous donnons un vote de confiance à certains individus pour gérer les affaires de la cité dans la recherche du bien commun, mais ces derniers  nous trahissent et nous livrent en pâture à des prédateurs sans vergogne, quand ils ne sont pas en plus psychopathes… De la santé aux radars en passant par les énergies, l’agro chimie, etc. Tout est perclus de conflits d’intérêts et de corruption !

La gangrène ne concerne pas seulement la France, mais elle remonte aussi jusqu’à Bruxelles qui est un véritable cheval de Troie pour les lobbies de tout crin. (Bruxelles n’est qu’un étage de la fusée)

Bruxelles nous a trahis avec le Remdésivir, et maintenant, ils veulent mettre en place un plan de vaccination de masse dès l’été prochain. Un vaccin douteux préparé en toute hâte en faisant fi de toutes les étapes à respecter dans l’élaboration et la sécurisation. Le problème ne se limite donc pas à Hydroxychloroquine vs Remdesivir… C’est l’arbre qui cache la forêt…

https://fr.sputniknews.com/europe/202010301044656911-la-presidente-de-la-commission-europeenne-explique-comment-les-pays-de-lue-recevront-le-vaccin/

Alors bien sûr que le Professeur Raoult, ses collègues et ce super protocole efficace et économique sont un gros caillou dans la botte de ces traîtres qui nous ont vendus aux lobbies de l’industrie pharmaceutique, de la finance mondiale, des biotechs et autres newtechs qui rêvent de nous digitaliser pour mieux nous contrôler et avoir encore plus de big data à commercialiser !

Avec la Chloroquine, tout l’échafaudage s’effondre et le business plan de cette belle affaire part à la corbeille ! Autant dire Maître que vous êtes en train de tirer sur un fil qui va vous emmener à une grosse, voire très grosse pelote de laine, et c’est peu dire ! Vous n’imaginez même pas ! 

Un autre aspect intéressant à souligner dans cette affaire est relatif à la bulle des marchés financiers.

De fait, cette « crise » a permis aux gros opérateurs de la crever en provoquant un  « crash éclair » suivi d’un rebond fulgurant n’obéissant pas aux règles habituelles de la mécanique des marchés. Conséquence : les 600 plus grosses fortunes américaines et les 1500 plus grosses fortunes mondiales ont ainsi augmenté leurs actifs financiers pour une valeur d’environ +25% ! Dans le jargon des traders, certains appellent cela « saigner les pigeons »… Grâce à ce type de mouvement, on provoque d’importants transferts de richesses vers les portefeuilles des commanditaires.

Plus de richesse encore, pour plus de pouvoir d’influence et de corruption ou de coercition !

Pot des vins et aides financières en échange de lock down des pays

Je tiens aussi à attirer votre attention sur un aspect des choses qui a été mis en lumière par un article publié entre autres sur le site web de l’association professionnelle de la gendarmerie, lequel phénomène a été repris dans une vidéo d’information présentée par Mr François Asselineau, président de L’UPR. Quelle que soit notre obédience politique, nous devons bien admettre que ce Monsieur n’est pas du genre complotiste ! L’on a ainsi appris que certaines instances financières internationales proposaient des pots de vins aux gouvernants et des financements aux pays en échange du lock down des pays et de tout les reste (Masques, vaccins, digitalisation à outrance, contrôle total des individus, etc.)

Bien évidemment, ceux qui acceptent de telles offres ne vont pas s’en vanter, mais le président de Biélorussie après avoir refusé un marché aussi néfaste et douteux à décidé de porter à la connaissance du public ces agissements dignes d’une mafia… Soit dit en passant, il a refusé de confiner et pour autant, la mortalité liée au covid est plutôt faible dans ce pays.

Par contre, l’on constatera que son refus l’a placé dans la ligne de mire de ces instances mafieuses et que depuis lors, il semble faire face à une petite révolution colorée comme certains savent si bien les organiser lorsque l’on ne leur prête pas allégeance ! ( Ces instances sont très très puissantes ! )

En résumé…,  on vous confine, on détruit votre économie, et pour vous soigner, on vous prête de l’argent, on vous surendette, et ensuite on hypothèque votre pays pour se faire rembourser, à moins que l’on procède à un Big Reset en échange de…

Professeur Raoult, vous êtes l’empêcheur de tourner en rond, et avec toute votre bonne volonté, votre sagesse et votre savoir, vous avez mis sans le savoir le pied sur un boîte de Pandore dont vous êtes sur le point, avec Maître Di Vizio et d’autres confrères courageux, de libérer le Chaos !

Lorsque le pouvoir devient tyrannique et toxique, le seul pouvoir qui puisse rétablir l’état de droit est le pouvoir judiciaire avec l’aide, dans ce cas précis, d’experts comme vous, comme Perronne, Tibiana, Toussaint, etc. Si votre enquête et celle des magistrats en charge du dossier s’attaque aux véritables sous-jacents, aux commanditaires et complices de cette crise destructrice, il est à penser que vous aurez besoin de beaucoup de soutien, mais aussi de protection, car vous vous attaquez à un véritable dragon dont vous ne voyez que le bout de la queue…

Sachant que dans cette affaire beaucoup de pays occidentaux sont impliqués, excepté la Suède qui visiblement n’a pas cédé ni aux chants des sirènes ni à l’hystérie, je terminerai par le cas de l’Espagne que je connais bien, car je suis frontalier et j’ai quelques implications à différents niveaux dans ce pays. J’ai passé mon confinement près de San Sebastian, au Pays Basque espagnol.

Professeur Raoult, je suis vos travaux depuis le début de cette crise. Compte tenu de la situation en Espagne, j’ai pris contact avec l’IHU de Marseille ou l’on m’a même transmis un numéro de ligne directe que je pouvais communiquer aux instances espagnoles afin d’avoir accès à tous les détails de votre protocole. J’ai envoyé des mails à plusieurs grands hôpitaux, collèges de Biologistes, presse, en cherchant à les informer et les sensibiliser en vue de venir en aide. J’ai même fais en sorte que le message arrive au commandement de la Guardia Civil d’une grande région du nord de l’Espagne.

À vrai dire, j’ai eu peu ou pas de retour, et j’ai été indigné de voir comment vous étiez parfois méprisé et déprécié dans la presse mainstream qui H24 faisait le décompte des morts en expliquant qu’il n’y avait pas de remède pour faire face à cette terrible maladie qui obligeait  les gens à rester enfermés chez eux. En Espagne, il n’était même pas possible de sortir une heure pour faire du sport. Enfin, vint le déconfinement et très rapidement le port du masque obligatoire en tous lieux, même pour aller à la plage ou pour se promener dans la montagne !

À en croire le discours officiel, il n’y a pas de remède à cette maladie et il faut attendre le vaccin qui arrivera dès l’été prochain (Même version que Macron et que l’U.E.). Certains médecins courageux ont dénoncé des incitations financières et des directives de l’administration pour déclarer comme cas Covid tous les cas suspicieux… Même les morts d’accident de la route, de cancers, etc., etc. ont été déclarés Covid ! Plutôt étrange non ? Surtout frauduleux !

Les personnes âgées ont été abandonnées dans les maisons de retraite ou chez elle, ce qui a engendré de nombreux décès, bien sûr classés Covid ! Enfin, certains scientifiques dénoncent la manipulation frauduleuse des tests PCR et des cycles d’amplification qui atteignent des valeurs inacceptables… J’ai échangé avec des gens qui ont été confinés suite à des test positifs, et qui ne comprenaient pas, car ils n’ont jamais eu aucun symptôme ni mal être…

Les médias et les politiques passent leur temps à instiller la peur ici aussi et ils maltraitent les citoyens à coups de confinements localisés en attendant le reconfinement généralisé et le vaccin salvateur qui arrivera des mains généreuses de L’U.E.

Il est étrange de constater qu’à peine une semaine après le début du confinement, les soi-disant experts de la TV espagnole nous expliquaient à chaque instant que le monde ne serait plus jamais comme avant, qu’il faudrait s’habituer à la nouvelle normalité, à la distanciation sociale et attendre le vaccin salvateur pour pouvoir retrouver un peu de liberté ! Ou ces gens sont des oracles, ou ils lisaient la feuille de route de leurs maîtres de l’ombre… Je pense plutôt à la deuxième version !

En Espagne, les médecins et policiers de la dissidence sont stigmatisés, mais l’État profond ne parvient pas pour autant à faire taire leur voix porteuse de vérité. L’association Espagnole des militaires a mis en lumière que plusieurs agences de « fact checking news » [nouvelles de vérification des faits] reliées à des chaînes de grande audience étaient financées par la fondation Bill et Melinda Gates… Et c’est la même chose dans d’autres États où les médias et leurs agences de vérification ont passé leur temps à promouvoir la terreur, la nouvelle normalité, le Remdesivir, à décrédibiliser la chloroquine, à faire croire qu’il n’y a pas d’autre alternative que le vaccin, etc.

Il apparaît clairement que cette sale affaire va bien au-delà des frontières de l’Hexagone et qu’elle dépasse le simple cadre d’un conflit d’intérêt entre le labo Gilead et des acteurs du monde politique et d’autre du monde de la santé !

Il est vraiment URGENT que la justice et les forces de l’ordre mènent des enquêtes exhaustives en mettant en perspective toutes les facettes de cette affaire, en espérant que le dragon les laissent mener à bien leur mission pour que nous soyons libérés de cette tyrannie sanitaire qui finit par nous détruire à petit feu. Le troisième pouvoir doit soutenir les professionnels de santé intègres qui en plus de privilégier la santé de leurs patients, ont le mérite volontairement ou involontairement d’ouvrir la boite de Pandore, ce qui  permettra aux citoyens et à la justice de voir tous les aspects de cette opération et de mettre hors d’états de nuire les commanditaires et leurs complices.

Je tiens à saluer au passage le travail de l’association professionnelle de la gendarmerie qui, à défaut de pouvoir s’exprimer en direct, essaye, par ses publications, de réinformer les citoyens manipulés par ces médias qui pour beaucoup d’entre eux suivent les consignes de ces élites criminelles corrompues. Je vous informe donc que je leur enverrai une copie de cette missive, car il font partie des citoyens courageux qui œuvrent pour le bien commun et pour la défense de nos libertés tout comme vous le faites jour après jour.

Enfin, en marge de cette plainte et de l’action juridique que vous entreprenez, il serait peut-être opportun d’unir les talents et de rejoindre d’autres collectifs d’avocats et de magistrats qui agissent, tant au plan national qu’au plan international, tous unis au sein d’un même mouvement pour la défense de la santé, de la vie, des libertés et de la démocratie.

En espérant que ces quelques informations vous seront d’utilité pour élargir le champ de vos investigations, je tiens à vous témoigner toute mon admiration et ma gratitude en mon nom et au nom de beaucoup d’autres personnes, parmi lesquelles des personnes portant l’uniforme. 

Un ancien trader qui vous admire


[*] Voir aussi : La religion de l’Antéchrist et Qui est l’Antéchrist ?




Leipzig : le peuple allemand se lève pour défendre les libertés

[Source : https://ripostelaique.com]

[Auteure : Nicole Delépine]

Amazing freedom rally in Leipzig, Germany. Lights in the dark
(Incroyable rallye de la liberté à Leipzig, en Allemagne. Lumières au bout du tunnel ?) :

Senta Depuydt, la journaliste belge qui ne compte pas son énergie pour sauver la liberté et la civilisation de notre monde a partagé avec nous la vidéo de la manifestation de Leipzig qui fait suite à celle de berlin occultée par les médias, mais qui malgré tous les énormes efforts du camp mondialiste avait été une réussite formidable avec plus d’un million de participants. La présence de Robert Jr Kennedy, neveu de l’illustre président des USA avait galvanisé les foules avec son évocation du « i bin ein berliner » de son oncle à Berlin quelques décennies plutôt.

Senta raconte : « 7 novembre… « Das Folk », le peuple est à nouveau dans la rue. Des milliers de personnes se sont rassemblées au cœur de la ville de Leipzig lors d’un autre événement pour la paix, l’amour et la liberté. Des manifestations ont eu lieu dans toute l’Europe ces dernières semaines, mais ce qui se passe en Allemagne est vraiment unique… »

(…) Oui, nous savions que l’Allemagne serait un moment historique, quelque chose de significatif. Et c’était… au-delà de notre imagination !!!
Malgré tous les efforts déployés par les responsables de la ville de Berlin pour interdire l’événement et décourager les gens de venir, plus d’un million de personnes de toutes les régions d’Allemagne et d’Europe se sont jointes à l’un des plus grands rassemblements pour la liberté du siècle. Le discours inoubliable de Robert F. Kennedy, Jr., faisant écho aux paroles de son oncle en 1963 dans un message pour défendre le « peuple libre de Berlin » contre la menace du communisme et de la dictature, a instantanément atteint des dizaines de millions de personnes dans le monde. Et son avertissement était très clair. La démocratie est à nouveau en danger, cette pandémie est un coup d’État et nous sommes ici ensemble pour lutter pour nos droits ».

Senta raconte également ce que nous percevons des messages de nos amis allemands qui se battent bec et ongles pour libérer le monde de ce nouvel ordre mondial qui ne se cache plus ! Les avocats appellent à un Nuremberg 2.

Le « plus jamais cela » a une énorme signification pour eux, alors même que les petits français et même certains médecins qui appliquent des vaccins obligatoires ou euthanasient des patients sans leur consentement, ne connaissent même pas ce que signifie le code de Nuremberg .

Les Allemands ne sont pas remis de la honte du nazisme, tandis que les français ont intériorisé le combat de magnifiques résistants, comme le leur, mais sont prêts aujourd’hui à dénoncer leur voisin pour une fête familiale interdite par le sieur Castex … sans compter les monceaux de lettres anonymes de dénonciation encore en stock à la bibliothèque nationale. Des héros ? Non certains oui le furent au-delà de notre imagination ; mais pas tous les français.

Les Français de la deuxième guerre mondiale ont-ils été globalement plus innocents que les Allemands de la même époque ?

Pourquoi notre pays a -t-il autant ce sentiment de supériorité, d’invulnérabilité qui nous mène à la soumission outrancière, au massacre des cerveaux de nos enfants aggravé encore par ce port du masque obligatoire au- delà du stress psycho traumatique subi pendant le confinement et les aberrantes et honteuses mesures de « distanciation » imposées à l’école pour calmer les foules, les syndicats bien conditionnés par les représentants zélés de big pharma via la peur induite par les relais gouvernementaux obéissants.

Senta raconte ce que nous lisons trop souvent de la part de nos amis allemands. « Chaque personne que j’ai rencontrée à Berlin m’a raconté la même histoire :

« En tant qu’Allemands, nous avons dû grandir avec la honte du régime nazi et la misère du communisme. Cela ne peut plus jamais se reproduire ! Il n’y a tout simplement aucun moyen d’accepter une autre société totalitaire. C’est une question de vie ou de mort … »

« Les Allemands sont dans les rues tous les samedis depuis août dans des dizaines de villes. Des centaines, voire des milliers de médecins sont totalement en désaccord avec les « coronamesures ». Ils s’expriment, soutenus par des dizaines d’avocats, de scientifiques, d’artistes, de sportifs, d’hommes d’affaires, de parents. Il est difficile d’estimer le nombre de personnes au courant de la situation en Allemagne, mais certains disent que cela pourrait représenter jusqu’à 20% de la population.

Les combattants de la liberté ont défilé chaque semaine avec des portraits de Ghandi, des messages d’amour, des prières, des chants de paix et de la méditation et semaine après semaine, ils ont été qualifiés d’extrémistes, de fascistes et de criminels violents par leurs médias et leur gouvernement. Des blocs noirs se sont infiltrés dans leurs rangs pour provoquer des incidents, les forces de l’ordre ont tenté de les intimider. Lors de l’une des récentes manifestations à Berlin, nous avons vu des images de nos bons amis brutalisés et arrêtés par des « robocops » alors qu’ils se promenaient simplement dans la foule. Mais les voici de nouveau. Rien ne les arrêtera. »

Nous-mêmes et nos médias se taisent, taisent le comportement du voisin soi-disant notre modèle, taisent le fait qu’ils ont contrôlé de façon beaucoup plus adaptée de la crise covid. Les allemands ont non seulement évité le confinement mortifère et ses victimes collatérales de non ou retard de traitement et surtout évité un grand nombre de morts en laissant ses médecins choisir le traitement adapté, précocement, en d’autres termes l’usage de la chloroquine.

Relayons le combat de nos voisins allemands et nous ferons écho aux manifestations italiennes, espagnoles etc… dans d’autres tribunes.

« Je vous invite à regarder ce moment unique à Leipzig. La police a annoncé la fin de la manifestation à 15 heures “parce que la foule ne respectait pas la distance sociale et ne portait pas de masques”. Mais lorsque les organisateurs ont quitté la scène, les gens ont tout simplement refusé d’y aller. Ils ont montré tant de force, tant de courage, ils étaient si nombreux que personne ne pouvait les forcer à partir. Nos amis ont résisté avec paix et amour et une part croissante des forces de police se tourne de leur côté. Tel est le nouvel esprit du peuple allemand, un esprit qui doit à la fois nous éveiller et nous inspirer. »

« Regardez cette belle vidéo des habitants de Leipzig. (…) Laissez le nouvel esprit de l’Allemagne vous surprendre et vous guider, comme une lumière qui monte du plus profond des ténèbres. »

Les rues de Leipzig, le 7 Novembre

Nicole Delépine




Le plan diabolique de la Cabale pour la France

[Source : La cause du peuple]

[Auteur : Hannibal GENSÉRIC]

Et bien nous y voilà. Ce que nous refusions de croire se produit dans notre pays. L’impensable, l’inimaginable nous allons le subir aussi, à moins d’un miracle. L’urgence sanitaire permettra d’emprisonner tout citoyen au nom de la lutte contre le Covid. Par ailleurs François Bayrou nommé par Macron au Haut Commissariat au Plan est chargé de la mise en œuvre du plan imposé par les cartels bancaires !

Voilà le pouvoir exorbitant accordé au gouvernement par 399 députés LREM, LR et Modem :

Image

C’est désormais notre tour aussi…

Et bien nous y voilà. Ce que nous refusions de croire se produit dans notre pays. L’impensable, l’inimaginable nous allons le subir aussi, à moins d’un miracle.
La dictature continue à se mettre en place semaine après semaine dans l’indifférence générale !
Cette loi adoptée le 4/11/2020 permettra à la police de nous emprisonner SANS passer par un Juge sous prétexte de lutte contre la pandémie ! Et cela, quelle que soit la gravité ou non de notre prétendu délit !

Sans aucun jugement nous pourrons être « incarcéré ou transféré dans un établissement pénitentiaire à des fins de lutte contre l’épidémie de COVID« 
Donc mise en place de la vaccination obligatoire par la force.

Source : Assemblée Nationale 

François Bayrou nommé par Macron au Haut Commissariat au Plan est chargé de la mise en oeuvre du plan imposé par les cartels bancaires ! Vous noterez que ce plan est identique à la virgule près, à celui qui a été révélé par Randy Hillier, le député canadien de l’Ontario, sur la tyrannie qui se met en place au Canada et que nous avons publié il y a une semaine. Cet article révélant ce plan diabolique, avec preuves à l’appui, est depuis une semaine, massivement lu et partagé sur la toile. La preuve que nous sommes nombreux à prendre conscience des dangers qui nous menacent.

Ce plan criminel est dénoncé par des députés canadiens intègres, par des collectifs de médecins, de virologues, de scientifiques de nombreux pays, par le général Mike Flynn, l’archevêque Vigano, Robert F. Kennedy, par le collectif d’avocats regroupant 60 pays et dont Maître Reiner Fuellmich est la figure marquante. 

De nombreux journalistes indépendants dont votre serviteur, sont censurés par Facebook et Youtube ainsi que de nombreux lanceurs d’alerte comme Silvano Trotta en France, Jean Jacques Crevecoeur et Alexis Cossette-Trudel au Canada. Nous sommes très nombreux à voir nos comptes fermés sur les réseaux sociaux américains, véritables machines à censure de la Résistance internationale qui s’organise dans tous les pays.

Malgré cette censure massive et systématique, l’information libre et indépendante réussit à se faire entendre et sur Mediazone, nous faisons l’impossible pour vous tenir informés de tout ce que les médias mainstream, complices des gouvernements criminels, vous cachent.

Donc voici l’essentiel de ce qu’il est vital que vous sachiez.
Ne gardez pas l’information pour vous seuls. Même si l’on se moque de vous et que l’on vous traite de complotistes et d’illuminés, n’en tenez pas compte ! Écoutez la voix de votre conscience et partagez cette information car elle est vitale pour nous tous. Si nous arrivons à vaincre la Cabale ou à empêcher la réalisation de son plan diabolique, même les incrédules et les ingrats vous remercieront de leur avoir ouvert les yeux !

La France doit donc appliquer la même feuille de route que les autres pays. Pour l’instant les pays membres du Commonwealth, CanadaAustralie,  Nouvelle Zélande suivis du Royaume Uni ont mis en application le plan imposé par le FMI et la Banque Mondiale et sont même en avance sur nous ! Mais les autres pays de l’OTAN ne sont pas en reste et continuent d’imposer les mêmes mesures suicidaires, mesures qui conduisent à la destruction de l’économie et qui favoriseront le grand hold up des cartels bancaires sur la propriété privée, en échange du revenu universel, lié bien sûr à l’acceptation de la vaccination. Difficile de ne pas voir derrière cette stratégie la mise en esclavage de l’humanité.

C’est maintenant notre tour !

À peine arrivé au Haut Commissariat au Plan, François Bayrou n’a pas attendu longtemps pour se mettre au travail et profiter de cette pseudo-crise covidienne pour mener à bien la suite de l’agenda prévu par l’Élite. Dans une note qui nous a été transmise, il propose au gouvernement une série d’actions délirantes et inquiétantes afin de nous amener au Grand Reset financier voulu par la Cabale.

Voici, en résumé, ce que prévoit cette note :

  • Mise en place progressive des restrictions de circulation sur une base continue, en commençant par les grandes régions métropolitaines d’abord et s’étendant vers l’extérieur.
    Prévu d’ici novembre 2020.
  • Accélérer l’acquisition (ou la construction) d’installations d’isolement dans chaque région et département.
    Prévu d’ici décembre 2020.
  • De nouveaux cas quotidiens de COVID-19 surviendront au-delà de la capacité de test, y compris des augmentations de COVID, décès « liés » suivant les mêmes courbes de croissance.
    Attendu d’ici fin novembre 2020.
  • Confinement complet et total (beaucoup plus strict que la première et la deuxième phase de restrictions).
    Prévu fin décembre 2020 – début janvier 2021
  • – Réforme et extension du programme de chômage pour faire la transition vers le programme de base de revenu universel.
    Prévu d’ici le premier trimestre 2021.
  • Mutation projetée du COVID-19 et/ou co-infection avec un virus secondaire (appelé COVID-21) conduisant à une troisième vague avec un taux de mortalité et un taux d’infection beaucoup plus élevé.
    Attendu pour février 2021.
  • De nouveaux cas quotidiens d’hospitalisations au COVID-21 et de décès liés au COVID-19 et au COVID-21 vont  dépasser la capacité des établissements de soins médicaux.
    Prévu T1 – T2 2021.
  • De nouvelles restrictions (appelé troisième confinement ) seront mises en œuvre.
    Prévu T2 2021.
  • Transition des individus dans le programme de revenu de base universel.
    Prévu mi T2 2021.
  • Ruptures projetées de la chaîne d’approvisionnement alimentaire, pénuries de stocks de tous ordres, grande instabilité économique.
    Prévu tard T2 2021.
  • Déploiement de personnel militaire dans les principales métropoles ainsi que sur toutes les routes principales pour établir des points de contrôle de voyage. Limitation des déplacements.
    Prévu pour le troisième trimestre 2021.

[Voir aussi, avec le même genre de calendrier : LE CANADA DEVIENT TYRANNIQUE! 2nd verrouillage «total»; CAMPS DE CONCENTRATION pour réfractaires. S’agit-il dans les deux cas d’un canular ? Ou bien est-ce réel ? À chacun d’en juger.]

Parallèlement à cette feuille de route fournie, le Commissariat au plan a été invité à concevoir un moyen de transition pour répondre à une mobilisation économique sans précédent. Cela changerait le visage de chaque nation et changera à jamais la vie des citoyens.

Ce qu’on nous a dit, c’est que pour compenser ce qui était essentiellement un effondrement économique à l’échelle internationale, le gouvernement allait offrir aux citoyens une annulation totale de la dette.

Voici comment cela fonctionne : le gouvernement offrira d’éliminer toutes les dettes personnelles (hypothèques, prêts, cartes de crédit, etc.) dont tout le financement sera fourni à chaque nation par le FMI dans le cadre de ce qui deviendra le programme mondial de réinitialisation de la dette.

En échange de l’acceptation de cette remise totale de la dette, l’individu perdrait la possession de tous ses biens, de toutes propriétés et actifs pour toujours.

L’individu devrait également accepter de participer au Calendrier de vaccination COVID-21, qui offrirait à l’individu la possibilité de voyager sans restriction et de vivre sans restriction, même sous un confinement complet grâce à l’utilisation d’une pièce d’identité avec photo (Passeport Santé Biométrique).

Cette feuille de route est semblable à celle que l’on pourrait trouver dans la plupart des pays du monde et déjà mise en œuvre avec succès dans les pays faibles comme le Bengladesh.

La lutte entre l’Alliance et la Cabale entamant son dernier round, les événements s’accélèrent.

Vous constatez tous que nous ne sommes pas dans un délire de complotistes mais dans une effrayante réalité. Ceux qui continuent à douter ne viendront pas gémir quand le piège se sera refermé sur eux. On ne peut pas convaincre les incrédules, les endormis, les naïfs et les inconscients.  

Nous journalistes indépendants – (Vanessa Beeley, Pepe Escobar, Youssef Hindi, Darvinson Rojas, Alexis Cossette-Trudel, Chen Qiushi, Mohammad Masaed, Ruth Michaelson, Szabolsc Panyi, et beaucoup d’autres) – avons subi censures sur les réseaux sociaux, insultes et moqueries dans les médias mainstream et menaces depuis le début de cette fausse pandémie, pandémie que nous dénonçons comme la plus vaste conspiration criminelle imposée à l’humanité, basée sur des mensonges d’Etats. Et pourtant tout ce que nous écrivons depuis début 2020 se confirme aujourd’hui sous nos yeux !

Le collectif d’avocats regroupant 60 pays du monde mené par Maître Reiner Fuellmich qui traine en justice les corporations impliquées dans ce plan machiavélique pour crimes contre l’humanité, constitue la preuve ultime que les journalistes indépendants disaient la vérité.

Beaucoup attendent que Trump soit le sauveur du monde et qu’il empêchera cette conspiration criminelle d’atteindre ses objectifs. Ne rêvez pas car même si Trump est élu ou battu, les États-Unis vont sombrer dans la guerre civile. C’est le plan de balkanisation qu’a prévu la Cabale pour détruire ce pays. La guerre de tous contre tous pour que les Américains s’épuisent, s’autodétruisent et pour que les survivants finissent par supplier de vivre en sécurité sous le régime totalitaire des banquiers.

L’heure n’est plus aux incantations et aux faux espoirs mais à l’urgence vitale de sauver nos vies et la vie de nos familles et de nos enfants. Préparez-vous et organisez-vous pour votre propre survie. Si vous le pouvez, commencez à regrouper vos forces et vos moyens car affronter seuls et isolés des autres le malheur qui va s’abattre sur nous, équivaut à un suicide !

Ne vous laissez pas manipuler par les attentats sous faux drapeau attribués à des prétendus « islamistes » car ces opérations n’ont pour but que de détourner votre attention, faire monter la peur et la tension.

Les gouvernements occidentaux sont tous soumis à la Cabale, à Bilderberg, à la Banque Mondiale et au FMI. Ils sont leurs agents. Ce sont tous des corrompus et des criminels n’en doutez pas et les mesures anti-covid qui vont détruire l’économie et nos vies sont bien la preuve qu’ils sont en mission pour le Grand Reset au service des cartels bancaires.

Prions pour que la journée du 3 novembre nous soit favorable et signe l’arrêt de mort de ce maléfique gouvernement mondial mais charité bien ordonnée commence par soi-même.

Prions en espérant le meilleur mais soyons prêts à affronter le pire.

Source : Le Pouvoir Mondial aux Peuples

NOTES

[1]  Canada. Le gouvernement acquiert des «guillotines hydrauliques programmables» nécessaires «à l’appui de la réponse au COVID-19»
–  Canada. Ce n’est plus une théorie du complot: le premier ministre canadien Justin Trudeau annonce que la pandémie de COVID-19 est une «opportunité» pour la «grande réinitialisation»
–  COVID-Arnaque. Voici le plan (fuité) du verrouillage mondial et de la confiscation de nos biens et de nos libertés

Hannibal GENSÉRIC




La pathologisation de la dissidence

[Source : Comme Don Quichotte via Guy Boulianne]

[NDLR Il existe au moins un précédent avec la Psychiatrie punitive en URSS]

Par Enrica Perucchietti pour Comedonchisciotte.org

Aldous Huxley : une méthode pharmacologique pour « plier » l’esprit des citoyens

« Je crois que les oligarchies trouveront des formes plus efficaces de gouverner et de satisfaire leur soif de pouvoir et seront semblables à celles décrites dans Le meilleur des mondes. »

Dans une lettre du 21 octobre 1949, l’écrivain Aldous Huxley écrit à George Orwell que, dans un proche avenir, le pouvoir mettra bientôt en œuvre la révolution ultime : « inciter les gens à aimer leur état d’esclavage ».

Huxley était convaincu que les dirigeants prendraient la forme de la dictature « douce », car ils trouveraient l’hypnotisme, la condition de l’enfant et les méthodes pharmacologiques de la psychiatrie une arme décisive pour plier les esprits et la volonté des masses. Une hypothèse que le romancier anglais confirmerait en 1958 dans son essai Retour au meilleur des mondes.

En 1932, Huxley lui-même avait placé son chef-d’œuvre dystopique, Le meilleur des mondes, dans un monde global pacifié, dans lequel une drogue d’État, soma, contrôle l’humeur des citoyens.

Dans la dystopie de Huxley, il n’y a pas de place pour des émotions fortes, de l’amour, de la haine ou de la dissidence. Il n’y a pas de place pour l’intuition, l’art, la poésie, la famille.

Les gens en sont venus à aimer leurs chaînes parce qu’ils ont été manipulés avant même la naissance par l’eugénisme et en tant qu’adultes, ils sont totalement dépersonnalisés et manipulés profondément.

De cette façon, aucune forme de rébellion n’est possible. Et le pouvoir a atteint son objectif : faire en sorte que les citoyens ne s’embêtent pas.

En fait, pour créer une société apparemment parfaite et pacifique, il faut contrôler ou même anéantir, effacer les émotions, faire des citoyens des zombies.

La pathologisation de la dissidence

La création d’une sorte de «terreur sanitaire» devient le grimaldello pour saper les libertés individuelles et resserrer les mailles du contrôle social.

Monstre dans l’édition élargie et actualisé des Fake news (Arianna Editrice), les cas de censure, de boycotts et d’attaques de plus en plus impitoyables contre l’information indépendante sont désormais quotidiens.

Nous devons nous demander si la biosécurité ne nous conduit pas vers une dictature de la santé et si nous n’essayons pas de pathologiser la dissidence afin de pouvoir intervenir de manière forcée et créer un dangereux précédent : traiter et hospitaliser les dissidents.

Dans la société du politiquement correct, ceux qui ne s’alignent pas avec la pensée unique ont longtemps été dénigrés, persécutés et marqués d’étiquettes différentes et pourtant toujours dénigrantes, afin d’inclure la dissidence; Aujourd’hui, cependant, ce vaste travail de discrédit s’accompagne d’une tentative de guérir les dissidents afin de les remettre sur les rails et de les accueillir de nouveau dans la société.

Au cours de la dernière année, nous avons vu des précédents inquiétants, de la création de la nouvelle expression « souveraineté psychique » (1) à la proposition d’un chercheur de l’Institut italien de technologie d’utiliser des décharges électriques ou magnétiques pour influencer le cerveau et guérir les stéréotypes et les préjugés sociaux. (2)

Pour Galimberti, les deniers sont « fous »

Le dernier exemple dans l’ordre du temps de pathologisation de la dissidence ont été les déclarations du philosophe Umberto Galimberti qui, hôte de l’émission Atlantis sur La7, (3assimilé les négationnistes de Covid à la folle:

« Les deniers ont peur de la peur. Plus que la peur, ils ressentent de l’angoisse. Ils perdent des repères. Et ils deviennent délirants. Le négationnisme est une forme de confinement de l’angoisse […]. Ce n’est pas facile de raisonner les fous. Pouvons-nous persuader ceux qui nient la réalité que la réalité est différente? Très à peine.

Sa déclaration n’est pas isolée : ces derniers mois, on a tenté de persuader l’opinion publique de soutenir l’assimilation de négationnistes (mais aussi de comploteurs et de non-vax) à des fous, qui devraient alors suivre un traitement psychiatrique pour être ré-acceptés au sein de la société.

À la lumière des affaires de Tso à Dario Musso (4) et à l’avocate de Heidelberg, Beate Bahner, qui critique vivement les mesures du gouvernement pour la quarantaine du coronavirus,(5) la tentative de psychiatrie dissidents devrait soulever l’indignation non seulement des initiés, mais de la population.

Le problème fondamental est que sous l’étiquette désobligeant de « négationniste », mais aussi « conspiration » tombe toute personne qui critique la version officielle de la fiction grand public ou se permet d’être en désaccord avec les mesures gouvernementales fondées sur la biopuissance.

Guérir la dissidence

Nous sommes confrontés à une attitude paternaliste, autoritaire et scientifique du pouvoir qui vise à obtenir une obéissance aveugle de la part des citoyens et dans le cas où ils refusent de se soumettre sans critique, pour être en mesure de corriger leur comportement et la pensée à travers la psychiatrie ou la technologie.

Le totalitarisme des bons sentiments (« bon » seulement en apparence) a ses chiens de garde prêts à ramener au pli toute personne qui n’est pas d’accord ou ose exprimer publiquement des doutes. Aujourd’hui, la psychopolitique semble prête à développer de nouveaux instruments dignes de psychodition.

L’objectif est de neutraliser la prise de conscience critique et de censurer toute forme de dissidence. Ceux qui dissidence doivent être censurés, ils doivent en venir à avoir honte non seulement de ce qu’il a dit, mais de ce qu’il a « osé » penser.

Elle ne peut donc être ré-acceptée dans la communauté que si elle est humiliée, demande publiquement pardon et subit un traitement psychiatrique pour guérir d’une maladie que le totalitarisme progressiste espère guérir : penser librement et de façon critique.


À propos de l’auteur

Enrica Peruchietti est une journaliste italienne, auteur de nombreux essais (disponibles sur Amazon) dont les titres sont suffisamment éloquents. Suffisamment en tout cas pour la classer parmi les dissidents, et bien sûr, pour les mauvaises langues, les… « complotistes ». (Réf. Guy Boulianne).




Le Pr Fourtillan, apparu dans « Hold-Up », interné en hôpital psychiatrique contre son gré? MàJ 12/12/2020

[Source : FranceSoir]

[Mise à jour Nouveau Monde :
Le Pr Fourtillan aurait été arrêté suite à un exercice illégal de la médecine pour avoir donné des traitements expérimentaux à des malades souffrants de la maladie d’Alzheimer ou de Parkinson. Il a été arrêté le 7 décembre dernier, puis placé en détention provisoire à la maison d’arrêt de Nîmes. Le 10 décembre, un médecin l’a examiné et a considéré que son état de santé nécessitait un placement dans un établissement psychiatrique. Le préfet du Gard a suivi cet avis. Selon Éric Maurel, le procureur de Nîmes, Jean-Bernard Fourtillan n’a pas, à ce jour — ce vendredi 11 décembre — contesté son internement. Mr Fourtillan ne se serait pas rendu à une convocation d’un juge, une explication justifiant le fait que les forces de l’ordre soient venues à sa résidence pour l’amener en garde à vue.  La préfecture du Gard a déclaré que l’internement a été effectué sur prescription médicale sans qu’aucun détail spécifique sur l’état de santé de Mr Fourtillan ne soit précisé. Voir ici, ici et ici.

Nous nous retrouvons donc, une fois de plus, dans une situation pour laquelle deux récits d’interprétation des événements se dessinent : celui des médias mainstream qui ici justifieront l’internement pas des actions illégales de l’intéressé; et celui de nombreux médias alternatifs qui indiqueront que la véritable raison provient de ce que dénonce le professeur.

Maintenant, on peut se poser quelques questions :
– Est-ce que l’illégalité supposée ou avérée empêcherait pour autant l’éventuelle réalité des faits dénoncés par le professeur ?
– Est-ce que tout ce qui est légal est pour autant légitime ou souhaitable ?
– Qui décide de ce qui est légal ou illégal ?
– Est-ce que le citoyen lambda a son mot à dire en matière de ce qui devrait être légal et qui risque de plus ou moins fortement l’impacter ?
– N’a-t-on jamais vu auparavant des gouvernements ou leurs agents profiter de la loi et de leur pouvoir pour contraindre des opposants ou des lanceurs d’alerte ?]

Publié le 11/12/2020 à 01:50 – Mise à jour à 18:07

le Pr Fourtillan, apparu dans Hold-Up, interné contre son gré

Auteur(s): FranceSoir


Alerte info

Le professeur Jean-Bernard Fourtillan, qui a participé au tournage du film « Hold-Up » aurait été interné contre son gré à l’hôpital psychiatrique Le Mas Careiron, de la ville d’Uzès, hier 10 décembre, sur ordre du prefet du Gard

Mise à jour ce 11/12/20 14:00 

D’après un proche du dossier, cet internement sur ordre du préfet du Gard n’a pas reçu d’opposition du fils et de l’avocat de M. Fourtillan, qui restent injoignables. M.Fourtillan serait « à l’isolement et donc dans l’impossibilité de communiquer avec l’extérieur. Son épouse devrait aller le voir dans l’après-midi ».

Mise à jour ce 11/12/20 14:00 

L’avocat du Pr Fourtillan, Me Marc Fribourg, en contact avec M. Guy Legros président de l’association de malades d’Alzheimer et Parkinson, lui a fait une déclaration surprenante à propos de son client: « Monsieur Fourtillan est un complotiste, et il faut que les gens arrêtent d’appeler l’hôpital, ça ne sert à rien.
Que les malades arrêtent d’espérer des patchs qui n’arriveront jamais »

Les patchs thérapeutiques pour certains types de maladies sont fortement contestés par les autorités sanitaires d’après un article du Figaro : 

À l’initiative d’une fondation créée par le Pr Joyeux et le Pr Fourtillan, plus de 350 malades de Parkinson et Alzheimer ont reçu une molécule dont «la qualité n’est pas connue», selon l’Agence du médicament qui a alerté la justice. « Un vrai scandale », a réagi la ministre de la Santé. Une « bombe scientifique », s’émerveille le Pr Henri Joyeux sur une vidéo présentant les recherches du Pr Jean-Bernard Fourtillan, sur le site Internet d’une association qu’ils ont créée ensemble pour développer des patchs transdermiques visant à traiter des maladies neurologiques. En fait de bombe, celle-ci vient de leur exploser à la figure : alors que plus de 350 patients auraient déjà été recrutés dans un essai illégal, l’Agence nationale de surveillance du médicament (Ansm) vient d’annoncer qu’elle avait intimé au Pr Fourtillan de «cesser immédiatement cet essai» et d’«informer sans délai chaque participant de cette interdiction». L’Ansm a par ailleurs saisi la justice et le pôle santé du parquet de Paris a été chargé de l’affaire. 

De son côté, Richard Boutry qui a été en contact avec les proches du Pr Fourtillan partage « la minute de Ricardo » sur FranceSoir, à retrouver sur son site.

Article du 11/12/2020 à 01h50

Rappelons que le Pr Fourtillan était apparu dans le film avec un passage de 3min25, et s’est fait attaquer verbalement par l’Institut Pasteur. D’après ce dernier, les propos tenus dans le film Hold-up seraient erronés ou faux. L’Institut a même annoncé vouloir déposer plainte sans qu’à ce jour aucune plainte n’ait été reçue par le Pr Fourtillan ou son conseil.

Il y a quelques jours, le professeur Fourtillan aurait déposé plainte pour diffamation contre le docteur Olivier Schwartz, directeur scientifique de l’Institut Pasteur – et donc contre l’institution – pour « mensonges et déformation de la vérité, préjudiciables pour sa notoriété scientifique et pour les peuples du monde qu’il veut protéger, à propos du reportage du 20 h de France 2, du dimanche 15 novembre 2020, sur le film réalisé par Pierre Barnerias.

La plainte de M.Fourtillan contenait des déclarations selon lesquelles ses comptes bancaires auraient été gelés, le laissant sans moyen de paiement.

Une vidéo postée ce jour sur YouTube fait état de cet internement et en détaille les contours, elle s’adresse à l’hôpital et à son personnel en expliquant que M. Fourtillan serait retenu contre son gré.

https://www.youtube.com/embed/lAW358AxiKk

Un internement qui pose question. Serait-ce lié à la plainte déposée, aux patchs utilisés par le professeur, ou bien à ses déclarations sur les brevets dans le film Hold-up ? Visiblement on ne sait toujours pas de quel Hold-up il s’agit, l’avenir nous le dira.
 

Pendant qu’un citoyen français est interné, le site ConspiracyWatch qui se présente comme un observatoire contre le conspirationnisme, utilise le nom de Mr Fourtillan pour faire de la publicité. Ce site se permet d’évaluer des personnes et des sociétés, mais il est ici pris au piège en achetant des mots-clés pour se placer en haut des réponse de Google.  ConspiracyWatch, un site qui fait de l’information sélective et paie son référencement sur Google en surfant sur la notoriété des gens qu’il traite de complotiste. Arroseur arrosé.  Voyons si les pratiques de ce site seront dénoncées par les vérificateurs d’information. 

Après la censure, la liberté d’expression, les convocations des médecins à l’ordre pour diverses raisons, les menaces de mort contre le Pr Raoult, nous assistons à une privation de liberté par internement contre son gré du Pr Fourtillan.

Où va-t-on s’arrêter ? C’est bien le premier mot de la devise nationale qui est mis à mal.


Retrouvez le CV du professeur Fourtillan

NOM : Jean-Bernard FOURTILLAN, Ph. D., Ingénieur Chimiste, Pharmacien, Pharmacien des Hôpitaux, Professeur de Chimie Thérapeutique et Pharmacocinétique à la Faculté de Médecine et de Pharmacie de l’Université de Poitiers Expert Pharmacologue Toxicologue spécialisé en Pharmacocinétique

Auteur(s): FranceSoir


[Voir aussi :




Les projets des Maîtres du Monde

[Source : Les projets des Maîtres du Monde. Écrit en 1999 par Sylvain Timsit]
Stratégies pour un contrôle global de la société

Les projets et les objectifs des « Maitres du Monde » pour le contrôle des individus et de la société…
Certains projets concernent notre futur proche. D’autres sont déjà devenus une réalité…

Les
projets
Stades de réalisation
5 – projet totalement réalisé
4 – majoritairement réalisé
3 – partiellement réalisé
2 – début de réalisation
1- stade préliminaire
Les
objectifs
(bénéfices attendus
pour le contrôle social)
Les moyens utilisés
Degrés de mise en application
5 – totale
4 – majoritaire
3 – avancée
2 – partielle
1- préliminaire
Manipulations
génétiques

Fin de la procréation humaine naturelle

Création d’humains génétiquement modifiés, clonage

Fin de la procréation naturelle et libre.

Réalisation du « meilleur des
mondes
 » d’Aldous Huxley 
Horizon de réalisation: 2020

Obtention de l’accord du public: très difficile
Stade de réalisation: 1 

OBJECTIFS 

Développement d’un nouveau marché: celui des enfants-produits, vendus
sur catalogue, avec des qualités physiques et psychiques
proportionnelles à leur prix de vente (enfants beaux et intelligents
vendus très cher pour les riches, enfants laids et bêtes vendus moins
cher pour les pauvres…) 

Création d’humains mutants spécialisés, adaptés au travail et au rang
social qu’on leur destine. 

Modification génétique de la « nature humaine » 

Création d’humains aux facultés intellectuelles « bridées » 

Limitation génétique du libre-arbitre, de l’anticonformisme, de
l’imagination… 

Limitation de l’aptitude au bonheur, du sentiment d’union avec les
autres ou avec la nature

MOYENS
UTILISES
 Diffusion massive dans
l’environnement de pesticides, PCB (polychlorobiphényles), et autres
polluants connus pour leurs effets d’augmentation de la stérilité
masculine.
Lorsque suffisamment d’humains seront stériles, le seul choix sera de
recourir à la procréation artificielle.
Degré d’application: 4  

Banaliser le recours aux techniques de procréation artificielle, en les
justifiant par des motivations médicales: bébés-éprouvette, mères
porteuses, couveuses pour bébés prématurés nés à 6 mois…
Degré d’application: 3 

Banaliser les manipulations génétiques justifiées par des motivations
médicales (thérapies géniques, prévention génétique des maladies)
Degré d’application: 2 

Les moyen ultimes:

 Proposer aux populations d’échanger la liberté de procréer
contre l’accès à la « pilule d’immortalité » ou de « super-longévité » que
les laboratoires ont déjà mise au point (à partir d’un cocktail
d’hormones, de vitamines, d’oligo-éléments, d’anti-oxydants, et de
certains extraits végétaux).

Compte-tenu des problèmes démographiques que causerait cette future
pilule, son accès serait réservé aux personnes qui auront accepté de se
faire stériliser.

A terme, l’égoïsme des gens leur fera choisir la « vie éternelle » plutôt
que la possibilité d’avoir des enfants naturels. D’autre part, la
tentation d’accepter sera renforcée par la possibilité de choisir sur
catalogue les caractéristiques de son enfant.
Degré
d’application: 0 

 Utiliser
des virus manipulés génétiquement pour greffer des gènes modifiés dans
l’ADN des individus, à leur insu et contre leur volonté. La mutation
génétique se propagerait exactement comme une épidémie.

Les laboratoires pharmaceutiques pourraient aussi utiliser cette
méthode pour créer de nouvelles maladies dont ils seraient les seuls à
vendre le remède…
Degré d’application: 2

Rendre
floue la frontière entre le vivant
et le non-vivant

Augmenter la confusion du public sur ce qui distingue les êtres vivants
et les machines.
Horizon de réalisation: 2000

Obtention de l’accord du public: assez aisée
Stade de réalisation: 3

OBJECTIFS 
Obtenir une acceptation plus facile des manipulations génétiques et des
futurs implants
MOYENS
UTILISES
 
Banaliser et multiplier les machines qui imitent l’apparence ou le
comportement des êtres vivants:
– robots-jouets, tamagoshis
– réalités virtuelles, artefacts, avatars…
– animateurs TV virtuels
– au cinéma: personnages androïdes ou porteurs d’implants bioniques,
créatures mi-hommes mi-machines…
Degré d’application: 3
Implants

Faire entrer les machines dans les corps

Horizon de réalisation: 2012
Obtention de l’accord du public: difficile
Stade de réalisation: 2

OBJECTIFS
Contrôle des corps et des esprits par des implants
électroniques et des prothèses bioniques

Création d’humains aux fonctions modifiées Préparer le terrain pour que
le public accepte les futurs implants
de localisation et d’identification greffés sous la peau

Généralisation du recours aux implants par les salariés pour accroître
leurs performances professionnelles(implants neuronaux pour accroître
la mémoire et les capacités de calcul, implants bioniques pour
accroître la force ou les capacités physiques…)

Bientôt, le recours à des « implants professionnels » sera indispensable
pour avoir des chances de trouver un travail. voir l’article « Vers
un contrôle social bionique
« 

MOYENS UTILISES
Banaliser les implants à usage médical, afin de diminuer la méfiance
instinctive du public à l’égard de l’intrusion de la machine dans le
corps.
Degré d’application: 4

Promouvoir la mode des piercings, pour habituer
le public à l’intrusion des objets matériels dans le corps.
Degré d’application: 5

Rendre obligatoire les implants pour
l’identification des animaux domestiques.

Degré d’application: 4
Organiser (ou laisser s’organiser) un attentat
nucléaire dans une ville occidentale pour rendre obligatoires les
implants de localisation et d’identification pour chaque individu, au
nom de la « sécurité » et de la « lutte contre le terrorisme ».
Degré d’application: 3

Traçabilité
totale des individus

Horizon de réalisation: 2000
Obtention de l’accord du public: aisée
Stade de réalisation: 4
OBJECTIFS

Obtenir une connaissance précise du « profil » de chaque individu:
opinions, comportements, déplacements, fréquentations, habitudes,
standard de vie…

Pouvoir localiser chaque individu avec précision et en temps réel, où
qu’il se trouve.

MOYENS UTILISES
Fichiers informatiques, cartes de crédit, téléphones portables,
Internet, réseau Echelon… Tous les moyens actuels de surveillance
électronique sont détaillés sur la page « Une
liberté sous surveillance électronique
« …
Degré d’application: 5

Placer une balise de localisation par satellite sur toutes les voitures.
Aux Etats-Unis, les voitures produites par certaines marques intègrent
déjà ce système, qui est présenté au consommateur comme un avantage
pour sa sécurité en cas d’accident (la balise avertit automatiquement
le centre de secours et transmet la localisation précise de l’accident)
L’adhésion du public sera obtenue à coup sûr grâce à une promesse de
réduction des cotisations d’assurance: la balise réduira en effet les
vols de voiture, celles-ci pouvant être instantanément localisées.
Degré d’application: 3

Développer des systèmes individuels de localisation et
d’identification: collier ou bracelet électronique, implant
électronique placé sous la peau, ou tatouage sur la peau d’un code
barre invisible à la lumière ordinaire (lisible par un scanner)

Aux Etats-Unis ou en France, le bracelet électronique est déjà
expérimenté sur des prisonniers en liberté surveillée.

L’implant de localisation existe
également: de la taille d’un grain de riz, la puce « Digital Angel » est
fabriquée par la société Applied
Digital Solutions (ADSX) qui édite un site
spécial
consacré à Digital Angel.

Plus fort encore, une autre société dénommée « Alien
Technology » (sic!) produit depuis 2002 une micro-puce de la
taille d’un grain de sable (environ 100 microns de coté). Cette
technologie a été mise au point au Centre Auto-ID, un laboratoire
installé au sein du MIT (Massachusetts Institute of Technology), et
financé par d’importants industriels, parmi lesquels Gillette, Procter
& Gamble ou Philip Morris.
Degré d’application: 2

Généralisation
de la monnaie électronique

Horizon de réalisation: 2010

Obtention de l’accord du public: facile
Stade de réalisation: 4

OBJECTIFS
Traçabilité totale des achats effectués par les individus. Connaissance
accrue de leur comportement et de leur profil social et culturel.

Association automatique de consommateurs identifiés par leur carte à
des produits identifiés par le code-barre. Possibilité de « débrancher »
un individu gênant des systèmes informatiques, et de lui couper tout
accès à la consommation (y compris pour les produits nécessaires à la
survie quotidienne).
Possibilité d’enlever toute existence économique à un individu.

MOYENS
UTILISES 
Populariser les cartes de crédit, en mettant l’accent sur leur facilité
d’utilisation
Degré d’application: 5

 Lancer le porte-monnaie électronique, appelé à remplacer
totalement l’argent liquide
Degré d’application: 2

 Mettre en avant les problèmes de sécurité et de coût liés au
transport et à la fabrication de l’argent liquide. Démontrer que
l’argent liquide est devenu obsolète à l’age du numérique.
Degré d’application: 2

Abêtisation
de la population
 
Horizon de réalisation: 1990
Obtention de l’accord du public: très facile
Stade de réalisation: 5 
OBJECTIFS 
Empêcher le public de réfléchir et de se poser intelligemment des
questions sur sa condition, et sur la manière dont la société est
organisée et dirigée. 

Rendre le public plus facilement manipulable en affaiblissant ses
capacités d’analyse et de sens critique

MOYENS
UTILISES 
Diffuser massivement des programmes TV débilitants Noyer les
informations et connaissances importantes dans un flot d’informations
insignifiantes
.
Censure par le trop-plein d’informations. 
Promouvoir des loisirs de masse débilitants 

Encourager la consommation de tranquillisants et somnifères 

Autoriser sans restriction la consommation d’alcool, et le vendre à un
prix accessible aux plus défavorisés. 

Faire en sorte que l’éducation donnée aux « couches inférieures » soit du
plus bas niveau possible.

Réduire le budget de l’éducation publique, et laisser se développer
dans les écoles des conditions de chaos et d’insécurité qui rendent
impossible un enseignement de qualité. 

Limiter la diffusion des connaissances scientifiques (en
particulier dans les domaines de la physique quantique, de la
neurobiologie, et surtout de la cybernétique –
la science du contrôle des systèmes vivants ou non-vivants).

Limiter aussi la diffusion des concepts les plus puissants concernant
l’économie, la sociologie, ou la philosophie.

Parler au public de technologie plutôt que de science. 
Degré d’application: 5

Affaiblir
les énergies individuelles
 
Horizon de réalisation: 1990

Obtention de l’accord du public: facile
Stade de réalisation: 5  

OBJECTIFS 
Les biologistes ont démontré que le stress et un faible niveau
d’énergie physique et mentale permettent d’obtenir l’inhibition de
l’action (voir les ouvrages du neurobiologiste Henri Laborit,
ou le film d’Alain Resnais « Mon oncle d’Amérique »)

L’inhibition de l’action diminue la capacité de réaction des individus,
et rend leur rébellion plus improbable.

Affaiblir les énergies individuelles permet aussi de diminuer les
capacités de réflexion et d’organisation de la population.

MOYENS UTILISES
Augmenter le niveau de stress des individus.Rendre leur survie
économique de plus en plus difficile et précaire (renforcement de la
« pression économique »)

Créer des environnements urbains laids et déshumanisés, et d’où la
nature est totalement absente

Maintenir des conditions stressantes dans les transports en commun et
la circulation automobile.

Laisser se développer une violence urbaine permanente dans les
quartiers défavorisés. Laisser augmenter la pollution

Rendre les gens à demi-malades, grâce à l’alimentation industrielle.
Puis, aggraver leur état grâce aux effets secondaires des médicaments
censés les soigner. L’industrie agro-alimentaire et l’industrie
pharmaceutique se donnent la main et partagent les mêmes intérêts…
(tout cela étant financé par les populations, via les systèmes
d’assurance-maladie)

Encourager la consommation de somnifères et de tranquillisants.
Autoriser sans restriction la consommation d’alcool

Saturer l’espace par des rayonnements électromagnétiques nuisibles au
fonctionnement du cerveau: émetteurs pour les téléphones portables,
ondes hertziennes, lignes électriques à haute tension…
Degré d’application: 5

Anéantissement
du pouvoir des états


Horizon de réalisation: 1995

Obtention de l’accord du public: facile
Stade de réalisation: 4

OBJECTIFS
 voir
l’article « Le pouvoir a
déjà changé de mains
« 
MOYENS
UTILISES
 voir l’article « Le pouvoir a
déjà changé de mains
« 
Création
d’armées et de polices privées
 
Horizon de réalisation: 2020
Obtention de l’accord du public: difficile
Stade de réalisation: 1
OBJECTIFS 
Donner aux grandes multinationales la possibilité de défendre
directement leurs intérêts dans le monde, en attaquant les états qui ne
se plieront pas aux règles du nouvel ordre économique.
Une armée privée existe déjà au Etats-Unis. Il s’agit des
sociétés DynCorp, CACI,
et MPRI,
prototypes des futures armées privées.
Dyncorp est intervenu dans de nombreuses régions où les États-Unis
souhaitaient intervenir militairement sans en porter la responsabilité
directe (en Amérique du Sud, au Soudan, au Koweït, en Indonésie, au
Kosovo, en Irak…). Les armées privées (appelées
« sous-traitants » par le Pentagone) représentent 10% des effectifs
américains envoyés en Irak.
 
MOYENS
UTILISES 
Commencer par banaliser l’existence de polices et milices privées, pour
les résidences ou les quartiers les plus riches
Degré d’application: 2 

Renforcer la propagande pour une économie ultra-libérale, et présenter
l’idée d’armée privées comme un moyen de diminuer le coût des armées
tout en améliorant leur efficacité, grâce au principe d’économies
d’échelle (en louant les services d’armées privées, les états n’auront
plus besoin d’entretenir en permanence une armée nationale dont
l’utilisation effective n’est que ponctuelle)
Degré d’application: 2

Mind
Control
Technologies de contrôle des
esprits Horizon de réalisation: 2005
Obtention de l’accord du public: facile (grâce
à son ignorance scientifique)
Stade de réalisation: 2 
 les antennes du projet HAARP en Alaska
OBJECTIFS 
Contrôle ultime des individus Contrôle électronique de
l’humeur et du comportement des populations Possibilité
d’influencer une foule, en la rendant apathique, ou au contraire
subitement violente (des tests ont peut-être été effectués au
Rwanda, au Burundi, et en ex-Yougoslavie)
MOYENS
UTILISES 
Emission d’ondes psychotroniques (ondes basse fréquence ou très haute
fréquence, capables d’influencer le fonctionnement du cerveau en
interférant avec les ondes utilisées par les processus cérébraux).
En cours d’expérimentation: le projet HAARP développé
par l’armée américaine à Gakona en Alaska, et les expériences menées
sur la base américaine de Pine Gap en Australie.
Degré d’application: 3  

Contaminer l’eau et les aliments avec des molécules agissant sur
l’humeur et sur l’esprit.
Degré d’application: ?

 Diffuser dans l’eau ou les aliments des micro-robots (ou
« nano-machines ») invisibles à l’oeil nu. Une fois dans le corps, des
centaines de micro-robots porteurs d’une micro-puce électronique
pourraient aller se greffer sur les neurones pour en prendre le
contrôle.

Des nano-robots invisibles à l’oeil nu ont déjà été produits, et
l’interfaçage neurone-microprocesseur a
déjà été expérimenté avec succès en laboratoire.
La technologie des micro-processeurs ultra-miniaturisés est également
maitrisée depuis quelques années.
Degré d’application: 1

Destruction
de la nature sauvage


Horizon de réalisation: 2000Obtention de
l’accord du public: facile
Stade de réalisation: 4

OBJECTIFS
 voir
l’article « La destruction
de la nature est voulue
« 
MOYENS
UTILISES
 voir l’article « La destruction
de la nature est voulue
« 
Black-out
sur les extra-terrestres

Horizon de réalisation: 1950
Stade de réalisation: 5
OBJECTIFS
 Empêcher
le public de rêver d’une
autre référence que l’ordre social actuel, et l’empêcher d’élargir son
horizon intellectuel et conceptuel. Ne pas laisser le champ de
conscience des individus s’étendre au-delà de notre planète et de son
ordre social.
MOYENS UTILISES
Décrédibiliser les témoignages à propos
des OVNI. Décrédibiliser les scientifiques qui se risqueraient à
travailler sur le sujet. Infiltrer les associations d’ufologues afin
que leur discours et leur action soit caricaturale et ne puissent être
pris au sérieux. Maintenir le secret militaire sur les observations
effectuées par des pilotes de l’armée ou certains astronautes.
Classer « top secret » les contacts déjà établis avec d’autres
civilisations depuis les années 50 (depuis que notre planète a attiré
des visiteurs, en se faisant repérer depuis l’espace les émissions
hertziennes et par les explosions atomiques: bombes de Hiroshima et
Nagasaki, mais aussi les quelques 600 explosions atmosphériques
réalisés pour les tests militaires jusque dans les années 70)
Degré
d’application: 5

© Sylvain Timsit – Syti.net, 1999 




Le Canada adopte à son tour le programme de censure autoritariste

[Source : Mondialisation.ca]

Par Kurt Nimmo

Voici comment le Canada répondra au journalisme citoyen et à la
démystification de la trame narrative : en forçant les contribuables à
subventionner l’escroquerie des médias institutionnels. 

« Les organismes fédéraux publieront une liste des journaux et des sites Web jugés fiables dans le cadre d’un programme de subventions de plusieurs millions de dollars. Le ministère des Finances en a fait l’annonce hier au Comité sénatorial des finances nationales ». C’est ce que rapporte un site Web d’Ottawa, le Blacklock’s Reporter.

Le projet de loi C-97, Loi d’exécution du budget, propose un
crédit d’impôt de 15 %, jusqu’à concurrence de 75 $, aux abonnés de
sites Web exploités par « une organisation journalistique canadienne
qualifiée ». Les critères s’y rapportant ne sont pas connus. Le crédit
d’impôt devrait coûter 11 millions de dollars en 2020. Il prendra fin en
2024. 

Le projet de loi modifie aussi la Loi de l’impôt sur le revenu
afin de pouvoir offrir de lucratives subventions sur les salaires aux
organes de presse qui « se consacrent principalement à la production de
contenu de nouvelles écrites originales ». Un total de 360 millions de
dollars devrait être versé sur une période de quatre ans au moyen d’un
crédit d’impôt équivalant à 25 % des dépenses salariales des éditeurs,
soit l’équivalent d’un montant maximal de 13 750 $ par employé de la
salle de presse, avec effet rétroactif jusqu’au 1
er janvier 2019. 

Les Canadiens seront non seulement obligés de payer les salaires des
sténographes qualifiés de journalistes par le gouvernement, mais ce
dernier veut s’assurer que le citoyen moyen se garde de consulter de
« fausses informations » sur les médias sociaux.

Tiré de Global News :

Le premier ministre Justin Trudeau a affirmé que les plateformes
numériques « ne respectent pas leurs responsabilités envers leurs
usagers », lorsqu’il a pris la parole jeudi à l’occasion de la
conférence Viva Technology à Paris.

Il a dit que son gouvernement tiendrait les entreprises
responsables de la désinformation, et qu’elles devaient apporter des
améliorations majeures à leurs moyens de régler la question, sans quoi
elles s’exposent à des « conséquences financières significatives… » 

À propos des prochaines élections fédérales au Canada, il a dit
que le gouvernement prenait des mesures pour éliminer les infaux et
qu’un nouveau groupe de travail a été mis sur pied pour déceler les
menaces qui planent sur ces élections et empêcher toute interférence
étrangère. 

Le parlement de Singapour a approuvé la loi sur la protection contre les faussetés et la manipulation en ligne le 8 mai 2019.

Tiré du Activist Post :

En vertu de la loi, un ministre du gouvernement peut exiger des
administrateurs de sites Web, des fournisseurs de services Internet et
même des groupes de discussion privés de corriger ou de retirer
immédiatement les « infaux » de leurs domaines. Mais la définition de ce
qui est considéré comme faux ou trompeur est remarquablement vague. 

L’appel de Christchurch » contribue à favoriser une campagne visant à nettoyer Internet de tout contenu que le gouvernement qualifie de dangereux. 

L’Appel de Christchurch est un engagement pris par les
gouvernements et les sociétés technologiques afin d’éliminer les
contenus en ligne terroristes et extrémistes violents. Il repose sur la
conviction qu’un Internet libre, ouvert et sécurisé offre des avantages
extraordinaires à la société. Le respect de la liberté d’expression est
fondamental. Cependant,
personne n’a le droit de créer et de partager du contenu terroriste et extrémiste violent en ligne.

La définition de terroriste et d’extrémiste violent est évidemment
remarquablement vague, ce qui permet à l’État d’y inclure toute personne
ou tout groupe qu’il cherche à discréditer et à cibler pour l’éliminer. 

« Le terme extrémiste décrit une personne qui adhère à une idéologie perçue comme très éloignée des attitudes jugées acceptables par la société en général. Les
extrémistes ne sont pas tous des terroristes. Certains ont des
croyances extrémistes, mais n’ont pas recours à la violence pour les
faire valoir. Certains extrémistes maintiennent des versions extrêmes de
points de vue qui peuvent être considérés comme normaux », explique la ligue anti-diffamation.

Autrement dit, si vous déviez de la trame narrative défendue par
l’État, vous serez « perçu comme très éloigné des attitudes jugées
acceptables par la société en général » ou, comme en France, en
Allemagne et, dorénavant, en Nouvelle-Zélande et au Canada, vous serez
condamné à une amende et peut-être aussi à une peine d’emprisonnement
pour avoir commis le crime d’avoir tenu un discours non approuvé, donc
extrémiste et dangereux. 

Les médias institutionnels ont assez bien réussi à confondre le
populisme et le nationalisme avec la suprématie blanche. Ils sont
également parvenus à dépeindre les militants antiguerre de la gauche et
de la droite comme des partisans du terrorisme et des outils de
propagande volontaires ou non de Bachar al-Assad en Syrie, des mollahs
en Iran et de Vladimir Poutine en Russie, qui cherchent à nuire à la
démocratie. 

Le cancer de la censure autoritariste prend de l’ampleur après chaque
attaque terroriste douteuse. La terreur islamiste fait maintenant
concurrence au nationalisme blanc pour faire la manchette.

Toute critique de l’élite financière et de son système de Ponzi
financier est qualifiée d’antisémitisme et devient ainsi un discours de
haine qui doit être censuré et éventuellement puni. 

Kurt Nimmo

[Source originale anglaise : Another Day in the Empire]




La vallée européenne de ceux qui sont tombés : réflexions sur Franco, le féminisme et la fin de l’homme.

[Source : Le blog de Moïra Forest]

Par Gearóid Ó Colmáin

La
Journée internationale des femmes est devenue plus militante ces
dernières années. Alors que la civilisation européenne entre dans
une période de crise terminale, le féminisme et la confusion des
genres sont devenues les composants clé de la dictature de classe.
Nous sommes retournés au chaos de la Chute ; sinon dans cet épisode,
Eve tue Adam, bloquant tout espoir de salut.

Le
8 mars dernier, Journée internationale des femmes, j’ai visité la
Valle de los Caídos – la Vallée de ceux qui sont tombés, à San
Lorenzo de El Escorial, à l’extérieur de Madrid. Une gigantesque
croix de 150 mètres est érigée sur la coupole d’une basilique
taillée dans les montagnes de la Sierra de Guadarrama. Taillée dans
une crête de granit, la Basilique de la Santa Cruz del Valle de los
Caídos (basilique de la Sainte Croix de la Vallée de ceux qui sont
tombés) est l’une des merveilles du monde.

L’ancien
dictateur d’Espagne, Francisco Franco et le leader phalangiste José
Antonio Primo de Rivera sont enterrés dans la basilique. Franco a
ordonné aux architectes Pedro Muguruza et Diego Méndez de
construire la basilique dans le style Renaissance espagnole pour
refléter la « grandeur des monuments anciens qui défient le temps
et la mémoire. » L’enceinte qui abrite la basilique couvre 1300
hectares de forêts. Le site abrite aussi une abbaye bénédictine et
une auberge.

Le
général Franco voulait que le monument constitue « un acte
national d’expiation » pour les horreurs de la Guerre d’Espagne
(1936 – 1939). 40.000 personnes des côtés républicains et
nationalistes du conflit sont enterrés là. La gauche espagnole veut
que le corps de Franco soit exhumé de la basilique pour transformer
le bâtiment en musée contre le fascisme mais Santiago Cantera, le
prieur de l’abbaye bénédictine adjacente à la basilique, refuse
de permettre aux autorités d’entrer dans le bâtiment. Il dit que
le gouvernement ne peut exhumer le corps sans le consentement de
la famille de Franco. Cantera, un universitaire et intellectuel, a
été auparavant un politicien du parti phalangiste indépendant
avant de devenir un moine bénédictin.

La
Vallée de ceux qui sont tombés détient les dépouilles de
centaines de victimes des deux côtés de la Guerre d’Espagne (1936
– 1939). Il a été construit comme une tentative de réconcilier un
pays divisé. On ne peut imaginer endroit du monde plus « patriarcal
» à visiter pour la Journée internationale des femmes que la tombe
de Franco car à coup sûr, le régime de Franco était la
quintessence de l’oppression masculiniste des femmes. Cependant,
Pio Moa, un ancien opposant communiste de Franco, dans son
livre Franco
para Antifranquistas – 36 preguntas clave – Franco pour les anti-
franquistes, 36 questions clés, 
dit
que l’inverse est le cas en fait. L’étude qui suit est une
réflection sur le concept de la libération dans le contexte de
l’Espagne de Franco et le patriarcat en général. Les régimes
autoritaires et patriarcaux oppressent-ils les femmes ? L’Église
catholique romaine est-elle misogyne ?

Le
patriarcat est la condition de la libération des femmes

Durant
la dictature de Franco, les femmes espagnoles, argumente-t-il, se
sont plus épanouies qu’auparavant. Quelques statistiques
intéressantes ont été rassemblées pour soutenir ses déclarations.
Bien que Franco n’ait jamais été un membre de la Phalange
espagnole, beaucoup de ses membres ont collaboré avec son régime.
La Phalange a une idéologie sociale révolutionnaire. Ils voulaient
transformer et renouveler la société espagnole qu’ils
voyaient comme décadente et corrompue par le capitalisme.

La
Phalange avait une section spéciale féminine. la Sección
Feminina 
glorifiait
les scientifiques femmes Marie Curie et Lisa Meitner comme modèles à
suivre pour les femmes espagnoles.Même la célèbre nonne
lieutenant, Catalina de Erauso, était étudiée. Catalina de Erauso
était une religieuse espagnole qui s’est échappée de son couvent
déguisée en homme et qui s’est embarquée dans une série
d’aventures militaires et lesbiennes en Amérique Latine. Dans le
discours post-structuraliste, Catalina de Erauso est un parfait
exemple de « fluidité de genre » – un exemple à suivre. Mais dans
l’Espagne franquiste, elle a été considérée comme une
merveilleuse excentrique devant être étudiée et appréciée en
tant que part de l’histoire et du folklore – et non un modèle à
suivre.

L’éducation des femmes s’est développée de façon exponentielle pendant la dictature de Franco. En fait, le nombre de filles surpassait celui des garçons dans les écoles primaires et l’éducation du troisième cycle était encouragée.

Avant
1970, la participation des femmes dans l’industrie avait augmenté
de 25%. Pilar Primo de Rivera, la chef de la Sección
Feminina 
de
la Phalange, était responsable de la promulgation des droits
politiques, professionnels et ouvrières des femmes de 1961. On dit
que les phalangistes ont promu une vision de la femme inférieure aux
hommes. Il n y a aucune preuve de telles déclarations. La vision
phalangiste des femmes était qu’elles étaient différentes des
hommes, et par conséquent, avaient des roles différents dans la
société – ce qui ne serait pas une position particulièrement
radicale ou sujet à controverse dans une culture rationnelle.

La
Phalange espagnole voulait une Espagne moderne et progressiste où,
comme ils l’avaient souligné, les femmes seraient plus propres,
les enfants en meilleure santé, les gens plus heureux et les foyers
plus lumineux. C’est vrai que le vote à l’échelon municipal
était le fait des hommes car ils étaient les chefs de leurs
familles et la famille était la base de la société. Encore une
fois, pourquoi cela serait-il un problème pour les femmes ?
Aujourd’hui bien des femmes tendent à se fier à leurs maris pour
décider comment elles vont voter, et dans le même temps, des femmes
informées politiquement vont souvent influencer leurs maris.

Dans une famille unie, le vote des hommes devraient représenter tous les intérêts de la famille dans son ensemble. Dans l’arène politique, la famille parlerait d’une seule voix.

La
vue phalangiste des femmes étaient en accord avec l’enseignement
social de l’Église catholique : les femmes avaient un rôle
spécial dans la société en tant que mères et premières
pourvoyeuses de soins aux enfants. Cela a été souvent interprété
comme étant la promotion de la femme « inférieure » à
l’homme, mais quelle sorte de culture considérerait la
reproduction de la vie comme inférieure aux autres activités ?
Peut-être une société hyper capitaliste où le but de la vie
humaine est de servir pour maximiser les profits des prêteurs
d’argent ?

Pendant
la dictature de Franco, l’économie espagnole était deuxième
derrière le Japon dans le rythme rapide de son développement
économique. 

Le
modèle d’économie politique corporatiste et protectionniste a
assuré l’augmentation des salaires modestes et des gains
importants pour la classe ouvrière. Le chômage est resté en
dessous des 2% pendant la plus grande partie des années Franco grâce
au rapide développement industriel du pays. Il a immédiatement
augmenté de façon astronomique après 1975.

Pendant
cette période, l’Espagne est devenue l’un des pays les plus
développés du monde. Les femmes ont énormément bénéficié de la
stabilité sociale. La violence domestique contre les femmes était
bien plus faible qu’elle ne l’est aujourd’hui. Le viol était
rare ; aujourd’hui, il augmente de façon exponentielle.

Pour justifier l’introduction du divorce dans les années 1980, la gauche espagnole a déclaré qu’un demi million de personnes étaient en attente de séparation. Cependant, en 1987, seul 20.000 couples avaient divorcé. Dès 2006, le nombre avait monté à 100.000.

Aujourd’hui,
plus de 30% des mères ne sont pas mariées, le taux de natalité est
en chute et comme par exemple en 2011, 118.000 avortements ont été
pratiqués en Espagne. Nous sommes bien loin des suppliantes voilées
dans la basilique de Franco ! Avec 63%, l’Espagne a le cinquième
plus haut taux de divorce en Europe. L’avortement a été légalisé
en 1937 par le régime « socialiste » de Francisco Largo Caballero.
Il est nécessaire de savoir que les sociétés réellement
socialistes comme l’URSS de Staline avaient interdit l’avortement
et encourageaient les familles nombreuses. Demandez à n’importe
quel gauchiste ce qu’il pense de l’avortement et vous obtiendrez
de la tergiversation. Les gauchistes proclament leur opposition aux
guerres et à l’oppression des plus faibles mais arracher des bébés
des ventres de leurs mères à une échelle industrielle, les jeter
dans des poubelles et utiliser leurs membres pour des expériences
médicales est parfaitement civilisé et progressiste !

Alors
que j’étais dans la Vallée de ceux qui sont tombés, j’ai parlé
au frère Cantera. A la porte de l’accueil du monastère, j’ai
été reçu froidement par un moine assez méfiant. Il semblait qu’il
croyait que j’allais être hostile. Je pouvais voir de la peur dans
ses yeux. Une fois qu’il sembla satisfait que je ne sois pas un
autre ennemi, il est devenu la personne la plus aimable du monde et a
arrangé une rencontre avec le frère Cantera.

 Pendant
ma rencontre avec frère Cantera, nous avons parlé du  déclin
de la Chrétienté en Europe et de l’effondrement de la
civilisation.

Il m’a montré un article au sujet de la « conversion écologique » des oecuménistes dans l’Église catholique, qui désormais organisent des groupes de prières avec des membres d’autres croyances pour adorer la Mère Nature.

«
Cela ressemble à une rencontre de druides ». Il a secoué la tête.
« C’est fondamentalement diabolique » s’est-il lamenté. Frère
Santiago est régulièrement diabolisé dans la presse espagnole.
J’ai trouvé que c’est un homme réfléchi, gentil et
profondément humble.

Lorsque
je suis retourné à Madrid, les rues étaient remplies de féministes
avec des cheveux tondus aux couleurs criardes, des bottillons
Dr.Martens et des piercings au nez. Nombre d’entre elles
ressemblaient à Catalina de Erauso !

Franco
était un ennemi invétéré et sans pitié de la franc-maçonnerie
et des sociétés secrètes. A l’extérieur de l’un des
principaux cinémas, une publicité énorme pour une série télévisée
américaine récente « American Gods » avec l’habituelle et
rabâchée symbolique illuminati de la culture poubelle.
Contrairement à un mythe populaire, Franco ne s’est jamais opposé
à la République espagnole. Son opposition était contre la montée
de la franc-maçonnerie et des sociétés secrètes. En tant que
général dans l’armée espagnole, il a été témoin de la montée
néfaste des francs-maçons parmi ses rangs et dans l’arène
politique.

Les
francs-maçons ont parlé de « démocratie » et de la «
volonté populaire » mais Franco avait compris que la volonté
populaire en Espagne à cette époque, c’était le catholicisme.

Le
gens ne voulaient pas d’un soi-dans « état laïc » mais
d’emplois et de progrès économique.

La
soi-disante séparation de l’Eglise et de l’Etat est un mythe.
L’Église catholique a toujours fait la distinction entre la sphère
spirituelle et la sphère temporelle.

Le
fascisme est-il l’idéologie de la classe ouvrière ?

Arrivés
à ce point, les esprits de certains lecteurs doivent résonner
d’échos intempestifs du mot fascisme. Ainsi, qu’en est-il du
fascisme ? Franco était-il fasciste et suis-je moi-même fasciste ?
peu de gens en fait comprennent le terme fascisme.

Le mouvement fasciste en Italie s’est développé au sein des luttes ouvrières et paysannes à la fin du XIXe siècle en Sicile. C’était un mouvement des pauvres contre les riches propriétaires terriens et les capitalistes.

Les Fasci
Siciliani dei Lavoratori 
(ligues
de travailleurs siciliens) était un mouvement de gauche, composé
principalement de socialistes et de communistes qui se battaient pour
l’émancipation prolétarienne en Sicile.

Le
mot fascio signifie
faisceau. Un fasciste est un confectionneur de faisceaux. Les batons
peuvent facilement être cassés mais il est plus difficile de casser
des faisceaux. En s’unissant, la classe ouvrière peut réaliser
des gains importants contre les capitalistes et quelque fois même
les renverser. Dans un sens étymologique, néanmoins, tout groupe
d’intérêt ouvrier est fasciste. Mais il y a par conséquent un
sens sociologique qui est aussi vraie aujourd’hui. Si vous soutenez
la classe ouvrière, vous êtes un fasciste. L’idéologie de
l’élite dirigeante n’est-elle pas anti-fasciste ?

Si
nous devons faire le moindre progrès politique ce siècle-ci, nous
devons nous ré-approprier la langue et la décontaminer.

Le
fascisme signifie le collectivisme et en tant que tel, cela peut être
une bonne comme une mauvaise chose, qui dépendent de ce que sont les
politiques concrètes.

Le
fascisme était une idéologie radicale qui cherchait à combiner ce
qu’il y avait d’important dans la tradition, en clair le
catholicisme avec ce qu’il y avait de nécessaire pour le travail,
en clair une rémunération décente. C’était de gauche en terme
de travail et de droite en terme de valeurs. Mais les conservateurs
considérait le fascisme comme un mouvement radical et de gauche.
Franco était conservateur. Alors qu’il admirait bien des aspects
du national-socialisme allemand et du fascisme italien, son idéologie
est mieux décrite en tant que catholique, monarchiste et
conservatrice. C’est la raison pour laquelle Franco a marginalisé
la Phalange radicale espagnole.

La
Phalange espagnole a été dirigée par José Antonio Primo de
Rivera, un intellectuel dont les idées ont été inspirées par José
Ortega Y Gasset, Lénine, Spengler, Nietzsche et Mussolini.

La
Phalange espagnole luttait contre la classe dirigeante mais voulait
un état corporatiste organique.

Beaucoup
d’analystes font la confusion entre le corporatisme et la
corporatocratie. La dernière étant une société contrôlée par
les corporations.

Le
corporatisme est une forme de société basée sur les corporations
professionnelles ou les guildes et la collaboration de classe.
Cela correspond aux structures des guildes médiévales. Certains s’y
réfèrent comme une forme de socialisme de guilde.

Les corporatistes croient que la démocratie au travail devrait remplacer la démocratie parlementaire. Mais, au contraire des communistes, Ils croient dans les hiérarchies naturelles et la loi naturelle.

Les
communistes ont toujours considéré le fascisme comme une forme
d’oligarchie financière – un système terroriste utilisé par les
oligarques pour éviter la révolution sociale. Mais cela correspond
plus à la démocratie libérale qu’au fascisme. Comme le
communisme, le fascisme est devenu un mot vide de sens dans le
discours contemporain. Le terme est utilisé par les élites pour
faire taire la classe ouvrière. Le problème du militantisme ouvrier
aujourd’hui n’est pas qu’il soit fasciste mais plutôt qu’il
ne le soit pas !

Franco
l’anti-fasciste

Lorsque
Franco a pris le pouvoir, il a marginalisé les phalangistes radicaux
et a crée un régime hybride qui a préservé une bonne partie de la
classe dirigeante corrompue. Pour cette raison, les phalangistes
d’Espagne l’ont considéré comme un traître.

La différence entre le franquisme et le phalangisme pourrait être comparé aux Menchéviks et aux Bolchéviks au sein des démocrates sociaux russes.

Les
Menchéviks, dont Trotksy était un membre, étaient compatibles avec
les intérêts impérialistes, alors que les Bolchéviques voulaient
une révolution sociale.

Plus
qu’une dictature du prolétariat comme dans l’Union Soviétique de
Staline où les moyens de production étaient socialisés, José
Antonio Primo de Rivera appelait à un état dirigiste travaillant de
façon organique avec les syndicats. En termes marxistes, la vision
de

Riviera
serait parvenu au capitalisme alors que l’extraction du la valeur en
surplus provenant du travail aurait été maintenu.

La
critique marxiste classique du phalangisme est qu’il s’agit d’une
idéologie petite bourgeoise qui échoue à surmonter les
contradictions fondamentales de l’accumulation du capital.

Mais
il est néanmoins intéressant d’imaginer comment une telle société
aurait fonctionné dans le contexte d’une Église revigorée
prêchant contre l’usure.

Le
fascisme soviétique

Après
1957, les réformes de Krouchtchev en URSS qui établissaient à
nouveau les relations capitalistes de production, il n’y avait plus
de morale supérieure pour guider les travailleurs autres que le
« parti » quasi divin et la nomenklatura de plus en plus
corrompue. Ce n’est pas le socialisme qui a échoué en URSS, mais
plutôt le capitalisme d’état. Le socialisme sous Staline a amené
le plus grand progrès social et économique de l’histoire de la
Russie.

Après la contre-révolution khrouchtchévienne en 1956, si subtilement décrite par le grand communiste irlandais Neil Gould, des marxistes-léninistes comme Bill Bland ont décrit l’URSS comme un état fasciste.

En
d’autres mots, pour Bland, l’URSS post-Staline était un état qui
proclamait être socialiste mais dans lequel les relations
capitalistes de production dirigeait l’économie. La restauration
capitaliste en URSS a entraîné 30 ans de déclin économique
jusqu’au surgissement du néo-libéralisme dans les années 1990.

C’est
aussi l’Amérique « socialiste » de Roosevelt qui a mené à
la plus grande prospérité économique et pas seulement en Amérique.

Goebbels a loué les politiques économiques de Roosevelt qui avaient des similitudes avec celles des nationaux-socialistes allemands.

Lorsque
José Antonio Primo de Rivera a été arrêté et jugé par le
gouvernement Républicain en 1936, il a expliqué que lui aussi avait
combattu contre l’élite dirigeante espagnole. Il a été néanmoins
exécuté. Cela atteste de la médiocrité de la gauche
petite-bourgeoise en Espagne du fait qu’il avait fusillé un ennemi
sympathisant sur bien des points à leur propre cause.

La
collaboration finale de Franco avec l’OTAN et les institutions
financières américaines dans les années 1960 étaient opposée par
les phalangistes. Dans notre monde post-moderne de slogans sans
aucun sens, de clichés et d’enseignement de l’ignorance, nous nous
engageons rarement dans un débat qui a du sens, de discussion ou
d’échanges d’idées. En m’instruisant sur José Antonio Primo de
rivera, les Fasci
Siciliani 
et
d’autres mouvements, cela m’a fait comprendre que peut-être que je
suis sous certains aspects, un « fasciste » ou un
phalangiste.

Bien sûr, la subtilité des polémiques que j’essaye d’articuler ici va être perdue pour le simple d’esprit.

J’ai
souvent été accusé d’être un fasciste. Désormais, je
considérerai l’appellation comme un compliment pour lequel je n’ai
peu de mérite !

Comme
les fascistes et les phalangistes, je ne crois pas à la démocratie
parlementaire. Comme les phalangistes espagnols, mais au contraire de
bien des fascistes, je crois que seul une résurgence du catholicisme
romain traditionnel en Europe sauvera l’humanité de
l’auto-destruction. La doctrine catholique sur la dignité du travail
et les maux de l’usure la rend incompatible avec le capitalisme.

En
tant qu’ancien communiste, j’apprécie la valeur, le sens de l’amitié
et l’héroïsme de la lutte communiste dans la Guerre d’Espagne, si
bien documentée dans le livre d’Arthur Landis Spain
: the Unfinished Revolution (Espagne : la révolution inachevée
).
Les phalangistes affirment que les communistes ont commis des
atrocités contre les catholiques pendant la Guerre d’Espagne mais
ils ignorent le fait que des trotskystes ont, dans une proportion
importante, infiltré le mouvement communiste. Dans son livre, Soviet
Policy and Its Critics (Politique soviétique et sa critique
),
J.R. Cambell a écrit :

 » Cependant, l’un des problèmes les plus importants auquel faisaient face les travailleurs espagnols était de gagner lespaysans à la mentalité religieuse pour le Front Populaire. L’incendie d’églises créait des difficultés à cette tâche vitale et aidait la contre-révolution à un tel point que dans différentes parties du pays, avant la rébellion fasciste, les groupes fascistes étaient surpris la main dans le sac en train de brûler des églises. Il n y avait pas d’illusion à se faire sur l’utilisation qu’ils pouvaient faire de l’incendie d’églises « dans la manière ancestrale de paysans opprimés ». La résistance de la masse de travailleurs catholique en dehors de l’Espagne à l’organisation d’actions de solidarité effectives est quelque part le prix à payer pour l’incendie d’églises. »

Les
anti-communistes feraient mieux de méditer les lignes au dessus.

Exactement
comme les anti-franquistes ont servi l’opportunisme néolibéral, les
mensonges anti communistes ont servi les mêmes forces.

Les
vues phalangistes et communistes sur la Guerre d’Espagne ont été
effacées de l’histoire. A la place, beaucoup d’opinions sur la
guerre se sont basé sur le trotskyste britannique et espion de la
police George Orwell et son livre Hommage
à la Catalogne
.
Il est vrai néanmoins que les nationalistes espagnols ont de bonnes
raisons de détester les Soviétiques pour leur intervention dans la
guerre séparatiste catalane mais peu de nationalistes espagnols sont
conscients que des milliers de crimes atroces commis contre le clergé
catholique ont été menés par des trotskystes et des anarchistes et
ont été condamnés par les communistes.

Le
catalan et l’Union des républiques russes sionistes

Aujourd’hui
l’Espagne fait face à une autre crise séparatiste en Catalogne. Il
est évident selon les reportages biaisés de la presse russe à
l’étranger que Moscou soutient les séparatistes. Ils sont aussi,
ironiquement, soutenus par l’UE. Et par Israël. Le plan mondialiste
à long terme pour les nations européennes est la régionalisation.
L’Espagne va se fragmenter en micro- états « indépendants »
contrôlés – non pas par l’Union Européenne qui va s’effondrer –
mais par l’Union Eurasienne. C’est la raison pour laquelle
l’eurasisme n’est pas la réponse à long terme à nos problèmes.
Comme Orwell l’a exprimé : « Océania était en guerre contre
Eurasia ; par conséquent, Océania avait toujours été en guerre
contre Eurasia. »

Selon l’ancien député du parti populaire Milián Mestre, La Russie et Israël veulent des bases militaires en Catalogne. Dans un article précédent, j’ai déjà démontré la proximité des liens financiers et sécuritaires entre les séparatistes catalans et Israël. Milián Mestre, qui a rencontré personnellement Poutine, déclare que les Russes aimerait étendre leur influence dans la Méditerranée occidentale.

Les
Russes déclarent être des négociateurs de paix dans l’affaire
séparatiste catalane mais il est clair qu’ils sont du côté des
séparatistes, les élites européennes les soutiennent. Ils
comprennent que les nations doivent disparaître et laisser la place
à un système d’un état global en « deux-partis »
avec Eurasia à droite et Océania à gauche, les deux étant
contrôlés par la même oligarchie mondialiste.

Il
y a quelque chose de troublant concernant ces auteurs de dystopies du
XXe siècle : Orwell, Huxley et Wells. C’est comme s’ils avait eu
l’histoire interne sur l’avenir ou peut-être, en tant qu’importantes
figures politiques parmi l’élite, ils avaient secrètement accès à
des plans qu’ils pouvaient divulguer uniquement sous forme de
fiction.

Le but à long terme des sionistes est de provoquer une guerre entre la Russie et les Etats-Unis pour qu’Israël puisse soutenir les deux côtés et émerger en tant qu’état dirigeant du monde.

Il
est probable que l’Europe va encore être le théâtre de cette
guerre. Cela prend un sens géopolitique pour la Russie de soutenir
le mouvement d’indépendance catalan mais cela ne consolera pas les
nationalistes espagnols qui veulent sauver un état-nation qui existe
depuis au moins le douzième concile de Tolède en 681.

Nous ne pouvons pas dire que la Russie de Poutine est un acteur volontaire ou involontaire dans les plans d’Israël pour la guerre mondiale. Ce qui est certain cependant, c’est que les juifs russes sont lourdement impliqués en Catalogne ; ils ont un pouvoir significatif en Russie et Israël est leur état. La force de police catalane, les « Mossos » sont entraînés par les Israéliens et les officiels catalans de haut-rang ont dit qu’Israël est leur banque. Nous pouvons remarquer sans surprise que les gauchistes juifs « pro russes » en Occident sont déjà ralliés autour du mouvement sioniste catalan pour « l’indépendance ».

Comme
c’est ironique que les féministes et les anarchistes catalans aient
une couverture favorable des agences de presse de leur némésis
Poutine ! 

Le
retour au jardin d’Eden

(Adam et Eve (1932) par le peintre phalangiste Rosario de Velasco)

Pour
approfondir notre conceptualisation des femmes sous les régimes
autoritaires catholiques, nous devons retourner à la théologie.

Dans
la Genèse, Eve, séduite par les fruits de l’Arbre de Vie, succombe
à Satan, causant la chute d’Adam. Dans le Christ, Dieu est devenu un
nouvel Adam et a été lui même cloué sur l’arbre pour qu’il puisse
être réconcilié avec Lui et ne pas être condamné à erreur pour
toujours dans la vallée de ceux qui sont tombés sous la
tyrannie de Satan. C’est peut-être la signification la plus profonde
de la Valle de los Caídos dans notre contexte contemporain.

Alors qu’il agonisait sur la croix, le Christ dit à sa mère Marie :  » Mère, voilà votre fils. ». Il faisait allusion à l’apôtre Jean qui était debout près d’elle au pied de la croix. Puis le Christ dit à Jean : « Voilà ta mère « . A la suite, Notre seigneur s’exclama : « tout est consommé !  » Marie est devenue l’Église catholique et apostolique romaine qui restera jusque la fin des temps, le roc éternel contre lequel les pouvoirs de l’Enfer ne prévaudront pas.

En
tant qu’Église, elle devient la mère de l’humanité. La mort du
Fils de l’Homme devient des noces divines : la sanctification de
l’éternelle régénération de la vie. La Vierge bénie est une
nouvelle Eve à qui les enfants bannis du Jardin d’Eden pleurent de
la vallée du deuil et des sanglots, la Vallée de Ceux qui sont
tombés. Fulton Sheen nous dit que la Vierge bénie passe à travers
trois phases. La première, comme un rêve dans l’esprit de Dieu,
puis en tant que mère et finalement en tant qu’épouse. Le Nouveau
et l’Ancien Testament de la Bible peuvent être vus comme un mariage
entre Dieu et Israël. Dans Isaïe 54:5, Dieu dit à Israël : « car
ton créateur est ton époux. »

Marie représente l’Israël de l’Ancien Testament attendant le futur Messie. Au pied de la croix, Marie, en tant qu’Israël, deviens l’épouse du Seigneur, de l’Eglise universelle.

L’Ancien
Testament est matriarcal, violent et irrationnel. Doit-on s’étonner
que les Juifs se conduisent de cette façon, ayant voilé leur coeurs
de la vérité du Nouveau Testament ? Doit-on s’étonner qu’ils
fassent la promotion du féminisme, de l’homosexualité, de toutes
sortes de pseudo-science et de la perversion morale du monde ? Car si
Marie était restée l’Ancien Testament, ne serait-elle pas plutôt
Marie-Madeleine avant sa repentance, la prostituée de Babylone
? Et n’est-ce pas l’idéal de l’éco-féminisme, de l’Union
Européenne, de notre Nouvelle Babylone ?

Le
christianisme est la structure neurologique de la raison humaine.

Notre chute de la grâce nous a banni du monde sombre et barbare de l’Ancien Testament, dans les mains du matriarcat et de l’irrationalité, en clair, de la tyrannie. La prêtrise de la nouvelle tyrannie est la judéo-maçonnerie. L’objet de sa dévotion est la Mère Nature qui tue Dieu dans son ventre.

Le
christianisme est accusé de façon erronée de dénigrer les femmes.
La vérité est qu’aucune civilisation dans l’histoire n’a élevé le
statut de la femme dans la société plus que le christianisme. C’est
une femme, et non un homme, qui est couronnée aux Cieux. Dieu est
venu au monde par l’intermédiaire d’une femme et chaque homme est
appelé à imiter les souffrances du Christ pour son bien-être.
Chaque homme vient à la vie par une femme et passe à la vie
éternelle par le ventre de la Mère Eglise.

Avant
l’infiltration maçonnique de l’Église catholique à la
conférence de Vatican II de 1962-1965, les femmes portaient le voile
à l’Eglise – non pas parce qu’elles étaient inférieures aux
hommes mais parce que, dans la théologie catholique, les femmes ont
une relation particulière avec Dieu. Le rôle de l’homme est
d’être à la tête de la famille. Il lui est par conséquent
demandé de se sacrifier pour sa famille, comme le Christ l’a fait
sur la croix.

Être le chef de famille ne rend pas les hommes maîtres de leurs femmes et libres de les traiter selon leurs caprices. Au contraire, cela demande une totale dévotion à elles ; une perspective qui terrifierait bien des hommes modernes. 

Le
sacrifice du Christ sur la croix donne naissance à l’Église et
Marie est sa mère. L’Église est le seul moyen par lequel la
perdition des âmes peut être évité ; c’est le ventre de la vie
éternelle où la création se produit. Pendant la messe, nous
mourrons spirituellement et nous renaissons par le corps mystique du
Christ dans l’Eucharistie.

Tout
comme le tabernacle et le ciboire sont couverts pendant la messe, la
femme l’est aussi ; son voile signifie sa sainteté. Dans le
catholicisme, le but de la vie n’est pas la carrière, le pouvoir
et le profit mais la sainteté. Le catéchisme du l’Eglise
catholique est simplement un livre de règles de base visant à
sortir de ce monde de souffrance vivante ! Il ne nous permet pas
l’utopie dans cette vie-ci mais les outils de base pour rester
humain face à la souffrance.

Dans
une Europe post-chrétienne, l’homme est devenu une personne en
deuil dans la Vallée des ceux qui sont tombés. Dans ce ténébreux
Théâtre de l’Absurde, la géolocalisation de la gauche et de la
droite est devenue un bavardage sans aucun sens.

La
guerre contre le christianisme est une guerre contre la vérité.

Partout
en Europe, les églises sont vandalisées et profanées. Bien des
attaques sont à peine mentionnées dans les médias libéraux. En
Espagne, les religieuses sont de façon routinière attaquées
verbalement et physiquement par les féministes. Des activistes Femen
nues protestent dans les églises.

Le
mouvement féministe tout entier est une insulte à l’intelligence
humaine ; il a été conçu par des oligarques américains dans les
années 1960 pour aliéner les femmes de leur nature, les
incitant à imiter les hommes et les transformer en esclaves du
salariat.

Le féminisme est la misogynie ultime. les oligarques qui font la promotion du féminisme se sont vantés de leurs exploits.

C’est
le féminisme qui rend nos femmes esclaves, et non le patriarcat. Les
filles dans nos écoles sont endoctrinées dans le nouveau culte ;
c’est une forme perverse de rébellion institutionnalisée : les «
rebelles » sont aidées et soutenue par le système auquel elles
affirment s’opposer. J’ai vu une illustration poignante de cela à
Madrid lors de la Journée internationale des femmes : un supermarché
avait fait une offre spéciale pour ses clients pour célébrer la
journée des femmes. Un groupe de féministes ont inscrit un graffiti
sur la publicité avec les mots « féminisme ou barbarie ». Que
c’est ironique et d’une stupidité abêtissante !

Cela
a pris 18 ans au régime de Franco pour construire la basilique de la
Vallée de ceux qui sont tombés. La gauche espagnole a essayé
d’affirmer que le travail esclavagiste a été utilisé dans sa
construction. En fait, les travailleurs ont eu de bon salaires et les
prisonniers de guerre ont eu des réductions de peine massives en
échange de leur labeur.

En
2010, le gouvernement socialiste espagnol a fermé la basilique sous
le prétexte que la sécurité n’y était pas assurée. Après une
protestation massive par les catholiques espagnols, la basilique a
été ouverte à nouveau. La Vallée de ceux qui sont tombés est un
symbole convaincant de l’Europe elle- même : un corps pourrissant
disputé par les vautours. La controverse sur la tombe de Franco est
vraiment sur les mondialistes essayant de s’approprier l’histoire.

Franco en est venu à représenter tout ce que les mondialistes essayent de détruire : la loi naturelle, la famille, la Chrétienté et le patriotisme.

La
basilique et la croix sont des symboles puissants de la capacité du
christianisme à ressurgir. Alors que je quittais la Vallée de ceux
qui sont tombés, on venait d’annoncer que le recours en justice
des moines pour retarder l’exhumation de Franco avait été
accepté. Cela n’a rien avoir avec Franco ; les mondialistes
veulent transformer la basilique en un temple de Satan. Le recours
bénédictin est la dernière bataille du catholicisme contre le
Nouvel Ordre Mondial. 

Article source : http://www.gearoidocolmain.org/europes-valley-of-the-fallen-reflections-on-franco-feminism-and-the-end-of-man/




Un examen du culte gauchiste et de leur religion

[Source : Le Saker Francophone]

Par Brandon Smith − Le 18 juin 2019 − Source Alt-Market.com

Les nouveaux militants du mouvement pour la liberté croient à tort que l’idée du « faux paradigme gauche/droite » signifie qu’il n’y a pas de spectre politique ; que toute cette notion de gauche contre droite est une invention. Ce n’est pas exactement le cas. Quand on parle de faux paradigmes en matière de politique (ou de géopolitique), il s’agit en fait de la classe élitiste, aussi connue sous le nom de globalistes, et du fait qu’elle n’a aucune orientation politique de droite ou de gauche. Ils ne se soucient ni des démocrates ni des républicains, ils n’ont aucune loyauté envers l’un ou l’autre parti. Leur loyauté va à leur propre agenda, et ils exploiteront les DEUX côtés pour obtenir ce qu’ils veulent chaque fois que possible.

Au-delà des globalistes, les gens moyens tombent en effet sur un
spectre politique qui pourrait être décomposé et simplifié en un
ensemble d’idéaux ou d’idéologies de base. Du côté gauche du spectre,
nous trouvons les collectivistes et les socialistes, qui croient que la
société (le groupe) est beaucoup plus importante que l’individu et que
les actions des individus doivent être strictement contrôlées et
gouvernées pour éviter des effets négatifs sur le groupe.

L’argument central des gauchistes est : « Nous faisons tous
partie de la société et devons agir en harmonie avec la société pour que
le système continue de fonctionner. Les besoins du plus grand nombre
l’emportent sur les besoins du plus petit nombre … »

Du côté droit du spectre, on trouve les individualistes, les
militants de la souveraineté et les vrais conservateurs. Des personnes
qui, à des degrés divers, croient que la société devrait être restreinte
dans sa capacité de dicter la vie de l’individu et que la participation
au groupe devrait être volontaire. Là où les gauchistes cherchent à
centraliser, les gens de droite cherchent à décentraliser.

L’argument du conservateur est : « Sans l’individu, le groupe
n’existe pas. Le groupe est une abstraction créée par l’esprit. Lorsque
des groupes se forment, ils ne devraient exister que pour servir et
protéger les droits inhérents des individus, et non être utilisés comme
un mécanisme de contrôle par des personnes faibles qui ont peur de
fonctionner par elles-mêmes … »

Cette séparation des philosophies est simple et facile à suivre. Mais
c’est là que les choses commencent à devenir confuses et alambiquées,
lorsque des « gardiens » politiques ou des experts et des
médias contrôlés par les globalistes s’en mêlent et brouillent les
cartes. Par exemple, il y a des interprétations erronées flagrantes des
principes conservateurs dans les médias dominants, surtout dans des
endroits comme l’Europe où le mot « conservateur » est
considéré comme sale et est à peine audible. Les gardiens de la pensée
qui n’ont aucune loyauté envers les valeurs conservatrices réelles ont
tenté de ternir l’image des conservateurs dans leur ensemble en les
trompant, les menant dans la mauvaise direction ou en agissant comme de
faux représentants.

Inévitablement, ces joueurs de flûte tentent d’attirer les
conservateurs pour soutenir les idéologies de gauche, comme l’ingérence
du gouvernement dans la vie des gens, ou dans la politique d’autres
nations, ou même dans les marchés libres. En d’autres termes, ils
veulent saboter les vrais conservateurs en les faisant passer pour des
hypocrites. Mais, les idéaux du conservatisme et de la centralisation
s’excluent mutuellement – Si un conservateur soutient un grand contrôle
gouvernemental, il n’est plus un conservateur. Point final.

Il est certain que des gardiens similaires du côté gauche du spectre
trompent les gens de gauche à des fins destructrices, mais pas de la
même manière qu’ils essaient d’induire les conservateurs en erreur.
Alors que les globalistes tenteront d’amener les conservateurs à se
comporter davantage comme des socialistes, ils ne tenteront pas d’amener
les gauchistes à se comporter davantage comme des conservateurs. Au
contraire, ils poussent les gauchistes à devenir encore plus extrémistes
dans leurs tendances collectivistes.

L’objectif final de la cabale globaliste est d’arriver à un point où
TOUT LE MONDE est un partisan de la centralisation totalitaire – un
monde où chacun est un gauchiste, qu’il le réalise ou non.

La façon dont ils prévoient d’atteindre cet objectif est plutôt
indirecte, mais potentiellement très efficace. En poussant un camp (la
gauche politique) à l’extrême, ils espèrent pousser l’autre camp (les
conservateurs) à réagir par des mesures extrêmes qu’ils considéreraient
autrement contraires à leurs principes. Pour éviter ce résultat, les
conservateurs doivent comprendre les motivations profondes et les
contradictions de ce qui est devenu le culte gauchiste. Pour éviter de
tomber dans la folie, nous devons examiner les comportements des fous.

Il est difficile de dire exactement quand la gauche a commencé à s’éloigner d’une politique plus centriste et à devenir communiste plein pot. D’aucuns diront que cela a commencé lorsque l’école de Francfort s’est transplantée aux États-Unis pendant et après la Seconde Guerre globale, apportant avec elle l’idéologie du marxisme culturel. Certains diront qu’il en est ainsi depuis les années 1960 et 1970, à l’époque de la montée du mouvement anti-guerre et de la deuxième vague du féminisme. Mais si les gauchistes étaient des socialistes virulants à l’époque, pendant des décennies après cette génération chaotique, il y a eu au moins une certaine autodiscipline parmi eux pour ce qui est de révéler directement leurs véritables intentions.

Je placerais leur transformation, ou mutation violente, plus près, il
y a 20 ans, lorsque les campus universitaires ont complètement basculé
d’un accent mis sur les compétences pratiques et les sciences classiques
(sciences, technologie, génie et mathématiques) pour se tourner vers
les sciences sociales bornées. C’est à ce moment que le complot pour
radicaliser complètement la gauche a été réellement mis en œuvre.

Les universités devinrent des lieux de culte, d’une nouvelle religion appelée « justice sociale ».
Cette religion s’appuie sur le fait que les anciens conflits sociaux
sont revivifiés comme s’ils n’avaient pas déjà été abordés par des
personnes beaucoup plus intelligentes des décennies auparavant. Les Social Justice Warriors
agissent comme si l’Amérique n’avait jamais fait face à l’esclavage, au
racisme, aux droits des femmes, à l’orientation sexuelle, etc., comme
si tous ces problèmes bouillonnaient dans l’ombre en attendant que les
guerriers de la justice sociale nous fassent enfin grâce de leur
présence et les résolvent. La réalité est que s’il y aura TOUJOURS des
conflits liés à ces questions, il n’y a pas besoin de l’existence d’une « justice sociale » aujourd’hui. Ce sont des rebelles sans cause légitime, et donc ils se créent des causes à partir de rien.

De nombreux experts de la gauche politique font attention à ne pas s’associer publiquement aux Social Justice Warriors
et tentent de présenter les démocrates et les progressistes comme des
personnes distinctes. Et pour certaines de ces personnes, c’est
peut-être vrai. Mais les mantras de justice sociale et la désinformation
ont absolument imprégné le langage et la conversation des Démocrates.
Des organes de presse comme le New York Times, Vox et The Atlantic
ont veillé à ce que cela se produise alors qu’ils inondent les espaces
web orientés vers la démocratie d’articles et d’éditoriaux chargés de
diatribes, présentés comme s’ils produisaient du journalisme factuel.

Beaucoup de ces articles sont plutôt écrits comme des récits
biographiques personnels et des anecdotes ; chaque écrivain de gauche
réclame de devenir le prochain Steinbeck plutôt qu’un enquêteur objectif
des faits. Le vrai journalisme est maintenant mort dans les médias
dominants. Des journaux, devenus des poubelles, comme The New York Times et Vox l’ont tué et l’ont remplacé par un sauna romain de narcissisme et d’iniquité.

Le seul travail de ces points de vente est maintenant de continuer à
alimenter la foi gauchiste. Les universités ont fait de leurs étudiants
des fanatiques, des dévots fous de leur culte, et les médias les
maintiennent sur ce chemin et veillent à ce qu’ils ne s’égarent pas.
Mais quelles croyances définissent cette religion au-delà des notions
vagues de « justice sociale » ?  Examinons quelques exemples….

Tout brûler ?

Alors que le cocktail Molotov a été inventé (ou du moins popularisé) par les Finlandais pendant la guerre d’hiver pour aider à stopper une invasion communiste massive venant d’Union soviétique, il est aujourd’hui devenu une sorte de symbole de rébellion communiste en Occident. L’école de Francfort et le marxisme en général enseignent que les systèmes existants ne sont pas modifiés diplomatiquement, mais démolis violemment par l’exploitation des conflits sociaux. Dans le marxisme traditionnel, l’idée était d’utiliser le conflit de classe économique, de rallier les classes inférieures pour renverser les classes supérieures. Le marxisme culturel ne repose pas seulement sur les disparités économiques, mais aussi sur les tensions raciales et politiques pour faire tomber une civilisation.

Après que la poussière se soit dissipée, les socialistes/communistes cherchent à introduire leur propre système « utopique »
et à prendre le contrôle alors que la nation est faible et impuissante
au milieu d’un effondrement total. Quand le système existant et le
gouvernement travaillent en leur faveur et nourrissent leur sens de
l’influence publique, les gauchistes chantent ses louanges. Quand il
cesse de travailler à 100% pour eux (même si ce n’est qu’en surface),
ils cherchent à le déchirer et à le refaire. Ce sont les gens avec qui
vous ne pouvez pas jouer aux échecs. Dès qu’ils commencent à perdre, ils
crient à l’injustice, balayent l’échiquier et le jettent au sol avec
rage.

Tout le monde est né pareil ?

Cette notion est biologiquement absurde, mais elle gagne du terrain
dans les mouvements gauchiste. Essentiellement, les collectivistes
croient que tous les êtres humains naissent comme des ardoises vierges
et que leur personnalité entière est un produit de leur environnement.
Bien que les psychologues, les anthropologues et les scientifiques de
tous les horizons, de Carl Jung à Joseph Campbell en passant par Stephen
Pinker, aient tous montré de nombreuses preuves de traits
psychologiques innés et de constructions inhérentes au psychisme humain,
ces preuves sont totalement ignorées par les gauchistes car elles vont à
l’encontre de la plupart de leurs hypothèses fondamentales.

Si chacun naît différent, alors l’équité dans la société devient
subjective et inapplicable, et seuls l’accomplissement, le travail
acharné et le mérite peuvent déterminer ce qui est « juste ».
Si les personnages ne sont pas nécessairement régis par leur
environnement, cela signifie qu’il ne sert à rien de créer une utopie
sociale pour micro-gérer chaque aspect de notre vie. Si les psychopathes
ne sont pas fabriqués mais naissent ainsi, alors la question du mal
inhérent devient une possibilité, et selon les gauchistes, il n’y a pas
de personnes mauvaises, seulement des systèmes mauvais qui gâchent
l’esprit des gens bons. Si le genre est inné et que la grande majorité
des gens tombent d’un côté ou de l’autre psychologiquement, pas
seulement biologiquement, alors les gauchistes ne peuvent plus prétendre
que le genre est une construction sociale qui doit être démantelée.

L’ardoise blanche, ou Tabula Rasa, est un facteur clé de la religion
gauchiste qui doit être défendu à tout prix. Sinon, la moitié de leur
idéologie s’effondre.

Tout peut et doit être juste ?

Quiconque a vécu dans le monde pendant un certain temps seul sait
très bien que la vie n’est pas faite pour être juste. Certaines
personnes naissent avec des avantages et d’autres avec des handicaps.
Certains avantages et inconvénients ont trait à la famille et à la
richesse, tandis que d’autres sont simplement génétiques. Il n’y a rien
que l’on puisse faire à ce sujet qui ne détruirait pas notre espèce. Ce
que les gauchistes ne semblent pas comprendre, c’est que le désavantage
perçu n’est pas toujours une mauvaise chose.

Les gens qui luttent et surmontent les obstacles de la vie ont
tendance à être beaucoup plus sages et plus compétents que ceux qui
n’ont jamais eu à faire d’efforts. Les gauchistes veulent éliminer toute
adversité, non pas au nom de l’égalité des chances, mais au nom de
l’égalité des résultats. Ce faisant, ils rendent l’ensemble de la
société plus faible, plus lâche, moins innovante et moins productive.
Dans un monde de gauchiste, l’humanité devrait créer des « camps d’adversité »
artificiels juste pour conserver ses instincts de survie. Mais alors,
bien sûr, ces camps seraient également soumis au filtre de l’équité…

L’intellect est plus important que l’expérience ?

Les gauchistes vénèrent l’intellect comme une puissance divine. À tel
point que la notion d’expérience du monde réel leur vient rarement à
l’esprit comme un élément important dans la prise de décisions ou la
formation d’opinions. Quand les guerriers de la justice sociale parlent
de choses comme le « racisme », la plupart d’entre eux n’ont
jamais été et ne seront probablement jamais témoins d’un racisme
légitime. Ils l’ont lu dans des livres et en entendent parler dans des
conférences, mais ils n’ont aucun lien personnel avec lui. Ils croient
qu’il est omniprésent partout, à chaque coin de rue et sous chaque lit
parce qu’ils le doivent. Leur réalité dépend d’une foi aveugle que c’est
vrai.

L’idée de l’inégalité sociale entre les hommes et les femmes repose
aussi sur une foi aveugle dans des statistiques déformées et des récits
frauduleux de crimes qui n’ont jamais été commis. Aujourd’hui encore,
ces personnes continuent de soutenir que l’« écart salarial entre les sexes »
est une réalité, malgré le fait qu’il a été démonté à l’infini. Ce
comportement exige une dévotion sectaire à la fantaisie. Ce n’est pas
normal ou logique, c’est une maladie mentale extrême. Si ces gens
allaient dans le monde du travail et étudiaient de vrais modèles
d’affaires et discutaient avec des hommes et des femmes qui ne sont pas
membres de leur propre chambre d’écho, ils verraient par expérience que
leurs hypothèses sont fausses, mais lorsque les notions intellectuelles
l’emportent sur les observations directes, il n’y a aucun espoir.

Les conservateurs sont-ils le mal incarné ?

J’ai commencé à écrire cet essai en partie parce que j’ai remarqué un
flot constant d’articles dans les médias grand public se faisant passer
pour des études sur les « extrémistes conservateurs ». Je me
dis que s’ils nous analysent de façon inexacte, nous pouvons faire mieux
et les analyser le plus précisément possible. En lisant certains de ces
articles, je constate que les gauchistes ont créé leur propre langue
complètement séparée du reste du monde et de la réalité. Ce qu’ils
interprètent comme du « racisme », de la « misogynie » ou du « fascisme »
ne correspond pas à la définition classique de ces termes. Ils ont
développé leur propre vocabulaire ahurissant rempli de mots inventés et
de concepts illogiques pour décrire le monde d’une manière qui
correspond à leurs désirs et soutient leurs accusations.

Les conservateurs ne vivent pas dans ce monde et franchement, nous ne
le voulons jamais. Pour eux, nous sommes des hérétiques, des barbares. A
leurs yeux, nous sommes des intouchables sales, des « déplorables ».
Nous ne pouvons pas être sauvés, et nous devons être détruits. Les
zélotes cherchent toujours à traiter les étrangers idéologiques comme
des ennemis mortels, même lorsque ces individus ne leur ont rien fait.
Le fait est que la plupart des crimes et génocides politiques modernes
ont été perpétrés au nom des idéaux socialistes, au nom des concepts
chers à la gauche. Nous continuons à souffrir sous ces idéaux au nom de
la globalisation.

Combien de personnes ont souffert à cause de la décentralisation et
des droits individuels ? Pas beaucoup, voire aucun. Combien de personnes
ont été exterminées au nom du principe de non-agression ? Répondez :
Zéro. Les conservateurs ne sont certainement pas méchants ou
extrémistes. Mais dans la zone crépusculaire de la pensée de gauche,
nous sommes les monstres.

C’est pourquoi le comportement de la gauche devient si
incompréhensible. Des géants du monde des affaires comme Sony, Disney,
Netflix, Facebook, Google, etc. ont choisi d’alimenter de force
l’idéologie de la justice sociale publique, et ont mis leur entreprise
en danger parce que de moins en moins de gens achètent la religion
qu’ils vendent. Il en va de même pour des entreprises comme Gillette ou
Starbucks, qui sont prêtes à insulter leur propre clientèle et à se
saboter pour prêcher l’évangile de la justice sociale. Pourquoi
feraient-ils ça ? Parce qu’ils voient les conservateurs comme une force
démoniaque qui doit être effacée de la société civilisée. Nous n’avons
même pas le droit d’être entendus, sinon la mauvaise magie de nos
arguments hypnotisera les masses et les détournera de la lumière du
marxisme culturel.

Une autre raison plus secrète est que, grâce à l’utilisation des
médias populaires et à l’influence des entreprises, les globalistes sont
capables d’exploiter les idiots utiles gauchistes et de les manipuler
pour qu’ils agissent de manière encore plus absurdes qu’ils ne le font
déjà. Et, par extension, ils espèrent terrifier les conservateurs en les
poussant à rejeter la Constitution et à devenir des fascistes à part
entière comme réponse défensive. Ils sont tout à fait disposés à
démanteler des structures d’entreprise entières pour rendre cela soit
possible. Ils sont en train de jouer le tout pour le tout.

Les dieux gauchistes

La justice sociale embrassant l’athéisme semble les avoir laissés
insatisfaits car leurs explications de l’existence ne satisfont pas la
relation humaine innée à la métaphysique. En conséquence, le culte
gauchiste est toujours à la recherche de dieux de nos jours, avec tout
le gouvernement qui l’entoure comme substitut pour le moment. La
divinité suivante du gauchiste est clairement la nature, ou la « terre-mère », car ce dieu satisfait leur besoin d’une force vengeresse et toute puissante.

Beaucoup de gauchistes désirent désespérément une sorte d’apocalypse,
mais une apocalypse à leurs conditions. Les globalistes leur en donnent
une, ou du moins une version grotesque appelée « changement climatique »,
dans laquelle l’homme irrite la nature avec sa production et son
progrès, mais est frappé par la catastrophe tandis que les pieux
gauchistes regardent dans leur pureté en disant « Nous avons essayé de vous avertir, mais vous ne vous repentez pas… ».
Il s’agit bien sûr d’une fiction, fondée sur une science de pacotille
financée par des organisations dont le but est de miner la vraie science
et le bon sens.

La solution à cette apocalypse, par coïncidence, finit toujours par
être plus de gouvernement, plus de contrôle sur le commerce et le
progrès humain, la réduction de la population et peut-être même la
gouvernance globale de tous les aspects de la vie. Sinon, nous risquons
de subir la colère du grand dieu de la destruction de la grande guerre
gauchiste – le réchauffement climatique alimenté par le carbone. Dans
l’esprit des gauchistes, ce sera le moment où nous comprendrons tous
qu’ils étaient sains d’esprit, que leur culte avait raison depuis le
début, et nous viendrons à eux de plein gré, nous prosternant devant
leur puissante supériorité intellectuelle.

C’est ce type de pensée ignorante qui fait du gauchisme un outil
facilement exploitable pour les pouvoirs en place. C’est aussi la source
de calamités à travers les âges. Tenter de faire appel à la meilleure
nature de ces gens ne nous aidera pas, car ils sont trop perdus dans
leur propre dimension, pas plus que d’utiliser le grand gouvernement
comme une arme contre eux. C’est un véritable casse-tête.

Brandon Smith

Traduit par Hervé pour le Saker Francophone




Qui gouverne la France ?

La vidéo et l’article suivant peuvent éventuellement en donner une idée.




[Source : Info Résistance via Stop Mensonges]

BANQUE DE FRANCE, HISTOIRE TROUBLE

La banque de France est créée le 18 janvier 1800 par un groupe de représentants de banques privées. Napoléon Bonaparte en est le premier actionnaire. En 1803, il lui confère le monopole d’émission des billets, c’est-à-dire le privilège d’émettre les billets de banque. (1)

La banque de France n’est pas la banque de la France, elle est bien déjà privée, ce qui conduira Napoléon à une citation importante :

Lorsqu’un gouvernement est dépendant des banquiers
pour l’argent, ce sont ces derniers, et non les dirigeants du
gouvernement qui contrôlent la situation, puisque la main qui donne
est au-dessus de la main qui reçoit. […] L’argent n’a pas de
patrie ; les financiers n’ont pas de patriotisme et n’ont pas
de décence ; leur unique objectif est le gain.

ÉTAPE 1 du scandale, la BDF gouverne le gouvernement
de 1800 à 1936

En effet, la BDF émettait la monnaie pour la France et si le pays
avait besoin d’argent, la BDF faisant un prêt, une avance
sans frais
, mais il n’y avait pas d’intérêt à rendre.
C’était déjà très bien de ne pas payer d’intérêt, mais ce
qui était déjà un problème c’est que la banque était au-dessus
de l’État, elle était privée et si elle jugeait qu’il ne
fallait pas financer tel ou tel projet elle pouvait s’y opposer. Ce
scandale va durer de 1800 jusqu’au début des années 1930 ou
la montée en puissance du communisme, du Front populaire et d’un
socialisme fort va parvenir à nationaliser en quasi-totalité la
Banque de France…

L’expression « deux cents familles »
désignait les deux cents plus gros actionnaires (sur près
de 40 000) de la Banque de France pendant
l’Entre-deux-guerres. Avant la réforme de 1936, ils constituaient
l’Assemblée générale de la Banque de France. L’influence des
deux cents familles pèse sur le système fiscal, sur les transports,
sur le crédit. Les deux cents familles placent au pouvoir leurs
délégués. Elles interviennent sur l’opinion publique, car elles
contrôlent la presse. »

Or parmi les deux cents premiers actionnaires de la Banque de
France certaines familles (Rothschild, Wendel, Schlumberger,
Neuflize…) disposaient de plusieurs membres (réduisant d’autant
le nombre de familles)

Surtout, il faut y distinguer la présence de richesse active
(essentiellement les entrepreneurs banquiers) de celle de la richesse
passive (les rentiers). Seuls les premiers disposent d’un véritable
pouvoir par leur présence au Conseil général : c’est-à-dire
les représentants de la Haute Banque. (4)

Liste des principales familles qui ont dominé et dont les
descendants dominent encore la banque en France et dans le monde.
(source)

  • Famille Caruel de
    Saint-Martin (Manufacture de Tabacs)

  • Famille Darblay (Industrie)
  • Famille Davillier (Banque)
  • Famille Fould (Banque)
  • Famille Goüin (Banque,
    Industrie)

  • Famille Gradis (Commerce)
  • Famille Hottinguer (Banque)
  • Famille Lazard (Banque)
  • Famille Louis-Dreyfus (Négoce
    de grains)

  • Famille Maingard (Industrie)
  • Famille Mallet (Banque)
  • Famille Mirabaud (Banque)
  • Famille Petiet (Industrie,
    UCPMI)

  • Famille Piaton (Industrie)
  • Famille Raphaël (Banque)
  • Famille Rimet (Négoce de
    grains, Chemins de fer)

  • Famille Robillard (Manufacture
    de Tabacs)

  • Famille Rothschild (Banque)
  • Famille Schlumberger (Industrie)
  • Famille Schneider (Industrie)
  • Famille Stern (Banque)
  • Famille Vernes (Banque)
  • Famille de Vulliod (Viticulture)
  • Famille Wendel (Industrie)
  • Famille Worms (Banque, Armement naval)

J’ai retranscrit ci-dessous une partie de la conférence d’Annie Lacroix-Riz intitulée « La Banque de France » (à partir de 4 h 51) qui explicite ce point très clairement :

Pour la quasi-totalité de la population, et je dois dire
l’historien inclus évidemment, avant qu’il ne découvre les
dossiers, un gouvernement… ça se prépare dans des conditions
diverses, mais enfin un gouvernement ça n’existe que, en régime
parlementaire, parce qu’un parlement lui donne son acceptation,
l’agrée, procède à son installation.
Eh bien ça ne se
passe pas du tout comme ça !
Depuis Bonaparte, qui a fait
à la France des institutions qui consacraient bien la victoire de la
bourgeoisie, depuis Bonaparte et la création de la Banque de
France
, c’est donc une assez vieille affaire, eh
bien la Banque de France a reçu le moyen de gouverner les
gouvernements de façon très simple. Chaque gouvernement dépend des
avances de la Banque de France, qui est un club de banques privées,

de la Grande Banque, de ce que l’on appelle la Grande Banque, et
donc, lorsque un gouvernement est pressenti, dans des conditions
qu’éclairent aussi les archives, eh bien avant de se présenter
devant le Parlement, il se présente devant ce que l’on appelle le
gouvernement de la Banque, c’est-à-dire le petit noyau des plus
grands banquiers,
les régents de la banque de France parmi
lesquels on comptait dans la période qui nous occupe, Xavier de
Wendel qui était un des maîtres des industries sidérurgiques de la
France […]
Et donc, tout premier ministre pressenti,
accompagné de son ministre des finances… et donc le gouvernement
qui dépendait des bontés de la banque de France qui lui accordait
ou ne lui n’accordait pas ses avances, le gouvernement venait
promettre au gouvernement de la Banque de France, au futur
gouvernement, de faire un bon usage bien économe des deniers,
puisqu’un État c’est bien connu, c’est toujours impécunieux,
et que cela a toujours tendance à laisser filer les salaires et
autres, et il promettait donc d’appliquer l’assainissement
financier qui était la clef de l’octroi des dites avances.
J’insiste sur le fait qu’ils promettaient, et que, Herriot en
1924 et Léon Blum en 1936 ont promis…
[…]
J’insiste
beaucoup sur le fait que… (je sais bien que cela choquera beaucoup,
mais au vu des archives que je produis ce sera difficile de
contester), j’insiste beaucoup sur le fait que le
gouvernement de la France ne gouvernait rien, mais que la Banque de
France gouvernait le gouvernement, et que, en France, il ne date
aucunement d’aujourd’hui que les banquiers et les industriels
gouvernent le gouvernement.
C’est-à-dire que le terme est
fort à la mode depuis un certain nombre d’années, selon lequel on
ne peut rien faire, parce qu’autrefois les gouvernants
gouvernaient, alors qu’aujourd’hui ce sont les banquiers
internationaux qui gouvernent est un thème qui correspond à une
réalité absolument pas neuve. » (2)

Un peu d’espoir en 1936 avec le Front populaire (3)

Après la victoire électorale de 1936, le gouvernement du Front
populaire ayant estimé contraire à l’intérêt général que le
contrôle de la monnaie soit du ressort d’intérêts privés,
décide de modifier les statuts de la Banque de France. La loi du
24 juillet 1936 vise à donner aux pouvoirs publics les moyens
d’intervenir plus directement dans la gestion de la Banque pour
pouvoir mener une politique économique d’intérêt général.

La nationalisation de la Banque de France intervient après la
Libération de la France, avec la loi du 2 décembre 1945.

Rendez-vous compte ! La Banque nationalisée est enfin aux
services des peuples, c’est l’après-guerre, la reconstruction du
pays et des 30 glorieuses. Dans cette période il n’y a pas de
dette publique. La France se finance quand elle le veut, pour
reconstruire le pays, et au taux zéro. À l’école, on apprend
qu’a cette époque, il n’y avait pas de chômage, parce qu’il y
avait un pays à reconstruire. La vérité est tout autre, c’est
parce que l’État pouvait émettre la monnaie nécessaire pour
payer les travailleurs qu’il n’y avait pas de chômage. Il y a
encore du travail aujourd’hui, des maisons à construire, des
maisons à rénover, isoler, des personnes à soigner, des enfants à
éduquer, des énergies alternatives à développer, etc.. Et bien
sûr 10 à 15 % de chômeur… Ce qu’il nous manque, c’est
l’argent pour payer le travail.

Scandale caché mise à jour par les archives enfin
libérées :
Devant la montée du Front populaire, les
banquiers privés, les industriels, notamment ceux de la sidérurgie
vont faire preuve de solidarité de caste pour s’opposer à
l’émancipation des travailleurs et favoriser l’effort de guerre
de l’Allemagne. Cette Synarchie (voir livre d’Annie Lacroix Riz)
va soutenir financièrement l’Allemagne Nazi, elle va vendre de
l’acier pour les canons, de l’aluminium pour les avions, etc.. Et
dans l’ombre ces gens-là préparent le Gouvernement de Vichy. D’où
la découverte que la défaite de la France en juin 1940 a été
voulue, provoquée pour rétablir un ordre moins populaire, plus
favorable aux affaires des banquiers, des rentiers, des patrons.

ÉTAPE 2 du SCANDALE : La fin des 30 glorieuses
gravée dans le marbre de la loi de 1973.

En 1973, les statuts de la Banque de France, laissés en suspens à
la libération, sont modifiés par la Loi n° 73-7 du 3 janvier
1973, signée par Pompidou, Messmer, Giscard d’Estaing et parue au
Journal officiel le 4 janvier 1973. Dans l’article 25, il
est stipulé que « le Trésor public ne peut être présentateur
de ses propres effets à l’escompte de la Banque de France ». En
pratique, cela signifie qu’on oblige la République à emprunter
sur les marchés à obligation contre taux d’intérêt.

Le 22 juillet 1981, 45 députés, dont Pierre Messmer qui
avait signé la loi 73-7, ont déposé le projet de Loi n° 157,
pour permettre à la République d’emprunter sans intérêts dans
le cadre de ses investissements économiques. Ce projet n’a jamais
été voté.

À partir de 1973, c’est la catastrophe, car la France n’a
plus sa Banque pour lui avancer de l’argent à taux zéro par le
mécanisme classique du crédit. Les dettes publiques partent
réellement de cette loi. Plus tard, ce sont tous les États d’Europe
qui se voient imposer une loi identique dans le Traité de Maastricht
(article 104). De fait, tous les États d’Europe sont endettés
à partir du moment où ils abandonnent leur droit d’emprunter ou
d’émettre la monnaie sans intérêts. Aucun pays ne peut échapper
à cela. Si la Grèce, l’Espagne, l’Irlande, l’Italie, bientôt
la France, sont aussi endettées, cela ne tient qu’en quelques
textes de loi qu’on nous a dissimulés.

Conclusion :

Il y a une forme de solidarité de caste depuis 200 ans,
et pilotée par les grandes banques qui ne cessent de protéger leur
monopole, de lutter contre l’inflation pour protéger les rentiers.
Ces grands banquiers n’ont pas de scrupule et peuvent favoriser des
criminels de guerre en puissance comme Hitler. Ne nous étonnons pas
de voir en Grèce et en Italie 2 anciens grands banquiers défenseurs
du système pour remplacer Papendréou et Berlusconi.

Si nous avons une chose à défendre bec et ongle, c’est
le contrôle de la création monétaire. C’est de cela que nous
devons parler à la télé, à la radio, dans les journaux, sur
internet. La clef de notre impuissance se trouve dans ce processus de
création monétaire. À chaque fois que la Banque fut sous le
contrôle du peuple, le chômage a reculé, les hommes se sont
épanouis. Rappelez-vous de vos cours d’histoire : le Front
populaire a créé les congés payés, la semaine de 48 heures ;
puis après la guerre de 1945 à 1975, les fameuses trente
glorieuses.

Référence :

(1) Le secret de la liberté des banques et de la monnaie,
Philippe Nataf, Aux sources du modèle libéral français,
1997

(2) Le choix de la Défaite — Annie Lacroix Riz

(3) http://fr.wikipedia.org/wiki/Banque_de_France

(4) : cf. Alain Plessis, 1982. Les actionnaires
n’interviennent pas dans l’orientation de l’institut d’émission
qui leur garantit la stabilité monétaire. Les actions de la Banque
constituent pour eux un placement sans risque.

Quelques commentaires

  • admin
    14 janvier 2014 – 18 h 35 min
    La Banque de France est toujours une entité privée, tout comme la BCE.
    Il n’est pas possible de rentrer au capital de ces banques centrales en tant que citoyens, à l’inverse des entreprises.
    Les actionnaires, qui sont des personnes morales ne le clame pas sur les toits, et entretiennent une certaine opacité sur ce plan là.
    Ils étaient 40 000, paraît-il, dans l’entre-deux-guerres, dont 200 familles remarquables qui depuis plusieurs générations se transmettent l’essentiel du capital.
    http://fr.wikipedia.org/wiki/Deux_cents_familles
    Ensuite, je pense que beaucoup de citoyens, sans le savoir, et qui souscrivent à certains produits financiers se retrouvent en possession de parts sociales pour la banque de France.
    Mais cela représente une petite partie seulement de l’activité.
    Le problème n’est pas uniquement de savoir qui détient, mais qui contrôle et pilote, et une chose est sur, ce ne sont pas les peuples, ni leur représentant
    Quant à la Banque centrale européenne, un particulier ne peut y accéder, seules les banques privées le peuvent. De fait, ceux qui détiennent les banques privées détiennent du capital de la BCE.
    Pour devenir banquier, il faut être coopté par un autre banquier et apporter un capital
    • marco saba
      29 mars 2014 – 14 h 35 min
      Les propriétaires réels de la BdF sont les particuliers qui contrôlent l’argent fantôme de la BdF via Clearstream, Euroclear, Swift : http://lebanquiergarou.blogspot.it/2014/03/le-reflux-bancaire-une-lacune.html
    • Pierre
      26 février 2015 – 18 h 49 min
      FAUX !
      L’unique actionnaire de la Banque de France est l’État français (et ce depuis la « Nationalisation »…). La Banque de France réalise des bénéfices (notamment par ses opérations de politique monétaire qui consistent à prêter de l’argent aux banques afin qu’elles prêtent aux particuliers) qui sont ensuite reversés à son actionnaire -> l’État et donc la Nation.
      Quant à la BCE, ses actionnaires sont les Banques centrales de l’Union européenne, dont la Banque de France (qui possède environ 15 % du capital de la BCE).
      La Banque de France et la BCE ont un statut de banque privée afin de pouvoir réaliser des opérations avec les banques privées (et réaliser ainsi leur mission de politique monétaire).
      Cordialement,
      http://www.lemonde.fr/economie/article/2013/03/28/benefice-record-pour-la-banque-de-france-en-2012_3150005_3234.html
      • admin
        18 mars 2015 – 23 h 6 min
        En effet, depuis 1945, les gros actionnaires ont désormais des obligations d’État à la place des actions…
        Toutefois, la banque de France aujourd’hui ne sert pas du tout nos intérêts. Elle se comporte comme une banque privée, en créant de la monnaie pour des banques privées, qui vont ensuite prêter cette monnaie à la France… Au final, les 877 millions d’euros que reverse la BDF ne sont qu’une paille à côté de ce qu’elle crée comme dette à la France via les banques privées. La France rembourse 50 à 60 milliards rien qu’en intérêts chaque année. Alors, les 0,877 milliard de bénéfice de la BDF, c’est de l’esbroufe… Si la France pouvait créer sa monnaie, nous ferions 50 à 60 milliards d’économies par an.