Le grand silence de la mort politique française

Par Jean-Michel Grau

Au moment où tous les rouages de la grande prise d’otage de masse du Covid planifiée par le psychopathe mondialiste Klaus Schwab et les oligarques de la finance, des grandes entreprises et des médias du Forum de Davos apparaissent au grand jour, en revanche, les élus politiques censés faire fonctionner les garde-fous des démocraties sont aux abonnés absents.

Ceci est particulièrement vrai en France où plus personne, ni à l’assemblée, ni au Sénat, ni au Conseil d’État, ni même au Conseil Constitutionnel, ne vient s’offusquer de toutes les mesures liberticides enfilées les unes après les autres pour mieux verrouiller et cadenasser la parole publique et avec elle, les français, via toutes les injonctions de l’Union européenne répétées en boucle pour anéantir les peuples : confinements, couvre-feux, ausweis, port obligatoire de muselières, sabordage de l’hôpital, des écoles et des universités, fermeture programmée des restaurants, bars, cafés, discothèques, salles de sport, cinémas, théâtres, musées, salles de concert, petits commerces, PMI-PME ainsi que toutes les activités des indépendants jugées non essentielles, avec au bout :
la mort sociale, avec des millions de chômeurs et de SDF à la clé.
Ainsi, après le premier confinement, 1 million de gens ont basculé dans la pauvreté.

C’est un gigantesque suicide collectif qui se profile à l’horizon.

Un suicide d’autant plus grave qu’il n’a rien de virtuel pour certains, avec tous les suicides de plus en plus nombreux d’étudiants, de commerçants, d’agriculteurs et d’indépendants de toutes professions ne pouvant plus faire face à leurs dettes, que l’on rapporte un peu plus chaque jour.

Dans une démocratie digne de ce nom, n’importe quelle personne censée pourrait à bon droit se dire qu’elle peut se tourner vers les politiques, autrement dit, ses élus, pour lui venir en aide, afin d’enrayer au plus vite les décisions aussi aberrantes que criminelles de cette société devenue complètement folle et prête à ruiner toute l’économie pour éradiquer un virus à la létalité de 0,05 %.

« Le fait de détruire méthodiquement le pays pour une maladie avec un taux de mortalité aussi faible relève du pétage de plombs. Un troisième confinement serait une très mauvaise décision, car le pays est déjà exsangue. Il a reçu des coups extrêmement durs sur le plan économique, social et psychologique, mais aussi sur le plan des libertés publiques » explique le philosophe Jean-Loup Bonnamy. « Je redoute l’apparition d’une génération sacrifiée, avec des conséquences extrêmement lourdes pour les plus jeunes. Un pays ne peut sacrifier sa jeunesse. » conclut-il. (1)

Oui, mais voilà : entend-on les voix des politiques qui devraient être les premiers à s’offusquer de ces mesures de plus en plus délirantes et les dénoncer : tests tous azimuts (alors que même l’OMS reconnaît aujourd’hui que le protocole du Dr Drosten qui les a mis au point est bidon), confinements moyenâgeux, couvre-feux d’états de guerre, établissement de zones de contagion du rouge au rouge foncé dans toute l’Europe pour développer et entretenir la peur, seule garante de maintenir en place cette gigantesque supercherie pour faire advenir le Great Reset [= la Grande Réinitialisation] de la société occidentale ? Tout cela, parce que quelques gourous illuminés, comme Schwab ou Attali l’ont décrété pour refaire le monde à leur image, du fond de leur fauteuil du forum de Davos, tout comme notre Jupiter de salle de bains du fond de sa baignoire ?

« La liberté d’exploiter l’humain pour en tirer des profits gargantuesques incompatibles avec le bien commun et la survie des générations futures n’est pas une liberté. C’est une folie. » conclut Nicolas Teterel dans son livre : « Les esclaves de l’anthropocène » (2) Quels politiques ont-ils aujourd’hui pris la mesure de cette folie en train d’auto-détruire toute la société occidentale ?

Où sont-ils les politiques pour dénoncer ce plan populicide monstrueux ?

Ohé ! Ohé !! Ohé !!! Y’a quelqu’un ?? Y’A QUELQU’UN ???

À l’Assemblée ? Au Sénat ? Au Conseil d’État ? Au Conseil constitutionnel ? Y’A QUELQU’UN ??

  • À l’Assemblée : que dire de tous ces Playmobil en Marche, « pourvus d’un moteur électrique incorporé qui leur permet de battre des mains, de se lever et de tourner la tête en même temps vers l’Élysée, et même de ramper » (3), prêts à voter sans broncher toutes les lois liberticides, mais par contre, à refuser de voter l’allongement de congé de deuil pour un enfant ?
  • Au Sénat, où sont donc passés les brillants orateurs de la Commission d’enquête de l’affaire Benalla ? Disparus dans la nature, tout comme les barbouzes interrogés ?
  • Au Conseil d’État, où l’on valide sans discuter toutes les décisions liberticides du gouvernement ?
  • Au Conseil constitutionnel, où l’on valide sans sourciller, la loi prorogeant jusqu’en juin 2021 l’État d’urgence sanitaire en vigueur depuis déjà 3 mois ? Depuis quand un état d’urgence peut-il se pérenniser ? Ou comment donner les pleins pouvoirs à un chef d’État qui n’attendait que cela…

2020 serait-il donc un remake de 1940 ? Nos députés se sont-ils finalement couchés comme leurs aînés devant la dictature ? Sommes-nous aujourd’hui dans le même cas de figure que le 10 juillet 40 où l’écrasante majorité de 569 députés sur 649 a voté les pleins pouvoirs au Maréchal ? Sommes-nous autorisés à penser que le slogan de la campagne électorale de Macron « La France en marche » n’était finalement qu’un copié/collé de la France de Pétain ? Tout le laisse à penser.

Quant à l’opposition de 2021, où est-elle ? De Marine Le Pen à Jean-Luc Mélenchon, y a-t-il encore une voix pour protester ? Ont-ils bien tous pris la bonne mesure de la gravité de la situation ?

Si même eux ne protestent pas, que restera-t-il au peuple français pour protester à part la loi de la rue, où le pire est à craindre comme on commence à le voir avec les émeutes des Pays-Bas ?

Car si l’on ne fait rien, et qu’on attend bien sagement qu’on nous soumette tous en esclavage comme prévu dans la Grande Réinitialisation de Klaus Schwab, on ne peut que s’attendre à ce que son scénario s’écrive en lettres de sang et de larmes, comme celui que dénonçait en 1946 le Pasteur allemand Niemöller :

« Quand les nazis sont venus chercher les communistes, je n’ai rien dit, je n’étais pas communiste.

Quand ils ont enfermé les sociaux-démocrates, je n’ai rien dit, je n’étais pas social-démocrate.

Quand ils sont venus chercher les syndicalistes, je n’ai rien dit, je n’étais pas syndicaliste.

Quand ils sont venus me chercher,

il ne restait plus personne pour protester. »

Aujourd’hui, en ce début d’année 2021 au moment où ces lignes sont écrites, on ne compte plus que deux politiques qui font entendre leur voix. Oui, deux ! Florian Philippot (4) et Martine Wonner (5) qui ne ménagent pas leurs forces pour lever les foules. Grâce leur soit rendue pour leur courage !

C’est pourquoi, avant de voir basculer le pays dans un chaos irrémédiable, tous les politiques français feraient bien de méditer cette réflexion de l’ancien président des États-Unis :

« Ceux qui rendent une révolution pacifique impossible rendront une révolution violente inévitable. »

John Fitzgerald Kennedy, mars 1962

Nous sommes les 99 %. RÉSISTANCE !

Notes

(1) Renaud Girard et Jean-Loup Bonnamy, Quand la psychose fait dérailler le monde, Gallimard

(2) Nicolas Téterel, Les esclaves de l’anthropocène, éditions Yves Michel

(3) legrandsoir.info/les-playmobil-en-marche.html

(4) https://www.youtube.com/channel/UClaa_CwoQEmSo9Mb_M1f91g/videos

(5) youtube.com/watch?v=0Qlfu9VHKLo




COVID : Vladimir Poutine envoie ch… les globalistes

[Source : Boris Karpov – En direct de Russie. (tvs24.ru)]

Allant à contre-courant de la paranoïa des gouvernements occidentaux, Vladimir Poutine a annoncé ce jour le retour à la normale en Russie:

« En Russie, la situation avec le coronavirus se stabilise ; les restrictions imposées en lien avec la pandémie peuvent être progressivement levées. En général, la situation épidémiologique dans le pays se stabilise progressivement. Ce matin, j’ai écouté les rapports : nous avons déjà le nombre de guéris supérieur au nombre de malades. Le nombre de personnes infectées diminue, il est à moins de 20 pour mille. Cela permet de supprimer soigneusement les restrictions imposées. »

Actuellement dans la plupart des régions de la Fédération de Russie il y a déjà très peu de restrictions depuis l’été dernier, comparativement aux pays occidentaux: Tous les services et commerces fonctionnent (bars et restaurants doivent dans plusieurs régions fermer à 23 heures… en théorie. En pratique, beaucoup ne ferment qu’à l’aube…). Les seules limitations sont l’obligation (ici aussi très théorique) du masque dans les transports et magasins, et la limitation à 50% du taux d’occupation des cinémas, musées etc. Par ailleurs la population en grande partie ne suit que très peu les consignes stupides: Le masque est peu porté, ou alors sous le menton. Quand aux « distances sociales »… Voici une photo prise il y a quelques jours dans le métro de Moscou..

La portée de la déclaration de Vladimir Poutine est en fait très politique : Elle montre au clan des globalistes en Russie, mené par le maire de Moscou qui désire renforcer les mesures pour s’aligner sur les pays occidentaux, que son petit jeu est terminé. En août, c’est déjà Vladimir Poutine qui avait ordonné au maire de Moscou de lever la quarantaine (Le maire avait reçu un coup de téléphone en pleine réunion pour préparer l’annonce de la poursuite de la quarantaine et avait déjà commencé à faire envoyer des SMS pour en informer la population. Selon un témoin, le maire n’a rien dit durant 2 à 3 minutes, et à la fin de la communication a déclaré que la quarantaine était levée.). La semaine dernière c’est encore le président qui a ordonné au maire de Moscou de cesser l’enseignement « à distance » que celui-ci avait mis en place en octobre pour une grande partie des élèves. Aujourd’hui, le président Poutine déclare donc, au plan national, que les choses ont assez duré.

S’il y a assurément une justification électorale à cette décision, par la chute de popularité du maire de Moscou à 80% de mécontents qui se traduit par la chute de popularité de Poutine avec un énorme 40% de mécontents, ), il semble clair, alors que les pays occidentaux rivalisent de paranoïa pour savoir qui enfermera le plus durement et longuement sa population, que Vladimir Poutine met la Russie en-dehors du plan globaliste. On rappellera par ailleurs les mesures nouvelles que la Russie a inscrites dans sa Constitution (par exemple le mariage = Homme plus Femme exclusivement, la réaffirmation de la foi en Dieu, la prédominance des lois Russes sur les lois internationales, etc) qui montrent clairement le chemin choisi, aux antipodes du projet de société mondialiste.

Le hold-up électoral réalisé par Biden et ses complices aux Etats-Unis va rapidement entraîner l’Europe de l’ouest dans une globalisation à marche forcée.  Macron a d’ailleurs fait allégeance à Biden lors de leur premier entretien téléphonique hier. La Russie s’affirmera alors comme un oasis souverain dans un monde fou. C’est d’ailleurs pour éviter cela que les globalistes font le forcing avec les tentatives de soulèvement fomentées par la « 5ème colonne » menée par Navalny et quelques oligarques.

Mais, comme le disait ici-même Konstantin Sergueïevitch : 

« la Russie a les moyens humains, financiers et militaires, de tracer sa voie quelles que soient les réactions des globalistes. » 

Dans ce même article, Konstantin Sergueïevitch écrit :  « Faute de réaction rapide, demain ou après-demain, le pire est déjà programmé ». La déclaration de Vladimir Poutine ce jour sur la fin de la folie autour du covid montre qu’il y a une réaction, qui devrait être suivie d’autres dans les semaines à venir.

Boris Guenadevitch Karpov




Une zone B existe, donc il y a de l’espoir, je vous le promets !

[Source : Le Saker Francophone]

Par Le Saker – Le 20 janvier 2020 – Source The Saker Blog


Chers amis, aujourd’hui, il semble que le triomphe de nos adversaires soit total. Je veux publier cette chronique en disant que je ne crois pas une seule seconde que cela soit le cas. Tout ce que je vais faire aujourd’hui, c’est expliquer pourquoi. Ainsi, juste pour que les personnes autrement surdouées puissent comprendre, il ne s’agit pas d’une analyse exhaustive et je vais laisser de côté beaucoup de choses.

Allons-y donc :

Premièrement, remarquez à quel point nos adversaires sont totalement paranoïaques ! Selon la façon dont vous comptez et à qui vous le demandez, ils ont fait appel à 25 à 65 000 personnes armées pour les « défendre ». Bien sûr, le but premier de ces absurdités est de faire croire qu’il existe une terrible force terroriste nationale prête à prendre le contrôle de Washington et à ouvrir des goulags pour les minorités. Il sera alors plus facile de vendre une répression massive des libertés civiles sous le prétexte de « protéger » la « démocratie » (supposée mais, en réalité, déjà disparue). Mais le fait qu’ils aient dû s’engager dans une chasse aux sorcières en contrôlant soigneusement chaque garde national (et probablement encore plus de personnes) montre qu’ils ont vraiment peur. Je pense qu’ils ont tort, il n’y a pas de menace terroriste intérieure crédible aux États-Unis, autre que le gouvernement lui-même, bien sûr. Mais ce qui importe ici n’est pas ce que je pense, mais ce qu’ils pensent, et ils semblent avoir développé un sérieux cas de paranoïa.

Deuxièmement, même si je ne crois pas à l’existence de terroristes nationaux aux États-Unis, je pense que des millions de citoyens américains sont convaincus que le vote a été volé. On peut comprendre que ces personnes soient dégoûtées et en colère. Beaucoup sont peut-être désespérés ou même découragés. Appelons-les les « Déplorables » et considérons cela comme une marque d’honneur. Eh bien, ces Déplorables ne prendront pas Washington DC par la force, mais ils ne feront plus jamais confiance à un politicien du Parti Démocrate, ni du Parti Républicain, ni aux médias grand public. Une des bénédictions déguisées de cette élection volée est que le Parti Républicain et Fox News ont montré leur vrai visage, et que leurs visages sont diaboliques, stupides et laids. Il y a quatre ans, des millions de citoyens américains n’ont pas tant voté pour Trump que contre Hillary, qu’ils considéraient (à juste titre) comme un symbole et une métaphore de l’ensemble de l’« État profond », du « marais », du « ZOG » (Zionist Occupation Government) ou de toute autre expression de votre choix. Ces Déplorables avaient d’abord fait confiance à Obama (« un changement crédible ») et, plus tard, à Trump (MAGA). Maintenant, ils savent que les deux camps sont tout aussi mauvais et faussaires.

Dans le passé, les deux factions du « Big Money Party » avaient des soupapes de sécurité (Tea Party, Occupy Wall Street, Rand Paul, Tulsi Gabbard, Bernie Sanders, etc.) Je pense que maintenant, les deux partis se trouvent littéralement à poil et, les gars, c’est vraiment pas beau à voir !

Troisièmement, et sur ce point-là je m’adresse principalement à mes lecteurs aux États-Unis et cela m’obligera à faire une note qui leur est principalement destiné :

Note de l’auteur

La planète peut être divisée en deux parties : ZONE A, la partie du monde entièrement contrôlée par l’empire anglo-sioniste, et ZONE B, celle qui comprend le reste. La grande majorité des Américains ne connaissent vraiment que la zone A. Pourquoi ? Pour les raisons suivantes :

  • La plupart des Américains n’ont jamais voyagé en dehors de la zone A.
  • Les Américains qui ont voyagé en dehors de la zone A l’ont généralement fait sans parler la langue locale, restant ainsi isolés de la population et des médias locaux.
  • La plupart des Américains obtiennent leurs informations auprès d’organes d’information basés aux États-Unis, souvent en combinaison avec quelques autres dans l’Anglosphère (Royaume-Uni, Australie).
  • Les médias américains mentent encore plus sur ce qui se passe dans la zone B qu’ils ne mentent sur la zone A.
  • Les écoles américaines ont pratiquement cessé d’enseigner l’histoire, et lorsqu’elles le font, ce n’est que de la propagande tournant autour de la « ville sur la colline » et toutes les autres conneries impérialistes sur le caractère exceptionnel des États-Unis. Par conséquent, lorsque la plupart des Américains sont exposés aux faits concernant la zone B, ils ne sont pas équipés pour en comprendre la signification ou l’importance.
  • La plupart des Américains supposent simplement que les habitants de la zone B sont très semblables à ceux de la zone A. La plupart des Américains supposent également que la plupart des gouvernements de la zone B sont encore plus malfaisants qu’oncle Shmuel.
  • La plupart des Américains croient également en ce que j’appelle le « préjugé sur l’immigration » : la croyance selon laquelle les gens viennent aux États-Unis de tous les coins de la planète parce qu’ils préfèrent les États-Unis à leur pays et à leur peuple. Toute personne vivant aux États-Unis et parlant espagnol sait que cette croyance est totalement fausse, bien sûr. Mais rares sont les Américains non hispaniques qui parlent en espagnol aux Hispaniques des États-Unis (pour votre information, moi oui). Les Anglos semblent généralement avoir du mal avec les langues…
  • Malheureusement, la plupart des Américains ne sont pas éduqués par leurs parents, leurs chefs religieux, leurs communautés ou leurs écoles. La plupart des Américains reçoivent l’essentiel de leur éducation en regardant la télévision. Comme toutes les chaînes de télévision américaines proposent presque le même mélange de divertissements vulgaires, de propagande et de publicités, cette « éducation » a donné naissance à un grand nombre de familles et de communautés massivement dysfonctionnelles. Cette dépendance à l’égard d’un écran clignotant (que ce soit la télé ou YouTube — même différence) leur donne une capacité d’attention très courte et une capacité limitée à traiter de grandes quantités d’informations écrites, ce qui est nécessaire pour pouvoir analyser une situation.

Conséquence directe de ces facteurs, la plupart des Américains vivent dans un « espace mental » où la zone B n’existe tout simplement pas et, lorsqu’elle est mentionnée, elle l’est invariablement sur le mode des « mêmes vieux clichés ».

Enfin, compte tenu de tout ce qui précède, c’est vraiment un miracle que les Déplorables aient complètement ignoré une campagne massive de lavage de cerveau (bieeeen pire que tout ce que les Communistes ou les Nazis n’avaient jamais imaginé !) contre « Trump le nouvel Hitler » et aient quand même voté pour lui deux fois, en 2016 et 2020 ! Cela montre bien que la plupart des Américains détestent discrètement mais passionnément le régime de Washington et qu’ils profitent de toutes les occasions qui leur sont offertes pour essayer de changer leur pays et leur vie en votant. On peut se demander ce que ces Déplorables « désobéissants » feront la prochaine fois, maintenant que le vote est ostensiblement devenu une perte de temps, n’est-ce pas ?

Voici maintenant la bonne nouvelle : La zone B existe bel et bien ! En fait, elle est énorme, riche, vraiment diverse et elle a depuis longtemps compris que l’empire anglo-sioniste et les États-Unis tels que nous les connaissions sont pratiquement morts ; qu’il n’en reste qu’un peu de mouvement inertiel et de nombreuses mauvaises habitudes de la part de politiciens américains ignorants, arrogants et délirants.

Pourquoi est-ce si important ?

Parce que si nous laissons le Grand Satan (une très bonne expression, je pense qu’elle convient parfaitement au nouveau régime, je l’utiliserai plus souvent) nous convaincre que la réalité est toute contenue dans la zone A, nous pourrions vraiment tomber dans le désespoir. Oui, les États-Unis sont foutus, tout comme l’ensemble de l’UE. Quant aux colonies américaines comme l’Australie ou la Nouvelle Zélande, non seulement elles sont foutues (par exemple en se rangeant du côté des États-Unis contre une Chine beaucoup plus puissante), mais elles semblent même avoir un désir morbide de surpasser les États-Unis en termes de lois folles et de positions idéologiques insensées (par exemple sur la Covid-19). Mais tout cela n’est vrai qu’en zone A. Très peu de personnes dans la zone B croient encore que les États-Unis sont très importants. La plupart d’entre eux savent déjà que ce n’est plus le cas, même si les médias de la zone A n’en parlent jamais.

Il y a encore d’autres bonnes nouvelles : ni l’empire (croupion) anglo-sioniste, ni les États-Unis (croupion) ne représentent une menace crédible pour la plupart des pays de la zone B. Oh bien sûr, les politiciens américains peuvent traiter la Russie de « station-service se faisant passer pour un pays » ou de « puissance régionale », la vérité est que l’Occident n’a pas réussi à la briser, ou même à la blesser de manière significative, malgré 46 mesures de sanctions (juste celles de Trump, sans compter celles de l’escroc du « yes we can »). En outre, même la Covid-19 n’a que marginalement endommagé la Russie (parce que, contrairement aux conneries pseudo-patriotiques des politiciens occidentaux, elle a pris la Covid-19 au sérieux, très au sérieux en fait, dès le mois de mars et a préparé le pays à pas moins de deux épidémies majeures, qui se sont toutes deux produites, et auxquelles la Russie a fait face avec succès ; c’est pourquoi l’UE est maintenant en plein mode Covid-hysterie, alors que la Russie n’a pas besoin d’imposer le moindre confinement).

Maintenant, mettons côte à côte deux éléments de la propagande américaine et jetons-y un coup d’œil, ok ?

  1. Les États-Unis ont l’économie la plus puissante de la planète.
  2. La Russie est l’adversaire numéro 1 des États-Unis (du moins selon les Démocrates, le Parti Républicain place la Chine en première position et la Russie seulement en deuxième position).

Voyez-vous le problème ?

Si les États-Unis sont si puissants, comment se fait-il qu’ils n’aient pas réussi à écraser la Russie ? Qu’en est-il de l’Iran ? Ou, à l’extrême, du Venezuela ? Pourtant, même dans ce dernier cas, le « meilleur » que cette prétendue Puissance Mondiale ait fait a été d’envoyer quelques ex-spécialistes ignorants se faire prendre et devenir la risée de tout le continent latino-américain !

Et ces gens veulent s’attaquer à la Chine ou à la Russie ! Sérieusement ?!

Voici donc l’autre très bonne nouvelle : La zone A ne présente aucune menace réelle pour la zone B !!!

Oui, bien sûr, les États-Unis peuvent encore atomiser la Chine, la Russie, l’Iran, le Venezuela ou tout autre pays. Mais regardons les conséquences d’une telle frappe :

  • Contre la Russie : les USA disparaissent tout simplement en tant que pays. Complètement et pour toujours.
  • Contre la Chine : les États-Unis, en tant que société, s’effondrent complètement pendant très longtemps.
  • Contre l’Iran : les États-Unis s’enlisent dans une guerre régionale majeure qu’ils ne peuvent perdre qu’avec des conséquences géostratégiques massives (le nouveau régime pourrait quand même essayer de réussir cette guerre, ne jamais dire jamais, même si cette idée peut vous sembler stupide – rappelez-vous toujours que les tarés de DC sont aussi délirants qu’ignorants !)
  • Contre la Corée du Nord : les Etats-Unis s’enlisent dans une guerre régionale majeure qu’ils ne peuvent que perdre avec des conséquences géostratégiques massives.
  • Contre le Venezuela : les États-Unis s’enlisent dans une guerre anti-insurrectionnelle qu’ils ne peuvent que perdre. Le régime comprador de Bogota ne survivra pas à une telle guerre et la Colombie « tombera » elle aussi.
  • Contre tout autre pays de la zone B : les États-Unis réussissent à atomiser ce ou ces pays, mais se retrouvent traités comme des parias par la planète entière (y compris par quelques colonies américaines), y compris par les véritables puissances militaires. L’OTAN et l’UE s’effondreront également si cela se produit (les États-Unis étant leur pierre angulaire).

En fin de compte, si la triade américaine est encore pleinement fonctionnelle et capable de mener une guerre nucléaire à grande échelle contre n’importe quel adversaire (y compris la Russie et, plus encore, la Chine), la vérité est que tout ce que cette triade réussit réellement à faire, c’est de rendre impossible l’utilisation de bombes nucléaires, par une autre puissance nucléaire, contre les États-Unis.

Le problème est que la triade nucléaire américaine n’apporte rien contre un adversaire qui n’utilise pas d’armes nucléaires (soit parce que cet adversaire a choisi de ne pas utiliser d’armes nucléaires en raison de la dissuasion efficace de la triade nucléaire américaine, soit simplement parce qu’il n’en possède pas).

Comme je l’ai déjà mentionné dans le passé, la force sous-marine américaine est, avec la triade nucléaire, l’autre force réellement efficace et puissante sur laquelle les États-Unis peuvent compter en cas de guerre. Cependant, à part le lancement d’un grand nombre de missiles de croisière obsolètes et donc faciles à contrer, cette force ne peut pas faire grand-chose pour aider une opération terrestre (ou, d’ailleurs, aérienne) américaine contre un adversaire très faible. Le problème avec les adversaires dits « faibles » est qu’ils ont relativement peu de cibles lucratives à frapper avec des missiles de croisière (pensez ici au Venezuela). La plupart de ces adversaires « faibles » ne disposent pas des défenses aériennes nécessaires pour faire face à une attaque de missiles et de bombes américaines à mi-chemin, et les États-Unis peuvent rapidement détruire les défenses aériennes dont disposent ces pays « faibles ». Alors oui, je l’admets. Si demain les États-Unis veulent une « guerre courte et triomphante », disons pour remonter le moral ou pour détourner l’attention des problèmes internes, ils pourraient toujours attaquer des pays comme, disons, Antigue-et-Barbude ou Sainte-Lucie, mais une telle farce ne serait guère qualifiée de « brillante victoire » des « meilleures forces armées de la galaxie », n’est-ce pas ? Mais cela pourrait-être le cas, qui sait ? Si la machine de propagande unifiée veut présenter cela comme un triomphe des forces américaines, comme elle l’a fait avec l’invasion de Grenade (une des pires opérations militaires de l’histoire !), elle peut le faire, bien sûr. Mais cela ne servirait qu’à ridiculiser davantage cette machine de propagande, puisque 2021 n’est pas 1983, il existe maintenant des millions de Déplorables qui n’achèteront jamais ce genre d’absurdités.

En outre, étant donné que les efforts conjoints des Etats-Unis, d’Israël et de l’Arabie Saoudite (l’« Axe du bien ») ont complètement échoué à soumettre les Houthis, je ne parierais pas sur une force d’invasion américaine dans les Caraïbes (à l’exception peut-être d’une ré-invasion d’Haïti ou de la République Dominicaine, mais ce sont déjà des protectorats américains, à quoi bon ? !)

Pourquoi tout cela est-il si important ?

Parce que les Démocrates ne nous préparent clairement rien de bon. Ensuite, non seulement nous assisterons à une vague de répression contre la liberté d’expression en interne, mais les Démocrates font déjà du bruit à propos, vous l’avez deviné, de la Chine et de la Russie (encore !) et, lorsque cela ne donnera inévitablement aucun résultat, ils tourneront à nouveau leur « haine » vers l’Iran et le Venezuela. Mais même ces pays comparativement plus faibles sont maintenant tout à fait capables de faire payer à Oncle Shmuel un prix immense en sang et en enfer en termes de revers politique, et sur de nombreux fronts.

La « puissance » d’une nation (ou d’une coalition de nations) peut être mesurée à l’aide de très nombreux types de mesures, mais les trois plus courantes sont probablement : la puissance économique, la puissance militaire et la puissance politique. Si nous utilisons ces trois paramètres pour comparer la zone A à la zone B, il serait raisonnable de réfléchir sur :

  • La puissance économique : plus ou moins égale, avec une zone A en baisse rapide et une zone B en hausse rapide. La zone A compte encore BEAUCOUP de régimes vendus à l’Occident et prêts à le défendre non seulement à l’ONU, mais aussi dans la plupart des organismes internationaux (y compris les organismes non gouvernementaux comme le CIO, par exemple, ou l’AMA).
  • Puissance militaire : La zone A est beaucoup plus faible que la zone B (pensez à Russie+Chine+Inde pour commencer !)
  • Pouvoir politique : La zone A est encore la plus forte, mais cela change aussi rapidement. On peut dire que la plupart des dirigeants du monde sont toujours des serfs pour la zone A, mais la plupart des gens dans le monde ont depuis longtemps tourné leur soutien vers les pays de la zone B. Le récent triomphe du peuple bolivien sur ses oppresseurs est un signe très révélateur de cette tendance.

Et voici le facteur clé à garder à l’esprit : il n’y a rien, absolument rien, que l’administration Biden/Harris puisse faire pour changer ces tendances. Il est tout simplement trop tard et lorsque l’effondrement interne des États-Unis s’amorcera, ces tendances ne feront que s’accélérer.

===> En d’autres termes, il y a de l’espoir ! <===

Oui, les méchants ont bien gagné, mais seulement contre Trump et ses pseudo-alliés désemparés (l’ont-ils trahi plus vite que lui ne l’a fait, ou est-ce le contraire ?), mais ils n’ont fait que gagner une bataille contre les Déplorables sans gagner contre la zone B.

Les Démocrates sont maintenant occupés à la vengeance sous toutes ses formes. Ils se délectent aussi à humilier Trump et ceux qui ont osé le soutenir. C’est l’équivalent politique de torturer des gens dans des sous-sols, et non de gagner de glorieuses batailles. Mais ils ne s’en rendent pas compte, ils sont trop vaniteux, trop haineux sur le plan idéologique et trop lâches pour le comprendre.

Pourtant, le lavage de cerveau, comme la torture (y compris la torture mentale !), est réel. Dans ce cas, il s’agit d’une bataille pour l’esprit des Déplorables qui doivent maintenant être mis dans un état catatonique de soumission et de respect total. Les Démocrates utilisent le mensonge, leur arme favorite, mais leur agression est réelle, néanmoins. Et c’est la bataille que nous, les opposants à l’impérialisme, devons mener — la bataille pour l’esprit des habitants de la zone A : nous devons leur montrer que la pseudo-réalité de la zone A n’a pas d’existence réelle en dehors de la télévision et de la rhétorique insipide des décideurs américains.

Nous devons nous préparer mentalement à une forte augmentation de la quantité et de la portée des mensonges que la machine de propagande américaine nous racontera (si vous pensiez que les 4 dernières années ont été mauvaises, préparez-vous à de beaucoup, beaucoup plus mauvaises ; bon exemple ici). Et, bien sûr, attendez-vous à BEAUCOUP de faux drapeaux, surtout pour démontrer la réalité du danger présumé provenant des « terroristes nationaux ». Tout cela se fera dans un contexte d’attaque à grande échelle contre la liberté d’expression, la dissidence et toute forme de pensée réelle (par opposition à une prétendue pensée), vraiment.

L’hypocrisie est, bien sûr, que la prochaine chasse aux sorcières (elle sera bien pire que celle de Salem ou de McCarthy) sera menée au nom de la diversité et ostensiblement contre la « haine ». En réalité, bien sûr, ce que le régime veut, c’est écraser la vraie diversité parce que les dirigeants de la Nomenklatura américaine détestent absolument tout, sauf leur triste personne. Comme tous les idéologues, ce que ces gens veulent, c’est 1) un pouvoir total et 2) une uniformité totale. Tous ceux qui rejettent ces dogmes modernes seront qualifiés de criminels, de terroristes, d’hérétiques, de racistes et, bien sûr, d’agents russes et chinois.

Et c’est pourquoi ce régime va également échouer.

Conclusion : la diversité sera gagnante. La VRAIE diversité, bien sûr !

Notre planète est merveilleusement diverse, surtout en dehors du secteur d’uniformité de la zone A. Il y a une zone B, et les dirigeants de la zone A seront vaincus par notre véritable humanité commune et partagée (et leur haine pour nous !). Quelque part entre Obama et Trump, le monde a évolué et il est maintenant très occupé à relever les immenses défis et à saisir les opportunités qui se présentent dans la zone B. Et non, ni la Russie ni la Chine ne sont occupées à essayer de saboter ou de saper les États-Unis – les dirigeants américains y parviennent bien mieux que n’importe quel Russe ou Chinois ne pourrait jamais le faire. Alors pourquoi s’en préoccuper (sans parler des risques !)?

Nous ne pouvons pas prévoir ce qui se passera ensuite, il y a tout simplement trop de variables pour le faire. Mais ce que nous pouvons faire, c’est prédire avec un grand degré de confiance que le nouveau régime au pouvoir à Washington ne fera pas mieux que tout autre régime arrivé au pouvoir par le biais d’une révolution de couleur au cours des deux dernières décennies. Il n’y a plus d’espoir pour l’Empire, tout comme pour les États-Unis. Il y aura beaucoup d’espoir pour eux, mais seulement après un long et douloureux processus d’effondrement et de renaissance (tous deux inévitables à présent). La vérité est que les États-Unis ne sont pas si uniques que ça en tant qu’empire, désolé, c’est juste un empire arrogant et narcissique typique qui s’effondrera comme tous les autres empires arrogants et narcissiques de l’histoire se sont effondrés, la plupart du temps sous leur propre poids obscène. Et ces pauvres âmes qui croient sincèrement que la Chine (ou la Russie) veut remplacer les États-Unis ne comprennent tout simplement pas que ces deux pays ont déjà été des empires, que cela fut un désastre, merci beaucoup, et qu’ils n’ont aucune envie de répéter leurs erreurs passées. Ce désir de non-exceptionnalisme et de normalité fera, avec le temps, l’objet d’un large consensus de société aux États-Unis. Et, avec le temps, les États-Unis seront enfin accueillis dans une zone B vraiment libre ou, devrais-je dire, un monde sans zone

The Saker

Traduit par Wayan, relu par Hervé pour le Saker Francophone




Cyrus A. Parsa avait prédit en 2019 qu’une arme biologique ou une maladie de Covid-19 du PCC chinois mettrait en danger les gens du monde

[Source : Guy Boulianne]

Cyrus A. Parsa, est le fondateur et PDG de The AI ​​Organization, où il est également directeur de l’analyse créative et des innovations défensives. Il a recherché et étudié plus de 1000 entreprises de l’intelligence artificielle, de robotique, de 5G, de cybernétique et de Big Tech. Cyrus est titulaire d’un baccalauréat en sécurité internationale, d’une maîtrise en sécurité intérieure et a vécu avec des moines bouddhistes-taoïstes s’entraînant avec eux dans les montagnes de Chine, étudiant les arts et la méditation internes des Wudang. Il est un expert en IA, Quantum, 5G, Sécurité, Chine et Iran.

À l’été 2019 et au début de 2020, Cyrus a prédit et averti avec précision et de nombreuses manières que les peuples du monde étaient en danger imminent d’une maladie ou d’une bio-arme (coronavirus) du Parti communiste chinois (PCC) qui conduirait à des conflits, à l’esclavage de l’IA, à des famines, à une mauvaise utilisation de la biotechnologie, aux guerres civiles, à des décès et à des guerres mondiales. Cyrus a fourni des solutions comme remède :

  • Juin 2019 : Résumé de 5 pages des services secrets: arme biologique (poison) de la Chine dans les 6 mois-1 an, puis l’esclavage mondial dans les 1-2 ans.
  • 15 juin 2019 : Rapport de 62 pages à l’ancien directeur de la CIA: Opération secrète, la Chine menace les citoyens du monde avec l’IA et les armes biologiques.
  • 24 août 2019 : Publication du livre “AI, Trump, China and the Weaponization of Robotics with 5G”. La première phrase dans le synopsis se lit comme suit : « Le monde est en danger via la Chine, l’IA, la robotique et les grandes technologies ». La Chine menace tous les citoyens du monde avec le terrorisme micro-botique (poison, virus, arme biologique) et l’esclavage de l’IA.
  • 20 octobre 2020 : Le best-seller sur l’IA: “Artificial Intelligence, Dangers to Humanity”. La Big Tech chinoise menace le monde avec les traitements basé sur la mentalisation (MBT), l’esclavage de l’IA. Cyrus A. Parsa répertorie 50 entreprises.
  • 16 décembre 2019 et 24 février 2020 : Les peuples du monde mis en danger par le Parti communiste chinois, l’utilisation abusive d’armes biologiques et d’IA. Plainte fédérale de 87 pages pour avertir les citoyens du monde, car les médias ne permettraient pas à Cyrus une plate-forme de fournir une solution pour sauver des vies.


Parsa et al v. Google L.L.C. et al from Éditions Dédicaces

Cyrus A. Parsa est également l’auteur d’un livre sur la prévention du viol et de la traite des êtres humains intitulé “Raped via Bio-Digital Social Programming” (Violée via la programmation sociale bio-numérique). Cyrus est aussi le producteur du documentaire “CCP VIRUS GATE: The Plan to Stop China CCP’s Global AI Extinction Agenda!” (CCP VIRUS GATE: Le plan pour arrêter l’agenda mondial d’extinction de l’IA du PCC chinois!) et le créateur du film “AI: The Plan to Invade Humanity” (AI: le plan pour envahir l’humanité).

La mission de Cyrus est de contribuer à la sauvegarde de l’humanité d’abord et de prévenir les catastrophes pour les peuples du monde en provenance de Chine, des grandes technologies et l’utilisation abusive de l’IA et de la biotechnologie. Parce que les médias n’ont pas donné de couverture à Cyrus pour avertir correctement que les gens du monde étaient en danger imminent.

En dernier recours, Cyrus a déposé le plus grand procès de l’histoire de l’humanité composé de 87 pages le 16 décembre 2019 – mis à jour le 26 février 2020 – contre le régime communiste chinois, la Silicon Valley, les principaux dirigeants mondiaux, les médias et les instituts pour sensibiliser et rendre des comptes si les erreurs ne sont pas corrigées. Accuser les accusés de mise en danger des peuples du monde, de complicité, de militarisation de l’IA, de la Bio-Tech, de la robotique, des drones, de l’utilisation abusive de la reconnaissance faciale, de la complicité du génocide chinois, du transfert négligent de la Bio-Tech en Chine et de la manipulation des médias sociaux bio-métriques, des émotions des peuples, des pensées et réseaux de neurones lorsqu’ils interagissent avec les téléphones intelligents, l’IoT, les médias et le monde en général.

L’intention de Cyrus n’était pas de distinguer uniquement ces quelques entités, mais plutôt d’avertir les citoyens du monde qu’ils sont en danger, y compris les accusés, et de leur permettre de faire un changement immédiat avec le Parti communiste chinois en amenant ces entités à faire un changement pour le bien-être du monde. Les accusés qui étaient pour la plupart des élites libérales n’ont pas été servis pour plusieurs raisons, l’une étant que l’élite et d’autres conservateurs dans les médias et le gouvernement ont continué à voler / plagier le travail de Cyrus et à utiliser la manipulation du public pour le censurer alors qu’il essayait d’avertir et de fournir des solutions. pour le bien-être des citoyens du monde.

La poursuite “Parsa et al v. Google L.L.C. et al” contre Alphabet Inc, DeepMind Inc, Facebook Inc, Google L.L.C., Elon Musk, Neuralink Inc, Sundar Pichai, Tesla Inc, Mark Zuckerberga (et autres) a été abandonnée le 1er juin 2020, « mais la plainte juridique est toujours valable », selon Cyrus A. Parsa.

Le diplôme délivré à Cyrus A. Parsa par l’Université de San Diego où il a obtenu sa maîtrise en sécurité intérieure.

Tout le monde a contribué d’une manière ou d’une autre aux problèmes du monde, pas seulement les gens de gauche qui ont été signalés, les libéraux, mais les conservateurs, les peuples de tous les horizons étaient complices ou négligents d’une manière ou d’une autre.

Cyrus souhaite que le monde mette fin à son chemin négatif, augmente ses vertus, son éthique, améliorant ainsi l’avenir et le bien-être de chaque personne dans le monde par le libre arbitre, le respect et l’illumination. Il dirige également Loyal Guardian Security, spécialisé dans le renseignement et l’évaluation des risques en Chine et en Iran, créé pour aider à rendre notre société plus sûre et meilleure. Il est un expert des affaires américaines, chinoises et iraniennes, et a été consultant sur le suivi des organes humains, l’antiterrorisme, la vulnérabilité, l’évaluation des risques, la gestion des actifs et les menaces émergentes pour les gouvernements, les agences, les personnes et les organisations. Il parle également chinois, persan et anglais.

Avec 20 ans de recherche et développement cachés dans son travail de consultation, il évalue et conseille les clients dans une perspective multidimensionnelle et multicouche. Il entretient des réseaux de milliers d’influenceurs et d’actifs de renseignement chinois et occidentaux, ce qui permet de mieux comprendre les menaces auxquelles nous sommes confrontés par la Chine, l’Iran et l’interconnectivité occidentale de ces pays. Les découvertes de Cyrus l’ont conduit à inventer les concepts nouveaux et très complexes : « Le réseau bio-numérique mondial AI, le réseau bio-numérique humain, la programmation sociale bio-numérique, le champ bio-numérique, la bio-matière, le viol, la bio-agression sexuelle hybride numérique et le terrorisme micro-botique ».

Ces termes étaient nécessaires pour expliquer les dangers auxquels nous sommes confrontés et comment ils sont enracinés dans ces éléments presque imperceptibles qui se connectent désormais à l’intelligence artificielle, la 5G, la société, les téléphones intelligents, l’«Internet des objets», les «villes intelligentes», La cybernétique, la bio-ingénierie et la robotique à travers une seule plate-forme d’IA. Au sein de cette plateforme, Cyrus A. Parsa a trouvé des codes d’extinction, par étapes au cours des 20 prochaines années, pour l’humanité.


Entretien avec Cyrus A. Parsa, fondateur de “The AI ​​Organization”

Cyrus, pourriez-vous nous présenter votre entreprise et votre livre principal Artificial Intelligence Dangers to Humanity ?

Je m’appelle Cyrus A Parsa. Je suis le fondateur de l’organisation AI. Le but de l’organisation est d’évaluer les risques ou dangers et de donner des conseils sur les menaces de l’intelligence artificielle, et tout ce qui y est lié, comme la 5G, les systèmes de grille 6G, la technologie quantique, la bio-ingénierie, la robotique et les drones. En particulier, en ce qui concerne le Parti communiste chinois.

Ainsi, avant que la pandémie ne commence et ne frappe les gens du monde, j’ai publié quelques livres pour mettre en garde contre les dangers du PCC, de l’IA et de son ancrage dans nos grandes entreprises technologiques. Le dernier était: les dangers de l’intelligence artificielle pour l’humanité.

Le livre couvre plus de 50 entreprises, dont la moitié sont chinoises et l’autre moitié sont des entreprises occidentales. Le livre explique les menaces qu’ils posent, en particulier le mélange des humains et des animaux qui peuvent créer des maladies, et le plan de domination mondiale de l’intelligence artificielle et de la 5G du Parti communiste chinois et leur programme pour utiliser nos grandes entreprises technologiques contre nous.

Comment le PCC menace-t-il le monde avec l’IA ?

Grâce au transfert de technologie forcé, à l’espionnage, au plagiat, au vol et, bien sûr, à la collaboration avec nos grandes entreprises technologiques, nos universités, même les médias et les entreprises, le PCC a pu extraire les données et le savoir-faire des entreprises américaines et européennes et compétences pour construire l’infrastructure d’IA. Ils ont rassemblé les données du monde entier de différentes manières, comme je l’ai décrit dans “Artificial Intelligence, Dangers to Humanity”.

En rassemblant les données du monde et en les connectant aux systèmes de réseau intelligent 5G-6G, le PCC peut mobiliser des machines, des drones, des robots et même des soldats issus de la bio-ingénierie et de l’amélioration cybernétique. De cette façon, ils peuvent gouverner la BRI. La BRI est connue sous le nom de Belt and Road Initiative, ou One Belt One Road. C’est la réémergence de l’ancienne route de la soie. L’ancienne route de la soie reliait l’empire perse, à l’empire chinois, puis à l’Europe et à certaines parties de l’Afrique. La nouvelle route de la soie est un peu différente. Elle relie non seulement la Chine au Moyen-Orient, à l’Europe et à l’Afrique, comme auparavant, mais aussi au nouveau monde, qui est l’Amérique du Nord, et même à des projets de fouilles en Antarctique, en Afghanistan et au Groenland. Ces fouilles visent à extraire des minéraux de terres rares pour leur complexe militaro-industriel à utiliser pour leurs systèmes d’intelligence artificielle. Huawei, Megvii Face ++, Didi Chu Xing et bien d’autres collectent des données auprès de personnes du monde entier.

De nombreuses personnes ont récemment appris comment le Parti communiste chinois traite leur propre peuple avec beaucoup de cruauté, les plaçant dans des camps de travail, des camps d’esclaves et même tuant leur peuple pour des prélèvements d’organes, comme le Falun Dafa, les Tibétains, les chrétiens, Les Ouïghours, et même les personnes qui n’ont pas de religion.

On peut imaginer si un régime met des gens dans des camps de salve, s’engage dans le trafic d’organes et que nous avons une pandémie mondiale, ce qui pourrait arriver si le PCC prend le contrôle de la BRI. Que peuvent-ils faire lorsqu’ils connectent le système d’IA à cette infrastructure sur les systèmes 5G-6G pour mobiliser des machines ? Ils contrôleront non seulement les personnes ayant une influence normale sur la géopolitique et la politique, mais ils auront des machines, des robots et des drones pour pouvoir appliquer toutes leurs manières draconiennes et tyranniques de traiter l’humanité. C’est donc juste une façon. Dans le livre, j’ai décrit différentes façons dont le PCC menace le monde avec des technologies basées sur l’IA. Si le Parti communiste chinois (PCC) réalise l’AGI ou l’ASI, il menace toutes les nations libres.

Global Center for Quitting CCP (全球退党服务中心) : Entretien avec Cyrus A. Parsa, fondateur de The AI ​​Organization. Le Parti communiste chinois envisage d’utiliser l’intelligence artificielle pour asservir les peuples du monde.
Pouvez-vous expliquer ce qu’est l’IA ?

Les scientifiques utilisent trois niveaux de base pour décrire l’IA, l’intelligence artificielle. Le premier niveau est considéré comme l’intelligence artificielle étroite, qui couvre vos smartphones, votre IoT (Internet des objets) et vos mini chatbots – Si vous vous connectez et que vous attendez de parler à une personne en direct, un assistant virtuel peut vous parler car c’est un mini chatbot virtuel qui peut un jour être installé dans un mini robot alors que le système 5G se déploie dans les villes intelligentes. Tout ce qui est programmé pour avoir une certaine tâche ou fonction qui est numérique ou à l’intérieur d’une machine peut être considéré comme ANI, Artificial Narrow Intelligence.

Le niveau suivant est l’Intelligence Générale Artificielle (AGI), qui est une idée et un objectif à réaliser par les scientifiques. Ils travaillent sur AGI en Chine et dans bien d’autres endroits. L’une des entreprises que j’ai mentionnées dans mon livre est Hanson Robotics. Mais il y en a quelques autres. Hanson Robotics est à Hong Kong. Ils travaillent à la construction d’une AGI pour donner vie à un robot, en lui donnant des pensées, des émotions, des désirs, une libre volonté, le libre arbitre, essentiellement comme un être humain. Parce qu’ils cartographient le cerveau humain, cela donne au PCC ou aux entreprises technologiques l’avantage dont ils ont besoin. C’est une forme d’Intelligence Générale Artificielle.

La Super Intelligence Artificielle est très complexe et on pense qu’elle dépasse la compréhension des êtres humains une fois formée. Il existe de nombreuses façons d’y parvenir. L’une d’elles consiste à extraire tous les systèmes biométriques de l’humanité. Cela inclut votre reconnaissance faciale, votre reconnaissance vocale et même votre façon de penser, vos données familiales, votre géolocalisation, votre ADN et tant d’algorithmes différents impliqués. Une fois que vous avez extrait ces données, avec la machine et l’apprentissage en profondeur, vous pouvez ensuite traiter les informations dans une machine ou un système quantique qui à son tour vous permettrait de créer ou de former une super intelligence artificielle. La Super Intelligence Artificielle peut être un cerveau numérique ou dans une entité physique telle qu’un robot, un clone ou un être humain qui a fusionné avec des machines ou une IA. Ainsi, devenir transhumain. Cela pose de nombreux autres dangers dont la nature est infinie.

Question: Et la 5G ?

Parlant des téléphones et du réseau 5G en ce qui concerne les risques pour la santé et leur objectif. Ce que vous utilisez est généralement limité à la 4G depuis trois ou quatre ans. La 5G est un peu différente. La 5G n’est pas conçue pour les êtres humains. Il est conçu pour les machines. En raison de la vitesse de celui-ci, les ondes millimétriques peuvent être 10, 20, voire 100 fois plus rapides que le service 4G. Par conséquent, vous n’en avez pas besoin pour un téléphone portable pour regarder un film ou télécharger une émission. Ce n’est pas la principale raison du développement de la 5G. Le but est de mobiliser des machines, des robots, des drones, des voitures volantes, et d’entrer dans le monde du transhumanisme.

La 5G est le système au sol fondamental pour construire un réseau 6G et plus encore. Beaucoup de gens ont des craintes différentes à propos de la 5G. Je pense que le système 5G en Amérique est plus sûr qu’en Chine ou que des entreprises telles que Huawei. Pas seulement parce que le Parti communiste chinois contrôle Huawei et qu’il peut contrôler les choses. Non. Quand le PCC construit quoi que ce soit, il utilise une main-d’œuvre bon marché, réduit les mesures de sécurité et utilise des produits de qualité inférieure fabriqués à partir d’espionnage ou de plagiat. Parce qu’ils volent, le résultat final n’est pas idéal pour le monde ni pour le peuple chinois. Leur innovation est enracinée dans le vol de propriété intellectuelle, c’est pourquoi ils ont tendance à négliger les mesures de sécurité qui peuvent avoir des effets néfastes sur les personnes de différentes manières. Mais en Amérique, ils tentent de construire un système 5G plus sûr.

Mais il y a d’autres choses qui sont à risque avec la 5G. Ce n’est pas seulement l’idée que cela pose des menaces de radiation ou des fréquences destinées à des machines qui peuvent nuire à votre santé. Si vous y réfléchissez, voudriez-vous des tours de téléphonie cellulaire et des tours 5G à côté de votre petit bébé, à côté de votre famille ? C’est normal de l’avoir dans les villes si vous voulez mobiliser des machines, et peut-être à des fins militaires, ailleurs. Mais avez-vous vraiment besoin de l’avoir à côté de vos enfants, à côté de chez vous, à côté de vos bébés ? Personnellement, je ne pense pas que cela devrait être le cas. Sans parler des capacités de surveillance et de la mobilisation des machines par les acteurs du gouvernement local injustement contre sa propre population.

Quelle est la solution pour résoudre les grands défis technologiques du PCC ?

Aujourd’hui, le Parti communiste chinois, leur plan global n’est pas seulement pour l’expansionnisme et la richesse. Je ne pense pas qu’ils limiteraient leurs objectifs à ces notions. J’utiliserais ce terme : « asservissement ». Ils veulent asservir ou dominer le monde sous leur systèmes marxiste à la chinoise, il se connecte à l’intelligence artificielle sur la BRI. Ainsi, ce qui arrive au peuple chinois peut se produire à l’échelle mondiale.

Étonnamment, le président Trump a été la principale figure qui a combattu le Parti communiste chinois. Donc, soutenir le président Trump, peu importe si vous êtes un libéral ou un conservateur, ou au milieu, est la chose intelligente à faire. Parce qu’il a une expérience de trois ans et une histoire de 15 ans à faire des déclarations sur la façon dont la Chine a profité du monde libre. Je crois que le président Trump veut dire le PCC, car ils contrôlent leur peuple d’une main de fer.

Donc, je pense que si le monde peut prendre conscience de ces dangers immédiatement et que le Parti communiste chinois menace tout le monde, alors pourquoi quelqu’un voudrait-il donner un système d’IA à un gouvernement qui met son propre peuple dans des camps, le tue et le vole. Sans parler des affaires avec eux ou leur donner une chance de blesser les gens du monde. Comment pouvez-vous faire confiance à ce système entre les mains du régime communiste chinois ? Vous ne pouvez pas. C’est comme donner la meilleure arme dont vous disposez et les systèmes de surveillance pour surveiller votre maison aux meurtriers dont vous savez qu’ils finiront par vous tuer pour prendre le contrôle de votre maison. Pourquoi ferais-tu ça ? Pourquoi une nation accepterait-elle une formation gratuite, de la technologie et de l’argent et permettrait au PCC d’avoir des intérêts sur leurs terres et d’exploiter des terres rares ? De plus, pourquoi une nation utiliserait-elle ses technologies 5G et satellite alors que le PCC peut l’utiliser contre ses propres nations ?

Mon message est le suivant: le monde entier doit comprendre ces menaces immédiatement. Et ils doivent dénoncer le Parti communiste chinois pour les crimes contre l’humanité. Le monde doit couper tous les liens commerciaux et dénoncer le PCC pour la militarisation de la technologie de l’IA, le mauvais usage potentiel de cette technologie jusqu’à ce qu’ils démolissent leur régime et mettent fin aux expériences contraires à l’éthique. Je recommande à tout le monde de se procurer le livre “Artificial Intelligence, Dangers to Humanity” pour saisir les différentes technologies, entreprises, capacités et menaces émergentes pour l’humanité. La version de poche est meilleure. Il y a beaucoup à savoir, en particulier comment les entreprises chinoises et les entreprises occidentales sont interconnectées qui donnent un effet de levier au PCC.

Je pense que l’humanité peut avoir un bon avenir, celui de l’illumination ou de la paix, si elle peut éliminer le Parti communiste chinois et vraiment l’exposer au niveau mondial parce qu’il menace tous les êtres humains avec IA et leur histoire de 100 ans d’abus et de meurtre de leurs propres citoyens.

https://youtu.be/Hzg7Rw-mX4k?list=PLhXePaU9eWzElD6FrVepqoaMs0Hf6yIbB




De l’Union Européenne à l’Union de l’Enfermement

Par Jean-Michel Grau

À Coralie Delaume (1976-2020)

Après avoir décrit le rôle joué par Klaus Schwab, grand architecte du Great Reset [la grande réinitialisation] avec le Covid 19 construit et planifié de toutes pièces au sein du forum de Davos dans lequel barbotte ce grand crocodile mondialiste, et le rôle de son ingénieur en chef, Christian Drosten, conseiller-virologue apprenti sorcier d’Angela Merkel, suffisamment influent au point d’imposer à tout le monde occidental des décisions de distanciations sociales, de port du masque obligatoire et de confinement ravageuses, il est temps de dévoiler maintenant au grand jour le rôle de l’architecture carcérale qui a permis à la dictature sanitaire de Klaus Schwab de se réaliser : l’Union Européenne.

« L’Europe, c’est la paix »

Telle est la ritournelle que l’on serine à tous les peuples européens à tous les temps et sur tous les modes depuis la 2e guerre mondiale et ses 60 millions de morts suite à la chute du IIIe Reich. Oui, mais voilà, c’est oublier que la paix a été avant tout construite sur la dissuasion nucléaire après la défaite japonaise suite aux bombes atomiques d’Hiroshima et Nagasaki, prélude à la guerre froide et à la division du monde Est-Ouest jusqu’à la chute du mur de Berlin.

Comme le disait très justement Coralie Delaume, étoile trop tôt disparue dans la nuit européenne :

« Faire advenir la paix ne suffit pas à constituer un projet politique et n’a pas empêché la multiplication des institutions technocratiques chargées de le mettre en œuvre. Aujourd’hui, ces institutions se sentent désormais suffisamment fortes pour s’affranchir des États européens et contribuer à vider progressivement de leur substance les États membres de l’Union, trop heureux de pouvoir se défausser de leurs responsabilités sur Bruxelles ou Francfort. Cette démission des politiques s’accompagne désormais d’une crise économique redoutable. Une situation que les peuples acceptent de moins en moins, sentant bien qu’au nom de “la paix”, on leur demande d’entériner tout à la fois leur appauvrissement et l’abandon de leur souveraineté. » (1)

À tel point qu’après avoir bafoué les non au référendum de 2005 en France et aux Pays-Bas, les parlements ont entériné la constitution européenne avec le traité de Lisbonne deux ans plus tard. Aujourd’hui, l’Union européenne franchit un pas supplémentaire en mettant en œuvre toutes ses forces de coercition et de chantage à la peur contre les peuples européens pour le plus grand bonheur de l’oligarchie mondialiste à l’origine de cette gigantesque prise d’otages de masse avec un virus létal à 0,05 %. Pour bien comprendre comment on en est arrivé là, il faut faire un bref retour en arrière aux origines de l’Union européenne.

Celui qu’on a appelé et qu’on appelle encore abusivement « le père de l’Europe », Jean Monnet, obscur négociant en cognac adoubé par les Américains dans les années 30 via les banques et la finance internationale, avait conscience que l’Europe ne devait être qu’une première étape vers le mondialisme dont il était un chaud partisan. Avec l’apparition d’un marché mondial sans un état de droit mondial, la création de l’Euro était donc bien un piège, et l’adopter mettait la main dans un engrenage conduisant à un nouvel ordre mondial sans avoir à donner la parole aux peuples.

Ainsi, selon l’historien Éric Branca,

« dès 1952, lors de l’entrée en vigueur de la Communauté Européenne du Charbon et de l’Acier (CECA), Jean Monnet avait-il préconisé cet effet d’engrenage,

à savoir un transfert “en douceur”, mais irréversible des compétences régaliennes vers des organismes techniques échappant à la volonté des peuples. » (2)

Le rôle abject de l’UE dans la crise grecque, bras armé de la troïka avec l’Allemagne à la manœuvre, n’en est que le meilleur exemple.

Ainsi, Giscard d’Estaing, considéré aujourd’hui comme le « père de la constitution européenne » s’acharnera-t-il à réaliser le programme de Jean Monnet, à savoir « la fusion progressive des nations européennes en un État fédéral expérimental, prélude d’un gouvernement mondial » Sous son septennat sera créé le Conseil européen des chefs d’État et de gouvernement, puis sera décidée, en 1977, l’élection du Parlement européen au suffrage universel et en 1979 sera créé le Système monétaire européen, matrice d’où sortira avec le traité de Maastricht en 1992, l’instauration d’une monnaie unique européenne, le 1er janvier 1999.

L’Europe est donc tellement peu la paix, qu’elle fera dire en 2015 à son président de la Commission européenne d’alors, Jean-Claude Juncker :

« Il ne peut y avoir de choix démocratique contre les traités européens. »

Aujourd’hui, en ce début d’année 2021, nous vivons le dernier avatar de l’Union européenne, à savoir la mise en coupe réglée des peuples européens pris en otage dans des confinements à répétitions pour en faire des esclaves dociles afin de mettre en place le programme totalitaire de l’oligarchie mondialiste grâce à la peur d’un virus savamment entretenue par les médias mainstream. En témoigne la dernière injonction faite aux européens en date du 24 janvier par la geôlière commissaire en chef d’imposer des tests PCR négatifs, ausweis obligatoire pour franchir les frontières carcérales européennes malgré la reconnaissance récente par l’OMS de l’invalidité des protocoles de tests PCR recommandés par le Dr Drosten.

Mais surtout, l’exemple de la crise sanitaire montre bien le rôle central joué par l’UE dans la destruction méthodique des États européens : la Commission européenne, dans sa volonté hystérique de réduire les dépenses dans les différents États européens, continuait à préconiser en pleine crise du Coronavirus de réduire les dépenses de santé alors que la diminution drastique des lits d’hôpitaux depuis plus de 10 ans en France est à l’origine du désastre sanitaire que nous connaissons depuis un an et du nombre quatre fois plus élevé de décès du Covid qu’en Allemagne.
Martin Schirdewan, député européen, rappelle à juste titre qu’à 63 reprises entre 2011 et 2018, la Commission européenne a recommandé aux États membres de l’UE de privatiser des pans entiers du secteur de la santé et de réduire les dépenses publiques en matière de santé.

Ainsi, la France a-t-elle supprimé 100 000 lits d’hôpitaux en 20 ans ! (3)

Le professeur Didier Raoult dans sa dernière communication, enfonce le clou :

« Le niveau d’équipement biomédical dans ce pays, en particulier dans les CHU est beaucoup trop faible : il était tellement indécent il y a vingt ans pour manipuler les bactéries pathogènes que vous n’arriviez même pas à faire ce qu’on fait à Kinshasa ! » (4)

Comme le rapportent très justement deux professeurs de l’ESSEC, Marc Guyot et Radu Vranceanu dans La Tribune :

« Ce n’est pas le virus qui a créé la crise économique, mais la façon avec laquelle le gouvernement mène sa politique sanitaire, étant donné l’état déplorable des infrastructures médicales en termes de capacité d’hospitalisation. Ce comportement irresponsable a mené à cette situation de confinements à répétitions en train d’anéantir toute l’économie française. » (5)

Il est maintenant clair que les directives européennes en matière de santé comme dans tant d’autres domaines promouvant le dumping social et fiscal sous prétexte de « concurrence libre et non faussée » mènent droit à la destruction programmée des pays de l’Union. La volonté de l’UE de créer des zones à risque jusqu’au rouge foncé pour entretenir la peur, et un passeport vaccinal réclamé par plusieurs États membres pour créer des citoyens de seconde zone selon la feuille de route de Klaus Schwab devrait nous ouvrir définitivement les yeux sur la finalité de l’Union : l’enfermement qui en rappelle un autre : celui des untermenschen il y a 80 ans.

Qu’en conclure d’autre aujourd’hui sinon que cette Europe, c’est la guerre ?

Nous sommes les 99 %. RESISTANCE !

Notes

(1) Coralie Delaume, Europe, les États désunis, Michalon

(2) Éric Branca, Le dilemme français, Le Spectacle du Monde

(3) topsante.com/medecine/votre-sante-vous/professionnels-de-sante/urgences-en-crise-100-000-lits-ont-ete-supprimes-en-20-ans-632559

(4) youtube.com/watch?v=9LA6Jmf2IzQ

(5) latribune.fr/opinions/tribunes/de-la-crise-sanitaire-a-la-crise-economique-846712.html




Nous, rats de laboratoire

[Source : Le Saker Francophone]


Par Michel Delanature

Grâce à mon ami Frère J*, que je sais discret, j’ai appris que le chercheur Henri Laborit avait travaillé sur le comportement des rats dans son laboratoire. L’expérience est simple. On enferme un rat dans une cage à deux compartiments. Le fond d’une des parties de la cage peut être électrifié, alors le rat se réfugie dans le second compartiment. Si on empêche le rat de se sauver dans le second compartiment, il développe des troubles comportementaux et physiques. Si on enferme deux rats dans la même cage, toujours sans laisser la possibilité de se sauver, ils développent, du fait de la douleur de l’électrification, des réactions d’agressivité l’un envers l’autre.

Il existe une variante de l’expérience ou l’électrification du sol de la cage est précédée d’un signal sonore. Quand on empêche le rat de fuir, le seul signal sonore, au bout d’un moment, génère des troubles du comportement et de l’agressivité. Ajoutons à cela les expériences sur les humains qui ont prouvé que des personnes sont capables, dans la position d’expérimentateurs, d’en torturer d’autres par soumission à l’autorité. Nous disposons maintenant des connaissances de base qui nous permettent de comprendre ce qui se joue depuis un an avec le virus de la Covid-19.

Nous avons été confinés et nous avons été transformés en rats de laboratoire. A un signal donné, les habitants ont été sommés de se réfugier dans leur habitat, assignés à résidence. La rue était interdite sauf exceptions, comme électrisée par un virus invisible, et sous contrôle des forces de l’ordre. Le couvre feu est une variante de l’expérience : à une heure donnée, les rats rejoignent leur habitat sous peine d’amende douloureuse.

Mais la situation est plus complexe si on considère les signaux qui accompagnent la situation de douleur, transposés à la société humaine. Par exemple, les rats-habitants doivent écouter les annonces des autorités. Ce qui fait que le lieu d’assignation n’est pas un refuge mais l’endroit où il est obligatoire de subir chaque jour la douleur générée par la répétition du conditionnement à laquelle les expérimentateurs travaillent avec soin.

Un grand nombre de personnes a pris conscience en février 2020, de l’existence des virus et des microbes, qu’ils côtoyaient jusque là sans problème (depuis 2000 ans, sans chercher plus avant, seules sont restées dans les mémoires quelques périodes de crises bien plus graves que celle que nous vivons). Dans le même temps, on a empêché les médecins d’échanger sur les pratiques médicales opportunes, voire de soigner -point capital-, et les hôpitaux de travailler normalement, toutes solutions qui auraient pu contrarier l’expérience.

Le confinement a logiquement déclenché des troubles du comportement. Par exemple nombreux sont ceux qui vivent avec un écran[1] devant la bouche et le nez alors que des scientifiques soutiennent que le virus se propage essentiellement par les mains[2]. Des personnes bâillonnent même leurs enfants, alors que seules les personnes âgées ou avec pathologies ou déséquilibres sérieux présentent des risques. D’autres empêchent leurs voisins de les approcher, s’écartent des passants dans la rue, deviennent agressifs, etc. Certains développent une forme d’agressivité contre eux-mêmes, tombent malades et se soignent comme ils peuvent et presque à contre cœur, ou se suicident. D’autres parlent ouvertement de se suicider si les confinements se renouvellent. Certains, sevrés de relations amicales des mois durant, rêvent de se faire injecter dans le corps n’importe quelle potion, supposant que cela permettra de reprendre une vie normale et fera cesser la douleur de la solitude.

Un grand nombre de personnes a pris conscience en février 2020, de l’existence des virus et des microbes, qu’ils côtoyaient jusque là sans problème (depuis 2000 ans, sans chercher plus avant, seules sont restées dans les mémoires quelques périodes de crises bien plus graves que celle que nous vivons). Dans le même temps, on a empêché les médecins d’échanger sur les pratiques médicales opportunes, voire de soigner -point capital-, et les hôpitaux de travailler normalement, toutes solutions qui auraient pu contrarier l’expérience.
Le confinement a logiquement déclenché des troubles du comportement. Par exemple nombreux sont ceux qui vivent avec un écran[3] devant la bouche et le nez alors que le virus se propage essentiellement par les mains, bâillonnent même leurs enfants, alors que seules les personnes âgées ou avec pathologies ou déséquilibres sérieux présentent des risques, d’autres empêchent leurs voisins de les approcher, s’écartent des passants dans la rue, deviennent agressifs, etc. Certains développent une forme d’agressivité contre eux-mêmes, tombent malades et se soignent comme ils peuvent et presque à contre cœur, ou se suicident. D’autres parlent ouvertement de se suicider si les confinements se renouvellent[4]. Certains, sevrés de relations amicales des mois durant, rêvent de se faire injecter dans le corps n’importe quelle potion, supposant que cela fera cesser la douleur de la solitude et permettra de reprendre une vie normale.

Les rats en groupe développent des réactions agressives. Dans les mêmes conditions, les adultes ou les enfants ont à subir le contrecoup de la privation de liberté sous forme d’agressions verbales, de violences physiques et autres mauvais traitements. Les disputes familiales fleurissent. Les enfants sont sommés de continuer à étudier « en-ligne » dans ces conditions que des bricoleurs de l’éducation rêvent de pérenniser.

On peut donc parier sur une augmentation des pathologies de tous ordres (à vérifier quand les statistiques seront disponibles, et si elles ne sont pas travesties comme on dit que le sont les statistiques du nombre de morts de la Covid-19).
Les manuels sur les expériences comportementales ne disent pas quel est le lien entre la durée de l’expérience et le niveau de sadisme des expérimentateurs. Mais pour ce qui concerne la société humaine, on sait qu’il suffit d’une autorité qui décide, quelque part, pour que toute la chaîne des expérimentateurs se mette en action. En effet, chaque expérimentateur -ils sont nombreux- à son niveau, veut éviter, en refusant de tourmenter ses semblables, de se retrouver dans la situation où il serait ravalé au rang de simple rat.

De plus, les expérimentateurs ont développé pour justifier la situation, un argumentaire relatif à la santé publique : il faut éviter les morts de la Covid-19, coûte que coûte, semble-t-il. Le docteur Fouché, quand à lui, a rappelé que chaque jour, il meurt en moyenne en France 1671 personnes selon Santé Publique France, 419 personnes de maladies cardio-vasculaires (150 000 personnes par an), 460 de cancers (165 000 personnes par an), 110 morts de maladies respiratoires (39600 personnes par an), 27 de suicides (9 700 personnes par an), 10 morts d’accidents de la route (3 600 morts par an). Nul doute qu’on va nous trouver une bonne expérience pour éviter tous ces décès.

Les expérimentateurs méritent donc bien la reconnaissance des autorités pour le fait de servir la bonne cause. D’ailleurs la distribution des médailles a commencé.

Michel Delanature

Notes

  1. Peut-être s’intéressera-t-on aux quantités de fibres que les masques relâchent dans les poumons des utilisateurs 
  2. C’est la conviction des professeurs Perronne et Raoult ainsi que de la Coordination Santé Libre, mais le consensus international n’est pas acquis 
  3. Peut-être s’intéressera-t-on aux quantités de fibres que les masques relâchent dans les poumons des utilisateurs 
  4. Textuel ; face au stress, l’organisme retourne son agressivité contre lui-même et s’auto-détruit.



France : RAPPORT DICTATURE 2020. MàJ



Mise à jour : L’origine du rapport est mentionnée dans l’article Terrorisme d’Etat, crime contre l’humanité. Une avocate dénonce les mesures sanitaires et la manipulation autour du Covid-19 [Interview] (breizh-info.com). Il provient de Virginie de Araujo-Recchia, avocate depuis 2006.


RAPPORT DICTATURE 2020

TERRORISME D’ETAT, ATTEINTE AUX INTÉRÊTS FONDAMENTAUX DE LA NATION ET CRIME CONTRE L’HUMANITÉ

[Extraits]

Décisions allant à l’encontre des intérêts fondamentaux de la Nation et des citoyens:

• Depuis la publication de la loi n° 2020-290 du 23 mars 2020 d’urgence pour faire face à l’épidémie de covid-19, des ordonnances, décrets, lois de prorogation ont été appliqués sans qu’aucun pouvoir n’ait été en mesure de remettre en cause le caractère inconstitutionnel de ces mesures.(…)

Mise en place d’un Comité scientifique et du Comité Analyse, Recherche et Expertise (CARE), dont certains membres ont des liens d’intérêts avec l’industrie pharmaceutique7 et qui de ce fait, ne peuvent être objectifs quand aux décisions à prendre concernant la santé des citoyens (Annexe 1). Ce Comité scientifique non élu dispose de bien trop de pouvoir étant donné qu’il décide indirectement de l’avenir de la Nation.

Décision de confinement général (mesure disproportionnée) sur la base des conseils du Comité scientifique et sur la base des travaux de modélisation inexacts réalisés par le Professeur Neil Ferguson, épidémiologiste britannique de l’influent Imperial College de8 Londres, lequel a conduit de nombreux pays au confinement, dont la France du 17 mars au 11 mai 2020.9

(Page 5 du rapport)

Les conséquences découlant de ces confinements sont désastreuses pour la santé, la15 16 vie des citoyens et l’économie du pays en violant par là même les droits du peuple:

Violation de la liberté individuelle et du principe de sauvegarde de la dignité de la personne humaine contre toute forme d’asservissement et de dégradation.

Violation de la liberté de circuler/d’aller et venir: en ce sens l’Etat est coupable de détention arbitraire à l’égard des citoyens en temps de paix. Les citoyens qui contreviennent à une mesure de confinement sont verbalisés.

Volonté de mettre à l’isolement des citoyens « positifs » au test et non pas malades s’apparentera à des mesures de séquestration. L’Etat entend verbaliser les personnes qui enfreindraient la « quarantaine » à hauteur de 10 000 euros.

Violation du principe général du droit de mener une vie familiale normale par17 l’interdiction d’aller rendre visite à un proche en EPHAD, de restreindre la possibilité d’assister aux funérailles et d’interdire toute possibilité de se réunir en famille.

Violation de la liberté d’entreprendre et inégalité de traitement: les P.M.E. soit les commerçants, les indépendants, le secteur tout entier de la culture, la restauration, le secteur de l’habillement, le secteur de l’esthétique, le secteur du tourisme, le secteur de l’évènementiel etc. En somme tout les non-fonctionnaires (hors alimentaire, pharmacie, journaux et tabac) pâtissent de ces mesures liberticides et mortifères. De nombreuses procédures de liquidation judiciaire sont attendues mais les mesures ne sont pas levées malgré l’appel du peuple.

Violation du droit de manifester et de se rassembler: violences à l’encontre des manifestants ou interdiction pure et simple.

Violation du droit à l’éducation durant le premier confinement.

Violation de la liberté de culte en refusant la tenue de messes dans les Églises de France alors que les croyants ont besoin d’apaisement.

(Page 7)

Il existe donc des preuves scientifiques des dangers inhérents au port du masque et les spécialistes l’ont rappelé à maintes reprises dans des tribunes .29

Le Dr Margareta Griesz-Brisson, docteur en médecine neurologue et neurophysiologiste, avertit des graves conséquences et la dangerosité du port du masque chez les enfants et chez les adultes plus généralement :30

La privation d’oxygène provoque des dommages neurologiques irréversibles.

« La réinhalation de l’air que nous respirons va incontestablement générer un déficit en oxygène et une saturation en dioxyde de carbone. Nous savons que le cerveau humain est très sensible à la privation d’oxygène. Il y a des cellules nerveuses, par exemple dans l’hippocampe, qui ne peuvent pas rester plus de 3 minutes sans oxygène – elles ne peuvent pas survivre.

Les symptômes d’alerte aigus sont les maux de tête, la somnolence, les vertiges, les problèmes de concentration, le ralentissement du temps de réaction – qui sont des réactions du système cognitif.

Cependant, lorsque vous souffrez d’une privation chronique d’oxygène, tous ces symptômes disparaissent, car vous vous y habituez. Mais votre fonctionnement demeure altéré, et la sous-alimentation en oxygène de votre cerveau continue de progresser.

Nous savons que les maladies neurodégénératives mettent des années, voire des décennies, à se développer. Si aujourd’hui, vous oubliez votre numéro de téléphone, cela indique que le processus de dégradation de votre cerveau a démarré il y a 20 ou 30 ans.

Vous pensez peut-être que vous vous êtes habitué à porter un masque et à inspirer l’air que vous venez d’expirer, mais il n’en reste pas moins que les processus dégénératifs dans votre cerveau s’amplifient à mesure que votre privation d’oxygène se poursuit.

Le deuxième problème est que les cellules nerveuses de votre cerveau sont incapables de se diviser normalement. Ainsi, au cas où nos gouvernements seraient assez généreux pour nous autoriser à enlever nos masques et à respirer à nouveau librement de l’oxygène dans quelques mois, les cellules nerveuses perdues ne seront plus régénérées. Ce qui est perdu est perdu.

Je ne porte pas de masque, j’ai besoin de mon cerveau pour réfléchir. Je veux avoir les idées claires quand je m’occupe de mes patients, et ne pas être anesthésiée au dioxyde de carbone.

Il n’existe pas d’exemption médicale infondée pour les masques faciaux, car la privation d’oxygène est dangereuse pour chaque cerveau. Chaque être humain doit pouvoir décider librement s’il veut porter un masque absolument inefficace pour se protéger contre un virus.

Pour les enfants et les adolescents, les masques sont un interdit absolu. Les enfants et les adolescents ont un système immunitaire extrêmement actif et adaptatif, et ils ont besoin d’une interaction constante avec le microbiome de la Terre. Leur cerveau est également incroyablement actif, car il a beaucoup à apprendre. Le cerveau de l’enfant, ou de l’adolescent, a soif d’oxygène. Plus l’organe est métaboliquement actif, plus il a besoin d’oxygène. Chez les enfants et les adolescents, chaque organe est métaboliquement actif.

Priver le cerveau d’un enfant ou d’un adolescent d’oxygène, ou le restreindre de quelque manière que ce soit, est non seulement dangereux pour sa santé, mais aussi absolument criminel. Le manque d’oxygène inhibe le développement du cerveau, et les dommages qui en résultent ne PEUVENT PAS être réparés.

L’enfant a besoin du cerveau pour apprendre, et le cerveau a besoin d’oxygène pour fonctionner. Nous n’avons pas besoin d’étude clinique pour le savoir. C’est un fait physiologique simple et incontestable. Un manque d’oxygène provoqué consciemment et délibérément est un danger absolu pour la santé, et une contreindication médicale absolue. En médecine, une contre-indication médicale absolue signifie que ce médicament, cette thérapie, cette méthode ou mesure ne doit pas être utilisé, et n’est pas autorisé à être utilisé. Pour contraindre par la force toute une population à utiliser une contre-indication médicale absolue, il faut qu’il y ait des raisons précises et sérieuses à cela, et ces raisons doivent être présentées à des organismes interdisciplinaires et indépendants compétents, pour être vérifiées et autorisées.

Lorsque, dans dix ans, la démence augmentera de manière exponentielle et que les jeunes générations ne pourront pas atteindre leur potentiel inné, cela ne servira à rien de dire que « nous n’avions pas besoin des masques ».

Comment un vétérinaire, un distributeur de logiciels, un homme d’affaires, un constructeur de voitures électriques et un physicien peuvent- ils décider des questions concernant la santé d’une population entière ? S’il vous plaît, chers collègues, nous devons tous nous réveiller.

Je sais à quel point le manque d’oxygène est dommageable pour le cerveau, les cardiologues savent à quel point il est dommageable pour le cœur, les pneumologues savent à quel point il est dommageable pour les poumons. La privation d’oxygène endommage tous les organes.

Où sont nos services de santé, notre assurance maladie, nos associations médicales ? Il aurait été de leur devoir de s’opposer avec véhémence au confinement et d’y mettre fin – dès le début . »

(Pages 10 et 11)

Nous rappelons qu’en plein pic d’épidémie (i.e. en avril 2020), les masques étaient interdits à la vente en pharmacie. Aujourd’hui, un citoyen qui ne porte pas le masque est redevable de 135 € d’amende, 1 500 euros d’amende en cas de récidive et risque une peine de 6 mois de prison et 3 750 € d’amende en cas de quatrième verbalisation.

(Page 11)

Manipulation de l’opinion afin de faire régner la terreur et troubler l’ordre public:

Nous assistons chaque jour depuis janvier 2020, à l’instauration de la peur, de la terreur et de la culpabilisation au sein de la population, notamment par le biais des allocutions répétées des membres de l’exécutif et des interventions de la Direction générale de la santé, relayées par les principaux médias.

Ces interventions répétées et les spots publicitaires anxiogènes, probablement destinés à créer un traumatisme et une hypnose collective.

(Page 13)

• Prise en compte des testés « positifs » et non pas des « malades » afin de présenter des chiffres importants, en créant une terreur et un affaiblissement de la population.

• Mensonges concernant les patients en hôpitaux: les malades et décédés comptabilisés covid-19 alors que le décès ou la maladie est la conséquence d’une autre pathologie autrement plus grave ou d’un accident.

• Secret autour des patients décédés: absence d’autopsie et cercueils plombés.

• Manipulation du taux d’incidence ou de pression épidémique (correspond au nombre de personnes infectées sur 100 000 habitants, sur une période de sept jours): Le seuil épidémique pour chaque épidémie à virus respiratoire (syndromes grippaux) depuis 1985 et jusqu’à 2018 (dernière année pour laquelle le réseau Sentinelles a publié un bilan annuel ) a constamment été fixé entre 150 et 200 cas pour 100.000 habitants. 35 Jamais un seuil épidémique n’a été fixé à 50 cas pour 100000 habitants, comme c’est le cas depuis mai 2020. Là encore, ce changement de seuil permet de manipuler l’opinion publique en faisant croire que la situation est grave , ce qui permet aux Agences régionales de santé 36 (A.R.S.), aux préfets et à l’exécutif de prendre des mesures liberticides.

• Manipulation des taux d’occupation des lits de réanimation: le gouvernement a décidé d’abaisser le seuil de vigilance de 60% à 40% de patients covid-19 en réanimation et le seuil d’alerte de 80 à 60%. Or, d’après Madame Martine Wonner, députée et médecin psychiatre, de nombreux patients nécessitent 2 à 3 litres d’oxygène et ne nécessitent pas de lits de réanimation. Il ne s’agit d’ailleurs pas à proprement parler de « réanimation ».

• Manipulation liée aux tests de dépistage du SARS-CoV2: les tests positifs sont faussés et ne permettent pas de déterminer véritablement si le patient présente une maladie covid-19 réelle. Ces tests permettent de fabriquer un grand nombre de « positifs » et de prendre des mesures liberticides, d’engendrer la terreur au sein de la population, ce qui est attentatoire à la dignité humaine et trouble l’ordre public.

• Auto-attestation pour chaque déplacement de citoyens pour toutes raisons « autorisées » uniquement et sous peine d’amende de 135 euros en cas de non présentation: mesure humiliante et infantilisante.

• Censure et actions de tous ordres ont été menées par l’exécutif, afin d’obtenir des renseignements et d’accélérer la surveillance des citoyens: violation de la liberté d’expression et atteinte à l’intimité de la personne humaine. Enfin, un projet de loi sur la sécurité globale est actuellement en discussion devant les chambres du Parlement.

(Pages 13 et 14)

Crimes contre l’humanité, crime contre les citoyens de France:

Gestion de crise totalement disproportionnée et non conforme aux pratiques37 habituelles en la matière: En effet, en cas d’épidémie, les experts rappellent qu’il est nécessaire d’isoler les «malades» (non pas les « positifs ») et de les soigner. Il est notamment possible de réquisitionner les gymnases et de contrôler les passagers dans les aéroports.

Or, rien n’a été mis en place en début de crise, les citoyens n’ont pas été soignés, les médecins de ville n’ont pas pu prendre en charge les patients.
Les citoyens ont été invités à prendre du Doliprane et à rester chez eux jusqu’à ce que la situation s’aggrave véritablement. Dans cette hypothèse, il ne restait plus qu’à contacter les urgences hospitalières.

Il était pourtant tout à fait possible de soigner les patients covid-19 dès les premiers symptômes.

Interdiction de traitement disponible anti-covid-19 en violation des droits du patients et de la liberté de prescrire:

Dès les débuts de l’épidémie, le traitement à base d’hydoxychloroquine, d’azithromycine et de zinc a été utilisé par le Professeur Didier Raoult, Directeur de l’Institut Hospitalo Universitaire Méditerranée infection à Marseille, microbiologiste, éminent chercheur reconnu par la communauté scientifique internationale.

Bien entendu, au fur et à mesure des avancées des études concernant le virus, le Professeur Didier Raoult a également mis en place des gestes de soin complémentaires.

Or l’annonce de l’existence de ce traitement a provoqué un véritable scandale d’Etat concernant l’utilisation de l’hydroxychloroquine:
– Publication frauduleuse de la prestigieuse revue médicale The Lancet,
– Arrêt de l’étude Discovery qui permettait de démontrer l’utilité du traitement,
– Interdiction faite aux médecins de prescrire l’hydroxychloroquine.
– Contestation systématique du traitement par des médecins médiatisés en lien d’intérêts avec les laboratoires pharmaceutiques sur les plateaux T.V. et dans les principaux journaux et tentatives de discréditer le Professeur Raoult par tous les moyens, par tous médias. Le Sénat américain s’est d’ailleurs étonné dernièrement de ces attaques à l’encontre du Professeur Raoult.

(Page 15)

Interdiction faite aux médecins de ville d’exercer librement puisque tous les patients devaient se présenter à l’hôpital et harcèlement moral destiné à les dissuader de prescrire le seul traitement bien connu.

Euthanasie active à l’égard des anciens dans les EPHAD et dans certains hôpitaux par administration du Rivotril, médicament à proscrire lorsqu’un patient souffre d’insuffisance respiratoire, l’un des symptômes de la maladie covid-19. Cette prescription a été faite sans le consentement du patient, d’une personne de confiance, de la famille ou de proches.

(Page 17)

• Euthanasie passive sans consentement: Tri des patients durant le pic d’épidémie, les anciens n’ont pas reçu les soins nécessaires puisque le tri était effectué en fonction de l’âge notamment (ex. région Alsace). Les traitements n’ont pas été entrepris ou bien ont été suspendus (Loi Clayes-Léonetti n°2016-87 du 2 février 2016 créant de nouveaux droits en faveur des malades et des personnes en fin de vie).

• Annulation d’interventions hospitalières et report de traitement des maladies graves notamment, sachant que par ailleurs les citoyens ont été psychologiquement contraints d’abandonner toute visite dans les hôpitaux étant donné la menace et la terreur imposées par l’exécutif.

• Fermeture de services hospitaliers alors que la communication de l’exécutif tend à faire croire que le virus est extrêmement dangereux pour la santé des français et que des vagues en chaîne se présenteront pour une durée indéterminée: fermeture des urgences de l’Hôtel Dieu à Paris, fermeture/transfert de l’Hôpital Raymond/Poincaré AP/HP de Garches, dans lequel exerce le Pf Christian Perronne, auteur du livre intitulé « Y-a-t-il une erreur qu’ils n’ont pas commise? Covid-19: L’union sacrée de l’incompétence et de l’arrogance ».

• Suppression de lits d’hôpitaux en 2018, 2019 et 2020: environ 8 000 lits entre 2018 et 2019, 2 000 lits en 2020 pendant la crise.

• Refus de solliciter les hôpitaux et cliniques privées.

• Campagne massive de faux tests RT-PCR SARS-CoV-2 valeur Ct>30 (Ct: estimation de la charge virale): produisant une quantité importante de faux positifs, ce qui permet de mettre en place des mesures liberticides et mortifères, notamment les confinements, port du masque obligatoire, quarantaine, codes couleurs, interdiction de voyager, traçage, distances sociales.

(Page 18)

Sur la base des preuves scientifiques actuellement disponibles, ce test RT-PCR est en soi incapable de déterminer au-delà de tout doute raisonnable que la positivité correspond en fait à une infection par le virus SARS-CoV-2, pour plusieurs raisons, parmi lesquelles deux sont primordiales: la fiabilité du test dépend du nombre de cycles utilisés; la fiabilité du test dépend de la charge virale présente.(…)

Le tribunal conclut que «si une personne est testée par PCR comme étant positive lorsqu’un seuil de 35 cycles ou plus est utilisé (comme c’est la règle dans la plupart des laboratoires en Europe et aux États-Unis), la probabilité que ladite personne soit infectée est <3% et la probabilité que ledit résultat soit un faux positif est de 97%. »

(Page 21)

CONCLUSION (I):

Ces actes dans leur ensemble sont qualifiables d’actes terroristes commis en bande organisée et de crime contre l’humanité.

Ces actes sont condamnés par le Code pénal et comme le prévoit l’article 422-6 du Code pénal et les articles 213-1 et 213-3 du Code pénal, en dehors des peines prévues pour chacun des chefs d’accusation (réclusion criminelle à perpétuité), les personnes coupables d’avoir commis des actes de terrorisme et des crimes contre l’humanité verront leurs biens confisqués.

(Page 30)

II. APOLOGIE DU TERRORISME PAR MÉDIAS ET SCIENTIFIQUES EN CONFLIT D’INTÉRÊTS

(Page 31)

III. ACTES DE MALTRAITANCE ET DE TORTURE / TRAITEMENTS INHUMAINS A L’ÉGARD DES ENFANTS: CRIME CONTRE L’HUMANITÉ

(Page 32)




Union Européenne — TESTS PCR ET AFFAIRE COVID : UN SCANDALE INTERNATIONAL

Par Dr Nicole Delépine

L’UE impose des « tests négatifs » aux frontières alors que le test PCR est condamné en justice comme invalide dans plusieurs pays ! Déconnexion totale des décisions politiques de la réalité sanitaire et juridique. 

Les tests PCR IMPOSÉS AUX VOYAGEURS

À partir de dimanche 24 janvier minuit, un test PCR négatif de moins de 72 heures sera exigé pour l’entrée des Européens sur le territoire français. Décision confirmée à l’issue du Conseil européen tenu jeudi en visioconférence, la France rejoignant ainsi des pays ayant déjà mis en place cette mesure, l’Espagne, la Belgique, l’Allemagne et l’Italie. Et également annoncée par E Macron.

Cette décision démontre une nouvelle fois le caractère complètement hors sol et purement politique des décisions de l’UE et de la France en particulier dans cette « AFFAIRE COVID ». Car nous sortons bien d’une crise qui se prétend sanitaire depuis un an, date à laquelle la pseudo-épidémie a bousculé nos vies et pour laquelle on refusait tous les contrôles frontaliers. À l’époque, la recette des pays asiatiques (contrôle aux frontières, et l’isolement vrai des malades (avec symptômes cliniques avérés) aurait ralenti la diffusion de l’épidémie surtout si on l’avait complété par le traitement précoce des patients avec des traitements déjà connus depuis les précédentes épidémies de coronavirus de 2003 en particulier.[1]

Le dramatique échec de la politique sanitaire française décidée d’en haut par le conseil prétendument scientifique et de défense où ne siègent pas ou très peu de médecins cliniciens (les vrais docteurs, ceux qui soignent des malades au stade précoce des maladies) justifie d’en changer.

L’ensemble des Français devrait pouvoir reprendre une vie normale, sans restriction sanitaire ou autres. Or la soumission à l’autorité (en l’occurrence à Emmanuel Macron, Angela Merkel et l’OMS, appliquant le programme du forum de Davos)[2] est telle que chacun tente de trouver une demi-solution personnelle comme les restaurateurs et leurs plexiglas, certains médecins et leur conseil de masques partout[3] et pour tous (même à l’extérieur et même chez les enfants) alors que toutes les études scientifiques sérieuses montrent l’inefficacité[4] [5] et même le danger[6] [7] d’une telle mesure.

Et les biologistes au lieu de dire STOP DÉPISTAGE inefficace vont disserter des heures sur un test qui serait peut-être moins mauvais que la PCR. Peut-être pour des raisons financières[8], ils tentent de trouver un test qui cherchera un virus dont on se moque, car ne tue ni enfants, ni adultes et très peu de vieillards s’ils sont soignés précocement par les traitements disponibles.

Non, tant que vous êtes asymptomatique, refusez tous les tests y compris le dernier venu sorti du chapeau en janvier 21, quand le scandale de la PCR éclate pour faire croire au peuple qu’il y a intérêt à se faire tester quel que soit le test proposé. Ne soyez plus soumis. Ne vous laissez pas manipuler par ceux qui tuent progressivement le pays et ses habitants.

Un test PCR positif après plus de 30 cycles d’amplification ne signifie pas qu’une personne sans signe clinique ne soit ni contaminée, ni contagieuse[9] [10] [11] [12] ainsi que l’a affirmé l’OMS dès le 8 juin[13] : « il semble rare qu’une personne asymptomatique transmette la maladie » et récemment confirmé un dépistage massif portant sur 10 millions de Chinois[14].

Et si vous avez des symptômes, voyez un médecin qui pratique encore la médecine, l’examen clinique et le traitement en l’occurrence précoce qui fera disparaître vos signes en moins de 48 h. Il est temps de revenir à une vraie pratique de notre métier qui ne se résume pas à une ordonnance de radio pour une douleur dorsale ni à des tests pour un rhume ou une bronchite. La médecine 2.0 n’est pas de la médecine comme les malades en ont fait l’expérience dramatique toute l’année 2020 avec le pschitt de la télémédecine et la hausse des morts secondaires en l’absence de diagnostic pointu et de traitement adapté pour toutes les autres pathologies hors covid19.

Scandales du dépistage systématique des malades à l’entrée aux urgences, et des visiteurs des anciens en EHPAD

Ce scandale du dépistage s’ajoute à celui que nous dénonçons avec d’autres des mesures dites sanitaires privant de fait les vieillards en EHPAD de visites à travers les tests multiples imposés à répétition aux résidents et aux personnels alors que ces contacts sont nécessaires à leur survie pour éviter le syndrome de glissement et qu’il n’existe aucune démonstration scientifique de leur utilité ni de leur légalité.

Depuis plusieurs mois, des enquêtes suivies de plaintes et de procédures judiciaires ont démontré que ces tests ne sont qu’une supercherie[15]. La peur, outil magique du gouvernement mondial via l’OMS a été entretenue grâce aux médias et les mensonges permanents sur le nombre des malades, puis les cas, puis maintenant les variants de différentes provenances au fur et à mesure que la tricherie se dévoile. Ce test PCR est dénoncé depuis plusieurs mois et C. Drosten qui l’a vanté et mis sur le marché avec la complicité de l’OMS en janvier 2020 est maintenant poursuivi devant le tribunal de Berlin.

Drosten doit rendre des comptes : le « Monsieur Corona » allemand, le virologue Christian Drosten, va devoir répondre devant la justice des prémisses faussées de la gestion de crise. Il est poursuivi par l’avocat Reiner Fuellmich. Une nouvelle fois, il faut parler des tests PCR que les dirigeants, mais aussi les préfets, les patrons, les directeurs d’école continuent à imposer comme s’ils signifiaient quelque chose. Les pires sont les citoyens lambda qui courent se faire tester pour se « rassurer ». De quoi ont-ils peur ? Les virus sont des milliards autour de nous et manifestement ce coronavirus n’est pas pire que les autres (mortalité globale comparable aux années précédentes et mortalité spécifique inférieure à celle de la grippe asiatique). »[16]

À propos du test PCR : Maitre Fuellmich reproche à Drosten :

« Il n’a pas échappé à votre sagacité qu’un test PCR ne peut pas différencier un virus capable de se reproduire et des fragments de virus sans vie, et entre contamination et infection.

À propos de la valeur Ct, vous avez admis le 1er septembre 2020 [17] que la signification du résultat du test dépend de la charge virale. Cependant, vous vous êtes prononcé contre le réglage de Ct = 30 comme limite supérieure, car il existe des différences dans la qualité des réactifs de test et des machines. Vous admettez vous-même qu’un résultat de test positif n’est pas toujours un résultat de test positif. »[17]

Faux et usages de faux

Comment après tant d’articles scientifiques dénonçant l’absence de fiabilité des tests PCR peut — on aujourd’hui un an après le début de la mascarade exiger un faux à l’entrée d’un pays et imposer sept jours de confinement en attente de ce résultat non fiable aux non-résidents européens ? Officiellement pour des raisons sanitaires alors que cette épidémie proche de la grippe n’est pas plus mortelle que les autres et que l’épidémie est terminée, sauf dans les pays qui vaccinent le plus[18]. Le scénario tragique de la mise en condition des peuples dans un but de réorganisation de l’ordre mondial selon les critères de la clique de Davos est de plus en plus évident.

Nous rappellerons ici les principaux écueils du test PCR déjà détaillés ailleurs.[19]

LES ÉLÉMENTS PRINCIPAUX UTILISES EN JUSTICE CONTRE LES TESTS PCR DROSTEN

Les fautes majeures de la supercherie mise en place par Drosten en janvier 2020 sont exposées ici.

Erreurs dans la conception et le protocole des tests PCR pour SARS-CoV-2 [20]

  • « Le virus n’a pas été correctement isolé » la séquence génétique complète n’est pas incluse pour servir d’étalon — or » ou de guide standard pour le test PCR. »
  • « Conception inadéquate des “amorces” avec faible spécificité pour la détection de SARS-CoV-2. »
  • « Protocole de test inefficace, permet de conclure comme positif un échantillon avec seulement des fragments de virus SARS-CoV-2 (donc non infectieux) ou même d’autres coronavirus différents du SARS-CoV-2 qui peuvent être présents jusque chez 30 % de la population. »
  • Nombre recommandé de Cycles d’amplification trop élevé (au-dessus de 40) qui sensibilise excessivement le test, générant de la positivité chez les personnes en bonne santé. À Ct = 35, valeur utilisée pour signaler un résultat positif pour la PCR, moins de < 3 % des personnes testées positives au PCR ont des cultures positives ». (Jaafar, décembre 2020). « Le nombre de cycles recommandé pour les échantillons SARS-CoV-2 par l’étude Corman et Drosten […] varie entre 40 et 45 cycles, ce qui entraîne la positivité pour les échantillons non contagieux. »
  • « Le pharynx humain est l’un des plus contaminés du règne animal, il est très difficile d’isoler un échantillon viral purifié. » « L’écouvillon pharyngé réalisé pour les diagnostics de coronavirus est généralement contaminé par un matériel génétique abondant et qui, lors de son amplification, il peut facilement fausser les résultats. »
  • « une bonne proportion de “nouveaux” cas bénins et de personnes ne sont pas infectieux ou contagieux, éliminent simplement les particules virales inoffensives que leur système immunitaire a combattues efficacement. » (Santos, 23 septembre 2020).

L’inventeur de la PCR, Karys Mullis avait d’emblée averti que ce n’était pas un test permettant seul un diagnostic. Ce test manque de spécificité, en particulier lorsqu’il ne recherche qu’un marqueur (un seul fragment du virus). Et ce seul marqueur peut éventuellement se retrouver dans le génome d’autres virus tels que d’autres coronavirus sources d’infection saisonnière banale.

Pour pallier cette spécificité trop faible, les Chinois en recherchent plusieurs. La sensibilité et la spécificité dépendent beaucoup du nombre de cycles d’amplification réalisé ; lorsque ce nombre est faible, le test est spécifique, mais peu sensible ; mais lorsque le nombre de cycles d’amplification augmente et dépasse les 30, le test est très sensible, mais la spécificité devient très faible.

En France, comme dans beaucoup d’autres pays, le nombre d’amplifications dépasse les 40 entraînant un nombre considérable de faux positifs. Et même lorsque le test est juste, il ne signifie pas que la personne est malade, mais seulement qu’elle a rencontré le virus ». Ceci a conduit J. Salomon à demander un avis par saisine de la DGS[21].

Avis concernant l’interprétation de la valeur de Ct

« En médecine, même en situation épidémique ou pandémique, il est dangereux de placer les tests, examens, techniques au-dessus de l’évaluation clinique (symptômes, signes). C’est le contraire qui garantit une médecine de qualité. »

On a plaisir à lire cette évidence, mais on aimerait qu’elle soit appliquée en pratique quotidienne.

« La limite (faiblesse) principale du test RT-PCR, dans la situation pandémique actuelle, est son extrême sensibilité (faux positif) si on ne choisit pas un seuil de positivité (Ct) adapté. Aujourd’hui, des experts préconisent d’utiliser un seuil Ct maximal à 30 ».

« Ce seuil Ct doit être renseigné avec le résultat RT-PCR positif afin que le médecin sache comment interpréter ce résultat positif, surtout chez une personne asymptomatique, afin d’éviter des isolements, quarantaines, traumatismes psychologiques inutiles ».

« Outre la mention du Ct utilisé, les laboratoires doivent continuer de garantir la spécificité de leurs kits de détection au SRAS-CoV-2, en tenant compte de ses mutations les plus récentes, et doivent continuer d’utiliser trois gènes du génome viral étudié comme amorces ou, sinon, le mentionner. »

La société de microbiologie insiste sur une évidence oubliée pendant les derniers mois, l’IMPORTANCE DE LA CLINIQUE !

« Comme tout résultat biologique, l’interprétation qui doit en être faite pour estimer le risque infectieux doit prendre en compte divers paramètres tels que :
– La symptomatologie présentée par le patient puisque la toux et les éternuements sont les symptômes majoritairement associés à un risque d’aérosolisation dans l’environnement
– La date de début des signes cliniques pour les patients symptomatiques
– Le statut immunitaire individuel et la présence de comorbidités
– Les conditions environnementales de l’individu (entourage familial, vie en collectivité, situation d’hospitalisation, prise en charge en EHPAD…) »[22]

COMMENT LES TESTS POSITIFS SIGNALÉS CHAQUE SOIR À LA TÉLÉVISION PEUVENT-ILS AVOIR BÉNÉFICIÉ DE CETTE PROCÉDURE MÉDICALE NORMALE devenue exceptionnelle ?

« il convient de limiter au maximum les analyses de RT-PCR SARS-CoV-2 itératives chez les individus ne présentant pas de formes graves et de privilégier les stratégies de levée d’isolement selon une approche clinique prenant en compte les délais de précautions recommandées.

Ainsi, les réanalyses doivent être considérées au cas par cas et uniquement si la situation clinique l’exige (immunodépression profonde, nouveaux symptômes respiratoires quel que soit le résultat du bilan de sérologie anti-SARS-CoV-2, en cas de bilan pré hospitalisation/admission en structure collective si jugé nécessaire) »

Pourquoi avoir autorisé les gens à s’auto-prescrire à répétition de surcroît les tests gratuits (payés par nos cotisations) sans aucune régulation médicale ?

L’avis récent de l’OMS déconseille les tests PCR à l’aveugle

Mais cela continue en France et le ministre prévoit un million de tests chez les jeunes qui ne sont presque jamais malades (et jamais gravement), ne contaminent personne, ni les autres enfants ni les adultes. C’est inadmissible.

Le document du 7 décembre 2020, publié le 14 décembre, par l’Organisation Mondiale de la Santé, confirme que les tests utilisés pendant toute la période de médiatisation à outrance 24 h/24 h (presque toute l’année 2020 jusqu’à la date de cette notice — WHO-identifier 2020/5 version 1) au moins, sont non conformes pour la détection du SARS-CoV-2.

Rappelons-nous les solides études précitées, ainsi que les mises en garde de l’inventeur du PCR. : 97 % de faux positifs publiés comme positifs au public et souvent comme « malades » ont été utilisées — en France et dans le monde —, pour la définition de la politique de santé nationale et internationale, pour confiner, limiter et ruiner la santé, la vie sociale et économique des habitants de la France et d’une grande partie des pays de la planète.

La complicité de la presque totalité des médias avec le pouvoir politicofinancier, est évidente et leur responsabilité considérable, car tous les textes cités ici sont publics et disponibles facilement. Le ministre qui soi-disant soigne son dossier pénal ne se rend-il pas compte qu’il aggrave son cas à chaque décision antiscientifique, comme celle de tester un million de jeunes, et de mettre sur le marché des « vaccins géniques » très insuffisamment testés en particulier chez les pensionnaires d ’Ehpad alors que l’explosion des contaminations et de la mortalité depuis la vaccination en Israël et en Grande-Bretagne justifie au contraire de temporiser ?

La très tardive notice de l’OMS de décembre 2020 et rappelée le 13 janvier 2021 précise :

« Les utilisateurs de réactifs RT-PCR doivent lire attentivement la notice d’utilisation pour déterminer si un ajustement manuel du seuil de positivité de la PCR est nécessaire pour tenir compte de tout bruit de fond pouvant conduire à ce qu’un échantillon avec une valeur de seuil de cycle élevé (Ct) soit interprété comme un résultat positif.

Le principe de conception de la RT-PCR signifie que pour les patients présentant des niveaux élevés de virus en circulation (charge virale), relativement peu de cycles seront nécessaires pour détecter le virus et donc la valeur Ct sera faible.

Inversement, lorsque les échantillons renvoient une valeur Ct élevée, cela signifie que de nombreux cycles ont été nécessaires pour détecter le virus. Dans certaines circonstances, la distinction entre le bruit de fond et la présence réelle du virus cible est difficile à établir. »

Le vent tournerait-il ?

En conclusion, nous rappellerons que de nombreuses procédures[23] sont par le monde contre l’usage fallacieux du test PCR de Drosten et que chaque personne soumise autoritairement à ce test peut se retourner vers les tribunaux indépendants afin d’obtenir réparation de la part de l’autorité qui lui a imposé le test. Souhaitons que les dirigeants prennent conscience de leur responsabilité. Le statut d’intouchable n’existe pas. Même certains capos nazis ont été condamnés à Nuremberg.

Le procès de Nuremberg du Covid est en gestation. Ils feraient bien d’y réfléchir au lieu de foncer dans le mur. Les gens se réveillent.

Les voyageurs devraient se rebeller contre ces mesures liberticides injustifiées concourant à la mise en scène d’une pseudo-pandémie pour transformer des peuples libres en esclaves du métro-boulot-dodo dépourvus de pensée libre et donc de culture, histoire, etc.


Notes

[1] Étude du Lancet de Fauci disant que l’hydroxychloroquine est efficace

[2] Lire le livre de Klaus Schwab sur covid et grande réinitialisation disponible sur internet

[3] En particulier à l’extérieur alors que la seule étude randomisée sur le sujet (Danmask 19) a démontré que le port du masque à l’extérieur ne diminuait pas le risque de contamination

[4] Nicolas Dugré – Masks for prevention of viral respiratory infections among health care workers and the public PEER umbrella systematic review Vol 66: JULY | JUILLET 2020 Le Médecin de famille canadien https://www.researchgate.net/publication/343047403_Masks_for_prevention_of_viral_respiratory_infections_among_health_care_workers_and_the_public_PEER_umbrella_systematic_review

[5] Dr François Pesty « Bas les masques : une efficacité trop incertaine » France Soir du 21/7/2020

[6] L’élastique des masques chirurgicaux peut-il stimuler la protrusion d’oreille chez les enfants ? Plast Surg esthétique 2020 octobre ; 44 (5) : 1947-1950.doi : 10.1007/s00266-020-01833-9. En ligne du 18 juin 2020.

[7] Dr Nicole Delépine MASQUE CHEZ LES ENFANTS ET ADOLESCENTS : MALTRAITANCE SANS FONDEMENT SCIENTIFIQUE
Économie Matin 14/11/2020 12438 180

[8] Le coût actuel des tests s’élèverait à plus de 3 milliards d’euros après actualisation des données publiées par l’express Le vrai coût des tests Covid : une facture à 2,8 milliards d’euros pour l’assurance maladie 14/1/21

[9] Dr Gérard Delépine Les bien-portants, dits « asymptomatiques », ne transmettent pas le Covid19 : étude chinoise sur 10 millions de personnes ! France soir https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/les-bien-portants-dits-asymptomatiques-ne-transmettent-pas-le-covid19-etude

[10] Andrew N. Cohen False positives in reverse transcription PCR testing for SARS-CoV-2 May 2020 medRxiv preprint https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2020.04.26.20080911v1.full.pdf

[11] Rita Jaafar Corrélation entre 3790 échantillons positifs de réaction en chaîne de polymérase quantitative et cultures de cellules positives, y compris 1941 isolats de coronavirus 2 du syndrome respiratoire aigu sévère « On constate qu’à Ct = 25, jusqu’à 70 % des patients sont positifs en culture et à Ct = 30 cette valeur tombe à 20 %. Notons que même à Ct = 35, valeur utilisée pour signaler un résultat positif pour la PCR, moins de < 3 % des personnes testées positives au PCR ont des cultures positives ».

[12] Elena Surkova False-positive COVID-19 results : hidden problems and costs September 29, 2020
https://doi.org/10.1016/S2213-2600(20)30453-7

[13] Téléconférence du 8 juin de Maria Van Kerkhove

[14] Shiyi Cao, Yong Gan, Chao Wang, Max Bachmann, Shanbo Wei, Jie Gong, Yuchai Huang, Tiantian Wang, Liqing Li, Kai Lu, Heng Jiang, Yanhong Gong, Hongbin Xu, Xin Shen, Qingfeng Tian, Chuanzhu Lv, Chanson de Fujian, Xiaoxv Yin & Zuxun Lu Post-lockdown SARS-CoV-2 nucleic acid screening in nearly ten million residents of Wuhan, China Nature Communications volume 11, Article number: 5917 (2020) : https://www.nature.com/articles/s41467-020-19802-w

[15] Acté le 11 octobre par la cour d’appel de Lisbonne (Margarida Ramos de Almeida Ana Paramés) ordonnant à ce motif la libération de touristes allemands mis en quarantaine sur la foi de tests PCR

[16] Christian Drosten : l’heure des comptes ? (francesoir.fr)

[17] « Vos déclarations de sept 2020 se rapportent-elles à celles du 7 mai 2020 (Coronavirus Update n ° 39, transcription p. 3), lorsque vous avez fait référence à une étude qui préconisait Ct = 25 comme “limite magique” ?

[18] Israël et la Grande-Bretagne ou les contaminations ont explosé depuis le début des vaccinations

[19] Tests PCR condamnés en justice, mais toujours imposés à répétition aux hospitalisés et aux soignants ! — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca)

[20] D’après le rapport très détaillé de German Sarlangue avec totalité des références : adoratio : Dossier RT-PCR (adoratioiesuchristi.blogspot.com)

[21] SOCIÉTÉ FRANÇAISE DE MICROBIOLOGIE (SFM) « Avis du 25 septembre 2020 de la Société Française de Microbiologie (SFM) relatif à l’interprétation de la valeur de Ct (estimation de la charge virale) obtenue en cas de RT-PCR SARS-CoV-2 positive sur les prélèvements cliniques réalisés à des fins diagnostiques ou de dépistage » Version 1 25/09/2020.
https://www.sfm-microbiologie.org/wp-content/uploads/2020/09/Avis-SFM-valeur-Ct-excr%C3%A9tion-virale-_-Version-Finale-25092020.pdf

[22] actuellement mi-janvier, les résultats PCR rendus au patient ne mentionnent pas systématiquement le nombre de Ct

[23] Procédure nationale canadienne contre l’OMS et ses alliés (francesoir.fr)

« Le test PCR va au tribunal » : au Portugal, mais aussi en Allemagne et dans de nombreux pays (francesoir.fr)

Vers le faire part de décès des tests PCR (francesoir.fr)

http://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/les-implications-capitales-de-la-jurisprudence-portugaise-concernant-les-tests-pcr

RAPPORT-DICTATURE-2020.pdf

Procédures internationales en cours sur le TEST PCR contre fabricants et politiques — Docteur Nicole Delépine (nicoledelepine.fr)




L’Absurdistan, dans un commerce près de chez vous

Par NATHALIE ELGRABLY-LÉVY

[Source : Journal de Montréal]

La pandémie exige que l’on repense le fonctionnement de la société. On comprend le port du masque, la distanciation et le télétravail. La logique derrière l’interdiction d’ouvrir les cinémas, alors que l’on peut prendre un avion bondé est déjà beaucoup moins évidente. Mais il suffit d’une visite dans une pharmacie ou une grande surface pour se sentir téléporté en Absurdistan.

Subjectif

Dans son arsenal anti-COVID, Québec a savamment élaboré une liste des produits « essentiels » que nous pouvons acheter. Le hic, c’est que l’égalitarisme des besoins et des préférences n’existe pas. L’essentiel étant invariablement subjectif, vouloir en délimiter les pourtours relève de l’interprétation arbitraire de la liste. 

Ainsi, Québec insiste pour garder les écoles ouvertes. Mais il est impossible d’acheter des crayons, du papier d’imprimante ou un agenda dans une pharmacie. 

On peut se procurer un sac de chips, mais non un livre. Il semblerait que les calories vides soient plus essentielles que la nourriture de l’esprit.

On peut acheter des contenants en plastique, mais non des contenants similaires en verre, même s’ils sont disposés sur la même tablette. 

On peut acheter du café, mais non une cafetière. Une boîte de thon, mais non des mitaines pour le four. De l’écran solaire, mais non des chaussettes. Des assiettes en carton blanc, mais non d’une autre couleur. Une crème antirides, mais non du fil à coudre. Des chandelles parfumées, mais non des cartes de vœux. 

Certes, on peut tout commander en ligne. Mais entre les frais de livraison, les délais imposés et les prix quelquefois supérieurs, les consommateurs se trouvent souvent perdants.  

Confiance

Dans sa lutte contre la COVID, l’État nous demande de lui faire aveuglément confiance et de respecter toutes ses consignes. Soit ! Mais ce serait tellement plus facile si, de son côté, il inspirait la confiance et la crédibilité avec des mesures logiques et cohérentes !




Le dossier (tenu secret) Christian Drosten

[Source : kla.tv]

Le Pr. Christian Drosten, virologue allemand, est LE visage de la crise actuelle du coronavirus ! L’hebdomadaire Stern en a même fait sa une en mars 2020 : « Le coronavirus a fait du virologue Christian Drosten l’homme le plus recherché de la République. Et une star. »

Car c’est Christian Drosten qui, en janvier 2020, a mis au point le test PCR du coronavirus, qui sert désormais de méthode standard pour détecter le virus de la covid-19 dans le monde entier. En tant que directeur de l’institut de la Charité de Berlin, il est un conseiller très influent du gouvernement allemand et a participé en tant qu’expert à de nombreuses conférences de presse gouvernementales. Ainsi, par ses analyses, il a également influencé de manière significative des décisions politiques de grande envergure, telles que le port obligatoire de masques, la suspension des cours réguliers à l’école ou la fermeture de tout le secteur de la restauration.

Parmi une série de décorations, on peut citer l’attribution de la Croix fédérale du mérite avec ruban en 2005 et de la Croix fédérale du mérite de 1ère classe en 2020.

Dans cette émission, cependant, un dossier en quatre parties doit maintenant être ouvert, qui montre un visage complètement différent de Christian Drosten et met en lumière des arrière-plans peu connus mais lourd de conséquences :

« Le dossier Drosten » Partie 1 : Christian Drosten et ses faux pronostics

En raison de la multitude des plus hautes distinctions, on devrait s’attendre à ce que ses analyses et pronostics se réalisent dans chaque cas. Voici juste deux exemples de ses pronostics toujours inquiétants comparés à l’évolution réelle :

Prévision 1 : 2003 / SRAS

« Si l’épidémie ne peut pas être endiguée dans un avenir proche, il pourrait y avoir de nouveaux cas répétés de SRAS. […] Si des épidémies de ces maladies pulmonaires devaient se produire régulièrement dans certains pays, cela pourrait avoir de graves conséquences pour leur économie. On ne peut s’attendre à un vaccin efficace avant au moins un ou deux ans. »
Évolution réelle :
selon l’OMS, depuis le début de l’épidémie dite de SRAS en 2003, il n’y a eu que 8 096 cas de SRAS dans le monde avec 774 décès ; en Allemagne, 9 cas au total et pas un seul décès.

Prévisions 2 : 2009 / Grippe porcine

« La maladie est une infection virale générale grave, avec des effets secondaires beaucoup plus graves que ce qu’on peut imaginer du pire vaccin. »

Bien qu’il n’y ait pas d’informations fiables sur le nombre de cas, M. Drosten a exhorté les gens à se faire vacciner contre la grippe porcine.
Développement réel :
L’épidémie prévue ne s’est jamais produite. Néanmoins, les vaccins ont été commandés par les gouvernements occidentaux pour un coût de plusieurs centaines de millions d’euros, mais la grande majorité de la population les a rejetés malgré la recommandation urgente de Drosten. En outre, les vaccins ont causé des dommages bien plus graves que la grippe porcine elle-même.

Conclusion :

Les pronostics effrayants de Drosten, qui visaient toujours la « solution standard de la vaccination », se sont révélés être de mauvaises estimations fatales, qui ont entraîné des dommages économiques gigantesques.
Comment est-il possible que Drosten, avec ses pronostics d’horreur répétés, continue d’apparaître crédible comme LE conseiller du gouvernement ?

« Le dossier Drosten » Partie 2 : Christian Drosten et son doctorat

Christian Drosten est probablement devenu le scientifique le plus célèbre d’Allemagne en raison de la crise du coronavirus mais sa thèse de doctorat a également suscité de plus en plus de questions.
D’étranges incohérences ont été mises en évidence :

  • 1ère incohérence :
    Drosten aurait reçu son doctorat de l’université Goethe de Francfort en 2003. Cependant, la bibliothèque de l’université de Francfort n’a pas été en mesure de fournir un seul exemplaire de sa thèse de doctorat.
  • 2ème incohérence :
    Interrogé par Markus Kühbacher, un chercheur spécialisé dans la fraude académique, le porte-parole de l’université a déclaré que les copies avaient été endommagées lors de dégâts des eaux. Selon M. Kühbacher, le porte-parole de la presse a dû admettre par la suite qu’il lui avait « communiqué de fausses affirmations factuelles concernant la thèse de M. Drosten ». La Bibliothèque nationale allemande ne disposait pas non plus d’un seul exemplaire avant 2020. C’est normalement obligatoire pour les thèses de doctorat.
  • 3ème incohérence :
    Il est également très étrange que dans le catalogue de la Bibliothèque nationale allemande – dans lequel toutes les publications universitaires doivent être répertoriées – aucune entrée ne soit trouvée pour Christian Drosten pour les années 2000-2003.
  • 4ème incohérence :
    Le 15 octobre 2020, l’université Goethe de Francfort-sur-le-Main a publié une déclaration de rectification concernant les « fausses allégations concernant la procédure de doctorat du Pr.Christian Drosten ». Elle indique que M. Drosten est autorisé à utiliser le titre de Docteur en médecine depuis le 4 septembre 2003.

C’est très surprenant, car dans un document de l’OMS, il est déjà mentionné comme docteur en avril 2003, soit cinq mois plus tôt.
Cette incohérence et de nombreuses autres ont amené l’avocat Reiner Füllmich à qualifier Drosten de « capitaine de Köpenik » (prononcer queu peunik) (un imposteur allemand du 19ème siècle) dans la commission d’enquête extra-parlementaire sur le coronavirus.

Le 2 décembre 2020, Markus Kühbacher a déposé une plainte auprès du tribunal régional de Stuttgart concernant le « dépôt de copies de la thèse de M. Drosten et leur conservation prétendument trop humide ». Cette affaire pourrait mettre en lumière d’autres incohérences juteuses.
Pour Drosten, cela pourrait cependant devenir encore plus désagréable, car une première demande de dommages-intérêts contre lui a été déposée par l’avocat Füllmich au nom de l’un de ses mandants qui a subi des dommages par suite des mesures coronavirus. Une action collective aux États-Unis est en préparation.

En fin de compte, il ne s’agit pas du doctorat de Christian Drosten., mais de la question de sa crédibilité. Pourquoi s’est-il obstiné à garder le silence pendant des mois et n’a-t-il pas clarifié sans réserve ces graves allégations ? Ce n’est certainement pas bon pour sa crédibilité !

« Le dossier Drosten » Partie 3 : Christian Drosten et son test PCR Covid-19

Le test PCR Covid-19 pour la détection du coronavirus, développé par Drosten en janvier 2020 à une vitesse foudroyante, est « le test de l’année » ! Les résultats de ces tests sont la légitimation pour les gouvernements nationaux du monde entier d’appliquer aux citoyens des restrictions massives des droits fondamentaux !

Pas plus tard qu’en 2014, M. Drosten a déclaré à propos de cette méthode de test PCR, « la méthode est si sensible qu’elle peut détecter une seule molécule héréditaire de ce virus. Si un tel agent pathogène, par exemple, traverse la muqueuse nasale d’une infirmière pendant une journée sans qu’elle tombe malade ou remarque quoi que ce soit d’autre, elle est soudainement un cas MERS. Là où auparavant des personnes étaient déclarées comme étant mortellement malades, maintenant des cas bénins et des personnes qui sont en fait en parfaite santé sont soudainement inclus dans les statistiques de déclaration. Cela pourrait également expliquer l’explosion du nombre de cas en Arabie Saoudite. Ajoutez à cela le fait que les médias locaux ont mis de l’huile sur le feu dans cette affaire. »
Cette citation de Drosten ne reflète-t-elle pas fidèlement la situation actuelle du coronavirus ?

« Les statistiques des rapports incluent soudainement des personnes en parfaite santé et les déforment ! »
« Explosion du nombre de cas ! »
« Les médias mettent de l’huile sur le feu dans cette affaire au-delà de toute croyance ! »

Drosten a-t-il choisi cette méthode PCR avec calcul pour déclencher une « pandémie de tests » ?

Un récent document de recherche scientifique rédigé par 22 scientifiques de haut niveau confirme ce soupçon, car ils nient le fondement scientifique de l’étude Drosten, qui a servi de base à l’introduction du test par l’OMS.
Les premières décisions de justice confirment également le caractère non scientifique de l’étude de Drosten et de son test Covid-19 !

Avec son étude non scientifique et son test PCR Covid-19 inapproprié basé sur celle-ci, un seul homme a piloté de manière significative l’ensemble du scénario du coronavirus : Christian Drosten ! Non seulement lui, mais aussi son test développé s’avère peu plausible après un examen plus approfondi !

« Le dossier Drosten » Partie 4 : Christian Drosten et ses multiples conflits d’intérêt

Un critère décisif pour la crédibilité des scientifiques est leur neutralité et leur impartialité !

1 : la neutralité et l’impartialité de Drosten sont-elles possibles – compte tenu de son lien avec Olfert Landt ?

Olfert Landt est l’un des coauteurs habituels des études de Drosten, dont l’actuelle étude sur le coronavirus. Il est également propriétaire de la société de biotechnologie berlinoise TIB Molbiol Syntheselabor GmbH, qui produit des tests PCR Covid-19. Drosten et Landt ont apparemment découvert un « modèle économique » de réussite : dans le cas des pandémies et des épidémies virales les plus divers, ils développent conjointement le test PCR pour ces dernières : c’était déjà le cas en 2002/2003 pour le SRAS, en 2011 pour l’EHEC, en 2012 pour le MERS, en 2016 pour le virus Zika, en 2017 pour la fièvre jaune. Toujours le même schéma, auquel ils ont de nouveau eu recours maintenant pour le coronavirus. Landt l’a également admis dans le « Berliner Zeitung » : « Le test, la conception, le développement, sont venus de la Charité. Nous l’avons immédiatement converti en format kit. Et si vous n’avez pas ce virus, qui n’était initialement disponible qu’à Wuhan, nous pouvons produire un gène synthétique pour simuler le génome du virus. Nous l’avons fait très rapidement. » Au tout début de la crise du coronavirus, Landt et sa société de biotechnologie basée à Berlin produisaient des kits de test Covid-19 à raison de 1 500 000 tests par semaine, et en février, ils avaient déjà triplé leurs ventes.

À l’heure actuelle, il est probable qu’il ait tiré des profits gigantesques de ces tests. On peut douter qu’Olfert Landt remporte tous les succès économiques ici, ne laissant à Drosten que la renommée.
Indépendamment de combien Drosten a tiré d’avantages personnels, la question se pose de savoir comment il est possible que des développements soient menés à bien avec des fonds publics et que des entreprises privées en profitent ensuite à ce point ?

2 : la neutralité et l’impartialité de Drosten sont-elles possibles – compte tenu de ses liens avec l’industrie pharmaceutique ?

Drosten a reçu, entre autres choses :

  • le « Prix d’encouragement pour l’infectiologie clinique », parrainé par Aventis Deutschland Pharma GmbH et doté de 5 000 euros,
  • le « Prix de la société européenne pour la virologie clinique » de la société pharmaceutique américaine Abbott Laboratories, doté de 2 500 euros et assorti d’autres privilèges intéressants pour le lauréat, et
  • actuellement via la Charité Berlin, dont Drosten est le directeur de l’institut, en décembre 2019 et mars 2020 environ 335 000 dollars de la Fondation Bill et Melinda Gates. Cette fondation n’est en aucun cas altruiste, mais elle est connue pour sa proximité avec l’industrie des vaccins.

Les prix et les subventions créent-ils des conflits d’intérêts pour M. Drosten, ce qui l’a amené par le passé à toujours promouvoir la vaccination comme solution ?
La crise actuelle du coronavirus semble également confirmer cette suspicion, car Drosten lui-même ne craint pas de violer illégalement le code de conduite professionnel de l’association médicale de l’État en recommandant certains fabricants de vaccins.
Par conséquent, les déclarations et les études de Drosten ne doivent-elles pas être complètement réévaluées sous l’angle de la partialité ? Qui pourrait croire un scientifique qui promeut le tabagisme comme étant inoffensif et qui reçoit en même temps des prix et des fonds de l’industrie du tabac ?

CONCLUSIONS :

Des mauvais pronostics fatals, de nombreuses incohérences inexpliquées concernant sa thèse de doctorat, un « test PCR Covid-19 » développé à la hâte et présentant des erreurs scientifiques fondamentales, et un bourbier insoupçonné d’embrouilles financières, privent Christian Drosten de toute crédibilité !

Si le personnage central de la crise du coronavirus s’avère être indigne de confiance après un examen plus approfondi, cela soulève de sérieuses questions :

  • Sur la base de ce fondement non scientifique, l’événement du coronavirus dans son ensemble, avec la menace inévitable d’un effondrement économique et financier de nations entières, ne doit-il pas enfin être analysé pour reconnaître les tireurs de ficelles et les profiteurs en arrière-plan ?
  • Se pourrait-il donc que tout cela mène à une prise de pouvoir mise en scène et même à la mise en place d’une surveillance numérique de peuples entiers sous prétexte de lutter contre une pandémie ?
  • Pourquoi est-ce que les médias de masse, qui sont chargés de faire des reportages critiques, ne dévoilent pas le « dossier Drosten », mais le gardent même secret ?

Chers téléspectateurs,
Pensez-vous aussi que ces faits doivent être connus de tous ? Si oui, aidez à faire connaître le « dossier Drosten » sans tarder.
Seul un mouvement populaire peut garantir que le silence des médias monopolistiques mis au pas soit brisé et qu’un débat public ait lieu !
Vous pouvez y contribuer, en rendant publics ces faits cachés ! Diffusez donc cette vidéo révélatrice ! Informez le plus grand nombre possible de vos connaissances par mail, via WhatsApp, Twitter, Vimeo ou publiez la vidéo sur Facebook.


[Voir aussi : Christian Drosten : l’heure des comptes ?]




Q-Anon a une ressemblance frappante avec la psy-op bolchevique des années 1920 connue sous le nom d’opération Trust

[Source en anglais : Information Liberation]

Par Chris Menahan

« L’Opération Trust » [Opération Confiance] était une opération de contre-espionnage bolchevique menée de 1921 à 1926 visant à neutraliser l’opposition en créant la fausse impression qu’un groupe puissant de chefs militaires s’était organisé pour arrêter la prise de contrôle des communistes.

Voici un extrait sur l’opération « Trust » des pages 13-14 du livre du transfuge soviétique Anatoliy Golitsyn, « New Lies for Old » [Nouveaux mensonges pour vieux] :

L’un des aspects les plus troublants du canular de pacification de la base Trump en ligne «Qanon» est que, bien qu’il prétende combattre «l’État profond» (complexe de sécurité permanent), il favorise la restitution d’Edward Snowden et le changement de régime de la CIA en Iran.

Libérez l’Iran !!! [de son régime politique]
Combattez
Combattez
Combattez
Changement de régime.
Le peuple a le pouvoir.
Nous nous tenons debout avec vous.
Q

Extrait de l’article de Wikipedia sur Operation Trust :

L’opération Trust était une opération de contre-espionnage de la Direction politique de l’État (GPU) de l’Union soviétique. L’opération, qui a été mise en place par la Cheka (prédécesseur du GPU), s’est déroulée de 1921 à 1926. Elle a mis en place une fausse organisation de résistance anti-bolchevique, « l’Union monarchiste de Russie centrale » (MUCR), afin d’aider l’OGPU à identifier les vrais monarchistes et anti- Bolcheviks. La société écran créée s’appelait l’Association de crédit municipal de Moscou.

[…] Le seul historien occidental qui avait un accès limité aux fichiers du Trust, John Costello, a rapporté qu’ils comprenaient trente-sept volumes et étaient tellement déconcertants d’agents doubles, de changement de nom de code et d’opérations de tromperie imbriquées ayant « la complexité d’une partition symphonique », que les historiens russes des services de renseignement avaient du mal à séparer le fait du fantasme.

Cela ressemble au non-sens de style Confucius présenté par Q-Anon.

Le général Flynn est-il notre général Brusliv?

Q-Anon a fait en sorte que les partisans de Trump qui avaient raison d’être en colère contre la nature criminelle de notre classe dirigeante se leurrent avec des fantasmes selon lesquels les «chapeaux blancs» dans l’armée allaient nous sauver, pendant que le procureur général William Barr était occupé à dissimuler le Jeffrey Epstein et que l’administration Kushner était occupée à gracier les fraudeurs qui avaient fait un don à l’Institut Aleph et à libérer le traître Jonathan Pollard de la libération conditionnelle pour «faire son alyah» en Israël.

Tout comme l’opposition a été dénoncée et arrêtée par l’Opération Trust, des dizaines potentiellement de Q-Anoners ont été dénoncés et arrêtés à la suite de la marche sur le Capitole.

Beaucoup de néoconservateurs de notre gouvernement sont les descendants littéraux des trotskistes, il n’est donc pas hors de question qu’ils feraient le même tour deux fois.

Cette opération Q-Anon a eu un certain retour de flamme — Ashli Babbitt, vétéran de l’armée de l’air, croyante Q, a été horriblement exécutée de sang-froid par un officier de police du Capitole et transformée en martyr — mais le mouvement a fait jeter des tonnes de partisans de Trump en prison et les a étiquetés terroristes nationaux.

L’administration Biden complote maintenant pour utiliser les événements du 6 janvier pour justifier la loi PATRIOT 2.0, qui vise à criminaliser toute dissidence en tant que terrorisme domestique.

Leur révolution néo-bolchevique est presque terminée.

On n’a pas besoin de «fuites anonymes» de la part «d’officiers secrets du renseignement militaire» pour être témoin de la trahison conspiratrice que notre gouvernement est en train de commettre au grand jour !




Après l’URSS, les USA s’effondrent

[Source : Réseau Voltaire]

[Photo : La petite camarilla qui s’est approprié les USA a censuré le président en exercice, Donald Trump. Ici l’homme le plus riche du monde, Jeff Bezos, propriétaire d’Amazon, de Blue Origin et du « Washington Post ».]

Par Thierry Meyssan — 19 janvier 2021

Tout a une fin, les empires aussi, celui des États-Unis comme celui de l’Union soviétique. Washington a outrageusement favorisé une petite camarilla d’ultra-milliardaires. Il doit désormais affronter ses vieux démons, se préparer aux sécessions et à la Guerre civile.

Chacun des deux camps qui s’affrontent aux États-Unis, les Jacksoniens et les Néopuritains, souhaite en finir avec l’autre. Les premiers parlent d’insurrection, tandis que les seconds souhaitent la répression, mais tous se préparent à l’affrontement. Au point que les deux tiers des citoyens se préparent à la Guerre civile.

Le point de vue jacksonien

Les Jacksoniens tiennent leur nom du président Andrew Jackson qui, avant la guerre de Sécession, s’opposa à la création de la Federal Reserve (banque centrale indépendante). Ils ont disparu de la vie politique durant un siècle jusqu’à l’élection de l’un d’entre eux, Donald Trump, à la Maison-Blanche. Avant toute chose, ils s’opposent aux liens incestueux des banques privées et de la banque centrale US, éditrice du dollar.

Dans de nombreux États fédérés, les fonctionnaires chargés du dépouillement du scrutin présidentiel du 3 novembre 2020 ont reçu instruction d’expulser les observateurs et d’obturer des fenêtres de leurs bureaux. Ce faisant, ils ont privé le résultat —quel qu’il soit— de toute légitimité démocratique.

Le problème n’est pas de savoir qui a été élu, mais ce qu’il convient de faire alors que le pacte national a été rompu.

Selon le Second amendement à la Constitution US, les citoyens ont le devoir de s’armer et de s’organiser en milices pour défendre la liberté de leur État lorsqu’elle est menacée.

Cet amendement fait partie de la « Déclaration des Droits » (Bill of Rights) dont l’adoption fut la condition non-négociable pour que les citoyens qui s’étaient battus pour l’indépendance acceptent la Constitution rédigée par la Convention de Philadelphie. Il implique que tout citoyen puisse posséder des armes de guerre, quelles qu’elles soient, et a rendu possible les massacres à répétition qui ont endeuillé la société états-unienne. Cependant, malgré le prix humain de ces crimes, il a toujours été maintenu car essentiel à l’équilibre du système politique US.

Précisément, selon 39 % des citoyens US, recourir aux armes contre des autorités corrompues n’est pas une option, c’est un devoir. Selon 17 % des citoyens, le moment d’agir est venu [1].

Des groupes armés se préparent à manifester dans chaque État fédéré à l’occasion de l’intronisation de Joe Biden à Washington, le 20 janvier 2021. Le FBI craint de graves émeutes dans 17 d’entre eux.

On peut prendre ces faits dans tous les sens et accuser les insurgés —extrêmement divers— d’être tous des « conspirationnistes » ou des « néo-nazis » ou les deux à la fois. Il n’en reste pas moins que leur révolte est la seule attitude légitime au regard de l’histoire et du droit états-uniens.

On peut relier cette révolte à la bizarre et éphémère prise du Capitole le 6 janvier dernier. Il n’en reste pas moins que les deux évènements ne sont pas liés. Il ne s’agit aucunement de renverser le Pouvoir législatif, mais bien de neutraliser l’ensemble de la classe politique et de procéder à de nouvelles élections, transparentes cette fois.

Les citoyens qui protestent contre le « vol du système électoral » sont principalement des électeurs de Donald Trump, mais pas seulement. Il ne s’agit pas de récriminations des supporters de Donald Trump parce qu’il a été déclaré battu, mais d’un problème de fond sur la nécessaire transparence en démocratie.

L’opacité du dépouillement du scrutin présidentiel a déchaîné les passions, déjà tourmentées depuis la crise financière de 2007-10. La majorité de la population n’acceptait pas le plan de sauvetage des banques de 787 milliards de dollars proposé par le président Barack Obama (s’ajoutant aux 422 milliards de dollars de rachat des prêts toxiques par le président George W. Bush). À l’époque des millions de citoyens déclarant être « déjà suffisamment imposés » (Taxed Enough Already) avaient fondé les TEA Party, en référence à la Boston Tea Party qui ouvrit la guerre d’Indépendance. Ce mouvement contre de lourds impôts visant exclusivement à sauver des ultra-milliardaires se développa aussi bien à droite puis à gauche comme en témoignent les campagnes de la gouverneure Sarah Palin (Républicaine) et celle du sénateur Bernie Sanders (Démocrate).

Le déclassement massif des petits bourgeois imputable aux conséquences des délocalisations conduit désormais 79 % des citoyens US à affirmer que l’« Amérique s’effondre » ; une proportion de désabusés sans équivalent en Europe, hormis chez les « Gilets jaunes » français.

Il est évidemment fort peu probable que si des émeutes éclataient le 20 janvier, elle se transformeraient en révolution. Mais ce mouvement se fraie une place parmi la population depuis une dizaine d’années maintenant. Il dispose de suffisamment de partisans, dans tout le spectre politique, pour engager la bataille et pour durer.

Le point de vue néopuritain

À l’opposé des Jacksoniens, les groupes qui se déchaînent contre le président toujours en exercice Donald Trump sont tout aussi sûrs de leur bon droit. Comme le lord protecteur Oliver Cromwell, ils se réclament d’une morale supérieure à la Loi ; mais à la différence du républicain anglais, ils n’utilisent pas de références religieuses. Ce sont des calvinistes sans Dieu.

Ils entendent créer une Nation pour tous, non pas avec leurs adversaires, mais en excluant tous ceux qui ne pensent pas comme eux. Aussi se réjouissent-ils des décisions de Twitter, Facebook, Instagram, Snapchat et Twitch de censurer ceux qui contestent la régularité de l’élection. Il n’importe pas pour eux que ces multinationales s’arrogent un pouvoir politique contrevenant à l’esprit du Premier amendement de la Constitution puisqu’elles partagent la même conception de la Pureté qu’eux : la liberté d’expression ne s’applique ni aux hérétiques, ni aux trumpistes.

Emportés par leur zèle, ils récrivent l’histoire de cette Nation, « lumière sur la colline », venue éclairer le monde. Ils font disparaître toute conscience de classe et magnifient toutes les minorités non pour ce qu’elles font, mais parce qu’elles sont minoritaires. Ils épurent les universités, pratiquent l’écriture inclusive, sacralisent la nature sauvage, distinguent l’information des fakenews, renversent des statues de grands hommes. Aujourd’hui, ils tentent de destituer le président Trump, non pas parce qu’il aurait organisé la prise du Capitole, mais parce qu’il est le champion de ceux qui l’ont pris. Aucun de ces hérétiques ne peut avoir de place au soleil.

Au XVIIème siècle, les Puritains pratiquaient des confessions publiques afin de pouvoir accéder à la vie éternelle. Au XXIème, leurs successeurs, les Néo-puritains, ne cessent de battre leur coulpe pour le « privilège blanc » dont ils croient avoir joui afin d’accéder à l’immortalité. Des ultra-milliardaires comme Jeff Bezos, Jack Dorsey, Bill Gates, Arthur Levinson, Sundar Pichai, Sheryl Sandberg, Eric Schmidt, John W. Thompson ou encore Mark Zuckerberg promeuvent une nouvelle idéologie posant la supériorité de l’homme numérique sur le reste de l’humanité. Ils espèrent vaincre les maladies et la mort.

Il y a longtemps que ces gens très rationnels ont abandonné la raison au point qu’il est désormais impossible, selon les deux tiers des états-uniens, de s’entendre avec eux sur des faits basiques. J’écris ici à propos des néopuritains, pas des trumpistes.

Leur fanatisme a déjà provoqué la Guerre civile anglaise, puis la guerre d’Indépendance états-unienne et la guerre de Sécession. La première crainte du président Richard Nixon était qu’elle ouvre une quatrième guerre qui déchirerait les USA. C’est bien là où nous en sommes.

Une partie du Pouvoir a déjà basculé des institutions démocratiques dans les mains de quelques ultra-milliardaires. Les États-Unis que nous avons connus n’existent plus. Leur agonie a commencé.

Thierry Meyssan


[Notes]

[1] Ipsos Poll : Game changers, January 13, 2021.




Ce que les Américains ont perdu : Trump expliqué par Rosine Ghawji

[Source : CIGPA International]

Intervention de Rosine Ghawji (USA) Fondatrice du comité « Donald Trump – France » et de « La coalition Americano-Russe pour Trump » et proche du Président Donald Trump. Intervention au colloque : « L’éventualité d’un rapprochement russo-américain et ses conséquences politiques et géopolitiques sur l’Europe et le Monde Arabe »
« La véritable personnalité du Président Donald Trump et son réel projet politique » organisé par le CIGPA et l’IDC à la Maison de la chimie le 25 mars 2017.




Est-ce dans ce monde-là que nous voulons vivre ?

Par Jean-Michel Grau

  • Un monde où chacun d’entre nous est parqué chez soi arbitrairement de 18 h à 6 h pour un couvre-feu que seule une guerre peut justifier ;
  • Un monde où l’on ne peut plus se réunir à plus de 6 personnes, y compris chez soi ;
  • Un monde où l’on n’a plus aucune vie sociale, où l’on est isolés, claquemuré comme du bétail ;
  • Un monde où l’on n’a même plus le droit à la moindre détente, car les restaurants, les bars et les discothèques ont tous fermé ;
  • Un monde où l’on ne peut plus faire aucun projet de vacances, car tous les établissements hôteliers et touristiques ont fermé et que l’on est tous à la merci d’un nouveau confinement ;
  • Un monde paranoïaque où toute opposition est bannie et qualifiée de complotiste ;
  • Un monde où l’on ne peut plus entretenir son corps et sa santé, car les salles de sports ont fermé ;
  • Un monde où l’on interdit de se soigner avec les traitements qui on fait leurs preuves contre le Covid, car ceux-ci sont désormais interdits ;
  • Un monde où des conseils d’experts gouvernementaux autoproclamés décident de nos vies, de notre avenir et de celui de nos enfants sans nous consulter ;
  • Un monde où ces mêmes « experts » décident qui va à l’école, qui n’y va pas, qui travaille, qui ne travaille pas, qui sort, qui ne sort pas, sur des bases totalement arbitraires et non scientifiques ;
  • Un monde où l’on doit s’autoriser à sortir uniquement pour des « raisons essentielles » en période de confinement avec un « ausweis » dûment rempli sous peine d’amende sévère ;
  • Un monde où l’on ne peut sortir de chez soi qu’avec une muselière imposée dès l’âge de 6 ans, et où même les bébés sont privés du sourire de leurs assistantes maternelles à la crèche ;
  • Un monde où il est programmé de tous nous piquer comme des poulets génétiquement modifiés pour mieux nous tracer et nous enfermer dans une peur permanente de la contamination ;
  • Un monde où l’on veut nous imposer un passeport vaccinal pour créer des Alpha + et des Beta -;
  • Un monde à deux vitesses où seuls ceux qui auront pris le risque de servir de cobayes aux labos pharmaceutiques pourront circuler et voyager librement ;
  • Un monde où toute vie festive aura disparu et où la majorité d’entre nous n’aura plus d’emploi, car jugés « non essentiels » pour la « nouvelle société » que les mondialistes nous préparent ;
  • Un monde où les seuls signes de reconnaissance qui nous restent sont les gestes-barrière ;
  • Un monde de cruauté que même les nazis les plus fanatiques n’auraient jamais osé imaginer.

Tout cela pour un virus dont la létalité est de 0,05 %…

Est-ce dans ce monde-là que nous voulons vivre ?

« Celui qui ne connaît pas la vérité n’est qu’un imbécile. Mais celui qui connaît la vérité et la qualifie de mensonge est un criminel. »

Bertold Brecht, La vie de Galilée

  • Il est grand temps de dire la vérité aux Français que tout a été prévu pour ruiner volontairement des pans entiers de l’économie occidentale en supprimant définitivement 75 % des restaurants indépendants par le renouvellement perpétuel des confinements jusqu’à la fin de l’année, comme prévu par le rapport Ferguson de l’Imperial College de Londres dont toutes les prédictions se sont révélées fausses (1), mais que le gouvernement suit à la lettre aveuglément.
  • Il est temps d’informer massivement les Français et d’abord tous ceux qui sont privés depuis bientôt un an de la liberté la plus élémentaire : celle de travailler, entraînant notre pays dans un désastre économique sans précédent : salariés du tourisme, de la culture, des sports et divertissements, de l’hôtellerie et de la restauration, des petits commerces, des PMI-PME, bref, tous les secteurs jugés non essentiels par l’oligarchie financière qui tient en main tous les rouages financiers, économiques, médiatiques et numériques mondiaux.
  • Il est temps de dévoiler aux Français que les raisons de ce cauchemar sanitaire n’ont rien à voir avec la propagande dont nous sommes abreuvés quotidiennement par le pouvoir et les médias, mais qu’il a été scrupuleusement planifié de A jusqu’à Z pour nous manipuler par la peur.
  • Il est temps de révéler que cette propagande mensongère n’a d’autre finalité que de réaliser le programme du Forum Économique Mondial. Il suffit de lire le livre « Covid-19 : la grande réinitialisation » de Klaus Schwab, le président fondateur du dit forum, où tout est décrit avec force détails, pour comprendre que la dictature sanitaire dans laquelle nous vivons aujourd’hui est le résultat d’une stratégie planifiée par Klaus Schwab et ses amis mondialistes à partir d’une pandémie prétexte pour mettre en œuvre le grand reset de l’économie mondiale. (2) À tel point qu’ils se sont même permis de faire une simulation de la pandémie du Covid 19 au forum de Davos en 2019 ! (3)

Ce programme délirant de Klaus Schwab dont la généralisation des vaccins géniques pour contenir, tracer et museler les populations par la peur menace directement la survie des démocraties, notre survie ! Tout est écrit par le menu dans le livre de Klaus Schwab : il suffit de le lire pour comprendre que le cauchemar que nous vivons aujourd’hui, confinés, muselés et bientôt piqués comme des poulets, n’est rien d’autre qu’une gigantesque prise d’otage.

C’est pourquoi il est absolument vital d’entrer dès maintenant en résistance pour éviter à tout prix qu’advienne cette gouvernance mondiale dont rêvent Klaus Schwab, Jacques Attali, Emmanuel Macron et quelques-uns de leurs amis mondialistes de la finance, des GAFAM et des médias.

Cette résistance a commencé dès la fin de l’année dernière : le Dr Drosten, le conseiller virologue d’Angela Merkel est poursuivi par la justice allemande pour avoir faussé le protocole des tests PCR qui a amené les gouvernements à prendre des décisions ravageuses de distanciations sociales, de port du masque obligatoire et de confinement. En effet, en préconisant des valeurs de réglage CT jusqu’à 45, les résultats des tests devenaient positifs, même avec des traces infimes de virus dans la plupart des cas, dans le but de continuer à alimenter la peur généralisée.

Aujourd’hui, c’est un deuxième tribunal de Nuremberg qui se prépare, avec la mise en place d’une « Class Action » sous l’égide de milliers d’avocats mondiaux derrière l’avocat américano-allemand Reiner Fuellmich qui poursuit le Dr Drosten en justice. À ce sujet, il est utile de rappeler que Reiner Fuellmich est l’avocat qui a réussi à condamner le géant de l’automobile Volkswagen dans l’affaire des pots catalytiques trafiqués. Et c’est le même avocat qui a réussi à condamner la Deutsche Bank comme entreprise criminelle.

« Le plus grand crime contre l’humanité jamais commis »

Reiner Fuellmich

Selon Reiner Fuellmich, toutes les fraudes des entreprises allemandes sont dérisoires comparées aux dommages que la crise du Covid19 a causé et continue de causer. Cette crise du Covid 19 doit être rebaptisée « Scandale du Covid 19 » et tous les responsables doivent être poursuivis pour dommages civils pour cause de manipulations et de programmes corrompus. C’est pourquoi, un réseau international d’avocats d’affaires plaidera la plus grande affaire de délits civils de tous les temps, le scandale de la fraude Covid 19 qui s’est entretemps transformé en plus grand crime contre l’humanité jamais commis. Une commission d’enquête Covid 19 a été ouverte à l’initiative d’un collectif d’avocats allemands dans le but de faire un recours collectif au niveau international en utilisant le droit anglo-saxon.

Dans une vidéo magistrale de 49 minutes traduite en français, (4) Reiner Fuellmich démontre que la pandémie de Covid 19 n’est rien d’autre qu’une gigantesque supercherie :

« il n’existe pas de pandémie de Covid 19, juste une pandémie de tests PCR. Sans les résultats des tests publiés en permanence dans les médias, la pandémie serait déjà terminée. »

Dans une deuxième vidéo passionnante de 24 minutes, il annonce l’arrivée en série des procès des tests PCR. (5) Il ajoute :

« Dans ce scandale sanitaire, le pire, ce sont les conséquences du confinement et du port du masque obligatoire, en particulier sur les enfants traumatisés en masse, avec des conséquences psychologiques à moyen ou long terme. En Allemagne, des enfants sont enlevés à leurs parents s’ils ne respectent pas les consignes de quarantaine, de port du masque et de confinement. Par ailleurs, les masques représentent un risque très grave pour la santé, comme le montrent de plus en plus d’études indépendantes et de déclarations d’experts. Tous ces faits feront bientôt tomber les masques sur tous les responsables de ces crimes. »

En parallèle avec la résistance judiciaire internationale se met en place une résistance médicale avec le « Collectif de médecins indépendants pour le Covid 19 », une initiative de médecins libres français représentant plus de 30000 médecins.

« Leur objectif est d’informer le plus grand nombre de personnes possible sur la vérité qui se cache derrière le Covid 19 en expliquant les mythes, les mystères, les controverses scientifiques et les mensonges purs et simples :

  • l’interdiction par le gouvernement d’utiliser des médicaments anti-inflammatoires et infectieux traditionnels et efficaces comme l’ivermectine ou l’hydroxychloroquine ;
  • l’analyse des statistiques souvent fausses ou trompeuses sur les nouvelles infections, les nouveaux cas et le taux de mortalité ;
  • les différents aspects et risques des vaccins actuellement disponibles, en grande partie non testés en Occident, en particulier les dangers des vaccins de type ARN ;
  • l’information publique, actuellement sujette de désinformation, chaos de contradictions scientifiques et médicales, de manipulations des faits, de demi-vérités, de contre-vérités et de mensonges purs et simples ainsi que d’intenses campagnes de peur. Les personnes qui ont peur deviennent faibles moralement et physiquement, plus vulnérables aux maladies, obéissantes et déprimées, ce qui peut conduire au suicide. » (6)

« Cette coordination de médecins veut informer les citoyens sur la vérité qui se cache derrière les discours officiels. Cette fantastique initiative française est une vraie lueur d’espoir à l’horizon : de plus en plus de citoyens vont comprendre que cette opération Covid 19 est une affaire criminelle. »

Cette résistance qui s’organise au niveau juridique et médical montre une chose : tout espoir n’est pas perdu de renverser la vapeur, car tout est en train de se mettre en place pour faire éclater la vérité au grand jour. Ce virus Covid 19 sous faux drapeau d’une pandémie doit être pris pour ce qu’il est : une gigantesque arnaque qui restera dans l’histoire de l’humanité comme la plus énorme prise d’otage de masse par une oligarchie financière, pharmaceutique et médiatique corrompue. L’heure des comptes viendra où il nous appartiendra de solder devant les tribunaux le désastre sanitaire et humain qu’elle aura engendré.

Dans cette attente, il convient pour chacun d’entre nous de :

  • cesser d’avoir peur d’un virus pas plus dangereux que celui d’une grippe saisonnière en arrêtant de se soumettre aux tests PCR qui sont totalement bidon et dont le séquençage donnant des résultats à plus de 90 % positifs a été truqué uniquement dans le but d’entretenir la peur ;
  • bannir définitivement les médias mainstream, autrement dit mettre sa télé à la cave pour la remplacer par un aquarium 16/9e afin de mieux se concentrer sur les médias alternatifs d’internet qui ne débitent pas de la propagande H24 en copié-collé des dépêches AFP ;
  • faire pression sur les maires et les élus en général en leur rappelant qu’avec le Covid, le « remède » est bien pire que le mal, car la prolongation des restrictions sanitaires va tuer l’économie et que des centaines de milliers d’entreprises ne s’en relèveront jamais : petits commerces, cafés, hôtels, restaurants, discothèques, piscines, salles de sport, PMI-PME de toutes sortes…
    Et surtout : leur faire prendre conscience que notre jeunesse est la première menacée par ces mesures de confinement criminelles : selon l’OMS, plus d’un milliard d’élèves ont été touchés par des fermetures d’écoles, un jeune sur six a perdu son emploi pendant la pandémie et des troubles anxiogènes ont été détectés chez 90 % des jeunes. Tout cela pour éviter l’effondrement généralisé du néolibéralisme qu’une oligarchie financière corrompue a fait prospérer au-delà de tout contrôle…
  • se mobiliser massivement dans la rue pour le respect de nos libertés : liberté de travailler, circuler, exprimer ses opinions, aller au restaurant, au concert, au théâtre, aux expositions, dans les bars et les discothèques, et sans ces muselières qui ne sont que les signes de notre soumission planifiée par les oligarques mondialistes afin de nous réduire en esclavage.

En résumé : nous voulons REVIVRE.


[Notes]

(1) francesoir.fr/opinions-tribunes/ferguson-ment-grossierement-et-le-journal-nature-le-publie

(2) mondialisation.ca/klaus-schwab-et-sa-prise-dotages-de-masse-2-0/5652765

(3) youtube.com/watch?v=0-FQbhkWYuY&ab_channel=WorldEconomicForum

(4) youtube.com/watch?v=VWk90PvlJX0

(5) odysee.com/@JeanneTraduction:a/fuellmichsenta:1

(6) mondialisation.ca/medecins-francais-pour-la-verite-sur-la-covid-19/5652812




Christian Drosten : l’heure des comptes ?

[Source : FranceSoir]

[Auteure : Nicole Delépine]

Le « Monsieur Corona » allemand, le virologue Christian Drosten, va devoir répondre devant la justice des prémisses faussés de la gestion de crise. Il est poursuivi par l’avocat Reiner Fuellmich.

Une nouvelle fois, il faut parler des tests PCR que les dirigeants, mais aussi les préfets, les patrons, les directeurs d’école continuent à imposer comme s’ils signifiaient quelque chose. Les pires sont les citoyens lambda qui courent se faire tester pour se « rassurer ». De quoi ont-ils peur ?  Les virus sont des milliards autour de nous et manifestement ce coronavirus n’est pas pire que les autres (mortalité globale comparable aux années précédentes et mortalité spécifique inférieure à celle de la grippe asiatique).

Il faut vraiment ouvrir les yeux et rappeler tous les mensonges qui nous ont conduit à la situation catastrophique actuelle. La responsabilité des décideurs et de certains de leurs conseillers est engagée et les problèmes actuels de C.Drosten leur ouvriront peut-être les yeux.

La plainte engagée contre le conseiller de Merkel résume toutes les fausses informations mondiales[1]

Ça chauffe pour Christian Drosten, le biologiste favori de Mme Merkel et grand ordonnateur des tests PCR frelatés dans le monde et en conséquence, des mesures liberticides, confinement, masques, fermetures des commerces, écoles, universités etc., bref, de la ruine des pays occidentaux soumis aux recommandations de l’OMS et imposées par une majorité des gouvernants des pays riches.

Lettre d’injonction de réparation

Le 15 décembre 2020, l’avocat Reiner Fuellmich, dont la plainte du 23 novembre centrée sur la fraude des tests PCR, a été largement médiatisée[2][3], diffuse une missive au Prof. Dr. Christian Drosten, en faveur de son client de Green Mango GmbH, patron d’un bar avec karaoké, représentée par Nils Roth.

Cette lettre longue de 18 pages de l’avocat Fuellmich défendant les intérêts de son client, expose au dr Drosten les dommages que ce dernier lui a fait subir, et lui fait l’injonction forte de les réparer avant le 22 décembre, faute de quoi se profilera un procès pénal.[4]

Mon client « a subi et subit encore des dommages considérables en raison des mesures manifestement disproportionnées imposées sans aucune base factuelle pour contenir la pandémie de COVID-19 ».

Démonstration de la cause des dommages du patron de bar allemand en grandes difficultés, par l’avocat.

Vous avez conseillé les politiques et affirmé des FAITS FAUX.

 « Vous êtes personnellement responsable de ces dommages parce que vous, en tant que l’une des personnes qui ont été impliquées dans le conseil politique de manière significative et décisive, avez intentionnellement affirmé et maintenez toujours des faits faux et – de même délibérément – caché des faits essentiels ».

La lettre détaille ensuite les points étayant la désinformation dont C Drosten est personnellement responsable et qu’il devrait retirer officiellement avant le 22 décembre.  Résumons ici les principaux arguments illustrés dans le texte de Reiner Fuellmich, par de nombreuses références bibliographiques disponibles sur PUBMED.

HYPOTHÈSES DE BASE DE LA POLITIQUE ANTICORONAVIRUS FAUSSES

Les hypothèses de base de la politique du coronavirus en Allemagne (qui seront suivies via l’OMS dans le monde et donc en France) sont basées sur des hypothèses fausses qui ont conduit à des mesures drastiques injustifiées.

1. La première fausse affirmation : pas d’immunité de base

« La thèse selon laquelle il s’agit d’un agent pathogène complètement nouveau devrait être confirmée si l’on voulait affirmer que personne n’est à l’abri du virus.

 En revanche, vous avez vous-même souligné dans plusieurs épisodes de votre podcast que le SRAS CoV-2 est étroitement lié à l’ancien virus du SRAS de 2003[5].

 Si le SRAS CoV-2 était vraiment un agent pathogène complètement nouveau, il serait impossible d’expliquer pourquoi (et aussi et surtout dans les États non verrouillés) tant de personnes ont survécu à la pandémie »[6] , « il ne serait pas non plus explicable pourquoi le taux de mortalité par infection se situe maintenant manifestement dans la plage d’une vague de grippe normale ».[7]  Ce point est confirmé par l’OMS elle-même, en octobre 2020.

« Il existe déjà une pré-immunité et pour cette raison, dans aucun des pays examinés, plus de 20% de la population était déjà infectée par le SRAS CoV-2. Les affirmations selon lesquelles personne n’est à l’abri et que n’importe qui peut être infecté ne sont pas fondées. »

L’avocat ne nie pas la possibilité de formes graves mais insiste sur le fait que l’ampleur qualitative a été largement surestimée.

2. Le mensonge terrible sur les bien-portants (dits « asymptomatiques »)

 La deuxième fausse allégation concerne les asymptomatiques, de fait les bien-portants qui pourraient transmettre silencieusement le virus.

« L’hypothèse est qu’une personne pourrait contracter le COVID-19 de façon complètement inaperçue et transmettre le virus à d’autres personnes de façon tout aussi inaperçue, car il ne présente aucun symptôme est un énorme mensonge ».

La rumeur encore présente en cette fin d’année continue à se propager via le premier ministre français. L’avocat démontre que cette fake news – comme on dit maintenant- a commencé le 5 mars quand Drosten a publié dans une revue autrefois noble, le NEJM, à propos d’une chinoise qui aurait rempli ces cases.  « De fait nous sûmes plus tard qu’elle avait reçu des médicaments pour ses symptômes ! PURE FRAUDE SCIENTIFIQUE JAMAIS RETIREE ». Nous en connaitrons bien d’autres au fil des mois et la rétractation de ces articles mensongers tarde, la rumeur court, et Castex veut nous faire déguster la dinde avec le masque entre deux bouchées.

« L’hypothèse d’une infection pré-symptomatique, que l’institut Robert Koch retient, a été massivement attaquée dans la littérature spécialisée[8]. L’immunologiste Beda Stadler, professeur émérite à l’Université de Berne, a souligné dans un article très remarqué de la Semaine suisse mondiale que l’idée que les virus peuvent se multiplier de manière incontrôlée dans le corps humain sans que nous nous en rendions compte est immunologiquement impensable. »

L’avocat décrit avec pur réalisme la société dans laquelle nous sommes entrés depuis la diffusion massive de cette allégation des bien-portants contagieux. La suspicion est partout et sert de prétexte à la séparation cruelle et honteuse des familles. L’image de cette petite fille de deux ans qui fait des sourires à sa grand-mère emprisonnée derrière une vitre en EHPAD est emblématique de la perversité de ce monde imposée par les puissants qui ne sauraient être dupes de leur rouerie. Encore la petite a-t-elle échappé au masque sadique, quelle chance !

« La fausse affirmation selon laquelle une personne peut transmettre le virus sans symptômes est particulièrement perfide car elle détruit la société : tout le monde ne voit que ses semblables comme un lanceur de virus très dangereux et y réagit avec dégoût, agressivité ou du moins avec peur et panique. Les écoliers étant également endoctrinés par les parents et les enseignants de cette manière, des troubles massifs du comportement et du développement sont déjà prévisibles. Vous serez également tenu responsable de cela. »

Des enfants ont d’ores et déjà présenté des troubles graves induits par ces peurs additionnées et le port du masque. Les orthophonistes ont récemment lancé un nouvel appel de détresse dans le désert médiatique.[9]

3. La troisième fausse allégation : les diagnostics basés sur la PCR

Les bien-portants ne nous mettent pas en danger, les asymptomatiques ne sont ni porteurs et contagieux. Le pseudo-risque porté par les asymptomatiques (en langage énarchique et orwellien) est un mensonge réitéré chaque heure, chaque jour dans tous les pays soumis à l’OMS, prive votre famille des câlins, bisous si nécessaire à l’équilibre mental, et devient vérité à force de répétition (comme expliquait Goebbels).

Comment affoler les foules, recruter les médias pour le tour de passe-passe du « tout le monde est à risque ».
N’embrassez personne, même chez vous et surtout n’allez pas voir les vieux, vous risqueriez de les contaminer avant qu’on ait eu le temps de leur injecter le Rivotril à la moindre toux.

ILS SONT FABULEUX : PAS DE CONTAGIEUX, PAS DE MALADES, pas de problème, ON EN INVENTE. L’histoire retiendra sûrement que le gouvernement mondial à l’essai auquel nos dirigeants ont obéi, doigt sur la couture du pantalon, furent créatifs de mesures aberrantes, en mesures grotesques, entrainant une sidération mentale majeure seule à même d’expliquer la folie mondiale et la bêtise apparente de milliards d’individus. Néanmoins, trop sûrs d’eux, ils ont diffusé les mêmes pubs mensongères au mot près dans des pays comme l’Allemagne et la France, dévoilant trop vite que l’on ne combattait pas un virus bien sensible à de nombreux traitements, mais bien des peuples et plus précisément les classes moyennes.[10]

« Et sans le mensonge d’un risque d’infection sans symptômes, personne n’aurait pensé à tester même des personnes en parfaite santé pour le SRAS CoV-2 en utilisant la PCR. »

Nous ne reprendrons pas ici toutes les démonstrations déjà publiées sur le test PCR frauduleux comme témoin d’une infection latente potentiellement dangereux[11] [12] [13] . Malgré les articles sur les tromperies de la PCR et les plaintes déjà victorieuses contre ces tests, le monde des puissants fait semblant de les ignorer et des politiques pensent se faire une beauté en proposant des tests à grande échelle dans leur fief. Bêtise, aveuglement ou compromission ?[14]

 Écoutons Maitre Fuellmich :

« Néanmoins, les tests continuent d’être effectués à grande échelle – malgré la prévalence encore faible du COVID-19. Et tous les systèmes de test utilisés ne sont pas également spécifiques – ne serait-ce que pour la raison qu’il n’est nulle part prescrit la spécificité minimale qu’un tel système doit avoir pour pouvoir être utilisé du tout.

Un exemple est un incident qui est devenu connu d’Augsbourg, que parmi une cohorte de 60 personnes, 58 ont testé des faux positifs. Et ceci à un moment proche de la décision de confinement de la conférence du premier ministre. Les résolutions de ce type sont prises sur la base de ces chiffrages de cas mal déterminés et ont donc des conséquences considérables ».

« Lorsque les nouveaux comptes de cas sont à nouveau additionnés, il n’est nulle part vérifié à quelle valeur Ct le seuil a été établi dans le cas de test positif respectif.

Le résultat d’un test PCR est donc très sensible à la manipulation – et donc sensible à l’influence politique lorsque des chiffres élevés de cas sont à nouveau « nécessaires » pour intimider la population. Dans tous les cas, les valeurs déterminées sur la base d’un test PCR ne sont pas une base suffisante pour bloquer complètement la vie publique et interférer avec les droits des personnes à la liberté d’une manière sans précédent.

Un test PCR ne permet pas de différencier une simple contamination d’une infection. » 

Un test PCR positif n’est pas toujours un test PCR positif

« Mike Yeadon, ancien médecin-chef de la société pharmaceutique Pfizer, déconseille d’urgence l’utilisation de la PCR pour le diagnostic du COVID-19 dans un article récent (https://lockdownsceptics.org/lies-damned-lies-and-health-statistics-the-deadly-danger-of-false-positives/).

 Et pourtant, chaque test positif est inclus dans les statistiques de l’Institut Robert Koch comme une prétendue « nouvelle infection » et donc dans la variable qui sert de base aux décisions politiques. Un autre facteur de complication est que si une personne est testée plusieurs fois en succession rapide, chaque résultat de test positif est déclaré comme une « nouvelle infection ».

« Les tests PCR ne conviennent pas seulement pour le diagnostic individuel, mais aussi pour le dépistage. Le seul facteur décisif est le nombre de personnes qui tombent malades, combien doivent être hospitalisées, combien sont traitées dans l’unité de soins intensifs et combien doivent être ventilées ».

4. Quatrième fausse affirmation : menace de surcharge des systèmes de santé

On constate dans le détail de la lettre de Fuellmich à C.Drosten que les mêmes mensonges, les mêmes récits sordides ont été racontés en Allemagne qu’en France. Les Allemands furent particulièrement surpris qu’après des mesures de restriction (plus relatives qu’en France) les médias annonçaient que l’Allemagne allait recevoir des malades français et italiens. Surchauffe ou foutage de g… Et finalement comme nous l’écrivions en France dans un grand silence :

« Les cliniques souffraient de sous-utilisation parce que les services médicaux essentiels n’étaient pas fournis aux autres patients, car il pourrait y avoir une forte attaque de patients COVID-19 à un moment donné. Les médecins et les infirmières ont été envoyés en chômage partiel ».

Comme en France décidément. Reiner écrit : « dans la mesure où les cliniques sonnent l’alarme sur la surcharge, ce n’est pas à cause d’un virus « nouveau et insidieux », mais parce que notre système clinique atteint ses limites de capacité chaque année dès que la saison grippale nous frappe ».

Comme chez nous, la dégradation des hôpitaux date de plusieurs années et des restrictions imposées par le FMI et l’UE ; un seul exemple parmi d’autres : « dès le 19 février 2013, WELT écrivait sous le titre « la vague de grippe à Cologne fermement sous contrôle » : « pénurie de lits dans les hôpitaux de Cologne ». Comme en France, le problème est lié au manque de personnel.

En décembre 2020, la situation n’a pas changé.  « Pire encore : malgré une supposée pandémie, les cures d’austérité en médecine de soins intensifs se sont poursuivies et au lieu de prendre des contre-mesures, des consultants comme vous conseillent que seul l’arrêt complet de la vie sociale devrait être la panacée. »

Dans son réquisitoire, l’avocat évoque la situation italienne et française où des fausses images ont été distribuées dans le monde dès mars 2020 et des faux rapports : une intervention ciblée de l’OMS par la nomination d’un gouverneur de l’OMS qui n’a pas hésité à falsifier les données dans les plans de pandémie. Un rapport de l’OMS, qui expliquait déjà en partie ces circonstances, a été retiré lorsqu’il est devenu clair qu’un plan de pandémie prétendument de 2016 était de 2006 et que la date avait été falsifiée.[15]

5. La cinquième fausse information : la privation de liberté serait un recours efficace

Si les mesures de confinement avaient dû apporter quelque chose, les pays qui ont imposé les coupes les plus sévères auraient dû obtenir les plus grands succès.

Au contraire : il existe aujourd’hui de nombreuses études qui prouvent l’inefficacité des mesures de confinement. Même l’OMS a publié en octobre un article de 91 pages dans lequel elle explique à quel point ces mesures (fermetures d’écoles, quarantaine de contact, éloignement social, etc.) sont peu adaptées à la lutte contre la grippe. Et tout cela devrait-il être le salut en cas de Covid19 ?

Reiner Fuellmich démontre à son tour que les confinements aveugles ont été nocifs à la population y compris les restrictions moins lourdes en Allemagne.

« Les dommages collatéraux causés par les restrictions à la liberté : des personnes atteintes de démence sont décédées faute de soins. Il y avait manifestement moins d’accidents vasculaires cérébraux et de crises cardiaques. Des cadavres pourris ont été trouvés, personnes barricadées chez elles qui pourrissaient dans leurs propres appartements au vrai sens du terme. Une augmentation significative des suicides a été signalée.

Les tests réalisés à grande échelle conduisent à des rejets mortels des autres malades chez les autorités sanitaires car elles ne rendent pas possibles les autres tâches. Le contrôle de l’eau potable est donc complètement paralysé ; il y a plus de décès par légionelles qu’auparavant.

Tous ceux qui ont encouragé des coupes dans la vie publique, décrété et imposé de tels blocages ont tué des milliers de personnes, y compris vous, le professeur Drosten. »

On retrouve dans les descriptions de l’avocat les situations vécues en France et décrites ici avec beaucoup plus de transparence que dans nos contrées. En particulier nous n’avons guère eu d’informations sur les cadavres retrouvés au domicile en France, et en aucun cas leur nombre, ni sur les légionelloses et la qualité de l’eau.

6. Le confinement et ses avantages : des allégations délibérément fausses

L’idée de confinement plus ou moins aveugle et sévère repose toujours sur l’existence factice de porteurs sains chez les bien-portants et potentiellement contagieux.  Ces mesures inappropriées sont perpétuées sans égard à la réalité de la situation, nous explique l’avocat.

«  Chacun de nous, c’est la doctrine[16], pourrait être le messager du virus mortel sans être reconnu ». Maintenant, en automne et en hiver, lorsque tous les agents pathogènes sont multiples. « De nouvelles infections » augmenteront le nombre de « cas » qui sera utilisé par les politiciens pour justifier de nouvelles coupes dans nos libertés.

« Parce que, malgré une meilleure connaissance, les tests positifs sont assimilés à de nouvelles infections, l’augmentation du nombre de « nouvelles infections » déclarées de cette manière alimentera à son tour le mensonge selon lequel le virus est très contagieux et que personne n’est à l’abri, et qu’il y a donc un risque d’effondrement du système de santé. »

La façon dont le processus d’infection est actuellement décrit est spécifiquement conçu pour garantir que le verrouillage ne se termine jamais.  

Puisque beaucoup de virus peuvent positiver le test, « si la présentation des données se poursuit de cette façon trompeuse et n’est pas arrêté le plus rapidement possible, nous serons tous enfermés jusqu’au printemps prochain. Tout le monde, vous y compris, peut imaginer ce que cela signifie pour le développement économique, mais aussi pour le développement sanitaire de la population, esquissé ci-dessus. »

Reiner Fuellmich insiste sur la responsabilité personnelle de Drosten qui n’a pas démenti les mensonges circulants

Dans vos déclarations, vous avez vous-même souligné la relation génétique entre le SRAS CoV-2 et l’ancien virus du SRAS. La question du niveau d’immunité de la population dépend de la connaissance d’un agent pathogène par l’organisme humain. Donc dire que les allemands n’avaient aucune immunité est une tromperie.

« D’un point de vue juridique, les assertions troubles confirment l’acte d’intention conditionnelle ».

 « Vous prétendez que nous ne sommes pas immunologiquement protégés contre le virus. Vous ne tenez pas compte de toutes les constatations divergentes dont vous avez connaissance qui indiquent que l’immunité de base existe depuis longtemps ».

Sur le risque d’infection sans symptôme : à ce stade, vous êtes accablé d’une faute particulièrement grave

Vous prétendez que nous ne sommes pas immunologiquement protégés contre le virus.

Vous ignorez toutes les constatations divergentes dont vous avez connaissance qui indiquent que l’immunité de base existe depuis longtemps. De toute évidence, vous n’avez pas démenti votre affirmation délibérément fausse selon laquelle des personnes pourraient s’infecter mutuellement avec le SRAS CoV. -2 sans symptômes.

« Le 1er novembre 2020 (vous avez dit sur ZDF ( https://www.zdf.de/nachrichten/panorama/coronavirus-drosten-ostern100.html ), que tout le monde devrait se comporter envers l’autre comme s’il était lui-même infecté et veulent protéger les autres d’eux-mêmes ; en même temps, il faut prétendre que l’autre est infecté et que l’on se protège de lui.

Ce faisant, vous alimentez exactement l’attitude d’esprit qui conduit de plus en plus à l’agression et à la brutalité dans la société : tout le monde ne voit tout le monde que comme le porteur du virus. Et vous pensez évidemment que c’est parfaitement bien ».

À propos du test PCR

« Il n’a pas échappé à votre sagacité qu’un test PCR ne peut pas différencier un virus capable de se reproduire et des fragments de virus sans vie, et entre contamination et infection.

À propos de la valeur Ct, vous avez admis le 1er septembre 2020[17] que la signification du résultat du test dépend de la charge virale.  Cependant, vous vous êtes prononcé contre le réglage de Ct = 30 comme limite supérieure, car il existe des différences dans la qualité des réactifs de test et des machines. Vous admettez vous-même qu’un résultat de test positif n’est pas toujours un résultat de test positif.[18] »

Vos recommandations de confinement

« Déjà dans le podcast du 18 mars 2020 19], vous avez appelé à une intervention drastique et intense (qui ne pouvait être que politique) pour empêcher la propagation prétendument exponentielle du coronavirus.

 Et peu de temps avant que le deuxième verrouillage ne soit décidé le 28 octobre 2020, vous avez fait un suivi dans le podcast NDR du 27 octobre 2020 (Coronavirus Update n ° 62) : au vu du nombre de cas, vous avez recommandé un verrouillage limité dans le temps aux politiciens ».

TROMPERIE CONSCIENTE ET RÉITÉRÉE

« Votre propre présentation dans le podcast du 7 mai 2020 montre que vous savez exactement à quel point la signification d’un test PCR diminue lorsque le nombre de cycles requis augmente. Néanmoins, vous avez recommandé le confinement, sans même remettre en question l’origine des nombres de cas ».

Vous ne pouviez pas ignorer les dommages collatéraux des mesures anticovid19. En recommandant un nouveau verrouillage le 27 octobre 2020 sans peser les menaces pour la vie humainevous êtes personnellement responsable de tous les dommages causés par les mesures anticovid.

Le papier Leopoldina du 8 décembre 2020 prévoit le confinement dur après Noël

Vous faites partie des signataires du papier Leopoldina du 8 décembre 2020, qui recommande un verrouillage dur après Noël.

 Même la description de la prétendue nécessité d’agir montre que, comme tous les cosignataires, vous vous êtes complètement éloigné des principes de la science factuelle.

 « Au cours des 7 derniers jours, plus de personnes sont mortes du coronavirus qu’en 2019. « Le facteur décisif, la préposition avec versus du, n’est pas utilisé. Les auteurs de l’article eux-mêmes admettent qu’ils parlent de décès pour lesquels la causalité du SRAS CoV-2 n’a pas été prouvée. »

« Selon votre article Leopoldina, un verrouillage renforcé devrait apporter la rédemption d’ici le 10 janvier 2021.

Qui devrait encore croire que le nombre d’infections générées artificiellement chutera à nouveau à partir du 11 janvier 2020 ? »

 L’Institut Robert Koch a admis dans le Bulletin Epidémiologique n ° 45/2020 que des tests non évalués s’accumulent dans les laboratoires depuis des semaines et avec une tendance croissante – ce qui est le cas des tests de masse insensés sur des personnes asymptomatiques.

 Cette évaluation sera effectuée à tout moment afin de produire de nouveaux résultats de tests positifs, sur la base desquels la population continuera alors à être harcelée et conduire l’économie allemande à la ruine finale. »

 Vous avez cosigné l’article de Leopoldina le 8 décembre 2020. Vous êtes entièrement responsable du contenu.

En réalité, les recommandations de verrouillage n’ont jamais été conçues pour promettre la libération aux gens après des semaines de privation. Ils nous poussent tous – dans le monde entier, et pas seulement en Allemagne – avec leurs conseils délibérément faux, dans le sens de dommages délibérément immoraux, à un confinement permanent.

Ils seront donc entièrement soumis au droit pénal et civil.

La responsabilité de C Drosten est mise en cause directement

Ceci est fondamental et devrait faire réfléchir les décideurs qui parlent, conseillent se croyant dépourvus de toute responsabilité le jour venu. L’avocat explique à Drosten qu’il ne pourra échapper à sa responsabilité personnelle pour tous ces dommages conseillés aux politiciens et aux autorités, qui ont décidé de toutes ces mesures désastreuses.

Au contraire, les dommages peuvent toujours lui être attribués en tant que son travail. Il ne peut pas avoir échappé au fait que ses conseils ont un impact sur les décideurs politiques et que ces derniers le consultent, car ils se sentent incapables d’évaluer correctement le risque posé par le SRAS CoV-2. Fournir une contribution aussi décisive est la véritable tâche de tout consultant en politique.

L’impact de ses fausses allégations sur la situation du Coronavirus est particulièrement évident dans les tribunaux : ce qui sort de sa bouche est repris sans contrôle.

PERSONNE N’A PROTÉGÉ LA POPULATION DES MENSONGES POLITIQUES ET MÉDIATIQUES

« Personne – jusqu’à présent – n’a protégé la population en général et les entreprises en particulier contre la désinformation sur laquelle se fonde la politique de verrouillage. Et pour cette désinformation, vous, en tant que personne dont le gouvernement a le plus écouté les conseils, êtes personnellement responsable, à la fois pénalement et civilement ».

« Vous avez un préjudice moral à de nombreuses personnes – et aussi un préjudice moral à notre client. Votre aide a eu un impact majeur sur ce qui s’est passé. Parce que les gens ne faisaient confiance aux gouvernements et aux autorités que parce qu’ils pensaient que l’évaluation des risques était scientifiquement fondée. Et les gens ont investi cette croyance précisément à cause de vous ».

CONSEQUENCES DE VOS CONSEILS : LE GOUVERNEMENT FEDERAL VA UTILISER LA BUNDESWEHR CONTRE LE PEUPLE

« C’est finalement grâce à vos conseils désastreux que les autorités sanitaires ne sont plus « en retard » dans l’évaluation des tests de masse et de la recherche des contacts et le gouvernement fédéral a ainsi un prétexte pour utiliser le levier de l’article 35 GG pour utiliser la Bundeswehr dans la recherche des contacts et donc pour intimider encore plus la population ».

Conséquences juridiques : la responsabilité civile et pénale de Mr Drosten est directement engagée

« En donnant délibérément des recommandations scientifiquement infondées à des politiciens ou en promouvant de telles mesures à partir d’une position influente, vous lui avez également délibérément infligé des dommages immoraux et êtes donc responsable envers notre client des dommages déjà subis en vertu de l’article 826 du Code civil allemand.

 En outre, vous devez personnellement corriger les informations erronées que vous avez fournies au monde de manière égale et de cette manière pour éviter d’autres dommages à notre client ».

Dommages civils réclamés à Mr Drosten

Les dommages déjà survenus s’élèvent à plusieurs centaines de milliers d’euros. Et chaque jour où le bar karaoké de notre client n’est pas autorisé à ouvrir, les dégâts continuent de s’aggraver.

« Nous réclamons par la présente un montant partiel de 50 000 € au nom et pour le compte de notre client. Nous vous demandons ce montant à notre client sur le compte bancaire indiqué dans le papier à en-tête de payer comptant. Nous attendons ce paiement jusqu’au 22 décembre 2020 avec impatience. »

L’avocat demande également à Mr Drosten de

« corriger les déclarations suivantes à l’intention des responsables politiques et du public.

Précisez officiellement

  • qu’il n’y a aucune raison de supposer que le SRAS CoV-2 pourrait causer un nombre incontrôlable de décès et de patients en soins intensifs
  • Précisez que l’étude de cas du New England Journal of Medicine du 5 mars 2020, dans laquelle vous étiez impliqué et qui est censée prouver un risque asymptomatique d’infection, repose sur une base de données incorrecte et aurait donc dû être retirée depuis longtemps !
  • Précisez qu’un test PCR positif ne peut pas détecter une infection active et n’est donc pas adapté pour établir seul un diagnostic de COVID-19 !
  • Précisez que les restrictions collectives de liberté ne garantissent pas qu’elles contribueront en quoi que ce soit à contenir la propagation, mais qu’il peut être démontré qu’elles causent d’énormes dommages collatéraux !

Nous vous demandons également de vous abstenir de déclarations contraires à l’avenir.

Les politiciens ne doivent plus être informés par des informations scientifiquement insuffisantes. Et le public ne doit plus être perturbé par de telles informations.

 Nous vous demandons également de soumettre la déclaration de cessation et de désistement et d’obligation jointe à cette lettre avant le 22 décembre 2020.

 Sachez que chaque jour où vous maintenez votre évaluation des risques délibérément faussés du COVID-19, vous ne faites qu’empirer les choses – pour d’innombrables personnes dans ce pays, mais aussi pour vous-même.

Car nous allons rendre toute cette lettre disponible pour des collègues prêts à représenter les clients qui ont subi des dommages à la suite des mesures anticovid19.

Si vous ne vous conformez pas à notre demande ci-dessus, un litige sera inévitable. Dans le cadre de ce différend, toute la vérité sur le verrouillage fera l’objet de preuves judiciaires ».

Références

[1]Avocat Dr. Reiner Fuellmich Green Mango GmbH, représentée par Nils Roth c. Prof. Dr. Christian Drosten

[2] Procédures internationales en cours sur le TEST PCR contre fabricants et politiques – (nicoledelepine.fr)

[3] Recours collectif international contre les fabricants du test PCR, pilier fabriqué des mesures liberticides mondiales – Docteur Nicole Delépine (nicoledelepine.fr)

[4] « Au nom et pour le compte de notre client, nous prétendons que vous corrigiez votre contribution erronée aux conseils politiques en rapport avec la crise du COVID-19 et que vous indemnisiez notre client pour les dommages déjà survenus ». 

[5] Par exemple dans le podcast du 18 mars 2020, Coronavirus Update n ° 16, transcription p. 3.

[6] Collectif d’auteurs de premier plan attire l’attention du lauréat du prix Nobel de chimie, Michael Levitt (Udi Qimron / Uri Ga vish / Eyal Shahar / Michael Levitt in Haaretz le 20 juillet 2020, https://www.drop box.com/s/72hi9jfcqfct1n9/Haaretz-20Jul20_ENGLISH%20120820%20v3.PDF).

[7] Confirmé par la méta-étude de John Ioannidis, qui a été publiée en ligne dans le Bulletin de l’OMS en octobre 2020 (https://www.who.int/bulletin/online_first/BLT.20.265892.pdf).

[8]Mark Slifka / Lina Gao dans Nature Medicine, https://doi.org/10.1038/s41591-020-0869-5 [2020]

[9] Cf article de France soir par les orthophonistes déc. 2020

[10] Par exemple l’épouvantable clip répétitif sur nos chaines de tv de cette petite fille qui embrasse sa grand-mère lors d’un repas familial, et la retrouve en réanimation quelques semaines plus tard.

[11] Procédures internationales en cours sur le TEST PCR contre fabricants et politiques (nicoledelepine.fr)

[12] Recours collectif international contre les fabricants du test PCR, pilier fabriqué des mesures liberticides mondiales (nicoledelepine.fr)

[13] Terrorisme d’Etat, crime contre l’humanité ? (nicoledelepine.fr)

[14] Malheureusement l’exemple de Laurent Wauquiez dans sa région avec la publicité pour cette terrible manipulation 

[15] Plan de pandémie prétendument de 2016 était de 2006 et que la date avait été falsifiée. https://www.dors.it/documentazione/testo/202005/COVID-19-Italyresponse.pdf affirmation: les restrictions de

[16] Expression curieusement utilisée par le ministre en mai lors de son changement de position vis à vis du masque. La doctrine a changé. Mêmes mots, mêmes ordres venus de l’OMS dont les pays appliquant le plan : https://www.francesoir.fr/le-conseil-mondial-de-loms-dicte-tres-officiellement-la-conduite-sanitaire-des-pays-signataires-dont

[17] Coronavirus Update n ° 54, transcription p. 15)

[18] Vos déclarations de septembre 2020 se rapportent-elles à celles du 7 mai 2020 (Coronavirus Update n ° 39, transcription p. 3), lorsque vous avez fait référence à une étude qui préconisait Ct = 25 comme « limite magique » ?

[19] Coronavirus Update n ° 16, transcription p. 2

Auteur(s): Nicole Delépine




La législation européenne pourrait-elle permettre de briser le confinement attribué au coronavirus ?

Par Dr Nicole Delépine

La législation européenne pourrait-elle permettre de briser le confinement attribué au coronavirus ? [1]

Pour l’avocat Rolf Karpenstein[2] : le confinement viole le droit européen. Formidable espoir que cette affirmation de l’avocat allemand dont nous allons résumer ici l’interview qu’il a donné à un journal allemand.

Il est de plus en plus évident que le scénario tragique de la supercherie Covid19 n’est qu’un leurre pour transformer la crise monétaire héritée de 2008 en coup de bourse gagnant pour les multinationales. Il est clair que ça marche bien pour l’instant, puisqu’en cette année si difficile pour les peuples, les milliardaires auraient augmenté très largement leurs revenus[3]… Les restrictions seraient donc utilisées par les grandes entreprises et les politiciens pour saper de façon permanente les libertés civiles et transformer en esclaves obéissants et sous-payés les masses salariées et diminuer les pensions de retraite[4].

L’avocat examine le confinement du point de vue du droit européen.

Il est convaincu que la politique sanitaire des gouvernements (fédéral et des États) n’est pas orientée vers la meilleure protection de la santé possible pour les groupes à risque, mais vers des objectifs politiques et fiscaux. Plus le temps passe, et plus il devient évident également en France que les mesures liberticides décrétées quasiment chaque semaine n’ont aucun rapport avec une quelconque situation virale.

Les interdictions aux entrepreneurs et aux commerçants liées au confinement en cours ne sont pas compatibles avec les libertés de l’UE.

Il assure au Nordkurier qui l’interviewe qu’il ne veut inciter personne à enfreindre ouvertement la loi. Mais son point de vue est le suivant : les restrictions dites sanitaires elles-mêmes sont une violation de la loi.

Compatibilité de l’extension des confinements avec le droit européen

Karpenstein dit :

« après avoir longuement traité des arguments des organisations internationales et des agences gouvernementales ainsi que des faits complexes et des connexions mondiales depuis février 2020, il est clair pour moi qu’aucune des restrictions basées sur le Coronavirus n’est compatible avec le droit de l’Union qui prévaut. D’autant que dans tous les cas, cela s’applique à toutes les restrictions qui affectent les personnes asymptomatiques, c’est-à-dire en bonne santé ». 

Les personnes sans symptômes de la maladie sont pratiquement à peine contagieuses et ne doivent pas être placées sous le soupçon général, dans les démocraties, d’être un danger grave pour les autres.[5]

Dans le champ d’application du droit de l’UE, la libre circulation (article 21 TFUE), la libre circulation des services (article 56 TFUE), la liberté d’établissement essentiellement identique (article 49 TFUE) et la libre circulation des marchandises (article 28 TFUE) sont importantes pour les opérateurs économiques concernés par les blocages en Allemagne. Étant sous la même législation européenne, on peut soupçonner que les mêmes articles du droit européen s’appliquent à la France et les avocats français seront interrogés sur ces points par les nombreuses victimes de ces mesures arbitraires et dangereuses pour l’économie, la santé mentale et physique, l’enseignement, etc.

Ces normes ont préséance sur toute loi allemande (ou française soumise au même droit), qu’elle soit constituée d’une loi, d’une ordonnance, d’un acte administratif ou d’un acte réel d’un organe étatique. Le libellé des règlements mentionnés doit être respecté.

Les articles mentionnés sont des normes prohibitives adressées à chaque agence gouvernementale. Par exemple, l’article 56 du TFUE stipule qu’il est interdit à l’État membreet à toute agence gouvernementale au sens le plus large — de restreindre la libre prestation de services.

Une autorité étatique ne devrait déroger à cette interdiction que si elle prouve que des justifications exceptionnelles au sens des dispositions du droit de l’Union interviennent dans son interprétation par la jurisprudence de la CJCE.

De cette interdiction de rang supérieur découle une loi directement applicable des opérateurs économiques qui peuvent invoquer le droit de l’Union, qui peut s’opposer à toute agence gouvernementale.

 Et tout opérateur économique qui exerce au moins une profession potentiellement transfrontalière peut invoquer le droit de l’Union.

 Pour cela, il suffit, par exemple, que les investisseurs étrangers de l’UE soient également intéressés par le service limité. L’applicabilité immédiate des libertés de rang supérieur du droit de l’UE est une épée très tranchante contre les restrictions basées sur la supposée pandémie de coronavirus.

Exemple de l’hôtelier

Par exemple, un hôtelier peut directement contrer l’employé des autorités ou de la police qui lui demande de mettre en place une restriction basée sur le Coronavirus (ex. : masques au buffet) en répondant que cette restriction ne peut pas être appliquée. L’hôtelier invoque le droit de l’Union suprême, à savoir la libre prestation de services.

L’employé de l’autorité est lié par le droit de l’Union de rang supérieur et doit respecter sa priorité d’application. Même s’il ne veut souvent pas l’admettre, le fonctionnaire est contraint par une loi supérieure de s’abstenir de son plan et de l’application du règlement national sanitaire anti Covid19.

En tant que commerçant local, vous pouvez vous défendre contre le droit allemand et vous référer au droit de l’UE. Cependant, il faut généralement affirmer catégoriquement l’applicabilité directe des libertés civiles en vertu du droit de l’Union.

L’exemple des paris sportifs en Allemagne

Prenons l’exemple des milliers de bureaux de paris sportifs dans les centres-villes. Tous les bureaux de paris sportifs violent la loi allemande. Ils n’ont pas de « permis d’exploitation » depuis des décennies. L’exploitation sans permis est interdite et punissable — mais uniquement en vertu de la loi allemande. 

« Toutes les restrictions et normes pénales allemandes seront alors remplacées par le droit de l’Union et pourront ne pas être appliquées. 

Les tribunaux allemands et les autorités responsables l’ont compris et n’ont pas appliqué les restrictions et les normes de sanction allemandes à l’encontre des fournisseurs de paris. Cependant, cela a nécessité un travail intensif de la part des avocats des prestataires de paris sportifs ».

Pourquoi les régulateurs et les autorités ne se conforment-ils pas seuls aux normes d’interdiction les plus élevées du droit de l’Union ?

Malheureusement, la plupart des opérateurs économiques et des autorités ont encore une mauvaise compréhension ou connaissance du droit de l’Union.  La Cour de justice de l’Union européenne avait déjà précisé dans les années 1960 que le droit de l’Union et les libertés qui en découlent priment sur toute loi des États membres et sont directement applicables.

Mais trop peu d’avocats invoquent le droit de l’Union sur le problème des restrictions imposées sous prétexte de lutte contre le coronavirus. Et les tribunaux, du moins les tribunaux administratifs, sont malheureusement généralement en retard sur la politique. 

Les avocats devraient agir massivement et exiger le respect du droit de l’UE avec beaucoup plus de pugnacité.

Jusqu’à présent, l’avocat Karpenstein n’a relevé en Allemagne aucune décision de justice traitant du droit de l’Union au plus haut niveau. 

C’est difficile, car la protection de la santé est également explicitement mentionnée à l’article 36 du TFUE afin de légitimer les restrictions à la libre circulation des marchandises. Mais le simple recours à la protection de la santé ne suffit pas pour briser la priorité d’application de la libre prestation de services et de la libre circulation des marchandises.

De simples termes comme « événements infectieux » ou « cas d’infection » ou même « incidence » ne sont certainement pas suffisants pour justifier des restrictions aux libertés fondamentales en vertu du droit de l’Union ou même leur négation totale, tel qu’un confinement.

Les exigences de justification dans la jurisprudence de la CJCE sont complexes et élevées.

Selon l’avocat et son expérience récente, en aucun cas, une restriction fondée sur le Coronavirus n’a satisfait aux exigences de la jurisprudence de la CJE, pour une justification fiable en vertu du droit de l’Union.

« Tout d’abord, ce qui suit s’applique à la libre prestation de services : selon la jurisprudence de la CJCE, la restriction “vraiment” (au sens de véridique et pas simplement hypocrite) doit poursuivre l’objectif de l’intérêt général, invoqué par l’autorité. Ce n’est généralement pas le cas en matière d’argent et de pouvoir ».

Exemple mensonger des jeux d’argent dont le pouvoir revendique le monopole pour des raisons sanitaires

« Prenons l’exemple du monopole allemand des jeux d’argent, que les États fédéraux revendiquent pour eux-mêmes depuis des décennies, niant ainsi la liberté des opérateurs économiques privés de fournir des services : dans les jeux de hasard, les agences publiques s’appuient sur la protection de la santé pour exclure la concurrence au détriment des prestataires privés. Mais cela ne se produit que de manière hypocrite, pour ne pas dire : mensongère.

 En fait, le monopole allemand des jeux sert l’objectif de maximisation des revenus pour les États fédéraux et donc également des objectifs politiques ».

L’avocat fait le parallèle avec les mesures sanitaires sous prétexte de coronavirus

Et supposez-vous la même chose avec l’État en ce qui concerne les mesures corona ?

Il dit n’avoir pas vu une seule mesure depuis mars 2020, fédérale ou étatique vraiment sérieuse et visant systématiquement à renforcer le système immunitaire des groupes à risque. Et pourquoi demande-t-il le gouvernement fédéral dépense des millions de dollars de l’argent des contribuables pour imposer ses restrictions basées sur l’épidémie de coronavirus.

Si Covid 19 était la peste avec une forte possibilité d’infection, tout le monde serait volontairement prudent. Quand il y a plein de malades graves ou de morts dans votre entourage, il n’y a pas besoin de matraquage permanent à la télévision ou à la radio pour vous rendre prudents, ni d’un test PCR pour trouver ce virus censé vous sauter dessus.

Alors pourquoi tant de soumission ? Défendez-vous, en toute légalité

Un hôtelier auquel on impose la fermeture au lieu de mendier les aides qui ne viendront probablement jamais peut faire jouer le droit européen.

L’autorité qui interfère avec la libre prestation des services d’un hôtelier a la charge de la preuve. Il devrait légitimer sa violation des libertés de l’UE de rang supérieur auprès des citoyens et des tribunaux. 

Si l’autorité ne peut pas prouver par des faits, que sa décision est « vraiment » — dans le sens de « effectivement » — sur la meilleure protection sanitaire possible, la justification est écartée d’emblée.

Pour Maître Karpenstein, les restrictions de libertés dans presque tous les pays de l’UE qui sont justifiées par le coronavirus sont toutes infondées.

« Oui, en principe — sans connaître la situation exacte dans chaque État membre. Au cours de ma longue expérience professionnelle, je n’ai jamais vu que la politique et les grandes entreprises derrière la politique ont un réel intérêt à protéger de manière optimale la santé des petits groupes à risque ».

L’industrie pharmaceutique a besoin de clients, et ce sont les malades.

« Et Spahn[6] est un lobbyiste pour l’industrie pharmaceutique et non un apôtre de la santé qui veut la meilleure santé possible pour les gens. Si l’industrie et “leurs” politiciens voulaient la meilleure santé possible pour les gens, nos politiciens auraient préconisé depuis mars 2020 que les groupes à risque devraient faire de l’exercice, manger sainement, consommer des vitamines C, D et du zinc et avoir beaucoup d’air frais et de lumière pour renforcer leur système immunitaire. C’est exactement le contraire qui a été fait ».

Concordance des analyses avec le comité corona initié en juillet 2020 par les avocats Fuellmich et Fischer et al[7]

Reiner Füllmich a clairement démontré qu’il était convaincu que les objectifs politiques et budgétaires de pouvoir étaient à l’origine des restrictions globales attribuées au coronavirus : destruction de la classe moyenne ensuite reprise par les grandes entreprises pour peu d’argent. Il serait urgent que les restaurateurs, propriétaires de discothèques, bars ou de station de ski le comprennent et ne se laissent pas endormir par les promesses d’aides et leur bonne volonté contre un virus banal et disparu comme les autres coronavirus devenus de simples rhumes.

Le grand reset n’est pas du complotisme : il a été décrit dans le livre de Klaus Schwab patron du forum économique et social bien avant la crise actuelle.

Le reset s’étend à la grande réinitialisation du monde entier et à la quatrième révolution industrielle planifiée par le Forum économique mondial. Toutes ces politiques de pouvoir et ces intérêts mondialistes fiscaux sont évidents. Maintes déclarations depuis plus de 10 ans, disponibles sur internet en particulier celles d’Attali ou du milliardaire eugéniste Bill Gates ont décrit par avance ce qu’ils sont en train de nous imposer. Ces « penseurs » les gouvernements ont réussi le miracle de nous faire croire au danger extrême d’un petit virus pourtant curable si traité précocement par la bithérapie du Pr Raoult décrite dès fin février et médiatisée, ce qui explique la rage des autorités contre lui. Mais comme ils possèdent la grande majorité des médias mainstream ils ont pu redresser le tir en prolongeant la peur et en calomniant 24h/24 notre éminent infectiologue. Pour réinformer la population, les donneurs d’alerte ne disposent plus que les réseaux sociaux.

Ce résidu de liberté devenant de plus en plus insupportable pour les multimilliardaires en quête d’un pouvoir totalitaire ils ont créé des « décodeurs de fake news » qui traitent les donneurs d’alerte de complotistes et de fascistes pour discréditer leurs messages et les GAFA censurent toute opinion contraire à la doxa des gouvernements liés à l’OMS et Gates (tentative avortée de loi Avia en France).

En supprimant le compte tweeter du président des USA, ils ont oublié ses 88 millions et plus de followers mécontents et depuis le 9 janvier on assiste à une migration à toute vitesse des twittos sur les autres réseaux et à la chute de Twitter en Bourse. Ah si on pouvait supprimer ces peuples… ce serait si beau la France sans les Gaulois réfractaires ! Mais la vérité est tenace et la vie humaine qui a traversé des millions d’années ne va pas avoir peur d’un Zuzu (de facedebouc) tout puissant, mais moins qu’il ne l’imagine, ni de son affreux collègue barbu possesseur de Twitter.

À qui profite le crime des restrictions aberrantes ?

au prétexte d’une grippe sévère comme bien d’autres avant elle dont la grippe asiatique de 1958 qui a tué 2 millions de personnes dans le monde dont environ 100 000 en France.

La politique sert principalement les puissants et les super-riches et non les petits groupes à risque dans les maisons de retraite. Qui a pu faire croire aux « jeunes » que l’on fermait les universités, les bars et discothèques, bibliothèques, musées et stations de ski pour protéger les grands-parents qu’on reléguerait tout de même à la cuisine avec la bûche de Noël ? France Info, Libération, Le Figaro, l’Express ?

S’ils avaient lu quelques articles sur Agoravox, France Soir, Mondialisation.ca ou encore nouveau-monde.ca, ils auraient tilté sur le décret Rivotril signé par le Premier ministre Édouard Philippe et O. Veran qui interdisaient dès fin mars de traiter précocement les patients atteints de pneumonie compatible avec le covid, et conseillaient fortement de les « endormir » au Rivotril pour une euthanasie douce non demandée par le malade potentiel (contraire à la loi Leonetti) ni sa famille tenue à distance par ces interdictions monstrueuses de visite à des vieillards dont c’est le seul plaisir.

Les bénéficiaires des restrictions corona sont clairement visibles. En 2020, la richesse de la classe moyenne touchée par les confinements a été drainée vers les grandes entreprises, que les experts estiment à plus de 1 milliard de dollars. Les milliardaires ont gagné cette année plus de 269 milliards de plus pendant le Covid-19.

Qui dirige le Monde ? Ce sont les entreprises mondiales telles qu’Amazon, Black Rock, Google, Facebook et les banques. Et le comportement de FB, YouTube et Twitter bloquant l’expression du président des usa est la démonstration qu’il fallait pour ouvrir les yeux de tous ceux qui ne voulaient pas croire au « complot ». De fait ce n’est pas un complot, mais bien des décisions froides et délibérées de quelques milliardaires et leur armée d’affidés d’organiser le monde à leur façon, en astreignant les peuples au » boulot, métro, dodo » et quelques jeux télévisés à la place des jeux du cirque comme au temps des empereurs romains. Ne savent-ils pas que cela se finit toujours mal POUR EUX ?

Le confinement sur Noël a achevé la classe moyenne et a en grande partie tout transféré vers Amazon & Co. Avec des sommes aussi gigantesques, il est clair qu’il ne s’agit pas de mesures de protection pour les peuples. Le leurre du covid s’efface peu à peu et si trop de gens rivés à Bfm et France Info ont encore peur, l’éveil se fait progressivement sans que nul ne puisse prévoir les formes que prendront les explosions inéluctables.

Victimes et avocats devraient orienter les défenses sur les raisons profondes des mesures liberticides

« les tribunaux ne traitent pas du tout des motivations mondialistes qui sont vraiment derrière les restrictions : aucune restriction ne sert “vraiment” au bien-être de la population et certainement pas au bien-être de “l’homme ordinaire” ou même au bien-être des groupes à risque vulnérables » insiste l’avocat ».

Si une autorité poursuit réellement un intérêt légitime pour le bien commun — elle devrait prouver qu’il s’agit d’un intérêt supérieur. Les exigences du droit de l’Union sont ici plus élevées que celles du droit constitutionnel.

Dans le droit de l’Union, on ne peut pas simplement déclarer que tout le monde court un « risque général de mort », comme le font les politiques et aussi la Cour constitutionnelle fédérale, malheureusement plus ou moins soumise.

Comment justifier des restrictions de libertés fondamentales ?

Pour justifier une restriction des libertés fondamentales, il ne suffit en aucun cas de dire qu’il existe des maladies potentiellement létales. Les maladies ont toujours existé ! Si toutes les libertés civiles pouvaient être sapées par le mot clé protection de la santé ou « incidence », plus aucune liberté ne serait justifiée, puisque la mortalité est inéluctable de même que les maladies graves.

Un intérêt affirmé pour le bien commun

doit donc être impératif,

si impératif que la fermeture d’une entreprise et la suppression associée des droits à la liberté garantis par le droit de l’Union sont impératives.

Il n’y a pas d’alternative.

Mesures liberticides et proportionnalité

Selon l’avocat de Hambourg, Karpenstein, « il n’est certainement pas “impératif” d’imposer un verrouillage pour se protéger contre les maladies infectieuses. Je n’ai pas encore vu d’argument compréhensible pour légitimer un confinement ou la fermeture d’un magasin, d’un hôtel ou d’un restaurant avec des exigences impérieuses en matière de protection de la santé ».

L’accent doit être mis uniquement sur le manque de proportionnalité des restrictions liées au coronavirus. Les restrictions ne sont pas « réellement » fondées sur la protection de la santé ni « obligatoires ». Si une restriction est « réellement » fondée sur la protection de la santé et que, en même temps, il est prouvé qu’elle est absolument nécessaire pour atteindre le but recherché, cette restriction doit également être proportionnée. Il existe également d’innombrables arrêts de la CJE qui étayent l’exigence de proportionnalité en vertu du droit de l’Union.

Un confinement basé sur corona n’est proportionné sous aucun aspect imaginable.

Proportionnalité et cohérence

« Selon la jurisprudence constante de la Cour de justice du Luxembourg, une restriction à la libre prestation de services, tels que ceux d’un hôtelier ou d’un restaurateur, mais aussi de l’exploitant d’un domaine skiable, doit non seulement être obligatoire et proportionnée, mais aussi systématique et cohérente.

La restriction devrait s’inscrire dans un système global, logiquement et sans contradictions, et ne devrait pas être fragmentaire ».

La Cour européenne de justice se concentre sur la cohérence à la fois de la réglementation nationale et de sa mise en œuvre dans la pratique.

Entre la théorie et la pratique, la cohérence et les systématiques sont trop souvent oubliées.

« L’exigence de systématique et de cohérence est dans la législation et la pratique administrative des États, au moins dans les cas où la politique de pouvoir et les intérêts fiscaux ne sont en fin de compte en jeu, en fait jamais rencontrés ». « Les revenus issus des jeux de hasard étatiques sont utilisés par la politique pour se rendre “populaire” parmi la population. Les restrictions dans ce domaine sont donc uniquement basées sur l’hypocrisie de la protection de la santé (risque de dépendance au jeu) ».

En conséquence, il existe d’innombrables contradictions dans la réglementation et la pratique des autorités.

Karpenstein poursuit la comparaison entre les mesures pseudo sanitaires prises en Allemagne pour les jeux d’argent et les mesures liberticides soi-disant contre le corona.

« En Allemagne, vous pouvez mettre 50 € dans une machine dans les casinos publics, mais seulement deux euros dans les casinos privés. Il n’y a ici ni systématique ni cohérence, de sorte que la restriction à deux euros ne peut pas être justifiée au regard du droit de l’Union.

Dans le même temps, en raison du manque d’approche systématique et du manque de cohérence, les restrictions dans le domaine des paris sportifs ne peuvent être justifiées ».

« Les contradictions dans la réglementation et dans la pratique de la politique de jeu de l’État montrent clairement que les autorités de l’État ne sont pas vraiment concernées par les exigences impératives du bien commun, mais par les politiques de pouvoir et les intérêts fiscaux de ceux qui bénéficient des restrictions ».

Il en va de même pour les restrictions prétendument basées sur Corona.

Restrictions anti-corona et cohérence

« Ces restrictions ne sont pas systématiques et cohérentes, ni dans la réglementation ni dans la pratique. Prenons simplement la contradiction selon laquelle le gouvernement fédéral a convenu d’un verrouillage avec les États fédéraux au printemps 2020, mais interdit en même temps l’autopsie exacte de ceux qui seraient décédés sur ou avec Corona ».

« Personne en politique ne s’intéresse à la connaissance réelle du Corona, c’est-à-dire à la connaissance qui est effectivement bénéfique pour la santé et la protection des groupes à risque.

Chaque mesure prise par le gouvernement va de pair avec la restriction des libertés civiles, qui se reflète malheureusement de plus en plus dans le comportement de la police qui n’était auparavant connu que des États totalitaires ».

Les contradictions de la politique corona sont gigantesques et révélatrices

« Dans chaque État fédéral, pratiquement dans chaque municipalité, des réglementations et des pratiques administratives différentes s’appliquent. En fin de compte, tout est pur arbitraire et chicane. Aucune restriction n’est basée sur des preuves, encore moins un verrouillage complet. » décrit l’avocat sur la situation de l’Allemagne. On ne peut que faire le parallèle avec la situation vécue en France, pourtant non fédérale où la rigueur des amendes sur le port du masque, ou le respect du couvre-feu dépend très largement du maire et/ou du préfet et de son bon vouloir.

Exemple de réaction possible en mars 2020 et que personne n’a eu en raison de la sidération créée par la campagne de peur orchestrée de main de maître.

Contrairement à ce qui a été pensé et exprimé pendant les premiers mois de la supercherie, les gouvernements impliqués dans cette manipulation mondiale n’ont pas été incompétents, mais bien pervers. Ordres et analyses contradictoires d’un jour à l’autre, couplés à un discours déprimant quotidien comme un rituel, ont pour base connue l’ingénierie sociale pour mettre au pas les populations et les emporter, via la dissonance cognitive, vers le totalitarisme. De nombreux sociologues ont décrit le phénomène, tellement vrai que Twitter aujourd’hui rapporte les multiples bandes dessinées qui naissent alors que le livre 1984 tombe dans le domaine public et que les twitts comparant le récit d’Orwell et la situation actuelle abondent.

Qu’aurait-on pu faire en mars devant l’injonction de fermer mon hôtel ? Refuser !

Préciser à l’autorité la situation juridique en droit de l’Union à laquelle je fais référence et précisé à l’autorité qu’elle seule a la charge de me prouver qu’il est impératif, proportionné, systématique et cohérent que je ferme mon entreprise. 

Le droit de l’Union est directement applicable et ne nécessite pas de confirmation judiciaire pour avoir son effet principal.

Si l’autorité ne veut rien savoir et le fait tout de même ?

Faire usage de tous les recours juridiques et des recours juridiques contre l’exécution immédiatement. Intenter une action en justice contre l’autorité pour la responsabilité de l’État pour la violation du droit de l’Union pour les dommages encourus et futurs.

Personnellement, contacter le fonctionnaire responsable. Parce que cet employé est également lié par le droit de l’Union supérieur et doit protester contre des instructions contraires.

« S’il ne le fait pas, bien que je lui ai montré la bonne situation juridique, il court le risque d’être personnellement responsable, car l’autorité responsable de l’indemnisation peut intenter un recours contre lui. De plus, il se peut que l’employé de l’agence soit inculpé et condamné pour perversion à la loi — c’est-à-dire d’un crime — avec toutes les conséquences pour son avenir professionnel ».

Pour Maître Karpenstein, ce ne sont pas seulement le gouvernement fédéral et des États qui ont un devoir ici, mais également les employés des autorités individuelles ?

Oui, il le dit à l’article 339 du Code pénal qui non seulement prend délibérément des décisions erronées par les juges au détriment d’un opérateur économique sous peine de délit, mais aussi des décisions délibérément erronées des administrateurs en matière juridique au détriment du citoyen. 

« De nombreux responsables négligent le fait que l’arbitraire au détriment du citoyen relève de l’épée de Damoclès à l’article 339 du Code pénal. La peine minimale est d’un an et les conséquences pour les administrateurs ne sont pas vraiment roses » conclue l’avocat allemand.

Que recommandez-vous aux commerçants concernés par la fermeture qui souhaitent rouvrir ? En savoir plus sur la situation juridique régie par le droit de l’Union, puis décider quoi faire.

Toute personne dont le service ou la transaction commerciale a un lien transfrontière peut invoquer le droit de l’Union. Cette référence transfrontalière est interprétée au sens large par la Cour. Il n’est en aucun cas nécessaire que le service franchisse directement la frontière dans tous les cas, par exemple, qu’un avocat allemand ne fasse appel qu’à la CJE au Luxembourg.

Une référence transfrontalière « potentielle » est suffisante pour l’applicabilité du droit de l’Union.

« Dans le domaine de la libre prestation de services, cela signifie qu’il suffit, par exemple, qu’un investisseur ait un “intérêt transfrontalier garanti” dans le service limité. Cet intérêt transfrontalier garanti peut être accepté dans pratiquement tous les domaines qui existent également dans d’autres États membres, par exemple dans le domaine de l’exploitation d’hôtels ou de restaurants ou de stations de ski, etc. ».

« Dans le domaine de la libre circulation des marchandises, il est également vrai qu’une relation transfrontalière existe déjà dans la possibilité potentielle que la distribution restreinte affecte le commerce transfrontalier ».

Un bon exemple est le cas de la CJE Bluhme : le Danois Bluhme voulait garder des abeilles ordinaires sur l’île danoise de Lasö. Il a été condamné à une amende, car seule l’abeille spéciale « Apis mellifera mellifera » était autorisée sur l’île. Un avocat danois ingénieux a objecté à l’amende danoise devant un tribunal danois que l’amende violait la libre circulation des marchandises. On ne peut exclure que M. Bluhme gagne du miel avec ses abeilles et le vende à l’Allemagne, par exemple. La CJCE a confirmé l’applicabilité de la libre circulation des marchandises et donc l’inapplicabilité fondamentale de la restriction danoise !

Dans une affaire purement nationale, un résident peut invoquer les libertés fondamentales du droit de l’Union en raison de la possibilité d’exporter ses marchandises.

 Si cette jurisprudence de la CJCE est désormais appliquée aux restrictions coronavirus, il devient clair que le confinement actuel ne peut être justifié de manière fiable en vertu du droit de l’Union.

Cette revue était nécessaire pour exposer différents aspects de la loi européenne qui pourraient servir à protéger nos libertés individuelles, en particulier celles de circuler et de travailler. Espérons que les victimes des restrictions disproportionnées imposées sauront s’en saisir et que des avocats efficaces parviendront à les faire déclarer illégales en Europe et tout particulièrement en France.


[Notes]

[1] https://www.nordkurier.de/politik-und-wirtschaft/koennte-eu-recht-den-corona-lockdown-sprengen-0641971201.html Simone Schamann 01/06/2021

[2] spécialisé en droit européen, maintenant « droit de l’Union », depuis des décennies

[3] En dix ans, la #fortune des #milliardaires français a augmenté de 439 %

[… Que feriez-vous avec 360,7 milliards de dollars ? Cette somme astronomique correspond aux gains cumulés des milliardaires français sur la période 2009-2020, selon une étude publiée début octobre par la banque suisse #UBS et le cabinet d’audit et de conseils #PWC. Nos chers premiers de cordée se sont enrichis de 439 % dans la dernière décennie. De 82,2 milliards de dollars en 2009, leurs fortunes cumulées représentent désormais la bagatelle de 442,9 milliards de dollars…] En dix ans la #fortune des #milliardaires. | Alain Mondino (vk.com)

[4] Les pensions de retraite pourraient baisser en 2021 L’union 2/1/2021 https://www.lunion.fr/id220017/article/2021-01-02/les-pensions-de-retraites-pourraient-baisser-en-2021

[5] Confirmé par l’étude chinoise sur dix millions de personnes, les bien portants dits asymptomatiques ne transmettent pas le virus Les bien-portants, dits « asymptomatiques », ne transmettent pas le Covid19 : étude chinoise sur 10 millions de personnes ! (francesoir.fr)

[6] Ministre allemande de la Santé depuis 2018

[7] Vers la mise en place d’un Nuremberg du Covid – (ripostelaique.com)
Nuremberg-Covid : les confinements furent inutiles, et le demeurent (3) — ripostelaique.com) 




Paris. Étudiante en école de journalisme, une jeune Kabyle subit la censure et la pression de sa direction et des autres élèves

[Source : breizh-info.com]

Le terrorisme intellectuel et la propagande politique jusque dans les écoles de journalisme. De quoi ensuite ne pas s’étonner que la quasi-totalité de ces petits soldats, décrits dans le livre de François Ruffin, penche à gauche et à l’extrême gauche. L’expérience vécue par Malha, 22 ans, d’origine kabyle, mais qui se définit comme « étant Française par l’esprit » a de quoi alarmer sur les conditions dans lesquelles sont formées les cohortes de journalistes qui peuplent la presse mainstream qui vous informe quotidiennement.

La jeune fille ne se cache pas : « Je suis étudiante en 3e année de journalisme en filière générale dans une école parisienne. Politiquement, je suis à droite ».

Cette dernière nous explique : « Je travaille en rédaction pour le site de l’école (on fait du journalisme web NDLR : un webmédia interne à l’école) et je m’occupais de la rubrique politique pour une semaine. J’ai été réprimandée et censurée suite à un article que j’ai rédigé sur les atteintes à la Laïcité au sein des écoles françaises, article qui s’appuyait sur un sondage de l’IFOP ».

Malha fait référence au sondage réalisé par l’IFOP pour la fondation Jean Jaurès au sujet de la laïcité bafouée et contestée en France. « C’est un article dans lequel j’ai parlé des contestations de la Laïcité, du séparatisme religieux et du refus du blasphème, mais toujours en m’appuyant sur le sondage de l’IFOP. Je n’ai absolument rien inventé et j’ai même interrogé des professeurs, qui m’ont parlé des débordements qu’ils ont eux-mêmes vécus et que j’ai relatés dans mon article ».

Puis la jeune femme poursuit : « avant de poster mon article, j’ai envoyé mon papier pour le rédacteur en chef et le sous-rédacteur (ils sont eux-mêmes étudiants comme moi), comme le veut le métier. Et ils m’ont appelée le soir même pour me dire que mon papier était bourré d’idéologie et qu’il était loin d’être un travail factuel. Donc il ne serait pas publié, si je ne modifiais pas certaines choses. Le lendemain, sans surprise ma prof était d’accord avec eux m’a dit que mon article manquait de précision et que je ne pouvais pas affirmer des choses sans apporter de preuves… alors même que mon article était basé sur un sondage de l’IFOP et que je n’ai fait que rapporter des témoignages d’enseignants par la suite puisque c’est ce que les professeurs nous demandent de faire.. »

L’article en question, Malha nous l’a envoyé, et le voici ci-dessous.  Vous pourrez juger par vous même de ce que la direction d’une école de journalisme, la même qui laisse des articles faisant l’apologie du lobby LGBT ou de la lutte « des minorités ethniques », censure.

Un texte qui est pourtant bien un article à teneur journalistique (sachant que ce sont des étudiants, donc encore en apprentissage). Malha raconte la suite : « J’ai essayé de me défendre comme j’ai pu, mais tout le monde était contre moi alors le papier a été édulcoré par le rédacteur en chef et ils l’ont publié. Mais la prof m’a demandé de réécrire mon papier quand j’aurais le temps et de ne pas utiliser des expressions incompréhensibles telles qu’“Anomie” (expression que j’ai utilisée dans mon papier) et aussi des adjectifs qu’elles trouvent non factuels et subjectifs comme : une frange non négligeable, anomie, la Laïcité-ciment de la République française, risque d’une condamnation à mort, tel est le cas de Samuel Paty. Et d’après elle, j’ai manqué de précision et le texte risquerait de ne pas être compréhensible ».

Mais les pressions à l’encontre de la jeune femme ne s’arrêtent pas là : « Depuis à chaque fois que j’ai un sujet sur la table, ils le passent au crible. Pour trouver un moyen de me dissuader de le faire. Exemple : hier j’ai proposé d’écrire un papier sur les censures de certains comptes sur les réseaux sociaux (pour ne pas polémiquer, je n’ai pas évoqué Trump), mais je voulais juste faire un papier sur des anonymes ou des twittos qui ont été censurés pour des idées où des opinions. On m’a répondu : “Il faut savoir que c’est un espace privé et que les plateformes ont le droit de bannir ceux qu’ils veulent alors ton papier n’aura pas lieu d’être”. 

Autre exemple donné par Malha : “La semaine dernière, j’ai voulu parler de la persécution des chrétiens d’orient et d’Afrique et bizarrement le rédacteur en chef ‘n’était pas chaud pour parler sur ce sujet’. Dans la foulée, on lui a proposé de parler du débat sur…. la légalisation du cannabis.

Pourquoi la jeune femme prend elle le pli de parler et de dévoiler cette propagande assumée ? ‘Si j’ai décidé d’en parler c’est parce qu’il est urgent de savoir où se trouvent le fanatisme et la censure’ nous dit la jeune femme qui nous explique ce qu’est sa conception du journalisme qu’elle étudie :

‘Pour moi le Journalisme se résume parfaitement dans la citation de Dubief : ‘Pour être digne, le journalisme doit avoir pour consigne la vérité rien que la vérité’, chose qui n’est pas le cas aujourd’hui et qui me désole vraiment.
Les journalistes sont des militants politiques, qui ne s’assument pas. J’ai remarqué, pour les journalistes la neutralité et l’objectivité sont  pour eux synonymes de la gauche. Si vous restez dans l’idéologie de gauche, vous êtes objectif, mais si vous sortez de la doxa dominante vous êtes mal vue et considérée comme facho.

Je crois que la liberté d’expression est en péril, on ne peut plus rien dire sans qu’on nous colle à la peau des étiquettes.

On assiste à une censure déguisée en lutte contre les discriminations et l’extrémisme. Alors que la censure est en elle-même la quintessence du fanatisme.

Hélas la liberté d’expression est plus présente dans certains pays dit du tiers monde qu’en France, le pays des lumières (Je parle en connaissance du terrain)’

Si l’on savait déjà que les universités françaises, lieux qui sont censés former nos futurs professeurs et autres chercheurs, ont très souvent désormais l’apparence d’instituts de propagande où toute pensée divergente est réprimée ou censurée, il semble en aller de même, on le voit ici avec cette école de journalisme parisienne, chez ceux qui, demain, vous informeront et influeront sur la société française.

Terriblement inquiétant. Vous avez dit société démocratique ?

Crédit photo : DR
[cc] Breizh-info.com, 2021, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine




Chiffres des hospitalisation dans les Alpes Maritimes : encore un enfumage de Santé Publique France

[Source : Bas les masques]

Nouveau scandale en vue ? Dans une enquête, Nice Matin démontre aujourd’hui à quel point les chiffres des hospitalisations pour Covid-19 annoncés par les autorités sanitaires dans le département des Alpes-Maritimes sont éloignés de la réalité du terrain. Situation d’autant plus grave que ces indicateurs servent à justifier le couvre-feu national à 18h qui prend effet à compter d’aujourd’hui.

Grâce à des documents fournis par des médecins hospitaliers, le journal azuréen a pu comparer la réalité des hospitalisations pour Covid-19 avec les chiffres officiels annoncés quotidiennement par Santé publique France (SPF) notamment en ce qui concerne le nombre de lits occupés, mais également les courbes des hospitalisations. Et ce qui en ressort démontre une fois de plus la déconnection entre la réalité d’une part, et la manipulation des chiffres d’autre part. 

L’exemple donné par le quotidien régional est édifiant : pour la journée du 3 janvier, SPF annonçait ainsi 564 personnes hospitalisées pour Covid dans les Alpes-Maritimes, dont 69 en réanimation. Or, la réalité des chiffres remontés par les personnels du CHU de Nice, qui recensent les lits occupés auprès de tous les établissement du département, font état de seulement 233 patients au total, dont 55 en réanimation pour la même journée. Soit une différence de plus du double entre les chiffres des pouvoirs publics enfermés dans leurs bureaux et ceux des médecins présents sur le terrain. 

Par ailleurs, alors que les chiffres du terrain indiquaient une courbe plate — voire légèrement décroissante à compter du 10 novembre — concernant les hospitalisations pour formes graves, les chiffres officiels, eux, prétendaient que ces hospitalisations étaient en progression constante. 

Plus grave encore : les patients admis à l’hôpital pour Covid-19 et qui sont pris en charge pour les séquelles à la suite de la maladie sont toujours comptabilisés dans les bases de données. Nice Matin cite ainsi le témoignage d’un spécialiste de santé publique qui indique que « (…) les malades de la Covid-19 qui quittent l’hôpital après un séjour en réanimation ou dans un autre service ne sont pas toujours sortis des bases. Comme Santé publique France fait des extractions de ces données, elles sont mathématiquement supérieures à la réalité ». Et pour cause, les malades devraient être retirés de la base de données après 14 jours. Comme ce n’est pas le cas, les chiffres se voient ainsi gonflés artificiellement.

À noter également que les patients entrants pour n’importe quel problème de santé et qui se retrouvent testés positif au coronavirus, même en l’absence totale de symptômes, se retrouvent automatiquement intégrés à la base de données des malades du Covid. Et s’ils arrivent aux urgences avec une simple suspicion, ils sont intégrés également à la base de données. En dépit de tests négatifs infirmant la suspicion, certains d’entre eux ne sont pas pour autant retirés des listes. Une situation qui n’est pas sans rappeler celle des personnes décédées comptabilisées Covid à la suite d’un test, alors que la cause de leur décès était de toute autre nature. 

Tout cela prouve encore, s’il y en avait besoin, que la politique sanitaire liberticide qui nous est infligée sur la base de chiffres systématiquement manipulés — quand ils ne sont pas tout simplement faux — est bien la pire des stratégies.




Le Système Octogon et l’or des Nazis

[Source : Andre Schoene]

Victor Rocaries, directeur général Arte France :

« Il est inacceptable que le nom d’Arte soit associé à un acte de censure… Mais cette fois, c’est vrai, nous avons décidé de ne pas montrer le film. Pourquoi ? … Il ne nous est pas possible de dire cela en Allemagne. La fortune nazie se cache en fait derrière le financement des partis politiques en Allemagne, c’est pourquoi nous avons décidé de ne pas montrer le film. »[1]

« Les vieux nazis, marchands d’armes, hommes d’affaires, fonctionnaires et agents de la CIA ont alors construit un réseau occulte et corrompu pour le financement politique. »[6]

Jean-Michel Meurice, producteur :

« Des envoyés du siège strasbourgeois d’ARTE sont venus me voir régulièrement et m’ont dit : changez ceci, découpez quelque chose ou mettez une zone de texte à l’écran avec la note que tout est faux, c’est inacceptable, donc beaucoup de corrections. J’ai toujours refusé. »[1]

Il ne pourra être diffusé en France que quatre ans plus tard. Une version raccourcie de 10 minutes aux points clés sera enfin diffusée en Allemagne. Si vous voulez voir les 10 minutes manquantes, regardez les 15 dernières minutes de la longue version française.

Ici pour la version allemande (70 min — version courte) : http://youtu.be/0tO_-BofiQk?t=1m42s

En utilisant des documents d’archives américaines, suisses et allemandes[2][5] longtemps gardées secrètes et maintenant publiées, Frank Garbely et Fabrizio Calvi ont pu retracer une histoire qui s’étend sur plusieurs décennies.

Au cours de la défaite allemande imminente, un général des achats de Reut et des membres du ministère de la Marine et de la Guerre de Paris ainsi que des représentants des plus importants groupes industriels allemands tels que Krupp, Rheinmetall, Volkswagen, Hecho, Bussing et Röchling se sont réunis dans le salon privé de l’hôtel Maison Rouge de Strasbourg en 1944. Un total de 10 sont sur une liste. Ils prévoyaient de déplacer l’or nazi vers des pays neutres. Ils voulaient créer un lieu sûr pour les actifs nazis afin d’influencer la formation de l’Allemagne d’après-guerre.[2][3]
D’énormes sommes d’argent se sont alors retrouvées au Liechtenstein via des canaux cachés.

« Au début, ces deux partis (CDU / CSU, FDP) en particulier ont bénéficié de ce financement illégal des partis. Mais à partir des années 1960, le système était de plus en plus géré par de grandes associations professionnelles. Au cours de nos recherches, [il est apparu que] des fonctionnaires du SPD ont également pu profiter de cet argent. »[7]

Walther Leisler Kiep :

« En tant que trésorier de la CDU, rapporte-t-il, il avait pour tâche de collecter des fonds pour la politique chrétienne et en même temps de récapituler l’histoire du financement des partis en République fédérale. Avec l’aide d’un réseau de grandes entreprises allemandes et de boîtes aux lettres au Liechtenstein et en Suisse depuis les années 1950, beaucoup d’argent a été mis à la disposition des partis « discrètement, plus secrètement que secrètement ». Jusque dans les années 1970, environ 220 millions de marks. »[8]

« Helmut Kohl est désormais à la tête de la CDU… mais les modes de financement du système vieux de 35 ans n’ont pas changé…
Nous avons renouvelé l’ancien système avec de nouveaux acteurs, de nouveaux trésoriers, une nouvelle banque, mais les donateurs étaient toujours les mêmes ».[1]

Un film documentaire sur le sujet est retenu par ARTE depuis de nombreuses années :

Notes

[1] « Le Système Octogon » : Arte, la censure et le trésor des nazis – Rue89 – L’Obs (archive.org) :

« Le Système Octogon » : Arte, la censure et le trésor des nazis

Emma Aurange | journaliste

De Konrad Adenauer à Helmut Kohl, la CDU, parti chrétien-démocrate majoritaire dans l’Allemagne d’après-guerre, aurait bénéficié de financements occultes provenant du trésor caché des nazis. Le 1er juin, Arte diffusera « Le Système Octogon », documentaire signé Jean-Michel Meurice qui − censure oblige − dormait depuis trois ans sur les étagères poussiéreuses de la chaîne franco-allemande.

L’affaire remonte à 2007. Cette année-là, Jean-Michel Meurice soumet à Arte son projet. Aux côtés du réalisateur, les deux journalistes d’investigation Fabrizio Calvi et Franck Garbely y étayent la thèse selon laquelle l’Union chrétienne démocrate (CDU), parti de Konrad Adenauer, aurait bénéficié du système de financements occultes mis en place par les nazis.

Blanchi en Suisse, l’argent des nazis revient pour financer la CDU

Ce système reposant sur une société écran du nom d’Octogon, et dont le fonctionnement est raconté par le menu dans le documentaire, comme on peut le voir dans l’extrait repris par Telerama.fr :

« Le processus de lavage d’argent était tout simple. L’entreprise donne de l’argent, qui est transféré par des voies détournées en Suisse.

Là, officiellement, il est dépensé dans un but d’intérêt général inventé de toutes pièces, 10% sont soustraits au passage et le reste est récupéré par les trésoriers du parti conservateur ». (Voir la bande annonce du docu, passé sur la télé belge RTBF)

https://youtube.com/watch?v=zL05LZtuNs8 [NdNM : vidéo plus disponible]

Le sujet est délicat mais porté par un collaborateur de longue date, et la chaîne valide le projet sans plus d’hésitation.

« Ils m’ont demandé une foule de corrections que j’ai refusées »

Le documentaire est donc tourné, programmé pour septembre 2008, puis… déprogrammé. Jean-Michel Meurice, qui n’a pas eu droit à la moindre explication, tombe des nues :

« Tout ça s’est fait dans le non-dit, comme si on pouvait poser le documentaire sur une étagère et l’étouffer. Mais on n’est pas dans un système soviétique. »

Le silence dure, Jean-Michel Meurice finit par comprendre que c’est la branche allemande de la chaîne qui bloque
la diffusion. « Le Système Octogon » dérange, les historiens allemands montent au créneau. C’est le début d’une (très) longue période de négociations. Jean-Michel Meurice se souvient :

« Un envoyé du siège strasbourgeois venait régulièrement me voir pour me dire que l’on pourrait couper ci ou couper ça, ou bien mettre un carton [un texte affiché à l’écran, ndlr] disant que tout ça est faux, enfin des choses qui étaient inacceptables, une foule de corrections que j’ai toujours refusées. »

« Une thèse contrebattue par les études réalisées depuis »

Pendant ce temps, Arte justifie cette déprogrammation comme elle peut. Invité, le 8 février, à une projection-débat organisée par la Scam, Victor Rocaries, directeur de la gestion d’Arte France, prend la parole :

« Il n’est pas acceptable que le nom d’Arte soit associé à un acte de censure. Nous ne l’avons jamais fait et nous avons toujours au contraire favorisé le documentaire d’investigation.

Pourtant, cette fois, c’est vrai, nous avons décidé de ne pas diffuser ce film.

Pourquoi ? Tout simplement parce qu’il nous est apparu que la thèse véhiculée par le film − en gros, que l’argent nazi, caché en Suisse et au Liechtenstein, a permis de financer les campagnes de la CDU et des autres partis politiques allemands − nous paraît contrebattue par les études historiques réalisées depuis […].

Il n’est pas pour nous possible de dire en Allemagne que le financement des partis politiques allemands de l’après-guerre a été le fait des trésors cachés des nazis. Voilà pourquoi nous avons décidé de ne pas diffuser ce film. »

Il aura finalement fallu attendre mars 2011, et l’arrivée de Véronique Cayla à la tête de la branche française de la chaîne, pour que « Le Système Octogon » réapparaisse dans les grilles de diffusion. De quoi augmenter l’animosité de Jean-Michel Meurice à l’égard de l’ancien président d’Arte France :

« Jérôme Clément n’a pas voulu s’occuper sérieusement de cette affaire embêtante. Ce n’est pas un homme connu pour son grand courage, donc il a préféré laisser ça sous le tapis. J’en avais parlé, je lui ai réécrit à plusieurs reprises, mais il ne répondait plus. »

Les accusations contre Helmut Kohl finalement supprimées

Une issue favorable, ou presque. Car − la diffusion a un prix − c’est une version expurgée du « Système Octogon » que découvriront les téléspectateurs français et allemands le 1er juin. En effet, dans sa version originale, le documentaire faisait le rapprochement entre le financement, dans l’immédiat après-guerre, de la CDU d’Adenauer par l’argent nazi et l’affaire des caisses noires de Kohl.

Le commentaire expliquait :

« Helmut Kohl est maintenant au sommet de la CDU […] les méthodes de financement n’ont pas changé et continuent grâce au système construit trente-cinq ans plus tôt. »

« On a reconduit l’ancien système avec de nouveaux protagonistes, de nouveaux trésoriers, une nouvelle banque, mais les donateurs étaient toujours les mêmes […] il n’y avait que le trésoriers, les acteurs, les personnes qui récoltaient les fonds, il n’y avait que ça qui changeait. »

Rajoutée à la demande de la chaîne qui voulait « actualiser » le propos du film, cette partie sur l’implication du chancelier de l’Allemagne réunifiée dans cette affaire ne figurera pas dans la version finale du documentaire.

En tout, c’est près d’une dizaine de minutes de film qui auront été coupées, et ce sur les conseils du grand historien Marc Ferro :

« Arte m’a demandé ce que j’en pensais. J’ai donné un avis favorable quant au fond, mais critique quant aux imprudences de la réalisation : au lieu de s’arrêter à l’époque d’Adenauer, Jean-Michel Meurice a voulu montrer que les successeurs à la CDU avaient aussi utilisé cet argent.

J’ai donc dit que c’était un piège à procès. Ça me semblait de l’acharnement, donc j’ai recommandé que l’on coupe la fin et que l’on ne parle pas de Kohl. »

Conscient d’avoir fait « un amalgame qui pouvait laisser croire qu’il y avait eu une relation entre Kohl et l’argent nazi », Jean-Michel Meurice n’a pas contesté la coupe, déplorant « un manque de professionnalisme de la part d’Arte » bien plus que « l’acte de censure » en tant que tel.

« Le film lève le tabou sur l’intégrité du chancelier Adenauer »

Mais ce n’est pas simplement ces quelques minutes qu’avaient incriminé les historiens allemands. En effet, à en croire Marc Ferro, au-delà de Kohl, la façon dont le documentaire révèle les accointances de Konrad Adenauer avec les nazis a dérangé les spécialistes germaniques :

« Les historiens allemands ont sorti leurs épées en voyant qu’on s’en prenait à Adenauer […] Je pense que ils se soulevaient parce que le film lève un tabou, après Hitler et le nazisme, Adenauer c’était l’intégrité, la pureté. Entacher Adenauer, c’était entacher toute l’Allemagne. C’était un film sacrilège. »

Au travers de la figure emblématique d’Adenauer, premier chancelier de la République fédérale d’Allemagne, « Le Système Octogon » aborde frontalement le problème de la non-dénazification dans l’Allemagne d’après-guerre, comme le souligne Jean-Michel Meurice :

« Il n’y a jamais que dix-neuf personnes qui ont été condamnées à Nuremberg, alors qu’il y a des millions d’Allemands qui ont été derrière Hitler. Ce n’est pas seulement l’affaire de dix fanatiques. »

Ce qui dérange, c’est que sa thèse s’appuie sur « le fait qu’Adenauer ait reconstruit l’Allemagne de l’Ouest avec essentiellement des nazis, et en faisant feu de tout bois avec la corruption », dit le réalisateur :

« Toute la structure administrative de l’Allemagne nazie a continué de fonctionner après la guerre » : selon lui, c’est ce que les historiens allemands – eux aussi victimes d’un héritage trop lourd à porter – se refusent à entendre.

L’existence d’une réunion sur Octogon en 1944 contestée

Ces derniers nient ainsi en bloc certains éléments clés du documentaire comme, par exemple, l’existence de la fameuse réunion de Strasbourg durant laquelle aurait été mis en place, à l’été 1944, le système Octogon.

Ce à quoi Jean-Michel Meurice répond :

« Ils disent que la fameuse réunion de 44 n’a pas existé ? Mais nous, on a des documents très sérieux alors il faut voir quels documents ils ont. On a un rapport écrit par l’un des participants, qui était un agent secret travaillant pour les services français. C’est la note que l’on retrouve dans les archives américaines. »

Le 1er juin, la diffusion du documentaire sera suivi d’un débat au cours duquel les pros et antis « Système Octogon » pourront s’expliquer. Débat auquel Jean-Michel Meurice ne participera pas. Mais qu’importe, le réalisateur est sûr de lui :

« Tout est vrai, c’est de l’investigation rigoureuse, toutes les sources sont vérifiées, croisées, il y a toute la rigueur du journalisme d’investigation. L’histoire, c’est l’histoire et je n’invente rien. »

[2] US Military Intelligence report EW-Pa 128 (cuttingthroughthematrix.com) :

US Military Intelligence report EW-Pa 128

Enclosure No. 1 to despatch No. 19,489 of Nov. 27, 1944, from
the Embassy at London, England.

S E C R E T
SUPREME HEADQUARTERS
ALLIED EXPEDITIONARY FORCE
Office of Assistant Chief of Staff, G-2
7 November 1944
INTELLIGENCE REPORT NO. EW-Pa 128

SUBJECT: Plans of German industrialists to engage in underground activity after Germany’s defeat; flow of capital to neutral countries.

SOURCE: Agent of French Deuxieme Bureau, recommended
by Commandant Zindel. This agent is regarded as
reliable and has worked for the French on German
problems since 1916. He was in close contact with
the Germans, particularly industrialists, during
the occupation of France and he visited Germany
as late as August, 1944.

  1. A meeting of the principal German industrialists with
    interests in France was held on August 10, 1944, in the Hotel
    Rotes Haus in Strasbourg, France, and attended by the informant
    indicated above as the source. Among those present
    were the following:
    Dr. Scheid, who presided, holding the rank of S.S.
    Obergruppenfuhrer
    and Director of the Heche
    (Hermandorff & Schonburg) Company
    Dr. Kaspar, representing Krupp
    Dr. Tolle, representing Rochling
    Dr. Sinderen, representing Messerschmitt
    Drs. Kopp, Vier and Beerwanger, representing
    Rheinmetall
    Captain Haberkorn and Dr. Ruhe, representing Bussing
    Drs. Ellenmayer and Kardos, representing
    Volkswagenwerk
    Engineers Drose, Yanchew and Koppshem, representing
    various factories in Posen, Poland (Drose, Yanchew
    and Co., Brown-Boveri, Herkuleswerke, Buschwerke,
    and Stadtwerke)
    Captain Dornbuach, head of the Industrial Inspection
    Section at Posen
    Dr. Meyer, an official of the German Naval Ministry in
    Paris
    Dr. Strossner, of the Ministry of Armament, Paris.
  2. Dr. Scheid stated that all industrial material in France
    was to be evacuated to Germany immediately. The battle of
    France was lost for Germany and now the defense of the
    Siegried Line was the main problem. From now on also
    German industry must realize that the war cannot be won
    and that it must take steps in preparation for a post-war commercial
    campaign. Each industrialist must make contacts and
    alliances with foreign firms, but this must be done individually
    and without attracting any suspicion. Moreover, the ground
    would have to be laid on the financial level for borrowing considerable
    sums from foreign countries after the war. As examples
    of the kind of penetration which had been most useful in
    the past, Dr. Scheid cited the fact that patents for stainless
    steel belonged to the Chemical Foundation, Inc., New York,
    and the Krupp company of Germany jointly and that the U.S.
    Steel Corporation, Carnegie Illinois, American Steel and Wire,
    and national Tube, etc. were thereby under an obligation to
    work with the Krupp concern. He also cited the Zeiss
    Company, the Leisa Company and the Hamburg-American
    Line as firms which had been especially effective in protecting
    German interests abroad and gave their New York addresses
    to the industrialists at this meeting.
  3. Following this meeting a smaller one was held presided
    over by Dr. Bosse of the German Armaments Ministry and
    attended only by representatives of Hecho, Krupp and
    Rochling. At this second meeting it was stated that the Nazi
    Party had informed the industrialists that the war was practically
    lost but that it would continue until a guarantee of the
    unity of Germany could be obtained. German industrialists
    must, it was said, through their exports increase the strength
    of Germany. They must also prepare themselves to finance
    the Nazi Party which would be forced to go underground as
    Maquis (in Gebirgaverteidigungastellen
    gehen). From now on
    the government would allocate large sums to industrialists so
    that each could establish a secure post-war foundation in foreign
    countries. Existing financial reserves in foreign countries
    must be placed at the disposal of the Party so that a
    strong German Empire can be created after the defeat. It is
    also immediately required that the large factories in Germany
    create small technical offices or research bureaus which
    would be absolutely independent and have no known connection
    with the factory. These bureaus will receive plans and
    drawings of new weapons as well as documents which they
    need to continue their research and which must not be
    allowed to fall into the hands of the enemy. These offices are
    to be established in large cities where they can be most successfully
    hidden as well as in little villages near sources of
    hydro-electric power where they can pretend to be studying
    the development of water resources. The existence of these is
    to be known only by very few people in each industry and by
    chiefs of the Nazi Party. Each office will have a liaison agent
    with the Party. As soon as the Party becomes strong enough
    to re-establish its control over Germany the industrialists will
    be paid for their effort and cooperation by concessions and
    orders.
  4. These meetings seem to indicate that the prohibition
    against the export of capital which was rigorously enforced
    until now has been completely withdrawn and replaced by a
    new Nazi policy whereby industrialists with government
    assistance will export as much of their capital as possible.
    Previously exports of capital by German industrialists to
    neutral countries had to be accomplished rather surreptitiously
    and by means of special influence. Now the Nazi
    party stands behind the industrialists and urges them to save
    themselves by getting funds outside Germany and at the same
    time to advance the party’s plans for its post-war operation.
    This freedom given to the industrialists further cements their
    relations with the Party by giving them a measure of
    protection.
  5. The German industrialists are not only buying agricultural
    property in Germany but are placing their funds abroad,
    particularly in neutral countries. Two main banks through
    which this export of capital operates are the Basler Handelsbank
    and the Schweizerische Kreditanstalt of Zurich. Also
    there are a number of agencies in Switzerland which for a
    5 percent commission buy property in Switzerland, using a
    Swiss cloak.
  6. After the defeat of Germany the Nazi Party recognizes
    that certain of its best known leaders will be condemned as
    war criminals. However, in cooperation with the industrialists
    it is arranging to place its less conspicuous but most important
    members in positions with various German factories as
    technical experts or members of its research and designing
    offices.

For the A.C. of S., G-2.
WALTER K. SCHWINN
G-2, Economic Section
Prepared by
MELVIN M. FAGEN
Distribution:
Same as EW-Pa 1,
U.S. Political Adviser, SHAEF
British Political Adviser, SHAEF

[3] Revealed: The secret report that shows how the Nazis planned a Fourth Reich …in the EU | Daily Mail Online :

Revealed: The secret report that shows how the Nazis planned a Fourth Reich …in the EU

By ADAM LEBOR

The paper is aged and fragile, the typewritten letters slowly fading. But US Military Intelligence report EW-Pa 128 is as chilling now as the day it was written in November 1944.

The document, also known as the Red House Report, is a detailed account of a secret meeting at the Maison Rouge Hotel in Strasbourg on August 10, 1944. There, Nazi officials ordered an elite group of German industrialists to plan for Germany’s post-war recovery, prepare for the Nazis’ return to power and work for a ‘strong German empire’. In other words: the Fourth Reich.Heinrich Himmler with Max Faust, engineer with I. G. Farben

Plotters: SS chief Heinrich Himmler with Max Faust, engineer with Nazi-backed company I. G. Farben

The three-page, closely typed report, marked ‘Secret’, copied to British officials and sent by air pouch to Cordell Hull, the US Secretary of State, detailed how the industrialists were to work with the Nazi Party to rebuild Germany’s economy by sending money through Switzerland.

They would set up a network of secret front companies abroad. They would wait until conditions were right. And then they would take over Germany again.

The industrialists included representatives of Volkswagen, Krupp and Messerschmitt. Officials from the Navy and Ministry of Armaments were also at the meeting and, with incredible foresight, they decided together that the Fourth German Reich, unlike its predecessor, would be an economic rather than a military empire – but not just German.

The Red House Report, which was unearthed from US intelligence files, was the inspiration for my thriller The Budapest Protocol.

The book opens in 1944 as the Red Army advances on the besieged city, then jumps to the present day, during the election campaign for the first president of Europe. The European Union superstate is revealed as a front for a sinister conspiracy, one rooted in the last days of the Second World War.

But as I researched and wrote the novel, I realised that some of the Red House Report had become fact.

Nazi Germany did export massive amounts of capital through neutral countries. German businesses did set up a network of front companies abroad. The German economy did soon recover after 1945.

The Third Reich was defeated militarily, but powerful Nazi-era bankers, industrialists and civil servants, reborn as democrats, soon prospered in the new West Germany. There they worked for a new cause: European economic and political integration.

Is it possible that the Fourth Reich those Nazi industrialists foresaw has, in some part at least, come to pass?

The Red House Report was written by a French spy who was at the meeting in Strasbourg in 1944 – and it paints an extraordinary picture.

The industrialists gathered at the Maison Rouge Hotel waited expectantly as SS Obergruppenfuhrer Dr Scheid began the meeting. Scheid held one of the highest ranks in the SS, equivalent to Lieutenant General. He cut an imposing figure in his tailored grey-green uniform and high, peaked cap with silver braiding. Guards were posted outside and the room had been searched for microphones.Auschwitz

Death camp: Auschwitz, where tens of thousands of slave labourers died working in a factory run by German firm I. G. Farben

There was a sharp intake of breath as he began to speak. German industry must realise that the war cannot be won, he declared. ‘It must take steps in preparation for a post-war commercial campaign.’ Such defeatist talk was treasonous – enough to earn a visit to the Gestapo’s cellars, followed by a one-way trip to a concentration camp.

But Scheid had been given special licence to speak the truth – the future of the Reich was at stake. He ordered the industrialists to ‘make contacts and alliances with foreign firms, but this must be done individually and without attracting any suspicion’.

The industrialists were to borrow substantial sums from foreign countries after the war.

They were especially to exploit the finances of those German firms that had already been used as fronts for economic penetration abroad, said Scheid, citing the American partners of the steel giant Krupp as well as Zeiss, Leica and the Hamburg-America Line shipping company.

But as most of the industrialists left the meeting, a handful were beckoned into another smaller gathering, presided over by Dr Bosse of the Armaments Ministry. There were secrets to be shared with the elite of the elite.

Bosse explained how, even though the Nazi Party had informed the industrialists that the war was lost, resistance against the Allies would continue until a guarantee of German unity could be obtained. He then laid out the secret three-stage strategy for the Fourth Reich.

In stage one, the industrialists were to ‘prepare themselves to finance the Nazi Party, which would be forced to go underground as a Maquis’, using the term for the French resistance.

Stage two would see the government allocating large sums to German industrialists to establish a ‘secure post-war foundation in foreign countries’, while ‘existing financial reserves must be placed at the disposal of the party so that a strong German empire can be created after the defeat’.

In stage three, German businesses would set up a ‘sleeper’ network of agents abroad through front companies, which were to be covers for military research and intelligence, until the Nazis returned to power.

‘The existence of these is to be known only by very few people in each industry and by chiefs of the Nazi Party,’ Bosse announced.

‘Each office will have a liaison agent with the party. As soon as the party becomes strong enough to re-establish its control over Germany, the industrialists will be paid for their effort and co-operation by concessions and orders.’Enlarge   

Extraordinary revelations: The 1944 Red House Report, detailing ‘plans of German industrialists to engage in underground activity’

The exported funds were to be channelled through two banks in Zurich, or via agencies in Switzerland which bought property in Switzerland for German concerns, for a five per cent commission.

The Nazis had been covertly sending funds through neutral countries for years.

Swiss banks, in particular the Swiss National Bank, accepted gold looted from the treasuries of Nazi-occupied countries. They accepted assets and property titles taken from Jewish businessmen in Germany and occupied countries, and supplied the foreign currency that the Nazis needed to buy vital war materials.

Swiss economic collaboration with the Nazis had been closely monitored by Allied intelligence.

The Red House Report’s author notes: ‘Previously, exports of capital by German industrialists to neutral countries had to be accomplished rather surreptitiously and by means of special influence.

‘Now the Nazi Party stands behind the industrialists and urges them to save themselves by getting funds outside Germany and at the same time advance the party’s plans for its post-war operations.’

The order to export foreign capital was technically illegal in Nazi Germany, but by the summer of 1944 the law did not matter.

More than two months after D-Day, the Nazis were being squeezed by the Allies from the west and the Soviets from the east. Hitler had been badly wounded in an assassination attempt. The Nazi leadership was nervous, fractious and quarrelling.

During the war years the SS had built up a gigantic economic empire, based on plunder and murder, and they planned to keep it.

A meeting such as that at the Maison Rouge would need the protection of the SS, according to Dr Adam Tooze of Cambridge University, author of Wages of Destruction: The Making And Breaking Of The Nazi Economy.

He says: ‘By 1944 any discussion of post-war planning was banned. It was extremely dangerous to do that in public. But the SS was thinking in the long-term. If you are trying to establish a workable coalition after the war, the only safe place to do it is under the auspices of the apparatus of terror.’

Shrewd SS leaders such as Otto Ohlendorf were already thinking ahead.

As commander of Einsatzgruppe D, which operated on the Eastern Front between 1941 and 1942, Ohlendorf was responsible for the murder of 90,000 men, women and children.

A highly educated, intelligent lawyer and economist, Ohlendorf showed great concern for the psychological welfare of his extermination squad’s gunmen: he ordered that several of them should fire simultaneously at their victims, so as to avoid any feelings of personal responsibility.

By the winter of 1943 he was transferred to the Ministry of Economics. Ohlendorf’s ostensible job was focusing on export trade, but his real priority was preserving the SS’s massive pan-European economic empire after Germany’s defeat.

Ohlendorf, who was later hanged at Nuremberg, took particular interest in the work of a German economist called Ludwig Erhard. Erhard had written a lengthy manuscript on the transition to a post-war economy after Germany’s defeat. This was dangerous, especially as his name had been mentioned in connection with resistance groups.

But Ohlendorf, who was also chief of the SD, the Nazi domestic security service, protected Erhard as he agreed with his views on stabilising the post-war German economy. Ohlendorf himself was protected by Heinrich Himmler, the chief of the SS.

Ohlendorf and Erhard feared a bout of hyper-inflation, such as the one that had destroyed the German economy in the Twenties. Such a catastrophe would render the SS’s economic empire almost worthless.

The two men agreed that the post-war priority was rapid monetary stabilisation through a stable currency unit, but they realised this would have to be enforced by a friendly occupying power, as no post-war German state would have enough legitimacy to introduce a currency that would have any value.

That unit would become the Deutschmark, which was introduced in 1948. It was an astonishing success and it kick-started the German economy. With a stable currency, Germany was once again an attractive trading partner.

The German industrial conglomerates could rapidly rebuild their economic empires across Europe.

War had been extraordinarily profitable for the German economy. By 1948 – despite six years of conflict, Allied bombing and post-war reparations payments – the capital stock of assets such as equipment and buildings was larger than in 1936, thanks mainly to the armaments boom.

Erhard pondered how German industry could expand its reach across the shattered European continent. The answer was through supranationalism – the voluntary surrender of national sovereignty to an international body.

Germany and France were the drivers behind the European Coal and Steel Community (ECSC), the precursor to the European Union. The ECSC was the first supranational organisation, established in April 1951 by six European states. It created a common market for coal and steel which it regulated. This set a vital precedent for the steady erosion of national sovereignty, a process that continues today.

But before the common market could be set up, the Nazi industrialists had to be pardoned, and Nazi bankers and officials reintegrated. In 1957, John J. McCloy, the American High Commissioner for Germany, issued an amnesty for industrialists convicted of war crimes.

The two most powerful Nazi industrialists, Alfried Krupp of Krupp Industries and Friedrich Flick, whose Flick Group eventually owned a 40 per cent stake in Daimler-Benz, were released from prison after serving barely three years.

Krupp and Flick had been central figures in the Nazi economy. Their companies used slave labourers like cattle, to be worked to death.

The Krupp company soon became one of Europe’s leading industrial combines.

The Flick Group also quickly built up a new pan-European business empire. Friedrich Flick remained unrepentant about his wartime record and refused to pay a single Deutschmark in compensation until his death in July 1972 at the age of 90, when he left a fortune of more than $1billion, the equivalent of £400million at the time.

‘For many leading industrial figures close to the Nazi regime, Europe became a cover for pursuing German national interests after the defeat of Hitler,’ says historian Dr Michael Pinto-Duschinsky, an adviser to Jewish former slave labourers.

‘The continuity of the economy of Germany and the economies of post-war Europe is striking. Some of the leading figures in the Nazi economy became leading builders of the European Union.’

Numerous household names had exploited slave and forced labourers including BMW, Siemens and Volkswagen, which produced munitions and the V1 rocket.

Slave labour was an integral part of the Nazi war machine. Many concentration camps were attached to dedicated factories where company officials worked hand-in-hand with the SS officers overseeing the camps.

Like Krupp and Flick, Hermann Abs, post-war Germany’s most powerful banker, had prospered in the Third Reich. Dapper, elegant and diplomatic, Abs joined the board of Deutsche Bank, Germany’s biggest bank, in 1937. As the Nazi empire expanded, Deutsche Bank enthusiastically ‘Aryanised’ Austrian and Czechoslovak banks that were owned by Jews.

By 1942, Abs held 40 directorships, a quarter of which were in countries occupied by the Nazis. Many of these Aryanised companies used slave labour and by 1943 Deutsche Bank’s wealth had quadrupled.

Abs also sat on the supervisory board of I.G. Farben, as Deutsche Bank’s representative. I.G. Farben was one of Nazi Germany’s most powerful companies, formed out of a union of BASF, Bayer, Hoechst and subsidiaries in the Twenties.

It was so deeply entwined with the SS and the Nazis that it ran its own slave labour camp at Auschwitz, known as Auschwitz III, where tens of thousands of Jews and other prisoners died producing artificial rubber.

When they could work no longer, or were verbraucht (used up) in the Nazis’ chilling term, they were moved to Birkenau. There they were gassed using Zyklon B, the patent for which was owned by I.G. Farben.

But like all good businessmen, I.G. Farben’s bosses hedged their bets.

During the war the company had financed Ludwig Erhard’s research. After the war, 24 I.G. Farben executives were indicted for war crimes over Auschwitz III – but only twelve of the 24 were found guilty and sentenced to prison terms ranging from one-and-a-half to eight years. I.G. Farben got away with mass murder.

Abs was one of the most important figures in Germany’s post-war reconstruction. It was largely thanks to him that, just as the Red House Report exhorted, a ‘strong German empire’ was indeed rebuilt, one which formed the basis of today’s European Union.

Abs was put in charge of allocating Marshall Aid – reconstruction funds – to German industry. By 1948 he was effectively managing Germany’s economic recovery.

Crucially, Abs was also a member of the European League for Economic Co-operation, an elite intellectual pressure group set up in 1946. The league was dedicated to the establishment of a common market, the precursor of the European Union.

Its members included industrialists and financiers and it developed policies that are strikingly familiar today – on monetary integration and common transport, energy and welfare systems.

When Konrad Adenauer, the first Chancellor of West Germany, took power in 1949, Abs was his most important financial adviser.

Behind the scenes Abs was working hard for Deutsche Bank to be allowed to reconstitute itself after decentralisation. In 1957 he succeeded and he returned to his former employer.

That same year the six members of the ECSC signed the Treaty of Rome, which set up the European Economic Community. The treaty further liberalised trade and established increasingly powerful supranational institutions including the European Parliament and European Commission.

Like Abs, Ludwig Erhard flourished in post-war Germany. Adenauer made Erhard Germany’s first post-war economics minister. In 1963 Erhard succeeded Adenauer as Chancellor for three years.

But the German economic miracle – so vital to the idea of a new Europe – was built on mass murder. The number of slave and forced labourers who died while employed by German companies in the Nazi era was 2,700,000.

Some sporadic compensation payments were made but German industry agreed a conclusive, global settlement only in 2000, with a £3billion compensation fund. There was no admission of legal liability and the individual compensation was paltry.

A slave labourer would receive 15,000 Deutschmarks (about £5,000), a forced labourer 5,000 (about £1,600). Any claimant accepting the deal had to undertake not to launch any further legal action.

To put this sum of money into perspective, in 2001 Volkswagen alone made profits of £1.8billion.

Next month, 27 European Union member states vote in the biggest transnational election in history. Europe now enjoys peace and stability. Germany is a democracy, once again home to a substantial Jewish community. The Holocaust is seared into national memory.

But the Red House Report is a bridge from a sunny present to a dark past. Joseph Goebbels, Hitler’s propaganda chief, once said: ‘In 50 years’ time nobody will think of nation states.’

For now, the nation state endures. But these three typewritten pages are a reminder that today’s drive towards a European federal state is inexorably tangled up with the plans of the SS and German industrialists for a Fourth Reich – an economic rather than military imperium.

The Budapest Protocol, Adam LeBor’s thriller inspired by the Red House Report, is published by Reportage Press.

[4] Das »Octogon«-Komplott (infopartisan.net) [En allemand]

[5] Diplomatic Documents of Switzerland 1848–1978 • 1990– [En allemand]

[6] http://www.arte.tv/de/schwarze-kassen/3930842,CmC=3930882.html [En allemand]

[7] http://www.arte.tv/de/das-system-oktogon-interview-mit-frank-garbely/3930842,CmC=3940840.html [La page n’existe plus]

[8] http://www.nrhz.de/flyer/beitrag.php?id=1050 [En allemand]


  • Année prod. / diff. : 2007 / 2008.
  • Titre fr. / all. : Le Système Octogon / Octogon Schwarze Kassen.
  • Durée : 81:10 mns (version longue, française) : https://www.youtube.com/watch?v=JQv-S…
  • Producteur, Réalisateurs : Jean-Michel Meurice, Matthieu Belghiti, Denis Poncet.
  • Enquête, recherches : Frank Garbely, Fabrizio Calvi.
  • Co-producteurs / Soutiens : Arte France, Maha, Anthracite / région Ile-de-France.
  • Montage, design : Pascal Torbey.
  • Animations : Fabio Purino.
  • Musique : Patrice Mestral.
  • Voix commentaire : Bernard-Pierre Donnadieu.



Cobayes du monde entier, unissez-vous!

[Source : maurizioblondet.it]

[Auteur :] Gilad Atzmon

Peu de pays sont assez courageux ou imprudents pour mener une vaste expérience médicale sur l’ensemble de leur population et mettre en danger les personnes vulnérables. La Grande-Bretagne et Israël l’ont fait.

Le 8 décembre, la Grande-Bretagne a été le premier pays occidental à commencer à «vacciner sa population». Deux semaines plus tard, quelques jours avant Noël, la Grande-Bretagne s’est rendu compte qu’elle était en grave difficulté. Covid-19, le virus qui était censé disparaître de nos vies, est devenu autre chose. Le 19 décembre, le Premier ministre Boris Johnson a admis que des scientifiques britanniques avaient identifié un nouveau mutant Covid-19 qui est «70% plus transmissible» que ses ancêtres.

La Grande-Bretagne a introduit des restrictions locales plus strictes, mais malgré celles-ci, associées à la vaste campagne de vaccination, le nombre de cas de Covid-19, d’hospitalisations et de décès a continué d’augmenter. Ils augmentent de façon exponentielle sur une base quotidienne.

 Israël a lancé sa campagne de vaccination de masse quelques jours après la Grande-Bretagne. Au cours des deux semaines suivantes, Israël a réussi à vacciner près de 20% de sa population. Israël est de loin le vainqueur mondial en ce qui concerne le concours de vaccination de masse, mais le pays est également en grande difficulté. Comme la Grande-Bretagne, Israël fait face à une énorme vague de Covid-19 . Son système de santé national est au bord de l’effondrement, et la question inévitable est de savoir si ces crises sanitaires similaires (sinon identiques) sont liées aux deux vastes campagnes de vaccination contre le covid-19.

Aujourd’hui, dans la plus grande chaîne d’ information israélienne News12,  des informaticiens israéliens ont  révélé que la mutation rituelle B est en passe de devenir la souche Covid-19 dominante en Israël. On se demande comment la souche mutante britannique a réussi à faire  Aliya  et ainsi s’installer confortablement dans l’État juif. L’article de News 12 pourrait répondre à la question. «Les cas en Israël n’augmentent pas uniformément: il y a un ralentissement significatif dans le secteur arabe (israélien), qui était le principal sujet de préoccupation dans le passé. D’autre part, il y a une grave épidémie dans le secteur ultra-orthodoxe (juif). Cette semaine, 1,3% de tous les ultra-orthodoxes ont été vérifiés et le taux d’augmentation des cas d’enfants (63%) cette semaine était presque le double de celui des adultes. Dans le secteur ultra-orthodoxe, il y a eu une multiplication par  16 du nombre de personnes positives en quatre semaines: c’est un doublement chaque semaine – de 100 personnes vérifiées par jour (par million de personnes) à 1 600 personnes vérifiées, et le tout en un mois. Un tel taux de croissance n’est pas observé tout au long de la peste et est probablement dû au moins en partie au mutant britannique. Le mutant britannique est estimé à environ 20% de tous les ultra-orthodoxes vérifiés ».

Cela doit soulever les sourcils. Pourquoi la souche mutante britannique se répandrait-elle si largement parmi les juifs orthodoxes? Pourquoi ne se propage-t-il pas aussi rapidement dans la population arabe?

Nous pourrons peut-être tomber sur des informations très cruciales ici. Les Arabes israéliens sont peut-être mieux lotis sur le front du Covid-19 car beaucoup d’entre eux semblent réticents à vacciner.

 Le titre du marqueur israélien du 27 décembre déclarait: «Une source de préoccupation: les Arabes (Israéliens) ne viennent pas se faire vacciner». Le marqueur a souligné que les citoyens juifs de tout Israël se rendent dans les villages et les villes arabes pour recevoir des vaccins destinés aux Arabes. Selon un chef d’équipe d’un centre de vaccination à Nazareth, 70 à 80% de ceux qui viennent se faire vacciner étaient des juifs. Certains d’entre eux parcourent jusqu’à 50 km pour ce faire.

Mais l’histoire ne s’arrête pas là. Le 3 janvier, le site d’ information israélien  Walla a  rapporté que « les ultra-orthodoxes mènent la campagne de vaccination de la population ». Walla a confirmé que «le pourcentage de personnes vaccinées contre la couronne dans la société ultra-orthodoxe est plus élevé que le reste de la population de tous âges».

Je ne comprends pas pourquoi les Israéliens ont décidé de devenir des cobayes dans cette périlleuse expérience non scientifique sur des vies humaines. Une option qui ne peut être ignorée est qu’Israël se dirige à nouveau vers des élections et il est plus que probable que les dirigeants israéliens aient cru qu’une campagne de vaccination de masse pourrait se traduire par un succès électoral.

Dans l’état actuel des choses, il est difficile de nier la possibilité d’une corrélation entre la vaccination de masse et une forte augmentation des cas de Covid-19 en Israël et en Grande-Bretagne. Il est difficile de nier le fait que les Arabes israéliens qui évitent généralement le vaccin s’en tirent bien mieux que les juifs orthodoxes – qui semblent également croire en Pfizer.

En plus des révélations sur la souche britannique, nous avons également appris l’existence d’une souche sud-africaine très dangereuse et probablement résistante aux vaccins actuels. Il faut très peu de recherches pour comprendre que l’Afrique du Sud, avec le Brésil et la Grande-Bretagne, est le terrain d’essai de nouveaux tests de vaccins depuis septembre. Ce n’est plus un secret pour personne que c’était à peu près au même moment que les nouveaux mutants ont été découverts au moins en Grande-Bretagne.

Je signale ici la possibilité dévastatrice d’un lien entre les vaccinations de masse et les pics de Covid-19. Je ne suis pas qualifié pour soutenir ou expliquer la science qui peut provoquer cette corrélation. Mes faits sont étayés par des données accessibles au grand public via les principaux médias. Je ne suis ni épidémiologiste ni virologue et j’espère vraiment que des personnes ayant une formation scientifique adéquate pourront réfuter les problèmes soulevés ci-dessus.

Parfois, j’aimerais vraiment me tromper.

En Italie, il est interdit de poser des questions :


Ministère de la diaspora: « Israël va vacciner tous les survivants de l’Holocauste dans le monde »

Mais ils seront quelques dizaines et très vieux, ils ont disparu d’eux-mêmes … quel besoin y a-t-il de les tuer d’abord avec le vaccin?




Réseau Sentinelle, SOS médecins, urgences ne voient plus de Covid19. Stop couvre-feu !

[Source : FranceSoir]

[Auteur : Gérard Delépine]

Tribune

L’épidémie est terminée en France, mais les médias disent le contraire et la propagande terrorisante est plus active que jamais.

L’imagination au pouvoir : pendant la vague de mars, c’était le décompte journalier morbide des morts, puis en octobre des « cas » (sur tests non fiables avec 97 % de faux positifs) et actuellement faute de malades et même de testés positifs, on agite le « variant » anglais dont rien ne prouve la dangerosité ! Nos dirigeants acceptent l’idée, enfin, que les virus mutent, comme le Pr Raoult l’a expliqué à la France entière depuis des mois. Si à chaque mutant c’est la panique, notre économie sera morte dans l’année, comme de fait le plan Davos le souhaite et l’organise depuis des années sous le prétexte de cette pseudo « peste » qui n’a pas tué plus que bien d’autres grippes des années passées.

Le scénario actuel et la réalité

Depuis plusieurs semaines, le gouvernement et les médias complices agitent à nouveau la peur pour faire accepter des couvre-feux, sans aucun intérêt sanitaire réel[1]. Ils prétendent que le Covid19 revient plus méchant que jamais, revigoré par une mutation anglaise ou sud-africaine[2]. Ils affichent pour nous convaincre un nombre croissant de « cas » PCR positif dont même l’OMS reconnaît la non-fiabilité[3] [4] [5] et les inconvénients[6]. Or les « cas » ne sont majoritairement ni des malades, ni des contagieux, ni des porteurs de virus et ne témoignent donc pas de la réalité de l’épidémie, mais principalement du nombre de tests réalisés et du nombre de séances d’amplifications pratiquées.

Une épidémie ne se mesure qu’au nombre de malades, individus qui souffrent de symptômes et qui consultent leur médecin pour un diagnostic ou un traitement.

Le réseau Sentinelle

Le réseau Sentinelle est un réseau de recherche et de veille sanitaire en soins de premiers recours en France métropolitaine. Créé en novembre 1984, il est développé sous la tutelle conjointe de l’Institut national de la santé, de la recherche médicale et de Sorbonne Université. Il fédère plus de de 1400 médecins de ville, généralistes et pédiatres. C’est lui qui permet de suivre chaque année les épidémies de bronchiolite, grippe, gastro entérite, rougeole et rhume et leurs virulences. Cette année, il a étendu la surveillance des maladies contagieuses habituelles au Covid19. Ses données sont plus pertinentes que celles de Santé Publique France qui publie principalement les données hospitalières et dépend du ministre qui veille à ce que ses publications ne gênent pas sa propagande terrorisante.

Car ce qui différencie le Covid19 des épidémies précédentes n’est ni sa virulence, ni sa mortalité, mais le traitement médiatique qui lui est réservé. Lors des épidémies sévères précédentes, le ministère rassurait la population.

Depuis le début de la crise actuelle, le ministère et les médias s’efforcent au contraire de paniquer la population afin de faire accepter des mesures pseudo-sanitaires qui n’ont jamais démontré qu’elles pouvaient être utiles, et dont chacun mesure chaque jour la nocivité tant sur la santé globale que sur l’économie, les chômeurs, les salariés précaires, les pauvres, les cafés-restaurants, le monde de la culture et du sport, les petits commerçants.

Les jeunes adultes sont les premières victimes au profit des grandes chaînes, des GAFA et des super riches, sans que ces mesures ne permettent de sauver nos vieillards poussés également au syndrome de glissement par abandon de la vie qui mérite d’être vécue (entourée des siens, des amis etc..) aidés de plus vers la mort par le Rivotril des décrets de mars et octobre, à injecter en cas de problème respiratoire et de « suspicion » de covid.

Les traitements précoces qui résoudraient facilement la grande majorité de ces épisodes infectieux sont toujours interdits contre toute logique sanitaire, qui manifestement n’est pas l’objectif. Les médias continuent à ancrer dans les cerveaux des téléspectateurs qu’il « n’existe pas de traitement », mensonge énorme répété par les ministres, et l’argument d’autorité est tragique. Pourtant la mortalité très basse des pays qui utilisent le traitement Raoult, l’ivermectine ou l’artémisine depuis le début de l’épidémie sont des preuves scientifiques bien établies que nos gouvernants ne veulent pas reconnaitre. Le but est évidement de prolonger la crise et la ruine de la classe moyenne et de nous faire   consommer du remdesivir, puis les vaccins géniques non testés sur plus de deux mois, et leurs risques majeurs.

Et pourtant l’épidémie est vraiment terminée.

Réseau Sentinelle : où sont les malades Covid19 en fin d’année 2020 ?

Depuis début septembre2020, 543 patients présentant une Infection Virale Aigue (IRA) ont été vus en consultation de médecine générale et de pédiatrie et ont été prélevés dans le cadre de la surveillance Sentinelle, prélèvements essentiellement nasopharyngés testés pour différents virus respiratoires, dont le SARS-CoV-2 (COVID-19) et les virus grippaux.

En semaine 52 : aucun n’était positif au SARS-CoV-2 (COVID-19) (0/17 testés)
En semaine 53 : aucun prélèvement ne s’est révélé positif au SARS-CoV-2 (COVID- 19) parmi les échantillons prélevés, et 17 patients présentant une IRA vus en consultation 23,1%) étaient positifs au hRV (virus du rhume).

Cette absence confirmée de malade de Covid19 en consultation de ville dure depuis la semaine 47.

Ces données permettent d’estimer qu’en fin d’année 2020, le taux d’incidence des cas d’infections respiratoires aigües dus au SARS-CoV-2 (COVID-19) vus en médecine générale était inférieur à 14 cas pour 100 000 habitants[7], représentant moins de 9 097 nouveaux cas de COVID-19 ayant consulté un médecin généraliste.

Cette estimation est stable par rapport aux semaines précédentes.

La quasi-disparition des malades Covid19 est aussi observée par SOS médecins

Et aux urgences des hôpitaux :

Cette quasi-absence de malades Covid19 vus en médecine générale et en pédiatrie, par SOS médecins et aux urgences hospitalières, dément les propos alarmistes du ministère basés sur des tests majoritairement réalisés en dépistage sur des asymptomatiques, qui ne sont ni malades, ni porteurs de virus entiers, ni contagieux. Si l’épidémie était encore active, les médecins généralistes devraient voir de nombreux malades covid19 ; or ils n’en voient plus.
 

Alors pourquoi cette désinformation gouvernementale permanente ?

On ne trouve pas d’autre explication que la volonté de prolonger la panique dans la population et l’état d’urgence indéfiniment pour justifier des mesures prétendument sanitaires, alors que rien ne prouve qu’elles puissent avoir le moindre impact sur la propagation d’une éventuelle épidémie.

La finalité de cette propagande mensongère est vraisemblablement de réaliser le programme de Davos bien détaillé dans le livre de Schwab en supprimant, entre autres, 75% des restaurants indépendants par le maintien des confinements et interdictions de travailler jusqu’en décembre 2021, précisément prévu par le rapport 9 de Ferguson, dont toutes les prédictions se sont révélées fausses[8],[9] mais que le gouvernement suit à la lettre.

Les prophéties sont là pour conditionner la population naïve et non pour aider à la sécurité sanitaire. Le déroulement de la gestion de l’épidémie le démontre jour après jour.

Sortir de l’emprise du gouvernement sur la population

Que peuvent faire les innombrables victimes de ces mesures aberrantes ?

Cesser d’avoir peur d’un virus qui rend actuellement beaucoup moins de gens malades que les rhumes saisonniers.

Cesser d’être dupe de la propagande des médias et des promesses gouvernementales : indemnisations et réouvertures prochaines toujours prévues dans 15 jours et toujours reportées à cause de « cas » dont le nombre augmente toujours juste avant une décision pour la justifier (alors qu’elle a été prise en réalité bien longtemps auparavant). Le but de cette politique est de pousser à la faillite un maximum d’établissements pour que les chaînes puissent accaparer le marché.

Expliquer autour de soi que pratiquer des tests PCR quand on est en bonne santé ne sert à rien, ni pour celui qui les subit[10], ni pour ses proches[11] mais contribue uniquement à alimenter la propagande gouvernementale pour prolonger l’état d’urgence et les fermetures. Stop tests !

Rappeler à tous les résultats catastrophiques de la politique sanitaire française suivie jusque-là et qui nous a placés, avec les pays qui confinent durement, dans le top 5 européen des plus fortes mortalités Covid19. Stop politique mortifère !

Informer ses élus, maires, députés en leur montrant les données de ce réseau Sentinelle qui montre que l’épidémie est derrière nous, leur rappelant que la prolongation des restrictions tue l’économie, obère l’avenir des jeunes[12] et menace à terme la vie de plusieurs dizaines de milliers de français, sans protéger réellement qui que ce soit.

Porter plainte en justice contre les responsables de ces mesures pour faire indemniser à leur juste valeur les préjudices subis. Que les responsables paient !

Manifester pacifiquement pour le respect de nos libertés fondamentales : liberté de travailler, liberté de circuler, liberté d’exprimer ses opinions, liberté de prier, d’aller au restaurant, au théâtre ou au musée, à la faculté, dans les bars ou en discothèque etc. Sans masque, qui n’est que témoin de la soumission que nous impose les dirigeants soumis à l’OMS, sauf en quelques pays plus respectueux de leurs peuples comme la Finlande, l’Islande, la Suède[13], la Norvège[14], la Biélorussie.

LIBERTÉ !

[Notes]

[1] Aucun essai randomisé, ni aucune étude historique n’accrédite l’efficacité du couvre-feu contre une épidémie qui brime surtout les jeunes alors que les seuls qu’il faut protéger sont les séniors déjà malades.

[2] Coronavirus : pourquoi le variant sud-africain inquiète les scientifiques ? les chercheurs n’ont pas constaté une hausse de la mortalité directement liée à ce variant.

[3] OMS Avis d’information de l’OMS pour les utilisateurs ivd 15 12 2020 https://www.who.int/news/item/14-12-2020-who-information-notice-for-ivd-users.

[4] Cour d’appel de Lisbonne du 26-08-2020 : Au vu des preuves scientifiques actuelles, ce test ne permet pas à lui seul de déterminer, au-delà de tout doute raisonnable, qu’une telle positivité correspond, en fait, à l’infection d’une personne par le virus SRAS-CoV-2.

[5] Recommandation du l’agence sanitaire galloise du 20 juillet 2020 : The performance of the existing RT-PCR is isunsuited to the non-targeted screening of asymptomatic individuals, les tests PCR ne sont pas adaptés au dépistage global, non ciblé d’individus asymptomatiques https://gov.wales/technical-advisory-cell-principles-using-rt-pcr-test-detect-sars-cov-2.

[6]E Surkova, V Nikolayevskyy, F Drobniewsk False-positive COVID-19 results : hidden problems and costs www.thelancet.com/respiratory Vol 8 December 2020 https://www.thelancet.com/journals/lanres/article/PIIS2213-2600(20)30453-7/fulltext.

[7] Pour la grippe saisonnière on parle d’épidémie lorsque l’incidence atteint 150 à 200/100000.

[8] N Delépine LES DESSOUS DU RAPPORT CLASSÉ SECRET DÉFENSE DE FERGUSON ET LE CONFINEMENT Economie matin28 4 2020 http://www.economiematin.fr/news-rapport-confinement-ferguson-secret-critique-decision-politique-delepine.

[9] N Delépine Ferguson ment grossièrement et le journal Nature le publie France Soir 11 1 2021 https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/ferguson-ment-grossierement-et-le-journal-nature-le-publie.

[10] Puisque les cas positifs ne sont pas traités.

[11] L’étude chinoise récente montre que sur 410 cas asymptomatiques recensés après dépistage de près de 10 millions de chinois, aucun n’a fait de maladie, aucun n’excrétait de virus et aucun n’a contaminé ses contacts.

[12] D’après l’OMS : les jeunes sont touchés de façon disproportionnée par les conséquences à long terme des mesures sanitaires : l’interruption de la scolarité, l’incertitude économique, la perte ou le manque de possibilités d’emploi, les effets sur la santé physique et mentale et les traumatismes causés par la violence domestique. Par exemple, des troubles anxieux provoqués par la COVID-19 ont été détectés chez près de 90 % des jeunes, plus d’un milliard d’élèves dans presque tous les pays ont été touchés par la fermeture des écoles et un jeune sur six dans le monde a perdu son emploi pendant la pandémie.

[13] Qui vient seulement de recommander le masque dans les transports publics.

[14] Qui n’impose le masque que dans les transports publics bondés.

Auteur(s): Gérard Delépine, pour FranceSoir




Perte d’indépendance des grands médias + Villes connectées comme outil de surveillance…

[Source : NTD français*]

Une enquête révèle comment les grands médias, surtout aux États-Unis, sont tombés entre les mains du régime chinois, et comment le président Xi Jinping a volé la liberté de la presse à la république, nous obligeant ainsi à repenser notre accès à l’information.

Des villes de France renforcent leur système de surveillance grâce aux nouvelles technologies. Promue pour garantir la sécurité des habitants, ces « safe cities » posent la question du respect de nos libertés.

De nouvelles mesures sanitaires ont été annoncées par le gouvernement prolongeant ainsi les restrictions d’ouverture de nombreux secteurs. Les professionnels s’inquiètent.

Une grève illimitée vient d’être lancée lundi 11 janvier dans l’Hôpital public pour dénoncer une réforme qui ne reconnaît pas l’ancienneté des jeunes médecins titulaires, recrutés au sein de ces établissements.

Vidéo 16 min : https://odysee.com/@NTDFrancais:5/perte-d-inde-pendance-des-grands-me-dias:d


[*] New Tang Dynasty (NTD) Television est une chaîne de télévision indépendante, à but non lucratif, établie par des Chinois vivant à l’étranger. Notre mission est de défendre la liberté d’expression et liberté de la pensée, contribuer au pluralisme et à la libre information dans les médias en langue chinoise et française.

Originellement en chinois, NTD diffuse depuis 2004 en anglais des nouvelles au quotidien et une grande variété de programmes. Récemment le français, l’espagnol et le russe viennent compléter cette évolution.




Quand la paix existera-t-elle vraiment ?

Par Joseph Stroberg

[Image : Carte vecteur créée par pickapic – fr.freepik.com]

La paix signifie notamment l’absence de guerres (militaires, civiles, commerciales, idéologiques, etc.) et de conflits entre individus ou entre groupements humains. Elle n’est évidemment pas possible tant qu’il existe des armes de tous calibres et même les plans pour en fabriquer. Elle n’est pas non plus possible tant que l’on recourt à des embargos pour imposer sa volonté à d’autres nations ou à d’autres groupements humains. Elle ne sera pas non plus réalisable tant que des individus ou des groupes chercheront à imposer leurs idéologies ou leurs coutumes à d’autres. Est-ce que tout ceci est envisageable au cours des prochaines années?

La disparition complète des armes, de leurs plans, des embargos économiques et des conflits idéologiques… demandera un changement radical de notre manière de vivre et d’envisager la vie. Et elle impliquera aussi la disparition complète d’un grand nombre d’activités d’ordre professionnel : bien sûr tous les métiers liés à la création et à l’utilisation d’armes, mais aussi une part importante de ceux liés à l’économie et à la justice. En effet, un monde en paix implique la disparition de pratiquement toutes les professions qui sont reliées aux conflits individuels et collectifs ou à leur résolution : militaires, policiers, agents secrets, avocats, juges, notaires, gardiens de prison, etc. Est-ce que ceci est envisageable au cours des prochaines années?

Comment peut-on s’attendre à ce que dans quelques années nous connaissions un Nouveau Monde? Comment l’Humanité pourrait-elle passer de son enfance ou adolescence fortement conflictuelle à une civilisation réellement mature et paisible? Qu’est-ce qui peut permettre qu’un enfant bagarreur ou qu’un adolescent entêté s’assagisse au moins momentanément? Eh bien, il s’agit souvent d’un choc d’un ordre ou d’un autre. Et certains parents avaient ou ont recours à une bonne gifle dans l’espoir de remettre les idées en place de leur progéniture. Cependant, cette pratique violente engendre souvent des effets secondaires non souhaitables, tels que la haine, la colère ou la peur, selon la loi d’action et réaction (voir aussi Pourquoi le NOM nous fragilise ?). Et si l’on veut obtenir un effet plus constructif, il vaut mieux un choc mesuré, appliqué avec juste la bonne quantité d’énergie, dans la bonne direction. Ceci marche généralement mieux avec des énergies subtiles (émotionnelles, mentales ou spirituelles) qu’avec des énergies physiques.

Quel genre de choc pourrait rapidement faire passer l’Humanité à l’âge adulte? Un choc émotionnel tel que celui produit par les événements du 11 septembre 2001 (voir aussi Note sur le 11 septembre 2001, le terrorisme et la manipulation des foules) ne semble pas favorable, car dans ce cas, la conséquence a plutôt été une fragilisation et un hébétement d’une partie de l’Humanité (spécialement en Occident). Non, le genre de choc le plus efficace et constructif serait d’ordre spirituel. Et de ce point de vue, ce sont les personnes matérialistes, athées ou agnostiques qui le vivraient de manière plus intense, au point que pour certaines d’entre elles, l’effet pourrait être psychologiquement destructeur, les poussant vers la folie. Ceci serait d’autant plus le cas qu’elles sont rigides dans leurs croyances.

Dans les milieux alternatifs, certaines hypothèses ont déjà été émises concernant le genre de choc qui pourrait attendre l’Humanité. Certains pensent qu’il y aura un débarquement massif d’extraterrestres bienveillants. D’autres envisagent plutôt ce qu’ils appellent une « ascension » planétaire. Ce qu’ils entendent par là correspond le plus souvent à une élévation plus ou moins brutale ou rapide des vibrations terrestres, via éventuellement celles du Soleil s’élevant lui-même vibratoirement. Là où dans ce cas ils peuvent différer, c’est sur les effets d’une telle ascension. Ceux-ci pourraient être tangibles, allant jusqu’à par exemple « éthériser » la planète et son humanité et donc à les sortir du plan physique (les êtres humains n’auraient alors plus un corps de chair et de sang, mais un corps énergétique vital). Ou ils pourraient être surtout intérieurs, procurant par exemple des aptitudes parapsychiques qui pour l’instant relèvent généralement de science-fiction : télépathie, télékinésie, lévitation, etc. Une combinaison de plusieurs de ces hypothèses est bien sûr envisageable.

L’ascension aurait aussi pour effet de rendre la planète incompatible aux êtres de nature sociopathe ou psychopathe. Ces derniers n’en supporteraient pas la nouvelle qualité énergétique. Quoi qu’il en soit, après un tel choc de nature spirituelle (ou pouvant fortement affecter le système de croyances des êtres humains), l’Humanité ne serait définitivement plus la même et notre mode de vie actuel serait aussi dépassé et inapproprié que notre Système. Un tel événement pourrait intervenir n’importe quand, en une durée relativement courte (quelques jours, par exemple) ou de manière plus progressive. Au final, le résultat serait une transformation radicale de la vie planétaire. La Terre connaîtrait notamment enfin la paix et l’harmonie après des millénaires de conflits.

Maintenant, que préférons-nous? Croire que le monde va continuer sur sa lancée actuelle et qu’il n’y aura ni aliénigènes bienveillants ni ascension de quelque nature que ce soit? Ou préférons-nous visualiser qu’un miracle est possible?




Société libre ?

Par Joseph Stroberg

Il est paradoxal que nos sociétés modernes mettent autant en avant les notions de démocratie et de liberté quand dans le même temps dans nos régimes prétendument démocratiques, les êtres humains se trouvent de plus en plus contraints, avec très peu de souveraineté et de pouvoir de décision (sauf lorsqu’ils se trouvent au sommet des hiérarchies). Des dizaines de milliers de lois et de règlements prétendent gérer nos vies jusqu’au plus petit détail, depuis notre naissance jusqu’à notre mort, et ceci dans tous les secteurs : scolarité, métier, famille, santé, échanges, communication, loisirs, déplacements… et même jusqu’à notre respiration limitée par le port d’un masque. Nos gestes et paroles sont de plus en plus surveillés, scrutés à la loupe, et même dénoncés comme déviants ou « complotistes » lorsque nous ne marchons pas droit dans les rails du conformisme social, politique, culturel, professionnel, éducatif… et laïc. Parallèlement, par la destruction des religions et des valeurs morales, puis par l’anonymat et le caractère addictif des réseaux sociaux, et enfin par le fait de se cacher maintenant derrière un masque, les individus abandonnent tous les tabous et tendent à compenser leur manque de libertés concrètes par celle du discours et du jugement, critiquant tout et donnant leur avis trop souvent superficiel en toutes circonstances, même lorsqu’ils sont ignorants des domaines considérés. Si dans « l’autrefois » religieux la suprême sanction n’était pas tant la peine de mort que la promesse de l’enfer, dans notre « maintenant » matérialiste, elle a plutôt été remplacée par la perte du portefeuille ou d’un pouvoir social, au pire par la mort elle-même.

La liberté totale implique l’absence totale de règles et donc le règne de l’arbitraire. Si elle n’est pas régulée par un quelconque principe supérieur ou d’autorité, ne serait-ce que moral, elle a obligatoirement comme conséquence le chaos, car les diverses volontés individuelles partent dans toutes les directions et finissent tôt ou tard par se heurter plus ou moins violemment, à l’image des particules d’un fluide. Les sociétés humaines impliquant de multiples individualités aux volontés distinctes ont donc dû trouver, au cours de l’Histoire, des compromis entre le pur arbitraire non régulé et le totalitarisme qui règle le moindre aspect de la vie individuelle et collective. Parfois, le laxisme et l’absence de règles et de lois conduisaient à la barbarie. D’autre fois, des administrations, bureaucraties et systèmes gouvernementaux trop lourds favorisaient l’apparition de tyrannies sous le caractère arbitraire (ou l’arbitrage) d’un seul individu ou groupe d’individus. Les peuples pouvaient se voir alors confrontés à une dictature individuelle (dirigée par un monarque, un grand prêtre ou un chef marchand, selon la caste dominante) ou oligarchique (dirigée par une assemblée de nobles, de prêtres, ou de marchands). Dans la pratique, la caste des producteurs, la plus grande masse du peuple, n’a jamais elle-même vraiment dirigé les destinées de la nation ou du peuple considéré (même pas dans le cas des dictatures communistes, car dans celui-ci, les vrais dirigeants n’appartenaient plus, de facto, à la classe productrice ou ouvrière, mais à une clique, une « nomenklatura » qui jouait un rôle souvent équivalent à celui des anciens nobles, sans en avoir pour autant la grandeur).

L’exercice de la liberté d’action et de choix par un individu dans un groupe implique toujours des conséquences sur un ou plusieurs membres de ce groupe dès qu’il entre en interaction. Soit il agit en contrôlant un minimum ses mouvements et ses gestes (incluant les mouvements de sa langue, ou parole), de sorte à ne pas entrer en collision violente avec les autres, mais plutôt à seulement les effleurer ou à les toucher en douceur. Ou soit il ne se préoccupe guère des conséquences de ses mouvements et auquel cas il augmente plus ou moins considérablement la chance de heurter violemment les autres, de leur nuire, d’empiéter sur leur propre espace de liberté… Dans le premier cas, l’individu tend à agir avec maturité et responsabilité, limitant lui-même volontairement sa liberté. Il devient son propre arbitre, capable de juger l’impact potentiel de ses choix et actes (propos compris) avant de les accomplir. Il diminue volontairement son caractère arbitraire, se fixant lui-même des règles de conduite, comme certains chevaliers pendant le moyen-âge, ou encore comme certains moines, quelle que soit la religion considérée. Ce n’est bien sûr pas réservé à des castes ou à des types d’individus particuliers. C’est avant tout une question de conscience et de degré de maîtrise sur soi-même, quelle que soit la voie d’action choisie par l’individu. Néanmoins, combien existe-t-il à notre époque d’êtres humains qui vivent selon une telle approche, notamment prêts à sacrifier volontairement une partie de leur confort (matériel et même psychologique ou psychique) au profit de la collectivité ? Il ne s’agit pas ici d’une acceptation sous la contrainte, comme dans le cas du port d’un masque sous la menace d’amendes ou par peur d’attraper une maladie. Ce n’est pas non plus pour se faire bien voir ou apprécier. Non, c’est simplement pour ne pas nuire et par respect pour l’espace de liberté d’autrui.

Dans le second cas, l’individu pense prioritairement à lui-même ou est encore dominé par ses instincts, dont celui de survie. Il porte un masque par peur de la maladie ou de mal paraître. Lorsqu’il s’occupe des conséquences de ses actes, c’est le plus souvent à court ou à très court terme et sous un angle de vue plutôt restreint. Pour poursuivre sur l’exemple des masques, il se laisse le plus souvent guider par le conformisme ou par la voix dominante. Il étudie au mieux les conséquences sous le regard de psychopathes, un point de vue presque obligatoirement biaisé. Si on lui dit que la science indique que les vaccins sont sécuritaires et permettent d’empêcher les épidémies, mais qu’il faudra quand même continuer à porter le masque pour éviter que ses gouttelettes potentiellement porteuses de virus ne rendent malade quelqu’un d’autre, alors qu’il est lui-même en très bonne santé, il ne cherchera généralement pas plus loin, satisfait d’une explication simpliste, même si elle peut se révéler incohérente après une analyse plus approfondie. Il se conforte éventuellement dans l’idée qu’il est généreux parce qu’il empêche ainsi les autres d’attraper une maladie épidémique présentée comme très grave, bien qu’il ne voit personne dans la rue tomber raide mort à cause d’elle. Envisager que le confinement, la distanciation sociale et le port du masque puissent largement contribuer à détruire l’économie et le tissu social pour aboutir à moyen terme à un état bien pire que l’épidémie lui effleure rarement l’esprit.

Si l’on se fie par exemple un peu aux statistiques concernant le degré de docilité ou non face à la prochaine vaccination contre ladite maladie, le Québec présente un peuple largement soumis, un peuple qui a abandonné ce qu’il lui restait encore de liberté, sous le prétexte de sécurité sanitaire. Ceci vaut, à peu de choses près, pour de nombreuses autres nations « occidentales ». La tyrannie arbitraire de quelques tireurs de ficelles mondiaux a supprimé largement et presque totalement la liberté individuelle grâce à un ensemble supplémentaire de règles, cette fois orientées autour de la maladie et de la peur de la mort qu’elle engendre. L’incohérence et le changement presque quotidien, ou au moins hebdomadaire ou mensuel de ces règles favorisent la confusion et celle-ci à son tour facilite la diminution de la réflexion et de la lucidité face au réel. Par son degré de soumission, le peuple est ainsi sanctionné par un pouvoir tyrannique arbitraire, parce que les tyrans échappent eux-mêmes à toute possible sanction dans le cadre légal et le système qu’ils ont largement contribué à renforcer, sinon à créer. Leur liberté utilisée abusivement et sans contrôle s’est installée en retirant celle de ceux qui subissent au contraire un énorme contrôle de leur vie. Le « deux poids, deux mesures » est devenu si criant, si visible, qu’il faut être sourd pour ne pas l’entendre et aveugle pour ne pas le voir. La société humaine moderne a perdu la justice en cours de chemin. Les juges sont devenus de simples outils supplémentaires aux mains des dictateurs qui se cachent derrière le mot « démocratie » et derrière les gouvernements modernes.

Dans le passé, la liberté — née d’une situation sans règles écrites, mais avec seulement quelques lois ou commandements oraux ou religieux — aurait pu engendrer une pléthore de conséquences arbitraires. Chacun aurait pu devenir a priori un tyran pour ses voisins. Cependant, de suprêmes sanctions, des mesures de justice communément admises, permettaient de l’éviter. L’individu qui n’était pas capable de lui-même de maîtriser son degré de liberté par rapport à autrui vivait toujours sous la menace de la suprême sanction : enfer, décapitation, écartèlement, flagellation, lapidation par la foule, pendaison, etc. selon les peuples et les époques. Dans nos sociétés matérialistes, les valeurs morales disparues ont laissé la place à des idéologies corrompues, à l’inversion de principes universellement reconnus depuis la nuit des temps et, parallèlement, à la fin de ce type de sanctions suprêmes, puisque la peine de mort a pratiquement disparu de presque toutes nos nations si « civilisées » et que la religion et ses concepts tels que celui d’enfer ont pris également le bord. Les bagnes ont disparu et les prisons sont souvent devenues des hôtels de luxe, à la principale différence de la limitation des déplacements. Celles-ci ne dérangent plus guère les malfrats. Ces derniers peuvent souvent y poursuivre leurs petites « affaires » et préfèrent s’y trouver que dehors sous la neige. Les récidives sont fréquentes. Il en existe beaucoup moins en cas de décapitation.

L’Histoire humaine tend à démontrer que les sociétés les plus libres, à la différence de ce que nous connaissons aujourd’hui, reposaient sur pas ou peu de règles écrites. Les principales lois de vie commune étaient orales, souvent d’inspiration ou de guidance religieuse. La véritable liberté n’étant possible que conjointement avec la responsabilité, comme le sens de cette dernière n’est pas universellement présent en chaque être humain (il en faut probablement encore de beaucoup), pour la permettre néanmoins en de grandes proportions, l’Humanité doit alors mettre en place une mesure qui permette malgré tout de pallier l’irresponsabilité, même du plus grand nombre. Peut-elle trouver mieux que les sanctions suprêmes passées ? Sinon, il faudra probablement se résoudre à en réhabiliter quelques-unes pour ne pas s’enfoncer davantage dans le chaos, mais pour construire au contraire un Nouveau Monde.




Klaus Schwab et sa prise d’otages de masse 2.0

Par Jean-Michel Grau

“Celui qui contrôle la peur des gens devient le maître de leurs âmes.”

Nicolas Machiavel, Le Prince

«Soyez résolus à ne plus servir et vous voilà libres !»

Cette maxime de La Boétie doit devenir pour nous tous le meilleur antidote au projet eugéniste de Klaus Schwab dont le livre «Covid-19 : la grande réinitialisation» se veut le bréviaire et la feuille de route d’une prise d’otage mondiale qui a commencée, afin de soumettre les peuples dans une dictature sanitaire avec le Covid-19 pour mettre en œuvre la grande réinitialisation du capitalisme.

Qui est Klaus Schwab? Il est né en Allemagne à Ravensburg en 1938 et est le dirigeant fondateur du Forum de Davos (WEF) qui rassemble depuis 1971 le gratin de l’élite économique mondiale, mais aussi, politique, financière et des médias, à l’image d’autres organisations plus informelles que sont le Bilderberg ou la Trilatérale, rassemblant chaque année des décideurs internationaux parmi lesquels Jacques Attali, Christine Lagarde, Bill Gates, Jeff Bezos ou David Rockefeller. «L’existence de ces organisations pose pourtant des questions aussi essentielles que : est-il possible de répondre aux défis de notre temps avec des appareils de coordination contrôlés par des élites aussi restreintes ? Élites uniquement sélectionnées en vertu de leur pouvoir et de leur richesse, qu’elles appartiennent à quelques pays seulement, ne sont élues par personne, ni déléguées par aucune autorité publique et sont inspirées par le dogme du marché autorégulé.» [1]

Seulement voilà, le dit marché autorégulé donne des signes de faiblesse depuis quelque temps. La crise des subprimes de 2008 montre à quel point une gestion confiée à un groupe restreint et aux favorisés du marché est porteuse de chaos. «Ce système de création monétaire kafkaïen voulant que l’argent soit créé à partir de dettes et d’intérêts qui nous obligent mécaniquement à générer perpétuellement de nouvelles dettes plus grandes que les précédentes est à bout de souffle. Un système d’esclavage financier qui porte en lui les germes de l’autodestruction, puisqu’une dette en constante augmentation exige une croissance en constante augmentation et donc des émissions de CO2 toujours plus grandes.» [2] Pour éviter la surchauffe qui ne peut mener qu’à un effondrement généralisé de tout le système financier dans son ensemble, Klaus Schwab et ses affidés ont imaginé un scénario de décroissance accélérée appelé grande réinitialisation, ou «grand reset» et qu’ils s’appliquent à mettre en œuvre aujourd’hui avec le Covid.

De même que ce sont les Etats, donc les peuples, qui ont sauvé les banques de la faillite lors de la crise des subprimes de 2008, ce sont à nouveau les peuples qui sont mis à contribution pour éviter le naufrage financier suite à la dérégulation financière débridée de la mondialisation dont la dette devient aujourd’hui insoutenable. La décroissance voulue par Schwab passe donc par la mise au pas des peuples en leur imposant de gré ou de force une dictature sanitaire en agitant la peur d’un virus pour endiguer toute croissance de la consommation et saper des pans entiers de l’économie jugés non essentiels : culture, tourisme, restauration, PMI-PME, le point commun de ces secteurs économiques étant qu’ils utilisent tous, entre autre, la monnaie papier pour leurs règlements, monnaie que veulent faire disparaître les grands argentiers de la planète pour faire advenir la monnaie cryptée pour mieux tracer et contrôler la population à l’image de ce qui se fait déjà en Chine.

Cette prise d’otage des peuples s’inscrit dans un scénario planifié en deux temps simultanés:

  • Tout d’abord l’intrusion de la fraude dans l’élection américaine en mettant tout en œuvre pour exclure la réélection de Donald Trump dont le premier mandat a favorisé une croissance de 2,5%, inédite depuis longtemps aux Etats-Unis. Le corollaire de cette croissance est que la dette déjà insoutenable de l’économie américaine s’est littéralement envolée. Donald Trump a certes bénéficié d’un héritage très positif, mais il est parvenu à faire en sorte que l’expansion se poursuive. Avec un chômage de 3,5%, au plus bas depuis 50 ans jusqu’à la crise du Covid, la réélection de Donald Trump semblait assurée. C’était sans compter sur la volonté d’en finir des mondialistes avec l’administration Trump : les 6 swing states ont basculé comme par miracle dans le camp du challenger démocrate Joe Biden. Aujourd’hui, il apparaît indéniablement que ces élections ont été entachées de fraudes massives pour faire élire le candidat démocrate, les innombrables preuves compilées par l’avocate Sidney Powell étant accablantes.
  • Ensuite, la deuxième mise au pas des peuples, la plus effrayante et la plus cauchemardesque par son ampleur et sa solution finale, passe par la création d’une peur collective planifiée et entretenue par la scénarisation de la contagion d’un virus à l’échelle planétaire: le Covid-19.

Ce virus à la létalité de 0,05% dont ont doit rappeler qu’il n’est ni plus ni moins mortel que celui de la grippe saisonnière.

Malgré tout, ce que l’on appelle dorénavant «la grande pandémie du Covid-19» n’est rien d’autre qu’un scénario monté de toutes pièces par Klaus Schwab, le tout relaté en détail dans son livre [3], pour tétaniser les peuples par la peur afin de mettre en scène son grand reset de l’économie mondiale. A tel point que ce scénario a fait l’objet d’une répétition générale en 2019 au Forum de Davos que l’on peut trouver en ligne sur la chaîne YouTube du WEF sous le titre «We ran a massive viral pandemic simulation. Here’s what we learned about managing Coronavirus.» («Nous avons testé une simulation de pandémie virale. Voici ce que le management du Covid nous a appris.») Il suffit de lire tous les commentaires de cette vidéo de 3 minutes pour voir que personne n’est dupe : il ne s’agit ni plus, ni moins qu’une manipulation de grande envergure.[4]

Tout avait déjà été prédit par le gourou Jacques Attali dès 2009 dans un article messianique publié par L’Express et intitulé «Avancer par peur», (5) où il affirmait que «l’humanité ne pouvait évoluer significativement que lorsqu’elle a vraiment peur et que seule une pandémie majeure ferait surgir la prise de conscience d’un altruisme (!) pour jeter les bases d’un véritable gouvernement mondial».

Publié en juillet 2020, le livre de Klaus Schwab «Covid-19 : la grande réinitialisation» n’est rien d’autre qu’un programme économique et politique totalitaire qui se propose d’avancer «des conjectures et des idées sur ce à quoi le monde post-pandémique devrait ressembler». Le plus étonnant est que Schwab admet que le Covid-19 est «l’une des pandémies les moins meurtrières que le monde ait connues au cours des 2000 dernières années», ajoutant que «les conséquences du COVID-19 en termes de santé et de mortalité seront bénignes par rapport aux pandémies précédentes». Il continue : «Cela ne constitue pas une menace existentielle, ni un choc qui laissera son empreinte sur la population mondiale pendant des décennies». Et pourtant ! Incroyablement, cette maladie «bénigne» est simultanément présentée comme l’occasion unique d’un changement sociétal sans précédent, sous la bannière de «La Grande Réinitialisation» ! Schwab place ainsi le Covid-19 dans une longue tradition d’événements allant de la peste noire du Moyen-Âge au 11 septembre 2001 en passant par la Seconde Guerre mondiale qui ont facilité des changements soudains et significatifs dans nos sociétés. Il invoque ainsi «La Seconde Guerre mondiale qui a été la guerre de transformation par excellence, déclenchant non seulement des changements fondamentaux dans l’ordre et l’économie mondiale, mais aussi des changements radicaux dans les attitudes et les croyances sociales qui ont finalement ouvert la voie à des changements radicalement nouveaux des politiques et des dispositions du contrat social.»

Il ajoute qu’il «existe évidemment des différences fondamentales entre une pandémie et une guerre, mais l’ampleur de leur pouvoir de transformation est comparable. Les deux ont le potentiel d’être une crise transformatrice aux proportions auparavant inimaginables. C’est notre moment décisif», pavoise-t-il. «Un nouveau monde émergera». «Le bouleversement sociétal déclenché par le COVID-19 durera des années, voire des générations».

«Beaucoup d’entre nous se demandent quand les choses reviendront à la normale. La réponse est : jamais!» Les industries de la restauration, du tourisme et de la culture, mais aussi les petits commerces savent à quoi s’en tenir désormais.

Le ton est donné : «Des changements radicaux d’une telle ampleur sont tels que certains experts ont évoqué une ère « avant le coronavirus » et « après le coronavirus »» .

Tous ces commentaires montrent une seule et même chose : Schwab se veut le grand architecte de cette pandémie planifiée par lui et ses acolytes pour mettre en place le grand reset. Comment Schwab et ses amis milliardaires peuvent-ils imposer leur société dystopique au reste d’entre nous ? La solution est le lavage de cerveau par la propagande implacable débitée en copié-collé par les grands médias occidentaux, mais aussi les GAFAM, verrouillés par une oligarchie financière aux mains d’une poignée de multi-milliardaires pour instiller la peur du virus durablement.

Schwab est évidemment déterminé à faire tout ce qui est en son pouvoir non négligeable pour réaliser son monde eugéniste et transhumaniste de la surveillance, du contrôle et du profit exponentiel. Il proclame : «Le fait qu’il soit maintenant beaucoup plus facile de manipuler avec précision le génome humain dans des embryons viables, signifie que nous sommes susceptibles de voir l’avènement de bébés sur mesure qui possèdent des traits particuliers ou qui sont résistants à une maladie spécifique».

Une section entière de ce livre est consacrée au thème «Modifier l’être humain», ravalant les dystopies «1984» et «Le meilleur des mondes» à celui des bisounours. Ici, Schwab bave sur «la capacité des nouvelles technologies à devenir littéralement partie de nous» et évoque un futur cyborg impliquant «des curieux mélanges de vie numérique et analogique qui redéfiniront nos natures mêmes». Il écrit : «Ces technologies fonctionneront dans notre propre biologie et changeront notre interface avec le monde. Ils sont capables de traverser les frontières du corps et de l’esprit, d’améliorer nos capacités physiques et même d’avoir un impact durable sur la vie elle- même». Aucune violation ne semble aller trop loin pour Schwab, qui rêve de «micropuces implantables actives qui cassent la barrière cutanée de notre corps», de «tatouages intelligents», de «calcul biologique» et «d’organismes sur mesure capables de lire dans nos souvenirs» (!)

Il est ravi d’annoncer que «les capteurs, commutateurs de mémoire et circuits peuvent être codés dans des bactéries intestinales humaines communes», que «les dispositifs implantés aideront aussi à communiquer des pensées exprimées verbalement via une puce numérique intégrée, et des pensées ou des humeurs potentiellement non exprimées en lisant les ondes cérébrales».

La «biologie synthétique» est à l’horizon dans le monde de Schwab, donnant aux chefs du capitalisme technocratique mondial «la possibilité de personnaliser les organismes en écrivant de l’ADN». C’est sur quoi certains labos s’ingénient à travailler dès à présent avec les «vaccins» ARN. L’idée même des neurotechnologies, dans lesquelles les humains auront des souvenirs entièrement artificiels implantés dans le cerveau suffit à nous donner la nausée, tout comme «la perspective de connecter notre cerveau à la réalité virtuelle via des modems corticaux, des implants ou des nanorobots». Le Covid-19 sert parfaitement les objectifs de Schwab d’asservissement des peuples, car l’urgence immédiate qu’il présente permet de précipiter l’ensemble du processus sans examen minutieux et sans aucune considération éthique. Ainsi : «Notre peur persistante et durable d’être infectés par un virus COVID-19 ou un autre accélérera la marche implacable de l’automatisation. De nouvelles réglementations resteront en place». Il ajoute : «L’impératif actuel est de propulser, quoi qu’il arrive, “l’économie sans contact” et la volonté ultérieure des régulateurs de l’accélérer signifie que l’on est sans tabou». (!)

«Bon nombre des comportements technologiques que nous avons été forcés d’adopter pendant la détention (!) deviendront plus naturels grâce à la familiarité. Au fur et à mesure que les distanciations sociales et physiques persisteront, l’appui sur les plateformes numériques pour communiquer, travailler, demander conseil ou commander quelque chose va petit à petit gagner du terrain sur des habitudes autrefois ancrées». «Le mouvement de l’entreprise ira vers une plus grande surveillance : pour le meilleur ou pour le pire, les entreprises surveilleront et enregistreront parfois ce que font leurs effectifs. La tendance pourrait prendre différentes formes, de la mesure de la température corporelle avec des caméras thermiques à la surveillance via une application de la manière dont les employés respectent la distanciation sociale».

Des mesures coercitives d’un type ou d’un autre sont également susceptibles d’être utilisées pour forcer les gens à prendre les «vaccins Covid» en cours de préparation, car derrière les «vaccins» se cache le traçage et la surveillance de masse de toute la population. On ne s’étonne donc pas qu’il insiste sur le fait qu’ «un retour complet à la normale ne peut être envisagé avant qu’un «vaccin» ne soit disponible». Il ajoute : «Le prochain obstacle est le défi politique de vacciner suffisamment de personnes dans le monde avec un taux de conformité suffisamment élevé malgré la montée des anti-vaxxers». Ceux-ci rejoignent ainsi la liste des menaces pesant sur le projet de Schwab, aux côtés des manifestants anti-mondialisation et anticapitalistes, des Gilets Jaunes et de tous les engagés dans des «conflits de classe», «résistance sociale» et «réaction politique».

Mais comment Schwab envisage-t-il de faire face au «sombre scénario» des gens qui se soulèvent contre sa grande réinitialisation et sa quatrième révolution industrielle transhumaniste ? Quel degré de force et de mesures coercitives serait-il prêt à accepter pour assurer l’aube de sa nouvelle ère technocratique ?

La question est effrayante, mais nous devons également garder à l’esprit l’exemple historique du régime du XXe siècle dans lequel Schwab est né. La nouvelle normalité nazie d’Hitler était censée durer mille ans, elle s’est effondrée 988 ans avant son objectif.

Ce n’est pas parce qu’Hitler a dit, avec toute la confiance du pouvoir, que son Reich durerait un millénaire, qu’il en a été ainsi.

Ce n’est pas parce que Klaus Schwab et ses amis disent que nous entrons maintenant dans la quatrième révolution industrielle et que notre monde sera changé à jamais, qu’il en est ainsi.

Nous n’avons pas à accepter leurs propos alarmistes et leur conditionnement pour accepter leur dictature sanitaire et leur nouvelle norme. Nous n’avons pas à prendre leurs vaccins qui ne sont rien d’autre qu’une thérapie génique. Nous n’avons pas à les laisser nous implanter des puces numériques ou à modifier notre ADN. Nous n’avons pas à rester confinés ou marcher muselés et soumis, pour bientôt être piqués tels des poulets dans l’attente de l’abattoir de leur enfer transhumaniste. Nous devons dénoncer leurs mensonges ! Exposer leur agenda mortifère ! Refuser leur grand reset qui n’est rien d’autre qu’un populicide ! Rejeter leur idéologie toxique ! Résister à leur fascisme ! Klaus Schwab n’est pas un dieu, juste un homme âgé. Et ceux avec qui il travaille, l’élite capitaliste mondiale, dont Emmanuel Macron est l’apôtre le plus servile et zélé, sont peu nombreux. Leur vision transhumaniste est répugnante pour presque tout le monde en dehors de leur petit cercle et ils n’ont pas notre consentement pour la dictature technocratique qu’ils essaient de nous imposer.

Tout cela pour tenter de sauver le néolibéralisme qu’ils ont fait prospérer au-delà de tout contrôle alors qu’il existait d’autres voies plus raisonnables et plus viables comme le Keynesianisme qu’ils ont systématiquement rejetées et balayées.

C’est pourquoi, après tout, ils ont dû se donner tant de mal pour nous forcer à nous confiner et nous baillonner sous le faux drapeau de la lutte contre un virus. Ils ont compris que sans la justification d’urgence par la peur, nous n’allions jamais accepter leur plan monstrueux.

Mais la peur est en train de changer de camp : pourquoi le prochain Forum Economique Mondial aura-t-il lieu à Singapour et non pas à Davos, puis Genève comme prévu précédemment ? Ont-ils peur de notre pouvoir potentiel parce qu’ils savent que si nous nous soulevons, nous les vaincrons ? En réalité, si nous nous en donnons la peine, nous pouvons faire échouer leur projet avant même qu’il n’ait vraiment démarré. Pour preuve, le Dr Drosten, le conseiller virologue d’Angela Merkel est poursuivi par la justice allemande pour avoir faussé le protocole des tests PCR qui a amené les gouvernements à prendre des décisions de confinement ravageuses. En effet, en préconisant des valeurs de réglage CT au dessus de 30, les résultats des tests devenaient positifs avec des traces infimes de virus dans la plupart des cas, dans le but de continuer à alimenter la peur généralisée. Enfin, le Conseil d’État italien vient d’autoriser à nouveau l’hydroxychloroquine comme traitement du Covid-19, entravant ainsi la thérapie génique mortifère planifiée par Schwab.

Aujourd’hui, il appartient à chacune et à chacun d’entre nous de lire le livre de Klaus Schwab qui jette les bases du monde cauchemardesque dans lequel on vient d’entrer si l’on veut savoir ce qui nous attend pour en sortir au plus vite. Quand il sera trop tard, on ne pourra pas dire qu’on ne savait pas. Car comme pour «Mein Kampf», tout était déjà écrit.

Comme l’a dit Emmanuel Macron, nous sommes bien en guerre, mais pas contre un virus : contre Klaus Schwab et ses soldats mondialistes qui veulent nous asservir par la dictature sanitaire et la thérapie génique pour éviter l’effondrement du néolibéralisme.

Ce n’est pas aux peuples de payer les erreurs néolibérales d’une poignée de multi-milliardaires corrompus qui ont mis l’économie mondiale à genoux. Il y aura un tribunal de Nüremberg pour toutes celles et ceux qui auront participé à cette tentative de génocide mondial : politiques, économistes, financiers, gourous, médecins, chercheurs et autres apprentis sorciers des laboratoires pharmaceutiques.

Nous devons gagner cette guerre idéologique par tous les moyens: judiciaire, médiatique, cyber et politique. Il y va de notre survie à tous et de l’avenir de nos enfants ! Nous sommes le peuple, nous sommes les 99%, et ensemble, nous pouvons reprendre dès demain notre liberté des mâchoires mortelles de cette machine infernale à broyer les humains et sauver la démocratie.

Ce texte est une adaptation résumée de la traduction du remarquable article des journalistes dissidents du Guardian le 12 octobre 2020 : 
https://off-guardian.org/2020/10/12/klaus-schwab-his-great-fascist-reset/.

Notes

  1. le groupe Bilderberg, «l’élite» du pouvoir mondial, Domenico Moro, éditions Delga.
  2. les esclaves de l’anthropocène, Nicolas Teterel, éditions Yves Michel.
  3. Klaus Schwab, Covid-19 : la grande réinitialisation, forum publishing.
  4. https://www.youtube.com/watch?v=0-FQbhkWYuY&ab_channel=WorldEconomicForum
  5. https://www.lexpress.fr/actualite/societe/sante/avancer-par-peur_758721.html.



Les Français manipulés — Des arguments pour les avocats, des preuves pour les juges

Par Alain Nicolaï et Joseph Stroberg

Rappel :

L’Assemblée nationale face à ses responsabilités

[Article publié à l’origine sur le site de Michelle d’Astier de la Vigerie, puis repris sur de nombreux sites, dont http://www.profession-gendarme.com.]

L’Assemblée nationale est l’institution française qui forme, avec le Sénat, le Parlement de la Cinquième République. Son rôle est de débattre, de proposer, d’amender et de voter les lois, et de contrôler l’action du Gouvernement.

À la différence du Sénat, elle a le pouvoir de forcer la démission du gouvernement par le vote d’une motion de censure. Elle siège au palais Bourbon à Paris. (Wikipéda)

En octobre 2019 un virus inconnu apparait subitement à Wuhan, puis touche, quasiment l’ensemble de la planète dont la France en février 2020. Le gouvernement français prend des mesures en urgence pour limiter la prolifération de l’épidémie dans notre pays. Certaines de ces dispositions semblent temporaires.

L’Assemblée Nationale est fermée.

À la fin du confinement les parlementaires retournent au Palais Bourbon. Les citoyens qui ont élus ces députés pour les représenter pensent alors que ceux-ci vont reprendre normalement leur travail pour recadrer les mesures prises par le gouvernement dans l’urgence, et qui ne sont pas en phase avec la Constitution, comme la privation de libertés instaurés par le confinement. Mais ce n’est pas le cas. Aussi le gouvernement décide sans aucun débat de reconfiner le 31 octobre 2020 alors que le 11 octobre 2020, un des hauts responsables de l’OMS, le Dr David Nabarro, candidat présenté par le gouvernement britannique pour le poste de Directeur général de l’OMS en 2017, a fait l’annonce que le confinement entier d’une population est nuisible.

À voir. Nicole Delépine :

CONFINEMENT MEURTRIER: TOUT CE QUE L’ON NE VOUS A PAS DIT, ABERRATION HUMAINE, SANITAIRE, ÉCONOMIQUE

Et cet article :

Coronavirus : L’OMS déconseille aux dirigeants de recourir, de nouveau, au confinement

Tout aussi grave, l’affaire Raoult.

La France est le seul pays au monde à avoir interdit formellement l’hydroxychloroquine le 27 mai 2020 à la suite d’un article de la revue médicale The Lancet publié quelques jours avant. « L’hydroxychloroquine n’est plus autorisée contre le Covid-19. A la suite d’un avis défavorable du Haut Conseil de la santé publique, le gouvernement a abrogé les dispositions dérogatoires autorisant la prescription de l’hydroxychloroquine contre le Covid-19 à l’hôpital en France, hors essais cliniques. « Que ce soit en ville ou à l’hôpital, cette molécule ne doit pas être prescrite pour les patients atteints de Covid-19 », a réagi le ministère de la santé dans un communiqué. » Journal Le Monde du 27 mai 2020.

Suite aux protestations d’une partie de la communauté scientifique mondiale ayant démontré que l’article de The Lancet était une falsification grossière écrite par des « scientifiques » à la solde de laboratoires privées, l’hydroxychloroquine a été de nouveau autorisé ultérieurement en France mais sans publicité. Cependant les Français peuvent regretter amèrement une telle prévention contre ce traitement comme le démontre par exemple ce.

Constat, après la réouverture de l’Assemblée nationale il n’y pas eu de débats sérieux sur ce sujet en ce lieu, conséquence l’hydroxychloroquine a de nouveau été interdite en France par le gouvernement le 23 octobre 2020 sur un avis de l’Agence du médicament.

Nous apprenons que le Pr Didier Raoult va porter plainte contre l’Agence Nationale de Sécurité du Médicament pour « mise en danger de la vie d’autrui » par l’intermédiaire du très efficace Maitre Fabrice Di Vizio, avocat des médecins libéraux, dont la plainte pour « abstention volontaire » est à l’origine des perquisitions du jeudi 15 octobre 2020.

« Les gendarmes de l’OCLAESP (Office central de lutte contre les atteintes à l’environnement et à la santé publique) et les policiers de l’OCLCIFF (Office central de lutte contre la corruption et les infractions financières et fiscales) ont coordonné jeudi 15 octobre, sur huit lieux simultanés et sur dix sites de perquisitions, la première opération de police de l’enquête orchestrée par la commission d’instruction de la CJR (Cour de Justice de la République).

Plus de 100 policiers, gendarmes et enquêteurs ont été mobilisés pour cette grande action de justice et de vérité contre mensonges et impunité. Accompagnés de spécialistes en informatique, ils ont aspiré toutes les données des téléphones portables sur les logiciels cryptés, les informations sur ordinateurs et les boîtes mails des ministres Agnès Buzyn, Olivier Véran, Edouard Philippe, et l’ancienne porte parole Sibeth Ndiaye. Mais aussi du directeur général de la Santé, Jérôme Salomon puis la directrice générale de Santé publique France, Geneviève Chêne. » Source Lucien Cavelier.

Lucien Cavelier est un des trois soignants qui est à l’origine de la création de ce collectif de médecins appelé C19 qui avait annoncé le jeudi 19 mars son intention de porter plainte contre l’ancienne ministre de la santé, A. Buzyn, et le premier ministre, E. Philippe, devant la Cour de Justice de la République, estimant que ces derniers « avaient conscience du péril et disposaient des moyens d’action, qu’ils ont toutefois choisi de ne pas exercer ». Leur initiative est appuyée par une pétition en ligne écrite le 21 mars qui avait déjà recueilli 500 000 signatures en trois semaines.

Conclusion :

« À la fin, qu’est-ce qu’on va suggérer ? Que tout le monde reste enfermé toute sa vie parce qu’il y a des virus dehors ? Mais vous êtes tous fous. Vous êtes devenus tous cinglés. » (Didier Raoult)

Nos députés portent une énorme responsabilité sur l’évolution de la crise de 2020. Ils semblent comme anesthésiés, et même fascinés, par les forces obscures qui les empêchent de voir clair, à l’exception de quelques-uns, qui, à l’image de Martine Wonner essaye de les faire réagir.

https://youtu.be/JeliScgfETY
Intervention brillante de Martine Wonner à l’Assemblée Nationale.

“Ainsi commence le fascisme. Il ne dit jamais son nom, il rampe, il flotte, quand il montre le bout de son nez, on dit : C’est lui ? Vous croyez ? Il ne faut rien exagérer ! Et puis un jour on le prend dans la gueule et il est trop tard pour l’expulser.” 

Françoise Giroud.

En résumé, pour bien mettre les points sur les i :

  • Toutes les mesures prises depuis le début du premier confinement sont anticonstitutionnelles.
  • Presque toutes les principales institutions françaises sont en léthargie : Assemblée Nationale, Sénat, Conseil Constitutionnel, Conseil d’État, Autorité judiciaire…
  • Dans ce pays la justice est d’une lenteur extrême. Un exemple : la plainte du collectif de médecins appelé C19 qui a été déposée en mars 2020 ; les plaignants sont convoqués chez le juge en janvier 2021.
  • La France est le seul pays au monde à avoir interdit l’hydroxychloroquine.
  • Le samedi 10 octobre 2020, le Dr David Nabarro, arrivé en 2018 en deuxième position lors de l’élection à la présidence de l’OMS derrière le sulfureux Tedros Adhanom Ghebreyesus (candidat de Bill Gates et de la finance), a déconseillé le confinement entier d’une population. Que s’est-il passé fin octobre 2020 en France ?
    Précisions complémentaires :

Mais il y a mieux. Le Saviez-vous ?

Le conseil mondial de l’OMS dicte très officiellement la conduite sanitaire des pays signataires dont la France

http://www.francesoir.fr/le-conseil-mondial-de-loms-dicte-tres-officiellement-la-conduite-sanitaire-des-pays-signataires-dont

  • Marc van Ranst (actuellement membre du Comité scientifique coronavirus qui donne des avis aux autorités de la santé en Belgique) a fait une conférence en janvier 2019 devant des membres du Royal Institute of International Affairs — plus souvent appelé Chatham House qui est l’un des think tanks (groupe de réflexion) les plus influents au monde — pour expliquer comment il a géré en 2009 l’épidémie de la « grippe mexicaine » en Belgique. Vous allez voir, c’est très instructif !
https://youtu.be/3OAQ4QTv_3M
Les bons conseils de Marc van Ranst en cas de pandémie
  • l’Ordre des Médecins est dans le collimateur de la Cours des Comptes, notamment pour conflit d’intéret :

Un rapport accablant pour l’Ordre des médecins (infodujour.fr)

  • Le Quotidien du Médecin a publié une très bonne nouvelle le 10 décembre 2020 :
https://blog.gerardmaudrux.lequotidiendumedecin.fr/2020/12/10/le-traitement-du-covi-19-existe-2-ivermectine-efficace-a-100/
https://blog.gerardmaudrux.lequotidiendumedecin.fr/2020/
12/10/le-traitement-du-covi-19-existe-2-ivermectine-efficace-a-100/

.

  • La Bosnie-Herzégovine vient de donner une leçon à la France, le soit disant pays des Droits de l’homme.

Cour constitutionnelle de Bosnie-Herzégovine : la mesure de restriction de mouvement et de port de masques est une violation des droits humains fondamentaux — Affaire AP-3683/20

La mortalité en France selon les données officielles de l’Insee (Institut national de la statistique et des études économiques). Analyse de Décoder l’éco.

Cela fait maintenant 1 an que l’on entend parler quotidiennement du coronavirus. Cela fait bientôt 9 mois que toute la vie politique et économique vit au rythme des décisions prises uniquement pour répondre à la peur de ce virus. Depuis le début de la crise, de nombreuses voix dénoncent l’excessivité des mesures prises au regard des épidémies que l’on vit chaque année. Toutes ces voix sont désormais cataloguées dans le camp bien pratique des complotistes. Autrefois, l’inquisition faisait taire tous ceux qui osaient contredire le clergé. Aujourd’hui la société entière organise la censure de ceux qui sortent du discours bien établi. Dans cette vidéo, on va voir que depuis mars dernier, on ne constate absolument aucune surmortalité pour les moins de 50 ans. Je vous montrerai où aller chercher toutes les données des décès en France et comment faire les calculs pour que vous puissiez le faire vous-même si vous voulez et vérifier que je n’invente absolument rien. J’exploite uniquement des données de l’état civil français. On verra ensuite les effets du coronavirus sur la mortalité des plus âgés et je ferai la comparaison avec la grippe pour que vous puissiez faire vos conclusions. La mienne est simple : au regard des chiffres officiels des décès, il n’y a absolument aucune raison objective de mettre en place un confinement généralisé ou même d’imposer à toute la population n’importe quelle règle. On peut en revanche comprendre l’intérêt d’avertir les Français des risques et en particulier les plus âgés pour qu’ils puissent faire leur choix et prendre les précautions qu’ils souhaitent. Mais même dans ce cas, il faut se poser la question de pourquoi ce n’était pas fait avant, puisque quand on regarde les chiffres, on se rend compte que des épidémies mortelles, on en a tous les ans, tous les hivers.

Décoder l’éco

Et le meilleur pour la fin : la trahison de Macron envers son peuple

Discours d’ouverture du sommet « Finance en commun » prononcé par Emmanuel Macron le 12 novembre 2020 :


En Droit, les preuves ne peuvent en aucun cas être considérés comme de la diffamation.

« Respecter la vérité, quelles qu’en puissent être les conséquences pour lui-même, et ce, en raison du droit que le public a de connaître la vérité. »

Extrait de la Charte de Munich sur les droits et les devoirs du journaliste

Nouveau Monde (Alain Nicolaï et Joseph Stroberg) 




États-Unis – La question de l’adéquation

[Source : Réseau International]

par Andrei Martyanov.

Une insurrection ? Pas vraiment. Une insurrection est un soulèvement contre l’autorité et ce qui s’est passé à Washington le 6 n’était pas un soulèvement. C’était une manifestation pacifique qui a tourné à la violence avec l’aide de quelques provocateurs. Elle a été facilement gérée et ce qui importe ici, c’est que l’écrasante majorité des gens qui sont venus au Capitole n’avaient aucune intention de « se soulever » ou d’être des insurgés. Ils sont venus pour manifester. J’ai déjà démontré ce qu’est une véritable insurrection, évoluant vers un soulèvement. On peut comprendre qu’une bimbo de CNN déblatère des conneries sur le sujet, mais y avoir droit de la part d’Andrew Bacevich, un ancien officier cadre… Et pourtant :

« L’insurrection du 6 janvier a été le moment Altamont de cette génération. Tout comme Altamont, elle a fait voler en éclats des illusions qui ne méritaient pas d’être prises au sérieux ».

Non, ce n’était pas une « insurrection », c’est pourquoi elle s’est terminée relativement paisiblement avec, soyons honnêtes, très peu de victimes, aussi regrettables soient-elles, et la reprise des travaux par le Congrès. Peu de moments effrayants et l’humiliation en matière de relations publiques que le Capitole américain (et les États-Unis en général) a endurée à la suite de cela, à l’exception de quelques séquences dramatiques, ont produit un effet nul dans ce que Bacevich lui-même définit comme étant :

« Notre pays est un pays brisé. Si nous ne le reconnaissons pas, la Grande Insurrection de 2021 pourrait n’être qu’un simple précurseur de choses pires à venir ».

Oui, nous le savons et beaucoup le reconnaissent, mais cela ne fait pas d’un pur hooliganisme une insurrection. Utilisons les termes adéquats.

Et si cela ne suffit pas, venons-en à la question de la « liberté d’expression ». Je le répète :

1. Ce qui est connu aux États-Unis comme le « big-tech » n’est pas et n’a jamais été de la « big-tech » – ce sont des sociétés de réseaux sociaux qui ne produisent rien d’autre que du code, qui est téléchargé sur leurs serveurs, qui sont fournis par de VRAIES sociétés de technologie, et le seul produit que Facebook ou Twitter produisent est un exhibitionnisme de masse, des troubles sexuels et psychologiques, et de vastes flux de conneries. C’est pourquoi, personnellement, je n’ai pas de compte FB, Twitter, etc.

2. Toutes ces entreprises dites « big-tech » sont nominalement des entreprises privées. Et ne venez pas me dire qu’elles suppriment toutes les autres ! Ce sont des sociétés privées et le fait que leur monopole (pas vraiment) n’ait pas été brisé est le problème de POTUS et du Congrès américain. Voici ce que j’ai écrit hier en répondant à une personne sur le site du colonel Lang : cette « liberté d’expression » :

@Fred

« Ce droit de « propriété privée » ne s’étend-il qu’au discours politique ou cela signifie-t-il que les boulangeries ne doivent plus faire de gâteaux pour les homosexuels qui se marient et que les entreprises peuvent refuser les personnes que le propriétaire pense être de la mauvaise couleur ?

Ce que vous avez formulé s’appelle « déplacer les poteaux de but ». Ne mélangez pas ici les droits de l’homme fondamentaux et le droit d’utiliser une plateforme privée (OK, théoriquement privée) pour exprimer vos opinions. J’ai pleinement le droit de jeter n’importe qui hors de chez moi s’il commence à violer les normes que j’ai établies dans ma maison. Oui, c’est ce que signifie la propriété privée. Vous voulez que votre opinion soit exprimée publiquement, ce qui n’est PAS votre droit, sinon nous n’aurions pas de pré-modération et d’administrateurs ici – c’est votre droit d’aller créer votre propre « voix », qui va du blog privé sur une ressource d’accès public à un fournisseur d’accès Internet complet avec des serveurs, une infrastructure, etc. Ensuite, vous êtes responsable et tant que votre activité ne viole pas la Constitution, bon vent.

Bien que je sois dégoûté par tout ce qu’on appelle les « géants de la technologie » (pour votre information, ce ne sont pas des entreprises de technologie – elles ne produisent que des pages de code et des troubles psychologiques et psychiatriques de masse), je n’ai pas de compte FB et n’en aurai jamais, je ne tweete pas, etc. Formellement, ils ont raison – notre maison, nos règles. Vous n’aimez pas ça, vivez pleinement le capitalisme et la « démocratie » et faites les vôtres. C’est aussi simple que cela ».

Google, FB, Twitter, etc. sont-ils des vecteurs de l’idéologie et des politiques du parti démocrate-chrétien ? Absolument, ils sont méprisables, mais c’est la société, les utilisateurs, les clients qui les ont rendus tels. Ils ont aussi veillé à être ce qu’ils sont en termes d’influence. Et le gouvernement américain n’a rien fait à ce sujet. Alors, à quoi vous attendez-vous ? Que des recueils d’ordures du Comité national démocrate comme WaPo ou NYT commencent à publier mes articles ? Non. Ils ont leurs propres normes, aussi pathétiques soient-elles, dictées par leurs propriétaires et c’est tout. Ma question est la suivante : où peut-on trouver une véritable plate-forme conservatrice, dans un sens plus large, allant de sa propre infrastructure de réseau social à une presse écrite sérieuse ? Ce qui passe pour des médias « conservateurs » aux États-Unis est aussi conservateur que je suis chinois. Si le président des États-Unis mène sa « politique », ou plutôt son absence de politique, par le biais de ressources privées minables telles que Twitter et Fox News, un cloaque néolibéral néoconservateur, prétendant être « juste et équilibré », à quoi vous attendez-vous ? Les médias américains sont contrôlés de haut en bas par une classe aisée et ils ne permettront pas à une pensée conservatrice sérieuse d’être représentée, surtout parmi une génération qui est franchement stupide, a la capacité d’attention d’un poisson et est incapable de quitter son téléphone des yeux.

Hé, les milliardaires « conservateurs » et les soi-disant « patriotes » avec de l’argent, où est votre initiative, où est votre amour pour la « liberté d’expression », alors que vous ne pouvez même pas faire développer une plateforme alternative ? Oubliez la plateforme, il n’y a pas de penseurs conservateurs de bon niveau parmi vous. En fait, je doute qu’il y ait beaucoup de personnes vraiment brillantes dans ce qui passe aux États-Unis pour un mouvement « conservateur ». Alors, ne vous plaignez pas – vous avez eu une chance, vous l’avez gâchée, tout comme Donald Trump qui n’a rien fait pour changer quoi que ce soit dans les affaires qui comptaient vraiment, même en considérant un sabotage très réel de la part de l’establishment. L’impuissance à une échelle sans précédent. Que des paroles, pas d’actions. Maintenant, « big tech » ferme la porte à ceux qu’il n’aime pas ? Bien sûr. Vous vous attendiez à autre chose ?

Maintenant, avec tous ces discours lancés à la légère, nous ferions mieux de nous réveiller et de voir que l’hystérie des médias ne change absolument rien au consensus de Washington et que, si j’avais eu ma propre plateforme, j’aurais fait taire de très nombreuses idées « de gauche », parce que beaucoup d’entre elles, allant de l’institutionnalisation d’une perversion sexuelle à un racisme radical anti-blanc, méritent d’être rejetées du débat politique, comme étant destructrices et extrémistes. C’est ce que signifie l’adéquation. Quant au Parti républicain, c’est un spectacle bien plus dérangeant que de voir POTUS impuissant. Mais je tiens à préciser que si le Parti démocrate et ses politiques sont claires et présentent un danger, du moins ils en parlent ouvertement, le Parti républicain est une bande de lâches et de traîtres et, en tant que tel, il préside à la destruction du pays. Les whigs, ça vous dit quelque chose ? C’est le terme adéquat.

source : https://smoothiex12.blogspot.com

traduit par Réseau International




La pandémie « SPARS » 2025-2028 : découvrez-en le scénario public de l’université Johns Hopkins (Baltimore – USA). MàJ

[Source : michelledastier.com]

Le plan du deep state de plus en plus révélé :

Saviez-vous que la banque mondiale a programmé la Covid-19 jusqu’au 31 mars 2025 ?

Et qu’en suivra la pandémie « SPARS » 2025-2028 ?

Découvrez-en le scénario public de l’université Johns Hopkins (Baltimore – USA)

(voir page 6 du document PDF à télécharger sous la vidéo)
Ce script ne concerne pas uniquement les États Unis d’Amérique mais le monde entier.

NB : L’université Johns Hopkins de Baltimore aux USA est aussi célèbre que la tour Eiffel en France.

SOURCES :

https:/humansarefree.com/2020/12/spars-pandemic-2025-2028-simulation-2017-coronavirus-plandemic-covid-19.html

http:/documents1.worldbank.org/curated/en/993371585947965984/pdf/World-COVID-19-Strategic-Preparedness-and-Response-Project.pdf


[Mise à jour : comme complément d’information, voir Guy Boulianne — Il y a trois ans, l’Université Johns Hopkins avait préparé un scénario futuriste sur une pandémie SPARS qui se poursuivrait jusqu’en 2025-2028.]




Il n’existe que deux partis dans le monde : celui des mondialistes pour le Grand reset et celui des anti-mondialistes pour le Grand réveil

[Source : Sott.net]

Alexander Dugin — Geopolitica.ru

Sur le plan géopolitique [russe – NdT], nous avons souvent eu par le passé, comme c’est encore le cas aujourd’hui, bien des divergences et des conflits avec les États-Unis. Nous nous battons souvent dans des camps différents. Mais ce qui se produit aux États-Unis aujourd’hui relève davantage de la question des principes que de toute autre considération.

La moitié des États-Unis est soumise au régime totalitaire de l’autre moitié, et une véritable dictature de la gauche libérale y a été instaurée. Dans une telle situation, nous sommes de fait obligés d’exprimer notre pleine solidarité avec la moitié opprimée.

Cette fois, il n’y a pas eu d’élections mais un coup d’État organisé par la conspiration des élites illégitimes. La présidence étasunienne a été piratée. Aujourd’hui, les États-Unis sont sous le contrôle d’une junte extrémiste. Bienvenue à Maïdan ou dans le Tiers-Monde.

Mais c’est la première fois que les mondialistes utilisent au sein même de leur pays le même scénario qui a prévalu dans d’autres pays sous le nom de révolution colorée, qui inclut une élection volée, des fraudes et une campagne de désinformation intérieure. Ils se sont maintenant pleinement exposés et on peut clairement les voir pour ce qu’ils sont. Et c’était déjà le cas avant même qu’ils n’approuvent de telles tactiques sous couvert « des intérêts nationaux étasuniens ». Aujourd’hui, les Étasuniens en sont eux-mêmes les victimes. C’est une conclusion logique. Si vous commencez à utiliser le mensonge et la violence, il arrive un moment où vous ne pouvez plus les utiliser — à partir d’un moment donné, le mensonge vous utilisera.

La lutte principale se situe désormais clairement au niveau international. La confrontation entre les mondialistes et les anti-mondialistes est aujourd’hui bien plus importante que celle qui existe entre les Russes et les Étasuniens, ou entre l’Occident et l’Orient, ou encore entre les chrétiens et les musulmans.

Oui, Ashley Babbitt a participé aux guerres impérialistes des États-Unis. Mais sa mort survenue le 6 janvier 2021 constitue bien plus qu’un dernier service rendu à l’État étasunien et à son peuple. Elle a perdu la vie au nom d’une vraie liberté et d’une vraie justice. Et la liberté et la justice sont des valeurs universelles. Russes aussi bien qu’étasuniennes, musulmanes aussi bien que chrétiennes, occidentales aussi bien qu’orientales.

Notre combat ne vise plus les États-Unis. Les États-Unis que nous connaissions n’existent plus. La division de la société y est désormais irréversible. Nous sommes dans la même situation partout — là-bas et ailleurs. Il s’agit donc d’un même combat mené à l’échelle mondiale.

Nous devrions revoir notre attitude vis-à-vis des Big-Techs que constituent Microsoft, Google, Twitter, Apple, YouTube, Facebook, etc. Ce ne sont pas seulement des outils commerciaux — supposément « neutres » — ce sont avant tout des armes idéologiques et des outils de surveillance et de censureIl nous faut les détruire. Nous devons réussir notre Grande sortie de la techno-sphère contrôlée par les fous du mondialisme. La question est de savoir si nous devons démanteler la technique en général — un moyen infaillible que nous ne devons pas ignorer ou écarter d’un revers de main trop rapidement — ou développer des réseaux indépendants qui échappent au contrôle exercé par des idéologies biaisées et imprégnées de doctrines érigées en système [comme la paramoralité, la paralogie, les jeux de langage et autres pseudo-réalisme et utopie — un article sur ces sujets est en cours de traduction – NdT]. Entre-temps, nous pouvons simultanément avancer dans les deux directions. Il en va de même pour les médias [mainstream occidentaux – NdT]. Ils prouvent désormais qu’ils sont bel et bien le message [et non le messager – NdT]. Et le message s’avère être unilatéral.

Je ne suis pas d’accord avec de nombreux observateurs qui considèrent l’assaut sur la colline de la capitale comme une provocation et le travail d’une 5e colonne. Non. Il s’agissait d’une réponse symétrique de l’autre moitié des États-Unis totalement humiliée par des élections volées et une fraude éhontée de la part des Démocrates. Les trumpistes ont montré que la gauche-libérale n’a pas le privilège dans l’organisation de guerres mimétiques et dans l’usage de la violence à des fins politiques. Quand on commence à utiliser la violence, on doit s’attendre à la même réponse. Les antifas et les Black Lives Matter ont initié cette vague d’émeutes. Ce qui s’est produit sur la colline du Capitole n’était qu’une réponse logique : nous sommes assez courageux pour saisir par la force le Parlement affairé à reconnaître ou pas l’existence de fraudes et de magouilles électorales perpétrées à l’aide de faux votes de personnes décédées et par des votes par correspondance que personne n’a jamais envoyés.

Note du traducteur : En ce qui concerne l’existence d’une 5e colonne ou pas, il n’en reste pas moins qu’une vraie colère exprimée par les trumpistes a bien pu se produire en parallèle d’une opération sous faux drapeau, moyen habituel des Pouvoirs en place et bien connu de nos lecteurs. Le personnage à cornes dans l’image ci-dessous était aussi présent lors de manifestations BLM, bien qu’il affirme l’avoir été pour manifester contre les BLM, tout comme il affirme avoir été présent au Capitole pour soutenir Trump. Ne serait-ce pas plutôt l’inverse ? N’est-il pas acteur et voix-off, selon Wikipédia soi-même ? Le même Wikipédia aux ordres des Pouvoirs en place qui changent ses contenus en fonction du vent ? Cet Angeli qui se dit « chaman » serait autrement dit dans le jargon du renseignement un contre-espion… Et le fait même que la plupart des médias mainstream occidentaux le dépeignent comme un fervent supporter de Trump est en soi très suspect et ce « consensus » devrait pour le moins éveiller nos soupçons. Nous vivons dans un monde où les valeurs sont inversées, où les bons sont méchants et où les méchants sont bons, un monde où les traîtres à la Nation sont des patriotes (du mondialisme) et dans lequel le (vrai) patriotisme est — dans l’esprit malfaisant et tordu des psychopathes mondialistes — par définition terroriste. L’auteur parle du message unilatéral que représente les médias mainstream occidentaux mais il échoue apparemment à en reconnaître ici l’évidence.

© Inconnu

Notre combat prend désormais une dimension réellement mondiale : nous sommes en guerre avec les Démocrates — soit avec la moitié des États-Unis seulement — et non avec les États-Unis dans leur ensemble. Ce fait change tout. Le centre vital du pays prévaut. Celui des États-Unis, mais aussi celui de l’Eurasie. La géopolitique des élections de 2020 nous montre les frontières qui séparent en deux les États-Unis — un contour atlantiste ultra-libérale mondialiste bleu et un centre traditionaliste conservateur rouge. La perversion en bleu contre la normalité en rouge.

Le vrai combat ne fait que commencer. La peur ressentie par les Démocrates lors des manifestations pacifiques sur la colline du Capitole leur sera rappelée à tous. Voir le simple peuple étasunien — majorité dépossédée, silencieuse et « déplorable » — venir au Congrès — voilà ce qui constituait le moment de vérité. Et les députés se sont cachés sous les bancs… Les vrais « déplorables », ce sont ces lâches-là. En ce moment merveilleux, ils ont compris qu’ils ne sont plus en sécurité nulle part. Bienvenue dans notre peau. Dorénavant, les Démocrates seront attaqués dans le monde entier. Ils doivent savoir que nous les observons exactement de la même manière qu’ils nous observent, que nous les suivront à la trace exactement de la même manière qu’ils le font avec nous, que nous rassemblerons des informations et créerons des dossiers sur chacun d’entre eux tout comme sur les mondialistes et leurs marionnettes exactement de la même manière qu’ils le font avec nous. Dorénavant, tout lien avec les Démocrates et leurs mandataires sera considéré comme un fait de collaboration et de participation au crime contre l’humanité. Ils ont tué des milliers et des centaines de milliers de personnes en dehors de leur territoire. Mais le Mal n’a que faire des frontières. Il est toujours basé sur l’hubris. Ils ont donc entrepris de tuer des Étasuniens sur leur propre sol. Ashley Babbitt n’est que le début. Cette fois, ils prévoient de commettre un vrai génocide à l’intérieur même des États-Unis. Et ce dernier a déjà commencé.

Il n’existe que deux partis dans le monde : celui des mondialistes qui sont pour le Grand reset et celui des anti-mondialistes qui sont pour le Grand réveil. Et rien au milieu. Entre les deux, c’est l’abîme. Celui-là même qui réclame un océan de sang. Le sang d’Ashley Babbitt n’est que la première goutte.

Le combat devient universel. Le Parti démocrate des États-Unis et ses mandataires mondialistes — y compris toutes les industries de haute technologie et la Big Finance [et Big Agro-Pharma – NdT] — incarnent désormais clairement le Mal absolu.

Le Mal ultime s’est confortablement niché sur le sol étasunien. La Dernière révolte, le Grand réveil, jaillit désormais du centre de l’enfer.

Dernière remarque : le trumpisme est bien plus important que Trump lui-même. Trump a le mérite de lancer le processus. Il nous faut à présent aller plus loin.

Source de l’article initialement publié en anglais le 9 janvier 2021 : Geopolitica.ru
Traduction : Sott.net




Nouvelles de la vérité brutale #2

[Source : Amélie Paul (odysee.com) ou Amélie Paul]

« Des gars comme Antony Fauci qui disent n’importe quoi. Il ne connaît rien du tout à propos de rien. Et je lui dirai en pleine face. Rien. Le gars pense qu’on peut prélever un échantillon de sang et le mettre sous un microscope électronique et que s’il contient un virus on va le savoir. Il ne comprend pas la microscopie électronique et il ne comprend pas la médecine et il ne devrait pas être dans la position dans laquelle il est. La plupart de ces gens au sommet sont seulement des administrateurs et n’ont aucune idée de ce qui se passe en bas. Vous savez, ces gens-là ont un agenda, et ce n’est pas ce que nous voulons, étant donné que nous les payons pour qu’ils prennent soin de notre santé. Ils ont un agenda personnel. Ils créent leurs propres règles au fur et à mesure. Ils les changent quand ils veulent. Et ils sont arrogants, comme Tony Fauci qui n’a aucun problème à aller à la télévision devant les gens qui paient leur salaire et leur mentir directement à la caméra. On ne peut pas s’attendre à ce que les moutons respectent vraiment les meilleurs et les plus brillants. Ils ne font pas la différence. Je veux dire, j’aime les humains, ne vous méprenez pas. Mais essentiellement, il y a une très grande majorité d’entre eux qui ne possèdent pas la capacité de juger qui est un très bon scientifique et qui ne l’est pas. Je veux dire, c’est un problème de la science depuis le siècle dernier, parce que ceux qui jugent la science et lui accordent du financement ne la comprennent pas. »

Kary Mullis, inventeur du test PCR (7 min 50 à 9 min 20)




Témoignage de la famille d’un « mort du COVID » (ou pas d’ailleurs…)

[Source : Guy Fawkes News]

Combien d’autres hôpitaux usent honteusement de tels procédés? Ce témoignage a été posté hier sur Facebook. Il est toujours en ligne (pour l’instant). Au delà du fait que cela impacte directement les familles qui ne peuvent pas organiser des obsèques correctement cela fait également gonfler artificiellement les chiffres nationaux de la mortalité COVID :

Et bien voilà j’ai enfin la preuve que l’on nous prend pour des CONS. au décès de mon père hier à l’hôpital de st Nazaire 44, on m’a annoncé qu’il était Covid donc il fallait faire vite. Donc nous n’avions que deux heures devant nous pour venir le voir. À notre arrivée, ont nous a équipé de la tête aux pieds. La morgue est venue le chercher très rapidement. Quand j’ai demandé à récupérer les résultats du test, ils m’on dit qu’il ne pouvait pas l’imprimé car l’ordinateur a planté. Ce matin j’ai dû organisé les obsèques car la mise en bière était programmée pour 15h30. Donc nous avions le droit d’être avec lui pendant 1 heure mais aujourd’hui sans aucune protection 🤔 à part le masque ( même pas de gel ) à notre départ je suis remonté dans le service où il est décédé pour récupérer ses papiers et les résultats du test qui ! Comme vous pouvez le voir est NÉGATIF 🤬. Il va être grand temps de remettre les pendules à l’heure avec se gouvernement de MERDE. j’ai une grosse pensée pour ma sœur et toutes les personnes qui ne pourront pas lui dire au revoir. VIVE CETTE FRANCE DE CONNARD 🖕




Supprimez votre compte WhatsApp sans aucun délai

[Source : https://strategika51.org/]

par Strategika 51.

Cela fait des années que nous avertissons le public sur le danger extrême que constitue la compagnie Facebook inc., laquelle n’est qu’un des bras armés des services spéciaux de l’État profond.

L’application de messagerie WhatsApp a été rachetée par Facebook en février 2014 pour la somme de 19 milliards de dollars US. C’était l’un des meilleurs services de messageries offrant un cryptage dédié end-to-end au point où il était utilisé par les sous-traitants de la CIA dans des pays tiers. La dernière mise à jour de WhatsApp révèle au grand jour la nature extrêmement maléfique de Facebook et par dessus tout son objectif visant à instaurer un totalitarisme fasciste numérique supprimant toute opinion contraire à la propagande de l’État profond.

Toutes les discussions et le partage de photographies et de vidéos sur cette plate-forme sont compromises et enregistrées sur des serveurs souterrains situés dans une demi-douzaine de pays contenant des fichiers-personnes (même si vous utilisez des pseudonymes et changez tous les mois de puce USIM ou carte SIM) pour une durée minimale de 99 ans même après suppression du compte.

Il n’y a pas d’alternatives à WhatsApp même si l’application Signal (que nous utilisons avec parcimonie depuis des années) semble offrir des prestations similaires, elle n’est pas non plus sécurisée et son usage n’offre aucune garantie quant à la protection de la vie privée.

Les géants du numérique tels que Amazon, Twitter, Facebook et Google, et d’autres sont en train de perdre des dizaines de millions d’utilisateurs depuis qu’ils se sont arrogés le droit de façonner, manipuler et orienter l’opinion, nommer des chefs d’État et participer de façons actives dans les révolutions colorées et les guerres hybrides contre toute partie tiers jugée non conforme à leur nouvelle doxa.

Une soixantaine de gouvernements ont ordonné en urgence à leurs officiels de désinstaller WhatsApp et Facebook de leur téléphones mobiles. La Turquie est allée jusqu’à demander à la population de ne plus utiliser WhatsApp pour lutter contre le « fascisme numérique ».




Poursuites judiciaires contre les mesures Covid-19

[Source : Docs4 Open Debate]

International

ACU 2020 lance un recours collectif – 17 oct. 2020
La commission extra-parlementaire allemande ACU 2020 – corona a recueilli les témoignages de nombreux experts scientifiques internationaux importants, démasquant ainsi la crise de corona comme un scandale/fraude de corona d’une ampleur sans précédent.
En la personne de l’avocat Fuellmich, les initiateurs d’Acu2020 lancent une des plus grande actions en justice jamais entreprise sous la forme d’un recours collectif, une forme de procès dans lequel de nombreuses victimes peuvent ouvrir un dossier contre un tiers responsable de dommages subis à grande échelle. Les organisations criminelles responsables de cette immense catastrophe sanitaire et économique mondiale de la population seront jugées pour crimes contre l’humanité.
Dans cette impressionnante vidéo de 49 minutes (sous-titrée en néerlandais) de l’avocat Reiner Fuellmich, tous les faits sont présentés de façon très claire.

https://www.youtube.com/watch?v=ly7flUk6swQ

[NdNM : voir aussi : articles et vidéos relatifs à Reiner FUELLMICH]

[Source : www.ellaster.nl. Traduction automatique non révisée]

Poursuite internationale pour fraude au test PCR

par ELLA STER le 17 OCTOBRE 2020

La soi-disant deuxième vague est largement basée sur les résultats positifs du test PCR, ce qui entraîne des verrouillages persistants ou nouveaux et des mesures corona sévères. Selon Reiner Fuellmich, il y a un scandale de fraude coronaire. Les parties responsables seront inculpées dans une affaire devant un tribunal international.

Le Dr Reiner Fuellmich est l’un des quatre membres du Comité allemand de recherche Corona mis en place le 10 juillet 2020 pour examiner de manière critique la justification des mesures corona, mais aussi leurs effets néfastes. Le comité consulte un grand nombre de scientifiques et d’experts de renommée internationale.

Reiner Fuellmich n’est pas le premier à être le meilleur. En tant qu’avocat, il est membre de l’Ordre des avocats en Allemagne et en Californie depuis 26 ans, une ordonnance d’avocats qui suivent la jurisprudence anglo-américaine. En tant qu’avocat de première instance, il a par le passé intenté des poursuites fructueuses dans des affaires de fraude contre des géants tels que : Deutsche Bank, Volkswagen et Kühne + Nagel, un fournisseur mondial de services logistiques.

Le scandale de la fraude corona

Maintenant, il travaille avec un réseau international d’avocats sur le scandale de fraude Corona, « le plus grand délit jamais » et « probablement le plus grand crime contre l’humanité jamais commis. » Reiner Fuellmich soutient que les responsables du scandale de fraude corona au niveau politique devraient être poursuivis pénalement et inculpés de dommages et intérêts civils.

Les mesures corona prises par d’innombrables gouvernements du monde entier ont « coûté d’innombrables vies » et « détruit l’existence économique d’innombrables entreprises ». Les mesures sont basées uniquement sur les résultats des tests PCR, une méthode de recherche basée sur le test allemand de Dresde.

« Avec tout ce que nous savons aujourd’hui, il doit être rebaptisé scandale corona et les responsables doivent être poursuivis pénalement et inculpés de dommages et intérêts civils au niveau politique. »

Les résultats positifs des tests pcr ont été injustement rejetés en tant qu’«infections ». C’est la justification des blocages mondiaux, des fermetures d’entreprises et d’écoles, des mesures d’un mètre et demi et des bouches-à-oreille obligatoires. La question clé est de savoir si les mesures ont été prises principalement pour protéger la santé publique, ou pour obtenir plus de contrôle et générer plus de profits pour l’industrie pharmaceutique.

Lobby massif des compagnies pharmaceutiques en Allemagne

Selon Reiner Fuellmich, l’Allemagne était « le centre d’un lobby massif des industries pharmaceutiques et techniques, parce que le monde, en ce qui concerne les Allemands dits disciplinés, devrait faire ce que les Allemands font pour survivre à la pandémie ». Les chiffres suivants jouent un rôle important à cet égard :

Un groupe de scientifiques fait valoir qu’il n’y a aucune raison de prendre des mesures de grande envergure

Selon Reiner Fuellmich, il y a de plus en plus de dénonciateurs, de scientifiques de renom, de médecins et de juristes qui soutiennent que le coronavirus n’était pas une raison pour les mesures de grande envergure. Il s’agit notamment de:

Bien qu’il soit reconnu que covid-19 est une maladie dangereuse, qui, comme la grippe saisonnière, peut parfois prendre un cours clinique sérieux et dans certains cas peut même conduire à la mort, ils affirment que les chiffres montrent que la maladie n’était pas plus grave que la grippe saisonnière.

Dans la vidéo ci-dessous, Reiner Fuellmich rend compte des conclusions de la commission d’enquête :

  • Une grande partie de la population a déjà accumulé l’immunité intercell ou t-cellule, contre ce soi-disant nouveau virus. Par conséquent, il n’y a aucune raison pour des mesures spéciales et certainement pas pour les vaccinations.
  • Il n’était pas question que les hôpitaux risquent d’être submergés par covid-19. C’est le contraire qui s’est produit, car de nombreux hôpitaux restent vides à ce jour. Certains hôpitaux font maintenant face à la faillite en raison d’une pénurie de patients.
  • Il n’y a pas de mortalité élevée. Des études menées par le professeur Loannidis et d’autres montrent que la mortalité coronarienne est équivalente à celle de la grippe saisonnière.
  • Le taux de mortalité élevé chez les personnes âgées est plus susceptible d’être dû à l’échec des politiques, car les patients infectés par covid-19 ont été transférés des hôpitaux aux maisons de soins infirmiers. Là, ils ont infecté les personnes âgées avec un système immunitaire gravement affaibli, généralement en raison de conditions médicales préexistantes.

Alarmisme délibéré

Reiner Fuellmich affirme dans sa déclaration vidéo qu’un soi-disant « document de panique » a été divulgué écrit par le ministère allemand de l’Intérieur. Selon lui, le contenu secret montre hors de tout doute raisonnable que la population a en fait été délibérément poussée à la panique par les politiciens et les médias traditionnels. Il affirme également que M. Wheeler, le chef de la RIVM allemande, « a suivi ce script mot pour mot ». Reiner Fuellmich poursuit : « Dans ses déclarations publiques, il a continué à proclamer que la situation était très grave et menaçante, bien que les chiffres compilés par son propre institut aient prouvé exactement le contraire. »

« L’Allemagne était apparemment le centre d’un énorme lobby des industries pharmaceutiques et technologiques, parce que le monde, en ce qui concerne les Allemands soi-disant disciplinés, devrait faire ce que les Allemands font pour survivre à la pandémie. »

La vraie cause de la mort n’est pas cachée

En réalité, les autopsies réalisées en Allemagne par le professeur klaus Püschel, médecin légiste à Hambourg, ont montré que les décès qu’il avait examinés étaient presque tous causés par des conditions graves et préexistantes. En outre, presque toutes les personnes étaient mortes à un très âge, comme ce fut le cas en Italie.

Reinier Fullmich dit: « Le RKI allemand (l’équivalent du CDC) initialement, curieusement, a recommandé de ne pas effectuer d’autopsies. » Il parle également de « nombreux rapports crédibles selon laquelle les médecins et les hôpitaux du monde entier ont reçu de l’argent pour déclarer une personne décédée victime de COVID-19, plutôt que d’écrire la véritable cause du décès sur le certificat de décès.

Pas une pandémie coronale, mais une pandémie de PCR

La soi-disant « deuxième vague » qui a abouti au maintien des mesures, ou comme aux Pays-Bas un nouveau verrouillage, est basée uniquement sur les résultats positifs du test PCR. Cette méthode de test n’a jamais été approuvée à des fins diagnostiques. « Un résultat positif au test PCR ne signifie pas qu’une infection est présente, cela ne signifie pas qu’on est infecté, et encore moins par le virus infectieux du SRAS-CoV2. Même les CDC américains sont d’accord », dit Reiner Fuellmich.

« Un résultat positif au test PCR ne signifie pas qu’une infection est présente, cela ne signifie pas qu’on est infecté, et encore moins par le virus infectieux du SRAS-CoV2. Même la CDC des États-Unis (équivalent RIVM – n.) est d’accord.

DR REINER FUELLMICH

Le test PCR ne peut pas faire de distinction entre la matière inactive et la matière reproductrice (comme les particules infectieuses de réplication du virus – n.). Cela signifie qu’un résultat positif peut se produire, car le test détecte, par exemple, un fragment d’une molécule (froide). Cela ne peut être rien d’autre que de signaler que le système immunitaire de la personne testée a surmonté un rhume. « Les tests PCR sont si sensibles que même les personnes très en bonne santé et non infectieuses sont positives. »

Néanmoins, les médias grand public sèment la panique et la peur en supposant à tort que tous ces résultats positifs de PCR concerneraient les infections malades et infectieuses. Pendant ce temps, un certain nombre de scientifiques très respectés à travers le monde supposent qu’il n’y a jamais eu de pandémie corona, mais seulement une pandémie de test PCR. Ils soulignent explicitement qu’un test positif ne signifie pas qu’un virus intact a été trouvé.

« Il y a eu une véritable vague de maladies en mars et en avril, mais depuis, tout est revenu à la normale. Seuls les résultats positifs augmentent et tombent sauvagement maintes et maintes fois, selon le nombre de tests qui sont effectués. Mais les vrais cas de maladie sont terminés.

N’utilisez plus jamais les tests PCR comme outil de diagnostic

Carl Hennigan, professeur à la prestigieuse Université d’Oxford et directeur du Center for Evidence-Based Medicine, écrit que le virus COVID-19 ne disparaîtrait jamais si cette pratique de test se poursuivait, mais a toujours été détecté de manière incorrecte. Le Dr Mike Yeadon écrit que ce test n’est pas adapté, devrait être retiré immédiatement et ne devrait plus jamais être utilisé à ces fins. Le test PCR est maintenant injustement utilisé pour diagnostiquer une maladie, mais il semble créer la peur avant tout.

« Si les tests pcr n’avaient pas été utilisés comme outil de diagnostic pour les infections coronaires, il n’y aurait pas de pandémie et il n’y aurait pas de verrouillage, mais tout aurait été considéré comme une simple vague de grippe moyenne ou légère. »

Le « document de panique » détaillé et divulgué, rédigé par un fonctionnaire allemand au ministère de l’Intérieur, contient une évaluation des risques des mesures corona. On conclut qu’il n’y avait pas suffisamment de preuves de graves risques pour la santé publique. Toutefois, on conclut qu’il existe de grandes preuves que les mesures corona mènent à d’énormes dommages pour la santé et l’économie. Reiner Fuellmich affirme que cela entraînera des demandes de dommages et intérêts très élevées, dont le gouvernement sera tenu responsable. Le fonctionnaire compétent et auteur du rapport a depuis été suspendu.

Responsable et complice

Reiner Fuellmich affirme que si des éléments de preuve irréfutables peuvent être démontrés que la fraude a été commise intentionnellement, comme la divulgation de faux faits relatifs aux critères pcr, il s’agit légalement d’un délit délictueux. Selon Reiner Fuellmich, ceux-ci peuvent même être légalement classés comme des crimes contre l’humanité réels, tels que définis à l’article 7 du Code pénal international. Les mesures corona qui en ont résulté ont causé des dommages dévastateurs à la santé publique et à l’économie.« Même en Allemagne et dans d’autres pays auparavant civilisés, les enfants sont enlevés à leurs parents s’ils ne respectent pas les règles de quarantaine. »

Parce que les grands médias n’ont pas signalé les faits réels de cette soi-disant pandémie, ils peuvent eux aussi être tenus responsables. Ils auraient pu savoir qu’il n’y avait pas de consensus sur le test PCR et auraient pu fournir aux opposants à la politique corona avec une plate-forme égale pour exprimer leurs points de vue. En raison des reportages non critiqués et unifatés, ils sont complices de créer une peur énorme parmi la population. Leur rôle a rendu impossible un débat ouvert sur les politiques et permet aux mesures de se poursuivre jusqu’à ce jour.

Avantages d’un recours collectif

Selon Reiner Fuellmich, un recours collectif est la meilleure façon de réclamer des dommages-intérêts aux parties responsables.

« L’avantage du recours collectif est qu’un seul procès est nécessaire. »

Un soi-disant recours collectif est fondé sur le droit anglais et est appliqué aux États-Unis et au Canada. Il permet à un tribunal d’accorder des dommages-intérêts sur la base d’un acte d’accusation, en vertu duquel d’autres parties dans d’autres pays ont la possibilité de se joindre au demandeur dans un délai qui doit être déterminé par le tribunal.

L’avantage du recours collectif est qu’un seul processus est nécessaire, à savoir traiter la plainte d’un demandeur représentatif. Les avantages sont les les plus importants :

  1. C’est moins cher.
  2. C’est plus rapide que des centaines de milliers de procès individuels.
  3. C’est moins onéreux pour les tribunaux.
  4. En règle générale, il permet un examen beaucoup plus précis des allégations.

En Allemagne, un groupe d’avocats s’est uni pour aider leurs clients à se remettre des dommages et intérêts. Ils ont depuis fourni aux demandeurs allemands tous les renseignements et formulaires pertinents pour évaluer les dommages qu’ils ont subis. Il existe également un réseau international d’avocats (qui s’agrandit de jour en jour) et s’occupe également de ce dossier.

Avec la conduite d’un procès (international), on peut non seulement obtenir des dommages-intérêts et de la justice, mais il conduira également à la divulgation et la divulgation de l’énorme fraude et les violations des droits de l’homme que de nombreux gouvernements et organisations ont commis.

https://youtu.be/ly7flUk6swQ

En cliquant sur le CC au bas de la vidéo, vous obtenez les sous-titres néerlandais. Si la vidéo est retirée de Youtube, vous pouvez la regarder sur Bitchute: https://www.bitchute.com/video/zarFW3hwuyBc/

Ella Ster* – France | source: ellaster.nl

Les articles écrits par moi ne peuvent être publiés que 1:1 ailleurs à condition que l’auteur Ella Ster* soit clairement répertorié en haut ou en bas de l’article. En outre, il doit être au bas de l’entrée: « Source: www.ellaster.nl »

À partager : une révélation absolue et un vrai must !

Belgique

-Arrêt de la Cour d’appel – 28 oct. 2020 
Arrêt de la Cour d’appel de Bruxelles sur le Covid 19 : Il n’y a pas de cadre juridique et les mesures ne reposent pas sur une base scientifique suffisante. Le texte a été distribué à tous les médias belges.
Le juge a décidé que les mesures prises doivent maintenant être scientifiquement justifiées, c’est-à-dire que leur utilité a été prouvée.
Les mesures proposées par les plaignants sont plausibles.
L’accent devrait être mis sur :

  • la protection des patients à haut risque
  • le renforcement des soins – médecins généralistes, hôpitaux, centres de soins lunaires
  • ouvrir l’économie et rendre la liberté au peuple

Ceci est en accord avec la Déclaration de Great Barrington : Protection ciblée
https://www.viruswaanzin.be/post/belgische-burgers-vs-belgische-staat-inzake-corona 

Texte de l’arrêt
Communiqué de presse Arrêt

-Un juge belge rejette une amende pour « non-respect de la quarantaine » comme étant anticonstitutionnelle – 13 oct 2020
https://www.rtl.be/info/belgique/faits-divers/coronavirus-prononcer-un-peine-pour-non-respect-du-confinement-est-illegal-a-decide-un-juge-du-hainaut-1251218.aspx?fbclid=IwAR26ANNvp6eijqJ-KKxEdv-XQVIV-5URf6FoyIFx4A0WnlkyNW-yxEvNP4E

-Les citoyens luttent contre le couvre-feu anticonstitutionnel – 26 oct. 2020
https://geenvodjepapier.be/open-brief/?fbclid=IwAR3dMcwvecBoehMWUjUKM_W5gDW_nejLh5oiIBPLh4kD-CCWSPmdyKVk78Y 

Allemagne

Le tribunal de Berlin rejette le couvre-feu pour les bars/restaurants comme étant disproportionné – 16 oct. 2020
https://www.dw.com/en/germany-berlin-court-suspends-bar-and-restaurant-curfew/a-55306096

Autriche

La Cour suprême autrichienne juge illégale l’obligation de porter un masque buccal pour les enfants 23 déc. 2020
https://www.20minutes.fr/monde/2938679-20201223-autriche-cour-supreme-juge-masque-obligatoire-ecole-cours-alternance-illegaux

Bosnie-Herzégovine

Cour suprême : L’obligation de porter un masque buccal ainsi que la restriction de la liberté de circulation sont inconstitutionnelles. 22 déc. 2020
https://www.fena.news/bih/constitutional-court-masks-and-movement-restriction-are-human-rights-violation/

Espagne

La Cour rejette le verrouillage partiel de Madrid – 8 oct. 2020
https://www.vrt.be/vrtnws/nl/2020/10/08/spaanse-rechtbank-verwerpt-gedeeltelijke-lockdown-in-hoofdstad-m/

France

Tribunal de Toulouse : Obligation de porter un masque illégal – Arriège 24 déc 2020
https://actu.fr/occitanie/foix_09122/ariege-l-arrete-prefectoral-imposant-le-port-du-masque-dans-tout-le-departement-juge-illegal_38340364.html?fbclid=IwAR3jtMuWq1oLWcKr1CeaxuD5QhDN0BdKs3bvt7sQ4UxMtOMhpLZ8ykCkOCw

Synthèse de toutes les procédures judiciaires en cours en France :
Ce site web contient des formes de responsabilité personnelle que chaque citoyen peut soumettre à son propre médecin, à ses ministres, …
https://reaction19.fr/

Portugal

La Cour d’appel portugaise estime que les tests PCR ne sont pas fiables et lève la quarantaine. Seuls les médecins sont légalement autorisés à déclarer une personne malade, personne ne peut déclarer une personne malade par décret ou loi ou comme conséquence administrative d’un test de laboratoire. Seul un médecin est autorisé à le faire.
https://tkp.at/2020/11/17/portugiesisches-berufungsgericht-haelt-pcr-tests-fuer-unzuverlaessig-und-hebt-quarantaene-auf/

Royaume-Uni

Une équipe juridique de haut niveau prépare les poursuites pénales individuelles du parlement qui a signé la loi Coronvirus 2020 pour fraude, trahison et génocide – inédites depuis W.O. II. – 16 oct 2020
https://niburu.co/37-artikelen/wereld/15613-advocaten-staan-op-om-overheden-strafrechtelijk-te-vervolgen

https://www.thebernician.net/private-criminal-prosecution-of-parliament-top-legal-team-engaged/?__cf_chl_jschl_tk__=bd5998bfbae59116f1893ec54ae4f083a6d58795-1604501709-0-ASPoFuOfgjF3L9lm0nSuChFtU8Y7ASFlRsWI780gwn8AqiHtoH_8sgwsZ0C3t60tQHP4mWNqMO8nhtJgzv5Ljau4WO4tflo8nyvRTtJhyCwIunjliRQzOmpDmgLJczWpIcMug4VRVi379KqnC-YzmSt6X5QvdZ3AFORWIXMj9MrlgKAduAOl7FJNKtW7Y4FoAVkGHmHY3fjTlB7jj-Ki7C_h6iAZ_s1XDza6NDw-fHCkZXzLe71ze9pM1o7yuI-jQR0I69JAyzzB27TKc2RjZYJ93yNXqBw7EkJHMZbTeIG0zvwp5LccM3V08HtFzzY1zgA6ztNluw3ONxeKfVKGCnUcg1GBM9PlTzB3VqMz50Cn

Australie

Une association d’avocats (www.concernedlawyersnetwork.net) lance une procédure de fraude Covid contre le gouvernement australien corrompu
https://principia-scientific.com/covid-fraud-lawyers-file-action-against-corrupt-australian-government/

Canada

Poursuite judiciaire : Déclarer les mesures actuelles prises non légales – poursuite contre l’État Canadien.  
Dépôt à la Cour du Québec (français) 18 décembre 2020

Les experts internationaux apportent des réponses fondées à de nombreuses questions pratiques.

Rapport d’experts
Rapport d’experts : Le Covid est-il un risque pour l’ensemble de la population ? Les verrouillages sont-ils utiles ? Les enfants peuvent-ils signaler des infections ? ….  18 déc. 2020

[Source : Guy Boulianne :




Les démocrates paniquent? Où est passé l’ordinateur de Pelosi?

[Source : Carrefours du monde]

Une offensive sans précédent de la censure dans les médias sociaux dominants, envers les conservateurs en général, et le président Trump et ses proches soutiens en particulier.

Le président Trump n’a pas terminé son mandat, pourtant Facebook, Instagram et Twitter ont supprimé son compte.

Selon les dernières nouvelles du 8 janvier, les comptes du président Trump, des avocats Lin Wood et Syndey Powell ont tous été supprimés.

Alors beaucoup cherchent une solution de repli et se tournent vers l’application Parler.

Pourtant, Parler aussi est visé par cette offensive de la big tech : Google, Apple et Amazon ont ciblé la plateforme dans une action qui semble coordonnée.

Regardons maintenant quelques informations venant de Californie et qui concernent la lutte contre l’épidémie de COVID19.

Selon les directives de l’État publiées par le ministère californien de la santé le 6 janvier, les résidents californiens ont désormais interdiction de voyager à plus de 200 kilomètres de leur habitation.

Le 6 janvier, le régime chinois, en collaboration avec le gouvernement local, a lancé une vague d’arrestation massive à Hong Kong.

Plus de 50 militants pro-démocratie ont été arrêtés et accusés d’avoir violé la loi de sécurité nationale de Hong Kong.

Le secrétaire d’État américain Mike Pompeo a annoncé qu’il répondrait par une nouvelle série de sanctions contre le gouvernement chinois.

Il enverra également l’ambassadeur des Etats-Unis aux Nations Unies, Kelly Craft, à Taïwan pour protester contre la répression à Hong Kong.

La date exacte a déjà été confirmée. Craft se rendra à Taïwan du 13 au 15 janvier.

C’est la première fois que les États-Unis envoient un ambassadeur des Nations unies à Taïwan.

Beaucoup de gens attendaient le rapport du directeur des services de renseignement américains sur l’enquête relative à l’ingérence étrangère dans l’élection.

Le rapport tant attendu a finalement été rendu public le 7 janvier dernier. 14 pages ont été remises à la commission du Sénat sur le renseignement et diffusées sur certains médias américains.

Au même moment, le directeur national du renseignement américain, John Ratcliffe, a signé une lettre non classifiée de trois pages qui a été remise au Congrès et à certains médias.

Dans cette lettre non classifiée, nous apprenons que Ratcliffe lui-même ne pouvait pas prendre toutes les décisions concernant le rapport d’enquête.

L’Associated Press a rapporté que le Pentagone et le Département de la Justice ont tous deux offert leur aide à la police du Capitole le 6 janvier, mais que ces deux offres ont été rejetées par cette dernière.

Par ailleurs, il y a de plus en plus de preuves montrant l’implication de l’extrême gauche dans l’incident.

John Sullivan, un membre de « Black Lives Matter » de l’Utah, a participé à la prise d’assaut du Capitole. La police l’a arrêté le 7.

Mo Brooks, membre républicain de la Chambre des représentants des États-Unis, a également tweeté que « de plus en plus de preuves montrent que l’ANTIFA a orchestré l’attaque du Capitole avec des tactiques intelligentes de contrôle de la foule ».

Le 8 janvier, Nanci Pelosi a écrit une lettre à ses collègues démocrates du Congrès pour donner une impulsion à la destitution du président Trump avant le 20 janvier.

La gauche radicale tentent d’utiliser l’incident du Capitole pour attaquer davantage le président Trump.

Mais d’un autre côté, le lieutenant-général Thomas McInerney s’est exprimé à la Maison Blanche et une vidéo circule sur internet.

Il dit que des membres des forces spéciales ont profité de l’évènement du Capitol pour obtenir l’ordinateur portable de Nancy Pelosi. Il parle de « haute trahison ».

Ceci expliquerait pourquoi elle est devenue frénétique depuis, et pourquoi elle fait pression pour destituer Trump au plus vite alors qu’il ne reste que quelques jours avant le 20 janvier.

https://youtu.be/0dDtgYGzF5s