Une jeune journaliste s’exprime sans langue de bois sur sa profession

[Source : Qactus ou Walter White]






La France, une dictature avec crédit social à la chinoise ou une dictature chinoise avec crédit social ?

Par Alain Tortosa

Je me suis aperçu au fil de mes lectures et recherches que de nombreux intervenants étaient en désaccord non seulement sur le fond, mais aussi du fait d’une absence de vocabulaire commun.

En allant vers les extrêmes, certains qui parlent de dictature communiste ou d’ultralibéralisme parlent parfois de la même chose, mais en lui donnant un nom différent…

Afin de limiter les ambiguïtés ou les incompréhensions, je vais définir « mon » vocabulaire afin que chacun puisse comprendre mes propos sans risque de mauvaises interprétations.

Petite lexique personnel

  • Dictature : Régime autoritaire où les libertés d’expression et politique sont interdites…
  • Communisme : Économie centralisée, limitation de la propriété, contrôle de l’État dans toutes les sphères de la vie quotidienne. Contrôle des populations.
  • Libéralisme (ultra) : Liberté individuelle, liberté économique, présence limitée au maximum de l’État, droit à la propriété, autorégulation (utopique) des marchés, quasi-absence de règles, mais parfois aussi de conscience.
  • Dictature de droite et dictature de gauche, points communs : L’intérêt national passe avant l’intérêt de l’individu. La « grandeur du pays ». Une absence de liberté d’expression, de liberté politique, d’opposition et d’élections libres. Pas de syndicats ni de grèves…
  • Dictature de droite vs dictature de gauche.
    La dictature de droite limite les libertés au niveau politique et laisse globalement les individus plutôt libres dans les autres domaines. Liberté économique. Elle est attachée aux valeurs du passé. Bien entendu anticommuniste.
    Alors que la dictature de gauche tend à contrôler l’individu dans tous les domaines de l’existence. L’État est omniprésent. Absence de liberté économique. Elle se veut en rupture (totale) avec les traditions, la société, et fait table rase du passé, des racines pour aller vers un « idéal » de société.. Bien entendu anti-capitaliste.
  • Crédit social : Système de notation des individus avec bonus-malus. Une personne docile qui respecte toutes les règles pourra bénéficier de privilèges alors qu’à l’inverse, ses droits lui seront retirés comme celui de voyager par exemple.

Liberté économique en Chine

Dans mon imaginaire, la Chine était plutôt un pays libéral d’un point de vue économique encapsulé dans une dictature communiste.

Tout était dictature sauf l’économie, ce qui aurait permis la création de fortunes privées.

En fait il y a bien des entreprises privées (et des milliardaires en Chine), mais elles sont sous la coupe du parti communiste, pas uniquement socialement, mais aussi économiquement.

L’institut Montaigne précise :

« La loi sur les sociétés de 1993 exige que toutes les entreprises basées en Chine, qu’elles soient chinoises ou étrangères, admettent la création d’unités du PCC afin de “remplir les fonctions du Parti” et leur fournissent les “conditions nécessaires” à leur fonctionnement. C’est au cours des années 2000 que la pénétration du secteur privé par le Parti s’est accélérée… le PCC représente “la force productive avancée” et accueille ainsi dans ses rangs les entrepreneurs privés de la Chine. Sous Xi Jinping, la “construction du parti” au sein des entreprises privées est redevenue une priorité clef. »

« La pénétration des grands groupes privés est, elle, en revanche presque totale : en effet, 92 % des 500 plus grandes entreprises du pays hébergent une cellule du parti. Ce taux devrait bientôt grimper à 100 %, car il est depuis 2018 obligatoire pour les groupes cotés en Chine d’ouvrir une section du parti. »

« Il ne s’agit donc pas seulement de garantir la loyauté politique des hommes et femmes d’affaires, mais bien de façonner leur manière de travailler et leur image publique… »(([1] https://www.institutmontaigne.org/blog/le-parti-communiste-chinois-cible-le-secteur-prive))

Citons le géant Alibaba dont le parti communiste n’a pas apprécié l’indépendance que l’entreprise prenait vis-à-vis de celui-ci et s’est retrouvé avec une enquête anti-monopole. Il ne s’agirait pas que des entreprises privées deviennent plus fortes que l’État et menacent le régime.

Knoema publie un indice de liberté économique dans lequel les USA sont 20e, la France au 63e rang, la Russie au 91e rang et la Chine au 106e rang.(([2] https://public.knoema.com/fettqbg/index-of-economic-freedom))

Il n’y a donc pas de liberté économique stricto sensu, celle-ci est sous tutelle directe du parti communiste chinois.

Le miracle économique chinois

Celui-ci est probablement multifactoriel.

  • En premier lieu, le communisme a fait table rase du passé. La dictature a tout fait pour détruire des millénaires de traditions et d’histoire. Les quartiers historiques des grandes villes ont été rasés (ne gardant que quelques vestiges pour les touristes). La religion a aussi été combattue. De fait (et c’est aussi ce qu’il se passe en occident), il ne reste plus que le matérialisme comme sens de la vie.
  • Une absence totale des droits de l’homme et une répression à tout va. Et ne parlons pas des prélèvements d’organes forcés.
  • Aucune revendication syndicale possible qui fait littéralement du travailleur chinois un esclave.
  • Et bien entendu l’idéal communiste qui fait que tout individu est au service du « grand tout », de la grandeur de la Chine communiste vers une société « idéale ».
  • Une entreprise se doit de mater les travailleurs et se concilier les bonnes grâces de l’administration…

L’ensemble de ces éléments font qu’une entreprise chinoise bénéficiera de performances inaccessibles à une entreprise occidentale qui est entravée par des lois sociales, des travailleurs individualistes et par-dessus tout, un droit de grève.

Absence de réciprocité, étape un de la trahison

Lorsque j’étais jeune adulte, je me demandais pourquoi la France, puis l’Europe ou l’Organisation Mondiale du Commerce avaient fait de tels cadeaux à la Chine. Et ce à une époque où nous n’étions pas encore totalement dépendants des Chinois.

Pourquoi devions-nous accepter les produits chinois fruits d’une concurrence déloyale et du travail forcé, pourquoi devions-nous mettre pas ou peu de droits de douane, pourquoi les entreprises chinoises pouvaient acheter nos entreprises et pourquoi n’exigions-nous pas la réciprocité ?

Je me rappelle un reportage qui montrait une entreprise française de tracteurs agricoles qui produisait sur place. L’entreprise a été rachetée par les Chinois. Ils ont alors légalement volé tout le savoir-faire et les brevets, mais aussi expédié en Chine les machines-outils à la pointe du progrès. La production de tracteurs a été totalement arrêtée en France et l’entreprise importe désormais des tracteurs chinois… Ce type d’histoire existe hélas ! à l’infini…

Bref pourquoi avoir ouvert les portes en grand et laisser entrer le loup dans la bergerie ?

Les discours de l’époque (que j’ai gobé) affirmaient que c’était bon pour notre économie, que les sociétés occidentales deviendraient des sociétés de service tandis que les Chinois produiraient les biens matériels.
… Et (fou rire dans la salle) que cela nous ouvrirait le marché chinois… Vous avez vu des dizaines de millions de Peugeot en Chine vous ? Pas moi !

Alors soit les dirigeants occidentaux ont été très naïfs, soit ils ont été corrompus, soit les deux.
Choisissez votre option !

Libéralisme et dictature : points communs

« Libéral dehors et communiste dedans ».

En ce sens je m’inspire d’une phrase de Brice Lalonde, qui disait que :

« les écologistes sont comme les pastèques, vertes dehors et rouges dedans ».

Autant le chef d’entreprise libéral est pour la liberté d’entreprendre, la liberté de réussite, la propriété et la liberté tout court. Autant le sein de l’entreprise (hors les cadres dirigeants) s’apparente plus à une microsociété communiste avec un slogan :

« Nous sommes une famille et œuvrons tous pour la réussite de l’entreprise ».

Et croyez bien que si il n’y avait pas de lois sociales, le sort des travailleurs occidentaux serait totalement identique au sort des travailleurs chinois. L’ultralibéralisme n’a pas de conscience et se nourrit de l’esclavage des peuples.(([3] Cf « 7 milliards d’esclaves et demain ? »)) Il n’hésite pas à piller les ressources de la planète, polluer, tuer pour augmenter ses bénéfices.

Alors quand les grands groupes ont eu l’opportunité de délocaliser leur production en Asie, que croyez-vous qu’ils aient fait ?

Cela me rappelle un chapitre de mon livre « 7milliards d’esclaves et demain ? » dans lequel je rappelle que la société Apple, dont le coût de main-d’œuvre des iPhone était de l’ordre de 13 dollars en Chine, avait refusé de relocaliser la production aux USA, car le surcoût aurait été d’environ 2 dollars sur un produit vendu dans les 1000 dollars ! Pourquoi ? Notamment par peur d’avoir à payer plus d’impôts sur les sociétés, mais aussi d’une absence de main-d’œuvre spécialisée. Ce qui bien sûr est un non-sens économique, car ils pouvaient augmenter le prix de 2 dollars sans compter que cela aurait pu constituer un argument publicitaire « made in USA » et booster les ventes ainsi que l’image de la marque. On peut donc se poser la question, Apple… et les autres, sont-ils indépendants ou dans les griffes du parti communiste chinois ?

Le modèle économique communiste ne peut que faire rêver tout entrepreneur ultralibéral (s’il ignore la main mise du parti). Toujours l’appât du gain à court terme.

Dépendance des occidentaux tenus par les c… par les Chinois

Dans un premier temps, on fait fabriquer par les Chinois… et ainsi on perd la capacité productive (savoir-faire, machines-outils…). Localement, il n’y a plus les infrastructures ni la main-d’œuvre qualifiée. Puis dans un deuxième temps on délocalise aussi la matière grise, les bureaux d’étude pour gagner plus d’argent et gagner en flexibilité. Les Chinois ont mis le paquet dans la recherche et le développement.

Cela a pour conséquences :

  • La Chine crée des universités et se met à former des ingénieurs et des chercheurs.
  • Les enseignants et chercheurs occidentaux se voient offrir des plans de carrières et des ponts d’or (jusqu’à ce qu’ils aient été vampirisés).
  • La Chine vole (copie) la technologie occidentale et ses cerveaux.
  • Vous perdez votre capacité de recherche et développement sur le territoire national.

Sans compter que la Chine possède le plus gros gisement de terres rares pour les batteries de vos voitures « écologiques » (fou rire dans la salle).

Donc :

  • Vous ne produisez plus rien dans votre pays désindustrialisé.
  • Vous avez perdu jusqu’à votre matière grise.
  • Vous êtes totalement dépendant de la Chine (de l’Asie) pour les importations de produits manufacturés et même de simples écrous !
  • Vous avez offert votre technologie à une puissance étrangère.
  • Vous avez même perdu votre autosuffisance alimentaire.
  • Vous vendez votre savoir-faire et vos entreprises stratégiques.

C’est du même ordre que la France qui vend la technologie de ses turbines nucléaires et qui perd ainsi son indépendance énergétique (turbines que l’on serait sur le point de racheter le double du prix de vente).

Covid et économies occidentales

Je ne doute pas du fait que Macron soit un simple pantin, mais un pantin nourri au capitalisme et au libéralisme. Il était quand même banquier chez Rothschild et plus le fils spirituel de Klaus Schwab que de Mao. J’entends aussi que vous pourriez penser qu’il a certaines casseroles (s’il a été placé à ce poste, ce n’est probablement pas sans garanties solides).

Néanmoins, imaginez la couleuvre à lui faire avaler quand on lui dit en mars 2020 qu’il doit tuer l’économie française stoppant le pays… et en mettant en prison l’ensemble de la population. On ne peut pas dire que cette décision puisse être qualifiée de « libérale ».

D’autre part, nous voyons de nombreuses théories qui circulent sur la destruction volontaire de la classe moyenne. Or c’est cette classe moyenne qui fait la richesse des entreprises titanesques. Si vous tuez le client, vous tuez le marché et vous tuez votre poule aux œufs d’or et donc vous-même…

C’est pourquoi je suis sans réponse depuis le début de la crise du Covid. Je ne fais que répéter que ce n’est pas logique, que les décisions ne répondent à aucune logique d’un point de vue libéral. Or nous vivons sur une planète dont l’économie et les échanges fonctionnent sur le libéralisme.

C’est capitalistiquement parlant aussi stupide de tuer la classe moyenne que de vouloir tuer 70 % des occidentaux avec un vaccin. Autant rendre les gens diabétiques puis leur refiler à vie un médicament anti-diabète a un sens, autant les tuer est totalement contre-productif. Pourquoi des entreprises tentaculaires comme Amazon accepteraient de mourir sans se battre ?

J’entends bien que certains ont fait des bénéfices colossaux durant la crise, mais est-ce pour autant réfléchi ou uniquement de l’opportunisme libéral ?

Covid : à qui profite le crime ?

Comme écrit ci-dessus, les Big Tech, Big Data et Big Pharma se sont bien gavés dans l’affaire, mais est-ce les seuls bénéficiaires ?

Pour un Bill Gates qui voudrait diminuer la population mondiale, nous devrons reprendre ce texte d’ici quelques années afin de déterminer s’il y avait une intentionnalité criminelle dans les effets secondaires des vaccins ou un simple calcul capitaliste en vendant de l’huile de vidange (comme diraient les guignols de l’info sur Canal+). Il en est de même de quelques maîtres du monde qui seraient issus d’une secte juive satanique dissidente qui auraient décidé d’accélérer l’arrivée de leur messie, théorie pour laquelle je ne dispose pas de preuves. On peut aussi raisonnablement se poser la question s’il n’y aurait pas des moyens plus simples et plus efficaces pour réduire la population mondiale que de leur filer un vaccin qui tue, certes, mais lentement.

Covid, Grand Reset et capitalisme.

Qui dit capitalisme dit croissance infinie, nouveaux marchés. Pour le libéralisme, tout est marché. Ainsi le Covid a été le marché des masques, des produits dérivés, de vaccins qui rendent malades, de médicaments qui soignent les maladies causées par le vaccin, etc.

Et il en est de même du marché de « l’écologie » qui consiste à rendre obsolètes tous nos biens afin de les renouveler le plus fréquemment possible pour « sauver la planète ».

Je le répète pour ceux qui douteraient de mes croyances. Je n’ai aucun doute sur le fait que ces grands qui possèdent la richesse du monde et qui en veulent plus sont des enculés sans conscience… Je suis bien d’accord qu’ils veulent des consommateurs les plus cons possibles. Je suis bien d’accord qu’ils veulent la main-d’œuvre la plus esclave possible. Je suis bien d’accord qu’ils veulent des malades à vie. Mais il y a un point qui cloche pour moi…

Le capitalisme ne veut pas de crédit social pour les déplacements, il ne veut pas vous confiner, il ne veut pas paralyser l’économie, il ne veut pas que votre argent dorme à la banque ou sous un matelas, il ne veut pas faire de vous un locataire à vie, il ne veut pas vous priver de toute possession…

Bien au contraire, il veut que vous soyez un consommateur qui dépense, cherche à avoir plus d’argent, qui possède, qui jette, qui rachète et qui s’endette à l’infini.

Les notions de suppression de la propriété, de voiture, de droit de prendre l’avion, du droit de consommer, relèvent de l’idéal communiste (et « écologique »)… absolument pas du libéralisme. C’est totalement contre nature !

Qui peut penser que Macron, employé de Rothschild, pourrait être au service du peuple ? Pourtant c’est bien ainsi qu’il s’est présenté et des millions de Français ont gobé ! Alors quand des maîtres de Davos qui portent une casquette « ultra-libéral », « maître du monde » proposent un programme qui relève plus de l’idéologie communiste que du libéralisme, devons-nous croire qu’ils sont ce qu’ils prétendent être ou portent-ils une casquette qui n’est pas la leur ?

De fait nous voyons bien que nous ne pouvons pas nous en tenir aux seuls libéraux ou psychopathes pour expliquer la crise et nommer ses bénéficiaires, sans parler de la Chine communiste.

Alors :

Un crédit social à la chinoise ou un crédit social chinois ?

La différence pourrait sembler minime, mais elle est pourtant primordiale.

Seuls un fou ou un corrompu pourraient nier que la crise du Covid a été une opportunité merveilleuse pour réduire nos droits.

Les Français ont été bien gâtés… Confinements, interdictions de circulation, fermeture de commerces non essentiels, passeport sanitaire puis vaccinal… et bientôt passeport climatique.

Le Canada n’est pas en reste avec un Premier Ministre qui a bloqué (ou menacé) les avoirs bancaires des manifestants, interdit la sortie du territoire ou retiré le permis à des « mauvais » citoyens soutenant le convoi des libertés (pour lequel je n’ai que de l’admiration).

Ce que les médias français appellent un crédit social à la chinoise.

Rappelons le principe de ce merveilleux « crédit » qui porte si bien son nom. Si vous traversez en dehors du passage pour piétons, votre visage s’affiche sur des écrans géants pour montrer que vous êtes mauvais citoyen et cet acte incivique peut vous valoir des points en moins et une interdiction temporaire de sortir de votre quartier. Ainsi un citoyen chinois peut avoir à présenter un QR-Code plus de 50 fois par jour afin de juger si ce qu’il s’apprête à faire lui est autorisé et valorisé ou pas.

Ma question est donc d’essayer de déterminer si ce crédit social « à la chinoise » est une cerise sur le gâteau, s’il est prémédité par nos gouvernements ou s’il est commandité par les autorités chinoises via l’adhésion de nos dirigeants au communisme, leur corruption ou leurs casseroles plus grandes que les chaudières du Titanic…

Je vous rappelle que le crédit social est antinomique du libéralisme.

Partons de l’hypothèse d’une mise en œuvre franco-française…

Interdire est globalement le leitmotiv des partis de gauche. Hasard ou pas, les seules voix dissidentes (mainstream) que nous avons entendues durant la crise, dussent-elles être l’œuvre d’une opposition contrôlée, étaient plutôt qualifiées de droite ou d’extrême droite par les médias.

La totalité (?) des personnels politiques de gauche ne jurant que par l’obligation vaccinale, le passe vaccinal, le confinement, le masque obligatoire et autres piétinements des droits de l’homme.

Il faut reconnaître que de nombreuses personnalités politiques dites de gauche ou de droite sont membres ou ont été membres de la France China Foundation.

Bref, j’entends qu’interdire pour un personnage politique ou un gouvernement est toujours intéressant pour contrôler ou s’assurer de la servilité de son peuple. De ce point de vue, l’opération est un franc succès : une écrasante majorité du peuple français est prête à tout accepter. Au plus fort de la crise, on leur aurait demandé de marcher à quatre pattes ou de mettre une plume dans le cul qu’ils auraient accepté sans sourciller.

Mais cela ne répond pas à ma question initiale qui est « simple mimétisme » ou « haute trahison » ?

Regardons les faits :

  • Les confinements : Compatibles avec l’idéologie communiste.
  • Le port du masque : Compatible avec l’idéologie et l’hygiénisme communistes.
  • Les passe-vaccinaux ou sanitaires et bientôt climatiques : Compatibles avec l’idéologie communiste.
  • Le crédit social : Compatible avec l’idéologie communiste.

Je vous rappelle que le capitalisme vit uniquement par les mouvements d’argent, de capitaux, de biens et de personnes. Donc si vous les paralysez, vous paralysez l’économie !

« Bizarrement », la bourse quant à elle ne croit pas à la fin du système, elle se porte bien… Pourtant les États occidentaux ont vu leur dette exploser avec un recours totalement délirant à la planche à billets.

Qui a accepté la dictature chinoise aux USA ? Les grandes villes, les États démocrates de gauche, profondément « woke » et « IEL »…

Qui a refusé la dictature chinoise aux USA ? Les zones rurales, les États républicains de droite profondément attachés à la liberté individuelle et anti-État centralisé.

Enfin, ajoutons :

  • que le virus est factuellement venu de Chine,
  • que son origine naturelle est fort improbable,
  • que la Chine a mis du temps à informer les pays occidentaux,
  • que la Chine a refusé toute enquête par les inspecteurs de l’OMS (le temps de détruire les preuves),
  • que la Chine a montré l’exemple au monde en confinant des millions de personnes en bonne santé (une première mondiale),
  • que le vaccin ARNm a été fabriqué sur les données chinoises du virus,
  • que la Chine peut paralyser les sociétés occidentales par un claquement de droit,

Cela plaide plus pour une attaque chinoise coordonnée qui a été dénoncée en son temps par « Trump l’abominable » qu’une attaque américaine ou un simple accident.

En résumé :

Les méthodes mises en œuvre dans la plupart des pays occidentaux sont bien compatibles avec la dictature communiste. De plus les dirigeants politiques des pays occidentaux ont des relations pour le moins suspectes avec le régime. Nous voyons aussi qu’ils ne dénoncent jamais la dictature communiste. Les Occidentaux sont économiquement pieds et points liés avec le régime communiste.

La Chine possède une partie non négligeable de la dette ainsi que de nombreuses entreprises occidentales. L’occident n’a aucun moyen de pression, pas même du fait de sa population et de son marché.

Force est donc de constater que même si les Big Tech et compagnie sont impliqués et ont vu une opportunité, le grand gagnant, le colosse est bien la Chine communiste.

Notons que tous ces Big… machins sont aussi dépendants de la Chine au moins pour leur production.

Question : Comment Pfizer aurait pu imposer une dictature communiste qui a mis en péril l’économie mondiale ? (L’industrie pétrolière aurait dit « OK !? »)
Question : Pourquoi l’OMS ferait la promotion d’une dictature communiste ?
Question : À quelle idéologie profite le crime ?
Question : Pourquoi le Grand Reset décrit une dictature communiste et non une dictature de droite ?

Quand bien même je ne dispose pas des preuves, il serait fou d’ignorer cette hypothèse/réalité…

Merci.

Alain Tortosa

22 février 2022
https://7milliards.fr/tortosa20220222-dictature-communiste-france.pdf




Interview de Nicole Delépine sur Les enfants sacrifiés du Covid

Par Nicole Delépine

Ligne droite du 21 février 2022 — Radio Courtoisie et les enfants sacrifiés du covid :

Émission (8 h 36 à 9 h) à propos du livre LES ENFANT SACRIFIÉS DU COVID nous revenons sur les faits établis : itw de Nicole Delépine

Quelques mots de l’interview

Les enfants ne risquent rien du covid et ne mettent pas les autres en danger, car ne contaminent pas ni adultes ni enfants ; le recul de deux ans confirme ce qu’ont dit dès mars 2020 les sociétés savantes.

Il n’y a pas de mortalité sauf comorbidité (immunodépression sévère) un décès rapporté au virus sur treize décès d’enfants avec le virus en deux ans.
Cette notion confirmée par la société française de pédiatrie et les autres depuis le début de la crise et encore aujourd’hui.

ZÉRO MORT DU COVID CHEZ L’ENFANT SAIN

N’AYEZ PAS PEUR

Pourquoi présenter l’enfant comme coupable : pour faire PEUR, imposer les confinements et inculquer l’idée que cela ne finira que par la vaccination pour TOUS

FERMER LES ÉCOLES IMPOSER LE TRAVAIL À DOMICILE

LA PEUR, L’INSTRUMENT DU POUVOIR PERVERS QUI VISE LA SOCIÉTÉ À LA CHINOISE POUR TOUS

La plandémie dans cet objectif ne pouvait ÉVITER d’intégrer LES ENFANTS. Les mesures n’auraient pas été possibles si on excluait les enfants

MESURES COERCITIVES

Les MASQUES sont de la maltraitance MALTRAITANCE dans de nombreux domaines :

Scolaire : régression d’environ deux ans déjà démontrée

Sociale : les enfants, petits, ne reconnaissent plus l’être humain et ils dessinent des humains amputés de bouche et nez

Physique : difficultés respiratoires, maux de tête, déformation du palais, etc.

Psychiatrique : perturbations majeures conduisant au suicide de très jeunes ; jamais vu avant

Toxiques : PROCÉDURE DE MAÎTRE JOSEPH SUR COMPOSITION DES MASQUES BOITES SANS INFO ET CONTIENDRAIENT DU GRAPHÈNE

VACCINS : risques chez les enfants

Décès immédiats dans les jours suivants les injections, mais aussi :

  • myocardites
  • troubles des règles chez les très jeunes filles
  • troubles neurologiques comme le syndrome de Guillain Barré, etc.

Et bien sûr effets inconnus à moyen et long terme parmi lesquels beaucoup d’inquiétude sur la fertilité d’une part et la crainte de maladie proche du creutzfeld jacob…

PASS ET TESTS CONDITIONNEMENT LA VIE À LA CHINOISE

Déshumanisation de l’enfant et de toute une génération.

Pourquoi ? Application du plan du forum de Davos dont la plandémie n’est qu’une étape.

En résumé ne pas avoir peur du virus qui se soigne très bien par les traitements précoces, avoir peur de l’injection expérimentale dite vaccin anticovid inutile et associé à de nombreux effets secondaires dont parfois des décès rapides. Craindre la mise en place d’une société à la chinoise qu’il faut absolument combattre maintenant de toutes nos forces.

N’AYEZ PAS PEUR !




« Vaccins : un plan mondial » écrit en mars 2019

[Source : Nexus]

Senta Depuydt, journaliste indépendante belge et présidente de l’association Children’s Health Defense, est spécialisée dans la question des politiques vaccinales mondiales. En mars 2019, elle publiait dans le magazine Nexus n°121 une vaste enquête sur l’idéologie politique, institutionnelle et industrielle de la vaccination dans ce qui semblait émerger en tant que marché global mondial. [Nexus le propose] en accès libre, ainsi qu’un second article d’elle paru dans le même numéro, avec en bonus un entretien vidéo avec elle tourné en février 2022.

Le travail de Senta Depuydt a récemment été découvert par beaucoup et reconnu comme étant « prophétique » puisqu’il décrivait avec précision, un an avant le début de la crise Covid, toutes les mesures liberticides et l’idéologie vaccinale qui allaient être imposées aux populations.

La prophétie n’est pas l’objectif du journalisme, mais lorsqu’il se confond avec, alors on peut parler d’une enquête bien menée !

◆ Un article qui fait le buzz 3 ans après sa parution

Notre article de mars 2019 a rencontré un vif succès et a généré un buzz début janvier 2022 sur les réseaux sociaux : Twitter, Telegram, Facebook… Tout cela à partir d’un seul tweet. Les mots de cet article, avec le recul de la crise Covid, ont résonné fort dans l’esprit de beaucoup de Français :

Je viens de lire un article de Nexus qui date de mars 2019 et où tout ce qui arrive est décrit jusque dans le moindre détail.
Le prochain qui me dit qu’il n’y pas de plan, je lui fais bouffer le magazine feuillet par feuillet.

— Rhume 19 (@Rhume19) January 8, 2022

VACCINS UN PLAN MONDIAL

nexus n° 121 | mars-avril 2019

Vaccination tout au long de la vie, vaccination dans les pharmacies, les écoles, sur le lieu de travail ou au supermarché : une politi-que de vaccination constante à l’échelle planétaire se déploie à grande vitesse.

par Senta Depuydt

À PROPOS DE L’AUTEURE

Senta Depuydt est diplômée en communication et journalisme de l’université de Louvain et a travaillé plusieurs années dans des multinationales, tout en explorant des domaines parallèles. Confrontée à l’autisme, elle a mis en place de nouvelles approches médicales et éducatives, afin d’aider son fils à retrouver un développement optimal. Elle a ensuite approfondi et partagé abondamment ces informations dans des conférences et des articles, notamment lors du congrès Sortir de l’autisme, abordant aussi des sujets con-troversés comme l’impact des facteurs environnementaux ou de la vaccination.

Sans que cela ne provoque le moindre débat dans les médias ni au sein des assemblées, un programme de vaccination organise la mise en place d’un contrôle permanent des populations et des individus de tous âges. Cette stratégie élaborée dans le cadre de l’Agenda global pour la sécurité sanitaire, ou GHSA, est-elle en train de précipiter notre société à toute vitesse dans « le Meilleur des mondes » ?

Étrange passivité

C’est l’Argentine qui donne le coup d’envoi de cette politique de contrôle totalitaire par le biais de la vaccination. Le Congrès y a approuvé au mois de décembre une loi qui requiert de présenter le carnet de vaccination unique attestant d’une vaccination à jour lors de chaque formalité administrative : carte d’identité, passeport, permis de conduire, certificat pour une demande de mariage, etc.1 Alors que le pays s’est déchaîné sur les questions touchant à l’intégrité du corps, comme les lois concernant l’avortement ou pour le mariage pour tous, et s’est passionné pour des affaires d’abus de mineurs, c’est à l’unanimité et sans le moindre débat que cette loi imposant une ingérence permanente dans le corps de chaque individu a été votée. Bien évidemment, cette contrainte conditionne aussi l’accès à l’éducation, aux services de santé et à l’emploi.

Dans un magazine en ligne, un chroniqueur indépendant s’étouffe : « L’Argentine est devenue la première nation au monde constituée de rats de laboratoire2 », écrit-il, en référence aux multiples essais cliniques dangereux, voire mortels, qui y ont été menés sans consentement, notamment avec le vaccin Synflorix3. Les médias argentins se sont pourtant abstenus de toute critique, ne relayant que les propos officiels.

Renforcer le leadership

Selon le Dr Carla Vizzotti, présidente de la Société de vaccinologie et d’épidémiologie,

« il s’agit d’une grande nouvelle pour la santé publique. Un projet qui est devenu loi en moins d’un an, une loi fédérale, appuyée par tous les partis du Congrès. Elle instaure la vaccination tout au long de la vie pour tous les vaccins qui seront inscrits au programme national. Et elle définit aussi la vaccination comme un bien d’intérêt social qui établit la prévalence de la santé publique sur les intérêts particuliers. »

De l’Allemagne à la Russie, la Corée du Nord ou la Chine, cette rhétorique de la prévalence du bien commun sur les intérêts de l’individu est la porte ouverte à tous les abus.

Rappelons que c’est à Mar del Plata que se tenait le sommet du G20 en 2018. Lors de la réunion des ministres de la Santé, la vaccination y était largement à l’honneur, notamment avec le sujet de la résistance aux antibiotiques (contre laquelle la seule solution semble être la vaccination), mais aussi et surtout avec la thématique majeure de « la préparation aux menaces sanitaires et à de nouvelles pandémies ».

Dans la déclaration commune du 4 octobre 20184, sous présidence argentine, les pays du G20 appellent à renforcer l’importance des agences de santé nationales et le rôle central de l’OMS, afin de s’assurer que l’ONU dispose d’un système propre pour faire face à une future crise sanitaire mondiale. Ils se prononcent également en faveur d’un large financement de cette préparation à la pandémie, notamment par le soutien à la World Bank’s Pandemic Emergency Financing Facility, fruit récent d’un partenariat encore plus rapproché entre l’OMS et la Banque mondiale5.

Un carnet européen de vaccination

La volonté de créer cet ordre mondial de la santé est donc manifeste et le premier point de son agenda est et reste la vaccination. Si l’Argentine prend les devants avec cette mesure radicale, l’Europe semble lui emboîter le pas. Le 30 novembre, le Conseil de l’Union européenne (organe le plus influent parmi les institutions européennes) émet une recommandation pour « une collaboration renforcée dans la lutte contre les maladies à prévention vaccinale6 », dans laquelle il préconise entre autres mesures de renforcer la vaccination et son financement, d’organiser d’ici à 2020 un calendrier vaccinal européen conforme aux recommandations de l’OMS et de surveiller sa mise en œuvre par l’instauration d’un carnet européen numérique de vaccination, voire un « passeport ». Tout comme en Argentine, on y prévoit une vaccination « tout au long de la vie », avec des contrôles de routine et des occasions de rappels à la vaccination à tout âge, notamment lors de l’accès à la (pré)scolarité, aux soins de santé, au lieu de travail ou aux établissements de soins. Pour ce faire, l’Union met la priorité sur le développement de plateformes de santé numériques et de solutions big data.

Endoctrinement

C’est l’INSERM (Institut national de la santé et de la recherche médicale) en France, qui est chargé de piloter ce projet «Joint Action on Vaccination » (« Action commune en faveur de la vaccination ») et d’organiser une banque de données avec le statut vaccinal de chaque citoyen en temps réel, permettant de croiser et d’échanger les données entre différents systèmes de santé, ou d’envoyer des SMS ou des mails pour notifier les rappels de vaccins aux individus concernés.

La recommandation prévoit aussi d’inculquer les principes de la vaccination dans les écoles, notamment les écoles européennes, ainsi que dans tous les types d’enseignement. Par ailleurs, on prévoit d’éliminer les contestations sous prétexte d’une stratégie européenne pour lutter contre les fake news et la désinformation en ligne7. Enfin, démarche inquiétante, l’Union prévoit de financer la recherche en sciences sociales et comportementales pour déterminer les facteurs menant à la réticence à la vaccination dans différentes catégories de population et parmi les travailleurs de la santé (article 15 de la recommandation du Conseil de l’UE)8.

Des motifs de résistance

Il s’agit bien là d’une politique extrêmement contraignante et qui s’appliquera dans toute l’Europe, même s’il pourrait être difficile d’instaurer une obligation légale dans certains pays. Dans la plupart des démocraties d’Europe de l’Ouest, le principe du libre consentement éclairé et l’interdiction de l’expérimentation médicale forcée ont imprégné les esprits avec le procès et ensuite le code de Nuremberg, au sortir de la guerre et des atrocités nazies. D’ailleurs, Angela Merkel, interrogée en octobre 2017 alors que l’extension des obligations vaccinales en France était à l’ordre du jour, déclarait dans un podcast vidéo :

« En tant que citoyennes et citoyens responsables et indépendants, comme cela nous paraît tout à fait naturel en Allemagne, tout le monde devrait pouvoir peser sa propre décision. »

Quelques mois plus tôt, en mai 2017, le Parlement suédois avait lui aussi rejeté une loi instaurant des obligations vaccinales9, au motif que, d’une part, le programme vaccinal en place semblait remplir ses objectifs et que, d’autre part, les associations avaient rappelé à juste titre l’existence de dommages vaccinaux et le fait qu’une telle obligation était contraire aux libertés garanties par la Constitution.

Forcing

Quoi qu’il en soit, là où le respect du libre consentement semble bétonné par différentes lois, il sera toujours possible d’imposer une forme d’obligation dans la pratique. Les contraintes sont nombreuses : refus d’accès aux lieux et services publics, aux établissements d’enseignement ou centres commerciaux, ou aux moyens de transport, ce qui reviendrait presque à une forme d’assignation à résidence.

Les incitations à la vaccination pourraient se décliner à travers des bonus et des compensations ou, au contraire, une augmentation des tarifs d’assurance et de soins de santé, voire la diminution des allocations pour les non-vaccinés, comme c’est déjà le cas en Australie, où le gouvernement mène une politique draconienne.

En effet, à la suite de la campagne « No jab, no play », organisée par News Corp – le groupe de presse de Rupert Murdoch, dont le fils James a longtemps siégé au conseil d’administration du laboratoire GSK –, le gouvernement australien a adopté en janvier 2016 la loi coercitive « No jab, no play ; No jab, no pay » (« Pas de piqûre, pas de jeu ; Pas de piqûre, pas d’argent ») et a notamment supprimé une partie des allocations familiales aux parents dont les enfants ne sont pas vaccinés10.

Politique autoritaire

L’Australie semble inspirer l’Europe et cette ligne autoritaire et « criminalisante » a d’ailleurs été esquissée par Martin Seychell, le directeur général adjoint de la direction générale Santé et Sécurité alimentaire de la Commission européenne, lorsqu’il a affirmé que « la non-vaccination menace la vie d’autrui » dans une position qui exclut tout droit à la non-vaccination. S’adressant aux associations et partenaires de la société civile lors d’une réunion au Parlement organisée par Active Citizens in Europe advocate for vaccination (« Citoyens actifs en Europe pour la vaccination »), une ONG financée par MSD (Merck Sharp & Dohme, fabricant du vaccin Gardasil), il a insisté sur l’importance de renforcer le leadership et d’augmenter la surveillance. Parmi ses objectifs prioritaires : la vaccination de la population adulte et le rattrapage des « rappels ». C’est bien entendu le vaccin de la grippe qui sera au cœur de cette campagne, un produit qui a l’avantage commercial indéniable de devoir être refait chaque année.

Lors de cette réunion, un autre intervenant, le Dr David Salisbury, a poursuivi dans la même veine en vantant les bienfaits d’une vaccination « comme à l’armée ». Chaque citoyen sera convoqué par mail ou SMS via un message lui proposant une heure de rendez-vous dans un centre de vaccination où l’on vaccine à la chaîne, sans qu’une visite préalable soit nécessaire. Gain de temps, données inscrites sans délai dans le carnet de santé numérique, la vaccination devient une obligation citoyenne et passe de l’acte médical à l’acte administratif. Ce qui n’a rien de rassurant11.

Prudence de longue date

Le principe de l’obligation vaccinale a toujours été contesté partout, que ce soit en France, en Grande-Bretagne ou aux États-Unis, y compris à l’époque de la variole. C’est sur la seule base du caractère d’« état d’urgence » et de « danger imminent » que les premières obligations vaccinales ont été admises. Il est intéressant de noter que dans le verdict initial américain Jacobson vs Massachusetts rendu par la Cour suprême des États-Unis en 1905, et qui autorise pour la première fois une obligation vaccinale contre la variole en vertu de ce motif d’exception, on peut lire des mises en garde très sérieuses. Face à « la possibilité d’un usage arbitraire et oppresseur d’un pouvoir policier », ou au « fait d’aller bien au-delà de ce qui était indispensable pour assurer la santé publique », la Cour appelle clairement à rester « vigilant afin d’examiner et de contrecarrer les prétentions déraisonnables du pouvoir étatique12 ».

Passe-droit incompréhensible

Un siècle plus tard, les obligations sont désormais motivées par de simples impératifs commerciaux, sans qu’il y ait la moindre urgence de santé publique. Il faut se rappeler qu’en France, il y a à peine deux ans, l’État avait été condamné pour excès de pouvoir, car en l’absence d’un triple vaccin DTP sur le marché correspondant aux vaccins prescrits par la loi, il imposait dans les faits l’utilisation d’un vaccin hexavalent13. En l’absence d’épidémies de polio ou de diphtérie (le tétanos n’étant jamais contagieux), le maintien de telles obligations ne se justifiait plus14 et la France aurait pu les supprimer, s’alignant ainsi sur le principe du libre choix comme c’est le cas dans de nombreuses démocraties européennes. Malheureusement, l’État a choisi d’étendre et d’adapter les obligations à l’offre du marché. Avec une législation solide en faveur des droits des patients, des experts partagés sur la sûreté, l’utilité et l’efficacité des vaccins et des taux de vaccination en hausse, personne n’imaginait que cette mesure puisse être votée. Pourtant, un passe-droit a été créé avec la redoutable « stratégie de la menace », développée et menée à l’échelle internationale par le GHSA (Agenda global pour la sécurité sanitaire) à travers la campagne d’une menace du retour de la rougeole.

[Voir cependant :
La fausse idée appelée virus — La rougeole à titre d’exemple
et
L’enterrement de la théorie virale]

État d’urgence permanent

C’est en novembre 2014, lors d’une première réunion à la Maison Blanche, que le GHSA a véritablement lancé cette stratégie globale de la menace. Y participaient non seulement les principaux responsables de la santé du monde entier, mais aussi le département de la Défense américain et Interpol. Alors que l’objectif du GHSA est d’assurer la sécurité sanitaire en cas d’alerte majeure pour la santé, par exemple en cas d’accident nucléaire ou de bioterrorisme (imaginons la réintroduction de la variole lors d’une guerre), une première dérive s’opère d’emblée dans la désignation de la rougeole comme menace sanitaire. Élément essentiel déjà évoqué, l’argument sécuritaire est en réalité le seul qui permette de contourner toutes les législations en faveur du libre consentement éclairé. Mais la désignation de la rougeole, maladie généralement bénigne, comme menace sanitaire n’est pas innocente. Elle intervient quelques mois à peine après que l’expert des CDC (Centers for Disease Control and Prevention – Centres pour le contrôle et la prévention des maladies) William Thompson a avoué avoir falsifié la principale étude qui servait de référence pour rejeter le lien entre l’autisme et le vaccin rougeole, oreillons, rubéole15. Loin de représenter un véritable danger, la menace de la rougeole intervient comme une contre-attaque face aux accusations de fraude scientifique, tandis que la vaccination en masse et surtout les obligations se profilent comme le moyen le plus efficace de garantir un marché qui pourrait accuser des pertes.

Les principaux objectifs annoncés à l’issue de cette réunion furent de développer une surveillance accrue, de renforcer les leaderships et de modifier les législations nationales en faveur de la vaccination généralisée. Pour la rougeole, il s’agit de viser une couverture de 95 % sur toute la planète afin d’atteindre « l’immunité de groupe16 ». L’Italie fut désignée comme précurseur de la mise en place du programme. Deux ans plus tard, quelques jours avant l’élection de Trump, Barack Obama et Bill Gates signèrent en hâte un important financement visant à accélérer la mise en place du programme à l’échelle mondiale et lancèrent ainsi la grande campagne de la menace du retour de la rougeole.

Stratégie de la menace

Comme la rougeole ne décime pas des populations et que les taux de vaccination ont augmenté dans la majorité des pays, le cœur de la stratégie se concentre sur la menace virtuelle et le danger permanent.

Ce sera soit le danger de la « possible diminution de la vaccination » et du grand retour des maladies « à cause de la désinformation sur les réseaux sociaux », soit le danger inconnu, comme « la fameuse grippe que l’on ne connaît pas, mais qui arrivera tôt ou tard17 ». La grippe est l’un des thèmes favoris de Bill Gates et des producteurs de vaccins, mais en 2018 s’ajoute dans la liste des dangers prioritaires la « maladie X18 », une maladie qui n’existe pas encore, mais qui permet de financer en priorité « les programmes de préparation à la catastrophe », comme prévu avec la Banque mondiale.

[Note de Joseph : cette maladie X a été nommée Covid-19, mais son virus n’a jamais été effectivement isolé, de même que pour les autres prétendues maladies virales, et ses symptômes regroupent ceux d’affections déjà connues, notamment les grippaux. Voir notamment :
Déconstruction de l’arnaque Covid : les documents Ministère de la Santé admettent que le CDC n’a jamais isolé de « virus covid-19 » … le test PCR ne détecte que le BRUIT des instruments
Virus fantôme : à la recherche du SARS-CoV-2
Virus Mania : Comment Big Pharma et les médias inventent les épidémies
Comment l’analyse du génome crée des virus fictifs
87 institutions sanitaires/scientifiques du monde entier n’ont pas réussi à citer un seul cas d’isolement et de purification du “SARS-COV-2”, par qui que ce soit, où que ce soit, jamais (leur nombre dépasse maintenant les 120)
Comment créer votre propre “nouveau virus” généré par ordinateur]

Tout récemment, l’OMS a même qualifié les réticences à la vaccination comme étant l’une des dix principales menaces sur la santé19. Si les médias et les nombreux lobbies scientifiques sont déjà sous contrôle des institutions et de l’industrie, le rôle de l’information sur les réseaux sociaux et dans les médias alternatifs sera sans doute un élément décisif dans cette bataille pour un libre choix.

Autre dérive qui s’inscrit dans la même logique de menace sanitaire : « Les maladies à prévention vaccinale sont considérées comme des fléaux majeurs ! » selon les textes de l’Union européenne20. En d’autres termes, peu importe la maladie et son degré de dangerosité ou de contagion. Il suffit qu’un vaccin soit développé pour que cela puisse justifier le fait de le promouvoir, et même de le rendre obligatoire. Au-delà d’une interrogation légitime sur ce qui s’apparente à une forme de racket, il est aussi nécessaire d’envisager cette politique de vaccination sous d’autres aspects.

Contrôle des citoyens

Par la mise en œuvre des carnets de santé électroniques, prévus par l’Union européenne, il y a un glissement manifeste qui s’opère de la surveillance des maladies, où il s’agit de détecter les foyers infectieux et d’y apporter une réponse sanitaire, à une surveillance accrue des citoyens. À partir de là, différentes dérives sont susceptibles de se produire. D’une part, les données récoltées pourraient être utilisées (« valorisées », c’est-à-dire commercialisées) ou exploitées d’une manière ou d’une autre (par les assurances notamment), sans le moindre consentement.

Le suivi des recommandations officielles pourrait-il conditionner l’accès à d’autres prestations ou leur remboursement ? Ne risquerait-on pas d’aboutir à une sorte de carnet de santé à points ?

D’autre part, Interpol (organisation internationale de police criminelle) participe au GHSA et gère un fichier centralisé qui permet de poursuivre les individus à travers différents États. On peut s’interroger sur son rôle éventuel dans le maintien des politiques vaccinales, si un individu Eugenics Building au Kansas Free Fair était qualifié de dangereux ou de déviant pour avoir refusé un vaccin. Sachant que l’OMS a déclaré que les « réticences à la vaccination sont une des principales menaces à la santé globale » et que l’Union européenne finance par ailleurs des programmes pour étudier le comportement et le profil psychologique des individus réticents à la vaccination, il y a de quoi s’inquiéter.

Mot tabou : eugénisme

Il ne s’agit pas ici de porter des accusations ni de spéculer sur les intentions des politiques actuelles, mais de fournir des éléments permettant de comprendre les enjeux de la vaccination dans un cadre élargi, afin de mettre en place une série de garde-fous. Ce sujet n’est jamais abordé de manière sérieuse, alors que l’on ne cesse d’évoquer les dangers des mouvements extrémistes tout en menant des politiques de plus en plus autoritaires. Trois questions se posent :

  • Y a-t-il eu des individus aux opi-nions nazies ou eugénistes parmi ceux qui ont conçu et financé le développement de vaccins ?
  • Y a-t-il des vaccins contraceptifs ou stérilisants ?
  • L’eugénisme a-t-il fait partie de programmes politiques ?

La réponse à ces trois questions est clairement oui.

Éliminer les faibles

Il est intéressant de se pencher sur l’exemple de la Fondation Rockefeller, qui joue un rôle crucial dans les politiques vaccinales depuis plus d’un siècle. L’institut de recherche de la fondation a été créé en 1901 sous la direction de William Welch, un scientifique dont une des priorités était la mise au point du premier vaccin contre la polio. Welch, comme nombre de ses collaborateurs, était un eugéniste notoire et siégeait au conseil d’administration de l’Eugenics Record Office21, un organisme qui avait entrepris de ficher des millions d’Américains afin d’identifier les lignées les plus faibles de la population et de les éliminer par différentes méthodes, incluant la stérilisation et l’euthanasie22. D’après les documents retracés dans l’ouvrage d’Edwin Black War Against the Weak : Eugenics and America’s Campaign to Create a Master Race (Guerre contre les faibles : l’eugénisme et la campagne américaine visant à créer une race de maîtres) (Expanded Edition, Dialog Press, 2012), les racines idéologiques et même les méthodes d’extermination nazies, y compris les chambres à gaz, furent empruntées aux eugénistes californiens. La Fondation Rockefeller aurait versé près de 100 millions de dollars à l’Eugenics Record Office, mais elle joua aussi un rôle capital dans le développement des instituts eugénistes en Allemagne, notamment le Keiser Wilhelm Institute. Elle y soutenait déjà les travaux de l’épouvantable Dr Mengele avant la guerre, ainsi que ceux de Rudin23. Rockefeller était le principal actionnaire de la Standard Oil avec la compagnie Allemande IG Farben24. La Standard Oil poursuivit son partenariat avec IG pendant la guerre et facilita le déploiement militaire allemand. IG Farben est la compagnie qui fit construire des camps de travail à Auschwitz et participa aux expérimentations humaines dans les camps de concentration, dont certaines portaient d’ailleurs sur le développement de vaccins en infectant des prisonniers avec le typhus et d’autres maladies25. C’est aussi IG Farben qui fabriquait le gaz zyklon B utilisé pour les chambres à gaz.

Contrôle démographique

Malheureusement, la guerre n’a pas mis fin aux politiques eugénistes et la Fondation Rockefeller a continué de les soutenir via les programmes menés sur le plan national et international. Aux États-Unis, les programmes de stérilisation ont eu lieu jusque dans les années 1950 ou même 1970 (en Caroline du Nord)26 et ce n’est que récemment que des programmes d’indemnisation des victimes ont été approuvés27. De nombreux présidents américains ont partagé ces mêmes conceptions et objectifs politiques. En 1913, dans une lettre à Charles Davenport, un des leaders du mouvement eugéniste, Theodore Roosevelt estime « que la société ne peut pas permettre aux dégénérés de se reproduire28 ». Entre la Deuxième Guerre mondiale et la fin des années 1980, plusieurs générations de la famille Bush sont aussi étroitement impliquées dans les politiques eugénistes en lien avec la Fondation Rockefeller29. En 1974, Kissinger adresse un rapport secret au Conseil national de sécurité américain dans lequel il définit les grandes lignes d’un agenda de contrôle mondial de la population, dont la mise en œuvre est notamment prévue par des programmes internationaux comme l’USAID30.

C’est principalement sous l’impulsion du Britannique Julian Huxley, ancien directeur général de l’Unesco et fervent défenseur de l’eugénisme avec son frère Aldous, auteur du Meilleur des mondes, que le contrôle de la population a été intégré de manière systématique dans un agenda mondial31.

Bien que farouchement opposé au nazisme (car il contestait la sélection à partir de la race), Huxley était toutefois profondément influencé par les théories évolutionnistes et prônait une philosophie sociale enracinée dans la biologie… En résumé, éliminer les plus faibles, pour favoriser les plus forts. Julian Huxley s’est appliqué à inscrire le contrôle des populations dans les programmes de l’UNESCO, de la FAO et de l’OMS, instituant le Conseil de la population et veillant à associer de manière systématique les politiques de contrôle démographique aux aides apportées aux pays en voie de développement (dont la principale demeure la vaccination).

Deux en un !

Le projet de développer des vaccins stérilisants a été lancé par l’OMS en 197232 en collaboration avec le FNUP (Fonds des Nations unies pour la population), le PNUD (Programme des Nations unies pour le développement), la Banque mondiale et leurs partenaires privilégiés (Rockefeller, Planned Parenthood, UNAIDS, etc.) dans le cadre du « Expanded Program of Research, Development, and Research Training in Human Reproduction33 » (« Programme élargi de recherche, de développement et de formation sur la reproduction humaine »). Il impliquait 650 chercheurs dans plus de 60 pays et différentes méthodes parmi lesquelles l’avortement, la stérilisation et les vaccins contraceptifs.

En 199334, un premier vaccin efficace est mis au point en combinant la toxine du tétanos avec une hormone de grossesse (hCG). Ce vaccin a donc des propriétés abortives chez les femmes enceintes et inhibe la grossesse chez les femmes non fécondées pour une période allant de six mois à un an. Essentiellement destinés aux pays en voie de développement, ces vaccins étaient censés être proposés comme contraceptif à des femmes qui en font la demande « en toute connaissance de cause », mais qu’en est-il dans la pratique ?

Libre consentement bafoué

Aujourd’hui, de nouveaux produits sont apparus et le terme de vaccin contraceptif ou anti-grossesse est abandonné au profit des noms plus neutres de produits ou de leurs composants35. Par exemple, le DMPA, ou Depo-Provera, contraceptif injectable qui est largement promu par la fondation Bill et Melinda Gates dans le cadre du plan de planning familial FP2020, une campagne amorcée avec le gouvernement britannique et qui cible particulièrement les pauvres, notamment en Inde (Mission Parivar Vikas). Ce produit a pourtant reçu une mention « black box36 » aux États-Unis, car il est associé à une augmentation des cancers du sein, de l’ostéoporose et d’un retour à la fertilité difficile après arrêt du traitement. Selon la porte-parole de l’ONG Centre for Health and Social Justice dans un article paru dans la presse indienne en 201737, le libre consentement éclairé affiché de cette campagne est une farce. On attire des femmes illettrées en leur donnant cent roupies sans leur parler des risques, alors qu’il existe sans doute d’autres moyens contraceptifs plus sûrs et plus appropriés à leur besoin.

En Inde, la plupart des médecins ont encore une approche très malthusienne de la santé et la société est toujours imprégnée du système de castes et de divisions ethniques. Aussi, quand le gouvernement a introduit les campagnes de contraceptifs injectables, de nombreuses associations s’y sont opposées, afin de se prémunir contre d’éventuelles dérives eugénistes. Par ailleurs, comme le précisent ces associations, promouvoir de telles options, sans même prendre en considération la santé globale et le bien-être de la femme, résulte tout simplement d’une forme de contrôle et de privation de liberté des femmes.

En ayant cela à l’esprit, s’interroger sur les campagnes de vaccination menées par les puissants de la planète et les organisations internationales qu’ils dirigent tient d’un devoir de précaution légitime. Les faits qui se sont déroulés il y a quelques années au Kenya en sont bien la preuve.

Tétanos à l’hormone de grossesse

En novembre 2014, l’Église catholique du Kenya a sonné l’alarme après avoir constaté une importante augmentation de fausses couches et de problèmes de fertilité. Des médecins kényans avaient fait analyser dans quatre laboratoires du pays des échantillons du vaccin antitétanique distribué par l’OMS. Près de la moitié des lots semblaient contenir des hormones de grossesse. L’association des médecins catholiques a accusé l’OMS de procéder à un programme de dépopulation. Le fait que le calendrier vaccinal proposé ait différé du calendrier habituel recommandé pour le tétanos indique qu’il s’agit là soit d’une grave négligence, soit d’un acte intentionnel38.

Si l’OMS a bien rédigé une réponse indignée devant des accusations aussi lourdes, elle s’est contentée de discréditer la fiabilité des laboratoires ayant procédé aux analyses.

Contraceptif télécommandé

Les récentes plaintes pour faits de sexisme et de discrimination raciale systématique au siège même de l’OMS viennent ternir un peu plus les images d’humanité et de bienfaisance véhiculées dans les campagnes de communication de l’organisation.

Pas de quoi renforcer la confiance dans l’OMS, ni en Bill Gates, qui en est le principal financier et pour qui le contrôle de la population sous toutes ses formes semble être une obsession majeure, comme en témoigne une conférence Tedx 201039, alimentant depuis longtemps les doutes quant à ses véritables intentions. S’il n’affiche pas d’opinion raciste ou ouvertement eugéniste, il faut noter que ses parents étaient parmi les dirigeants de « Planned Parenthood », organisation qu’il gère encore actuellement et dont l’activité principale consiste à pratiquer l’avortement. Or, à l’origine, cette association plaidait ouvertement pour une stérilisation forcée des « moins désirables », minorités pauvres (en particulier Afro-Américains), handicapés physiques et mentaux ou même épileptiques40.

La fondation Gates finance en tout cas de nombreuses recherches sur la contraception, notamment un contraceptif télécommandé via une microcapsule qui libère des hormones durant près de seize ans, mais qui peut être désactivée par un signal envoyé par un médecin… Plutôt stressant lorsque l’on apprend que la FDA a émis une mise en garde préalable sur le fait que ce type de dispositif est susceptible d’être piraté41 !

Il est aussi effrayant de voir à quel point toutes ces « avancées » impliquent un assujettissement accru au corps médical.

Stérilité et vaccin anti-HPV

Élaborés avec l’aide du gouvernement américain 42, les vaccins contre le papillomavirus Gardasil et Cervarix ont été accusés de provoquer des troubles du fonctionnement ovarien43, des problèmes de ménopause précoce et des cas de cancer du col. L’utilisation de polysorbate 8044 et de borate45 pourrait en être la cause. Ces deux produits ont une action toxique sur le système reproductif et peuvent provoquer une dégénérescence des organes sexuels, la diminution du sperme et de l’ovulation ainsi que des malformations fœtales. Une étude récente de Gayle DeLong a noté que, dans une population de 8 millions de femmes entre 25 et 29 ans, celles vaccinées avec l’anti-HPV avaient presque deux fois moins de grossesses46. Pour l’instant, il n’y a, comme souvent, pas assez de données permettant de confirmer ou de réfuter un lien de causalité entre l’infertilité et le vaccin.

Drones, satellites et colliers à puce

Big Data et les nouvelles technologies sont en tout cas au rendez-vous de l’agenda vaccinal, et les organisations internationales investissent dans ces outils pour assurer leur mission. Dans une interview de novembre 201747, Seth Berkley, le directeur de l’Alliance globale pour la vaccination et l’immunisation, précise ses ambitions :

« Des millions d’enfants n’ont pas de papiers d’identité, encore moins de carnet de santé, mais l’un des objectifs du programme de développement durable des Nations unies est que chaque être humain soit enregistré sous une identité légale d’ici à 2030. Cela peut se faire en déployant un ensemble de technologies numériques et c’est un objectif qui se combine parfaitement avec la vaccination.

Par exemple, à l’aide du Big Data, l’on peut anticiper la localisation et le déploiement de futures épidémies et y répondre par une campagne de vaccination. On peut aussi utiliser les techniques de localisation géospatiales et les caméras de surveillance par drone pour repérer des ethnies qui n’ont pas encore été vaccinées, comme cela se fait au Nigeria. »

L’utilisation régulière de drones pour le transport de vaccins commence aussi à se répandre, notamment au Rwanda ou dans l’archipel de Vanuatu48. Enfin, il explique qu’au Rajasthan en Inde, GAVI, l’Alliance du vaccin travaille avec une compagnie nommée Khushi Babies qui a développé un carnet de vaccination sous forme de collier à puce électronique. Ce collier peut être scanné et mis à jour avec un téléphone portable par les équipes de vaccination, afin d’avoir une information fiable. Toujours selon Berkley, tout cela devrait permettre de devenir plus ambitieux et de viser une couverture vaccinale de 100 % des vaccins recommandés pour tous les enfants par l’OMS.

Face à un tel déploiement de moyens, il convient de s’interroger. Bien entendu, il ne s’agit pas de mettre en cause le développement de la recherche ou de la technologie. Des thérapies génétiques pourraient un jour renverser un pronostic mortel, et un médicament délivré en urgence par drone sauver une vie. Mais les meilleures intentions peuvent aussi avoir les pires conséquences. Plus que jamais, il convient de rester vigilant. Ces questions doivent impérativement être évaluées sur un plan éthique, car elles peuvent entraîner une forme d’assujettissement de la personne et un risque de privation de liberté peu acceptables.

[Note de Joseph : les thérapies géniques ont largement démontré leur nocivité et leur incapacité à réellement améliorer la santé humaine, notamment par les récents pseudo vaccins anti-Covid.
Voir :
La thérapie génique ou le modèle machine de la biologie, la négation du mystère, le réductionnisme biologique et le scientifique qui a tenté de nous mettre en garde
Sauvons les enfants des injections géniques
Pseudovaccination en Grande-Bretagne, bilan au 5 février 2022 : les injections géniques ne protègent ni des formes graves ni de la mortalité
Injection génique chez les enfants : aberration inutile et dangereuse. MàJ
Les pseudovaccins anticovid (injections géniques) ne protègent ni les vaccinés ni leurs contacts
Note sur les fake news relatives aux chiffres concernant les effets secondaires des thérapies géniques chez les enfants de 0 à 17 ans
Dernier mensonge médiatique à dénoncer : les pseudo vaccins actuels qui protègeraient des formes graves de Covid-19]

Vaccins et injections transhumantes

Pour voir encore plus loin la portée des enjeux d’une politique de vaccination obligatoire et massive, il faut s’intéresser au développement de nouvelles technologies dans le domaine des vaccins et des injections. L’immunoprophylaxie par transfert génétique pourrait se présenter comme l’avenir du vaccin, mais aussi inaugurer la voie du transhumanisme. Il s’agit d’appliquer le principe des OGM à l’être humain. Ici, l’on n’injecte plus un antigène (par exemple le virus atténué de la rougeole) pour susciter une réponse sous forme d’anticorps, mais un nouveau matériel génétique synthétique véhiculé par un vecteur (un virus qui circule rapidement), encodant des protéines résistantes à diverses maladies. Cette nouvelle approche, que l’on nomme aussi plus discrètement immunoprophylaxie vectorielle49, court-circuite le fonctionnement traditionnel du système immunitaire et modifie le profil génétique de l’individu vacciné. Les recherches actuelles visent à l’utiliser pour des vaccins contre la malaria, la dengue, l’hépatite C, le VIH et… la grippe.

On imagine facilement que ces nouveaux produits pourraient venir à point nommé remplacer les vaccins classiques trop critiqués en raison de la toxicité de leurs adjuvants. Mais d’autres risques se profilent… celui de la mutagenèse (ou la modification non prévue du patrimoine génétique propre). De même, que penser de la tolérance et des effets à long terme d’une technologie dont on ignore tout ? Enfin, cela met à disposition de ceux qui contrôlent la production et la diffusion des vaccins un moyen de modification constant de la génétique de différents groupes d’êtres humains.

Il est temps de comprendre que les enjeux des politiques vaccinales vont bien au-delà du risque d’éventuelles complications de la grippe ou de la rougeole. Une politique d’obligations et de surveillance à l’échelle mondiale, associée à une concentration de pouvoirs anormale, menée sans transparence ni contrôle indépendant, avec des mesures de censure et, in fine, la possibilité d’expérimenter des programmes eugénistes et transhumanistes est une situation hautement alarmante. Un débat ouvert sur la démographie, la contraception ou les modifications génétiques doit pouvoir avoir lieu, mais le plus urgent est de sauvegarder nos libertés et nos droits fondamentaux.

Senta Depuydt

Références

Note : seuls quelques liens sont fonctionnels…

  1. https://www.lanacion.com.ar/2202208-para-renovar-dni-pasaporte-registro-habra-presentar
  2. https://loveartnotpeople.org/2018/12/20/mi-resena-de-como-la-verdadera-vio-lacion-no-fue-la-de-juan-darthes-sino-la-del- estado-entongado-con-dios-sabe-quien-forzandonos-a-darnos-todas-las-vacunas-contra-nuestra-voluntad/
  3. https://redbioetica.com.ar/glaxosmithkline-sigue-pagando-multas/
  4. http://www.g20.utoronto.ca/2018/2018-10-04-health.html
  5. https://www.worldbank.org/en/news/press- release/2018/09/10/global-prepa-redness-monitoring-board- convenes-for-the-first-time-in-geneva ; https:// www.who.int/ news-room/detail/24-05-2018-who-and-world-bank-group-join-forces-to-strengthen-global-health-security
  6. https://ec.europa.eu/health/sites/health/files/vaccination/docs/14152_2018_en.pdf
  7. Commission Communication on Tackling Online Disinformation: a European Approach, COM(2018) 236. Communication de la commission intitulée « Lutter contre la désinformation en ligne : une approche européenne », COM(2018) 236 final.
  8. https://ec.europa.eu/health/sites/health/files/vaccination/docs/14152_2018_en.pdf
  9. http://freedomeurope.net/en/riksdagen-rostade-nej-till-lagar-om-obligatorisk-vaccinering/
  10. https://www.ageofautism.com/2018/07/are-the-murdochs-dictating-vaccina-tion-policy-in-australia-in-the-best-interests-of-glaxosmithkline.html
  11. Propos entendus lors de la réunion « Active Citizens for vaccination in Eu-rope » du 7 novembre 2018 au Parlement européen et article
    https://www.euractiv.fr/section/sante-modes-%20de-vie/news/no-freedom-of-choice-in-vaccination-top-eu-health-official-insists/
  12. https://supreme.justia.com/cases/federal/us/197/11/ et https://childrenshealthdefense.org/news/vaccine-mandates-results-dont-safeguard-chil-drens-rights-or-health-how-did-we-get-here/
  13. http://www.avocat-bergel.com/wp-content/uploads/2017/06/VACCINS-let-tre-à-la-Ministre-exécution-2.pdf
  14. Depuydt Senta, « Autisme, vaccin et politique, tout sur un sale business », NEXUS n° 109 (mars-avril 2017).
  15. Depuydt Senta, « Rougeole, faut-il craindre de nouvelles épidémies ? », NEXUS n° 117 (juillet-août 2018) ;
    Depuydt Senta, « Autisme, vaccin et politi-que, tout sur un sale business », NEXUS n° 109 (mars-avril 2017) ;
    Aveux enre-gistrés dans le documentaire Vaxxed :
    www.vaxxedthemovie.com/fr ;
    Déclara-tion officielle de William Thompson suite au documentaire :
    https://www.rescuepost.com/files/william-thompson-statement-27-august-2014-3.pdf
  16. Ce dogme est pourtant contredit par la réalité épidémiologique : le vaccin n’offre qu’une protection temporaire, ne fonctionne pas dans 10 % des cas et n’agit que sur certaines souches, ce qui explique que la rougeole affecte aussi les personnes vaccinées. Malheureusement, même si des experts réputés tels que le professeur Didier Raoult ou l’épidémiologiste Bernard Guennebaud n’hési-tent pas à la qualifier de « fantascience », cette notion fait passer la vaccination de masse pour un acte éthique et scientifique (cf. Depuydt Senta, « Rougeole, faut-il craindre de nouvelles épidémies ? », NEXUS n° 117, juillet-août 2018). Interview par Prévention Santé du professeur Didier Raoult : « Vaccins, Science et Vérité » :
    https:// www.youtube.com/watch?v=gssKVHpKBwk&t=773s
  17. https://www.who.int/emergencies/ten-threats-to-global-health-in-2019
  18. https://www.who.int/blueprint/priority-diseases/en/ ;
    https://www.sciencesetavenir.fr/sante/l-oms-estime-que-la-maladie-x-pourrait-etre-la-prochaine-menace-mondiale_121999
  19. https://www.newsweek.com/world-health-organization-who-un- global-health-air-pollution-anti-vaxxers-1292493
  20. https://eur-lex.europa.eu/legal-content/FR/TXT/PDF/ ;
    http://data.consilium.europa.eu/doc/document/ST-8679-2018-INIT/en/pdf
  21. https://www.dnalc.org/view/10950-Eugenics-Record-Office-board-of-scien-tific-directors-and-functions.html
  22. https://vactruth.com/2010/08/18/rockefeller-vaccine-secret-revealed/ ;
    http://ahrp.org/eugenics-the- california-connection-to-nazi-policies/ et
    https://www.sfgate.com/opinion/article/Eugenics-and-the-Nazis-the-California-2549771.php
  23. Black E., « The horrifying American roots of Nazi Eugenics », History News Network, Columbian College of Arts and Science, G. Washington University, sept. 2003 :
    http://historynewsnetwork.org/article/1796
  24. https://www.legrandsoir.info/rockefeller-un-symbole-de-l-emprise-des-lob-bies-sur-les-politiques-de-sante-publique.html ;
    http://theamericanchronicle.blogspot.com/2012/02/treason-of-standard-oil-exxon-during.html ; http://www.gabyweber.com/dwnld/artikel/eichmann/ingles/se-cret_pact_standard_oil.pdf
  25. Weindling P. « Consent, Care and Commemoration: the Nuremberg Medical Trial and Its Legacies for Victims of Human Experiment », p. 29-33, dans Si-lence, Scapegoats, Self-Refelection: the Shadow of Nazi Medical Crimes on Medicine and Bioethics, Roekcle V, V&R. Unipress, 2014 ;
    http://www.operationpaperclip.info/kurt-blome.php
  26. https://files.nc.gov/ncdoa/JSV/JS-brochure.pdf
  27. https://leginfo.legislature.ca.gov/faces/billTextClient.xhtml
  28. https://www.dnalc.org/view/11219-T-Roosevelt-letter-to-C-Davenport-about-degenerates-reproducing-.html
  29. Tarplay W. et Chaitkin A., « The Bush family Ties to Eugenics and Race Hygiene », Press for Conversion !, issue 54, 2004 et « Race Hygiene: Three Bush Family Alliances » (chapitre 3), in George Bush: The Unauthorized Bio-graphy, 1991 :
    http://coat.ncf.ca/our_magazine/ links/54/54_26-34.pdf
  30. https://www.hli.org/resources/exposing-the-global-population-control/ ; https://pdf.usaid.gov/pdf_docs/Pcaab500.pdf
  31. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC4366572 ;
    https://www.agoravox.fr/culture-loisirs/extraits-d-ouvrages/article/la-face-cachee-d-al-dous-huxley-183372
  32. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/1874951
  33. https://royalsocietypublishing.org/doi/10.1098/rspb.1976.0103
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  35. Gupta Satish Kumar, Shrestha Abhinav & Minhas Vidisha (2014), « Milesto-nes in contraceptive vaccines development and hurdles in their application », Human Vaccines & Immunotherapeutics, 10:4, 911-925, DOI: 10.4161/ hv.27202.
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  37. https://fit.thequint.com/her-health/risks-in-contraception-and-pregnancies-in-india-2
  38. Oller J. W., Shaw C. A., Tomljenovic L., Karanja S. K., Ngare W., Clement F. M. and Pillette J. R. (2017), « HCG Found in WHO Tetanus Vaccine in Ke-nya Raises Concern in the Developing World », Open Access Library Journal, 4: e3937 :
    https://doi.org/10.4236/oalib.1103937 ;
    https://africa24.info/2018/03/21/un-ancien-premier-ministre-programme-cible-de-sterilisation-de-masse/
  39. https://www.ted.com/talks/bill_gates/transcript?language=fr
  40. https://www.americamagazine.org/politics-society/2017/11/27/margaret-san-ger-was-eugenicist-why-are-we-still-celebrating-her
  41. https://www.theverge.com/2014/7/7/5876837/the-gates-foundation-is-deve-loping-a-remote-control-contraceptive
  42. https://www.ageofautism.com/2016/07/gardasil-a-license-to-kill-what-has-changed-since-this-report-in-2010.html
  43. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/26125978
  44. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/8473002
  45. http://www.sordalab.com/RESSOURCES/documents/FR/141644.pdf
  46. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/29889622
  47. S. Berkley, « Immunization needs a technology boost », Nature 273, 16 no-vembre 2017, vol. 551.
  48. https://www.vaccinestoday.eu/stories/adult-vaccination-can-technology-help-improve-access-and-uptake/
  49. https://tdtmvjournal.biomedcentral.com/articles/10.1186/ s40794-017-0046-0

◆ Un retour trois ans plus tard, en 2022

Senta Depuydt revient dans un entretien au micro de Nexus sur les raisons de ce succès, les enjeux et les contours de l’idéologie vaccinale mondiale, les grandes institutions impliquées dans l’agenda vaccinal, le lien avec la crise Covid et les solutions qui s’offrent aux citoyens.

Interview intitulée « Covid-19 & Vaccination mondiale, retour sur la “prophétie Nexus” avec Senta Depuydt »(([1] https://odysee.com/@MagazineNexus:b/LaProphetieNexus:5 ))




Le Totalitarisme Occidental

[Source : AVATAR Media]




Déconstruction : les dessous de l’attaque des « Woke » contre la science

[Source : RL]

Par Alain Falento

Nous entendrons par wokisme ce corpus idéologique qui réunit tous ceux qui ont vocation à se plaindre, tous ceux qui considèrent que si leur vie, leur statut social ou leur surface financière ne sont pas en accord avec leurs espérances, c’est uniquement parce que les Occidentaux blancs, et principalement les mâles, œuvrent depuis des millénaires pour qu’il en soit ainsi. Le nom « woke », qui signifie « éveillé » en anglais, montre immédiatement l’humilité de tous ces gens, puisque par définition, les non-woke sont donc des « endormis », des bœufs.

[Voir aussi :
L’idéologie woke saborde l’identité culturelle du Canada
Sept signes d’alerte indiquant que quelqu’un que vous connaissez est en train de devenir « woke »
Tintin, Astérix et Lucky Luke brûlés et jetés: le milieu scolaire canadien livré au mouvement «woke»?
La star hollywoodienne Kirstie Alley dit qu’elle croit que les démocrates et la foule « woke » sont déterminés à normaliser la pédophilie auprès des masses
Le wokisme est plus une idéologie religieuse que politique]

S’agrègent donc autour de ce concept les féministes, les minorités sexuelles, raciales et tous ceux qui s’estiment légitimes à se plaindre et à réclamer des compensations. Ils sont bien entendu implicitement extrêmement hiérarchisés ; tout en haut de la pyramide trônent les transsexuel.l.e.genr.é () .es.binair.e.s.ou non (veuillez excuser ma syntaxe approximative) noires handicapées, qui ont vocation à tirer la grande majorité des bénéfices, puis par ruissellement on retrouvera tout en bas la femme blanche hétérosexuelle féministe. Au milieu, toutes les combinaisons les plus improbables sont envisageables. Une sorte de pyramide de Ponzi qui ne fonctionne que par cooptation.

Tout ce petit monde n’a qu’une seule obsession : faire cracher au bassinet et humilier le Monstre, l’Infâme, unique responsable de toutes ces discriminations : l’homme blanc hétérosexuel. Si possible chrétien.
Bien entendu, un certain nombre de concepts fondateurs furent nécessaires à la construction de cette idéologie, représentatifs des différents courants. Ainsi, « le privilège blanc », « la culture du viol », « le patriarcat » et « le racisme systémique » forment le socle du wokisme.
Muni de ce trousseau idéologique, que n’importe quel abruti peut s’approprier en quelques instants et surtout auquel il peut s’identifier, les leaders de la non-pensée woke sont donc partis à l’assaut des systèmes universitaires des pays occidentaux.

Comme tout parasite ou nuisible, les woke ont choisi comme porte d’entrée les endroits les plus friables de nos universités, là où les fondations sont faiblardes, où tout est discutable, où tout est affaire d’opinion, où tout le monde peut raconter n’importe quoi, là où les étudiants sont connus pour être les plus faibles intellectuellement, à savoir les prétendues « sciences humaines ».

La stratégie de conquête universitaire des woke est simple. Ils mettent un pied dans la porte, parviennent à placer l’un des leurs à un poste de maître de conférences, ce dernier deviendra professeur, ne recrutera que des thésards woke qui deviendront eux-mêmes professeurs. En quelques années ils parviennent à s’emparer de pans entiers des universités.

Jusqu’à maintenant cela ne représentait pas vraiment un problème car il faut le dire, on se fout royalement des sciences humaines. Tout le monde sait parfaitement que ce sont de gigantesques usines à chômeurs prétentieux qui finissent dans le meilleur des cas dans les centres de tris postaux. Ils sont un peu – si l’on peut se permettre une analogie biologique – la couche de graisse incompressible du corps de la société. Un étudiant woke a au moins le mérite, de par son statut, de ne pas figurer dans les statistiques du chômage.

Tout aurait pu en rester là. Mais les woke sont ambitieux, hargneux, vindicatifs. Il leur en fallait plus.
Depuis quelques semaines nous voyons se répandre dans la presse dite « progressiste » et féministe des articles sur le condor de Californie.
Slate, Le Huffington post, Libération n’ont d’yeux que pour cet oiseau qui n’est pourtant qu’un charognard géant peu ragoûtant.

Cette soudaine passion pour l’ornithologie mérite toute notre attention car ces idéologues malfaisants ne font jamais rien par hasard ; leur instinct de destruction est sans égal et tout article qui semble de près ou de loin scientifique a nécessairement un but malsain bien précis.
Le point de départ de cette épidémie d’articles vient d’une découverte récente sur cette espèce d’oiseaux. Des biologistes ont observé des cas de reproduction par parthénogenèse sur certaines femelles. La parthénogenèse n’est pas un phénomène nouveau, il est observé depuis longtemps chez les reptiles, mais il n’avait jamais été observé chez des oiseaux de grande taille.

Schématiquement la parthénogenèse est une forme de reproduction par laquelle une femelle donne naissance à un nouvel individu sans que l’œuf ait été fécondé par un mâle.
Les esprits les plus vicieux d’entre vous auront déjà compris de quoi il s’agit. Il n’en fallait pas plus à quelques féministes incultes pour se vautrer dans un anthropomorphisme grotesque. À en croire ces articles, Madame Condor de Californie et ses copines en ont eu assez de ces Messieurs Machos Condor et elles ont décidé de faire des bébés toutes seules par parthénogenèse.

Nous n’aurons pas la cruauté d’analyser en détail les conclusions que tirent ces pseudo-journalistes de cette découverte. Mélangeant théorie de l’évolution mal comprise et féminisme, elles en déduisent que ce phénomène est bon pour la nature car il évite les bagarres entre mâles pour l’accès aux femelles. La société Condor de Californie s’en trouverait ainsi apaisée, la violence éradiquée, les ressources épargnées.

Bien entendu, à aucun moment ne leur vient à l’idée que si la reproduction sexuée s’est imposée dans la Nature, c’est qu’elle permet de conserver une diversité génétique nécessaire pour que l’espèce puisse s’adapter à des modifications de l’environnement. La parthénogenèse, quant à elle, entraîne un appauvrissement du patrimoine génétique qui, s’il se généralise, aboutirait implacablement à la disparition de l’espèce.

De même, elles semblent ne pas avoir intégré le fait que ces phénomènes ne sont nullement le fait de la volonté d’individus mais le fruit de millions d’années de sélection naturelle, en tout cas selon le paradigme scientifique en vigueur de nos jours.
L’intérêt qu’il convient de porter à ces articles réside dans le fait qu’il représente une première incursion des woke dans les sciences de la vie. Cette apologie de la parthénogenèse n’a d’autre objectif que de démontrer le caractère superflu et même nuisible des mâles. La prochaine étape, qui ne tardera pas à venir, consistera à demander notre euthanasie pure et simple, ou pour le moins symbolique, par notre « déconstruction ».

La déconstruction. Voilà l’outil de base, la boule de démolition de tout woke qui se respecte. Les woke veulent déconstruire tout et tout le monde et repartir de zéro.
Mais qu’est-ce exactement que cette déconstruction ?
Ce concept, emprunté au philosophe français Jacques Derrida, qui eut un succès fou au États-Unis dans certains « nanocosmes » universitaires et psychanalystes dans les années soixante, nous revient donc en pleine gueule tel un boomerang.

Pour rester poli, le moins que l’on puisse dire, c’est que cette doctrine est aux mieux absconse, et au pire, inutile et incertaine.
Afin de se faire une opinion, rien ne vaut ces lignes d’un thuriféraire de Derrida, philosophe autoproclamé, décrivant la déconstruction comme : «  la construction d’une dimension supplémentaire à l’analyse, une dimension prenant en compte, en plus de l’objet analysé, l’analyste et son langage, une dimension où le contenu et le contenant de la production analytique s’enchevêtrent et se disséminent, une dimension hyperréflexive dans laquelle tout en-soi, quelle que soit son apparente fixité, se révèle dans un vertigineux mouvement hélicoïdal dont la force centrifuge le projette ailleurs que dans sa simple possibilité d’être, et finalement le projette dans l’impossible ». Certains appellent cela de la philosophie…

Ce salmigondis, une fois digéré et recraché par le sociologue Pierre Bourdieu, puis simplifié, devient la fameuse « déconstruction » des préjugés. L’induction logique, qui a permis le développement de notre science, est balayée d’un revers de main. Le but même de la sociologie est nié. Bien entendu aucun préjugé n’a de fondements. Toute généralisation est à bannir. Seule la particularité doit être considérée. Une seule forme de préjugé est cependant admise, celle envers les hommes blancs qui, eux, sont tous coupables de tous les maux passés, présents et à venir pour l’éternité.

D’aucuns pourraient considérer qu’il n’est pas nécessaire de se préoccuper des élucubrations d’une poignée de fous (en réalité des folles majoritairement) car ils sont extrêmement minoritaires et par conséquent marginalisés. Penser ainsi c’est commettre une grossière erreur d’appréciation.
Il est bon de rappeler que la Russie n’a pas sombré si brutalement dans la nuit communiste parce qu’une majorité de Russes se seraient convertis en quelques années. Il est avéré que le communisme soviétique s’est imposé alors que seul un petit pourcentage de la population adhérait à cette doctrine. La grande majorité n’y a juste pas prêté attention.

Se contenter de ricaner des wokes c’est ricaner des termites qui rongent votre charpente. À la fin ils gagnent et le toit s’effondre. Comme le disait le comte de Montalembert : « Vous avez beau ne pas vous occuper de politique, la politique s’occupe de vous tout de même ». Il faut de même s’intéresser aux wokes avant que ces derniers ne décident de notre sort et de celui de nos enfants en entraînant notre société dans un maelström de bêtise et d’ignorance.

Les gauchistes et autres wokes se sont mis en capacité de proposer un système paralogique cohérent, facilement transmissible et aisément accessible aux esprits faibles.
Le responsable de tous les maux de la Terre est l’homme blanc occidental chrétien hétérosexuel. Ce dernier a exploité et violenté les femmes depuis toujours en les privant de nourriture (c’est ainsi que la grande pensée de l’anthropologue Françoise Héritier explique que les femmes soient plus petites que les hommes). De même il a, par la colonisation, exploité les richesses des Africains et nié leur immense culture. À partir de ces préceptes simples tout est donc permis à son encontre. Les minorités raciales ne réussissent pas dans le système scolaire, c’est que l’école est raciste et discriminatoire. Les ethnies africaines se massacrent entre elles, c’est l’héritage de la colonisation.

Les élites africaines sont corrompues, c’est bien entendu à cause des corrupteurs occidentaux.
Après avoir revisité l’histoire, la sociologie et l’anthropologie, les wokes débarquent maintenant dans les sciences, utilisant la biologie comme porte d’entrée. Au Royaume-Uni, les écoliers apprennent à l’école que la majorité des découvertes scientifiques seraient le fait de femmes, que l’Histoire des sciences, écrites par les hommes, aurait volontairement éclipsées. Einstein n’était que le vulgaire scribe de son épouse, Pasteur un pitoyable plagiaire de sa femme. J’ai même découvert il y a quelques semaines que Beethoven était de toute évidence…de race noire.

La prochaine étape de cette entreprise destructrice concernera, à n’en pas douter, les fondements mêmes de la rationalité, à savoir la logique et les mathématiques. L’illuminée Sandrine Rousseau a d’ailleurs déjà ouvert la porte en affirmant qu’elle préférait une sorcière à un homme rationnel.
En effet, la logique dite « standard », sur laquelle se fondent les mathématiques et a fortiori toute notre science, est basée sur trois principes fondamentaux que sont le principe d’identité, le principe du tiers exclu et le principe de non-contradiction (il existe des logiques alternatives mais à ma connaissance elles ne sont que des curiosités universitaires).

Les noms en eux-mêmes de ces trois principes sont parfaitement insupportables aux oreilles d’un woke. Pas assez inclusifs, trop genrés, trop blancs, trop masculins. Le mot principe est lui-même masculin. C’est insupportable.
De plus les mathématiques c’est difficile, exigeant. Les slogans et affirmations gratuites n’y ont pas leurs places. Les mathématiques et la logique sont donc des instruments de domination des mâles occidentaux blancs sur les femmes et les racisés. Il faut les déconstruire au plus vite.
Au moment même où j’écris ces lignes, je viens de découvrir qu’il existe une manière déconstructiviste de résoudre une équation du premier degré.

Il y a fort à parier que dans les mois qui viennent, les mathématiques seront attaquées frontalement, probablement dans les universités américaines les plus vérolées par l’idéologie woko-féministo-BlackLivesMatteriste. Les traditionnels petits problèmes de trains et de robinets seront certainement remplacés par des ateliers collaboratifs au sein desquels les étudiants auront l’opportunité de développer leur intuition. Ces nouveaux préceptes pédagogiques seront importés chez nous par nos gauchistes et cela en sera terminé de la capacité de la France à produire des ingénieurs et scientifiques de haut niveau.

On peut légitimement se demander pour quelle raison les universitaires raisonnables, qui représentent encore une majorité, ne s’opposent pas à cette mascarade ? La réponse n’est que trop évidente : par lâcheté, par peur d’être taxé de racisme ou d’incitation à la discrimination. Les plus courageux ont déjà été excommuniés.

Si ne nous parvenons pas à endiguer cette vague d’imbécillité, nous pourrons toujours caresser le secret espoir que ces gens développeront leur propre logique, leur propre science, qu’ils les utiliseront pour construire des trains et des avions woke… et qu’ils les emprunteront.
Quant à moi je continuerai à utiliser les modes de transport issus de la bonne vieille science moisie, occidentale, blanche, non racialisée et non déconstruite.




Le Great Reset : Le Forum économique mondial dévoile un projet mondial d’« identité numérique »

[Source : aubedigitale.com]

Le Forum économique mondial (FEM) a dévoilé son système mondial de crédit social qui lui donnera le pouvoir de contrôler les citoyens et de punir les personnes jugées « indignes de confiance » par les élites mondiales.

En février 2022, le FEM de Klaus Schwab a publié un nouveau rapport intitulé « Advancing Digital Agency : The Power of Data Intermediaries », qui détaille leurs plans pour la création de la quatrième révolution industrielle, une fusion du « monde physique, numérique et biologique. »

Le rapport déclare que « la pandémie de COVID 19 a conduit à une attention accrue sur le pouvoir des données médicales, en particulier les passeports vaccinaux. Ces passeports, par nature, servent de forme d’identité numérique ».

Rairfoundation.com rapporte : Une telle identité numérique peut être utilisée, entre autres, pour accéder à vos traitements d’assurance maladie, surveiller vos appareils de santé et vos téléphones, ouvrir un compte bancaire et effectuer des transactions financières.

Avec votre laissez-passer numérique, vous pourrez réserver des voyages et passer les douanes. Vous pourrez également utiliser un tel identifiant numérique pour faire des achats, utiliser les médias sociaux, voter, remplir des déclarations d’impôts et percevoir des prestations.

Le FEM voit également un rôle essentiel dans les télécommunications. Avec une identité numérique, les appareils et les données sur le réseau peuvent être surveillés.

Crédit social alternatif

Le projet d’identité numérique du FEM jette maintenant les bases d’un système mondial de crédit social qui lui donnera le pouvoir de contrôler les citoyens et de punir ceux qu’il juge « indignes de confiance ».

Le rapport du FEM indique que des tiers porteront des jugements sur la base de votre historique de crédit, de vos antécédents médicaux et de vos comportements en ligne. Par exemple, « une banque décide de l’attrait d’un individu pour un prêt ».

Les banques prendront en compte le comportement social d’un individu, à la fois en ligne et hors ligne, dans le processus d’octroi de crédit ; C’est ce qu’on appelle l’Alternative Credit Scoring, qui exploite le big data pour analyser non seulement les antécédents financiers mais aussi les comportements sociaux. Malheureusement, ce type de système risque d’introduire un système de crédit social comme celui du Parti communiste chinois (PCC), où l’accès aux biens et services est basé sur le comportement social d’une personne.

Selon le rapport du FEM, les systèmes d’identité numérique comprennent :

  • Le profil : Peut inclure des attributs de données inhérents (tels que les données biométriques) ou attribués (tels que les noms ou les numéros d’identification nationaux).
  • L’historique : Historique de crédit ou médical, comportements d’achat en ligne.
  • Les inférences : Jugements ou décisions prises sur la base des processus d’authentification, des profils et des historiques (par exemple, une banque décide de l’intérêt d’un individu pour un prêt).

La réunion virtuelle du Forum économique mondial (FEM), qui s’est tenue du 25 au 29 janvier, a ajouté l’évaluation alternative du crédit à son ordre du jour. L’évaluation traditionnelle du crédit analyse le comportement financier d’un individu ; l’évaluation alternative du crédit tiendra également compte du comportement social de l’individu.

Comme indiqué précédemment par la Fondation RAIR USA, les moyens par lesquels les mondialistes non élus souhaitent extraire vos données les plus privées sont incroyablement invasifs. Ils incluent des dispositifs implantés dans votre corps, votre maison et les villes où vous vivez. L’objectif est de collecter autant d’informations sur vous que possible par tous les moyens nécessaires.

L’avenir du FEM prévoit une surveillance constante des êtres humains et de leur environnement grâce à l’écosystème de l’Internet des corps (IoC). Cet écosystème connecte les êtres humains à la technologie par le biais de dispositifs permettant au forum d’obtenir des quantités massives de données sur un individu. La RAND Corporation explique que,

L’Internet des corps, ou IoC (IoB en anglais pour Internet of Bodies, ndlr) est en fait un écosystème. Il s’agit d’un ensemble d’appareils connectés à l’internet qui contiennent des logiciels et qui soit collectent des données personnelles sur votre santé, soit peuvent modifier le fonctionnement du corps. Nous considérons l’internet des corps comme l’ensemble de ces appareils, ainsi que toutes les données que ces appareils recueillent à votre sujet.

RAND prévient que l’IoC pourrait également mettre en péril nos informations personnelles les plus intimes et poser de nombreux problèmes éthiques. Ils préviennent même qu’elle pourrait « accroître les risques géopolitiques mondiaux, car les États de surveillance peuvent utiliser les données de l’IoC pour imposer des régimes autoritaires ». Comme l’a admis le rapport sur les risques internationaux du FEM en 2019, « l’autoritarisme est plus facile dans un monde de visibilité et de traçabilité totales. »

Malgré les risques et les avertissements énormes, le FEM soutient l’adoption généralisée de l’IoC, qu’il peut utiliser pour contrôler le comportement humain tout en ayant accès aux données les plus sensibles d’un individu en matière de santé, de finances et de comportement. Cet écosystème fait partie de la quatrième révolution industrielle que le FEM souhaite utiliser pour son programme de « grande réinitialisation » (Great Reset, ndlr).

Il n’est pas étonnant que, dans un rapport datant de juillet 2020, le FEM ait exhorté « les parties prenantes de tous les secteurs, industries et géographies » à unir leurs forces et à travailler ensemble « pour libérer pleinement le potentiel de l’IoC. »

Intermédiaires de données

Une fois nos données extraites, les Forums économiques mondiaux, les « intermédiaires de données », seront prêts à « vous aider. »

« Ces tierces parties serviraient de liens entre les personnes et les entités qui collectent leurs données, ou entre les entreprises et leurs partenaires. » Comme l’indique Kate Kaye, « ils pourraient prendre de nombreuses formes, des agents numériques aux fiduciaires représentant les personnes et leurs choix en matière de confidentialité des données. Ou ils pourraient être des fiducies facilitant les négociations collectives sur les données au nom de personnes ou d’entreprises individuelles. Les intermédiaires de données pourraient même prendre des décisions automatisées en utilisant l’intelligence artificielle. » Le FEM rapporte ,

À leur niveau le plus basique, ils facilitent l’échange d’informations ; à leur niveau le plus sophistiqué, ils peuvent assumer la prise de décision, y compris au nom des personnes.

Bien que Klaus Schwab et le Forum économique mondial veuillent faire croire au monde que leurs objectifs sont d’améliorer notre « santé » et notre « bien-être », ils ont en réalité l’intention de dominer les êtres humains à l’échelle planétaire.




Le Canada à un carrefour dangereux entre liberté et tyrannie

Par Joseph Stroberg

Quand un peuple voit ses libertés de plus en plus restreintes et bafouées, au point où l’individu n’a plus le droit de disposer de son propre corps s’il veut pouvoir continuer à manger, alors il est non seulement légitime de se révolter, surtout lorsque ceci est fait de manière pacifique, mais au Canada la sédition dans de telles circonstances est en plus légale.

L’usage de la force et de la coercition est l’arme des faibles. Donnez du pouvoir à un pleutre et il se transforme en despote. La tendance est malheureusement présente en l’Homme dès ses premières années. Dans les familles autoritaires qui vont jusqu’à martyriser, traumatiser, agresser et même parfois violer un enfant, celui-ci développe en général au moins trois tendances complémentaires :

  • il se désensibilise au point de perdre toute empathie et de devenir à son tour sociopathe ou psychopathe ;
  • il tend à reproduire le comportement violent de ses parents et peut finir par jouir lui-même de la souffrance qu’il inflige aux autres ;
  • sa peur désormais ancrée au plus profond de lui-même et reniée fait que pour faire face aux situations il a besoin de soldats ou de caïds capables d’agir à sa place face à des individus plus courageux et plus déterminés.

Il s’est ainsi établi dans l’Histoire humaine des lignées d’abuseurs, au minimum sociopathes, et dont la tendance a été de se hisser naturellement, en écrasant les autres, au sommet des hiérarchies. Dans leurs jeunes années, ils se comportent souvent comme des « fils à papa » et seront généralement entourés de « gros bras » facilement manipulables pour pouvoir plus facilement brimer des individus suffisamment petits ou faibles en apparence. Face à eux, il n’y a que deux choix possibles : subir leurs brimades ou résister. La peur ou le manque de confiance en soi fait malheureusement choisir le premier. À ce propos, voici une anecdote véridique :

Dans une famille de cinq enfants, deux des frères, de petite taille, ont toujours été les plus petits de leur classe tout au long de leur scolarité. L’un d’eux s’est fait brimer pendant toute la durée de celle-ci, jusqu’au bizutage à l’entrée en math sup. L’autre, à l’âge de huit ans, alors qu’il venait de changer d’école en cours d’année, passant d’une minuscule école de campagne à sept élèves par niveau, dans une salle unique, à une grande école de ville, s’est retrouvé face à trois gaillards lors de sa première récréation. Il a tout de suite perçu le « leader » de la classe et ses deux acolytes dont l’un le dépassait de plus d’une tête. Il ne sait plus ce que les lascars lui on dit pour le provoquer ou pour tenter de lui faire peur. Il se rappelle seulement sa réaction instantanée : il a sauté très haut pour entourer le cou du grand « dadais » (tel il le percevait) avec son bras droit et le faire ainsi dans la foulée tomber par terre. Les maîtres et maîtresses présents dans la « cour de récré » se sont alors précipités pour demander des explications. Il n’a pas répondu et n’a pas été inquiété. On l’a laissé tranquille pendant tout le reste de sa scolarité. Il était déjà habité par une force intérieure.

À quelle catégorie appartient Justin Trudeau, entre le genre brimeur « fils à papa » et le petit élève insignifiant qui pourtant résiste ? Observez sa manière d’agir face au peuple canadien et vous aurez la réponse. À quelle catégorie appartiennent les Canadiens ? Existe-t-il suffisamment d’entre eux qui soient habités par la foi (en eux, en l’Univers, en Dieu…) pour résister ? Le présent combat n’est pas contre un virus, mais entre des élites autoproclamées (et psychopathes ou sociopathes, pour la plupart) et le reste de l’Humanité. Il est aussi éventuellement un combat intérieur entre d’une part la peur de la maladie et de la mort, et d’autre part la volonté et le courage de faire face aux circonstances de la vie avec dignité et honneur, au risque de se faire dénigrer et piétiner par les soldats des tyrans.

La présente situation au Canada illustre le combat fondamental de l’Humanité à notre époque :



Le Convoi de la Liberté « Plein d’amour » : Témoignage émouvant d’une jeune mère de famille (avant que la police ne vienne tabasser les manifestants)

Jessica, mère de famille, nous livre un témoignage émouvant sur l’importance de la manifestation du Convoi de la Liberté « plein d’amour ». Elle est venue avec son mari et ses deux enfants pour venir manifester devant le parlement avec leur roulotte.  » C’était le mercredi 16 février alors qu’un débat sur les mesures d’urgence avait lieu au parlement canadien. (Vidéo > 2 min)




Attentat terroriste déjoué à Nice ? Une chanteuse de rue arrêtée juste avant le drame

Par Alain Tortosa

Nice fêtait son carnaval dans une ambiance bon-enfant et familiale comme à son habitude… Passe vaccinal, port du masque obligatoire, portique anti-agression, paiement obligatoire pour y assister, murs pour empêcher les gueux de voir… et la police municipale veillait au grain.

Un drame aurait failli se dérouler hier, proche des « arènes de la liberté » où se déroulait la fête.

L’attentat aurait été déjoué de justesse lorsque l’individu a dégainé violemment son arme, une guitare acoustique de type « ak47 » pour commencer à chanter.

C’était sans compter sur le courage et l’héroïsme des forces de l’ordre qui, selon les témoins, purent arracher des mains l’arme de la présumée terroriste avant qu’elle ne joue quelques notes fatales. La préméditation ne ferait aucun doute, la chanteuse aurait même eu une (fausse ?) autorisation.

S’en serait suivi un moment d’incertitude… Des complices auraient cherché à défendre la délinquante.

Rappelons que dans sa grande sagesse, le préfet des Alpes Maritimes a interdit l’usage des armes de catégorie « musique, chants, concerts de rue » dans l’agglomération.

Nous savons l’odieux virus attiré par le bruit, raison pour laquelle le défilé du carnaval n’a pas été organisé dans les rues, mais derrière des murs de protection.

À noter que nous ne savons pas si les protections mises en œuvre pour le carnaval avaient pour objet d’interdire au virus d’entrer dans l’enceinte ou au contraire l’empêcher de sortir. Les premiers résultats de l’enquête sembleraient indiquer que c’était pour l’empêcher de sortir étant donné que les mesures mises en place consistaient à s’assurer que les participants étaient vaccinés donc potentiellement porteurs du virus, et que les tests PCR étaient refusés pour les adultes.

Nous pouvons donc saluer l’initiative du maire qui a voulu emprisonner le virus dans cette enceinte. Cette mesure aurait pu empêcher la terroriste de contaminer et d’assassiner les pauvres passants. En effet, le volume sonore du carnaval largement supérieur à l’instrument de la meurtrière aurait théoriquement empêché tout virus d’être attiré par ce son de la mort… Je vous rappelle que le virus adore la musique, mais déteste les transports en commun comme le métro.

Mais c’était oublier que cette personne sans conscience, cet être sans foi ni loi, s’apprêtait à jouer APRÈS le spectacle du carnaval. Les forces de l’ordre sont donc héroïques et j’espère qu’elles seront décorées pour avoir déjoué les plans machiavéliques de cette présumée terroriste.

Hélas ! nous apprenons aujourd’hui qu’elle aurait été libérée suite à sa garde à vue et condamnée à la somme ridicule de 135 euros pour « incitation à la rébellion ». Cela me semble pour le moins bien léger face à la menace que cette non-personne s’apprêtait à faire subir sciemment aux habitants du quartier. Nous ne redirons jamais assez que les concerts de rue représentent une menace mortelle pour la sécurité des passants et notamment les grabataires qui ne peuvent résister au chant des sirènes au risque de mourir dans d’odieuses souffrances.

Merci aux forces de l’ordre, merci au maire de Nice, merci au préfet !

Alain Tortosa.

20 février 2022

https://7milliards.fr/tortosa20220220-attentat-terroriste-dejoue-nice.pdf

PS Il appartient au lecteur de s’assurer de la véracité de ces informations




Sentimentalité petite bourgeoise

[Source : chroniquesdepereslavl]

Par Laurence Guillon

On a commencé l’évacuation du Donbass. Les forces ukrainiennes se déchainent, avec les mercenaires américains, contre cette région martyrisée, otage de la mafia qui s’est emparée de ce pays pour son plus grand malheur. Je suis heureuse d’être ici, de ne pas être du côté des vassaux de l’OTAN qui ont bombardé la Yougoslavie, ruiné l’Irak et la Syrie, détruit la Libye, qui partout sèment la discorde et le meurtre avec une rare fourberie. J’espère que Poutine a une idée derrière la tête en mettant cette population à l’abri, et qu’il jouera fin en face des psychopathes qui détiennent l’occident. Car on peut penser ce qu’on veut de ce qui se passe en Russie, où tout n’est pas rose, du moins Poutine, lui, n’est pas fou, et il est intelligent, ce que je ne dirais pas des marionnettes suffisantes placées par des dingos transhumanistes milliardaires à la tête de nos pays. 

Je dis « détiennent » parce que c’est bien de cela qu’il s’agit. Il n’y a qu’à regarder ce que fait Trudeau, avec sa tête de félon idéal, de la population canadienne, et c’est ce qui nous attend tous. Les masques tombent, enfin les leurs; car les nôtres, les muselières qu’ils nous ont infligées, restent encore trop souvent en place. J’ai regardé la vidéo d’un policier canadien honnête scandalisé par ce qui se passe, scandalisé est un mot faible, traumatisé. Il en appelle à la conscience de ses collègues, mais ceux qui servent Trudeau et Macron n’ont forcément pas de conscience, ils ne savent pas ce que c’est. Sinon, ils ne les serviraient pas, ils ne tabasseraient pas d’honnêtes gens avec une rare sauvagerie, ils n’arracheraient pas des enfants à leurs parents, ils ne gazeraient pas de vieux, ils n’éborgneraient pas de jeunes filles. J’ai le coeur serré de voir des gens normaux tout à coup confrontés à quelque chose qui dépasse leur entendement par son caractère démoniaque et pernicieux.

Il me paraît évident que des dirigeants capables d’ordonner cela, de ruiner et de détruire leurs propres peuples, en répétant des incantations absurdes déstinées aux imbéciles qui leur permettent de rester encore en place, le sont tout à fait d’exterminer une population dans le silence total de leurs médias, ou d’utiliser un virus étrange et son médicament expérimental obligatoire pour faire périr un grand nombre d’entre nous et asservir les autres. Si quelqu’un se croit encore en démocratie, qu’il arrête la dope télévisuelle. 

Ce qui me frappe aussi, chez le policier traumatisé, c’est son discours, bien différent de la rhétorique haineuse du révolutionnaire professionnel, telle que je l’entends débiter par des générations d’imbéciles depuis que je suis arrivée en fac, après 68. Il a la larme à l’oeil, une belle gueule virile et franche, il parle vrai, il parle avec son coeur et ses tripes. C’est ce qu’on appelait chez les imbéciles que je viens d’évoquer, de la « sentimentalité petite-bourgeoise », pour discréditer tout ce qui était noble et humain.

Je suis certaine que les Russes et Poutine ne veulent pas la guerre, car d’une part, il n’y ont pas intérêt et d’autre part, depuis les années 90, j’observe comment des semeurs de discorde ont tout fait pour dresser l’Ukraine contre la Russie, sans d’ailleurs y arriver aussi bien que souhaité. Certes, une partie de la population ukrainienne, essentiellement la partie occidentale uniate, règle les comptes de la dernière guerre, soutenue en cela par la diaspora banderiste du Canada. Mais je pense que la majorité orthodoxe du métropolite Onuphre, persécutée par des agents de la CIA en soutane, avec la bénédiction du patriarche Bartholomée, n’a pas de haine contre la Russie, car la sainte Russie, c’est les trois Russie, la petite, la grande et la blanche, pour lesquelles je prie avec le starets Elie. Ce même starets Elie ne pense pas que la Russie sera avalée par les démons qui ravagent l’occident, même si elle en compte aussi des complices et des exemplaires actifs. Que Dieu nous vienne en aide. Je ne voudrais pas voir s’installer complètement ici ce qu’on impose là bas, dans la vaste contrée de la démocratie et de ses célèbres valeurs.

Le village du père Nikita, près de Donetsk, a été évacué. Mais lui, il est resté, avec ceux qui ne sont pas partis, et avec son église. J’avais traduit un article sur lui, et il était venu un jour me voir ici. Un homme adorable, enthousiaste, sincère, un excellent conteur. Depuis sa visite, le Donbass a pour moi un visage concret, je l’ai rencontré en sa personne. Que Dieu le protège.

Le père Nikita: https://chroniquesdepereslavl.blogspot.com/2020/09/lesperance.html#comment-form




L’insémination artificielle solidaire et forcée sauvera l’humanité !

Par Alain Tortosa

(de même que la vaccination obligatoire…)

Dans les années 2020, un groupuscule terroriste menaça l’humanité en s’opposant à la vaccination solidaire et obligatoire.

Leur slogan était :

« mon corps m’appartient ! »

Les intentions criminelles de ces fous étaient d’autant plus incompréhensibles :

  • Que l’humanité était menacée par un virus mortel appelé Sars-Cov-2.
  • Qu’il n’y avait aucun traitement disponible.
  • Et que le vaccin efficace ne présentait strictement aucun effet secondaire.

Ils ne démordaient pas du « mon corps est ma propriété » en ajoutant « une fois injecté, un vaccin ne peut plus être retiré ».

Je rappelle à ceux qui n’étaient pas nés ou trop jeunes pour s’en souvenir que cet odieux virus s’attaquait principalement aux personnes âgées en fin de vie et qu’il était indispensable que les enfants les protègent.

Par chance, les peuples du monde entier disposaient du bon sens nécessaire qui permit de vacciner plus de 90 % de la population mondiale et ainsi faire reculer le virus pendant trois mois.

Pourquoi je vous parle de cette époque me direz-vous ?

Pour la simple raison que l’histoire se répète, encore !

Cela fait maintenant plusieurs dizaines d’années que notre planète connaît une progression fort inquiétante de la stérilité. Si au début de la crise nous nous réjouissions parce qu’elle touchait principalement les pays pauvres, ce n’est plus le cas aujourd’hui. Les cinquantenaires commencent à paniquer (avec raison) pour leurs retraites, et au-delà c’est l’avenir du monde qui est en question.

Les experts estiment que si nous n’avons pas trouvé une solution viable d’ici 70 ans, nous risquons l’extinction pure et simple de la race humaine.

Il y a consensus scientifique pour déterminer les causes de ce fléau qui a débuté juste après le Sars-cov-2 et la vaccination massive :

  • La consommation de viande et de produits d’origine animale.
  • Le réchauffement climatique.

Autant il a été relativement facile, malgré quelques heurts, de résoudre le problème de la viande en interdisant tout commerce (à noter qu’il existerait des lieux clandestins de consommation).
Autant le réchauffement climatique est un chantier que nous avons pris à bras le corps, mais qui risque de prendre encore au moins un ou deux siècles avant de le résoudre.

Nous avons fait notre maximum pour lutter contre cet infâme CO2 :

  • Mise en place du passeport vert.
  • Interdiction des déplacements individuels non stratégiques.
  • Quotas de consommation de CO2.
  • Interdiction de l’habitat individuel.
  • Etc.

Bref, un ensemble de mesures de bon sens que seul un fou aurait pu rejeter…

Mais hélas, même si ces mesures ont permis un ralentissement de la progression, l’humanité demeure subir ce changement climatique avec l’augmentation de la stérilité qui en découle tout naturellement.

Ne croyez pas que notre République Démocratique Mondiale soit restée impassible face à ce fléau.

De nombreuses campagnes d’information et d’incitation ont été menées dans les zones riches pour inciter les femmes fertiles en âge de procréer à faire des enfants. Hélas nous savons tous que convaincre n’est pas suffisant, qu’il existe encore beaucoup trop d’égoïstes irresponsables sur la planète.

Nous pensions aussi que les utérus artificiels, si prometteurs, permettraient de résoudre le problème, mais il s’avéra que leur rapport bénéfice coût était catastrophique.

Plus de 90 % des fœtus n’arrivaient pas à terme et la gestion artificielle fut interrompue. Vous pourriez justement me dire « qu’est-ce qu’on en a à foutre, ce n’est que de la viande »… Oui, mais c’est oublier le gaspillage d’ovules si précieux et si rares.

C’est donc ainsi que la loi sur l’insémination obligatoire des femmes en capacité de procréer (avec obligation de don de semence pour les hommes non stériles) a été promulguée sur recommandation de l’OMS et des autorités sanitaires.

« Toute femme non stérile devra obligatoirement être inséminée avec un intervalle maximal de huit mois entre chaque grossesse ! »

Ainsi grâce à cette mesure solidaire et de bon sens, nous espérons résoudre le problème de la natalité le temps que nous ayons résolu le problème climatique.

Et c’est là que nous voyons ressurgir les extrémismes des heures les plus sombres de notre histoire.

Entendez-vous qu’une minorité de femmes extrémistes (avec la complicité de certains hommes) s’oppose à cette loi de progrès en disant :

  • « Mon corps m’appartient ! »
  • « Je ne suis pas une pondeuse ! »
  • « Je suis contre la procréation artificielle ! »
  • « Ma liberté est de choisir ou refuser ! »

(Rappelons que la procréation naturelle est trop aléatoire et qu’il ne saurait être question de laisser la nature décider de notre avenir.)

À l’heure de la menace planétaire, les intérêts individuels ne peuvent prendre le dessus sur l’intérêt collectif.

C’est aussi égoïste qu’irresponsable !
La liberté ce n’est pas participer activement et avec préméditation à la fin de l’humanité !
La liberté ce n’est pas être complice de l’extinction de l’espèce humaine !
Alors, rappelons le slogan du gouvernement :

« Je suis pour la vie, je suis pour l’insémination artificielle forcée ! »

Et notons aussi sa générosité :

  • Les premiers tests.
  • Les traitements hormonaux.
  • L’insémination artificielle.
  • La grossesse dans les camps luxueux aménagés (avec visite possible du conjoint tous les quinze jours).
  • La césarienne (on ne peut pas prendre le risque d’un accouchement par voie basse).
  • Les trois premières années de vie du bébé dans ces mêmes camps (la maman étant autorisée à séjourner encore un mois après la mise au monde).

Tout est gratuit !
Oui 100 % gratuit !
Les frais sont entièrement pris en charge par la collectivité !

Et certains osent se plaindre ?

Alors malgré des siècles de progrès social et d’avancée de l’humanité, nous en sommes finalement au même stade qu’en 2020 quand les complotistes antivax clamaient des slogans identiques :

  • « Mon corps m’appartient ! »
  • « Je suis libre de refuser l’injection d’ARNm ! »
  • « Qui connaît les effets à long terme des injections expérimentales ! »
  • « À quoi bon me vacciner si je suis en bonne santé ! »
  • « Quel est le rapport bénéfice vs risque et les effets secondaires ? »

Mais fermez là bande de cons !

Non, votre corps ne vous appartient pas dès lors que vous vivez en société !
Quittez la planète et allez vivre sur Mars si vous voulez !

Les devoirs collectifs passent avant les droits individuels !

Nul ne peut mettre en danger l’avenir de la société à des seules fins égoïstes !

Merci.

Alain Tortosa

Prophétie du 20 février de plus tard…

https://7milliards.fr/tortosa20220220-insemination-obligatoire.pdf




Inversion accusatoire de Trudeau envers le mouvement de la liberté – Appel unifié avec les Premières Nations pour rétablir l’ordre constitutionnel canadien

Par Joseph Stroberg

Trudeau a accusé les parcipants au mouvement pour la liberté d’être des racistes

En réalité, nous pouvons observer en particulier que les Premières Nations [les autochtones amérindiens] y participent :



Voir aussi :

et

Du côté de Trudeau

Justin Trudeau photographié en blackface lors d’un événement en 2001.
(Académie West Point Grey)

Trudeau a accusé les participants d’être de soutenir les nazis

En réalité :

Du côté de Trudeau

Le vice-président du Parlement ukrainien, Andriy Parubiy, s’est rendu à Ottawa en février 2016 et a rencontré le premier ministre. Lors de cette réunion (de gauche à droite), l’ambassadeur d’Ukraine au Canada Andriy Shevchenko, le vice-président de la Verkhovna Rada Andriy Parubiy, le Premier ministre Justin Trudeau et le député Borys Wrzesnewskyj.
Andriy Parubiy cofondateur du parti social-national néo-nazi d’Ukraine (rebaptisé par la suite Svoboda) a été invité par Trudeau à Ottawa en 2016. Parubiy est un partisan du leader nazi de la Seconde Guerre mondiale, Stepan Bandera. (Voir mondialisation.ca)

Du côté du mouvement de la liberté

Les médias mainstream prétendent avoir vu un symbole nazi brandi par un manifestant. Dans l’hypothèse où un individu aurait été vu avec un symbole nazi parmi la foule des manifestants à Ottawa, il se pose les questions suivantes :

Quel est le contexte du symbole ? Sur certaines affiches ou images, l’usage d’un tel symbole peut notamment servir à dénoncer le nazisme ou une tendance similaire. Exemple :

Pour dénoncer la dérive totalitaire de l’Union Européenne

Est-ce qu’une poignée d’individus qui brandiraient des symboles nazis au milieu ou en marge d’une foule de manifestants peuvent prétendre pour autant représenter celle-ci ? Ou bien s’y sont-ils glissés, éventuellement à la demande d’agents gouvernementaux ou médiatiques, pour tenter d’apporter un discrédit sur la manifestation ?




Malgré la police, Trudeau et les médias désinformateurs, le mouvement de la liberté se poursuit au Québec et ailleurs au Canada

https://twitter.com/blf_tv/status/1494959946462547969?s=11

Il a été arrêté hier, d’après les médias mainstream.

Le même avec un autre commentaire :

https://twitter.com/traducreinfo/status/1495126708273438720?s=11

Conséquences ailleurs :




Le Convoi de la Liberté « Plein d’amour » : Témoignage émouvant d’une jeune mère de famille (avant que la police ne vienne tabasser les manifestants)

[Source : mondialisation.ca]

Par Micheline Ladouceur

Jessica, mère de famille, nous livre un témoignage émouvant sur l’importance de la manifestation du Convoi de la Liberté « plein d’amour ». Elle est venue avec son mari et ses deux enfants pour venir manifester devant le parlement avec leur roulotte.  » C’était le mercredi 16 février alors qu’un débat sur les mesures d’urgence avait lieu au parlement canadien.

Vendredi, le 18 février, le débat n’a pas pu se poursuivre invoquant la sécurité alors que des forces spéciales (policiers, gendarmerie royale et soldats) étaient déployées pour démanteler, réprimer, le Convoi de la Liberté. Tout cela avant même le vote au parlement canadien qui doit (devait ?) avoir lieu lundi prochain. Lors du débat de jeudi le 17, le parti conservateur s’est montré fermement opposé à la mise en application de la loi sur les mesures d’urgence. Seul le parti de Jagmeet Singh NPD (Jeune leader de demain du FEM de Klauss Schwab avec M. Justin Trudeau) appuie l’application de la loi des mesures d’urgence du gouvernement Trudeau. Justin Trudeau a accusé le parti conservateur en disant :

« Conservative party members can stand with people who waves swastikas. »

« Les membres du parti conservateur peuvent se tenir avec des gens qui brandissent des croix gammées. »

Ironiquement c’est Justin Trudeau qui a démontré son amitié pour l’Ukrainien néonazi Andrey Korubij,(voir l’article Convoi de la liberté, les croix gammées de qui? Justin Trudeau soutient les néo-nazis en Ukraine).

Nous souhaitons bon courage à Jessica et sa famille ainsi qu’à tous les camionneurs manifestants.

Merci à Jessica et merci à ces femmes et hommes qui nous ont donné espoir par leur détermination et leur action pacifique.

[Voir, en comparaison du témoignage ci-dessous :
La police d’Ottawa à cheval piétine une vieille dame en déambulateur
et
Canada : la loi des mesures d’urgence utilisée pour réprimer le mouvement de la liberté et geler le compte en banque des manifestants, avant même qu’elle soit votée]

La source originale de cet article est Mondialisation.ca
Copyright © Micheline Ladouceur, Mondialisation.ca, 2022




La police d’Ottawa à cheval piétine une vieille dame en déambulateur

[Source : lemediaen442.fr]

Plus efficaces qu’un flash ball, les sabots des canassons viennent prêter main forte à notre petit dictateur en herbe — comme le qualifie Elon Musk —, le Premier ministre Justin Trudeau. Après avoir emprisonné des citoyens canadiens qui manifestent pour la liberté et fermé leurs comptes en banque, le gouvernement passe à une vitesse supérieure et sort le gaz poivré, les matraques, ainsi que des fusils (au cas où) contre des centaines de citoyens qui manifestent pacifiquement.


[Note de Joseph : et bien sûr la chaîne LCN prétend que c’est faux, qu’aucun cheval n’a piétiné de manifestants.]

Exemple de cette violence d’État, une vidéo venue d’Ottawa vient de faire le tour du monde. Nous pouvons apercevoir des policiers à cheval qui piétinent des manifestants pendant que d’autres frappent avec la crosse de leur fusil. Au milieu des citoyens piétinés, une vieille dame handicapée, en déambulateur — que l’on aperçoit en rouge — venue défendre l’avenir de ses petits-enfants, s’est retrouvée sous les sabots des chevaux qui pèsent pas loin des 500 kg. Pour l’heure, nous ne savons pas ce qu’est devenue cette dame.



Dans une autre vidéo, les policiers se cachent derrière des véhicules et tabassent une personne traînée au sol à coups de genoux puis de poings :

https://twitter.com/AssyrianCrypto/status/1494853405055008771

Le Média en 4-4-2


[Sources Twitter]





Exigeons la suppression immédiate du pass vaccinal et des fichiers sanitaires et refusons le passeport numérique européen

Dr Gerard Delépine

Partout dans le monde, la pression populaire pour la reconquête des libertés fait reculer les enfermistes et les gouvernants provax, pro-pass, pro fichage.

L’échec patent des pseudo vaccins et des pass incapables de contrôler l’épidémie et la colère populaire contre les restrictions injustifiées forcent partout les tyrans à reculer.

Après la Suède, la Norvège, le Danemark, le Royaume-Uni, l’Irlande, la Croatie, la Catalogne, la Lituanie qui les ont déjà abandonnés, c’est au tour de la Suisse et de l’Autriche et même de la quasi-totalité des provinces du Canada de libérer leurs populations. Et les discussions en cours en Allemagne présagent son prochain abandon.

Resterons-nous longtemps les retardataires des grands pays de l’Europe, avec l’Italie et la Grèce en conservant ces restrictions inefficaces et même contre-productives ?

Les pass sanitaires(([1] Accordés aux personnes vaccinées ou guéries ou porteurs d’un test PCR négatif)) comme vaccinaux(([2] Vaccinées ou guéries)) sont totalement inefficaces !

Pour s’en convaincre, il suffit d’examiner l’évolution du nombre de contaminations quotidiennes publiées par l’OMS dans les différents pays avant et après les pass.

En Autriche, le pass sanitaire imposé le 1er juillet 2021 (alors que le nombre de nouveaux cas journaliers moyen s’élevait à 78) a été suivi par une augmentation considérable des contaminations qui ont dépassé les 32 000 fin janvier 2022 (quatre cents fois plus qu’avant le pass !). Qui peut encore prétendre qu’il a été utile ?

En Grèce, l’instauration du pass a été également suivie par une augmentation très importante des contaminations quotidiennes (multipliées par 40)

Même effet délétère constaté en Roumanie :

Dans la majorité des pays qui ont instauré un pass vaccinal à la suite des demandes de la Commission européenne son échec sanitaire avéré a justifié son abandon

Comme en Irlande :

ou en Croatie :

Ou en Grande-Bretagne :

Dans aucun pays, les pass ont été sanitairement efficaces et leur abandon n’a nulle part été suivi d’une aggravation de l’épidémie.

L’échec des pass sanitaires ou vaccinaux était parfaitement prévisible d’emblée, car ils reposent sur l’hypothèse fallacieuse que les pseudos vaccinés seraient résistants au virus et incapables de le transmettre. Ces deux hypothèses sont totalement contredites par les faits depuis déjà de nombreux mois. Rassurer à tort les injectés les incite à négliger les gestes d’hygiène qu’ils respectaient auparavant et accroît logiquement les risques de contamination.

Les pass ne sont qu’un moyen de préparer la dictature à la chinoise

Mais les pass n’ont jamais eu pour but réel le contrôle de l’épidémie ; ils sont destinés à ficher les gens ! Une preuve supplémentaire est apportée par la volonté affirmée (et votée) de les intégrer au passeport numérique européen dès septembre 2022. Ce passeport numérique européen regrouperait carte d’identité (la nouvelle CI française est écrite en anglais), permis de conduire, carte d’électeur, dossier médical, vaccins, numéro de sécurité sociale…

Dire qu’en France il existe une commission informatique et liberté totalement silencieuse depuis la crise !

Trop d’entre nous avons accepté sans broncher les confinements, les couvre-feux, les attestations de sorties, les interdictions de promenades seul en forêt, de s’asseoir sur les plages, de boire debout, le Pass sanitaire, le Pass vaccinal, deux doses pour être libre, puis trois doses et bientôt quatre…

Désormais, totalement engourdis et soumis, trop sont préparés pour accepter la surveillance individuelle, ultime prélude à l’esclavage généralisé : le passeport numérique européen(([3] Olivier Demeulenaere Le pass vaccinal bientôt intégré au passeport numérique européen : Vous serez numérisé, tracé puis pucé Publié le 17 février 2022)) en attendant la puce sous-cutanée qu’on utilise pour surveiller les animaux domestiques.

Dans cette optique, la commission a proposé le 3 février 2022 de prolonger d’un an le certificat Covid-19 de l’UE.

Stella Kyriakidès « Madame Vaccin », qui a signé les contrats d’achats des pseudo vaccins expérimentaux(([4] Et dont le mari a reçu juste après, des crédits de plusieurs millions d’euros dans des conditions opaques.)) a déclaré :

« Aujourd’hui, nous proposons d’actualiser les possibilités d’utilisation des certificats en cas de déplacement dans l’UE afin d’apporter une sécurité aux citoyens aussi longtemps que les besoins de santé publique persisteront… ».

Et on peut être certain que nos dirigeants trouveront un nouveau motif sanitaire chaque année.

Les mesures prétendument sanitaires et les pass inefficaces constituent des atteintes intolérables à nos libertés fondamentales. Il faut accentuer les manifestations pour exiger leur suppression immédiate.

MAIS IL NE FAUT SURTOUT PAS SE CONTENTER DE L’ABROGATION DES PASS.
IL FAUT EXIGER LA SUPPRESSION DES FICHIERS SANITAIRES ET DES QR CODES CONSTITUÉS À CETTE OCCASION ET DE TOUTES LES MESURES COERCITIVES




Ma femme a du crédit

[Extraits de : crashdebug.fr]

Par folamour

Documentaire de LCP sur le système de crédit social chinois. Le fait est que nous avons des informations sur la structure, le système goblablement, mais pas beaucoup d’autres infos.

Sébastien Le Belzic et sa femme chinoise Lulu témoignent d’une partie de leur vie en Chine.

Le crédit social chinois vient de l’étude de la législation américaine sur les crédits.

Vous allez le voir ‘in-vivo’ en action, et c’est glaçant. Le système a été mis en partie en place lors des JO de Pékin en 2008. Il devrait être finalisé rapidement. Or on sait les souhaits de notre gouvernement [de France] et de Thalès, et des autres acteurs du secteur…, de faire de notre pays une ‘vitrine technologique’ (destinée à la vente), de nos capacités de surveillance pour les JO de 2024.

On sait aussi que le noyau dur de leur carte d’identité numérique européenne sera le dossier numérique de santé, aussi vous avez jusqu’à la fin du mois pour le désactiver.

Ce documentaire est un peu comme une bouteille à la mer avant le désastre.

Le motif « sécuritaire » et terroriste en France est en partie bidon puisque le gouvernement fricotte avec des groupes terroristes depuis 1982.

De plus…, à partir de votre score, ils pourront vous refuser des assurances ou des crédits, voire de voyager, et n’oubliez pas qu’à partir de cela, ils pourront faire comme dans minority report, de la « justice prédictive…« .

Bref, c’est l’enfer sur Terre du traçage et de l’évaluation permanente, une société des « citoyens sains avec des corps sains », et des « devoirs avant les droits » comme appelé des vœux de notre président, bref une « énorme prison » à ciel ouvert, où vous ne pouvez pas vous cacher, grâce à la monnaie digitale et au mariage de la High-tech et du capitalisme, sur fond de vieux rèves d’eugénisme nazis (il faut le rappeler quand même), ceci avec l’accord de ce qui nous sert gouvernement ‘officiel’ bien sûr.

Et vu les forces en présence, et les intérêts gouvernementaux et financiers, peu d’espoir d’une prise de conscience salvatrice qui nous permettrait communément d’éviter ce piège du « crédit social », en le refusant massivement.

Pour cela il faudrait que les gens soient informés, aussi si le cœur vous en dit, partagez ce documentaire sur vos réseaux sociaux, et désactivez votre « espace santé« , noyau dur du dispostif européen.



Une société entièrement placée sous surveillance. Des caméras dans les rues, une pour deux habitants. Des applications sur le téléphone portable qui vous tracent à chacun de vos déplacements et enregistrent tout de vos habitudes de consommation. Voilà le quotidien de Lulu et de ses compatriotes, confrontés à cette technologie qui juge leurs vies chaque jour, chaque heure, chaque seconde. Lulu est la femme de Sébastien Le Belzic. Journaliste installé à Pékin depuis 2007, il a décidé de filmer son quotidien pour comprendre en quoi cette révolution technologique et sociale impacte la vie de son épouse.




Terrain — 2e partie

[Source : cv19.fr]

Terrain Le Film – Partie 1 : La Grippe Des Cigognes

La deuxième partie de TERRAIN explore les conséquences globales de l’adoption d’un modèle de santé non viable basé sur la théorie des germes et ouvre la porte à un biome synergique d’autocorrection et de guérison connu par tous les êtres vivants sous le nom de théorie du terrain.






Loi martiale au Canada pour mater les camionneurs : « c’est comme tuer une mouche avec un bazooka »

[Source : Sputnik]

[Illustration : © REUTERS / Carlos Osorio]

Par Jérôme Blanchet-Gravel — 17 février

[Note de Joseph Stroberg : en ce moment même, le 18 février, les diverses forces de police présentes à Ottawa avancent très lentement pour essayer de déloger les camionneurs, alors que des vétérans de l’armée s’adressent à ces derniers pour leur rappeler qu’ils avaient servi non pas le gouvernement, mais les Canadiens.]

Au Canada, la loi sur les mesures d’urgence est entrée en vigueur pour déloger les camionneurs stationnés à Ottawa et leurs supporters. Une mesure disproportionnée, normalement utilisée en temps de guerre, fustige l’avocat Hans Mercier. « Que l’instauration de la loi martiale soit traitée dans les médias comme un fait divers est totalement hallucinant ». L’avocat et chroniqueur canadien Hans Mercier n’en revient toujours pas. Figure du mouvement opposé aux mesures sanitaires, il rappelle d’entrée de jeu que la loi sur les mesures d’urgence a remplacé la loi sur les mesures de guerre en 1988, mais qu’elle reste sensiblement la même :

« C’est extrêmement inquiétant et injustifié. En gros, la loi sur les mesures d’urgence, c’est le nom politiquement correct qu’on a trouvé pour la loi sur les mesures de guerre. […] Il y a un risque de dérapage énorme. Demain matin, la police peut arrêter n’importe quelle personne dans la rue et la jeter en prison », prévient l’avocat au micro de Sputnik.

Ce 14 février, le Premier ministre fédéral Justin Trudeau a effectivement invoqué cette loi dans le but de mettre fin aux blocages dans le centre-ville d’Ottawa, la capitale.

Depuis la première grande manifestation du 29 janvier dernier, des centaines de camionneurs et de manifestants se rassemblent tous les jours à Ottawa, alors que d’autres s’y sont littéralement installés. Des routiers y campent même avec leurs enfants. Le mouvement réclame la fin de toutes les mesures sanitaires au pays, dans un contexte où 80% des Canadiens tous âges confondus sont « adéquatement » vaccinés et où les contaminations, hospitalisations et décès diminuent. Le Canada déplorait 175 décès attribués au Covid le 30 janvier, un chiffre qui est tombé à 113 au 16 février. Depuis le début du siège d’Ottawa, la majorité des provinces canadiennes ont d’ailleurs annoncé d’importants assouplissements en matière de restrictions sanitaires.

« Vers un Tiananmen canadien »?

La veille de l’annonce, les autorités ont informé qu’elles étaient parvenues à dégager les poids lourds et les manifestants qui bloquaient le pont Ambassador, reliant les villes de Windsor et Détroit, entre le Canada et les États-Unis. Le blocage d’infrastructures jugées essentielles est l’un des motifs évoqués par Trudeau pour adopter la loi. Le gouvernement libéral estime avoir besoin des pouvoirs que lui confère la loi pour reprendre le contrôle de plusieurs postes frontaliers, en bonne partie paralysés par les protestataires.

« Ce siège et ce barrage causent des dommages importants à notre économie, à nos institutions démocratiques et à la réputation du Canada dans le monde », a déclaré Chrystia Freeland, vice-Premier ministre canadienne.

Le texte permettra à Ottawa d’employer tous les moyens jugés nécessaires pour mettre fin à la situation, dont celui de geler le compte en banque des récalcitrants:

« On ne limite pas la liberté d’expression ou le droit de manifester pacifiquement. Ce qu’on veut, c’est d’assurer la sécurité des Canadiens, protéger les emplois des travailleurs et rétablir la confiance dans nos institutions », s’est quant à lui justifié Justin Trudeau.

Pour Hans Mercier, il ne faut pas tenir pour acquis que le gouvernement Trudeau tienne son engagement de respecter les droits fondamentaux, alors que les derniers mois ont selon lui été marqués par une série d’abus de la part d’Ottawa et des gouvernements provinciaux. Au Québec, le scandale des fenêtres de classes ouvertes en plein hiver pour freiner le virus a particulièrement choqué le public. Surtout, un noyau dur de protestataires n’entend pas bouger d’un pneu, ce qui pourrait rapidement augmenter la tension. « On ne sait pas encore ce qui peut arriver. On se dirige peut-être vers un Tiananmen canadien« , prévient-il.

De « troubles de voisinage » à « état de guerre »

La division du parti de Justin Trudeau sur la manière de gérer la crise sanitaire pourrait toutefois freiner les ardeurs du Premier ministre dans sa répression des manifestants:

« Il y a déjà une dissension marquée à l’intérieur du gouvernement. […] Si Justin Trudeau en fait trop, il pourrait se faire montrer la porte. Les militaires et les policiers ne sont pas non plus unanimes sur le sujet. Il faut rappeler qu’il y a plusieurs familles parmi les manifestants », souligne Hans Mercier.

Dans l’histoire canadienne, la loi sur les mesures de guerre qui est devenue celle sur les mesures d’urgence avait été utilisée trois fois: en 1914 et 1939, à l’occasion des Première et Seconde Guerres mondiales, ainsi qu’en octobre 1970. Durant la célèbre crise d’Octobre, le Premier ministre Pierre Elliott Trudeau, le père de Justin Trudeau, avait invoqué cette loi à la suite du kidnapping du diplomate anglais James Cross et du ministre provincial Pierre Laporte par le Front de libération du Québec, une cellule terroriste visant l’indépendance du Québec. L’armée avait été déployée dans les rues de Montréal et Pierre Laporte fut finalement retrouvé mort. L’arrestation de dizaines de sympathisants du mouvement souverainiste sans lien avec cette organisation est restée gravée dans les annales.

« Adopter la loi martiale, c’est admettre que le pays est en état de guerre en interne. C’est un grave constat d’échec. Avant le blocage de certains ponts, on parlait seulement de troubles de voisinage! […] Le contexte actuel ne justifie absolument pas une loi où la force l’emporte. C’est comme tuer une mouche avec un bazooka », poursuit Hans Mercier.

Le 16 février en matinée, les policiers de la Ville d’Ottawa ont distribué aux camionneurs sur place un avis leur ordonnant de quitter les lieux sur-le-champ.

Selon ce que relate Le Journal de Montréal, certains routiers ont déchiré illico leurs avis sous les yeux des autorités, alors que d’autres s’en sont débarrassés en en faisant un avion en papier ou en le jetant aux toilettes. Hans Mercier s’inquiète de « la confiance brisée envers les institutions » exprimée entre autres par ces camionneurs :

« Comment peut-on faire une manifestation sans déranger? C’est le but même d’une manifestation que de déranger. Les Canadiens vivent dans un si grand confort qu’ils prennent maintenant leurs libertés pour acquises et banalisent le recours à des mesures exceptionnelles », se désole-t-il.




Les racines de la soumission

Par Jean Bitterlin

Nombreux sont les signaux qui ont été émis depuis le début de la crise coronacircus qui auraient dû déclencher une réaction chez les gens. Pourtant il n’en a rien été.

Parmi ces signaux, citons :

  • Il n’y a pas eu de surmortalité dans les décès toutes causes confondues (donc il ne peut pas y avoir eu de « pandémie »).
  • Les décès concernaient surtout les personnes âgées avec comorbidité(s).
  • La quasi-disparition de la grippe.
  • De nombreux autres fléaux causent infiniment plus de décès que ce qui a été attribué au soi-disant virus SARS-CoV-2.
  • Le caractère follement propagandiste de toute la « pandémie ».
  • Les sommes folles mises en jeu qui ont servi à enrichir les plus riches et à enchaîner les générations futures dans la dette (et donc dans l’esclavage).
  • Les absurdités des annonces (les variants qui disparaissent aussi vite qu’ils sont apparus) et des mesures (tels que le port du masque, y compris pour les tout-petits)
  • La non-isolation du virus (il n’y a pas une seule étude qui montre l’isolation du SARS-CoV-2 !)
  • L’absence de débat qui est la base même de la science et la mise en place de la censure.
  • Etc., etc.

Il n’y a plus cette petite flamme qui devrait être en chacun d’entre nous, qui nous avertit que « quelque chose ne colle pas » et qui déclenche un travail de réflexion et de recherche. Cette petite flamme s’est éteinte y compris (et surtout) chez ceux qui se targuent d’être des intellectuels diplômés. Quelle en est la raison ?

Je pense qu’il faut chercher dans ce qui est profondément ancré dans la nature humaine :

  1. Le conformisme. C’est l’appartenance au groupe qui a permis à l’espèce humaine de survivre ; c’est également vrai pour la plupart des autres espèces (les lions chassent en groupe. Pour les oies, pendant que certaines broutent l’herbe d’autres surveillent l’arrivée d’éventuels prédateurs). Se conformer à l’avis de la majorité a un côté rassurant ; il est agréable de se sentir accepté par le groupe auquel on appartient, il n’y a pas de conflit et cela permet de se valoriser en donnant un avis qui ne peut qu’être approuvé.
  2. La fainéantise. Dans la Nature toutes les espèces animales ont comme règle absolue de ne faire que les efforts qui sont strictement nécessaires à la survie de l’espèce. S’il n’en va pas tout à fait de même pour l’espèce humaine, le « moindre effort » reste malgré tout une règle : tous nos gestes tendent vers l’optimisation. Alors évidemment entre se conformer, ce qui ne demande aucun effort, et chercher à vérifier les faits, pour la plupart le choix est vite fait.
  3. La peur de la mort et de la souffrance. Les miracles indéniables de la médecine dans certains domaines ont profondément marqué l’espèce humaine. La plupart de nos contemporains pensent que le but de l’immortalité sera atteint un jour et ne se soucient donc plus des carences ou des excès liés à leur mode de vie. Évidemment si vous leur annoncez une pandémie susceptible d’éradiquer l’espèce humaine vous les plongez dans le plus profond désespoir et pouvez les manipuler à votre guise.
  4. La très haute opinion qu’ont les gens d’eux-mêmes et qui fait qu’ils ne peuvent même pas envisager qu’ils se trompent ou qu’ils ont été dupés. Le doute est une chose totalement absente de leur esprit.

Chez certains il y a encore une petite flamme vacillante, mais ils sont malheureusement dans l’incapacité à analyser les gravités des différentes menaces et donc à hiérarchiser les problèmes. Et ils ont donc toujours quelque chose de plus important à faire que de s’atteler à l’essentiel (qui est d’ailleurs souvent plutôt difficile à résoudre).

La civilisation industrielle a su tirer parti de ces facteurs innés (conformisme, fainéantise, peur, ego surdimensionné) pour nous emmener et nous enfermer dans des dogmes. Pour cela elle s’est appuyée sur la perversion de certaines puissantes institutions qui ont modelé le cerveau de la plupart d’entre nous.

  1. L’École : loin d’être un outil de développement personnel formant des citoyens libres et autonomes, l’école tue tout esprit critique et tout esprit de curiosité. Elle est là pour, comme le disait Ivan Illich, faire comprendre à quel barreau de l’échelle sociale nous avons droit (je rajouterais « en nous conformant à ses préceptes »).
  2. La Science : bien peu de personnes ne peuvent ne serait-ce qu’imaginer comment fonctionnent de nos jours les sciences biomédicales. Tout n’est que gains financiers, conflits d’intérêts et pouvoir ; la vraie science (celle qui se fonde sur le débat, qui cherche même à réfuter ses propres dires) a totalement disparu. C’est ainsi que l’hypothèse virale a pu s’imposer, que « les vaccins sont sûrs et efficaces » a pu s’imposer et que seuls les progrès de la science pourront nous éviter les « pandémies » ou malheurs futurs.
  3. Les Médias : comme pour la science, bien peu de personnes ne peuvent ne serait-ce qu’imaginer combien les médias sont corrompus (essentiellement d’ailleurs par les laboratoires pharmaceutiques et la finance) et qu’ils ne font que répéter ce que leur dictent certains groupes dont la puissance défie toute imagination. Le caractère propagandiste des médias s’est vraiment révélé avec la « pandémie Covid-19 » quand bien même cela faisait des décennies que ce caractère existait (très régulièrement des « spécialistes » s’exprimaient dans les médias sur les dangers de tel ou tel « virus » et de la nécessité de se vacciner).

Dans ces conditions est-il possible d’échapper au « Système » ? La réponse est hélas ! non pour la plupart d’entre nous. Si de la maternelle à la fin de vos études vous avez appris qu’il faut avoir peur des méchants « virus », que les vaccinations ont sauvé l’Humanité — messages relayés en toute occasion par le corps médical (qui ne veut que votre bien) et relayés très régulièrement par les médias — alors vous ne pouvez qu’intégrer ces messages comme vérité absolue ; et vous conformer.

Une minorité a néanmoins été capable de « résister ». Ce sont toutes ces personnes, évoquées plus haut, dont le parcours de vie a réussi à préserver cette petite flamme ou celles dont la petite flamme a été rallumée par une information, un vécu, une rencontre. Grande est leur responsabilité, car si elles ne veulent pas être également emportées elles se doivent de porter la parole en tous lieux et en toute occasion. Et cela signifie qu’elles se doivent étudier, approfondir et être capables de tenir le discours capable de rallumer la petite flamme encore éteinte chez la grande majorité.

Pour illustrer tout ce qui précède je voudrais vous raconter l’anecdote suivante : fin des années 1970, j’enseignais les mathématiques à des élèves apprentis. Parmi eux, un élève tout ce qu’il y a de plus sérieux, avec de bons résultats, docile, avec peu d’humour, dont le père était patron d’une petite entreprise d’imprimerie. Je suis resté en contact avec cet élève depuis donc plus de 40 ans et j’ai suivi l’évolution de l’entreprise qui est allée s’installer dans de nouveaux locaux. Cela fait des années que je lui envoie tout un tas d’articles sur la vaccination et sur le coronacircus, sans d’ailleurs susciter la moindre réaction de sa part, ce qui ne m’étonnait pas puisque je me doutais qu’il était tout à fait soumis au discours mainstream. Il y a quelques mois, lors d’une rencontre il m’annonce que ses parents se sont fait vacciner ; il était clair pour moi, le connaissant, qu’il allait suivre le même chemin. Il y a une dizaine de jours, ayant besoin de ses services, je lui demande comment ça va et il me répond « La santé va bien (mis à part un infarctus), les affaires, c’est pas bon ». Bien entendu, j’ai immédiatement compris ce qui s’était passé : il s’est fait injecter la première dose, puis la deuxième et peu de temps après il a eu son problème cardiaque, ce qui est désormais un grand classique. Mais, et cela semble à peine croyable (sauf à bien avoir compris tout ce qui précède), voilà que j’apprends qu’à peine sorti de l’hôpital il a accepté de recevoir la troisième dose de rappel !! (Ce qui en dit d’ailleurs long sur ce qu’est devenue la médecine)

Le coronacircus a fait de son entreprise relativement florissante une entreprise qui ne vaut plus un sou (qui veut reprendre une entreprise alors qu’il n’y a plus de travail ni même d’espoir que les affaires reprendront). Voilà une personne que cette arnaque absolue qu’est le Covid-19 aura si ce n’est ruiné du moins fait perdre une somme considérable et qui de plus a véritablement attenté à sa vie. Eh bien, au lieu de se poser des questions (de rallumer la petite flamme), d’aller crier son désespoir et sa colère à l’encontre de tous ceux qui ont organisé cette arnaque Covid-19, le voilà qui en redemande en acceptant cette dose de rappel. Seule la soumission absolue, celle où il n’y a plus ni esprit critique ni esprit de révolte, peut expliquer cela. Il n’y a finalement rien de plus puissant que la croyance en un « virus ».

Jean Bitterlin le 17 février 2022




LE KARMA ou Justice divine ? La publicité mensongère pour les injections potentiellement mortelles est-elle « punie » en public ?

Par Nicole Delépine

Le 13 octobre 2021, une jolie et jeune parlementaire fait la propagande pour les pseudo vax qu’elle vient de se faire injecter devant le parlement autrichien et s’écroule en pleine péroraison.

En février 2022 c’est le tour entre autres d’une artiste et d’une journaliste !

Quelles sont leurs compétences pour nous vendre des injections responsables de morts rapides (dans les semaines suivant la piqûre) et de complications majeures à l’origine de handicaps définitifs et même de maladies de la vache folle prises en compte au congrès de neurologie actuel en Angleterre ?

RETOUR DE KARMA INSTANTANÉ ?

Eva-Maria Holzleitner est une avocate opiniâtre des pseudo vaccins COVID-19 ; son compte Instagram exhorte ses abonnés à « faire confiance aux résultats et aux tests de la science : le scepticisme quant à la stérilité grâce à la vaccination corona n’est pas fondé ! Nous sommes vaccinés ! ».

Membre du Conseil national d’Autriche, elle s’est effondrée en octobre 2021 en plein plaidoyer pour la vaccination des enfants ! Le parlement autrichien n’en attendait pas tant et la séance fut finalement interrompue après quelques minutes de sidération de la présidente.

D’autres ont suivi ce triste exemple : journalistes, artistes, journalistes, politiques voulant nous faire piquer comme ils se vantent de l’avoir fait et s’écroulant par terre pendant leur plaidoyer… Pas de chance !

Le 15/2/22 sur NTV – Clara Pfeffer, journaliste allemande appelle à vacciner tout le monde comme elle vient de le faire et, s’effondre ensuite en direct à la TV

Lors d’un spectacle de stand-up à Tempe (en Arizona), Heather McDonald se moque des effets secondaires du vaccin et des non-vaccinés et ajoute ; « Je suis vaccinée, double vaccinée, boostée… et vaccinée contre la grippe et le zona et j’ai toujours mes règles. Je n’ai pas eu le covid et Jésus m’aime ».

Juste après cette évocation de Jésus, elle s’effondre sur scène et se fracture le crâne. Au moment de sa chute, le public s’est mis à rire aux éclats, pensant à une blague.

Personne ne sait si, à l’avenir, la comédienne continuera à se moquer des non-vaccinés et des femmes qui n’ont plus de règles à la suite de la vaccination en prenant le Christ à témoin.



Finira-t-on par me faire croire à la Justice Immanente ?

Avouerai-je que jusqu’à présent je ne croyais pas à la punition divine et immédiate des prosélytes de l’injection en direct ou de tout autre méfait ?

Pourtant ce n’est pas la première victime dans ces conditions, et le parlement européen nous a déjà livré un morceau de théâtre de ce type. Injectez-les, et hop ! par terre… On aurait pu penser, mauvais esprit que nous sommes, que ces braves personnes ne pensaient qu’au bien d’autrui et ne se vaccineraient pas eux-mêmes ou, comme beaucoup de nos politiciens l’ont fait, avec une fiole pleine de sérum physiologique… Mais cette jeune parlementaire autrichienne par exemple n’était peut-être pas informée des procédés éprouvés de ses aînés entre corruption et mensonges. Trop innocente peut-être ?!

L’histoire ne nous dit pas la suite et espérons que nos amis autrichiens nous donnent de ses nouvelles.

Comme plus de mille sportifs de haut niveau qui se sont écroulés sur les stades, elle s’est effondrée au parlement, son ring. Un coup de stress surajouté à de possibles mini thromboses liées au vax ?(([1] Longue liste d’athlètes — Morts après vaccination (wordpress.com) ))

Qui sait ? Il est vrai que la multiplication d’accidents cardiaques depuis un an (dont l’étiologie est clairement établie pour les médecins honnêtes, par les autopsies ou les IRM et dosages de dimères) ne peut évidemment pas être en rapport avec les injections ! Ce ne serait pas politiquement correct… et nos brillants journalistes de la doxa ont évoqué récemment l’apparition d’une nouvelle maladie cardiaque qui toucherait les jeunes…(([2] EFFETS DELETERES DES INJECTIONS ANTICOVID : STOP! /LE POINT AU 8 02 22 — Docteur Nicole Delépine (nicoledelepine.fr) )) depuis qu’on les vaccine.

Trop fort !




Biden et le Hirak frelaté de Montréal

Par Ahmed Bensaada

Alors qu’il était président de la commission des Affaires étrangères du Sénat, Joe Biden (démocrate) avait activement collaboré avec l’administration Bush fils (républicain) et joué un rôle majeur dans le déclanchement de la guerre contre l’Irak. À cette même période, il a aussi été très proche de la National Endowment for Democracy (NED) comme l’indique sa participation à la cérémonie de remise des « Prix de la démocratie » annuellement octroyés par cet organisme de promotion de la démocratie « Made in USA ». Sur le site de la NED, on peut lire le communiqué suivant :

« Lors d’une cérémonie au Capitole le 9 juillet 2002, la Première Dame Laura Bush a remis le prix annuel de la démocratie du NED à quatre militantes exceptionnelles du monde musulman. Rejointe par le président du CA de la NED, Vin Weber, la sous-secrétaire d’État aux affaires internationales, Paula Dobriansky, et les sénateurs Joseph Biden et Bill Frist, Mme Bush a rendu hommage au travail courageux de ces femmes pour promouvoir la démocratie, les droits de l’homme et la croissance de la société civile dans leur pays respectifs ».

Il faut peut-être rappeler que la NED fait partie d’un important dispositif américain spécialement conçu pour l’ « exportation » de la démocratie au service du Département d’État et de la politique étrangère des États-Unis. En plus de la NED, qui a été créée pour remplacer la CIA dans certaines de ses « missions »,  les acteurs les plus connus dans ce domaine sont l’United States Agency for International Development (USAID), l’International Republican Institute (IRI), le National Democratic Institute for International Affairs (NDI), Freedom House (FH) et l’Open Society Foundation (OSF). Ces organismes sont tous financés par le budget américain ou par des capitaux privés américains et leur rôle de premier plan dans la fomentation des révolutions « colorées » et du « printemps » arabe a été clairement établi.

Après cette nécessaire parenthèse, revenons au communiqué de la NED. Mais qui étaient donc ces quatre lauréates dont on précisait la « musulmanité » de leurs pays? Leurs noms étaient listés dans le texte :

Nadjet Bouda Algérie
Mehrangiz Kar Iran
Mariam Hussein Mohamed Somalie
Muborak Tashpoulatova Ouzbékistan

Et voici la photo officielle de la NED immortalisant l’évènement :

Photo souvenir de l’édition 2002 de la cérémonie de remise des « Prix de la démocratie » de la NED
(Washington, le 9 juillet 2002).
Notes : Carl Gershman a été président de la NED pendant 37 ans(!). Il a récemment pris sa retraite.Vin Weber a occupé le poste de président du CA de la NED de 2001 à 2009.Paula Dobriansky a été sous-secrétaire d’État à la démocratie et aux affaires internationales (2001-2009) sous George W. Bush, membre du CA de Freedom House et membre fondatrice du Project for the New American Century (PNAC), think tank néoconservateur qui a eu une influence considérable sur l’administration Bush fils.

Joe Biden et Bill Frist n’apparaissent pas dans cette photo, mais ils étaient présents à la cérémonie comme le confirme l’article du Los Angeles Times dans lequel on peut lire les déclarations de l’actuel président des États-Unis :

« Je pense que [National Endowment for Democracy] a fait plus pour promouvoir la démocratie dans le monde que toute autre organisation. Vous savez que nous [au Congrès] débattons et votons, et nous prenons des positions controversées. Si nous perdons, nous sommes vaincus et nous touchons une pension. Si vous perdez, vous vous faites tirer dessus. Si vous perdez, vous êtes emprisonné. C’est le véritable test, le véritable test authentique d’un engagement envers la démocratie »

Un bel avenir promis par un faucon pour des dames, certaines dans la fleur de l’âge, qu’on pousse à concocter des « regime change » dans leurs propres pays!

Nadjet Bouda recevant le « Prix de la démocratie » des mains de Laura Bush, la Première dame des États-Unis
(Washington, le 9 juillet 2002).

En fouillant un peu plus dans les archives de la NED, on obtient les biographies des récipiendaires. Voici ce qui est écrit dans le paragraphe consacré à Nadjet Bouda:

« Nadjet Bouda, à 23 ans, est déjà une militante des droits de l’homme bien connue. Elle travaille actuellement avec « SOS Disparus », une organisation qui défend les intérêts des centaines d’Algériens qui ont « disparu » à cause de la guerre civile en cours en Algérie. À l’âge de 16 ans, Mme Bouda a rejoint « Rassemblement Actions Jeunesse » (RAJ), une ONG qui développe et met en œuvre des programmes d’éducation civique et de sensibilisation aux droits humains avec et pour la jeunesse algérienne ; à l’âge de 20 ans, elle était présidente et porte-parole de l’organisation. Son activisme reflète l’importance de la jeunesse dans l’effort de diffusion des valeurs démocratiques dans le monde musulman ».

On apprend donc que la lauréate algérienne, Nadjet Bouda, a été une activiste au sein du RAJ et de « SOS Disparus », deux ONG algériennes très largement financées par la NED (pour plus de détails consulter les  articles suivants: article 1article 2article 3).

Ces deux organismes ont été impliqués en 2011 dans la « Coordination nationale pour le changement et la démocratie » (CNCD), une coalition créée dans le sillage du « printemps » arabe mais qui a rapidement périclité. Ils font aussi partie des groupes qui ont surfé sur le Hirak algérien pour le mener à une impasse dangereuse et néfaste pour la souveraineté et l’intégrité de l’Algérie. Le RAJ a été interdit à cause de ses activités illégales, mais « SOS Disparus » continue (avec d’autres entités du Hirak frelaté) son travail de sape envers l’État-nation algérien. À la voie constitutionnelle sagement choisie en Algérie, ces activistes opposent un dégagisme qui aurait mené le pays vers un inévitable chaos.

Sur son profil LinkedIn, Nadjet Bouda donne des précisions :

  • Octobre 1994 – janvier 2000 : Membre, ensuite présidente et Porte-parole par intérim du RAJ
  • Novembre 2001 – juin 2002 : Assistante de direction de « SOS Disparus »

Et ce n’est pas tout car le CV de Mme Bouda est diversifié. On y apprend aussi qu’elle a travaillé pour le NDI de 2002 à 2005 (en Algérie) et pour Amnesty International de 2005 à 2008 (au Royaume- Uni).

Le NDI est un des quatre satellites de la NED. Il a pour présidente du conseil d’administration nulle autre que Madeleine Albright, l’ancienne secrétaire d’État dans l’administration de Bill Clinton. Albright s’était rendu célèbre par sa fameuse déclaration sur les enfants irakiens : en sacrifier 500 000 est un prix qui « en valait la peine » avait-elle déclaré dans une interview.

De son côté, Amnesty International est un organisme qui est financé par l’Open Society Foundation de G. Soros et on se rappellera qu’il faisait partie de ce groupe d’entités droitdelhommistes qui étaient derrière la résolution du Parlement européen contre l’Algérie, juste quelques jours avant le référendum sur la nouvelle constitution.

Mme Bouda travaille actuellement comme « Chargée de programme principale, Afrique du Nord et Moyen-Orient » au sein d’Equitas, une organisation canadienne d’éducation au droits humains, anciennement connue sous le nom de « Fondation canadienne des droits de la personne ».

Comme bon nombre d’organismes droitdelhommistes, Equitas est financé par une myriade d’organismes nationaux et internationaux dont, évidemment, la NED. Tiens, tiens…NED un jour, NED pour toujours!

Cette activiste algérienne a été très impliquée dans le Hirak frelaté de Montréal. De nombreuses vidéos publiées sur les réseaux sociaux montrent qu’elle a participé aux manifestations qui se sont déroulées à Montréal et, régulièrement (pendant plusieurs années!), en face du consulat général de l’Algérie à Montréal.

La vidéo ci-dessous, par exemple, est filmée en face du consulat, le 12 décembre 2019.

Nadjet Bouda haranguant la foule devant le consulat général d’Algérie à Montréal
(12 décembre 2019)
Cliquez sur l’image pour visionner la vidéo

Sa prise de parole devant la foule le 12 décembre 2019, c’est-à-dire le jour même de l’élection présidentielle algérienne, montre qu’elle faisait partie des personnes qui ont intimidé les citoyens algériens ayant décidé de se présenter au bureau de scrutin du consulat pour exercer leur droit de vote. On peut d’ailleurs l’entendre haranguer la foule tout en dévalorisant l’élection présidentielle et scandant à tue-tête des « Yetnahaw gaâ » (ils doivent tous partir).

Comme je l’ai écrit à l’époque dans un article : « Empêcher de voter, est-ce un acte démocratique? ». Cette question est d’autant plus cruciale sachant que Mme Bouda vit dans un pays où les élections sont un moment solennel de la vie politique.

Nadjet Bouda a continué de surfer sur le Hirak en utilisant le cyberespace. Elle a coanimé une émission diffusée sur le Web à partir de Montréal à laquelle le « célébrissime » Lahouari Addi était convié.

Lahouari Addi interviewé par Nadjet Bouda et Mouloud Idir 
(3 juin 2020)
Cliquez sur l’image pour visionner la vidéo

Déjà, le générique donnait un avant-goût de la discussion. En effet, dans un étrange lexique déroulant inséré au début de la vidéo, on pouvait lire :

« Abdelmadjid Tebboune : Président de la République algérienne démocratique et populaire depuis le 19 décembre 2019, figure imposée par les généraux de façon frauduleuse ».

L’orientation de la discussion était clairement fixée.

Mais ce n’est pas la qualité de l’entretien, médiocre et insipide, qui retient l’attention (il n’y a qu’à voir le nombre de vues et de commentaires), mais c’est plutôt le dénominateur commun entre Addi et Bouda.

J’ai expliqué dans mon livre « Qui sont ces ténors autoproclamés du Hirak algérien? » que Lahouari Addi a été membre de l’ « International Forum for Democratic Studies Research Council », le think tank de la NED et ce, de 1997 à 2008, soit pendant douze années consécutives. Et même avant d’en être membre officiel, Addi avait participé à des réunions organisées par ce forum dont la mission est clairement formulée :

« L’International Forum for Democratic Studies de la National Endowment for Democracy (NED) est un important centre d’analyse et de discussion sur la théorie et la pratique de la démocratie dans le monde. Le Forum complète la mission principale de la NED – aider les groupes de la société civile à l’étranger dans leurs efforts pour favoriser et renforcer la démocratie – en reliant la communauté universitaire avec des militants du monde entier. Par ses activités multiformes, le Forum répond aux défis auxquels sont confrontés les pays du monde entier en analysant les opportunités de transition démocratique, de réforme et de consolidation ».

On se rend compte, en comparant les dates, que lorsque Nadjet Bouda recevait son prix à Washington des mains de Mme Bush, Lahouari Addi était membre du think tank de la NED. Se seraient-ils par hasard rencontrés à cette occasion au Capitol Hill, pour « aider les groupes de la société civile à l’étranger dans leurs efforts pour favoriser et renforcer la démocratie »et discutailler sur le sort de l’Algérie?

Il est quand même étrange de voir, dans ce Hirak frelaté et dénaturé, autant de personnes ayant des accointances avec la « NED & Co. » se métamorphoser en leaders de la démocratie, de la liberté et des droits de l’homme!

Nadjet Bouda, la « ténore autoproclamée » de Montréal pourra certes se vanter d’avoir rencontré le président Joe Biden en chair et en os et approché de tellement si près Laura Bush, LA première dame des États-Unis. Tout comme Fodil Boumala et Barak Obama. Et tous les autres activistes du « printemps » arabe qui ont eu cru avoir ce « privilège ».

Hillary Clinton et Bassem Samir(Activiste égyptien)
Dalia Ziada et Bill Clinton(Activiste égyptienne)
Ammar Abdulhamid ( à gauche) et George W. Bush(Activiste syrien)
Hillary Clinton et Radwan Ziadeh(Activiste syrien)
Tawakkol Karman et Hillary Clinton(Activiste yéménite)
Bill Clinton et Tawakkol Karman(Activiste yéménite)
Laura Bush et Nadjet Bouda(Activiste algérienne)

Y voyez-vous une quelconque similitude?

Les activistes se sont-ils demandés, ne serait-ce qu’un instant, pourquoi ce « privilège » leur a été accordé?

La réponse? Égypte, Libye, Syrie, Yémen, …


Documents complémentaires

Déclaration de Nadjet Bouda concernant le boycott de l’élection présidentielle algérienne 2019
(Date: 12 décembre 2019)
La déclaration a été diffusée en direct par AlternaTV
Cliquez sur l’image pour visionner la vidéo

Veillée organisée devant le consulat d’Algérie à Montréal. Intervention de Nadjet Bouda 
(Date: 7 novembre 2019)
Évènement diffusé en direct par AlternaTV
Cliquez sur l’image pour visionner la vidéo

Pour plus d’information sur AlternaTV, cliquez sur le logo ci-dessous




Comment Big Pharma et Bill Gates luttent contre la démocratie et la santé publique

[Source : Ligne Droite • La matinale de Radio Courtoisie
@LigneDroiteMatinale]






La taxe « Justice Covid pour les Victimes de la Dictature »

Par Alain Tortosa

Avant tout procès, les faire payer !

Faire condamner tous les coupables et les collabos sera une tache délirante et d’autant plus qu’il faudra d’abord recréer une justice qui n’existe plus (pas) en France.

Sans compter que le nombre de coupables se monte par milliers, dizaines de milliers ou même centaines de milliers.

Alors que faire en priorité ?

Je vous rappelle que notre « cher Président » a dit dès le début de la plandémie que nous étions en guerre.

Et nous savons tous que durant un conflit, il y a toujours les profiteurs, les collabos et les cyniques qui s’en mettent plein les poches.

Nous pouvons citer en vrac, et j’en oublie, les entreprises pharmaceutiques qui ont commercialisé les injections ou les tests, des médecins, des infirmiers, des pharmaciens, des laboratoires d’analyse et bien d’autres dans le milieu médical qui ont vu leur chiffre d’affaires exploser durant les années Covid.

Sans compter les vendeurs de masques, de gel, de seringues, d’objets de protection, de signalétiques ou les médias corrompus pour ne citer qu’eux.

Nous avons aussi les entreprises spécialisées dans la sécurité, les vendeurs de gilets pare-balles, de drones, des sociétés de vigiles… visant à surveiller ou réprimer tout acte de résistance.

Puis sans compter les entreprises de vente par correspondance ou dans le domaine du luxe qui ont vu leur chiffre d’affaires exploser durant les confinements.

Et enfin tous les boursicoteurs qui se sont engraissés sur la souffrance des Français.

Remarquez que la crise du Covid n’est pas encore terminée, que la plandémie climatique n’a pas encore pris sa vitesse de croisière, mais que nous, consommateurs, sommes déjà condamnés à régler une partie de la dette et les sommes colossales gaspillées.

Carburant, électricité, gaz, produits alimentaires… l’inflation est là et ce n’est qu’un avant-goût.

Nous sommes non seulement les victimes d’un régime totalitaire qui nous a privés et nous prive encore de notre liberté et de nos droits fondamentaux…

Non seulement des millions de Français ont été vaccinés de force, je ne vois pas comment le dire autrement, qui devront subir (et peut-être aussi leur descendance) la roulette russe des effets secondaires jusqu’à leur décès…

Mais le plan ne consiste pas à nous dédommager à hauteur du préjudice, mais nous faire rembourser la dette !

La victime condamnée à payer son agresseur pendant des années !

C’est pourquoi je préconise une loi (à la libération) qui rétablira un début de justice sans avoir à passer par des procès et des condamnations.

Les taux, les montants, les modalités, les exemptions seront à ajuster, mais en voici le principe :

La création de la taxe « Justice Covid pour les Victimes de la Dictature ».

Le principe en est simple.

« Tout entreprise ou individu dont le chiffre d’affaires annuel des années Covid aura bénéficié d’une progression de 10 % de plus qu’attendu devra rembourser la différence. »

L’objectif, rendre au peuple le hold-up financier des collabos…

Exemple :

Je suis une entreprise de vente de masques.

Mon chiffre d’affaires des dernières années a une progression annuelle moyenne de 5 %.

J’ai eu pendant les années Covid une augmentation annuelle de mon chiffre de 70 % de plus par rapport aux prévisions des années précédentes (5 %), je devrai alors rembourser la différence.

Concrètement, j’avais fait 300 000 euros de CA avant le Covid, j’aurais dû faire 315 000 avec 5 % de progression annuelle.

Si j’avais eu 15 % d’augmentation (10 % de tolérance + 5 % prévisionnel), j’aurais fait 45 000 euros de chiffre de plus, soit un total annuel de 345 000 euros.

Mais en réalité j’ai fait 75 % de plus (Les 5 % prévisionnels + 70 % d’argent sale) soit 225 000 euros de plus avec un CA total de 525 000 euros.

La loi dit que je ne suis pas taxable jusqu’à 345 000 euros, je dois donc rembourser 525 000 – 345 000 = 180 000 euros.

Le montant de ma taxe « Justice Covid » sera de 180 000 euros.

C’est évidemment à peaufiner, mais le principe est simple :

Empêcher que l’on puisse affirmer « il s’est enrichi grâce au Covid ».

De fait on taxera différemment un laboratoire d’analyse ou un vendeur de gel qu’un artisan crêpier afin de distinguer un enrichissement dû à la crise d’un enrichissement dû au labeur…

Que faire de cet argent injustement gagné, mais justement récupéré ?

Le redistribuer équitablement sous la forme d’une prime « Justice Covid » à tous les Français (qui par exemple gagnent moins de 10 SMIC) quand bien même la somme restituée à chaque français serait ridicule.

Pas de procès dans un premier temps, c’est de la simple prise de guerre à l’ennemi !

Et ne me dites pas que la Constitution ne le permettrait pas. Une Constitution qui autorise la détention à résidence de Français sans la moindre condamnation préalable… No Comment.

Pour résumer, il n’est pas acceptable qu’un médecin ait pu s’acheter un voilier de 15 mètres grâce aux injections ou que Pfizer ait pu récolter des milliards sur le dos des Français.

L’heure des procès et des lourdes condamnations viendra par la suite.

Cela risque de prendre des années, mais la taxe « Justice Covid » permettra un premier dédommagement rapide, de récupérer quelques milliards d’euros, et une reconnaissance du statut de victime des Français privés de liberté et de dignité.

J’aimerais pouvoir lire partout :

« Je suis POUR la taxe Justice Covid ! »

Merci.

Alain Tortosa

16 février 2022 https://7milliards.fr/tortosa20220216-taxe-justice-covid.pdf

PS : N’hésitez à transmettre ce texte notamment aux candidats à la présidentielle et à nos élus.




Le passe vaccinal bientôt intégré au passeport numérique européen. Numérisé, tracé, et bientôt pucé !

Par Claude Janvier

Mauvaise nouvelle : le portefeuille d’identité numérique européen a passé le stade de la puberté. Il va devenir adulte à partir de septembre 2022. Merci à Mike Boroswki pour son entretien réalisé le 8 février 2022, de Madame la députée européenne Virginie Joron,(([1] https://www.youtube.com/watch?v=TPPEcotXK04)) que je relate dans les grandes lignes.

À feu doux pendant deux ans, vous avez accepté, en grande majorité, et sans broncher les confinements, les couvre-feux, les attestations de sorties, les plages où la position assise était interdite, les brasseries où prendre son café debout était prohibé mais le siroter assis était autorisé et enfin, le passe sanitaire. Puis, mijotage oblige, la sauce a été réduite à un passe vaccinal, trois doses. Désormais, totalement confits, engourdis et soumis, vous êtes cuits à point pour accepter l’esclavage ultime : le passeport numérique européen.

Virginie Joron, députée EU, travaille entre autres, dans la Commission du marché intérieur et de la protection des consommateurs. Après plus de vingt ans d’Internet, nos gouvernants font semblant de pousser des cris d’orfraie concernant le monopole des GAFAM. — Google, Apple, Facebook, Amazon, Microsoft —, alors qu’ils se félicitent en secret des censures et de leur contrôle numérique mondial.

Cette commission voudrait les réglementer, car ils ne respectent aucune loi mise à part les leurs. But louable. Mais les explications de Virginie Joron laissent à penser que ce ne sera pas si simple.

En effet, à peine le sujet GAFAM débattu en commission, elle a été sommée, avec un autre rapporteur de la commission, de s’expliquer en « visio » avec la Maison-Blanche. Des députés européens obligés de s’expliquer devant le gouvernement américain, incroyable, mais malheureusement réel.

Aux sceptiques, pensant que Bruxelles est indépendante des USA, revoyez votre copie. Washington leur a demandé d’y aller mollo avec les pauvres chéris de la Silicon Valley, de ne pas les brusquer et donc de ne pas leur nuire. L’UE est donc bien une franchise américaine, sans aucun pouvoir décisionnaire, à part celui de promouvoir le slogan unique « d’America first ».

Ça devrait vous éclairer sur le fait que l’UE fera tout pour sanctionner encore et toujours la Russie, ainsi que les pays non-alignés, tels que l’Iran, la Syrie et le Venezuela. Toutes les pièces du puzzle sont présentes. Encore faut-il accepter de les regarder.

Quand vous vous faites grattouiller les sinus par un test RT-PCR,(([2] RT-PCR : Reverse Transcriptase-Polymerase Chain Reaction)) savez-vous que les résultats sont transmis à Microsoft ? Non, vous ne le saviez pas ? Et bien, c’est la réalité. Vos données personnelles sont gérées en finalité par une équipe de Bill Gates « of Hell », un des serviteurs zélés du Mordor.(([3] Le Mordor, le pays noir, dans l’œuvre magistrale de Tolkien, « Le seigneur des anneaux ».)) Souriez, vous êtes tracés.

La souveraineté française n’existe plus. L’UE est totalement à la botte de l’oligarchie mondiale financière apatride. La Commission européenne a présenté en mars 2021 une « boussole numérique » — au cas où vous perdriez le nord — pour traduire les ambitions numériques de l’UE pour 2030 en termes concrets.(([4] https://labo.societenumerique.gouv.fr/2021/06/17/une-boussole-numerique-pour-leurope/))

Bientôt, vous serez l’heureux propriétaire d’un portefeuille d’identité numérique européen, couplé avec votre passe vaccinal, avec votre photo d’identité cachée dans votre QR code.(([5] https://www.francesoir.fr/societe-science-tech/qr-code-et-identite-bientot-lies)) Étant donné que la majorité des gens se sont habitués à exhiber leur passe vaccinal sous forme de QR code, vous aurez bientôt le plaisir de pouvoir montrer votre minois, avec le sourire bien évidemment proscris, genre tête de bagnard. Le top !

D’ailleurs, le QR code existe quasiment partout. Asseyez-vous à la terrasse d’une brasserie, et très souvent vous avez le QR code de la carte des mets et des boissons collé sur la table. Vous scannez et vous profitez — pour employer le slogan niaiseux apprécié d’une grande majorité de restaurateurs bien dans le moule. Ces derniers ne réalisent pas qu’ils sont en train de se faire manger — un comble pour un restaurateur — par le Grand Reset (Klaus Schwab, fondateur de Davos) qui écrit dans cette « bible » les plans de l’oligarchie mondiale. L’un d’entre eux décrit qu’il ne subsistera, dans peu de temps, que 3 ou 4 grands groupes agroalimentaires et ses franchises mondiales.

« Une identité fiable et sécurisée pour tous les Européens ». Tel est le slogan de l’UE. Dans un monde peuplé d’humanistes, ce serait merveilleux. Malheureusement, la vérité est ailleurs. L’oligarchie mondiale veut contrôler chaque citoyen de la Terre, avec pour credo : contrôle, puissance et bénéfices engrangés.

Mme Stella Kyriakidès ou Stella Kyriakidou, commissaire à la santé et à la sécurité alimentaire, est aussi « Madame vaccin », puisque c’est elle qui a signé les contrats d’achats des liquides expérimentaux ARNm de Pfizer, Moderna, et des deux autres. Elle déclare :

« … Aujourd’hui, nous proposons d’actualiser les possibilités d’utilisation des certificats en cas de déplacement dans l’UE afin d’apporter une sécurité aux citoyens aussi longtemps que les besoins de santé publique persisteront… ».

La commission a donc proposé le 3 février 2022 de prolonger d’un an le certificat Covid-19 de l’UE. Les arguments sont simples :

« Le virus Covid-19 reste largement répandu en Europe, avec les nouveaux variants qui ne cessent d’apparaître ».

Cerise sur le gâteau, la sémillante Chypriote a une affaire non résolue sur les bras :

« … Des crédits de plusieurs millions d’euros ont été accordés dans des conditions opaques au mari de la commissaire européenne. L’affaire a poussé un eurodéputé à demander des explications à celle qui est en charge de l’achat des vaccins au nom de l’UE… »

Oh, la vilaine… — RT France 17 mai 2021 : corruption : la commissaire européenne à la Santé Stella Kyriakidou au cœur d’une polémique.(([6] https://francais.rt.com/international/86789-prets-bancaires-la-commissaire-europeenne-a-la-sante-kyriakidou-au-coeur-d-une-polemique))

Le certificat Covid est donc là pour longtemps, car le portefeuille d’identité numérique a été voté à l’unanimité en 2021 au sein de l’UE, peu importe le parti politique.

Que va donc contenir votre E-wallet ou portefeuille électronique ? Tout : carte d’identité — la nouvelle CI Française est écrite en anglais. Cherchez l’erreur —, permis de conduire, carte d’électeur, dossier médical, vaccins, numéro de sécurité sociale, maîtresses et amants (presque)… Mais la première chose qu’ils veulent mettre en place dedans est le dossier médical. Tiens donc… Cela vous étonne ? On comprend mieux l’empressement à entériner le passe vaccinal. En ce moment, quelques pays de l’UE ont levé le pied à son propos, mais rassurez-vous, c’est pour mieux l’intégrer dans votre futur portefeuille électronique. N’en doutez pas, nous l’aurons à vie.

Le texte date de 2014 — 8 ans déjà —, avec en substance la volonté de digitaliser les informations. Le travail est pratiquement terminé, car les parlementaires et commissaires européens ont mis le turbo pour y arriver.

Un des articles phares du fondement de l’UE est la liberté de circulation. Mais depuis deux ans, sans respect des règlements ni des lois, tout a été balayé d’un revers de la main. Il faut avoir un passe vaccinal pour se déplacer dans l’UE. Bienvenu dans un crédit social à la Chinoise, sauce européenne, avec la bénédiction de l’oncle Sam.

25 % de la population en Europe ne possède pas de smartphone. Ceux-là ne pourront bientôt plus bouger, à moins de s’en procurer un. Et si une personne n’a pas de passe vaccinal et refuse le portefeuille électronique ? Elle ne sera rien, n’aura droit à rien, et ne pourra franchir aucune frontière, puisqu’elle n’aura pas d’identité.

L’identité numérique est vendue comme un service qui ne sera pas obligatoire. « …Ne cherchez plus vos papiers dans vos poches. À la place, exhibez votre E-wallet dans votre smartphone… ». Très subtil. Personne n’y sera obligé, sauf que dans les faits, il sera obligatoire, à moins de vivre dans son coin, retiré de tout, en cultivant ses endives. Et encore…

Facultatif demain, obligatoire après-demain. Prochaine étape, la puce sous la peau. Encore mieux que le smartphone. Pas de risque de perte, votre mémoire sera sous la peau. Jason Bourne sort de ce corps !(([7] Jason Bourne est le héros d’une trilogie de l’écrivain Robert Ludlum : La mémoire dans la peau, La mort dans la peau et La vengeance dans la peau.)) Le grand piège mondial dans toute sa splendeur.

Cerise sur le gâteau, votre E-wallet sera géré par des sociétés privées. Toutes vos pathologies, vos penchants, votre bon ou mauvais cholestérol seront à la vue des assurances, des banques, et des institutions. Pratique, car vous saurez pourquoi votre assurance a subitement majoré vos échéances ou pourquoi votre banquier vous refuse un prêt.

Un « magnifique » futur s’ouvre devant chacun de nous. Et vous avez encore confiance dans ceux qui nous gouvernent ? Franchement, vous ne devriez pas. Ce sont des menteurs patentés. Un exemple : ils nous ont garanti l’anonymat lors du scan de votre QR code à un serveur de restaurant. Ils nous ont dit que le serveur ne verrait que la couleur verte — passe valide — ou la couleur rouge — passe invalide —. C’est vrai, mais ils ont oublié de vous signaler que votre nom et votre date de naissance s’affichent aussi.

Étant donné que nous sommes gouvernés par l’oligarchie financière mondiale apatride, les excès sont à prévoir. Le monde des bisounours n’existe que dans l’imaginaire, et franchement, on a du mouron à se faire. Tout, absolument tout, sera contrôlé. Y compris le tri de vos déchets. La taxonomie verte est aussi sur les rails au sein de l’UE. Vous triez bien, un bon point, vous vous mélangez un peu les pinceaux, un mauvais point. Pendant ce temps-là, les grands pollueurs continueront de pourrir la planète sans être inquiétés.

À méditer :

« Confier nos vies numériques au gouvernement et aux sociétés privées, plutôt qu’à Facebook et Google, c’est sauter de la poêle à frire pour aller dans le feu », a déclaré le député européen Patrick Breyer (Allemagne)

Claude Janvier

Co-auteur avec Jean-Loup Izambert du livre « Le virus et le président ». IS édition. www.is-edition.com

Pour aller plus loin :

https://www.latrompette.fr/articles/posts/l-europe-s-apprete-a-lancer-une-carte-d-identite-numerique-pour-tous-les-citoyens

https://www.crashdebug.fr/l-ue-lance-un-portefeuille-numerique-derniere-etape-vers-une-societe-sans-argent-liquide-zerohedge-com

https://www.bfmtv.com/economie/economie-social/union-europeenne/l-ue-va-lancer-un-portefeuille-numerique-pour-faciliter-la-vie-des-europeens_AN-202106010139.html

https://ec.europa.eu/info/strategy/priorities-2019-2024/europe-fit-digital-age/european-digital-identity_fr

https://www.nouvelobs.com/politique/20210603.OBS44840/l-ue-veut-creer-une-identite-numerique-europeenne-pour-rassembler-tous-vos-documents-officiels.html#modal-msg

https://www.carbone4.com/analyse-taxonomie-europeenne

Notes




Jour 18 du blocage frontalier de Coutts en Alberta : la police et les manifestants s’embrassent, se serrent la main et chantent ensemble l’hymne national






Sauvons les enfants des injections géniques

Par Nicole Delépine

[Voir aussi sur RL]

Il est urgent de sauver les enfants !
Arrêtons ce pouvoir aveugle, en refusant l’injection des petits 5 – 11 ans et bientôt des 6 mois – 5 ans présentée dans les médias comme un « progrès » !
L’injection est irréversible et rien n’est connu actuellement pour annuler les effets pervers de ce médicament en expérimentation. Alors parents, résistez !
Il n’existe aucune raison pour accepter cette injection morbide, car les enfants ne font pas de formes sévères du covid, ne contaminent ni les adultes ni les enfants, et le pseudo-vaccin ne protège en aucun cas des contaminations.

QUELLE JUSTIFICATION EN DEHORS DE LA SOUMISSION À UN POUVOIR QUI VOUS TROMPE DEPUIS DEUX ANS ?

Les mesures prétendument sanitaires imposées à des milliards d’individus dans le monde ont gravement nui à l’humanité avec ses conséquences d’interruption de soins, d’activités scolaires et sportives, d’aggravation de la pauvreté, d’explosions des troubles psychiques dépressions, suicides, etc. Et tout particulièrement aux enfants et jeunes adultes dont la vie va être impactée pendant plusieurs décennies par ces traumatismes successifs.

Nous avons évoqué dans « les enfants sacrifiés du covid » l’ensemble des conséquences sanitaires et scolaires des décisions mortifères et injustifiées imposées sans aucune justification scientifique réelle aux populations. Le confinement imposé brutalement alors que le Président quelques jours plutôt nous incitait à aller au théâtre a constitué le premier traumatisme majeur dans la vie des jeunes (et des moins jeunes).

La coupure brutale de leur milieu scolaire, périscolaire, sportif, musical, amical les a plongés dans l’infortune que l’écran d’ordinateur n’a bien évidemment pas compensée. Et depuis ce funeste mois de mars 2020, les persécutions se sont poursuivies par l’obligation invraisemblable du port du masque (sans aucun intérêt sanitaire, comme de multiples études l’ont démontré bien antérieurement à ce scénario) et de privations de liberté ubuesques et tragiques en même temps, comme l’interdiction de se promener en forêt ou sur la plage, même seul. Les mesures délirantes et discordantes, contradictoires d’un jour à l’autre ont entraîné des troubles cognitifs, des dépressions, des décrochages scolaires etc., dont les séquelles sont innombrables à court, moyen et long terme, tant économiques, sociales que psychologiques.

Nous ne sommes pas dans un problème sanitaire, mais bien uniquement politique visant à habituer des populations entières à se soumettre, à se déshumaniser et à ressembler de plus en plus aux petits Chinois qui « s’adapteraient » selon nos médias complices.
Non, ils ne sont pas adaptés, mais SOUMIS. Non, nous ne devons pas laisser soumettre nos enfants aux caprices des milliardaires mondialistes en recherche de légions d’« esclaves » déshumanisés obéissants, aveugles et sourds. Le port du masque des scolaires encore d’actualité en janvier 22 alors que l’épidémie est terminée et que les enfants ne sont pas à risque est infâme. Il démontre, s’il en était besoin, la perversité des mesures sans intérêt sanitaire.

Le masque est une torture psychologique, physique, mentale. Dès l’été 2020 des psychologues, orthophonistes, pédopsychiatres, enseignants appelaient au secours, constatant chez les très jeunes des troubles de gravité variable, comme l’incapacité à apprendre à lire, à écrire, sans l’aide de la reconnaissance des lettres et syllabes sur la bouche, chez l’enseignant et l’élève. La perte de l’apprentissage du langage non verbal est aussi d’une gravité certaine dans la formation des émotions et des rapports entre humains, aussi petits soient-il. Nous avons, comme d’autres, insisté sur la toxicité particulière du port du masque en crèche et maternelle conduisant à des enfants qui ne savent pas ce qu’est un visage (leurs dessins en témoignent)…

Ce pouvoir a-t-il seulement réfléchi aux conséquences multiples de ce masque inutile favorisant infections locales et pulmonaires en plus des déformations anatomiques bien décrites par les dentistes et ORL. Une circulaire pondue par un énarque dans un beau bureau des ors de la République, imposant le port du satané masque et basta, on obéit. La France est devenue une vaste expérience de Milgram, la population étant hypnotisée par un message unique infiniment répété par tous les médias mainstream financés par le pouvoir et Big Pharma, focalisé sur le risque du virus, qui pourtant de toute évidence ne constitue plus une menace réelle et n’a jamais été grave pour les individus de moins de 65 ans sans maladie associée.

Et comme cela ne suffisait pas, a commencé la grande braderie du pseudo-vaccin qui allait tout arranger et avant tout les finances de Pfizer et affidés. Les pressions médiatiques ont divisé les familles, rajoutant du stress au stress, et la soumission du peuple espérant sortir du marasme via la piqûre merveilleuse, ou simplement pouvoir continuer à gagner sa vie a été large. Les multiples prêches des ministres ont utilisé la pensée magique via cette piqûre.

Les mentalités ont changé, la recherche d’emploi a chuté (réglant magnifiquement le taux de chômage, faute de nouveaux inscrits). Les étudiants et élèves se sont, pour trop d’entre eux, désintéressés du fond, et ont privilégié la vie au jour le jour, ne voulant pas pour la majorité d’entre eux entendre parler des possibles effets délétères du masque et autres coercitions ni de ceux de la piqûre libératrice, que nient effrontément les officiels du ministère.

Et quand trop de sportifs contraints de se vacciner par leurs fédérations sont tombés au champ d’honneur, les médecins de plateau ont inventé une nouvelle maladie cardiaque… Et pourtant combien de décès déjà chez les jeunes vaccinés, que certains se permettent de relativiser par rapport au nombre d’injectés.

Mais si c’était votre enfant qui a perdu la vue, qui aura des problèmes de stérilité, ou des maladies auto-immunes, quand ce ne sera pas une maladie de la vache folle, ou qui a perdu la vie d’emblée ? Rare effet secondaire ? Oui, espérons-le, mais votre enfant n’est pas une statistique et a-t-il mérité de jouer à la roulette russe, pour vous rassurer, pour obéir, pour vous soumettre par fatigue, facilité , fuite ? Nous sommes là, parents, grands-parents pour les défendre et non pour les livrer en sacrifice, enfant martyre qui symbolise le don ultime de l’innocence face à la violence.

La résistance à la piqûre magique et la tentative du miracle du test tous azimuts

Et comme il y avait de la « résistance » tout de même y compris chez les soignants, et les pompiers aux premières loges pour constater les dégâts, ils eurent l’idée de génie du TEST à gogo qui nous a coûté dix milliards d’euros en 2021 et beaucoup de peur, de drames, d’arrêt de travail et d’école. La peur, toujours la peur, leur seule arme.

Alors que les enfants ne contaminent pas et ne risquent rien, ils ont créé des queues dignes de l’URSS de jadis, devant les pharmacies pour détecter les cas contacts, ces fameuses personnes sans symptômes, sans maladie, mais qui de l’imagination de nos politiques, permettraient de perpétrer cette psychose populaire, en faisant croire malgré tout à un RISQUE !

Nouvelle déstabilisation des écoles, mais aussi des entreprises par les absences imposées par le pouvoir. Tout ça pourquoi ? User la patience du peuple et l’envoyer dans les centres de la piqûre, rapidement avant que le cirque de la plandémie ne se dévoile trop vite. Si on peut encore utiliser les millions de doses achetés à Pfizer, ce sera toujours cela… et ils tentent d’accélérer encore et encore. Ils espèrent pouvoir maintenir leurs restrictions délétères le plus longtemps possible pour les annuler peu de temps avant les élections en proclamant « la victoire contre le vilain virus grâce aux mesures sanitaires et aux vaccins » et en tirer un bénéfice électoral.

Eh oui, car la réalité finit par apparaître, malgré la mise en scène mondiale, le bilan des injections apparaît de plus en plus clairement catastrophique dans les pays les plus vaccinés, qui sont devenus les plus contaminés et les plus touchés par la mortalité. À ces pays très vaccinés, qui souffrent d’une mortalité cumulée record s’opposent ceux qui ont refusé les ukases de l’OMS et utilisé les traitements précoces (tels que l’hydroxychloroquine, antibiotiques, Ivermectine etc.).

L’Algérie, dont la population est semblable à celle de la France par l’âge et les comorbidités de sa population, a démontré l’efficacité du protocole Raoult.

Manifestement la situation évolue très vite et il est indispensable que les parents fassent échapper leurs enfants à l’injection morbide, car rien ne pourra les protéger des effets délétères irréversibles des injections.
Espérons que les convois de la liberté dans tous les pays du monde nous libèrent enfin.

Enfin, préservons nos enfants en allant informer les parents partout où ils sont menacés d’injection. Vous en sauverez peut-être quelques-uns. Le collectif Blouses Blanches l’a expérimenté efficacement en allant s’entretenir avec les parents tentés.
« L’acharnement des corrompus sur les enfants s’intensifie pendant qu’on parle élections et autres jeux olympiques. (voir sur Telegram leaders unis pour la protection des enfants)
https://www.ouest-france.fr/bretagne/melesse-35520/une-vaccimobile-pour-les-enfants-le-mercredi-16-fevrier-b1805c88-a1b5-47b7-bb9b-e646c776b366

Melesse. Une « vaccimobile » pour les enfants le mercredi 16 février

Afin de répondre à l’élargissement de la campagne de vaccination contre le Covid aux enfants âgés de 5 à 11 ans, la Croix-Rouge, avec la collaboration de l’Agence régionale de santé (ARS), a mis en place une « vaccimobile » qui se déplace de commune en commune. « Les cas contacts peuvent se faire vaccin… »

Appelez les journaux pour protester contre cette publicité normalement interdite puisque ce médicament expérimental est remboursé par la Sécurité Sociale…




Canada : les banques peuvent geler les comptes des personnes soupçonnées de lien avec les blocages

[Source : RT France]

[Photo : © Ted Shaffrey Source: AP]

Les banques peuvent désormais geler les comptes des personnes soupçonnées d’être liées au mouvement contre les restrictions, sans que la justice n’ait besoin d’intervenir. Une mesure qui vise à « assurer la sécurité des Canadiens » selon Justin Trudeau.

Après avoir qualifié les manifestants du « Convoi de la liberté » de « minorité à la marge », puis avoir dénoncé un prétendu «racisme» au sein du mouvement, Justin Trudeau a radicalement changé de stratégie face aux manifestants le 14 février. Le Premier ministre libéral a en effet pris une mesure sans précédent pour tenter de déloger les protestataires qui bloquent la capitale Ottawa depuis près de trois semaines, annonçant recourir à Loi sur les mesures d’urgence. 

Et parmi les mesures les plus marquantes, il en est une qui sort du lot : sans avoir besoin d’une ordonnance du tribunal, les banques pourront désormais geler les comptes personnels de toute personne soupçonnée d’être liée aux manifestations.

« À partir d’aujourd’hui, une banque ou tout autre organisme financier, sera en mesure d’immédiatement geler ou suspendre un compte, sans décision de justice. Ils seront protégés de la responsabilité civile pour ces actions prises de bonne foi », a expliqué la ministre des Finances Christya Freeland au cours d’une conférence de presse.

« Les institutions gouvernementales fédérales vont avoir une nouvelle autorité élargie pour partager des informations pertinentes avec les banques », a-t-elle précisé.

« On n’accepte pas que les gens viennent endommager notre économie et faire mal, et brimer les libertés de leurs concitoyens par des manifestations illégales », a de son côté déclaré le Premier ministre canadien au cours de la même conférence de presse, visiblement insensible à l’ironie de la situation, après deux ans de restrictions au motif sanitaire. Le Premier ministre, qui a assuré que la portée de ces mesures serait « limitée dans le temps », « raisonnable et proportionnée » et souligné que l’armée ne serait pas déployée, a estimé que ces mesures sans précédent étaient nécessaires pour « assurer la sécurité des Canadiens, et protéger leurs emplois ».

Indignation à géométrie variable pour Trudeau ?

Comme le souligne la BBC, les opposants au gouvernement n’ont pas manqué de mettre en lumière le fait que le Premier ministre avait exprimé son soutien aux agriculteurs indiens qui ont bloqué les principales autoroutes menant à New Delhi pendant un an en 2021, déclarant à l’époque :

« Le Canada sera toujours là pour défendre le droit de manifester pacifiquement. »

C’est seulement la deuxième fois de l’histoire du Canada que la loi sur les mesures d’urgence est activée en temps de paix. La dernière fois remonte à la crise de 1970 quand Pierre Elliott Trudeau – le père de l’actuel Premier ministre qui était alors au pouvoir – l’avait invoquée après l’enlèvement par le Front de libération du Québec d’un attaché commercial britannique, James Richard Cross, et d’un ministre québécois, Pierre Laporte.

En savoir plus sur RT France : https://francais.rt.com/international/95813-canada-banques-peuvent-geler-comptes-personnes-soupconnees-liees-blocages




De Pétain à Macron : Bernanos contre leur France robotisée

Par Nicolas Bonnal

Bernanos publie sa fastueuse France contre les robots en 1945. Il rêve d’une France qui serait reine de la Liberté dans le futur, mais nous savons ce qu’il en est. Pour le reste il ne se trompe sur rien ; il voit un monde déjà unifié (le monde multilatéral est un simulacre sur le plan du réalisme) :

« Car, à la fin du compte, la Russie n’a pas moins tiré profit du système capitaliste que l’Amérique ou l’Angleterre ; elle y a joué le rôle classique du parlementaire qui fait fortune dans l’opposition. Bref, les régimes jadis opposés par l’idéologie sont maintenant étroitement unis par la technique. »

Il résume le monde moderne :

« Un monde gagné pour la Technique (qui) est perdu pour la Liberté. »

Il voit déjà un monde fermé, comme celui de nos passes vaccinaux et politiques (voyez les émissions de l’avocat Pierre Gentillet) :

« Jamais un système n’a été plus fermé que celui-ci, n’a offert moins de perspectives de transformations, de changements, et les catastrophes qui s’y succèdent, avec une régularité monotone, n’ont précisément ce caractère de gravité que parce qu’elles s’y passent en vase clos. »

Le monde moderne est le fils de la civilisation capitaliste anglo-saxonne ; les démocraties et les dictatures ne sont pas très différentes :

« Ce qui fait l’unité de la civilisation capitaliste, c’est l’esprit qui l’anime, c’est l’homme qu’elle a formé. Il est ridicule de parler des dictatures comme de monstruosités tombées de la lune, ou d’une planète plus éloignée encore, dans le paisible univers démocratique. Si le climat du monde moderne n’était pas favorable à ces monstres, on n’aurait pas vu en Italie, en Allemagne, en Russie, en Espagne, des millions et des millions d’hommes s’offrir corps et âmes aux demi-dieux, et partout ailleurs dans le monde — en France, en Angleterre, aux États-Unis — d’autres millions d’hommes partager publiquement ou en secret la nouvelle idolâtrie. »

Bernanos résume son époque de pétainistes de 1945 :

« … contre de Gaulle cette poignée de nobles dégénérés, de militaires sans cervelle et sans cœur, d’intellectuels à la solde des spéculateurs, d’académiciens sans vergogne, de prélats serviles… »

Les seuls à défendre la tyrannie vaccinale sont d’ailleurs les gaullistes (il est vrai qu’en Gaule éternellement occupée tout le monde se réclame de lui). Bernanos aussi souligne une « coalition d’ignorance et d’intérêts… ». On est bien d’accord.

Pour le reste il rappelle :

« Ce sont les démocrates qui font les démocraties, c’est le citoyen qui fait la République. Une démocratie sans démocrates, une République sans citoyens, c’est déjà une dictature. »

Depuis la Révolution Française on a créé le citoyen docile :

« Tel est le résultat de la propagande incessante faite depuis tant d’années par tout ce qui dans le monde se trouve intéressé à la formation en série d’une humanité docile, de plus en plus docile, à mesure que l’organisation économique, les concurrences et les guerres exigent une réglementation plus minutieuse. »

Bernanos a été marqué par une pièce du méprisé Courteline :

« Il y a vingt ans, le petit bourgeois français refusait de laisser prendre ses empreintes digitales, formalité jusqu’alors réservée aux forçats… Ce n’était pas ses doigts que le petit bourgeois français, l’immortel, La Brige de Courteline, craignait de salir, c’était sa dignité, c’était son âme. »

Ce résistant annonçait un monde sinistre :

« Le petit bourgeois français n’avait certainement pas assez d’imagination pour se représenter un monde comme le nôtre si différent du sien, un monde où à chaque carrefour la Police d’État guetterait les suspects, filtrerait les passants, ferait du moindre portier d’hôtel, responsable de ses fiches, son auxiliaire bénévole et public. »

Avant le marquage numérique, le marquage digital n’est guère acceptable ; mais il fut accepté par tout le monde :

« Depuis vingt ans, combien de millions d’hommes, en Russie, en Italie, en Allemagne, en Espagne, ont été ainsi, grâce aux empreintes digitales, mis dans l’impossibilité non pas seulement de nuire aux Tyrans, mais de s’en cacher ou de les fuir ? »

Brève allusion au code QR ou au Nombre de la Bête :

« Et lorsque l’État jugera plus pratique, afin d’épargner le temps de ses innombrables contrôleurs, de nous imposer une marque extérieure, pourquoi hésiterions-nous à nous laisser marquer au fer, à la joue ou à la fesse, comme le bétail ? L’épuration des Mal-Pensants, si chère aux régimes totalitaires, en serait grandement facilitée. »

La civilisation de la liberté sous l’Ancien Régime (que Bernanos reconnaît, mais pas Foucault — par exemple) a disparu, car le monde de l’Ancien monde est mort. Ce qui reste c’est le bobo acidulé ou le retraité téléphage que Bernanos décrit dans ses termes :

« Une civilisation ne s’écroule pas comme un édifice ; on dirait beaucoup plus exactement qu’elle se vide peu à peu de sa substance, jusqu’à ce qu’il n’en reste plus que l’écorce. On pourrait dire plus exactement encore qu’une civilisation disparaît avec l’espèce d’homme, le type d’humanité, sorti d’elle. »

Le service militaire a joué son rôle (la France toujours est responsable…) :

« L’institution du service militaire obligatoire, idée totalitaire s’il en fut jamais, au point qu’on en pourrait déduire le système tout entier comme des axiomes d’Euclide la géométrie, a marqué un recul immense de la civilisation. »

Il ne faut pas s’étonner de la passivité et de la collaboration de la population. L’homme hait la Liberté :

« Des millions et des millions d’hommes ne croyaient plus à la liberté, c’est-à-dire qu’ils ne l’aimaient plus, ils ne la sentaient plus nécessaire, ils y avaient seulement leurs habitudes, et il leur suffisait d’en parler le langage. Depuis longtemps, l’État se fortifiait de tout ce qu’ils abandonnaient de plein gré. Ils n’avaient que le mot de révolution à la bouche, mais ce mot de révolution, par une comique chinoiserie du vocabulaire, signifiait la Révolution Socialiste, c’est-à-dire le triomphal et définitif avènement de l’État, la Raison d’État couronnant aussi l’édifice économique… »

Et notre écrivain ajoute magnifiquement :

« Ils le savaient bien, ils souhaitaient en finir le plus tôt possible avec leur conscience, ils souhaitaient, au fond d’eux-mêmes, que l’État les débarrassât de ce reste de liberté, car ils n’osaient pas s’avouer qu’ils en étaient arrivés à la haïr. Oh ! ce mot de haine doit paraître un peu gros, qu’importe ! Ils haïssaient la liberté comme un homme hait la femme dont il n’est plus digne… »

Je vous laisse redécouvrir ce texte inoubliable et inutile.

https://fr.wikisource.org/wiki/La_France_contre_les_robots

https://fr.wikisource.org/wiki/Boubouroche_et_autres_pi%C3%A8ces/L%E2%80%99Article_330




Des Canadiens forment une barricade humaine pour empêcher les flics d’arrêter des camionneurs – Le monde doit voir ça !

[Source : Anguille sous roche]

Les habitants patriotes et épris de liberté d’Ottawa, au Canada, ont formé hier une barricade humaine pour empêcher les camionneurs du Convoi de la liberté d’être arrêtés et dispersés par la police.

Malgré les tentatives des médias grand public de discréditer les camionneurs et de les dépeindre comme impopulaires auprès des Canadiens ordinaires, les résidents de Milk River en Alberta sont venus en masse hier pour offrir leur soutien au convoi de la liberté.

Alors que la police s’avançait pour arrêter les camionneurs, les habitants ont dit « Pas sous notre surveillance » et ont formé une barricade humaine pour protéger le convoi. Le monde entier doit voir cette vidéo. Le pouvoir du peuple en action.

Alors que les élites continuent de tenter de discréditer le puissant mouvement du Convoi de la liberté, certains membres des forces de police ont commencé à voir clair dans les mensonges de l’establishment.

Un policier d’Edmonton a publié une vidéo émouvante, en uniforme, faisant l’éloge du « Convoi de la liberté » et suggérant que les mandats de vaccination sont « illégaux » et « dangereux ».

CTV rapporte : L’agent Elena Golysheva, du service de police d’Edmonton, s’est clairement identifiée avant de prononcer un discours de trois minutes qui a depuis été partagé des milliers de fois sur des groupes de médias sociaux.

On ne sait pas exactement où la vidéo a été publiée à l’origine, mais elle a été largement partagée sur Facebook et Instagram.

« Mes superviseurs m’ont toujours rappelé : « S’il vous plaît, remettez en question les ordres dangereux. Posez-nous des questions si vous pensez que les ordres sont illégaux. » Et c’est ce que je pense que notre travail est. Merci aux camionneurs de se lever pour nous tous », a déclaré Mme Golysheva dans la vidéo.

Golysheva a déclaré qu’elle avait déménagé au Canada « pour être libre », et elle a remercié les camionneurs et les agriculteurs d’avoir « défendu (les) policiers, alors que nous ne pouvions pas vous défendre ».

« La liberté même pour laquelle j’ai déménagé au Canada a été enlevée, et les Canadiens qui vivent ici, qui sont nés ici, ne le reconnaissent pas. Je me suis battue pour venir ici pour l’avoir, et c’était très difficile de voir qu’on me l’enlève », a-t-elle déclaré.

Mme Golysheva a déclaré qu’elle ne suivrait pas les « ordres illégaux » car elle est pour la « liberté de choix », mais elle n’a pas expliqué exactement ce que cela signifiait.




Convoi de la liberté : le pouvoir panique

[source : Hashtable via RI]

Par Hashtable.

Et voilà donc que les rassemblements routiers canadiens font des émules : en France, de nombreux automobilistes ont décidé de remonter jusqu’à Paris pour réclamer la fin du pass vaccinal et des contraintes sanitaires qui pèsent encore sur le territoire et ce alors que tout indique que la pandémie est à présent terminée. Des individus qui viennent protester à Paris et comptent ne pas se laisser faire ? Mais c’est un véritable crime démocratique, enfin, voyons !

Pensez donc : si on commence à laisser le peuple s’exprimer d’une façon moins camouflable que les défilés du samedi, et, surtout, si l’expression de ce mécontentement se traduit par quelque chose de très visible à la télévision, on prend le risque de voir s’effondrer tout un pan de la communication gouvernementale. Pour rappel, selon cette communication, ceux qui s’opposent à la ségrégation sanitaire des citoyens sont une infime minorité de gens déplorables. Très officiellement, il y a une parfaite égalité entre ces rouspéteurs égoïstes et les pires anti-vaccins anti-sciences complotistes d’extrême-droite fasciste (et pourquoi pas anti-féministes, transphobes et homophobes pour faire bonne mesure).

Bref, il n’est absolument pas question de laisser la moindre visibilité à ces groupuscules qui pourraient montrer que le peuple en a maintenant clairement soupé des restrictions et des obligations diverses et entend bien recouvrer cette liberté qu’une minorité de manipulateurs et de manipulés leur a confisqué.

Dès lors et avec la cohérence qui a marqué l’ensemble du quinquennat de Macron, l’État entend maintenant stopper toute circulation de ce « Convoi de la liberté », probablement avec la même compétence qu’il a déployée pour arrêter la circulation du virus : plutôt que de laisser Paris se faire davantage engluer par ce Convoi que par les seules exactions d’Anne Hidalgo, la Préfecture de police et le gouvernement ont donc agi préventivement pour bloquer la capitale, dans une sorte d’auto-sabotage subtil dont on peine à distinguer la logique.

Avec le même sens du timing et de la proportionnalité qui a largement contribué à sa popularité, le préfet Lallemant a donc mobilisé une série de blindés légers de la gendarmerie histoire de faire le sale travail de façon officielle, créant des bouchons massifs autour de la capitale, avant toute exaction éventuelle de ces manifestants pourtant pacifiques, poussant le professionnalisme jusqu’à détruire du mobilier urbain avant que des civils ne s’en occupent. C’est malin.

Notons au passage la diligence avec laquelle le pouvoir actuel a sorti ses joujoux militaires pour calmer les ardeurs de cette foule : pour cette prétendue « infime minorité », on n’hésite pas à mettre de gros moyens, engins qu’on ne verra jamais déployés dans certaines cités émotives où le vivrensemble s’exprime régulièrement de façon effervescente. Il est manifestement bien plus important de réprimer des citoyens lambdas dans leur camping-cars que de faire revenir l’ordre républicain dans les plaques tournantes de la drogue, même lorsqu’elles sont ostensiblement bloquées par les malfrats du cru.

Heureusement que la France reste un grand pays démocratique : on peut toujours y manifester à condition de ne pas se faire remarquer, de ne bloquer personne et de n’exprimer que des slogans neutres sous peine, le cas échéant, de poursuites, d’amendes voire de mutilations.

Les choses sont claires : comme l’expliquent les petits barons de la Macronie avec la même logique implacable qui a donné tout son sel à ce magnifique quinquennat, s’il est parfaitement légal voire désirable de bloquer tout un pays en forçant les citoyens à rester chez eux puis à n’en bloquer qu’une partie sur des critères médicaux, tant Castex que Bayrou et beaucoup d’autres trouveront scandaleux qu’on puisse les bloquer, eux, dans leurs petites allées et venues au moment où la facture commence à drôlement s’allonger et où des individus commencent à leur réclamer des comptes.

De façon très claire, le pouvoir en place a donc choisi de criminaliser les citoyens qui manifestent pour retrouver une vie normale dans un pays où plus rien ne justifie aucune des contraintes mises en place. Refusant toute discussion avec ces individus qu’ils savent pertinemment ne pas faire partie de leur électorat, Macron et son gouvernement choisissent donc cette fermeté qui leur a permis de mettre fin au mouvement des Gilets jaunes sans résoudre le moindre des problèmes qui les avaient motivés en premier lieu.

On peut raisonnablement s’interroger sur la pertinence politique de ce mode d’action.

Bien sûr et même si l’apparente gourmandise de Lallemand pour ses troupes et ses blindés cache mal une certaine panique du pouvoir, sur le court terme – celui qui mène à l’élection présidentielle – distribuer des coups de matraque pourrait ne pas coûter trop cher, surtout que, comme rappelé plus haut, le pouvoir ne tape pas sur son électorat et peut donc y aller « de bon cœur ».

Sur le moyen et long termes cependant, ce genre de comportement, étouffant tout dialogue et choisissant le mépris le plus crasse et la violence inutile ne peut amener qu’à une situation inextricable, pour tout dire intenable pour le pouvoir actuel : d’un côté (et c’est sans doute voulu par Macron dans un calcul très dangereux), on peut assister à une forte radicalisation du mouvement actuel, surtout s’il se fait récupérer par une extrême-gauche habituée du coup de poing.

De l’autre cependant, que faire de ces restrictions ubuesques en France alors que les pays, autourrelâchent progressivement les leurs ?

Le moindre relâchement sera une victoire facile pour les mouvements protestataires et une défaite cuisante pour le pouvoir en place qui ne pourra faire passer l’abandon des contraintes pour un geste bienveillant. Et à l’inverse, toute inflexibilité représentera un boulevard pour les opposants politiques qui auront beau jeu de promettre l’arrêt de ces dernières…

Si les élections ne sont pas annulées ou reportées d’ici là, il ne reste que deux mois à Macron pour assainir la situation sociale du pays, particulièrement explosive. Il serait sain de douter qu’il en sera capable et il serait même raisonnable de parier le contraire.

Comme je l’ai écrit dans un précédent billet, à partir de maintenant, toutes les saloperies de sa part sont imaginables, y compris les pires.




En Iran, on surveillait mon voile, en France, on contrôle mon masque

[Source : RL]

Par Élisabeth Lalesart

J’ai rendez-vous sur le port à Toulon, devant la sculpture « Le génie de la navigation » plus connue sous le nom de « Cuverville ». Je prends par cours Lafayette, là où un carton contenant une tête avait atterri en plein jour, événement devenu banal somme toute, dans un pays où il est décrété que l’insécurité est du domaine du fantasme.

Bizarrement, ce ne sont pas les voilées qui vont me renvoyer dans le temps, ce sont les masqués !
Bien qu’il n’y ait aucun contrôle depuis belle lurette, et qu’au vu de l’heure, il n’y a pas foule non plus, ce qui se traduit par une distanciation d’office de quelques dizaines de mètres entre chacun, je retrouve l’esprit de zèle à la soumission chez ces masqués.

Au début de la révolution islamique, le voile n’a pas été obligatoire tout de suite. Encore mieux, l’ayatollah Khomeyni et son entourage rassuraient la populace en jurant la main sur le cœur que tout ce qui se rapportait au port du voile n’était que rumeur, colportée par des haineux et méchants non pas complotistes, le mot n’existait pas, mais « anti-révolutionnaires », ou encore « passéistes, has been, royalistes ». Parallèlement, ils ont mis très vite en place ce que je nomme mieux grâce à l’actualité : la « cancel culture ». Notre histoire, nos ancêtres et tout ce qui se rapportait aux rois perses qui faisaient notre fierté ont été gommés purement et simplement de nos livres et programmes scolaires. Toujours dans l’esprit d’aujourd’hui, en parlant de novlangue, ils ont mis un point d’honneur à ringardiser l’utilisation des mots persans, en les remplaçant par des mots d’origine arabe. Et il était de bon ton de les prononcer avec l’accent qu’il faut, c’est-à-dire un bien plus raide et plus guttural que le persan natif. Tiens tiens, ça me rappelle nos banlieues !

D’ailleurs pour preuve, Ghotbzadeh, l’homme qui accompagnait Khomeyni dans l’avion d’Air France qui le ramenait de Neauphle-le- Château à Téhéran, avait sa nièce qui naviguait dans les milieux huppés, maquillée et déshabillée à outrance, à l’occidentale ! J’étais écœurée par ces femmes qui se voilaient et pire encore, voilaient leurs petites filles d’à peine 5 ans, alors que rien n’était encore imposé. Un bout de tissu présenté comme libérateur et salvateur du regard et de la perversion de l’homme, garant d’une bonne conduite vis-à-vis de Dieu. Le masque n’est-il pas présenté comme notre passeport pour la liberté, sauveur face à la maladie et garant d’une bonne conduite vis-à-vis de la bien-pensance moralisatrice qui estampille les soumis, comme de bons citoyens responsables opposés aux irresponsables, comme l’étaient désignées les femmes non voilées en Iran, victimes de viols ou d’agressions ?

Quand même, étant entendu que le gouvernement a dit que le masque ne servait à rien, puis l’a rendu obligatoire, et là en 2022, on nous dit qu’en fait pour être efficace il eût fallu des FFP2, dont peu de gens savent même à quoi ça ressemble, comment certains sont prompts à le porter sans y être forcé ? En plus à des moments ou des endroits où l’utilité est improbable ? J’en ai même croisé seul ou en couple, à la plage !

La vraie question qui m’a chagrinée à ce moment précis, c’est comment puis-je être témoin, par deux fois dans l’histoire de l’humanité, de ce processus de soumission inconditionnelle, de la palper et de l’appréhender d’aussi près ?

Quelle malchance ! J’ai envie de crier, de secouer les gens en leur disant : mais n’avez-vous pas vu ce qui arrive après ? Mais je piétine, je suis en avance et faisant du surplace, je commence à avoir froid. Je me dis que ça ne sert à rien, les gens ont finalement le sort qu’ils méritent. Gagnée par une grande lassitude, je me dirige vers le centre commercial qui ouvre à peine. Et là, encore et encore, la réalité me rattrape et me sort de mes réflexions.

Un vigile au regard vide, dénué de toute empathie, vient de me faire un signe de tête accompagné d’un grognement sourd : il faut que je monte mon masque pour qu’il recouvre mon nez. Comme jadis, un pasdaran, gardien de la République islamique l’avait fait, cette fois-là, dans l’autre sens, il fallait que je descende mon voile sur mon front.

Mon sang s’est glacé, la machine à broyer la liberté est bel et bien en marche. Chaque petit soldat se contentant d’imposer son petit bout de « diktat » sans même savoir combien il contribue à l’avènement du « Grand diktat » !

Élisabeth Lalesart




Pfizer, un colosse aux pieds d’argile ?

Par Nicole Delépine

Chaque seconde, les fabricants de vaccin les plus importants (Pfizer, BioNTech, Moderna) réalisent, ensemble, plus de 1000 dollars de profits.

Argent public, profits privés

« Cette entreprise américaine a réalisé 900 millions de dollars de profits au cours du seul premier trimestre de 2021. La source de ces profits est à chercher dans les près de 4 milliards de doses de vaccins à ARN messager (ARNm) que les gouvernements du monde entier lui ont commandées dont 2,4 milliards par la seule Commission Européenne et 600 millions par les USA.

Pourtant, Pfizer n’a contribué ni à la recherche scientifique autour de ce vaccin ni à son développement. La technologie ARNm a été inventée dans les laboratoires de BioNTech, cette innovation a été financée par d’énormes subventions publiques. Par exemple Les États-Unis ont financé à hauteur de 11 milliards de dollars la recherche, le développement et la précommande de doses. L’État allemand y a investi 375 millions d’euros.

Pfizer possédait la capacité de produire ce vaccin en masse et détenait les brevets des procédés industriels utilisés, l’entreprise a pu vendre le vaccin comme son propre produit. La propriété privée des moyens de production a donc permis à Pfizer d’avoir la main sur une avancée scientifique financée, à l’origine, par de l’argent public ».

Avidité maximale

Pour des frais de production s’élevant à 1,18 dollar par dose de vaccin, Pfizer a vendu au gouvernement américain la dose au prix de 19,50 dollars !

L’Union Européenne avait réussi à négocier le prix des injections Pfizer à 12 euros, mais lorsqu’elle a décidé de multiplier sa demande de vaccins, l’entreprise a augmenté ses prix de plus de 25 %.(([1] Pfizer quietly warns investors about tidal wave of potential fraud revelations soon to come (op-ed) – Miami Standard
Published on February 11, 2022 By Miami Standard News Staf))

Au 14 février 2022, un total de 10 101 955 700 doses de vaccin a été administré, et 66 % des habitants des pays du G7 — Allemagne, Canada, États-Unis, France, Italie, Japon et Royaume-Uni — ont reçu au moins deux doses.

À l’opposé, à peine 6 % de la population globale du continent africain a été injectée (?), ce qui leur a évité les effets secondaires majeurs.

Les données de l’OMS montrent pourtant que les injections Pfizer n’ont pas diminué la mortalité Covid19 dans les pays les plus vaccinés qui se retrouvent dans le groupe des plus fortes mortalités.

L’inefficacité médicale multiplie les profits

La très faible durée (2-3 mois) de la protection alléguée de l’injection Pfizer a constitué un formidable accélérateur de profits pour Pfizer, car les gouvernements ont depuis multiplié les commandes.

Ainsi la Commission européenne qui avait initialement commandé 600 millions de doses (300 en décembre 2020 et 300 janvier 2021) a signé pour plus de 1,8 milliard de doses (à prix majoré !) en mai 2021 prévoyant ainsi 6 rappels par adulte en 2022 et 2023 !

Une propagande omniprésente pour Pfizer s’accompagne d’une dévalorisation des produits concurrents

« il est attesté que Pfizer a mené des campagnes de désinformation visant ses concurrents. Ainsi, un documentaire diffusé par Channel 4 — une chaîne britannique — a révélé que Pfizer avait payé de prétendus “experts” pour affirmer que le vaccin d’AstraZeneca (beaucoup moins cher) pouvait entraîner un cancer et menaçait la vie des patients immunodéprimés ».

MAIS L’AVENIR EST PEUT-ÊTRE MOINS ROSE

Les dissimulations de la FDA condamnées en justice.

Cet article(([2] Pfizer quietly warns investors about tidal wave of potential fraud revelations soon to come (op-ed) – Miami Standard
Published on February 11, 2022 By Miami Standard News Staf)) relate les réactions de Pfizer à la suite des révélations hautement probables de la justice quand elle aura connaissance de documents cachés jusque-là.

Pfizer met discrètement en garde les investisseurs contre les conséquences possibles des révélations de fraudes.

Cette tribune craint que la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis obéisse aux tribunaux qui l’ont condamnée à communiquer le premier lot mensuel de 55 000 pages de données de Pfizer concernant le « vaccin Pfizer ». Est-ce imaginable que ce monstre de pouvoir obéisse ?

L’agence avait initialement décidé de ne produire que 500 pages de documents Pfizer par mois, ce qui aurait nécessité plusieurs décennies pour en obtenir la totalité. Tout le monde avait hurlé, mais personne n’espérait une issue positive. Cependant, les contestations judiciaires ont abouti à l’accélération de ce calendrier d’accès aux documents.

On imagine que Big Pharma cherche des solutions pour poursuivre les dissimulations comme Pfizer en a l’habitude. Mais ici le scandale est mondial et les bénéfices encore plus époustouflants que les fois précédentes. Y arriveront-ils ?

Cette année, Pfizer s’attend à générer plus de 54 milliards de dollars de ventes, à moins que son énorme arnaque ne s’effondre complètement. Rêvons un peu.

Dans son plus récent rapport sur les résultats du quatrième trimestre de l’année 2021, Pfizer a averti les investisseurs que les choses ne s’annonçaient pas aussi bien que prévu.

Aurons-nous rapidement la totalité des rapports qui révèlent la fraude et la tromperie comme certains l’espèrent ?

Le communiqué Pfizer prévient les investisseurs

« qu’il pourrait y avoir de nouvelles données précliniques, cliniques ou de sécurité défavorables et d’autres analyses de données précliniques, cliniques ou de sécurité existantes ou d’autres informations concernant la qualité des données précliniques, cliniques ou de sécurité, y compris par audit ou inspection »

En d’autres termes, les rapports fournis à la FDA pour obtention d’une AMM PROVISOIRE auraient été falsifiés… Quelles seront les conséquences ?

Le communiqué Pfizer mentionne que « les publications à venir pourraient affecter le cours de l’action de la société », prévenant les investisseurs que le temps des bénéfices record de Pfizer touche bientôt à sa fin en raison de « préoccupations concernant l’intégrité des données cliniques ».

Maintenant que Pfizer a engrangé des milliards grâce à la fraude, la société affirme que le covid pourrait magiquement « disparaître complètement ».

Pfizer fait référence dans son rapport au fait que le temps de la plandémie pourrait prendre fin alors qu’une masse critique de la population mondiale réalise enfin à la vérité sur l’escroquerie plandémique.

« Il semblerait que l’objectif de Pfizer depuis le début était de pressurerla planète pour des profits obscènes aussi longtemps que possible grâce à son arnaque au “vaccin”. Sachant que les gens finiraient par tout comprendre, cependant, le plan a été conçu de manière à cacher toutes les données incriminantes des essais cliniques jusqu’en 2076 ».

Rappelons qu’en France les délibérations du conseil de défense sont dissimulées par un secret défense pour 50 ans, mais que le gouvernement se flatte de la gestion transparente de ses décisions.

MAIS le calendrier des publications prévu en 2076 est bousculé par la justice. « Quel serait l’impact d’un procès pour crimes contre l’humanité sur l’entreprise ? » a demandé quelqu’un de Zero Hedge.

« Ce n’était pas pour rien », a déclaré quelqu’un d’autre à propos de la persistance des confinements et des obligations vaccinales, dont nous savons maintenant qu’ils n’ont rien fait pour arrêter la propagation. « C’était pour les profits et instaurer le contrôle social ».

Plus de nouvelles connexes sur les injections mortelles de covid de Pfizer peuvent être trouvées sur Corruption.news et aussi sur de nombreuses sources établies à partir des données officielles des agences sanitaires.(([3] EFFETS DÉLÉTÈRES DES INJECTIONS ANTICOVID : STOP ! / LE POINT AU 8 02 22 — Docteur Nicole Delépine (nicoledelepine.fr) ))
Les sources de cet article incluent ZeroHedge.com, NaturalNews.com, Brighteon.TV

Effectivement de nombreuses informations apparaissent, comme cette conversation entre Fauci — le Mr Santé des présidents des USA toujours en poste — et un biologiste sur la « fabrication du virus » en mars 2020 ! On comprend que Pfizer et Fauci soient inquiets des révélations qui n’attendront pas cinquante ans comme prévu (y compris en France !). Le Grand Jury démarré en ce mois de février 2022 par l’avocat international Reiner Fuellmich et associés permettra aussi d’en savoir plus.

Les actions Pfizer

QUAND VOTRE SANTÉ N’EST PLUS QU’UN JEU EN BOURSE ! ARRIVEZ-VOUS À Y CROIRE ? Triste réalité, pourtant…

Selon Boursorama La valeur du jour à Wall Street Pfizer déçoit les investisseurs avec ses perspectives 2022 – 08/02/2022 à 17:22 — Boursorama

AOF•08/02/2022 à 17:22

(AOF) — Pfizer occupe la dernière place du S&P 500 avec un repli de 5,8 % à 50,10 dollars, dans le sillage de perspectives 2022 décevantes. En même temps que la publication de ses résultats trimestriels, le laboratoire pharmaceutique a en effet annoncé viser cette année un bénéfice ajusté par action de 6,35 à 6,55 dollars, alors les analystes de FactSet en attendent 6,71. De même, les revenus devraient être compris en 98 et 102 milliards de dollars, pour un consensus s’élevant à 103,2 milliards.

Parmi ces revenus, Pfizer espère réaliser environ 32 milliards de dollars de ventes pour son vaccin anti-covid, le Comirnaty, ainsi que 22 milliards pour sa pilule antivirale, le Paxlovid. Malheureusement, cela reste là aussi en dessous des attentes du marché, puisque les données Refinitiv font état d’anticipations de 33,79 milliards et 22,88 milliards de dollars respectivement.

Au niveau de la production, le laboratoire a dépassé son objectif de réaliser 3 milliards de doses du Comirnaty en 2021 et veut désormais en fabriquer plus de 4 milliards cette année.

Mais malgré des perspectives en deçà des attentes, Pfizer a toutefois su engendrer plus de bénéfices que prévu au quatrième trimestre 2021. Le groupe a en effet publié un profit trimestriel de 3,39 milliards de dollars, soit 59 cents par action, très loin des 847 millions, ou 15 cents par action, générés un an plus tôt à la même époque. Hors éléments exceptionnels, le BPA ressort ainsi à 1,08 dollar (+151 %), bien au-dessus du consensus FactSet de 87 cents.

Les revenus du laboratoire pharmaceutique ont quant à eux plus que doublé (+105 %) à 23,84 milliards de dollars.

Sur l’ensemble de l’année 2021, le bénéfice ajusté s’est élevé à 4,42 dollars par action et le chiffre d’affaires a atteint 81,3 milliards. Les ventes du vaccin anti-covid ont contribué à hauteur de 36,8 milliards de dollars, alors que celles de l’antiviral, autorisé à partir de fin décembre, ont été limitées à 76 millions.

Mais probablement cela va aller beaucoup plus mal pour les ventes de vaccins, comme le PDG de Moderna le craint probablement qui a vendu de grosses quantités d’actions avant la chute récente des cours.

En attendant, Pfizer tente de prolonger l’autorisation « d’urgence » du pseudovaccin en ce 14 février 22.





Comment début 2022 un pneumologue peut-il adhérer totalement à la doxa ? Être pour toutes les mesures sanitaires, pour la vaccination obligatoire, la dictature, etc.

Par Alain Tortosa

J’écris « un » parce que c’est un exemple vécu, mais il est évident que je pourrais écrire « la quasi intégralité des pneumologues ».

Ceci est d’autant plus perturbant que de l’autre côté de l’échiquier des médecins, tout aussi diplômés et respectables, ont fait le choix de dénoncer toutes ces mesures, aussi bien leur inefficacité que leur dangerosité.

Alors pour en revenir à mon exemple, comment un médecin (a priori) intelligent, extrêmement impliqué dans le devenir de ses patients et avec vingt ans de pratique, peut en arriver à ne pas douter et basculer dans un extrémisme qui touche au religieux ?

Ce n’est pas le cas de celui-ci, mais dorénavant des « médecins » de ville affichent qu’ils refusent de prendre en charge des malades non vaccinés ; c’est dire le degré de folie.

« Interdit aux lépreux ! »

Le consentement libre et éclairé qui est inscrit dans la loi, pierre angulaire de la médecine, n’est plus.

Je précise que toute la suite de mon texte relève de données officielles, d’études publiées dans des revues scientifiques ou par l’OMS et que d’aucuns peuvent qualifier de « complotistes » pour se disculper de leur devoir d’information et de recherche.

Mon pneumologue que je vais nommer Jean-Michel pour des raisons de facilité d’écriture considère que le gouvernement est bien « gentil » et plutôt laxiste en permettant aux non-vaccinés d’aller à l’hôpital.

En revanche, il n’a aucun état d’âme pour prendre en charge des fumeurs chroniques qui peuvent saturer les réanimations.

Médecin qui approuve les interdictions de fumer dans les lieux publics et peste contre le tabagisme passif qui peut nuire à autrui.

Jean-Michel impose donc le masque là aussi sans état d’âme et avec conviction…

Il faut qu’il soit mis et même « bien mis » par sa clientèle y compris des enfants…

Rien à redire suite à l’obligation faite aux enfants de le porter à l’école 10 heures par jour ou plus…

Nous sommes de toute évidence dans une gestion de crise, en temps de guerre, et il existe des priorités !

Je vous rappelle que Jean-Michel est pneumologue, qu’il traite des patients qui ont des problèmes respiratoires…

Vous avez essayé de porter un masque avec une pneumonie ? Moi oui, pendant quelques secondes !

La capacité de l’humain à débrancher son cerveau est quand même remarquable…

(Au point que les extraterrestres ont dû classer notre planète dans la catégorie à protéger, tant nous devons être uniques dans l’Univers)

Attendez :

  • Jean-Michel porte un masque « efficace »… Comme « le masque protège les autres, mais pas soi » (il va m’en falloir des cours de rattrapage)… il ne peut donc nous reprocher de faire courir un risque aux autres patients, Jean-Michel portant le sien.
  • Jean-Michel aère bien évidemment son cabinet entre chaque patient en prenant soin de ne pas être sur le chemin du courant d’air entre la table d’auscultation et la fenêtre… à moins qu’il ne se baisse quand il ouvre la fenêtre pour éviter les virus qui ont soif de liberté.
  • Jean-Michel utilise du gel hydroalcoolique « efficace » au point qu’il a installé une citerne de 10 000 litres à l’arrière du cabinet.
  • Jean-Michel est bien entendu triplement vacciné d’un vaccin « efficace » et attend sa quatrième dose « efficace ».

Et vous voudriez me faire croire qu’imposer un masque à ses patients améliorerait la sécurité de tout un chacun ?!

Je ne sais pas vous, mais à ce stade je ne vois plus que l’autopsie du cerveau de Jean-Michel pour comprendre…

Ah pardon, la seule erreur de Jean-Michel est d’ausculter ses patients, ce qui pour le coup est totalement irresponsable.

De nombreux praticiens sont passés à la consultation à distance, ce qui me semble beaucoup plus raisonnable et au moins autant efficace et humain…

Alors, hormis cette erreur, comment Jean-Michel a-t-il pu basculer dans ce monde délirant ?

Il est non seulement persuadé de vivre dans les tranchées de Verdun depuis deux ans, mais aussi persuadé que les mesures et les solutions actuelles ne sont pas à remettre en question.

Il ne doute pas, comme mon frère qui faisait son service militaire à Berlin dans les années quatre-vingt, qui était intimement convaincu de l’attaque imminente des Soviétiques.

Jean-Michel semble avoir des certitudes et il serait totalement vain de chercher à discuter avec lui.

Il ne verrait que folie et délire dans mes propos irresponsables.

Pourquoi un médecin totalement impliqué dans son métier ne dispose-t-il pas des informations publiques dont moi, simple quidam (ce que certains covidistes ne manquent pas de me reprocher), j’ai connaissance ?

Comment peut-il ne pas douter ?

Comment peut-il ne pas se faire sa propre opinion ?

Comment peut-il ne pas se questionner ?

Et comment en arrive-t-il à piétiner des années d’expérience et de déontologie ?

Vous et moi avons la réponse… c’est la peur et l’inconnu !

Depuis deux ans, des médecins qui côtoyaient des patients hautement contagieux avec pas ou peu de protections, ont désormais peur de mourir ou peur de tuer leurs patients…

Je ne suis plus tout jeune et je peux vous dire que hormis dans des hôpitaux pour des chirurgiens ou des infirmières de bloc (j’ai écrit chirurgien et infirmière afin de faire rager les woke), je n’ai jamais vu de personnels médicaux masqués ou habillés en cosmonaute…

Une amie complotiste hospitalisée m’a rapporté à ce propos que pour ses soins standards l’infirmière ne portait qu’un masque, mais que pour son test PCR, la même infirmière s’était habillée en cosmonaute… pour ensuite reprendre une tenue normale.

C’est dire à quel point nous devons rester humbles, de toute évidence, seuls les esprits supérieurs peuvent comprendre.

Alors…

Comment un pneumologue qui exerçait sans masque (sauf exception) peut-il en arriver à contrarier la respiration déjà laborieuse de ses patients en les forçant à porter un masque ou en induisant une peur telle que le masque devient préférable à l’odieux virus ?

Comment fait-il pour croire en l’efficacité de ce dispositif, alors même que les études antérieures à la crise avaient non seulement démontré la dangerosité du produit, mais aussi sa totale inefficacité en population générale ?

(cf 7milliards.fr).

Comment a-t-il pu adhérer à l’interdiction de soin ?

Comment a-t-il pu ne pas se révolter suite à l’interdiction d’usage de molécules de plus de 40 ans et sans effets secondaires graves connus, quand bien même elles fussent inefficaces ?

Comment a-t-il pu accepter la consigne de donner uniquement du paracétamol, molécule notoirement connue pour ses effets indésirables sur les défenses immunitaires ?

Comment a-t-il pu adhérer au « restez chez vous et allez aux urgences si votre situation se dégrade » ?

Comment a-t-il pu adhérer au confinement d’une population générale dans laquelle le virus circulait déjà ?

Ici encore toutes les études des temps anciens avaient démontré l’inefficacité et les effets pervers.

Comment a-t-il pu adhérer au mythe des patients asymptomatiques, positifs à un PCR foireux et déclarés « malades » et dangereux pour autrui ?

Comment a-t-il pu jeter aux oubliettes le réseau Sentinelles, qu’il utilisait tous les ans pour connaître l’évolution des épidémies en France ?

Comment a-t-il pu ignorer que le réseau n’a JAMAIS détecté une épidémie de Covid (seuil épidémique jamais atteint) ?

Comment a-t-il pu ignorer que les données Santé Publique France sont totalement bidons, que le nombre de patients hospitalisés, en soins critiques, ou décédés du Covid comprenait les patients malades du Covid, mais surtout les personnes positives à un test PCR ?

Le covidiste a du mal à vous croire quand vous lui dites qu’un accidenté de la route positif au Covid rentre dans les statistiques des hospitalisations Covid.

Et je ne parle pas du taux de personnes en réa qui est simplement un faux grossier… Il n’y a jamais eu de saturation des lits des soins critiques à l’échelle nationale.

Concernant les injections…

Comment pouvait-il croire que le « vaccin » pourrait être un espoir alors même qu’il ne ciblait QUE la protéine spike d’un virus ARN dont le métier est de muter sans arrêt ?

Comment peut-il croire qu’il présente un rapport bénéfice vs risque positif pour une population qui sur le plan statistique risque plus de mourir de foudroiement ?

Comment peut-il être convaincu d’un bénéfice vs risque positif alors que c’est une thérapie ARNm expérimentale ?

Comment peut-il ignorer les effets secondaires graves officiellement répertoriés alors même que les études prouvent que le taux de remonté est marginal ?

Comment peut-il approuver la vaccination des enfants, des femmes enceintes en l’absence totale d’études alors même que deux ans avant il hésitait à prescrire de l’aspirine à cette même population ?

Et comment, alors que l’on sait sans le moindre doute que le « vaccin » n’empêche ni de tomber malade ni les contaminations, peut-il être un ayatollah de la vaccination y compris pour une population jeune et en bonne santé ? (Il n’y a qu’à regarder la courbe des contaminations.)

Comment peut-il continuer à ne voir d’issue que dans le « vaccin » alors même que l’explosion du nombre de cas dans les pays hautement vaccinés prouve la totale inefficacité du produit pour contenir l’épidémie ?

Je vous rappelle que le « vaccin » devait éradiquer le virus, mais ça aussi, c’est oublié.

Comment ignore-t-il que son « vaccin » dont il ne reste plus officiellement que le « il protège des formes graves » ne présente aucun intérêt pour des populations qui ne font pas de formes graves ?

Comment ignore-t-il que l’immunité naturelle suite à une infection est plus solide que ces pseudos-vaccins ?

Comment ignore-t-il son inefficacité pour les personnes immunodéprimées en fin de vie, la seule population qui en aurait besoin et qui décède avec le virus ?

À noter qu’il n’existe aucune étude prouvant que la mortalité finale est diminuée dans les populations à risque…

Nous avons vacciné des milliards d’individus sans évaluer l’efficacité de la mesure !

Alors, comment expliquer ce côté dramatique ?…

A-t-il une surmortalité dans sa patientèle ?

C’est possible (ou pas), mais est-ce le virus qui est en cause ou l’interdiction de consulter en cancérologie, les retards de prise en charge, le confinement, le Rivotril, la peur induite jour après jour et les interdictions de soin ?

A-t-il été le témoin vivant des dégâts engendrés par ce virus (que n’a pas vu Sentinelles) ou a-t-il vécu le drame par procuration ?

Aurait-il été conscient de cette terrible « épidémie » si BFM ne lui en avait pas parlé ou a-t-il modifié sa pratique pour coller au fléau rapporté par la propagande ?

A-t-il subi ou induit une surmortalité si tel est le cas ?

Et s’il n’a pas eu à supporter une surmortalité est-ce dû à toutes ses actions « héroïques », à tous ses protocoles ou ceux-ci relèvent-ils de la patte de lapin ?

… Je serais curieux d’avoir les réponses.

Comment a-t-il piétiné sa déontologie ?

Comment a-t-il oublié sa loi, que le patient passait avant la collectivité et qu’il devait avoir un bénéfice personnel au soin préconisé ?

Comment en arrive-t-il à approuver l’apartheid et même l’interdiction d’accès aux soins pour les non-vaccinés ?

Comment un médecin que l’on pouvait qualifier (à tort ? Je ne crois pas.) de « bon » médecin a-t-il désormais exactement le même discours extrémiste que BFM TV ?

Sa formation ?

Je ne le crois pas… autant pour des médecins formés récemment j’entends qu’on leur apprend à ne pas penser, à ne faire qu’appliquer des protocoles… mais pas pour des médecins qui ont commencé leurs études il y a plusieurs dizaines d’années et qui ont un vécu.

Et ce n’est pas uniquement les médecins abonnés au Quotidien du Médecin, vitrine de l’industrie pharmaceutique qui sont victimes de cette amnésie délirante.

Des médecins abonnés à la revue Prescrire (qui elle aussi a disparu), revue vivant sans publicité, ont aussi basculé…

Quel début d’explication ?

En premier lieu, les médecins sont aussi des humains et ils ont aussi bouffé du BFM, du Monde ou du Libération toute la journée…

La peur rend fou, nous en avons la preuve quand des personnels soignants en arrivent à se protéger avec des sacs poubelles totalement inefficaces.

Ils sont alors guidés par l’irrationnel comme un médecin qui en arrive à refuser un patient non-vacciné.

Ce n’est plus de la science, c’est du moyen-âge, c’est de la lutte contre des esprits malins.

Est-ce le fait que l’OMS, les autorités de santé, les politiques, les revues médicales ont TOUTES tenu le même discours, ce qui aurait suffi à les faire basculer dans une foi dénuée de science ?

Ceci associé à une chasse aux sorcières pour faire taire toutes les voix dissidentes pouvant faire croire à un consensus…

Il n’existe plus de discours critiques, mais uniquement des « complotistes antisémites ».

Pour autant aussi bien moi que vous lisant ce texte ne sommes pas tombés dans ce délire…

(J’hypothèse qu’aucun Jean-Michel ou covidiste ne lira ce texte).

Concernant le « vaccin », tout le monde peut savoir qu’il a été approuvé sur les seules études publiées par le « gentil fabricant qui œuvre pour le bien de l’humanité ».

Tout le monde peut savoir que ces industriels ont été condamnés par le passé à des milliards de dollars d’amende pour publicité mensongère, tromperie ou corruption de médecins, de politiques, de journalistes…

Quiconque étudie les données de commercialisation verra que les patients vaccinés faisaient moins de formes graves que les non-vaccinés, mais qu’au final il y avait plus de morts dans la population vaccinée, ce qui ne peut s’expliquer que par les effets secondaires.

Et le fait que l’on injecte des millions de personnes avec un « vaccin » conçu pour une souche qui n’existe plus depuis des mois (années) n’interroge pas !

Je ne pense pas que Jean-Michel et les autres utilisaient le vaccin contre la grippe d’il y a 2 ans pour protéger leurs patients…

Mais tout ça, c’était avant, c’était le monde d’avant, la science d’avant, les valeurs d’avant… avant le FLEAU !

Et bien ni Jean-Michel ni les autres n’ont eu cette curiosité ou ne se sont posé ces questions, y compris les lecteurs assidus de Prescrire !

Pourquoi ?

Je ne vois que la peur et la sidération…

Une campagne médiatique mondiale a été organisée avec la complicité des Ferguson et leurs prédictions bidons auquel il ne croit pas lui-même (il ne respectait pas le confinement), l’OMS et toutes les autorités sanitaires.

Nous les « résistants » avons peut-être eu un peu peur au début, mais pas au point de basculer dans la panique, l’irrationnel ou la sidération…

Peut-être sommes-nous plus terre à terre, plus St Thomas.

Cela me fait penser à « La guerre des mondes », l’émission de Radio diffusée en 1938 qui annonçait une invasion extraterrestre et qui aurait entraîné la panique des auditeurs.

Personnellement je n’ai pas vu de cadavres dans la rue et je n’ai pas connu ni ouï dire qu’une personne jeune ou en bonne santé était décédée de cet odieux virus, et ce en deux ans de Covid.

Nous n’avons pas vécu une épidémie différente de la grippe.

Pour nous simples mortels, cette épidémie n’est que médiatique.

Il y a ceux qui ont cru le scénario et ceux comme nous qui ont douté…

Ça veut probablement dire que le schéma de la peur, de l’inconnu, de la perte de repères et la plongée dans une incertitude s’est déclenché chez eux avant que le scénario du doute et du besoin de compréhension ne se mette en branle…

Il a aussi bien sur les benêts, les moutons qui ne se posent jamais de questions et qui obéissent, point.

Les naïfs, les honnêtes gens qui ne pensent pas que le Mal puisse exister et qui croient que l’histoire ne se répète pas.

Les sceptiques qui croient plus en la bêtise humaine qu’à un plan machiavélique.

Il y a donc des médecins qui entrent dans ces catégories.

Mais concernant Jean-Michel, il y a probablement la conjonction de la peur et de la naïveté « si toutes les autorités disent la même chose, c’est que c’est vrai ».

Je persiste à penser que si la peur n’était pas de la partie cette bascule n’aurait pas eu lieu au point de balayer des années d’expérience, de bon sens et de déontologie.

Je radote, mais merde ! « Comment un pneumologue peut-il masquer ses patients ? »

Demeure aussi le fait que la remise en question est difficile pour l’humain.

Et d’autant plus difficile que l’erreur est à ce point gigantesque et dans la durée…

Après trois doses, avoir lavé le cerveau de ses patients pour les convaincre de s’injecter y compris les enfants, vendu du masque à outrance, du confinement, de l’absence de traitements efficaces et vendu jour après jour de la peur (très mauvaise pour les défenses immunitaires) et ce pendant deux ans…

Il n’est pas évident d’ouvrir les yeux sur cette réalité, sur sa réalité, son aveuglement, son absence de recul, sa « naïveté », mais aussi et surtout sa complicité active dans un crime contre l’humanité, l’économie des classes moyennes ou populaires et la démocratie.

La science dit que le masque, les confinements, les gestes barrières sont totalement inefficaces en population générale.

La science dit que ces injections expérimentales généralisées à l’ensemble de la population sont totalement inefficaces pour contrôler l’épidémie et diminuer la mortalité.

La science dit que ces injections sont dangereuses dans le présent et à l’avenir totalement incertain.

Mais ça, Jean-Michel ne peut le croire, il ne peut même pas se poser sérieusement la question, il ne peut pas se permettre de douter.

Merci

Alain Tortosa.

14 février 2022 https://7milliards.fr/tortosa20220214-medecin-2022-doxa.pdf