Le masque, arme de soumission massive, préalable indispensable aux injections expérimentales

[Source : profession-gendarme.com]

À ce stade de cette monstrueuse arnaque mondiale, j’ai jugé intéressant après une année de faire un rappel à ceux qui ont rejoint profession gendarme récemment et contribuent à son succès grandissant.

Il y a quelques longues années, j’étais responsable de la sécurité sanitaire dans une grande entreprise agroalimentaire particulièrement exposée aux risques sanitaires médiatiques. Un Directeur Industriel de l’époque me disait : « si tu veux faire avoir la paix avec les employés et leurs syndicats, impose leur de porter un masque en prétextant un risque sanitaire, tu verras, ça marche à tous les coups ».

Quelques semaines plus tard, l’un de mes employés et représentant syndical vient me trouver pour m’alerter : « le DI (directeur industriel) veut nous imposer le masque dans certains ateliers sous prétexte de la protection des produits, qu’en penses-tu ? peux-tu vérifier si les masques sont indispensables pour les produits ? Je crains une aggravation des conditions de travail à cause des problèmes respiratoires » .

Nous avons alors convenu de vérifier scientifiquement l’effet des masques sur l’ambiance de travail, le personnel, les produits, en comparant deux ateliers identiques, l’un avec et l’autre sans masques.

Deux mois plus tard, des centaines d’analyses ont été réalisées sur le personnel, l’ambiance de travail, les produits finis, l’air expiré. Le résultat est sans appel : les problèmes respiratoires sont multipliés sur les employés portant le masque (et l’absentéisme avec), les produits finis, l’air ambiant et les surfaces sont plus contaminés dans l’atelier avec masques. Enfin, les résultats microbiologiques sur la contamination des masques après 3 heures d’utilisation sont catastrophiques : bactéries potentiellement pathogènes dans la majorité des masques mais aucune trace de virus (pourtant présents en permanence dans l’air expiré par un être humain). Sans parler des taux d’oxygène réduits incompatibles avec les normes en vigueur sur les lieux de travail.

Résultats non surprenants, mes nombreuses expertises sur les systèmes de filtration m’ont appris que les masques ne retiennent qu’à peine 10% des bactéries, ne retiennent quasiment pas les virus, et permettent le développement des bactéries dans l’ambiance chaude et humide du masque. Les asiatiques vous le diront, le port du masque dans les villes n’a qu’un seul objectif : limiter l’inspiration des grosses particules irritantes issues de la pollution. Bien entendu, les masques furent supprimés des ateliers, l’absentéisme ayant certainement plus contribué à la décision du DI que les résultats sur les produits ou le personnel !!!!.

Ce qui relève du bon sens a nécessité des centaines d’analyses pour éviter la catastrophe. Si les fabricants de masques prennent le soin d’avertir les usagers que les masques ne protègent pas contre les infections virales (ni la plupart des infections bactériennes) , c’est tout simplement qu’ils l’ont mesuré.

L’ironie de l’histoire, c’est que les syndicats qui venaient pleurer pour faire supprimer le port du masque dans les ateliers furent les premiers à supplier le gouvernement d’imposer le port du masque aux entreprises. Comment leur faire confiance désormais ? Comment faire confiance à ceux qui s’attribuent le qualificatif « d’insoumis » et qui sont les premiers à pleurer pour se faire infliger les mesures de soumission que sont les masques et les vaccins ?

Plus tard, l’un de mes patrons qui avait fait ses classes à Science Po, me confirmait que le masque faisait partie de l’arsenal des outils de soumission à l’école de la dictature.

Il est évident que le port du masque constitue l’étape test indispensable pour tester la soumission d’un peuple avant le déploiement de l’injection expérimentale forcée que certains osent encore appeler « vaccin » et vous l’avez accepté.

Si tu acceptes le masque sans broncher et que tu acceptes même de sacrifier la santé de tes enfants en leur faisant porter un masque inutile, tu acceptes le sacrifice de ton intégrité physique et de ton humanité.

Si tu refuses le port du masque, tu refuses d’adhérer au narratif de la fausse pandémie et l’état ne peut t’imposer une quelconque injection expérimentale de surcroit. Aux États-Unis, des parents d’élèves ont fait réaliser des analyses microbiologiques sur les masques. Sur la base des résultats, ils ont porté plainte à l’encontre du directeur d’établissement scolaire pour mise en danger de la vie d’autrui.

Il est encore temps de réagir. Parents, vous avez le devoir de protéger vos enfants mineurs et de vous regrouper si ce n’est déjà fait pour porter plainte contre les chefs d’établissement pour leur complicité. Les preuves analytiques et les nombreux articles scientifiques sur le sujet sont faciles à collecter. Rappelez-vous que vos enfants s’en souviendront.

Gendarmes et autres représentant des « forces de l’ordre », faites mesurer ce à quoi vous êtes exposés tous les jours avec vos masques, c’est votre santé à long terme qui est en jeu. Le nombre d’infections respiratoires et de problèmes psychologiques liés au port du masque prolongé explose dans la majorité des pays. Pourquoi l’inspection du travail, si prompte à dégainer habituellement, se fait complice de vos bourreaux ?

Un prédécesseur de Monsieur Jérôme Salomon m’a dit lors d’une réunion de crise sanitaire : « votre responsabilité, c’est de protéger la santé des consommateurs, ma priorité à moi est de protéger la réputation de mon ministre et de protéger l’industrie pharmaceutique » Sans commentaires..

À bon entendeur,

Dr Sylvain B…


[Voir aussi :
Covid : la validité de l’imposition du port du masque s’effondre à son tour !
Effets nocifs des masques
Le masque : un lent assassinat collectif monté sur des mensonges, une muselière anti-sociale pour esclaves consentants
Le masque, premier pas vers le transhumanisme
Courte note sur la dimension occulte des masques
Pourquoi l’obligation de la ceinture de sécurité et celle du masque ne sont pas comparables ?
Comment leurs masques rendent bêtes et méchants
Où conduisent le confinement, le port du masque et la distanciation ?
COVID-19 — Le port du masque, le lavage des mains, la “séparation sociale” et le verrouillage sont des rituels occultes séculaires]




Épidémies et contagions

[Source : cv19.fr]

[Photo : AFP]

Il n’y a pas d’épidémie au sens généralement entendu, c’est-à-dire par contagion microbiologique [de virus ou de bactéries]. Il y a des gens malades avec des symptômes plus ou moins semblables au même moment. Nous sommes 7,7 milliards d’êtres humains sur Terre (beaucoup trop), il n’est absolument pas étonnant d’avoir quelques centaines de milliers d’individus avec des symptômes similaires dans une même période… Surtout que les causes sont toujours identiques (Voire fiche : Les 9 paramètres de la santé ou de la maladie 1). La moyenne pour une grippe est 1 personne sur 1000 qui a des symptômes grippaux. Pour l’obésité aux USA c’est 350 personnes sur 1000.

    Il y a les épidémies d’obésité (2,8 millions de décès / an), de diabète (1 décès toutes les 6 secondes sur la planète) ou de cancer (9,6 millions de décès / an), etc. Ceci n’a pourtant rien à voir avec des micro-organismes. Pensez-vous que les gouvernements vont interdire les publicités pour les fast-foods, les produits industriels, raffinés, dénaturés, transformés et faire des campagnes pour une vie saine qui ne rapporte rien ? Je ne le pense pas. Les puissants lobbies agroalimentaires et pharmaceutiques tirent les ficelles de nos chères marionnettes politiques et médiatiques.

    Non, le Créateur n’a pas inventé les microbes pour nous faire du mal ou nous tuer. Contrairement à ce que pensait Louis Pasteur, les méchants virus et autres germes ne sont que des contes de fée pour effrayer des enfants de 6 ans. La Nature est bien plus subtile que ça…

    La présence de micro-organismes fabriqués par nos propres microzymas, signifie que le terrain est encrassé et qu’il a besoin d’être déblayé. En hygiénisme et en naturopathie, la grippe (par exemple) signifie le grand nettoyage salvateur de printemps après l’engorgement émonctoriel et la saturation humorale causée par les fêtes de fin d’année. C’est la goutte qui fait déborder le vase ! Nous n’avons pas jeûné pour nous épurer et diminuer notre seuil de tolérance toxémique, alors la Nature nous oblige à le faire grâce à l’action d’une bonne grippe. Repos forcé, diète, jeûnefièvre, diarrhée, toux, inflammation, voilà ce qu’il faut pour rétablir l’homéostasie à travers ces processus régulateurs.

    Les états sanitaires de l’enfant au vieillard déclenchés par la force vitale et la réaction somatique.

    Les causes des « épidémies » sont souvent multifactorielles :
    ►environnement pollué (air, eau, aliments, électromagnétisme, etc.) ;
    ►information microzymienne et cellulaire perturbées ;
    ►hygiène de vie déplorable, misère, famine, peur, détresse affective, psychosomatique (somatisation du mal mental matérialisée en mal physique) ;
    ►modification des paramètres bioélectroniques ;
    ►influences cosmo-telluriques, électromagnétiques, saisonnières, cycliques ;
    ►causes iatrogènes, vaccins,
    ►etc.
    => dégradation du terrain => toxémie => « maladie » (symptôme).

    Par exemple, lors de la grippe « espagnole » on sait maintenant (1 siècle plus tard) que la cause était multifactorielle :

    • Iatrogène

      • (vaccins : oxydation, molécules toxiques ;
      • aspirine : hépatotoxique & hémorragies digestives).

    • Carences, famine, peur, stress oxydatif (<- guerre).
    • Hygiène déficiente (-> encrassement).
    • Premières communications radio par ondes hertziennes (nouvelles ondes électromagnétiques).

    La seule cortisone a pour effet d’effondrer l’immunité et de favoriser le développement viral.

    Arrêtons de masquer nos symptômes avec des médications chimiques qui entravent les processus homéostasiques de détoxification (car ils entraînent une modification morbide de notre terrain et finissent par aggraver les choses). Les médicaments aboutissent à la destruction de la capacité du corps de se défendre. Quand on détruit les capacités du corps de déclencher et de conduire des maladies spécifiques, on hâte les maladies de dégénérescence et la mort !

    Nous avons des milliards de microbes en bouche, dans notre tube digestif, dans nos intestins et sur notre peau (chez tout le monde et en permanence) : des streptocoques, des Candidas Albicans, etc. Ils vivent en symbiose avec nous (voire : le microbiote). Pourquoi prolifèrent-ils chez certains individus et pas d’autres ? Et bien, ceci n’est qu’une question de terrain. Chez un individu sain avec une bonne énergie vitale, un faible niveau toxémique et de bonnes coordonnées bioélectroniques, l’organisme n’aura pas à se mettre en branle et à faire appel aux germes pour se nettoyer.

    La contagion est une transmission d’une maladie sans contamination. La contamination donne une modification des caractéristiques humorales d’un être vivant. Lors d’une épidémie (de peste par exemple) un individu isolé de tout contact humain, aura ou n’aura pas la maladie suivant les modifications bioélectroniques de son sang.

    Suivant les 9 paramètres de la santé ou de la maladie (donc des conditions auxquelles nous sommes soumis), les 3 coordonnées bioélectroniques de nos humeurs se déplacent sur le bioélectronigramme. Notre état de santé peut donc être reporté sur ce dernier.

    Sur ce bioélectronigramme, on peut noter la place des virus en zone 3 (terrain oxydé). C’est aussi la zone des vaccins. SP = Santé Parfaite.

    Les vaccins, super-oxydants, sont remplis d’adjuvants et de substances toxiques qui créent du stress oxydatif, de la toxémie et qui modifient les paramètres bioélectroniques du terrain. Il y a également modification des facteurs bioélectroniques des humeurs et du sang en particulier, par les actions électromagnétiques et environnementales.

    Il en résulte que le microbe est de formation endogène : il ne vient pas de l’extérieur, il est le résultat de transformations biologiques de cellules normales vivantes dans une solution (sang) n’ayant plus les caractéristiques idéales pour la vie, c’est à dire que les conditions électroniques se sont modifiées.

    Si l’individu sait se maintenir en bonne santé (sang : pH : 7,3 – rH2 : 22 – rô : 210), il ne peut en aucun cas fabriquer des microbes, des virus ou des champignons ; il ne craint ni la contagion ni les épidémies.

    Généralement, on prétend que les maladies à microbes ou à champignons sont contagieuses, ceci est FORMELLEMENT contredit par la bioélectronique, l’hygiénisme et la vraie naturopathie.

    Les analyses bioélectroniques montrent clairement que nos conditions de vie actuelles induisent une alcalinisation et une oxydation progressive du sang. Toutes les maladies de dégénérescence s’accompagnent de cet effet. Le fait de trouver des virus sur ce type de terrain indique qu’ils sont la conséquence et non la cause de cette déviation.

    Que se passe-t-il lorsqu’une eau dégénère ?

    Les paramètres bioélectroniques se modifient : Le pH augmente, le rH2 augmente, rô diminue jusqu’à un certain stade. Au-delà, le pH continue à augmenter, rô continue à diminuer, le rH2 fléchi brusquement, à ce moment-là, apparaît dans l’eau des formes microbiennes (endogenèse microbienne), autrement dit, il y a une latence de vie qui est incluse dans la structure de l’eau (microzymas). Cette latence de vie se manifeste ou ne se manifeste pas, cela dépend tout simplement des circonstances extérieures. N’oublions pas que nous sommes composés à 70% d’eau…

    Les microzymas peuvent transmettre des informations qui permettront aux receveurs de mettre en route des processus de guérison qui étaient en instance et d’éliminer la toxémieLes humeurs dans lesquelles ils baignent sont le support de ces informations. L’eau informée, vivante, véhicule des hormones, divers médiateurs chimiques, des informations bioélectroniquesélectromagnétiques et émotionnelles…

    Il n’existe donc pas de “guerre” bactérienne et le système immunitaire n’est qu’un banal service d’éboueurs pour l’évacuation des corps étrangers et des toxines. Tout est équilibre, préservons cet équilibre.

    En résumé, respectons les 9 points essentiels de la santé intégrale. Réduisons notre toxémie, augmentons notre énergie vitale et équilibrons notre terrain en respectant les lois naturelles pour éviter les sanctions…

    « L’ignorance est mère de tous les maux. »

    Rabelais

    « Pour rappel, les infections ne sont pas dues à des microbes comme on le croit naïvement, mais à la morbidité du terrain psycho-organique dans lequel ils évoluent. Un mental infectieux infecte le soma, le soma infectieux donne naissance à des microbes spécifiques, c’est-à-dire propres à la nature et à l’importance de ces états infectieux. C’est ce qu’on appelle le polymorphisme, la mutation du microbe en fonction du milieu dans lequel il se développe. C’est le marécage qui fait le moustique et non l’inverse. C’est le terrain malsain qui fait le microbe. Le microbe est un ami, un éboueur qui se nourrit de nos déchets. Il nous aide donc à nous épurer. Avec des antibiotiques on ne corrige pas la morbidité du terrain qui est la vraie cause des infections, au contraire on l’aggrave ! Ce n’est pas l’allopathie qui a permis d’éliminer les grandes épidémies dites infectieuses mais l’hygiène et les conditions améliorées de vie, de travail, de salaire, de transport, d’habitat, etc. Les épidémies ne frappent que des individus de groupes ayant les mêmes comportements mentaux, alimentaires et existentiels. »

    Pr. Grégoire Jauvais

    « La potentialité contagieuse ne se passe pas au niveau de la matière, mais au niveau de la vibration. L’élément qui a le plus d’impact sur notre organisme ce sont nos pensées, notre psychisme, notre conditionnement, nos croyances, notre état émotionnel, nos peurs, cela nous apporte les mauvaises ondes vibratoires ou niveau du génome et modifie un certain nombre d’informations. La peur contribue à effondrer notre immunité. Notre immunité est un facteur d’informations. Il faut augmenter positivement nos champs vibratoires. » (Voire : Les 9 paramètres de la santé intégrale.)

    Dr. Holleville

    « Un être organisé est un être vivant végétal, animal ou humain, doué d’une organisation qui dépasse tout entendement humain… Il n’y a pas de contagion sur un être organisé. Le vaccin désorganise l’individu vacciné, en particulier par le fait de l’empoisonnement provoqué par le prétendu « adjuvant de l’immunité ». Mais il peut y avoir transmission d’information ou mimétisme. Antoine Béchamp est le premier à parler de la possibilité d’une contagion par les germes et corpuscules (molécules) vibrants de l’air… mais seulement pour les matériaux non « organisés. » … Les microzymas qui constituent les microbes peuvent transmettre, dans certains cas, des informations. Elles permettront aux receveurs de mettre en route des processus de guérison qui étaient en instance. Ensuite, ces microzymas repartiront… Il n’y a jamais de multiplication de germes, de bactéries ou de prétendus virus à l’intérieur de notre corps qui viendraient de l’extérieur, cela Béchamp a démontré que c’est strictement impossible ! »

    Dr. Alain Scohy

    « Les pollutions (atmosphérique, électromagnétique, vaccinale et chimique) conduisent aux pandémies virales, aux cancers, puis à la mort. Le contraire, c’est la vie. »

    Jean-Yves Rousseaux, bioélectronique

    « Les épidémies peuvent revenir avec les pollutions. »

    Pr. Louis-Claude Vincent, 1976

    « C’est Pasteur qui a lancé la théorie microbienne telle qu’elle est connue de nos jours. Mais c’est aussi Pasteur, le même Pasteur, qui avait dit sur son lit de mort : “C’est Claude (Bernard) qui a raison : le microbe n’est rien le terrain est tout.” C’est ainsi que Pasteur avait, à la dernière minute de sa vie et d’un seul coup, reconnu la nullité de tous ses travaux sur les microbes. “Ses expériences dans ce domaine avaient toutes échoué,” écrit le Dr. H. M. Shelton, mais les fabricants de vaccins, qui sont tous des hommes d’affaires avisés, ont présenté ces expériences comme des succès. Nous ne nions pas l’existence des microbes et des virus. Mais si un microbe particulier est censé être la cause spécifique de la maladie, il devrait toujours la causer. Or on rencontre le microbe dans la santé comme dans la maladie. On ne peut donc pas le considérer comme la cause. »

    Albert Mosséri

    « La vie sobre met à l’abri des épidémies ou tout du moins atténue l’imminence du danger, les intempérants étant en cas d’épidémie atteints les premiers. »

    Dr. Paul Carton

    « Lorsqu’on parle de maladies épidémiques et contagieuses, il faut tenir compte de toutes les circonstances qui affectent, simultanément, l’ensemble des populations touchées par ces troubles de santé. Les épidémies sont dues à une altération généralisée du terrain, des résistances individuelles et collectives à cause de conditions biologiquement défavorables : habitat malsain, alimentation incorrecte (carencée ou surabondante ou déséquilibrée), empoisonnement par des agents divers, soins inadéquats, conditions de travail inhumaines, dérèglements psychologiques, conditions météorologiques encore mal déterminées. Les effets de la peur sont souvent déterminants. Le seul vrai remède consiste à rechercher et corriger les causes. La plupart des maladies dont souffre l’humanité sont dues aux traitements médicaux qu’elle subit. Beaucoup de nos maux sont iatrogènes et les microbes et virus sont, bien à tort, mis en cause. »

    Dr. André Passebecq, extrait du livre : Cours de Psychosomatique Naturelle.

    « En réalité, dans le cas des maladies, ni dans l’organisme malade ni dans les fluides corporels n’a jamais été vue ou isolée une quelconque structure que vous pourriez caractériser comme un virus. La proposition qu’il y a un quelconque virus fabriquant une maladie quelconque est clairement une escroquerie, un mensonge mortel avec des conséquences dramatiques. »

    Dr. Stefan Lanka, virologue et docteur en biologie moléculaire

    « Les prétendus virus contagieux peuvent, en fait, être également considérés comme des particules produites par les cellules elles-mêmes (exosomes) en conséquence de certains facteurs de stress tels que les médicaments, le style de vie, les pesticides, les métaux lourds, la pollution, le stress et les aliments transformés. Pour étayer ces affirmations, nous citons des dizaines de scientifiques de renom, parmi lesquels les lauréats du prix Nobel Kary Mullis, Barbara McClintock, Walter Gilbert, Sir Frank Macfarlane Burnet et le microbiologiste et lauréat du prix Pulitzer René Dubos. Nous présentons dans notre ouvrage environ 1.100 références scientifiques pertinentes, dont la plupart ont été publiés récemment. »

    Torsten Engelbrecht, journaliste et Claus Köhnlein docteur en médecine interne, auteurs du livre : Virus Mania : Comment l’industrie médicale invente continuellement les épidémies.

    Deux cellules se transmettant de l’information à l’aide d’exosomes.
    Exosomes = virus = microzymas ?

    « Quant à la contagion, que nous pouvons considérer comme un processus infantile « d’imitation » (Rudolph Steiner), elle ne concerne que les êtres ayant une vulnérabilité, comme les mêmes carences, les mêmes conflits, les mêmes peurs, sinon personne n’aurait jamais survécu à une épidémie. »

    Dr. Éric Ancelet

    « On sait aujourd’hui que la vaccination antivariolique a causé plus de cas de variole que les épidémies elles-mêmes et qu’elle a favorisé la tuberculose. Autrement dit, la pratique de cette vaccination a permis de créer des foyers d’épidémie, alors même que la maladie était en constante régression par un ordre naturel des choses. »

    Dr. Louis De Brouwer

    « Personne dans l’histoire n’a jamais provoqué de maladie chez une personne ou un animal en y introduisant une bactérie pure et isolée ou un soi-disant virus. »

    Dr. Thomas Cowan

    Anecdotes :

    De nombreuses expériences médicales sur la contagion microbiologique ont été menées au 19e et au 20e siècles par des chercheurs et médecins spécialisés en bactériologie comme les docteurs Pettenkofer de l’Université de Vienne, Thomas Powell, John B. Fraser de Toronto, Beddow Bailly, etc.

    On contamina toutes sortes d’aliments avec des cultures de microbes comme ceux de la diphtérie, de la pneumonie et de la typhoïde. On badigeonna la bouche, la gorge, les amygdales et les narines de volontaires. Plus de 150 expériences scientifiques sans aucun signe de maladie s’ensuivirent. Des expériences similaires ont été faites dans les camps de la marine américaine U.S. Naval Detention Training Camp on Deer Island sur 30 sujets et aussi à San Francisco sur 10 autres sujets avec des cultures pures du bacille de Pfeiffer (grippe espagnole). Il n’existait pas un seul cas où n’importe quel microbe ait pu être la cause spécifique d’une maladie quelconque.

    Le Dr. Fraser du Canada et le Dr. Powell de Californie ont expérimenté des milliards de germes de toutes les variétés, mais ils ont été incapables de produire une seule maladie en introduisant des germes dans des sujets humains.

    Le Dr. Waite a essayé pendant des années de prouver la théorie des germes, mais il n’a pas pu le faire. Pendant la guerre mondiale, une expérience a été menée à Gallop’s Island dans le Massachusetts, au cours de laquelle des millions de germes de la grippe ont été injectés à plus d’une centaine d’hommes à l’hôpital public, et personne n’a contracté la grippe.

    Pettenkofer (épidémiologiste) n’hésita pas à boire en public le 7 octobre 1892 une culture de bacilles du choléra, et ne développa pas d’infection. Ses étudiants, qui l’imitèrent ensuite, ne contractèrent pas la maladie. (Choléra : zone 4 du bioélectronigramme Vincent).

    A moins que le microbe ou le virus ne causent une maladie chaque fois qu’ils infectent le corps, ils ne peuvent être une cause valable. Une cause doit être constante et spécifique dans son action, sinon ce n’est plus une cause. Les microbes et virus sont omniprésents, voici une des vérités fondamentales que Pasteur ou Béchamp ont découvertes. Mais Pasteur et ses disciples semblent ignorer le fait que les microbes et les virus n’ont jamais eu d’influence spécifique. (Source : Le Goulag du SIDA – Albert Mosséri, Editions Aquarius).

    Le Dr. Ryke Hamer (1935-2017) n’a pas été le seul à démontrer que les maladies ne pouvaient pas être transmises d’un individu à un autre. Le physicien et médecin pathologiste allemand, Rudolf Virchow (1821-1902), a démontré lors d’une expérience, que si des bactéries vivantes sont transmises à une autre personne, cette personne ne développe pas la même maladie. Il y a eu des recherches audacieuses où Rudolf Virchow lui-même a ingéré des cultures de germes entières, sans développer de maladie. Il nous dit que l’hypothèse selon laquelle les maladies sont contagieuses n’est pas reproductible, et donc non scientifiquement prouvée. En bref, il nous dit que nous n’aurons pas la grippe, même si quelqu’un nous envoie un éternuement bien morveux. Contrairement à Pasteur, il rejette énergiquement l’hypothèse de l’intervention de germes infectieux dans les maladies contagieuses. (Source : conférence de Caroline Markolin, Ph. D. et Universalis.fr).

    Le Dr. René-Nicolas Desgenettes, médecin chef, s’inocula publiquement du pus de bubon pesteux pour prouver que la peste n’était pas contagieuse ! Il ne mourut pas. Ce ne fut pas de la chance. Le docteur “ignorant” n’avait pas peur, car il ne croyait pas que ce pus puisse lui faire le moindre mal !

    En 2001, l’astronome canadien Ken Tapping démontra que les trois derniers siècles de pandémies grippales étaient corrélés à des pics d’activité solaire magnétique, sur un cycle de onze ans. Il a également été constaté que certaines épidémies de grippe se répandent sur des contrées énormes en juste quelques jours, fait difficilement explicables par la contagion de proche en proche. De même, de nombreuses expériences liées à la contagion de proche en proche par contact, par projections de mucus ou autres procédés se révélèrent infructueuses.

    Depuis 1933 à nos jours, les virologues ne peuvent présenter aucune étude expérimentale démontrant que la grippe se propage par contact normal entre personnes.

    Toutes les tentatives ont échoué. (Source : The Invisible Rainbow – Arthur Firstenberg).

    Articles complémentaires :

    Notion de terrain
    La Bioélectronique Vincent
    Nos amis les microbes
    Les microzymas et le polymorphisme microbien
    La toxémie
    Les 9 points de la santé ou de la maladie
    La loi de l’homéostasie
    Les 10 plus gros mensonges sur les vaccins
    Pasteur l’imposteur
    Les ondes électromagnétiques
    L’équilibre acido-basique

    En cas d’urgence ou lorsque le pronostic vital est engagé, consultez un médecin.

    Source : https://maloxxx8.wixsite.com/malonaturo/post/%C3%A9pid%C3%A9mies-et-contagions


    [Voir aussi :
    La microbiophobie ambiante est hors de contrôle ! De nouvelles perspectives sur la véritable nature des virus
    Déclaration sur l’isolement des virus
    Anthrax, Arsenic, Pasteur et ses moutons
    Pasteur versus Béchamp – La crise du coronavirus relance une controverse vieille de 150 ans
    Le culte de la virologie – Documentaire
    Réfutation de la virologie par le Dr Stefan Lanka
    Stefan Lanka conduit les expériences témoins réfutant la virologie
    Virus Mania : Comment Big Pharma et les médias inventent les épidémies
    La théorie des germes : Une erreur fatale
    Virus fantôme : à la recherche du SARS-CoV-2
    Citations médicales sur les vaccinations
    Le mythe de la contagion virale — Pourquoi les virus (incluant les « coronavirus ») ne sont pas la cause des maladies
    La théorie des exosomes contre celle des virus]


    Note




    Obligation vaccinale : policiers et gendarmes n’y seront pas soumis, les commentateurs s’interrogent

    [Source : RT en français]

    [Photo : © Guillaume Horcajuelo Source: Reuters]

    Contrairement aux soignants et pompiers, les membres des forces de l’ordre ne seront pas inclus dans les professions soumises à l’obligation vaccinale à partir du 15 septembre. D’aucuns y voient une dérogation suspecte.

    Le gouvernement a confirmé ce 13 juillet que les membres des forces de l’ordre, policiers et gendarmes, ne seraient pas soumis à l’obligation vaccinale à partir du 15 septembre. C’est ce que rapportent BFMTV et Le Parisien, citant le ministère de l’Intérieur.

    Lors de son allocution télévisée le 12 juillet dans la soirée, le président Emmanuel Macron avait annoncé que « les personnels soignants et non-soignants des hôpitaux, des cliniques, des maisons de retraite, des établissements pour personnes en situation handicap, pour tous les professionnels ou bénévoles qui travaillent au contact des personnes fragiles, y compris à domicile » seraient obligés d’être vaccinés à partir du 15 septembre. Parmi les personne contraintes, sous peines de lourdes sanctions, à se faire vacciner, on trouve les pompiers et les ambulanciers comme l’a confirmé le porte-parole du gouvernement sur le plateau de la chaîne d’information en continu, mais pas les policiers et les gendarmes.

    Gabriel Attal a néanmoins précisé que cette dérogation pour les forces de l’ordre concernait exclusivement leurs heures de travail. « Sur le temps de repos, les membres des forces de l’ordre sont soumis aux mêmes restrictions que le reste de la population, avec notamment le pass sanitaire », précise BFM. En effet, parmi les annonces des autorités, le pass sanitaire va devenir la norme pour se rendre dans les lieux recevant du public. Il sera étendu début août aux cafés, restaurants, centres commerciaux, hôpitaux ainsi qu’aux avions et aux trains inter-régionaux.

    Cette dérogation a suscité de nombreux commentaires.

    Pour Jean-Luc Mélenchon, l’exclusion des forces de l’ordre des professionnels obligés de se faire vacciner est une contradiction, une aberration. « Les décisions de Macron sentent l’abus de pouvoir et la discrimination sociale. Exemple : le pass sanitaire obligatoire sera vérifié par des policiers non vaccinés. Bienvenue en absurdie. Le pays n’est ni protégé ni organisé pour la 4ème vague », écrit le leader de La France insoumise sur son compte Twitter.

    « Les policiers et les gendarmes sont exclus de l’obligation vaccinale en septembre […] C’est plus clair comme ça ? » interroge l’éditorialiste Alexis Poulin, un tantinet suspicieux. 

    « Pourquoi exempter policiers et gendarmes de l’obligation vaccinale alors qu’ils sont autant en contact avec le public que les soignants ? » interroge le patron de l’UPR François Asselineau. « Cette décision prouve que Macron et son gouvernement ont peur de la colère populaire contre la dictature et veulent pouvoir avoir recours à la force », estime-t-il.

    Même analyse pour l’éditorialiste de Sud Radio André Bercoff, ironisant sur le fait que les forces de l’ordre devront « protéger nos citoyens contre les innombrables variants de ces trois virus mortels : liberté, égalité, fraternité ».

    L’ex-policier Sébastien Jalamion se veut plus solennel et interpelle ses anciens collègues.

    « À tous les policiers, gendarmes, militaires, douaniers, tous ceux qui sont dotés d’une parcelle d’autorité publique : n’appliquez pas des instructions distinguant les citoyens en fonction leur sérologie ! Protégez nos libertés et faites barrage à cet Exécutif ! Résistance », a-t-il plaidé.

    Sur Europe 1 ce 13 juillet, Gabriel Attal a eu quelques difficultés à justifier l’exclusion des policiers et gendarmes de l’obligation vaccinale.

    Quand le journaliste lui rappelle qu’il y a du public dans un commissariat, le porte-parole du gouvernement botte en touche en rappelant que l’obligation vaccinale a été mise en place pour les personnes travaillant auprès de personnes vulnérables.

    En savoir plus sur RT France : https://francais.rt.com/france/88688-obligation-vaccinale-policiers-gendarmes-pas-soumis-commentateurs-interrogent




    Une vaccination obligatoire déguisée ? Les annonces de Macron décriées par l’opposition

    [Source : RT en français]

    [Photo : © Christophe ARCHAMBAULT Source: AFP]

    Après les déclarations du chef de l’État sur l’extension du pass sanitaire ou encore de l’obligation vaccinale, les critiques se sont multipliées au sein de l’opposition. Nombre de responsables politiques dénoncent notamment un recul des libertés.

    Lors d’une allocution présidentielle ce 12 juillet, le président français Emmanuel Macron a annoncé une série de mesures pour faire face à un rebond des contaminations au Covid-19. A ce titre, il a notamment annoncé l’extension du pass sanitaire aux lieux recevant du public ou encore la mise en place de l’obligation vaccinale pour ceux qui sont « au contact de personnes fragiles », malgré l’opposition d’une partie de la classe politique. 

    A droite de l’échiquier politique, les réactions ne se sont pas fait attendre, ses membres dénonçant de manière quasi-unanime un recul des libertés individuelles.

    « L’extension du pass sanitaire revient à instaurer une vaccination obligatoire qui ne dit pas son nom, et à créer deux catégories de citoyens. Autant je suis favorable à la vaccination des soignants, autant je crois que cette mesure est brutale et inadaptée », s’est inquiété le député Les Républicains Julien Aubert.

    Le chef de file des Patriotes Florian Philippot a fustigé pour sa part le piétinement des « droits fondamentaux » en évoquant l’extension du pass sanitaire et l’obligation vaccinale pour certaines professions dont les aides-soignants. « Je n’ai pas vu ce soir un président de la République mais un dictateur », a-t-il renchéri. 

    Pour Nicolas Dupont-Aignan, le président de la République est « devenu fou ». Le chef de file de Debout la France a fustigé un homme « dangereux » qui met en branle des mesures contraires à toutes les libertés fondamentales. « Trains, restaurants, cafés, cinémas… Macron met au ban des millions de Français, au mépris de nos droits fondamentaux et de l’égalité républicaine », s’est indigné le président de Debout La France. 

    Même réaction d’indignation du côté de Marine Le Pen. La présidente du Rassemblement national (RN) a évoqué sur Twitter un « recul grave des libertés individuelles » et une « liquidation de notre système de protection sociale », ajoutant, en faisant référence à la réforme des retraites, que les Français « paieront l’imprévoyance et l’incompétence de nos dirigeants ».

    Son collègue, le député européen du RN Gilbert Collard, a de son côté accusé sur RT France le président de la République d’instaurer « une dictature vaccinale », estimant que la contrepartie serait au minimum d’exiger que « l’Union européenne rende public les contrats qui [la] lie aux laboratoires ».

    A gauche de l’échiquier politique, les critiques ont également fusé. Pour la députée de La France insoumise (LFI) Danièle Obono, le chef de l’État « contraint la population à la vaccination obligatoire mais pas Big Pharma ». Elle a regretté dans la foulée qu’Emmanuel Macron fasse « la chasse aux chômeurs mais pas aux profiteurs de crise » tout en « préparant la destruction du système des retraites ».

    De son côté, le député LFI Adrien Quatennens a déploré une politique sanitaire répressive ne suivant pas les recommandations de l’Organisation mondiale de la Santé : « Pour la vaccination, l’OMS préconise de convaincre plutôt que de contraindre. Mais comme l’équipe qui a raconté mille foutaises sur les masques, les tests et tout le reste n’a plus grand chose de convaincant, ce sera pour le vaccin comme pour le reste : à la matraque. »

    Le lendemain matin, le chef des insoumis Jean-Luc Mélenchon a également tonné contre les annonces du président de la République, qu’il a qualifiées de « contradictions » et d’« aberrations ». « Les décisions de Macron sentent l’abus de pouvoir et la discrimination sociale. Exemple : le pass sanitaire obligatoire sera vérifié par des policiers non vaccinés. Bienvenue en absurdie. Le pays n’est ni protégé ni organisé pour la 4ème vague », a-t-il écrit sur les réseaux sociaux.

    En outre, le discours d’Emmanuel Macron a été jugé « inquiétant » par l’éditorialiste Alexis Poulin, qui regrette la mise en place d’une « politique de contrôle » et non la réalisation d’une « politique sanitaire ».

    La vaccination obligatoire pour les soignants constitue au contraire une « bonne nouvelle » pour Eric Bouchard, médecin généraliste dans les Alpes-Maritimes. « Encore 40% des soignants dans les Ehpad ne sont pas vaccinés » a-t-il déploré.

    En savoir plus sur RT France : https://francais.rt.com/france/88682-vaccination-obligatoire-deguisee-annonces-macron-decriees-opposition




    Allocution de Macron : entre autosatisfaction et obligations, l’adieu à la raison

    [Source : francesoir.fr]

    Auteur(s): FranceSoir

    20h27. Fin de l’allocution de notre actuel huitième président de la Vème République Française.

    Cette allocution aura donc duré un peu moins de 30 minutes. 30 minutes que certains de nos concitoyens ont dû trouver bien longues…

    Car, ne nous mentons pas ; depuis quelques jours maintenant, elle était redoutée par bon nombre de Français. L’atmosphère se faisant de plus en plus lourde ces derniers temps ; que ce soit dans la vie au quotidien (professionnelle comme sociale) ou sur les réseaux sociaux. Climat d’instabilité manifeste exacerbé qui plus est par une campagne incessante et pesante sur les plateaux des diverses chaînes d’information. Ces plateaux de télévision où sans cesse, les non-vaccinés sont pointés du doigt pour leur manque de civisme, d’altruisme et de solidarité. Les mots employés dépassant souvent l’entendement, symbole d’une atmosphère nauséabonde et d’une tension palpable. Les exemples les plus frappants étant les interventions de M. Lechypre ou de Mme de Malherbe pour qui les non-vaccinés doivent être traqués ou considérés comme des brebis galeuses.

    Voir aussi : Le non-vacciné, cette espèce à abattre

    A cela s’ajoute, bien évidemment, car sans cet ajout il eut été difficile d’imposer de nouvelles mesures, une communication terriblement anxiogène par ces mêmes médias mainstream rappelant toutes les heures l’implantation continue sur notre territoire du terrible variant indien, renommé Delta, pour des soucis de progressisme bien évidents. La « fracture vaccinale », comme aime le dire un célèbre néphrologue devient de plus en plus visible. Fracture illustrée ces dernières heures par la conversation filmée entre notre Premier ministre et le président du parti Les Patriotes. Cette conversation laissant sous-entendre un été plus que compliqué pour la partie de la population française non vaccinée.

    https://www.youtube.com/embed/yKVMKXGHFes

    Sans bien sûr oublier la bombe de la semaine dernière lorsque le directeur de l’IHU Marseille, via son compte Twitter, s’est positionné en faveur de la vaccination « systématique »des soignants. C’est donc dans ce contexte particulier, une véritable poudrière sociale, que le président intervenait ce soir afin de donner ses nouvelles directives pour cet été déjà commencé.

    Et si la population réticente au vaccin et au pass sanitaire redoutait donc cette allocution et les décisions qui allaient en découler, force est de constater que personne (y compris dans le camp des « pro ») ne s’attendait à des décisions aussi radicales.

    Le président a commencé son allocution, qu’il tenait étonnamment au Grand Palais Ephémère, par des félicitations à tous comme il en a l’habitude, des soignants jusqu’à notre jeunesse, n’oubliant pas de rendre hommage aux victimes, tout en saluant notre civisme et également la pertinence des mesures prises par son gouvernement.

    Oui car il estime, « après avoir beaucoup consulté », que si l’épidémie est maitrisée c’est avant tout grâce aux mesures prises par l’exécutif, pointant surtout le plan de vaccination massif qui est une réussite. A aucun moment Emmanuel Macron ne parle de l’arrivée du printemps puis de l’été qui entraînent une chute naturelle de l’épidémie dans notre climat tempéré… Premier écart avec la science.

    Après s’être dit très fier du maintien de l’école et de l’instruction (il est à noter que l’on a fermé moins longtemps que certains pays comme les Etats-Unis ou l’Allemagne), il saluera également aussi le plan de réouverture. Ce plan de réouverture étant une réussite notamment grâce à son « quoiqu’il en coûte » qui aurait permis de préserver les emplois, les entreprises et le pouvoir d’achat. Tous ces bons résultats vont nous permettre de maintenir un 6% de croissance faisant de nous le pays le plus attractif d’Europe… Rendez-vous en fin d’année pour confirmation.

    Arrive alors le début des annonces fâcheuses : Emmanuel Macron nous lâche que malheureusement la reprise épidémique due au variant delta est maintenant forte sur tout le territoire, y compris les Dom-Tom. Mais également dans le monde entier, et qu’il est impératif de reprendre des mesures pour lutter contre celui-ci ; il cite notamment les Jeux olympiques de Tokyo à huis clos pour se justifier.

    Bien sûr, il appuie son propos en nous expliquant que ce Delta est trois fois plus contagieux, (ce chiffre est pour le moins farfelu : on a entendu 8, 12 et maintenant 3…), mais il ne dira mot concernant le taux d’hospitalisations et le taux de létalité de ce variant comparé aux précédents. Pour quelle raison ? Parce que ce variant est très peu létal selon les derniers résultats observés en  Grande-Bretagne, et, comme chacun sait qu’il a des compétences en épidémiologie, on ne peut imaginer qu’il ne soit pas au courant. De fait, cela rendrait la suite de la prise de ces décisions insensées. Deuxième écart avec la science.

    Mais « heureusement », dit-il, nous avons l’arme vaccinale pour lutter contre ce virus et ses variants. Et d’ailleurs il est impensable qu’au pays de Pasteur et des Lumières, une telle proportion de la population y soit réticente. Cette affirmation paraît terriblement cocasse quand on sait qu’aucun de nos vaccins n’est actuellement sur le marché…

    Se vacciner, affirme-t-il encore, réduit les formes graves de 95%, divise la contamination par 12 et réduit les mutations. Si la première affirmation est vrai, il ferait bien d’aller jeter un œil sur les dernières études qui parlent d’un taux d’efficacité aux alentours de 60% sur les contaminations, et même encore moins si on s’en réfère aux toutes dernières données. Quant aux mutations évitées, c’est tout simplement non prouvé pour l’instant. Troisième et quatrième écart avec la science.

    Voir aussi : Le meilleur épidémiologiste du monde est français, et il s’appelle Macron !

    Mais, c’est en utilisant ces arguments scientifiques teintés de doigt mouillé, qu’il va annoncer ses décisions :

    – l’obligation vaccinale, « dans un premier temps » pour tous les soignants et assimilés, jusqu’aux aides à domicile. Ils auront jusqu’au 15 septembre pour le faire, ensuite viendront des contrôles, et des sanctions.

    On rappellera que ces vaccins sont toujours en AMM (autorisation de mise sur le marché) conditionnelle et que prendre une telle décision est totalement contraire au principe de prudence. Que cherche-t-il à provoquer par cette décision ? Croit il vraiment que la totalité du personnel va s’exécuter ? Ne sait il pas que certains vont démissionner (c’est déjà le cas pour certains) pour le libéral ou une reconversion ? Ne se rend il pas compte qu’il risque de rendre l’Assistance Publique complètement démunie ?

    On pourrait vraiment le penser… mais c’était sans compter sur la suite de son programme vaccinal. Ils ont certainement prévu cette possibilité et c’est sans doute la raison des décisions suivantes.

    Pour le reste de la population, pas d’obligation. Mais déjà des couvres-feux seront remis en place en Martinique et à la Réunion et, pour les départements dont le taux d’incidence dépassera 200 (soit à nouveau des cas, et non des malades), les sanctions seront ciblées sur les non-vaccinés.

    En prononçant ces mots, il rend officielle et légitime la fracture vaccinale dans notre pays. Il vient de donner blanc-seing à tous les intégristes du « zerocovid » et « no fale med ». Ils auront dorénavant l’aval du président quant à leurs actions de discrimination envers leurs compatriotes non vaccinés.

    – La suite logique de son intervention (car une fois mis en condition on y trouve une certaine logique) est donc l’extension du passe sanitaire, et ce dès le 21 juillet dans les lieux de loisirs et culture à partir de 12 ans. Puis ce passe sera élargi début août à tous les cafés, restaurants, moyens de transport publics, ainsi qu’aux centres commerciaux. Il ajoute que seuls les vaccinés et les testés négatifs (sans préciser le type de test d’ailleurs) pourront y accéder. Plus de différenciation dehors/dedans, on oublie donc encore une fois la science qui nous a prouvé qu’il était rarissime de se contaminer en extérieur. Cinquième écart.

    De plus, en disant que la preuve vaccinale est suffisante, il agit comme si ce vaccin cassait la contamination et la transmission, et on a bien vu que c’était loin d’être évident. Nous nageons dans l’absurde le plus total, où une personne vaccinée mais possiblement positive aura accès à un lieu public, quand une personne non vaccinée mais négative y sera interdite. Sixième écart.

    On rappellera aussi que le passe était censé être utilisé pour les rassemblements de plus de 1000 personnes seulement. Certains avaient vite vu la mascarade de cette loi. Les rédacteurs de cette dernière avaient bien fait attention de ne mentionner aucun seuil pour pouvoir l’adapter.

    Voir aussi : Loïc Hervé, sénateur : « le pass sanitaire, ce n’est pas possible, c’est une question de principe »

    Enfin, il finit par nous annoncer qu’à partir de septembre, les tests deviendront payants. Ceci est une manière de faire qui n’a rien à envier à nos plus sombres moments d’histoire. En effet, comment une famille nombreuse au revenu minimum pourrait-elle se permettre de payer des tests PCR à chaque fois qu’elle veut aller au cinéma ou faire ses courses ? Par cette décision, il contraint de fait une grande partie des réticents à la vaccination, sans autre forme de procès.

    Comme si cela ne suffisait pas : après avoir annoncé des projets de vaccination à l’échelle mondiale via le « Projet Act » pour les pays les plus pauvres qui auront un accès facilité aux doses de vaccins – pays qui pour la plupart, rappelons-le aussi, ne nous ont pas attendu pour soigner et prendre en charge leurs populations avec des traitements connus et reconnus mais dont il est interdit d’écrire le nom sous peine de censure, le président termine son allocution en annonçant la réforme des retraites qui sera mise en place dès la sortie de la pandémie. On notera avec malice que cette date imprécise lui donne une certaine latitude, puisqu’il pense qu’on en a au moins jusque 2022 avec ce virus. Avec en perspective, jusqu’à preuve du contraire, des élections présidentielles en mai 2022. Pense-t-il vraiment être en situation de mettre en place cette réforme ?

    Se justifiant donc avec cette réforme et le maintien du plan de relance post covid, il nous annonce que nous serons contraints de travailler plus et plus longtemps. Car notre président est un homme de parole : ainsi, il continuera la baisse des impôts comme prévu. Il faudra donc financer ce plan de relance et la réforme des retraites par d’autres moyens : le travail ! 

    Il conclut alors par son grand projet qu’il nomma « le pacte français » – mais sans jamais omettre d’y inclure l’Europe. Il aura pour but de faire de la France un pays conquérant à la pointe dans la recherche, l’innovation, l’industrialisation, l’agriculture à horizon 2030. On croirait presque à un discours souverainiste mais y inclure l’Europe et parler également de projet européen d’industrialisation montre bien que tout ceci est peu tangible et viable économiquement.

    Les annonces dites sanitaires auront donc été prises en sandwich entre un numéro d’autocongratulation et un discours programmatique, pour ne pas dire de campagne. Était ce pour noyer le poisson en bombardant le citoyen d’informations importantes ?

    Il n’empêche que nous basculons dans une autre ère ce 12 juillet 2021, 23 ans jour pour jour après que le pays a vécu sa plus belle soirée de communion nationale d’après-guerre. L’obligation vaccinale est appliquée dans peu de pays encore, les seuls étant l’Arabie Saoudite et le Tadjikistan. Sous couvert de protection de la population contre un variant qui à l’heure actuelle n’est pas spécialement alarmant, cette obligation vaccinale et ce passe étendu questionnent fortement.

    Quel est le projet ? A-t-il conscience que si on découvre des maladies auto-immunes, le pays le rendra responsable ? Il est assez jeune pour devoir répondre de ses décisions de son vivant dans plusieurs décennies et ca n’a pas dû lui échapper.

    Quel est l’intérêt de vacciner un enfant de 12 ans ? Combien de morts de 12 ans du covid ? À quel moment notre président et son conseil scientifique ont-ils oublié la définition de la balance bénéfice-risque ?

    De plus, on commence à s’apercevoir de manière assez probante maintenant que de « l’échappement vaccinal » peut se produire, qu’un vacciné peut toujours être positif et que de fait le vaccin n’est pas l’arme ultime de santé publique.

    Voir aussi : « Ne faisons pas un remède pire que le mal » : l’entretien essentiel, avec Christian Vélot

    Que signifie cette dégringolade liberticide ? Nous sommes passés d’un confinement en mars-avril 2020 pour désengorger nos hôpitaux et nos réas, à l’obligation vaccinale en septembre 2021 pour un enfant de 12 ans pour aller manger un snack dans un centre commercial…

    Les historiens et philosophes du XXIIème siècle auront là un sujet passionnant pour leurs thèses.

    Auteur(s): FranceSoir




    Macron prend le risque de fracturer le pays

    [Source : Le courrier des stratèges (lecourrierdesstrateges.fr)]

    Par Éric Verhaeghe

    Dans son allocution de 27 minutes prononcée hier à la télévision, Emmanuel Macron a annoncé des mesures très autoritaires pour l’été : obligation vaccinale pour les soignants et d’autres professions « au contact du public » (on attend de voir si les enseignants seront concernés) et utilisation du pass sanitaire dans les restaurants, les cafés, les théâtres, les cinémas. Il a également annoncé une réforme des retraites après l’épidémie. Cette stratégie d’exclusion a suscité de nombreuses réactions sur les réseaux sociaux. Reste à savoir si elle conduira à une fracture ouverte du pays.

    Les annonces d’Emmanuel Macron hier soir ont surpris par leur autoritarisme et leur détermination. Elles constituent un véritable test sur l’intensité de l’opposition populaire au président de la République. 

    Macron annonce l’exclusion des non-vaccinés

    Les annonces d’hier sont sans ambiguïté. Pour l’instant, l’obligation vaccinale est limitée aux personnels soignants et à quelques professions en contact avec le public (le sort des enseignants ne manquera pas d’intéresser…). Mais le Président a évoqué une possible généralisation à toute la population. Surtout, les non-vaccinés seront exclus de fait de la vie sociale : leur accès aux cafés, aux restaurants, aux théâtres, au cinéma, aux avions, aux trains, sera supprimé.

    Cette mesure autoritaire, largement approuvée dans la caste, devrait marquer les partenaires de la France par sa rigueur et son « innovation ». Elle constitue un précédent majeur dans le concert des nations démocratiques, aux antipodes du Freedom Day décidé par Boris Johnson. 

    Un effet immédiat sur les prises de rendez-vous

    Dès la fin de l’allocution présidentielle, le site de prise de rendez-vous pour la vaccination Doctolib a « explosé ». Près d’un million de Français auraient pris rendez-vous dans la soirée pour recevoir une dose de vaccin. 

    Il ne reste plus qu’à en convaincre 32 millions supplémentaires. Mais l’objectif de pousser le « ventre mou » des non-vaccinés à recevoir leur dose pourrait avoir avancé.

    La contestation bondit

    Dans le même temps, les réseaux sociaux se sont embrasés, notamment sous l’effet des non-vaccinés qui ont annoncé leur intention de résister à la mesure présidentielle. Différentes manifestations pourraient avoir lieu dès le 14 juillet. Le défilé militaire sera d’ailleurs réservé aux détenteurs d’un pass sanitaire. 

    La question est de savoir si l’exclusion des vaccinés suscitera une crise politique ou pas. Les semaines qui viennent, et même les jours qui arrivent, avec le dépôt imminent d’un projet de loi, donneront une bonne représentation de l’état des forces en France. 




    France : Plainte contre Emmanuel Lechypre et avertissement aux grands médias. Mise à jour

    [Source : Ligue Nationale Pour la Liberté des Vaccinations (infovaccin.fr)]

    [Mise à jour : fichier de la plainte officielle.]

    Communiqué de presse 12 juillet 2021

    La Ligue nationale pour la Liberté des Vaccinations (LNPLV) porte plainte auprès du Conseil supérieur de l’audiovisuel (CSA), contre Emmanuel LECHYPRE, journaliste, éditorialiste économique français officiant sur BFM TV, BFM Business, RMC et RMC Story.

    Ce journaliste a tenu sur RMC Story des propos menaçants susceptibles de poursuites pénales :

    « On vous vaccinera de force, moi je vous ferai emmener par deux policiers au centre de vaccination. Faut aller les chercher avec les dents et avec les menottes s’il le faut […] Les non-vaccinés, ce sont des dangers publics, j’ai une démarche très claire : je fais tout pour en faire des parias de la société ! »

    Ce journaliste porte atteinte à la dignité de la personne humaine à la liberté d’autrui, à l’ordre public en incitant publiquement à la haine, à la violence et à la discrimination d’un nouveau genre à l’égard des Français refusant de se voir injecter un médicament expérimental.

    De tels propos doivent être sanctionnés rapidement. Ils sont le reflet d’un mode de pensée totalitaire et d’une régression de l’expression démocratique sans précédent depuis la Libération.

    Nous rappelons le premier alinéa du préambule de la Constitution de 1946 :

    « Au lendemain de la victoire remportée par les peuples libres sur les régimes qui ont tenté d’asservir et de dégrader la personne humaine, le peuple français proclame à nouveau que tout être humain, sans distinction de race, de religion ni de croyance, possède des droits inaliénables et sacrés. »

    Ainsi, nul ne peut être discriminé, maltraité ou exclu en fonction d’un quelconque statut sanitaire qui doit par ailleurs rester protégé par le secret médical.

    Nous demandons à M. Lechypre et à tous les journalistes des grands médias :

    1. de respecter le Code de déontologie des Journalistes (Charte de Munich) : « Ne jamais confondre le métier de journaliste avec celui du publicitaire ou du propagandiste ; n’accepter aucune consigne, directe ou indirecte, des annonceurs » (point 9).

    2. de mener des investigations indispensables pour délivrer des informations objectives et claires. Nous avons besoin de débats véritablement contradictoires et non d’une diversité d’intervenants peu qualifiés qui ne font que masquer une consanguinité de la pensée, mortifère pour la santé des Français et la démocratie. Les Français sont las du matraquage et des discours culpabilisants. Beaucoup ont coupé le poste pour préserver leur santé mentale. Nous invitons les journalistes à sortir de la communication institutionnelle, du sensationnalisme et de l’alarmisme pour chercher à connaître la vérité des faits et informer de manière objective.

    La Ligue nationale pour la Liberté des Vaccinations www.infovaccin.fr/
    Contact : lnplv.adm@orange.fr

    [Mise à jour :]

    Plainte officielle :




    LE RÉSUMÉ DES ANNONCES D’EMMANUEL MACRON CE 12 JUILLET

    [Source : numerama.com]

    • Les soignants et soignantes auront l’obligation de se faire vacciner  (ils auront jusqu’au 15 septembre) ;
    • Le pass sanitaire devient obligatoire dès août dans de nombreux lieux culturels et sociaux (restaurants, cafés, trains, hôpitaux) ;
    • État d’urgence et couvre-feu ont été instaurés pour la Martinique et la Réunion ;
    • Les tests PCR vont devenir payants à partir de l’automne 2021 ;
    • Des campagnes de vaccinations spécifiques pour les collégiens et lycéens seront organisées à la rentrée



    La Secte « en marche » joue son va-tout

    Par Lucien Samir Oulahbib

    C’est ainsi, la Section française de la Secte Hygiéniste-affairiste (S.F.S.H.A) avance rageusement son tapis en accélérant le flicage et marquage du troupeau (jusqu’aux « centres commerciaux ») alors qu’aucun élément, aucun, peut légitimer cette hystérie hygiéniste au vu des chiffres à disposition de la syndémie C-19. Mais comme il s’agit de programmer les peuples, il faut d’abord « affaiblir » leurs fonctions immunitaires : c’est évident maintenant. Le Premier ministre français l’a même constaté et propose ainsi une troisième dose au lieu de traitements précoces et de vitamines adaptées.

    Pour ce faire, il faut continuer de bombarder à l’artillerie lourde (par les médias dominants) la moindre fenêtre d’espérance, envoyer des snipers et coupe-jarrets pour ensuite nettoyer le terrain.

    Raoult a été ainsi mis au pas. De même que Mila qui s’affiche en brandissant même l’un de leurs livres. Désormais la Secte se sert ainsi de groupes sectaires pour s’imposer. Comme en Iran avec le résultat que l’on sait. Afghanistan, idem.

    Le troupeau se transforme en rhinocéros tout en le niant. « Vaccin marcht frei », écrivent en encre empathique en haut des vaccinodromes les nouveaux kapos aux aguets.

    Nier cette situation est possible, mais cela relève dans ce cas de la tératologie qui a ainsi de beaux jours devant elle.




    Pourquoi un tel silence sur la Plitidepsine ?

    [Source : UPR TV via Les 7 du quebec]




    No limit ! « Le président Macron nous remercie vivement pour notre incapacité à faire “non” et notre absence de courage ! ». « Pour cette occasion et pour nous récompenser, un tirage au sort est organisé ce lundi 12 juillet 2021 à 19 h ! »

    Par Alain Tortosa

    No Limit [= « Aucune limite »]

    « Le président Macron nous remercie vivement pour notre incapacité à faire “non” et notre absence de courage ! »

    « Pour cette occasion et pour nous récompenser, un tirage au sort est organisé ce lundi 12 juillet 2021 à 19 h ! »

    Plusieurs lots sont à gagner…

    • Une vaccination expérimentale obligatoire pour tous les soignants.
    • Une vaccination expérimentale obligatoire pour toutes les personnes en contact avec le public.

    Et le maxi lot…

    • Une vaccination expérimentale pour tous y compris les enfants dès la naissance !

    Vous pourriez vous demander…

    « Mais pourquoi tant de générosité, tant de sollicitude à notre égard ? »

    Ne nous dénigrons pas, c’est largement mérité, fruit d’un travail collectif d’acceptation ! Rendez-vous compte que depuis plus d’un an…

    • Vous avez accepté d’être confiné, assigné à résidence, même plusieurs fois…
    • Vous avez accepté de porter un masque à l’intérieur comme à l’extérieur.
    • Vous avez osé accepter de masquer vos enfants.
    • Vous avez accepté des tests PCR.
    • Vous avez accepté le pass sanitaire.
    • Et nous n’avons pas dit « Non ! », massivement, dans la rue et dans nos actes !

    Nous méritons amplement le cadeau de la vaccination obligatoire….

    Ne manquons pas le tirage de ce soir pour connaître les heureux gagnants !

    Au cas où vous ne seriez pas désigné gagnant dès ce soir, ne désespérez pas, il y aura d’autres tirages, nous le méritons bien…

    Sachez que de nombreux autres lots sont en préparation au-delà de l’obligation vaccinale comme le passeport vaccinal, le crédit social, l’obligation de puçage, la suppression de l’argent liquide…, etc.

    Soyons patients, tout arrive… Je sais que vous réclamez la suppression la plus large possible de vos libertés et le plus vite possible… et c’est en court !

    Merci à nous tous pour votre inaction !

    Merci à nous tous pour notre manque de courage !

    Merci à nous tous pour la fin complète et définitive de tous nos droits ! Merci.

    Merci.

    Alain Tortosa

    Esclave passif, auteur de «7milliardsd’esclavesetdemain!»

    Le 12 juillet 2021 https://7milliards.fr/tortosa20210712-nous-avons-merite-la-vaccination-obligatoire.pdf




    Effets secondaires et décès liés aux injections expérimentales anticovid.

    Par Nicole Delépine

    [Illustration tirée de XAVIER DELUCQ]

    Recueil de données officielles disponibles

    UNION EUROPEENNE

    Pour ceux qui aimeraient vérifier les chiffres publiés sur les effets secondaires déplorés et signalés en UE, voici la source et la marche à suivre(([1] SOURCE : http://www.adrreports.eu/fr/search_subst.html#))

    SOURCE : http://www.adrreports.eu/fr/search_subst.html#

    MARCHE À SUIVRE

    Si vous voulez effectuer la recherche : une fois cette page ouverte

    recherchez « covid ». Vous trouverez les quatre vaccins.

    Sur chacune des pages du vaccin, cliquez sur l’avant-dernier onglet (« Number of Individual Cases for a selected Reaction »). Le nombre d’effets secondaires se trouve en bas à droite pour chacun des groupes de pathologies répertoriés dans la colonne de gauche.

    Pour trouver le nombre total d’effets secondaires, pour chaque vaccin, il faut additionner le nombre d’effets secondaires trouvé pour chacun des groupes de pathologies (c’est-à-dire, par vaccin, plusieurs dizaines de pages dans la liste de la colonne de gauche).

    Dernier comptage disponible(([2] 16.500 décès susceptibles d’être causés par les « vaccins » anti-covid dans l’UE (au 26 juin 2021) | Mondialisation — Centre de Recherche sur la Mondialisation)) en UE avec les pathologies associées.

    CHIFFRES GLOBAUX UE

    17 503 décès comptabilisés de gens bien portants qui ont suivi les conseils télévisés des médias, n’est-ce pas énorme ? Et le nombre d’accidents répertoriés dont 50 % sont graves ne sont pas assez soulignés, car la vie de ceux-là sera perturbée pendant des décennies s’ils survivent aux complications tardives possibles (cancer, maladie auto-immune, etc.).

    Ceci est un comptage minimum, car les soignants sont invités à ne pas parler d’effets secondaires et à expliquer que malheureusement « c’est le hasard ».

    Les morts ne sont comptabilisés que durant les trente jours suivants la piqûre et les morts subites du deuxième mois sont volontairement oubliées. Quant aux accidents cardiaques fréquents, ils sont pour l’instant supposés être le fait de pure coïncidence et non comptabilisés. Gageons que les cardiologues vont faire fortune, l’injection génique source de fabrication de protéine Spike étant particulièrement toxique pour les vaisseaux et en particulier les vaisseaux usés des gens âgés qu’on s’est précipité à injecter.

    Qu’importe de l’exactitude des chiffres qui sont de toute façon tellement élevés, même si des millions de gens sont vaccinés comme les fanatiques du vaccin nous le répètent.

    Il serait raisonnable de comparer ces chiffres énormes de décès et accidents liés à l’injection anticovid à ceux des vaccins tellement répandus dans le monde comme ceux contre la rougeole ou la poliomyélite aux États-Unis, comme en Chine, et qui n’ont jamais donné une mortalité comparable. Pourquoi est-ce acceptable pour l’injection génique ?

    Ils sont infiniment trop élevés pour une pratique théoriquement préventive, chez des gens bien portants qui le plus souvent ne risquent rien du covid. On ne devrait pas tolérer que continue cette campagne de pseudo « vaccination ».

    Rappelons que le vaccin H1N1 avait été retiré après une cinquantaine de décès de même que celui de la grippe aviaire en 1976 et que de façon générale, un essai thérapeutique d’une nouvelle drogue est stoppé au-delà d’une trentaine de décès. Le nouveau monde est bien là, oubliant le consentement éclairé, le principe de précaution et la valeur de la vie, d’une vie.

    Un moratoire pour avoir le temps d’analyser les données déjà disponibles serait la moindre des choses si le sort des citoyens était en cause, après des millions de gens vaccinés.

    Soit 16 432 décès signalés et acceptés par l’EMA comme possiblement liés et suspects fin juin 2021 avec le détail.

    Et si vous souhaitez avoir une idée de l’évolution du nombre de décès depuis avril par exemple :

    • Pour le détail à la date du 19 juin 2021 par type de pseudovaccin :
    • Pfizer 7420 décès 560 000 effets adverses d’intérêt
    • Moderna 4147 décès 122 643 effets adverses d’intérêt
    • Astra Zeneca 3364 décès et 793 036 effets adverses d’intérêts
    • Jansen 541 décès
    • UE : 15 472 décès au 19 juin + 1.5 M effets adverses

    Depuis le 3 avril 2021, on dénombre dans l’UE en moyenne CHAQUE JOUR 120 décès suspectés d’être dus aux quatre « vaccins » anticovid dans l’Union européenne sont signalés.

    USA

    VAERS au 25 JUIN 2021

    Entre le 14 décembre 2020 et le 25 juin 2021, un total de 411 931 événements indésirables au total a été signalé au VAERS, dont 6985 décès, soit une augmentation de 872 décès par rapport à la semaine précédente.

    Il y a eu 34 065 signalements de complications graves, en hausse de 2825 par rapport à la semaine précédente »

    Les analystes des conséquences des vaccins anticovid aux USA sont interloqués par la haute fréquence des complications vaccinales en comparaison avec l’ensemble des complications des autres vaccins des deux décennies précédentes.

    Aux USA en 16 mois. chez les 0-17 ans (74,2 millions) 396 morts attribuées au covid Et augmentation majeure du nombre d’accidents vaccinaux depuis 1990

    Aux USA depuis mars, chez les mineurs âgés de 12 à 18 ans

    Il y a eu plus de 300 décès après injection de la substance génique. Acceptable ?

    Royaume-Uni(([5] ONS finally admits the Covid Vaccines have caused multiple deaths; contradicting claims made by the MHRA – Daily Expose))

    Le nombre total de morts reportés par le MHRA (système carte jaune) est de 1403 reconnus, liés aux injections de vaccins anticovid. Chacun sait que les effets secondaires sont sous-déclarés 1 à 10 %.

    Le UK Gouvernement via son agence de santé MHRA a rapporté un total de 1 007 253 réactions négatives, surdité, troubles visuels, convulsions, paralysies, perte de connaissance, arrêt cardiaque, crise cardiaque, et mort subite entre autres

    L’Insee anglais (ONS) admet dans son décompte de la mortalité, la mort par effet secondaire des vaccins, contredisant ainsi de fait les labos et politiques qui rechignent à admettre la vérité par souci d’imposer leur pass vaccination

    ÉCOSSE

    Le site « Public Health » écossais a noté depuis le 26 février, 2207 morts dans les 28 jours suivant la vaccination et dans un autre rapport entre le 8 décembre date de début de la campagne d’injection et le 28 mai un total de 3752 décès suivant l’injection

    FRANCE

    Pour l’ANSM, agence du médicament française, il n’y a que 6 établissements qui font le recensement d’effets secondaires sur 1356 établissements et les chiffres sont sous-estimés.

    Récemment : les sites de pharmacovigilance complètement débordés ont demandé de ne signaler que les cas très graves.

    Le Site de l’ANSM est un peu difficile à consulter, car pour l’instant, il ne compte pas les décès en l’absence de certitudes de la relation de cause à effet.

    Les effets secondaires qui remontent à l’ANSM sont des effets qui se sont déroulés dans les heures, la semaine ou les 10 jours qui ont suivi.

    Quelques chiffres accessibles sont rapportés dans les tableaux suivants.

    Au premier mars 2021, l’ANSM recensait 169 morts post vaccination du vaccin Pfizer, parmi plus de 5000 cas d’effet secondaires dont 25 % graves.

    Un tableau à la même date donne une idée du type d’effets indésirables constatés et signalés et donc possibles pour les nouveaux vaccinés (la deuxième dose paraissant toujours plus à risque que la première). Vous remarquerez la fréquence des complications vasculaires et cardiologiques dues à la toxicité maintenant reconnue de la protéine Spike fabriquée par les organismes vaccinés.

    Larbi Meftahi fait part de ses difficultés pour produire son tableau récapitulatif hebdomadaire des effets secondaires de la vaccination Covid-19 (cf. ci-dessous). Les CRPV sont sous l’eau et l’ANSM peine à produire ses rapports détaillés hebdo.

    Chiffres ANSM au 20/05/2021. Larbi MEFTAHI @larbi_meftahi

    « Plus de 37 000 cas d’effets secondaires sur 27 millions de vaccinés d’après l’ANSM au 13 mai 2021, dont plus de 9600 cas graves. C’est sur le site. Rien d’anodin. Ça fait autour d’un cas d’effet secondaire sur 750 vaccinations et 1 cas grave toutes les 2800 vaccinations quand même. »(([6] dixit la grosse fouine sur twitter.))

    Ainsi en France on estime à 1 personne sur 100 entre 16 et 49 ans souffrant d’effet secondaire grave. Avec sous-déclaration des effets secondaires (ANSM AZ rapport n°12) à prendre en compte.

    Par ailleurs, on remarque auprès des collègues, amis, et proches vaccinés que les événements survenus dans les semaines qui ont suivi la vaccination, comme infarctus, accident vasculaire cérébral ou perte de mémoire (petits emboles vasculaires cérébraux), restent considérés comme des coïncidences. Jusqu’à quand et combien de victimes ?

    En tout cas, les responsables de l’ANSM ne cachent plus leur volonté de dissimuler l’info. En effet, sur les quatre dernières périodes (un mois), l’ANSM ne produit plus de rapports hebdomadaires sur les effets secondaires des vaccins Covid-19.(([7] « Manifestement le site de l’ANSM ne joue plus la transparence » : Selon Larbi MEFTAHI @larbi_meftahi le 6 juil.))

    ET chez les enfants ?

    Le vaccin BioNTech/Pfizer BNT162b2, nom commercial COMIRNATY®, a obtenu son AMM conditionnelle européenne le 21 décembre 2020. L’Agence européenne du médicament a autorisé son utilisation sur les adolescents de 12 à 15 ans le 28 mai 2021. Le vaccin peut être administré aux 12-17 ans en centre de vaccination et sur autorisation parentale depuis le 15 juin 2021.

    Covid-19 : pourquoi plus de 5000 enfants de moins de 12 ans ont-ils été vaccinés en France ?

    Les données de Santé publique France font apparaître plusieurs milliers de jeunes enfants ayant reçu au moins une dose de vaccin, hors autorisation de mise sur le marché.

    Plus de 5000 enfants de moins de 12 ans apparaissent vaccinés dans les données de Santé publique France(([8] Par Nicolas Berrod. Le 2 juillet 2021))

    Plus de 5 000 enfants de moins de 12 ans apparaissent vaccinés dans les données de Santé publique France (Illustration). LP/Clivier Corsan
    (Illustration : LP/Clivier Corsan)

    Au 30 juin, il apparaît que 5272 garçons et filles de moins de 12 ans ont reçu au moins une dose de vaccin – 2264 âgés de 0 à 4 ans, 1086 de 5 à 9 ans, et 1922 de 10 ou 11 ans.

    972 d’entre eux sont complètement vaccinés.

    Pourtant, aucun vaccin n’a reçu d’autorisation de mise sur le marché pour les moins de 12 ans.

    Seul Pfizer l’est, pour le moment, pour les 12-17 ans (Moderna pourrait être validé à son tour en juillet).

    Santé publique France confirme que ces chiffres « reflètent la réalité » et ne sont pas dus à des erreurs de saisie.

    « Il y a la possibilité de vacciner, y compris hors autorisation de mise sur le marché, de jeunes enfants qui présenteraient des facteurs de risques de forme très sévère [de Covid-19]. On n’a pas l’information enfant par enfant, mais la très grande majorité correspond très vraisemblablement à ce genre de décision individuelle », explique Daniel Lévy-Bruhl, épidémiologiste à l’agence sanitaire.

    Plusieurs pathologies sont concernées.

    Dans un avis publié le 24 mars 2021 sur son site, la Société française de pédiatrie notait déjà qu’« un très petit nombre d’enfants à très haut risque de Covid-19 sévère pourrait être vacciné selon le même schéma que les adultes, dès que possible, malgré l’absence d’AMM ».

    Sont notamment concernés ceux atteints de polyendocrinopathie auto-immune, ou ceux présentant une prédisposition génétique aux encéphalopathies virales.

    Ce nombre de 5272 reste faible, par rapport aux 10 millions d’enfants âgés de moins de 12 ans en France. La couverture vaccinale avec au moins une dose s’élève donc à moins de 0,1 % dans cette tranche d’âge.

    Chez les 12-17 ans, elle est passée de moins de 1 % à 13,4 % en trois semaines. (estimation au 2 juillet)

    En comparaison, le Covid a fait zéro mort chez les moins de 19 ans sains. En 2020 il n’a été observé que trois décès associés au virus, et tous chez des enfants immunodéprimés graves.

    ISRAËL

    En Israël aussi les médecins se demandent pourquoi cette folie de vouloir absolument vacciner les enfants.(([9] Andrew Bostom, MD, MS @andrewbostom 5 juil.))

    Le Covid-19 n’est pas une maladie de l’enfant et sur plus de 6400 décès répertoriés de covid seulement 9 concernaient des enfants, et la plupart sont atteints de maladies graves sous-jacentes : « nous ne savons pas vraiment si ce vaccin est sans risque pour les adolescents ».(([10] https://jpost.com/health-science/why-is-israel-mass-vaccinating-teens-when-who-says-not-to-analysis-672854))

    Pourtant selon une étude des autorités sanitaires israéliennes,(([11] https://www.lecho.be/dossiers/coronavirus/lien-probable-entre-le-vaccin-pfizer-et-la-myocardite-dit-israel/10310696.html)) 275 cas de myocardite ont été identifiés entre décembre 2020 (soit la date du début de la campagne de vaccination) et mai 2021, et surtout chez les jeunes.

    DANGER MAJEUR DE L’INJECTION GÉNIQUE CHEZ LES JEUNES ADULTES ET ADOLESCENTS, LES MYOCARDITES DANS TOUS LES PAYS VACCINES

    Chez les jeunes, les pseudovaccins anticovid semblent d’autant plus toxiques que les citoyens sont plus jeunes, en particulier sur les conséquences cardiaques.

    En Israël, cent quarante-huit myocardites sont apparues dans le mois suivant la vaccination dont 27 cas après la première dose, et 121 après la deuxième dose. Et les autorités sanitaires ont découvert un « lien probable » entre les deux.(([11] https://www.lecho.be/dossiers/coronavirus/lien-probable-entre-le-vaccin-pfizer-et-la-myocardite-dit-israel/10310696.html))

    La plupart des cas sont survenus chez de jeunes hommes, en particulier ceux âgés de 16 à 19 ans. Les patients ont majoritairement été hospitalisés pendant quatre jours ou moins.

    Aux États-Unis une étude souligne le possible lien entre les vaccins à ARN messager (Pfizer et Moderna) et les cas de myocardite détectés chez certains jeunes vaccinés. Leurs conclusions sont similaires à celles tirées par l’État hébreu.

    Pendant plusieurs semaines, un groupe de sécurité des Centers for Disease Control and Prevention (CDC) a étudié les cas d’inflammation cardiaque survenus après des injections de vaccins Pfizer et Moderna.

    Ils ont expliqué avoir recensé un peu plus de 12 000 cas de myocardite (inflammation du muscle cardiaque) ou de péricardite (inflammation de la membrane qui entoure le cœur). Ceux-ci sont principalement survenus chez des personnes de moins de 30 ans plus souvent chez les hommes que chez les femmes. D’après les scientifiques américains, le lien entre les vaccins et ces problèmes de santé est « probable ».

    Quelle fréquence ?

    Voici les chiffres américains, en détail, arrêtés au 11 juin 2021

    • 267 cas de myocardite ou de péricardite signalés après l’administration d’une première dose d’un vaccin à ARNm.
    • 827 cas après l’administration d’une deuxième dose d’un vaccin à ARNm.
    • 132 cas signalés sans que le nombre de doses soit connu.

    « Il s’agit encore d’un événement rare », a commenté le Dr Tom Shimabukuro. « Pour les deux vaccins combinés, on a enregistré 12,6 cas d’inflammation cardiaque par million de doses. Les cas étaient plus fréquents chez les personnes ayant reçu le vaccin Moderna, soit 19,8 cas par million, contre 8 cas par million pour le vaccin Pfizer », a-t-il précisé.

    Cet effet secondaire rare a été ajouté dans la liste des avertissements présents dans les fiches d’information sur les vaccins à ARNm, selon la Food and Drug Administration (FDA).

    « Sur la base des données disponibles, une mise en garde dans les fiches d’information, tant pour les prestataires de soins de santé que pour les personnes vaccinées et les soignants, serait justifiée dans cette situation», a déclaré Doran Fink, directeur adjoint de la division des vaccins de la FDA, cité par Politico.

    Les symptômes de ces inflammations cardiaques consistent en des douleurs thoraciques et en un essoufflement. Ils apparaissent surtout dans la semaine qui suit la vaccination, principalement au quatrième jour suivant l’injection.

    Si une personne soupçonne qu’elle souffre d’une myocardite ou d’une péricardite, il lui est conseillé de se rendre chez son médecin ou aux urgences. Des examens permettront d’établir un diagnostic. Si l’inflammation est survenue par suite de l’injection de la première dose, il serait prudent de ne pas recevoir la seconde.

    EN CONCLUSION 

    COMBIEN D’ENFANTS SONT-ILS MORTS DU VACCIN ? BEAUCOUP TROP, PUISQU’ILS NE RISQUAIENT RIEN DU COVID

    Les injections géniques expérimentales ne protègent pas ceux qui les reçoivent ni leurs contacts, du coronavirus ni de ses variants, et exposent à de trop nombreux effets indésirables immédiats et à moyen terme, et inconnus à long terme. Leur administration doit être stoppée en urgence.

    Et si vous voulez mieux connaître les laboratoires qui commercialisent ces injections géniques :





    La Covid et la mort de la pensée indépendante

    [Source : Le-Blog-Sam-La-Touch via reseauinternational.net]

    Article originel : Covid and the death of independent thought
    Conservative Woman, 10.07.21

    La chose la plus déprimante au sujet des 17 derniers mois n’est pas ce que nos gouvernements ont fait. J’ai toujours attendu que les gouvernements soient corrompus et incompétents. Ils agissent simplement en personnages. Non, ce qui est vraiment déprimant au sujet des 17 derniers mois, c’est la façon dont les gens ont agi, en particulier ma famille et mes amis.

    Mes parents pratiquant avec une foi chrétienne qui ont marché contre la guerre du Vietnam et ont été arrêtés pour avoir protesté sur des bases de sous-marins nucléaires. Ils m’ont fait croire que les élites contrôlaient le monde et agissaient par l’intermédiaire d’agences de renseignement comme la CIA. Ils considèrent qu’il va de soi que des acteurs d’un « état profond » ont tué John F Kennedy, Robert Kennedy et Martin Luther King. Mes frères et sœurs et moi avons tous absorbé l’idée que la plus haute vocation dans la vie était de combattre la tyrannie des riches sur les gens ordinaires.

    J’ai pris cette vision du monde avec moi. J’ai cherché des amis qui semblaient partager ces valeurs et dont j’ai respecté l’intellect. Nous avons passé d’innombrables nuits, alimentées de grandes quantités de bière, essayant de regarder derrière le rideau pour comprendre exactement qui a mené le spectacle. Nous sommes allés à New York pour participer à une manifestation No Nukes (« Pas d’armes nucléaires »). Je me souviens d’avoir regardé mes amis dans le train sur le chemin de la maison. Je m’étais dit : « Nous sommes le peuple. » Je me suis senti chanceux d’avoir de si bons alliés dans ce monde. J’étais sûr qu’ils seraient à mes côtés dans les tranchées si jamais notre pays était menacé par la tyrannie.

    Cela dit, je n’étais ni naïf ni trop idéaliste. Au contraire, en tant qu’adulte, j’étais profondément cynique, du moins au sujet des institutions mondiales. Mais j’avais foi en la bonté inhérente des gens, la durabilité du bon sens, et la sagesse de mes amis et de ma famille, et de mon peuple en général.

    Au cours de la dernière année et demie, cette foi en l’humanité a été complètement brisée, et cela m’a profondément ébranlé.

    Mes parents ont bu profondément au puits de la propagande gouvernementale. Malgré le fait que l’entreprise de leur fils (la mienne) a été détruite et que l’éducation et la vie sociale de leurs petits-enfants ont été ruinées, ils ne peuvent pas se résoudre à proférer un cri de protestation. Ils ont accepté la fermeture des églises avec une parfaite équanimité, apparemment ignorant que si les premiers chrétiens avaient été si lâches dans leur foi, le christianisme n’aurait jamais survécu assez longtemps pour qu’ils deviennent chrétiens. Ils ont consenti au sacrifice (« vaccination ») des enfants pour « protéger » les personnes âgées.

    Lorsqu’on leur présente des faits et des données qui contredisent le discours traditionnel, mes parents et mes frères et sœurs réagissent avec une colère réelle. Ils refusent d’en discuter. Il y a des années, même si nous étions en désaccord sur un sujet, nous pourrions en discuter sans que cela menace notre relation. Plus maintenant. Ils ne veulent rien entendre qui aille à l’encontre du discours des médias.

    Pour ce qui est de mon groupe d’une vingtaine d’amis proches, la plupart d’entre eux appuient ardemment le discours dominant ou ne se donnent tout simplement pas la peine de s’y opposer. Ils n’ont pas seulement accepté le vol de leurs libertés les plus fondamentales, ils défendent ce vol.

    Ces mêmes gens qui avaient l’habitude de traiter les médias traditionnels avec des soupçons sains maintenant reprennent tel des perroquets leurs points de discussion sans un soupçon d’ironie. Ils semblent complètement inconscients que les médias grand public ont subi une transformation radicale au cours des cinq dernières années, le passage des sources d’information aux organes de propagande stridents diffusant un récit régulier de points de discussion clivants conçus pour diviser les masses en groupes belliqueux, tandis qu’une infime élite solidifie leur contrôle des richesses du monde. Ils sont passés de la dérision des médias traditionnels en tant qu’organes de fabrication de consentement de la Machine à avoir une foi enfantine dans les dernières déclarations de Big Brother.

    Les gens que j’ai connus pour être remplis de curiosité et avides de connaissances affichent maintenant une sorte de réaction allergique à toute nouvelle information. Face à quelque chose de l’extérieur du récit principal, leur réaction va de l’ennui à l’indignation.

    Seulement trois de mes amis proches ont résisté au récit de la COVID-19. Nous nous sommes engagés dans une bataille avec notre groupe au sujet de la dernière abomination commise au nom de la lutte contre la COVID-19, mais nous n’avons fait aucun progrès. Nous en sommes finalement arrivés à la conclusion qu’aucun argument, aussi intelligent soit-il, et aucun ensemble de données, aussi révélateur soit-il, ne les ferait changer d’avis. Ils sont hors de portée.

    On revient sans cesse sur la métaphore de l’Invasion des profanateurs, un film de science-fiction de 1956 refait en 1978 dans lequel la race humaine est envahie par un virus interstellaire : les gens autour de nous se ressemblent, mais quelque chose est différent. Ils ne sont plus là; les lumières se sont éteintes. Là où le bon sens et la raison prévalaient autrefois, il n’y a plus que des répétitions stupides de points de discussion des médias grand public. Qu’est-il arrivé à ces gens ?

    La chose la plus déprimante est la saleté totale du mensonge qui a trompé mes amis, ma famille et mes compatriotes. Satan est souvent dépeint comme attrayant, urbain et intelligent. Il serait naturel que les gens soient menées par une telle personnalité séduisante. Nous pourrions pardonner aux gens de tomber pour ses insinuations, mais de les voir bernés par une bande de charlatans de si bas niveau est vraiment ahurissant. Je veux dire, regardez-les : cet effrayant cadavre cireux, Joe Biden ; le méchant homunculus, Anthony Fauci ; ce garçon d’école tordu, Matt Hancock ; et cet acte soigneusement calculé de Boris Johnson. Le plus joyeux aperçu de n’importe lequel d’entre eux fait déclencher mes alarmes contre la « connerie ».

    Et l’histoire qu’ils ont avalée ! Quelques vidéos à petit budget en provenance de Chine de gens qui s’effondrent dans les rues et recyclent sans cesse des images d’ambulances et d’Unités de soins intensifs bondés. Les gens ont complètement ignoré leur propre expérience. Est-ce que cela ressemble à une pandémie? Où sont les hôpitaux de campagne bondés de morts et de mourants? Où sont les fosses communes? Où sont les camions qui nous demandent de « sortir les morts » ? Sans Internet et les médias de masse, il n’y aurait pas une âme sur terre qui penserait que quelque chose d’inhabituel se passe.

    J’ai toujours attribué à l’humanité une certaine intelligence animale et une certaine force de caractère. Mais face à une production de propagande de troisième ordre livrée par une troupe de charlatans bâclée, notre peuple le plus « éduqué » a fait preuve de tout le discernement et de toute l’acuité mentale des voyous sordides lors d’un match de lutte professionnel. Ils ont renoncé à leurs libertés les plus importantes et ont permis à leurs propres enfants d’être torturés, blessés et tués sans lever le petit doigt pour se défendre.

    La réalisation la plus révélatrice des 17 derniers mois est la suivante : il est incroyablement facile de laver le cerveau et d’influencer au travers de la propagande la population. En effet, ils semblent en avoir faim, même au détriment de leur propre vie et de celle de leurs enfants.

    Je pensais honnêtement que nous étions de meilleures personnes. Je pensais que le bon sens, le fair-play et l’humanité étaient nos paramètres par défaut. Je ne pensais pas que l’obéissance et la lâcheté comme des moutons étaient nos traits les plus profonds. Mais, les 17 derniers mois m’ont désabusé de cette croyance. Et je ne me remettrai jamais de cette perte.

    Maintenant, face à des médias toujours plus immersifs et à des technologies plus addictives et manipulatrices, toutes contrôlées et possédées par des milliardaires sociopathes, je désespère vraiment pour notre avenir. Je n’arrête pas de penser au refrain de Neil Young de l’Ohio : « Nous nous retrouvons finalement seuls. »

    Traduction SLT




    Êtes-vous sûr de vouloir vous faire vacciner ?

    [Source : VK (9 ce cœur)]

    [Source image : midilibre.fr. Exemples de paralysie faciale suite à la « vaccination » anti-covid]






    L’avocat Me Etienne Boittin a plus de 20 dossiers de décès après la vaccination anti-Covid

    [Source : lemediaen442.fr]

    La question que nous nous posons à la rédaction, c’est : comment un avocat, Me Etienne Boittin, peut-il avoir plus de vingt dossiers sur les bras à lui tout seul, concernant le décès d’hommes et de femmes après la vaccination anti-Covid, sans que les journalistes de plateau n’en fassent guère mention ?

    C’est une situation surréaliste à laquelle nous assistons. Var-Matin nous apprend, en déambulant sur les réseaux-sociaux par le plus grand des hasards, que l’avocat Etienne Boittin est saisi d’une vingtaine de dossiers dans toute la France, dont quatre dans la région Sud, pour des décès qui ont suivi de quelques jours , ou quelques semaines, une vaccination anti-covid.

    « Trois hommes sont morts, de 54, 56 et 70 ans, après une vaccination anti-Covid. Un quatrième à Aix. Les familles veulent comprendre ce qui s’est passé. L’avocat a plus vingt dossiers sur les bras concernant [notamment] deux autres hommes, de 24, 39 ans, et une femme de 38 ans. »

    Que veut dire ce silence assourdissant des médias mainstream ? Les décès par le vaccin doivent absolument être cachés ? Une chose est certaine, le jeune âge des victimes devrait nous interpeller.




    Une mise au point sur les masques & lettre adressée au président du Sénat

    [Source : profession-gendarme.com]

    Le Docteur Sylvain. ….., fidèle lecteur de Profession-Gendarme nous adresse la photographie ci-dessous ainsi que copie d’une lettre adressée le 04 novembre 2020 au président du Sénat, mais restée sans réponse….

    Dr Sylvain …………… le 04/11/2020

    à l’attention de monsieur le président LARCHER

    Copie : Vincent Delahaye, Mathieu Darnaud

    Objet : le Sénat, dernier bastion contre une dérive totalitaire ????

    Cher confrère et président, c’est le désespoir des PME et des jeunes entrepreneurs qui sont au cœur de la dynamique économique et des innovations de notre pays, qui me poussent à vous adresser ce cri d’alarme.

    Vous me connaissez sans me connaitre, ayant eu le plaisir de fréquenter le cabinet de dentiste d’une certaine Madame Larcher Vaysse, à l’époque où je résidais à Igny, jeune chercheur en écologie et génétique microbienne à Jouy.

    Pour compléter ma présentation, formé sur les bancs de l’école de Marcy, après 4 années de clientèle dans le charolais, je me suis tourné vers les filières agroalimentaires après avoir effectué une thèse de doctorat en Ecologie Microbienne et Génétique Microbienne dans l’équipe de Raibaud et Ducluzeau. Mon parcours dans les multinationales de l’agroalimentaire (Perrier sous les ordres de Jacques Bombal, Carrefour et Danone) m’a placé très tôt en première ligne dans les grandes crises sanitaires de la filière en tant que gestionnaire de crise et porte-parole (Listeria, Vache Folle, Salmonelle, Grippe Aviaire, Grippe porcine, Botulisme, Sakazaki et j’en passe). J’ai eu l’honneur et la chance de participer aux travaux de différentes instances consultatives (Conseil Supérieur d’Hygiène à l’invitation de mon ami Jean Louis Jouve et de Michel Catteau de Pasteur Lille, Conseil National de l’Alimentation, Conseil National de la Consommation). J’ai pu aussi siéger dans plusieurs Fédérations Professionnelles françaises et européennes pour participer activement aux tasks forces sécurité-environnement comme simple membre au début, puis président. Mon respect pour l’intérêt collectif doublé d’une crédibilité scientifique et d’une approche bénéfice-risque m’ont permis de contribuer efficacement à l’établissement de normes sanitaires « raisonnables » permettant de protéger les intérêts de nos filières françaises (produits au lait cru) et de l’ensemble des opérateurs du babyfood, malgré les pressions de quelques opérateurs internationaux souhaitant profiter de la peur sanitaire pour imposer des normes inacceptables pour la majorité des intervenants. Fatigué des pressions et de l’exposition personnelle liées à cette position de gestionnaire de crise, j’ai quitté il y a quelques années les multinationales pour me consacrer à un projet écologique porteur de sens dans mon domaine ardéchois, soutenir des jeunes porteurs de projet tout en continuant à apporter mon soutien d’expert auprès des PME dans les domaines de la gestion de crise et de la RSE. Pardonnez-moi la longueur de cette présentation qui a pour but de justifier ma prise de recul indépendante et mon expertise face à la situation que nous vivons.

    Le traitement opportuniste évident de la crise COVID me laisse pantois autant sur les mensonges scientifiques que sur la manipulation extrême des citoyens par la peur, la privation progressive de nos droits fondamentaux et, insulte suprême aux praticiens, la violation du serment d’Hippocrate en interdisant aux médecins l’utilisation de traitements.

    Je ne suis pas dupe d’une volonté de quelques acteurs internationaux de profiter d’une crise sanitaire (certains diront provoquée, mais ça ne change rien à la situation), ayant suffisamment fréquenté les couloirs de Bruxelles et du Ministère de la Santé. J’ai été moi-même en position de jouer à ce jeu, pour asseoir des stratégies de développement dans certaines filières, mais j’en connais les limites et les dangers.

    A titre d’illustration, je ne citerai que quelques exemples majeurs de dysfonctionnement en terme de gestion de crise sanitaire

    • Confinement : la pratique courante de la prévention et de la gestion des épidémies animales (beaucoup plus nombreuses vous le savez que les épidémies humaines) nous apprend « qu’il ne faut pas laisser rentrer le loup dans la bergerie » (souvenir de nos cours de MRLC). Quelque soit la taille de la bergerie, confiner revient à faire tourner en boucle la contamination virale et favoriser son développement, particulièrement quand la contamination est présente en France depuis le mois de novembre (des amis japonais en voyage en France au mois de janvier étaient sidérés de la désinformation des français sur le début de l’épidémie chinoise, dont ils situaient le démarrage en août) ce qui situe probablement le pic de propagation en France fin février début mars.
    • Distanciation sociale : quelle plaisanterie quand certains cours nous apprenaient que la distance de diffusion des maladies virales animales se comptait en centaines de mètres !
    • Le port du masque grand public : je conviens que cette mesure moyenâgeuse soit la seule mesure socialement acceptable (inconscient collectif) qui permette de maintenir la peur et la soumission. N’importe quel hygiéniste honnête ayant pratiqué l’analyse microbiologique en routine montrera l’inefficacité et les dangers d’un port de masque chirurgical prolongé. Je compte par centaines de milliers les analyses microbiologiques que j’ai fait réaliser au cours de ma carrière dans différents environnements pour valider les mesures de prévention et de contrôle des contaminations. Assurément, le port du masque chirurgical ne fait pas partie de ces mesures, s’agissant de contamination virale, ni même pour la plupart des contaminations bactériennes aéroportées dans des environnements de vie conventionnels. J’ai même été amené à faire supprimer le port du masque dans certains ateliers sensibles compte tenu de l’incidence néfaste sur la santé des opérateurs et le risque de contamination de l’ambiance de travail… Pour avoir interrogé récemment quelques médecins, les conséquences du port du masque permanent sur la santé physique et psychologique représentent jusqu’à 20% des consultations.. Sans parler des troubles cognitifs chez les enfants qui en subiront plus tard les conséquences
    • Tests PCR : il m’a été donné de participer aux balbutiements de la technologie PCR (INRA) puis à son développement pour permettre d’identifier des contaminations dans les filière agroalimentaires et tracer leur origine. Utiliser un test PCR pour pratiquer un dépistage de masse est considéré comme une faute professionnelle par les analystes sérieux. Sa seule utilité est de confirmer rapidement un diagnostic et d’établir éventuellement un lien avec des sources de contamination……dans la limite de la spécificité du test. J’ai eu l’occasion d’interdire l’utilisation de test PCR dans des campagnes de surveillance de contaminations en usine et dans les aliments…

    Il apparait évident que le nombre de « cas » communiqués par les voies officielles n’a rien à voir avec le nombre de malades potentiellement infectants, et traduit tout au plus la présence de traces d’un coronavirus (lequel ????) au fond des fosses nasales là où il est plus que probable d’en trouver. Les données d’écologie microbienne nous apprennent qu’un mètre cube d’air inspiré (20 minutes de respiration au repos) contient entre 1,7 et 40 millions de virus en suspension et que nous hébergeons en permanence entre 20 et 90 espèces de virus différentes….Une autre raison scientifique de sourire face aux mesures de port de masque et de distanciation

    • Communication : mensonge sur les chiffres

    La consultation du processus de transmission des informations au ministère de la santé, l’analyse des courbes épidémiques des différentes années, les témoignages de plus en plus nombreux des soignants obligés d’inscrire COVID sur le bulletin des patients, indépendamment de la cause de la maladie ….ou du décès, doit nous alerter sur les pratiques de notre gouvernement pour manipuler l’opinion. J’ai toujours pratiqué la transparence des chiffres dans les différentes crises dont je fus le gestionnaire et le porte parole. Il y a manifestement un besoin de clarification officielle entre le nombre de décès « dus au COVID », le nombre de décès « avec présence avérée d’ARN de COVID » et le nombre de décès « déclarés COVID ». Il me semble même qu’une enquête judiciaire soit nécessaire s’il n’est pas trop tard pour se prémunir contre les fausses déclarations que ce soit au niveau de l’état ou de la presse.

    • La gestion des crises par la peur a toujours provoqué des catastrophes économiques. Sans parler des dégâts psychologiques auxquels je suis confronté régulièrement dans une activité de soutien que je mène en parallèle en équicoaching avec des praticiens.

    Je vois que le Sénat commence à réagir et j’espère ardemment que cette institution proche au quotidien de nos concitoyens puisse survivre et faire entendre sa voix dans la tourmente, par quelque moyen que ce soit, mue par le souci et le devoir de préserver les droits constitutionnels et la survie des citoyens… Je vous fais parvenir ce courrier soit par un ami d’enfance, Vincent Delahaye, soit par notre sénateur Mathieu Darnaud que je mets en copie

    Restant à votre disposition pour toute contribution ou autre témoignage nécessaire au maintien de notre économie et de la démocratie, veuillez agréer l’expression de mes salutations très confraternelles

    Dr Sylvain




    Le camp Républicain passe de la défensive à l’offensive à propos du scandale du COVID

    [Source : Les 7 du quebec]






    Dr Geert Vanden Bossche : « La vaccination va rendre le virus si infectieux que nous ne pourrons plus le contrôler »

    [Source : Guy Fawkes News (fawkes-news.com)]

    .
    [Ndlr : dans le cadre de la version courante ou qui semble la plus consensuelle de la théorie virale, un virus est cependant d’autant moins virulent et mortel qu’il est plus infectieux.
    En d’autres termes et schématiquement :
    Infectieux = Se propage facilement = Peu dangereux.]

    « Chaque personne qui se vaccine est en train de détruire son système immunitaire inné ».

    Dr Geert Vanden Bossche






    L’obligation vaccinale n’aurait aucune justification, ni scientifique ni légale

    Par Gérard Delépine

    .
    Elle ferait de plus courir des risques politiques insensés à notre démocratie.

    Le covid a quasiment disparu du pays même si nos gouvernants et les médias le cachent

    D’après l’OMS et OurWorldinData, le nombre de nouvelles contaminations journalières est en chute libre en France depuis avril 2021. Depuis trois semaines, ce nombre ne dépasse pas 2000 par jour, soit une incidence quotidienne de 0,000 03.

    À titre de comparaison, la Grande-Bretagne en est à 20 000 cas quotidiens malgré sa couverture vaccinale élevée et ses confinements récents.

    Alors pourquoi le gouvernement veut-il prolonger la loi d’urgence prétendument sanitaire pour une épidémie disparue ?

    La stratégie du tout vaccin sans traitement précoce est un échec cuisant

    Le gouvernement et les médias tentent d’entretenir la peur dans la population en agitant la « quatrième vague ».

    Celle-ci n’est qu’un mauvais scénario catastrophe issu d’une nouvelle modélisation dont les précédentes se sont toujours révélées fausses et ont été le prétexte des mesures liberticides (confinement, interdiction de traitements précoces) qui ont fortement aggravé la mortalité globale.

    Elles nous ont placés dans le peloton de tête des plus fortes mortalités européennes par million d’habitants, comme les autres grands pays qui ont confiné à l’aveugle et, pour certains, interdit à leurs médecins de traiter précocement les malades.

    [Ndlr : la Biélorussie (Belarus sur le schéma) n’a pratiqué aucune mesure sanitaire obligatoire et a beaucoup moins de morts par millions d’habitants et en absolu que la plupart des autres pays d’Europe. Voir ici ou ici, articles qui présentent très négativement ce pays (et son président élu, alors que son choix sanitaire est visiblement le meilleur).]

    Le cuisant échec de la stratégie de la peur et du tout vaccin adoptée jusqu’ici devrait faire réfléchir nos politiques et les inciter à une approche plus démocratique, qui s’est révélée nettement plus efficace dans d’autres pays.

    Les pseudo vaccins actuels ne sont pas efficaces contre le variant delta

    La grippe, autre virus à ARN, nous a appris depuis longtemps qu’il se présente un nouveau virus chaque année, avec pour corollaire l’inefficacité au moins relative du vaccin de l’année précédente.

    Il en va de même du Covid ; les variants émergent et se développent parce qu’ils sont résistants aux injections pseudo vaccinales en cours.

    Les covidistes prétendent que la vaccination serait la meilleure prévention contre le variant delta alors que l’expérience des pays les plus vaccinés démontre le contraire.

    Les pseudovaccins actuels ne sont pas efficaces contre le variant delta ainsi que l’atteste la reprise actuelle de l’épidémie en Grande-Bretagne et en Israël champions de l’Astra Zeneca et du Pfizer.

    En Israël, la campagne de vaccination a été suivie d’un accroissement brutal des contaminations et de la mortalité quotidiennes pendant les mois de janvier et février 2021 qui ont établi les records mensuels de cas et de morts.

    Puis après une accalmie de deux mois et malgré un taux élevé de couverture vaccinale,(([1] avec 57,2 % de la population complètement vaccinée (le 2 juillet 2021)) une reprise de l’épidémie avec le variant delta est apparue.

    Pfizer et les autorités sanitaires responsables de la campagne du traitement Pfizer prétendent que l’injection anti-covid serait efficace contre le variant delta, mais ne fournissent aucune donnée brute le démontrant ni aucune explication crédible à la progression exponentielle de la maladie chez les vaccinés.

    Car l’inefficacité du traitement génique Pfizer est confirmée par l’ancien directeur général de la santé israélienne qui a déclaré que « 40 à 50 % des nouveaux cas concernaient des personnes complètement vaccinées.(([2] La rédaction : Israël est un pays « hyper » vacciné et il subit aussi le variant Delta. À quoi sert la vaccination ? Nice Matin le 05/07/2021))»

    Même cinétique d’échec en Grande-Bretagne.

    Après l’hécatombe post-injection qui a emporté en trois mois autant de victimes que pendant les dix mois précédents est apparue une accalmie de 2 mois qui a fait croire que le traitement préventif aurait été efficace.

    Mais en réalité les injections géniques n’ont abouti qu’à précipiter l’émergence du variant delta dont l’incidence augmente de manière exponentielle depuis fin mai.

    Et la gravité de l’infection à variant delta paraît même augmentée par la pseudo-vaccination puisque le risque de mourir des « vaccinés » est le triple de celui des non injectés démentant la fadaise constamment répétée d’une moindre gravité après l’injection expérimentale anti-covid.

    L’échec patent des pseudo vaccins géniques dans ces deux pays champions de cette stratégie prouve de manière indiscutable que les injections géniques actuelles sont incapables de limiter la transmission du variant delta.

    On ne comprend donc pas que des chercheurs de l’Institut Pasteur comme Olivier Schwartz puissent prétendre que l’injection « resterait toutefois très efficace face au variant indien », avec « une efficacité légèrement diminuée, d’après les tests en laboratoire, le vaccin Pfizer est probablement protecteur ».

    Comment un traitement inefficace sur la transmission de la maladie dans les pays les plus vaccinés pourrait-il être efficace en France ?

    L’obligation d’injection anti-covid des soignants n’aurait donc aucune efficacité de protection des contacts des soignants

    Les injections géniques actuelles ne sont pas des vaccins pastoriens

    Un vaccin selon Pasteur contient des antigènes (un microbe tué ou atténué, ou le plus souvent un simple fragment de celui-ci) destinés à susciter une réaction immunitaire marquée par la création d’anticorps en quantité suffisante pour prévenir la maladie cible.

    Les pseudo vaccins anticovid actuels ne contiennent aucun antigène, mais des ARN messagers créés par génie génétique. Leurs fabricants les présentent comme des vaccins pour bénéficier frauduleusement de la bonne réputation des vrais vaccins en France, et tromper leurs clients par un marketing habile d’après la vaccination antidiphtérique ou contre la fièvre jaune (contenant un virus atténué, mais vivant), laissant croire qu’on est totalement protégé contre la maladie covid.

    Ce n’est pas le cas avec les injections anti-covid actuelles dont l’efficacité réelle en population est très faible, et sans rapport avec les mensonges publicitaires colossaux (85 % à 95 % !) que répètent les communiqués des fabricants et leurs complices. Et ce n’est pas l’injection de plus prônée par les laboratoires et le Premier ministre (la 3e !) chez les personnes à faible réponse immunitaire qui changera grand-chose (sauf les bénéfices de Big Pharma).

    La protection des soignants et des personnes fragiles peut être assurée par les traitements précoces

    L’Inde est un pays gigantesque et pauvre avec un système hospitalier encore plus délabré que le nôtre. Elle a vaincu la première vague en traitant préventivement son personnel soignant et les contacts des malades avec la chloroquine. Au 1er janvier 2021, elle comptait neuf fois moins de morts par millions d’habitants que la France.

    En janvier 2021, elle a commencé la vaccination et abandonné dans certains états les traitements précoces systématiques.

    Deux mois plus tard, elle a affronté une forte poussée de cas et de morts qui n’a été contrôlée qu’après la reprise généralisée de traitements précoces par chloroquine/Ivermectine.

    Au 10 juillet 2021, elle compte 5,5 fois moins de morts par millions d’habitants que la France (312 vs 1690).

    Les traitements précoces constituent donc une solution beaucoup plus efficace que l’injection génique.

    Pour l’abandon de la politique tyrannique fondée sur la peur

    La politique autoritaire de restrictions des libertés et l’inefficacité de la stratégie Covid19 par la peur et les obligations scientifiquement infondées font courir des risques insensés à notre démocratie.

    Jusqu’ici, les Français ont été remarquablement patients. Ils ont supporté des restrictions de liberté inefficaces sans beaucoup de réactions, anesthésiés par l’argent déversé du « quoiqu’il en coûte », la propagande terrorisante omniprésente des médias chapitrés par l’Élysée et la censure féroce des opposants. Comme le décrivait La Boétie(([3] La Boétie « Discours de la servitude volontaire »)):

    « Le peuple a repoussé la liberté et pris le joug ».

    Mais les mensonges permanents du ministère de la Santé et les très mauvais résultats de sa politique prétendument sanitaire les réveillent peu à peu. La poursuite d’une politique totalitaire avec la continuation de l’état d’urgence et des restrictions inutiles maintenant démasquées crée une situation d’incompréhension de plus en plus forte entre le peuple et ses représentants officiels expliquant en grande partie l’abstention record aux élections.

    Le professeur Delfraissy et quatre autres membres du comité scientifique l’ont clairement exprimé(([4] *Laetitia Atlani-Duault, Bruno Lina, Franck Chauvin, Jean-François Delfraissy, Denis Malvy Immune evasion means we need a new COVID-19 social contract Lancet www.thelancet.com/public-health Vol 6 April 2021
    https://www.thelancet.com/action/showPdf?pii=S2468-2667%2821%2900036-0)):

    « Il est temps d’abandonner les approches fondées sur la peur et basées sur un confinement généralisé… Il n’est plus possible d’utiliser le confinement général stop-start comme principale réponse à la pandémie de COVID-19. Bien qu’attirante pour de nombreux scientifiques et une mesure par défaut pour les dirigeants politiques craignant d’être légalement responsables de réponses nationales lentes ou indécise.

    « Les populations ont été jusqu’à présent relativement complaisantes, mais leurs doutes et leur méfiance sont visibles dans les mouvements de protestation dans plusieurs pays. L’impact du confinement général sur des économies entières a été dévastateur, le pire étant encore à venir en termes de taux de chômage et de dette nationale… Fondamentalement, la nouvelle approche devrait être fondée sur un contrat social clair et transparent, ancré dans les données disponibles… ».

    Pourquoi n’est-il pas écouté et a-t-il comme le pr Raoult un discours fluctuant ?

    Dans l’Histoire, que nos gouvernants devraient méditer, le régime des tyrans ne dura nulle part très longtemps et ne persista que tant qu’il a eu l’appui du peuple. Au tyran demandé par la foule, succèdent le désenchantement, puis la colère, car au fur et à mesure que la tyrannie devient moins utile, elle se fait de plus en plus oppressive. Ainsi s’explique la fin sanglante de nombreux tyrans tels que Alexandre tyran de Phères, Néron, Caligula, Vitellius, Gallère empereurs romains, Louis XVI, Mussolini, Trujillo, Kadhafi, Saddam Hussein…

    La dérive de plus en plus totalitaire d’un gouvernement qui abuse d’une loi d’urgence sans aucune justification réelle, qui accroît la propagande permanente, la censure, multiplie les menaces et les intimidations contre les opposants et les mensonges quotidiens fracture un peu plus le pays, fait courir des risques politiques insensés à notre démocratie, au peuple et à ses dirigeants.

    Conclusions

    Une obligation pour un médicament qui n’est pas un vaccin, mais une injection expérimentale médicamenteuse d’ARN (dont les résultats avérés en Grande-Bretagne et Israël sont franchement mauvais, dont notre ministre reconnaît qu’ils ne sont capables de prévenir ni la maladie ni sa transmission) serait non seulement médicalement inutile, et totalement illogique (si vous croyez que ce traitement vous protège, vous n’avez aucune raison d’avoir peur des autres), mais serait de plus illégale, car contraire à la convention d’Oviedo. D’ailleurs, aucun pays au monde ne l’a imposée.

    Non à l’obligation des pseudo vaccins covid des soignants comme du reste de la population ! Un traitement expérimental ne peut être administré qu’à des volontaires loyalement informés.

    Préambule de la Déclaration universelle des droits de l’homme du 10 décembre 1948 :

    « Il est essentiel que les droits de l’homme soient protégés par un régime de droit pour que l’homme ne soit pas contraint, en suprême recours, à la révolte contre la tyrannie et l’oppression »





    François Asselineau : Pass sanitaire, Obligation vaccinale – l’irresponsabilité du gouvernement

    [Source : Upr via Sott.net]

    [Voir aussi : La CNIL valide la transmission de la liste des non-vaccinés aux médecins traitants – Nexus]




    Santé. Métaux lourds : tous les Français contaminés, enfants y compris

    [Source : breizh-info.com]

    Selon Santé publique France, l’ensemble de la population serait concerné par la présence de métaux lourds dans l’organisme. Des métaux qui ont des effets néfastes sur la santé et qui n’épargnent pas les enfants.

    Métaux lourds : les Français les plus exposés en Europe

    La santé des Français est-elle menacée par les métaux lourds ? Une nouvelle étude ESTEBAN (Étude de santé sur l’environnement, la biosurveillance, l’activité physique et la nutrition) menée par Santé publique France a consisté à analyser la présence de 27 métaux lourds dans l’organisme de Français adultes mais aussi chez les enfants à travers un échantillon représentatif de la population générale, composé de 1 104 enfants et de 2 503 adultes âgées de 6 à 74 ans. Ce qui constitue une première.

    Les résultats de ces travaux, publiés le 1er juillet dernier, se résument par le fait que, selon le document en question, « cette nouvelle photographie des imprégnations souligne que l’ensemble de la population est concerné » avec « plus de 97 % à 100 % de détection » chez les participants adultes et enfants. Des valeurs de référence d’exposition ont été établies pour le plomb, l’arsenic, le cadmium, le chrome, le cuivre, le nickel, le mercure urinaire et le mercure dans les cheveux.

    Par ailleurs, il s’avère que les niveaux mesurés tant chez les adultes que chez les enfants français se sont avérés être « plus élevés que ceux retrouvés dans la plupart des pays étrangers » en Europe et en Amérique du Nord. À l’exception du nickel et du cuivre.

    Par rapport à l’étude ENNS (Etude Nationale Nutrition Santé) réalisée en 2006-2007, les niveaux mesurés chez les adultes étaient similaires en mercure dans les cheveux et nickel urinaire tandis qu’ils étaient plus élevés en arsenic, cadmium et chrome. Seuls les niveaux mesurés pour le plomb avaient diminué.

    Des effets néfastes sur la santé ?

    De plus, il est à noter que des dépassements de valeurs‑guide sanitaires ont été observés au sein de la population d’après l’étude Esteban pour l’arsenic, le mercure, le plomb et plus particulièrement le cadmium avec un peu moins de la moitié de la population adulte française qui présentait une cadmiurie supérieure à la valeur recommandée par l’Anses.

    Pour ce qui est des autres métaux, le document de Santé publique France préconise également de mettre en place des valeurs‑guide sanitaires puisque les métaux présentent des effets néfastes sur la santé tels que la cancérogénicité, des effets osseux, rénaux, cardiovasculaires, neurotoxiques… Une nécessité confortée par l’augmentation des niveaux d’imprégnation par l’arsenic, le cadmium et le chrome entre ENNS et ESTEBAN.

    Aussi, les auteurs souhaitent la poursuite des mesures visant à diminuer les expositions de la population générale à ces substances, en agissant en particulier sur les sources d’exposition. Ils soulignent aussi que « ces résultats montrent la nécessité de poursuivre le programme national de la biosurveillance et de réa‑iser des études en population à intervalle régulier afin de continuer à suivre l’évolution des expositions de la population française aux métaux ».

    Ces facteurs facilitant la concentration de métaux lourds

    Quant à la provenance de ces métaux lourds, naturellement présents dans l’environnement, l’étude précise que l’alimentation reste l’une des principales sources d’exposition pour l’organisme. Plus particulièrement, la consommation poisson de produits de la mer contribuerait à augmenter les concentrations en arsenic, chrome, cadmium et mercure.

    Ainsi, Santé publique France recommande notamment de diversifier les sources d’aliments et de consommer « deux fois par semaine du poisson dont un poisson gras en variant les espèces et les lieux de pêche ».

    D’autre part, la consommation de céréales serait pour sa part à l’origine d’une augmentation de la concentration en cadmium. Le tabac ferait croître quant à lui les concentrations en cadmium et en cuivre. Un phénomène constaté également lors du tabagisme passif. Le rapport indique ainsi que, « chez les adultes, le tabac entraînerait une augmentation de plus de 50 % d’imprégnation chez les fumeurs ».

    Enfin, les implants médicaux auraient aussi un impact sur la présence de chrome tandis que la concentration en mercure urinaire serait augmentée par les plombages chez certaines personnes.

    Crédit photo : Pixabay (Pixabay License/gburrull) (photo d’illustration)
    [cc] Breizh-info.com, 2021, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine




    France : Le Dr Amine Umlil demande la démission du ministre de la Santé

    [Source : francesoir.fr]

    Par le Dr Amine Umlil pour FranceSoir

    Vaccins contre la Covid-19 : je demande, j’exige la démission immédiate du Ministre la Santé Véran

    TRIBUNE : Dans une lettre adressée à Monsieur le Président de la République, Emmanuel MACRON, le Dr Umlil n’ayant pas eu de réponse à sa demande de débat avec le ministre de la Santé Olivier Véran demande et exige la démission de ce denier suite aux diverses communications erronées de ce dernier.  Rappelons que même les décodeurs du Monde ont pris le ministre Véran en flagrant délit de mensonges au sujet de la phase de test des vaccins : Mr Véran ayant annoncé que les thérapies géniques utilisées actuellement n’étaient plus en phase 3 (phase de test) alors que ces derniers les sont pour la plupart jusqu’en 2022 [au moins].

    Une tribune du Collectif Citoyen avait identifié les nombreuses erreurs de Mr Véran pendant la gestion de la crise, le Dr Umlil dans une tribune complète va plus loin par respect de son serment professionnel. Cette lettre est reproduite intégralement ci-dessous :

    « LETTRE OUVERTE. Vaccins contre la Covid-19. Monsieur le Président de la République : je demande, j’exige la démission immédiate du Ministre des solidarités et de la santé, Monsieur Olivier VÉRAN »

    Copie de la lettre est adressée au Premier ministre, Jean CASTEX, Ministre des solidarités et de la santé, Olivier VÉRAN, à l’Assemblée nationale, au Sénat, à la la haute autorité de santé (HAS) et à l’agence nationale de sécurité du médicament (ANSM).  

    « Patere legem quam fecisti » (respecte la règle que tu as faite).

    « Vaccination. COVID19. Si vous avez des courbatures après le vaccin, pas d’inquiétude… c’est que vous avez trop pédalé ! Prenez rdv dès maintenant (…) » (Olivier Véran, 9 juillet 2021, 21h08, sur le réseau social Tweeter).

    À nouveau, Monsieur Olivier VÉRAN, Ministre des solidarités et de la santé, vient donc de récidiver. Sa communication sur le rapport bénéfice/risque des vaccins contre la Covid-19, à destination du public, heurte plusieurs dispositions de la loi (au sens large) ; dont le Code de la santé publique. Il est, pour le moins, insupportable de voir un Ministre de la santé continuer de tenir des affirmations inexactes auprès d’un public vulnérable.

    C’est donc avec urgence et gravité que j’ai l’honneur de saisir votre bienveillance en vous adressant la présente lettre ouverte en ma qualité de pharmacien des hôpitaux, praticien hospitalier et juriste (droit de la santé) ; responsable de la pharmacovigilance, de la coordination des vigilances sanitaires et du CTIAP (centre territorial d’information indépendante et d’avis pharmaceutiques) au centre hospitalier de Cholet dans lequel j’exerce depuis 2002.

    Et avant tout, cette nouvelle alerte vous est également transmise en ma qualité de citoyen français.

    Depuis plusieurs mois, le CTIAP vous a proposé ses analyses, documentées et vérifiables sur pièces, concernant notamment les vaccins contre la Covid-19. Ces preuves émanent des écritures des autorités ad hoc elles-mêmes telles que l’agence européenne du médicament (EMA), l’agence nationale de sécurité du médicament (ANSM), la haute autorité de santé (HAS), le ministère des solidarités et de la santé, le Conseil d’État, etc. Ces preuves sont disponibles sur le présent site internet.

    Récemment, dans une revue juridique, un professeur de droit public à l’Université de Perpignan est venu, lui aussi, confirmer le bien-fondé de ces analyses proposées au public.

    Mais, depuis l’attribution des autorisations de mise sur le marché (AMM) « conditionnelles », temporaires et dont la durée n’excède pas un an, aux quatre vaccins commercialisés en France, Monsieur le ministre des solidarités et de la santé a, publiquement et à plusieurs reprises, tenu des affirmations, pour le moins, inexactes.

    Par exemple, récemment et selon des médias, Monsieur le ministre des solidarités et de la santé aurait affirmé ceci : « Parmi les fake news qu’on entend, il y aurait celle qui consiste à dire que le vaccin sera encore en cours d’expérimentation. C’est absolument faux, la phase 3 est terminée depuis des mois. Elle est validée. Trois milliards d’injection ont été validées sur la planète Terre. Les choses se déroulent au mieux. Vous pouvez y aller, il n’y aucune inquiétude à avoir ».

    Avec certitude, le Ministre des solidarités et de la santé aurait donc affirmé que ledit vaccin n’est plus « en cours d’expérimentation » puisque, selon lui, la « phase 3 » des essais cliniques (menés chez l’Homme) « est terminée depuis des mois ». Selon lui, cette phase 3 expérimentale « est validée ».

    Il aurait ajouté qu’« il n’y a aucune inquiétude à avoir » et inviterait les gens à « y aller ». Autrement dit, ce vaccin ne présente, selon le Ministre des solidarités et de la santé, aucun risque d’effets indésirables, notamment graves.

    Or, en réalité, même le journal Le Monde constate ceci : « Il est vrai que les essais de phase 3 sont toujours en cours… En affirmant de manière catégorique que la phase 3 des essais des vaccins déployés en France est « terminée », Olivier Véran se méprend. Contacté par Le Monde, le laboratoire Pfizer assure bien que son « essai de phase 3 se poursuit ».

    Le fabricant, lui-même, met donc en évidence les affirmations inexactes que le Ministre des solidarités et de la santé aurait tenues.

    Ledit Professeur de droit public, lui aussi, relève que « la formule « essai clinique » utilisée par l’Agence européenne est sans équivoque ». Il soutient : « Le fait qu’il s’agisse d’une vaccination en phase expérimentale ne saurait donc faire de doute ». Il affirme qu’il s’agit d’« une expérimentation vaccinale à grande échelle inédite dans l’histoire de la médecine ».

    Mais, Monsieur le ministre des solidarités et de la santé aurait récidivé en tenant de nouvelles affirmations inexactes et en usant d’un vocabulaire qui interroge. En s’adressant à des jeunes dont il aurait tenté d’extirper le consentement, il semble persister dans cette voie :

    « Il ne faut pas avoir peur de ça, je vous assure. Lisez les revues scientifiques, les choses comme ça. N’allez pas sur les blogs ou les trucs des rageux qui vous racontent n’importe quoi. Moi j’entends tout le temps le vaccin : il est encore en développement, il n’a pas fini sa phase expérimentale. Pardon, c’est des… c’est vraiment n’importe quoi. On n’a jamais eu quasiment autant de recul pour un vaccin que celui-ci vu le nombre de vaccinations qu’on a faites. »

    Inacceptable. Condamnable. Fautif. Voire répréhensible.

    Ces nombreuses « vaccinations faites » pourraient s’avérer être la conséquence d’un consentement vicié des personnes.

    Si ces affirmations relatées par ces médias sont exactes, alors l’attitude du Ministre des solidarités et de la santé ne peut que heurter plusieurs dispositions de la loi (au sens large) qui encadrent notamment la communication sur le rapport bénéfice/risque d’un médicament tel que le vaccin.

    Or, toute personne a le droit à une information claire, loyale et appropriée. Cette information conditionne la validité du consentement libre et éclairé. Ce consentement est une liberté fondamentale. Heurter l’autonomie de la personne revient à porter atteinte à la dignité de la personne humaine.

    Ne pas pouvoir accéder à cette information indépendante est la première des pauvretés, des inégalités et des vulnérabilités.

    Les maladies inscrites sur la liste des maladies à déclaration obligatoire, elles, ne sont soumises à aucun « passe sanitaire ».

    Mais, ce « passe sanitaire » est imposé à la Covid-19 ; alors que cette maladie, elle, n’est pas inscrite sur ladite liste des maladies à déclaration obligatoire.

    Le droit a conduit à la suspension de l’obligation de la vaccination (contre la grippe) ; alors que ce vaccin bénéficie, lui, d’une AMM standard.

    Mais, Monsieur le Ministre des solidarités et de la santé menace de rendre la vaccination (contre la Covid-19) obligatoire pour notamment les « soignants » ; alors que ces vaccins, eux, ne bénéficient que d’une AMM « conditionnelle », temporaire (dont la durée n’excède pas un an) ; et dont le rapport bénéfice/risque est peu connu.

    De nombreuses personnes, dont des « soignants », ont fait le choix de ne pas se vacciner contre la Covid-19. Publiquement, elles sont devenues, sous vos yeux, la cible de comportements inqualifiables, potentiellement fautifs et répréhensibles.

    Ces personnes ont choisi la prudence eu égard aux incertitudes et des questions en suspens. Ces personnes ont peur de voir venir notamment des hospitalisations, des séquelles, des malformations congénitales. Elles semblent percevoir la mort au bout de la seringue remplie de ce vaccin (contre la Covid-19). C’est si difficile à comprendre ?

    Le ressenti d’un patient, de toute personne, compte. La prise de décision dépend du rapport aux risques de cette personne. Cette décision est le fruit d’une expérience de vie ; peut-être d’un parcours accidenté.

    Nous savons qu’il est difficile d’établir la certitude du lien de causalité entre les effets indésirables et tel ou tel médicament présumé à l’origine de ces dommages corporels. Mais, ne pas pouvoir établir cette preuve de façon certaine ne signifie pas, nécessairement et systématiquement, que ce lien de causalité n’existe pas. Le juge civil a d’ailleurs assoupli sa position sur ce point depuis plusieurs années.

    Les décideurs ne devraient pas profiter de cette incertitude qui jaillit du régime probatoire pour « inciter »« encourager »« contraindre » les personnes à se vacciner ; pour extirper leur consentement par notamment le dol ou la violence.

    En général, qu’il s’agisse du bénéfice ou du risque, le doute semble toujours profiter aux produits pharmaceutiques et à leurs fabricants. Et après, certains semblent étonnés lorsque, quelques années plus tard, des drames sont constatés.

    Mais là, nous sommes face à une situation inédite dans l’histoire de la médecine, celle d’une expérimentation vaccinale à grande échelle. Il serait vain et illusoire de vouloir occulter une telle évidence.

    Dans le cadre de la gestion de cette Covid-19, ce n’est pas la première fois que Monsieur le Ministre des solidarités et de la santé tient des affirmations inexactes. Il y a lieu de rappeler, en effet et par exemple, une décision qu’il aurait prise en se fondant sur un article publié dans une revue ; article qui a été ensuite retiré suite aux critiques formulées par des personnes qualifiées et indépendantes.

    Monsieur le Ministre des solidarités et de la santé est également Docteur en médecine. À ce titre, il a aussi des devoirs à respecter ; comme tout médecin ou autre professionnel de santé.

    L’attitude de Monsieur le ministre des solidarités et de la santé est, pour le moins, incompréhensible. Le CTIAP lui a soumis de nombreux éléments utiles qui auraient pu l’aider dans ses décisions. Je lui ai adressé des alertes. Je lui ai proposé un face-à-face télévisé, en direct, afin d’offrir à nos concitoyens un débat public, contradictoire, utile et de qualité. En vain.

    À ce jour, je n’ai reçu aucune réponse à mes propositions.

    Comme le disent souvent les juges, la contradiction des motifs équivaut à leur absence. Et l’appréciation des faits relève toujours de la décision souveraine des juges.

    Les multiples contradictions de Monsieur le ministre des solidarités et de la santé, ses nombreuses affirmations inexactes seraient-elles la matérialisation d’une incompétence, ou l’expression d’une mauvaise foi, ou le reflet d’un sentiment d’impunité notamment ? Ou tout à la fois ? Ce comportement, constaté par tout le monde, ne semble pas respectueux des prérogatives de sa charge et de son honorable fonction. Ce hiatus ne peut que porter atteinte à la crédibilité des institutions et à la politique de santé publique. Ces distorsions ne peuvent aboutir qu’au délabrement de la confiance accordée au système de soins ; elles ne peuvent conduire qu’à l’exacerbation de la défiance envers les (autres) vaccins qui, eux, ont apporté la preuve d’un rapport bénéfice/risque favorable.

    La communication de Monsieur le ministre des solidarités et de la santé semble devenir dangereuse. Face à cette situation, et à leurs tours, nombreux professionnels de santé – lesdits « soignants » – menacent de démissionner. Et je tiens à vous rassurer, je n’en fais pas partie ; tout comme je souhaite rappeler que mes réflexions ne présument pas de ma décision personnelle de se vacciner ou non.

    Les établissements de santé ont davantage besoin de « soignants » que d’un Ministre

    Par ces motifs non exhaustifs, que je pourrais parfaire, et sous toutes réserves, je ne peux donc que me résoudre à suggérer à Monsieur le ministre des solidarités et de la santé de tirer toutes les conséquences utiles de ce constat ; en envisageant, notamment et a minima, de présenter sa démission du gouvernement ; dans les plus brefs délais eu égard à l’urgence et à la gravité de la situation.

    Je demande sa démission immédiate. Je l’exige.

    De même, je suggère à notamment tous les détenteurs de l’autorité et tous les soi-disant « représentants » des soignants, qui ont soutenu Monsieur le ministre des solidarités et de la santé sur ce point, de suivre la même voie.

    Le 8 juillet 2021, à travers un retour d’expériences (des exemples du terrain), le CTIAP vous a également alerté sur le risque de « violence sur les soignants » et de « violation du secret professionnel médical ». Cet article a été relayé par le journal FranceSoir. Dès le lendemain, et publiquement, j’ai fait l’objet d’« attaques » et de « menaces », écrites, de la part de quatre personnes exerçant au centre hospitalier de Cholet. À mon égard, l’un de ces agresseurs recommande même ceci à l’ensemble des médecins et au directeur de l’hôpital : « Si quelqu’un a un traitement de choc, c’est le moment ou jamais ». Cet agresseur serait l’une des personnes impliquées dans le « traitement de choc » qui aurait été réservé à la présidente de la commission médicale d’établissement (CME) de l’hôpital. Cette présidente aurait porté plainte pour « faux, usage de faux et séquestration ». Cette « affaire » a été révélée, en décembre 2020, par le journal le Courrier de l’Ouest. Cette « affaire » était l’un des arguments, utilisés par le maire de Cholet, pour annoncer son retrait du conseil de surveillance du centre hospitalier (CH).

    Simultanément, parallèlement et publiquement, ce 9 juillet 2021, je reçois aussi ce nouvel appel à l’aide émanant d’une femme qui serait une aide-soignante :

    « Dr, le couperet arrive pour les soignants help ! »

    Par ailleurs, je suis informé de ceci : 

    « le syndicat (…) du CH de Cholet a déposé un recours à la CNIL [commission nationale de l’informatique et des libertés] concernant la vaccination du personnel. En effet, pourquoi est-ce un directeur administratif qui est en possession de toutes les identités des vaccinés COVID de l’hôpital ? ».

    La protection du secret professionnel médical semble s’effriter. D’un signalement et/ou d’une notification d’une maladie, un nouveau régime d’exception semble s’orienter vers une surveillance des personnes (cf. l’article du CTIAP en date du 6 mai 2021).

    Il est, pour le moins, insupportable de continuer de voir nos vies, nos droits et libertés fondamentaux, piétinés à ce point. Et en toute impunité.

    Dans un pays civilisé, les rapports entre les individus sont régulés par le Droit. Or, et selon le même Professeur de droit public : 

    « Que le Premier ministre puisse envisager une obligation vaccinale étendue à partir de techniques médicales aussi incertaines traduit un effondrement des principes éthiques et politiques qui fondent notre système juridique depuis 1789 ».

    La paix sociale serait menacée. Les valeurs, inscrites sur les frontons des institutions de la République, seraient en danger.

    En pareilles circonstances, une hypothétique loi consacrant une « obligation » vaccinale pourrait se révéler être de nature fautive, délictuelle, voire criminelle.

    C’est au pouvoir de continuer d’arrêter le pouvoir.

    Enfin, concernant la sortie de cette situation inéditedes idées sont disponibles et des solutions sont possibles. Elles sont, naturellement, à la disposition des gouvernants qui le souhaitent.

    Et pour ma part et à titre subsidiaire, je vous rappelle que je ne suis pas prêt de revenir dans un bureau de vote ; jusqu’à nouvel ordre. Les pratiques politiques me contraignent à m’éloigner le plus loin possible de ce monde, pour le moins, obscure.

    De même, une question fondamentale mérite d’être soulevée : quelle serait la nature de la relation des Hommes (femmes et hommes) au pouvoir ? Pourquoi des Hommes oublient leurs valeurs une fois investis de ce pouvoir ? Que reste-t-il à un Homme une fois son honneur perdu : une fois sa parole et son engagement trahi ?

    Au peuple français, et solennellement, vous avez donné votre parole. Vous avez pris l’engagement de ne jamais rendre cette vaccinale (contre la Covid-19) obligatoire.

    « Patere legem quam fecisti » (respecte la règle que tu as faite).

    En vous remerciant de l’intérêt que vous pourriez porter à ces quelques lignes, en restant à votre disposition pour toute information complémentaire ou pièce utile, et sous réserve de pouvoir parfaire mes écritures,

    Je vous prie de bien vouloir recevoir, Monsieur le Président de la République, Monsieur Emmanuel MACRON, l’expression de mon profond respect.

    Docteur Amine UMLIL, Citoyen français, Pharmacien des hôpitaux, praticien hospitalier, Juriste (droit de la santé), Extrait du Curriculum vitae (C.V.)

    Auteur(s): Dr Amine Umlil pour FranceSoir




    Étude sur la vaccination des enfants : les effets secondaires graves sont dissimulés

    [Source : Medien-Klagemauer.TV]

    08.07.2021 | www.kla.tv/19196

    Pas moins de 93 médecins israéliens ont signé une lettre demandant que les vaccins Covid ne soient pas administrés aux enfants. Les médecins soulignent que l’opinion scientifique dominante est que le vaccin ne peut pas conduire à une immunité collective. Selon eux, on ne sait toujours pas si le vaccin empêchera la propagation du virus et pendant combien de temps il assurera une protection. Des nouveaux variants du virus pourraient être résistants au vaccin, et nous ne connaissons pas encore les effets sur la croissance, le système reproductif ou la fertilité.

    « Nous ne devrions pas mettre les enfants en danger par une vaccination de masse contre une maladie qui n’est pas dangereuse pour eux », écrivent les 93 médecins. Selon eux, les enfants devraient pouvoir retrouver rapidement une vie normale et les tests et l’isolement fréquents devraient cesser. Les médecins déclarent qu’il ne faut pas se précipiter pour les vacciner tant qu’on n’a pas toutes les assurances/, car le Covid ne présente aucun danger pour les enfants.

    Malgré les avertissements de différents experts du monde entier, les politiciens et les médias en Allemagne font une grosse publicité pour que les enfants soient vaccinés aussi vite que possible, bien que les chiffres officiels de l’étude actuelle sur la vaccination des enfants de 12 à 17 ans parlent un langage clair. La fiche actuelle de données des sociétés pharmaceutiques Pfizer et BioNTech montre qu’environ 80 % des 1 097 enfants qui ont participé au test vaccinal se sont plaints d’effets secondaires. Chez 393 participants, soit plus d’un tiers, ces effets secondaires étaient « moyennement graves ». Et chez sept enfants, les groupes pharmaceutiques eux-mêmes ont qualifié les effets secondaires de graves. Cela représente environ 0,6 %. Dans le document, Pfizer et BioNTech ont donné le terme « grave » à des réactions qui provoquent « une incapacité prolongée ou substantielle » ou « entraînent la mort ».

    Or, compte tenu de ces résultats, si on vaccinait effectivement un million d’enfants, au moins 6 000 d’entre eux subiraient un dommage grave. Et très probablement, certains de ces enfants mourraient. Selon les informations publiées par l’Institut Paul Ehrlich, il y a jusqu’à présent dans le cadre de la campagne de vaccination, un décès pour 56 400 personnes vaccinées. Cela signifie que, même selon les chiffres officiels, les enfants et les jeunes gens ont trois fois plus de risques de mourir de la vaccination que de la maladie. Face à ces faits révélateurs, les médias et les politiciens non critiques qui font la promotion du vaccin Covid depuis des mois, semblent ignorer toute éthique et toute responsabilité. Acceptent-ils sciemment de faire du mal à de nombreux enfants en bonne santé ? Et est-ce possible qu’un cartel politico-pharmaceutique soit littéralement prêt à marcher sur des cadavres ?

    Tant que ces crimes ne cesseront pas, il est de la responsabilité de chaque individu de devenir lui-même actif, d’éclairer et de dénoncer cette prétendue attention portée à nos enfants pour ce qu’elle est : un crime !



    de ah./rw.

    Sources / Liens :

    Brief israelische Ärzte:
    https://uncutnews.ch/93-israelische-aerzte-appellieren-eindringlich-geben-sie-kindern-keinen-corona-impfstoff/
    Lettre de médecins israèliens :
    https://de.rt.com/meinung/118163-ignorant-und-gefahrlich-politiker-trommeln/
    https://de.rt.com/meinung/118201-ein-haesslicher-herbst-kinderimpfung-und-die-moeglichen-folgen/




    Devant la menace de démantèlement de l’IHU Raoult a donc cédé

    Par Lucien Samir Oulahbib

    [Photo : L’Institut hospitalo-universitaire Méditerranée Infection (IHU) de Marseille (GILLES BADER / MAXPPP)]

    Dans un entretien très récent Didier Raoult avait annoncé très explicitement (6 juillet, à 0.55) qu’il est question pour l’IRSEM de démanteler l’I.H.U (l’organisme a démenti sur le champ bien entendu) afin d’empêcher la constitution d’un pôle de prudence et de vérité comme le demandait d’ailleurs il y a quelques mois le professeur Caumes (avant de se rétracter bien sûr et vouloir piquer jusqu’aux enfants déjà affaiblis par le confinement comme l’indique la professeure Martine Duclos) on voit donc que cette Secte H.A! (hygiéniste-affairiste) est prête à tout casser (la “déconstruction” en temps réel) pour arriver à ses fins. C’est évidemment ignoble, minable, dangereux.

    Ignoble, car au lieu de laisser les médecins prescrire des traitements ayant des centaines d’études positives derrière eux maintenant (et surtout des millions de personnes guéries au contraire de ce que prétendent les faux vérificateurs à la solde de la Secte), ces scientistes démiurges, assoiffés de puissance par définition, persistent et signent, balayant toute idée alternative (comme l’indique pourtant l’ISERM dans ce schéma en 3.3) qui remettrait en cause leur stratégie hygiéniste-affairiste disproportionnée par rapport à la menace réelle de cette syndémie très peu létale en réalité pour la très grande majorité des… malades (surtout s’ils sont soignés de manière précoce). Ne parlons pas des… 7 milliards d’humains guère touchés par elle en comparaison à d’autres maladies dites “chroniques”, en réalité très mal soignées (car seule l’approche allopathique est privilégiée) et qui causent, elles, des millions de morts.

    Minable, puisqu’ils sont obligés de détruire toute opposition avec leur rouleau compresseur alors qu’ils se targuent de faire de la pédagogie et de la persuasion, mais leur impatience est telle que même leurs coupe-jarrets montrent leurs dagues de façon de plus en plus évidente, comme il a été vu avec tous ces seconds couteaux venant harceler, menacer, enfin assaillir ceux qui refusent d’être les cobayes de cet “essai clinique” toujours en cours (malgré les dires fallacieux du “ministre” français de la Santé).

    Dangereux: au lieu de tout faire pour renforcer les fonctions immunitaires par diverses méthodes bien connues des naturopathes (dont les vitamines D et C aux effets secondaires bien moindres que ceux de ces injections, bien sûr, dont en plus on ne connaît pas les effets à plus long terme…) l’on voit un 1er Ministre déclamer qu’en raison de leur “affaiblissement” il faudrait une “troisième dose” (officiellement pour les “personnes vulnérables”, alors que nous avons des traitements aussi pour elles), comme s’il s’agissait en fait de remplacer à terme nos fonctions immunitaires par l’artifice génique ou le cyborg en perspective.

    Mais en croyant battre en retraite (alors que pour ses ennemis il se rend (tel Vercingétorix) avec armes et bagages), Didier Raoult pense certes pouvoir limiter les dégâts, sauf qu’il les renforce. Car forts de cette victoire, ses ennemis voudront aussi sa tête (celle de Jean-Baptiste). C’est ainsi. Jamais des ennemis de cette trempe (un nihilisme de très haut degré) ne feront quartier. Aucune clémence n’est à attendre venant d’eux, tant les enjeux sont immenses. Aussi, cet éminent chercheur et médecin pourrait encore dévoiler le pot aux roses plus explicitement. Ce n’est pas trop tard et cela aurait même plus de force, d’ailleurs, afin qu’un vaste front de résistance puisse se constituer et passer enfin à l’offensive en créant par exemple une association d’amis de l’IHU qui prendrait rapidement des décisions (comme créer une chaîne d’alerte lorsque les menaces de l’IRSEM deviendront réalité) avant de former un cordon humain 24 heures sur 24 autour des bâtiments de l’IHU, ce Fort Alamo, cet Alésia en apparence, cette Angleterre sous le feu en 40 en réalité, et qui sut tenir et ensuite contre-attaquer victorieusement, n’en déplaise à certains [Ndlr : grâce aux Américains et au sacrifice des Russes. Quel est l’équivalent de ces derniers, de nos jours ? Existe-t-il encore beaucoup d’êtres humains, surtout en Occident, capables de se sacrifier, d’abandonner leur confort (matériel, intellectuel, moral…) et leur illusoire sécurité pour sauver ne serait-ce que leur nation, à défaut de l’Humanité ? Car oui, nous sommes en guerre, mais pas contre un virus. Nous le sommes contre les ennemis de l’Humain. Une guerre aux proportions épiques, aux dimensions bibliques].




    Le professeur Didier Raoult est-il vraiment un dissident des autorités et mesures sanitaires ?

    [Source : Conscience du peuple]

    [Photo : Le professeur Didier Raoult
    au déjeuner, en l’honneur du professeur D.Raoult, du Chinese Business Club
    à l’hôtel L’InterContinental Paris le Grand à Paris, France, le 8 juillet 2021.
    © Coadic Guirec/Bestimage]

    Et si l’hydroxychloroquine était l’arbre qui cache la forêt…

    Le professeur Didier Raoult n’a qu’une épine dans le pied, une seule… 


    [Source : La Minute de Ricardo]






    La microbiophobie ambiante est hors de contrôle ! De nouvelles perspectives sur la véritable nature des virus

    [Source : cv19.fr]

    Par le Dr. Ron Brown

    Vous pensez que le coronavirus s’est échappé d’un laboratoire de Wuhan ? Vous pourriez souffrir de microbiophobie. Espérez-vous qu’un vaccin vous protégera contre le coronavirus ? Vous êtes probablement microbiophobe. Vous sentez-vous à l’abri du coronavirus en portant un masque, en vous isolant et en gardant une distance sociale ? Vous êtes certainement atteint de microbiophobie. La microbiophobie rampante – qui perturbe nos vies en raison de peurs irrationnelles des micro-organismes tels que les virus – est hors de contrôle dans nos sociétés ! Mais que sont exactement ces microbes terrifiants appelés virus ? D’où viennent-ils dans la nature ? Que font-ils et où vont-ils quand ils ont fini de faire ce qu’ils font ? Malgré la microbiophobie de notre société liée aux pandémies, toutes les tentatives visant à éviter le quadrillion [un million de milliards] de virus (1 000 000 000 000 000) qui se cachent dans et sur le corps humain sont vaines. 

    La métagénomique et les perspectives futures de la découverte de virus – ScienceDirect.

    Comment tant de virus ont-ils élu domicile dans des zones de notre corps désignées sous le nom de viromes, et comment pouvons-nous surmonter notre microbiophobie irrationnelle, envahissante et incontrôlable à l’égard d’un virus du rhume comme le coronavirus ?

    Si vous avez l’intention de chercher des réponses à ces questions en interrogeant un coronavirus, il vaut mieux vous donner beaucoup de temps pour le traquer et l’emmener pour le questionner. Ce sont des petites créatures très occupées, qui élèvent des familles de descendants, s’échappent audacieusement des laboratoires, passent les frontières en contrebande, brandissent des protéines en forme de pointes acérées comme des épées pour tuer les cellules ciblées, sautent d’un seul bond entre des humains en contact étroit avec eux, manœuvrent autour des masques faciaux, attendant patiemment que vos mains frottées se salissent à nouveau, détournant l’ADN des cellules et les rançonnant, disparaissant de la circulation pendant l’été pour passer des vacances dans des cachettes secrètes, modifiant leur apparence pour se dissimuler des vaccins, et bien sûr, rendant les gens malades et commettant des homicides.

    Nous savons que ces choses sont vraies parce que des gens appelés scientifiques nous l’ont dit. Sauf que certaines de ces personnes ne sont pas du tout des scientifiques. Prenez le Dr Anthony S. Fauci, par exemple, médecin de formation et bureaucrate du gouvernement qui dirige l’Institut national des allergies et des maladies infectieuses des États-Unis. Le Dr Fauci se met souvent dans des situations difficiles en faisant toutes sortes de déclarations non étayées sur la pandémie de coronavirus. Lorsque les données changent et qu’il est contraint de revenir sur ses déclarations, Fauci rejette la faute sur la science, en s’excusant et en expliquant que c’est ainsi que la science fonctionne.

    La science ne fonctionne pas du tout de cette façon. La plupart des vrais scientifiques sont suffisamment expérimentés pour éviter de faire des déclarations à la Fauci qui ne sont pas fondées sur des connaissances et des faits incontestables. Néanmoins, sans se laisser décourager par son manque de sens scientifique, le Dr Fauci continue à faire toutes sortes de déclarations sur les vaccins, les masques, les confinements et les virus. Combien de temps encore devrons-nous continuer à croire Fauci qui affirme que les virus sont de vrais méchants sans preuve irréfutable, au-delà du doute raisonnable ? Par exemple, le Dr Fauci a déclaré au Congrès américain le 11 mars 2020 que le coronavirus “EST dix fois plus mortel que la grippe”, et non qu’il POURRAIT ÊTRE plus mortel que la grippe. Par rapport aux 80 000 décès survenus pendant la grippe saisonnière 2017-2018, la mortalité annuelle due au coronavirus est loin d’être dix fois plus élevée, soit 800 000 décès par an, même en tenant compte des mesures de mitigation pour “arrêter la propagation.” Fauci a également co-écrit un éditorial dans le New England Journal of Medicine déclarant que le taux de létalité de la grippe saisonnière est de 0,1%. En réalité, 0,1 % est le taux de létalité de l’infection de la grippe, bien souvent inférieur, et non le taux de létalité. Le taux de létalité de la grippe en 1918 était de 2 à 3 %, comme celui du coronavirus lorsqu’il est apparu en Chine. 

    Leçons de santé publique tirées des biais dans la surestimation de la mortalité due au coronavirus (cambridge.org).

    Les débuts de la virologie

    Pour découvrir la véritable nature des virus et, espérons-le, nous aider à surmonter notre microbiophobie, nous devons écouter de vrais scientifiques spécialisés en virologie. Le premier grand virologue dont vous n’avez probablement jamais entendu parler est le Dr Robert Doerr, qui a dirigé les Archives of Virology pendant une grande partie du 20e siècle. 

    (PDF) When did virology start ?, ASM News 62 (March) (1996), 142-5 | Ton van Helvoort – Academia.edu.

    Sur la base de ses recherches sur les virus de l’herpès, et en utilisant le microscope électronique nouvellement développé dans les années 1930, le Dr Doerr a établi certains principes de base des propriétés virales. Doerr a proposé que les virus non vivants sont créés de manière endogène, à l’intérieur des cellules, et que les infections virales peuvent avoir des causes non spécifiques sans exposition à des virus externes. De toute évidence, le point de vue de Doerr est très différent de celui qui prévaut aujourd’hui sur l’étiologie et la propagation des infections virales. Comment ce changement s’est-il produit ?

    Bien qu’elles n’aient jamais été réfutées, les conclusions de Doerr ont fini par être ignorées et mises de côté après l’avènement du dogme central de la biologie moléculaire, qui affirme que tous les organismes vivants reproduisent la vie en transférant l’information génétique par le biais des acides nucléiques ADN et ARN. 

    Il y a 60 ans, Francis Crick a changé la logique de la biologie (nih.gov).

    Parce que les virus contiennent des acides nucléiques, le dogme central implique que les virus doivent se répliquer, même s’ils sont obligés de détourner les mécanismes de réplication génétique d’une cellule hôte pour réaliser cet exploit. Vous voulez une preuve de la réplication virale ? Placez quelques virus sur des cellules vivantes dans une boîte de Pétri et observez comment les virus disparaissent mystérieusement pour finalement réapparaître sous forme de hordes de progénitures qui se multiplient et tuent rapidement les cellules vivantes. 

    Réplication virale – ScienceDirect.

    Un message d’avertissement : cette expérience de “preuve de concept” de réplication virale présente quelques défauts graves que nous évaluerons de manière critique par la suite.

    Nouvelles connaissances en virologie

    Des preuves plus récentes ont permis de découvrir que, bien que tous les organismes vivants se répliquent à l’aide d’acides nucléiques, tous les virus qui contiennent des acides nucléiques ne se répliquent pas. Par exemple, on a découvert que des virus non infectieux contiennent de l’ARN, mais ne se répliquent pas. 

    Activités biologiques des particules du virus de la grippe A “non infectieux” (nih.gov).

    Qu’advient-il de l’ARN de ces virus ? En outre, pourquoi un grand nombre de ces virus non infectieux s’agrègent-ils en viromes dans notre corps s’ils ne se répliquent pas ? Les réponses à ces questions peuvent être synthétisées à partir des derniers résultats de la recherche en virologie, combinés à un bref examen de la biologie cellulaire et de l’immunologie de base.

    Les cellules de notre corps ont constamment besoin de protéines pour leur croissance et leur entretien. Le plan de fabrication d’une protéine nécessaire à une cellule est contenu dans les gènes de l’ADN stocké dans le noyau de la cellule. Une copie du code génétique contenant les instructions pour assembler une protéine est transcrite en ARN messager (ARNm), qui transmet le code génétique aux ribosomes de la cellule pour la traduction en protéine. Une fois que l’ARNm a fini de transmettre son code génétique transcrit, il est fragmenté en huit segments et emballé dans une vésicule du cytoplasme cellulaire, appelée exosome, pour être éliminé de la cellule comme un déchet. 

    Les exosomes sécrétés par les cellules humaines transportent en grande partie des fragments d’ARNm qui sont enrichis dans les régions 3′ non-traduites | Biology Direct | Full Text (biomedcentral.com).

    Transportés par le système immunitaire, les exosomes contenant des déchets de code génétique ARNm sont éliminés du corps principalement par le tractus gastro-intestinal et le système immunitaire de la muqueuse nasale.

    Nul autre que le docteur VIH lui-même, Robert C. Gallo, a cosigné un récent article de perspective décrivant les similitudes entre les virus et les exosomes qui contiennent des déchets d’ARNm fragmentés. 

    Vésicules extracellulaires et virus : Sont-ils de proches parents ? (nih.gov)

    Cette comparaison est étonnamment cohérente avec la proposition de Robert Doerr selon laquelle les virus sont des produits endogènes des cellules. Si nous supposons que les exosomes, chargés de déchets génétiques, sont identiques aux virus, le paradigme scientifique de l’infection virale change radicalement. Ce nouveau paradigme implique que le code génétique stocké dans un virus n’est pas traduit en protéines pour répliquer le virus lui-même. Au contraire, les fragments de code génétique ne sont que des restes de codes rejetés que la cellule a précédemment traduits au cours de la biosynthèse des protéines pour répondre aux besoins normaux de la croissance et de la maintenance cellulaires. En outre, la cellule synthétise les protéines S nécessaires pour encapsuler les fragments d’ARNm dans les exosomes afin de les éliminer en tant que déchets. Ces pointes [spike] sur le coronavirus pourraient fonctionner davantage comme des poignées qui facilitent le traitement des déchets par le système immunitaire.

    La taille du protéome humain : La largeur et la profondeur (nih.gov)

    Considérons que le corps humain est composé d’environ 20 000 types de protéines différentes, et que le code ARNm de chacune de ces protéines est finalement décomposé en huit fragments qui sont emballés dans les exosomes selon potentiellement plus de 40 000 combinaisons aléatoires. Même si les fragments ne sont pas combinés de manière totalement aléatoire, la manière dont les fragments d’ARNm sont assemblés crée une pléthore de séquences génomiques uniques détectées dans les nouvelles versions du virus, appelées variants. Les mutations ou modifications des gènes sont une propriété des cellules vivantes, mais la plupart des virus non vivants sont dépourvus de gènes, de sorte que l’on ne peut pas dire que les modifications de la séquence génétique d’un virus non infectieux mutent. Bien que certains variants puissent être associés à plus d’infections que d’autres, aucun variant d’un virus non infectieux n’est susceptible d’être plus infectieux qu’un autre variant. En outre, une toxine qui affaiblit le système immunitaire et ralentit ou inhibe la clairance virale à travers la muqueuse nasale peut entraîner une augmentation de la charge virale lorsque les exosomes s’accumulent en tant que déchets non excrétés. Ceci est également cohérent avec la proposition de Doerr selon laquelle les infections virales peuvent avoir des causes non spécifiques sans exposition à des virus externes.

    Dans un exemple étonnant de causalité inversée, des preuves suggèrent que les infections virales peuvent ne pas être directement à l’origine de maladies. Au contraire, l’association d’une infection virale à une maladie peut être provoquée par des déterminants de la maladie qui sont toxiques pour le système immunitaire, qui altèrent la fonction immunitaire, retardent la clairance virale et provoquent des infections virales avec possibilité de septicémie due à la rétention de déchets génétiques. Certains de ces déterminants de la maladie pourraient être liés à des changements de l’état nutritionnel, un facteur de susceptibilité aux infections, et pourraient être plus fréquents pendant certaines saisons, comme dans la saisonnalité des infections respiratoires virales. En outre, la détection d’un virus dans la muqueuse nasale n’est pas suffisante pour provoquer des symptômes d’infection chez les cas asymptomatiques, à moins que la fonction immunitaire ne soit également fortement altérée. En résumé, au lieu de se répliquer, les virus semblent s’accumuler dans les infections virales, comme les ordures s’accumulent sur le trottoir pendant une grève du ramassage des ordures. Vous ne vous promènerez pas dans la rue pendant une grève du ramassage des ordures en disant : “Oh regarde, chérie, les ordures se répliquent !”.

    Dans ce nouveau paradigme viral, tous les attributs personnifiés que nous attribuons habituellement aux virus pour justifier notre microbiophobie ne semblent plus valables. Mais existe-t-il des preuves cliniques réelles pour vérifier ce nouveau paradigme ? De manière surprenante, des expériences menées par la marine américaine en 1918 à Boston et à San Francisco ont confirmé que la grippe ne pouvait pas être transmise à des groupes de marins en bonne santé directement exposés à l’haleine, à la toux et aux expectorations de patients gravement malades de la grippe. 

    pubhealthreporig00014-0071.pdf (nih.gov).

    Les résultats des expériences de la marine vérifient que les fragments non infectieux d’ARNm dans les exosomes ne peuvent pas se répliquer, quel que soit le nombre de virus inhalés transmis par l’air. En soi, les virions inhalés sont insuffisants pour surmonter les barrières du système immunitaire à l’infection. Il existe une distinction importante entre la transmission d’un virus inhalé et les allégations non fondées de propagation d’une infection virale entre personnes. Souvenez-vous de ces conclusions la prochaine fois que vous accuserez vos enfants de vous avoir donné un rhume ou une grippe, ou la prochaine fois que vous vous mettrez en danger en vous jetant dans la circulation pour éviter un piéton non masqué qui s’approche de vous sur le trottoir.

    Mais qu’en est-il de cette expérience de “preuve de concept” de réplication virale ? Comme contrôle supplémentaire de l’expérience, placez des acides nucléiques sur des cellules vivantes dans une boîte de Pétri. Vous pouvez observer la disparition des acides nucléiques qui sont engloutis dans les endosomes et sont décomposés par les enzymes digestives des cellules à partir des lysosomes pour être consommés comme nutriments. Observez ensuite l’excrétion d’exosomes contenant des ARNm fragmentés dans la boîte de Pétri, qui sont des déchets normaux de la traduction génétique suivant la biosynthèse des protéines. Si on les laisse s’accumuler sans les retirer de la boîte de Pétri, les concentrations accrues de ces excrétions et d’autres excrétions cellulaires finissent par détruire les cellules avec les déchets métaboliques retenus.

    En conclusion, le public a été endoctriné par des craintes infondées à l’égard des infections virales, ce qui accroît notre microbiophobie et exacerbe les dommages causés par les mesures répressives de contrôle des infections qui continuent de perturber notre vie quotidienne pendant la pandémie de coronavirus et les futures pandémies. Pour atténuer la microbiophobie liée au coronavirus, il faut poursuivre les recherches et diffuser de nouvelles connaissances fondées sur la véritable nature des virus.


    Dr-Ron-Brown
    Ronald B. Brown, PhD, est l’auteur de plus d’une douzaine d’articles évalués par des pairs et publiés dans la U.S. National Library of Medicine of the National Institutes of Health ; ainsi que d’un chapitre sur la synthèse des connaissances de pointe dans Contemporary Natural Philosophy and Philosophies. Outre ses recherches épidémiologiques et de santé publique sur les maladies infectieuses et les vaccins pendant la pandémie de COVID-19, ses domaines de recherche actuels comprennent la prévention du cancer, des maladies cardiovasculaires, de la démence et d’autres maladies chroniques.


    Source : https://trialsitenews.com/rampant-microbiophobia-is-out-of-control-new-insights-on-the-true-nature-of-viruses/
    Traduction https://cv19.fr


    [Voir aussi :
    La microbiophobie ambiante est hors de contrôle ! De nouvelles perspectives sur la véritable nature des virus
    Déclaration sur l’isolement des virus
    Anthrax, Arsenic, Pasteur et ses moutons
    Pasteur versus Béchamp – La crise du coronavirus relance une controverse vieille de 150 ans
    Le culte de la virologie – Documentaire
    Réfutation de la virologie par le Dr Stefan Lanka
    Stefan Lanka conduit les expériences témoins réfutant la virologie
    Virus Mania : Comment Big Pharma et les médias inventent les épidémies
    La théorie des germes : Une erreur fatale
    Virus fantôme : à la recherche du SARS-CoV-2
    Citations médicales sur les vaccinations
    Le mythe de la contagion virale — Pourquoi les virus (incluant les « coronavirus ») ne sont pas la cause des maladies
    La théorie des exosomes contre celle des virus]




    Complot, conspiration, plan : dix faits troublants

    [Source : ripostelaique.com]

    Complot, conspiration, plan ?

    [Preuves que la pandémie a été planifiée ?]

    1) Bill Gates, aujourd’hui le principal acteur de l’OMS, préconisait déjà en 2010 la venue de « nouveaux vaccins » pour freiner la croissance démographique mondiale dans le cadre de la lutte contre les émissions de CO2. 
    https://www.ted.com/talks/bill_gates_innovating_to_zero?language=fr#t-1374074

    [►Qui finance l’OMS ? (siksik.org)
    Vaccins, puçage, réseau d’influence, OMS : Bill Gates est-il le roi du monde ?
    L’empire mondial de la santé de Bill Gates promet toujours plus d’empire et moins de santé]

    En 2015, l’organisation GAVI, subventionnée par Bill Gates, entre autres, et qui oriente la politique vaccinale mondiale, préconisait la vaccination pour atteindre 14 des 17 objectifs de développement durable (vaccins à gogo !).
    https://www.gavi.org/fr/sante-mondiale-et-developpement/objectifs-de-developpement-durable

    2) En octobre 2019 démarrent les jeux militaires de Wuhan pendant lesquels des athlètes connaîtront des problèmes respiratoires. En même temps, à New York, des dirigeants oligarques mondialistes simulent une pandémie dans le cadre d’un exercice baptisé « Event 201 ».

    https://www.francetvinfo.fr/sports/des-sportifs-francais-contamines-par-le-covid-19-des-octobre-aux-jeux-militaires-de-wuhan_4515647.html

    3) En novembre 2019 (avant la déclaration officielle de l’épidémie), PfizerBioNtech commande 2 lots de 800 millions de flacons à vaccins en verre spécial, jamais utilisés auparavant.

    4) En janvier 2020, l’hydroxychloroquine est classée substance dangereuse par la ministre de la Santé, donc interdite de prescription, de même que (par la suite) tout médicament efficace pour soigner l’affection Covid (encore aujourd’hui), ce qui justifie une autorisation de mise sur le marché conditionnelle des injections géniques actuelles (seule solution envisagée depuis le début) sans recul de leurs effets à moyen et long terme.

    [Covid-19 – Un virus monstrueux ou un alibi idéal pour tromper l’humanité ?]

    5) Dès février/mars 2020, déclenchement et entretien de la peur dans la population : annonces morbides quotidiennes exagérées (on le sait maintenant, il n’y a pas eu de surmortalité en 2020), confinement général (d’abord en intérieur puis en extérieur), couvre-feu à horaires élastiques (deux mesures inutiles). Et tout au long de l’année 2020 et 2021, entretien volontaire de la confusion et de l’incertitude (masques d’abord inutiles puis obligatoires même pour les enfants dès 9 ans, sous peine de 135 € d’amende, annonces prédictives des vagues à venir, assimilation des personnes saines à des malades potentiels), annonce présidentielle d’une vaccination non obligatoire pour en arriver aujourd’hui à la volonté d’injecter toute la population dans une ambiance télévisuelle hystérique…

    [►“Surmortalité Covid” en 2020 ? C’est la démographie, idiot !
    Quatre gros mensonges sur l’épidémie et le confinement
    Les mesures prises contre la propagation de l’épidémie ont-elles vraiment sauvé des vies ?
    Covid : du mythe aux statistiques, les vérités cachées !
    Le confinement, tout ce que l’on ne vous a pas dit : aberration humaine, sanitaire, économique
    LES CONFINEMENTS SONT CATASTROPHIQUES PARTOUT DANS LE MONDE
    Confinement, propagande COVID et points de presse gouvernementaux : la recette parfaite du lavage de cerveau calquée sur les sectes
    Techniques de manipulation de masse et propagande — Application à la Covid-19
    Le Forum économique mondial publie un guide sur la façon de contraindre et de manipuler le public pour imposer le vaccin Covid-19
    COVID-19 : LE GRAND CAUCHEMAR
    Covid-Arnaque : il n’y a pas de pandémie — une vision britannique de l’imposture
    Les esclaves ne sont pas libérés plus vite parce qu’ils obéissent mieux
    Après les tests PCR, le principe du confinement condamné par la justice
    Gestion des épidémies – Étude sur l’exploitation médiatique, commerciale ou politique de la peur, et sur l’avènement d’un totalitarisme “sanitaire”
    COVID19: Débunkage du narratif officiel
    Décryptage de la Pandémie de Covid-19. Un exercice d’ingénierie sociale
    Mortalité toutes causes confondues pendant la COVID-19 : Pas de fléau et une signature probable d’homicide de masse par la réponse du gouvernement
    Effets nocifs des masques
    Réponse à l’OMS sur le conseil d’utilisation des masques contre la Covid-19
    “STOP ! Manipulations, masques, mensonges, peur…” un collectif international de professionnels de santé dénonce des “mesures folles et disproportionnées”
    Comment leurs masques rendent bêtes et méchants
    Coronavirus : et si les masques faisaient plus de mal que de bien ?
    COVID-19 — Le port du masque, le lavage des mains, la “séparation sociale” et le verrouillage sont des rituels occultes séculaires]

    6) Les médecins sont, depuis le début de la crise, empêchés de soigner par les autorités de santé (chose impensable) et sont contraints de conseiller à leurs patients de rester au domicile et de prendre du Doliprane jusqu’à l’apparition de l’insuffisance respiratoire les conduisant directement à l’intubation et au décès.

    [►« Laissons les médecins prescrire » : la résistance des médecins libéraux s’organise
    Vaccins et traitements : les masques tombent et vont tomber]

    Des médicaments inefficaces voire dangereux comme le remdévisir (excessivement cher) seront autorisés et préconisés par nos instances de santé.

    [Voir : « Le remdesivir ne soigne pas le Covid-19. Pire… » : Didier Raoult met l’OMS face à ses responsabilités]

    Attaques médiatiques violentes de toute personne contestant la version officielle concernant les protocoles de soins, la réelle mortalité de la maladie (professeurs Raoult, Perronne, Toubiana…) ou l’origine du « virus » (professeur Montagnier), que ces professeurs soient de renommée mondiale ou prix Nobel !

    [►La thèse d’un virus manipulé échappé d’un laboratoire chinois : le pavé dans la mare du Pr Luc Montagnier
    Message du Professeur Perronne sur les vaccins contre la Covid-19 !]

    7) Dans les Ehpad, le Rivotril sera légalisé et utilisé sans compter avec la bénédiction du ministre de la Santé.

    [Ils ont osé nous demander de piquer nos patients pour les faire partir le plus vite possible]

    8) De manière concomitante l’hyperclasse mondiale de Davos nous annonce un nouveau modèle économique après « le Great Reset ». Nouveau modèle ou effondrement inéluctable d’un capitalisme financier à bout de souffle entraînant une paupérisation croissante des populations ??

    [►Crise financière de 2008, covid-19, “great reset” et contrôle des populations : la grande manipulation
    Les valeurs familiales de Schwab
    « L’Agenda 2030 » (vert) de l’ONU est derrière la « Grande Réinitialisation » du Forum Économique Mondial — Suivez la piste de l’argent !
    STRATÉGIE FINANCIÈRE ET GREAT RESET
    Agenda 2030 : vous n’aurez rien et vous serez heureux
    Davos 2021, du “Great Reset” au “New Normal”
    Le « Great Reset » n’est pas du complotisme]

    9) Alors que 72 % de la population était opposée à la mise en place du passeport vaccinal lors de la consultation du CESE, il nous est imposé via une instance supranationale non élue.

    Ce passeport fait partie des projets de l’UE depuis 2018, bien avant la pseudo-pandémie !
    https://participez.lecese.fr/pages/resultats-de-la-consultation-sur-le-passeport-vaccinal

    10) Pour lancer la campagne « vaccinale », les dirigeants ont d’abord utilisé l’incitation puis l’injonction. Aujourd’hui, leur véritable objectif se précise puisqu’il est question d’imposer à toute la population l’obligation d’une expérimentation médicale aux effets inconnus voire dangereux. En effet, en Europe, on dénombre plus de 15 000 décès et plus de 1 500 000 effets secondaires dont la moitié sont graves ! Il est important de savoir que seuls 5 à 10 % des effets secondaires ou décès sont comptabilisés dans les centres de pharmaco-vigilance ! Rappelons aussi que les firmes pharmaceutiques sont exonérées de toute responsabilité en cas de problèmes suite à l’injection de leurs produits délétères !

    [Les décès et effets indésirables liés aux vaccins anti-COVID sont secrètement dissimulés]

    Il est clair que nos dirigeants actuels organisent la fin de la souveraineté de notre pays pour le soumettre à l’oligarchie mondialiste qui progressivement s’est emparée du pouvoir financier, économique, législatif et aujourd’hui… sanitaire.

    Si cette marche forcée vers un nouvel ordre mondial ne relève pas d’un complot, d’une conspiration, il paraît évident qu’elle se déroule selon un plan satanique élaboré de longue date pour entraîner la destruction des nations au vu des réactions quasi similaires dans les pays occidentaux lors de cette crise organisée.

    Quel futur pour nos enfants ? Une identité numérique injectable pour un contrôle permanent ? La pérennisation d’un nouveau marché « vaccinal » scandaleusement lucratif pour les placements en Bourse de quelques milliardaires ? Des êtres humains continuellement pharmaco-dépendants d’injections mortifères annuelles voire bi-annuelles et/ou de médicaments chimiques entraînant la destruction de l’immunité naturelle ? Un chantage permanent à la vaccination pour bénéficier de l’accès à une vie normale et/ou à une future éventuelle monnaie numérique ? La domination tyrannique d’une hyperclasse mondiale avide de pouvoir et détentrice insolente de plus en plus de richesses ? Une dépopulation progressive de la classe nombreuse des « inutiles » au profit des « dieux » ?

    Seule une large coalition de personnalités politiques animées d’un souverainisme national puissant s’opposant à la caste oligarchique, prônant aussi et surtout l’inviolabilité de l’intégrité corporelle des êtres humains (menace qui se fait jour aujourd’hui), pourra éviter la disparition de notre nation (en cours aujourd’hui) dans l’abîme d’un mondialisme à forte tendance génocidaire.

    Philippe Rossi




    Déclaration sur l’isolement des virus

    [Source anglophone : andrewkaufmanmd.com]

    Par Sally Fallon Morell, MA
    Dr. Thomas Cowan, MD
    Dr. Andrew Kaufman, MD

    Isolement : L’action d’isoler ; le fait ou la condition d’être isolé ou de se tenir seul ; la séparation d’autres choses ou personnes ; le solitarisme.

    Dictionnaire anglais Oxford

    La controverse sur la question de savoir si le virus du SRAS-CoV-2 a jamais été isolé ou purifié se poursuit. Toutefois, en se fondant sur la définition ci-dessus, le bon sens, les lois de la logique et les impératifs de la science, toute personne impartiale doit arriver à la conclusion que le virus SRAS-CoV-2 n’a jamais été isolé ou purifié. Par conséquent, on ne peut trouver aucune confirmation de l’existence du virus. Les conséquences logiques, de bon sens et scientifiques de ce fait sont les suivantes :

    • la structure et la composition de quelque chose dont l’existence n’a pas été démontrée ne peuvent pas être connues, y compris la présence, la structure et la fonction de toute protéine Spike hypothétique ou d’autres protéines ;
    • la séquence génétique de quelque chose qui n’a jamais été trouvé ne peut être connue ;
    • les « variants » de quelque chose dont l’existence n’a pas été démontrée ne peuvent pas être connus ;
    • il est impossible de démontrer que le SRAS-CoV-2 cause une maladie appelée Covid-19.

    En termes aussi concis que possible, voici la manière correcte d’isoler, de caractériser et de démontrer un nouveau virus. Tout d’abord, on prélève des échantillons (sang, expectorations, sécrétions) sur de nombreuses personnes (par exemple 500) présentant des symptômes suffisamment uniques et spécifiques pour caractériser une maladie. Sans mélanger ces échantillons avec AUCUN tissu ou produit contenant également du matériel génétique, le virologue macère, filtre et ultracentrifuge, c’est-à-dire purifie l’échantillon. Cette technique virologique courante, utilisée depuis des décennies pour isoler les bactériophages(([1] Isolation, characterization and analysis of bacteriophages from the haloalkaline lake Elmenteita, KenyaJuliah Khayeli Akhwale et al, PLOS One, Published: April 25, 2019. 
    https://journals.plos.org/plosone/article?id=10.1371/journal.pone.0215734 — accessed 2/15/21)) et les virus dits géants dans tous les laboratoires de virologie, permet ensuite au virologue de mettre en évidence par microscopie électronique des milliers de particules de taille et de forme identiques. Ces particules sont le virus isolé et purifié.

    L’uniformité de ces particules identiques est ensuite vérifiée par des techniques physiques et/ou microscopiques. Une fois la pureté déterminée, les particules peuvent être caractérisées davantage. Cela inclut l’examen de la structure, de la morphologie et de la composition chimique des particules. Ensuite, leur composition génétique est caractérisée en extrayant le matériel génétique directement des particules purifiées et en utilisant des techniques de séquençage génétique, telles que le séquençage Sanger, qui existent également depuis des décennies. On procède ensuite à une analyse pour confirmer que ces particules uniformes sont d’origine exogène (extérieure), comme c’est le cas pour un virus, et non les produits de dégradation normaux de tissus morts et mourants.(([2] “Extracellular Vesicles Derived From Apoptotic Cells: An Essential Link Between Death and Regeneration,” Maojiao Li1 et al, Frontiers in Cell and Developmental Biology, 2020 October 2. 
    https://www.frontiersin.org/articles/10.3389/fcell.2020.573511/full — accessed 2/15/21)) (En mai 2020, nous savons que les virologues n’ont aucun moyen de déterminer si les particules qu’ils voient sont des virus ou simplement les produits de dégradation normaux de tissus morts et mourants.)(([3] “The Role of Extracellular Vesicles as Allies of HIV, HCV and SARS Viruses,” Flavia Giannessi, et al, Viruses, 2020 May))

    Si nous sommes arrivés jusqu’ici, c’est que nous avons entièrement isolé, caractérisé et séquencé génétiquement une particule virale exogène. Cependant, nous devons encore montrer qu’elle a un lien de causalité avec une maladie. Pour ce faire, on expose un groupe de sujets sains (on utilise généralement des animaux) à ce virus isolé et purifié, de la manière dont on pense que la maladie est transmise. Si les animaux sont atteints de la même maladie, comme le confirment les résultats cliniques et les autopsies, on a alors démontré que le virus provoque effectivement une maladie. Cela démontre l’infectivité et la transmission d’un agent infectieux.

    Aucune de ces étapes n’a été tentée avec le virus SRAS-CoV-2, et toutes ces étapes n’ont pas non plus été réalisées avec succès pour tout virus dit pathogène. Nos recherches indiquent qu’il n’existe pas une seule étude montrant ces étapes dans la littérature médicale.

    Au contraire, depuis 1954, les virologues prélèvent des échantillons non purifiés sur un nombre relativement restreint de personnes, souvent moins de dix, atteintes d’une maladie similaire. Ils procèdent ensuite à un traitement minimal de cet échantillon et l’inoculent à une culture tissulaire contenant habituellement quatre à six autres types de matériel, qui contiennent tous du matériel génétique identique à ce que l’on appelle un « virus ». La culture de tissus est affamée et empoisonnée et se désintègre naturellement en de nombreux types de particules, dont certaines contiennent du matériel génétique. À l’encontre de tout bon sens, de toute logique, de l’usage de la langue anglaise et de l’intégrité scientifique, ce processus est appelé « isolement du virus. » Cette infusion [ou soupe chimico-génétique] contenant des fragments de matériel génétique provenant de nombreuses sources est ensuite soumise à une analyse génétique, qui crée alors dans un processus de simulation informatique la séquence présumée du prétendu virus, un génome dit « in silico » [du mot « silicium », pour indiquer sa nature purement logicielle, puisque les microprocesseurs à la base du fonctionnement des ordinateurs sont faits de semi-conducteurs en silicium]. À aucun moment un virus réel n’est confirmé par microscopie électronique. À aucun moment, un génome n’est extrait et séquencé à partir d’un virus réel. Il s’agit d’une fraude scientifique.

    L’observation que le spécimen non purifié — inoculé sur une culture de tissus avec des antibiotiques toxiques, du tissu fœtal bovin, du liquide amniotique et d’autres tissus — détruit le tissu rénal sur lequel il est inoculé est donné comme preuve de l’existence et de la pathogénicité du virus. Il s’agit d’une fraude scientifique.

    Dorénavant, lorsque quelqu’un vous donne un article qui suggère que le virus du SRAS-CoV-2 a été isolé, vérifiez les sections sur les méthodes. Si les chercheurs ont utilisé des cellules Vero ou toute autre méthode de culture, vous savez que leur procédé n’était pas l’isolement. Vous entendrez les excuses suivantes pour expliquer pourquoi un véritable isolement n’est pas effectué :

    1. Il n’y avait pas assez de particules virales à analyser dans les échantillons des patients.
    2. Les virus sont des parasites intracellulaires ; ils ne peuvent pas être trouvés à l’extérieur de la cellule de cette manière.

    Si le premier point est correct et que l’on ne peut pas trouver le virus dans les expectorations des personnes malades, sur quelle base peut-on penser que le virus est dangereux, voire mortel ?
    Si la réponse n° 2 est correcte, comment le virus se transmet-il d’une personne à l’autre ? On nous dit qu’il émerge de la cellule pour infecter les autres. Alors pourquoi n’est-il pas possible de le trouver ?

    Enfin, remettre en question ces techniques et conclusions virologiques n’est pas une distraction ou un sujet de discorde. Faire la lumière sur cette vérité est essentiel pour mettre fin à cette terrible fraude à laquelle l’humanité est confrontée. Parce que, comme nous le savons maintenant, si le virus n’a jamais été isolé, séquencé ou s’il n’a jamais été démontré qu’il causait des maladies, si donc le virus est imaginaire, alors pourquoi portons-nous des masques, pratiquons-nous la distanciation sociale et mettons-nous le monde entier en prison ?

    Enfin, si les virus pathogènes n’existent pas, que contiennent ces dispositifs injectables appelés à tort « vaccins », et à quoi servent-ils ? Cette question scientifique est la plus urgente et la plus pertinente de notre époque.

    Nous avons raison. Le virus SRAS-CoV2 n’existe pas.

    Sally Fallon Morell, MA
    Dr. Thomas Cowan, MD
    Dr. Andrew Kaufman, MD





    Anthrax, Arsenic, Pasteur et ses moutons

    [Source : cv19.fr]

    Par Sally Fallon Morell

    L’anthrax est officiellement une infection causée par la bactérie Bacillus anthracis. Elle peut se manifester sous quatre formes : cutanée, pulmonaire, intestinale et par injection. Les symptômes commencent entre un jour et plus de deux mois après que la personne ait contracté l’infection.

    La forme cutanée se présente sous la forme d’une vésicule noire caractéristique. La forme par inhalation se manifeste par de la fièvre, des douleurs thoraciques et un essoufflement. La forme intestinale se manifeste par une diarrhée (qui peut contenir du sang), des douleurs abdominales, des nausées et des vomissements. La forme injectable se manifeste par de la fièvre et un abcès au point d’injection du médicament.

    L’HISTOIRE OFFICIELLE

    Bacillus anthracis est une bactérie anaérobie facultative en forme de bâtonnet, à Gram positif, d’une taille d’environ 1 sur 9 μm. La bactérie repose normalement sous forme de spores dans le sol et peut survivre pendant des décennies dans cet état.

    L’anthrax se propage par contact avec les spores de la bactérie. Les spores de l’anthrax apparaissent souvent dans les produits animaux infectieux. Le contact se fait par la respiration, l’alimentation ou par une zone de peau lésée. En général, l’anthrax ne se propage pas directement entre les personnes ou les animaux – en d’autres termes, il n’est pas contagieux.

    Spores de Bacillus anthracis

    Bien qu’il s’agisse d’une maladie rare, l’anthrax humain, lorsqu’il se manifeste, est plus fréquent en Afrique et en Asie centrale et méridionale. L’infection de la peau par l’anthrax est connue sous le nom de “maladie du porteur de laine”. Historiquement, l’anthrax inhalé était appelé “maladie du trieur de laine” car il s’agissait d’un risque professionnel pour les personnes qui triaient la laine. Aujourd’hui, cette forme d’infection est extrêmement rare dans les pays développés, car il ne reste pratiquement plus d’animaux infectés. En 2008, au Royaume-Uni, un fabricant de tambours qui travaillait avec des peaux d’animaux non traitées est mort de la maladie du charbon par inhalation [1].

    Bien qu’elle soit rare aujourd’hui, la maladie du charbon a posé un problème économique et sanitaire majeur en France et ailleurs au cours du XIXe siècle. Les moutons étaient particulièrement vulnérables, et des fonds nationaux ont été mis de côté pour étudier la production d’un vaccin. Louis Pasteur a consacré plusieurs années à cette quête après que Robert Koch, son rival allemand, ait revendiqué la découverte de l’agent responsable, le Bacillus anthracis. Les efforts déployés pour trouver un vaccin ont incité non seulement Pasteur mais aussi d’autres scientifiques de son époque à se lancer dans une course féroce pour la gloire et l’or.

    En 1881, Pasteur réalise une expérience publique à Pouilly-le-Fort pour démontrer son concept de vaccination. Il prépare deux groupes de vingt-cinq moutons, une chèvre et plusieurs bovins. Les animaux d’un groupe reçoivent deux injections d’un vaccin contre la maladie du charbon préparé par Pasteur, à quinze jours d’intervalle ; le groupe témoin n’est pas vacciné. Trente jours après la première injection, on a injecté aux deux groupes une culture de bactéries vivantes de la maladie du charbon. Tous les animaux du groupe non vacciné sont morts, tandis que tous les animaux du groupe vacciné ont survécu.

    L’expérience publique de Pasteur à Pouilly-le-Fort

    Ce triomphe apparent, largement rapporté dans la presse locale, nationale et internationale, a fait de Pasteur un héros national et a assuré la reconnaissance de la vaccination dans la pratique médicale.

    “Le bon Pasteur” – 1882

    C’est en tout cas l’histoire officielle. Maintenant, examinons-la de plus près.

    PUBLIC CONTRE PRIVÉ

    Les triomphes publics de Pasteur sont différents si l’on compare les articles de presse élogieux de l’époque aux carnets privés de Pasteur, analysés par Gerald L. Geison dans son livre The Private Science of Louis Pasteur [2].

    Pasteur a promu la théorie, largement contestée à l’époque, selon laquelle les microbes étaient à l’origine de la plupart des maladies, voire de toutes. La théorie des germes a permis aux scientifiques d’envisager un remède rapide à la maladie grâce à un vaccin contenant une forme affaiblie ou atténuée de la bactérie, un peu comme l’idée alors répandue qu’un peu de poison pouvait vous immuniser contre une dose plus importante.

    La lecture de ces premières tentatives de découverte d’un vaccin contre l’anthrax évoque des images de Monty Python et du ministère de la science idiote. Certains scientifiques ont tenté une “atténuation” en soumettant le microbe à un poison, le bichromate de potassium, ou à l’acide carbolique, un désinfectant. Un autre scientifique pensait pouvoir créer un vaccin atténué en chauffant le sang d’animaux infectés et en l’injectant à des animaux non infectés. Certains préféraient faire bouillir la bactérie dans du bouillon de volaille, d’autres dans de l’urine. Un collègue de Pasteur a essayé d’”affaiblir” des cultures d’anthrax en les exposant à des vapeurs d’essence. Pasteur a tenté de détruire la virulence du bacille de l’anthrax en le soumettant à de l’”oxygène atmosphérique”, c’est-à-dire de l’air en langage scientifique – toutes ces théories ont été poursuivies avec un sérieux digne de John Cleese.

    Malheureusement pour ces héros en puissance, aucune de leurs idées ne fonctionne très bien. Par exemple, lorsque le rival de Pasteur, un vétérinaire du nom de Toussaint, s’est concentré sur le sang chauffé, qui, selon lui, pouvait servir de vaccin efficace, il a constaté par la suite que les résultats étaient incohérents, allant jusqu’à tuer les animaux de laboratoire. Il a commencé à ajouter de l’acide carbolique, qui n’a pas non plus répondu aux attentes.

    Dans ses carnets, Pasteur exprime sa frustration de voir que ses propres expériences sur des lapins, des cochons d’Inde, des singes et des chiens donnent des résultats aussi peu concluants. Le vaccin magique était insaisissable et, selon Geison, Pasteur avait “une base expérimentale exceptionnellement faible pour annoncer la “découverte” d’un vaccin contre la maladie du charbon en janvier 1880″. [2] Pasteur fait une annonce similaire en février 1881 et, en mars, il fait état de résultats concluants lors de tests préliminaires sur des moutons. Comme le raconte Geison, “le ton audacieusement confiant des rapports publics de Pasteur exagérait les résultats réels de ses expériences avec le nouveau vaccin. En fait, les résultats de ses tests demeuraient décidément peu concluants”. [2]

    Lésion cutanée noire attribuée à une infection à l’anthrax

    Un autre problème rencontré par Pasteur était qu’il ne parvenait pas à rendre les animaux malades en leur injectant le microbe qu’il associait à la maladie qu’il étudiait, comme l’anthrax ou la rage. Dans le cas de l’anthrax, pour que des animaux sains tombent malades et meurent, il devait leur injecter de l’”anthrax virulent”. Pasteur rendait les microbes “pathogènes” plus virulents par ce qu’il appelait le “passage en série” de l’organisme à travers d’autres animaux. Dans le cas de l’anthrax, il utilisait des cobayes, leur injectait le micro-organisme qu’il associait à l’anthrax, puis sacrifiait l’animal et injectait son sang ou ses tissus – éventuellement mélangés à des poisons tels que l’acide carbolique ou le bichromate de potassium – à un autre animal ; ce processus était répété sur plusieurs cobayes. C’est ainsi qu’il a obtenu ce qu’il a appelé “l’anthrax virulent”.

    Pour la rage, Pasteur a pu produire les symptômes de la maladie en injectant “de la matière cérébrale. extraite d’un chien enragé dans des conditions stériles [c’est-à-dire empoisonnées], puis inoculée directement à la surface du cerveau d’un chien sain par un trou percé dans son crâne”. Ce traitement faisait parfois écumer la bouche des chiens et les faisait mourir. [2]

    Au milieu de ses expériences frustrantes sur l’anthrax, Pasteur est convaincu par l’Académie de médecine de faire la célèbre démonstration de Pouilly-le-Fort. Avec son rival Toussaint (un simple vétérinaire, même pas un vrai scientifique !) sur le dos, ses ennemis lui font signer le protocole d’une expérience qu’ils jugent impossible à réussir. Pasteur, à la consternation de ses collègues, accepte “impulsivement” le défi de Pouilly-le-Fort et signe le protocole d’expériences détaillé et astreignant le 28 avril 1881.

    UNE EXPÉRIENCE TROMPEUSE ?

    Geison insiste sur le fait que Pasteur a délibérément trompé le public sur la nature du vaccin qu’il a utilisé à Pouilly-le-Fort, bien qu’il n’y ait aucune raison particulière de le faire. Les protocoles ne spécifiaient pas le type de vaccin que Pasteur devait inoculer aux animaux. Au début de sa carrière, Pasteur était tout aussi méfiant quant aux détails de la fabrication de son vaccin contre le choléra des poules.

    Le point essentiel : contrairement à toutes ses premières expériences, les essais de Pouilly-le-Fort ont parfaitement fonctionné ! Tous les moutons vaccinés ont vécu, et tous les moutons non vaccinés sont morts. Un triomphe !

    Cependant, on est en droit de se demander si Pasteur a triché. Après tout, l’enjeu était de taille : toute sa carrière et l’avenir de la théorie des germes étaient en jeu. Les carnets de Pasteur indiquent qu’il était parfois malhonnête, voire peu recommandable. Il était également extrêmement agressif dans la défense de ses intérêts, ayant détruit plusieurs adversaires par la manipulation et une rhétorique acérée.

    La mort de tous les moutons non vaccinés est facile à expliquer. Pasteur a utilisé de l’”anthrax virulent” ; en d’autres termes, il les a empoisonnés. Qu’en est-il des moutons vaccinés – tous les moutons – qui ont survécu ? Leur a-t-il injecté de l’”anthrax virulent” ou simplement de l’anthrax, avec lequel il n’avait jamais réussi à tuer d’animaux ? Comme le diraient les Français, “Il y avait quelque chose de louche”.

    Après l’expérience, les demandes de vaccins contre l’anthrax inondent le laboratoire de Pasteur. Le laboratoire acquiert bientôt le monopole de la fabrication des vaccins commerciaux contre l’anthrax, et Pasteur poursuit agressivement les ventes à l’étranger. Au milieu des années 1880, Pasteur et son laboratoire tirent un bénéfice annuel net de 130 000 francs de la vente de vaccins contre l’anthrax. Mais Pasteur et ses assistants sont restés étonnamment réticents à divulguer tout détail sur le type de vaccin qu’ils utilisaient.

    Rapidement, des problèmes sont apparus, fournissant une autre raison de soupçonner Pasteur d’avoir triché : le vaccin contre l’anthrax n’a pas fonctionné. Dans Pasteur: Plagiarist, Imposter! l’auteur R.B. Pearson note que Pasteur a commencé à recevoir des lettres de plainte de villes de France et d’aussi loin que la Hongrie, décrivant des champs jonchés de moutons morts, vaccinés la veille. [3] Selon le gouvernement hongrois, “les pires maladies, pneumonie, fièvre catarrhale, etc. ont exclusivement frappé les animaux soumis à l’injection”. Un essai réalisé en 1882 à Turin a conclu à l’inutilité de la vaccination. Dans le sud de la Russie, les vaccins contre l’anthrax ont tué 81 % des moutons qui les avaient reçus [3].

    EMPOISONNEMENT À L’ARSENIC

    Petit à petit, l’utilisation du vaccin contre l’anthrax a diminué. … mais le plus mystérieux, c’est que l’apparition de l’anthrax a également diminué. Aujourd’hui, c’est une maladie rare. Alors, qu’est-ce qui a causé la mort de tant d’animaux, principalement des moutons, au cours du XIXe siècle, et pourquoi les moutons ne meurent-ils pas de la maladie du charbon aujourd’hui ?

    Prenons l’exemple de la solution de trempage pour moutons (une préparation liquide destinée à débarrasser les moutons des parasites). Le premier bain pour moutons au monde, inventé et produit par George Wilson de Coldstream, en Écosse, en 1830, était à base de poudre d’arsenic. L’une des marques les plus populaires était Cooper’s Dip, développée en 1852 par le vétérinaire et industriel britannique William Cooper. Le Cooper’s Dip contenait de la poudre d’arsenic et du soufre. La poudre devait être mélangée à de l’eau, si bien que les ouvriers agricoles – sans parler des moutons plongés dans la solution d’arsenic – étaient parfois empoisonnés.

    Les symptômes de l’empoisonnement à l’arsenic sont remarquablement similaires à ceux de l’”anthrax”, notamment l’apparition de lésions cutanées noires. Comme l’anthrax, l’arsenic peut empoisonner par contact avec la peau, par inhalation et par le tube digestif. Si une injection contient de l’arsenic, elle provoquera une lésion au niveau du site.

    Aujourd’hui, les bains pour moutons ne contiennent plus d’arsenic, de sorte que l’anthrax a disparu – sauf dans les pays en développement où il est encore utilisé dans des processus industriels comme le tannage – d’où le décès en 2008 du fabricant de tambours qui travaillait avec des peaux d’animaux importées [1].

    Le véritable mystère est de savoir pourquoi les scientifiques de l’époque n’ont pas fait le lien entre l’anthrax et l’arsenic. Après tout, les Français connaissaient une chose ou deux sur l’arsenic. Tous les médecins et pharmaciens stockaient de la poudre d’arsenic, et dans le roman à succès de Flaubert du milieu du siècle dernier, Madame Bovary, son héroïne se tue en avalant une poignée d’arsenic. Flaubert décrit de manière imagée les lésions noires qui marquent la belle Madame Bovary au moment de sa mort – tous les Français savaient à quoi ressemblait un empoisonnement à l’arsenic. Il semble que les scientifiques, les vétérinaires et les médecins aient été tellement éblouis par la nouvelle théorie des germes qu’ils n’ont pas pu faire le lien entre le poison et la maladie.

    Pasteur meurt en 1895 et prend immédiatement sa place en tant que premier saint de la médecine. La presse publie des gravures empestant la vieille dentelle, le montrant comme un objet d’adulation, ses flacons et ses gobelets posés sur un autel, un admirateur reconnaissant agenouillé devant eux. La science était devenue la nouvelle religion. Une description moderne appelle Pasteur “l’homme qui a sauvé des milliards de vies”.

    NOUVELLE ALERTE À L’ANTHRAX

    L’anthrax a disparu de l’esprit du public et les vaccins contre l’anthrax ont langui jusqu’aux célèbres lettres envoyées à des membres connus des médias et à deux sénateurs quelques semaines après le 11 septembre. Au moins vingt-deux personnes sont tombées malades et cinq sont décédées. [4] Les tests génétiques (et non l’isolement de la bactérie) ont révélé la présence de spores d’anthrax, mais personne n’a testé la présence d’arsenic dans les poudres.

    Les attentats ont ravivé l’intérêt pour le vaccin contre l’anthrax. Très peu utilisé pendant des décennies, le vaccin a été dépoussiéré pour être utilisé chez les personnes considérées comme étant dans une catégorie “à risque”, comme les membres de l’armée. Les soldats reçoivent le vaccin en cinq doses consécutives, avec un rappel chaque année [5].

    Même selon les sources conventionnelles, tous les vaccins contre l’anthrax actuellement utilisés provoquent des réactions, telles que des éruptions cutanées, des douleurs et de la fièvre, et des réactions indésirables graves se produisent chez environ 1 % des personnes vaccinées. [6] En 2004, une injonction légale contestant la sécurité et l’efficacité du vaccin a mis fin aux vaccinations obligatoires contre l’anthrax pour les membres de l’armée, mais après qu’un rapport de la FDA en 2005 ait affirmé que le vaccin était sûr, [7] le ministère de la Défense a rétabli les vaccinations obligatoires contre l’anthrax pour plus de deux cent mille soldats et employés du secteur de la défense. [8]

    LA SOLUTION DE LA NATURE

    Une dernière réflexion : Les scientifiques ont découvert que certaines bactéries peuvent “biorémédier” l’arsenic dans le sol. [9] Ces bactéries résistantes à l’arsenic ou accumulant l’arsenic “sont répandues dans les sols pollués et sont des candidats précieux pour la biorémédiation des écosystèmes contaminés par l’arsenic”. La nature a toujours une solution, et dans le cas de l’arsenic, la solution est constituée de certaines bactéries du sol omniprésentes. Nous devons envisager la possibilité que la bactérie “hostile” de l’anthrax, isolée pour la première fois par Robert Koch, soit en fait un organisme de remédiation utile qui apparaît sur la scène (ou dans le corps) chaque fois qu’un animal ou un humain rencontre le poison appelé arsenic.

    Par Sally Fallon Morell, auteure du best-seller de cuisine Nourishing Traditions et présidente fondatrice de la Weston A. Price Foundation.

    Cet article est paru dans Wise Traditions in Food, Farming and the Healing Arts, la revue trimestrielle de la Weston A. Price Foundation, automne 2020.

    Source : https://www.westonaprice.org/health-topics/anthrax-arsenic-and-old-lace/
    Traduction https://cv19.fr


    [Voir aussi :
    La microbiophobie ambiante est hors de contrôle ! De nouvelles perspectives sur la véritable nature des virus
    Déclaration sur l’isolement des virus
    Pasteur versus Béchamp – La crise du coronavirus relance une controverse vieille de 150 ans
    Le culte de la virologie – Documentaire
    Réfutation de la virologie par le Dr Stefan Lanka
    Stefan Lanka conduit les expériences témoins réfutant la virologie
    Virus Mania : Comment Big Pharma et les médias inventent les épidémies
    La théorie des germes : Une erreur fatale
    Virus fantôme : à la recherche du SARS-CoV-2
    Citations médicales sur les vaccinations
    Le mythe de la contagion virale — Pourquoi les virus (incluant les « coronavirus ») ne sont pas la cause des maladies
    La théorie des exosomes contre celle des virus]


    RÉFÉRENCES

    1. https://www.telegraph.co.uk/news/uknews/4942456/Drum-maker-died-from-anthrax.html.
    2. Geison GL. The Private Science of Louis Pasteur. Prince-ton University Press, 1995, pages 167-170.
    3. Pearson RB. Pasteur: Plagiarist, Imposter! The Germ Theory Exploded! Dr William von Peters, 2002.
    4. Landers J. The anthrax letters that terrorized a na­tion are now decontaminated and on public view. Smithsonian Magazine, September 12, 2016.
    5. https://www.healthline.com/health/anthrax-vaccine-side-effects#dosage.
    6. https://en.wikipedia.org/wiki/Anthrax_vaccines.
    7. Roos R. FDA seeks comments on controversial anthrax vaccine. CIDRAP, January 13, 2005.
    8. Air Force Special Operations Command. Anthrax vaccine mandatory again. https://www.afsoc.af.mil/News/Article-Display/Article/163403/anthrax-vaccine-mandatory-again/.
    9. Ghodsi H, Hoodaji M, Tahmourespour A, Gheisar MM. Investigation of bioremediation of arsenic by bacteria isolated from contaminated soil. African Journal of Microbiology Research. 2012;5(32):5889-5895.



    Covid-19, vaccins expérimentaux, stratégie vaccinale : entretien avec Christian Vélot

    [Source : mediapart.fr]

    1) Bonjour Christian Vélot, pouvez-vous vous présenter rapidement pour mes lecteurs ? Quelle est votre formation, votre statut professionnel et votre domaine de compétence scientifique ? Avez-vous par ailleurs des conflits d’intérêts quels qu’ils soient ?

    C.V. — Titulaire d’un doctorat de Sciences biologiques et médicales, je suis maître de conférences à l’Université Paris-Saclay, et plus précisément sur le centre scientifique d’Orsay où je dirige une équipe de recherche. Mon domaine de compétence est celui de la génétique moléculaire, et donc des biotechnologies et de leurs produits. C’est à ce titre que je m’intéresse notamment aux vaccins, et en particulier aux vaccins de dernière génération, dits vaccins génétiques, qui sont issus des biotechnologies. Je n’ai aucun conflit d’intérêt.

    2) Vous êtes également président du Conseil scientifique du Comité de Recherche et d’Information Indépendantes sur le Génie génétique (CRIIGEN), dans lequel j’ai retrouvé aussi plusieurs personnalités bien connues du monde de la recherche scientifique et de la réflexion sur l’éthique dans les sciences de la vie, telles que Jacques Testart (directeur de recherche honoraire à l’INSERM) et Pierre-Henri Gouyon (professeur de biologie au Muséum National d’Histoire Naturelle, signataire de ma tribune collective de septembre 2020 intitulée « Nous ne voulons plus être gouvernés par la peur »). Il s’agit d’une association créée en 1999 et qui s’est faite connaître notamment dans sa critique des produits du génie génétique (OGM) et des substances qui leurs sont liées telles que les pesticides et les perturbateurs endocriniens, eu égard aux effets de ces techniques sur la santé, en particulier le développement de certaines maladies chroniques que vous considérez être de véritables pathologies environnementales. Pouvez-vous nous en dire un peu plus sur ces techniques, ces pathologies et leurs évolutions ?

    C.V. — Les OGM agricoles sont, dans leur très grande majorité, conçus pour accumuler un ou plusieurs pesticide(s) dans leurs cellules. Il s’agit soit de plantes génétiquement modifiées pour produire un ou plusieurs insecticide(s) afin de lutter contre un ou des insecte(s) dont elles sont la cible, soit des plantes dont la modification génétique leur permet de tolérer un ou plusieurs herbicide(s), soit encore des plantes qui cumulent les deux propriétés. Ces plantes accumulent donc un ou plusieurs insecticide(s) qu’elles produisent, ou un ou plusieurs herbicide(s) qu’elles absorbent sans en mourir, lesquels vont alors se retrouver dans la chaine alimentaire. S’intéresser à la question des OGM agricoles et notamment à leur sécurité sanitaire et environnementale implique donc de s’intéresser de près à celle des pesticides. Or la plupart des pesticides sont des agents cancérigènes/mutagènes/reprotoxiques (CMR), ou des perturbateurs endocriniens (PE), responsables de nombreuses maladies dites chroniques ou environnementales qui ont explosé à travers le monde ces dernières décennies : cancers, maladies cardiovasculaires, troubles neuro-développementaux, obésité, diabète de type 2…

    3) Les vaccins contre la Covid-19 qui sont commercialisés partout dans le monde depuis plusieurs mois utilisent pour beaucoup d’entre eux ces techniques de génie génétique et ne correspondent plus au principe des vaccins qu’on dira alors « classiques », les vaccins à virus inactivés que nous avons tous connus depuis notre enfance, ceux de Pasteur en quelque sorte. Pouvez-vous nous expliquer de quoi il s’agit et les différences entre ces multiples vaccins ?

    C.V. — Permettez-moi tout d’abord de repréciser ce que sont les virus. Il s’agit d’agents infectieux comprenant une coque protéique appelée capside, constituée de la juxtaposition d’un grand nombre d’exemplaires d’une protéine virale (la protéine de la capside), et renfermant le matériel génétique du virus qui est soit de l’ADN soit de l’ARN (pour les notions d’ADN, ARN et protéine, voir la Figure 1 de ce texte). De nombreux virus sont en plus entourés d’une enveloppe qui est constituée d’une bicouche de graisse (lipides) dans laquelle sont enchâssés plusieurs exemplaires d’une autre protéine : la protéine de surface du virus (voir la Figure 2 de ce texte). Les virus possédant une enveloppe sont appelés des virus enveloppés ; ceux n’en possédant pas sont les virus nus. Le virus SARS-CoV-2, responsable de la Covid-19, est un virus enveloppé dont le matériel génétique est de l’ARN. Sa protéine de surface (enchâssée dans son enveloppe) est la fameuse protéine « Spike ».

    Les vaccins actuellement disponibles dans le monde, ou sur le point de l’être, pour lutter contre la Covid-19 peuvent se classer en trois catégories : les vaccins inactivés, les vaccins à protéine recombinante et les vaccins génétiques.

    Les vaccins inactivés consistent à injecter le virus entier mais préalablement inactivé (par la chaleur ou par un traitement chimique au formaldéhyde). C’est le cas par exemple des vaccins chinois Sinopharm et Sinovac, mais également du vaccin développé par l’entreprise de biotechnologies française Valneva.

    Les vaccins dits « à protéine recombinante » consistent à injecter non pas le virus entier mais une protéine du virus (en général sa protéine de surface), laquelle a alors été produite en laboratoire par des cellules cultivées à grande échelle et dans lesquelles a été préalablement introduit le gène viral détenant le secret de fabrication de cette protéine. Ces cellules prennent alors le gène viral à leur propre compte, le décodent et fabriquent la protéine virale (l’antigène) qui est ensuite purifiée, associée à divers adjuvants puis injectée aux personnes à vacciner. La protéine virale en question est qualifiée de « protéine recombinante » car elle est produite par des cellules qui ne sont pas celles qui la fabriquent naturellement. C’est le cas du vaccin développé par l’entreprise américaine Novavax et qui consiste donc à injecter la protéine Spike du virus Sars-Cov2 responsable de la Covid-19. C’est aussi le cas du vaccin cubain (Soberna02), et des candidats vaccins développés par l’entreprise américaine United Biomedical-COVAXX (UB-612) et par l’entreprise française Ose Immunotherapeutics (CoVepiT) mais sous des déclinaisons différentes :  dans ces trois derniers cas, ce qui est produit et injecté (ou destiné à l’être) n’est pas la protéine Spike entière mais seulement un ou plusieurs fragments de cette protéine éventuellement fusionné(s) à une autre protéine (ou des fragments d’autres protéines) servant en quelque sorte de « présentoir » du ou des antigène(s) de Sars-Cov2.

    Enfin, les vaccins génétiques consistent à injecter non plus le virus entier ou tout ou partie d’une protéine du virus, mais une partie de son matériel génétique détenant le secret de fabrication de la protéine de surface. Dans le cas de Sars-Cov2, il s’agit donc soit de la portion de l’ARN viral codant la protéine Spike et emprisonnée dans une nanoparticule de graisse, soit d’une copie ADN de cette portion d’ARN viral, insérée dans l’ADN d’un autre virus (adénovirus) utilisé comme « véhicule » (vecteur) pour délivrer ce matériel génétique dans les cellules de la personne à vacciner. Le virus vecteur est donc un virus génétiquement modifié qui a été rendu inoffensif (on dit qu’il a été « désarmé ») par suppression d’une partie de son propre matériel génétique (ADN), laquelle a été remplacée par la copie ADN de l’ARN viral de Sars-Cov2 codant Spike. Le principe de ces vaccins génétiques est donc de faire fabriquer l’antigène (ici la protéine Spike) directement par nos propres cellules. C’est bien sûr le cas des vaccins de Pfizer-BioNTech ou Moderna (vaccins à ARN emprisonné dans une nanoparticule de graisse) et des vaccins d’AstraZeneca ou Johnson & Johnson (vaccins à ADN utilisant un adénovirus comme vecteur).

    4) En décembre 2020, vous avez rédigé un rapport d’expertise sur les vaccins ayant recours aux technologies OGM (https://criigen.org/rapport-dexpertise-sur-les-vaccins-genetiquement-modifie/), qui a donné lieu à une polémique avec Alain Fischer, professeur de médecine au Collège de France et placé par le gouvernement à la tête d’un « Conseil d’orientation de la stratégie vaccinale » le 3 décembre. Pouvez-vous nous expliquer les enjeux et le contenu de cette polémique de votre point de vue ?

    C.V. — Dans mon rapport d’expertise, j’insiste sur un risque particulier lié aux vaccins génétiques (à ARN ou à ADN) : celui de favoriser l’apparition de virus recombinants. De quoi s’agit-il ? Les virus ont une grande capacité à échanger des fragments de leur matériel génétique respectif dès lors que les génomes viraux concernés sont de même nature (soit ADN, soit ARN) et cohabitent dans des mêmes cellules. Ce phénomène est encore plus marqué si les deux génomes viraux en question partagent des séquences (des gènes) qui se ressemblent. Le processus bien connu qui régit ces échanges s’appelle la recombinaison (et lorsque cette recombinaison a lieu entre séquences d’ADN ou d’ARN qui se ressemblent, on parle de recombinaison homologue). Ce phénomène de recombinaison n’est pas réservé à l’ADN ou l’ARN viral mais les séquences virales sont connues pour faire l’objet de nombreuses recombinaisons (on dit qu’elles sont très « recombinogènes »). Il résulte de ces échanges entre matériels génétiques viraux, des virus dits « recombinants », c’est-à-dire dont le génome est constitué de segments provenant des deux virus parentaux (voir la Figure 3 de ce texte).

    Bien sûr, ce phénomène ne peut se produire que si du matériel génétique provenant d’au moins deux virus se retrouve dans les mêmes cellules, ce qui est fort heureusement extrêmement rare dans la nature puisque cela implique que des mêmes cellules soient co-infectées par au moins deux virus. Mais dès lors qu’on introduit volontairement et chez un très grand nombre d’individus du matériel génétique viral — ici à des fins de vaccination —, il suffit chez ces personnes d’une infection par un seul virus pour que de tels échanges (entre le génome du virus infectant et le matériel génétique vaccinal) se produisent et puissent ainsi donner lieu à des virus recombinants.

    Or dans ses réponses à cette note d’expertise, M. Fischer réfute ce risque au prétexte que « l’ARN viral ne peut-être converti en ADN ». Outre le fait que cette allégation est totalement gratuite car il n’est pas du tout exclu que, dans certaines conditions, l’ARN viral de Sars-Cov2 puisse être converti en ADN au sein de nos cellules comme cela a été montré sur des cellules humaines en culture (Zhang et al, 2021), il est absolument impensable que M. Fischer puisse ainsi laisser croire que des évènements de recombinaison entre ARN viraux nécessiteraient une conversion préalable de ceux-ci en ADN. La recombinaison virale existe aussi bien entre ADN viraux d’une part qu’entre ARN viraux d’autre part. Et dans ce dernier cas, cela ne nécessite nullement une conversion de l’ARN viral en ADN. Les ARN viraux recombinent directement. Cela a été montré depuis fort longtemps déjà (à partir des années 60) avec le virus de la polio (Ledinko, 1963 ; Cooper, 1968 ; Cooper et al, 1974), les aphtovirus (McCahon et al, 1977 ; McCahon, 1981 ; King et al, 1982), les virus de la maladie de Newcastle et de la grippe (Hirst, 1962), ainsi que les coronavirus (Makino et a, 1986 ; Baric et al, 1990) qui sont d’ailleurs les champions de la recombinaison virale puisque leur taux de recombinaison (dès lors que deux génomes de coronavirus sont en contact) peut aller au delà de 10% (Makino et al, 1986 ; Baric et al, 1990) alors qu’il est en général, pour les autres virus à ARN, de l’ordre de 0,1 à 2% (Lai, 1992).

    De plus, les coronavirus sont capables de recombiner avec des virus à ARN d’une autre famille : des évènements de recombinaison ont en effet pu être mis en évidence entre, d’une part, un virus de la grippe et, d’autre part, des coronavirus bovins, murins et un coronavirus humain (Luytjes et al, 1988).

    Par ailleurs M. Fischer affirme que « de tels recombinants n’ont jamais été observés avec les vaccins vivants atténués qui délivrent pourtant leur matériel génétique dans les cellules qu’ils infectent ». Les vaccins vivants atténués (qui ne figurent pas parmi les vaccins ou candidats vaccins contre la Covid-19) consistent à injecter le virus entier, non pas inactivé mais affaibli. D’une part, il y a peu de vaccins vivants atténués (ce sont surtout des vaccins inactivés), et ils n’ont jamais été utilisés à une échelle aussi grande qu’est ou sera celle de la vaccination contre la Covid-19.  D’autre part, j’ai le regret d’apprendre au Pr. Fischer qu’une étude publiée en avril 2020 révèle l’apparition d’un virus recombinant (à ARN) de la bursite infectieuse chez le poulet entre une souche infectieuse naturelle et une souche vaccinale atténuée (Wu et al-2020).

    Soit M. Fischer ignore tout cela et c’est grave, soit il ment délibérément et c’est… grave.

    5) Les vaccins ont deux fonctions potentielles, l’une individuelle (protéger l’individu contre le risque de maladie au cas où il serait contaminé par le virus), l’autre collective (contribuer à la formation d’une immunité collective, ce que le gouvernement présente comme la clef exclusive pour sortir des mesures restrictives de libertés). Commençons par la première, qui pose elle-même plusieurs questions. J’en vois au moins quatre. La première est : quelle est selon vous la nature et le degré de protection individuelle que procurent ces nouveaux vaccins face au risque de développer une maladie après contamination ? Les publications préparées par les industriels pharmaceutiques qui commercialisent ces vaccins parlent de 70 à 90%, voire 95% d’efficacité contre le risque de maladie plus ou moins grave. Est-ce la réalité ou du marketing ?

    C.V. — Concernant l’efficacité des vaccins, il faut bien savoir de quoi on parle. D’abord, efficacité contre quoi : forme grave, toutes les formes, contamination ? C’est le plus souvent le flou le plus complet. Pour mesurer directement l’efficacité d’un vaccin anti-Covid, il faudrait inoculer volontairement le virus à un échantillon de personnes, ce qui est bien évidemment totalement exclu pour des raisons éthiques alors qu’il n’existe pas de traitement curatif de la maladie. Ce que mesure l’efficacité d’un vaccin, ce n’est donc pas le risque de développer la maladie ou une de ses formes graves. Dire qu’un vaccin est efficace (par exemple vis-à-vis des formes graves) à 90% ne signifie pas que la population vaccinée est protégée à 90%. Cela ne signifie pas non plus que 90% des personnes vaccinées sont protégées. Ce que mesure l’efficacité annoncée du vaccin, c’est en fait la réduction du risque de développer la maladie en étant vacciné par rapport à la population non vaccinée. Imaginons par exemple que la probabilité de développer une forme grave dans la population non vaccinée soit de 1 pour 1000, alors elle serait de 1 pour 10 000 parmi la population vaccinée (avec un vaccin dont l’efficacité est de 90%). Autrement dit, un vaccin efficace à 90% diminue par 10 la probabilité d’être malade par rapport à la population non vaccinée. Notons enfin que le calcul de l’efficacité d’un vaccin devrait toujours être accompagné de la donnée d’un intervalle de confiance de cette valeur.

    Enfin, se pose la question des protocoles ayant permis d’établir ces valeurs d’efficacité annoncées, et notamment des populations concernées. S’agit-il de personnes en bonne santé, de personnes présentant des comorbidités, de jeunes, de personnes âgées, ou d’une moyenne des efficacités sur l’ensemble de ces populations ? On nous gargarise avec des chiffres sans nous apporter la moindre explication et en comptant sur l’imaginaire collectif pour une surinterprétation positive de leur signification.

    6) La seconde question concerne à mon sens les populations-cibles de la vaccination et les risques d’effets secondaires. Est-il raisonnable de vacciner toute la population ? N’y a-t-il pas des risques particuliers d’effets secondaires majeurs pour certaines personnes immunodéprimées, cardiques ou encore pour les femmes enceintes ? Quelle est la nature et l’ampleur de ces effets secondaires à votre connaissance ? Pensez-vous qu’ils sont correctement comptabilisés par les centres de pharmacovigilance ?

    C.V. — Cette question fait le lien avec celle des protocoles soulignés ci-dessus : quelles sont les populations qui ont été testées dans le cadre de la phase III des essais cliniques ? Étant donné que la durée de cette phase III avant l’autorisation provisoire de mise sur le marché est extrêmement courte, on ne peut compter que sur les données émanant de l’essai grandeur nature que représente la phase de vaccination elle-même. Cela soulève donc la problématique du suivi post-vaccinal. Or, force est de constater que nous ne disposons pas de registres permettant d’assurer ce suivi de façon précise, et population par population (sexe, âge, indice de masse corporelle, comorbidités ou non, personnes allergiques, personnes immunodéprimées, femmes enceintes, etc.). Cela supposerait de devoir remplir un questionnaire très détaillé avant la vaccination, en particulier dans les « vaccinodromes » où les patients sont inconnus des personnels de santé effectuant cette vaccination. Au CRIIGEN, nous sommes particulièrement sensibles à cette question de registres que nous réclamons depuis longtemps pour pouvoir établir, par exemple, d’éventuelles corrélations, région par région, entre l’utilisation de certains pesticides et l’émergence de tel ou tel type de cancers ou autres maladies chroniques. Certes, les corrélations ne sont jamais des preuves mais constituent des pistes qui peuvent alors être creusées afin d’établir la réalité ou non du lien.

    Et dans le cas des vaccins anti-Covid-19, la difficulté de cette absence de registre est encore aggravée par le fait que beaucoup de personnes ayant reçu une première injection du vaccin d’AstraZeneca exigent un autre vaccin pour la seconde injection en raison d’importants effets secondaires. Cela complique encore considérablement le suivi. Si on ne peut pas en vouloir aux personnes en question, cela montre une fois de plus qu’on est allé trop vite en autorisant un vaccin sans en apprécier l’ampleur des effets secondaires, au point de ne pas anticiper le refus par les patients de la seconde dose.

    7) La troisième question est à mon sens celle de la contagiosité. Après l’argument de la protection individuelle contre le risque de maladie, l’argument central de la vaccination générale est celui au terme duquel il faut se vacciner pour protéger également les autres. Alors, être vacciné empêche-t-il de transmettre le virus lorsqu’on l’a attrapé ? L’IHU de Marseille a déjà signalé que ce n’était pas le cas et qu’ils avaient bien des patients vaccinés qui font ensuite des formes plus ou moins graves de Covid. Qu’en pensez-vous ?

    C.V. — De toute évidence, la vaccination qui nous est proposée n’empêche pas la transmission. Non seulement des personnes vaccinées développent la Covid comme cela a effectivement été rapporté par l’IHU, mais l’OMS elle-même recommande que les personnes vaccinées continuent à porter le masque et à appliquer les gestes barrière. Cela signifie que le groupe des vaccinés et le groupe des contaminés se chevauchent, ce qui augmente encore plus le risque de recombinaison virale (entre le virus infectant et le matériel génétique vaccinal) mentionné précédemment.

    Par ailleurs, 80% des personnes porteuses du virus étant asymptomatiques, il serait important, afin de limiter ce chevauchement entre contaminés et vaccinés, de faire une détection systématique avant vaccination, ce qui n’est pas le cas. Il serait pourtant facile de mettre ce système en place, notamment dans les « vaccinodromes » avec d’abord un poste de détection rapide (tests antigéniques) puis un poste de vaccination pour celles et ceux qui s’avèrent être négatifs au premier poste.

    8) La quatrième question est celle des effets de la vaccination sur la vie des virus. Nous savons que les coronavirus sont des virus qui ont la propriété de pouvoir se recombiner facilement et de créer des variants ou des mutants. L’IHU de Marseille est le premier à en avoir parlé en France, dès la fin de l’été 2020, et à suivre de très près l’évolution de ces variants ou mutants. Mais la vaccination a-t-elle aussi des conséquences sur ces évolutions ?

    C.V. — Tout d’abord, permettez-moi une petite clarification : tous les mutants sont des variants mais tous les variants ne sont pas des mutants. Pour « varier », et ainsi échapper au système immunitaire, un virus a deux solutions : muter ou recombiner (l’une n’étant d’ailleurs pas exclusive de l’autre).

    Les mutations se produisent au moment de la réplication (recopie) du matériel génétique viral à l’intérieur des cellules infectées. L’enzyme en charge de cette réplication est fournie par le virus et commet un certain nombre d’erreurs (mutations), surtout lorsque le matériel génétique viral est de l’ARN. L’ARN est constitué de l’enchainement de 4 molécules que l’on désigne par leurs initiales respectives, à savoir quatre lettres : A, G, C, U. Il arrive que l’enzyme en charge de la réplication du génome viral mette un G à la place d’un A, un C à la place d’un U, etc. Les variants qui en résultent sont alors des mutants.

    L’autre possibilité, pour un virus, de varier est la recombinaison comme expliqué dans ma réponse à la question 4. Les variants qui en résultent sont alors des recombinants.

    Si les mutations ou les évènements de recombinaison ont lieu dans la séquence qui code la protéine Spike, cette protéine sera alors modifiée et pourra, le cas échéant, ne plus être reconnue par les anticorps dirigés contre la protéine d’origine. On parle d’échappement immunitaire.

    Contrairement à ce qu’on entend très souvent, les coronavirus mutent peu par rapport à d’autres virus à ARN, et ceci malgré le fait que le génome des coronavirus est plus grand que celui des autres virus à ARN. A titre d’exemples, le génome du VIH (virus du sida) est constitué de 10 000 lettres (A, G, C, U) ; celui de la grippe : 13 500 ; le virus Ebola : 19 000 ; et les coronavirus : 31 000 lettres. En théorie, plus le génome est grand, plus la probabilité de faire des erreurs lors de la recopie est élevée. Les coronavirus échappent à cette règle car l’enzyme responsable de la réplication de leur génome est dotée d’un système de détection et de correction des erreurs. Cela ne veut pas dire qu’ils ne mutent pas (ce système de détection et de correction n’est pas efficace à 100 %), mais ils mutent peu. En revanche, comme cela a déjà été mentionné en réponse à la question 4, les coronavirus sont les champions de la recombinaison, et c’est le principal mécanisme qui leur permet d’échapper au système immunitaire.

    Et comme expliqué précédemment, la vaccination génétique n’est pas neutre sur la capacité de Sars-Cov2 à varier puisque les vaccins génétiques font courir le risque d’augmenter l’apparition de variants par recombinaison (entre le matériel génétique vaccinal et le génome d’un virus infectant). Et cela est vrai pour tous les vaccins génétiques, qu’ils soient à ARN ou à ADN. Dans le cas des vaccins tels que celui d’AstraZeneca utilisant un virus à ADN pour délivrer le matériel génétique vaccinal, celui-ci sera, une fois dans la cellule, converti en ARN (codant la protéine Spike), lequel pourrait bien sûr recombiner avec un virus infectant à ARN de la même manière que quand le matériel génétique vaccinal est directement de l’ARN.

    De plus, dans le cas des coronavirus au moins, il s’avère que le mécanisme de recombinaison passe par des portions d’ARN correspondant à une réplication partielle d’un virus parental (Makino et al, 1986). Avec l’ARN vaccinal, on fournit directement une portion d’ARN viral, ce qui représente donc un facteur de facilitation pour ces évènements de recombinaison. Par ailleurs, la recombinaison entre un virus infectant et un fragment seulement du matériel génétique d’un virus apparenté a largement été observée chez les plantes transgéniques dans lesquelles a été volontairement introduit un gène viral, et infectées par un virus apparenté (Lommel and Xiong, 1991 ; Gal et al, 1992 ; Green and Allison, 1994 ; Wintermantel and Schoelz ; 1996 ; Frischmuth and Stanley, 1998 ; Borja et al, 1999 ; Adair and Kearney, 2000 ; Varrelmann et al, 2000 ; Latham and Steinbrecher, 2004).

    9) Se pose enfin la question de la stratégie de l’immunité collective. Vous expliquez dans votre dernière vidéo que la vaccination générale en période de pandémie est une erreur stratégique majeure. Pourquoi ? Est-il par ailleurs utile et raisonnable de vacciner massivement les enfants au regard des quatre points que nous venons d’évoquer ?

    C.V. — En période de pandémie, par définition, le virus circule. Il y a donc émergence de variants (qu’il s’agisse, de manière générale, de mutants ou de recombinants). Si ceux-ci sont moins virulents que la souche d’origine et tout aussi bien neutralisés par les anticorps, tout va bien. Mais si ces variants échappent à l’immunité acquise (naturelle ou vaccinale) contre la souche d’origine, ils vont pouvoir proliférer et d’autant plus que la souche d’origine est freinée par la vaccination de masse. Le variant a alors la voie libre car la souche d’origine ne peut rentrer en compétition avec lui. Autrement dit, en vaccinant massivement en période de pandémie, on crée une pression de sélection en faveur des variants. En quelque sorte, on crée avec la vaccination de masse vis-à-vis des variants la même situation qu’avec l’utilisation intempestive d’antibiotiques vis-à-vis des bactéries résistantes aux antibiotiques : celles-ci ont la voie libre car toutes les bactéries sensibles sont décimées et ne peuvent donc plus « occuper le terrain » et limiter la prolifération des résistantes.

    Par conséquent, en admettant que les vaccins soient sûrs et efficaces, il faut bien sûr vacciner mais seulement une frange de la population (les plus vulnérables vis-à-vis du virus), et surtout pas ceux qui permettent au virus d’origine de circuler sans en être victimes. Or cette population existe — et c’est une aubaine — : ce sont les jeunes. Il est donc stupide de vouloir vacciner les populations non sensibles, et notamment les jeunes, au prétexte que des variants circulent. Il faut faire exactement le contraire. Cela ne veut pas dire qu’il ne faudra jamais les vacciner, mais pas avant que nous soyons définitivement sortis de la pandémie.

    C’est la raison pour laquelle, au lieu d’assister à une véritable compétition puérile entre les pays pour savoir qui aura vacciné le plus en un minimum de temps, la vaccination devrait être coordonnée à l’échelle mondiale en définissant, pays par pays, région par région, des pourcentages de personnes à vacciner. Mais pour cela, il faudrait disposer d’une structure qui pourrait, par exemple, s’appeler « Organisation Mondiale de la Santé »…

    10) Lorsque l’on met en garde contre le marketing des industriels, en rappelant que leur objectif premier est de gagner un maximum d’argent, on est rapidement taxé de complotisme. La question me semble pourtant majeure. Comment décririez-vous le poids, l’influence et les stratégies de ces industries sur les gouvernements et sur l’OMS aujourd’hui ?

    C.V. — Il s’agit de stratégies extrêmement agressives, subies par l’OMS et les états, et dictées par les profits et des visions à court terme. Or le temps que demande la sécurité sanitaire et environnementale est incompatible avec l’urgence des brevets et des profits. C’est vrai dans le domaine des vaccins, c’est vrai également dans celui des OGM, des pesticides et autres perturbateurs endocriniens.

    Si leur objectif premier n’était pas le profit, ils auraient renoncé aux brevets et les vaccins seraient, comme ils le devraient, des biens communs. Si dire cela relève du complotisme, alors disons que les industriels qui produisent les vaccins sont des philanthropes…

    11) Dans le même ordre d’idées, à votre connaissance, quels sont les liens entre les industries de la génétique, de la recherche sur les OGM (ou leurs nouveaux noms) et l’industrie pharmaceutique ?

    C.V. — Ce sont les mêmes. Je me souviens avoir vu un documentaire (dont j’ai malheureusement oublié le titre) où l’on nous montrait, entre autres, un ouvrier victime dans son entreprise d’une intoxication avec un produit de chez Bayer. Un peu plus tard, on le retrouve dans son lit d’hôpital avec une poche de perfusion étiquetée « Bayer »…  Encore du complotisme ?

    12) Finalement, on comprend que le projet de vaccination générale présenté comme la solution miracle, ce qui allait nous sauver du danger et nous permettre de « retrouver une vie normale », constitue une idéologie simpliste voire dangereuse. Plusieurs maladies classiques et majeures comme le Sida, le paludisme et la tuberculose n’ont jamais trouvé de vaccin. Que pensez-vous des mesures thérapeutiques alternatives, en particulier les traitements précoces ?

    C.V. — On ne peut effectivement que déplorer cette politique qui consiste à mettre tous les œufs dans le même panier, celui des vaccins. Bien sûr que les vaccins peuvent s’avérer être une solution et il ne faut pas le négliger. Mais le problème est que c’est exclusif et au détriment de toute autre stratégie. C’est là encore une erreur ! Si, pour le VIH par exemple, on avait tout misé sur le vaccin, on ne disposerait pas aujourd’hui de la trithérapie qui a largement fait ses preuves.

    Face à une telle situation, il ne faut rien négliger et ne se fermer aucune porte. On ne peut que s’interroger face à l’attitude qui a consisté à balayer d’un revers de main les pistes basées sur des molécules connues depuis longtemps telles que l’hydroxychloroquine couplée à l’azythromycine, ou l’ivermectine. On voit bien là qu’il s’agit de choix et décisions bien plus politiques et économiques que sanitaires : des molécules connues et administrées depuis 50 ans deviennent tout d’un coup dangereuse et des vaccins pour lesquels on a aucun recul sont sûrs et sans risque. Sur quelle rationalité scientifique reposent ces choix ? D’autres pistes semblent également totalement ignorées telles que, par exemple, celle du BHT (butylated hydroxytoluene), molécule dont l’efficacité d’inactivation des virus enveloppés est connue depuis longtemps et a fait notamment l’objet d’une publication dans la fameuse revue Science (Snipes et al, 1975).

    Les États ont débloqué d’importantes sommes pour les laboratoires travaillant à la mise au point de vaccins au détriment des laboratoires explorant des thérapies (préventives ou curatives) alternatives.

    13) Lorsque l’on étudie la mortalité liée à la Covid, on comprend rapidement que ce n’est pas du tout une menace pour l’humanité entière comme le prétendait le directeur général de l’OMS au début de la pandémie, ce qui a effrayé le monde entier. En réalité, la Covid ne tue essentiellement que des personnes extrêmement âgées et/ou des personnes déjà très malades pour d’autres raisons telles que des cancers ou des diabètes et de l’hypertension liées à l’obésité. Cela ne nous ramène-t-il pas à votre point de départ au CRIIGEN ? C’est-à-dire que cette mortalité, qui concerne tout particulièrement les pays occidentaux les plus riches de la planète, n’est pas en fin de compte directement liée voire caractéristique de notre mode de vie ?

    C.V. — Dès 2008, l’OMS alertait sur les maladies chroniques qui étaient alors (et ça ne s’est pas arrangé depuis) responsables de 63% des décès dans le monde, soit 36 millions de morts, dont 29% avaient moins de 60 ans. Imaginez un instant si M. Salomon venait tous les soirs nous faire le bilan des morts de maladies chroniques, les chiffres annoncés seraient sans aucune commune mesure avec ceux qui nous ont été annoncés quotidiennement dans le cadre de la Covid-19. Il ne s’agit pas là pour moi d’opposer des morts à d’autres, mais force est de constater que, pour nos instances, tous les morts n’ont pas la même valeur. Et pourtant, Covid-19 et maladies chroniques ne sont pas déconnectées : si toutes les personnes atteintes de maladie chroniques ne sont pas victimes de la Covid-19, la plupart des victimes de la Covid-19 sont elles atteintes de maladies chroniques. En d’autres termes, le virus Sars-Cov2 n’est pas un virus tueur : il porte l’estocade finale à des personnes déjà fragilisées car atteintes de pathologies chroniques : les fameuses « comorbidités »…

    Il est donc urgent de s’attaquer de près aux causes des maladies chroniques dont nous savons qu’elles ne sont ni génétiques ni infectieuses. Il n’y a en effet aucune loi de la génétique classique qui permette de rendre compte d’une telle explosion sur des temps aussi courts (à travers un nombre très faible de générations), tout comme il est clair que dans la grande majorité des cas, ces pathologies ne sont pas dues à un agent infectieux (virus ou bactérie). Non, nous le savons, la cause est environnementale : cette recrudescence de maladies chroniques s’explique notamment pas les nombreuses pollutions chimiques, et en particulier les pesticides et autre perturbateurs endocriniens omniprésents dans l’air qu’on respire, dans notre habitation, dans notre alimentation. La Covid-19 n’est que le révélateur de cette autre pandémie silencieuse contre laquelle aucune disposition forte n’est pourtant prise, ni à l’échelle nationale, ni à l’échelle mondiale.

    Se prémunir de la Covid-19 aujourd’hui ou d’une autre maladie infectieuse demain passe par la lutte contre les pollutions chimiques. Or, c’est malheureusement toute la stratégie contraire à laquelle nous assistons. Nous étions déjà (dans le « monde d’avant ») obsédés par l’hygiène pasteurienne, au détriment de l’hygiène chimique. Cet épisode de la Covid-19 n’aura fait que décupler l’obsession du postillon et de la poignée de porte et nous désintéresser encore un peu plus de tous les poisons qui nous entourent. Mieux, cette pandémie est un prétexte et la porte ouverte à de plus grandes contaminations chimiques : on désinfecte à tout va, les tables, les sièges, les plans de travail, les portes, les rues et même les plages (!!) sans se préoccuper de la composition des produits utilisés et de leur dissémination dans nos intérieurs et dans l’environnement.

    Vouloir résoudre la question de la Covid-19 sans s’attaquer à ce problème de santé globale n’est que vernis sur des ongles sales. Aujourd’hui, c’est la Covid-19, demain ce sera une autre maladie virale ou bactérienne mais les victimes seront toujours les mêmes : celles des maladies environnementales.

    On nous a souvent parlé à propos de la Covid-19 du « monde d’après ». Or force est de constater qu’on ne tire aucune leçon de cet épisode. Oui, Il y aura bien un « monde d’après » : il sera pour l’essentiel comme le « monde d’avant », mais après… et pire !

    14) Votre analyse critique est aujourd’hui presque inaudible dans le débat public. Vos vidéos YouTube ont été victimes de censure. Vous êtes quasiment absent dans l’ensemble des médias, ce qui n’a pas toujours été le cas. Je présume que d’aucuns n’ont pas tardé à vous cataloguer en « complotiste » afin de mieux écarter vos arguments (c’est l’argument favori des défenseurs de la doxa). Pouvez-vous nous raconter un peu ce mépris et cette censure tels que vous les avez vécus ces derniers mois ?

    C.V. — J’ai déjà connu la censure, en particulier dans le monde scientifique, notamment autour de la question des OGM. Mais je dois avouer que, là, ça dépasse l’entendement. Que l’on ne soit pas d’accord en science, ce n’est pas grave et c’est même sain. La contradiction est ce qui fait respirer la démocratie, et on en a besoin en science comme ailleurs. On devrait pouvoir se mettre autour de la table et discuter, sans invectives, et prendre en considération tous les avis. En science c’est la culture du dissensus qui doit prévaloir, et non la recherche du consensus à tout prix. L’histoire des sciences nous a souvent montré qu’être seul à défendre une thèse n’est pas synonyme d’avoir tort. Le seul tort de ces scientifiques souvent isolés est d’avoir eu raison trop tôt. Mais là encore, on en tire aucune leçon. Et face au manque d’arguments à opposer, on a recours à l’éviction, à la censure, orchestrée ou relayée par l’essentiel des médias qui n’hésitent pas à déformer les propos desdits scientifiques ou médecins afin qu’on puisse aisément leur coller l’étiquette d’antivax ou de complotistes.

    Par exemple, dans un article de l’Express du 6 janvier dernier intitulé « Vaccins modifiant notre génome, itinéraire d’une fake news », les deux auteurs me font dire que « l’ARN des vaccins de Pfizer-BioNTech ou Moderna pourrait s’insérer dans notre génome et nous transformer en OGM »Or c’est un mensonge, je n’ai jamais dit que l’ARN pouvait s’intégrer dans l’ADN et donc dans nos chromosomes : je dis même clairement, tant dans ma note d’expertise que dans la vidéo didactique que j’ai faite en décembre 2020, que ce n’est pas possible (sauf, éventuellement, s’il était préalablement converti en ADN, comme mentionné en réponse à la question 4). Quant au lien avec les OGM, c’est également une totale déformation de mes propos. Ma note d’expertise s’intitule « Note d’expertise grand public sur les vaccins ayant recours aux technologies OGM », ce qui n’a évidemment rien à voir avec le fait de nous transformer en OGM. Les vaccins génétiques à ARN (Pfizer-BioNtech et Moderna) ou à ADN (AstraZeneca, Sputnik V, ou Johnson& Johnson) sont effectivement des vaccins s’appuyant sur les biotechnologies (ou technologies OGM). Dans le premier cas, l’ARN vaccinal correspondant à la partie du matériel génétique de Sars-Cov2 codant la protéine Spike, est un ARN de synthèse modifié pour augmenter sa stabilité, optimiser la production de la protéine Spike dans les cellules humaines, et optimiser l’immunogénicité de cette protéine. Dans le second cas, le vecteur utilisé pour délivrer le matériel génétique vaccinal dans les cellules de la personne à vacciner est bien un virus (adénovirus) génétiquement modifié comme je l’ai expliqué dans la réponse à la question 3. Et c’est bien pour cela que la directive européenne 2001/18 qui légifère les OGM a été modifiée en août dernier par le règlement européen 2020/1043 dont les articles 2 et 3 permettent à tout essai clinique de médicaments contenant des OGM ou consistant en de tels organismes, et destinés à traiter ou à prévenir la Covid-19, d’échapper aux évaluations préalables sur la santé et l’environnement prévues pour les OGM.

    Et la plupart des autres organes de presse de répéter bêtement et aveuglément à l’unisson les inepties de leurs confrère et consœur de l’Express sans même prendre le soin de mener la moindre enquête et de vérifier les sources, ni même de me contacter. Tous ces prétendus journalistes se comportent comme un troupeau de brebis effrayées : la première (ceux de l’Express) sort de l’enclos tête baissée à travers le grillage en piétinant tout sur son passage, et toutes les autres empruntent le même chemin alors que la porte de l’enclos est grande ouverte. Et je m’excuse auprès des brebis pour cette métaphore. Ces prétendus journalistes sont au journalisme ce que Gérard Depardieu est à la diététique. Nous sommes dans une dictature de la pensée et cela m’inquiète beaucoup plus que la Covid-19.Recommandé (24)




    Sur la toxicité de la Secte HA! : contribution à sa décantation

    Par Lucien Samir Oulahbib

    Ah ! La Secte HA! (Hygiéniste-Affairiste) — le point d’exclamation exprime le fait qu’elle accentue en permanence et avec frénésie paranoïaque sa hargne (séculaire, en fait) contre toute objection ou critique considérée par elle comme un complot ou une hérésie provenant, au 21e siècle, d’« antivax » et autres « anti-éoliennes ».

    Elle VEUT (comme au temps de l’Inquisition et des procès totalitaires passés présents et à venir) que sa propagande pseudo-médicale et environnementale se déploie sans accroc par la méthode bien connue en manipulation psychologique de « punition-récompense » (carotte : liberté conditionnelle d’aller et venir, boire, manger, se chauffer. Bâton : menace d’obligations et de coupures en agitant quelques figurines grecques, comme dans La Caverne de Platon : Delta, Gamma…) alors que cette pratique d’ingénierie sociale (cataloguée d’« altruiste », mais oui : les c… osent tout…) reste non seulement toujours illégale pour des substances ayant une AMM conditionnelle (il faut 15 ANS pour l’obtenir « normalement »), mais surtout illégitime puisque nous avons les traitements qu’il faut (mais oui) pour cette syndémie peu létale hors maladies chroniques liées justement à un contexte donné de co-morbidités et de maltraitance sanitaire (d’où le préfixe « syn » comme dans synchronie).

    La Secte HA! déploie donc sa Milice d’aboyeurs traitant les gens, simplement prudents et désireux de mesures proportionnées, de personnes « incurables » (dixit Enthoven, Lilliputien osant se réclamer de Montaigne) qu’il s’agit dans ce cas d’éliminer en prochaine étape s’il n’est pas possible de piquer de force ces « racailles » (dixit Onfray) et autres « passagers clandestins » (selon un éditorial du « journal » Le Monde) puisque « nous perdons patience » clame une autre fausse féministe désireuse de se faire un nom aussi dans ce secteur somme toute pas si éloigné de la toute puissante technologie Trans (PMA pour qui veut, GPA, Trans/es divers-es) ou comment bien manipuler la technologie scientifique à des fins de plus en plus délirantes. Les masques tombent (tout en étant exigés pour préserver les apparences de cette duperie).

    Mais comment éliminer les « incurables »? Surtout s’ils sont taxés de « nocifs » (c’est « à cause d’eux » que…). Déjà, en les tuant médiatiquement : un contre dix, s’ils sont éventuellement « invités » dans quelques rares émissions alibis, tout en leur assénant sur des plateaux menés au fouet par des Miliciens HA! (Naulleau, par exemple) des contre-vérités avec de faux chiffres, puisque les taux d’incidence, par exemple, sont calculés sur des tests (surévalués en plus) et non sur des malades effectifs, tandis que les personnes en « réa » expriment seulement le fait qu’elles n’ont pas été soignées de manière précoce parce que l’on ne laisse pas les médecins prescrire des médicaments qui ont été mis précisément à l’index, car autrement toute l’expérimentation actuelle tomberait à l’eau (phase 3.3 d’une AMM) ; sans parler d’une mise en « réa » hâtive (il existe plusieurs paliers : observation, soins intensifs, réa…) et d’un manque drastique de lits (refus d’une synergie entre public et privé comme on l’a vu il y a dix-huit mois à Nancy, Strasbourg…).

    Ensuite, il s’agit de « les » tuer professionnellement, d’écarter par exemple des médecins non pas à cause de ce qu’ils font, mais de ce qu’ils sont, comme soigner autrement que par du paracétamol (qui a un taux d’effets secondaires supérieur à celui de l’hydroxychloroquine) ou alors parce qu’ils ont eu cent pour cent de résultats (zéro morts, très peu d’hospitalisés lorsque c’est pris de façon précoce) : « je ne pouvais pas les laisser mourir » écrivit l’un d’entre eux alors que les miliciens activaient le bûcher médiatique pour le brûler à « bas bruit »….

    Enfin, il faut sur le plan académique (afin de faire taire les savants byzantins regardant de haut tout ce raffut « humain trop humain ») peaufiner le faux dogme de l’exhaustivité statistique (battue en brèche par Russel et Whitehead dans les années 1910-1913) ou son contraire – l’exponentielle inductive (prolonger indéfiniment des courbes ascendantes ce qui est illogique comme le démontre actuellement sur un exemple donné Vincent Pavan ou encore Pierre de « décoder l’éco » également ici sur FranceSoir) – en considérant d’une part qu’il faudrait d’abord tout connaître sur cette maladie avant de la soigner (pourtant cette précaution n’est pas prise dans les actuelles injonctions d’injections expérimentales) et ensuite penser qu’il serait possible de « l’éradiquer » comme s’il s’agissait d’une maladie à haute mortalité…

    De plus, ces deux (pseudo) arguments ne tiennent pas en pratique médicale : il faut en effet soigner, et tout de suite, comme dans une médecine de guerre (ne nous avait-on pas dit pourtant : « nous sommes en guerre » ?) et donc employer des moyens qui ont fait empiriquement leurs preuves comme l’ont proposé certains médecins intègres et s’appuyant aujourd’hui sur des centaines d’études et des milliers de gens guéris.

    On le voit, la Secte HA! n’a que faire de la réalité, de la vérité, surtout empirique (pour eux le réel doit être simulé : effacé puis restauré autrement comme l’a démontré Jean Baudrillard). Il est pourtant dommage que face à une telle déferlante, parmi les amis de la liberté, de la tolérance, de la justice, de l’égalité et de la fraternité, bref de ce qui fait d’un « nous » une « nation », certains divisent, condamnent, montrent du doigt, comme le fait un Richard Boutry dans un rassemblement en attaquant le directeur de FranceSoir parce que celui-ci ne le suivrait pas dans sa prochaine aventure médiatique (à partir de 1 h 50). C’est bien regrettable, alors que devant l’ennemi les rangs doivent tenir et que les dissensions d’ordre tactique doivent être écartées, du moins si l’on ne veut pas servir de cheval de Troie…

    Car l’offensive de la Secte HA! ne fait que commencer, se donnant comme objectif, on le sait maintenant de mieux en mieux, ce « Grand Reset » qui modélise le monde humain et sa chair en autant de cibles marketing, ce qui est là une déviation de l’esprit dit « libre » qui avait pour objet, par exemple chez Descartes, Pascal, mais aussi Locke comme Rousseau et Kant, de permettre que chacun puisse acquérir des connaissances et soit à même de vivre en pratique cette liberté qui se nourrit d’altérité et non pas d’uniformité (aujourd’hui la théorie du « sans » ou du « trans »), car c’est en se confrontant au contraire de la Liberté, à savoir la Limite, que l’on arrive à se forger un visage (et aussi décanter ami et ennemi…).

    Par exemple le Visage de la France… Ne laissons pas des infâmes en effacer la trame au lieu de l’enrichir (alors que les milliers d’années passées nous « contemplent »).

    Il est également dommage que Didier Raoult soit obligé de se sacrifier pour sauver la casse de l’IHU, selon certaines sources [par exemple : RT en français], en se ralliant à l’idée de piquer les soignants avec une substance expérimentale. S’il avait pu résister, une chaîne humaine se serait constituée pour protéger l’institut. Un véritable combattant est tombé. Saluons son sacrifice.




    Kennedy s’en prend à Anthony Fauci, le tsar de la mafia médicale qui contrôle la réponse à la pandémie

    [Source : childrenshealthdefense.eu]

    Si Robert F. Kennedy, Jr. a décidé de consacrer un livre à Anthony Fauci, ‘expert Covid’ n°1 aux Etats-Unis, c’est parce que ce médecin est aujourd’hui l’homme plus influent sur des politiques de santé au service d’une prise de contrôle géopolitique de la planète. Directeur du NIAID l’institut de recherche sur les maladies infectieuses et membre conseil ou administrateur de nombreux autres instituts, Fauci a conseillé 6 présidents, gérant des budgets colossaux de plusieurs dizaines et même centaines de milliards de dollars. Partenaire de longue date de Bill Gates, le tsar de la mafia médicale est aujourd’hui accusé par le médecin et sénateur Rand Paul d’avoir soutenu et subventionné les recherches de ‘gain de fonction’ aux États-Unis, avant que celles-ci ne soient interdites. Son institut a pourtant continué à financer ces recherches à l’étranger, notamment sur les coronavirus au laboratoire de Wuhan – et ce jusqu’en avril 2020, via un organisme intermédiaire EcoHealth Alliance.

    Depuis quelques semaines, suite à une demande officielle de mise à disposition publique de sa correspondance depuis le début de la pandémie,  certains échanges ont révélé l’obstination de Fauci à ignorer les pistes de traitements (l’hydroxychloroquine par exemple), à vanter les mérites du Remdesivir ou à ignorer les interpellations de scientifiques confirmant la piste d’un virus manipulé en laboratoire.

    Kennedy explique dans cette interview comment Fauci a pris le contrôle de la santé publique aux Etats-Unis et ailleurs, en partant de sa tentative d’appropriation de la découverte du sida avec son comparse Robert Gallo, pour faire de la santé publique ‘une machine à fric’ au service de l’industrie du médicament. Pour Kennedy, Fauci est un criminel, responsable de la mort de milliers de personnes et sa place est derrière les barreaux.

    Nous sommes aujourd’hui à un moment critique de notre histoire. Fauci et Gates ne sont pas les seuls acteurs à remettre en cause.  C’est tout un réseau d’influence qu’il faut aujourd’hui démanteler et juger, au sein des commissions nationales en Europe et ailleurs, et des agences de santé et organisations internationales dirigées par l’industrie et la finance.

    Une interview à regarder, un livre à commander (en anglais pour l’instant) et surtout… un dossier à compléter et une affaire à suivre. Merci de partager!



    Transcription :

    Senta Depuydt : [00:00:00] Bonjour à tous, je suis Senta Depuydt et je représente Children’s Health Defense en Europe. Aujourd’hui, j’ai l’honneur et le privilège d’interviewer notre président, Robert F. Kennedy Jr. sur son nouveau livre, The Real Anthony Fauci, Bill Gates, Big Pharma on the Global War on Democracy and Public Health. M. Kennedy, je regardais aujourd’hui votre livre sur Amazon, et je vois qu’il est parti pour être un best-seller. Alors qu’est-ce qui se passe ? Est-il déjà en rupture de stock ? Dites-nous.

    Robert F. Kennedy, Jr. : [00:00:40] Eh bien, vous savez, j’ai commencé à écrire le livre au début de l’été dernier. Et j’essayais vraiment d’informer les Américains, parce que c’est très pénible pour moi. Tony Fauci est cette figure très polarisée. Il a été l’incarnation de la polarisation, le genre de tribalisme qui se passe aux États-Unis. Où tous les républicains ont… beaucoup d’entre eux se sont engagés dans le tribalisme en suivant le président Trump et les démocrates en suivant Anthony Fauci. Et ce qui est affligeant pour quelqu’un comme moi, c’est que le parti démocrate et le libéralisme dans lequel j’ai grandi… beaucoup de libéraux traditionnels ont abandonné leurs valeurs traditionnelles. Les valeurs avec lesquelles nous avons tous grandi, les valeurs libérales de la pensée critique, des droits constitutionnels, de la liberté d’expression, de l’application régulière de la loi par les procès avec jury, de la justice, de la tolérance, de la patience et de toutes ces choses, ainsi que de la curiosité intellectuelle et de l’intégrité intellectuelle. Toutes ces choses ont maintenant été abandonnées. Il n’y a plus de pensée critique. Nous sommes de nouveau immergés dans une sorte de tribalisme où si Tony Fauci dit quelque chose, cela doit être vrai. Si Donald Trump dit quelque chose, c’est forcément faux et vice versa. Et personne ne fait vraiment preuve d’esprit critique. Et aux États-Unis, vous savez, j’ai vu le parti libéral, qui a toujours été le champion des droits constitutionnels, s’éloigner de tous nos droits constitutionnels. Ils sont devenus les défenseurs de la censure. Et, vous savez, le premier amendement était sacré pour les libéraux et les démocrates. Quand j’ai grandi, nous nous sommes battus pour que les nazis qui défilaient à Skokie, dans l’Illinois, aient le droit de parler, même si c’était abominable, c’était répugnant, c’était repoussant. Mais tout le monde a le droit de s’exprimer et nous devons avoir confiance dans le processus d’échange d’idées et dans le fait que les politiques et les principes doivent s’épanouir au sein d’une culture du débat et sont les fruits de débats.

    [00:03:30] Et ce qui se passe maintenant, c’est que cela devient une entreprise religieuse, et les gens qui soulèvent des questions sur l’orthodoxie sont des hérétiques. Ils doivent être détruits. Ils doivent être réduits au silence. Leurs paroles sont dangereuses. Et parce que nous nous sommes maintenant débarrassés du premier amendement, de la liberté d’expression aux États-Unis, où, vous savez, quiconque qui parle des mêmes choses que moi est censuré. Une fois que vous vous débarrassez de la liberté d’expression, tous les autres droits constitutionnels sont sur la sellette. Les libertés religieuses font partie de la déclaration des droits et des libertés; or nous avons reçu l’ordre du gouvernement de fermer les églises pendant un an, même si les magasins d’alcool étaient ouverts en tant qu’entreprises essentielles. Les magasins d’alcool ne sont pas cités dans la Constitution. En revanche, la liberté de religion est citée dans la Constitution, tout comme les exemptions religieuses et de vaccination qui ont été abolies. Le droit à un procès avec jury a disparu aux États-Unis. Toute entreprise qui peut dire qu’elle est engagée dans des contre-mesures, peu importe son imprudence, sa négligence, qu’elle crée un médicament, un vaccin, des masques ou peu importe la contre-mesure, vous ne pouvez pas la poursuivre, peu importe la gravité de votre blessure, peu importe la négligence de son comportement. Le droit à la propriété a été aboli. Vous savez, nous avons des fonctionnaires du gouvernement, des fonctionnaires médicaux. Et Bill Gates va fermer toutes les entreprises d’Amérique pendant un an, mettre 60 000 entreprises en faillite, dont 70 % d’entreprises appartenant à des Noirs qui ne rouvriront jamais.

    SD : [00:05:28] Nous avons les mêmes catastrophes en Europe. Je suis désolée de vous interrompre. Beaucoup d’Européens ne savent pas qui est Anthony Fauci.

    RFK, Jr. : [00:05:38] Anthony Fauci, c’est la personne la plus puissante en matière de santé publique dans le monde aujourd’hui. Et il a été à la tête de l’Institut national des maladies allergiques et infectieuses, que nous appelons NIAID, qui fait partie du NIH, qui est l’Institut national de la santé, qui fait partie du HHS, qui est le grand département de la santé, avec vingt-cinq agences de santé différentes sous un seul département fédéral. Et Anthony Fauci est là depuis 50 ans. Il est probablement celui qui a vécu le plus longtemps dans l’histoire de la santé publique; c’est un panjandrum et il est de loin le plus puissant. Son travail au sein de cette agence consiste à apprendre l’idéologie des maladies chroniques et des maladies infectieuses. En d’autres termes, il est chargé par le Congrès de répondre aux questions suivantes : pourquoi l’autisme est-il passé d’1 personne sur 10,000 à 1 garçon sur 22 aujourd’hui aux États-Unis ? Pourquoi l’allergie aux arachides est soudainement apparue en 1989 ? Les allergies alimentaires et l’eczéma. Pourquoi toutes ces maladies auto-immunes sont-elles soudainement devenues épidémiques ? La polyarthrite rhumatoïde, le diabète juvénile, le lupus, etc. Pourquoi avons-nous soudainement une épidémie d’obésité ? Son travail consiste à répondre à ces questions. Il doit nous parler des expositions environnementales. Nous savons que les gènes ne sont pas à l’origine des épidémies. Les gènes peuvent contribuer à des vulnérabilités. Il faut une toxine environnementale, et son travail consiste à déterminer quelle toxine environnementale est à l’origine de cette énorme épidémie. Quand il est arrivé en 1968, seulement 6 % des Américains avaient une maladie chronique. 54% aujourd’hui. Pourquoi cela se produit-il ? La même chose est vraie en Europe, pas de façon aussi grave qu’aux États-Unis, mais la même chose est vraie en Europe. Eh bien, aucun de nos responsables médicaux ne fait les études nécessaires pour trouver la réponse à ces questions.

    RFK, Jr. : [00:07:58] Et bien sûr, la réponse à cela est que les produits chimiques qui causent ces blessures sont fabriqués par des entités très puissantes, par des compagnies pétrolières, des compagnies chimiques, par les grandes compagnies alimentaires, et surtout par les compagnies pharmaceutiques. Et les régulateurs ont été capturés par ces industries. Leur travail n’est pas de protéger la santé publique, mais de protéger l’industrie qu’ils sont censés réglementer. Tony Fauci a tenu 50 ans à ce poste parce qu’il a été un bon protecteur de l’industrie pharmaceutique et qu’il a pris l’agence de régulation, qui était la meilleure agence de régulation de santé au monde. Et il en a fait une filiale de l’industrie pharmaceutique. Et pour répondre à votre question, Tony Fauci a été nommé par deux présidents, Trump et Biden, pour diriger la réponse à cette pandémie de Coronavirus. Toutes les contre-mesures que nous avons eu aux États-Unis et qui se sont répandues dans le monde entier, elles proviennent toutes de Tony Fauci : le confinement, la distanciation sociale, les masques, la suppression des médicaments thérapeutiques, et des traitements précoces, de l’Ivermectine, de l’hydroxychloroquine, toute la promotion de médicaments thérapeutiques sans valeur comme le Remdesivir. Toutes ces choses viennent directement de Tony Fauci. Comment ? Quelle est la source de son pouvoir ? La voici. Tony Fauci a un budget de 6,1 milliards de dollars par an. En plus de cela, il reçoit 1,6 milliard de l’armée, car une grande partie de ses activités font appel à la technologie, en d’autres termes, il développe des armes biologiques. C’est ce qu’il faisait avec les études sur le gain de fonctions à Wuhan et dans beaucoup, beaucoup de laboratoires. Oui.

    SD : [00:10:14] Pouvez-vous élaborer un peu plus sur ce sujet ? Parce que ce n’est pas vraiment une question que tout le monde veut savoir. Nous avons entendu dire qu’il y a des emails. Vous savez,

    RFK, Jr. : [00:10:24] L’histoire est que les États-Unis ont commencé à développer des armes biologiques au début de 1943 pendant la Seconde Guerre mondiale et en 1969, nous avions développé des armes biologiques dans notre pays que le chef du programme d’armes biologiques, David France, qualifiait comme des équivalents nucléaires. En d’autres termes, nous avions des armes biologiques qui pouvaient avoir le même impact qu’une arme nucléaire, une bombe nucléaire. En 1969, Richard Nixon a fermé le programme. Il s’est rendu à Fort Detrick, qui est l’endroit où se trouve le principal centre de recherche sur les armes biologiques aux États-Unis. Il l’a fermé et nous avons signé en 1972 le traité sur les armes biologiques, qui était une extension du traité de Genève. Et nous avons accepté de ne pas stocker d’armes biologiques et de ne pas les développer. Les États-Unis ont donc fermé Fort Detrick. Nous avons fermé tous nos autres laboratoires d’armes biologiques cette année-là. Les militaires voulaient recommencer. Et la CIA, bien sûr, était très impliquée dans les armes biologiques et l’industrie pharmaceutique. Qui était à la tête du programme d’armement américain pendant la Seconde Guerre mondiale ? Et dans les années 50 ? C’était George W. Merck, qui était à l’époque également à la tête de Merck. Donc, l’industrie pharmaceutique était composée des mêmes entreprises qui développaient des armes biologiques. Et cela, bien sûr, est venu de la Seconde Guerre mondiale quand vous aviez les compagnies pharmaceutiques et l’Allemagne qui développaient des armes biologiques, […] développant les gaz qui étaient utilisés pour tuer les juifs à Auschwitz et autres camps de la mort. L’industrie pharmaceutique et l’armée et l’appareil de renseignement voulaient tous avoir une excuse pour relancer les armes biologiques. Et donc en 1988, le mur de Berlin tombe. On nous promet à tous : ok, maintenant nous allons avoir les dividendes de la paix. Nous allons prendre tout l’argent qui était destiné à l’armée et, à la place, nous allons le dépenser pour les écoles, les routes, les soins de santé et l’éducation. Et nous allons faire des États-Unis un endroit exemplaire et brillant avec des monuments d’albâtre, des gens éduqués, etc. Lorsque l’appareil militaire et de renseignement entendirent les mots dividendes de la paix, ils se sont dit que cet argent allait sortir de leurs poches. Ils se sont dit qu’ils devaient trouver un moyen de faire avancer les choses, de continuer à faire ce qu’ils faisaient. Quatre et demi ou cinq ans plus tard, nous avons eu la première attaque du World Trade Center, et c’était en 1993. Et tout l’argent qui était destiné à l’éducation et à l’usage civil a soudainement disparu. Et les intérêts acquis nous poussèrent à dépenser cet argent dans la lutte contre le terrorisme. En 2000, nous avons les attaques du 11 septembre. Et à ce moment-là, des milliards, des dizaines de milliards de dollars se sont déversés dans l’idée que nous devions combattre le terrorisme islamique.

    [00:14:35] Les militaires à ce moment-là, ont compris que les terroristes islamiques étaient géniaux parce que c’est un ennemi beaucoup plus fiable que l’Union Soviétique. L’Union Soviétique a plié. Elle s’est retirée. Le terrorisme ne s’arrêtera jamais car ce n’est pas une nation. Ce n’est pas un peuple. C’est une tactique. Et il sera toujours là. C’est donc un ennemi parfait, un ennemi qui ne mourra jamais. Et Dick Cheney a promis une longue guerre qui durera des générations. Et ce serait dans 50 nations ou plus. Dans le même temps, de nombreux planificateurs du renseignement disaient que la sécurité biologique est en fait ce que nous devrions faire à cause du terrorisme. Le terrorisme islamique aux États-Unis tue moins de personnes que la foudre chaque année. Mais ce n’est pas un ennemi dont vous pouvez garder les gens terrifiés pendant longtemps. En revanche, le grand ennemi, ce sont les germes, parce que les germes peuvent entrer dans la maison de tout le monde et tuer votre famille. L’armée et les services de renseignements dont nous disposons, ont tous ces documents où ils parlent de ça de façon  bien plus fiables que moi. Et ils font des simulations et des jeux de guerre sur les pandémies et les attaques biologiques. Il y avait donc un ferment, un intérêt énorme. Et si vous vous souvenez, une semaine après le 11 septembre, très exactement le 4 octobre 2001, donc deux semaines et demie après le 11 septembre.

    [00:16:06] Il y a eu une attaque à l’anthrax et l’anthrax a tué sept personnes. Il y avait 17 personnes, dont des sénateurs et des membres du Congrès des États-Unis. Et à ce moment-là, l’anthrax a été attribué à Saddam Hussein. Et c’est une des raisons qui a justifié l’invasion de l’Irak. Mais il s’est avéré, lorsque le FBI a commencé à enquêter, que l’empreinte digitale sur l’anthrax, cet anthrax particulier qui a été utilisé dans l’attaque, provenait de l’armée américaine. Il était donc clair que quelqu’un de l’armée américaine avait quelque chose à voir avec l’envoi de cet anthrax. Et que s’est-il passé ? Des milliards de dollars ont commencé à être dépensés pour la biosécurité. Et Tony Fauci… une partie de la biosécurité est utilisée pour développer les vaccins. Vous vous dites, « eh bien, nous faisons cela de manière défensive, nous développons juste la même technologie que vous utilisez pour développer des vaccins et qui peut être utilisée pour développer des armes biologiques », et cela s’appelle le Gain de Fonction. Et qu’est-ce que cela signifie ? Cela signifie que vous envoyez des zoologistes dans le monde entier pour trouver des microbes, des microbes mortels et différents animaux. Et ces microbes ne peuvent pas sauter sur les êtres humains. Ils vont tuer des pangolins. Ils tueront des chauves-souris. Ils tueront des civettes. Ils tueront des chameaux. Mais ils ne tueront pas des êtres humains.

    Vous pouvez prendre un microbe dans un laboratoire, et il y a deux façons différentes d’infecter des êtres humains. L’une est d’utiliser la technologie CRISPR. Vous pouvez insérer [00:18:02] de nouvelles parties dans ce microbe qui lui donneront la capacité d’attaquer un poumon humain. Ou alors, vous pouvez le cultiver des milliers de fois, vous le prenez d’une chauve-souris, vous le cultivez sur une culture de pangolin, puis vous les prenez et vous les cultivez sur des cultures de cockers et finalement vous les cultivez sur les poumons d’un fœtus humain. Et vous avez appris à ce microbe à passer de la chauve-souris à la personne. Et cela fait partie de la technologie qui, selon certains, est utile pour les vaccins, bien que cela n’ait jamais été démontré.

    Nous savons que cette technologie est utilisée pour les armes biologiques. Quoi qu’il en soit, afin de capter une grande partie de cet argent qui a soudainement commencé à affluer vers les armes biologiques vers 2001-2002, Tony Fauci a commencé à faire ces études de gain de fonction. Il a financé un scientifique appelé Ralph S. Baric, à l’Université de Caroline du Nord. Il a commencé à construire des laboratoires de biosécurité, ce qu’ils appellent des laboratoires BSL, quatre laboratoires, au plus haut niveau de biosécurité. Il a réouvert le laboratoire de Fort Detrick et en a construit un nouveau là-bas. Il en a construit un à Galveston, au Texas, et je crois qu’il en a construit six en tout. La Chine a un de ces laboratoires. Nous en avons une dizaine aux États-Unis. Et Tony Fauci a commencé à financer le travail dans ces laboratoires. Eh bien, vers 2014, un tas d’accidents se sont produits dans ces laboratoires, des microbes se sont échappés. Et ainsi, trois cents scientifiques ont envoyé une pétition au président Obama le suppliant d’arrêter Tony Fauci et ses expériences avant que l’une de ses créatures ne s’échappe et cause une pandémie mondiale. Le président Obama a réagi et a ordonné à Tony Fauci et au NIH d’arrêter les études sur le gain de fonction. Tony Fauci a mis fin à environ vingt et une de ses études, mais il a continué à mener secrètement certaines des pires avec Ralph Baric, un scientifique fou de l’Université de Caroline du Nord. Puis il a pris la plus grande partie de l’argent destiné à la recherche sur les gains de fonctions, environ sept millions de dollars en tout, et il a commencé à financer le même type d’expériences très, très dangereuses dans le laboratoire de Wuhan, avec Zhengli Shi, une chercheuse connue sous le nom de « Bat Lady ». Elle avait participé aux recherches sur le SRAS en 2002, et était en fait une psychiatre. Mais elle aimait manipuler les animaux et avait le courage d’aller dans les grottes où vivent les chauves-souris, dans la province du Yunnan, dans des grottes connues sous le nom de grottes de Mojiang. Elle a commencé à collecter des chauves-souris là-bas et ils ont collecté des centaines et des centaines de chauves-souris et créé la plus grande collection de coronavirus au monde dans ce laboratoire à Wuhan.

    Je sais que vous êtes belge, mais vous serez peut-être intéressée d’apprendre, et je pense que vous le savez, que le laboratoire de Wuhan a été construit par une société française appelée BioMérieux, dont le PDG s’appelle Stéphane Bancel. La société a été engagée pour construire un système de flux d’air négatif qui, à Wuhan, est une pièce essentielle de l’infrastructure pour assurer la sécurité, ce qui signifie que l’air ne sort pas. C’est l’un des éléments les plus critiques de l’infrastructure du laboratoire. Les Chinois avaient demandé à BioMérieux de le construire, mais ils ne l’ont jamais fait. Et Stéphane Bancell, qui était le PDG de cette société, est aujourd’hui le PDG de Moderna, la société qui, plus que toute autre, a profité de la pandémie, dont nous savons maintenant qu’elle provient presque certainement du laboratoire. Laissez-moi ajouter autre chose, car je sais que vous le sujet vous intéresse.

    En 2000, Bill Gates a contacté Tony Fauci et lui a demandé de venir dans sa demeure à Seattle, dans l’État de Washington, une demeure de cent quarante-sept millions de dollars. Il a fait entrer Tony Fauci dans sa bibliothèque et tous deux se sont assis sur des fauteuils club avec un verre. Et Bill Gates lui a proposé un partenariat. Ce partenariat consisterait à collaborer tous les deux à une entreprise visant à vacciner le monde entier et à abolir toutes les maladies infectieuses grâce aux vaccins. Ce partenariat était très important pour Gates, car il essayait à l’époque de prendre le contrôle de la politique mondiale en matière de santé. Et pour ce faire, il avait besoin de l’aval d’un puissant responsable de la santé aux États-Unis qui pouvait lui donner de la crédibilité à l’étranger. Et Tony Fauci a fait deux choses. Premièrement, il a donné de la crédibilité à Gates et à son programme, deuxièmement, il a développé le vaccin dans son atelier du NIH. Et ensuite, Gates garantirait un marché pour ces vaccins à l’étranger. Et la troisième chose que Tony Fauci a fait… Il est très, très influent auprès du président des États-Unis. Il a donc obtenu du président Bush, le premier président Bush, qu’il engage 15 milliards de dollars pour l’Afrique.

    [00:24:59] Il a donc pris toute l’aide étrangère des États-Unis. Et au lieu de la consacrer à la réduction de la pauvreté, il a dédié ces 15 milliards aux médicaments et vaccins contre le SIDA en Afrique. Cela crée une infrastructure dans tous les ministères de la santé en Afrique qui deviennent dépendants de ce flux venant des USA. Il a ensuite obtenu du président Clinton qu’il prenne le même engagement et qu’il aille voir ces présidents pour leur dire que le SIDA se développe en Afrique. Si nous ne le résolvons pas là-bas, il va se propager aux États-Unis et donc, nous devons le résoudre en Afrique. Mais en réalité, ce qu’il fait, c’est qu’il a des relations avec toutes ces entreprises pharmaceutiques qui, en fin de compte, reçoivent tout cet argent. Et parce qu’il fait la pluie et le beau temps, que c’est un courtier qui a le pouvoir de régir toute cette aide des États-Unis à l’Afrique, il jouit d’une énorme crédibilité dans toute l’Afrique auprès des ministères de la santé et lorsqu’il se rend là-bas avec Gates et dit, OK, voici mon nouveau gars, Gates avait automatiquement du cachet et de la crédibilité. Et c’est l’une des façons dont Gates a pris le relais.

    SD : [00:26:20] Je peux vous arrêter 30 secondes ? Parce que je pense que j’ai quelques commentaires. En France… je pense qu’il serait vraiment intéressant de regarder l’implication plus étroite de la France dans le laboratoire de Wuhan. Je peux vous dire que le directeur de l’INSERM y est allé, officiellement avec Bancel à l’inauguration du bâtiment, le laboratoire et l’installation, et ils avaient un programme. Ils étaient donc là pour couper le ruban. L’INSERM est le plus grand institut de recherche de France en matière de santé. Et la femme de ce directeur de l’INSERM était ministre de la santé au début de la pandémie. Elle s’appelle Agnès Buzyn. Donc il y avait vraiment comme je pense que vous êtes assez impliqué. Elle a maintenant été accusée de mauvaise gestion, disons qu’elle est mise en examen pour ne pas avoir donné les bonnes informations, puis les mesures, etc. Donc elle a quitté son poste. Elle est maintenant promue à l’OMS, où elle assiste Tedros, où elle  bénéficie de l’immunité de responsabilité – vous ne pouvez pas les poursuivre en justice une fois qu’ils sont à l’OMS. En France, nous avons quelques scientifiques que vous connaissez peut-être, certains d’entre eux qui se sont vraiment penchés sur la question du virus.

    [00:27:50] Et c’est aussi une de mes questions. Je sais que vous avez soutenu la vidéo  » Plandemic  » avec David Martin avec la recherche sur les brevets. (…) Nous avons ici quelques scientifiques, l’un d’entre eux s’appelle Jean-Bernard Fourtillan, qui essaient également d’examiner les brevets. Ils disent que l’Institut Pasteur a également des brevets sur les coronavirus et sur leur utilisation en tant qu’armes. On peut donc suivre plusieurs brevets d’une sorte de SARS-COV-1 à SARS-COV-2. Donc ce scientifique est apparu il y a 6 mois. Il est maintenant dans un institut psychiatrique. Il y a une grande censure et un grand silence et nous avons aussi, plus ou moins, exactement le même genre de mesures, l’hydroxychloroquine qui a été bloquée, et bien sûr, l’agenda des vaccins, etc. […] Avez-vous suivi également cette piste des brevets ? Est-ce qu’elle mène aussi à d’autres pays étrangers ? Parce que je crois vraiment que plusieurs pays ont participé, je dirais en Europe, certainement la France, le Royaume-Uni et l’Allemagne.

    RFK, Jr. : [00:29:13] Je sais, vous savez, les brevets sont un domaine intéressant et en ce moment, le NIH a un litige contre Moderna parce que Moderna a menti sur les brevets. Elle n’a pas divulgué quand elle a fait sa demande de brevet qu’elle avait reçu des fonds fédéraux et qu’à ce moment-là, Fauci avait investi 2,6 milliards de dollars de l’argent des contribuables dans les brevets et dans Moderna. Et Moderna n’a jamais révélé cela quand elle a déposé son brevet, ce qui est illégal aux États-Unis. Et il se peut que le contribuable américain soit en fait propriétaire des brevets. L’une des choses intéressantes à propos des brevets est que l’office des brevets a refusé à Moderna, à plusieurs reprises, un brevet, et lui a dit « Non, vous ne pouvez pas l’avoir ». Et puis Moderna est revenu à la charge le 29 mars 2019. Et a dit « il y a une urgence à ce que vous nous donniez immédiatement ce brevet ». C’est dans la demande de brevet, n’importe qui peut y accéder, et ça dit « vous devez nous donner le brevet en prévision d’une libération accidentelle ou délibérée d’un coronavirus amélioré ». Et quand est-ce que cela a eu lieu ? Quatre mois, cinq mois avant le coronavirus d’octobre. Le meilleur des meilleurs estime qu’il s’est échappé du laboratoire de Wuhan en octobre 2019.

    [00:30:58] Donc… avril, mai, juin, juillet, août, septembre, octobre… c’est sept mois avant l’apparition réelle du coronavirus. Ils connaissaient l’urgence, Ils ont insisté sur l’imminence d’un virus.

    SD : [00:31:14] Donc merci. Vous êtes un peu en train de cartographier, vous venez de revenir sur le virus du VIH et tout le programme. Et quand je le regarde, il était très intéressant de voir que certains scientifiques au début, vous je suis sûr que vous savez, que ce scientifique appelé Jonathan Mann, qui était vraiment celui qui est sorti pour faire les appels pour le VIH et en faire une cause mondiale. Mais il l’a lié aux droits de l’homme. Mais si j’ai bien compris, à un moment donné, l’autre partie de l’OMS et d’autres personnes ont préféré avoir une approche différente de son approche des droits de l’homme. Il a donc été en quelque sorte écarté de la cause du sida. Et malheureusement, il est mort dans un accident d’avion. Un avion Swissair s’est écrasé, ce qui est vraiment rare, vous savez, pour un avion suisse de s’écraser. Et après cela, je crois savoir que Fauci et d’autres scientifiques, et je pense en particulier à un certain Peter Piot. Je ne sais pas si vous l’avez rencontré, c’est un Belge, mais c’est le numéro un, disons, en charge de la réponse à la pandémie au sein de la Commission européenne. [00:32:58] Il a donc été nommé et il dirige également l’Institut d’hygiène tropicale de Londres.

    Tous ces scientifiques sont donc très impliqués ensemble depuis des décennies déjà sur le VIH. Et donc après ça, ils ont vraiment adopté une approche différente par rapport aux droits de l’homme et le tout s’est déplacé vers le programme des Nations Unies et le programme d’aide des États-Unis. Et je pense que c’est à ce moment-là que la banque est intervenue et que les épidémies sont devenues, d’une certaine manière un instrument géopolitique possible, et une tentative de gouvernance mondiale par le biais des politiques de santé, du contrôle des politiques de santé. Et je pense qu’ils ont commencé à avoir plus que seule la santé à l’esprit. Vous savez, c’est là que la Banque mondiale est intervenue, ainsi que le FMI, puis les entreprises pharmaceutiques. Mais je pense que c’est tout ce réseau de scientifiques spécialisés dans le VIH, ou pas seulement des scientifiques, disons des experts du monde entier, qui est maintenant aux commandes. Je dirais donc que ce sont tous les amis de Fauci.

    RFK, Jr. : Fauci étant celui qui a popularisé le VIH. Luc Montagnier, qui a été le premier à isoler ou à associer le VIH, à identifier le VIH comme une cause potentielle du SIDA. Il a insisté sur le mot « potentiel ». Sa découverte a été volée par un scientifique américain qui était un ami de Fauci, Robert Gallo. Et Gallo a prétendu avoir fait la découverte, puis il y a eu une dispute et des procès qui ont duré de nombreuses années, et finalement Gallo a admis qu’il avait volé le virus à Luc Montagnier et qu’il avait trompé Luc Montagnier pour qu’il lui donne le virus. Tony Fauci, vous savez qu’avant cela, le VIH ou le SIDA était considéré comme un cancer. Il était associé au sarcome de Kaposi et la plupart des gens pensaient probablement que cela avait quelque chose à voir avec les drogues qui étaient prises, qui étaient associées au mode de vie gay, et en particulier les poppers, et à d’autres lésions environnementales. […] Tony Fauci n’avait aucune compétence sur ce type de maladie. L’Institut national du cancer était compétent en matière de cancers et, à l’origine, il s’agissait du VIH, mais lorsque Bob Gallo a dit « non, c’est un virus », Tony a répondu « d’accord, c’est un virus, donc nous l’avons, car nous sommes l’Institut national des maladies infectieuses ». Et c’est ainsi qu’il s’est emparé du VIH. Et puis le VIH a bénéficié de tous ces financements parce que l’activisme au sein de la communauté gay. Tony Fauci, tout d’un coup, est devenu un courtier de pouvoir. Il avait le plus gros budget fixé par le NIH. Et tout cet argent était à disposition.

    [00:36:28] Et ainsi, Tony Fauci a pris le NIAID, son agence, qui est censé chercher l’origine de toutes ces maladies infectieuses, allergiques, auto-immunes et chroniques, au lieu de cela il l’a transformé en incubateur de produits pharmaceutiques. Le premier produit développé a été l’AZT, en collaboration avec GlaxoSmithKline, qui s’appelait à l’époque Wellcome Trust. Et ils l’ont développé et en ont fait le médicament le plus cher de l’histoire. C’était dix mille dollars par dose par an. […] La valeur des actionnaires de GlaxoSmithKline a augmenté de quelque chose comme 2,10 milliards de dollars dès qu’il a fait approuver ce médicament, qui est devenu un modèle pour ce qu’il a fait par la suite. Il a donc arrêté la recherche sur les maladies infectieuses et a commencé à développer des médicaments pour l’industrie pharmaceutique. Aux États-Unis, le laboratoire de Tony Fauci recherche des molécules efficaces contre différents virus, comme le coronavirus dans une boîte de Pétri, puis il dépose des gouttes de différentes molécules sur différents types de médicaments toxiques de chimiothérapie et d’autres médicaments existants, ou tout autre produit qui tue le coronavirus. Et s’ils trouvent quelque chose qui fonctionne, ils font des tests sur les animaux pour voir si ça tue les animaux et si ça tue le coronavirus mais pas les animaux, ils disent que c’est un médicament potentiel et ils font ça pour tout le monde, pas seulement pour le coronavirus, mais pour des centaines et des centaines de virus.

    [00:38:24] Et ensuite ils l’envoient aux universités, à ce qu’ils appellent les PIs, qui sont appelés les investigateurs principaux dans les universités. Et c’est ce dont vous parlez, c’est ainsi qu’il contrôle tous les scientifiques du monde, parce qu’il y a dix mille PI et la plupart d’entre eux sont des scientifiques très importants qui sont les chefs de départements à Harvard, à Columbia, à Berkeley, à Oxford. Et ce sont des scientifiques très puissants. Pourquoi ? Car ce sont eux qui reçoivent l’argent. Tony Fauci leur donne d’énormes quantités d’argent. Il peut vous donner environ 200 ou 300 millions de dollars pour faire une étude dans l’année. C’est ainsi que cet argent finance un médicament. Les labs de Fauci s’assurent que la molécule ne tue pas l’animal mais tue le coronavirus. Ensuite, il le confie, disons, à Columbia. Le chef du département de Columbia conduit les essais cliniques (phase 1, phase 2, phase 3). Pour la phase 1, c’est un petit groupe de personnes, peut-être deux cents. Et chaque personne que le scientifique recrute pour l’étude, Tony Fauci, leur donnera 15 ou 20 000 dollars. La moitié de cet argent va à l’université.

    [00:39:46] Donc maintenant l’université dépend de Tony Fauci. Donc l’université développe le médicament jusqu’à la phase 2, et si le médicament semble toujours fonctionner, ils le vendent à une société pharmaceutique comme Glaxo, Gilead, Johnson et Johnson, Merck, Pfizer. Et Tony Fauci garde sa part du brevet pour son agence, plus ses adjoints préférés qui obtiennent chacun des intérêts de brevet. Ces gars peuvent se faire 150 000 dollars par an avec chaque brevet qu’ils possèdent. C’est ainsi qu’il s’assure de la loyauté de tous au sein de son agence. Il peut donner à ces gars des brevets et ils font des tonnes d’argent ainsi et son agence peut garder la moitié des brevets comme ils l’ont fait avec le vaccin Moderna. Son agence possède la moitié des brevets. Ils gagnent ainsi des milliards et milliards de dollars. Il y a donc un conflit d’intérêt direct. Ensuite, l’université obtient une partie du brevet et le chercheur universitaire, le PI, obtient une partie des brevets, donc ils sont tous solidaires. Et il a 10.000 de ces gars-là dans le monde entier. Et qui sont ces gens ? Paul Offit, Peter Hotez, Arthur Caplan, tous ces scientifiques célèbres que vous voyez sur CNN et qui font la une des journaux, Andrew Pollard d’Oxford.

    [00:41:29] Ces gens sont tous des PI de Tony Fauci. On les voit à la télé et ils ont l’air de gens très crédibles et responsables. Tony Fauci les possède dans le monde entier. Et que se passe-t-il s’il y a un scientifique universitaire dissident ? Disons qu’un jeune scientifique de l’université de Harvard, naïf, se dit : « vous savez quoi, je vais faire une expérience. Je vais faire une étude. Je vais prendre les dossiers sur la vaccination. Je vais regarder les dossiers médicaux des HMOs. Et je vais déterminer s’il y a un lien entre le diabète et le vaccin Hib, le vaccin contre l’hépatite B, l’autisme ou les allergies alimentaires. Je pense que ce sera une étude fondamentale ». Dès que Tony Fauci apprend l’existence d’une étude, un de ses larbins appelle le doyen de l’école de médecine de Harvard et lui dit : « si vous laissez ce type faire cette étude, nous allons mettre votre université en faillite. Nous allons vous faire fermer parce que nous ne permettons pas que cette étude soit réalisée ». C’est ainsi que Tony Fauci contrôle la science dans le monde entier. Son budget annuel est 13 fois supérieur au budget annuel de Bill Gates. Il est donc beaucoup plus puissant que Bill Gates donne quelques milliards par an. Tony Fauci donne 7,6 milliards par an.

    [00:43:12] Tony Fauci se coordonne avec Gates et ils se coordonnent avec Wellcome Trust, qui est juste un énorme portefeuille d’actions pharmaceutiques qui est dirigé par Jeremy Farrar. Et tout ce qu’il fait est de servir les intérêts du paradigme pharmaceutique. Vous avez donc les plus grands bailleurs de fonds du monde qui fournissent probablement 90 % du financement aux entreprises pharmaceutiques et ils ne font pas de recherche sur l’origine des maladies. Ils font des recherches sur la façon dont nous développons les médicaments. Je vais vous dire une autre chose. Entre 2009 et 2016, plus de 200 médicaments ont été approuvés par la FDA dans notre pays et sont devenus des blockbusters nationaux et internationaux pour beaucoup d’entre eux, et 100 % de ces 200 médicaments sont issus de l’atelier de Tony Fauci. Il est donc le principal incubateur, de toute l’industrie pharmaceutique. C’est le type, vous savez, il n’est pas un régulateur. Il ne s’occupe pas de santé publique. C’est de la fiction polie pour dire que Tony Fauci s’occupe de santé publique ou Bill Gates s’occupe de la santé publique. Ils font la promotion des vaccins et des médicaments. C’est tout. Et ce sont ces types qui dirigent aujourd’hui les gouvernements de toute la planète. Et c’est effrayant pour nous car ils ne se soucient pas de la démocratie. Ils ne se soucient pas de la santé publique. Ils se soucient des profits, de l’industrie pharmaceutique et du contrôle de la population.

    SD : [00:44:48] Ok, j’ai deux autres questions, donc je…

    RFK, Jr : [00:44:51] J’ai seulement deux minutes de plus.

    SD : [00:44:52] Ok, c’est injuste ! L’une d’entre elles est que vous savez, nous avons entendu qu’il y avait certains sénateurs, Rand Paul et d’autres sénateurs qui voulaient avoir une enquête sur Tony Fauci en rapport avec les fuites d’emails et le fait qu’il aurait parrainé…

    RFK, Jr : [00:45:14] Le Président Biden, le 25 mai, a ordonné aux agences de renseignement de faire une enquête. Et cela va être très intéressant. C’est une enquête de 90 jours qui sortira le 25 août. Et nous espérons qu’elle sera publiée à peu près au même moment que mon livre.

    J’aimerais demander à vos auditeurs qui veulent savoir comment ils peuvent aider notre mouvement : « achetez mon livre ». Et je tiens à dire que 100% des bénéfices de mon livre, qui s’appelle The Real Tony Fauci, pour lequel vous pouvez aller sur Amazon aujourd’hui et l’obtenir. 100% des bénéfices sont reversés à Children’s Health Defense, CHD, le fonds pour lequel je travaille, Senta travaille et tous les autres avocats qui travaillent pour nous dans le monde entier. Je pense que nous avons déjà pré-vendu environ 5000 livres. Si nous pouvons pré-vendre 10000 livres avant sa sortie, il devient automatiquement numéro un sur la liste d’Amazon, du New York Times et de toutes ces autres listes. Et ce qui se passe ensuite, c’est que les libraires le déplacent à l’avant du magasin. Il y a tout un tas d’effets en cascade. Plus les gens connaissent Tony Fauci et savent pourquoi il est arrivé là où il est, plus notre mouvement est fort. Si vous voulez aider ce mouvement, faites vos achats de Noël maintenant, allez sur Amazon aujourd’hui, achetez un tas d’exemplaires du livre pour vos amis, pour votre famille. Et comme je l’ai dit, tous les bénéfices vont à CHD, à 100%. Vous aidez aussi beaucoup le mouvement parce que le livre va se retrouver au top de la liste des best-sellers et les distributeurs sont alors obligés de l’y mettre. Ils le mettent dans toutes les librairies des aéroports et dans les librairies du monde entier. Et de plus en plus de gens pourront le voir. et cela donne de la crédibilité et du sérieux à notre mouvement.

    SD : [00:47:25] Est-ce qu’il y aura des traductions, Bobbie ? Est-ce que le livre existera dans d’autres langues ?

    RFK, Jr : [00:47:32] Oui, nous allons traduire. Il sera traduit.

    SD : [00:47:35] Ok, c’est intéressant pour nous en Europe.

    RFK, Jr : [00:47:39] Vous savez, que CHD et The Defender sont en cinq langues. Nous sommes un mouvement global; nous devons parler aux gens dans beaucoup, beaucoup de langues.

    SD : [00:47:54] Je demande donc que la prochaine fois nous parlions de Bill Gates, car il y a beaucoup à dire là aussi.

    RFK, Jr. : [00:48:02] La moitié du livre est sur Bill Gates, l’autre moitié sur Tony Fauci. Donc si vous voulez connaître la vérité sur Bill Gates, achetez le livre !

    SD : [00:48:14] Oui. A propos de son lien avec Epstein (…) Je vais en parler très rapidement et ce sera une piste pour une autre interview. […] En 1987, Bill Gates était déjà avec Jeffrey Epstein au conseil d’administration de l’organisation caritative gérée par Apollo management, vous savez, en lien avec la CIA et le Mossad. Ce qui est intéressant pour nous, Européens, c’est qu’en 2013, je viens d’en entendre parler par un autre journaliste, en 2013, donc après qu’Epstein ait été condamné, etc. […] et que tout le monde savait qui il était, ils [Gates et Epstein] ont visité ensemble le Parlement européen à Strasbourg pour se renseigner sur les politiques de santé en Europe. Et puis, vous savez. Il faut se poser des questions, pourquoi Jeffrey Epstein voyage-t-il avec Bill Gates, qui à l’époque n’était pas impliqué dans l’OMS….

    RFK, Jr : [00:49:15] Envoyez-moi les preuves de cela ?

    SD : [00:49:19] Oui, bien sûr. C’est pour la prochaine interview alors.

    RFK, Jr : [00:49:23] Merci Senta: Merci de m’avoir reçu. Et merci pour tout le travail, l’incroyable travail que vous faites. Rendez-vous sur les barricades.

    SD : [00:49:36] Merci beaucoup. Et je suis très fière de faire partie du CHD, merci.

    RFK, Jr : [00:49:42] Nous sommes fiers de toi Senta. Merci.




    Inde : plainte pénale déposée contre GAVI, Bill Gates, Fauci… Peine de mort encourue

    [Source : francesoir.fr]

    [Voir aussi : Inde : condamnation à mort possible pour la scientifique de l’OMS après avoir déconseillé l’Ivermectine]

    Auteur(s): FranceSoir

    L’Indian Bar Association (Association des Avocats Indiens) a adressé un courrier au Premier ministre de l’Inde Shri Narendra Modi et au ministre de l’Intérieur Shri Amit Shah, qui les invite à prendre note de la plainte DHLTH/E/2021/09973 en date du 1er juillet 2021 déposée par le Secrétaire général du Conseil de sécurité des droits de l’homme (HRSC) M. A. Shaikh, contre le Dr Soumya Swaminathan, scientifique en chef de l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) et d’autres.

    Cette plainte les invite à prendre des mesures immédiates contre les accusés et à émettre des directives appropriées aux autorités légales pour qu’elles examinent l’affaire et prennent des mesures immédiates. Cela fait suite aux deux mises en demeure que l’IBA a envoyées à l’OMS (contre le Dr Soumya Swaminathan ainsi que Tedros Ghebreyesus) qui sont à ce jour restées sans réponse.

    L’avocate Dipali Ojha explique cela en détail dans son debriefing.

    La plainte de 132 pages enjoint les ministres à considérer en urgence la situation et surtout la « gravité » ou « extrême gravité »

    des questions qui sont posées qui ne concernent pas seulement les citoyens indiens, mais aussi la sécurité, la survie et le bien-être de l’humanité tout entière.

    Cette plainte annoncée et attendue prend en considération les éléments de réponse à la gestion d’une épidémie (les quatre piliers listés par le Pr McCullough) ainsi que les publications de diverses associations de médecins (FLCCC, AFLDS, IHU) en faveur des traitements précoces qui sont une alternative à la vaccination de masse, dixit Pierre Kory. Ceci est corroboré par le retour d’expérience de nombreux médecins indiens dans les Etats ayant mis en place les directives du ministère de la Santé sur l’ivermectine et l’hydroxychloroquine. Au sein de cet immense pays, on a pu observer l’effet de la vaccination de masse ainsi que celui des traitements précoce et prophylactique des Indiens, afin de gérer au mieux l’épidémie. Les Indiens ont subi les mêmes effets de censure, de suppression du « narratif » et des données scientifiques que ceux observés dans d’autres pays. Le summum étant une agence de santé (DGHS) périphérique qui a supprimée les traitements précoces alors qu’elle n’avait jamais exprimé d’opinion auparavant à ce sujet, démontrant la capture probable de certaines autorités par des influences externes. Rappelons que le ministère de la Santé a conservé les traitements précoces dans ses recommandations et est le seul compétent.  A l’inverse de la France, les autorités sanitaires (ministère) ont défendu par deux fois leur position en faveur des traitements précoces, remettant en cause les avis de l’OMS contre des associations d’avocats dont les commanditaires ne sont pas identifiés.

    Le périmètre et les demandes de la plainte sont clairement établis :

    1. une orientation immédiate pour la mise en œuvre du 72e rapport de la Commission parlementaire et des recommandations d’enquête et de poursuite des membres du bureau du « philanthrope toxique » et de la Fondation Bill & Melinda Gates du Syndicat des vaccins (GAVI) et des responsables concernés du Conseil indien de la recherche médicale (ICMR) qui sont considérés responsables de la mort de huit filles suite à l’usage de vaccins non autorisés, illégaux et non approuvés;
    2. une directive immédiate au Bureau central d’enquête (CBI) pour l’enregistrement du premier rapport d’information (FIR) pour enquête et action stricte (en vertu des articles 115, 109, 302, 307, 304, 419, 420, 471, 474, 188, 505, r / w 120 (B) &34 de l’IPC & sections de la loi de 2005 sur la gestion des catastrophes et d’autres dispositions des actes spéciaux contre tous les éléments contre l’intérêt national, contre l’humanité, et bio-terroristes) sur les « Groupements Pharma», « Groupement Tech » et les « Cyber Harceleurs » qui sont impliqués dans des infractions contre l’humanité entière entrainant un génocide, causés par leurs actes de commission et d’omission liés à la pandémie de Covid-19.
    3. des ordonnances avec effet immédiat aux autorités concernées :
      • i) émettre des avis de garde à vue et des mandats d’arrêt contre l’accusé dont l’implication est prouvée à première vue ;
      • ii) D’engager une action en saisie conservatoire de tous les accusés et de leurs sociétés ;
      • iii) Commencer l’interrogatoire de l’accusé en détention ;
      • iv) Effectuer un test de détection de mensonges, un test de cartographie cérébrale, un test narco de tous les accusés principaux tels que le Dr Soumya Swaminathan, le Dr Randeep Guleria, M. Arvind Kejriwal Le Dr Tedros Adhanom Ghebreyesus, le Dr Anthony Fauci, Bill Gates, Mark Zuckerberg, Jack Dorsey et d’autres.
    4. des directives immédiates à toutes les autorités pour
      • i) examiner sérieusement le Livre blanc de l’association American Frontline Doctors (AFLDS) sur le Covid-19 et les vaccins expérimentaux.
      • ii) ne forcer personne à se faire vacciner et se conformer strictement à l’arrêt de la Cour suprême et de diverses hautes cours concernant le droit fondamental de chaque citoyen à choisir son traitement.
      • iii) informer le public des dangers réels du vaccin.
      • iv) informer le public sur les autres médicaments éprouvés, sûrs et plus efficaces.
      • v) ne pas répandre la peur d’une nouvelle vague sans vérifier les preuves scientifiques.
    5. une directive appropriée selon le rapport soumis par le Comité d’experts au bureau du Premier ministre avec des recommandations de ne pas administrer de vaccins sur les personnes qui se sont rétablies de l’infection à Covid-19 et qui ont développés des anticorps.
    6. Des directives immédiates pour fournir une protection à tous les dénonciateurs et à leurs témoins qui ont déjà exposé et continuent d’exposer le Syndicat comprenant BIG PHARMA, BIG TECH et BIG SCIENCE.
    7. Direction pour la constitution d’un comité d’enquête distinct concernant le vent de la panique soudain pendant la deuxième vague de coronavirus en Inde, qui a été alimenté par des reportages incessants dans les médias sur la pénurie d’oxygène. Et pourquoi ledit battage médiatique a disparu dès l’apparition de l’enquête sur le ‘Tool Kit’ (kit contre la covid) a été commencée par la police de Delhi.

    Accusation principale de complot contre les accusés

    La plainte (paragraphe 26) porte contre tous les accusés qui sont tenus de répondre à l’accusation principale sur la base des documents, de preuves et de preuves de nature remarquable :

    Le principal accusé Bill Gates et ses alliés de GAVI (Alliance mondiale pour les vaccins et la vaccination) ont ourdi un complot visant à créer un marché fixe pour leurs vaccins et autres médicaments et dans ce complot, ils se sont joints à d’autres accusés. 

    Les autres sont Dr Anthony Fauci, conseiller médical en chef du président des États-Unis, M. Tedros Adhanom Ghebreyesus, Directeur général de l’OMS, Dr Soumya Swaminathan, scientifique en chef à l’OMS, Mark Zuckerberg, PDG de Facebook, Jack Dorsey, PDG de Twitter, Steve Chen, Chad Hurley et Jawed Karim, YouTube (Google), Arvind Kejriwal, Ministre principal, Delhi et que les autres personnes citées dans l’annexe T13 ou celles qui pourraient être accusés après enquête approfondie.

    Au paragraphe 26.3, on peut lire que les accusés ont commis un acte public dans la droite lignée d’un complot. Ils sont accusés par des actes de commission et d’omission, d’avoir :

    • i) créé de fausses données.
    • ii) supprimé et dissimulé de manière malhonnête des données réelles.
    • iii) distordu des faits importants.
    • iv) créé un narratif et un complot.
    • v) mis en place des politiques « préméditées » sur YouTube, Twitter, Facebook, etc. pour supprimer la vérité et empêcher l’information réelle de se propager
    • vi) supprimé des informations originales et scientifiques de plateformes telles que YouTube, Twitter et d’autres sur la base de « fausses politiques et conditions générales » allant à l’encontre des données scientifiques.
    • vii) publié des « vérification de faits » fausses et sponsorisées afin d’aller à l’encontre de la vérité et par la même d’entraîner la confusion dans l’esprit du public ; cela avait pour but de décourager les personnes, les scientifiques et les médecins qui possèdent des données scientifiques.
    • viii) réussi à « capturer » les agences de santé gouvernementales de nombreux pays pour obtenir les politiques et les règles formulées en fonction de leurs objectifs inavoués.
    • ix) entraîné la mort de personnes en s’assurant que ceux-ci ne devraient pas accéder ou obtenir les médicaments facilement disponibles, sûrs et abordables tels que l’ivermectine, l’hydroxychloroquine, la vitamine D3, etc. et ayurvédique ainsi que les traitements naturopathes.
    • x) généré la peur dans l’esprit des gens afin que le vaccin puisse être présenté comme la seule alternative pour traiter et ainsi sauver les gens ; facilitant ainsi la voie à une autorisation d’utilisation en urgence (EUA) du vaccin non approuvé.         
    • xi) supprimé les données sur les effets dangereux du vaccin ainsi que l’usage de nombreux médicaments « ad hoc » couvrant ses effets.
    • xii) dévoyé, dissimulé ou supprimé les données sur l’inefficacité des vaccins et la mort de nombreuses personnes et de nombreux médecins. Ceci a entraîné des pertes de repères des gens causés par les sophismes des « hommes de paille ».
    • xiii) sous-déclaré les décès dus aux vaccins au travers de la création de règles à leur convenance.
    • xiv) essayé d’aller à l’encontre de la science réelle à l’aide de la rhétorique, c’est-à-dire la fausse science portée par les sophismes « de l’homme de paille », la malhonnêteté intellectuelle et les théories du complot pseudo-scientifiques.
    • xv) en outre, le cerveau de la conspiration et chef du Syndicat des vaccins M. Bill Gates a déjà été reconnu coupable d’essais illégaux et non autorisés de vaccins et d’avoir causé la mort de huit filles. Dans son 72e rapport du 28.08.2013, la Commission parlementaire de l’Inde Rajya Sabha a déjà recommandé une action en justice contre les membres du bureau de la Fondation Bill &Melinda Gates , des responsables de l’ICMR et d’autres accusés divers responsables de ces crimes odieux contre l’humanité.
    • xvi) tous les accusés étaient et sont bien conscients que par leur acte de commission et d’omission, ils vont causer la mort de millions d’innocents. Cependant ils ont choisi l’argent plutôt que les valeurs humaines. Ce sont eux les délinquants de l’humanité. Ils sont coupables de génocide. Ils ont commis des meurtres de masse avec sang-froid.

    Ils ont enlevé les moyens de subsistance de l’homme du peuple et ont fait un enfer de la vie des pauvres. En raison de leurs conspirations, de nombreuses personnes qui ont réussi à survivre en prenant leurs médicaments toxiques souffrent maintenant d’effets secondaires graves ayant rendu leur vie misérable.

    Ils ne méritent aucune sympathie ou indulgence. Sinon, ce sera une injustice pour toutes les victimes et une injustice pour toute l’humanité.

    La peine minimale dans ce cas sera :

    a) la peine de mort
    et
    b) La saisie de tous leurs biens meubles et immeubles et leur distribution égale à tous les peuples du monde.

    D’autres questions importantes sont aussi mentionnées dans la plainte au paragraphe 2 mais suivent les mêmes bases qui comprennent la mise en cause des tests PCR, la censure et l’impossibilité pour les médecins d’échanger sur les réseaux sociaux sans risquer la censure.

    La plainte a été déposée le 1er juillet 2021 et signée par la représente de l’association Me Dipali Ojha.

    La plainte complète est disponible ci-après : Plainte [PDF]

    www.indianbarassociation.in

    Auteur(s): FranceSoir




    Doit-on avoir peur des variants, nouveaux croquemitaines du lobby de la peur ?

    Par Gérard Delépine

    Le Covid a quitté la France depuis avril 2021, comme d’ailleurs les autres pays européens, sauf la Grande-Bretagne où la vaccination a entraîné l’apparition d’un nouveau variant avec lequel le gouvernement essaie de nous terroriser.

    Les covidterroristes et leur politique d’emprise par la peur

    Les Covid terroristes sont inquiets : sans peur, ils ne pourront plus imposer des mesures liberticides. Alors ils inventent des simulations terrifiantes : la nouvelle vague (ce n’est qu’un scénario de film catastrophe créé par ordinateur) et une foule de variants en les affublant de tous les qualificatifs pouvant entretenir la panique et promouvoir les pseudo vaccins.

    Gabriel Attal, porte-parole du gouvernement, a développé le plan terreur actuel(([1] ce lundi matin 5 juillet sur France Inter)):

    « le variant Delta gagne du terrain très rapidement ». « Il double presque chaque semaine, on est aujourd’hui à plus de 30 % des contaminations. » Sa capacité à supplanter les autres variants pour devenir majoritaire dans les prochaines semaines ne fait plus de doute. « Une quatrième vague fin juillet est une possibilité.L’exemple anglais montre qu’une vague est possible dès la fin juillet”. Il faut continuer à se faire vacciner » « Le seul moyen d’empêcher une aggravation de la situation sanitaire est d’avoir recours à la vaccination. »

    Benoît Elleboode, très proche de Véran qui l’a récemment promu directeur de l’agence régionale de santé (ARS) de Nouvelle-Aquitaine, renchérissait :

    « Toute personne non vaccinée sera contaminée par le variant Delta… une personne non vaccinée et contaminée par le variant Delta pouvait contaminer six personnes en moyenne, contre une seule si le malade est entièrement vacciné »

    Mais curieusement, alors que le gouvernement passait jadis son temps à nous imposer chaque jour le nombre quotidien de cas et de morts, il ne donne plus aucun chiffre absolu. Et il oublie de préciser que ce variant, beaucoup moins mortifère que la souche initiale, peut être contrôlé par les traitements précoces.

    L’épidémie en France est au plus bas et ne justifie aucune inquiétude

    Depuis avril 2021, l’épidémie quitte le pays dans presque tous les pays européens. D’après l’OMS, en 1 jour (le 1/11/2020) la France avait comptabilisé 69 998 cas ; la semaine dernière la moyenne quotidienne de nouveau cas était inférieure à 2000. Et actuellement aucun élément objectif n’indique que la tendance puisse s’inverser.

    Le réseau Sentinelle qui rapporte les données de la médecine de ville confirme la quasi-disparition de l’épidémie : « en semaine 25, le taux d’incidence des cas d’IRA dus au SARS-CoV-vus en consultation de médecine générale a été estimé à 0,3 cas pour 100 000, ce qui représente pour l’ensemble de la France 170 nouveaux cas de COVID-19 ayant consulté un médecin généraliste. Ce taux continue à diminuer ».

    Alors pourquoi le gouvernement cache-t-il ces chiffres rassurants ? Pourquoi continue-t-il à propager la peur avec des variants dont le variant delta vedette actuel est certes plus contagieux, mais encore moins mortifère que le précédent.

    Le variant delta, plus contagieux, n’est le plus souvent qu’un gros rhume

    Les virus à ARN comme le coronavirus ou la grippe se transforment souvent pour s’adapter aux modifications de leurs environnements. Nous savons tous que chaque année nous sommes confrontés à un virus grippal nouveau qui a pris le dessus pour sa résistance au vaccin de l’année précédente. Le coronavirus n’échappe pas à la règle habituelle de l’évolution : plus il mute, plus il devient résistant au vaccin en cours, plus contagieux et moins mortifère.

    Lorsque le représentant du gouvernement tente d’affoler la population en faisant croire que le variant delta observé dans les Landes nous submergerait et nous tuerait tous. Il a « oublié » de préciser le nombre absolu de cas recensés et de rappeler sa bénignité habituelle. D’après Santé Publique France dans le département des Landes sur la période du 27 juin au 3 juillet, le taux d’incidence était de 49,8 cas pour 100 000 habitants, soit un total d’environ 200 cas (et en baisse par rapport à la semaine précédente). On sonne le tocsin pour 200 cas d’un virus très peu mortifère !

    Car si ce variant est effectivement plus contagieux, il est très peu chez les dangereux chez les non-vaccinés. Un gros rhume ! En Grande-Bretagne, où il prédomine depuis 6 semaines et où le nombre de contaminations quotidiennes atteint les records de février dernier, le nombre d’hospitalisations et la mortalité quotidienne n’augmentent pas sensiblement chez les non-vaccinés.

    En France, les deux morts du variant delta de l’EHPAD de Pontonx-sur-l’Adour étaient vaccinés, d’après le directeur départemental de l’ARS.(([2] Lou Bourdy, Variant Delta dans les Landes : un deuxième mort dans l’EHPAD de Pontonx-sur-l’Adour France Bleu Gascogne.27 juin 2021))

    L’aggravation de l’infection à variant delta par la vaccination est confirmée par un rapport officiel récent(([3] Public Health England SARS-CoV-2 variants of concern and variants under investigation in England Technical briefing 1725 June 2021)) montrant que les Anglais vaccinés, contaminés par ce variant, sont exposés à un risque vital trois fois supérieur à celui des non-vaccinés ! Ce sur risque traduit très vraisemblablement un phénomène d’anticorps facilitants comme dans la catastrophe/scandale sanitaire récente du Dengvaxia aux Philippines.(([4] Analyse d’une catastrophe sanitaire annoncée, la saga du Dengvaxia, vaccin contre la Dengue https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/analyse-d-une-catastrophe-217699)) Il est très regrettable que ce phénomène paradoxal ne semble pas avoir suscité pour l’instant des recherches qui pourraient permettre de l’éviter.

    Les responsables anglais de la vaccination prétendent que la très faible mortalité actuelle serait due à la vaccination, en oubliant que les autres pays européens ont bénéficié aussi d’une chute drastique de la mortalité dès février, mars ou avril 2021, bien avant que le pourcentage de population vaccinée atteigne les 10 %.

    Chiffres que même les mercenaires de la désinformation(([5] M.Bounafaa, S. Terragno : Vrai ou Fake : les vaccins sont-ils efficaces contre le variant Delta ? France info 02/07/2021)) n’ont pas pu contester ; ils ont dû se contorsionner en reconnaissant « en même temps » que le vaccin n’est pas efficace à 100 % et en prétendant (comme l’EMA le 1 juillet), que deux doses de vaccin anti-Covid-19 « semblent » protéger contre le très contagieux variant Delta, sans citer aucune étude scientifique qui le confirmerait, mais seulement des communiqués du fabricant et alors que l’épidémie à variant delta qui flambe chez les Anglais, pourtant très vaccinés, démontre le contraire.

    Heureusement, il n’y a pas de raison de s’en inquiéter. Outre que ce variant delta est naturellement peu mortifère chez les non-vaccinés, il est de plus remarquablement sensible à l’Ivermectine et à la chloroquine ainsi que la démontré l’Inde qui a jugulé la poussée épidémique post vaccinale de ce variant avec ces traitements.

    L’apparition de ce variant delta ne doit pas inquiéter. Il incite à ne pas se faire vacciner (pour ne pas aggraver son risque vital) et à se faire traiter dès les premiers signes cliniques par exemple selon le protocole de la Task Force Covid indienne.

    Les covidterroristes ont plus d’un variant effrayant à leur arc. L’OMS a déjà répertorié plus d’une dizaine de variants dont l’alpha, le bêta, le gamma, le delta, le zêta, l’êta, le thêta, le Kappa (et ses 4 sous variants), le lambda (et ses deux sous-variants) et l’epsilon. À ce rythme, l’alphabet grec ne va pas longtemps suffire. Heureusement que les alphabets cyrillique, hindou, persan, arabe recèlent de nombreuses lettres utilisables.

    L’invention de la menace « quatrième vague » par une boule de cristal

    Nous avons été astreints à domicile en mars 2020 sur la seule foi d’une prédiction apocalyptique totalement fausse issue du rapport 9 de l’Imperial College et de Neil Ferguson, sacré grand devin officiel de l’OMS par Bill Gates.

    Sa prophétie fausse a été prise pour parole d’évangile et a justifié l’astreinte à domicile de la population saine avec les malades (confinement aveugle) alors que les mesures classiques qui ont fait leurs preuves pour contrôler les épidémies ont toujours consisté à la séparation des malades et des personnes saines.

    Ce sont les élèves français(([6] et en particulier le mathématicien Simon Cauchemez, chef de service de modélisation de l’institut Pasteur)) de ce mage dangereux qui, depuis le début de l’épidémie, se gargarisent de leurs prédictions fausses et veulent, tous les deux mois, nous enfermer, nous empêcher de vivre, de nous rencontrer, de travailler, d’enseigner nos enfants et nos étudiants et édictent des mesures dictatoriales prétendument sanitaires, dont aucune n’a pu apporter la moindre preuve scientifique d’utilité. Leurs dégâts médicaux par retard de soins et dégradation psychique, et leurs conséquences scolaires, universitaires, sociales et économiques se sont avérés et considérables.

    La quatrième vague est la dernière invention du modèle mathématique faux dont les prédictions se sont toujours révélées erronées et qui nous ont coûté si cher.

    Il serait temps que notre stratégie anticovid soit enfin basée sur les faits avérés et sur l’expérience des médecins de terrain qui savent qu’une maladie infectieuse doit être traitée le plus tôt possible. Qu’on s’inspire des stratégies des pays dont les résultats sont bien meilleurs que les nôtres, plutôt que sur des élucubrations parfois fortement biaisées par des liens d’intérêt.(([7] Beaucoup de membres du comité prétendument scientifique sont liés aux firmes fabricant des vaccins et le but principal de la privation de nos libertés est de nous obliger à nous faire injecter des prétendus vaccins. Mr Cauchemez est salarié de l’Institut Pasteur qui n’existe que par les vaccins…))

    Le bon moyen de stopper le Covid, s’il revenait, est de le traiter précocement

    L’Inde est parvenue à stopper la vague post-vaccinale de covid19 par la prescription précoce de chloroquine et/ou d’Ivermectine. La comparaison des évolutions indienne et britannique est éloquente.

    Le bon moyen de limiter la mortalité est de traiter précocement

    La Grande-Bretagne, et la France ont suivi à la lettre les recommandations de Ferguson et de l’OMS, limitant leur stratégie aux confinements et à la vaccination. L’Inde, au contraire, a surtout centré sa stratégie sur l’utilisation précoce et/ou préventive de traitements anciens et bon marché repositionnés. Au 8 juillet 2021, l’Inde pleure 296 morts/million d’habitants contre 1923 en Grande-Bretagne et 1661/M en France.

    Conclusions

    Il ne faut pas avoir peur des variants et des vagues à venir que les Covids terroristes agitent pour continuer à nous gouverner par la peur.

    Le Covid traité précocement se comporte comme une mauvaise grippe. Ne nous précipitons pas sur des pseudo vaccins expérimentaux qui exposent à de nombreuses complications, déclenchent des pics d’épidémie et de mortalité sans donner une protection individuelle fiable, ni empêcher les transmissions virales, ni les récidives de l’épidémie.

    Aux premiers signes cliniques du Covid, exigeons les traitements qui ont fait leurs preuves en Inde.