Décryptage de la Pandémie de Covid-19. Un exercice d’ingénierie sociale

[Source : Les 7 du Québec à partir du Saker Francophone]

[Commentaires de] Robert Bibeau

Nous vous proposons aujourd’hui un texte que les hypocrites médias mainstream qualifie de « complotiste ». C’est qu’à travers quelques élucubrations sataniques (sic) l’auteur  présente une bonne synthèse de faits avérés concernant cette pandémie qui a les apparences d’un exercice en vue d’une guerre bactériologique en préparation. Laissons de coté les interprétations diaboliques de Grand Complot de l’Ordre Nouveau et examinons les données qu’il expose.  Pour ce qui est de l’idéologie du « conspirationnisme« , voici une citation de L’Idéologie allemande qui remet les choses en perspective:  «À toute époque, les idées de la classe dominante sont les idées socialement dominantes : autrement dit, la classe qui est la puissance matérielle dominante de la société est en même temps la puissance spirituelle dominante. La classe qui dispose des moyens de la production matérielle dispose en même temps, de ce fait, des moyens de la production intellectuelle, si bien qu’en général, elle exerce son pouvoir sur les idées de ceux à qui ces moyens font défautLes pensées dominantes ne sont rien d’autre que l’expression en idées des conditions matérielles dominantes, ce sont ces conditions conçues comme idées, donc l’expression des rapports sociaux qui font justement d’une seule classe la classe dominante, donc les idées de sa suprématie.»  

Robert Bibeau. Éditeur https://les7duquebec.net


Tout le monde a pu voir récemment un certain nombre de très grands médecins et de professeurs en infectiologie, immunologie, génétique ou virologie se succéder sur les plateaux de télévision et de radio pour expliquer qu’ils ne comprenaient rien à la gestion de cette crise de la Covid-19 et aux différentes situations politiques paradoxales qui se sont enchaînées dès l’apparition du SARS-COV2 dans le monde.

Le professeur Christian Peronne, brillant médecin-professeur français exerçant à l’hôpital de Garches en région parisienne est l’un d’entre eux. Apparaissant de plus en plus interloqué émission après émission, il vient de publier récemment un livre dans lequel il recense « les erreurs majeures» que le gouvernement français aurait commis durant cette crise.

Or Monsieur Peronne fait radicalement fausse route comme d’ailleurs la plupart «des gens normaux» qui pensent que Boris Johnson s’est retrouvé à côté de la plaque ou encore qu’Agnès Buzin et son Comité scientifique «se sont retrouvés dépassés».

Le souci c’est qu’en réalité, les gouvernements de la planète n’ont commis aucune erreur même si c’est ce que l’on voudrait bien nous faire croire. Ils n’ont fait que suivre les consignes qui leur étaient données par le Conseil Mondial lequel est sous l’emprise totale des eugénistes et malthusiens tels que Bill Gates ou David Rockfeller. (sic – le conspirationnisme pointe son nez. ndlr).

Au total, ce ne sont pas moins de 194 états dans le monde qui ont ratifié le Règlement Sanitaire International (RSI – 2005) de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS). Règlement, rappelons-le, qui prévoit qu’en cas de crise sanitaire majeure, tous les états membres s’engagent à respecter toutes les consignes émanent du Conseil Mondial et à faire en sorte que toutes ces consignes priment sur les lois et les codes juridiques des états.

Mais nous allons développer tout ceci un peu plus loin car c’est très important, d’autant plus que le Parlement Européen a fait promulguer une loi extrêmement dangereuse le 10 juillet 2020 afin de permettre la vaccination des individus et de leur inoculer des OGM dont on ne sait absolument rien.

Qu’il s’agisse de Christian Peronne en France, d’Alberto Zangrillo en Italie ou de Denis Rancourt au Canada, on est toujours dans le même cas de figure. Celui où des gens innocents, naïfs et fondamentalement bons ne voient jamais «le Mal» tel que l’on devrait le voir, c’est-à-dire dans son essence la plus absolue et la plus machiavélique qui soit. Ils en sont incapables car ils pensent que tout le monde est comme eux.

Ils ne voient que des imperfections, des incohérences, des incompétences et des erreurs commises. Et comme leur nature est intègre et qu’ils sont des gens fondamentalement honnêtes, ils sont incapables de percevoir et de comprendre que cette crise du COVID vient de très loin et qu’elle a été intégralement orchestrée de A à Z. (sic. disons que c’est une hypothèse de recherche. ndlr).

Est-ce que quelqu’un se rappelle de la cérémonie macabre de l’ouverture des Jeux Olympiques de Londres en 2012 ? Non ? Et bien il faut la revoir. Le thème tournait autour d’une pandémie et pour tous les passionnés d’eurythmie, l’événement était truffé d’images satanistes et maçonniques. (un autre petit coup de complotisme. NDLR)

Alors prémonition, prédiction ou hasard ?

En termes d’hypothèse tout est possible mais nous allons voir que rien n’est dû au hasard. Avec le recul, nous pouvons même penser que toutes ces histoires de nems de chauve-souris mal cuits et de pangolin mal grillé pour être revendu par un «Street cooker» dans un marché de Wuhan ne sont que des histoires pour enfants. Rien d’autre. (ici le conspirationniste renvoi les autres conspirationnistes à leurs marmites. ndlr).

La preuve est que nous sommes déjà à la mi-septembre et nous n’avons toujours pas trouvé de patient « zéro ». Tout nous laisse penser que nous le trouverons pas (exact. ndlr).

La réalité est bien plus scabreuse, bien plus machiavélique et bien plus maléfique que tout ce à quoi l’on veut nous faire croire.

Le hasard, comme le disait Einstein« c’est Dieu qui se promène incognito » et en arabe, ce terme désigne la chance ou le succès. C’est-à-dire, au sens probabiliste du terme, le fait qu’un événement considérablement improbable et incertain se réalise avec une précision divine.

Si tel est peut-être le cas dans le domaine de la physique quantique et relative ou encore dans le domaine des statistiques, c’est-à-dire dans ces domaines des sciences exactes où Dieu se promène partout entre la masse du proton, la fleur de vie et le nombre d’or, ce qui relève de la certitude, c’est que dans le domaine de la physique des affaires politiques, de l’ingénierie sociale et du contrôle des populations — et des pandémies évidemment —, Dieu n’y est pour rien.

L’homme en revanche y est quasiment pour tout et les crises ne sont bien souvent rien d’autres que des zones d’incertitudes, de risques et d’opportunités dans lesquelles ceux qui maîtrisent les événements et le temps, réalisent de formidables sauts qualitatifs. Ce qui veut bien dire que les crises sont délibérément organisées et déclenchées à des fins précises et aux moments voulus.

Dans la réflexion, la planification, l’organisation, le contrôle des médias, la manipulation génétique, la recherche d’armes biologiques et bactériologiques, la dissémination délibérée d’un virus ou derrière un lockstep [traduction compte tenu du contexte : verrouillage] économique et un lockdown [traduction : confinement] des populations, l’homme est partout. Il pense à tout.

Qu’il s’agisse du conditionnement éducatif de nos enfants, de la manipulation des foules, de la répression et de l’intimidation des groupes réactionnaires comme ce fut le cas en France avec les gilets jaunes ou qu’il s’agisse de terrorisme affectif, l’homme pense vraiment à tout.

Pour vous convaincre par les sentiments, par exemple, la fabrique du consentement vous répétera, jusqu’à ce que vous le répétiez vous-même à vos semblables, par mimétisme social ou par amour de la servitude volontaire, que vous ne devez surtout pas rendre visite à vos grands-parents dans leur maison de retraite au prétexte que vous pourriez les tuer en leur transmettant un virus mortel.

Adorable petite fille jouant avec le chapeau d’un homme âgé sur fond de nature. Le concept de deux générations différentes.

Un peu comme si Orwell vous disait que « la guerre c’est la paix, la liberté c’est l’esclavage, l’ignorance c’est la force ».

Sans doute est-ce là encore un non sens qui créé évidemment de la dissonance cognitive mais beaucoup le croient. La naïveté des hommes est sans limite.

Qu’importe que ceux qui nous aiment et qui ne vivent maintenant que pour voir leurs petits enfants grandir, meurent de solitude, de stress et d’angoisse, de soif, d’abandon ou de désespoir, l’important est que vous, vous ne soyez pas responsable de leur mort.

En France, le 27 mars 2020, le gouvernement n’a pas hésité à interdire le traitement des patients atteint de la COVID-19 par hydroxychloroquine, basant son décret sur l’étude truquée de la revue « The Lancet » et si les responsables de cette revue ont reconnu leur erreur, le gouvernement lui n’a pas changé d’avis.

Déclarant ainsi dangereuse, une molécule prescrite depuis plus de 60 ans à travers toute la planète et dont le Docteur Fauci disait, en 2005 dans un article, que cette molécule était d’une efficacité redoutable pour traiter le SARS-COV1 mais aussi tous les coronavirus.

Alors complot contre la santé ou hasard de calendrier ?

Il y a quelques jours, le New York Times publiait encore un article dans lequel l’auteur expliquait que le confinement avait tué 10 fois plus de gens que le virus lui-même mais cette information est passée totalement inaperçu dans les médias européens.

Par le terrorisme émotionnel, pour vous donner un autre exemple, la fabrique médiatique du consentement vous fera toujours croire que si vous ne voulez pas que votre bébé meure dans d’atroces souffrances, vous devez impérativement le vacciner contre une bonne douzaine de maladies et ce, avant même que son corps ait acquis sa propre immunité.

Qu’importe que votre enfant devienne plus tard autiste ou que les effets secondaires irréversibles de ces vaccins le rendent stérile ou développent chez lui, 30 ou 40 ans après, toutes sortes de maladies neuro-dégénératives qui seront beaucoup plus graves que les maladies contre lesquelles il est censé être immunisé.

L’important, pour tous ces ministres de la santé qui ne sont en réalité rien d’autres que les représentants commerciaux des grands firmes pharmaceutiques, est juste que vous injectiez toute une série de vaccins payants dans le corps de ce petit être encore fragile et innocent, cet incroyable miracle de la nature.

Seuls comptent pour eux le volume des ventes, la rentabilité des investissements consacrés à la recherche et au développement et la hausse du cours de l’action de la société.

L’homme de pouvoir et assoiffé de contrôle, a toujours la fâcheuse tendance à toujours vouloir se prendre pour le Créateur et à toujours vouloir tout manipuler et refaire à sa place et je ne parle pas là des chefs d’état et des gouvernements qui ne sont que de simples exécutants. Je parle de ceux qui ont réellement le pouvoir. Ceux qui financent les bourses d’études et les campagnes électorales de ceux-là mêmes qui deviendront ensuite leurs débiteurs. Ceux dont on ne parle jamais  (ou moins souvent disons. ndlr).

Pourtant ces acteurs de l’ombre impriment la monnaie et décident de votre paix si vous leur contractez un prêt ou installez une de leurs banques centrales sur votre territoire. Le cas échéant, comme ce fut le cas en Libye, ils décident de vous renvoyer à l’âge de pierre.

« Le monde », disait Nicholas Butler« se divise en 3 catégories : un très petit nombre qui fait se produire les événements, un groupe un peu plus important qui veille à leur exécution et les regarde s’accomplir, et enfin une vaste majorité qui ne sait jamais ce qui s’est produit en réalité ».

Ce que nous proposons ici est une grille d’analyse de la situation d’aujourd’hui car oui, l’homme de pouvoir et de contrôle souhaite tout contrôler et surtout quand il s’agit de contrôler l’avenir et l’évolution démographique et génétique de notre espèce.

L’opération COVID-19 est une pure opération d’ingénierie sociale et nous allons le voir.

Derrière la terreur et la psychose, plus de contrôle et encore moins de Liberté

Les eugénistes et les malthusiens disent souvent que rien n’est plus dangereux pour notre planète et notre avenir que la surpopulation.

À Alberton, dans l’état de Géorgie aux États-Unis, ces grands penseurs de l’avenir de l’humanité ont même gravé cette recommandation démographique dans le marbre et pour être bien sûr que personne ne l’oublie, ils l’ont faite graver et écrire en 8 langues sur 6 énormes blocs de marbre ne pesant pas moins de 108 tonnes.

Maintenez l’humanité en dessous de 500 millions d’individus en perpétuel équilibre avec la nature.

Très bien et merci du conseil mais nous sommes actuellement 7,5 milliards d’individus et pour atteindre cet objectif, je pense que nous avons ici « un léger » problème. Alors comment faire…

John Holdren et Paul et Anne Ehrlich ont apporté des solutions. Ils les ont même écrites et publiées dans un livre qui s’appelle « ECOSCIENCE ». Un livre fou dans lequel on peut lire toute une série de mesures pour mener à bien cette opération de réduction de la population planétaire comme le fait d’« ajouter des stérilisants dans l’eau du robinet et les aliments de base, des perturbateurs endocriniens, de légaliser les drogues et les neurotoxiques » ou encore de « libérer des virus hautement pathogènes ». Voilà qui est intéressant.

Rien n’est inventé et tout est dans ce livre qui est « La référence et la bible » des mondialistes tels que Bill Gates ou David Rockfeller lequel disait encore il y a quelques années que « nous sommes à la veille d’une transformation globale et tout ce dont nous avons besoin, c’est d’une bonne crise majeure pour que les nations acceptent le Nouvel Ordre Mondial »  (une crise de complotisme. ndlr).

John Holdren a été un collaborateur particulier d’Obama et il est un ami proche des Clinton, de Bill et Melinda Gates et de David Rockfeller.

En mai 2010, la Fondation Rockfeller a publié un rapport extrêmement intéressant sur son site.

Il s’intitule : «Scenarios for the Future of Technology and International Development ». Ce rapport est public et tout comme dans ECOSCIENCE, on y trouve tout ce qu’il faut savoir sur les pandémies, les confinements et les vaccins. De plus en plus intéressant n’est-ce pas.

A la page 18 de ce rapport, on y trouve un chapitre intitulé « LOCKSTEP », c’est-à-dire la mise à l’arrêt ou le verrouillage économique mondial en cas de pandémie. Certes il ne s’agit que d’un scénario sous forme de dystopie mais aujourd’hui il est malheureusement bien réel et tout ce qui nous est arrivé y est décrit avec une précision inouïe.

Or on ne peut pas comprendre la crise de la COVID-19, comme c’est le cas pour les professeurs Perrone, Raoult, Henrion-Caude, Toubiana ou Toussaint, si l’on ne se donne pas la peine de contextualiser ce jalon sanitaire dans le temps long [long terme]. C’est-à-dire de le voir comme l’étape d’un programme mondialiste plus global et plus complexe.

Les auteurs de ce scénario morbide n’ont fait que se pencher sur la question du comment faire pour arrêter l’économie mondiale et imposer toutes sortes de restrictions et de mesures aux populations. Ils ne sont pas à l’origine de ce projet pour ce qui est de l’aspect économique, écologique et logistique, de l’exploitation et de la gestion de nos ressources. L’idée est née en 2005, dans le rapport Meadows réactualisé. C’est là où il était déjà question de LOCKSTEP à un horizon de 15 ans.

Il est intéressant de noter que le premier vice-président du Club de Rome a été David Rockfeller. Celui-là même qui a commandé le premier rapport Meadows et qui a été publié en 1972.

Dès l’antiquité les mésopotamiens, les égyptiens et les chinois recensaient leur population pour s’assurer un parfait contrôle démographique. Il s’agissait d’une question existentielle fondamentale car c’est de la bonne gestion des ressources caloriques et des effectifs humains aptes à défendre puis assurer la protection de l’espace vital, que dépendait la survie du groupe.

Cette question du recensement et de la maîtrise démographique des populations, à des fins martiales ou socio-économiques, pour le travail dans les champs puis dans les mines et les manufactures, a toujours obsédée les hommes et a toujours fait partie de notre histoire. C’est une question essentielle.

Ce qui vient bousculer cette question plutôt simple pour notre époque, c’est l’arrivée de l’intelligence artificielle.

Il n’y a pas de hasard rappelons-le. Tout est calculé et pensé plusieurs dizaines d’années à l’avance (ceci est absolument faux – et les prévisions sont toujours hight or low. ndlr [NdNM : la réalité est plus probablement située quelque part entre ces deux affirmations]).

En démographie, il est même très courant de faire des projections sur plusieurs centaines d’années (jamais confirmées. ndlr).

Bill Gates, dans une interview accordée à John Kennedy Junior et qui a été publié dans le magazine mensuel George en février 1997 sous-titrée « guide pour le futur 2020 », il dit exactement ceci : « je finance des projets d’éducation, je finance le contrôle de population, je suis très impliqué dans le programme United Way ». C’est à la page 101 du magazine pour ceux qui ont chez eux ce numéro qui se vend sur le marché des collectionneurs à plus de 5000$.

Pendant que la plupart d’entre nous avons le nez dans le guidon ou vivons comme les rats de Didier Desor, c’est-à-dire à essayer de survivre dans cette « rat race » perpétuelle sans comprendre réellement le sens du miracle de la vie, d’autres réfléchissent pour nous.

Ils pensent, prévoient et organisent nos vies, à tort ou à raison, jusqu’à décider de qui est utile sur cette planète et qui ne l’est plus.

S’il faut bien comprendre une chose aujourd’hui, c’est que l’accélération technologique et l’accélération de l’innovation, mais surtout la pénétration de l’intelligence artificielle dans tous les aspects de notre vie quotidienne, vont inéluctablement changer le monde pour toujours.

Il faut être vraiment naïf ou incroyablement rêveur pour croire que les fondations telles que la fondation Rockfeller ou la fondation Bill et Melinda Gates investissent des milliards de dollars dans la recherche biologique et bactériologique ou dans les vaccins pour le bien être de l’humanité (voici une vérité avérée. ndlr).

Comment peut-on croire naïvement un seul instant que ceux qui veulent nous sauver des virus et des pandémies  sont ceux-là même qui essaient de maîtriser et de réduire la population ? (Les mêmes qui financent la recherche sur ces virus létaux. ndlr).

Muammar Kadhafi, paix à son âme, dans son extraordinaire et mémorable discours du 23 septembre 2009 à l’ONU, disait que « les virus étaient créés et propagés dans le monde pour que les entreprises pharmaceutiques fassent des profits grâce à la vente des médicaments ».

Il ajoutait que « les médicaments et les vaccins ne devaient pas être vendus. Les médicaments ne se vendent pas. Annoncez la gratuité des médicaments et des vaccins dans le monde », disait-il «  et vous n’aurez plus jamais de virus en circulation car les virus sont créés pour que des vaccins soient mis au point pour que les grandes entreprises capitalistes en tirent profits » (Voilà deux autres vérités avérées que Kadhafi a osé répéter… il en est mort. ndlr).

 Kadhafi avait-il tort à ce sujet ? Rien n’est moins sûr. Mais attendez, tout n’est pas qu’une question de profit.

Il y a environ un peu plus de 2 ans et demi, le 11 janvier 2017 plus exactement, le docteur Antony Fauci que nous ne présentons plus, nous prophétisait avec une certaine audace et un aplomb dont lui seul a le secret, qu’il n’avait « aucun doute sur le fait que Donald Trump aurait à faire face à une pandémie avant la fin de son mandat ».  (???)

Événement incroyable mais vrai, Donald Trump et le monde entier affrontent aujourd’hui une pandémie.

Curieuse prédiction n’est-ce pas ? Surtout lorsque l’on sait que l’intégralité des médias de la planète à l’époque titrait quotidiennement que Donald Trump était un fou et un va-en-guerre et que nous étions tous les jours à 2 doigts de l’apocalypse ou d’une guerre atomique généralisée.

Rappelez-vous de ce qu’écrivait la presse française en 2017 même si le ton est toujours le même : Donald Trump veut la guerre contre « Rocket Man » et la Corée du Nord, Donald Trump peut déclarer la guerre à Rohani ou encore Donald Trump menace Maduro et les vénézuéliens.

Résultat après presque 4 ans de présidence : zéro guerre et plusieurs accords de paix signés grâce à son action. Alors virus de la nature ou virus délibérément propagé ?  (Question tout à fait pertinente. ndlr).

Dans un rapport de l’OMS publié en septembre 2019 et qui s’intitule Global Preparedness Monitoring Board et dont un des auteurs est Antony Fauci, il est exactement question de la dissémination délibérée d’un virus respiratoire mortel à des fins d’exercice sur la période septembre 2019-septembre 2020.

Au paragraphe « Indicateurs de progrès », il est écrit :

Les Nations Unies (y compris l’OMS) organisent au moins deux exercices de formation et de simulation à l’échelle du système, dont un couvrant la dissémination délibérée d’un agent pathogène respiratoire mortel.

L’OMS met au point des facteurs déclencheurs intermédiaires pour mobiliser une action nationale, internationale et multilatérale dès le début d’une flambée, afin de compléter les mécanismes existants pour les stades ultérieurs et plus avancés d’une épidémie dans le cadre du RSI (2005).

Le Secrétaire général de l’Organisation des Nations Unies convoque un dialogue de haut niveau avec les responsables de la santé, de la sécurité et des affaires étrangères pour déterminer comment le monde peut faire face à la menace d’une pandémie due à un agent pathogène respiratoire mortel, et pour gérer la préparation aux épidémies dans des situations complexes où règne l’insécurité.

The world looks wobbly" according to The World in 2019

Dans le magazine hebdomadaire The Economist et dans un des numéros paru en fin d’année 2018 et qui s’intitule « The World In 2019 », il était déjà question de la survenue d’un événement exceptionnel qui allait semer la mort et l’apocalypse à travers le monde.

Sur la première de couverture, où les fans de ce magazine y trouvent toujours une page entière consacrée à l’eurythmie où le jeu consiste à deviner (ou se préparer) pour tous les événements de l’année à venir, on peut y voir beaucoup de dessins comme notamment ceux du président chinois en Pinocchio (le menteur), un QR code sur un téléphone, un ARN incomplet ou encore une cigogne portant un bébé avec un code barre.

Mais les plus intéressants de tous ces dessins sont les figures représentant les 4 cavaliers de l’apocalypse, le panda fâché regardant Donald Trump et le pangolin.

Alors pour en revenir à nos probabilités et aux événements improbables et incertains, c’est-à-dire aux cygnes noirs, pourquoi diable les Rothschild, qui sont les propriétaires de ce magazine et les initiateurs de ce jeu annonciateurs pour initiés, ont-ils choisi le pangolin pour figurer sur cette première de couverture alors qu’il existe près de 8 millions d’espèces animales dans le monde ?

J’en avais déjà parlé dans un article paru en février 2019 intitulé « Vers davantage de contrôle et moins de liberté » mais je n’avais toutefois pas précisé que l’événement dont il était question et qui allait survenir en 2019, allait être une pandémie.

Il est vrai aussi que le fait de voir ce panda fâché dévisager Donald Trump et qui reste inflexible et déterminé peut nous laisser penser que l’apparition du SARS-COV2 dans le monde relève d’un début de guerre bactériologique entre la Chine et les États-Unis.

D’autant plus qu’il y a environ un peu plus d’un 1 an, le 5 août 2019, nous apprenions par l’intermédiaire du New York Times qui rapportait dans un de ses articles, que l’armée de terre américaine venait juste d’ordonner la fermeture du laboratoire militaire de Fort Detrick dans le Maryland. Laboratoire militaire de classe Pathogène 4 (P4) donc de très haute sécurité, rappelons-le, et dans lequel ne sont effectuées que des recherches au contact de virus exceptionnellement mortels à des fins de production d’armes biologiques et bactériologiques.

Il est important par ailleurs de noter que le laboratoire de Fort Detrick avait déjà été au cœur de plusieurs scandales aux États-Unis dont celui qui a donné lieu à l’affaire « Drop Kick », opération militaire durant laquelle l’armée américaine a délibérément relâché dans des zones civiles des centaines de milliers de moustiques porteurs de la malaria à des fins de tests.

Il s’agit juste d’une parenthèse importante pour bien faire comprendre aux lecteurs que quand une organisation militaire ou scientifique veut relâcher un virus dans la nature à des fins d’exercice ou de test, il ne s’agit pas de complotisme. Cela existe et l’opération « Drop Kick » n’a pas été une erreur et un cas isolé. (Voilà d’autres faits avérés. ndlr).

Si à cela on ajoute d’autres événements tels que l’assassinat étrange du chercheur sino-américain Bing Liu, la fuite rocambolesque de la chercheuse chinoise Juan Tang pour se réfugier dans l’ambassade chinoise de San Francisco et dans le même temps la fuite « à la Spy Game » de la chercheuse et spécialiste mondiale des coronavirus Li-Meng Yan vers les États-Unis, il y a vraiment de quoi être dérouté.

Cependant, après quelques mois de réflexion et un peu de recul, ce que nous trouvons sur le site du Forum Économique Mondial nous démontre bien que la première hypothèse est la bonne, la seconde est un leurre.

À savoir que nous sommes bien dans le cas où la dissémination délibérée d’un virus respiratoire mortel a pour objectif d’amener l’humanité à changer de paradigme.

Si vous vous rendez sur le site du Forum Économique Mondial et que vous vous allez sur l’onglet « platforms » et que vous cliquez ensuite sur « covid action platform » vous y lirez déjà des informations extrêmement intéressantes.

Déroulez ensuite votre curseur et cliquez après sur le graphique en forme de coronavirus tel que celui-ci-dessous. C’est le même. Il va s’afficher et devenir interactif.

Cliquez ensuite sur « Avoiding COVID-19 Infection and Spread ». C’est stupéfiant.

Vous y verrez clairement que si vous voulez sortir de cette pandémie et en éviter d’autres, la seule piste qui vous est proposée est celle du gouvernement mondial, de la transhumance [du transhumanisme] et la voie du vaccin.

Alors si nous savons déjà beaucoup de choses sur le gouvernement mondial, l’intelligence artificielle et l’homme augmenté, ce que nous savons moins en revanche et dont nous avons moins connaissance, ce sont toutes ces choses satellites au vaccin et c’est là, où les choses deviennent très intéressantes.

Dans le brevet qu’a déposé Microsoft le 26 mars 2020, il est écrit :

L’activité du corps humain associée à une tâche fournie à un utilisateur peut être utilisée dans un processus de minage d’un système de cryptomonnaie. Un serveur peut fournir une tâche à un dispositif d’un utilisateur qui est couplé de manière à communiquer avec le serveur. Un capteur couplé de manière à communiquer avec un dispositif de l’utilisateur ou compris dans ce dernier peut détecter l’activité corporelle de l’utilisateur. Des données d’activité corporelle peuvent être générées sur la base de l’activité corporelle détectée de l’utilisateur. Le système de cryptomonnaie de la présente invention couplé de manière à communiquer avec le dispositif de l’utilisateur peut vérifier si les données d’activité corporelle satisfont une ou plusieurs conditions définies par le système de cryptomonnaie, et attribuer une cryptomonnaie à l’utilisateur dont les données d’activité corporelle sont vérifiées.

Alors quelques questions se posent et elles sont les suivantes :

  • Comment va-t-on équiper tous les êtres humains de censeurs qui pourront à la fois détecter le mouvement des bras et des jambes, la position assise ou couchée, l’activité physique de l’activité cérébrale ?
  • Quel est le rapport entre les cryptomonnaies, la 5G et les données d’activité corporelle ?
  • Est-ce que le futur vaccin contenant cet ARN génétiquement modifié et dont l’autorisation de mise sur le marché a été voté ce 10 juillet 2020 par le parlement européen n’a pas vocation à modifier notre ADN et le rendre facilement identifiable par un réseau d’intelligence artificielle ?

Même s’il est difficile de répondre à ces questions dans l’immédiat, il est très important de bien comprendre que l’ère dans laquelle nous entrons est inéluctablement celle de l’intelligence artificielle. Dans cette nouvelle ère, ce qui est également très probable est le fait que beaucoup d’êtres humains n’y trouveront sans doute plus leur place et deviendront obsolètes. (Un autre assertions très plausible en effet. ndlr).

Ils seront progressivement éliminés. (Ca c’est moins certain –  c’est le problème des complotistes – ils déifient leurs bourreaux et pensent que les péquenots victimes du système ne peuvent pas résister ni se révolter.  Erreur – Leurs crimes nous feront réagir à coup sur. ndlr [NdNM : la réalité pourrait, encore une fois, se situer plutôt entre ces deux affirmations.]).

De la même façon qu’aujourd’hui les chiens robots sont venus progressivement remplacer les soldats au devoir, à la surveillance frontalière ou en zone de guerre, il est évident que le Capital de demain ne pourra pas garder et payer les gens à la maison à ne rien faire car absolument tout sera remplacé par l’intelligence artificielle. Y compris la police et l’armée et ce n’est absolument pas une fiction. (Oui, beaucoup de fiction à mon avis. ndlr).

Quant aux autres, ceux qui resteront, les augmentés, ils seront tous inéluctablement tous bio-connectés à une intelligence artificielle qui les gérera ou les éliminera s’il y a lieu de le faire. Nous le répétons, ce n’est pas de la science fiction et nous ne sommes pas dans un film.

Tout ceci est la réalité mais il est encore très difficile de la saisir dans le temps présent alors que la compréhension de l’ensemble du projet s’inscrit, elle, dans le temps long [long terme].

Cette « pandémie » qui a été mise au point par tous ces gens machiavéliques qui décident de l’avenir des peuples et dirigent le monde, n’a rien d’un jeu pour enfant.

Comme l’explique l’OMS à travers ses publications et comme le publie également le Forum Économique Mondial sur son site, nous sommes en droit de nous demander quelle sera alors l’issue de cette partie finale qui se jouera entre ceux qui veulent nous contrôler et nous posséder d’une part et ceux qui ne veulent pas de ce projet d’autre part ? (Le prolétariat ne veut pas [et] ne peut pas tolérer ces projets et il sera acculé – obligé – de réagir pour ne pas périr. ndlr).

Pour répondre à ces nombreuses questions qui pointent du doigt les incompétences et les erreurs des gouvernements dans la gestion de cette crise et cet entretien de la terreur par les effets statistiques via la propagande médiatique, force est de constater qu’il ne s’agit pas d’erreur mais bien de stratégie.

Le 18 octobre 2019, au Johns Hopkins Center for Health Security à New York, il s’est sans doute tenu, concernant l’avenir du monde, la réunion la plus importante de toute l’année 2019.

Il s’agit de l’Event 201.

Cette réunion, organisée en partenariat entre le centre John Hopkins, la fondation Bill et Melinda Gates et le Forum Économique Mondial, avait pour objectif de préparer l’exercice dont parle l’OMS dans son Global Preparedness Monitoring Board de 2019. Elle s’est tenue en public avec des invités triés sur le volet et sous forme d’une pièce de théâtre où chacun avait un rôle bien précis. La simulation consistait à se préparer à la prochaine pandémie mondiale qui, selon les chiffres avancés lors de cette réunion, allait faire plus de 65 millions de morts sans compter les dégâts incommensurables qu’une telle catastrophe allait provoquer sur l’économie globale : soit une chute du PIB mondial de 11 points.

Ce qui est intéressant à savoir c’est que tous les gouvernements et la plupart des grands médias de la planète étaient au courant de cette réunion. Seulement personne n’en a parlé. La consigne était de ne pas en parler. Pourtant cet exercice n’était pas qu’une simulation, c’était une véritable préparation à la pandémie qui allait venir quelques semaines plus tard mais si vous répétez cela, vous serez désigné comme complotiste et vous serez discrédité à vie.

Si vous regardez bien le parcours professionnel des personnages politiques en fonction, vous verrez que la plupart des Ministres de la santé viennent presque tous du privé et ont tous des liens plus ou moins étroits avec les plus grandes entreprises pharmaceutiques de la planète (une autre vérité avérée. ndlr).

Et alors diront les libéraux dont je fais partie ? Est-ce interdit ? Bien sûr que non. Oui c’est légal et ce n’est pas mal en soi.

Mais comment ces gens, qui sont censés travailler pour le bien-être et l’intérêt des peuples et des nations, peuvent agir en même temps dans l’intérêt des entreprises pharmaceutiques, dont le seul objectif et unique est de rendre malade les peuples et les nations pour ensuite leur revendre des traitements sous licences afin de faire un maximum de profits ?

N’y a-t-il pas là un conflit d’intérêt ? Bien évidemment que oui.

Rappelez-vous, car nous l’avons vu plus haut, qu’en cas de crise sanitaire mondiale, comme c’est le cas avec la crise du COVID-19, tous les états membres doivent impérativement accepter de suivre les consignes du Conseil Mondial lequel est dirigé actuellement par Madame Gro Harlem Brundtland.

Une charmante dame très connue pour avoir échappé à la mort lors de la tuerie d’Utoya en Norvège et dont le père, Gudmund Harlem, était redevable à la fondation Rockfeller qui a bien voulu financer ses études de médecine.

La création et la présentation du Conseil Mondial a été officiellement annoncée par communiqué de presse par l’OMS le 24 mai 2018. Son rôle est, en cas de pandémie, de réunir tous les dirigeants du monde et de leur donner les consignes à suivre pour endiguer la pandémie en cours sur leur territoire. Sa création est le résultat d’un travail conjoint entre l’OMS et le Groupe de la Banque Mondiale.

Petit flashback intéressant concernant la Banque Mondiale.

Le 28 juin 2017, la Banque Mondiale, qui est une Banque censée aider les pays les plus pauvres de la planète, a eu l’incroyable idée d’émettre sur le marché des obligations des « Pandemic Bonds ». C’est-à-dire des bons obligataires à un horizon de 3 ans basés sur un risque de pandémie.
Une idée folle n’est-ce pas ? Pas tant que ça à vrai dire surtout si vous êtes une banque, un fond de pension ou un fond d’investissement et que vous êtes au courant, — et en droit financier cela s’appelle le délit d’initié —, qu’il va y avoir une pandémie.

A votre avis, combien de banques accepteraient de se lancer, — de façon hasardeuse —, dans l’émission de telles obligations sans avoir la certitude de ramasser le jackpot avant la fin du contrat ? Aucune.

Mais comment voulez-vous prévoir une pandémie ? C’est tout simplement impossible.

Alors en quoi consistent ces pandemics bonds ? C’est très simple.

La Banque Mondiale vend pour X millions de dollars de bons à des fonds, des sociétés ou des états en misant sur le fait qu’il y aura une pandémie avant le 15 juillet 2020. Ceux-ci fonctionnent comme des contrats d’assurance avec des rendements allant jusqu’à 12%. Si une pandémie est déclarée avant le 27 juin 2020, alors les acheteurs de ces contrats perdent leur mise et une partie de l’argent collecté est reversé aux pays les plus pauvres de la planète (75 états). S’il n’y a pas de pandémie, les investisseurs récupèrent leur mise de départ et les intérêts qui en découlent.

Aujourd’hui, toutes les structures qui ont investi dans les pandemics bonds disent qu’il y a anguille sous roche et ont perdu leur mise. Ce qui est intéressant également à noter c’est que les pays les plus pauvres de la planète n’ont toujours pas touché leurs aides. Ces contrats, en effet, qui prenaient en compte le virus concerné, le début de la pandémie, son évolution ou encore le nombre de morts, etc, étaient en réalité bien plus complexes qu’ils n’en avaient l’air.

Pour Arturo Bris, professeur de finance, il n’y a aucun doute :

« Les gens qui sont à l’origine de la création et de l’émission des pandemic bonds étaient au courant du fait qu’il allait y avoir une pandémie de coronavirus avant le 15 juillet 2020 ».

Ce sont de graves accusations mais sont-elles infondées et farfelues ? Pas si sûr.

A ce stade, il est maintenant très difficile de défendre l’idée que le SARS-COV2, qui provoque cette pathologie respiratoire dénommée la COVID-19, est un virus venu de la nature et que personne n’était au courant comme il est encore plus difficile de croire que tout le monde a été surpris et pris de court et que tous les gouvernements de la planète ont été des amateurs.

Peut-être que la Chine a menti, comme un Pinocchio sur une page de couverture, et peut-être même que l’état profond chinois a été complice dans la dissémination délibérée de ce virus et dans le lancement théâtral de cette pièce tragique et funeste. Nous ne le saurons peut-être jamais.

Mais ce qui est certain et que nous commençons à comprendre, c’est que dans cette ère où l’intelligence artificielle est censée remplacer l’homme, nous irons de surprise en surprise.

Le vaccin final et le projet « Trust Stamp » de Bill Gates

Le souhait de Bill Gates et des eugénistes, et qui est de vouloir coûte que coûte contrôler et vacciner toute la planète sous couvert d’avancées humanitaires et philanthropiques, ne date pas d’hier.

Comme le montre la photo ci-dessous, on peut y voir le père du créateur de Microsoft, en pose très confiante avec David Rockfeller et son petit fils. Il est au milieu et c’est très révélateur.

Le projet conjoint « Trust Stamp » de la fondation Bill et Melinda Gates, de la fondation Rockfeller et de Mastercard consiste à vacciner tous les êtres humains avec des alibis infantiles, comme par exemple la lutte contre le blanchiment ou la lutte contre le trafic d’être humains, comme on peut le lire sur l’onglet « humanitaire » du site.

La réalité est tout autre et d’ailleurs, les premières expériences sont déjà en cours en Afrique de l’Ouest. Intéressant de voir que c’est toujours en Afrique, en Inde ou dans les régions les plus pauvres de la planète que Bill Gates et ses amis philanthropes essaient toujours leurs dernières trouvailles (une autre vérité avérée. ndlr).

L’organisation « ID2020 », qui est également le nom d’un autre projet conjoint de vaccination planétaire piloté par Bill Gates et dont les principaux partenaires sont là encore les fondations Gates et Rockfeller, s’engagent à fournir une identité numérique aux milliards de sans papiers qui migrent à travers le monde.

S’agissant du vaccin, qui est déjà en train d’être massivement inoculé en Afrique et au Bangladesh et qui contient non seulement l’ARN capable de modifier notre génome en temps réel mais aussi les nanoparticules censées interagir avec les réseaux d’intelligence artificielle auquel tous les vaccinés seront connectés, il est impossible dans l’immédiat de prédire quels seront les effets premiers et les effets secondaires.

Du point de vue juridique, les citoyens vaccinés n’auront aucun recours possible pour se défendre car, comme vous le savez sans doute, aucune des sociétés qui développent et produisent des vaccins n’est passible de poursuite devant un tribunal de par le monde ni devant une quelconque juridiction. Dans ce domaine, les entreprises pharmaceutiques bénéficient d’une immunité judiciaire sans limite. (Voilà une autre vérité avérée et extrêmement dangereuse. ndlr).

Du point de vue technique et salutaire, dans le cas où tout le monde serait vacciné et répertorié selon le projet ID2020 étendu et où nous devrions évoluer dans un système verrouillé tombé aux mains de radicaux fous et totalitaires, il serait impossible de se défendre et de se retourner contre ceux qui n’auraient qu’un clic à effectuer pour nous ôter la vie au cas où il nous viendrait l’idée de vous révolter ou de vouloir contester un ordre.

La COVID-19 est bien la crise majeure dont parlait David Rockefeller il y a quelques années.

Les eugénistes-malthusiens-transhumanistes ont actuellement le pouvoir et il va être très difficile de leur ôter. L’argent est bien souvent le nerf de la guerre et ils en impriment à profusion. Ce sont eux qui ont le doigt sur l’imprimante et elle tourne à plein régime. (Non, c’est le Grand capital international qui possède tout le pouvoir — relire Marx ci-haut — les eugénistes reflètent les idées d’une faction des intellectuels au service de ces ploutocrates… comme d’autres idéologues qui décrivent le monde mais ne le dirigent pas. ndlr [NdNM : Bill Gates et les Rockefeller font partie du Grand capital international et en sont assez probablement au sommet avec les Rothschild et quelques autres familles]).

Dans un récent article publié sur le site de Futurama, qui présente la start-up « Neuralink » et ses travaux, les auteurs expliquent très bien la velléité du transhumanisme qui est de connecter l’homme à la machine, c’est-à-dire l’Humanité à l’intelligence artificielle, via un « neural lace », c’est-à-dire un implant greffé au cerveau.

Alors certes, les travaux de cette société appartenant au célèbre milliardaire Elon Musk en sont encore à implanter des puces sur les cerveaux des cochons mais les premiers résultats sont déjà là et ils sont prometteurs.

Derrière l’argument du progrès et de l’aide que va apporter ce nouveau système d’assistance neurologique aux paralysés, aux sourds et aux malentendants, aux aveugles, aux malades d’Alzheimer ou de Parkinson, il existe une autre réalité dans les coulisses du transhumanisme et celle-ci n’est jamais mise en avant. Elle réside dans la prise de pouvoir qui pourrait donner, à une seule personne, le contrôle de toutes ces intelligences artificielles et par là même le contrôle total sur une humanité connectée.

Car il n’y a aucun doute sur le fait qu’après avoir greffé les cochons ne vienne le moment de greffer les hommes. (C’est tout à fait plausible. ndlr).

Qu’en sera-t-il si vous ne contrôlez plus vos pensées, vos faits et vos gestes ? Qu’en sera-t-il si l’intelligence à laquelle vous êtes connecté subit un bug ?
Que pourrez-vous faire si vous n’avez plus le contrôle de votre vie, de votre corps, le contrôle sur vos enfants ? Que pourrez-vous faire si quelqu’un venait à pirater l’intelligence à laquelle vous êtes connecté et à en prendre le contrôle ?

Il n’est pas évident de répondre à toutes ces questions.

Pour vous donner un exemple de dérive, sachez qu’en ce moment même, si jamais vous sortez sans masque ou que vous refusez d’en porter un dans les rues de la région du Québec, et bien vous risquez de vous retrouver dans des camps pour détenus ayant peut-être la COVID pour une durée de 14 jours. Vous en sortez, vous rentrez chez vous et là, la police vous contrôle à nouveau. Vous repartez en camp pour détenus COVID et ainsi de suite tant que durera la situation d’urgence sanitaire. C’est en tout cas ce qu’expliquait le docteur Jacques Girard lors d’une intervention publique le 2 septembre dernier sans toutefois répondre à la question d’une journaliste qui lui demandait où étaient enfermés les dissidents à cette crise.

Vous l’avez compris, l’état de crise sanitaire dans lequel nous sommes plongés depuis déjà plus de 6 mois, autorise les autorités à arrêter quelqu’un sur une simple suspicion et à le détenir 14 jours.

À partir de là, personne n’est autorisé à savoir où l’interpellé est détenu ni à avoir la garantie qu’il ne mourra pas potentiellement de la COVID pour être ensuite incinéré comme le veut le protocole sanitaire.

Ce qui est plus facile également de comprendre en revanche, c’est que ceux qui pensent, décident et dirigent ce monde ont déjà commencé à jouer avec le feu et ils ne sont plus en mesure de le contrôler. Un peu comme si un joueur dans un casino n’arrivait plus à se contrôler et à s’arrêter.

L’OMS, dans son GPMB de 2019, parle bien de « deux exercices » de formation et de simulation à l’échelle du système, dont un couvrant la dissémination délibérée d’un agent pathogène respiratoire mortel.

Le premier, nous le connaissons. Il a consisté en la dissémination délibérée du SARS-COV2, à alerter les populations sur le danger mortel de contracter le virus, arrêter l’économie, confiner les populations et leur rendre une semi-liberté sous conditions. C’est-à-dire qu’elles portent le masque et qu’elles acceptent un ou des éventuels reconfinements jusqu’à ce que le Conseil Mondial ordonne la fin officielle de la pandémie ou fournisse une fausse solution : le vaccin.

Le second consistera probablement à vacciner toute la population mondiale et à lui inoculer tout ce dont nous avons parlé plus haut avec l’alibi de vouloir tous nous sauver de la COVID-19, cette maladie qu’ils ont en réalité eux-mêmes propagée. Maladie qui, au passage, est extrêmement dangereuse pour les familles qui veulent se promener sur la plage, mais qui est sans aucun danger pour les manifestations Black Lives Matter que les autorités du monde entier ont autorisées. (Une autre vérité avérée. ndlr).

Voilà plus de 40 ans maintenant que les chercheurs de tous les pays essaient de développer un vaccin contre le virus qui provoque chez l’homme le Syndrome d’Immunodéficience Acquise (SIDA).

Y sont-ils arrivés malgré les budgets pharaoniques qui leur ont été attribués ? Non.

Et vous savez pourquoi ? Parce qu’il est impossible de se prémunir contre des virus qui s’adaptent et évoluent en passant d’un organisme vivant à un autre, d’un homme à un autre.

[NdNM : la théorie virale n’est qu’une théorie non pleinement démontrée. La théorie des exosomes semble expliquer mieux et plus complètement les phénomènes « épidémiques ». Voir : La théorie des exosomes contre celle des virus, Un article du Dr Stefan Lanka 2020 réfute l’idée fausse du virus et 5G, virus et covid-19]

Les coronavirus sont une famille de rétrovirus à ARN très répandus et chaque année, dans tous les pays, les instituts d’infectiologie en dénombrent à chaque fois 4 ou 5 nouveaux plus ou moins coriaces. Tantôt ils sont bénins, tantôt ils peuvent provoquer des complications respiratoires sévères.

En France et dans le reste de l’Europe, ils sont très nombreux à circuler dans les cours d’école, dans les transports en commun ou dans tous les lieux publics.

Dès que nous approchons des moments de fortes amplitudes thermiques, dans les saisons où nous passons du chaud au froid ou du froid au chaud très rapidement, tous ces virus, qui sont dit saisonniers, se manifestent et s’installent. Ils nous rendent malade et puis disparaissent.

Un article publié sur le site Sciences et Avenir et dont le sujet est dans le titre : « et si on ne trouvait jamais de vaccin ? » explique plutôt bien et gentiment les dessous de la recherche vaccinale sur les virus à ARN.

A-t-on trouvé un vaccin contre SARS-COV1 ? Non. Il n’en existe pas et on en trouvera jamais, alors par quel miracle trouverons nous un vaccin contre le SARS-COV2 ?

C’est une foutaise et c’est la même foutaise que celle du trou dans la couche d’ozone. Rappelez-vous tout l’argent qu’ont prélevé les gouvernements via toutes sortes de taxes pour sauver le trou dans la couche d’ozone. Puis on n’en a plus parlé du jour au lendemain. (Une autre vérité avérée. ndlr).

Mais les humbles veillent et vous posent la question : où est passé le trou dans la couche d’ozone ?

Les véritables objectifs des dirigeants de ce monde ne sont pas de sauver l’humanité mais de lui donner le coup de grâce. Ce qu’ils veulent c’est lui imposer un contrôle total et totalitaire et réduire le nombre d’individus à un seuil gérable du point de vue démographique et politique, et de faire en sorte que sa mise en servitude soit définitive.

Il y a quelques jours à peine, le professeur Raoult de l’IHU de Marseille, dont nous ne sommes ni les contradicteurs ni les admirateurs, disait qu’il y avait en circulation sur le sol français, non pas une souche de coronavirus SARS-COV2 mais 7 différentes. Des souches mutantes. C’est-à-dire des souches ayant changé au fur et à mesure qu’elles passaient d’un hôte à un autre.

Ce qui est surtout intéressant de savoir concernant la souche originelle du SARS-COV2, c’est qu’il n’est absolument pas un virus provenant de la nature mais qu’il est issu d’un croisement, comme l’affirme la professeur Li-Meng Yang, une spécialiste mondiale des coronavirus. Elle est aujourd’hui réfugiée au États-Unis et protégée par le FBI.

Dans une interview accordée à la chaine NewsMax il y a environ 1 mois, elle expliquait que ce virus, sur lequel elle travaillait en particulier lorsqu’elle était en fonction au laboratoire P4 de Wuhan en Chine, n’a rien de naturel et qu’il est le croisement de deux coronavirus ; celui du pangolin et celui de la chauve-souris.

[NdNM : dans la théorie des exosomes, les prétendus « virus » seraient en fait des « exosomes » produits par nos propres cellules ou par celles des animaux, lorsqu’elles sont agressées d’une manière ou d’une autre — par déficience en nutriments, par des toxines ou des poisons divers (pesticides, additifs alimentaires, produits chimiques ménagers, polluants atmosphériques, etc.), par le froid, le manque de soleil, la peur et le stress ou même par des ondes électromagnétiques pulsées telles que celles du Wi-Fi, de la 4G et de la 5G. Les exosomes produits par nos cellules sont éjectés de notre corps en particulier par la sudation, favorisée par la fièvre en cas de besoin. S’ils se retrouvent en contact avec d’autres organismes, ils sont perçus comme des éléments étrangers et éjectés pareillement sans faire spécialement de dommages, mais surtout sans s’y multiplier, car ils ne sont que des conséquences des agressions subies par les cellules, pas les véritables causes. Les nombreuses prétendues « mutations » des virus ne sont que l’expression de la grande variété du matériel génétique humain et de l’adaptation partielle du corps à ces agressions. On peut ainsi déduire de cette théorie scientifique révolutionnaire que manipuler des virus en laboratoire P4, pour en faire de nouvelles sortes de virus supposément plus mortels, n’aura jamais les effets escomptés et ne produira jamais d’hécatombe. Il est pratiquement démontré que le SRAS-COV2 n’a pas produit de surmortalité par rapport aux années précédentes, et pour cause si cette théorie est avérée. À l’inverse, la peur, le stress, le port du masque, le confinement, les vaccins, le Wi-Fi, la 5G… agressent nos cellules et produisent des effets qui seront facilement perçus comme épidémiques, puisqu’ils sont produits en masse, grâce notamment aux propagandes de peur des médias mainstream, aux campagnes vaccinales contre la grippe et autres maladies et à l’expansion des réseaux de communication sans fil.]

Le professeur Luc Montagnier, prix Nobel de médecine pour avoir découvert le virus du SIDA, a été quant à lui le premier francophone à dénoncer le fait incroyable et étrange que dans le génome du SARS-COV2, on y retrouvait des séquences génétiques du virus du SIDA.

Dans une interview accordée à la chaîne Thana TV, il explique cette manipulation, ces insertions et les dérives qui guettent l’humanité tout en s’inquiétant du fait que nous « vivons dans un monde de fous » pour reprendre ses termes.
(Voilà une autre vérité avérée. Je ne dirais pas un monde de fous – je dirais un monde capitaliste décadent rendu au bout de son destin et que le grand capital ne sait pas mieux faire que de tenter de le faire perdurer. Il faut l’abolir. ndlr [NdNM : le « grand capital » se partage facilement la vedette avec le communisme en ce qui concerne les conséquences négatives sur la vie humaine et planétaire. Plusieurs dizaines de millions de personnes ont été victimes de génocides sous des régimes communistes. Mao Zedong, Joseph Staline et Pol Pot sont parmi les principaux assassins.])

Alors qu’allons-nous dire à nos enfants lorsqu’ils ils nous demanderont pourquoi nous n’avons rien fait lorsqu’il était encore temps ?

À ce stade, il n’y a plus aucun doute que les mesures contradictoires et paradoxales prises par les autorités sanitaires durant la gestion de cette crise n’ont pas d’autres objectifs que de créer de la dissonance cognitive chez les individus afin de briser leur rationalité.

Cette dissonance nous empêche ainsi de réfléchir et d’en arriver à la conclusion que nous vivons une véritable manipulation. Comment se fait-il qu’aucun grand média mainstream n’apporte de contradiction ou ne remettent en question toutes les mesures sanitaires gouvernementales qui jusqu’ici n’ont été que des échecs ?

N’y a-t-il pas là une communication de programmation et de conditionnement ?

Joseph Goebbels disait : « un mensonge répété à quelqu’un restait toujours un mensonge mais un mensonge répété 1000 fois et partout devenait une vérité ». C’est terrible à dire mais malheureusement c’est exactement ce qui en train de se passer et c’est entre autre pour cette raison que Luc Montagnier dit que nous vivons dans un monde de fous.

Plus personne n’ose contester le port du masque alors que des centaines d’études à travers le monde ont démontré que, non seulement il était inefficace mais qu’il était également dangereux. On ne compte plus le nombre de personne ayant eu des troubles ou des accidents à cause du port prolongé du masque. Et la semaine passée, une fille de 13 ans est décédée en Allemagne après s’être évanouie dans le bus à son retour de l’école. Une autopsie est en cours.

Certains le portent par conviction, et là on ne peut rien faire pour eux, car une fois que l’on adhère au dogme politico-médiatique il est très difficile d’en sortir, sinon c’est le monde qui s’écroule et là, très peu de gens sont prêts pour ça. C’est-à-dire sortir de la Matrice et suivre le lapin blanc.

D’autres le portent par obligation, par peur du qu’en dira-t-on, par peur d’enfreindre la loi ou par peur de la verbalisation même s’ils sont convaincus de son inutilité. Et là c’est pire car c’est la voie toute tracée vers un totalitarisme nouveau, une dictature parfaite.

Aldous Huxley écrivait dans Le meilleur des mondes : 

« La dictature parfaite serait une dictature qui aurait les apparences de la démocratie, une prison sans murs dont les prisonniers ne songeraient pas à s’évader. Un système d’esclavage où, grâce à la consommation et au divertissement, les esclaves auraient l’amour de leur servitude ».

Nous y sommes non ?  (NON nous n’y sommes pas – dans l’énoncé précédent il est stipulé que les esclaves consomment et se divertissent – mais de fait, le confinement appauvrit tout le monde – tuent les pauvres et paupérises les petits-bourgeois. Le grand capital creuse sa tombe parmi les prolétaires enragés. Voilà ce qui nous oppose aux conspirationnistes qui croient que la game is over! ndlr [NdNM : capitalisme et communisme sont les deux idéologies majeures — et systèmes — sur lesquelles s’appuient les élites mondiales pour construire leur Nouvel Ordre Mondial qui en fait la synthèse. S’imaginer que l’un vaut mieux que l’autre est probablement illusoire.]).

Les gouvernements ne  font pas d’erreurs lorsqu’ils vous disent, au plus fort de la contagion, que les masques sont inutiles. Pas plus qu’ils n’en font lors des lendemains tranquilles, au plus fort de l’été lorsque les hôpitaux sont vides, lorsqu’ils vous disent le contraire. Qu’il faut porter le masque pour vous protéger et protéger les autres.

Ce n’est pas une erreur lorsqu’ils vous disent que vous devez porter le masque au travail entre collègues mais pas au restaurant avec les mêmes collègues.

En réalité, les gouvernements créent chez vous de la dissonance cognitive, c’est-à-dire une mise en situation dans laquelle tous vos jugements entre en contradiction les uns avec les autres et vous amènent à des situations de blocages et d’égarement. Vous êtes ainsi beaucoup plus vulnérable et beaucoup plus perméable à des consignes que vous n’auriez sûrement pas acceptées si votre raison fonctionnait normalement.

Ils nous rendent malade de stress et d’anxiété

Le fait de porter un masque nous entretient dans un climat de terreur qui repose sur une menace que nous ne voyons ni ne percevons. Ce qui amplifie nos angoisses et notre stress et impacte directement notre système immunitaire qui s’affaiblit à force d’anxiété. Du point de vue psychologique, nous savons que la peur est très mauvaise conseillère. Lorsque nous avons peur, nous sommes beaucoup plus enclins à accepter toutes sortes de mesures liberticides et contraignantes. Les ingénieurs sociaux le savent et la journaliste canadienne Naomie Klein a écrit un excellent ouvrage sur le sujet, « La stratégie du choc ».

Au-delà du fait qu’il s’agit d’un livre très critique sur les dérives de l’ultralibéralisme, l’ouvrage met surtout en lumière le fait que les gouvernements profitent de plus en plus fréquemment de certains événements majeurs, telles que les attaques terroristes (cas du 11 septembre 2001) ou les insurrections populaires (cas des gilets jaunes en France), https://les7duquebec.net/archives/253109  pour renforcer leur arsenal juridique (perquisitions sans commission rogatoire, restriction des libertés, assignation à résidence, fichage des individus, renforcement des contrôles, etc.) visant à restreindre les libertés individuelles de chacun sans toutefois apporter une réelle sécurité aux populations.

Est-ce que les états d’urgence qui ont été instaurés dans plusieurs États du monde ont été ensuite retirés ? Non et ils sont toujours en vigueur.

Est-ce que l’état d’urgence qui perdure en France depuis le massacre de l’équipe de Charlie Hebdo en 2015 a t-il empêché l’attentat de Nice ? Non. Absolument pas. Une des grandes entourloupes du gouvernement Valls a été de faire croire aux français qu’il allait lutter contre les injustices sociales et les idéologies radicales en installant partout des caméras et des portiques de sécurité.

L’état d’urgence, en réalité, n’a fait que renforcer les pouvoirs des forces de l’ordre établi et des gouvernements sous prétexte de lutter contre le terrorisme et les français l’ont accepté. La peur de mourir, égorgé par Mohamed le gérant de la petite épicerie du bas de l’immeuble ou par Youcef à coups de balai entre deux nettoyages de voirie était trop forte et allait bien au-delà de la raison.

Notre réalité dans ce monde ne se base et ne se construit qu’à partir de ce que nous renvoient nos sens et lorsqu’ils sont biaisés ou ne sont plus tout à fait fonctionnels, c’est tous les repères qui s’effondrent. Nous nous retrouvons là dans une position d’extrême vulnérabilité voire même de perdition. Comme des baleines dépourvues de leur système d’écholocation.

Nous perdons ainsi confiance en nous et dans les autres, tous nos repères et nos valeurs s’estompent et nous nous en remettons volontiers au bon vouloir de l’autorité.

C’est en quelque sorte un peu ce qui se passe lorsque nous tombons malades et que nous nous rendons chez le médecin. Pour guérir et recouvrer notre santé, nous ingurgitons tout ce qu’il nous donne et bien souvent sans lire attentivement la notice.

Nous nous retrouvons comme des enfants dans les mains de nos parents.

Les gouvernements, qui ont malheureusement bien compris cette mécanique anthropologique et ces leviers psychosociaux depuis très longtemps, concèdent des budgets considérables à l’ingénierie sociale. L’art de manipuler les masses.

Nous avons parlé un peu plus haut du laboratoire militaire P4 de Fort Detrik dans le Maryland, n’est-ce pas. Saviez-vous que ce laboratoire était également très connu pour avoir abrité durant plus d’un demi-siècle le plus grand centre de recherche mondial sur le contrôle mental ?

Il est vrai que c’est effrayant, mais ce n’est que la réalité. Si les structures supra-étatiques telles que l’OMS et le Conseil Mondial n’ont jamais eu autant de pouvoir, comme nous l’avons vu durant cette crise, le drame réside surtout dans le fait que ces organes ne sont absolument pas indépendants en toutes matières car elles dépendent elles aussi d’autres structures pour les financer.

Qu’il s’agisse de Madame Brundtland ou du controversé Monsieur Adhenom Ghebreyesus, tout nous laisse supposer aujourd’hui que ces acteurs internes ne sont que des femmes et des hommes de paille.

Le véritable chef d’orchestre est la main qui donne, jamais celle qui reçoit et depuis que les États-Unis ont annoncé qu’ils ne financeraient plus l’OMS, c’est la Fondation Bill et Melinda Gates qui est devenue le premier contributeur.

Or sans réel contre-pouvoir, les populations du monde sont à la merci totale de ces supra-structures qui gèrent les crises qu’elles ont elles-mêmes sans doute orchestrées et provoquées.

Tout le monde aujourd’hui comprend bien que quelque chose cloche, que l’on ne nous dit pas la vérité et que les chiffres sont truqués et manipulés et que surtout, plus rien ne sera comme avant.

Oui, il y a un plan de gouvernance mondiale et même un aveugle le verrait. De Georges Bush à Nicolas Sarkozy, toutes les grandes personnalités politiques n’ont eu cesse de le répéter et personne ne le nie. Ce n’est absolument pas du complotisme, « c’est notre projet » pour reprendre les termes exacts d’Emmanuel Macron car effectivement c’est un projet bien réel.

Nous avons tendance à oublier qu’il y a déjà une première ébauche de gouvernement mondial et elle s’appelle l’ONU. Que fait-elle ? Elle ne fait qu’adopter des résolutions qui ne servent à rien hormis brasser du vent.

Est-ce que l’ONU a aidé à ce que la souveraineté des états les plus pauvres de la planète soit respectée ? Non. L’ONU a-t-elle fait quelque chose pour les palestiniens ? Rien.

Le Proche et le Moyen-Orient aujourd’hui sont dans un chaos inédit.

Est-ce que l’ONU a empêché les bombardements de la Yougoslavie, de l’Irak, de la Libye ou de la Syrie ? La réponse est non.

Est-ce que les Américains ont apporté la démocratie et les droits de l’homme en Afghanistan depuis qu’ils y ont mis les pieds en 2001 ? Non. Sont-ils toujours là-bas ? Oui. 19 ans dans un pays pour rien.

La seule chose qui ait évolué en Afghanistan c’est la production d’héroïne et elle a explosé, entraînant par principe de cause à effet une hausse vertigineuse de sa consommation aux États-Unis pour atteindre un niveau alarmant.

On ne fait pas de guerre pour sauver les veuves et les orphelins et les milliardaires ne nous veulent pas du bien. Il faut arrêter de se leurrer. Ils ne sont intéressés que par leurs profits et leur salut.

C’est à nous de nous réveiller et d’arrêter de nous faire promener comme des enfants immatures et irresponsables et de concevoir un système pour décider tous ensemble de ce qui est bon pour notre avenir et notre planète.

La première chose à faire est déjà de nous déconnecter de tous ces instruments de conditionnement que sont les médias conventionnels qui ne font que servir la soupe à leurs propriétaires et leurs actionnaires principaux. Nous devons impérativement nous réapproprier les différents canaux d’information de grande écoute et participer à l’éducation des peuples afin qu’ils se réveillent et ne se fassent plus endormir comme des enfants.

La seconde est de veiller à ce que n’arrivent jamais au pouvoir des hommes et des femmes avides et cupides, et de créer un système de protection qui procure une immunité et une sécurité sans faille aux personnes vertueuses qui ont à cœur le bien être de l’humanité et de la nature.

A ce jour, ce sont plus de 655 000 américains qui ont déposé une pétition à la maison blanche pour que le gouvernement américain ouvre une enquête sur les objectifs cachés de la fondation Bill et Melinda Gates et sur le GAVI. Il n’y a aucun doute que nous entendrons parler, dès cet automne, des suites qui seront données à la pétition. Sûrement après les élections du 3 novembre.

Il est extrêmement important de faire la lumière sur les origines et les objectifs cachés de cette pandémie et de traduire en justice tous les différents protagonistes liés de près ou de loin à cet épisode funeste de l’histoire de l’humanité. (Un autre point qui nous différentie des complotistes. Nous ne faisons aucune confiance à l’État et à ses institutions corrompues et à ses ONG stipendiées et nous n’endossons aucune pétition ou appel à la « justice » des riches.  Ainsi, les laboratoires militaires P4 sont ceux-là même qui ont exfiltré et échappé ce SRAS Cov-2. Ces  45 laboratoires de guerre doivent être détruits. Seule la révolution nous permettra d’imposer cette sentence sans appel. ndlr).

Nous devons tout faire pour que cette pandémie nous serve de leçon et surtout qu’elle soit la première et la dernière.

Amar


Note du Saker Francophone

En ces temps troublés où le monde semble prêt à basculer d'un côté ou l'autre de la montagne, Amar vous propose sa vision des événements. Il s'appuie sur un certain nombre de faits en proposant une vision dystopique de l'avenir.

Rien n'est cependant écrit et même si la volonté de certains s'affiche clairement, la partie est en cours. Il est aussi possible de tirer d'autres conclusions et d'imaginer tout un ensemble de scénarios de prospective.



Ron Paul : les médias mentent au sujet de la « deuxième vague »

[Source : Aube digitale]

PAR JADE

Pendant des mois, le Washington Post et les autres grands médias ont tenu un « bilan des décès » des décès dus au Covid-19 en première page et en tête de leurs bulletins d’information. L’épidémie de coronavirus n’avait d’égal que le nombre de morts. Le récit était destiné à stimuler des gouverneurs comme Cuomo à New York et Whitmer dans le Michigan, qui ont rendu leurs États autoritaires en se basant sur la fausse idée que la destruction des emplois, des libertés et des vies des gens empêcherait en quelque sorte un virus de faire ce que les virus font toujours : se propager dans une population jusqu’à ce qu’ils finissent par perdre leurs forces et s’éteindre.

Le « nombre de décès » figurait toujours à la une des journaux.

Mais tout à coup, au début du mois de juin, les grands médias ont fait un George Orwell et nous ont fait la leçon en nous disant que tout est une question de « cas » et que cela a toujours été le cas. La mort, et surtout le taux de mortalité lié aux infections, n’étaient pas pertinents. Pourquoi ? Parce que depuis le pic d’avril, les décès avaient diminué de 90 % et continuaient de s’effondrer. Ce n’était pas assez terrifiant, alors les médias ont prétendu que cette bonne nouvelle n’existait pas.

Avec l’augmentation massive des tests, le nombre de « cas » a augmenté. Ce n’est pas sorcier : plus vous testez de personnes, plus vous découvrez des « cas ».

[Note : ne tenez pas compte de l’étrange pic de décès, il est dû à une reclassification des décès en maison de retraite dans le New Jersey – la tendance est claire par ailleurs]

Malheureusement, nos grands médias ne s’intéressent qu’à la « politique du parti ». Ainsi, la bonne nouvelle que des millions d’autres personnes ont été exposées alors que le taux de mortalité continue de baisser – ce qui signifie que le virus s’affaiblit – est enterrée sous de faux rapports hystériques de « nouveaux cas ».

Malheureusement, de nombreux gouverneurs, y compris le nôtre ici au Texas, sont incapables de résister aux mensonges sans fin des grands médias. Ils font revivre aux Américains le cauchemar des fermetures forcées d’entreprises, des masques faciaux obligatoires et des restrictions des libertés constitutionnelles fondées sur une propagande mensongère.

Au Texas, la propagande de la « deuxième vague » est devenue si mauvaise que les dirigeants des quatre principaux hôpitaux de Houston ont pris la mesure extraordinaire, à la fin de la semaine dernière, de tenir une conférence de presse commune pour clarifier que les histoires effrayantes d’hôpitaux de Houston submergés de cas de Covid sont tout simplement fausses. Le Dr Marc Boom de Houston Methodist a déclaré que les informations sur la capacité des hôpitaux sont trompeuses. Il a déclaré : « très franchement, nous sommes préoccupés par le fait qu’il y a un niveau d’alarme dans la communauté qui est injustifié en ce moment ».

En fait, de nombreux rapports indiquent que le « pic » des cas au Texas n’est pas dû à une résurgence du virus mais à la pratique des hôpitaux qui consiste à tester le taux de Covid pour chaque patient venant pour une quelconque procédure.

Si c’est positif, cela compte comme une « hospitalisation pour cause de coronavirus ».

Pourquoi les hôpitaux seraient-ils si malhonnêtes dans leurs diagnostics ? Des milliards de dollars fédéraux sont alloués aux établissements sur la base du nombre de « cas de covid » qu’ils peuvent produire. Comme je l’ai toujours dit, si vous subventionnez quelque chose, vous en obtenez davantage. Et c’est pourquoi nous obtenons plus de cas de covid.

Revenons aux mesures originales utilisées pour effrayer les Américains et les inciter à renoncer à leurs libertés constitutionnelles : le nombre de décès quotidiens. Même si nous savons que les hôpitaux ont faussement attribué d’innombrables décès au « Covid-19 » qui étaient des décès AVEC le virus au lieu de l’être A CAUSE de celui-ci, nous constatons que le nombre réel de décès est en baisse constante depuis un mois et demi. La baisse des décès n’est pas un bon moyen de faire de la propagande pour la « deuxième vague », c’est pourquoi les médias et les politiciens ont fait bouger les choses et décidé que seuls les « cas » sont importants. C’est un autre gros mensonge.

Résistez à la propagande et défendez votre liberté. C’est la seule façon de s’en sortir.

Traduction de The Ron Paul Institute for Peace & Prosperity par Aube Digitale




Face à l’annonce par la Russie d’un vaccin contre le Covid-19, les médias basculent dans le camp des anti-vaccins

Par Graham Dockery, journaliste irlandais

Source : RT, le 11 août 2020

Traduction : lecridespeuples.fr

Alors que la Russie déploie sa nouvelle inoculation contre le coronavirus avant des tests cliniques complets, les médias occidentaux ont soudainement bouclé la boucle sur les vaccins. La Russie, semble-t-il, pourrait guérir le cancer, et les médias trouveraient tout de même un moyen de blâmer Poutine.

La Russie a breveté le premier vaccin au monde contre le Covid-19. Le Président russe Vladmir Poutine a annoncé cette percée mardi 11 août, déclarant aux journalistes que sa propre fille avait été vaccinée. Les médecins et les enseignants seront les premiers à recevoir le vaccin, avec un déploiement général prévu en janvier 2021.

Le vaccin est toujours en cours de test, bien que les scientifiques russes se vantent d’avoir des décennies d’expérience dans la lutte contre des virus similaires. Il a passé les deux premières phases de l’essai (sur les singes et les humains), mais le troisième et dernier test placebo est toujours en attente et sera mené parallèlement au déploiement du vaccin sur la base du volontariat.

Forts de ce fait, les médias occidentaux se sont mis à sonner l’alarme. Le New York Times a accusé le Kremlin de « bâcler les tests pour marquer des points de propagande » et a mis en garde contre les dangers des médicaments nouveaux aux tests incomplets. Le Guardian a également mis en garde contre cet effort précipité, ajoutant que « les vaccins pourraient n’être que partiellement efficaces », même après des tests rigoureux. De même, le Washington Post a averti que « les vaccins pourraient être nuisibles ou donner aux gens un faux sentiment de sécurité quant à leur immunité ».

Côté français, citons Le Parisien (« Promettre un remède aussi vite, c’est hyperdangereux… C’est de la com’ ! »), Le Monde (« ‘Il n’y a pas de données connues concernant la qualité, l’efficacité et la sécurité du vaccin russe’, a rapidement réagi une porte-parole du ministère de la santé allemand, rappelant qu’au sein de l’Union européenne ‘la sécurité des patients est la première des priorités’. ‘L’autorisation d’un vaccin en Europe présuppose, outre la preuve de sa qualité pharmaceutique, des connaissances suffisantes tirées des essais cliniques pour prouver l’efficacité et l’innocuité’ »), Le Figaro (« La décision semble très prématurée […] le Pr François Balloux, chercheur à l’Institut de génétique de l’University College London, a jugé ‘inconsciente et insensée’ cette annonce, arguant qu’un vaccin qui n’aurait pas été ‘testé de manière appropriée (…) pourrait avoir des conséquences désastreuses’ »), Libération (« C’est totalement irresponsable […] une décision insensée, et surtout dangereuse […] Un pari fou. Si par chance, l’issue s’avère positive, le procédé pour y parvenir met fin à un consensus médical, historique, centenaire, et accepté par la communauté scientifique qui impose d’être transparent et de respecter un protocole très encadré. […] un pari démagogique, géopolitique et moralement grave. Et terriblement dramatique car cela balaye tous les usages médicaux. »), BFM (« la Russie n’a pas publié d’étude détaillée des résultats de ses essais permettant d’établir l’efficacité des produits qu’elle dit avoir développés. »), LCI (« Un effet d’annonce qui n’a aucun sens […] manipuler une information autour de la vaccination comme le fait Monsieur Poutine est, de mon point de vue, absolument irresponsable. […] Un homme politique comme Vladimir Poutine a la volonté d’apparaître à la pointe de la science, mais ni lui ni son pays ne le sont. »), RTL (« on peut fabriquer un vaccin en quelques mois, mais ce ne sera pas forcément un vaccin efficace et sans effets secondaires. La Russie n’a pas respecté toutes les étapes pour valider son vaccin au plan international. ») 20 Minutes (« Mais c’est quoi cette histoire de vaccin en Russie ? […] un vaccin, cela met généralement une dizaine d’années (!) à être découvert et testé. […] Une fraude des données est donc possible »), Ouest-France (« Il est peu probable que le monde soit sauvé du coronavirus grâce à Spoutnik V. […] avant tout un coup de communication politique […] On ne peut pas dire que la recherche biomédicale russe se soit distinguée ces dernières années. »), France Info (« les essais cliniques, effectués dans un délai très court et sur moins d’une centaine de personnes, rendent les spécialistes sceptiques […] ‘Je suis atterrée par ce genre d’annonce’, déplore la virologue du CHU de Lille Anne Goffard. ‘Le développement de ce vaccin se fait en dehors du débat scientifique.’ […] ‘Il faut un temps de surveillance’ pour ‘s’assurer que le vaccin procure une immunité (…) et ne rend pas malades les personnes vaccinées’. […] C’est une boîte de Pandore »), le JDD (« Vrai remède ou effet d’annonce ? […] Un vaccin qui a brûlé les étapes »), etc. Si seulement le Remdesivir faisait l’objet de tant de précautions !

Dans plusieurs médias, le message était le même. Le vaccin russe n’est pas digne de confiance, n’est guère plus qu’un coup de propagande et pourrait même être un complot néfaste du Kremlin pour inciter l’Occident à sortir son propre vaccin non testé avant la date prévue.

Il est indubitable que la course au vaccin est une question de fierté nationale pour la Russie. Même le nom de ce vaccin, Spoutnik V, fait référence au premier satellite lancé dans l’espace, un énorme coup de propagande de course spatiale pour l’Union soviétique. De même, les articles ont raison lorsqu’ils soulèvent des inquiétudes quant à l’efficacité des vaccins. Comme l’a souligné le Guardian, même les injections testées le plus rigoureusement peuvent être au mieux inefficaces ou au pire avoir des effets secondaires horribles. Ce n’est pas pour rien que le vaccin promis à l’Europe par AstraZeneca fait l’objet d’une clause impérative selon laquelle aucune poursuite contre le laboratoire ne sera possible en cas d’effets nocifs du vaccin. On se demande pourquoi les médias et responsables politiques restent muets à ce sujet.

Pourtant, avant la percée russe, ces mêmes médias étaient de véritables évangélistes du vaccin. « Les vaccinations sauvent des vies, protègent nos enfants et sont l’une de nos plus grandes réalisations en matière de santé publique », lit-on dans un éditorial du New York Times en mars dernier. Ses auteurs, qui comprenaient l’Administrateur de la santé publique des États-Unis, ont démenti les craintes d’effets secondaires et ont exhorté le public à s’unir derrière les campagnes de vaccination du gouvernement. « La méfiance à l’égard d’un vaccin contre le coronavirus », écrivait le journal en juillet, « pourrait mettre en péril l’immunité généralisée. »

Pour être honnête, ce dernier article a soulevé des inquiétudes quant au développement rapide des vaccins, cette fois en s’en prenant au Président Donald Trump et à son projet de recherche « Operation Warp Speed » au lieu de Poutine, mais à peine deux mois plus tôt, le Times décrivait l’effort occidental de lancer un vaccin « en un temps record » en signe d ‘« espoir » au milieu de la pandémie.

Idem pour le Guardian, dont les journalistes se sont moqués la semaine dernière des « mamans blanches de la classe moyenne de Pinterest » qui croient aux théories du complot sur les vaccins, et un mois plus tôt, des experts ont déclaré que même un vaccin imparfait serait « considéré comme un succès ».

Tout comme ce professeur d’Oxford qui a déploré le fait qu’un vaccin britannique efficace pourrait conduire à une dangereuse montée de la fierté nationale, il semble que les médias occidentaux ne supportent pas de voir un vaccin fabriqué par la Russie inverser la tendance contre le coronavirus. Imaginez ça ? La Russie de Poutine, abhorrée comme coupable d’ingérence électorale, d’empoisonnement d’espions et de responsable de l’élection de Trump, qui constitue une épine dans le flanc de l’ordre libéral, livrerait au monde le vaccin qui le sauverait de la peste redoutée ?

Inutile de dire qu’il y aurait beaucoup de dépit dans les quartiers cossus de Londres et de New York (sans parler de Paris).

Bien sûr, ce sont les premiers jours. Tout vaccin potentiel sera toujours un pari, et alors que les essais se poursuivent parallèlement à son déploiement limité, l’efficacité de Spoutnik V n’a pas encore été prouvée. L’effort russe peut à la fin ne mener à rien, et si c’est le cas, au moins les commentateurs de Londres et de New York auront de quoi se réjouir, et tant pis pour la pandémie !




Les tests de coronavirus positifs ne sont pas des «cas»: les experts de la santé démystifient le faux récit des médias mainstream sur la COVID-19

[Source : Mirast News]

Les médias traditionnels affirment que le coronavirus (COVID-19) continue de se propager à travers le pays, mais est-ce que quelqu’un sait vraiment combien de cas il y a ? Selon le Dr Tim O’Shea, le nombre de cas de COVID-19 aux États-Unis d’Amérique peut être radicalement différent des tests positifs, qui, selon les médias, sont les mêmes lorsqu’il s’agit de deux choses différentes.

Dans le podcast thedoctorwithin du podcast d’O’Shea, il a expliqué aux auditeurs que les verrouillages de coronavirus en Amérique n’avaient «jamais été basés sur la science», mais plutôt sur la politique extrême.

Définition des termes populaires dans la «nouvelle normalité»

Pour bien comprendre et disséquer le faux récit de «résurgence» répandu par les médias grand public, vous devez d’abord apprendre les termes ci-dessous:

  •     Spike – Une augmentation soudaine des tests positifs.
  •     Tests – Procédures de diagnostic qui identifient une maladie.
  •     Cas – Individus qui tombent malades d’une maladie.
  •     Épidémie – Quand de nombreuses personnes au même endroit tombent soudainement malades.

Malheureusement, les médias traditionnels ont déformé ces définitions pour atteindre une conformité maximale, tout en craignant que les gens ne jettent un second regard pour découvrir la vérité.https://c0.pubmine.com/sf/0.0.3/html/safeframe.htmlREPORT THIS ADhttps://c0.pubmine.com/sf/0.0.3/html/safeframe.htmlREPORT THIS AD

Alors, est-il vrai qu’il y a eu «une forte augmentation soudaine des tests positifs?» Oui, mais c’est parce qu’en deux mois, le pays est passé de moins de 25 000 tests par jour à près de 600 000 tests par jour. Cela a ensuite abouti à l’énorme augmentation des points positifs dans chaque État.

Mais rappelez-vous, un cas, c’est quand quelqu’un tombe malade d’une maladie, ce qui n’est pas un test positif! Ces deux termes ne sont pas synonymes comme le prétendent les médias.

Science légitime et COVID-19

Plus tôt en mai, Tony Robbins, auteur renommé, entrepreneur et stratège d’entreprise, a interviewé plusieurs experts de la santé dans le podcast Tony Robbins qui ne sont pas d’accord avec le récit quotidien.

Le premier était le Dr Michael Levitt, lauréat du prix Nobel de chimie et professeur de biologie structurale à l’Université de Stanford, qui a expliqué que les décisions d’arrêt de masse étaient prises à partir d’une dynamique anti-scientifique. Les épidémiologistes exagéreront toujours les chiffres afin que personne ne puisse les accuser d’atténuer une nouvelle menace.

Normalement, les maladies se frayent un chemin à travers une population jusqu’à atteindre un point de saturation, généralement à environ un décès pour mille, comme dans toute saison grippale typique. C’est une véritable immunité collective.

Mais COVID-19 est marqué comme quelque chose d’unique dans l’histoire en utilisant la roulette des nombres. Si toute personne qui entre dans une clinique avec de la fièvre ou un mal de tête est considérée comme un cas sans test, alors les nombres de COVID-19 vont évidemment monter en flèche.

Robbins a également interviewé le sénateur d’État Scott Jensen, un médecin du Minnesota. Jensen avait un mot pour décrire le diagnostic du COVID-19 en l’absence de preuves: incité.

Jensen a partagé qu’il avait reçu une note du ministère de la Santé du Minnesota informant les médecins sur la façon de remplir un certificat de décès. Ils ont été entraînés à indiquer la COVID-19 comme cause de décès, même s’il s’agissait en fait du troisième ou du quatrième diagnostic. Il en va de même pour la comorbidité COVID-19, ou lorsque la maladie est suspectée mais non testée avec une autre condition.https://c0.pubmine.com/sf/0.0.3/html/safeframe.htmlREPORT THIS AD

Si un patient meurt en raison d’une maladie cardiaque congestive ou d’un emphysème à l’ICU, il peut être testé positif au COVID-19 une semaine avant de mourir. La cause du décès sera alors répertoriée comme COVID.

C’est la politique courante depuis mars de cette année. Cela ne s’arrête pas là. Il existe également des incitations financières pour les nombres COVID-19 gonflés, a révélé Jensen. Il a partagé que Medicare paierait automatiquement 4 600 $ à 5 000 $ pour un diagnostic de pneumonie.

Les administrateurs d’hôpitaux pourraient recevoir 13 000 $ pour la pneumonie au COVID-19, mais le montant grimpe à 39 000 $ si le même patient atteint de la pneumonie au COVID-19 a besoin d’un ventilateur. Cela suggère que les médecins des hôpitaux sont incités à diagnostiquer autant de cas de COVID-19 que possible.

Nouveaux cas ou tests positifs?

Dans une autre interview, Robbins s’est entretenu avec le Dr Alan Preston, ancien professeur d’épidémiologie et de biostatistique à la Texas A&M University.

Preston a expliqué comment le taux de létalité était constamment surestimé depuis le premier jour. Cela a commencé en mars avec la prédiction de 2 millions de morts aux États-Unis d’Amérique. Les gens semblent oublier que la COVID-19 est une maladie bénigne pour 99% des patients infectés qui ne nécessitent aucun traitement et finissent par se rétablir en une semaine à 10 jours.

Preston a noté que les chiffres avaient soudainement atteint un sommet à la mi-mars de manière «impossible». Un jour, il y a eu un pic exponentiel dans les tests, suivi d’un pic dans les cas, même si les tests n’étaient pas nécessaires.

Robbins lui-même a déclaré qu’en avril, les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) ont annoncé que les tests n’étaient plus nécessaires pour poser un diagnostic de COVID-19. En l’absence de preuve de diagnostic, les médias de masse peuvent revendiquer le nombre de leur choix, ce qu’ils font depuis le début.

Preston a également exprimé ses doutes sur le prochain vaccin, d’autant plus que les experts travaillent sur le vaccin contre le SRAS depuis 10 ans. Les résultats des 15 ans de travail sur le vaccin antigrippal ne sont pas aussi optimistes, et il en va de même pour les 30 ans de travail sur le vaccin contre le sida. Il a averti qu’un vaccin COVID-19 précipité serait probablement tout aussi inefficace.

Le Dr Anthony Fauci, médecin et immunologiste qui détient la moitié du brevet du nouveau vaccin COVID-19, affirme que l’Amérique ne peut pas revenir à la normale sans vaccin. Cette notion populaire alimente également le verrouillage prolongé du pays. [Il a tout simplement repris la chanson de Bill Gates – MIRASTNEWS].

Mais si les experts ne peuvent pas trouver un remède contre le sida ou le rhume, y a-t-il même un espoir pour un vaccin COVID-19? Preston a averti que le verrouillage du COVID-19 peut faire plus de mal que de bien. Cela peut supprimer votre système immunitaire.

Les verrouillages favorisent également la saturation normale d’une nouvelle maladie essayant d’atteindre l’immunité collective puisque les gens sont isolés des interactions et des contacts normaux. (En relation: le site Web des médecins de première ligne des Etats-Unis d’Amérique expose la campagne «criminelle» des géants de la technologie et des agences gouvernementales pour bloquer la guérison du COVID.) [Ces derniers font tellement de profits pendant cette période – MIRASTNEWS].

À New York, 86% des nouvelles infections provenaient de personnes qui restaient à la maison tout le temps. La même chose est vraie pour les autres pays.

Un système immunitaire fort doit être constamment mis au défi par une stimulation douce et régulière provenant d’une interaction humaine normale. Malgré les faux récits quotidiens des médias pop, les hôpitaux sont vides depuis trois mois.

COVID est-il une menace permanente?

Les écrans en plexiglas seront-ils un élément permanent dans les magasins et les restaurants? Avez-vous besoin de porter des masques et des écrans faciaux pour toujours?

Où est la preuve que la COVID-19 est la «première maladie permanente de l’histoire?» Preston a conclu qu’il n’était pas logique de «tanker l’économie» pour protéger le pays contre une maladie normale.

Robbins a également interviewé le Dr Michael Roizen, responsable du bien-être à la Cleveland Clinic.

Roizen a critiqué les conséquences du verrouillage de masse en raison des chiffres suivants:

  •     Au moins 46% de tous les cas de COVID-19 dans le pays provenaient de seulement deux États: New York et New Jersey.
  •     Plus de 50 pour cent des cas ont été enregistrés dans des maisons de retraite.
  •     Au moins 97% des décès dus à la COVID-19 étaient des personnes âgées de plus de 65 ans.
  •     Chez les enfants de moins de 18 ans, la COVID-19 était pratiquement inexistant.

Roizen a proposé des mesures de verrouillage dans le pays. Au lieu d’empêcher tout le monde de sortir, seuls les plus de 70 ans devraient être mis en quarantaine car ils sont à risque. Les personnes infectées devraient également être mises en quarantaine, ainsi que les autres personnes en mauvaise santé.

Roizen pense que le verrouillage n’aurait pas été nécessaire si des décisions importantes avaient été prises par des médecins plutôt que par des bureaucrates.

«Morts de désespoir»

Il y a également eu des rapports de «morts par désespoir» en raison de la catastrophe économique causée par les verrouillages de la COVID-19.

Les données ont montré que:

  •     Les suicides ont augmenté.
  •     La consommation d’alcool a augmenté de 67%.
  •     L’utilisation de la méthamphétamine a augmenté de 300%.
  •     La maltraitance des enfants a augmenté de 35%.
  •     Le chômage a augmenté de 14 pour cent.
  •     Au moins 57% des restaurants ont fermé définitivement, ce qui contribue au taux de chômage.

Cela prouve que les dommages collatéraux causés par les verrouillages sont pires que la COVID-19 elle-même.

Mesures de conformité

Malgré les preuves du contraire, les responsables utilisent des masques et des verrouillages comme mesures de conformité.

Le gouvernement se mêle de la vie quotidienne des Américains ordinaires, mais les gens n’ont pas besoin de savoir comment protéger leur propre santé ou comment pratiquer la liberté médicale. Les citoyens ne sont pas également informés des médicaments ou vaccins à injecter dans leur corps, ce qui vous prive de votre droit d’être en sécurité avec vous-même.

O’Shea a conclu que les Américains en bonne santé n’ont pas besoin d’être mis en quarantaine à cause du faux récit des médias pop et que le gouvernement a oublié un fait important: ils travaillent pour vous et non l’inverse.

Assurez-vous que cela ne se reproduira plus lors des prochaines élections.

Pour empêcher les bureaucrates d’abuser de leur pouvoir, ne votez pas pour quiconque soutient la fausse épidémie et fait couler l’économie, arrêtez d’écouter la propagande des entreprises des médias de masse et prêtez attention aux sources de confiance ayant des opinions non propagandistes.

Restez informés et méfiez-vous des faux récits des médias grand public.

REGARDEZ:         

https://www.brighteon.com/7a0cac08-70f4-43c7-af42-6a3609110224



Sources :

Traduction : MIRASTNEWS

Source : Natural News




Martine Wonner (exclue de LREM en mai, car contre le confinement) : “Le masque ne sert strictement à rien”

[Sources : Sylvano Trotta et Planetes 360]

Cette Nuit [du 2 au 3 octobre], l’Assemblée Nationale quasi déserte (que fait votre député ?) a voté la prolongation de l’état d’urgence sanitaire jusqu’au 1er avril ! Seuls 17 députés s’y sont opposés !!!

Réanimatrice & médecin psychiatre, Martine Wonner explique clairement la situation COVID19 aujourd’hui avec des FAITS. En plus, elle ajoute que le CDC (santé USA) s’est excusé pour s’être trompé sur l’Hydroxychloroquine et qu’une étude du CDC confirme qu’il n’y a pas d’évidence pour le port de masque. [Source en anglais : https://www.politico.com/news/2020/09/21/cdc-coronavirus-spread-airborne-419363]

https://youtu.be/Hpk6PFtU2Tc



« La minute de Ricardo »: Le nouveau vaccin, mode d’emploi ! Un passeport numérique pour l’enfer ?

[Sources : Profession Gendarme et Étienne de La Boétie]

C’est cela l’avenir que vous voulez ? Pour vous ?  Et surtout pour vos enfants ?

Aller plus loin – Source LCI 12/2019 :
« Il devient fluorescent lorsqu’on pointe un smartphone : demain, un carnet de vaccination sous la peau ? »
https://www.lci.fr/sciences/il-devient-fluorescent-lorsqu-on-pointe-un-smartphone-demain-un-carnet-de-vaccination-sous-la-peau-2140786.html

Nous allons devoir nous battre TOUS ENSEMBLE ! Pour une France Libre, sans Masque, ni Préjugé ! Une France qui dit NON à la Soumission !

« Il y a un pacte vingt fois séculaire entre la grandeur de la France et la liberté du monde. »

Général De Gaulle.
Discours du 1er mars 1941 à la Réunion des Français de Grande-Bretagne.

« La minute de Ricardo » est un nouveau concept, un billet d’humeur, une nouvelle idée lancée par Richard Boutry.

Richard Boutry ex journaliste/présentateur à Soir 3 et TV5 monde, est un professionnel hors normes. Alliant rigueur et éthique. il revient chaque jour sur une idée, un concept, un mot, une phrase et décline cette idée en une minute chrono.

Son compte Facebook :
https://www.facebook.com/people/Richard-Boutry/540678368

https://youtu.be/EXbTKYzUaqk



CoVid 19/Le Grand Oral du Dr Gérard Guillaume, rhumatologue, membre de BonSens.org

[Source : Étienne de la Boétie]

Dr Gérard GUILLAUME – Rhumatologue
Biographie (sources : ODENTH et wiki : https://fr.wikipedia.org/wiki/Chronimed)
Rhumatologue, ancien interne des hôpitaux, le Dr Gérard GUILLAUME est qualifié en immuno-rhumatologie, médecine et traumatologie du sport, biologie du sport, radiologie du sport, nutrition du sport, médecine manuelle, phytothérapie et acupuncture.

Il fut consultant à l’Institut National des Sports, de l’Expertise et de la Performance (INSEP) pendant plusieurs années, médecin de l’équipe de France de cyclisme sur piste et des juniors, médecin de l’équipe cycliste professionnelle de la Française des Jeux de 199 à 2015.

Il est président de Chronimed, groupe de recherche clinique organisé autour du Pr Luc Montagnier, Prix Nobel de Médecine.

Auteur de nombreux articles médicaux tant en médecine du sport, qu’en rhumatologie et acupuncture. Il est l’auteur de plusieurs ouvrages de médecine chinoise, en phytothérapie, diététique et acupuncture avec son ami le Dr Mach Chieu, dont le Zhen Jiu Zi Sheng Jing, le Dictionnaire des points d’acupuncture, le Manuel d’herboristerie et de pharmacopée chinoise. Il a également écrit un traité de Diététique du cycliste professionnel et amateur.

https://youtu.be/OrLwxnxzU2E



Médicament miraculeux ou bien Vaccin ?

[Source : Guy Boulianne]

[Auteur : Guy Boulianne]

[NdNM : l’extrait suivant provient de l’article source]

Dans [une] vidéo [ci-dessous] extrêmement importante de la conférence de l’Institut Schiller qui s’est achevée le 6 septembre, l’ancien sénateur de l’État de Virginie et juge-avocat général Richard Black [1] constate que des généraux à la retraite, maintenant actifs contre Donald Trump, enfreignent l’article 88 du Code uniforme de justice militaire. Il nomme les noms et dit ce que le président devrait ordonner au secrétaire à la Défense Mark Esper de faire si Esper ne le fait pas lui-même.

La publication Defense One (qui fait la promotion de la biopuce injectable pour la détection du Covid-19) utilisée par les insurgés appartient maintenant à Atlantic Media, principalement Laurene Powell Jobs, qui a été un ange financier clé pour soutenir Kamala Harris. Atlantic Media publie également The Atlantic, qui diffuse le faux récit actuel sur le président dénigrant l’armée.

Le 2 octobre 2020, Donald Trump annonçait qu’il se rendait à l’hôpital militaire Walter Reed, en banlieue de Washington, en raison de ses symptômes liés à la COVID-19. La femme de M. Trump, Melania, aurait aussi été infectée. Dès le lendemain, le président des États-Unis publiait une vidéo dans laquelle il disait se sentir bien, que le covid avait affecté des millions de personnes et qu’il se battait, non seulement pour les États-Unis, mais pour le monde entier. Il a ajouté qu’il prenait des « médicaments thérapeutiques miraculeux, provenant de Dieu ». Le 4 octobre suivant, il annonçait qu’il sortait déjà de l’hôpital. Trump précisait un peu plus tard sur Twitter : « Je quitterai le grand centre médical Walter Reed aujourd’hui à 18h30. Je me sens très bien! N’ayez pas peur de la Covid. Ne la laissez pas dominer votre vie. Nous avons développé, sous l’administration Trump, de très bons médicaments et de bonnes connaissances. Je me sens mieux qu’il y a 20 ans! » Cette sortie fut annoncée dans la presse internationale.

Depuis le début, j’ai eu l’audace de présumer que ceci faisait partie d’une stratégie visant à mettre K.-O. le Big Pharma, et à promouvoir un « médicament thérapeutique miraculeux » à l’échelle internationale, au détriment d’un vaccin qui aurait pour objectif principal de nous implanter une micropuce de traçage numérique. Peut-être aussi s’est-il rendu au Centre militaire Walter Reed pour se protéger contre un coup d’état imminent ! L’avenir dira si j’ai raison ou non d’énoncer de telles hypothèses …




OBÉISSEZ OU AUTREMENT: Le New England Journal of Medicine dit que les personnes qui refusent les vaccins OBLIGATOIRES contre le coronavirus devraient être sévèrement punies, enfermées chez elles et licenciées de leur travail

[Source : MirastNews]

Bienvenue dans le nouveau fascisme médical de 2020. Le New England Journal of Medicine, le même faux chiffon scientifique qui a commis une fraude totale pour étaler [dénigrer] malhonnêtement l’hydroxychloroquine et protéger les intérêts des sociétés de vaccins, dit maintenant que tous les êtres humains doivent être obligés de prendre des mesures obligatoires vaccins. Ceux qui refusent doivent faire face à des sanctions sévères, insiste le NEJM, et des mesures insidieuses doivent être prises pour s’assurer que personne ne peut contester les sanctions devant un tribunal.

Source: Assuring Uptake of Vaccines against SARS-CoV-2, 1 octobre 2020, N Engl J Med 2020; 383: 1296-1299

«[E] En raison de la contagiosité et de la dangerosité du virus, des sanctions relativement importantes pourraient être justifiées, y compris la suspension de l’emploi ou les ordonnances de rester à la maison pour les personnes appartenant à des groupes hautement prioritaires désignés qui refusent la vaccination», indique le journal du NEJM.

Il stipule également que le personnel médical autoritaire doit contourner les procédures régulières afin que personne ne puisse contester ses ordonnances devant un tribunal, déclarant: 

«Ni les amendes ni les sanctions pénales ne devraient être utilisées, cependant … les sanctions pénales invitent à des contestations judiciaires pour des motifs de procédure régulière. [et] peut attiser la méfiance.»

Il poursuit en expliquant que les mandats de vaccination ne devraient pas être promus comme des mandats. Au lieu de cela, ceux qui refusent les vaccins devraient être sévèrement punis afin de forcer les mandats sans jamais le déclarer. «Les mandats [d’états] ne devraient pas être structurés comme une vaccination obligatoire (exigences absolues); au lieu de cela, le non-respect devrait entraîner une pénalité», déclare le journal.

Et puis, incroyablement, le même article continue en affirmant que les autorités sanitaires doivent «renforcer la confiance du public» grâce à un «processus transparent et inclusif», même si le même article a ouvertement affirmé que le public devrait être induit en erreur et contraint à des mandats de vaccination.

À son honneur, le document soutient que les fabricants de vaccins ne devraient plus être impliqués dans l’élaboration de politiques publiques ou la promotion de mandats, car personne ne fait plus confiance aux sociétés de vaccins. (Incroyable à quelle vitesse cela s’est produit, n’est-ce pas?)

Donc, la ligne du bas ici est la suivante:

  • Les autorités sanitaires font pression pour les vaccins obligatoires, mais ils ne les appelleront pas des «mandats».
  • Au lieu de cela, ils vous puniront pour avoir refusé d’accepter leurs mandats, ce qui rendra votre vie misérable.
  • Ils évitent tout mandat qui pourrait être contesté devant un tribunal afin de contourner la procédure régulière.
  • Ils affirment ensuite que c’est ainsi que l’industrie des vaccins peut «établir la confiance» avec le public en prétendant être engagée dans la «transparence».

Grâce aux tyrans de la Covid-19, toute l’idée de «consentement éclairé» est maintenant une histoire ancienne dans l’establishment des sciences médicales. Les promoteurs de vaccins croient qu’ils sont les nouveaux «Judge Dredd» de la société, et ils croient que leurs concoctions expérimentales, aussi risquées ou dangereuses soient-elles, devraient être injectées de force dans tous les êtres humains. Ceux qui résistent devraient être sévèrement punis, affirment-ils, et ils vous puniront d’une manière que vous ne pourrez pas contester devant un tribunal.

Et les faux médias d’information sont à 100% derrière tout cela et vous feront honte si vous ne les suivez pas.

Regardez l’avertissement du Dr Carrie Madej dans une nouvelle interview d’il y a quelques jours:

https://www.brighteon.com/f6465304-2a0f-4e7d-a5ee-f5e4eebc0c4b

En effet, ils déploient un système de «notation du crédit social pour les vaccins» qui exige votre conformité

Ce que vous regardez ici, c’est un système de notation du crédit social pour les vaccins en cours de déploiement à travers l’Amérique, juste sous nos yeux.

Vous ne voulez pas le vaccin? Vous êtes licencié de votre travail.

Vous ne voulez toujours pas la photo? Il vous sera interdit d’entrer dans les épiceries et d’acheter de la nourriture.

Résister aux mandats de vaccination? Les «autorités» de la santé vous enfermeront dans votre propre maison, faisant de vous un prisonnier sans jamais vous entraîner devant un tribunal où vous pourriez être en mesure de vous défendre contre l’emprisonnement.

Il s’agit de la nouvelle tyrannie autoritaire Covid-19/Vaccin, et elle est déployée en ce moment même, juste devant vous, partout en Amérique. New York vient d’annoncer une deuxième vague de lock-out, et personne ne résiste.

Les moutons feront la queue pour l’abattage, et ils ne parleront ni ne résisteront car ils sont saignés à mort au nom du contrôle de la population mondiale. Quiconque est assez stupide pour accepter d’être vacciné est trop stupide pour représenter l’avenir de la race humaine. Ils seront systématiquement abattus avec le vaccin tueur (kill shot). Sinon, comment les mondialistes atteindront-ils leur objectif d’exterminer plus de six milliards d’humains, après tout?

Restez informé et vous pourriez bien rester en vie. Suivez-moi sur http://brighteon.social où plus de 10 000 personnes ont maintenant découvert la liberté de s’exprimer sur les vaccins, la Covid-19, les programmes de dépopulation, les remèdes naturels et plus encore.

Écoutez mon message «Dernier avertissement» ici:

https://www.brighteon.com/d2403723-47f7-4ece-8faa-b3124ca0443e

Mike Adams     

Traduction : MIRASTNEWS

Source [anglaise] : Natural News




Des poisons sur les masques qu’on nous vend ?

[Source : François Ducrocq]

L’usage des masques est dangereux

Est-ce que la population n’est pas en train de se suicider collectivement avec un poison lent ?

L’usage du masque pouvait se justifier pendant une courte période d’épidémie entre mars et mai 2020 et une pénurie a été malheureusement à la fois voulue et organisée durant cette période. Aujourd’hui, à l’opposé, le masque est devenu un instrument politique de contrainte. Ce revirement n’est pas seulement incompréhensible, il est porteur de conséquences sanitaires néfastes.

Des réactions biochimiques se produisent dans les poumons avec le frein du masque, lors de l’inspiration et de l’expiration. Dans une atmosphère plus humide et davantage chargée en carbone, des composés tels que le formaldéhyde et autres COV apparaissent. Les seuils critiques sont dépassés en une dizaine de secondes.

Masquer la population aujourd’hui, en septembre 2020, est non seulement anxiogène, mais est aussi porteur de risques sanitaires à long terme.
Cette ambiance malsaine a, de surcroît, des répercussions désastreuses sur l’activité économique qui repose d’abord sur la confiance. Et elle génère une surenchère sans limites dans des mesures sanitaires de plus en plus ridicules et dictatoriales.

https://youtu.be/v_Cjet14e9M



« La minute de Ricardo » : au Danemark, pas de corruption, pas de COVID!

[Source : ActuQc]

[Photo : La ville de Svenborg, point de départ pour explorer l’archipel du sud du Danemark. Getty images/Westersoe.]

[Au Danemark, il y a très peu de corruption de la politique et de la médecine et donc pas de confinement ni de port de masque. La conséquence logique est qu’il y a très peu de morts attribués à la Covid-19 et la vie continue comme avant.]




Dr Joseph Mercola : Une biopuce injectable pour la détection du SARS-CoV-2 sera prochainement approuvée par la Food and Drug Administration

[Source : Guy Boulianne]

[Voici un article du Dr Joseph Mercola] — La société de la Silicon Valley, Profusa, en partenariat avec la US Defense Advanced Research Projects Agency (DARPA) [1], a créé un biocapteur injectable capable de détecter la présence d’une infection dans votre corps. [2] Début août 2019, des mois avant que COVID-19 ne devienne un mot familier, la DARPA a accordé à Profusa un financement supplémentaire « pour développer un système d’identification précoce pour détecter les épidémies, les attaques biologiques et les pandémies jusqu’à trois semaines plus tôt que les méthodes actuelles. »

Comme discuté dans « Le nouveau vaccin COVID vous rendra-t-il transhumain? », nous semblons être à la porte d’un nouveau monde dans lequel l’homme est de plus en plus fusionné avec la technologie et l’intelligence artificielle, et COVID-19 pourrait bien être la clé qui ouvre cette porte, à plus d’un titre. Pour commencer, bon nombre des vaccins COVID-19 actuellement accélérés ne sont pas des vaccins conventionnels. Leur conception vise à manipuler votre propre biologie, en créant essentiellement des humains génétiquement modifiés. Combinés avec des biocapteurs d’hydrogel — qui ne souffrent pas de rejet en tant que corps étrangers comme les implants précédents, devenant plutôt un avec vos propres tissus [3] — nous pouvons également nous retrouver connectés en permanence au cloud Internet, pour le meilleur ou pour le pire.

La puce Hydrogel vous connectera à Internet

Hydrogel est une invention de DARPA qui implique la nanotechnologie et les nanobots. Cette « interface bioélectronique » fait partie du système d’administration des vaccins à ARNm COVID-19.

La biopuce développée par Profusa est similaire aux vaccins à ARNm COVID-19 proposés en ce qu’elle utilise de l’hydrogel. L’implant a la taille d’un grain de riz et se connecte à une base de données en ligne qui suivra les changements dans votre biochimie et un large éventail de données biométriques, telles que la fréquence cardiaque et respiratoire et bien plus encore.

La nanotechnologie pourrait théoriquement être utilisée pour fabriquer des systèmes de contrôle de l’esprit, des dispositifs d’écoute invisibles et mobiles, ou des outils de torture incroyablement horribles. Un article de septembre 2019 décrit comment le capteur injectable peut aider à améliorer la surveillance de la maladie artérielle périphérique. [4] Cependant, bien que cela puisse être pratique, ce type de technologie aura également des ramifications immédiates pour notre vie privée. Qui collectera et aura accès à toutes ces données? Qui sera responsable de sa protection? Comment sera-t-il utilisé et quand? Comme indiqué dans un article de SteemKR sur les implants :

« Avec l’avènement des nanotechnologies corporelles et des capteurs qui lient le corps humain à une plateforme d’intelligence artificielle, les possibilités d’utilisation abusive par les gouvernements totalitaires n’ont pas été perdues pour les chiens de garde de la technologie. Avec des biocapteurs avancés, l’intelligence artificielle peut être capable de lire toutes les humeurs et activités du sujet, sa fréquence cardiaque, sa fréquence respiratoire, sa température corporelle et même son activité sexuelle. »


Comment fonctionne le biocapteur

Dans un article du 3 mars 2020, Defense One [5] explique les bases du fonctionnement du biocapteur :

« Le capteur comprend deux parties. L’un est une chaîne d’hydrogel de 3 mm, un matériau dont le réseau de chaînes polymères est utilisé dans certaines lentilles de contact et d’autres implants. Insérée sous la peau avec une seringue, la ficelle comprend une molécule spécialement conçue qui envoie un signal fluorescent à l’extérieur du corps lorsque le corps commence à combattre une infection.

« L’autre partie est un composant électronique attaché à la peau. Il envoie de la lumière à travers la peau, détecte le signal fluorescent et génère un autre signal que le porteur peut envoyer à un médecin, à un site Web, etc. C’est comme un laboratoire de sang sur la peau qui peut capter la réponse du corps à la maladie avant la présence d’autres symptômes, comme la toux. »

Donc, pour récapituler, la technologie se compose de trois composants : le capteur implanté, un lecteur placé à la surface de la peau, et le logiciel qui permet au lecteur d’envoyer les données collectées via Bluetooth à votre téléphone ou tablette, qui à son tour peut être connecté à d’autres sources en ligne telles que le site Web de votre médecin. [6]

Détecter les épidémies avant qu’elles ne se propagent

Tel que rapporté par la Defense One, La technologie soutenue par DARPA de Profusa sera en mesure de détecter la présence d’infections pseudo-grippales — y compris les infections au SRAS-CoV-2 — dans la population avant qu’ils ne deviennent symptomatiques. En tant que tels, les biocapteurs pourraient bien faire partie intégrante des futurs systèmes de détection de pandémie. Profusa espère obtenir l’approbation de la Food and Drug Administration au début de 2021.

Le 3 mars 2020, Profusa a annoncé le lancement d’une étude visant à enquêter sur l’efficacité de la technologie pour la détection précoce des épidémies de grippe. [7] Les collaborateurs comprennent l’Université Duke, l’Imperial College de Londres et RTI International, un institut de recherche à but non lucratif qui développe des algorithmes pour la détection des maladies. D’après le communiqué de presse :

« L’étude, menée à l’Imperial College de Londres, examinera comment les capteurs surveillant l’état physiologique, y compris la plate-forme d’oxygène Lumee qui mesure les niveaux d’oxygène dans les tissus, fournissent des indicateurs potentiels de la réponse humaine à l’infection ou à l’exposition à la maladie chez des volontaires sains. Le but de l’étude est de développer un système d’identification précoce pour détecter non seulement les épidémies, mais aussi les attaques biologiques et les pandémies jusqu’à trois semaines plus tôt que les méthodes actuelles. Les résultats de l’étude devraient être disponibles en 2021.

« « Cette recherche marque un pas en avant passionnant dans le développement de soins préventifs révolutionnaires », a déclaré Ben Hwang, président-directeur général de Profusa.

« La plate-forme d’oxygène Lumee peut potentiellement fonctionner comme une sorte de canari dans une mine de charbon pour les maladies infectieuses, car des changements subtils d’oxygène au niveau des tissus peuvent signaler des problèmes et peuvent aider les cliniciens à corriger rapidement le cours pour éviter les épidémies. »

Les questions de confidentialité restent sans réponse

De nombreuses questions demeurent cependant. Si votre téléphone portable peut recevoir des informations de votre corps, quelles informations votre corps peut-il en recevoir, ou d’autres sources, et quels effets de telles transmissions pourraient-elles avoir sur votre fonctionnement physique et votre santé psychologique? Jusqu’à présent, ces questions cruciales n’ont pas reçu de réponse, et elles doivent l’être, compte tenu des possibilités cauchemardesques.

Écrivant pour la revue technologique The New Atlantis [8], le critique technologique Adam Keiper souligne que : 

« Outre le potentiel des nanotechnologies en tant qu’arme de destruction massive, elles pourraient également rendre possibles des formes totalement nouvelles de violence et d’oppression. La nanotechnologie pourrait théoriquement être utilisée pour fabriquer des systèmes de contrôle de l’esprit, des dispositifs d’écoute invisibles et mobiles, ou des outils de torture incroyablement horribles. »

L’un des journalistes indépendants, Whitney Webb, a écrit un article à ce sujet : « Le coronavirus donne un coup de pouce dangereux au programme le plus sombre de la DARPA ». [9] Dans ce document, elle passe en revue certaines des possibilités les plus néfastes inhérentes à cette technologie :

« La technologie développée par la branche de recherche controversée du Pentagone reçoit un énorme coup de pouce au milieu de la crise actuelle des coronavirus, avec peu d’attention portée aux arrière-pensées de l’agence pour développer ces technologies, à leur potentiel de militarisation ou à leurs conséquences involontaires …

« Profusa, qui a reçu des millions et des millions de la DARPA ces dernières années, affirme que les informations générées par leur biocapteur injectable seraient « partagées en toute sécurité » et accessibles aux « individus, médecins et praticiens de la santé publique ».

« Cependant, la pression actuelle pour un système national de “recherche des contacts” basé sur les données de santé privées des citoyens est susceptible d’élargir ce partage de données, convenant parfaitement à l’objectif vieux de plusieurs années de la DARPA de créer une base de données nationale en ligne de diagnostics préventifs. Profusa est également soutenu par Google, qui est intimement impliqué dans ces nouvelles initiatives de “recherche des contacts” de surveillance de masse… »

Le ministère de la Défense investit profondément dans les nanotechnologies

Cela vaut la peine d’envisager la possibilité que le transfert de données puisse se faire dans les deux sens, car le ministère de la Défense travaille également sur les nanotechnologies visant à créer de véritables « super-soldats » dotés d’une conscience situationnelle augmentée et d’autres capacités de survie sur le champ de bataille. [10] [11] Ces technologies peuvent également inclure des armes génétiques conçues pour nuire à la santé et au bien-être de l’ennemi. [12] Dans « Le coronavirus donne un élan dangereux au programme le plus sombre de la DARPA », Webb passe en revue plusieurs initiatives de la DARPA qui poussent l’imagination :

« Un autre programme DARPA de longue date… est connu sous le nom de « Living Foundries » … Living Foundries vise à permettre la production adaptable, évolutive et à la demande de molécules [synthétiques] en programmant les processus métaboliques fondamentaux des systèmes biologiques pour générer un vaste nombre de molécules complexes qui ne sont pas autrement accessibles…

« Les types de recherche soutenus par ce programme « Fonderies vivantes » impliquent la création de « vie artificielle », y compris la création de matériel génétique artificiel… des chromosomes artificiels, la création « d’organismes entièrement nouveaux » et l’utilisation de matériel génétique artificiel pour « ajouter de nouvelles capacités aux êtres humains » (c’est-à-dire en modifiant génétiquement des êtres humains par l’insertion de matériel génétique synthétique)… [13]

« La DARPA a également un projet appelé « Outils avancés pour l’ingénierie du génome des mammifères », qui se concentre spécifiquement sur l’amélioration de « l’utilité des chromosomes artificiels humains (HAC) » [14] « Bien que les articles de recherche se concentrent souvent sur les HAC en tant qu’avancement médical révolutionnaire, ils sont également fréquemment promus comme un moyen « d’améliorer » les humains en leur conférant des caractéristiques non naturelles … [15]

« Les rapports sur ces programmes discutent également de l’autre utilisation très déconcertante de ces mêmes technologies, des « armes génétiques » qui « subvertiraient l’ADN » et « saperaient l’esprit et le corps des gens ».

Comme indiqué dans l’article de SteemKR, la surveillance de masse des données biologiques de chacun exigerait également « une bande passante considérablement accrue dans les réseaux de téléphonie mobile et Wi-Fi », et il est possible que cela explique en partie pourquoi les gouvernements du monde entier sont si déterminés à mettre en œuvre le réseau 5G à travers le monde sans donner une seconde pensée aux effets potentiellement négatifs.

Adjuvants nanotechnologiques dans les vaccins

Le département américain de la Défense envisage également d’utiliser des adjuvants basés sur les nanotechnologies dans les vaccins au lieu d’adjuvants conventionnels connus pour causer des problèmes de santé. Comme décrit sur le site internet de l’Institute for Soldier Nanotechnologies sous les domaines de recherche stratégique n ° 1 :

« Un autre projet se concentre sur de nouveaux moyens de protéger le soldat contre les infections. L’approche consiste à intervenir en toute sécurité dans le système immunitaire humain grâce à la conception de nouveaux nanomatériaux ciblant les lymphoïdes et les leucocytes qui concentrent les composés adjuvants et les immunomodulateurs dans les populations de cellules immunitaires pour améliorer respectivement les vaccins prophylactiques et les thérapies antimicrobiennes. » [16]

La page 1.6 du projet [17] expose plus en détail la recherche en indiquant :

« Les vaccins protéiques ne provoquent généralement pas de réponse immunitaire par eux-mêmes et doivent être combinés avec des adjuvants, des composés qui fournissent des signaux inflammatoires ou favorisent la réponse immunitaire à un antigène co-administré. La conception de l’adjuvant est rendue difficile par la nécessité de conduire fortement des aspects spécifiques de la réponse immunitaire tout en maintenant un profil d’innocuité rigoureux pour l’administration à des receveurs sains.

« Les approches basées sur la nanotechnologie qui ciblent les adjuvants de vaccins ou les immunomodulateurs sur les ganglions lymphatiques ont la capacité d’améliorer à la fois la puissance et la sécurité des vaccins, en concentrant l’activité adjuvante dans les tissus où les réponses immunitaires sont initiées et en évitant l’exposition systémique …

« Le projet 1.6 propose de développer deux technologies de plate-forme qui favorisent de manière sûre et efficace les réponses immunitaires dans les contextes de vaccination et thérapeutiques : les ganglions lymphatiques ciblant les adjuvants amphiphiles et les nanoparticules métalliques revêtues de ligands amphiphiles à ciblage immunitaire.

« Ces deux approches sont parfaitement adaptées pour cibler des composés adjuvants sur des tissus lymphoïdes et des immunomodulateurs sur des cellules immunitaires pendant l’infection, respectivement.

« Dans des études préliminaires réalisées avec des collègues de l’Institut de recherche médicale de l’armée américaine sur les maladies infectieuses (USAMRIID), des résultats prometteurs ont été obtenus dans des modèles murins d’infection par le virus Ebola utilisant des adjuvants ciblant les ganglions lymphatiques.

« Des adjuvants / immunomodulateurs basés sur la nanotechnologie, axés en particulier sur l’amélioration de la maturation d’affinité et l’induction des lymphocytes T cytotoxiques, seront développés, et l’équipe de recherche s’associera à USAMRIID pour appliquer ces technologies à Ebola et à d’autres vaccins. »

Bien qu’une grande partie de cela puisse sembler trop exagérée pour être compris par la personne moyenne, nous sommes maintenant à un point où nous devons faire face de front à l’agenda transhumaniste, car il est mis en œuvre, que nous en soyons conscients et d’accord, avec ses perspectives ou pas. Et les vaccins à ARNm contre le COVID-19 semblent être un moyen d’attraper une grande partie de la population mondiale dans le « filet ».

Une des façons dont vous pouvez vous armer est de vous inscrire à la cinquième Conférence publique internationale sur la vaccination : « Protéger la santé et l’autonomie au 21e siècle », qui se tiendra en ligne du 16 au 18 octobre 2020. Il y aura 40 orateurs, y compris moi [Dr Joseph Mercola], qui abordera ces problèmes, y compris les solutions. Le coût n’est que de 80 $ et comprendra également Andy Wakefield et Robert F. Kennedy Jr.


À propos du Dr Joseph Mercola

Le Dr Joseph Mercola est le fondateur de Mercola.com. Médecin ostéopathe, auteur à succès et récipiendaire de multiples prix dans le domaine de la santé naturelle, sa vision principale est de changer le paradigme de la santé moderne en fournissant aux gens une ressource précieuse pour les aider à prendre le contrôle de leur santé.

En raison de ses efforts inlassables pour diffuser des informations importantes sur la santé au public, le Dr Mercola a reçu de nombreux prix et distinctions. En 2009, il a été nommé le meilleur Ultimate Wellness Game Changer, qui récompense « 100 innovateurs, visionnaires et leaders dans 10 catégories qui exploitent le pouvoir des nouveaux médias pour remodeler leurs domaines et changer le monde ».

Il a également reçu des prix prestigieux d’Emord and Associates PC pour ses contributions à la médecine holistique, notamment le prix Sacred Fire of Liberty, le prix Excellence in Health Journalism Award et le Freedom of Informed Choice Award.

Le Dr Mercola a ouvert la voie à des changements révolutionnaires dans le domaine de la santé naturelle. Il est toujours en avance sur la courbe en matière d’information sanitaire innovante, dépassant les limites de la médecine conventionnelle pour apporter des conseils de santé fiables à son public.


RÉFÉRENCES :
  1. Profusa : Profusa and Partners Receive DARPA Award to Speed Detection of Disease Outbreaks. Cision, Aug 08, 2019.
  2. munkle : FDA Nears Approval of Injectable Biochip Implants for COVID Detection, Linked to Computers. SteemKR.
  3. News & Events : Injectable Body Sensors Take Personal Chemistry to a Cell Phone Closer to Reality. Profusa, March 19, 2018.
  4. SBIR Success Stories : Injectable oxygen sensor could improve monitoring for peripheral artery disease. The National Heart, Lung, and Blood Institute (NHLBI), September 09, 2019.
  5. Patrick Tucker : A Military-Funded Biosensor Could Be the Future of Pandemic Detection. Defense One, March 3, 2020.
  6. Susan Shepard : Early-Warning System for Detecting Infections Is Being Studied. Medical Device + Diagnostic Industry (MD+DI), Mar 26, 2020.
  7. News & Events : Profusa and Partners Announce Initiation of Study to Measure Early Signs of Influenza Through Biosensor Technology. Profusa, March 3, 2020.
  8. Adam Keiper : The Nanotechnology Revolution. The New Atlantis, Number 2, Summer 2003, pp. 17-34.
  9. Whitney Webb : Coronavirus Gives A Dangerous Boost To DARPA’s Darkest Agenda. The Last American Vagabonds, May 4, 2020.
  10. Sean Martin : REVEALED: US army’s plans to create a generation of SUPER SOLDIERS. Express, Aug 17, 2017.
  11. Joe Pappalardo : Short-Term Superhuman: If We Create Augmented Soldiers, Can We Turn Them Back?. Popular Mechanics, September 25, 2018.
  12. David Axe : This Scientist Wants Tomorrow’s Troops to Be Mutant-Powered. Wired, 12.26.12.
  13. George Dvorsky : DARPA’s New Biotech Division Wants To Create A Transhuman Future. Gizmodo, 4/02/14.
  14. Department of Defense : Advanced Tools for Mammalian Genome Engineering. Defense Advanced Research Projects Agency, September 25, 2013.
  15. George Dvorsky : How Artificial Chromosomes Could Transform Humanity. Gizmodo, 7/12/13.
  16. Strategic Research Areas : SRA 1: Soldier Protection, Battlefield Care, and Sensing. The Institute for Soldier Nanotechnologies.
  17. Strategic Research Areas : Project 1.6: Empowering Future Vaccines & Immunotherapies with Nanotech-based Adjuvants. The Institute for Soldier Nanotechnologies.



«Bouche masquée » – Les dentistes préviennent que les maladies des gencives et les caries dentaires ont augmenté de 50% depuis le début du port obligatoire du masque

[Source : Ciel voilé]

« Bouche masquée » – Les dentistes préviennent que les maladies des gencives et les caries dentaires ont augmenté de 50% depuis le début du port obligatoire du masque

Par Phillip Schneider le 2 septembre 2020

À la lumière des obligations nationales et mondiales de porter des masques à l’intérieur, les dentistes ont découvert que les patients revenant pour des examens de santé connaissent une augmentation de 50% des maladies des gencives et des caries dentaires.

Les dentistes l’ont appelé le symptôme « bouche masquée » après la fameuse «bouche de méthamphétamine» qui tend à affliger les utilisateurs de méthamphétamine. Elle affecte même ceux qui n’ont jamais eu de problèmes auparavant et on pense qu’elle est causée par une accumulation de bactéries dans un environnement sec riche en Co2 et pauvre en oxygène.

«Nous constatons une inflammation des gencives chez des patients qui sont en bonne santé depuis toujours et des caries chez des personnes qui n’en ont jamais eu auparavant»,

déclare le Dr Rob Raimondi, copropriétaire de One Manhattan Dental à New York.

Le partenaire du cabinet dentaire de Raimondi, le Dr Marc Scalfani, prévient que l’augmentation du port du masque n’entraîne pas seulement une détérioration des gencives et des dents, mais qu’elle «entraînera éventuellement des accidents vasculaires cérébraux et un risque accru de crise cardiaque» sur toute la ligne.

«La respiration par la bouche provoque la sécheresse de la bouche, ce qui entraîne une diminution de la salive – et la salive est ce qui combat les bactéries et nettoie vos dents. La salive est également ce qui neutralise l’acide dans la bouche et aide à prévenir la carie dentaire et les maladies des gencives.» 

Dr Marc Sclafani [SOURCE]

Les médecins préviennent depuis des mois que le port d’un masque peut exacerber les affections respiratoires existantes telles que l’asthme, mais il semble maintenant que les dommages ne s’étendent pas seulement aux poumons, mais également à la bouche.

« Les patients viennent nous voir en disant : « Oh ! Mon haleine sent, j’ai besoin d’un nettoyage » »,

déclare le Dr Sclafini.

« Lorsque vous avez mauvaise haleine, soit vous avez déjà une maladie parodontale, soit vous avez beaucoup de bactéries qui sont présentes sur votre langue à cause de la sécheresse de la bouche. »

Pour cette raison, Sclafini recommande à ceux qui doivent porter des masques de boire beaucoup d’eau, de se brosser les dents régulièrement et d’éviter de respirer par la bouche tout en en portant un, à tout le moins, pour éviter d’autres complications.

Alors que des centaines de médecins ont déclaré publiquement que les mesures draconiennes prises par les gouvernements du monde entier pour lutter contre les infections à coronavirus étaient «  disproportionnées  » par rapport au problème, il devient clair que forcer les individus à fermer leurs entreprises, à s’isoler et à porter les masques où qu’ils aillent causent également des dommages et coûtent en fait des vies.

Le confinement et l’obligation du port du masque ont non seulement provoqué une flambée des taux de suicide et de la toxicomanie, mais une augmentation des maladies des gencives signifie une augmentation inévitable des accidents vasculaires cérébraux et des crises cardiaques, provoquant des décès qui ne se seraient jamais produits sans le port obligatoire du masque.

Des données récentes des Centers for Disease Control (CDC) montrent que seulement 6 % des décès par coronavirus sont attribués au Covid-19 seul, tandis que les 94% restants ont été associés à une moyenne de 2,6 comorbidités, ajoutant à l’idée que l’isolement des personnes en bonne santé au lieu des malades et des vulnérables, cela ne fera qu’aggraver le problème.

Après avoir effectué un examen de l’efficacité des masques chirurgicaux, l’Agence canadienne des médicaments et des technologies de la santé (ACMTS) a conclu qu ‘« aucune preuve n’a été trouvée en faveur de l’utilisation de masques chirurgicaux pour réduire la fréquence des infections sur le site opératoire » et « aucune preuve n’a été trouvée de l’efficacité du port de masques chirurgicaux pour protéger le personnel des matières infectieuses dans la salle d’opération. »

Pendant ce temps, l’Organisation mondiale de la santé (OMS) recommande de renoncer aux travaux dentaires jusqu’à ce que nous en sachions davantage sur le virus ou jusqu’à ce que davantage d’équipement soit disponible pour protéger les travailleurs de la santé contre les aérosols.

«La probabilité que le COVID-19 soit transmis par des aérosols, des microparticules ou des particules en suspension… aujourd’hui, je pense est inconnue, elle est au moins sujette à caution. Cela signifie que des recherches supplémentaires sont nécessaires. » 

Benoit Varenne, dentiste de l’OMS [SOURCE]

Même l’Organisation mondiale de la santé admet dans un rapport du 5 juin que la science concernant l’utilisation actuelle à grande échelle des masques fait défaut.

« À l’heure actuelle, l’utilisation généralisée des masques par des personnes en bonne santé dans le cadre de la communauté n’est pas encore étayée par des preuves scientifiques directes de haute qualité et il y a des avantages et des inconvénients potentiels à prendre en compte. » 

OMS, Directives provisoires, p. 6

Il est peut-être temps de discuter de l’aptitude des individus à prendre leurs propres décisions pour lutter contre la pandémie, plutôt que d’obligations générales émanant de gouvernements et de bureaucrates qui semblent nous causer du tort.




Allô Docteur 💊 Episode 01 « Un secret pour vous »

[NdNM : La vidéo présentée permet d’avoir un meilleur aperçu de l’homéopathie et de son énorme potentiel en matière de traitement des maladies, y compris en ce qui concerne la Covid-19.]

[Source : Ema Krusi]

[Auteur : Ema Krusi]

Dans ce premier épisode, nous parlons de sujets actuels brûlants.

Allô Docteur est ma nouvelle émission santé. J’ai connu le Dr Edouard Broussalian il y a plusieurs années et j’ai décidé de vous offrir des « moments santé » afin de mieux comprendre l’immunité, la gestion des symptômes et la guérison.

Dans cette émission, vous pourrez bénéficier gratuitement des conseils du Dr Broussalian et assister EN LIVE à des consultations que le Dr Broussalian fera sur ma chaîne régulièrement.

▶️ Vous ne connaissez pas encore le Dr Edouard Broussalian ?
Voici quelques mots sur son parcours.
Auteur prolifique d’articles, de traductions et d’ouvrages de référence sur l’homéopathie, il enseigne la nouvelle médecine depuis 1996. Il pratique la médecine générale homéopathique depuis 1989 et il a traité des maladies épidémiques comme le choléra (Haïti 2011) avec les mêmes succès que ses prédécesseurs, confirmant la supériorité du traitement homéopathique sur les vieux procédés chimiques. C’est en 2012 que commence le grand tournant de sa carrière en fondant un enseignement qui pour la première fois depuis des générations suit aphorisme après aphorisme l’Organon de Hahnemann.
1988: Diplôme d’État de docteur en médecine – Faculté de médecine de Grenoble

👉 RETROUVEZ LE DOCTEUR BROUSSALIAN EN LIGNE : https://drbroussalian.com/le-docteur/

https://youtu.be/C1xCBJ0HCUA



Les données INSEE démontrent qu’il est impossible d’avoir 30 800 morts en plus en France en 2020 à cause du COVID-19!

[Source : FranceSoir]

Auteur(s): Docteur Peter EL BAZE pour FranceSoir

TRIBUNE : D’après les chiffres officiels de l’INSEE du nombre de morts toutes causes confondues du 1er janvier au 31 juillet 2020 en France, on nous annonce une surmortalité de 30 800 morts Covid en plus par rapport à l’année précédente. 

Ceci n’est pas possible et nous en faisons la démonstration

Commençons par regarder le nombre total de morts en France entre le 1 janvier et le 31 juillet des 3 années : pour 2018 il est de 363 955, en 2019 de 362 900 et en 2020 de 379 200.  Ceux sont les décès toutes causes pour la France.   Par différence, il y a donc + 15 245 décès en plus en 2020 qu’en 2018 et + 16 300 décès en plus entre 2020 et 2019.

Logiquement, il est impossible qu’il y ait plus de 16 300 morts de plus en 2020 (quelqu’en soit la cause, COVID ou PAS COVID).

Un ajustement est aussi nécessaire

Pour être plus complet, il faut enlever de ce chiffre maximum de 16 300 morts en surplus par rapport à 2018 :

  • Les 2000 à 3000 morts/an qui s’ajoutent chaque année à cause de l’augmentation de la population et de son vieillissement.
  • Les morts en mars-avril-mai 2020 d’autres pathologies par privation de soins à cause du confinement. Et ceux-là se chiffrent en millier.

En conséquence, le chiffre ajusté du nombre de morts en France est obligatoirement très inférieur à 14 500 dont une petite partie à cause du COVID-19.

Une correction basée sur des indices mondiaux

En appliquant le taux de mortalité mondial moyen actuel de 0,011% à la France, on obtient environ 7 000 morts, ce qui serait cohérent avec l’Allemagne qui déclare 9000 morts pour 84 millions d’habitants.

Un peu de bon sens, la France qui a une des meilleures médecines du monde ne peut pas avoir 400% de morts en plus que la moyenne mondiale !

La majorité des certificats de décès cochés morts COVID-19, ne sont pas morts à cause du COVID-19

  • Une incitation financière à cocher la case Covid, elle est de 5000 euros/certificat dans les hôpitaux et de 55 euros en médecine de ville,
  • Une recommandation de pas chercher de preuve médicale (test, autopsie) mais une simple suspicion,
  • Une recommandation de ne pas faire de diagnostics différentiels avec les autres pathologies graves du patient (Insuffisance cardiaque, HTA, cancers, etc) présentes chez 99% des patients décédés.

Les arguments erronés qui ne manqueront pas d’être évoqués

  • Diminution des morts pas accidents de la route en mars-avril : les 200 morts en moins d’accidents de la route du fait du confinement ne changent rien à ces chiffres.
  • En 2020 il y a 14 000 personnes qui auraient dû mourir et ne sont pas mortes sans aucune raison (soit 24 000 sur l’année).  Ce genre de miracle n’existe pas en médecine, cela n’est jamais arrivé dans l’histoire sauf l’année suivante d’une guerre.
  • 14 000 personnes malades ne sont pas mortes grâce au confinement et aux masques.  La réalité c’est que le confinement général est responsable au contraire de milliers de morts en plus parmi les millions de malades chroniques graves par manque de soins, les cabinets de ville et consultation hospitalières étaient vides, même en chimiothérapie !

En épidémiologie, les deux grandes causes de variations de la mortalité sont les guerres et les épidémies.

Mathématiquement il est démontré que le chiffre de 30 800 morts à cause du Covid-19 est impossible.

Que si tous les morts supplémentaires en 2020 étaient tous A CAUSE du Covid-19, leur chiffre ne peut pas dépasser 14 500 et probablement beaucoup moins.

Docteur Peter EL BAZE, Ex Médecin Attaché des Hôpitaux du CHU de Nice, ancien Chef du Service de Médecine Interne A1, Les Sources, Nice. Créateur des logiciels médicaux Megabaze et Oncobaze (chimiothérapies).




Toute la vérité sur la Covid-19 : il aurait été fabriqué en France

[Source : http://www.verite-covid19.fr/]

https://youtu.be/SEMWLibvGDc

Documents essentiels :

1 – File 0 – Contents of File 1 to File 4

2 – File 1 – Conference The Whole TRUTH about Covid-19 and Covid-19 Vaccines August 2020

2 – File 1 – Document 1 Interview with Professor Luc Montagnier by doctor Jean-François Lemoine 16 avril 2020

2 – File 1 – Document 2 Publication of Frédéric Tangy F. and Hussein Y. Naim in VIRAL IMMUNOLOGY Volume 18, Number 2, 2005

2 – File 1 – Document 3 TANGY Frédéric original article Paris Match 9-15 avril 2020

2 – File 1 – Document 4 TANGY English traduction of article Paris Match 9-15 April 2020

2 – File 1 – Document 5 Virus vectors ChAdOx1 and MVA for vaccines

2 – File 1 – Document 6 TANGY Frédéric article Paris Match, 14 – 20 May, 2020

2 – File 1 – Document 7 Bill Gates médecin du monde Paris-Match 16-22 avril 2020

2 – File 1 – Document 8 Bill Gates doctor of the world Paris-Match April 16-22, 2020

2 – File 1 – Document 9 Publication of Yang Liu, et al in VIRAL IMMUNOLOGY, Volume 00, Number 00, 07-04-2020

2 – File 1 – Document 10 Publication J B Fourtillan and al Pharmacokinetics of Quinine and Doxycycline

2 – File 1 – Document 11 Tetracyclines in Malaria Tiphaine Gaillard et al- Malar J. (2015) 14-445

3 – File 2 – Document 0 Hat letter of 6 May 2020 to heads of state GB

3 – File 2 – DOSSIER Fr. Covid 19

3 – File 2 – DOSSIER GB Covid 19

4 – File3 – Document_0 Dossier Robert F. Kennedy Jr du 05-02-2020 V.finale

4 – File 3 – Document 1-CURRICULUM VITAE GB

4 – File 3 – Document 2 Reasons for the formal ban on aluminum in medicines and health products

4 – File 3 – Document 3 Certificate of toxicological expertise of aluminum and its justification

4 – File 3 – Document 4 All medicines, for human use, containing aluminum, are administered in toxic deadly doses

4 – File 3 – Document 5 The scandal of Aluminum

4 – File 3 – Document 6 Statement of Professor JB Fourtillan to men around the world

4 – File 3 – Document 7 Thimerosal and vaccines

4 – File 3 – Document 8 Mechanisms of neurotoxicity of heavy metals Hg and Al

4 – File 3 – Document 9 Mode of action of mixed patches in neurological diseases due to insufficient secretion of Valentonine and 6-Methoxy-Harmalan by the pineal gland

4 – File 3 – Dossier Robert F. Kennedy Jr of 09-03-2020

5 – File 4 – Certificate of toxicological expertise of Thimerosal and its justification GB

6 – File 5 – Certificate of toxicological expertise for vaccines containing Formaldehyde

7 – Video 1 – Stop à l’aluminium dans les vaccins et libérez les patchs (Vidéo)

Certificat d’expertise de l’aluminium et sa justification en francais

Certificat d’expertise du Formol et sa justification, version francaise

Certificat d’expertise toxicologique du Thiomersal et sa justification, version francaise




Les graves conséquences psychologiques pour les enfants obligés de porter le masque à l’école

[Source : Sott.net]

[Image :] © Pascal Bonnière – La Voix du Nord

[Auteur :] Vladimir Dimitrijević — TekDeeps

Dans la lutte contre les maladies physiologiques, nous nous devons de ne pas souffrir de maladies mentales et sociales. La santé est une totalité psychophysique et un tout, et non une absence unidimensionnelle de maladie physique.

La lutte contre le coronavirus provoque un accroissement d’étranges formes de propagande officielle anti-pandémie, qui mettent constamment l’accent sur la « distanciation sociale », et afin de ne pas infecter nos proches, les autorités recommandent de nous en éloigner le plus possible.

Les élèves sont tenus d’aller à l’école avec un masque sur le visage et les éducateurs doivent également être masqués. Toutefois, les conséquences psychologiques associées au port du masque ne sont pas négligeables. Surtout pour les enfants et les jeunes.

Note du traducteur : Le risque c’est qu’ils arrêtent d’essayer de communiquer tout court ! Le masque change aussi la voix ce qui perturbe l’enfant. Les enfants ont absolument besoin de lire les expressions sur le visage de l’autre, et le port du masque l’empêche de voir et d’analyser ces mimiques. Il est impossible de ne pas considérer que le port du masque représente un danger dans la représentation à soi et aux autres que beaucoup d’enfants n’ont pas encore affirmé même parvenus à l’adolescence. Et bien que ce ne soit pas le sujet de cet article, que dire du danger pour la santé physiologique que représente le port du masque durant plusieurs heures ?

Dépersonnalisation

Dans une interview accordée à Pečat [magazine d’informations serbe – NdT] le 14 août 2020, la psychologue clinique Sofija Trivunac — qui a exercé en Occident pendant quatre décennies après avoir obtenu son doctorat aux États-Unis — souligne la gravité de ces conséquences. Tout en insistant sur le faible bénéfice des masques dans la protection contre les maladies — sans compter les masques médicaux plus efficients qui ne sont généralement pas accessibles aux gens ordinaires —, elle déclare :

Il s’agit d’un acte de soumission très concret qui enseigne aux enfants l’obéissance, mais aussi que la communication et la possibilité de voir un visage ne sont plus la norme. Quand un bébé naît au monde et jusqu’à ce qu’il parle, il a besoin, comme les primates, de cette image fondamentale du visage de l’autre — un sourire et des yeux — et voilà qu’ils annoncent déjà le port de lunettes. Ainsi, nos yeux et notre bouche qui constituent les deux plus grands canaux de communication dont dispose l’être humain dans ses rapports aux autres êtres humains et aux animaux sont « abolis ». Nous sommes brusquement arrivés à la situation suivante : celui qui ne porte pas de masque est catalogué comme un transmetteur d’infection ou comme un tyran, une personne qui résiste.
[…]
Je ne veux pas que la pathologie des personnes compulsives-obsessionnelles devienne dominante ni qu’elle se banalise.

Bien sûr, il faut lutter contre la pandémie. Mais cette lutte ne doit pas négliger les conséquences psychologiques de l’état d’urgence, souligne Sofija Trivunac :

Si nous considérons le corps humain du point de vue d’un réceptacle surchargé de peurs, et donc bloqué pendant une longue période, nous constatons que son immunité est sérieusement affaiblie et qu’il n’est pas capable de « digérer » toutes ces peurs d’un point de vue énergétique. L’un des grands facteurs qui génèrent la peur est l’incertitude à laquelle nous sommes également exposés pendant une longue période, ainsi que tout ce qui nous conduit dans un premier temps à des troubles mentaux, puis à des maladies physiques. Car lorsque le cerveau qui contrôle notre psyché et notre corps tombe malade, nos autres organes tombent progressivement malades et les conséquences sont le plus souvent pénibles et extrêmement dangereuses.

Le port du masque est un moyen de plonger les élèves et les éducateurs dans un monde tordu, celui d’Alice lorsqu’elle passe de l’autre côté du miroir, un monde dans lequel il n’existe aucune réelle éducation ni la plus élémentaire socialisation. Mais le plus grand dommage [notamment chez les enfants – NdT] est porté à l’essence même des relations interpersonnelles : l’amour.

Le secret de l’amour comme fondement de l’humanité

Dans son livre « Les Éloges du sens », l’écrivain Dusko Jevtovic écrit :

Dans une maternité, deux jumelles, nées prématurément, ont été placées dans des incubateurs séparés, comme l’exige la réglementation. La vie de l’une d’entre elles était en danger. L’infirmière de service les a mis dans la même couveuse, et lorsqu’elle leur a rendu visite un peu plus tard, elle a réalisé qu’un miracle s’était produit : elle les a trouvés enlacées ! La sœur jumelle la plus vigoureuse étreignait la plus fragile, dont l’état de santé s’est à partir de ce moment soudainement amélioré ! Comme si elle avait alors acquis la volonté de vivre, ce qui lui manquait, la plus fragile des sœurs se mit à respirer de façon régulière, son cœur battant au rythme du cœur de sa jumelle dont l’amour l’avait fortifiée. Des appareils de précision ont tout enregistré. Un de mes collègues a également imprimé un article qui se terminait par la photo d’une étreinte salvatrice.

Lorsque Kiri, [qui signifie] « c’était écrit », a senti qu’elle se trouvait près de sa sœur et que celle-ci luttait pour sa vie, elle l’a serrée dans ses bras pour l’aider dans son combat. À partir de ce moment-là, Brijela a commencé à respirer normalement, son rythme cardiaque est revenu à la normale et son état général a commencé à se stabiliser. Les médecins ont décidé de laisser les bébés ensemble, car lorsqu’elles étaient ensemble, elles se maintenaient mutuellement en vie.

C’est, pourrait-on dire, la preuve scientifique des propriétés curatives de l’amour. Parce que le cœur est plus sensible que n’importe quel appareil. Le sentiment d’amour protège mieux que le verre de protection et pénètre plus profondément que les câbles et les tubes. Sous l’impulsion de l’éternité, le sentiment d’amour se met en marche et, avec la chaleur de l’étreinte, il libère l’espoir de l’armure que constitue l’indifférence glacée, synonyme de mort.

Ainsi, dans la lutte contre les maladies physiologiques, nous nous devons de ne pas souffrir de maladies mentales et sociales. La santé est une totalité psychophysique et un tout, et non une absence unidimensionnelle de maladie physique. Nous devons en prendre soin tout particulièrement lorsqu’il s’agit de nos enfants. Ils sont l’avenir, n’est-ce pas ?

Note du traducteur : Ce merveilleux témoignage plein d’espoir pour le genre humain ne constitue pas une singularité. En 2019, deux jumeaux en Angleterre ont partagé le même amour inconditionnel, quand le plus vigoureux des deux a étreint le plus fragile… pour le sauver. Et puis une autre histoire identique en 1995.

Par ailleurs, France Soir n’a pas mâché ses mots dans son article du 21 août quant à cette folie furieuse de faire porter des masques aux enfants pendant plusieurs heures d’affilée, 4 à 5 jours par semaine :

Le port obligatoire du masque pour les enfants, c’est de la maltraitance !

Veut-on vraiment casser nos enfants tant sur le plan scolaire que psychique ? L’incroyable prise de position exposée à nouveau dans Libération(1) nous a fait bondir, voire désespérer. Qu’est-ce que ce pays qui sacrifierait ses enfants au nom d’intérêts financiers et de querelles politiques et certainement pas médicales ? Nous pouvons admettre qu’en mars, les autorités craignaient que les petits transmettent le covid comme la grippe, mais cinq mois plus tard, l’ignorance n’est plus acceptable, ni des politiques, ni des médecins, surtout lorsqu’ils s’adressent au public. Les enfants ne sont pas à risque (les enfants ou adolescents de moins de 15 ans représentent moins de 1% des personnes contaminées(2) et moins de 0,01% des morts(3) ) et ils ne transmettent pas le virus ni aux autres enfants, ni aux adultes.(4)

Alors pourquoi cette rechute de folie par rapport à l’école ? Faire peur à tout prix pour imposer in fine un vaccin qui n’existe pas, mais fait déjà gagner des milliards en Bourse sans hésiter à sacrifier les petits et les jeunes dont le risque de covid grave est extrêmement faible ?

Oui Mr le Ministre, la rentrée doit être complètement normale ! Résistez, vous y gagnerez en crédibilité.

Une vingtaine de médecins menée par Karine Lacombe, (Mme Gilead et remdesivir) ose appeler le ministre de l’Éducation nationale à renoncer à la rentrée quasi normale qu’il avait prévue. Les enfants, selon ces vingt médecins dont aucun pédiatre (sauf un radiologue pédiatre ce qui est différent), ni aucun pédopsychiatre, ni psychologue (ils ont préféré un vétérinaire et un légiste) n’hésitent pas à pousser le gouvernement à entrer à nouveau dans ce cercle infernal de la privation de scolarité normale et à conseiller des mesures aussi aberrantes pour un enfant que le port du masque et l’enseignement à distance.

Pourtant s’ils avaient pris le temps de lire les témoignages des psychiatres et psychologues, mais aussi de tous ceux qui s’occupent d’enfants, adolescents et jeunes adultes, y compris les familles, ils auraient pu approcher la gravité des séquelles de ces cinq mois d’hystérie collective et de mesures délirantes prises sans évaluation préalable de leur gravité à court moyen et long terme. N’en rajoutons pas.

Sacrifier nos enfants pour une mesure d’intérêt non démontré

Nos ministres de la santé ont interdit la prescription de chloroquine par les médecins en prétextant qu’il n’existait pas d’études randomisées de la chloroquine contre le Covid19. Mais pour les masques pas de problème : le gouvernement a affirmé pendant deux mois qu’ils étaient inutiles (sans études le démontrant). Maintenant il prétend qu’ils sont indispensables (sans plus d’études randomisées) et il nous oblige à vivre masqués. Tous les médias reprennent en chœur « Sans masque pas de salut. Les cas augmentent. Vous serez confinés de nouveau si vous n’êtes pas obéissants ». Et les croisés du masque veulent maltraiter les enfants par une mesure sans aucune justification scientifique.

Rien ne prouve que les masques soient utiles contre une épidémie de Covid19

Libération publie une tribune orchestrée par la désormais célèbre K Lacombe(5), l’apôtre du remdesivir, le dr Jérôme Marty, président de l’UFML, qui en son temps s’était bien battu contre la loi de santé Touraine Véran et pour la liberté et l’indépendance des médecins (que vient-il faire dans cette galère ?), et les créateurs du collectif Stop-Postillons, réclamant partout et toujours le port du masque en exhibant de « nombreuses études » qui démontreraient que le masque pourrait prévenir la transmission du covid19. Oubliant au passage que le covid19 est curable si on accepte de le traiter, comme plus des trois quarts des médecins au monde.

Pourquoi ce déni et cette obsession du masque qui ne fait que « cacher ce traitement efficace que je ne saurais voir » ?

Des articles non convaincants éloignés de la pratique clinique

Nous avons personnellement relu tous les articles qu’ils citent à l’appui de leur obsession et aucun d’entre eux n’a étudié l’effet du masque sur la transmission du Covid19 dans la vraie vie.

L’article de Yu I.T date de 2004, bien avant le covid19 qu’il n’a donc pas pu étudier. Celui de Dyani Lewis parle de « preuve » mais n’en apporte aucune et se contente de formuler des hypothèses sur des éléments biologiques et non médicaux. Celui de Lidia Morawska relate des expériences de laboratoire qui ignorent le contact du virus avec l’homme. Celui de John A. Lednicky étudie l’air de la chambre d’un patient hospitalisé et détecte des traces de virus, ce qui ne prouve en rien que ces résidus puissent être contaminants, ni qu’un masque pourrait servir de protection. Celui de Jayaweera conclue que : « la transmission nosocomiale par des aérosols chargés de virus SARS-CoV-2 en suspension dans les établissements de santé peut être plausible. ». Il émet une hypothèse au conditionnel et en précisant qu’il ne la formule que pour des espaces médicaux (pas pour les entreprises ou les écoles).

Et c’est sur ces pseudo-preuves qu’ils veulent nous bâillonner partout et toujours, pour une maladie en voie disparition en Europe(6) ! Que leur arrivent-ils ? Tout au moins à ceux que l’on a connu valeureux soldats sincères contre la prise de pouvoir par l’état de la santé par l’article 1 de la loi santé, comme les membres de l’UFML ? La fréquentation des plateaux télé est-elle si toxique qu’elle fait perdre le bon sens aux meilleurs défenseurs de la liberté et de l’indépendance médicale ?

L’article très fouillé mérite de s’y attarder, nous conseillons à nos lecteurs de lire la suite.

Source de l’article initialement publié en serbe le 21 août 2020 : srbin.info
Source de l’article traduit en anglais le 20 août 2020 : TekDeeps

Traduction: Sott.net




Pourquoi les malades et les femmes enceintes doivent éviter l’électrosmog

[Source : La Maison du 21e Siècle]

Auteur : André Fauteux

Dr Dietrich Klinghardt

Adapté de mercola.com

(Lire le commentaire de l’ingénieur Marc Robert à la toute fin)

Le
Dr Dietrich Klinghardt refuse de traiter les malades qui ne font pas
tout en leur pouvoir pour éviter les champs électromagnétiques (CEM) et
il soutient que les femmes devraient prendre des mesures draconiennes
pour réduire leur exposition aux CEM pendant la grossesse afin de
diminuer le risque d’avoir un enfant autiste. « Plus le patient est
malade, plus radicale doit être la protection », affirmait récemment le
médecin américain en entrevue avec le Dr Joseph Mercola. Et que la
personne soit consciemment sensible ou non aux CEM, les résultats sont
flagrants, car les CEM nourrissent la maladie, selon plusieurs experts. «
C’est presque le jour et la nuit », dit-il. Il voit ses patients
environ aux quatre mois et lorsqu’ils ne prennent pas du mieux, il leur
demande ce qu’ils ont fait pour se protéger. « Les gens qui vont mieux,
ils ont agi en ce sens, et leur amélioration s’avère proportionnelle aux
mesures de protection. »

Fondateur du Klinghardt Academy, au New Jersey, et du Sophia Health Institute, dans l’État de Washington, ce médecin d’origine allemande évalue ses patients notamment avec la kinésiologie, une technique qui teste leur force musculaire. Qu’ils se montrent électrosensibles ou non, ils deviennent tous affaiblis par les émissions de micro-ondes des téléphones cellulaires allumés et se retrouvant à environ 12 pieds de distance (des niveaux de champs nocifs sont typiquement mesurables jusqu’à 30 pieds, selon le Dr Mercola). « Les taux de cancer sont les mêmes, on constate la même incidence de maladies neurologiques et de cerveaux embrouillés que vous sentiez ou non que vous êtes électrosensibles », souligne le Dr Klinghardt.

Les médecins allemands utilisent des CEM pulsés à des
modulations, fréquences et doses bénéfiques depuis la fin des années
1800. Ils sont très conscients des maladies comme la leucémie infantile
et le cancer du cerveau causées par l’exposition chronique aux basses
fréquences (60 hertz) des lignes et appareils électriques, ainsi qu’aux
hautes fréquences (de milliers, millions ou milliards de hertz)
provenant des antennes et des appareils de télécommunication sans fil.
Dans les années 1960, son professeur de physique à l’école secondaire
disait qu’il ne fallait pas dormir à côté d’une prise électrique, d’une
lampe ou d’un réveil matin électriques. Il s’est souvenu de cela une
fois établi aux États-Unis. « Je regardais cette incroyable crise de
l’autisme et j’ai commencé à soigner les enfants autistes à la fin des
années 1990. Je suis allé aux réunions médicales pour étudier diverses
approches de traitement, et ce qui manquait totalement dans ces
conférences, c’était l’exposition des enfants aux CEM. »

Le Dr Klinghardt a donc dirigé une étude pilote, malheureusement jamais publiée, qui consistait à mesurer les CEM de basses et hautes fréquences présentes dans la chambre où des mères d’enfants autistes avaient dormi pendant leur grossesse, quitte à les reproduire au même endroit si elles avaient déménagé. « Nous avons découvert que l’exposition moyenne d’un enfant autiste était vingt fois supérieure à celle d’un enfant non autiste. » Or, une étude publiée a permis de découvrir que les niveaux de micro-ondes mesurables dans l’air ambiant sont vingt fois plus élevés dans l’utérus. Bref, la dose reçue par les enfants autistes était 400 fois plus élevée en moyenne! [Et les garçons sont plus sensibles à l’exposition in utero.]

Il
dit qu’il traite deux types d’enfants autistes : ceux qui s’améliorent
et ceux qui s’améliorent considérablement. « La différence est que
certains parents comprennent l’importance de minimiser l’exposition aux
CEM créés par l’homme. » Il souligne qu’en Chine les femmes enceintes
sont obligées de porter des vêtements tissés d’argent qui blindent
contre les champs électriques de basses fréquences et les
radiofréquences. « Quand on entend des histoires de futures mères qui se
font arrêter par la police à Pékin pour vérifier si elles portent des
vêtements protecteurs, je me dis que nous sommes encore loin de là chez
nous. »

Selon le Dr Klinghardt, la Russie et l’Iran ont certaines des règles les plus strictes régissant l’amplitude du rayonnement des téléphones portables. Son frère lui a envoyé une vidéo d’une conférence donnée par Vladimir Poutine. Un employé russe de Klinghardt l’a traduite. Poutine y a déclaré : « Nous n’avons pas besoin d’aller en guerre avec l’Amérique. Elle est en train de commettre un suicide collectif par la façon dont ils utilisent l’électricité, il suffit d’attendre qu’ils soient tous à l’hôpital psychiatrique. » [Lire sur un fusil à micro-ondes en développement en Russie : Putin targets foes with ‘zombie’ gun which attack victims’ central nervous system.] Selon Klinghardt, Poutine veut que la Russie redevienne une nation forte, et pour cela il réduit l’électrosmog

« pour créer une toute nouvelle génération d’enfants qui grandiront pour être intelligents, des leaders dans le monde, des scientifiques. Les États-Unis représentent une nation en voie de disparition, en raison de la façon dont nous fluorons l’eau, de la façon dont nous avons adapté le programme de vaccination, l’électrosmog. Nous avons créé une tempête parfaite pour rendre stupide toute la nation. »

Réelle menace d’extinction humaine 

Tout comme les pesticides et autres polluants chimiques, les CEM se trouvent notamment liés à l’infertilité croissante et à une foule de maladies neurologiques et psychiatriques, de l’alzheimer à la dépression, toutes des maladies dont l’incidence a bondi. Le Dr Klinghardt rappelle que Barrie Trower, physicien spécialisé en armes électromagnétiques pour la Marine royale britannique à partir de 1960, ne cesse de lancer l’alerte. « On estime que si l’exposition continue à ce même rayonnement et se poursuit sur deux ou trois générations, nous serons tous stériles et nous mourrons en tant qu’espèce », observe Dietrich Klinghardt.

Ce médecin erre toutefois en affirmant que Trower aurait volontairement exposé des orphelins et des psychiatrisés à des micro-ondes de 2,4 gigahertz (GHz) — la fréquence porteuse aujourd’hui utilisée par les services de téléphonie cellulaire et le Wi-Fi —, qui les auraient endormis et même stérilisés. M. Trower nous a précisé par courriel qu’il contactera Dr Klinghardt pour lui dire que cela est faux. « Ma religion perpétuelle interdirait l’expérimentation sur une seule mouche à fruits; c’est aussi simple que ça! » L’ingénieur britannique Alasdair Philips, webmestre du site powerwatch.org.uk et inventeur de l’Acoustimeter, populaire appareil de lecture de radiofréquences, nous a par ailleurs transmis cette citation de Trower que l’on peut lire sur plusieurs sites web :

« Durant les années 1950 et 1960, pendant la guerre froide, on réalisa que les micro-ondes étaient utilisées comme des armes furtives par les Soviétiques. Ceux-ci ont irradié l’ambassade américaine pendant la guerre froide et cela a donné le cancer [ou autres problèmes de santé, notamment de thyroïde] — des cancers du sein et des leucémies — à tout le monde qui a travaillé [plusieurs années] à l’ambassade. Nous avons réalisé que les micro-ondes de faible intensité étaient l’arme furtive idéale pour les groupes dissidents du monde entier, parce que vous pouviez rendre les dissidents malades, leur donner un cancer, changer leur vision de la vie à leur insu […]. J’ai passé onze ans à interroger des espions capturés… Une de mes tâches particulières consistait à apprendre les fréquences particulières de micro-ondes qu’ils utilisaient, sur quelles victimes particulières […] et quel a été le résultat […]. Je suis probablement la seule personne au monde avec la liste complète […]. J’ai construit un dossier sur quelles fréquences d’impulsion [ou modulations] de micro-ondes causent quels dommages psychologiques ou physiologiques à une personne. Les gouvernements et les sociétés de technologie doivent être tenus responsables d’avoir collaboré à l’empoisonnement de masse de l’humanité et de toutes les autres formes de vie. »

Tel que Barrie Trower le mentionne dans cette entrevue sur Youtube :

« Je crois que quiconque installe du Wi-Fi dans une école devrait être emprisonné pour le reste de sa vie…. car il n’a pas pris connaissance de la recherche. Peu importe ses motivations, ça ne vaut pas les problèmes génétiques que les [futurs] parents devront affronter quand leurs enfants seront nés. Et si vous pensez à un seul parent, une mère qui a un enfant malformé génétiquement, elle se sentira coupable et sera inquiète à chaque seconde de son existence… Vous condamnez à la fois les parents et les enfants à une vie d’enfer absolu. »

Le Dr Klinghardt cite également Olle Johansson, neuroscientifique suédois et longtemps professeur titulaire à l’Institut Karolinska, de Stockholm, qui décerne les prix Nobel. Il a découvert que les régions où l’incidence de la maladie d’Alzheimer se trouvait la plus élevée étaient celles où l’on recevait les plus fortes expositions aux champs électromagnétiques. Lanceur d’alerte depuis les années 1980, Johansson fut le premier à découvrir les problèmes d’électrohypersensibilité, notamment les problèmes de peau, chez les personnes surexposées aux émissions des écrans cathodiques. L’Institut Karolinska l’a récemment forcé à prendre sa retraite en fermant son laboratoire de dermatologie expérimentale. « L’industrie des téléphones portables a menacé de retirer son financement à l’Institut s’il restait », explique Klinghardt. Johansson demande actuellement des dons privés pour poursuivre son travail sur les CEM. L’industrie des télécommunications est estimée de cinq à six fois plus puissante que l’industrie pharmaceutique, alors aucun politicien ne peut budgéter sans en tenir compte, ce qui fait que la science [sur les méfaits des CEM] ne se traduit pas en politiques. » L’industrie finance d’ailleurs la vaste majorité des études qui concluent que les CEM sont sans effets néfastes et elle fait tout pour discréditer les études qui prouvent le contraire et pour que leurs auteurs perdent leur financement. C’est la stratégie scientifique classique des industries du tabac, commente le Dr Mercola. Il faut savoir que le fondateur de Microsoft Bill Gates a reçu un doctorat honorifique de l’Institut Karolinska dont il finance la recherche en santé publique. La Fondation Bill and Melinda Gates est aussi le principal donateur privé de l’Organisation mondiale de la santé, organisme qui affirme qu’il n’est pas prouvé que les CEM causent les symptômes d’électrohypersensibilité, condition pourtant reconnue par la Suède et autres pays nordiques en 2000 comme maladie professionnelle dont les « symptômes disparaissent dans les environnements non électriques »!

Résultats spectaculaires

La bonne nouvelle, c’est que des médecins comme le Dr Klinghardt obtiennent des résultats spectaculaires en demandant à leurs patients atteints de cancer, de sclérose en plaques et autres maladies de réduire leur exposition aux CEM. Et même pour la sclérose latérale amyotrophique (SLA), maladie dévastatrice autrefois rare mais aujourd’hui aussi répandue que la sclérose en plaques, dit-il. Cette dernière est une maladie devenue aujourd’hui contrôlable et l’espérance de vie est d’au moins vingt ans, notamment si on retire les amalgames au mercure de la bouche des patients, explique le médecin. « La plupart des gens atteints de SLA meurent en dedans de deux ans après avoir reçu leur diagnostic. Mais nous avons découvert des bienfaits formidables, et le premier traitement qui fonctionne contre la SLA est la protection radicale contre les CEM. »

Le Dr Klinghardt traite aussi la
plupart de ses patients avec de la vitamine C et du glutation par
intravéneuse, mais le traitement ne peut fonctionner qu’en réduisant
l’électrosmog. Il en va de même contre la maladie de Parkinson, liée
notamment à l’exposition aux herbicides, à la présence d’un microbe
intestinal ainsi que de mercure et de manganèse dans le corps du
patient.

Les champs électromagnétiques causent des dommages en raison d’un certain nombre de mécanismes différents. Le Dr Klinghardt explique que 98 % de notre ADN provient du microbiote et que ces microbes intestinaux sont extrêmement sensibles aux micro-ondes. Pour lui, les pathogènes n’existent pas, la nocivité des microbes dépend seulement de comment le corps communique avec eux.

« Nous savons que l’exposition aux micro-ondes a créé la plus grande confusion dans cette partie du corps, à tel point que les microbes ne savent plus qui ils sont, qui sont leurs amis et leurs ennemis. Ils se sentent constamment attaqués par les micro-ondes. Or, lorsqu’un microbe est attaqué, il change de l’état de bibitte symbiotique pour devenir un pathogène. Comme nous ne sommes que 2 % de l’équation génétique, imaginez si 98 % de nous est notre propre ennemi, celui que nous créons… Après le glafusay [sic], les CEM émergent comme le premier facteur convertissant les microbes symbiotiques en pathogènes agressifs qui travaillent contre nous. »

Parmi ses autres armes dans l’arsenal médical, le Dr Klinghart prescrit le thréonate de magnésium, forme hautement biodisponible qui traite les lésions cérébrales en traversant la barrière hématoencéphalique. Ce type de magnésium est très important car il combat l’ouverture des canaux de calcium, dans la membrane externe de nos cellules, ouverture déclenchée par le voltage. Comme l’ont démontré d’éminents chercheurs, tels le biologiste américain Martin Pall et le physicien québécois Paul Héroux, l’augmentation du calcium intracellulaire et l’augmentation concomitante de la signalisation du calcium semblent être responsables de la majorité des dommages causés par les CEM. Pour plus de détails, voir l’interview du Dr Mercola avec Martin Pall. Par ailleurs, le thréonate de magnésium représente aussi une arme de choix contre les rétrovirus impliqués dans de nombreuses maladies neurologiques et immunitaires comme l’autisme et le cancer. Le Dr Klinghardt affirme que l’on peut augmenter la dose tant qu’on ne souffre pas de diarrhée et il le combine toujours avec du phosphate de calcium 12X (calcium phosphorique), un médicament homéopathique qui permet de moduler les canaux calciques. Le thréonate de magnésium apparaît particulièrement bénéfique car il agit comme un puissant agent antirétroviral. Klinghardt recommande de le porter à la tolérance de l’intestin, ce qui signifie que vous augmentez la dose jusqu’à ce que vous perdiez légèrement les selles.

Stratégies pratiques de remédiation

L’essentiel des solutions recommandées par Klinghardt et Mercola proviennent de l’Institut allemand de baubiologie, qui recommande des limites d’exposition aux CEM basées sur les réactions biologiques. Elles ont été écrites par l’ancien journaliste Wolfgang Maes qui a développé de sérieux problèmes de santé. Après des années de souffrances (diabète, insomnie grave, problèmes neurologiques, cardiaques, etc.), sa condition s’est améliorée seulement le jour où un géobiologue lui a recommandé de se débarrasser des extensions électriques situées sous son lit parce qu’elles émettaient des champs électriques nocifs. Ceux-ci sont produits par tout appareil ou câble sous tension, même si l’appareil n’est pas allumé. Pensez à un boyau d’arrosage sous pression. Un champ magnétique n’est créé que lorsqu’un appareil est allumé et que le courant circule — quand on ouvre le « robinet » électrique, en quelque sorte. (Maes a fondé Gigahertz Solutions, le fabricant de lecteurs de CEM le plus réputé au monde, et a rédigé les valeurs indicatives SBM-2015 en baubiologie pour les zones de repos, en matière d’exposition aux radiations, moisissures et autres polluants domestiques.)

Gardez à l’esprit que si vous êtes malade, la
simple réduction de l’utilisation de votre téléphone portable à
quelques heures par jour ne risque pas de vous aider sufisamment. Vous
devrez vraiment prendre des mesures plus importantes pour limiter, et
idéalement éliminer complètement l’exposition aux CEM, au moins la nuit.
La chambre est la première pièce qu’il faut nettoyer, car la nuit
représente le moment le plus important pour votre cerveau. « C’est
pendant le sommeil profond que le système lymphatique de votre cerveau
est activé, que s’accumule l’acétylcholine, un neurotransmetteur de la
mémoire et de la pensée supérieure. » L’équilibre précaire du cerveau se
voit facilement perturbé par les CEM, ce qui l’empêche d’éliminer les
déchets accumulés, dont les protéines amyloïdes bêta qui, lorsqu’elles
se retrouvent en grand nombre, deviennent des indicateurs de la maladie
d’Alzheimer.

L’idéal est de vivre dans un immeuble doté de câblage électrique blindé (de type commercial, autrefois appelé BX) à l’aide d’une gaine d’aluminium qui bloque les champs électriques. Sinon, l’on peut débrancher les appareils autour du lit ou, encore mieux, mettre les circuits hors tension la nuit. Cela peut se faire automatiquement avec un interrupteur à distance comme celui vendu par em3e.com. Si vous êtes malade ou enceinte, il serait sage de suivre la recommandation plus stricte de Klinghardt, soit de couper l’électricité dans toute la maison — à l’exception d’appareils essentiels comme le réfrigérateur et le chauffage. Pourquoi pas seulement le circuit dans votre chambre? « Les champs électriques sont très drôles : vous pouvez éteindre le champ électrique dans votre chambre et l’avoir dans deux pièces, et par induction, le champ peut encore passer d’un circuit à l’autre. Vous vous retrouvez alors encore dans un champ nocif. Je parle du voltage corporel, il s’accumule lorsque vous êtes dans un champ de basse fréquence, le champ de 60 Hz de l’électricité domestique. » C’est pourquoi le Dr Klinghardt recommande à ses patients de se doter d’une lampe de poche la nuit.

Il recommande aussi aux malades de
déménager des immeubles multilogement, car leurs voisins immédiats les
exposent à leurs CEM de basses et hautes fréquences. « Sinon vous pouvez
créer un mur de protection simplement en utilisant une feuille
d’aluminium, le côté plus brillant vers le voisin. Le mur complet doit
être couvert et si nécessaire le plancher » (on recouvre idéalement
l’aluminium d’un autre revêtement de sol). Surtout, l’aluminium doit
être mis à la terre avec une pince alligator liée par un fil que l’on
branche dans la prise de terre murale. Cette mesure très abordable
fonctionne aussi magnifiquement contre les micro-ondes émises par les
téléphones, routeurs et autres appareils de télécommunication sans fil
de vos voisins d’à côté, en dessous et au-dessus de vous, fait-il
remarquer. Sinon, l’on peut se procurer de la peinture au graphite Y-Shield (vendue sur em3e.com) qui doit aussi être mise à la terre.

Les pires coupables se trouvent dans votre propre maison

Il ajoute : « Il est important de réaliser que si vous avez un routeur Wi-Fi, vous avez l’équivalent d’une tour de téléphonie cellulaire à l’intérieur de votre maison. Idéalement, vous éliminez le Wi-Fi en utilisant simplement une connexion internet filaire (par câble éthernet). Aujourd’hui, la plupart des commerces offrent le Wi-Fi gratuit (Free Wi-Fi), mais certains dotés de ces câbles se vantent d’être libres de Wi-Fi (Wi-Fi Free)! » Si vous devez absolument avoir un routeur, vous pouvez le placer dans un sac blindé lorsqu’il n’est pas utilisé. Vous pouvez trouver divers autres types de blindages en ligne (par exemple sur lessemf.com ou en créer avec tissu argenté de marque Swiss Shield, également vendu sur sur em3e.com.

Sachez que certaines autres formes de rayonnement nocif peuvent être très difficiles à blinder, incluant les fréquences « tetra » dans la gamme 400 000 Hz (400 kilohertz) que la police et les pompiers utilisent et que Klinghardt qualifie de « dévastatrice ». « Si une personne habite près d’un poste de police ou d’une caserne de pompiers et souffre de problèmes de santé, je recommande qu’elle déménage, car il est pratiquement impossible de bloquer cette fréquence avec une technologie connue. »
Pour la plupart des gens, cependant, la pire exposition provient des câbles et appareils domestiques, comme le téléphone sans fil, le routeur Wi-Fi et les ordinateurs (de bureau ou portable), les cellulaires et les tablettes (à moins de les mettre en mode Avion, ce qui éteint le mode Wi-Fi et prolonge la charge des batteries). Malheureusement, de plus en plus de gens sont accros au Wi-Fi, si bien que le Dr Klinghardt connaît des ados qui disent préférer que leur mère meurt du cancer du sein que de devoir se passer de leur connexion sans fil la nuit. Pourtant, il existe des adapteurs USB offrant une connexion filaire pour iPad.

L’atténuation diurne

Réduire votre exposition aux CEM pendant la journée s’avère plus difficile, car la plupart d’entre nous ont besoin d’utiliser l’électronique pendant la journée, et de se déplacer dans des zones dotées du Wi-Fi. Pour les patients gravement malades, Klinghardt recommande d’utiliser des « filtres » Graham-Stetzer pour réduire le niveau d’interférence électromagnétique (ou « électricité sale ») générée par les erreurs de filage ainsi que les appareils à commutation. En hachurant le courant, ces appareils génèrent des hautes fréquences transitoires (HFT) pulsées nocives, comme les ondes tetra. Selon l’épidémiologiste américain Sam Milham, les HFT seraient des cancérogènes universels (ciblant plusieurs organes). Heureusement, l’on peut utiliser ces filtres — en fait, des condensateurs — au travail. Stéphane Bélainsky, de EM3E, en vend, ainsi que ceux de marque Greenwave, mieux tolérés par certaines personnes hypersensibles. Bien que certains vendeurs recommandent d’en installer au moins une douzaine dans une maison, M. Bélainsky affirme qu’un seul par phase de 110 volts suffit si l’on mitige les autres sources de HFT — correction d’erreurs de câblage, évitement des rhéostats (« dimmers ») et des ampoules et tubes fluorescents (qui émettent des vapeurs de mercure toxiques si on les casse), etc. « Chaque ampoule fluocompacte est comme une petite tour de téléphonie cellulaire émettant des radiofréquences, ce qui est absolument dévastateur pour la santé des gens », soutient Klinghardt, qui recommande de les remplacer par des ampoules incandescentes classiques, bien que les diodes électroluminescentes (DEL) soient moins nocives que les fluocompactes.

Comme la densité du CEM diminue au carré de la distance, s’éloigner de quelques pieds des câbles et appareils électriques peut mener à un énorme changement. M. Bélainsky vend aussi des câbles blindés contre les champs électriques des ordinateurs et autres appareils à câble détachable. La nuit, les baubiologistes recommandent d’éviter de s’exposer à des champs électriques 60 hertz mesurant plus de 1 volt par mètre (V/m), à des champs magnétiques 60 hertz de plus de 20 nanotesla (0,2 milligauss ou 0,02 microtesla) et à des radiofréquences de plus de 0,006 V/m (ou 0,1 microwatt par mètre carré) la nuit.

Si vous devez utiliser un cellulaire, écourtez vos conversations et préférez les textos le plus souvent possible. Ne téléphonez pas lorsque la réception est faible (par exemple dans les transports) et ne posez pas de matière blindante sur le téléphone, car l’appareil émettra plus fort, ce qui augmentera votre exposition. Ne tenez jamais un cellulaire ou un appareil Wi-Fi contre votre corps. Utilisez un casque d’écoute de type stéthoscope tel le Blue Tube ou l’Air Tube. Les écouteurs classiques et Bluetooth sont une catastrophe, selon le Dr Klinghardt, car ils conduisent les CEM directement dans votre cerveau à travers vos oreilles.

« En général, les gens devraient revenir en arrière et insister pour avoir des lignes de téléphone terrestres à la maison et au travail et les utiliser autant que possible. N’utilisez le téléphone portable qu’en tant qu’appareil de secours ou pour envoyer des textos. »

Enfin, il existe des vêtements et sous-vêtements de protection filés d’argent vendus sur em3e.com et lessemf.com. À ses patients autistes et autres personnes atteintes de maladie neurologique, il recommande de porter un t-shirt blindé 24 heures par jour. « En protégeant votre plus grande partie du corps avec le t-shirt, vous bénéficiez de plus d’avantages pour votre cerveau que lorsque, par exemple, vous portez une casquette blindée. »

Impacts environnementaux des CEM

Le Dr Klinghardt note également que l’électrosmog joue un rôle important, avec certains pesticides, dans la disparition des abeilles et d’autres pollinisateurs cruciaux. Et, au fur et à mesure que les insectes bénéfiques meurent, les tiques porteuses de maladies deviennent plus fréquentes, car elles se révèlent plutôt insensibles au rayonnement des téléphones portables.

« Ce qui s’avère dévastateur réside dans le fait que ce sont les oiseaux qui autrefois contrôlaient les tiques. Les oiseaux mangent les tiques, mais ils doivent aussi manger d’autres insectes, alors il y a eu une disparition dramatique des oiseaux chanteurs et autres oiseaux par manque d’insectes, explique Klinghardt. Or, il y a une réduction spectaculaire des insectes seulement là où il y a une exposition élevée aux micro-ondes. Nous avons des images allemandes qui montrent des arbres, des forêts entières, qui meurent simplement parce qu’une tour de téléphonie cellulaire a été érigée. Le rayonnement du téléphone portable, dans son utilisation actuelle, est complètement contre la vie et est aggravé par les métaux lourds qui se retrouvent en nous, en particulier l’aluminium qui vient du ciel et de l’air que nous respirons. Nous savons que le glyphosate [Roundup], l’atrazine et autres pesticides, ainsi que les agents de conservation alimentaires, ont tous un effet cumulatif dans notre corps. Nous avons fondamentalement créé une tempête parfaite contre laquelle nous pouvons encore nous protéger en mangeant des aliments certifiés biologiques et en évitant certaines choses, certains environnements. »

Le Dr Klinghardt conclut que la réduction de l’exposition constante et incontrôlée aux CEM demeure notre première arme de défense contre la plupart des maladies chroniques, car elle entrave le rétablissement. Son expérience clinique confirme cela parce que ses patients guérissent rarement à moins qu’ils ne s’y attardent radicalement. Enfin, le médecin déconseille l’usage des dispositifs (autres que les filtres Graham-Stetzer) censés nettoyer ou harmoniser l’électricité. Une expérience faite sur des poules avec de tels dispositifs s’est avérée catastrophique.

« Au début, c’était fantastique, elles avaient l’air plus heureuses. Elles couraient partout. Elles pondaient deux fois plus d’œufs que l’autre groupe [contrôle, non « protégé »] qui se rassemblait dans les coins pour éviter l’éclairage électrique qui les éclairait 24 heures sur 24. Mais à la fin de l’étude, cinq ans plus tard, les poules exposées à l’électricité nettoyée ont vécu seulement la moitié de la durée de vie de l’autre groupe. Ce que je veux communiquer clairement, c’est que si vous utilisez des dispositifs pour vous faire sentir bien pendant que vous êtes dans des champs dévastateurs qui causent des maladies, vous aurez des taux de cancer plus élevés. Vous mourrez avant vos amis qui n’ont pas ces dispositifs et sentent de l’inconfort. Ils ont de l’insomnie la nuit quand leurs routeurs Wi-Fi sont allumés et jusqu’à ce qu’ils les éteignent. »

Commentaire de l’ingénieur québécois Marc Robert :

« J’ai lu attentivement ce texte. J’aime bien la notion de protection le jour versus la nuit. On mentionne également la perturbation du biotope, un point important trop négligé dans les études. C’est un bon document de synthèse. Toutefois ces deux messieurs sont des médecins et il ne faut pas prendre au pied de la lettre certaines affirmations techniques. Par exemple, dire que le Wi-Fi est comme avoir une tour de cellulaire dans sa résidence est nettement disproportionné en termes d’exposition. Les antennes cellulaires émettent à des puissances pouvant atteindre 250 watts (comme on peut voir lors de la recherche des émetteurs sur le web), alors que le Wi-Fi émet à moins de 200 milliwatts. Il serait plus exact de dire que le Wi-Fi qui est dans nos propres résidences et aussi dangereux que la tour de cellulaire qui est dans son quartier. L’idée que veulent exposer ces deux messieurs est qu’il faut, en priorité, porter attention aux sources d’émission d’onde qui sont les plus près de soi, notamment dans sa propre demeure, tel le Wi-Fi et le téléphone sans fil.

Je pense qu’il y a erreur à la page 9 où l’on mentionne le 400,000 Hz qui serait utilisé par les pompiers et policiers. Il faudrait écouter l’enregistrement. On veut probablement dire le 400 MHz qui est la bande fréquence dédiée à ces fonctions. Oui, c’est plus difficile à blinder que le Wi-Fi et le cellulaire, mais les bons produits pour le blindage sont aussi performants à cette fréquence. Il y a une légende urbaine au sujet de la pénétration de cette bande de fréquence qui prend origine au début de son utilisation à partir de 1979. Ces fréquences étaient également utilisées dans les tunnels et puits d’ascenseur pour les pagettes.

Enfin, l’application permettant de faire de son cellulaire un appareil de mesure des CEM n’est valable que pour les fréquences de cellulaire et rien d’autre. Elle est donc très limitée. »




Trop c’est trop

[Source : Entre la Plume et l’Enclume via Réseau International]

par Israël Adam Shamir 

Pendant des semaines, je me suis réveillé chaque matin en espérant me retrouver dans le monde normal, et non dans cette réalité alternative. Le monde normal où les hommes peuvent parcourir les collines, prier à l’église, aller travailler, se prélasser au bord de la mer, écouter un concert, visiter des musées, socialiser avec des amis, flirter avec des filles, envoyer les enfants à l’école; bref, s’offrir les petits plaisirs dont on avait joui  même sous Staline ou au temps du dur régime d’Hitler. Au lieu de cela, je me réveille constamment pour jouer un rôle dans un film dystopique réalisé par Stephen Soderbergh, qui, sans surprise, a été nommé à la tête du comité Hollywood Corona. Je présume que c’est ce comité qui gère nos vies jusqu’à ce jour, plutôt que les présidents élus et les premiers ministres.

Ils ont suivi de très près le scénario du film Contagion : le virus aurait été créé par la proximité de chauves-souris et d’autres mammifères sur le marché humide chinois; il s’est rapidement répandu dans le monde entier; il y a un confinement très long pendant que les gens attendent leur salut, le vaccin; en attendant, il existe des solutions bon marché et disponibles fournies par des amateurs corrompus; finalement le vaccin est livré et les vaccinés reçoivent un certificat à porter au poignet comme preuve qu’ils sont sains et saufs, dignes d’entrer dans l’avenir. Tout cela a été fait; le rôle de l’amateur corrompu était joué par le docteur Didier Raoult, médecin français de Marseille; et maintenant nous sommes censés attendre que le Dr Bill Gates fournisse le vaccin salvifique pour tamponner ceux qui le méritent avec un sceau indélébile, lisible en infrarouge par les smartphones. Ajoutez à cela la nouvelle application de traçage de Google et Apple, fille du traceur Mossad-ShinBet , et ce sera le règne du nouvel ordre mondial!

Seulement voilà: le coronavirus n’est pas suffisamment meurtrier pour justifier le confinement et la panique massive, sans parler de la vaccination, du traçage et de la pose du cachet indélébile sur votre bras. Ce n’est pas grave, décident les producteurs. Tous nos médias travaillant à l’unisson peuvent envoyer suffisamment d’horreur et de panique, même sans virus mortel. Rappelez-vous, nous avons organisé la guerre contre le terrorisme alors que les terroristes islamiques étaient un petit corps de bandits dressés par la CIA dans les grottes d’Afghanistan. Nous pouvons amener les gens à implorer hystériquement le vaccin simplement en transformant nos médias en canal pour les nouvelles sur le virus. Nous les renommerons The Corona Guardian, The New York Corona, Le Monde du Corona. Les gens l’accepteront; ils s’enfermeront dans leurs maisons et sangloteront de peur. Et cela a fonctionné – pendant un certain temps.

Mais trop c’est trop. Les gens sont généralement dociles et obéissants, jusqu’à ce que quelque chose casse, et ils se débarrassent du joug qui pèse sur leur nuque. Le joug était mondial, et le mouvement pour le briser est également mondial. Le dimanche de Pâques, de la Résurrection, nous a donné le départ: la mort est vaincue! Et tout de suite, le président Trump a applaudi les rebelles du Michigan; les Danois et les Autrichiens envoient leurs enfants à l’école; les Norvégiens ont rouvert les jardins d’enfants et les Italiens leurs magasins; le président brésilien s’est adressé avec enthousiasme à une manifestation anti-quarantaine; en Israël, qui a connu le verrouillage le plus brutal et le plus total de la planète, les gens ont voté avec leurs pieds et les festivités ont éclaté, dès que le gouvernement de M. Netanyahu a reculé et leur a permis de s’éloigner à une centaine de mètres de leur domicile et d’entrer dans les magasins de tapis, alors qu’ils étaient jusqu’alors soumis à des contrôles de température. Les gens ont tourné le dos au confinement, et on ne pourra pas faire rentrer le dentifrice dans le tube, a déploré Haaretz , le journal libéral israélien.

Les médias ont flairé le changement et ont répondu immédiatement – à l’exception des journaux libéraux inconditionnels. La télévision israélienne avait vivement soutenu le confinement; mais hier, ils ont invité l’ancien chef du ministère de la Santé, le professeur Yoram Lass, qui était un dissident du Corona et «persona non grata» dans leurs studios d’enregistrement. De son point de vue précédemment tabou, les gouvernements ne peuvent pas arrêter les virus et le confinement tuera plus de gens dépressifs que le virus. Non seulement il a été autorisé à réciter son morceau de bravoure, mais les autres membres du panel faisaien t mine de l’avoir toujours soutenu. Le changement était global. Même moi, j’ai été invité à exprimer mon point de vue sur la première chaîne russe, alors que  c’était proprement impensable, quelques jours plus tôt.

C’est ainsi que fonctionnent les médias. Ils n’ont pas d’opinion propre; mais quand le vent tourne, ils tournent avec le vent. Il existe un bon précédent historique, avec les journaux français de 1815 rapportant le départ de Bonaparte de l’île d’Elbe, sa progression à travers la France et son entrée à Paris, comme suit:

  •  9 mars, le cannibale a quitté sa tanière
  • 10 mars, l’ogre corse débarque au cap d’Antibes
  • 11 mars, le tigre est arrivé à Gap
  • 12 mars, le monstre a dormi à Grenoble
  • 13 mars, le tyran a traversé Lyon
  • 14 mars, l’usurpateur se dirige vers Dijon
  • 18 mars, Bonaparte n’est qu’à soixante lieues de la capitale
  • 19 mars, Bonaparte avance à pas de géant, mais il n’entrera jamais à Paris
  • 20 mars, Napoléon sera, demain, sous nos remparts
  • 21 mars, l’Empereur est à Fontainebleau
  • 22 mars, Sa Majesté Impériale et Royale est arrivée hier soir aux Tuileries, au milieu des acclamations joyeuses de ses sujets dévoués et fidèles.

Pourtant, ce n’est pas définitif. Le New York Times,  le Guardian et leurs journaux siamois appellent toujours à plus de confinage, « sinon nos chers anciens vont tous mourir ». Mais ils sont fraîchement accueillis par leurs adversaires.

En Suède, la télévision d’État avait diffusé un dialogue entre un ancien médecin suédois, Johnny Ludvigsson, partisan de l’actuelle politique de non-confinement, et une jeune et riche influenceuse juive, Katrin Zytomierska, pour le lobby libéral du virus. Les juifs sont généralement de fervents partisans du confinement, du traçage, du puçage et d’autres vertus virales. Habituellement, ils s’arrangeaient pour battre un adversaire faible et choisi sur mesure; mais cette fois, ils ne maîtrisaient pas la situation, et leur représentant s’est fait massacrer. Malgré leurs objections (ce sont les juifs polonais qui tiennent les commandes dans les médias libéraux suédois), les Suédois soutiennent la politique suédoise de liberté. 

En France, le puissant combattant contre le confinement est également un ennemi majeur du lobby juif. C’est Alain Soral qui a découvert le lien entre la promotion politiquement correcte du virus et d’autres menées politiques visant à l’assujettissement de l’homme.

Maintenant, tout dépend du peuple souverain. Si nous soutenons l’esprit de liberté, nous serons libres. Si nous soutenons l’esprit d’esclavage, nous resterons esclaves et nos enfants grandiront dans l’esclavage. Le danger est présent et immédiat, car de nombreux groupes de gens puissants veulent nous garder enfermés.

Le confinement n’était pas nécessaire d’un point de vue médical, car le virus n’est pas beaucoup plus grave qu’une forte grippe. Heureusement, le mystérieux producteur n’a pas déchaîné sur nous un fléau vraiment mortel, supposant qu’un simulacre ferait l’affaire. Des mesures extrêmes n’étaient donc pas nécessaires.

 Il y a la double preuve de la Suède et de la Biélorussie: des mesures très légères, appropriées pour une forte épidémie de grippe, suffiraient, ont-ils estimé. Les deux pays européens qui ont refusé de placer leurs citoyens en résidence surveillée s’en sont plutôt bien sortis. Certains Suédois et Biélorusses sont morts, mais ils n’étaient pas immortels, avant même que le virus ne débarque. Le total des décès (y compris du corona) n’a pas dépassé le total habituel; en mars 2018, plus de Suédois sont morts qu’en mars 2020 (10089 en mars 2018 et 8261 en mars 2020) et en 2018, personne n’avait suggéré de confiner la Suède.

L’Angleterre a accepté le confinement après que le professeur Neil Ferguson, directeur de l’Imperial College de Londres, eut prédit 500 000 victimes du corona à moins d’un confinement strict. Cette estimation avait été rétrogradée à 20 000 victimes («parce que nous avons fait ce que nous avons fait»), alors qu’il y a une nouvelle estimation de 150 000 victimes … du confinement. Oui, vous avez bien lu: 150 000 hommes et femmes anglaises risquent de mourir parce qu’ils n’auront pas eu accès à une aide médicale, ou parce qu’ils aurnt perdu leurs revenus, ou parce qu’ils succomberont au désespoir et à la solitude, ce qui les mènera au suicide. Si l’Angleterre avait évité de s’enfermer, les Britanniques ne souffriraient pas autant, et la somme totale des décès resterait à peu près la même, car le virus tue principalement des personnes qui, de toute façon, ne verront probablement pas le prochain Noël.

 Au point où nous en sommes, nous devons essayer de décrypter pourquoi nos dirigeants ont déclenché cette terrible persécution contre nous autres. Je ne parle pas du virus, qui reste, après tout, une force naturelle (même si cette force naturelle a été bricolée dans un laboratoire infernal, américain ou chinois). La persécution, c’est cette réponse des autorités, et elle était totalement disproportionnée à la menace. Les meilleurs ont été obligés de s’y plier; Le président Trump et le président Poutine ne le voulaient pas, mais ils ont dû se soumettre. De même, les trois empereurs avaient été forcés d’entrer dans la Première Guerre mondiale, mais aucun d’entre eux ne le voulait.

 Tout comme en 1914, il y a toute une série de raisons. Le producteur en chef semble être un Bill Gates générique qui veut vendre le vaccin et créer un nouvel ordre mondial, navigable uniquement pour ceux qui se laisseraient estampiller avec le cachet indélébile, le monde de l’aliénation, de l’assujettissement, de la dépendance totale, de l’éradication de l’individualité. Mais il y a une méta-raison à l’événement.

 Le monde était au bord d’une crise terrible, une crise naturelle pour le système mondial capitaliste. Habituellement, ces crises sont guéries par une grande guerre. La Première et la Seconde Guerre mondiale sont advenues pour régler une crise de ce genre, et elles l’ont fait, en  faisant des millions de morts.

Imaginons que les Maîtres de l’Univers, ces individus très puissants, envisageaient une guerre mondiale factice qui détruirait les capacités excédentaires, chasserait les consommateurs inutiles et nous mènerait à un nouveau Yalta des vianqueurs du virus. Les dirigeants de nos États devraient accepter les règles du jeu ou se retrouver en dehors du nouveau système de partage du pouvoir.

Prenons l’exemple de l’Inde. L’Inde, avec ses 1,4 milliard d’habitants, a perdu 500 (cinq cents) vies à cause du corona. C’est infiniment moins que l’Inde n’en a jamais perdues contre aucune autre maladie dûment répertoriée, disons la tuberculose (220 000) ou même le manque d’eau potable. Des millions de personnes meurent de faim, mais les classes supérieures de l’Inde ont allumé des bougies comme signe de leur combat contre le corona. L’Inde est entrée en détention pour cause de corona, créant ainsi un exode extrêmement douloureux de travailleurs temporaires, à pied car il n’y avait pas de transport: ils ont marché à travers tout le sous-continent. Des centaines de gens ont péri dans l’aventure, mais l’Inde a rejoint les grandes nations dans la lutte contre le corona. L’Inde britannique avait participé aux deux guerres mondiales, mais l’immense pays était une colonie, de sorte qu’elle n’a jamais atteint le statut de membre permanent du Conseil de sécurité. Ils ne veulent pas se le faire souffler à nouveau. Dans le cas de l’Inde, l’explication du confinement est à chercher dans leur désir d’appartenir à la ligue dirigeante des vainqueurs de la guerre contre le corona.

La Russie est un cas similaire. Ils ont très, très peu de victimes du virus. Au cours des premières semaines, le président Poutine et ses médias se sont montrés sarcastiques face à la menace virale. Son outil médiatique à l’étranger, RT, fait toujours une belle place aux dissidents du corona. Mais les médias à usage interne infiltrés jusqu’à saturation par des adeptes (formés aux États-Unis) de l’ordre occidental des choses sont passés à la Corona Pravda , comme dirait notre bon éditeur en ligne Ron Unz. Apparemment, le président Poutine s’est finalement laissé convaincre d’accepter le scénario des producteurs de la guerre factice par la promesse d’un siège au nouveau Yalta. Les efforts de Gordon Brown ont porté leurs fruits, car l’ancien Premier ministre britannique a décrit le monde futur dirigé par un gouvernement mondial temporaire (!) composé des vainqueurs du virus … le G20. Il a été secondé par Henry Kissinger qui a su garder un accès à  l’oreille de Poutine. Non, Poutine n’aurait pas manqué une telle occasion de faire entrer la Russie, et lui-même, dans la nouvelle élite mondiale.

 Et maintenant, nous arrivons aux États-Unis et à la Chine. Ces deux États sont les principaux protagonistes et antagonistes du monde. La guerre factice contre le virus est venue se substituer à la vraie guerre américano-chinoise. La Chine et les États-Unis ont fait face au choix: une véritable guerre avec des frappes nucléaires détruisant et consumant notre civilisation, ou l’acceptation de la guerre factice comme le moindre mal. Le choix a été proposé par l’État profond américain; il a été accepté par les Chinois qui ont suivi le script, y compris sur les chauves-souris et autres mammifères sur un marché humide et le confinement pour des millions de leurs concitoyens. C’était douloureux, mais toujours moins douloureux qu’un holocauste nucléaire.

 Un méta-script pour un tel programme avait été présenté dans la production de la BBC A Study in Pink, une variation sur le premier livre de Sherlock Holmes, où le méchant fait à ses victimes une offre qu’ils ne peuvent pas refuser: jouer à la roulette russe (truquée) ou être abattus. Ils acceptent, jouent et meurent. L’Etat profond US a déjà joué à ce petit jeu. En 1990, ils avaient proposé de jouer à M. Gorbatchev; il a joué et détruit son pays. Dans les années 90, le Japon a eu le choix entre être mis en joue comme l’ennemi numéro un ou jouer le jeu. Les Japonais ont accepté et leur économie a plongé pendant trente ans, suivis d’une stagnation. C’était maintenant le tour de la Chine.

Bien que les Chinois aient accepté le rôle et l’aient joué à la perfection, ils s’en sont sortis trop légèrement. Leur adversaire veut plumer la Chine jusqu’à l’os; les Chinois sont poursuivis pour des milliers de milliards de dollars pour avoir tenu leur rôle dans le jeu. Le plus grand journal allemand a demandé au président chinois: Pourquoi vos laboratoires toxiques ne sont-ils pas aussi sûrs que vos prisons pour prisonniers politiques? Dans l’article intitulé « Ce que la Chine nous doit », le Bild a déclaré que la Chine devait 149 milliards d’euros à l’Allemagne pour les dommages causés par le coronavirus. Les Chinois vont-ils comprendre qu’ils ont été roulés dans la farine?

Les Russes se sont fait avoir par la baisse des prix du pétrole, dans le monde des coronavirus. Comprendront-ils leur erreur, ou insisteront-ils pour continuer à jouer pour le Yalta-2 promis? Le peuple américain entrera-t-il dans le Big Game ou déjouera-t-il l’intrigue des Maîtres? Que se passera-t-il en Europe, enjeu et trophée de la guerre sino-américaine? Le vieux monde se verra-t-il ballotté à jamais dans les  relations internationales? C’est ce que nous aborderons dans le prochain numéro.

 Israel Shamir peut être joint sur adam@israelshamir.net

Source: The Unz Review

Traduction: Maria Poumier.




Les risques de la 5G en valent-ils la chandelle ?

[Source : La maison du 21e siècle]

Antenne 5G installée devant une maison.
© https://scientists4wiredtech.com

Par Iishana Artra, EMF Safety for Vermont et The Together Project

Au cours des derniers mois, on a beaucoup parlé de la 5G – la prochaine génération de technologie sans fil. La 5G est considérée comme une étape nécessaire vers «l’Internet des objets» – un monde dans lequel nos réfrigérateurs nous alertent lorsque nous manquons de lait, les couches de bébé nous indiquent quand elles doivent être changées, et Netflix est disponible partout, tout le temps. Mais ce que nous n’entendons pas, c’est que des études factuelles dans le monde entier ont clairement démontré les effets néfastes de l’exposition humaine au rayonnement de radiofréquences (RF) pulsées émis par les tours de cellulaires, les téléphones portables et d’autres appareils sans fil – et que la 5G aggraverait considérablement le problème.

La plupart des gens pensent que la Federal Communications Commission (FCC – tout comme Santé Canada) évalue attentivement les risques pour la santé de ces technologies avant de les approuver. Mais dans une confirmation écrite obtenue par le sénateur Blumenthal du Connecticut, la FCC a admis qu’elle n’avait mené aucune étude établissant que la 5G ne pose aucun risque pour la santé humaine.

Les lobbyistes des télécommunications nous assurent que les lignes directrices déjà en place sont suffisantes pour protéger le public. Ces directives de sécurité reposent toutefois sur une étude réalisée en 1996 sur la capacité d’un téléphone portable de l’époque à chauffer la tête d’un mannequin en plastique de la taille d’un adulte. C’est problématique, pour au moins trois raisons :

  • Les organismes vivants sont constitués de cellules et de tissus hautement complexes et interdépendants, et non de plastique.
  • Les fœtus, les enfants, les plantes et les animaux sauvages, et pas seulement les hommes adultes, font partie des êtres vivants exposés au rayonnement RF.
  • La puissance des fréquences utilisées dans l’étude sur le mannequin étaient nettement inférieures aux niveaux d’exposition associéà la 5G.

Le rayonnement RF de la 5G utilise un «cocktail» de trois types de rayonnement, allant des ondes radio de relativement basse énergie, au rayonnement hyperfréquence avec beaucoup plus d’énergie et aux ondes millimétriques avec encore beaucoup plus d’énergie (voir le tableau ci-dessous). Le plus grand danger réside dans les fréquences extrêmement élevées de la 5G. Alors que les fréquences de la 4G atteignent 6 GHz, la 5G expose toute forme de vie à des signaux pulsés se situant entre 30 et 100 GHz. Le grand public n’a jamais été exposé à de telles fréquences pendant de longues périodes.

Ceci est une préoccupation majeure. Il se trouve que nos yeux et nos canaux sudoripares agissent comme des antennes pour l’absorption des ondes 5G de haute fréquence. [1] Et comme les distances que ces ondes à haute énergie peuvent parcourir sont relativement courtes, les émetteurs seront plus proches des maisons et des écoles que ceux des technologies sans fil antérieures : leur déploiement ajoutera l’équivalent d’une tour de téléphonie cellulaire toutes les 2 à 10 maisons.

Mais l’ancien président de la FCC, Tom Wheeler, a clairement indiqué que la FCC, dominée par les télécoms [tout comme l’est Santé Canada], ne mettait pas la santé au premier plan : «N’essayez pas d’empêcher le développement technologique», a-t-il déclaré. «Contrairement à certains pays, nous ne pensons pas que nous devrions passer les deux prochaines années à mener des études… Il est de loin préférable de laisser les innovateurs agir à leur guise que de laisser des comités et des régulateurs définir l’avenir. Nous n’attendrons pas que de nouvelles normes soit adoptées. » Répondant à des questions relatives à la santé, M. Wheeler a déclaré: « Parlez au personnel médical » [2].

Bonne idée.

Le «personnel médical» a mené plus de 2 000 études internationales fondées sur des preuves qui établissent un lien entre les effets sur la santé et le rayonnement pulsé émis par les tours de cellulaires, les routeurs Wi-Fi, les téléphones portables, les tablettes et autres appareils sans fil. Ces études nous disent que le rayonnement RF est nocif même avec des expositions de faible puissance et de courte durée, et qu’il affecte les enfants et les fœtus plus rapidement que les adultes. Parmi les résultats, citons le fait que le rayonnement RF est cancérogène, endommage l’ADN, affecte la fertilité et le système endocrinien et a des effets neurologiques. Il a également été démontré que les fréquences électromagnétiques pulsées étaient à l’origine de symptômes neurologiques tels dépression, anxiété, maux de tête, douleurs musculaires, déficit d’attention, insomnie, vertiges, acouphènes, picotements de la peau, perte d’appétit et nausées. [3]

Le gouvernement américain est au courant de ces risques depuis au moins 1971, date à laquelle le Commandement de la recherche et du développement médical dans la marine a publié une bibliographie de 3 700 références faisant état de 100 effets biologiques et cliniques attribués aux rayonnements hyperfréquences et radiofréquences.

Des découvertes récentes, telles que l’étude du programme national de toxicologie (NTP) aux États-Unis, réalisée au coût de 30 millions de dollars en 2018, ont corroboré les conclusions de toutes les études bien conçues sur le cœur et le cancer du cerveau de personnes exposées depuis au moins 10 ans au rayonnement cellulaire émis par des tours de téléphonie cellulaire. Elles arrivent toutes à la même conclusion : le rayonnement RF cause le cancer. [4]

Quelle a été la réaction face à ces conclusions ?

Les scientifiques demandent instamment à l’Organisation mondiale de la santé (OMS) de mettre à jour sa classification des RF pour la faire passer de la catégorie «Peut-être cancérogène pour l’homme» du Groupe 2B à «Agent cancérogène avéré» du Groupe 1, ce qui mettrait les radiofréquences dans la même catégorie que l’arsenic et l’amiante. Annie Sasco, ancienne chef de l’Unité de recherche épidémiologique pour la prévention du cancer de l’OMS, a déclaré : « Assez, c’est assez, combien de morts devra-t-il encore y avoir avant que des mesures sérieuses soient prises ? Les preuves continuent de s’accumuler. » 

Ronald Melnick, le concepteur de l’étude NTP, déclare que l’étude « montre clairement un lien de causalité entre le cancer et l’exposition aux signaux des téléphones mobiles sans fil ». Il ajoute qu’« une leçon importante à tirer des études de la NTP est que nous ne pouvons plus présumer que les technologies sans fil actuelles ou futures, y compris la 5G, sont sans danger sans qu’elles n’aient été d’abord adéquatement testées. » [5] Entre-temps, 231 scientifiques de 42 pays ont signé l’Appel sur la 5G, qui réclame de toute urgence un moratoire sur le déploiement de cette technologie. Des mesures sont prises pour ralentir le déploiement de la 5G en Italie, en Belgique, en Israël, en Suisse et aux Pays-Bas, ainsi que dans les États de Californie, du New Hampshire, du Massachusetts et de l’Oregon.

Mais jusqu’à présent, pas assez de dirigeants politiques ont été disposés à tenir compte des avertissements émis. Ou peut-être qu’ils s’en remettent au président Trump qui a déclaré que les antennes 5G « doivent couvrir toutes les communautés et qu’elles doivent être déployées dès que possible… Peu importe où vous vous trouvez, vous aurez la 5G et la vie sera différente. Je ne sais pas si ça sera mieux ainsi… mais je peux dire que sur le plan technologique, ce ne sera même pas proche. »[6]

La technologie sans fil est devenue tellement omniprésente que la plupart d’entre nous ont été amenés à croire qu’elle était sans danger. Maintenant, les risques sont sur le point de s’accroître de façon spectaculaire. Davantage de citoyens et de législateurs doivent rejoindre ceux qui s’opposent activement à la campagne téméraire en faveur de la 5G.

– Iishana Artra, Ph.D. est une spécialiste de la santé publique, de la sécurité et de l’étude des champs électromagnétiques à Brattleboro, dans le Vermont.

– Tiré de Is 5G Worth the Risks? https://www.counterpunch.org/2019/05/03/is-5g-worth-the-risks/

Traduction : Jean Hudon

NOTES:

1] « The Human Skin as a Sub-THz Receiver – Does 5G Pose a Danger to It or Not? »https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/29459303 , and « The Modeling of the Absorbance of Sub-THz Radiation by Human Skin » (Betzalel 2017, Betzalel 2018) http://ieeexplore.ieee.org/stamp/stamp.jsp?tp=&arnumber=8016593&isnumber=5741778 –https://principia-scientific.org/study-human-sweat-ducts-act-as-antennas-for-5g-radiation/

[2] « 5G network being pushed on the public with zero concern for safety », Nexus https://nexusnewsfeed.com/article/human-rights/5g-network-being-pushed-on-the-public-with-zero-concern-for-safety

[3] « Electromagnetic and Radiofrequency Fields Effect on Human Health », American Academy of Environmental Medicine.https://www.aaemonline.org/emf_rf_position.php

[4] These peer-reviewed published papers are compiled in the BioInitiative Report, which you can view at BioInitiative.org.

[5] Melnick, Ronald, « There’s a clear cell phone-cancer link, but FDA is downplaying it », The Hill, Nov 13, 2018.https://thehill.com/opinion/healthcare/416515-theres-a-clear-cell-phone-cancer-link-but-fda-is-downplaying-it

[6] « Remarks: Donald Trump discusses deployment of 5G wireless networks », Factbase, April 12, 2019.https://factba.se/transcript/donald-trump-remarks-wireless-5g-network-april-12-2019

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AU SUJET DE L’AUTEUR

Docteure en psychologie transpersonnelle, Iishana est membre fondatrice de EMF Safety for Vermont et cofondatrice/codirectrice du projet Together. Cet organisme à but non lucratif rassemble les gens pour créer des liens significatifs visant à améliorer la santé et le bien-être, telles celes qui sont isolées pour des raisons telles que l’électrosensibilité, la fracture numérique, la dépendance numérique, la récupération de la consommation de substances, le deuil ou la vieillesse. Les expertises électromagnétiques et de cohérence cardiaque (HeartMath) sont devenues ses passions dans le cadre de sa propre guérison de la sensibilité aux CEM et du stress post-traumatique. « Il est profondément gratifiant lorsque mes clients me font part de l’amélioration de leur vie. J’espère pouvoir continuer ce travail pendant de nombreuses années », dit-elle.




Stratégie pour ne pas être affecté(e) par le coronavirus (COVID-19)

[Source : www.bickel.fr]

par rené bickel

Hystérie collective

Les médias nous bombardent
d’informations sur les risques de contamination. Ils créent une
véritable panique au sein de la population. Au moindre symptôme, on
court à l’hôpital.

Le coronavirus n’a pas provoqué d’amplification significative de la mortalité générale en France.

Le plus souvent, les malades ne meurent pas de la grippe, mais de faiblesses induites
par une ou plusieurs déficiences et autres maladies chroniques. La
plupart sont des personnes âgées en mauvaise santé et surmédicalisées.

Arrêtons d’avoir peur car on nous ment

La peur de la contagion déprime le système immunitaire et aggrave le risque de développer les symptômes.

La grippe saisonnière tue plus que le coronavirus

Chaque année, en France,
entre 2 et 8 millions de personnes sont atteintes de la grippe et
environ 10 000 personnes en meurent. Les décès liés à la grippe sont le
plus souvent dus à des traitements médicaux inadaptés sur des personnes déjà déficientes. L’acharnement médical visant à supprimer les symptômes est meurtrier.

A côté de cela, la mortalité par le coronavirus semble dérisoire.

Microbes et virus ne sont rien, le terrain est tout.

Les maladies, dites infectieuses évoluent naturellement vers la guérison

Faire baisser la fièvre est
un non-sens meurtrier. Cela fait 50 ans que le Prix Nobel de Médecine
français André Lwoff l’a démontré. De grands spécialistes des virus au
monde ont confirmé que la fièvre est une réaction de défense salutaire. Voir l’article :

La fièvre, un processus vital

Se précipiter sur des
anti-inflammatoires est parfois un facteur d’aggravation de l’infection.
Ces produits sont immunodépresseurs, jusqu’à être mortels.

Des autorités politiques criminelles

Après avoir obtenu de très
bons résultats, le gouvernement de Shanghaï recommande officiellement la
vitamine C pour soigner le COVID-19.

Cela fait des dizaines
d’années que les spécialistes de la médecine orthomoléculaire obtiennent
des résultats inespérés avec de fortes doses de vitamines C, même dans
les pathologies lourdes.

En France, une campagne médiatique de dénigrement de la vitamine C s’est considérablement accentuée ces dernier temps.

Expert mondial en matière de maladies infectieuses, le professeur Didier Raoult a annoncé dès le 25 février 2020 que la chloroquine est le traitement le moins cher et le plus simple. Il propose une dose de 500 mg / jour, avec une guérison en 3 à 5 jours.

Le traitement sera démenti par le ministère de la santé français.

On vient de découvrir que, en date du 15 janvier 2020, le gouvernement a pris un arrêté stipulant que :

“Est classée sur la liste II des substances vénéneuses l’hydroxychloroquine sous toutes ses formes.”

Voici le texte de l’arrêté en date du 15 janvier 2020.

A l’inverse, le Président Trump a immédiatement réagi pour faire le maximum, afin de mettre ce produit à disposition de toute la population, aux USA.

Au lieu d’appliquer ce qui a été fait en Chine et ailleurs, de
prendre en considération les recommandations du professeur Raoult, le
traître, qui joue le rôle de Président de la République, met en place la
suspension des libertés fondamentales par le confinement de la
population !!!!

D’ailleurs, ce n’est pas le
virus qui est dangereux mais tout ce qui se trame derrière. Avec ce
félon de Macron au service des banques, de Big Pharma et autres
prédateurs, nous sommes bien servis.

Dictature

Des moyens efficaces pour arrêter cette pseudo pandémie existent et font leur preuve. Contrairement à ce que l’on nous martèle,
ce confinement est inutile. Nos autorités préfèrent la répression et
des lois liberticides, au lieu de s’attaquer aux vrais problèmes.

Gravement menacées, la République de Taiwan et la Corée du sud, par exemple, ont pris des mesures intelligentes, pour rapidement juguler la propagation de l’épidémie sans confinement.

Jamais de conseils efficaces pour renforcer le système immunitaire !

Nous assistons à un
effondrement du système immunitaire chez l’homme d‘aujourd’hui. Beaucoup
n’ont plus de système de défense efficace. Une personne en bonne santé,
ayant un système immunitaire qui fonctionne normalement, ne peut pas
être affectée par des microbes et virus, même réputés dangereux.

Tout le monde peut renforcer son niveau d’énergie. Mais dans un système où une puissante industrie a besoin de malades pour prospérer, cela n’est pas enseigné.

En appliquant les méthodes
naturelles de santé, nous pouvons rapidement remonter notre immunité.
Ceux qui ont fait l’expérience d’une nourriture vivante, peuvent en
témoigner.

En résumé, ce qu’il faudrait faire :

Réduire ou supprimer la consommation de céréales (et surtout des pâtes) et des glucides (sucres) en général.

Supprimer les produits laitiers et réduire la consommation de viande (surtout viande rouge).

Les fruits et légumes crus biologiques devraient être la base de notre alimentation.

Avec ce type d’alimentation, nous avons un bon microbiote. Environ 70% de notre immunité est en lien direct avec l’intestin.

Éviter l’exposition aux rayonnements électromagnétiques pathogènes (difficile de nos jours).

Soleil. Exercice physique et repos suffisants. Bains glacés (avec précaution) ou chauds selon le cas. Voir l’article :

Bains chauds ou bains glacés ?

D’autre
part, veiller à un bon équilibre émotionnel. Ne pas se laisser emporter
par le négatif. En élevant notre niveau de conscience, nous élevons
notre niveau vibratoire et renforçons notre système immunitaire.

René BICKEL – mars 2020


Si cet article vous a plu, merci de le partager autour de vous. Voici le lien à transmettre en le “copiant-collant” :
https://www.bickel.fr/2020/03/strategie-pour-ne-pas-etre-affectee-par-le-coronavirus-covid-19/

Un grand merci à Elisabeth OLORY, auteur du blog Histoires de guérisons, dont l’aide très précieuse en matière d’informatique (mise en page de ces articles et envoi des messages) est inestimable.




Géopolitique du coronavirus – entretien avec Valérie Bugault

[Source : Strategika via Réseau International]

Au cœur d’une crise mondiale inédite par son ampleur, Strategika vous propose l’éclairage d’analystes et de penseurs reconnus dans leur domaine d’expertise. Nous avons posé à chacun une série de questions qui portent sur différents aspects de cette véritable crise de civilisation et sur ses répercussions politiques, géopolitiques et sociales.

La première à nous répondre est Valérie Bugault.

Valérie Bugault est docteur en droit privé de l’université Panthéon-Sorbonne et avocate. Depuis 2009, elle a cessé ses activités d’avocate pour se consacrer à la diffusion auprès du public du résultat de ses nombreux travaux de recherches. Elle est aujourd’hui analyste de géopolitique (économique, juridique et monétaire) et conférencière. Ses sujets de recherche sont les institutions – nationales et internationales – la monnaie, l’entreprise, le droit et le fonctionnement de l’économie globale.
Elle est auteur de quatre livres, récemment publiésauxéditions Sigest :
« Du nouvel esprit des lois et de la monnaie », co-écrit avec feu Jean Rémy, publié en juin 2017
« La nouvelle entreprise », publié en juillet 2018
– « Les raisons cachées du désordre mondial », recueil d’articles, publié le 30 mars 2019
« Demain dès l’aube… le renouveau », publié en septembre 2019

Strategika – On lit beaucoup d’éléments contradictoires selon les différentes sources d’information disponibles ou selon les avis des professionnels de la santé. Quelle est la réalité effective de cette pandémie selon vous ?

VB : Comme le dit très bien notre ami Lucien Cerise, il faut distinguer entre la réalité sensible dans le monde réel et la narration des faits qui est diffusée.

Voici, textuellement, ce qu’il dit :

« En France, et plus largement en Occident, la crise sanitaire du coronavirus présente un cas pratique d’ingénierie sociale et de gouvernance par le chaos. Nous retrouvons la même structure qu’avec la « menace terroriste » : un mélange de réel et de fiction, combiné à deux stratagèmes bien connus qui sont 1) le pompier pyromane et 2) le triangle de Karpman. Sur le mélange réel/fiction, souligné dans son dernier livre par le professeur Raoult – qui se fait le disciple occasionnel de Jean Baudrillard : les partisans du « tout réel » ont tort, les partisans du « tout fiction » ont tort. Exemple : ce n’est pas parce que la « version officielle » de la crise coronavirus est fausse qu’il n’y a pas d’épidémie ; de même, ce n’est pas parce que la « version officielle » des attentats terroristes est fausse que les attentats n’ont pas lieu. Des événements ont lieu, et c’est la narration explicative qui est fausse, pas les événements en eux-mêmes. L’analyse de la crise actuelle révèle aussi l’application des techniques du pompier pyromane et du triangle de Karpman, c’est-à-dire le jeu de rôles bourreau/victime/sauveur. Le pouvoir laisse la situation de crise s’installer, voire l’aide à s’installer, volontairement ou involontairement. Dans le réel, le pouvoir occupe donc la place du pyromane, donc du bourreau. Puis, une fois que la crise est installée et en cours, le pouvoir se présente comme le sauveur, qui va donc nous sauver de la crise qu’il a lui-même installée furtivement, tel un pompier qui éteindrait l’incendie après l’avoir lui-même allumé discrètement. »

Nous sommes face à une sorte de dissonance cognitive globale parce que les phénomènes auxquels nous sommes confrontés reçoivent une ou plusieurs explications officielles partielles (dans le meilleur des cas), contradictoires et/ou erronées qui ne permettent pas un accès intellectuel à l’ensemble du phénomène. En réalité, la méthodologie suivie dans la couverture de cette crise du coronavirus est similaire à celle qui nous est imposée d’une façon générale pour orienter les processus intellectuels : un séquençage (puisque le mot est désormais à la mode) ou un émiettement des connaissances, une sorte de fordisme appliqué à toute l’échelle des connaissances. A cela s’ajoute un autre phénomène d’émiettement et d’isolement des populations : les milieux médicaux fréquentent peu ou pas d’autres milieux, chacun restant dans son pré carré par l’organisation même de la société. Ainsi, les constats et la vie que mènent les uns sont quasi hermétiques aux constats et à la vie que mènent les autres, leurs seuls points de contact étant leur façon (directe ou indirecte) de consommer.

Ainsi, nous recevons des retours en provenance du corps médical, d’autres en provenance d’organisations internationales, d’autres en provenance des différents pays du monde. D’autres sources d’informations sont inhérentes à la structuration de notre propre gouvernement (décret, lois…), d’autres sources d’informations encore proviennent de médias dits indépendants qui contredisent partiellement ou totalement les sources précédentes…

Finalement, pour y voir clair, il faut et il suffit de remettre de l’ordre, c’est-à-dire qu’il faut hiérarchiser et contextualiser les phénomènes ; encore faut-il que cette hiérarchisation soit pertinente.

Dans l’ordre nous avons : l’apparition peu préparée d’un virus en Chine, pays qui connaît historiquement cette typologie de virus. Ensuite, une série de nouvelles alarmistes en forme d’hécatombe. Ensuite, bien sûr, le virus se répand sur la surface du globe pendant que l’on apprend que la Banque mondiale (que je ne présente plus) avait prévu, dès 2017, des « bonds spécifiques aux pandémies ». Ensuite une litanie de pays touchés et d’innombrables populations confinées pour, prétendument, lutter contre la propagation dudit virus. Pendant que les « morts » se multiplient et que les services hospitaliers étouffent littéralement sous cette affluence de gens à détecter ou à traiter.

Le tout se produisant dans un contexte géopolitique très particulier où la puissance économique chinoise, aujourd’hui arrivée à maturité, s’est alliée à la puissance militaire russe pour contrer l’hégémonie américaine et Cie.

Ce qui n’est pas dit dans ce tableau est pourtant l’essentiel : les USA et ses alliés ne sont plus depuis le début du XXème siècle (au bas mot) gouvernés par ce que j’appelle un phénomène politique, qui représente l’intérêt commun, mais par un cartel d’entreprises dirigé par les principales banques globales d’investissement qui ont leur quartier général, depuis Oliver Cromwell, à la City of London. En réalité, les Etats occidentaux n’existent plus car ils ont été privatisés lorsque le contrôle de leurs monnaies est tombé dans les mains des banquiers privés, ce qui explique, en Europe, l’apparition des institutions européennes, qui ne sont que la formalisation politique de cette capture des règles d’organisation des peuples par des intérêts privés.

Si l’on veut bien prendre en compte l’ensemble de ces éléments, un tableau assez clair se dessine.

Dans ce tableau, d’un côté apparaît un virus très contagieux et qui devient dangereux lorsqu’il se fixe dans les poumons et les voies respiratoires. Les patients, à ce stade, n’ont quasi plus de virus dans le corps et il devient inutile de leur appliquer le traitement préconisé par le Professeur Didier Raoult, comme ce dernier l’indique très clairement lui-même. Hormis ces cas de complications qui, apparemment ne sont pas si rares que ça, ledit virus est relativement anodin, il procure des symptômes plus ou moins gênants mais ne met pas en jeu de prognostique vital des patients infectés. Didier Raoult, professeur français spécialiste mondialement réputé en virologie et infectiologie, a émis des hypothèses de travail qui ont été confirmées par des spécialistes chinois ayant eu à traiter le virus et par un professeur Sénégalais (Pr. Seydi) qui a eu à affronter le virus Ebola et qui est, à ce titre, reconnu comme une sommité dans son domaine. Le traitement préconisé ne coûte pas cher (car les brevets très anciens sont tombés dans le domaine public) ; il n’est pas efficace à 100 % en fonction, notamment, du moment tardif ou non où il a été administré. Voilà, pour l’essentiel, ce qu’il importe de retenir.

De l’autre côté du tableau, on a des médecins stipendiés (la plus en vogue actuellement est la sulfureuse Karine Lacombe qui sévit sur les grandes ondes et est multi stipendiée des lobbies pharmaceutiques) ainsi que tout l’appareil d’Etat et les corps constitués (Inserm…), tous reliés, de près ou de loin, aux lobbies pharmaceutiques qui sont montés aux créneaux pour disqualifier les travaux des éminents spécialistes décrits ci-dessus. Sans oublier le fait que la campagne présidentielle de Macron a été partiellement financée par Big Pharma.

En outre, je ne fais qu’effleurer rapidement, car l’énumération en serait vraiment trop longue, toutes les décisions politiques actuelles prises en opposition ouverte à l’objectif officiel d’enrayement de l’épidémie, qui passent par la classification début 2020 d’un médicament en vente libre depuis des décennies en substance vénéneuse, par le refus d’octroyer des autorisations administratives à des chercheurs proposant des tests pour détecter l’infection au coronavirus, par le refus de l’aide proposée par des industriels pour la fabrication de respirateurs… Ajoutons à cela, pour compléter le tableau, la déconstruction méthodique du service de santé publique, allant de la liquidation des stocks de matériels aux restrictions de lits et de personnels hospitaliers, aggravée depuis la présidence Sarkozy.

Cette crise sanitaire laisse ainsi apparaître les véritables acteurs politiques cachés derrière les oripeaux étatiques ! On perçoit, aujourd’hui mieux qu’hier, que l’Etat est tenu par des intérêts privés qui préconisent des remèdes très coûteux, voire peu efficients, en attendant le futur vaccin obligatoire. Sur la ligne d’arrivée pour gagner le cocotier des contrats publics et privés de commandes massives de vaccins : Johnson & Johnson qui annonce ce 31 mars qu’il sera prêt à tester son premier vaccin dès septembre 2020 ! D’autres laboratoires restent bien évidemment en lice pour la cagnotte du futur vaccin…

Il faut toutefois savoir deux choses. Premièrement, tous les vaccins rapidement fabriqués se sont historiquement révélés peu efficaces et même dangereux pour la santé humaine. Deuxièmement, un vaccin contre un virus par hypothèse mutant, comme l’est le coronavirus, a très peu de chance d’être efficace. Ce problème est aggravé par le fait que la maladie Covid-19 met en cause plusieurs souches différentes, dont l’une d’elle se subdivise encore en plusieurs variantes.

En conclusion, si les pouvoirs publics voulaient effectivement enrayer l’épidémie, ils décideraient de traiter, à moindre coût qui plus est, un maximum de gens en amont, comme le préconise le Dr. Raoult et d’autres grands spécialistes du monde entier. Cette aune du traitement médical préventif massif est la mesure exacte de l’honnêteté du gouvernement français.

En d’autres termes, si le gouvernement était honnête, il ne prendrait pas l’option dilatoire actuelle consistant à mettre tous les obstacles en place pour que les gens ne soient pas massivement traités selon les préconisations du Pr. Raoult ; pendant que les mesures de confinement ciblées sur les populations locales les plus normées deviennent de plus en plus rigoureuses alors même que ces mesures excluent les populations rebelles situées dans les zones de non droit, et les camps de migrants.

Par ailleurs, notons que le gouvernement français, qui a également récemment, sur préconisation de l’ONU, vidé massivement et prématurément les prisons de prisonniers de droit commun (ce qui a fait l’objet d’un communiqué officiel de professionnels de la magistrature), punira d’emprisonnement les contrevenants multirécidivistes qui auront dépassé leur heure de promenade quotidienne autorisée, qui auront dépassé leur périmètre de promenade autorisée, ou qui auront oublié leur laisser-circuler…

On se rend bien compte ici de deux choses :

  • Que la volonté affichée de protéger les populations cache une volonté sournoise de les mettre en état de choc et de les surveiller massivement ;
  • Que l’anarchie sociale en cours de développement, est consciencieusement organisée par les pouvoirs publics eux-mêmes, sous le faux prétexte d’enrayer une épidémie.

Strategika – Cette pandémie précède-t-elle un effondrement économique et systémique ?

Plus de 3 milliards de personnes sont appelées à se confiner dans le monde. Pour la première fois de son histoire, l’humanité semble réussir à se coordonner de manière unitaire face à un ennemi global commun. Que vous inspire cette situation ?

Cette pandémie va-t-elle forcer l’humanité à se doter d’un gouvernement mondial comme le préconisait Jacques Attali lors de la pandémie de grippe A en 2009 ?  En 2009 toujours, Jacques Attali expliquait que « l’Histoire nous apprend que l’humanité n’évolue significativement que lorsqu’elle a vraiment peur ». Que vous inspire cette idée ?     

VB : Effectivement, de multiples informations montrent que l’existence d’une pandémie était prévue, pour ne pas dire attendue, par un certain nombre d’institutions et de personnages, au premier rang desquels on peut citer, pèle mêle, la fondation Bill et Melinda Gates, le centre John Hopkins pour la sécurité sanitaire, le Forum économique mondial, l’OMS, la Banque mondiale, Jacques Attali, le magazine « The Economist » (année 2019 et 2020) … Avec le britannique Gordon Brown qui appelle ouvertement à la constitution d’un gouvernement mondial pour faire face à cette pandémie de coronavirus.

Nous faisons donc globalement, ou mondialement, si vous préférez, face à une situation inédite dans l’histoire, dans laquelle un petit groupe de gens, cachés derrière l’anonymat des capitaux et des institutions internationales et menés par quelques banquiers privés, organisent des chocs ou tirent parti de chocs afin de faire avancer leur agenda global de prise de contrôle politique du monde en instituant un « gouvernement mondial ».

Pour réaliser ce gouvernement mondial, il faut avoir préalablement développé, chez les individus en général et chez les dirigeants politiques en particulier, le sentiment de la nécessité d’une régulation des évènements à l’échelle globale. Une pandémie est en effet le phénomène qui répond le mieux à ce type de besoin. Dès le départ, on peut et on doit suspecter une manipulation.

Par ailleurs, il devient en effet de plus en plus évident que ce coronavirus résulte de la combinaison, aidée, de deux virus naturels, combinaison qui aurait malencontreusement fuité d’un ou de plusieurs laboratoires. Nous ne saurons probablement jamais le véritable déroulement des évènements ayant abouti à la dissémination de ce type de virus.

Ensuite, et en raison de l’homogénéisation de la réponse politique apportée à cette crise sanitaire par différents pays, il est tout à fait nécessaire que les citoyens victimes aiguisent leur vigilance et se tiennent sur leur garde car la manipulation devient évidente dans le contexte de privatisation généralisée des Etats.

Toutefois, on ne saurait trop insister sur l’impérieuse nécessité de discriminer les informations reçues. Ainsi, à titre personnel, je ne pense pas qu’il faille mettre sur un même plan la réponse politique chinoise et la réponse politique des pays européens.

D’une part, il ne faut pas oublier que la Chine, actuel opposant victorieux à l’hégémonie économique du bloc de l’ouest sous l’égide de l’OTAN, a été le premier pays attaqué par ce virus.

D’autre part, les dirigeants chinois ont publiquement incriminé les GI’s américains dans la propagation du virus sur leur territoire.

Enfin, il faut se souvenir qu’aux USA, se sont produits, courant 2019, deux évènements extrêmement importants qui peuvent aisément être corrélés :

  • Une sorte d’épidémie pulmonaire grave avait été mise sur le dos des fabriquants de cigarettes électroniques et
  • Un laboratoire (Fort Detrick) a dû être fermé (Trump vient d’ailleurs récemment d’ordonner sa réouverture pour lutter contre le coronavirus !), durant l’été 2019, pour cause de fuites.

Il devient assez loisible d’imaginer que les conséquences de cette fuite de matériel bactériologique, volontaire ou non (nous ne le saurons jamais), a été artificiellement endossée par le puissant lobby du tabac – ce qui lui a permis d’éliminer un concurrent inoffensif naissant mais menaçant (l’industrie de la cigarette électronique) – avec la bénédiction des instances gouvernementales qui ont ainsi évité d’avoir à rendre des comptes publics.

Par ailleurs, il faut absolument toujours conserver à l’esprit que les gouvernements officiels sont privatisés mais que même dans ce cas de figure, il y a quantité de gens qui œuvrent quotidiennement dans ces structures et qui ne sont pas eux-mêmes corrompus. Ainsi, même en cas de fuite bactériologique issue d’un laboratoire secret on ne peut pas être sûr que cette fuite soit volontaire ; des individus infiltrés et aux ordres directs des puissances financières peuvent très bien avoir organisé ces fuites à l’insu de leurs collègues.

Par ailleurs, je voudrais revenir sur l’existence des laboratoires secrets de recherche bactériologiques. Il faut comprendre que le problème se pose dans les mêmes termes qu’il s’est déjà posé en matière d’armes nucléaires : beaucoup de pays disposent légitimement de ce type de laboratoires sans qu’il soit question de les utiliser à des fins offensives. De la même façon, beaucoup de pays disposaient et disposent de l’arme nucléaire, tandis que très peu les ont utilisées à des fins offensives. Nous connaissons par ailleurs depuis longtemps la propension des puissances anglo-saxonnes et de leurs affiliés à cibler les populations civiles, qui n’ont, à vrai dire, à leurs yeux, aucune espèce d’importance et seraient plutôt considérées comme étant surnuméraires (voir les Georgia Guidestones, les travaux du « Club de Rome », et ceux de tous leurs descendants).

A ma connaissance, la puissance chinoise n’a jamais utilisé de façon offensive ni la bombe nucléaire, ni toute autre arme de destruction massive. En revanche, les USA, et leurs affiliés, n’ont plus de preuves à apporter quant à leur capacité à utiliser ce type d’armes pour viser, en particulier (c’est devenu une sorte de spécialité) les populations civiles.

Une fois ces préalables explicités et le contexte rétabli, il devient possible de répondre à votre première question.

En effet, la mise en confinement des gens bien-portants porte un coup d’arrêt brutal à l’économie des pays. En fonction de la durée du confinement, ces pays, surtout lorsqu’ils sont endettés, ne pourront que très difficilement s’en remettre. Cette remise sur pied devra, à l’évidence, s’accompagner d’une remise en cause de leur fonctionnement interne. Par ailleurs, les bienfaits abondamment claironnés de la globalisation économique, qui a rendu chaque pays dépendant des autres, reçoivent, eux aussi, un énorme démenti par cette crise sanitaire qui rend visible l’extrême dénuement industriel des pays dits développés, lesquels ne sont plus autosuffisants en quoi que ce soit. On peut en effet en déduire, sans risque d’erreur, qu’il y aura un « avant la crise du coronavirus » et un « après la crise du coronavirus ».

Nous sommes collectivement sur une ligne de crête et les choses peuvent basculer, en fonction de la capacité de réaction des citoyens, soit dans le sens du globalisme intégral avec gouvernement mondial, soit dans celui d’une reprise en main politique des pays par leurs ressortissants.

Strategika – Comment voyez-vous l’évolution de la pandémie et ses conséquences politiques et sociales dans les semaines et les mois à venir ?

VB : Soit les citoyens cèderont à la peur, soit ils réfléchiront et comprendront que la peur est elle-même entretenue de façon contrôlée par leurs dirigeants qui prennent toutes les décisions permettant au coronavirus de se propager en toute tranquillité, ou plutôt, en toute facilité. C’est ainsi, qu’ils refusent à leur population l’accès aux soins et médicaments utiles à l’endiguement du processus de contamination pendant qu’ils mettent les gens en confinement suffisamment longtemps pour pouvoir leur imposer – il s’agit ici de la mise en œuvre de la « servitude volontaire » – un futur vaccin miracle. Ce vaccin, outre son prix financier, sera sans doute agrémenté de sels d’aluminium (qui est devenu l’adjuvant obligatoire), d’arn messagers (qui permettront de faire, in vivo et à grande échelle, des expériences génétiques sur le génome humain), et surtout de puce RFID, qui permettront à tout un et chacun de recevoir ses rémunérations et d’avoir accès à son compte en banque.

Cette étape de la vaccination obligatoire sera tout à fait décisive pour assurer aux globalistes (banquiers, big pharma et consorts) le contrôle direct sur les populations. Chaque personne devra ainsi obéir sous peine de se voir retirer l’accès à tous ses moyens de subsistances. Etant ici précisé qu’en raison de l’effondrement économique, il est fortement à craindre que les moyens de subsistances ne soient in fine aucunement reliés à un travail individuel productif mais plutôt à un subside universel reçu de l’Etat fantoche entièrement aux ordres des puissances financières.

Strategika – Existe-t-il une issue politique à la situation que vous venez de décrire et quelle forme pourrait-elle prendre selon vous ?

VB : Il faut partir du principe naturel que chaque problème a une solution à la condition exclusive d’être bien posé. Dans le cas présent, bien sûr qu’il existe des issues politiques à ce problème, je dirai même que les seules issues favorables sont de nature politique au sens propre du terme. Autrement dit, seule une reprise en main politique de l’organisation des Etats par leurs ressortissants pourra aboutir à une issue favorable aux populations. Sinon, nous assisterons au basculement général souhaité par l’oligarchie supranationale vers un gouvernement mondial aux mains des puissances financières, les populations étant vouées à être fortement réduites puis mises en esclavage, pour la partie qui aura survécu.

J’ai, dans mes travaux, expliqué comment la Société pourrait être réorganisée pour devenir réellement politique, c’est-à-dire pour que les ressortissants des Etats puissent devenir acteurs à part entière des choix politiques de leur pays. Il suffit de consulter la partie « Le renouveau institutionnel » situé page 278 et suivantes de mon ouvrage « Les raisons cachées du désordre mondial », publié en mars 2019 aux éditions Sigest. Je ne reviendrai pas ici sur ce sujet qui requiert des développements trop long. Ces développements seront peut-être l’occasion d’un nouvel entretien pour Strategika ?

Strategika – Comment liez-vous la crise actuelle à votre domaine d’expertise et à votre champ de recherche ?

VB : En vérité, cette crise est liée à mes travaux à plusieurs égards. J’ai mentionné, ci-dessus, la question institutionnelle d’organisation des Etats. Mais ce n’est en effet pas le seul lien. L’autre lien très important est relatif aux évolutions en cours de la monnaie mondiale.

J’ai déjà expliqué à maintes et maintes reprises que le Brexit, dont on peut se féliciter en apparence, avait été initié par les banquiers de la City afin d’avoir toute liberté d’action, en étant libérés des lourdeurs institutionnelles de l’UE, pour piloter le changement de monnaie mondiale.

Comme prévu par Keynes au siècle dernier, le dollar, sous la double casquette de monnaie nationale et de monnaie mondiale, n’était, dès le départ, économiquement pas viable. Ainsi, sa fin prévisible pouvait être programmée. Elle a eu pour première étape sa décorrélation du standard or tandis que la seconde étape, à laquelle nous assistons en direct, est sa décorrélation du standard pétrole qui avait succédé au standard or.

Actuellement, la plupart des pays du monde sont convaincus de l’inanité de conserver le dollar comme monnaie de réserve internationale. Trump lui-même passe à l’action puisqu’il vient de prendre des mesures pour fusionner la Fed et le département du Trésor dans l’objectif de créer, sur le modèle du Yuan et du Renmibi, deux types de dollar : un dollar interne et un dollar devise qui circulera sur les marchés internationaux. Le reset monétaire approche donc à grands pas. Ainsi, une monnaie mondiale viable, contrôlée par les banquiers il va sans dire, pourra bientôt voir le jour, sous forme de panier de devises, qui circulera de façon entièrement dématérialisée.

Je ne détaillerai pas ici – car les développements y seraient trop longs – l’escroquerie bancaire originelle ayant consisté à identifier la monnaie avec un bien matériel (au départ un métal précieux) dans le commerce. Toute une histoire, que je raconte dans mon livre, co-écrit avec le banquier Jean Rémy, intitulé « Du nouvel esprit des lois et de la monnaie », publié en juin 2017 aux éditions Sigest.

J’ajoute que la fin du dollar en tant que monnaie internationale est la condition sine qua non pour qu’advienne une monnaie mondiale viable, du moins selon les critères de fonctionnement économiques et monétaires imposés par les banquiers internationaux. Or, la fin du dollar monnaie mondiale suppose la fin de l’hégémonie de l’empire américain. Dès lors, il devient facile de comprendre que certains membres décisionnaires de cet empire se sont violemment opposés, et s’opposent encore violemment, à ce projet qui aboutira à une disparition de leurs situation dominante. Cette partie des dirigeants américains qui se rebellent peut être qualifiée de patriote, il s’agit des gens qui étaient ouvertement impliqués dans la domination du monde par les américains eux-mêmes. A l’opposé, ces derniers ont pour pires ennemis internes les globalistes apatrides, dont la tête se situe à la City of London, et qui œuvrent en sous-mains pour l’avènement d’un gouvernement mondial, lequel suppose la disparition de l’empire US.

Cette distinction, essentielle à la bonne compréhension des choses, entre dirigeants patriotes et dirigeants apatrides existe également en Chine et en Russie où, par exemple, le gouvernement civil semble dirigé par les partisans des globalistes apatrides tandis que l’armée semble aux mains des dirigeants patriotes, Putin faisant la jonction entre les deux factions opposées. Concernant la Chine, il faut garder à l’esprit le considérable nettoyage ayant eu lieu depuis des années, y compris dans les plus hautes instances dirigeantes, pour purger l’appareil d’Etat des élites compradores, lesquelles peuvent être reliées aux dirigeants apatrides siégeant à la City of London. Cette opposition entre dirigeants patriotes et dirigeants compradores existe également dans des pays comme l’Iran.

Ainsi, dans cette lutte de nature géopolitique, structurée autour des questions juridiques d’organisation du circuit de commandement, rien ne me semble encore acquis ni pour un camp, ni pour l’autre. Il est néanmoins possible de faire la prévision selon laquelle la victoire serait écrasante pour les patriotes, à la condition que ces derniers s’allient avec leur population et ne cherchent pas à la dominer, comme cela leur a été inculqué par leurs anciens alliés compradores.

Rien ne résisterait à l’alliance entre dirigeants patriotes et populations locales. C’est précisément cette alliance que redoutent les puissances globalistes. Notons à cet égard que les mesures restrictives de liberté ordonnées par les différents gouvernements pour lutter contre la propagation du coronavirus vont à l’encontre de cette alliance naturelle qui permettrait le succès des patriotes sur les globalistes. Vous voyez que les choses ne sont pas simples… et que, décidemment, cette « pandémie de coronavirus » arrive à point nommé pour soutenir la stratégie des globalistes alors que ces derniers étaient en situation de faiblesse…

D’un autre côté, cette pandémie permet des ouvertures inespérées dans la remise en cause générale de la stratégie globaliste. Encore faut-il avoir le courage de saisir cette occasion. Je terminerai mon exposé en disant que les cartes sont actuellement dans les mains des populations civiles : ces dernières ont enfin, phénomène unique dans l’histoire, la possibilité de reprendre leur destin en main ; ce qui signifie, très précisément, qu’elles ont la possibilité de réinstaurer des gouvernements politiques en lieu et place des ersatz actuels entièrement aux mains des puissances financières. Les peuples auront ce qu’ils méritent : ils recevront, s’ils acceptent de se prendre en charge – en contrepartie d’un peu de courage – des fruits extrêmement bénéfiques… mais l’accepteront-ils ? Là est la question… Je profite de ce texte pour rendre hommage au travail de structuration politique fait, en France, par les Gilets Jaunes constituants, qui ont pleinement compris et anticipé cette problématique de fond.

Finalement, les lois naturelles, tellement honnies des globalistes, reprennent le dessus et les choses vont entrer dans l’ordre : soit on lutte collectivement pour survivre collectivement, soit on ne lutte pas collectivement et ce sera la fin de la civilisation et de la liberté, y compris celle de vivre et de mourir.


[Voir aussi :




Tour de Contrôle à Planète en Confinement : Ce n’est qu’un test

[Source : Réseau International]

par Pepe Escobar.

Autant le Covid-19 est un disjoncteur, une bombe à retardement et une véritable arme de destruction massive (ADM), un débat acharné fait rage dans le monde entier sur le bien-fondé d’une quarantaine de masse appliquée à des villes, des États et des nations entières.

Ceux qui s’y opposent affirment que le confinement de la planète non seulement n’arrête pas la propagation du Covid-19, mais qu’il a également fait basculer l’économie mondiale dans un état de cryogénie – avec des conséquences imprévues et désastreuses. Ainsi, la quarantaine devrait s’appliquer essentiellement à la population présentant le plus grand risque de décès : les personnes âgées.

Avec le confinement de la planète stupéfiée par les rapports déchirants de la ligne de front du Covid-19, il ne fait aucun doute qu’il s’agit d’une affirmation incendiaire.

En parallèle, une prise de contrôle totale des médias corporatifs insinue que si les chiffres ne diminuent pas substantiellement, le Confinement de la Planète – un euphémisme pour dire « assignation à résidence » – sera maintenu, indéfiniment.

Michael Levitt, Prix Nobel de Chimie 2013 et Biophysicien de Stanford, était dans le vrai lorsqu’il a calculé que la Chine allait passer le pire du Covid-19 bien avant que des foules d’experts de la santé ne le pensaient, et que « ce dont nous avons besoin, c’est de contrôler la panique ».

Passons en revue les faits et les opinions dissidentes, afin de favoriser un débat éclairé.

Le rapport « Covid-19 – Navigating the Uncharted » a été co-écrit par le Dr Anthony Fauci – le visage de la lutte de la Maison Blanche -, H. Clifford Lane, et le Directeur du CDC Robert R. Redfield. Il vient donc du cœur de l’establishment américain de la santé.

Le rapport indique explicitement que « les conséquences cliniques globales du Covid-19 pourraient finalement s’apparenter davantage à celles d’une grippe saisonnière grave (qui a un taux de létalité d’environ 0,1%) ou d’une grippe pandémique (semblable à celles de 1957 et 1968) plutôt qu’à une maladie semblable au SRAS ou au MERS, qui ont eu des taux de létalité de 9 à 10% et 36%, respectivement ».

Le 19 mars, quatre jours avant que Downing Street n’ordonne le confinement britannique, le Covid-19 a été déclassé du statut de « Maladie Infectieuse à Hautes Conséquences ».

John Lee, Professeur de Pathologie récemment retraité et ancien Pathologiste consultant du NHS, a récemment déclaré : « les 18 944 décès par coronavirus dans le monde représentent 0,14% du total. Ces chiffres pourraient augmenter, mais ils sont, à l’heure actuelle, inférieurs à ceux d’autres maladies infectieuses avec lesquelles nous vivons (comme la grippe) ».

Il recommande « de maintenir un certain degré de distanciation sociale pendant un certain temps, en particulier pour les personnes âgées et les personnes immunodéprimées. Mais lorsque des mesures drastiques sont introduites, elles doivent être basées sur des preuves claires. Dans le cas de Covid-19, les preuves ne sont pas claires ».

C’est essentiellement le même point développé par un analyste des renseignements militaires russes.

Pas moins de 22 scientifiques – voir ici et ici – ont développé leurs doutes sur la stratégie occidentale.

Le Dr Sucharit Bhakdi, Professeur émérite de Microbiologie Médicale à l’Université Johannes Gutenberg de Mayence, a provoqué une immense controverse avec sa lettre ouverte à la Chancelière Merkel, soulignant les « conséquences complètement imprévisibles des mesures de confinement drastiques qui sont actuellement appliquées dans de grandes parties de l’Europe ».

Même le Gouverneur de New York, Andrew Cuomo, a reconnu officiellement l’erreur de mettre en quarantaine les personnes âgées malades aux côtés de la population jeune en bonne santé.

La question absolument essentielle est de savoir comment l’Occident a été pris au dépourvu dans la propagation du Covid-19 – même après avoir bénéficié d’une avance de deux mois grâce à la Chine, et avoir eu le temps d’étudier différentes stratégies efficaces appliquées à travers l’Asie.

Le succès du modèle sud-coréen n’a de secret pour personne.

La Corée du Sud produisait déjà des kits de test début janvier et, en mars, elle testait 100 000 personnes par jour, après avoir établi un contrôle strict de toute la population – sous les cris occidentaux de « pas de protection de la vie privée ». C’était avant que l’Occident ne se lance dans le mode « Planète en Confinement ».

En Corée du Sud, il s’agissait de procéder à des tests précoces, fréquents et sûrs – en parallèle avec une recherche rapide et approfondie des contacts, l’isolement et la surveillance.

Les porteurs du Covid-19 sont surveillés à l’aide de caméras de vidéosurveillance, des achats par carte de crédit, des enregistrements de smartphones. Ajoutez à cela des SMS envoyés à tout le monde lorsqu’un nouveau cas est détecté près de chez eux ou de leur lieu de travail. Les personnes en auto-isolement ont besoin d’une application pour être constamment surveillées ; le non-respect de cette règle entraîne une amende équivalant à 2 800 $.

Démolition contrôlée en vigueur

Début mars, le Chinese Journal of Infectious Diseases, hébergé par l’Association Médicale de Shanghai, a pré-publié un Consensus d’Expert sur le Traitement du Coronavirus à Shanghai. Les recommandations de traitement comprenaient « fortes doses de vitamine C… injectées par voie intraveineuse à une dose de 100 à 200 mg/kg par jour. L’utilisation continue doit permettre d’améliorer significativement l’indice d’oxygénation ».

C’est la raison pour laquelle 50 tonnes de vitamine C ont été expédiées dans la province de Hubei au début du mois de février. C’est un exemple frappant de solution simple « d’atténuation » capable de minimiser la catastrophe économique.

En revanche, c’est comme si le contrecoup de la « guerre du peuple » chinoise brutalement rapide contre le Covid-19 avait pris Washington totalement au dépourvu. Les rumeurs persistantes sur le réseau chinois indiquent que Pékin a déjà étudié toutes les pistes plausibles concernant l’origine du virus Sars-Cov-2 – une information vitale qui sera certainement utilisée comme arme, à la Sun Tzu, au bon moment.

En l’état actuel des choses, la durabilité du projet complexe d’intégration eurasiatique n’a pas été substantiellement compromise. Alors que l’UE a fourni à l’ensemble de la planète une preuve flagrante de son impuissance et de son ignorance, le partenariat stratégique entre la Russie et la Chine se renforce de jour en jour, misant de plus en plus sur le « soft power » et faisant progresser le dialogue pan-euroasiatique qui inclut, de manière cruciale, l’aide médicale.

Face à ce processus, le plus haut diplomate de l’UE, Joseph Borrell, semble en effet si impuissant : « Il y a une bataille mondiale de récits dans laquelle le timing est un facteur crucial. […] La Chine a ramené le nombre de nouvelles infections locales à un seul chiffre – et elle envoie maintenant du matériel et des médecins en Europe, comme d’autres le font également. La Chine s’efforce de faire passer le message que, contrairement aux États-Unis, elle est un partenaire responsable et fiable. Dans la bataille des récits, nous avons également vu des tentatives pour discréditer l’UE (…) Nous devons être conscients qu’il y a une composante géopolitique comprenant une lutte d’influence par le biais de la filature et de la « politique de générosité ». Armés de faits, nous devons défendre l’Europe contre ses détracteurs ».

Cela nous entraîne sur un territoire véritablement explosif. Une critique de la stratégie Planète en Confinement soulève inévitablement de sérieuses questions qui pointent vers une démolition contrôlée de l’économie mondiale. Ce qui est déjà en vigueur, ce sont les myriades de déclinaisons de la loi martiale, le contrôle sévère des médias sociaux en mode « Ministère de la Vérité » et le retour de contrôles stricts aux frontières.

Ce sont là les marques sans équivoque d’un projet massif de restructuration sociale, avec une surveillance complète, un contrôle de la population et une distanciation sociale promue comme la nouvelle norme.

Cela reviendrait à pousser à l’extrême la déclaration du Secrétaire d’État Mike « nous mentons, nous trichons, nous volons » Pompeo, selon laquelle le Covid-19 est un exercice militaire en temps réel : « Cette affaire va de l’avant – nous sommes dans un exercice en temps réel ici pour faire les choses bien ».

Tous saluent BlackRock

Alors que nous sommes confrontés à une Nouvelle Grande Dépression, des étapes menant à un Nouveau Monde Meilleur sont déjà perceptibles. Cela va bien au-delà d’un simple Bretton Woods 2.0, de la manière dont Pam et Russ Martens ont superbement déconstruit le récent plan de relance de l’économie américaine de 2 000 milliards de dollars approuvé par Capitol Hill.

Essentiellement, la Fed va « transformer la caisse noire de fonds de sauvetage de 454 millions de dollars du projet de loi en 4,5 billions de dollars ». Et aucune question n’est autorisée sur l’identité de la personne qui recevra l’argent, car le projet de loi annule simplement la Loi sur la Liberté de l’Information pour la Fed.

L’entrepreneur privé privilégié de la caisse noire n’est autre que BlackRock. Voici la version extrêmement courte de l’ensemble du projet, étonnant, magistralement détaillé ici.

Wall Street a transformé la Fed en un fonds spéculatif. La Fed va détenir au moins deux tiers de tous les bons du Trésor américain qui se retrouvent sur le marché avant la fin de l’année.

Le Trésor américain achètera tous les titres et prêts en vue, tandis que la Fed sera le banquier – finançant l’ensemble du projet.

Il s’agit donc essentiellement d’une fusion entre la Fed et le Trésor. Un mastodonte qui distribue des tonnes d’argent hélicoptère – avec BlackRock comme vainqueur incontestable.

BlackRock est largement connu comme le plus grand gestionnaire d’argent de la planète. Leurs tentacules sont partout. Ils détiennent 5% d’Apple, 5% d’Exxon Mobil, 6% de Google, deuxième actionnaire d’AT&T (Turner, HBO, CNN, Warner Brothers) – ce ne sont là que quelques exemples.

Ils achèteront tous ces titres et géreront ces Fonds Commun de Créances (FCC) douteux pour le compte du Trésor.

BlackRock n’est pas seulement le principal investisseur de Goldman Sachs. Mieux encore, il est plus important que Goldman Sachs, JP Morgan et Deutsche Bank réunis. BlackRock est un important donateur de Trump. Maintenant, à toutes fins pratiques, ce sera le système d’exploitation – le Chrome, Firefox, Safari – de la Fed/Trésor.

Cela représente la Wall Streetisation définitive de la Fed – sans aucune preuve que cela conduira à une amélioration de la vie de l’Américain moyen.

Les médias corporatifs occidentaux, en masse, ont pratiquement ignoré la myriade de conséquences économiques dévastatrices du confinement de la planète. Les reportages mentionnent à peine l’étonnant gâchis économique humain déjà en cours – surtout pour les masses qui survivent à peine, jusqu’à présent, dans l’économie informelle.

À toutes fins utiles, la Guerre Mondiale contre le Terrorisme a été remplacée par la Guerre Mondiale contre les Virus. Mais ce qui n’est pas sérieusement analysé, c’est la Tempête Toxique Parfaite : une économie totalement brisée ; la Mère de Tous les Crashs Financiers – à peine masquée par les billions d’argent hélicoptère de la Fed et de la BCE ; les dizaines de millions de chômeurs engendrés par la Nouvelle Grande Dépression ; les millions de petites entreprises qui vont tout simplement disparaître ; une crise de santé mentale généralisée et mondiale. Sans parler des masses de personnes âgées, en particulier aux États-Unis, qui recevront un avis de décès tacite.

Au-delà de toute rhétorique sur le « découplage », l’économie mondiale est déjà, de facto, divisée en deux. D’un côté, nous avons l’Eurasie, l’Afrique et des pans entiers de l’Amérique Latine – que la Chine s’efforcera de relier et de reconnecter par les Nouvelles Routes de la Soie. De l’autre côté, nous avons l’Amérique du Nord et certains vassaux occidentaux. Au milieu se trouve une Europe perplexe.

Une économie mondiale induite cryogéniquement facilite certainement un redémarrage. Le Trumpisme est le Nouvel Exceptionnalisme – cela signifie donc un MAGA isolationniste sous stéroïdes. En revanche, la Chine va laborieusement relancer sa base de marché le long des Nouvelles Routes de la Soie – Afrique et Amérique Latine comprises – pour remplacer les 20 % de commerce/exportations qui seront perdus avec les États-Unis.

Les maigres 1 200 dollars de chèques promis aux Américains sont un précurseur de facto du Revenu Universel de Base (RUB) tellement vanté. Ils pourraient devenir permanents, car des dizaines de millions de personnes seront au chômage de façon permanente. Cela facilitera la transition vers une économie totalement automatisée, gérée 24/7 par l’IA – d’où l’importance de la 5G.

Et c’est là qu’intervient l’ID2020.

L’IA et l’ID2020

La Commission Européenne est impliquée dans un projet crucial mais pratiquement inconnu, CREMA (Cloud Based Rapid Elastic Manufacturing) qui vise à faciliter la mise en œuvre la plus large possible de l’IA en conjonction avec l’avènement d’un système One-World sans argent liquide.

La fin de l’argent liquide implique nécessairement un gouvernement « One-World » capable de distribuer – et de contrôler – le RUB ; un accomplissement total de facto des études de Foucault sur la biopolitique. Toute personne est susceptible d’être effacée du système si un algorithme assimile cet individu à un dissident.

C’est encore plus sexy lorsque le contrôle social absolu est promu comme un vaccin innocent.

L’ID2020 se décrit elle-même comme une alliance bénigne de « partenaires public-privé ». Il s’agit essentiellement d’une plateforme d’identification électronique basée sur la vaccination généralisée. Et cela commence dès la naissance ; les nouveau-nés recevront une « identité numérique portable et persistante liée à la biométrie ».

GAVI, l’Alliance Globale pour les Vaccins et l’Immunisation, s’engage à « protéger la santé des personnes » et à fournir une « immunisation pour tous ». Les principaux partenaires et sponsors, outre l’OMS, comprennent, comme on pouvait s’y attendre, les grandes entreprises pharmaceutiques.

Lors du sommet de l’Alliance ID2020 en septembre dernier à New York, il a été décidé que le programme « Rising to the Good ID Challenge » serait lancé en 2020. Cela a été confirmé par le Forum Économique Mondial (WEF) en janvier dernier à Davos. L’identité numérique sera testée avec le gouvernement du Bangladesh.

Cela pose une question sérieuse : l’ID2020 a-t-elle été programmée pour coïncider avec ce qu’un sponsor crucial, l’OMS, a qualifié de pandémie ? Ou une pandémie était-elle absolument cruciale pour justifier le lancement de l’ID2020 ?

Alors que des simulations de changement total de la donne continuent, rien ne bat bien sûr l’Événement 201, qui a eu lieu moins d’un mois après l’ID2020.

Le Johns Hopkins Center for Health Security, en partenariat avec, une fois de plus, le Forum Économique Mondial, ainsi que la Fondation Bill et Melinda Gates, a décrit l’Événement 201 comme « un exercice de pandémie de haut niveau ». L’exercice « a illustré les domaines dans lesquels des partenariats public/privé seront nécessaires lors de la réponse à une pandémie grave afin de diminuer les conséquences économiques et sociétales à grande échelle ».

Avec le Covid-19 en vigueur comme pandémie, l’école de santé publique Johns Hopkins Bloomberg a été obligée de publier une déclaration disant essentiellement qu’ils ont juste « modélisé une pandémie fictive de coronavirus, mais nous avons explicitement déclaré que ce n’était pas une prédiction ».

Il ne fait aucun doute qu’une « grave pandémie, qui deviendrait « l’Événement 201 », nécessiterait une coopération fiable entre plusieurs industries, gouvernements nationaux et institutions internationales clés », comme l’affirment les sponsors. Le Covid-19 suscite exactement ce type de « coopération ». La question de savoir si elle est « fiable » est sujette à un débat sans fin.

Le fait est que, partout sur la Planète en Confinement, une vague de fond de l’opinion publique tend à définir l’état actuel des choses comme une opération psychologique mondiale : un effondrement mondial délibéré – la Nouvelle Grande Dépression – imposé à des citoyens peu méfiants à dessein.

Les pouvoirs en place, s’inspirant des méthodes éprouvées de la CIA depuis des décennies, appellent bien sûr cela une « théorie de la conspiration ». Pourtant, ce que de vastes pans de l’opinion publique mondiale constatent, c’est qu’un virus – dangereux – est utilisé comme prétexte pour justifier l’avènement d’un nouveau système financier numérique, avec un vaccin forcé et une nanopuce créant une identité numérique complète et individuelle.

Le scénario le plus plausible pour notre avenir immédiat se lit comme des regroupements de villes intelligentes reliées par IA, avec des personnes contrôlées en permanence et dûment micro-pucées faisant ce dont elles ont besoin avec une monnaie numérique unifiée, dans une atmosphère de Panopticum de Bentham et Foucault en surrégime.

Donc, si c’est vraiment notre avenir, le système mondial existant doit disparaître. C’est un test, ce n’est qu’un test.

Pepe Escobar

source : Ground Control to Planet Lockdown: This Is Only a Test

traduit par Réseau International


[Voir aussi :




Après le confinement: Un programme mondial de vaccination contre le coronavirus…

[Source : mondialisation.ca]

Par Prof Michel Chossudovsky

La tendance est à un verrouillage mondial mené par la peur et la désinformation des médias. Actuellement, des centaines de millions de personnes dans le monde entier sont en état de confinement. 

Quelle est la prochaine étape dans l’évolution de la crise de la COVID-19 ?  

Un programme de vaccination contre le coronavirus a été annoncé à Davos lors du Forum économique mondial (21-24 janvier), à peine deux semaines après que le coronavirus ait été identifié par les autorités chinoises le 7 janvier.  

L’entité responsable de l’initiative pour un nouveau vaccin contre le coronavirus est la Coalition for Epidemic Preparedness Innovations (CEPI), une organisation parrainée et financée par le Forum économique mondial (WEF) et la Fondation Bill et Melinda Gates. 

Notez la chronologie : Le développement du vaccin nCoV 2019 a été annoncé au Forum économique mondial de Davos (WEF) une semaine avant le lancement officiel par l’OMS d’une urgence de santé publique mondiale (30 janvier), alors que le nombre de « cas confirmés » dans le monde (hors Chine) était de 150 (dont 6 aux États-Unis). 

La CEPI cherche à obtenir un rôle de « monopole » dans le domaine de la vaccination, dont l’objectif est un « projet mondial de vaccins », en partenariat avec un grand nombre de « candidats ». Il a annoncé le financement de son partenariat existant avec Inovio et l’Université du Queensland (Australie). En outre, le CEPI a confirmé (le 23 janvier) son contrat avec Moderna, Inc. et l’Institut national américain des allergies et des maladies infectieuses (NIAID) dirigé par le Dr Anthony Fauci, qui a joué un rôle déterminant dans la campagne de peur et de panique menée dans toute l’Amérique : « Dix fois pire que la grippe saisonnière ».

Ronald bailey: Coronavirus COVID-19 Le taux de mortalité est « dix fois pire » que celui de la grippe saisonnière, selon le Dr Anthony Fauci

Les espoirs initiaux de voir les conséquences du nouveau coronavirus sur la santé publique s’estompent.

C’est un mensonge en gras, selon l’OMS : 

Selon l’Organisation mondiale de la santé, les personnes infectées souffrent généralement d’une maladie bénigne et se rétablissent en deux semaines environ.

Le rôle central de la CEPI

Le CEPI traite simultanément avec plusieurs entreprises pharmaceutiques. Selon toute vraisemblance, le NIAID Moderna devrait mettre en œuvre le vaccin COVID-19 aux États-Unis.

Le 31 janvier, le jour suivant le lancement officiel de la pandémie par l’OMS et la décision de Trump de réduire les voyages aériens avec la Chine, la CEPI a annoncé son partenariat avec CureVac AG, une société biopharmaceutique basée en Allemagne. Quelques jours plus tard, début février, la CEPI « a annoncé que le grand fabricant de vaccins GSK autoriserait l’utilisation de ses adjuvants brevetés – des composés qui renforcent l’efficacité des vaccins – dans le cadre de la riposte ».

De nombreux « vaccins potentiels sont en cours d’élaboration », avec « des dizaines de groupes de recherche dans le monde entier qui s’affrontent pour créer un vaccin contre la COVID-19 ».

De leur côté, l’UE et les États-Unis sont actuellement en concurrence pour les marchés des vaccins au nom de puissants conglomérats pharmaceutiques, la Commission européenne « offrant jusqu’à 80 millions d’euros de soutien financier à CureVac AG » après qu’il ait été signalé que Trump « tentait d’obtenir l’accès exclusif à un vaccin COVID-19 qu’elle développe », sous les auspices du NIAID dirigé par le Dr Anthony Fauci.

L’exercice de simulation de l’événement Coronavirus 201 d’octobre 2019

Le coronavirus a été initialement nommé 2019-nCoV par la CEPI et l’OMS : exactement le même nom que celui adopté lors de l’événement 201 du WEF-Gates-John Hopkins concernant un exercice de simulation de coronavirus qui s’est tenu à Baltimore à la mi-octobre 2019.

La simulation John Hopkins Event 201 trace un portait sur le développement d’un vaccin efficace en réponse à des millions de cas (dans la simulation d’octobre 2019) de nCoV 2019. La simulation a annoncé un scénario dans lequel toute la population de la planète serait touchée.

« Au cours des premiers mois de la pandémie, le nombre cumulé de cas [dans la simulation] augmente de manière exponentielle, doublant chaque semaine. Et à mesure que les cas et les décès s’accumulent, les conséquences économiques et sociétales deviennent de plus en plus graves ».

Le scénario se termine au bout de 18 mois, avec 65 millions de décès. La pandémie commence à ralentir en raison de la diminution du nombre de personnes sensibles. La pandémie se poursuivra à un certain rythme jusqu’à ce qu’un vaccin efficace soit disponible ou que 80 à 90 % de la population mondiale ait été exposée. À partir de ce moment, il est probable qu’il s’agisse d’une maladie infantile endémique.

Le programme mondial de vaccination COV-19 

La CEPI (au nom de Gates-WEF, qui a financé l’exercice de simulation) joue actuellement un rôle clé dans un programme de vaccination à grande échelle (mondiale ?) en partenariat avec des entreprises de biotechnologie, des Big Pharma, des agences gouvernementales ainsi que des laboratoires universitaires.

Tweet CEPI: Nous avons annoncé aujourd’hui le financement de trois programmes visant à développer des vaccins contre le nouveau #coronavirus, nCoV-2019
Nous soutiendrons les technologies pionnières destinées à accélérer le développement de vaccins contre les menaces émergentes #OutsmartEpidemics bit.ly/2GjEmSS

« Compte tenu de la propagation rapide du nouveau coronavirus, le monde doit agir rapidement et de manière unie pour lutter contre cette maladie. Nous espérons que ces travaux pourront constituer une avancée significative et importante dans la mise au point d’un vaccin ».

« Nous avons des conversations avec un large éventail de partenaires potentiels. Et il est essentiel que ces conversations aient lieu : Quel est le plan pour fabriquer de très grandes quantités de vaccins dans un délai potentiellement pertinent pour ce dont les gens semblent de plus en plus certains qu’il s’agira d’une pandémie, si ce n’est déjà fait ? …

[Richard Hatchett, PDG de la CEPI, dans un entretien avec stat.news.com].  …

L’objectif sous-jacent est de développer un vaccin à l’échelle mondiale.

Pour ce faire, nous avons notamment mené une enquête à l’échelle mondiale sur la capacité de production afin de réfléchir à l’endroit où nous voulons implanter la fabrication de tous les produits que nous avons pu mettre au point avec succès.

Fait important, Hackett a confirmé que le projet de développement d’un vaccin avait débuté avant la découverte et l’identification du coronavirus au début du mois de janvier 2020 :

« Nous l’avons fait au cours de l’année dernière environ. … Nous utilisons les informations que nous avons recueillies et cette équipe réfléchit maintenant aux possibilités de mettre à l’échelle des vaccins de différents types. C’est un travail en cours. Pour certaines des technologies, le transfert de technologie [vers un fabricant] peut être quelque chose qui peut être fait, potentiellement, dans un délai qui est pertinent pour l’épidémie.

    Je pense qu’il sera très important d’impliquer les personnes qui ont accès à une capacité de production vraiment importante. Et il serait très, très important d’avoir les grands producteurs à la table – en raison de leur profondeur, de leur expérience, de leurs ressources internes.

Les vaccins candidats seront très, très rapides. Le Dr Anthony Fauci, directeur du NIAID [qui a semé la panique sur les chaînes de télévision], a déclaré publiquement qu’il pensait que l’essai clinique du vaccin Moderna pourrait commencer dès le printemps.
(c’est nous qui soulignons)

Ce qui se passe dans la vie réelle est, à certains égards, similaire à l’exercice de simulation d’octobre 2019 chez John Hopkins. Le scénario est de savoir comment produire des millions de vaccins en supposant que la pandémie se propage.

Les conglomérats de vaccins parrainés par la CEPI avaient déjà planifié leurs investissements bien avant l’urgence sanitaire mondiale.

Je [Hackett] pense qu’une partie de la stratégie générale consiste à avoir un grand nombre de candidats. [et] vous voulez avoir suffisamment de candidats pour qu’au moins certains d’entre eux avancent rapidement dans le processus.

Et puis, pour chaque candidat, vous devez vous poser la question : Comment produire cela ? … [Et] comment allez-vous arriver à ce point avec une production à une échelle significative dans le contexte d’une maladie qui va infecter l’ensemble de la société?

(Interview réalisée par Helen Branswell, statsnews, 3 février 2020)

Moderna Inc 

Moderna Inc, basée à Seattle, est l’un des nombreux candidats impliqués et soutenus par le CEPI.

Moderna a annoncé le 24 février le développement d’un « vaccin expérimental COVID-19 à ARNm, connu sous le nom dARNm-1273″. « Le lot initial du vaccin a déjà été expédié aux chercheurs du gouvernement étasunien par l’Institut national des allergies et des maladies infectieuses (NIAID) » dirigé par le Dr Antony Fauci.

Alors que Moderna Inc avait initialement déclaré que les premiers essais cliniques commenceraient fin avril, les tests impliquant des volontaires humains ont commencé à la mi-mars à Seattle :

Researchers in Seattle gave the first shot to the first person in a test of an experimental coronavirus vaccine Monday — leading off a worldwide hunt for protection even as the pandemic surges.  …
Some of the study’s carefully chosen healthy volunteers, ages 18 to 55, will get higher dosages than others to test how strong the inoculations should be. Scientists will check for any side effects and draw blood samples to test if the vaccine is revving up the immune system, looking for encouraging clues like the NIH earlier found in vaccinated mice.
“We don’t know whether this vaccine will induce an immune response, or whether it will be safe. That’s why we’re doing a trial,” Jackson stressed. “It’s not at the stage where it would be possible or prudent to give it to the general population.”
(FOX news local)

Le test du vaccin contre le coronavirus s’ouvre alors que les volontaires de Seattle reçoivent leur première injection
posté à 10h14, le 16 mars 2020, par Associated Press, mis à jour à 10h24, le 16 mars 2020
Des chercheurs de Seattle ont donné la première injection à la première personne lors d’un test d’un vaccin expérimental contre le coronavirus lundi – ce qui a déclenché une course à l’échelle mondiale pour la protection [des personnes] alors même que la pandémie s’intensifie.  …
Certains des volontaires en santé soigneusement choisis pour l’étude, âgés de 18 à 55 ans, recevront des doses plus élevées que d’autres pour tester la puissance des inoculations. Les scientifiques vérifieront l’absence d’effets secondaires et prélèveront des échantillons de sang pour vérifier si le vaccin renforce le système immunitaire, à la recherche d’indices encourageants comme ceux que le NIH (l’Institut national de la santé) a trouvés précédemment chez les souris vaccinées.
« Nous ne savons pas si ce vaccin provoquera une réaction immunitaire, ou s’il sera sans danger. C’est pourquoi nous faisons un essai », a souligné M. Jackson. « Il n’est pas au stade où il serait possible ou prudent de le donner à la population générale ».
(FOX news local)

Le vaccin nCoV-2019 de la CEPI et la plateforme d’identité numérique ID2020

Alors que la CEPI a annoncé le lancement d’une vaccination mondiale au Forum économique mondial de Davos, une autre entreprise importante et connexe était en cours. Il s’agit de l’Agenda ID2020qui, selon Peter Koenig, constitue « un programme d’identification électronique qui utilise la vaccination généralisée comme plate-forme pour l’identité numérique« .

« Le programme exploite les opérations existantes d’enregistrement des naissances et de vaccination pour fournir aux nouveaux-nés une identité numérique portable et persistante liée à la biométrie ».

(Peter Koenig, mars 2020)

Les partenaires fondateurs d’ID2020 sont, entre autres, Microsoft, la Fondation Rockefeller et l’Alliance mondiale pour les vaccins et la vaccination (GAVI).

Il convient de noter le calendrier : L’Alliance ID2020 a tenu son sommet à New York, intitulé « Rising to the Good ID Challenge », le 19 septembre 2020, exactement un mois avant l’exercice de simulation nCov-2019 intitulé « Event 201 » chez John Hopkins à Baltimore.

Est-ce une coïncidence si ID2020 est lancé au début de ce que l’OMS appelle une pandémie ? – Ou une pandémie est-elle nécessaire pour « déployer » les multiples programmes dévastateurs d’ID2020 ?

(Peter Koenig, mars 2020)

ID2020 fait partie d’un projet de « gouvernance mondiale » qui, s’il est appliqué, permettrait de déployer les contours de ce que certains analystes ont décrit comme un État policier mondial englobant par la vaccination les données personnelles de plusieurs milliards de personnes dans le monde.

Au lendemain de la fermeture

La campagne de peur se poursuivra dans le sillage du verrouillage. Les difficultés de la crise économique et sociale inciteront-elles les gens à se faire vacciner ?

Pour mettre en œuvre le vaccin à l’échelle mondiale, la campagne de propagande doit se poursuivre. La Vérité doit être supprimée. Ce sont leurs « lignes directrices », qui doivent être confrontées et remises en question.

Les principaux acteurs, dont la CEPI, devront obtenir l’aval ferme de l’OMS (qu’ils contrôlent), le feu vert de la communauté scientifique ainsi que des déclarations audacieuses de la part de politiciens corrompus.

En outre, ils devront supprimer les informations et les analyses sur les caractéristiques du virus, sur la manière dont il peut être soigné (sans vaccin), ce qui fait actuellement l’objet de débats par les virologistes et les médecins dans plusieurs pays, dont les États-Unis.

Souvenez-vous de la pandémie de grippe porcine H1N1 de 2009, lorsque le Conseil des conseillers pour la science et la technologie d’Obama a comparé la pandémie de H1N1 à la pandémie de grippe espagnole de 1918 tout en rassurant le public sur le fait que cette dernière était plus meurtrière. (CBC : Préparez le vaccin contre la grippe porcine : les conseillers américains)

Sur la base de données incomplètes et peu nombreuses, le directeur général de l’OMS a prédit avec autorité que « pas moins de 2 milliards de personnes pourraient être infectées au cours des deux prochaines années, soit près d’un tiers de la population mondiale« . (Organisation mondiale de la santé, tel que rapporté par les médias occidentaux, juillet 2009).

Ce fut une véritable aubaine pour les grandes entreprises pharmaceutiques, soutenues par la directrice générale de l’OMS, Margaret Chan. 

Dans une déclaration ultérieure, elle a confirmé cela :

« Les fabricants de vaccins pourraient produire 4,9 milliards de vaccins contre la grippe pandémique par an dans le meilleur des cas »,

Margaret Chan, directrice générale de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), citée par Reuters, le 21 juillet 2009).

« La grippe porcine pourrait frapper jusqu’à 40 % des Étasuniens au cours des deux prochaines années et plusieurs centaines de milliers de personnes pourraient en mourir si une campagne de vaccination et d’autres mesures n’aboutissent pas ».

(Déclaration officielle de l’administration Obama, Associated Press, 24 juillet 2009).

Il n’y a pas eu de pandémie affectant deux milliards de personnes… Des millions de doses de vaccin contre la grippe porcine ont été commandées par les gouvernements nationaux à Big Pharma. Des millions de doses de vaccin ont été détruites par la suite : une aubaine financière pour les Big Pharma, une crise des dépenses pour les gouvernements nationaux.

Aucune enquête n’a été menée pour déterminer qui était derrière cette fraude de plusieurs milliards. Plusieurs critiques ont affirmé que la pandémie de H1N1 était « fausse ».

L’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe (APCE), un organisme de surveillance des droits de l’homme, enquête publiquement sur les motifs de l’OMS pour déclarer une pandémie. En effet, le président de son influent comité de santé, l’épidémiologiste Wolfgang Wodarg, a déclaré que la « fausse pandémie » est « l’un des plus grands scandales médicaux du siècle ». (Forbes, 10 février 2010)

L’APCE va préparer un rapport sur la gestion de la pandémie de grippe porcine
26/01/2010 11:02:52 Affaires sociales, santé et développement durable
« Les décisions relatives aux pandémies sont-elles prises uniquement sur la base des meilleures preuves scientifiques ? a été la question posée lors d’une audition publique de la commission des questions sociales, de la santé et de la famille de l’APCE en janvier dernier, qui s’est penchée sur la gestion de la pandémie de H1N1. Le responsable de la grippe de l’Organisation mondiale de la santé a défendu son organisation, affirmant que ses conseils n’avaient pas été influencés de manière inappropriée par l’industrie pharmaceutique.
La commission a maintenant l’intention d’organiser une deuxième audition publique à Paris, avec la participation de responsables gouvernementaux qui ont traité de la pandémie. Le rapporteur Paul Flynn (Royaume-Uni, SOC) doit également se rendre au siège de l’OMS à Genève. Son rapport devrait être disponible fin avril, pour un éventuel débat en plénière en juin. 

Nous sommes actuellement dans une situation de confinement, nous avons le temps de réfléchir. Il y a d’importantes leçons à tirer de la pandémie de grippe H1N1 de 2009

La pandémie COVID-19 est bien plus grave et diabolique que la grippe H1N1 de 2009. La pandémie COVID-19 a fourni un prétexte et une justification pour déstabiliser entièrement les économies de pays, appauvrissant ainsi de larges secteurs de la population mondiale. C’est un phénomène sans précédent dans l’histoire moderne.

Et il est important que nous agissions de manière cohérente et solidaire avec les victimes de cette crise. La vie des gens est détruite ainsi que leur pouvoir d’achat.  Quel genre de structure sociale tordue nous attend dans le sillage de ce confinement ?

Pouvons-nous faire confiance à l’Organisation mondiale de la santé (OMS) et aux puissants groupes d’intérêts économiques qui la soutiennent ?

Pouvons-nous faire confiance aux principaux acteurs derrière le projet mondial de vaccination de plusieurs milliards de dollars ?

Pouvons-nous faire confiance aux médias occidentaux qui ont mené la campagne de la peur ? La désinformation alimente les mensonges et les fabrications. Pouvons-nous faire confiance à nos gouvernements « corrompus » ? Notre économie nationale a été dévastée.

Il s’agit d’un acte de « guerre économique » contre l’humanité.

Michel Chossudovsky

Article original en anglais :

After the Lockdown: A Global Coronavirus Vaccination Program…

Publié en anglais le 24 mars 2020

Traduit par Maya pour Mondialisation.ca




La covid-19 suit un schéma fixe

[Source de l’image :] AP Photo/Mary Altaffer


Un professeur israëlien montre que le virus suit un schéma fixe

[Source: Townhall]

Marina Medvin

[Author:] Marina Medvin

Le professeur Yitzhak Ben Israel de l’Université de Tel Aviv, qui siège également au conseil consultatif de recherche et développement de Teva Pharmaceutical Industries, a tracé les taux de nouvelles infections à coronavirus aux États-Unis, au Royaume-Uni, en Suède, en Italie, en Israël, en Suisse, en France, en Allemagne et en Espagne. Les chiffres racontent une histoire choquante : indépendamment du fait que le pays soit mis en quarantaine comme Israël, ou qu’il laisse les gens travailler normalement comme la Suède, le coronavirus a atteint son apogée et a diminué de la même manière. De la même manière ! Ses graphiques montrent que tous les pays ont connu des schémas d’infection à coronavirus apparemment identiques, le nombre de personnes infectées atteignant un pic au cours de la sixième semaine et diminuant rapidement à la huitième semaine.

Le virus de Wuhan suit son propre modèle, a-t-il déclaré à Mako, une agence de presse israélienne. Il s’agit d’un modèle fixe qui ne dépend pas de la liberté ou de la quarantaine. « Il y a une baisse du nombre d’infections même [dans les pays] sans confinement, et c’est similaire aux pays [qui ont adopté des mesures] de confinement », écrit-il dans son article.

« L’expansion du coronavirus est-elle exponentielle ? La réponse en chiffres est simple : non. L’expansion commence de façon exponentielle, mais s’estompe rapidement après environ huit semaines », a conclu le professeur Yitzhak Ben Israel. La raison pour laquelle le coronavirus suit un schéma fixe est encore inconnue. « Je n’ai aucune explication», a-t-il dit à Mako, « Il y a des sortes de spéculations : peut-être que c’est lié au climat, peut-être que le virus a son propre cycle de vie. »

Mais qu’en est-il de l’Italie
et de son taux de mortalité stupéfiant de 12 % ?
« Le système de santé en Italie a ses propres problèmes. Cela n’a rien à voir avec le coronavirus. En 2017, il s’est également effondré à cause de la grippe », a déclaré le professeur Yitzhak Ben Israel à l’agence de presse. En effet, le taux de mortalité exceptionnellement élevé des coronavirus en Italie rappelle étrangement leurs taux de mortalité grippale inhabituellement élevés. À l’appui de cette théorie, l’Allemagne a de faibles taux d’infection et de mortalité grippales et des taux de coronavirus également faibles.

Le professeur Yitzhak Ben Israel conclut dans son résumé analytique que les données des 50 derniers jours indiquent que les politiques de confinement des pays de quarantaine peuvent être remplacées par des politiques de distanciation sociale plus modérées. Les chiffres n’appuient tout simplement pas la mise en quarantaine ou la fermeture économique.

Sur le caractère raisonnable de la mise en quarantaine et de la fermeture sans précédent d’Israël, il a déclaré à l’agence de presse: « Je pense que c’est une hystérie de masse. Je n’ai pas d’autre façon de le décrire. 4 500 personnes meurent chaque année de la grippe en Israël à cause de complications, alors fermer le pays à cause de cela ? Non ! Je ne vois aucune raison de le faire en raison d’une épidémie à moindre risque. »

Bien que les politiques américaines restent moins restrictives que celles d’Israël, il est important de comprendre les origines de notre propre réponse « d’hystérie de masse ». Le président Trump a appelé à une forte réponse contre les coronavirus après avoir consulté le Dr Fauci et son équipe, qui se sont appuyés sur un modèle britannique prédisant 2,2 millions de décès aux États-Unis et 500 000 décès au Royaume-Uni. Mais ce modèle a été développé par le professeur Neil Ferguson, qui avait une tendance à surestimer de façon extravagante les taux de mortalité dans ses modèles prédictifs. Le professeur Ferguson n’était pas connu pour sa fiabilité, et son modèle de la maladie de 2001 a été critiqué comme étant « impropre à l’usage » après avoir prédit que jusqu’à 150 000 personnes pourraient mourir au Royaume-Uni de la maladie de la vache folle (177 décès à ce jour). La prévision de décès par coronavirus au Royaume-Uni par Ferguson est désormais de 20 000 personnes, soit 4% de la prévision initiale.

Le professeur Yitzhak Ben Israel nous a montré mathématiquement que le confinement contre le coronavirus était une erreur. C’est une dure réalité. Les Américains ont perdu leur emploi et les entreprises ont fait faillite parce que les États-Unis, avec la plupart des premières nations du monde, ont agi en fonction des prévisions effrayantes d’un modèle gravement défectueux : une lecture des cartes de tarot du professeur Ferguson. La remise en question est totale, nous devons donc être réalistes avec nos critiques. Le président Trump ne voulait pas que 2,2 millions d’Américains meurent et a fait ce qu’il pensait nécessaire pour sauver nos vies, en s’appuyant sur un modèle que ses conseillers lui avaient dit être digne de confiance. C’est fait. C’est arrivé. Mais cela ne signifie pas qu’il devrait continuer dans cette voie.

Cela fait un mois que notre pays a déclaré une urgence nationale à cause du coronavirus, et la vie que nous connaissions a cessé. Les Américains sont devenus agités, ne voulant pas continuer de cette façon, sachant que quelque chose ne va pas. Trump a senti que sa base électorale était mécontente de la prise de pouvoir autoritaire par nos gouverneurs et a déclaré à plusieurs reprises qu’il souhaitait rouvrir le pays, mais qu’il avait besoin de plus d’informations pour prendre la bonne décision. L’analyse des données du professeur Yitzhak Ben Israel donne à Trump l’assurance qu’il a besoin de rouvrir l’Amérique.

Monsieur le Président, veuillez examiner les recherches du professeur Yitzhak Ben Israel et prendre des mesures audacieuses pour atténuer les dommages faits à notre économie. Maintenant que nous voyons les données réelles, continuer le confinement est une plus grande erreur, une erreur connue, qui ne peut plus être justifiée par de bonnes intentions.


Un professeur israélien réfute les affirmations du gouvernement selon lesquelles le confinement ralentit l’épidémie, et prouve le déclin mondial de la propagation

[Source : Townhall]

Marina Medvin

[Author:] Marina Medvin

Le professeur Isaac Ben-Israel (également connu sous le nom de Yitzhak Ben Israel) a publié une traduction en anglais de son analyse sur le déclin mondial des infections à coronavirus, The End of Exponential Growth: The Decline in the Spread of Coronavirus.

Comme je l’ai écrit la semaine dernière, le professeur Ben-Israel a publié un article en hébreu comparant les taux d’infections à coronavirus aux États-Unis, au Royaume-Uni, en Suède, en Italie, en Israël, en Suisse, en France, en Allemagne et en Espagne sur une période de huit semaines. Les graphiques de son équipe montraient une contradiction avec ce que les Américains se seraient attendus à voir après avoir écouté les ordonnances de confinement de nos gouverneurs : indépendamment du fait qu’un pays soit mis en quarantaine comme Israël, ou qu’il maintienne l’activité comme la Suède, le coronavirus a culminé et s’est calmé de la même manière. De la même manière ! Les graphiques de Ben-Israël montrent que tous les pays ont connu des schémas d’infection à coronavirus apparemment identiques, le nombre d’infection atteignant un pic au cours de la sixième semaine et diminuant rapidement à la huitième semaine.

Le professeur Isaac Ben-Israel a fourni à Townhall une copie de la version anglaise de son étude.

« Notre analyse montre qu’il s’agit d’un schéma constant d’un pays à l’autre. Étonnamment, ce schéma est commun aux pays qui ont subi un blocage sévère, y compris une paralysie de l’économie, ainsi qu’aux pays qui ont mis en œuvre une politique beaucoup plus clémente et qui ont continué de fonctionner de manière normale « , écrit le professeur Isaac Ben-Israel dans l’introduction de l’étude traduite. Sa conclusion est simple : le coronavirus « décline même sans verrouillage complet ».

Le professeur Ben-Israel a commencé l’analyse pour découvrir si le taux de croissance exponentiel hypothétique du coronavirus est exact. Ses recherches ont prouvé que la réponse est « non ». Mais en plus de prouver que le taux d’infection n’était pas exponentiel en Israël ou ailleurs dans le monde, son enquête a montré « un phénomène mondial » de baisse du taux d’infection par opposition à une croissance exponentielle [continue]. « La propagation du virus commence à un rythme exponentiel, cependant, il tend à se modérer, puis s’estompe finalement après environ 8 semaines », explique le professeur Ben-Israel.

« Il est intéressant de noter », écrit-il, « que ce schéma, principalement la croissance rapide et la baisse du nombre de nouveaux patients par jour, est toujours partagé entre les pays qui ont répondu de manière sensiblement différente. » Il démontre ce point en comparant les taux d’infection en Italie, un pays qui a imposé un verrouillage complet, avec la Suède, qui ne l’a pas fait.

Plus important encore, le professeur Ben-Israel réfute l’idée fausse des confinements ou des contrôles gouvernementaux en tant que principale cause de réduction du taux d’infection par les coronavirus. « Certains pourraient prétendre que la diminution du nombre de patients supplémentaires chaque jour est le résultat du verrouillage strict imposé par le gouvernement et les autorités sanitaires. L’examen des données de différents pays à travers le monde jette un lourd doute sur la déclaration ci-dessus. Il se révèle qu’un schéma similaire – une augmentation rapide des infections qui atteint un pic au cours de la sixième semaine et diminue à partir de la huitième semaine – est commun à tous les pays dans lesquels la maladie a été découverte, quelles que soient leurs politiques de réponse : certains ont imposé un sévère et immédiat verrouillage qui comprenait non seulement la « distanciation sociale » et l’interdiction des regroupements, mais aussi un arrêt économique (comme Israël); certains « ont [NdNM: relativement] ignoré » l’infection et ont poursuivi une vie presque normale (comme Taïwan, la Corée ou la Suède), et certains ont initialement adopté une politique indulgente, mais rapidement inversée pour un verrouillage complet (comme l’Italie ou l’État de New York). Néanmoins, les données montrent des constantes de temps similaires dans tous ces pays en ce qui concerne le croissance rapide puis le déclin de la maladie. « 

Le professeur Ben-Israel conclut la même chose que nous avons entendue de certains experts conservateurs, comme Jesse Kelly. « Le verrouillage sévère a des implications négatives. Son résultat immédiat est une augmentation du niveau de chômage et une baisse du PIB… Cela conduira finalement à une augmentation de la pauvreté, ainsi qu’à une augmentation des pertes en vies humaines dues à d’autres maladies. »

Néanmoins, Ben-Israël reconnaît le risque de la maladie et note qu' »il est conseillé de continuer avec des mesures à faible coût, telles que le port de masques, l’extension des tests pour des populations définies et l’interdiction des rassemblements de masse ».

Les lignes directrices du président Trump pour ouvrir à nouveau l’Amérique incluent ces mesures de prévention des infections à faible coût telles que la distanciation sociale et les masques. Pourtant, les gouverneurs libéraux, comme Ralph Northam, de Virginie, ne sont pas enclins à renoncer à leur contrôle autoritaire sur les gens et les entreprises. Entre-temps, 78% des employés des restaurants de Virginie ont perdu leur emploi depuis que Northam a mis en place ses fermetures en mars. Northam a informé il y a juste un jour qu’il ne bougeait pas et a doublé cette politique de fermeture obligatoire, affirmant que sa politique sauve des vies. Le bien-être économique, bien qu’il soit une exigence légale pour l’exercice du pouvoir d’un gouverneur de Virginie, ne semble pas préoccuper Northam.

Tous les dirigeants américains doivent revoir l’analyse du professeur Isaac Ben-Israel. Nous devons cesser de nous fier au Dr Fauci et compagnie, qui ont démontré à maintes reprises que la réalité et l’économie ne jouent aucun rôle dans leur prise de décision. Fauci ne comprend pas les limites des pouvoirs gouvernementaux aux États-Unis, ni l’esprit du peuple américain. Le professeur Ben-Israel nous a montré que les fermetures ne réduisent pas la propagation du coronavirus. Nous devons accepter cette réalité, nous devons admettre que nous avons réagi de manière excessive et que les confinements contre le coronavirus étaient une erreur, et nous devons retourner au travail. Maintenant !




L’escroquerie du confinement enfin révélée par les modèles mathématiques bidons du Prof Ferguson

[Source : jovanovic.com]

[Auteur : Pierre Jovanovic]

Vous ne le saviez pas, mais la décision des gouvernements français, anglais, italien, espagnol, américain, etc., reposait sur le modèle mathématique de dispersion du virus dans la population d’un professeur anglais, Neil Ferguson, de l’Imperial College de Londres.

À coups de vidéoconférences classées top secret, il leur a expliqué qu’ils devaient nous mettre sous cloche, littéralement en prison à domicile, pour stopper la propagation, AVEC INTERDICTION DE SE DÉPLACER, sous peine d’avoir 2 millions de morts. Les Anglais l’ont même surnommé « Professor Lockdown » [« Professeur Confinement »].

Mais ce professeur, en revanche, n’a pas hésité à quitter son domicile pour traverser tout Londres afin de retrouver la femme d’un autre professeur.
Et l’affaire s’est retrouvée à la une de la presse anglo-saxonne qui, folle de rage, a sorti les lance-missiles.

Précisément, c’est là que ça devient le plus intéressant, car on a appris que Ferguson a placé sa femme comme salariée dans une organisation appartenant à George Soros !!!

Ah oui, on commence à voir un fil là… Et même deux:

@JordanSchachtel écrit :

« Professor Doomsday’s married « partner » works for a notorious Soros-funded organization known for its anti-Semitism, hard-left politics, climate change fanaticism, and campaigns to unseat President Trump. Consider me shocked« 

[Traduction : Le "partenaire" marié du professeur Doomsday ("Doomsday" = "Le jour du Jugement dernier") travaille pour une organisation notoire financée par Soros connue pour son antisémitisme, sa politique de gauche, son fanatisme du changement climatique et ses campagnes pour renverser le président Trump. Considérez-moi choqué]

Sa femme est chez Soros, et lui, devinez par qui il est sponsorisé ??? Bill Gates bien sûr !

Dans mes articles précédents vous avez vu à quel point je pressentais ce confinement comme une arnaque, mais là on tient, non plus une piste, mais carrément l’avenue des Champs Élysées. Regardez :

Tout montre que le gouvernement français à œuvré pour que le VIRUS fasse le maximum de victimes : pas de fermetures des frontières, pas d’examens dans les aéroports des voyageurs, pas de masques, dire à la population qu’un masque ne sert à rien, DESTRUCTION des stocks de masques dont la moitié était valide, et surtout, surtout, enfermer les gens chez eux dans des appartements sans lumière, ce qui les prive de vitamine D, donc qui les rend encore meilleurs réceptacles au Covid19. Un médecin avait expliqué que « le confinement est criminel, car il prive les gens de vitamine D ».

Notez que Ferguson, payé par Bill Gates, a imposé le confinement à toute l’Angleterre sauf à lui-même, estimant qu’il ne risquait rien.

Du coup, tous les mathématiciens se sont précipités pour vérifier son modèle « mathématique ».

Surpriiiise !

Exclusif : le scientifique du Gouvernement, Neil Ferguson, a démissionné après avoir enfreint les règles de confinement pour rencontrer son amante mariée
Le professeur Ferguson a permis à la femme de lui rendre visite durant le confinement, alors qu’il sermonne le public sur la nécessité d’une stricte distanciation sociale

« Neil Ferguson’s model is based on a shit code software that doesn’t work at all ! We are lock down because of this massive fraud !« 

@NicolasNominoe

[Traduction : Le modèle de Neil Ferguson est basé sur un logiciel à code merdique qui ne fonctionne pas du tout ! Nous sommes bloqués à cause de cette fraude massive !]

Même le savant fou américain Elon Musk s’est mis en colère:

« Musk leads US anger at ‘hypocritical’ British ‘Professor Lockdown’ Neil Ferguson’ over his rule-breaking trysts after issuing report that predicted 2 millions deaths in America Prof Neil Ferguson forecast grim coronavirus death tolls in the UK and US. His apocalyptic worst-case scenarios spooked governments into lockdown. Musk, a fierce critic of the lockdown, branded the scientist a ‘tool’ and a ‘moron’« .

[Traduction : Musk dirige la colère des États-Unis contre l’hypocrite professeur britannique "Confinement", Neil Ferguson, à propos de ses rendez-vous violateurs après avoir publié un rapport qui prédit 2 millions de décès en Amérique. Le professeur Neil Ferguson prévoit de sinistres décès parmi les gens affectés par le coronavirus au Royaume-Uni et aux États-Unis. Ses pires scénarios apocalyptiques ont effrayé les gouvernements et les a conduit au verrouillage. Musk, féroce critique du verrouillage, a qualifié le scientifique d '«outil» et de «crétin».]

« The billionaire SpaceX and Tesla tycoon is among many Americans who oppose strict social distancing measures and are voicing their anger at Professor Neil Ferguson for his hypocrisy. Musk also rubbished Prof Ferguson’s ‘fake science’ which forecast apocalyptic death tolls in the UK and US if both governments did not enforce social distancing.

The Imperial College London scientist’s worst-case scenarios of 2.2million victims in the US is credited with spurring President Trump and the White House into action on on March 17 – the CDC issued social distancing guidelines days after Ferguson’s report reached American experts.

But the 51-year-old last night quit Britain’s top scientific body after it was revealed his left-leaning lover Antonia Staats, 38, left her $2.5million home and traveled across London to spend the night with him. Ms Staats has an open marriage with her husband« 

Via le DailyMail:

Lire ici le DailyMail et ici le Telegraph de Londres qui a révélé l’escroquerie.

[Traduction : Le magnat milliardaire de SpaceX et Tesla fait partie des nombreux Américains qui s'opposent aux mesures strictes de distanciation sociale et expriment leur colère contre le professeur Neil Ferguson pour son hypocrisie. Musk a également critiqué la "fausse science" du professeur Ferguson, qui prévoit des morts apocalyptiques au Royaume-Uni et aux États-Unis si les deux gouvernements n'imposent pas de distanciation sociale.
Le pire des scénarios du scientifique de l'Imperial College de Londres, avec 2,2 millions de victimes aux États-Unis, a incité le président Trump et la Maison Blanche à agir le 17 mars - le CDC a publié des lignes directrices sur la distanciation sociale quelques jours après que le rapport de Ferguson a été transmis aux experts américains.
Mais la nuit dernière, l'homme de 51 ans a quitté le principal organisme scientifique britannique après qu'il a été révélé que son amante de gauche, Antonia Staats, 38 ans, avait quitté sa maison de 2,5 millions de dollars et parcouru Londres pour passer la nuit avec lui. Mme Staats a un mariage ouvert avec son mari.]

Ferguson a aussitôt donné sa démission à Boris Johnson. Ce qui n’a pas arrêté les attaques virulentes (c’est le cas de le dire). Le journaliste de FoxNews Tucker Carlson l’a traité de sale hypocrite, et d’autres, comme @AlexBerenson ont écrit la pensée de tous les Anglais sur Twitter :

« Hey @neil_ferguson : Fuck you. You shut down the world but ignored the lockdown to fuck a married woman? How’s that for tone? « .

[Traduction : "Hé @neil_ferguson : Va te faire foutre ! Tu as fermé le monde mais ignoré le verrouillage pour baiser une femme mariée ? Comment cela sonne-t-il ?"]

Mais ce que révèle cette affaire est surtout la présence en arrière-plan de Bill Gates. D’ailleurs on le retrouve souvent en compagnie de deux médecins de la Fondation Gates lors d’un congrès de spécialistes. Un petit exemple ici avec l’ISIRV.

Et devinez qui l’a aidé à établir son modèle mathématique conduisant au confinement global ???? Bill Gates bien sûr !!!

Quelle immense escroquerie mondialisée !

« The day after release of the Imperial College report, the New York Times wrote, « With ties to the World Health Organization and a team of 50 scientists led by a prominent epidemiologist, Neil Ferguson, Imperial is treated as a sort of gold standard, its mathematical models feeding directly into government policies. » Ferguson’s department is staffed with 200 researchers, but it turned out that his COVID-19 predictions relied on an old model he first created to plot the spread of an influenza outbreak in Thailand back in 2005.

Within a week of his report’s release, questions were being asked about Ferguson’s methodology. His response only rang more alarm bells: “I wrote the code (thousands of lines of undocumented C) 13+ years ago to model flu pandemics.« 

[Traduction : Le lendemain de la publication du rapport de l’Imperial College, le New York Times écrivait: « Avec des liens avec l’Organisation mondiale de la santé et une équipe de 50 scientifiques dirigée par un épidémiologiste de renom, Neil Ferguson, l’Impérial est traité comme une sorte d’étalon. Or, ses modèles mathématiques alimentent directement les politiques gouvernementales. » Le département de Ferguson compte 200 chercheurs, mais il s’est avéré que ses prévisions COVID-19 s’appuyaient sur un ancien modèle qu’il avait créé pour tracer la propagation d’une épidémie de grippe en Thaïlande en 2005.

Dans la semaine qui a suivi la publication de son rapport, des questions ont été posées sur la méthodologie de Ferguson. Sa réponse n’a tiré que plus de sonnettes d’alarme : « J’ai écrit le code (des milliers de lignes de C non documenté) il y a 13 ans ou plus pour modéliser les pandémies de grippe.]

Je suis conscient que de nombreuses personnes voudraient voir tourner le code de simulation pandémique que nous utilisons pour modéliser les mesures contre la covid-19. Pour expliquer l’arrière-plan, j’ai écrit le code (des milliers de ligne en C non documentées) il y a 13 ans ou plus pour modéliser les épidémies de grippe.

Ferguson a ensuite déclaré qu’il était incapable de publier son modèle jusqu’à ce que Microsoft ne commence à l’aider à faire le ménage dans son code, dans les derniers jours avant que Bill Gates se retire du conseil d’administration du géant [la multinationale Microsoft]

Ferguson : « Je suis content de dire que @Microsoft et @Github travaillent avec @Imperial_JIDEA et @MRC_Outbreak pour documenter, reprendre et étendre le code, afin de permettre à d’autres de l’utiliser sans les nombreux jours de formation que cela nécessiterait autrement (et que nous n’avons pas le temps de donner) »

Son modèle date de 2005, basé sur une grippe virale en Thaïlande !!!

Chers lectrices et lecteurs, sachez que nous avons enduré ces 2 mois de prison à domicile et que 400.000 commerces et PME français iront au tapis à cause de cette petite ordure financée par Bill Gates et Microsoft. C’est clair, ce ne sont pas des informations que vous verrez chez BFM-WC ou dans le Figaro. Bien trop gênant (et de plus, Microsoft est un gros annonceur publicitaire).

Tout a été très bien organisé de main de maître, sauf qu’ils ont oublié le « facteur humain » de Graham Greene.

P.S. : De notre lecteur Mr Cazalis: « La Bill and Melinda Gates Foundation a versé en 2019 » des millions de dollars aux journaux de gauche pour supporter l’idée du vaccin et du confinement :
– Der Spiegel : 2 537 294 $
– Die Zeit : 297 124 $
– Le Monde : 2 126 790 $
– The Atlantic : 500 222 $
– The Bureau of Investigative Journalism : 1 068 169 $
– The Guardian : 175 000 $
– The Project Syndicate (tribunes libres) : 1 619 861 $ « 

S’il fallait des preuves supplémentaires…




Valérie Bugault : Interview avec Jeanne Baron pour BFM

[Source : Le Saker Francophone]


Par Valérie Bugault – Le 6 mai 2020

Jeanne Baron
Jeanne Baron

Questions de Jeanne Baron (JB), réponses de Valérie Bugault (VB)

Présentation JB : Valérie Bugault, bonjour, vous êtes docteur en droit de l’Université Paris I Panthéon-Sorbonne. Après une brillante carrière d’avocate, vous décidez de cesser votre activité pour vous consacrer à l’analyse des problématiques de géopolitique économique.

En 2016, vous publiez sur le site du Saker francophone une série
d’études intitulée « Décryptage du système économique global », où
vous racontez les paradis fiscaux et le système monétaire international. Vous pensez qu’il est capital de mettre en place un assainissement financier et économique de la planète en croyant qu’il est grand temps de sortir de l’état actuel des choses qui favorise les paradis fiscaux.

Avec vous aujourd’hui, nous allons tenter de décrypter cette grave
crise sanitaire, sociétale et économique.

JB : Que pensez-vous de la gestion de la crise nationale par notre gouvernement ? On entend beaucoup de choses contradictoires selon les différentes sources d’information disponibles ou selon les avis des professionnels de la santé. Quelle est la réalité effective de cette pandémie selon vous ?

VB : Nous avons, depuis le début de cette « crise », une dialectique qui s’est installée dans les allées du pouvoir consistant à mobiliser les citoyens afin de leur faire accepter un maximum de contraintes individuelles et collectives dans le même temps que le gouvernement et les instances publiques, parapubliques ou simplement en lien avec le pouvoir central font tout ce qui est en leur pouvoir pour empêcher les français d’accéder aux protections et soins élémentaires 1. Le Conseil d’État lui-même a longtemps résisté aux demandes du public, notamment en matière de distribution de masques ou de libéralisation de la prescription de chloroquine et d’hydroxychloroquine 2.
Cela va de la disparition des stocks de masques, de chloroquine, à la qualification intempestive de ce médicament, en libre disposition depuis plus de trente ans, comme substance vénéneuse.

En passant par un harcèlement institutionnel et médiatique, sans précédent, contre le protocole médical préconisé en France par les équipes du Professeur Didier Raoult, protocole appliqué et confirmé notamment par des médecins chinois, qui a par ailleurs eu des résultats très satisfaisants à tel point que des pays comme le Sénégal et plus récemment le Cameroun le pratiquent d’une façon générale ou l’ont recommandé en tant que protocole d’État. Des pays comme l’Italie ont, très tôt, fait distribuer gratuitement les deux médicaments du protocole Raoult dans toutes les pharmacies alors que le président Trump lui-même se prononçait en faveur de la chloroquine.

Ajoutons, pour compléter le tableau, le harcèlement affligeant de l’Ordre des médecins contre ses membres ayant l’audace de soigner les gens et/ou de faire savoir au public qu’ils avaient guéri des patients atteints de covid-19 par une association d’antibiotiques anciens et très connus 3.

Il faut d’ailleurs remarquer que le harcèlement des médecins et personnels de santé qui trouvent des remèdes médicaux peu onéreux à cette maladie du Covid-19 n’est pas propre à la France. Ce phénomène de dénigrement est, semble-t-il, généralisé à l’ensemble du monde ; nous en avons récemment eu l’illustration avec la menace, par l’OMS, d’un médecin congolais qui revendique un remède issu de médecine naturelle, l’artemisia.

Nous avons, en conclusion, un tableau qui se dessine de la façon suivante : un réel refus d’accès aux soins utilisé par les pouvoirs publics pour justifier un recul radical de la liberté de circulation au moyen d’un confinement général de la population pour une durée indéfinie 4, dont l’efficacité est contestable et à ce titre contestée 5.

Alors par ailleurs que les zones sensibles – réparties sur tout le territoire – que constituent les banlieues ne sont de facto pas confinées par manque de contrôle, en conséquence de quoi la Covid-19 a toute liberté de continuer de se répandre sur le territoire à partir de ces zones.

En outre, alors que le gouvernement a affirmé avec force et conviction la mise en quarantaine des personnes arrivant aux frontières 6, dès le lendemain circulait le démenti selon lequel le confinement contraint ne concernait pas les individus de l’espace Schengen. Ce qui me donne l’occasion de rappeler que la France est l’un des rares, pour ne pas dire seuls, pays au monde, y compris les pays de l’UE, à n’avoir pas fermé et contrôlé ses frontières lors de la déclaration d’urgence sanitaire.

La lutte effective contre la circulation du virus se présente finalement comme une farce politique de grande envergure alors que la réalité quotidienne de la majorité des français est une interdiction de circuler librement sur le territoire, sanctionnée par des amendes, voire de la prison en cas de récidive. Dans le même temps que lesdites prisons ont été allégées, vidées, d’une partie des prisonniers de droit commun afin de lutter contre la circulation et la prorogation du coronavirus !

Enfin, n’oublions pas que, dans le contexte de la restriction du travail, une future pénurie alimentaire est possible – pour ne pas dire probable – elle a d’ailleurs d’ores et déjà été anticipée par des agents du marché. Face à ce risque de « disette » ou de « pénurie alimentaire » qui agirait comme un facteur aggravant du risque sanitaire, le gouvernement ne trouve rien de mieux à faire que de brader ses stocks de blé. Ce qui n’est pas sans nous rappeler, sous le gouvernement Sarkozy, la braderie par la banque de France d’une partie de ses stocks d’or en pleine crise financière et monétaire.

Pour conclure, il faut comprendre que tout est politiquement fait pour que le virus circule le plus librement possible tandis que les Français sont empêchés de se soigner. Cette situation particulière est exploitée par le pouvoir et les médias de façon à justifier la pérennité d’un confinement en alternance, total ou partiel, pour une très longue durée. Ce confinement, justifié par des motifs préalablement consciencieusement organisés par le pouvoir, devrait durer jusqu’à l’arrivée d’un vaccin, utilisant ou non des méthodes génétiques révolutionnaires tels que les ARN messagers ; vaccin appelé de leurs vœux par les laboratoires pharmaceutiques, dûment relayés, par la fondation Bill et Melinda Gates mais aussi par leur organisation internationale qu’est l’OMS.

JB : L’OMS est de plus en plus pointée du doigt, on lui reproche
notamment ses financements privés par des personnalités ou des
grands groupes. Peut-on remettre en cause sa neutralité, son intégrité et les recommandations faîtes aux différents gouvernements dans le monde ?

VB : Comme je l’ai déjà dit et écrit, s’agissant de l’OMS, toutes les informations convergent vers une parodie d’organisation internationale en réalité aux mains d’entités et d’intérêts strictement privés et non public comme la forme de cette organisation internationale le laisse croire.

De l’aveu même de l’OMS : ces dernières années, plus du trois-quart des contributions viennent de partenaires volontaires : « Le budget de l’OMS est financé au moyen d’une combinaison de contributions fixées et de contributions volontaires. Les contributions volontaires proviennent des États Membres (en supplément de leur contribution fixée) ou de divers partenaires. Ces dernières années, les contributions volontaires ont représenté plus des trois quarts du financement de l’Organisation. ».

Un reportage d’ARTE de 2017 nous apprend que l’OMS est financée à 79% par des fonds américains et par les lobbies pharmaceutiques… 7.

Depuis que le président Trump a décidé, fort justement, de suspendre le financement de l’OMS, cet organisme est donc officiellement devenu une entité qualifiée de publique mais qui est au seul service des intérêts privés qui la finance, la fondation Bill Gates et le conglomérat des grands laboratoires pharmaceutiques : « L’enquête d’Arte en 2017 interrogeait : comment est-il possible pour l’OMS de prendre une décision transparente et autonome quand un groupe pharmaceutique lui aurait donné pour 30 milliards de dollars de médicaments ?  Arte signalait également que la fondation Bill et Melinda Gates a versé plus de 2 milliards de dollars à l’OMS depuis la fin des années 90. Or, l’un des principaux objectifs de la Fondation Gates était, à l’époque, de fournir le plus de vaccins possibles à travers le monde. En 1999, Bill Gates a versé 750 millions de dollars pour initier GAVI, une alliance entre le public et le privé (afin de vacciner les enfants des pays en développement) à laquelle participent l’OMS, UNICEF, la Fondation Gates, et l’industrie pharmaceutique.

GAVI comme l’OMS prétendent bien entendu être des structures transparentes opérant sans directive des industriels. Cependant, l’enquête d’Arte démontrait que des employés (dont un haut dirigeant) de l’OMS figurent sur la liste de la fondation Gates. Et cela malgré les déclarations de conflits d’intérêts que doivent remplir les employés de l’organisation à un certain niveau hiérarchique. Selon l’enquête d’Arte datant de 2017, la Fondation Gates serait en réalité directement impliquée dans la prise de décision de l’OMS. Comment en serait-il autrement aujourd’hui ? »

Écoutons enfin William Enghdal sur la fondation Gates 8 : « la Fondation Gates et les entités connexes telles que la CEPI constituent les plus grands bailleurs de fonds de l’entité public-privé connue sous le nom d’OMS, et que son directeur actuel, Tedros Adhanom, le premier Directeur de l’OMS de l’histoire à ne pas être médecin, a travaillé pendant des années sur le VIH avec la Fondation Gates lorsque Tedros était Ministre du gouvernement en Éthiopie, et nous voyons qu’il n’y a pratiquement aucune région où sévit la pandémie actuelle de coronavirus qui ne porte pas les empreintes de l’omniprésent Gates… »

Ajoutons qu’une journaliste du Washington Times suspecte l’OMS d’avoir décrété la pandémie de Covid-19 après réception d’un don substantiel de la fondation Bill et Melinda Gates.

Il faut encore mentionner que les agissements de la fondation Gates sont de plus en plus publiquement, et devant les juridictions, mis en cause par des personnalités américaines de tout premier plan, en particulier par l’avocat Robert Kennedy junior, mais aussi par le journaliste Roger Stone et la femme politique Candace Owen 9.

JB : Le Président Trump qui a coupé toutes les subventions américaines à l’Organisation Mondiale de la Santé, lui reproche d’avoir caché la vérité sur ce qui se passait en Chine. Vous en pensez quoi ?

VB : Je n’ai pas personnellement suivi de très près ce que Trump a dit et surtout ce qu’il a eu comme information en provenance de l’OMS. Il est possible que, la Chine ayant transmis les informations concernant le séquençage du virus, l’OMS ait tardé à diffuser cette information à tous les pays. Mais je ne peux pas être sûre que les choses se soient passées ainsi.

Quoiqu’il en soit, Trump n’a pas retiré le financement américain officiel de l’OMS sans de bonnes raisons. L’une de ces raisons est la guerre impitoyable qui sévit sur le territoire américain entre patriotes et globalistes. Il faut se rappeler que l’OMS est de longue date influencée par des décideurs qui sont des entités privées. Dans ce contexte – et contrairement à ce que j’avais cru dans un premier temps – en manifestant aussi clairement le désaccord de l’État américain à participer et à suivre l’OMS qui, de facto, émanent d’intérêts strictement privés le président Trump, se place – peut-être temporairement ? – dans le camp patriotique.

A ma connaissance, la Chine a identifié, c’est-à-dire séquencé, le virus qui causait ces maladies pulmonaires atypiques, apparues fin novembre, dès le 8 janvier 2020. Dès l’identification dudit virus, le SARS-Cov-2 , qui provoque la maladie dite Covid-19, la Chine a immédiatement communiqué tous ses résultats à l’OMS et pris d’énergiques mesures de confinement de sa population géographiquement la plus exposée. En conséquence, je vois mal ce qui peut être reproché à la Chine en matière de capacité technique de réaction et de transmission mondiale des informations.

En revanche, en raison d’un faisceau concordant d’indices, je me pose de plus en plus de questions sur l’administration de la province du Hubei, dans laquelle se situe Wuhan, que je suspecte d’être sous administration globaliste – c’est-à-dire de n’être pas sous le réel contrôle du gouvernement chinois central. En effet, beaucoup d’entités globalistes ont leur siège à Wuhan qui est aussi à la pointe de toutes les nouvelles technologies de l’information (5G) impliquées dans la diminution de l’immunité naturelle et donc, par voie de conséquence, dans l’augmentation artificielle de la propagation des maladies virales. Par ailleurs, le laboratoire controversé P4 de Wuhan, qui a été incriminé, à tort ou à raison, dans la fuite du virus se trouve être, pour sa partie française, sous le contrôle de personnalités acquises à la cause globaliste, telles qu’Yves Levy ancien directeur de l’INSERM et mari d’Agnès Buzyn. D’après certaines sources, il semble également que le laboratoire Mérieux, impliqué dans les développements de ce laboratoire P4, a subi un changement d’orientation dans le sens «financiarisation» et « globalisation» après que Charles Mérieux en eût cédé la direction à son fils Alain ; nous en sommes aujourd’hui à la troisième génération des Mérieux, à Alexandre, fils d’Alain…

JB : Pourriez-vous nous éclairer sur cette simulation de l’OMS, l’Event 201 ?

VB : A l’automne 2019 s’est tenue une simulation (appelée Event 201) sous l’égide du Centre John Hopkins pour la sécurité sanitaire, du Forum économique mondial et de la fondation Bill et Melinda Gates 10.

Sachant que la fondation Bill et Melinda Gates, promotrice de la vaccination obligatoire tout azimut, est l’un des principaux généreux donateur de l’OMS. Nous pouvons déduire que Bill Gates se cache, à peine, derrière toutes les organisations qui s’intéressent de près aux pandémies et aux virus. C’est ce phénomène précis qui mérite d’être pris en compte, plus que le phénomène Event 201 considéré de façon isolée.

Event 201 ne prend une dimension inquiétante que parce qu’il est inclus dans ce contexte où une fondation ultra-riche à vocation mondiale et dotée d’outils juridiques internationaux tel que l’OMS, intervient directement ou indirectement dans tous les pays et soutient par ses financements un calendrier sanitaire répondant aux intérêts particuliers de ses propriétaires, visibles et cachés.

Il faut en effet insister sur les énormes moyens financiers de la fondation Gates. «Regina Rabinovich gère un portefeuille supérieur à 1 milliard de dollars de subventions liées aux travaux sur les maladies infectieuses à la Fondation Bill & Melinda Gates.». On découvre également, en y regardant d’un peu plus près, que cette fondation Bill et Melinda Gates a aussi financé en 2019, de façon substantielle, entre autres choses, le journal Le Monde.

N’oublions pas de rappeler que Bill Gates était un proche d’Epstein. A ce titre, Gates est, par hypothèse, nécessairement impliqué dans les réseaux globalistes mafieux 11.

JB : Retard à l’allumage, morts minimisés, doutes sur le laboratoire P4 de Wuhan et sur l’émergence de ce virus, est-ce que la Chine a une responsabilité incontestable par rapport à cette pandémie ?

VB : Rappelons quelques faits chronologiques. Premièrement, ce virus, responsable du Covid-19, était un phénomène nouveau et la Chine, première victime désignée, a évidemment été surprise par cette nouvelle maladie, dont elle ignorait tout et en particulier la potentielle gravité. Dans ce contexte d’ignorance, aucun gouvernement censé au monde n’aurait été crier au loup et affoler toute sa population en pariant sur un épisode de peste noire, que de facto ce virus n’est d’ailleurs pas.

Le gouvernement chinois a, tout au contraire, rapidement pris des mesures techniques pour tenter de déchiffrer le génome de ce nouveau virus, qu’il a immédiatement rendu public.

Ensuite, il a pris des mesures politiques extrêmement énergiques – peut-être trop (?) – en confinant l’intégralité de la population du Wuhan puis d’ailleurs, avec les énormes risques psycho-sociaux que cette mesure impliquait ! En faisant cela, le gouvernement chinois a peut-être eu davantage à cœur la protection des autres pays, en évitant ainsi la propagation du virus, que le confort de sa propre population locale. Il est un peu fort, de la part des gouvernements occidentaux, d’aller le leur reprocher !

Il faut ajouter que le gouvernement chinois a, depuis lors et à plusieurs reprises, expliqué que le virus ne venait pas de Chine et a impliqué une fuite des laboratoires américains dans sa libération ainsi que des GI’s américains dans sa propagation. Aux dernières nouvelles, l’ambassadeur de Chine en Russie a expliqué que le séquençage du virus montre de façon indiscutable que sa paternité ne se situe pas en Chine mais aux USA et que c’est précisément la fuite de ce virus qui avait justifié la fermeture, par le gouvernement américain, du laboratoire de Fort Detrick à l’été 2019. De fait, plusieurs cas de grippes atypiques ont été décelés aux USA avant d’apparaître sur le territoire de Wuhan. Certains de ces cas avaient été mis sur le mauvais compte de l’industrie du vapotage par le puissant lobby du tabac. De plus, d’après plusieurs études concernant l’épidémie, le territoire américain est le seul à connaître toutes les formes du virus en question, ce qui, de facto, le désigne comme étant la source du virus incriminé 12.
Le gouvernement chinois a également dénoncé le rôle des GI’s dans la propagation du virus à l’occasion des jeux mondiaux militaires qui ont eu lieu au Wuhan à la fin du mois d’octobre 2019.

Tout récemment, les chinois viennent d’expliquer que le séquençage du virus en question ne laisse aucun doute sur le fait que ce dernier ne provient pas de Chine.

Une fois que l’on a mentionné cela, on ne sait pas pour autant si le président Trump était ou non effectivement informé de ce qui se passait réellement sur le territoire américain et plus précisément du caractère volontaire ou fortuit des fuites en provenance des laboratoires bactériologiques américains prétendument sécurisés. Comme je l’ai déjà expliqué, cette fuite peut avoir été organisée par certains membres du laboratoire tandis que la plupart de leurs confrères ignoraient tout. Les choses ne sont pas simples…

Aussi, il est possible de considérer qu’en impliquant la responsabilité du gouvernement chinois, Trump a – très maladroitement – cherché à leur transmettre le message selon lequel il n’était pas personnellement impliqué dans ces malversations et que le gouvernement chinois devait peut-être, lui aussi, investiguer sur la présence d’éventuels traîtres en son sein.

Ce n’est qu’une hypothèse, mais celle-ci me semble devoir être considérée. Car il faut toujours conserver à l’esprit que tous les gouvernements et toutes les institutions du monde comportent une composante patriote et une composante au service du globalisme. La distinction entre globalistes et patriotes, relativement aisée à voir en Russie, existe également aux USA, en Iran, et dans tous les pays du monde, même dans les pays européens vassaux, à l’exception sans doute de l’actuelle Syrie dont la guerre a de facto purgé le gouvernement de sa composante compradore.

JB : Un conflit Chine-USA est-il possible dans les mois à venir ?

VB : Le conflit a commencé depuis déjà un bon moment. Toutefois, si ce conflit existe bel et bien, la présentation qui en est faite est fallacieuse et propre à induire en erreur sur ses protagonistes réels.

J’ai déjà expliqué que les États, comme les organisations nationales et internationales, sont essentiellement en guerre contre eux-mêmes : plus précisément, leurs deux composantes globalistes et patriotiques se font la guerre. Les globalistes de tous les pays sont fédérés pour faire la guerre aux forces patriotiques, non fédérées, de tous les pays, ce qui génère une asymétrie entre les deux camps adverses dans les moyens de lutte. Cette guerre, qui existe et qui est féroce, n’est pas géolocalisée, elle ne consiste pas à ce qu’une entité politique géographique, comme les USA, fasse la guerre à une autre entité géographique, comme la Chine. Je répète que cette guerre consiste, pour les partisans des globalistes à faire la guerre aux patriotes.

Ainsi, si l’on veut bien considérer la guerre sous cet angle, on constate que les forces économiques qui œuvrent à instituer un gouvernement mondial sont derrières toutes les manœuvres qui ont consisté dans un premier temps à développer économiquement la Chine pour, dans un second temps, utiliser ce développement à leurs propres fins. L’objectif des globalistes n’a cependant strictement rien à voir avec le bien-être des chinois, il consiste à instituer une monnaie mondiale, ce qui nécessite la chute du dollar en tant que devise principale des échanges mondiaux. Pour cela, les globalistes s’appuient, temporairement, sur le renouveau économique chinois.

Il faut comprendre que, d’un point de vue stratégique, l’édification d’une monnaie mondiale et d’un gouvernement mondial supposent la disparition de tous les empires qui ont été précédemment financés et créés par les globalistes eux-mêmes dans une optique tactique de bon déroulement de leur plan. Il est très important de comprendre que les deux composantes, globaliste et patriotique sont présentes aussi bien en Amérique, qu’en Chine et qu’en Europe…

D’une façon un peu cynique, on peut constater que ce nouveau virus engendrant la maladie dite Covid-19, entre parfaitement dans le plan consistant à passer à l’étape monétaire suivante. En effet, la déclaration pandémique et les confinements économiques de la plupart des pays vont avoir pour conséquence une remise à plat de leurs économies, qui facilitera l’évolution des structures monétaires et étatiques vers la réalisation du projet globaliste.

Si l’on veut bien considérer le Covid comme une composante de cette guerre que les globalistes fédérés mènent aux patriotes éparpillés et non fédérés – ce qui réalise une guerre asymétrique par l’inégalité structurelle des forces -, on remarque que la ville de Wuhan, et plus largement la province de Hubei, semblent principalement investies et administrées par des forces globalistes, lesquelles s’opposent aux forces patriotiques du gouvernement chinois mais aussi du gouvernement américain.

JB : Revenons à l’Europe. Pourra-t-elle restée unie malgré les graves défaillances que cette crise révèle ?

VB : Vous savez sans doute, car c’est aujourd’hui parfaitement documenté, que l’Europe institutionnelle que nous connaissons a été artificiellement unifiée par les USA, puissance financière dominante depuis la seconde Guerre mondiale. Cette unification artificielle a connu un coup d’accélérateur à partir du traité de Maastricht, qui est né à la suite de la disparition du bloc soviétique – encore plus ou moins dominé par les forces patriotiques issues de la période Stalinienne – lequel opérait, à l’échelle mondiale comme un contre-pouvoir aux puissances financières de l’Ouest.

Au sein du gouvernement américain – contrairement à ce qui se passait en Union Soviétique – les factions globalistes et patriotiques n’étaient pas clairement identifiées au cours du XXème siècle. Pour dire les choses autrement, s’agissant de l’Union Européenne, ces deux factions étaient d’accord entre elles pour asservir les anciens empires européens.

Or, maintenant que l’empire américain lui-même se voit condamné, la dissociation de ses forces intérieures entre globalistes et patriotes est devenue un fait accompli. La construction européenne artificielle, fruit d’un attelage qui se dissocie, va immanquablement subir des tiraillements destructeurs entre les forces globalistes et patriotes.

En particulier, je vois mal comment la faction patriote des dirigeants allemands pourra accepter, en vertu de son histoire propre, de financer les énormes déficits qui seront générés dans tous les pays européens par les longues périodes de confinement, c’est-à-dire d’arrêt d’une grande partie des échanges économiques. Non seulement l’Allemagne est, et sera, durement touchée par ces périodes d’inactivité forcée mais les pays européens du sud, déjà extrêmement endettés, verront leurs propres niveaux d’endettement atteindre des sommets inégalés et vertigineux. Dans ces conditions, il est effectivement loisible de penser que l’euro ne survivra pas au Covid-19. La chute de la monnaie artificielle pourrait, à sa suite, emporter la chute de la construction politique artificielle. Toutefois, n’oublions pas qu’à l’opposé, il existe de très puissantes forces globalistes, dont le gouvernement français est le parfait représentant, qui feront tout pour pérenniser et consolider la construction européenne, monnaie et institutions comprises. Ces forces obscures disposent de la force publique – en particulier de la police – des mercenaires à vocation terroriste financés par des entités privées, d’immenses richesses matérielles et immatérielles, ainsi que d’énormes concentrations de données dématérialisées qu’elles utiliseront pour maintenir et consolider leur pouvoir, c’est-à-dire pour renforcer la cohésion des institutions européennes.

JB : Notre système politique français et la Vème République sont-ils
devenus obsolètes ?

VB : Cette crise sanitaire laisse apparaître en réalité une véritable crise de légitimité politique et de caducité de nos institutions dans la mesure où l’État de droit n’existe de facto plus. D’une part, cet état d’urgence sanitaire, véritable OVNI juridique, ne respecte pas le cadre constitutionnel de l’État d’urgence décrit à l’article 16 de la Constitution. D’autre part, le Parlement n’est lui-même pas en mesure de travailler dans des conditions normales. Enfin et pour finir, le gouvernement utilise cet état d’urgence pour s’autoriser, à ratifier des traités internationaux au mépris de la hiérarchie des normes et en outrepassant ouvertement les prescriptions de l’article 53 de la Constitution.

Ainsi, pour ce gouvernement, il est devenu évident que la Constitution est considérée comme une ressource juridique optionnelle. Nous nous trouvons donc collectivement plongés dans un État de non droit, les français étant dès lors dépourvus de toute garantie de sécurité individuelle et collective.

Récemment, le projet de loi du gouvernement prorogeant l’état d’urgence sanitaire jusqu’au 10 juillet, alors que le 24 juillet avait été annoncé dans la presse, et complétant ses dispositions est tellement attentatoire aux libertés que, devant les plaintes pénales d’ores et déjà annoncées, le Sénat a pris peur et s’est permis, par réflexe corporatiste, d’édicter un amendement exonérant de responsabilité pénale les décideurs qui exposeraient autrui à un risque de contamination par le coronavirus SARS-CoV-2, sauf à démontrer l’intention de l’auteur, son imprudence ou sa négligence dans l’exercice des pouvoirs de police administrative, ou encore la violation manifestement délibérée d’une mesure de police administrative prise en application de cet état d’urgence sanitaire 13. L’avocat Régis de Castelnau a parfaitement décrypté et démonté cet amendement : inutile par rapport à l’état de la législation intérieure, illégal au regard des principes généraux du droit, mais pourvu d’une nuisance consistant à rendre subrepticement rétroactive l’amnistie pénale en question.

Cette mesure prise par les sénateurs, contre l’avis du gouvernement notons-le, qui s’apparente à une amnistie préalable, est une illustration symptomatique de l’état de non droit dans lequel le gouvernement a plongé la France. Ainsi, l’amendement des sénateurs s’analyse en un réflexe corporatiste des élus qui, contrairement aux membres du gouvernement, protégés par la Cour de Justice de la République, se retrouveront de facto en position de devoir faire face, seuls, aux conséquences juridictionnelles de la dictature sanitaire qui se met en place et surtout au fait que cette dictature s’avérera inefficace à résoudre le problème sanitaire que les mesures étatiques font par ailleurs tout pour empirer, comme nous l’avons vu plus haut.

Dans ces conditions, le gouvernement n’a sans doute pas prévu l’effet boomerang consistant, pour les parlementaires, à se désolidariser des membres du gouvernement, c’est-à-dire à ne pas filtrer et jouer d’effets dilatoires sur le filtrage des dépôts de plaintes qui auront lieu devant la Cour de Justice de la République.

A ce tableau de rupture définitive de l’ordre juridique interne, il faut ajouter la soumission totale du gouvernement français aux instances internationales et mondialistes. A titre d’illustration, mentionnons que le président de la République a refusé de s’allier à une plainte dont l’objectif aurait été une enquête sur l’OMS. Cette demande, initiée par le premier ministre australien Scott Morrisson, a été adressée aux présidents français, américain ainsi qu’à la Chancelière allemande 14. Nous ignorons, à ce jour, les retours des dirigeants américain et allemand à cette demande…

Un pas plus loin, Macron, Merkel et la présidente de la Commission européenne lancent une collecte mondiale de fonds, pour lutter contre la pandémie de Covid-19, la fondation Bill et Melinda Gates jouant un rôle important dans cette levée de fonds. Il s’agit ni plus ni moins que de « jeter les bases d’une véritable alliance internationale pour lutter contre le Covid-19 ».

Pour mettre en œuvre cette alliance d’intérêts réunis autour de la fondation Gates, les Macron ont entrepris de vendre le patrimoine mobilier de l’État français au bénéfice d’une association privée, la fondation des hôpitaux de France, fondée par Bernadette Chirac et actuellement présidée par Brigitte Macron. Le tout dans un mépris aussi parfait que complet, par le couple Macron, de la distinction entre biens publics et biens privés …

Mais nous avons un cas encore plus emblématique de la soumission totale du gouvernement français aux instances globalistes. Il s’agit de la récente décision du ministère de la santé de confier la stratégie de dépistage de la France à l’antenne « française » du cabinet américain Bain & Co.

Si l’on ajoute le fait que les différentes options de stratégies de déconfinement ont été développées – au niveau mondial et en France – notamment par le Cabinet, à vocation globaliste, BCG qui cite des sources issues de Johns Hopkins, centre lui-même très liés aux intérêts Gates, il s’agit du même cabinet qui a embauché Pierre De Villiers après que ce dernier ait quitté, en 2017, ses fonctions de Chef d’Etat major des Armées 15, on obtient une vision assez claire des forces globalistes à la manœuvre derrière le « gouvernement » français.

Enfin, rappelons que ce tableau français, politiquement très sombre, se situe dans un contexte institutionnel problématique que j’ai déjà souvent évoqué : le système politique fondé sur le parlementarisme représentatif n’est structurellement pas en mesure de mettre en œuvre un système démocratique ! Ce parlementarisme à la mode britannique, qui s’est répandu un peu partout sur la planète, est un système structurellement fondé sur les partis politiques et sur la corruption. Je renvoie les auditeurs intéressés à en savoir plus à mes articles et conférence traitant de ce sujet.

JB : Cette pandémie précède-t-elle un effondrement économique et systémique ?

VB : La réponse est oui, étant donné que le virus continue de circuler et qu’il y aura d’autres virus aux prochains automnes et hivers : soit des mutations de l’actuel coronavirus, soit des nouveaux virus respiratoires, essentiellement différents mais tout aussi dangereux.

Dans le contexte d’hystérisation et de pénurie sanitaire actuel, s’il demeure une incertitude sur la forme future des virus qui circuleront, il n’y en a malheureusement aucune, sur la pérennité de l’enfermement collectif 16. Il est clair que le déconfinement réel et sans condition ne verra pas le jour avant de nombreuses semaines pour ne pas dire de nombreux mois ou de nombreuses années.

Ce confinement forcé, partiel ou total selon les périodes, aura de façon spontanée et imparable, des retentissements énormes sur les économies des différents pays du monde et, en particulier, sur les plus endettés d’entre eux, dont la France fait évidemment partie.

Des économies locales à l’arrêt pour une période indéterminée auront mécaniquement les effets suivants :

  • une augmentation de l’endettement des États afin de continuer à assurer le minimum de dépenses collectives, ce qui entraînera ;
  • une augmentation des impôts dans le même temps que les anciens services publics deviendront payants ;
  • une concentration radicale des richesses en forme d’accaparement : les survivants économiques s’empareront pour une bouchée de pain des actifs et des activités des entrepreneurs liquidés ; phénomène qui aura notamment – mais pas seulement – lieu au niveau bancaire 17.

Dans ces conditions, la spoliation du peuple, par tout moyen économique, juridique, financier, fiscal, monétaire, est une absolue certitude.

Ces phénomènes engendreront inévitablement de très graves troubles sociaux puisque la grande majorité des gens sera plongée dans un véritable état d’insécurité, tant au niveau social, économique, juridique que sanitaire.

Afin de contrer ce risque, les États et les organisations bancaires supérieures développent avec de plus en plus d’insistance la notion de revenu universel. Mais attention, ce revenu universel ne sera, pour tout ou partie, pas inconditionnel, ce qui permettra de rendre leurs bénéficiaires plus dociles. Ainsi, nous trouvons chez Microsoft une idée de génie consistant à associer la détention de parts d’une cryptomonnaie avec une activité corporelle déterminée 18. Ce brevet, déposé le 20 juin 2019 par Microsoft, a pour objet d’utiliser l’activité du corps humain dans un processus de « minage » d’un système de cryptomonnaie ! Il s’agit, dans ce système de cryptomonnaie couplée avec le dispositif de l’utilisateur, de vérifier si les données d’activité corporelle satisfont une ou plusieurs conditions définies par le système de cryptomonnaie, afin de n’attribuer une cryptomonnaie qu’à l’utilisateur dont les données d’activité corporelle sont vérifiées ! ON NE PEUT EXPRIMER PLUS CLAIREMENT LA DÉFINITION MÊME DE L’ESCLAVAGISME NOUVELLE NORME !

JB : Cette pandémie va-t-elle forcer l’humanité à se doter d’un gouvernement mondial ?

VB : Les conséquences de cette pandémie sont relativement imprévisibles. Il est difficile de dire avec précision quand et dans quelle mesure de violences les soulèvements populaires se produiront ; mais leur survenue est à peu près certaine dans un contexte de crise économique et politique majeure. Le basculement des pays soit dans le gouvernement mondial, soit dans le rétablissement de leur propre intégrité politique dépendra du degré de préparation et d’auto-organisation de leur population face au chaos social et politique.

Si les populations ont la capacité d’imposer un nouveau mode d’organisation, qui soit vraiment politique et au service de l’intérêt commun, le basculement se fera dans le sens du rétablissement de l’intégrité politique des États.

A contrario, si le chaos social dégénère en guerre civile sans aucun projet d’organisation politique à la clef, la situation basculera dans le sens des puissances globalistes, c’est-à-dire dans le sens de l’avènement du gouvernement mondial, dont les structures sont déjà parfaitement prévues et partiellement en place. Une telle évolution signifiera une mise en esclavage définitive des peuples au profit des oligarques globalistes.

Note de l'auteure

L'émission a été enregistrée en live sur Instagram mais elle n'a pas pu être enregistrée et rediffusée sur un autre support car Instagram l'a supprimée immédiatement après la diffusion.



Notes

  1. A tel point qu’un collectif d’avocats œuvre à mener une action collective revendiquant le « droit de soigner »
  2. En matière de masque :
    cf. https://www.vududroit.com/2020/04/covid19-quand-le-conseil-detat-se-fait-lavocat-de-lincurie ;
    pour un revirement récent, voir : https://www.alta-frequenza.corsica/actu/les_medecins_de_ville_peuvent_prescrire_de_l_hydroxychloroquine_selon_maitre_krikorian_qui_explique_une_decision_du_conseil_d_etat_103810
  3. Cf. https://youtu.be/Xcjiek4ChD8 ;
    https://youtu.be/ipT5UjXaXLE ;
    https://youtu.be/rgamPDmKDoc ;
    https://www.youtube.com/watch?v=UtgYuPYLoVU ;
    https://youtu.be/giyZvits7DU
  4. Voir :
    https://www.lefigaro.fr/international/bill-gates-nous-n-allons-pas-revenir-a-la-normale-avant-un-a-deux-ans-20200427 ;
    voir aussi :
    http://www.leparisien.fr/politique/olivier-veran-la-date-de-lever-du-confinement-pourrait-etre-remise-en-question-02-05-2020-8309694.php ;
    et encore : https://www-europe1-fr.cdn.ampproject.org/c/s/www.europe1.fr/sante/ce-qui-va-changer-avec-la-prolongation-de-letat-durgence-sanitaire-jusquau-24-juillet-3965881.amp
  5. Voir par exemple les travaux du suisse Jean-Dominique Michel :
    https://m.youtube.com/watch?v=afbeFoi679I
  6. Cf. article 2 du projet de loi de prorogation de l’état d’urgence :
    https://www.senat.fr/leg/pjl19-414.html
  7. Voir :
    https://www.arte.tv/fr/videos/061650-000-A/l-oms-dans-les-griffes-des-lobbyistes ;
    https://www.medias-presse.info/coronavirus-bill-gates-intrigue-contre-lhydroxychloroquine/119667
  8. Voir :
    https://www.dedefensa.org/article/bill-gates-et-covid-19 ; https://www.mondialisation.ca/le-coronavirus-et-la-fondation-gates/5643088
  9. Voir :
    https://www-irishcentral-com.cdn.ampproject.org/c/s/www.irishcentral.com/news/robert-f-kennedy-jr-dr-fauci-covid19-vaccine.amp ;
    https://www.operanewsapp.com/ci/fr/share/detail?news_id=bfe3c7ecfce95941f198398f914395cf&news_entry_id=s1a75396200427fr_ci&open_type=transcoded&request_id=HOME_PAGE_c1b82e8c-2f40-4bc4-a542-4ed7367f57ba&from=news ;
    https://www-fort–russ-com.cdn.ampproject.org/c/s/www.fort-russ.com/amp/2020/04/breaking-kennedy-exposes-dr-faucis-role-in-creating-highly-infectious-mutant-strain-of-coronavirus ;
    https://www.washingtonexaminer.com/news/roger-stone-accuses-bill-gates-of-using-pandemic-to-push-mandatory-vaccinations-and-microchipping-people ;
    https://www.lexpress.fr/actualite/sciences/candace-owens-la-star-conservatrice-qui-accuse-bill-gates-d-empoisonner-des-enfants_2124134.html
  10. Voir :
    http://www.centerforhealthsecurity.org/event201 ;
    https://trustmyscience.com/pandemie-fictive-coronavirus-simulee-octobre-2019-a-tue-65-millions-personnes
  11. Lire notamment :
    https://profidecatholica.com/2020/04/17/bill-gates-refuse-de-dire-pourquoi-il-est-parti-en-avion-avec-jeffrey-epstein-apres-la-prison ;
    http://www.geopolintel.fr/article2230.html
  12. Voir :
    http://www.leparisien.fr/international/coronavirus-la-chine-accuse-les-etats-unis-d-etre-a-l-origine-de-la-pandemie-24-03-2020-8286891.php ;
    https://www.msn.com/fr-fr/actualite/monde/pourquoi-la-chine-accuse-t-elle-les-etats-unis-davoir-importé-le-virus/ar-BB11xL8M
  13. Voir l’article II (nouveau) du projet de loi, ainsi rédigé :
    «  – Nul ne peut voir sa responsabilité pénale engagée du fait d’avoir, pendant la durée de l’état d’urgence sanitaire déclaré à l’article 4 de la loi n° 2020-290 du 23 mars 2020 d’urgence pour faire face à l’épidémie de covid-19, soit exposé autrui à un risque de contamination par le coronavirus SARS-CoV-2, soit causé ou contribué à causer une telle contamination, à moins que les faits n’aient été commis :
    1° Intentionnellement ;
    2° Par imprudence ou négligence dans l’exercice des pouvoirs de police administrative prévus au chapitre Ier bis du titre III du livre Ier de la troisième partie du code de la santé publique ;
    3° Ou en violation manifestement délibérée d’une mesure de police administrative prise en application du même chapitre ou d’une obligation particulière de prudence ou de sécurité prévue par la loi ou le règlement. »
  14. Voir :
    https://fr.sputniknews.com/international/202004221043626121-la-france-va-t-elle-se-joindre-a-lenquete-internationale-contre-loms-la-reponse-de-macron ;
    https://www.lefigaro.fr/pour-emmanuel-macron-le-moment-n-est-pas-venu-d-enqueter-sur-l-oms-20200422
  15. Voir : les hypothèses de durée de confinement allant de 6 à 18 mois, faites le 2 avril et diffusées auprès des anciens salariés du monde entier mentionnées en page 7 du support ; je me réfère également à ce qui a été diffusé le 6 avril en audio pour les alumnis français. En gros, le BCG ne voit qu’une seule réelle issue au confinement : l’arrivée d’un vaccin ! Ces précisions nous ont été rapportées par plusieurs alumnis du BCG, lesquels bénéficient des exposés explicatifs précis diffusés par groupe
  16. Voir à cet égard la mise en garde de Bill Gates qui « redoute » un futur attentat bactériologique :
    https://www.ouest-france.fr/sante/bill-gates-redoute-une-pandemie-mondiale-4812704
  17. A cet égard, 25% des clients du cabinet BCG prévoyaient déjà en début d’année de réaliser dès l’été 2020 des opérations de fusions acquisitions
  18. Voir :
    https://patentscope.wipo.int/search/en/detail.jsf?docId=WO2020060606&tab=PCTBIBLI ;
    pour son explication publique, voir le document d’Alex Simon, vice-président du programme management de la division Identité concernant l’identité numérique future : https://www.microsoft.com/en-us/microsoft-365/blog/2018/02/12/decentralized-digital-identities-and-blockchain-the-future-as-we-see-it



L’opération « Warp Speed ». La poussée à grande vitesse pour les vaccins contre le coronavirus

[Source : Mondialisation.ca]

Par F. William Engdahl

La Maison Blanche américaine a nommé un « tsar des vaccins » contre les coronavirus, issu de Big Pharma, pour superviser l’opération Warp Speed. L’objectif est de créer et de produire 300 millions de doses d’un nouveau vaccin censé immuniser toute la population américaine contre le COVID-19 d’ici la fin de l’année. Pour s’assurer que les grandes sociétés pharmaceutiques donnent le meilleur d’elles-mêmes au projet médical Manhattan, elles ont été entièrement indemnisées par le gouvernement étasunien en cas de décès ou de maladie grave des personnes ayant reçu le vaccin. La FDA et le NIH ont renoncé aux pré-tests standard sur les animaux dans cette situation. L’armée étasunienne, selon les récentes remarques du président américain, est en train d’être formée pour administrer le vaccin qui doit encore être dévoilé en un temps record. Rien ne pourrait donc se passer de travers ici ?

La vitesse de distorsion (Warp Speed) est un terme issu d’une série de science-fiction Star Trek, défini comme une vitesse plus rapide que celle de la lumière. Ces dernières semaines, des milliards de dollars ont été promis par les gouvernements, la Fondation Bill et Melinda Gates et d’autres, pour accélérer la mise au point d’un vaccin et tester des traitements médicaux pour combattre la maladie VODIV19 qui proviendrait d’un nouveau coronavirus découvert fin 2019 à Wuhan, en Chine. Cette ruée vers la création d’un vaccin « miracle » est inquiétante et laisse entrevoir des intentions cachées.

Le tsar en conflit

L’opération Warp Speed de Washington serait l’œuvre du conseiller présidentiel et gendre Jared Kushner. Elle est officiellement dirigée par le secrétaire à la santé et aux services sociaux Alex Azar et le secrétaire à la défense Mark Esper, qui travailleront avec un nouveau tsar des vaccins. Le tsar des vaccins sélectionné pour l’opération Warp Speed de Kushner est l’ancien président de la division vaccins de GlaxoSmithKline, le Dr Moncef Slaoui, citoyen étasunien né au Maroc. De 2006 à 2017, M. Slaoui a été président de la R&D mondiale et des vaccins chez GlaxoSmithKline et a siégé à l’équipe de direction et au conseil d’administration de la société.

Lorsqu’il était chez GSK, M. Slaoui a dirigé le développement de Cervarix. Son vaccin Cervarix contre le cancer du col de l’utérus dû au HPV a été associé à de multiples décès ou à de graves effets invalidants chez de nombreux receveurs. Un rapport de surveillance de l’OMS de 2017 a révélé que les effets indésirables graves du vaccin HPV de Moncef Slaoui comprenaient le syndrome de douleur régionale complexe (CRPS), le syndrome de tachycardie orthostatique posturale (POTS) et le syndrome de fatigue chronique (CFS) qui « dépasse tout autre vaccin ». Cela n’est pas rassurant pour le nouveau tsar d’un vaccin coronavirus précipité.

En 2015, la Cour suprême indienne a enquêté sur les accusations selon lesquelles de jeunes villageoises indiennes seraient mortes après avoir reçu du Cervarix du GSK de Slaoui. Cela s’est produit lors de tests illégaux de « cobayes humains » du vaccin contre le HPV où ni les filles ni leurs parents n’ont été informés de ce que c’était. L’étude aurait été financée par la Fondation Bill et Melinda Gates.

En 2012, alors que M. Slaoui dirigeait la R&D mondiale et le développement de vaccins de GSK et siégeait au conseil d’administration de l’entreprise, celle-ci a été condamnée à une amende de trois milliards de dollars par le ministère américain de la justice, la plus importante jamais imposée à une société pharmaceutique. Parmi les charges retenues, GlaxoSmithKline a délibérément dissimulé à la FDA étasunienne des données alarmantes sur la sécurité de son médicament le plus vendu contre le diabète, Advandia. Après qu’Advandia ait tranquillement disparu de la liste des produits de GSK.

Slaoui a également des liens avec les projets de la Fondation Bill & Melinda Gates. Il a siégé au conseil d’administration de l’Initiative internationale pour un vaccin contre le sida, financée par la Fondation Gates. L’IAVI a été lancée en 1994 lors d’une conférence de la Fondation Rockefeller et est soutenue entre autres par la Fondation Gates, par le ministère étasunien de la Défense et par l’Institut national des allergies et des maladies infectieuses de Tony Fauci.

Lors d’une conférence de presse tenue le 15 mai à la Maison Blanche, où le président a présenté M. Slaoui comme le chef du projet de vaccin contre les accidents, ce dernier a déclaré :

« Monsieur le Président, j’ai vu très récemment les premières données d’un essai clinique avec un vaccin contre les coronavirus. Ces données me rendent encore plus confiant dans notre capacité à fournir quelques centaines de millions de doses de vaccin d’ici à la fin de 2020 ».

Bien qu’il ne l’ait pas dit, il faisait clairement référence à Moderna et à son vaccin à ARNm modifié par le gène, le premier vaccin étasunien autorisé à entrer en phase I des essais sur l’homme après que le gouvernement étasunien ait accordé à la société un financement colossal de 483 millions de dollars pour accélérer le vaccin COVID-19.

Le vaccin Czar Slaoui est bien placé par rapport à Moderna. Après avoir quitté GSK de 2017 jusqu’à ce qu’il rejoigne l’opération « Trump Operation Warp Speed« , Slaoui a fait partie du conseil d’administration de Moderna. Il détient toujours 10 millions de dollars de stock options Moderna, des options dont la valeur risque de monter en flèche à mesure que la vitesse de distorsion augmente. Cela laisserait supposer un conflit d’intérêts flagrant avec le tsar Slaoui, mais ce n’est que le début de cette saga, où des millions de vies sont potentiellement menacées par un nouveau vaccin génétiquement modifié, insuffisamment testé ou éprouvé.

Moderna et Slaoui

À l’heure actuelle, le principal candidat du gouvernement étasunien à la victoire dans la course à la « vitesse de distorsion » pour le déploiement d’un vaccin contre la COVID-19 est la société Moderna Inc. de Slaoui, à Cambridge, dans le Massachusetts. C’est sûrement une coïncidence ?

Moderna affirme qu’entre le 11 janvier, date à laquelle ils ont reçu la séquence d’ADN du virus de Chine, et le 13 janvier – en deux jours seulement – en collaboration avec l’Institut national des allergies et des maladies infectieuses (NIAID) d’Anthony Fauci du NIH, ils ont réussi à finaliser la séquence de l’ARNm1273 du vaccin contre le nouveau coronavirus. A ce moment, Fauci a annoncé des plans sans précédent pour mener des essais de phase I du vaccin sur l’homme sans études préalables sur l’animal. La FDA a renoncé aux pré-tests sur les animaux. Les tests du mRNA1273 de Moderna ont été financés par la Coalition for Epidemic Preparedness Innovations (CEPI), financée par la Fondation Gates.

Le fait que M. Fauci se soit concentré sur le vaccin expérimental à ARNm COVID-19 de Moderna alors que M. Slaoui dirigeait son développement chez Moderna est pour le moins impressionnant. La société déclare que le 16 avril, Moderna a reçu un prix de l’agence gouvernementale étasunienne BARDA d’un montant de 483 millions de dollars pour accélérer le développement de l’ARNm-1273. Ce prix permettra de financer le développement de l’ARNm-1273 pour l’homologation de la FDA et l’extension du processus de fabrication afin de permettre une production à grande échelle en 2020 pour la réponse à une pandémie. À ce moment-là, la valeur des options d’achat d’actions Moderna de M. Slaoui a fait un bond de 184 %. Puis, le 1er mai, Moderna et Lonza Group ont annoncé une collaboration stratégique mondiale pour fabriquer de l’ARNm-1273 à raison d’un milliard de doses par an. Ce n’est pas une mince affaire.

Le 6 mai, Moderna a déposé un rapport actuel sur le formulaire 8-K auprès de la SEC, qui comprenait une entrevue publiée par le National Geographic avec Anthony S. Fauci, directeur du NIAID, qui a décrit son évaluation des résultats des tests liés à l’étude clinique de phase 1 en cours de l’ARNm-1273. Elle était assez positive.

Ainsi, entre le 13 janvier et le 25 mars, M. Slaoui et son équipe de Moderna ont pu concevoir le vaccin et le produire de manière à ce qu’il puisse être injecté à l’homme, a déclaré M. Slaoui à un magazine marocain, L’Économiste. Pendant son séjour à Moderna, M. Slaoui a été pleinement impliqué dans le développement du vaccin COVID-19 à ARNm.

Le 7 mai, quelques jours avant que M. Slaoui ne devienne le tsar du vaccin, la Food and Drug Administration (FDA) américaine a approuvé le vaccin à ARN messager (ARNm), ARNm1273, pour passer à la phase II des essais chez l’homme au cours de l’été. Le 12 mai, la FDA a accordé la désignation Fast Track au vaccin à ARNm de Moderna. La vitesse de distorsion (Warp Speed), vous savez.

La FDA, avec le soutien du NIAID de Tony Fauci au NIH, a accordé le 27 avril un essai de phase I sans précédent sur l’homme pour le vaccin à ARNm jamais approuvé auparavant. Ils ont évité les tests sur des animaux normaux, généralement des rats, pour passer directement aux tests sur des cobayes humains. Selon M. Moderna, l’essai de phase II permettra d’évaluer la sécurité, la réactogénicité et l’immunogénicité de deux vaccins à ARNm-1273 administrés à 28 jours d’intervalle. Ils recruteront 600 adultes en bonne santé pour l’expérience et suivront soi-disant leur santé pendant 12 mois après la deuxième vaccination. Il est prévu de commencer les vaccinations humaines d’ici la fin de l’année.

Dangers de l’ARNm ?

Tout cela, malgré les preuves de conflits d’intérêts extrêmes entre le NIAID et d’autres agences du gouvernement américain avec Moderna et le tsar des vaccins et l’ancien directeur de Moderna, M. Slaoui, pourrait être traité avec plus de légèreté, si ce n’était le fait que la technologie de Moderna pour les vaccins à ARNm est entièrement expérimentale et n’a jamais été approuvée auparavant pour une utilisation comme vaccin. La société elle-même l’admet. Elle déclare :

« L’ARNm est une plate-forme émergente… nous sommes encore au début de l’histoire. Notre programme de vaccin le plus avancé (CMV) est en phase 2 d’essais cliniques et nous n’avons aucun médicament approuvé à ce jour ».

Moderna et d’autres personnes travaillant avec les vaccins expérimentaux à ARNm modifiés par des gènes affirment qu’ils sont plus sûrs que les vaccins à ADN modifiés par des gènes, qui sont certes imprévisibles. La recherche sur les vaccins à ADN a trente ans mais, à ce jour, elle n’a pas réussi à produire un seul vaccin à ADN homologué. Moderna n’a que 11 ans et la technologie d’édition de gènes CRISPR qu’il utilise a à peine 5 ans. On nous dit que l’ARNm est complètement différent et sûr.

Cependant, de nombreux scientifiques avertissent qu’une fois à l’intérieur du noyau cellulaire, les vaccins à ARNm risquent de modifier de façon permanente et imprévisible l’ADN d’une personne. Le NIH de Tony Faudi a publié un article scientifique sur les perspectives des nouveaux vaccins à ARNm. On y lit notamment que

« la détection immunitaire innée de l’ARNm a également été associée à l’inhibition de l’expression de l’antigène et peut avoir un effet négatif sur la réponse immunitaire. Bien que les effets paradoxaux de la détection immunitaire innée sur les différents formats de vaccins à ARNm soient incomplètement compris, certains progrès ont été réalisés ces dernières années dans l’élucidation de ces phénomènes ».

Il s’agit d’une science hautement expérimentale.

Un autre article scientifique financé par plusieurs universités chinoises et republié par le NIH en 2019, qui examine le développement de la nouvelle technique de l’ARN messager pour les vaccins, a lancé quelques avertissements sobres. Il a noté qu’il y avait des « préoccupations concernant l’instabilité et la faible immunogénicité ». En outre, « les vaccins à ARNm sont efficaces pour l’expression des antigènes, mais la séquence et les structures secondaires formées par les ARNm sont reconnues par un certain nombre de récepteurs immunitaires innés, et cette reconnaissance peut inhiber la traduction des protéines ». De plus,

« …plusieurs de ces vecteurs ont montré une toxicité in vivo, ce qui peut limiter leur utilisation chez l’homme » (c’est nous qui soulignons). Les auteurs ont conclu que « le mécanisme de réponse immunitaire initié par l’ARNm reste à élucider. Le processus de reconnaissance des vaccins à ARNm par les capteurs cellulaires et le mécanisme d’activation des capteurs ne sont toujours pas clairs« .

Le gouvernement étasunien, dans un cercle étroit entièrement lié au NIAID de Tony Fauci, la Fondation Gates, l’OMS agissent non pas en fonction d’une distorsion, mais plutôt en fonction des priorités humaines pour nous fournir un vaccin dont personne ne peut en aucune façon assurer qu’il est sûr. Si Moderna était si sûr qu’il est sans danger, il devrait proposer d’être légalement responsable de tout dommage causé à l’ARNm. Ce n’est pas le cas, et aucune entreprise de vaccins ne le fait. Nous devons décider si l’ampleur des décès dans le monde, gonflés ou non, supposés être dus à COVID-19, justifie une telle expérience sur l’homme qui pourrait modifier notre génétique de manière imprévisible et éventuellement toxique.

F. William Engdahl


L’image en vedette provient de NEO

F. William Engdahl est consultant en risques stratégiques et conférencier, il est titulaire d’un diplôme en politique de l’université de Princeton et est un auteur à succès sur le pétrole et la géopolitique, exclusivement pour le magazine en ligne « New Eastern Outlook » où cet article a été publié à l’origine. Il est associé de recherche au Centre de recherche sur la mondialisation.

La source originale de cet article est Mondialisation.ca
Copyright © F. William Engdahl, Mondialisation.ca, 2020




Mortalité toutes causes confondues pendant la COVID-19 : Pas de fléau et une signature probable d’homicide de masse par la réponse du gouvernement

[Source : Le Saker Francophone]

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Par Denis G. Rancourt – Source Research Gate

Les dernières données sur la mortalité toutes causes confondues par semaine ne montrent pas une charge hivernale de mortalité statistiquement plus importante que pour les hivers précédents. Il n’y a pas eu de peste. Cependant, un « pic COVID » étroit est présent dans les données, pour plusieurs juridictions en Europe et aux États-Unis.

Ce « pic COVID » de mortalité, toutes causes confondues, présente des caractéristiques uniques :

  • Sa netteté, avec une largeur à mi-hauteur maximale de seulement 4 semaines environ ;
  • Son retard dans le cycle de la saison infectieuse, avec une augmentation subite après la semaine 11 de 2020, ce qui est sans précédent pour tout pic aigu ;
  • La synchronisation du début de sa poussée, sur tous les continents, immédiatement après la déclaration de la pandémie par l’OMS ; et
  • Son absence ou sa présence d’un état à l’autre des États-Unis pour la même écologie virale sur le même territoire, étant corrélée aux événements des maisons de retraite et aux actions du gouvernement plutôt qu’à un quelconque discernement de la souche virale connue.

Ces caractéristiques du « pic COVID », ainsi qu’un examen de l’histoire épidémiologique et des connaissances pertinentes sur les maladies respiratoires virales, m’amènent à postuler que le « pic COVID » résulte d’un homicide de masse accéléré de personnes immunovulnérables et de personnes rendues plus immunovulnérables par des actions gouvernementales et institutionnelles, plutôt que d’être la signature épidémiologique d’un nouveau virus, quel que soit le degré de nouveauté du virus du point de vue de la spéciation virale.

Les données sur les causes de décès sont intrinsèquement peu fiables

L’attribution de la cause de la mort, avec les maladies infectieuses et la comorbidité, est non seulement techniquement difficile (par exemple, Simonsen et al., 1997 ; Marti-Soler et al., 2014) mais aussi contaminée par les préjugés des médecins, la politique et les médias.

Cela est connu depuis que l’épidémiologie moderne a été pratiquée pour la première fois. Voici Langmuir (1976) qui cite le célèbre pionnier William Farr, à propos de l’épidémie de grippe de 1847 :

Farr utilise cette épidémie pour réprimander légèrement les médecins sur leurs vues étroites en soulignant que de fortes augmentations ont été observées non seulement avec la grippe elle-même, mais aussi la bronchite, la pneumonie et l’asthme et de nombreuses autres causes non respiratoires, déclare-t-il : … il existe une forte disposition chez certains praticiens anglais non seulement à localiser la maladie, mais aussi à ne voir que la maladie locale. Par conséquent, bien qu’il soit certain que la mortalité élevée enregistrée soit le résultat immédiat de l’épidémie de grippe, les décès évoqués pour cette cause ne sont que de 1 157.

Et, ce biais est généralement reconnu par les principaux épidémiologistes (Lui et Kendal, 1987) :

… la décision de classer les décès en « pneumonie et grippe » est subjective et potentiellement incohérente. D’une part, l’effet de la grippe ou de la pneumonie liée à la grippe peut être sous-estimé car les maladies chroniques sous-jacentes, en particulier chez les personnes âgées, sont généralement mentionnées comme cause de décès sur le certificat de décès. D’autre part, après que l’activité grippale a été publiquement déclarée, il peut y avoir une tendance accrue à classer les décès comme étant dus à « la pneumonie et la grippe », ce qui amplifie le taux d’augmentation des décès liés aux 2 ou, lorsqu’une baisse de l’activité grippale est déclarée, il peut en résulter un biais vers la diminution de la classification des décès liés à « la pneumonie et la grippe ». Aucune enquête n’a été réalisée pour évaluer ces possibilités.

On peut raisonnablement s’attendre à ce que dans le monde actuel des médias sociaux, avec une « pandémie » déclarée par l’Organisation mondiale de la santé (OMS), ce biais ne soit que plus important par rapport à sa présence lors d’épidémies passées de maladies respiratoires virales.

Par exemple, il est difficile d’interpréter la synchronicité de la déclaration du COVID-19 par l’OMS comme une pandémie et le début de l’augmentation observée des cas et des décès de COVID-19 comme étant le produit d’une coïncidence ou de la capacité de prévision extraordinaire du système mondial de surveillance de la santé :

Figure 1 : Nombre de cas COVID-19 signalés dans le monde et nombre de décès attribués à la COVID-19 signalés, par jour. Les données de l’OMS ont été consultées le 30 mai 2020. Les lignes verticales au crayon indiquent la date à laquelle l’OMS a déclaré la pandémie.
Figure 2 : Nouveaux cas de COVID-19 signalés dans le monde, par jour, en distinguant les continents. Les données de l’OMS ont été consultées le 30 mai 2020. La ligne verticale au crayon indique la date à laquelle l’OMS a déclaré la pandémie.

Au contraire, à la lumière des épidémies passées, il est plus probable que ce remarquable phénomène de synchronicité résulte d’attributions biaisées, dans le contexte souple de l’utilisation de tests de laboratoire fabriqués en urgence et non validés, d’évaluations cliniques d’un ensemble générique de symptômes et d’une attribution incertaine de la cause du décès dans des circonstances de comorbidité complexes.

C’est pourquoi les études épidémiologiques rigoureuses s’appuient plutôt sur des données de mortalité toutes causes confondues, qui ne peuvent être modifiées par un biais d’observation ou de déclaration (comme l’indiquent Simonsen et al., 1997 ; et voir Marti-Soler et al., 2014). Un décès est un décès définitif.

La mortalité dans la charge hivernale d’une année sur l’autre dans les pays des latitudes moyennes est très régulière

La mortalité humaine moderne dans les régions à climat tempéré des latitudes moyennes est fortement saisonnière. Les graphiques du nombre de décès toutes causes confondues par unité de temps (mois, semaine, jour), dans des régions données, présentent un schéma annuel, avec une amplitude de pic à creux de 10 à 30 % de la valeur de base du creux, en grande partie indépendamment des agents pathogènes spécifiques qui peuplent les saisons spécifiques. Une forte mortalité se produit en hiver, et est donc inversée dans les hémisphères nord et sud (par exemple, Marti-Soler et al., 2014).

Pour les États-Unis, le phénomène est bien illustré dans cette figure de Simonsen et al. (1997) :

Figure 3 : Mortalité toutes causes confondues, par semaine, pour les États-Unis, 1972 à 1993 (Simonsen et al., 1997 ; d’après leur Fig. 1).

Dans un tel graphique, la zone située sous un pic, par rapport à son niveau de référence minimal, est le nombre total de décès annuels l’hiver, au-dessus du niveau de référence minimal. Le nombre « excédentaire » de décès annuel ainsi calculé, ici (dans la période 1972-1993), est toujours d’environ 8 à 11 % du total des décès annuels au niveau de référence minimal, ainsi que d’environ 8 à 11 % de la mortalité annuelle toutes causes confondues.

Cette « surmortalité » régulière et saisonnière, ou charge hivernale, a été un défi épidémiologique à comprendre, même si, à commencer par Farr, de nombreux épidémiologistes l’ont initialement attribuée presque entièrement aux maladies respiratoires virales de type grippe saisonnière.

Néanmoins, l’angoissante difficulté à comprendre la ou les causes de ce schéma remarquablement régulier et global (les deux hémisphères, mais inversé) persiste, comme l’illustrent les propos de Marti-Soler et al. (2014) (références omises) :

Étant donné que la mortalité due au cancer ne présente pratiquement pas de schéma de saisonnalité, la saisonnalité de la mortalité globale est principalement due à la saisonnalité de la mortalité due aux MCV [maladies cardiovasculaires] et à la mortalité non due aux MCV et non due au cancer. Pour ces conditions, et en particulier pour les MCV, l’exposition au froid est une explication plausible de la saisonnalité observée, étant donné la relation entre le climat froid et la latitude. Plusieurs études longitudinales ont démontré qu’une baisse de la température extérieure était associée à une augmentation de la mortalité toutes causes confondues. Cependant, d’autres facteurs dépendant de la latitude, tels que les habitudes alimentaires, l’exposition au soleil (taux de vitamine D) et les agents parasitaires et infectieux humains pourraient également jouer un rôle. L’ampleur du schéma saisonnier de la mortalité due aux MCV était plus élevée que celle de la mortalité toutes causes confondues. Le caractère saisonnier de la mortalité due aux MCV pourrait être dû en partie à la saisonnalité conjointe de plusieurs facteurs de risque connus de MCV, comme décrit précédemment. De même, les facteurs liés au mode de vie, tels que l’alimentation et l’activité physique, ont également tendance à différer pendant les mois d’été et d’hiver. De plus, l’exposition au froid augmente la dépense énergétique, la vasoconstriction périphérique et la post-charge cardiaque, ce qui peut déclencher une ischémie myocardique et un accident vasculaire cérébral. Enfin, l’infection grippale à tendance hivernale peut également être un déclencheur de décès dus à des maladies cardio-vasculaires en exacerbant les conditions de ces maladies ou en raison de complications secondaires. C’est probablement le cas de la concentration des polluants atmosphériques.

La saisonnalité de la mortalité non liée aux MCV et non liée au cancer peut être liée au fait que les maladies pulmonaires obstructives chroniques et la pneumonie sont des maladies fréquentes dans cette catégorie et que ces maladies sont exacerbées par la grippe, d’autres infections de type grippal et les concentrations de polluants atmosphériques, qui sont toutes plus fréquentes en hiver. Quelques autres maladies de la catégorie des maladies non dues aux MCV et non dues au cancer présentent également un schéma saisonnier, par exemple la dépression, le suicide et les hémorragies variqueuses de l’œsophage.

Pourquoi la mortalité dans sa charge hivernale est-elle si régulière et persistante ?

Même la saisonnalité de la partie « pneumonie et grippe » (P&G) qui représente une grande partie de ce que Marti-Soler et al. quantifient comme « mortalité non due aux MCV et non due au cancer » n’a été comprise qu’il y a dix ans. Jusqu’à récemment, on se demandait si le schéma annuel des P&G était principalement dû aux changements saisonniers de la virulence des agents pathogènes ou aux changements saisonniers de la sensibilité de l’hôte (par exemple, l’air sec provoquant une irritation des tissus, ou la diminution de la lumière du jour entraînant une carence en vitamines ou un stress hormonal). Voir, par exemple, Dowell (2001). Dans un sens, la réponse est « ni l’un ni l’autre ».

Dans une étude qui fait date, Shaman et al. (2010) ont montré que le schéma saisonnier de surmortalité des maladies respiratoires (P&G) peut être expliqué quantitativement sur la seule base de l’humidité absolue, et son impact direct sur la transmission des pathogènes aéroportés.

Lowen et ses collègues (2007) ont démontré que le phénomène de contagiosité des virus aériens dépend de l’humidité dans la transmission réelle de maladies entre cobayes, et ont examiné les mécanismes sous-jacents potentiels de l’effet de contrôle mesuré de l’humidité.

Le mécanisme sous-jacent est que les particules ou les gouttelettes de la taille d’un aérosol chargées d’agents pathogènes sont neutralisées à une demi-vie et diminuent de manière linéaire et significative avec l’augmentation de l’humidité absolue ambiante. Ce mécanisme est basé sur les travaux fondateurs de Harper (1961). Harper a montré expérimentalement que les gouttelettes porteuses de virus et d’agents pathogènes étaient inactivées dans des délais de plus en plus courts, à mesure que l’humidité absolue ambiante augmentait.

Harper a soutenu que les virus eux-mêmes étaient rendus inopérants par l’humidité (« décomposition viable »), mais il a admis que l’effet pouvait être dû à l’élimination physique ou à la sédimentation gravitationnelle des gouttelettes (« perte physique ») : « Les viabilités des aérosols rapportées dans cet article sont basées sur le rapport entre la charge virale et la numération radioactive dans les échantillons de suspension et de nuages, et peuvent être critiquées au motif que les matériaux de test et de traçage n’étaient pas physiquement identiques ».

Cette dernière (« perte physique ») me semble plus plausible, puisque l’humidité absolue aurait pour effet physique universel de provoquer la croissance par condensation et la sédimentation gravitationnelle des particules/gouttelettes (et, inversement, la perte par évaporation et aérosolisation), et que tous les agents pathogènes viraux testés ont essentiellement la même « décomposition » due à l’humidité. En outre, il est difficile de comprendre comment un virion (de n’importe quel type de virus) dans une gouttelette serait attaqué ou endommagé au niveau moléculaire ou structurel par une augmentation de l’humidité ambiante. Un « virion » est la forme complète et infectieuse d’un virus en dehors d’une cellule hôte, avec un noyau d’ARN ou d’ADN et une capside. Aucun mécanisme moléculaire réel ou autre de la « décomposition viable » d’un virion par l’humidité à l’intérieur d’une gouttelette, postulée par Harper (1961), n’a, à ce jour, été expliqué ou étudié, alors que la sédimentation gravitationnelle (« perte physique ») est bien comprise.

Quoi qu’il en soit, l’explication et le modèle de Shaman et al. (2010) ne dépendent pas du mécanisme particulier de la décomposition des virions en aérosol/gouttelettes induite par l’humidité absolue. Le modèle d’épidémiologie virale régionale saisonnière quantitativement démontré par Shaman est valable pour l’un ou l’autre mécanisme (ou combinaison de mécanismes), que ce soit la « décomposition viable » ou la « perte physique ».

La percée réalisée par Shaman et al. n’est pas seulement un sujet académique. Elle a de profondes implications en matière de politique de santé, qui ont été entièrement ignorées ou négligées dans la pandémie actuelle de coronavirus :

  • Cela signifie que le caractère saisonnier de la mortalité des P&G est directement lié à la contagiosité des maladies respiratoires virales contrôlée par l’humidité absolue.

Si mon point de vue sur le mécanisme est correct (c’est-à-dire « perte physique » plutôt que « décomposition viable »), alors :

  • Cela implique en outre que le vecteur de transmission doit être de petites particules d’aérosol en suspension dans l’air, respirées profondément dans les poumons, à l’intérieur ; et non des voies de transmission hypothétiques comme un contact réel avec un fluide ou un fomite, et non de grosses gouttelettes et de la salive (qui sont rapidement éliminées de l’air par gravitation, ou capturées dans la bouche et le système digestif).
  • Et cela signifie que la distanciation sociale, les masques et le lavage des mains peuvent avoir peu d’effet sur la propagation réelle de l’épidémie pendant la saison hivernale (voir : Rancourt, 2020).

En ce qui concerne la modélisation épidémiologique, les travaux de Shaman impliquent que, plutôt que d’être un nombre fixe (dépendant uniquement de la structure spatio-temporelle des interactions sociales dans une population complètement et variablement sensible, et de la souche virale), le nombre de reproduction de base de l’épidémie (R0) dépend principalement de l’humidité absolue ambiante. Pour une définition du R0, voir HealthKnowlege-UK (2020) : R0 est « le nombre moyen d’infections secondaires produites par un cas typique d’infection dans une population où tout le monde est sensible ».

Shaman et al. ont montré que le R0 doit être compris comme variant selon les saisons entre des valeurs d’été humide légèrement supérieures à « 1 » et des valeurs d’hiver sec généralement aussi élevées que « 4 » (voir par exemple leur tableau 2). En d’autres termes, les maladies respiratoires virales infectieuses saisonnières qui sévissent chaque année dans les régions à climat tempéré passent d’une contagion intrinsèquement légère à une contagion virulente, simplement en raison du mode de transmission biophysique contrôlé par l’humidité absolue de l’air, largement indépendamment de toute autre considération.

En outre, il a été démontré que les concentrations de virus dans l’air intérieur (dans les garderies, les centres de santé et à bord des avions) existent principalement sous forme de particules d’aérosol de diamètre inférieur à 2,5 μm, comme le montrent les travaux de Yang et al. (2011) :

La moitié des 16 échantillons étaient positifs, et leurs concentrations totales en virus variaient de 5 800 à 37 000 copies du génome m-3. En moyenne, 64 % des copies du génome viral étaient associées à des particules fines de diamètre inférieur à 2,5 μm, qui peuvent rester en suspension pendant des heures. La modélisation des concentrations de virus à l’intérieur a suggéré une force de source de 1,6 ± 1,2 × 105 copies du génome m-3 dans l’air h-1 et un flux de dépôt sur les surfaces de 13 ± 7 copies du génome m-2 h-1 par mouvement brownien. Sur une heure, la dose d’inhalation a été estimée à 30 ± 18 dose infectieuse médiane en culture tissulaire (TCID50), suffisante pour induire l’infection. Ces résultats apportent un soutien quantitatif à l’idée que la voie aérosol pourrait être un mode important de transmission de la grippe.

Note de l'auteur
"h-1" signifie "par heure".
"m-3" signifie "par mètre cube" et indique un volume. "m-2" signifie "par mètre carré" et indique une surface.
"m-3 h-1" signifie donc "par mètre cube par heure".

Ces petites particules (inférieures à 2,5 μm) font partie de la fluidité de l’air, ne sont pas soumises à la sédimentation gravitationnelle et peuvent donc être respirées profondément dans les poumons.

La question suivante est la suivante : combien de particules chargées d’agents pathogènes de ce type sont nécessaires pour provoquer une infection chez une personne ayant une capacité moyenne de réponse immunitaire ?

Yezli et Otter (2011), dans leur examen de la dose infectieuse minimale (DIM), soulignent les caractéristiques pertinentes :

  • la plupart des virus respiratoires sont aussi infectieux chez l’homme que dans les cultures de tissus ayant une sensibilité optimale en laboratoire
  • la MID à 50 % de probabilité (« TCID50 ») se situe, de manière variable, entre 100 et 1000 virions
  • il y a généralement 103-107 virions par gouttelette de grippe aérosol de 1 μm à 10 μm de diamètre
  • la MID à 50 % de probabilité s’insère facilement dans une seule gouttelette aérosolisée

Pour en savoir plus :

  • Haas (1993) fournit une description classique de l’évaluation dose-réponse.
  • Zwart et al. (2009) ont fourni la première preuve en laboratoire, dans un système virus-insecte, que l’action d’un seul virion peut être suffisante pour provoquer une maladie.
  • Baccam et al. (2006) ont calculé, à partir de données empiriques, qu’avec la grippe A chez l’homme, « nous estimons qu’après un délai de ~6 h, les cellules infectées commencent à produire le virus de la grippe et continuent à le faire pendant ~5 h. La durée de vie moyenne des cellules infectées est de ~11 h, et la demi-vie du virus infectieux libre est de ~3 h. Nous avons calculé le nombre de reproduction de base [dans le corps], R0, qui indique qu’une seule cellule infectée peut produire ~22 nouvelles infections productives ».
  • Brooke et al. (2013) ont montré que, contrairement aux hypothèses de modélisation précédentes, bien que toutes les cellules infectées par le virus de la grippe A dans le corps humain ne produisent pas une progéniture infectieuse (virions), néanmoins, 90 % des cellules infectées sont significativement affectées.

L’examen ci-dessus signifie que toutes les maladies respiratoires virales qui frappent chaque année les populations des régions tempérées sont extrêmement contagieuses pour deux raisons : (1) elles sont transmises par de petites particules d’aérosol qui font partie de l’air fluide et remplissent pratiquement tous les espaces d’air clos occupés par les humains, et (2) une seule de ces particules d’aérosol porte la dose infectieuse minimale (DIM) suffisante pour provoquer une infection chez une personne, si elle est inhalée dans les poumons, où l’infection est initiée.

C’est pourquoi le schéma de mortalité toutes causes confondues est si solidement stable et réparti dans le monde entier, si l’on admet que la majorité de la charge est induite par des maladies respiratoires virales, tout en étant relativement insensible à l’écologie virale saisonnière particulière pour cette classe opérationnelle de virus. Cela explique également pourquoi le schéma est inversé entre l’hémisphère nord et l’hémisphère sud, indépendamment des voyages aériens touristiques et d’affaires et ainsi de suite.

Les virologues et les généticiens voient les souches, les mutations et les espèces virales (Alimpiev, 2019), comme un homme avec un marteau voit des clous. De même, il existe des récompenses professionnelles pour l’identification de nouveaux agents pathogènes viraux et la description de nouvelles maladies. Pour ces raisons, les scientifiques n’ont pas vu la forêt mais les arbres.

Mais les données montrent qu’il existe un schéma persistant et régulier de mortalité dans la charge hivernale, indépendamment des détails, et que la répartition du nombre de décès excédentaires d’une année sur l’autre est bien limitée (environ 8 à 11 % de la mortalité annuelle totale, aux États-Unis, de 1972 à 1993). Malgré tout ce qu’on dit sur les épidémies, les pandémies et les nouveaux virus, le schéma est résolument constant.

Une anomalie digne de panique, et d’une ingénierie socio-économique mondiale nocives, devrait consister en une mortalité de charge hivernale annuelle d’origine naturelle statistiquement supérieure à la norme. Cela ne s’est pas produit depuis l’unique pandémie de grippe de 1918 (Hsieh et al., 2006).

Les trois épidémies récentes qualifiées de pandémies, à savoir la pandémie H2N2 de 1957, la pandémie H3N2 de 1968 et la pandémie H1N1 de 2009, n’ont pas été plus virulentes (en termes de mortalité annuelle dans la charge hivernale) que les épidémies saisonnières régulières (Viboud et al., 2010 ; Viboud et al., 2006 ; Viboud et al., 2005). En fait, l’épidémie de 1951 a été jugée plus meurtrière, sur la base des données de P&G, en Angleterre, au Pays de Galles et au Canada, que les pandémies de 1957 et 1968 (Viboud et al., 2006).

Un modèle simple de virulence de facto des maladies respiratoires virales

Face à la persistance et à la régularité de la charge hivernale de la mortalité, on est tenté de proposer que les propriétés spécifiques (structurelles, moléculaires et de liaison) de l’agent pathogène viral d’une maladie respiratoire particulière ne sont pas aussi déterminantes pour la mortalité que les virologues le suggèrent. Au contraire, il est possible que la mortalité, dans une population donnée exposée à ces agents pathogènes viraux hautement contagieux qui envahissent les poumons, soit principalement contrôlée par la répartition de la population en terme de capacité et de préparation du système immunitaire.

Une charge virale pénètre dans les poumons. Une fois que l’antigène viral est reconnu, une réponse immunitaire se met en place1. Une « guerre » dynamique s’ensuit entre le virus qui se reproduit et se propage en infectant les cellules de la paroi des poumons, et le système immunitaire qui fait tout ce qu’il peut pour identifier, localiser et détruire les cellules infectées avant que lesdites cellules infectées ne puissent être productives du virus.

La réponse immunitaire est extraordinairement exigeante pour les ressources énergétiques métaboliques de l’organisme (c’est pourquoi il faut « nourrir un rhume », « se reposer » et « rester au chaud »). La demande en énergie métabolique est prioritaire et peut concurrencer les demandes des fonctions corporelles essentielles et les réponses immunitaires à d’autres agents pathogènes. C’est pourquoi les personnes souffrant de maladies « liées à l’âge » et de comorbidité sont particulièrement exposées : leur taux d’apport d’énergie métabolique au système immunitaire est limité par leurs co-conditions, et la demande n’est pas satisfaite à un rythme suffisamment élevé pour gagner la « guerre ». Voir : Straub (2017) ; Bajgar et al. (2015).

Dans une vue simple de l’infection (que je propose pour illustration), un individu donné, ayant un état de santé donné, ne peut fournir de l’énergie métabolique au système immunitaire que jusqu’à un certain taux maximum de fourniture, pendant la phase cruciale de la « guerre ». C’est ce que l’on appelle le « taux d’apport énergétique pour la réponse immunitaire » : RS. Le RS est exprimé en unités d’énergie par unité de temps, J/s, ou en calories par seconde. Si le RS est suffisant pour « gagner la guerre » et est maintenu suffisamment longtemps, alors l’individu se remet de l’infection et le système immunitaire stocke une mémoire moléculaire de l’antigène viral, ce qui réduit considérablement la demande en énergie pour les futures réponses immunitaires aux attaques du même virus ou d’un virus suffisamment similaire. Si la réponse immunitaire est insuffisante, l’individu succombe au virus et meurt.

Par conséquent, le virus saisonnier peut être caractérisé comme ayant une valeur de RS spécifique au virus, dites RSv, qui est le seuil de RS pour la survie de la personne infectée. Si RS > RSv, alors la personne se rétablit. Si RS < RSv, alors la personne meurt. Plus le RSv est élevé, plus le virus est virulent, et vice versa.

Une population humaine donnée (nationale ou régionale) aura une distribution donnée des valeurs de RS associée aux différents membres de la population.

Mathématiquement, cette distribution peut être représentée comme une densité de probabilité des valeurs de RS. Une valeur de densité de probabilité comporte des unités de nombre de personnes par unité d’intervalle de RS. La surface totale sous la courbe de densité de probabilité est la population, de la nation ou de la région.

La figure 4 illustre trois distributions hypothétiques des valeurs de RS, dans trois populations différentes de taille égale. Ici : « Allemagne/Germany » (ligne bleue continue) correspond à une population occidentale actuelle, qui ne compte pas une population âgée particulièrement nombreuse ; « Italie » (ligne bleue pointillée) correspond à une population occidentale actuelle qui compte une population âgée nombreuse ; et « Stressed » (ligne rouge continue) correspond à une population d’individus soumis à un stress métabolique (ou sanitaire) élevé, comme cela a pu être le cas en Angleterre en 1918.

Un tel stress pour la santé peut être dû à une carence nutritionnelle, à un manque de nutriments essentiels ou de vitamines, à des niveaux élevés d’agents stressants environnementaux, de toxines ou d’agents pathogènes, à une pénurie de logements [ou de la capacité à le chauffer, NdSF](« fuel poverty« ), à des conditions de travail oppressives, à l’oppression de la domination sociale, à l’abus de substances provoquant des lésions organiques, etc. Il existe une vaste littérature sur ces facteurs. Comme point d’ancrage, voir : Sapolsky (2015) ; Sapolsky (2005).

Figure 4 : Densités de probabilité des valeurs de RS, pour trois populations de taille égale mais différant par leur niveau de stress et leur vulnérabilité en matière de santé, comme expliqué dans le texte. Les trois lignes verticales, tracées au crayon et intitulées « 1 », « 2 » et « 3 », montrent trois valeurs de RSv différentes, spécifiques à chaque virus, comme expliqué dans le texte. Les zones hachurées sont les fractions (de la surface totale) représentant les fractions de mortalité pour le virus le moins virulent ayant la valeur RSv étiquetée « 1 ».

Dans ce modèle, la mortalité comparative entre les populations, pour un agent pathogène viral donné, est donc déterminée par les différents états de santé (distributions des valeurs de RS des individus) des populations infectées comparées.

Cela concerne le cycle complet de l’infection et de la guérison. Il en dit peu sur les taux de mortalité quotidiens et les distributions par âge, qui dépendent de la propagation naturelle ou forcée de l’infection, qui à son tour n’est pas nécessairement uniforme dans le temps et l’espace mais peut plutôt cibler des segments particuliers de la population, comme les personnes confinées dans des institutions.

En outre, la distribution des valeurs de RS pour une population donnée peut changer de manière significative au cours d’une épidémie, si les segments vulnérables sont soumis à des facteurs de stress supplémentaires en matière de santé, par exemple.

Analyse de la mortalité toutes causes confondues de COVID-19 et les modélisations de déconvolutions

À la lumière du contexte et des outils conceptuels ci-dessus, nous pouvons maintenant examiner les données liées au COVID-19, à ce jour. Pour de bonnes raisons (voir ci-dessus), nous ignorons les données relatives aux décès et les modélisations de déconvolutions des décès P&G par rapport à d’autres décès jugés saisonniers pour des raisons non liées aux agents pathogènes viraux saisonniers. Nous nous concentrons sur la mortalité toutes causes confondues, par semaine.

La mortalité toutes causes confondues n’est pas susceptible de biais et est actuellement disponible pour plusieurs juridictions. Nous utilisons les données brutes sans aucune manipulation, et nous ne modifions pas les données pour les « corriger » en fonction des changements de la population totale ou de la structure d’âge d’une population.

Pour les données, nous nous appuyons sur le CDC (USA), les données des instituts nationaux pour l’Angleterre et le Pays de Galles, et les compilations graphiques du centre EuroMOMO. Nous n’utilisons que les dernières semaines qui sont déclarées complètes (« >100% », CDC) ou jugées de qualité suffisante pour être publiées. Malheureusement, certaines juridictions telles que le Canada peuvent être caractérisées comme lentes et réfractaires aux demandes.

La figure 5 montre la mortalité toutes causes confondues par semaine pour l’Angleterre et le Pays de Galles, à partir de 2010. Les baisses soudaines sur une semaine sont des incohérences dans la comptabilité et dans les délais de certification des décès, qui sont comptées dans la ou les semaines suivantes. La ligne verticale rouge indique la date à laquelle l’OMS a déclaré la pandémie.

En déclarant la pandémie, le directeur général de l’OMS, Tedros Adhanom, a notamment déclaré2 :

[…] Dans les jours et les semaines à venir, nous nous attendons à voir le nombre de cas, le nombre de décès et le nombre de pays touchés augmenter encore plus. […] Et nous avons appelé chaque jour les pays à prendre des mesures urgentes et énergiques. Nous avons tiré la sonnette d’alarme haut et fort. […]

Il ne s’agit pas seulement d’une crise de santé publique, mais d’une crise qui touchera tous les secteurs – chaque secteur et chaque individu doit donc être impliqué dans la lutte.

J’ai dit dès le début que les pays doivent adopter une approche pan-gouvernementale et sociétale, construite autour d’une stratégie globale pour prévenir les infections, sauver des vies et minimiser l’impact. […]

Je rappelle à tous les pays que nous vous demandons d’activer et de renforcer vos mécanismes d’intervention d’urgence ; de communiquer avec votre population sur les risques et la manière dont elle peut se protéger – c’est l’affaire de tous ; de trouver, isoler, tester et traiter chaque cas et de retracer chaque contact ; de préparer vos hôpitaux ; [C’est moi qui souligne, NdA].

Les propos d’Adhanom ont soit constitué la prévision de santé publique la plus remarquable jamais faite pour l’Angleterre et le Pays de Galles (et de nombreuses juridictions dans le monde, voir ci-dessous), soit quelque chose d’autre pourrait expliquer le pic de mortalité toutes causes confondues qui a immédiatement suivi sa déclaration.

Figure 5 : Mortalité toutes causes confondues par semaine pour l’Angleterre et le Pays de Galles, à partir de 2010. Les baisses soudaines d’une semaine sont des incohérences dans la comptabilité et dans le délai de certification des décès, qui sont comptées dans la ou les semaines suivantes. La ligne verticale rouge indique la date à laquelle l’OMS a déclaré la pandémie COVID-19.

Il est important de noter que le nombre total de décès « excédentaires », toutes causes confondues, la charge hivernale pour la saison se terminant en 2020 (zone au-dessus de la ligne de base de l’été), n’est pas statistiquement plus élevé que pour les années passées, et il reste à voir jusqu’à quel point le creux de l’été 2020 sera bas.

Ce que l’on peut appeler le « pic COVID » est une caractéristique étroite (figure 5). Par rapport à la ligne de base estivale, la largeur totale à mi-hauteur du pic est d’environ 5 semaines. Il se distingue par le fait qu’il se situe à la fin de la saison infectieuse et qu’il s’élève bien au-dessus de la bosse plus large de la charge hivernale.

Ce « pic COVID » est un événement unique dans l’histoire épidémiologique de l’Angleterre et du Pays de Galles. Cette caractéristique unique est-elle due à un agent pathogène viral inhabituellement nouveau, ou à la réponse unique, sans précédent et massive du gouvernement à la déclaration de pandémie de l’OMS ?

Notez qu’un tel « pic COVID » n’implique pas une virulence intrinsèque du virus. Cela signifie seulement que les décès de personnes vulnérables, ou de personnes rendues vulnérables, sont survenus dans un court laps de temps. Par exemple, les personnes qui seraient mortes dans les semaines ou les mois suivants peuvent voir leur décès accéléré par l’intervention humaine, ou celles qui se remettent encore d’une infection virale peuvent être poussées dans des conditions de vie plus précaires et plus stressantes.

Un « pic COVID » analogue s’est produit dans les données du centre EuroMOMO pour l’Europe (figure 6). Là encore, le nombre total de décès excessifs, toutes causes confondues, de la charge hivernale pour la saison se terminant en 2020 (zone au-dessus de la ligne de base estivale) n’est pas statistiquement plus élevé que pour les années passées, et la date de déclaration de la pandémie est indiquée par une ligne rouge verticale.

Figure 6 : Mortalité toutes causes confondues par semaine. Données du centre EuroMOMO pour l’Europe, consultées le 1er juin 2020. La date de déclaration de la pandémie est indiquée par une ligne verticale rouge.

Ce qui ressemblait à une saison 2020 « douce » et concluante s’est transformé en « pic COVID » immédiatement après la déclaration de la pandémie par l’OMS.

Passons maintenant aux États-Unis, où les données actuelles sont facilement accessibles, tant au niveau national qu’au niveau de chaque État, grâce au CDC.

La figure 7 montre la mortalité toutes causes confondues par semaine pour les États-Unis, à partir de 2014. Ici, la base de référence pour l’été est d’environ de 46 000 à 52 000 décès par semaine, qui augmentent avec l’augmentation de la population totale. La ligne verticale rouge indique la date à laquelle l’OMS a déclaré la pandémie de COVID-19.

Figure 7 : Mortalité toutes causes confondues par semaine pour les États-Unis, à partir de 2014. La ligne verticale rouge indique la date à laquelle l’OMS a déclaré la pandémie COVID-19. Les zones hachurées ou grisées représentent les décès toutes causes confondues de la charge hivernale pour chaque année.

Ici encore, nous constatons que le nombre total de décès toutes causes confondues de la charge hivernale pour la saison se terminant en 2020 (zone au-dessus de la ligne de base estivale) n’est pas statistiquement plus élevé que pour les dernières années. Il n’y a aucune preuve, uniquement en termes de nombre de décès saisonniers, qui suggère un événement catastrophique ou un agent pathogène exceptionnellement virulent. Il n’y a pas eu de « fléau ». La charge hivernale, au cours de ces années, se situe constamment dans une fourchette d’environ 6 à 9 % de la mortalité annuelle totale toutes causes confondues, et les variations d’une année sur l’autre sont typiques des variations historiques.

D’autre part, il existe à nouveau un « pic COVID », qui présente les caractéristiques uniques suivantes :

  • Il est remarquablement net ou étroit, sa largeur à mi-hauteur du pic, par rapport à la ligne de base de l’été, n’étant que de 4 semaines environ. En comparaison, les pics importants des saisons infectieuses se terminant en 2015 et 2018 ont une largeur maximale de 14 et 9 semaines, respectivement.
  • Il se produit plus tard dans la saison infectieuse que tout autre pic important jamais observé aux États-Unis, et il augmente après la semaine 11 de 2020.
  • Sa montée survient immédiatement après la déclaration de la pandémie par l’OMS, en parfaite synchronisation, comme on peut le voir en Europe, en Angleterre et au Pays de Galles, qui sont séparés des États-Unis par un océan.

Le « pic COVID » dans les données américaines provient de « points chauds », comme la ville de New York (NYC). La figure 8 montre la mortalité toutes causes confondues par semaine pour NYC, à partir de 2013. La ligne verticale rouge indique la date à laquelle l’OMS a déclaré la pandémie COVID-19.

Figure 8 : Mortalité toutes causes confondues par semaine pour NYC, à partir de 2013, en noir. La ligne verticale rouge indique la date à laquelle l’OMS a déclaré la pandémie de COVID-19. La ligne grise représente simplement les mêmes données sur une échelle verticalement élargie et décalée, à des fins de visualisation. (156 correspond à 2016)

Les données de NYC n’ont aucun sens épidémiologique. Le « pic COVID » ici, à première vue, ne peut pas être interprété comme un processus normal de maladie respiratoire virale dans une population sensible. Des effets locaux, tels que l’importation de patients d’autres juridictions ou de fortes densités de personnes vulnérables institutionnalisées ou hébergées, doivent au moins être en jeu.

Ce qui est également frappant, c’est que certains des États américains les plus peuplés, qui comptent un grand nombre de cas mesurés et signalés, et un grand nombre de personnes présentant les anticorps, ne présentent pas de « pic de COVID ». (Les anticorps caractéristiques sont produits et présents dans le corps des individus qui ont été infectés et récupérés suite à leurs réponses immunitaires. Par exemple, voir l’étude de terrain sur les anticorps pour la Californie réalisée par Bendavid et al, 2020).

Ceci est illustré pour la Californie à la figure 9 et pour le Texas à la figure 10.

Figure 9 : Mortalité toutes causes confondues par semaine pour la Californie, à partir de 2013. La ligne verticale rouge indique la date à laquelle l’OMS a déclaré la pandémie de COVID-19. Les zones hachurées ou grisées représentent les décès toutes causes confondues dans la charge hivernale pour chaque année.
Figure 10 : Mortalité toutes causes confondues par semaine pour le Texas, à partir de 2013. La ligne verticale rouge indique la date à laquelle l’OMS a déclaré la pandémie COVID-19. Les zones hachurées ou grisées représentent les décès toutes causes confondues dans la charge hivernale pour chaque année.

De plus, aucun des sept États qui n’ont pas imposé de confinement (Iowa, Nebraska, Dakota du Nord, Dakota du Sud, Utah, Wyoming et Arkansas) n’a de « pic COVID ».

La présence d’un « pic COVID » est positivement corrélée avec la part des décès attribués selon COVID-19 survenant dans les maisons de retraite et les centres de vie assistée, selon cette carte :

Interprétation du « pic COVID » dans la mortalité toutes causes confondues

Étant donné le caractère unique du « pic COVID » de la mortalité toutes causes confondues :

  • Sa netteté, avec une largeur à mi-hauteur maximale de seulement 4 semaines environ ;
  • Son retard dans le cycle de la saison infectieuse, qui augmente après la semaine 11 de 2020, ce qui est sans précédent pour toute caractéristique de pic aigu ;
  • La synchronisation du début de sa poussée, sur tous les continents, et immédiatement après la déclaration de la pandémie par l’OMS ; et
  • Son absence ou sa présence d’un état à l’autre des États-Unis pour la même écologie virale sur le même territoire, est corrélée aux événements dans les maisons de retraite et aux actions du gouvernement plutôt qu’à un quelconque discernement de la souche virale connue.

Compte tenu de l’examen ci-dessus des connaissances sur les maladies respiratoires virales saisonnières :

  • Les schémas de mortalité toutes causes confondues, robustes, persistants et réguliers de la charge hivernale, à travers l’ère moderne de l’épidémiologie et entre les nations de deux hémisphères ;
  • La nouvelle compréhension (2010) que la transmissivité est contrôlée par l’humidité absolue, et que le vecteur de transmission est constitué de petites particules d’aérosol qui pénètrent profondément dans les poumons ;
  • La reconnaissance croissante de la budgétisation de l’énergie métabolique comme paradigme pour comprendre la mort par maladies infectieuses avec des conditions de comorbidité, tout en reconnaissant que le système immunitaire a un contrôle hiérarchique sur la budgétisation de l’énergie métabolique, en second lieu après la connaissance d’un danger externe imminent ; et
  • La compréhension croissante du rôle dominant du stress métabolique (y compris la cognition du stress, le stress perçu) dans la diminution de la capacité de réponse du système immunitaire.

Je postule que le « pic COVID » représente un homicide de masse accéléré de personnes immunovulnérables, et de personnes rendues plus immunovulnérables, par des actions gouvernementales et institutionnelles, plutôt qu’une signature épidémiologique d’un nouveau virus, indépendamment du degré de nouveauté du virus du point de vue de la spéciation virale.

Enfin, mon interprétation du « pic COVID » comme étant la signature d’un homicide de masse par la réaction du gouvernement est étayée par plusieurs documents institutionnels, rapports de médias et articles scientifiques, comme les exemples suivants.

Deux articles scientifiques abordent ce sujet :

  • Hawryluck et autres (2004), sur le syndrome de stress post-traumatique (SSPT) résultant d’une quarantaine médicale.
  • Richardson et al. (2020), sur la preuve statistique que les ventilateurs mécaniques ont tué des patients atteints de COVID-19 critique.

Parmi les articles de presse et les mémos institutionnels, on peut citer

  • « Une nouvelle étude révèle que presque tous les patients atteints de coronavirus mis sous respirateur sont morts« , News Break | The Hill 04-23, 23 avril 2020.
    « De nouvelles données sur les soins de santé suggèrent que près de la moitié des patients atteints de coronavirus placés sous respirateur meurent, selon le premier rapport de CNN. Les données ont été recueillies à Northwell Health, le plus grand système hospitalier de l’État de New York. Elles ont révélé qu’environ 20% des patients atteints de COVID-19 sont décédés, et que 88 % des patients placés sous respirateur sont morts ».
  • « La fille blâme le ‘chaos’ de la pandémie de COVID-19 pour le déclin rapide de sa mère« , par Arthur White-Crummey, Regina Leader-Post, 29 mai 2020.
    « La mère de Sue Nimegeers n’a jamais eu le COVID-19, mais elle la compte toujours parmi les victimes de la maladie. Elle n’a jamais été testée positive, mais le chaos de la pandémie elle-même autour de nous, nous le pensons, nous l’a prise beaucoup trop tôt », a déclaré Nimegeers au conseil d’administration de l’Autorité sanitaire du Saskatchewan (SHA) vendredi.
  • « Un rapport « profondément inquiétant » sur les foyers de soins de l’Ontario a été publié« , BBC, 27 mai 2020.
    « M. Ford a déclaré qu’une enquête complète a été lancée sur les allégations selon lesquelles les installations sentaient la nourriture pourrie, infestée de cafards et de mouches, et que des personnes âgées étaient laissées pendant des heures criant au secours alors que le personnel ne répondait pas ».
  • « Rien ne peut justifier cette destruction de vies humaines« , Yoram Lass, ancien directeur du ministère de la santé israélien, sur l’hystérie autour de Covid-19, spiked-online, 22 mai 2020.
    « Yoram Lass : C’est la première épidémie de l’histoire qui s’accompagne d’une autre épidémie – le virus des réseaux sociaux. Ces nouveaux médias ont entraîné un lavage de cerveau de populations entières. Ce que vous obtenez, c’est de la peur et de l’anxiété, et une incapacité à regarder les vraies données. Et donc, vous avez tous les ingrédients pour une hystérie monstrueuse. C’est ce qu’on appelle en science un feedback positif ou un effet boule de neige. Le gouvernement a peur de ses électeurs. C’est pourquoi il met en œuvre des mesures draconiennes. Les électeurs regardent les mesures draconiennes et deviennent encore plus hystériques ».
    – Cuomo minimise les appels à une enquête fédérale sur les décès dus aux coronavirus dans les maisons de retraite : « Demandez au président Trump« , par Andrew O’Reilly | Fox News, 20 mai 2020.
    « Le gouverneur new-yorkais Andrew Cuomo a rejeté mercredi les appels au ministère de la justice pour qu’il ouvre une enquête sur le nombre massif de décès dans les maisons de retraite de l’État lors de la pandémie de coronavirus – affirmant qu’il ne faisait que suivre les directives de l’administration Trump et des Centers for Disease Control and Prevention. Bien qu’aucune enquête officielle n’ait été annoncée, cette spéculation intervient alors que sa directive du 25 mars dernier, qui exigeait que les maisons de retraite accueillent de nouveaux patients infectés par le COVID-19, est passée au crible ».
  • DATE : 25 mars 2020
    A : Administrateurs de maisons de soins infirmiers, directeurs de soins infirmiers et planificateurs de sorties d’hôpital
    DE : Département de la santé de l’État de New York
    Conseil : sorties d’hôpital et admissions dans les maisons de soins
    (Supprimé de : coronavirus.health.ny.gov)
    « Pendant cette urgence sanitaire mondiale, toutes les maisons de retraite doivent se conformer à la réception accélérée des résidents qui reviennent des hôpitaux. Les résidents sont jugés aptes à retourner dans un établissement de soins de santé lorsque le médecin de l’hôpital ou son représentant détermine que le résident est médicalement stable pour le retour. […] Aucun résident ne peut se voir refuser sa réadmission uniquement sur la base d’un diagnostic confiné ou suspecté de COVID-19. Il est interdit aux maisons de retraite d’exiger d’un résident hospitalisé qui est déterminé comme étant médicalement stable qu’il subisse un test de COVID-19 avant son admission ou sa réadmission ».
  • « Les foyers de soins et les centres de vie assistée représentent 42 % des décès par COVID-19 : Une statistique surprenante qui a de profondes implications sur la façon dont nous avons géré la pandémie de coronavirus », par Gregg Girvan, FREOPP, 7 mai 2020.
    « Sur la base d’une nouvelle analyse des rapports de décès COVID-19 par État, il est clair que l’aspect le plus sous-estimé de la nouvelle pandémie de coronavirus est son effet sur une population spécifique d’Américains : ceux qui vivent dans des maisons de soins infirmiers et des centres d’assistance ».
  • « Coupable – de respirer« , par Tony Heller, Tony Heller YouTube Channel, 24 mai 2020.
    « Les confinements ont été vendus il y a des mois dans l’idée d’ »aplatir la courbe ». Dans la plupart des endroits, il n’y a jamais eu beaucoup de courbe à aplatir, mais les dispositifs de confinement sont toujours en place. Des dizaines de millions de personnes voient aujourd’hui leur vie détruite – pour crime de respiration ».
  • « Le « massacre » des résidents des maisons de retraite en Italie : Les patients atteints de Covid-19 dans l’épicentre du virus en Italie, en Lombardie, ont été transférés dans des maisons de retraite par une résolution officielle aux conséquences catastrophiques », par Maria Tavernini et Alessandro Di Rienzo, TRT World, 20 avril 2020.
    « Accueillir des patients du Covid-19 dans des maisons de retraite, c’était comme allumer une allumette dans une botte de foin. »
  • « Mise à jour Coronavirus : Comment le renforcement des hôpitaux pour le COVID-19 a contribué à la crise des soins de longue durée au Canada« , par Jessie Willms et Hailey Montgomery, Globe & Mail, 20 mai 2020.
    « La plupart des résidents des maisons de retraite et de soins qui ont succombé au COVID-19 au Canada sont morts dans des établissements frappés par le virus et manquant de personnel, les lits d’hôpitaux étant vides ».
  • « Il n’y a pas de preuve que les confinements ont sauvé des vies. Il est incontestable qu’ils ont causé un grand préjudice« , par Briggs, wmbriggs.com, 14 mai 2020.
    « En fin de compte, cela ne se résume pas à des statistiques au niveau du pays ou même de la ville. C’est une question de personnes. Chaque individu attrape le virus ou non, vit ou meurt. Pas à cause de son pays, mais à cause de lui-même, de sa santé, de sa situation. Tout individu peut avoir bénéficié d’une mise en quarantaine et d’une perte d’emploi. Tout comme n’importe quel individu peut avoir connu une mauvaise fin après un confinement ».
  • « Les hôpitaux sont mieux payés pour inscrire leurs patients sur la liste COVID-19« , par Tom Kertscher, POLITIFACT, 21 avril 2020.
    « La norme veut que l’assurance maladie paie à l’hôpital environ trois fois plus pour un patient qui utilise un respirateur que pour un autre. L’assurance-maladie ajoute 20 % à ses paiements réguliers aux hôpitaux pour le traitement des victimes du COVID-19. C’est le résultat d’une loi fédérale de relance ».
  • « CDC : 80 000 personnes sont mortes de la grippe l’hiver dernier aux États-Unis, le plus grand nombre de décès en 40 ans« , par Associated Press, STAT News, 26 septembre 2018.
    « On estime que 80 000 Américains sont morts de la grippe et de ses complications l’hiver dernier – le plus grand nombre de décès dus à cette maladie depuis au moins quatre décennies. Le directeur des Centers for Disease Control and Prevention, le Dr Robert Redfield, a révélé ce total dans une interview accordée mardi soir à The Associated Press ».

Denis G. Rancourt

Chercheur, Association des libertés civiles de l’Ontario (ocla.ca)



Références scientifiques

Notes

  1. Voir : « Le système immunitaire : Cellules, tissus, fonction et maladie« , revue médicale par Daniel Murrell, MD le 11 janvier 2018 – Rédigée par Tim Newman, sur medicalnewstoday.com, consulté le 1er juin 2020
  2. « Discours d’ouverture du directeur général de l’OMS lors du point de presse sur COVID-19«  – 11 mars 2020



Critique en 16 points majeurs de la raison « impure » du confinement — Comment en sommes-nous arrivés là ?

[Source : Sott.net]

[Auteur :] J.B. Handley – JBH Blog

Note du traducteur : Bien qu'en grande partie vus d'un point situé aux États-Unis, tous les éléments contenus dans cet article s'appliquent à la plupart des pays occidentaux et notamment à la France. Seize faits imparables à l'aune des publications scientifiques censurées par les médias aux ordres du Mondialisme délétère et impur au sens « entaché d'éléments incontrôlés, indésirables », un esprit du mal qui souille la morale, le social et le religieux par lequel l'âme des humains est attachée à un totalitarisme qui véhicule ses idées psychopathiques. Comme indiqué en fin d'article, l'original en anglais a été publié le 30 mai 2020 et a fait l'objet de mises à jour jusqu'au 8 juin.

Pour qui veut bien regarder, il y a tant de faits qui racontent la vérité, et cette vérité ressemble à cela :

« Compte tenu de ce que nous savons aujourd’hui du taux de mortalité par infection du Covid-19, de l’impact asymétrique selon l’âge et l’état de santé, de la non-transmissibilité par des personnes asymptomatiques et dans des environnements extérieurs, du taux de mortalité quasi nul pour les enfants et de la compréhension de base des virus par la loi de Farr, le confinement de la société fut une stupide décision politique à ce point dévastatrice pour la société que les historiens pourraient la juger comme la pire décision jamais prise. Pire encore, bien que ces dommages soient maintenant reconnus et en dépit du fait que chaque heure passée dans une phase de confinement produit un effet domino dévastateur sur la société, de nombreux décideurs politiques n’ont toujours pas changé d’avis. Pendant ce temps, les médias — à quelques exceptions notables près — sont étrangement silencieux quant aux informations positives. Heureusement, et malgré les critiques extrêmes et la censure d’une foule en colère, désespérée de continuer à mener une guerre imaginaire, un groupe inattendu de héros à travers le paysage politique — dont beaucoup de médecins et de scientifiques — se sont manifestés pour dire la vérité. »

© Inconnu

Mon but est de m’engager dans des faits connus. Vous, le lecteur, pouvez décider si tous ces faits, lorsque vous les rassemblez, correspondent à l’histoire ci-dessus.

Fait n° 1 — Le taux de mortalité par infection du Covid-19 se situe entre 0,07 et 0,20 %, ce qui correspond à la grippe saisonnière

Le taux de mortalité par infection de tout nouveau virus diminue TOUJOURS au fil du temps, à mesure que de nouvelles données sont disponibles, comme pourrait vous le dire n’importe quel virologue. Dans les premiers temps du Covid-19, où nous ne disposions que de données provenant de Chine, on craignait que le taux de mortalité infectieuse puisse atteindre 3,4 pour cent, ce qui eut effectivement été cataclysmique. Le 17 avril, la première étude fut publiée par des scientifiques de Stanford et elle aurait dû mettre immédiatement fin à tous les confinements, les scientifiques ayant indiqué que leurs recherches « impliquent que l’infection est bien plus répandue que ce qu’indique le nombre de cas confirmés » et avaient fixé le taux de mortalité lié à l’infection entre 0,12 et 0,2 pour cent. Ils avaient également spéculé, à mesure que de nouvelles données émergeaient, que le taux final de mortalité lié à l’infection serait probablement « inférieur ». Pour situer le contexte, la grippe saisonnière a un taux de mortalité lié à l’infection de 0,1 pour cent. La variole ? 30 pour cent.

L’étude de Stanford fut la première étude à établir le taux de mortalité par infection du Covid-19, et elle fit alors l’objet de critiques sévères, ce qui a incité le chercheur principal, le Dr John Ioannidis, à souligner ce qui suit :

« On notera la manifestation ici d’une sorte de pensée de groupe qui insiste sur le fait que c’est la fin du monde et que le ciel est en train de nous tomber sur la tête. Elle attaque les études avec des données basées sur la spéculation et la science-fiction. Mais il est ahurissant d’écarter les données réelles en faveur d’une spéculation mathématique. »

Comme toute bonne science, les données de Stanford sur le taux de mortalité par infection ont été reproduites tellement de fois que nos propres Centres de contrôle des maladies ont annoncé cette semaine que leur « meilleure estimation » indiquait un taux de mortalité par infection inférieur à 0,3 pour cent. Dans cet article sur les nouvelles données du CDC, ils ont également souligné comment les baisses en cascade du taux de mortalité par infection ont fait disparaître toutes les craintes apocalyptiques :

« Ce scénario d’« estimation au plus juste » suppose également que 35 pour cent des infections sont asymptomatiques, ce qui signifie que le nombre total d’infections est supérieur de plus de 50 pour cent au nombre de cas symptomatiques. Il implique donc que le taux de mortalité par infection se situe entre 0,2 pour cent et 0,3 pour cent. En revanche, les projections effectuées en mars par le CDC — qui prévoyaient que jusqu’à 1,7 million d’Américains pourraient, sans intervention, mourir du Covid-19 — supposaient un taux de mortalité par infection de 0,8 pour cent. À peu près au même moment, des scientifiques de l’Imperial College avaient élaboré un scénario catastrophe dans lequel 2,2 millions d’Américains mourraient, sur la base d’un taux de mortalité par infection de 0,9 pour cent. »

Si vous n’êtes toujours pas convaincu que le taux de mortalité par infection du Covid-19 correspond à peu près à une mauvaise saison de grippe, l’analyse la plus complète qu’il m’ait été donné de lire provient de l’université d’Oxford, qui a récemment déclaré :

« En tenant compte de l’expérience historique, des tendances des données, du nombre accru d’infections dans la population au sens large et de l’impact potentiel d’une mauvaise classification des décès, on obtient une estimation présumée du taux de mortalité par infection du Covid-19 qui se situe entre 0,1 pour cent et 0,41 pour cent. »

Grâce au nombre important d’études du taux de mortalité par infection qui ont été réalisées dans le monde entier en avril et début mai, le Dr Ioannidis de Stanford a finalement publié la semaine dernière une méta-analyse dans laquelle il a examiné DOUZE études distinctes du taux de mortalité par infection et sa conclusion est à ce point excellente que je vous laisse la découvrir :

« Le taux de mortalité par infection (IFR), c’est-à-dire la probabilité pour une personne infectée de mourir, est l’une des caractéristiques les plus critiques et les plus contestées de la pandémie de maladie à coronavirus 2019 (Covid-19). La charge de mortalité totale attendue pour le Covid-19 est directement liée à l’IFR. En outre, la justification de diverses interventions de santé publique non pharmacologiques dépend de manière cruciale de cet IFR. Certaines interventions agressives susceptibles d’induire également des dommages collatéraux plus prononcés peuvent être considérées comme appropriées, si l’IFR est élevé. À l’inverse, les mêmes mesures peuvent ne pas atteindre les seuils de risque et de bénéfice acceptables si l’IFR est faible… Il est intéressant de noter qu’en dépit de leurs différences de conception, d’exécution et d’analyse, la plupart des études fournissent des estimations d’IFR ponctuelles qui se situent dans une fourchette relativement étroite. Sept des douze IFR estimés se situent dans une fourchette de 0,07 à 0,20 (IFR corrigé de 0,06 à 0,16), ce qui est similaire aux valeurs IFR de la grippe saisonnière. Trois valeurs sont légèrement supérieures (IFR corrigé de 0,25-0,40 à Gangelt, Genève et Wuhan) et deux sont légèrement inférieures à cette fourchette (IFR corrigé de 0,02-0,03 à Kobe et dans l’Oise). »

Avis n°1 — Dr. Scott Atlas

Dr. Scott Atlas
© Inconnu

Le Dr Scott Atlas de Stanford a — peu après la publication des données de l’étude de Stanford dont il n’était pas auteur — publié un article d’opinion dans le journal The Hill avec le titre « Les données sont là — arrêtez la panique et mettez fin à l’isolement total ». Il a écrit :

« La récente étude de l’université de Stanford sur les anticorps estime maintenant que le taux de mortalité en cas d’infection est probablement de 0,1 à 0,2 pour cent, ce qui constitue un risque bien inférieur aux précédentes estimations de l’Organisation mondiale de la santé qui étaient 20 à 30 fois plus élevées et qui motivaient les politiques d’isolement… Arrêtons de sous-estimer les preuves empiriques et doublons plutôt les modèles hypothétiques. Les faits sont importants. »

Les faits sont importants, mais personne n’a écouté. L’article du Dr Atlas sert également de cadre de référence au Fait n°2.

Fait n° 2 — Le risque de mourir du Covid-19 est bien plus élevé que l’IFR moyen pour les personnes âgées et celles souffrant de comorbidité, bien plus faible que l’IFR moyen pour les jeunes personnes en bonne santé, et proche de zéro pour les enfants

En janvier 2020, Los Angeles a connu une épidémie de grippe qui a causé la mort de plusieurs enfants ; le Los Angeles Times notait qu’« une souche improbable de grippe a rendu malade et tué en cette saison de grippale un nombre inhabituellement élevé de jeunes en Californie ». Le Covid-19 est à l’opposé de cela. Le Dr Ioannidis, de Stanford, a déclaré : « Comparé à presque toutes les autres causes de maladie auxquelles je peux penser, [le Covid] épargne vraiment les jeunes. »

Le rapport du CDC sur les décès par Covid selon l’âge — Du 1er février au 16 mai

L’Italie a indiqué il y a trois jours que 96 pour cent des Italiens qui sont morts du Covid-19 souffraient déjà « d’autres maladies » et étaient en moyenne âgés de 80 ans. Selon Bloomberg, le chef de l’ISS [Institut supérieur de Santé en Italie – NdT], Silvio Brusaferro, a déclaré lors d’une conférence de presse vendredi :

« Les derniers chiffres montrent que les nouveaux cas et les décès ont un profil commun : ce sont principalement des personnes âgées souffrant d’autres maladies. »

Les meilleures données sur la répartition de l’âge des populations atteintes qu’il m’ait été donné de lire proviennent de Worldometers.info. Voici leur graphique d’estimation du taux de mortalité par groupe d’âge. Veuillez noter que le taux de mortalité est BIEN plus élevé que le taux de mortalité en cas d’infection parce que le taux de mortalité utilise les cas confirmés de Covid-19 comme dénominateur, mais il indique à quel point les taux de mortalité sont différents selon l’âge.

© Worldometers.com
TRADUCTION — Taux de mortalité = (nombre de décès / nombre de cas) = probabilité de décès en cas d'infection par le virus (%). Cette probabilité diffère selon le groupe d'âge. Les pourcentages indiqués ci-dessous ne doivent pas nécessairement totaliser 100 pour cent , car ils ne représentent PAS la part des décès par groupe d'âge. Ils représentent plutôt, pour une personne d'un groupe d'âge donné, le risque de mourir si elle est infectée par le Covid-19.

Bien que ces données soient « brutes », on peut extrapoler sans risque qu’une personne de plus de 80 ans risque sérieusement de mourir du Covid-19 alors qu’un enfant ne court pratiquement aucun risque. Ce fait devrait orienter les politiques, comme l’explique le Dr Atlas :

« Dans l’État de New York, les deux tiers des cas mortels concernaient des patients de plus de 70 ans, plus de 95 pour cent avaient plus de 50 ans et environ 90 pour cent de tous les cas mortels souffraient déjà d’une autre maladie. Sur les 6 570 décès par Covid-19 confirmés et ayant fait l’objet d’une enquête approfondie pour déterminer à ce jour la présence d’une comorbidité, 6 520, soit 99,2 pour cent, souffraient d’une maladie sous-jacente. Si vous ne souffrez pas à la base d’une maladie chronique, vos chances de mourir sont faibles, quel que soit votre âge. Et les jeunes adultes et les enfants en bonne santé ne courent pratiquement aucun risque de contracter une maladie grave à cause du Covid-19. »

Considérez cet excellent article du British Medical Journal, intitulé « La protection contre le Covid-19 doit être répartie en fonction du risque », écrit par des professeurs de l’université de Cambridge :

« Protéger les personnes qui risquent le plus de mourir du Covid-19 tout en assouplissant les restrictions imposées aux autres permet de progresser dans l’épidémie de SRAS-CoV-2, étant donné que le virus a peu de chances de disparaître dans un avenir prévisible. De telles approches ciblées nécessiteraient toutefois de s’éloigner de l’idée que nous sommes tous gravement menacés par la maladie, ce qui a conduit à des niveaux de panique individuelle étonnamment inadaptés au risque concret de décès. L’objectif devrait plutôt être de communiquer des niveaux de risque réalistes tels qu’ils s’appliquent à différents groupes, non pas pour rassurer ou effrayer, mais pour permettre des décisions individuelles éclairées dans un contexte d’incertitude inévitable. »

Un exemple simple : fermer les écoles n’a pratiquement aucun sens compte tenu de ce que nous savons du Covid-19 ; les laisser ouvertes et protéger les enseignants de plus de 60 ans — pour choisir une limite d’âge quelque peu défendable — pourrait s’avérer bien plus sensé. C’est pourquoi tant de pays apparemment désireux de respecter davantage les données que nous ne le faisons ici aux États-Unis ont déjà rouvert leurs écoles. En fait, les écoles du Danemark sont ouvertes depuis la mi-avril ! Et, pour ceux qui tiennent les comptes,Reuters a déclaré juste hierque «la réouverture des écoles au Danemark n’a pas aggravé l’épidémie, comme le montrent les données». Voici une citation :

« Peter Andersen, docteur en épidémiologie et prévention des maladies infectieuses à l’Institut danois du sérum a déclaré jeudi à Reuters qu’« On ne voit aucun effet négatif lié à la réouverture des écoles ». En Finlande, un haut fonctionnaire a annoncé mercredi des résultats similaires, en précisant que rien jusqu’ici ne suggérait que le coronavirus s’était propagé plus rapidement depuis la réouverture des écoles à la mi-mai. »

Voici un autre excellent article sur les écoles, intitulé « C’est la peur — et non la science — qui empêche nos enfants d’être éduqués », paru la semaine dernière dans le journal The Telegraph :

« Il y a peu de choses dont nous pouvons être absolument certains à propos du coronavirus — c’est une maladie toute nouvelle et nos connaissances s’enrichissent de jour en jour — mais la plupart des preuves disponibles jusqu’à présent suggèrent fortement que les enfants ne souffrent pas du coronavirus et ne le propagent pas. Des études menées en Corée du Sud, en Islande, en Italie, au Japon, en France, en Chine, aux Pays-Bas et en Australie s’accordent toutes à dire que les jeunes ne sont « pas impliqués de manière significative dans la transmission du Covid », pas même à leurs parents et à leurs frères et sœurs.

La paranoïa des adultes, alimentée par des messages gouvernementaux exagérés, l’intransigeance des syndicats et les connivences avec les médias, est maintenant infligée aux plus jeunes membres de notre société pour lesquels le virus représente une menace que de si rares scientifiques qualifient de « statistiquement non pertinente ». Au lieu de comptines, les jeunes enfants pourraient bientôt être invités à chanter une sorte de ritournelle intitulée La chanson des deux mètres en tendant les bras pour tenir leurs amis à distance. »

Une toute nouvelle étude scientifique publiée le 28 mai en Irlande du Nord montre clairement que les écoliers ne sont PAS vecteurs du Covid-19. Intitulée « Aucune preuve de transmission secondaire du Covid-19 par des enfants scolarisés en Irlande, 2020 », l’étude ne pourrait pas être plus claire :

« Ces résultats suggèrent que les écoles ne sont pas un lieu à haut risque pour la transmission du Covid-19 entre élèves ou entre le personnel et les élèves. Compte tenu du caractère problématique de la fermeture des écoles décrit par Bayhem [4] et Van Lanker [5], leurs réouvertures devraient être considérées comme une mesure à prendre de façon précoce plutôt que tardive. »

Enfin, le Dr Scott Atlas a abordé le thème des écoles dans cette récente interview :

« Il n’y a aucune raison scientifique de fermer les écoles de la maternelle à la terminale, d’imposer des masques ou une distanciation sociale aux enfants, ni de suspendre les activités estivales. Nous savons maintenant que le risque de décès et le risque de maladie, même grave, sont presque nuls chez les moins de 18 ans.»

Mise à jour rapide — Après que j’aie rédigé ceci, le Wall Street Journal a publié un article intitulé « La réouverture des écoles est-elle sans danger ? ». Ces pays disent oui. Pour moi, il s’agit d’une sorte de test décisif destiné aux pays dont les responsables de la santé publique sont indépendants et s’appuient sur des données objectives pour mener leurs actions, et je donne un « F » aux États-Unis pour son approche actuelle :

« Mais le Danemark, l’Autriche, la Norvège, la Finlande, Singapour, l’Australie, la Nouvelle-Zélande et la plupart des autres pays qui ont rouvert les établissements scolaires et les jardins d’enfants n’ont enregistré aucune épidémie… « Au Danemark, l’ouverture des écoles n’a pas eu d’impact sur la progression de l’épidémie », a déclaré Tyra Grove Krause, un haut fonctionnaire de l’Institut national du sérum, l’agence de contrôle des maladies du pays… « Depuis la réouverture des écoles et des jardins d’enfants en Autriche le 18 mai, aucune augmentation des infections n’y a été observée », a déclaré un porte-parole du gouvernement… En Norvège, le gouvernement « ne refermera pas les écoles même si le nombre de cas se mettait à augmenter, car la réouverture des écoles le 20 avril n’a eu de aucune incidence négative », a déclaré le ministre de l’éducation Guri Melby. »

Combien d’autres pays doivent rouvrir leurs écoles avant que les États-Unis ne suivent ? Sérieusement, c’est un peu gênant d’être américain… à mon avis, on a l’air d’abrutis.

Mise à jour n°2 — Le Dr Scott Atlas a doublé la mise le 1er juin avec cet excellent opus en regard de la page éditoriale, une fois de plus dans The Hill, intitulé « La Science dit qu’il faut ouvrir les écoles ». Comme d’habitude, il est incroyablement éloquent, en voici un extrait, bien qu’en lire chaque mot en vaille la peine, ça déchire tout simplement :

« Tout cela frise l’absurde, alors que nous savons maintenant que la distanciation sociale et l’application d’un masque sur le visage des enfants sont totalement inutiles.

Jamais les écoles n’ont soumis les enfants à un environnement aussi malsain, inconfortable et anti-éducatif, de sorte que la science n’est pas capable de définir précisément le préjudice total qui en résultera. Mais la science nous dit que les risques liés au Covid-19 sont trop minimes pour sacrifier le bien-être éducatif, social, émotionnel et physique — sans parler de la santé même — de nos jeunes. »

Note spéciale — Il existe un nouveau croque-mitaine, la maladie de Kawasaki, que certains essaient de relier au Covid-19. Voici un excellent article à ce sujet, ou consultez le site web de la Fondation britannique pour la maladie de Kawasaki, où il est question de la « mauvaise gestion des informations » concernant cette même maladie. Le dernier article du Dr Atlas aborde également ce sujet :

« Qu’en est-il de cette nouvelle menace assimilée à la maladie de Kawasaki, récemment montée en épingle en l’associant au Covid-19 ? En fait, l’association est extrêmement faible, et l’incidence de la maladie est elle-même rare, ne touchant que 3 000 à 5 000 enfants aux États-Unis chaque année. Il est important de noter que le syndrome est typiquement traitable et n’a jamais été considéré auparavant comme un risque grave au point que les écoles doivent être fermées. »

Fait n° 3 — Les personnes infectées par le Covid-19 qui sont asymptomatiques (c’est-à-dire la plupart d’entre elles) ne propagent PAS le Covid-19

Le 13 janvier 2020, une femme de 22 ans ayant des antécédents de cardiopathie congénitale s’est rendue aux urgences de l’hôpital populaire de la province de Guangdong, se plaignant de divers symptômes communs aux personnes atteintes de son affection, notamment l’hypertension pulmonaire et l’essoufflement dû à une déformation inter-auriculaire — un trou dans le cœur. Elle était loin de se douter que son cas déclencherait une cascade d’événements qui a donné lieu à un article récemment publié qui aurait dû mettre fin simultanément à tous les confinements dans le monde. Après trois jours d’hospitalisation, son état s’améliorait. Des tests de routine ont été effectués et, à la surprise des cliniciens, elle a été testée positive au Covid-19. Comme l’ont noté les médecins, « la patiente n’a jamais eu de fièvre, de mal de gorge, de myalgie ou d’autres symptômes associés à une infection virale ». Autrement dit, elle était totalement asymptomatique au Covid-19.

Hôpital populaire de la province de Guangdong
© nandu.com

Trouver des personnes infectées par le Covid-19 qui sont asymptomatiques est laborieux, dans la mesure elles ne cherchent pas à se faire soigner. Ici, dans l’Oregon où je vis, effectuer le test du Covid-19 n’est même pas possible à moins d’avoir des symptômes. Les astres se sont donc alignés pour placer cette femme dans un hôpital avec des scientifiques étudiant le Covid-19, et elle a fait l’objet d’une vaste étude de contact relationnel publiée le 13 mai dans Respiratory Medicine, intitulée « Une étude sur l’infectiosité des porteurs asymptomatiques du SRAS-CoV-2 ».

Les chercheurs voulaient savoir si cette femme, infectée par le Covid-19 mais ne présentant aucun symptôme, avait infecté quelqu’un d’autre. Ils ont donc choisi d’examiner chacun de ses contacts qu’ils ont pu identifier au cours des cinq jours précédant son test positif. Combien de personnes ont-ils dû dépister ? 455. Ce n’est pas un petit nombre, comme l’expliquent les chercheurs :

« 455 contacts exposés au porteur asymptomatique du virus Covid-19 ont fait l’objet de nos recherches. Ils ont été répartis en trois groupes : 35 patients, 196 membres de la famille et 224 membres du personnel hospitalier. Nous avons extrait leurs informations épidémiologiques, leurs dossiers cliniques, leurs résultats d’examens auxiliaires et leurs historiques thérapeutiques. »

Comme vous pouvez le voir, l’hospitalisation de cette femme fut à l’origine de la plupart des contacts qu’elle a pu avoir, tant avec d’autres patients qu’avec de nombreux membres du personnel de l’hôpital. De façon notable, tous ces contacts ont eu lieu dans un cadre intérieur et on peut dire que beaucoup d’entre eux — du moins avec le personnel hospitalier — auraient impliqué des contacts relativement intimes. Parmi les patients, la moyenne d’âge était de 62 ans, ce qui les rendait sans doute plus à risque, et beaucoup de ces patients étaient immunodéprimés pour diverses raisons, notamment des chimiothérapies et des maladies cardiovasculaires. Donc, sur les 455 personnes, combien ont été infectées par la femme asymptomatique de 22 ans ?

« En résumé, les 455 contacts ont été exclus de l’infection par le SRAS-CoV-2… »

Autrement dit, aucune personne n’a été infectée. Les scientifiques, en en minimisant l’importance de façon typique, commentent la question que, j’espère, vous vous posez en ce moment — à savoir, pourquoi sommes-nous tous confinés si les personnes asymptomatiques atteintes du Covid-19 ne peuvent pas propager l’infection — en déclarant : « le résultat de cette étude pourrait atténuer une partie des inquiétudes du public concernant les personnes infectées asymptomatiques. »

Si cette étude avait été publiée au début du mois de mars, les probabilités que le monde soit confiné auraient été très, très faibles. Pourtant, cette étude, publiée il y a seulement deux semaines, n’est mentionnée nulle part dans les médias pas plus qu’elle ne l’est par les décideurs politiques. Elle existe simplement, et communique la vérité à quiconque veut bien y prêter attention.

Mise à jour rapide sur le fait n°3 — De tous les faits présentés, ce dernier a reçu le plus de commentaires négatifs de la part des sceptiques qui affirment qu’il est basé sur une seule étude publiée. Bien sûr, la science se construit dans le temps, donc la critique est légitime, c’est pourquoi cette annonce de l’Organisation mondiale de la santé aujourd’hui — 8 juin — constitue un coup de griffe pour quiconque prétend encore que des personnes asymptomatiques peuvent propager le Covid-19 :

Déclaration de l’OMS le 8 juin 2020 – Le coronavirus propagé par des personnes ne présentant aucun symptôme « semble être rare », selon un responsable de l’OMS
© CNN

Contrairement à moi, l’Organisation mondiale de la santé est au courant des nouvelles données provenant des études menées dans le monde entier. C’est pourquoi cette citation de Maria Van Kerkhove, responsable technique de l’OMS pour la lutte contre le coronavirus, est si importante :

« D’après les données dont nous disposons, il semble toujours aussi rare qu’une personne asymptomatique transmette effectivement à un individu secondaire. Nous disposons d’un certain nombre de rapports émanant de plusieurs pays effectuant des recherches très détaillées sur les contacts. Ils suivent les cas asymptomatiques, ils suivent les contacts et ils ne trouvent aucune transmission secondaire ultérieure. C’est très rare — et une grande partie de ces faits n’est pas publié dans la littérature [scientifique – NdT]. Nous examinons constamment ces données et nous essayons d’obtenir plus d’informations issus des différents pays pour répondre vraiment à cette question. Qu’un individu asymptomatique transmette ultérieurement la maladie de façon effective semble toujours aussi rare. »

Pendant ce temps, tant de règles absurdes ont été élaborées que l’on présume que les personnes asymptomatiques PEUVENT répandre le Covid-19. En fait, j’ai également lu aujourd’hui que le surintendant de Californie a publié des directives pour l’ouverture des écoles à l’automne, qui incluront probablement le port du masque pour tous les élèves… c’est tout simplement incroyable à quel point les fonctionnaires semblent diverger de ce que les FAITS nous disent ! Savoir que le Covid-19 n’est pas transmis par les personnes asymptomatiques fait que 99 pour cent des mesures prises contre le Covid-19 sont complètement inutiles et que les conseils de santé publique devraient devenir également extrêmement simples : si vous êtes malade, restez chez vous. Tous les autres ? Continuez à vivre normalement. À quel moment les faits observés sur le terrain et l’imposition absurde de règles aléatoires vont-ils se confronter d’une manière ou d’une autre ? Bientôt, je l’espère, et je m’appuie sur les faits.

Fait n° 4 — La science émergente ne montre aucune propagation du Covid-19 dans les espaces collectifs (magasins, restaurants, coiffeurs, etc.)

« Il n’existe pas de risque significatif de contracter la maladie en faisant ses courses. Les cas graves d’infection ont toujours été le résultat d’un contact rapproché entre des individus pendant une longue période… »

~ Professeur Hendrick Streek, Université de Bonn

Nous venons d’apprendre que les personnes asymptomatiques infectées par le Covid-19 ont très peu de chances de pouvoir transmettre l’infection à d’autres individus. Des études scientifiques récentes ont été publiées et elles montrent que la transmission du Covid-19 dans les établissements de vente au détail estextrêmement improbable. Le professeur Hendrik Streeck de l’université de Bonn dirige une étude en

Dr. Hendrick Streek
© Inconnu

Allemagne concernant la région durement touchée de Heinsberg et ses conclusions, issues de travaux de laboratoire déjà réalisés, sont très claires :

« Il n’existe pas de risque significatif de contracter la maladie en faisant ses courses. Les cas graves d’infection ont toujours été le résultat d’un contact rapproché entre des individus pendant une longue période.

Lorsque nous avons prélevé des échantillons sur les poignées de porte, les téléphones ou les toilettes, il n’a pas été possible — sur la base de ces prélèvements — de cultiver le virus en laboratoire… »

Houlà ! Voulez-vous dire que fermer les parcs, fermer les magasins, porter des gants et des masques à l’épicerie, fumiger nos courses, et que faire preuve d’une paranoïa générale n’était pas nécessaire ? Comme le confirme le Dr. Streeck :

« Il est important d’obtenir ces données afin de s’assurer que les décisions sont prises sur la base de faits plutôt que d’hypothèses. Les données doivent servir de base d’information pour le gouvernement afin qu’il puisse ensuite réfléchir à la suite de ses actions. »

Et il continue :

« Les gens pourraient perdre leur emploi. Ils pourraient ne plus être en mesure de payer leur loyer et rester plus longtemps confiné peut entraîner un affaiblissement de notre système immunitaire.

L’objectif n’est pas d’endiguer complètement le virus. Nous devons savoir où se situent les limites de capacité réelles de nos hôpitaux. À partir de combien d’infections estime-t-on qu’il y en a trop ? Que disent les médecins des soins intensifs ? »

Pour finir avec :

« Il est important de commencer à réfléchir à une stratégie de « retour en arrière » et l’espoir qu’elle porte consiste à fournir les faits pertinents afin que les décisions soient prises sur une bonne base. »

Fait n° 5 — Les publications scientifiques montrent que le Covid-19 ne se propage PAS dans les espaces extérieurs

Non. Ne faites pas ça.
© Inconnu

Dans une étude intitulée « Transmission du SRAS-CoV-2 dans les espaces intérieurs » et publiée le 2 avril 2020, des scientifiques ont étudié des potentielles épidémies issues de trois personnes ou plus dans 320 villes différentes en Chine sur une période de cinq semaines à partir de janvier 2020 en essayant de déterminer OÙ les épidémies ont commencé : à la maison, sur le lieu de travail, à l’extérieur, etc. Qu’ont-ils découvert ? Près de 80 pour cent des épidémies se sont produites dans l’environnement domestique. Le reste s’est produit dans des bus et des trains bondés. Mais qu’en est-il de l’extérieur ? Les scientifiques ont écrit :

« Tous les foyers identifiés de trois cas ou plus se sont produits dans un environnement intérieur, ce qui confirme que le partage d’un espace intérieur est un risque majeur d’infection par le SRAS-CoV-2. »

Autrement dit, il n’existe pas vraiment de données scientifiques pour étayer toutes les interdictions d’activités extérieures que mon État d’origine, l’Oregon, et tant d’autres États ont mises en place. Je vous laisse sur ma citation préférée de l’étude parce qu’il est vraiment exaspérant de la lire quand on considère certaines des façons dont les gouverneurs ici aux États-Unis [et ailleurs – NdT] se sont comportés — et certains le font encore — en interdisant toutes sortes d’activités de plein air, en arrêtant les pagayeurs sur l’eau, etc. :

« La transmission d’infections respiratoires telles que le SRAS-CoV-2 des personnes infectées aux personnes sensibles est un phénomène propre aux espaces intérieurs. »

Mise à jour rapide — Apparemment, le ministre de la santé de la Colombie britannique au Canada est entré en possession de cette information comme le montre cet article paru le 1er juin :

© BC News

L’article dit ceci :

« L’un des principaux responsables de la santé en Colombie-Britannique, cependant, affirme que les professionnels de la santé ont une idée assez précise de la façon dont le virus est transmis. Il n’y a absolument aucune preuve que cette maladie est aéroportée, et nous savons que si elle l’était, alors les mesures que nous avons prises pour contrôler le Covid-19 n’auraient pas fonctionné », a déclaré le Dr Reka Gustafson, l’agent sanitaire provincial adjoint de la Colombie-Britannique, à CTV Morning Live Monday. « La grande majorité des transmissions du Covid-19 se fait par contact étroit et prolongé, et ce n’est pas le mode de transmission que nous observons pour les maladies transmises de façon aéroportée », a-t-elle ajouté. »

J’espère vraiment que la Major League Baseball, la National Football League et le Championnat NCAA de basket-ball y prêtent attention… sans parler de tous les habitants de Portland qui continuent à faire du vélo et à courir avec des masques sur le visage.

Fait n°6 — La science montre que les masques sont inefficaces pour stopper la propagation du Covid-19, et l’OMS recommande qu’ils ne soient portés que par des personnes en bonne santé si elles traitent ou vivent avec une personne infectée par le Covid-19

Aujourd’hui même, l’Organisation mondiale de la santé a annoncé que les masques ne devraient être portés par les personnes en bonne santé que si elles prennent soin d’une personne infectée par le Covid-19 :

« Si vous n’avez pas de symptômes respiratoires tels que fièvre, toux ou écoulement nasal, vous n’avez pas besoin de porter un masque », déclare le Dr April Baller, spécialiste de la santé publique à l’OMS, dans une vidéo publiée en mars sur le site web de l’Organisation mondiale de la santé. « Les masques ne doivent être utilisés que par les professionnels de santé, les soignants ou les personnes qui présentent des symptômes de fièvre et de toux. »

Juste avant la folie du Covid-19, des chercheurs de Hong Kong ont soumis une étude pour publication sous le titre « Mesures non pharmaceutiques pour une pandémie de grippe dans des environnements non médicaux — Mesures de protection personnelle et environnementale ». Curieusement, l’étude, qui vient d’être publiée ce mois-ci, est en fait hébergée sur le propre site web du CDC, et contredit directement les récents conseils du CDC concernant le port d’un masque. En effet, l’étude déclare :

« Dans notre étude méthodique, nous avons identifié dix essais randomisés contrôlés qui ont rapporté des estimations de l’efficacité, confirmées en laboratoire, de l’utilisation des masques faciaux dans la réduction des infections par le virus de la grippe au sein de la communauté et à partir de la littérature publiée entre 1946 et le 27 juillet 2018… Dans l’analyse regroupée, nous n’avons trouvé aucune réduction significative de la transmission de la grippe avec l’utilisation de masques faciaux… Notre étude méthodique n’a trouvé aucun effet significatif, confirmé en laboratoire, dans le port des masques faciaux sur la transmission de la grippe… L’utilisation correcte des masques faciaux est essentielle car une mauvaise utilisation pourrait augmenter le risque de transmission. »

En clair : rien ne prouve que le port de masques réduit la transmission des maladies respiratoires et, si les masques sont portés de manière inappropriée — comme lorsque les gens réutilisent des masques en tissu — la transmission pourrait en fait AUGMENTER. De plus, cette étude était une méta-analyse, ce qui signifie qu’elle a creusé profondément dans les archives de la science — jusqu’en 1946 ! — pour arriver à ses conclusions. En d’autres termes, il s’agit d’une étude aussi complète que possible, et ses conclusions sont très claires : le port des masques dans la population générale ne montrent aucun signe d’efficacité dans le ralentissement de la propagation des virus respiratoires ou dans la protection des individus.

Soupirs…
© Inconnu

Cette étude est loin d’être la seule à parvenir à cette conclusion — ce qui rend d’autant plus incroyable le choix d’une chaîne d’épicerie comme ma chère « New Seasons » de rendre les masques obligatoires pour tous ses clients. Le but de la science est d’arbitrer ces questions épineuses et, bien que la science soit claire, l’hystérie continue. Il s’avère que l’efficacité des masques fait depuis longtemps l’objet de débats au sein de la communauté médicale, ce qui explique pourquoi tant de travaux scientifiques ont été réalisés sur le sujet. Je me contenterai de souligner quelques études avant que vous ne vous endormiez :

Mon article préféré est en fait une revue d’une grande partie de la science et c’est un excellent point de départ pour tous ceux qui aiment faire leurs propres recherches. Intitulé « Pourquoi les masques faciaux ne fonctionnent pas — Une étude révélatrice », il a été écrit pour contester la nécessité pour les dentistes de porter des masques, mais toutes les données scientifiques citées et les conclusions tirées s’appliquent aux agents pathogènes aéroportés dans n’importe quel contexte. Quelques-unes des meilleures citations :

« La science relative à la transmission des maladies infectieuses aéroportées est basée depuis des années sur ce qui est maintenant considéré comme « une recherche très dépassée et une interprétation trop simpliste des données ». Les études modernes utilisent des instruments sensibles et des techniques d’interprétation pour mieux comprendre la taille et la distribution des particules d’aérosols potentiellement infectieuses… La raison principale pour laquelle le port du masque facial est obligatoire est de protéger le personnel dentaire des agents pathogènes transmis par l’air. Cet examen a établi que les masques faciaux sont incapables d’assurer un tel niveau de protection. »

Et ma citation favorite :

« Il faut conclure de ces études et d’autres similaires que le matériau filtrant des masques faciaux ne retient ni ne filtre les virus ou autres particules sub-microniques. Si l’on ajoute à cette constatation la mauvaise adaptation des masques, on comprend aisément que ni la performance des filtres ni les caractéristiques d’adaptation des masques ne les qualifient de dispositifs de protection contre les infections respiratoires. »

Voici un article publié le mois dernier dans ResearchGate écrit par le célèbre physicien canadien D.G. Rancourt, directement en réponse à l’épidémie de Covid-19. Intitulé, « Les masques ne fonctionnent pas — Une revue de la science en rapport avec la politique sociale en réponse au Covid-19 » :

« Les masques et les respirateurs artificiels ne fonctionnent pas. Des études approfondies d’essais contrôlés randomisés (ECR) et des méta-analyses d’études d’ECR ont montré que les masques et les respirateurs artificiels ne fonctionnent pas dans la prévention des maladies respiratoires de type grippal, ou les maladies respiratoires que l’on pense être transmises par des gouttelettes et des particules d’aérosol. En outre, les données physiques et biologiques pertinentes que j’ai examinées sont telles que les masques et les respirateurs artificiels ne devraient pas fonctionner. Il serait paradoxal que les masques et les respirateurs artificiels fonctionnent, compte tenu de ce que nous savons sur les maladies respiratoires virales, à savoir que la principale voie de transmission est celle des particules d’aérosols qui séjournent sur une longue période (< 2,5 μm), celles qui sont trop fines pour être filtrées, et que la dose infectieuse minimale est inférieure à une particule d’aérosol. »

Pour le dire simplement : pour qu’un masque couvrant à la fois le nez et la bouche soit vraiment efficace, il faut que vous vous asphyxiez. Dès que le masque vous permet de respirer, il ne peut plus filtrer les microparticules qui vous rendent malade.

Enfin, je vois souvent cette étude de 2015 citée dans le British Medical Journal : « Un essai randomisé par groupe de masques en tissu comparés à des masques médicaux utilisés par les professionnels de santé », et elle mérite d’être citée à nouveau, car la PLUPART des masques que je vois actuellement qui sont portés dans la ville sont des masques en tissu. Non seulement ces masques sont inefficaces à 100 pour cent pour réduire la propagation du Covid-19, mais ils peuvent même vous nuire. Comme l’expliquent les scientifiques :

« Cette étude est le premier essai contrôlé randomisé (ECR) sur les masques en tissu, et les résultats mettent en garde contre leur utilisation. C’est une conclusion importante pour prévenir la santé et la sécurité au travail. La rétention d’humidité, la réutilisation des masques en tissu et une mauvaise filtrationpeuvent entraîner un risque accru d’infection. Des recherches supplémentaires sont nécessaires pour prévenir l’utilisation généralisée des masques en tissu dans le monde. »

Un risque accru d’infection ? Oui, c’est ce qui est écrit. D’autres études ont également examiné l’impact des masques sur votre niveau d’oxygène — puisque vous êtes obligé de respirer à nouveau votre propre CO2 — et le résultat de cet impact n’est pas bon. Les scientifiques ont examiné les niveaux d’oxygène des chirurgiens qui portent des masques lors d’une opération et ont constaté que « une diminution du taux de saturation en oxygène des pulsations artérielles (SpO2) et une légère augmentation de la fréquence des pulsations cardiaques par rapport aux valeurs préopératoires dans tous les groupes de chirurgiens ».

Pas plus tard que la semaine dernière, cet article est paru dans le New England Journal of Medicine, écrit par plusieurs médecins et responsables de la santé publique sous le titre « Le port du masque généralisé dans les hôpitaux à l’ère du Covid-19 », et cette déclaration semble parfaite pour conclure cette discussion sur les masques :

« Nous savons que le port d’un masque en dehors des établissements de santé n’offre que peu, voire aucune protection contre les infections. Les autorités de santé publique définissent une exposition significative au Covid-19 par un contact face à face dans un rayon d’un mètre avec un patient présentant un Covid-19 symptomatique, si ce contact persiste pendant au moins quelques minutes — et certains disent plus de 10 minutes ou même 30 minutes. La probabilité d’attraper le Covid-19 lors d’une interaction passagère dans un espace public est donc minime. Dans de nombreux cas, le désir de porter un masque de façon généralisée est une réaction instinctive à l’anxiété suscitée par la pandémie. »

Fait n° 7 — Aucune donnée scientifique ne vient étayer la magie d’une barrière induite par une distance de deux mètres

Selon cet article, l’Islande a déjà rendu la règle de distanciation à deux mètres facultative. La raison de cette recommandation de garder deux mètres de distance avec vos concitoyens pendant la pandémie remonte à 1930, comme expliquée ici par la BBC :

Heu… non.

« D’où vient la règle des deux mètres ? Il est surprenant de constater qu’elle remonte à des recherches menées dans les années 1930. À l’époque, les scientifiques ont établi que les gouttelettes de liquide libérées par la toux ou les éternuements s’évaporent rapidement dans l’air ou sont entraînées par la gravité jusqu’au sol. Et la majorité de ces gouttelettes, selon eux, atterriraient dans un rayon de un à deux mètres. C’est pourquoi on dit que les plus grands risques découlent du virus qui sera projeté par quelqu’un qui tousse près de vous ou lorsqu’il entre en contact avec une surface près de laquelle quelqu’un a toussé — et que vous touchez vous-mêmes cette surface pour ensuite toucher votre visage. Peut-on en être sûr ? »

Êtes-vous impressionné par cette science ? Moi non plus. Comme l’explique ce merveilleux article :

« Quelques études préliminaires suggèrent que les gouttelettes contaminées pourraient rester en suspension dans l’air pendant quelques heures et présenter un risque. Mais cette recherche s’accompagne d’une mise en garde : «Bien que cette recherche indique que les particules virales peuvent se propager par l’intermédiaire des bio-aérosols, les auteurs ont déclaré que la découverte de virus infectieux s’est avérée impossible et que des expériences sont en cours pour déterminer l’activité virale dans les échantillons collectés », a écrit le Dr Harvey Fineberg des National Academies of Science, Engineering, and Medicine au début de ce mois. »

Il va plus loin :

« Et la crainte répandue qu’un passant au hasard infecte un étranger ? Voici d’autres informations du CDC sur les écoles primaires : « On pense que le Covid-19 se propage principalement par contact étroit de personne à personne dans les gouttelettes respiratoires d’une personne infectée. Les personnes infectées présentent souvent des symptômes de maladie. Certaines personnes ne présentant pas de symptômes peuvent être capables de propager le virus », [ce que la science chinoise a prouvé être faux].

Non seulement ce genre de conclusion justifierait une note d’échec dans tout programme post-doctoral, mais je suis presque sûr que le professeur de sciences moyen de huitième année prendrait un gros stylo rouge pour ces passages : « On pense » « Certaines personnes ? » « Peuvent être capables ? » Gardez à l’esprit qu’il n’existe aucun lien avec des études ou des documents scientifiques que le commun des mortels qui pense ne serait-ce qu’un peu pourrait examiner pour décider si ces affirmations sont légitimes.

Le CDC ne peut pas non plus se prononcer sur la sécurité des grands rassemblements de l’ère du Covid. À la mi-mars, l’agence a demandé aux Américains de limiter les rassemblements de 250 personnes ou plus. Quelques semaines plus tard, la Maison Blanche, à la demande du CDC, a recommandé avec insistance aux Américains d’éviter les rassemblements de plus de 10 personnes. Cependant, aucune donnée scientifique ne permet d’étayer l’un ou l’autre de ces chiffres. (Qu’y a-t-il de si fatidique au chiffre de 250 personnes ? Pourquoi pas 175 ? Et pourquoi 10 personnes ? Pourquoi pas 16 ou 17) ? »

L’article s’en prend directement à tous ces gouverneurs qui appliquent aveuglément ces recommandations totalement insupportables :

« Même ces conseils flous ont été sali par le petit tyran qui se cache au sein de chaque grand gouverneur d’État, maire de petite ville et président de syndics de propriétaires. Ce week-end, le gouverneur du Michigan, Gretchen Whitmer, a interdit aux habitants de se rendre chez un voisin. « Tous les rassemblements publics et privés, quelle que soit leur taille, sont interdits », a annoncé Mme Whitmer. « Les citoyens peuvent toujours quitter leur maison pour des activités de plein air… les activités récréatives sont toujours autorisées tant qu’elles se déroulent à plus d’un mètre cinquante de toute autre personne »… Il y aura beaucoup de questions après la fin de la crise : celle de connaître les raisons scientifiques qui justifient le maintien d’une distance de deux mètres entre les personnes au moment où elles ont le plus besoin les unes des autres devrait être en tête de liste. »

Récemment, l’un des principaux conseillers scientifiques du Premier ministre Boris Johnson au Royaume-Uni a fait la même remarque. Ses déclarations ont été reprises dans le Daily Mail de la semaine dernière dans un article intitulé « Le conseiller scientifique du gouvernement déclare que la règle britannique des deux mètres de distance sociale est inutile et basée sur des preuves « très fragiles » ». Le professeur Robert Dingwall a déclaré :

« Je pense qu’il sera beaucoup plus difficile de faire respecter certaines des mesures qui n’ont pas vraiment de base factuelle. Je veux dire que la règle des deux mètres a été inventée de toutes pièces. »

Quand on digère tous les faits que nous connaissons maintenant sur le Covid-19, la recommandation politique la plus simple est en fait la plus logique à mon avis : si vous avez le Covid-19, restez chez vous. Si vous devez sortir, portez un masque. Tous les autres, lavez-vous les mains et continuez votre vie. Cela aurait dû être aussi simple que cela, mais nous avons choisi de cadenasser la société, une mesure sans précédent. Pourquoi ?

Oh, et c’est une vraie manchette. Que Dieu nous aide tous.

Les stormtroopers utilisés pour imposer la distanciation sociale à Disney World

En effet, pourquoi avons-nous cadenassé la société, et cela a-t-il fonctionné ? J’ai emprunté la phrase ci-dessus d’un article d’opinion du Wall Street Journal écrit par Holman W. Jenkins, Jr. membre du comité de rédaction, je crois qu’il a parfaitement saisi la chose :

« Nous avons commencé de manière sensée. « Les familles américaines ne devraient pas d’une manière générale s’inquiéter », a déclaré le Dr Nancy Messonnier du CDC à la mi-janvier. « C’est un risque très, très faible pour les États-Unis », déclarait une semaine plus tard le Dr Anthony Fauci. Bill de Blasio, maire de New York, a, dès le 11 mars, exhorté les habitants à poursuivre normalement leurs activités. Bien que ces déclarations puissent sembler insensibles, elles étaient à l’époque appropriées. Dans la rubrique « aplatir la courbe », il n’est pas nécessaire de modifier le comportement du public jusqu’à ce que cela le devienne. Réfléchissez un peu à ça. Mieux nous équiperons les hôpitaux locaux, moins nous aurons besoin de mettre en faillite les entreprises locales et leurs employés pour ralentir le virus dans son évolution au sein de la société. C’est avec cette idée que nous avons commencé. Même l’étude de l’Imperial College du Royaume-Uni, qui a tant alarmé les décideurs politiques du monde entier, n’a pas recommandé de tout verrouiller aveuglément ni de confiner tout le monde chez soi. Pour être honnêtes, nous avons dépassé les bornes en de nombreux endroits. Les lits sont vides. La pénurie de respirateurs artificiels ne s’est pas concrétisée. Nous avons échoué à mettre en place une capacité hospitalière suffisante pour traiter d’autres problèmes médicaux comme les accidents vasculaires cérébraux et les crises cardiaques. Cette situation provoque des pertes de vies humaines.

Que s’est-il passé ? De Bill Gates à votre éditorialiste local, une nouvelle priorité est apparue. Nous avons décidé que, quelle que soit la cause de la mort d’environ 8 000 Américains par jour, il ne fallait pas que ce soit du coronavirus.

Les accidents, oui — 6 pour cent des décès. Les maladies cardiaques, oui — 23 pour cent. La grippe et la pneumonie, oui — 2 pour cent.

Ces décès sont acceptables, mais pas ceux dus au coronavirus, même au prix de la ruine économique pour des millions de personnes. Bien sûr, les médias et le public sont libres de décider maintenant qu’ils ne voulaient pas aplatir la courbe ; ils voulaient être totalement épargnés par le virus. Mais il faudrait expliquer comment procéder pour y parvenir. Et expliquer pourquoi. Le magazine The Economist affirme que nous ne pouvons pas relancer l’économie sans un dépistage « sans précédent » d’un coût de 180 milliards de dollars. Sans précédent est un mot intéressant parce que la Chine, un pays de 1,4 milliard d’habitants avec huit villes plus grandes que New York, a dû soit développer un tel dispositif sans que personne ne s’en aperçoive soit ne l’a pas jugé nécessaire. »

Et d’abord, pourquoi le confinement a été mis en place ? Voici les faits.

Fait n° 8 — L’idée de cadenasser une société entière était inédite et ne repose sur aucun fondement scientifique, mais sur une simple modélisation théorique

En fait, l’idée de confiner tout le monde fut lancée pour la première fois en 2006, dans ce document intitulé « Stratégies ciblées de distanciation sociale en cas de pandémie de grippe ». Ce document décrivait en détail « comment concevoir un axe réseau-centré limitant les contacts sociaux » et modélisait — plus d’informations à ce sujet dans un instant ! — divers résultats en fonction du comportement des populations. À l’époque, des esprits plus calmes prévalaient et critiquaient les idées contenues dans le document, comme c’est le cas avec les objections soulevées par le Dr D.A. Henderson, l’homme qui a mené la campagne pour éradiquer la variole. D’après le New York Times :

« Le Dr Henderson était convaincu qu’il était illogique de contraindre les écoles à fermer ou d’interdire les rassemblements publics. Les adolescents s’échapperaient de chez eux pour aller traîner au centre commercial. Les programmes de repas scolaires fermeraient, et les enfants pauvres n’auraient pas assez à manger. Le personnel hospitalier aurait du mal à aller travailler si leurs enfants étaient à la maison.

Les mesures préconisées par les docteurs Mecher et Hatchett « entraîneraient une perturbation significative du fonctionnement social des communautés et pourraient provoquer de graves problèmes économiques », écrivait dans son propre article académique le Dr Henderson en réponse à leurs idées.

Il a insisté sur le fait que la réponse à donner était de tenir bon en laissant la pandémie se propager, soigner les personnes malades et travailler rapidement à la mise au point d’un vaccin pour éviter qu’elle ne revienne. »

Peu de temps après, le Dr Henderson et plusieurs autres collègues clairvoyants ont rédigé un important document résumant nombre de ces idées, intitulé « Mesures d’atténuation de la maladie dans la lutte contre la grippe pandémique », dont cette étonnante conclusion — compte tenu de ce qui vient de se produire :

« Il n’existe pas d’observations historiques ou d’études scientifiques qui soutiennent le confinement par quarantaine de groupes de personnes potentiellement infectées pendant des périodes prolongées afin de ralentir la propagation de la grippe. Un groupe de rédaction de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), après avoir examiné la littérature et pris en compte l’expérience internationale contemporaine, a conclu que «l’isolement forcé et la quarantaine sont inefficaces et peu pratiques». Malgré cette recommandation des experts, la quarantaine obligatoire à grande échelle continue d’être considérée comme une option par certaines autorités et certains responsables gouvernementaux.

L’intérêt pour la quarantaine reflète les opinions et les conditions qui prévalaient il y a plus de 50 ans, lorsque l’on en savait beaucoup moins sur l’épidémiologie des maladies infectieuses et que les voyages internationaux et nationaux étaient beaucoup moins nombreux dans un monde moins densément peuplé. Il est difficile d’identifier les circonstances dans lesquelles, au cours du dernier demi-siècle, la quarantaine à grande échelle a été utilisée efficacement pour lutter contre une quelconque maladie. »

Et ils ont conclu avec une phrase si importante que je vais utiliser une très grosse police de caractères :

« Les conséquences négatives d’une quarantaine à grande échelle sont si extrêmes — confinement forcé des personnes malades avec celles qui ne le sont pas ; restriction complète des mouvements de larges populations ; difficulté d’acheminer les fournitures essentielles, les médicaments et la nourriture aux personnes se trouvant dans la zone de quarantaine — que cette mesure d’atténuation devrait être exclue de toute considération sérieuse. »

Si vous souhaitez en savoir plus sur les origines de l’idée de confinement et sur la façon dont elle a continué à circuler dans les cercles de santé publique, consultez « 2006 — Les origines de l’idée de confinement ». Si vous souhaitez en savoir plus sur le Dr. D.A. Henderson, consultez « Comment une société libre fait face aux pandémies, selon Donald Henderson, le légendaire épidémiologiste qui a éradiqué la variole ». Ces deux articles sont géniaux et vous donneront envie de vomir quand vous réaliserez combien de bons scientifiques savaient qu’un confinement serait un désastre et coûterait plus de vies que ce qu’il pourrait sauver.

Vous êtes probablement tout aussi choqué de voir qu’en 2019, l’Organisation mondiale de la santé N’AVAIT MÊME PAS INSCRIT l’idée d’un confinement total dans son rapport intitulé «Mesures de santé publique non pharmaceutiques pour atténuer le risque et l’impact de la grippe épidémique et pandémique». Voici leur tableau des 18 mesures non pharmaceutiques que les pays pourraient prendre en cas de pandémie. Notez toutes les choses énumérées dans la ligne « Non recommandé en aucune circonstance » qui se produisent maintenant tous les jours !

Mesures de santé publique non pharmaceutiques pour atténuer le risque et l’impact de la grippe épidémique et pandémique
© OMS
TRADUCTION de la dernière ligne — Non recommandé en aucune circonstance :
Pandémie : Lumière UV ; Modification de l'humidité ; Traçage des contacts ; Quarantaine pour les individus exposés ; Contrôle d'entrée et de sortie ; Fermeture des frontières.
Épidémie : même liste à laquelle est ajouté : Restrictions dans les voyages intérieurs au pays.

Question évidente — S’il n’y avait pas de données scientifiques pour étayer un confinement et qu’aucun n’avait jamais été mis en place avant, et que de nombreux acteurs de la santé publique affirmaient que ce serait une idée épouvantable, pourquoi est-ce arrivé ? Il y a en fait deux réponses, pour autant que je sache. La première est que l’Organisation mondiale de la santé, au début de la pandémie, a choisi de faire l’éloge de la réaction chinoise qui a confiné la province du Hubei, ce qui a effectivement servi à légitimer la pratique, en dépit des énormes carences de données disponibles sur l’efficacité réelle du confinement chinois. Cet article aborde la question, et soulève le problème :

« Qu’est-ce qui a fait changer d’avis l’OMS et l’a incitée à applaudir la réponse des autorités chinoises dans la province de Hubei, qui comprenait une quasi incarcération de 60 millions de personnes ? C’est cette réaction, plus que toute autre chose, qui a persuadé les gouvernements du monde entier à confiner leurs citoyens. »

La deuxième réponse est que les récentes modélisations de la maladie ont littéralement fichu la frousse aux leaders mondiaux, et les modélisateurs étaient prêts à proposer une solution simple à leurs chiffres inventés : tout verrouiller, MAINTENANT !

Fait n° 9 — Les modèles épidémiques du Covid-19 se sont révélés faux et néfastes, et le passif de la modélisation est terrible tant dans sa pratique que dans son application

Si de nombreuses modélisations de maladies ont été utilisés pendant la pandémie de Covid-19, deux d’entre elles ont particulièrement influencé la politique publique de confinement : l’Imperial College (Royaume-Uni) et l’IHME (Washington, États-Unis) [Institute for Health Metrics and Evaluation, institut de statistique sur la santé publique, basé à Seattle sous la houlette de l’université de Washington, et financé notamment par la Fondation Bill & Melinda Gates – NdT]. Tous deux se sont révélés être des désastres monumentaux.

Imperial College — On peut dire sans risque de se tromper que la raison pour laquelle les États-Unis s’est confinée et la raison pour laquelle la Maison Blanche a prolongé ce confinement est presque exclusivement due aux modélisations créées par le professeur Neil Ferguson de l’Imperial College. Comme l’a expliqué le Washington Post :

« Les responsables ont déclaré que les 2,2 millions de décès prévus par l’Imperial College ont convaincu M. Trump de cesser de minimiser l’épidémie et de la prendre plus au sérieux. De même, les fonctionnaires ont déclaré que la nouvelle projection de 100 000 à 240 000 décès est ce qui a convaincu M. Trump de prolonger les restrictions pendant 30 jours et d’abandonner ses efforts pour déconfiner certaines parties du pays avant Pâques, ce qui, selon de nombreux experts de la santé, aurait pu aggraver l’épidémie. »

Curieusement, le professeur Ferguson est connu pour avoir massivement surestimé des pandémies, mais apparemment personne ne s’est donné la peine d’en tenir compte et tout le monde a suivi ses conseils. The Spectator a expliqué ses annonces incroyablement fausses concernant trois maladies émergentes précédentes — il a en fait effectué des annonces encore plus terribles, je n’en souligne que trois :

2002 — La maladie de la vache folle :

« En 2002, Ferguson a prédit qu’entre 50 et 50 000 personnes mourraient probablement d’une exposition à l’ESB [encéphalopathie spongiforme bovine – NdT] — présente dans la viande bovine. Il a également prédit que ce nombre pourrait atteindre 150 000 en cas d’épidémie affectant aussi les ovins. Au Royaume-Uni, il n’y a eu que 177 décès dus à l’ESB. »

2005 — Grippe aviaire :

« En 2005, Ferguson a déclaré que jusqu’à 200 millions de personnes pourraient mourir de la grippe aviaire. Il a déclaré à The Guardian qu’« environ 40 millions de personnes sont mortes lors de l’épidémie de grippe espagnole de 1918… Il y a six fois plus de personnes sur la planète aujourd’hui, donc on pourrait probablement atteindre 200 millions de personnes ». Au final, seules 282 personnes sont mortes de la maladie dans le monde entre 2003 et 2009. »

2009 — Grippe porcine :

« En 2009, Ferguson et son équipe impériale ont prédit que la grippe porcine avait un taux de létalité de 0,3 à 1,5 pour cent. Son estimation la plus probable était que le taux de mortalité était de 0,4 pour cent. Selon une estimation du gouvernement, basée sur les conseils de Ferguson, le « pire scénario raisonnable » était que la maladie entraînerait 65 000 décès au Royaume-Uni. En fin de compte, la grippe porcine a tué 457 personnes au Royaume-Uni et le taux de mortalité des personnes infectées n’était que de 0,026 pour cent. »

Je ne sais pas, ne pensez-vous pas que le passé aurait dû compter davantage avant que l’on s’appuie sur son modèle pour verrouiller tout notre pays ? En fait, c’est pire. D’après la National Review :

« Johan Giesecke, l’ancien responsable scientifique du Centre européen de contrôle et de prévention des maladies, a qualifié le modèle de Ferguson de « document scientifique le plus influent » jamais publié. Il a également déclaré que c’était, malheureusement, l’un des plus mauvais. »

Il y a plus :

« Jay Schnitzer, expert en biologie vasculaire et ancien directeur scientifique du Sidney Kimmel Cancer Center de San Diego, me dit : « Normalement, j’hésite à dire cela d’un scientifique, mais il est en passe de devenir un charlatan avide de notoriété ». »

Encore un autre scientifique
qui ne croit pas un mot de ce qu’il dit :
« moi ? confiné ? peu probable »

Un exemple simple qui montre à quel point la modélisation de l’Imperial College était mauvaise serait la Suède, voici les détails :

« En effet, la modélisation de Ferguson de l’Imperial College s’est avérée totalement inexacte. Pour ne citer qu’un exemple, la Suède paierait un lourd tribut à l’absence de confinement, avec 40 000 décès par Covid au 1er mai et 100 000 au mois de juin. La Suède compte maintenant 2 854 décès et a atteint son pic il y a deux semaines. Comme le fait remarquer Fraser Nelson, rédacteur en chef du journal britannique The Spectator : « La modélisation de l’Imperial College est démesurément erronée ». »

Et, enfin :

« En effet, Ferguson s’est trompé si souvent que certains de ses collègues modélistes l’appellent Le maître du désastre. »

Oh, et le professeur Ferguson a récemment démissionné de son poste parce qu’il a enfreint le confinement… pour coucher avec une femme mariée. Je terminerai par une citation de l’homme qui, je crois, deviendra le plus grand héros de tout ce gâchis, le Suédois Anders Tegnell, l’homme qui a choisi de ne pas confiner son pays :

« Anders Tegnell, l’épidémiologiste qui conseille le gouvernement suédois, est sceptique quant à la modélisation du professeur Ferguson. « Ce n’est pas un article évalué par des pairs », a-t-il déclaré, en se référant à l’article du 16 mars de l’Imperial College. « C’est peut-être vrai, mais c’est peut-être aussi terriblement faux. En Suède, nous sommes un peu surpris qu’il ait eu un tel impact ». »

IHME — IHME : Si la modélisation de l’Imperial College a réellement motivé le président Trump, Boris Johnson, puis de nombreux autres dirigeants mondiaux à mettre en place un confinement, les modèles de l’IHME ont presque toujours été la « science » que les gouverneurs des États citent pour démontrer combien de vies peuvent être sauvés grâce à leurs décisions de confiner. C’est un beau concert, vraiment. Trouvez une modélisation qui surestime massivement les décès dans votre État, confinez-le, puis demandez aux modélisateurs de vous montrer combien de vies vous avez sauvées. Heureusement, d’autres scientifiques ont suivi l’évolution de la situation, et la modélisation de l’IHME a reçu l’un des coups les plus féroces que j’ai jamais vus dans la littérature scientifique de la part de professeurs de l’université de Sydney, Northwestern et UTEP. Intitulée « Apprendre au fur et à mesure — Examen de l’exactitude statistique des prédictions Covid-19 sur le décompte quotidien des décès », et publiée la semaine dernière, l’étude indique effectivement que le modèle IHME est dangereusement inexact, mais il l’est de manière scientifique et quelque peu cordiale. Les auteurs écrivent :

« Plus précisément, le nombre réel de décès du lendemain est sorti des intervalles de prévision de l’IHME dans 76 pour cent des cas, contre 5 pour cent prévus. En ce qui concerne les modélisations mises à jour, nos analyses indiquent que celles d’avril montrent peu, voire aucune amélioration de la précision des prédictions des estimations ponctuelles. »

Et puis, ils font le grand saut :

« Notre analyse remet en question l’utilité des prévisions pour orienter l’élaboration des politiques et la répartition des ressources. »

Plus clairement : les modélisations IHME sont à ce point mauvaises en termes de prévisions qu’il ne faut s’y fier en aucune circonstance. Besoin de plus ? Andrew McCarthy, de la National Review, a été, dès le 9 avril, très éloquent en critiquant l’inexactitude et l’inutilité des modélisations de l’IMHE :

« La modélisation sur laquelle le gouvernement s’appuie n’est tout simplement pas fiable. Ce n’est pas que la distanciation sociale ait changé l’équation ; c’est que les hypothèses fondamentales de l’équation sont tellement fausses qu’elles ne peuvent pas rester raisonnablement stables ne serait-ce que 72 heures. Et n’oubliez pas que lorsque nous constatons que le gouvernement s’appuie sur les modélisations, nous entendons par là qu’il s’appuie sur les politiques, y compris la fermeture totale des entreprises américaines et la tentative de confiner les gens chez eux parce que, dit-on, aucune mesure plus modeste ne peut suffire. »

Et quel est l’avis de M. McCarthy, chercheur principal au National Review Institute, quant au fonctionnement de ces modélisations ?

« Décrire comme stupéfiant l’effondrement d’une modélisation clé utilisée par le gouvernement pour alarmer la nation sur la menace catastrophique du coronavirus serait par trop complaisant. »

Mon propre gouverneur ici dans l’Oregon, Kate Brown, aime à invoquer la phrase selon laquelle elle « suit la science ». Récemment, une Cour de circuit [nom donné à certaines Cours de justice dans les pays anglo-saxons – NdT] a annulé son ordonnance de confinement après qu’une action en justice ait été intentée par un certain nombre d’églises. Le gouverneur Brown a publié cette déclaration :

« Depuis le début de cette crise, j’ai travaillé dans les limites de mon autorité, en me servant de la science et des données comme guide, en tenant compte des conseils des experts médicaux. Cette stratégie a permis de sauver des vies et de protéger les Oregoniens du pire de la pandémie de Covid-19. »

Sur quelle « science » le gouverneur Brown s’appuie-t-elle ? La modélisation de l’IHME. Vous pensez toujours que c’est de la « science » ?

Enfin, Michael Fumento a écrit un excellent article affirmant que « Après des échecs répétés, il est temps de se débarrasser définitivement des modélisations d’épidémies ». Comme il l’explique :

« Les modélisations ont essentiellement trois objectifs : 1) satisfaire le besoin du public d’avoir des données chiffrées, n’importe lesquelles ; 2) attirer l’attention des médias sur le modélisateur ; et 3) effrayer les gens pour les amener à « faire ce qu’il faut ». Cela peut être défini comme un « aplatissement de la courbe » pour que les systèmes de santé ne soient pas surchargés, ou comme un encouragement donné à la population pour qu’elle adopte un comportement grégaire et accepte des restrictions de libertés qui n’ont jamais été imposées, même en temps de guerre. Comme Ferguson, tous les modélisateurs savent que, quelle que soit la limite inférieure, les gros titres refléteront toujours la limite supérieure. En supposant qu’il soit possible de modéliser une épidémie, tous les relais de la presse grand public auront été conçus pour promouvoir la panique. »

Avis n°2 — Roger Koppl, voyage dans la tête d’un modélisateur de maladies

J’ai trouvé que la description des prévisions des maladies écrite par le professeur de finances Roger Koppl de Syracuse était excellente d’un point de vue humain :

« Imaginez que ce soit vous. Vous êtes épidémiologiste et le Premier ministre vous appelle pour vous demander combien de personnes vont mourir si nous ne mettons pas de confinement en place. Que lui dites-vous ? Vous ne pouvez pas vous contenter de chercher le chiffre. La pandémie ne fait que commencer et votre connaissance de la situation est donc très limitée. C’est difficile à dire. Chaque chiffre est une supposition. Si vous donnez au Premier ministre un chiffre peu élevé, il n’y aura pas de confinement. Et s’il accepte votre chiffre plancher et que nous n’avons pas de confinement ? Peut-être que tout se passera bien. Mais il y aura peut-être beaucoup plus de morts que vous ne l’aviez prédit. Vous serez blâmé. Les gens vous traiteront de mauvais scientifique. Et, parce que vous êtes une personne bonne et décente, vous vous sentirez coupable. Le blâme, la honte et la culpabilité. C’est un mauvais résultat.

Si vous lui donnez un chiffre élevé, il y aura un confinement. Personne ne pourra jamais dire que votre estimation était trop élevée, parce que votre estimation supposait qu’il n’y aurait pas de confinement. Même si beaucoup de gens meurent pendant le confinement, vous pouvez dire : « Vous voyez ? Pensez à quel point la situation aurait été pire sans le confinement ». Ainsi, si vous donnez au Premier ministre un chiffre élevé, vous aurez le mérite d’avoir sauvé des vies. Vous pourrez être fier de votre excellente réputation en tant que scientifique. Et vous n’aurez pas à vous sentir coupable des vies perdues. L’éloge, la fierté et l’innocence. C’est un bon résultat. La logique de la situation est claire. Vous avez tout intérêt à prévoir le malheur et la sinistrose si aucun confinement n’est ordonné. »

C’est logique, et je pense que la plupart des gouverneurs américains qui ont confiné sont d’accord avec cela : la modélisation disait que nous aurions X nombre de morts. Maintenant, la modélisation dit que le confinement a permis de sauver une fraction de ces X morts — Je suis votre sauveur !

Fait n° 10 — Les données montrent que les mesures de confinement n’ont PAS eu d’impact sur l’évolution de la maladie

Ce qui suit constitue très certainement le fait le plus difficilement acceptable par les populations : qui veut croire que toutes ces souffrances et cet isolement n’avaient aucune raison d’être ? Mais, il y a plus qu’assez d’États et de pays qui n’ont pas confiné, ou qui ont confiné pendant une période bien plus courte, ou d’une manière très différente, pour fournir pléthore de données. L’explication la plus simple quant au pourquoi les confinements ont été inefficaces est peut-être la plus facile : le Covid-19 était en circulation bien PLUS TÔT que ne le pensaient les experts. Ce seul fait expliquerait pourquoi les confinements ont été si inefficaces, mais quelle que soit l’explication finale, voyons ce que disent les données.

Je vais commencer par une source que vous pourriez considérer comme inhabituelle, la banque mondiale JP Morgan. De tous les faits que j’ai couverts, celui-ci — sur l’inefficacité des confinements — est devenu le plus politisé, car il est utilisé pour commencer à distribuer les blâmes à droite et à gauche. JP Morgan, quant à elle, crée son analyse pour accomplir quelque chose d’apolitique : faire de l’argent. Leurs analystes examinent les données pour voir quelles économies sont susceptibles de redémarrer en premier, et vous ne devriez pas être surpris à ce stade de découvrir trois choses :

  1. Les économies les moins endommagées sont celles qui ont effectué les confinements les moins contraignants ;
  2. La levée des confinements n’a pas eu d’impact négatif sur les décès ou les hospitalisations ; et
  3. La levée des confinements n’a pas augmenté la transmission virale.

La lecture des conclusions de JP Morgan est profondément déprimante, car ici aux États-Unis, de nombreuses communautés sont TOUJOURS soumises à de nombreux mandats de confinement différents, malgré les preuves accablantes de leur inefficacité. Ce graphique de JP Morgan montre que « de nombreux pays ont vu leur taux d’infection baisser plutôt que de remonter lorsqu’ils ont mis fin à leurs mesures de confinement, ce qui suggère que le virus peut avoir sa propre « dynamique » qui n’a aucun lien avec les mesures d’urgence ».

© JP Morgan

Marko Kolanovic, stratège de JP Morgan et auteur de publications, est un autre de mes héros, parce que, eh bien, il dit tout ce que je souhaite que beaucoup d’autres personnes disent… Considérez cette citation :

« Contrairement aux tests rigoureux des nouveaux médicaments, les mesures de confinement ont été administrées sans tenir compte du fait qu’elles pouvaient non seulement causer une dévastation économique, mais aussi potentiellement plus de décès que le Covid-19 lui-même. »

Kolanovic et son équipe montrent également que la transmissibilité du virus a en fait DIMINUÉ après la levée des mesures de confinement dans les États américains, grâce à la mesure connue sous le nom de « R0 ». Comme l’explique le Daily Mail, « de nombreux États ont vu un taux de transmission (R) plus faible après la fin des mesures de confinement à grande échelle ».

© JP Morgan

T J Rogers, le fondateur de Cypress Semiconductor, et une équipe de ses ingénieurs ont également analysé les données et ont publié leurs résultats dans cet article du Wall Street Journal intitulé « Les confinements sauvent-ils de nombreuses vies ? Dans la plupart des endroits, les données disent que non ». Ils expliquent :

« Nous avons effectué une corrélation simple à une variable du nombre de décès par million et de jours avant le confinement, qui allait de moins 10 jours — certains États confinent avant tout signe de Covid-19 — à 35 jours pour le Dakota du Sud, l’un des sept États où le confinement est limitée ou inexistant. Le coefficient de corrélation était de 5,5 pour cent — si faible que les ingénieurs que j’employais l’auraient résumé par « aucune corrélation » et seraient allés plus loin pour trouver la véritable cause du problème. »

En clair: autre chose que le confinement doit expliquer le cheminement du virus [voir fait n°14]. Thomas A. J. Meunier du Woods Hole Oceanographic Institution a publié début mai ce rapport intitulé « Les politiques de confinement total dans les pays d’Europe occidentale n’ont pas d’impact évident sur l’épidémie de Covid-19 ». Comme le rapport de JP Morgan, sa conclusion est déprimante :

« Nos résultats montrent une tendance générale à la baisse des taux de croissance et du nombre de transmission de la maladie deux à trois semaines avant que les politiques de confinement complet ne produisent des effets visibles. La comparaison des observations avant et après le confinement révèle un ralentissement contre-intuitif de la décroissance de l’épidémie après la mise en place du confinement. »

Et, l’argument décisif :

« Les estimations du nombre de décès quotidiens et totaux en utilisant les tendances pré-confinement suggèrent qu’aucune vie n’a été sauvée par cette stratégie, en comparaison avec les politiques moins restrictives de distanciation sociale menées avant le confinement. »

Elain He et ses collègues de Bloomberg ont également analysé les données dans cet article intitulé « Les résultats de l’expérience du confinement en Europe sont disponibles ». Il est peu probable que leur conclusion vous surprenne :

« Mais, comme le montre notre prochain graphique, il y a peu de corrélation entre la gravité des restrictions d’une nation et le fait qu’elle ait réussi ou non à réduire le nombre excessif de décès — une mesure qui examine le nombre global de décès par rapport aux tendances normales. »

En parlant d’Europe, nous devrions tous remercier Dieu pour la Suède. En choisissant de ne pas confiner, les Suédois ont prouvé que la société peut survivre sans un confinement strict, et nous espérons que leurs résultats permettront d’éviter que des confinements ne se reproduisent. Si vous avez suivi cette histoire de près, vous savez que les opposants prédisaient le malheur pour la Suède — et pour la Floride et la Géorgie, nous en dirons plus dans un instant — et rien de tout cela ne s’est jamais produit. L’Organisation mondiale de la santé est passée des louanges adressées à la Chine pour sa réaction à Wuhan — qui a probablement déclenché la manie du confinement — aux éloges adressés à la Suède pour avoir été un modèle dans la lutte contre l’épidémie. [Lire : « Retourner le scénario : L’OMS loue le fait que la Suède à ignoré le confinement et dit que c’est un « modèle » pour les pays qui vont de l’avant » – NdT].

Fait n° 11 — La Floride a confiné tardivement et déconfiné précocement, et se porte bien en dépit des prédictions de malheur

Le meilleur article qu’il m’ait été donné de lire sur le gouverneur de Floride Ron DeSantis fut publié dans la National Review du 20 mai dernier. J’ai été agréablement surpris de découvrir à quel point le gouverneur Desantis fait preuve d’un intérêt rationnel pour l’Histoire, comme il l’explique :

« L’une des choses qui m’a le plus dérangé pendant tout ce temps, c’est que j’ai fait des recherches sur la pandémie de 1918, celles de 1957 et 1968, et que des efforts d’atténuation ont été menés en mai 1918, mais jamais ne serait-ce qu’une fois un accord de type « confinement national ». Il n’existait pas vraiment d’expérience d’observation sur les impacts négatifs de cette pandémie. »

Contrairement à beaucoup de ses pairs, le gouverneur Desantis a estimé que les modélisations apocalyptiques étaient peu utiles :

« L’équipe de DeSantis n’a pas non plus fait grand cas des projections catastrophiques. « Nous avons en quelque sorte perdu confiance très tôt dans les modélisations », déclare un responsable de la santé de Floride. « Nous les regardons de près, mais comment peut-on s’y fier quand il est dit que vous atteindrez le pic dans une semaine et que le lendemain vous l’avez déjà atteint ? » En lieu et place, « nous avons commencé à nous concentrer sur ce que nous observions ». »

Ils ont par contre adopté une approche ciblée des citoyens les plus à risque : les résidents des maisons de retraite, dont la Floride compte le plus grand nombre dans le pays :

« Des inspecteurs et des équipes d’évaluation ont visité les maisons de retraite. L’État s’est penché sur les établissements où, selon M. Mayhew, « nous avions historiquement mené un contrôle des infections ». Nous avons utilisé cela pour établir les priorités de nos visites dans ces établissements, sachant que les directives du CDC changeaient fréquemment. Notre objectif initial était donc de fournir une formation efficace à ces établissements afin de s’assurer qu’ils comprenaient comment demander à l’État de leur fournir des équipements de protection individuelle.

La Floride, note DeSantis, « exigeait que tout le personnel et tout travailleur qui entrait soit soumis à un dépistage du Covid-19 et à des contrôles de température. Toute personne présentant des symptômes ne serait tout simplement pas autorisée à entrer ». Et il exigeait que le personnel porte des équipement de protection individuelle. « Nous joignons le geste à la parole », poursuit-il. « Nous avons reconnu que beaucoup de ces établissements n’étaient pas préparés à faire face à une telle situation. Nous avons donc fini par envoyer un total de 10 millions de masques rien que dans nos établissements de soins de longue durée, un million de paires de gants et un demi-million d’écrans faciaux ».

La Floride a également renforcé les hôpitaux avec des équipement de protection individuelle, mais DeSantis a réalisé que cela ne servirait pas les hôpitaux si l’infection dans les maisons de retraite était incontrôlée : « Si je peux envoyer des équipement de protection individuelle dans les maisons de retraite, et qu’ils peuvent y prévenir une épidémie, cela fera plus pour réduire la charge des hôpitaux que de leur envoyer 500 000 masques N95 supplémentaires ».

Il est impossible de surestimer l’importance de cette perspective, et à quel point elle a conduit l’approche adoptée par la Floride, à l’encontre des politiques de New York et d’autres États. Le responsable de la santé de Floride déclare : « Je ne veux pas jeter l’opprobre sur les autres, mais je trouve incroyable et choquant que le gouverneur Cuomo [et d’autres] soient capables en quelque sorte d’éviter les vraies questionnements sur leurs politiques mises en place dès le début en envoyant des personnes [malades – NdT] dans les maisons de retraite, ce qui est complètement contraire aux données réelles. »

Ce qui nous amène à New York, l’État que tous les autres gouverneurs qui ont confiné leur peuple montrent du doigt et disent en substance « en confinant tôt, nous avons évité une situation à la New York ». Est-ce vraiment vrai ?

Remarque particulière — Il existe de nombreux autres États et pays dont les données sont similaires à celles de la Floride, notamment la Géorgie, le Texas, l’Arkansas, l’Utah, le Japon et, bien sûr, la Suède, pour n’en citer que quelques-uns. Dans TOUS les cas, les médias ont prédit le malheur, et même le président Trump a critiqué le déconfinement précoce de la Géorgie effectué par leur courageux gouverneur Brian Kemp, tandis que les chiffres de la Géorgie sont aujourd’hui excellents.

Fait n° 12 — Le taux de mortalité supérieur à la moyenne à New York semble être dû à une erreur politique fatale combinée à des intubations agressives

Forbes a récemment publié un article expliquant à quel point les décès par Covid-19 sont concentrés dans une seule population, article intitulé « La statistique la plus importante sur le coronavirus : 42 pour cent des décès aux États-Unis proviennent de 0,6 pour cent de la population » :

« 2,1 millions d’Américains, soit 0,62 pour cent de la population américaine, vivent dans des maisons de retraite et des établissements de vie assistée… Selon une analyse que Gregg Girvan et moi-même avons menée pour la Fondation pour la Recherche sur l’égalité des chances, au 22 mai, dans les 43 États qui rapportent actuellement de tels chiffres, un pourcentage étonnant de 42 pour cent de tous les décès par Covid-19 ont eu lieu dans des maisons de retraite et des établissements de vie assistée. »

Forbes souligne également que le risque que représentent les maladies de type coronavirus pour les populations des maisons de retraite n’est pas nouveau :

« Le drame est qu’il n’était pas nécessaire que cela se passe ainsi. Le 17 mars, alors que la pandémie commençait à peine à s’accélérer, l’épidémiologiste de Stanford John Ioannidis a signalé que « même certains coronavirus dits légers ou communs de type froid sont connus depuis des décennies pour avoir des taux de létalité allant jusqu’à 8 pour cent lorsqu’ils infectent les personnes dans les maisons de retraite ». Ioannidis a été ignoré. »

Dans sa récente méta-analyse sur le réel taux de mortalité par infection du Covid-19, le Dr Ioannidis a expliqué l’erreur des mesures politiques de New York qui a probablement contribué à des centaines de morts évitables :

« Les décès en masse de personnes âgées dans les maisons de retraite, les infections nosocomiales et les hôpitaux débordés peuvent également expliquer le taux de mortalité très élevé observé dans des endroits spécifiques du nord de l’Italie, et à New York et dans le New Jersey. Une décision très malheureuse des gouverneurs de New York et du New Jersey a été d’envoyer les patients atteints de Covid-19 dans des maisons de retraite. »

Le Dr Ioannidis mentionne également le choix du personnel médical de New York de mettre rapidement les patients sous respirateur artificiel, approche que les médecins considèrent aujourd’hui comme ayant été probablement plus nocive que bénéfique [Lire : «80 pour cent des patients atteints de coronavirus à New York qui sont mis sous respirateur artificiel finissent par mourir, et certains médecins essaient d’arrêter de les utiliser] :

« Le recours à une gestion inutilement agressive — par exemple, la ventilation mécanique — peut également avoir contribué à aggraver les résultats. »

Le New York Post s’est montré particulièrement sévère en critiquant la politique des maisons de retraite de New York :

« Le carnage a commencé en mars, lorsque les hôpitaux inondés de patients atteints du Covid-19 ont insisté pour évacuer les patients âgés, même s’ils étaient encore infectés, et les envoyer dans les maisons de retraite qui disposaient de lits vides. Pour y parvenir, ils ont dû se débarrasser d’un règlement de sécurité exigeant que les patients soient testés deux fois négatifs au Covid-19 avant d’être placés dans une maison de retraite. Le ministère de la santé de l’État s’est volontairement plié à cette exigence.

Le 25 mars, le ministère de la santé du gouvernement Cuomo a imposé aux maisons de retraite d’accepter les patients Covid et a interdit d’exiger des tests Covid pour l’admission. Des établissements comme Newfane devaient avancer à l’aveuglette, ne sachant pas quels patients arrivaient avec le Covid.

L’Association américaine des soins de santé a appelé cela une « recette pour un désastre ». Le Comité pour la réduction des décès dus aux infections a exhorté Cuomo à changer de cap… Résultat : 11 000 à 12 000 résidents de maisons de retraite et de résidences assistées sont morts du Covid-19, soit la moitié des décès dus au virus dans l’État… Ce terrible bilan n’avait pas à se produire. C’est six fois plus de décès dans les maisons de retraite qu’en Floride ou en Californie, deux États plus peuplés. »

Lorsque votre gouverneur essaie de vous dire que sa décision destructrice de confiner tout le monde vous a sauvé de vivre la même chose qu’à New York, souvenez-vous de la Floride et de la Suède. Oh, et n’oubliez pas le pays dont les tenants de l’apocalypse ne veulent même pas parler : le Japon :

« Le Japon a déclaré hier [25 mai] une victoire au moins temporaire dans sa bataille contre le Covid-19, et a triomphé en suivant ses propres règles. Il a fait baisser le nombre de nouveaux cas quotidiens à un niveau proche de l’objectif de 0,5 pour 100 000 personnes, en établissant une distanciation sociale volontaire et peu restrictive et sans effectuer de dépistage à grande échelle… La diminution du nombre de nouveaux cas a conduit le gouvernement à commencer à lever l’état d’urgence pour une grande partie du Japon le 14 mai, avant la date prévue du 31 mai. L’annonce d’hier a complété la levée de l’état d’urgence, soulageant ainsi Tokyo et quatre autres préfectures. »

Fait n°13 — Les responsables de la santé publique et les épidémiologistes ne tiennent PAS compte des autres conséquences sociales négatives du confinement

Si vous me demandiez si je connais un moyen pour perdre quelques kilos et que je vous répondais : « Arrêtez de manger ou de boire quoi que ce soit », suivriez-vous mon conseil ? Cela vous aiderait à atteindre vos objectifs, mais vous n’en apprécierez peut-être pas les effets secondaires. C’est en gros ce qui s’est passé ici. Plutôt que de participer à l’élaboration de la politique, les responsables de la santé publique ont reçu les clés de la décapotable sans avoir de permis, et ils sont partis à toute berzingue ! Voici ce que le Dr Anthony Fauci a déclaré au Congrès au début de ce mois :

« Je suis un scientifique, un médecin et un responsable de la santé publique. Je donne des conseils en fonction des meilleures preuves scientifiques. Il y a un certain nombre d’autres personnes qui interviennent et donnent des conseils qui sont plus en rapport avec les choses dont vous avez parlé, comme la nécessité de déconfiner le pays et l’économie. Je ne donne pas de conseils sur des questions économiques. Je ne donne des conseils que sur la santé publique. »

Le Wall Street Journal a activement critiqué cette pensée unidimensionnelle des responsables américains de la santé publique, notant que « le Dr Fauci est clair sur le fait que les Américains ne devraient pas compter sur lui pour effectuer une analyse coûts-avantages des politiques qu’il recommande ». Cette excellente critique du modèle de l’Imperial College va dans le même sens : « Le document de l’Imperial College est une analyse unilatérale. Il examine les avantages d’un confinement sans entrer dans les coûts ».

Alors, attendez, toutes ces modélisations qui prédisaient le malheur dû au Covid-19 ne tenaient pas compte des décès causés par le confinement avec les suicides, les rendez-vous médicaux supprimés et le chômage ? Alors qui devrait prendre ces complexes décisions politiques ? Au moins aux États-Unis, je tiens 51 personnes responsables : le président et 50 gouverneurs d’État. Et, si vous vous attendez à ce que l’un d’entre eux émette un mea culpa pour une décision terrible, ne retenez pas votre souffle, de la part du comité de rédaction de Issues & Insights :

« Ne vous attendez pas à ce que qui que ce soit admette qu’il a eu tort. La communauté de la santé publique — qui a colporté des prédictions de décès exagérées — ne le fera jamais. Les démocrates et la presse — qui sont attachés à l’idée que chaque décès aux États-Unis est la faute du président Donald Trump — ne le feront pas non plus. Trump ne le fera probablement pas non plus, puisqu’il a accepté de verrouiller l’économie après avoir commencé à suivre les conseils des alarmistes de la santé publique. »

Avis n°3 — Yoram Lass, ancien directeur général du ministère israélien de la santé

Dr Yoram Lass
© Inconnu

Contrairement aux responsables de la santé publique américaine, qui semblent être attachés à l’idée de prévenir le Covid-19 quel qu’en soit le coût, j’ai été rassuré de voir des responsables de la santé publique d’autres pays ayant une compréhension beaucoup plus complète du coût TOTAL pour la société que n’importe quelle cause de décision de santé publique. Et de tous les responsables de la santé publique internationaux qui parlent franchement, personne ne le dit plus directement que mon préféré : Yoram Lass d’Israël. Dans cette excellente interview avec Spiked Online — que vous devriez lire en entier — le Dr Lass nous offre la pépite suivante :

« C’est la première épidémie de l’histoire qui s’accompagne de l’ascension d’une autre épidémie — le virus des réseaux sociaux. Ces nouveaux médias ont entraîné un lavage de cerveau de populations entières. Il en résulte la peur et l’anxiété, et une incapacité à regarder les données réelles. Et donc vous avez tous les ingrédients d’une monstrueuse hystérie… Par rapport à cette ascension, les mesures draconiennes sont de proportions bibliques. Des centaines de millions de personnes souffrent. Dans les pays en développement, beaucoup mourront de faim.Dans les pays développés, beaucoup mourront du chômage. Le chômage, c’est la mortalité. Plus de personnes mourront à cause de ces mesures que du virus lui-même. Et les personnes qui meurent à cause des mesures sont les soutiens de famille. Ils sont plus jeunes. Parmi les personnes qui meurent du coronavirus, l’âge médian est souvent plus élevé que l’espérance de vie de la population. Ce qui a été fait n’est pas proportionné. Mais les gens ont peur. Les gens subissent un lavage de cerveau. Ils n’écoutent pas les données. Et cela inclut les gouvernements. »

Fait n° 14 — Il existe un modèle prédictif de l’arc viral du Covid-19, appelé loi de Farr et découvert il y a plus de 100 ans

Le Dr Lass, dans l’interview mentionnée ci-dessus, a également fait remarquer que nous savions déjà, bien avant le confinement, comment le Covid-19 allait probablement se comporter car, eh bien, nous avons affaire à de nouveaux virus depuis l’aube de l’humanité :

« Si vous regardez la vague de coronavirus sur un graphique, vous verrez qu’elle ressemble à un pic. Le coronavirus arrive très vite, mais il s’en va aussi très vite. La vague de grippe est courte puisqu’elle met trois mois à passer, mais le coronavirus met un mois. »

Le fait que TOUS les virus suivent une courbe en cloche naturelle, avec des pentes à peu près égales dans la montée et la descente, a été découvert par le Dr William Farr il y a plus de 100 ans, et c’est ce qu’on appelle la loi de Farr. Récemment, des scientifiques chinois et américains ont publié une étude pour voir si le Covid-19 se comporterait selon la loi de Farr, et voici le graphique de leur récent article :

© Jie Xu et al. 

Comme vous pouvez le voir, la trajectoire prévue du virus en Chine (ligne pointillée orange) et la trajectoire réelle du virus (ligne pointillée bleue) correspondent. Ce document, créé le 8 février dernier, aurait pu épargner bien des soucis aux décideurs politiques. Un scientifique israélien renommé a fait la même remarque sur l’arc naturel du virus il y a plus d’un mois, en plein milieu du confinement en Israël :

« Un éminent mathématicien, analyste et ancien général israélien affirme qu’une simple analyse statistique démontre que la propagation du Covid-19 atteint son maximum après environ 40 jours et qu’elle diminue pour atteindre presque zéro après 70 jours — peu importe où elle frappe et peu importe les mesures que les gouvernements imposent pour tenter de la contrecarrer.

Le professeur Isaac Ben-Israel, directeur du programme d’études de sécurité à l’université de Tel-Aviv et président du Conseil national pour la recherche et le développement, a déclaré lundi soir à la chaîne israélienne Channel 12 (en hébreu) que les recherches qu’il a menées avec un collègue professeur, analysant la croissance et le déclin des nouveaux cas dans les pays du monde entier, ont montré à plusieurs reprises qu’« il existe un schéma établi » et que « les chiffres parlent d’eux-mêmes ».

Bien qu’il se déclare favorable à la distanciation sociale, le blocage généralisé des économies dans le monde entier constitue une erreur démontrable à la lumière de ces statistiques. Il note que dans le cas d’Israël, environ 140 personnes meurent normalement chaque jour. Il ajoute qu’avoir bloqué une grande partie de l’économie à cause d’un virus qui tue une ou deux personnes par jour est une erreur radicale qui coûte inutilement à Israël 20 pour cent de son PIB. »

Le Dr Ben-Israel, pour votre information, est sans doute le scientifique le plus célèbre d’Israël, lisez son CV. J’ai appliqué le principe de la loi Farr à aux données locales que j’ai ici en Oregon, et ce que vous pouvez clairement voir, c’est que le Covid-19 suivait déjà un arc viral naturel et attendu AVANT que notre gouverneur Kate Brown n’impose un confinement.Note : L’ordre de confinement ayant été émis le 23 mars, il aurait fallu deux semaines pour voir un impact positif sur le nombre d’hospitalisations, mais le virus était déjà en déclin, tout comme le Dr Lass et le Dr Ben-Israel l’avaient prédit.

J’ai beaucoup apprécié cette explication de la loi de Farr par Michael Fumento :

« Le seul « modèle » qui ait un quelconque succès est en fait assez abouti et est apparu en 1840, à l’époque ou le boulier servait d’« ordinateur ». Il s’agit de la loi de Farr, qui est en fait plutôt une observation selon laquelle les épidémies croissent d’abord plus rapidement, puis ralentissent jusqu’à un pic, puis déclinent selon un schéma plus ou moins symétrique. Comme vous pouvez le deviner d’après la date, elle précède les services de santé publique et ne nécessite aucun confinement ni aucune intervention. Au contraire, la maladie s’empare des cibles les plus faciles — avec le Covid-19, il s’agit des personnes âgées souffrant de comorbidité — avant de peiner progressivement à faire davantage de victimes. »

Fait n° 15 — Les confinements causeront plus de morts et de destruction que le Covid-19 lui-même

Mon avant-dernier fait est le plus déprimant. Bien sûr, il est impossible aujourd’hui de trouver toutes les données permettant de montrer à quel point les confinements inutiles ont été destructeurs, mais beaucoup de gens essaient déjà. Sur le plan économique, les coûts pour les États-Unis se chiffreront en milliers de milliards. Il n’était pas nécessaire qu’il en soit ainsi, la Suède vient d’annoncer que son PIB a augmenté au cours de son premier trimestre !

Je vais mettre en avant un certain nombre de prises différentes pour que vous ayez une idée de base, et c’est vraiment moche. La semaine dernière, un groupe de professeurs de Stanford, Duke, de l’université de Chicago et de l’université hébraïque ont écrit un article dans The Hill qui donne à réfléchir, intitulé « Le confinement dû au Covid-19 coûtera des millions d’années de vie aux Américains » :

« Bien que bien intentionné, le confinement a été imposé sans tenir compte de ses conséquences au-delà de celles directement liées à la pandémie… Ces politiques ont créé la plus grande perturbation économique mondiale de l’histoire, avec desmilliers de milliards de dollars de perte de production économique. Ces pertes financières ont été faussement présentées comme étant purement économiques. Au contraire, en utilisant de nombreuses publications du National Institutes of Health Public Access, les données des Centers for Disease Control and Prevention (CDC) et du Bureau of Labor Statistics, ainsi que divers tableaux actuariels, nous calculons que ces politiques auront des conséquences non économiques dévastatrices qui totaliseront des millions d’années de vie perdues aux États-Unis, bien au-delà de ce que le virus lui-même a causé… Si l’on considère uniquement les pertes de vie dues aux soins de santé annulés et au chômage dus uniquement à la politique de confinement, nous estimons de manière prudente que le confinement national est responsable d’au moins 700 000 années de vie perdues chaque mois, soit environ 1,5 millions à ce jour — dépassant déjà largement le total du Covid-19. »

L’un des principaux auteurs de l’étude, le Dr Scott Atlas, déjà mentionné, est allé sur Fox News pour expliquer plus en détail les résultats de leur analyse :

« Le CDC vient de publier les différents taux de mortalité et je pense qu’il s’agit là d’une chose qui, pour une raison ou une autre, ne fait pas le Une. Et voilà qu’ils vérifient ce que les gens disent depuis plus d’un mois maintenant, y compris mes collègues épidémiologistes de Stanford et tous ceux qui ont fait cette analyse dans le monde — à savoir que le taux de mortalité dû aux infections est inférieur à un dixième de l’estimation initiale. Ce sont les mesures politiques prises qui tuent des gens. Je veux dire, je pense que tout le monde a entendu parler des 650 000 personnes atteintes de cancer et suivies en chimio, dont la moitié n’est pas venue. Deux tiers des dépistages de cancer n’ont pas eu lieu. 40 pour cent des patients victimes d’un accident vasculaire cérébral nécessitant des soins urgents ne sont pas venus. »

Vous vous souvenez comment le confinement était censé maintenir les hôpitaux ouverts pour gérer un afflux de patients ? Eh bien, maintenant, le système de santé est confronté à un désastre. CNBC rapporte que « Les médecins doivent faire face à des réductions de salaire, des mises en congés et des pénuries d’approvisionnement alors que le coronavirus poussent les soins primaires au bord du précipice » :

« Il n’y a pas que les cabinets de médecins à New York — épicentre de l’épidémie de coronavirus aux États-Unis — qui connaissent des difficultés financières. Quelques 51 pour cent des prestataires de soins primaires sont incertains quant à leur avenir financier au cours des quatre prochaines semaines, et 42 pour cent ont licencié ou mis leur personnel en congé, selon une enquête menée auprès de 2 700 cabinets à travers les États-Unis par l’association à but non lucratif Primary Care Collaborative et le Larry A. Green Center. En outre, 13 pour cent prévoient la fermeture de ces cabinets au cours du mois prochain. »

Le Dr John Ioaniddis, de Stanford, a rédigé un excellent article pour le Boston Review, expliquant l’impact catastrophique du blocus sur les soins de santé :

« Dans le même temps, nous ne devons pas détourner notre regard des préjudices réels de nos interventions les plus radicales, qui touchent également de manière disproportionnée les personnes défavorisées. Nous savons que le confinement prolongé de l’ensemble de la population a retardé les traitements contre le cancer et a incité les personnes souffrant de maladies graves comme les crises cardiaques à ne pas se rendre à l’hôpital. Il conduit les systèmes hospitaliers à licencier et à mettre du personnel en congé, il dévaste la santé mentale, il augmente la violence domestique et la maltraitance des enfants, et il a ajouté au moins 36,5 millions de nouvelles personnes aux rangs des chômeurs rien qu’aux États-Unis. Beaucoup de ces personnes perdront leur assurance maladie, ce qui les exposera davantage au risque d’une détérioration de leur santé et à la détresse économique. On estime que le chômage prolongé entraînera 75 000 décès supplémentaires dus au désespoir rien qu’aux États-Unis au cours de la prochaine décennie. Au niveau mondial, les perturbations ont porté à plus d’un milliard le nombre de personnes menacées de famine, la suspension des campagnes de vaccination massives fait peser la menace d’une résurgence des maladies infectieuses qui tuent les enfants, les modélisations suggèrent un excès de 1,4 million de décès dus à la tuberculose d’ici 2025, et l’on s’attend à ce que le nombre de décès dus au paludisme double en 2020 par rapport à 2018. J’espère que ces prévisions modélisées se révéleront aussi fausses que celles de plusieurs effectuées pour le Covid-19, mais ce n’est peut-être pas le cas. Tous ces impacts sont également importants. Les décideurs politiques doivent prendre en compte les inconvénients des politiques restrictives, et pas seulement leurs avantages. »

Ouch… Selon Forbes, plus de 600 médecins ont récemment demandé au président Trump de lever les confinements.

Plus de 600 médecins du pays ont en effet envoyé cette semaine une lettre au président Trump, qualifiant les confinements dus au coronavirus d’« incident faisant un grand nombre de victimes » avec des « conséquences négatives sur la santé en croissance exponentielle » pour des millions de patients non atteints du Covid.

« Les effets sur la santé en aval… sont massivement sous-estimés et sous-signalés. C’est une erreur d’une magnitude considérable », selon la lettre initiée par Simone Gold, M.D., spécialiste en médecine d’urgence à Los Angeles.

Il n’est pas surprenant que les suicides soient en hausse dans les localités qui ont confiné, et que les prescriptions de médicaments pour le sommeil et contre l’anxiété aient grimpé en flèche. Et il vient d’être rapporté que « l’isolement social peut augmenter le risque de décès précoce d’une personne jusqu’à 50 pour cent, selon une nouvelle étude ». Même le Dr Fauci, sans doute le plus fervent défenseur de l’isolement, en est récemment devenu un adepte, comme l’a rapporté CNBC. Le conseiller en santé de la Maison Blanche a déclaré vendredi :

« Les commandements de rester-confiné-à-domicile destinés à freiner la propagation du coronavirus pourraient finir par causer des dommages irréparables s’ils sont imposés trop longtemps. »

Et lors d’une interview avec Meg Tirrell de CNBC dans l’émission « Halftime Report », Fauci a déclaré :

« Je ne veux pas que les gens pensent que l’un d’entre nous estime que rester enfermé pendant une période prolongée est la voie à suivre. »

Dr Fauci, vous êtes très, très en retard à la fête. En fait, l’un de mes plus grands problèmes avec tout ce bazar, c’est la façon dont le Dr Fauci et d’autres comme lui n’ont presque rien fait pour éduquer le public américain sur les nouvelles données scientifiques et les informations dont nous disposons maintenant sur le Covid-19, ce qui aurait non seulement réduit de façon significative la panique mais aurait peut-être aussi donné aux gouverneurs un plus grand soutien pour déconfiner plus rapidement…

Fait n° 16 — Tous ces déconfinements progressifs sont totalement absurdes et ne reposent sur aucune base scientifique, mais ils seront tous déclarés réussis

J’ai trouvé cet article du Wall Street Journal sur le gouverneur de Washington, Jay Inslee, particulièrement révélateur :

« Le Tableau de bord du Covid-19 de M. Inslee, qui est censé fournir une voie scientifique pour le rétablissement de Washington, est à peu près la même histoire. Le tableau de bord en ligne comprend des cadrans pour cinq variables de sécurité publique mais ne donne aucune indication sur la façon dont chacune est calculée ou sur l’emplacement des cadrans pour commencer les différentes phases du déconfinement. Quand les constructeurs seront-ils autorisés à commencer les nouvelles constructions ? Quand les petits magasins comme Home Depot pourront-ils ouvrir ? Le tableau de bord est conçu pour impliquer la science, mais il manque de données significatives. »

Oui, vous attendez toujours la phase 1 ou 2 de votre déconfinement ? Croyez-moi, celui qui a élaboré le plan propre à votre État invente littéralement les choses au fur et à mesure. Et, étant donné l’extrême diversité des plans en cours, même dans les comtés voisins, les chances qu’ils aient QUOI QUE CE SOIT à voir avec l’arc du virus sont exactement nulles, mais vous le saviez déjà si vous avez lu tout ce qui précède. La bonne nouvelle, c’est qu’ils réussiront TOUS, parce que le confinement n’était pas nécessaire pour commencer — MISSION ACCOMPLIE.

Il est intéressant de revenir début mai sur les gros titres où les responsables de la santé publique prédisaient un désastre pour la Floride dans le Miami Herald : « Le plan de déconfinement de la Floride est-il sans risque ? Les experts de la santé publique donnent une critique franche » — les autres gouverneurs vont-ils jamais penser par eux-mêmes comme Ron DeSantis l’a fait ?

Comment diable en sommes-nous arrivés là ?

Cette semaine, j’ai vraiment été frappé par ce titre de la Fondation pour l’éducation économique : [Voir aussi en français Confinement- « Ce n’est pas laSuèdequi mène une expérience de masse. Ce sont tous les autres pays » – NdT]

« Épidémiologiste : La réponse de la Suède au Covid n’est pas peu orthodoxe.
Le reste du monde l’est »

Si les nations semblent aujourd’hui à l’aise pour mettre en place des mesures massives de confinement afin d’empêcher la propagation d’un virus respiratoire mortel, cette pratique semble sans précédent.

« Comme l’a récemment expliqué le principal expert suédois en maladies infectieuses, l’approche de la Suède face à la pandémie est plus orthodoxe que l’approche actuelle de confinement, du moins par rapport aux normes historiques.

« Ceux qui bouclent complètement la société, ce qui n’a vraiment jamais été fait auparavant, sont-ils plus ou moins orthodoxes que la Suède ? », a demandé récemment Anders Tegnell. « La Suède fait] ce que nous faisons habituellement en matière de santé publique : accorder une large part de responsabilités à la population, essayer d’établir avec elle un bon dialogue, et avec cela obtenir de bons résultats. »

Le point soulevé par Tegnell mérite l’attention. Si les nations semblent aujourd’hui à l’aise pour mettre en place des mesures massives de confinement afin d’empêcher la propagation d’un virus respiratoire mortel, cette pratique semble sans précédent. »

Le Dr Scott Atlas de Stanford est, selon mon opinion, l’un des véritables héros de ce bourbier, et j’ai trouvé que son essai sur le manque de leadership des responsables américains de la santé publique pendant cette crise était l’un de ses meilleurs. Si ces mêmes responsables ont fait un excellent travail en effrayant les Américains, ils n’ont pas fait grand-chose pour les informer sur les nouvelles données scientifiques qui ont prouvé que nombre de nos craintes initiales n’étaient pas fondées sur la science. Il y a encore des MILLIONS d’Américains qui ont peur de quitter leur maison, et je pense que beaucoup pensent que le taux de mortalité par infection du Covid-19 est plus proche de la variole (30 pour cent) que de la grippe saisonnière. Comme l’a écrit le Dr Atlas le 3 mai dans The Hill :

« La base pour rassurer le public sur le déconfinement est de rappeler les données factuelles sur la menace et les personnes qu’elle vise. À l’heure actuelle, les études menées en Europe et aux États-Unis indiquent toutes que le taux global de mortalité est bien inférieur aux premières estimations. Et nous savons qui protéger, car cette maladie — d’après les preuves — est inégalement dangereuse au sein de la population. Dans le comté d’Oakland, dans le Michigan, 75 pour cent des décès concernent des personnes de plus de 70 ans ; 91 pour cent concernent des personnes de plus de 60 ans, ce qui est similaire à ce qui a été constaté à New York. Et les personnes plus jeunes et en meilleure santé ont un risque de décès pratiquement nul et un faible risque de maladie grave ; comme je l’ai déjà noté, moins d’un pour cent des hospitalisations à New York ont concerné des patients de moins de 18 ans, et moins d’un pour cent des décès à tout âge sont dus à l’absence de conditions sous-jacentes. »

J’ai encore du mal à comprendre comment nous en sommes arrivés là. Je pense que l’un des meilleurs essais que vous aurez jamais lu sur ce sujet est une série en deux parties écrite par la bio-ingénieur Yinon Weiss :

Partie 1 — Comment la peur et la pensée de groupe ont conduit à des confinements mondiaux inutiles.Extrait :

« Face à une nouvelle menace virale, la Chine a pris des mesures de répression contre ses citoyens. Les universitaires ont utilisé des informations erronées pour construire des modélisations défectueuses. Les dirigeants se sont appuyés sur ces modélisations défectueuses. Les opinions dissidentes ont été supprimées. Les médias ont attisé les craintes et le monde a paniqué. C’est l’histoire de ce qui pourrait bien être connu comme l’une des plus grandes gaffes médicales et économiques de tous les temps. L’échec collectif de toutes les nations occidentales, sauf une, à remettre en question la pensée de groupe sera certainement étudié par les économistes, les médecins et les psychologues pendant les décennies à venir. »

Partie 2 — Comment le sensationnalisme des médias, la partialité des grandes technologies ont prolongé les confinements. Extrait :

« Les épidémiologistes ont créé des modélisations de confinement défectueuses. Les médias ont encouragé la peur. Les politiciens ont imaginé les pires scénarios, et la technologie a supprimé les opinions divergentes. C’est ainsi que les craintes des populations sont devenues disproportionnées par rapport à la réalité et que des mesures de confinement en apparence provisoires se sont étendues sur plusieurs mois. »

Je conclurai ces réflexions par une dernière citation de l’israélien Yoram Lass qui a bien résumé ce qui vient de se passer — et se passe encore dans de nombreux lieux :

« C’est ce qu’on appelle en science un retour d’information positif ou un effet boule de neige. Le gouvernement a peur de ses électeurs. C’est pourquoi il met en œuvre des mesures draconiennes. Les électeurs regardent ces mesures draconiennes et deviennent encore plus hystériques. Ils se nourrissent les uns les autres et la boule de neige devient de plus en plus grande jusqu’à ce que vous atteigniez un seuil irrationnel. Si vous vous intéressez aux chiffres et aux données, ce n’est rien d’autre qu’une épidémie de grippe, mais les populations qui sont dans un état d’anxiété sont aveugles. Si je prenais les décisions, j’essaierais de leur donner les vrais chiffres. Et je ne détruirais jamais mon pays. »

Et maintenant ?

Selon mon opinion, ce qui devrait être fait est tellement simple, mais ce ne sera jamais fait, car trop de gens devraient admettre qu’ils ont tort. Mais, je vais quand même le dire. Ma recommandation politique : supprimer 100 pour cent des règles de confinement nouvellement créées, sécuriser les maisons de retraite en utilisant l’approche de la Floride, dire à toutes les personnes atteintes d’une infection active de Covid-19 de rester chez elles jusqu’à la disparition des symptômes ou de porter un masque si elles doivent sortir en public, et encourager tous les autres à se laver les mains. Marché conclu.

J’ai gardé pour la fin une de mes citations préférées de Johan Giesecke de l’Institut Karolinska — il est suédois, ce n’est pas étonnant — tirée d’un essai paru début mai dans The Lancet :

« Ces faits m’ont conduit aux conclusions suivantes. Tout le monde sera exposé au coronavirus du syndrome respiratoire aigu sévère, et la plupart des individus seront infectés. Le Covid-19 se répand comme une traînée de poudre dans tous les pays, mais nous ne le voyons pas — il se propage presque toujours des jeunes gens qui ne présentent pas de symptômes ou qui en présentent peu à d’autres qui en présenteront tout aussi peu. Il s’agit de la véritable pandémie, mais elle se poursuit discrètement et atteint probablement aujourd’hui son apogée dans de nombreux pays européens. Nous ne pouvons pas faire grand-chose pour empêcher cette propagation : un confinement pourrait retarder les cas graves pendant un certain temps, mais une fois les restrictions assouplies, les cas réapparaîtront. Je pense que lorsque dans un an nous compterons le nombre de décès dus au Covid-19 dans chaque pays, les chiffres seront similaires, quelles que soient les mesures prises.

Les mesures visant à aplatir la courbe pourraient avoir un effet, mais un confinement ne fait que repousser les cas graves à plus tard — il ne les empêchera pas. Certes, les pays ont réussi à ralentir la propagation pour ne pas surcharger les systèmes de santé et, oui, des médicaments efficaces qui sauvent des vies pourraient bientôt être mis au point, mais cette pandémie est rapide et ces médicaments doivent être développés, testés et commercialisés rapidement. On fonde beaucoup d’espoir sur les vaccins, mais il faudra du temps pour les mettre au point et, compte tenu du manque de clarté de la réponse immunologique protectrice face à l’infection, il n’est pas certain que les vaccins soient très efficaces.

En résumé, le Covid-19 est une maladie hautement infectieuse qui se propage rapidement dans la société. Elle est souvent asymptomatique et peut passer inaperçue, mais elle provoque également des maladies graves, voire la mort d’une partie de la population, et notre tâche la plus importante n’est pas d’arrêter la propagation, ce qui est pratiquement inutile, mais de nous concentrer sur la fourniture de soins optimaux aux malheureuses victimes. »

Si vous êtes arrivé jusqu’ici, merci. Vous partagez maintenant mon fardeau en connaissant les faits sur les raisons absurdes du confinement [« impures » en tant qu’« entachées d’éléments incontrôlés, indésirables » qui ont produit des décisions des plus mal avisées – NdT]. Et merci aux nombreux professionnels de la santé et scientifiques courageux qui prennent de sérieux risques pour leur carrière en disant publiquement la vérité. Si vous souhaitez vous tenir informés de ce sujet complexe, je vous recommande les fils Twitter d’Aaron Ginn et d’Alex Berenson qui représentent un répit bienvenu dans l’« attelage apocalyptique ».

Une dernière note personnelle — Par rapport au sujet sur lequel j’écris habituellement — le fait scientifique avéré que les vaccins peuvent déclencher l’autisme chez un sous-ensemble vulnérable d’enfants — écrire sur la folie du confinement constitue une promenade de santé, parce que de nombreuses personnes intelligentes sont arrivées à la même conclusion que moi. J’aimerais que beaucoup d’entre eux puissent voir les parallèles avec l’épidémie d’autisme : la bonne science est évitée ou censurée, les médias intimident les dissidents, les intérêts particuliers prévalent, les parents ne sont jamais écoutés et les médecins qui s’expriment sont qualifiés de « charlatans »… et l’épidémie d’autisme se poursuit sans relâche.


À propos de l’auteur

J.B. Handley est l’auteur du best-seller How to End the Autism Epidemic [« Comment mettre fin à l’épidémie d’autisme », ouvrage non traduit en français – NdT]. Il est diplômé avec mention de l’université de Stanford et est actuellement membre directeur de Bochi Investments, une société d’investissement privée. Il peut être contacté à l’adresse suivante : jbhandleyblog@gmail.com

Source de l’article initialement publié en anglais le 30 mai 2020 :
j.b.handley blog
Traduction: Sott.net


Commentaire : La plupart des hyperliens présents dans l'article sont en anglais et nous n'avons pas ajouté de commentaires pour ne pas alourdir l'article déjà très dense. Voici donc une liste d'articles qui vous permettront de relier les points sur les différents sujets abordés ici en élargissant le contexte aux vaccins, Bill Gates et autres philanthropes psychopathes :



Les mondialistes utilisent le COVID-19 pour inaugurer l’Agenda 2030 des Nations Unies « Brave New World »* avec dix ans d’avance sur le calendrier

[Source : Cogiito via Réseau International]

Bill Gates, à gauche, le directeur des NIH, le Dr Francis Collins et le directeur du NIAID, le Dr Anthony Fauci, lors d’un atelier sur la santé mondiale 2017 de la Fondation Gates sur des sujets qui comprenaient la recherche sur les vaccins.

[Auteur :] Leo Hohmann

[ * : Le Meilleur des Monde]

Traduction de Globalists using COVID-19 to usher in UN Agenda 2030 ‘Brave New World’ ten years ahead of Schedule pour cogiito.com : PAJ

« Il est temps que tous les vrais patriotes prennent position ou risquent d’être menés aveuglément dans un nouvel âge sombre. » 

Lorsque la députée Alexandria Ocasio Cortez a réécrit les objectifs de développement durable des Nations Unies et les a rebaptisés Green New Deal [= Nouvelle Donne Verte], de nombreux conservateurs ont été entendus en riant à haute voix.

L’AOC ne pouvait pas être sérieux, n’est-ce pas ? Mais qui rit maintenant ? L’AOC a obtenu presque tout ce qu’elle voulait dans le cadre du Green New Deal.

  • Le trafic aérien est beaucoup moins robuste, avec de longues attentes dans les aéroports un souvenir lointain.
  • Le trafic automobile sur les autoroutes autrefois animées a été réduit à un filet dans certaines des plus grandes villes américaines, comme New York, Chicago et LA, qui restent fermées.
  • On a dit à la plupart des Américains de travailler à domicile ou de ne pas travailler du tout. Ils reçoivent des chèques de paie du gouvernement pour rester chez eux et ne rien faire. L’AOC l’a appelé le «revenu de base universel». C’est ici.

Il est temps que le président Trump mette fin à cette expérience cauchemardesque.

Nous avons besoin de clarté et d’un leadership fort.

Arrêtez les points de presse quotidiens, où 90% du contenu consiste à se féliciter lui-même et les gouverneurs pour leur merveilleuse gestion de cette crise.

Soyons honnêtes, la plupart ont ignoré la Constitution et outrepassé leur autorité.

Nous avons besoin d’une date ferme pour la fin de ces blocages et nos dirigeants doivent s’en tenir à cette date, et pas seulement lancer une date, mais pour la prolonger plus tard.

Nous voulons que tout notre pays revienne. Pas par étapes, pas par phases.

Les conseillers du président, les Drs. Fauci et Birx ont été dénoncés comme des fraudes et ne doivent plus être autorisés à dicter leur politique.

Ils ont convaincu le président des États-Unis de prendre de mauvaises décisions basées sur une science défectueuse et des modèles informatiques spéculatifs remplis de fausses hypothèses. 

Ils sont dans les conflits d’intérêts jusqu’au cou, principalement liés à la Fondation Bill et Melinda Gates et à ses nombreux partenaires mondiaux qui poussent les vaccins obligatoires et un système d’identification mondial qui peut être utilisé pour suivre les Américains.

Pour tout politicien, dire à des petites entreprises qu’elles ne sont «pas essentielles» sur la base des conseils de ces deux comparses financés par Gates équivaut à ce que le comité central de l’URSS dise aux koulaks de quitter leurs terres et d’aller travailler dans une usine.

Sous Staline, l’État soviétique ne pouvait pas contrôler les koulaks travaillant sur leur terre, alors ils les ont expropriée. 

Est-ce la stratégie Gates-Fauci pour les propriétaires de petites entreprises américaines ? Les forcer à sortir et les faire travailler pour Amazon, Walmart ou une autre méga-société où ils peuvent être surveillés de plus près ?

Désolé, mais ce n’est pas l’Union soviétique ou la Chine communiste.

L’État n’a pas le pouvoir en vertu de la Constitution américaine de priver un Américain de son droit de gagner sa vie honnêtement. Virus ou pas de virus.

Livré à lui-même, l’État gravitera toujours vers l’accumulation du pouvoir. Une fois que l’État a revendiqué le droit d’exercer un pouvoir sur un certain domaine de votre vie, il le rend rarement.

Les gouverneurs ont revendiqué le pouvoir de nous dire quand nous pouvons aller à l’église, où nous pouvons et ne pouvons pas travailler. 

Jusqu’à présent, la plupart des Américains semblent s’accorder avec ça. Mais il y a aussi une nuance de malaise qui commence à bouillir, comme en témoigne le nombre croissant de protestations, d’abord au Michigan et bientôt dans d’autres États.

Dans la situation actuelle, l’exercice arbitraire du pouvoir de l’État est à couper le souffle, pourtant si peu [de personnes] sont capables de le discerner.

Pourquoi, par exemple, était-il considéré comme non essentiel d’acheter des graines, des fleurs, des plantes et de la peinture dans le Michigan alors que de l’autre côté de l’Ohio, ces achats étaient légaux ?

Pourquoi avez-vous le droit d’aller dans un magasin de vins et alcools, un dispensaire ou un Walmart bondé, mais pas dans une église ou un magasin d’armes à feu ?

Ce sont des décisions que le gouvernement n’a aucun fondement constitutionnel à prendre pour les citoyens américains.

Si les politiciens veulent enfreindre ces droits fondamentaux, ils devraient cesser d’être des lâches et déclarer la loi martiale, suspendant ainsi officiellement la Constitution américaine.

Vous n’avez pas la chance d’avoir votre gâteau ni de le manger, en vous arrachant aux libertés civiles tout en affirmant que la Constitution est toujours en place.

Qui est Anthony Fauci ?

Une certaine clarté est également de mise sur les antécédents des «experts» sur lesquels nos politiciens se sont appuyés pour ordonner le confinement.

Le COVID-19 est un virus contagieux qui doit être pris au sérieux.

Mais n’oublions pas que plus de 99% de ceux qui attrapent le COVID-19 se rétablissent complètement. Il est temps que nous abordions tous la question pertinente :

Sommes-nous prêts à sacrifier nos libertés, notre mode de vie, sur l’autel d’une crise sanitaire qui comporte moins de 1% de risque de décès ?

Il est sûr de dire que les Drs. Anthony Fauci et Deborah Birx, les deux experts en maladies infectieuses à la tête du groupe de travail sur le coronavirus du président Trump, ne changeront pas leurs conseils, même si les données originales sur lesquelles ils se sont appuyés pour recommander ces interdictions se sont révélées fausses.

Il n’y a pas eu des centaines de milliers de cadavres et les prédictions apocalyptiques d ‘«hôpitaux débordés» ne se sont jamais concrétisées.

Fauci et Birx ont une longue expérience de travail avec Bill Gates et sa vision eugéniste du monde.

Fauci siège au Conseil de direction du Plan d’action mondial pour les vaccins, un projet de la Fondation Gates qui travaille de concert avec les Nations Unies. [Voir  le communiqué de presse de Gates sur ce projet qui documente le rôle de Fauci ].

L’Agenda 2030 des Nations Unies, adopté en 2015 et farouchement promu et financé par la Fondation Gates , comprend 17 objectifs de développement durable [alias Green New Deal] à atteindre d’ici 2030.

L’objectif numéro 3, «bonne santé et bien-être », commence par l’exigence de l’ONU de «vacciner sa famille». L’objectif 3.8 stipule: «Assurer la couverture sanitaire universelle, y compris la protection contre les risques financiers, l’accès à des services de santé essentiels de qualité et l’accès à des médicaments et vaccins essentiels sûrs, efficaces, de qualité et abordables pour tous ». [Italiques ajoutés]

L’objectif 16.9 indique  «D’ici 2030, fournir une identité juridique à tous, y compris l’enregistrement des naissances.»

La devise de l’Agenda 2030 de l’ONU, répétée à l’infini dans ses documents, est que cet agenda « ne laissera personne de côté ».

Comment l’ONU propose-t-elle de ne laisser personne de côté si le but ultime n’est pas de rendre ces «vaccins vitaux» obligatoires pour tous?

Nous devons également nous demander pourquoi l’agenda mondialiste de Gates de vaccins forcés et de stérilisation n’est jamais exposé dans les médias grand public ? 

Se pourrait-il que l’establishment des médias soit d’accord avec l’agenda de Gates et veuille le cacher au peuple américain?

Gates a investi des milliards dans l’amélioration de l’accès à l’avortement. (foetus dans les vaccins) Ses projets de vaccination ont laissé des milliers de femmes stériles au Kenya et ses vaccins contre la polio ont provoqué la paralysie en Afghanistan, en Inde, au Congo et aux Philippines.
[Pour en savoir plus sur le bilan horrible de Gates en matière de vaccins, laissant une trace de décès et de blessures graves, lisez le rapport cinglant de Robert F. Kennedy Jr., publié par Children’s Health Defense le 9 avril 2020 sous le titre Gates ‘Globalist Vaccine Agenda : Un gagnant-gagnant pour la pharmacie et la vaccination obligatoire .]

Kennedy Jr. écrit:

« En promettant  sa part de 450 millions  de dollars sur 1,2 milliard de dollars pour éradiquer la polio, Gates a pris le contrôle du Groupe consultatif technique national indien sur la vaccination (NTAGI), qui a prescrit jusqu’à  50 doses  (tableau 1) de vaccins contre la polio par le biais de  programmes de vaccination chevauchants,  pour les enfants avant cinq ans. Les médecins indiens accusent la campagne Gates d’une épidémie dévastatrice de  paralysie flasque aiguë non polio (NPAFP) qui a paralysé 490 000  enfants au-delà des taux attendus entre 2000 et 2017.

En 2017, le gouvernement indien a rappelé le schéma vaccinal de  Gates  et a demandé à Gates et à ses politiques en matière de vaccins, de quitter l’Inde. Les taux du paralysie flasque aiguë non polio NPAFP ont chuté brusquement. »

Gates est le plus grand donateur privé de l’Organisation mondiale de la santé, une agence des Nations Unies qui, comme le dit le président Trump, est extrêmement «centrée sur la Chine» et couvre à chaque instant les dictateurs communistes chinois.

La Chine est toujours le modèle de réussite aux yeux de l’OMS, jamais le méchant à traiter, comme lorsqu’elle a délibérément donné de fausses informations sur le COVID-19.

Le père de Bill Gates, William Gates Sr., est coprésident de la Fondation Bill et Melinda Gates et ancien membre du conseil d’administration de Planned Parenthood. Fauci et le clan Gates évoluent dans les mêmes cercles que le milliardaire américain d’ingénierie sociale détestant George Soros [voir la photo ci-dessous de 2001] .

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Il est impossible d’échapper au fait que Bill Gates est un mondialiste. 

Il est également un eugéniste pathologique profondément investi dans le contrôle de la population mondiale, l’un des objectifs de longue date des Nations Unies.

S’il est raisonnable de croire qu’aucun de ces deux médecins, Fauci et Birx, ne romprait ses liens avec Gates et ne changerait de couleur simplement parce qu’il fait partie d’un groupe de travail de la Maison Blanche, alors nous devons demander au président Trump : pourquoi écoutez-vous ces deux-là ?

Un nouvel ordre économique et social

Pourquoi ces conseillers profondément en conflit [d’intérêt] conduisent-ils les décisions politiques – de la Maison Blanche aux hôtels particuliers et aux mairies du gouverneur?

De telles décisions, si elles se poursuivent, placent notre nation sur la voie rapide vers un nouvel âge sombre. Et pas seulement un âge sombre politico-économique. Lorsque nous regardons l’ordre social qui évolue rapidement, la lumière s’assombrit également.

De nouvelles règles sont en train d’être élaborées pour nous au moment où nous parlons. 

Des changements sont à venir pour tout – comment nous achetons des produits d’épicerie [masques requis], comment nous payons les produits [sans espèces?], même la façon dont nous saluons notre prochain [pas de poignée de main!].

Si vous n’obéissez pas à ces règles, vous serez publiquement honteux et blâmé comme présentant des comportements antisociaux préjudiciables au bien commun.

La façon dont nous «nous vivons notre vie» pourrait ne jamais revenir à la normale si le président Trump n’intervenait pas et ne reprenait pas les rênes de ces deux médecins alignés sur la vision des Nations Unies, Bill Gates et une foule d’ONG effrayantes comme la Fondation Rockefeller et le Forum économique mondial.

Nous avons déjà rendu compte de la conférence Event 201 du WEF en octobre de l’année dernière, où le CDC, l’OMS, la CIA, l’Université Johns Hopkins, NBC et d’autres sponsors se sont réunis pour dresser la carte de leur réponse mondiale à une pandémie de coronavirus – deux mois avant que quiconque ait entendu parler d’une épidémie de coronavirus.

En 2010, la Fondation Rockefeller a publié un livre blanc de 54 pages intitulé « Scénarios pour l’avenir de la technologie et du développement international ».

Dans cet opuscule, la fondation a évoqué une future pandémie basée sur un virus pseudo-grippal qui attaque le système respiratoire humain. À la page 18 de ce document, il décrit un scénario hypothétique surnommé «lockstep»:

« En 2012, la pandémie que le monde attendait depuis des années a finalement frappé. Contrairement au H1N1 de 2009, cette nouvelle souche de grippe – provenant d’oies sauvages – était extrêmement virulente et mortelle. Même les nations les plus préparées à une pandémie ont été rapidement submergées lorsque le virus s’est propagé dans le monde entier, infectant près de 20% de la population mondiale et tuant 8 millions de personnes en seulement sept mois, la majorité d’entre eux étant de jeunes adultes en bonne santé. La pandémie a également eu un effet mortel sur les économies : la mobilité internationale des personnes et des biens a été interrompue, affaiblissant des secteurs comme le tourisme et brisant les chaînes d’approvisionnement mondiales. Même localement, des magasins et des immeubles de bureaux normalement animés sont restés vides pendant des mois, sans employés ni clients. »

Aux États-Unis, «le confinement était un défi», poursuit le journal Rockefeller, car les États-Unis n’ont pas suivi l’exemple de la Chine  dans la mise en œuvre des verrouillages obligatoires.

La politique initiale des États-Unis de « décourager fortement » les citoyens de prendre l’avion s’est avérée mortelle dans sa tolérance, accélérant la propagation du virus non seulement aux États-Unis, mais au-delà des frontières. Cependant, quelques pays s’en sont mieux sortis – la Chine en particulier. L’imposition et l’application rapides par le gouvernement chinois de la quarantaine obligatoire pour tous les citoyens, ainsi que sa fermeture instantanée et quasi hermétique de toutes les frontières, ont sauvé des millions de vies, arrêtant la propagation du virus beaucoup plus tôt que dans d’autres pays et permettant une reprise post-pandémique accélérée.

Partout où vous trouvez les traces de la Fondation Rockefeller, la famille Gates n’est pas loin, travaillant en tant que «partenaire» ou co-fondateur. Ils partagent le même programme eugéniste.

Le Dr Fauci et le Dr Birx sont directement liés à ce groupe corrompu et Trump doit les lâcher avant qu’ils n’entraînent leur programme pourri dans nos vies à tous.

Michael Matt, rédacteur en chef de Remnant TV, a exposé cette cabale et a connecté les points mieux que n’importe qui, et je recommande fortement son podcast,  « Trumping the Gates of Hell« .



Matt discerne à juste titre que ce qui se passe est plus important que la politique partisane, démocrates contre républicains.

« Cela implique une intrigue internationale, l’OMS, George Soros, Bill Gates, le phénomène Trump et le pape François, mondialiste du Vatican », dit-il. 

« Mais comment? Pourquoi? Quelle est la fin du jeu? »

Dans des détails effrayants, il déballe la phase finale, qui n’a pratiquement rien à voir avec le fait de vous garder en vie et en bonne santé, mais tout avec le remplacement de la puissance américaine dans le monde par quelque chose de plus centralisé, et avec plus de contrôle des masses.

Nous assistons à l’aube d’une nouvelle ère «technocratique» qui se tient sur le plateau de l’ONU depuis plusieurs décennies, attendant juste un événement déclencheur pour qu’il puisse être mis en œuvre.

Une partie du plan de Gates pour un nouveau système utopique technocratique est le marquage et le suivi de chaque être humain à l’aide d’un système d’identification numérique.

Ce système d’identification mondial est actuellement conçu par l’ Alliance ID2020, basée à New York. Microsoft Corp. de Gates est devenu l’un des partenaires fondateurs en janvier 2018 avec Gavi Vaccine Alliance, un autre projet financé par Gates. 

Le financement provient également d’un collaborateur de longue date de Gates, la Fondation Rockefeller.

Afin d’introduire pleinement ce système, Gates et ses camarades mondialistes savent depuis longtemps qu’ils doivent abattre l’Amérique, la faire tomber de sa position de superpuissance la plus importante du monde et «égaliser les chances» entre les nations.

J’ai soutenu le même raisonnement dans mon article d’il y a deux semaines, « Dictature assainie : comment COVID19 est utilisé pour transformer le monde et détruire la révolution Trump ».

Maintenant, j’ai la sauvegarde intellectuelle de Michael Matt, qui prend 43 minutes pour documenter et expliquer le réseau de tromperie qui se tisse. 

Matt n’utilise pas le mot «technocratique» mais c’est exactement ce qu’il décrit – un nouvel ordre mondial dans lequel le capitalisme et la libre entreprise sont remplacés par une forme hybride de socialisme et de capitalisme semblable à celui qui asservit la population en Chine.

Dans une technocratie, des scientifiques corrompus et des bureaucrates fouilleurs de données appellent les vaccins, et les politiciens élus font leurs enchères. Que le peuple soit damné !

Ce n’est pas une coïncidence si Gates était également le principal pourvoyeur de fonds derrière les normes éducatives du tronc commun, qui se concentrent sur la collecte de données sur les élèves à travers des tests et des sondages incessants pour créer ce qui équivaut à un dossier sur les attitudes, les valeurs et les croyances de chaque élève. Il s’agit d’informations privées qui ne regardent en rien les bureaucrates de l’éducation, pas plus que ceux de la santé ne devraient acheter vos données de santé.

Comme l’épouse de Bill Gates, Melinda, l’a déclaré en 2017, capturé dans la vidéo ci-dessus, «Bill et moi aimons les données. Les chiffres nous importent… »

Ah oui, les données. Ils adorent les données car elles peuvent facilement être utilisées contre certains secteurs de la société.

En Chine, modèle technocrate du monde, le gouvernement utilise des données pour gérer un système de notation sociale. Ceux qui ont de faibles scores sociaux, tels que les chrétiens, sont ignorés pour les emplois principaux et forcés de se rencontrer dans des églises souterraines.

Oui, nous avons vu comment fonctionnent les minorités pauvres en données.

En faisant exploser la crise du COVID, en utilisant des modèles informatiques non scientifiques qui prévoyaient un nombre incroyablement inexact de près d’un million d’Américains morts, ils ont pu attirer l’attention du public américain, pour nous faire coopérer à l’avancement de notre propre asservissement.

Gates a déclaré, dans une interview avec Chris Wallace de Fox News:

«Il est juste de dire que les choses ne reviendront pas à la normale tant que nous n’aurons pas un vaccin que nous aurons distribué dans le monde entier.»

Le Premier ministre canadien Justin Trudeau est sorti cette semaine avec une déclaration qui semblait étrangement similaire.

«Nous ne reviendrons pas à notre ancienne situation normale; nous ne pouvons pas le faire avant d’avoir développé un vaccin, et cela pourrait prendre de 12 à 18 mois »,

a déclaré Trudeau aux journalistes jeudi dernier.

Zeke Emanuel, l’ancien collaborateur d’Obama qui conseille désormais Joe Biden, a déclaré à MSNBC :

«De manière réaliste, le COVID-19 sera là pour les 18 prochains mois ou plus. Nous ne pourrons pas revenir à la normale tant que nous n’aurons pas trouvé un vaccin ou des médicaments efficaces. »

Qui sera notre sauveur?

Vous pouvez donc voir que la gauche, et certains mannequins à droite, sont tous sur la même longueur d’ondes avec Bill Gates.

Les médias coopèrent en continuant à attiser la peur. Ils omettent de signaler que 99% des Américains qui contractent un coronavirus se rétablissent complètement. Et les médicaments nécessaires pour le traiter sont déjà là; ils sont bon marché et largement disponibles.

Dr. Shiva
Dr. Shiva Ayyadurai

Nous devrions nous concentrer sur le renforcement de notre système immunitaire, comme le préconise le Dr Shiva dans un article publié ici . Nous n’avons pas besoin des vaccins forcés de Gates.

Il est temps de faire savoir à ces mondialistes que c’est fini. Leur couverture a été grillée.

Les patriotes du Michigan reprennent en main leur gouvernement

Suivons l’exemple du Michigan . Les patriotes sont descendus dans les rues en signe de protestation pacifique. Ils se sont rendus en masse au State Capitol à Lansing aujourd’hui [mercredi 15 avril] pour exiger que le gouvernement socialiste Getchen Whitmer rouvre l’économie.

Nous ne voulons pas d’un nouveau chèque de «relance» du gouvernement. Nous voulons retourner au travail.

L’alternative est de continuer à écouter Fauci. Ce qui revient à écouter le psychopathe Gates.

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Des manifestants se rassemblent lors de «l’Opération Gridlock» au Capitole de l’État à Lansing, Michigan, le mercredi 15 avril 2020. 
Photo gracieuseté de Fox 2 Detroit .

Fauci a répété le mensonge de Bill Gates selon lequel la seule issue est d’attendre un vaccin.

De cette façon, il arrive à faire de Gates et des mondialistes nos sauveurs. Ils feront ressembler notre président à un bouffon maladroit, qui a créé un gâchis que seuls les globalistes, chevauchant sur leurs chevaux blancs, peuvent réparer.

Au final, seul Jésus-Christ peut nous sauver. Nous le savons.

Les mondialistes finiront par arriver à leurs fins, pour un temps, et ce sera une période d’enfer sur terre. Priez pour plus de temps. Je pense que nous en avons besoin. Sinon, nous nous soumettons aux mondialistes, qui nous mèneront dans un nouvel âge sombre.

Alors que le 11 septembre nous obligeait à nous soumettre aux coups de fouet de notre personne physique dans les aéroports, les palais de justice et autres lieux publics, la pandémie de COVID19 se terminera avec chaque Américain se soumettant à une analyse de son histoire de santé numérique. A moins que les gens ne rejettent ce système, nous nous dirigeons vers…

  • Une ère de «distanciation sociale» et de fracture d’unité.
  • Une ère de honte et de blâme dictés par l’agenda
  • Un âge de suspicion et de «montrer ses papiers»
  • Une ère de verrous, de suivi, d’étiquetage et de surveillance.

Trop c’est trop.


[À propos de l’auteur]

Leo Hohmann est un journaliste indépendant, auteur du livre de 2017 «Stealth Invasion: Muslim Conquest through Immigration and Resettlement Jihad». Pour soutenir ses projets de recherche et d’écriture, veuillez considérer un don de toute taille.




L’empire mondial de la santé de Bill Gates, troisième partie

[Source : Entelekheia]

Ceci est la troisième partie d’une série.
Dans la première partie, nous apprenons comment la Fondation Bill & Melinda Gates travaille à étendre l’influence de l’industrie pharmaceutique auprès de l’OMS, qu’elle contrôle, et des gouvernements du monde.
Dans la deuxième partie, nous voyons comment la Fondation Bill & Melinda Gates écoule dans les pays pauvres des traitements et des vaccins non approuvés dans les pays développés parce que dangereux, parfois avec des résultats désastreux. Nous verrons aussi que l’annonce de Trump selon laquelle les USA se « retirent » de l’OMS n’est rien d’autre que de la communication à destination de ses électeurs : en fait, les USA continuent de régner sur l’OMS à travers la Fondation Gates et l’agence fédérale américaine USAID.
Dans cette troisième partie, nous verrons que la Fondation Gates travaille à vendre non seulement les traitements et vaccins de l’industrie pharmaceutique, mais aussi des semences OGM, sur lesquelles elle travaille en partenariat avec Monsanto.
Dans la dernière partie, nous apprendrons comment la Fondation Gates tente de faire tomber les garde-fous étatiques qui interdisent à l’industrie pharmaceutique occidentale de mettre des produits potentiellement dangereux sur le marché. Nous verrons aussi que l’administration Trump marche main dans la main avec Bill Gates.

Par Jeremy Loffredo and Michele Greenstein
Paru sur The Grayzone sous le titre Why the Bill Gates global health empire promises more empire and less public health


L’affaiblissement des systèmes de santé publique des États

En plus de promouvoir des produits dangereux dans les pays pauvres, la Fondation Gates freine en fait l’amélioration des systèmes publics de santé et l’accès aux soins. Ainsi, les changements dans les déterminants sociaux et économiques de la santé passent au second plan au profit de solutions plus rentables et axées sur la technologie, comme les vaccins.

Ce phénomène se reflète dans le budget de l’OMS. La fondation est le principal contributeur au programme d’éradication de la polio de l’OMS, mais le principal bailleur de fonds du programme « systèmes de santé » de l’OMS est le gouvernement du Japon.

Selon Global Justice Now, l’accent mis par la fondation sur le développement de nouveaux vaccins détourne l’attention d’autres priorités sanitaires plus vitales telles que la mise en place de systèmes de santé solides.

Comme l’explique le Dr David Legge, Gates « a une vision mécaniste de la santé mondiale, en termes de recherche de remèdes-miracles ». Toutes les choses qu’il soutient sont largement présentées comme des remèdes-miracles… Cela signifie que les questions majeures identifiées à l’Assemblée mondiale de la santé ne sont pas abordées, y compris en particulier les déterminants sociaux de la santé et le développement des systèmes de santé ».

En 2011, Gates s’est exprimé à l’OMS en déclarant : « Dans les 193 États membres, vous devez faire des vaccins un élément central de vos systèmes de santé ».

Anne Emanuelle Birn, professeur de santé publique à l’Université de Toronto, a écrit en 2005 que la fondation avait une « conception étroite de la santé en tant que produit d’interventions techniques divorcées des contextes économiques, sociaux et politiques ».
« La Fondation Gates a longtemps défendu l’implication du secteur privé et de sa logique du profit dans la santé mondiale », a déclaré Mme Birn au journal The Grayzone.

L’un des hauts représentants de la GAVI a même rapporté que Bill Gates lui a souvent dit, lors de conversations privées, « qu’il est farouchement ‘contre’ les systèmes de santé » parce que c’est « un gaspillage complet d’argent ».

Ce phénomène est reflété également dans la manière dont l’agenda politique est établi à la GAVI. La GAVI se concentre également sur des interventions verticales en matière de santé, comme les vaccins, plutôt que sur des approches horizontales, comme la mise en place et la consolidation de systèmes de santé dans les pays pauvres.

Un rapport de Global Public Health décrit l’ « approche Gates » des systèmes de santé, en analysant comment des projets ciblés sur des maladies comme les vaccins ont éclipsé les efforts déployés pour travailler sur les systèmes publics de santé. L’auteur de l’article, Katerini Storeng, a cité la GAVI comme un exemple de la façon dont « les initiatives de santé mondiale en sont venues à prendre en otage le débat sur la consolidation des systèmes de santé en faveur de leur approche spécifique de telle ou telle maladie ».

Selon un ancien collaborateur de la GAVI qui s’est entretenu avec Katerini Storeng, même l’ancien PDG de la GAVI, Julian Lob-Levitt, était conscient de « l’absurdité de campagnes de vaccination qui prennent quatre semaines à planifier, mettre en œuvre et compléter et qui, lorsqu’elles sont répétées huit fois par an, paralysent totalement le système de santé ».

À un moment donné, Lob-Levitt a commandé une série d’évaluations de la GAVI, qui ont permis de mettre en évidence les faiblesses des systèmes de santé et la nécessité de les renforcer. Cependant, selon les interviews de Storeng, « de nombreux acteurs puissants [au sein du conseil d’administration de la GAVI] ont fortement résisté à cette initiative », notamment l’USAID et la Fondation Gates.

Storeng écrit qu’un membre du personnel de la GAVI lui a dit que la Fondation était « une voix très forte, parlant très haut, qui dit qu’elle ne croit pas au renforcement des systèmes de santé ».

Le rapport note également :

La réputation de Gates de « ne pas être très bon en matière d’écoute » a encouragé une approche non conflictuelle dans le domaine de la santé mondiale… Un ancien employé de la GAVI partisan du RSS [renforcement des systèmes de santé] a raconté comment lui et ses collègues avaient l’habitude de « ranger les affiches du RSS » lorsque Bill Gates venait visiter le siège de la GAVI à Genève, car il est connu pour « détester cette partie » du travail de la GAVI.

La préférence de la fondation pour des systèmes de santé publique faibles et des solutions techno-centrées aux problèmes de santé publique ne se limite pas à son travail avec l’industrie pharmaceutique. Elle façonne également la politique dans le secteur crucial de l’alimentation.

Au début de cette année, Gates a créé un nouvel institut à but non lucratif basé à St. Louis, Missouri, où se trouve Monsanto. La fondation a déclaré que la nouvelle organisation, baptisée Gates Ag One, « permettra de faire progresser les semences résistantes et à haut rendement » et de les introduire dans « les cultures essentielles aux petits exploitants agricoles, en particulier en Afrique subsaharienne et en Asie du Sud ».

Bien que l’aide aux petits agriculteurs semble être une noble entreprise, la fondation s’est efforcée de garantir que les pays du Sud dépendent de l’industrie occidentale, que ce soit pour les médicaments, les semences de haute technologie ou les produits agrochimiques.

Une grande partie de cette activité a débuté en 2006, lorsque la Fondation Gates s’est associée à la Fondation Rockefeller pour donner naissance à l’Alliance pour une révolution verte en Afrique (Alliance for a Green Revolution in Africa, AGRA). Gates a engagé 100 millions de dollars, tandis que la Fondation Rockefeller a réuni 50 millions de dollars.

L’approche de l’AGRA, qui a ouvert les marchés africains à l’agribusiness américain, est fondée sur la conviction selon laquelle la faim est due à un manque de technologies occidentales, plutôt qu’à des inégalités ou à de l’exploitation.

Selon un rapport de l’African Center for Biosafety, « il est frappant de constater qu’aucun de ceux qui sont à l’avant-garde de la révolution n’est africain. Tout comme le projet colonial en Afrique, cette nouvelle révolution est créée et ardemment défendue par des hommes blancs qui prétendent lutter pour libérer les Africains des griffes de la faim et de la pauvreté ».

Par le biais de l’AGRA, la Fondation fait pression pour l’introduction de semences et d’engrais brevetés et génétiquement modifiés (OGM). Si ces technologies aident les géants des semences et de la chimie comme Monsanto, elles sapent souvent la sécurité alimentaire.

Le Dr Vandana Shiva soutient que l’idée selon laquelle les cultures OGM augmentent les rendements est « scientifiquement fallacieuse ». D’autre part, la fondation s’assure une fois de plus que des ressources précieuses sont détournées de la recherche de solutions systémiques à la faim et à la pauvreté.

Comme l’affirme The Ecologist, Gates et Monsanto sont partenaires dans un « projet d’OGM inapproprié et frauduleux qui promeut une solution technique rapide avant de s’attaquer aux problèmes structurels qui créent la faim, la pauvreté et l’insécurité alimentaire ».

De plus, la Fondation Gates influence les gouvernements africains pour qu’ils modifient leurs lois afin de servir l’industrie agricole.

Selon Grain.org :

Au Ghana … l’AGRA a aidé le gouvernement à revoir ses politiques en matière de semences dans le but d’identifier les obstacles à une plus grande implication du secteur privé. Grâce au soutien technique et financier de l’AGRA, la législation du pays en matière de semences a été révisée et une nouvelle loi sur les semences favorable aux entreprises privées a été adoptée à la mi-2010. Elle a notamment établi un registre des variétés aptes à la commercialisation. En Tanzanie, les discussions entre l’AGRA et les représentants du gouvernement ont facilité un changement politique majeur visant à privatiser la production de semences. Au Malawi, l’AGRA a aidé le gouvernement à réviser ses politiques commerciales et de fixation des prix du maïs ».

Commentant le rôle de Gates dans la refonte des marchés agricoles, Shiva a déclaré à The Grayzone : « Vous créez un nouveau champ, vous y investissez. Vous forcez les gouvernements à y investir, vous détruisez la réglementation. Vous détruisez les alternatives, vous attaquez les scientifiques.  Et vous créez toute une machinerie au service de votre monopole. »

Comme dans le cas de Gates avec Big Pharma, ces démarches peuvent s’expliquer par les conflits d’intérêts apparents de la Fondation Gates. Et comme pour Big Pharma, les exemples ne cessent de se multiplier.

L’ancien directeur adjoint du programme agricole de la fondation, Robert Horsch, était auparavant cadre supérieur chez Monsanto, où il a travaillé pendant 25 ans. Horsch a dirigé l’équipe qui gère les subventions agricoles et, selon le Global Policy Forum, « on lui a demandé de rejoindre la Fondation Gates, notamment pour poursuivre les recherches qu’il menait à Monsanto ».

Sam Dryden, l’ancien directeur du programme agricole de la Fondation Gates, dirigeait auparavant deux des plus grandes entreprises de semences génétiquement modifiées, Emergent Genetics et Agragentics Corporation. En 2005, Emergent a été rachetée par Monsanto, où Dryden était resté pendant six mois.

Pendant qu’il était à la Fondation Gates, le Guardian l’a qualifié de « figure la plus puissante de l’agriculture des pays du Sud ».

L’ancien responsable du programme agricole de la Fondation Gates, Don Doering, était auparavant membre fondateur du Conseil consultatif sur les biotechnologies de Monsanto. Doering a mené une équipe de développement agricole qui dirigeait de l’argent vers « l’aide aux agriculteurs pauvres en Afrique sub-saharienne et en Asie ».

Il y a aussi Florence Wambugu, qui a écrit le livre « Modifying Africa » et qui a été appelée « une apôtre de Monsanto en Afrique ». Après avoir reçu une bourse de l’USAID, Wambugu est devenue chercheuse à Monsanto. Elle a ensuite été nommée au Conseil du développement mondial de la Fondation Gates.

Comme pour plusieurs de ses entreprises pharmaceutiques, la Fondation Gates travaille avec l’USAID dans le secteur de l’agriculture. Pamela K. Anderson, l’actuelle directrice du développement agricole de la Fondation Gates, siège actuellement au conseil d’administration de l’USAID.

22.000 enfants meurent chaque jour à cause de la pauvreté. Pourtant, les causes socio-économiques des problèmes de santé peuvent être négligées lorsque les intérêts de l’industrie prennent le dessus. C’est ce qui se passe avec la primauté de la Fondation Gates dans l’arène de la santé mondiale.

En bref, le leadership de la fondation dans ses précédents efforts de santé mondiale montre une allégeance non pas à la santé publique, mais aux impératifs du capital occidental. Elle préfère ne pas renforcer les systèmes de santé, mais s’assurer que les nations restent dépendantes de Big Pharma et/ou de l’agri-business aussi longtemps que possible.

C’est à cette lumière que l’on peut comprendre le leadership de Gates dans la lutte mondiale contre le Covid-19.

A suivre…

Traduction Corinne Autey-Roussel pour Entelekheia
Photo Aamir Mohd Khan / Pixabay




L’empire mondial de la santé de Bill Gates, dernière partie

[Source : Entelekheia]

Ceci est la quatrième et dernière partie d’une série.
Dans la première partie, nous apprenons comment la Fondation Bill & Melinda Gates travaille à étendre l’influence de l’industrie pharmaceutique auprès de l’OMS, qu’elle contrôle, et des gouvernements du monde.
Dans la deuxième partie, nous voyons comment la Fondation Bill & Melinda Gates écoule dans les pays pauvres des traitements et des vaccins non approuvés dans les pays développés parce que dangereux, parfois avec des résultats désastreux. Nous verrons aussi que l’annonce de Trump selon laquelle les USA se « retirent » de l’OMS n’est rien d’autre que de la communication à destination de ses électeurs : en fait, les USA continuent de régner sur l’OMS à travers la Fondation Gates et l’agence fédérale américaine USAID.
Dans la troisième partie, nous apprenons que la Fondation Gates travaille à vendre non seulement les traitements et vaccins de l’industrie pharmaceutique, mais aussi des semences OGM, sur lesquelles elle travaille en partenariat avec Monsanto.
Dans cette dernière partie, nous verrons comment la Fondation Gates tente de faire tomber les garde-fous étatiques qui interdisent à l’industrie pharmaceutique occidentale de mettre des produits potentiellement dangereux sur le marché. Nous verrons aussi que l’administration Trump marche main dans la main avec Bill Gates.

Par Jeremy Loffredo and Michele Greenstein
Paru sur The Grayzone sous le titre Why the Bill Gates global health empire promises more empire and less public health


L’opération Warp Speed vaccine Big Pharma contre les poursuites judiciaires

À la mi-mai, l’administration Trump a dévoilé son nouveau projet de vaccin contre le coronavirus : l’opération Warp Speed. Le président Trump a annoncé le nouveau projet en se vantant de l’assouplissement, par son administration, de « toutes les formalités administratives pour parvenir au lancement le plus rapide, et de loin, d’un essai de vaccin ».

Comme l’administration Trump, Bill Gates plaide pour l’accélération du calendrier d’approbation du vaccin du Covid-19. Il écrit que « les gouvernements devront accélérer leurs processus habituels d’approbation des médicaments afin de fournir rapidement le vaccin à plus de 7 milliards de personnes ». Selon lui, « il n’y a tout simplement pas d’alternative » à ce programme.

En mars dernier, les États-Unis ont adopté une réglementation fédérale accordant une immunité contre d’éventuelles poursuites judiciaires aux firmes produisant des médicaments contre le coronavirus, y compris les vaccins. Ils ont également accordé une immunité à toute entité distribuant ces médicaments.

Avec plus de 100 vaccins du Covid-19 actuellement en cours de développement, cela signifie que ces produits seront indemnisés contre toutes possibilités de poursuites judiciaires, même dans les cas d’effets secondaires nocifs.

Si les fabricants de vaccins sont effectivement exemptés de sanctions légales par les gouvernements du monde, ces entreprises ne sont pas particulièrement incitées à protéger les gens contre d’éventuels effets secondaires nocifs. Comme par le passé, il semble que les citoyens des pays les plus pauvres soient sur le point de devenir des « cobayes pour les fabricants de médicaments ».

Le plaidoyer de Bill Gates pour l’immunité des fabricants de médicaments remonte au moins à 2015, lorsqu’il a déploré, lors de l’épidémie d’Ebola, l’absence de processus clair pour « fournir une exemption de responsabilité légale ». Il a suggéré qu’au cours d’une « épidémie mondiale », les entreprises pharmaceutiques devraient être protégées contre les actions en justice pour « éviter de longs retards ». Aujourd’hui, sa proposition est en train de se concrétiser.

Gates a justifié sa position par le fait que les entreprises devront produire des médicaments le plus rapidement possible pour sauver des vies, et que ces nouveaux médicaments ne seront pas toujours sûrs. « Comprendre la sécurité… est très, très difficile », a-t-il déclaré à CBS. « Il y aura un certain risque et une exemption de responsabilité sera nécessaire avant que l’on puisse décider [de sortir un vaccin] ».

Normalement, un médicament passe par une phase d’expérimentation animale avant d’être testé sur un petit nombre d’humains (phase I), un nombre plus étendu (phase II) et un grand nombre de personnes (phase III). Mais avec le Covid, Gates veut « gagner du temps » en effectuant des tests sur les humains et les animaux en même temps.

Aujourd’hui, les États-Unis « compriment ce qui représente généralement 10 ans de développement de vaccins », selon le directeur de l’Institut national de la santé (NIH).

Cela peut produire des effets dérangeants. D’une part, aucun vaccin efficace contre les coronavirus n’a encore été produit et un nouveau vaccin pourrait déclencher des réactions mortelles. Le Dr Peter Hotez, spécialiste des maladies tropicales, qui a travaillé sur un vaccin raté pour un autre coronavirus (SRAS), a déclaré que lors des tests expérimentaux du médicament, les animaux étaient victimes de ce qu’il appelle « Facilitation de l’infection par des anticorps ». Les animaux qui ont reçu la piqûre ont développé des formes plus graves (et souvent mortelles) du virus par rapport aux animaux non vaccinés.

Hotez a déclaré à Reuters : « La façon de réduire ce risque [pour les humains] est d’abord de démontrer qu’il ne se produit pas chez les animaux de laboratoire. L’expert médical a déclaré qu’il comprenait « l’importance d’accélérer les délais pour les vaccins en général, mais … ce n’est pas avec ce vaccin qu’on peut se le permettre ».

Sans effectuer la phase initiale de tests sur les animaux normalement requise pour mettre un vaccin sur le marché, une société de biotechnologie nommée Moderna mène actuellement des essais sur l’homme pour son vaccin du Covid-19. Le vaccin de Moderna est de type ARNm, qui n’ont jamais été approuvé par la FDA pour une utilisation sur les humains.

Cette technologie, qui contient des cellules génétiquement modifiées pouvant altérer de façon permanente l’ADN humain, a été développée grâce à des subventions de la Fondation Gates et de l’Agence des projets de recherche avancée de la défense du Pentagone (DARPA). Moderna affirme avoir une « alliance stratégique » avec la DARPA, qui a donné à la firme 25 millions de dollars au total.

La technologie ARNm de Moderna a été désignée par Bill Gates comme « l’une des options les plus prometteuses pour le COVID ». Gates a même un « accord-cadre de projet de santé mondiale » avec Moderna pour lui donner jusqu’à 100 millions de dollars pour le développement de sa technologie ARNm, en échange de l’obtention de « certaines licences non exclusives ».

Le co-fondateur de Moderna, Robert Langer, s’est associé à Gates dans le passé sur des projets tels que l’implant de micro-puces contraceptives activables sans fil.

Lorsque Moderna a annoncé l’achèvement de la phase 1 de son essai de sécurité le 18 mai, des médias grand public ont salué la « bonne nouvelle » de Moderna. Mais les petits caractères du communiqué ont révélé que trois des 15 participants auxquels on a injecté la plus forte dose du vaccin ont développé des symptômes systémiques de grade trois, que la FDA définit comme « graves », « invalidants » et nécessitant une « hospitalisation », bien que « ne mettant pas immédiatement leur vie en danger ».

Le 15 mai, le président Trump a nommé Moncef Slaoui, un membre du conseil d’administration de Moderna qui, jusqu’au 19 mai, détenait plus de 10,3 millions de dollars d’actions de la firme, comme responsable scientifique de l’effort national pour trouver un vaccin du Covid-19.

Slaoui, qui se dit « engagé dans le capital-risque », fait également partie du conseil d’administration de l’Initiative internationale pour un vaccin contre le sida (IAVI), une organisation de « partenariats public-privé » qui a reçu plus de 359 millions de dollars de la Fondation Gates.

Slaoui a également occupé des postes de direction chez GlaxoSmithKline (GSK). Alors qu’il dirigeait la recherche et le développement de l’entreprise, GSK a plaidé coupable et versé 3 milliards de dollars dans ce que le Département américain de la justice a qualifié de « plus forte somme versée en dommages-intérêts après une fraude dans le domaine de la santé de l’histoire des États-Unis ». La fraude comprenait la dissimulation du lien entre un médicament, le Paxil et des effets secondaires de dépression et idées suicidaires (principalement chez les enfants), la dissimulation du lien entre un médicament, l’Avandia et des effets secondaires sur le cœur, qui, selon la FDA, ont entraîné 83 000 crises cardiaques, ainsi que plusieurs accusations de corruption et de pots-de-vin illégaux.

Alors qu’il était président de GSK chargé des vaccins, M. Slaoui a supervisé le développement du vaccin contre la grippe porcine appelé Pandemrix, qui a été mis sur le marché sans avoir été testé correctement lors de l’épidémie de grippe porcine. Le résultat a été un vaccin dangereux qui a causé des lésions cérébrales chez au moins 800 personnes, dont 80 % d’enfants. Comme GSK n’a accepté de fournir le vaccin aux gouvernements qu’à la condition d’être dégagé de toute responsabilité légale, l’argent des contribuables britanniques a été utilisé pour payer des millions de livres sterling en compensation aux victimes.

Slaoui a été engagé pour être le « tsar du vaccin » de l’administration Trump en tant qu’entrepreneur privé, et non en tant qu’employé du gouvernement. Cela signifie, comme l’explique Public Citizen, que Slaoui peut « maintenir un vaste réseau d’intérêts financiers conflictuels sans avoir besoin de se défaire de ces intérêts, de se récuser ou même de les divulguer ».

Les médias grand public aiment à dépeindre la réponse au Covid-19 comme un bras de fer entre des fanfarons anti-science comme Donald Trump et des « champions de la science » comme Bill Gates. Cependant, la nomination de Slaoui à la codirection de l’opération « Warp Speed » indique qu’ici, l’administration Trump et la Fondation Gates font partie de la même équipe.

Après être entré dans son nouveau rôle dans l’administration Trump, Slaoui a déclaré que les données des essais cliniques de Moderna lui donnaient assez confiance pour annoncer, « nous serons en mesure de fournir quelques centaines de millions de doses de vaccin d’ici la fin de 2020 ».

Bien que le gouvernement américain ait choisi Moderna comme l’un des cinq « finalistes » de son vaccin contre le coronavirus, les mesures financières prises par certains dirigeants de l’entreprise laissent penser que les beaux jours de Moderna sont peut-être derrière elle.

Selon des documents déposés auprès de l’U.S. Securities and Exchange Commission (SEC), le directeur financier de la société, Lorence Kim, a vendu 214 000 actions de Moderna le jour du communiqué de presse, réalisant immédiatement un bénéfice de plus de 16 millions de dollars.

Thomas Lys, professeur de comptabilité à l’université Northwestern, a été cité par Stat News déclarant que cela pourrait simplement être une décision financière de Moderna pour obtenir des liquidités, mais qu’ « il y a toujours une autre possibilité – que ces gars savent en fait que tout cela est bidon et qu’ils vendent pendant que l’action est encore à bon prix ».

Le médecin en chef Tal Zaks, qui détenait près de 100 000 actions de Moderna au début de l’année, a commencé à vendre des actions quelques jours avant que Moderna n’annonce que son vaccin était prêt à être testé sur l’homme, avec un profit de plus de 18 millions de dollars en 2020. Il n’en possède plus aucune action.

Une réserve centralisée pour « rendre l’OMS dépendante du bon vouloir des grandes entreprises pharmaceutiques ».

En octobre 2019, le Johns Hopkins Center for Health Security a organisé l’ « Event 201 » [*] en partenariat avec le Forum économique mondial et la Fondation Gates.

Un ancien membre du Comité directeur du Johns Hopkins Center for Health Security [Robert Kadlec] est maintenant chef de la réserve de médicaments de l’administration Trump, et le PDG de Johns Hopkins Medicine fait également partie du conseil d’administration de la société pharmaceutique Merck.

L’Event 201 était un exercice de simulation d’une pandémie à nouveau coronavirus. Des représentants du Conseil national de sécurité des États-Unis y ont participé, ainsi que des dirigeants de sociétés pharmaceutiques comme Johnson & Johnson.

Si les similitudes entre la simulation de l’épidémie et la véritable épidémie ont suscité des théories infondées sur la « prédiction » du COVID 19 par Bill Gates, il est indéniable que les propositions politiques qui ont émergé de l’exercice sont mises en œuvre aujourd’hui.

À la suite de la simulation, complétée par des conférences de presse simulées d’un réalisme effrayant et des bulletins d’information diffusés par un réseau appelé GNN, les trois organisations ont émis des recommandations pour faire face à une « grave pandémie ». L’une des recommandations était de disposer d’une « solide réserve internationale » de mesures médicales telles que des vaccins.

Au cours de la simulation, le président de la Fondation Gates pour la santé mondiale, Chris Elias, a insisté sur la nécessité de constituer une réserve de ce type. Il a expliqué qu’ « un stock mondial contribuerait certainement à assurer une répartition rationnelle et stratégique », mais qu’une collaboration entre l’OMS et le secteur privé est nécessaire pour en assurer l’efficacité.

D’un point de vue objectif, un stock centralisé de mesures médicales peut être utile en cas de crise sanitaire. Mais la question de savoir qui la contrôle et la distribue soulève des problèmes importants.

Le Dr David Legge a déclaré à Grayzone que la suggestion d’Elias augmenterait encore l’influence des sociétés pharmaceutiques à but lucratif, car « sans aucun doute, un partenariat public-privé axé sur l’approvisionnement et la distribution impliquerait les grandes sociétés pharmaceutiques et rendrait l’OMS dépendante du bon vouloir de ces dernières ».

Gates pourrait faire valoir que le contrôle et la distribution de ces stocks devraient également être influencés par des institutions occidentales comme l’OTAN. En 2015, il a écrit qu’en cas de « grave épidémie », « une institution mondiale pourrait être habilitée et financée pour coordonner le système [de réponse à l’épidémie] », qu’il devrait y avoir une discussion sur le partage des pouvoirs entre l’OMS et « d’autres (y compris la Banque mondiale et les pays du G7) », et que « le débat devrait inclure des alliances militaires comme l’OTAN ».

Gates a également soutenu que « les pays à faible revenu devraient être parmi les premiers à recevoir » le vaccin du Covid-19. Si l’OTAN joue un rôle dans le contrôle et la distribution des vaccins, cette aide pourrait être utilisée pour faire progresser les programmes militaires occidentaux, étant donné que ces « aides » ont été utilisées dans le passé lors d’interventions humanitaires.

Gates a quasiment monopolisé le domaine de la politique de santé publique, tant au niveau national qu’international. « Fauci et moi sommes en contact permanent », a-t-il proclamé, en référence au visage de la réponse américaine au Covid, le directeur de l’Institut national des allergies et des maladies infectieuses, Anthony Fauci.

Dans le même temps, le méga-milliardaire s’entretient apparemment « tous les jours » avec des PDG de sociétés pharmaceutiques et des chefs de gouvernements.

En entretenant des relations avec des organisations gouvernementales et le secteur privé à but lucratif, la Fondation Gates est peut-être devenue l’acteur le plus influent de la réponse mondiale au Covid-19. Ainsi, si le travail de la fondation a favorisé les multinationales occidentales aux dépens de la santé publique dans le passé, comment s’attendre à un résultat différent cette fois-ci ?

L’histoire se répète

Au début juillet, l’Associated Press a rapporté que des Sud-Africains s’étaient réunis à Johannesburg pour protester contre l’essai clinique de phase III d’AstraZeneca en Afrique. La Fondation Gates a versé 750 millions de dollars à cet effort de vaccination le mois dernier, et les manifestants ont été photographiés tenant des banderoles sur lesquelles on pouvait lire « Nous ne sommes pas des cobayes » et « Non au poison de Gates ».

L’organisateur de la manifestation, Phapano Phasha, a déclaré à l’AP que des groupes vulnérables étaient manipulés pour qu’ils participent à l’essai sans possibilité de choix éclairé. « Je crois en la science », a déclaré Phasha. « Je ne suis pas contre les vaccins, je suis contre le profit. »

Les rapports indiquent que les vaccins de Moderna et d’AstraZeneca pourraient être disponibles pour une distribution publique d’ici la fin 2020.

The Grayzone a contacté la Fondation Bill & Melinda Gates, l’Alliance mondiale pour les vaccins et l’immunisation (GAVI) et le Programme pour les technologies appropriées dans le domaine de la santé (PATH) pour leur demander de commenter cet article, et n’a pas encore reçu de réponse.


Jeremy Loffredo est un journaliste basé à Washington D.C. Il a travaillé sur divers documentaires indépendants à New York et a participé à la production de plusieurs programmes d’information internationaux. Il prépare actuellement un documentaire sur le Green New Deal que vous pouvez soutenir à l’adresse https://www.gofundme.com/f/the-green-new-deal-explained-for-real

Michele Greenstein est une journaliste basée à Washington D.C. Ancienne correspondante de RT America, elle a produit une série sur la guerre technologique entre les États-Unis et la Chine et un documentaire de terrain sur le mouvement anti-gouvernemental de 2019 à Hong Kong.

Traduction Corinne Autey-Roussel pour Entelekheia
Illustration Miguel Á. Padriñán / Pixabay[*]
Note de la traduction: voir l’article de Cory Morningstar en français, 
Event 201, la simulation prophétique de pandémie à coronavirus du Forum économique mondial




Mensonges des responsables américains du groupe de travail COVID

[Source : Ciel voilé via Profession gendarme]

Alerte à la sécurité nationale américaine : les enquêtes militaires révèlent l’histoire de la fraude dans le domaine de la science des vaccins par les dirigeants du groupe de travail COVID de la Maison Blanche.

Le président Trump doit prendre des mesures immédiates.

[Auteur :] David DeGraw – Le 2 août 2020

Les enquêteurs militaires américains ont prouvé que l’actuel directeur du CDC, Robert Redfield, qui est en charge du développement du vaccin COVID et dirige le groupe de travail COVID de la Maison Blanche, a un passé documenté de falsification de données scientifiques, a violé son serment et a menti à plusieurs reprises au Congrès et à la communauté scientifique internationale.

Des documents de l’armée américaine (doc. 1, 2, 3) montrent que M. Redfield et son ancienne assistante Deborah Birx, qui dirige également le groupe de travail COVID, ont sciemment falsifié des données scientifiques publiées dans le New England Journal of Medicine, prétendant frauduleusement qu’un vaccin contre le VIH qu’ils ont contribué à développer était efficace.

Deux enquêteurs militaires ont accusé Redfield et Birx de s’être livrés à « un mode systématique de manipulation des données, d’analyses statistiques inappropriées et de présentation trompeuse des données dans une tentative apparente de promouvoir l’utilité du vaccin contre le sida GP160 ».

Un tribunal de l’armée de l’air sur la fraude et la mauvaise conduite scientifique (doc. 1, 2, 3) a ensuite convenu que les informations trompeuses et mensongères de Redfield « menacent sérieusement sa crédibilité en tant que chercheur et peuvent avoir un impact négatif sur le financement de la recherche sur le SIDA pour les institutions militaires dans leur ensemble ». Ils ont ensuite poursuivi en déclarant que son « comportement contraire à l’éthique crée de faux espoirs et pourrait entraîner un déploiement prématuré du vaccin ».

Pour éviter toute influence politique corrompue, le tribunal de l’armée de l’air a ensuite demandé une enquête par un « organisme d’investigation extérieur totalement indépendant ».

Redfield a avoué — aux interrogateurs du Département de la Défense et au Tribunal de l’Armée de l’Air — que ses analyses étaient erronées et trompeuses. Il a également accepté de les corriger publiquement.

Cependant, Redfield a ensuite continué à mentir publiquement et à faire de fausses déclarations lors de trois conférences internationales ultérieures sur le VIH, et a violé son serment lors de son témoignage devant le Congrès, en jurant que son vaccin guérissait le VIH.

A partir de ses mensonges, le Congrès a ensuite alloué 20 millions de dollars à l’armée pour soutenir le projet de recherche de Redfield et Birx. Une fois que cela s’est produit, l’organisme de surveillance gouvernemental Public Citizen s’est plaint à Henry Waxman, alors membre du Comité du Congrès, que l’argent avait amené l’armée à mettre fin à l’enquête et à « blanchir » les crimes de Redfield.

Après avoir dissimulé ces actes de corruption flagrants et cette fraude pure et simple, Redfield et Birx ont commencé leur ascension choquante vers le sommet, devenant des fonctionnaires de premier plan dans le domaine de la « santé » du gouvernement.

Robert Redfield est maintenant le directeur du CDC et, avec sa co-conspiratrice Deborah Birx, il dirige le groupe de travail COVID de la Maison Blanche. Avant de diriger ce groupe de travail, Deborah Birx a siégé au conseil d’administration du Fonds mondial de Bill Gates, qui a un palmarès épouvantable en matière de financement de programmes de « vaccins » qui se livrent à des « violations grotesques des droits de l’homme », comme l’a déclaré une enquête du gouvernement indien.

Le président Trump doit immédiatement enlever Robert Redfield et Deborah Birx du groupe de travail COVID du CDC et de la Maison Blanche et les tenir pour responsables de leurs crimes contre l’humanité.

En tant que priorité absolue et question urgente de sécurité nationale, le président Trump doit également ouvrir immédiatement une enquête sur Bill Gates. Si Trump ne prend pas de mesures immédiates sur ces deux fronts, il se rend ainsi complice de crimes contre le peuple américain.

Documents de référence :

Enquête militaire américaine sur Redfield & Birx (doc un, deux, trois)

Tribunal de l’armée de l’air sur la fraude et la faute scientifique (doc un, deux, trois)

Public Citizen Letter soumis au Congrès.

Rapport de politique étrangère exposant l’histoire scandaleuse de Redfield.

Pour une brève introduction sur les crimes contre l’humanité de la Fondation Gates, qui cite plusieurs enquêtes gouvernementales, regardez cette vidéo.

Ce poste s’appuie sur le travail essentiel effectué à la Défense de la santé des enfants.

Nombreux liens dans l’article en anglais