Si le vaccin anti-Covid n’empêche pas l’infection, l’hospitalisation ou la mort, à quoi sert-il ?

[Source : Sott.net]

[Image : © Chris Gash – New York Times]

[Auteur :] Mike Whitney — Unz Review

Les nouveaux vaccins contre le Covid vont rapporter des milliards de dollars aux grandes entreprises pharmaceutiques, mais voici ce qu’ils ne feront pas :

  • Les vaccins ne guériront pas le Covid ;
  • Les vaccins n’empêcheront pas les gens de contracter le Covid ;
  • Les vaccins n’empêcheront pas les hospitalisations liées au Covid ;
  • Les vaccins n’empêcheront pas les décès dus au Covid.

« Le monde a misé sur les vaccins comme solution à la pandémie, mais les phases de test ne visent pas à répondre aux questions soulevées par beaucoup quant à ce qu’ils sont exactement. »

Peter Doshi, rédacteur en chef adjoint du British Medical Journal et professeur adjoint de recherche sur les services de santé pharmaceutiques à l’école de pharmacie de l’université du Maryland

« La différence entre le génie et la stupidité, c’est que le génie a ses limites. »

Albert Einstein

Maintenant, je sais ce que vous pensez. Vous vous dites : « Si le vaccin ne m’empêche pas d’attraper le Covid, ou de mourir du Covid, alors pourquoi devrais-je me le faire injecter ? »

Et la réponse est : Vous ne devriez pas. Cela n’a aucun sens, surtout si l’on considère que les nouveaux vaccins présentent des risques considérables pour la santé et le bien-être de chacun.

Et vous vous dites : « Des risques ? Personne n’a parlé de risques. Je pensais que ce merveilleux nouveau remède anti-Covid était entièrement sans risque ; il suffit de se le faire injecter et — illico presto — la vie redevient normale. »

Faux. Les risques existent, des risques importants, que les médias et l’establishment médical ont dissimulés avec leurs ridicules discours enthousiastes sur les vaccins « miracles ». Mais tout cela n’est qu’un battage publicitaire destiné à tromper les populations pour qu’elles se fassent injecter une substance douteuse qui ne fait PAS ce qu’elle est censée faire et qui présente de graves risques à long terme pour la santé.

Alors, creusons un peu plus cette question des risques et voyons ce que disent les experts. Voici un extrait d’une « Lettre ouverte de : UK Medical Freedom Alliance à : Le Comité mixte sur la vaccination et l’immunisation… pour le Covid-19 au Royaume-Uni » :

« Il est inquiétant de constater que les récents débats parlementaires semblent ne pas accorder suffisamment d’importance à toutes les préoccupations concernant les risques des vaccins et le droit au consentement éclairé, tout en se concentrant uniquement sur les stratégies visant à accroître l’utilisation des vaccins dans la population générale.

Évaluation inadéquate du risque pour la santé publique d’un vaccin Covid

Dans une récente lettre au British Medical Journalle médecin Arvind Joshi a mis en garde contre le désastre qui pourrait résulter de cette politique malavisée et a souligné les risques graves encourus par le public et les autres conséquences désastreuses qui pourraient découler de l’utilisation précipitée d’un vaccin contre le Covid sans que des tests approfondis et adéquats aient été effectués quant à leur innocuité et leur efficacité :

« Des effets indésirables tels que la panencéphalite sclérosante subaiguë, la polynévrite ascendante, les myopathies, les maladies auto-immunes et la possibilité plus rare de déclencher le développement de malignités sont les possibilités les plus redoutées. […] La ruée vers les vaccins ne devrait pas conduire au désastre. »

Note : une liste plus complète des potentielles « conséquences désastreuses » est disponible dans le lien de l’article en anglais ci-dessus.

« Les vaccins à base de vecteurs viraux et les vaccins génétiquement modifiés pourraient subir une recombinaison ou une hybridation avec des résultats imprévisibles… Les tentatives précédentes de développer des vaccins contre les coronavirus et d’autres vaccins, par exemple le VRS [virus respiratoire syncytial – NdT] et la dengue, ont été entravées par le problème de « l’immunité renforcée liée aux anticorps », qui a conduit à des maladies graves et à des décès chez les animaux et les sujets humains participant aux essais[28]. Ce phénomène n’apparaît qu’après la vaccination, lorsque le sujet est exposé au virus naturel à un moment donné dans le futur. Il est inquiétant de constater que les essais du vaccin anti-Covid n’ont pas été menés de manière à exclure la possibilité que cette grave séquelle se produise des mois ou des années après la vaccination…

Les effets indésirables tardifs du vaccin, tels que la panencéphalite sclérosante subaiguë, la polynévrite ascendante, les myopathies, les maladies auto-immunes, la stérilité et les cancers, ne peuvent être exclus des essais de courte durée. »

Tout cela est très technique, mais la vérité est évidente : se faire injecter le vaccin anti-Covid comporte de sérieux risques. La plupart des personnes vaccinées ne ressentiront que des douleurs mineures, mais certaines seront sans aucun doute très malades et leur santé en souffrira de façon permanente. Personne n’en est vraiment sûr, car il n’y a pas eu d’essais à long terme. Le vaccin anti-Covid a fait l’objet, dès le premier jour, d’une procédure accélérée. La question est donc la suivante : « Les avantages l’emportent-ils sur les risques ? » Il se trouve que, dans le cas présent, ce n’est clairement pas le cas. Les risques de tomber gravement malade ou de mourir à cause du Covid sont très faibles — le taux de survie est de 1 sur 400 — alors que les effets indésirables — potentiels — du vaccin sont eux décrits ci-dessus. Pourquoi devrait-on jouer à la roulette russe avec un vaccin qui n’empêche pas de contracter le Covid, ne protège pas contre l’hospitalisation et n’empêche pas de mourir ? Ce n’est tout simplement pas un bon compromis. Voici d’autres extraits d’un article paru dans le magazine Forbes :

« La prévention de l’infection devrait constituer le but primordial… Mais la prévention de l’infection n’est un critère de succès pour aucun de ces vaccins. En fait, leurs buts à tous requièrent des infections préalablement confirmées… puisque leurs vaccins ne sont pas censés prévenir l’infection, mais seulement modifier les symptômes des personnes infectées.

En cas d’infection, nous attendons tous d’un vaccin efficace qu’il protège d’une maladie grave. Trois des protocoles de vaccination [Moderna, Pfizer et AstraZeneca – NdT] n’exigent pas de leur vaccin qu’il protège d’une maladie grave, mais seulement qu’il empêche des symptômes modérés pouvant être aussi bénins que la toux ou les maux de tête… »

Note du traducteur : nous avons déjà partiellement traduit ce passage de Forbes — ainsi que celui qui suit — dans notre Focus qui y fait également référence : « Les critères de référence des tests des vaccins anti-Covid sont truqués et les effets secondaires sont désastreux ».

Comprenez-vous ce qui se passe ? La « prévention » n’est même pas un objectif premier. La norme de réussite dans ces essais est de savoir si le vaccin atténue les symptômes du Covid chez les personnes qui sont testées positives. Mais qui se soucie des symptômes ? Ce qui intéresse les gens, c’est la mort. C’est la raison pour laquelle [une partie] du public est si désireuse de se faire vacciner, dans l’espoir d’échapper à la mort.

C’est un point critique, et l’un de ceux qui mérite que l’on y réfléchisse sérieusement.

Pourquoi ?

Parce qu’il permet d’illustrer à quel point la campagne de vaccination est construite sur une base de mensonges et de tromperie. Par exemple, lorsque les sociétés pharmaceutiques se vantent que leur produit est « efficace à 95 % », cela ne signifie PAS que — si vous vous faites vacciner — vous serez immunisé contre le Covid. Cela ne signifie même pas que vous ne tomberez pas gravement malade et que vous ne mourrez pas. Cela signifie simplement que le vaccin a réduit les symptômes de certaines des personnes testées positives.

Le saviez-vous ?

Bien sûr, vous ne le saviez pas. Vous pensiez qu’en vous faisant vacciner vous seriez protégé contre le Covid, parce que c’est l’hypothèse logique que tout le monde ferait. La plupart des gens assimilent les vaccins à l’immunité. Les compagnies pharmaceutiques le savent, c’est pourquoi elles exploitent leur ignorance et obscurcissent délibérément la vérité. Elles veulent que les populations continuent à croire que la vaccination constitue un bouclier protecteur qui les sauvera de la maladie et de la mort. Mais ce n’est pas le cas. C’est un ramassis de balivernes.

En fin de compte, l’« efficacité » d’un vaccin ne se mesure pas en termes de « prévention de l’infection ». Elle est liée à l’impact du vaccin sur les symptômes. Voici d’autres informations issues de l’article paru dans le magazine Forbes :

« L’une des questions les plus immédiates auxquelles un essai doit répondre est de savoir si un vaccin prévient l’infection. Si une personne prend ce vaccin, a-t-elle beaucoup moins de chances d’être infectée par le virus ? Ces essais sont tous clairement axés sur l’élimination des symptômes du Covid-19, et non sur les infections elles-mêmes…

Il s’avère que toutes les entreprises pharmaceutiques partent du principe que le vaccin n’empêchera jamais l’infection. Leur critère d’approbation est la différence de symptômes entre un groupe contrôle [ou témoin – NdT] infecté et un groupe infecté qui reçoit le vaccin.

Pour les millions de personnes âgées et celles souffrant de maladies préexistantes, la question est de savoir si ces essais testent la capacité du vaccin à prévenir les maladies graves et la mort. Une fois de plus, nous constatons que dans ces tests, la maladie grave et la mort ne sont que des objectifs secondaires. Aucun d’entre eux ne mentionne la prévention des décès et des hospitalisations comme un obstacle d’une importance capitale…

Ces protocoles ne mettent pas l’accent sur les ramifications les plus importantes du Covid-19 dont les personnes cherchent le plus à se prémunir : l’infection globale, l’hospitalisation et la mort. Cela dépasse l’entendement et défie le bon sens que le National Institute of Health, le Center for Disease Control, le National Institute of Allergy and Infectious Disease et les autres organismes envisagent l’approbation d’un vaccin qui serait distribué à des centaines de millions de personnes sur des bases aussi minces.

Il s’avère que ces essais sont intentionnellement conçus pour être couronnés de succès. »

L’auteur a raison, n’est-ce pas ? Si le vaccin n’empêche pas l’infection, il ne sert à rien. Point final. Et pourtant, toutes ces institutions grandiloquentes sont d’accord avec cette farce. C’est une honte. Nous ne parlons même pas de « faible seuil » en matière de réussite vaccinale. Il n’y a « pas de seuil du tout ». Si les gens sont préoccupés par les symptômes, ils feraient mieux de prendre une aspirine [de la Vitamine C – NdT] et d’en rester là. Il n’est pas nécessaire de se faire injecter un cocktail hybride dont personne n’a la moindre idée des effets à long terme. Ce serait tout simplement très imprudent.

Comme nous l’avons dit plus tôt, les vrais problèmes sont habilement dissimulés par ceux qui, pour inciter les populations à coopérer, font miroiter l’absurdité d’une « efficacité à 95 % ». C’est d’une malhonnêteté flagrante.

Et voici une autre chose à laquelle il faut réfléchir : Que savons-nous vraiment de ces vaccins miraculeux qui sont censés nous sortir de notre « crise de santé publique » ?

Pas grand chose. Nous savons qu’ils sont lancés sur le marché à toute vitesse. Nous savons qu’ils ont été retardés pour des raisons politiques. Nous savons que la science est façonnée par la politique. Nous savons que le développement de vaccins prend généralement dix ans, que le développement « précipité » de vaccins prend trois ans, et que le prochain lot de vaccins douteux aura pris environ huit mois.

Huit mois !

Trouvez-vous cela rassurant ? Cela vous donne-t-il envie de vous frayer un chemin jusqu’au premier rang de la file d’attente en retroussant votre manche quand la « Journée vaccinale » viendra ? Et êtes-vous surpris qu’un grand nombre de professionnels de la santé aient décidé de ne pas se faire vacciner avant au moins un an ?

Et voici une autre chose : les géants pharmaceutiques ne savent même pas si leurs vaccins vont arrêter la transmission ou non. Je ne plaisante pas, ils ne le savent vraiment pas. Par conséquent, outre le fait que le vaccin ne confère pas d’immunité, il n’arrêtera pas la propagation de l’infection, ce qui signifie que la pandémie va se poursuivre.

Note du traducteur : Et il y aura plus de malades — certains induits par ces vaccins anti-Covid — et donc plus de confinements, plus de distanciation sociale, plus de fermetures de commerces et d'entreprises, plus de faillites, plus de morts, plus de suicides, plus de violence, plus de contrôle super-étatique, plus de Hold-Up sur nos vies et nos libertés, plus de passeport d'immunité pour voyager, travailler, vivre, voire des internements forcés dans des camps, etc. Bienvenue dans 1984Le meilleur des mondes et Le Travailleur, tout ça mélangé à la sauce Nouvel Ordre mondial.

Ne pensez-vous pas que le public a le droit de savoir cela ?

Et n’oublions pas que ces soi-disant « vaccins » ne correspondent pas du tout à la définition traditionnelle du vaccin. Le CDC définit un vaccin comme suit :

« Un produit qui stimule le système immunitaire d’une personne afin qu’il produise une immunité contre une maladie spécifique, protégeant ainsi la personne contre cette maladie. »

Et le CDC définit l’« immunisation » comme suit :

« Un processus par lequel une personne devient protégée contre une maladie par la vaccination. Ce terme est souvent utilisé de manière interchangeable avec la vaccination ou l’inoculation. »

Il se trouve que nous avons déjà montré que les nouveaux vaccins ne procurent pas nécessairement une immunité. La question est donc de savoir s’ils « stimulent réellement le système immunitaire » d’une personneou si le surnom de « vaccin » a simplement été conservé comme outil marketing pour tromper le public. Voici quelques éléments de contexte tirés d’un article paru sur RT :

« Le type de vaccin développé contre le Covid-19 n’a jamais été utilisé auparavant, en dehors d’Ebola. Certaines personnes estiment qu’il ne faut pas vraiment les appeler des vaccins, car ils sont complètement différents de tout ce qui a été fait auparavant.

Jusqu’à présent, la vaccination consistait à injecter un virus mort — ou une bactérie — , ou un virus affaibli qui ne peut se répliquer que difficilement, ou des parties d’un virus, ou d’autres éléments similaires. Une fois à l’intérieur du corps, le système immunitaire repère cette entité étrangère et y réagit en créant une réponse qui, avec un peu de chance, sera mémorisée pour des années. Lors de l’apparition suivante du virus dangereux, le corps utilisera la mémoire immunitaire d’une substance très similaire à même d’éliminer le virus — ou la bactérie — et de le faire suffisamment rapidement pour lui ôter toute possibilité de provoquer des dommages.

Nous disposons à présent d’une chose appelée vaccin à ARN messager (ARNm). L’ARN est, en fait, un simple brin d’ADN — la double hélice qui se trouve à l’intérieur de nos cellules et qui constitue notre code génétique. De nombreux virus sont constitués d’un seul brin d’ARN, entouré d’une sphère protéique. Ils entrent dans la cellule, prennent le contrôle des systèmes de réplication, font des milliers de copies d’eux-mêmes, puis sortent de la cellule. Parfois ils tuent la cellule au fur et à mesure, parfois ils en sortent plus doucement. Le Sras-Cov2 du Covid-19 est un virus à ARN.

Plutôt que d’essayer de créer un virus affaibli, ce qui peut prendre des années, ou de briser le virus en morceaux, les chercheurs ont en toute connaissance de ce qui précède décidé d’utiliser l’ARN du Sras-Cov2 contre lui-même. Pour ce faire, ils ont isolé la section de l’ARN qui code pour la protéine « Spike » — la « clé » utilisée par le virus pour entrer dans les cellules…

Ces protéines « Spike » quittent ensuite la cellule — d’une manière ou d’une autre, ce point n’est pas clair. Le système immunitaire les rencontre, les reconnaît comme entités étrangères et lance l’offensive. Ce faisant, des anticorps sont créés et la mémoire du système de immunitaire entre en action. Si, plus tard, un virus de type Sras-Cov2 pénètre dans l’organisme, le système immunitaire s’active et lance l’offensive contre la protéine « Spike » qu’il a mémorisée. Avec un peu de chance, il tuera le virus dans sa totalité. »

Tout cela est très compliqué et avant-gardiste, mais ce qui est clair, c’est que l’« ARN messager » et la « protéine Spike » sont très éloignés du traditionnel virus mort [ou « inactivé » – NdT] utilisé depuis des décennies.

Il est difficile de comprendre pourquoi les compagnies pharmaceutiques ont décidé de réinventer la roue en essayant de trouver un antidote au Covid. Comme l’ont souligné dans leur lettre les chercheurs de la Medical Freedom Alliance, cette nouvelle technologie de pointe présente néanmoins des inconvénients. Voici ce qu’ils en ont dit dans leur Lettre ouverte de : UK Medical Freedom Alliance à : Le Comité mixte sur la vaccination et l’immunisation… pour le Covid-19 au Royaume-Uni :

« Plusieurs vaccins anti-Covid impliquent l’utilisation d’une technologie totalement nouvelle — la vaccination par ARNm — dont l’utilisation à grande échelle chez des sujets humains sains est sans précédent et dont les effets à long terme sont inconnus. L’ARNm exogène est intrinsèquement immunostimulateur, et cette caractéristique de l’ARNm pourrait être bénéfique ou nuisible. En outre, une étude a mis en évidence des preuves de mimétisme moléculaire…

Note du traducteur : L'auteur inclut à nouveau un des paragraphes déjà présents plus haut :

« Les vaccins à base de vecteurs viraux et les vaccins génétiquement modifiés pourraient subir une recombinaison ou une hybridation avec des résultats imprévisibles… Les tentatives précédentes de développer des vaccins contre les coronavirus et d’autres vaccins, par exemple le VRS [virus respiratoire syncytial – NdT] et la dengue, ont été entravées par le problème de « l’immunité renforcée liée aux anticorps », qui a conduit à des maladies graves et à des décès chez les animaux et les sujets humains participant aux essais[28]. Ce phénomène n’apparaît qu’après la vaccination, lorsque le sujet est exposé au virus naturel à un moment donné dans le futur. Il est inquiétant de constater que les essais du vaccin anti-Covid n’ont pas été menés de manière à exclure la possibilité que cette grave séquelle se produise des mois ou des années après la vaccination… »

Le fait est que les effets de l’injection d’une concoction hybride dans le corps d’une personne peuvent être très graves. Nous ne savons tout simplement pas quels seront les effets à long terme, et nous ne le saurons probablement pas parce que le vaccin va être rapidement distribué avant que ces essais puissent être effectués. S’il s’agit de lutter contre le virus ce n’est pas une stratégie judicieuse. Elle est inutilement risquée, voire mortelle. Voici un extrait issu d’un article intitulé « Les vaccins anti-Covid-19 à ARNm pourraient-ils être à long terme dangereux ? » paru dans le Jerusalem Post, dans lequel Tal Brosh, chef de l’unité des maladies infectieuses à l’hôpital Samson Assuta Ashdo, déclare :

« Une course à la vaccination du public est en cours, nous sommes donc prêts à prendre plus de risques. Nous ne disposerons d’un profil connu d’innocuité que pour un certain nombre de mois, donc si un effet à long terme existe après deux ans, nous ne pouvons pas le savoir. Nous pourrions attendre deux ans pour les découvrir, mais alors nous aurions à faire face au coronavirus pour deux années supplémentaires. »

L’article précise que

Brosh a reconnu qu’il existe des risques uniques et inconnus pour les vaccins à ARN messager, notamment des réactions inflammatoires locales et systémiques qui pourraient conduire à des maladies auto-immunes… Un article publié par le National Center for Biotechnology Information, une division des National Institutes of Health, a déclaré que les autres risques comprennent la biodistribution et la persistance de l’expression immunogène induite ; le développement possible d’anticorps auto-réactifs ; et les effets toxiques de tout nucléotide non natif et des composants du dispositif d’administration…

Michal Linial, professeur de chimie biologique à l’université hébraïque de Jérusalem, a exprimé des sentiments similaires :

« Les vaccins classiques ont été conçus pour être développés en 10 ans. Je ne pense pas que le monde puisse attendre un vaccin classique. »

[…] Mais lorsqu’on lui a demandé si elle accepterait de prendre le vaccin tout de suite, elle a répondu :

« Je ne le prendrai pas immédiatement — probablement pas avant au moins l’année prochaine. Nous devons attendre et voir si cela fonctionne vraiment. »

Super ! Donc le « professeur de chimie biologique » ne se fera pas injecter le vaccin, mais les gens ordinaires comme vous et moi devrions le faire ?

Un peu de sérieux. La réticence du professeur Linial est un aveu tacite que le vaccin n’est pas sans danger. Qu’est-ce que cela pourrait signifier d’autre ? Voici d’autres informations tirées du même article :

« Pour obtenir l’approbation de la FDA, les fabricants devront prouver que l’injection de ces vaccins n’a pas d’effets négatifs sur la santé, immédiats ou à court terme. Mais lorsque le monde commencera à recevoir ces vaccins totalement nouveaux et révolutionnaires, il ne saura pratiquement rien de leurs effets à long terme. »

Eh bien, c’est tout simplement génial. Nous savons que les vaccins n’empêcheront pas l’infection, l’hospitalisation ou la mort. Nous savons également qu’ils sont « complètement différents de tout ce qui a été fait auparavant ». Nous savons aussi qu’ils n’arrêteront pas la transmission et que leur innocuité à long terme est très douteuse. Malgré cela, nos dirigeants — qui nous mentent sur pratiquement tout — nous veulent au garde-à-vous et soumis à une injection vaccinale qu’on la veuille ou pas.

À mon avis, les risques de la vaccination dépassent de loin les avantages. Je préfère faire confiance à mon propre système auto-immunitaire — et aux nouveaux traitements, médicaments et thérapies — plutôt que d’être le cobaye de la sinistre expérience de laboratoire [« grandeur nature » – NdT] de Big Pharma.

« Merci, mais non merci. »

Source de l'article initialement publié en anglais le 28 novembre 2020 : TheUnz Review
Traduction : Sott.net

Alors, à quoi ce vaccin sert-il ?

Quelques articles pour un début de réponse :

Par ailleurs, la FDA a émis dans sa Présentation de la réunion de la commission du 22 octobre 2020, un avis sur les vaccins et produits biologiques connexes, ***Sous réserve de modifications***. Pour ce qui concerne la surveillance de l’innocuité des vaccins Covid-19, le rapport de la FDA liste — dans une ébauche — la survenue possible d’effets indésirables, dont la mort ; cette liste se trouve à la page 16 dudit rapport :

  • Syndrome de Guillain-Barré ;
  • Encéphalomyélite aiguë disséminée ;
  • Myélite transverse ;
  • Encéphalite / Myélite / Encéphalomyélite / Méningo-encéphalite / Méningite / Encéphalopathie ;
  • Convulsions / Crises ;
  • AVC ;
  • Narcolepsie et cataplexie ;
  • Anaphylaxie ;
  • Infarctus aigu du myocarde ;
  • Myocardite / Péricardite ;
  • Maladie auto-immune ;
  • Décès ;
  • Fausse couche ;
  • Autres maladies démyélinisantes aiguës ;
  • Réactions allergiques non anaphylactiques ;
  • Thrombocytopénie ;
  • Coagulation intra-vasculaire disséminée ;
  • Thrombo-embolie veineuse ;
  • Arthrite et arthralgie / Douleurs articulaires ;
  • Maladie de Kawasaki ;
  • Syndrome inflammatoire multi-systémique chez les enfants ;
  • Maladie renforcée par le vaccin.
© FDA

Voir aussi la mise en garde du Professeur Perronne :

« Le pire est que les premiers « vaccins » qu’on nous propose ne sont pas des vaccins, mais des produits de thérapie génique. On va injecter des acides nucléiques qui provoqueront la fabrication d’éléments du virus par nos propres cellules. On ne connaît absolument pas les conséquences de cette injection, car c’est une première chez l’homme. Et si les cellules de certains « vaccinés » fabriquaient trop d’éléments viraux, entraînant des réactions incontrôlables dans notre corps ? Les premières thérapies géniques seront à ARN, mais il existe des projets avec l’ADN. Normalement, dans nos cellules, le message se fait de l’ADN vers l’ARN, mais l’inverse est possible dans certaines circonstances, d’autant que nos cellules humaines contiennent depuis la nuit des temps des rétrovirus dits « endogènes » intégrés dans l’ADN de nos chromosomes. Ces rétrovirus « domestiqués » qui nous habitent sont habituellement inoffensifs (contrairement au VIH, rétrovirus du sida par exemple), mais ils peuvent produire une enzyme, la transcriptase inverse, capable de transcrire à l’envers, de l’ARN vers l’ADN.

Ainsi un ARN étranger à notre corps et administré par injection pourrait coder pour de l’ADN, tout aussi étranger, qui peut alors s’intégrer dans nos chromosomes. Il existe donc un risque réel de transformer nos gènes définitivement. Il y a aussi la possibilité, par la modification des acides nucléiques de nos ovules ou spermatozoïdes, de transmettre ces modifications génétiques à nos enfants. Les personnes qui font la promotion de ces thérapies géniques, faussement appelées « vaccins » sont des apprentis sorciers et prennent les Français et plus généralement les citoyens du monde, pour des cobayes.


[Voir aussi :




Dépeuplement ? Les docteurs Wodarg et Yeadon demandent l’ARRÊT immédiat de toutes les études vaccinales anti-Covid-19 qu’ils considèrent dangereuses

[Source : Sott.net]

[Auteur : M.K. Scarlett ]

Le 1er décembre 2020, l’ancien directeur de la recherche en pneumologie de Pfizer, le Dr Michael Yeadon, et le pneumologue et ancien directeur du département de santé publique, le Dr Wolfgang Wodarg, ont déposé une demande auprès de l’Agence européenne des médicaments — responsable de l’approbation des médicaments à l’échelle de l’Union européenne — pour la suspension immédiate de toutes les études sur le vaccin Sras-CoV-2, et en particulier l’étude BioNtech/Pfizer sur le BNT162b (numéro EudraCT 2020-002641-42).

Les docteurs Wodarg et Yeadon demandent que les études — pour protéger la vie et la santé des personnes testées [voire vaccinées, puisque c’est initié dans certains pays dès la semaine prochaine – NdT] — ne soient pas poursuivies jusqu’à ce que l’on dispose d’un protocole d’étude adapté pour répondre aux importantes préoccupations en matière d’innocuité, préoccupations exprimées par un nombre croissant de scientifiques de renom à l’encontre du vaccin et du protocole d’étude.

Les pétitionnaires demandent d’une part qu’un séquençage dit de Sanger soit utilisé en raison du manque patent d’études sérieuses quant au test PCR. C’est la seule façon de faire des déclarations fiables sur l’efficacité d’un vaccin anti-Covid-19. Sur la base des nombreux tests PCR de qualité très variable, ni le risque de maladie ni l’éventuel bénéfice d’un vaccin ne peuvent être déterminés avec une certitude suffisante, et c’est la raison pour laquelle les tests du vaccin sur des humains sont en soi contraires à l’éthique.

En outre, ils exigent qu’il soit exclu, par exemple au moyen d’expérimentations animales, que des risques déjà connus par des études antérieures — qui proviennent en partie de la nature des coronavirus — puissent se concrétiser. Les préoccupations portent en particulier sur les points suivants :

  • La formation d’anticorps dits « non neutralisants » peut entraîner une réaction immunitaire exagérée, surtout lorsque la personne testée est confrontée après la vaccination au vrai virus « naturel ». Cette amplification dite aggravation dépendante des anticorps, l’ADE, est depuis longtemps connue grâce à des expériences avec des vaccins anti-coronavirus chez les chats, par exemple. Au cours de ces études, tous les chats qui avaient initialement bien toléré la vaccination sont morts après avoir attrapé le virus « naturel ».
  • On s’attend à ce que les vaccins produisent des anticorps contre les protéines Spike du Sras-CoV-2. Cependant, ces protéines Spike contiennent également des protéines analogues à la syncytine, qui sont essentielles pour la formation du placenta chez les mammifères tels que l’homme. Il faut absolument exclure qu’un vaccin contre le Sras-CoV-2 puisse déclencher une réaction immunitaire contre la syncytine-1, sous peine de provoquer une stérilité de durée indéterminée chez les femmes vaccinées.
  • Les vaccins à ARNm de BioNTech/Pfizer contiennent du polyéthylène glycol (PEG). Il se trouve que 70 % des personnes développent des anticorps contre cette substance — cela signifie que de nombreuses personnes peuvent, suite à cette vaccination, développer des réactions allergiques, potentiellement mortelles.
  • La durée beaucoup trop courte de l’étude ne permet pas une estimation réaliste des effets sur le long terme. Comme dans les cas de narcolepsie après la vaccination contre la grippe porcine, des millions de personnes en bonne santé seraient exposées à un risque inacceptable si une autorisation d’urgence était accordée et que la possibilité d’observer les effets sur le long terme de la vaccination ne devait qu’advenir ensuite. Néanmoins, BioNTech/Pfizer a apparemment soumis une demande d’approbation d’urgence le 1er décembre 2020.

APPEL À L’AIDE : Wodarg et Yeadon demandent au plus grand nombre possible de citoyens européens de cosigner leur pétition en envoyant à l’Agence européenne des médicaments le mail préparé ICI.

Source de l’article initialement publié en anglais le 1er décembre2020 : 2020news.de
Traduction : Sott.net


Considérons la possibilité que ce « vaccin » anti-Covid — notamment celui de BioNTech/Pfizer, mais ce n’est peut-être pas le seul, les données sont à ce jour trop partielles — cache une volonté de dépopulation…

Tout d’abord, après quelques recherches, il s’avère que, selon cette étude publiée en avril 2014 sur le Journal of Assisted Reproduction and Genetics,la syncytine-1 est également présente dans le sperme. Ce ne serait donc pas seulement les femmes qui seraient stérilisées, mais aussi les hommes.

EN PLUS de supprimer toute responsabilité qui pourraient incomber aux fabricants de vaccins, il est fait usage de tests PCR largement considérés comme inadéquats. En outre, ils exercent une forte pression sur les populations pour les inciter à se faire vacciner.

Pourquoi ?

S’agirait-il — sous couvert de lutter contre un coronavirus — de concrétiser ce qui est gravé sur les Guidestones en Géorgie ?

Il n’existe à ce jour aucune données sur l’efficacité du vaccin chez les enfants et les femmes enceintes. Et pour cause, ces deux catégories n’ont pas participé aux essais. Pas encore… Le 2 décembre, Selon l’article de Nature du 3 décembre, Moderna a dévoilé ses plans pour tester son vaccin chez les enfants.

La Grande-Bretagne est le premier pays à avoir autorisé l’usage du vaccin contre le Covid-19 mis au point par Pfizer et BioNtech, et son gouvernement précise que ce vaccin n’est pas destiné aux femmes enceintes ou aux femmes « qui prévoient de tomber enceintes » :

« Il n’existe pas encore de données sur l’innocuité des vaccins Covid-19 pendant la grossesse, qu’elles proviennent d’études sur l’homme ou sur l’animal. Étant donné le manque de preuves, la JCVI privilégie une approche de précaution et ne conseille pas actuellement la vaccination Covid-19 pendant la grossesse.

Il convient de conseiller aux femmes de ne pas se présenter pour la vaccination si elles sont enceintes ou prévoient de l’être dans les trois mois suivant la première dose.

Des données sont attendues qui alimenteront les discussions sur la vaccination pendant la grossesse. Le JCVI les examinera dès qu’elles seront disponibles. »

Donc, et selon Wodarg et Yeadon, dans le cadre d’une grossesse existante, le vaccin composé de syncytine-1 attaquerait le placenta et provoquerait rapidement une fausse couche. Des vaccins de l’OMS/Gates ont déjà produit ces effets aux femmes d’Amérique latine : « Quand Bill Gates stérilisait des millions de femmes à coups de seringue ».

Pourquoi ne veulent-ils pas — à ce stade — que les femmes enceintes soient vaccinées ? Il peut bien sûr exister tout un tas de bonnes raisons de ne pas le faire, et d’ailleurs, les femmes enceintes ne font en général pas partie des essais vaccinaux. Toutefois, est-il possible que ce soit parce que les fausses couches se produiraient tellement rapidement qu’il pourrait devenir par trop évident que le « vaccin » en serait la cause ? Le fait de ne pas vouloir — au début — inclure dans leurs programmes de vaccination des femmes qui sont enceintes ou veulent tomber enceintes leur permettrait-il d’enterrer la vérité sur les effets réels du vaccin, suffisamment longtemps pour que la majorité de la population l’accepte?

Beaucoup de questions, mais peu de réponses. À ce stade, on ne peut que conjecturer en prenant en compte notre connaissance des desiderata d’une élite mondialiste psychopathe.

Voir aussi les Focus suivants :

[À propos de l’auteur]

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M.K. Scarlett 

Autodidacte, M.K. Scarlett réside en France et a rejoint l’équipe des éditeurs et traducteurs de SOTT en 2012. Ses rubriques favorites « Feu dans le Ciel », « Les Maîtres du Monde » et « Histoire Secrète » n’enlèvent en rien l’intérêt qu’elle porte aux autres. Quand elle n’a pas le nez dans un livre, M.K. Scarlett pratique aussi la photographie et le graphisme.




Appel du Dr Pascal Sacré

[Source : Profession Gendarmes]

Bonjour,

Je suis Pascal Sacré, docteur en médecine, chirurgie et accouchements en Belgique depuis 25 ans. Anesthésiste, j’exerce la médecine de soins intensifs depuis 17 ans et ce n’est pas fini.

J’ai été licencié par un hôpital où je travaillais depuis 9 ans sans aucun problème, pour mes opinions et leur expression, par écrit. Pour la direction de cet hôpital, cette liberté fondamentale dans une démocratie est une faute grave.

Je suis ici pour vous dire d’arrêter de les écouter.
Restaurateurs, ouvrez vos restaurants. Directeurs d’école, professeurs, ouvrez les écoles et enseignez dans les classes comme avant, sans masques, sans gel et sans distance sociale. Magasins, faites-le aussi.

Si quelqu’un est malade, vraiment, s’il tousse ou s’il a des difficultés à respirer, alors qu’il reste à la maison et consulte son médecin généraliste.
Oui, nous pouvons revivre comme en 2018, oui, et c’est un médecin réanimateur qui a vu le COVID en face qui vous le dit !

Il est temps, compatriotes, confrères, collègues, amis, ennemis, gens, de tous âges et professions, que vous entendiez une autre voix, une autre approche, un autre son de cloche. Sortez, respirez, prenez de la vitamine D, du zinc, marchez, vivez, tenez-vous dans vos bras.

Je connais quelqu’un d’âgé qui commençait la maladie de parkinson et que le seul fait d’être retourné voir ses enfants et petits-enfants, enfin, est redevenu comme avant, sans aucun tremblement !

Écoutez les médecins, les généralistes qui vous disent qu’il y a beaucoup à faire pour tuer les virus, pour se protéger et éviter d’aller à l’hôpital. À ces conditions, OUI ! Il est possible de revivre comme avant, sans masque, avec des écoles et des lieux de vie ouverts ! Que ces quelques personnes stupides ou payées pour le dire arrêtent de vous faire croire que nous ne sommes que quelques médecins éparpillés, un peu fous ou inconscients ! Non, loin de là, nous sommes nombreux, des médecins très sérieux dont certains, professeurs ou ancien recteur d’université !

Cessez d’écouter des gens, même dits « experts », qui ne proposent que trois choses, se masquer, se confiner, attendre, attendre la mort ou un poison présenté comme un vaccin.

Ceci est l’appel du 29 novembre, après l’appel du 18 juin, mes compatriotes, ne vous trompez pas de guerre, ne vous trompez pas de cible, policiers, juges, militaires, agents du maintien de l’ordre, soyez du bon côté, du côté des gens, de la vie, de l’espoir, ne vous laissez pas tromper !
Sortez, respirez, sans masques, enseignez, ouvrez les bars, les restaurants.
Et vous, politiciens, médecins spécialistes, soyez dignes de votre mission, dites la vérité, toute la vérité, donnez les moyens aux hôpitaux de travailler correctement !

Laissez les médecins de première ligne prescrire et soigner.

Merci

Dr Pascal Sacré






Les confinements détruisent ce qui nous rend humains

[Source : Anguille sous roche]

[Auteur : Zachary Yost]

Si l’économiste de GMU, Tyler Cowen, a peut-être rejeté l’idée d’un renforcement des mesures de confinement des pandémies comme étant « un homme de paille » et que les mesures extrêmes qui ont commencé en mars de cette année « sont maintenant derrière nous », il semble que les gouverneurs et les autres politiciens du pays n’aient pas compris le message.

De plus en plus d’États ont recommencé à imposer des mesures d’enfermement ruineuses. Les médias et Twitter sont remplis de grognons bien-pensants qui crient au malheur imminent des familles qui se réunissent pour Thanksgiving.c

S’il en était ainsi, tout le monde resterait en véritable assignation à résidence et ne verrait personne d’autre pendant des mois, voire des années, car la durée de ces lourdes charges est passée de « quinze jours pour ralentir la propagation » à des mois, voire des années, dans le futur. Le fait que de telles idées soient même envisagées montre à quel point une grande partie de notre classe d’« experts » et de leurs hordes d’adeptes lemmings sont déconnectés de la réalité humaine.

Les choses n’ont pas beaucoup changé depuis que j’ai abordé certaines des conséquences matérielles désastreuses et involontaires des blocages en avril de cette année. Toutefois, à mesure que l’année 2020 s’est écoulée, il est apparu clairement qu’au moins une partie de la logique du confinement est ancrée dans une conception fondamentalement erronée et relativement récente de la nature humaine.

Presque toutes les cultures et religions de l’histoire de l’humanité ont considéré que les humains sont des êtres à la fois matériels et spirituels. Cependant, en vivant à l’ère laïque comme nous le faisons, l’aspect matériel de notre existence a supplanté le spirituel à tel point qu’il est à peine reconnu comme tel.

Russell Kirk va jusqu’à affirmer que la ligne de démarcation dans la politique contemporaine repose sur cette différence de compréhension, déclarant que « d’un côté de cette ligne se trouvent tous ces hommes et femmes qui pensent que l’ordre temporel est le seul ordre, que les besoins matériels sont leurs seuls besoins et qu’ils peuvent faire ce qu’ils veulent du patrimoine humain. De l’autre côté de cette ligne se trouvent toutes ces personnes qui reconnaissent un ordre moral durable dans l’univers, une nature humaine constante, et des devoirs élevés envers l’ordre spirituel et l’ordre temporel ».

Une vision purement matérielle de l’existence humaine conduira bien sûr à certaines prescriptions politiques, en particulier face à une pandémie. Nier l’existence spirituelle de l’homme, c’est nier la possibilité d’une vie après la mort – seul le vide de l’annihilation attend. Dans cette perspective, il est logique que l’on puisse conclure que la vie terrestre doit se poursuivre à tout prix, qu’aucun compromis n’est trop élevé pour repousser l’oubli à venir.

En revanche, ceux qui conservent une conception plus traditionnelle de la nature humaine, quelle que soit la religion ou la croyance spécifique à laquelle ils appartiennent, peuvent facilement voir tout un monde de coûts à enfermer que ceux qui ont une perspective purement matérialiste ne sont même pas capables de comprendre.

Les humains sont des êtres sociaux. Notre existence et notre développement en tant que personnes humaines reposent sur cette nature sociale. Les penseurs du contrat social comme Hobbes, Locke et Rousseau peuvent fantasmer sur une existence humaine solitaire, mais tous les témoignages d’enfants sauvages ou isolés indiquent que sans d’autres humains, un individu solitaire périrait rapidement, sans parler de son incapacité à développer la conscience de soi ou la capacité à penser et à parler avec le langage.

Certains érudits personnalistes, tels que le théoricien politique David Walsh, affirment que toute notre conception du moi ne peut se former qu’en relation avec d’autres personnes. Contrairement à la célèbre phrase de Descartes qui dit « Je pense, donc je suis », un personnaliste affirmerait que nous ne sommes même pas capables de comprendre l’existence du « je » tant que nous n’avons pas d’abord compris l’existence d’un « je » chez les autres. Tout comme nous ne pouvons jamais vraiment voir notre propre visage, mais seulement le visage des autres, ce qui nous permet de comprendre notre propre visage invisible, nous ne pouvons pas prendre conscience de nous-mêmes tant que nous ne nous trouvons pas dans le contexte des autres et, à travers eux, reconnaître la nature mutuelle de nos vies intérieures qui fait de nous des personnes.

De nombreuses religions, sous une forme ou une autre, parlent de l’interconnexion du monde et des personnes et de l’illusion de la séparation. Bien qu’elle soit le plus souvent associée aux religions orientales comme le bouddhisme, cette unité spirituelle n’est pas étrangère au christianisme et à l’Occident. En effet, la Trinité chrétienne est comprise comme étant un Dieu unique en trois personnes. Jésus Christ fait référence à cette unité dans le dix-septième chapitre de l’Évangile de Jean lorsqu’il prie « afin que tous soient un, Père, comme tu es en moi et que je suis en toi… afin qu’ils soient un comme nous sommes un – moi en eux et toi en moi – afin qu’ils soient amenés à l’unité complète ».

En laissant de côté les implications religieuses spécifiques, les humains ont reconnu depuis des millénaires que lorsque des personnes se rassemblent, nous entrons les uns dans les autres sur un plan spirituel par la reconnaissance de notre identité personnelle mutuelle. Cependant, cette unité spirituelle si essentielle à notre existence même en tant que personnes humaines ne se produit pas dans le vide, mais plutôt dans le contexte dans lequel nous nous rassemblons dans le monde matériel.

Les humains pourraient acquérir tous les nutriments dont nous avons besoin en s’imprégnant de Soleil Vert dans la solitude, mais au lieu de cela, nous transformons souvent nos repas en occasions sociales rituelles. Les repas partagés ne fournissent pas seulement une alimentation matérielle mais aussi spirituelle. Danser seul dans sa cuisine, c’est bien beau, mais c’est bien peu en comparaison de la foule de milliers de personnes qui se bousculent lors d’un festival de musique de danse électronique ou des pieds d’une secte soufie qui danse le dhikr. Nous avons la chance de pouvoir accéder à de grandes œuvres d’art par un simple clic de souris, mais regarder le Lac des Cygnes chez soi sur YouTube ne remplace pas l’expérience de le voir en direct dans une salle bondée où chaque personne est émue jusqu’aux larmes.

Il y a peu d’événements plus débordants d’unité spirituelle que le mariage, une célébration de l’unité littérale de deux personnes comme une seule en présence de leurs amis et de leurs proches avec des festins, des chants et des danses.

Pourtant, combien de mariages ont été annulés ou célébrés en privé cette année grâce aux confinements ? Combien de repas partagés n’ont pas été pris ? Des danses non dansées, des chants non chantés, des conversations non tenues ? Combien de parents et de grands-parents dans les maisons de retraite n’ont pas pu voir leurs proches avant de quitter cette terre ? Combien d’enfants ont souffert toute la journée, seuls devant un écran ? Ce ne sont pas là de simples luxes frivoles dont nous, les humains, pouvons nous passer. Le double contexte matériel et spirituel de notre existence ne peut être séparé. Ces contextes de nos familles et de nos communautés ne sont pas de beaux ajouts à la vie, ils sont la vie humaine elle-même.

Il est indéniable que pendant une pandémie, il sera nécessaire de modifier son comportement, mais tout comme aucun bureaucrate d’État ne peut planifier avec succès l’économie, aucun responsable de la santé publique n’est capable de planifier de manière centralisée une réponse pour des centaines de millions de personnes qui sont toutes dans des conditions de vie différentes, avec des besoins matériels et spirituels différents.

Chaque personne doit décider elle-même de la marche à suivre en fonction de ses circonstances de vie uniques. Le fait d’arracher ces décisions à chaque personne et de les placer entre les mains des bureaucrates de la santé publique a conduit au désastre.

Le taux de suicide est en hausse dans tout le pays, dans certains endroits jusqu’à 70 % par rapport à la même période l’année dernière. Les suicides militaires ont augmenté de 20 %. Les décès par overdose sont en passe d’atteindre un niveau record. La RAND Corporation a constaté une augmentation de la consommation d’alcool cette année. L’Associated Press fait état des conditions horribles qui règnent dans les maisons de retraite du pays et qui ont pu entraîner la mort de dizaines de milliers de résidents dans des circonstances atroces et horribles, leurs familles n’ayant pas été autorisées à s’occuper d’eux. De plus, il semble que de nombreux patients se soient tout simplement évanouis, l’esprit brisé par le fait d’avoir été enfermés dans un véritable isolement sans contact avec leurs amis ou leur famille pendant des mois.

La planification médicale centralisée qui ne reconnaît même pas l’aspect spirituel et social de l’existence humaine a causé la mort d’un nombre incalculable de personnes dans tout le pays, peut-être plus que le virus lui-même à long terme.

Nos dirigeants tant vantés peuvent agir comme de purs matérialistes lorsqu’il s’agit de leurs décrets dictatoriaux anéantissant la société et notre humanité même, mais à un certain niveau, ils comprennent évidemment l’importance de leur propre santé spirituelle. Sinon, pourquoi les dirigeants de Californie enfreindraient-ils leurs propres règles pour dîner dans des restaurants luxueux ou s’envoler pour Hawaï pour des réunions et ne se contenteraient-ils pas de plats à emporter et de Zoom comme le reste d’entre nous, les paysans ? Mais que peut-on attendre d’autre d’un système de contrôle du haut vers le bas ?

Les humains sont des êtres à la fois matériels et spirituels. Tout comme nous avons des besoins matériels que les planificateurs centraux ne peuvent pas anticiper, nous avons aussi des besoins spirituels qui ne peuvent être satisfaits que d’une myriade de façons que les planificateurs centraux ne peuvent pas prévoir, surtout lorsqu’ils ne reconnaissent même pas qu’il s’agit de besoins. Lorsqu’ils ne sont pas satisfaits, notre santé physique en souffre tout aussi sûrement que si nous étions porteurs d’un virus. Les aspects sociaux et communautaires de la vie humaine, qu’il s’agisse d’un dîner de fête en famille, d’aller à l’église, d’un mariage ou même des relations banales de la vie quotidienne, ne sont pas de simples luxes dont on peut se passer, ils sont la vie humaine elle-même. Les gens doivent être libres de traverser ces moments difficiles armés de la connaissance de leur situation qu’ils sont les seuls à posséder.

Lire aussi : Les confinements n’ont pas réduit la mortalité due au COVID, mais ils ont tué des millions d’emplois

Source : The Mises Institute – Traduit par Anguille sous roche




Choisir la vie

[Source : La maison du 21e siècle]

Le monde, depuis plusieurs mois, est distrait de la question existentielle qui se profile de plus en plus à l’horizon : embrassons-nous la vie, dans tous ses mystères, plaisirs et tempêtes, ou l’enterrons-nous? Joignons-nous nos mains autour de la Terre ou les lavons-nous vingt fois par jour? Nous unisson-nous dans la maladie et la santé, ou nous cachons-nous la tête dans le sable de nos masques et de la distance sociale, et en prétendant que notre vie et notre avenir ne dépendent pas de nos relations physiques avec les gens, les oiseaux, les chauves-souris, les fleurs et les poissons qui se soutiennent les uns les autres et font vivre ce monde?

Nous avons des décisions à prendre.

Tandis que nous sommes tous préoccupés par le coronavirus, un trou géant s’est développé ce printemps dans la couche d’ozone au-dessus de l’Arctique, sans précédent en taille et en durée. Cela permet à des niveaux élevés de rayonnement ultraviolet (UV) du soleil d’atteindre la surface de la Terre. L’indice UV est plus élevé que la normale sur une grande partie de l’hémisphère nord. Cela peut être en partie le résultat des émissions des centaines de lancements de fusées qui ont eu lieu au cours des dernières années, principalement dans l’hémisphère nord. Environ 225 lancements de fusées sont prévus pour 2020. Pouvons-nous continuer à le permettre? Ou, une fois que nous sortirons de nos maisons et que les quarantaines seront levées, allons-nous les arrêter?

Au lieu de nous cotoyer dans les écoles, les marchés, les restaurants, les parcs et les églises, nous nous sommes retirés dans nos téléphones portables et nos ordinateurs sans fil, substituant le rayonnement à la vie, tandis que le Web sans fil, sur Terre et dans l’espace, continue de se tisser. Allons-nous continuer de permettre cela? Ou, une fois que nous sortirons de nos maisons et que les quarantaines seront levées, allons-nous arrêter?

JOURNÉE INTERNATIONALE D’ACTION, 20-21 JUIN 2020

« Ne poussez pas la rivière, elle coule d’elle-même », écrivait Barry Stevens dans son livre de 1970 sous ce nom (Don’t Push the River, It Flows by Itself. Eh bien, parfois même la rivière a besoin d’un petit coup de pouce. Une nouvelle organisation vient d’être formée, appelée End Cellphones Here On Earth (ECHOEarth), dont les membres ne possèdent pas de téléphones portables et dont la mission est de mettre fin à la cause profonde du Web sans fil qui perce des trous dans notre atmosphère et nous baigne tous dans les radiations.

ECHOEarth a fixé le solstice, du 20 au 21 juin 2020, comme jour d’annulation de votre compte de téléphone portable, le jour où nous vous invitons à descendre de ce train et à changer de direction. Les détails suivront dans ma prochaine infolettre (cellphonetaskforce.org).

MISE À JOUR SUR LES SATELLITES

SpaceX, qui avait déjà 360 satellites en orbite, avait prévu d’en lancer 60 autres le 2 avril mais a retardé le lancement en raison de la situation du coronavirus. Le lancement de 60 satellites a eu lieu hier, portant le nombre en orbite à 420.

Vendredi dernier, le 17 avril, SpaceX a soumis une nouvelle demande à la Federal Communications Commission, demandant l’autorisation d’abaisser l’altitude de certains de ses satellites prévus. Auparavant, elle allait mettre en orbite ce qu’elle appelle ses satellites de “première génération” sur deux niveaux – le premier à 550 kilomètres (340 miles) d’altitude, et le deuxième niveau à 1200 kilomètres (750 miles) d’altitude. Désormais, SpaceX veut placer tous ses 4 408 satellites de première génération à la plus basse altitude. L’une des raisons invoquées est de rendre moins de satellites visibles de n’importe quel point de la terre à un moment donné. Cependant, plus les satellites sont bas, plus ils seront brillants. Et plus il y en a dans l’ionosphère (qui s’étend jusqu’à environ 1000 kilomètres), plus l’impact sur la vie en dessous est grand.

OneWeb, qui a lancé 74 satellites, a déclaré faillite et a licencié la plupart de ses employés après avoir échoué à obtenir le financement attendu en raison du ralentissement économique provoqué par l’arrêt du coronavirus.

CORONAVIRUS: SCIENCE, POLITIQUE ET POLITIQUE

Beaucoup de gens ont même peur de demander si la 5G joue un rôle dans la maladie COVID-19 qui a fermé une grande partie du monde. Cela ressemble à la peur qui a empêché les gens de remettre en question les ordres de rester à la maison, de porter des masques et de se tenir à six pieds les uns des autres.

Je parle de vérité, où que je la trouve, où qu’elle mène, car notre monde est en jeu et la vie elle-même – physique, mentale, émotionnelle et spirituelle – est en train d’être démantelée. Les complots n’ont pas leur place dans cet effort. La peur non plus.

Mes opinions, basées sur ma lecture de la littérature scientifique et médicale, du mieux que je peux déterminer, sont les suivantes:

La 5G a-t-elle causé le coronavirus? Non.
La 5G provoque-t-elle une maladie similaire au coronavirus? Oui.
La COVID-19 origine-t-elle des chauves-souris? Non.
Le virus de la COVID-19 est-il un virus à ARN recombinant, créé en laboratoire, intentionnellement ou non, dans le cadre d’un programme de recherche dont le but était de protéger la population? S’est-il échappé accidentellement d’un laboratoire de virologie à Wuhan, en Chine? Probablement.

Les mesures qui ont été mises en place et acceptées sans aucun doute sont inefficaces, destructrices et anti-vie.

Les masques ne protègent pas le porteur. Les masques médicaux sont inefficaces contre les virus, et les masques en tissu leur offre un lieu de reproduction. Une étude de 2015 dans le British Medical Journal a révélé que les travailleurs de la santé attrapaient les virus de leurs patients 13 fois plus souvent s’ils portaient un masque en tissu que s’ils portaient un masque médical, et une étude chinoise a révélé qu’un masque médical n’était pas plus protecteur contre les virus que de ne porter aucun masque.

L’Organisation mondiale de la santé avertit que le port d’un masque médical « peut créer un faux sentiment de sécurité » contre la COVID-19 et qu’« aucune preuve n’est disponible sur son utilité pour protéger les personnes non malades ».

Le respirateur N95, recommandé pour les travailleurs médicaux, nécessite une formation pour être utilisé correctement et «sans formation, les masques pourraient non seulement exposer les travailleurs au virus mais aussi les endormir en leur faisant croire qu’ils sont protégés», selon des médecins de la Harvard School of Public Health. En pratique, même le masque N95 s’est révélé inefficace pour empêcher la transmission de virus. Un examen de six études cliniques, publié dans le Journal de l’Association médicale canadienne, a révélé que les travailleurs médicaux attrapaient les virus de leurs patients aussi souvent lorsqu’ils utilisaient des respirateurs N95 que lorsqu’ils utilisaient des masques médicaux ordinaires.

Les masques sont nocifs pour le porteur. La COVID-19 tue en provoquant une hypoxie sévère (faibles niveaux d’oxygène dans le sang). Les personnes portant des masques respirent une partie de leur air expiré, réduisant ainsi la quantité d’oxygène qu’elles respirent. « Le port de respirateurs s’accompagne d’une multitude de charges physiologiques et psychologiques. Ceux-ci peuvent interférer avec les performances des tâches et réduire l’efficacité du travail. Ces fardeaux peuvent même être suffisamment graves pour causer des conditions mortelles s’ils ne sont pas améliorés », a écrit l’auteur d’un article de 2016 dans le Journal of Biological Engineering. Lorsque le respirateur N95 a été testé en cours d’utilisation en 2010, « les niveaux d’oxygène et de dioxyde de carbone dans l’espace mort ne respectaient pas les normes de milieu de travail ambiant de la Occupational Safety and Health Administration ».

Les ventilateurs ne fonctionnent pas et sont nocifs. Le Dr Cameron Kyle-Sidell a quitté son emploi à l’unité de soins intensifs du Maimonides Medical Center à Brooklyn parce qu’il était obligé de mettre ses patients COVID-19 sous des ventilateurs qui, selon lui, les tuaient parce que la pression de l’air endommageait leurs poumons. Ses patients atteints de coronavirus présentaient tous une hypoxie sévère mais des muscles respiratoires sains: ils avaient besoin d’oxygène, a-t-il dit au New York Post, mais pas de pression.

« La maladie pulmonaire à COVID-19, pour autant que je puisse voir, n’est pas une pneumonie », a-t-il dit, mais semble être « une sorte de maladie d’origine virale qui ressemble le plus à une maladie de haute altitude … Ces patients sont lentement affamés d’oxygène… et bien qu’ils ressemblent à des patients au bord de la mort, ils ne ressemblent pas à des patients mourant de pneumonie. » Les médecins italiens sont d’accord: « Les patients sous respirateurs se détériorent de toute façon, d’une manière inexpliquée … La plupart de ces patients sont clairement hypoxiques. »

Les tests de virologie PCR ne sont pas précis. Un article du 25 mars 2020 de Carver et Jones a rapporté qu’il n’est pas possible d’évaluer l’exactitude des tests PCR car « il existe peu de données publiques sur les taux de faux positifs et de faux négatifs des différents tests basés sur la RT-PCR ». Un test faussement positif signifie que vous êtes diagnostiqué avec la COVID-19 alors que vous ne l’avez pas réellement. Une des seules études à ce jour qui a tenté d’estimer la fréquence des faux positifs est celle de Zhuang et al., « Taux de faux positifs potentiels parmi les individus infectés asymptomatiques dans les contacts étroits des patients COVID-19 », publié dans le Chinese Journal of Epidemiology, 2020, 41 (4): 485-488 (en chinois). Ils ont conclu que jusqu’à 80 % des personnes asymptomatiques dont le test de dépistage du coronavirus était positif pourraient ne pas l’avoir.

Les confinements n’ont aucun effet. Le Japon, qui n’a fermé ses portes que le 6 avril, puis uniquement grâce à des mesures volontaires, compte 2 décès de COVID-19 par million d’habitants. La Chine, qui a fermé ses portes en décembre, a 3 morts par million d’habitants. La Biélorussie, qui n’a jamais fermé ses portes, en a 4 par million. La Corée du Sud, qui n’a que des mesures volontaires, en a 5 par million. L’Iran, qui a fermé ses portes début mars, en compte 62 par million. La Suède, qui n’a pas fermé ses portes, en compte 156 par million. La Suisse, qui a fermé ses portes, en compte 165 par million. La Belgique, qui a fermé ses portes, compte 503 décès par million d’habitants. Le Vietnam, le Laos et le Cambodge, tous proches de la Chine, n’ont aucun décès lié au COVID-19. Le Vietnam a fermé ses portes début février, le Laos a fermé ses portes fin mars et le Cambodge n’a jamais fermé ses portes. Aux États-Unis, le Dakota du Sud, qui n’a pas fermé du tout, compte quatre fois plus de cas, mais moins de décès, que le Montana voisin, qui est complètement confiné. Aux États-Unis, les taux globaux de mortalité sont en baisse et non en hausse depuis le début de l’année. Si vous écoutez les nouvelles, vous pourriez supposer qu’un nombre record de personnes meurent. L’inverse est vrai. Non seulement la mortalité globale aux États-Unis est en baisse constante depuis janvier, mais la mortalité a été beaucoup plus faible cette année que l’an dernier. Voici les statistiques hebdomadaires de mortalité pour les États-Unis des Centers for Disease Control:

Semaine Nombre de décès 2019 Nombre de décès 2020
1 58 291 59 087
2 58 351 59 151
3 58 194 57 616
4  57 837   57 000
5  58 128   56 426
6  58 492   56 962
7  57 917   55 981
8  57 858  55 494
9  57 920   54 834
10  58 490  54 157
11  57 872   52 198
12  57 087  51 602
13  56 672  52 285
14  56 595   49 292
15  55 477   47 574
TOTAL 865 181 819 659

On nous dit que 37 308 personnes sont décédées cette année de COVID-19 jusqu’au 18 avril, mais en fait 45 522 personnes de moins sont décédées cette année que l’année dernière au cours de la même période.
Le rayonnement RF et le COVID-19 provoquent une maladie similaire. Dans mon dernier bulletin d’information («Le ciel tombe-t-il vraiment?»), J’ai noté certains effets du COVID-19 qui sont similaires aux effets des ondes radio. La liste des effets en commun s’est allongée et comprend les maux de tête, les étourdissements, les nausées, les problèmes digestifs, les douleurs musculaires, la tachycardie, l’hypotension, les arythmies cardiaques, les accidents vasculaires cérébraux et les convulsions. Près des deux tiers des personnes testées positives pour COVID-19 ont perdu leur odorat, souvent sans aucun autre symptôme. Les patients présentent une confusion mentale, sans aucun symptôme respiratoire. Les patients présentent des diarrhées, des vomissements et des douleurs abdominales. Lorsque les patients présentant l’un de ces symptômes sont positifs pour le coronavirus, leurs maladies sont attribuées à ce virus. Mais ce sont tous des symptômes classiques du mal des ondes radio. Lorsque le virus et le rayonnement RF sont présents, la maladie doit être attribuée aux deux.

Et le rayonnement RF et le COVID-19 provoquent tous deux une hypoxie. COVID-19 nuit à l’absorption d’oxygène par le sang et le rayonnement RF nuit à l’oxygène utilisé par les cellules. COVID-19 ne serait pas aussi sévère sans le rayonnement.

Récemment, il y a un nouveau symptôme attribué au virus qui est exactement ce que l’on s’attendrait à voir des ondes millimétriques: une sensation de «pétillement» dans tout le corps. Il est décrit comme une «sensation de bourdonnement», «une sensation de brûlure» et «une sensation électrique dans la peau». Il est probablement attribué à tort au virus et est plutôt dû à la 5G.

C’est un fait que la 5G a été allumée à Wuhan, en Chine, le 1er novembre 2019, et que le premier patient COVID-19 connu y est tombé malade le 17 novembre. C’est un fait qu’il y a un laboratoire de virologie de recherche à Wuhan, et que les chercheurs ont co-rédigé un article en 2015 avec des chercheurs américains de Chapel Hill, en Caroline du Nord, décrivant un coronavirus hybride qu’ils avaient créé en attachant une protéine de pointe de chauves-souris à un coronavirus du SRAS.

Zheng-Li Shi, chercheuse principale de Wuhan, a déclaré dans une interview à Scientific American qu’elle s’inquiétait que COVID-19 soit un virus qui s’était échappé de son laboratoire, mais elle a rassuré le monde qu’elle avait vérifié et qu’il ne ressemblait pas l’un des virus qu’elle avait collectés dans les grottes de chauves-souris. Pourtant, dans la phrase suivante, elle a justifié son affirmation selon laquelle COVID-19 provenait de chauves-souris en disant qu’il était presque identique à un virus qu’elle avait collecté dans une grotte de chauves-souris dans le Yunnan. Le virus du SRAS s’est échappé des installations de confinement de haut niveau en Chine à plusieurs reprises. Comme l’a révélé le Washington Post le 14 avril 2020, les responsables de l’ambassade des États-Unis avaient averti en 2018 que les protocoles de sécurité bâclés pour la manipulation des virus contagieux dans le laboratoire de Wuhan “représentaient un risque de nouvelle pandémie de type SRAS”.

C’est aussi un fait que le marché aux animaux de Wuhan ne vend pas de chauves-souris. Une vidéo YouTube qui a été partagée sur les réseaux sociaux et qui montre que des chauves-souris sont vendues pour la viande sur un marché a en fait été filmée à Langowan, en Indonésie, et pas du tout en Chine.

En bref, la 5G fait partie de l’équation des coronavirus, et tout ce que nous avons fait pour lutter contre la pandémie a plus à voir avec la politique et la peur qu’avec la réalité. Il est temps de rouvrir la société, d’enlever nos masques et d’ouvrir nos yeux sur ce qui se passe réellement dans notre monde.


Au sujet de l’auteur

Arthur Firstenberg est un scientifique et un journaliste à l’avant-garde d’un mouvement mondial pour déboulonner les prétentions gouvernementales et industrielles concernant la soi-disant innocuité des champs électromagnétiques. (CEM) De 1978 à 1982, ce diplômé en mathématiques de l’Université Cornell a fréquenté l’Irvine School of Medicine (Université de la Californie). C’est là qu’une surdose de rayons X a anéanti sa carrière médicale. Depuis 30 ans, il est chercheur, consultant et conférencier sur les effets des CEM sur la santé et l’environnement, ainsi que praticien de plusieurs arts de la guérison. Il est l’auteur du livre The Invisible Rainbow – A History of Electricity and Life, par Arthur Firstenberg, AGP Press, 2017, 559 pages. Quiconque s’intéresse aux effets de l’électricité, y compris celle des phénomènes météorologiques, sur la biologie humaine se passionnera pour ce livre. Avec ses 135 pages de références, c’est probablement l’ouvrage grand public le plus complet mais aussi le plus original publié à ce jour sur les effets des CEM. Arthur est aussi webmestre de l’excellent site cellphonetaskforce.org




« Personne n’est mort du coronavirus ». Des révélations importantes partagées par le Dr Stoian Alexov, président de l’Association bulgare de pathologie

[Source en anglais : Off-Gardian.org]

[Auteurs :] Rosemary Frei et Patrick Corbett

Un pathologiste européen réputé rapporte que lui et ses collègues à travers l’Europe n’ont trouvé aucune preuve de décès dus au nouveau coronavirus sur ce continent.

Le Dr Stoian Alexov a qualifié l’Organisation mondiale de la santé (OMS) d ‘«organisation médicale criminelle» pour avoir créé la peur et le chaos dans le monde sans fournir la preuve objectivement vérifiable d’une pandémie.

Une autre révélation étonnante du président de l’Association bulgare de pathologie (BPA), le Dr Alexov, est qu’il pense qu’il est actuellement «impossible» de créer un vaccin contre le virus.

Il a également révélé que les pathologistes européens n’avaient identifié aucun anticorps spécifique du SRAS-CoV-2 [alias Covid-19].

Ces déclarations stupéfiantes soulèvent des questions majeures, notamment sur les affirmations des autorités et des scientifiques concernant les nombreux vaccins dont ils précipitent les essais cliniques à travers le monde.

Elles soulèvent également des doutes sur la véracité des allégations de découverte d’anticorps anti-Covid-19 (qui commencent à être utilisés pour traiter les patients).

Les anticorps spécifiques au nouveau coronavirus sont censés être à la base des kits de tests sérologiques coûteux utilisés dans de nombreux pays (dont certains se sont révélés inexacts de manière inacceptable).

Et ils sont censés être la clé des certificats d’immunité voulus par Bill Gates qui sont sur le point d’être généralisés — sous la forme du COVI-PASS — dans 15 pays, dont le Royaume-Uni, les États-Unis et le Canada.

Le Dr Alexov a fait ses observations stupéfiantes dans une interview vidéo résumant le consensus des participants lors d’un webinaire de la Société européenne de pathologie (ESP) le 8 mai 2020 sur le Covid-19.

L’interview vidéo du 13 mai du Dr Alexov a été réalisée par le Dr Stoycho Katsarov, président du Centre pour la protection des droits des citoyens à Sofia et ancien vice-ministre bulgare de la Santé. La vidéo est sur le site Web du BPA, qui met également en évidence certains des principaux points du Dr Alexov.

Nous avons demandé à personne de langue maternelle bulgare ayant une formation scientifique de traduire oralement l’interview vidéo en anglais. Nous avons ensuite transcrit sa traduction. La vidéo est ici et notre transcription en anglais est ici.

Parmi les principales bombes que le Dr Alexov a lâchées, les dirigeants du webinaire ESP du 8 mai ont déclaré qu’aucun anticorps spécifique au nouveau coronavirus n’avait été trouvé.

Le corps forme des anticorps spécifiques aux agents pathogènes qu’il rencontre. Ces anticorps spécifiques sont connus sous le nom d’anticorps monoclonaux et constituent un outil clé en pathologie. Cela se fait par immunohistochimie, ce qui implique le marquage des anticorps avec des couleurs, puis à les appliquer sur les lames de biopsie ou d’autopsie. Après avoir laissé aux anticorps le temps de se lier aux agents pathogènes pour lesquels ils sont spécifiques, les pathologistes peuvent observer les lames sous un microscope et voir les endroits spécifiques où se trouvent les anticorps colorés — et donc les agents pathogènes auxquels ils sont liés.

Par conséquent, en l’absence d’anticorps monoclonaux dirigés contre le nouveau coronavirus, les pathologistes ne peuvent pas vérifier si le SARS-CoV-2 est présent dans l’organisme ni si les maladies et les décès qui lui sont attribués ont bien été causés par le virus plutôt que par autre chose.

Il serait facile de rejeter le Dr Alexov comme un autre « théoricien du complot ». Après tout, beaucoup de gens croient qu’ils sont partout ces jours-ci, répandant une désinformation dangereuse sur le Covid-19 et d’autres problèmes.

De plus, peu de ce que le Dr Alexov prétend être le consensus du webinaire du 8 mai se trouve dans les parties publiquement visibles des débats.

Mais gardez à l’esprit que les dénonciateurs sont souvent seuls parce que la grande majorité des gens ont peur de s’exprimer publiquement.

De plus, le Dr Alexov a un dossier et une réputation irréprochables. Il est médecin depuis 30 ans. Il est président du BPA, membre du conseil consultatif de l’ESP et chef du service d’histopathologie de l’hôpital d’oncologie de Sofia, la capitale bulgare.

En plus de cela, il y a d’autres éléments qui soutiennent les propos du Dr Alexov.

Par exemple, le directeur de l’Institut de médecine légale du Centre médical universitaire de Hambourg-Eppendorf en Allemagne a déclaré lors d’entrevues dans les médias qu’il existe un manque frappant de preuves solides de la létalité du COVID-19.

« Le COVID-19 n’est une maladie mortelle que dans des cas exceptionnels, mais dans la plupart des cas, il s’agit d’une infection virale principalement inoffensive », a déclaré le Dr Klaus Püschel à un journal allemand en avril. Il a ajouté dans une autre interview :

« Dans de nombreux cas, nous avons également constaté que l’infection au coronavirus actuelle n’avait rien à voir avec l’issue fatale, car d’autres causes de décès sont présentes, par exemple, une hémorragie cérébrale ou une crise cardiaque […] [COVID-19 n’est] pas une maladie virale particulièrement dangereuse […] Toutes les spéculations sur les décès individuels qui n’ont pas été examinés de manière experte ne font qu’alimenter l’anxiété. »

De plus, l’un de nous (Rosemary) et un autre journaliste, Amory Devereux, ont documenté dans un article du 9 juin d’Off-Guardian que le nouveau coronavirus n’avait pas rempli les postulats de Koch.

Ces postulats sont des étapes scientifiques utilisées pour prouver si un virus existe et a une relation biunivoque avec une maladie spécifique. Nous avons montré qu’à ce jour, personne n’a prouvé que le SRAS-CoV-2 provoque une maladie distincte correspondant aux caractéristiques de toutes les personnes décédées officiellement du COVID-19. Le virus n’a pas non plus été isolé, reproduit puis démontré comme provoquant cette maladie spécifique.

De plus, dans un article du 27 juin sur Off-Guardian, deux autres journalistes, Torsten Engelbrecht et Konstantin Demeter, ont ajouté à la démonstration que «l’existence de l’ARN du SARS-CoV-2 est basée sur la foi, pas sur les faits».

Les deux ont également confirmé « qu’il n’y a aucune preuve scientifique que ces séquences d’ARN [réputées correspondre à celles du nouveau coronavirus] sont l’agent causal de ce qu’on appelle COVID-19 ».

Le Dr Alexov a déclaré dans l’interview du 13 mai que :

« la principale conclusion [de ceux d’entre nous qui ont participé au webinaire du 8 mai] était que les autopsies réalisées en Allemagne, en Italie, en Espagne, en France et en Suède ne montrent pas que le virus est mortel. »

Il a jouté que :

« Ce que tous les pathologistes ont dit, c’est qu’il n’y a personne qui soit mort du coronavirus. Je le répète : personne n’est mort du coronavirus. »

Le Dr Alexov a également observé que les autopsies ne prouvent pas que quiconque considéré comme infecté par le nouveau coronavirus est décédé uniquement d’une réaction inflammatoire déclenchée par le virus (se présentant comme une pneumonie interstitielle) plutôt que d’autres maladies potentiellement mortelles.

Une autre de ses révélations est que :

« Nous devons voir exactement comment la loi traitera de la vaccination et du vaccin dont nous parlons tous, car je suis certain qu’il n’est [actuellement ?] pas possible de créer un vaccin contre le COVID-19. Je ne sais pas exactement ce que Bill Gates fait avec ses laboratoires — est-ce vraiment un vaccin qu’il produit, ou autre chose? »

Comme indiqué ci-dessus, l’incapacité d’identifier des anticorps monoclonaux contre le virus suggère qu’il n’y a aucune base pour que les vaccins, les tests sérologiques et les certificats d’immunité soient déployés dans le monde entier à une vitesse et à un coût sans précédent. En fait, il n’existe aucune preuve solide que le virus existe.

Le Dr Alexov a souligné des points encore plus importants. Par exemple, il a noté que, contrairement à la grippe saisonnière, il n’a pas été prouvé que le SRAS-CoV-2 tue les jeunes :

« [Avec la grippe], nous pouvons trouver un virus qui peut faire mourir un jeune sans autre maladie […] En d’autres termes, l’infection à coronavirus est une infection qui ne mène pas à la mort. Et la grippe peut entraîner la mort. »

(Des cas graves de maladie de type Kawasaki et d’accident vasculaire cérébral ont été signalés chez des jeunes considérés comme infectés par le nouveau coronavirus. Cependant, la majorité des articles publiés sur ces cas sont très courts et ne comprennent qu’un cas ou une petite poignée de patients. En outre, les commentateurs des articles notent qu’il est impossible de déterminer le rôle du virus car les auteurs des articles ne contrôlaient pas suffisamment, voire pas du tout, les facteurs de confusion. Il est fort probable que les décès d’enfants attribués au COVID-19 soient dus en fait à une défaillance d’organes multiples résultant de la combinaison du cocktail de médicaments et de la ventilation auxquels ces enfants sont soumis.)

Le Dr Alexov a donc affirmé que :

« l’OMS crée un chaos mondial, sans aucun fait réel derrière ce qu’ils disent. »

Parmi les innombrables façons dont l’OMS crée ce chaos, c’est en interdisant presque toutes les autopsies de personnes présumées décédées à cause du COVID-19. En conséquence, a rapporté le Dr Alexov, en date du 13 mai, seules trois autopsies de ce type avaient été pratiquées en Bulgarie.

De plus, l’OMS exige que toute personne qui serait infectée par le nouveau coronavirus qui décède par la suite doive voir sa mort attribuée au COVID-19.

« C’est assez stressant pour nous, et pour moi en particulier, parce que nous avons des protocoles et des procédures que nous devons utiliser », a-t-il déclaré au Dr Katsarov. « … Et un autre pathologiste dans 100 ans va dire : « Hé, ces pathologistes ne savaient pas ce qu’ils faisaient [quand ils ont dit que la cause du décès était COVID-19]! » Nous devons donc être très stricts avec nos diagnostics, car ils pourraient être prouvés [ou réfutés], et ils pourraient être vérifiés à nouveau plus tard. »

Il a révélé que les pathologistes de plusieurs pays d’Europe, ainsi qu’en Chine, en Australie et au Canada résistent fortement aux pressions exercées sur eux pour attribuer les décès au seul COVID-19 :

« Je suis vraiment triste que nous devions suivre les instructions de [l’OMS] sans même y penser. Mais en Allemagne, en France, en Italie et en Angleterre, ils commencent à penser que nous ne devrions pas suivre l’OMS de manière aussi stricte, et [au lieu de cela] lorsque nous écrivons la cause du décès, nous devrions avoir une certaine pathologie [résultats à l’appui ] et nous devons suivre le protocole. Lorsque nous disons quelque chose, nous devons être en mesure de le prouver. »

(Il a ajouté que les autopsies auraient pu aider à confirmer ou infirmer la théorie selon laquelle de nombreuses personnes présumées mortes du COVID-19 en Italie avaient précédemment reçu le vaccin contre la grippe H1N1. Parce que, comme il l’a noté, le vaccin supprime le système immunitaire des adultes et par conséquent, il peut avoir contribué de façon importante à leur décès en les rendant beaucoup plus sensibles à l’infection.)

Les docteurs Alexov et Katsarov ont convenu qu’un autre aspect du chaos provoqué par l’OMS et de ses conséquences fatales est que de nombreuses personnes risquent de mourir bientôt de maladies telles que le cancer, car le confinement, combiné au vidage des hôpitaux (apparemment pour faire de la place pour les patients COVID-19), a interrompu toutes les procédures [médicales] et tous les traitements, sauf les plus urgents.

Ils ont également observé que ces maladies étaient exacerbées par la peur et le chaos entourant le COVID-19.

« Nous savons que le stress affaiblit considérablement le système immunitaire, je peux donc vraiment affirmer à 200% que toutes les maladies chroniques seront plus graves et plus aiguës en soi. (…)
Spécifiquement, les carcinomes in situ — plus de 50% d’entre eux — vont devenir plus invasifs. Je dirai donc que cette épidémie n’est pas tant une épidémie de virus, c’est une épidémie qui donne aux gens beaucoup de peur et de stress. »

De plus, a affirmé le Dr Alexov, comme autre résultat direct et terrible de la panique pandémique, de nombreuses personnes perdent confiance dans les médecins.

« Parce que, à mon avis, le coronavirus n’est pas si dangereux, et comment les gens vont-ils avoir confiance en moi pour la pathologie du cancer, dont une grande partie est également liée aux virus ? Mais personne n’en parle. »

Nous avons envoyé plusieurs questions au Dr Alexov, notamment en lui demandant pourquoi il pensait qu’il était impossible de créer un vaccin contre COVID-19.

Il n’a pas répondu directement aux questions. Le Dr Alexov a plutôt répondu :

Cher Patrick, merci pour votre courriel et vos informations.
J’accepte vraiment à 1000 % toutes les informations. De plus, l’OMS a déclaré que les patients du covid-19 n’ont pas besoin d’autopsie. Pourquoi ???
Avec le petit nombre d’autopsies que nous avons réalisées en Europe, c’est clairement visible. Personne n’est mort du covid-19. Nous disons plus probablement « avec » le covid-19.
Je pense fortement que l’OMS est la pire organisation médicale criminelle.
Sincères salutations,
Dr St. Alexov MD.
Chef du département d’histopathologie.

Nous avons également envoyé un courriel à cinq des collègues du Dr Alexov de la Société européenne de pathologie pour leur demander de confirmer les révélations du Dr Alexov. Nous avons fait un suivi par téléphone avec deux d’entre eux. Aucun n’a répondu.

Pourquoi le Dr Alexov ou ses cinq collègues n’ont-ils pas répondu à nos questions ?

Nous doutons que cela soit dû au manque de maîtrise de l’anglais.

Il est plus probable que ce soit en raison de la pression exercée sur les pathologistes pour suivre les directives de l’OMS et ne pas s’exprimer publiquement. (Et, en plus de cela, les services de pathologie dépendent des gouvernements pour leur financement.)

Néanmoins, des pathologistes comme les Drs. Alexov et Püschel semblent vouloir dire publiquement que personne n’est mort d’une nouvelle infection à coronavirus.

Peut-être parce que les dossiers et la réputation des pathologistes sont basés sur des preuves physiques solides plutôt que sur une interprétation subjective des tests, des signes et des symptômes. Et il n’y a aucune preuve matérielle tangible que COVID-19 est mortel.


Rosemary Frei est titulaire d'une maîtrise en biologie moléculaire de la faculté de médecine de l'Université de Calgary, a été rédactrice médicale indépendante et journaliste pendant 22 ans et est maintenant journaliste d'investigation indépendante. Vous pouvez regarder son interview du 15 juin sur The Corbett Report, lire ses autres articles sur Off-Guardian et la suivre sur Twitter.
Patrick Corbett est un écrivain, producteur, réalisateur et monteur à la retraite qui a travaillé pour tous les grands réseaux au Canada et aux États-Unis, à l'exception de Fox. Ses crédits journalistiques incluent Dateline NBC, W-5 de CTV et l’unité documentaire de CTV où il a écrit et réalisé "Children's’s Hospital", la première production canadienne à être nominée pour un Emmy international. Vous pouvez suivre Patrick sur Twitter.



Bill Gates dicte aussi et en toute discrétion la politique alimentaire mondiale, et plus encore

[Source : Sott.net via Réseau International]

[Auteur :] Dr Joseph Mercola

Bill Gates a bâti un empire mondial autour de ses technologies et de ses entreprises « philanthropiques », dont l’ampleur est aujourd’hui de plus en plus évidente. Sa richesse absolue lui a permis de devenir une véritable superpuissance à part entière. Il est non seulement devenu le plus grand bailleur de fonds de l’Organisation mondiale de la santé et le tsar mondial non élu de la santé face au Covid-19, mais il exerce également une grande influence sur le système alimentaire mondial [et plus encore, comme nous le verrons tout au long de l’article – NdT].

Bill Gates exerce une puissante influence sur la politique alimentaire et agricole mondiale grâce au financement qu’il accorde à un grand nombre d’organisations impliquées dans le développement agricole et l’élaboration des politiques, comme le révèle le rapport d’AGRA Watch[1], « L’homme derrière le rideau — L’influence de la Fondation Gates sur le Sommet des Nations unies sur les systèmes alimentaires », publié en août 2020 [Pdf en anglais – NdT].

Note du traducteur : Bill Gates ne peut toutefois pas véritablement être qualifié d’« homme derrière le rideau » — encore que l’on puisse le penser au vu de tout ce qui suit. Il est au contraire la figure de proue bien visible qui permet de cacher à la vue de tous les quelques individus parfaitement inconnus qui eux, sont derrière le rideau.

Par ailleurs, l’AGRA Watch a été créée pour contester la participation — ou la main-mise, peut-être ? — de la Fondation Gates au sein de l’AGRA.

Quant à l’AGRA elle-même, elle fut lancée il y a quatorze ans par les fondations Bill & Melinda Gates et Rockefeller. L’Alliance pour une révolution verte en Afrique (AGRA) a pour objectif d’apporter à l’Afrique sa propre révolution verte en matière de productivité agricole, armée de semences commerciales à haut rendement, d’engrais et de pesticides. Il s’agissait pour l’AGRA de doubler la productivité et les revenus d’ici à 2020 (et nous y sommes) pour trente millions de familles de petits exploitants agricoles tout en réduisant de moitié l’insécurité alimentaire dans vingt pays.

Hélas, et selon le rapport mentionné plus bas par le Dr Mercola, il n’y a pas eu, sur les quatorze années en question, d’augmentation de la productivité, et le nombre de personnes sous-alimentées dans les treize pays cibles par l’AGRA a augmenté de 30 pour cent, et celui du Rwanda, « l’enfant affamé de l’Afrique », s’est accru lui de 15 pour cent. Il est à noter qu’aucune évaluation globale des effets de ces programmes n’a pour le moment été publiée, ni par l’AGRA elle-même, ni par la Fondation Gates — Voir la troisième note de traduction pour des données issues des recherches de Timothy Wise.

Les organisations financées par Bill Gates défendent l’envoyée de l’ONU financée par Bill Gates

Bien qu’il ne soit qu’un homme, Bill Gates finance un si grand nombre d’entreprises et d’organisations que son influence considérablement renforcée et amplifiée lui permet par leurs biais d’imposer ses choix en catimini [pour les non-initiés, à savoir presque tout le monde – NdT].

À la vue des longues listes de ces groupes, on est automatiquement amenés à penser qu’il existe de nombreux acteurs différents impliqués alors qu’en fait, Gates constitue le fil conducteur de la plupart ou de la totalité d’entre eux. Le rapport d’AGRA Watch[2] en est un parfait exemple si l’on considère l’histoire d’Agnes Kalibata.

Note du traducteur : Il est possible que les lecteurs ne connaissent pas Agnes Kalibata, en voici donc un peu plus, depuis la page Wikipedia en anglais qui lui est consacrée ; notons au passage qu’il n’est pas fait mention ne serait-ce que d’une année de naissance, et les recherches en ce sens n’ont rien donné :

Agnes Matilda Kalibata est une agronome et responsable politique rwandaise, elle a été ministre rwandaise de l’agriculture et des ressources animales de 2008 à 2014 e elle est présidente de l’Alliance pour une révolution verte en Afrique depuis 2014.

Elle est née au Rwanda et a été élevée en Ouganda en tant que réfugiée par des parents petits exploitants. Elle a obtenu une licence en entomologie et biochimie, suivie d’une maîtrise en agriculture. Elle a ensuite obtenu un doctorat en entomologie.

Elle a été louée par beaucoup pour ses réalisations lorsqu’elle était ministre, mais certains groupes de défense des droits de l’homme les ont critiqué parce que le soutien financier n’était accordé qu’aux agriculteurs qui suivaient les politiques gouvernementales de regroupement des terres.

Kalibata est membre du conseil d’administration du Centre international de développement des engrais (IDFC) depuis 2008, où elle préside le Comité Afrique et est membre de son comité exécutif et de son comité d’audit. Elle est également membre de nombreux conseils d’administration nationaux et internationaux, notamment pour l’Université du Rwanda, Africa Risk Capacity, le Conseil de l’agenda mondial du Forum économique mondial, la Commission mondiale sur l’adaptation et le Groupe d’experts de Malabo Montpellier sur l’agriculture et la sécurité alimentaire.

Agnes Kalibata est présidente de l’Alliance pour une révolution verte en Afrique, une organisation financée par la Fondation Bill & Melinda Gates. En décembre 2019, elle a été nommée envoyée spécial au Sommet des Nations Unies sur les systèmes alimentaires de 2021 par le secrétaire général de l’ONU, António Guterres.

En réponse, 176 organisations de la société civile et des groupes d’agriculteurs de 83 pays ont demandé à António Guterres de retirer la nomination de Kalibata en raison de ses conflits d’intérêts évidents avec des entreprises. Une deuxième déclaration, signée par plus de 500 universitaires et organisations, s’est également opposée à sa nomination et au fait qu’elle organise le sommet.

© Inconnu

La Fondation Gates cherche à exercer une influence non seulement en finançant des projets et en façonnant l’expertise, mais aussi en finançant les plateformes de gouvernance qui déterminent la politique alimentaire et agricole.

~ AGRA Watch

C’est un recul important, qui illustre l’inquiétude générale que suscite la nomination de Kalibata. Une douzaine de personnes représentant des banques de développement, des institutions universitaires et le secteur privé sont intervenues pour la défendre.

Elles ont exhorté António Guterres à maintenir Kalibata dans sa fonction, en citant notamment ses qualités de leader et son éthique professionnelle. Cependant, parmi ces douze défenseurs, « onze entretenaient des liens passés ou actuels avec la Fondation Gates », indique AGRA Watch, qui ajoute[3] :

Dans certains cas, les organisations ont directement été financées par la Fondation Bill & Melinda Gates, et dans d’autres, la Fondation Bill & Melinda Gates a financé des programmes spécifiques dans lesquels les signataires avaient joué un rôle. Une organisation était subventionnée par l’AGRA, elle-même financée par la Fondation Bill & Melinda Gates.

L’excessive influence de Bill Gates sur le Sommet des Nations unies sur les systèmes alimentaires

En d’autres termes, bien qu’il puisse sembler que Kalibata ait eu le soutien d’une douzaine d’individus ou de groupes distincts et indépendants, en réalité, seules deux voix s’expriment pour sa défense. C’est juste que la voix de Gates est multipliée par onze. De plus, puisque son nom n’est jamais mentionné, les non-initiés considèrent généralement qu’il n’est en rien partie prenante.

Ces résultats illustrent l’influence de la Fondation Bill & Melinda Gates sur la politique alimentaire et agricole mondiale. AGRA Watch a continuellement documenté son rôle dans l’influence du développement agricole, qui a connu une croissance considérable ces dernières années.

La Fondation Gates cherche à exercer une influence non seulement par le financement de projets et la mise en forme de l’expertise, mais aussi par le financement des plateformes de gouvernance qui déterminent la politique alimentaire et agricole. Ce rôle de la Fondation Bill & Melinda Gates dans la prise de décisions politiques basées sur son modèle technologique de développement agricole dont elle est propriétaire est souvent négligé…

Dans ce rapport, nous avons démontré quelques-uns des liens entre la Fondation Bill & Melinda Gates et ceux qui ont soutenu la nomination de Kalibata à la tête du Sommet des Nations unies sur les systèmes alimentaires.

Alors que des centaines d’organisations de la société civile ont demandé sa destitution, seuls douze signataires ont accepté de soutenir sa nomination, presque tous bénéficiant directement des subsides de la Fondation Bill & Melinda Gates. Cette situation soulève des questions cruciales sur le rôle de Bill Gates dans l’élaboration de l’ordre du jour du Sommet des Nations Unies sur les systèmes alimentaires ainsi que sur ses résultats.

~ AGRA Watch

Le graphique suivant, inclus dans le rapport d’AGRA Watch, illustre les liens de financement directs et indirects entre la Fondation Bill & Melinda Gates et l’envoyé spécial du Sommet des Nations Unies sur les systèmes alimentaires, Agnes Kalibata.

© AGRA Watch
En vert : Financements directs – En rouge : Financements indirects de la Fondation Gates à des programmes spécifiques affiliés aux signataires

La Fondation Bill & Melinda Gatesouvre la porte à Monsanto

AGRA Watch s’inquiète depuis de nombreuses années de l’influence de la Fondation Bill & Melinda Gates sur l’agro-business :

Par exemple, parmi ses nombreux rapports de recherche[4] figure le rapport 2010 intitulé « La porte tournante : Les liens Monsanto-Gates »[5], qui détaille les liens directs entre la Fondation Bill & Melinda Gates et les représentants de Monsanto que sont Rob Horsch, Florence Wambugu, Don Doering[6], feu Sam Dryden et Lawrence Kent. Un autre rapport de 2010, intitulé « Les liens de la Fondation Gates avec Monsanto et le développement des cultures transgéniques au Kenya », souligne[7] les liens entre la Fondation Gates et Monsanto :

« AGRA Watch a été créé en 2008 pour contester la participation de la Fondation Gates à la problématique de l’Alliance pour une révolution verte en Afrique (AGRA), et pour soutenir les alternatives agro-écologiques durables déjà pratiquées en Afrique.

Nous avons assisté à l’accélération de la pression en faveur du génie génétique comme solution à la faim en Afrique, à la criminalisation de ses opposants en tant qu’éco-impérialistes peu enclins à accepter les avancées scientifiques, et à un respect mal placé pour le soutien philanthropique aux solutions d’entreprises vis-à-vis des problèmes alimentaires mondiaux. Les intérêts des entreprises sont clairement exposés dans le programme de l’AGRA, comme on le voit ci-dessous ».

© AGRA Watch

La Fondation Bill & Melinda Gates n’est pas là pour résoudre les réels problèmes du monde

Dans son rapport de 2014[8], « Trois exemples de problèmes avec les subventions de la Fondation Bill & Melinda Gates », AGRA Watch souligne pourquoi les investissements massifs de Gates dans la production alimentaire mondiale n’ont résolu aucun des problèmes très réels auxquels nous sommes confrontés. Avant tout, nombre des solutions qu’il soutient sont des « solutions de façade » qui aggravent en fait les problèmes à la racine.

Citons par exemple le financement du développement d’aliments génétiquement modifiés conçus pour être plus riches en certains nutriments. Le problème est que ces cultures finissent par remplacer la diversité locale par quelques variétés génétiquement modifiées qui ne tiennent même pas compte des conditions locales. Ainsi, en poussant à la création de variétés de cultures « enrichies », la biodiversité diminue et la malnutrition s’aggrave.

Par ailleurs, « une focalisation obstinée sur le rendement » est en contradiction avec les recherches qui montrent qu’un faible rendement ou une production insuffisante n’est pas la cause de la faim dans le monde. AGRA Watch fait le constat suivant :

Il existe aujourd’hui de nombreuses preuves que le problème est plutôt la pauvreté et le manque d’accès, qui sont eux-mêmes aggravés par la destruction des systèmes alimentaires locaux et la commercialisation des aliments. Les subventions de la Fondation Gates et de l’AGRA continuent à se concentrer sur le rendement, en préparant l’Afrique à un système adapté aux besoins de l’agriculteur commercial à la recherche de profits et axé sur le rendement plutôt qu’adapté au paysan ou au petit agriculteur qui produisent des cultures diverses pour une communauté locale.

Un troisième problème souligné dans le rapport AGRA Watch concerne le financement par Bill Gates des organisations de recherche et des scientifiques européens et américains plutôt qu’africains, même si les programmes sont mis en œuvre en Afrique :

Cette situation peut ne pas être le résultat d’intentions conscientes, mais d’un préjugé structurel profondément ancré qui fait que les scientifiques et les institutions scientifiques africains ne sont pas suffisamment qualifiés ou légitimes pour recevoir le financement des subventions.

© Fotokostic – Shutterstock.com
L’agriculture se développe en Afrique, les pesticides aussi

Note du traducteur : Puisqu’il n’existe à échéance 2020 aucune publication relative à l’efficacité ou pas du programme de l’AGRA dans sa globalité et que cette dernière a refusé de lui fournir les informations nécessaires à ses recherchesTimothy Wise a utilisé les données nationales de treize pays « bénéficiaires » de l’AGRA jusqu’en 2018, données portant sur la production, le rendement et la superficie récoltée pour la plupart des cultures vivrières importantes de la région, afin d’évaluer dans quelle mesure les programmes de cette révolution verte augmentent sensiblement la productivité.

L’AGRA a par ailleurs reçu près d’un milliard de dollars de contributions, dont la grande majorité provient de la Fondation Gates, mais également des contributions importantes des gouvernements donateurs, notamment des États-Unis, du Royaume-Uni, de l’Allemagne et d’autres pays. L’AGRA a versé plus de 500 millions de dollars en subventions pour promouvoir sa vision d’une agriculture africaine « modernisée », libérée de sa technologie peu développée et de ses faibles rendements.

Timothy Wise a également examiné les données sur la pauvreté et la faim afin de déterminer s’il existe des signes d’amélioration des revenus et de la sécurité alimentaire des petits exploitants agricoles dans la région, qui se situeraient à des niveaux correspondant aux objectifs de l’AGRA en matière d’amélioration du bien-être des agriculteurs.

Il n’a trouvé aucune preuve que la productivité, les revenus ou la sécurité alimentaire des petits exploitants agricoles augmentent de manière significative. Il déplore au contraire « n’avoir trouvé aucune preuve que la productivité, les revenus ou la sécurité alimentaire des petits exploitants agricoles augmentent de manière significative. » Et plus précisément, il a constaté ce qui suit :

  • Peu de preuves que l’AGRA atteignait un nombre important d’agriculteurs. Son dernier rapport d’étape indique seulement que l’AGRA a formé 5,3 millions d’agriculteurs aux pratiques modernes, dont « 1,86 million d’agriculteurs » utilisent directement ces méthodes. Ce chiffre est vague et bien loin de l’objectif déclaré de doubler directement la productivité et les revenus de 7 millions d’agriculteurs, et indirectement pour 21 millions d’autres.
  • Aucune preuve d’une augmentation significative des revenus des petits exploitants ou d’une sécurité alimentaire. Pour l’ensemble des pays cibles de l’AGRA, il y a eu une augmentation de 30 pour cent du nombre de personnes souffrant de la faim extrême depuis le début, une situation qui touche 130 millions de personnes dans les pays cibles de l’AGRA. Le Kenya, où se trouve son siège, a connu une augmentation de la proportion de ses habitants souffrant de sous-alimentation pendant les mêmes années.
  • Il n’existe aucune preuve d’une augmentation importante de la productivité. Pour l’ensemble des cultures de base, les rendements n’ont augmenté que de 18 pour cent sur douze ans dans les treize pays cibles de l’AGRA. Même le maïs, fortement encouragé par les programmes de la Révolution verte, n’a connu qu’une croissance de 29 pour cent de son rendement, bien loin de l’objectif de l’AGRA d’en doubler la productivité, ce qui représenterait une augmentation de 100 pour cent.
  • Là où l’adoption des technologies a eu lieu, les subventions aux intrants fournies par les gouvernements africains semblent avoir beaucoup plus d’influence que les programmes de l’AGRA. Il est difficile de trouver des preuves que les programmes de l’AGRA auraient un impact significatif en l’absence de subventions aussi importantes de la part des gouvernements africains.
  • Même là où la production a augmenté, comme en Zambie, la production de maïs qui a quasiment triplée n’a pas entraîné de réduction de la pauvreté ou de la faim en milieu rural. Les petits agriculteurs n’en ont pas profité ; la pauvreté et la faim sont restées incroyablement élevées, 78 pour cent des Zambiens vivant en milieu rural étant dans une pauvreté extrême.
  • Les incitations de la Révolution verte pour les cultures prioritaires comme le maïs ont conduit à l’abandon des cultures traditionnelles plus nutritives et plus résistantes au climat comme le millet et le sorgho, ce qui a érodé la sécurité alimentaire et la nutrition des agriculteurs pauvres. La production de millet a diminué de 24 pour cent, les rendements ayant chuté de 21 pour cent pendant les années de l’AGRA.
  • Aucun signe d’« intensification durable », l’objectif étant d’augmenter durablement la production sur les terres agricoles existantes. Les impacts environnementaux sont négatifs, notamment l’acidification des sols dans le cadre de la culture en monoculture avec des engrais à base de combustibles fossiles. L’augmentation de la production provient davantage des agriculteurs qui mettent de nouvelles terres en culture — par « extension » — que de l’augmentation de la productivité. Ces deux tendances ont des implications pour l’atténuation du changement climatique et l’adaptation à celui-ci.

Il s’agit donc d’un bilan d’échec pour l’AGRA — sauf à penser que l’objectif n’était pas celui-là même qui a été mis en avant — et il serait temps que les gouvernements africains qui en sont « bénéficiaires » changent de cap…

© Inconnu

La spécialité de Gates — Le philanthro-capitalisme

Des observations supplémentaires peuvent être trouvées dans l’article de l’AGRA Watch[9] « Philanthro-capitalisme : Les programmes africains de la Fondation Bill & Melinda Gates ne sont pas de la charité », publié en décembre 2017, dans lequel le philanthro-capitalisme est décrit comme « une tentative d’utiliser les processus du marché pour faire le bien », mais qui se révèle intrinsèquement problématique « parce que les marchés sont mal adaptés pour produire des résultats socialement constructifs ».

En d’autres termes, la marque de fabrique de la philanthropie de Gates engendre plusieurs nouveaux problèmes pour chacun de ceux qu’elle résout. Comme l’indique l’article, les partisans de la philanthro-capitalisation…

… attendent souvent de leurs investissements dans les programmes sociaux des retours financiers ou des bénéfices secondaires à long terme. La philanthropie devient une autre partie du moteur du profit et du contrôle des entreprises. La stratégie de développement de la Fondation Bill & Melinda Gates encourage en fait les politiques économiques néolibérales et la mondialisation des entreprises.

Il est […] probable que Bill Gates, qui a un accès régulier aux dirigeants mondiaux et qui finance personnellement des centaines d’universités, d’organisations internationales, d’ONGs et de médias, soit devenu la voix la plus influente en matière de développement international.

Un examen plus approfondi de la Fondation Bill & Melinda Gates est essentiel étant donné que son influence est vaste, voire plus grande que celle de la plupart des gouvernements donateurs. La Fondation Bill & Melinda Gates fournit plus d’aide à la santé mondiale que tout autre pays donateur et est le cinquième plus grand donateur pour l’agriculture dans les pays en développement.

En 2013, seuls onze pays ont dépensé plus que la Fondation Bill & Melinda Gates, ce qui en fait le douzième donateur mondial. La Fondation Bill & Melinda Gates est devenue un donateur plus important que des pays tels que la Belgique, le Canada, le Danemark, l’Irlande et l’Italie[10].

Le plan médical de Gates — Immunisation et surveillance mondiales

L’une des raisons pour lesquelles beaucoup prennent conscience de la puissance de Gates est sa présence fréquente en tant qu’expert du jour du Covid-19. C’est un choix étrange, compte tenu de son absence totale de formation médicale formelle. C’est d’autant plus troublant que les opinions des médecins, des scientifiques etdes chercheurs qui sont en conflit avec ses vuessont effacées de l’Internet.

Note du traducteur : Le Dr Jospeh Mercola fait lui-même l’objet d’attaques sur Internet. Voici ce qu’il écrivait le 17 août dernier :


Deux décennies de journalisme sur la santé sont en jeu

Ces vingt-trois dernières années, je me suis battu contre l’introduction de fluorure neurotoxique dans l’eau. J’ai été l’un des premiers médecins à alerter le monde sur les dangers du Vioxx, qui a tué plus de 60 000 patients avant d’être finalement retiré du marché. J’ai fait campagne contre les OGMs et les produits agrochimiques toxiques, en finançant en 2012 la première collecte de signatures pour obtenir l’étiquetage des OGMs en Californie.

Pendant plus de dix ans, j’ai financé la lutte pour mettre fin à l’utilisation des plombages dentaires au mercure dans le monde entier. J’ai mis en garde contre la sur-utilisation des antibiotiques en médecine humaine et les dangers de leur consommation dans les viandes CAFO [c’est-à-dire issues de l’élevage intensif – NdT]

J’ai financé des recherches et j’ai été l’un des premiers médecins journalistes à sensibiliser aux dangers de la carence en vitamine D. Je sensibilise maintenant le public à l’importance d’optimiser la vitamine D pour minimiser les risques du Covid-19.

Ce plaidoyer en faveur de la santé publique a créé une armée d’adversaires bien financés. Ils m’ont attaqué en utilisant des groupes de relations publiques coûteux et des médias de masse, ont saisi des agences de régulation fédérales et des groupes pharmaceutiques de façade pour tenter de me faire taire et de me discréditer.

Jamais auparavant les Américains n’ont été exposés à un tel assortiment coordonné de mensonges et de censure. Le lavage de cerveau, la surveillance des médias sociaux, la coercition et la destruction des dissidents s’accélèrent. Pour un aperçu complet de ce nouvel ordre mondial, un empire construit et dirigé par des milliardaires, voir ma série d’articles « Le fantôme dans la machine ».

Bill Gates a déclaré à plusieurs reprises que la vie ne pourrait pas revenir à la normale tant que nous n’aurons pas vacciné contre le Covid-19 l’ensemble de la population mondiale. Et ce, en dépit du fait que les scientifiques et les chercheurs médicaux ont découvert une variété de stratégies sûres, simples et peu coûteuses pour prévenir et traiter le Covid-19.

© Inconnu
Lorsque vous ou vos enfants vous faites vacciner, vous devez être certain de savoir qui injecte quoi dans votre sang et pour quelle raison.

Le fait que les opinions irrationnelles et scientifiquement non fondées de Bill Gates façonnent dans le monde entier les réponses à la pandémie alors que les vrais professionnels de la santé sont censurés par les médias grand public et les plateformes de médias sociaux constitue la preuve que nous ne fonctionnons plus sur une base scientifique et de vérité médicale.

Au lieu de cela, le monde entier devrait s’aligner sur le programme créé par Bill Gates qui sert ses propres intérêts et ceux de ses nombreux alliés dans le domaine de la technologie et de la médecine. Dans un article publié dans GatesNotes[11-12] le 30 avril 2020, Gates déclare même qu’il « soupçonne que le vaccin Covid-19 fera partie du calendrier de vaccination systématique des nouveaux-nés » — un joli petit morceau de programmation prédictive, si vous voulez mon avis.

Note du traducteur : Pour appuyer les propos du Dr Mercola, voici ce que Bill-Gates-le-psychopathe-de-service-aux-ordres-du-consortium-en-haut-de-la-pyramide explique aussi dans cet article :

La plupart des gens s’accordent à dire que les professionnels de la santé devraient d’abord se faire vacciner. Mais qui le reçoit ensuite ? Les personnes âgées ? Les enseignants ? Les travailleurs occupant des emplois essentiels ?

Je pense que les pays à faible revenu devraient être parmi les premiers à le recevoir, car les gens risquent beaucoup plus de mourir dans ces pays. Le Covid-19 se répandra beaucoup plus rapidement dans les pays pauvres, car des mesures comme l’éloignement physique sont plus difficiles à mettre en œuvre. Un plus grand nombre de personnes ont un mauvais état de santé sous-jacent qui les rend plus vulnérables aux complications, et la faiblesse des systèmes de santé fera qu’il leur sera plus difficile de recevoir les soins dont ils ont besoin. La mise en circulation du vaccin dans les pays à faible revenu pourrait sauver des millions de vies. La bonne nouvelle, c’est que nous disposons déjà d’une organisation spécialisée dans ce domaine, la Vaccine Alliance (Gavi).

Il s’agit donc d’attaquer les plus faibles d’abord, sous couvert d’humanisme et de bonnes intentions, on s’occupera des autres ensuite ; d’ici là, des lois d’obligation vaccinale auront peut-être eu le temps de voir le jour un peu partout. Peut-être…

Les vaccins à ARNm développés contre le Covid-19 modifieront votre expression génétique, transformant votre corps en une usine à protéines virales. Est-il vraiment judicieux d’envisager l’utilisation d’un tel nouveau vaccin sur les nouveau-nés ? Dans un monde sain et rationnel, la réponse serait un non catégorique. Malheureusement, nous vivons aujourd’hui dans un monde dirigé par les hommes de main de Gates [lui-même sacrifiable s’il est besoin par le même consortium qui a permis qu’il soit là où il est à dessein – NdT], et la raison et la logique ont donc largement disparues de l’équation.

Dans une dialectique hégélienne prévisible de type problème-réaction-solution, le problème du Covid-19 a conduit à des stratégies anti-pandémiques illogiques et mal conçues telles que l’obligation de porter un masque et l’assignation à résidence de personnes en bonne santé, suivies de la « solution ultime » offerte par un vaccin élaboré à la hâte qui repose sur l’usage d’une nouvelle technologie d’ARNm.

Aussi radical que tout cela puisse paraître, les projets de Gates pour le monde ne s’arrêtent pas là. Il fait également pression pour la mise en place d’un vaste système de surveillance mondial permettant de suivre et de retracer le statut de chacun en matière infectieuse et vaccinale. Il finance même, avec George Soros, le groupe de recherche des contacts Partners in Health. (La Fondation William J. Clinton a également financé Partners in Health dans le passé[13]).

Il n’est pas surprenant que les recommandations de Bill Gates finissent par lui profiter avant tout. Comme nous l’avons vu dans « Bill Gates — Le philanthrope le plus dangereux de l’histoire moderne », la Fondation Bill & Melinda Gates fait des dons de plusieurs milliards de dollars aux mêmes entreprises et industries que celles dans lesquelles la Fondation détient des actions et des obligations.

Utiliser l’argent des associations à but non lucratif pour faire avancer la recherche au sein des entreprises dans lesquelles vous investissez est illégal, mais Bill Gates continue depuis de nombreuses années à ne rendre aucun compte à la justice. Sa fondation bénéficie parallèlement d’avantages fiscaux au titre des donations qu’elle reçoit.

N’oubliez pas qu’au fil des ans il a « donné » des dizaines de milliards de dollars et pourtant la valeur nette de sa fondation n’a pas diminué — elle a même doublé, et cela est dû en grande partie au fait que ses dons sont traités comme des investissements fiscalement déductibles. C’est du philanthro-capitalisme dans sa plus grande expression.

Note du traducteur : Le journaliste Lionel Astruc a enquêté sur la fondation de l’ex-patron de Microsoft, Bill Gates, l’un des hommes les plus riches de la planète. Avec un budget annuel de près de 5 milliards de dollars, et sous prétexte de lutter contre les inégalités, la Fondation Gates nourrirait un système destructeur.

Entretien.

Bill Gates est celui qui bénéficie le plus d’une peur propagée de pandémie

À ce jour, la pandémie de Covid-19 est indéniablement le plus grand projet philanthro-capitaliste de Bill Gates, et il s’apprête à engranger d’énormes sommes d’argent, puisqu’il finance et investit à la fois dans les traitements et dans les vaccins contre le Covid-19.

© Inconnu

En mars 2020, la Fondation Gates a annoncé[14] un nouveau partenariat, baptisé « The Covid-19 Therapeutics Accelerator », avec Wellcome et Mastercard pour « coordonner les efforts de recherche et développement, et éliminer les obstacles au développement des médicaments [et intensifier les traitements pour faire face à la pandémie » — Voir le site en anglais ici – NdT] ». Selon le communiqué de presse[15] :

L’accélérateur thérapeutique Covid-19 jouera un rôle de catalyseur en accélérant et en évaluant des médicaments et des produits biologiques nouveaux et reconvertis pour traiter à court terme les patients atteints du Covid-19, puis d’autres agents pathogènes viraux à plus long terme.

La Fondation Gates s’est également associée au Serum Institute of India pour fabriquer 100 millions de doses de vaccins contre le Covid-19 développés par AstraZeneca et Novavax. Les vaccins, qui coûteront moins de 3 dollars par dose, sont destinés à être livrés aux pays à faible revenu[16-17].

Le financement est acheminé sous la forme d’un prêt sans intérêt et remboursable à Gavi, la Vaccine Alliance, fondée par la Fondation Gates en 2000, qui fournira ensuite le capital nécessaire au Serum Institute of India. Au cours des cinq prochaines années, la Fondation s’est également engagée à fournir à Gavi un total de 1,6 milliard de dollars de fonds supplémentaires[18].

Note du traducteur : Le Wellcome Trust est une fondation caritative fondée en 1936 dédiée à la médecine dont le siège est en Grande-Bretagne, dont la mission générale consiste à « encourager et promouvoir la recherche dans le but d’améliorer la santé de l’homme et des animaux », et qui finance la recherche biomédicale à hauteur d’une moyenne de 725 millions d’euros par an. Au 30 septembre 2007, ses actifs nets se montaient à 16,8 milliards d’euros. Au 30 septembre 2018sa dotation s’élevaient à près de 29 milliards d’euros. En termes d’avoirs, il s’agit de la seconde fondation la plus riche après la Fondation Bill & Melinda Gates.

Cette influence générale sur la technologie, l’alimentation et la médecine — et sur les vaccins en particulier — ne décrit pourtant pas de manière adéquate l’emprise de Bill Gates sur notre vie quotidienne. Il a également eu une profonde influence sur l’éducation. Le très critiqué programme Common Core [Tronc commun, fondé en 2009 – NdT] fut une tentative de la Fondation Gates de redéfinir l’éducation américaine[19] et la plupart des parents vous diront à quel point cette tentative était stupide[20].

Note du traducteur : Selon un article de Forbes de mai 2020,

Bill Gates n’a pas inventé ce Tronc commun, mais comme l’a expliqué Lyndsey Layton en 2014, il a fourni le soutien financier, l’organisation et l’influence nécessaire pour les faire entrer rapidement dans tous les États de la nation. Il est difficile de savoir exactement combien d’argent Bill Gates a dépensé pour soutenir son projet de Tronc commun, le nombre de groupes et le nombre des chèques émis étant stupéfiants. Mais les dépenses de Bill Gates en matière d’éducation aux États-Unis se chiffrent en milliards de dollars et ont directement influencé la façon dont ont été dépensés des milliards de milliards de dollars du contribuable. Et si certains continuent à affirmer que ce projet de Tronc commun fut un succès, il est pour le moins difficile de conclure à un consensus général. Ce que le Tronc commun de Bill Gates a cependant réussi, c’est d’aider à faire accepter dans le système scolaire américain les deux aspects majeurs qui définissent Bill Gates — mettre l’accent sur la collecte des données, et définir qu’une moins bonne réussite scolaire s’assimile à « de bons résultats à un test de mathématiques et de lecture ».

Malgré cet échec lamentable, le 6 mai 2020, le gouverneur de New York, Andrew Cuomo, annonçait que l’État s’associait à la Fondation Bill & Melinda Gates pour développer « un système d’éducation plus intelligent » pour le monde post-Covid, système qui se concentrera sur l’apprentissage en ligne et intégrera de façon permanente la technologie dans tous les aspects de la vie civique[21].

L’État de New York s’est également associé à Google, et Cuomo a demandé à son ancien PDG, Eric Schmidt, de diriger un nouveau panel chargé de planifier l’infrastructure technologique de l’État[22]. Comme l’a noté Naomi Klein dans son article publié dans The Intercept[23], l’appareil de surveillance contre lequel les consommateurs se sont insurgés est maintenant rebaptisé en réponse aux préoccupations de chacun en matière de santé.

Note du traducteur : dans son article, Naomi Klein écrit aussi ceci :

C’est un avenir dans lequel nos maisons ne seront plus jamais exclusivement des espaces personnels mais aussi, grâce à la connectivité numérique à haut débit, nos écoles, nos cabinets médicaux, nos gymnases et, si l’État le détermine, nos prisons.

Bill Gates est la figure de proue la plus visible de la technocratie moderne

Qu’elle soit planifiée ou pas, la pandémie de Covid-19 est de toute évidence utilisée pour introduire des changements très controversés qui sont indubitablement totalitaires, y compris la prise de contrôle du gouvernement par le secteur privé dans le cadre de partenariats public-privé.

La surveillance est devenue la plus grande industrie à but lucratif de la planète, et toute votre existence est désormais la cible des profits. Et parmi ceux qui sont le plus susceptibles d’engranger d’énormes profits, on trouve Bill Gates lui-même.

Pour mieux comprendre ce à quoi vous renoncez en suivant le discours dominant selon lequel nous avons besoin de Big-Technologie pour être sauvés, voir mon article à propos de la psychologue sociale et professeure à Harvard, Shoshana Zuboff, et son livre extraordinaire, L’Âge du capitalisme de surveillance.

Vous ne voudrez pas non plus manquer mon récent entretien avec Patrick Wood, présenté dans « Les plus impérieux dangers de la technocratie ». J’ai intégré cette interview ci-dessous pour vous faciliter la tâche.

Note du traducteur : Pour les lecteurs qui souhaitent visionner cette vidéo en anglais, suivez ce lien. Pour accéder à la transcription de l’interview en anglais, suivez ce lien. Sinon voici quelques paragraphes concernant les grandes lignes de son contenu :

  • La technocratie est un système économique qui a vu le jour dans les années 1930, au plus fort de la Grande Dépression, lorsque des scientifiques et des ingénieurs se sont réunis pour résoudre les problèmes économiques de la nation [les États-Unis – NdT]. Depuis lors, les technocrates ont silencieusement et sans relâche progressé, et leur programme devient de plus en plus visible.
  • Les technocrates ont inventé un nouveau système économique à partir de zéro — un système économique basé sur les ressources dans lequel l’énergie et l’ingénierie sociale dirigent l’économie plutôt que des mécanismes de prix tels que l’offre et la demande.
  • La technocratie appelle au démantèlement total du système politique, qui inclut la Constitution américaine. Les nations doivent être dirigées par des dirigeants non élus qui décident des ressources que les entreprises peuvent utiliser et des produits que les consommateurs sont finalement autorisés à acheter.
  • La Commission trilatérale est un groupe technocratique clé qui a dominé le système politique américain depuis Jimmy Carter.
  • La seule raison pour laquelle la technocratie n’a pas encore réussi à supplanter les États-Unis — bien qu’elle s’en rapproche de façon incroyable — c’est à cause de notre Constitution [ou grâce à elle, selon le point de vue – NdT]. C’est pourquoi nous devons nous battre pour protéger notre Constitution à tout prix. L’un des moyens les plus efficaces pour y parvenir est de créer des mouvements de base et de s’impliquer dans la politique locale.

Patrick Wood est un économiste, analyste financier et constitutionnaliste américain qui a consacré sa vie à découvrir le mystère de ce qui contrôle la plupart des folies que nous observons actuellement, et qui a été exacerbé par la pandémie de Covid-19.

Il a écrit deux livres sur ce sujet : Technocracy Rising: The Trojan Horse of Global Transformation et Technocracy: The Hard Road to World Order [« La montée de la technocratie — Le cheval de Troie de la transformation globale » et « Technocratie — La dure route vers l’ordre mondial », ouvrages non traduits en français – Ndt].

Patrick Wood brosse un tableau qui peut être difficile à avaler, surtout si vous venez d’entendre tout cela pour la première fois, mais il est vraiment crucial que tout le monde commence à comprendre ce à quoi nous sommes confrontés. Le temps nous est compté. Pour avoir une chance de l’arrêter, nous devons comprendre notre trajectoire et nous unir pour changer le cap que Bill Gates et d’autres comme lui nous ont tracé.

Sources et références

Source de l’article initialement publié en anglais le 21 août 2020 : Mercola
Traduction: Sott.net

Commentaire : Voici une liste d’articles sur Bill Gates en particulier et sur le Covid-19 en général

Bill Gates


Covid-19

[Voir aussi : Bill Gates sur Nouveau Monde]




5G, virus et covid-19

Extraits significatifs du Rapport d’enquête d’un groupe d’officiers de réserve sur la pandémie de COVID-19 et ses liens avec le SARS-CoV-2 et d’autres facteurs

5G et coronavirus

Le rayonnement électromagnétique 5G endommage l’ADN cellulaire humain.

Les cellules exposées (de toutes sortes ciblées dans l’organisme humain) réagissent en produisant une cascade de substances immunologiques protectrices.

Ces substances sont conditionnées dans une structure intracellulaire appelée endosome.

L’endosome est expulsé de la cellule, devenant ainsi un exosome (Prix Nobel de médecine 2013).

L’exosome circule et se lie aux récepteurs ACE2 du poumon, de l’intestin et du cœur.

Les substances chimiques immunologiques contenues dans l’exosome pénètrent l’ACE2.

L’enzyme de conversion de l’angiotensine 2, ou ACE2 est une enzyme liée à la face externe des membranes plasmiques de cellules du poumon, des artères, du cœur, du rein et de l’appareil digestif. Elle joue un rôle important dans le système rénine-angiotensine-aldostérone (SRAA) qui régule l’homéostasie hydrosodée et la pression artérielle.

L’ACE2 est réputé être le point d’entrée dans les cellules humaines de certains coronavirus, dont le coronavirus humain NL63, le SARS-CoV13 (coronavirus à l’origine du SRAS) et le SARS-CoV-2 (à l’origine de la COVID-19).

Par ailleurs, il est à noter que le calendrier des déploiements de la 5G semble coïncider avec les cartes d’apparition du coronavirus et avec les endroits où l’incidence du nouveau coronavirus est la plus élevée, ce qui a d’ailleurs provoqué dans certains pays des réactions populaires visant à détruire ou incendier de nombreux pylônes d’antennes-relais (Royaume-Uni, Hong-Kong).

A cet égard, YouTube a retiré toutes les vidéos associant la 5G à la propagation du coronavirus, depuis le début du mois de février.

Reste qu’il y aurait une corrélation, à vérifier une fois disponibles les nouvelles cartes relevant les installations effectuées durant le confinement selon les lois d’urgence, entre le déploiement massif de la 5 G et le berceau de la propagation.

Effectivement, l’épidémie a débuté en Chine, qui est le promoteur de la 5G (10.000 antennes sur Wu-Han, zone de démonstration officielle de 5G, fin 2019), et l’Italie n’était pas loin derrière dans cette course au déploiement, les grandes villes italiennes étant déjà entièrement équipées en 5G à la fin 2019. La Lombardie (Milan) a été une des premières régions italiennes équipées de 5G et la région la plus touchée par le Covid-19 : ainsi que titraient les journaux italiens fin 2017,

«Milan se rêve en capitale européenne de la 5G », Vodafone Italia ayant lancé un plan de 90 millions d’euros pour couvrir 100% de la capitale économique italienne en 2019.

Comparaison des cartes de déploiement de la 5G et des malades hospitalisés en France (la différence entre le nombre d’hospitalisation et le nombre de décès résultant par ailleurs d’une différence dans les traitements appliqués, par exemple entre Marseille – Professeur Raoult – et le Grand-Est).

Il y avait, officiellement et avant le confinement du 17 mars 2020, 450 antennes-relais de 5G installées en France, notamment dans les villes de Marseille (95), en région Parisienne (85), Montpellier (53), Lyon (22), Toulouse (22) et Bordeaux (22).


LES PATHOLOGIES LIEES AUX CHAMPS ELECTRO-MAGNETIQUES

Tout d’abord, il convient de souligner que :

−les cas graves de COVID-19 sont liés à un phénomène de thrombose, ainsi qu’en ont alerté plusieurs médecins de terrain, nous le savons maintenant ;

−cette thrombose résulte d’un choc cytokinique, qui est un processus d’inflammation, donc un problème immunitaire :

−effectivement : la thrombose veineuse (DVT) est une cause majeure de morbidité et de mortalité. Alors que la thrombose veineuse a longtemps été considérée comme un désordre lié à la coagulation du sang, plusieurs démontrent que le système immunitaire et un processus d’inflammation sont à l’origine de la thrombose (« Deep vein thrombosis (DVT) is a major origin of morbidity and mortality. While DVT has long been considered as blood coagulation disorder, several recent lines of evidence demonstrate that immune cells and inflammatory processes are involved in DVT initiation. » Immune factors in deep vein thrombosis initiation) : https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC6065414/

Ceci étant posé, voyons ce qu’il en est des pathologies spécifiquement liées à l’exposition à des champs électromagnétiques, en cause dans la forte présomption d’un lien entre les malades hospitalisés pour le COVID-19 et un déploiement des installations de 5G :

Nous allons pour cela nous référer à une Bibliographie sur les phénomènes biologiques rapportés (« effets ») et les manifestations cliniques attribuées aux ondes électromagnétiques. Institut de recherche médicale navale MF12.54.015-0048, rapport n°2n révisé. 106 pp. [NOTE : ce document a été réduit à 25 pages afin que nous puissions le publier ici et ne contient pas toutes les 2311 références.]

«Plus de 2000 références sur les réponses biologiques aux ondes électromagnétiques et aux micro-ondes, publiées jusqu’en juin 1971, sont incluses dans la bibliographie. Une attention particulière a été accordée aux effets sur l’homme des rayonnements non ionisants à ces fréquences. […]

Note : Ce document n’est pas classifié.

SIGNIFICATION

La valeur du document de Glaser de 1972 est de contrer les affirmations selon lesquelles aucune recherche « crédible » n’existerait qui mettrait en évidence des effets non thermiques. Il s’agit d’une déclaration inexacte promue par ceux qui ne connaissent pas les publications ou qui ne veulent pas admettre que ces ondes, aux niveaux d’exposition actuels, peuvent être nuisibles. Des recherches crédibles existent depuis des décennies, largement ignorées par les responsables de santé publique et les professionnels de santé.

COMMENTAIRES

C’est l’une des premières compilations à grande échelle de la littérature sur les effets biologiques des ondes électromagnétiques, apparue pour la première fois en 1971. L’auteur a classé les effets biologiques en 17 catégories (voir ci-dessous).

A. Effet thermique sur les organes

Cela comprend l’augmentation de la température de tout le corps ou d’une partie du corps comme la peau, l’os et la moelle osseuse, la lentille de l’œil avec des cataractes et des dommages à la cornée; aux organes génitaux provoquant une dégénérescence tubulaire des testicules; au cerveau et aux sinus; aux implants métalliques provoquant des brûlures près des broches de hanche, etc. Ces effets sont réversibles sauf les dommages causés à l’œil.

B. Changements dans la fonction physiologique

Ceci inclut la contraction des muscles striés; la modification du diamètre des vaisseaux sanguins (augmentation de l’élasticité vasculaire), leur dilatation; des modifications des processus oxydatifs dans les tissus et les organes; l’élargissement du foie; la sensibilité aux médicaments; la diminution de la spermatogenèse conduisant à une diminution de la fertilité et à la stérilité; l’augmentation du nombre des naissances de filles par rapport à celui des garçons; une altération de l’activité menstruelle; une altération de l’évolution du fœtus; une réduction de la lactation chez les mères allaitantes; une réduction de la diurèse entraînant une excrétion de sodium par voie urinaire; une altération de la fonction rénale; des changements dans les réflexes conditionnés; la diminution de la résistance électrique de la peau; des changements dans la structure des récepteurs de la peau; une altération du flux sanguin; une modification des courants dans le cortex cérébral chez les animaux; des changements dans le taux d’élimination des ions marqués des tissus; changements structurels réversibles dans le cortex cérébral et le diencéphale; changements dans les électrocardiographes; sensibilité altérée aux stimuli lumineux, sonores et olfactifs; changements fonctionnels et pathologiques des yeux; nécrose myocardique; hémorragie des poumons, du foie, de l’intestin et du cerveau et dégénérescence généralisée du tissu corporel à des niveaux de rayonnement mortels; perte de parties anatomiques; décès; déshydratation; taux de calcification tissulaire altéré.

C. 100 effets sur le système nerveux central

Cela comprend maux de tête; insomnie; agitation (journée et sommeil); changements dans l’activité des ondes cérébrales (EEG); troubles du nerf crânien; lésions pyramidales; troubles des réflexes conditionnés; action vagomimétique et sympathomimétique du cœur; attaques et convulsions.

D. Effets sur le système nerveux autonome

Rythme cardiaque altéré; fatigue, altérations structurelles dans les synapses du nerf vague; stimulation du système nerveux parasympathique conduisant à la bradycardie et à l’inhibition du système nerveux sympathique.

E. 500 effets sur le système nerveux périphérique

Effets sur les nerfs locomoteurs.

F. Troubles psychologiques

Les symptômes comprennent neurasthénie (malaise général); dépression; impuissance; anxiété; manque de concentration; hypocondrie; vertiges; hallucinations; somnolence ou insomnie; irritabilité; diminution de l’appétit; perte de mémoire; sensations du cuir chevelu; fatigue; douleurs thoraciques, tremblements.

G. Changements de comportements chez les animaux

Les effets incluent des changements dans les comportements de réflexion, d’action, d’évitement et de discrimination.

H. Troubles du sang

Les effets incluent des modifications du sang et de la moelle osseuse; fonctions phagocytaires et bactéricides accrues; taux d’hémolyse accru (durée de vie plus courte des cellules); taux de sédimentation sanguine accru; diminution des érythrocytes; augmentation des concentrations de glucose dans le sang; teneur en histamine sanguine altérée; changements dans les lipides et le cholestérol; modifications des anticorps et de la concentration totale en protéines; changements du nombre d’éosinophiles; diminution du taux d’albumine/globuline ; Hémopoïèse altérée (taux de formation de globules sanguins); leucopénie (augmentation du nombre de globules blancs et leucocytose, réticulocytose (augmentation des globules rouges immatures).

I. Troubles vasculaires

Cela inclut la thrombose et l’hypertension.

J. Modifications enzymatiques et biochimiques (in vitro)

Changements dans l’activité de la cholinestérase (également in vivo), de la phosphatase, des transaminases; des amylases, des carboxydismutases; dénaturation des protéines; inactivation des champignons, des virus et des bactéries; mort de tissus en culture; taux de division cellulaire altéré; augmentation de la concentration d’ARN dans les lymphocytes et diminution de la concentration d’ARN dans le cerveau, le foie et la rate; changements dans les excrétions d’acide pyruvique, d’acide lactique et de créatinine; changements de concentration de glycogène dans le foie (hyperglycémie); concentrations aItéréesde17-cétostéroïdes dans les urines.

K. Troubles métaboliques

Les effets incluent la glycosurie (sucre dans l’urine); l’augmentation des phénols urinaires; le traitement modifié des enzymes métaboliques; métabolisme modifié des glucides

L. Troubles gastro-intestinaux

Les effets incluent l’anorexie; trouble épigastrique; constipation; sécrétion altérée des sucs gastriques.

M. Modifications des glandes endocrines

Les effets comprennent la modification du fonctionnement de la glande pituitaire, de la glande thyroïde (hyperthyroïdisme et hypertrophie de la thyroïde, augmentation de l’absorption de l’iode radioactif) et de l’adrénaline; diminution des corticostéroïdes dans le sang; diminution de l’activité glucocorticoïde; hypogonadisme (avec diminution de la production de testostérone).

N. Modifications histologiques

Changements dans l’épithélium tubulaire des testicules et changements de volume.

O. Modifications génétiques et chromosomiques

Les effets incluent les aberrations chromosomiques (raccourcissement, pseudos-chiasme, structures diploïdes, divisions amitotiques, pontage, ¨’adhérence’, irrégularités dans l’enveloppe chromosomique); mutations; mongolisme; altérations somatiques (ne comportant pas de noyau ou de chromosome); maladies néoplasiques (tumeurs).

P. Alignement en chaînes de perles

Cela se réfère à l’orientation intracellulaire des particules subcellulaires et à l’orientation des particules cellulaires et autres (particules non biologiques, par exemple magnétiques) affectant l’orientation des animaux, des oiseaux et des poissons dans les champs électromagnétiques.

Q. Effets divers

Ceux-ci comprennent étincelles entre les obturations dentaires; goût métallique dans la bouche; changements dans l’activité optique des solutions colloïdales; dans le traitement de la syphilis, de la poliomyélite, des maladies de la peau; perte et fragilité des cheveux; sensations de bourdonnement, vibrations, pulsations et chatouilles sur la tête et les oreilles; transpiration abondante, salivation et protrusion (avancée) de la langue; modifications dans le fonctionnement des stimulateurs cardiaques implantés; changements dans les rythmes circadiens.

5 juillet 2010. Glaser, Z.R. 1972.

Sources :

http://www.magdahavas.com/pick-of-the-week-1-more-than-2000-documents-prior-to-1972-on-bioeffects-of-radio-frequency-radiation/
http://www.cielvoile.fr/2017/10/effets-biologiques-des-ondes-electromagnetiques-plus-de-2000- publications-avant-1972.html


UNE OPERATION D’ENFUMAGE ?

ARMES ELECTROMAGNETIQUES POUR UNE GUERRE SILENCIEUSE

De ce qui précède, on peut raisonnablement retenir une légitime impression de défiance en certaines institutions, présidées par des personnalités que la corruption semble guider bien davantage que des considérations de bien public.

Mais d’autres voix s’élèvent au surplus pour contester l’existence même du COVID-19, qui serait

«un assemblage de symptômes relevant de pathologies variées regroupées artificiellement sous ce vocable (interview London Real).

Pour rappel, le test RT PCR (reverse transcription Polymerase Chain Reaction ) bien qu’utilisé à cette fin, ne viserait pas à déceler la présence de génome viral de la maladie à COVID-19, mais seulement du « matériel génétique » pouvant avoir des origines différentes.

Malgré cela, les personnes testées seraient diagnostiquées être infectées par le COVID-19 et leur décès éventuel est alors attribué au COVID-19. En outre, le cycle d’amplification utilisé (la sensibilité du test), dans différents pays, dicte le nombre de tests positifs obtenus.

Il devient ainsi très facile de manipuler les chiffres.

A l’origine, ce test (inventé en 1984 par un biochimiste US) a été développé pour diagnostiquer plusieurs choses, par exemple pour tenter de diagnostiquer le cancer du poumon. Son inventeur indique que « ce test ne devrait pas être utilisé pour diagnostiquer des maladies infectieuses ».

Le postulat de Koch, en vigueur depuis 1890, est un protocole permettant de prouver qu’un agent infectieux est bien la cause de ce que l’on prétend avoir détecté. Il comporte quatre volets.

En ce qui concerne le COVID-19, pas un seul des quatre postulats le composant, n’a été utilisé ni respecté.

Nous avons vu plus haut que, quand une cellule est empoisonnée, elle secrète des exosomes (ce qui fait partie du système immunitaire).

Elle peut-être empoisonnée par une maladie, une infection, des champs électromagnétiques, le stress ou la peur.

Ces exosomes avertissent les autres cellules qu’il y a un problème. Dès qu’une cellule est empoisonnée, des exosomes sont libérés.

Dans ce contexte, le Dr Andrew (Andy) Kaufmann a pris au microscope des photos d’exosomes, et les a comparées avec des photos de ce que l’on prétend être le COVID-19.

Ces deux photos étaient exactement les mêmes.

Vous pouvez voir ici une interview du Dr Andy Kaufman, ancien du M.I.T (Massachussetts Institute of Technology) qui contredit la thèse officielle : 

Il a ensuite examiné la composition génétique des exosomes, et celle revendiquée pour le COVID-19 et il s’avèrerait que ces deux compositions sont exactement les mêmes en tous points. Ils se fixent d’ailleurs l’un comme l’autre sur les mêmes récepteurs cellulaires.

Il s’agirait de la même chose.

Ainsi il s’agirait d’un mécanisme naturel de réponse du système immunitaire du corps humain qu’on a rebaptisé « COVID-19 ». Or toute personne présentant un niveau quelconque de toxicité cellulaire va produire ces exosomes et ainsi le potentiel de tests positifs au COVID-19 est infini.

« Des personnes tombent malades en Chine. L’OMS alerte alors sur une pandémie.

Compte-tenu des informations communiquées, toute personne présentant des symptômes grippaux ou pulmonaires est présumée infectée au COVID-19. Mais ce n’est pas suffisamment probant.

Alors, il est décidé que toute personne malade qui se rendra à l’hôpital (pour une grippe ou un cancer) soit testée au COVID-19 et elle sera évidemment diagnostiquée positive puisqu’elle présente des exosomes.

Si ces personnes décèdent, elles sont officiellement diagnostiquées comme étant morts du COVID-19.

Ainsi, les chiffres montent. »

Le nombre total de décès dans le monde n’aurait pas changé, mais on est en train de les reclasser comme « COVID-19 ».

Pourtant, ces gens ne meurent pas du COVID-19, mais après avoir été testés positifs au COVID-19 (par exemple pour un cancer en phase terminale), ce qui est différent.

Selon les chiffres officiels de l’institution médicale italienne, 99% des personnes dites décédées du « COVID-19 » en Italie souffraient d’un ou plusieurs problèmes de santé pour lesquels ils avaient été hospitalisés. Alors, il est très facile de mettre sur le compte du COVID-19 des personnes qui meurent pour toute autre chose.

Ainsi on remarquera qu’à la même époque, le nombre total des décès n’a pas augmenté par rapport à l’an dernier, mais ce chiffre total englobe les présumés morts par COVID-19 qui sont majoritaires. Cela signifie qu’il n’y a pas plus de gens qui meurent, mais que leur décès est attribué au COVID-19 alors qu’ils sont morts d’autre chose.

Observons ce qui se passe en Lombardie, centre de l’épidémie italienne, qui fait l’objet d’une telle attention avec le reste de l’Europe, morte de peur : la Lombardie, où se trouve Milan, est connue dans le monde entier pour son air pollué et toxique, tout comme Wu-Han en Chine.

La Lombardie enregistre un nombre de décès beaucoup plus élevé que dans le reste de l’Italie, notamment en raison de problèmes pulmonaires. Habituellement, un peu moins de 100.000 personnes y meurent chaque année.

Latium, qui est une autre région italienne, arrive en seconde position avec presque moitié moins de décès : 57.000.

Voici donc une région d’Italie où beaucoup de gens meurent, essentiellement de maladies pulmonaires et vous avez donc un formidable potentiel pour effectuer un diagnostic consistant à faire croire que les gens y meurent du COVID-19, alors qu’ils meurent d’autre chose.

Et ainsi, vous contrôlez les chiffres. En testant et en diagnostiquant d’une certaine manière, les chiffres augmentent. Et puis en jouant sur la sensibilité du test, les chiffres diminuent et peuvent s’effondrer de la même manière.

L’intention est d’attribuer le maximum de décès au COVID-19, parce que cela donne du crédit à cette pandémie. C’est pour une raison très importante et très simple. Et elle est liée à la raison pour laquelle il y a une règle de confinement.

Ce qui se passe également, c’est que les personnes âgées hospitalisées pour quelque raison que ce soit, sont tout d’abord testées pour le COVID-19. Beaucoup d’entre elles, pour les raison précitées, vont être testées positives. Il est question, selon les proches et les familles, ainsi que selon les personnels soignants sur le terrain, de nouvelles directives gouvernementales consistant à faire signer en Angleterre une décharge à ces personnes âgées – que le confinement devait protéger.

En France il y a une directive gouvernementale qui va dans le même sens :

Article de Libération sur la consigne gouvernementale du 19 mars 2020 de ne plus accepter de personnes de plus de 75 ans « fragile » dans les hôpitaux, qui condamne à mort nos anciens dans les EHPAD, alors que dans le même temps ce même gouvernement interdit d’appliquer le protocole du professeur Raoult dans les EHPAD et qu’il autorise par un Décret l’administration d’un très fort médicament pour endormir les personnes âgées (médicament justement contre-indiqué pour les affections pulmonaires). On interdit un traitement mais on autorise celui qui va donner la mort.

Ce qui signifie qu’on les laissera mourir et qu’aucune réanimation ne sera tentée. Et quand ils mourront, sans avoir été réanimés, ils feront partie des pertes dues au COVID-19. « Nous allons sans doute devoir faire des choix, pour décider qui nous allons traiter en priorité, et en ce qui concerne les personnes âgées, nous allons devoir faire des choix plus difficiles » – On va tuer ou laisser mourir ces personnes âgées à qui on demande de signer des formulaires de non- réanimation, ou qui sont visées par des directives gouvernementales de ne plus les accepter dans les hôpitaux, de ne pas leur appliquer un traitement pouvant les guérir, mais pour lesquelles on autorise une injection réputée létale.

Certains dirigeants semblent donc disposer et abuser de ces personnes âgées de la plus ignoble des manières, ces personnes âgées à qui ils disent que le confinement est là pour les protéger.

Les chiffres sont faussés par la façon dont ils font les tests, par la façon dont ion fait les diagnostics et par la façon dont sont comptabilisés les cas.

Nous pourrions voir les chiffres monter encore et encore, ce qui justifierait un confinement supplémentaire.

Ce sera fini – temporairement – lorsque les personnes physiques et morales à l’origine de cette manipulation penseront qu’ils ont atteint ce qu’ils voulaient obtenir, grâce à tout ça, c’est à dire la destruction totale de l’économie mondiale, qu’un nombre considérable de personnes perde leur gagne-pain et leurs revenus indépendants, et qu’ils soient donc devenus dépendants de l’Etat pour leur subsistance.

Puis, ces groupes en arrière des gouvernements mettront un terme à tout ça et feront baisser les chiffres « le pic est derrière nous », quand ils estimeront qu’ils sont allés assez loin et qu’ils en ont tiré tout ce qu’ils souhaitaient.

La Chine a repris ses activités, l’industrie redémarre, les gens sont à nouveau dans la rue et le transport aérien a repris.

Le but est que les autorités contrôlent les chiffres.

Ils n’ont pas obtenu un nombre suffisant de décès via ce virus, pour justifier le fait qu’il est mortel.

La grande majorité des gens n’a aucun symptôme, ou des symptômes légers.

Ce test RT PCR ne peut pas et ne détecte pas la quantité de « virus » en présence.

Nous avons tous ce que les gens appellent des « virus », mais qui en fait font partie du système immunitaire naturel, mais nous avons tous cela dans notre corps, à un niveau qui ne nous dérangera jamais. C’est pourquoi vous pouvez être testé positif et ne pas avoir de symptômes. Ce que ce test ne permet pas, c’est de vérifier la quantité présente en vous de ce « virus ».

Or, il faut en avoir une quantité énorme pour être malade. Ainsi, ils ne peuvent même pas vous dire si votre maladie est due à tel virus ou à tel autre.

Le nombre de morts actuel n’est pas suffisant pour justifier que ce « virus » est mortel ; Mais ils veulent un confinement pour des raisons bien plus importantes.

Donc, ils disent « attention à la prochaine vague, qui peut arriver à tout moment ». Selon la façon dont ils comptent, ils peuvent très bien créer une nouvelle vague, ou l’illusion d’une nouvelle vague.

Ils ont prévu, si nous les laissons faire, de pousser cela à l’extrême.

Et nous voilà confinés, et en quelques semaines nous sommes passés de ce que les gens percevaient comme un monde libre, à une tyrannie mondiale dans laquelle un tout petit nombre de personnes possède des milliards, tandis que la moitié de la population mondiale est assignée à résidence.

Et tout cela a été fait grâce à l’escroquerie COVID-19.

Il y a un cloisonnement féroce, pour qu’une poignée d’hommes puissent contrôler le monde. Si vous êtes au sommet de la pyramide, vous connaissez les objectifs, mais si vous êtes médecin, on vous dit « Voici les symptômes et si vous voyez ces symptômes, vous devez diagnostiquer le COVID-19. Si quelqu’un rentre à l’hôpital, vous devez faire un test pour le COVID-19. Si les gens meurent, peu importe de quoi, vous devrez inscrire sur le certificat de décès : COVID-19 ». Quelle est la ligne directrice que l’on retrouve, dans et après chaque tyrannie ? – « Je ne faisais que suivre les ordres ! ». C’est comme ça que ça marche.

Mais certaines infirmières et certains professionnels de la santé disent que c’est de la foutaise ! Certains d’entre eux rompent les rangs.

Le directeur de l’OMS qui a été ministre de la santé a été pris en flagrant délit de couvrir trois épidémies de choléra, fera ce qu’on lui dit de faire. C’est le moteur de cette politique. L’OMS a d’ailleurs été créée par les Rockefeller. L’OMS indique la marche à suivre et vous la suivez.

Vous suivez le protocole.

Donc, parce que la Chine a imposé ce confinement draconien et que les chiffres ont commencé à baisser, cela a créé un précédent pour suivre la voie.

Comme la Chine, on va créer un confinement et maintenir les gens à l’écart les uns des autres. Voilà comment fonctionne cette dynamique. Il y a des psychopathes en arrière-plan qui orchestrent tout ça, et puis il y a les ignorants [« Qui suis-je ? Où suis-je ? Que se passe-t-il ? » : les politiciens « Tout le monde va mourir, nous ferions mieux d’imposer un confinement ».] qui n’ont aucune idée de ce qu’il se passe réellement.

Et avec une « modélisation » bidon et un virus qui n’existe pas, on aura créé cet Armageddon économique. »

Ce qui nous amène à la 5G.

La 5G est une puissance d’énergie électromagnétique beaucoup plus importante que ce que nous avons vu auparavant.

Ce n’est pas seulement une amélioration de la 4G, qui est déjà assez nuisible, la 3G également, c’est une toute nouvelle partie du spectre électromagnétique, les ondes millimétriques, plus puissantes que tout ce que nous avons vu auparavant.

Le corps humain est un champ électromagnétique. Le cerveau communique avec le reste du corps des informations, électriquement. Lorsque ce champ et les cellules traitent les pensées, les électromagnétique est en équilibre, nous sommes en bonne santé. Lorsqu’il est en déséquilibre ou en dysharmonie, nous ressentons un mal-être, nous souffrons de maladies, qui se manifestent sous la forme de ce que nous appelons des maladies physiques ou des maladies psychologiques.

Nous sommes maintenant bombardés 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7 par des champs électromagnétiques générés par la technologie et la Wi-Fi. Et dans cette période d’aliénation à ce « virus », on voit dans de plus en plus d’endroits l’installation de la 5G.

Chaque élévation de ce niveau de radiation se traduit par une épidémie.

Les docteurs et les scientifiques de 41 pays ont signé une pétition pour demander l’interdiction de la 5G. L’impact de la 5G sur la santé n’a fait l’objet d’aucune étude, sinon elle n’aurait pas pu voir le jour. Les satellites avec la 5G rayonnent sur chaque centimètre carré de la Terre.

Des gens veulent que cela arrive parce qu’ils souhaitent manipuler l’humanité. La 5G empoisonne les cellules, elles sont empoisonnées par le champ électromagnétique. Les cellules libèrent les exosomes, et ils vous testeront positif au COVID-19.

Quelle est la première ville chinoise à avoir installé la 5G, juste avant l’apparition de ce «virus » ? Wu-Han. La ville qui avait le plus d’Antennes-relais de 5G au monde est celle dans laquelle on a observé une hécatombe de COVID-19.

«Durant ce confinement, des antennes 5G sont en train d’être déployées à une vitesse fulgurante. Partout sur la planète, des antennes 5G sont en train d’être installées en grand nombre.

Et tandis que sont installées toutes ces antennes, bien sûr les gens ne peuvent pas manifester, puisqu’ils sont assignés à résidence.

Semaine après semaine, Elon Musk (c’est un très grand malade, il est parfaitement au courant de la raison pour laquelle la 5G est mise en place) envoit de plus en plus de satellites à basse altitude, qui vont rayonner de la 5G dans la Terre. Cet objectif est de 42.000. Les astronomes ne peuvent plus observer le ciel. Il a reçu l’autorisation d’installer un million et demi d’antennes terrestres en Amérique, qui grâce au champ électromagnétique se connecteront aux satellites. Il crée ainsi une réalité augmentée, grâce à la technologie 5G, ce qu’il appelle le réseau intelligent.

Ces gens créent un cordon ombilical grâce auquel l’esprit humain sera connecté via l’intelligence artificielle. Et on vous donne même l’année à laquelle deviendra sérieux : en 2030. »


En fait, il y a une forte présomption qu’existe une corrélation très nette entre les flots de personnes admises dans les services de réanimation avec des poumons dans un état « jamais vu » et des tests de mise en service de la 5G poussée à forte puissance, à New-York, Wu-Han et en Lombardie, première région italienne à être équipée de la 5G.

L’écran de fumée du « virus » (en fait de simples exosomes) ne servirait qu’à « couvrir » ces essais d’armes électromagnétiques, que certains annoncent destinées à terme à réduire drastiquement la population mondiale, en attribuant à la « pandémie » la destruction programmée d’une partie de l’humanité – dont d’ailleurs des personnalités et des éminences connues ne se cachent pas, même en France.

On se souviendra en effet que nous avons évoqué lesdits exosomes un peu plus-haut, dans le module consacré aux rayonnement de 5G :

« Le rayonnement électromagnétique 5G endommage l’ADN cellulaire humain.

Les cellules exposées (de toutes sortes ciblées dans l’organisme humain) réagissent en produisant une cascade de substances immunologiques protectrices.

Ces substances sont conditionnées dans une structure intracellulaire appelée endosome. L’endosome est expulsé de la cellule, devenant ainsi un exosome (Prix Nobel de médecine 2013).

L’exosome circule et se lie aux récepteurs ACE2 du poumon, de l’intestin et du cœur. »

Et si les exosomes (alias « COVID-19 ») n’étaient pas la cause, mais bien la conséquence de l’utilisation d’une arme électromagnétique ?




COVID19: Débunkage du narratif officiel

[Source : Jean-Dominique Michel]

[Auteur : ANNES BOURIA – Pharmacien]

Chers amis et compagnons de ré-information,

Je vous propose 10 points de débunkage à propos du narratif officiel de la crise sanitaire et des croyances du grand public autour du Covid :

1) Le covid19 est un virus dangereux

Le Sars-cov2, alias Covid19, est potentiellement dangereux pour certaines catégories de la population (tout comme les autres infections respiratoires), sinon,… pas tant que ça. Du moins, pas autant que ce que l’on a cru au début.

Le taux de mortalité est évalué entre 0,2 et 0,65% [1]. C’est 5 à 15 fois moins que les 3% donnés en début de pandémie. De plus, la mortalité par tranche d’âge est éloquente [2] : seules les personnes âgées payent, malheureusement, un lourd tribut à cette maladie.

Sans parler du fait que beaucoup de « morts covid » (probablement en majorité) sont en fait des décès de patients déjà très faibles chez qui le virus a joué un rôle marginal [3].

Les cas graves chez les personnes en dessous 50 ans et en bonne santé sont totalement anecdotiques ! En tout et pour tout, on observe une large proportion d’asymptomatiques [4] ou peu symptomatiques (l’équivalent d’un rhume ou d’un état grippal), moins de 5% de patients covid+ doivent être hospitalisés, et 1 à 2% de cas graves [5,6] pour l’ensemble des contaminés qui sont en majorité des personnes âgées et fragiles.

Avec près de 80% d’asymptomatiques [7] et une médiane des décès à plus de 80 ans [8]… On peut trouver pire comme affection.

2) Le virus est inconnu

Ce virus est nouveau, mais on ne peut plus dire qu’il soit inconnu à l’heure actuelle. C’est un cousin du 1erSRAS, identifié en Chine en 2002, et bien documenté. Après quasiment 1 an d’observations, c’est le sujet pour lequel il y a eu le plus de publications médicales scientifiques en 2020.

Ce virus, bien qu’il reste quelques zones d’ombres autour de lui, on commence à bien le connaitre…

3) Il n’y a pas de traitements

Faux ! L’orthodoxie méthodologique protocolaire des milieux académiques acoquinés au monde de l’industrie pharmaceutique s’attache aux essais statistiques randomisés en double aveugle. Mais ce n’est ni de la médecine, ni de la science. La médecine c’est soigner les gens, quant à la science elle consiste principalement en l’observation… Et dans ce domaine, l’observation faite par les praticiens de terrain à travers le monde  a mis en évidence plusieurs associations qui donnent de bons résultats [9] : l’association Hydroxychloroquine/Azithromycine/Zinc [10] ou l’association Macrolide/Céphalosporine/Zinc [11] semblent éviter les formes graves à condition d’être prises tôt dans l’infection. Utilisée en Afrique, l’Artemisia annua semble aussi avoir une efficacité contre le covid [12].

Aux stades plus avancés, l’on peut recourir aux corticoïdes comme la dexaméthasone [13], les anticoagulants[14] pour éviter les phénomènes de thromboses, ou encore l’oxygénothérapie [15].

L’on n’aura peut-être plus besoin d’intuber les patients en soins intensifs, qui en réalité étaient arrivés à l’hôpital à des stades très avancés de la maladie car on avait choisi de ne pas soigner les gens durant l’épidémie !

4) Toutes les personnes touchées ont des séquelles

Tout d’abord, un grand nombre de viroses peuvent engendrer des séquelles organiques à des niveaux divers, y compris cardiaques ou neurologiques [16,17] .

Ici, il est impossible de se prononcer sans avoir plus de recul. Mais ce tableau semble loin de représenter la réalité.

Selon l’académie française de médecine [18], 30% des patients hospitalisés présentent diverses séquelles 6 semaines après la rémission.

Ces séquelles vont de la fatigue aux difficultés respiratoires en passant par des troubles neurologiques, rénaux ou cardiaques. Il semblerait que ces séquelles soient potentiellement réversibles, mais encore une fois il est trop tôt pour être catégorique.

Donc il s’agirait d’un tiers des patients hospitalisés (qui sont déjà une minorité des cas- 5%) qui présenteraient des séquelles à des degrés divers.

Quant aux graves atteintes pulmonaires peu réversibles, on les observe surtout dans les stades très avancés [19], et les intubations, dont l’utilité médicale est remise en question [20], y ont fortement contribué.

5) Il va y avoir/ on assiste à une deuxième vague

Le concept de deuxième vague ne repose sur aucun modèle épidémiologique d’infections virales. Il se base sur l’épisode de la pandémie de grippe espagnole il y a un siècle [21], mais non transposable aux conditions actuelles.

L’on nous a prédit, voire annoncé, cette deuxième vague à de nombreuses reprises depuis la fin du pic épidémique européen d’avril, mais ce fut à chaque fois des pétards mouillés.

Nul ne peut prédire l’avenir, mais les modèles épidémiologiques viraux observent des constantes [22] : un pic épidémique où l’infection est très virulente, puis s’estompe. Ensuite, soit le pathogène disparaît (comme ce fut le cas du 1er SRAS) soit il mute, s’adapte à son hôte et devient cyclique/saisonnier (comme c’est le cas de la grippe et d’autres virus endémiques [23]).

A ce jour, en Europe, aucune reprise observable en terme clinique ou de hausse significative de la mortalité n’a été observée [24].

Nous ne savons pas de quoi l’avenir est fait, en revanche, les spéculations catastrophistes vont bon train !

6) Il y a une augmentation des « cas »

Il ne s’agit pas de « cas » au sens médical ou clinique du terme. Ce qu’il se passe dans de nombreux pays d’Europe, c’est que les capacités et les politiques de test ont été élargies [25].

Ce que les autorités, ainsi que la presse, recensent sont uniquement des tests sérologiques (prise de sang) ou PCR (écouvillon dans le nez) protocolaires où l’on détermine si un individu a été en contact avec le virus. Mais cela ne signifie pas nécessairement que la personne est malade ni contagieuse [26]. D’autant que 75% des positifs sont asymptomatiques [27], cela signifie, au pire qu’ils sont en période d’incubation, ou que leur système immunitaire a géré le virus et que le patient est potentiellement immunisé.

Voilà comment faire passer de bonnes nouvelles pour des mauvaises !

Sans compter que les tests PCR sont très sensibles et font sortir jusqu’à 90% de « cas » sans infection en cours ni contagiosité ! [28] Et à raison de 3% sur l’ensemble des tests… cela correspond à la moyenne en termes de taux de positivité en France et en Belgique notamment depuis l’élargissement des campagnes de testing… [29]

7) Il faut imposer des règles à tout le monde pour protéger les personnes vulnérables

Il s’agit du sophisme sur lequel repose toute la politique sanitaire coercitive si l’on tient compte des données épidémiologiques par tranche d’âge.

Oui, les personnes âgées et/ou présentant des facteurs de risque sont invités à se protéger. Mais le reste de la population n’a pas à maintenir toutes ces règles sanitaires étant donné qu’elles présentent peu de risques et sont donc potentiellement un vivier pour construire l’immunité collective de la population. Et cette immunité collective, c’est réellement le meilleur moyen de protéger les personnes à risque à moyen terme [30].

Au début de l’épidémie, on a imposé toutes les mesures sanitaires car l’on n’avait pas encore d’immunité collective, aujourd’hui les mesures qui sont prisent empêchent de l’atteindre. Comme pour l’affaire des masques, c’est à n’y rien comprendre…

8) Le vaccin est LA panacée, notre « seule chance »

Tout d’abord, il n’est pas certain qu’il puisse aboutir, ni qu’il soit totalement efficace.

Quand bien même, quel intérêt y a-t-il à vacciner toute une population pour une affection aussi peu létale dans les tranches d’âges qui correspondent à la population active ?

Il faut également signaler que les vaccins contre les rétrovirus, comme le covid, sont extrêmement compliqués à élaborer dans la mesure où ces virus mutent très vite [31].

Ajoutez à cela que ce vaccin semble être élaboré à la hâte, sans recul, avec des technologies inédites [32]… Faudra y réfléchir à deux fois avant d’accepter une vaccination massive, sachant que selon certaines études, on constate une immunité (croisée) déjà présente chez certains individus allant jusqu’à 50% de la population [33]. Ce qui expliquerait cette large proportion d’asymptomatiques.

Si un vaccin est élaboré, il devra être réservé aux personnes à risque exclusivement. Mais l’imposer ou le conseiller à l’ensemble de la population, à ce stade, c’est une ineptie !

9) Le confinement et le port du masque obligatoire sont des solutions efficaces

Le confinement et l’obligation du port du masque sont des mesures politiques et non médicales. Elles ne reposent sur aucune preuve scientifique d’efficacité. ABSOLUMENT RIEN !

D’ailleurs, les pays n’ayant imposés aucune de ces mesures (la Suède, un cas intéressant [34], la Biélorussie) ou de manière allégée (Allemagne, Pays-Bas) ont peu ou prou les mêmes courbes épidémiques [35] sans surmortalité significative, et s’en sortent même mieux que les pays qui ont imposé ces règles de manière drastique (Belgique, France, Italie,Espagne)!

Que l’on soit clair :

Il y a une différence entre dépister, isoler et traiter des malades contagieux (comme il s’est toujours fait en matière d’épidémie), et confiner aveuglément l’ensemble de la population sans discernement et sans prise en charge de proximité. Certaines études ont même montré l’effet inverse de celui escompté [36], sans parler de la mortalité secondaire (suicides, maladies non dépistées) ainsi que des conséquences sociales et économiques catastrophiques.

Il y a aussi une différence entre porter CORRECTEMENT, de manière hygiénique, un masque de protection type FFP2 ou chirurgical dans les lieux clos et bondés en phase de pic épidémique lorsque le risque est grand (on nous avait d’ailleurs dit que c’était inutile à l’époque), et imposer de porter des bouts de tissus ou des masques chirurgicaux mal utilisés, sans règles d’hygiène préalable, y compris en extérieur et en dehors d’un pic épidémique par-dessus le marché. C’est de la grosse foutaise, pardon !

Non définitivement, le confinement aveugle et le port du masque obligatoire entraînent plus d’inconvénients que d’avantages escomptés [37,38].

10) Les autorités savent ce qu’elles font

Il est dans certains esprits l’idée que la classe dirigeante a le pouvoir parce qu’elle le mérite ou qu’elle a une capacité à diriger. C’est une croyance qu’il paraît urgent de réviser !

Le système politique et le pouvoir hiérarchique des instances autoritaires en général fonctionnent par conformisme et cooptation, certains disent même médiocratie. [39] C’est-à-dire que les hauts dirigeants choisissent à des postes subalternes des individus plutôt médiocres mais obéissants et reconnaissants.

Dans ce contexte, les personnes qui cherchent à accéder à des postes de pouvoir et de responsabilité sont rarement compétentes, honnêtes ou bienveillantes. Albert Jaccard avait prévenu en 1994 déjà : « Nous sommes en train de sélectionner les gens les plus dangereux » disait-il.

Ce sont des gens qui avouent rarement leurs erreurs, persistent dans leurs fourvoiements et ont leur ambition carriériste comme principal objectif.

Sans parler de leurs conseillers technocrates, souvent en conflits d’intérêts évidents, qui ont des visions totalement déconnectées des réalités et agissent plus par idéologie que pragmatisme.

Un sacré cocktail !

C’est pourquoi, en conclusion, il est urgent de mettre fin à cette hystérie politico-médiatique ainsi qu’aux mesures sanitaires contre-productives, anti-démocratiques et sans fondements médicaux ni scientifiques.

ANNES BOURIA – Pharmacien

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Références

  1. https://theconversation.com/how-deadly-is-the-coronavirus-the-true-fatality-rate-is-tricky-to-find-but-researchers-are-getting-closer-141426?fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE
  2. https://www.cdc.gov/coronavirus/2019-ncov/hcp/planning-scenarios-archive/planning-scenarios-2020-05-20.pdf?fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE
  3. https://www.cdc.gov/nchs/nvss/vsrr/covid_weekly/index.htm?fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE#Comorbidities
  4. https://arxiv.org/abs/2006.08471?utm_source=Nature+Briefing&utm_campaign=59d57f54e5-briefing-dy-20200706&utm_medium=email&utm_term=0_c9dfd39373-59d57f54e5-45555106&fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE
  5. https://www.cdc.gov/coronavirus/2019-ncov/covid-data/covidview/index.html?fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE#hospitalizations
  6. https://covid-19.sciensano.be/sites/default/files/Covid19/COVID-19_THEMATIC%20REPORT_COVID-19%20HOSPITALISED%20PATIENTS_FR.pdf
  7. https://www.journaldequebec.com/2020/05/28/jusqua-80-de-cas-de-covid-silencieux?fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE
  8. https://www.liberation.fr/direct/element/la-repartition-par-age-des-deces-lies-au-coronavirus-ressemble-a-une-mortalite-classique_112144/?fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE
  9. https://academic.oup.com/aje/advance-article/doi/10.1093/aje/kwaa093/5847586?fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE
  10. https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2020.05.02.20080036v1?fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE
  11. https://www.lejournaldumedecin.com/actualite/azithromycine-etc-la-controverse-gronde-autour-du-cocktail-anti-covid-19-de-medecins-generalistes/article-normal-47443.html?fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE7
  12. https://www.rtbf.be/info/societe/detail_l-artemisia-une-plante-antipaludeenne-efficace-contre-le-coronavirus?id=10570600&fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE
  13. https://www.rtbf.be/info/societe/detail_coronavirus-le-dexamethasone-efficace-contre-les-formes-graves-ne-doit-pas-etre-donne-au-debut-de-la-maladie?id=10544918&fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE#:~:text=La%20dexam%C3%A9thasone%2C%20premier%20m%C3%A9dicament%20%C3%A0,un%20essai%20clinique%20publi%C3%A9s%20vendredi.
  14. https://www.revmed.ch/covid-19/Risque-thrombotique-veineux-induit-par-le-SARS-CoV-2-prevalence-recommandations-et-perspectives
  15. https://www.allodocteurs.fr/maladies/maladies-infectieuses-et-tropicales/coronavirus/covid-19-loxygenotherapie-pourrait-eviter-lintubation_29764.html?fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE
  16. https://www.coeuretavc.ca/articles/comment-les-virus-endommagent-ils-le-coeur?fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE
  17. https://www.gbpf.be/images/uploads/congres/Frere-Julie_Infections_virales_du_SNC.pdf?fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE
  18. http://www.academie-medecine.fr/avis-de-lacademie-les-sequelles-de-la-covid-19/?fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE
  19. https://www.publichealthontario.ca/-/media/documents/ncov/covid-wwksf/2020/07/what-we-know-covid-19-long-term-sequelae.pdf?la=en&fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE
  20. https://www.lesechos.fr/idees-debats/sciences-prospective/coronavirus-les-medecins-sinterrogent-sur-le-bon-usage-des-respirateurs-1195147?fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE
  21. https://uclouvain.be/fr/decouvrir/la-grippe-espagnole-de-1918-suscitait-elle-la-meme-peur-que-le-coronavirus.html?fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE
  22. https://www.lindependant.fr/2020/04/29/professeur-didier-raoult-99-des-cas-de-coronavirus-en-france-auront-eu-lieu-avant-le-19-mai,8867698.php?fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE
  23. https://www.lequotidiendumedecin.fr/archives/pourquoi-le-froid-plait-aux-virus-respiratoires?fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE
  24. https://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/coronavirus/infographies-covid-19-morts-hospitalisations-age-malades-l-evolution-de-l-epidemie-en-france-et-dans-le-monde-en-cartes-et-graphiques.html?fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE
  25. https://swprs.org/covid-just-a-casedemic/
  26. https://www.rtbf.be/info/societe/detail_coronavirus-vous-avez-un-test-pcr-positif-et-vous-ne-l-etes-peut-etre-pas-ou-vous-n-etes-pas-contagieux?id=10578123&fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE
  27. https://www.sciensano.be/fr/coin-presse/analyse-covid-19-75-des-personnes-positives-au-sars-cov-2-etaient-asymptomatiques-au-moment-du-test?fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE#:~:text=Parmi%20ceux%2Dci%2C%203%20%25,encore%20tout%20%C3%A0%20fait%20clair.
  28. https://www.nytimes.com/2020/08/29/health/coronavirus-testing.html?fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE
  29. https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2020.04.26.20080911v2.full.pdf
  30. https://www.grippe65plus.fr/histoires/immunit%C3%A9-collective-prot%C3%A9ger-les-membres-vuln%C3%A9rables-de-la-communaut%C3%A9?fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE
  31. https://sante.lefigaro.fr/actualite/2015/09/10/24095-vaccin-contre-sida-pourquoi-cest-difficile?fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE
  32. https://blogs.mediapart.fr/franck-noir/blog/300720/covid19-les-vaccins-marn-seraient-inefficaces-et-potentiellement-dangereux?fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE
  33. https://www.lexpress.fr/actualite/societe/sante/la-moitie-de-la-population-possederait-une-immunite-au-covid-19-pre-existante_2132005.html?fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE
  34. https://www.thesun.co.uk/news/12591827/sweden-coronavirus-case-rate-lower-denmark-norway-lock-down/
  35. https://www.worldometers.info/coronavirus/?fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE
  36. https://meteopolitique.com/Fiches/Epidemie-Pandemie/analyse/confinement/Absence-de-base-probante-pour-soutenir-le-confinement-general-de-la-population-du-Canada.pdf?fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE
  37. https://www.express.co.uk/life-style/health/1320428/Coronavirus-news-lockdown-mistake-second-wave-Boris-Johnson?fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE
  38. http://www.francesoir.fr/societe-sante/chronique-covid-ndeg12-bas-les-masques-trop-dincertitudes-sur-leurs-inconvenients-leur?fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE
  39. https://www.cairn.info/revue-le-philosophoire-2016-2-page-17.htm?fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE
  40. https://www.youtube.com/watch?v=9v9updAv018



Comment parvenir à l’immunité collective : la déclaration de Barrington

[Source : Jean-Dominique Michel]

Trois des plus grands épidémiologistes de trois des plus grandes universités lancent un appel urgent à changer de réponse sanitaire face au Covid en sortant des mesures de confinement.

Tout le contraire de la « Task Force » suisse, qu’il faut dissoudre de toute urgence pour la remplacer par un comité compétent !

Cette déclaration, qui corrobore les analyses et recommandations exprimées sur ce blog depuis le mois de mars, a été rédigée et signée le 4 octobre 2020 à Barrington, aux États-Unis, par :

  • Dr. Martin KULLDORFF, professeur de médecine à l’université Harvard, un biostatisticien et épidémiologiste spécialisé dans la détection et la surveillance du déclenchement des maladies infectieuses et l’évaluation de la sécurité des vaccins.
  • Dr. Sunetra GUPTA, professeure à l’université d’Oxford, une épidémiologiste spécialisée en immunologie, dans le développement de vaccins et la modélisation mathématique des maladies infectieuses.
  • Dr. Jay BHATTACHARYA, professeur à l’École Médicale de l’université de Standford, un médecin, épidémiologiste, économiste de la santé et expert en santé publique spécialiste des maladies infectieuses et de leurs effets sur les populations vulnérables.

Tous les professionnels de santé du monde entier, ainsi que tous les citoyens, peuvent la signer à cette adresse. A l’heure de cette publication, elle est déjà soutenue par 4’135 scientifiques, 7’432 médecins et 104’697 citoyennes et citoyens de nombreux pays !
Le désastre en cours est bien dû au grave dysfonctionnement de nos systèmes de gouvernance se surajoutant à une épidémie respiratoire virale d’ampleur moyenne à forte. Face à laquelle existent des réponses efficaces autres que la panique et la destruction économique, culturelle et sociale de nos sociétés.
 Écoutons ces immenses professionnels qui savent de quoi ils parlent et non des clones de la pensée étroite bardés de conflits d’intérêts. L’intelligence collective c’est maintenant, ou il sera simplement trop tard ! Sauf à changer de modèle de société pour vivre selon Jeff Bezos, Bill Gates et Big Pharma. Si c’est cela le « programme politique » de nos gouvernants et comités « scientifiques », eh bien qu’ils nous le disent ouvertement… 

Déclaration de Barrington

En tant qu’épidémiologistes des maladies infectieuses et scientifiques spécialisés en santé publique, nous sommes inquiets des impacts physiques et mentaux causés par les politiques actuelles contre le COVID-19 et nous recommandons une approche alternative que nous appelons Protection focalisée (Focused Protection).

Que nous soyons de gauche ou de droite, et quel que soit notre pays d’origine, nous avons consacré nos carrières à la protection des populations. Les politiques actuelles de confinement produisent des effets désastreux sur la santé publique à court, moyen et long terme. Parmi les conséquences, on peut citer, entre autres, une baisse des taux de vaccination chez les enfants, une aggravation des cas de maladies cardio-vasculaires, une baisse des examens pour de possibles cancers ou encore une détérioration de la santé mentale en général. Cela va engendrer de grands excès de mortalité dans les années à venir, notamment dans la classe ouvrière et parmi les plus jeunes. Maintenir les écoliers en dehors de l’école est une grande injustice.

Conserver ces mesures en attendant qu’un vaccin soit disponible causera des dégâts irréparables. Les couches sociales les moins favorisées seront les plus touchées.

Heureusement, notre compréhension du virus s’améliore. Nous savons que la vulnérabilité à la mort par le COVID-19 est plus de mille fois plus haute parmi les personnes âgées et infirmes que chez les jeunes. En effet, pour les enfants, le COVID-19 est moins dangereux que bien d’autres maux, y compris la grippe.

L’immunité grandissant dans la population, le risque d’infection baisse pour tout le monde, y compris les plus vulnérables. Nous savons que toutes les populations vont finir par atteindre l’immunité collective, c’est-à-dire le point où le nombre de nouvelles infections est stable, et que ce processus peut s’accompagner (sans pour autant dépendre) de l’existence d’un vaccin. Par conséquent, notre objectif devrait être de minimiser la mortalité et le mal fait à la société jusqu’à ce qu’on atteigne l’immunité collective.

Une approche à la fois compassionnelle et prenant en compte les risques et les bénéfices consiste à autoriser celles et ceux qui ont le moins de risques de mourir du virus de vivre leurs vies normalement afin qu’ils fabriquent de l’immunité au travers d’infections naturelles tout en protégeant celles et ceux qui ont le plus de risques de mourir. Nous appelons cela la Protection Focalisée (Focused Protection).

Le fait d’adopter des mesures pour protéger les plus vulnérables devrait être le but central des réponses de santé publique au COVID-19. A titre d’exemples, les résidences pour personnes âgées devraient être dotées de personnel qui a acquis l’immunité et qui réalise fréquemment des tests PCR pour les autres membres du personnel et les visiteurs. Par ailleurs, la rotation du personnel devrait être la plus faible possible. Les personnes retraitées qui vivent chez elles devraient se voir livrer leurs courses à domicile. Quand c’est possible, elles devraient rencontrer les proches en plein air plutôt qu’à l’intérieur. Une liste de mesure complète et détaillée, incluant des approches pour les foyers comprenant plusieurs générations, peut être mise en œuvre. C’est largement dans la capacité et les prérogatives des professionnels de la santé publique.

Ceux qui ne sont pas vulnérables devraient immédiatement être autorisés à reprendre une vie normale. Des mesures d’hygiène simples, comme se laver les mains et rester chez soi si l’on est malade, devraient être pratiquées par chacun pour réduire le seuil de l’immunité collective. Les écoles et les universités devraient rouvrir pour des enseignements en présentiel. Les activités extrascolaires comme le sport devraient reprendre. Les jeunes adultes qui présentent peu de risques devraient travailler normalement plutôt que depuis chez eux. Les restaurants et les commerces devraient ouvrir. Les arts, la musique, le sport et les autres activités culturelles devraient reprendre. Les personnes qui présentent plus de risque peuvent participer si elles le souhaitent à ce processus tandis que la société dans son ensemble bénéficie de la protection ainsi conférée aux plus vulnérables par ceux qui ont construit l’immunité collective.

(texte traduit de l’Anglais par Mathias Delori, avec l’accord expresse des auteurs)

Lien vers l’interpellation (en vidéo) des trois scientifiques :




Plus de 30,000 médecins et scientifiques de la santé publique signent une déclaration condamnant les mesures de confinement et plaidant pour l’immunité collective

[Source : Québec Nouvelles]

La “Déclaration de Great Barrington” a été rédigée et signée le 4 octobre, et près de 10 000 scientifiques du monde médical et de la santé publique ainsi que 24 000 médecins ont ajouté leur nom à la déclaration.

La déclaration a également reçu près de 500 000 signatures de citoyens concernés du monde entier en moins de deux semaines.

La déclaration de Great Barrington porte le nom du lieu où elle a été signée (Great Barrington, États-Unis) par le Dr Martin Kulldorff, “professeur de médecine à l’université de Harvard, biostatisticien et épidémiologiste spécialisé dans la détection et la surveillance des épidémies de maladies infectieuses et dans les évaluations de la sécurité des vaccins”, Dr. Sunetra Gupta, “professeur à l’université d’Oxford, épidémiologiste spécialisé dans l’immunologie, le développement de vaccins et la modélisation mathématique des maladies infectieuses” et “Dr. Jay Bhattacharya, “professeur à l’école de médecine de l’université de Stanford, médecin, épidémiologiste, économiste de la santé et expert en politique de santé publique, spécialisé dans les maladies infectieuses et les populations vulnérables”.

“En tant qu’épidémiologistes des maladies infectieuses et scientifiques de la santé publique, nous sommes très préoccupés par les effets néfastes sur la santé physique et mentale des politiques COVID-19 en vigueur, et nous recommandons une approche que nous appelons la protection ciblée”, peut-on lire dans la déclaration.

“Le maintien de ces [politiques de confinement] jusqu’à ce qu’un vaccin soit disponible causera des dommages irréparables, et les défavorisés seront touchés de manière disproportionnée”.

“Au fur et à mesure que l’immunité se renforce au sein de la population, le risque d’infection pour tous – y compris les personnes vulnérables – diminue. Nous savons que toutes les populations finiront par atteindre l’immunité collective, c’est-à-dire le point où le taux de nouvelles infections est stable”.

“L’adoption de mesures visant à protéger les personnes vulnérables devrait être l’objectif central des réponses de santé publique à la COVID-19 […] Ceux qui ne sont pas vulnérables devraient immédiatement être autorisés à reprendre une vie normale.”

L’OMS a récemment changé de cap en ce qui concerne les confinements, en déconseillant désormais les confinements comme principal moyen de lutte contre COVID-19.

Le Québec et l’Ontario ont récemment annoncé de nouvelles politiques de confinement restrictives, allant effectivement à l’encontre des nouvelles directives de l’OMS et des conseils de milliers d’experts médicaux décorés.

La déclaration peut être lue ici :


Copie du texte de la déclaration :

La Déclaration De Great Barrington

En tant qu’épidémiologistes des maladies infectieuses et scientifiques spécialisés en santé publique, nous sommes inquiets des impacts physiques et mentaux causés par les politiques actuelles contre le COVID-19 et nous recommandons une approche alternative que nous appelons Protection focalisée (Focused Protection). 

Que nous soyons de gauche ou de droite, et quel que soit notre pays d’origine, nous avons consacré nos carrières à la protection des populations. Les politiques actuelles de confinement produisent des effets désastreux sur la santé publique à court, moyen et long terme. Parmi les conséquences, on peut citer, entre autres, une baisse des taux de vaccination chez les enfants, une aggravation des cas de maladies cardio-vasculaires, une baisse des examens pour de possibles cancers ou encore une détérioration de la santé mentale en général. Cela va engendrer de grands excès de mortalité dans les années à venir, notamment dans la classe ouvrière et parmi les plus jeunes. Maintenir les écoliers en dehors de l’école est une grande injustice. 

Conserver ces mesures en attendant qu’un vaccin soit disponible causera des dégâts irréparables. Les couches sociales les moins favorisées seront les plus touchées. 

Heureusement, notre compréhension du virus s’améliore. Nous savons que la vulnérabilité à la mort par le COVID-19 est plus de mille fois plus haute parmi les personnes âgées et infirmes que chez les jeunes. En effet, pour les enfants, le COVID-19 est moins dangereux que bien d’autres maux, y compris la grippe. 

L’immunité grandissant dans la population, le risque d’infection baisse pour tout le monde, y compris les plus vulnérables. Nous savons que toutes les populations vont finir par atteindre l’immunité collective, c’est-à-dire le point où le nombre de nouvelles infections est stable, et que ce processus peut s’accompagner (sans pour autant dépendre) de l’existence d’un vaccin. Par conséquent, notre objectif devrait être de minimiser la mortalité et le mal fait à la société jusqu’à ce qu’on atteigne l’immunité collective. 

Une approche à la fois compassionnelle et prenant en compte les risques et les bénéfices consiste à autoriser celles et ceux qui ont le moins de risques de mourir du virus de vivre leurs vies normalement afin qu’ils fabriquent de l’immunité au travers d’infections naturelles tout en protégeant celles et ceux qui ont le plus de risques de mourir. Nous appelons cela la Protection Focalisée (Focused Protection). 

Le fait d’adopter des mesures pour protéger les plus vulnérables devrait être le but central des réponses de santé publique au COVID-19. A titre d’exemples, les résidences pour personnes âgées devraient être dotées de personnel qui a acquis l’immunité et qui réalise fréquemment des tests PCR pour les autres membres du personnel et les visiteurs. Par ailleurs, la rotation du personnel devrait être la plus faible possible. Les personnes retraitées qui vivent chez elles devraient se voir livrer leurs courses à domicile. Quand c’est possible, elles devraient rencontrer les proches en plein air plutôt qu’à l’intérieur. Une liste de mesure complète et détaillée, incluant des approches pour les foyers comprenant plusieurs générations, peut être mise en œuvre. C’est largement dans la capacité et les prérogatives des professionnels de la santé publique. 

Ceux qui ne sont pas vulnérables devraient immédiatement être autorisés à reprendre une vie normale. Des mesures d’hygiène simples, comme se laver les mains et rester chez soi si l’on est malade, devraient être pratiquées par chacun pour réduire le seuil de l’immunité collective. Les écoles et les universités devraient rouvrir pour des enseignements en présentiel. Les activités extrascolaires comme le sport devraient reprendre. Les jeunes adultes qui présentent peu de risques devraient travailler normalement plutôt que depuis chez eux. Les restaurants et les commerces devraient ouvrir. Les arts, la musique, le sport et les autres activités culturelles devraient reprendre. Les personnes qui présentent plus de risque peuvent participer si elles le souhaitent à ce processus tandis que la société dans son ensemble bénéficie de la protection ainsi conférée aux plus vulnérables par ceux qui ont construit l’immunité collective. 

Cette déclaration a été rédigée et signée le 4 octobre 2020 à Barrington, aux Etats-Unis, par : 

Le Dr. Martin Kulldorff, professeur de médecine à l’université Harvard, un biostatisticien et épidémiologiste spécialisé dans la détection et la surveillance du déclenchement des maladies infectieuses et l’évaluation de la sécurité des vaccins.

Le Dr. Sunetra Gupta, professeure à l’université d’Oxford, une épidémiologiste spécialisée en immunologie, dans le développement de vaccins et la modélisation mathématique des maladies infectieuses.

Le Dr. Jay Bhattacharya, professeur à l’Ecole Médicale de l’université de Stanford, un médecin, épidémiologiste, économiste de la santé et expert en santé publique spécialiste des maladies infectieuses et de leurs effets sur les populations vulnérables.




Coronavirus : Une maladie respiratoire comme chaque hiver ? (du Dr. Wolfgang Wodarg)

[Source : www.kla.tv/15925]

Opinion sans fard, aujourd’hui avec une déclaration abrégée du médecin et scientifique de la santé le Dr. Wolfgang Wodarg. (…)[Voir www.kla.tv/15925 pour la déclaration complète] :

« Depuis le début de l’année, l’attention du public, de la science et des autorités sanitaires a soudain complètement changé. Certains médecins de Wuhan, une ville de 12 millions d’habitants, ont réussi à attirer l’attention du monde entier avec initialement moins de 50 cas et quelques décès dans leur clinique où ils avaient identifié les virus corona comme l’agent pathogène. Les cartes colorées qui nous sont maintenant présentées sur papier ou sur écran sont impressionnantes, mais elles ont généralement moins à voir avec la maladie qu’avec l’activité de virologues travaillant d’arrache-pied et de foules de reporters sensationnalistes.

Partout où ces tests ont été effectués, près de 9 000 tests par semaine étaient disponibles dans 38 laboratoires à travers l’Europe le 13 février 2020, rapidement des résultats positifs ont été trouvés et chaque cas est devenu un événement médiatique. Le fait que la découverte d’une infection à coronavirus entraîne une recherche intensive dans l’entourage de la personne, explique les nombreuses augmentations de cas dans une région.

Les rapports d’horreur de Wuhan sont quelque chose qu’attendaient les virologues du monde entier. Immédiatement, les souches de virus présentes dans les réfrigérateurs ont été scannées et comparées fébrilement avec les nouveaux venus signalés de Wuhan. Un laboratoire de la Charité a gagné la course auprès de l’OMS et a été autorisé à commercialiser ses tests internes dans le monde entier à un prix plusieurs fois supérieur au prix habituel.

Cependant, il vaut mieux ne pas se faire tester pour les coronavirus pour 200 euros ! Selon plusieurs années de recherche prospective en Ecosse, de 2005 à 2013, même si vous n’avez qu’une infection légère de type grippal, le risque de détection du coronavirus est de 7 à 15%. Une détection des coronavirus aurait de graves conséquences pour la vie quotidienne des personnes testées et leur environnement au sens large, comme on peut le constater dans tous les médias sans faire de longues recherches. Cependant, la découverte elle-même n’a pas de signification clinique. Ce n’est qu’un des nombreux noms donnés aux maladies respiratoires aiguës (MRA), qui chaque hiver mettent temporairement en incapacité les uns un peu plus, les autres un peu moins, 20 à 40 % de la population de notre pays.

Selon une bonne étude réalisée en Écosse, les agents pathogènes les plus courants des maladies respiratoires aiguës étaient : 1. les rhinovirus, 2. les virus influenza A, 3. les virus influenza B, 4. les virus RS (syncytial respiratoire) et 5. Coronavirus. Cet ordre a légèrement changé d’année en année. Apparemment le quorum des virus en compétition pour nos cellules des muqueuses peut changer, comme nous le savons par nos intestins dans le cas des micro-organismes et par le « Bundestag » dans le cas des partis politiques.

Donc, si maintenant il devrait y avoir un nombre croissant d’infections à coronavirus « avérées » en Chine ou en Italie, alors quelqu’un peut-il dire combien de fois de tels tests ont été effectués au cours des hivers précédents, sur qui, pour quelle raison et avec quels résultats ? Quand on prétend que quelque chose devient croissant, on doit sûrement se référer à quelque chose qu’on a déjà observé auparavant.

On peut être stupéfait lorsque, en tant qu’épidémiologiste expérimenté de la maladie, on observe les bouleversements actuels, la panique et les souffrances qui en découlent. Ce sera certainement le cas pour de nombreuses personnes responsables qui risqueraient probablement de perdre leur emploi aujourd’hui comme à l’époque avec la « grippe porcine », si elles s’opposaient au courant dominant.

Chaque hiver, nous avons une épidémie de virus avec des milliers de morts et des millions de personnes infectées, également en Allemagne. Et les coronavirus y sont toujours pour quelque chose. Ainsi, si le gouvernement allemand veut faire quelque chose de bien, il peut le faire comme les épidémiologistes de Glasgow et faire en sorte que les brillants esprits de l’Institut Robert Koch observent « de manière prospective » et voient comment le virome [c’est-à-dire l’ensemble des virus présents dans l’intestin] de la population allemande change d’année en année en hiver.

La politique doit également veiller à ce que le travail scientifique digne de confiance à l’Institut Robert Koch, à l’Institut Paul Ehrlich et dans d’autres bureaux redevienne plus facile. Travailler scientifiquement ne signifie pas aller dans le sens des souhaits de la politique et de l’économie. La science est digne de confiance si elle utilise des méthodes transparentes pour remettre en question toujours et à tout moment les prétendues connaissances de manière professionnelle et cohérente. Même si cela prend parfois beaucoup de temps, cela peut nous éviter bien des aberrations coûteuses en matière de santé, que les gardiens de la grippe motivés par l’intérêt voudraient faire passer pour bénéfiques pour nous.

Et pour l’individu, ce qui suit s’applique : Toute personne qui est contrainte aux mesures de quarantaine et qui subit un préjudice financier uniquement en raison d’un test PCR positif au coronavirus peut avoir droit, en Allemagne, à une indemnisation en vertu de l’article 56 de la loi sur la protection contre les infections. (…). »

de kt./ch. Sources / Liens :




Les faits sur le coronavirus

[Source : Swiss Propaganda Research]

Des faits entièrement référencés sur le Covid-19, fournis par des experts en la matière, pour aider nos lecteurs à faire une évaluation réaliste des risques.

« La seule façon de lutter contre la peste, c’est  l’honnêteté. »

Albert Camus, 1947

Aperçu

  1. Selon les données des pays et régions les mieux étudiés, la létalité du Covid19 est en moyenne de 0,2% environ et est donc de l’ordre d’une forte grippe (Influenza) et environ vingt fois inférieure à celle initialement supposée par l’OMS .
  2. Le risque de décès pour l’ensemble de la population en âge d’aller à l’école et de travailler, même dans les « hotspots » (foyers d’infections) mondiaux, est du même ordre que le risque de décès lors des déplacements quotidiens pour aller au travail en voiture. Au départ le risque a été surestimé car les personnes ne présentant aucun symptôme ou des symptômes légers n’ont pas été incluses.
  3. Jusqu’à 80% des personnes testées positives ne présentent aucun symptôme . Même chez les 70 à 79 ans, environ 60% restent asymptomatiques. Plus de 95% des personnes ne présentent au plus que des symptômes bénins .
  4. Jusqu’à un tiers de la population a déjà une immunité de fond au Covid19 par contact avec des coronavirus précédents (c’est-à-dire des virus du rhume).
  5. L’âge médian des personnes décédées dans la plupart des pays (y compris l‘ Italie ) est supérieur à 80 ans et seulement 1% environ des personnes décédées n’avaient pas de maladie grave antérieure. Le profil de la mortalité correspond donc essentiellement à une mortalité normale .
  6. Dans la plupart des pays, jusqu’à 50 à 70% des décès sont survenus dans des EHPAD , qui ne tirent aucun bénéfice d’un confinement général. De plus, il n’est souvent pas clair si ces personnes sont vraiment décédées du Covid19 ou de stress à des niveaux élevés, de peur et de solitude .
  7. Jusqu’à 50% des décès en excès ne sont pas provoqués par le Covid19, mais par les effets du confinement, la panique et la peur. Ainsi le traitement des crises cardiaques et accidents vasculaires a reculé jusqu’à 60 % parce que les patients n’osent plus se rendre dans les centres de soins.
  8. Même dans les soi-disant « décès Covid19 » , il n’est souvent pas clair si les personnes sont décédés par ou avec le virus (c’est à dire un décès à cause d’une pathologie préexistante), ou encore que se soit des « cas suspectés », qui n’ont simplement pas été testés. Il est à constater que les chiffres officiels ne reflètent souvent pas ces distinctions .
  9. De nombreux reportages dans les médias, rapportant que des jeunes et des personnes en bonne santé sont décédés du Covid19, se sont avérés être faux : Beaucoup de ces personnes ne sont en fait soit pas mortes du Covid19, ou alors elles étaient déjà gravement malades auparavant (par exemple une leucémie non détectée), ou ils avaient 109 ans au lieu de 9 ans.
  10. La mortalité globale normale quotidienne aux États-Unis est d’environ 8 000, en Allemagne d’environ 2 600, en Italie d’environ 1 800 et en Suisse d’environ 200 personnes par jour. La mortalité de la grippe aux États-Unis peut atteindre 80 000, en Allemagne et en Italie jusqu’à 25 000 et en Suisse jusqu’à 2 500 personnes par hiver. Dans plusieurs pays, le Covid19 n’a pas atteint ces niveaux-là .
  11. Des taux de mortalité très élevés, comme dans le nord de l’Italie, peuvent être influencés par des facteurs de risque supplémentaires tels qu’une pollution atmosphérique et une contamination microbienne très élevées ainsi qu’un effondrement des soins aux personnes âgées et des soins infirmiers dû aux infections, à la panique de masse et au confinement.. Des réglementations spéciales concernant les personnes décédées ont parfois entraîné des goulots d’étranglement supplémentaires dans les enterrements.
  12. Dans des pays comme l’Italie et l’Espagne ainsi qu’en partie au Royaume-Uni et aux États-Unis, les vagues de grippe ont déjà entraîné une surcharge des hôpitaux. Actuellement, jusqu’à 15% des médecins et infirmières, même sans symptômes, doivent être mis en quarantaine.
  13. Les courbes exponentielles souvent présentées avec des « cas corona » sont trompeuses, car le nombre de tests augmente également de façon exponentielle. Dans la plupart des pays, le rapport des tests positifs au test global (taux dit positif) reste constant de 5 à 25% ou n’augmente que légèrement. Le pic des infections a atteint son apogée dans la plupart des pays avant les confinements.
  14. Les pays sans confinements et interdictions de contacts, tels que le Japon, la Corée du Sud et la Suède n’ont jusqu’à présent pas connu de tendance plus négative que les autres pays. La Suède a même récemment été saluée par l’OMS comme un modèle exemplaire et bénéficie désormais d’une immunité élevée.
  15. La crainte d’une pénurie de respirateurs artificiels était injustifiée . Selon des pneumologues , la ventilation invasive (intubation) des patients atteints de Covid19, qui était en partie dûe à la peur du virus, est souvent contre – productive et endommage en outre les poumons.
  16. Contrairement aux hypothèses initiales, diverses études ont montré qu’il n’y a aucune preuve de propagation du virus par les aérosols (particules en suspension dans l’air) ou par des frottis (comme les poignées de porte, les smartphones ou chez le coiffeur) .
  17. Il n’y a pas non plus de fondement scientifique pour l’efficacité des masques respiratoires chez les personnes en bonne santé ou asymptomatiques . Au contraire , les experts avertissent que ces masques entravent la respiration et deviennent des «lanceurs de germes» .
  18. De nombreuses cliniques en Europe et aux États – Unis sont restées sous – utilisées et ont même parfois dû recourir au chômage partiel . De nombreuses opérations et thérapies ont été annulées , notamment des transplantations d’organes «non essentielles» et des dépistages du cancer.
  19. Plusieurs médias ont été surpris en train de dramatiser la situation dans les hôpitaux, parfois même avec des images manipulatrices. En général, les reportages douteux de nombreux médias ont maximisé la peur au sein de la population.
  20. Les kits de test de virus utilisés à l’échelle internationale sont sujets à des erreurs et peuvent donner des résultats faussement positifs ou faussement négatifs. Le test de virus officiel n’a pas non plus été validé cliniquement à cause de la contrainte liée au temps et peut parfois également réagir à d’autres virus corona .
  21. De nombreux experts de renommée internationale dans les domaines de la virologie, de l’immunologie et de l’épidémiologie considèrent les mesures prises comme contreproductives et recommandent une immunisation naturelle rapide de la population générale et la protection des groupes à risque. Il n’y a jamais eu de raison médicale pour la fermeture des écoles .
  22. Plusieurs experts ont décrit les vaccins obligatoires contre les coronavirus comme inutiles, voire dangereux . En fait, le vaccin contre la soi-disant grippe porcine de 2009 a entraîné de graves dommages neurologiques et a donné lieu à des indemnisations à hauteur de millions (de livres sterling).
  23. Le nombre de personnes à travers le monde qui, à cause des mesures anti-corona , souffrent de chômage, de problèmes de santé mentale, de violence domestique, est monté en flèche . Plusieurs experts estiment que les mesures anti-corona provoqueront plus de morts que le virus lui – même. Selon l’ONU des millions de personnes à travers le monde sont en train de tomber dans la pauvreté et la famine absolue.
  24. Le lanceur d’alerte et dénonciateur de la NSA, Edward Snowden, a averti que la crise corona était utilisée pour l’expansion massive et permanente des outils mondiaux de surveillance. Le célèbre virologue Pablo Goldschmidt a parlé de « terreur médiatique mondiale » et de « mesures totalitaires ». L’infectiologue britannique John Oxford a parlé d’une « épidémie médiatique ».
  25. Plus de 500 scientifiques ont mis en garde contre une « surveillance sans précédent de la société » grâce à des applications de suivi de contact problématiques. Dans certains pays, ce suivi de contact est déjà effectué directement par les service secrets. À travers le monde ça a abouti à une surveillance de la population civile par des drones et dans certains cas à des violences policières massives.
Pour plus d’informations en français, voir aussi Covid Infos.

6 mai 2020

Interviews d’experts
  • Le professeur de Stanford John Ioannidis explique dans une interview à CNN que Covid19 est une « maladie répandue et bénigne » comparable à la grippe (influenza) pour la population générale, alors que les patients des maisons de retraite et des hôpitaux devraient bénéficier d’une protection supplémentaire
  • Le professeur Scott Atlas, de Stanford, explique dans une interview à CNN que « l’idée de devoir stopper le Covid19 a créé une situation catastrophique en matière de soins de santé ». Le professeur Atlas affirme que la maladie est « généralement bénigne » et que des craintes irrationnelles ont été créées. Il ajoute qu’il n’y a « absolument aucune raison » de procéder à des tests approfondis dans la population générale, ce qui n’est nécessaire que dans les hôpitaux et les maisons de retraite. Le professeur Atlas a écrit un article fin avril intitulé « The data are in – Stop the panic and end total isolation » (« Les données sont là – Arrêtez la panique et mettez fin au confinement total ») qui a suscité plus de 15 000 commentaires.
  • Le Dr Knut Wittkowski, épidémiologiste, explique dans une nouvelle interview que le danger du Covid19 est comparable à celui d’une grippe et que le pic a déjà été dépassé dans la plupart des pays avant le confinement. Le confinement de sociétés entières a été une « décision catastrophique » sans avantages mais causant d’énormes dégâts. La mesure la plus importante est la protection des maisons de retraite. Les déclarations de Bill Gates sur le Covid19 sont « absurdes » et « n’ont rien à voir avec la réalité », une vaccination contre le Covid19 n’est pas nécessaire. Le modèle Covid19 influent de l’épidémiologiste britannique Neil Ferguson a été un « échec complet ».
  • Le virologiste allemand Hendrik Streeck explique les résultats finaux de son étude pionnière sur les anticorps. Streeck a trouvé une létalité du Covid19 de 0,36%, mais explique dans l’interview qu’il s’agit d’une limite supérieure et que la létalité est probablement de l’ordre de 0,24 à 0,26%, voire moins. L’âge moyen des personnes décédées après un test positif était d’environ 81 ans.
  • Le professeur de biologie et prix Nobel Michael Levitt, qui analyse la propagation du Covid19 depuis février, décrit le confinement général comme une « énorme erreur » et appelle à des mesures plus ciblées, notamment pour protéger les groupes à risque.
  • Le professeur émérite de microbiologie Sucharit Bhakdi explique dans une nouvelle interview en Allemagne que la politique et les médias mènent une « campagne de peur intolérable » et une « campagne de désinformation irresponsable » envers la population. Les masques pour la population en général sont des « attrapeurs de germes » inutiles et dangereux. La crise actuelle a été provoquée par les politiciens eux-mêmes et n’a pas grand chose à voir avec le virus. Un vaccin contre le coronavirus est « inutile et dangereux », comme ce fut le cas pour la grippe porcine, et la vaccination obligatoire est une erreur. L’OMS « n’a pas assumé la responsabilité de ses nombreuses mauvaises décisions » au fil des ans, affirme le professeur Bhakdi. (Note : la vidéo a été temporairement supprimée par YouTube).
  • Le docteur Pietro Vernazza, médecin en chef suisse en infectiologie, explique dans une nouvelle interview que la maladie du Covid19 est « bénigne pour la grande majorité des gens ». Le « comptage des personnes infectées et la demande de tests supplémentaires » n’aiderait pas beaucoup. En outre, la plupart des personnes figurant dans les statistiques pour le coronavirus ne mourraient pas uniquement de la maladie Covid-19. Le taux de létalité du Covid-19 est « de l’ordre de grandeur d’une grippe saisonnière ». Il n’existe aucune preuve du bénéfice des masques faciaux chez les personnes qui ne présentent pas elles-mêmes de symptômes (version archivée).
Études médicales
  •  Un nouvel aperçu des études existantes à partir de la PCR et des anticorps montre que la valeur médiane de la létalité du Covid19 (IFR) est de 0,20 % et se situe donc dans la fourchette d’une grippe forte.
  •  Une nouvelle étude sur les anticorps chez les donneurs de sang danois a montré une très faible létalité de Covid19 (IFR) de 0,08 % pour les personnes de moins de 70 ans.
  •  Une nouvelle étude d’anticorps réalisée en Iran, l’un des pays les plus anciens et les plus touchés par le Covid19, a également montré une très faible létalité de 0,08 % à 0,12 %.
  • Une nouvelle étude sur les anticorps réalisée au Japon conclut que 400 à 800 fois plus de personnes ont été en contact avec le nouveau coronavirus que ce que l’on pensait auparavant, mais n’ont présenté aucun ou presque aucun symptôme. Le Japon n’a effectué que peu de tests jusqu’à présent.
  • Une nouvelle étude menée en Allemagne, avec la participation du virologue Christian Drosten, montre qu’environ un tiers de la population possède déjà une certaine immunité cellulaire au  Covid19, probablement par contact avec des coronavirus antérieurs (virus du rhume). Cette immunité cellulaire par les cellules dites T est nettement plus élevée que ce que suggèrent les tests PCR et les tests d’anticorps et peut expliquer en partie pourquoi de nombreuses personnes ne développent aucun symptôme avec le nouveau coronavirus.
  • Dans une prison de l’État U.S du Tennessee, seules deux personnes testées positives sur 1349 présentaient des symptômes.
  • Sur le porte-avions français Charles de Gaulle, aucun des 1046 marins testés positifs n’est mort à ce jour. Sur le porte-avions étatsunien Theodore Roosevelt, un des 969 marins testés positifs est décédé jusqu’à présent (les conditions préalables et la cause exacte de la mort ne sont pas connues).
  • De nombreux médias ont fait état de prétendues « réinfections » de personnes qui avaient déjà récupérées en Corée du Sud. Cependant, les chercheurs sont maintenant arrivés à la conclusion que les 290 cas suspects étaient tous des résultats de tests faussement positifs causés par des « fragments de virus non infectieux ». Ce résultat souligne une fois de plus le manque de fiabilité bien connu des tests PCR de détection du virus.
Autres mises à jour médicales
  • De nombreux médias ont rapporté qu’en rapport avec le Covid19, de plus en plus d’enfants tomberaient malades de la maladie dite de Kawasaki (une inflammation vasculaire). Toutefois, la Fondation britannique pour la maladie de Kawasaki a publié un communiqué de presse indiquant que le nombre de cas de Kawasaki signalés actuellement est inférieur à la normale, et non supérieur, et que sur les quelques cas signalés, seule la moitié environ avait été testée positive au coronavirus.
  •  Dans une lettre ouverte au ministère français de la santé, un médecin français parle de Covid19 comme de « la plus grande escroquerie sanitaire du 21e siècle ». Le danger du virus pour la population générale se situe dans la gamme de la grippe et les conséquences du confinement sont plus dangereuses que le virus lui-même, affirme le médecin français.
  • En France, une enquête ultérieure a révélé que le premier patient positif au Covid19 avait déjà été traité fin décembre 2019, soit un mois plus tôt que prévu. L’homme était traité pour ce qui semblait être une pneumonie liée à la grippe. Ce cas montre que le nouveau coronavirus est soit arrivé en Europe plus tôt que prévu, soit qu’il n’est pas aussi nouveau qu’on le supposait, soit que le résultat du test était un faux positif. En outre, il n’est pas certain que l’homme, qui s’est remis depuis longtemps, souffrait réellement de la grippe ou du coronavirus, ou des deux.
  • Le directeur exécutif de l’OMS a récemment salué la Suède comme un modèle de réussite pour sa gestion du Covid19. La Suède a mis en œuvre sa politique de santé avec succès et « en partenariat avec la population », a-t-il déclaré. Auparavant, la Suède avait été fortement critiquée pendant des semaines par les médias et les politiciens étrangers pour son approche détendue du Covid19.
  • Le Belarus, qui a pris le moins de mesures contre le Covid19 de tous les pays européens et qui n’a même pas annulé des événements majeurs comme des matchs de football, ne compte que 103 décès positifs ou suspectés de Covid19 après plus de deux mois. Le président biélorusse de longue date, Loukachenko, a qualifié le Coronavirus  de « psychose« . Les critiques affirment qu’il ne révèle pas le nombre réel de décès.
  • Un chercheur canadien a effectué une analyse documentaire approfondie qui a révélé que les masques faciaux n’offrent pas de protection mesurable contre le rhume et la grippe.
  • Un psychiatre en chef suisse s’attend à une forte augmentation des problèmes psychologiques et à plus de 10 000 suicides supplémentaires dans le monde en raison du confinement mondial et du chômage.
  • Le nombre dit de reproduction, qui indique la prolifération du Covid, devient de plus en plus une question politique. Cependant, cela ne change pas les faits : le pic de la propagation était déjà atteint dans la plupart des pays avant le confinement et le taux de reproduction est tombé à la valeur stable de un ou en dessous de celle-ci grâce à des mesures simples de la vie quotidienne et d’hygiène. Le confinement était donc inutile du point de vue épidémiologique.
  • Le tableau clinique et les groupes à risque des coronavirus Covid19 sont probablement liés à l‘utilisation du récepteur cellulaire ACE2, que l’on trouve dans les bronches et les poumons, mais aussi dans les vaisseaux sanguins, les intestins et les reins. Cependant, d’autres coronavirus, en particulier le virus du rhume NL63, utilisent également le récepteur cellulaire ACE2. Certains chercheurs s’attendent donc à ce que le coronavirus Covid19 devienne lui aussi un virus du rhume typique à moyen terme.
  • L’origine exacte du nouveau coronavirus n’est pas encore claire. L’explication la plus simple reste la transmission ou la mutation naturelle, qui se produit assez souvent. Il est vrai, cependant, que le laboratoire virologique de Wuhan, dans le cadre d’un programme de recherche cofinancé par les États-Unis, a étudié les coronavirus des chauves-souris et a également examiné leur transmissibilité à d’autres mammifères, ce que certains chercheurs critiquent depuis des années comme étant trop risqué. Le célèbre directeur du laboratoire a toutefois expliqué que le nouveau virus ne correspondait pas aux coronavirus étudiés en laboratoire. Les rumeurs antérieures sur les « armes biologiques » ou les « séquences VIH » doivent être considérées comme une désinformation compte tenu de la relative innocuité du coronavirus.
Maisons de retraite et de soins pour personnes âgées

Les maisons de retraite jouent un rôle absolument essentiel dans la situation actuelle du corinavirus. Dans la plupart des pays occidentaux, 30 à 70 % de tous les décès « liés au Covid » se sont produits dans des maisons de retraites ou hospices, ou Ehpad (dans certaines régions, même jusqu’à 90 %). On sait également que la crise dans le nord de l’Italie a commencé par un effondrement des soins infirmiers pour les personnes âgées, provoqué par la panique.

Les maisons de soins pour personnes âgées et de retraites nécessitent une protection ciblée et ne bénéficient pas d’un confinement général de la société. Si l’on ne considère que les décès dans la population générale, dans la plupart des pays, ils se situent dans la fourchette d’une vague de grippe normale ou même légère.

En outre, dans de nombreux cas, on ne sait pas très bien de quoi sont réellement morts les pensionnaires des maisons de retraite, c’est-à-dire s’il s’agissait de Covid19 ou de stress, de peur et de solitude. En Belgique, par exemple, on sait qu’environ 94 % de tous les décès dans les maisons de retraites sont des « cas présumés » non testés.

Une nouvelle analyse des statistiques françaises montre en outre ce qui suit : dès qu’il y a un « cas suspect » dans une maison de retraite (par exemple à cause de la toux), tous les décès sont considérés comme des « décès suspects du Covid19 », et dès qu’il y a un « cas confirmé » dans une maison de retraite (même s’il ne présente aucun symptôme), tous les décès sont considérés comme des « décès confirmés au Covid19 ».

Un rapport allemand décrit de manière très vivante les conditions extrêmes dans lesquelles des centaines de milliers de patients en maisons de soins et de retraite ont dû vivre ces dernières semaines, souvent contre leur gré. Nombre de ces patients ont à peine pu quitter leur chambre, n’ont plus été autorisés à sortir à l’air libre ou à recevoir la visite de leurs proches.

Dans plusieurs maisons de retraite, le test PCR, sujet à des erreurs, a en outre provoqué de graves fausses alertes et la panique. Dans une maison de retraite canadienne, les employés ont fui par crainte du coronavirus, ce qui a entraîné la mort tragique de 31 patients par manque de soins.

L’ancien journaliste du New York Times et critique du coronavirus, Alex Berenson, écrit sur Twitter :

« Soyons clairs : le fait que les décès dans les maisons de retraite ne soient pas au centre de la couverture médiatique quotidienne du COVID vous dit tout ce que vous devez savoir sur la priorité des médias – qui est d’instiller la panique (et de punir Trump), et non de mener une bonne politique de santé ».

Analyse complète :  Mortality associated with COVID-19 outbreaks in care homes: early international evidence (« Mortalité associée aux épidémies de COVID-19 dans les maisons de soins : premières preuves internationales ») (LTC Covid, mai 2020)

Décès dans les maisons de repos et de soins pour personnes âgées, chiffres absolus et en pourcentage (LTC Covid)

Décès dans les maisons de repos et de soins pour personnes âgées, chiffres absolus et en pourcentage (LTC Covid)

Grande-Bretagne
  •  La mortalité cumulée toutes causes confondues au Royaume-Uni reste de l’ordre des cinq plus fortes vagues de grippe des 25 dernières années. Le pic des décès quotidiens à l’hôpital a déjà été atteint le 8 avril (voir le graphique ci-dessous).
  • De nouvelles données statistiques montrent qu’à la mi-avril, sur environ 12 000 décès supplémentaires, environ 9 000 étaient « liés à la Covidose » (y compris les « cas suspects »), mais environ 3 000 étaient « non liés à la Covidose ». En outre, sur le total d’environ 7 300 décès dans les maisons de retraite, seuls 2 000 environ étaient « liés à la maladie du Covid ». Tant pour les « décès liés au Covid19 » que pour les décès non liés au Covid19, il est souvent difficile de savoir de quoi ces personnes sont réellement mortes. L’Association des pathologistes britanniques a donc demandé une « étude systématique des véritables causes de décès« .
  • Les hôpitaux temporaires „Nightingale“ au Royaume-Uni sont restés jusqu’à présent largement vides. Une situation similaire a déjà été observée en Chine, aux États-Unis et dans de nombreux autres pays.
  • Fin avril, on a appris que le confinement n’était apparemment pas, comme cela a été officiellement déclaré, recommandé par une seule commission scientifique, mais qu’un haut conseiller du gouvernement avait « poussé » les scientifiques à soutenir le confinement.
Bulletin de surveillance du SWPRS au 6.05.20 sur l'épidémie de coronavirus et la coronapanique (Vidéos)

L’Angleterre : Décès avec tests positifs dans les hôpitaux (NHS)

États-Unis
  •  Le dernier rapport du CDC étatsunien montre que le taux d’hospitalisation lié au Covid19 chez les plus de 65 ans se situe dans la fourchette des fortes vagues de grippe. Il est légèrement plus élevé chez les 18 à 64 ans et nettement plus faible chez les moins de 18 ans.
  • Vidéo : Une infirmière de New York City a déclaré dans une vidéo dramatique que New York « tue » les patients atteints de Covid19 en les mettant sous respirateur invasif et en détruisant leurs poumons. L’utilisation de ventilateurs invasifs (au lieu de masques à oxygène) se fait « par peur de propager le virus ». C’est « un film d’horreur », « non pas à cause de la maladie, mais à cause de la façon dont elle est traitée », a expliqué l’infirmière. Depuis mars, les experts mettent en garde contre l’intubation des patients atteints de Covid19.
  • Le Dr Daniel Murphy, chef du service des urgences d’un hôpital très touché de New York, recommande de mettre rapidement fin à ce confinement. Selon le Dr Murphy, la vague de Covid19 avait déjà atteint son point culminant le 7 avril. Le Covid19 est un problème grave, mais la crainte qu’elle suscite est exagérée, car la grande majorité de la population est tout au plus légèrement malade. Sa plus grande inquiétude est maintenant la forte diminution des soins aux patients et aux enfants en cas d’urgence, due au blocage et à la peur généralisée de la population.
  • Vidéo : La plateforme conservatrice de dénonciation Project Veritas s’est entretenue avec les directeurs de pompes funèbres de New York qui ont déclaré qu’actuellement Covid est écrit « sur tous les certificats de décès » (des cas suspects), qu’il y ait eu un test ou non. De nombreuses personnes meurent actuellement chez elles, et souvent la cause exacte du décès n’est plus vérifiée. Les statistiques Covid19 sont gonflées pour des raisons politiques ou financières, ont déclaré les directeurs.
  • Le directeur du département de la santé de l’Illinois a confirmé que même les personnes en phase terminale qui meurent clairement d’une autre cause mais qui sont testées positives pour le virus Covid19 avant ou après leur décès sont enregistrées comme des décès Covid19
  • En raison du confinement, 30 millions de personnes aux États-Unis ont déjà demandé des allocations de chômage à la fin du mois d’avril – c’est beaucoup plus que ce que le Bureau international du travail (BIT) avait initialement prévu pour le monde entier.
  • Le patron de Tesla, Elon Musk, a qualifié les couvre-feux californiens de « fascistes« . L' »emprisonnement forcé » des gens dans leur maison viole tous leurs droits constitutionnels, a expliqué Musk lors d’une conférence téléphonique.
  • Vidéo : Une mère a eu affaire avec la police à son domicile parce que ses enfants jouaient illégalement avec les enfants des voisins.
  • Vidéo : Fin avril, certains photographes ont été pris dans une mise en scène partielle d’une manifestation des travailleurs sociaux contre les manifestants anti-confinement. (En savoir plus).
Suisse
  • Une infirmière suisse a écrit un article très partagé sur la situation actuelle. Elle explique que les hôpitaux suisses sont restés largement vides et ont dû, dans certains cas, licencier du personnel. Elle ajoute qu’il est très inhabituel de transférer des personnes de plus de 80 ans aux unités de soins intensifs à cause d’une grippe ou d’une pneumonie, où elles doivent alors mourir seules au lieu d’être avec leur famille. Si cela était fait, les unités de soins intensifs seraient surchargées presque chaque hiver. L’infirmière critique le fait que la plupart des médias n’ont pas suffisamment abordé les récentes découvertes scientifiques sur le risque global plutôt faible de Covid19.
Décès cumulés par rapport aux décès attendus, 2010 à 2020 (KW17, BFS/Stotz)

Décès cumulés par rapport aux décès attendus, 2010 à 2020 (KW17, BFS/Stotz)

Allemagne et Autriche
  •  Selon un protocole de la Task Force Corona autrichienne qui a fait l’objet d’une fuite, le Chancelier Kurz aurait exigé en mars que la population ait « plus peur » de l’infection ou de la mort de ses parents ou grands-parents. Un document stratégique du ministère fédéral allemand de l’intérieur avait déjà été connu auparavant, qui appelait également à une campagne de peur pychologique qui a effectivement été mise en œuvre par les politiciens et les médias. Rétrospectivement, la question se pose de savoir combien de personnes sont mortes à cause de cette peur largement infondée.
  • Une lettre ouverte comportant déjà environ 5000 signatures de personnes de plus de 64 ans réclame : « Coronavirus : Ne nous protégez pas, nous les personnes âgées, à ce prix ! Décidons nous-mêmes ! » Pour la protection des groupes à risque, il ne faut pas outrepasser les droits fondamentaux de la société entière, affirment les auteurs.
  • En Autriche (et peut-être aussi dans d’autres pays), il est toujours interdit de s’embrasser entre personnes amoureuses, mais pas de vivre ensemble. Cela s’applique aussi bien en public que dans son propre appartement, a expliqué le ministre autrichien de la santé.
  • Un avocat allemand poursuit actuellement devant plusieurs tribunaux les mesures anticoronavirus du gouvernement, car elles sont « manifestement anticonstitutionnelles« .
  • Vidéos : En Allemagne, il y a eu récemment plusieurs cas de dépassement sérieux de la part de la police. Une jeune femme a été brutalement arrêtée par plusieurs policiers alors qu’elle faisait des courses, car elle s’était apparemment „approchée de 20 cm de trop“ d’une policière. Une autre femme a reçu l’ordre de la police, lors d’un rassemblement, de ne pas tenir la constitution allemande devant sa poitrine, car il s’agissait d’un „message politique illégal“. L’organisateur d’un rassemblement pacifique à Berlin a également été arrêté de manière assez brutale. Même des femmes âgées ont été arrêtées de manière disproportionnée. (Attention : images choquantes de violence policière).
Autres mises à jour
  •  Le PDG de Youtube a annoncé dans une interview fin avril que les contributions vidéo sur les coronavirus qui contredisent les directives de l’OMS ou des autorités sanitaires nationales seront supprimées. Par exemple, la vidéo des deux médecins urgentistes californiens coronasceptique, qui a été visionnée plus de cinq millions de fois, a été supprimée. De même, l’interview du professeur Sucharit Bhakdi, dont le lien figure ci-dessus, a été au moins temporairement supprimée par Youtube.
  •  Dans le magazine  étatsunien The Atlantic, deux professeurs de droit ont écrit un article intitulé : « Internet Speech Will Never Go Back to Normal« . In the debate over freedom versus control of the global network, China was largely correct, and the U.S. was wrong. »
    (« Le discours sur Internet ne reviendra jamais à la normale. Dans le débat entre la liberté et le contrôle du réseau mondial, la Chine avait largement raison, et les États-Unis avaient tort ».)
  •  Peter Hitchens : « We’re destroying the nation’s wealth – and the health of millions » (« Nous détruisons la richesse de la nation – et la santé de millions de personnes« ). « Si vous ne défendez pas votre liberté la plus fondamentale, celle d’aller légalement où vous voulez quand vous voulez, alors vous la perdrez pour toujours. Et ce n’est pas tout ce que vous perdrez. Regardez la censure de l’internet, qui se répand comme une grande tache sombre, la mort du Parlement, la conversion de la police en milice d’État ».
  • Mathias Döpfner, PDG d’Axel Springer et l’un des directeurs de médias les plus influents d’Allemagne, appelle à un « découplage de la Chine » et à un renforcement de l’alliance transatlantique avec les États-Unis au lendemain de la crise du Coronavirus.
  • Washington Post : « The last time the government sought a ‚warp speed‘ vaccine, it was a fiasco » (« La dernière fois que le gouvernement a cherché un vaccin « à toute vitesse », ce fut un fiasco »). La vaccination express contre la grippe porcine de 1976 a entraîné paralysies et décès.
  • Rétrospective : Woodstock s’est produit en pleine pandémie. Sur la gestion plutôt détendue de la pandémie mondiale de grippe de 1968 (en savoir plus).
Covid-19 et les médias

Beaucoup de gens sont choqués par les reportages douteux et souvent alarmistes de Covid19 sur de nombreux médias. De toute évidence, il ne s’agit pas de « reportage ordinaire », mais d’une propagande classique et massive, telle qu’elle est généralement employée en relation avec les guerres d’agression ou le prétendu  terrorisme.

Le SPR a dépeint les réseaux de médias responsables de la diffusion de cette propagande dans des infographies antérieures pour les États-Unis, l‘Allemagne et la Suisse. Même le lexique Internet prétendument « ouvert » Wikipedia fait partie intégrante de cette structure médiatique géopolitique.

La position politique et le rapport au pouvoir des différents médias ont été analysés et comparés dans le cadre du SPR Media Navigator. Le Media Navigator peut également être utile pour évaluer les reportages actuels de Covid19 par les différents médias.

Covid-19 et surveillance de masse

L’évolution de loin la plus importante et, du point de vue de la société civile, la plus dangereuse en réponse au coronavirus est la tentative politique apparente d’étendre massivement la surveillance et le contrôle de la société. Dans ce contexte, le lanceur d’alerte de la NSA, Edward Snowden, a mis en garde contre l’émergence d’une « architecture de l’oppression« .

Le coronavirus de type grippal peut servir de justification ou de prétexte à l’introduction de mesures stratégiques visant à étendre la surveillance et le contrôle d’une société de plus en plus malmenée. Parmi les instruments les plus importants actuellement en discussion par plusieurs gouvernements, on peut citer

  1. L’introduction d’applications permettant de „tracer“ les contacts dans la société
  2. La mise en place d’unités chargées de la recherche et de l’isolement des citoyens
  3. L’introduction de cartes d’identité biométriques numériques pour contrôler et réglementer la participation à des activités sociales et professionnelles.
  4. L’extension du contrôle des voyages et des transactions de paiement (y compris la suppression des espèces).
  5. La création d’une base juridique pour l’accès et l’intervention des gouvernements ou des entreprises dans les systèmes biologiques des citoyens (par le biais de ce que l’on appelle les « vaccinations obligatoires »).

Aux États-Unis, l’ancien président Bill Clinton a discuté en avril avec les gouverneurs de différents États de la mise en place d’un réseau national de « traceurs de contact ». Le gouverneur de New York, Andrew Cuomo, a alors annoncé qu’avec le milliardaire et ancien maire de la ville de New York, Michael Bloomberg, il créerait une « armée de recherche des contacts » comprenant jusqu’à 17 000 traceurs de contacts pour New York.

Pendant ce temps, au Royaume-Uni et dans de nombreux autres pays, les gouvernements demandent l’introduction de « passeports d’immunité » biométriques et les présentent comme la prétendue „seule issue“ au confinement essentiellement motivé par des raisons politiques. L’Institut britannique Tony Blair a appelé à „l’expansion de la surveillance technologique“ pour „combattre le coronavirus“.

Aux États-Unis, la société d’analyse de données de la Silicon Valley, Palantir, doit jouer un rôle clé dans la mise en place de la plate-forme de données pour la surveillance de la propagation (déjà en déclin) du coronavirus. Palantir est connue pour ses projets informatiques avec les agences de renseignement et l’armée et a été fondée par le milliardaire étatsunien et partisan du Trump, Peter Thiel.

En Israël, la surveillance des contacts avec la population civile est assurée par le service de renseignement intérieur Shin Bet, qui utilise des programmes du célèbre groupe NSO, connu pour ses logiciels d’espionnage utilisés pour surveiller les militants des droits civils et humains dans le monde entier.

Des pays comme la Russie et la Chine veulent également étendre massivement la surveillance de la population à la suite de la prétendue « crise du coronavirus », mais le feront très probablement indépendamment des États-Unis.

L’idée qu’une pandémie puisse être utilisée pour étendre le contrôle de la population n’est pas nouvelle : dès 2010, la Fondation étatsunienne Rockefeller a décrit un « scénario de confinement » dans un document sur les futurs développements technologiques et sociaux, dans lequel les événements actuels étaient anticipés avec une précision impressionnante (pages 18 et suivantes). À l’époque, le scénario était conçu comme une sorte de „pire des cas“ autoritaire.

Entre-temps, plus de 500 scientifiques ont mis en garde, dans une lettre ouverte, contre une « surveillance sans précédent de la société » par le biais d’applications de suivi des contacts.

Le « Center for Health Security » de l’université Johns Hopkins, qui est au cœur de la gestion de la pandémie Covid19 et qui a largement contribué à l’escalade mondiale par ses graphiques trompeurs, est également très étroitement lié à l’appareil de sécurité étatsunien et a participé à certaines de ses simulations et opérations antérieures.

En général, la coopération avec des acteurs privés pour atteindre des objectifs géostratégiques n’est pas un phénomène nouveau ou inhabituel dans la politique étrangère et de sécurité des États-Unis.

Par exemple, le fondateur de Microsoft, Bill Gates, le plus important sponsor privé de l’OMS, de l’industrie des vaccins et des projets d’identification biométrique, a financé dès 2003 un programme de santé mondiale du Conseil étatsunien des relations étrangères, qui s’intéresse à la question de savoir comment la politique de santé influence la géopolitique et, inversement, comment la politique de santé peut être utilisée pour atteindre des objectifs géostratégiques.




La supercherie coronavirus devient toujours plus évidente

Par Jean-Yves Jézéquel

1 – Le dimanche 19 juillet 2020, le Dr. Carrie Madej publiait une vidéo pour expliquer ce qui va se passer avec les vaccins : je renvoie les anglophones à cette vidéo éloquente (ci-bas).

Dans la vidéo suivante, la Dr Carrie Madej s’interroge sur ce que « c’est que d’être humain ». Pourquoi ? Parce que les vaccins dits [antis-] « COVID » utilisent la technologie de l’ADN/ARN qui « recompose » le code génétique tout comme Monsanto, par exemple, recompose le code génétique de nombreuses semences (y compris les tomates, le maïs, etc.), sans parler de l’application de la biotechnologie génétique aux animaux.

(Mark Taliano, « Vaccins contre la COVID » et « Humains génétiquement modifiés », juillet 2020. Ce texte résume la vidéo.)

https://youtu.be/Rrwx8nMlzfw
https://beforeitsnews.com/health/2020/07/an-urgent-warning-from-dr-carrie-madej-must-see-video-3032692.html

2 – Neuf jours plus tôt, le 10 juillet 2020, on pouvait également suivre l’interview de fond et si éclairante, de Celeste Solum sur le vaccin – Former Fema – Vaccine Agenda Exposed (Nano Tech Hydrogel In The Cooties-91 Vaccine) [vidéo en anglais]:
https://www.bitchute.com/video/rLtA2m0gbUee/



3 – Le 19 juillet 2020, sur la chaîne de la télévision israélienne i24 News Direct, on pouvait écouter Le Professeur Yoram Lass, médecin, chercheur et ancien Directeur Général du Ministère de la Santé Israélien, balancer des informations déterminantes sur la crise du coronavirus…

Il expliquait entre-autre que le virus n’est plus là aujourd’hui, pour la simple raison qu’il est mort, que son temps est passé et que désormais on se met à faire des tests par centaines de milliers. Il est tout à fait naturel, expliquait-il, que plus on fera de tests plus on découvrira des porteurs positifs du coronavirus. Le nombre de tests détermine donc le nombre de déclarés « contaminés ». On dit alors qu’ils sont « malades » et que la « situation est grave ». Le Pr Yoram Lass disait qu’en Israël, au moment où il parlait, il y avait 24 personnes au total sous respirateur et pourtant le Gouvernement voulait à tout prix recommencer un nouveau confinement… 

Il poursuivait l’interview en disant :

« Le test PCR n’est pas fiable, puisqu’il ne distingue absolument pas les virus morts des virus vivants, si bien que selon ce test qui est pratiqué en masse aujourd’hui, tout le monde se retrouve dans les « contaminés » déclarés aussitôt « malades » alors que scientifiquement c’est absolument faux et ces milliers de personnes déclarées « malades » parce que testées positifs au coronavirus, sont en réalité parfaitement saines ! » 

Le taux de létalité pour coronavirus en Israël est de 0,8% à ce jour, au regard du nombre de « contaminés » déclaré (le 19 juillet 2020), c’est-à-dire beaucoup moins que les chiffres connus des années antérieures après le passage de la grippe saisonnière. On se demande donc pourquoi faire toute cette falsification autour des « testés positifs » en déclarant faussement que « testé positif = infecté et donc malade » ! Quel est le but de cette falsification et grossière manipulation pratiquée par le ministère de la santé ?! Pour moi, disait le Pr Yoram Lass, il s’agit d’un « comportement hystérique de la part des responsables » et nous allons avoir « plus de morts du massacre économique et du chômage » que de cette maladie qui n’a rien de menaçant ! Il n’y a pas de « seconde vague », tout cela est ridicule et il est temps de redevenir sérieux ! 

En effet, le discours moralisant et alarmiste qui circule actuellement, grâce à des journalistes privés de tout sens critique et de liberté de penser, s’alimente à la source des tests « positifs » qui sont pratiquées massivement aujourd’hui. C’est l’occasion pour maintenir la propagande en alerte et de s’assurer que la peur est bien entretenue elle aussi afin de pouvoir tenir jusqu’à l’arrivée du vaccin qui sera ainsi demandé, attendu impatiemment par une majorité d’abusés. Les directives sur l’obligation du masque en tous lieux sont également faites pour que le message soit clair : nous sommes toujours menacés par le virus (sous-entendu : tant que le vaccin n’a pas été imposé à la population mondiale entière !)

Le Pr Yoram Lass termine en disant :

« les tests ne sont intéressants que pour l’information. Il est aberrant que des chiffres soient diffusés sur le nombre de malades que cela signifie alors qu’une incontestable majorité de ces gens testés « positifs » sont en réalité en pleine forme et ne sont absolument pas malades ! » 

Ce jeu « étrange » de la part des autorités est non seulement insensé mais « irresponsable ». 

Des médecins « collaborateurs » trouvent le moyen de dire, également chez nous en France, que si ces mêmes personnes sont ensuite testées « négatives», cela voudra dire qu’elles se seront « rétablies » ! En réalité elles ne se seront pas « rétablies » puisqu’elles n’étaient pas malades… Il est important que les populations sachent que ce discours de peur sur la « pandémie » est une comédie dont il faut honnêtement se demander quel en est le but réel à part celui que tout le monde a déjà compris : le jackpot des affaires des grands groupes pharmaceutiques… Qui a donc intérêt à faire peur, à soumettre, à imposer des règles liberticides et à détruire massivement l’économie sans rien prévoir pour la repenser sérieusement ? Pourquoi un tel massacre réalisé sans scrupule et avec détermination ? Qui va profiter du crime de masse organisé par ce chantage à la peur ? Que chacun fasse l’effort d’y réfléchir et qu’il trouve par lui-même les réponses évidentes…

On peut déjà dire que cet épisode « confinement pour pandémie coronavirus » n’a fait que révéler le degré de perversion dans lequel se trouvent les gens qui se sont emparés du pouvoir. Désormais la majorité des citoyens a pu mesurer le mensonge habituel dans lequel elle se fait balader à longueur de temps et toute crédibilité des politiques, du moins ce qui en restait, a été balayée… Cela veut dire aussi et annonce les violences qui vont suivre désormais pour les règlements de compte avec ce pouvoir nous ayant méprisés à ce point !

4 – Il y a quelques semaines avant, c’est un autre médecin spécialiste qui nous informait sur cette question tournée en ridicule par les autorités politiques dépassées par leur incapacité à discerner ce qui est juste de ce qui est pervers. Le Dr. Beda M. Stadler, ancien directeur de l’Institut d’immunologie de l’Université de Berne, biologiste et Professeur émérite, une sommité reconnue en Suisse et dans le monde, publiait un article dans le magazine suisse Weltwoche (Semaine mondiale) le 10 juin 2020.

Ce docteur nous expliquait alors qu’il était faux de prétendre que ce virus était nouveau ; qu’il était encore plus faux de prétendre que la population n’aurait pas déjà une certaine immunité contre ce virus ; que c’était le comble de la stupidité que de prétendre qu’une personne pouvait avoir la Covid-19 sans aucun symptôme ou même de transmettre la maladie sans présenter le moindre symptôme. Le contenu de son article expliquait le problème des tests pratiqués pour la détection du Sras-CoV-2. On a vu que le Pr Yoram Lass expliquait très simplement la même chose concernant le mensonge s’appuyant sur les tests…

Je renvoie le lecteur francophone à l’article du Dr Stadler qui a été traduit en français et publié le 10 juillet 2020 sur www.mondialisation.ca. Il trouvera dans cet article toutes les explications d’un scientifique qui sait de quoi il parle. Le titre de son article en dit long sur la supercherie qu’on nous sert à longueur de temps dans les médias, de la part de politiques irresponsables ! « Coronavirus : pourquoi tout le monde s’est trompé. Il ne s’agit pas d’un ‘nouveau virus’. Le conte de fée de l’absence d’immunité »

5 – On peut encore citer l’article de Makia Freeman, publié en français dans mondialisation.ca du 13 juillet 2020, dans lequel elle explique que l’on trouve énormément de coronavirus par les tests qui sont pratiqués en ce moment, mais qu’on n’a toujours pas retrouvé la trace du Sras-CoV2. Elle renvoie le lecteur à une étude qui, en février dernier, insistait déjà sur le fait que les tests ne révélaient aucune preuve de l’existence du virus appelé COVID-19. 

6 – Quand on ajoute à tout cela l’histoire retentissante du LancetGate, on est alors en mesure de comprendre les mensonges scientifiques qui ont été honteusement radotés sur le coronavirus, en découvrant au passage la corruption des grandes sociétés pharmaceutiques. (Cf., article publié par le Professeur Michel Chossudovsky dans mondialisation.ca du 15 juillet 2020.) Pour celui qui a un peu de bon sens, il est devenu hors de question de continuer à faire confiance aux « Comités dit scientifiques » qui n’ont pas hésité à utiliser leur position prestigieuse pour nous abuser. La preuve a été faite qu’on nous menait en bateau et les bornes ont été largement dépassées.

CONCLUSION

Tous ces articles cités et bien d’autres références comme les livres entiers publiés par le Pr Perronne (« Y a-t-il une erreur qu’ils n’ont pas commise ? ») et par le Pr Raoult (« Epidémies, vrais dangers et fausses alertes »), les articles si détaillés du docteur Nicole Delépine (« Covid-19, Genèse et conséquences d’une hystérie mondiale »), nous renvoient à des sources abondantes sur toutes ces questions. Il est insupportable de voir un tel mensonge, sur une soi-disant « pandémie », s’étaler à perte de vue sans que les peuples ne réagissent vigoureusement à ce scandale absolu qui les jette dans un malheur sans nom. 

Le massacre « coronavirus » aura été spectaculaire : l’opération a été « bien menée » par les obscurs commanditaires d’une telle initiative ayant transité par l’OMS et qui reste étrange tout en posant de nombreuses questions importantes non résolues. Il faudra bien que prochainement la lumière soit faite, lorsque tout le monde comprendra obligatoirement à quel point il s’est fait manipuler ! 

Mais au-dessus de tout cela, ce qui restera le plus étonnant, fut le constat général de la naïveté des politiques au pouvoir, comment ils ont été démunis, sans discernement, sans véritable responsabilité, se contredisant sans cesse, mentant ouvertement à répétition et prenant partie pour des guerres de laboratoires ! Chaque personne a une capacité au raisonnement : on peut tabler sur le fait que tout un chacun pourra se poser des questions élémentaires, s’interroger sur la compétence de ceux qui prétendent nous diriger, et tirer des conclusions sur une réalité qui peut nous apparaître aujourd’hui comme évidente, tellement le mensonge a été grossièrement pratiqué par des gens que personne ne peut plus prendre au sérieux !

Jean-Yves Jézéquel


Image en vedette : torange.biz

La source originale de cet article est Mondialisation.ca
Copyright © Jean-Yves Jézéquel, Mondialisation.ca, 2020




Le vaccin rend(ra) libre

[Source : La Newsletter de Michel Dogna]

[Auteur : Michel Dogna]

[NdNM : l’auteur est très affirmatif sur plusieurs points qu’il nous paraît pour l’instant plus sage de considérer comme de simples possibilités plus ou moins probables ou improbables.]


« Le vaccin rend(ralibre »

Ce titre un peu surprenant a été choisi par analogie 
au portique d’entrée du sinistre camp d’Auschwitz :

(Arbeit macht frei)
« Le travail rend libre »

 

Oui, on commence à se lasser de tourner en rond toujours sur les mêmes sujets ! Aussi je vous demande de réaliser que c’est l’avenir de l’humanité et de la planète entière qui se joue en ce moment-même par un immense bras de fer avec les forces du mal pour qui le mensonge est la seule référence morale. Tant pis pour ceux qui refusent d’enlever la purée qu’ils ont dans les yeux. Moi j’ai des bonnes nouvelles, mais pas pour tout le monde…

Depuis le début de l’aventure Covid en décembre 2019, nous avons pu assister à une série continue de mesures sanitaires illogiques contradictoires et catastrophiques s’appuyant sur des décrets suicidaires pour les populations et l’économie, et pouvant laisser croire à une incompétence crasse de la part de la classe dirigeante soumise à l’OMS…

Mais ceux qui pensent naïvement cela sont dans l’erreur, car la seule chose qu’il ne faut jamais perdre de vue, c’est « la solution finale », la vaccination généralisée de toute l’humanité. On veut nous surveiller 24h/24, en nous transformant en robots mi humains mi électroniques, contrôlés à 100% sur les plans de la conscience, de l’intelligence, de la santé physique, et même de la spiritualité.

Ceci est le contrat auquel les pseudo élus « collabos » ont souscrit pour assurer leurs énormes avantages personnels, et tant pis si c’est une haute trahison face aux intérêts du peuple et de la nation qu’ils sont pourtant censés défendre…

Le faux vaccin à la Frankenstein en question sera du type mARN (signifiant ARN modifié )–– En bref nous sommes tous voués à devenir des mammifères OGM programmables à distance par la 5G selon une technique déjà au point depuis des décennies qui est la psychotronique…

Ce n’est pas pour demain mais pour maintenant même !
Il y a le feu au lac les amis !!!

Voyez plutôt cette vidéo de KLA TV allemande, de 6 min 30 :

https://www.youtube.com/watch?v=TD3r7M77GlY&feature=youtu.be

ou     https://youtu.be/TD3r7M77GlY

Comment peut-on continuer à croire à cette frange d’imposteurs qui ne font que nous mentir et nous tromper depuis toujours, et qui nous gouverne à coups de décrets contredisant les lois établies, donc illégaux…

Voyez à ce sujet le document qui suit concernant le port du masque :

LOIS ET DECRETS

(à présenter à la police en cas de verbalisation pour non port du masque)

La loi prévaut toujours sur le décret.

Question : Peut-on cacher son visage dans un lieu public ?

REPONSE DE LA DIRECTION DE L’INFORMATION LEGALE ET ADMINISTRATIVE – MINISTERE DE LA JUSTICE
Vérifié le 17/03/2020

Non, il est interdit de cacher ou de couvrir complètement son visage dans un lieu public : voie publique et lieux ouverts au public ou affectés au service public. La loi prévoit des sanctions pour cette infraction. Les sanctions sont plus lourdes pour celui qui force une autre personne à masquer son visage.

Sanctions possibles :

  • Amende de 150€ maximum, 
    Et/ou un stage de citoyenneté à ses frais.

Textes de référence :

  • Loi n° 2010-1192 du 11 octobre 2010 interdisant la dissimulation du visage dans l’espace public : articles 1 et 2.
  • Code pénal : article 225-4-10
    Peine aggravée en cas de dissimulation forcée du visage :
  • Code pénal : article 645-14 
    Dissimulation du visage dans une manifestation

La guerre de l’info

Bien que les allégations mensongères assénées par les grands médias et surtout la télé aient été toutes battues en brèche par de nombreux virologues, épidémiologistes, et professeurs les plus prestigieux du monde, les acteurs de l’intox sont restés sourds et aveugles à toutes les preuves largement documentées allant à l’encontre de leur propagande scélérate, se contentant de les rejeter d’un revers de main dédaigneux, en n’ayant comme contre arguments que des allégations illogiques et sans preuves de professeurs véreux et corrompus.

Curieusement, toute une partie de la population reste pourtant scotchée à la propagande gouvernementale de la télé (Y aurait-il du subliminal là dessous ?)…

D’autres ténors d’envergure sont arrivés à la rescousse tels les Professeurs Péronne, Toussaint, Montagnier (prix Nobel), Nicole et Gérard Delépine, et d’autres de l’étranger , sans oublier les milliers de médecins bravant l’autorité et risquant leur carrière, ainsi que tous les semeurs d’alertes dont le magnifique travail de ré information sur les réseaux sociaux (Internet), en dépit des censures voire des menaces de la nouvelle dictature, ont fini par récupérer une partie des égarés, ébranlant leurs fausses certitudes…

Tous les héros de cette Résistance ont réussi, malgré l’impossibilité d’accéder à la télé, à déclencher des manifestations monstres de millions de participants (détail : pour la plupart non masqués) présidées par des personnages prestigieux tels Robert Kennedy Junior et David ICKE, en Allemagne, en Angleterre, en Espagne, au Portugal, au Canada, aux USA, et en Amérique du sud (mais pas la France… !!! dont les armes anti manifestations sont meurtrières) pour contester les privations illégales et stupides de nos libertés fondamentales.

L’imposture du test PCR

La nouvelle qui vient de tomber (10 septembre 2020) est ahurissante : les tests du covid-19 seraient trop sensibles, de sorte que 90% des prétendus « testés positifs » ont en réalité une charge virale insuffisante pour être malades ou contagieux.

En effet, alors qu’il faut avoir 100 millions de virus dans un microlitre de prélèvement pour être dans un état inquiétant, on parvient à détecter la présence d’un seul virus, ou même d’un débris de virus, en répétant jusqu’à 45 fois le cycle d’amplification du test PCR.

Ainsi, les charlatans irresponsables, médecins et politiques, qui régissent la dictature sanitaire en France s’emploient à entretenir une panique collective pour une épidémie qui ne fait pratiquement plus de mort depuis mai dernier, en pratiquant des tests inutiles et coûteux par millions.

La grande supercherie des tests PCR, 
est que 90% des cas positifs ne sont ni malades ni contagieux

Témoignage d’une infirmière de laboratoire de prélèvements Covid

Résumé :

  • Nous avons 97% de négatifs.
  • Les 3 % positifs sont sans symptômes ou ont un rhume, voire rarement de la fièvre. Bref un état grippal. 10 personnes à peine hospitalisées sur ma région….
  • Des employeurs mènent un chantage illégal sur leur personnel. C’est de la manipulation.
  •  Arrêtez de faire du mal aux enfants, qui se débattent et hurlent, tellement ça leur fait du mal.
  • Arrêtez de vous faire dépister pour un oui ou pour un non.

À voir ici : https://www.bitchute.com/video/z7ApgjUeHHIa/      (5 mn)

« Je tiens à préciser que le personnel en laboratoire d’analyse médicale n’est pas dépisté. Preuve supplémentaire que tous ces tests sont inutiles. De plus, avec ces tests vous allez être fichés ! »

David Icke dénonce

  • Le test PCR n’est autre qu‘un grand flicage de la population par l’ADN récolté.
  • Les tests PCR permettent d’avoir en réserve l’ADN de millions de gens !
  • Si vous acceptez le test, vous serez fichés !

Voici la preuve : (Propos de David ICKE relevés par le journal L’informateur) :

Les tests PCR ne réagissent qu’à des débris cellulaires. A la base, c’était fait pour la police scientifique afin qu’ils puissent isoler de l’ADN. Le PCR réagit positif à n’importe quoi : une mycose, un rhume, le stress, être enceinte, un herpès, simplement la peur, en fait à plus de… 70 causes. Ce test n’a rien à voir avec le Covid, pas plus qu’avec le Lyme ni avec le VIH…

L’inventeur du test Kary Mullis a expliqué pendant des années que la mafia médicale avait volé son invention pour détecter des maladies alors que ce n’est pas fait pour cela, mais simplement pour isoler l’ADN de quelqu’un à partir de sang que l’on dilue beaucoup de fois, donc à l’usage de la Police Scientifique.

Une bombe :
des milliers de tests (volontairement ?) CONTAMINES !

Ils se permettent tout ! Avec Pierre Jovanovic                 6 min 20

https://www.youtube.com/watch?v=ne2TiDKgsS4&feature=share

Autre source :

Confirmation par le Dr Broussalian reçu par la blogueuse suisse Ema [Krusi]. Pour ceux qui sont pressés commencez à la minute 38 jusqu’à la min 47  (= 9 min)

https://youtu.be/C1xCBJ0HCUA

Qu’en est-il du vaccin promis ?

D’abord, pourquoi un vaccin pour une épidémie grippale qui est terminée et que l’on sait parfaitement soigner par de multiples moyens naturels (en outre scandaleusement combattus et interdits en France)…

Le Covid comme toutes les grippes, après une courbe en cloche éliminant les plus faibles par sélection naturelle, se dégonfle (cas actuel) et meurt ou mute vers autre chose mais on ne sait jamais quoi – c’est pour cela que tous les vaccins anti grippe sont non seulement « bidon » mais aussi dangereux car on sait maintenant qu’ils détruisent les défenses immunitaires générales ; on l’a vu avec les italiens vaccinés qui tombaient comme des mouches par le Covid.

En second lieu il s’agira d’un faux vaccin, ne protégeant contre rien, bourré de nanoparticules qui vont vous transformer en antenne ambulante de la 5G ; votre ADN sera modifié, et vous ne serez plus jamais vous-même…

Déjà rien que par la WI-FI beaucoup sont déjà bien atteints voire irrécupérables…

D’aucuns me demandent s’il est possible d’annuler le vaccin avec de l’homéopathie ou de l’argile. Cà c’est du passé, c’est fini. Nous n’avons aucun moyen pour éliminer les millions de nanoparticules disséminées dans votre corps. Et même si c’était possible, les appareils de contrôle vous refuseraient les accès en tant que « non vaccinés ».
PIRE : Certains scientifiques pensent que la programmation extérieure de l’ADN pourrait être génétiquement transmise aux enfants.

  • Noter que les vaccins vétérinaires n’ont jamais de nanoparticules, ce qui prouve que celles-ci servent bien à modifier le psychisme.

Mais il n’y a pas que cela, il y a la soupe de Frankenstein que l’on injecte déjà aux enfants et même aux bébés à la naissance leur donnant toutes les chances d’avoir un cancer ou une maladie dégénérative grave dix ans plus tard (j’ai déjà diffusé la longue liste)….

Cette fois on tombe carrément dans le satanisme le plus sordide. Les médicaux pro vaccins ne savent-ils pas ce qui va suivre ? Avons-nous atteint le sommet de l’Horreur ?
C’est pire que le film « Le soleil vert » (1973) que l’on peut trouver dans toutes les langues.

Regardez ce que l’on fait avec les fœtus humains dont l’avortement légal (en clair, l’assassinat ) vient d’être discrètement voté jusqu’au 9ème mois, donc viable  :

11 min 30

https://youtu.be/HroGDPQznUA

ALORS TOUT CECI EST-IL UNE INCONTOURNABLE FATALITÉ ?

Oui si personne ne bouge !

Je vais faire simple : tout tourne atour de la réélection de Donald Trump en novembre.
S’il repasse (ce qui qui est probable à 98%), son grand ménage déjà en cours aux USA va s’étendre immédiatement par effet domino sur toute la planète avec l’assistance  des légions galactiques qui l’ont mis en place (renseignez-vous sur les œuvres de Trump réalisées en 3 ans)…

Notre histoire planétaire va repartir sur le bon pied dans tous les domaines vers une civilisation d’Amour et de Respect des œuvres du Créateur. Tous les grands secrets technologiques, spirituels, médicaux, archéologiques, énergétiques, gravitationnels, etc. vont être enfin lâchés – 2021 sera encore chaotique mais dans le bon sens.

S’il ne repassait pas, nous risquerions d’être livrés à nouveau aux griffes de cette organisation mondiale satanique qui a déjà fait tant de mal à l’humanité et à la planète et qui espère encore finir son œuvre de destruction massive.

Ce que je dis est au-delà du politique, c’est de la simple logique éclairée et documentée.   Ceux qui voudraient me faire taire ne peuvent pas avoir des buts nobles.

Rassemblons-nous mes amis
et n’oubliez pas que Trump est la clef !

Servez-vous de votre ordinateur pour en savoir plus .

En attendant, refusez le test, refusez le vaccin 
et osez les libertés de votre choix .

Michel Dogna

A diffuser au maximum

Si vous cherchez les vidéos de Silvano TROTTA,
(censuré inexorablement par You Tube),
il vous suffit d’aller sur la merveilleuse chaîne ODYSEE, ici :

https://odysee.com/@SilvanoTrotta:f

et vous aurez ainsi l’immense plaisir de le retrouver !




Des experts internationaux suggèrent que jusqu’à 90 % des cas canadiens de COVID pourraient être des faux positifs

[Source : Québec Nouvelles.Info]

[Source originale anglaise : Westphalian Times]

Un article d’investigation du New York Times a soulevé des questions sur la validité du test de masse COVID de type PCR utilisé dans les pays du monde entier pour identifier les cas COVID et pour prendre des décisions politiques basées sur ces bilans.

Cela a suscité un débat aux États-Unis, au Royaume-Uni et en Israël, mais pas encore au Canada, même si nous sommes confrontés au même problème.

Alors, comment le régime de test PCR du Canada se compare-t-il à celui des États-Unis? Tout porte à croire qu’il n’est pas beaucoup mieux.

Au cours d’une enquête de deux semaines, le Westphalian Times a interrogé les autorités sanitaires provinciales et les laboratoires de santé publique et a découvert qu’au Canada, la majorité des normes de diagnostic du test COVID-19 sont peut-être trop sensibles pour identifier de manière fiable les personnes souffrant actuellement de COVID et donc pour détecter et isoler celles qui sont infectieuses.

Le Westphalian Times a découvert que, selon d’éminents experts en épidémiologie aux États-Unis et au Royaume-Uni, jusqu’à 90 % des cas canadiens de COVID-19 pourraient être de faux positifs et que les Canadiens testés ne reçoivent pas l’importante statistique de seuil de cycle lorsqu’ils obtiennent un résultat positif à un test COVID.

Nous avons contacté les autorités sanitaires provinciales et les gouvernements de l’Alberta, de l’Ontario, du Québec, de la Colombie-Britannique, du Manitoba, de la Nouvelle-Écosse, de la Saskatchewan et du Nouveau-Brunswick pour déterminer le niveau de sensibilité utilisé dans leur test PCR pour COVID.

Seules deux provinces, le Québec et le Manitoba, ont accepté de partager leurs valeurs Ct de seuil positif, l’une des statistiques essentielles utilisées pour déterminer si le test détecte un virus vivant ou des restes de virus ou une éventuelle contamination.

L’Ontario, la Colombie-Britannique, la Nouvelle-Écosse et la Saskatchewan ont refusé de partager leurs informations sur les tests PCR. La Colombie britannique a déclaré qu’elle n’avait pas la “capacité” de récupérer ces informations. Cependant, la Saskatchewan nous a fourni une étude du Journal of Clinical Virology datant de juillet 2020 qui comprenait les données des laboratoires provinciaux sur les tests PCR et les seuils de positivité utilisés par chaque province.

La raison pour laquelle la Colombie-Britannique a déclaré ne pas avoir la capacité de récupérer ces données n’est pas claire, car elles ont été publiées dans l’article du journal fourni par la Saskatchewan. L’Alberta et le Nouveau-Brunswick n’ont pas du tout répondu à nos demandes.

Expliquer le test PCR et l’importance du seuil de cycle

Le test COVID actuel est basé sur la réaction en chaîne de la polymérase (PCR) – une “technique rapide et peu coûteuse utilisée pour “amplifier” – copier – de petits segments d’ADN“. De nombreux experts de renommée internationale en virologie et en tests PCR se demandent si les tests ont été rendus trop sensibles et si de nombreux positifs sont le résultat d’une vieille charge virale non-contagieuse ou même d’une contamination en laboratoire.

Le test PCR a été inventé pour trouver du matériel viral génétique dans un échantillon et n’a pas été traditionnellement utilisé comme seule méthode pour identifier les personnes souffrant d’une maladie virale ou bactérienne.

Le test COVID est généralement effectué à l’aide d’un écouvillon nasopharyngé, un écouvillon de 6 pouces de long inséré profondément dans la narine. L’écouvillon est tourné pendant un certain temps, puis il est envoyé à un laboratoire où un test PCR amplifiera considérablement la quantité de matériel génétique capturé, puis le comparera à l’ADN ou à l’ARN d’un segment particulier du virus COVID (ARN de référence).

Pour obtenir suffisamment de matériel génétique à tester, le processus PCR augmente le matériel génétique présent en le copiant puis en le recopiant encore et encore. Chacune de ces étapes croissantes est appelée “cycle” et le matériel génétique de la solution est mis en réaction contre l’ADN de référence pour déterminer un résultat positif.

Si l’échantillon contient une grande quantité de virus COVID, il réagira positivement après seulement quelques cycles, tandis qu’un échantillon contenant de petites quantités de matériel génétique nécessitera plus de cycles pour amplifier suffisamment de matériel génétique pour obtenir un résultat positif.

Comme le test PCR amplifie les traces de COVID-19 par cycles, un nombre de cycles plus faible pour obtenir un résultat positif suggère la présence d’une charge virale plus élevée pour la personne testée et donc un potentiel de contagion plus élevé.
Le nombre de cycles nécessaires pour identifier le matériel viral dans un échantillon donné est appelé seuil de cycle (Ct).

Le 29 août, Apoorva Mandavilli du New York Times a publié un article intitulé : “Votre test de dépistage du coronavirus est positif. Peut-être qu’il ne devrait pas l’être“. Mandavilli a interviewé d’éminents virologistes au sujet des tests PCR actuellement effectués aux États-Unis. Elle a indiqué que dans de nombreuses régions des États-Unis, les seuils de cycle pour le test sont fixés à un niveau très élevé, souvent jusqu’à 40 cycles. De nombreux experts éminents pensent que ce seuil est trop élevé.

Le professeur Michael Mina, épidémiologiste à l’école de santé publique T.H. Chan de Harvard, a suggéré que ces tests pourraient détecter non seulement les virus vivants mais aussi les fragments génétiques laissés par une infection antérieure, “comme si l’on trouvait un cheveu dans une pièce longtemps après que la personne soit partie. Il est bien établi dans la recherche COVID que les tests PCR pourraient trouver des résultats positifs pour des infections qui ont pris fin plus de deux mois auparavant.

Dans un tweet, Mina s’est fait l’écho de ce même sentiment en déclarant que:

“Tout test avec un seuil de cycle supérieur à 35 est trop sensible, a convenu Juliet Morrison, virologue à l’université de Californie, Riverside. “Je suis choquée que les gens pensent que 40 puisse représenter un résultat positif”, a-t-elle déclaré au New York Times.

Le Dr Mina, de Harvard, a déclaré au Times qu’il fixerait le seuil du cycle à 30, voire moins. Il n’est pas le seul expert à le dire. Le professeur d’Oxford, le Dr Carl Heneghan, rédacteur en chef du British Medical Journal Evidence Based Medicine, a abondé dans le même sens, en déclarant sur Twitter que les laboratoires devraient fixer le Ct maximum à 30 cycles.

https://twitter.com/carlheneghan/status/1303220734689501184?ref_src=twsrc%5Etfw%7Ctwcamp%5Etweetembed%7Ctwterm%5E1303220734689501184%7Ctwgr%5Eshare_3&ref_url=https%3A%2F%2Fquebecnouvelles.info%2Fdes-experts-internationaux-suggerent-que-jusqua-90-des-cas-canadiens-de-covid-pourraient-etre-des-faux-positifs%2F

De même, lors d’une apparition sur CNN, le Dr Mina a déclaré :

“Beaucoup de positifs que nous trouvons sont probablement des personnes qui étaient peut-être contagieuses la semaine dernière ou il y a quelques semaines mais qui le sont depuis plus longtemps, mais ces tests peuvent encore détecter essentiellement les restes de l’infection précédente”.

https://twitter.com/CuomoPrimeTime/status/1306437573041152002?ref_src=twsrc%5Etfw%7Ctwcamp%5Etweetembed%7Ctwterm%5E1306437573041152002%7Ctwgr%5Eshare_3&ref_url=https%3A%2F%2Fquebecnouvelles.info%2Fdes-experts-internationaux-suggerent-que-jusqua-90-des-cas-canadiens-de-covid-pourraient-etre-des-faux-positifs%2F

Pour quantifier le problème, un échantillon qui se déclare positif à un Ct de 30 peut avoir jusqu’à mille fois plus d’ARN viral qu’un échantillon qui se déclare positif à un CT de 40.

Le NYT rapporte que le seuil de cycle n’est généralement jamais inclus dans les résultats des tests donnés aux patients COVID-positve et à leurs médecins aux États-Unis. Les experts pensent que cela rend difficile pour les patients et les médecins de savoir s’il y a un risque de contagion. Le Westphalian Times n’a pas pu trouver une seule province qui communique la statistique Ct aux patients canadiens qui obtiennent un test PCR COVID positif.

Une personne dont le test est positif avec un nombre de cycles de 20, par exemple, devrait certainement s’isoler et se mettre en quarantaine parce que sa charge virale est susceptible d’être élevée, ce qui facilite la propagation involontaire du virus.

Cependant, une personne dont le test de dépistage est positif avec un nombre de cycles de 35 à 40 n’est très probablement pas contagieuse et n’aurait pas besoin de s’isoler parce que sa charge virale serait extrêmement faible.

Selon des études publiées, les laboratoires de santé publique n’ont jusqu’à présent trouvé aucun virus vivant chez les patients dont le test était positif après 34 cycles ou plus. La grande majorité des laboratoires n’ont aucun problème à cultiver des virus vivants en dessous de 25 cycles, mais il devient de plus en plus difficile de trouver des virus vivants à mesure que le nombre de Ct augmente – il n’existe que quelques exemples dans la littérature scientifique de laboratoires capables de trouver et de cultiver des virus COVID vivants à 30 cycles ou plus.

Source : La Scola, B., Le Bideau, M., Andreani, J. et al. Charge d’ARN viral déterminée par culture cellulaire comme outil de gestion pour la sortie des patients atteints du SRAS-CoV-2 des services des maladies infectieuses. Eur J Clin Microbiol Infect Dis 39, 1059-1061 (2020). https://doi.org/10.1007/s10096-020-03913-9
Source : Gniazdowski V, Morris P, Wohl S et al. Repeat COVID-19 molecular testing : correlation with recovery of infectious virus, molecular assay cycle thresholds, and analytical sensitivity.medRxiv 2020.08.05.20168963 ; doi : https://doi.org/10.1101/2020.08.05.20168963

Le Times a constaté que “jusqu’à 90 % des personnes testées positives étaient à peine porteuses de virus” dans le Massachusetts, New-York et le Nevada parce qu’elles ont reçu un test positif avec un nombre élevé de cycles, ce qui signifie que leur charge virale était extrêmement faible

De tels cas ne devraient même pas nécessiter la recherche des contacts, selon le Dr Mina qui s’est entretenu avec le Times : “Des tests avec des seuils aussi élevés peuvent détecter non seulement des virus vivants mais aussi des fragments génétiques, des restes d’infection qui ne présentent aucun risque particulier – comme si l’on trouvait un cheveu dans une pièce longtemps après qu’une personne en soit partie.

Préoccupations internationales mais un silence étudié au Canada

Le Westphalian Times a contacté Nathalie Grandvaux, présidente de la Société canadienne de virologie, codirectrice du Réseau Québécois COVID, directrice du Laboratoire d’interaction virus-hôte au CHUM et professeur à l’Université de Montréal pour discuter des tests COVID-19 au Canada et de la réponse du gouvernement.

Lors de la discussion sur la question des tests PCR et des cycles de Ct, le Dr Grandvaux n’était pas tout à fait d’accord avec le Dr Mina ou le Dr Heneghan, disant que ce n’est pas aussi clair et qu’il y a de nombreux facteurs qui entrent en jeu pour décider des seuils maximums de Ct à utiliser. Elle a déclaré qu’il était “très difficile d’établir une corrélation entre le Ct et la charge virale du virus. Je ne pense pas qu’on puisse faire cela”.

Lorsqu’on lui a demandé si elle était d’accord avec le seuil de 30 Ct suggéré par Mina et Heneghan, le Dr Grandvaux a répondu :

“Je ne pense pas que nous puissions donner un chiffre magique qui puisse être utilisé pour le monde entier, dans chaque laboratoire, avec chaque méthode. Je ne pense pas que nous puissions faire cela”. Elle a reconnu que “si vous avez des Ct très faibles et beaucoup d’ARN du virus, cela signifie qu’il y avait beaucoup de virus… même si votre échantillonnage n’était pas si bon… mais je ne pense pas que nous puissions faire un seuil général pour les seuils maximums”.

“Par ces méthodes, nous prenons des personnes qui ont une très faible quantité d’ARN, mais les données qui nous manquent pour tirer de bonnes conclusions sur les [valeurs de Ct] sont de grandes études qui mettent en corrélation les Ct avec le fait de prendre les mêmes échantillons et de les mettre en culture pour voir si l’échantillon se reproduit encore. Cela aiderait à déterminer si ces Ct très élevés des échantillons ne sont plus contagieux, mais nous n’avons pas ces données avec les grandes études. Nous n’avons que peu d’études”.

“Mais même si nous en avons, cela ne signifie pas que les gens ne sont pas contagieux (cas à Ct élevé positif). La seule façon de le savoir serait de prendre des personnes dans un projet de recherche et de mesurer leur Ct et de les mettre en contact avec d’autres personnes pour voir si elle se transmet”. En disant pour des raisons éthiques “nous ne pouvons pas faire cela”, mais “nous pourrions avoir un modèle animal pour le faire”.

Contrairement à d’autres experts sur cette question, M. Grandvaux estime qu’en cas de pandémie, il faut continuer à utiliser des Ct élevés par prudence : “Mais dans une situation de pandémie, je pense que c’est le moyen le plus sûr de prendre même les personnes ayant une faible charge virale et de s’assurer qu’elles ne contaminent pas d’autres personnes si elles sont encore contagieuses parce que nous ne savons pas”.

Ce sentiment n’est pas unique à Grandvaux. Le Premier ministre écossais, Nicola Sturgeon, a dit exactement la même chose en Écosse lors de récentes discussions sur la question de savoir si les tests PCR donnent ou non un trop grand nombre de faux positifs. Elle a déclaré qu’elle préférait “pécher par excès de prudence” en attrapant “autant de cas que possible” lors des tests Covid, même si cela signifie générer davantage de faux positifs.

Ce débat important se déroule en public en Ecosse, au Royaume-Uni, en Israël et aux Etats-Unis. Au Canada, la situation est bien différente. Les Canadiens sont tenus dans l’ignorance des préoccupations d’éminents experts et nous ne savons pas si nos responsables de la santé publique examinent cette question.

Jusqu’à présent, pas un seul grand média n’a traité de cette question. Le Westphalian Times est le premier média canadien à rendre compte des seuils de cycle et des tests PCR COVID.

Valeurs Ct des laboratoires canadiens (des experts éminents disent que tout ce qui dépasse 30 est possiblement trop élevé):

Province Seuil de positivité (Ct) Source
QC 45 Le Laboratoire de sainté publique du Québec (LSPQ)
MB 40 Government of Manitoba
BC 35-40 Journal of Clinical Virology
AB 35 Journal of Clinical Virology
NB 40 Journal of Clinical Virology
NL 33 Journal of Clinical Virology
NS 33-35 Journal of Clinical Virology
ON 38-45 Journal of Clinical Virology
SK 36 Journal of Clinical Virology




Covid 19 : Les masques, les Tests, les médias Main Stream… vus par un gendarme

[Source : Profession gendarme]

Covid 19 : Les masques, les Tests PCR, l’hydroxychloroquine, le Rivotril (le décret autorisant l’assassinat), les médias Main Stream…

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Un camarade gendarme, lecteur assidu de Profession-Gendarme, répond à l’un de nos lecteurs à la suite d’un commentaire sur le site.

Des médecins commencent à se libérer du carcan de l’O.M.S. et suivant le serment d’Hippocrate s’expriment en fonction des connaissances médicales acquises.

Nous avons voulu partager avec vous ce commentaire qui donne matière à réflexion.

«La philosophie nous enseigne à douter de ce qui nous paraît évident. La propagande, au contraire, nous enseigne à accepter pour évident ce dont il serait raisonnable de douter. »

Aldous Huxley, Retour au meilleur des mondes


Il faut d’abord rappeler qu’initialement au début mars et depuis toujours d’ailleurs les masques n’étaient pas recommandés pour une utilisation grand public et ces recommandations figuraient noir sur blanc dans les documents O.M.S.

D’ailleurs, encore dans les dernières recommandations il est bien précisé qu’il n’y avait aucune preuve de l’efficacité de ces masques grand public.
D’autre part les boites de masques dit chirurgicaux précisent bien que ce ne sont pas des dispositifs médicaux et les boites mises en vente après l’apparition du covid précisent même que ça ne protège en aucune manière des virus et de celui-ci en particulier.
Ce qui était exigé pour l’hydroxychloroquine à savoir les ECR (Essais Contrôlés Randomisés) ont fait l’objet de nombreuses études internationales sans attendre l’arrivée du Covid 19 pour les masques et la sanction est sans appel ils sont inefficaces et même dangereux pour toutes les affections respiratoires. D’abord ils ne servent à rien  en raison du mode de transmission, le fluide aérien, et de la disproportion entre les mailles du filtre et la taille des virus à retenir.
Ils sont dangereux car ils empêchent une respiration normale, accumulent de l’humidité, des bactéries, virus et autres champignons et obligent à ré-inspirer ses propres exhalaisons et miasmes divers dont des virus.

Il n’aura échappé à personne que les masques étaient prévus pour les soignants et les malades dans des actes de soins où il ne s’agit ni de faire un cent mètres ni simplement de se déplacer, chaleur ou pas d’ailleurs.

Cette décision aberrante de port généralisé du masque n’est pas une mesure d’ordre sanitaire mais strictement politique pour imposer des mesures coercitives inutiles à la population et tester sa soumission à une dictature qui ne dit pas son nom.
Le prétexte de la reprise des cas est une fausse nouvelle puisque non lié à la maladie mais à la multiplication des tests qui ne sont pas fiables quelque soit le principe.

Les tests PCR aux dires même de son inventeur, prix Nobel pour cela, ils ne doivent servir qu’à la recherche et non au diagnostic médical, les tests sérologiques en laboratoire ne peuvent pas conclure de façon certaine au statut du testé quant aux tests automatiques ils sont une escroquerie couverte par le ministère de la santé puisque le physicien de la société chargée de leur contrôle a dénoncé leur nullité mais qu’ils ont malgré cet avis été homologués par le ministère (Cf interview David Mandel par le Media).

Il y a donc dans cette gesticulation des tests encore beaucoup de conflits d’intérêts qui pèsent tant sur la santé des testés que sur le budget de la sécurité sociale en pure perte.

Quant à l’évocation des ordres professionnels ce sont justement des institutions mises en place pour le contrôle des médecins, en l’occurrence  dans une triste période de l’histoire de France.

Faut-il encore rappeler que le traitement d’une maladie est une affaire de colloque singulier entre le médecin et son patient et que ce n’est pas à l’état de signer un décret assassin et s’il y a encore une justice en France les signataires de ce décret devront rendre des comptes.

S’il faut proposer une solution aussi simpliste que votre raisonnement contentez-vous donc de porter un masque si ça vous chante puisque selon vos principes il vous protégera et laissez ceux qui ne veulent pas en porter se suicider sans masque.
C’est le même raisonnement que pour les vaccins modernes, ceux qui pensent que c’est pour leur bien se feront vacciner et les autres préfèreront faire confiance à leur système immunitaire que nos bons conseillers scientifiques et nos gouvernants n’évoquent jamais depuis le début de la crise.
C’est donc bien que la santé des français n’est pas leur préoccupation majeure et qu’ils préfèrent favoriser celle des opérateurs de la mal bouffe de l’agro-alimentaire et ensuite les médicaments toxiques de Bigpharma plutôt que d’inciter la population à se maintenir naturellement en bonne santé.
Grâce à l’ignorance entretenue nos dirigeants favorisent la maladie au lieu de promouvoir la santé. Ils préfèrent voir l’homme comme une somme de maladies possibles plutôt que de le voir comme un tout, de façon plus holistique.

Alors après avoir lu ces quelques explications soit vous êtes de bonne foi et vous allez procéder à vos propres recherches sans céder au réflexe psittaciste des media Main Stream soit vous êtes un troll au service d’une dictature en marche et vous allez sévir sur un autre site car les gendarmes même retraités n’avalent pas n’importe quelle baliverne.

Encore merci à tous ces médecins, infirmières et autres soignants qui disent la vérité au risque de se voir sanctionnés par des instances indignes de leurs responsabilités et qui aussi auront un jour des comptes à rendre aux français.




Le directeur scientifique de Pfizer déclare que la « deuxième vague » a été truquée lors de tests covid faussement positifs, « la pandémie est terminée ».

[Source : Anguille sous roche]

[NdNM : on peut difficilement accuser le Dr Mike Yeadon, ancien vice-président et directeur scientifique de Pfizer, d’être un complotiste.]

Dans un développement étonnant, l’ancien directeur scientifique du géant pharmaceutique Pfizer déclare qu’« il n’y a aucune science qui suggère qu’une deuxième vague devrait se produire ». L’initié de « Big Pharma » affirme que des résultats faussement positifs provenant de tests COVID intrinsèquement peu fiables sont utilisés pour fabriquer une « deuxième vague » basée sur de « nouveaux cas ».

Le Dr Mike Yeadon, ancien vice-président et directeur scientifique de Pfizer pendant 16 ans, affirme que la moitié, voire « presque tous » les tests COVID sont des faux positifs. Le Dr Yeadon affirme également que le seuil d’immunité collective peut être beaucoup plus bas que ce que l’on pensait auparavant, et qu’il a peut-être déjà été atteint dans de nombreux pays.

Dans une interview accordée la semaine dernière, on a demandé au Dr Yeadon :

« nous basons une politique gouvernementale, une politique économique, une politique des libertés civiles, en termes de limitation des personnes à six personnes dans une réunion… toutes basées sur, ce qui pourrait bien être, des données complètement fausses sur ce coronavirus ? »

Le Dr. Yeadon a répondu par un simple « oui ».

Le Dr. Yeadon a déclaré dans l’interview que, étant donné la « forme » de tous les indicateurs importants dans une pandémie mondiale, tels que les hospitalisations, l’utilisation des soins intensifs et les décès, « la pandémie est fondamentalement terminée ».

Le Dr Yeadon a déclaré dans l’interview :

« Sans les données de test que vous obtenez tout le temps à la télévision, vous concluriez à juste titre que la pandémie est terminée, car il ne s’est rien passé de bien important. Bien sûr, les gens se rendent à l’hôpital, à l’approche de la saison automnale de la grippe… mais aucune donnée scientifique ne permet d’affirmer qu’une deuxième vague devrait se produire. »

Dans un article publié ce mois-ci, co-écrit par Yeadon et deux de ses collègues, « Quelle est la probabilité d’une seconde vague ? », Les scientifiques écrivent:

« Il a été largement observé que dans tous les pays fortement infectés en Europe et dans plusieurs États américains, la forme des courbes de mortalité quotidienne en fonction du temps est similaire à celle du Royaume-Uni. Beaucoup de ces courbes sont non seulement similaires, mais presque super imposable . »

Les données relatives au Royaume-Uni, à la Suède, aux États-Unis et au monde entier montrent que dans tous les cas, les décès ont augmenté de mars à la mi- ou à la fin avril, puis ont commencé à diminuer progressivement selon une pente douce qui s’est aplatie vers la fin juin et qui se poursuit encore aujourd’hui. Cependant, les taux de cas, basés sur des tests, augmentent et oscillent de façon sauvage vers le haut et vers le bas.

Le discours médiatique aux États-Unis augmente déjà les attentes d’une « deuxième vague ».

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Le taux de survie au COVID est maintenant estimé à 99,8 %, comme pour la grippe, avec une immunité antérieure aux lymphocytes T

Le taux de survie de COVID-19 a été amélioré depuis le mois de mai pour atteindre 99,8 % des infections. Ce taux se rapproche de celui de la grippe ordinaire, dont le taux de survie est de 99,9 %. Bien que le COVID puisse avoir des séquelles graves, la grippe ou toute maladie respiratoire peut également en avoir. Le taux de survie actuel est bien plus élevé que les premières estimations sombres de mars et avril, citées par le Dr Anthony Fauci, de 94 %, soit 20 à 30 fois plus meurtrier. La valeur du taux de mortalité par infection (IFR) acceptée par Yeadon et al dans le document est de 0,26 %. Le taux de survie d’une maladie est de 100 % moins l’IFR.

Le Dr Yeadon a souligné que la « nouvelle » contagion COVID-19 n’est nouvelle que dans le sens où il s’agit d’un nouveau type de coronavirus. Mais, a-t-il dit, il existe actuellement quatre souches qui circulent librement dans la population, le plus souvent liées au rhume.

Dans l’article scientifique, Yeadon et al écrivent :

« Il y a au moins quatre membres de la famille bien caractérisés (229E, NL63, OC43 et HKU1) qui sont endémiques et provoquent certains des rhumes courants que nous connaissons, surtout en hiver. Ils présentent tous une similitude de séquence frappante avec le nouveau coronavirus. »

Les scientifiques affirment qu’une grande partie de la population possède déjà, sinon des anticorps contre le COVID, du moins un certain niveau d’immunité des « cellules T » contre l’exposition à d’autres coronavirus apparentés, qui circulaient bien avant le COVID-19.

Les scientifiques écrivent :

« Une composante majeure de notre système immunitaire est le groupe de globules blancs appelés cellules T, dont le travail consiste à mémoriser un petit morceau du virus avec lequel nous avons été infectés, afin que les bons types de cellules puissent se multiplier rapidement et nous protéger si nous contractons une infection connexe. Des réponses au COVID-19 ont été démontrées dans des dizaines d’échantillons de sang prélevés sur des donneurs avant l’arrivée du nouveau virus. »

En introduisant l’idée qu’une certaine immunité préalable à COVID-19 existait déjà, les auteurs de « How Likely is a Second Wave ? » écrivent :

« Il est maintenant établi qu’au moins 30 % de notre population avait déjà une reconnaissance immunologique de ce nouveau virus, avant même son arrivée… COVID-19 est nouveau, mais les coronavirus ne le sont pas. »

Ils poursuivent en disant qu’en raison de cette résistance préalable, seuls 15 à 25 % d’une population infectée peuvent suffire pour atteindre l’immunité de troupeau :

« …les études épidémiologiques montrent que, avec l’ampleur de l’immunité préalable que l’on peut maintenant raisonnablement supposer, seuls 15-25 % de la population infectée sont suffisants pour stopper la propagation du virus… »

Aux États-Unis, si l’on accepte un bilan de 200 000 morts et un taux de mortalité lié à l’infection de 99,8 %, cela signifie que pour chaque personne décédée, il y aurait environ 400 personnes infectées qui auraient survécu. Cela signifierait environ 80 millions d’Américains, soit 27 % de la population. Cela touche le seuil d’immunité collective de Yeadon et de ses collègues.

Les auteurs disent :

« La littérature actuelle montre qu’entre 20 et 50 % de la population présente cette réactivité des cellules T pré-pandémique, ce qui signifie que nous pourrions adopter une valeur de population initialement sensible de 80 à 50 %. Plus la susceptibilité initiale réelle est faible, plus nous sommes sûrs d’avoir atteint un seuil d’immunité collective (HIT). »

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La deuxième vague de faux positifs

À propos du test PCR, le test COVID le plus répandu dans le monde, les auteurs écrivent :

« plus de la moitié des positifs sont susceptibles d’être faux, potentiellement tous. »

Les auteurs expliquent que ce que le test PCR mesure réellement est « simplement la présence de séquences d’ARN partielles présentes dans le virus intact », qui pourrait être un morceau de virus mort qui ne peut pas rendre le sujet malade, et ne peut pas être transmis, et ne peut pas rendre quelqu’un d’autre malade.

« …un vrai positif n’indique pas nécessairement la présence d’un virus viable. Dans les études limitées réalisées à ce jour, de nombreux chercheurs ont montré que certains sujets restent positifs par PCR longtemps après que la possibilité de cultiver le virus à partir de prélèvements a disparu. Nous appelons cela un “positif à froid” (pour le distinguer d’un “positif à chaud”, une personne réellement infectée par un virus intact). Le point essentiel des “positifs au froid” est qu’ils ne sont pas malades, ne présentent pas de symptômes, ne vont pas en présenter et, de plus, sont incapables d’infecter d’autres personnes. »

Dans l’ensemble, le Dr Yeadon avance l’argument selon lequel toute « deuxième vague » de COVID, et tout cas de confinement par les gouvernements, compte tenu des principes bien connus de l’épidémiologie, sera entièrement fabriquée.

Ce mois-ci, à Boston, un laboratoire a suspendu les tests de dépistage du coronavirus après la découverte de 400 faux positifs.

Une analyse du test basé sur le PCR sur le site médical medrxiv.org indique :

« les données sur les tests basés sur le PCR pour des virus similaires montrent que les tests basés sur le PCR produisent suffisamment de résultats faux positifs pour rendre les résultats positifs très peu fiables dans un large éventail de scénarios du monde réel. »

Le professeur Carl Heneghan de l’université d’Oxford, directeur du Centre for Evidence-Based Medicine d’Oxford, écrit dans un article de juillet « Combien de diagnostics COVID sont des faux positifs ? »

« en partant des pratiques et des résultats des tests actuels, il se peut que Covid-19 ne disparaisse jamais. »

Bien sûr, le cas le plus célèbre de manque de fiabilité d’un test PCR a été lorsque le président de la Tanzanie a révélé au monde entier qu’il avait secrètement envoyé des échantillons d’une chèvre, d’un mouton et d’un fruit de papaye à un laboratoire de test COVID. Ils sont tous revenus positifs pour le COVID.

Fabriqué en Chine

En août, le gouvernement suédois a découvert 3700 faux positifs COVID à partir de kits de test fabriqués par la société chinoise BGI Genomics. Les kits ont été approuvés en mars par la FDA pour une utilisation aux États-Unis.

Les deuxièmes vagues de coronavirus ne sont pas normales

Le Dr Yeadon a contesté l’idée que toutes les pandémies se déroulent en vagues successives, citant deux autres épidémies de coronavirus, le virus du SRAS en 2003 et le MERS en 2012. Ce qui peut sembler être deux vagues peut en fait être deux vagues uniques se produisant dans des régions géographiques différentes. Ils affirment que les données recueillies lors des épidémies relativement récentes du SRAS en 2003 et du MERS confirment leur thèse.

Dans le cas du MERS :

« il s’agit en fait de plusieurs vagues uniques affectant des populations géographiquement distinctes à différents moments de la propagation de la maladie. Dans ce cas, le premier pic important a été observé en Arabie Saoudite, avec un second pic quelques mois plus tard en République de Corée. Analysée individuellement, chaque zone a suivi un événement unique typique… »

Dans l’interview, interrogé sur l’épidémie de grippe espagnole de 1918, qui s’est produite par vagues successives pendant la Première Guerre mondiale, Yeadon a souligné qu’il s’agissait d’un type de virus entièrement différent, qui ne faisait pas partie de la famille des coronavirus. D’autres ont mis en cause la malnutrition générale du début du siècle et les conditions insalubres. Les soldats de la Première Guerre mondiale, durement touchés, vivaient dans la boue froide et dans les pires conditions imaginables pour la résistance immunitaire.

Vagues de coronavirus MERS en Arabie Saoudite et en Corée

Les confinements ne fonctionnent pas

Un autre argument avancé par Yeadon et al dans leur article de septembre est qu’il n’y a pas eu de différence dans les résultats liés aux confinements.

Ils disent :

« La forme de la courbe des décès en fonction du temps implique un processus naturel et non un processus résultant principalement d’interventions humaines… La Suède est connue pour avoir adopté une approche presque de laissez-faire, avec des conseils qualifiés donnés, mais pas d’enfermement généralisé. Pourtant, son profil et celui du Royaume-Uni sont très similaires. »

Yeadon aux manières douces démolit l’homme qui a tout commencé, le professeur Neil Ferguson

L’ancien dirigeant et scientifique de Pfizer pointe du doigt un ancien collègue qui a été réprimandé pour son rôle dans la pandémie, le professeur Neil Ferguson. Ferguson a enseigné à l’Imperial College alors que Yeadon y était affilié. Le modèle informatique de Ferguson a fourni aux gouvernements la justification nécessaire pour lancer des ordres draconiens qui ont transformé du jour au lendemain des sociétés libres en prisons virtuelles. Sur ce qui est maintenant estimé par les CDC comme un virus avec un taux de survie de 99,8 %.

Le Dr. Yeardon a déclaré dans l’interview qu’« aucun scientifique sérieux ne donne de validité » au modèle de Ferguson.

Parlant avec un mépris à peine voilé pour Ferguson, le Dr. Yeardon a pris un malin plaisir à le souligner à son interlocuteur :

« Il est important que vous sachiez que la plupart des scientifiques n’acceptent pas que le modèle de Ferguson était même légèrement juste… mais le gouvernement est toujours attaché à ce modèle. »

Yeardon se joint à d’autres scientifiques pour fustiger les gouvernements qui suivent le modèle de Ferguson, dont les hypothèses sont à la base de tous les confinements mondiaux. L’un de ces scientifiques est le Dr Johan Giesecke, ancien chef scientifique du Centre européen de contrôle et de prévention des maladies, qui a qualifié le modèle de Ferguson de « document scientifique le plus influent » de mémoire, et aussi « l’un des plus erronés ».

C’est le modèle de Ferguson qui a soutenu que des mesures d’« atténuation » étaient nécessaires, c’est-à-dire la distanciation sociale et la fermeture d’entreprises, afin d’éviter, par exemple, que plus de 2,2 millions de personnes meurent de la maladie de Crohn aux États-Unis.

Ferguson a prédit que la Suède paierait un prix terrible pour l’absence de confinement, avec 40 000 décès dus au COVID d’ici le 1er mai, et 100 000 d’ici le mois de juin. Le nombre de décès en Suède est maintenant de 5800. Le gouvernement suédois affirme que cela coïncide avec une saison de grippe légère. Bien qu’initialement plus élevé, le taux de mortalité par habitant en Suède est maintenant inférieur à celui des États-Unis, ce qui a été réalisé sans les terribles dommages économiques qui continuent à se produire aux États-Unis. La Suède n’a jamais fermé de restaurants, de bars, d’établissements sportifs, la plupart des écoles ou salles de cinéma. Le gouvernement n’a jamais ordonné aux gens de porter des masques.

Le Dr Yeadon parle avec amertume des vies perdues à cause des politiques de confinement, et des innombrables vies « sauvées » qui seront encore perdues, à cause d’importantes opérations chirurgicales et d’autres soins de santé différés, si le confinement est réimposé, .

Yeardon est un entrepreneur prospère, fondateur d’une société de biotechnologie qui a été rachetée par Novartis, un autre géant pharmaceutique. L’unité de Yeadon chez Pfizer était l’Unité de recherche sur l’asthme et les maladies respiratoires. (Yeadon, liste partielle des publications).

La Suède pendant les « confinements » internationaux

Pourquoi tout cela arrive-t-il ? Un membre du Congrès américain se dit convaincu du « plan du gouvernement » visant à maintenir le confinement jusqu’à ce qu’un vaccin soit obligatoire. Des théories du complot ?

La liste des nouvelles s’allonge, ce qui reflète défavorablement le récit qui se joue sur les grandes chaînes de télévision, d’un mystérieux « nouveau » virus qui n’a été contrôlé que par une attaque sans précédent contre les droits et libertés individuels, maintenant prêt à bondir à nouveau, sur des populations déjà en souffrance qui n’ont d’autre choix que de se soumettre à de nouvelles injonctions gouvernementales.

Les gouverneurs ont tranquillement étendu leurs pouvoirs indéfiniment en déplaçant le poteau de but, sans le dire, de « l’aplatissement de la courbe » pour soulager la pression sur les hôpitaux, à « aucun nouveau cas ». De « pandémie », à « cas-démic ».

En Allemagne, une organisation de 500 médecins et scientifiques allemands s’est formée, qui affirment que la réponse du gouvernement au virus COVID a été largement disproportionnée par rapport à la gravité réelle de la maladie.

Les preuves de la tromperie s’accumulent. Les CDC et le groupe de travail américain sur les coronavirus, dirigé par le Dr Deborah Birx, affirment tous deux que la définition du décès par COVID a été souple et que les règles favorisent l’appellation COVID chaque fois que cela est possible. Cela ouvre la possibilité d’un nombre de décès largement gonflé. À New York, l’administration du gouverneur Andrew Cuomo fait l’objet d’une enquête fédérale pour avoir signé les arrêts de mort de milliers de personnes âgées en maison de retraite, alors que l’État a envoyé des patients COVID dans les maisons de retraite, malgré les objections impuissantes des cadres et du personnel de ces établissements.

Pourquoi les grands médias ignorent-ils ce qui semblerait être un sujet éminemment médiatique, une rockstar de l’industrie comme Yeadon, en criant les plus grandes armes du monde de la santé publique ? Les talk-shows du dimanche, les Chris Wallace et Meet the Press, ne voudraient-ils pas cuisiner un tel homme pour des audiences records ?

Ici, le discours peut se tourner vers des agendas sombres, et pas seulement de l’incompétence, de l’objectivité et de la stupidité.

Une opinion a été émise par le représentant américain Thomas Massie (R-KY) lors de son intervention au Tom Woods Show le 16 août dernier :

« Le secret que le gouvernement vous cache est qu’il prévoit de nous confiner jusqu’à ce qu’il y ait une sorte de vaccin, et ensuite, que ce soit obligatoire au niveau fédéral ou au niveau de l’État, ou peut-être qu’il persuade vos employeurs par le biais d’un autre programme PPP auquel vous ne pourrez pas prétendre à moins que vous n’obligiez vos employés à se faire vacciner, je pense que c’est leur plan. Que quelqu’un me convainque que ce n’est pas leur plan, car il n’y a pas d’autre issue logique que celle-là. »

Une autre théorie est que la crise du COVID est utilisée pour consolider des niveaux de contrôle des élites sur les individus et la société jamais imaginés auparavant. Cette théorie est avancée par le neveu du président assassiné, Robert F. Kennedy Jr, fils de Bobby Kennedy également assassiné. Dans un discours prononcé lors d’une manifestation massive contre le confinement et la vaccination obligatoire contre le COVID en Allemagne, Bobby Jr. a mis en garde contre l’existence d’un :

« programme de biosécurité, la montée de l’État de surveillance autoritaire et le coup d’État contre la démocratie libérale parrainé par Big Pharma… La pandémie est une crise de convenance pour l’élite qui dicte ces politiques, »

Dans un procès, les témoins médicaux de Kennedy Jr. avertissent que les vaccins obligatoires contre la grippe rendent souvent les enfants plus sensibles au COVID.

Les mises en garde contre les mauvaises intentions de l’« élite » de Kennedy proviennent de sources plus générales. Le Dr Joseph Marcela, du site d’information médicale Mercola.com, un site de confiance à fort trafic, a rédigé une étude minutieuse sur les allégations d’un médecin selon lesquelles des vaccins altérant la génétique arrivent.

Et cela n’apaise pas les craintes qu’un site web de l’establishment de la défense, Defense One, signale que des biopuces permanentes sous la peau, injectables par la même seringue qui contient un vaccin, pourraient bientôt être approuvées par la FDA. Cela n’aide pas la théorie anti-conspiration car, selon Newsweek, le Dr Anthony Fauci a en fait donné des fonds du NIH au laboratoire de Wuhan pour la recherche sur le coronavirus des chauves-souris, si dangereux qu’il a été rejeté par 200 scientifiques et interdit aux États-Unis.

En 1957, une pandémie a frappé, la grippe asiatique H2N2 avec un taux de mortalité de 0,7 %, qui a tué autant de personnes par habitant aux États-Unis que le COVID le prétend aujourd’hui. Il n’en a jamais été fait mention dans les médias à l’époque, sans parler du bouleversement extraordinaire que nous connaissons aujourd’hui. En 1968, la grippe de Hong Kong a frappé les États-Unis (.5 % IFR,), emportant 100 000 personnes alors que la population américaine était nettement plus faible. Pas une seule alerte n’a été donnée, pas un seul magasin n’a été fermé, ni même un reportage du réseau d’information. L’été suivant, le plus grand rassemblement de l’histoire des États-Unis a eu lieu à Woodstock.

L’hystérie de masse n’est jamais accidentelle, mais elle profite à quelqu’un. La seule question à laquelle il reste à répondre est : qui ?

Interview du Dr. Mike Yeadon

https://youtu.be/Ch7wze46md0

Protestation du mois d’août à Berlin contre le confinement et contre la vaccination obligatoire par COVID – Source

Woodstock 1969

Un docteur en Suisse dit que des tests qui n’ont pas servi ont été notés comme positifs :

Lire aussi : Le COVID-19 est-il le déclencheur d’un « nouvel ordre mondial » de stagnation économique et de destruction sociale ?

Source : HubPages – Traduit par Anguille sous roche




La chute spectaculaire du nombre de personnes testées positives Covid-19 à Marseille s’explique-t-elle par la fermeture des bars-restaurants et le confinement partiel ?

[Source : Réseau International]

par Candice Vacle.

Le Pr Raoult infectiologue et microbiologiste de l’Institut hospitalo-universitaire en maladies infectieuses de Marseille (IHU) est interrogé sur l’évolution actuelle de l’épidémie de Covid-19 concernant tous les patients de l’hôpital universitaire de Marseille (dont l’IHU), dans cette vidéo de l’IHU du 21 novembre 2020 :

Il commence par un bonne nouvelle : « On voit que le nombre de cas [personnes positives au test PCR Covid-19] est en train de s’effondrer à une vitesse étonnante. Sans que nous ayons changé nos paramètres de mesures […] Depuis janvier, on teste de la même manière, on rend les résultats positifs avec le même niveau, c’est-à-dire 35CT [cycle d’amplification du test PCR]. Et donc, le pic a été atteint vers la fin du mois d’octobre […] Depuis, ça n’arrête pas de descendre ».

Par exemple, au pic épidémique du 25 octobre 2020, il y avait un peu plus de 300 personnes nouvellement dépistées positives (par jour) à l’IHU. Et, le 18 novembre 2020, il y en avait 90 (par jour) :

« La pente est en train de diminuer de manière spectaculaire », dit-il. En effet, il explique qu’il y a « 10 fois moins actuellement » de personnes testées positives Covid-19 que lors du pic épidémique. Ceci n’est pas vérifiable sur le site de l’IHU car la dernière mise à jour date du 18 novembre 2020.

Le Pr Bernard La Scola, médecin microbiologiste, virologue et directeur du laboratoire P3 à l’IHU, écrit le 19 novembre 2020, à propos des personnes testées positives de l’IHU : C’est « notre plus bas taux de positifs depuis le 13 août, ça baisse et vite ! »[1]

Le nombre d’hospitalisations, lui aussi, « décroît de manière très significative », ajoute Pr Raoult. Il précise : « Le nombre d’hospitalisations en réanimation est en plateau et c’est normal parce que [les patients] restent un certain temps en réanimation. […] Il n’y a pas plus d’entrée que de sortie. Les choses paraissent stabilisées ».

La fermeture des bars-restaurants et le confinement à la « française » expliquent-ils cette diminution rapide du nombre de personnes positives au test Covid-19 ?

Le Pr Raoult répond : « Ce que l’on voit c’est qu’en réalité la fermeture des restaurants est arrivée à un moment où la pente […] était en train de diminuer de manière spectaculaire. Et, qu’au contraire, elle a remonté avec la fermeture des restaurants. Donc, on ne peut pas en conclure que la fermeture des restaurants ait aidé à contrôler » cette partie de l’épidémie de Covid-19 de cet automne.

« Et le confinement, lui est arrivé au début de la chute brutale du nombre de cas ». Cette baisse « avait été anticipée par les dosages que font les pompiers dans les égouts ».

« On ne peut pas voir sur ces données des faits des mesures sociales contraignantes sur l’évolution de l’épidémie qui a, donc, d’autres raisons pour évoluer que celles-la ».

En bref, le nombre de personnes testées positives baisse considérablement et rapidement. Et, il n’y a aucun lien de cause à effet repéré entre l’évolution de la courbe épidémique et la fermeture des restaurants ou le confinement, à Marseille.

Le Pr Bernard La Scola conclut :

« L’évolution des courbes épidémiques est un grand mystère auquel personne ne comprend rien et sans lien avec la supposée immunité collective »[2].

[NdNM : voir Un article du Dr Stefan Lanka 2020 réfute l’idée fausse du virus]

Le mystère de l’évolution de la courbe épidémique du Covid-19 inspirera-t-elle un peu de modestie à nos gouvernants ou bien clameront-ils que c’est grâce à leurs mesures coercitives que la courbe épidémique a baissé à Marseille ? La fermeture des bars restaurants est-elle toujours justifiée à Marseille ?

Candice Vacle


[1] Mail Pr Bernard La Scola du 19/11/20

[2] Mail Pr Bernard La Scola du 22/11/20

Réseau International




Le journal le Monde dénonce le test PCR !

[Source : Ciel voilé]

[NdNM : si le journal Le Monde en vient à rapporter ce que de nombreux médias alternatifs dénoncent depuis plusieurs mois, peut-on présager un changement de direction du vent et l’apparition de sérieux grains de sable dans le processus d’achèvement du Nouvel Ordre Mondial ?]

https://youtu.be/GRv4nFxpBp0



Téléphonie 5G : lettre d’un grand-père indigné

[Source : La Maison du 21e siècle]

Mon cher petit-fils,

Lorsque ton père a pris cette photo, j’étais un grand-père heureux. J’avais mes petits soucis, comme tout le monde. Mais vraiment, avec une amoureuse qui illumine ma vie, avec tes parents que j’adore, et avec toi, prunelle de mes yeux, j’étais un grand-père comblé.

Mais voilà, depuis un an, ma vie a basculé. Le virus de l’indignation s’est infiltré sous ma peau et s’est logé là où il aboutit le plus souvent, au creux du ventre. Mon cher petit, je suis devenu un grand-père indigné ! Je t’écris pour que plus tard, lorsque tu liras cette lettre, tu puisses comprendre mon tourment.

Il s’est d’abord manifesté par de l’étonnement. Je ne comprenais pas qu’on puisse permettre le déploiement du réseau de téléphonie 5G, avec ses fréquences millimétriques, sa forêt d’antennes et son parapluie de satellites, sans qu’aucune étude n’évalue les risques pour ma santé, la tienne et celle de tous les enfants qui auront à refaire ce monde déjà trop abimé.

En  1976, j’avais 30 ans. Ton père n’était pas encore né. Cette année-là, l’armée américaine a produit un rapport secret [NdNM : disponible aussi ici], aujourd’hui déclassifié, documentant les recherches de scientifiques russes qui révélaient en détail les dommages des ondes radio sur la santé humaine et animale. Bien sûr, comme à peu près tout le monde, je n’en ai rien su.

Une vingtaine d’années plus tard, au tournant de l’an 2000, j’ai reçu mon premier téléphone cellulaire, une gracieuseté de mon employeur. Depuis, la téléphonie sans fil a connu une expansion phénoménale : il y a actuellement sur la planète plus de 5 milliards de téléphone cellulaires en circulation. Et pour évaluer leur impact sanitaire, nos gouvernements se fient à des normes d’exposition aux ondes désuètes qui permettent aux compagnies de téléphonie sans fil de jouer à la roulette russe avec notre santé.

Éventuellement, le voyant rouge s’est allumé. Comme des milliers d’études, que l’industrie cherche à discréditer, nous avertissaient du danger, il a bien fallu trancher. Pendant 10 ans, avec un budget de 30 millions de dollars, les Américains ont entrepris les recherches les plus complètes jamais réalisées pour évaluer les effets sur la santé d’une exposition aux ondes de la téléphonie mobile. Une tâche cruciale confiée au très réputé National Toxicology Program (NTP). Publiées en 2018, ces recherches ont démontré hors de tout doute que le rayonnement des téléphones portables avait causé des tumeurs cancéreuses aux nerfs entourant le cœur de rongeurs et augmenté significativement leur risque de cancer du cerveau. Ce rayonnement avait aussi causé des lésions cardiaques et endommagé leur ADN. Mon cher petit-fils, crois-tu que cela a incité l’industrie du sans fil à plus de prudence ?

Au contraire, avec la complicité du gouvernement, cette industrie s’apprête à installer un réseau qui utilisera pour la première fois des fréquences millimétriques, lesquelles pourraient tripler le rayonnement auquel toi et moi serons exposés, que nous utilisions ou non des appareils sans fil. Même si tes parents te donnent tout leur amour et te nourrissent sainement, tu devras peut-être bientôt vivre, manger, jouer et dormir à une quinzaine de mètres d’une antenne placée sur un poteau en face de ta maison. Pourquoi? Parce qu’éventuellement, presque tous les objets que nous achèterons, mobilier, brosses à dents, grille-pain, matelas, appareils électroménagers, même les jouets que je t’offrirai à Noël, contiendront une puce qui échangera des données avec un réseau très dense d’antennes placées un peu partout, le long des rues, sur les abribus, les feux de circulation, les clochers, les toitures des écoles et des gares, et même sur plusieurs immeubles où habitent des gens comme toi et moi. Rien qu’à Montréal, jusqu’à 60 000 antennes pourront communiquer avec un million d’objets au kilomètre carré. Pour que le litre de lait, au frigo, puisse nous signaler qu’il est vide. Pour que la couche de bébé, au berceau, puisse nous avertir qu’elle est pleine. Pour que notre vie quotidienne, transformée en données numériques, puisse se vendre au plus offrant. C’est la nouvelle puce aux œufs d’or. On lui a donné un nom savant : l’Internet des objets.

Tant pis pour les abeilles et les oiseaux qui ne pourront plus s’orienter et en mourront. Tant pis pour les arbres qu’on abattra parce que leurs feuilles bloquent les fréquences millimétriques. Tant pis pour la prévoyance, car pour permettre à ces milliards d’objets de communiquer, il faudra faire main basse sur les derniers gisements de métaux rares sur la planète. Tant pis pour notre sécurité, car la multiplication exponentielle des points d’accès de cette nouvelle technologie facilitera les vols d’identité, les vols de données personnelles et les cyberattaques. Tant pis aussi pour le climat, car il faudra émettre trois fois plus de gaz à effet de serre pour nourrir cet ogre numérique. À preuve, certaines villes de Chine coupent le courant de la 5G la nuit, tellement ce système est énergivore.

Sauf s’il n’y a pas d’antennes à moins de 500 mètres de ton école et sauf si sa direction a remplacé le Wi-Fi par des connections câblées, tu y trouveras le même brouillard électromagnétique qui crépite dans toute la ville. Il pourrait affecter ta mémoire et ta concentration. Ton corps qui grandit, comme celui de tes camarades de classe, absorbera deux fois plus de rayonnement que celui de tes enseignants. À court terme, mon pauvre amour, tu risques d’avoir des maux de tête, des nausées, des vertiges et des acouphènes. Au fil des années, jour après jour, cette soupe de radiofréquences risque de te causer un cancer, un problème cardiaque ou le diabète. Pire encore, tu risques de ne plus pouvoir concevoir d’enfants, de ne jamais devenir parent.

Ton grand-père n’est pas en reste. Ce foisonnement de signaux risque d’endommager mes yeuxJe crains qu’un voile me cache éventuellement l’éclat de ton visage. Ma mémoire aussi pourrait s’éroder plus vite. Moi qui ai contribué à bâtir ce pays, j’ai peur de perdre la trace de ton nom, d’être exilé au pays de l’oubli.

Voilà mon histoire, mon cher petit-fils. Une triste histoire de pirates qui veulent tuer la beauté du monde.

Mais laisse-moi maintenant te raconter mon rêve, mon espoir le plus vif. Quand tu seras grand, je crois que ce gâchis sera devenu de l’histoire ancienne. Que les gouvernements auront mis fin à l’aveuglement, comme pour le tabac, le DDT, le plomb ou l’amiante. Qu’ils auront aboli le droit de polluer et que notre santé sera devenue leur PIB. Quand tu auras 30 ans, les millions de micro-antennes qui défigurent le paysage auront été décrochées depuis longtemps. La téléphonie cellulaire sera beaucoup mieux conçue. La fibre optique apportera un signal Internet 10 fois plus puissant au cœur des maisons, des écoles et des lieux de travail, un baume pour la nature et les humains.

En attendant, chaque journée perdue, chaque excuse invoquée, chaque tactique inventée ne font qu’augmenter les dégâts pour la vie humaine, pour l’environnement et pour les générations qui devront réparer les pots cassés. Lorsque tu comprendras la cause de mon indignation, mon cher amour, souhaitons qu’il ne soit pas trop tard pour les abeilles, les arbres et les oiseaux. Et pour qu’ils puissent réinventer la suite du monde, souhaitons que les enfants puissent naître et grandir là où il n’y aura que du soleil, de la pluie, des nuages et du vent.


Vous aimeriez contribuer à changer les choses ? Voici quelques pistes qui peuvent faire une grande différence.

1. Protection : Dix moyens pour se protéger des ondes du cellulaire : bit.ly/3eYhysj

2. Information : maisonsaine.ca/electrosmog – stopponsla5g.ca – cqlpe.ca

3. Action : appel5gappeal.ca/fr/


AU SUJET DE L’AUTEUR

De 1984 à 2009, Pascal est réalisateur aux émissions Science-Réalité et Découverte, de la Société Radio-Canada. Auparavant il avait réalisé Montréal-Blues, La turlute des années dures et Taire des hommes. En 2006 il réalise Le porteur d’eau, Grand prix et prix du public au FPPE en 2007. En 2009, il réalise un film sur son père, Gratien Gélinas, un géant aux pieds d’argile. En 2013, il signe Huguette Oligny, le goût de vivre. Puis en 2016, Un pont entre deux mondes, suite du film Le porteur d’eau.

FILMOGRAPHIE DU RÉALISATEUR

  • Un pont entre deux mondes (2016) Huguette Oligny,
  • le goût de vivre (2013) Gilles Pelletier,
  • un cœur de marin (2013) Gratien Gélinas,
  • un géant aux pieds d’argile (2009)
  • Terres à la dérive (2008)
  • Le porteur d’eau (2006)
  • La Turlute des années dures (1983)
  • Montréal Blues (1973)
  • Taire des Hommes (1968)
  • Émissions Découverte et Science-Réalité de Radio-Canada (1984 à 2009): 350 reportages et dossiers.



Covid-19: le G20 promet une distribution équitable du vaccin

[Source : Le Figaro]

[NdNM : Les êtres humains ont le choix : croire sur parole les médias dominants et se faire vacciner avec des vaccins non suffisamment testés qui de l’aveu même des fabricants et des experts ne sont pas du tout efficaces à 100 %, des vaccins aux nombreux effets secondaires possibles ; ou bien considérer que leur santé dépend avant tout d’eux-mêmes et de la manière dont ils traitent leur corps et leur personnalité — selon la manière dont ils se nourrissent, gèrent leur stress, s’exposent ou non à des éléments toxiques (dont les ondes électromagnétiques pulsées telles que celles émises par la 4G, la 5G et le Wi-Fi), entretiennent ou non des émotions négatives (telles que la colère et la peur), pratiquent ou non une activité physique en quantité et qualité modérée et suffisante…]

Les Etats-Unis ont annoncé dimanche qu’ils espéraient commencer leur campagne de vaccination avant la mi-décembre.

Les dirigeants du G20 ont promis dimanche de «ne reculer devant aucun effort» pour garantir un accès équitable aux vaccins contre le Covid-19, selon la déclaration finale d’un sommet virtuel au ton résolument consensuel mais pauvre en détails concrets. «Nous ne reculerons devant aucun effort pour assurer l’accès abordable et équitable (aux vaccins, tests et traitements, NDLR) de tous», écrivent-ils.

Le sommet des vingt plus grandes puissances économiques mondiales se tient cette année sous un format virtuel qui lui enlève beaucoup de son éclat, et sous la présidence de l’Arabie saoudite, ce qui a suscité de vives critiques des organisations de défense des droits humains.

Alors que la pandémie a désormais tué près d’1,4 million de personnes dans le monde, les présidents ou chefs de gouvernement ont dit «soutenir pleinement» les dispositifs mis en place par l’Organisation mondiale de la santé pour assurer que les vaccins ne bénéficient pas qu’aux pays les plus riches. Les membres du G20 promettent de «combler les besoins de financement encore existants», au moment où eux-mêmes mettent déjà sur les rails des campagnes de vaccination à grande échelle.

Les Etats-Unis ont annoncé dimanche qu’ils espéraient commencer la leur avant la mi-décembre. Les laboratoires privés et les Etats du G20 rivalisent depuis plusieurs jours d’annonces sur l’état d’avancement de leurs futurs vaccins. Mais le G20 n’a pas mentionné explicitement le montant de 28 milliards de dollars (23,6 milliards d’euros), dont 4,2 milliards en urgence, réclamé par les Nations unies pour faire face à la pandémie.

[NdNM : la suite de l’article concerne d’autres sujets traités pendant ce G20, mais également : Emmanuel Macron appelle le G20 à garantir un vaccin contre le Covid-19 «dans les pays les plus pauvres».]




Manifestation à Genève contre la fermeture des magasins — Interventions et interviews

[Source : AGORA TVNEWS]

Manifestation à Genève du 19 novembre 2020 avec Ema Krusi, Jean-Dominique Michel, Astrid Stuckelberger, Chloé Frammery et les représentants des commercants.

Précisions pour ceux qui regrettent que les manifestants portent un masque : c’est désormais une condition obligatoire à Genève, des policiers qui surveillaient la manifestation arrêtent les personnes et distribuent des amendes (250 CHF), les organisateurs peuvent recevoir 10000 CHF d’amende.

Reportage exclusif et véritables interviews en contradiction avec le discours de la RTS et du Leman Bleu.

https://youtu.be/CLtjk32ySuI



Comment une pandémie virale bénéficie à l’agenda mondialiste (Activistpost)

[Source : Crashdebug]

Par Brandon Smith

Le
monde d’aujourd’hui souffre de conditions économiques et géopolitiques
très fragiles.  Ce n’est pas une nouvelle pour la plupart des membres du
mouvement pour la liberté qui suivent la spirale descendante depuis des
années, mais c’est une nouvelle pour une majorité d’Américains moyens
qui s’aventurent rarement à obtenir des informations approfondies sur
quelque sujet que ce soit. Le fait est que, même si nous sommes des
millions à être conscients du danger, nous sommes toujours en minorité.

Cela
crée un ensemble de frustrations graves. Lorsque le citoyen ordinaire
ignore l’existence d’une menace, essayer de lui expliquer la source de
cette menace devient une perte de temps. Comment peuvent-ils voir la
racine du problème s’ils ne savent même pas que le problème existe ?

Oui,
le monde est au bord d’un changement radical, mais ce n’est pas la
question la plus importante. La question la plus importante est que
cette situation précaire n’est pas le produit du hasard, de la simple
cupidité, de la fragilité humaine ou d’un système « trop complexe » comme
le prétendent les experts du courant dominant ; c’est une boîte de chaos
délibérément conçue pour servir les intérêts de quelques privilégiés.

Le
programme mondialiste est compliqué dans sa conception mais simple dans
ses objectifs : Sortir du chaos par l’ordre. Créer ou exploiter chaque
crise pour manipuler le public afin qu’il donne son consentement.  Mais
un consentement pour quoi faire ?

Comme l’a écrit Richard N. Gardner, ancien sous-secrétaire d’État adjoint aux organisations internationales sous Kennedy et Johnson, et membre de la Commission trilatérale, dans le numéro d’avril 1974 de la revue Foreign Affairs du Council on Foreign Relation (CFR) (p. 558), dans un article intitulé « The Hard Road To World Order » :

    En bref, la « maison de l’ordre mondial » devra être construite de bas en haut plutôt que de haut en bas. Cela ressemblera à une grande « confusion bourdonnante », pour reprendre la célèbre description de la réalité de William James, mais une course de fond autour de la souveraineté nationale, l’érodant pièce par pièce, accomplira bien plus que l’assaut frontal à l’ancienne.

Une
pandémie mondiale, qu’elle soit naturelle ou délibérément provoquée,
sert en fait les objectifs de l’establishment mondialiste de plusieurs
façons. D’abord et avant tout, elle constitue une superbe distraction.
Le grand public, submergé par la peur d’une force invisible de la nature
qui peut le tuer à tout moment, oubliera probablement la menace bien
plus grande qui pèse sur sa vie, sa liberté et son avenir, à savoir
l’effondrement de l’énorme « bulle de tout » et la « solution » mondialiste
qu’une pandémie peut déclencher.

Le
coronavirus n’est qu’une menace modérée par rapport à la crise
économique. Cela dit, je voudrais aborder quelques questions concernant
le virus lui-même avant d’aborder la question économique.

Désinformation sur le virus

J’ai
vu beaucoup d’hypothèses délirantes et de désinformation pure et simple
propagées par les gens en ce qui concerne cette pandémie potentielle.
Tout d’abord, l’idée qu’elle ait été causée par des citoyens chinois
« mangeant des chauves-souris » ou exposés à un marché d’animaux vivants
est plutôt ridicule. Nous n’avons vu AUCUNE preuve tangible que cela
soit vrai, et je crois que le récit est une couverture pour le fait que
la ville de Wuhan où l’épidémie de virus a commencé abrite non pas un
mais DEUX laboratoires de niveau 4 pour les risques biologiques.

J’ai du mal à ignorer l’étrange « coïncidence » des laboratoires de haut niveau de Wuhan en faveur de l’idée que le virus a été lancé par hasard en raison des régimes alimentaires bizarres des habitants de la Chine centrale. Au vu des preuves, il semble que le coronavirus ait été mis en gestation dans un laboratoire, et non dans la soupe aux chauves-souris et aux serpents de quelqu’un. En 2017, des scientifiques étrangers ont averti que ces laboratoires n’étaient pas sécurisés et qu’un virus pourrait s’échapper d’une de ces installations.

J’utiliserais le terme « évasion » de manière vague, car il est possible que cet événement ait été créé intentionnellement. Le virus lui-même présente certaines caractéristiques d’ingénierie (notamment sa longue période de dormance sans symptômes visibles) et la souche actuelle est probablement dérivée de celle que les Chinois ont volée il y a un an dans un laboratoire de Winnipeg, au Canada.

Mais la situation est encore plus étrange

Il
y a seulement trois mois, John Hopkins, la Fondation Bill et Melinda
Gates et le Forum économique mondial (une ruche de mondialistes
autoproclamés) ont lancé une « simulation de pandémie » appelée « Event
201 », spécifiquement axée sur le coronavirus. Pas Ebola, ni la grippe
porcine, ni même la grippe aviaire – mais CORONAVIRUS. La simulation met
en scène la propagation d’un coronavirus en Amérique du Sud, attribuée à
la transmission de l’animal à l’homme (les porcs). La conclusion de
l’exercice était que les gouvernements nationaux étaient loin d’être
prêts, avec une note de 40 sur 100 sur leur échelle de préparation. La
simulation prévoyait plus de 65 millions de décès dans le monde.

L’événement
201 s’est déroulé presque exactement comme il l’a été en Chine
aujourd’hui. Certaines personnes très malhonnêtes ou peut-être plutôt
stupides ont affirmé que ce genre de choses était « normal », prétendant
que nous avons « de la chance » que les élites aient effectué des
simulations à l’avance afin de « nous sauver » d’une épidémie de
coronavirus. J’affirme que l’événement 201 n’était pas une simulation
mais un jeu de guerre pour étudier les résultats possibles d’un
événement dont les mondialistes savaient déjà qu’il allait se produire.
Si l’on met de côté le fait qu’avant presque chaque crise majeure et
chaque attaque terroriste de ces dernières décennies, les autorités
effectuaient des simulations pour cet événement précis juste avant qu’il
ne se produise ; quelqu’un croit-il vraiment que l’événement 201 est
une pure coïncidence ?

Une
autre fausse hypothèse à laquelle il faut s’attaquer est l’idée qu’une
menace virale ne frappera pas l’Occident, ou du moins pas les
États-Unis. Je ne pense pas que la plupart des cultures, à l’exception
des Américains, souffrent de ce biais étrange ; la croyance qu’ils sont
intouchables et que le système évitera toujours les crises. D’après les
réponses que j’ai vues récemment, beaucoup d’Américains vivent dans un
monde imaginaire. Même maintenant, le monde de l’investissement fait
grand cas de la prévision selon laquelle la Réserve fédérale
interviendra pour perturber tout ralentissement économique lié à la
pandémie.

Même
si la Fed avait l’intention d’intervenir, pourquoi serait-on assez naïf
pour croire que la banque centrale peut faire quoi que ce soit pour
empêcher qu’une épidémie virale ne nuise à l’économie ? Les banques
centrales ne peuvent rien faire d’autre que de créer de la dette, et la
dette ne permettra pas de vaincre le coronavirus.

En
termes d’optimisme délirant sur la pandémie elle-même, les arguments
vont de « le dépistage des voyageurs est trop complet pour permettre au
virus de se propager ici » à « tant que le virus détruit la Chine, qui
s’en soucie ? Il s’agit là d’une vision étroite de la situation.

Le
processus de filtrage est terrible et implique généralement des
questions fondamentales qui peuvent être éludées par des mensonges. Mais
au-delà de cela, le virus est déjà là. Il a circulé en Chine pendant au
moins quelques semaines avant que les autorités gouvernementales ou le
CDC ne s’en occupent. Il serait également asymptomatique, ce qui
signifie qu’il reste en sommeil, mais aussi contagieux, pendant deux
semaines avant que les symptômes ne deviennent visibles. Ce scénario est
bien pire que la crainte d’Ebola en 2014, dans la mesure où ce
coronavirus est capable de se cacher efficacement. La seule chose que
l’on puisse faire pour ralentir la propagation est d’interdire TOUS les
voyages internationaux, ce que le CDC et l’OMS n’ont pas l’intention de
faire pour l’instant, même si cela n’a plus d’importance avec plus de
110 cas suspects aux États-Unis déjà.

Soyons
donc réalistes. Si le virus est aussi contagieux que le prétendent le
CDC et les scientifiques indépendants, alors nous en verrons les effets
ici en Amérique.

Ne jamais laisser une bonne crise se perdre…

Mais
qu’est-ce que les mondialistes ont à gagner directement d’une pandémie
de coronavirus, au-delà du simple chaos exploitable ?

Il
est intéressant de noter qu’un représentant de Johnson and Johnson,
l’une des entreprises qui pourrait finir par concevoir un « vaccin »
contre le coronavirus, a suggéré lors de l’événement 201 qu’une autorité
économique mondiale « centralisée » chargée de financer et d’acheter des
vaccins pour les différentes nations en crise était une option pour
résoudre la pandémie.

Cela ressemble étrangement à ce que les mondialistes réclament depuis de nombreuses années maintenant, et il se trouve que la pandémie offre une excuse parfaite pour la création d’une telle autorité financière mondiale unique. Ils pourraient prétendre qu’un tel système serait temporaire en fonction de la durée de la pandémie, mais ce sera un mensonge.

En
ce qui concerne les effets économiques, même si le virus devait rester
principalement en Chine, l’économie chinoise est, en termes
fondamentaux, la plus importante au monde ; elle est le plus grand
exportateur/importateur et elle est au cœur de l’économie mondiale
désormais interdépendante. Si l’économie chinoise s’effondre, même pour
une courte période, cela provoquera une onde de choc dans toutes les
autres économies nationales et les lignes d’approvisionnement.

En mai de l’année dernière, j’ai publié un article intitulé « Les mondialistes n’ont besoin que d’un événement majeur de plus pour finir de saboter l’économie« . Pour résumer la situation :

L’establishment
mondialiste a créé la plus grande bulle financière de l’histoire
moderne par le biais des mesures de relance des banques centrales, en
gonflant un rallye artificiel très instable sur les marchés tout en
créant de nouveaux sommets dans la dette nationale, la dette des
entreprises et la dette des consommateurs. Les fondamentaux économiques
ont tiré la sonnette d’alarme ces deux dernières années, et la « bulle du
tout » montre des signes d’implosion. Ce n’est qu’une question de temps
avant que la farce ne s’effondre d’elle-même. Les mondialistes ont
besoin de boucs émissaires, mais ils ont aussi besoin d’un événement ou
d’une vague d’événements si distrayants que les gens ne pourront pas
discerner ce qui s’est réellement passé.

La
raison pour laquelle les mondialistes veulent un effondrement est
simple : ils ont besoin d’une crise afin de manipuler les masses pour
qu’elles acceptent une centralisation totale, un système monétaire
mondial et une gouvernance mondiale. Ils sont également de fervents
partisans de l’eugénisme et de la réduction de la population. Pour eux,
une pandémie mondiale est à tout le moins une circonstance utile ; mais
le moment où le coronavirus s’est manifesté et leur « simulation » très
précise d’il y a seulement trois mois suggèrent également leur
implication potentielle, car elle survient au moment même où l’implosion
de la bulle « Du Tout » s’accélérait.

Considérez
ceci : Même si une pandémie ne tue pas un grand nombre de personnes,
elle perturbe toujours les voyages internationaux, elle perturbe les
exportations et les importations, elle perturbe le comportement des
consommateurs et les ventes au détail, et elle perturbe le commerce
intérieur. Si elle tue un grand nombre de personnes et si la réponse du
gouvernement chinois est une indication, elle pourrait entraîner une loi
martiale mondiale. De nombreuses économies, dont celle des États-Unis,
étant déjà dans un équilibre précaire entre une dette historique et une
demande en chute libre et une intervention inutile de la banque centrale
sur le marché des pensions, il y a peu de chances que le système puisse
résister à un tel tsunami.

Ne
vous y trompez pas, l’effondrement a déjà commencé, que le virus frappe
durement les États-Unis ou non. La seule question est de savoir si ce
sera l’événement déclencheur qui accélérera le processus d’effondrement
déjà en cours.

J’ai pris mon temps pour publier cet article parce que je pensais qu’il était important d’observer d’abord la réaction des Chinois, du CDC et de l’OMS face au virus. S’ils réagissaient rapidement, il y avait une chance que la situation n’ait qu’une influence mineure sur le système financier. Ils n’ont pas fait face à la situation rapidement ou de manière décisive. En fait, plus de 5 millions de personnes ont quitté la région du Hubei en Chine avant que les procédures de quarantaine et de traitement ne soient mises en place. La situation est devenue incontrôlable en Chine et il est clair que le gouvernement ment maintenant sur le nombre de malades et de morts.

Je
ne serais pas surpris si nous découvrions dans les deux prochaines
semaines que le nombre de décès se compte par milliers et que le taux de
maladie se compte en fait par centaines de milliers. Le fait que la
Chine ait maintenant mis en quarantaine plus de 50 millions de personnes
dans 16 villes suggère que le danger est beaucoup plus élevé qu’elle ne
l’a admis. Si c’est le cas, l’économie chinoise est au moins sur le
point de subir un coup dur. Si le virus ne se propage pas, les dommages
économiques le feront.

Les
États-Unis et la Chine sont toujours en pleine guerre commerciale.
L’accord de la phase 1 a toujours été une blague, car il exige que la
Chine quadruple ses achats auprès des États-Unis dans les 1 à 2
prochaines années. Cela n’allait jamais se produire, mais les faux
espoirs (ainsi que les rachats d’actions par les entreprises) ont permis
de sortir les actions mondiales de leur revirement. Aujourd’hui, il n’y
a aucune chance que la Chine remplisse les conditions de la phase 1 de
l’accord et cela deviendra bientôt évident, car l’économie chinoise va
s’effondrer sous le poids de la pandémie.

Si Trump maintient les droits de douane contre une nation en état d’urgence virale, il aura l’air d’un monstre (ce qui, je crois, est son travail de marionnette mondialiste prétendant être un nationaliste conservateur). Dans l’intervalle, le commerce mondial s’embrouille et les derniers soutiens structurels du système se brisent en deux.

Les
lignes d’approvisionnement mondiales étant gelées et les voyages
éventuellement restreints, le commerce va s’arrêter. Il n’y a pas
d’autre solution. Il ne s’agit pas seulement de la Chine, il s’agit de
toutes les nations.  Et, en fin de compte, il ne s’agit même pas du
coronavirus, mais de la bombe à retardement financière que
l’establishment mondialiste a créée. Il s’agit de notre interdépendance
économique et du château de cartes que nous sommes devenus. Au lendemain
de la catastrophe, les mondialistes réclameront encore PLUS
d’interdépendance. Ils prétendront que la tragédie a frappé parce que
nous n’étions pas « assez centralisés ».

Un autre avantage
de la crise virale est que l’establishment accusera sans aucun doute le
canular du « changement climatique » et du « réchauffement planétaire »
pour son élan. Même s’il n’y a absolument aucune preuve concrète reliant
les émissions de carbone humaines au changement climatique ou aux
épidémies virales, étant donné la crainte du public, les mondialistes
tenteront de relier les trois choses comme si c’était un fait avéré. Non
seulement ils auront une justification pour un effondrement économique
qu’ils ont créé, mais ils peuvent aussi présenter un virus créé par
l’homme en laboratoire comme un « acte de la nature », et l’utiliser comme
justification pour mettre en place des contrôles du carbone.

Dans le prochain numéro de ma lettre d’information « Wild Bunch Dispatch« , je présenterai des solutions et des options de préparation pour survivre à un scénario de pandémie ; tout n’est pas perdu si cet événement s’accélère comme l’ont prédit les mondialistes dans leur modèle « Event 201 ». Il est encore difficile de le dire avec certitude, mais il semble que ce soit le « cygne noir » que les mondialistes attendaient (ou planifiaient) depuis le début. Il est recommandé de rester vigilant face à la pandémie, mais de ne pas oublier le désastre économique qui suivra inévitablement la propagation du coronavirus.


Vous pouvez contacter Brandon Smith à l’adresse suivante : brandon@alt-market.com

Source de l’article : Alt-Market.com




Il y a des preuves que Bill Gates est impliqué dans les micropuces implantables même s’il nie lui-même avoir jamais été impliqué avec elles

[Source : Anguille sous roche]

Et si je vous disais qu’il y a des preuves que Bill Gates est impliqué dans les micropuces implantables, même s’il dit lui-même n’avoir jamais été impliqué dans une sorte de « micropuce » ?

Bien que Bill Gates ait dit exactement cela en juin, un sondage a révélé que 25 % des Américains pensent qu’il n’est pas seulement impliqué dans les micropuces, mais qu’il travaille sur un projet d’implantation de micropuces dans les vaccins COVID.

C’est tellement tiré par les cheveux que cela me rappelle la suggestion que Gates était impliqué dans un plan visant à implanter des micropuces dans les femmes qui dureraient presque toute leur vie reproductive et ces micropuces pourraient être accessibles à distance et donc avoir le potentiel de stériliser efficacement les femmes même contre leur volonté.https://www.anguillesousroche.com/wp-content/plugins/complianz-gdpr/assets/video/youtube-placeholder.mp4?cmplz=1Cliquez pour accepter les cookies de marketing et activer ce contenu

Oh, mais attendez, c’est la réalité !

Au cours des derniers mois, Bill Gates est devenu une cible majeure des soi-disant « théories du complot » concernant le COVID. Gates a déclenché une controverse durable lors d’une séance de questions et réponses en ligne le 18 mars dernier, lorsqu’il a déclaré : 

« Nous aurons un jour des certificats numériques pour montrer qui a récupéré ou a été testé récemment ou quand nous aurons un vaccin qui l’a reçu. »

Ses remarques ont rapidement attiré l’attention, y compris celle du procureur général Barr. Lorsqu’on l’a interrogé sur la proposition de certificat numérique de Gates, M. Barr a déclaré qu’il était « très préoccupé par la pente glissante en termes d’empiètements continus sur la liberté individuelle ».

En avril, M. Gates est devenu le principal sujet de la spéculation en ligne sur le COVID, qui s’est articulée autour d’une théorie selon laquelle il implanterait d’une manière ou d’une autre des micropuces dans les vaccins du COVID. Cette affirmation a d’abord été popularisée par un site web pro-Gates et a fait l’objet d’une promotion importante sur les médias sociaux. Selon un sondage réalisé par YouGov, plus de 25 % des Américains y croyaient en mai.

En réponse à ces préoccupations, M. Gates a déclaré le 5 juin : « Je n’ai jamais été impliqué dans un projet de type micropuce. »

Cependant, M. Gates a en fait été largement impliqué dans un programme de micropuces très invasif. En fait, il a directement commandé un tel programme à une société appelée Microchips Biotech qui est spécialisée dans les micropuces implantables.

Contrairement à sa déclaration de juin, Bill Gates a personnellement commandé un programme de micropuces contraceptives en 2012, dirigé par la société Microchips Biotech. Les subventions pour ce projet sont facilement accessibles sur le site web de la Fondation Gates.

Microchips Biotech, anciennement connue sous le nom de MicroCHIPS, Inc. travaille sur des puces implantables pour l’administration de médicaments depuis 1999. Elle a été fondée par des scientifiques du MIT qui ont inventé la technologie des puces dans les années 1990, en partenariat avec le fonds spéculatif Polaris Ventures. La société a attiré l’attention de la Fondation Gates après avoir annoncé les résultats positifs d’un essai clinique en février 2012.

Le projet de contraception de M. Gates a vu le jour à la suite d’une rencontre entre M. Gates et le professeur du MIT Robert Langer, co-fondateur de MicroCHIPS et inventeur de tous les brevets de la société. M. Langer est un collaborateur fréquent de M. Gates, qui a également supervisé un projet controversé d’enregistrement de vaccin « quantum dot » – une autre « demande directe » de M. Gates lui-même.

Selon MIT Technology Review, Bill Gates et certains de ses associés sont venus chez Langer en 2012 pour s’enquérir des implants contraceptifs à distance et à long terme.

En décembre 2012, la Fondation Gates a accordé un montant initial de 1,5 million de dollars à Microchips Biotech pour développer des puces contraceptives. La fondation s’est engagée à verser 20,5 millions de dollars supplémentaires en 2014.

Les micropuces contraceptives délivrent du lévonorgestrel, la pilule du lendemain, aux utilisateurs pendant une période pouvant aller jusqu’à seize ans et peuvent être contrôlées sans fil par les médecins.

La Fondation Gates est toujours financièrement engagée dans le projet, ayant déboursé un million de dollars supplémentaires en septembre. Elle a participé au rachat de Microchips Biotech par la société pharmaceutique Daré Bioscience en 2019. En fait, le 15 juin, dix jours après que Gates ait totalement nié toute connexion de micropuces, Daré a annoncé une autre subvention de 1,5 million de dollars de la Fondation Gates.

Non seulement le programme des micropuces a des liens avec Gates, mais il a également des liens avec les vaccins contre le coronavirus. Outre le lancement de MicroCHIPS, Robert Langer a cofondé Moderna, un important fabricant de vaccins COVID. Il s’agit du grand fabricant auquel le gouvernement américain a pré-commandé 100 millions de doses en août. M. Langer siège actuellement au conseil d’administration et au conseil consultatif scientifique de Moderna.

Bill Gates a également financé Moderna, en déboursant 20 millions de dollars à ce jour, avec la possibilité d’un futur 80 millions de dollars.

Bien que cela ne vérifie pas les théories selon lesquelles Gates mettra des micropuces dans les vaccins contre le coronavirus, cela rend ses affirmations du genre « Il n’y a aucun lien entre ces vaccins et un quelconque type de suivi », un peu hypocrite.

https://player.acast.com/the-john-henry-westen-show/episodes/bill-gates-falsehood-ive-never-been-involved-in-any-sort-of-#?secret=NlfKb2gKB3

Lire aussi : Bill Gates avertit que les États-Unis doivent trouver des moyens de « réduire l’hésitation à se faire vacciner »

Source : LifeSiteNews – Traduit par Anguille sous roche


[Voir aussi :




La vaccination pionnière de l’identification numérique mondiale

[Source : kla.tv via Bilal Al Gharib]


{Voir aussi :




Énigme du Covid-19 : Jusqu’où cela va-t-il aller ?

[Source : UPR]

IMPORTANT : toutes les affirmations de cette vidéo sont accompagnées de sources irréfutables qui apparaissent à l’écran.


Cette vidéo commence par des scènes vues dans une petite ville au centre de « l’Absurdistan » (cette dénomination de la France adoptée par le magazine allemand Die Zeit pour décrire notre pays sous le régime Macron).

Alors que la France s’enfonce dans des réglementations de plus en plus absurdes et que plus personne ne comprend vraiment, l’annonce en cascade de vaccins plus mirobolants les uns que les autres laisse entrevoir un espoir de fin de crise.

Mais à quel prix ?

Les médias commencent à préparer l’opinion publique en invoquant des vaccins permettant de vérifier si les personnes ont été vaccinées ou non. Il est maintenant question de carnet de vaccination intégré sous cutané via des puces RFID ou des nanoparticules.

Va-t-on nous faire accepter un flicage généralisé sous couvert d’assurer notre santé ?

Face à cette menace, François Asselineau avait déjà répondu NON en 2011 dans son programme présidentiel. Hors de question pour le président de l’UPR d’accepter le puçage des êtres humains sous toutes ses formes. Si vaccin il doit y avoir, il doit être de composition sûre et exempte de tout composant servant d’autres intérêts que celui de la santé.

Il est grand temps de se mobiliser pour ne pas accepter l’inacceptable, c’est à dire offrir nos libertés publiques aux puissances d’argent et aux gouvernements qui ont amplement montré que leur préoccupations n’est pas l’intérêt commun ni les libertés publiques.


[Voir aussi :




Ils ont osé nous demander de piquer nos patients pour les faire partir le plus vite possible

[Source en italien : Maurizio Blondet]

[Traduction automatique corrigée]

« Ils ont osé nous demander de piquer nos patients pour les faire partir le plus vite possible »

Maurizio Blondet   18 novembre 2020  

La rumeur circulait depuis des mois dans le monde médical français. Le Monde avait écrit un article pour dire qu’ils étaient sans fondement, faux, intoxiqués. Maintenant, un titre apparaît où un médecin dit : « Ils ont osé nous demander de piquer nos patients pour les faire partir le plus tôt possible » . Elle s’est déroulée dans des maisons de retraite pour non autosuffisantes (EPHAD en France, comme nous avons RSA [en Italie]). Et cela est confirmé sur la chaîne France 3 par la diffusion le 18 novembre à 21h05 de l’enquête « Covid-19: que se passe-t-il vraiment dans les maisons de retraite? ». Le site Internet de la chaîne consacre un article et une vidéo à cette enquête, dont le thème principal est le tristement célèbre « décret Rivotril » du 29 mars et ses conséquences pour les professionnels de santé et leurs patients.

Rivotril sous forme injectable est mortel pour les patients souffrant d’insuffisance respiratoire. Le gouvernement a autorisé l’utilisation du Rivotril, par ce décret, au motif que l’Hypnovel manquait, ce qui était nécessaire pour les soins palliatifs de fin de vie; ces vieillards devaient être tenus à l’écart des unités de soins intensifs…

« Au milieu de la première vague de l’épidémie de Covid-19, au printemps 2020, le gouvernement a autorisé l’utilisation de médicaments palliatifs qui sont généralement interdits » , indique désormais le rapport sur France 3. Le programme s’intitule « Evidence against » ( Pièces à conviction), et a recueilli des témoignages d’agents de santé scandalisés par cette décision. « Lorsque nous avons reçu ces directives, nous avons été stupéfaits », raconte Sandra Rotureau, directrice de la santé. « Lorsqu’une personne âgée n’est pas hospitalisée [faute de lits] et que ce qui lui est proposé, c’est une sédation dès qu’elle a des difficultés à respirer… ma première réaction est de me souvenir : « Comment, on nous demande de pratiquer une euthanasie passive avec nos résidents ? » ». […] Notez la formulation. « Euthanasie » est le moment où le patient a demandé à être activement aidé à mourir. « L’euthanasie passive » n’existe pas. Ça s’appelle un meurtre.

Dans une autre résidence publique non identifiée, un médecin EPHAD, le visage couvert, avoue « un sentiment d’horreur ». « Je ne suis pas autorisé à prescrire quelque chose qui guérirait les gens [fait allusion à l’hydroxychloroquine] s’ils étaient affectés, mais je suis autorisé « à les faire partir… doucement » ».

« Nous avons raccourci la souffrance des gens? J’appelle ça de l’euthanasie », poursuit-elle, extrêmement bouleversée. « Que nous ayons osé nous demander de piquer nos patients pour les faire partir plus vite est insupportable.[…] ».

Il a également été constaté que les médecins qui travaillaient pour les EHPAD avaient demandé aux infirmières d’injecter [le contenu de] la seringue mortelle, les chargeant ainsi d’un sentiment de culpabilité qui n’aurait pas dû leur peser. Ceci ressort d’une audition de la commission d’enquête de l’Assemblée nationale.

La bassesse et la lâcheté. Et le silence complice, le silence des médias alors que le nombre de décès dans les maisons de retraite assistées augmentait de façon spectaculaire grâce au décret Rivotril. « Certains soignants ont déclaré qu’ils ne faisaient que soulager les malades, mais ils se taisent sur le fait que sur le certificat de décès, ils ont pu écrire la « cause du décès: Covid » sans aucune preuve ni test », utilisant également une euthanasie passive pour augmenter le nombre de décès par Covid, ce qui rapporte aussi en France aux hôpitaux, même si ce n’est pas les 2 mille euros par jour de l’Italie [NdNM : la subvention reçue par l’hôpital en cas de décès par la covid-19 est plus importante que pour d’autres causes déclarées de décès. Même chose au Canada].

« Covid: attitudes criminelles? ». Gérard Maudrux, chirurgien urologue, demande à voix haute dans un magazine du domaine [l’urologie], de raconter comment [les membres de] sa famille ([qui travaillent] tous dans le secteur hospitalier) ont été malades de la Covid, assez gravement, avec comme seule thérapie recommandée par les autorités : « Le paracétamol. L’utilisation d’antibiotiques n’est expressément pas recommandée. Pour mes trente premiers patients traités de cette manière j’ai eu 3 problèmes : un décès à domicile, une fibrillation auriculaire le deuxième et une hospitalisation de réanimation de trois semaines le troisième ». Puis, en étudiant, le médecin découvre dans un journal australien les effets de la vermectine (un anti-helminthes!)  « Je connais bien le traitement de deux épidémies de gale dans la maison de retraite; les résultats après 48 heures sont stupéfiants : la disparition des signes cliniques pour tous. Trop heureux de partager ces résultats, je pense que je fais une faveur, j’en parle, ce qui m’a valu de sévères critiques de la part de collègues et d’un pharmacien. Et l’ avertissement de l’Ordre ».

Et il cite « les confrères de StopCovid19, qui ont collecté plus de 700 cas traités [à la chloroquine et aux antibiotiques] et qui ne publient pas en raison des menaces reçues. N’oublions pas qu’au 19 avril, contre la Covid, 100 000 patients avaient reçu de l’azithromycine, 41 000 de la chloroquine et 10 000 les deux (source Assurance Maladie). Combien de vies avez-vous sauvées? Combien d’hospitalisations évitées? L’observation sur le terrain a-t-elle encore une valeur? ».

Un autre médecin parle de la mort sur ordonnance. Et il écrit: « En d’autres temps, des procédures judiciaires auraient été mises en place et la justice pénale aurait été adressée pour se prononcer sur l’éventuel caractère pénal du décret Rivotril, adopté en contradiction avec tous les textes et la jurisprudence en matière de fin de vie. Aujourd’hui, le virus a le dos large pour permettre des actes injustifiables, susciter la peur et l’angoisse généralisées, établir une dictature que nos ploutocrates réclament depuis des années »; et expose le nombre de flacons de Rivotril (« remboursé par le service de santé », précise-t-il) énormément augmenté pendant la « pandémie », et en relation directe avec la surmortalité dans les maisons de retraite ces semaines-là.

Tribunaux vers lesquels il est inutile de se tourner pour dénoncer ces crimes et cette imposture, le paracétamol comme seule thérapie « recommandée » par les comités technico-scientifiques, menaces aux médecins qui découvrent des remèdes efficaces, interdiction de l’hydroxychloroquine. Et, à la place, Rivotril en ampoules pour injection létale. Il est impressionnant de découvrir que les directives sont identiques en Italie et en France.

Mais plus encore, voir à quelle vitesse la dictature de la ploutocratie totale est tombée, dans son Grand Reset, au niveau qu’on nous apprend depuis 50 ans à considérer comme un mal absolu : l’attitude génocidaire du nazisme, l’euthanasie des bouches inutiles à grande échelle, l’injection mortelle par décret, l’asservissement volontaire des juges et le silence total des médias dans ce qui se profile comme le plus gigantesque crime contre l’humanité jamais commis. Des décennies de cours moralisateurs dans les écoles, des documentaires sur l’Holocauste, des journées de mémoire répétées de manière obsessionnelle, des visites d’écoliers à Auschwitz, des appels à la vigilance : prenez garde que le nazisme ne revienne pas ! Regardez ! Le voici, et les journaux télévisés appellent des « négationnistes » les foules qui, dans toute l’Europe, se rebellent contre l’esclavage et contre cette barbarie indescriptible, Le titre de la République

[Voir des vidéos sur le site originale en italien, en fin d’article.]




Vague de mort par le vaccin : le gouvernement britannique publie une demande pour un système d’IA analysant les effets secondaires du vaccin COVID-19 décrits comme une « menace directe pour la vie des patients »

[Source en anglais : Natural News]

Alors que les médias grand public mensongers et traîtres nous disent à tous que les vaccins covid-19 sont parfaitement sûrs et « efficaces à 95% » — et ce mensonge est répété par PJ Media, Breitbart et d’autres éditeurs de presse dits « conservateurs » — au Royaume-Uni, le gouvernement a publié une soumission et un avis d’attribution de contrat pour la recherche d’un système d’intelligence artificielle (IA) capable de traiter [l’information sur] le déluge attendu de préjudices et d’effets secondaires du vaccin covid-19.

Intitulé simplement « Fournitures – 506291-2020 » et trouvé à ce lien sur Tenders Electronic Daily, cet avis d’attribution de contrat que nous avons initialement publié le 19 octobre 2020 et qui se résume comme suit :

La MHRA recherche d’urgence un outil logiciel d’intelligence artificielle (IA) pour traiter le volume élevé attendu d’effets indésirables (EI) du vaccin Covid-19 et s’assurer qu’aucun détail du texte des EI ne soit oublié.

La demande du système d’IA pour traiter les réactions vaccinales covid-19 provient de la Medicines & Healthcare Products Regulatory Agency du Royaume-Uni, la MHRA.

Plus loin dans le document, la MHRA décrit une « urgence extrême en vertu du règlement 32 (2) (c) liée à la libération d’un vaccin Covid-19 » et dit que le déluge attendu de réactions indésirables au vaccin covid-19 submergera son actuel « vieux système ».

« Si la MHRA ne met pas en œuvre l’outil d’IA », explique la MHRA, « elle ne pourra pas traiter efficacement ces EI. Cela entravera sa capacité à identifier rapidement tout problème de sécurité potentiel relatif au vaccin Covid-19 et représente une menace directe pour la vie des patients et la santé publique. »

Le statut d’extrême urgence de cette offre est expliqué plus en détail :

Raisons d’extrême urgence la MHRA reconnaît que son processus d’acquisition prévu pour le programme SafetyConnect, y compris l’outil d’IA, ne se serait pas terminé par le lancement du vaccin. Ceci conduit à une incapacité à surveiller efficacement les effets indésirables d’un vaccin Covid-19.

Événements imprévisibles la crise de Covid-19 est nouvelle et les développements dans la recherche d’un vaccin Covid-19 n’ont pas suivi jusqu’à présent de modèle prévisible.

Cela ressemble-t-il à une agence qui s’attend à ce que le vaccin contre le covid-19 soit sûr et efficace?

Il ressort clairement de la description figurant dans le document d’attribution que :

  1. La MHRA s’attend à ce que les vaccins covid-19 provoquent une vague d’événements indésirables / d’effets secondaires.
  2. La MHRA est pleinement consciente que ces événements indésirables vont nuire et tuer de nombreux patients. Elle met spécifiquement en garde contre « une menace directe pour la vie du patient ».
  3. Les vieux systèmes de la MHRA sont incapables de gérer le volume attendu de rapports entrants concernant les préjudices causés par le vaccin contre le covid-19, ce qui signifie que le volume attendu de ces rapports sera très important et sans précédent.
  4. La MHRA reconnaît « l’extrême urgence » de mettre en place un nouveau système pour identifier les effets indésirables des vaccins covid-19.
  5. La MHRA déclare que si un nouveau système d’IA n’est pas installé de toute urgence, elle sera incapable d’identifier un grand nombre des effets indésirables résultant du vaccin covid-19, et que cet échec aura un impact négatif sur la santé publique. (C’est-à-dire que les gens mourront.)

Ce que cela montre, c’est l’honnêteté brutale de la MHRA dans les coulisses, dans leur processus d’appel d’offres pour les systèmes d’IA. Pourtant, publiquement, presque toutes les agences gouvernementales de réglementation du monde entier y compris celles du Royaume-Uni et des États-Unis ne partagent pas ces détails avec le public et décrivent à tort que les vaccins covid-19 sont presque 100% sûrs et efficaces.

Nous savons maintenant que même la MHRA du Royaume-Uni se rend compte que les vaccins covid-19 vont être extrêmement dangereux pour le public, générant une vague catastrophique de réactions indésirables et d’effets secondaires mortels.

Cela pose la question suivante : pourquoi la MHRA ne dit-elle rien de tout cela publiquement ?

(source initiale : la vidéo suivante sur Brighteon.com, qui a d’abord attiré mon attention sur cette bombe.)



https://www.brighteon.com/embed/036c92ca-027b-413a-8ae9-1c17eeb091c6

Liquider la population humaine avec des armes biologiques mortelles et des vaccins toxiques : la « grande réinitialisation » est la tyrannie médicale et le communisme économique

Il ne fait aucun doute que le CDC sait tout cela aussi, et il ne diffuse rien qui alerterait le public sur cette réalité.

De toute évidence, le public est délibérément tenu dans l’ignorance des dangers des vaccins contre le covid-19, et malheureusement, même les médias conservateurs pro-Trump aux États-Unis répètent la propagande de l’industrie des vaccins pour essayer de faire croire aux gens que les vaccins contre le covid-19 vont sauver le monde.

Gardez à l’esprit que les géants traîtres de la technologie ont tous conspiré au cours des dernières années pour censurer quiconque remettrait en question la sécurité de l’efficacité des vaccins. Cela signifie que pendant que les gens mourront du vaccin contre le covid-19, personne ne sera autorisé à en parler ou à sonner l’alarme. Tous les décès dus au vaccin covid-19 seront cachés et tenus à l’écart du public. Les médias, bien sûr, feront tout pour protéger Big Pharma, tout comme ils ont fait des heures supplémentaires pour empêcher des divulgations choquantes sur Joe Biden et la famille criminelle Biden à propos du contrôle de la Chine communiste sur Hunter Biden.

En substance, Big Pharma et les contrôleurs mondialistes s’attendent à ce que l’humanité s’aligne, reçoive le coup et meure en silence alors que tout nous est volé par les méchants collaborateurs mondialistes de la « grande réinitialisation ». Les vaccins qui atteignent leur objectif de génocide de masse et de dépeuplement ne sont qu’une couche de leur grand plan qui implique également le vol coordonné et mondial de tous les actifs privés via un effondrement de la monnaie fiduciaire qui rend toutes les économies et tous les actifs libellés en devises instantanément sans valeur.

[NdNM : il est pratiquement impossible de démontrer que les élites mondiales envisagent (éventuellement) le génocide de 90 ou 95% de l’Humanité par divers moyens, dont l’utilisation de vaccins. Et donc, on peut parfaitement en douter. Cependant, si par hasard c’était effectivement le cas…
Ce qui est par contre démontré et notamment visible sur le site officiel du Forum Économique Mondial, c’est la volonté d’une partie de ces élites de produire leur fameuse Grande Réinitialisation.]

Non seulement les personnes qui prennent les coups de feu finiront par être blessées ou tuées; [mais en plus] tout ce qu’ils possédaient autrefois leur sera confisqué et volé par les mêmes mondialistes qui poussent pour les vaccins et la censure.

Ce sont les mêmes mondialistes qui viennent de voler les élections de 2020 aux États-Unis, bien sûr, en truquant les machines à voter de Dominion et en enflammant le pays entier avec leurs faux médias d’information.

La solution finale contre l’humanité est une combinaison d’une réinitialisation économique mondiale, d’un génocide de masse via des vaccins, d’une famine artificielle via un effondrement contrôlé de l’approvisionnement alimentaire, et du contrôle total de la parole et des pensées via la censure des Big Tech et les programmes d’ingénierie sociale. Pour les mondialistes, vous n’êtes qu’un animal d’élevage et ils croient qu’il est temps de rassembler tous les animaux à abattre.

D’où la nécessité du coronavirus SRAS-cov-2 dès le début : il a permis aux mondialistes de libérer tous leurs programmes pour asservir l’humanité et détruire la liberté humaine, tout en prétendant vous « protéger » de la même arme biologique qu’ils ont créée et relâchée dans le lieu initial [Wuhan].

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Le documentaire Hold-Up et l’interview d’Ariane Bilheran à propos de la crise mondiale Covid-19

[Source : https://complosphere.com]




[Source : Thana TV]

https://youtu.be/iJHNRwmPkUg

[Source : AgoraVox]

Ariane Bilheran est normalienne (Ulm), psychologue clinicienne, docteur en psychopathologie, chargée de cours à l’Université, auteur, conférencière, consultante.

Auteur de plus de vingt-cinq ouvrages, ses domaines d’expertise sont le harcèlement, la paranoïa, les déviances du pouvoir et la reprise de son pouvoir personnel.

Voir sa fiche wikipédia pour plus de détails

Quelques principes fondamentaux

Au cours de l’Histoire, les marionnettes visibles que l’on vous présente comme vos « gouvernants » (pire, « ministres » lesquels, étymologiquement, sont les « serviteurs » du peuple !) ont très souvent été manipulées par des puissants invisibles, de fins stratèges, qui ont eu le temps d’affiner plusieurs disciplines lors des siècles derniers : la stratégie, l’art de la guerre, la manipulation de masse (émotion, énergie, symboles, hypnose), l’ésotérisme, l’occultisme. Par exemple, Mazarin (et, à travers lui, les Jésuites) gouvernait dans l’ombre de Louis XIII puis de Louis XIV.

Tout est bon pour conquérir le pouvoir et le conserver. Ces puissants vous connaissent souvent beaucoup mieux que vous-mêmes vous ne vous connaissez. Ils savent comment faire réagir les masses. De génération en génération, le savoir se transmet au sein de l’oligarchie qui entend conserver le pouvoir.

Quelques principes sont pourtant célèbres :

– Diviser pour mieux régner
L’ennemi du peuple est alors celui qui opère cette manipulation, et non celui qui est officiellement désigné comme son ennemi.

 Unir contre un bouc émissaire
L’idéal est le bouc émissaire intérieur, celui qui permettra d’asseoir un total contrôle de la population.

 Créer artificiellement le sauveur et le persécuteur
Celui qui vient vous sauver est en réalité à l’origine du problème, et vous sauver lui permet de gagner un surcroît de pouvoir.

Source du texte : [Conscience sans objet]

Le pouvoir et le complot 

Par Ariane Bilheran, le 29 décembre 2015 – Ariane Bilheran 
Auteur de : L’autorité, Psychologie et pathologie, éd. Armand Colin, 2016, et Psychologie de la paranoïa, éd. Armand Colin, 2016

Aujourd’hui, il existe une mode, un clivage, une idéologie, celle des « complotistes » et des « anticomplotistes ».
Les complotistes seraient « ceux qui voient des complots partout », et les anticomplotistes, ceux qui dénoncent les complotistes.
Voilà encore une manière de clôturer tout débat et surtout d’empêcher au peuple de penser l’évidence.

L’exercice malade du pouvoir a, de tout temps, fonctionné par complots.

  • Lorsque Néron programma l’incendie de Rome et fit accuser les chrétiens d’en être les auteurs.
  • Lorsque les Nazis incendièrent le Reichstag et accusèrent les communistes d’en être les auteurs.
  • Lorsque les généraux de l’Armée Française complotèrent un putsch contre De Gaulle.
  • Lorsque Mitterrand programma l’attentat de l’Observatoire contre lui-même pour rehausser son crédit public.

Voici quelques exemples bien connus, mais tant d’autres abondent de façon massive dans l’Histoire de la politique mondiale !

L’essence du pouvoir pathogène est paranoïaque.

Je l’ai suffisamment étudié dans mes travaux depuis des années, pour rappeler que le pouvoir injuste et arbitraire est harceleur, d’essence paranoïaque, tandis que le pouvoir juste se fonde sur l’autorité et l’accès à la triangulation (au tiers).
La perversion quant à elle se met volontiers au service de la paranoïa, dont elle exécute, avec jouissance, technique et savoir-faire, les desiderata.

En d’autres termes, le pouvoir déviant qui fonctionne sur un mode paranoïaque, dit le contraire de ce qu’il fait, énonce des idéaux qu’il souille jour après jour, crée des boucs émissaires (intérieurs et/ou extérieurs), manipule par la terreur et l’empathie, traumatise et harcèle son propre peuple, parfois à l’insu de ce dernier, clive la pensée en “bons” et “méchants”, exerce une propagande idéologique quotidienne, assure le contrôle de l’information de masse et renforce son désir d’extension par la guerre.

Tout ceci est plus ou moins visible et subtil, mais ce type de pouvoir ne gouverne que par complots.
Est paranoïaque, non pas celui qui dénonce cela, mais celui qui exerce ce type de pouvoir.

Le pouvoir pathogène se repère par ses injonctions paradoxales.

Il dit quelque chose et fait le contraire.
Il dit quelque chose et le lendemain, dit le contraire.
Il dit surtout, qu’au nom de la persécution qu’il subirait (et que, souvent, il met lui-même en scène), il doit persécuter.

N’y a t-t-il pas, en outre, une immense injonction paradoxale lorsque le pouvoir vous dit que, pour votre liberté, il va supprimer vos libertés ?
Enfin, le pouvoir paranoïaque persécute ceux qui s’opposent aux guerres, au nom de la « préservation de l’intérêt de la nation », nation dont il aura lui-même, de façon directe ou indirecte, organisé la persécution.

“La privation de l’intime”

(d’après le titre d’un excellent livre de Michaël Foessel)

Pour le bien et la sécurité de tous, le système paranoïaque s’arroge le droit de priver d’intime le groupe ou le peuple qu’il dirige.
Tout est espionné, contrôlé, surveillé, au nom d’idéaux dévoyés.
Lorsque des professionnels de santé ne sont plus en mesure de protéger les données de leurs patients puisqu’ils ne font pas partie des professions « protégées » des perquisitions arbitraires du pouvoir, la privation de l’intime devient très évidente. Est-ce pour votre sécurité ? Ou cela vous expose-t-il ?

Quant à ceux qui crient, face au système paranoïaque, que l’on peut bien les espionner, car ils n’ont rien à cacher… ils méconnaissent gravement les intentions du pouvoir paranoïaque qui sont de dévier l’intime pour le subvertir et le retourner contre toute forme d’opposition.
Quiconque a à cacher son intimité. L’intimité n’est pas uniquement sexuelle, elle est aussi émotionnelle, psychique etc.
Je dois pouvoir dans l’intime ressentir, réfléchir, écrire, débattre librement, sans un « œil de Moscou » – lequel est désormais transféré à Paris – qui surveille, tel un Surmoi archaïque prêt à condamner toute pensée personnelle et vivante, toute différence et toute créativité.

Peu importe que cette surveillance soit réelle, puisqu’elle est désormais ancrée dans le fantasme. Il en est de même pour la censure.
Elle est plus performante d’ailleurs lorsqu’elle est ancrée dans le fantasme.
Il est alors interdit d’exister dans sa subjectivité et chaque individu deviendra lui-même son propre gardien de prison.
Or, l’intime, c’est sacré. L’on protège ce qui est sacré.
Si l’on accepte qu’autrui intruse sa propre intimité, viole son intimité, qui est sacrée, l’on consent à tout profaner, à tout souiller.
Et c’est très grave.

Un pouvoir bienveillant effectivement ne vous fera pas de mal.
Mais un pouvoir bienveillant jamais ne s’autoriserait à venir fouiller chez vous, à vous espionner etc.
Un pouvoir qui espionne son propre peuple relève d’un pouvoir totalitaire, quelle que soit sa dénomination.
Car il faut soi-même ne pas avoir de barrières psychiques ni morales pour oser intruser l’espace intime de l’autre.

Quelques principes fondamentaux

Au cours de l’Histoire, les marionnettes visibles que l’on vous présente comme vos « gouvernants » (pire, « ministres » lesquels, étymologiquement, sont les « serviteurs » du peuple !) ont très souvent été manipulées par des puissants invisibles, de fins stratèges, qui ont eu le temps d’affiner plusieurs disciplines lors des siècles derniers : la stratégie, l’art de la guerre, la manipulation de masse (émotion, énergie, symboles, hypnose), l’ésotérisme, l’occultisme. Par exemple, Mazarin (et, à travers lui, les Jésuites) gouvernait dans l’ombre de Louis XIII puis de Louis XIV.

Tout est bon pour conquérir le pouvoir et le conserver.
Ces puissants vous connaissent souvent beaucoup mieux que vous-mêmes vous ne vous connaissez.
Ils savent comment faire réagir les masses.
De génération en génération, le savoir se transmet au sein de l’oligarchie qui entend conserver le pouvoir.

Quelques principes sont pourtant célèbres :

  • Diviser pour mieux régner
    L’ennemi du peuple est alors celui qui opère cette manipulation, et non celui qui est officiellement désigné comme son ennemi.
  • Unir contre un bouc émissaire
    L’idéal est le bouc émissaire intérieur, celui qui permettra d’asseoir un total contrôle de la population.
  • Créer artificiellement le sauveur et le persécuteur
    Celui qui vient vous sauver est en réalité à l’origine du problème, et vous sauver lui permet de gagner un surcroît de pouvoir.

La manipulation par la crainte et la pitié

L’humain produit comme émotions les plus puissantes ce que les Grecs anciens nommaient « la pitié » (entendre, l’empathie) et « la crainte » (la terreur).

S’il n’y a pas de théâtre pour les expulser, alors nous les expulserons dans le théâtre de la « vraie vie » et les masses seront manipulées de cette façon.
Car le théâtre c’est le jeu, et le jeu permet de créer des frontières entre le dedans et le dehors, et, précisément de ne pas jouer dans le réel la scène fantasmée.

C’est pour cela que le théâtre, chez les Athéniens, était un devoir citoyen : assister à une tragédie d’Eschyle ou d’Euripide revêtait la fonction citoyenne d’expulser ce trop-plein d’émotion d’empathie et de terreur, par identification au héros, dont Racine nous disait qu’il devait, pour que l’identification opère correctement, être « mi-coupable, mi innocent » (préface de Phèdre).

Les Anciens l’avaient parfaitement théorisé, sous l’angle de la « catharsis » conceptualisée par Aristote.

Ne nous étonnons pas que les Lettres Classiques soient désormais reléguées au rang d’enseignement pauvre de la « République » (le CAPES de lettres classiques ayant été supprimé, il était donc bien dans le projet de supprimer l’enseignement du latin et du grec) : il y a, dans le savoir des Anciens, dans la philosophie antique, des trésors de compréhension et d’entendement qu’il est désormais malvenu d’enseigner, de transmettre et de connaître.

De tout temps, ceux qui ont désiré exercer un pouvoir sur les peuples n’ont jamais été de gentils agneaux. Et jamais le loup ne vous avertira qu’il est un loup !

L’acculturation des masses fait partie du projet d’aliénation, et les individus doivent être conscients de cela.
Tout ce qui concourt à développer la subjectivité, l’imaginaire, la symbolisation, l’art, la culture, la pensée sera honni des pouvoirs d’essence totalitaire.

Parfois, il existe des gouvernants intègres, qui servent l’idéal plutôt que leurs ambitions personnelles, mais ceci est extrêmement rare.
Rare, parce que ceux qui désirent exercer un pouvoir pathogène sur les peuples ne leur permettent pas d’exercer longtemps le pouvoir (assassinats, meurtres déguisés en suicides, disqualification médiatique…).

Rare aussi, car, comme le disait Platon, ceux qui seraient les plus compétents et les plus sages pour exercer le pouvoir ne désirent précisément pas cette fonction.

Vigilance

Alors, plus que jamais, soyez vigilants face à la manipulation.
Elle se repère notamment par les paradoxes :

  • Au nom de la liberté d’expression, museler des citoyens et procéder à des perquisitions arbitraires, à des assignations à résidence qui empêchent le droit de manifester.
  • Au nom de la liberté et des droits, supprimer des libertés et des droits.
  • Au nom de la lutte contre le terrorisme, semer soi-même la terreur.
  • Au nom de la lutte contre la haine, cultiver et orienter le projet politique vers la haine.

Je rappelle sans cesse Staline et sa « constitution la plus démocratique du monde » en 1936, au même moment où il liquidait ses généraux…

Les interdits de penser

Le pouvoir d’essence paranoïaque censure, prohibe et stigmatise toute pensée différenciée.

Toute pensée qui sort des sentiers battus du dogme commun, sera rejetée, et exposera celui qui l’émet à la moquerie, à l’ostracisme, au bannissement.
Le véritable ennemi n’est pas l’enfant qui a été arraché à sa famille, traumatisé à maintes reprises pour être dissocié en plusieurs personnalités compartimentées manipulables, hypnotisé, endoctriné, et drogué, et qui, en zombie, commettra un attentat à la fleur de l’âge dans lequel lui-même mourra.

Le véritable ennemi est un système mortifère où s’invitent des psychopathes du pouvoir qui auront créé ce robot tueur.

Ne nous trompons pas d’ennemis en désignant des boucs émissaires. Soyons aujourd’hui, plus qu’hier, centrés, surtout si d’autres événements surviennent pour nous déstabiliser.

Travaillons plus que jamais notre sentiment de sécurité intérieure, ne nous laissons ni conseiller ni guider par et vers la peur.

Revenons simplement à l’analyse de ce que nous servons.

Servons-nous des énergies positives de construction, de vie, ou servons-nous désormais des énergies de mort ?

Il existe deux vérités universelles, qu’il est bon de rappeler :

  • La peur engendre toujours la violence (et vice-versa)
  • La haine engendre toujours la haine.

La réalité est systémique, tout fonctionne en miroir et par des processus.
Ainsi, en toute chose qui nous arrive, il est préférable de nous demander “comment ai-je pu y participer ?”

Lorsque j’étais en khâgne, j’avais eu pour sujet de dissertation philosophique « Pourquoi les religions opposent-elles les hommes ? », et j’en avais tiré une conclusion que je ne dénierai pas aujourd’hui : ce ne sont pas les religions qui opposent les hommes, c’est l’instrumentalisation politique et cachée qui les infiltre.

Je connais beaucoup de musulmans meurtris qui ne demandent qu’à pratiquer leur religion en paix, dans la quiétude spirituelle du rapport de l’humain à l’infini qui le dépasse.

Le reste est intégriste, inquisitorial, fanatique et n’a rien à voir avec des Prophètes de paix, comme l’Inquisition en son temps n’avait rien à voir avec le Christ.

Que les textes religieux soient trafiqués a posteriori, pour servir des intérêts de manipulation politique, ce n’est pas nouveau non plus !
Nous voilà face au même scenario, en inversé, que celui qui avait été monté de toutes pièces lors des croisades en infiltrant la religion chrétienne. Ne soyons pas dupes.

Comme si les religions pouvaient s’exporter par la guerre, surtout qu’elles demandent l’adhésion libre du croyant, ceci est un parfait non-sens. Comme si la foi pouvait s’imposer par la force !

En revanche, le pouvoir pathogène, quant à lui, s’exporte bien par la guerre et exulte dans ces rapports de force et de domination.
Et la soumission au dogme unique comporte bien la marque de la paranoïa.

Toute vie humaine est courte sur terre, et nous venons y apprendre à aimer, à vivre, à goûter de la joie et de la beauté, à rencontrer l’harmonie.

  • Ne nourrissez pas la guerre,
  • N’appelez pas la guerre,
  • Ne désirez pas la guerre,
  • Refusez de payer la guerre,

Cette guerre dans laquelle d’autres veulent nous emmener pour leur propre intérêt et leur propre jouissance sadique.

Je suis bien triste aujourd’hui d’avoir à écrire tout cela.

Je vous souhaite de passer d’excellentes fêtes de fin d’année, dans la chaleur, le partage et la communion fraternelle.

Le 29 décembre 2015.
Ariane Bilheran, psychologue, et auteur de Manipulation. La repérer, s’en protéger (Paris, Armand Colin, 2013), de Se sentir en sécurité (Paris, Payot, 2013), et de Soyez solaire ! (Paris, Payot, 2015).


Voir aussi : Hold-Up




Danemark : la loi sur la vaccination forcée abandonnée après des manifestations publiques

[Source en anglais : InfoWars]

Au Danemark, une loi qui aurait donné aux autorités le pouvoir d’injecter de force un vaccin contre le coronavirus a été abandonnée après neuf jours de manifestations publiques.

La «loi sur l’épidémie» aurait donné au gouvernement danois le pouvoir de promulguer des mesures de quarantaine obligatoires contre toute personne infectée par une maladie dangereuse, mais c’est la partie concernant les vaccinations qui a provoqué le plus grand tollé.

Au Danemark, le gouvernement national a proposé une nouvelle loi sur les épidémies qui inclut le droit de procéder à des examens physiques forcés, oblige l’isolement et autorise la vaccination sous contrainte physique dirigée par la police.
Les gens ont résisté.
La proposition a été abandonnée.
Bravo, Danemark.

« L’autorité sanitaire danoise serait en mesure de définir des groupes de personnes qui doivent être vaccinées afin de contenir et d’éliminer une maladie dangereuse », rapporte la section locale.

« Les personnes qui refusent ce qui précède peuvent — dans certaines situations — être contraintes par la détention physique, avec l’autorisation du recours à la police. »

Cependant, après neuf jours consécutifs de protestations contre la nouvelle loi, elle a maintenant été abandonnée.

https://twitter.com/robinmonotti/status/1327588831659483137
DANEMARK : 9 jours de manifestations contre une nouvelle loi qui « permettrait de définir les groupes de personnes qui doivent être vaccinés. Les personnes qui refusent ce qui précède peuvent être contraintes par la détention physique, avec l’autorisation du recours à la police. »

Avec un vaccin contre le coronavirus en vue, les gouvernements du monde entier réfléchissent aux mesures punitives à prendre contre ceux qui refusent de le prendre.

La semaine dernière, nous avons souligné comment Ticketmaster et les compagnies aériennes envisagent d’interdire aux gens d’entrer sur les sites et de voler s’ils ne peuvent pas prouver qu’ils ont pris le vaccin.

Ainsi, [même] si les manifestations publiques peuvent empêcher les autorités de procéder à des vaccinations forcées, les personnes qui refusent de se faire vacciner peuvent trouver quasiment impossible de profiter de tout type de vie sociale, d’utiliser les transports publics ou même de trouver un emploi.




Les confinements n’ont pas réduit la mortalité due au COVID, mais ils ont tué des millions d’emplois

[Source : Anguille sous roche]

Au début du covid-19, au printemps, les responsables gouvernementaux de tout l’éventail politique ont largement reconnu que l’intervention du gouvernement et la fermeture forcée de nombreuses entreprises étaient nécessaires pour protéger la santé publique.

Cette approche a clairement échoué aux États-Unis car elle a entraîné une dévastation économique généralisée, notamment des millions d’emplois perdus, des faillites et des pertes de rentabilité extrêmement graves. De même, les États qui ont imposé un confinement strict n’ont pas réussi à faire baisser le nombre de décès par million par rapport aux États qui étaient moins stricts.

Par conséquent, quelques mois après le début de la pandémie, certains gouverneurs ont pesé les coûts économiques concurrents avec l’endiguement du covid-19 et ont lentement rouvert leurs économies. Bien entendu, ces gouverneurs n’ont pas imposé la réouverture des entreprises, mais ils leur ont donné la possibilité de le faire.

L’hystérie s’ensuivit, car beaucoup considéraient l’assouplissement des restrictions comme une sorte de meurtre de masseThe Atlantic a qualifié l’assouplissement des restrictions du gouverneur géorgien Brian Kemp de « sacrifice humain » et a fait référence aux Géorgiens comme étant dans une « étude de cas d’exception pandémique ». Nous devrions plutôt considérer les confinements comme une étude de cas de l’échec d’approches musclées pour contenir un virus hautement infectieux.

Maintenant que nous sommes à neuf mois de cette pandémie, nous avons une image plus claire de la grande diversité des approches des gouvernements des États. Il est clair que les économies « réouvertes » se portent globalement beaucoup mieux que les économies moins « réouvertes ». « Grâce à une réouverture plus large et plus rapide des économies après l’éruption initiale du coronavirus, les États rouges à tendance conservatrice sont dans l’ensemble bien plus efficaces que les États bleus à tendance libérale pour ce qui est de remettre les gens au travail »écrit Carrie Sheffield. Cela est logique, surtout si l’on considère que les êtres humains apprennent à s’adapter très rapidement. Nous en avons maintenant appris beaucoup plus sur le traitement de ce virus et sur les personnes les plus exposées au risque d’infection.

Tout le monde ne peut pas ##RestezChezVous

Malgré cela, de nombreux partisans du confinement affirment toujours que chaque infection de Covid est un échec de la politique publique. Mais cette position est en grande partie un luxe pour les cols blancs qui peuvent se permettre de travailler à domicile. Les confinements ont été décrits comme « la pire agression contre la classe ouvrière depuis un demi-siècle ». Martin Kulldorff, un biostatisticien, déclare que « la classe des cols bleus est dehors en train de travailler, y compris les personnes à haut risque dans la soixantaine ». Le collègue de Kulldorff, Jay Bhattacharya, note que l’une des raisons pour lesquelles « les populations minoritaires ont eu une mortalité plus élevée aux États-Unis à cause de l’épidémie est qu’elles n’ont pas souvent la possibilité… de rester chez elles ». En effet, les politiques descendantes de confinement sont « régressives » et reflètent une « monomanie », dit le Dr Bhattacharya. En gardant cela à l’esprit, on comprend aisément pourquoi les Américains les plus riches ont tendance à considérer les mesures restrictives comme la réponse appropriée.

Pour de nombreux Américains, les périodes prolongées sans emploi rémunéré, sans revenu ou sans interaction sociale sont non seulement impossibles mais potentiellement mortelles. Martin Kulldorff note que les restrictions liées au covid-19 ne tiennent pas compte des questions de santé publique plus larges et créent des dommages collatéraux ; parmi ces dommages collatéraux, on trouve « une aggravation de l’incidence des maladies cardiovasculaires et du cancer et un déclin alarmant de l’immunisation ». Le Dr. Bhattacharya note à juste titre que la société « comptera les dommages à la santé causés par ces restrictions pendant très longtemps ».

Messages contradictoires

Bhattacharya a souligné la politisation de ces restrictions :

« Lorsque les manifestations de Black Lives Matter ont éclaté au printemps, “1 300 épidémiologistes ont signé une lettre disant que les rassemblements étaient conformes aux bonnes pratiques de santé publique” », alors que ces mêmes épidémiologistes ont affirmé que « nous devrions essentiellement mettre en place une quarantaine ».

Une telle contradiction défie la logique et contredit les arguments sur la létalité de ce virus. Si ce nouveau virus était vraiment aussi dévastateur pour le grand public qu’on l’annonce, alors les dirigeants politiques qui soutiennent les protestations et les émeutes de masse pendant une pandémie semblent mal fondés. Cette contradiction a été citée dans d’innombrables procès contestant la validité et la constitutionnalité des restrictions relatives au covid-19.

Par ailleurs, ces restrictions souvent sévères ont visé des droits protégés par la Constitution, comme la liberté de religion. Le juge de la Cour suprême Samuel Alito a critiqué les restrictions du gouverneur du Nevada en déclarant : « que le Nevada fasse une discrimination en faveur de la puissante industrie du jeu et de ses employés n’est peut-être pas une surprise… Nous avons le devoir de défendre la Constitution, et même une urgence de santé publique ne nous dispense pas de cette responsabilité. » Cette critique cinglante n’a cependant pas obtenu le soutien de la Cour suprême, car une majorité de 5-4 s’est reportée sur la « responsabilité du gouverneur de protéger le public en cas de pandémie ».

Les pires délinquants de l’État et de la région

Une telle déférence peut être politiquement bénéfique pour la Cour suprême, mais elle pose un problème beaucoup plus important pour les libertés fondamentales. D’une part, nombre de ces restrictions ont été imposées par des gouverneurs d’État ou des organismes administratifs plutôt que par des moyens démocratiques. Le gouverneur du Michigan, Gretchen Whitmer, a été pris pour cible en raison de son contournement continu des canaux démocratiques et de son approche descendante.

Ces restrictions sont quelque peu insignifiantes si elles ne sont pas appliquées et si elles ne bénéficient pas de ressources suffisantes. C’est pourquoi de nombreuses grandes villes américaines ont créé des groupes de travail pour faire appliquer ces restrictions. Par exemple, le maire de Los Angeles, Eric Garcetti, a menacé de fermer les services publics pour ceux qui organisent de grandes fêtes à domicile. Garcetti veut traiter les rassemblements privés de la même manière que les bars et les boîtes de nuit qu’il a fait fermer de force. Non seulement c’est ridicule, mais c’est aussi autoritaire ; il y a eu peu de contrôles sur sa capacité à armer les services publics de cette façon. Le bureau du shérif de la ville de New York a récemment « arrêté une fête de plus de 200 personnes qui bafouaient les restrictions sur le coronavirus ». Leur crime ? Les députés ont trouvé environ deux cents individus sans masque « dansant, buvant et fumant du narguilé à l’intérieur ». Le propriétaire de l’endroit a « reçu cinq citations à comparaître… pour violation d’ordonnances d’urgence, vente d’alcool sans licence et entreposage d’alcool sans licence »Que ferions-nous sans le gouvernement ?

Le gouverneur de Californie, Gavin Newsom, a longtemps participé à cet effort de restriction des libertés sous couvert de santé publique. Le gouverneur Newsom et le ministère californien de la santé publique ont publié de nouvelles directives de « sécurité » pour tous les rassemblements privés pendant les vacances de Thanksgiving. Selon Newsweek« tous les rassemblements ne doivent pas inclure plus de trois ménages, y compris les hôtes et les invités, et doivent se dérouler en plein air, pendant deux heures ou moins ». Étant donné les tendances interventionnistes de Newsom, il est probable que ces restrictions seront appliquées. Comment le gouvernement déterminera-t-il le nombre de ménages participant à un repas de Thanksgiving et qui fera respecter la fenêtre de deux heures ? Ce sont des questions que les journalistes devraient se poser.

En attendant, les différents niveaux de reprise économique entre les États rouges et les États bleus montrent à quel point la politique descendante peut être un échec. Des confinements stricts ont dévasté les revenus de millions de familles tout en ne parvenant pas à supprimer la mortalité due aux maladies infectieuses. Il faut mettre fin à cette expérience ratée.




Conséquences psychologiques du port du masque chez les enfants de 6 à 10 ans

[Source : Réseau International]

Interview de Patrick Ange Raoult psychologue clinicien, psychothérapeute, criminologue, maître de Conférences en psychologie clinique et pathologique, membre du Bureau national du Syndicat national des psychologues et rédacteur en chef de la revue Psychologues et Psychologies


par Candice Vacle.

Le Président de la République, dans une allocution du 28 octobre 2020, a annoncé un reconfinement pour une durée d’au moins un mois. Suite à quoi, le décret n° 2020-1310, « prescrivant les mesures générales nécessaires pour faire face à l’épidémie de Covid-19 dans le cadre de l’état d’urgence sanitaire » a été édicté le 29 octobre 2020. Parmi ces mesures, les enfants dès 6 ans, doivent porter un masque à l’école, pour une durée d’au moins un mois, depuis le 30 octobre 2020[1],[2].

Déjà, depuis la rentrée scolaire 2020-2021, les enseignants portent le masque à l’école, dans le cadre du « Protocole sanitaire des écoles et établissements scolaires de l’année scolaire 2020-2022 » édicté suite à la crise sanitaire due au Covid-19.

À l’école primaire, les enfants de 6 à 10 ans et leurs enseignants doivent donc porter le masque. Tous sont masqués. L’enfant ne peut, donc, plus voir les mimiques du bas du visage d’autrui (enfant ou adulte) à l’école. Et, ses propres mimiques du bas du visage ne sont plus vues par autrui, à l’école. Cette situation est inédite.

Quelles conséquences peut avoir ce port du masque à l’école sur la psychologie des enfants entre 6 et 10 ans, sachant que les enseignants eux-mêmes portent le masque ? Ce port du masque, peut-il avoir des conséquences sur le développement relationnel de ces enfants ?

Patrick Ange Raoult :

« Le masque a pour caractéristique de cacher une bonne part du visage gommant les expressions mimiques. L’expression du visage permet la régulation des émotions et affects dans l’interaction avec autrui. Elle est un temps d’apprentissage dans la relation et le constituant d’un lien avec autrui. Le fait de ne pas voir le visage de l’autre a pour risque l’incompréhension de l’expression de l’autre, le mauvais décodage des mimiques, un certain trouble dans la relation. Seuls les yeux vont se trouver porteurs de l’affect ainsi que l’intonation de la voix.

Le deuxième aspect est l’apprentissage et le contrôle de ses propres mimiques dans le lien à l’autre. Celui-ci risque d’être empêché. Il majore la distorsion entre l’expression mimique et l’affect ou le propos tenu.

Pour autant, les enfants savent trouver des systèmes compensatoires, même s’ils sont potentiellement perturbés. Les enfants les plus fragiles vont se trouver plus désorientés. La plupart des enfants à cet âge sont conciliants à la demande des adultes et beaucoup s’y plieront quoi qu’ils leur en coûtent. Ceux qui ont pu bénéficier de relations sécurisantes, affectivement investies ne vivront qu’une contrainte normative; d’autres en proie à des problématiques de séparation mal régulées risquent de vivre ces mesures sanitaires comme des formes de rejet et d’abandon. Les plus fragiles, enfin, tenteront peut-être à se sentir persécuter par ces regards sans expression mimique.

Le risque principal perçu est non seulement la distorsion de la construction des relations avec autruiune certaine distanciation dans le lien avec l’adulte pouvant devenir un objet étranger et peu appréhendable. Les mesures sanitaires accélèrent l’effacement de la corporéité et de la sensualité. Elles induisent le principe d’une dangerosité potentielle de l’autre, nous inscrivant dans une dimension paranoïaque de la relation. La personnalité peut être affectée par ces mesures.

En d’autres cas, elles [les mesures sanitaires] auront la fonction d’un apprentissage de nouvelles normes distanciées et hygiénistes dans le rapport à l’autreCeci modifiera probablement les modes d’implication dans le lien et le mode de manifestation de l’attachement. Le mode d’interaction précoce et dans l’enfance façonne aussi le style de personnalité »[3].

Ces enfants de 6 à 10 ans, ont-ils l’autonomie nécessaire pour être capables, toute la journée scolaire, de porter le masque, selon les règles d’hygiène nécessaires au bon port du masque ?[4]

Patrick Ange Raoult :

« La capacité à maintenir le masque sur le visage ne sera pas forcément aisée. Ceux qui s’y prêteront le plus sont soit les plus dépendants à l’autorité d’adultes, soit les plus anxieux ayant des craintes de contamination, de maladie ou de mort. De plus, l’obligation sanitaire formulée a deux effetsaccroître les mesures de contraintes, de rappels et de punitions favorisant la dimension de contrainte de l’espace scolaire défaisant le registre d’accueil [de l’école]; favoriser l’entretien d’une angoisse permanente construisant une personnalité anxieuse »[3].

Ce masque risque-t-il de rappeler constamment aux enfants la présence du virus, et de ce fait, leur créer des obsessions, des peurs, de la culpabilité de mal porter le masque et de contaminer les autres ?

Patrick Ange Raoult :

« Autour du masque vont se déployer de multiples attitudes : opposition à l’adulte ou au système scolaire, honte de soi, culpabilité de ne pas l’avoir porté, mal-être chronique dans un contexte anxiogène. Le risque est celui d’une double culture de la soumission et de l’anxiété »[3].

Si les enfants comprennent qu’on les oblige à porter un masque alors que le Covid-19 « n’est pas vectorisé par les enfants », que « les enfants ne meurent pas de coronavirus » (comme le dit Pr Raoult)[5] et que l’OMS considère « qu’un masque non médical n’est ni un dispositif médical ni un équipement de protection individuelle »[6] quel effet cela aura-t-il sur leur psychologie ? Que penseront ces enfants des adultes, de l’État, de la loi ?

Patrick Ange Raoult :

« Ils ne sont pas sans saisir que la pertinence du port du masque est l’objet de discordes ou d’opinions divergentes entre adultes. Cela renvoie à l’incertitude et l’incohérence de la position de pouvoir à un âge où ils sont plutôt en attente de sécurité, dans la croyance de la justesse de l’autorité parentale et sociale, très dépendant des consignes de l’autorité avec un sens moral conformiste »[3].

Si ces enfants de 6 à 10 ans voient leurs parents faire le dos rond et accepter cette mesure imposée par l’État, qu’est-ce que cela peut créer dans leur psychologie ?

N’est-ce pas une expérience de soumission à l’autorité qui pourrait durablement « formater » l’enfant et en faire un futur adulte soumis ? N’est-ce pas une expérience « insécure » car même leurs parents ne peuvent y mettre un terme ?

Patrick Ange Raoult :

« L’obligation sanitaire peut être perçue comme une adhésion à la loi par les parents (confortant ainsi l’acceptation des règles sans les discuter) ou comme une soumission des parents les destituant d’une capacité d’autorité.

A propos de ces aspects, effectivement, on trouve un sentiment d’insécurité générant des troubles anxieux […]. Une inquiétude permanente qui oblige à se soumettre à des obligations […] contradictoires et peu cohérentes. Cela limite les possibilités de libre choix […]. Le sanitaire vient servir un sécuritaire sur un mode dictatorial, non discutable, au nom de la science, qui peut être perçu ainsi par certains enfants comme un empêchement à avoir une liberté quelconque. Ils perçoivent dans les faits la contradiction entre l’affirmation d’une liberté d’expression comme mythe idéologique et l’impossibilité de la vivre sur certains registres. Cela renforce la dimension de normalisation du cadre scolaire et social. La liberté d’expression est limitée aux propos admis, selon un code spécifique dans une expression cadrée et normée »[3].

EN RÉSUMÉ,

Le port du masque par les enfants de 6 à 10 ans, et les personnes qui les entourent, masque les mimiques du bas du visage. Cela risque de nuire aux capacités d’expression et de communication des enfants, par les mimiques du visage. Ceci peut aller jusqu’à une distorsion dans leur relation avec d’autres personnes. Suivant le développement plus ou moins harmonieux et sécurisé de l’enfant, l’enfant de cet âge parviendra plus ou moins, à mettre en place une stratégie pour compenser ces problèmes. Le risque majeur étant qu’autrui puisse être perçu par l’enfant comme potentiellement dangereux. Donc, l’apprentissage du port du masque (et des nouvelles normes distanciées hygiénistes) pourrait modifier les modes relationnels de ces enfants. Tout ceci pourrait durablement modeler leur personnalité. Au quotidien, il ne sera pas facile pour l’enfant de conserver un masque sur le visage. Alors, l’enfant vivra davantage l’école comme une contrainte. Ceci favorisera, chez l’enfant, l’entretien d’une angoisse permanente pouvant construire une personnalité anxieuse. Alors, ce port du masque risque d’inscrire l’enfant dans une culture à la fois de soumission et d’anxiété.

En somme, le port du masque, chez les enfants, entre 6 et 10 ans peut créer des troubles de la communication et de la relation; modifier la manière dont les enfants développent leur attachement aux autres ; il peut aussi générer des angoisses, de la soumission, façonner la personnalité des enfants et renforcer leur apprentissage des normes.

Est-ce que la balance bénéfice risque concernant les conséquences psychologiques du port du masque à l’école par des enfants de 6 à 10 ans a bien été pesée par le gouvernement ? Les effets psychologiques du port du masque seront-ils renforcés si ces mesures perdurent dans le temps (mois, année) ?

Candice Vacle

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[1] https://www.service-public.fr/particuliers/actualites/A14405

[2] https://www.legifrance.gouv.fr/jorf/id/JORFTEXT000042475143 (Article 36)

[3] Mail Patrick Ange Raoult du 5 novembre 2020

[4] https://apps.who.int/iris/bitstream/handle/10665/332448/WHO-2019-nCov-IPC_Masks-2020.4-fre.pdf

L’orientation de l’OMS sur le bon usage des masques consiste à :

  • pratiquer l’hygiène des mains avant de mettre le masque ;
  • placer soigneusement le masque en veillant à ce qu’il couvre la bouche et le nez, qu’il épouse l’arête du nez et qu’il soit bien fixé pour réduire le plus possible les espaces éventuels entre le visage et le masque ;
  • éviter de toucher le masque en le portant ;
  • enlever le masque correctement, sans toucher l’avant du masque, en le détachant depuis l’arrière ;
  • après avoir ôté le masque, ou après avoir touché par inadvertance un masque usagé, se frotter les mains avec une solution hydroalcoolique, ou les laver avec de l’eau et du savon si les mains sont visiblement sales ;
  • remplacer un masque dès qu’il devient humide par un nouveau masque propre et sec ;
  • ne jamais réutiliser un masque à usage unique ;
  • jeter le masque à usage unique après l’utilisation et l’éliminer immédiatement après l’avoir enlevé. »

[5] https://reseauinternational.net/lobeissance-de-ceux-qui-imposent-a-lecole-le-port-du-masque-aux-enfants-ca-nous-mene-ou/ Le 14 septembre 2020, Pr. Raoult infectiologue dit, à propos du covid-19 : « Le coronavirus n’est pas vectorisé par les enfants. Les enfants ne le font pas circuler. Et les enfants ne meurent pas de coronavirus ».

[6] https://apps.who.int/iris/bitstream/handle/10665/332448/WHO-2019-nCov-IPC_Masks-2020.4-fre.pdf L’OMS écrit, le 5 juin 2020 :

« Un masque non médical n’est ni un dispositif médical ni un équipement de protection individuelle. » page 10

« Dans le grand public, le port du masque par des personnes en bonne santé peut notamment présenter les désavantages suivants :

  • risque potentiellement accru d’autocontamination dû au fait de manipuler un masque facial puis de se toucher les yeux avec des mains contaminées. » page 9



Confinement, propagande COVID et points de presse gouvernementaux : la recette parfaite du lavage de cerveau calquée sur les sectes

[Source : Le Tribunal de l’infaux]

« La manipulation consciente, intelligente des opinions et des habitudes organisées des masses joue un rôle important dans une société démocratique. Ceux qui manipulent ce mécanisme social imperceptible forment un gouvernement invisible qui dirige véritablement le pays. »

Edward Bernays, Propaganda, 1928

Si la théorie du conditionnement d’Ivan Pavlov est bien connue, celle de la réflexologie élaborée par son rival, Vladimir Mikhailovic Bekhterev, l’est moins. Elle n’est cependant pas moins pertinente, surtout au cœur d’une crise sanitaire de plus en plus douteuse, exploitée par une élite dont l’un des buts affichés consiste à imposer une « nouvelle normalité » et à vacciner la planète.

Les méthodes employées pour nous faire accepter cette « nouvelle normalité » sont pratiquement identiques à celles employées par certaines sectes et remontent à Bekhterev.

Avant d’explorer les principaux éléments de cette théorie et les tactiques manipulatrices des sectes, observons ce à quoi nous sommes soumis quotidiennement. Nous mettrons l’accent sur le gouvernement du Québec, même s’il n’est pas à l’origine des tactiques employées depuis le début de la crise et ne fait que suivre un certain courant.

Depuis des mois le gouvernement du Québec nous présente régulièrement des points de presse, où l’on nous répète qu’il faut « continuer de se protéger », que le monde ne sera plus jamais pareil « tant et aussi longtemps que nous n’aurons pas un vaccin » et qu’il faut « suivre les consignes », sinon on sera puni.

Comme si ce n’était pas assez, et puisque notre bon gouvernement a notre santé à cœur, on passe en boucle des annonces COVID à la télé, à la radio et dans les commerces, nous rappelant de nous laver les mains, de garder nos distances, de porter le masque, etc.

On nous infantilise.

Ajoutons à cela des articles quotidiens sur les points de presse avec la photo du PM devant le slogan « on continue de se protéger », d’autres innombrables articles sur la COVID, le décompte des morts, des cas et des hospitalisations à la une de nombreux médias, les articles et topos presque quotidiens sur « les complotistes », auxquels sont associés tous les discours qui détonnent, ainsi que l’absence presque totale de points de vue dissidents, et l’on a tous les ingrédients pour procéder à un bon lavage de cerveau.

Ah, n’oublions pas un élément capital : le confinement.

Nous avons donc les 5 ingrédients essentiels d’une bonne secte :

  1. Instauration et répétition d’un discours des autorités
  2. Imposition de règles strictes à suivre
  3. Punition en cas de désobéissance
  4. Réprobation, répression, censure et ostracisation des dissidents
  5. Isolement

Théorie de la réflexologie de Bekhterev : diminuer la résistance, accroître la suggestibilité

Vladimir Mikhailovic Bekhterev

Selon Randal Marlin, auteur de Propaganda and the Ethics of Persuasion, les écrits de Bekhterev « ont marqué les formes de persuasion soviétiques et nazies, ainsi que les méthodes de recrutement employées par certaines sectes contemporaines ».

Selon Bekhterev, trois conditions objectives sont nécessaires pour diminuer la résistance et rendre les foules plus suggestibles :

1. « [Le] confinement à la même position durant de longues périodes : « plus la cible est stationnaire, plus la fatigue est grande, moins il y a de résistance à la tentative d’influence à la fois dans la sphère personnelle et générale, et plus l’événement psychique ultime est frappant »;

2. « La concentration prolongée sur le même sujet (habituellement le leader et son discours) mine la capacité de concentration. [P]lus l’attention requise chez la cible est longue, plus la perte de contrôle de l’attention consciente est grande et plus la possibilité de résister à la tentative d’influence en trouvant des contre-arguments diminue.»

3. « Les méthodes démagogiques du leader, accompagnées de la gestuelle appropriée et des expressions faciales [qui] déterminent l’uniformité de l’humeur, laquelle à son tour définit la direction de l’attention active de la foule, puisqu’une intensification de l’humeur est associée à une disposition à l’action. »

Nous sommes confinés, isolés les uns des autres, bombardés de messages et de nouvelles sur la COVID et nous avons droit à l’humeur sinistre de François Legault, à la menace d’Horacio « bad boy » Arruda, à l’air grave de Christian Dubé et/ou au ton autoritaire de Geneviève Guilbault devant un imposant blindé de la police. Ils exigent de nous tous l’obéissance à leurs règles totalitaires (oui, totalitaires), sans que l’on sache sur quoi celles-ci sont basées. La désobéissance entraîne comme châtiment la culpabilisation, l’ostracisation et l’amende.

Surtout le bad boy.

Geneviève Guilbault se fait intimidante et menaçante devant un immense véhicule sombre de la POLICE. Un peu plus et elle portait une chemise de prisonnier.

La peur joue un rôle primordial dans ce lavage de cerveau, comme nous l’avons expliqué dans L’épidémie de la peur, la Fondation Gates et Big Pharma.

Le lavage de cerveau et les tactiques des sectes

Dans Age of Propaganda: The Everyday Use and Abuse of Persuasion, d’Anthony Pratkanis et Elliot Aronson, tous deux professeurs de psychologie, on trouve un chapitre ironiquement intitulé « Comment devenir le chef d’une secte ».

Les méthodes évoquées sont d’une ressemblance frappante avec celles auxquelles nous sommes soumis actuellement. Les sectes utilisent simplement des méthodes de propagande éprouvées pour « laver les cerveaux » des adeptes.

Le terme « lavage de cerveau » était employé à l’origine pour désigner les tactiques de persuasion employées par les Chinois sur les prisonniers de guerre étasuniens dans les camps. Les auteurs expliquent :

« Ces camps étaient des environnements totalitaires dans lesquels les ravisseurs ont réussi à contrôler les pensées des prisonniers de guerre en contrôlant toutes les sources d’information et en récompensant et punissant respectivement les pensées appropriées et inappropriées. »

(C’est l’auteure qui souligne dans toutes les citations.)

Nous pouvons aisément faire le parallèle avec le contrôle actuel de l’information, de la censure pure et simple aux innombrables articles qui s’acharnent sur les soi-disant complotistes, en passant par les « vérificateurs de faits indépendants », qui n’ont d’indépendant que le nom et s’attaquent à tous les points de vue divergents dans le but de les discréditer et de décourager les questionnements sur le discours dominant.

Être d’accord avec le point de vue officiel (pensées appropriées), fait de vous une bonne personne saine d’esprit, alors que le désaccord (pensées inappropriées), entraîne la réprobation, la culpabilisation, les attaques personnelles et le rejet de la part des élites gouvernementales et médiatiques, rejet qui se propage insidieusement dans les familles. Si vous tenez un discours contraire au discours dominant, vous êtes un complotiste inculte, un égoïste, un danger public, etc.

Par leur manque total de respect des valeurs fondamentales du journalisme que sont le respect des faits et des points de vue, les médias traditionnels sont le foyer de la division au sein de la population. Or, ils font de la projection en accusant ceux qui critiquent le discours officiel de briser des familles, peu importe si leur critique est basée sur des faits vérifiés et vérifiables.

Mention spéciale à La Presse pour son titre original.

D’un côté on a donc la bonne parole martelée par le gouvernement et les médias officiels, observée religieusement par les « bons » citoyens. De l’autre, on a forcément la mauvaise, propagée par les soi-disant complotistes antimasques, hérétiques des temps modernes.

On nous a enfermés dans une logique manichéenne du bien et du mal en manipulant notre besoin fondamental d’appartenance. Questionner le discours dominant donne lieu à l’exclusion sociale et nombreux sont ceux qui se taisent pour ne pas subir cet opprobre.

Secte COVID : les 7 étapes de l’endoctrinement

Examinons maintenant les sept étapes à suivre pour devenir gourou d’une secte selon Pratkanis et Aronson et appliquons-les ensuite au discours de la COVID :

  1. Créer sa propre réalité sociale
  2. Créer un granfalloon (terme inventé par Kurt Vonnegut signifiant « un regroupement fier et insensé d’êtres humains »)
  3. Créer un engagement par le biais d’un piège de rationalisation
  4. Établir la crédibilité et le charme du chef
  5. Envoyer des membres faire du prosélytisme
  6. Distraire les membres en les empêchant d’avoir des pensées « indésirables »
  7. Fixer la vision des membres sur un fantôme.

1. Créer sa propre réalité sociale

Cette réalité se crée en deux étapes, la première en éliminant les sources externes d’information, la deuxième en offrant une nouvelle vision du monde.

1ère étape : Éliminer les sources d’informations externes par l’isolement, la censure et l’autocensure

Selon les auteurs, cette réalité se construit « en éliminant toutes les sources d’information autres que celle fournie par la secte ». L’isolement est clé. Si l’isolement physique est impossible, l’isolement psychologique est nécessaire.

Le confinement de la population, dès lors rivée à un écran d’ordinateur ou de télé, les points de presses quotidiens où l’on nous parle sans cesse de cette « nouvelle normalité en attendant le vaccin » et l’exclusion quasi totale de tout discours divergent dans les médias sont un parfait exemple de la façon dont est créée cette nouvelle réalité sociale.

Ce qu’il y a de particulier actuellement est que ce phénomène a lieu au niveau planétaire, parce qu’il est piloté par des organisations mondiales principalement l’OMS, mais aussi par le Forum économique mondial, une force considérable promouvant l’idée que la vaccination planétaire constitue la seule et unique voie pour sortir de cette crise. Ce discours est répété comme un mantra et par les représentants gouvernementaux et par les journalistes.

La nouvelle normalité promue par l’OMS.
« Un vaccin est désormais nécessaire pour protéger la santé publique et permettre aux gens de retourner confortablement au travail et à l’école. »
La nouvelle normalité selon Bill Gates : « Ce sera semi-normal jusqu’à ce que des milliards de doses du vaccin soient disponibles […] C’est étonnement difficile de fabriquer un vaccin. Ça prend normalement 5 ans. »
« Afin de retourner à la normale, nous devons développer un vaccin sûr et efficace […] Notre fondation est le plus grand bailleur de fonds des vaccins dans le monde et l’effort actuel est gigantesque par rapport à tout ce que nous avons fait auparavant […] Il n’y a tout simplement pas d’autre solution. »

Pratkanis et Aronson ajoutent : « Des limites strictes entre les ‘‘croyants’’ et les ‘‘damnés’’ doivent être maintenues. » Les médias y veillent avec leurs innombrables articles bidons sur les complotistes.

Les deux psychologues notent qu’il est « beaucoup plus pratique d’apprendre aux adeptes l’autocensure en qualifiant tout ce qui ne provient pas ‘‘de la secte’’ comme provenant ‘‘du démon’’ ».

Bien des gens évitent d’exprimer leur désaccord avec les mesures ou leurs critiques du discours dominant de peur d’être qualifiés de complotistes et/ou d’abrutis.

De la suite dans les idées : Lavage de mains et lavage de cerveau.
« Vaincre par l’amour » et « Laissez les enfants respirer » : des slogans complotistes.
Rima Elkouri conseille de ne pas traiter les « antimasques » d’imbéciles, mais on comprend assez rapidement que c’est ce qu’elle pense d’eux.

La journaliste Rima Elkouri suggère tout simplement, à l’instar de son collègue Patrick Lagacé, d’ignorer ces suppôts de Satan.

« En fait, je me demande même si c’est bien nécessaire de donner une tribune dans les médias à ces manifestants souvent adeptes de théories du complot. Ils ont bien sûr le droit de manifester. Mais on a aussi le droit de les ignorer.

L’objectivité en journalisme ne consiste pas à accorder autant de temps d’antenne aux pro-masques et aux anti-masques, aux anti-racistes et aux racistes, aux environnementalistes et aux climatosceptiques, aux pro-vaccins et aux anti-vaccins.

Toutes les opinions ne se valent pas. Chacun a bien sûr le droit à ses propres opinions. Mais pas à ses propres faits.

‘‘La liberté d’opinion est une farce si l’information sur les faits n’est pas garantie et si ce ne sont pas les faits eux-mêmes qui font l’objet du débat’’, disait la journaliste et philosophe Hannah Arendt en 1961. C’est toujours aussi vrai aujourd’hui. »

(Souligné dans le texte.)

La chroniqueuse a tout à fait raison. « [L]’information sur les faits n’est pas garantie » ni dans La Presse ni dans les autres médias traditionnels et « les faits ne font pas l’objet du débat » comme le démontre brillamment son article truffé d’étiquettes et d’insultes et pratiquement dénué de faits.

Rappelons que ce sont les soi-disant complotistes qui ont demandé un débat public sur la crise sanitaire et que Radio-Canada a refusé.

Notre média public a refusé de débattre des faits.

Pas les abrutis d’antimasques.

D’ailleurs, avant d’écrire quoi que ce soit sur la crise sanitaire, il serait bien que Rima Elkouri apprenne d’abord à faire la différence entre le coronavirus et la COVID-19. Un test positif au coronavirus n’est pas un test positif à la COVID-19.

2e étape : offrir une vision du monde de la secte ou « nouvelle normalité »

La création d’un nouveau langage, comme la novlangue du roman dystopique 1984, est une « technique utile à la construction d’une réalité sociale », selon les auteurs d’Age of Propaganda.

Comme nous l’avons vu, on nous le répète ad nauseam, nous devons nous adapter à la « nouvelle normalité ». Les enfants qui ne savent pas lire ne sont pas épargnés :

Cette « nouvelle normalité » est constituée de nouvelles règles totalitaires réorganisant la vie en société, règles qui n’ont absolument rien de normal et sont inculquées grâce à la peur : la peur d’un virus moins dangereux qu’on le prétend, mais surtout la peur de l’autre, incluant les membres de sa propre famille.

Nous assistons à une véritable réingénierie sociale, ou plutôt antisociale, car elle détruit complètement la nature même de l’humanité, de la vie en société, en allant jusqu’à s’attaquer à son noyau : la famille.

On nous désunit, on nous déshumanise en faisant de l’affection un danger en nous faisant croire qu’il faut « faire notre part » et qu’il faut « le faire pour les autres ».

Dans la « nouvelle normalité », on porte un masque, on se distancie, on attend le vaccin.

L’Institut national de la santé publique n’a pas réussi à démontrer l’efficacité du masque? Les règles de distanciation ne reposent sur aucune base scientifique? Les scientifiques n’ont jamais réussi avant 2020 à fabriquer un seul vaccin contre un coronavirus?

Et alors?

Les faits n’ont aucune importance.

On nous répète les mêmes slogans creux, jour après jour, et tout le monde finit par dire la même chose, sans vraiment savoir pourquoi.

Dans La Psychologie des foules, (en PDF ici) Gustave Le Bon explique qu’afin « de faire pénétrer lentement des idées et des croyances dans l’esprit des foules », les meneurs ont recours à trois procédés : « l’affirmation, la répétition et la contagion ».

« L’affirmation pure et simple dégagée de tout raisonnement et de toute preuve, constitue un sûr moyen de faire pénétrer une idée dans l’esprit des foules. Plus l’affirmation est concise, dépourvue de preuve et de démonstration, plus elle a d’autorité […]

Cette dernière n’acquiert cependant d’influence réelle qu’à la condition d’être constamment répétée, et le plus possible, dans les mêmes termes […]

La chose répétée finit, en effet, par s’incruster dans ces régions profondes de l’inconscient où s’élaborent les motifs de nos actions. Au bout de quelque temps, oubliant quel est l’auteur de l’assertion répétée, nous finissons par y croire […]

Lorsqu’une affirmation a été suffisamment répétée, il se forme ce qu’on appelle un courant d’opinion et le puissant mécanisme de la contagion intervientDans les foules, les idées, les sentiments, les émotions, les croyances possèdent un pouvoir contagieux aussi intense que celui des microbes […]

L’imitation, à laquelle on attribue l’influence dans les phénomènes sociaux, n’est en réalité qu’un simple effet de la contagion […] Avec des modèles, on guide les foules, non pas avec des arguments. »

Voilà pourquoi on ne cesse de taper sur les contestataires et de les associer au complotisme. Les gens répètent « antimasque », « complotiste » sans se poser trop de questions et sans savoir pourquoi ils utilisent ces termes qui empêchent la réflexion.

Et voilà possiblement la véritable raison derrière les entrées en scènes masquées des personnalités publiques comme François Legault et son équipe lors des points de presse : imposer la « nouvelle normalité » en donnant l’exemple.

2. Créer un granfalloon

Granfalloon est un mot inventé par Kurt Vonnegut signifiant « un regroupement fier et insensé d’êtres humains ».  

La technique de persuasion du granfalloon consiste à créer deux groupes : les fidèles et les damnés.

Cette technique est employée par les sectes pour contrôler leurs membres en leur rappelant constamment qu’ils doivent agir d’une certaine manière. Combien de fois par jour « votre gouvernement » vous dit de vous laver les mains, de respecter la distanciation, de ne pas voir vos parents et amis? Les fidèles doivent agir d’une certaine manière afin d’être « sauvés ».

Pratkanis et Aronson notent entre autres que les vétérans du groupe servent d’exemple, que la pression du groupe « est appliquée pour assurer la conformité », ce qui a pour effet de créer une « uniformité d’opinions et de comportements dans la secte, lesquels servent en retour à renforcer davantage les pratiques de la secte : si tout le monde le fait, ce doit être correct ».

Dans la nouvelle normalité, le bon citoyen est celui qui non seulement respecte les consignes, mais aussi celui qui écoute « la science », science qui n’a d’ailleurs jamais été présentée par les gourous gouvernementaux. Nous devons nous fier à leur parole.

En revanche, les damnés, ces « complotistes antimasques », sont ceux qui n’écoutent pas la bonne parole étatico-médiatique, ceux qui nient la science, ont une santé mentale discutable et font des choses pas « covidiques » en ne respectant pas les consignes.

« La création d’un groupe extérieur malfaisant sert deux objectifs : elle offre aux membres un sentiment de bien-être par leur appartenance au groupe et multiplie leurs craintes de quitter et ne pas appuyer ce groupe. »

Quitter la secte COVID, c’est rejoindre le groupe de malades mentaux incultes que sont les complotistes antimasques, selon le discours médiatique. Cette technique de manipulation exploite à merveille le besoin fondamental d’appartenance, lié à l’instinct de survie, ce qui facilite la conformité des individus. Choisir de ne pas se conformer, c’est choisir le rejet du gouvernement, des médias et d’une bonne partie de la population.

Certains se conforment donc pour combler leur besoin d’appartenance et non par conviction.

3. Créer un engagement par le biais d’un piège de rationalisation

« Les sectes peuvent assurer l’obéissance des membres en établissant une spirale d’engagements qui s’intensifie : le membre du culte acquiesce à de simples demandes au début, mais elles deviennent de plus en plus exigeantes. »

Afin d’illustrer cette étape, les psychologues expliquent comment James Jones, le gourou du Temple du Peuple, a employé le piège de la rationalisation au point de pousser ses adeptes à commettre un suicide collectif.

« [É]tape par étape, l’engagement envers Jim Jones augmentait. Chaque pas vers la prochaine étape n’était pas en soi très grand ni insensé par rapport au précédent.

Après avoir pris un engagement initial, on ne se sent pas confortable de ne pas tenir sa parole. Afin de justifier la sensibilité de l’engagement initial, le membre est souvent disposé à en faire plus et encore plus afin de satisfaire des engagements de plus en plus exigeants. De cette manière, la résolution de la dissonance et le maintien de l’image de soi comme d’une personne qui tient sa parole forment un puissant piège de rationalisation […]

Il est possible de vaincre un sentiment de stupidité provoqué par le fait de tout donner au groupe en rationalisant ce geste comme étant un dévouement à une noble cause. »

Isolés en Guyane, les disciples en sont venus à boire du Kool-Aid mélangé à du cyanure. Le drame a fait 974 victimes, dont 276 enfants. « Boire le Kool-Aid » est d’ailleurs devenu une expression populaire en anglais pour faire référence aux victimes de techniques de persuasion.

Reste calme et bois le Kool-Aid. James Jones à droite.

Peut-on dresser un parallèle avec la situation actuelle?

Juste deux semaines de confinement, juste la distanciation, juste un masque, juste des plexiglass, juste 28 jours, encore deux semaines, juste les restaurants, les théâtres, les gyms, juste pas de Noël en famille et bientôt juste un vaccin?

Tout ça pour le bien commun.

On fait sa part.

On le fait pour les autres.

Ce qui devait être temporaire au mois de mars est devenu une réalité quotidienne et le demeurera « tant qu’on n’aura pas de vaccin ».

Le 24 mars on nous disait « Tout ça c’est temporaire ».
Six mois plus tard il faut attendre un vaccin. Il faudra attendre 2021, peut-être même 2022 pour que cessent les mesures « temporaires ».

Les mesures draconiennes pour lutter contre la COVID, lesquelles ne font que s’accumuler et s’intensifier, n’ont aucun fondement scientifique, sont anticonstitutionnelles, souvent plus absurdes les unes que les autres, et elles détruisent littéralement nos sociétés.

En acceptant de telles mesures « pour le bien commun » nous sommes pris dans un piège de rationalisation.

Nous commettons un lent suicide collectif.

Nous buvons le Kool-Aid.

4. Établir la crédibilité et le charme du chef

Avec ses points de presse presque quotidiens, François Legault peaufine son image de bon chef de « notre gouvernement ». Tel un curé, il prêche sa bonne ou sa mauvaise nouvelle du jour et agit en prenant toujours plus de mesures pour nous protéger, comme un berger.

Il est guidé par une science invisible comme un prêtre est guidé par dieu. Il se fait bon et rassurant en se disant « prêt à tout […] pour réduire la surcharge de travail des infirmières » et en félicitant nos efforts, comme un bon père de famille.

« Je veux vous dire merci du fond du cœur pour vos efforts et votre solidarité », disait-il le 7 novembre dans une lettre à son peuple.

Cute.

Les points de presse sont à la fois un moyen de contrôler l’image et le message du gouvernement, tout cela, à condition que l’on contrôle également les questions des journalistes, lesquels demandent rarement des preuves et ne questionnent pratiquement jamais « la science » du premier ministre.

François Legault n’est cependant qu’un curé de campagne dans cette histoire. Dans la position du pape, on pourrait être tenté de mettre le directeur de l’OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus, mais la place revient plutôt au plus important donateur privé de l’organisation, Bill Gates, un homme dont le prestige éclipse celui de tous les chefs d’organisations internationales réunies.

Bill Gates, le catastrophiste qui n’a pas fait d’études en sciences de la santé, est sur toutes le tribunes, vénéré comme un expert et un sauveur avec son plan de vaccination planétaire.

5. Envoyer des membres faire du prosélytisme

Le prosélytisme peut assurer l’auto-persuasion, affirment les auteurs d’Age of Propaganda. Cela permet aux membres de la secte de « réitérer les avantages d’appartenir à une secte » :

« En tentant de convaincre les autres, les membres se convainquent eux-mêmes. »

Les exemples sont si nombreux que vous pouvez :

  1. nommer le journaliste mainstream de votre choix
  2. compter les [insérer le blasphème de votre choix] d’arcs-en-ciel

6. Distraire les membres en les empêchant d’avoir des pensées « indésirables »

Dans une secte, « il ne faut jamais laisser les recrues penser par elles-mêmes ». Pratkanis et Aronson donnent l’exemple de la secte Enfants de dieu :

« Des versets de la Bible jouent continuellement dans des haut-parleurs, un formateur suit la recrue en prêchant des versets de la Bible et les lettres de MO [le gourou], même lorsque la recrue va aux toilettes. »

Dans la secte COVID, les versets de la Bible ont été remplacées par les annonces COVID gouvernementales jouées sans arrêt à la radio et à la télé, dans les épiceries et autres commerces.

L’endoctrinement à la puissance dix-neuf : affirmation, répétition.

« Une fois que la recrue a accepté la secte », il faut prévenir les pensées indésirables. On peut y arriver en « enseignant que toute ‘‘pensée désagréable’’ est diabolique et provient du démon ». Ainsi, « les membres deviennent leur propre police de la pensée ».

Dans la secte COVID, le doute, la critique du discours dominant et les analyses factuelles différentes, basées sur des statistiques officielles et les discours d’experts dissidents, sont des « pensées désagréables » qui viennent de ces « maudits complotistes antimasques ».

Penser autrement que le point de vue dominant sur la COVID, c’est mal.

7. Fixer la vision des membres sur un fantôme

« Un chef de secte qui a du succès fait toujours miroiter la notion d’une terre promise et une vision d’un monde meilleur pour les fidèles […] Fixer l’attention des membres sur un futur fantôme sert d’incitatif puissant à maintenir le service au groupe […] Les fantômes peuvent créer de l’espoir, un puissant motivateur du comportement humain, en offrant un sens du devoir et un sentiment d’avoir une mission à accomplir. »

François Legault nous offrait un exemple parfait de cette tactique dans sa lettre ouverte le 7 novembre.

Comme si on n’avait pas assez de ses [insérer un blasphème] de points de presse et de ses [insérez au moins deux blasphèmes] d’annonces COVID, notre gourou provincial nous écrit des lettres maintenant.

[Insérez vos sacres favoris]!!!

Legault est bon, Legault est partout.

Sur un ton paternaliste, notre gourou nous fait miroiter un avenir meilleur, grâce au fantôme pharmaceutique :

« J’ai tellement hâte de nous voir enfin tous libérés de ce fardeau. Retrouver les soupers entre amis et les partys de famille. Il y a de l’espoir avec les vaccins qui s’en viennent. En attendant, il faudra plus que jamais faire attention à nous autres, prendre soin de nos proches et de notre voisinage. Il y a beaucoup de solitude et de détresse dans notre société. La pandémie vient aggraver des problèmes qui existaient déjàJe vous demande de faire un effort spécial de bienveillance et d’empathie. »

Ce n’est pas la pandémie qui a aggravé les problèmes.

Ce sont vos mesures, Maître.

En attendant ces jours meilleurs, on boit du Kool-Aid?

Santé*!

* N’oubliez pas les consignes!

  • Buvez du Kool-Aid bleu
  • Respectez les deux mètres de distance
  • Veillez à ne pas toucher les verres des autres
  • Assurez-vous d’identifier votre verre
  • Assignez une personne responsable pour remplir les verres avec des gants
  • Remettez votre masque entre chaque gorgée
  • Faites-le pour les autres
  • Sauvez des vies