Le Dr Tal Schaller face aux vaccins

[Source : Tal Schaller et Ema Krusi]

https://youtu.be/Ft6_gzn_sR0

Quand le corps est intoxiqué, lui-même fabrique des virus qui sont des messagers pour dire aux autres cellules : « oh ! il y a un problème » et qui sont des moyens d’éliminer des toxines.

à 16mn 40s environ


👉https://www.cdc.gov/vaccines/pubs/pin…
👉Robert Kennedy Jr – Rougeole OUVRIR DANS CHROME POUR TRADUCTION FRANÇAIS https://childrenshealthdefense.org/ne…
👉FILM VAXXED, partie 1 (sous titres Français, lien FB) https://www.facebook.com/916913568696…
👉SITE OFFICIEL VAXXED https://vaxxedthemovie.com




Une pétition en faveur du retrait des vaccins obligatoires pour le Covid-19 recueille 735 929 signatures

[Source : Aube digitale]

PAR JADE · 1 AOÛT 2020

Une pétition demandant aux législateurs de ne pas imposer la vaccination obligatoire contre le COVID-19 à la population est devenue virale, recueillant le nombre stupéfiant de 735 929 signatures de citoyens inquiets.

La pétition exhorte les décideurs politiques à tous les niveaux du gouvernement à rejeter les appels à une vaccination obligatoire contre le coronavirus.

« Les soi-disant ‘experts en santé publique’ se sont trompés à de nombreuses reprises au cours de la crise actuelle. Vous ne devriez donc pas permettre que leurs opinions précipitent les décisions politiques concernant la vaccination obligatoire », indique le texte de la pétition.

« Les citoyens involontaires ne doivent pas servir de cobayes aux idéologues du Nouvel Ordre Mondial, ou à Big Pharma, à la recherche d’un vaccin (et de profits) qui pourrait ne pas protéger contre de futures souches mutantes du coronavirus ».

« Il n’y a rien de plus personnel que la santé d’une personne et celle de sa famille. »

La pétition peut être signée en cliquant ici.

Selon le site LifePetitions :

Les personnes de bonne volonté peuvent être en désaccord sur la sécurité, l’efficacité et les implications religieuses d’un nouveau vaccin contre le coronavirus.

Mais, tout le monde devrait être d’accord sur ce point :

Aucun gouvernement ne peut forcer une personne ayant atteint l’âge adulte légal à se faire vacciner contre le coronavirus. De même, aucun gouvernement ne peut vacciner des mineurs contre le coronavirus contre la volonté de leurs parents ou de leurs tuteurs.

Veuillez SIGNER cette pétition qui exhorte les décideurs politiques à tous les niveaux du gouvernement à rejeter les appels à la vaccination obligatoire contre le coronavirus.

La peur d’une maladie – dont nous savons très peu de choses, par rapport à d’autres maladies similaires – ne doit pas entraîner de réactions impulsives en matière de santé publique, ni justifier le soutien à l’agenda caché d’organismes gouvernementaux et non gouvernementaux qui ont des conflits d’intérêts apparents dans des projets de restriction des libertés individuelles.

Les soi-disant « experts en santé publique » se sont trompés à de nombreuses reprises au cours de la crise actuelle. Nous ne devrions donc pas permettre que leurs opinions précipitent les décideurs dans les politiques de vaccination.

Et si certaines personnes, comme Bill Gates, peuvent avoir beaucoup d’argent, son opinion et celle de son ONG (la Fondation Bill & Melinda Gates) – à savoir que la vie ne reviendra pas à la normale tant que les gens ne seront pas largement vaccinés – ne devraient pas être autorisées à influencer les décisions politiques concernant un programme de vaccination contre les coronavirus.

Enfin, nous ne devons pas non plus permettre que la ruée des entreprises pharmaceutiques pour produire un nouveau vaccin contre les coronavirus devienne en soi un impératif pour la vaccination.

Les citoyens inattentifs ne doivent pas servir de cobayes aux idéologues du Nouvel Ordre Mondial, ou aux grandes entreprises pharmaceutiques, à la recherche d’un vaccin (et de profits) qui pourrait même ne pas protéger contre de futures souches mutantes du coronavirus.

Et il va sans dire que la production de vaccins utilisant des bébés avortés pour la réplication cellulaire est un échec total, car cette technique est gravement immorale.

Cependant, si après une étude suffisante de la question, une personne ayant atteint l’âge de la majorité souhaite être vaccinée avec un vaccin produit moralement, avec ses enfants, c’est son affaire.

Mais nous ne pouvons pas et ne voulons pas permettre au gouvernement de prendre cette décision à notre place.




SIDA : le doute — Film documentaire RTS, ARTE France, TVE, Histoire TV. 1997

[Source : Le blog de Liliane Held-Khawam via Réseau International]

Je partage avec vous un film documentaire sidérant tourné en 1997.

Un reportage rigoureux diffusé par nombre de chaînes télévisées européennes  RTS, ARTE France, TVE, Histoire TV. Cela lui apporte le crédit médiatique nécessaire pour lui éviter d’être classé dans la redoutable catégorie « Théorie du complot ».

L’auteur s’appelle Djamel Tahi a de manière précise et professionnelle rapporté une controverse peu à pas connue du grand public. Voici ce que nous lisons sur le site [film-documentaire.fr] :

https://i0.wp.com/www.film-documentaire.fr/images/logo.png

Pour tout un chacun, il est communément reconnu que la cause du Sida est le VIH. Or, depuis l’identification du virus dit du Sida, il n’a pas été possible pour la communauté scientifique d’expliquer et de démontrer précisément, l’étiologie du virus. Cette question essentielle divise largement les chercheurs, toujours en quête d’une explication. Pour cette raison, certains chercheurs, comme le Professeur Luc Montagnier de l’Institut Pasteur, ou le Professeur américain Robert Root Bernstein de l’université du Michigan, ont invoqué l’implication d’autres agents dans la maladie, les cofacteurs, en n’attribuant qu’un rôle secondaire au virus VIH. D’autres chercheurs sont allés plus loin, et avancent que le virus VIH n’est pas la cause du Sida. Pour ces chercheurs, appartenant à l’élite scientifique, toutes les connaissances accumulées sur le Sida au cours de ces dix dernières années permettent d’affirmer que ce n’est pas une maladie infectieuse, et que son évolution pathologique et épidémiologique le prouve. Dans ce film consacré au Sida, nous lèverons le voile sur la controverse autour de la cause du Sida, qui règne presque à huis clos, au sein de la communauté scientifique. Pour cela, nous développerons les arguments qui questionnent l’implication du VIH dans le Sida. Et, à travers les portraits des principaux acteurs qui animent cette controverse, nous tenterons de comprendre pourquoi ils n’acceptent pas ce qui est reconnu par tous.

http://www.film-documentaire.fr/4DACTION/w_fiche_film/21849_1

Source: https://www.nexus.fr/video/sante/titre-de-la-video-3/?fbclid=IwAR3xj8TusdSQMK0irjdkQiFjrfL-M2Tv6oaCPCGUrg4I9-6v5FG3A0PRFv0

Voici la version audio:

Dans tous les cas, je vous conseille d’enregistrer cette perle d’un journalisme d’investigation désormais rare.

AJOUT

Un lecteur nous transmet ceci :
Les origines du SIDA



Un documentaire passionnant! On relèvera la présence de Stanley Plotkin (46 minutes 17). M Plotkin est comme nous l’avions vu précédemment la référence absolue en matière de vaccination.

[Voir aussi :]
https://lilianeheldkhawam.com/2020/06/06/voyage-au-bout-de-lenfer-des-vaccins-et-de-lusage-de-foetus-vendus-lhk/



Pourquoi une injection en 2020 ?

Source : L’heure de la vérité

https://youtu.be/3I7s713a36g



Covid-19 : La généticienne Alexandra Henrion-Caude vous dit tout

[Source : TV Liberté]

https://youtu.be/c3V6DxmOy8o

Depuis que le Covid-19 est entré dans nos vies, on ne parle plus que de ça. Pour autant, beaucoup de questions restent aujourd’hui sans réponse. Parfois même, certaines ne peuvent être posées. Ancienne directrice de recherche à l’Inserm, Alexandra Henrion-Caude parle librement. Le virus vient-il d’un animal ou d’une manipulation humaine d’un laboratoire ? Que faut-il penser de la vaccination expérimentée de plus en plus aux quatre coins du globe ? Les conflits d’intérêt ont-ils ôté la liberté de la science ? Avec une humanité qui transparaît à chaque mot, Alexandra Henrion-Caude tranche avec la langue de bois des pseudos spécialistes du comité scientifique et livre sans détour les certitudes et les questionnements qui ressortent de cette crise inédite.




Portables et autres technologies mobiles : une drogue numérique pour les enfants

[Source : Kla.tv]




« Le remdesivir ne soigne pas le Covid-19. Pire… » : Didier Raoult met l’OMS face à ses responsabilités

[Source : afrik.com]

Par Hélène Bailly

Le Professeur Didier Raoult, appelant l’Organisation mondiale de la Santé à réagir, a clairement indiqué que le remdesivir ne soigne pas le Coronavirus. Pire, souligne la blouse blanche, ce médicament cause de graves effets secondaires.

Alors que le remdesivir est le premier médicament autorisé au niveau de l’Union Européenne dans le cadre du traitement du Covid-19, le Professeur Didier Raoult a dénoncé, mercredi 8 juillet, dans un tweet, l’efficacité du médicament mis sur le marché par les laboratoires Gilead.

Cet antiviral autorisé en Europe depuis le 3 juillet dans le traitement du Covid-19 est à la base d’effets secondaires non négligeables, notamment des insuffisances rénales. « Le remdesivir ne soigne pas. Pire, il cause des insuffisance rénales : sur les cinq premiers patients traités par ce médicament à l’hôpital Bichat, deux ont été mis sous dialyse », a tweeté Raoult.

« Quand aura-t-on les résultats de Discovery ? Qu’attend l’OMS pour réagir ?», s’interroge le Professeur Didier Raoult, qui met ainsi l’institution face à ses responsabilités. A noter que l’essai européen Discovery a pour objectif d’évaluer l’efficacité de plusieurs traitements contre le Covid-19.

A l’origine, le remdesivir a été mis sur le marché pour combattre la fièvre hémorragique Ebola. Son utilisation en urgence dans les hôpitaux a été autorisée aux Etats-Unis, où curieusement, on dénombre plus de cas et plus de morts de Covid-19. Et c’est ce remdesivir, qui ne parvient pas à résoudre le problème de Covid-19 au Etats-Unis, que l’on tente de faire passer pour le médicament… miracle.

Cette sortie de Didier Raoult coïncide avec la décision des autorités américaines de rompre leur coopération avec l’Organisation mondiale de la Santé. Une troublante coïncidence si l’on sait que, le 17 juin dernier, l’OMS a définitivement entériné l’abandon de l’hydroxychloroquine et tracé un boulevard au remdesivir objet d’alerte de la part du Pr Raoult.




Chronologie d’une pandémie organisée

[Source : Pierre Jovanovic (du 18 au 22 juillet)]

[Auteur : Pierre Jovanovic]

Bruxelles avait préparé son rapport le Passeport Vaccin Européen 5 mois avant Wuhan !

Comme je vous l’ai annoncé depuis le mois de mars, Bruxelles travaille sur un passeport « Vaccins » afin de mettre la population sous surveillance totale. Mieux: la Commission Européenne avait préparé son rapport passeport-vaccin DES MOIS AVANT que le covid19 ne se répande à partir de Wuhan :

« Surprise, surprise, the European Commission had a « Roadmap on Vaccination » ready months before the COVID-19 pandemic broke out. The Roadmap should lead to a « commission proposal for a common vaccination card / passport for EU citizens by 2022 ».

Last updated during the third quarter of 2019, the 10-page document was followed, on September 12th, by a « global vaccination summit » jointly hosted by the EC and the World Health Organization. Under the header « Ten Actions Towards Vaccination for All – Everyone should be able to benefit from the power of vaccination », the summit manifesto laments that:

« Despite the availability of safe and effective vaccines, lack of access, vaccine shortages, misinformation, complacency towards disease risks, diminishing public confidence in the value of vaccines and disinvestments are harming vaccination rates worldwide. »

And with them, arguably, the pharmaceutical companies’ profits. In July 2017, for example, Italy made 12 vaccinations compulsory for children. In the aftermath, the prices of these very vaccines went up by 62%: from an average price per dose of € 14.02 up to € 22,74. The global vaccination market is currently worth USD 27 billion a year. According to WHO estimates, it will reach USD 100 billion by 2025« .

[NdNM : 2022: A Vaccination Passport]

Et devinez qui est celui qui encourage le plus les Italiens à se vacciner ? Une ordure nommée Gunther Oettinger celui qui avait dit que « les marchés donneront une bonne leçon à l’Italie » après que celle-ci ait voté contre l’Europe à 70%. Lire ici.

PS : une étude de Stanford a montré que le taux de mortalité du covid19 est quasiment de zéro pour tous ceux qui ont moins de 45 ans :

« For people younger than 45, the infection fatality rate is almost 0%. For 45 to 70, it is probably about 0.05%-0.3%. For those above 70, it escalates substantially »

lire ici le Washington Examiner.

Bill Gates avait préparé l’application de suivi par smartphone 6 mois avant Wuhan !

Voici une autre information qui vous montre que tout, absoluement tout a été préparé à l’avance. Le site The Pundit a découvert que Bill Gates avait négocié très précisément un don/budget de 100 milliards de dollars (oui milliards) du Congrès américain pour le suivi par application téléphone des malades covid !!!

« The Bill and Melinda Gates Foundation helped negotiate who would score a $100 Billion government-backed contact tracing contract in August 2019 – 6 months before the « pandemic » arrived in the United States and 4 months before it swept through China – .

The shocking revelations were unveiled on the Thomas Paine Podcast and the Moore Paine Show on Patreon by the two investigators who blew the whistle on the massive Clinton Foundation tax fraud during a Congressional hearing in 2018. John Moynihan and Larry Doyle testified in Congress, detailing the fraud and schemes utilized by the Clinton’s to avoid paying up to $2.5 BILLION in federal taxes (…) And just last month – nine months after the meetings with the Gates Foundation in Rwanda – Rush, a Democrat from Illinois, introduced the $100 BILLION H.R. 6666, the COVID-19 Testing, Reaching and Contacting Everyone (TRACE) Act.

Paine has since learned Congressman Rush traveled to Rwanda with his spouse from August 12th to 19th, 2019 to take part in talks and a week-long event underwritten by the Bill and Melinda Gates Foundation and the Rockefeller Brothers Fund.« 

Lire ici The Pundit

Et la question la plus pertinente, en effet, consiste à savoir comment vous négociez les conséquences d’une pandémie 6 à 7 mois avant que celle-ci ne se déclare ? .

LoL

La réponse est donc ultra simple et logique: PARCE QUE TOUT A ETE ORGANISE AVANT, remerciez quelques scientifiques français (parties prenantes avec la Fondation Bill Gates) qui ont préparé le virus pour le lâcher à Wuhan. 

GAVI : quand les banques veulent aussi vacciner la population !

Vous avez beaucoup entendu parler du GAVI, un bazar financé par Bill Gates évidemment qui, sous couvert d’oeuvre charitable de santé, se propose de vacciner toute la planète avec l’aides des bigpharma.

Le Global Alliance for Vaccines and Immunization (donc GAVI), fondé en l’an 2000, reçoit des dons de beaucoup de pays membres (Australie, Allemagne, Arabie Saoudite, Brésil, Canada, Chine, Danemark, France, Europe, Hollande, Islande, Inde, Irlande, Italie, Japon, Luxembourg, Monaco, Norvège, etc., etc.) mais aussi de multinationales parmi lesquelles le Bill & Melinda Gates Foundation, JP Morgan, Mastercard et même la Banque Mondiale…

Notez que Seth Berkley, président du GAVI, a siégé au conseil d’administration de… Gilead. Il est vrai que dans le monde des vaccins le monde est petit.

Mais le meilleur résumé du GAVI a été fait par le HuffPost:

« L’Alliance réunit les gouvernements de pays donateurs et de pays en développement, l’Organisation mondiale de la Santé, l’UNICEF, la Banque mondiale, l’industrie pharmaceutique des pays industrialisés et en développement, des instituts techniques et de recherche, des organisations de la société civile, la Fondation Bill & Melinda Gates ainsi que d’autres fondations caritatives privées.

Le soutien de GAVI consiste à fournir des vaccins capables de sauver des vies et à renforcer les systèmes de santé. Depuis 2000, plus de 326 millions d’enfants ont été vaccinés et plus de 5,5 millions de décès prématurés évités grâce aux programmes financés par le GAVI.« 

Wouaa… Quand Bill Gates et les banques se proposent de vacciner, je ne sais pas pourquoi, j’ai comme un doute. Et vous aussi, sachant que Bill Gates veut REDUIRE la population mondiale et qu’il a refusé de vacciner ses enfants. Il y a une aiguille sous roche là, c’est clair !!!!

Preuve que Macron, vendu a Bill Gates, a tout fait pour que le Covid-19 se répande en France (suite)

Ce nouveau graphique vous montre, sous un autre angle, qu’il y a bien eu collusion AU PLUS HAUT NIVEAU DE L’ETAT pour dégager la chloroquine du Pr Didier Raoult afin de favoriser les labos pharmaceutiques en rapport étroit avec la Fondation Bill et Melinda Gates.

Regardez bien : la France a le plus haut score !!!!

Non seulement ce choix a été purement criminel, mais en plus nous sommes en présence ici de ce qu’on peut qualifier de HAUTE TRAHISON. C’est incroyable.

Mes chers lecteurs, ce graphique vous ne le verrez pas sur les TV vendues à ces mêmes traîtres. Quand je pense qu’on nous présente Edouard Philippe comme ayant été « un grand PM » !!!! Quelle honte, quel mensonge abominable. Tous ces gens, en temps normal, se retrouveraient devant un peloton d’exécution. 

Une preuve de plus de l’arnaque du confinement Macron : Suède vs New York (suite)

Voici un autre graphique que vous ne verrez pas sur BFM-TV Israel News, celui qui prouve que le confinement n’a servi strictement à rien, sauf à :

  1. VOLONTAIREMENT tuer toute l’économie, fabriquer massivement des chômeurs et mettre les gens sur la paille
  2. tuer tous les vieux à qui il n’y aura plus de retraites à verser (720 millions pour 30.000 personnes à raison de 2000 euros / mois et sur 1 an. Si on porte à disons 5 ans de plus, cela représente des économies de 3,6 milliards. Toujours ça d’économisés on va dire.
  3. et surtout endetter les gens encore plus grâce aux soi-disant « prêts » pour sauver les entreprises !
  4. casser le moral de toute la population et la fragiliser.

Jean-Pierre Chevallier qui suit cette revue de presse nous rappelle également ceci :

VietNam (0 mort covid pour 95,5 millions d’habitants), Taiwan (7 morts covid pour 23,8 millions) et ces pays n’ont pas imposé de confinement! D’après l’Insee, il y a actuellement 25.000 morts supplémentaires sur 2019 (et l’année n’est pas terminée, l’écart baissera) mais en 2015 il y a eu 30.000 décès en plus par rapport à 2014.
Citation de Machiavel: « Celui qui contrôle la peur des gens devient le maître de leurs âmes ».

Vous comprenez aussi pourquoi Christine Lagarde nous a dit il y a environ un an « que le plus important à l’avenir sera d’avoir un travail » (plutôt que de l’épargne). Elle savait ce qui se tramait, forcément.

Chers lecteurs, soyez vigilants, quelque chose me dit que Macron et le Deep State préparent une suite, et cela risque d’être encore pire que les 3 mois de confinement vécus.

Conséquences du confinement criminel de Macron sur les PME françaises

De notre lecteur Adrien qui travaille dans une usine française de matelas :

« L’entreprise Hermès, l’assureur crédit que nous utilisons pour nos clients se désengage de plus en plus, et cela a commencé bien avant le covid. Mais depuis le deconfinement c’est l’hécatombe: tout nos petits clients indépendants perdent leurs assurances, donc soit on passe en facturation pro forma et on leur met le couteau sous la gorge, soit on prend le risque de ne pas être payé…

Bref ils veulent tuer les pme et les commerçants.

C’est degueulasse!« 

Une loi au Michigan pour encourager la population a être pucée !

Et voici la suite du passeport Vaccins que prépare Bruxelles. Imaginez qu’une sénateur républicaine, Bronna Kahle, de l’État du Michigan a bien fait voter une loi (!!!) pour encourager les citoyens à se faire poser une puce et cela « afin de protéger leurs informations confidentielles » et pour que les employeurs ne dépassent pas certaines limites.

!!!

Wouaaa ceci est un pas de plus après que Benjamin Natanyahou, le PM israélien, se soit déclaré pour le puçage des enfants, là aussi « pour les mieux protéger » !!!

« The Michigan House of Representatives has passed a controversial bill to microchip humans voluntarily in the state under the guise of protecting their privacy. The Microchip Protection Act would allow Michigan employers to use microchipping of their workers with their consent.

However, research has shown that RFID transponders causes cancer.

The plan to microchip humans is sponsored by Rep. Bronna Kahle under the guise of protecting the privacy of workers. The stated objective of the bill is that it will protect the privacy rights of Michigan workers and promote further growth for job providers as it relates to microchipping – a cutting-edge technology on the rise that increases workplace efficiency.« 

Ceci est le premier pas pour paver le chemin sur le puçage global de la population américaine, puis mondiale, tel que voulu par Bill Gates et l’institut Rockefeller dans le cadre du plan ID2020 où on retrouve Blythe Masters (regardez la dernière revue de presse papale). Lire ici ABC news pour le croire.

PS : nous sommes à nouveau en plein dans le livre 777.




L’empire mondial de la santé de Bill Gates, deuxième partie

[Source : Entelekheia]

Ceci est la deuxième partie d’une série.
Dans la première partie, nous apprenons comment la Fondation Bill & Melinda Gates travaille à étendre l’influence de l’industrie pharmaceutique auprès de l’OMS, qu’elle contrôle, et des gouvernements du monde.
Dans cette deuxième partie, nous verrons comment la Fondation Bill & Melinda Gates écoule dans les pays pauvres des traitements et des vaccins non approuvés dans les pays développés parce que dangereux, parfois avec des résultats désastreux. Nous verrons aussi que l’annonce de Trump selon laquelle les USA se « retirent » de l’OMS n’est rien d’autre que de la communication à destination de ses électeurs : en fait, les USA continuent de régner sur l’OMS à travers la Fondation Gates et l’agence fédérale américaine USAID.
Dans la troisième partie, nous verrons que la Fondation Gates travaille à vendre non seulement les traitements et vaccins de l’industrie pharmaceutique, mais aussi des semences OGM, sur lesquelles elle travaille en partenariat avec Monsanto.
Dans la dernière partie, nous apprendrons comment la Fondation Gates tente de faire tomber les garde-fous étatiques qui interdisent à l’industrie pharmaceutique occidentale de mettre des produits potentiellement dangereux sur le marché. Nous verrons aussi que l’administration Trump marche main dans la main avec Bill Gates.

Par Jeremy Loffredo and Michele Greenstein
Paru sur The Grayzone sous le titre Why the Bill Gates global health empire promises more empire and less public health


Un « deux poids, deux mesures » mortel

Depuis plus de 20 ans, la Fondation Gates contribue à l’élaboration de politiques de santé mondiales pour les pays pauvres, principalement en Afrique et en Asie du Sud. Ses relations étroites avec l’industrie pharmaceutique semblent avoir influencé ce travail.

Alors que la déclaration de mission de la fondation stipule, « nous voyons une valeur égale dans toutes les vies », une exploration de son histoire récente prouve le contraire. La fondation semble considérer le Sud comme un dépotoir à traitements jugés trop dangereux pour le monde développé et un terrain d’essai pour les traitements qui ne sont pas encore jugés assez sûrs pour le monde développé.

Le vaccin contre la diphtérie, le tétanos et la coqueluche (DTC) est le « fleuron du programme africain de vaccination de Bill Gates et de l’OMS ». Il s’agit d’un lot de trois vaccins administrés à pratiquement tous les enfants du continent africain, mais qui n’est actuellement pas administré aux États-Unis ni dans la plupart des autres pays développés.

Dès 1977, une étude publiée par des professionnels de la médecine britannique dans le Lancet a établi que les risques liés à l’injection de cellules entières de coqueluche (utilisées dans le vaccin DTC) sont plus importants que les risques associés à la contraction de la coqueluche. Après avoir rassemblé des preuves établissant un lien entre le médicament et des lésions cérébrales, des convulsions de type épileptique et même la mort, les États-Unis et d’autres pays occidentaux l’ont progressivement abandonné dans les années 1990 et l’ont remplacé par une version plus sûre (appelée DTaP) qui ne contient pas la cellule entière de la coqueluche.

Cependant, les nations africaines sont toujours incitées financièrement à continuer d’utiliser le vaccin DTC, obsolète et dangereux, la GAVI faisant du DTC une priorité pour les enfants africains.

Il est choquant de constater qu’une étude de 2017 financée par le gouvernement danois a conclu que plus d’enfants africains mouraient des effets secondaires mortels du vaccin DTC que des maladies qu’il permet de prévenir. Les chercheurs ont examiné les données de la Guinée-Bissau et ont conclu que les garçons mouraient à un taux presque quatre fois plus élevé (3,93) que ceux qui n’avaient pas reçu le vaccin, tandis que le taux de mortalité des filles s’élevait à presque dix fois la normale (9,98).

Ces chiffres effarants n’ont pourtant pas empêché la Fondation Gates de dépenser des millions par an pour promouvoir le vaccin DTC auprès des systèmes de santé africains.

Il n’y a peut-être pas d’élément plus célèbre du travail de la Fondation Gates que son effort d’éradication de la polio. Pourtant, une fois de plus, les médicaments contre la polio que le monde occidental utilise et ceux qui sont donnés aux pays du Sud sont radicalement différents.

La fondation a dépensé plus d’un milliard de dollars pour distribuer un vaccin oral contre la polio (VOP) qui contient un virus vivant de la polio aux pays africains et asiatiques. Ce virus vivant peut se répliquer dans l’intestin d’un enfant et se propager dans des zones où les conditions sanitaires et la plomberie sont mauvaises. Cela signifie que les gens peuvent contracter le virus à partir du vaccin.

Selon une étude réalisée en 2017 par l’université de Californie San Francisco et l’université de Tel-Aviv, le virus de la polio utilisé dans le VOP a justement fait cela dans au moins deux douzaines de cas examinés par les chercheurs – il a rapidement pris des forces et a commencé à se propager de lui-même.

Ces dernières années, plus d’enfants ont été paralysés par la souche vaccinale du virus du VOP que par la polio de la région. Dans une interview accordée à NPR, le professeur de microbiologie Raul Andino a déclaré : « C’est en fait une énigme intéressante. L’outil même que vous utilisez pour l’éradication de la polio est à l’origine du problème ».

En 2000, les États-Unis ont cessé d’utiliser le VOP. Mais dans le monde en développement, la Fondation Gates utilise ses instruments d’influence pour s’assurer que les gouvernements continuent de l’administrer.

Les dernières épidémies de polio aux Philippines et au Congo sont le résultat du VOP. En 2005, le Clinical Infectious Diseases Periodical d’Oxford a postulé que les épidémies de polio en Chine, en Égypte, en Haïti et à Madagascar étaient également causées par le VOP, déclarant que « le moment où la seule cause de la polio sera probablement le vaccin utilisé pour la prévenir est en vue ».

Quelques années plus tard, le même périodique, tout en affirmant que les pays en développement devraient passer au vaccin anti-polio inactif (VPI) que les États-Unis utilisent, a écrit que le VOP ne donne pas seulement la polio aux enfants, mais « semble également inefficace pour enrayer la transmission de la polio ».

Comme l’a rapporté le British Medical Journal en 2012, « les derniers programmes de vaccination de masse contre la polio [en Inde] menés par la Fondation Bill et Melinda Gates ont entraîné une augmentation des cas [de polio] ».

Selon les médecins indiens, le VOP provoque également des épidémies d’une autre maladie appelée paralysie flasque aiguë (PFA) non poliomyélitique. Après qu’une épidémie de PFA ait paralysé 490 000 enfants entre 2000 et 2017, des médecins ont publié un rapport suggérant que « l’augmentation de la PFA et la diminution ultérieure de ces cas étaient, de fait, un effet négatif du programme de vaccination contre la polio [de l’OMS] ».

La PFA est « cliniquement indiscernable de la polio mais deux fois plus mortelle« . Keith Van Haren, neurologue pour enfants à la Stanford School of Medicine explique que « cela ressemble en fait à la polio, mais ce terme effraie les gens de la santé publique ».

En 2012, le British Medical Journal a noté avec ironie que l’éradication de la polio en Inde « a été réalisée en rebaptisant la maladie ».

Cette même année, l’Indian Journal of Medical Ethics a observé à la fois des épidémies de polio dues à des vaccins et l’augmentation massive de la PFA. Il a comparé les efforts d’éradication en Inde à l’occupation de l’Irak, en déclarant :

Lorsque les États-Unis se sont enlisés en Irak en 2005, Joe Galloway a suggéré que les États-Unis devaient simplement déclarer qu’ils avaient gagné la guerre, puis se retirer. Le moment est peut-être venu d’adopter une stratégie aussi honorable en ce qui concerne l’éradication de la polio ».

Cependant, la Fondation Gates et l’OMS ont maintenu leur cap, en distribuant le VOP dans des pays comme le Nigeria, le Pakistan et l’Afghanistan, où la fondation affirme que l’OMS fournit maintenant « un niveau d’assistance technique sans précédent » pour les campagnes de vaccination contre la polio.

En Syrie, la GAVI, soutenue par la Fondation Gates, avait affecté 25 millions de dollars à la vaccination contre la polio en 2016. Un an plus tard, l’OMS a rapporté que 58 enfants en Syrie avaient été paralysés par la souche du virus dérivée du vaccin.

Malgré le consensus scientifique contre le VOP et l’opposition à de tels programmes dans les pays cibles, le VOP reste administré en Afrique, au Moyen-Orient et en Asie du Sud dans le cadre de programmes d’ « aide », créant des bénéfices exceptionnels pour des géants pharmaceutiques qui n’auraient peut-être pas pu vendre leurs produits ailleurs.

Des traitements rejetés par l’Occident pour une illusion de choix chez les femmes africaines

La pratique de la Fondation Gates qui consiste à injecter des médicaments dangereux dans les systèmes de santé du Sud ne se limite pas aux vaccins. Elle contribue également à la distribution de contraceptifs réversibles à longue durée d’action (acronyme américain LARC).

Melinda Gates parle souvent des LARCs comme d’un moyen d’apporter une autonomie aux femmes des pays pauvres et leur permettre plus de contrôle sur leur vie. Cependant, certains de ces LARCs ont des effets néfastes, et la distribution de ces produits sans consentement éclairé n’offre aux femmes que peu d’autodétermination.

Un exemple est le Norplant, un implant contraceptif fabriqué par Schering (aujourd’hui Bayer) qui peut empêcher une grossesse jusqu’à cinq ans. Il a été retiré du marché américain en 2002, après que plus de 50 000 femmes aient intenté des poursuites contre la firme et les médecins qui l’avaient prescrit. 70 de ces recours collectifs concernaient des effets secondaires tels que des dépressions, des nausées incoercibles, une chute de cheveux, des kystes ovariens, des migraines et des saignements excessifs.

Un site web sur le développement humain appelé « Degrees », financé par la Fondation Gates, affirme que le Norplant « n’a jamais eu beaucoup d’attrait au niveau mondial » parce que l’insérer et le retirer « s’est avéré lourd ».

Légèrement modifié et rebaptisé Jadelle, ce médicament dangereux a été promu en Afrique par la Fondation Gates, en collaboration avec l’USAID et EngenderHealth. Anciennement appelée la Ligue de Stérilisation pour l’Amélioration de l’Homme, la mission originale d’EngenderHealth, inspirée par la pseudo-science raciste de l’eugénisme, était d’ « améliorer le matériel génétique de la race humaine ». Le Jadelle n’est pas approuvée par la FDA pour être utilisée aux États-Unis.

Ensuite, il y a le Depo-Provera de Pfizer, un contraceptif injectable utilisé dans plusieurs pays d’Afrique et d’Asie. La Fondation Gates et l’USAID ont de nouveau collaboré pour financer la distribution de ce médicament et l’introduire dans les systèmes de santé de pays comme l’Ouganda, le Burkina Faso, le Nigeria, le Niger, le Sénégal, le Bangladesh et l’Inde.

En 2012, Melinda Gates avait promis de fournir des contraceptifs comme le Depo-Provera, qui coûte entre 120 et 300 dollars par an, à au moins 120 millions de femmes d’ici 2020. En 2017, Melinda Gates a écrit un article sur Medium dans lequel elle indiquait qu’elle et ses partenaires étaient sur la bonne voie pour tenir cette promesse, et promettait 375 millions de dollars de fonds supplémentaires pour y parvenir. Cela signifie que Pfizer a gagné entre 14 et 36 milliards de dollars grâce à ce programme.

Il est inquiétant de constater que l’ingrédient actif du Depo-Provera – l’acétate de médroxyprogestérone (MPA) – a été associé à des effets secondaires tels que la formation de caillots de sang dans les poumons, des cas de cécité et de cancer du sein, qui peuvent mettre la vie en danger.

La version unidose de Pfizer, appelée Sayana Press, est destinée à être administrée par des « agents de santé communautaires » [formés à injecter le contraceptif, NdT]. Au Sénégal, cependant, près de la moitié de ces travailleurs étaient de niveau sixième, pas plus.

Le ministère sénégalais de la santé a été contraint de modifier ses lois afin que les travailleurs de la santé puissent distribuer légalement le médicament. Selon le Population Research Institute, les ONG financées par l’USAID ont « tordu le bras au gouvernement » pour qu’il prenne cette décision.

En outre, les dépliants de formation du Sayana Press ne fournissaient pas d’informations sur les effets secondaires du MPA, ce qui constitue une violation des principes du consentement éclairé. Selon les directives de l’OMS, le MPA ne doit pas être utilisé par les femmes souffrant de troubles rhumatismaux. Mais les listes de contrôle des patients en Ouganda, financées par l’USAID, n’indiquaient pas aux agents de santé de demander aux femmes si elles avaient des antécédents de ces troubles.

Les lignes directrices pour formateurs des fournisseurs du Sayana Press ne mentionnent pas non plus que le médicament a été associé à une perte de densité osseuse et à un risque accru de fractures. Comme l’a dit le Population Research Institute, « La FDA exige que les femmes américaines soient informées de ce fait, mais les femmes africaines sont tenues dans l’ignorance ».

En 2015, 70 groupes féministes et universitaires indiens ont signé une déclaration contre l’approbation du Depo-Provera, citant des effets secondaires comme une perte excessive de densité osseuse, une prise de poids, des saignements excessifs et des dépressions. Selon leur déclaration, les organisations de femmes se sont toujours opposées à l’introduction de contraceptifs dangereux comme ceux-ci, et qu’ « il y a des risques pour que les femmes ne reçoivent pas suffisamment d’informations pour choisir une méthode contraceptive de façon éclairée ».

En dépit d’une opposition générale au niveau national et de preuves de plus en plus nombreuses d’effets secondaires négatifs, la Fondation Gates continue de travailler avec l’USAID pour distribuer des médicaments comme le Depo-Provera.

Les pays du Sud, un vivier de cobayes

Les canaux d’influence de Bill Gates ont également contribué à tester des drogues sur des personnes dans les pays pauvres.

Avant qu’un médicament puisse être vendu au public, la FDA et des agences similaires en Europe exigent que la firme productrice teste le médicament sur des sujets humains. La troisième et dernière phase de ces tests avant que le médicament puisse être mis sur le marché est la phase III des essais cliniques, au cours de laquelle les entreprises sont tenues d’administrer le médicament à un grand nombre de personnes dans le cadre d’études contrôlées.

On estime qu’environ 90 % des coûts de développement des médicaments sont engagés dans les essais de phase III. Mais ces firmes peuvent contourner des coûts en menant les essais dans les pays dits « en développement ».

Cette stratégie de réduction des coûts a été résumée par la société de conseil américaine McKinsey, qui a suggéré d’inclure les « marchés émergents » dans les essais de médicaments afin de réduire « une importante perte de revenus ».

Il n’est donc pas surprenant que la Fondation Gates, un client de McKinsey, ait ouvertement déclaré que son « objectif » était d’aider les sociétés pharmaceutiques à sauter les tests de sécurité et à accélérer le processus d’approbation des médicaments pour les firmes pharmaceutiques. Ou, comme ils l’ont dit, « d’affiner les interventions potentielles telles que les candidats-vaccins avant qu’ils n’arrivent à l’étape des essais cliniques de dernière phase, qui sont coûteux et prennent beaucoup de temps ».

Si la réalisation d’essais cliniques sur les pauvres est financièrement avantageuse, elle peut aussi être dangereuse. Citant de nombreux exemples de ce danger, un journal sud-africain a un jour déclaré : « Nous sommes les cobayes des fabricants de médicaments ».

De 2009 à 2011, les essais cliniques de phase III du premier vaccin contre la malaria – financé par la Fondation Gates et fabriqué par GSK – ont eu lieu dans sept pays africains (Ghana, Kenya, Malawi, Mozambique, Burkina Faso, Gabon et Tanzanie).

En 2011, les propres données de GSK ont montré que les enfants de sexe féminin mouraient (de causes diverses) à un taux plus de deux fois supérieur à celui du groupe de contrôle. Les enfants ayant reçu le vaccin présentaient également un risque de méningite dix fois plus élevé que ceux qui n’avaient pas reçu le vaccin.

Pourtant, l’OMS coordonne toujours l’administration du médicament à plus de 700 000 enfants au Ghana, au Kenya et au Malawi, dans le cadre d’un essai clinique non officiel qu’elle appelle une « mise en œuvre pilote ». (C’est le SAGE, aligné sur la décision de Gates, qui a recommandé la mise en œuvre pilote).

Comme ce produit est administré aux enfants dans le cadre du programme de vaccination des pays, l’OMS affirme que le consentement est implicite. Mais les parents ne sont pas toujours informés des risques pour la sécurité, ce qui les rend, dans ce cas aussi, incapables de donner un consentement éclairé pour leurs enfants. Comme le dit le rédacteur en chef adjoint du British Medical Journal, « ‘processus de consentement implicite’ signifie que les receveurs du vaccin contre la malaria ne sont pas informés qu’ils font partie d’une étude ».

La Fondation Gates a également financé des essais cliniques du vaccin contre le virus du papillome humain (VPH) fabriqués par GSK et Merck. Ces vaccins ont été administrés à 23 000 jeunes filles dans des provinces indiennes reculées, dans le cadre d’une initiative du programme PATH (Program for Appropriate Health and Technology) soutenu par la Fondation Gates.

Une fois de plus, les participants à l’étude ont été privés de la possibilité de donner leur consentement en connaissance de cause, car « les avantages et les inconvénients de la vaccination n’ont pas été correctement communiqués aux parents/tuteurs ».

Selon le professeur Linsey McGoey de l’Université d’Essex, « la plupart des vaccins ont été administrés aux filles dans les ashrams pathshalas (internats pour enfants tribaux), contournant ainsi l’obligation de demander le consentement des parents pour les vaccins ».

Le PATH n’a pas non plus mis en place de système de collecte de retours sur les principales réactions indésirables aux vaccins, ce qui est légalement obligatoire pour les essais cliniques à grande échelle. L’Indian Committee on Health and Family Welfare (Comité indien sur la santé et le bien-être des familles) a poursuivi le PATH en justice pour cette transgression alléguée, l’accusant de violations des droits de l’homme et de maltraitance d’enfants. En 2013, un panel de deux juges a observé qu’alors que les entreprises étrangères « traitent l’Inde comme un paradis pour leurs essais cliniques, cela s’avère un enfer pour l’Inde ».

Un commission d’enquête du Parlement indien a déclaré que le « seul but » du projet financé par Gates était de promouvoir « les intérêts commerciaux des fabricants de vaccins contre le VPH, qui auraient récolté des bénéfices exceptionnels si le PATH avait réussi à faire inclure le vaccin contre le HPV dans le programme global d’immunisation du pays ».

Le rédacteur en chef émérite du National Medical Journal of India a approuvé le rapport du panel, écrivant qu’il s’agissait d’un « cas évident où les Indiens ont été utilisés comme cobayes ».

A suivre…

Traduction Corinne Autey-Roussel pour Entelekheia
Photo Rapheal Nathaniel / Pixabay




Quelle différence entre foi et croyance ?

[Source : Marie-France de Meuron via Réseau International]

par Marie-France de Meuron.

Je perçois la foi comme l’élan du cœur ouvert à la confiance en quelque chose ou quelqu’un, dans un état de large réceptivité. L’être humain est alors en mesure d’accueillir des énergies qui l’emplissent. Sur un autre plan, se situe la croyance « processus mental expérimenté par une personne qui adhère à une thèse ou une hypothèse, de façon qu’elle les considère comme vérité, indépendamment des faits, ou de l’absence de faits, confirmant ou infirmant cette thèse ou cette hypothèse ».

Un cantique de l’église protestante définit avec beaucoup d’ardeur ce que peut révéler la foi: « la foi renverse devant nous les plus fortes murailles, elle triomphe des verrous et gagne les batailles ». Qu’est devenue cette ferveur humaine dans notre monde actuel ? Quelles situations ou ambiances procurent l’occasion de la vivre ?

Prenons la présence des mouvements religieux qui sont multiples et transmettent cet élan du cœur de façons diversifiées. Dans nos contrées, il est intéressant de constater l’évolution des églises, lieux qui furent très traditionnels dans notre culture du vivre la foi chrétienne en communautés. Avant de se délabrer complètement par manque d’animation, certaines furent recyclées et rénovées : à but commercial comme un magasin de meubles ou une cave à vins, à but sportif en terrain de basket, en centre de musculation, ou à but culturel, en théâtre.

« Elles font ainsi l’objet d’un « décret d’exécration », selon la terminologie ecclésiale. En clair : elles sont désacralisées, avant d’être vendues puis reconverties ». Ce terme est puissant et dit bien qu’on retire le côté sacré du lieu et, avec ce retrait, diverses occasions de vivre des actes de foi et de connexion à des dimensions universelles.

Dans certaines communautés chrétiennes, ces édifices sont dénommés temples. L’évangile évoque même que notre corps est le temple du Saint-Esprit. Ce vocable nous vient en fait de templum issu de la culture étrusque. Il s’agit d’un lieu sacré, édifice bien solide en relation avec une intention de se relier au divin, les clochers et les flèches dénotent aussi cet élan vertical. Ainsi, ceux qui l’édifiaient cherchaient à proposer aux humains un lieu propice à établir une relation entre le monde terrestre et le monde cosmique, en ouvrant les cœurs à avoir confiance en cette immensité qui les entoure et les dépasse.

Avec l’évolution du mode de vie, nous pratiquons davantage une dynamique horizontale que verticale. C’est ainsi que nous pénétrons dans la période du virus couronné qui révèle de façon très aigüe les modes de procéder, tant au niveau sanitaire que scientifique, social, politique et économique.

Une foison de situations, d’événements, et de circonstances permettent de faire surgir soit des élans de confiance soit des décrets qui se basent sur des modélisations auxquelles on croit, souvent parce qu’il y a un socle chiffré qui sécurise. Nous vivons dans une société très structurée sur des systèmes d’assurances qui focalisent l’attention sur des paramètres bien définis comme les budgets économiques plutôt que sur les conséquences humaines globales qui peuvent avoir des répercussions non monnayables, mal définissables et plus vastes.

Ainsi, nous nous trouvons devant un carrefour crucial avec la médecine : Quand faire confiance à ce qui sonne juste selon nos expériences profondes ou au contraire quand nous soumettre à des croyances qui sécurisent mentalement d’autant plus qu’on délègue nos responsabilités et cela sur plusieurs plans.

Avant le tsunami du coronavirus, il y eut, par exemple, le raz-de-marée du déremboursement de l’homéopathie. Dans un tel cas, on peut bien distinguer entre ceux qui ont confiance en cette thérapie expérimentée sur plusieurs continents depuis deux siècles, et ceux qui font une moue de dédain en disant : « Je n’y crois pas ». Comme ils croient dans les verdicts de la médecine officielle, ils se sentent dispensés de toute réflexion et refusent d’échanger avec ceux qui l’ont expérimentée et ont obtenu de beaux résultats, sur eux, sur leurs proches ou en tant que thérapeutes. Quant à ceux qui détiennent l’autorité, ils s’obstinent à croire que seules les études randomisées en double aveugle sont valables car ils ne veulent pas comprendre que l’homéopathie uniciste traite l’ensemble du patient et que, de ce fait, chaque traitement est adapté à chaque individu, à revoir ensuite régulièrement selon l’évolution des symptômes. On ne peut donc pas effectuer des études randomisées mais seulement des études confirmant le mode de procéder et les axiomes sur lesquels se baser.

Même type d’affirmation hautaine face aux huiles essentielles dont les preuves sont multiples ; là aussi, il est exigé des études randomisées qui feraient du tort aux patients qui recevraient un placebo puisque l’on connaît déjà les pouvoirs de ces produits issus de la nature, ce qui n’est pas le cas de molécules créées en laboratoire. On retrouve la différence entre confiance et croyance chez le Pr Raoult qui a une énorme expérience d’épidémiologiste et à qui on reproche le manque d’étude randomisée, credo derrière lequel se réfugient certains scientifiques qui se sentent forts de cette croyance en une démarche expérimentale, malgré les nombreuses imperfections de telles études, observées au fil des années.

Quand les croyances sont transmises avec force par les dirigeants politiques et les médias, elles s’ancrent d’autant plus facilement dans la population que celle-ci a peu de foi dans ses propres forces, dans la nature, dans ses ressources psycho-affectives. Ainsi, quand le président Macron déclare : « Seule une vaccination généralisée pourrait avoir raison de nos souffrances actuelles… », non seulement une partie de la population le suit (apparemment les trois quarts) mais encore, voire surtout, les entreprises pharmaceutiques. Macron représente en France la chorale de 27 états de l’UE ou plutôt de 27 représentants de ces états qui se confortent dans la croyance que seul le vaccin va résoudre le problème sinueux du coronavirus. Sécurisés par le principe vaccinal, qui a pourtant souvent donner les preuves de ses limites, ils ne se demandent pas comment améliorer l’état de santé de leurs populations, prenant l’audace d’engager des milliards d’euros, en plus malgré le fait que ce soit sur le dos de leurs concitoyens.

Une autre croyance à laquelle le peuple est soumis est celle des masques. Certes, ils ont leurs places dans certaines situations mais ils ne doivent pas permettre de se donner bonne raison au détriment de bien d’autres mesures adaptées à chacun-e. En plus, à force de museler les personnes, moult autres démarches de santé ont privé les individus de bienfaits pour leurs santés. Bienvenue en Absurdie !

Cette propension à suivre ses croyances se répand dans d’autres domaines comme le Droit. Ainsi on en est venu à croire que la justice peut régler des problèmes d’ordre médical. Les exemples sont multiples et je cite ici le cas  « Où la justice décide ou non de couper l’hydratation et les vivres à quelqu’un ».

De même quand la justice sanctionne sévèrement un médecin, le forçant à vendre sa maison, parce que la croyance dans la suprématie des statistiques des coûts par année prévaut sur la valeur des soins prodigués malgré les économies effectuées dans la durée.

La croyance la plus ample et la plus intense me semble revenir à ceux qui s’investissent (corps, raison et finances) à construire la globalisation de notre monde. Or les peuples se réveillent de plus en plus et bien des situations mutent dans plusieurs parties du globe. Même l’écologie peut se retourner contre certains de ses supporters dans la mesure où elle représente davantage un idéal mental et calculé, avec brisement du bon sens, qu’un investissement de tout son être, à chaque instant et dans chaque geste, envers la nature. Ainsi, la vague verte pourra servir de caution à la guerre.

Cette situation inconfortable dans laquelle nous nous trouvons offre l’occasion de détecter toutes les croyances qui divisent notre perception du monde et de notre quotidien, afin de tourner notre regard vers notre intériorité, vers nos forces essentielles, pour retrouver notre confiance.

Marie-France de Meuron




L’OMS et ses principaux partenaires ont dévoilé un plan visant à acheter 2 milliards de doses de vaccins Covid-19 pour les populations les plus à risque

[Source : Conscience du peuple]

dimanche 28 juin 2020

L’Organisation mondiale de la santé et ses principaux partenaires ont dévoilé vendredi [26 juin] un plan visant à acheter 2 milliards de doses de vaccins Covid-19 pour les populations les plus à risque du monde: les agents de santé, les personnes de plus de 65 ans et les autres adultes souffrant de maladies comme le diabète.

*Vous pouvez être assurés que cette opération mondiale de vaccination va réussir et que le « flop » de la H1N1 ne se reproduira pas! Quelle mine d’or ce sera pour les sociétés pharmaceutiques, de biotechnologies, d’équipements médicaux et de traçage numérique. En plus des profits exorbitants qui seront encaissés par la vente et la pré-vente de leurs produits, les coûts de recherche & développement sont assurés, les pertes aussi, par des subventions gouvernementales et par des organisations philanthropiques dont les donateurs ont, certainement, des parts dans ces mêmes sociétés! Un délit d’initié à l’échelle mondiale… 

L’Organisation mondiale de la santé et ses principaux partenaires ont dévoilé vendredi un plan visant à acheter 2 milliards de doses de vaccins Covid-19 pour les populations les plus à risque du monde : les agents de santé, les personnes de plus de 65 ans et les autres adultes souffrant de maladies comme le diabète.

Le plan prévoit qu’à la fin de 2021, les doses pourraient être livrées aux pays pour vacciner les personnes à haut risque.
L’OMS et ses partenaires – la Coalition for Epidemic Preparedness Innovations (CEPI) et Gavi, la Vaccine Alliance – estiment qu’il en coûtera 18,1 milliards de dollars pour exécuter le plan. L’effort est l’un des piliers de l’effort de l’OMS pour garantir que tous les pays ont accès aux vaccins, aux thérapies et aux diagnostics Covid-19, appelés ACT Accelerator, abréviation de Access to Covid-19 Tools.

En plus du financement – dont 11,3 milliards de dollars doivent être levés au cours des six prochains mois – 👉le projet nécessiterait également des engagements de la part des pays à revenu élevé et intermédiaire supérieur pour acheter jusqu’à 950 millions de doses de vaccin.

👉Les pays se verront offrir des «parts» des neuf vaccins candidats que le CEPI soutient, ainsi que d’autres vaccins que le consortium pourrait finir par acheter. L’idée est que, comme on ne sait pas quels vaccins réussiront, l’achat de parts dans un pool – qui s’appellera l’installation Covax – élargira les chances d’un pays d’avoir accès aux vaccins. Il est prévu que les donateurs caritatifs aideront à soutenir les parts pour les pays à revenu faible et intermédiaire.

Certains pays qui peuvent se le permettre négocient des accords d’achat direct à l’avance avec divers fabricants – et contribuent même à payer d’avance le coût de la fabrication du vaccin avant qu’il ne soit prouvé qu’il soit efficace. 👉 Mais si un pays faisait un gros investissement dans un seul vaccin, pour le voir échouer, il pourrait se retrouver avec des alternatives limitées dans les premiers jours de la disponibilité des vaccins, lorsque la demande sera énorme et l’offre rare.

« Il est risqué pour eux de le faire et ce n’est pas non plus éthiquement la bonne approche, car cela laisse le reste du monde sans doses de vaccin », a déclaré Soumya Swaminathan, scientifique en chef de l’OMS.

Ce risque est réel. Les vaccins sont difficiles à fabriquer et, historiquement, plus de projets de vaccination échouent que réussissent. Seth Berkley, PDG de Gavi, a déclaré qu’environ 7% des vaccins passent par le développement préclinique, et peut-être 15% à 20% qui entrent dans la clinique réussissent.
👉 »La grande majorité échouera, mais en ayant un large portefeuille, cela ira de l’avant », a déclaré Berkley. Il a noté que l’établissement a signé un protocole d’accord pour 300 millions de doses avec AstraZeneca, qui travaille en partenariat avec l’Université d’Oxford sur un vaccin qui a déjà commencé un essai clinique de phase 3.

Richard Hatchett, PDG du CEPI, a déclaré que le soutien à la production d’un certain nombre de candidats vaccins donne à Covax un droit de premier refus sur les doses de vaccin lorsque le programme a fourni un soutien financier pour la fabrication du vaccin.

« L’avantage de l’installation est qu’elle est le « premier client en ligne » pour les projets où des accords d’accès existent, mais elle peut également aller sur le marché et acheter n’importe quel vaccin. Et les garanties de volume important seront très attrayantes pour les entreprises », a déclaré Hatchett.
Selon l’OMS, il y a actuellement 16 vaccins Covid-19 dans les essais cliniques et au moins 125 autres dans les premiers stades de développement. »

[Source en anglais :]
https://www.statnews.com/2020/06/26/who-partners-unveil-ambitious-plan-to-deliver-2-billion-doses-of-covid-19-vaccine-to-high-risk-populations/




Grandir dans un milieu défavorisé affecte nos gènes

[Source : daily geek show]

Les inégalités nous marquent jusque dans notre ADN

Cette recherche montre que l’environnement social au sein duquel un enfant grandit entraine des modifications épigénétiques profondes, susceptibles d’influencer sa santé pendant des années.

D’IMPORTANTES DISPARITÉS

Une étude à long terme portant sur 2 000 enfants nés en Angleterre et au pays de Galles et suivis jusqu’à l’âge de 18 ans révèle que les jeunes adultes élevés dans des communautés marquées par davantage de privations, d’addictions, de déconnexion sociale et d’insécurité présentent des différences au niveau de l’épigénome, les protéines et les composés chimiques qui régulent l’activité de leurs gènes.

Les chercheurs affirment que l’étude soutient l’hypothèse selon laquelle la régulation des gènes pourrait être une voie biologique par laquelle les désavantages liés à l’environnement social « traversent la peau » pour engendrer des disparités à long terme en matière de santé.

Les différences ont été identifiées dans des gènes précédemment liés à l’inflammation chronique, à l’exposition à la fumée de tabac, à la pollution de l’air extérieur et au cancer du poumon, et peuvent exposer ces personnes à davantage de problèmes de santé plus tard dans leur vie. Des différences épigénétiques subsistant même après avoir pris en compte les conditions socio-économiques des familles des enfants, et ayant été observées chez les jeunes adultes qui ne fumaient pas ou ne présentaient pas des signes d’une forte inflammation.

« Ces résultats peuvent aider à expliquer comment apparaissent les disparités à long terme en matière de santé entre les communautés », déclare Aaron Reuben, principal auteur de l’étude. « Ceux-ci nous montrent également que les enfants qui ont la même apparence physique et qui sont par ailleurs en bonne santé peuvent développer des prédispositions au niveau cellulaire qui influencent leur santé une fois entrés dans l’âge adulte. »

« Il n’est pas encore possible de savoir si ces différences sont durables ou pourraient être modifiées », estime Reuben. « C’est quelque chose que nous devrons continuer à explorer. »

— stock-enjoy / Shutterstock.com

« L’ENVIRONNEMENT ET LES GÈNES TRAVAILLENT ENSEMBLE POUR FAÇONNER NOTRE SANTÉ »

Récemment publiée ce mois-ci dans la revue JAMA Network Open, l’étude a puisé dans diverses sources de données afin de définir les caractéristiques physiques, sociales, économiques et de santé liées aux quartiers dans lesquels grandissaient les sujets.

Les données ont été recueillies à partir des bases de données des autorités locales et de la justice pénale, de l’observation systématique des conditions du quartier (via Google Street View) et d’enquêtes détaillées auprès des résidents. Les chercheurs ont combiné ces données à haute résolution sur plusieurs décennies avec des informations épigénétiques obtenues via des analyses de sang lorsque les participants ont atteint l’âge de 18 ans.

« Cette recherche est un rappel important que l’environnement et les gènes travaillent ensemble pour façonner notre santé », déclare Avshalom Caspi, co-auteur de l’étude.

Dans un commentaire accompagnant l’étude, Erin Dunn, épidémiologiste psychiatrique de la Harvard Medical School, a noté que les différences de régulation des gènes induites par l’environnement social « sont probablement impliquées dans de nombreux effets néfastes sur la santé, allant des troubles de santé mentale au cancer, à l’obésité et aux maladies métaboliques ».

« J’espère que de telles études inciteront les chercheurs à explorer ces concepts complexes et à faire le lien entre les déterminants sociaux de la santé et les processus épigénétiques. »




Pasteur versus Béchamp – La crise du coronavirus relance une controverse vieille de 150 ans

[Source : Sott.net via Réseau International]

[Auteure :] Karen Selick – LewRockwell

dim., 26 avr. 2020


Je ne perçois pas la crise du coronavirus de la même façon que la plupart des gens. Pour moi, elle constitue plutôt l’occasion d’ouvrir à nouveau une controverse scientifique vieille de 150 ans que la plupart des pays occidentaux ont oubliée.

Le scientifique français Louis Pasteur (1822-1895) est largement célébré comme « le père de la théorie des germes » l’idée que nous devenons malades lorsque notre corps est envahi par des organismes étrangers tels que des bactéries, des moisissures, des champignons et bien sûr des virus. Bien que l’idée ait circulé bien avant que Pasteur ne devienne éminent, ses travaux de laboratoire dans les années 1860 ont donné l’impression de fournir les preuves scientifiques qui manquaient auparavant.

Ce que l’on sait moins, c’est que d’autres scientifiques français œuvrant à cette époque dans le même domaine avaient des convictions pour le moins différentes, connues sous le nom de « théorie du terrain ». Ils considéraient que le facteur le plus important qui détermine si une personne tombe malade ou non ne tient pas en la présence d’un germe, mais relevait plutôt de la disposition propre à l’environnement interne du corps (le « terroir » ou le terrain) à se préparer en vue de repousser ou de détruire le germe en question.

L’un des principaux scientifiques de la théorie du terrain était Antoine Béchamp (1816-1908). Pasteur et Béchamp étaient des rivaux acharnés autour de nombreuses questions scientifiques. Le livre de R. B. Pearson, publié en 1942 Pasteur: Plagiarist, Imposter [Pasteur, plagiaire et imposteur – NdT] suggère même que Pasteur a plagié une partie de ses travaux à partir de ceux de Béchamp ce qui a dû constitué pour ce dernier un point de contestation compréhensible, lui qui finalement est mort dans l’oubli le plus total. En revanche, Pasteur est devenu habile à s’auto-promouvoir, au point que son nom est devenu un mot commun bien après sa mort.

Commentaire : Pasteur ne s'est par contre pas promu tout seul... Il avait un sens aigu des relations publiques, et si l'on reprend le contexte de l'époque où fleurissait aussi la théorie de l'évolution de Darwin, l'on peut comprendre que des courants idéologiques avaient — et ont toujours — des intérêts bien précis à promouvoir Pasteur plutôt que Béchamp.
À eux deux, Pasteur et Darwin ont stérilisé toute véritable recherche spirituelle en la ramenant au seul terrain matérialiste et mécaniste. On peut aussi faire le parallèle entre ces matérialismes « scientifiques » et le capitalisme libéral dans lequel s'exerce la loi du marché, ramenée à la loi de la jungle où seul le plus fort peut survivre, une loi qui ne gère que les rapports matériels entre les différents organismes vivants. Sus aux faibles, sus aux vilains microbes qui nous attaquent, et tant pis si sans beaucoup d'entre eux, nous ne serions même pas là pour en parler.
Nous pouvons aussi nous interroger sur la fonction exact des microbes dans l'écologie planétaire, et déterminer s'ils ne seraient pas en fait nécessaires à l'évolution de la vie sur Terre. Aucune de ces réponses ne peuvent être trouvées dans la biologie pasteurienne qui fait aujourd'hui religion.

L’autre grand défenseur de la théorie du terrain était Claude Bernard (1813-1878), qui malgré leurs divergences d’opinion sur les questions scientifiques était un ami proche et un associé de Pasteur. À la fin de sa vie, Pasteur aurait reconnu l’importance de ce que Bernard avait essayé de lui dire, en remarquant que « Bernard avait raison. Le microbe n’est rien, le terrain est tout ».

En 1982, la chercheuse française Marie Nonclercq a publié sa thèse de doctorat sur Béchamp, alléguant que Pasteur était non seulement un plagiaire mais aussi un fraudeur et un falsificateur de données expérimentales. Mais quelle que soit la personnalité de Pasteur, et qu’il se soit à la fin de sa vie rétracté ou pas, ce qui subsiste après lui, c’est l’état d’esprit, clairement visible chez la plupart des professionnels de la santé et des bureaucrates de la santé d’aujourd’hui, selon lequel c’est le germe officiellement désigné sous le nom de SRAS-CoV-2 qui doit être traqué, isolé, évité et éradiqué et que rien d’autre ne compte. Pour les penseurs modernes conventionnels, le « terrain » n’est rien.

Par exemple, sur le site web du gouvernement de l’Ontario qui indique à ses citoyens ce qu’ils doivent faire pour lutter contre le Covid-19, les conseils donnés consistent entièrement en des mesures destinées à empêcher les gens d’entrer en contact avec le virus : restez chez vous, lavez-vous souvent les mains, ne touchez pas votre visage, gardez une distance physique et portez un masque lorsque vous devez sortir.

Aucune mention n’est faite des mesures que les individus peuvent prendre pour s’assurer que leur système immunitaire fonctionne au maximum de son efficacité ou comme l’auraient dit les scientifiques français Béchamp et Bernard que leur terrain soit bien préparé pour organiser une bonne défense immunitaire. C’est presque comme si le gouvernement de l’Ontario pensait que les êtres humains sont dénués de tout système immunitaire ou que ce dernier s’il existe ne serait que d’une quelconque utilité. Le seul espoir de ce gouvernement repose sur le brevet d’un vaccin développé par une société pharmaceutique, puisqu’il s’agit selon eux de la seule façon qu’ont les êtres humains de se défendre contre un virus, ou d’acquérir une immunité.

Commentaire : Dans cette approche matérialiste, notre système immunitaire serait « niais, étourdi et sans conscience » et il faudrait inoculer à l'organisme des agents extérieurs dont il « serait » dépourvu « à l'intérieur », tout en stérilisant l'environnement extérieur constitué de micro-organismes pathogènes à l'influence « néfaste ». On ne sait jamais, des fois que certains d'entre eux nous rendent plus intelligents ou plus réceptifs à certaines idées ou convictions situées à l'opposé du mantra délivré par les autorités bien mal pensantes, basé sur la toute-puissance médicale, pourtant bien insuffisante à éclairer les chercheurs de vérité.
Cette vision limitée de la Vie est exclusive, linéaire, compétitive, iatrogène, inopérante et fait l'objet d'un culte qui prétend que la maladie est extérieur à l'organisme, et qu'elle ne peut jamais, en rien, procéder d'un équilibre intérieur.

En fait, l’Ontario et le Canada ont fait tout leur possible pour décourager les gens dans leurs éventuelles recherches de méthodes pour s’aider eux-mêmes. Le site web de l’Ontario indique qu’« il n’existe pas de traitement spécifique » contre le Covid-19. Fin de l’histoire. La société de radiodiffusion publique du Canada, la CBC, a récemment publié cet article dénonçant les « faux remèdes », notamment la vitamine C, le zinc, les champignons médicinaux et l’huile d’origan.Cette attitude officielle est totalement absurde il existe en fait une abondance de preuves scientifiques soutenant que divers compléments alimentaires contribuent à préparer le système immunitaire en vue de repousser ou de surmonter les infections virales.

Prenons le zinc, par exemple. De nombreux patients atteints du Covid-19 ont mentionné comme symptômes la perte de leurs sens de l’odorat et du goût. Selon la BBC, ces symptômes touchent jusqu’à 18 % des patients atteints. Cet article de CNN indique que certaines personnes mettront des jours ou des semaines à retrouver ces sens perdus après avoir été touchées par le virus, alors que d’autres mettront des mois ou des années à le faire.

Commentaire : La liste des symptômes du Covid-19 ne cesse de s'allonger, c'est devenu un fourre-tout bien pratique pour maintenir une peur constante et sans fin. Nul doute que la liste continuera de s'allonger, et tant pis si c'est complètement incohérent, tant pis si nous atteignons des summums de bêtise crasse et mal intentionné, pendant ce temps là, l'État fait sa tambouille, nos libertés chéries s'effritent et le monde sombre dans le chaos d'un Nouvel Ordre Mondial qui accélère tous ses programmes.

Mais la perte de ces sens est un symptôme bien établi de la carence en zinc, un fait qui n’est mentionné dans aucun des deux articles cités, et qui n’est apparemment pas connu de la plupart de la communauté médicale conventionnelle. Pourtant, voici une étude de PubMed qui établit un lien entre les carences en zinc et les « troubles de l’odorat et du goût ». Voici une autre étude qui établit un lien spécifique entre les « patients âgés » et les carences en zinc provoquant la perte d’acuité des sens du goût et de l’odorat. Ces deux études mentionnent également que les carences en zinc entraînent une altération de la fonction immunitaire ou un risque accru d’infection. Les « experts » médicaux et les gouvernements ne peuvent-ils pas faire le lien ?

Commentaire : Ce lien est pourtant fait par d'autres, mais ceux-là ne sont pas cités comme «experts ». Ils traitent pourtant avec succès des patients atteints de covid-19 avec de l'hydroxychloroquine, de l'azithromycine et de l'orotate de zinc.

La vitamine D est un autre nutriment une hormone, en fait dont les scientifiques reconnaissent les bienfaits antiviraux. Google Scholar recense 3 670 rapports de recherche publiés rien qu’en 2020 contenant les mots « vitamine D » et « virus ».

Mais plutôt que de recommander aux Canadiens [on pourrait écrire Français – NdT] des quantités suffisantes de vitamine D, Santé Canada [on pourrait écrire Santé publique France NdT] a pendant de nombreuses années découragé les populations de prendre des compléments alimentaires. « La plupart des Canadiens [Français – NdT] consomment suffisamment de vitamine D », indique ce site web du gouvernement, qui recommande uniquement aux personnes de plus de 50 ans de prendre la quantité dérisoire de 400 unités internationales (UI) par jour. D’autres pages du gouvernement canadien en recommandent un peu plus. Celle-ci, par exemple, indique que les adultes de plus de 70 ans devraient prendre jusqu’à 800 UI par jour. Leurs recommandations n’approchent jamais celles de la Société de la vitamine D, un consortium de scientifiques qui étudient ce sujet. Leur brochure FAQ recommande au moins 4 000 UI par jour pour maintenir un taux sérique de vitamine D suffisant.

Mais il y a pire. La vitamine D est en fait gratuite, si les gens n’allaient dehors ne serait-ce qu’en été et s’exposaient correctement à notre Soleil. De nos jours, il existe même des applications pour téléphones portables qui vous indiquent quand le Soleil est dans la bonne position pour votre emplacement, combien de temps vous devez rester dehors et quelle superficie de votre corps doit être exposée pour obtenir le bon dosage. Ces applications peuvent également être utilisées pour déterminer comment prévenir une brûlure.

Au lieu de dire aux Canadiens comment se procurer cette vitamine gratuite et accessible, Santé Canada leur dit depuis des années de faire exactement le contraire : s’enduire de crème solaire chaque fois qu’ils iront à l’extérieur pendant l’été et ne jamais s’exposer au Soleil.

Commentaire : On en viendrait à croire que tout ce que ces « experts » nous disent devrait être envisagé à l'opposé ! Quelle mascarade. La connaissance protège...

Combien de Canadiens sont morts, et continueront de mourir, d’affections pathologiques dont le Covid-19 ou la grippe parce que leur gouvernement leur a donné ce conseil extraordinairement mauvais ?

Les Étatsuniens ne sont pas mieux lotis. La fiche d’information des National Institutes of Health sur la vitamine D recommande le même maximum de 800 UI que celui recommandé par le Canada. Et elle dit :

« L’Académie américaine de dermatologie conseille de prendre des mesures de photo-protection, y compris l’utilisation d’un écran solaire, chaque fois que l’on s’expose au Soleil. »

Ce n’est pas une surprise, vraiment. Le gouvernement étatsunien est encore plus à l’aise que le gouvernement canadien avec les sociétés pharmaceutiques qui seront finalement autorisées à produire le vaccin sacré.

Mais alors que l’esprit de la théorie des germes de Pasteur règne dans l’administration, les consommateurs avertis semblent suivre Béchamp et Bernard, sans peut-être jamais en avoir entendu parler. La vitamine C, les pastilles de zinc et les compléments alimentaires plus exotiques comme la monolaurine un dérivé de l’huile de noix de coco qui, dans les tests de laboratoire, détruit l’enveloppe virale un peu comme le ferait un savon se vendent comme des petits pains et disparaissent des rayons des magasins. Les vendeurs en ligne en vendent tellement que leurs stocks se vident au fur et à mesure qu’ils entrent parce que les gens apprennent qu’ils peuvent faire pour eux davantage que de simplement faire confiance à leur gouvernement.

Les épidémiologistes débattent activement des avantages et des inconvénients du confinement et des masques pour contrôler la propagation du virus, mais je n’ai encore vu aucun rapport de qui que ce soit ayant pensé à comparer les taux sériques de vitamine D chez ceux qui ont succombé, par rapport à ceux qui se sont rétablis, et par rapport à ceux qui n’ont jamais été infectés. C’est le genre de données qu’ils devraient examiner, mais imprégnés de la mentalité de la théorie des germes, ils laissent ces précieuses informations de côté.

J’espère que cet article contribuera à changer cela.


À propos de l’auteur :

Karen Selick a obtenu sa licence en droit à l’université de Toronto en 1976. Elle a pris sa retraite de la pratique du droit en 2015 et a ensuite passé deux ans à étudier la nutrition holistique au Edison Institute of Nutrition. Elle est rédactrice indépendante depuis plus de 30 ans. Ses travaux ont été publiés dans The Freeman, Fraser Forum, le National Post, The Globe and Mail, le magazine Canadian Lawyer et ailleurs.

Source de l’article initialement publié le 20 avril 2020 : LewRockwell
Traduction : Sott.net


Commentaire :
Voici quelques extraits de l'ouvrage du Dr Éric Ancelet, Pour en finir avec Pasteur (pages 83, 84, 85, 87, 90, 91).

Bien introduit dans les antichambres du pouvoir, Pasteur va imposer ses vues sur un autre sujet à la mode, celui de la génération spontanée, dont il va pourfendre les défenseurs avec sa vindicte coutumière. Les savants s’affrontent rarement dans la sérénité.

L’orgueil et les préjugés s’en mêlent, comme la nécessité d’assurer sa carrière, ses titres et ses subventions.
[…]
La négation par Pasteur d’une « génération spontanée » à partir de matière inerte était donc justifiée en son temps, mais elle l’a amené à nier en bloc toute possibilité de transformation de la matière organique, et à conceptualiser la théorie erronée du monomorphisme bactérien. Les espèces au sens darwinien, et tout particulièrement les « espèces microbiennes », sont pour lui et ses successeurs des entités immuables, susceptibles de muter mais en aucun cas de se transformer en « autre chose ». Or Béchamp puis Tissot ont justement proposé la thèse inverse, les possibles transformations réversibles de virus en bactéries et de bactéries en mycobactéries (champignons), en fonction du contexte psychobiologique.
[…]

Ce dernier passage est très intéressant si l'on considère le « Tout ce qui est en haut est comme ce qui est en bas » ou la similitude frappante entre les possibles transformations réversibles de ces micro organismes et les astéroïdes qui peuvent devenir des comètes (et revenir à l'état d'astéroïde, ou pas), qui elles-mêmes peuvent devenir des planètes, le tout en fonction du champ électrique cosmique dans lequel ils et elles progressent.
Voir : Planète X, comètes et changements terrestres par James M. McCanney - Ce qui se profile à l'horizon
Pour en revenir au livre du Dr Éric Ancelet, poursuivons.

De ces débats découlent deux conceptions radicalement opposées de l’écologie microbienne.
Pour Pasteur, le microbe génère la maladie. […] « À chaque germe une maladie ». […] « À chaque maladie un vaccin ».
[…]
Pour Béchamp, la maladie active le microbe.
[…]
Alors, Pasteur ou Béchamp ?

Nous avons vu pourquoi la France du siècle dernier avait besoin que Pasteur ait raison. Bien mieux que Béchamp, savant discret et peu « médiatisé », Pasteur était capable de jouer le rôle politique de fer de lance d’une France républicaine profondément éprouvée dans son orgueil national.

Toutefois,

C’est seulement en 1877 que Pasteur, âgé de 55 ans […] va entreprendre des recherches sur les micro-organismes « responsables » des maladies humaines et animales.

Avant cela, Pasteur a plagié les travaux antérieurs de Béchamp, travaux dédiés à des recherches sur les maladies des vers à soie. Il présentera le résultat de ces travaux comme les siens propres sans jamais citer Béchamp, et en affirmant que ses travaux sont antérieurs à ceux de Béchamp. En outre, et pour bien appuyer le tout, en « fin diplomate et beau parleur » qu'il est, Pasteur « dédiera son traité sur les maladies des vers à soie à l'Impératrice ». Puis,

C’est alors que survient un événement considérable dans une vie humaine, surtout à la lumière d’une « médecine nouvelle » qui à chaque maladie associe, non pas un microbe pathogène ou un gène défectueux, mais un conflit de nature psycho-émotionnelle.

Le 19 octobre 1868, à l’âge de 46 ans, Louis Pasteur est foudroyé par une attaque d’hémiplégie qui paralyse son côté gauche.

Selon les lois biologiques du docteur R.G. Hammer, il pourrait s’agir d’une « crise épileptoïde » déclenchée en phase de guérison par un œdème cérébral situé dans l’hémisphère droit, au niveau des centres moteurs. Guérison de quoi ? Chez l’homme droitier, cette partie du cerveau est en étroite relation avec des conflits de territoire. Or Pasteur vient d’imposer in extremis son antériorité sur Béchamp ! Nous devons signaler aussi que l’hémisphère droit et le côté gauche du corps, définitivement hors circuit chez Pasteur, correspondent classiquement à la part féminine de l’être, à la passion, au sens artistique, à l’intuition, aux capacités de synthèse qui permettent une vision globale du monde. Est-ce à dire que toute la microbiologie s’est construite sur des valeurs purement masculines, l’action, l’affrontement, l’analyse, la raison, que toute le biologie post-pasteurienne est infirme, hémiplégique de naissance ?

On ne peut que se résoudre à croire que c'est le cas... Pasteur est hémiplégique depuis neuf ans quand il entreprend les recherches pour lesquels il est « connu ».



« Le confinement est véritablement l’escroquerie sanitaire du XXIe siècle » selon une étude qui souligne la responsabilité de l’OMS

[Source : Covidinfos.net]

Une nouvelle étude d’origine française soumise (pre-print) au British Medical Journal met en évidence les coûts disproportionnés du confinement en termes sociaux, économiques et humains, dénonce une « escroquerie sanitaire » et pointe la responsabilité de l’OMS.
Extraits ci-dessous, ou consultez l’intégralité de l’étude (en anglais) en cliquant ici.

« En médecine : le confinement n’existe pas. Il n’existe pas en infectiologie, en épidémiologie ou en santé publique. Il est d’ailleurs inédit dans l’histoire de la médecine et de l’humanité ! Il est donc nécessaire de revenir à la raison et de pratiquer la médecine du 21ème siècle.[…] »

« Rien ne prouve que la Chine ait « aplani » la courbe épidémique grâce au confinement. Dire que la Chine a réduit le nombre de cas ou a bien géré l’épidémie grâce à l’enfermement est un pur mensonge et ne repose sur aucune preuve (…), car personne n’est en mesure de donner le nombre de cas ou de décès en Chine si elle n’avait pas appliqué de confinement[…] »

« Quels sont les risques, les dangers et les conséquences catastrophiques pendant et après l’enfermement ?
– Suicides de personnes, comme cela a été signalé en Chine et a déjà commencé dans de nombreux pays.
– Développement de pathologies psychiatriques.
– Paralysie du parcours scolaire des élèves et étudiants à l’université.
– Impacts négatifs et dangers sur les animaux.
– Négligence d’autres maladies (en particulier les maladies chroniques) et augmentation de leur mortalité.
– Augmentation des violences domestiques.
– Pertes économiques, chômage et crise économique majeure : cela va également interrompre le flux de financement nécessaire à l’équipement des hôpitaux. En outre, peu de gens savent que la crise économique de 2007-2008 a entraîné le suicide d’au moins 13 000 personnes rien qu’en Europe et en Amérique du Nord.
– Sérieuses conséquences pour l’agriculture.
– Déstabilisation des pays et de la paix sociale et risque de guerre.[…] »

« Après avoir exposé tous les dangers de l’enfermement, il est clair que l’équilibre bénéfices-risques est extrêmement et dangereusement défavorable, d’autant plus que les bénéfices du confinement ne sont absolument pas fondés sur des preuves et même proches de 0 ![…] »

« Chaque année : le virus de la grippe infecte 1 milliard de personnes dans le monde et en tue 650 000, et la tuberculose, qui figure parmi les dix premières causes de décès dans le monde et qui est beaucoup plus contagieuse (un patient non traité peut infecter 10 à 15 personnes), cause 10,4 millions de cas et tue 1,8 million de personnes. Pourtant, on ne parle jamais de crise sanitaire. L’ensemble du système hospitalier des pays n’est absolument pas débordé car la saturation ne concerne que très peu d’hôpitaux et cela peut être évité en prenant des mesures raisonnables pour gérer cette épidémie comme nous l’avons indiqué et comme la Suède l’a fait.[…] »

« les pays du monde ont pris des mesures disproportionnées et suivi aveuglément les recommandations de l’OMS en confinant leurs populations, une mesure basée sur une escroquerie […]. Les médias ont également alimenté la peur et la psychose en présentant le SRAS-CoV-2 comme un virus très dangereux ou à forte mortalité alors que ce n’est absolument pas le cas. Même certains professionnels de la santé les suivent comme des moutons. Sans entrer dans des théories de conspiration et après des précédents comme le H1N1 de 2009, peut-on faire confiance à l’OMS et suivre tous ses recommandations ? est-elle indépendante dans ses recommandations et ses décisions ? La réponse est bien sûr : non. »

« L’OMS est en fait financée à 80% par les laboratoires pharmaceutiques, les banques, l’industrie de l’armement, les compagnies pétrolières, l’industrie de l’alcool, etc. tandis que Bill Gates participe de plus en plus au financement de l’OMS par l’intermédiaire de sa fondation, ce qui rend l’organisation très dépendante […] et que les faits s’accumulent : fausse alerte sur la grippe H1N1 sous la pression des lobbies pharmaceutiques, complaisance inquiétante vis-à-vis du glyphosate que l’OMS a déclaré sûr malgré les victimes de l’herbicide, aveuglement sur les conséquences de la pollution due aux compagnies pétrolières en Afrique, minimisation du bilan humain des catastrophes nucléaires (en raison de l’accord que l’OMS a signé avec l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA) ! ) de Tchernobyl à Fukushima […]. L’indépendance de l’organisation est compromise à la fois par l’influence des lobbies industriels – y compris celui des laboratoires pharmaceutiques – et par les intérêts de ses États membres, notamment la Chine. »

« L’OMS doit faire l’objet d’une réforme radicale. Le confinement est véritablement l’escroquerie sanitaire du XXIe siècle, une enquête doit être menée à ce sujet et les responsables de l’OMS et de l’Imperial College de Londres doivent être interrogés et, si nécessaire, jugés.[…] »

À lire également : « Bilan du Covid-19 : Aurions-nous succombé à la panique ? » interroge le Pr. Toussaint

– Consulter l’intégralité de l’étude (en anglais) en cliquant ici.
– Source : SSRN : Facing COVID-19 by the Confinement : EBM, ‘MBM’ or ‘SBM’?




DOSSIER 5G – Explications – Analyses et Tests

[Source : Silvano Trotta]

DOSSIER 5G – Explications – Analyses – Tests – Nicolas Negri

https://youtu.be/cCNpC_oeeIs

Prenez le temps de regarder cette vidéo car elle va vous expliquer, outre la 5G, mais aussi la 2G, 3G, 4G, Wifi, Bluetooth, l’électricité, les radars. Vous allez entendre le son des ondes, comment elles se propagent, et l’incident sur le vivant. Mon invité est un expert.

Sources :

La Chaîne de Nicolas :
https://www.youtube.com/channel/UCzRo…

https://livre.fnac.com/a2230573/Jean-…

https://www.antennesmobiles.fr/

https://www.cartoradio.fr/index.html#…

https://www.criirem.org/wp-content/up…

https://bioinitiative.org/table-of-co…

Scientifique  » ITZHAK BENTOV  » démontrant que pour deux donné la fréquences la plus basse se cale inévitablement sur la fréquences plus hautes (défaillance du coeur , cerveau etc)

https://www.fnac.com/ia1862263/Itzhak…




Réseaux 5G, un danger pour la santé publique ?

[Source : Le Stu-Dio]

Le Dr. Paul Héroux, PhD, est un scientifique qui a œuvré en génie électrique (15 ans) et dans les sciences de la santé (27 ans). Après avoir complété sa formation par des cours en Biologie et Médecine, il s’est intéressé aux problèmes de santé reliés aux champs électromagnétiques. Il est actuellement professeur associé à la Faculté de Médecine de McGill dans le programme de Santé au Travail, dont il est actuellement le directeur. Il enseigne la toxicologie, la protection auditive et les effets sur la santé de l’électromagnétisme aux étudiants en Santé professionnelle et de génie. Ses contributions de recherche incluent le design et la construction d’un dosimètre pour documenter l’exposition aux radiations électromagnétiques, une étude majeure sur la pathophysiologie des brûlures électriques, le développement d’une méthode diagnostique (Electrical Impedance Spectroscopy) basée sur les propriétés électriques des tissus biologiques, et un système de vision par ordinateur pour l’évaluation des effets de combinaisons de produits thérapeutiques et de l’environnement sur les cellules humaines en culture. Il a également développé un système d’exposition pour évaluer les impacts biologiques de divers protocoles de télécommunications (GSM, TDMA, etc.) sur les cellules vivantes à diverses fréquences micro-ondes.

https://youtu.be/T_Tyrr5MKx0



Les amateurs de confinement présentent les symptômes de l’appartenance à une secte

[Source : Le Saker Francophone]

[Image d’entête : James D. Morgan/Getty Images]


Ils persistent dans leur convictions même lorsque celles-ci ont été discréditées.


Par Paul Joseph Watson − Source Summit.news

Le psychothérapeute Docteur Hugh Willbourn explique que les amateurs de confinement présentent les mêmes symptômes que les membres de sectes, qui persistent dans leurs certitudes même lorsque celles-ci ont été discréditées.

Dans un article publié sur son site internet, le Docteur Willbourn met en avant les travaux du psychologue de renom Leon Festinger, qui analysa les croyances d’une secte vénérant les extraterrestres dans les années 50, dont les membres croyaient qu’une soucoupe volante viendrait les chercher pour les sauver de l’apocalypse.

Toutefois, après que les tremblements de terre et inondations catastrophiques qui devaient frapper les États-Unis ne se produisirent pas, et que leurs prédictions furent complètement discréditées, « les membres de la secte virent leur certitude se renforcer au sujet de ces prédictions apocalyptiques ».

Festinger identifia cinq conditions nécessaires à rassembler pour que les membres d’une secte se confortent dans leurs croyances tout en évitant toute dissonance cognitive.

  1. L’existence d’une certitude.
  2. Un engagement personnel dans cette certitude.
  3. Cette certitude doit être suffisamment malléable pour résister à tout discrédit définitif.
  4. Ce discrédit sans équivoque doit avoir lieu.
  5. Un soutient des croyants doit être disponible suite à ce discredit incontestable.

Willbourn poursuit: « Les cinq conditions de Festinger, et le comportement des membres de la secte correspondent aux scénarios du Brexit, du réchauffement climatique et du Covid-19: une prophétie est annoncée, les croyants s’y investissent personnellement en temps, en argent et en réputation, puis la prophétie manque de se réaliser et les croyants n’en deviennent que plus fervents ».

Le Docteur Willbourn montre à quel point les terrifiantes prédictions sur le nombre de victimes potentielles du Covid-19 ont été déconnectées de toute réalité, et que les modèles utilisés pour produire ces prédictions ont été totalement décrédibilisés. Par exemple, malgré les avertissements que le coronavirus pourrait tuer 500 000 personnes rien qu’au Royaume-Uni, le nombre de victimes dans le monde entier est de 318 000.

« Pour remettre ces chiffres dans leur contexte, le nombre de personnes mortes de, ou mortes « tout en ayant attrapé » le Covid-19 en quatre mois et demi est identique au nombre de gens qui meurent de maladie cardio-vasculaire en cinq jours », explique le Docteur Willbourn.

Le docteur Willbourn souligne que les « experts » persistent de toute manière, menaçant de décès à grande échelle si le confinement est levé trop tôt, ce qui déclencherait une seconde vague d’infection.

Dans la réalité, la recherche scientifique suggère que les confinements ont eu une influence minimale sur le nombre de cas, et que le nombre de morts par million en Suède est inférieur de celui au Royaume-Uni et de nombreux autres pays, en dépit du fait que la Suède n’a pas imposé de confinement sévère.
« Ne vous attendez pas à des excuses de la part de notre gouvernement, ou d’aucun autre gouvernement », nous prévient le Docteur Willbourn. « L’effet Festinger est beaucoup plus prégnant qu’un point de vue dépassionné, et cela ne fait qu’ajouter à la tragédie ».

« Cela commence à vous rappeler quelque chose ? », demande Toby Young. Comme le souligne le Docteur Willbourn, la séquence mise au point par Festinger il y a plus de 50 ans nous rappelle de façon lugubre ce qui se passe aujourd’hui: une prophétie apocalyptique imposée par le haut (« la science »), ceux qui y ont cru ont radicalement modifié leur comportement, la prophétie s’est avérée fausse, mais au lieu d’abandonner leur délire apocalyptique, les croyants en cette prophétie sont devenu encore plus fervents, attaquant ceux qui leur montrent le fossé entre la fable et la réalité comme de dangereux hérétiques (« fake new », « désinformation », « théories du complot », etc.).

La différence réside bien sûr dans le fait que la secte croyant aux OVNI ne comptait que quelques douzaines de membres, alors que la secte Covid a infecté la moitié du monde. Si Festinger a raison, la mauvaise nouvelle est que nous ne serons pas en mesure de persuader les gens de cesser leur distanciation sociale, même si on leur prouve que le danger posé par ce Covid-19 a été grossièrement surestimé. Au contraire, l’opposition de ces gens à retourner à la normale ne fera que s’intensifier au lieu de diminuer, au fur et à mesure que les faits leur démontrent qu’ils ont eu tort.

Pendant ce temps-là, les Karen[1] du monde entier ne semblent pas sur le chemin d’abandonner l’occasion qui leur est donnée de faire ce qu’elles aiment le plus au monde : donner des leçons de bienséance aux autres.

Paul Joseph Watson

Traduit par Laurent Schiaparelli, édité par Wayan pour Le Saker Francophone

Notes

  1. Une « Karen »: 44 ans, mère de trois enfants, blonde, conduit une Volvo. Une vraie peau de vache. Porte des pantalons de yoga quel que soit le contexte social. En ce moment probablement sur votre lieu de travail en train de se plaindre auprès du gérant. (Urban Dictionary, NDT)



Le journal LE MONDE travaille pour Bill Gates et la désinformation vaccinaliste

[Source : Michel de Lorgeril – Docteur en Médecine, Chercheur au CNRS]

Je n’étais pas le seul à me demander quelle mouche avait piqué le journal LE MONDE en lisant les articles publiés sur papier ou sur son site à propos des vaccins et de la Loi d’obligation vaccinale de 2018.

Comment expliquer que ce Journal du soir [supposé intelligent, bien informé, objectif et au-dessus de tout soupçon de conflits d’intérêt, sauf avec les compagnies bancaires qui désormais le possèdent] puisse propager insolemment des informations aussi biaisées sur la médecine des vaccins sans jamais donner la parole à un esprit critique susceptible d’introduire le moindre doute dans cette idéologie antiscientifique ?

Comment expliquer ces charges répétées contre les esprits critiques et scientifiques qui appelaient à la prudence concernant les vaccins ?

Comment expliquer ce site “Les décodeurs du Monde” qui ne cesse sa propagande malsaine en faveur des vaccins et sans aucune réserve ?
https://www.gatesfoundation.org/how-we-work/quick-links/grants-database#q/k=le%20monde

J’avais, déjà à plusieurs reprises, moqué ces irrésistibles crétins en les appelant “les déconneurs du Monde” ; pour dire que ce n’est pas nouveau !

Mais, Bon Dieu, pourquoi cet engouement vaccinaliste de la part de rédacteurs dont la culture épidémiologique et infectiologique est au mieux minimale ?

C’était pour moi incompréhensible. Toutefois, grâce à mon grand âge, j’ai accumulé quelques expériences concernant les motivations invisibles de certains esprits ou de certains cartels.
Je donne deux exemples simples : ce n’est pas par philanthropie (quel que soit les discours qui accompagnent) que certaines Fondations (notamment aux USA, la Fondation Rockfeller et la Fondation Bill et Melinda Gates) participent à de grandes œuvres charitables.

Ce sont des investissements et ces Fondations investissent là où elles espèrent des “retours sur investissements”. J’arrête là la leçon d’économie primaire.

La Fondation Bill et Melinda Gates a massivement investi dans l’industrie Pharma et dans celle des vaccins !

Quelle relation, me direz-vous, entre Bill Gates et le Journal LE MONDE ?

Quelles relations, me direz-vous, entre le Journal LE MONDE et les vaccins ?

C’est ici, comme aurait dit Socrate juste avant de boire la cigüe, que les athéniens atteignent…

C’est simple et pur, comme l’eau d’un glacier des Alpes : Bill Gates finance le Journal LE MONDE !

Vous ne me croyez pas ? Complotisme ? Paranoïa ?

Mais c’est Bill Gates lui-même qui le dit : plus de deux Millions de dollars offerts au MONDE en 2019 !

On notera sur la même capture d’écran – mais je laisse mes lecteurs continuer leur enquête – que Bill Gates est très généreux avec les entreprises Pharma surtout quand elles se donnent des apparences humanitaires…

Nous voici arrivés au terme de notre sublime enquête : vous avez la nausée ?

Peut-être allez-vous chercher quelques excuses aux rédacteurs du MONDE : au-delà de leurs salaires, ils ont des convictions ! Faut pas chercher le mal là où il ne se trouve pas !

Après tout, bien d’autres “acculturés du vaccin” défendent des positions stupides sans être financés par Bill Gates, par simple suivisme digne des perroquets de Tintin…

C’est mignon tout ça !
Mais Bill Gates – comme l’aurait été Rockfeller, ce grand humaniste, à son époque – est déjà en première ligne pour investir dans les médecines (et vaccins) anti-COVI 19 !
Pas de temps à perdre, gros business en vue !




Alerte Vaccins : le coup de gueule d’un pharmacien

[Source : Deborah Donnier]

Le pharmacien Serge Rader est un connaisseur des médicaments, de leurs effets secondaires et de leur prix au niveau européen. Il est l’auteur d’un livre « Vaccins oui ou non » sur la contamination des vaccins à nanoparticules. Il avait déjà participé à un autre livre avec la députée européenne Michèle Rivasi : » Le racket des laboratoires et comment en sortir ». Ce lanceur d’alerte est indigné par le passage de 3 à 11 vaccins obligatoires pour les nourrissons en France depuis le début de l’année 2018. Il dénonce ici le manque de sécurité des vaccins et la désinformation des autorités.

https://youtu.be/lRsF-UOR-T0
  • 3.28 – Les cas d’autisme régressif consécutifs à des vaccins ne sont pas déclarés aux autorités.
  • 3.38 – On m’a signalé deux décès d’enfants cette année dont un bébé mort dans la nuit suivant sa vaccination à deux mois.
  • 4.59 – Les maladies, les cas d’autisme, l’asthme explosent les cancers aussi.
  • 6.12 – Pourquoi les vaccins ne sont pas sûrs ?
  • 7.18 – Exemple de la commission des affaires sociales au Parlement avant le vote de la loi d’obligation qui privilégie les intérêts de l’industrie sur ceux de la santé
  • 7.46 – Pour l’autisme, on est passé d’un cas sur 10 000 à un cas sur 100
  • 8.16 – La commission parlementaire italienne a rendu ses conclusions après 18 ans d’enquête.
  • 12.33 – Wakefield, le gastrologue anglais demandait qu’on utilise plutôt les monovalents que les polyvalents. Il avait mis en évidence leur responsabilité dans les maladies inflammatoires du colon et dans l’autisme.
  • 13.40 – « Pour des histoires de gros sous on intente à la vie de nos nourrissons. »
  • 14.00 – il faut suivre ces vaccins sur le long terme.
  • 14.40 – « il y a aussi les morts subites du nourrisson qu’on nous cache avec le vaccin hexavalent ».
  • 17.37 – Vaccins biens testés ?
  • 18.43 – Que peut-on dire sur l’aluminium ?
  • 21.10 – Les doses utilisées sont phénoménales.
  • 22.20 – Dans le vaccin HPV, on a utilisé un faux placébo.
  • 24.19 – Pourquoi l’aluminium dans les vaccins ?
  • 26.34 – L’obligation est impossible dans ces conditions.

© Prévention Santé, Deborah Donnier

LE SITE http://www.prevention-sante.eu/
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Vaccins : documentaire Vaxxed 2 – La vérité du peuple

[Source : Guy Fawkes News]

[NDLR YouTube ayant censuré le documentaire (voir plus bas), le voici, aimablement indiqué par le Dr Bredontiot, en provenance d’Odysee :]



https://youtu.be/BhAVMvQMBJU

Voilà le premier documentaire de 2016 pour ceux qui ne l’auraient pas vu :

https://youtu.be/EHVmcXvbAWA

Publié par Fawkes News




Le prix Nobel de chimie Michael Levitt se demande « comment avons-nous pu être dupés à ce point ? »

[Source : covidinfos.net]

Le professeur Michael Levitt, lauréat du prix Nobel de chimie et biophysicien de Stanford, affirme dans cette interview qu’il n’y a pas de preuve évidente que le Covid-19 provoque des pertes massives de vies humaines. Et que les personnes qui décèdent de cette maladie sont celles qui étaient de toute façon en danger de mort même sans le virus. Selon lui nous serions victimes d’une « panique du Covid-19 ».

Extraits

« …La grippe a été presque totalement absente l’hiver dernier et, d’une certaine manière, les décès de covid-19 compensent cette absence… Comme il n’y a pas eu de saison de grippe sérieuse cette année, beaucoup de personnes fragiles sont encore en vie et elles sont évidemment la première cible du coronavirus. »

« Il va être très intéressant de revenir sur ces six mois dans un an et nous nous demanderons probablement comment avons-nous pu être dupés à ce point. Parce qu’il y a eu beaucoup de reportages très très irresponsables, même dans des journaux dits de haute qualité comme le New York Times.[…] La question clé sera […] quel est le nombre total de décès dans le monde au cours de cette période ? Est-il sensiblement plus élevé que celui des années précédentes ? Je ne le sais pas, mais je ne serais pas surpris si l’excès était très très faible. »

« Il ne m’est pas évident qu’un confinement total soit nécessaire ou même souhaitable. On cause … d’énormes dommages psychologiques aux enfants… les crises de panique sont maintenant très fréquentes, … puis il y a bien sûr le coût économique. »

« Les estimations des [premières] modélisations étaient incroyablement fausses. Regardez ce qui s’est passé en Angleterre et aux États-Unis. Le groupe de modélisation de l’Imperial College a déclaré très clairement qu’il prévoyait 2 millions de décès aux États-Unis et 500 000 au Royaume-Uni. Quelques semaines plus tard, ils sont revenus sur ces chiffres: Oh non non non, nous voulions dire 20 000. [Donc] chaque année, pendant la saison de la grippe, on va devoir mettre la société en confinement. … Pensez-vous que ce soit une bonne idée ? »


À lire également :
« L’absence de confinement donne globalement des résultats meilleurs qu’un confinement strict » selon une récente étude




Assiste-t-on à une démolition contrôlée une fois de plus ?

[Source : Réseau International]

par Gilad Atzmon.

Depuis des années, les écolo-fanatiques, qu’ils soient activistes ou scientifiques, nous disent que la « fête » va finir par s’arrêter. La planète sur laquelle nous sommes coincés ne peut plus en supporter davantage, elle est trop peuplée et il y fait une chaleur insupportable. La plupart des gens n’ont pas vraiment pris conscience de la situation, et ce pour une raison. Nous avons tendance à penser que cette planète n’est pas vraiment « la nôtre », nous y avons été jetés et pour un temps limité. Une fois que nous avons saisi le vrai sens de notre temporalité, nous commençons à reconnaître notre finalité. « Appartenir au monde » en soi est souvent la tentative de faire de notre « vie » un événement significatif.

La plupart d’entre nous qui n’avons pas été trop préoccupés par les activistes écologiques et leurs plans pour nous ralentir savaient que tant que le Big Money dirigerait le monde, rien de dramatique ne se produirait vraiment. Aux yeux du Big Money, nous avions tendance à penser que nous, le peuple, n’étions que de simples consommateurs. Nous nous considérions comme le moyen de rendre les riches plus riches.

De manière assez inattendue, la vie a subi un changement dramatique. À l’époque actuelle du Coronavirus, le Big Money a « laissé » le monde s’enfermer. Les économies ont été condamnées à une mort imminente. Notre importance en tant que consommateurs s’est en quelque sorte évaporée. L’alliance émergente que nous avons détectée entre les nouveaux leaders de l’économie mondiale (les sociétés de la connaissance) et ceux qui portent le drapeau du « progrès », de la « justice » et de « l’égalité » a évolué vers un état dystopique autoritaire dans lequel des robots et des algorithmes contrôlent notre discours et nos libertés élémentaires.

Comment se fait-il que la gauche, qui s’était consacrée à l’opposition aux riches, ait autant changé de ton ? En fait, rien ne s’est produit de manière soudaine. La gauche et l’univers progressiste ont, depuis un certain temps, été soutenus financièrement par les riches. The Guardian en est un exemple. Autrefois un journal de gauche à orientation progressiste, The Guardian est aujourd’hui ouvertement financé par Bill & Melinda Gates. Il fonctionne sans vergogne comme un porte-parole de George Soros : il a même permis à Soros de diffuser son point de vue apocalyptique pré-Brexit à l’époque où il a lui-même misé sur le vote anti-Brexit des Britanniques. Aujourd’hui, il est pratiquement impossible de considérer The Guardian comme un organe d’information – un organe de propagande pour les riches est une description plus appropriée. Mais The Guardian est loin d’être seul. Nos réseaux de militants progressistes tombent dans le même piège. Peu d’entre nous ont été surpris de voir Momentum, le groupe de soutien à la campagne de Jeremy Corbyn au sein du Parti Travailliste, se rallier au « survivant de l’Holocauste » et « philanthrope » George Soros. Lorsque Corbyn dirigeait le Parti Travailliste, j’ai appris à accepter que les « socialistes » qui se mettent en ligne de mire pour défendre les oligarques, les banquiers et les courtiers de Wall Street doivent être la nouvelle réalité de la « gauche ». Nous sommes maintenant habitués au fait qu’au nom du « progrès », Google soit passé d’un grand moteur de recherche à un outil de la Hasbara. Nous sommes habitués à ce que Facebook et Twitter dictent leur vision du monde au nom de normes communautaires. La seule question est de savoir quelle communauté ils ont à l’esprit. Certainement pas une occidentale tolérante et pluraliste.

On peut se demander ce qui motive cette nouvelle alliance qui divise presque toutes les sociétés occidentales ? La trahison de la gauche n’est guère surprenante, mais la question cruciale est de savoir pourquoi ceux qui avaient si bien réussi à mettre leurs mains sales dans nos poches ont accompagné la destruction actuelle de l’économie ? Ils ne sont certainement pas suicidaires.

Il me semble que ce à quoi nous assistons peut-être, c’est à une nouvelle démolition contrôlée. Cette fois-ci, ce n’est pas un bâtiment de New York. Ce n’est pas la destruction d’une seule industrie ou même d’une seule classe comme nous l’avons vu auparavant. Cette fois, notre compréhension de l’Être en tant qu’aventure productive et significative est mise à mal. Dans l’état actuel des choses, tout notre sens de la subsistance est en danger.

Il n’est pas nécessaire d’être un expert financier pour réaliser qu’au cours des dernières années, l’économie mondiale en général et les économies occidentales en particulier sont devenues une grosse bulle prête à éclater. Lorsque les bulles économiques éclatent, le résultat est inattendu, même si souvent le coupable ou le déclencheur du krach peut être identifié. Ce qui est unique dans la démolition contrôlée actuelle, c’est la volonté de notre classe politique compromise, des médias et en particulier des réseaux de gauche/progressistes de participer à la destruction.

L’alliance est large et inclusive. L’OMS, largement financée par Bill Gates, fixe les mesures par lesquelles nous sommes enfermés, la gauche et les progressistes alimentent les fantasmes apocalyptiques pour nous maintenir cachés dans nos greniers à travers le monde, Dershowitz tente de réécrire la constitution, le programme des grandes sociétés pharmaceutiques façonne notre avenir et nous entendons également dire que Moderna et son principal médecin israélien sont prêts à « réparer » nos gènes. Entre-temps, nous apprenons que nos gouvernements s’apprêtent à nous planter une aiguille dans le bras. Pendant tout ce temps, le Dow Jones n’a cessé de grimper. Peut-être que dans cette phase finale du capitalisme, nous, les gens, ne sommes pas nécessaires, même en tant que consommateurs. On peut nous laisser pourrir chez nous, nos gouvernements semblant vouloir financer cette nouvelle forme de détention.

Je crois que c’est moi qui ai inventé, il y a dix ans, l’adage populaire « Nous sommes tous des Palestiniens » – comme les Palestiniens, je pensais à l’époque, nous n’avons même pas le droit de nommer notre oppresseur…

source : https://gilad.online/writings

traduit par Réseau International




COVID-19 – Idolâtrie pour le dangereux, mépris pour le naturel

[Source : Mondialisation.ca]

Par Dr Pascal Sacré

Où est la logique ?

Efficacité versus dangers des vaccins

Les vaccins sont omniprésents sur les scènes pandémiques.

Des gens l’attendent comme le messie, un Saint-Graal chimique :

Un vaccin Covid-19 sera un bien public mondial, dit le patron des Instituts américains de santé

Pourtant, un point récurrent est la minimisation systématique de ses dangers.

Des maladies neurologiques graves ont été reliées à la vaccination H1N1 de 2009 alors qu’elle était inutile : narcolepsie-cataplexie (La narcolepsie se caractérise par une somnolence diurne excessive chronique, fréquemment associée à une perte soudaine du tonus musculaire – cataplexie)

Malgré sa promesse de prendre en charge ces effets secondaires, l’État français rechigne toujours aujourd’hui à indemniser les victimes [1].

Les effets secondaires vaccinaux sont systématiquement minimisés voire rejetés en bloc par un pan du monde scientifique, qu’ils soient causés par le vaccin lui-même et/ou par ses adjuvants (squalène, thiomersal [2], aluminium [3-4] entre autres).

Des pathologies aussi graves que la sclérose en plaques – SEP [5-6-7-8] et l’autisme [9-10] sont aujourd’hui reliés aux différents vaccins.

Les vaccins sont des produits chimiques, pharmaceutiques qui devraient exiger la même vigilance et les mêmes précautions que n’importe quel médicament avant et après sa mise sur le marché.

Qui cherche trouve, et en matière de vaccins, nous sommes loin de l’innocuité angélique répandue religieusement par nombre de journalistes fussent-ils « scientifiques » ou, ce qui est plus compréhensible, par les firmes pharmaceutiques elles-mêmes, pour lesquelles d’année en année il n’y a aucun problème, seulement des profits.

Des vaccins très rentables

Dans cet article, Les vaccins c’est la santé… pour les laboratoires aussi !, nous apprenons :

« en 2016, la branche GSK Vaccines a réalisé 5,09 milliards d’euros de CA (chiffre d’affaires), soit 16,5 % du chiffre d’affaires global du groupe qui a atteint 30,9 milliards d’euros. 

Du côté de Sanofi, les vaccins comptent pour près de 13,5 % du chiffre d’affaires : 4,58 milliards d’euros sur 33,8 milliards de CA global. Tandis que chez Pfizer, ce chiffre est de 11,5 % soit 6,07 milliards de dollars (5,12 milliards d’euros) pour un CA global de 52,8 milliards de dollars (44,6 millions d’euros). 

Des perspectives de croissance qui font rêver ! »

Dire que certains osent affirmer que les firmes pharmaceutiques ne gagnent pas tant d’argent que ça avec les vaccins !

« L’intérêt de l’industrie pharmaceutique pour les vaccins est renforcé par la forte croissance du secteur: « 14 % par an depuis 2002 », selon un rapport de la Cour des comptes de 2012 qui ne précise pas s’il s’agit du marché mondial, européen ou français. Ce qui est sûr, en revanche, c’est que, de 2011 à 2016, les ventes mondiales de vaccins sont passées de 26 milliards de dollars à 42,3 milliards. Et elles vont « doubler d’ici à 2025 », estime encore Frédéric Bizard, pour atteindre près de 80 milliards de dollars. »

Certainement, avec cette aubaine du coronavirus !

« Dans tous les cas, les bilans annuels des fabricants de vaccins montrent une rentabilité très forte. Chez Sanofi, la marge brute de la filière vaccins atteint 62 % du CA en 2016, son meilleur niveau depuis six ans.

Même constat chez GSK dont la marge opérationnelle moyenne est de 28,9 % tandis que celle de GSK Vaccines atteint 31,7 %. De quoi intéresser des actionnaires et l’existence d’une législation favorable à la vaccination ne peut que les rassurer. »

Oui, pour les firmes pharmaceutiques, il n’y a vraiment aucun problème, d’autant que les gouvernements leur assurent l’impunité en cas de décès ou d’effets secondaires graves :

L’opération « Warp Speed ». La poussée à grande vitesse pour les vaccins contre le coronavirus :

« Pour s’assurer que les grandes sociétés pharmaceutiques donnent le meilleur d’elles-mêmes au projet médical Manhattan, elles ont été entièrement indemnisées par le gouvernement étasunien en cas de décès ou de maladie grave des personnes ayant reçu le vaccin. La FDA et le NIH ont renoncé aux pré-tests standard sur les animaux dans cette situation. »

Vous le voyez, il n’y aura jamais aucun problème pour les dirigeants des firmes pharmaceutiques ni pour ceux qu’ils payent grassement pour se taire.

Or si ! Pour les citoyens, nous, il y a des problèmes.

Il y a un plus qu’un doute raisonnable qui doit nous pousser à la prudence avec ces produits, si on a bien à cœur la bonne santé humaine (et animale).

Sur le site d’Association Liberté Information Santé [11], des informations rétablissent l’équilibre des connaissances sur la vaccination.

Ainsi, j’ai pu apprendre de quoi les vaccins sont composés, matière étrangement absente de nos cours de médecine [12-13], je vous encourage à consulter ces documents, c’est édifiant :

  • Béta-propiolactone (cancérigène)
  • Levures génétiquement modifiées
  • Latex
  • Glutamate de sodium (neurotoxique-tératogène-mutagène)
  • Aluminium
  • Formaldéhyde (formol)
  • Micro-organismes
  • Polysorbate 80 (cancérigène chez les animaux)
  • Glutaraldéhyde (poison tératogène chez l’animal)
  • Mercure (théoriquement interdit dans les vaccins depuis 1999)
  • Phénol/phénoxyéthanol (antigel)
  • Borate de sodium ou borax (insecticide, raticide contenu dans le Gardasil) …

J’ai aussi pu prendre connaissance des effets secondaires bien réels de la vaccination [14], même s’il y aura toujours des « scientifiques » ou des journalistes pour le contester.

Dans le contexte hystérique de la crise « CORONA » actuelle, ne nous laissons surtout pas emporter par un élan périlleux aiguillonné par la peur et l’enthousiasme de personnes dont la totale indépendance vis-à-vis des fabricants de vaccins est entourée d’opacité.

Malgré ce que disent déjà ces-derniers, il ne faut négliger aucune étape de sécurité.

D’un côté, les autorités nous serinent « chaque vie compte », argument ayant justifié le confinement total de la société, de l’autre côté, on se dit prêt à sacrifier des vies sur l’autel de la vaccination !

« Face à l’urgence, les scientifiques appellent à accélérer les procédures de tests et à se passer des habituels essais sur les animaux. Une stratégie louable mais qui pourrait s’avérer, au mieux, contre-productive, au pire, causer des morts. »

« En temps normal, le développement d’un vaccin peut prendre de 15 à 20 ans…

À quel moment le fait de court-circuiter les étapes dans le développement d’un vaccin contre le nouveau coronavirus devient-il dangereux ? Déjà, certains chercheurs sont en train de passer outre à l’étape des tests sur des animaux. » [15-16].

Une promptitude excessive dans le développement d’un vaccin contre le coronavirus pourrait avoir de graves effets secondaires, selon le docteur Mikhaïl Kostinov, chef du laboratoire de vaccination et d’immunothérapie à l’institut de recherche en vaccins et sérums Metchnikov [17].

Et les thérapies naturelles ?

« Circulez, il n’y a rien à voir », disent en substance l’OMS, la FDA, le NIH, le NIAID…

Et bien, pas du tout, disent de nombreux médecins.

Les points communs de ces thérapies ne sont pas le manque d’efficacité ou de connaissances, mais leur innocuité relative et surtout, leur caractère non brevetable.

Il est difficile d’imaginer les laboratoires pharmaceutiques réaliser les profits mirobolants avec ces thérapies naturelles comme ils le font avec les vaccins ou les médicaments tous les ans [18].

Ainsi l’Artemisia Annua, proposée en tisane, est un remède validé contre le coronavirus par l’Institut Malgache de Recherches Appliquées (IMRA), puis proposé par le président de Madagascar, Andry Rajoelina, à sa population sous le nom de Covid-Organics [19] (le Covid-Organics est une décoction à base de trois plantes dont l’Artemisia, qui est très efficace dans le traitement de plusieurs maladies notamment le paludisme). 

Jusqu’à présent, Madagascar (population de 27 595 696 habitants avec 283 cas de COVID-19 au 17 mai 2020) ne déplore que deux décès (Worldometers – coronavirus – mortalité par pays – Madagascar).

Cette plante s’appelle aussi l’armoise naturelle ou absinthe chinoise [20], utilisée contre le paludisme en Afrique. 

La substance active de la plante ou artémisinine est active contre le paludisme et supposée active contre la SRAS-CoV-2. 

Malgré l’absence d’effets secondaires répertoriés et son large usage en Afrique et en Chine, notamment contre le COVID-19, cette plante est interdite en France et en Belgique. Pourquoi ?

L’Artemisia Annua est utilisée depuis longtemps en Chine dans les maladies respiratoires [21].

L’intérêt de cette thérapie naturelle est tel que des chercheurs danois et allemands de l’institut Max Planck font une étude dessus [22].

Mais que fait l’OMS à propos de l’Artemisia Annua? Moquerie et intimidation.

Au lieu d’encourager la recherche, voire mettre le paquet dans ces voies peu dangereuses, peu coûteuses et potentiellement efficaces, l’OMS s’oppose à Madagascar et fait pression sur le président malgache, comme sur tous les pays d’Afrique tentés de résister au diktat vaccinal mondial [23]. 

Mépris malgré les bons résultats sur cette île.

Toujours le prétexte d’une exigence de qualité scientifique pour ces plantes et ces produits naturels.

Par contre, les vaccins, eux, depuis toujours, sont exemptés de telles exigences car tout le monde doit accepter comme postulat que la vaccination ne se discute pas (allusion au ministre de la Santé en France, Marisol Touraine, qui avait énoncé cette sentence le 29 mai 2015, en réponse à la pétition mise en ligne par le professeur Henri Joyeux- [24]).

En Belgique :

Ce n’est pas mieux que dans le reste du monde.

Il existe depuis longtemps une connexion puissante entre les pouvoirs politiques et l’industrie pharmaceutique [25].

Sur le site fédéral du premier ministre de Belgique par intérim actuel, Sophie Wilmès, sont affichés ces liens forts entre le gouvernement belge et les fabricants de vaccins [26] et de médicaments coûteux, dangereux et peu efficaces. 

Des médicaments comme le Roactemra (Tocilizumab) de la firme Roche, à plus de 800 euros l’injection [27] qui peut vous causer des infections des voies respiratoires, des céphalées, de l’hypertension ou réactiver des infections latentes (pneumonie, zona, arthrite bactérienne…).

Rien de tout ça avec l’Artemisia Annua, qui elle, est pourtant interdite.

Cela laisse présager, en droite ligne des recommandations de l’OMS elle aussi noyautée par les lobbys pharmaceutiques [28], une vision unique de la santé basée sur le tout chimique et sur les vaccins dont cet article a démontré les dangers, d’autant que délaisser d’autres voies thérapeutiques plus sûres, peu coûteuses et potentiellement efficaces au prétexte qu’elles ne peuvent être brevetées et rapporter beaucoup d’argent est insupportable pour un nombre de plus en plus grand de citoyens.

Les gouvernements qui prônent ces politiques (vaccins, traitements médicamenteux, tests) favorables aux laboratoires pharmaceutiques [29] se caractérisent par le mépris de ceux qui les interpellent.  

Ainsi, nos ministres n’ont pas daigné réagir à une lettre de questions du 13 avril 2020* adressée par le collectif « Initiative Citoyenne » fondé en 2009 par Sophie Meulemans, Marie-Rose Cavalier et Muriel Desclée à l’occasion de la fausse pandémie H1N1 [30], démarche soutenue par trois médecins belges :

* Questions au gouvernement belge sur le coronavirus, le confinement et les futurs vaccins

Lettre également envoyée aux principaux journaux francophones du pays, sans réponse également ou à peine.

Une deuxième série de questions* ciblées sur la fausse solution vaccinale a été adressée le 20 avril 2020 à la presse belge qui n’a pas daigné réagir. Bien sûr, nous sommes hors-sujet : soutenir la vaccination pour tous, un point c’est tout.

* Vaccins anti-coronavirus : une fausse solution miracle 

Malgré un afflux de témoignages et de soutiens, dont ceux de nombreux médecins, aucune de ces démarches démocratiques et naturelles dans une crise comme celle-ci n’a suscité les réactions attendues de nos autorités ni de nos médias, au minimum une réponse, un écho à nos questions.

Ainsi va ce monde, pour le moment.

Idolâtrie pour l’argent et le dangereux, mépris pour le naturel et pour la vie.

Dr Pascal Sacré


Illustration : pixabay.com

Notes :

[1] H1N1 : l’État rechigne à indemniser les victimes du vaccin

[2] Thiomersal, science officielle et science officieuse

[3] Comprendre pourquoi le « science-washing » est criminel

[4] Aluminium vaccinal l’article sans concession

[5] Les vaccins qui n’induisent jamais de SEP, l’étude allemande qui nous a fait mourir de rire, critique d’une étude mettant en doute le lien vaccin-SEP

[6] Certaines études françaises ont clairement démontré un lien indiscutable entre vaccination anti-hépatite B et SEP entre autres

[7] SEP et vaccination anti-HBV

[8] Une étude récente réaffirme les risques de sclérose en plaques liés au vaccin hépatite B

[9] Vaccins et autisme : les faits s’imposent…

[10] Autisme régressif et vaccination ROR, la vilaine propagande danoise, critiques méthodologiques

[11] ALIS Nous sommes une association Loi 1901 qui ne professe aucun dogme aucune doctrine.

[12] Composants des vaccins

[13] QUE TROUVE-T-ON DANS LES VACCINS

[14] Quelques vérités sur les effets secondaires des vaccins

[15] Coronavirus : les dangers d’un vaccin élaboré à la hâte

[16] Coronavirus : court-circuiter les étapes vers un vaccin ?

[17] Voici pourquoi un chercheur appelle à prendre son temps pour concevoir le vaccin anticoronavirus

[18] 1000 milliards d’euros de profits en vingt ans

[19] Artémisia et vieilles recettes: Madagascar a ouvert la chasse contre le Covid-19

[20] L’Artemisia annua 

[21] NOTE SUR ARTEMISIA ANNUA OU « ARMOISE CHINOISE », Christian Busser, 3 avril 2020

[22] L’Artemisia annua testée contre le Covid-19, publiée le 20 avril 2020. L’Institut Max Planck de recherche sur les colloïdes de Potsdam, en Allemagne, a annoncé le 8 avril 2020 le lancement d’une étude cellulaireafin de testerles effets de l’Artemisia annua sur le Coronavirus. Certains de ses dérivés comme l’artémisinine vont également être étudiés. Cela est rendu possible par un accord avec la société américaine ArtemiLife qui fournira les plantes. En effet, ArtemiLife cultive l’Artemisia dans le Kentucky et développe la commercialisation de tisanes et cafés à base d’armoise annuelle.

[23] L’OMS rappelle à l’ordre les dirigeants africains

[24] La vaccination, ça se discute

[25] Maggie De Block augmente encore et toujours le pouvoir des lobbies pharmaceutiques. Et notre santé ?, de Muriel Gerkens, députée fédérale Ecolo et présidente de la commission santé à la chambre, article paru dans le Vif le 21embre 2017.

[26] Le gouvernement fédéral et l’industrie biopharmaceutique belge

[27] Roactemra 162 mg, solution injectable, Tocilizumab, autorisation de mise sur le marché le 23/04/2014 par ROCHE au prix de 822,13€.

[28] Politique et corruption à l’OMS, sur le site Mondialisation, par Pascal Sacré, 12 janvier 2010.

[29] Coronavirus: les laboratoires de biologie clinique agréés, « écartés » au profit de firmes industrielles, n’ont plus confiance dans le gouvernement

[30] Association » Initiative Citoyenne » fondée en 2009

La source originale de cet article est Mondialisation.ca
Copyright © Dr Pascal Sacré, Mondialisation.ca, 2020


[Voir aussi : dossier Vaccins]




Des certitudes sur le covid-19 sont démenties par Pujadas sur LCI

Certitudes démenties

1°) Taux de mortalité du coronavirus : « On » pensait que ce virus était très meurtrier. Il y a un mois l’OMS estimai à 3,5% le taux de létalité du virus. Soit plus de 10 fois le taux de létalité de la grippe : 0,3%. Aujourd’hui l’Institut Pasteur indique que le coronavirus tue seulement dans 0,53% des cas.

2°) Les enfants contaminateurs : « on » pensait que les enfants étaient très contaminateurs. C’est totalement faux. Un enfant a fréquenté 172 personnes avant d’être testé positif et n’en a contaminé aucune.

3°) Le virus est là pour longtemps : « on » pensait que le virus était là pour longtemps. C’est faux. Le virus est sensible à la chaleur, à l’humidité et au soleil.

[Source : http://mai68.org/spip2/spip.php?article6178 via https://reseauinternational.net/coronavirus-pujadas-dement-les-mensonges-officiels/]




L’histoire secrète de Fort Detrick, la base de la CIA pour les expériences de contrôle de l’esprit

[Source : Réseau International via sott.net]

20 septembre 2019 – Aujourd’hui, c’est un laboratoire de pointe. Dans les années 1950 et 1960, il a été le centre des expériences les plus sombres du gouvernement américain.

En 1954, un médecin de prison au Kentucky a isolé sept détenus noirs et leur a administré des doses « doubles, triples et quadruples » de LSD pendant 77 jours d’affilée. Personne ne sait ce qu’il est advenu des victimes. Elles sont peut-être mortes sans savoir qu’elles faisaient partie du programme très secret de la CIA visant à développer des moyens de contrôler les esprits – un programme élaboré à partir d’une base militaire peu connue au passé sombre, Fort Detrick.

L’expansion des banlieues a englouti Fort Detrick, une base militaire située à 80 km de Washington, dans la ville de Frederick, dans le Maryland. Il y a 73 ans, cependant, lorsque l’armée a choisi Detrick pour développer ses plans super-secrets de guerre bactériologique, la zone autour de la base était bien différente. En fait, elle a été choisie pour son isolement. La raison en est que Detrick, toujours florissante aujourd’hui en tant que base principale de l’armée pour la recherche biologique et comprenant maintenant près de 600 bâtiments sur 13 000 acres, a été pendant des années le centre nerveux de l’empire caché de la CIA pour les armes chimiques et le contrôle des esprits.

Detrick est aujourd’hui un des laboratoires de pointe pour la recherche sur les toxines et les antitoxines, le lieu où sont développées des défenses contre tous les fléaux, du champignon tueur de cultures à l’Ebola. Son rôle de leader dans ce domaine est largement reconnu. Pendant des décennies, cependant, une grande partie de ce qui se passait à la base était un secret bien gardé. Les directeurs du programme de contrôle mental MK-ULTRA de la CIA, qui utilisait Detrick comme base clé, ont détruit la plupart de leurs archives en 1973. Certains de ses secrets ont été révélés dans des documents déclassifiés, lors d’entretiens et à la suite d’enquêtes du Congrès. Ensemble, ces sources révèlent le rôle central de Detrick dans le projet MK-ULTRA et dans la fabrication de poisons destinés à tuer des dirigeants étrangers.

En 1942, alarmée par des rapports indiquant que les forces japonaises menaient une guerre bactériologique en Chine, l’Armée Américaine a décidé de lancer un programme secret pour développer des armes biologiques. Elle a engagé un biochimiste de l’Université du Wisconsin, Ira Baldwin, pour diriger le programme et lui a demandé de trouver un site pour un nouveau complexe de recherche biologique. Baldwin a choisi une base de la Garde Nationale, pour la plupart abandonnée, sous la montagne Catoctin, appelée Detrick Field. Le 9 mars 1943, l’armée a annoncé qu’elle l’avait rebaptisée Camp Detrick, l’a désigné comme quartier général des Laboratoires de Guerre Biologique de l’Armée et a acheté plusieurs fermes adjacentes afin de fournir plus d’espace et d’intimité.

Après la Seconde Guerre Mondiale, Detrick a perdu de son importance. La raison en était simple : Les États-Unis possédaient des armes nucléaires, il ne semblait donc plus urgent de développer des armes biologiques. Cependant, au début de la Guerre Froide, deux événements apparemment sans rapport entre eux, survenus dans des parties opposées du monde, ont stupéfié la jeune Central Intelligence Agency et ont donné à Detrick une nouvelle mission.

Le premier était le procès pour trahison du primat catholique romain de Hongrie, le Cardinal Joseph Mindszenty, en 1949. Lors de ce procès, le cardinal est apparu désorienté, a parlé d’un ton monotone et a avoué des crimes qu’il n’avait manifestement pas commis. Puis, après la fin de la Guerre de Corée, il a été révélé que de nombreux prisonniers américains avaient signé des déclarations critiquant les États-Unis et, dans certains cas, confessant des crimes de guerre. La CIA a fourni la même explication pour les deux cas : le lavage de cerveau. Les communistes, a conclu la CIA, ont dû développer une drogue ou une technique qui leur a permis de contrôler les esprits humains. Aucune preuve de cela n’est jamais apparue, mais la CIA s’est laissée prendre au jeu de la fantaisie.

Au printemps 1949, l’armée a créé une petite équipe super-secrète de chimistes au Camp Detrick, appelée la Division des Opérations Spéciales. Sa mission était de trouver des utilisations militaires aux bactéries toxiques. L’utilisation coercitive des toxines était un nouveau domaine, et les chimistes de la Division des Opérations Spéciales devaient décider comment commencer leurs recherches.

Au même moment, la CIA venait de créer son propre corps de magiciens de la chimie. Les agents de la CIA en Europe et en Asie capturaient régulièrement des agents ennemis présumés et voulaient développer de nouveaux moyens pour soustraire les prisonniers à leur identité lors des interrogatoires, les inciter à révéler des secrets et même éventuellement les programmer pour qu’ils commettent des actes contre leur volonté. Allen Dulles, à la tête de la direction des opérations secrètes de la CIA et bientôt promu à la tête de l’agence, considérait son projet de contrôle des esprits – d’abord appelé Bluebird, puis Artichoke, puis MK-ULTRAcomme étant d’une importance suprême, la différence entre la survie et l’extinction des États-Unis.

En 1951, Dulles a engagé un chimiste pour concevoir et superviser une recherche systématique de la clé du contrôle de l’esprit. L’homme qu’il a choisi, Sidney Gottlieb, ne faisait pas partie de l’aristocratie née avec une cuillère d’argent dans la bouche dans laquelle la plupart des officiers de la jeune CIA ont été recrutés, c’était un Juif de 33 ans qui boitait et bégayait, issu d’une famille d’immigrants. Il méditait également, vivait dans une cabane isolée sans eau courante et se levait avant l’aube pour traire ses chèvres.

Gottlieb voulait utiliser les ressources de Detrick pour propulser son projet de contrôle de l’esprit vers de nouveaux sommets. Il a demandé à Dulles de négocier un accord qui officialiserait le lien entre l’armée et la CIA dans cette démarche. Selon un rapport ultérieur, les dispositions de l’accord prévoient que « la CIA a acquis les connaissances, les compétences et les installations de l’armée pour développer des armes biologiques adaptées à l’usage de la CIA ».

Profitant de cet arrangement, Gottlieb a créé une enclave cachée de la CIA à l’intérieur de Camp Detrick. Sa poignée de chimistes de la CIA a travaillé si étroitement avec leurs camarades de la Division des Opérations Spéciales qu’ils sont devenus une seule et même unité.

Certains scientifiques en dehors de ce groupe soudé soupçonnaient ce qui se passait. « Savez-vous ce qu’est une ‘opération indépendante standard’ ? » demanda l’un d’entre eux des années plus tard. « La CIA en menait une dans mon laboratoire. Ils testaient des produits psychochimiques et faisaient des expériences dans mes laboratoires mais ne m’en parlaient pas ».

Gottlieb a cherché sans relâche un moyen de détruire les esprits humains afin d’en implanter de nouveaux à leur place. Il a testé une étonnante variété de combinaisons de médicaments, souvent en conjonction avec d’autres tortures comme les électrochocs ou la privation sensorielle. Aux États-Unis, ses victimes étaient des sujets involontaires dans des prisons et des hôpitaux, notamment une prison fédérale à Atlanta et un centre de recherche sur la toxicomanie à Lexington, dans le Kentucky.

En Europe et en Asie de l’Est, des victimes de Gottlieb étaient emprisonnées dans des centres de détention secrets. L’un de ces centres, construit dans le sous-sol d’une ancienne villa de la ville allemande de Kronberg, pourrait avoir été la première prison secrète de la CIA. Pendant que les scientifiques de la CIA et leurs anciens camarades nazis étaient assis devant une cheminée en pierre pour discuter des techniques de contrôle de l’esprit, les prisonniers des cellules du sous-sol étaient préparés comme sujets d’expériences brutales et parfois fatales.

Il s’agissait des expériences les plus macabres que le gouvernement américain ait jamais menées sur des êtres humains. Dans l’une d’entre elles, sept prisonniers de Lexington, dans le Kentucky, ont reçu de multiples doses de LSD pendant 77 jours d’affilée. Dans une autre, des Nord-Coréens capturés ont reçu des médicaments dépresseurs, puis des doses de puissants stimulants et ont été exposés à une chaleur intense et à des électrochocs alors qu’ils étaient dans un état affaibli. Ces expériences ont détruit de nombreux esprits et causé un nombre inconnu de morts. Nombre des potions, pilules et aérosols administrés aux victimes ont été créés à Detrick.

L’une des victimes les plus connues des expériences MK-ULTRA était Frank Olson. Olson était un officier de la CIA qui avait passé toute sa carrière à Detrick et connaissait ses plus profonds secrets. Lorsqu’il a commencé à réfléchir à la possibilité de quitter la CIA, ses camarades ont vu une menace pour la sécurité. Gottlieb a convoqué l’équipe à une retraite et s’est arrangé pour qu’Olson soit drogué au LSD. Une semaine plus tard, Olson est mort dans un plongeon d’une fenêtre d’hôtel à New York. La CIA a appelé cela un suicide. La famille d’Olson pense qu’on l’a jeté de la fenêtre pour l’empêcher de révéler ce qui se préparait à l’intérieur de Camp Detrick.

Une décennie d’expériences intenses a appris à Gottlieb qu’il existe effectivement des moyens de détruire un esprit humain.Il n’a cependant jamais trouvé le moyen d’implanter un nouvel esprit dans le vide qui en résulte. Le Graal qu’il cherchait lui a échappé. MK-ULTRA s’est soldé par un échec au début des années 1960. « La conclusion de toutes ces activités », admit-il après coup, « était qu’il était très difficile de manipuler le comportement humain de cette façon ».

Commentaire :"Il n'a cependant jamais trouvé le moyen d'implanter un nouvel esprit dans le vide qui en résulte." Est-ce vraiment la réalité ?
« L'empoisonneur en chef » par Stephen Kinzer.

Néanmoins, Fort Detrick, tel qu’il a été rebaptisé en 1956, est resté une base pour les armes chimiques de Gottlieb. Après la fin de MK-ULTRA, il l’a utilisée pour développer et stocker l’arsenal de poisons de la CIA. Dans ses congélateurs, il conservait des agents biologiques susceptibles de provoquer des maladies comme la variole, la tuberculose et l’anthrax, ainsi qu’un certain nombre de toxines organiques, notamment du venin de serpent et du poison paralysant pour crustacés. Il a développé des poisons destinés à tuer le leader cubain Fidel Castro et le leader congolais Patrice Lumumba.

Durant cette période, le profil public de Fort Detrick s’est dévellopé sous une mauvaise réputation. Personne ne savait que la CIA y fabriquait des poisons, mais son rôle en tant que principal centre de recherche du pays dans le domaine de la guerre biologique et de l’empoissonement des cultures devenait évident. De la mi-1959 à la mi-1960, les manifestants se réunissaient une fois par semaine aux portes. « Aucune rationalisation de la « défense » ne peut justifier le mal de la destruction massive et des maladies », avaient-ils écrit dans une déclaration.

En 1970, le Président Richard Nixon a ordonné à toutes les agences gouvernementales de détruire leurs réserves de toxines biologiques. Les scientifiques de l’armée s’y sont conformés. Gottlieb hésitait. Il avait passé des années à rassembler cette pharmacopée mortelle et ne voulait pas la détruire. Après avoir rencontré le directeur de la CIA Richard Helms, il a reconnu à contrecœur qu’il n’avait pas le choix.

Un poison extrêmement puissant pour les mollusques, connu sous le nom de saxitoxine, a cependant échappé à la destruction. Deux bidons contenant près de 11 grammes de saxitoxine – assez pour tuer 55 000 personnes – se trouvaient dans le dépôt de Gottlieb à Fort Detrick. Avant que les techniciens de l’armée ne puissent les retirer, deux officiers de la Division des Opérations Spéciales les ont mis dans le coffre d’une voiture et les ont conduits au Bureau de Médecine et de Chirurgie de la Marine à Washington, où la CIA entretenait un petit entrepôt de produits chimiques. Un des assistants de Gottlieb a témoigné plus tard qu’il avait ordonné cette opération sans en informer son patron. Au moment où la saxitoxine a été découverte et détruite en 1975, Gottlieb avait pris sa retraite.

Gottlieb était l’Américain inconnu le plus puissant du 20e siècle – à moins que quelqu’un d’autre n’ait mené des expériences brutales sur trois continents et n’ait obtenu un permis de tuer délivré par le gouvernement américain. Detrick, sa base indispensable, contient encore des histoires inédites sur la cruauté qui a commencé là – à seulement 80 km du centre du gouvernement qui les a maintenues scellées pendant des décennies.

Source : Politico
Traduction : Réseau International
Revue : Sott.net

Commentaire : Voir (en anglais) : Le programme d'armement biologique du Pentagone n'a jamais pris fin : Les laboratoires biologiques américains dans le monde



Dr Hélène Potrich – Je refuse d’être dépistée, je refuse d’être vaccinée

[Source : Fractale huit via sott.net]

« Bonjour à tous et à toutes. Je m’appelle Hélène Potrich je suis médecins généralistes à Séverac-le-Château, c’est en Aveyron. Et j’ai décidé aujourd’hui de faire cette vidéo pour vous faire part de toute ma colère. Aussi bien en tant que médecin, qu’en tant que citoyenne.

Tout d’abord ma colère de médecin à qui le gouvernement demande de trahir le secret professionnel en signalant non seulement mes patients qui seraient dépistés positifs au Covid-19, comme cela se fait déjà pour les maladies à déclaration obligatoire. Mais également toutes les personnes qui ont été en contact avec eux durant les deux semaines qui précèdent le dépistage positif, en donnant leurs coordonnées : nom, adresse, et même numéro d’immatriculation à Sécurité sociale. Tout cela pour leur envoyer une brigade sanitaire appelée pompeusement « Anges Gardiens ». Quelle hypocrisie… Moi j’appelle cela de la délation.

Et comme le gouvernement sait très bien qu’il ne peut pas nous obliger à le faire, eh bien il nous paye pour chaque signalement. J’appelle cela de la « tentative de corruption ». Moi je refuse, je refuse de faire tout signalement. Votre médecin traitant comme moi, on est tout à fait capable de vous soigner, de vous donner les conseils nécessaires. De s’occuper également de votre entourage et des personnes contactes qui le désireraient. Nous n’avons besoin ni de la sécurité sociale, ni du gouvernement pour vous soigner en garantissant le secret professionnel. Votre état de santé ne regarde personne.

D’autre part on nous a interdit de prescrire l’hydroxychloroquine sous peine de radiation par le conseil de l’ordre … »

https://youtu.be/-jwqblMqpXc



Le refus du Coronagates

[Source : Jean-Jacques Crèvecoeur]

Lancez le mouvement #Coronagates et #VousNePasserezPas !

Vous aussi, affirmez votre souveraineté de manière consciente, responsable et non-violente. Dites aux dirigeants de ce monde ce que vous ne voulez pas, ce que vous refusez, ce que vous ne voulez plus dans ce scandale du coronagates. Découvrez la deuxième compilation d’une centaine de citoyens qui ont choisi de poser clairement et fermement leurs limites face à ce piétinement de leurs droits et de leurs libertés dans les domaines sanitaire, économique et social.

À votre tour, enregistrez votre vidéo et postez-la sur vos réseaux sociaux, avec les hashtags #Coronagates et #VousNePasserezPas ! Devenons les témoins de ce que l’Humanité a de plus beau, de plus grand et de plus noble. Au mépris et à l’avidité de puissants et des médias mainstream, opposons la puissance de nos élans vitaux !

Pour télécharger cette vidéo, rendez-vous sur :
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QUI SUIS-JE ?

Ce partage de connaissances au travers de ma chaîne Youtube est le fruit de plus de 35 années de cheminement.

Comme vous avez pu le constater au travers de mes vidéos, le respect de l’humain et de sa liberté de choix sont au cœur de ma philosophie et de ma démarche.

Les pistes que je vous propose se situent le plus souvent hors des sentiers battus et ne cadrent pas avec ce que vous entendez habituellement. Pour autant, c’est ce que j’ai trouvé de plus efficace pour ma propre vie et celle de ceux que j’accompagne depuis près de 30 ans.

A travers ce partage, je veux :

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La plateforme ÉMERGENCES

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La création de cette plateforme répond à deux constats :

— d’une part, nous sommes des millions à ne plus nous reconnaître dans les valeurs et les messages véhiculés par les politiques, les entreprises multinationales et les médias qui veulent nous pousser à plus de consommation et plus d’individualisme ;

— d’autre part, pour créer les conditions d’un autre monde, basé sur des valeurs de respect, d’autonomie, de coopération et de solidarité, il est devenu indispensable d’acquérir de solides compétences pour apprendre à prendre soin de soi-même, de son entourage, de la communauté locale et de la nature.

C’est la raison pour laquelle la plateforme d’ÉMERGENCES-Formations a pour ambition de favoriser des connexions de plus en plus riches entre ceux qui aspirent à une meilleure vie et à un meilleur monde.

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https://youtu.be/cN5BjVq0-uQ



Lésions de l’ADN, cancers du cerveau : 434 médecins et 900 professionnels de la santé belges sonnent l’alerte sur la 5G

[Source : La Libre.be]

Une opinion signée par 434 médecins belges et 900 professionnels de la santé (voir la liste des signataires au bas de l’article).

Face au déploiement massif et inconsidéré des technologies sans fil, nous, professionnels de la santé, demandons au gouvernement de faire appliquer le principe de précaution afin de protéger la population et plus particulièrement les groupes les plus vulnérables dont font partie, notamment, les femmes enceintes et les enfants.

En pleine pandémie, alors que les citoyens sont confinés et que la société est mise à rude épreuve, Proximus a entamé ce 31 mars le déploiement de la future 5G dans 30 communes autour de Bruxelles.

Même s’il pourrait s’agir d’une simple coïncidence, ceci nous semble indécent à un moment où les Belges doivent lutter ensemble pour essayer de vaincre le drame humain qui nous préoccupe tous. Parallèlement, des organismes de défense des consommateurs se sont empressés de publier des articles pour affirmer la non-dangerosité de cette technologie.

L’exposition de la population aux rayonnements électromagnétiques de radiofréquences/micro-ondes (RF/MO) n’a cessé d’augmenter ces dernières décennies. Téléphones sans fil de maison (DECT), smartphones, tablettes en 3G puis 4G, Wi-Fi à la maison, au travail, dans les crèches, les écoles, les transports et les lieux publics…

Et maintenant, on assiste à l’arrivée de la 5G ou à tout le moins de la 4G+.

Pourtant, l’innocuité de cette exposition n’a jamais été démontrée. Au contraire, les preuves de sa nocivité s’accumulent. Depuis 2011 d’ailleurs, les rayonnements électromagnétiques de RF/MO des technologies sans fil sont considérés par l’OMS comme possiblement cancérigènes (classe 2B), en grande partie à cause des risques accrus de gliomes et de neurinomes acoustiques chez les utilisateurs de longue date de téléphones cellulaires.

Le Principe de Précaution n’a nullement été respecté lors du déploiement massif de ces technologies sans fil.

Or, lorsque des risques graves et possiblement irréversibles ont été identifiés, l’absence de certitude ne doit pas servir de prétexte à remettre à plus tard des mesures pour protéger l’environnement et la santé.

Nous avons revu la littérature scientifique indépendante et nous nous référons entre autres, à la Résolution 1815 de l’Assemblée Parlementaire du Conseil de l’Europe. Nos conclusions rejoignent celles de spécialistes indépendants, et sont que le principe de précaution n’est actuellement pas appliqué et que la protection de la santé des citoyens, et des enfants en particulier, n’est pas assurée face à la surexposition à ces rayonnements électromagnétiques RF/MO.

Les normes censées protéger la population de l’exposition aux rayonnements électromagnétiques RF/MO ne tiennent compte que de l’échauffement des tissus (effet thermique) lors d’une exposition de durée limitée.

Ces normes ne tiennent pas compte des expositions répétées et/ou prolongées, ni de tous les effets biologiques non thermiques qui surviennent à des valeurs nettement inférieures aux valeurs actuellement autorisées. Elles n’ont pas été conçues pour protéger les fœtus, les enfants, les adolescents, les personnes âgées…

Pour les enfants, les risques peuvent être accrus en raison des effets cumulatifs d’une exposition prolongée. Leurs cerveaux, organes et tissus en développement et immatures peuvent être plus sensibles à l’exposition. Et les rayonnements pénètrent proportionnellement plus en profondeur dans leurs organes que dans ceux des adultes puisque leurs dimensions sont plus petites.

Le déploiement généralisé des technologies sans fil comporte des risques sanitaires connus depuis plusieurs décennies.

De nombreuses études (études sur des cellules, des animaux, études épidémiologiques) confirment l’existence d’effets biologiques non thermiques induits par l’exposition à des rayonnements électromagnétiques RF/MO émis par les technologies sans fil. Ces effets biologiques sont, par exemple, des lésions de l’ADN (ruptures), des perturbations de la synthèse des protéines, des altérations des spermatozoïdes, des perturbations de la synthèse d’hormones.

On connait les conséquences des lésions de l’ADN, notamment leur lien avec la survenue de cancers. Les dernières études sur les rats menées en 2018 par deux instituts indépendants différents (NTP et Ramazzini) ont montré que l’exposition aux rayonnements électromagnétiques RF/MO augmente la survenue de tumeurs, notamment du cerveau. Suite à cela, en mars 2019, le Centre International de Recherche sur le Cancer a recommandé une réévaluation de la classification de ces rayonnements endéans les 4 ans.

En mai 2019, le Conseil Supérieur de la Santé belge reconnaît, dans un avis sur les rayonnements non-ionisants, l’existence des effets biologiques de ces rayonnements à des niveaux non-thermiques ; leur lien avec le développement de cancers (augmentations importantes et statistiquement significatives du risque de gliomes cérébraux et de neurinomes de l’acoustique homolatéraux); le lien entre l’exposition maternelle aux champs électromagnétiques des fréquences des téléphones mobiles et l’existence de troubles du comportement et du langage chez l’enfant.

Bien qu’il faille plus de 20 ans à certains cancers pour se développer, on constate déjà une augmentation des glioblastomes (cancers du cerveau) dans les populations de certains pays européens. Au vu de ces éléments, il deviendrait dès lors inconvenant, d’oser encore continuer à clamer que tout cela ne représente aucun danger pour la santé.

Et la 5G ?

L’installation de la 5G nécessitera un assouplissement important des normes déjà beaucoup trop élevées.

De plus, cette technologie, qui présente des spécificités techniques différentes des technologies de générations antérieures, n’a pas fait l’objet d’études sanitaires préliminaires. Certains scientifiques craignent une augmentation de survenue des cancers de la peau et des dommages oculaires liés à l’utilisation de fréquences porteuses plus élevées.

Par ailleurs, la multiplication du nombre d’antennes relais nécessaires à l’installation du réseau 5G et l’hyper-connectivité absolue dans laquelle elle précipitera la société imposera une augmentation généralisée et certaine des niveaux d’exposition des populations.

Cela équivaut à prévoir une situation où le risque sanitaire global serait augmenté par un facteur qu’il est impossible de déterminer à l’avance, avec des retombées sanitaires dont nous ne connaissons pas la nature et sur lesquelles nous n’aurions aucun contrôle.

Cela équivaudrait aussi à une infraction au code de Nuremberg puisqu’il s’agirait finalement d’une expérimentation sur l’humain sans son consentement, sans certitude que le bénéfice pour la société soit plus important que le risque encouru…

En tant que médecins, nous déplorons déjà de plus en plus de pathologies pouvant être en lien avec des composants environnementaux tels que cette exposition croissante de la population aux rayonnements électromagnétiques du sans-fil. Nous recevons aussi des témoignages et nous rencontrons de plus en plus de personnes souffrant de troubles physiques potentiellement liés à l’exposition aux rayonnements électromagnétiques comme des troubles du sommeil, des acouphènes, des palpitations, des maux de tête, des troubles de l’attention et de la concentration, de fortes douleurs…

Nous demandons, en référence à la Résolution 1815 de mai 2011 de l’Assemblée Parlementaire du Conseil de l’Europe, ainsi que dans la lignée des dizaines d’appels de médecins et de scientifiques de par le monde, que les mandataires publics locaux, régionaux et fédéraux prennent leurs responsabilités et les mesures nécessaires afin d’obtenir :

  • L’application du Principe de Précaution en vue de protéger la population, surtout les plus jeunes, les enfants, les femmes enceintes, les personnes âgées,
  • Un moratoire sur le déploiement de la 5G en attendant des études d’impact sanitaire,
  • La sensibilisation des citoyens, en particulier des parents, des adolescents et des femmes enceintes à un usage raisonné et responsable des objets connectés sans fil,
  • L’établissement de normes d’exposition réellement protectrices basées sur les effets biologiques thermiques et non thermiques des champs et rayonnements électromagnétiques RF/MO,
  • La création d’un centre de vigilance ou d’un organisme de recensement de symptômes en lien avec cette exposition.

Par cette carte-blanche, nous rejoignons les milliers de médecins et de scientifiques, issus du monde entier, qui depuis l’année 2000 ont uni leurs voix dans des appels récurrents pour alerter les populations et les politiciens face aux dangers des technologies sans fil.

Aujourd’hui, nous sommes parmi les 434 médecins belges et 900 professionnels de la santé à signer l’ »Hippocrates Electrosmog Appeal » pour demander au gouvernement de faire appliquer le principe de précaution afin de protéger la population contre ces dangers. Vous trouverez sur notre site internet toutes les références relatives aux informations communiquées ci-dessus :
https://www.hippocrates-electrosmog-appeal.be/ 

L’actualité récente nous inquiète d’autant plus, mais gageons ensemble qu’elle puisse être l’occasion de nouvelles prises de conscience et d’avancées dans le domaine de la prévention, qui doit aujourd’hui et plus que jamais faire l’objet de toute notre attention.




5G, surveillance, dépopulation, bitcoins, nano-puces — La carotte et le bâton ou le Meilleur des mondes offert par Bill Gates et Big Telecom

[Source : Sott.net]

[Source originale :] Robert F. Kennedy – Children’s Health Defense

Robert F. Kennedy, Jr. a écrit la semaine dernière au sujet des contraventions de 1 000 dollars chacune que la police de Malibu a infligées aux surfeurs de Point Dume pour avoir profité de l’océan pendant le confinement. S’agissait-il simplement d’une décision policière outrancière dont nous rirons plus tard ? Ou quelqu’un d’autre a-t-il aussi le sentiment qu’il s’agit de la première vague d’un programme test visant à imposer conformité et obéissance en vue de mesures plus permanentes ? Les puissants États et les entreprises utilisent-ils la « crise » actuelle pour supprimer les droits fondamentaux et intensifier les pressions en vue de promouvoir les vaccins et la surveillance ? Quelqu’un d’autre ressent-il l’obscurité étouffante de la tyrannie qui s’abat sur nous tous ? Et enfin, quelqu’un partage-t-il ma crainte que Bill Gates et son associé de longue date Tony Fauci dirige d’une manière ou d’une autre notre Meilleur des mondes ?

Surveillance selon Bill Gates

Imaginez un monde où le gouvernement n’a pas besoin de policiers pour appréhender ces surfers ou vous mettre une contravention lorsque vous violez la distanciation sociale avec votre petite amie. Supposez que les ordinateurs détectent votre sortie à la plage en suivant vos mouvements grâce à un flux d’informations provenant de votre téléphone portable, de votre voiture, de votre GPS, de la technologie de reconnaissance faciale intégrée à la surveillance en temps réel grâce aux satellites, aux caméras fixes et embarquées et aux puces implantées. Des procureurs ou des robots collés à leurs bureaux vous informeront de votre infraction par SMS tout en prélevant directement de votre salaire et de façon simultanée votre amende de 1 000 dollars en monnaie cryptographique. Bienvenue danslemondede Bill Gates. Il approche à grands pas.

Les stratégies de la 5G

Bill Gates a récemment annoncé son soutien financier d’un milliard de dollars en faveur d’un plan destiné à englober la Terre de satellites de surveillance vidéo. La société EarthNow lancera 500 satellites pour surveiller en direct presque tous les « recoins » de la Terre, fournissant un retour vidéo instantané avec un délai d’une seconde seulement. Selon Wikipedia, la société s’attend à ce que « des gouvernements et des grandes entreprises » fassent partie de ses clients.

Les antennes 5G sont quant à elles déployées par le biais d’un vaste réseau terrestre d’antennes espions. Par l’intermédiaire de sa fondation Bill & Melinda Gates, Gates a acheté 5,3 millions d’actions de Crown Castle dont la valeur totale atteint un milliard de dollars. Deuxième holding technologique de la Fondation après Microsoft, Crown Castle possède des infrastructures 5G dans tous les secteurs majeurs du marché étatsunien. Il exploite et loue plus de 40 000 tours de téléphonie cellulaire, 65 000 point d’accès à un réseau de télécommunications mobiles qui constituent l’infrastructure centrale de la 5G, et 75 000 kilomètres de fibre optique qui, au lieu de fournir à votre foyer un Internet sûr, rapide et câblé, ont été confisqués pour connecter les tours de téléphonie cellulaire 5G.

L’extraction de données

Big Telecom, Big Data et Bill Gates attirent les Étatsuniens dans un piège de tyrannie numérique avec des publicités télévisées à plusieurs millions de dollars qui prétendent que leur investissement de plusieurs milliards de dollars dans la 5G concerne des vitesses de téléchargement plus rapides pour les jeux vidéo et les films. Mais la 5G n’a presque rien à voir avec le fait d’améliorer votre vie ; il s’agit plutôt de contrôler votre vie, de commercialiser des produits et de récolter vos données à des fins d’intelligence artificielle.

L’« or noir » du XXIe siècle, ce sont les données. La 5G est l’infrastructure de l’« Internet des objets » de Gates un monde où des dizaines de milliards d’appareils « intelligents » comme les téléphones portables, les ordinateurs, les automobiles, les ouvre-portes de garage, les montres Apple, les couches pour bébés et même nos propres corps sont interconnectés sans fil pour permettre à Big Data de recueillir et de vendre nos informations personnelles.

© Inconnu
Note du traducteur : Dans son livre, La Route du futur (publié en 1995 en anglais), Bill Gates se proposait globalement de « nous accompagner » et parlait de l'évolution de l'informatique personnelle :

« Nous surestimons toujours le changement qui se produira dans les deux prochaines années et nous sous-estimons celui qui se produira dans les dix prochaines. Ne vous laissez pas bercer par l’inaction. »

Lui, par contre, semblait déjà savoir où nous allions, puisque dans son livre on peut lire qu'il « détient les clefs de notre avenir », qu'à dix-neuf ans il a eu « une vision du futur » et qu'il s'est avéré « qu'il avait vu juste ».
Allez, encore un peu :

« Le réseau sera le nouveau terrain de jeux, le nouveau lieu de travail, la nouvelle salle de classe, de la société. Il remplacera le papier-monnaie […] Il sera notre album photo, notre journal, notre vidéocassette […] Bientôt, tout cela, et plus encore, tiendra dans un PC-portefeuille […] nous parlerons à notre télévision, à notre PC, aux extensions, à tous nos supports d’information […] les parents d’élèves pourront évaluer directement la qualité des cours et assurer un contrôle sur leur contenu […] ce qui nous apparaît aujourd’hui comme une sorte de Big Brother numérique pourrait devenir la norme si l’alternative est laissée à la merci des terroristes et des criminels. »

La plupart des technologies dont il parle ci-dessus nous étaient à l'époque (1995) inconnues. Aujourd'hui, nous comprenons tous exactement de quoi il parle, n'est-ce-pas ?

Gates, Elon Musk, Amazon, Facebook et Telecom lancent les vaisseaux phares de la nouvelle ruée vers l’or, une flotte grouillante de 50 000 satellites et un réseau de 2 000 000 d’antennes terrestres et de tours de téléphonie cellulaire pour extraire les données de nos appareils intelligents. Cette toile d’araignée émettant des radiations micro-ondes permettra à Big Data/Big Telecom et Big Brother de capturer ce qui se passe à l’intérieur et à l’extérieur de chaque personne à chaque moment de sa vie.

Gates récoltera, contrôlera, triera, caractérisera, analysera et vendra des millions de téraoctets d’informations personnelles provenant d’appareils intelligents données de santé privées, dossiers médicaux, nos habitudes d’achat, nos réponses biométriques et comportementales à la publicité, la capacité d’apprentissage de nos enfants, nos expressions faciales et les conversations entendues par Siri, Alexa et les micros ouverts de nos téléphones portables. Sa société et d’autres sociétés utiliseront ces analyses pour développer l’intelligence artificielle et faire de nous une machine de consommation prévisible et facile à manipuler.

La prochaine fois que vous achèterez un appareil « intelligent », souvenez-vous que l’appareil n’est pas le produit vous êtes le produit.

Surveillance gouvernementale et transhumanisme

Les entreprises utiliseront le système de surveillance 5G de Gates pour vendre leurs produits et augmenter la capacité de l’intelligence artificielle. Les gouvernements l’utiliseront pour faire passer le monde à une singularité totalitaire plus despotique encore que tout ce qu’a pu imaginer Orwell. Les titans de la Silicon Valley comme Elon Musk, Peter Thiel et l’ingénieur en chef de Google, Ray Kurzweil, parlent de « transhumanisme » avec délectation, un processus par lequel grâce au génie génétique et aux implants chirurgicaux les êtres humains seront transformés pour devenir mi-humains, mi-machines. Pour accélérer cette nouvelle réalité, Bill Gates investit massivement [« J’ai dépensé sans compter ! » – NdT]. Son ambition de marquer la totalité d’entre nous via des injections sous-cutanées de nano-puces électroniques enregistrant les données de vaccination semble n’être qu’un tremplin vers un Système de surveillance globale.

Commentaire : Et le hasard du calendrier faisant bien les choses, cette injection pourrait se produire en même temps que celle d'un vaccin obligatoire contre le Covid-19... Fin 2020 ? Début 2021 ? Ou d'autres événements viendront-ils bousculé leur Agenda ?

Récompenser la conformité

Microsoft a breveté une sinistre technologie qui utilise des capteurs implantés pour surveiller l’activité du corps et du cerveau. Elle récompensera les humains qui se conforment à la loi par des paiements en monnaie cryptée lorsqu’ils effectueront les activités qui leur sont assignées.

Le brevet WO |2020| 060606 a gagné en notoriété et a été surnommé « World Order 2020 666 ». Microsoft décrit ce dispositif comme un « Système de monnaie cryptée » et explique qu’il est « capable » d’utiliser les données d’activité du corps pour extraire des bitcoins en réponse à la conformité des tâches qui sont imparties au sujet.

Commentaire : Ce qui ressemble beaucoup  ce n'est que légèrement plus avancé  à ce qui est mis en place en Chine, et notamment dans la région autonome Ouigour du Xinjiang. Là-bas, et bientôt chez nous, le « crédit social » s'apparente à un jeu vidéo (il en est d'ailleurs issu) : vous perdez ou gagnez des points en fonction de votre comportement en tant que citoyen. Plus votre note est bonne, plus vous accès à des « facilités » ; au contraire, si votre note est mauvaise, vous perdez la possibilité d'accès à ces « facilités » ; vous devenez un paria. Ah ! oui. Ne pas oublier que dans « ce jeu », tout délateur gagne des points !

Les personnes qui acceptent d’installer les capteurs sans fil nuisibles de Microsoft recevront périodiquement depuis leur smartphone des instructions d’« obligation » de regarder une certaine publicité, d’écouter une chanson spécifique, de marcher dans une allée d’épicerie spécifique ou d’accepter l’injection d’un certain vaccin. Cette puce recueillera des données provenant de capteurs intégrés qui surveillent les ondes cérébrales, le flux sanguin et d’autres réactions du corps. Le système transférera la crypto-monnaie sur le compte du sujet après l’accomplissement de l’« obligation » qui lui aura été imposée.

Vue sous son aspect « positif », l’invention dystopique de Microsoft devrait être une source de revenus bienvenue pour les plus de 30 millions d’Américains mis au chômage par les quarantaines périodiques dus au Covid-19, par les voitures électroniques à conduite automatique de Musk, qui dépendent également du déploiement de la 5G, et par l’intelligence artificielle, y compris les robots. Bill Gates vendra-t-il les données que nous lui donnons gratuitement à des entreprises qui nous priveront de nos emplois ?

© Inconnu

Posséder des villes intelligentes

La maintenance et l’analyse des données collectées par une infrastructure 5G nécessitent des ordinateurs massifs logés dans de grands complexes de stockage de données. Pour garder le contrôle de cette infrastructure, Bill Gates est en train de construire sa propre « ville intelligente » en Arizona. Selon KPNX-TV, il a dépensé 80 millions de dollars pour un terrain de 10 000 hectares près de Phoenix dans le but d’en faire une « ville intelligente » où tout est interconnecté via un réseau sans fil, y compris des flottes de véhicules autonomes. Les 80 000 habitants de la ville de Gates travailleront principalement dans des centres de données.

Pour consolider son contrôle sur ce que les gens entendent, apprennent et pensent, Gates a acheté des actions de Liberty Global, l’une des plus grandes sociétés internationales de télévision et d’Internet, présente dans 30 pays et en pleine expansion. [Il en est l’un des principaux actionnaires – NdT]

Contrôle de la croissance de la population

Gates contrôlera même notre corps, notre chambre à coucher, notre armoire à pharmacie et même les cycles menstruels et d’ovulation des femmes. Il a investi environ 18 millions de dollars dans MicroCHIPS, une société qui, entre autres dispositifs à base de puces électroniques, développent des implants contraceptifs munies d’interrupteurs marche/arrêt sans fil et d’autres pour l’administration de médicaments qui permettent à un seul implant de stocker et d’administrer avec précision des centaines de doses thérapeutiques sur des mois ou des années. Pour délivrer les médicaments, les implants seront actionnés sans fil par le patient. Connaissant le zèle missionnaire de Gates pour le contrôle de la croissance de la population, certains usagers pourraient toutefois craindre que le système soit également activé à distance.

Contrôler le climat par la géo-ingénierie

La conviction apparente de Gates selon laquelle Dieu lui a ordonné d’utiliser la technologie pour le salut de l’humanité est illustrée dans l’un de ses projets les plus ambitieux. Gates finance des scientifiques de Harvard pour qu’ils utilisent la géo-ingénierie afin de bloquer le Soleil pour inverser le « réchauffement de la planète » et agir sur le changement climatique.

Commentaire : Vu que nous nous dirigeons plutôt vers un refroidissement global, soit Gates le sait et utilise le prétexte-poule-aux-œufs-d'or du « réchauffement climatique » pour autre chose, soit il ne le sait pas, mais c'est douteux... Quant à l'hubris qui le caractérise, il se pourrait bien que le Cosmos toujours en recherche d'équilibre se rappelle à son  et notre  bon souvenir.
Voir L'effervescence volcanique et sismique associée au cycle cométaire de 3 600 ans

Ce projet est un modèle à la fois d’orgueil, d’hypocrisie et de risque. L’expansion massive de l’utilisation du sans fil et le réseau sans fil de la 5G dont Gates est un acteur majeur est le facteur le plus important dans l’augmentation de la consommation d’énergie. L’expansion du réseau sans fil entre 2012-2015 équivaut à l’ajout de 4,9 millions de voitures sur les routes. La 5G devrait augmenter de manière exponentielle la consommation d’énergie de plus de 170 % d’ici 2026. Proposer d’utiliser le réseau « intelligent » sans fil pour lutter contre l’empreinte carbone grâce à la géo-technologie est une idée saugrenue, et non une solution au changement climatique.

Société sans cash

Pour consolider le contrôle mondial, Gates a déclaré la guerre à l’argent liquide, et les confinement dus au Covid-19 ont fourni aux gouvernements un prétexte pratique pour saborder l’argent liquide en tant que risque sanitaire. Gates et sa fondation sont le fer de lance de la transition mondiale d’une économie monétaire vers les transactions numériques. Gates et Microsoft sont parfaitement placés pour tirer profit d’un système de paiement numérique. En contrôlant les transactions numériques — et en supprimant l’argent liquide — Gates peut contrôler et surveiller tout le volet commercial des pays et des citoyens.

© Inconnu

Les institutions financières occidentales Mastercard, PayPal, Visa, eBay et Citi ont depuis longtemps fait pression pour un monde sans cash. La banque électronique permet aux banques et aux consortiums financiers de prélever des frais sur chaque transaction.

L’économie numérique permettra au gouvernement de surveiller et d’examinerchaque transaction, de geler les comptes numériques et de bloquer les « flux financiers » pour punir la désobéissance. Dans le cadre d’un partenariat public-privé avec le gouvernement, les milliardaires de la technologie contrôleront non seulement le pays, mais pourront également assurer la micro-gestion de la population mondiale. La monnaie numérisée est l’instrument ultime de contrôle social. Après tout, dans une société sans cash, la survie est impossible sans accès au système économique numérisé. Les pauvres — qui n’ont pas de compte bancaire — en souffriront de manière disproportionnée.

Le Borg trilliardaire

Si le confinement est un cataclysme pour l’économie mondiale, il constitue pour Bill Gates une opportunité. En achetant nos actifs dévalués à un centime de dollar, les 100 milliards de dollars de Gates pourraient faire de lui le premier trilliardaire du monde. Mais la quarantaine est aussi une opportunité d’élargir son pouvoir et sa domination. Sous la direction de Gates, Microsoft a été surnommé « The Borg » en raison de son appétit pour le contrôle total du marché. Aujourd’hui, Gates cherche à mettre toute l’humanité sous sa botte. Son culte de la technologie et sa mégalomanie menacent nos libertés, notre démocratie, notre biologie, notre planète, notre humanité et nos âmes.

© Inconnu

Le rayonnement micro-ondes utilisé pour la surveillance sans fil du monde entier n’est pas biologiquement tolérable, en particulier pour les enfants en plein développement. Des milliers d’études publiées, évaluées par des pairs, documentent abondamment les effets physiques profonds et néfastes de la technologie sans fil sur les humains, les animaux et les plantes. Les maladies et la dégradation de l’environnement dues à la technologie sans fil sont déjà très répandues. Le contrôle exercé par Big Telecom sur les agences de régulation et les médias mondiaux, et le contrôle financier de Gates sur l’Organisation mondiale de la santé ont permis à quelques milliardaires de propager le mensonge manifeste selon lequel le sans fil est sûr.

Les rêves technologiques de Gates ne sont pas viables d’un point de vue biologique. Sa tour de Babel est vouée à s’effondrer, avec un impact catastrophique pour les humains de moindre importance. Il est temps de démanteler la Tour avant qu’il ne soit trop tard.

Commentaire : Avec tout ça, on en viendrait à croire que Bill Gates est un sur-homme. Et pourtant, il ne l'est certainement pas. N'oublions pas que Gates est la face visible d'un consortium qui, lui, reste dans l'ombre, pendant que leur pantin prend la lumière...

Source de l’article initialement publié en anglais le 8 mai 2020 :
Children’s Health Defense
Traduction : Sott.net




Odeurs de soufre dans plusieurs villes du monde

[NdNM : Merci à Carlos pour avoir relevé le commentaire source sur le site Effondrement de civilisations]

« Demandez au soleil de ne pas briller parce que vous le voulez… » chantait Madonna.

Justement, la revue scientifique Nature du 14 décembre 2018 annonçait qu’une série d’épandages de produits chimiques aurait lieu en 2019 dans la très haute atmosphère (entre 10 et 50 km d’altitude).
https://www.climat-artificiel.com/Bill-Gates-finance-des-experiences-de-geo-ingenierie

Le but : essayer de bloquer en partie les rayons solaires afin d’atténuer le réchauffement climatique. Les produits utilisés : le carbonate de calcium (CaCO3), des oxydes d’aluminium et le dioxyde de soufre (SO2). Et cela malgré [le fait] que le souffre a des effets désastreux sur la couche d’ozone et [qu’il] acidifie les océans. C’est un laboratoire de l’université d’Harvard qui s’est mis à travailler sur ce projet de géo-ingénierie dans l’espoir de baisser la température terrestre (Stratospheric Controlled Perturbation Experiment : SCoPEx).
https://projects.iq.harvard.edu/keutschgroup/scopex

Ce genre de pratiques est pourtant interdit depuis le sommet de la terre de 1992 à Rio de Janeiro. Mais cela ne semble aucunement gêner les contributeurs financiers (notamment Bill Gates). Pourtant le dioxyde de soufre a aussi des effets sur les êtres vivants. Il est toxique, irritant, c’est un perturbateur gastrique (diarrhée), dégage une odeur d’œuf pourri. Étant un poison à large spectre, il peut occasionner la dégénérescence du nerf olfactif et même être mortel. Il irrite les yeux, la gorge en donnant une toux douloureuse, un souffle court et un épanchement de fluide dans les poumons. Heureusement, ces symptômes peuvent disparaître après quelques semaines.

Ce qui est étrange, cette odeur et ces symptômes sont apparus dans différents endroits de l’hémisphère nord : à Wuhan, Los Angeles, Belgique, Île de France, région de Rennes, en Vendée …




Les rayonnements électromagnétiques, le Wi-Fi, les cellulaires et la 5G… selon le Dr Paul Héroux

[Source : Christian Aubry]

Le Dr Paul Héroux présente les dangers de la 5G du point de vue de l’ingénierie chimique. Cette technologie de télécommunication sans fil est actuellement en instance de déploiement un peu partout dans le monde alors que la science démontre clairement ses effets nocifs sur l’environnement et les organismes naturels, incluant le génome humain. La révélation des mensonges des manufacturiers de tabac et de l’industrie pétrolière ne nous a donc rien appris, semble-t-il, puisque nos gouvernements s’apprêtent une fois de plus à mettre en péril l’avenir de l’humanité afin de laisser le champ libre à une poignée d’entreprises multinationales qui veulent nous imposer cette nouvelle dérive industrielle dont, au fond, nous n’avons nul besoin.


[Source : Sylvain Dubé]

Conférence sur les rayonnements électromagnétiques et la G5 présentée par Paul Héroux, Ph. D. Directeur du programme de santé au travail,
Département d’épidémiologie, biostatistiques et santé au travail,
Médecine, Université McGill, Montréal


[Source : La Maison du 21e siècle]

Conférences Foire Écosphère Montréal, 13 août 2016 :

Comment des champs électromagnétiques très faibles peuvent-ils influencer la biologie et la santé?, Paul Héroux Ph.D., Université McGill


[Source : Ouvrir les yeux Podcast]

Ouvrir Les Yeux #1 |

La 5G et Dr. Paul Héroux, Professeur de toxicologie et effets sur la santé de l’électromagnétisme à l’Université McGill

«Avec la 5G, nous allons devoir nous retrouver avec des antennes à chaque 5 maisons. nous On sait déjà de l’épidémiologie que si vous vivez à l’intérieur de 500m d’une antenne de cellulaire, votre santé est affectée. En d’autres termes, vous allez avoir plus de cancer, de symptômes neurologiques et on sait que ce n’est pas bon pour pour la santé.»

Dr. Paul Héroux

À propos de Dr. Paul Héroux

Le Dr. Paul Héroux est un scientifique possédant une expérience en physique (BSc, MSc et PhD), en génie (15 ans) et en sciences de la santé (30 ans). Il a commencé sa carrière de chercheur à l’Institut de Recherche d’Hydro-Québec à Varennes, Québec, un laboratoire d’électrotechnique de renommée internationale. Après avoir complété sa formation par des cours de biologie et de médecine, il s’est intéressé à la santé publique et a été nommé professeur agrégé à la Faculté de médecine de l’Université McGill, où il est actuellement directeur du programme de santé au travail, et également scientifique médical au Département de chirurgie. du Centre universitaire de santé McGill.

« Over 230 scientists from more than 40 countries have expressed their “serious concerns” regarding the ubiquitous and increasing exposure to EMF generated by electric and wireless devices already before the additional 5G roll-out. They refer to the fact that ”numerous recent scientific publications have shown that EMF affects living organisms at levels well below most international and national guidelines”. Effects include increased cancer risk, cellular stress, increase in harmful free radicals, genetic damages, structural and functional changes of the reproductive system, learning and memory deficits, neurological disorders, and negative impacts on general well-being in humans. Damage goes well beyond the human race, as there is growing evidence of harmful effects to both plants and animals. »

Scientist Appeal for 5G Moratorium


Pour écouter la version audio:
  1. sur la plateforme Balados d’Apple: https://podcasts.apple.com/ca/podcast…
  2. sur Spotify: https://open.spotify.com/episode/16Rk…

Études du Dr. Paul Héroux :
  1. Étude 1-Extra-low-frequency magnetic fields alter cancer cells through metabolic restriction https://www.tandfonline.com/doi/full/…
  2. Étude 2-Magnetic Fields Trump Oxygen in Controlling the Death of Erythro-Leukemia Cells https://www.mdpi.com/2076-3417/9/24/5…
Études référées et autres documents référés par Dr. Paul Héroux :
  1. Lettre ouverte destinée à l’Union Européenne https://www.jrseco.com/wp-content/upl…
  2. Études du National Toxicology Program-Cell Phone Radio Frequency Radiation https://ntp.niehs.nih.gov/whatwestudy…
  3. Étude de l’institut Ramazzini https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/2…

[Voir aussi : dossier 5G et ondes pulsées]




Vaccination : une vidéo de Robert F. Kennedy…

[Source : Le Saker Francophone]


Par Robert F. Kennedy Jr – le 14 mai 2019

Discours au New York Rally and Lobbying day for Vaccine injury and Vaccine rights le 14 mai 2019 à Albany New York

Vidéo en anglais traduction ci-dessous.



Del Bigtree producteur du film « Vaxxed, de la dissimulation à la catastrophe » introduit Robert Kennedy Jr qui interpelle le public comme suit :

Merci d’être venus par ce temps si pluvieux.

Un pharmacien [fabricant de vaccins] est passé et je ne le blâme pas
pour sa colère, car ceci [cette initiative, cet événement] est la plus
grande menace pour leur business. Lorsque j’étais enfant, l’industrie
des vaccins pesait 270 millions de dollars. J’ai reçu trois vaccins et
j’étais totalement d’accord. Aujourd’hui, il s’agit d’une industrie de
50 milliards de dollars, soit 20% des revenus pharmaceutiques.

Mais ça, c’est le point de départ.

En aval, considérons toutes les maladies chroniques qui, selon la
FDA, sont associées aux vaccins. Cent cinquante maladies figurent
maintenant sur les notices des vaccins. La raison pour laquelle elles
figurent sur les notices des produits, c’est que la FDA a déterminé que
ces lésions étaient vraisemblablement causées par des vaccins.

Il s’agit d’une épidémie de maladie chronique.

J’ai six enfants. J’ai eu onze frères et sœurs. J’ai plus de
cinquante cousins. Je ne connaissais pas une seule personne allergique
aux arachides. Pourquoi tous mes enfants ont-ils des allergies
alimentaires ? Parce qu’ils sont nés après 1989.

Si vous êtes né avant 1989, vos chances de contracter une maladie
chronique, selon HHS (Santé et services sociaux), est de 12,8%. Si vous
êtes né après 1989, vos chances d’avoir une maladie chronique sont de
54%. Et la FDA a dit aux fabricants de vaccins : « vous deviez examiner ces maladies ».

Et quelles sont ces maladies ?

Ce sont les maladies neuro-développementales, le TDA, le TDAH,
[Trouble de Déficit de l’Attention avec ou sans Hyperactivité ] les
retards de langage, les retards de parole, les tics, le syndrome de
Tourette, les TSA [Troubles du Spectre de l’Autisme] et l’autisme. Les
troubles auto-immuns, Guillan-Barré, la sclérose en plaques, le diabète
juvénile et la polyarthrite rhumatoïde. Les maladies anaphylactiques,
les allergies alimentaires, la rhinite, l’asthme et l’eczéma. Tous ces
troubles ont explosé dès 1989.

Le Congrès a ordonné à l’EPA (Agence de protection de
l’environnement) de déterminer quelle année cette épidémie avait
commencé. Et l’EPA a fait cette étude. Ils ont dit que cela avait
commencé en 1989. Il y a beaucoup de coupables. Beaucoup choses
nouvelles sont apparues. Nous avons des téléphones portables. Nous avons
PFOA (acide perfluorooctanique). Nous avons des ultra-sons. Nous avons
du glyphosate. Nous avons beaucoup d’autres choses. Nos enfants nagent
dans une soupe toxique.

Nous ne disons pas que toutes ces maladies sont d’origine vaccinale.
Mais il n’y a pas d’événement aussi précisément corrélé que ce qui s’est
passé lorsqu’en 1989 le calendrier de vaccination a été modifié
augmentant les niveaux d’aluminium et de mercure d’un facteur 3 à 5.
Nous sommes passés des 3 vaccins que j’ai reçus aux 72 que mes enfants
ont reçus et aux 75 que les enfants vont recevoir l’année prochaine. Et
il y a 273 nouveaux vaccins en préparation.

J’y suis allé et j’ai rencontré Adam Schiff. J’ai été démocrate toute
ma vie. Ce qu’il se passe dans le parti démocrate me dérange beaucoup.
Mais j’étais étonné quand un des démocrates les plus en vue de notre
pays, Adam Schiff, s’est adressé aux géants d’Internet, à Facebook et à Google, qui entretient un partenariat de 668 millions de dollars avec GlaxoSmithKline,
le plus grand fabricant de vaccins au monde. Ils fabriquent des
médicaments et exploitent vos données personnelles pour pouvoir vous
vendre plus de médicaments. Schiff s’est rendu chez Pinterest, Facebook, Instagram, Amazon,
toute la série, et leur a dit qu’ils devaient commencer à censurer les
informations et les plaintes concernant les produits pharmaceutiques.

J’ai dit à Adam Schiff : «Vous savez que ce sont des entreprises avides. Vous savez qu’ils pratiquent des homicides ».
Tout démocrate vous le dira. Les quatre sociétés qui produisent les 72
vaccins prescrits aux enfants américains, ont toutes été condamnées.
Depuis 2009, ces quatre sociétés ont collectivement payé 35 milliards de
dollars en sanctions pénales et dommages et amendes pour avoir fraudé
les autorités réglementaires, falsifié la science, corrompu des
médecins, menti à la population et tué de nombreuses personnes.

Le Vioxx est un médicament fabriqué par Merck, dont ils
savaient qu’il provoquerait des crises cardiaques. Ils l’ont vendu comme
une pilule contre le mal de tête. Ils n’ont pas dit aux gens : « vous n’aurez plus mal de tête, mais vous pourriez avoir une crise cardiaque. » Bien sûr, s’ils l’avaient fait, peu de gens l’auraient acheté.

Alors, ils ont décidé de garder le secret. Ils ont tué cent vingt
mille personnes minimum, probablement cinq cent mille personnes. Alors
j’ai dit à Adam Schiff : « Quel genre de dissonance cognitive
faut-il, pour croire que cette entreprise qui ment, triche et tue avec
tous les autres produits pharmaceutiques qu’elle fabrique, cette même
société a rencontré Jésus quand il s’agit de vaccins ? »

Tout le monde sait que l’on ne peut pas poursuivre un fabricant de
vaccins. C’est la raison pour laquelle la ruée vers l’or a débuté en
1989 dans une explosion de vaccins.

Ils n’ont pas d’incitations à fabriquer des produits sans danger pour
le patient, sauf leurs éventuels scrupules moraux, dont nous savons
qu’ils n’en ont pas.

Ce que la plupart des gens ne savent pas, c’est que les fabricants de
vaccins bénéficient d’une exemption encore plus importante.

Ils sont dispensés de tester la sécurité de leurs produits. C’est le seul produit médical qui est concerné.

La raison en est qu’il s’agit d’un artefact de l’héritage du CDC
(Centre de Contrôle des Maladies) d’un service de santé publique qui
était une agence quasi militaire.
La CDC a repris cette activité à la fin des années 1970. C’est pourquoi
les membres du CDC ont souvent un rang militaire, comme le chirurgien
général. Le programme des vaccins a été lancé comme un moyen de défense
de sécurité nationale contre une attaque biologique.

Pour cette raison, ils voulaient être sûrs que nous puissions
distribuer très rapidement les vaccins au public si la Russie provoquait
une attaque biologique d’anthrax ici. Ils voulaient supprimer tous les
obstacles réglementaires qui empêcheraient le déploiement rapide de ce
produit.

Alors ont-ils dit, si nous classons le vaccin comme un médicament,
alors que tous les médicaments doivent être soumis à un test de sécurité
en vertu de la loi, un placebo en double aveugle avec un suivi de cinq
années. Ils se sont dit, nous ne pouvons pas faire ça. Nous allons les
appeler autrement. Nous allons les appeler «substances biologiques» et nous ferons en sorte qu’ils n’aient pas à être testés.

Et lorsque l’industrie a explosé en 1989, ils ont profité de cette
échappatoire pour commercialiser tous ces nouveaux produits. Aucun des
72 vaccins du calendrier prescrit pour nos enfants n’a été testé avec un
placebo.

Cela signifie que personne ne peut scientifiquement vous dire quel
est le profil de risque de ce produit. Personne ne peut vous dire que ce
produit sauvera plus de vies qu’il ne tuera de patients. Il n’y
absolument aucune base scientifique. Comment pouvons-nous, en tant que
société, gouvernement, parti démocrate, rendre des produits obligatoires
pour nos enfants alors que nous ne pouvons pas dire quel risque
comporte leur usage.

Désormais, tous les vaccins figurant dans le calendrier et tous les
produits médicaux doivent répertorier les tests de sécurité qu’ils
réalisent. Aucun test placebo n’a été réalisé. Mais certains font quand
même des tests d’innocuité, comme le vaccin antipoliomyélitique, pendant
peut-être 48 heures.

Pour le vaccin contre l’hépatite B qui est administré à chaque enfant
de ce pays le jour de sa naissance, il y a une observation pendant 5
jours. Cela signifie que si un enfant meurt le sixième jour, ce n’est
pas pris en compte, comme si cela ne s’était pas produit.

Si le bébé a des allergies alimentaires et qu’il est diagnostiqué
trois ans plus tard, ou s’il est atteint d’autisme ou d’une maladie
auto-immune, cela n’est pas considéré.

C’est ainsi qu’ils peuvent affirmer qu’il n’y a pas de danger.

Ce qui est étrange, c’est qu’il existe un seul vaccin, le vaccin ROR,
pour lequel tout ce raffut a lieu, c’est le seul vaccin pour lequel
aucun test de sécurité ne figure sur la notice. Et pendant de nombreuses
années, Del [Bigtree] et moi-même avons dit «c’est bizarre». Est-ce qu’il en existe ? Qu’est-il arrivé ? Nous avons donc poursuivi HHS. Nous avons demandé : « Où est-ce test ? »

Il y a trois semaines, ils nous ont soumis leurs tests de sécurité.
Il y avait 800 enfants. Normalement, un test comporte 20 000 enfants ou
sujets. Il y avait 800 enfants dans 8 catégories différentes. Pour un
médicament qu’ils vont administrer à des milliards de personnes. Les
tests n’ont duré que 42 jours.

Pourtant 50% des enfants participant à cette étude avaient un
affection gastro-intestinale grave, dont certains pendant les 42 jours
du test. 50% ont eu des maladies respiratoires, certains aussi pendant
les 42 jours. C’est un produit dont les conséquences sont pires, selon
leurs propres données, que la maladie qu’il est supposé prévenir.

Peut-être y a-t-il des gens ici qui sont anti-vaxx. Je ne suis pas
anti-vaxx. Je veux seulement des vaccins sûrs avec des données
scientifiques incontestables et je veux de la transparence au
gouvernement et je veux des régulateurs indépendants qui n’appartiennent
pas à l’industrie pharmaceutique.

La FDA, qui est censée nous protéger contre ces produits, reçoit 75%
de son budget de l’industrie. L’Organisation mondiale de la santé (OMS)
reçoit 50% de son budget de l’industrie pharmaceutique. Le CDC est une
entreprise pharmaceutique. Elle achète et vend des vaccins pour environ 5
milliards de dollars par an. Et les membres de HHS qui ont travaillé
sur ces vaccins aux frais des contribuables, ces gens sont autorisés à
percevoir des redevances.

Pour chaque flacon de Gardasil vendu, il y a des membres du HHS, des
personnalités de haut niveau, qui perçoivent 150 000 dollars par an en
redevances. Et HHS et les NIH possèdent une partie de ce brevet et
touchent de l’argent chaque année. Ce ne sont pas des agences de
régulation. Ce sont des appendices de l’industrie.

Ils ne veulent pas le savoir. La raison pour laquelle ils nous
appellent anti-vaxx, c’est que c’est une façon de nous faire taire. De
cette manière, ils n’ont pas à débattre de ces questions très sérieuses
concernant la sécurité des vaccins, ils n’ont pas à débattre des fait
scientifiques.

Et ils ont acheté la presse. Ils consacrent 25 milliards de dollars
par an à la publicité. Nous sommes le seul pays au monde, hormis la
Nouvelle-Zélande, à autoriser la publicité pharmaceutique à la
télévision. Et ils ont pu acheter la presse dans ce pays. Ils vendent
non seulement des publicités pour leurs médicaments, mais dictent
également le contenu de l’information.

Maintenant, ils nous disent qu’ils vont censurer Facebook
parce qu’ils veulent se débarrasser de la désinformation sur les
vaccins. Nous ne parlons que de science. Nous leur donnons une
évaluation par des pairs. Vous n’entendrez jamais un examen par des
pairs de la part d’un promoteur de vaccins. Ce que vous entendrez, ce
sont des appels à l’autorité. Qu’est-ce que ça veut dire ? Cela signifie
que les vaccins sont sans danger parce que le CDC ou l’OMS déclarent
qu’ils sont sans danger.

Mais savez-vous qui est l’autorité ultime ? C’est l’Institut de
Médecine. C’est la raison pour laquelle le Congrès a désigné l’Institut
de Médecine comme l’instance suprême en matière de sécurité des vaccins.
Et savez-vous ce l’on dit à l’Institut de Médecine ? Ils disent qu’il y
a 150 maladies qui, selon eux, sont causées par des vaccins, et le CDC a
été chargé d’étudier ces maladies. L’Institut de Médecine l’a demandé
en 1994, le CDC a refusé. Il l’a demandé à nouveau en 1998, le CDC a
refusé. Ils l’ont encore répété en 2011, ils le demandent chaque année.

L’Institut de Médecine dit que nous n’avons aucune idée du fait que
ces vaccins soient à l’origine de cette énorme épidémie de maladie
chronique. C’est l’autorité ultime, pas l’OMS, pas le CDC. Et la seule
façon pour eux de traiter ces arguments est de nous faire taire.

Nous ne sommes pas à l’origine de la désinformation, le CDC
désinforme. Combien d’entre vous ont entendu les réseaux rapporter que
80 000 personnes sont mortes de la grippe l’année dernière ? Le CDC a
diffusé ce chiffre. Vous savez ce que disent les données du CDC ?

Je n’en veux pas à la presse mais elle est censée vérifier. Mon père
m’a dit, les gens au pouvoir mentent et tu es censé vérifier. Vous savez
ce que disent les propres données du CDC ? Que 2 300 personnes sont
mortes de la grippe, pas 80 000.

Combien d’entre vous ont entendu dire que le taux de mortalité par la
rougeole est de 1 sur 1000 ? Le CDC dit cela. Les propres données du
CDC indiquent qu’il s’agit d’une personne sur 10 000 et d’un Américain
sur 500 000. C’est ce que disent les données de CDC. Mais ce n’est pas
ce que vous entendrez des réseaux.

Ceux d’entre vous qui ont regardé NBC hier soir ont vu
Lester Holt. Tous les journaux télévisés sont devenus de la pub et ils
participent tous à cette frénésie orchestrée pour nous faire peur avec
la rougeole. Et nous sommes obligés de recevoir ce vaccin. Lester Holt
est sponsorisé par Merck qui fabrique le vaccin. Lors de son
émission, Lester Holt a montré une image effrayante d’un bébé rempli de
boutons de rougeole. Il s’avère que c’était faux. Il était obligé de
mentir. Il ne s’est jamais excusé. NBC ne s’est jamais excusé. C’est de la désinformation.

Et Lester Holt est là répétant que nous devons arrêter cette
désinformation sur les vaccins alors qu’il est le principal promoteur de
la désinformation.

Cette industrie a été en mesure de neutraliser toutes les
institutions de notre démocratie entre une entreprise avide [de
bénéfices sonnants] et un enfant vulnérable. Comme Del l’a souligné, ce
sont les plus grands lobbyistes de Capitol Hill. Il y a plus de
lobbyistes que de membres du Congrès et de sénateurs réunis. Ils
dépensent le double des lobbies du pétrole et du gaz, quatre fois ce que
la défense et l’aérospatiale dépensent.

Ils dominent le Congrès. C’est la raison pour laquelle celui-ci
n’imposera aucune citation à comparaître au scientifique en chef du CDC,
Bill Thompson, qui affirme nous avoir menti pendant toutes ces années.
Ils ont détruit des données et ils ne l’appelleront pas et ne
l’interrogeront pas.

Ils sont arrivés à désactiver les agences responsables de la
réglementation. Ces agences sont maintenant au service des industries
qu’elles sont censées réglementer. Ils ont réussi à neutraliser les
avocats en rendant illégal le droit de poursuivre une entreprise de
vaccins. Les avocats et les tribunaux ont disparu.

Ils ont été capables de neutraliser la presse et sa capacité
d’enquêter. Maintenant, ils neutralisent Internet. Ils ferment nos sites
pour que nous ne puissions pas parler et que personne n’entende la
vérité. Ainsi, personne ne lit plus la littérature scientifique évaluée
par les pairs. Donc, plus personne n’est confronté à la moindre
question.

Le dernier rempart entre le fabricant de vaccins et le bébé, ce sont
les parents. Et cette industrie avide ne supporte pas cette mère qui va
empêcher son bébé d’être vacciné. Cette mère qui va protéger son enfant
de ces produits qui risquent de rendre le bébé qui grandit dépendant
toute sa vie à l’Adderal [amphétamines], à Epi-Pens [auto-injecteur
d’adrenaline en cas de choc anaphylactique], à la Rilatine, aux
anti-épileptiques et au Prozac, s’ils subissent les conséquences de
cette industrie folle.

Et que disent les démocrates ? Eh bien, il n’existe pas de dommages
causés par le vaccin. C’est une illusion et ces femmes sont hystériques
et elles sont si facilement induites en erreur. Pourtant ces femmes
savent ce qui est arrivé à leur enfant.

Je pense qu’il est grand temps pour le parti démocrate de commencer à
écouter les femmes. Et qu’est-il arrivé au leitmotiv fondamental du
parti démocrate ? Mon corps, mon choix !

Et pourquoi notre parti préconise-t-il la censure ?

Et pourquoi notre parti est-il aux côtés d’une des industries les pires de l’histoire de l’humanité ?

Nous devons récupérer nos enfants. Nous devons récupérer notre pays. Nous devons récupérer notre démocratie. Je vous remercie.

Traduction Evanis

Note du Saker Francophone 

Nous avons  particulièrement apprécié la verve de Kennedy à propos de la folie actuelle autour de la vaccination. Il dénonce des faits et il n'a pas peur car il base son message sur une réalité prouvée scientifiquement et il est entouré de juristes compétents. Il risque pourtant sa vie.



Robert F Kennedy Jr. expose le plan de dictature des vaccins de Bill Gates – cite le «complexe du Messie» tordu de Gates

[Source : MirastNews]

Depuis le compte IG de Robert F Kennedy Jr.

Robert Francis Kennedy Jr. est un avocat états-unien de l’environnement, auteur et opposant de la vaccination. Kennedy est le fils de Robert F. Kennedy et le neveu de l’ancien président John F. Kennedy. Il est président du conseil d’administration de Waterkeeper Alliance, un groupe environnemental à but non lucratif qu’il a aidé à fonder en 1999.

Extrait de la publication Instagram de #RobertFKennedyJr aujourd’hui 9 avril 2020:

#Vaccines, pour #BillGates, est un philanthropie stratégique qui nourrit ses nombreuses entreprises liées aux vaccins (y compris l’ambition de #Microsoft de contrôler une entreprise mondiale d’identification de vac) et lui donne un contrôle dictatorial sur la politique de santé mondiale – la pointe du néo-impérialisme d’entreprise.

L’obsession de Gates pour les vaccins semble alimentée par une conviction messianique qu’il est ordonné de sauver le monde avec la technologie et une volonté divine d’expérimenter la vie de petits humains.

Promettant d’éradiquer la polio avec 1,2 milliard de dollars, Gates a pris le contrôle du National Advisory Board (NAB) de l’Inde et a mandaté 50 vaccins contre la poliomyélite (contre 5 auparavant) pour chaque enfant avant l’âge de 5 ans. Les médecins indiens accusent la campagne Gates d’une souche vaccinale dévastatrice épidémie de polio qui a paralysé 496 000 enfants entre 2000 et 2017. En 2017, le gouvernement indien a rappelé le schéma vaccinal de Gates et expulsé Gates et ses copains du NAB. Les taux de paralysie de la polio ont chuté brutalement. En 2017, l’Organisation mondiale de la santé (OMS) a admis à contrecœur que l’explosion mondiale de la poliomyélite est principalement une souche vaccinale, ce qui signifie qu’elle provient du programme de vaccination de Gates. Les épidémies les plus effrayantes au Congo, aux Philippines et en Afghanistan sont toutes liées aux vaccins de Gates. En 2018, un quart des cas mondiaux de polio provenaient des vaccins de Gates.

En 2014, la #GatesFoundation a financé des tests de vaccins expérimentaux contre le VPH, développés par GSK et Merck, sur 23 000 jeunes filles dans des provinces indiennes éloignées. Environ 1 200 ont souffert d’effets secondaires graves, notamment des troubles auto-immunes et de la fertilité. Sept sont morts. Les enquêtes du gouvernement indien ont accusé les chercheurs financés par Gates d’avoir commis des violations éthiques généralisées: faire pression sur les filles vulnérables du village dans le procès, intimider les parents, falsifier les formulaires de consentement et refuser les soins médicaux aux filles blessées. L’affaire est maintenant devant la Cour suprême du pays.

En 2010, la Fondation Gates a financé un essai d’un vaccin expérimental contre le paludisme de GSK, tuant 151 nourrissons africains et causant de graves effets indésirables, notamment la paralysie, des convulsions et des convulsions fébriles à 1 048 des 5 049 enfants.

Au cours de la campagne Gates 2002 MenAfriVac en Afrique subsaharienne, des agents de Gates ont vacciné de force des milliers d’enfants africains contre la méningite. Entre 50 et 500 enfants ont développé une paralysie. Les journaux sud-africains se sont plaints: «Nous sommes des cobayes pour les fabricants de médicaments».

L’ancien économiste principal de Nelson Mandela, le professeur Patrick Bond, décrit les pratiques philanthropiques de Gates comme «impitoyables» et «immorales».



Bill Gates: La prochaine épidémie? Nous ne sommes pas prêts. Est-il un devin ou connaissait-il le plan diabolique en marche?

En 2010, Gates a engagé 10 milliards de dollars à l’OMS en promettant de réduire la population, en partie, grâce à de nouveaux vaccins. Un mois plus tard, Gates a déclaré à Ted Talk que de nouveaux vaccins «pourraient réduire la population». En 2014, l’Association catholique des médecins du Kenya a accusé l’OMS d’avoir stérilisé chimiquement des millions de femmes kenyanes contre leur gré avec une fausse campagne de vaccination contre le «tétanos».

Des laboratoires indépendants ont trouvé la formule de stérilité dans chaque vaccin testé.

Après avoir nié les accusations, l’OMS a finalement admis qu’elle développait les vaccins contre la stérilité depuis plus d’une décennie.

Des accusations similaires sont venues de Tanzanie, du Nicaragua, du Mexique et des Philippines.

Une étude de 2017 (Morgensen et.Al.2017) a montré que le DTP populaire de l’OMS tue plus en Afrique que la maladie qu’elle prétend prévenir. Les filles vaccinées ont subi 10 fois le taux de mortalité des enfants non vaccinés.

Gates et l’OMS ont refusé de rappeler le vaccin mortel que l’OMS impose à des millions d’enfants africains chaque année.

Les défenseurs mondiaux de la santé publique du monde entier accusent Gates de – détourner l’agenda de l’OMS des projets dont il est prouvé qu’ils freinent les maladies infectieuses; eau potable, hygiène, nutrition et développement économique.

Ils disent qu’il a détourné des ressources de l’agence pour servir son fétiche personnel – que la bonne santé ne vient que dans une seringue.

En plus d’utiliser sa philanthropie pour contrôler l’OMS, l’UNICEF, GAVI et PATH, Gates finance des sociétés pharmaceutiques privées qui fabriquent des vaccins et un vaste réseau de groupes de façade de l’industrie pharmaceutique qui diffusent de la propagande trompeuse, développer des études frauduleuses, mener des opérations de surveillance et des opérations psychologiques contre l’hésitation au vaccin et utiliser le pouvoir et l’argent de Gates pour réduire au silence la dissidence et contraindre à la conformité.

Dans ces récentes apparitions non-stop de Pharmedia, Gates semble joyeux que la crise de Covid-19 lui donnera l’occasion de forcer ses programmes de vaccins du tiers-monde sur les enfants états-uniens.

Traduction : MIRASTNEWS

Source [originale] : FRN




Coronavirus, virus de la soumission

[Source : Russie Politics via Réseau International]

[Auteur : Karine Bechet-Golovko]

New York, octobre 2019, jeu de rôle sur le coronavirus

Un étrange virus semble s’emparer du monde. En comparant avec les dégâts causés par la simple grippe ou la pneumonie (non virale), ce virus corona (coronavirus ou pneumonie virale) venu de Chine, très modeste, provoque une vague politico-médiatique globale totalement disproportionnée. Ses effets économiques et politiques sont effectivement largement au-delà de l’aspect sanitaire. Alors que l’on nous parle d’épidémie mondiale, chaque apparition d’un cas isolé dans les pays euorpéens (et pas dans tous) ou outre-atlantique, provoque une vague médiatique digne de la peste noire. Le discours est à ce point caricatural, que l’on se croirait plongé dans une nouvelle production hollywoodienne, à laquelle se sont pliés la plupart des pays, notamment ceux revendiquant une certaine souveraineté, comme la Russie.

Depuis peu, les médias se sont focalisés sur le nouveau virus chinois, virus corona, forme de pneumonie virale. Dans le monde, environ 20 000 personnes sont touchées et, au 4 février 2020,  l’on déplore 427 morts. La France vient de détecter son dixième cas, bénin. La Belgique a hérité, enfin, de son premier cas, lors du rapatriement de ses ressortissants vivant en Chine. A New-York, 3 patients hospitalisés soupçonnés d’avoir ce virus, mais il faut encore préciser le diagnostic. La Russie a deux Chinois si faiblement infectés, qu’il est impossible de déterminer les marqueurs du virus, que la Chine n’a par ailleurs toujours pas transmis. En février, pour la première fois hors des frontières de la Chine continentale, une personne est morte à Hong Kong et une autre aux Philippines. Nous sommes assez loin de la pandémie …

Qu’il y ait des cas d’infection, cela est incontestable. C’est l’ampleur médiatique donnée à ce virus, qui laisse pantois. Comparons avec ce qui est comparable, à savoir la pneumonie non virale et la grippe.

En 2015, dans le monde 920 000 enfants de moins de 5 ans sont morts de la pneumonie. 920 000. Et si la communauté internationale se décide à ouvrir les yeux et à aider les pays, il suffirait de donner accès à des vaccins qui existent, ce qui est parfaitement réaliste, l’on pourrait baisser la mortalité de cette maladie. Au rythme où l’on avance, les chercheurs estiment à 800 000 le nombre d’enfants de moins de 5 ans morts de pneumonie en 2030. Mais il est vrai que cela ne touche pas l’Europe ou l’Amérique du Nord … Donc, pour la pneumonie, je répète, plus de 900 000 enfants morts par an.

En ce qui concerne la grippe, prenons le cas de la France. Dans l’hiver 2017/2018 par exemple, 13 000 personnes sont mortes de la grippe, dont 93% de personnes de plus de 65 ans. Cette année, depuis novembre, l’on compte déjà 22 morts. Selon les données fournies par l’Agence nationale de santé publique française, dans la semaine du 29 janvier, plus de 5 500 personnes se sont adressées aux urgences pour des problèmes de santé liés à la grippe et 460 ont été hospitalisées. Et 10 cas sans que le diagnostic vital ne soit engagé pour le coronavirus.

Sans qu’il soit nécessaire d’aller plus dans le détail, il est évident que le risque sanitaire découlant du virus corona comparé aux dégâts causés par la pneumonie ou la grippe est absolument minime. Pour autant, la Russie met en place en état-major de lutte contre le virus corona, rien moins de ça, commandé par Golikova, la vice-Premier ministre en charge de la santé; de nombreuses écoles sont fermées à Moscou, malgré le démenti publié dans la presse d’une injonction adoptée en ce sens (je le confirme personnellement); nous avons droit tous les jours au bulletin d’alerte mondial, de plus en plus difficile à remplir, car il ne se passe rien en Russie de notable sauf la prise de mesures dignes d’une guerre bactériologique. Si, une première victime directe est à noter: le Forum économique Sotchi n’aura pas lieu comme prévu, car il y a des étrangers et ces étrangers viennent de pays où il y a quelques cas de virus corona, donc évitons la pandémie. C’est une victime collatérale difficile à déplorer, la démultiplication des messes glonalistes la fera passer inaperçue. La plupart des pays d’Europe et d’Amérique du Nord prennent des mesures draconiennes, des fonds incroyables sont dirigés pour lutter contre ce virus, que l’OMS a déclaré comme danger pour l’humanité. Des images incroyables de l’aéroport de Pékin, vide.

L’économie globalisée est directement touchée, par un virus qui fait moins de victimes que la grippe. Et les ressources étatiques sont mobilisées pour lutter contre cet étrange virus, qui semble surtout permettre de faire le tri dans les pays, de voir dans les faits ce qu’il en est de la souveraineté réelle prétendue et jusqu’où ces pays sont prêts à aller. Pour l’instant, ils semblent prêts à aller très loin. En ce sens, le virus corona ressemble beaucoup au virus de la soumission, ou d’allégeance.

Puisqu’il est impossible aujourd’hui de remettre en cause les dogmes sans être accusé de conspirologie, et que le virus corona est décrété comme rien moins qu’un danger pour l’humanité, mais qu’il devient difficile de prendre au sérieux ce qui ressemble de plus en plus à une hystérie globale, des voix dubitatives commencent à s’élever, certaines allant même immédiatement se couvrir sous le voile (devenu protecteur) de la conspirologie. En effet, alors que la Russie s’est lancée corps et âme dans la machine globaliste de la superproduction hollywoodienne de lutte contre le coronavirus,  la première chaîne fédérale Pervy Kanal, aux infos du soir, a décidé de lancer une série de reportage sremettant en cause la religion proférée à ce sujet (par ailleurs très respectueusement dans le reste du journal), l’indiquant elle-même comme « conspirologique ». Pour les russophones, voir ici (à partir de 22.45) :



Et en effet, des choses surprenantes sont dites. Dans les réseaux
sociaux, l’on a déjà entendu parler de ces laboratoires qui ont
enregistré le virus corona ou des financements de Bill Gates dans
l’industrie pharmaceutique. Immédiatement, la presse s’est lancée dans
une opération de défense du dogme coronarien estampillant ces dissidents sous le sceau de l’infamie, celui de la conspirologie. L’on apprend ainsi
que le virus a bien été utilisé, mais non créé, par les laboratoires
incriminés, notamment dans l’émission en Russie, en revanche la défense
est assez surprenante, elle ressemble surtout à un aveu.

Ainsi, ce brevet et les autres disponibles sur le net existent bien. Les
laboratoires canadiens et autres ont bien des souches de coronavirus
(ou virus corona) qui viennent des anciennes vagues virales, ils
travaillent bien avec ces souches. Mais, ils n’ont pas volontairement
(ou involontairement) contribué à sa propagation. Ca, en effet, ce n’est
pas prouvé.

En revanche, l’émission russe donne une information qui surprend. Un jeu
de rôles. Mais pas un simple jeu de rôles. Un jeu de rôles avec des
représentants de l’establishment global sur le thème de la lutte contre
une épidémie mondiale du virus corona a été organisé en octobre 2019 à
New York, deux mois avant le véritable départ du coronavirus. Parmi les
participants, l’on compte des représentants de l’ONU, des
transnationales, de l’industrie pharmaceutique, de la Banque mondiale,
de l’Administration américaine et d’autres personnalités importantes du
monde global.

Dans tous les cas, les effets de ce virus corona sont très intéressants.
Les frontières se ferment sur commande, indépendamment des guerres ou
des épidémies réelles; sur commande, les ressources étatiques sont
réorientées pour combattre un mal moins dangereux que les maladies
existantes, dans le monde réel; toutes les ressources médiatiques sont
dirigées dans le même sens, quel que soit le pays; des régions de pays
se trouvent coupées (en Chine, mais aussi la Russie pense isoler une
région). Et les Etats se plient, obéissent, jouent le jeu, s’alignent.
Ils ont fait allégeance à un commandement global, diffus et quasiment
impossible à géographiquement localiser. Ils furent contaminés par le
virus. C’est effectivement une pandémie géopolitique.