Coronavirus, fausse couronne pour vraie dictature

[Source : Média-Presse Info]

par MICHELE MARIE

Dans le battage médiatique qui avait suivi l’éruption du virus de Wuhan en janvier dernier, et le cafouillage créé par ses multiples désignations, l’on nous avait dûment expliqué que le coronavirus était une grande famille de pathogènes dont pas moins de sept générations avaient été identifiées depuis 1960. D’où l’appellation de “nouveau coronavirus” (novel coronavirus en anglais) pour désigner le dernier héritier de la “Couronne”.

Deux autres variantes de cette appellation furent mises en circulation: 2019-nCoV suivie, un mois plus tard, de COVID-19, sans que l’on sache trop pourquoi. Que signifiait toute cette confusion ?

Un article publié sur le site MedecineNet accréditait l’équivalence des trois termes en les utilisant de manière interchangeable dans son intitulé:

Facts you should know about COVID-19 (2019 novel coronavirus, 2019-nCoV, Wuhan coronavirus)

[Choses à savoir au sujet de COVID-19 (nouveau coronavirus 2019, 2019 n- CoV, coronavirus de Wuhan].

En cliquant sur le lien COVID-19, on trouvait cette explication :

“Le 7 janvier 2020, les autorités sanitaires chinoises ont annoncé qu’elles avaient isolé le virus se propageant à Wuhan. Ce nouveau coronavirus a été nomméinitialement 2019-nCoV et a également été appelé coronavirus de Wuhan parceque les premières personnes infectées venaient de la ville de Wuhan, dans laprovince de Hubei en Chine. Le 11 février 2020, la maladie a été officiellement baptisée COVID-19”.

Rien sur le pourquoi de ce dernier changement d’appellation, ni sur la justification du nombre 19. Etait-ce un clin d’oeil au millésime de ce dernier cru du coronavirus? C’était pourtant en 2020 et non pas en 2019 que le virus avait officiellement été isolé.

Un article paru le 11 février 2020 sur le site du journal Forbes titrait: “Coronavirus Gets A New Name: COVID-19. Here’s Why That Is …” [Le coronavirus reçoit un nouveau nom : COVID-19. Voici pourquoi c’est important]

Selon Forbes, ce nouveau nom avait été choisi par l’OMS pour éviter le stigma et le “racisme” inhérents à la désignation de “virus de Wuhan”. Cette explication de nature idéologique, était confirmée par un tweet du Directeur de l’OMS qui présentait le sigle de COVID comme étant la contraction de Co-rona, Vi-rus et D-isease [maladie]. Il laissait cependant subsister une interrogation sur la datation de ce virus.

Mais l’interrogation n’est bien sûr que de pure forme pour qui connait la longue gestation de cette pandémie surgie en janvier 2020 mais “prédite” de longue date par les pourvoyeurs en chef des vaccins de la planète. Le 29 janvier 2010, Bill et Melinda Gates avaient déclaré à Davos que la prochaine décennie devait être celle des vaccins, annonçant leur contribution de 10 milliards de dollars à cet effet.

Quelques années plus tard, en 2015, Bill Gates déclarait lors d’une conférence TED, que le monde devait se préparer à la prochaine pandémie contre laquelle il n’était absolument pas prémuni. “La plus grave menace à l’humanité ne sera pas nucléaire, mais biologique”, avait-il averti, “les pandémies causeront des millions de morts, nous aurons besoin de deployer l’OTAN et de vacciner les populations”.

En 2018, il confiait à Business Insider qu’une pandémie s’annonçait, qui pourrait bien tuer 30 millions de personnes en 6 mois, et qu’il fallait s’y préparer comme pour une guerre. Cela semble familier ?

Le 18 octobre 2019, la Fondation Bill et Melinda Gates, le Forum économique mondial et le Centre John Hopkins pour la sécurité sanitaire avaient organisé à New York la simulation d’une pandémie, au cours de Event 201, qui présentait des ressemblances troublantes avec la pandémie du coronavirus qui devait se déclencher 3 mois plus tard. De petites peluches en forme de coronavirus avaient même été distribuées aux participants !

Enfin, le 8 avril dernier, dans une interview accordée au Financial Times au sujet de la vaccination contre le Covid-19, Gates avait martelé :” Mais vous n’avez pas le choix ! Certains pays, surtout les plus riches, seront peut-être en mesure de rouvrir leur économie si tout se passe bien dans le courant des prochains mois mais, globalement, la vie ne reprendra son cours normal que lorsque la population mondiale aura été entièrement vaccinée.”

Bill Gates a du reste laissé échapper l’objectif final de cette vaccination à l’échelle planétaire : l’asservissement de l’humanité. Selon les propres mots de ce malade de contrôle :

“A terme, nous aurons des certificats numériques pour montrer qui s’est rétabli ou qui a été testé récemment et, quand nous avons un vaccin, qui l’a reçu”.

Nous savons par ailleurs que la Fondation Bill et Melinda Gates finance entre autres choses un projet de puçage numérique sur lequel travaille en ce moment le MIT (Massachusetts Institute of Technology. Il s’agira des certificats numériques de la deuxième génération. Au prétexte de nous protéger contre divers agents pathogènes, on essaie donc de nous parquer comme du bétail et de nous marquer du signe de la Bête.

En France, un projet de loi sur la traçabilité numérique sera discuté à l’Assemblée le 28 avril, puis suivi d’un vote.

Hier, le maire démocrate de New York, Andrew Cuomo, réclamait sur le ton de l’urgence la constitution à l’échelle nationale « d’une armée de “traceurs de contacts” composée d’au moins 100.000 professionnels provenant de divers champs d’activité, détectives, personnel soignant, etc , pour pister les gens ayant été en contact avec des personnes contaminées et les isoler aux fins de l’eradication du virus”.

COVID-19

C = Certificat
O = Of
V = Vaccination
ID = Identification
1 = A (1ère lettre alphabet) = Artifical
9 = I (9ème lettre alphabet) = Intelligence

= Certificat Of Vaccination Identification by
Artificial Intelligence

Encore besoin d’explications…?!

#ProjetDeVaccinationMondiale #Puçage
#Traçage #IntelligenceArtificielle #Eugénisme

etc…

Il y a deux jours, le tweet ci-dessus circulait sur les réseaux sociaux. Que COV soit la contraction de Co-rona Vi-rus D-isease ou de C-ertificate O-f V-accination, peu importe puisqu’en fin de compte les deux se rejoignent. Par ailleurs, les élites mondialistes occultistes se montrent souvent friandes de numérologie.




Robert F. Kennedy Jr dénonce les catastrophes sanitaires engendrées par les vaccins de Bill Gates

[Source : Médias-Presse.Info]

par Pierre-Alain Depauw

Voici la traduction d’une tribune rédigée par Robert F. Kennedy Jr., président de l’ONG Défense de la santé des enfants.

Agenda mondial des vaccins de Gates : un gagnant-gagnant pour l’industrie pharmaceutique et la vaccination obligatoire

Les vaccins, pour Bill Gates, sont une philanthropie stratégique qui alimente ses nombreuses activités liées aux vaccins (y compris l’ambition de Microsoft de contrôler une entreprise mondiale d’identification vaccinale) et lui donne un contrôle dictatorial de la politique de santé mondiale.

L’obsession de Gates pour les vaccins semble être alimentée par la conviction de sauver le monde avec la technologie.

Promettant sa part de 450 millions de dollars sur 1,2 milliard de dollars pour éradiquer la polio, Gates a pris le contrôle du Groupe consultatif technique national indien sur la vaccination (NTAGI), qui a prescrit jusqu’à 50 doses de vaccins contre la polio par le biais de programmes de vaccination se chevauchant pour les enfants avant l’âge de cinq ans. Les médecins indiens accusent la campagne Gates d’être à l’origine d’une épidémie dévastatrice de paralysie flasque aiguë non-polio (NPAFP) qui a paralysé 490 000 enfants au-delà des taux attendus entre 2000 et 2017. En 2017, le gouvernement indien a rappelé le schéma vaccinal de Gates et a demandé à Gates et à ses politiques de vaccination de quitter l’Inde. Les taux de NPAFP ont chuté brusquement.

Les épidémies [de polio] les plus effrayantes au Congo, en Afghanistan et aux Philippines sont toutes liées aux vaccins.
En 2017, l’Organisation mondiale de la santé (OMS) a admis à contrecœur que l’explosion mondiale de la polio est principalement une souche vaccinale. Les épidémies les plus effrayantes au Congo, en Afghanistan et aux Philippines sont toutes liées aux vaccins. En fait, en 2018, 70% des cas mondiaux de poliomyélite étaient des souches vaccinales.

En 2014, la Fondation Gates a financé des tests de vaccins expérimentaux contre le VPH, développés par Glaxo Smith Kline (GSK) et Merck, sur 23 000 jeunes filles dans des provinces indiennes éloignées. Environ 1 200 ont souffert d’effets secondaires graves, notamment des troubles auto-immunes et de la fertilité. Sept sont mortes. Les enquêtes du gouvernement indien ont accusé les chercheurs financés par Gates d’avoir commis des violations éthiques généralisées: faire pression sur les filles vulnérables durant le procès, intimider les parents, falsifier les formulaires de consentement et refuser les soins médicaux aux filles blessées. L’affaire est maintenant devant la Cour suprême du pays.

Les journaux sud-africains se sont plaints: «Nous sommes des cobayes pour les fabricants de médicaments»
En 2010, la Fondation Gates a financé un essai de phase 3 du vaccin expérimental contre le paludisme de GSK, tuant 151 nourrissons africains et causant des effets indésirables graves, notamment des paralysies, des convulsions et des convulsions fébriles, à 1 048 des 5 949 enfants.

Pendant la campagne MenAfriVac de Gates en 2002 en Afrique subsaharienne, les agents de Gates ont vacciné de force des milliers d’enfants africains contre la méningite. Des dizaines d’enfants vaccinés ont développé une paralysie. Les journaux sud-africains se sont plaints: «Nous sommes des cobayes pour les fabricants de médicaments». L’ancien économiste principal de Nelson Mandela, le professeur Patrick Bond, décrit les pratiques philanthropiques de Gates comme «impitoyables et immorales».

En 2010, lorsque Gates a engagé 10 milliards de dollars pour l’OMS, il a déclaré: «Nous devons en faire la décennie des vaccins.» Un mois plus tard, Gates a déclaré dans un TED Talk que les nouveaux vaccins «pourraient réduire la population». Et, quatre ans plus tard, en 2014, l’Association des médecins catholiques du Kenya a accusé l’OMS d’avoir stérilisé chimiquement des millions de femmes kenyanes réticentes avec une campagne de vaccination contre le «tétanos». Des laboratoires indépendants ont trouvé une formule de stérilité dans chaque vaccin testé. Des accusations similaires sont venues de Tanzanie, du Nicaragua, du Mexique et des Philippines.

Une étude de 2017 (Morgenson et al. 2017) a montré que le vaccin DTP populaire de l’OMS tue plus d’enfants africains que les maladies qu’il prévient. Les filles vaccinées au DTC ont subi 10 fois le taux de mortalité des enfants qui n’avaient pas encore reçu le vaccin. L’OMS a refusé de rappeler le vaccin mortel, qu’elle impose à des dizaines de millions d’enfants africains chaque année.

Des défenseurs mondiaux de la santé publique dans le monde entier accusent Gates de détourner l’agenda de l’OMS des projets dont il est prouvé qu’ils freinent les maladies infectieuses: eau potable, hygiène, nutrition et développement économique. La Fondation Gates dépense seulement environ 650 millions de dollars sur son budget de 5 milliards de dollars dans ces domaines. Ils disent qu’il a détourné les ressources de l’agence pour servir sa philosophie personnelle selon laquelle une bonne santé ne vient que dans une seringue.

En plus d’utiliser sa philanthropie pour contrôler l’OMS, l’UNICEF, GAVI et PATH, Gates finance une société pharmaceutique privée qui fabrique des vaccins et fait un don de 50 millions de dollars à 12 sociétés pharmaceutiques pour accélérer le développement d’un vaccin contre le coronavirus. Dans ses récentes apparitions dans les médias, Gates semble confiant que la crise de Covid-19 lui donnera maintenant l’occasion de forcer ses programmes de vaccins dictatoriaux sur tous les enfants américains – et les adultes.




Ce que nous dit Bill Gates en ce 30 avril 2020 concernant la vaccination mondiale

[Source : Conscience du peuple]

*Voici une publication envoyée à l’instant par Bill Gates, via ses « Gates Notes », à l’intérieur de laquelle il se targue lui-même d’être le plus grand bailleur de fonds au monde pour les vaccins. De suivre attentivement les recommandations et ambitions de Bill Gates nous donne, je crois, une réelle perspective des visées de cette crise de la COVID-19. Assurément, la vaccination à l’échelle planétaire est à l’agenda !

Je traduis certains passages qui m’apparaissent parmi les plus révélateurs à propos de « cette crise mondiale qui exige un effort de coopération mondial »…


« L’une des questions que l’on me pose le plus ces jours-ci est de savoir quand le monde pourra revenir à la situation en décembre avant la pandémie de coronavirus. Ma réponse est toujours la même : quand nous aurons un médicament presque parfait pour traiter la COVID-19, ou quand presque chaque personne sur la planète aura été vaccinée contre le coronavirus.

Il est peu probable que le premier [le médicament] se produise de si tôt. Nous aurions besoin d’un traitement miracle efficace à 95 % au moins pour arrêter l’épidémie. La plupart des candidats-médicaments en ce moment sont loin d’être aussi puissants. Ils pourraient sauver beaucoup de vies, mais ils ne sont pas suffisants pour nous ramener à la normale.

👉 Ce qui nous laisse avec un vaccin.

L’humanité n’a jamais eu une tâche plus urgente que de créer une large immunité contre les coronavirus. En réalité, si nous voulons revenir à la normale, nous devons développer un vaccin sûr et efficace. Nous devons fabriquer des milliards de doses, nous devons les distribuer dans toutes les parties du monde et nous devons faire en sorte que tout cela se produise le plus rapidement possible.

Notre fondation est le plus grand bailleur de fonds de vaccins au monde, et cet effort éclipse tout ce sur quoi nous avons travaillé auparavant. 👉 Cela va exiger un effort de coopération mondial comme le monde n’en a jamais vu. Mais je sais que ça va se faire. Il n’y a tout simplement pas d’alternative.

[Voici ce que vous devez savoir sur la course pour créer un vaccin contre la COVID-19.

Le monde crée ce vaccin sur une chronologie historiquement rapide.]

Ainsi, pour accélérer le processus, les développeurs de vaccins compressent la chronologie. Ce graphique [en anglais] montre comment :

[Cette déclaration résonne avec les efforts d’accélération de développement d’un vaccin aux USA, programme qui a été révélé avant-hier].

Heureusement, la compression de la chronologie d’essai n’est pas le seul moyen de prendre un processus qui prend généralement cinq ans et de le faire en 18 mois. Nous allons également le faire en testant de nombreuses approches différentes en même temps.

En date du 9 avril, il y avait 115 candidats vaccins différents contre la COVID-19 dans le pipeline de développement.

C’est pourquoi je suis particulièrement excité par deux nouvelles approches que certains candidats adoptent : les vaccins ARN et ADN. Si l’une de ces nouvelles approches se concrétise, nous serons probablement en mesure de distribuer les vaccins au monde entier beaucoup plus rapidement. (Par souci de simplicité, je ne vais expliquer que les vaccins à ARN. Les vaccins à ADN sont similaires, juste avec un type de matériel génétique et une méthode d’administration différents).

👉 Notre fondation — à la fois par notre propre financement et par le CEPI — soutient le développement d’une plate-forme de vaccin à ARN depuis près d’une décennie. Nous avions prévu de l’utiliser pour fabriquer des vaccins contre les maladies qui affectent les pauvres comme le paludisme, mais maintenant cela ressemble à l’une des options les plus prometteuses contre la COVID. Le premier candidat à commencer des essais sur l’homme était un vaccin à ARN créé par une société appelée Moderna.

[Lien vers le candidat-vaccin de Moderna]
https://www.marketwatch.com/story/modernas-coronavirus-vaccine-candidate-advances-to-next-stage-of-testing-2020-04-27

Le vaccin contre la variole est le seul vaccin qui a effacé une maladie entière de la surface de la Terre, mais il a également été assez brutal à recevoir. 👉 Il a laissé une cicatrice sur le bras de quiconque l’a obtenu. Une personne sur trois a eu des effets secondaires suffisamment graves pour les empêcher de retourner à l’école ou au travail. Un petit nombre (mais non négligeable) a développé des réactions plus graves.

👉 Le vaccin contre la variole était loin d’être parfait, mais il a fait l’affaire. Le vaccin COVID-19 pourrait être similaire.

Si nous concevions le vaccin parfait, nous voudrions qu’il soit complètement sûr et efficace à 100 %. Ce doit être une dose unique qui vous offre une protection à vie, et il doit être facile à stocker et à transporter. 🚨 J’espère que le vaccin COVID-19 possède toutes ces qualités, mais étant donné le calendrier que nous suivons, il se peut que ce ne soit pas le cas.

👉 J’espère que le vaccin dont nous disposerons dans 18 mois est aussi proche de « parfait » que possible. Même si ce n’est pas le cas, nous continuerons à travailler pour l’améliorer. Après cela, je soupçonne que le vaccin COVID-19 fera partie du programme de vaccination systématique des nouveau-nés.

Cela coûtera des milliards de dollars. Les gouvernements doivent trouver rapidement un mécanisme pour rendre le financement disponible. Notre fondation travaille actuellement avec le CEPI, l’OMS et les gouvernements pour déterminer le financement.

Une partie de ces discussions porte sur qui recevra le vaccin et quand. La réalité est que tout le monde ne pourra pas recevoir le vaccin en même temps. Il faudra des mois, voire des années, pour créer 7 milliards de doses (ou peut-être 14 milliards, s’il s’agit d’un vaccin multidose), et nous devrions commencer à les distribuer dès que le premier lot sera prêt.
La plupart des gens conviennent que les agents de santé devraient recevoir le vaccin en premier. Mais qui l’obtient ensuite ? Les personnes plus âgées ? Enseignants ? Des travailleurs dans des emplois essentiels ?

C’est peut-être un peu difficile à voir en ce moment, mais il y a une lumière au bout du tunnel. Nous faisons les bonnes choses pour obtenir un vaccin le plus rapidement possible. En attendant, je vous exhorte à continuer de suivre les directives fixées par vos autorités locales. Notre capacité à surmonter cette épidémie dépendra de la contribution de chacun à la sécurité mutuelle. »




Confinement : pourquoi l’accès à la nature est tout simplement vital

[Source : Science et Vie]

Confinement : pourquoi l’accès à la nature est tout simplement vital © Christophe Lehenaff/Getty
Le premier mai, très peu de personnes ont pu aller cueillir du muguet dans les bois.

Pour les citadins coupés de la nature, l’impact du confinement est néfaste sur le plan social et psychologique. Un collectif de chercheurs appelle à rouvrir les parcs et jardins.

Le 12 mars 2020, dans une adresse solennelle aux Français, Emmanuel Macron annonçait la mise en place de mesures exceptionnelles destinées à freiner le développement de la pandémie du Covid-19. Des mesures précisées dans une nouvelle intervention présidentielle, quelques jours plus tard.

Ce confinement généralisé dure depuis maintenant plus de 40 jours et l’impossibilité d’accéder à la nature se fait de plus en plus pénible pour les populations confinées. Ce vendredi 1er mai, journée traditionnelle de recherche du muguet et de sortie dans la nature et les espaces verts de proximité, risque d’être particulièrement difficile à vivre pour certains.

La faune et la flore, bien présentes et visibles

Confinement, restriction des contacts et de la circulation (limitée à un rayon d’un kilomètre autour du domicile) entraînent une réduction très nette de la présence humaine dans l’espace public.

Cela permet aux espèces sauvages de sortir de leur propre confinement – habituel, lui – et d’avoir une présence plus importante, et surtout plus visible, dans les espaces habituellement monopolisés par l’espèce humaine. Les oiseaux, en pleine période de reproduction, peuvent par exemple exploiter de nouveaux sites, plus proches de leurs nids, pour nourrir leurs jeunes.

Cette sortie des territoires habituels est parfois motivée par la recherche effrénée de nourriture (les déchets pouvant faire l’affaire) qui n’est plus distribuée ou disponible dans les espaces désertés par les populations humaines. C’est ce que l’on a pu observer avec les cerfs sikas à Nara (Japon), des singes à Lopburi (Thaïlande) ou encore des coyotes à San Francisco (États-Unis).

L’entretien moindre des espaces favorise également le déploiement de la végétation. Dans les parcs et squares, des herbes hautes se frayent un chemin à travers les grilles, des bosquets de plantes généralement arrachées (orties, chardon, etc.) se forment. Parallèlement, la nature s’immisce dans les espaces publics : pieds d’arbres enherbés, jardins d’agréments foisonnants, plantes sauvages dans les failles de bitume et aux abords des immeubles…

Herbes expressives au pied d’un arbre. S. Muller/MNHN, CC BY-NC-ND

Un confinement intensifié par le manque de nature

Si ce temps inédit du confinement est donc propice au déconfinement d’espèces animales et à une végétation plus généreuse, il a en revanche des effets sociétaux et psychologiques non négligeables sur nous, en privant les individus d’une relation restauratrice aux espaces naturels.

Suite de la décision de confiner la population, la ville de Paris a décidé, dès le 16 mars, la fermeture au public des parcs et squares. Elle a été rapidement suivie par des arrêtés identiques dans la plupart des autres villes françaises.

Or les parcs et jardins sont autant d’espaces publics vitaux au cœur des villes. Ils constituent le patrimoine collectif de nature de nombreux citadins qui n’en possèdent pas personnellement. Pour ces derniers, c’est la double peine : enfermés dans de petits espaces domestiques et privés d’accès au peu de nature collective disponible en ville. La fermeture des parcs et des squares renforce ainsi les inégalités. Les classes les plus aisées sont nombreuses à être parties se « confiner » à la campagne, dans leurs résidences secondaires, tandis que les classes populaires restent captives de la « ville dense ».

La fermeture des parcs, jardins et squares restreint d’autant plus les espaces disponibles pour la promenade, le jeu, l’aération et la contemplation, qui sont alors limitées aux rues et à leur végétalisation souvent bien restreinte.

Le parc Montsouris (Paris, XIVᵉ) déserté. S. Muller/MNHN, CC BY-NC-ND

L’accès à la nature, essentiel au bien-être individuel et social

Les implications d’une déconnexion grandissante avec la nature, ses conséquences sur le bien-être individuel et les liens sociaux ont été clairement établies, notamment en psychologie environnementale et de la conservation.

Le confinement, alors même que le printemps fait renaître les élans vitaux, aggrave une telle déconnexion : l’impossibilité d’accès aux espaces de nature accentue le ressenti de la minéralité de nos environnements urbains.

On le sait, les bénéfices de la nature sont multiples, que ce soit pour la biodiversité ou l’adaptation au changement climatique des villes. La nature offre aussi une filiation avec le monde sensible, par les sensations et les sentiments qu’elle favorise, les imaginaires qu’elle suscite.

La littérature scientifique est également bien documentée pour souligner tous les bénéfices psychologiques de la nature sur notre bien-être ; elle nous offre de précieuses ressources pour réduire les stress urbains en favorisant les ressources adaptatives des individus et en concourant au recouvrement de leurs réserves cognitives et émotionnelles.

Dans ce champ, les travaux de Rachel et Stephen Kaplan, professeurs de psychologie environnementale à l’université du Michigan (États-Unis), explorent depuis les années 1980 les effets restaurateurs du contact avec les environnements et éléments naturels – parcs, forêts, jardins, lacs, mais aussi des arbres ou plantes d’intérieurs. Plus particulièrement, ils étudient la « restauration attentionnelle » – une fonction cognitive essentielle. Les stress du quotidien, la fatigue cognitive, etc., atténuent notre capacité attentionnelle et les conséquences sont importantes puisqu’elles s’accompagnent de la baisse des performances et d’une difficulté à résoudre des problèmes, à inhiber les pulsions, etc.

Les travaux des Kaplan montrent ainsi que la contemplation de la nature offre un moyen de rendre temporairement inutile le déploiement de l’attention soutenue, dirigée ou sélective, et donc de lui permettre de prendre du repos. Cette restauration est permise par le processus de fascination douce qui favorise la réflexion et permet de soutenir l’attention sans effort. La psychologue sociale Barbara Bonnefoy décrit ce phénomène comme une fonction contemplative, non captivante : regarder la neige tomber, les arbres, écouter le chant des oiseaux, sentir des plantes, se sentir connecté au vivant qui nous entoure…

Si la connexion avec des éléments naturels agit sur nos affects et nos comportements et apporte un temps de repos et une mise à distance des sources de stress, sa privation liée au confinement s’accompagne de difficultés, voire d’impossibilités, de se ressourcer, de ressentir et contrôler des émotions, d’apaiser notre stress.

Souffrances et désordres psychiques sont des menaces qui pourraient être évités pendant le confinement grâce à des expériences, voire des micro-expériences, restauratives de nature.

Jardins familiaux à Marseille. J.N. Consales/AMU, CC BY-NC-ND

Pour une réouverture au public des espaces naturels

Une pétition a ainsi été lancée il y a quelques jours pour solliciter l’autorisation d’accès aux espaces naturels pendant le confinement. De même, la fermeture des jardins potagers collectifs et familiaux a soulevé une forte opposition.

À cet égard, le traitement différencié de la fermeture de ces potagers urbains (d’une région à l’autre, voire d’une ville à l’autre), interpelle les jardiniers qui considèrent qu’en plus d’être des espaces de nature, leurs parcelles relèvent de l’accès à des produits de première nécessité.

La fermeture des parcs et jardins en ville suscite également des questionnements de la part des promeneurs et amoureux des espaces verts. Ne révèle-t-elle pas, en creux, leur nombre trop faible et leur superficie insuffisante pour répondre aux besoins des citadins ? L’Observatoire des villes vertes de France révèle à ce titre des différences très marquées entre agglomérations.

Des mesures de distanciation et de restriction des usages ont été rapidement mises en place dans les commerces. Ne serait-il pas envisageable, de la même manière, d’expérimenter des systèmes de contrôle d’entrée dans les parcs des grandes villes (en général fermés de grilles) afin d’en autoriser l’accès et l’usage moyennant des comportements barrières et un partage de l’espace disponible ?

Il y a aussi sans doute une vraie réflexion à mener sur la conception et l’organisation des parcs et de leurs cheminements pour offrir des espaces d’aération, de promenade et de récréation indispensables au bien-être des populations citadines voisines, quel que soit le contexte.

Les propos du Premier ministre à l’Assemblée nationale, ce mardi 28 avril, ont pris en compte cette demande de réouverture des parcs urbains pour les régions les moins touchées par la pandémie. Mais le problème reste entier pour les autres…

De manière plus générale, ce confinement devrait nous inciter à développer un urbanisme plus écologique, se traduisant par une nouvelle alliance entre la ville et la biodiversité. Pour le bien-être de tous.


[Auteurs :] Serge Muller, Professeur, chercheur à l’Institut de systématique, évolution, biodiversité (UMR 7205 ISYEB, CNRS, MNHN, SU, EPHE), Muséum national d’histoire naturelle (MNHN);
Dorothée Marchand, Chercheure en psychologie environnementale, Centre scientifique et technique du bâtiment, Université Paris-Est Créteil Val de Marne (UPEC);
Emeline Bailly, Chercheure en urbanisme, Centre scientifique et technique du bâtiment, Université Paris-Est Créteil Val de Marne (UPEC);
Jean-Noël Consales, Maître de conférences en aménagement du territoire, urbanisme et géographie, Aix-Marseille Université (AMU);
Philippe Clergeau, Professeur en écologie urbaine, Muséum national d’histoire naturelle (MNHN)
et Xavier Bonnaud, Architecte, docteur en urbanisme, École d’architecture de Paris la Villette, École polytechnique


Cet article est republié à partir de The Conversation sous licence Creative Commons. Lire l’article original.




Covid19 : confinement policier belge inefficace versus liberté hollandaise gagnante

[Source : Agora Vox]

par delepine (son site)

JPEG

 Covid19 : confinement policier belge inefficace versus liberté hollandaise gagnante

Par Dr G Delépine chirurgien, statisticien

Cet article écrit le 30/4 s’appuie sur les données de l’OMS publiées le 29/4[1]

Dans cet article, le plus factuel possible, nous examinons l’évolution de l’incidence et de la mortalité dans deux pays voisins, très proches par leur mode de vie, mais qui ont adopté des mesures sanitaires différentes : la Belgique et les Pays-Bas.

La Belgique a adopté dès le 17 mars un confinement policier brutal à la française :

  • interdiction de circuler sauf en cas de nécessité et pour des raisons urgentes
  • interdiction de réunion de plus de 2 personnes
  • interdiction de se rendre dans sa résidence secondaire
  • fermeture des écoles collèges, lycées et universités
  • fermeture de toutes les entreprises non essentielles
  • lourdes amendes pour les contrevenants

Les Pays-Bas ont toujours défendu les libertés

 Ils ont appliqué un minimum de mesures sanitaires obligatoires (fermeture des musées, salles de sport, bars, sexe-clubs, maisons closes et coffee shop et quarantaine individuelle volontaire en cas d’infection).

 Ils ont fait confiance à leur peuple pour respecter les mesures conseillées. Ainsi, les Néerlandais peuvent circuler librement, mais sont incités à respecter une distance d’un mètre et demi entre eux et à éviter de se rassembler.

Bilan au quarantième jour

Après quarante jours de confinement belge et du non-confinement néerlandais, les chiffres publiés par l’OMS permettent de comparer l’efficacité sanitaire des mesures adoptées en se basant sur l’évolution de la prévalence (nombre de contaminés/million d’habitants) et la mortalité (nombre de morts/million d’habitants).

La veille du confinement, le 16 mars la mortalité en Belgique était plus faible (0,43) qu’aux Pays-Bas (1,17) et cette différence a persisté pendant les 15 premiers jours du confinement.

 A partir du moment où le confinement a produit ses effets, la prévalence de l’infection et la mortalité ont fortement augmenté en Belgique, tandis qu’elles augmentaient beaucoup plus lentement chez leur voisin néerlandais.

Après 18 jours de confinement (5 avril), la prévalence de l’infection en Belgique dépassait de 60% celle des Pays-Bas (1590 vs 970) et la mortalité 15% (111 vs 96).

Après 30 jours de confinement (19 avril), la prévalence de l’infection en Belgique dépassait de 74% celle des Pays-Bas (3208 vs 1844) et la mortalité 124% (470 vs 210).

Après 43 jours de confinement (29 avril 2020), la prévalence de l’infection en Belgique dépasse de 82% celle des Pays-Bas (4084 vs 2243), et le surrisque de mortalité belge atteint 137% (633 vs 267).

Echec belge

Le confinement autoritaire belge se révèle donc comme une mesure particulièrement néfaste, tant pour le contrôle de l’épidémie, que de la prévention du risque de mortalité transformant ce qui devait être une banale épidémie en véritable catastrophe sanitaire, sociale et économique majeure.

 Le confinement général est une tragédie sur tous les plans

Les médias cachent les résultats de l’étranger, mais la vérité est têtue et les chiffres indiscutables : les pays qui ont le mieux réagi à l’épidémie ont pris pour l’essentiel des mesures opposées à celles imposées en France et en Belgique. Ils ont ainsi obtenu des taux de mortalité par million d’habitants de loin inférieurs au nôtre, allant de 100 fois moins (Japon, Singapour) à 5 fois moins chez nos voisins autrichiens et allemands.

Cette catastrophe sanitaire est aux antipodes de la propagande de tous les médias qui veut nous convaincre que l’astreinte à domicile avec surveillance policière a sauvé des vies et qu’elle représentait la seule solution possible.

Nous n’avons pas pris les bonnes mesures sanitaires tout en causant des dégâts psychologiques, économiques et sociaux incommensurables, sans aucune utilité réelle face à cette épidémie.

La liberté est plus efficace que l’autoritarisme ! Le confinement doit cesser sans plus attendre.


[1] Covid 19 situation report 100




Tucker Carlson : les mesures de confinement sont-elles efficaces ?

[Source : Sott.net]

Tucker Carlson – Fox News

mer., 29 avr. 2020



Transcription / traduction :

Tucker Carlson : Dans un briefing de 50 minutes, le médecin et chercheur californien Dan Erickson et son collègue font le point sur les derniers chiffres en Californie.

Leur vidéo a reçu des millions de vues en quelques jours. Pour résumer, après avoir examiné attentivement les données, ces deux chercheurs sont arrivés à la conclusion que la Californie devait mettre fin au confinement.

Dr Dan Erickson :

Nous avons 1227 décès en Californie, avec un taux de contamination potentielle de 4,7 millions. Cela signifie que vous avez 0,03% de risque de mourir du COVID-19 dans l’État de Californie. 0,03%. Cela justifie-t-il le confinement ? Cela justifie-t-il de verrouiller le système médical ? Cela justifie-t-il de mettre les gens au chômage ?

Tucker Carlson : Il s’agit de gens sérieux qui font ce boulot depuis des décennies. Ils ont entre leurs mains les données les plus larges actuellement disponibles sur le sujet.

La question qu’ils posent après avoir analysé tous ces chiffres est : les mesures de confinement valent-elles la peine ? Quelle est la réponse à cette question ?

Ce qui est frappant, c’est de voir que de nombreux politiciens, ceux qui imposent le confinement, ne semblent pas intéressés par cette question. Ils font comme si de rien n’était.

Aujourd’hui, la région de la baie de San Francisco a annoncé qu’elle prolongerait le confinement jusqu’à la fin du mois de mai. C’est-à-dire dans 5 semaines. Quelle est la justification scientifique d’une telle mesure ? Ils ne nous le disent pas, parce qu’il n’y en a aucune. Aucune.

Vous vous rappellerez peut-être ce qu’ils nous ont dit en février et en mars : qu’il fallait prendre des mesures radicales afin d’« aplanir la courbe ». Six semaines plus tard, nous sommes heureux d’annoncer que la courbe a été aplanie, mais ce n’est probablement pas à cause du confinement. Le virus n’est pas aussi mortel que nous le pensions tous, y compris dans cette émisssion. Nous le croyions tous, mais il s’est avéré que ce n’était pas le cas. Les hôpitaux ne se sont jamais effondrés, si ce n’est dans une minorité de localités. Ils n’ont jamais été au bord de l’effondrement. En tout cas, pas à cause d’un afflux de patients infectés.

À la place, quelque chose d’incroyable s’est produit, quelque chose d’extraordinaire, sans précédent dans l’Histoire américaine : c’est le contraire qui s’est produit. En raison du confinement, des hôpitaux ont commencé à s’effondrer. Pourquoi ? À cause du manque de patients.
Des politiciens qui n’ont même pas le niveau 3e en biologie ont décidé que les médecins en activité ne devraient pas être autorisés à évaluer les risques de transmission du virus. « Ils ne sont tout bonnement pas qualifiés, disent-ils. Contrairement à nous ! »
Ces politiciens ont banni les procédures médicales jugées non essentielles, alors que nombre d’entre elles le sont.

Le résultat de cette mesure : dans de nombreux hôpitaux, des services entiers sont à l’arrêt, des médecins et des infirmières sont au chômage technique, en pleine pandémie.

C’est de la folie, ça affaiblit notre système de santé. Les effets perdureront de nombreuses années. Tout ça à cause du confinement.

Alors combien de temps devrons-nous vivre confinés ?

Ce mois-ci, le Dr Anthony Fauci, que la loi nous oblige à respecter quoi qu’il puisse raconter, a laissé entendre que nous pourrions ne pas être autorisés à reprendre une vie normale.

Anthony Fauci :

Si revenir à la normale veut dire qu’il n’y a jamais eu de coronavirus, je ne crois pas que ça va arriver jusqu’à ce que nous soyons en mesure de protéger complètement la population. Si vous voulez revenir à la situation pré-coronavirus, ça pourrait ne jamais arriver, au sens où la menace existe.

Tucker Carlson :

C’est le même Dr Fauci – et gardez ça pour vous, parce qu’on n’a pas le droit de faire preuve du moindre scepticisme – c’est le même Dr Fauci qui a a annoncé que la poignée de main, la coutume ancestrale qui consiste à se serrer la main, devait disparaître à jamais. Et qui, plus tard, a déclaré sur Snapchat que vous pouvez coucher avec des étrangers rencontrés sur Tinder, pas de problème. Voilà pour ses conseils épidémiologiques.

D’autres experts ont averti que des mesures de confinement strict pourraient être nécessaires jusqu’à ce qu’on trouve un vaccin ou un traitement efficace. Ce qu’ils omettent de dire, c’est que les scientifiques n’ont jamais produit le moindre vaccin ni le moindre médicament testés et approuvés contre un seul coronavirus. Alors ça pourrait prendre un sacré bout de temps.

Cette perspective a semblé réjouir l’habitué des plateaux télé, Ezekiel Emanuel, qui a déclaré avec enthousiasme :

Le COVID-19 sera parmi nous pendant encore 18 mois, voire plus. Nous ne pourrons pas revenir à la normale tant que nous n’aurons pas trouvé un vaccin ou des traitements efficaces. La vérité, c’est que nous n’avons pas le choix.

Tucker Carlson : Oh, « la vérité, c’est que nous n’avons pas le choix ». Petit guide pratique si vous regardez beaucoup la télé : quand un manipulateur à la solde des politiciens comme Emanuel, connu pour ses nombreux mensonges, commence une phrase par : « la vérité, c’est que… », vous devez vous méfier. Quand il termine sa phrase par : « nous n’avons pas le choix », ça doit vous terrifier.

Il a tort : nous avons toujours eu le choix. D’autre pays ont fait des choix différents. Ils n’attendent pas un vaccin pour déverrouiller leur pays. Pourquoi le feraient-ils ? On n’a jamais vu ça. C’est un fait scientifique. Nous avons dépensé des millions de dollars en plus de 10 ans pour trouver un vaccin contre le SRAS, et les scientifiques n’en ont pas développé un seul. C’est regrettable, mais avons-nous verrouillé les États-Unis pour autant ? Non. Peut-être que vous ne vous souvenez même pas du SRAS. Ce qui est frappant, c’est que la science n’a pas changé tant que ça. Malheureusement, la politique américaine, elle, a beaucoup changé. Voilà la différence.

Extrait d’une émission diffusée le 27 avril sur Fox News.




Le retour des lépreux

[Source : Agora Vox via Sott.net]

par Décrypteur

De la crécelle à l’application numérique

Au moyen âge, les lépreux devaient agiter une crécelle ou faire sonner une clochette lorsqu’ils se déplaçaient. Ils devaient par ailleurs coudre sur leur tunique une pièce de tissu rouge, ce qui permettait de bien les identifier. Les nazis, cinq siècles plus tard, reprirent l’idée en obligeant les juifs à coudre une étoile jaune sur leur poitrine. De tout temps, les sociétés ont désigné leurs parias, ceux qui représentaient le mal, le danger, et dont la fonction sociale était de susciter la peur. Mais revenons à nos lépreux du XVème siècle déambulant avec leurs clochettes et leurs crécelles pour informer leur entourage de leur présence. Pourquoi fallait-il que l’on sache qu’un lépreux était lépreux ? Pour ne pas être contaminé bien sûr. Et ça fonctionnait bigrement bien. Tout le monde fuyait au premier tintement de clochette. Il ne fallait à aucun prix prendre le risque d’être en contact avec le lépreux, au risque d’être soit même qualifié lépreux, et de se retrouver à son tour à agiter la clochette et porter en guise de vêtements une tunique marquée d’un tissu rouge. Projetons-nous dans un futur plus ou moins lointain. La clochette s’est transformée en une application numérique qui communique avec les applications numériques alentour, les avertissant de la présence d’un lépreux. Que croyez-vous qu’il adviendra ? Les mêmes causes produisant les mêmes effets, ce qui se passait au XVème siècle se passera au XXIème siècle.

Heureusement, nous ne sommes plus au Moyen âge, mais malheureusement, nous sommes déjà au cœur de ce futur. Grâce à un banal coronavirus poétiquement nommé Covid 19, les Pouvoirs modernes sont en train de réinventer la clochette des lépreux du moyen âge. Cette clochette se nomme désormais « Stop Covid ». Nous allons le voir, les Pouvoirs ont besoin de la peur, ils s’en servent avec habileté pour soumettre leur peuple sans risque. S’agissant de la France, ce virus est vraiment arrivé à point nommé, avec un sens du timing remarquable. Alors que le gouvernement se débattait depuis des mois avec ses réformes du chômage et des retraites dont ne voulaient pas une majorité de ses citoyens, et qui le faisaient savoir par une agitation sociale dont on ignorait comment et quand elle allait finir, alors que la stabilité même de ce gouvernement était menacée, à ce moment où le pouvoir en avait le plus besoin a surgi ce providentiel virus. Le pouvoir opportuniste s’en est aussitôt saisi pour agiter le spectre de la mort, rien de moins, au-dessus de la tête des citoyens horrifiés et surtout terrifiés. Les menaces économiques généralement agitées pour rétablir le calme ont été mises au rencart. Cette fois, le Pouvoir a sorti le Grand Jeu : La Mort. La faucheuse, la mère de toutes les peurs. Avec cela, il jouait gagnant à coup sûr. Et il a gagné, au-delà de ses espérances. Il va obtenir dès aujourd’hui ce qu’il avait sans doute programmé dans un délai de 10 à 20 ans à savoir le consentement au traçage numérique. Le Covid 19 nous projette d’un coup dans l’univers Orwellien (à ce sujet, lire l’excellent roman d’Alain Damasio « La zone du dehors » qui s’inscrit dans la continuité de « 1984 », tout en donnant un sérieux coup de vieux au chef d’œuvre d’Orwell).

Le consentement par la peur

Les pouvoirs modernes s’érigent en protecteurs des citoyens. Ils édictent des lois qui protègent, ils arment une police pour protéger du danger qui viendrait de l’intérieur, et une armée pour protéger du danger extérieur. L’Etat providence subvient aux besoins des plus faibles et des déshérités. Le chef suprême, c’est le Père de la Nation. Il protège ses citoyens comme un père ses enfants. L’Etat veille à tout. Il organise l’économie pour garantir un travail et un revenu à tous, il garantit l’instruction des plus jeunes et les prépare à devenir des citoyens « armés » pour affronter la vie. Il protège la santé de tous, en construisant des hôpitaux et en formant des médecins et des infirmières. En France, l’Etat va même jusqu’à prendre en charge le coût de cette protection sanitaire en payant lui-même les consultations et une bonne partie des médicaments.

Dès lors le citoyen évolue dans un monde sans danger, ou plus exactement dont les dangers sont entièrement pris en charge par le pouvoir. Il a perdu toute conscience des responsabilités qui lui incombent vis-à-vis de sa propre personne, mais aussi des autres. Il ne dirige pas sa vie, il se contente- de se soumettre à un corpus de règles pensées pour lui, par d’autres. De toutes façons, ces règles sont bonnes pour lui puisqu’elles visent à garantir son bien être et sa sécurité. Il se lève chaque matin pour se rendre à son travail dont il tire un revenu suffisant pour nourrir sa famille, se loger, partir plusieurs fois par an en vacances et rouler dans une voiture qui marque son prestige social. Ses enfants vont à l’école publique à laquelle il délègue la charge de leur éducation. Quand un membre de la famille est malade, il se rend chez, le médecin, ou à l’hôpital si c’est plus grave, et tout rentre rapidement dans l’ordre grâce à la grande qualité du système de santé géré par l’Etat. Libéré de toutes ces contraintes, soulagé de tout ces risques, le citoyen n’a plus qu’à jouir de sa vie confortable. Le prix à payer est facilement supportable. Il suffit de se soumettre au Pouvoir ce qui, si on reste bien sagement dans le rang, ne présente pas de grandes difficultés.

Pour que ce système ingénieux et sophistiqué puisse fonctionner, celui qui en est l’instigateur, le Pouvoir, doit faire sentir en permanence à ses citoyens que la vie merveilleuse dont ils jouissent pourrait s’écrouler à tout moment. Qu’il suffirait, d’un rien, un déficit budgétaire trop important par exemple, pour que le système de santé ne puisse plus être financé correctement, et les laissent démunis face à leurs maladies. C’est alors un jeu d’enfant d’obtenir le consentement des citoyens pour créer une nouvelle taxe censée soutenir le système de santé (tout en poursuivant sa démolition). C’est un truc vieux comme le monde. Pour qu’un groupe réduit, appelons-le groupe des dominants, règne sans difficulté sur la masse, les dominés, il suffit que les dominants allouent quelques avantages ici, quelques privilèges là, qu’ils répartissent le tout de manière inégalitaire parmi les dominés, et qu’ils menacent de leur reprendre. La peur que Jean aura de perdre ce que Paul n’a pas conduira Jean à accepter tous les sacrifices demandés par le Pouvoir. Car ce que Jean a et que Paul n’a pas permet de donner à Jean l’illusion qu’il fait partie des dominants. C’est là que ce système est aussi génial que diabolique. Et Paul agira de même quand son unique avantage sera menacé.

Contre les rebelles, contre ceux qui n’ont pratiquement rien, le Pouvoir peut plus difficilement agir sur la menace de privation pour obtenir leur consentement. Peu importe, car il possède pour cette catégorie une arme qu’il est le seul à détenir : la violence légitime. Il pourra toujours en user et en abuser contre les démunis, commettre des exactions, voire des assassinats (pensons à Rémi Fraisse, ou à Steve Maia Caniço, et à tous les autres), il aura toujours le soutien de ceux qui possèdent (si peu possèdent-ils). Garant de l’Ordre établi, le Pouvoir étend son voile protecteur sur son peuple soumis et consentant.

Vers une société de surveillance globalisée.

Pour encore mieux protéger, pour encore mieux contrôler, le Pouvoir dispose désormais de technologies qui ont progressé au cours de la dernière décennie avec une rapidité fulgurante. Il y a peu, la surveillance se faisait encore par des filatures, des écoutes téléphoniques, et autres barbouzeries. Ces archaïsmes nécessitaient en outre l’accord d’un juge, au cas par cas. Impossible d’exercer une surveillance de masse de la sorte (sauf peut-être sous Staline qui était parvenu à transformer chaque citoyen en agent du KGB). Puis émergèrent les technologies numériques. La vidéo, associée à des algorithmes de reconnaissance faciale permet désormais d’exercer une surveillance globale de la population, sans aucun contrôle judiciaire (Le communiste Staline en a rêvé, les sociétés capitalistes, démocratiques ou non, l’ont fait !) Les masses se sont soumises sans grande opposition à ce redoutable procédé de surveillance généralisée, le pouvoir ayant montré facilement que la vidéo surveillance représente une menace pour les déviants, mais qu’elle protège avec efficacité les honnêtes citoyens n’ayant rien à se reprocher. Mais ce procédé est encore limité par le nombre de caméras et leur champ de vision. L’enjeu pour les Pouvoirs est donc de parvenir à surveiller chaque individu, où qu’il soit, et quoi qu’il fasse. C’est ici que réapparaissent les lépreux. Le concept est simple : Demander à chaque citoyen de se signaler à tout moment, où qu’il se trouve. Encore fallait-il trouver un argument convaincant pour obtenir le consentement de ces néo lépreux. Le Covid 19 est apparu opportunément pour servir les projets les plus inespérés des Pouvoirs du monde entier. En terrorisant dans un premier temps leurs citoyens avec la menace suramplifiée du Covid (voir à ce sujet mon article https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/n-ayez-pas-peur-du-covid-19-223619 ), puis en les convaincant dans un second temps que le traçage numérique allait les sauver de cette terrible menace virale, les pouvoirs sont sûrs d’obtenir le consentement du plus grand nombre. Dès lors qu’il sera accepté par une majorité de citoyens, il sera plus facile de contraindre les récalcitrants à s’y soumettre. Le Covid 19 est la clé qui a ouvert la porte d’entrée d’une société placée sous surveillance numérique généralisée. Je ne développerai pas ici les effets de cette surveillance (je vous renvoie de nouveau à la lecture de « La zone du dehors » qui en est une magnifique illustration), mais je peux vous confirmer, comme l’affirment à l’envi les commentateurs patentés, qu’il y aura bien un monde d’après le Covid en rupture avec le monde d’avant. Mais contrairement au discours ambiant, n’allez pas imaginer que le monde d’après sera un monde décroissant, solidaire, redevenu raisonnable, enfin humain. Au contraire, le monde d’après, dans lequel nous venons d’entrer, sera plus productiviste que jamais, (accompagné de son cortège de méfaits humains et environnementaux – dont l’émergence de nouveaux virus -). De ce point de vue, il sera simplement une continuité accélérée du monde d’avant.

La rupture la plus profonde entre les deux mondes concernera l’abolition progressive, mais qui finira par être totale, des libertés individuelles. Dans le monde d’après, les pouvoirs vont nous convaincre que nous sommes tous lépreux, que nous représentons tous une menace potentielle pour nos semblables, et que le seul moyen de nous protéger de cette menace permanente sera d’exercer une surveillance continue de chacun, en tout lieu, et bien sûr avec le concours de chacun. Les dissidents, les divergents seront éliminés, et la machine capitaliste continuera sa marche en avant, sans que plus rien désormais ne puisse l’arrêter, ni même la freiner dans sa course folle. Ceci n’est pas un scénario de science-fiction, c’est tout simplement le monde dans lequel nous venons d’entrer.




Covid-19 : Neil Ferguson, le Lyssenko libéral

[Source : Réseau Voltaire]

par Thierry Meyssan

Jadis les dirigeants politiques européens cédaient aux injonctions de leurs astrologues. Aujourd’hui, ils s’en référent identiquement aux statisticiens de l’Imperial College. Par le passé, ceux-ci leur ont fourni autant que de besoin des justificatifs de leur politique hospitalière libérale. Aujourd’hui, ils prédisent des millions de morts sans la moindre rigueur scientifique. Thierry Meyssan révèle comment ces charlatans ont pris le contrôle des politiques de l’Union européenne, du Royaume-Uni et de certains États fédérés des États-Unis.

JPEG - 28.3 ko
Le professeur Neil Ferguson, grand-prêtre de la gestion libérale des hôpitaux et inventeur du confinement généralisé contre le Covid-19.

Aux débuts de la Guerre froide, il était d’usage en Occident de se gausser de l’aveuglement des Soviétiques qui croyaient aux balivernes du professeur Trofim Lyssenko. Le Premier secrétaire du Parti, Joseph Staline, avait interdit l’enseignement de la génétique et utilisait Lyssenko pour justifier scientifiquement du marxisme, mais il n’en tirait aucune conséquence pratique. Aujourd’hui la même maladie mentale a atteint l’Occident. Le professeur Neil Ferguson assure que les statistiques peuvent prédire le comportement d’être vivants. C’est stupide, pourtant de nombreux hauts dirigeants politiques le croient. Malheureusement, à la différence des Soviétiques, ils en tirent des conséquences politiques qui ruinent leurs pays.

La création du Centre européen de prévention et de contrôle des maladies

Depuis une vingtaine d’années, les dirigeants politiques occidentaux tentent d’utiliser les connaissances statistiques des épidémies pour déterminer les bonnes décisions à prendre en cas de danger. Suite à celle de SRAS en 2003, l’Union européenne s’est dotée en 2005 d’un Centre européen de prévention et de contrôle des maladies (ECDPC). Durant le second semestre 2008, celui-ci et la présidence tournante française organisèrent un colloque pour étudier l’opportunité de la fermeture des écoles pour lutter contre une épidémie de grippe et déterminer quand celle-ci devrait intervenir et quand elle devrait cesser. On ne parlait pas encore de confinement généralisé de toute la population.

La principale contribution fut celle du professeur Neil Ferguson et de Simon Cauchemez de l’Imperial College de Londres. Elle comparaît ‎ les données statistiques des fermetures d’école à Hong Kong en 2003 et 2008, de celle occasionnée par la grève des professeurs en Israël en 2000, de l’impact des vacances par zones en France de 1984 à 2006, de la fermetures des écoles infectées par la grippe en France en 1957, et de celles de la grippe espagnole dans certaines villes US et en Australie en 1918. Et elle relevait les inégalités et les injustices liées aux fermetures d’école au Royaume-Uni et aux USA.

Dès ce moment-là‎, le problème était posé à l’envers. Les experts avaient observé que les fermetures d’école n’avaient pas d’incidence notable sur le nombre final de décès, mais uniquement sur la vitesse de propagation de la maladie. Ils avaient pour mission de prévoir une solution à la fermeture de lits d’hôpitaux qui n’étaient pas occupés au jour le jour. Les statistiques n’étaient plus au service de la santé des Européens, mais d’une idéologie, celle de la gestion libérale de l’État.

Bernard Kouchner, le ministre français des Affaires étrangères qui organisa ce colloque, était celui qui, lorsqu’il était ministre de la Santé (1992-93, 1997-99, 2001-02) avait débuté la réorganisation du système hospitalier français non plus selon des critères médicaux, mais selon une logique de rentabilité. En une quinzaine d’années, la France a ainsi pu réaliser de substantielles économies en fermant 15 % de ses lits d’hôpitaux ; des économies dérisoires au regard du coût actuel du confinement.

JPEG - 45.5 ko
Le professeur Trofim Lyssenko prétendait, qu’en appliquant la dialectique marxiste aux sciences de la nature, avoir démontré que la science génétique petite-bourgeoise avait tort. Sur ce, il affirmait que de même que le Parti générait un Homme nouveau,il était possible de modifier la génétique des plantes selon l’organisation des champs. Ses âneries devinrent vérité officielle en URSS durant la période stalinienne. Science et Idéologie font toujours mauvais ménage.

Le charlatanisme du professeur Neil Ferguson

Le professeur Ferguson est toujours la référence européenne en matière de modélisation des épidémies.
- Pourtant c’est lui qui, en 2001, avait convaincu le Premier ministre Tony Blair de faire abattre 6 millions de bovins pour stopper l’épidémie de fièvre aphteuse (une décision qui coûta 10 milliards de livres et qui est aujourd’hui considérée comme aberrante).
- En 2002, il calcula que la maladie de la vache folle tuerait environ 50 000 britanniques et 150 000 de plus lorsque elle se transmettrait aux moutons. Il y en eu en réalité 177.
- En 2005, il prédit que la grippe aviaire tuerait 65 000 Britanniques. Il y en eu au total 457.

Peu importe, il est devenu conseiller de la Banque mondiale et de nombreux gouvernements. C’est lui qui fit parvenir le 12 mars une note confidentielle au président français Emmanuel Macron annonçant un demi-million de morts en France. Affolé celui-ci prit la décision de confinement généralisée le soir même. C’est encore le professeur Ferguson qui annonçait publiquement, le 16 mars, que, si rien n’était fait, on compterait jusqu’à 550 000 morts au Royaume-Uni et jusqu’à 1,2 million aux États-Unis, contraignant le gouvernement britannique à revoir sa politique.

Simon Cauchemez, qui était en 2009 son bras droit, dirige aujourd’hui l’unité de modélisation de l’Institut Pasteur. Il est bien sûr membre du Comité scientifique de l’Élysée où il a proposé le confinement généralisé. Ce comité a été constitué par le directeur général de la Santé, le professeur Jérôme Salomon, fils spirituel et ancien conseiller technique de Bernard Kouchner.

La prise de pouvoir de l’équipe Ferguson est fondée sur une escroquerie intellectuelle. La « biologie mathématique » (sic) pourrait justifier la gestion libérale des services de santé.

Malheureusement si les statistiques permettent d’évaluer après coup les effets de telle ou telle mesure, elles ne peuvent pas prévoir le comportement d’un organisme vivant, d’un virus. Celui-ci cherche à se propager, surtout pas à tuer, ce qu’il provoque involontairement lorsque l’espèce dans laquelle il se niche n’a pas encore d’anticorps appropriés. Aucun virus n’éliminera d’espèce, y compris les humains, car s’il les tuait tous, il disparaîtrait avec eux.

Au demeurant, l’extrapolation de mesures concernant des grippes à l’épidémie de Covid-19 est une absurdité : la grippe touche de nombreux enfants, pas le Covid-19 qui ne tue en termes démographiques que des personnes âgées ou diabétiques ou encore hypertendues. Les enfants contaminés au Covid-19 n’ont qu’une très faible charge virale, on ignore même à ce jour s’ils sont contagieux.

Le professeur Ferguson a reconnu, le 22 mars, avoir effectué ses calculs sur l’épidémie de Covid-19 exclusivement avec une base de données vieille de 13 ans relative aux épidémies de grippe.

Au demeurant, force est de se constater la dérive de ce guru qui ne se contente plus de justifier des politiques libérales appliquées à la Santé publique, mais en vient à préconiser de priver de liberté des peuples entiers. Pour masquer la réalité de cette dérive, les partisans du professeur Fergusson détournent l’attention du public en lui proposant l’usage de masques chirurgicaux dont nous avons déjà expliqué qu’il ne sont d’aucune utilité face à l’épidémie [1]

JPEG - 32.6 ko
Les résultats du professeur Didier Raoult parlent pour lui. Aussi, une campagne de communication a été orchestrée contre lui par les disciples du professeur Neil Ferguson exactement comme les généticiens soviétiques furent persécutés par les soutiens de Lyssenko.

La polémique avec le professeur Didier Raoult

Ces explications éclairent d’un jour nouveau la polémique qui a opposé les disciples du professeur Neil Ferguson à ceux du professeur Didier Raoult [2]. Contrairement à ce que l’on a dit, il ne s’agit pas d’un problème de méthodologie, mais bien de finalité.

Neil Ferguson est un charlatan happé par son escroquerie, tandis que Didier Raoult est un médecin clinicien. Les adeptes du premier ont besoin de morts pour croire en leur religion, ceux du second soignent leurs malades.

Le problème que nous affrontons n’est pas un débat scientifique, mais une guerre d’erreurs répétées contre la démarche scientifique. Il est stupéfiant d’entendre des membres du Conseil scientifique de l’Élysée reprocher au professeur Raoult de ne pas mener d’études comparatives avec un groupe témoin. Faut-il qu’en période de crise un médecin responsable ne soigne pas certains de ses patients et les sacrifie délibérément ?

Thierry Meyssan


[1] « Panique et absurdité politique face à la pandémie » , par Thierry Meyssan , Réseau Voltaire , 7 avril 2020.

[2] « Covid-19 : propagande et manipulation » , par Thierry Meyssan , Réseau Voltaire , 20 mars 2020.




Entrevue explosive de David Icke sur la crise covid-19

[Source : https://archive.org/details/@didi18]

Ces trois vidéos exposent un point de vue qui peut facilement être considéré comme complotiste. Cependant, elles reprennent différents éléments exposés dans divers articles proposés par le blogue Nouveau Monde en ce qui concerne la crise covid-19 (voir https://nouveau-monde.ca/fr/tag/covid-19/).










La thèse d’un virus manipulé échappé d’un laboratoire chinois : le pavé dans la mare du Pr Luc Montagnier

[source : Pourquoi docteur]

[Image : Engeneonline/iStock]

Par Th. B.

Le coronavirus responsable de la pandémie de Covid-19 : un virus échappé d’un laboratoire chinois et qui abriterait des séquences d’ADN du VIH ! C’est le pavé dans la mare lancé par le Professeur Luc Montagnier, prix Nobel de médecine en 2008 pour ses travaux sur le virus du SIDA, mais contesté pour des prises de positions qui ont parfois choqué la communauté scientifique.


L’ESSENTIEL

  • Le Pr Luc Montagnier, prix Nobel de Médecine 2008, affirme que SARS-CoV-2 est un virus manipulé sorti accidentellement d’un laboratoire de Wuhan en Chine
  • Les chercheurs chinois auraient utilisé ce coronavirus dans le cadre de travaux pour mettre au point un vaccin contre le SIDA
  • Des fragments d’ADN de VIH auraient été trouvés dans le génome de SARS-CoV-2

On savait la version chinoise de l’émergence du coronavirus de plus en plus mise à mal, mais voici une thèse qui raconte une toute autre histoire sur la pandémie de Covid-19 déjà responsable de plus de 120 000 morts dans le monde. Selon le professeur Luc Montagnier, prix Nobel de Médecine 2008 pour avoir « co-découvert » le VIH à l’origine de l’épidémie de SIDA avec François Barré-Sinoussi affirma aujourd’hui que SARS-CoV-2 serait un virus manipulé et sorti accidentellement d’un laboratoire de Wuhan en Chine dans le courant du dernier trimestre de 2019. Ce laboratoire connu pour travailler sur les coronavirus aurait, selon le Pr Montagnier, cherché à utiliser un de ces virus comme vecteur du VIH dans le cadre de la recherche d’un vaccin contre le SIDA !

« Avec mon collègue, le bio-matématicien Jean-Claude Perez, nous avons regardé de près la description du génome de ce virus à ARN », a expliqué Luc Montagnier, interrogé par le Dr Jean-François Lemoine pour le journal audio quotidien de Pourquoi Docteur, en ajoutant que d’autres avaient déjà exploré cette piste: « Des chercheurs indiens avaient déjà tenté de publier les résultats d’analyses montrant que ce génome abritait des séquences d’un autre virus qui est … le VIH, le virus du SIDA, mais ils ont été obligés de se rétracter, les pressions étaient trop fortes ! ».

« Pour insérer une séquence de VIH dans ce génome, il faut des outils moléculaires »

Face à ces affirmations d’un professeur parfois contesté à la suite de prises de position iconoclastes, notamment sur la vaccination, on pourrait aussi penser que ces conclusions tiennent du hasard et que le coronavirus examiné ait pu être prélevé sur un patient par ailleurs atteint du VIH. « Non, réplique Luc Montagnier, pour insérer une séquence du VIH dans ce génome, il faut des outils moléculaires, cela ne peut se faire qu’en laboratoire ».

Selon le prix Nobel de Médecine 2008, l’explication tiendrait dans un « accident industriel » au laboratoire de Wuhan. « L’histoire du marché aux poissons est une belle légende … L’hypothèse est que ce virus est sorti du laboratoire parce qu’il a échappé à ses promoteurs, c’est un travail d’apprenti-sorcier ! », estime-t-il en favorisant la thèse selon laquelle l’objet de ces travaux était la recherche d’un vaccin contre le SIDA.

« La vérité finit toujours par éclater »

Cette thèse défendue par le Professeur Luc Montagnier génère en tout cas une information « rassurante ». Selon lui, les éléments altérés de ce virus s’éliminent d’eux-mêmes à mesure qu’il se diffuse : « La nature n’admet pas n’importe quelle construction moléculaire, elle élimine ces corps étrangers … même si on ne fait rien, les choses vont s’arranger, mais après beaucoup de morts … », annonce-t-il en avançant tout de même une solution. Pour stopper la pandémie, Luc Montagnier affirme qu’en utilisant « des ondes interférentes, on pourrait éliminer ces séquences ».

Voilà de quoi alimenter de fameux débats ! Au point que les affirmations du Professeur Montagnier pourraient aussi le classer dans la catégorie des « complotistes » : « Les complotistes, c’est le camp inverse, celui qui cache la vérité », réplique-t-il sans vouloir accuser qui que ce soit mais en souhaitant que les Chinois reconnaissent ce qui, selon lui, s’est passé dans leur laboratoire. « De toute façon, la vérité finit toujours par éclater, c’est au gouvernement chinois de prendre ses responsabilités ». 

Ci-dessous, l’interview du Pr Luc Montagnier :




Rappel 2010 : Pseudo-pandémie d’A(H1N1) – Alarmisme et gaspillage de fonds publics

[Source : Le Devoir]

[NdNM : à comparer avec la crise de la covid-19]

[Par :] Collectif d’auteurs

Il y a eu le 11 septembre 2001. Comme un écho à cette date fatidique, le 11 juin 2009, la peur prenait un nouveau visage: celui du virus A(H1N1). Il y a eu un an hier, l’Organisation mondiale de la santé (OMS) élevait au niveau maximum son état d’alerte à ce qu’elle considérait comme une pandémie mondiale. Plusieurs scientifiques, surtout en Europe, ont sévèrement critiqué cet alarmisme: l’ancien patron de la Croix-Rouge française, Marc Gentilini, a parlé d’une «pandémie de l’indécence». Plus récemment, la gestion de ce dossier par l’OMS a été durement critiquée dans un éditorial publié dans le British Medical Journal et dans un rapport déposé le 4 juin dernier à l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe. En présentant ce rapport, le député britannique Paul Flynn a affirmé que «cette pandémie n’a jamais vraiment existé».

Nous sommes d’accord avec cette affirmation et nous croyons qu’il est important de faire l’autopsie de cette pseudo-pandémie.

Une pandémie de la peur

Au Québec, on a eu droit à une pandémie de la peur, surtout après le décès d’un jeune Ontarien porteur du virus. En l’absence d’autopsie chez le jeune garçon en question, il était irresponsable de laisser entendre que c’était l’A(H1N1) qui avait causé ce décès.

Inquiets, de nombreux parents et enfants ont envahi les urgences des hôpitaux: la situation était telle que, quelques jours plus tard, les urgentologues de Sainte-Justine et du Children’s Hospital publiaient un communiqué conjoint dans lequel ils déploraient ce qu’ils ont appelé «la psychose du H1N1» en spécifiant que «les gens doivent comprendre que c’est un microbe relativement bénin» (Le Devoir, 30 octobre 2009).

Relativement bénin, en effet: avant même le début de la campagne de vaccination, des centaines de milliers de Québécois ont été en contact avec le virus A(H1N1) 2009 et ont développé naturellement des anticorps qui les ont protégés et qui les protégeront contre ce virus s’il est encore présent à l’automne 2010, ici ou ailleurs dans le monde. La campagne massive de vaccination, à laquelle ont participé plus de quatre millions de Québécois, est arrivée trop tard, a coûté cher et n’était pas justifiée scientifiquement.

«Dispersion» n’égale pas «pandémie»

Si on ne se fie qu’à la dispersion géographique des virus pour définir une pandémie mondiale, on peut dire qu’il y a annuellement plusieurs pandémies de divers types d’influenza. Cependant, «virus» n’est pas équivalent à «maladie», et dispersion du virus n’égale pas «pandémie». Entre le virus et la maladie, il y a la capacité du système immunitaire des gens à composer avec le virus: dans le cas de l’A(H1N1), les données dont on disposait, à la fin de l’été 2009, permettaient d’affirmer que la très grande majorité des gens n’avaient rien à craindre de ce virus.

En mai 2009, cependant, l’OMS avait adopté un nouveau système de catégorisation des pandémies basé sur le critère de dispersion géographique et mettant de côté le critère de virulence (maladies graves, décès). C’est sur cette base que, le 11 juin 2009, l’OMS déclenchait une alerte planétaire en annonçant qu’on était en situation de «pandémie mondiale» d’A(H1N1): ce que l’OMS n’a pas dit, toutefois, c’est que, si elle avait appliqué sa nouvelle grille de catégorisation aux années antérieures, elle aurait dû déclarer une pandémie d’A(H1N1) ou d’A(H3N2) chaque année!

Il aurait été plus logique et fidèle à la tradition médicale de conserver dans la définition une référence à un nombre inhabituellement élevé de personnes très malades ou décédées. Selon ce critère, on n’avait pas affaire à une pandémie en 2009, mais bien à une épidémie comparable à l’épidémie de grippe saisonnière, et ce, même si le virus s’est répandu plus rapidement.

Un virus relativement bénin

Armées de plans de pandémies conçus pour des virus beaucoup plus dangereux et confondant «principe de précaution» et «précipitation», les autorités de santé publique ont commandé aux compagnies pharmaceutiques des centaines de millions de doses de vaccins.

Dans la plupart des pays, seule une minorité parmi les populations visées a choisi de se faire vacciner: aux États-Unis, c’est 25 % de la population; en France et dans le reste de l’Europe, c’est 10 % ou moins. À peu près partout, y compris au Québec, le vaccin est arrivé trop tard,

en même temps ou après la «deuxième vague» de la pseudo-pandémie. Ce fut un énorme gaspillage de fonds publics.

Facile de critiquer après coup, disent certains. «On ne savait pas avant», ajouteront-ils. C’est faux. En août 2009, on disposait de chiffres démontrant clairement que l’épidémie d’A(H1N1) 2009, en Australie, était d’une sévérité comparable à la grippe saisonnière. Durant notre été, c’était l’hiver là-bas, la saison de la grippe; l’épidémie d’A(H1N1) 2009 n’y avait pas pris une ampleur catastrophique, et ce, soulignons-le, malgré l’absence de vaccins contre la nouvelle forme de H1N1. À la fin de l’été 2009, «on savait» donc que c’était une fausse alerte.

Ce n’était pas une pandémie, mais une épidémie de grippe susceptible d’affecter certaines catégories de gens qu’on aurait pu cibler et sensibiliser à des mesures d’hygiène, en attendant qu’un vaccin soit prêt. On aurait pu prendre au Québec la décision de ne faire qu’une campagne de vaccination pour les personnes à risque et éviter un coûteux détournement de ressources financières et humaines: la vaccination de masse a privé le système de santé québécois d’une partie de son personnel qui a été affectée à la vaccination au détriment de soins jugés moins urgents. Les coûts associés à ce détournement seront-ils jamais évalués? […]

La bactérie Clostridium difficile

Au printemps et à l’automne 2009, la grande majorité des Québécois infectés par le virus A(H1N1) ne s’en sont pas rendu compte ou, s’ils ont eu la grippe, ils sont passés à travers sans complications. Chez moins de la moitié de 1 % des personnes infectées, une hospitalisation temporaire a été requise: il y a eu 2483 cas hospitalisés au Québec entre le 30 août 2009 et le 9 février 2010. Parmi ceux-ci, 360 ont nécessité des soins intensifs et 82 sont décédés. L’âge moyen des décès était de 60 ans. On a identifié des conditions sous-jacentes (cardiopathie, maladie pulmonaire, etc.) chez 80 des personnes décédées: au final, du 30 août au 9 février, il y a eu au Québec deux cas de décès imputés à l’A(H1N1) sans identification d’une condition sous-jacente.

Pendant la même période, il y a eu quatre fois plus de décès, dans les hôpitaux québécois, des suites d’une infection par la bactérie C. difficile. En 2008-2009, en effet, le chiffre officiel est de 457 décès imputables à cette bactérie. Les médias en parlaient-ils chaque jour? Non. Pourtant, avec des taux d’environ 60 décès par million de personnes, cela correspond à quatre fois le taux de décès imputés à l’A(H1N1) en 2009. Si les autorités de santé publique du Québec avaient fait mention de tous les décès qui se sont produits dans les hôpitaux à l’automne 2009, cela aurait pu être instructif. Sur une base hebdomadaire, on aurait eu droit à des chiffres comme ceux-ci: «Cette semaine, on rapporte dans les hôpitaux 300 décès attribués au cancer, six décès attribués à la bactérie C. difficile et deux décès attribués au virus A(H1N1) 2009.» Vu comme ça — c’est-à-dire sous l’angle de la réalité —, l’A(H1N1) fait moins peur.

Les autorités de santé publique nous informaient-elles, en 2008 ou 2007, de tous les décès qui se produisaient au Québec chez des gens infectés par les virus de la grippe saisonnière? Bien sûr que non, car on ne faisait pas systématiquement des prélèvements et on ne tenait pas des statistiques aussi précises qu’avec l’A(H1N1) 2009.

Médiatisation indécente

Selon la firme Influence Communications, le poids médias de cette grippe fut en 2009 de 6,7 % au Québec, de 2,4 % au Canada et de 1,4 % dans l’ensemble de 159 pays. Presque 7 % des nouvelles, pendant un an, c’est énorme et sans précédent dans le domaine de la santé!

On a eu droit à une médiatisation indécente de la mort de toute personne infectée par l’A(H1N1) 2009, comme s’il s’agissait du seul agent infectieux en circulation au Québec. On a assisté à une psychose collective qui a été alimentée par la Direction de la santé publique, qui tenait à la réussite de sa mégacampagne de vaccination. Les médias, pour la plupart, ont agi comme des amplificateurs d’une perception du risque totalement déformée: c’était comme si la mort venait d’être inventée!

L’influence de l’industrie pharmaceutique

Espérons qu’à l’avenir les autorités sauront garder leur calme et leur objectivité scientifique lorsqu’une nouvelle forme d’influenza se pointera le bout des antigènes: avant de signer de juteux contrats avec les fabricants de vaccins, les autorités devraient se montrer plus critiques envers le discours de certains scientifiques dont les recherches sont financées par l’industrie. Lorsque l’analyse de la situation est biaisée, l’invocation du principe de précaution est irrecevable. On ne peut pas justifier n’importe quoi, à n’importe quel prix, en invoquant l’idée de prudence.

Si on en juge par le rapport déposé récemment au Conseil de l’Europe, il est clair qu’au sein de l’OMS, certains conseillers étaient en situation de conflit d’intérêts. Nous ne pensons pas que les autorités sanitaires québécoises et canadiennes soient vaccinées contre ce genre d’influence. Il s’agit là d’un phénomène qui a pris, ces dernières années, une réelle ampleur… pandémique!


[Auteurs :]

  • Richard Gendron – Anthropologue spécialisé en santé/environnement
  • Pierre Biron – Médecin retraité et ancien professeur de pharmacologie à l’Université de Montréal
  • Marc Zaffran – Médecin et chercheur invité au Centre de recherche en éthique de l’Université de Montréal



Une actrice défend son droit à ne pas se faire vacciner contre la covid-19

Dans le cadre de la crise pandémique, l’actrice québécoise Lucie Laurier défend courageusement sa position contre l’OMS et l’industrie pharmaceutique, à contre-courant de la pensée unique.

[Note : vidéo de faible volume sonore.]

https://youtu.be/GGVRr9q6gws

Elle a ensuite précisé sa position sur Twitter :

Ceux qui trouvent que je ne devrais pas m’exprimer sur le vaccin parce que je ne suis pas épidémiologiste, pourquoi allez-vous prendre un vaccin poussé par B.Gates qui lui non plus n’a aucune formation médicale?

#covid19 #çavabienaller — Lucie Laurier (@LucieLaurier) April 15, 2020

Ma santé est primordiale pour moi. Lorsqu’on veut pousser l’agenda de l’avortement on dit : My body, my choice, mais là ça ne serait pas mon droit inaliénable que de décider par-moi même ce qui me sera inoculé, en l’occurence un vaccin?

#covid19 #çavabienaller — Lucie Laurier (@LucieLaurier) April 15, 2020

Je suis contre le vaccin obligatoire, si vous le voulez je suis pour votre droit à le recevoir. Si le vaccin protège, je ne vois pas en quoi vous devriez haïr les non-vaccinés? Ou est-ce que c’est que vous avez vos doutes aussi?

#covid19 #çavabienaller — Lucie Laurier (@LucieLaurier) April 15, 2020




Coronavirus : Réveillez-vous, on se fout de vous ! Il y a des directives pour surestimer considérablement le nombre de décès dans tous les pays

[Source : Olivier Demeulenaere]

Publié le 6 avril 2020 par Olivier Demeulenaere

La fraude est manifeste, énorme ; on ne voit pas comment elle pourrait ne pas être centralisée. Aucun doute n’est plus permis. C’est du foutage de gueule pur et simple, dans le but de réaliser le plan qu’ils ont prévu pour nous. OD

Les chiffres des décès du Covid19 sont « considérablement surestimés »

Covid19 Death Figures “A Substantial Over-Estimate”

Les directives bizarres des autorités sanitaires du monde entier incluent potentiellement des milliers de patients décédés qui n’ont même pas été testés.

Il y a quelques semaines, nous avons rapporté que, selon l’Institut italien de la santé (ISS), seuls 12 % des décès signalés en Italie mentionnaient en fait le Covid19 comme cause du décès.

Étant donné que 99 % d’entre eux présentaient au moins une comorbidité grave (et que 80 % d’entre eux avaient deux maladies de ce type), cela a soulevé de sérieuses questions quant à la fiabilité des statistiques italiennes déclarées.

Le professeur Walter Ricciardi, conseiller du ministre italien de la santé, a expliqué que cela était dû à la manière « généreuse » dont le gouvernement italien gère les certificats de décès :

La façon dont nous dénombrons les décès dans notre pays est très généreuse dans la mesure où toutes les personnes qui meurent dans les hôpitaux avec le coronavirus sont considérées comme mourant du coronavirus.

Pour l’essentiel, le processus d’enregistrement des décès en Italie ne fait pas de différence entre ceux qui ont simplement le virus dans leur corps et ceux qui sont effectivement tués par lui.

Compte tenu de la peur et de la panique que suscitent les chiffres relativement alarmants de l’Italie dans le monde entier, on pourrait penser que d’autres nations seraient désireuses d’éviter ces mêmes erreurs.

Il est certain que tous les autres pays du monde appliquent des normes rigoureuses pour déterminer qui est, ou n’est pas, victime de la pandémie, n’est-ce pas ?

Faux.

En fait, plutôt que de s’inspirer de l’exemple de l’Italie, d’autres pays non seulement répètent ces erreurs, mais vont même plus loin.

En Allemagne, par exemple, bien que le nombre total de décès et le taux de létalité soient bien inférieurs à ceux de l’Italie, l’agence de santé publique de ce pays continue d’appliquer des pratiques similaires.

Le 20 mars, le président de l’institut allemand Robert Koch a confirmé que l’Allemagne compte comme décès de Covid19 toute personne décédée qui a été infectée par un coronavirus, qu’elle ait ou non causé la mort.

Cela ignore totalement ce que le Dr Sucharit Bhakdi appelle la distinction vitale entre « infection » et « maladie », ce qui conduit à des histoires comme celle-ci, partagée par le Dr Hendrik Streeck :

 A Heinsberg, par exemple, un homme de 78 ans qui avait déjà été malade est mort d’une insuffisance cardiaque, et ce sans que le Sars-2 n’affecte ses poumons. Depuis qu’il a été infecté, il apparaît naturellement dans les statistiques du Covid 19.

Combien de « décès Covid19 » en Allemagne tombent dans cette fourchette ? Nous ne le savons pas, et ne le saurons probablement jamais.

Mais au moins, l’Allemagne se limite en fait à tester les cas positifs.

Aux Etats-Unis, une note d’information du service national des statistiques du CDC se lit comme suit [c’est nous qui soulignons] :

Il est important de souligner que la maladie à coronavirus 19, ou Covid-19, doit être signalée pour tous les décès où la maladie a causé ou est présumée avoir causé ou contribué au décès.

« Présumé avoir causé » ? « A contribué » ? C’est un langage incroyablement doux, qui pourrait facilement conduire à une surdéclaration.

Les « directives » détaillées mentionnées ont été publiées le 3 avril, et ne sont pas meilleures [encore une fois, c’est nous qui soulignons] :

Dans les cas où un diagnostic définitif de COVID-19 ne peut pas être fait, mais qu’il est suspecté ou probable (par exemple, les circonstances sont convaincantes avec un degré raisonnable de certitude), il est acceptable de déclarer COVID-19 sur un certificat de décès comme « probable » ou « présumé ». Dans ces cas, les certificateurs doivent utiliser leur meilleur jugement clinique pour déterminer si une infection COVID-19 était probable.

Des registres minutieux sont-ils tenus pour séparer les « COVID-19 » des « COVID-19 présumés » ? Les médias veillent-ils à respecter cette distinction dans leurs reportages ?

Absolument pas.

Chaque fois qu’il est fait référence aux victimes présumées, on nous donne un grand nombre de chiffres complets, sans contexte ni explication, ce qui – grâce à des directives de compte rendu laxistes – pourrait être totalement faux.

Les agences gouvernementales de tout le Royaume-Uni font la même chose.

L’Agence de santé publique du HSC d’Irlande du Nord publie des bulletins de surveillance hebdomadaires sur la pandémie, dans lesquels elle définit un « décès Covid19 » comme

les personnes qui sont décédées dans les 28 jours suivant le premier résultat positif, que le COVID-19 ait été ou non la cause du décès.

L’Office of National Statistics (ONS) du NHS Angleterre publie des rapports hebdomadaires sur la mortalité à l’échelle nationale. Son dernier rapport (Semaine 12 – 14-20 mars) a été publié le 31 mars et fait une mention spéciale du Covid19, expliquant qu’ils allaient changer la façon dont ils rapportent les chiffres à l’avenir.

Le système de l’ONS est basé sur l’enregistrement des décès. Cela signifie qu’ils comptent, non pas le nombre de personnes qui meurent chaque semaine, mais le nombre de décès enregistrés par semaine. Cela entraîne naturellement de légers retards dans l’enregistrement des chiffres, car le processus d’enregistrement peut prendre quelques jours.

Toutefois, en ce qui concerne les décès dus aux coronavirus, puisqu’il s’agit d’une « urgence nationale », ils incluent désormais des « chiffres provisoires » qui seront « inclus dans l’ensemble de données dans les semaines suivantes ». Cela leur laisse toute latitude pour déclarer – accidentellement ou délibérément – deux fois les mêmes décès. Une fois « provisoirement », puis une fois « officiellement » une semaine plus tard.

 Le nombre de décès lié au Covid19 est "considérablement surestimé" (Off Guardian)

Ce n’est qu’une décision politique particulière. Il y en a beaucoup d’autres.

Jusqu’à présent, l’ONS rapportait les statistiques concernant le Covid19 rassemblées par le ministère de la santé et des affaires sociales (DHSC). Le DHSC n’enregistre comme décès de Covid19 que ceux qui sont morts à l’hôpital et qui ont été testés positifs pour le coronavirus.

MAIS, à partir de maintenant, l’ONS inclura également les décès de Covid19 « dans la communauté » dans ses statistiques. Cela « inclut les personnes qui n’ont pas été testées pour le Covid19 » et pour lesquelles « on soupçonne que le Covid19″ [nos italiques] est un « facteur contributif ».

Voici quelques captures d’écran des sections concernées :

 Le nombre de décès lié au Covid19 est "considérablement surestimé" (Off Guardian)
 Le nombre de décès lié au Covid19 est "considérablement surestimé" (Off Guardian)

Les directives officielles du NHS concernant les médecins qui remplissent les certificats de décès sont tout aussi vagues [c’est nous qui soulignons] :

si, avant le décès, le patient présentait des symptômes typiques d’une infection par COVID19, mais que le résultat du test n’a pas été reçu, il serait satisfaisant de donner « COVID-19 » comme cause du décès, puis de communiquer le résultat du test lorsqu’il sera disponible. En l’absence d’écouvillon, il est satisfaisant d’appliquer le jugement clinique.

Le gouvernement dit aux médecins qu’il est acceptable de donner « COVID-19 » comme cause du décès lorsqu’il n’y a littéralement aucune preuve que la personne décédée était infectée. Cela signifie qu’il y a potentiellement un nombre énorme de décès par « Covid19 » qui n’ont même pas été testés pour la maladie.

De plus, les erreurs éventuelles ne seront jamais remarquées ou corrigées, grâce aux récentes modifications de la loi.

Habituellement, tout décès attribué à une « maladie à déclaration obligatoire » devait être soumis à un médecin légiste pour enquête.

En vertu de la loi britannique, le Covid19 est une « maladie à déclaration obligatoire », mais le nouveau projet de loi sur les coronavirus modifie la loi de 2009 sur les médecins légistes et la justice, afin d’exempter spécifiquement les décès présumés de Covid19 des enquêtes du jury.

En outre, selon le bureau du médecin légiste en chef, le projet de loi sur les coronavirus signifie que ces décès n’ont pas du tout besoin d’être soumis à un médecin légiste et que les médecins peuvent approuver la cause d’un décès pour un corps qu’ils n’ont même jamais vu :

Tout médecin agréé peut signer un CMCD [certificat médical pour la cause du décès], même si le défunt n’a pas été soigné pendant sa dernière maladie et n’a pas été vu après son décès, à condition qu’il soit en mesure d’indiquer la cause du décès au mieux de ses connaissances et de ses convictions.

Les décès « dans la communauté » peuvent être répertoriés comme des décès par Covid19 sans avoir été testés pour la maladie, ni même vus par un médecin. Ces décès ne seront pas nécessairement transmis à un médecin légiste, et certainement pas entendus par un jury.

En promulguant cette législation, le gouvernement britannique a non seulement rendu plus probable la fausse déclaration des décès dus au Covid19, mais il a également supprimé les garanties destinées à corriger cette situation. Dans cette situation, il est pratiquement impossible d’enregistrer le nombre exact de décès.

C’est, au mieux, totalement irresponsable et, au pire, incroyablement sinistre.

Maintenant, avant que vous ne  fronciez les sourcils devant les médias alternatifs farfelus et leur paranoïa folle, l’idée que les décès soient surestimés n’est pas un concept marginal ou une « théorie de la conspiration ». Elle est en fait fréquemment abordée dans les médias dominants, les gens semblent simplement ne pas l’entendre, noyés comme elle l’est par les gros titres qui suscitent la peur.

Le Dr John Lee, professeur de pathologie et pathologiste consultant à la retraite du NHS, a écrit dans une colonne du Spectator :

Why Covid-19 deaths are a substantial over-estimate

« Pourquoi les décès dus au Covid-19 relèvent d’une surestimation substantielle. »

De nombreux porte-parole britanniques en matière de santé ont pris soin de répéter que les chiffres cités au Royaume-Uni indiquent la mort par le virus, et non la mort due au virus – c’est important.
[…]
Cette nuance est cruciale – non seulement pour comprendre la maladie, mais aussi pour comprendre la charge qu’elle pourrait faire peser sur le service de santé dans les jours à venir. Malheureusement, la nuance a tendance à se perdre dans les chiffres cités de la base de données utilisée pour suivre le Covid-19
[…]
Ces données ne sont pas normalisées et donc probablement pas comparables, mais cette mise en garde importante est rarement exprimée par les (nombreux) graphiques que nous voyons. Elle risque d’exagérer la qualité des données dont nous disposons.

En fait, le Dr Lee s’efforce de le souligner :

La distinction entre la mort « avec » Covid-19 et la mort « à cause » du Covid-19 ne consiste pas seulement à couper les cheveux en quatre.

La BBC a traité de la même question dans un article du 1er avril [encore une fois, c’est nous qui soulignons] :

Les chiffres de décès rapportés quotidiennement sont des cas d’hospitalisation où une personne meurt d’une infection à coronavirus dans son corps – car il s’agit d’une maladie à déclaration obligatoire.

Mais ce que les chiffres ne nous disent pas, c’est dans quelle mesure le virus est à l’origine du décès.

Il peut être la cause principale, un facteur contributif ou simplement présent lorsque la personne meurt d’autre chose.

Ces règles absurdes ont contribué à cet exemple récent, cité dans l’article de la BBC, mais peu diffusé à l’époque :

Un jeune homme de 18 ans de Coventry a été testé positif au coronavirus la veille de sa mort et a été déclaré comme sa plus jeune victime à l’époque. Mais l’hôpital a ensuite publié une déclaration indiquant que son décès était dû à un problème de santé « important » distinct et non lié au virus.

Cette histoire est tout à fait vraie. Le garçon a été largement présenté comme la « plus jeune victime du coronavirus » au Royaume-Uni le 24 mars, avant que l’hôpital ne publie une déclaration disant :

« [L’hôpital] avait effectué un test de dépistage du COVID-19 la veille de sa mort, mais cela n’était pas lié à la raison de sa mort. »

Malgré les corrections apportées par l’hôpital à la presse, l’affaire était toujours publiée dans les tabloïds une semaine plus tard, le 31 mars.

Cependant, le détail important ici est perdu : Selon les règles actuelles du NHS, bien que l’hôpital ait officiellement déclaré que le coronavirus n’était pas la cause de sa mort, ce garçon fait toujours partie des statistiques officielles sur les décès dus aux coronavirus.

Combien d’autres personnes correspondent à ce profil ? Nous ne le saurons jamais.

Comme le souligne le Dr Lee, le Covid19 n’est pas une maladie qui présente un ensemble unique – voire rare – de symptômes. La gamme de gravité et le type de présentation correspondent littéralement à des dizaines d’infections respiratoires extrêmement courantes.

Vous ne pouvez pas voir la « fièvre » et la « toux » et diagnostiquer ensuite un « covid19 probable » avec la moindre chance de précision.

C’est devenu l’une de ces pépites d’information que nous connaissons tous par cœur, mais entre 290.000 et 650.000 personnes meurent chaque année de la grippe, ou d’une « maladie ressemblant à la grippe ». Si l’on considère à tort que 10 % seulement de ces cas sont des infections à coronavirus « probables », alors les chiffres des décès sont totalement inutiles.

A l’heure où des informations fiables et de qualité sont essentielles pour sauver des vies et prévenir la propagation massive de la maladie, les gouvernements du monde entier mènent des politiques qui rendent la collecte de ces données quasiment impossible, tout en alimentant la peur du public.

En raison de ces politiques, le simple fait est que nous n’avons aucun moyen fiable de savoir combien de personnes sont mortes de ce coronavirus. Nous n’avons pas de données concrètes du tout. Et les gouvernements et les organisations internationales font tout leur possible pour qu’il en reste ainsi.

Il est temps que nous commencions à nous demander pourquoi.

Kit Knightly, Off Guardian, le 5 avril 2020

Traduction SLT




Hôpitaux vides ? Où sont tous les patients Covid-19 ?

[Source : Sott.net via Réseau International]

[Auteur :] D. Rodriguez

Remarquez la date. 11 jours plus tard : mais où sont les patients ?

Le hashtag #FilmYourHospital (Filme ton hôpital – NdT) fait le buzz sur Twitter. Avec un tiers de la population mondiale actuellement « confinée », certains ont décidé de minimiser leurs risques de péter les plombs en allant faire un tour dans leurs hôpitaux locaux pour documenter les scènes de chaos auxquelles ils s’attendaient à assister – pandémie mortelle galopante oblige. Or ils ont été étonnés de trouver des hôpitaux étrangement calmes et nullement débordés. Dans certains d’entre eux, il semble même régner (pardonnez ce jeu de mots) un calme mortel.

Certes, il se pourrait que si les gens voient des salles d’hôpital vides ou excessivement calmes, c’est parce que les cas de Covid-19 (suspectés et/ou confirmés) sont uniquement dirigés – pour l’instant – vers des centres hospitaliers désignés. Cela serait logique d’un point de vue épidémiologique : « confiner » les cas dans un minimum de « points chauds », car les hôpitaux eux-mêmes peuvent rapidement devenir d’importants foyers infectieux. Quelqu’un a-t-il vu des rapports ou des directives concernant une telle mesure administrative ? Je n’en ai pas encore vu. La plupart des rapports sur l’état de préparation des hôpitaux donnent l’impression que les établissements médicaux (tout du moins dans les villes) s’attendent à être « submergés à tout moment ».

Dans l’une des premières vidéos #FilmYourHospital publiées en ligne et intitulée « Mediziner gegen Medien Es gibt keine gefährliche Corona Pandemie », le journaliste allemand Billy Six commence sa visite de l’un des hôpitaux les plus fréquentés de Berlin en affirmant qu’il y a été envoyé par les administrateurs d’un autre hôpital qui lui ont dit que c’était« là-bas qu’on envoyait les cas de Covid-19 ». Mais au lieu de voir du personnel médical courant dans tous les sens pour traiter les cas de Covid-19, comme on pourrait s’y attendre, il a trouvé l’hôpital exceptionnellement calme.

La vidéo de Six contient de brèves séquences de sa visite à « l’hôpital Covid-19 » de Berlin, mais la majeure partie de son contenu est un montage de séquences d’entretiens avec des médecins et des virologues en Allemagne, en Italie et ailleurs, qui remettent en question les hypothèses de base sur la « pandémie de Covid-19 ». On notera avec intérêt que des itérations de cette vidéo ont été supprimées par YouTube pour « non-respect de sa politique », bien qu’en la visionnant, je n’aie rien remarqué qui prête à controverse. Enfin, si l’on omet l’impact que des hôpitaux « Covid-19 » déserts pourraient avoir sur le discours officiel concernant la « pandémie de coronavirus »…



Apparemment, la vidéo circule toujours sur YouTube (ici et ), mais cela pourrait ne pas durer, puisque les censeurs s’emploient à la supprimer.

Voici quelques autres vidéos de localités que les médias mainstream qualifient de « points chauds Covid-19 » – ou plutôt de « zones de guerre » – mais dans lesquelles c’est le calme plat. Elles proviennent des trois États américains qui, selon les dernières statistiques officielles, connaissent « le plus grand nombre de cas de Covid-19 » :

New York

https://twitter.com/i/status/1245200161048915969
https://twitter.com/i/status/1245193702047268865



New Jersey



Californie



Dans le meilleur des cas, et surtout pendant la grippe saisonnière, les hôpitaux sont remplis de patients en attente de traitements, d’examens et d’une foule d’autres services médicaux, qui – même si beaucoup ne sont pas primordiaux – sont néanmoins essentiels dans une société qui fonctionne normalement. Aujourd’hui, les besoins de ces patients ne sont pas pris en compte. Typiquement, nous voyons aussi, dans les hôpitaux à forte activité, des salles d’attente bondées et des services d’urgence en effervescence qui gèrent les accidents. Tout cela a été mis « en stand-by » pour faire face à cette « pandémie »… mais où est-elle donc ?

Il est vrai que les hôpitaux atteignent parfois un « point de saturation critique ». En janvier 2018, Time a fait un reportage sur l’épidémie de grippe hivernale aux États-Unis cette année-là, « une situation jamais rencontrée auparavant par le personnel hospitalier » :

Débordés par l’afflux de patients atteints de la grippe, les hôpitaux contraints de les accueillir dans des tentes

L’épidémie de grippe de 2017-2018 génère un afflux de patients dans les hôpitaux et dans les centres de soins d’urgence, dans tous les États ; les centres médicaux réagissent par des mesures extraordinaires : demander au personnel de faire des heures supplémentaires, installer des tentes de triage, restreindre les visites des proches et annuler les opérations chirurgicales facultatives, pour n’en citer que quelques-unes.

« Nous avons pratiquement atteint notre capacité maximale, et l’afflux est incontestablement différent des grippes saisonnières précédentes », affirme le Dr Alfred Tallia, professeur et titulaire de la chaire de médecine familiale au Robert Wood Johnson Medical Center de New Brunswick, New Jersey. « J’exerce depuis 30 ans, et cela fait bien 15 ou 20 ans que je n’avais pas été confronté à un épisode grippal et pseudo-grippal comme celui que nous subissons cette année ».

Tallia affirme que son hôpital « arrive à peine » à faire face à l’augmentation du nombre de malades depuis ces trois dernières semaines. Les centres de soins d’urgence de l’hôpital ont également été submergés, et les cliniques ambulatoires n’acceptent plus de rendez-vous.

Il y a deux ans, personne n’avait suggéré que l’ensemble de la population américaine soit confinée pour « éviter que les ressources hospitalières ne soient trop sollicitées ». Mais outre la question des épidémies de grippe hivernale qui provoquent périodiquement un afflux de patients dans les hôpitaux, nous devons garder à l’esprit que même lorsque les hôpitaux semblent être « débordés », il se peut qu’ils ne le soient pas en réalité.

Voici un reportage du Los Angeles Times réalisé en janvier 2018 et rendant compte de la situation des hôpitaux de Los Angeles durant l’épidémie de grippe de 2017-2018 mentionnée ci-dessus :

Les hôpitaux californiens confrontés à un afflux de patients atteints de la grippe – une véritable « zone de guerre »

Ana Oktay s’est précipitée à l’hôpital fin décembre. Pouvant à peine respirer, elle souffrait d’une forte fièvre (39°C) et d’une toux persistante.

Elle s’attendait à ce que les médecins lui disent qu’elle avait une pneumonie ou une bronchite.

« Ils m’ont dit : « C’est juste la grippe A. Elle circule en ce moment », raconte Oktay, 49 ans.

Une souche de type A connue sous le nom de H3N2 rend les gens si malades en Californie que ces dernières semaines, des milliers de personnes ont afflué dans les hôpitaux qui luttent tant bien que mal contre l’infection.

« Je suis restée alitée pendant 10 jours », raconte Oktay, qui vit à Palms. « C’est de loin la pire grippe que j’ai jamais eue. »

La cohorte de malades met également à rude épreuve le personnel hospitalier, aux prises avec ce qui pourrait s’avérer le pire épisode grippal de la décennie en Californie.

Les hôpitaux de l’État envoient des ambulances, font venir des infirmières par avion et interdisent aux enfants de rendre visite à leurs proches de peur qu’ils ne propagent la grippe. D’autres annulent des opérations et montent des tentes sur leurs parkings pour pouvoir filtrer les hordes de patients atteints de la grippe.

Ils ont envoyé des ambulances et fait venir des infirmières par avion ? Ça avait l’air sacrément grave.

Mais était-ce vraiment le cas ?

À l’époque, le journaliste Del Bigtree, qui a produit le documentaire Vaxxed, s’était rendu dans les hôpitaux qui, selon le LA Times, étaient débordés, pour vérifier la situation par lui-même :



Il semble donc que le LA Times ait médiatisé à outrance la gestion des cas de grippe par les hôpitaux pour promouvoir les vaccins antigrippaux. Ce n’est qu’un exemple parmi tant d’autres de la raison pour laquelle nous ne pouvons pas nous permettre de faire aveuglément confiance aux reportages des médias – qu’il s’agisse des alertes sanitaire ou de n’importe quel autre domaine d’investigation.

Aujourd’hui, les régions où le nombre de cas de coronavirus signalés est faible (voire nul dans nombre d’entre elles) ont mis leurs hôpitaux en « mode d’urgence Covid-19 ». Cela n’aide en rien le reste de la population, les +80% qui présentent des symptômes légers ou inexistants mais qui ont néanmoins besoin de services médicaux pour leurs maladies chroniques. Il est vrai que si vous souffrez d’une blessure par balle ou que vous êtes amené en ambulance, vous serez probablement vu par des médecins. Mais prenez garde à ce qu’ils ne vous classent pas comme un « cas Covid-19 », comme ce fut apparemment le cas pour ces personnes :


La presse veut faire croire aux gens que ces personnes ont contracté le Covid-19 et qu’elles en sont mortes.Alors, entre les médias qui publient des récits bidons et les hôpitaux qui se tiennent prêts à diriger les gens vers des « centres Covid-19 » désignés, l’objectif est-il de nous donner l’impression que la situation est devenue « incontrôlable » ?

Déterminer à quel moment une situation devient « incontrôlable » dépend du contexte. D’une manière générale, en Occident, la situation en milieu hospitalier est « incontrôlable » – ou peut-être, de façon moins hyperbolique, « les services de santé fonctionnent à un niveau suboptimal » – depuis de nombreuses années. The Guardian a rapporté en décembre 2012 que les hôpitaux britanniques étaient :

Les hôpitaux « saturés », la pénurie de lits atteint un seuil critique

Les hôpitaux sont « saturés » et l’utilisation des lits atteint des niveaux tellement « critiques » que le personnel à bien du mal à préserver la sécurité des patients et la qualité des soins qui leur sont fournis, affirme un rapport qui fait autorité, basé sur les propres données de performance du NHS.

Les taux d’occupation des lits sont souvent bien supérieurs à 85%, le seuil maximal pour que les patients soient bien pris en charge et ne soient pas exposés à des risques sanitaires, selon les statistiques officielles recueillies par le fournisseur d’informations sur les soins de santé Dr Foster Intelligence, dont le gouvernement détient la moitié des parts.

L’analyse a également révélé que les taux de mortalité dans plus d’une douzaine d’hôpitaux en Angleterre sont « alarmants ». Dans 12 trusts, les taux de mortalité étaient plus élevés que prévu pour deux des quatre indicateurs de mortalité hospitalière.

Les médecins-chefs ont averti que ces résultats reflétaient leurs efforts de plus en plus frénétiques pour trouver des lits pour le nombre croissant d’admissions d’urgence et que les dépassements répétés de la limite de 85% signifient que les patients – en particulier les personnes âgées – sont dispersés dans les hôpitaux. Le manque de lits dans les services spécialisés a pour conséquence que les patients sont envoyés dans des services où le personnel ne sait peut-être pas comment les prendre en charge correctement. Certaines opérations sont annulées à cause de ce « débordement », affirment les responsables du personnel hospitalier.

C’était il y a 8 ans. Globalement, la situation ne s’est pas améliorée, car chaque année, les budgets sont encore réduits et certains services supprimés. La situation du Royaume-Uni est similaire à celle d’autres pays. Ainsi, si le Covid-19 causait véritablement un problème de saturation, les hôpitaux n’auraient pas la place pour contenir les hordes de patients dont les médias grand public ne cessent de nous dire qu’ils ont besoin (ou qu’ils sont sur le point d’avoir besoin) d’une intervention d’urgence spectaculaire, avec des ventilateurs pour sauver leur vie. Curieusement, alors que ces hôpitaux sont, dit-on, débordés et en sous-effectif, on renvoie du personnel ! Mais bon, les hordes arrivent, ne vous inquiétez pas.

Se pourrait-il que, si nous constatons que les hôpitaux ne sont pas remplis de patients atteints de Covid-19, c’est parce que le virus SRAS-Cov-2 n’est pas mortel pour la grande majorité des gens ? De l’avis général, la plupart des gens qui l’attrapent sont asymptomatiques ou présentent des symptômes très légers. Comme nous le signalons depuis le début de ce fiasco, les chiffres qui ont servi à calculer les taux de mortalité rapportés par l’OMS, les gouvernements nationaux et les médias ne tiennent pas debout. Même si les infections et les décès du Covid-19 sont (probablement souvent) attribués à tort au virus, ils ne s’approchent même pas des chiffres qui permettraient d’affirmer objectivement qu’il s’agit d’un scénario « apocalyptique où nous allons tous mourir ».

Ainsi, après des semaines de sinistrose, nous attendons toujours. Plus cette mascarade se prolonge, plus les gens risquent de remettre en question le discours des autorités. Il est grand temps de le faire, vu l’expérience de psychologie à grande échelle que nous sommes tous en train de subir en acceptant volontairement d’être assignés à résidence pour une durée indéterminée.

Ce que rapportent les médias mainstream et nos gouvernements semble être en totale contradiction avec les faits sur le terrain. Nos libertés et nos droits fondamentaux sont en passe d’être anéantis par cette réponse totalement injustifiée à un virus qui, jusqu’à présent, n’a pas été aussi mortel qu’on nous le raconte. Si une véritable pandémie est en cours, nous devrions voir non seulement beaucoup plus de photos et de vidéos d’hôpitaux débordés – diffusées par d’autres sources que les médias mainstream, qui n’hésitent pas à réutiliser d’anciennes vidéos de Bergame, en Italiemais aussi les taux de mortalité effrayants qui vont avec. Or ce n’est pas le cas.




Le nouveau virus mortel chinois est-il une opération sous couverture ?

[Source : Le Saker Francophone]


Par Jon Rappoport − Le 22 janvier 2020 − Source No More Fake News

Nouveau virus en Chine. Attention, il se propage. Des animaux aux humains ? Une pandémie à venir ? Obéissez aux autorités médicales. Tout le monde sur le pont  ! Centrée sur Wuhan. Ville de 11 millions d’habitants. Vont-ils mettre en quarantaine et isoler Hong-Kong  ? Et les voyageurs porteurs du virus se rendant en Europe et an Amérique ? Quel est le nom du Virus ? 2019-nCOV ou nCoV2019. Quoi ? Dieu merci, les chinois vivent sous une dictature sévère, les autorités peuvent sévir et mettre en quarantaine n’importe qui sur un coup de tête. Si votre température corporelle est élevée lors d’un test, ils vous arrêtent ? Ouah ! On peut avoir besoin de ça aux USA, tant qu’ils ne m’arrêtent pas. La destitution ? Oublie, il y a le virus.

Au cours de mes 19 années sur ce site, la seule histoire que j’ai
recherchée et couverte plus que toute autre est celle de l’arnaque du virus de la mort : le SRAS, la grippe porcine, le virus Ebola, etc.

En voici maintenant un nouveau. Le prétendu Coronavirus en provenance de Chine.

À chaque fois que nous avons affaire à ces tueurs potentiels, nous sommes officiellement avertis. « Il pourrait s’agir du pire jamais vu. » Des millions de personnes pourraient tomber malades et mourir. Dans chaque cas, il y a des voyageurs. « Les gens qui reviennent de X ont le virus et ils le propagent. » Dans le cas du SRAS et de la grippe porcine, les symptômes des patients sont ceux typiques de la « grippe » : fièvre, fatigue, toux, faiblesse. Autrement dit, il n’y avait aucune raison de penser que la « nouvelle maladie » était différente de la maladie traditionnelle ordinaire.

La grande différence, et la seule, est que des chercheurs ont déclaré
avoir identifié un nouveau virus comme la cause de la maladie.

Tout d’abord, seuls les « chercheurs officiels » sont impliqués dans la « découverte »
du nouveau virus. Il n’y a pas de confirmation de la part de chercheurs
indépendants. Par exemple, dans le cas du SRAS (2003), ce sont dix
laboratoires appartenant à l’Organisation mondiale de la santé (OMS) qui
ont effectué la « découverte » de ce coronavirus. Ils étaient reliés par un circuit fermé – aucun étranger n’était autorisé.

Finalement, un biologiste canadien travaillant pour l’OMS, Frank
Plummer, a déclaré à la presse qu’il était assez perplexe face à ce
qu’il voyait : de plus en plus de patients atteints du SRAS n’avaient
pas du tout le virus du SRAS. En fait, presque aucun nouveau patient
atteint du SRAS n’avait le virus. Or, quand on réfléchit au ridicule de
cette situation, on se rend compte qu’on ne peut pas dire qu’une
personne, avec des symptômes grippaux ordinaires, souffre d’une toute
nouvelle maladie si elle n’en n’a pas la cause. Mais la presse grand
public n’en a pas tenu compte et est passée à autre chose.

Dans le cas de « l’épidémie » de grippe porcine (2009), les
centres américains de contrôle des maladies (CDC) signalaient des
milliers de cas en Amérique. Mais la journaliste vedette de CBS Sharyl
Attkisson a découvert que le CDC avait, mystérieusement, cessé de
compter les cas. Comment cela a-t-il pu se produire ? Elle a trouvé la
réponse dévastatrice. L’écrasant pourcentage de tests sanguins effectués
sur des patients atteints de la grippe porcine revenaient des
laboratoires sans aucun signe du virus de la grippe porcine ou de tout
autre virus de la grippe. Cette histoire a été diffusée sur le site de CBS News, mais comme Attkisson me l’a dit dans une interview, les patrons de CBS ne l’ont pas autorisée à passer au journal télévisé national. Censuré. Et ce fut la fin de la couverture par CBS du canular de la grippe porcine. Pourtant, comme je l’ai rapporté : environ trois semaines après que CBS ait mis fin à l’histoire, WebMD
a publié un article dans lequel le CDC estimait qu’il y avait 22
MILLIONS de cas de grippe porcine aux États-Unis. Si vous avez la tête
qui tourne, c’est bien normal.

Le deuxième problème fondamental que pose l’annonce d’une « nouvelle maladie » ou d’une épidémie est l’absence de recherche sur ce que l’on pourrait appeler le « facteur infectieux ».
Laissez-moi vous expliquer. Pour ne serait-ce que commencer à dire
qu’un germe spécifique provoque une maladie spécifique, on doit
démontrer que le germe est présent dans le corps d’un patient en grands
nombres. Quelques petites particules virales qui flottent ici et là
n’ont aucune importance. Il en faut des millions. Donc, si un médecin ou
un chercheur ignare déclare : « Le patient a le coronavirus, donc il a la maladie »,
il est loin de prouver quoi que ce soit de valable. Où sont les tests
prouvant que le patient a des millions de copies du virus dans son
corps ? Nulle part.

Le troisième problème fondamental que pose l’annonce d’une « nouvelle maladie » ou d’une épidémie est le « facteur test ». Quel test (ou dépistage) est effectué sur un patient pour prouver qu’il a le « nouveau virus »
dans son corps ? La plupart du temps, il s’agit d’un test d’anticorps.
Continuez à me suivre, c’est important. Avant 1984, il était largement
admis qu’un test d’anticorps positif était un bon résultat. En résumé,
cela indiquait que le système immunitaire du patient était entré en
contact avec un germe et l’avait vaincu avec succès. Mais ensuite, pour
plusieurs raisons, cette science a été bouleversée. Un test d’anticorps
positif, à partir de ce moment-là, devenait la preuve que le patient
avait la maladie en question. Boum ! Ainsi, les statistiques sur les
maladies pouvaient facilement être gonflées. Et elles l’ont été. Et
elles le sont.

Supposer automatiquement que l’annonce d’une éventuelle épidémie est
une vérité – Et bien, c’est une erreur majeure, c’est le moins qu’on
puisse dire.

Le CDC et l’OMS sont dirigés par des chasseurs de virus. Leur métier
consiste à faire monter à leur porte-drapeau un nouveau virus. Ils se
précipitent dans une zone où une « épidémie » a été annoncée,
se retroussent les manches et cherchent le virus. Ils ne prêtent aucune
attention aux facteurs environnementaux, tels que l’approvisionnement en
eau contaminée ou en produits chimiques toxiques, la malnutrition ou le
manque d’installations sanitaires de base.

Les épidémies sont bonnes pour les affaires. Celles des industries
pharmaceutiques, celles de tous ceux qui vivent de la peur, mais aussi
la grande affaire d’arrêter le trafic de voyageurs, de détourner le
public des évènements clés, de le mettre sous surveillance et en
quarantaine, etc.

Je suis sûr que d’ici peu, il sera aussi question – Bravo la Chine –
de business. Bravo la Chine pour sa domination absolue sur sa
population. Votre capacité à arrêter n’importe qui pour n’importe quelle
raison et à dépister le « virus » a peut-être sauvé la planète d’un événement d’extinction. La liberté ? Oubliez-la. La « sécurité publique »
est le meilleur atout du jeu. Elle est gagnante à chaque fois. Diantre,
une bonne épidémie aux États-Unis, voilà ce qu’il nous faut pour
pouvoir exercer un meilleur contrôle sur les citoyens indisciplinés. Le
médecin est roi. Faites ce qu’il dit. Toujours. Combien y a-t-il de
vaccins maintenant ? Prenez-les tous. Chacun doit les prendre.

Il y a dix-neuf ans, lorsque j’ai lancé ce site web, je vous ai dit
que, de tous les cartels de ce monde, le plus important et le plus
puissant, à long terme, était le cartel médical. Depuis, rien ne m’a
fait changer d’avis.

Jon Rappoport

Traduit par Sistemics, relu par Kira pour le Saker Francophone




Royaume-Uni et Coronexit, le défi de Boris Johnson

[Source : Media-Presse.Info]

par Francesca de Villasmundo

A
rebours des décisions prises par de nombreux pays occidentaux, le
Royaume-Uni, sous la gouvernance de Boris Johnson, a pris un tout autre
chemin. La stratégie anti-coronavirus annoncée par le premier ministre
britannique, source de nombreuses polémiques, s’appuie sur les études de
deux scientifiques britanniques,  Sir Patrick Vallance et Chris Whitty,  qui visent à retarder le pic de contagion pour créer une immunité collective pour la majorité de Britanniques.

« Sur le front du Coronavirus, écrit La Nouva Bussola Quotidiana, la nouvelle est venue de Londres et a déjà suscité de nombreuses réactions controversées. Depuis des jours, nous nous demandons pourquoi le gouvernement de Sa Majesté n’a pris aucune des mesures restrictives qui sont imposées à travers l’Europe, l’Italie étant le chef de file du « modèle chinois » consistant à fermer tout ce qui pourrait être fermé. Partout en Grande-Bretagne, les écoles et les universités sont ouvertes et la vie se déroule selon des habitudes normales. Le championnat de football s’est poursuivi avec des stades bondés, comme nous l’avons vu cette semaine à Liverpool et à Glasgow, et seulement à partir du week-end prochain les portes des stades resteront fermées. 

Quelqu’un a parlé de folie ou d’inconscience, mais vendredi Boris Johnson, qui a reconnu que le pays était confronté à une grave urgence sanitaire, a révélé que son gouvernement avait une stratégie totalement différente pour faire face au défi de l’épidémie.

Johnson a suivi les conseils de deux experts, qu’il a appelés pour le conseiller, deux personnalités importantes de la santé britannique : Sir Patrick Vallance et le professeur Chris Whitty. Le premier est depuis 2018 le conseiller scientifique en chef du gouvernement. Il a dirigé pendant des années le secteur de la recherche de la plus grande société pharmaceutique britannique, GlaxoSmithKline. Le deuxième est le professeur Chris Whitty, médecin-chef du gouvernement britannique, épidémiologiste et expert en santé publique.

Ces deux scientifiques sont donc à la tête de la stratégie britannique, une stratégie qui fait déjà beaucoup débat. Quels sont ses points? Vallance et Whitty ont déclaré qu’ils étaient bien conscients que de nombreux pays prenaient des mesures sévères pour réprimer la propagation du coronavirus, y compris la fermeture des écoles, la fin des réunions de masse et de sévères restrictions de voyage, tandis que le Royaume-Uni a adopté un contrôle relativement modeste. Cependant, le système de restrictions pour les deux professeurs britanniques n’est pas le seul modèle possible, et il pourrait même s’avérer être un boomerang.

Les simulations informatiques effectuées par les experts indiquent que le Royaume-Uni est aux premiers stades de son épidémie, qui devrait augmenter rapidement en quatre semaines et culminer entre 10 et 14 semaines. Sir Patrick et le professeur Whitty ont déclaré qu’il était trop tôt pour imposer de sévères restrictions à ce stade. Ces restrictions pourraient durer plusieurs mois et provoquer la «fatigue d’isolement», les personnes quittant la maison au moment où l’épidémie est à son apogée. Les personnes âgées sont particulièrement à risque de développer des symptômes graves. Mais beaucoup d’entre elles sont déjà isolées. Les exclure de leur communauté à ce stade, alors que les risques sont encore relativement faibles, leur créerait des difficultés inutiles.

Les deux super experts ont également déconseillé la suspension des réunions de masse. Encore une fois, leurs modèles informatiques indiquent que cela serait moins efficace et plus perturbateur que les mesures qu’ils ont recommandées : se laver les mains et demander aux gens de s’auto-isoler s’ils présentent des symptômes de la maladie. Ces mesures, si elles sont correctement mises en œuvre, pourraient réduire le pic de cas de 20%, explique Sir Patrick.      

« Les gens sont beaucoup plus susceptibles d’attraper le virus d’un membre de la famille ou d’un ami quelque part dans un petit espace plutôt que dans un grand espace, comme un stade de sport », a-t-il dit. Et il en va de même pour les fermetures d’écoles. La fermeture des écoles pour Vallance et Whitty est efficace pour contrôler les épidémies graves de grippe, mais le Covid-19 semble affecter moins les enfants. Cela semble être confirmé par les résultats italiens, où la fermeture des écoles – comme cela a été révélé épidémiologiquement – a entraîné une diminution drastique des cas de grippe saisonnière. Pour les Britanniques, cependant, il y a un autre risque : les enfants de l’école confinés à la maison pourraient transmettre le Covid 19 – auquel ils semblent nettement plus résistants – à leurs parents et grands-parents.

La stratégie britannique est donc de retarder le début du pic de la maladie jusqu’aux mois d’été, diluant pour ainsi dire le nombre de cas. Les efforts pour l’éliminer trop rapidement risquent de faire revenir l’épidémie, peut-être au cours de l’hiver à venir, une fois les mesures extrêmes levées. Sir Vallance a expliqué qu’il faut essayer d’« étaler » le cours de l’épidémie, et non pas l’éliminer complètement en peu de temps. « Ce que nous ne voulons pas, c’est que tout le monde le prenne en peu de temps en obstruant les services de santé », a-t-il dit, mais en même temps, puisque la grande majorité des gens présentent la maladie sous une forme non grave et guérissent « en retardant les mesures restrictives nous construisons une sorte d’immunité collective afin que davantage de personnes soient immunisées contre le virus et que les infections soient réduites tout en protégeant les personnes les plus vulnérables ». Si l’on supprime quelque chose de manière très, très radicale, lorsque l’on assouplit les mesures, il y a un effet de rebond et ce rebond intervient au mauvais moment, a insisté Vallance.

L’immunité collective est un concept qui est devenu assez connu à la suite des débats sur les vaccinations : si un pourcentage suffisamment élevé d’une population a développé des défenses immunitaires, par vaccination ou grâce à l’immunité naturelle acquise en ayant eu la maladie, la circulation du virus est bien moindre et cela permet à cette partie de la population immunisée de protéger même celle qui ne l’est pas. Le pourcentage de personnes immunisées qu’il faudrait atteindre pour avoir une immunité efficace du troupeau est de 60%.

Il est important de souligner que si un scientifique comme Sir Vallance, qui dirige le secteur de la recherche et du développement d’un géant de la vaccination comme GlaxoSmithKline depuis des années, se concentre sur la vaccination naturelle, et non sur un vaccin hypothétique, cela signifie que la plupart des spéculations qui sont faites sur d’éventuels vaccins qui seront bientôt disponibles n’ont aucune consistance. Vallance a averti que le Covid-19 est susceptible de devenir un virus annuel, une infection saisonnière annuelle. Le bloquer sera impossible, au moins pendant une certaine période de temps, et il nous faut nous donc apprendre à vivre avec, et pour cette raison, cela n’a pas de sens de vivre dans un état d’urgence continue, et cela n’a aucun sens de fermer les activités économiques, productives, sociales et éducatives.

Une fois de plus, l’Angleterre témoigne de son proverbial « Restez calme et continuez ». Une ligne de réalisme, illustrée par le Premier ministre Johnson qui n’a pas voulu pour autant tromper les Britanniques : « De nombreuses familles perdront leurs proches », a-t-il déclaré. Un choix de clarté qui a rappelé celui de Winston Churchill qui avait promis « du sang, de la sueur et des larmes » pour gagner. La guerre contre l’épidémie ne sera pas courte. Aucune rhétorique telle « nous reviendrons bientôt aux embrassades » donc, mais une vision qui fait face à la réalité d’aujourd’hui dans une perspective future.

Cependant, certains pensent que cette stratégie dans son pragmatisme ne prend pas en compte les pertes qu’elle peut coûter. Pertes de personnes fragiles, âgées, immunodéprimées, qui pourraient être très élevées en raison de la propagation contrôlée de l’infection. Dommages collatéraux pour obtenir l’immunité du troupeau et la protection contre de futurs nouveaux foyers possibles. Nous verrons qui a raison. » 

Francesca de Villasmundo




L’arc-en-ciel invisible – Une histoire de l’électricité et de la Vie

[Image tirée de : http://www.astronoo.com/fr/articles/spectre-electromagnetique.html]

[Source de l’article : La Maison du 21e siècle]

Voici
une lecture pour les récalcitrants qui croient encore que seuls les
effets thermiques des ondes peuvent nuire à la santé. Il s’agit d’un
livre écrit par Arthur Firstenberg qui nous plonge dans l’histoire de
l’électricité et de la Vie depuis le 18ème siècle. Ce livre
nous dévoile que les scientifiques connaissent les effets biologiques
depuis plus de deux siècles! L’ingénieur en mécanique (spécialisé en
aéronautique) Sosthène Berger a réalisé un résumé fort utile de ce livre de 508 pages dont une bibliographie de 134 pages.

L’arc-en-ciel invisible – Une histoire de l’électricité et de la Vie par Arthur Firstenberg

(Titre d’origine en anglais:  The Invisible Rainbow – A History of Electricity and Life)


L’arc-en-ciel invisible – Résumé informatif

Introduction

Concernant l’auteur

Arthur Firstenberg
est un scientifique et journaliste à l’avant-garde de la démolition du
tabou concernant l’innocuité des champs électromagnétique sur le Vivant.
Il est diplômé en mathématique de l’Université de Cornell et a
fréquenté l’Université de Californie, Irvine School of Medicine, de 1978
à 1982, études qu’il a dû interrompre à cause de séquelles subséquentes
à une dose excessive de rayons-X. Depuis, il s’est consacré à la
recherche, à la consultation, comme auteur et comme orateur dans le
domaine des effets environnementaux des radiations électromagnétiques.

Concernant l’ouvrage

Ce
livre remarquablement documenté et bien référencé est une pierre
angulaire dans le sens qu’il retrace le déploiement de
l’électricité dans notre civilisation, sous le jour de son interaction
avec le matériel Vivant, depuis les tout débuts de sa découverte dans
les années 1750, jusqu’à nos jours comprenant même des projections dans
le futur. À noter que le titre se réfère à l’ensemble du spectre
électromagnétique comprenant les couleurs de l’arc-en-ciel, mais
également toutes les fréquences invisibles, comme le sont
les radiofréquence ou les champs générés autour des fils conducteurs.

1ère partie : l’électricité capturée dans une bouteille

En
1746, les premières découvertes liées à l’électricité virent le jour en
Europe. L’expérience de Leyde consistait à mettre en évidence le fluide
électrique grâce au frottement de la main sur un globe de verre mis en
rotation rapide. L’électricité statique produite faisait grande
impression dans les écoles, les foires et chez les privés qui
avaient les moyens financiers d’acquérir ce dispositif, en produisant
qui des arcs électriques, qui des électrocutions passagères. Le
phénomène de mode était tel qu’il était mal vu de penser que cette
électricité pouvait être dangereuse, même que les
électrocutions produisait céphalées, saignements de nez, fatigues chez
certains expérimentateurs ainsi que chez les animaux utilisés dans les
tests. La société était prise d’électromanie et les plus fervents à se
faire électrocuter en bonne compagnie, entre deux coupes de champagne
commencèrent à percevoir des symptômes néfastes. Malgré tout,
les établissements médicaux s’équipèrent de la fiole de Leyde (ancêtre
du condensateur) à des fins d’expérimentations médicales pour les
avortements ou d’autres applications. Ainsi naquit un tout nouveau
domaine de connaissances concernant les effets biologiques de
l’électricité sur les gens, les plantes, les animaux, connaissances qui
étaient alors bien plus vastes que celles de nos médecins contemporains
qui voient au quotidien des patients atteints des effets de
l’électricité sans même les reconnaître et qui pour la plupart ignorent
jusqu’à l’existence de ces connaissances.

Le sourd entend et le boiteux marche

Notant
les effets – rarement positifs – plus souvent négatifs de l’application
de tensions électriques aux organismes vivants, les chercheurs et
médecins en ont conclu que les organismes vivants fonctionnent en
conjonction avec l’électricité. Certaines guérisons ont été obtenues en
utilisant l’électricité, comme par exemple en 1851, le
neurologiste Duchenne qui traita la surdité de quelques dizaines de
patients au moyen d’impulsions électriques appliquées localement.
D’autres mises en évidence de la stimulation des systèmes nerveux,
cardiaque, cardiovasculaire, gustatif, sudatoire et autres,
par l’électricité produite dans des couples galvaniques furent
expérimentées, notamment par Volta en Italie, parmi d’autres chercheurs
en occident. Il fut constaté que le nombre des effets curatifs était
nettement moindre que les effets délétères dont on peut lire la liste
et qui comprennent les symptômes de l’électro-sensibilité (ES ) connus
aujourd’hui, comme céphalées, vertiges, nausées, confusion mentale,
fatigue, dépression, insomnie, etc.

Sensibilité électrique

Le
botaniste français Thomas-François Dalibard – qui a mené des
expériences électriques sur le Vivant – confie à Benjamin Franklin dans
une lettre datée de 1762 qu’il ne peut plus aller de l’avant pour cause
d’intolérance électrique de son organisme. C’est un des premiers
électro-hypersensibles (EHS) déclaré formellement. A en lire le
contenu, ce botaniste devait être fortement affecté. D’autres
professeurs et chercheurs font la même et triste expérience et doivent
cesser leurs travaux. Même le si renommé Benjamin Franklin fut atteint
d’une maladie neurologique chronique durant ses recherches sur
l’électricité, dès 1753, et les symptômes font largement penser à
de l’électro-hypersensibilité. Tant et si bien qu’à la fin du 18 ème
siècle, il fut de renommée populaire que l’électricité pouvait rendre
malade, selon le sexe, la morphologie et la condition physique des
individus. De même, on avait observé que certains individus réagissaient
fortement aux changements de météo, souvent corrélés à des
modifications électriques de l’atmosphère. Certains de ces sujets sont
connus jusqu’à nos jours, comme Christophe Colomb, Dante, Charles
Darwin, Benjamin Franklin, Goethe, Victor Hugo, Leonardo DaVinci, Martin
Luther, Michel-Ange, Mozart, Napoléon, Rousseau, et Voltaire.

La route délaissée

Durant
les années 1790, la science se trouva face à une crise d’identité quant
à l’interprétation et l’unification des quatre différents fluides que
sont l’électricité, la lumière, le magnétisme et la chaleur. Pour ce qui
est de l’électricité, on avait d’un côté la perception selon Luigi
Galvani qui considérait que l’électricité faisait partie intégrante
du Vivant et de l’autre Volta qui pensait que l’électricité n’était
qu’un effet « secondaire » des réactions chimiques internes au vivant.
Volta, inventeur de la pile électrique fort utile et pouvant
potentiellement être la source de retombées pécuniaires, eut gain de
cause contre la vision plus globale de l’interaction entre électricité
et vivant.

Maladie électrique chronique

Dès
la fin du 19 ème siècle, le paysage des villes fut métamorphosé par
l’installation de lignes de télégraphe partout dans les pays
industrialisés. Cette technologie utilisait des tensions de l’ordre de
80 volts sur un seul conducteur, le retour du signal se faisant par
la Terre. Alors naissent les premiers courants vagabonds auxquels le
Vivant fut exposé. On vit alors apparaître des maladies de civilisation
telle que la neurasthénie dont furent affectés Frank Lloyd Wright et
Theodore Roosevelt parmi d’autre personnalités. Notons au passage que la
neurasthénie s’apparente de très près à l’électro-hypersensibilité,
terme plus moderne pour désigner la même sensibilité à l’électricité.
Les télégraphistes employés à manipuler le courant électrique envoyé
dans les lignes, donc exposés à des champs électromagnétiques importants
furent frappés du mal télégraphique pour la moitié d’entre-eux environ.
Encore une fois, les symptômes étaient les mêmes que ceux de l’EHS.
Plus tard, vers 1915, ce furent les téléphonistes qui seront confrontés
aux même symptômes, car exposés durant de longues heures aux
champs électromagnétiques des communications, devant leur pupitre. En
1989, il fut noté qu’a Winnipeg, 47 % des opérateurs téléphoniques
étaient atteints des mêmes symptômes. 

Toutefois, en 1894, un
célèbre psychiatre viennois écrivit un article dont l’influence
fut grandement néfaste à tous les malheureux qui souffraient du mal
télégraphique, de neurasthénie, du syndrome des micro-ondes ou d’EHS. Au
lieu de voir la cause extérieure de la pollution électromagnétique, il
attribue ces symptômes à des pensées désordonnées ou à des émotions mal
contrôlées. Ainsi, on médicalise des millions de citoyens affectés par
le smog électronique au lieu de réduire leur exposition à ce polluant.
Sigmund Freud renomma la neurasthénie – dont on connaissait bien
l’origine électrique – en névrose d’angoisse ou attaque d’anxiété ou
encore attaque de panique. Ainsi, le déploiement sans précaution de
l’électrification put continuer sans entrave. A noter qu’en Russie, la
neurasthénie est listée comme maladie environnementale car la
redéfinition abusive de Freud fut refusée.

Le comportement des plantes

Sir
Jagadis Chunder Bose ainsi que d’autres chercheurs menèrent de
nombreuses expérimentations électriques sur les plantes et d’autres
organismes vivants, avec des résultat démontrant de nets effets. Il
découvrit que les nerfs végétaux ou animaux ont des comportements
variables et que la résistivité de ceux-ci peut fortement varier
en fonction du courant appliqué et de sa polarité. Aussi, il nota que
l’intensité de courant nécessaire à modifier la conductivité des nerfs,
respectivement la tension appliquées est infinitésimale, de l’ordre de
0,3 microampères (0,3*10-6 ). Il se trouve que ce courant
est nettement inférieur au courant induit par une conversation
téléphonique au moyen d’un cellulaire. Bose découvrit également que le
seuil de bio-activité d’un courant est de un femtoampère (1*10-15 )
! Comme ce chercheur étaient également versé dans les transmissions par
radiofréquences, il essaya de soumettre une plante à un signal radio
de 30 MHz à 200 mètres de distance et constata que la plante retarda sa
croissance durant le temps de l’émission. De même il démontra que la
circulation de la sève dans la plante était ralentie lorsque celle-ci
était irradiée par le même signal radio.

Maladie électrique aiguë

Dans
les années 1880, Londres fut alimentée en courant continu, mais
certains physiciens avaient découvert que la distribution du courant
alternatif générait moins de pertes ohmiques dans les fils. Il s’en
suivit une bataille des courants malgré que de nombreux scientifiques
dénonçaient les effets plus dangereux du courant alternatif,
dont Edison. D’ailleurs, ironiquement, c’est bel et bien du courant
alternatif qui est utilisé dans la chaise électrique, justement parce
qu’il est plus nocif. Tout le monde sait que le courant électrique de
secteur est… alternatif ! 

En 1889, l’électrification à grand
échelle débuta aux États-Unis et peu après en Europe. Cette même année,
comme par hasard, les médecins furent pris d’assaut par des malades de
la grippe qui jusque là n’apparaissait que rarement. Les symptômes
des victimes étaient bien plus neurologiques, du style neurasthénie, à
l’exclusion de troubles respiratoires. Cette pandémie dura quatre ans et
fit au moins un million de morts. 

En 2001, l’astronome canadien
Ken Tapping démontra que les trois derniers siècles de pandémies
grippales étaient corrélés à des pics d’activité solaire magnétique, sur
un cycle de onze ans. Il a également été constaté que certaines
épidémies de grippe se répandent sur des contrées énormes en juste
quelques jours, fait difficilement explicables par la contagion de
proche en proche. De même, de nombreuses expériences liées à
la contagion de proche en proche par contact, par projections de mucus
ou autres procédés se révélèrent infructueuses. 

Depuis 1933 à nos
jours, les virologues ne peuvent présenter aucune étude expérimentale
démontrant que la grippe se propage par contact normal entre
personnes. Toutes les tentatives ont échoué.

Le mystère de l’île de Wight

En
1904, les abeilles commencèrent à mourir sur l’île de Wight, suite à
l’installation d’émetteurs d’ondes radio par Marconi. Ces émetteurs
travaillent sur des fréquences proches du mégahertz. 

De l’autre
côté de la Manche, Jacques-Arsène d’Arsonval démontra que les
signaux électromagnétiques « pointus et crochus » sont beaucoup plus
toxiques que les signaux sinusoïdaux. 

En fait, Marconi, après un
an et demi d’expérimentation avec des émetteurs radio, en pleine santé à
22 ans, a commencé à développer des fièvres. Ces accès ne
disparurent pas jusqu’à la fin de sa vie. En 1904, alors qu’il était
occupé à réaliser un émetteur puissant pour des communications
transatlantiques, ces fièvres étaient si intenses qu’on a pensé à la
malaria. En 1905, il se maria à Beatrice O’Brien et après leur lune de
miel, ils s’installèrent sur l’île, à proximité d’un émetteur. Aussitôt
que Béatrice fut installée, elle nota des acouphènes. Après trois mois,
elle tomba malade d’une mauvaise jaunisse. Elle dut rentrer à Londres
pour donner naissance à un bébé qui ne vécut que quelques semaines et
mourut de « causes inconnues ». Dans le même laps de temps,
Marconi passa plusieurs mois dans la fièvre et le délire. Entre 1918 et
1921, il souffrit de dépression suicidaire, alors qu’il travaillait sur
un émetteur à ondes courtes. En 1927, alors qu’il était en voyage de
noce de son deuxième mariage, il s’effondra de douleurs thoraciques et
fut diagnostiqué de graves troubles cardiaques. Entre 1934 et 1937
alors qu’il développait la technologie micro-ondes, il subit neuf crises
cardiaques, la dernière le tua à l’age de 63 ans. 

Sur la même
île, à Osborn House, la reine Victoria fut atteinte
d’hémorragies cérébrales et mourut le soir du 22 janvier 1901, juste au
moment ou Marconi mit en marche un nouvel émetteur à moins de vingt
kilomètres de là. 

En 1901 il n’y avait « que » deux émetteurs
alors qu’en 1904, il y en avait quatre, faisant de ce cette île
l’endroit le plus irradié de la planète, ne laissant plus aucune
place aux abeilles pour survivre. En 1906, une enquête fut menée pour
constater que 90 % des abeilles avaient bel et bien disparu sans raison
apparente… De nouvelles colonies furent apportés sur l’île mais celle-ci
succombèrent également en une semaine. 

Cette épidémie se
propagea à travers l’Angleterre puis à travers le monde occidental pour
se stabiliser peu à peu, jusqu’à ce que les armées s’équipent de divers
émetteurs radio de haute puissance, vers la fin du premier conflit
mondial, en 1918, provoquant comme on l’a vu ci-dessus, la pandémie de
grippe espagnole qui en réalité débuta aux États-Unis, dans la Naval
Radio School de Cambridge, Massachusetts avec 400 cas. Cette épidémie se
propagea rapidement à 1 127 militaires au Camp Funston (Kansas), où
on avait introduit les connexions sans fil. Ce qui intrigua les médecins
fut que 15 % de la population civile était affectée de saignements de
nez alors que 40 % des marins de la US Navy en souffraient. D’autres
saignements apparurent également et un tiers des morts l’étaient par
hémorragie interne des poumons ou du cerveau. En fait, c’est la
composition du sang qui était modifiée, mesurée par le temps de
coagulation plus que doublé. Ces indications jurent avec les effets des
virus respiratoires de la grippe, mais sont totalement cohérents avec
les effets néfastes de l’électricité. Une autre incohérence était que
les victimes étaient pour deux tiers des jeunes en bonne santé. Encore
un symptôme atypique de la grippe, le pouls descendait à des valeurs de
36 à 48, alors que ce genre de situation sont courantes lorsqu’on est
exposés aux champs électromagnétiques. Aussi, certains purent être
soignés par des administrations massives de calcium. 

Le Dr.
Militaire George A. Soper, témoigna que le virus se propageait plus vite
que la vitesse de déplacement des personnes. Différentes expériences
furent menées pour contaminer des sujets de proche en proche, par
contact direct, ou inoculation de mucus ou de sang, sans pouvoir
démontrer la contamination. 

On observe que chaque nouvelle
pandémie de grippe correspond à une nouvelle avancée technologie
électrique, comme la grippe asiatique de 1957-58 subséquente
à l’installation d’un puissant système de surveillance par radars, la
grippe de Hong-Kong dès juillet 1968, subséquente à la mise en service
de 28 satellites militaires de surveillance spatiale à la hauteur des
ceintures de Van Allen nous protégeant des rayonnements cosmique.

L’enveloppe électrique de la Terre

La
Terre en rotation avec son centre constitué en majorité de fer,
protégée par, en premier lieu la ionosphère, puis la plasma-sphère –
délimitée par les ceintures de radiation de Van Allen entre 1 000 et 55
000 km d’altitude –, et sa traîne qu’est la magnétosphère, exposée aux
vents solaires en provenance de notre astre du jour, constitue une sorte
de dynamo, un système électrique complexe. Les échanges électriques
entre la croûte terrestre et l’atmosphère, voire la ionosphère sont
permanents et constants. Ils sont en équilibre précaire et une sorte de «
respiration » électrique, de tout le système a permis à la vie de se
développer sur notre planète chargée de ions négatif, par opposition à
la ionosphère chargée positivement. On note un champ électrique vertical
moyen de l’ordre de 130 volts par mètres, avec des valeurs
pouvant s’élever à 4 000 volts par mètre dans les orages par exemple. En
1953, on a aussi découvert un des paramètres primordiaux de cette
oscillation électrique de notre environnement, avec les fréquences de
Schumann (Winfried) respirant à 7,83 hertz, avec des harmoniques à 14,
20, 26, 32 Hz, appelées Très Basses Fréquences (TBF) ou Very Low
Frequencies (VLF).

Pas étonnant que les organismes vivant dans cet
environnement se soient imprégnés de ces valeurs physiques et que par
exemple nos rythmes cérébraux se situent dans ces plages de fréquences,
comme le rythme alpha entre 8 et 13 Hz. Si nous percevons les fréquences
visible – du bleu au rouge –, du spectre électromagnétique, certains
animaux sont en mesure de voir d’autres fréquences électromagnétiques,
comme les abeilles qui voient les ultra-violets ou ces salamandres ou
poissons-chat qui peuvent voir les basses fréquences électriques, alors
que les serpents voient les infra-rouges. 

Des expériences en
laboratoire sur les hamsters, par exemple, démontrèrent que la réduction
de la température et de la durée du jour ne suffisait pas à les mettre
en hibernation. De même, des hamsters élevés en cage de Faraday
refusaient d’hiberner même que les paramètres de lumière et de
température étaient hivernaux, jusqu’au moment où la protection de
Faraday fut supprimée. D’autres expériences furent menées, par exemple
en 1967, à l’institut Max Plank, par le physiologiste Rütger Wever,
en utilisant deux chambres enterrées, sans fenêtre ni contact extérieur,
l’une blindée électromagnétiquement, l’autre non. Il fut démontré que
dans la chambre blindée, les rythmes circadiens des sujets volontaires
se désynchronisaient et pouvaient varier entre 12 et 65 heures, avec des
troubles métabolique, alors que les sujets de la chambre immergée dans
les champs terrestres gardaient un rythme cohérent proche de 24
heures et que leur métabolisme continuait de fonctionner plus
normalement. On a démontré scientifiquement que le Vivant a besoin
d’être baigné dans le système électromagnétique de notre environnement
naturel pour bien fonctionner. 

D’ailleurs, l’acupuncture,
médecine traditionnelle millénaire chinoise utilise nos propriétés
électriques en modifiant les connexions des méridiens. Il fut
démontré récemment, dès les années 1950, que ces méridiens correspondent
bel et bien à des circuits électriques et que le Qi chinois correspond à
la notion d’électricité. Ces méridiens ont double fonctions, d’une part
ils transportent les informations et l’énergie interne à l’organisme
d’un organe à l’autre, mais encore, ils servent d’antennes pour capter
les flux électromagnétiques environnementaux. 

Au début des années
1970, les physiciens atmosphériques découvrirent que le
champ magnétique terrestre était passablement dérangé par l’activité
électrique humaine. En effet, en injectant un signal dans l’espace et en
captant son écho, on s’aperçut que le signal initial avait été modifié
par des multiples des 60 Hz du réseau électrique utilisé en Amérique du
Nord. 

Ceci n’empêcha pas de lancer le projet HAARP pour délibérément modifier les propriétés électromagnétiques de notre planète. 

De
même, les ceinture de Van Allen nous protégeant des rayons cosmiques,
ont été déjà altérées par notre activité électrique et il se pourrait
qu’initialement, ces ceintures double n’aient été qu’une ceinture simple
qui, face à l’émission de charges électriques humaines dans l’espace se
soient détériorées en son milieu. 

Des observations satellites
montrent que les rayonnements produits par les lignes de haute tensions
occultent souvent les rayonnements naturels des éclairs. 

Dans ce
contexte, il est logique de penser que les pandémies de grippes connues
ces dernière décennies soient liées à l’activité électrique humaine.

Porphyrines et la base de la Vie

Dans
toute transformation d’énergie dans le domaine biologique, les
porphyrines [pigments formés de quatre molécules de pyrrole] sont
impliquées. Si nos nerfs peuvent fournir leur office, c’est grâce entre
autre aux porphyrines qui sont impliquées dans le fonctionnement de nos
cellules. Ce sont des molécules spéciales qui sont l’interface
entre l’oxygène et la vie. Ces molécules sont hautement réactives et
elles interagissent avec les métaux toxiques ou les éléments
synthétiques issus du pétrole, les champs électromagnétiques, qui s’ils
sont en excès provoquent la porphyra, plus une
sensibilité environnementale qu’une maladie. 

Les recherches du Dr
William E. Morton démontrèrent que les personnes atteintes
de sensibilité chimique multiples (MCS) sont également à 90% déficientes
en l’une ou l’autre formes d’enzymes porphyriques, de même que pour les
personnes électro-hypersensible, ce qui signifie que les deux formes de
sensibilités ne sont que des manifestations différentes d’une même
cause. La porphyrie découverte en 1891 affecte environ 10% de la
population moderne et son apparition est concomitante avec
l’électrification générale de l’Occident dès 1889. 

Les
porphyrines sont centrales dans le smog électronique non pas seulement à
cause de l’EHS, la MCS ou la porphyrie, mais également en ce qui
concerne les maladies cardiovasculaires, le cancer, le diabète, du fait
qu’elles sont impliquées dans une multitude de processus énergétiques
biologiques. 

Le biologiste Allan Frey ainsi que Wlodzimierz
Sedlak démontrèrent dans les années 1960 que nos organismes ont bien une
composante bio-électronique et que certaines de nos cellules se
comportent tantôt comme des conducteurs, ou des capacitances, ou
des semi-conducteurs (transistors) comme les composant que nous trouvons
dans nos appareillages électroniques. Ainsi, il en va de la myéline
–gaine de nos nerfs–, qui contient de la porphyrine intriquée avec du
zinc. Si des poisons environnementaux comme les produits chimiques ou
métaux toxiques affectent cet équilibre, la gaine est altérée, ce qui
change l’excitabilité des nerfs qu’elle entoure. Le système nerveux
entier devient alors hyper-réactif au stimulus de toutes natures, comme
les champs électromagnétiques. Le système entre dans un état
d’instabilité divergente, l’effet devenant la cause. 

Contrairement
à la conception que les mitochondries sont les éléments de nos
cellules produisant l’énergie, l’idée que la gaine de myéline est une
mitochondrie géante voit le jour. 

La connexion entre porphyrie et
zinc a été découverte dans les années 1950 par Henry Peters à la
Medical Schoold du Wisconsin. Les patients souffrant de porphyrie et
de symptômes neurologiques excrétaient beaucoup de zinc dans les urine,
ainsi il lui vint à l’idée qu’une chélation du zinc pourrait améliorer
leur état. Il constata une amélioration, malgré l’idée répandue qu’une
carence en zinc est liée aux troubles cités. De même, certaines
expériences montrent que la chélation du zinc améliore la condition
d’Alzheimer. Une équipe médicale australienne démontra par autopsie que
les cerveaux de sujets atteints d’Alzheimer contenaient deux fois plus
de zinc que ceux de patient sains.

2e partie : au présent

Cœur irritable

En
1980, les arrêts cardiaques chez les jeunes athlètes étaient rares,
seulement neuf cas sur l’année. Á partir de cette date, les cas
augmentèrent constamment de 10% par année jusqu’en 1996 ou soudainement
ce taux doubla pour atteindre 64 cas puis, 66 l’année suivante et 76 la
dernière année de l’étude. La communauté médicale américaine n’avait pas
d’explication, tandis qu’en Europe, en 2002, un appel des
médecins environnementaux allemands demandait un moratoire sur les
antennes-relais car leurs ondes provoquaient des troubles
cardiovasculaires. C’était l’Appel de Fribourg

Le Dr Samuel Milham,
épidémiologiste du département de la santé américain, démontra dans ses
travaux que les maladies cardiovasculaires, le diabète et le
cancer sont largement, si pas entièrement provoqués par l’électricité. 

Paradoxalement,
les études sur le cholestérol datant du début du vingtième siècle
ne démontraient pas un risque plus élevé de maladies cardiovasculaires
corrélées au taux de cholestérol, contrairement à ce qui est communément
admis de nos jours. Une étude sur les animaux du zoo de Philadelphie
montre que de 1916 à 1964, le taux de cholestérol chez les mammifères et
les oiseaux augmenta d’un facteur 10 à 20, alors que leur régime
alimentaire était resté strictement le même ! Le paramètre qui
avait drastiquement changé était bien l’augmentation des
radiofréquences. 

Durant la seconde guerre mondiale, un certain
nombre de soldats se plaignit de symptômes similaires à la neurasthénie.
D’abord, on pensa selon la doctrine de Freud, qu’ils étaient affectés
de trouble anxieux, puis, une étude sur 144 cas fut menée par le Dr
Mandel Cohen. Cette étude révéla qu’effectivement, ces soldats
étaient physiologiquement moins résistants, avec un cœur irritable. Ils
souffraient d’une difficulté d’assimilation de l’oxygène et devaient
respirer deux fois plus que leurs collègues en meilleure santé pour
capter suffisamment d’oxygène. Il s’avéra que leurs
mitochondries étaient inefficientes. Au bout du compte, il fut démontré
que ces soldats étaient hypersensibles au sens général, mais en
particulier à l’électricité. 

En Union Soviétique, dès les années
1950, il fut aussi observé que les radiofréquences modifiaient les
électrocardiogrammes des personnes exposées, par la modification de
l’efficacité des mitochondries. (Lire l’article de Firstenberg sur l’histoire de l’électrohypersensibilité.)

Les diagrammes de Milham des statistiques
du nombre de morts par maladies cardiaques en fonction du degré
d’électrification des états américains en 1931 et 1940 sont en
outre également très explicites, ne laissant aucun doute quant à la
toxicité des champs électromagnétiques sur la cœur, innocentant le
cholestérol et l’alimentation jugée trop riche en graisses.

La transformation du diabète

Thomas
Edison, impliqué dans les découvertes liées à la technologie électrique
et donc baignait dans les champs électromagnétiques plus que le reste
de ses concitoyens de l’époque fut diagnostiqué d’une maladie fort rare
en 1882, le diabète. Un autre chercheur, Alexander Graham Bell, actif
dans le domaine de la télégraphie et inventeur du téléphone, était connu
pour ses plaintes incessantes concernant ses symptômes de
neurasthénie, appelés aujourd’hui EHS. En 1915, il fut diagnostiqué de
diabète également. 

En 1876, l’ouvrage Diseases of Modern Life
par Ward Richardson décrit le diabète comme une maladie moderne rare,
causée par l’épuisement aux travaux mentaux ou par choc du système
nerveux. 

Naturellement, l’apport excessif en sucre toxique et
addictif dans notre alimentation moderne a la part belle pour expliquer
qu’aujourd’hui, le diabète, incluant le pré-diabète, touche plus de la
moitié des américains. Mais l’explication est simpliste. 

Elliot Joslin
a montré qu’entre 1900 et 1917, l’apport en sucre avait augmenté de 17%
alors que la mortalité par diabète avait doublé. Plus tard, en 1987,
une étude sur les Amérindiens fut menée, démontrant des proportions
radicalement différentes de mort par diabète selon les territoires,
variant de 7 pour mille dans le nord-ouest à 380 pour mille en Arizona !
Durant ces années, ni le mode de vie ni le régime alimentaire
ne pouvaient justifier un pareil écart. Par contre un facteur
environnemental peut expliquer une telle différence. En effet,
l’électrification des réserves d’indiens fut inégalement menée et celles
du nord-ouest n’ont été électrifiées que bien plus tardivement.
Par contre, la réserve de l’Arizona est située aux abords immédiat de
Phoenix. Par ailleurs cette communauté indienne avait sa propre
installation électrique et son entreprise de télécommunication. 

Un
autre exemple étant la population brésilienne, gros producteur de sucre
depuis des siècles qui ne connaissait pas le diabète en 1870 alors
qu’il apparaissait déjà comme maladie de civilisation en Amérique du
Nord. Aujourd’hui encore, les Brésiliens consomment 70 kg de sucre
raffiné par an et par personnes, plus que les Nord-Américains, et malgré
cela, ils ont passé deux fois et demi moins de cas de diabète qu’aux
USA. 

Au Bhoutan, le diabète était pratiquement inexistant
jusqu’en 2002, après que l’électrification du pays ait commencé. En
2004, 634 nouveaux cas de diabète furent annoncés, en 2005 944, en 2006
1 470, en 2007 2 540 avec 15 morts. En 2012, on dénombra 91 morts et le
diabète était la huitième cause de mortalité dans le pays, malgré que le
régime alimentaire n’avait pas changé ! 

Le smog électronique
agissant sur les mitochondries, comme nous l’avons vu au chapitre
précédent, empêche une bonne utilisation du sucre absorbé, à savoir
la combustion du sucre. Celui-ci, ne pouvant pas être converti en
énergie mécanique est stocké sous forme de graisse par l’organisme. 

Les diagrammes des statistiques du nombre de morts par diabète
en fonction du degré d’électrification des états américains en 1931 et
1940 sont en outre également très explicites, ne laissant aucun doute
quant à l’implication des champs électromagnétiques sur l’apparition du
diabète à grande échelle, innocentant la consommation de sucre, dans une
certaine mesure. 

En 1997, on note aux USA, une augmentation des
cas de diabète de 31 %, sur une année. Elle correspond exactement à
l’introduction massive des téléphones cellulaires dans ce pays. 

Cancer et le déficit de Vie

En 2005, la Cour suprême d’Italie condamna le Cardinal Roberto Tucci,
président sortant de Radio Vatican d’avoir créé par négligence, une
nuisance publique en polluant l’environnement de radiofréquences. En
effet, dans la période de 1997 à 2003, les enfants demeurant dans un
rayon de 12 kilomètres des antennes eurent des taux de leucémie,
lymphomes ou myélomes huit fois supérieurs à ceux qui résidaient à une
plus grande distance. Il en alla de même pour les adultes, avec un taux
sept fois supérieur. 

Otto Heinrich Warburg docteur et professeur
allemand, prix Nobel de médecine en 1931, démontra que le cancer est une
régression des cellules privées d’oxygène, les poussant à se multiplier
anarchiquement comme dans un monde primitif où l’oxygène n’était pas
présent tel qu’il l’est aujourd’hui. La privation d’oxygène initiale est
elle due à un dysfonctionnement des mitochondries, dont on a vu
ci-dessus qu’il peut être provoqué par les champs électromagnétiques ou
d’autres polluants comme la fumée, les pesticides, les additifs
alimentaires et la pollution de l’air. Le même principe de déficit
d’oxygène aux cellules est valable pour le diabète et c’est pourquoi, on
trouve un taux plus élevé de cancers chez les diabétiques que dans le
reste de la population. 

Au zoo de Philadelphie, dans la période
de 1901 à 1955, on nota une élévation du taux de tumeurs malignes chez
les mammifères variant entre 2 fois plus et 22 fois plus entre les deux
dates. 

Des statistiques de morts par cancer montrent une bonne
corrélation entre l’électrification des pays et le taux de cancers. Par
exemple aux USA, sur le période de 1841 à 1850, le taux était de 6,6
pour mille. Il fit plus que doubler pour la prochaine période de 1851 à
1860, avec un taux de 14 pour mille. L’explication est fournie par
le déploiement massif du télégraphe en 1854. 

En 1914, parmi les
63 000 Amérindiens vivant dans des réserves sans électrification, on
dénombra deux morts par cancer, alors que dans le reste du pays le taux
de mortalité par cancer était 25 fois plus élevé. 

Entre 1920 et
1921, la mortalité par cancer augmenta entre 3 et 10 % dans les
pays occidentaux, suite à l’introduction des premières stations
d’émission radio AM. 

Les chercheurs suédois Olle Johansson et Orjan Hallberg
démontrèrent une nette corrélation entre les taux de cancer du sein, de
la prostate et des poumons, avec l’exposition de la population aux
radiofréquences. Ils ont consigné une augmentation significative de ces
taux en 1920, 1955, 1969 et une diminution (!) en 1978, ce
qui correspond à l’évolution du smog provoqué par les radiofréquence,
respectivement l’introduction de la radio AM, celle de la radio FM et la
TV1, arrivée de la TV2 en couleur, puis cessation des émission en radio
AM. Ces même chercheurs ont également découvert une excellente
corrélation linéaire entre le nombre d’émetteurs radio FM par unité
de surface et l’incidence des mélanomes, les endroit exposés ayant 11
fois plus de mélanomes que les zone blanches. De plus, ils ont mis en
évidence que les mélanomes n’apparaissent que rarement sur les zones du
corps les plus exposées au soleil, comme le front, le nez, les épaules
et les pieds, mais plutôt aux endroits du corps habituellement protégés
du soleil. Qui plus est, la prolifération des cancers de la peau arriva
avant la mode des vacances balnéaires ou l’exposition solaire est
intense. La démonstration est faite que les mélanomes ne sont pas
l’objet principal du soleil, mais celui des radiofréquences. 

Les diagrammes des statistiques de la mortalité par cancer
en fonction du degré d’électrification des états américains en 1931 et
1940 sont en outre également très explicites, tels qu’ils le sont pour
le diabète et les maladies cardiovasculaires, ne laissant aucun doute
quant à l’implication des champs électromagnétiques sur la prolifération
des cancers. 

Les données honnêtes concernant les tumeurs du
cerveau sont rares car le lobby de la téléphonie mobile s’est infiltré
depuis des décennies dans ce milieu pour mandater des études biaisée.
L’une d’elle montrant même une diminution de l’incidence de
tumeurs corrélée à l’usage intensif du téléphone cellulaire! Toutefois,
un chercheur de l’Université de Calgary mit en évidence une augmentation de 30 % d’incidence de tumeur malignes du cerveau sur la période de 2012 à 2013 et Dr Lennart Hardell,
professeur d’oncologie à l’hôpital universitaire d’Orebro en Suède,
démontra que 2 000 heures d’usage d’un cellulaire augmente le risque de
tumeur d’un facteur compris entre trois et huit, dépendant de l’âge du
sujet et de ses habitudes téléphoniques. 

En 2000, Neil Cherry analysa les taux de cancer des enfants de San Francisco
en fonction de la distance entre leur résidence et l’émetteur
télévision et radio FM Sutro Tower. Les enfants vivant sur des collines
ou sur des crêtes furent plus touchés. Ceux qui vivaient à moins de un
kilomètre de l’antenne eurent des occurrences 9 fois supérieures de
leucémies, 15 fois plus pour le lymphome, 31 fois pour le cancer du
cerveau. Dans l’ensemble, un taux 18 fois supérieur à ceux qui vivaient
en dehors de ce rayon de un kilomètre.

Vie ralentie

Dans
le Traité pratique de l’épuisement nerveux de George Miller Beard,
électrothérapeute et ami de Thomas Edison, publié en 1880, on peut lire
une observation intrigante : Même si ces difficultés ne sont pas
directement fatales, qu’elles n’apparaissent pas directement dans les
tables de mortalité, au contraire, elles pourraient tendre à prolonger
la vie et à protéger l’organisme des maladies inflammatoires, il n’en
demeure pas moins que la souffrance est énorme. Ceux qui souffraient le
plus semblaient plutôt jeunes pour leur âge. Plus loin, Beard note
qu’une rare maladie semble plus volontiers habiter les sujets
neurasthéniques que le reste de la population, il s’agit du
diabète. Beard, avait déjà observé que l’extension de l’espérance de vie
n’allait pas de paire avec la qualité de celle-ci. La mystérieuse
corrélation entre les souffrances des neurasthéniques – dont les
symptômes sont les même que ceux des personnes électrohypersensibles
contemporaines –, et l’extension de leur vie montrait du doigt
un dysfonctionnement majeur. 

En outre, de longue date il a été
observé qu’un mode de vie ascétique, doté d’une alimentation pauvre en
calorie avait pour faculté de prolonger l’espérance de vie et la santé.
C’est par exemple le cas de la population d’Okinawa dont le nombre de
centenaires est quarante fois supérieur à la population des préfectures
plus riches, situées plus au nord. 

Des chercheurs dans le domaine
du vieillissement ont souligné que le moteur de notre vie est le
système de transport des électrons dans les mitochondries de
nos cellules. C’est là que se combinent l’air que nous respirons et ce
que nous mangeons, à une cadence qui détermine notre taux de
vieillissement, d’où notre espérance de vie. Si un ralentissement de la
combustion réalisé au sein de nos cellules en modérant la quantité
d’énergie acheminée peut être bénéfique, un autre mode de
ralentissement peut par contre lui être néfaste. C’est l’empoisonnement
de la chaîne de transport des électrons. Une des possibilités
d’empoisonnement est l’exposition chronique aux
champs électromagnétiques artificiels. Cette pollution qui ne cesse de
croître exerce des forces extérieures sur les électrons de nos
mitochondries, les ralentissant, privant nos cellules d’oxygène et
provoquant les symptômes de l’EHS.

Vous dites que vous pouvez entendre l’électricité ?

En
1962, une femme contacta l’université de Santa Barbara (CA, USA) pour
qu’on l’aide à trouver la source du son mystérieux qu’elle entendait
partout chez elle, dans un quartier pourtant calme. Cela l’empêchait de
dormir et nuisait à sa santé. Des mesures montrèrent effectivement des
champs électromagnétiques particulièrement forts émanent de tous les
conducteurs électriques, aussi bien du réseau que des radiateurs
ou autres éléments métalliques, mais le stéthoscope restait quant à lui,
silencieux. L’ingénieur se livra à une expérience, enregistrant sur
bande les champs mesurés et les diffusa à la femme affectée par ces
bruits. Elle confirma que c’est bien ce qu’elle entendait. Ainsi, cette
femme entendait les champs électromagnétiques de son environnement. Des
installations de mise à la terre et des filtres électroniques
furent installées afin de réduire les perturbations à un niveau
acceptable. 

Mais auparavant, entre autres chercheurs, Volta avait
déjà expérimenté la production de sons variés en appliquant une tension
au niveau des oreilles avec succès. Bien plus tard, dans les années
1960 également, le biologiste Allan Frey publia des articles sur la capacité de certains sujets à entendre les émissions d’une installation de radar. 

Le
modèle mécanique de fonctionnement de l’oreille tel qu’il est enseigné
dans les écoles ne permet pas d’expliquer ces phénomènes observés.
Constatant cela, le biochimiste Lionel Naftalin développa un nouveau
modèle de fonctionnement de l’oreille humaine, prenant en compte le
phénomène de piézo-électricité, bien connu et utilisé par les
électroniciens, qu’il découvrit dans le gel recouvrant les cils de
l’oreille interne. Dans ce gel trouvé nul part ailleurs dans le corps
humain et ayant des propriétés électriques très particulières, une
tension de 100 à 120 millivolts était présente, ce qui est beaucoup dans
le domaine de la bio-électronique. Ce gel piézo-électrique transforme
les ondes sonores en un signal électrique communiqué aux cils de
l’oreille interne. Ce nouveau modèle révisé du fonctionnement de
l’oreille humaine permet alors d’expliquer que, non seulement certains
sujets dans certaines conditions arrivent à entendre un
signal électromagnétique, mais également que tant de citoyens
contemporains souffrent d’acouphènes, ou encore que certains groupes de
citoyens entendent le bourdonnement (hum), un peu partout autour de la planète à raison de 2 à 11% de la population. 

Aujourd’hui,
environ 44 % des adultes américains ont des acouphènes à divers niveaux
d’intensité, alors qu’en Suède, le nombre de jeunes affectés était de
12 % en 1997 et de 42 % en 2006 ! Ces bruits parasites sont en grande
partie le résultat d’un environnement fortement pollué en champs
électromagnétiques artificiels de toutes natures.

Abeilles, oiseaux, arbres et humains

Alfonso
Balmori Marinez, biologiste espagnol, a corrélé la densité de
population de moineaux aux valeurs d’irradiations en radiofréquences de
leurs endroits de vie. Dans les lieux le plus irradiés, au-dessus de 3
V/m, les moineaux ne peuvent plus vivre, alors qu’ils sont encore 42
sujets par hectare si le niveau est de 0.1 V/m. Il a également observé
une nette modification du comportement des cigognes qui se battent au
sein du couple plutôt que de construire le nid ou couver les œufs, si
elle sont à proximité (200 m) d’une antenne-relais. 

Le
Royaume-Uni a classifié le moineau domestique comme espèce en voie
de disparition après que sa population ait décliné de 75 % entre 1994 et
2002, période qui coïncidence avec le déploiement de la téléphonie
mobile. 

Les éleveurs de pigeons voyageurs de plusieurs continent
constatent que jusqu’à 90 % des volatiles lâchés ne retrouvent pas le
chemin de retour au pigeonnier, alors que traditionnellement, cette
proportion était négligeable. En 2000, les éleveurs anglais tentèrent de
modifier le trajet de la course afin d’éviter les antenne-relais pour
laisser une meilleure chance aux pigeons. En 2004, ces mêmes éleveurs
mandatèrent de plus amples études sur l’impact des micro-ondes sur les
pigeons. 

En 2002, le US National Park Service diffusa une note
aux biologistes étudiant le comportement des animaux sauvages expliquant
que les puces RFID de localisation par radiofréquences attachées à ces
animaux peuvent radicalement modifier leur comportement du fait des
radiofréquences générées. 

Dans des milieux pollués par les champs
électromagnétiques, les pinsons n’arrivent pas à s’orienter pour la
migration, alors que s’ils sont dans une cage de Faraday, ils
y parviennent. 

Une expérience sur les têtards de crapaud élevés
dans deux bassins distincts, à 140 mètres d’une antenne-relais, l’un
sans blindage électromagnétique et l’autre avec, montra un taux de
mortalité de respectivement 90 % et 4 % ! 

On trouve le même genre
d’effets délétères chez les insectes, lorsqu’ils sont soumis au smog
électronique que nous rencontrons au quotidien, et le Dr Panagopoulous
ayant expérimenté sur les drosophiles, nous informe que les expositions
aux micro-ondes à des niveaux communs, ne serait-ce que quelques minutes
par jour durant quelques jours, sont le pire agent stressant dont nous
ayons connaissance dans nos vies courantes. Pire que les produits
chimiques ou les champs électromagnétiques basse fréquences. 

Les
abeilles sont également impactées comme nous l’avons vu au début de ce
résumé traitant de l’île de Wight. Le Dr Daniel Favre (Suisse) a
démontré qu’en présence de micro-ondes, les abeilles émettent le son
typique entendu lors de l’essaimage, ce qui porte à croire que les
insectes veulent fuir la source d’émission. Communément, on incrimine le
varroa dans le syndrome d’effondrement des colonies, mais on oublie
que cette mite a cohabité durant longtemps avec les abeilles. De plus,
on observe que même une colonie morte n’est aujourd’hui pas prise
d’assaut par les parasite, alors que c’était le cas « avant ». On
incrimine également les pesticides, mais comme on l’a vu plus haut, les
abeilles de l’île de Wight avaient bien disparu à 90 % sans que
l’endroit n’ait été traité aux pesticides. La véritable cause de
l’effondrement des colonies, ces sont les champs électromagnétiques
humains, spécialement la téléphonie mobile. 

Dans les années 1980,
un nouveau sujet d’actualité vit le jour : la mort des forêts. Le blâme
fut jeté sur les pluies acides, mais les régions les plus reculées,
baignées que dans de l’air pur furent touchées également. Des recherches
en Allemagne et en Suisse furent entreprises. Effectivement, le sol des
forêts touchées était acide, mais on détermina par observation et par
expérimentation que cette acidité peut également provenir
d’une électrolyse lente du sol via les arbres exposés à des ondes radar,
par exemple. D’ailleurs, les arbres des crêtes étaient plus touchés car
plus exposés par les nouveaux radars installés dans les années 1970. 

Une
autre observation fut faite lors de la chute du mur de Berlin. Les
gigantesques radars russes à Skruda qui irradiaient fortement toute la
région dans leur tâche de surveillance de l’ouest, avaient provoqué des
dégâts non seulement à la forêt, mais aux animaux et aux hommes
également. Après de multiples études, on trouva notamment que les
cercles de croissance des arbres durant les années de fonctionnement des
radars étaient nettement moins large qu’avant ou après celles-ci. 

A
Schwarzenbourg, en Suisse, une antenne de radio à ondes courtes fut
installée en 1939, puis la puissance d’émission fut augmentée à 450 kW
en 1954. S’en suivit une dégradation de la santé des habitants qui se
plaignaient des symptômes propres à l’EHS. Les enfants de ce village
avaient des difficultés à l’école et semblaient ne pas pouvoir accéder à
une formation supérieure contrairement aux enfants des villages voisins
moins exposés. Enfin, en 1992 une étude fut menée, confirmant que les
paramètres des analyses physiologiques des Hommes et des animaux du lieu
étaient anormales, ceci dans un rayon de 900 mètres autour de
l’antenne. Il fut également constaté que les anneaux de croissance des
arbres étaient compressés, mais seulement du côté d’où venaient les
radiations. Le 28 mars 1998, l’émetteur fut arrêté et une étude «
avant-après » fut réalisée, démontrant que le taux de mélatonine des 58
sujets testés remonta. Un villageois de 50 ans put enfin dormir une nuit
complète sans interruption, pour la première fois de sa vie. Le 29 mai
1996, Philippe Roch, directeur de l’Office de l’environnement déclara «
qu’une corrélation entre les troubles du sommeil et les opérations de
transmissions était prouvée ».

Au pays des aveugles

Combien
faudra-t-il encore attendre avant de pouvoir dire « ton cellulaire me
tue ! » plutôt que « Je suis électrohypersensible ». Et pourtant le
nombre de gens souffrant de céphalées à cause de l’usage de leurs
cellulaires est énorme. En 2010, deux tiers des étudiants à l’université
ukrainienne interrogés admirent le fait. La question étant qu’il n’est
pas socialement acceptable de l’admettre ouvertement. Madame Gro Harlem Brundtland
était EHS, alors qu’elle dirigeait l’Organisation mondiale de la
santé. Elle ne s’en cachait pas, mais un an plus tard, elle a dû laisser
sa place. Les autres personnages publiques de haut rang ne seront pas
aussi loquaces. 

Seule une minorité des personnes souffrant de la
pollution électromagnétique savent de quoi elles souffrent, alors qu’une
large majorité l’ignore. La population entière est électrocutée à
distance et l’on doit presque s’excuser d’être électrosensible ou
plus exactement électrohypersensible, comme si on devait s’excuser
d’être « cyanurehypersensible », car la vérité est que l’électricité
telle qu’utilisée actuellement est toxique. D’ailleurs, les graphes
statistiques montrent clairement une augmentation de la mortalité des
citoyens de neuf villes américaines, peu après la mise en service
des premières antenne-relais. Cette surmortalité va de 25 à plus 80 %. 

Une
enquête demandant aux New-Yorkais de s’annoncer si un certain nombre
de symptômes relatifs à l’EHS étaient apparus chez eux à partir du 15
novembre 1996, par le biais d’un journal quotidien, récolta des
centaines de témoignages, toutes classes raciales ou sociales
confondues. La date en question était celle de la mise en service
du premier réseau de téléphonie mobile cellulaire. 

L’organisation Cellular Phone Task Force
qu’Arthur Firstenberg a démarrée en 1996, croule sous les demandes
d’aides de personnes blessées par les radiofréquence micro-ondes. Il
semble qu’il n’y ait bientôt plus nulle part où aller tant les émetteurs
de toutes natures ont proliféré, tant WiFi, que WiMAX, stations radar
ou encore les irradiations venant du ciel, comme les satellites de
télécommunication. 

Pr Olle Johansson,
du célèbre institut Karolinska décernant les prix Nobel de médecine,
s’occupa dès 1977 de démontrer les effets du smog électronique sur le
Vivant. Le succès de ses études le marginalisa dans son institut, les
budgets pour ses recherches disparurent, il reçut des menaces de mort et
à une occasion, il échappa de peu à une tentative de meurtre par
sabotage de sa moto. Malgré tout, il continue d’informer le monde sur la
vérité pour défendre, entre autre, les EHS dont la vie est un enfer
sur Terre. Il est dégoûté de la façon dont les autorités de pays
soit-disant « démocratiques » laissent tomber les victimes des
radiofréquences. 

Dr Erica Mallery-Blythe
a la double nationalité anglaise et américaine, termina ses études en
1998. En 2007, suivant son mari pilote de F-16 aux USA, elle
devint sévèrement atteinte par l’EHS, à son insu. Ses recherches sur
internet lui permirent enfin de comprendre ce qui lui arrivait. Elle se
demanda en tant que médecin, comment une atteinte aussi profonde et
invalidante pouvait exister sans qu’elle n’en ait jamais entendu parler
dans sa profession. Par acquit de conscience, elle décida de se
soumettre à un IRM, afin d’éliminer tous risques de cancer du cerveau.
Elle crut que sa fin était imminente alors que les pulsations hautes
fréquence furent enclenchées. Elle retrouva toute sa santé et sa
vitalité à la Death Valley épargnée des radiofréquence. Désormais, elle
se consacre à informer et aider les au moins 5 % de personnes EHS,
totalement laissées pour compte par les autorités. 

Yury Grigoriev,
considéré comme le grand-père de la recherche sur le CEM en Russie, est
très inquiet pour les jeunes en particulier, tout en mentionnant que
c’est la première fois dans l’histoire de l’humanité que l’on expose
ouvertement son cerveau aux micro-ondes, ce qui est grave aux yeux d’un
radiobiologiste. Il cite notamment une étude coréenne démontrant que le
trouble du déficit de l’attention (ADHD) chez les enfants va de pair
avec l’usage du cellulaire connecté. 

Leif Salford,
un neurochirurgien suédois, et son équipe, prouva dans la fin des
années 1990 que le cellulaire rend perméable la barrière
hémato-encéphalique, provoquant la maladie d’Alzheimer. En 2003 ils
démontrèrent qu’une exposition unique de seulement deux heures laisse
des dommages permanents au cerveau. 

En 2015, des scientifiques
turcs irradièrent des rats, une heure par jour pendant un mois, au moyen
d’ondes typiques de téléphone cellulaire. Les rats irradiés avaient 10
% de moins de cellules cérébrales que ceux qui avaient été épargnés. La
même équipe expérimenta sur des rattes portantes, pendant 9 jours au
même taux de radiations. Leur descendance montrait des dégénérescences
de leur cerveau, moelle épinière, cœur, reins, foie, rate, thymus et
testicules. La même expérience répétée sur des jeunes rats provoqua une
atrophie de la moelle épinière avec diminution de la myéline, similaire à
ce que l’on observe dans la sclérose en plaque. 

En septembre
1998, les 66 premiers satellites de la téléphonie spatiale furent mis
en service, causant un accroissement de la mortalité nationale
américaine de près de 5 %, durant les deux semaines suivantes. Durant la
même période, on observa que les oiseaux ne volaient plus et les
personnes EHS étaient spécialement malades. Aujourd’hui, nous sommes
survolés par environ 1’100 satellites artificiels, mais plusieurs
entreprises projettent de lancer jusqu’à 4 600 nouveaux satellites de
communication chacune d’ici 2020, pour couvrir toute la planète en accès
internet rapide. Il s’agit de Google, Facebook, SpaceX, OneWeb et
Samsung. En 1968, même la première flottille de 28 satellites militaires
provoqua une pandémie de grippe mondiale. Contrairement
aux antenne-relais dont les radiations sont très atténuées en arrivant
dans la magnétosphère, les satellites agissent directement sur celle-ci,
selon des mécanismes encore mal compris, compromettant la Vie sur
Terre. Nous oublions les avertissements de Ross Adey, le grand-père de
la bio-électromagnétique et du physicien atmosphérique Neil Cherry
que nous sommes électriquement réglés pour le monde nous entourant et
que le niveau d’exposition en radiofréquences sûr est zéro. Le besoin
urgent d’agir contre cette initiative potentiellement catastrophique
peut être réalisé en s’approchant de l’association Global Union Against Radiation Deployment from Space (GUARDS)

En
2014, le médecin Tesuharu Shinjyo publia une étude « avant-après ». Il
évalua la santé de 122 habitants d’un immeuble sur lequel étaient
installées des antenne-relais. 21 souffraient de fatigue chronique, 14
de vertiges ou maladie de Ménière, 14 de céphalées, 17 de douleurs ou
infections oculaires, 14 d’insomnies, 10 de saignements de
nez chroniques. Cinq mois après que les antennes aient été éliminés, il
ne subsista que 2 cas d’insomnies, 1 cas de vertiges, 1 cas de céphalées

L’urgence en matière de droits humains qui touche des
centaines de millions de citoyens à l’échelle planétaire et l’urgence
environnementale menaçant d’extinction de si nombreuses espèces
végétales et animales doit être affrontée avec clairvoyance.


Pour sensibiliser les étudiants et les scientifiques, l’association ARA a fait don du livre “The Invisible Rainbow – A History of Electricity and Life” d’Arthur Firstenberg aux bibliothèques universitaires de Genève, Fribourg, Lausanne, Zürich, Berne et Bâle.
Le livre (ISBN 978-0-692-68301-9) est disponible en prêt via https://www.swissbib.ch




Complément à l’arc-en-ciel invisible

Complément à l’article « L’arc-en-ciel invisible – Une histoire de l’électricité et de la Vie », cette vidéo résume une hypothèse (très ?) probable sur la cause principale des grandes épidémies « virales » depuis deux siècles.

https://www.youtube.com/watch?v=GyRb7S9HEBs

Voir aussi le dossier 5G et ondes pulsées.




Le coronavirus, la 5G et la Synarchie

Dans la lignée des articles précédents sur l’arc-en-ciel invisible ou l’épidémie des ondes, cette vidéo aborde en plus divers thèmes d’ordre ésotérique et/ou « complotiste » :

https://www.youtube.com/watch?v=LtctY7u62xw&feature=em-lbcastemail



Coronavirus. Docteur Michel Pareti : « Si on compare aux victimes du tabac, aux morts sur la route, aux accidents domestiques, nous ne sommes pas dans une crise sanitaire énorme »

[Source : Breizh-Info]

Michel Pareti est médecin généraliste,
diplômé de la faculté de médecine de Paris. Médecin libéral, il a aussi
été pendant 22 ans attaché hospitalier dans un service de médecine
interne et d’infectiologie.

« J’ai connu l’arrivée de l’épidémie de SIDA, nous étions en première ligne. Et j’ai vu des erreurs faites à l’époque, à l’arrivée de cette épidémie, notamment celles des centres de transfusion, qui ont coûté la vie à beaucoup d’hémophiles ».

Le docteur Pareti porte particulière attention aux avis du Professeur François Bricaire, infectiologue et ancien chef du service Maladies infectieuses à la Pitié-Salpêtrière qui lui semblent les plus conformes à la réalité scientifique.

Des interventions qui visent à contrer
la vague de panique actuellement liée au coronavirus en France et dans
le monde, et à faire relativiser la situation, du point de vue du virus
uniquement (pas des conséquences économiques, sociales, et du désastre
au sein de l’hôpital, donc le virus n’est qu’un élément déclencheur,
mais qui couvait depuis des décennies).

Nous avons interrogé Michel Pareti, qui a bien voulu répondre à nos questions et proposer son analyse de la situation.

Breizh-info.com : Quel regard portez-vous sur la pandémie actuelle ?

Dr Michel Pareti : Je
suis à la retraite depuis 3 ans, je n’exerce plus sauf en suivi de
quelques proches, car il y a de moins en moins de médecins en exercice
en France et je suis donc bien sollicité.

J’ai connu de nombreuses épidémies
grippales (grippes, SRAS, H1N1…) avec à chaque fois des drames humains.
Des patients sont morts, parfois des enfants. D’autres ont été sauvés
avec des techniques poussées. J’ai vécu ce que mes confrères
réanimateurs décrivent aujourd’hui avec des services de réanimation déjà
saturés.

N’oublions pas que les grippes
saisonnières infectent entre 3 et 6 millions de personnes tous les ans
avec des milliers de morts (2000 à 8000 ces dernières années, 30 000 en
1968). Et ce dans une indifférence quasi générale de la population et
des médias.

Pourtant, si la majorité des décès porte
sur des patients âgés ou polypathologiques, d’autres sont parfois
constatés chez des jeunes enfants, des femmes enceintes ou des patients
obèses. Mais la grippe n’effraie pas et les Français se vaccinent peu
faute d’obligation.

C’est pourquoi, je pense que les mesures
prises actuellement paraissent disproportionnées. Prises dès
connaissance de l’apparition du Covid-19 en Chine, elles auraient été
plus cohérentes. Maintenant je crains qu’il soit un peu tard. Elles vont
faire perdurer l’épidémie en ralentissant le développement de
l’immunité collective, sans apporter de bénéfices importants sur le
nombre de décès global.

Par ailleurs, elles vont entrainer une crise économique et surtout sociale sans précédent.

Breizh-info.com : En tant que médecin, vous le connaissiez de longue date ce coronavirus ?

Dr Michel Pareti : Les
Coronavirus sont connus depuis longtemps. Certains sont responsables de
simples rhumes, d’autres comme le Covid-19 sont plus agressifs. La
contagiosité du Covid-19 est forte et les complications graves sont
surtout pulmonaires.

La crainte est de voir ce virus muter et
entrainer plus de complications graves. A priori ce n’est pas le cas
actuellement. Il parait stable. Son indice de mortalité, le plus fiable,
est probablement celui des pays, qui ont fait des dépistages
systématiques sur leur population et non uniquement sur les malades ou
personnes en contact avec des patients infectés.

Ainsi, en Corée du Sud, il est à 0,8%.
Certes, cela est supérieur à la Grippe (0,1 à 0,2%), mais cela est loin
d’être comparable à d’autres virus (60% pour l’Ebola par exemple). Même
si cela est difficile, il nous faut donc relativiser. Le tabac fait
c’est 70 000 morts par an, les accidents domestiques 20 000, la route
pas loin de 4000 morts par an.

Breizh-info.com : Alors
qu’est-ce qui explique cet emballement, dans le monde entier ? Quelle
est la raison ? On est donc dans l’irrationnel le plus total ? 

Dr Michel Pareti : Il y
a un manque de courage politique aujourd’hui, dans tous les pays. Dans
un premier temps, on n’ose pas prendre les mesures qui s’imposent. On a
peur de se voir reprocher ensuite que ce n’était pas si grave… Puis
quand un Etat commence à prendre des mesures coercitives, les autres,
par contagion, ont peur d’être à la traine. Il y a l’effet de panique,
et tout le monde veut commencer à confiner. Les Anglais avaient commencé
une tentative d’immunité collective, mais ils commencent à reculer, par
peur qu’on leur reproche après, si l’épidémie était plus grave que
prévu, de ne pas avoir pris les mesures nécessaires.

Breizh-info.com : Certains scientifiques et laboratoires évoquent un médicament à base de Chloroquine, qu’en dites-vous ?

Dr Michel Pareti : La
Chloroquine est efficace in vitro. Le professeur Raoult à Marseille a
entamé un essai de traitement in vivo. Mais, des doses 5 fois
supérieures à celles données dans la prévention du paludisme seraient
nécessaires (500mg par jour pendant 10 jours).

Les effets secondaires sont fréquents
même à 100mg par jour et les interactions médicamenteuses sont
nombreuses. En mettant en balance les bénéfices et les risques, ce
traitement s’il s’avérait efficace serait plutôt à réserver aux cas les
plus graves.

D’autres médicaments sont en étude, en particulier des antiviraux. En particulier, le Favipiravir, médicament japonais, parait prometteur. Mais il est tératogène (anomalie chez le foetus) dans les essais sur les animaux. Des  antihypertenseurs (IRA2) utilisés dans le traitement de l’hypertension ou de l’insuffisance cardiaque seraient une possibilité thérapeutique.  Mais je crains que ces médicaments ne puissent être utilisés qu’en fin d’épidémie.

Breizh-info.com : On a parlé
d’une forme d’irrationalité collective en France. Mais pour le système
finalement, n’est-ce pas une aubaine que cette pandémie qui pourrait
faire sauter le système de santé, et donc permettre aux dirigeants de
s’abriter derrière le coronavirus pour se dédouaner d’un massacre débuté
il y a plusieurs décennies déjà ?

Dr Michel Pareti : Tout à fait.
Quand j’entends mes collègues réanimateurs dire qu’on est saturé, je
suis étonné. Car tous les ans, les services sont saturés. Quand j’étais à
l’hôpital, aux Urgences, nous étions toujours saturés. Je vais même
peut-être un peu plus loin : ce n’est même pas pour masquer quelque
chose, je pense que pour ceux qui dirigent, la Santé n’est pas un sujet
préoccupant. J’ai toujours entendu que soigner un malade coûtait cher,
que la Sécurité sociale représentait 35 % du PIB, que les patients
dépensaient trop pour des anti douleurs… J’ai toujours entendu ce
discours.

Il y a toujours eu plus une approche
comptable de la Santé. On a bricolé avec. Les hôpitaux se plaignent,
mais pour les généralistes c’est encore pire. Quand on voit les
honoraires des médecins généralistes aujourd’hui, c’est une honte. On
parlait des 35 h pour les salariés, mais les médecins en font 70, ils
n’ont pas le droit aux arrêts maladie, ils payent des cotisations
énormes, on leur donne des codifications d’actes compliquées, des
conditions d’accessibilité à leur cabinet improbables…

On a tout fait pour désertifier le tissu
médical français. J’ai toujours entendu les gens de la Sécurité
sociale, sortis de l’ENA ou d’écoles comptables, venir nous expliquer
que la Santé coûtait trop cher en France, que l’on consommait trop de
soin. En Économie générale, quand on veut diminuer la consommation, il
faut diminuer l’offre, et c’est ce qu’ils ont fait.

Aujourd’hui, ça se paye.

Quand j’étais attaché hospitalier, déjà à
l’époque, « je quémandais des lits » partout dans les services. Nous
étions à la fin des années 90.

J’ai démissionné de l’hôpital, car je
n’en pouvais plus de me battre, non pas contre la maladie, mais contre
les coupes sombres. On n’avait pas de quoi payer à des externes un
otoscope alors qu’on avait changé deux fois de suite la décoration de la
salle d’attente.

À l’hôpital, l’administration a pris le
pouvoir. C’est devenu un empire, avec des emplois administratifs pour
des tas de gens sortant des grandes écoles qui seraient au chômage
sinon….A l’APHP de Paris, le personnel compte une très grande majorité
d’administratifs, ou d’encadrants, et une minorité de soignants.
Le problème est là aussi.

Breizh-info.com : Quelles conséquences voyez-vous, une fois la pandémie dissipée ?

Dr Michel Pareti : Je ne connais
rien en économie. L’argent déboursé aujourd’hui, il faudra le récupérer
d’une façon ou d’une autre. Des entreprises vont fermer. La crise
sociale sera plus grave que la crise sanitaire. Il y aura des drames
sociaux, économiques, familiaux…

Madame Lagarde annonce un total de 1050 milliards débloqués par l’Union européenne…

Quand l’épidémie sera terminée, et que
les gens seront rassurés, ils ne comprendront pas qu’on ne puisse pas
leur accorder de l’argent quand ils en demandent (certaines corporations
comme les Agriculteurs notamment) alors qu’on en accorde aux États en
faillite… il va y avoir des Gilets jaunes puissance 1000.

Pour conclure sur ce virus, j’essaie
d’être plutôt rassurant même si l’épidémie est grave. Cette maladie
reste bénigne pour une immense majorité de patients qui en guérissent
sans séquelle.

Cette épidémie met en évidence les erreurs commises dans notre
système sanitaire. Depuis des décennies on nous a dit qu’il y avait trop
de lits dans les hôpitaux, trop de médecins en France, que les Français
se soignaient trop, que la Sécurité sociale représentait 35% du PIB
français. On a donc supprimer des lits dans les hôpitaux, établi un
Numérus clausus pour les études médicales, écrasé les médecins libéraux
sous des charges asphyxiantes, sous des formalités administratives
complexes, des contraintes d’accessibilité des locaux, le tout
constituant une véritable dissuasion à l’exercice médical.

J’écoutais récemment le Professeur
Maffesoli qui a parfaitement résumé la situation, en nous expliquant que
nous avions quitté la modernité, c’est à dire la raison et l’esprit de
synthèse scientifique, pour la post modernité. On fait dans l’affectif,
dans le mythe, on ne raisonne plus, il n y a plus de débat…

Propos recueillis par YV

Crédit photo : DR
[cc] Breizh-info.com, 2020, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine




La fièvre, un processus vital

[Source : www.bickel.fr]

par René

Il n’y a pas à chercher de remède contre la fièvre, la fièvre est le remède.

L’élévation de la température du corps est un phénomène vital. La
fièvre survient uniquement lorsque notre intelligence organique le juge
nécessaire.

La fièvre joue un rôle important dans les fonctions immunitaire, métabolique, circulatoire etc.

L’élévation de la température permet au corps de mobiliser ses
défenses immunitaires. Elle a une action directe sur les agents
pathogènes tout en stimulant les défenses de l’organisme.

La fièvre permet de ramener certains dépôts, certaines substances à
un état qui permettra leur mobilisation et leur transport par le sang
dans le but de leur élimination (acide urique, cellules cancéreuses
etc.). La fièvre stimule aussi les émonctoires (peau, reins, intestins,
poumons).

Accompagnée de réactions comme la sudation, les éruptions cutanées,
les expectorations, les sécrétions de mucus, la fièvre est le signe que
le corps tout entier se mobilise pour se défendre et éliminer.

Respecter la fièvre, c’est respecter l’énergie vitale de l’organisme face à un trouble de santé.

De nombreuses expériences effectuées par le Pr. Lwoff de l’Institut
Pasteur à Paris, ont montré, qu’à partir d’une température de 39° ou
39,5°, la majorité des virus (y compris celui de la poliomyélite) sont
inhibés ou détruits.

D’autres expériences, comme celles menées par le Dr Mathew Kluger, confirment cette thèse.

Le Pr. Lwoff a injecté le virus de la poliomyélite à des lapins et a
ensuite évalué leurs réactions à différentes températures. Plus les
animaux avaient chaud, plus ils survivaient à la polio. Il a notamment
observé que les lapins contaminés succombaient en masse dès qu’on leur
inoculait un médicament contre la fièvre.

D’autres expériences ont consisté à injecter une substance toxique à
des animaux à sang froid comme les lézards. Intoxiqués, ils cherchaient
spontanément à s’exposer au soleil ou près d’une source de chaleur.
Soumis à la chaleur, ils survivaient, alors que ceux qui étaient
soustraits à la chaleur, présentaient un fort taux de mortalité.

Le Pr. Lwoff a passé une grande partie de sa carrière à démontrer scientifiquement le rôle salvateur de la fièvre.

Les travaux du Pr. Lwoff  ont été étouffés comme c’est le cas de
nombreux génies précurseurs. Ses écrits sont devenus introuvables
(normalement, on devrait les trouver dans les archives de l’Institut
Pasteur). Les travaux de Lwoff ne figurent pas dans le cursus des études
de médecine.

Les danger des antipyrétiques

Les médicaments antipyrétiques (aspirine, paracétamol …) vont décapiter tout ce système de défense.

Empêcher l’organisme de générer ses propres défenses immunitaires en  coupant la fièvre peut mettre la vie du patient en danger.

Par exemple, quand on nous répète constamment que la grippe provoque
de nombreux décès : est-ce la grippe qui tue ou la bêtise humaine qui
s’acharne à combattre les symptômes de la maladie ?

Il y a quelque temps, un médecin a été suspendu après avoir  causé
la mort d’un nourrisson en prescrivant une dose trop élevée de
paracétamol. En réalité, ce genre d’accident est fréquent mais rarement
reconnu.

Que faire en cas de fièvre ?

La fièvre s’accompagne de phénomènes d’asthénie, de soif et
d’anorexie. Ces symptômes sont bénéfiques, obligeant l’organisme à se
mettre au repos.

Le fiévreux doit donc être mis au repos et rester au chaud en lui
faisant boire de l’eau ou des tisanes non sucrées (éventuellement avec
une mini dose de chlorure de magnésium).

Il ne faut surtout pas donner de fruits ou de jus de fruits, notamment s’il s’agit de fruits acides.

Il ne faut pas chercher à faire baisser la température avec de l’eau
froide ou des enveloppements froids. Mettre un malade qui a une forte
fièvre dans l’eau froide, c’est prendre le risque de le tuer.

L’hypothalamus joue le rôle de chef d’orchestre dans la montée en
température. Il est le thermostat qui régule notre température
corporelle.

Le seul danger réside dans le fait qu’il puisse être perturbé et
déréglé par des traitements médicaux. Dans ce cas, une surveillance
médicale sera nécessaire.

En conclusion, il ne faut pas avoir peur de la fièvre, bien au
contraire. Elle représente une manifestation salvatrice de notre
organisme et cette hyperthermie est une réaction normale à une situation
de crise.

La fièvre permet la maturation du système immunitaire chez l’enfant.

Elle est la meilleure parade aux infections

Passionné par les méthodes naturelles de santé, j’ai suivi plusieurs formations dans les années 70, notamment avec André PASSEBECQ (Association «Vie et Action »)                                                            
Le plus important pour moi ce ne sont pas les cours théoriques mais les expériences de vie que j’ai pu avoir sur moi et mon proche entourage. Ceci m’a donné une grande confiance en mon corps et ses capacités d’auto guérison.

René BICKEL mai 2017

                   




Les chiffres des morts italiens par le covid-19 sont faux !

Démonstration par Silvano Trotta (Vidéo de 19 minutes) :

https://www.youtube.com/watch?v=nryCpnbxV5M&feature=share&fbclid=IwAR1R3CXDY3Hl82_22VmBsaGmh-2vAOZviCj9zLYm1bprR2RVIVT1UJPLo9Q



Existe-t-il un lien entre la 5G et CoVid-19 ?

[Source (anglais) : Dr. Magda Havas, PhD. ici]

21 mars 2020.  

Plusieurs personnes m’ont posé la question qui circule parmi les experts des CEM (champs électromagnétiques) : « Y a-t-il un lien entre le déclenchement du CoVid-19 et le déploiement des réseaux 5G dans le monde ? »

J’ai suivi les conversations à ce sujet et mon opinion est la suivante :

1. Affaiblissement du système immunitaire

La meilleure preuve scientifique dont nous disposons est que l’exposition à l’électrosmog (rayonnement non ionisant dans la gamme des micro-ondes [et des ondes radio]) altère le système immunitaire. Ceci est bien documenté dans la littérature scientifique. Si votre système immunitaire est compromis à cause de l’électrosmog ou à cause de certains médicaments que vous prenez ou parce que vous êtes âgé ou très jeune, vous êtes susceptible d’avoir une réponse plus sévère et/ou prolongée au CoVId-19. Le Dr Joel Moskowitz a un blog sur son site Web, Recherche sur les effets de l’exposition aux rayonnements sans fil sur le système immunitaire, que je vous recommande de lire. Voici le résumé d’une publication du Dr Stanislaw Szmigielski.

Szmigielski S. 2013. Réaction du système immunitaire aux expositions RF/MW de bas niveau. Science de l’environnement total.454-455: 393-400.(anglais)

Résumé
Le rayonnement radio fréquence (RF) et micro-ondes (MW) est utilisé dans le monde moderne depuis de nombreuses années. L’utilisation de plus en plus rapide des téléphones cellulaires au cours des dernières années a suscité un intérêt accru pour les effets possibles sur la santé de l’exposition aux rayonnements RF/MW. En 2011, un groupe d’experts internationaux organisé par le CIRC (Centre International de Recherche sur le Cancer à Lyon) a conclu que les radiations RF/MW devaient être répertoriées comme cancérigènes possibles (groupe 2B) pour l’homme. La connaissance incomplète des risques de cancer liés aux RF/MW a initié des recherches d’indicateurs biologiques suffisamment sensibles pour mesurer la « faible influence biologique » des RF/MW. L’un des principaux candidats est le système immunitaire, qui est capable de réagir de manière mesurable à des stimuli environnementaux discrets [= discontinus, pulsés].

Dans cette étude, les impacts des champs RF/MW faibles, y compris le rayonnement des téléphones portables, sur diverses fonctions immunitaires, à la fois in vitro [études sur cultures cellulaires] et in vivo [études sur des animaux vivants], sont discutés. La plupart des preuves disponibles indiquent clairement que divers changements dans le nombre et/ou l’activité des cellules immunocompétentes [cellules qui peuvent développer une réponse immunitaire] sont possibles, mais les résultats sont incohérents. Par exemple, un certain nombre de fonctions lymphocytaires [petits globules blancs particulièrement présents dans le système lymphatique] se sont révélées être améliorées et affaiblies au cours d’expériences uniques basées sur l’exposition à des intensités similaires de rayonnement MW.

Certaines prémisses existent qui indiquent qu’en général, une exposition de courte durée à un rayonnement MW faible peut temporairement stimuler certaines fonctions immunitaires humorales* ou cellulaires, tandis qu’une irradiation prolongée inhibe les mêmes fonctions.

Voici une excellente vidéo sur votre système immunitaire vu au microscope(anglais).

2. Variabilité de la fréquence cardiaque

Nous avons des preuves que certaines personnes ont une réponse du système nerveux autonome au rayonnement micro-ondes. Ils ont une fréquence cardiaque irrégulière ou rapide lorsqu’ils sont exposés aux micro-ondes. Nous avons publié [une étude] sur ce sujet et fournissons également une vidéo youtube sur les recherches menées.

Cela est connu depuis des décennies et on a recommandé à ceux qui travaillent avec le rayonnement micro-ondes de faire des examens cardiaques pour [détecter] toute anomalie, afin d’assurer leur sécurité. Si le cœur devient irrégulier, il a du mal à pomper suffisamment de sang vers toutes les parties du corps et comme le sang est ce qui apporte l’oxygène aux cellules, cela peut entraîner une anoxie (manque d’oxygène) et rendre la respiration plus difficile.

Havas M, Marrongelle J, Pollner B, Kelley E, Rees CRG et Tully L. 2010. Une étude de stimulation utilisant la variabilité de la fréquence cardiaque montre que le rayonnement micro-ondes d’un téléphone sans fil 2,4 GHz affecte le système nerveux autonome. Effets non thermiques et mécanismes d’interaction entre les champs électromagnétiques et la matière vivante Mattioli 1885, 2010: 273-300, ISBN 9788862611664

Résumé
Objectif : L’effet du rayonnement micro-ondes (MW) pulsé (100 Hz) sur la variabilité de la fréquence cardiaque (VRC [Variation du Rythme Cardiaque]) a été testé dans une étude en double aveugle.
Matériel et méthodes: Vingt-cinq sujets du Colorado âgés de 37 à 79 ans ont rempli un questionnaire d’électrohypersensibilité (EHS). Après avoir enregistré leur VRC orthostatique, nous avons effectué une surveillance continue en temps réel du VRC dans une étude de stimulation, où des sujets couchés ont été exposés pendant des intervalles de 3 minutes à des radiations générées par un téléphone sans fil à 2,4 GHz ou à une exposition fictive.
Résultats: Questionnaire: Sur la base des auto-évaluations, les participants se sont classés comme extrêmement sensibles électriquement (24%), modérément (16%), légèrement (16%), non sensibles (8%) ou sans opinion (36%) sur leur sensibilité. Les 10 principaux symptômes ressentis par ceux qui se disent sensibles comprennent des problèmes de mémoire, des difficultés de concentration, des problèmes oculaires, des troubles du sommeil, des malaises, des maux de tête, des étourdissements, des acouphènes, une fatigue chronique et des palpitations cardiaques. Les cinq objets les plus courants qui auraient provoqué une sensibilité étaient les lampes fluorescentes, les antennes, les téléphones portables, le Wi-Fi et les téléphones sans fil.
Expérience de stimulation: Quarante pour cent des sujets ont connu des changements dans leur VRC attribuables au rayonnement MW à impulsions numériques (100 Hz). Pour certains, la réponse a été extrême (tachycardie), pour d’autres modérée à légère (modifications du système nerveux sympathique et/ou du système nerveux parasympathique). et pour certains, il n’y a pas eu de réaction observable soit à cause de la capacité adaptative élevée, soit à cause de l’épuisement neurovégétatif systémique.
Conclusions: Le VRC orthostatique combiné à des tests de provocation peut fournir un test de diagnostic pour certaines personnes souffrant d’EHS lorsqu’elles sont exposées à des dispositifs émettant des [ondes] électromagnétiques. Il s’agit de la première étude qui documente des changements immédiats et spectaculaires à la fois de la fréquence cardiaque et de la variabilité de la fréquence cardiaque associés à l’exposition aux MW [micro-ondes] aux niveaux (18-havas : 18-havas 11-10-2010 9:14 Page 273) bien en dessous ( 0,5%) [de la norme] selon les directives fédérales au Canada et aux États-Unis (1 000 microW/cm 2).

Voici une autre étude documentant les changements dans la VRC (variabilité de la fréquence cardiaque) pour ceux qui sont exposés à un rayonnement électomagnétique de fréquence moyenne.

Bortkiewicz, A, E Gadzicka et M Zmysl. 1996. Variabilité de la fréquence cardiaque chez les travailleurs exposés à des champs électromagnétiques de moyenne fréquence. Journal du système nerveux autonome 59 (3): 91-7.

Résumé
Cette étude a été entreprise pour évaluer la régulation neurovégétative du cœur chez les travailleurs exposés professionnellement à des champs électromagnétiques (EM) à fréquence moyenne (MF). Les sujets étaient 71 travailleurs de stations de radiodiffusion MF, âgés de 20 à 68 ans (moyenne 47,1) avec une durée de travail sous exposition allant de 2 à 40 ans et 22 travailleurs de stations de liaison radio, âgés de 21 à 65 ans (moyenne 46,9) qui n’étaient pas exposés aux champs MF EM. La répartition de l’âge et de l’ancienneté dans les deux groupes ne différait pas de manière significative. La variabilité de la fréquence cardiaque (VRC) a été analysée sur la base de 512 évolutions cardiaques normales enregistrées au repos, à partir de la surface du corps, en utilisant le système Medea-HRV. L’analyse a porté sur les paramètres des domaines temporel et fréquentiel du VRC en utilisant une transformation de Fourier rapide. Le spectre de puissance dans les bandes de fréquences basses (0,05-0,15 Hz) et hautes (0,15-0,35 Hz) (LF et HF, respectivement) a été déterminé. Des différences statistiquement non significatives trouvées entre les groupes exposés et non exposés ont été trouvées soit dans les paramètres temporels ou fréquentiels du VRC. Aucune corrélation entre le spectre de puissance et l’âge des sujets n’a été notée. Une telle relation a toutefois pu être observée dans le groupe témoin. Dans le groupe d’étude, une corrélation négative statistiquement significative a été trouvée entre l’intensité maximale des champs électromagnétiques et le spectre de puissance HF. Ainsi, il a été conclu que l’exposition professionnelle aux champs électromagnétiques entraîne des altérations de la régulation neurovégétative de la fonction cardiovasculaire.

3.  Formation de rouleaux sanguins

Nous avons des preuves que certains individus développent des rouleaux [agglomération ou empilements] de leurs globules rouges. En d’autres termes, leurs globules rouges au lieu de se repousser commencent à coller ensemble, rendant le sang plus visqueux. Cela pourrait entraver l’apport d’oxygène aux cellules, rendant la respiration plus laborieuse. Nous avons également publié [une étude] à ce sujet. Voici une vidéo youtube “Dr. Magda Havas’ Live Blood & Electrosmog”. Havas, M.  2013.

Le rayonnement de la technologie sans fil affecte le sang, le cœur et le système nerveux autonome. Examens sur la santé environnementale 28 (2-3): 75-84.

Résumé
L’exposition à l’électrosmog généré par les technologies électriques, électroniques et sans fil s’accélère au point qu’une partie de la population subit des effets indésirables lorsqu’elle est exposée. Les symptômes de l’électrohypersensibilité (EHS), mieux décrits comme le syndrome de vieillissement rapide, ressentis par les adultes et les enfants ressemblent aux symptômes ressentis par les opérateurs radar dans les années 1940 à 1960 et sont bien décrits dans la littérature [NdNM : et à la neurasthénie (voir L’arc-en-ciel invisible – Une histoire de l’électricité et de la Vie)]. Une réponse de plus en plus courante comprend l’agglutination (formation de rouleaux) des globules rouges, les palpitations cardiaques, la douleur ou la pression dans la poitrine accompagnée d’anxiété, et une régulation à la hausse du système nerveux sympathique coïncidant avec une régulation à la baisse du système nerveux parasympathique typique du « lutte ou fuite ». Les études de stimulation présentées dans cet article démontrent que la réponse à l’électrosmog est physiologique et non psychosomatique. Ceux qui subissent une EHS grave et prolongée peuvent développer des problèmes psychologiques en raison de leur incapacité à travailler, de leur capacité limitée à voyager dans notre environnement hautement technologique et de la stigmatisation sociale voulant que leurs symptômes soient imaginés plutôt que réels.

4. 60 GHz et hypothèse d’absorption d’oxygène.

Certains affirment que l’épidémie de CoVic-19 est plus grave dans les zones qui ont déployé des ondes millimétriques 5G tôt et que, d’une manière ou d’une autre, ce rayonnement rend le virus plus infectieux ou que les gens réagissent aux ondes millimétriques plutôt qu’au virus. C’est une possibilité mais actuellement il n’y a aucune preuve pour étayer cette affirmation. Nous avons des preuves que certains agents infectieux sont devenus plus virulents suite au déploiement d’autres parties du spectre électromagnétique et un excellent livre à ce sujet est « The Invisible Rainbow » par Arthur Firstenberg [voir: L’arc-en-ciel invisible – Une histoire de l’électricité et de la Vie]. C’est l’un des meilleurs livres détaillant l’histoire et les effets biologiques de la pollution électromagnétique. Vous pouvez l’acheter chez Chelsea Green Publishing.
L’une des affirmations est que des fréquences de 60 GHz sont utilisées dans la province de Wuhan et sur les Princess Cruise Lines et que les fréquences de 60 GHz sont absorbées par l’oxygène dans l’atmosphère. Si quelqu’un inhale de l’oxygène stimulé par cette fréquence, cela modifiera la qualité vibratoire des molécules d’oxygène et elles ne se lieront pas aussi facilement à l’hémoglobine, ce qui entraînera un déficit en oxygène. Nous avons des preuves que l’oxygène a un pic d’absorption à 60 GHz, mais les autres affirmations, à ma connaissance, ne sont pas étayées par des données scientifiques. De toute évidence, davantage de recherches sont nécessaires.

Mise à jour: 22 mars 2020


[Image d’entête provenant de : http://tapnewswire.com/2020/01/5g-causes-flu-like-symptoms-5g-launches-in-wuhan-weeks-before-coronavirus-outbreak/]




La tyrannie de la peur permanente : vous avez aimé le coronavirus, vous allez adorer l’hantavirus

[Source : Russie Politics via Réseau International]

[Auteure : Karine Bechet-Golovko]

Le problème du coronavirus est qu’il n’est pas particulièrement résistant, l’été arrive et selon les virologues son intensité va chuter, avec ou sans vaccin. Une si belle mécanique de transformation totalitaire de la société est en route, les populations sont à point, elles demandent elles-mêmes à sacrifier leur liberté, l’homme à genoux ose à peine lever les yeux vers le soleil, l’on ne va pas s’arrêter en si bon chemin pour une question de calendrier. Il nous faut un risque estival, afin de faire le lien en attendant l’automne et la prochaine saison naturelle des virus. Pour les populations prennent leurs habitudes carcérales. Et que l’on puisse les y aider. Pour leur bien. Puisque l’on n’envisage aucunement la restauration des services publics, notamment hospitalier. La Chine est décidément notre planche de salue : un homme est mort du hantavirus. Ca tombe bien, celui-ci est surtout efficace en été … Comme écrivait La Boétie, « Les tyrans ne sont grands, que parce que nous sommes à genoux« . 

Lorsqu’une mécanique hystérique se met à ce point en route, elle ne peut pas s’arrêter parce que sa raison première d’être, en tout cas celle officiellement annoncée, se trouve dépassée. Or, les virologues annoncent la chute de l’impact du coronavirus pour l’été, de manière naturelle. Il suffit de voir comment la pression, la terreur s’insinue dans les populations. Il suffit de voir comment les pouvoirs occidentaux ne mettent en place aucun plan de sauvetage des services publics, notamment du service de santé. Il suffit de voir comment, en revanche, les gens sont stigmatisés : si le virus se propage, c’est leur faute, c’est leur très grande faute, c’est parce qu’ils ne sont pas totalement terrés, enfermés, c’est parce qu’ils existent finalement. Ce n’est pas parce que le service public hospitalier est en lambeau, ce n’est pas parce que les Etats ne peuvent plus protéger leurs frontières, ce n’est pas parce que les pouvoirs ont décidé de faire une croix sur leur souveraineté médicale au profit des multinationles. Bref, ils sont responsables de leur malheur, qu’ils subissent, se taisent et remercient encore qu’il existe des dirigeants pour s’occuper d’eux.

Quand le fanatisme est en marche, ce qui est le cas, il ne s’arrête pas. On doit l’arrêter. Donc l’homme est un danger – contre le fanatisme lorsqu’il garde sa liberté d’esprit, contre lui-même lorsqu’il se laisse diriger par ses peurs ancestrales.

Le coronavirus n’étant pas éternel, une suite commence à faire son apparition, le hantavirus. Lui aussi vient de Chine, où un homme est mort dans un bus, cette fois-ci dans la province du Yunnan. 

«Le
#Hantavirus est apparu pour la première fois dans les années 1950 lors
de la guerre américano-coréenne en Corée (fleuve Hantan). Il se propage
par les rats ou souris si les humains ingèrent leurs fluides corporels.
La transmission interhumaine est rare»
, a tweeté la scientifique suédoise, le Dr. Sumaiya Shaikh.

Rare. Le coronavirus qui existe depuis les années 30 (lui aussi au départ détecté sur les animaux) n’avait pas non plus retenu particulièrement notre attention jusqu’à peu. Que le moment soit venu. Et l’hantavirus sévit déjà :

Les symptômes peuvent survenir jusqu’à huit semaines «après une  exposition à de l’urine fraîche, des excréments ou de la salive de  rongeurs infectés», a précisé le centre, notant qu’il peut parfois aussi  provenir de piqûres de rats ou de souris infectés. 
Les hantavirus aux Amériques sont appelés hantavirus du « Nouveau Monde » et peuvent provoquer le syndrome pulmonaire des hantavirus (HPS). D’autres hantavirus, appelés hantavirus « de l’ancien monde« , se trouvent principalement en Europe et en Asie et peuvent provoquer une fièvre hémorragique avec syndrome rénal ( HFRS). Il peut provoquer un syndrome pulmonaire à hantavirus (HPS) et une  fièvre hémorragique avec syndrome rénal (HFRS). 
Globalement, les  symptômes reflètent ceux signalés par le nouveau coronavirus. Les  personnes atteintes signalent de la fièvre, des maux de tête, de la toux  et un essoufflement. 
« Il n’y a pas de traitement, de guérison ou de vaccin spécifique pour l’infection à hantavirus »,  a averti le centre américain, affirmant que les patients ont souvent  besoin de soins intensifs pour « les aider à traverser la période de  détresse respiratoire sévère ». 

L’hantavirus présente en plus le grand intérêt … de se développer dans les climats chauds. Donc, sa période faste, c’est l’été. La tyrannie de la peur est à ce point devenue une norme, « post-démocratique » (pour ne pas dire anti-démocratique) que la réalisation du risque (en l’occurrence sanitaire) ne sera bientôt plus nécessaire, l’existence de la possibilité, l’existence d’un risque potentiel, va bientôt permettre de légitimer l’adoption de mesures liberticides, des mesures de privation de liberté, afin d’éviter la réalisation de ce risque. Afin de vivre longtemps … enfermé. Afin de ne plus être malade … en public. Une vie de souris de laboratoire en cage.  

Puisqu’aucun programme de sauvetage de l’Etat n’est prévu, qu’un service public, hospitalier, ne peut être réanimé quand le corps de l’Etat est mis volontairement à l’agonie, préparons-nous à de longues périodes d’isolement. C’est le traitement qui nous est réservé. Puisque nous l’avons accepté, presque exigé.

C’est le traitement dont nous bénéficierons, si nous abandonnons notre liberté au nom d’une prison d’éternité. Car chaque année, et maintenant chaque saison, a ses virus. Il y aura toujours une raison pour enfermer le peuple. En attendant qu’une nouvelle société fantasmée émerge de ce chaos, émerge de ces esprits malades et fanatiques.

Si nous les laissons faire. En politique comme en ménage, chacun occupe l’espace que l’autre lui laisse occuper. Si nous n’exigeons pas de l’Etat qu’il remplisse ses fonctions, nous acceptons que le pouvoir se comporte comme un geôlier.

PS: Puisque le temps nous en est donné, c’est le moment idéal pour lire à nouveau le Discours de la servitude volontaire de La Boétie.

« Il y a en l’homme une préférence pour la servitude volontaire, pace
que la servitude est confortable et qu’elle rend irresponsable
« 

Soyez responsables !




Existe-t-il un lien entre les vaccins et les épidémies ?

Silvano Trotta soulève l’hypothèse d’un lien entre les vaccins (notamment contre la grippe) et la fragilité aux maladies virales (en particulier aux coronavirus).

Il se base sur des informations vérifiables.

https://www.youtube.com/watch?v=4FmPuLNOoTM



Détruire l’économie pour sauver la population ?

David Icke évoque le fait que la manière dont est orchestrée mondialement la réaction à la pandémie est le plus sûr moyen de détruire les petits commerces et les PME, et de faire même des dégâts parmi certaines grosses entreprises. Il demande aussi comment un système qui ne s’est jusqu’à maintenant guère soucié des personnes âgées peut maintenant prétendre s’en préoccuper.

https://www.youtube.com/watch?v=Y6oiADnnNPg



Le monde qui marchait sur la tête est en train de remettre ses idées à l’endroit

[Source : CW environnement, Pyrène, 1001 Infos, etc.]

Texte poignant de Coline Serreau qui ne mâche pas ses mots…

Dimanche 22 mars.

Coline Serreau, réalisatrice de Trois hommes et un couffin, mais aussi de films visionnaires, écolos, humanistes et généreux comme La belle verte ou La crise.


par Coline Serreau

Le gouvernement gère l’épidémie comme il peut… mais les postures
guerrières sont souvent inefficaces en face des forces de la nature. Les
virus sont des êtres puissants, capables de modifier notre génome,
traitons-les sinon avec respect, du moins avec modestie.

Apprenons à survivre parmi eux, à s’en protéger en faisant vivre
l’espèce humaine dans des conditions sanitaires optimales qui renforcent
son immunité et lui donnent le pouvoir d’affronter sans dommage les
microbes et virus dont nous sommes de toute façon entourés massivement,
car nous vivons dans la grande soupe cosmique où tout le monde doit
avoir sa place. La guerre contre les virus sera toujours perdue, mais
l’équilibre entre nos vies et la leur peut être gagné si nous renforçons
notre système immunitaire par un mode de vie non mortifère.

Dans cette crise, ce qui est stupéfiant c’est la rapidité avec laquelle l’intelligence collective et populaire se manifeste.

En quelques jours, les Français ont établi des rites de remerciement
massivement suivis, un des plus beaux gestes politiques que la France
ait connus et qui prolonge les grèves contre la réforme des retraites et
l’action des gilets jaunes en criant haut et fort qui et quoi sont
importants dans nos vies.

Dans notre pays, ceux qui assurent les fonctions essentielles, celles
qui font tenir debout une société sont sous-payés, méprisés. Les
aides-soignantes, les infirmières et infirmiers, les médecins qui
travaillent dans les hôpitaux publics, le personnel des écoles, les
instituteurs, les professeurs, les chercheurs, touchent des salaires de
misère tandis que des jeunes crétins arrogants sont payés des millions
d’euros par mois pour mettre un ballon dans un filet.

Dans notre monde le mot paysan est une insulte, mais des gens qui se nomment “exploitants agricoles” reçoivent des centaines de milliers d’euros1 pour faire mourir notre terre, nos corps et notre environnement tandis que l’industrie chimique prospère.

Et voilà que le petit virus remet les pendules à l’heure, voilà
qu’aux fenêtres, un peuple confiné hurle son respect, son amour, sa
reconnaissance pour les vrais soldats de notre époque, ceux qui sont
prêts à donner leur vie pour sauver la nôtre alors que depuis des
décennies les gouvernements successifs se sont acharnés à démanteler nos
systèmes de santé et d’éducation, alors que les lobbies règnent en
maîtres et arrosent les politiques avec le fric de la corruption.

Nous manquons d’argent pour équiper nos hôpitaux, mais bon sang, prenons l’argent où il se trouve, que les GAFA2 payent leurs impôts, qu’ils reversent à la société au minimum la moitié de leurs revenus. Car après tout, comment l’ont-ils gagné cet argent ? Ils l’ont gagné parce qu’il y a des peuples qui forment des nations, équipées de rues, d’autoroutes, de trains, d’égouts, d’électricité, d’eau courante, d’écoles, d’hôpitaux, de stades, et j’en passe, parce que la collectivité a payé tout cela de ses deniers, et c’est grâce à toutes ces infrastructures que ces entreprises peuvent faire des profits. Donc ils doivent payer leurs impôts et rendre aux peuples ce qui leur est dû.

Il faudra probablement aussi revoir la question de la dette qui nous
ruine en enrichissant les marchés financiers. Au cours des siècles
passés les rois de France ont très régulièrement décidé d’annuler la
dette publique, de remettre les compteurs à zéro.

Je ne vois pas comment à la sortie de cette crise, quand les comptes
en banque des petites gens seront vides, quand les entreprises ne
pourront plus payer leurs employés qui ne pourront plus payer les
loyers, l’électricité, le gaz, la nourriture, comment le gouvernement
pourra continuer à gaspiller 90% de son budget à rembourser une dette
qui ne profite qu’aux banquiers.

J’espère que le peuple se lèvera et réclamera son dû, à savoir
exigera que la richesse de la France, produite par le peuple soit
redistribuée au peuple et non pas à la finance internationale. Et si les
autres pays font aussi défaut de leur dette envers nous, il faudra
relocaliser, produire de nouveau chez nous, se contenter de nos
ressources, qui sont immenses, et détricoter une partie de la
mondialisation qui n’a fait que nous appauvrir.

Et le peuple l’a si bien compris qu’il crie tous les soirs son
respect pour ceux qui soignent, pour la fonction soignante, celle des
mères, des femmes et des hommes qui font passer l’humain avant le fric.

Ne nous y trompons pas, il n’y aura pas de retour en arrière après cette crise.

Parce que malgré cette souffrance, malgré ces deuils terribles qui
frappent tant de familles, malgré ce confinement dont les plus pauvres
d’entre nous payent le plus lourd tribut, à savoir les jeunes, les
personnes âgées isolées ou confinées dans les EHPAD, les familles
nombreuses, coincés qu’ils sont en ville, souvent dans de toutes petites
surfaces, malgré tout cela, le monde qui marchait sur la tête est en
train de remettre ses idées à l’endroit.

Où sont les vraies valeurs ? Qu’est-ce qui est important dans nos vies ?

Vivre virtuellement ? Manger des produits issus d’une terre martyrisée et qui empoisonnent nos corps ?

Enrichir par notre travail ceux qui se prennent des bonus faramineux en gérant les licenciements ?

Encaisser la violence sociale de ceux qui n’ont eu de cesse
d’appauvrir le système de soin et nous donnent maintenant des leçons de
solidarité ?

Subir une médecine uniquement occupée à soigner les symptômes sans se
soucier de prévention, qui bourre les gens de médicaments qui les tuent
autant ou plus qu’ils ne les soignent ? Une médecine aux ordres des
laboratoires pharmaceutiques ?

Alors que la seule médecine valable, c’est celle qui s’occupe de
l’environnement sain des humains, qui proscrit tous les poisons, même
s’ils rapportent gros. Pourquoi croyez-vous que ce virus qui atteint les
poumons prospère si bien ? Parce que nos poumons sont malades de la
pollution et que leur faiblesse offre un magnifique garde-manger aux
virus.

En agriculture, plus on cultive intensivement sur des dizaines
d’hectares des plantes transformées génétiquement ou hybrides dans des
terres malades, plus les prédateurs, ou pestes, les attaquent et s’en
régalent, et plus il faut les arroser de pesticides pour qu’elles
survivent, c’est un cercle vicieux qui ne peut mener qu’à des
catastrophes.

Mais ne vous faites pas d’illusions, on traite les humains les plus
humbles de la même façon que les plantes et les animaux martyrisés.

Dans les grandes métropoles du monde entier, plus les gens sont
entassés, mal nourris, respirent un air vicié qui affaiblit leurs
poumons, plus les virus et autres “pestes” seront à l’aise et
attaqueront leur point faible : leur système respiratoire.

Cette épidémie, si l’on a l’intelligence d’en analyser l’origine et
la manière de la contrer par la prévention plutôt que par le seul
vaccin, pourrait faire comprendre aux politiques et surtout aux
populations que seuls une alimentation et un environnement sains
permettront de se défendre efficacement et à long terme contre les
virus.

Le confinement a aussi des conséquences mentales et sociétales
importantes pour nous tous, soudain un certain nombre de choses que nous
pensions vitales se révèlent futiles. Acheter toutes sortes d’objets,
de vêtements, est impossible et cette impossibilité devient un bonus :
d’abord en achetant moins on devient riches.

Et comme on ne perd plus de temps en transports harassants et
polluants, soudain on comprend combien ces transports nous détruisaient,
combien l’entassement nous rendait agressifs, combien la haine et la
méfiance dont on se blindait pour se préserver un vague espace vital,
nous faisait du mal.

On prend le temps de cuisiner au lieu de se gaver de junk-food, on se
parle, on s’envoie des messages qui rivalisent de créativité et
d’humour.

Le télétravail se développe à toute vitesse, il permettra plus tard à
un nombre croissant de gens de vivre et de travailler à la campagne,
les mégapoles pourront se désengorger.

Pour ce qui est de la culture, les peuples nous enseignent des leçons
magnifiques : la culture n’est ni un vecteur de vente, ni une usine à
profits, ni la propriété d’une élite qui affirme sa supériorité, la
culture est ce qui nous rassemble, nous console, nous permet de vivre et
de partager nos émotions avec les autres humains.

Quoi de pire qu’un confinement pour communiquer ? Et pourtant les
italiens chantent aux balcons, on a vu des policiers offrir des
sérénades à des villageois pour les réconforter, à Paris des rues
entières organisent des concerts du soir, des lectures de poèmes, des
manifestations de gratitude, c’est cela la vraie culture, la belle, la
grande culture dont le monde a besoin, juste des voix qui chantent pour
juguler la solitude.

C’est le contraire de la culture des officines gouvernementales qui
ne se sont jamais préoccupées d’assouvir les besoins des populations, de
leur offrir ce dont elles ont réellement besoin pour vivre, mais n’ont
eu de cesse de conforter les élites, de mépriser toute manifestation
culturelle qui plairait au bas peuple.

En ce sens, l’annulation du festival de Cannes est une super bonne nouvelle.

Après l’explosion en plein vol des Césars manipulés depuis des années
par une maffia au fonctionnement opaque et antidémocratique, après les
scandales des abus sexuels dans le cinéma, dont seulement une infime
partie a été dévoilée, le festival de Cannes va lui aussi devoir faire
des révisions déchirantes et se réinventer. Ce festival de Cannes qui
déconne, ou festival des connes complices d’un système rongé par la
phallocratie, par la corruption de l’industrie du luxe, où l’on expose
complaisamment de la chair fraîche piquée sur des échasses, pauvres
femmes porte-manteaux manipulées par les marques, humiliées, angoissées à
l’idée de ne pas assez plaire aux vieillards aux bras desquels elles
sont accrochées comme des trophées, ce festival, mais venez-y en jeans
troués et en baskets les filles, car c’est votre talent, vos qualités
d’artiste qu’il faut y célébrer et non pas faire la course à qui sera la
plus à poil, la plus pute !

Si les manifestations si généreuses, si émouvantes des peuples
confinés pouvaient avoir une influence sur le futur de la culture ce
serait un beau rêve !

Pour terminer, je voudrais adresser une parole de compassion aux
nombreux malades et à leurs proches, et leur dire que du fin fond de nos
maisons ou appartements, enfermés que nous sommes, nous ne cessons de
penser à eux et de leur souhaiter de se rétablir. Je ne suis pas
croyante, les prières m’ont toujours fait rire, mais voilà que je me
prends à prier pour que tous ces gens guérissent. Cette prière ne
remplacera jamais les soins de l’hôpital, le dévouement héroïque des
soignants et une politique sanitaire digne de ce nom, mais c’est tout ce
que je peux faire, alors je le fais, en espérant que les ondes
transporteront mon message, nos messages, d’amour et d’espoir à ceux qui
en ont besoin.

Coline Serreau


Note :
  1. Les subventions de la PAC (Politique Agricole Commune) profitent surtout aux grandes exploitations agricoles. Ainsi, à partir des années 90’ la PAC s’est progressivement alignée sur les règles de l’OMC et du commerce agricole mondial. L’accent a été mis sur la libéralisation du marché agricole et le renforcement de la compétitivité des exploitations agricoles européennes. Les systèmes des prix garantis et de régulation de marché ont été remplacés par un système de paiement direct aux agriculteurs. Les principales conséquences ont été : une orientation du secteur agricole vers les marchés d’exportation (ceux dont l’UE dispose d’un avantage comparatif), et une disparition des petites fermes au profit d’exploitations de plus en plus grandes. L’exemple de la Belgique est assez illustratif : entre 1980 et 2016, nous avons perdu 67% de nos fermes !
  2. GAFA : Cet acronyme désigne les quatre géants du Web : Google, Apple, Facebook, Amazon qui sont les grandes firmes américaines pionnières dans le marché du numérique et qui dominent ce marché.



Covid-19 : on tient un suspect !

[Source : Néo Santé]

Ça va, vous tenez le coup dans ce monde devenu fou ?   Moi, je vous avoue que la situation commence déjà à me peser. Je n’ai jamais supporté que mes enfants soient tristes, or ma fille aînée m’a confié hier sa tristesse d’avoir assisté à une violente dispute dans un magasin entre trois personnes : l’une d’entre elles avait approché les deux autres à moins d’1,5 m, ce qui ne leur a pas plu du tout !  Voilà où nous conduit cette virophobie démentielle ayant accouché du confinement généralisé.  Il faut stopper ce cauchemar au plus vite ! Cette semaine, je pare au plus pressé et je me focalise sur la situation en Italie. Comme le répète invariablement l’infectiologue Didier Raoult dans ses vidéos devenue virales, les pandémies sont une fiction. Ça n’existe pas, ça n’a jamais existé et ça n’existera  sans doute jamais. Les flambées épidémiques sont écosystémiques et doivent s’analyser dans leur contexte biotopique.  De quel(s) déséquilibre(s) relationnel(s) entre les êtres humains et leur environnement sont-elles la conséquence ?   Concernant Wuhan, nous en sommes réduits au jeu des hypothèses. Selon une source que je ne citerai pas encore car je n’ai pas pu la recouper, une pollution majeure suivie d’une vive protestation populaire durement réprimée pourrait avoir été le facteur déclencheur. Mais il faudrait pouvoir longuement enquêter sur place pour étayer cette possibilité. Laissons la Chine de côté puisque, de toute façon, la maladie baptisée Covid-19 et attribuée au coronavirus SARS-Cov2 y a quasiment disparu. Ce qui n’est pas du tout le cas de l’Italie qui a enregistré presque le double  de décès avec une population 22 fois inférieure. Comment expliquer  une telle tragédie ?

Deux observations s’imposent d’emblée. La première, c’est qu’il ne s’agit pas d’une crise frappant l’Italie dans son ensemble, ni même l’Italie du Nord qui compte ¾ des victimes. L’épicentre de l’épidémie italienne se situe plus précisément en Lombardie, région qui s’octroie 2/3 du fromage macabre. C’est impressionnant et ça  s’est concrètement traduit par des crématoriums débordés et des colonnes de véhicules militaires emportant les cercueils vers d’autres cimetières que ceux de Bergame et Brescia. Images glaçantes qui parlent mieux que les statistiques.  La deuxième chose à noter, c’est que les médias se trompent et nous trompent en affirmant  sans cesse que « cette maladie concerne tout le monde ». Selon le rapport officiel du 17 mars  de l’Istituto Superiore di Sanità, l’âge moyen des personnes décédées était de 79,5 ans (3  ans de moins que l’espérance de vie à la naissance) et  seulement  0,8% des victimes n’avaient pas de pathologies antérieures. Un quart en avait une, un autre quart deux et la moitié trois.  Dans l’ordre, les plus fréquentes étaient l’hypertension artérielle, le diabète et les cardiopathies ischémiques. Dans 20% des cas, il y avait présence d’un cancer et dans 13% des cas,  celle d’une BPCO (Bronchopneumopathie Chronique Obstructive).  Qu’on le veuille ou non, que ça plaise ou non,  la Covid-19  fauche très préférentiellement les vieilles personnes déjà très malades. Il n’y a aucun cynisme à constater cette réalité. Si on pense, comme moi,  que le virus n’est pas seul en cause, il reste cependant à élucider  la surmortalité lombarde. Pollution automobile ?  Le trafic à Milan est beaucoup plus intense que dans les villes les plus touchées, et pas plus dantesque que dans d’autres métropoles. Défaillances du système de santé ? Au contraire, données et témoignages indiquent que les infrastructures et le personnel médical sont ce qui se fait de mieux en Italie,  pays où les soins sont totalement gratuits. À mon avis,  c’est justement l’accès facile à cette offre abondante qui pose question. Dans un de ses ouvrages majeurs (Némésis médicale , 1975), le penseur écologiste Ivan Illich montrait déjà que passé un seuil de développement, la médecine occidentale moderne devient « contre-productive », c’est-dire que ses inconvénients commencent à dépasser ses avantages, ses risques à peser plus lourds que ses bénéfices. Dans le monde industrialisé, l’art de guérir est  ainsi devenu  celui de nuire à la santé. S’il parvient paradoxalement à repousser l’âge de la mort, c’est au prix d’une morbidité (nombre de malades dans la société) plus répandue.

Vous me voyez venir ?  J’insiste en effet  sur la composante iatrogénique de la crise sanitaire  italienne. Selon le rapport cité plus haut (*), 83 % des patients diagnostiqués, pris en charge et décédés ont reçu des antibiotiques, 52%   des médicaments antiviraux et 27% de la cortisone. On peut bien sûr supposer que nombre d’entre eux ont reçu les trois traitements en même temps. Le rapport  est muet sur l’usage d’antipyrétiques et d’anti-inflammatoires non-stéroïdiens (AINS) mais on peut également se douter que ces substances chimiques sapant le pouvoir d’auto-guérison sont employées sans retenue et sans discernement. Selon une de mes amies habitant là-bas et lisant la presse locale,  la chloroquine fait  aussi partie de l’arsenal médical d’au moins un hôpital. Or  si elle est certainement peu nocive (le contraire se saurait puisqu’ on l’emploie depuis plus de 70 ans), la molécule préconisée par le Dr Raoult n’est  quand  même pas un bonbon pour la toux. Au-delà d’1 g par jour, elle peut mener à l’intoxication et celle-ci est fatale dans 20% des cas.  La mise sous oxygène ? Dans une infolettre précédente, je vous ai signalé que cette pratique était loin d’être anodine et qu’elle pouvait  sérieusement léser les poumons.  Mais savez-vous que la version supérieure de cette technique,  le respirateur artificiel, nécessite d’endormir les patients ?  L’anesthésie générale, ce n’est pas non plus un geste médical dépourvu de risque létal.  En additionnant tous ces facteurs potentiellement iatrogènes, on obtient  une explication non négligeable du désastre nord-italien. Toutefois, je vous avoue que je gambergeais pas mal ces deux dernières semaines : même si elle compte  pour beaucoup, la iatrogénie subie peu avant ou pendant les soins intensifs ne suffit certainement  pas à expliquer l’ampleur du drame en Italie. Il y avait forcément autre chose, mais quoi ? 

La semaine dernière, je mentionnais une étude américaine montrant que la vaccination anti-grippale  favorise les infections à coronavirus. C’est une pièce importante à verser au dossier mais ça n’explique toujours pas la flambée lombarde.  Ailleurs dans le pays et dans plein d’autres pays, ce vaccin inutile et dangereux est conseillé et injecté à de nombreux vieux de plus de 60 ans. Si la valence influenza était si délétère, ça se verrait davantage.  J’en étais encore à me creuser la cervelle quand j’ai reçu, il y a deux jours, un article saisissant de Dominique Guillet. Pour ceux qui ne le connaissent pas, cet explorateur de l’univers végétal est le fondateur de l’association française Kokopelli, qui a mené avec succès le combat pour la liberté de commercialiser et d’échanger des  semences non inscrites aux catalogues officiels.  Entérinée par une décision européenne, cette victoire  devrait lui valoir mille fois le prix Nobel alternatif. Quand il ne poursuit pas cette lutte libertaire et qu’il ne rédige pas des monographies sur des plantes alimentaires ou médicinales, Dominique Guillet fait du journalisme citoyen et publie le résultat de ses investigations sur son site internet. Dans le long article qu’il a mis en ligne avant-hier et que vous pouvez lire en cliquant ici,  le fouineur amateur (mais néanmoins très pro) révèle une information à mes yeux capitale : en janvier dernier,  la Lombardie a été le théâtre d’une grande campagne de vaccination contre les méningocoques. Suite à une mini-épidémie de méningite bactérienne ayant impacté… 6 personnes (avec 2 décès), les autorités régionales ont en effet décidé de vacciner massivement et gratuitement la population. En quelques semaines, plus de 33.000 personnes ont reçu le vaccin. Hier, Dominique m’a envoyé une information supplémentaire tout aussi cruciale :  comme vous pouvez le vérifier en cliquant ici la campagne de vaccination était déjà en cours à l’automne 2019 ! Ce détail est essentiel parce c’est aussi en automne qu’est apparue en Lombardie une étrange épidémie de pneumonies bizarres nécessitant des examens radiologiques spéciaux. Vous ne le croyez pas ? Regardez cette séquence télévisée où le professeur  Giuseppe Remuzzi, Directeur de l’Institut Mario Negri de Recherches Pharmacologiques de Milan, répond aux questions d’un journaliste plutôt énervé.  Incroyable mais vrai, cette interview est passée le 22 mars sur CGTN, chaîne de télévision internationale… chinoise, sorte de Russia Today à la sauce Xi Jinping !  Comme en atteste ce communiqué, la presse chinoise met le paquet sur cette enquête car elle soupçonne le coronavirus d’avoir été importé d’Italie en Chine !  Je m’interroge : comment  se fait-il que cette nouvelle sensationnelle n’ait pas encore fait le buzz dans toutes les rédactions du globe ? Si j’ai loupé cet énorme scoop dans l’actualité, merci de me corriger. 

En fait, on se fiche un peu de savoir dans quel sens a voyagé un hypothétique virus relativement inoffensif.  Ce qui est très important à vérifier, c’est s’il y a un lien entre la vaccination et la multiplication de pneumonies atypiques en Italie.  Vous en doutez ? La probabilité est pourtant très élevée.  Parmi leurs effets secondaires très pervers, les vaccins ont en effet pour conséquence de modifier l’écologie microbienne. La nature ayant horreur du vide,  la niche écologique devenue vacante par l’immunisation artificielle est immédiatement occupée par d’autres espèces de bactéries, plus insidieuses ou plus dangereuses. C’est ainsi que les épidémies de poliomyélite  ont surgi dans la foulée de la vaccination massive contre la diphtérie, ou que de nouvelles formes d’hépatite (C,D, E, etc..) sont apparues en rançon des vaccinations contre les formes A et B.  Ou encore que les méningites ont gagné en fréquence et en  sévérité depuis qu’on les combat vaccinalement. Bien étudié, ce phénomène de « remplacement épidémique »  a récemment fait l’objet d’une analyse par le Dr Michel de Lorgeril dans le 5ème livre de sa série « Vaccins et société », celui consacré aux méningites bactériennes.  Dès janvier 2012, la revue Néosanté avait lancé l’alerte sur cette catastrophe écolo-sanitaire en publiant un dossier intitulé « Vaccins et microbes : les relations désastreuses », rédigé par notre collaboratrice française Françoise Joët, ex-présidente de l’ALIS  (Association Liberté Information Santé). Cet article magistral et toujours actuel  est en accès libre sur notre site et vous pouvez le consulter en cliquant ici. Que devrait-on faire maintenant  que le suspect vaccin est identifié ?  À mon sens, il faudrait d’urgence vérifier le statut vaccinal des décédés italiens et de leurs proches. Le vérifier aussi dans les autres régions (françaises, espagnoles…) où un nombre anormalement grand de graves pneumonies sont signalées. Certes, l’éventuelle corrélation ne va pas démontrer un lien de causalité. Et le cas échéant,  le puissant lobby vaccinaliste investirait les médias à leur solde pour brandir l’argument habituel de la « coïncidence temporelle » entre vaccinations et maladies. Mais qui serait encore dupe ?  Qui croirait encore à la pertinence des dogmes pasteuriens ? Pour ma part, je lance un appel solennel à l’exploitation de cette piste potentielle. Et je compte sur vous pour faire un maximum de bruit en diffusant ce billet tous azimuts. Je vous embrasse d’avance… sans distanciation sociale.

Yves Rasir




APPEL INTERNATIONAL – Stop à la 5G sur Terre et dans l’espace

[Source : BibiCabaya]

la 5g - l'internet des objets connectés

Le document original correspondant à la traduction ci-dessous comprend pléthore de liens vers des documents, études, directives internationales, etc. et vers des sites de langue anglaise. Afin de rendre la lecture plus aisée pour un public français, j’ai recherché les équivalents des documents en français, et chaque fois que j’en ai trouvé, je les ai remplacés. Vous les reconnaîtrez au signalement [FR]. Tous les nombreux autres liens ont été effacés (à l’exception d’un petit nombre d’entre eux). Pour les consulter, veuillez vous reporter à l’article original.


[PDF en français]

[Pétition en anglais]

[Voir aussi :


APPEL INTERNATIONAL

Arrêt de la 5G sur Terre et dans l’espace

À l’ONU, à l’OMS, à l’UE et au Conseil de l’Europe et aux gouvernements de toutes les nations

Nous soussignés, scientifiques, médecins, organisations de protection de l’environnement,
et citoyens de (__) pays, appelons de toute urgence l’arrêt du
déploiement du réseau sans fil 5G (cinquième génération), y compris la
5G depuis des satellites spatiaux. La 5G augmentera considérablement
l’exposition au rayonnement
de radio-fréquences(RF)en plus des réseaux 2G, 3G et 4G déjà en place pour les télécommunications. Le rayonnement RF s’est avéré nocif pour l’homme et l’environnement. Le déploiement de la 5G constitue une expérience sur l’humanité et sur l’environnement qualifié de crime par le droit international.

Résumé

Les
entreprises de télécommunications du monde entier, avec le soutien des
gouvernements, sont prêtes à déployer le réseau sans fil de cinquième
génération (5G) dans les deux prochaines années. Cela devrait permettre
de réaliser ce qui est reconnu comme un changement sociétal sans
précédent à l’échelle mondiale. Nous aurons des maisons “intelligentes”,
des entreprises “intelligentes”, des autoroutes “intelligentes”, des
villes “intelligentes” et des voitures autonomes. Pratiquement tout ce
que nous possédons et achetons, des réfrigérateurs et des machines à
laver aux cartons de lait, en passant par les brosses à cheveux et les
couches pour bébés, contiendra des antennes et des micro-puces et sera
connecté sans fil à Internet. Chaque personne sur Terre aura un accès
instantané à des communications sans fil à très haute vitesse et à
faible temps de latence depuis n’importe quel point de la planète, même
dans les forêts tropicales et au milieu de l’océan et de l’Antarctique.

Ce
qui n’est pas largement reconnu c’est que cela entraînera également des
changements environnementaux sans précédent à l’échelle mondiale. La
densité prévue d’émetteurs de radiofréquences est impossible à prévoir.
En outre, des millions de nouvelles bornes 5G sur Terre et 20 000
nouveaux satellites dans l’espace, 200 milliards d’objets émetteurs,
selon les estimations, feront partie de l’Internet des Objets (IdO)
d’ici 2020, et un billion d’objets quelques années plus tard. La 5G
commerciale à des fréquences plus basses et à des vitesses plus faibles a
été déployée au Qatar, en Finlande et en Estonie à la mi-2018. Le
déploiement de la 5G à des fréquences extrêmement élevées (onde
millimétrique) devrait commencer à la fin de 2018.

Malgré
le démenti généralisé, les preuves selon lesquelles le rayonnement de
radiofréquence est nocif pour la vie sont déjà accablantes. Les preuves
cliniques accumulées d’êtres humains malades et blessés, les preuves
expérimentales de dommages à l’ADN, aux cellules et aux systèmes
d’organes dans une grande variété de plantes et d’animaux, et la preuve
épidémiologique que les principales maladies de la civilisation moderne –
le cancer, les maladies cardiaques et le diabète – sont en grande
partie causée par la pollution électromagnétique, constitue une base
documentaire de plus de 10 000 études évaluées par des pairs.

Si
les projets de la 5G de l’industrie des télécommunications se
concrétisent, aucune personne, aucun animal, aucun oiseau, aucun insecte
ni aucune plante sur Terre ne pourra éviter l’exposition, 24 heures par
jour, 365 jours par an, à des niveaux de rayonnement RF qui sont des
dizaines à des centaines de fois plus grands que ce qui existe
aujourd’hui, sans aucune possibilité d’évasion où que ce soit sur la
planète. Ces plans de la 5G risquent de provoquer des effets graves et
irréversibles sur l’être humain ainsi que des dommages permanents à tous
les écosystèmes de la Terre.

Des
mesures immédiates doivent être prises pour protéger l’humanité et
l’environnement, conformément aux impératifs éthiques et aux accords
internationaux car la 5G entraînera une augmentation massive de
l’exposition inévitable et involontaire au rayonnement sans fil.

5G au sol

Afin
de transmettre les énormes quantités de données nécessaires à
l’Internet des objets, la technologie 5G, lorsqu’elle sera pleinement
déployée, utilisera des ondes millimétriques qui sont mal transmises à
travers des matériaux solides. Cela obligera chaque transporteur à
installer des stations de base tous les 100 mètres [1]
dans toutes les zones urbaines du monde. Contrairement aux générations
précédentes de technologie sans fil dans lesquelles une seule antenne
diffuse sur une zone étendue, les stations de base 5G et les appareils
5G disposeront de multiples antennes disposées en “tableaux à commande
de phase” [2],[3] qui fonctionnent ensemble pour émettre de manière focalisée, orientable des faisceaux de type laser qui se suivent.

Chaque
téléphone 5G contiendra des dizaines d’antennes minuscules travaillant
ensemble pour suivre et diriger un faisceau étroitement focalisé vers la
tour cellulaire la plus proche. La Federal Communications Commission
(FCC) des États-Unis a adopté des règles [4]
permettant à la puissance effective de ces faisceaux d’atteindre 20
watts, soit dix fois plus que les niveaux autorisés pour les téléphones
actuels.

Chaque
borne 5G contiendra des centaines ou des milliers d’antennes orientant
simultanément plusieurs faisceaux de type laser sur tous les téléphones
cellulaires et tous les appareils des utilisateurs de sa zone de
service. Cette technologie s’appelle “entrée multiple sortie multiple”
ou MIMO [Mutiple Input Multiple Output]. Les règles de la FCC permettent
que la puissance apparente rayonnée des faisceaux d’une borne 5G atteigne 30 000 watts
par 100 MHz de spectre [cf. note iv] ce qui équivaut à 300 000 watts
par GHz de spectre, des dizaines à des centaines de fois plus puissante
que les niveaux autorisés des bornes actuelles.

5G spatiale

Au moins cinq entreprises [5]
proposent de fournir la 5G depuis l’espace provenant de 20 000
satellites combinés en orbite terrestre basse et moyenne qui couvriront
la Terre de puissants faisceaux orientables émis de façon focalisée.
Chaque satellite émettra des ondes millimétriques d’une puissance
effective rayonnée allant jusqu’à 5 millions de watts [6]
émises par des milliers d’antennes disposées en réseau phasé. Bien que
l’énergie atteignant le sol par les satellites soit inférieure à celle
des antennes au sol, elle irradiera des zones de la Terre non atteintes
par d’autres émetteurs et s’ajoutera aux émissions 5G au sol émises par
des milliards d’objets de l’IdO. Plus important encore, les satellites
seront situés dans la magnétosphère de la Terre qui exerce une influence
considérable sur les propriétés électriques de l’atmosphère. L’altération
de l’environnement électromagnétique terrestre peut représenter une
menace encore plus grande pour la vie que les rayonnements émis par les
antennes au sol (voir ci-dessous)
.

Les effets nocifs du rayonnement radioélectrique sont déjà prouvés

Même avant que la 5G ne soit proposée, des dizaines de pétitions et d’appels [7] de scientifiques internationaux, y compris l’Appel de Fribourg [FR]
signé par plus de 3 000 médecins, ont appelé à un arrêt de l’expansion
de la technologie sans fil et à un moratoire sur les nouvelles bornes [8].

En 2015, 215 scientifiques de 41 pays [FR] ont communiqué leur alerte aux Nations Unies (ONU) et à l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS). [9] Ils ont déclaré que «de
nombreuses publications scientifiques récentes ont montré que les
champs électromagnétiques (CEM) affectent les organismes vivants à des
niveaux bien inférieurs à la plupart des directives internationales et
nationales»
. Plus de 10 000 études scientifiques évaluées
par des pairs démontrent les effets nocifs du rayonnement RF sur la
santé humaine. [10] [11] Ces effets incluent :

  • Altération du rythme cardiaque [12]
  • Altération de l’expression des gènes [13]
  • Métabolisme altéré [14]
  • Développement altéré des cellules souches [15]
  • Cancers [16]
  • Maladie cardiovasculaire [17]
  • Déficience cognitive [18]
  • Dommages à l’ADN [19]
  • Impacts sur le bien-être général [20]
  • Augmentation des radicaux libres [21]
  • Déficits d’apprentissage et de mémoire [22]
  • Dysfonctionnement et qualité du sperme [23]
  • Fausse couche [24]
  • Lésion neurologique [25]
  • Obésité et diabète [26]
  • Stress oxydant [27]

Les effets chez les enfants incluent l’autisme [28], le trouble d’hyperactivité avec déficit de l’attention (TDAH) [29] [30] et l’asthme [31].

Les
dommages vont bien au-delà de l’espèce humaine car d’abondantes preuves
existent sur les dommages causés à la faune et la flore sauvages [32] [33] ainsi qu’aux animaux de laboratoire, y compris:

  • Fourmis [34]
  • Oiseaux [35] [36]
  • Forêts [37]
  • Grenouilles [38]
  • Mouches de fruits [39]
  • Abeilles [40]
  • Insectes [41]
  • Mammifères [42]
  • Souris [43] [44]
  • Plantes [45]
  • Rats [46]
  • Arbres [47]

Des effets microbiologiques négatifs [48] ont également été enregistrés.

Le
Centre international de recherche sur le cancer (CIRC) de l’OMS a
conclu en 2011 que le rayonnement RF de fréquences comprises entre 30
kHz et 300 GHz étaient peut-être cancérogènes pour l’homme (groupe 2B) [FR] [49]
Cependant, des preuves récentes, y compris les dernières études sur
l’utilisation du téléphone cellulaire et les risques de cancer du
cerveau, indiquent que le rayonnement RF est véritablement cancérogène
pour l’homme [50] et qu’il devrait désormais être classé dans la catégorie “cancérogène du groupe 1” avec la fumée de tabac et l’amiante.

La
plupart des signaux sans fil contemporains sont modulés par impulsions.
Leurs dommages sont causés à la fois par l’onde porteuse de haute
fréquence et par les pulsations de basse fréquence [51].

Le déploiement de satellites 5G doit être interdit

La Terre, l’ionosphère et la basse atmosphère forment le circuit électrique global [52] dans lequel nous vivons. Il est bien établi que les rythmes biologiques — des humains [53] [54], des oiseaux [55], des hamsters [56] et des araignées [57] [58]
— sont contrôlés par l’environnement électromagnétique naturel de la
Terre, et que le bien-être de tous les organismes dépend de la stabilité
de cet environnement, y compris des propriétés électriques de l’atmosphère [FR] [59] [60] [61] [62]. Neil Cherry, dans un document révolutionnaire [63], a expliqué l’importance des résonances de Schumann [FR] [64] et pourquoi les perturbations ionosphériques peuvent modifier la pression artérielle et la mélatonine, et provoquer «des cancers, des maladies de la reproduction, des maladies cardiaques et neurologiques et la mort».

Ces
éléments de notre environnement électromagnétique ont déjà été modifiés
par le rayonnement des lignes électriques. Le rayonnement harmonique
des lignes électriques [65] atteint l’ionosphère et la magnétosphère de la Terre où il est amplifié par les interactions onde-particule [66] [67].
En 1985, le Dr Robert O. Becker a averti que le rayonnement harmonique
des lignes électriques avait déjà modifié la structure de la
magnétosphère et que l’expansion continue de cet effet «menaçait la viabilité de toute la vie sur Terre». [68]
L’emplacement de dizaines de milliers de satellites directement dans
l’ionosphère et la magnétosphère, émettant des signaux modulés à des
millions de watts et des millions de fréquences, est susceptible de
modifier notre environnement électromagnétique au-delà de notre capacité
d’adaptation [69].

Depuis
1998, une surveillance informelle a déjà fourni des preuves d’effets
graves sur les humains et les animaux provenant de la centaine de
satellites qui fournissent des services téléphoniques 2G et 3G depuis
une orbite basse. Ces effets ne peuvent être compris uniquement à la
lumière des faibles niveaux de rayonnement au sol. Les connaissances
provenant d’autres disciplines scientifiques pertinentes doivent être
prises en compte, y compris les domaines de la physique atmosphérique et
de l’acupuncture [70] [71] [72] [73]. L’ajout de 20 000 satellites 5G va davantage polluer le circuit électrique mondial [74] [75] et pourrait altérer les résonances de Schumann [76] avec lesquelles toute la vie sur Terre a évolué. Les effets seront universels et peuvent être profondément dommageables.

La 5G est qualitativement et quantitativement différente de la 4G

L’idée
selon laquelle nous tolérerons des dizaines, voire des centaines de
fois plus de radiations à des longueurs d’onde millimétriques repose sur
une modélisation erronée du corps humain sous la forme d’une coque
remplie d’un liquide homogène [77] [78]. L’hypothèse selon laquelle les ondes millimétriques ne pénètrent pas au-delà de la peau ignore complètement les nerfs [79], les vaisseaux sanguins [80] [81]
et les autres structures électro-conductrices capables de véhiculer des
courants de rayonnement induit profondément dans le corps [82] [83] [84].
Une autre erreur potentiellement plus grave est que les réseaux phasés
ne sont pas des antennes ordinaires. Lorsqu’un champ électromagnétique
ordinaire pénètre dans le corps, il provoque le déplacement des charges
et la circulation des courants. Mais lorsque des impulsions
électromagnétiques extrêmement courtes pénètrent dans le corps, quelque
chose d’autre se produit : les charges en mouvement deviennent
elles-mêmes de petites antennes qui retransmettent le champ
électromagnétique et l’envoient plus profondément dans le corps. Ces
ondes radiées à nouveau sont appelées précurseurs de Brillouin [85]. Elles deviennent importantes lorsque la puissance ou la phase des vagues change assez rapidement [86]. La 5G satisfera probablement les deux critères.

En
outre, une pénétration peu profonde constitue en soi un danger unique
pour les yeux et pour le plus grand organe du corps, la peau, ainsi que
pour les très petites créatures. Des études escientifiques ont récemment
été publiées, prédisant des brûlures thermiques de la peau [87] chez l’homme à partir du rayonnement 5G et de l’absorption résonnante par les insectes [88]
qui absorbent jusqu’à 100 fois plus de rayonnement à des longueurs
d’onde millimétriques comme ils le font aux longueurs d’onde
actuellement utilisées. Les populations d’insectes volants ayant diminué
de 75 à 80% depuis 1989, même dans les zones naturelles protégées [89],
le rayonnement 5G pourrait avoir des effets catastrophiques sur les
populations d’insectes à travers le monde. Une étude réalisée en 1986
par Om Gandhi a averti que les ondes millimétriques sont fortement
absorbées par la cornée de l’œil et que les vêtements ordinaires,
d’épaisseur millimétrique, augmentent l’absorption d’énergie par la peau
par un effet de type résonance [90]. Russell (2018) [FR]
examine les effets connus des ondes millimétriques sur la peau, les
yeux (y compris la cataracte), la fréquence cardiaque, le système
immunitaire et l’ADN. [91]

Les régulateurs ont délibérément exclu la preuve scientifique du préjudice

L’industrie
et les gouvernements ont jusqu’à présent pris part au développement de
la 5G, tandis que des scientifiques de renommée internationale — qui ont
documenté les effets biologiques sur les humains, les animaux, les
insectes et les plantes, ainsi que des effets alarmants sur la santé et
l’environnement dans des milliers d’études scientifiques — ont été
exclus. La raison de la faiblesse des directives de sécurité actuelles
vient du fait des conflits d’intérêts des organismes de normalisation
“en raison de leurs relations avec les entreprises de télécommunications
ou compagnies d’électricité qui nuisent à l’impartialité qui devrait
régir la réglementation des normes d’exposition publique relatives aux
rayonnements non ionisants” [92].
Le professeur émérite Martin L. Pall expose en détail les conflits
d’intérêts et les listes des études importantes qui ont été exclues dans
son analyse documentaire [93].

L’hypothèse thermique est obsolète — de nouvelles normes de sécurité sont nécessaires

Les
directives de sécurité actuelles reposent sur l’hypothèse obsolète
selon laquelle le chauffage est le seul effet nocif des champs
électromagnétiques. Comme Markov et Grigoriev l’ont déclaré, «les normes actuelles ne tiennent pas compte de la pollution réelle de l’environnement par des rayonnements non ionisants» [94].
Des centaines de scientifiques, y compris de nombreux signataires du
présent appel, ont prouvé que d’innombrables types de maladies et de
blessures aiguës et chroniques étaient causés sans réchauffement (“effet
non thermique”) à partir de niveaux de rayonnement bien inférieurs aux
recommandations internationales (cf. note 94).

Les
effets biologiques se produisent même à des niveaux de puissance
proches de zéro. Les effets constatés à 0,02 picowatts (billion de
watts) par centimètre carré ou moins incluent une modification de la
structure génétique de E. coli [95] et des rats [96], une modification de l’électro-encéphalogramme chez l’homme [97], une stimulation de la croissance chez le haricot [98], et la stimulation de l’ovulation chez les poulets [99].

Pour
se protéger des effets non thermiques, la durée d’exposition doit être
prise en compte. La 5G exposera tout le monde à de nombreuses autres
transmissions simultanément et en continu, jour et nuit, sans
interruption. De nouvelles normes de sécurité sont nécessaires et
devraient être basées sur l’exposition cumulative et non seulement sur
les niveaux de puissance, mais également sur la fréquence, la largeur de
bande, la modulation, la forme d’onde, la largeur d’impulsion et
d’autres propriétés importantes sur le plan biologique. Les antennes
doivent être confinées à des emplacements spécifiques identifiés
publiquement. Pour protéger les humains, les antennes doivent être
situées loin des lieux d’habitation et de travail, et doivent être
exclues des lieux de passage publics où les gens se promènent. Pour
protéger la faune et la flore, les antennes doivent être exclues des
sanctuaires de nature vierge et strictement minimisés dans les régions
isolées de la Terre. Pour protéger toute la vie, les satellites de
communication commerciale doivent être en nombre limité et interdits sur
les orbites terrestres basses et moyennes. Les réseaux phasés doivent
être interdits sur Terre et dans l’espace.

Le rayonnement RF a des effets aigus et chroniques

Le
rayonnement RF a des effets à la fois immédiats et à long terme. Le
cancer et les maladies cardiaques sont des exemples d’effets à long
terme. L’altération du rythme cardiaque [100] et les modifications du fonctionnement cérébral (EEG) [101] sont des exemples d’effets immédiats. Un syndrome appelé maladie des ondes radioélectriques [102] dans l’ex-Union soviétique et appelé hypersensibilité électromagnétique (EHS) dans le monde aujourd’hui [103]
peut être aigu ou chronique. Le professeur Karl Hecht a publié un
historique détaillé de ces syndromes, établi à partir d’une analyse de
plus de 1 500 articles scientifiques russes et des antécédents cliniques
de plus de 1 000 de ses propres patients en Allemagne. Les résultats
objectifs comprennent : troubles du sommeil, pression artérielle et
rythme cardiaque anormaux, troubles digestifs, perte de cheveux,
acouphènes et éruptions cutanées. Les symptômes subjectifs comprennent :
vertiges, nausées, maux de tête, perte de mémoire, incapacité de se
concentrer, fatigue, symptômes pseudo-grippaux et douleurs cardiaques [104].

La directive EUROPAEM de 2016 relative aux CEM [FR] stipule que l’EHS se développe lorsque les personnes sont «continuellement exposées dans leur vie quotidienne» à des niveaux croissants de CÉM, et que «la réduction et la prévention de l’exposition aux CÉM» sont nécessaires pour rétablir la santé de ces patients [105].
L’EHS ne devrait plus être considérée comme une maladie, mais comme une
blessure provoquée par un environnement toxique qui touche une partie
de plus en plus importante de la population, estimée à 100 millions de
personnes dans le monde [106] [107], et qui pourrait bientôt toucher tout le monde [FR] [108] si le déploiement mondial de la 5G est autorisé.

La Déclaration scientifique internationale sur l’EHS et la sensibilité aux produits chimiques multiples (MCS) [FR], Bruxelles, stipulait en 2015 que l’ «[in]action
comporte un coût pour la société et n’est plus une option… [Nous]
reconnaissons unanimement ce grave danger pour la santé publique … [qui
exige de manière urgente] que les principales mesures de prévention primaire soient adoptées et hiérarchisées afin de faire face à cette épidémie mondiale en perspective»
(soulignement ajouté) [109].

Les gouvernements du monde manquent à leur devoir de sollicitude envers les populations qu’ils gouvernent

Dans
leur hâte de mettre en œuvre la 5G et d’encourager une utilisation sans
contrainte de l’espace extra-atmosphérique, l’Union européenne, les
États-Unis et les gouvernements nationaux du monde entier prennent des
mesures pour assurer un environnement réglementaire “sans obstacles” [110]. Ils interdisent aux autorités locales de faire respecter les lois environnementales [111]
et “dans l’intérêt d’un déploiement rapide et rentable”, ils suppriment
“les fardeaux inutiles … tels que les procédures de planification
locales [et] les nombreuses limites spécifiques imposées aux émissions
du champ électromagnétique (CEM) ainsi que les méthodes requises pour
les agréger”. [112].

Les
gouvernements promulguent également des lois visant à rendre
l’utilisation des installations sans fil autorisée dans tous les lieux
de passage publics [113].
À ce jour, la plupart des installations sans fil ont été installées
dans des propriétés privées à une certaine distance des habitations et
des entreprises. Afin de pouvoir être espacés de moins de 100 mètres,
comme l’exige la 5G, ils seront désormais situés sur le trottoir devant
les maisons et les commerces et au-dessus de la tête des piétons, y
compris des mères avec des bébés.

Les
exigences relatives aux annonces publiques et aux audiences publiques
sont éliminées. Même s’il y avait une audience et que 100 experts
scientifiques devaient témoigner contre la 5G, des lois ont été adoptées qui rendent illégal
le fait pour les autorités locales de prendre en compte leur
témoignage. La loi américaine, par exemple, interdit aux gouvernements
locaux de réglementer la technologie sans fil «sur la base des effets environnementaux des rayonnements radioélectriques» [114],
et les tribunaux ont annulé des décisions réglementaires concernant
l’emplacement des tours de téléphonie simplement parce que la plupart
des témoignages publics portaient sur la santé [115]. Les assureurs ne fourniront aucune couverture contre les risques liés aux champs électromagnétiques [116],
et l’entité qui assumera la responsabilité juridique des dommages à la
vie, aux membres et aux biens résultant de l’exposition à la 5G (qu’elle
soit terrestre ou spatiale) n’est pas clairement définie. [117].

En
l’absence d’un régime juridique global convenu régissant les activités
dans l’espace, la responsabilité juridique de ces activités est
inexistante, en dépit du fait que des continents entiers, l’atmosphère
et les océans sont menacés par elles.

Les accords internationaux sont violés

Les enfants et la responsabilité morale

La Convention des Nations Unies relative aux droits de l’enfant [FR] prévoit que «les États parties s’engagent à assurer à l’enfant la protection et les soins nécessaires à son bien-être» (Art. 3), «assurent … la survie et le développement de l’enfant» (Art. 6) et «prendre
les mesures appropriées pour lutter contre les maladies… en tenant
compte des dangers et des risques de pollution de l’environnement»
(Art. 24 c).

Le Code de Nuremberg (1947) [FR]
s’applique à toutes les expériences sur des humains, ce qui inclut le
déploiement de la 5G avec une nouvelle exposition à un rayonnement RF
plus élevée, qui n’a pas été testée avant la commercialisation pour la
sécurité. «Le consentement volontaire du sujet humain est absolument essentiel» (Art. 1). L’exposition à la 5G sera involontaire. «Aucune expérience ne devrait être menée s’il existe une raison a priori de croire à la mort ou à une blessure invalidante»
(Art. 5). Les résultats de plus de 10 000 études scientifiques et les
voix de centaines d’organisations internationales représentant des
centaines de milliers de membres qui ont subi des blessures invalidantes
et qui ont été déplacées de leurs foyers par des installations de
télécommunications sans fil déjà existantes sont des raisons «a priori de croire que la mort ou des dommages corporels invalidants se produiront».

Obligation d’informer et CEM

L’Assemblée mondiale de la normalisation des télécommunications (2012) [FR] de l’Union internationale des télécommunications (UIT) a déclaré qu’il était «nécessaire d’informer le public des effets potentiels de l’exposition aux champs électromagnétiques (CEM)» et a invité les États Membres «à
adopter les mesures appropriées pour assurer le respect des
recommandations internationales pertinentes en matière de protection de
la santé contre les effets néfastes des CEM»
.

L’évaluation de mi-parcours du plan d’action européen en faveur de l’environnement et de la santé 2004-2010 (2008) [FR] : «Le
Parlement européen […] constate que les limites d’exposition au public
appliquées aux champs électromagnétiques sont obsolètes,… évidemment. ne
tiennent pas compte de l’évolution des technologies de l’information et
de la communication, des recommandations de l’Agence européenne pour
l’environnement ou des normes plus strictes en matière d’émissions
adoptées, par exemple, par la Belgique, l’Italie et l’Autriche, et
n’abordent pas la question des groupes vulnérables, tels que les femmes
enceintes, les nouveau-nés et les enfants.»

La Résolution 1815 (Conseil de l’Europe, 2011) [FR] : «Prendre
toutes les mesures raisonnables pour réduire l’exposition aux champs
électromagnétiques, en particulier l’exposition aux radiofréquences des
téléphones portables, et l’exposition des enfants et des jeunes.»

Environnement

Le Rapport de la Conférence des Nations Unies sur l’Environnement Humain (1972) [FR] : «Les
rejets de matières toxiques… en des quantités ou… concentrations telles
que l’environnement ne puisse plus en neutraliser les effets doivent
être interrompus de façon à éviter que les écosystèmes ne subissent des
dommages graves ou irréversibles.»
(Principe 6).

La Charte Mondiale de la Nature (1982) [FR] : «Les
activités susceptibles de causer un préjudice irréversible à la nature
doivent être évitées… [Si les effets néfastes potentiels ne sont pas
pleinement compris, les activités ne doivent pas être menées à bien.»
(Art. 11)

Déclaration de Rio sur l’environnement et le développement (1992) [FR] : «Les
États ont… le devoir de faire en sorte que les activités exercées dans
les limites de leur juridiction ou sous leur contrôle ne causent pas de
dommages à l’environnement dans d’autres États ou dans des zones ne
relevant d’aucune juridiction nationale.»
(Principe 2)

Sommet Mondial des Nations Unies sur le Développement Durable (2002) [FR] : «[Il
est urgent de… créer des réponses politiques nationales, régionales et
locales plus efficaces aux menaces environnementales pour la santé
humaine.]»
(clause 21, page 20).

Convention Africaine sur la Conservation de la Nature et des Ressources Naturelles (2017) [FR] : «Les
Parties… prennent toutes les mesures appropriées pour prévenir,
atténuer et éliminer, le plus possible, les effets nuisibles sur
l’environnement, notamment ceux causés par les substances radioactives,
toxiques et autres substances et déchets dangereux.»
(Article XIII, page 9).

Santé et droits de l’homme

La Déclaration universelle des droits de l’homme [FR] : «Tout individu a droit à la vie, à la liberté et à la sûreté de sa personne.» (Article 3).

La Stratégie mondiale pour la santé des femmes, des enfants et des adolescents des Nations Unies (2016-2030) [FR]
a pour objectifs et cibles de «transformer» en développant des
environnements favorables; «survivre» en réduisant la mortalité
maternelle et néonatale; et «prospérer» en assurant la santé et le
bien-être et en réduisant le nombre de décès et de maladies liés à la
pollution.

Espace

Le Traité sur l’espace extra-atmosphérique (1967) [FR]
exige que l’utilisation de l’espace extra-atmosphérique soit conduite
“de manière à éviter sa contamination nocive ainsi que les modifications
néfastes de l’environnement de la Terre.” (Article IX).

Principes directeurs des Nations Unies pour la durabilité des activités spatiales (2018) [FR]
: «Les États et les organisations intergouvernementales internationales
devraient faire face aux… risques pour la santé, les biens, la santé
publique et l’environnement associés au lancement, au fonctionnement en
orbite et à la restauration. entrée d’objets spatiaux.» (directive 2.2
c)).

Les gouvernements du monde jouent aux dés avec la vie sur Terre

Albert Einstein a déclaré que «Dieu ne joue pas aux dés» [118].
Pourtant, en poursuivant la diffusion sur Terre et dans l’espace de la
5G, une technologie sans précédent d’ondes millimétriques autrefois
utilisées comme arme énergétique dans les opérations militaires et le
contrôle des foules [119], les gouvernements du monde jouent imprudemment des dés avec l’avenir de la vie sur Terre.

Refuser
d’accepter et d’appliquer des connaissances scientifiques pertinentes
et valides est éthiquement inacceptable. Les recherches existantes
montrent que la 5G, et en particulier la 5G spatiale, contrevient aux
principes consacrés dans de nombreux accords internationaux.

Nous appelons l’ONU, l’OMS, l’Union européenne, le Conseil de l’Europe et les gouvernements de toutes les nations,

a)
à prendre des mesures immédiates pour mettre fin au déploiement de la
5G sur Terre et dans l’espace afin de protéger l’ensemble de l’humanité,
en particulier les enfants à naître, les nourrissons, les enfants, les
adolescents et les femmes enceintes, ainsi que l’environnement [les
HOMMES aussi, quoi !];

(b) à suivre la Convention des Nations Unies relative aux droits de l’enfant [FR] et la Résolution 1815 du Conseil de l’Europe [FR]
en informant les citoyens, y compris les enseignants et les médecins,
des risques pour la santé (pour les adultes et les enfants) des
rayonnements RF, et pourquoi ils devraient et comment ils peuvent éviter
les communications sans fil et les bornes, en particulier dans ou à proximité des crèches, des écoles, des hôpitaux, des maisons et des lieux de travail ;

c) à favoriser et mettre en place des télécommunications filaires plutôt que sans fil ;

d)
à interdire l’industrie des télécommunications/du sans fil, par
l’intermédiaire de ses organisations de lobbying, de persuader les
fonctionnaires de prendre des décisions permettant d’accroître
l’expansion du rayonnement RF, y compris la 5G au sol et dans l’espace ;

e)
à désigner immédiatement – sans influence du secteur — des groupes
internationaux de spécialistes des champs électromagnétiques
indépendants et réellement impartiaux, ainsi que des scientifiques de la
santé ne présentant aucun conflit d’intérêts [120],
afin d’établir de nouvelles normes internationales de sécurité pour les
rayonnements RF qui ne reposent pas uniquement sur les degrés de
pouvoir, qui tiennent compte de l’exposition cumulative, et qui
protègent contre tous les effets sur la santé et l’environnement, pas
seulement les effets thermiques ni les seuls effets sur l’Homme ;

f)
à désigner immédiatement — hors de l’influence de l’industrie — des
groupes internationaux de scientifiques spécialisés dans les champs
électromagnétiques, la santé, la biologie et la physique de
l’atmosphère, afin de mettre en place un cadre réglementaire complet
garantissant que les utilisations de l’espace extra-atmosphérique sont
sûres pour l’Homme et l’environnement, en tenant compte des rayonnements
RF, des gaz d’échappement des fusées, de la suie noire et des débris
spatiaux et de leurs effets sur l’ozone [121], le réchauffement climatique [122] l’atmosphère et la préservation de la vie sur Terre. Les technologies terrestres mais aussi spatiales doivent être durables [123] pour les adultes et les enfants, les animaux et les plantes.

Veuillez répondre à l’administrateur d’appel indiqué ci-dessous,

détaillant
les mesures que vous avez l’intention de prendre pour protéger la
population mondiale contre l’exposition aux rayonnements RF, en
particulier le rayonnement 5G. Cet appel et votre réponse seront
accessibles au public sur www.5gSpaceAppeal.org.

Soumis avec respect,

Arthur Firstenberg, administrateur des appels, info@5gSpaceAppeal.org

Signataires initiaux

AFRIQUE

Lauraine
Margaret Helen Vivian, PhD, anthropologie et psychiatrie ; Associée de
recherche honoraire, Faculté de la santé et des sciences médicales,
Université de Copenhague, Danemark. Signataire pour l’Afrique du Sud

ASIE

Girish Kumar, PhD, professeur, département de génie électrique, Institut indien de technologie de Bombay, Powai, Mumbai, Inde

AUSTRALIE

Don Maisch, PhD, chercheur indépendant, auteur de “The Procrustean Approach”, Lindisfarne, Tasmanie, Australie

EUROPE

Alfonso Balmori, B.Sc., maître en éducation à l’environnement, biologiste. Valladolid, Espagne

Klaus
Buchner, Dr. rer. Nat., Professeur, député européen – Membre du
Parlement européen, Association pour la promotion de la jeunesse, Droits
de l’homme et droits de la vie, Munich, Allemagne

Daniel Favre, Dr. phil. nat., biologiste, A.R.A. (Association Romande Alerte aux Ondes Electromagnétiques), Suisse

Annie
Sasco, MD, DrPH, SM, HDR, ancienne chef de l’unité de recherche en
épidémiologie pour la prévention du cancer au Centre international de
recherche sur le cancer (CIRC), Lyon ; ancien chef par intérim du
Programme de lutte contre le cancer de l’Organisation mondiale de la
santé (OMS) ; ancien directeur de recherche à l’Institut national de la
santé et de la recherche médicale (INSERM) ; France

AMÉRIQUE DU NORD

Martin
Pall, professeur émérite de biochimie et de sciences médicales de base à
la Washington State University, demeurant à Portland, Oregon,
États-Unis

Kate
Showers, PhD, Science des sols, chercheuse principale, Centre pour
l’histoire mondiale de l’environnement, Université de Sussex, Falmer,
Brighton, Royaume-Uni, résidant à Bolton-Est, Québec, Canada

AMÉRIQUE DU SUD

Carlos Sosa, MD, Université d’Antioquia, Medellín, Colombie

SIGNEZ L’APPEL – INDIVIDU   —   SIGNEZ L’APPEL – ORGANISATION

Source : INTERNATIONAL APPEAL Stop 5G on Earth and in Space https://www.5gspaceappeal.org/the-appeal/#fn107b.

Traduction de l’anglais et recherche de documentation française par BibiCabaya (29 janvier 2019).


Autres liens :

NEXT-UP Organization : http://www.next-up.org/ et http://www.next-up.org/Newsoftheworld/2019.php

Robin des Toits (association nationale pour la sécurité sanitaire dans les technologies sans fil) : 55 rue des Orteaux, 75020 Paris — Tél. : 33 1 47 00 96 33 — Courriel : contact@robindestoits.org — Site : http://www.robindestoits.org.


Références

[1] De Grasse M. AT & T décrit l’architecture de réseau 5G. RCR Wireless News, 20 octobre 2016. https://www.rcrwireless.com/20161020/network-infrastructure/att-outlines-5g-network-architecture-tag4. Consulté le 9 juillet 2018.

[2] Hong
W, Jiang ZH, Yu C et al. Technologies d’antenne multi-faisceaux pour
les communications sans fil 5G. IEEE Tr Ant Prop. 2017; 65 (12):
6231-6249. doi: 10.1109 / TAP.2017.2712819.

[3] Chou
H-T. Méthodologie de conception du réseau d’antennes multi-phases à
faisceaux multiples avec secteur de couverture relativement arbitraire.
Document de conférence: 11ème Conférence européenne sur les antennes et
la propagation 2017; Paris, France. doi: 10.23919 / EuCAP.2017.7928095.

[4] 47 CFR § 30.202 – Limites de puissance.

[5] SpaceX, WorldVu, Boeing, Télésat Canada et Iridium.

[6] Commission
fédérale de la communication. Demande en attente d’autorisation
d’espace par satellite et de station terrienne. Annexe S, Rapport
technique. Daté d’avril 2016, déposé le 1er mars 2017. http://licensing.fcc.gov/myibfs/download.do?attachment_key=1200245. Consulté le 17 juin 2018.

[7] Gouvernements
et organisations qui interdisent ou mettent en garde contre les
technologies sans fil. Site Web du groupe de travail sur les téléphones
cellulaires. http://www.cellphonetaskforce.org/governments-and-organizations-that-ban-or-warn-against-wireless-technology/. Consulté le 10 juin 2018. Continuellement mis à jour.

[8] Appel interjeté par International Doctors (appel de Freiburger). http://freiburger-appell-2012.info/fr/home.php?lang=EN. Publié en 2012. Consulté le 10 juin 2018.

[9] Appel
international: les scientifiques appellent à la protection contre
l’exposition aux champs électromagnétiques non ionisants. Site Web de
l’appel international des scientifiques de la FEM. https://emfscientist.org/index.php/emf-scientist-appeal.
Publié le 11 mai 2015. Consulté le 10 juin 2018. Au mois de mars 2018,
237 scientifiques de 41 pays dans le domaine des champs
électromagnétiques avaient signé l’appel.

[10] Glaser
Z. Index cumulatif de la bibliographie sur les effets biologiques
signalés et les manifestations cliniques attribuées aux rayonnements
hyperfréquences et radiofréquences : rapport, suppléments (n o 1 à 9).
Bulletin d’information de BEMS (B-1 à B-464), 1971-1981. http://www.cellphonetaskforce.org/wp-content/uploads/2018/06/Zory-Glasers-index.pdf.
Consulté le 26 juin 2018. Rapport et 9 suppléments publiés par le Naval
Medical Research Institute, Bethesda, MD ; Division de la recherche,
Bureau de médecine et de chirurgie, Département de la marine,
Washington, DC ; Bureau de projet sur les radiations électromagnétiques,
Commandement de la recherche et du développement dans le domaine
médical naval, Bethesda, MD ; Centre naval d’armes de surface, Dahlgren,
VA ; et Institut national pour la sécurité et la santé au travail,
Rockville, MD. Index de Julie Moore et associés, Riverside, Californie,
1984. Le lieutenant Zorach Glaser, PhD, a répertorié 5 083 études,
livres et rapports de conférence pour la marine américaine jusqu’en
1981.

[11] Sage
C, Carpenter D., éds. Rapport Biolnitiative : Justification d’une norme
d’exposition du public fondée sur la biologie pour le rayonnement
électromagnétique. Sage Associates; 2012. www.bioinitiative.org.
Consulté le 10 juin 2018. Le rapport BioInitiative de 1 470 pages,
rédigé par un groupe international de 29 experts, a passé en revue plus
de 1 800 nouvelles études et est continuellement mis à jour.

[12] Grigoriev
Y. Bioeffets des champs électromagnétiques modulés dans les expériences
de toxicité aiguë (résultats de recherches russes). Annu Russ Natl Comm
Protéger Radiat Non-Ionizing. 2004 : 16-73. http://bemri.org/publications/biological-effects-of-non-ionizing-radiation/78-grigoriev-bioeffects07/file.html. Consulté le 17 juin 2018.

[13] Obajuluwa
AO, Akinyemi AJ, Afolabi OB et al. L’exposition aux ondes
électromagnétiques radiofréquences modifie l’expression des gènes de
l’acétylcholinestérase, ainsi que le comportement lié à la coordination
exploratoire et motrice chez le rat mâle.Toxicol Rep. 2017 ; 4 :
530-534. https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S221475001730063X/pdfft?md5=0af5af76124b1f89f6d23c90c5c7764f&pid=1-s2.0-S221475171730063X-main.pdf. Consulté le 17 juin 2018.

[14] ND
Volkow, D. Tomasi, Wang G-J, et al. Effets de l’exposition du signal de
radiofréquence d’un téléphone portable sur le métabolisme du glucose
dans le cerveau. JAMA. 2012; 305 (8) : 808-813. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC3184892. Consulté le 17 juin 2018.

[15] Eghlidospour
M, Ghanbari A, Mortazavi S, Azari H. Effets de l’exposition aux
radiofréquences émises par un téléphone portable GSM sur la
prolifération, la différenciation et l’apoptose des cellules souches
neurales. Anat Cell Biol. 2017; 50 (2) : 115-123. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC5509895. Consulté le 17 juin 2018.

[16] Hardell
L, Carlberg C. Les téléphones mobiles, les téléphones sans fil et le
risque de tumeurs cérébrales. Int J Oncol.2009; 35 (1): 5-17. https://www.spandidos-publications.com/ijo/35/1/5/download. Consulté le 17 juin 2018.

[17] Bandara
P, Weller S. Maladie cardiovasculaire: il est temps d’identifier les
facteurs de risque environnementaux émergents. Eur J Prev Cardiol. 2017;
24 (17) : 1819-1823. http://journals.sagepub.com/doi/10.1177/2047487317734898. Consulté le 17 juin 2018.

[18] Deshmukh
P et al. Déficience cognitive et effets neurogénotoxiques chez le rat
exposé à un rayonnement micro-ondes de faible intensité. Int J Toxicol.
2015; 34 (3): 284-290. Doi : 10.1177 / 1091581815574348.

[19] Zothansiama,
Zosangzuali M, Lalramdinpuii M, Jagetia GC. Impact des rayonnements RF
sur les dommages de l’ADN et les antioxydants dans les lymphocytes du
sang périphérique d’êtres humains résidant à proximité des stations de
base pour téléphones portables. Electromag Biol Med. 2017 ; 36 (3):
295-305. doi: 10.1080 / 15368378.2017.1350584.

[20] Zwamborn
A, S Vossen, B van Leersum, M Ouwens, Mäkel W. Effets des champs de
radiofréquence du système de communication globale sur le bien-être et
les fonctions cognitives de sujets humains avec et sans plaintes
subjectives. Rapport TNO FEL-03-C148. La Haye : Laboratoire TNO de
physique et d’électronique ; 2003. http://www.milieugezondheid.be/dossiers/gsm/TNO_rapport_Nederland_sept_2003.pdf. Consulté le 16 juin 2018.

[21] Havas
M. Quand théorie et observation se rencontrent : les rayonnements non
ionisants peuvent-ils causer le cancer ? Environ Pollut. 2017; 221:
501-505. doi: 10.1016 / j.envpol.2016.10.018.

[22] Narayanan
SN, RS Kumar, Potu BK, Nayak S., Mailankot M. Performances de mémoire
spatiale de rats Wistar exposés à un téléphone portable. Cliniques.
2009; 64 (3): 231-234. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC2666459. Consulté le 17 juin 2018.

[23] Houston
BJ, Nixon B, King BV, De Iuliis GN, Aitken RJ. Les effets du
rayonnement électromagnétique radiofréquence sur la fonction du sperme.
La reproduction. 2016; 152 (6) : R263-R266. http://www.reproduction-online.org/content/152/6/R263.long. Consulté le 17 juin 2018.

[24] Han
J, Cao Z, Liu X, Zhang W, Zhang S. Effet de l’exposition du champ
électromagnétique au début de la grossesse sur l’arrêt de la croissance
des embryons. Wei Sheng Yan Jiu. 2010 ; 39 (3) : 349-52 (en chinois). https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/20568468.

[25] Salford
LG, Brun AE, Eberhardt JL, Malmgren L, Persson BRR. Dommages causés aux
cellules nerveuses dans le cerveau des mammifères après l’exposition
aux micro-ondes de téléphones mobiles GSM. Environ Health Perspect. 2003
; 111 (7) : 881-883. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC1241519/pdf/ehp0111-000881.pdf. Consulté le 17 juin 2018.

[26] Milham
S. Preuve que l’électricité sale est à l’origine des épidémies
mondiales d’obésité et de diabète. Electromagn Biol Med. 2014; 33 (1):
75-78. doi: 10.3109 / 15368378.2013.783853.

[27] Yakymenko
I, Tsybulin O, Sidorik E, Henshel D, Kyrylenko O, Kyrylenko S.
Mécanismes oxydants de l’activité biologique du rayonnement
radiofréquence de faible intensité. Electromagn Biol Med. 2016; 35 (2):
186-202. doi: 10.3109 / 15368378.2015.1043557.

[28] Herbert
M, Sage C. Résultats concernant l’autisme (ASD) compatibles avec les
champs électromagnétiques (CEM) et le rayonnement radiofréquence (RFR).
Dans : Sage C, Carpenter D., eds. Rapport Biolnitiative : Justification
d’une norme d’exposition du public fondée sur la biologie pour le
rayonnement électromagnétique. Seconde. 20. Sage Associates ; 2012. http://www.bioinitiative.org/report/wp-content/upload/pdfs/sec20_2012_Findings_in_Autism.pdf. Consulté le 29 juin 2018.

[29] Divan
HA, Kheifets L, Obel C, Olsen J. Exposition prénatale et postnatale à
l’utilisation du téléphone cellulaire et à des problèmes de comportement
chez les enfants. Epidemiology 2008 ; 19 : 523–529. http://www.wifiinschools.com/uploads/3/0/4/2/3042232/divan_08_prenatal_postnatal_cell_phone_use.pdf. Consulté le 29 juin 2018.

[30] HA
Divan, Kheifets L, Obel C, Olsen J. Utilisation du téléphone portable
et problèmes de comportement chez les jeunes enfants. J Epidemiol
Community Health. 2010 ; 66 (6) : 524-529. doi : 10.1136 /
jech.2010.115402. Consulté le 16 juillet 2018.

[31] Li
D-K, Chen H, Odouli R. Exposition maternelle aux champs magnétiques
pendant la grossesse en relation avec le risque d’asthme chez les
enfants. Arch Pediatr Adolesc Med. 2011 ; 165 (10) : 945-950. https://jamanetwork.com/journals/jamapediatrics/fullarticle/1107612https://jamanetwork.com/journals/jamapediatrics/fullarticle/1107612. Consulté le 29 juin 2018.

[32] Warnke
U. Abeilles, oiseaux et homme : Détruire la nature par l’Electrosmog.
Initiative «Compétence» pour la protection de l’humanité, de
l’environnement et de la démocratie ; 2009. www.naturalscience.org/wp-content/uploads/2015/01/kompetenzinitiative-ev_study_bees-birds-and-human-human_04-08_english.pdf [lien caduc]. Consulté le 10 juin 2018.

[33] Balmori
A. Pollution électromagnétique par les mâts de téléphone. Effets sur la
faune. Physiopathologie. 2009; 16: 191-199. doi: 10.1016 /
j.pathophys.2009.01.007. Consulté le 10 juin 2018.

[34] Cammaerts
MC, Johansson O. Les fourmis peuvent être utilisées comme
bio-indicateurs pour révéler les effets biologiques des ondes
électromagnétiques émises par certains appareils sans fil. Electromagn
Biol Med. 2014 ; 33 (4) : 282-288. doi : 10.3109 / 15368378.2013.817336.

[35] Broomhall
M. Rapport détaillant l’exode des espèces du mont. Zone Nardi du parc
national du Nightcap Zone du patrimoine mondial pendant une période de
15 ans (2000-2015). Rapport pour l’Organisation des Nations Unies pour
l’éducation, la science et la culture (UNESCO). https://ehtrust.org/wp-content/uploads/Mt-Nardi-Wildlife-Report-to-UNESCO-FINAL.pdf. Consulté le 17 juin 2018.

[36] Kordas D. Oiseaux et arbres du nord de la Grèce: changements intervenus depuis l’avènement de la 4G Wireless. 2017. https://einarflydal.files.wordpress.com/2017/08/kordas-birds-and-trees-of-northern-greece-2017-final.pdf. Consulté le 29 juin 2018.

[37] C
Waldwald-Selsam, Balmori-de la Puente A, H Breunig, Balmori A. Les
rayons radiofréquences blessent des arbres autour des stations de base
de téléphonie mobile. Sci Total Environ. 2016 ; 572 : 554-569. doi :
10.1016 / j.scitotenv.2016.08.045.

[38] Balmori
A. Effets du mât de téléphone portable sur les têtards de grenouille
(Rana temporaria) : La ville s’est transformée en laboratoire.
Electromagn Biol Med. 2010 (1-2): 31-35. doi : 10.3109 /
15368371003685363.

[39] Margaritis
LH, Manta, AK, Kokkaliaris KD, et al. L’oogenèse de Drosophila en tant
que marqueur biologique répondant aux sources de champs
électromagnétiques. Electromagn Biol Med. 2014 ; 33 (3) : 165-189. doi:
10.3109 / 15368378.2013.800102.

[40] NR
Kumar, S Sangwan, Badotra P. L’exposition aux radiations des téléphones
portables produit des changements biochimiques chez les abeilles
ouvrières. Toxicol Int. 2011 ; 18 (1) : 70-72. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC3052591. Consulté le 17 juin 2018.

[41] Balmori
A. Efectos de las radiaciones electromagnética de telefonía mobile
sobre los insectos.Ecosistemas. 2006 ; 15 (1) : 87-95. https://www.revistaecosistemas.net/index.php/ecosistemas/article/download/520/495. Consulté le 17 juin 2018.

[42] Balmori
A. L’incidence de la pollution électromagnétique sur les mammifères
sauvages: un nouveau “poison” à effet lent sur la nature ?
Environnementaliste. 2010 ; 30 (1) : 90-97. doi : 10.1007 /
s10669-009-9248-y.

[43] Magras
IN, Xenos TD. Changements induits par les rayonnements RF dans le
développement prénatal de la souris.Bioelectromagnetics 1997 ; 18 (6) :
455-461. http://collectiveactionquebec.com/uploads/8/0/9/7/80976394/exhibit_r-62_magras_mice_study.pdf. Consulté le 17 juin 2018.

[44] AA
Otitoloju, Osunkalu VO, Oduware R, et al. Effets hématologiques des
rayonnements RF de stations de base GSM sur quatre générations
successives (F1 – F4) de souris albinos, Mus Musculus. J Environ Occup
Sci. 2012 ; 1 (1) : 17-22. https://www.ejmanager.com/mnstemps/62/62-1332160631.pdf?t=1532966199. Consulté le 30 juillet 2018.

[45] Magone
I. Effet du rayonnement électromagnétique de la station de localisation
radio de Skrunda sur les cultures de Spirodela polyrhiza (L.)
Schleiden. Sci Total Environ. 1996 ; 180 (1) : 75-80. Doi : 0048-9697
(95) 04922-3.

[46] Nittby
H., Brun A, Strömblad S, et al. Effets des champs électromagnétiques
non RF et radio RF et ELF sur la perméabilité à la BBB du rat. 2011 ; 31
(2) : 140-148. doi : 10.1007 / s10669-011-9307-z.

[47] Haggerty
K. Influence défavorable du fond radioélectrique sur les semis de
peuplier faux-tremble : observations préliminaires. Journal
international de recherche forestière. 2010 ; Article ID 836278. http://downloads.hindawi.com/journals/ijfr/2010/836278.pdf. Consulté le 17 juin 2018.

[48] Taheri
M, SM Mortazavi, Moradi M et al. Évaluation de l’effet des rayonnements
RF de radiofréquences émis par un routeur Wi-Fi et un simulateur de
téléphonie mobile sur la sensibilité aux batéries des bactéries
pathogènes Listeria monocytogenes et Escherichia coli. Réponse à la
dose. 2017 ; 15 (1) : 1559325816688527. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC5298474. Consulté le 18 juin 2018.

[49] Centre
international de recherche sur le cancer. Rayonnement non ionisant,
partie 2 : champs électromagnétiques radiofréquences. In : Monographies
du CIRC sur l’évaluation des risques cancérogènes chez l’homme. Vol 102.
Lyon, France : Presses OMS ; 2013. http://monographs.iarc.fr/ENG/Monographs/vol102/mono102.pdf. Consulté le 2 juillet 2018.

[50] Carlberg
M, Hardell L. Évaluation de l’utilisation du téléphone portable et du
téléphone sans fil et du risque de gliome à l’aide des points de vue de
Bradford Hill de 1965 sur l’association et la causalité. Biomed Res Int.
2017 : 9218486. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC5376454. Consulté le 17 juin 2018.

[51] Blackman
CF. Preuve de la perturbation par le signal modulant. Dans : Sage C,
Carpenter D., eds. Rapport Biolnitiative : Justification d’une norme
d’exposition du public fondée sur la biologie pour le rayonnement
électromagnétique. Seconde. 15. Sage Associates ; 2012. http://www.bioinitiative.org/report/wp-content/uploads/pdfs/sec15_2007_Modulation_Blackman.pdf. Consulté le 19 juin 2018.

[52] Williams ER. Le circuit électrique global : un bilan. Atmos Res. 2009 ; 91 (2) : 140-152. doi : 10.1016 / j.atmosres.2008.05.018

[53] Wever
R. Rythmes circadiens humains sous l’influence de faibles champs
électriques et des différents aspects de ces études. Int J Biometeorol.
1973 ; 17 (3) : 227-232. www.vitatec.com/docs/referenz-umgebungsstrahlung/wever-1973.pdf. Consulté le 10 juin 2018.

[54] Wever
R. ELF-effets sur les rythmes circadiens humains. Dans : Effets de
champs électromagnétiques ELF et VLF. (Persinger M, ed.) New York :
Plénum ; 1974 : 101-144.

[55] Engels
S, Schneider N-L, N Lefeldt et al. Le bruit électromagnétique
anthropique perturbe l’orientation du compas magnétique chez un oiseau
migrateur. La nature. 2014 ; 509 : 353-356. doi : 10.1038 / nature13290.

[56] Ludwig
W. Mecke R. Wirkung Kunstlicher Atmospherics auf Säuger. Archives pour
la météorologie, la géophysique et la bioklimatologie, série B (Archives
de météorologie, géophysique et bioclimatologie, série B Climatologie
théorique et appliquée). 1968 ; 16 (2-3) : 251-261. doi : 10.1007 /
BF02243273.

[57] Morley
EL, Robert D. Les champs électriques provoquent des ballonnements chez
les araignées. Biologie actuelle. 2018 ; 28 : 1-7. https://www.cell.com/current-biology/pdf/S0960-9822(18)30693-6.pdf. Consulté le 14 juillet 2018.

[58] Weber
J. Die Spinnen de Düter des Kommenden Wetters (les araignées sont des
indicateurs du temps à venir). 1800 ; Landshut, Allemagne. «Le matériel
électrique fonctionne toujours dans l’atmosphère. aucune campagne ne
peut retarder son action. Ses effets sur le climat sont presque
incontestés. les araignées le sentent et modifient leur comportement en
conséquence.»

[59] König
H. Effets biologiques de phénomènes électriques extrêmement basse
fréquence dans l’atmosphère. J Cycle Interdisciplinaire Res. 2 (3) :
317-323. www.tandfonline.com/doi/abs/10.1080/09291017109359276. Consulté le 10 juin 2018.

[60] Sulman
F. L’effet de l’ionisation de l’air, des champs électriques, des
atmosphériques et d’autres phénomènes électriques sur l’homme et
l’animal. Série de conférences américaines. Vol 1029. Springfield, Ill :
Thomas ; 1980.

[61] König
HL, Krüger, AP, Lang S, Sönning, W. Effets biologiques de
l’électromagnétisme environnemental. New York: Springer-Verlag ; 1981.
doi : 10.1007 / 978-1-4612-5859-9.

[62] Sazanova
E, Sazanov A, N Sergeenko, Ionova V, Varakin Y. Influence des
résonances électromagnétiques proches de la terre sur le système
cérébro-vasculaire humain en période de perturbations héliogéophysiques.
Symposium sur les progrès de l’électromagnétique. Août 2013: 1661-1665.

[63] Résonances
Cherry N. Schumann, mécanisme biophysique plausible des effets de
l’activité solaire / géomagnétique sur la santé humaine. Risques
Naturels. 2002 ; 26 (3) : 279-331. doi : 10.1023 / A : 1015637127504.

[64] Résonances
Polk C. Schumann. Dans Volland H, éd. CRC Handbook of Atmospics. Vol.
1. Boca Raton, Floride : CRC Press ; 1982 : 111-178. https://archive.org/stream/in.ernet.dli.2015.132044/2015.132044. Consulté le 18 juin 2018.

[65] Parc
C, Helliwell R. Effets magnétosphériques du rayonnement de ligne
électrique. Science. 1978 ; 200 (4343) : 727-730. doi : 10.1126 /
science.200.4343.727.

[66] Bullough
K, Kaiser TR, Strangeways HJ. Effets de modification artificiels non
intentionnels dans la magnétosphère. J Atm Terr Phys. 1985 ; 47 (12) :
1211-1223.

[67] Luette
JP, Park CG, RA Helliwell. Le contrôle de la magnétosphère par le
rayonnement de la ligne électrique. J Geophys Res. 1979 ; 84 :
2657-2660.

[68] Becker RO, Selden G. Le corps électrique : électromagnétisme et fondement de la vie. New York: Morrow; 1985 : 325-326.

[69] Firstenberg A. Urgence planétaire. Site Web du groupe de travail sur les téléphones cellulaires. http://www.cellphonetaskforce.org/planetary-emergency. Publié en 2018. Consulté le 10 juin 2018.

[70] Becker
RO. Système de base de transmission et de contrôle de données
biologiques influencé par des forces électriques. Ann NY Acad Sci. 1974 ;
238 : 236-241. doi : 10.1111 / j.1749-6632.1974.tb26793.x.

[71] Maxey
ES, Beal JB. L’électrophysiologie de l’acupuncture ; Comment les champs
électriques et magnétiques terrestres influencent les échanges
d’énergie des ions de l’air via les points d’acupuncture. Journal
international de biométéorologie. 1975 ; 19 (Supp. 1) : 124. doi :
10.1007 / BF01737335.

[72] Ćosić
I, D Cvetković, Fang Q, E Jovanov, Lazoura H. Réponses du signal
électrophysiologique humain à la résonance ELFSchumann et aux champs
électromagnétiques artificiels. Transactions FME. 2006 ; 34 : 93-103. http://scindeks-clanci.ceon.rs/data/pdf/1450-8230/2006/1450-82300602093C.pdf. Consulté le 18 juillet 2018.

[73] Cohen
M, Behrenbruch C, Cossić I. Existe-t-il un lien entre les méridiens
d’acupuncture, les résonances Terre-ionosphère et l’activité cérébrale ?
Actes de la 2e Conférence internationale sur le bio-électromagnétisme,
Melbourne, Australie. 1998 : 173-174. doi : 10.1109 / ICBEM.1998.666451.

[74] Chevalier
G, K Mori, JS Oschman. L’effet de la mise à la terre sur la physiologie
humaine. Biologie européenne et bioélectromagnétique. Janvier 2006 :
600-621. http://162.214.7.219/~earthio0/wp-content/uploads/2016/07/Effects-of-Earthing-on-Human-Physiology-Part-1.pdf. Consulté le 10 juin 2018. «Des
résultats extrêmement significatifs en EEG, EMG et BVP démontrent que
la restauration du potentiel électrique naturel de la Terre sur le corps
humain (mise à la terre) affecte rapidement les paramètres
électrophysiologiques et physiologiques de l’homme. La rapidité extrême
de ces changements indique un mécanisme physique / bioélectrique plutôt
qu’un changement biochimique.»

[75] Enveloppe
électrique Firstenberg A. Earth. In : The Invisible Rainbow: Une
histoire de l’électricité et de la vie. Santa Fe, NM : Presse AGB ; 2017
: 113-131.

[76] PS
Canon, Rycroft MJ. Variations de fréquence de résonance Schumann au
cours de perturbations ionosphériques soudaines. J Atmos Sol Terr Phys.
1982 ; 44 (2) : 201-206. doi : 10.1016 / 0021-9169 (82) 90124-6.

[77] Rapport technique. Institut européen de normalisation des télécommunications; 2007: 7. https://www.etsi.org/deliver/etsi_tr/125900_125999/125914/07.00.00_60/tr_125914v070000p.pdf. Consulté le 10 juin 2018. «Le
mannequin anthropomorphique spécifique (SAM) est utilisé pour mesurer
les performances par rayonnement [et est] rempli de liquide simulant un
tissu.»

[78] Recherche
sur les technologies permettant d’évaluer la conformité aux directives
de protection RF. Laboratoire de compatibilité électromagnétique, Tokyo.
http://emc.nict.go.jp/bio/phantom/index_e.html. Consulté le 18 juillet 2018. «Le
SAR est mesuré en remplissant un liquide fantôme possédant les mêmes
propriétés électriques que celles du corps humain dans un récipient en
forme de corps humain, et en balayant l’intérieur à l’aide d’une sonde
SAR.»

[79] Becker RO, Marino AA. Electromagnétisme et Vie. Albany: Presses de l’Université d’État de New York; 1982: 39. «Les
preuves semblent assez concluantes à l’effet que des courants
électriques continus continus circulent à l’extérieur des neurones
proprement dits dans l’ensemble du système nerveux.»

[80] Nordenström B. Circuits électriques biologiquement fermés. Stockholm: Publications médicales nordiques; 1983.

[81] Nordenström
B. Impact des circuits électriques biologiquement fermés (BCEC) sur la
structure et la fonction. Integr Physiol Behav Sci. 1992; 27 (4):
285-303. doi: 10.1007 / BF02691165.

[82] ND Devyatkov, éd. Effets non thermiques du rayonnement millimétrique. Moscou: URSS Acad. Sci .; 1981 (russe).

[83] ND
Devyatkov, Golant MB, Betskiy OV. Les ondes millimétriques et leur rôle
dans les processus de la vie. (Millimetrovye volny i ikh rol ‘v
protsessakh zhiznedeyatel’nosti). Moscou: Radio i svyaz ‘(radio et
communication); 1991 (russe).

[84] Betskii
OV. Effets biologiques des ondes millimétriques de faible intensité
(Review). Journal of Biomedical Electronics. 2015 (1): 31-47. http://www.radiotec.ru/article/15678. Consulté le 31 juillet 2018.

[85] Albanese R, J Blaschak, Medina R, signaux électromagnétiques Penn J. Ultrashort: «questions biophysiques, questions de sécurité et opportunités médicales», Aviat Space Environ Med. 1994; 65 (5 Supp): A116-A120. http://www.dtic.mil/dtic/tr/fulltext/u2/a282990.pdf. Consulté le 18 juin 2018.

[86] Pepe
D, Aluigi L, Zito D. Impulsions de monocycle inférieures à 100 ps pour
les communications 5G UWB. 10ème Conférence européenne sur les antennes
et la propagation (EuCAP). 2016; 1-4. doi: 10.1109 / EuCAP.2016.7481123.

[87] Nasim I, Kim S. Exposition humaine aux champs RF dans la liaison descendante 5G. arXiv: 1711.03683v1. https://arxiv.org/pdf/1711.03683.pdf. Consulté le 17 juin 2018.

[88] Thielens
A, Bell D, Mortimore DB. Exposition des insectes aux champs
électromagnétiques radiofréquences de 2 à 120 GHz. Nature / Rapports
scientifiques. 2018; 8: 3924. https://www.nature.com/articles/s41598-018-22271-3.pdf. Consulté le 17 juin 2018.

[89] Hallmann
CA, Sorg M, Jongejans E. Plus de 75% de réduction de la biomasse totale
d’insectes volants sur 27 ans dans les zones protégées. PLOS One. 2017;
12 (10): e0185809. http://journals.plos.org/plosone/article/file?id=10.1371/journal.pone.0185809&type=printable. Consulté le 17 juin 2018.

[90] Gandhi
O, Riazi A. Absorption des ondes millimétriques par l’homme et ses
implications biologiques. IEEE Trans Microw Theory Tech. 1986; 34 (2):
228-235. doi: 10.1109 / TMTT.1986.1133316.

[91] Russell
CL. Expansion des télécommunications sans fil 5G: incidences sur la
santé publique et l’environnement. Environ Res 2018; 165: 484-495. https://zero5g.com/wp-content/uploads/2018/07/5-G-wireless-telecommunications-expansion-Public-health-and-environmental-implications-Cindy-L.-russell.pdf. Consulté le 1 novembre 2018.

[92] Hardell
L. Organisation mondiale de la santé, Les rayonnements RF et la santé:
un problème difficile à résoudre (étude). Int J Oncol. 2017; 51:
405-413. doi: 10.3892 / ijo.2017.4046.

[93] Pall
M. 5G: Risque élevé pour la santé en Europe, aux États-Unis et dans le
monde: preuves irréfutables de huit types distincts de dommages graves
causés par les expositions aux champs électromagnétiques (CEM) et le
mécanisme les causant. Académie européenne de médecine environnementale.
http://www.5gappeal.eu/wp-content/uploads/2018/06/pall_2018.pdf. Publié en mai 2018. Consulté le 22 juin 2018.

[94] Markov
M, technologie Wi-Fi Grigoriev Y. : Une expérience mondiale incontrôlée
sur la santé de l’humanité, Electromagn Biol Med. 2013 ; 32 (2) :
200-208. http://www.avaate.org/IMG/pdf/Wi-fi_Technology_-_An_Uncontrolled_Global_Experiment_on_the_Health_of_Mankind_-Marko_Markov_Yuri_G._Grigoriev.pdf. Consulté le 23 juin 2018.

[95] Belyaev
I, Y Alipov, V Shcheglov, Polunin V, Aizenberg O. Réponse coopérative
de cellules Escherichia coli à l’effet de résonance d’ondes
millimétriques à très basse intensité. Electromagn Biol Med. 1994; 13
(1): 53-66. doi: 10.3109 / 15368379409030698.

[96] Belyaev
I. Effets biologiques non thermiques des micro-ondes: connaissances
actuelles, perspectives et besoins urgents. Electromagn Biol Med. 2005;
24 (3): 375-403. Doi: 10.1080 / 15368370500381844.

[97] Bise
W. Effets de radiofréquence et de micro-ondes de faible puissance sur
l’électroencéphalogramme et le comportement humains. Physiol Chem Phys.
1978; 10 (5): 387-398.

[98] Brauer
I. Experimentelle Untersuchungen – Würkung von Meterwellen –
Verschiedener Feldstärke auf das Teilungswachstum der Pflanzen.
Chromosome 1950; 3 (1): 483-509. doi: 10.1007 / BF00319492.

[99] Kondra
P, Smith W, Hodgson G, D Bragg, Gavora J, Hamid M. Croissance et
reproduction de poulets soumis à un rayonnement hyperfréquence. Can J
Anim Sci. 1970; 50 (3): 639 à 644. doi: 10.4141 / cjas70-087.

[100] Frey
AH, Seifert E. Illumination d’énergie UHF UHF modulée par impulsion
associée à une modification de la fréquence cardiaque. Sciences de la
vie. 1968; 7 (10 Part 2): 505-512. doi: 10.1016 / 0024-3205 (68)
90068-4.

[101] Mann
K, Röschke J. Effets des champs électromagnétiques à haute fréquence
puisés sur le sommeil humain. Neuropsychobiologie. 1996; 33 (1): 41-47.
doi: 10,1159 / 000119247.

[102] Tiagin NV. Aspects cliniques de l’exposition aux rayonnements micro-ondes. Moscou: Meditsina; 1971 (russe).

[103] Belpomme
D, C Campagnac, Irigaray P. Biomarqueurs fiables de la maladie,
caractérisant et identifiant l’électrohypersensibilité et la sensibilité
chimique multiple, constituant deux aspects étiopathogéniques d’un
trouble pathologique unique. Rev Environ Health 2015; 30 (4): 251–271. https://www.jrseco.com/wp-content/uploads/Belpomme-Environmental-health-2015.pdf. Consulté le 18 juin 2018.

[104] Hecht
K. Conséquences sur la santé d’une exposition à long terme à
l’électrosmog. Initiative de compétences pour la protection de
l’humanité, de l’environnement et de la démocratie. 2016: 16, 42-46. http://kompetenzinitiative.net/KIT/wp-content/uploads/2016/07/KI_Brochure-6_K_Hecht_web.pdf. Consulté le 20 juin 2018.

[105] Belyaev
I, Dean A, Eger H, et al. Directive EUROPAEM EMF 2016 pour la
prévention, le diagnostic et le traitement des problèmes de santé et des
maladies liés aux CEM. Rev Environ Health. 2016; 31 (3): 363-397. Date:
10.1515 / reveh-2016-0011.

[106] Schreier
N, Huss A, Röösli M. La prévalence des symptômes attribués à
l’exposition aux champs électromagnétiques: enquête représentative
transversale réalisée en Suisse. Soz Praventivmed. 2006; 51 (4):
202-209. doi: 10.1007 / s00038-006-5061-2. Consulté le 16 juillet 2018.

[107] Schroeder
E. Perspectives des parties prenantes 26. BImSchV: Rapport sur les
perspectives des parties prenantes sur le processus de révision de la
26ème ordonnance fédérale sur le contrôle des émissions: résultats de
l’enquête téléphonique menée par le gouvernement fédéral Protection
contre les radiations). Schr / bba 04.02.26536.020. Munich, Allemagne.
2002 (allemand).https://www.bfs.de/SharedDocs/Downloads/BfS/DE/berichte/emf/befuerchtungen.pdf?__blob=publicationFile&v=3. Consulté le 19 juillet 2018.

[108] Hallberg
Ö, Oberfeld G. Lettre au rédacteur en chef : Allons-nous tous devenir
électrosensibles ? Electromagn Biol Med. 2006 ; 25 : 189-191. https://www.criirem.org/wp-content/uploads/2006/03/ehs2006_hallbergoberfeld.pdf. Consulté le 22 juin 2018.

[109] Déclaration
scientifique internationale de Bruxelles sur l’hypersensibilité
électromagnétique et la sensibilité chimique multiple. Institut ECRI. http://eceri-institute.org/fichiers/%201441982765_Statement_EN_DEFINITIF.pdf. Publié en 2015, consulté le 10 juin 2018.

[110] Suppression des barrières à l’entrée, 47 États-Unis d’Amérique. § 253. https://www.gpo.gov/fdsys/pkg/USCODE-2015-title47/pdf/USCODE-2015-title47-chap5-subchapII-partII-sec253.pdf ; 5G pour l’Europe: un plan d’action. Commission européenne; 2016. http://ec.europa.eu/newsroom/dae/document.cfm?doc_id=17131. Consulté le 10 juin 2018.

[111] Federal
Register – Règles et règlements. 47 CFR, partie 1 [Dossier WT n °
17–79; FCC 18–30] Accélérer le déploiement du haut débit sans fil en
éliminant les obstacles aux investissements dans l’infrastructure. 2018;
83 (86). Consulté le 10 juin 2018.

[112] 5G Pour l’Europe: Un plan d’action. Commission européenne; 2016. http://ec.europa.eu/newsroom/dae/document.cfm?doc_id=17131. Consulté le 10 juin 2018.

[113] PCIA
– The Wireless Infrastructure Association. Modèle d’ordonnance
d’implantation des installations de télécommunications sans fil. 2012.https://wia.org/wp-content/uploads/Advocacy_Docs/PCIA_Model_Zoning_Ordinance_June_2012.pdf. Consulté le 29 juin 2018.

[114] Services mobiles, 47 U.S.C. § 332 (c) (7) (B) (iv). https://www.gpo.gov/fdsys/pkg/USCODE-2016-title47/pdf/USCODE-2016-title47-chap5-subchapIII-partI-sec332.pdf : «Aucun
État ni gouvernement local ni aucun de leurs pouvoirs ne peuvent
réglementer des événements personnels installations de services sans fil
sur la base des effets environnementaux des émissions de fréquences
radioélectriques dans la mesure où ces installations sont conformes aux
règles de la Commission [Federal Communications] concernant ces
émissions»
.
Les tribunaux ont infirmé les décisions réglementaires en matière de
placement des tours de téléphonie simplement parce que la plupart des
témoignages publics était sur la santé.

[115] Cellular Telephone Company v. Ville d’Oyster Bay, 166 F.3d 490, 495 (2nd Cir. 1999). https://openjurist.org/166/f3d/490/cellular-telephone-company-at-v-town-of-oyster-bay. Consulté le 10 juin 2018 .; T-Mobile Northeast LLC c. Loudoun County Bd. of Sup’rs, 903 F.Supp.2d 385, 407 (E.D.Va. 2012). https://caselaw.findlaw.com/us-4th-circuit/1662394.html. Consulté le 10 juin 2018.

[116] Vogel G. Une tempête à venir pour le sans fil? TalkMarkets. Juillet 2017. http://talkmarkets.com/content/stocks–equities/a-coming-storm-for-wireless?post=143501&page=2. Consulté le 13 septembre 2018.

[117] Swiss Re: SONAR – Nouvelles perspectives sur les risques émergents. Juillet 2014: 22. http://media.swissre.com/documents/SONAR_2014.pdf. Consulté le 10 juin 2018. «Un
niveau croissant d’interconnectivité et la prévalence croissante des
systèmes de guidage et de retour numériques créent également de
nouvelles vulnérabilités. Celles-ci pourraient impliquer des effets en
cascade avec des dommages multiples ainsi que des interruptions durables
si les problèmes s’avéraient complexes et / ou difficiles à réparer.
L’interconnectivité et la génération permanente de données suscitent des
inquiétudes quant à la confidentialité des données, et l’exposition aux
champs électromagnétiques peut également augmenter.»

[118] Albert Einstein, lettre à Max Born, le 4 décembre 1926.

[119] Technologie de refus actif. Programme d’armes non létales. https://jnlwp.defense.gov/Press-Room/Fact-Sheets/Article-View-Fact-sheets/Article/577989/active-denial-technology/. Publié le 11 mai 2016. Consulté le 10 juin 2018.

[120] Les
conflits d’intérêts sont fréquents dans le passé. Par exemple, la
Commission européenne (2008/721 / CE) a nommé des membres du SCENIHR
soutenant le secteur, qui ont soumis à l’UE un rapport trompeur du
SCENIHR sur les risques pour la santé, qui donnait carte blanche à
l’industrie des télécommunications pour irradier les citoyens de l’UE.
Le rapport est maintenant cité par les agences de radioprotection de
l’UE. Un autre exemple est le programme américain de toxicologie
nationale qui a passé un contrat avec la Fondation IT’IS, financée par
l’ensemble du secteur des télécommunications, pour concevoir, construire
et surveiller l’installation d’exposition dans le cadre d’une étude de
25 millions de dollars réalisée sur deux ans. Téléphones. Il a par la
suite produit un rapport trompeur qui est maintenant cité par des
responsables de l’industrie aux États-Unis.

[121] Ross
M, Mills M, Toohey D. Impact potentiel sur le climat du carbone noir
émis par les roquettes. Geophys Res Lett. 2010 ; 37 : L24810. https://agupubs.onlinelibrary.wiley.com/doi/pdf/10.1029/2010GL044548. Consulté le 17 juin 2018.

[122] Ross MN, PM Schaeffer. Forçage radiatif causé par les émissions des moteurs de fusée. L’avenir de la Terre. 2014 ; 2 : 177-196. https://agupubs.onlinelibrary.wiley.com/doi/epdf/10.1002/2013EF000160. Consulté le 17 juin 2018.

[123] Callicott
JB, Mumford K. La durabilité écologique en tant que concept de
conservation. Biologie de la conservation. 1997 ; 11 (1) : 32-40. https://www.sierraforestlegacy.org/Resources/Community/Sustainability/SY_CallicottMumford1997.pdf. Consulté le 20 juin 2018.




Un médecin explique la glande pinéale et sa destruction par des produits chimiques toxiques

Publié par Laurent Freeman

UN BREF APERCU

Les faits : Le Dr Klinghardt partage ses préoccupations concernant les divers facteurs environnementaux qui affectent directement nos glandes pinéales

Réfléchissez bien:Vivez-vous un mode de vie sain ?

Êtes-vous soucieux de votre santé ?

Il est important de s’inquiéter, mais de
ne pas avoir peur. Il y a des choses que nous pouvons faire pour
demeurer en santé dans un environnement qui a besoin d’énormément de
changement.

La glande pinéale,
que beaucoup de cultures appellent aussi le troisième œil ou le siège
de l’âme, est située dans votre cerveau et beaucoup croient que c’est la
porte vers l’au-delà. La diméthyl-tryptamine (DMT) est produite ici
naturellement et est libérée en petites quantités lorsque nous rêvons et
lorsque le corps physique meurt.

La Glande pinéale ou « Troisième oeil »

Beaucoup de mystiques et de cultures à
travers le monde croient que cette glande est notre connexion directe
avec le Soi, ou Conscience. Malheureusement, il a été démontré que
divers produits chimiques dans notre environnement bloquent l’accès à
cette glande, ce qui, à son tour, peut rendre plus difficile la
connexion avec notre nature spirituelle et, par conséquent, avec notre
vrai moi.

Jetez un coup d’œil (Vidéo) Les secrets de la glande pinéale pour en savoir plus sur cet organe étonnant.

Rencontrez le Dr Dietrich Klinghardt

Dietrich Klinghardt est fondateur de la
Klinghardt Academy (USA), de l’American Academy of Neural Therapy,
directeur médical de l’Institute of Neurobiology, et clinicien en chef
du Sophia Health Institute, situé à Woodinville, Washington. Il est
également fondateur et président de l’Institut de neurobiologie en
Allemagne et en Suisse. La Klinghardt Academy (USA) dispense des
enseignements au monde anglophone sur les interventions biologiques et
les techniques d’évaluation Autonomic Response Testing.

Klinghardt a enseigné aux universités de
l’Illinois, de l’Utah, de Fribourg, d’Adélaïde, de la Capital
University (Washington DC) et autres, ainsi qu’aux facultés de médecine
de Genève et Zurich. Entre 1996 et 2005, il a été professeur agrégé au
Département de neurobiologie appliquée de l’Université Capital. Il est
régulièrement invité à donner des ateliers dans le cadre de la
prestigieuse Medicine Week à Baden-Baden, en Allemagne, et des
conférences internationales sur les maladies de Lyme et les maladies
associées (ILADS). Parmi ses livres, on trouve la Psychokinésiologie
innovante “Une nouvelle approche en médecine psychosomatique” sur la
psychothérapie musculaire guidée par le feedback-guid. Plusieurs de ses
enseignements, manuels, DVD de séminaires et outils cliniques sont
disponibles sur son site Web www.klinghardtacademy.com.

Dans la vidéo qui suit, le Dr Klinghardt partage ses préoccupations concernant les divers facteurs environnementaux qui affectent directement nos glandes pinéales.

Cette vidéo nous rappelle à tous d’être conscients de ces toxines – ce que nous mettons dans notre corps et ce à quoi nous nous exposons.

“La glande pinéale est la partie la plus sensible de notre système nerveux central et elle est très sensible à 4 choses : aluminium, glyphosate, fluor et WiFi.”

Lors du troisième Symposium
international sur les vaccins en mars 2014 et dans le cadre du 9e
Congrès international sur l’auto-immunité, la Dre Stephanie Seneff,
scientifique du MIT, a fait une présentation intitulée “Rôle de la
glande pinéale dans les lésions neurologiques à la suite d’un vaccin
avec adjuvant à l’aluminium”.

Dans son article souvent cité, elle
explique combien de troubles neurologiques courants, comme l’autisme et
la maladie de Parkinson, par exemple, ont une origine commune. Il s’agit
d’un apport insuffisant de sulfate au cerveau et d’une exposition
accrue aux métaux toxiques (p. ex. aluminium, mercure) en raison de
notre capacité réduite à les détoxifier et à les éliminer. Elle montre
également que ces métaux interfèrent avec la synthèse des sulfates,
provoquant l’accumulation de débris cellulaires.

Il explique ensuite que le sulfate
d’héparane dans les lysosomes est essentiel au recyclage des débris
cellulaires, des ordures et des dommages qui pourraient mener à des
maladies. De multiples études ont montré qu’une carence en sulfate
d’héparane entraîne l’autisme. En résumé, l’article souligne l’idée que
l’autisme et la maladie d’Alzheimer, dont les taux continuent
d’augmenter, sont causés par une grave carence en sulfate au cerveau, et
que la glande pinéale, que René Descartes appelle “le siège de l’âme”
peut synthétiser le sulfate stimulé par la lumière solaire et
l’administrer par la mélatonine sulfate. L’aluminium, le mercure et le
glyphosate, ensemble, peuvent faire dérailler ce processus. Ils
travaillent en synergie.

En conclusion, les chercheurs déclarent :

“Dans cet article, nous avons développé
l’argument que le glyphosate, l’ingrédient actif de l’herbicide Roundup
et l’aluminium, un métal toxique omniprésent dans notre environnement,
agissent en synergie pour induire un dysfonctionnement de la glande
pinéale qui mène au trouble du sommeil caractéristique de plusieurs
maladies neurologiques, dont l’autisme, le THADA, la dépression, la
maladie d’Alzheimer, la SLA, le trouble anxieux et la maladie de
Parkinson. Nous soutenons en outre que l’altération de l’apport de
mélatonine et de sulfate au cerveau en raison de lésions pinéales peut
expliquer comment le sommeil perturbé peut entraîner des lésions
neurologiques plus générales, et nous proposons que cela constitue un
élément important du processus de la maladie. L’augmentation constante
de l’utilisation du glyphosate sur les cultures de maïs et de soja
s’harmonise remarquablement bien avec l’augmentation des troubles du
sommeil et de l’autisme, ainsi que d’autres maladies neurologiques. Nous
avons montré comment la perturbation des enzymes CYP et la promotion de
l’anémie et de l’hypoxie, dues à la fois à l’aluminium et au
glyphosate, et la perturbation des bactéries intestinales par le
glyphosate, peuvent provoquer une pathologie entraînant des carences en
mélatonine et en sulfate du liquide céphalorachidien, qui est
caractéristique de l’autisme et de la maladie d’Alzheimer.
L’insuffisance de sulfate entraîne une altération du recyclage lysosomal
des débris cellulaires, et l’insuffisance de mélatonine entraîne des
troubles du sommeil, des maladies vasculaires et une diminution de la
protection contre les lésions ROS dans le cerveau.”

Voici une ventilation facile à comprendre du document, gracieuseté du Dr Jess.

Alors, que pouvons-nous faire ?

Comme il le dit, il espère que ce n’est
qu’une coïncidence que tous ces facteurs combinés soient si destructeurs
pour nos glandes pinéales, mais y a-t-il vraiment des coïncidences ?
Heureusement, nous pouvons éviter certains de ces contaminants.

Prenons le fluorure par exemple,
certains d’entre nous, surtout si nous vivons en Europe, à l’exclusion
du Royaume-Uni, ou dans de nombreuses régions du Canada, n’ont pas à se
soucier du fluorure dans notre eau, mais malheureusement la plupart des
Américains et les Français n’ont pas ce luxe. Il existe différents
filtres à eau qui éliminent le fluorure, et l’achat d’eau filtrée comme
l’eau distillée ou l’osmose inverse est également une option.

En ce qui concerne le glyphosate, un
pesticide utilisé en abondance dans l’agriculture moderne, une solution
très simple consiste à passer aux produits biologiques et à limiter ou à
éviter considérablement les aliments transformés, notamment les
organismes génétiquement modifiés (OGM). Je comprends que les produits
biologiques peuvent être chers, auquel cas faites de votre mieux !
Songez à utiliser les listes Clean 15 et Dirty Dozen pour savoir quels
aliments devraient toujours être achetés biologiques et lesquels ne sont
pas si importants.

WiFi – Celui-ci est un peu plus délicat,
car il est un peu partout ! La plupart d’entre nous l’avons dans nos
maisons, et on peut la trouver un peu partout dans les villes. Bien sûr,
vous pouvez toujours revenir à une bonne vieille connexion Internet
filaire, mais à moins de vivre au milieu de nulle part, vous ne pouvez
pas vraiment y échapper complètement. C’est pourquoi c’est une bonne
idée de passer du temps loin des écrans et de s’entraîner à la mise à la
terre (marcher sur la terre nue sans chaussures, étreindre les arbres,
nager dans des plans d’eau naturels) le plus souvent possible. Cela vous
aidera à mettre votre énergie à la terre et à émettre des ions négatifs
dans votre corps. Le simple fait d’être dans la nature, loin du WiFi,
pour une longue période de temps ou aussi souvent que vous le pouvez,
fera certainement du bien à votre corps, à votre esprit et à votre
esprit !

En ce qui concerne l’aluminium –
celui-ci est délicat… l’aluminium se trouve dans de nombreux aliments,
de nombreux médicaments d’ordonnance, des vaccins et des chemtrails.
Heureusement, nous pouvons détoxifier l’aluminium du corps en suivant
des protocoles sécuritaires et faire ce que nous pouvons pour limiter
notre exposition aux facteurs environnementaux.

Dernières réflexions

Comme l’a dit le médecin, ces quatre
facteurs combinés sont ceux qui causent le plus de dommages, donc si
nous pouvons faire ce que nous pouvons pour limiter de façon drastique
notre exposition à ces substances autant que possible, c’est un énorme
pas dans la bonne direction. Il est également important de savoir que
l’information fournie ici n’est pas conçue pour vous faire peur ou pour
vous faire peur, mais pour vous sensibiliser et vous donner les moyens
de prendre les meilleures décisions pour votre santé et votre sécurité
et celles de vos proches.

Le premier pas vers le changement est la
prise de conscience, et afin de créer tout type de changement, nous
devons d’abord être conscients.

Beaucoup d’amour

Source : Alanna Ketler https://galacticconnection.com/doctor-explains-the-pineal-gland-its-destruction-by-toxic-chemicals/?fbclid=IwAR1KZr8FJruQS_I9w4P0tjIbM7GB4__dhx_DcPtyzT72tMnoJPkQoC02mAk




Une conférence sur l’électrohypersensibilité truffée de sommités médicales

[Source : La maison du 21e siècle]

Auteur : André Fauteux

Lyn Patrick ND

Après de nombreuses années de pratique et d’enseignement de la médecine environnementale aux médecins allopathes, la docteure en naturopathie américaine Lyn Patrick ND est soudainement devenue un cas clinique lorsqu’elle a perdu sa tolérance aux champs électromagnétiques (CEM). Des picotements aux doigts, des acouphènes (bourdonnements dans les oreilles) et d’autres symptômes révélateurs l’ont soudainement sensibilisée à la question des CEM. C’est l’une des raisons pour lesquelles l’experte de la surcharge chimique, de l’intoxication par les moisissures et des maladies infectieuses est fière coprésidente — avec la Dre Lisa Nagy — de la conférence médicale Diagnosing and Treatment : Effects of Electromagnetic Fields Exposure (Diagnostic et traitement : effets de l’exposition aux champs électromagnétiques), qui aura lieu du 6 au 8 septembre 2019 à Santa Cruz, en Californie.

L’électrohypersensibilité s’améliore à 85 % avec un bon traitement axé d’abord sur la réduction de l’exposition aux ondes, a démontré le Dr WJ Rea dès les années 1990.

Cet événement truffé de sommités médicales est organisé en mémoire de son instigateur, le chirurgien cardiothoracique William (Bill) J. Rea, décédé en août dernier après une brillante carrière à l’Environmental Health Center – Dallas
(EHC-D), centre mondialement reconnu qu’il avait fondé en 1974. Tout a
commencé après que son fils et plus tard le Dr Rea lui-même ont été
empoisonnés par une surexposition à des pesticides. Ils furent traités
par le Dr Theron Randolph,
le célèbre allergologue qui a fondé l’Académie américaine de médecine
environnementale en 1965 et qui allait devenir son mentor. En 1991, le Journal of Bioelectricity publiait une étude historique de provocation (Electromagnetic Field Sensitivity ou Sensibilité
aux champs électromagnétiques) dirigée par le Dr Rea. Celle-ci
confirmait pour la première fois que l’électrohypersensibilité (EHS)
était un véritable problème de santé déclenché par les CEM.

5G : des conséquences dévastatrices

« En avril 2018, Bill Rea a prononcé un discours lors du symposium sur la santé environnementale que je dirige, a raconté la Dre Patrick dans une interview disponible sur notre chaîne YouTube. Il est venu vers moi et m’a dit : « J’ai vraiment besoin de ton aide pour organiser une conférence sur les CEM, car il y aura un déploiement de fréquences 5G [la technologie cellulaire de cinquième génération] et cela aura des conséquences dévastatrices sur la santé publique ». Bien sûr, j’ai été honorée et j’ai dit oui. Nous devons informer les prestataires de soins de santé à ce sujet. » [Lire Un futur sans fil 5G, signé par le médecin californien Cindy Russell.]

Cette
conférence réunira des sommités en matière de CEM et de santé, qui
enseigneront aux médecins l’art stratégique de détecter et de traiter
les effets des rayonnements électromagnétiques de basses et hautes
fréquences. Les CEM agissent en synergie avec les polluants biologiques
et chimiques, un facteur critique de maladie négligé par la plupart des
médecins et autres professionnels de la santé, selon la Dre Patrick.
« Je suis à jamais frustrée par les médecins qui donnent des produits
miracles de désintoxication à leurs patients, sans même comprendre
quelles sont les expositions que les gens doivent éviter; alors, ils
continuent simplement de s’exposer. C’est bon pour les médecins, non?
Ils gagnent beaucoup d’argent en traitant des personnes pendant de
longues périodes, sans faire de la médecine environnementale de manière
éthique. »

La Dre Stephanie McCarter, qui a travaillé pendant 15 ans avec le Dr Rea au sein de l’EHC-D, y poursuit son héritage avec son nouveau propriétaire, la Dre Elizabeth Seymour, spécialiste de la médecine familiale et fonctionnelle. Toutes deux compteront parmi les orateurs de classe mondiale présents à Santa Cruz. Elles parleront notamment de l’importance de faire l’historique de l’exposition environnementale de leurs patients et des outils de diagnostic et de traitement de pointe qu’elles utilisent. Un bon exemple est le test de provocation-neutralisation qui permet de détecter et de neutraliser les déclencheurs de multiples hypersensibilités alimentaires, microbiennes et chimiques, ainsi qu’aux pollens, moisissures, métaux et implants. Des conditions communes à la grande majorité de leurs patients.

La santé est environnementale à 75 %

La plupart des patients qui arrivent à EHC-D sont dans le même état critique que la Dre
McCarter a vécu en 2000, lorsqu’elle a consulté le Dr Rea après que 10
autres médecins n’eurent pas réussi à l’aider. Il découvrit rapidement
qu’elle avait été empoisonnée par des moisissures et des pesticides dans
ce qu’elle pensait être une maison de rêve, dans l’Indiana, sans parler
d’une mauvaise réaction aux anesthésiques utilisés lors d’un
accouchement par césarienne. « Je n’ai jamais appris cela à l’école de
médecine. Nous traitions seulement les symptômes avec des médicaments…
La première fois que je suis entrée dans sa clinique, mes symptômes
persistants ont commencé à disparaitre. Cela m’a aidé à comprendre une
des choses les plus importantes que Dr Rea enseignait, soit que 75 % du
traitement médical devrait être axé sur le contrôle de
l’environnement. »

Selon la Dre McCarter (visionnez notre entrevue sur YouTube), EHC-D est probablement la seule clinique au monde qui présente des niveaux de composés organiques volatils cinq fois plus faibles que la norme et une salle de provocation protégée des CEM où les patients peuvent être soumis à un test EHS et se remettre d’une surexposition aux radiations. La plupart des patients qu’elle voit sont tellement accablés par des années de lésions environnementales qu’il faut plusieurs jours pour que leurs symptômes immunitaires, neurologiques et autres se calment dans cet environnement vierge. Beaucoup ne peuvent même pas prendre de vitamines ni de suppléments, car ils y réagissent.

Lyn
Patrick explique : « Ils ont perdu leur capacité à différencier le
non-soi — ce qui ne fait pas partie du corps humain — qui est sans
danger de celui qui est dangereux. Comme Bill Rea le disait, cette perte
de tolérance représente une étape cruciale dans le développement des
maladies environnementales. Donc, ces personnes ont depuis longtemps
perdu leur tolérance. La guérison s’avère un processus très spécifique
consistant à les aider à commencer à se détoxifier dans un environnement
sûr et à tolérer lentement les intrants de nutrition et de botanique
ainsi que certains médicaments. »

La Dre Lisa Nagy,
coprésidente de l’EMF Conference, est une spécialiste en médecine
d’urgence qui pratique à Boston, dont le Dr Rea a également sauvé la
peau. « Elle se passionne pour la reconnaissance de
l’électrohypersensibilité et collabore avec des organismes fédéraux tels
que le ministère des Anciens Combattants et l’Institut national des
sciences de la santé environnementale (NIEHS), un sous-groupe des
Instituts nationaux de la santé. En fait, elle a aidé à mettre en place
une conférence avec le NIEHS que l’on peut visionner sur le Web. Elle est l’un de nos grands leaders. »

À
l’instar de la Dre McCarter et de nombreux autres patients atteints de
MCS et d’EHS, la Dre Nagy est devenue électrohypersensible après avoir
été affectée par la moisissure et le galvanisme oral (les plombages au
mercure et autres métalliques en bouche agissent comme des antennes et
peuvent libérer des poisons dans le corps). « D’après les recherches qui
seront présentées par nos collègues européens, nous savons que les
personnes exposées aux mycotoxines résultant de dégâts d’eau et de la
moisissure sont beaucoup plus à risque d’être sensibles à l’exposition
aux CEM », explique la Dre Patrick.

Un programme d’avant-garde

Les autres orateurs célèbres de l’EMF Conference seront :

  • La toxicologue canadienne Magda Havas PhD, dont les recherches novatrices portent notamment sur l’électrothérapie, l’électricité sale, les courants terrestres et d’autres types de champs électromagnétiques qu’elle a notamment associés à des risques accrus de maladies neurologiques et cardiaques ainsi qu’au diabète.
  • Erica Mallery-Blythe MD, urgentologue britannique et fondatrice de l’organisme Physicians’ Health Initiative for Radiation and Environment (Initiative de santé des médecins pour le rayonnement et l’environnement).
  • Le neuroscientifique suédois Olle Johansson PhD, auteur de plus de 600 communications scientifiques, qui a inventé le terme « dermatite de dépistage », une condition développée par des personnes qui avaient passé de longues heures devant des terminaux d’affichage vidéo ou qui avaient été exposées à des radars ou autres radiofréquences. Ses recherches ont permis à la Suède de reconnaître la déficience fonctionnelle EHS. De plus, en 2000, les pays nordiques ont classé ‘l’intolérance électromagnétique’ parmi les“conditions dont l’étiologie est attribuée à des facteurs environnementaux – mécanismes pas encore compris ». Contrairement à ce que l’Organisation mondiale de la santé a écrit en 2005, le Conseil nordique des ministres a déclaré que ses symptômes  « disparaissent dans des environnements non électriques ».
  • L’épidémiologiste américaine Devra Davis PhD, présidente de l’Environmental Health Trust et auteure à succès (The Secret History of the War on Cancer, When Smoke Ran Like Water et Disconnect: The Truth about Cell Phone Radiation). Conseillère auprès du président Clinton en matière de risques chimiques, elle fut directrice fondatrice du Conseil sur les études environnementales et la toxicologie, au Conseil national de recherche américain, ainsi que du Centre d’oncologie environmentale de l’Institut du cancer de l’Université de Pittsburgh.
  • Dr Dominique Belpomme MD, oncologue français, responsable de l’Association pour la recherche sur le traitement du cancer et de l’Institut européen de recherche sur le cancer et l’environnement. Depuis 2008, son équipe médicale a étudié plus de 700 patients européens atteints d’hypersensibilité électromagnétique et/ou chimique. Il a mis au point des méthodes de diagnostic de l’EHS (qu’il préfère désigner comme syndrome d’intolérance aux CEM) basées sur des tests sanguins et d’urine et une échographie Doppler pulsée du cerveau. Ses recherches ont montré que les personnes souffrant d’hypersensibilité chimique et électromagnétique avaient « des biomarqueurs très similaires dans le sang et dans l’urine, reflétant une très grave inflammation », a expliqué la Dre Lyn Patrick.
  • Dr Victoria Dunckley MD, pédopsychiatre intégrative américaine maintes fois primée. C’est une sommité de l’impact du temps passé devant un écran sur la santé et le développement du cerveau. Elle est une voix influente en ce qui concerne l’impact des écrans sur les troubles psychiatriques, la dépendance et la surmédication chez les enfants.
  • La professeure espagnole de médecine Pilar Muñoz-Calero, directrice médicale de l’hôpital ambulatoire Alborada et codirectrice de la Chaire de pathologie et de l’environnement de l’Université Complutense de Madrid. Spécialisée en pédiatrie, néonatologie, stomatologie et médecine de la toxicomanie, elle pratique également la médecine de l’environnement et est membre de l’International Lyme and Associated Diseases Society.
  • Dre Toril Jelter MD, pédiatre et médecin généraliste d’origine norvégienne. Dans le cadre de ses recherches sur les effets nocifs des rayonnements faites depuis plus de 30 ans, elle a mis au point le « Protocole No/Low EMR » visant à calmer le comportement des enfants atteints de TDAH ou d’autisme en réduisant leur exposition aux CEM. Ce protocole est disponible sur le site Web Electronic Silent Spring.
  • Dr Gunnar Heuser MD, toxicologue d’origine allemande, formé en médecine expérimentale et en chirurgie avec le pionnier du stress Hans Selye, à l’Université de Montréal, ainsi qu’en neurophysiologie et en médecine légale. Longtemps professeur de médecine à l’Université de la Californie à Los Angeles et membre de son Institut de recherche sur le cerveau, cet octogénère se spécialise désormais dans le traitement de patients sensibles aux champs électromagnétiques. Le Dr Heuser a publié de nombreux ouvrages sur les effets des produits chimiques toxiques et des CEM sur le cerveau et la fonction immunitaire.
  • Dre Sharon Goldberg MD est une spécialiste en médecine interne intégrative. Ancienne professeure de médecine à New York et à Miami, elle est spécialisée dans le traitement des maladies liées à l’environnement, y compris l’EHS, que les Soviétiques ont baptisé « syndrome des micro-ondes » dans les années 1960. Elle est membre du comité de rédaction de la revue scientifique Electromagnetic Biology and Medicine.
  • Dre Kalpana Patel MD est une légende américaine en médecine environnementale. Interniste et gastroentérologue, elle est fondatrice et directrice de l’Environmental Health Center-Buffalo et ancienne présidente de l’American Academy of Environmental Medicine. Elle a reçu le prix du médecin de l’année 2004 et de nombreux autres prix nationaux et internationaux, notamment pour ses travaux sur les effets dévastateurs sur la santé des habitants de Love Canal (New York), bâti sur une décharge de rebuts industriels toxiques et où 950 familles ont dû êtres évacuées en 1978.
  • Peter Sierck, hygiéniste industriel et baubiologue (biologiste du bâtiment) d’origine allemande, menant des enquêtes sur la qualité de l’air intérieur et l’environnement dans les bâtiments depuis 1986. Formé en Baubiologie en Allemagne, il a été l’un des premiers instructeurs américains en biologie du bâtiment, y compris les enquêtes de champ électromagnétique.

Enfin,
un panel d’intervenants sur les politiques publiques interviendra le
samedi 7 septembre. Il sera constitué de Cece Doucette, Theodora
Scarato, Elizabeth Kelley, la Dre Cindy Russell, la Dre Erica Mallery
Blythe et Peter Sullivan.

Je suis très impressionné par la qualité
de ces admirables conférenciers réunis par les organisateurs de la
conférence, dont la directrice Pam Chaloult, qui a produit et animé des
centaines de conférences sur le changement social.

Au plaisir de vous en parler dans notre numéro d’hiver 2020 ainsi que sur notre chaîne YouTube cet automne.

https://emfconference.com/




Un biologiste ciblé pour avoir exposé le pesticide changeur de genre – l’atrazine – qui empoisonne l’Amérique

[Source : Sott]

[Auteur de la version originale anglaise : Christina Sarich]

Tyrone Hayes

Le biologiste Tyrone Hayes est un professeur à l’Université de
Californie avec un message important. L’un des pesticides les plus
couramment utilisés en agriculture [NdT : interdit en France depuis
2003], l’atrazine, est responsable selon ses recherches, de la
féminisation des amphibiens. Plus important encore, le produit chimique
élimine efficacement les chromosomes mâles à un rythme alarmant, il
suffit de niveaux trois fois inférieurs à ceux qui se trouvent
actuellement dans notre eau potable. Ce n’est pas seulement le plomb et
le fluor qui doivent nous préoccuper, mais un perturbateur endocrinien
connu, créé par Syngenta, qui modifie complètement notre patrimoine
génétique.

Hayes combat Syngenta depuis des décennies pour signaler les effets
nocifs de l’atrazine. Ses articles scientifiques décrivent comment
l’atrazine perturbe les gonades masculines, produisant des lésions
testiculaires associées à une réduction du nombre de cellules germinales
chez les poissons, amphibiens, reptiles et mammifères téléostés, et
induit une féminisation partielle et/ou complète chez les poissons,
amphibiens et reptiles. Ces effets sont forts (càd statistiquement
significatifs), uniformes d’une classe de vertébrés à l’autre
et spécifiques. La réduction des niveaux d’androgènes et l’induction de
la synthèse d’œstrogènes – démontrée chez les poissons, les amphibiens,
les reptiles et les mammifères – représentent des mécanismes plausibles
et cohérents qui expliquent ces effets.

Les puissants de l’agro alimentaire s’en prennent à un lanceur d’alerte

D’autres scientifiques se sont depuis fait connaitre pour corroborer les affirmations de Hayes, mais ce n’est qu’après que Syngenta eût déposé un document de 102 pages visant à discréditer le scientifique.

L’atrazine est utilisée sur tout, des champs de maïs (75 pour cent
d’entre eux sont pulvérisés avec de l’atrazine aux États-Unis) aux
fermes d’arbres de Noël, et c’est un des produits chimiques les plus répandus en agriculture.
Syngenta a demandé à Hayes de faire des recherches sur le produit
chimique, mais après qu’il ait trouvé des résultats auxquels le
fabricant d’atrazine ne s’attendait pas, il a été ciblé d’une manière
qui, avec le temps, est malheureusement devenue familière aux lanceurs
d’alerte.

Le plomb, le fluor et maintenant l’atrazine

Alors que nous nous inquiétons du fluor et du plomb, à juste titre, dans
notre eau potable, un produit chimique encore plus sinistre s’infiltre
dans nos eaux souterraines et finit par s’infiltrer dans les réserves
d’eau municipales.

L’atrazine affecte négativement les hommes, en rétrécissant
littéralement leurs gonades, ou en les amenant à devenir des femmes,
mais elle affecte aussi les femmes, causant de faibles niveaux
d’œstrogènes et des règles irrégulières. Dans l’ensemble, ce produit
chimique agit exactement comme beaucoup d’autres poisons figurant à
l’ordre du jour de l’ONU le font – des chimiothérapies aux vaccins, des
BPA qui sont des xénoestrogènes connus aux produits pharmaceutiques, en
passant par les contraceptifs oraux qui passent sans encombres grâce du
réseau des eaux usées à nos eaux potable – ce qui rend la fertilité
telle une roulette russe génétique.

Faut-il croire qu’un produit chimique qui provoque une castration
chimique complète chez les grenouilles africaines mâles à griffes n’aura
pas finalement des effets similaires sur nous ? Plus de 3600
tonnes de cette substance sont utilisées chaque année, mais avec toutes
les tentatives de faux drapeaux et les crises de l’eau à Flint, au
Michigan, qui peut se tenir informé des nombreuses méthodes qu’ils
utilisent pour éliminer les masses ?

La population des États-Unis est censée chuter de 78,2 %, passant de
316+ millions à 69 millions de personnes SEULEMENT en 2025, selon un
site Web du gouvernement, et beaucoup ont fait des déclarations
admettant vouloir réduire la population de la terre.

Même le CDC (Centres pour le contrôle et la prévention des maladies) en décembre 2014, a offert la comparaison choquante dans les totaux de population de 2007 à 2013, où ils déclarent « Il y a eu 3,93 millions de naissances aux États-Unis en 2013, en baisse de moins de 1% par rapport à 2012 et 9% par rapport au sommet de 2007. Le taux général de fécondité aux États-Unis était à son plus bas niveau en 2013. »

Est-ce la vraie raison pour laquelle Tyrone Hayes est visé ?

Il dit que nous fabriquons des  » bébés toxiques  » en raison du poison
chimique le plus vendu par l’une des plus grandes compagnies chimiques
au monde. Il est interdit dans l’UE, mais encore largement utilisé aux
États-Unis, et même réenregistré par l’Environmental Protection Agency
l’année même où il a été interdit à l’étranger. 0,1 partie par milliard
d’exposition à l’atrazine change le sexe d’une grenouille. Combien de
parties par milliard cela prendra-t-il pour empêcher votre capacité de
reproduction ? Il est peut-être temps d’écouter M. Hayes.

Traduction Sott.net


[Vidéos en anglais :









]




« Les enfants non vaccinés ne présentent pas plus de risques pour la population que les enfants vaccinés », explique une immunologiste de Harvard aux législateurs étasuniens

[Source : Tribunal de l’infaux]

« Les enfants non vaccinés ne présentent pas plus de risques pour la population que les enfants vaccinés », explique une immunologiste de Harvard aux législateurs étasuniens

Voici une lettre ouverte de Tetyana Obukhanych (ci-dessus), docteure en immunologie, aux législateurs étasuniens concernant les fausses idées reçues sur la vaccination. La lettre a été écrite en 2015.

les-vaccins-illusion-tetyana-obukhanych

Tetyana Obukhanych brosse un portrait de la vaccination infantile complètement différent de celui qui est véhiculé par les médias et démontre que les doutes face à la vaccination sont tout à fait justifiés. À l’heure où l’on bannit les personnes non vaccinées des espaces publics aux États-Unis, il convient de lire attentivement cette lettre et de comprendre que l’inefficacité des vaccins semble être une partie du problème dans la resurgence des maladies virales comme la rougeole et la coqueluche.

Docteure Obukhanych est l’auteure du livre Les vaccins sont-ils une illusion?, dans lequel elle « remet en question les théories traditionnelles sur les vaccins » et explique entre autres « pourquoi les vaccins ne peuvent pas immuniser durablement contre les maladies infectieuses », que « l’immunité de groupe est un leurre » et « comment les vaccins peuvent ouvrir la voie à d’autres maladies ».

La version originale de cette traduction se trouve ici.


Lettre ouverte de la docteure Tetyana Obukhanych aux élus envisageant actuellement de légiférer sur la vaccination

Cher législateur,

Je m’appelle Tetyana Obukhanych et je
suis titulaire d’un doctorat en immunologie. J’écris cette lettre dans
l’espoir qu’elle corrigera plusieurs fausses idées reçues sur les
vaccins et afin de vous aider à avoir une compréhension juste et
équilibrée de la vaccination, s’appuyant sur une théorie acceptée et de
nouvelles découvertes scientifiques.

Les enfants non vaccinés représentent-ils une menace plus grande pour la population que les enfants vaccinés?

On entend souvent que ceux qui
choisissent de ne pas faire vacciner leurs enfants pour des raisons de
conscience mettent la population en danger. Ce raisonnement est derrière
la plupart des mesures législatives visant à mettre un terme aux
exemptions de vaccination actuellement envisagées par les législateurs
fédéraux et étatiques partout au pays.

Vous devez savoir que la nature de la
protection offerte par de nombreux vaccins modernes, incluant la plupart
des vaccins recommandés par le CDC [Centres for Disease Control] pour
les enfants, ne concorde pas avec ce raisonnement.

J’ai décrit ci-dessous les vaccins
recommandés qui ne peuvent pas prévenir la transmission des maladies,
soit parce qu’ils ne sont pas conçus pour prévenir la transmission des
infections (ils sont plutôt destinés à prévenir les symptômes de la
maladie), soit parce qu’ils sont destinés à des maladies non
transmissibles.

Les personnes qui n’ont pas reçu les
vaccins mentionnés ci-dessous ne représentent pas une menace plus grande
que les autres pour la collectivité, par conséquent la discrimination à
l’encontre d’enfants non vaccinés dans une école publique ne serait pas
justifiée.

1. Le VPI (vaccin inactivé contre la poliomyélite) ne peut pas empêcher la transmission du poliovirus. (Voir
l’annexe pour l’étude scientifique, point 1.) Le virus sauvage de la
poliomyélite est inexistant aux États-Unis depuis au moins deux
décennies. Même si ce virus était réimporté par des voyageurs, le vaccin
antipoliomyélitique n’a aucune incidence sur la sécurité des espaces
publics. Veuillez noter que l’éradication du virus sauvage de la
poliomyélite est attribuée à l’utilisation d’un autre vaccin, le VPO ou
vaccin oral contre le poliovirus. Bien qu’il puisse prévenir la
transmission du poliovirus sauvage, l’utilisation du VPO a été
abandonnée depuis longtemps aux États-Unis et remplacée par le VPI pour
des raisons de sécurité.

2. Le tétanos n’est pas une maladie contagieuse, mais plutôt une maladie contractée par la contamination d’une plaie profonde par des spores de C. tetani. Vacciner
contre le tétanos (avec le vaccin combiné DCaT) ne peut pas modifier la
sécurité des espaces publics. Ce vaccin est uniquement destiné à la
protection personnelle.

3. S’il est conçu pour prévenir les effets pathogènes de la toxine diphtérique, le vaccin à base d’anatoxine diphtérique (également inclus dans le vaccin DCaT) n’est pas conçu pour prévenir la transmission de C. diphtheriae ni la colonisation de l’hôte. La
vaccination contre la diphtérie ne peut altérer la sécurité des espaces
publics. Ce vaccin est lui aussi uniquement destiné à la protection
personnelle.

4. Le vaccin acellulaire contre la
coqueluche (le dernier élément du vaccin combiné DCaT), actuellement
utilisé aux États-Unis, a remplacé le vaccin anticoquelucheux à germes
entiers à la fin des années 1990. Il s’en est suivi une recrudescence
sans précédent de la coqueluche. Une expérience chez des primates
infectés délibérément par la coqueluche a par ailleurs révélé que le
vaccin acellulaire contre la coqueluche ne peut pas prévenir la
transmission de B. pertussis [l’agent de la coqueluche] ni la
colonisation de l’hôte. La FDA a publié un avertissement concernant
cette découverte cruciale [1].

En outre, la réunion en 2013 du Comité
des conseillers scientifiques du CDC a révélé d’autres données
alarmantes selon lesquelles les variants de la coqueluche
(souches n’exprimant pas la pertactine) actuellement en circulation aux
États-Unis ont acquis un avantage sélectif et infectent ceux qui sont à
jour de leurs rappels de DCaT
. Cela signifie que les personnes qui sont à jour sont plus susceptibles d’être infectées, et donc d’être contagieuses, que les personnes qui ne sont pas vaccinées.

5. Parmi les nombreux types d’H. Influenzae,
le vaccin Hib ne protège que contre le type b. Alors que l’introduction
du vaccin contre l’Hib avait uniquement pour but de réduire le portage
symptomatique et asymptomatique (sans symptômes de la maladie), cette mesure a involontairement eu pour effet de rendre d’autres souches d’H. influenzae dominantes (les types a à f).
En cette ère de vaccination des enfants contre l’Hib, ces autres types
ont provoqué une maladie invasive très grave et une incidence croissante
de celle-ci chez les adultes (voir le point 4 de l’annexe pour l’étude
scientifique). La population en général est plus vulnérable à cette
maladie invasive qu’avant le début de cette campagne de vaccination.
Discriminer les enfants qui ne sont pas vaccinés contre l’H. influenzae de type b n’a aucun sens d’un point de vue scientifique à une époque où ce sont d’autres souches de la maladie qui dominent.

6. L’hépatite B est un virus transmissible par le sang. Il
ne se propage pas dans un cadre communautaire, en particulier chez les
enfants qui ont peu de chances de se livrer à des comportements à haut
risque, tels que le partage de seringues ou les rapports sexuels. La
vaccination des enfants contre l’hépatite B ne peut avoir d’impact
significatif sur la sécurité des espaces publics. De plus, l’admission à
l’école n’est pas interdite pour les enfants porteurs de l’hépatite B
chronique. Interdire l’admission à l’école de ceux qui ne sont tout
simplement pas vaccinés – et ne sont même pas porteurs de l’hépatite B –
constituerait une discrimination déraisonnable et illogique.

En résumé, une personne qui n’a pas reçu les vaccins VPI, DCaT, Hib et HepB
pour des raisons de conscience ne présente pas plus de danger pour le
public qu’une personne qui a reçu ces vaccins. Aucune discrimination
n’est justifiée.

À quelle fréquence les événements indésirables graves liés aux vaccins se produisent-ils?

On dit souvent que la vaccination entraîne rarement des effets indésirables graves.

Malheureusement, cette affirmation n’est pas étayée par la science.

Une étude récente réalisée en Ontario, au Canada, a montré qu’en réalité la vaccination
conduisait à une visite à la salle d’urgence de 1 enfant sur 168 après
leur rendez-vous pour la vaccination à 12 mois, et de 1 enfant sur 730
après leur rendez-vous pour la vaccination à 18 mois
(voir le point 5 de l’annexe pour une étude scientifique).

Lorsque le risque d’effets indésirables
est manifestement si élevé après la vaccination d’un enfant en bonne
santé et nécessite une visite à l’urgence, la vaccination doit demeurer
un choix pour les parents. Ceux-ci peuvent bien entendu ne pas vouloir
assumer ce risque immédiat afin de protéger leurs enfants de maladies
généralement considérées comme bénignes ou auxquelles leurs enfants
pourraient ne jamais être exposés.

La discrimination à l’encontre
des familles opposées aux vaccins pour des raisons de conscience
peut-elle prévenir de futures épidémies de maladies virales, telles que
la rougeole?

Les scientifiques qui font de la
recherche sur la rougeole sont conscients depuis longtemps du « paradoxe
de la rougeole ». Je cite un article de Poland & Jacobson (1994),
« Impossibilité de parvenir à l’élimination de la rougeole : le
paradoxe apparent des infections rougeoleuses chez les personnes
immunisées
 ». Arch Intern Med 154: 1815-1820 :

« Le paradoxe apparent est que
lorsque les taux d’immunisation contre la rougeole atteignent des
niveaux élevés dans une population, la rougeole devient une maladie des
personnes immunisées
[2]. »

Des recherches ultérieures ont montré que
derrière le « paradoxe de la rougeole » se trouve une fraction de la
population ayant ce que l’on appelle une FAIBLE RÉPONSE VACCINALE. Les
personnes ayant une faible réponse au vaccin sont celles qui répondent
mal à la première dose du vaccin contre la rougeole. Ces personnes
développent alors une faible réponse immunitaire à la vaccination
suivante et retournent rapidement dans la réserve de « sujets
sensibles » dans un délai de 2 à 5 ans, bien qu’elles soient
complètement vaccinées [3].

La revaccination ne peut corriger cette
faible réactivité : il semble qu’une prédisposition immunogénétique soit
en cause [4]. Aux États-Unis, on a estimé que 4,7 % des enfants avaient
une faible réponse au vaccin [5].

Des études sur les épidémies de rougeole au Québec, au Canada et en Chine confirment que des épidémies de rougeole se produisent encore, même lorsque les taux de vaccination sont parmi les plus élevés (de
95 à 97 % ou même de 99 %, voir les points 6 et 7 de l’annexe pour les
études scientifiques). En effet, même chez les patients qui répondent
bien au vaccin, les anticorps induits par le vaccin diminuent avec le
temps. L’immunité vaccinale n’équivaut pas à une immunité permanente
acquise après une exposition naturelle.

Il a été prouvé que les personnes
vaccinées qui développent une rougeole à un stade avancé sont
contagieuses. En fait, deux épidémies majeures de rougeole en 2011 (au
Québec, au Canada, et à New York, dans l’État de New York) ont été
réimportées par des personnes précédemment vaccinées [6] [7].

L’ensemble de ces données montre
clairement que l’élimination des exemptions de vaccins, auxquelles
seulement un petit pourcentage de familles ont recours, ne résoudra pas
le problème de la résurgence de la maladie et n’empêchera pas non plus
la réimportation et les éclosions de maladies précédemment éliminées.

La discrimination à l’encontre
de ceux qui s’objectent à la vaccination pour des raisons de conscience
est-elle la seule solution pratique?

La majorité des cas de rougeole déclarés
lors des éclosions récentes aux États-Unis (y compris la récente
épidémie à Disneyland) touche des adultes et de très jeunes bébés, alors
qu’avant l’introduction de la vaccination, la rougeole touchait
principalement des personnes âgées de 1 à 15 ans.

L’exposition naturelle au virus de la
rougeole a résulté en une immunité permanente contre la réinfection,
alors que l’immunité vaccinale s’estompe avec le temps, laissant les
adultes non protégés par les vaccins de leur enfance. La rougeole est
plus dangereuse pour les nourrissons et les adultes que pour les enfants
d’âge scolaire.

Malgré les risques élevés d’exposition
avant l’introduction de la vaccination, la rougeole n’affectait
pratiquement jamais les bébés de moins d’un an en raison du mécanisme
robuste de transfert de l’immunité maternelle.

La vulnérabilité actuelle des très
jeunes bébés à la rougeole est le résultat direct de la longue campagne
de vaccination de masse du passé
. Au cours de celle-ci, leurs mères,
elles-mêmes vaccinées dans leur enfance, n’ont pas été en mesure de
contracter la rougeole naturellement et sans danger à un âge scolaire,
et de produire une immunité à vie, laquelle aurait été transférée à
leurs bébés et les aurait protégés de la rougeole durant leur première
année de vie.

Heureusement, une solution thérapeutique
existe pour imiter l’immunité maternelle aujourd’hui affaiblie. Les
nourrissons, ainsi que d’autres personnes vulnérables ou
immunodéprimées, peuvent recevoir de l’immunoglobuline, un
traitement qui peut sauver des vies en fournissant des anticorps contre
le virus et permettant de prévenir la maladie ou d’améliorer l’état de
santé suivant l’exposition à celle-ci
(voir l’annexe, point 8).

En résumé :

1) en raison des propriétés des vaccins
modernes, les individus non vaccinés ne présentent pas plus de risque
que les individus vaccinés dans la transmission de la poliomyélite, de
la diphtérie, de la coqueluche et de nombreuses souches d’H. influenzae
autres que le type b; les individus non vaccinés ne posent pratiquement
aucun danger de transmission de l’hépatite B en milieu scolaire et le
tétanos n’est pas du tout transmissible;

2) il existe un risque considérablement
élevé de visite à la salle d’urgence suivant les rendez-vous de
vaccination infantile, ce qui démontre que la vaccination n’est pas sans
risques;

3) les épidémies de rougeole ne peuvent pas être entièrement évitées même si le taux d’immunisation est presque optimal; et

4) l’immunoglobuline est une méthode
efficace de prévention de la rougeole et d’autres maladies virales chez
les personnes immunodéprimée et les nourrissons qui ne peuvent pas être
vaccinés. Ce traitement est disponible pour les personnes susceptibles
d’être exposées à ces maladies.

Ces quatre faits pris ensemble montrent
clairement que dans une école publique, la discrimination à l’encontre
des enfants qui ne sont pas vaccinés pour des raisons de conscience est
totalement injustifiée, car leur statut vaccinal ne présente aucun
risque excessif pour la collectivité.

Cordialement,

~ Docteure Tetyana Obukhanych

Tetyana Obukhanych a
obtenu son doctorat en immunologie à la Rockefeller University, à New
York, dans l’État de New York, avec son mémoire de recherche sur la
mémoire immunologique. Elle a ensuite été impliquée dans la recherche en
laboratoire en tant que chercheuse postdoctorale à la Harvard Medical
School et à la faculté de médecine de l’Université Stanford, avant de se
consacrer pleinement à la parentalité naturelle.

(Source originale: legislature.vermont.gov  – Témoignage devant le Comité sénatorial sur la Santé et le Bien-Être social mercredi, le 22 avril 2015 H.98 – documents publics.)

Note de l’éditeur de Health Impact News, source de la traduction : Cet article a été légèrement modifié pour refléter le texte de la lettre soumise à l’assemblée générale du Vermont, le 22 avril 2015. Ce témoignage fait partie des documents du Comité sénatorial sur la Santé et le Bien-Être social du Vermont. Il est accessible au public ici et ici.)

MISE À JOUR : Les liens ci-dessus sur le site Web du gouvernement du Vermont ne fonctionnent plus. Voici une copie.


Annexe

Point 1 : The Cuba IPV Study
collaborative group. Randomized controlled trial of inactivated
poliovirus vaccine in Cuba. N Engl J Med. 2007 356:1536-44.

http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/17429085

Le tableau ci-dessous, issu de l’étude
cubaine sur le VPI, montre que 91 % des enfants n’ayant pas reçu le
vaccin VPI (groupe témoin B) ont été colonisés par un poliovirus vivant
atténué lors d’une inoculation volontaire et expérimentale. Les enfants
vaccinés avec le VPI (groupes A et C) ont été colonisés de la même
manière à un taux de 94 % à 97 %. Un grand nombre de virus vivants ont
été retrouvés dans les selles des enfants de tous les groupes. Ces
résultats montrent clairement que l’on ne peut pas compter sur le VPI
pour lutter contre les poliovirus.

obukhanych-pic1

Point 2 : Warfel et al.
Acellular pertussis vaccines protect against disease but fail to prevent
infection and transmission in a nonhuman primate model. Proc Natl Acad
Sci USA. 2014 111:787-92.

http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/24277828

« Les babouins vaccinés avec l’aC [le
vaccin acellulaire contre la coqueluche] étaient protégés contre les
symptômes graves associés à la coqueluche mais pas contre la
colonisation, n’éliminaient pas l’infection plus rapidement que les
animaux naïfs [non vaccinés] et transmettaient facilement B. pertussis [l’agent
de la coqueluche] à des contacts non vaccinés. En comparaison, les
animaux précédemment infectés [naturellement immunisés] n’étaient pas
colonisés lors d’une infection secondaire. »

Point 3 : Meeting of the Board of
Scientific Counselors, Office of Infectious Diseases, Centers for
Disease Control and Prevention, Tom Harkins Global Communication Center,
Atlanta (Géorgie), 11-12 décembre 2013.

http://www.cdc.gov/maso/facm/pdfs/BSCOID/201312111112_BSCOID_Minutes.pdf

Résurgence de la coqueluche (p.6)

« Les résultats ont révélé que 85 % des
isolats [provenant de six Sites de surveillance renforcée de la
coqueluche et des épidémies à Washington au Vermont en 2012]
n’exprimaient pas la PRN [pertactine, protéine de B. pertussis]
et que les patients vaccinés étaient beaucoup plus susceptibles d’être
infectés par des souches n’exprimant pas la PRN que les patients non
vaccinés. En outre, lorsque l’on compare les patients non vaccinés aux
patients vaccinés avec le DCaT et ayant reçu toutes les doses requises,
les risques d’infection par des souches n’exprimant pas la PRN
augmentent chez ces derniers, ce qui suggère que la bactérie exprimant
la PRN peut acquérir un avantage sélectif en infectant les personnes
vaccinées avec le DCaT. »

Point 4 : Rubach et al. Increasing incidence of invasive Haemophilus influenzae disease in adults, Utah, USA. Emerg Infect Dis. 2011 17:1645-50.

http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/21888789

Le graphique ci-dessous de Rubach et al. montre le nombre de cas d’infection invasive à H. influenzae (tous types confondus) dans l’Utah au cours d’une décennie de vaccination infantile contre l’Hib.

obukhanych-pic2

Point 5 : Wilson et al. Adverse
events following 12 and 18 month vaccinations: a population-based,
self-controlled case series analysis. PLoS One. 2011 6:e27897.

http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/22174753

« Quatre à 12 jours après la vaccination à
12 mois, on notait une augmentation de l’incidence relative d’un
critère composite de 1,33 (1,29-1,38) par rapport à la période de
contrôle, ou d’au moins un événement au cours de l’intervalle du  
risque pour 168 enfants vaccinés. Dix à 12 jours après la vaccination à
18 mois, l’incidence relative était de 1,25 (95 %, 1,17-1,33), ce qui
représentait au moins un événement excédentaire pour 730 enfants
vaccinés. La hausse du nombre d’événements était due principalement à
une augmentation statistiquement significative des visites à la salle
d’urgence après toutes les vaccinations. »

Point 6 : De Serres et al.
Largest measles epidemic in North America in a decade–Quebec, Canada,
2011: contribution of susceptibility, serendipity, and superspreading
events. J Infect Dis. 2013 207:990-98.

http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/23264672

« La plus importante épidémie de rougeole
en Amérique du Nord au cours de la dernière décennie s’est produite en
2011 au Québec, au Canada. »

« Un événement de « superpropagation » déclenché par 1 importation a entraîné une transmission soutenue et 678 cas. »

« Le patient de référence était un adulte
âgé entre 30 et 39 ans, revenant des Caraïbes. Il avait reçu le vaccin
contre la rougeole dans son enfance. »

« Les enquêtes provinciales [québécoises]
sur la couverture vaccinale menées en 2006, 2008 et 2010 ont
systématiquement démontré que, dès l’âge de 24 mois, environ 96 % des
enfants avaient reçu 1 dose du vaccin contre la rougeole et environ 85 %
d’entre eux avaient reçu 2 doses, ces pourcentages passant
respectivement à 97 % et 90 % à 28 mois. En ajoutant les premières et
deuxièmes doses supplémentaires administrées entre 28 et 59 mois, la
couverture vaccinale de la population contre la rougeole était encore
plus élevée au moment de l’entrée à l’école. »

« Chez les adolescents, 22 % [des jeunes
infectés par la rougeole] avaient reçu 2 doses de vaccin. L’enquête sur
l’éclosion a montré que cette proportion avait été sous-estimée, puisque
la recherche active de cas a permis d’identifier 130 fois plus de cas
parmi ceux qui avaient reçu 2 doses. »

Point 7 : Wang et al.
Difficulties in eliminating measles and controlling rubella and mumps: a
cross-sectional study of a first measles and rubella vaccination and a
second measles, mumps, and rubella vaccination. PLoS One. 2014 9:e89361.

http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/24586717

« La couverture vaccinale contre la
rougeole, les oreillons et la rubéole (RRO) est supérieure à 99,0 % dans
la province de Zhejiang. Toutefois, l’incidence de la rougeole, des
oreillons et de la rubéole demeure élevée. »

Point 8 : Immunoglobulin Handbook, Health Protection Agency.

http://webarchive.nationalarchives.gov.uk/20140714084352/http://www.hpa.org.uk/webc/HPAwebFile/HPAweb_C/1242198450982

IMMUNOGLOBULINE HUMAINE NORMALE :

Indications :

  1. Prévenir ou réduire l’infection chez des contacts immunodéprimés
  2. Prévenir ou réduire l’infection chez la femme enceinte
  3. Prévenir ou réduire l’infection chez les nourrissons de moins de 9 mois

Traduction : Tribunal de l’infaux

Notes de bas de page

1. http://www.fda.gov/NewsEvents/Newsroom/PressAnnouncements/ucm376937.htm

(Modifié pour ajouter : la FDA a apparemment retiré le lien ci-dessus, mais le contenu est archivé ici :

https://web.archive.org/web/20131130004447/https://www.fda.gov/NewsEvents/Newsroom/PressAnnouncements /ucm376937.htm )

2. http://archinte.jamanetwork.com/article.aspx?articleid=619215

3. Poland. Am J Hum Genet. 1998 62:215-220.

http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/9463343

« […] les « faibles répondeurs » qui ont
été réimmunisés et ont développé une faible réponse des anticorps ou un
faible taux d’anticorps, pour ensuite perdre ces anticorps détectables
et développer la rougeole 2 à 5 ans plus tard. »

4. ibid.

« Nos études en cours suggèrent que la
séronégativité après la vaccination [contre la rougeole] se retrouve
chez les membres de la famille rapprochée et que les polymorphismes
génétiques dans les [gènes] HLA influencent de manière significative les
taux d’anticorps […] »

5. LeBaron et al. Arch Pediatr Adolesc Med. 2007 161: 294-301.

http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/17339511

« Les titres ont chuté de manière
significative avec le temps [après la deuxième dose de RRO] pour
l’ensemble de la population étudiée et, lors de la collecte finale,
4,7 % des enfants étaient potentiellement vulnérables. »

6. De Serres et al. J Infect Dis. 2013 207:990-998.

http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/23264672

« Le patient de référence a reçu le vaccin contre la rougeole dans son enfance. »

7.  Rosen et al. Clin Infect Dis. 2014 58:1205-1210.

http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/24585562

« Le patient de référence avait reçu 2 doses de vaccin contenant le virus de la rougeole. »




10 produits cancérigènes à éliminer de votre maison et dangers du Wi-Fi

[Source anglaise : https://www.healthyandnaturalworld.com/cancer-causing-products-to-remove-from-your-home/]

Par Jenny Hills, nutritionniste et écrivain médical

En
tant que parent et conjoint, vous essayez de faire en sorte que votre
famille soit en bonne santé et heureuse et vous faites tout ce qui
est en votre pouvoir pour assurer sa sécurité. Vous ne pensez pas
que les produits que vous utilisez pour les protéger peuvent les
mettre en danger.

Lorsque
vous pensez à la santé et au bien-être, une nutrition adéquate et
des suppléments figurent souvent en tête de liste des moyens de
protéger votre famille. Vous n’envisagez pas, par exemple,
d’analyser les produits que vous utilisez pour le nettoyage.

La
vérité est qu’il existe dans notre maison un certain nombre de
substances cancérogènes connues qui se cachent sous la douche, dans
les toilettes, dans l’armoire de la cuisine et dans le reste de la
maison et qui sont susceptibles d’augmenter considérablement le
risque de cancer.

Voici
une liste des dangers potentiels, des désodorisants et des bougies
parfumées aux rideaux de douche, auxquels vous pouvez vous attendre
pour rendre votre maison plus sûre. À la fin de l’article, je
discuterai également des signes avant-coureurs que les rayonnements
Wi-Fi / cellulaires affectent votre santé et de la façon de réduire
les dangers du Wi-Fi.

1. Désodorisants

Selon un rapport publié par le Natural Resources Defense Council, de nombreux désodorisants que nous utilisons régulièrement chez nous contiennent des composés à potentiel cancérigène. La grande majorité des assainisseurs d’air, même certains marqués «tout naturel» ou «non parfumé», contiennent des composés appelés phtalates.

Différents
types de phtalates ont des conséquences différentes sur la santé,
bien que la majorité d’eux affecte la santé de la reproduction.
Beaucoup d’entre eux peuvent exacerber des problèmes respiratoires
tels que l’asthme.

Lorsque
les gens utilisent des assainisseurs d’air, les phtalates sont
libérés dans l’air où ils peuvent être inhalés ou peuvent se
poser sur la peau et être absorbés. Une fois que ces produits
chimiques pénètrent dans le sang, ils peuvent modifier les niveaux
d’hormones et causer d’autres problèmes de santé.

Un article paru dans le Journal of Environmental Health Perspectives mentionnait que l’exposition aux phtalates pouvait être liée à un risque accru de cancer du sein.

Un autre rapport médical suggère que les phtalates favorisent la prolifération des cellules cancéreuses de la prostate.

Les
assainisseurs d’air faits maison sont l’un des produits les plus
simples à fabriquer. L’eau distillée et quelques gouttes de vos
huiles essentielles préférées dans une bouteille de spritz, c’est
tout ce dont vous avez besoin pour que votre maison garde une bonne
odeur. Bien agiter avant chaque utilisation et vaporiser le
brouillard autour de votre maison lorsque vous souhaitez rafraîchir
l’air. Ou vous pouvez l’utiliser dans un diffuseur d’aromathérapie.

Si vous souhaitez en savoir plus sur les huiles essentielles, vous pouvez trouver des informations utiles dans mon e-book Magical Aromatherapy . Ce livre électronique vous aidera à découvrir le pouvoir des huiles essentielles et les moyens les plus efficaces de les utiliser.

Vous pouvez également utiliser ces 10 installations de filtrage d’air .

2. bougies

Selon
plusieurs études, les particules de bougies allumées sont
extrêmement dangereuses pour la santé.

Les particules de bougies allumées ont un effet plus puissant que les particules d’échappement de diesel

Une expérience scientifique sur des souris a révélé que des particules provenant de bougies allumées provoquaient des réactions inflammatoires dans les poumons et des cellules endommagées. Les chercheurs ont également constaté que les particules provenant de bougies allumées avaient un effet plus puissant que les particules d’échappement de diesel .

Le Dr Amid Hamidi de l’Université de Caroline du Sud, qui a dirigé l’étude, a déclaré qu’une exposition occasionnelle à une bougie à la paraffine et à ses émissions ne vous affectera probablement pas. Cependant, en éclairer un grand nombre tous les jours pendant des années, ou fréquemment dans une salle de bain non ventilée, par exemple, peut poser problème.

L’exposition aux particules de bougies allumées peut raccourcir la vie

Une autre étude scientifique sur des souris a révélé que l’exposition aux particules provenant de bougies allumées augmentait considérablement la progression des artères obstruées (athérosclérose). Les artères obstruées augmentent considérablement le risque de crise cardiaque, d’accident vasculaire cérébral et même de décès.

La même expérience a également révélé que l’exposition aux particules provenant de bougies allumées induisait le raccourcissement des télomères dans les poumons et la rate. Des études récentes indiquent que la longueur des télomères, qui peut être affectée par divers facteurs liés au mode de vie, peut influer sur le rythme du vieillissement et l’apparition de maladies associées à l’âge.

Les bougies peuvent contenir du plomb

Bien
que le Conseil américain des consommateurs ait interdit la vente de
bougies contenant des mèches en plomb, il est toujours judicieux de
vérifier vos bougies pour vous assurer qu’elles ne contiennent pas
cette substance potentiellement dangereuse. De nombreux produits
parfumés contiennent également des dizaines de toxines et de
substances cancérigènes nocives. Vérifiez donc les produits
chimiques utilisés pour créer les odeurs de vos produits.

Un
moyen simple de vérifier vos bougies consiste à utiliser un morceau
de papier. En tenant la mèche, essayez de tracer une ligne sur le
papier. S’il n’y a pas de ligne, la mèche ne contient probablement
pas de plomb. Vous pouvez également allumer la bougie et tenir le
papier bien au-dessus de la flamme. Si un résidu de suie grise se
forme, vos bougies peuvent contenir du plomb.

La US Environmental Protection Agency a constaté que les bougies parfumées dégagent plus de suie que les bougies non parfumées.

Toujours
brûler vos bougies dans un endroit bien ventilé.

Essayez
de choisir des bougies à base de cire d’abeille non toxique ( comme
celle-ci

). Une autre option pour apporter un parfum apaisant dans votre
maison consiste à utiliser cet
ensemble diffuseur d’aromathérapie et huiles essentielles

.

3. Rideaux de douche et autres plastiques

Le
prochain danger vient des toxines plastiques qui semblent être
partout dans la maison. Vous pouvez reconnaître le polychlorure de
vinyle par son abréviation: PVC. Le PVC est le troisième type de
plastique le plus produit au monde. Bien que le PVC puisse être sans
danger pour certaines applications, comme les canalisations d’égout
par exemple, mais lorsqu’il est utilisé dans des environnements
pouvant libérer des composés toxiques cancérigènes du PVC, ce
polymère plastique pourrait devenir une bombe à retardement.

Les rideaux de douche contiennent du PVC et d’autres composés toxiques qui peuvent être libérés sous la douche. Ces toxines peuvent affecter le système reproducteur, le système respiratoire et peuvent également être cancérigènes. Certains des produits en plastique utilisés dans la fabrication de jouets, de contenants et d’autres matières plastiques pour enfants peuvent également constituer un risque pour la santé (lisez mon article précédent sur 7 bonnes raisons de laisser tomber les contenants en plastique ).

Des
alternatives plus saines pour les rideaux de douche comprennent les
rideaux en coton naturel (comme celui-ci
) ou les rideaux en EVA (l’EVA est une alternative non toxique au
PVC) comme celui-ci
. Vérifiez les jouets de vos enfants et vos emballages en plastique
pour vous assurer qu’ils ne contiennent pas de PVC.

4. Nettoyants à tapis et shampooings textiles

De nombreux shampooings pour tapis et nettoyants pour tissus conçus pour offrir un pouvoir anti-taches supérieur utilisent un produit appelé perchloréthylène. Le perchloréthylène, également appelé tétrachloréthylène, a été associé à une augmentation des risques de cancer du poumon .

Les
produits de nettoyage pour tapis et les shampooings pour tissus
contiennent parfois un composé appelé naphtalène. Le naphtalène
est l’ingrédient principal des boules antimites et l’exposition
au naphtalène est liée à un risque accru de cancer de la gorge et
du poumon.

Le
bicarbonate de soude est un excellent désodorisant et le vinaigre
blanc est efficace pour enlever la saleté et les taches. Si vous
souhaitez vous débarrasser de votre shampooing pour tapis,
saupoudrez vos tapis de bicarbonate de soude, ajoutez du vinaigre à
votre eau pour shampooing, puis attendez que vos tapis soient secs.
Saupoudrez de nouveau du bicarbonate de soude si nécessaire, puis
aspirez la poudre restante.

Le nettoyage à la vapeur est une autre option saine pour garder vos tapis propres sans les produits chimiques contenus dans le shampooing pour tapis. Vous pouvez trouver plus d’utilisations du vinaigre blanc dans mon article sur les 10 utilisations surprenantes du vinaigre dans les ménages .

5. Produits de nettoyage à sec

Selon
l’American Cancer Society, un autre agent cancérigène dissimulé
dans vos armoires pourrait être le tétrachloréthylène ou le
perchloréthylène qui a été utilisé pour vos articles nettoyés à
sec. Ces produits chimiques sont souvent inclus en tant que solvants
dans des produits tels que les produits de nettoyage à sec.

Le
port de vêtements nettoyés à sec peut vous exposer
involontairement à ces substances nocives. Assurez-vous que votre
nettoyeur local n’utilise pas de perchloréthylène pour nettoyer vos
chiffons.

6. Insecticides et pesticides

Le terme famille s’applique généralement à nos amis à fourrure. On pourrait penser que les produits promus comme acceptant les animaux de compagnie seraient effectivement favorables aux animaux de compagnie et aux humains. Cependant, à l’instar de vos produits de nettoyage, de nombreux produits chimiques potentiellement cancérogènes sont également présents dans de nombreux produits de lutte contre les tiques, les puces et les poux.

Certains
produits contre les tiques et les puces contiennent des insecticides
organophosphatés, de la perméthrine et des carbamates. Ces produits
sont répertoriés comme susceptibles d’être cancérogènes pour
l’homme.

Vous pouvez utiliser des méthodes naturelles et obtenir plus d’informations dans mon article sur la façon de se débarrasser naturellement des puces de votre maison, de votre jardin et de vos animaux de compagnie . Vous pouvez également lire mes articles sur la façon de se débarrasser naturellement des araignées , des fourmis , des moustiques et des mouches .

7. Produits antibactériens

Nous
sommes souvent trompés en pensant que certains produits sont
automatiquement sûrs. Cela est particulièrement vrai des produits
tels que les produits antibactériens qui sont supposés être conçus
pour rendre nos environnements plus sûrs.

Les
préoccupations récentes concernant un ingrédient utilisé dans de
nombreux produits antibactériens ont conduit à une interdiction
d’utilisation de ce produit dans des régions telles que l’UE. Le
triclosan est un ingrédient antibactérien et antifongique présent
dans de nombreux produits cosmétiques, savons, détergents et même
dans les dentifrices (comme Colgate Total).

Les
preuves suggèrent que le triclosan peut être cancérogène. Bien
que les tests initiaux n’aient été effectués que sur des souris,
les inquiétudes étaient suffisantes pour interdire le produit dans
l’UE.

Des produits tels que l’argent ont été utilisés pour leurs propriétés antibactériennes et antimicrobiennes (par exemple, les biotechnologies avancées incorporent de l’argent ionisable dans les tissus à usage clinique afin de réduire le risque d’infections), et l’utilisation de l’argent ne semble pas poser de danger majeur pour l’homme. Cependant, à la maison, vous pouvez fabriquer votre propre savon antiseptique naturel ou votre propre nettoyant ménager naturel assainissant .

8. Déodorants

Certains
affirment que les déodorants pourraient vous être nocifs et même
causer le cancer.

Le Dr Philip Harvey, rédacteur en chef du Journal of Applied Toxicology, a examiné les interactions entre les cosmétiques et votre corps. Il dit qu’essuyer les produits chimiques trouvés dans les déodorants sous vos bras et sur les côtés de votre poitrine ou de vos seins «pourrait constituer une voie d’exposition presque directe au tissu sous-jacent contenant des récepteurs d’oestrogènes».

Cela est préoccupant, car les parabènes et l’aluminium, présents dans les déodorants, sont des produits chimiques «œstrogéniques», ce qui signifie qu’ils interagissent avec les hormones ou les cellules de votre corps de manière similaire à l’œstrogène. Selon le National Cancer Institute, un excès d’œstrogènes joue un rôle dans la croissance des cellules cancéreuses, ce qui est très préoccupant en raison de notre exposition quotidienne aux déodorants. Harvey dit que ses calculs suggèrent que ces produits chimiques cosmétiques peuvent «considérablement alourdir les charges œstrogéniques».

Il existe des points de vue opposés sur le lien entre l’utilisation de déodorants et le cancer. Une étude médicale n’a pas trouvé de corrélation entre l’utilisation d’anti-transpirants et le cancer du sein. La FDA a déclaré: «À l’heure actuelle, nous ne disposons pas d’informations indiquant que les parabens, tels qu’ils sont utilisés dans les cosmétiques, ont un effet sur la santé humaine. »

Mais le Dr Philip Harvey a déclaré que « l’absence de preuve n’est pas une preuve d’absence ».

Pourquoi prendre le risque? Au lieu d’utiliser des déodorants du commerce, vous pouvez facilement fabriquer un déodorant à l’huile de noix de coco ou un déodorant à la lavande naturelle .

9. Dentifrices contenant du triclosan

L’utilisation
d’un produit chimique appelé triclosan dans un dentifrice très
vendu, Colgate Total, a provoqué de nombreux débats par le passé.
Le dentifrice en question, fabriqué par Colgate-Palmolive Co., a été
approuvé par la Federal Drug Administration (FDA) en 1997.

À
la suite d’un procès en vertu de la loi sur la liberté
d’information (FOIA), l’agence a publié toutes les données de
sécurité qu’elle avait dissimulées sur ce produit. Il est apparu
qu’au cours des 18 dernières années, des millions de personnes ont
régulièrement mis dans la bouche une toxine potentiellement liée
au cancer, aux troubles endocriniens, à la stérilité et à
d’autres problèmes de santé.

Qu’est-ce que le triclosan?

Le
triclosan est un pesticide et ressemble à un composant majeur de
l’arme chimique Agent Orange pulvérisée pendant la guerre du
Vietnam. Il est également connu sous le nom de 5-chloro-2-
(2,4-dichlorophénoxy) phénol, et a été initialement utilisé dans
les exfoliants chirurgicaux pour les mains et autres désinfectants.
C’est un dérivé du 2,4-D, qui est un herbicide hautement toxique.
Pas exactement une substance que vous vous attendriez à trouver dans
votre dentifrice.

Colgate
affirme que son dentifrice est sans danger; une affirmation étayée
par plus de 80 études cliniques portant sur 19 000 personnes. Le
porte-parole de Colgate, Thomas DiPiazza, cite une étude
indépendante menée en 2013 par Cochrane, qui n’a révélé aucune
preuve d’effets nocifs associés à l’utilisation de Total.

Cependant,
le triclosan a été progressivement éliminé des autres produits de
soins personnels courants, à l’exception de ce dentifrice. De plus,
l’Union européenne a interdit le triclosan à tous les produits en
contact avec les aliments.

Cela
soulève des questions. La FDA elle-même n’était pas tellement
sûre de l’approbation du dentifrice en tant que médicament en
vente libre, et craignait que le produit chimique n’augmente le
risque de cancer. Pourtant, ça a marché et ça a marché.

La recherche sur le triclosan

Une
partie du problème réside dans le fait que, lorsque la FDA a pris
sa décision concernant Total, elle n’a examiné que les résultats
de la recherche provenant des laboratoires de Colgate. La société a
mené une étude sur le cancer, mais même la FDA admet qu’il est
difficile de savoir à quel point elle était complète.

Les
études montrant des malformations osseuses mortelles chez la souris
et le rat, susceptibles de signaler des perturbations du système
endocrinien, ont été écartées comme non pertinentes. Cependant,
les experts s’accordent à dire que lorsqu’un produit chimique est
considéré comme dangereux pour les animaux, il serait extrêmement
risqué de le transmettre à la population humaine.

Lorsqu’une étude présumée indépendante a montré que le triclosan n’avait aucun effet détectable sur la fonction thyroïdienne chez l’homme, il a été révélé que trois auteurs sur cinq avaient reçu une subvention de Colgate. L’un des auteurs affirme que la société n’a pas contribué à la collecte ou à l’analyse de données, mais les doutes ont néanmoins été soulevés.

Produits sans triclosan

D’autres
entreprises n’utilisent pas de triclosan dans leurs produits de soin
buccal. Comme le produit chimique est également utilisé dans une
gamme d’autres produits, à la suite du débat, de nombreuses
entreprises ont annoncé l’arrivée d’une gamme de produits sans
triclosan, tels que les distributeurs d’aliments pour animaux
domestiques.

Toutefois,
le fabricant de Total n’envisage pas de modifier la formule de son
dentifrice et continue de le commercialiser comme produit qui
favorise la santé de vos dents et de vos gencives. Tous avec les
bénédictions de la FDA.

10. Batterie de cuisine antiadhésive en téflon

Chimiquement,
le téflon est connu sous le nom de polytétrafluoroéthylène.
Il s’agissait à l’origine d’un sous-produit résiduaire de la
production de Fréon, nom commercial des liquides ou gaz
ininflammables moyennement toxiques qui sont utilisés comme
réfrigérants et comme propulseurs d’aérosols. Le fréon et le
téflon sont tous deux produits par la même société, DuPont.

Le
téflon est fabriqué à partir d’ acide
perfluorooctanoïque

(PFOA), associé à des tumeurs et à des problèmes de développement
chez les animaux.

Selon la London School of Hygiene and Tropical Medicine , un certain nombre de maladies sont liées à l’exposition à l’APFO:

  • Diabète
    (type 2)

  • Cancer

  • Faible
    poids de naissance

  • Puberté
    précoce

  • Infertilité
    et troubles de la reproduction

  • Troubles
    auto-immuns

  • Maladie
    du foie et des reins

  • Maladie
    thyroïdienne

  • Taux
    de cholestérol élevé

Que pouvez-vous faire pour réduire les risques associés au téflon?

  • Ne
    préchauffez jamais une casserole vide.

  • Si
    vous utilisez des casseroles antiadhésives, n’allez pas au-dessus
    de la chaleur moyenne.

  • Si
    vous voyez que votre casserole est déchiquetée ou endommagée,
    jetez-la. Les batteries de cuisine antiadhésives doivent être
    remplacées tous les deux ans pour éviter les fuites toxiques.

  • Utilisez
    uniquement des cuillères en bois pour mélanger les aliments et
    évitez les ustensiles en métal sur les casseroles antiadhésives.

  • Les
    batteries de cuisine plus lourdes sont généralement de meilleure
    qualité et chauffent un peu plus lentement, alors choisissez-les.

  • Utilisez
    une batterie de cuisine sans produits chimiques. Optez pour les
    ustensiles en verre et en argile, les casseroles en acier inoxydable
    et en cuivre, ainsi que les marmites en fonte. La fonte et l’acier
    inoxydable sont une bonne alternative aux casseroles antiadhésives
    et sont durables.

Alternatives au téflon

Verre

Le
verre convient parfaitement à la cuisson, comme les plats en pyrex.
Ils ne sont généralement pas conçus pour une utilisation sur une
cuisinière.

De
plus en plus de gens choisissent des pots en verre pour leur design
simple, leur couleur élégante et leur style élégant. De plus, la
surface lisse des pots en verre facilite leur nettoyage.

Fonte
de fer

La
fonte est parfaite pour une utilisation au four ou sur une
cuisinière. La fonte est ma préférée parce qu’elle est si
polyvalente. Bien que les ustensiles de cuisson en fonte ne
contiennent pas d’APDFO, il est important de s’assurer que les
ustensiles de cuisine que vous choisissez répondent à toutes les
réglementations en matière de niveaux de plomb et de cadmium.

Acier
inoxydable

Cela
peut être un peu délicat, car je trouve que la nourriture a
tendance à coller à ma batterie de cuisine en acier inoxydable,
mais beaucoup de gens préfèrent l’utiliser.

Bien
que des recherches soient nécessaires pour trouver les meilleures
alternatives non collantes à votre goût, je le recommande vivement.
Si vous préparez la plupart de vos repas à la maison, il est
important de ne pas vous exposer aux risques inhérents à la cuisson
avec un antiadhésif.

Ne prenez pas la sécurité pour acquis

La
liste de produits ci-dessus n’est qu’un échantillon des dangers
potentiels des produits que nous prenons pour acquis. Vous devez vous
intéresser activement aux produits sur lesquels vous comptez pour
assurer la sécurité de votre famille. Recherchez les produits que
vous utilisez régulièrement et recherchez les ingrédients.

La détoxification de votre maison fait partie intégrante du concept de désintoxication. Cela inclut non seulement la détoxification de votre corps, mais également la détoxification de votre esprit et des environnements les plus proches. Vous pouvez trouver plus d’informations sur ce concept dans mon livre électronique The Detox Guide ( Guide de désintoxication) , qui vous apprendra comment utiliser la détoxication pour purifier et dynamiser votre corps et votre esprit, et comment désintoxiquer votre maison.

Panneaux d’avertissement indiquant que le rayonnement Wi-Fi / cellulaire affecte votre santé et comment réduire les dangers du Wi-Fi

Il
est pompé dans nos ordinateurs, téléphones, ordinateurs portables
et tablettes. Il flotte autour de nos maisons, de notre lieu de
travail, de nos trains et même de nos avions. Depuis sa création au
début des années 90, le Wi-Fi fait désormais partie de notre
quotidien, mais devrions-nous lui faire aveuglément confiance? Le
Wi-Fi est-il mauvais pour la santé?

Bien
sûr, le Wi-Fi est une commodité miraculeuse pour la personne
moderne. Des centaines de millions de personnes l’utilisent
quotidiennement pour se connecter au Web. Cela nous aide à
travailler, à rester divertis et à communiquer avec les autres.
Mais est-ce bon pour notre santé?

Les
dangers du Wi-Fi font encore l’objet de spéculations dans le monde
médical car il est devenu trop commode de le remettre en question.
Le fait est que les champs électromagnétiques générés par notre
technologie ne sont pas naturellement conçus pour être absorbés
par notre corps. La question de l’impact des champs
électromagnétiques sur notre santé ne vient que récemment de
susciter l’inquiétude des experts médicaux.

Syndrome d’hypersensibilité électromagnétique (EHS)

Le
syndrome d’hypersensibilité électromagnétique, ou EMS, concerne
les personnes exposées à des champs électromagnétiques. Des
études montrent à présent que ce problème médical est beaucoup
plus crédible que nous l’aurions pensé.

Selon une étude , une station de base de téléphone sans fil placée à environ un mètre de votre tête et branchée pendant trois minutes à la fois peut perturber considérablement le rythme cardiaque. Cette étude est dirigée par Magda Havas, Ph.D., du département des études environnementales et des ressources de l’Université Trent, au Canada.

Jusqu’à
présent, les experts ont pu classer les personnes touchées en deux
groupes. Il y a les personnes qui souffrent de symptômes mineurs et
celles qui sont plus gravement touchées.

Le
docteur suisse Thomas Rau de la clinique Paracelsus a constaté que
dans les zones modernisées, près de 40% des patients avaient des
effets secondaires négatifs dus aux CÉM, tandis que 8% présentaient
des symptômes plus graves.

Symptômes mineurs d’EHS

Vous
êtes peut-être quelqu’un avec EHS et vous ne le réalisez même
pas. Se promener simplement dans les zones à fortes concentrations
de CEM peut aggraver les symptômes suivants:

  • Sensations
    de faiblesse, étourdissements ou vertiges

  • Sensations
    de démangeaisons et de brûlures sur votre peau

  • Maux
    de tête spontanés et obstinés

  • Douleur,
    inconfort et douleur dans les muscles

  • Sensation
    de nausée ou de maladie

  • Manque
    de concentration et de clarté

Des dangers plus graves d’EHS

Certains
médecins pensent que l’exposition aux champs électromagnétiques
peut également entraîner des problèmes plus graves chez les
personnes extrêmement sensibles. Selon le Dr Rau, l’exposition à
des charges électromagnétiques peut contribuer aux problèmes
médicaux suivants:

  • ADD et ADHD
  • Migraine chronique
  • Insomnie
  • la maladie de Parkinson
  • Mal de dos chronique
  • Arythmie
  • Cancer

Presque inévitable

Il
semble étrange qu’un problème médical ayant un potentiel négatif
aussi grave retienne si peu l’attention. Comment une partie aussi
commode de notre vie quotidienne peut-elle avoir ces effets négatifs?
Pourquoi n’y a-t-il pas plus de recherche en cours?

Les
entreprises qui économisent des millions de dollars grâce à leurs
services Wi-Fi ne veulent probablement pas répondre à cette
question autant qu’elles ne veulent pas que vous leur posiez la
question. Le Wi-Fi et les CEM connaissent une croissance
exponentielle et ne montrent aucun signe de ralentissement. Selon
certaines estimations, le nombre de points chauds devrait tripler
d’ici à 2015.

Vous
n’avez pas besoin d’être un expert en technologie pour être exposé
aux CEM tous les jours, ils vous trouveront quand même. Une forte
majorité des personnes autour de vous émettent des signaux
directement dans leurs poches et leurs sacs à dos.

Les
magasins et les restaurants exploitent le potentiel de revenus du
Wi-Fi et l’installent dans leurs établissements. Même si vous
n’avez pas du tout de téléphone portable, vous pouvez être une
victime.

Il
peut être difficile d’éviter de s’imprégner de notre culture
saturée de médias, mais cela ne signifie pas que vous ne pouvez pas
prendre de mesures pour réduire l’exposition. Quelques changements
mineurs dans la vie peuvent vous épargner le risque d’une absorption
excessive des CEM.

7 étapes pour réduire les dangers du Wi-Fi

Renforcez la force de votre système immunitaire. C’est le plan d’action le plus important car il permettra à votre corps de rejeter plus efficacement les effets des radiations. Un régime solide d’aliments biologiques, une grande quantité d’eau et une quantité adéquate de vitamines et de minéraux vous feront du bien. Vous pouvez également lire mon autre article sur la manière de renforcer votre système immunitaire naturellement .

Utilisez
des lignes fixes à la maison, au travail et partout où cela est
possible. Cela cause beaucoup moins d’exposition qu’un téléphone
cellulaire. Si possible, restez sur les téléphones avec fil – ils
constituent le moyen le plus sûr de communiquer sans pénétration
de CEM.

Ne
gardez pas votre téléphone dans vos poches, vos vêtements ou votre
ceinture. Essayez de le transporter quelque part en dehors de votre
corps, comme dans une valise ou un sac à main.

Gardez
les ordinateurs portables sur vos genoux. Je sais que le nom de
l’appareil contredit ce concept, mais les ordinateurs portables
reçoivent et émettent constamment des ondes électriques.

Si
vous devez utiliser un téléphone portable, faites de la messagerie
une priorité sur les appels. Non seulement il est plus pratique,
mais il est également moins dangereux que de placer le téléphone
directement à côté de votre cerveau.

Si
vous avez des enfants, éloignez-les des téléphones portables. Les
enfants ayant un corps en développement sont les plus vulnérables
aux effets mystérieux du Wi-Fi et des autres champs
électromagnétiques. Ils peuvent vous en vouloir, mais c’est pour le
mieux.

Apprenez
à utiliser le mode avion chaque fois que vous le pouvez avec vos
appareils. Il désactive les données Wi-Fi et cellulaires, ce qui
permettra également d’économiser une tonne de vie de la batterie.
Si vous ne vous attendez pas à donner ou à recevoir une
communication pendant la nuit, éteignez complètement votre
téléphone avant de vous coucher.

Notre
connaissance des champs électromagnétiques est encore limitée,
mais pourquoi le risquer? Avec la spéculation que cela pourrait agir
comme cancérigène et nuire à votre ADN, il est clair qu’il ne faut
pas en tenir compte. Si vous prenez les choses en main et tentez de
réduire l’exposition, vous pourriez vous préparer un avenir heureux
et plus sain. Ne croyez pas que le monde sera fini non plus – les
humains s’entendraient bien sans technologie pendant des milliers
d’années!

Articles Liés:

Resources

[1]Hidden Hazards of Air Fresheners
[2]http://www.cpsc.gov
[3]http://www.snopes.com/
[4]http://www.washington.edu/
[5]http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/25015929
[6]http://www.epa.gov/
[7]http://www.cancer.org/
[8]http://www.humanesociety.org/
[9]http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/16766878
[10]http://time.com/3922814/deodorant-cancer/
[11]http://www.bloomberg.com/news/2014-08-11/in-35-pages-buried-at-fda-worries-over-colgate-s-total.html
[12]https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/14639125
[13]https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/12381712
[14]https://www.cancer.gov/about-cancer/causes-prevention/risk/myths/antiperspirants-fact-sheet
[15]https://www.cancer.org/cancer/cancer-causes/antiperspirants-and-breast-cancer-risk.html
[16]Lung inflammation and genotoxicity in mice lungs after pulmonary exposure to candle light combustion particles

Source URL – https://www.healthyandnaturalworld.com/cancer-causing-products-to-remove-from-your-home/