Les Français vont payer cher d’avoir écouté, en avril 2022, ceux qui leur ont fait voter Macron « pour empêcher que le fascisme n’arrive au pouvoir en France ».
En acceptant de suivre les consignes de vote des partis de gauche — en fait l’extrême gauche — puisque la gauche classique n’existe plus (pour mémoire Hidalgo [PS] 1,74 %), des syndicats et des associations « progressistes », sans oublier la droite « républicaine », les Français ont accepté sans réfléchir de réélire un homme qui annonçait tranquillement qu’il allait détruire la France et de nombreuses « conquêtes sociales », dont les retraites.
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