Curieux parcours que celui de ce professeur de criminologie de l’université d’État de Floride, aux États-Unis, qui a soudainement quitté son poste après avoir été accusé de falsification de données au cours de ses 16 années de service, affirmant notamment que le racisme était bien plus répandu qu’il ne l’est en réalité.
Un certain Marc Tessier-Lavigne, neuroscientifique et actuel président de l’université Stanford, « fait l’objet d’une enquête pour avoir publié des articles contenant des images manipulées ». Par ailleurs, toujours selon le New York Post, en février dernier, quatre anciens cancérologues de Harvard ont vu un article publié dans la revue scientifique Proceedings of the National Academy of Sciences rétracté en raison d’une apparente manipulation de données.
D’autre part, l’ancien biologiste de l’université Yale (dans le Connecticut), Carlo Spirli, a été identifié ce mois-ci par l’Office of Research Integrity (« Bureau de l’intégrité de la recherche »), un organisme fédéral américain de surveillance, comme un truqueur de données en série.
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