Il y a maintenant un an s’échappait opportunément un coronavirus de type SRAS-CoV-2 concocté dans un laboratoire militaire chinois à sécurité maximale (c’est du moins l’hypothèse admise dans les milieux de l’espionnage). Depuis, la communauté internationale, celle de gauche comme celle de droite, a eu largement le temps de faire son lit et d’élever la voix au milieu de ce qui est devenu la pire crise sanitaire, politique, juridique et économique des temps modernes. C’est du moins ce qu’en a fait la gestion incompétente de la plupart des gouvernements bourgeois et qui en sont aujourd’hui réduit à porter tous leurs espoirs vers des vaccins coûteux, inconnus, bricolés pressés, non validés et risqués.
En pleine cacophonie catastrophique mondiale, on se serait attendu à ce que la gauche, impatiente de s’emparer du pouvoir étatique totalitaire, profite de l’occasion pour tirer le tapis sous les pieds de la droite tétanisée. Au contraire, dans la plupart des pays du monde les gauches n’ont même pas protesté quand les exécutifs nationaux effrayés se sont octroyé des pouvoirs extraordinaires, réservés au temps de guerre, afin de forcer les peuples récalcitrants à rentrer dans le rang des confinements et pour briser toute résistance populaire aux restrictions arbitraires. Encore une fois, comme pour chaque grande guerre, le peuple se retrouve seul face à la confrérie des larbins politiciens de gauche et de droite.
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