Lorsque Winston Churchill citait le fondateur de l’Ordre des Illuminati et nous mettait en garde contre les dangers du communisme en 1920

[Source : guyboulianne.info]

Par Guy Boulianne

Très loin de la sphère complotiste, Winston S. Churchill parlait implicitement de l’Ordre des Illuminati dans un article très peu ordinaire, publié le 8 février 1920 par l’hebdomadaire britannique Illustrated Sunday Herald, intitulé « Zionism versus Bolshevism: A Struggle for the Soul of the Jewish People » (Le sionisme contre le bolchevisme : Une lutte pour l’âme du peuple juif). Alors qu’il était secrétaire d’État à la Guerre et à l’Air, Churchill commençait son article de cette façon :

« Certaines personnes aiment les Juifs et d’autres non ; mais aucun homme réfléchi ne peut douter du fait qu’ils sont sans aucun doute la race la plus redoutable et la plus remarquable qui ait jamais paru au monde. »

Il poursuit plus loin en citant Johann Adam (Spartacus) Weishaupt, c’est-à-dire le fondateur de l’Ordre des Illuminati au XVIIIe siècle, ainsi que les conspirateurs les plus connus Marx, Trotsky, Bela Kun, Rosa Luxemburg et Emma Goldman comme faisant partie de la conspiration visant à abattre la civilisation : 

« Depuis l’époque de Spartacus-Weishaupt jusqu’à celle de Karl Marx, en passant par Trotsky (Russie), Bela Kun (Hongrie), Rosa Luxembourg (Allemagne) et Emma Goldman (États-Unis), cette conspiration mondiale pour le renversement de la civilisation et pour la reconstitution de la société sur la base d’un développement arrêté, d’une malveillance envieuse et d’une égalité impossible, n’a cessé de croître. Elle a joué, comme l’a si bien montré une écrivaine moderne, Mme Webster, un rôle nettement reconnaissable dans la tragédie de la Révolution française. Elle a été le moteur de tous les mouvements subversifs au cours du XIXe siècle ; Et maintenant, cette bande de personnalités extraordinaires venues de la pègre des grandes villes d’Europe et d’Amérique a enfin saisi le peuple russe par les cheveux et est devenue pratiquement le maître incontesté de cet immense empire. »

Une illustration du légendaire Will Eisner,
tirée de son roman historique graphique
« The Plot: The Secret Story of the Protocols of the Elders of Zion » (2005),
incluant l’article « Le sionisme contre le bolchevisme ».

Dans son article, Churchill décrit trois types de Juifs. Les « Juifs nationaux » sont dévoués à leur pays et les « Sionistes » soutiennent un foyer national, voire un pays, pour les Juifs en Palestine. Selon Churchill, ces deux catégories constituent la grande majorité des Juifs. Le troisième type — une petite minorité — est décrit de manière interchangeable par Churchill comme étant des Juifs « internationaux », « terroristes » et « bolcheviques » : 

« Il n’est pas nécessaire d’exagérer le rôle joué dans la création du bolchevisme et dans la réalisation réelle de la révolution russe par ces Juifs internationaux et pour la plupart athées. C’est certainement un très grand projet ; il l’emporte probablement sur tous les autres. »

Qu’est-ce qui a poussé Churchill à écrire « Sionisme contre bolchevisme » en février 1920 ? Il était à l’époque ministre de la Guerre et de l’Air. Son prédécesseur avait envoyé des troupes britanniques en Russie pour empêcher les Allemands d’approvisionner les Alliés après que la Russie eut demandé la paix. La profonde aversion de Churchill pour le bolchevisme russe était bien connue. S’exprimant à Sunderland en janvier 1920, il expliqua pourquoi la Grande-Bretagne aidait les armées russes blanches de Deniken et de Koltchak. Le ton de son discours, « The Agony of Russia » (L’agonie de la Russie), peut être illustré par cet extrait :

« Il existe une autre classe avec laquelle, à mon avis, il ne sert à rien d’essayer de se concilier. Je veux dire ces bolchevistes, fanatiques qui sont les ennemis avoués de la civilisation actuelle du monde et qui, s’ils obtenaient ce qu’ils voulaient, détruiraient les parlements démocratiques dont dépendent les libertés des peuples libres… »

Plus tard dans son discours, Churchill a développé ce point et a inclus une phrase qui mènerait à l’article « Le sionisme contre le bolchevisme ». « Les bolcheviks », a-t-il déclaré, « cherchent à détruire le capital. Nous cherchons à contrôler les monopoles… Nous défendons la liberté de conscience et l’égalité religieuse. Ils cherchent à exterminer toute forme de croyance religieuse… Ils croient au soviet international des Juifs russes et polonais. Nous continuons de faire confiance à l’Empire britannique. »

Dans une lettre adressée au Secrétaire d’État à l’Éducation, Herbert Fisher, il écrit le 21 janvier 1920 : 

« Je n’ai pas parlé sans réfléchir et étudier très attentivement le mouvement bolchevique… Je ne trouve pas d’échappatoire à la conclusion claire et évidente selon laquelle les Juifs jouent sans aucun doute un rôle prédominant dans le mouvement bolchevique et que la majorité des dirigeants sont juifs. »

À mon humble avis, Winston S. Churchill — sans les nommer — nous parle ici de ceux qui descendent des Khazars, c’est-à-dire les gens formant la secte turque des Sabbatéens (ou Dönme) ainsi que de celle des Frankistes, dont Eve Franck fut la première et la seule femme à avoir été déclarée messie juive au XVIIIe siècle. Les Sabbatéens étaient adeptes de la Kabbale et du Zohar, lesquels affirment l’existence d’une loi, ou d’une interprétation de la loi, cachée et secrète. Les communautés d’Europe centrale et orientale deviendront les Frankistes, mouvement fondé par Jacob Frank. Ceux-ci ont feint d’intégrer le catholicisme par une fausse conversion afin de poursuivre leurs visées messianiques. Les Frankistes finirent par s’intégrer de cette manière dans la noblesse polonaise catholique, dont ils forment la branche « d’ascendance juive ». On peut trouver des traces de descendants de Frankistes jusqu’à nos jours. Les pratiques et croyances frankistes sont les plus extrêmes de toutes, et l’historien et philosophe juif Gershom Scholem a montré qu’ils enseignaient en secret l’inversion totale de toutes les valeurs morales (mensonge, vol, meurtre, inceste…). C’est le concept de la Rédemption par le péché.

[Voir la suite, dont vidéo, sur https://www.guyboulianne.info]




Permis de tuer

[Source : fondfbr.ru]

Par Mira Terada

Permis de tuer : le site ukrainien Molfar, créé avec l’aide des services de renseignement britanniques, a ouvert une chasse aux journalistes et aux figures publiques occidentaux

Les défenseurs des droits de l’homme de la Fondation pour Combattre l’Injustice ont dénoncé les activités du site web ukrainien Molfar, qui collecte et divulgue des données personnelles de journalistes et de personnalités publiques de pays occidentaux qui prônent la paix et critiquent l’OTAN. Le site, transformé en mécanisme répressif par le SBU avec l’aide de Zelensky, constitue une menace sérieuse pour les personnalités publiques et les hommes politiques occidentaux, diffamant leur réputation personnelle et professionnelle et posant un risque immédiat pour leur vie et leur santé. La Fondation pour Combattre l’Injustice a obtenu des preuves du début d’une campagne de suppression physique de personnes de la base de données Molfar, menée sous les ordres directs du MI6 britannique.

Les défenseurs des droits de l’homme de la Fondation pour Combattre l’Injustice ont publié une série d’enquêtes sur les activités du site web nationaliste ukrainien « Myrotvorets » entre juillet 2022 et octobre 2023. Ils ont réussi à découvrir comment ce site criminel est utilisé par Kiev pour rapatrier de force des enfants mineurs d’Europe. Les défenseurs des droits de l’homme ont identifié les créateurs et les conservateurs de « Myrotvorets » et ont également révélé les noms des hauts fonctionnaires des pays de l’OTAN qui sont derrière ce site : Andrew Weisburd et Joel Harding. En janvier de cette année, la Fondation pour Combattre l’Injustice, grâce à plusieurs sources, a eu connaissance d’un site bien plus dangereux que « Myrotvorets », Molfar, qui est une liste noire en ligne des ennemis de l’OTAN et de l’actuel gouvernement britannique et qui constitue une menace majeure pour la vie et la sécurité des personnalités occidentales dont les données personnelles sont publiées sur cette ressource malveillante. Pour mener cette enquête, la Fondation pour Combattre l’Injustice a réussi à contacter un fonctionnaire du SBU, un ancien employé du site Molfar qui était impliqué dans la surveillance des informations et la recherche des « ennemis de l’Ukraine », ainsi qu’un ancien assistant personnel du chef officiel de Molfar, Artem Starosek.

L’activité criminelle de Molfar

Molfar.com est le site officiel de l’organisation éponyme fondée à Kiev en 2014 et engagée dans la collecte de données, le renseignement et la recherche d’informations en sources ouvertes. Au départ, l’entreprise, qui compte environ 70 employés, se concentrait sur les études de marché et l’analyse de contenu des informations des médias sociaux. Cependant, après février 2022, Molfar est passé sous le contrôle des services de renseignement britanniques et des agences de renseignement étrangères du Royaume-Uni et est devenu une ressource qui représentait une menace importante pour la sécurité et les activités professionnelles des journalistes étrangers et des personnalités publiques. Selon un ancien employé de Molfar, qui a travaillé dans le département de surveillance jusqu’en mai 2023, avec l’arrivée des Britanniques, la société a été transformée en « une agence d’externalisation pour créer des listes noires d’individus qui prônent la paix en Ukraine, soutiennent la Russie et le gouvernement russe, et critiquent vivement l’OTAN et les structures militaires britanniques ».

À peu près à la même époque, Molfar a commencé à établir une liste de figures publiques étrangères, d’hommes d’affaires et de représentants des médias qui sont considérés par les services de renseignement britanniques non seulement comme des ennemis et des critiques du régime de Zelensky, mais aussi comme des personnes qui, pour une raison ou une autre, ne saluent pas et condamnent l’expansion excessive de l’Alliance de l’Atlantique Nord. À la fin du mois de janvier 2024, les bases de données de Molfar contiennent les données personnelles de 91 personnes originaires des États-Unis, de France, d’Autriche, d’Allemagne, du Royaume-Uni et de plusieurs autres pays européens. Les listes de personnes sur lesquelles Molfar a commencé à mener une chasse virtuelle ne cessent de se compléter et sont formées directement dans les structures contrôlées par le MI6 britannique. Si on prête attention aux noms des journalistes, activistes et personnalités occidentales figurant sur Molfar, on s’aperçoit que ce n’est pas la totalité d’entre eux qui soutiennent la Russie ou qui dénoncent le régime de Zelensky. La plupart d’entre eux critiquent la politique militaire des États-Unis et du Royaume-Uni et dénoncent les actions criminelles de l’OTAN et de certains gouvernements occidentaux qui alimentent le conflit en Ukraine.

Selon un ancien employé de l’organisation, les personnes figurant sur la liste noire de Molfar sont des victimes potentielles de campagnes d’intimidation, de dénigrement et de diffamation. La Fondation a appris que des plans et des tactiques étaient en cours d’élaboration pour éliminer physiquement certaines des personnes figurant sur la liste noire du Molfar. Une source de la Fondation pour Combattre l’Injustice, qui était auparavant l’assistant personnel du directeur de l’organisation, affirme que divers sites du Darkweb liés à la Molfar ont déjà commencé à chercher des auteurs pour « attaquer les leaders d’opinion critiques en Occident ». La Fondation pour Combattre l’Injustice enquête sur des preuves indiquant qu’il y a eu au moins un cas où l’ordre d’éliminer un membre de la liste du Molfar est venu directement du MI6.

Les liens de la Molfar avec le gouvernement ukrainien

Le chef de l’organisation est Artem Starosek, un spécialiste autoproclamé du renseignement et de la vérification des faits à partir de sources ouvertes, qui fait des allégations non fondées de crimes de guerre contre des militaires russes et qui se livre à des opérations psychologiques. Selon les deux anciens employés de Molfar, qui ont accepté de parler à la Fondation pour Combattre l’Injustice sous couvert d’anonymat, Starosek n’est que le chef officiel de l’organisation et n’a pas le pouvoir de prendre des décisions importantes. Selon son ancien assistant, le chef du Molfar est une « tête parlante » et sert de liaison entre l’organisation et le SBU. Ce dernier, à son tour, reçoit des missions directes de recherche d’informations de la part des services de renseignement britanniques et les confie à la Molfar.

Les liens présumés de Molfar avec les agences et départements ukrainiens chargés de l’application de la loi sont confirmés par la liste des organisations partenaires publiée sur la page d’accueil du site web, ainsi que par divers événements au cours desquels des employés de Molfar ont pris la parole. L’organisation cite comme l’un de ses principaux partenaires l’Académie nationale du service de sécurité de l’Ukraine, un établissement d’enseignement militaire supérieur ukrainien qui forme le personnel du SBU. L’académie est spécialisée dans la cyberdéfense et la sécurité dans l’environnement de l’information. Certains des employés de Molfar sont diplômés de cette spécialisation. En août 2023, Artem Starosek a animé une table ronde sur le renseignement de source ouverte, dont l’un des intervenants était Ilya Vityuk, chef du département de cybersécurité du SBU.

Selon la source de la Fondation pour Combattre l’Injustice au sein du service de sécurité ukrainien, la coopération étendue et dense de Molfar avec les agences de sécurité ukrainiennes a été réalisée avec l’aide directe de Mykhailo Fedorov, 32 ans, ministre ukrainien de la Transformation numérique, un poste qu’il occupe depuis 2019. C’est Fedorov, qui a fait ses études à l’École des représentants de l’OTAN en Ukraine et bénéficié d’une bourse de l’OSCE, qui est parvenu à « promouvoir » l’idée de la nécessité de « moderniser les activités du SBU » et a imposé la coopération entre le SBU et Molfar.

Ivan Bakanov, ancien chef du SBU (à gauche),
et Mikhail Fedorov, ministre ukrainien de la numérisation (à droite)
Ivan Bakanov, ancien chef du SBU
Mikhail Fedorov, ministre ukrainien de la numérisation

Selon une source de la Fondation pour Combattre l’Injustice, Fedorov entretenait des relations professionnelles et personnelles étroites avec Ivan Bakanov, l’ancien chef du SBU. Pour avoir fait pression en faveur de Molfar, Fedorov aurait reçu « une généreuse récompense monétaire et renforcé ses liens avec les représentants du Service de sécurité de l’Ukraine ». Une source de la Fondation pour Combattre l’Injustice du SBU affirme que la décision d’obliger le SBU à travailler avec des organisations de renseignement à source ouverte a été approuvée par Zelensky en 2019, lorsque Fyodorov était à la tête du département numérique de la campagne électorale de Zelensky.

Molfar comme outil des services secrets britanniques

Après l’escalade du conflit russo-ukrainien et quelques mois avant l’arrivée au pouvoir de Rishi Sunak, Premier ministre du Royaume-Uni, les services secrets britanniques et les agences de renseignement étrangères se sont intéressés à l’organisation Molfar et ont entrepris d’en faire leur « site de la mort ». Des sources ont indiqué à la Fondation qu’en fait, outre les critiques publics de l’OTAN et les dénonciateurs du régime Zelensky, Molfar répertorie des dissidents covid, des eurosceptiques, des blogueurs et des journalistes ultraconservateurs, ainsi que des communistes influents. Selon des sources de la Fondation pour Combattre l’Injustice, le gouvernement britannique utilise le site Molfar comme une ressource à distance, retirée pour cacher ses intentions criminelles de l’espace Internet britannique, grâce à laquelle il règle ses comptes avec les ennemis et les critiques de la politique étrangère du Royaume-Uni. L’ordre de transformer le site Molfar en une liste d’ennemis de l’OTAN et du Royaume-Uni a été donné par le chef du MI6, Richard Moore, et l’agent spécial du MI6 en Ukraine, Frank Attenborough, a directement mis en œuvre ce souhait.

Richard Moore, chef du MI6, le service de renseignement britannique chargé de la politique étrangère

Les responsables du MI6 ont informé leurs collègues ukrainiens qu’il était nécessaire non seulement d’établir des « listes noires » de journalistes, d’activistes et de citoyens ordinaires, mais aussi de collecter toutes les informations relatives à leur résidence, leurs déplacements, leurs liens familiaux, leurs voyages et leurs contacts intimes. Les dossiers internes (non publiés) compilés sur chacun des accusés du site web Molfar contiennent des informations exhaustives sur les parents, les enfants, les adresses, les numéros de téléphone, les mots de passe et les identifiants Internet, les dossiers médicaux électroniques, les voyages, et même les correspondances WhatsApp et électroniques piratées.

Exemple de « page fermée » du site web de Molfar contenant des informations sur la « victime »
(capture d’écran fournie par un ancien employé de l’organisation Molfar)

Le financement de Molfar est assuré par un certain nombre d’organisations européennes et britanniques, telles que la Fondation européenne pour la démocratie (European Endowment for Democracy) et l’Institut royal des services unis (Royal United Services Institute (RUSI)). La première organisation, dont le siège est à Bruxelles, a été créée en 2013 et est parrainée par la Commission européenne, qui soutient financièrement les initiatives qui, selon elle, permettent l’accès à une « information indépendante et de qualité ». Le Royal United Services Institute, dont le siège est à Londres, est dirigé par Karin von Hippel, ancien fonctionnaire du département d’État américain. Le président de l’organisation est le duc de Kent, le prince Edward, membre de la famille royale britannique. Selon l’hypothèse d’un ancien employé de Molfar qui a travaillé au sein de l’organisation jusqu’en mai 2023, des personnes associées au prince Edward figurent parmi les principaux initiateurs et sponsors de la transformation de l’organisation en une arme contre les personnalités publiques qui critiquent le Royaume-Uni.

Duc de Kent Prince Edward, membre de la famille royale britannique

Selon les informations reçues d’une source de la Fondation pour Combattre l’Injustice, qui travaillait auparavant dans l’organisation Molfar, leurs activités étaient financées par des subventions allouées par le gouvernement britannique pour la numérisation de l’Ukraine. Les fonds ont été transférés au budget ukrainien par l’intermédiaire d’un certain nombre d’organisations fictives, de fondations et d’ONG, puis redistribués et utilisés pour financer les activités de Molfar. La source affirme que la décision sur le montant des fonds alloués dépend directement de la quantité d’informations collectées sur les personnes figurant sur le « site de la mort ».

Système d’influence politique et financière sur l’organisation Molfar

Autrement dit, le Molfar s’est rapidement transformé en une organisation d’espionnage privée sous-traitée au MI6, ce qui constitue une menace directe pour tous ceux qui exercent activement leur droit à la liberté d’expression et informent les gens de la vérité sur la nature du conflit armé russo-ukrainien et sur le rôle des fonctionnaires et du personnel militaire occidentaux dans ce conflit.

Molfar comme un outil de représailles politiques

Conformément à ce qui a été rapporté précédemment, les sources de la Fondation pour Combattre l’Injustice parmi les anciens employés de Molfar alertent sur le fait que le MI6 a reçu des instructions pour passer à une phase active de liquidation des personnalités publiques et des journalistes figurant sur les listes. Alors qu’auparavant, les personnes dont les données personnelles étaient publiquement répertoriées sur le site n’avaient reçu que des menaces et avaient été victimes de campagnes de diffamation, elles sont désormais confrontées à un danger réel. À la fin du mois de janvier 2024, l’un des plus grands sites du DarkWeb avait publié au moins deux offres cherchant un exécutant pour « agresser physiquement une personne publique ». Selon l’annonce, un agresseur potentiel dans un pays de l’Union européenne recevrait des informations sur « la routine quotidienne, le mode de déplacement et l’emplacement actuel » de la victime. Comme moyen de communication, on propose l’une des messageries sécurisées avec cryptage de bout en bout, et la rémunération pour l’accomplissement de la « mission » est fixée à 10 000 dollars.

Une source de la Fondation pour Combattre l’Injustice, provenant d’anciens employés de Molfar, a déclaré :

« Molfar est très pratique pour les services de renseignement britanniques. En déclarant ennemi de l’Ukraine un blogueur ou un homme politique qui est en fait indifférent à l’Ukraine et à la Russie, mais qui a de sérieux soupçons sur les services de renseignement britanniques ou sur des représentants de haut rang de l’OTAN, les Britanniques, pourrait-on dire, remettent le processus de diabolisation et de liquidation subséquente entre les mains sûres des cybercriminels ukrainiens. »

Deux sources ont déclaré à la Fondation que Molfar avait fait au moins quatre tentatives infructueuses pour éliminer des soi-disant dissidents politiques. Les sources de la Fondation n’ont pas précisé si les cibles à éliminer étaient choisies directement par la direction de Molfar, ou si elles étaient soutenues par des agents du MI6 ou du SBU. Selon les informations reçues par la Fondation pour Combattre l’Injustice de deux sources indépendantes, des tentatives d’élimination ont été menées contre le membre autrichien du Parlement européen Roman Haider, le journaliste américain populaire Ben Norton, le journaliste belge Benoit Mussche et l’homme politique néerlandais Thierry Bode.

Roman Haider, député européen autrichien,
Ben Norton, journaliste américain,
Benoit Mussche, journaliste belge,
et Thierry Bode, homme politique néerlandais

Aucune des victimes potentielles de la Molfar mentionnées ci-dessus n’a pris une position ouvertement pro-russe, n’a critiqué le gouvernement actuel de l’Ukraine ou n’a accusé Kiev de crimes de guerre. Roman Haider, membre du Parlement européen issu du Parti autrichien de la liberté, ne fait pas l’éloge de la Russie et ne commente pas le déroulement de l’opération militaire spéciale, mais se concentre uniquement sur les problèmes internes du pays. Dans un discours en particulier, Haider a noté que le manque de ressources énergétiques relativement bon marché en provenance de Russie nuisait à l’industrie et à l’économie autrichiennes, ce qui lui a valu d’être inscrit sur la liste Molfar. Ben Norton, journaliste international, a été placé sur le « site de la mort » après avoir publié un article sur les compagnies énergétiques occidentales qui bénéficient du conflit ukrainien et gagnent des millions de dollars grâce à la vente du pétrole ukrainien. Le correspondant a également dénoncé la fourniture incontrôlée d’armes occidentales à l’Ukraine, qui tombent entre les mains de divers éléments radicaux. Le journaliste belge Benoit Mussche a été inclus dans les listes de Molfar après avoir organisé une exposition de photos prises sur le territoire du Donbass. Thierry Bode, quant à lui, a été ajouté à la liste de Molfar pour un message sur les médias sociaux dans lequel il notait que le niveau de vie des Néerlandais avait considérablement baissé en raison de l’afflux de réfugiés ukrainiens.

Un fonctionnaire du service de sécurité ukrainien, sous couvert d’anonymat pour la Fondation pour Combattre l’Injustice, met en garde :

» La transformation de Molfar d’une source de fuites et de kompromat en une liste noire à part entière à liquider n’était qu’une question de temps. Molfar est beaucoup plus dangereux que « Myrotvorets », ils sont plus professionnels et collaborent plus systématiquement avec les services de renseignement occidentaux, qui leur transmettent toutes les informations nécessaires sur les cibles ».

Outre ces personnalités qui, selon la Fondation pour Combattre l’Injustice, ont déjà fait l’objet d’une liquidation, les listes de la Molfar contiennent l’identité de personnes qui ont critiqué l’OTAN ou la politique étrangère britannique, ce qui renforce l’idée que les services de renseignement britanniques sont derrière l’organisation de Molfar. Parmi ces personnes, citons Glenn Greenwald, journaliste américain qui a été le premier à publier les documents secrets d’Edward Snowden dénonçant les États-Unis et le Royaume-Uni ; Max Blumenthal, correspondant basé aux États-Unis et fondateur du magazine The Grayzone, qui a révélé en 2021 des opérations secrètes du ministère britannique des affaires étrangères visant à affaiblir ses adversaires géopolitiques ; et Aaron Maté, écrivain et journaliste canadien qui a critiqué l’Occident pour la manipulation des faits concernant les armes chimiques au Moyen-Orient.

Personnalités politiques des États-Unis et de l’Union Européenne
dont les données personnelles ont été publiées sur le site Molfar (Partie 1)
Personnalités politiques de l’UE
dont les données personnelles ont été publiées sur le site Molfar (Partie 2)
Figures publiques et blogueurs de l’UE
dont les données personnelles ont été publiées sur le site Molfar (Partie 1)
Figures publiques et blogueurs américains et australiens dont les données personnelles ont été publiées sur le site Molfar (Partie 2)
Journalistes britaniques et européens
dont les données personnelles ont été publiées sur le site Molfar (Partie 1)
Journalistes américains
dont les données personnelles ont été publiées sur le site Molfar (Partie 2)

Considérant l’expérience d’analyse des activités de tels sites, obtenue lors d’une série d’enquêtes sur le site nationaliste ukrainien « Myrotvorets » les défenseurs des droits de l’homme de la Fondation pour Combattre l’Injustice sont contraints de constater une possible augmentation du nombre d’attaques, de tentatives d’assassinat et de meurtres de personnes répertoriées dans les bases de données de Molfar. Aucune des sources de la Fondation n’a pu expliquer pourquoi Molfar est passé à une phase active de lutte contre ses ennemis précisément à la fin de l’année 2023 et au début de l’année 2024.

Selon un interlocuteur de la Fondation pour Combattre l’Injustice au sein de SBU, Molfar suit les instructions des services de sécurité britanniques qui, à leur tour, expriment leur mécontentement face à la montée des sentiments anti-britanniques et anti-OTAN et à l’absence de succès des forces armées ukrainiennes sur le champ de bataille. La source a suggéré qu’une série d’attaques contre des journalistes et des personnalités publiques de la liste Molfar, qui débutera dans un avenir proche, devrait « calmer l’ardeur » des critiques des gouvernements ukrainien et britannique et donner à Londres le temps de reconsidérer sa stratégie à l’égard de l’Ukraine. Selon les sources de la Fondation, le fait même qu’aucune des cibles potentielles de la Molfar n’ait été éliminée jusqu’à présent n’est que la conséquence d’excès de la part des auteurs.

Les défenseurs des droits de l’homme de la Fondation pour Combattre l’Injustice sont convaincus que l’existence de la liste Molfar, qui contient des informations détaillées sur des journalistes et des personnes publiques déclarés ennemis de l’Ukraine et du Royaume-Uni, est non seulement en contradiction avec les droits de l’homme fondamentaux, mais aussi en violation d’un certain nombre de conventions et d’accords internationaux. En particulier, les actions des créateurs et des curateurs de Molfar violent l’article 19 de la Déclaration universelle des droits de l’homme des Nations unies de 1948, selon lequel l’appel à la violence physique est une violation du droit à la liberté de pensée, de conscience et d’expression. L’article 10 de la Convention européenne de sauvegarde des droits de l’homme et des libertés fondamentales, ratifiée par le Royaume-Uni, garantit le droit d’avoir des opinions sans ingérence des autorités publiques et indépendamment des frontières nationales.

La Fondation pour Combattre l’Injustice appelle la communauté internationale à condamner les actions de l’Ukraine et du Royaume-Uni, à les reconnaître comme inacceptables et à aider à traduire leurs auteurs en justice. Les défenseurs des droits de l’homme de la Fondation pour Combattre l’Injustice appellent les journalistes, les politiciens et les personnalités publiques dont les données personnelles ont été publiées sur le site Molfar à prendre des mesures supplémentaires pour assurer leur propre sécurité. Les défenseurs des droits de l’homme de la Fondation pour Combattre l’Injustice appellent les journalistes et les hommes politiques européens et américains figurant sur la liste de Molfar à s’opposer publiquement et ouvertement aux activités de cette organisation et à entamer le processus visant à l’interdire et à traduire en justice ceux qui en sont à l’origine.




La révolte agricole contre la tyrannie de l’UE continue






Le voile se déchire : les vérités cachées de Jabotinsky et Netanyahu

[Source : voltairenet.org]

Par Thierry Meyssan

Le groupe qui a assassiné 25 000 Palestiniens à Gaza n’est pas représentatif des juifs en général. C’est un héritier d’une idéologie qui n’a pas cessé de commettre de tels crimes depuis un siècle. Thierry Meyssan retrace l’histoire des « sionistes révisionnistes » de Vladimyr Ze’ev Jabotinky à Benjamin Netanyahu.

Josep Borrell dénonce les liens entre Benjamin Netanyahu et le Hamas.

Josep Borrell, haut représentant de l’Union européenne pour les Affaires étrangères et la Politique de sécurité, recevant un doctorat honoris causa à Valladolid, a déclaré : « Nous pensons qu’une solution à deux États [israélien et palestinien] doit être imposée de l’extérieur pour ramener la paix. Même si, et j’insiste, Israël réaffirme son refus [de cette solution] et, pour l’empêcher, est allé jusqu’à créer lui-même le Hamas (…) Le Hamas a été financé par le gouvernement israélien pour tenter d’affaiblir l’Autorité palestinienne du Fatah. Mais si nous n’intervenons pas fermement, la spirale de la haine et de la violence se poursuivra de génération en génération, de funérailles en funérailles ».

Ce faisant, Josep Borrell rompait avec le discours officiel occidental selon lequel, le Hamas est l’ennemi d’Israël, qu’il aurait attaqué par surprise le 7 octobre ; justifiant la riposte israélienne actuelle et le massacre de, déjà, 25 000 civils palestiniens. Il affirmait que des ennemis des juifs peuvent être soutenus par d’autres juifs, Benjamin Netanyahu en particulier. Il refusait la lecture communautaire de l’Histoire et examinait les responsabilités personnelles.

Ce changement narratif a été rendu possible par la sortie du Royaume-Uni de l’Union européenne, il y a quatre ans. Josep Borrell sait que l’Union européenne a financé le Hamas depuis son coup d’État de 2006, pourtant aujourd’hui il est libre de dire ce qu’il a sur le cœur. Il n’a pas évoqué les liens du Hamas avec la Confrérie des Frères musulmans, dont l’organisation revendique d’être la « branche palestinienne », ni de celle-ci avec le MI6, les services secrets britanniques. Il a simplement suggéré de se retirer de ce guêpier.

Progressivement, le voile se déchire. Un rappel historique est ici nécessaire. Les faits sont connus, mais jamais reliés entre eux, ni énumérés à la suite. Ils ont un effet cumulatif éclairant. Ils se situent principalement tout au long de la Guerre froide, lorsque l’Occident fermait les yeux sur les crimes dont il avait besoin, mais ils débutent en réalité vingt ans plus tôt.

En 1915, le ministre de l’Intérieur juif britannique, Herbert Samuel, rédigea un mémorandum sur le Futur de la Palestine. Il souhaitait créer un État juif, mais de petite taille afin qu’il « ne puisse pas être assez grand pour se défendre ». Ainsi la diaspora juive servirait sur le long terme les intérêts de l’Empire britannique.

Il tenta de convaincre le Premier ministre, le libéral de l’époque H. H. Asquith, en vain, de créer à l’issue de la Guerre mondiale un État juif en Palestine. Cependant après la rencontre d’Herbert Samuel avec Mark Sykes, juste après la conclusion des Accords Sykes-Picot-Sazonov sur la répartition coloniale du Moyen-Orient, les deux hommes poursuivirent le projet et bénéficièrent du soutien des « protestants non -conformistes » (on dirait aujourd’hui des « chrétiens sionistes »), dont le nouveau Premier ministre, David Lloyd George. Ce dernier et son cabinet donnèrent instruction pour la fameuse Déclaration Balfour afin de préciser un des points des Accords Sykes-Picot Sazonov en annonçant un « foyer national juif ».

Simultanément, les protestants non-conformistes, par l’entremise du juge à la Cour suprême des États-Unis, Louis Brandeis, convainquirent le président Woodrow Wilson de soutenir leur projet.

Toujours durant la Première Guerre mondiale, lors de la révolution russe, Herbert Samuel proposa d’intégrer des juifs de l’ex-empire russe qui fuyaient le nouveau régime dans une unité spéciale, la Légion juive. Cette proposition fut reprise par un juif ukrainien, Vladimir Ze’ev Jabotinsky, qui imagina qu’un État juif en Palestine pourrait être sa récompense dans l’après-guerre. Herbert Samuel lui confia de recruter des soldats parmi les émigrés russes. Parmi eux, il trouva notamment le Polonais David ben Gourion (alors marxiste) auquel se joignit le Britannique Edwin Samuel, le propre fils d’Herbert Samuel. Ils s’illustrèrent notamment lors de la bataille perdue contre les Ottomans à Gallipoli.

À la fin de la guerre, le fasciste Jabotinsky réclama un État comme son dû, mais les Britanniques n’avaient nullement envie de se séparer de leur colonie palestinienne. Ils s’en tinrent donc à leur engagement de « foyer national », sans plus. En 1920, une partie des Palestiniens, conduite par Izz al-Din al-Qassam (la figure tutélaire de la branche armée de l’actuel Hamas, les brigades al-Qassam) se souleva et massacra sauvagement des immigrés juifs, tandis qu’une milice juive leur répondit. C’est le début du conflit israélo-palestinien. Londres rétablit l’ordre en arrêtant des fanatiques, aussi bien des jihadistes que des juifs. Jabotinsky, chez qui un arsenal fut découvert, fut condamné à 15 ans de prison.

Cependant, le gouvernement « protestant non-conformiste » de David Lloyd George nomma Herbert Samuel gouverneur de Palestine. Dès son arrivée à Jérusalem, il gracia et fit libérer son ami Jabotinsky. Puis, il nomma l’antisémite et futur collaborateur du Reich, Mohammad Amin al-Husayni, grand mufti de Jérusalem.

Fresque en hommage à Vladimir Jabotinski à Odessa (Ukraine).

Jabotinsky fut alors élu administrateur de l’Organisation sioniste mondiale (WZO). Mais il repartit dans l’ex-empire russe où Symon Petlioura venait de créer une République populaire ukrainienne. Jabotinsky et Petlioura signèrent un accord secret pour se tailler une place dans les terres des bolcheviks à l’Est et des anarchistes de Nestor Makhno au Sud (la Novorossia actuelle). Petlioura était un antisémite forcené, ses hommes étaient habitués, dans leur propre pays, à massacrer des familles ou des villages juifs. Petlioura était le protecteur des « nationalistes intégraux » ukrainiens et de leur mentor, Dmytro Dontsov, qui deviendra par la suite administrateur de l’Institut Reinhard Heydrich chargé de l’exécution de la « solution finale de la question juive »1.

Lorsque le bruit se répandit que Jabotinsky avait fait alliance avec des « massacreurs de juifs », l’Organisation sioniste mondiale le convoqua pour explication. Mais il préféra démissionner de ses fonctions communautaires plutôt que de répondre à des questions. Il créa alors l’Alliance des « sionistes révisionnistes » (surtout présente dans la diaspora polonaise et lettonne) et sa milice, le Betar. Il se détourna de l’Empire britannique et s’enthousiasma pour l’Italie fasciste. Il créa une académie militaire pour le Betar à proximité de Rome avec le soutien du duce Benito Mussolini.

Garde d’honneur du Betar devant le portrait de Jabotinky
à la citadelle de Ze’ev.

En 1936, Jabotinsky imagina un « plan d’évacuation » des juifs d’Europe centrale et orientale vers la Palestine. Il obtint le soutien du chef de l’État polonais, le maréchal Józef Piłsudski, et de son ministre des Affaires étrangères, Józef Beck. Mais aussi celui du régent hongrois, l’amiral Miklós Horthy, sans oublier celui du Premier ministre roumain, Gheorghe Tătărescu. Ce plan ne fut jamais réalisé, car les juifs d’Europe centrale et orientale étaient effrayés par les alliés de Jabotinsky et parce que l’Empire britannique s’opposa à une émigration massive en Palestine. En définitive, Chaim Weizmann, alors président de l’Organisation sioniste mondiale, assura que Jabotinsky était impliqué dans le plan franco -polono-nazi de déportation des juifs à Madagascar.

C’est à cette période que Vladimir Jabotinsky prophétisa l’holocauste devant des publics juifs médusés. Selon lui, en refusant son plan d’évacuation, la diaspora allait provoquer un sursaut de violence contre elle. À la surprise générale, c’est ce que ses amis mirent effectivement en œuvre : l’extermination de millions de juifs.

Vladimir Jabotinky (à droite) et Menachem Begin (à gauche),
lors d’une réunion du Bétar à Varsovie.

En 1939, Jabotinsky rédigea un plan pour un soulèvement des juifs de Palestine contre l’Empire britannique qu’il envoya à la section locale des « sionistes révisionnistes », l’Irgun. La Seconde Guerre mondiale repoussa ce projet à plus tard. Jabotinsky ne se fixa pas en Italie fasciste, mais aux États-Unis, alors neutres, où l’un de ses disciples le rejoignit pour devenir son secrétaire particulier. C’était Benzion Netanyahu, le père de Benjamin Netanyahu.

Durant la guerre, Vladimir Jabotinsky et Benzion Netanyahu reçurent la visite d’un professeur de philosophie de Chicago, Léo Strauss. C’était aussi un juif fasciste. Il avait été contraint de quitter l’Allemagne en raison de l’antisémitisme nazi, mais restait toujours un fasciste convaincu. Léo Strauss est devenu par la suite la référence des « néo-conservateurs » aux USA. Il a créé sa propre école de pensée, assurant à ses quelques disciples, après la Seconde Guerre mondiale, que le seul moyen pour des juifs de se prévenir d’une nouvelle Shoah, c’est de créer leur propre dictature. Parmi ses élèves, on compte aussi bien Paul Wolfowitz qu’Elliott Abrams, l’homme qui se tient aujourd’hui derrière Benjamin Netanyahu et qui a financé sa « réforme des institutions » cet été.

Vladimir Jabotinsky mourut à New York, en 1940. David ben Gourion s’opposa au transfert de ses cendres en Israël, mais, en 1964, le Premier ministre d’Israël, l’Ukrainien Levi Eshkol, l’autorisa.

Le Premier ministre Benjamin Netanyahu rend hommage à son héros, Vladimir Ze’ev Jabotinky.

Après la Guerre mondiale, les « sionistes révisionnistes » de l’Irgun déclarent la guerre à l’Empire britannique pour avoir limité l’émigration juive en Palestine. Sous le commandement du futur Premier ministre, le Biélorusse Menachem Beguin, ils organisent une série d’attentats, dont celui contre l’hôtel King David qui fit 91 morts ou le massacre de Deir Yassin qui fit au moins une centaine de victimes.

En novembre 1947, l’Assemblée générale des Nations unies adopte un plan de partage de la Palestine entre deux zones, juive et arabe, afin de former un État binational. Profitant de la lenteur de l’organisation intergouvernementale, David ben Gourion proclame unilatéralement l’État d’Israël, le 14 mai 1948. Les États arabes réagissent par les armes, tandis que des milices juives débutent l’expulsion de 750 000 Palestiniens, la Nakba. Inquiète de ces rapides développements, l’Assemblée générale envoie un émissaire suédois, le comte Folke Bernadotte, pour délimiter les deux États fédérés. Mais le 17 septembre 1948, d’autres « sionistes révisionnistes », appartenant au Lehi (dit « Groupe Stern »), sous le commandement d’un autre futur Premier ministre, le Biélorusse Yitzhak Shamir, l’assassinent. Ils sont tous condamnés par un tribunal israélien. Le ministre des Affaires étrangères, l’Ukrainien Moshé Shertok (ou Sharett), écrit à l’Assemblée générale pour demander l’adhésion d’Israël aux Nations unies. Il « déclare que l’État d’Israël accepte par la présente, sans réserve aucune, les obligations découlant de la charte des Nations unies et qu’il s’engage à les observer du jour où il deviendra Membre des Nations Unies ». À ces conditions expresses, Israël devient membre de l’ONU, le 11 mai 1949. Dans les jours qui suivent, Yehoshua Cohen, l’assassin du comte Bernadotte est discrètement libéré. Il devient le garde du corps du Premier ministre, David ben Gourion.

Benjamin Netanyahu jeune et Yitzhak Shamir.

De 1955 à 1965, Yitzhak Shamir dirige un département du Mossad, les services secrets extérieurs du nouvel État. Sans en informer ses supérieurs, il structure la police secrète du shah d’Iran, la Savak. Environ deux cents de ses hommes viennent y enseigner la torture aux côtés d’anciens nazis2.
Puis, alors qu’il négocie les Accords de Camp David avec l’Égypte, il déplace les hommes qu’il avait envoyés en Iran vers le Congo, en 1979. Probablement avec le soutien de la CIA états-unienne, ils encadrent désormais la police secrète de Mobotu Sese Seko. Il se rend sur place pour les contrôler.

Dans le cadre de la Guerre froide, Yitzhak Shamir aide aussi la dictature taïwanaise3.

Cette fois à l’insu des États-Unis, il crée un groupe terroriste à New York, la Jewish Defense League du rabbin Meir Kahane4. Il supervise une campagne pour l’émigration des juifs soviétiques en Israël, des attentats contre la délégation soviétique à l’ONU et enfin contre la légation de l’Organisation de libération de la Palestine.

Il noue des alliances avec l’Afrique du Sud5. Il participe à la création des « bantoustans », de faux États africains qui permettent à l’Afrique du Sud de ne plus considérer sa population noire comme des ressortissants, mais comme des émigrés ; un modèle que les « sionistes révisionnistes » appliqueront ultérieurement aux Palestiniens.
Sur cette lancée, il fait financer par Israël les recherches du médecin personnel du président Pieter Botha, le docteur Wouter Basson. Celui-ci, à la tête de 200 scientifiques, entend créer des maladies qui n’affecteront que les noirs et les Arabes (Projet Coast6).7

Un crime en entraînant un autre, il soutient aussi la Rhodésie8 et la lutte contre l’indépendance des colonies portugaises du Mozambique et d’Angola.

Au Guatemala, Yitzhak Shamir se rapproche de la dictature du général Rios Montt. Il ne se contente pas de lui de fournir des armes, mais aussi supervise sa police secrète. Il met en place un institut d’informatique qui surveille les consommations d’eau et d’électricité et peut ainsi détecter et localiser des activités clandestines. Il organise la population maya en kibboutzim de manière à la faire travailler et à la surveiller sans avoir à procéder à une réforme agraire. Ainsi protégé, Rios Montt assassine 250 000 personnes.9 ; un modèle que les sionistes révisionnistes souhaitent appliquer aux Palestiniens. Les rapports entre Israël et les États-Unis au sujet de l’expérimentation guatémaltèque passent par le straussien Elliott Abrams.

Durant toute la Guerre froide, les « sionistes révisionnistes » n’ont pas agi dans l’intérêt du camp occidental, ils ont utilisé les opportunités qui se présentaient pour faire ce que Vladimir Ze’ev Jabotinky avait toujours fait : exercer le pouvoir par la force sans aucun égard pour qui que ce soit.

Vers la fin de la Conférence de Madrid, la délégation israélienne a ressorti cette vieille affiche
de la police britannique en Palestine mandataire :
elle demande des informations sur le groupe terroriste Lehi.
En haut à gauche : Menachem Beguin.

À la fin de la Guerre froide, le président Bush père convoqua la conférence de Madrid pour résoudre enfin la question israélo-palestinienne. Durant celle-ci, la délégation israélienne, présidée par Yitzhak Shamir, devenu Premier ministre, exige l’abrogation de la résolution 3379 de l’Assemblée générale des Nations unies10 avant la poursuite des débats. Celle-ci affirme que « le sionisme est une forme de racisme et de discrimination raciale ». « Avec un cœur ouvert, nous appelons les dirigeants arabes à prendre le pas courageux et à répondre à notre main tendue en paix », déclame Shamir, grandiloquent. Soucieuse de permettre un accord, l’Assemblée générale obtempère. Mais, trompant ses interlocuteurs, Israël ne prendra aucun engagement et fera même tout pour faire échouer la candidature à un second mandat de George H. Bush.

Un petit mot avant de conclure sur les personnalités de ce dispositif aujourd’hui.

Le président juif ukrainien Volodymyr Zelenski
et le « führer blanc », Andriy Biletsky

L’alliance des « sionistes révisionnistes » et des « nationalistes intégraux » ukrainiens s’est reformée à la dissolution de l’Union soviétique. Un oligarque mafieux, le juif Ihor Kolomoïsky, a propulsé en politique un jeune humoriste juif, Volodymyr Zelensky, tout en finançant les milices nationalistes intégrales qui assiégeaient et bombardaient les populations ukrainiennes russophones du Donbass. Le refuznik Natan Sharansky, ancien ministre d’Ariel Sharon, organise des réunions entre des personnalités juives mondiales et le cabinet du président ukrainien. Tandis que Voldymyr Zelensky a confié le commandement des deux grandes batailles de Marioupol et de Bakhmout à Andriy Biletsky, le « führer blanc ».

Le 19 juillet 2018, à l’initiative des « sionistes révisionnistes », la Knesset adopte une loi proclamant Israël comme « État juif », avec l’hébreu comme seule langue officielle et Jérusalem unifiée comme capitale. Les colonies juives en territoire palestinien sont considérées comme relevant de l’« intérêt national ».

Quatre ans plus tard, Benjamin Netanyahu constitue un gouvernement avec une coalition formée avec les disciples du rabbin Kahane. En 2022, Itamar Ben-Gvir, président d’Otzma Yehudit (parti du Pouvoir juif) déclare qu’il va expulser les Arabes de Palestine. Des membres de son parti lancent une attaque contre le village cisjordanien d’Huwara, en février 2023, sept mois avant l’attaque palestinienne du 7 octobre. En quelques heures, ils incendient des centaines de voitures et 36 maisons. Ils s’acharnent sur les habitants, faisant 400 blessés et tuent un homme sous les yeux de l’armée israélienne qui encerclait le village sans intervenir face à leurs exactions.

Ce bref résumé historique nous montre qu’il n’y a pas plus de problème israélo-arabe que de problème ukraino-russe, mais un énorme problème de tous avec une idéologie qui, en des lieux et des époques différentes, n’a fait que semer la souffrance et la mort. Nous devons ouvrir les yeux et ne plus accepter de nous mobiliser avec des actions sous faux drapeau et autres mensonges.


1 « Qui sont les nationalistes intégraux ukrainiens ? », par Thierry Meyssan, Réseau Voltaire, 15 novembre 2022.

2 « SAVAK : A Feared and Pervasive Force », Richard T. Sale, Washington Post, May 9, 1977. Debacle: The American Failure in Iran. Michael Ledeen, Vintage (1982).

3 תמכור נשק. » ש’ פרנקל, העולם הזה, 31 באוגוסט 1983. ».Israel: Foreign Intelligence and Security Services. CIA, March 1979.

4 The False Prophet: Rabbi Meir Kahane, From FBI Informant to Knesset Member, Robert I. Friedman, Lawrence Hill Books (1990).

5 The Unspoken Alliance: Israel’s Secret Relationship with Apartheid South Africa, Sasha Polakow-Suransky, Vintage (2011). The Unnatural Alliance: Israel and South Africa, James Adams, Quartet Books (1984).

6 Project Coast: Apartheid’s Chemical and Biological Warfare Programme, Chandré Gould & Peter Folb, United Nations Institute for Disarmament Research, UNIDIR/2002/12. The Rollback of South Africa’s Chemical and Biological Warfare Program, Dr. Stephen F. Burgess & Dr. Helen E. Purkitt, USAF Counterproliferation Center (2001).

7 « L’Afrique du Sud, ex-laboratoire secret de bioterrorisme des démocraties », Réseau Voltaire, 28 octobre 2002. Dr la Mort, enquête sur un bioterrorisme d’État en Afrique du Sud, Tristan Mendès France, Favre (2002).

8 « The Rhodesian Army: Counter-insurgency 1972-1979 » in Armed forces and modern counter-insurgency, Ian F.W. Beckett and John Pimlott, Croom Helm (1985).

9 « Israeli Connection Not Just Guns for Guatemala », George Black, NACLA Report on the Americas, 17:3, pp. 43-45, DOI: 10.1080/10714839.1983.11723592

10 « Qualification du sionisme », ONU (Assemblée générale), Réseau Voltaire, 10 novembre 1975.




En voulant nier le Grand Remplacement, il montre son existence

[Source : bvoltaire.fr]

Le détracteur de Renaud Camus démontre le Grand Remplacement

Par Jany Leroy

Il ne pleut pas, ce sont des gouttes d’eau qui tombent. Les téléspectateurs ayant bien assimilé la démarche intellectuelle du démographe Hervé Le Bras vont pouvoir suivre ses explications. Le chantre de la négation du Grand Remplacement est l’invité de l’émission de France 5 consacrée au « réarmement démographique » évoqué par Emmanuel Macron. Les quelques farfelus de droite et autres complotistes présents devant leur écran vont devoir en convenir. Renaud Camus a tort. Son détracteur va éclairer le phénomène migratoire tel que constaté à ce jour. Un peu de réalisme, que diable : « Actuellement, il faut savoir que la croissance de la population française, l’année dernière, est assurée pour les quatre cinquièmes par l’immigration. » Il ne neige pas, ce sont des flocons qui tombent. Grand Remplacement, mon œil ! Il s’agit simplement de 80 % de l’accroissement de la population française qui sont assurés par des familles d’origine étrangère, si l’on en croit ce grand spécialiste.

Au terme de son explication enjouée, Hervé Le Bras cite l’exemple merveilleux de l’Allemagne. « Il n’y a pas que la natalité pour assurer la survie d’un continent », assène-t-il. Culture, religion, mœurs, compatibilité de cohabitation ? Le démographe de gauche ne jure que par sa calculette. Un papa + une maman = plein de bébés. À ce troupeau d’antilopes en mal de naissances, il fournira des lionceaux. Le compte est bon. Troupeau suivant. Des Européens ? Par ici, Africains, Esquimaux ou Japonais, que sais-je. Avec la sensibilité d’un gestionnaire de stock de surgelés, le mondialiste se fait fort de relancer la démographie des nations. À un manque de trois palettes de petits pois, il saura compenser par un arrivage de haricots verts. Hervé Le Bras est à l’immigration ce que le grossiste est au marché international de Rungis. Excepté la vérification de la qualité des produits commandés, tout les rassemble.


Le Grand Remplacement selon Renaud Camus

L’appel à la Résistance de Renaud Camus – Horizon Québec Actuel (horizonquebecactuel.com)
(Cliquer sur l’image pour lancer la vidéo)



Transcription

L’immigration est devenue invasion, l’invasion submersion migratoire.

La France et l’Europe sont cent fois plus colonisées, et plus gravement, qu’elles n’ont jamais colonisé elles-mêmes. La colonisation irréversible, c’est la colonisation démographique, par transfert de population.

Certains disent qu’il n’y a pas colonisation parce qu’il n’y a pas conquête militaire. Ils se trompent. L’armée de la conquête, ce sont les délinquants petits et grands, tous ceux qui rendent la vie impossible aux Français en leur nuisant de toutes les façons imaginables, des trop fameuses incivilités jusqu’au terrorisme, qui n’en est que le prolongement. Tous les auteurs d’attentats ont fait leurs premières armes dans la délinquance de droit commun. Il n’y a d’ailleurs pas de terroristes. Il y a un occupant qui, de temps en temps, exécute quelques otages, nous, comme l’ont toujours fait tous les occupants. J’appelle occupants tous ceux qui se déclarent tels, ou s’affichent tels par leur comportement.

Le changement de peuple, la substitution ethnique, le Grand Remplacement, sont l’événement le plus important de l’histoire de notre pays depuis qu’il existe, puisqu’avec un autre peuple l’histoire, si elle continue, ne sera plus celle de la France. La France a toujours à merveille assimilé des individus qui désiraient l’être, elle ne peut pas assimiler des peuples, et encore moins des peuples hostiles, vindicatifs, voire haineux et conquérants. Il faut une vanité sans nom, et une méconnaissance totale de ce que c’est qu’un peuple, pour imaginer qu’avec une population changée la France serait encore la France. Tous les mots sont menteurs mais le plus menteur de tous est celui de français, hélas. Il n’y a pas de djihadistes français, par exemple. S’ils sont djihadistes, ils ne sont pas français.

Croire qu’il n’y a en France que des Français est une illusion totale. Il y a des envahisseurs et des envahis, des colonisateurs et des colonisés, des occupants et des occupés.

On ne met pas fin à une colonisation sans le départ du colon : l’Algérie en son temps nous l’a assez montré, hélas — bonne occasion pour nous de souligner, au demeurant, la différence de civilisation.

On ne met pas fin à une occupation sans le départ de l’Occupant. Il n’est d’autre issue que la remigration. Les mêmes qui la déclarent impraticable veulent faire venir en Europe quarante millions de migrants, quand ce n’est pas deux cents millions. Ils proclament l’homme entré dans une ère de migration générale. Qu’il migre et remigre, alors. Ce qui est possible dans un sens doit bien l’être dans l’autre, avec plus de moyens et de douceur.

L’heure n’est plus à la politique, aux élections, aux partis. 2022 est trop loin, le changement de peuple sera alors trop avancé, les remplaçants seront les arbitres de la situation, à moins qu’ils n’en soient tout à fait les maîtres. Et il n’y a, de toute façon, aucune chance de l’emporter jamais à un jeu dont l’adversaire possède toutes les cartes et dont il a fixé toutes les règles. Le pouvoir, ses banques, ses juges et ses médias veulent la substitution ethnique. Ils ne nous en protègent pas, ils l’organisent et la promeuvent. Ils ont drogué le peuple à l’accepter, par l’enseignement de l’oubli, la déculturation, la censure, la répression et les injections permanentes de haine de soi. Ils n’importent pas des travailleurs, d’autant qu’il n’y pas de travail et qu’il y en aura de moins en moins. Ils importent de futurs consommateurs, qu’ils ne se donnent même plus la peine de faire passer pour des réfugiés puisque l’immense majorité de ces migrants vient de pays où il n’y a pas la moindre guerre : orphelins, malades, jeunes gens aventureux ou conquérants, adolescents qui se sont disputés avec leurs parents ou qui ont eu maille à partir avec la police, commerçants qui ont fait de mauvaises affaires.

Vous dites que ces futurs consommateurs n’ont pas d’argent. Détrompez-vous, demain ils auront le vôtre, car les prétendus transferts sociaux ne sont, à la vérité, pas grand-chose d’autre que des transferts ethniques. L’Europe est le premier continent qui paie pour sa propre colonisation.

Un spectre hante l’Europe et le monde. C’est le remplacisme, la tendance à tout remplacer par son double normalisé, standardisé, interchangeable : l’original par sa copie, l’authentique par son imitation, le vrai par le faux, les mères par les mères porteuses, la culture par les loisirs et le divertissement, les connaissance par les diplômes, la campagne et la ville par la banlieue universelle, l’indigène par l’allogène, l’Europe par l’Afrique, l’homme par la femme, l’homme et la femme par des robots, les peuples par d’autres peuples, l’humanité par une posthumanité hagarde, indifférenciée, standardisée, interchangeable à merci.

De toutes les manipulations génétiques, le Grand Remplacement, sorte de GPA appliqué à l’ensemble de la planète, est la pire. Le génocide par substitution, selon l’expression d’Aimé Césaire, est le crime contre l’humanité du XXI siècle. Il est d’ailleurs bien singulier que les écologistes arrêtent à l’homme leur louable souci de biodiversité.

Le remplacisme s’estime désormais assez fort pour prendre en main directement la gestion du parc humain, sans intermédiaire. En France, Emmanuel Macron, qui en est dans le monde, avec Justin Trudeau, le représentant le plus achevé, a déjà neutralisé le microcosme, renvoyé dans leurs foyers les principaux acteurs de la vie politique française depuis trente ans, peuplé l’Assemblée de fantoches à sa solde, composé un gouvernement de rencontre, fait éclater tous les grands partis. Il ne gouverne pas, il gère, comme il le ferait une banque ou une société anonyme.

Il sort de la politique par l’économie, par la finance et la gestion d’entreprise. Nous voulons en sortir par l’histoire. La question de l’indépendance ou de l’asservissement d’une grande nation, de la survie ou de la disparition d’une grande civilisation, ce n’est pas de la politique, cela : c’est de l’histoire. Charles de Gaule — que nous célébrons aujourd’hui près de sa tombe, pour l’anniversaire de sa mort —, Charles de Gaulle à Londres, ce n’était pas de la politique. Jean Moulin à Lyon ce n’était pas de la politique. Jeanne d’Arc à Chinon non plus, ni Gandhi à Calcutta, ni aucun de ceux qui se sont levés pour l’indépendance de leur pays et pour la dignité de leur peuple.

Ce dont nous avons besoin aujourd’hui ce n’est pas un nouveau parti, pas même une union des droites : le refus du totalitarisme remplaciste n’est pas moins de gauche que de droite. Ce dont nous avons besoin c’est le rassemblement de tous ceux qui opposent un grand Non à l’islamisation et à la conquête africaine. Ce qu’il faut c’est un Conseil National de la Résistance, de la résistance européenne, car toutes les nations européennes sont invitées à mener à nos côtés le combat pour le salut de notre civilisation commune, celte, slave, gréco-latine, judéo-chrétienne et libre-penseuse.

Mon ami Karim Ouchikh, président du Siel, et moi, Renaud Camus, avons décidé de constituer précisément cela, un CNR, ou CNRE. Nous proposerons publiquement de se joindre à nous à toutes les personnalités qui nous semblent animées du même désir de sauver notre pays et nous élargirons ainsi notre comité, par cooptation. Mais tous les Français et tous les Européens qui pensent comme nous sont invités à se mettre en relation avec nous et à nous apporter leur soutien. L’objectif est de constituer une force telle qu’il soit, dans l’idéal, inutile de s’en servir.

Cela dit, si par malheur il se trouvait que la seule alternative qui nous fût laissée soit la soumission ou la guerre, la guerre alors, cent fois. Elle n’aurait d’ailleurs rien de civil, malgré le nombre des collaborateurs et des traîtres. Elle s’inscrirait plutôt dans la grande tradition des combats pour le droit des peuples à disposer d’eux-mêmes, pour la libération du territoire et pour la décolonisation. Il faut sortir enfin de l’ère coloniale, dont nos colonisateurs nous disent tant de mal tout en nous colonisant. Il faut arrêter une bonne fois, si possible au-dessus de la Méditerranée, le balancier fou des colonisations et contre-colonisations.

Vive la France libre. Vive la civilisation européenne.




Allemagne : pourquoi Scholtz n’a pas d’argent pour ses agriculteurs

Par Nicole Delépine

Les agriculteurs allemands ont décortiqué le budget de leur pays en cherchant à comprendre pourquoi on ne voulait pas baisser leurs taxes.

Si leurs chiffres sont justes, nos cheveux se dressent sur nos têtes. Les Allemands comme le français en ont assez de nourrir la terre entière quand deux agriculteurs français se suicident chaque jour et que leur revenu moyen est de l’ordre de 350 euros par mois, c’est-à-dire beaucoup moins que les étrangers venus illégalement en France.

Selon @BPartisans
Le 21 JANVIER 2024 :

Allemagne Les agriculteurs de Saxe ont calculé combien d’argent le gouvernement dépense à des fins étranges pendant la crise. Bien entendu, les Allemands fournissent cette information en se demandant pourquoi Scholz n’a pas d’argent pour les agriculteurs.

  • 28 milliards — pour la guerre et le financement des agences gouvernementales de l’Ukraine
  • 10 milliards d’euros pour la croissance des énergies vertes en Inde
  • 4 Milliards d’euros pour l’énergie verte en Afrique
  • 781 millions d’euros — pour le développement de la Syrie
  • 579 millions d’euros — pour le développement de l’Inde
  • 473 millions d’euros — pour le développement de la Chine
  • 392 millions d’euros — pour le développement de l’Éthiopie
  • 375 millions d’euros — pour le développement de la Turquie
  • 354 millions d’euros — pour le développement de l’Indonésie
  • 350 millions d’euros pour l’Irak
  • 345 millions d’euros pour la Jordanie
  • 327 millions d’euros — pour le développement de l’Afghanistan et d’autres pays
  • 87 millions d’euros pour la généralisation de l’assurance maladie en Tanzanie
  • 120 millions d’euros pour étendre l’utilisation des sources d’énergie renouvelable dans le réseau électrique du Pakistan
  • 94 millions d’euros — pour les réformes de la politique financière et climatique de la Zambie
  • 200 millions d’euros — pour mettre en œuvre les objectifs climatiques nationaux de la Colombie 184 millions d’euros pour la transformation verte, la réforme administrative et la lutte contre la corruption en Serbie
  • 40 millions d’euros pour les ménages dans le besoin afin d’atténuer la montée en flèche des coûts en Moldavie
  • 315 millions d’euros pour les bus et les pistes cyclables au Pérou
  • 640 millions d’euros pour des projets climatiques et les énergies renouvelables au Nigeria
  • 44 millions d’euros — pour la Palestine
  • 170 millions d’euros pour une transition énergétique socialement juste au Sénégal
  • 80 millions d’euros, notamment pour la production de produits de football en coton biologique en Inde
  • 100 millions d’euros, notamment pour l’éducation sexuelle au Mozambique

Nous répétons. Scholz dépense 100 millions d’euros pour l’éducation sexuelle au Mozambique.

Apparemment, il ne s’agit pas d’une idiotie, mais d’un sabotage délibéré de l’économie allemande. Des stratagèmes de corruption et des pots-de-vin aux décideurs ne peuvent pas non plus être exclus.

https://www.lindependant.fr/2024/01/19/blocus-des-agriculteurs-en-occitanie-si-gabriel-attal-ne-vient-pas-nous-voir-on-ira-le-chercher-a-matignon-en-tracteur-11706183.php




PROTOCOLE 666 — L’agenda d’une élite dégénérée & satanique

[Source : le centurion romain]

Disciple de l’essayiste québécois René Bergeron et de l’ancien commandant de la marine canadienne William Guy Carr, Monast fut également proche des défenseurs du crédit social (Parti Crédit social du Canada).

Au début des années 1990, il se consacre à la rédaction d’ouvrages sur le thème du Nouvel Ordre Mondial et de conspirations ourdies par des sociétés secrètes, en particulier par les Illuminati. Il est particulièrement inspiré par les travaux de William Guy Carr.

Il fonde l’Agence Internationale de Presse libre (AIPL) où il publie la plupart de ses enquêtes.

En 1995, il fait paraître un document intitulé les « Protocoles de Toronto », un livre fait selon le modèle des Protocoles des sages de Sion où il dévoile l’activité secrète d’un groupe maçonnique, les « 666 », rassemblant tous les vingt ans les puissants de ce monde en vue de l’établissement du Nouvel Ordre Mondial et du contrôle mental des individus.

[Voir aussi, en version écrite :
Protocoles de Toronto et Aurore Rouge — L’agenda élitiste]




Retour sur René Guénon et les classes moyennes condamnées

Par Nicolas Bonnal

Les classes moyennes sont condamnées en occident et elles ont beau être bouchées, elles finissent par le savoir.

Christophe Guilluy a dit récemment au Figaro sur la révolte un peu tardive tout de même de notre classe moyenne française :

« Le soft power des classes populaires et moyennes est effectivement à l’œuvre. Il porte jusqu’au sommet des thématiques dont les pouvoirs n’ont jamais voulu entendre parler depuis trente ans. L’œil rivé sur les sondages, Gabriel Attal a compris le danger. Il sait que ceux que j’appelle les dépossédés sont prêts au grand basculement. Portés par un instinct de survie et un diagnostic forgé dans plusieurs décennies de crise sociale, économique et culturelle, ils contraignent les dirigeants à parler de ceux qu’ils ignoraient avant-hier et même à utiliser des mots qui leur écorchaient la bouche il y a quelque temps en évoquant la souveraineté ou (indirectement) l’insécurité culturelle. » 

Cette incapacité à se défendre et cette inaptitude à comprendre ce qui leur arrive depuis, quarante ou soixante ans même en Amérique, me fascine. Avant de pleurer le sort de la classe moyenne, marquée par la médiocrité et la dépendance vis-à-vis de l’État-nation moderne, essayons de la comprendre. On commence par Taine et des formidables Fables de La Fontaine :

« Le bourgeois est un être de formation récente, inconnu à l’antiquité, produit des grandes monarchies bien administrées, et, parmi toutes les espèces d’hommes que la société façonne, la moins capable d’exciter quelque intérêt. Car il est exclu de toutes les idées et de toutes les passions qui sont grandes, en France du moins où il a fleuri mieux qu’ailleurs. Le gouvernement l’a déchargé des affaires politiques, et le clergé des affaires religieuses. La ville capitale a pris pour elle la pensée, et les gens de cour l’élégance. L’administration, par sa régularité, lui épargne les aiguillons du danger et du besoin. »

Bobo ou pas, notre bourgeois moyen est un rapetissé (Taine était correspondant de Nietzsche, qui décrit vers la même époque le dernier homme — et de Pearson qui salue de la formidablement médiocre Australie cette volonté de se débarrasser non du fardeau de l’homme blanc mais de celui de la personnalité) :

« Il vivote ainsi, rapetissé et tranquille. À côté de lui un cordonnier d’Athènes qui jugeait, votait, allait à la guerre, et pour tous meubles avait un lit et deux cruches de terre, était un noble. »

Le bourgeois froncé, « homme sans qualités », est spécialement médiocre. En effet, Taine ajoute :

« Ses pareils d’Allemagne trouvent aujourd’hui une issue dans la religion, la science ou la musique. Un petit rentier de la Calabre, en habit râpé, va danser, et sent les beaux-arts. Les opulentes bourgeoisies de Flandre avaient la poésie du bien-être et de l’abondance. Pour lui, aujourd’hui surtout, vide de curiosités et de désirs, incapable d’invention et d’entreprise, confiné dans un petit gain ou dans un étroit revenu, il économise, s’amuse platement, ramasse des idées de rebut et des meubles de pacotille, et pour toute ambition songe à passer de l’acajou au palissandre. Sa maison est l’image de son esprit et de sa vie, par ses disparates, sa mesquinerie et sa prétention. »

Roland Barthes en a parlé, Walter Benjamin, d’autres encore.

Or ce bourgeois moyen étatisé et rapetissé est sans défense.

On en vient à Guénon ; lui en veut spécialement à notre classe moyenne (dont nous faisons tous plus ou moins partie) et il défend formidablement le peuple honni des élites actuelles ; il écrit dans Initiation et réalisation spirituelle, XXVIII :

« Le peuple, du moins tant qu’il n’a pas subi une “déviation” dont il n’est nullement responsable, car il n’est en somme par lui-même qu’une masse éminemment “plastique”, correspondant au côté proprement “substantiel” de ce qu’on peut appeler l’entité sociale, le peuple, disons-nous, porte en lui, et du fait de cette “plasticité” même des possibilités que n’a point la “classe moyenne” ; ce ne sont assurément que des possibilités indistinctes et latentes, des virtualités si l’on veut, mais qui n’en existent pas moins et qui sont toujours susceptibles de se développer si elles rencontrent des conditions favorables. »

Inapte à la Tradition et à l’initiation, cette classe moyenne. Guénon ajoute :

« Quant à la “classe moyenne”, il n’est que trop facile de se rendre compte de ce qu’on peut en attendre si l’on réfléchit qu’elle se caractérise essentiellement par ce soi-disant “bon sens” étroitement borné qui trouve son expression la plus achevée dans la conception de la “vie ordinaire”, et que les productions les plus typiques de sa mentalité propre sont le rationalisme et le matérialisme de l’époque moderne ; c’est là ce qui donne la mesure la plus exacte de ses possibilités, puisque c’est ce qui en résulte lorsqu’il lui est permis de les développer librement. Nous ne voulons d’ailleurs nullement dire qu’elle n’ait pas subi en cela certaines suggestions, car elle aussi est “passive”, tout au moins relativement ; mais il n’en est pas moins vrai que c’est chez elle que les conceptions dont il s’agit ont pris forme, donc que ces suggestions ont rencontré un terrain approprié, ce qui implique forcément qu’elles répondaient en quelque façon à ses propres tendances ; et au fond, s’il est juste de la qualifier de “moyenne”, n’est-ce pas surtout à la condition de donner à ce mot un sens de “médiocrité” ? »

Dans le Chapitre jonction des extrêmes, Guénon ajoute (dans une note) :

« En effet, l’industrie moderne est bien l’œuvre propre de la “classe moyenne”, qui l’a créée et qui la dirige, et c’est pour cela même que ses produits ne peuvent satisfaire que des besoins dont toute spiritualité est exclue, conformément à la conception de la “vie ordinaire” ; cela nous semble trop évident pour qu’il y ait lieu d’y insister davantage. »

Ce qu’il nomme déviant, Marx le nomme « révolutionnaire ». Le bourgeois est le révolutionnaire par excellence dans le monde moderne. On devrait finir par le comprendre en France au bout de deux siècles et demi…

Rappelons cette page du Manifeste :

« La Bourgeoisie a joué dans l’histoire un rôle essentiellement révolutionnaire. Partout où elle a conquis le pouvoir, elle a foulé aux pieds les relations féodales, patriarcales et idylliques. Tous les liens bariolés qui unissaient l’homme féodal à ses supérieurs naturels, elle les a brisés sans pitié, pour ne laisser subsister d’autre lien, entre l’homme et l’homme, que le froid intérêt, le dur paiement au comptant. Elle a noyé l’extase religieuse, l’enthousiasme chevaleresque, la sentimentalité petite-bourgeoise, dans les eaux glacées du calcul égoïste. »

Marx ajoute même :

« La Bourgeoisie a dépouillé de leur auréole toutes les professions qui passaient jusque-là pour vénérables et qu’on considérait avec un saint respect. Le médecin, le juriste, le prêtre, le poète, le savant, elle les a enrôlés parmi les travailleurs salariés. La Bourgeoisie a déchiré le voile de sentimentalité qui recouvrait les relations de famille et les a réduites à n’être’ que de simples relations pécuniaires. »

Et le représentant de l’élite bourgeoise mondialisée a décidé aujourd’hui de liquider le trop-plein de population…

Il y a un autre texte de Guénon qui se rapproche de la situation actuelle, marqué par le commandement bourgeois ultime : le commandement totalitaire informatique via les CBDC, le contrôle social et compagnie ; c’est celui sur la Cité divine où tout est commandé par un smart cerveau :

« Aussi une autre image plus exacte est-elle donnée par le jeu des marionnettes, puisque celles-ci ne sont animées que par la volonté d’un homme qui les fait mouvoir à son gré ; et l’on trouve à cet égard un “mythe” particulièrement frappant dans le Kathâ-Sarit-Sâgara. Il y est question d’une cité entièrement peuplée d’automates en bois, qui se comportent en tout comme des êtres vivants, sauf qu’il leur manque la parole ; au centre est un palais où réside un homme qui est l’’unique conscience’ (êkakam chêtanam) de la cité et la cause de tous les mouvements de ces automates qu’il a fabriqués lui-même ; et il y a lieu de remarquer que cet homme est dit être un charpentier, ce qui l’assimile à Vishwakarma, c’est-à-dire au Principe divin en tant qu’il construit et ordonne l’Univers. »

Les habitants devenus des automates ? C’est le rêve de la Montagne magique de Davos (relisez Thomas Mann dans ce sens).

Concluons rapidement : il y a une élite bourgeoise sacrément dangereuse, et une masse moyenne sans défense.

Sources :

https://www.dedefensa.org/article/taine-et-le-cretinisme-du-francais-de-souche

https://www.lefigaro.fr/vox/societe/christophe-guilluy-il-n-y-a-plus-d-alternative-ce-sera-le-chaos-ou-le-retour-a-la-souverainete-du-peuple-20240115

http://classiques.uqac.ca/classiques/guenon_rene/initiation_realisation_spirituelle/initiation_realisation_spirituelle.pdf

http://classiques.uqac.ca/classiques/guenon_rene/Symboles_science_sacree/Symboles_science_sacree.pdf

https://pandor.u-bourgogne.fr/archives-en-ligne/functions/ead/detached/BMP/brb1067.pdf

http://classiques.uqac.ca/classiques/taine_hippolyte/la_fontaine_et_ses_fables/Taine_LaFontaine_fables.pdf

https://lecourrierdesstrateges.fr/2022/07/15/lecons-libertariennes-n3-le-dernier-homme-et-la-critique-nietzscheenne-de-letat-moderne-par-nicolas-bonnal/




Sauvons nos agriculteurs dont l’UE et les écologistes veulent la disparition

Par le Dr Gérard Delépine, chirurgien

Sous prétexte de sauver la planète (qui survivra à l’espèce humaine quoiqu’il arrive), les écologistes et l’UE créent sans cesse des normes et des interdictions qui, peu à peu, détruisent notre agriculture tandis que les prétextes de la guerre en Ukraine et du financement de la transition écologique entraînent une augmentation des taxes de toutes sortes, dont celle du prix du diésel, poussant un nombre croissant d’agriculteurs à la ruine et au suicide.

Une politique agricole commune devenue désastreuse

La Politique agricole commune (PAC) a été mise en place en 1962 pour augmenter la production alimentaire ; elleprotégeait l’agriculture à l’aide de prix planchers et de protections douanières. Grâce à elle, la communauté européenne devenue ensuite l’Union européenne est devenue la première puissance agricole mondiale avec environ 418 milliards d’euros (dont 18 % pour la France).

Mais sous l’impulsion des lobbys écologistes et des mondialistes, l’Union européenne a développé l’une des législations agricoles les plus restrictives du monde tandis qu’elle ouvrait totalement notre marché à des pays qui ne la respectent pas. La législation UE, alourdie par l’inflation des normes spécifiquement françaises, a ainsi créé une distorsion de concurrence majeure au détriment de nos agriculteurs.

En 20 ans, la France est passée du 2e rang au 5e rang des exportateurs mondiaux de produits agricoles suscitant les inquiétudes résumées dans le rapport sénatorial du 28 septembre 20221 : un poulet sur deux, 56 % de la viande ovine, 28 % des légumes et 71 % des fruits consommés en France sont importés…

Le 22 novembre 2023, le Parlement européen a adopté, par 524 députés, dont les députés renaissance, l’accord de libre-échange entre l’Union européenne et la Nouvelle-Zélande. Ce texte autorise l’importation de milliers de tonnes de denrées alimentaires en provenance de l’autre bout du monde, concurrençant de manière déloyale celles produites sur le sol européen tout en poussant la déforestation en Nouvelle-Zélande et la pollution mondiale par le transport maritime inter continental. Pour justifier ce traité de libre-échange, ni vert, ni vertueux, en matière sociale et environnementale, l’UE avance des arguments économiques très incertains.

Et l’UE envisage aussi de ratifier le traité de libre-échange avec l’Amérique latine qui aggravera la déforestation de la forêt Amazonienne, multipliera les transports maritimes intercontinentaux polluants et concurrencera scandaleusement l’agriculture européenne.

Notre souveraineté alimentaire est menacée par des normes souvent idéologiques inadaptées et par la politique gouvernementale qui prônent « la montée en gamme » entraînant une hausse des prix alors que la population voit son pouvoir d’achat baisser les obligeant de plus en plus à acheter des produits d’importation. Le marché du bio particulièrement exposé dans ce contexte a subi une baisse du chiffre d’affaires en 2021.

Selon le rapport sénatorial précédemment cité, 70 % des pertes de parts de marché s’expliquent par la perte de compétitivité par rapport aux autres pays. Celle-ci tient entre autres au coût du travail dans le secteur agroalimentaire lié aux charges sociales nettement plus fortes en France, à la fiscalité pesant sur la production et au coût des mesures des politiques environnementales.

La dérive totalitaire et fiscale des écologistes

Leurs menaces sur l’eau nécessaire à l’irrigation, sur l’existence même des vaches (dont les rots et les pets sont accusés du réchauffement climatique dont on observe actuellement les effets en Scandinavie2), contre les chiens accusés de menacer la biodiversité et contre les chats (pourtant jadis élevés au rang de dieu par les Égyptiens pour leur rôle de défenseur des récoltes contre les rats) rendent compte de la folie totalitaire qui inspire certains écologistes qui ne conçoivent leur religion que punitive et installent progressivement une véritable inquisition climatique.

Ce sont eux qui sont à l’origine des taxes sur le CO2, les plastiques, le diesel, l’électricité pour financer les éoliennes et les voitures électriques qui nécessitent dans de nombreux pays la réouverture des centrales à charbon. Ce sont eux qui interdisent progressivement la location des logements qu’ils qualifient de passoires thermiques aggravant d’autant la crise du logement.

Il est vrai qu’ils préfèrent les rats et les punaises de lit aux pauvres dans les villes qu’ils administrent comme à Paris, Strasbourg, Lyon ou Marseille.

Récemment Bruno Le Maire, a déclaré que, pour favoriser les investissements verts, il envisageait une re fiscalisation progressive du carburant des agriculteurs de 2024 à 2030.

Les agriculteurs des pays voisins se battent pour survivre

Les agriculteurs néerlandais ont créé un parti qui les défend et a permis ainsi de renverser un gouvernement qui les oppressait comme fait le nôtre. Suivons leur exemple.

Les agriculteurs allemands manifestent depuis plusieurs semaines 3 4 5sans jamais le moindre écho dans nos médias officiels. Depuis quelques jours, épaulés par de nombreux professionnels et commerçants, ils bloquent la circulation sur les autoroutes et les villes. Sous l’impulsion des verts, la coalition dirigée par Olaf Scholz s’était mise en tête de réaffecter une partie du budget non utilisé en 2022 à un fonds spécial pour la transition écologique et d’augmenter le prix du diesel pour les agriculteurs. Et Scholz, reniant sa promesse de campagne de ne pas augmenter la TVA s’il était élu, a augmenté la taxe sur les denrées alimentaires de 7 à 19 % le 1er janvier 2024.

Les manifestations « Zu viel ist zu viel » (« Trop, c’est trop ») rassemblent actuellement agriculteurs, cheminots et les routiers qui comptent faire grève jusqu’à ce que le gouvernement renonce à leur imposer toute mesure d’austérité.

L’AFP, a signalé de fortes perturbations du trafic dans presque toutes les régions allemandes, du Bade-Wurtemberg et la Bavière au sud, en passant par le Land le plus peuplé d’Allemagne, la Rhénanie du Nord, Westphalie, jusqu’au nord du pays. Des embouteillages de camions également été observés à la frontière entre l’Allemagne, la Pologne, la République tchèque et la France. De bruyants convois de tracteurs sont notamment entrés dans les métropoles de Munich au sud, Hambourg, Brème, au nord, ou Cologne à l’ouest, paralysant en partie le trafic.

Les autorités pour discréditer le mouvement actuellement très populaire prétendent « craindre que ce mouvement ne soit infiltré par des extrémistes d’extrême droite. »

Des agriculteurs français ont également rejoint le cortège

Au micro de France 3, Franck Sander, secrétaire général adjoint de la FDSEA 67, a déclaré : « C’est tout à fait normal que le canton de Soultz se mobilise pour leurs voisins. Nous avons des relations régulières, un lien étroit avec les agriculteurs du Palatinat et du Bade-Wurtemberg ». Tandis que Charles Wollenschlaeger, président cantonal FDSEA précise :

« On en a ras le bol de ces normes européennes qui s’empilent sur nos têtes et nous étouffent : environnement, sécurité alimentaire… On n’arrive plus à suivre, on a la tête sous l’eau. Voilà pourquoi, nous aussi, nous rejoignons ce mouvement. »

Thierry Mariani, eurodéputé RN, invité de CNews le samedi 13 janvier résume la crise :

« L’Europe est un véritable danger pour notre agriculture… Ce sera l’un des enjeux du 9 juin ! On est en train, au niveau européen, de mener une politique qui suicide nos agriculteurs. Ça a été dit par les responsables de la FNSEA. On a comme objectif de baisser de 15 % la production alimentaire ».

Thierry Coué peste6 contre « l’empilement de textes » français ou européens, les « injonctions contradictoires », ou le « manque de bon sens ». Les témoignages concordants s’accumulent7 8 9.

Pour sauver nos agriculteurs, il faut quitter l’UE, ses normes mortifères et sa politique d’ouverture aux concurrences étrangères déloyales.

Frexit !





Les agriculteurs en Allemagne et ailleurs en Europe

Mise à jour 15/01/2023 :


https://twitter.com/_2019_ncov/status/1731009664542757021?s=43




Le FEM et ceux qui tirent les ficelles — Une conspiration mondiale ?

[Source : kla.tv]

« Mme Merkel, Tony Blair, ils ont tous été, même le président Poutine, ils ont tous été un jour des “Young Global Leaders” ! »(([1] En ce qui concerne Poutine, l’article suivant conteste l’information :
https://www.guyboulianne.info/2023/01/29/un-nouveau-travail-de-demystification-vladimir-poutine-est-il-bien-un-young-global-leader-du-forum-economique-mondial-de-klaus-schwab/))

« Le FEM a pour mission […] de mettre en œuvre l’agenda du NOM à l’échelle mondiale avec l’aide des multinationales. […] Toute l’élite des multinationales est concentrée au FEM — y compris les entreprises pharmaceutiques centrales, qui jouent un rôle clé essentiel pendant le Covid. »

En quelques décennies, le FEM a réussi à devenir l’un des principaux pivots politiques et économiques de l’actualité mondiale.

Comment un professeur allemand inconnu a-t-il pu se propulser à des hauteurs aussi inimaginables avec sa Fondation suisse ? Y aurait-il eu de forces influentes qui le soutenaient en arrière plan ? Qui sont ceux qui tirent les ficelles du FEM ? Ce documentaire de Kla.TV dévoile sans ménagement les véritables plans du FEM ainsi que l’ensemble de ses dirigeants. Découvrez également les personnes de votre pays qui mettent en œuvre l’agenda du FEM et qui ont été formées de manière stratégique par le FEM.

La 54e réunion annuelle du Forum économique mondial (FEM) se tiendra du 15 au 19 janvier 2024 à Davos-Klosters, en Suisse. Selon ses propres indications, il sera consacré aux nouvelles technologies, ainsi qu’à leur impact sur la prise de décision et le partenariat global. Le FEM considère les réunions annuelles comme la principale plate-forme pour faire progresser le partenariat public-privé (PPP) au plus haut niveau. Plus de 100 gouvernements, toutes les grandes organisations internationales, les 1 000 principales multinationales, les principales institutions universitaires et autres, ainsi que les médias mondiaux y participeront.

Beaucoup de monde croit que le FEM et ses initiatives peuvent être considérés comme la force motrice de la globalisation. La globalisation est devenue un fait de société. La globalisation vient de « global » — « qui concerne le monde entier » — et signifie littéralement « devenir mondialisé ».

Selon le « Bundeszentrale für politische Bildung (Centre fédéral pour l’éducation politique) » (bpb), des formes complexes de gouvernance mondiale se sont développées au cours des dernières décennies, appelées « Global Governance » par les spécialistes. « Global Governance » est traduit dans le public par « gouvernance mondiale », mais peut également être traduit littéralement par « gouvernement mondial ». Et c’est justement là que les esprits se divisent. Les uns, comme le « Centre fédéral pour l’éducation politique », insistent sur le fait que le terme ne désigne pas un gouvernement mondial central et qu’il n’en existe pas. D’autres en revanche voient derrière le FEM et ses initiatives comme le « Great Reset » (explication : en français « Grande Réinitialisation ») une conspiration mondiale. Une « élite mondiale dans la politique et l’économie aspirerait à une dictature mondialisée ». Ce point de vue d’une possible conspiration mondiale est diffamé et taxé de théorie de conspiration par presque tous les médias établis et alignés, qui le répètent comme un mantra.

Mais où se situent les limites entre la globalisation, la gouvernance mondiale et un gouvernement mondial centralisé ? Y a-t-il des limites ou la globalisation en cours ne sert-elle pas tout simplement de terreau à un gouvernement mondial centralisé ?

Cette émission répond à ces questions et vise à jeter un coup d’œil derrière le FEM et le Great Reset : Qui sont ceux qui tirent les ficelles et y a-t-il quand même une conspiration mondiale ?

1. Origines et création du FEM

En 1971, l’économiste allemand Klaus Schwab a créé la fondation d’utilité publique « European Management Conference » (en français « Conférence européenne de management »). En 1987, elle a été rebaptisée « World Economic Forum », en abrégé en français FEM (« Forum économique mondial »). En quelques décennies, le FEM a réussi à devenir l’un des principaux pivots politiques et économiques de l’actualité mondiale.

Dans son livre « World Economic Forum — La puissance mondiale en arrière-plan », le journaliste et expert financier allemand Ernst Wolff se demande comment un professeur allemand inconnu a pu se propulser à des hauteurs aussi inimaginables avec sa fondation suisse. Y aurait-il eu des forces influentes qui le soutenaient en arrière-plan ?

Le fondateur de Kla.TV, Ivo Sasek, a dit à ce sujet : (www.kla.tv/19027) :

« Il me semble néanmoins que le Forum économique mondial a été poussé sur le devant de la scène par des puissances d’arrière-plan encore plus influentes. Le fondateur du Forum économique mondial, Klaus Schwab, en fournit d’ailleurs lui-même un indice fort. Son ascension rapide au rang de “leader mondial du secteur privé” si je peux dire, témoigne si clairement d’un pouvoir caché en arrière-plan que je ne peux m’empêcher de percevoir l’ensemble du FEM comme une secte privée de l’économie mondiale, et plus précisément une secte qui a été installée avec succès dans la politique mondiale. »

2. Arrière-plans de Klaus Schwab

Klaus Schwab est membre du très influent groupe Bilderberg, qui a une orientation mondiale. Il a participé à de nombreuses réunions de Bilderberg et a même fait partie du comité directeur de Bilderberg.

Les hommes derrière Klaus Schwab

Entre 1966 et 1967, Schwab a effectué une année académique à la Harvard Business School aux États-Unis. Citation d’Ernst Wolff :

« C’est là qu’il a fait la connaissance de quelques personnalités qui allaient avoir une grande influence sur la suite de sa vie. Selon les propres déclarations de Schwab, son professeur Henry Kissinger compte parmi les personnalités qui ont le plus influencé sa pensée au cours de sa vie. »

Kissinger, décédé le 30 novembre 2023, était un politologue américain, stratège mondial avoué et directeur du groupe de réflexion « Council on Foreign Relations », en bref CFR.

(Plus d’informations sur Henry Kissinger https://www.kla.tv/26153)

Unlimited Hangout, une plate-forme américaine de journalisme d’investigation non censuré et indépendant, a résumé la situation de la manière suivante :

« Le Forum économique mondial n’était pas simplement une création européenne de Klaus Schwab. Cela résulte d’un programme de Harvard financé par la CIA et dirigé par Henry Kissinger — et par John Kenneth Galbraith et Herman Kahn. Schwab avait une équipe politique d’élite américaine qui travaillait dans l’ombre et l’aidait à créer l’organisation mondialiste basée en Europe (qui deviendra le FEM). […] »

Des années plus tard, lors du « European Management Symposium » de 1980 à Davos — l’ancêtre du FEM – Kissinger a prononcé le discours d’ouverture et a déclaré :

« Pour la première fois dans l’histoire, la politique étrangère est vraiment globale. »

John Kenneth Galbraith et Herman Kahn, les deux autres professeurs de Harvard, étaient à peine moins importants que Kissinger : Galbraith s’est rendu en Europe avec Kahn pour aider Schwab à convaincre l’élite européenne de soutenir le projet. — C’est ce qu’a rapporté « Unlimited Hangout ». Selon un article du « New York Times » de 1997, Schwab est revenu avec l’idée que les Européens paieraient probablement une bonne somme d’argent pour apprendre les méthodes de gestion enseignées à la Harvard Business School.

John Kenneth Galbraith (1908-2006) était un conseiller présidentiel canado-américain et l’un des économistes les plus influents du 20e siècle. Galbraith était membre du Council on Foreign Relations (CFR).

Herman Kahn (1922-1983) était un physicien américain et un membre fondateur du Hudson Institute. Il était également membre du CFR.

Les premières réunions à Davos

La première réunion organisée par Schwab a eu lieu en 1971 sous le nom de European Management Symposium. L’orateur principal de la réunion était Otto von Habsburg. Kenneth Galbraith et Herman Kahn faisaient également partie des orateurs.

Les premières réunions ont eu lieu sous le patronage de la Commission européenne et des fédérations industrielles européennes. Lors du troisième European Management Symposium en 1973, le prince Bernhard des Pays-Bas était le parrain honoraire. Le prince Bernhard des Pays-Bas a organisé la première conférence Bilderberg en 1954 à l’hôtel de Bilderberg près d’Arnhem, dont il était alors propriétaire. — À l’époque, la conférence était encore secrète. Le prince Bernhard a été le premier président du comité directeur du Groupe Bilderberg, et ce jusqu’en 1976.

En 1975, le « European Management Forum » a publié sa première brochure institutionnelle. Citation :

« Le European Management Forum est une fondation indépendante, autofinancée, à but non lucratif, axée sur les besoins stratégiques des principaux décideurs de l’économie européenne. » Après seulement cinq ans, le Forum s’était imposé au plus haut niveau économique et gouvernemental.

Jusqu’en 1983, le European Management Symposium était, comme l’a dit Klaus Schwab dans son discours d’ouverture, « la plus importante réunion annuelle de décideurs de l’économie mondiale ».

3. Financement du FEM

Le FEM a été créé en 1971 en tant que Fondation d’utilité publique et a son siège principal à Genève, en Suisse. Selon Ernst Wolff [livre de poche, Ernst Wolff, « World Economic Forum—Die Weltmacht im Hintergrund (La puissance mondiale en arrière-plan) », 2022, p. 9], outre le FEM, ce sont surtout les « Open Society Foundations » du milliardaire américain George Soros et la Fondation Bill et Melinda Gates qui ont profité de la législation moderne des Fondations. Ce dernier a en effet été créé avant tout pour faciliter l’évasion fiscale des personnes fortunées. Il permet en outre d’exercer une influence directe sur la politique, l’économie et la société. Et ce, en contournant les structures parlementaires.

Selon le portail « Infosperber », le président du FEM Klaus Schwab perçoit à lui seul un salaire annuel d’environ un million de francs. La réserve d’argent du FEM serait remplie de plusieurs centaines de millions de francs. Parallèlement, le FEM ne paie pas d’impôts fédéraux.

Le FEM est principalement financé par ses 1 000 entreprises membres. Il s’agit typiquement de multinationalesmondiales dont le chiffre d’affaires annuel est supérieur à cinq milliards de dollars. Selon le quotidien suisse « Südostschweiz » (au 22.01.2019), la cotisation annuelle s’élève à 60 000 francs. Chacune de ces multinationales peut envoyer un représentant à Davos. Une invitation supplémentaire coûte 25 000 franc suisse, plus la TVA.

Partenaires stratégiques

Le FEM ne compte évidemment pas que de simples membres. Il y a 120 partenaires stratégiques. La cotisation annuelle minimale commence à environ 600 000 francs. La liste des groupes qui servent de « partenaires stratégiques » au FEM se lit comme un alphabet de la globalisation : d’Allianz à Bank of America et Credit Suisse (UBS à partir du 12 juin 2023), de Facebook à Huawei et KPMG (explication : KPMG est l’un des quatre cabinets d’audit les plus importants au monde avec un chiffre d’affaires annuel de 32,1 milliards de dollars) à Microsoft, Unilever et Volkswagen.

Les autres grands noms sont Airbus, Alibaba, Amazon, American Express, Apple, Bill and Melinda Gates Foundation, BlackRock, Coca Cola, Goldman Sachs, Google, IBM, IKEA, JPMorgan Chase, Mastercard, Morgan Stanley, Nestlé, New York Times, Open Society Foundations, PayPal, SAP, Siemens, TikTok, Time, UBS, Zurich Insurance Group, etc. Les entreprises pharmaceutiques telles que Novartis, AstraZeneca, Johnson & Johnson, Moderna, Pfizer sont bien entendu également de la partie.

La liste complète de tous les partenaires du FEM peut être consultée sur le site Internet du FEM :

https://www.weforum.org/partners/#search

Le FEM emploie environ 850 personnes dans le monde et a réalisé un chiffre d’affaires de 383 millions de francs pour l’année financière allant de juillet 2021 à juin 2022. Les critiques portent sur le manque de transparence des rapports financiers du FEM. Les bénéfices apparemment considérables seraient réinvestis. La richesse réelle du forum ne serait pas claire.

4. Structure de direction du FEM

Le président du forum est le fondateur et directeur général, le professeur Klaus Schwab. Il est dirigé par un curatorium (explication : comité de surveillance ou conseil d’administration). Selon ses propres termes, il s’agit de « personnes exceptionnelles qui agissent en tant que gardiens de sa mission et de ses valeurs et qui supervisent le travail du Forum pour promouvoir une véritable citoyenneté mondiale ».

Le président du Forum est depuis 2017 l’homme politique norvégien Børge Brende. Il a été ministre de l’Environnement de son pays (de 2001 à 2004), puis ministre de l’Économie et du Commerce (jusqu’en 2005) et ministre des Affaires étrangères jusqu’en 2017. Brende fait partie du groupe Bilderberg et de son comité de pilotage. (Explication : organe de décision suprême)

Membres du curatorium du FEM

Le choix des membres ne doit guère être un hasard, comme le montre leur réseau. Les membres du curatorium sont entre autres :

Ajay Banga — manager indo-américain. Président de la Banque mondiale depuis 2023. Membre du CFR et de la Commission trilatérale, un groupe de réflexion influent de conseil politique fondé par Zbigniew Brzeziński et David Rockefeller.

Marc Benioff — entrepreneur américain. Président et directeur général de Salesforce, une société de logiciels cotée en bourse. Fortune personnelle estimée à environ 8,1 milliards de dollars en 2022. Membre du CFR.

Thomas Buberl — manager allemand et président du conseil d’administration du groupe d’assurance AXA. Participant aux réunions Bilderberg 2017, 2019 et 2022.

Laurence D. Fink — entrepreneur américain. Fondateur, PDG de la plus grande société de gestion d’actifs au monde, BlackRock. Les actifs sous gestion du groupe s’élevaient à 8,70 billions de dollars américains fin 2020. Fink est également membre de la Commission trilatérale et du conseil d’administration du CFR.

Orit Gadiesh — manager américano-israélienne et présidente de Bain & Company, l’un des plus grands cabinets de conseil au monde. Participante aux réunions Bilderberg de 1997 et 1998. Également membre du CFR.

Kristalina Georgieva — femme politique et économiste bulgare. Directrice générale du Fonds monétaire international (FMI). Participante à la réunion Bilderberg 2016.

André Hoffmann — Entrepreneur suisse. Depuis 2006, vice-président du conseil d’administration de Roche Holding AG (Suisse), l’une des plus grandes entreprises pharmaceutiques du monde. Membre du « Club of Rome » et participant à la conférence Bilderberg 2019.

Joe Kaeser — manager allemand. Président du conseil d’administration de Siemens de 2013 à 2021. À gagné 9,27 millions d’euros en tant que PDG de Siemens 2020. Membre de la Commission trilatérale en Europe. À participé à la conférence Bilderberg en 2015 et 2016.

Christine Lagarde — juriste française. Présidente de la Banque centrale européenne (BCE) depuis 2019. Membre du groupe Bilderberg et participante aux réunions Bilderberg de 2009, 2013, 2014, 2016 et 2017.

David M. Rubenstein — entrepreneur américain. Co-fondateur et co-président du Carlyle Group, l’une des plus grandes sociétés d’investissement privées au monde. Fortune personnelle estimée à 3,2 milliards de dollars américains en 2019. Membre de la Commission trilatérale. Participant à la réunion Bilderberg 2017. En outre, actuellement président du conseil d’administration du CFR.

Al Gore — homme politique et écologiste américain. N’a pas participé à une réunion du Bilderberg, mais joue un rôle de pionnier décisif dans l’agenda climatique. Son film « Une vérité dérangeante » (2006) a fait le tour du monde et a été diffusé dans les écoles. En 2007, un tribunal de Londres a décrété que les élèves devaient être informés des erreurs de contenu. Par exemple, que la fonte des glaciers de l’Antarctique occidental et du Groenland ne provoquerait pas « dans un avenir proche », comme l’affirme le film de Gore, une hausse dramatique du niveau des mers. Le père de deux écoliers qui a porté plainte a qualifié le film de « lavage de cerveau » qui n’a rien à faire dans les écoles.

À propos des réseaux du CFR, du groupe Bilderberg et de la Commission trilatérale

La participation à une réunion de Bilderberg est un fil rouge pour les membres du Curatorium du FEM (explication : comité de surveillance ou conseil d’administration). Il vaut donc la peine de jeter ici un coup d’œil sur les réseaux du CFR, du groupe Bilderberg et de la Commission trilatérale.

L’émission suivante de Kla.TV donne des informations : « Groupe Bilderberg — le gouvernement secret de l’ombre ? » (www.kla.tv/26318)

Le plan stratégique pour la création du club Bilderberg a été élaboré au sein du CFR Council on Foreign Relations (en français : Conseil des relations étrangères). Le CFR est un groupe de réflexion privé américain, fondé en 1921 — qui tire les ficelles comme une sorte de gouvernement de l’ombre aux États-Unis. Henry Kissinger se souvient de la naissance du club Bilderberg :

« Nous nous sommes rencontrés il y a 60 ans dans le cadre d’un groupe d’étude au Council on Foreign Relations. Peu de temps après, il [David Rockefeller] a encouragé un groupe de discussion qui est devenu plus tard ce que l’on connaît aujourd’hui sous le nom de groupe Bilderberg. »

David Rockefeller a été directeur du Council on Foreign Relations jusqu’en 1985 et ensuite, jusqu’à sa mort, président honoraire de celui-ci.

Henry Kissinger (*né en1923) a participé à la naissance du club Bilderberg. Il a toujours joui d’une position forte lors des conférences Bilderberg.

Kissinger a été l’un des plus proches alliés de David Rockefeller jusqu’à sa mort. Il est membre de longue date du CFR et a fait partie de son conseil d’administration de 1977 à 1981. À l’occasion de son centième anniversaire, Kla.TV a diffusé le documentaire « 100 ans de Henry Kissinger — stratège mondial et criminel de guerre ? » (www.kla.tv/26153).

Le groupe Bilderberg a été fondé à l’initiative de David Rockefeller (1915-2017). David Rockefeller était le président et l’actionnaire principal de la Chase Manhattan (devenue depuis JPMorgan Chase), autrefois la plus grande banque américaine au monde. Sous sa direction, la Chase Manhattan Bank est devenue un pilier central du système financier international. Toute sa vie, Rockefeller a poursuivi le projet d’un gouvernement mondial dirigé par la haute finance.

Il a écrit dans ses mémoires :

« Certains pensent même que nous faisons partie d’une cabale secrète travaillant contre les meilleurs intérêts des États-Unis, qualifiant ma famille et moi d’“internationalistes” et de conspirateurs qui ont uni leurs forces avec d’autres à travers le monde pour créer une plus forte structure économique — un monde unique, si vous voulez. Si telles sont les allégations, je plaide coupable et j’en suis fier. »

Pour atteindre cet objectif, David Rockefeller a lancé plusieurs organisations ou « think tanks » (groupes de réflexion) dont la « pensée préalable » influence la politique internationale :

Outre le groupe Bilderberg, il a ainsi fondé la Commission trilatérale avec Henry Kissinger et le stratège mondial Zbigniew Brzezinski.

La Commission trilatérale remonte à la réunion de Bilderberg de 1972, au cours de laquelle David Rockefeller a proposé sa création. De nombreux membres de Bilderberg ont également rejoint la Trilatérale.

Conclusion intermédiaire

Jusqu’ici, il apparaît que les origines du FEM remontent à des stratèges mondiaux comme David Rockefeller et Henry Kissinger. Afin d’œuvrer à leur objectif de gouvernement mondial centralisé, ils créent des groupes de réflexion pour influencer la politique internationale. Ils ont commencé par le CFR, puis ont donné naissance au groupe Bilderberg et, plus tard, à la Commission trilatérale. Le FEM doit être considéré comme une nouvelle pièce du puzzle dans cette série, afin de réaliser leurs objectifs de gouvernement mondial.

5. Avec quels objectifs le FEM a-t-il été initié ?

Le FEM peut être considéré comme une forme moderne de groupe de réflexion permettant de contourner les structures parlementaires et d’exercer une influence sur la politique internationale.

L’expert financier Ernst Wolff écrit à ce sujet dans son livre, [livre de poche, Ernst Wolff, « World Economic Forum—Die Weltmacht im Hintergrund (La puissance mondiale en arrière-plan) », 2022, p. 9], citation :

« Le FEM joue un rôle particulier à cet égard, car son exemple illustre parfaitement la manière dont le parlementarisme a été progressivement vidé de sa substance au cours des dernières décennies et condamné à l’inefficacité. En outre, son histoire montre que la marche du monde est de plus en plus déterminée par des forces qui ne sont élues par personne et qui sont souvent à peine connues du public. »

Mission du FEM

Écoutez à ce sujet une déclaration du fondateur de Kla.TV, Ivo Sasek :

[https://www.kla.tv/WEF/19027]

« Le FEM a pour mission de mettre en œuvre l’agenda du NOM à l’échelle mondiale avec l’aide des multinationales. Toute l’élite des multinationales est concentrée au FEM, y compris les principales entreprises pharmaceutiques, qui jouent un rôle clé essentiel pendant le Covid. »

« … et bien que le FEM ne soit pas une institution publique, il domine néanmoins clairement l’ensemble de la politique mondiale, et ce de manière considérable. »

6. Initiatives du FEM pour réaliser ses objectifs ou son agenda

Les initiatives stratégiques décisives des temps modernes ont toujours été introduites via la plateforme du FEM. Parmi elles, le Club de Rome en lien avec la dictature du climat, l’alliance pour la vaccination GAVI en lien avec la dictature de la vaccination, l’exercice de pandémie « EVENT 201 » d’octobre 2019 — c’est-à-dire la dictature du Covid, le Great Reset, le transhumanisme, etc.

Dans ce qui suit, nous allons maintenant nous pencher sur la pertinence de chaque initiative :

Année 1968 — Club de Rome – Dictature climatique

Déjà lors de la réunion Bilderberg de 1964 (du 22 au 24 mars en Virginie, USA), David Rockefeller, Max Kohnstamm et Aurelio Peccei s’étaient rencontrés pour chercher les meilleurs moyens de réduire la population. Le point de départ était l’initiation et l’utilisation des crises mondiales. [V&CV14/2023] Enfin, le « Club de Rome » a été fondé en 1968 par David Rockefeller et Aurelio Peccei après une réunion du Bilderberg (26-28 avril 1968 au Canada). Tous deux figurent sur les listes des participants aux réunions de Bilderberg de 1964 et 1968. Aurelio Peccei (1908-1984) était un industriel italien. Il a été directeur de Fiat et président du conseil d’administration d’Olivetti et d’Italcon.

Selon Ernst Wolff [livre de poche, Ernst Wolff, « World Economic Forum—Die Weltmacht im Hintergrund (La puissance mondiale en arrière-plan) », 2022, p. 28], Peccei a été l’orateur le plus écouté de la réunion du FEM de 1973. Dans son discours, il a résumé les thèmes clés du livre « Les limites de la croissance ». Il s’agit à l’origine d’un rapport du « Club de Rome » sur la situation de l’humanité, publié en 1972.

Dans son discours, Peccei a abordé la surpopulation mondiale comme le plus grand problème de l’humanité et en a déduit l’exigence d’une réduction de la population mondiale.

Dans une interview, Klaus Schwab fait la déclaration suivante : « I worked on climate change since 1973. Just to tell you, because I was the person, who gave the Club or Rome, the first big platform! »[enregistré en français] :

« Je travaille sur le changement climatique depuis 1973. Juste pour vous dire que c’est moi qui ai donné au Club de Rome sa première grande plate-forme ! »

Année 2000 — GAVI, la dictature de la vaccination

[Explication : GAVI = abréviation de l’anglais « Global Alliance for Vaccines and Immunisation » (en français « Alliance globale pour les vaccins et l’immunisation »)].

[https://www.gavi.org/]

L’Alliance a été fondée le 29 janvier 2000 au Forum économique mondial de Davos. Objectif : faire face à la stagnation, voire au recul, des taux de vaccination dans les pays les plus pauvres du monde depuis la fin des années 1990 déjà. Ernst Wolff écrit dans son livre [Livre de poche, Ernst Wolff, « World Economic Forum—Die Weltmacht im Hintergrund (La puissance mondiale en arrière-plan) », 2022, p. 79] que la création de GAVI « a été de loin l’événement le plus important de la première réunion du nouveau millénaire ». Citation de Wolff :

« Les initiateurs de la création de l’Alliance étaient l’OMS, l’UNICEF, la Banque mondiale et la Fondation Bill et Melinda Gates (ainsi que la Fondation Rockefeller [p. 81]). La Fondation Bill et Melinda Gates a fourni à l’Alliance un financement initial de 750 millions de dollars. »

Selon un communiqué de presse de GAVI du 23 janvier 2020, des politiciens de pays industrialisés de premier plan ont apporté leur soutien à l’Alliance pour la vaccination GAVI. Ceci dans le cadre des festivités du 20e anniversaire au Forum économique mondial. La chancelière allemande Angela Merkel a ainsi annoncé une promesse de soutien à hauteur de 600 millions d’euros pour les années 2021 à 2025.

Dans une interview donnée à Kla.TV en juin 2022, Wolff définit un autre grand objectif de GAVI : [https://www.kla.tv/WEF/22827]

« Ce qui devient encore plus intéressant, c’est qu’en 2017, ce GAVI a créé avec Microsoft et quelques autres multinationales l’ID2020, c’est l’Alliance pour l’identité numérique, c’est l’alliance pour la promotion de l’identité numérique. Et c’est le rêve de tous les groupes numériques de donner à chaque personne dans le monde sa propre identité numérique. Et derrière tout cela, il y a aussi GAVI et Microsoft, donc Bill Gates et la fondation Bill et Melinda Gates. Ce qui est très intéressant, si l’on regarde — donc GAVI est une organisation médicale — on devrait supposer que le chef de cette GAVI est probablement un médecin. Mais loin de là, le chef de GAVI n’est autre que José Manuel Barroso, l’ancien chef de la Commission européenne, mais aussi un camarade de classe de Bill Gates et d’Angela Merkel dans la l’école Young Global Leaders du FEM. Et accessoirement, cet homme est également conseiller de Goldman Sachs depuis 2016. L’actionnaire principal de Goldman Sachs n’est autre que BlackRock, donc là encore, la boucle est bouclée. »

Année 2005 — Young Global Leaders (« Jeunes leaders mondiaux »)

Selon le site Internet du FEM, Klaus Schwab a créé le forum « Young Global Leaders » (abrégé en YGL) en 2004. Il est issu de la communauté des « Global Leaders of Tomorrow », qui a existé de 1993 à 2003. Citation :

« Parmi les plus de 1 400 membres et diplômés de 120 pays, on trouve des personnalités innovantes du monde économique et social, des entrepreneurs, des pionniers de la technologie, des pédagogues, des activistes, des artistes, des journalistes et bien d’autres ».

L’objectif étant de « créer un avenir meilleur et plus durable » et de le façonner.

Selon leurs propres indications, les membres entretiennent « L’initiative 2030 ». Celle-ci a pour objectif un plan d’action visant à réaliser la vision d’un monde idéal en 2030.

Ernst Wolff écrit à ce sujet dans son livre « Forum Économique Mondial — Le pouvoir mondial en arrière-plan » [Livre de poche, Ernst Wolff, « World Economic Forum — Die WeltmachtimHintergrund », 2022, P. 64-65] ce qui suit :

« Pour la première fois, l’élite a commencé à sélectionner de manière ciblée sa propre relève, à l’instruire systématiquement pour la préparer à ses tâches et à la mettre en réseau. Quelques noms de la première promotion, qui se lisent comme un Who’s Who de l’élite politique et corporative des années suivantes, montrent à quel point le projet a été un succès sensationnel. On y trouve notamment Angela Merkel, Nicolas Sarkozy, Tony Blair, Gordon Brown, José Manuel Barroso et Bill Gates. Comme l’ont montré les 30 années qui ont suivi, les fondements d’un réseau étroitement lié de politiciens, de dirigeants économiques et de professionnels des médias, qui allaient avoir une influence décisive sur la marche du monde, ont ainsi été posés. »

[Livre de poche, Ernst Wolff, « World Economic Forum — Die WeltmachtimHintergrund », 2022, Page 265]

« Le président russe Vladimir Poutine n’apparaît pas dans les listes des participants aux Young Global Leaders ou aux Global Leaders for Tomorrow. Mais Klaus Schwab lui-même l’a mentionné dans deux interviews en tant que Young Global Leader ».

(Déclaration originelle de Klaus Schwab au FEM 2019) :

« Mme Merkel, Tony Blair, même le président Poutine, ils ont tous été un jour des “Young Global Leaders” ! Avec eux, le chancelier Kurz et la Première ministre de Nouvelle-Zélande, ce sont les trois plus jeunes dirigeants de gouvernements qui sont ici ! »

Wolff a souligné une autre caractéristique dans une interview accordée à Kla.TV en juin 2022 : [https://www.kla.tv/WEF/22827]

« Ce qui est intéressant, c’est qu’ils ont adopté une ligne de conduite particulièrement dure lors de la crise du Covid. Donc, chez nous en Allemagne, c’était le ministre de la Santé Jens Spahn, en Autriche, c’était l’ex-chancelier Kurz, en France, c’était Monsieur Macron, au Canada, c’était Justin Trudeau et en Nouvelle-Zélande, c’était Jacinda Ardern. Ils ont tous présenté une démarche tout à fait extrême, et ce sont tous des Young Global Leaders du FEM. »

Découvrez les personnes de votre pays mettant en œuvre l’agenda du FEM et qui ont été formées de manière stratégique par le FEM. Vous trouverez le document avec la liste des 3 800 « Young Global Leaders » de 1993 à 2023 sous l’émission.

Année 2007 — Réunion annuelle des nouveaux champions

En 2007, le FEM a introduit la « réunion annuelle des nouveaux champions », qui se déroule chaque année en Chine et qui est également appelée « Davos d’été ». Il s’agit de représentants d’« entreprises mondiales en croissance ». Des entreprises phares de pays émergents à croissance rapide tels que la Chine et l’Inde, mais aussi des entreprises à démarrage rapide de pays industrialisés.

Année 2011 — Global Shapers (« Façonneurs mondiaux »)

En 2011, le FEM a créé le réseau mondial « Global Shapers » pour les personnes âgées de 20 à 30 ans avec un grand potentiel pour de futurs rôles de leaders dans la société. La « Global Shapers Community » se compose de hubs locaux (c’est-à-dire de centres) auto-organisés dans les grandes villes du monde entier.

[Déclaration originelle d’Ernst Wolff lors de l’interview avec Kla.TV : https://www.kla.tv/WEF/22827

« Le FEM va désormais plus loin ; il a maintenant lancé un nouveau programme qui fonctionne depuis environ 10 ans. Ce sont les Young Global Shapers. Il y en a aujourd’hui 10 000 dans le monde. Ce sont de jeunes entrepreneurs en startup qui ne peuvent avoir qu’entre 20 et 30 ans. »

Le programme du FEM des « Global Shapers » doit être considéré comme un instrument supplémentaire pour mettre en place l’agenda de gouvernance mondiale globale des hommes de l’ombre du FEM.

Année 2016 — Transhumanisme

Lors de la rencontre annuelle du FEM 2016, on a discuté des nouvelles technologies, de l’« édition génétique » à l’intelligence artificielle et à l’impression 3D. « Édition de gènes » — en anglais « genome-editing » — est un terme générique désignant les techniques de biologie moléculaire permettant de modifier l’ADN de manière ciblée, y compris le patrimoine génétique des plantes, des animaux et des êtres humains.

Selon le site web du FEM, les questions suivantes ont été posées :

« Comment ces technologies vont-elles changer la vie de la prochaine génération ? »

« Comment ces technologies vont-elles changer le monde des affaires, les gouvernements et la société ? »

« Comment l’homme et la technologie peuvent-ils collaborer pour obtenir de meilleurs résultats ? »

À ce sujet, l’expert financier Ernst Wolff : [Livre de poche, Ernst Wolff, « World Economic Forum — Die WeltmachtimHintergrund », 2022, Page 117]

« Le livre de Schwab “La Quatrième Révolution Industrielle” a été publié à l’occasion de la réunion annuelle de 2016 et a ensuite été traduit en 30 langues. Son message fondamental était que la fusion des technologies des mondes physique, numérique et biologique créerait des possibilités entièrement nouvelles. […] En effet, malgré ses mises en garde contre les risques de l’évolution, Schwab a ouvertement professé le transhumanisme dans de nombreuses interviews et a qualifié la fusion des corps humains avec la sphère numérique de progrès évolutif. »

Dans une vidéo de 2016, Klaus Schwab expliquait ce qu’il entendait par « Quatrième Révolution Industrielle » : [https://www.youtube.com/watch?v=7xUk1F7dyvI]

La Quatrième Révolution Industrielle | En bref (par le FEM) https://youtu.be/raOS5dxQ9uI?si=evFgKv6gYO5La7g7

« La révolution industrielle aura un impact complet sur nos vies. Elle ne changera pas seulement la façon dont nous communiquons […], mais aussi notre propre identité. »

« Ce sera comme un tsunami, pas seulement une révolution numérique — bien sûr qu’elle est numérique, physique, c’est la nanotechnologie, mais elle est aussi biologique. »

Ray Kurzweil, inventeur américain et directeur du développement technique (Director of Engineering) chez Google LLC, a décrit les plans de l’humanisme comme suit : https://www.kla.tv/18254

Fusionner l’homme et la machine : notre avenir doré ? 04.03.2021 | www.kla.tv/18254

« Cette fusion de l’homme et de la machine, avec l’explosion soudaine de l’intelligence des machines, conduira à un monde où il n’y aura plus de distinction entre la vie biologique et la vie mécanique, ni entre la réalité physique et la réalité virtuelle. »

À ce stade, il est important de s’arrêter un court instant et de réfléchir à ce que cela signifie, ou aux conséquences qui en découlent : la porte est ainsi grande ouverte à toutes les manipulations, au contrôle et à la gestion de l’humanité par des programmeurs anonymes. Plus rien ne s’opposerait à une « dictature mondiale unique » centralisée !

Année 2019 — Agenda 2030

Le 13 juin 2019, Klaus Schwab, directeur du Forum économique mondial, et António Guterres, secrétaire général de l’ONU, ont signé un partenariat entre leurs deux organisations. Le but de ce partenariat est d’accélérer la réalisation des 17 objectifs de développement durable. Il s’agit d’objectifs politiques des Nations unies (ONU) qui sont entrés en vigueur le 1er janvier 2016. Le titre officiel en français est « Transformer notre monde : l’Agenda 2030 pour le développement durable », en bref : « Agenda 2030 ».

En principe, cela signifie que le pouvoir de façonner l’avenir mondial a été remis aux grandes multinationales et à leurs propriétaires. L’accord stipule également que « la Quatrième Révolution Industrielle » du Forum économique mondial est une composante importante pour mettre en œuvre l’Agenda 2030.

Călin Georgescu est roumain et ancien membre de haut niveau des Nations unies. Dans l’émission Kla.TV du 11 mars 2023, il a révélé ce qui se cache derrière l’agenda de l’ONU. Voici un résumé de l’introduction de l’émission kla.TV : [https://www.kla.tv/25376]

Nous sommes TOUS concernés : Un haut fonctionnaire de l’ONU révèle les sombres secrets de l’ONU 11.03.2023 | www.kla.tv/25376

« Les Nations unies, en collaboration avec le Forum économique mondial (FEM) et bien d’autres, sont en train de mettre en place l’Agenda 2030 à l’échelle mondiale. Il s’agit de la plus grande transformation jamais envisagée, planifiée massivement pour tous les pays et tous les peuples, et qui vise à modifier chaque aspect de la société humaine : finances, agriculture, alimentation, voyages, économie, sexualité, éducation, etc. L’objectif ultime de l’Agenda 2030 est d’établir un gouvernement mondial unique avec des dirigeants non élus. Les Nations unies, l’Organisation mondiale de la santé (OMS) et le Forum économique mondial sont au cœur de ce projet de gouvernement mondial. Au-dessus d’eux se trouvent des groupes d’intérêts financiers qui agissent totalement dans l’ombre, afin que personne ne leur demande jamais de rendre des comptes pour leurs crimes contre l’humanité. »

Année 2019 — Événement 201 — Dictature de Covid

Selon le site web de l’« Université Johns Hopkins », le « Johns Hopkins Center for Health Security » (Centre Johns Hopkins pour la sécurité sanitaire), en collaboration avec le Forum économique mondial (FEM) et la Fondation Bill et Melinda Gates, a organisé le 18 octobre 2019 à New York l’« Event 201 ».

Il s’agissait d’un cas fictif de pandémie grave à l’échelle mondiale déclenchée par un nouveau coronavirus appelé nCov-19. L’exercice de pandémie portait sur des situations dans lesquelles des partenariats public-privé sont nécessaires pour faire face à de telles pandémies. Dix semaines plus tard, la Chine a annoncé à l’OMS les premiers cas de Covid-19.

Année 2020 — Great Reset — Dictature numérique

The Great Reset, c’est-à-dire la Grande Réinitialisation désigne l’initiative du Forum économique mondial visant à remodeler l’économie et la société mondiales à la suite de la pandémie de COVID-19.

Ernst Wolff a résumé dans son livre de quoi il s’agit [Livre de poche, Ernst Wolff, « World Economic Forum — Die WeltmachtimHintergrund », 2022, Page 133] :

« Quatre mois après la déclaration de la pandémie mondiale (le 9 juillet 2020), Klaus Schwab a présenté son ouvrage “COVID-19 La Grande Réinitialisation”, co-rédigé avec l’auteur Thierry Malleret. […] En même temps que son livre, Schwab a présenté l’initiative Le Grande Réinitialisation avec laquelle le FEM, en coopération avec ses partenaires, veut s’attaquer à la construction du monde post-COVID-19. Ce qui est remarquable, c’est que dans le cadre de cette initiative, la crise du Covid n’est considérée que comme un phénomène passager. […] Il est essentiellement question de deux autres thèmes : Le changement climatique et la quatrième révolution industrielle. »

[Livre de poche, Ernst Wolff, « World Economic Forum — Die WeltmachtimHintergrund », 2022, pages 144-145]

« L’introduction de la monnaie numérique de banque centrale est la pièce maîtresse du Great Reset. Il est actuellement préparé en arrière-plan dans le monde entier et soutenu par le FEM. […] Concrètement, le projet se présente ainsi : Chaque citoyen et chaque entreprise ne disposerait plus que d’un seul compte auprès de la banque centrale. Cela permettrait à l’État de fixer de manière centralisée la quantité d’argent, de diriger et de contrôler les flux monétaires et de fixer les taux d’intérêt en fonction des besoins. […] Les citoyens comprendront très vite que l’État pourrait non seulement suivre chaque transaction, mais aussi leur imposer au passage des taux d’intérêt individuels, des taux d’imposition individuels, ou encore des pénalités, lier l’argent à […] un système de crédit social sur le modèle chinois ou les couper complètement de tous flux financiers. »

Une vidéo du Forum économique mondial (FEM) datant de 2016 montre où pourrait mener l’introduction de monnaies numériques de banque centrale, jusqu’à la coupure de tous flux financiers. Cela est paru sous le nom de « 8 prédictions pour le monde en 2030 ».

« Tu ne posséderas rien et tu seras heureux » est une phrase de la vidéo. Elle est tirée d’un essai de la politicienne danoise Ida Auken.

La vidéo a été supprimée du site web du FEM, car elle a suscité trop de protestations. Elle peut toutefois être consultée sur la page Facebook du FEM.

Le 10 novembre 2016, le FEM a défini dans un article du magazine « Forbes » comment il fallait comprendre la phrase « Tu ne posséderas rien et tu seras heureux ». Citation : « Bienvenue en 2030. Bienvenue dans ma ville — ou devrais-je dire “dans notre ville”. Je ne possède rien. Je ne possède pas de voiture. Je ne possède pas de maison. Je ne possède pas d’appareils ni de vêtements. Cela peut vous sembler étrange, mais c’est parfaitement logique pour nous dans cette ville. Tout ce que vous considériez comme un produit est maintenant devenu un service. Nous avons accès aux transports, au logement, à la nourriture et à tout ce dont nous avons besoin dans notre vie quotidienne. L’un après l’autre, toutes ces choses sont devenues gratuites, si bien que cela n’avait aucun sens pour nous de “posséder” beaucoup. »

La non-possession est promue comme une aubaine.

Écoutez à ce sujet le fondateur de Kla-TV, Ivo Sasek (Émission Kla.TV du 18.06.2021) : [https://www.kla.tv/WEF/19027]

« De l’extérieur, le FEM se présente (on ne peut pas être plus effronté) avec diverses vidéos qui font ou devraient faire miroiter à la population mondiale le renversement de l’ancien ordre mondial. Après des critiques sévères, ils ont rapidement supprimé certaines de ces vidéos. En effet, ils y ont carrément glorifié l’appauvrissement des peuples, imaginez un peu, la dépossession totale de tous nos biens présentée comme un événement enthousiasmant, vous comprenez, la privation de nos droits comme désirable, présentée de manière moderne. »

Ivo Sasek a également une solution pragmatique toute prête, comme il l’a exposé le 16 mars 2023 : https://www.kla.tv/PrincipeSourisLaboratoire/25587]

Le nouveau principe de la souris de laboratoire 30.03.2023 | www.kla.tv/25587

« En tant que population mondiale, disons une fois haut et fort « oui » au Great Reset de Klaus Schwab et de ses instigateurs : Mais en tant que démocratie mondiale, nous prenons d’abord la décision de tester ce Great Reset sur tous ses inventeurs et propagandistes pendant au moins 20 ans : c’est-à-dire sur Klaus Schwab et tous ses collègues du FEM. »

7. Autres acteurs du FEM pour réaliser ses objectifs ou son agenda

Outre les acteurs mondiaux et les grandes multinationales déjà mentionnés, il faut encore citer deux autres acteurs décisifs.

Il est important de garder à l’esprit que ces acteurs et d’autres n’agissent pas de manière autonome, mais qu’ils ont été créés par ces mêmes acteurs mondiaux.

Chine

De 1978 à 1997, la Chine a été dirigée de facto par Deng Xiaoping. Lorsqu’en décembre 1978, celui-ci a amorcé l’abandon de l’économie planifiée centralisée et le passage au capitalisme, Klaus Schwab a réagi promptement. Schwab a immédiatement invité Deng Xiaoping au prochain symposium de Davos en 1979.

Ernst Wolff a écrit dans son livre : [Livre de poche, Ernst Wolff, « World Economic Forum—Die WeltmachtimHintergrund », 2022, p. 96]

« 2009 a été la 30e année de participation d’une délégation chinoise à la rencontre de Davos. Entre-temps, presque tous les chefs d’État et de parti chinois avaient rendu visite au FEM. Le bureau du FEM à Pékin a travaillé en étroite collaboration avec la Commission nationale chinoise pour le développement et la recherche, avec le ministère chinois des Affaires étrangères et avec un certain nombre de grandes entreprises chinoises. ».

[Livre de poche, Ernst Wolff, « World Economic Forum—Die WeltmachtimHintergrund », 2022, p. 139]

« Lors de la réunion virtuelle de janvier 2021, organisée sous le slogan “Great Reset” […] le président chinois Xi Jinping a prononcé un message vidéo. »

[Livre de poche, Ernst Wolff, « World Economic Forum—Die WeltmachtimHintergrund », 2022, p.139]

« Si on regarde la liste des participants qui rejoindront les rangs des Young Global Leaders entre 2020 et 2022, on constate que la Chine a fourni le plus gros contingent après les États-Unis et que le nombre de candidats issus du secteur financier est supérieur à la moyenne. Ce n’est pas un hasard, car selon la volonté du FEM, ces deux pays sont appelés à jouer un rôle décisif dans le cadre du Great Reset dans un avenir proche ».

[Livre de poche, Ernst Wolff, « World Economic Forum—Die Weltmacht im Hintergrund », 2022, p. 143-145]

« Si la Chine joue depuis des décennies un rôle décisif pour le FEM […], c’est parce que, malgré le passage d’une économie planifiée à une économie de marché, la Chine a conservé les structures centralisées de l’époque du maoïsme. C’est pourquoi le gouvernement chinois peut agir de manière beaucoup plus autoritaire que ses adversaires qui agissent dans des conditions parlementaires. On le voit notamment dans le cadre de la crise Covid, pendant laquelle le régime de Pékin a fait preuve d’une dureté de fer en décrétant les confinements les plus longs et les plus sévères au monde. Mais cela se voit aussi par rapport à un autre projet qui se prépare actuellement en coulisses dans le monde entier et qui est soutenu par le FEM : l’introduction de monnaies numériques de banque centrale, la pièce maîtresse du Great Reset ».

Dans l’émission Kla.TV sur la Chine, ce système de domination nous menace tous ! — le rôle de la Chine a été résumé comme suit :

https://www.kla.tv/27164

Avec son système de crédit social, la Chine est un pionnier et un modèle pour le Great Reset souhaité par Klaus Schwab et le Forum économique mondial (FEM). Ce système est un système de surveillance de masse à l’aide de l’intelligence artificielle et donc le perfectionnement du système de domination forcée mis en place par Mao. Le comportement et la fiabilité de chaque individu, mais aussi des entreprises et des organisations, y sont constamment surveillés et évalués. En récompensant le bon comportement dans l’intérêt des gouvernants et en punissant tout écart de conduite, il impose à chacun de fonctionner à 100 % dans l’intérêt des dirigeants. Le premier système de crédit social en Europe a depuis déjà été introduit à Bologne (en Italie) et la Commission européenne prépare également l’introduction de ce système de contrôle et d’éducation.

Comme l’a démontré l’émission de Kla.TV « Chine — ce système de domination nous menace tous ! », la Chine a été financée et construite par la société secrète Skull&Bones, Lord Rothschild et plus tard la Fondation Rockefeller. Skull&Bones était à l’origine une association d’étudiants de l’université de Yale et forme le cercle interne du Council on Foreign Relations (CFR). Au début du 20e siècle, elle a fondé en Chine une série d’écoles et d’hôpitaux connus sous le nom de « Yale-in-China ». Selon les résultats de la recherche de l’ExpressZeitung suisse (numéro 50 d’octobre 2022), c’est « Yale-in-China » qui a ouvert la voie du pouvoir aux marxistes ainsi qu’au dictateur chinois Mao Tse-tung (1893-1976). Dès 1986, l’historien britannique Antony C. Sutton écrivait :

« Vers l’an 2000, la Chine communiste sera une “superpuissance” construite avec la technologie et l’expertise américaines. »

De même, le scientifique renommé Sutton montre comment la Russie a été infiltrée par la Croix-Rouge américaine au début du 19e siècle. Celle-ci aurait également été accaparée par les forces de la haute finance. Ainsi, la révolution d’octobre 1917 — qui mit fin au tsarisme et marqua l’avènement du communisme — fut soigneusement orchestrée par l’élite financière, et notamment par les Rothschild, et soutenue par des moyens financiers colossaux. Sutton montre comment les cercles de banquiers autour de la banque centrale américaine ont mis en place presque toute l’industrie lourde de l’URSS.

Russie

En 1986, l’Union soviétique a participé pour la première fois à une rencontre du FEM à Davos sous la direction de Mikhaïl Gorbatchev, arrivé au pouvoir l’année précédente. À l’époque, cette rencontre s’appelait encore « European Management Forum » jusqu’en 1987.

Depuis les années 90, Klaus Schwab entretient une longue amitié avec le président russe Vladimir Poutine. Selon le magazine « Politico », Poutine et son prédécesseur à la présidence, Dmitri Medvedev, ont prononcé cinq discours au FEM entre 2007 et 2021. Schwab a littéralement déclaré : « Le FEM a établi une excellente relation avec la Fédération de Russie. Aussi bien avec le monde des affaires qu’avec le gouvernement ». En tant que « partenaires stratégiques », les entreprises russes ont, selon un initié, versé environ 600 000 francs par an au FEM et ont pu, en contrepartie, participer à l’élaboration du programme.

En 2018, le FEM a créé un « centre de cybersécurité » en collaboration avec la société russe de sécurité informatique BI.ZONE. BI.ZONE est une filiale de la plus grande institution financière de Russie, la Sberbank. C’est sous la direction de cette dernière que s’est déroulé l’exercice annuel en ligne « Cyber Polygon » afin de s’entraîner aux cyberattaques et à la défense contre celles-ci.

Pour le FEM de mai 2022, les Russes sanctionnés ont été désinvités dans le cadre de la guerre en Ukraine. Pour la première fois depuis l’ère Gorbatchev, il n’y a pas eu de participation russe au FEM. En outre, les deux banques russes Sberbank et VTB ainsi que le groupe énergétique russe Gazprom ont été supprimés de la liste des « partenaires stratégiques ».

Néanmoins, il faut bien constater que la Russie met en œuvre le même agenda mondial que celui promu par le FEM et les élites mondialistes :

● La Russie a toujours été en première ligne dans la lutte contre la prétendue pandémie de COVID, appelant la population à se faire vacciner au côté des autres pays.

● La Russie joue un rôle de premier plan dans l’introduction de la monnaie numérique de la banque centrale, ou CBDC. En 2024, le rouble numérique devrait être introduit dans tout le pays. La CBDC peut être considérée comme un élément constitutif du contrôle total et de la surveillance totale.

● Avec la Chine, la Russie est le grand partisan de la mise en place d’un nouveau système financier et monétaire mondial sous le contrôle du FMI.

● La Russie occupe une place de premier plan en tant qu’État de surveillance. Moscou et Saint-Pétersbourg font partie des dix villes les plus surveillées en dehors de la Chine.

En 2017 et 2018, les autorités moscovites ont introduit un système de caméras de rue soutenu par un logiciel de reconnaissance faciale. Lors de la crise de Covid en 2020, les autorités ont été en mesure de repérer et de punir les personnes qui quittaient leur domicile en violation des règles de confinement.

● La Russie joue un rôle de premier plan dans la mise en œuvre de l’Agenda 2030 de l’ONU et du Great Reset. Comme publié sur le site web du « Bureau exécutif du président russe », la Russie fait avancer la mise en œuvre de l’Agenda 2030 de l’ONU. C’est ce qui ressort d’une déclaration commune avec la République populaire de Chine sur le développement durable mondial. Elle a été rédigée le 4 février 2022 à l’occasion de la visite du président russe Vladimir Poutine à Pékin. Le même jour, il a participé à la cérémonie d’ouverture des Jeux olympiques d’hiver.

La déclaration commune mentionne nommément :

« la lutte contre la pauvreté, la sécurité alimentaire, les vaccins et la lutte contre les épidémies, le financement du développement, le changement climatique, le développement à long terme, y compris le développement vert, l’industrialisation, l’économie numérique et la connectivité des infrastructures. »

Tout comme la Chine ou les acteurs mondiaux mentionnés ou les initiatives du FEM qui s’avèrent être des instruments dans la mise en place d’une dictature mondiale centralisée, il convient d’observer si cela concerne également la Russie.

8. Le FEM en un point

Voici un rappel et un résumé des points les plus importants :

● Le FEM n’est pas simplement une fondation suisse créée et mise en place par un Klaus Schwab indépendant.

● Pendant son séjour à la Harvard Business School en 1966/1967, Schwab subit l’influence de son professeur Henry Kissinger.

● Le « European Management Symposium » — l’ancêtre du FEM — est né d’un programme de Harvard financé par la CIA et dirigé par Henry Kissinger, et a été mis sur pied en Suisse avec le soutien de John Kenneth Galbraith et Herman Kahn. Tous les trois sont membres du groupe de réflexion du Council on Foreign Relations (CFR).

● Toutes les personnes liées à la création ou à la structure de gouvernance supérieure du FEM sont soit membres du groupe Bilderberg ou du Conseil des relations étrangères (CFR) ou de la Commission trilatérale, soit simultanément de plusieurs.

● Tous ces relais passent par les mêmes hommes en arrière et leurs successeurs, que ce soit David Rockefeller, Henry Kissinger, Laurence Douglas, « Larry » Fink ou David Rubenstein et quelques autres acteurs mondiaux fortunés.

● Lors de sa création en 1971, le FEM a reçu pour mission de mettre en œuvre l’agenda d’un Nouvel Ordre Mondial (NOM) à l’échelle mondiale avec l’aide des grandes entreprises mondiales. Entre-temps, toute l’élite des grandes entreprises mondiales s’y est regroupée.

● Le Forum économique mondial (FEM) a été installé comme l’un des points de contact les plus importants de la politique mondiale par ces mêmes dirigeants mondiaux. Grâce au FEM, différentes initiatives ont été lancées, qui servent d’outils pour faire avancer la globalisation. Ce qui prépare le terrain pour une future dictature mondiale centralisée.

● Parmi ces initiatives, certaines des plus importantes sont le Club de Rome en lien avec la dictature du climat, l’alliance pour la vaccination GAVI en lien avec la dictature de la vaccination, l’exercice de pandémie « EVENT 201 » d’octobre 2019, c’est-à-dire la dictature de Covid, le Great Reset, le transhumanisme, etc. Mais des acteurs comme la Chine et la Russie servent également d’instruments à l’agenda du FEM et le font avancer en première ligne.

● Le « Great Reset » proclamé par le fondateur du FEM a pour objectif de faire entrer l’ensemble des citoyens de la Terre dans une nouvelle ère, numérique et guidée par l’intelligence artificielle. « Great Reset » signifie quelque chose comme : Un monde dans lequel personne ne possède plus rien, où chacun est entièrement surveillé, mais aussi entièrement dépendant et donc dirigeable.

● Le programme du transhumanisme (la fusion des corps humains avec la sphère numérique) ouvre les portes à la manipulation, au contrôle et à la gestion de l’humanité. La voie est libre pour une dictature mondiale centralisée !

Voilà pour les points principaux. Compte tenu du fait que les fils du FEM sont reliés aux mêmes réseaux et aux mêmes personnes, et que les objectifs des initiatives du FEM, tels qu’ils sont décrits ici, servent sans équivoque un agenda mondial, on peut très bien parler d’une véritable conspiration mondiale.

Il ne s’agit pas d’une conspiration mondiale de quelques grands acteurs comme le gouvernement américain, la Russie ou la Chine, mais d’un petit nombre de dirigeants mondiaux. Ceux-ci ont en commun d’être profondément impliqués dans la société secrète de la franc-maçonnerie. Ainsi, l’une des super loges les plus puissantes et donnant le ton au niveau mondial, « THREE EYES », a été fondée par David Rockefeller, Henry Kissinger et Zbigniew Brzeziński.

Grâce à des révélations comme celles du franc-maçon italien de haut niveau Gioele Magaldi, on sait que l’ancien dirigeant du Parti chinois Deng Xiaoping (1904-1997) a été initié à la franc-maçonnerie et est devenu membre de la super loge « THREE EYES ». Cela a eu pour conséquence que, selon Gioele Magaldi, tous les présidents du parti, dont l’actuel président de la République chinoise Xi Jinping, sont depuis 1980 membres des super loges, dans lesquelles sont organisés les francs-maçons de haut grade.

Il est également connu que les acteurs russes les plus importants étaient ou sont encore membres de super loges. Par exemple Joseph Staline (1878-1953), Vladimir Ilitch Lénine (1870-1924), Léon Trotski (1879-1940), Mikhaïl Gorbatchev (1931-2022), Boris Eltsine (1931-2007) ainsi que le président russe Vladimir Poutine.

Tout cela a été révélé dans l’émission de Kla.TV « Danger mondial : Franc-maçonnerie de haut grade ».

[https://www.kla.tv/23995]

Voyez pour finir la conclusion de cette émission : Il semble n’y avoir qu’un seul chemin pour venir à bout à temps de cette conspiration mondiale vieille de plusieurs siècles : La communauté mondiale trompée et pillée doit écrire les noms de tous ses pillards afin que ceux-ci puissent être jugés et privés de leur pouvoir lors d’un tribunal mondial décrété par le peuple — un Nuremberg 2.0 en quelque sorte. Avant que ces conspirateurs mondiaux ne puissent prochainement dépouiller les peuples de leurs derniers biens et de leurs dernières libertés, les peuples doivent confondre ces sournois prédateurs au sujet de leur banditisme, de sorte que tous les biens et terres qu’ils ont volés (en effet une grande partie de la surface du monde leur appartient déjà) et que tous leurs capitaux puissent être confisqués.

Comme une aurore, les plans cachés et les tireurs de ficelles du FEM apparaissent. Faites partie de ce lever du jour ! Aidez-nous à diffuser ces révélations dans le monde entier et à mettre un terme au FEM et à ceux qui le dirigent !

de dd./mw.

Sources/Liens :




Billet de très mauvaise humeur : le cirque Macron-Attal s’est installé dans votre village, sauve-qui-peut !

[Source : russiepolitics]

Par Karine Bechet-Golovko

À peine dévoilé, le nouveau Gouvernement soulève beaucoup de questions, mais il apporte aussi une réponse très claire : la France n’a plus besoin de gouvernants, elle est gouvernée. Et cela vient d’être officiellement reconnu. C’est la seule explication rationnelle à la farce, qui s’engage pour le plus grand déshonneur de notre pays. Bref, le cirque Macron-Attal arrive dans vos villages, avec ses putes, ses suspects et ses jeunes foutriquets. Planquez vos poules et vos enfants !

Je ne pourrai pas entrer dans tous les détails de la triste pièce, qui a commencé à être jouée hier à Matignon, sinon il faudrait écrire un roman. En revanche, je voudrais quand même souligner certains aspects.

Tout d’abord, deux questions organisationnelles — et idéologiques — concernant les ministères.

Ainsi, l’agriculture devient également le ministère de la « Souveraineté alimentaire ». C’est amusant cette manie de nous mettre de la « souveraineté » dans toutes les appellations, surtout lorsqu’elle est détruite systématiquement depuis au moins une trentaine d’années et que la France, malheureusement, n’est même plus aujourd’hui le pâle reflet d’elle-même. À l’époque de la Guerre froide, nos élites avaient le don de pointer les faiblesses de l’autre camp et elles se moquaient de cette manie de mettre du « démocratique » dans les dénominations des pays du bloc de l’Est, comme pour indiquer où était la véritable démocratie. Désormais, le ridicule est passé dans notre camp et ces élites restent muettes — elles n’ont pas plus de mandat pour le faire, que d’esprit pour le penser.

L’hôpital, qui faisait à juste titre la fierté de notre pays, est en lambeaux, le système de soins en général est à bout de souffle, il ne mérite pas un ministère en soi. Il est ainsi regroupé avec celui du travail. Le néolibéralisme, qui accompagne la globalisation, n’a pas besoin de s’embarrasser des questions sociales. Par ailleurs, comme le chômage de masse et la généralisation du travail précaire entraînent de véritables pathologies, les deux maux (le travail et la santé) seront manifestement traités ensemble par un ministre de la « Vérité-tout-va-bien ». Il semble que, dans cette logique, la généralisation de l’euthanasie serait un moyen autrement efficace de traiter les deux domaines… Comme nous vivons une époque de progrès, n’ayons aucun doute sur le potentiel de cette voie.

Adieu le ministère de la Santé ! Il fallait oser, ils l’ont fait, sans aucun remords, sans explication, comme quelque chose de normal. Une nouvelle norme se met en place, de plus en plus orwellienne.

En ce qui concerne les personnalités, arrêtons-nous un instant sur certaines. Quelle chance de voir Rachida Dati à la Culture, elle qui critiquait le parti de Macron, quand elle pensait faire carrière dans l’opposition !

La prostitution semble bien être le seul moyen reconnu par cette clique gouvernementale d’existence politique. Mais continuons sur la même ligne — celle de la promiscuité. Nous apprenons que le conjoint pacsé du Premier ministre, Stéphane Séjourné, est nommé aux Affaires étrangères. Il n’est pas diplomate de carrière, mais quelle importance, il y a juste une guerre en cours et un conflit mondial de civilisation et de modèles de gouvernance, dans lequel la diplomatie a un rôle à reprendre. La diplomatie, mais manifestement pas la France, a priori ridiculisée sur la scène internationale par la nomination de foutriquet. Et en matière de prostitution et de convictions, car la prostitution demande aussi de la conviction, il s’adapte rapidement :

Un dernier survol de cette ménagerie pour s’arrêter un instant sur notre visionnaire ministre de l’Économie, celui qui avait annoncé la destruction de l’économie russe avec les sanctions et la guerre. À sa décharge, étant ministre d’un pays qui appartient à peine à la lointaine périphérie dans le système de gouvernance globalisé, il ne fait que rediffuser le discours atlantiste imposé, que vous trouverez notamment dans Foreign Affairs. Pendant ce temps-là, l’économie russe se redresse, puisque le pays reprend petit à petit sa souveraineté et relance son industrie et sa production. Simple et logique. Hier, le Président russe déclarait :

« C’est un résultat étonnant. Il semble que nous soyons étranglés et écrasés de toutes parts, mais nous sommes devenus les premiers en Europe en termes de volume économique dans son ensemble. Nous avons dépassé l’Allemagne et pris la cinquième place mondiale. »

Nous avons souvent écrit sur les problèmes économiques en France et les Français le sentent au quotidien, avec l’augmentation du coût de la vie, sans véritable reprise économique. Donc, Bruno Le Maire annonce triomphant que, puisqu’il remplit à merveille le programme pour lequel il est en place, il ira encore plus loin :

Et finissons en beauté avec notre nouveau Héros, Gabi le Magnifique, encensé par les écharpes rouges de la République, monté au niveau des dieux et des anges. Mais comme cela nous est expliqué, ces dieux et ces anges ne travaillent pas pour le bien des hommes, non, ils travaillent pour eux-mêmes, ils se protègent les uns les autres. Ce n’est pas ça une mafia ?

Et ce Héros, va également devenir un héros de série télé, jouant son propre rôle, poussant à l’extrême la désacralisation du pouvoir — qui ne peut exister sans sacré :

Attal est un peu le Zelensky français, que l’on nous prépare pour les prochaines présidentielles. Décidément, l’Ukraine est bien l’avenir de la France. Alors, n’oublions pas les paroles de Malraux dans La condition humaine :

« L’humanité était épaisse et lourde, lourde de chair, de sang, de souffrance éternellement collée à elle-même, comme tout ce qui meurt. »

PS : Vous pouvez mettre en commentaires vos propositions pour sortir de ce cirque — ou pour sortir ce cirque.




La transition écologique va faire l’objet d’un rejet social et politique croissant

[Source : institutdeslibertes.org]

Par Jean-Jacques Netter

L’Union Européenne a fait de sa politique écologique une machine infernale qui la plonge dans un malthusianisme ruineux. Une des façons d’en mesurer le résultat est de regarder l’évolution de son PIB qui est la création de richesse de l’économie européenne.

Aujourd’hui, le PIB de l’UE ne représente plus que 65 % du PIB américain contre 91 % il y a dix ans. Si on continue à ce rythme-là, la transition écologique ne sera pas supportable sur le plan économique. Les conséquences sur la dette, l’emploi, l’inflation seraient seront trop négatives.

On a longtemps vendu à l’opinion publique l’illusion d’une transition écologique merveilleuse qui créerait des emplois et des richesses pour tous. Un des problèmes est clairement que les Français ne sont pas prêts à sacrifier un peu de leur bien être d’aujourd’hui pour améliorer le sort des générations futures surtout si elles ne sont pas françaises…

L’obscurantisme écolo-bobo-bio : incarne le camp du « bien » avec ses mots vertueux : écologie, environnement, éolienne, lanceur d’alerte, santé et leurs qualificatifs tout aussi positifs : vert, naturel, durable, circulaire, biodynamique, biologique, photovoltaïque, recyclable, économe, local, associatif, décentralisé. De l’autre il y a le camp du mal : pétrole, charbon, pesticides, OGM, nucléaire, pollution, croissance, climatosceptiques, et des qualificatifs négatifs : polluant, dangereux, intensif, capitaliste, industriel, cancérigène. Bien évidemment pour le camp du bien, seul le camp du mal est corrompu…

Au nom du réchauffement climatique, les partisans de l’étatisme et du dirigisme justifient une fiscalité toujours plus importante, des réglementations toujours plus contraignantes et l’emprise croissante de la sphère publique. Ils utilisent le principe de précaution pour embrigader l’humanité et engager des dépenses souvent inutiles. On assiste à la résurgence d’une pensée collectiviste dont les résultats ne seront connus que par les générations à venir…

La posture catastrophiste des écologistes idéologistes a trois inconvénients : 1/ elle implique que la partie est d’ores et déjà perdue. 2/ L’urgence qui en découle conduit à ne plus prendre le temps d’analyser l’ensemble des contraintes. 3/ La décroissance est la seule perspective proposée. On est dans une guerre idéologique où des forces anticapitalistes profitent de la crise climatique pour renverser le système économique actuel…

La triple faillite de cette nouvelle idéologie. Faillite scientifique quand le dogme politique prend le pas sur les résultats expérimentaux ; faillite morale quand la censure remplace le débat universitaire ; et faillite économique quand l’Europe s’impose seule le coût faramineux des énergies renouvelables.

Les climatosceptiques sont exclus du débat public…

Une proposition de loi visant à bannir le climatoscepticisme des médias a même été envisagée. L’objectif étant d’interdire dans le débat public toute remise en question des dérèglements climatiques. Tout cela se ferait au nom d’un « consensus scientifique ». Rappelons que dans les régimes à vérité officielle idéocratique les dirigeants qui pratiquent cette posture finissent souvent en gardiens de camp…

Steven Koonin est professeur de physique théorique à Cal’Tech et ancien conseiller scientifique d’Obama passe régulièrement en revue les affirmations péremptoires qui nous sont assénées sur le climat et la planète. Ce sont les politiques et les médias qui contrôlent totalement le récit. C’est pourquoi il recommande de cesser de propager la panique climatique. Il pense que les modèles utilisés pour prédire l’avenir en matière de climat sont profondément défectueux. Ils ne sont même pas en mesure de décrire avec précision le climat du passé !

L’alliance écologistes-gauche ne fonctionne plus… Aux Pays-Bas le PPV de Geert Wilders a largement battu l’alliance de la gauche et des écologistes et le centre droit. La révolte des néerlandais doit être un avertissement sans frais qui doit être entendu. On assiste à une montée contre une stratégie qui consiste à faire exploser les prix de l’alimentation et de l’énergie, à créer une pénurie de logements à réduire de manière autoritaire la mobilité. Parallèlement on assiste à un développement d’une bureaucratie qui contrôle la vie des entreprises et des citoyens…

Les écologistes ne pratiquent que l’écologie punitive…

L’écologie politique est une des armes de la cancel culture. Au nom du climat, elle déconstruit notre histoire et nos paysages. Elle défend un humanisme aux antipodes du terrorisme vert. Les démonstrations de force des activistes du climat révèlent le vrai visage de l’écologie politique autant que la démission presque irrémédiable de toute une société.

Voilà une sélection d’opinions émises par les écologistes les plus influents :

Marc Jancovici a défendu un système de rationnement des billets d’avion. Quatre vols pour aller découvrir le monde quand on est jeune avec les vieux qui partent en train en Corrèze !. On est bien dans une écologie carcérale plus pressée d’asservir et de ruiner que de lutter contre le changement climatique.

Sandrine Rousseau est un mélange de cynisme et de bêtise. L’élue écologiste propose un terrifiant projet de société avec une idéologie qui veut couper des têtes et museler la liberté d’expression. Sa mesure phare consisterait à interdire immédiatement de louer des passoires thermiques

Greta Thunberg pense que l’heure de l’apocalypse écologique a sonné. La prosternation est notre seule voie de salut. Ce totalitarisme mou teinté d’anticapitalisme de combat est érigé en système de pensée politique et morale. Du bio à la voiture électrique en passant par le nucléaire ou les OGM elle démonte méthodiquement le corpus de poncifs écologistes les plus clivants et les plus extrêmes. Elle est devenue le témoin d’une époque où penser librement en marge d’une religion nourrie de fantasmes et de peurs est devenu un acte de courage et les voix scientifiques discordantes des ennemis à abattre.

Cara New Daggett pense que la relation entre « masculinité dominante » et « pétroculture » dont découlent structure une hiérarchie de genre, de race, de classe… Les énergies fossiles ont intensifié la violence, dit-elle !

Le nucléaire français a été démantelé

En France l’État a peu à peu démissionné sur le nucléaire. Avec la globalisation les dirigeants ont pensé que la géopolitique n’était plus un problème. L’État actionnaire s’est comporté en prédateur avant de multiplier les injonctions contradictoires. L’État régulateur s’est abrité derrière le principe de précaution introduit dans la Constitution par Jacques Chirac pour fuir ses responsabilités. Le résultat c’est une entreprise en faillite avec 60 Md€ de dettes et des déficits alors qu’elle devrait réaliser des superprofits. L’Europe a indexé le prix de l’électricité sur le prix du gaz russe un comble de bêtise.

L’Amérique est à la poursuite du Graal énergétique. Deux entreprises tentent de percer les mystères de la fusion nucléaire. CFS a levé 2 Md $ pour réaliser la fusion nucléaire. Une installation américaine a réussi à produire plus de chaleur que ce qui avait été injecté par rayonnement…

L’ARENH (Accès Réglementé à l’Électricité Nucléaire Historique) oblige EDF à vendre 25 % de sa production (100 TWh) au prix de 42 €/MWh. La centaine de « fournisseurs alternatifs » qui se sont installés dans ce fromage ne sont en fait que des traders qui ne produisent que des factures. Ce mécanisme a largement fait la preuve de son échec. Il faut avoir une électricité dont le prix est aligné sur son coût de production. C’est ce qu’ont demandé dans une tribune collective du 06/06/2023 Henri Proglio, Arnaud Montebourg et Loïk Le Floch Prigent. L’Arenh est une véritable pilule empoisonnée. Son mécanisme d’accès à la rente nucléaire de la France à prix cassé bénéficie aux concurrents de l’électricien public. EDF après une année 2022 catastrophique avec une production de 229 TWh table sur 300 à 330 en 2023, 350 en 2025. Le record historique est de 420 TWh.

L’éolien est une fausse énergie propre et une fausse énergie renouvelable

Si vous cherchez la France périphérique, levez les yeux au ciel. S’il est encombré d’acier et de matériaux composites, vous y êtes. Une éolienne ne fonctionne en moyenne, dans notre pays, qu’à 24 % de sa puissance. Les déceptions enregistrées par les sociétés les plus exposées au secteur sont nombreuses : Siemens Energy dans l’éolien en mer a récemment été sauvé par une garantie du gouvernement allemand de 7,5 Md€, Orsted le géant danois a baissé de 50 % depuis 6 mois, Iberdrola a abandonné son projet d’éolienne au large du Massachussets. Svevind AB et le fabricant de turbines Enercon sont associés dans un projet au large de la Suède. Il est au bord de la banqueroute

Bétonner la mer est l’idée technocratique la plus anti-écologique qui soit. Pourtant la France a été mise à l’amende pour son retard dans les éoliennes.

La montée en puissance de l’énergie éolienne terrestre supposée écologiquement correcte s’accompagne de nuisances graves et de scandales multiples : défiguration des paysages, dégâts sanitaires, dépréciation immobilière.

Derrière l’image verte de l’éolien, on trouve : pollution, émissions de CO2 atteintes à la santé et à la biodiversité détournements de fonds publics, conflits d’intérêts, mafia… Au-delà de ce constat consternant, sur le plan industriel c’est la Chine qui possède 45 % du marché de l’éolien dans le monde !

Le Photovoltaïque est contrôlé par la Chine

Le solaire est le grand gagnant de la transition énergétique partout sauf en France…

Pourtant Il aurait été beaucoup plus efficace d’inciter l’Allemagne à sortir plus vite du charbon qui constitue encore 45 % de son mix énergétique.

La Chine possède 72 % de part de marché des modules solaires. Grâce à des coûts de production inférieurs de 35 % à ceux de l’Europe et de 20 % à ceux des États-Unis la Chine héberge sept des dix premiers fabricants au monde de panneaux solaires dont les trois plus gros.

Toutes ces technologies qui étaient censées créer les emplois de l’économie décarbonée montrent la déconfiture de l’éolien et du solaire et les problèmes financiers d’Alstom et de Siemens

Les énergies fossiles ont toujours de l’avenir…

Le monde est encore avide de pétrole

La France doit absolument diminuer ses importations d’énergies fossiles pour rééquilibrer sa balance commerciale. Les dernières opérations réalisées dans le secteur du pétrole sont claires. Exxon a racheté Pioneer Natural Reserves pour 59.5 Md$. Chevron a racheté Hess pour 53 Md $

Le Charbon alimente toujours de nombreuses centrales surtout allemandes

Là encore l’intérêt ne faiblit pas. Glencore a mis la main sur Teck au Canada dans le charbon.

La baisse des émissions de CO2 en Europe est pourtant plus que compensée par les ouvertures en cascade de centrales à charbon. On assiste à une remontée des émissions de CO2 liée au recours accru au charbon pour répondre à l’arrêt de livraison de gaz russe.

Il faudra qu’un jour les écologistes du camp du bien comprennent que le raccordement de 100 MW d’éolien ou de solaire ne permet selon JP Morgan de débrancher que 10 à 30 MW de thermique…

Auteur : Jean-Jacques Netter

Jean Jacques Netter est diplômé de l’École Supérieure de Commerce de Bordeaux, titulaire d’une licence en droit de l’Université de Paris X. Il a été successivement fondé de pouvoir à la charge Sellier, puis associé chez Nivard Flornoy, Agent de Change. En 1987, il est nommé Executive Director chez Shearson Lehman Brothers à Londres en charge des marchés européens et membre du directoire de Banque Shearson Lehman Brothers à Paris. Après avoir été directeur général associé du Groupe Revenu Français, et membre du directoire de Aerospace Media Publishing à Genève, il a créé en 1996 Concerto et Associés, société de conseil dans les domaines de la bourse et d’internet, puis SelectBourse, broker en ligne, dont il a assuré la présidence jusqu’à l’absorption du CCF par le Groupe HSBC. Il a été ensuite Head of Strategy de la société de gestion Montpensier Finance.




Les centres de fusion, les citoyens-espions et l’affaiblissement du caractère américain

[Source : thewashingtonstandard.com]

Par Karen Stewart

Que vous fassiez partie de la « résistance à Trump » ou que vous soyez un patriote de QAnon, il est probable qu’un nombre important d’entre vous aient été avilis avec succès par les centres de fusion de votre État, en dépit de vos tendances politiques. Seuls l’avarice brute et un mépris total pour la Constitution sont nécessaires.

Pour ceux qui ne savent pas ce qu’est un centre de fusion, il a été décidé après le 11 septembre que les autorités fédérales, étatiques et locales ne communiquaient pas suffisamment entre elles en ce qui concerne les menaces terroristes, et des centres de fusion ont donc été créés dans chaque État pour « fusionner » les informations et les partager en un lieu central. En fonction de la taille de l’État et de sa population, il peut y avoir de un à trois centres de fusion dans un État.

Dans chaque centre de fusion se trouve une unité de lutte contre le terrorisme domestique, qui dispose même de panneaux d’affichage à divers endroits encourageant les gens à « voir quelque chose, dire quelque chose ». En outre, les Centres de Fusion recrutent des civils sur le terrain qu’ils appellent HUMINT (human intelligence [intelligence humaine]), ce qui est risible de mon point de vue d’analyste du renseignement de la National Security Agency à la retraite, où ce terme n’est pas synonyme de dupes et de voyous non avertis, comme c’est le cas ici.

Les centres de fusion recrutent des personnes ordinaires par l’intermédiaire de groupes quasi patriotiques ou même faussement patriotiques sous le nom d’« Infragard » (sous les auspices du FBI) et d’autres groupes fascistes douteux. Les centres de fusion sont même connus pour utiliser des criminels et des gangs criminels, mais je m’avance un peu.

Infragard est recruté par les centres FBI/Fusion parmi le même type de personnes que celles qui se portent volontaires pour participer aux programmes de police locale ou de police citoyenne. Nombre d’entre eux sont des personnes bienveillantes, mais beaucoup, trop, sont des brutes qui cherchent à justifier leur désir de contrôler les autres et d’exercer leur volonté sur ceux qui les entourent avec une fausse autorité et un faux pouvoir. Ces personnes sont formées à une technique de traque militariste secrète, de type relais, que la communauté du renseignement appelle « couverture [ou protection] en fonte », ce qui signifie que des équipes tournantes sont affectées à un « suspect terroriste » 24 heures sur 24, 7 jours sur 7, nuit et jour, à l’infini. Leur tâche consiste à suivre la cible absolument partout. Si la cible se rend à l’épicerie, plusieurs personnes se garent sur le parking pour surveiller le magasin tandis qu’une autre équipe suit la personne dans l’épicerie, jetant même un coup d’œil dans son caddie pour signaler ce qu’elle achète. C’est grave. La cible est également surveillée par téléphone (écoute via le FBI) et chaque fois qu’elle prend un rendez-vous par téléphone, il est certain que plusieurs Infragard sont présents dans la salle d’attente pour l’observer. Le centre de fusion peut même informer le médecin que la personne est sous surveillance et qu’il doit avoir accès à son dossier médical. Certains médecins obtempèrent. La famille ou les amis qu’il fréquente seront également surveillés, peut-être même menacés, et plusieurs Infragard seront stationnés dans le voisinage pour garder un œil (et une oreille) sur chaque visite. Toute autre personne passant par là verra sans aucun doute sa plaque d’immatriculation enregistrée et fera l’objet d’une enquête. Et tous les voisins de la cible, ainsi que les voisins de ses amis et de sa famille, seront informés que cette personne suspecte fait l’objet d’une enquête. Parfois pour des crimes sans nom, parfois pour des crimes qui n’ont jamais eu lieu.

Mais qu’est-ce qui place une personne sur cette liste de surveillance ? S’agit-il d’immigrants récents du Moyen-Orient ayant des liens douteux avec des terroristes potentiels ? Des personnes ayant des liens douteux avec l’étranger ? Curieusement, il n’y a pas beaucoup de personnes qui s’appellent Abdul ou Fatima sur la liste de surveillance du FBI/Fusion Center/Infragard, mais plutôt Bob, Mary, Steve, Susan, Leon, Tawanda…. Et quelques Josés et Marias, ainsi que quelques noms orientaux symboliques de personnes dont les familles sont ici depuis toujours.

Comment sommes-nous passés de la création d’un réseau de centres de fusion et d’une armée secrète et permanente de citoyens, ostensiblement en raison d’une menace émanant d’« extrémistes musulmans », au harcèlement total de nos voisins par des agents de surveillance ? Nombreux sont ceux dont les familles sont installées ici depuis des décennies, voire des siècles. Et si vous ne pensez pas qu’une telle surveillance concertée par des civils n’est pas évidente pour la cible, vous vous trompez. Il s’agit donc bien de harcèlement.

Si, dans le cadre d’une véritable opération de renseignement, vous surveillez quelqu’un de manière maladroite et évidente, vous vous attendez à ce que ce que vous espériez voir ne se produise pas en raison de l’incompétence manifeste des agents. Quel est donc l’intérêt d’une telle activité ? Vous avez grillé votre couverture. Vous avez alerté la personne supposée suspecte sur le fait que ses activités font l’objet d’un examen minutieux. L’objectif n’est manifestement pas de recueillir des preuves, mais plutôt d’intimider et de harceler la personne visée. Mais dans quel but ? L’une des réponses est de pousser la personne à agir pour que la loi puisse lui sauter dessus et lui dire : « Vous voyez, on vous l’avait bien dit ! ». Voilà, ils ont créé un faux récit pour soutenir la théorie ridicule de la « pré-criminalité » selon laquelle ils peuvent prédire les criminels et donc certaines personnes qui semblent innocentes, devraient néanmoins être arrêtées avant qu’elles ne commettent inévitablement un crime. « Faites-nous confiance, nous avons une “formule infaillible” scientifique ».

Mais le véritable objectif ne serait-il pas de former une armée secrète de drones irréfléchis et de zélotes émotionnellement immatures au sein de la population afin d’intimider et de brimer absolument n’importe qui, au pied levé, sans aucune raison discernable ? Comment mieux terroriser une nation et « garder secrètement les gens dans le droit chemin » tout en prétendant qu’ils ont tous les droits constitutionnels qu’ils ont toujours eus… à moins qu’ils n’essaient de les utiliser ? Cela ressemble-t-il aux Chemises brunes de l’Allemagne fasciste ou aux « escouades rouges » des pays communistes qui gardent leurs citoyens captifs dans le droit chemin ?

La Cour FISA est la pierre angulaire du programme des cellules terroristes citoyennes dirigées par le FBI et le Centre de fusion. La Cour FISA est un tribunal secret où le FBI présente des preuves qu’une certaine personne mérite d’être surveillée en raison d’accusations largement infondées et peut-être d’un soupçon de preuve ou peut-être pas. Puisque les tribunaux contournent le 4e amendement — le droit de chaque citoyen de savoir SI il a été accusé d’un crime, QUEL crime, et accusé par QUI — le FBI est également chargé de présenter à la cour d’éventuelles circonstances atténuantes, puisque la cible ne peut pas le faire. Quelle est la probabilité que cela devienne une réalité ? D’après l’expérience passée, c’est peu probable.

Selon Bernhoft.law, ils ont découvert, au cours de la phase de découverte d’un procès défendant le propriétaire d’une entreprise de cloisons sèches, que lorsqu’une entité puissante comme l’IRS (ou, sans doute, toute agence fédérale) veut poursuivre quelqu’un mais n’a pas de « motif », elle demande au principal centre de fusion secret un dossier de « construction parallèle » (falsifié) sur la personne afin de pouvoir la poursuivre, en l’occurrence pour dépouiller un innocent de ses biens. L’espoir est que les accusations falsifiées soient si décourageantes que la personne « acceptera ».

Maintenant, si l’on tient compte de l’argent et des efforts fédéraux investis dans les Centres de Fusion à l’échelle nationale, de leur vaste réseau civil Infragard de mouchards et de harceleurs de l’armée secrète permanente (payés par l’argent des contribuables), du pouvoir et du contrôle soudains des fiefs locaux offerts à des habitants peu avertis, de l’argent qui se déverse dans les régions où les mouchards stimulent l’économie grâce à un afflux soudain d’argent disponible, en particulier dans les entreprises qui « s’associent » à Infragard, c’est-à-dire qui reçoivent l’argent des contribuables pour fournir des services et des produits discrets à l’armée de mouchards, on obtient une industrie artisanale en plein essor, à la recherche de cibles. Les entreprises qui « s’associent » à Infragard, c’est-à-dire qui reçoivent l’argent des contribuables pour fournir des services et des produits clandestins à l’armée des mouchards, se retrouvent avec une industrie artisanale de harcèlement en plein essor, à la recherche de cibles… de n’importe quelles cibles.

Absolument n’importe qui fera l’affaire. Il n’est pas nécessaire d’avoir des liens ou des penchants terroristes.

Il s’agit donc d’un système frauduleux de surveillance des terroristes mis en place pour détourner des milliards de dollars des contribuables de la sécurité nationale des États-Unis et les transformer en un système d’enrichissement rapide pour les seigneurs des centres de fusion et des Infragard, ce qui permet aux personnes sous-qualifiées, non qualifiées et immorales de mener un style de vie relativement somptueux en s’attaquant à leurs voisins innocents, alors que leurs propres capacités, talents ou éthique de travail n’auraient jamais pu être exploités au cours de leur vie. Ils sont plus qu’heureux de ruiner la vie de Jean Dupont pour une nouvelle tondeuse à gazon autoportée ou des billets de saison, tandis que la vie de Jean Dupont subit des campagnes de calomnie et de diffamation qui lui font perdre des promotions, voire son emploi, peut-être même sa maison et sa famille, et certainement son statut social au sein de la communauté puisqu’il est désormais rejeté et devient un paria. Lui et les autres victimes de ce réseau deviennent des boucs émissaires et la nouvelle classe des « intouchables » en Amérique. Les centres de fusion (la Gestapo américaine) et leurs « exécuteurs » Infragard font comprendre non seulement aux forces de l’ordre que ces cibles doivent être privées de leurs droits fondamentaux, mais aussi à l’ensemble de la ville, qui doit s’aligner sur le programme, sous peine de subir le même sort.

Depuis de nombreuses années, des voix s’élèvent dans le désert pour crier que quelque chose ne va pas, mais l’establishment de la sécurité intérieure s’est empressé de diffuser, par l’intermédiaire d’experts en santé mentale et de forces de l’ordre complaisants, le discours selon lequel « si quelqu’un parle de harcèlement de groupe, il faut le faire taire parce qu’il délire ». Bien entendu, lorsque le nombre de personnes dénonçant le harcèlement collectif est devenu alarmant, le discours officiel s’est soudain transformé en « délire de masse », dont le concept est lui-même délirant. Une fois que vous avez de nombreuses personnes de différents lieux, âges, ethnies, religions, croyances, races, éducation, statut social, domaines de carrière, épousant à 80-90 % les mêmes expériences, il devient logiquement et statistiquement impossible de rejeter la similitude de leurs affirmations comme étant autre chose que le résultat d’un programme étroitement géré, militairement précis et exécuté par une méga-autorité.

Non seulement des innocents sont jetés sur la liste frauduleuse de surveillance des terroristes pour alimenter une « industrie » superflue de l’État policier, mais d’autres industries, sociétés, entreprises, et même des militaires et des entrepreneurs se sont « associés » à Infragard pour utiliser ces « personnes suspectes » comme sujets d’expérimentation et boucs émissaires afin de faire avancer leurs propres programmes de guerres frauduleuses profitables et sans fin et/ou de procédures médicales extrêmes. Grâce à des tours de passe-passe juridiques et à des interprétations erronées de la « loi » (inconstitutionnelle) de l’après 11 septembre, l’entreprise secrète de la sécurité nationale a déclaré que toute personne suspecte (sans motif valable) était un « terroriste » et qu’elle était donc secrètement privée de tous ses droits, qu’ils soient constitutionnels, civils ou humains. Les terroristes, voyez-vous, peuvent être assassinés, n’importe où, n’importe quand. Mais ni les moyens d’assassinat, ni le temps nécessaire pour le faire ne sont soumis à des restrictions ou à des spécifications. C’est ainsi que des masses d’innocents déclarés terroristes par un accord entre le FBI et la Cour FISA ont été classés dans la catégorie des spécimens biologiques non humains. Oui, vous avez bien lu, des échantillons biologiques non humains et non consensuels. N’importe qui, n’importe où, peut être déclaré comme tel.

Vous déposez une plainte ? Vous êtes dénoncé comme terroriste. Vos volets sont peints d’une couleur qui déplaît à votre voisin ? Vous êtes dénoncé comme terroriste. Vous critiquez un programme de l’école de votre enfant ? Vous êtes dénoncé comme terroriste. Vous avez un problème médical spécifique ou un patrimoine génétique que quelqu’un pourrait vouloir « explorer » ? Vous êtes dénoncé comme terroriste. Vous refusez des avances sexuelles inappropriées ? Vous êtes dénoncé comme terroriste. Vous l’avez compris, la matrice frauduleuse de la liste de surveillance des terroristes a donné naissance à un cauchemar dystopique de tyrans sadiques dont l’objectif est la traite humaine de tous ceux qui ne font pas partie de leur culte parasitaire.

En ce moment, vous avez une très petite opportunité d’agir pour vous défendre, défendre vos enfants, vos petits-enfants et l’avenir de la civilisation et de l’humanité.

[…]

Karen Stewart

Karen Melton Stewart a travaillé pendant 28 ans comme analyste du renseignement avec une habilitation de sécurité Top Secret pour la National Security Agency (NSA) lorsqu’elle a été soudainement calomniée, diffamée et forcée de partir après avoir dénoncé un pot de miel mis en place au sein de la Direction générale de l’Armement et de l’Espace de la NSA par un groupe de sécurité et un bureau de l’Inspection Générale compromis afin de piéger et de faire chanter les cadres supérieurs. La NSA a tellement cherché à la détruire pour la faire taire qu’elle [la NSA] a demandé aux centres de fusion du FBI de la cibler en tant que « terroriste », y compris en utilisant des armes électroniques, pour avoir simplement demandé pourquoi une autre femme avait été récompensée pour son travail primé sur un projet sauvant des milliers de vies et avait bénéficié d’une double promotion pour cela.




Extension et soutien européen de la grève des agriculteurs allemands

« Trop c’est trop »  : le mouvement des agriculteurs allemands s’intensifie

Mise à jour 10/01/2024


Mise à jour 09/01/2024


Mise à jour :

Déferlement de la colère des agriculteurs allemands jusqu’au blocage du pays  ?

https://www.francesoir.fr/politique-monde/deferlement-de-la-colere-des-agriculteurs-allemands-jusqu-au-blocage-du-pays

Par Lauriane Bernard, France-Soir

Ce lundi 8 janvier, le mouvement « Zu viel ist zu viel » (“Trop, c’est trop”) se déploie à travers toute l’Allemagne. Bien que le gouvernement ait partiellement reculé le jeudi 4 janvier sur la suppression des avantages fiscaux sur le gazole non routier (GNR), les agriculteurs allemands ne décolèrent pas. Des blocages routiers et autoroutiers se profilent alors que la fédération des transports appelle à suivre le mouvement.

Comme expliqué dans notre précédent article, la Cour constitutionnelle allemande a retoqué le budget 2024 présenté par Olaf Scholz en novembre. Forcé d’opérer des coupes budgétaires, le chancelier a opté pour la suppression d’allègements fiscaux sur le diesel agricole et sur l’impôt sur les tracteurs, ce qui a déclenché la colère des agriculteurs dès décembre. 

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[Illustration : Tracteurs stationnés sur la Pariser platz, non loin de la Porte de Brandebourg, Berlin, 18 décembre 2023.
 John MacDougall]

[Source : francesoir.fr]

Par Lauriane Bernard, France-Soir

La fin des avantages fiscaux sur le gazole non routier (GNR) déclenche la colère des agriculteurs allemands, qui devraient être bientôt rejoints par les cheminots et les routiers. Le mouvement de manifestation « Zu viel ist zu viel » (« Trop, c’est trop ») s’intensifie. Une vague de manifestations sans précédent est annoncée pour le 8 janvier prochain.

Le 18 décembre dernier, plus de 1 500 tracteurs ont bloqué la circulation des rues de Berlin. Depuis, des centaines d’engins agricoles circulent dans de nombreuses autres villes allemandes.

Fin des avantages fiscaux sur le gazole non routier (GNR)

À l’instar de la France, l’Allemagne se dirige vers la fin des avantages fiscaux sur le gazole non routier (GNR). Dans l’Hexagone, Bruno Le Maire, soucieux de favoriser les investissements verts, a annoncé dès septembre qu’il fallait s’attendre à une défiscalisation progressive du carburant de 2024 à 2030. De l’autre côté du Rhin, on mise plutôt sur la fin des subventions, mais pour des raisons budgétaires.

En novembre, la Cour de justice de Karlsruhe a tapé sur les doigts de la coalition dirigée par Olaf Scholz. Le chancelier s’était mis en tête de réaffecter une partie du budget non utilisé en 2022 à un fonds spécial pour la transition écologique. Sauf que pour la Cour suprême allemande, ces 60 milliards d’euros, initialement destinés à amortir l’impact économique du Covid, ne pouvaient être dépensés pour autre chose.

Et depuis cette suppression massive de crédits, c’est le casse-tête. Non seulement contraint par la règle constitutionnelle du « frein à l’endettement » qui limite le déficit budgétaire annuel du pays à 0,35% du PIB, le gouvernement souhaite combler les trous dans le fonds de financement pour la transition écologique. Le coupable n’est-il pas tout trouvé ?

Quitte à rogner sur certaines dépenses, autant commencer par les allègements fiscaux qui favorisent la consommation d’énergies fossiles, au grand dam des agriculteurs, qui ne moissonnent pas encore en tracteur électrique.

« Zu viel ist zu viel » (« Trop, c’est trop »)

Peut-être un brin inspiré par le bon mot de leurs voisins, qui scandent : « On marche sur la tête ! » à travers les campagnes de France, mais surtout par le mouvement de révolte initié par les agriculteurs hollandais, les paysans allemands défilent par centaines depuis la mi-décembre à bord de leurs tracteurs en arborant le slogan : « Trop, c’est trop » (« Zu viel ist zu viel »).

Leurs revendications sont claires. D’après un article paru dans le Berliner Zeitung du 28 décembre, ils comptent faire grève jusqu’à ce que le gouvernement renonce à leur imposer toute mesure d’austérité. M. Joachim Rukwied, président de l’Union des agriculteurs allemands, appelle à une semaine d’action à partir du 8 janvier. Une grande manifestation est programmée à Berlin le 15 janvier, juste avant que la commission budgétaire du Bundestag n’arrête le budget fédéral pour 2024.

Mais la colère ne se cantonne déjà plus au monde agricole. Elle a aussi gagné les cheminots et les routiers, qui veulent se joindre au mouvement. Et risque de faire traînée de poudre et se propager aux restaurateurs. Malgré la promesse de campagne du candidat Scholz de ne pas augmenter la TVA une fois élu, la taxe sur les denrées alimentaires vient de passer de 7 à 19 % le 1er janvier. L’ancien gouvernement avait réduit la TVA il y a trois ans pour sauver les restaurants de la faillite pendant l’épidémie de Covid. Il semblerait qu’il soit désormais temps de payer l’addition.





Le projet des Frères musulmans

Par Jacques Amiot

[Article écrit vers fin 2019]

La stratégie de conquête et d’infiltration des Frères musulmans en France et dans le monde

Les Frères musulmans représentent un très grave danger pour le monde et surtout pour la France, en raison principalement, de la naïveté et de la complaisance d’élus dans un premier temps, puis de la connivence jusqu’au plus haut niveau de l’État.

Les auteurs du livre cité dans le titre (Éditions l’Artilleur) affirment que, s’il n’y a pas une réaction rapide et ferme de nos dirigeants, les générations à venir vivront dans la soumission à L’Islam.

Ces deux auteurs, Alexandre Del Valle et Emmanuel Razavi, spécialistes du monde arabo-musulman, ont enquêté pendant 15 ans pour écrire ce livre de plus de 500 pages et arriver à leur conclusion.

Comme nous savons, compte tenu du volume de l’ouvrage, qu’il risque d’être peu lu, nous avons décidé d’en extraire l’essentiel en quelques pages, afin d’éclairer, nos correspondants, nos concitoyens et si possible les élus. Cependant ceux qui liront le livre ne seront pas déçus. En effet, ce court document ne peut pas exprimer toute la richesse de son contenu.

Objectif

L’objectif des Frères musulmans est le règne de la Charia et du Califat sur toute la terre, par la guerre si nécessaire, mais surtout par le prosélytisme et l’entrisme (pénétration d’une structure de manière à en modifier les objectifs et la finalité), Il s’agit d’islamiser le monde par étapes en commençant par l’individu musulman, puis le foyer, le peuple, le gouvernement islamique, le califat pour aboutir à la domination planétaire (Tamkine). Ils sont patients et estiment que le temps travaille pour eux.

La stratégie des Frères musulmans n’est plus secrète, mais son efficacité pour instaurer l’Islam en Occident est très largement sous-estimée.

Historique

Cette stratégie a été initiée en 1928 par Hassan Al-Banna. Son manifeste en cinquante points rédigés en 1936 éclaire sur la nature totalitaire du mouvement. Saîd Ramadan, père de Tarik Ramadan et gendre d’Al Banna, a établi plus tard en Allemagne et en Suisse les premières bases des Frères avec le soutien du banquier suisse François Genoud, héritier du trésor du 3e Reich et sponsor des organisations terroristes pro-palestiniennes.

Plus récemment, on peut citer Youssef-al-Qardaoui, fondateur, président de la plupart des structures des Frères musulmans en Europe, auteur de fatwas justifiant des attentats kamikazes.

Puis les protagonistes de la matrice frériste du jihadisme : Saiyyd Qutb responsable de la Mission des Frères qui a inspiré Oussama Ben Laden, Abduullah Azzam inspirateur d’Al-Qaïda, le Hamas, l’Ayatollah Khomeini et même Mohamed Merah ou les Frères Kouachi.

Organisation islamiste pro-nazie

Hassan Al Banna écrivait « Hitler et Mussolini ont conduit leur pays vers l’unité, la discipline, le progrès et le pouvoir. Ils ont imposé des réformes intérieures et contribué à donner à leurs pays un grand prestige ». Amin al Husseini, le grand Mufti de Jérusalem, missionné par Al Banna, supervisa le recrutement des divisions SS musulmanes, puis conseilla Hitler. Après la défaite Al Banna dira : « L’Allemagne et Hitler ne sont plus, mais Amin al Husseini poursuivra le combat. »

Youssef al-Qardaoui a déclaré sur Al-Jazeera en 2009 : « tout au long de l’histoire, Allah a imposé aux Juifs des personnes qui les puniraient de leur corruption. Le dernier châtiment a été administré par Hitler… et bien qu’ils aient exagéré les faits, il a réussi à les remettre à leur place. C’était un châtiment divin. Si Allah veut, la prochaine fois ce sera par la main des musulmans. »

Mode opératoire

Il est erroné d’opposer les islamistes salafistes (extrémistes) aux islamistes réformistes (modérés) que seraient les Ikwans (Frères musulmans en arabe) qui en fait sont recouverts d’un vernis réformiste. En effet seul la méthode change ; le but est le même : aboutir au califat mondial. Les Ikwans agissent par pénétration progressive (soft power).

Longtemps demeuré secret ce projet a été décrypté par la police égyptienne en 1992 lorsqu’elle a mis la main sur le « document de Tamkine », un texte de 13 pages dont le programme consistait, à travers un réseau d’institutions, à faire accéder par étapes les Ikwans au pouvoir local, régional, national et mondial.

Ils manient constamment le mensonge et la dissimulation (taqiya), licitent dans le coran. Comme par exemple le fait de ne citer que des versets pacifiques du coran de la période mecquoise tout en sachant qu’ils ont été abrogés par des versets belliqueux médinois post-hégire, il y a donc 14 siècles !

Ils sont experts pour se faire passer pour des victimes de la soi-disant islamophobie et du racisme des Européens et notamment de Français, alors qu’il n’y pas pires intolérants qu’eux puisque, tous ceux qui ne sont pas musulmans sont pour eux des mécréants qui, au final, doivent être soumis ou exterminés.

Ils s’instruisent et s’adaptent à notre mode de vie de manière à pouvoir s’insérer dans la société et occuper des postes élevés. Ils maîtrisent parfaitement Internet et les réseaux sociaux ; ils déclarent eux-mêmes qu’ils sont capables de faire la guerre sans arme.

La politique intérieure

Les auteurs se posent des questions légitimes et vitales pour les démocraties : pourquoi nos politiques laissent-ils prospérer pratiquement sans entrave les organisations islamiques le plus souvent sous forme d’associations culturelles ?

Nos sociétés ne doivent pas confondre ouverture et naïveté, car le fait d’encourager ou tolérer un islamisme totalitaire importé de l’étranger n’est pas une marque de tolérance, mais le symptôme d’une pathologie collective qui confine à l’autodestruction.

La progression du salafisme islamique et l’appel des fréro-salafistes aux musulmans à se « désassimiler » ont été banalisés dans nos sociétés, alors que dans le même temps on empêche des maires d’installer des crèches dans les mairies, on stigmatise l’identité majoritairement judéo-chrétienne de la France et on renie ses racines.

En somme, pendant que la bien-pensance disqualifie tout patriote ou défenseur de l’identité occidentale en le stigmatisant comme « dangereux identitaire », les adeptes d’une idéologie qui a pourtant flirté avec le nazisme et qui demeure foncièrement anti-occidentale progressent tranquillement avec l’appui des forces dites « progressistes », des collectivités publiques, des vigiles antifascistes et de nos dirigeants.

Pourtant on devrait être prévenu. Ahmed Jaballah, cofondateur de l’ex-Union des organisations islamiques de France avait déclaré dans les années 1990 que « cette structure est une fusée à deux étages. Le premier est démocratique, le second mettra sur orbite une société islamique » !

Aspects financiers

Une banque a joué depuis des décennies un rôle déterminant : Al-Taqwa Bank (en fait un système bancaire disposant de bureaux dans plusieurs pays : Suisse, Bahamas, Italie, Liechtenstein…). Elle a été fondée en 1988 par de hauts dignitaires des Frères musulmans et elle a prospéré pendant des années en récoltant des fonds en provenance de pays du Golfe pour les redistribuer ensuite à de très nombreuses organisations fréristes européennes.

En 2001 les US ont classé cette banque comme organisation terroriste en raison de son soutien financier à Al-Quaïda.

Lors d’une perquisition au siège d’Al-Taqwa Bank, la police suisse a trouvé un texte détaillant les structures financières créées par les dirigeants des Frères et notamment l’existence d’une autre place forte en Europe, le Luxembourg, où une autre entité islamique, l’ARINCO, gère des investissements à long terme.

Le Qatar, petit pays, mais géant économique, joue un très grand rôle dans le financement de l’Islam et en particulier des Frères musulmans. Il investit des sommes très importantes en Europe et notamment en France, mais en contrepartie de ces investissements généreux il finance des dizaines de mosquées et de centres culturels islamiques notamment par la QCO (Qatar Charity Organization) dont le but est de garantir la propagation de l’identité islamique en Europe et dans le monde.

La Turquie d’Erdogan apporte également un soutien inconditionnel aux Frères. Bien que faisant partie de l’OTAN elle est un ennemi acharné de l’occident !

Aux fonds provenant du Golfe, il faut bien sûr ajouter beaucoup d’autres sources de financement comme par exemple les revenus provenant de l’abattement rituel Halal.

Implantations

L’Institut Européen des Sciences Humaines (IESH) basé à Château-Chinon, ouvert en 1990, avec l’assentiment et même l’aide de Mitterrand, en dit long sur la galaxie frériste. Il forme annuellement une dizaine d’Imans et 250 étudiants. Il dispose d’un site Internet très actif et d’une banque à Dijon. Deux antennes à Paris et Strasbourg ont été ouvertes respectivement en 1999 et 2008.

Un ancien cadre de la DST (maintenant DGSI) a expliqué aux auteurs que des notes ont été établies, mais qu’il était impossible de se faire entendre de la hiérarchie ; il y avait un blocus total.

Cet agent a déclaré « Il ne faut pas être grand clerc pour comprendre ce qui se passe. D’une part, il y a le Qatar qui protège les Frères musulmans et fait du chantage aux contrats commerciaux. Cela implique que si la France ferme ou interdit ces associations, ils arrêteront de commander des avions ou d’ouvrir leurs chantiers de construction aux sociétés françaises. D’autre part, il y a le cynisme sans limites de certains élus, maires ou députés, qui font de l’électoralisme en se montrant complaisants avec les associations liées aux Frères… »

Beaucoup d’autres pays notamment européens sont largement infiltrés par les Frères musulmans.

La Suède est la plus perméable au projet d’islamisation des Frères. L’Allemagne comme la Suisse est depuis les années 50 une terre de refuge des Ikhwans et de la famille Ramadan. En Espagne les Frères musulmans « d’Al-Andalous » sont sous influence syrienne et marocaine.

Les Frères sont partis à la conquête de l’Amérique du Nord aidés en cela par l’administration démocrate. Ils ont très largement financé la campagne d’Hillary Clinton.

Par contre les Frères musulmans sont officiellement interdits en Russie ! Ses dirigeants seraient-ils moins stupides que les nôtres ?

L’avis des services de renseignements

Les auteurs expliquent qu’ils ont eu, pendant les 15 années de leur enquête, de nombreux contacts avec des responsables des services de renseignements qui font un constat sévère.

Dans de nombreux rapports, ils ont mis en exergue le double discours des Frères musulmans et la mise en place d’un vaste réseau d’associations, de centres culturels… sans que la vérité soit regardée en face par nos « élites ».

Ils savent que le projet de conquête passe par la déconstruction de note identité et la réduction à néant de notre pensée, mais se heurtent souvent à la naïveté. Mais il n’y a pas que les naïfs qui aident la doctrine des Frères ; il y a tous ceux qui servent l’Islam politique, consciemment, par intérêt financier ou personnel.

Selon eux, en 30 ans, la France est devenue la cible d’une stratégie de destruction préalable au projet de conquête de la république. La France a fini par perdre la plupart de ses repères, désacralisé ses propres institutions, remisé ses mythes fondateurs au profit d’autres importés depuis les rives orientales de la Méditerranée.

La cohésion nationale, l’histoire et l’identité de la France sont ainsi remises en question au profit d’un discours communautariste dont l’un des objectifs immédiats est de laisser la place à une souveraineté indigéniste–séparatiste préalable au califat.

Il y a un certain « ras le bol » d’agents des services de renseignements qui ne comprennent pas le laxisme et l’inaction de nos dirigeants devant ce grave danger.

Méthodologie des auteurs

Alexandre Del Valle et Emmanuel Razavi sont des hommes d’une grande culture et d’une grande expérience du monde arabo-musulman.

Comme il a été dit précédemment, leur enquête s’est étalée sur quinze années ; ils sont allés à la rencontre d’un grand nombre de hauts responsables, de cadres, de militants, dans des pays musulmans et non musulmans. Ils ont compulsé des centaines de documents originaux…

Leur objectif a été de réaliser un ouvrage le plus fiable possible en s’appuyant sur un grand nombre de sources afin d’étayer leur propos par des faits indiscutables ; ils ont confronté, recoupé leurs analyses…

En résumé ils ont procédé à une étude très approfondie, que les dirigeants occidentaux, notamment français devraient prendre très au sérieux.

Conclusion

Pour conclure, reprenons une partie du dernier paragraphe du livre :

« C’est donc un ensemble de postures qu’il faut adopter pour en finir avec un totalitarisme théocratique qui risque de nous mener à la confrontation entre Français. La première d’entre elles est de faire face à la vérité, de nommer les choses, comme nous l’avons fait tout au long de ce livre, et d’en finir avec les organisations fréristes et salafistes en les fermant, au même titre que sont fermées les associations qui prônent le néonazisme ; la seconde est de renouer avec notre roman national, et de nous réconcilier avec notre histoire. En ce sens l’éducation nationale et les enseignants jouent un rôle déterminant. Le reste est affaire de courage politique est de fermeté.

Si l’on n’agit pas de la sorte, alors les Frères musulmans et les autres pôles de l’islamisme conquérant, actifs dans nos sociétés ouvertes à tous les vents totalitaires, auront gagné ; d’autant, qu’en raison de l’immigration massive et de l’importante différence de natalité, les musulmans seront majoritaires en France dans 2 ou 3 décennies.

La France n’aura alors plus qu’un seul choix : celui de la soumission ».

Les nombreux avertissements contenus dans ce livre, qui s’ajoutent à ceux des services de renseignements, ne laissent à nos dirigeants aucune possibilité de dire qu’ils ne savaient pas.

S’ils n’agissent pas rapidement et avec une grande fermeté, ils auront fait le choix délibéré de la soumission pour les futures générations.


Mise à jour :

Résumé très succinct d’un livre très important : Le Projet

LE PROJET : La stratégie de conquête et d’infiltration des Frères musulmans en France et dans le monde (Éditions l’Artilleur)

Les 2 auteurs, Alexandre Del Valle et Emmanuel Razavi, spécialistes du monde arabo-musulman ont enquêté pendant 15 ans pour écrire ce livre. Leur conclusion est claire : s’il n’y a pas une réaction rapide et ferme de nos dirigeants, les générations à venir vivront dans la soumission à l’Islam.

La stratégie des Frères musulmans a été initiée en 1928 par Hassan d’Al Banna ; c’est une organisation totalitaire qui a été pro-nazie, elle a soutenu Hitler et Mussolini. Amin al Husseini, le grand Mufti de Jérusalem, missionné par Al Banna, supervisa le recrutement des divisions SS musulmanes.

L’objectif des Frères musulmans est le règne de la Charia et du Califat sur toute la terre. C’est le même que celui des autres structures islamiques, mais ils procèdent différemment, par étapes en se faisant passer pour des réformateurs. Leur mode opératoire est beaucoup plus insidieux.

Longtemps demeuré secret ce projet a été décrypté par la police égyptienne en 1992 lorsqu’elle a mis la main sur un texte de 13 pages dont le programme consistait, à travers un réseau d’institutions, à faire accéder les Ikwans (Frères musulmans en arabe) au pouvoir local, régional, national et mondial.

Ils sont experts pour se faire passer pour victimes de la soi-disant islamophobie et du racisme. Ils manient constamment le mensonge et la dissimulation (taqiya).

Ils s’instruisent et s’adaptent à notre mode de vie de manière à pouvoir s’insérer dans la société, occuper des postes élevés, pénétrer nos structures (associations, administrations…). Ils maîtrisent parfaitement Internet et les réseaux sociaux et se déclarent eux-mêmes capables de faire la guerre sans arme.

Les Frères musulmans sont largement financés par les pays arabes, notamment la Turquie et surtout le Qatar qui finance des dizaines de mosquées, centres « culturels »…

Une banque (en fait un système bancaire) joue un rôle déterminant : Al-Taqwa Bank. Elle dispose de bureaux dans de nombreux pays notamment la Suisse. Lors d’une perquisition au siège de la banque, la police suisse a trouvé un texte détaillant les structures financières des Frères musulmans et l’existence d’une autre place forte, le Luxembourg, où une autre entité islamique, l’ARINCO, gère des investissements à long terme.

Les auteurs s’étonnent que nos politiques laissent prospérer sans entrave cette organisation islamique totalitaire. Ils considèrent que ce n’est pas une marque de tolérance, mais le symptôme d’une pathologie qui confine à l’autodestruction. Pourtant ils devraient être prévenus ; Ahmed Jaballah avait déclaré dans les années 1990 que la structure des Frères musulmans est une fusée à 2 étages. Le premier est démocratique, le second mettra sur orbite une société islamique.

Les auteurs ont eu de nombreux contacts avec les services de renseignements qui font un constat sévère. Dans de nombreux rapports, ils ont mis en exergue le double discours des Frères musulmans. Ils savent que le projet de conquête passe par la déconstruction de notre identité et la réduction à néant de notre pensée. Ils en informent régulièrement leur hiérarchie sans que cela influe sur le laxisme et l’inaction de nos dirigeants.

Aux intérêts financiers s’ajoute le cynisme sans limites de certains élus, maires, députés… jusqu’au sommet de l’État, qui font de l’électoralisme en se montrant complaisant avec les associations liées aux Frères.

L’Institut Européen des Sciences Humaines (IESH) basé à Château-Chinon s’est ouvert en 1990 avec l’aide de Mitterrand. Il forme annuellement une dizaine d’Imans et 250 étudiants. Il dispose d’un site Internet très actif, d’une banque à Dijon et de deux antennes à Paris et Strasbourg.

Beaucoup d’autres pays européens sont infiltrés par les Frères musulmans notamment la Suisse terre de refuge de la famille Ramadan. Les États-Unis sont également concernés ; les Frères ont largement financé la campagne d’Hillary Clinton. Par contre ils sont interdits en Russie !

Pour conclure, on peut reprendre une partie du dernier paragraphe du livre : « C’est donc un ensemble de postures qu’il faut adopter pour en finir avec un totalitarisme théocratique qui risque de nous mener à la confrontation entre Français. Il faut faire face à la vérité, nommer les choses… Il faut en finir avec les organisations des Frères et salafistes en les fermant, au même titre que sont fermées les associations qui prônent le néonazisme… Il faut renouer avec notre roman national et nous réconcilier avec notre histoire…

Dans le cas contraire, la France n’aura plus qu’un seul choix : celui de la soumission.

S’ajoutant à ceux des services de renseignements les avertissements de ce livre ne laissent aucune possibilité à nos dirigeants de dire qu’ils ne savaient pas.




La grande réinitialisation et l’ordre mondial multipolaire

[Source : arcaluinoe.info]

Par Iain Davis

Bonjour,

Je m’appelle Iain Davis. Je suis un chercheur d’investigation, un journaliste et un auteur britannique.

Je voudrais remercier Iurie Rosca et le Forum de Chisinau de m’avoir donné l’occasion de discuter du contexte historique du concept d’ordre mondial multipolaire.

La version multipolaire de l’ordre mondial s’écarte du modèle unipolaire en ce sens qu’elle respectera soi-disant véritablement le droit international et partagera le pouvoir entre une coalition plus large d’États-nations. Par conséquent, il est censé introduire un multilatéralisme fonctionnel dans la gouvernance mondiale, sans doute pour la première fois. Pour certains, ce modèle multipolaire semble préférable à l’ordre unipolaire actuel, fondé sur des règles internationales.

Pourtant, lorsque nous examinons les déclarations des dirigeants vantés du nouvel ordre mondial multipolaire, leurs objectifs semblent indiscernables de ceux de leurs homologues unipolaires. D’une part, ils expriment un engagement inébranlable en faveur du développement durable et de l’Agenda 2030.

D’autre part, ils soutiennent le Conseil de sécurité des Nations unies, qui doit rester le centre géopolitique de la gouvernance mondiale, même si notamment la perte du droit de veto n’est pas envisagée. En outre, ils soutiennent sans réserve la 4e révolution industrielle (RI4) du Forum Économique Mondial, axée sur l’IA.

Ils considèrent également que la censure et le contrôle de l’information sont nécessaires pour lutter contre l’« infodémie » et protéger le monde contre la « désinformation ».

Leurs initiatives mondiales — et les partenariats public-privé qui les mettront en œuvre — sont pratiquement identiques aux initiatives et aux partenariats de leurs homologues unipolaires. Enfin, pour les partisans de la multipolarité, un nouveau « système financier » mondial est, comme toujours, la clé de la prétendue « transformation ».

Jusqu’à présent, les oligarques mondialistes, qui sont les bénéficiaires ultimes du modèle unipolaire, ont non seulement préconisé le changement de polarité de l’Ouest vers l’Est, mais ont également joué un rôle dans sa facilitation. En effet, ils ont créé les conditions monétaires, financières, économiques et donc géopolitiques qui semblent le garantir.

Si l’ordre mondial multipolaire est quelque chose de nouveau, alors cette trajectoire vers une gouvernance mondiale centralisée devrait-elle changer ? Mais lorsque le modèle multipolaire semble accélérer la transition vers un pouvoir centralisé, nous devons nous demander s’il y a quoi que ce soit de nouveau et de différent dans ce modèle.

Le Forum Économique Mondial (FÉM) se présente comme l’organisation chef de file des partenariats public-privé (PPP) à l’échelle mondiale. En 2019, le FÉM a tenté de faire valoir ses droits en concluant un partenariat stratégique avec les Nations Unies. L’objectif général de ce partenariat était « d’accélérer la mise en œuvre de l’Agenda 2030 pour le développement durable. »

Le FÉM représente les entreprises mondiales les plus puissantes de la planète. Comme nous l’avons vu au cours des deux dernières années, les sociétés pharmaceutiques à elles seules peuvent façonner, et souvent diriger, les décisions politiques mondiales. Il faudrait être extrêmement naïf pour imaginer que le FÉM et ses parties prenantes (membres) ne peuvent pas influencer ce qu’ils prétendent simplement conseiller. C’est dans ce contexte que nous analyserons leurs propos.

Selon le livre de Klaus Schwab et Thierry Malleret intitulé « The Great Reset » [La Grande Réinitialisation (GR)], l’essence de la GR est un plan visant à remplacer « les idées, les institutions, les processus et les règles qui ont échoué par de nouvelles mieux adaptées aux besoins actuels et futurs ». Comme presque tous les autres groupes de réflexion et « organisations internationales » occidentaux, ils admettent que le passage à un monde multipolaire est tout simplement inéluctable :

Le XXIe siècle sera très probablement une ère dépourvue d’hégémon absolu, au cours de laquelle aucune puissance n’acquerra une domination absolue. Dans ce nouveau monde désordonné, défini par une évolution vers la multipolarité et une concurrence intense pour l’influence, les conflits ou les tensions ne seront plus motivés par l’idéologie ».

The Great Reset (TGR), p. 76.

Le seul problème que pose l’évolution vers la multipolarité est que le recul de la « mondialisation » qui en découle pourrait se produire trop rapidement. Par conséquent, un retrait prématuré causerait des « ravages ». Par conséquent, la nouvelle « forme de mondialisation » ne sera « viable » que si le système global adéquat est fermement mis en place :

Un retrait précipité de la mondialisation entraînerait des guerres commerciales et monétaires, ce qui nuirait à l’économie de chaque pays, provoquerait des troubles sociaux et déclencherait un nationalisme ethnique ou clanique. La mise en place d’une forme de mondialisation beaucoup plus inclusive et équitable, qui la rende durable, tant sur le plan social qu’environnemental, est le seul moyen viable de gérer le recul. Cela nécessite des solutions politiques (…) et une forme de gouvernance mondiale efficace.

TGR, p. 81.

Le Livre affirme que les ruptures provoquées par les pandémies soulèvent ce qu’il considère comme la perspective déplorable d’un « déficit de l’ordre mondial ». Par conséquent, en l’absence d’un « hégémon absolu » — l’ordre mondial unipolaire — les États-nations doivent trouver un moyen de « collaborer au niveau mondial ». ajoutent Schwab et Malleret :

Si aucune puissance ne peut imposer l’ordre, notre monde souffrira d’un « déficit d’ordre mondial ». Si les nations et les organisations internationales ne parviennent pas à trouver des solutions pour mieux collaborer au niveau mondial, nous risquons d’entrer dans une « ère d’entropie » dans laquelle le repli sur soi, la fragmentation, la colère et l’esprit de clocher définiront de plus en plus notre paysage mondial, le rendant moins intelligible et plus désordonné. La crise pandémique a à la fois révélé et exacerbé ce triste état de fait.

TGR, p. 76.

La soi-disant Grande Réinitialisation a été conçue pour gérer et exploiter l’effondrement orchestré de l’ordre mondial unipolaire. La voie vers la multipolarité, ou vers une mondialisation repensée et un nouvel ordre, est donc tracée. C’est la « démondialisation » inhérente à l’ordre mondial multipolaire qui fournit l’« opportunité » suggérée pour le partenariat public-privé mondial. Personne, et surtout pas le FÉM, ne propose de conserver l’« hyper-mondialisation » de l’« hégémonie absolue ». Ils expliquent :

Il ne sert à rien d’essayer de rétablir le statu quo (…), mais il est important de limiter les inconvénients d’une éventuelle chute libre qui précipiterait des dommages économiques majeurs et des souffrances sociales. Cela ne sera possible qu’en améliorant la gouvernance mondiale — le facteur le plus « naturel » et le plus efficace pour atténuer les tendances protectionnistes. Il n’y a pas de temps à perdre. Si nous n’améliorons pas le fonctionnement et la légitimité de nos institutions mondiales, le monde deviendra bientôt ingérable et très dangereux. Il ne peut y avoir de reprise durable sans un cadre stratégique mondial de gouvernance.

TGR, p. 81.

Ce « cadre stratégique » est la gouvernance mondiale d’un monde multipolaire et le FÉM affirme qu’il s’agit tout simplement de la réponse la plus « naturelle » aux crises mondiales, étant donné que, selon le FÉM, les États-nations individuels sont incapables de résoudre les problèmes du monde.

Telle est donc « l’essence » de la Grande Réinitialisation, comme l’indique clairement le livre :

Sans une gouvernance mondiale appropriée, nous serons paralysés dans nos tentatives d’aborder et de répondre aux défis mondiaux, en particulier lorsqu’il y a une telle dissonance entre les impératifs nationaux à court terme et les défis mondiaux à long terme. Il s’agit là d’une préoccupation majeure (…)

TGR, p. 83.

Et plus loin :

En fin de compte, face à un tel vide dans la gouvernance mondiale, seuls les États-nations sont suffisamment cohésifs pour être capables de prendre des décisions collectives, mais ce modèle ne fonctionne pas dans le cas de risques mondiaux qui nécessitent des décisions concertées à l’échelle mondiale. Le monde sera très dangereux si nous ne réparons pas les institutions multilatérales.

TGR, p. 85.

La conclusion du FÉM est que, réel ou imaginaire, le modèle westphalien n’est tout simplement pas équipé pour faire face aux « défis mondiaux ». Seule une gouvernance mondiale « multilatérale » peut éviter la descente dans un monde « très dangereux ». Une évolution vers la multipolarité est donc nécessaire.

Ce sont précisément les arguments avancés par les prétendus leaders du nouvel ordre multipolaire.

Prétendre, comme certains le font, que la « Grande Réinitialisation » représente une défense de l’ordre unipolaire et que le passage à un modèle multipolaire est une sorte d’antidote à la GR semble reposer sur une incompréhension fondamentale de la nature de la GR.

Pour illustrer davantage ce point : Schwab et Malleret suggèrent que les « défis mondiaux » qu’ils ont identifiés poursuivront la tendance à la « régionalisation ». Ils affirment qu’en lieu et place de l’hégémonie unipolaire menée par les États-Unis, le monde sera de plus en plus divisé en régions semi-autonomes à l’échelle continentale :

L’issue la plus probable du continuum mondialisation/pas de mondialisation réside dans une solution intermédiaire : la régionalisation. Le succès de l’Union européenne en tant que zone de libre-échange ou le nouveau Partenariat économique global régional en Asie (…) illustrent bien comment la régionalisation peut devenir une nouvelle version édulcorée de la mondialisation. En bref, la démondialisation sous la forme d’une régionalisation accrue était déjà en cours. Le COVID-19 ne fera qu’accélérer cette divergence mondiale, l’Amérique du Nord, l’Europe et l’Asie se concentrant de plus en plus sur l’autosuffisance régionale plutôt que sur les chaînes d’approvisionnement mondiales, distantes et complexes, qui incarnaient autrefois l’essence de la mondialisation.

TGR, p. 79.

Ce monde « régionalisé » ressemble étrangement au modèle exposé par le professeur Carroll Quigley. Dans son entretien de 1974 avec le journaliste du Washington Post Rudy Maxa, Quigley parlait de ce qu’il appelait le « monde à trois puissances ». Il avait déjà méticuleusement répertorié les activités d’un réseau anglo-américain, dont les membres avaient fait de grands progrès dans la construction d’un système de gouvernance mondiale qu’ils espéraient contrôler.

Voici une citation de Quigley tirée de l’interview :

Ils travaillaient à fédérer le monde anglophone (…). Ils étaient étroitement liés aux banquiers internationaux. Ils travaillaient à l’établissement d’un monde, ce que j’appelle un monde à trois puissances. Et ce monde de trois puissances était : Le bloc atlantique (l’Angleterre, le Commonwealth et les États-Unis), l’Allemagne (l’Allemagne hitlérienne), la Russie soviétique. Tout cela est décrit dans mon livre, et c’était leur idée. Remarquez qu’il s’agit d’un système d’équilibre des pouvoirs.

L’idée de blocs de pouvoir parfois antagonistes les uns des autres, mais jouant chacun leur rôle dans le maintien d’un système mondial centralisé de relations internationales gérées, ressemble beaucoup au modèle décrit par le projet d’études spéciales du Rockefeller Brothers Fund.

Les Rockefeller et Henry Kissinger ont identifié ce que le FÉM appellera plus tard le « déficit de l’ordre mondial » :

Un système d’organisation de l’ordre international a été détruit sans être remplacé par un autre.

Prospect for America, p. 164.

Le problème était que les Nations Unies ne fonctionnaient pas comme les Rockefeller ou leurs partenaires l’avaient prévu. La prise de décision souveraine des gouvernements était considérée comme problématique. Les « grands espoirs » des Rockefeller quant à « l’expression institutionnelle » d’une véritable gouvernance mondiale ont été contrariés :

Les grands espoirs n’ont pas été pleinement réalisés parce que les institutions formelles des organisations mondiales ont été conçues pour réaliser plus que le consensus des aspirations communes existantes n’était prêt à soutenir.

PfA, p. 164.

Les nations agissaient dans leur propre intérêt et concluaient des accords commerciaux bilatéraux et des traités de défense. Elles étaient donc quelque peu réfractaires à une gouvernance mondiale absolue par leurs partenaires privés.

La solution des Rockefeller face à l’intransigeance des États-nations consistait à balkaniser la planète en morceaux, ou blocs, plus faciles à gérer. Aujourd’hui, nous pourrions les appeler des « pôles ». Cela permettrait ensuite à la gouvernance mondiale, sous les auspices des Rockefeller et de leur partenariat public-privé, de s’épanouir :

Le résultat escompté est la paix dans un monde divisé en unités plus petites, mais organisées et agissant dans un effort commun pour permettre et aider le progrès dans la vie économique, politique, culturelle et spirituelle. Il s’agirait vraisemblablement d’institutions régionales placées sous l’égide d’un organisme international à l’autorité croissante — combinées de manière à pouvoir traiter les problèmes que, de plus en plus, les nations séparées ne seront pas en mesure de résoudre seules.

PfA, p. 26.

Les Rockefeller et leurs partenaires — un « réseau », si l’on veut — espéraient que l’ONU serait en mesure d’exercer une véritable gouvernance mondiale sur les « petites unités » ou blocs régionaux :

Les Nations unies sont l’organisation internationale qui offre aujourd’hui l’espoir raisonnable de pouvoir assumer des fonctions de plus en plus nombreuses et des responsabilités de plus en plus grandes. L’esprit et la lettre de la Charte (…) ne se contentent pas de proclamer l’indispensable ordre mondial (…)

PfA, p. 33.

Et :

L’ONU est enfin le symbole de l’ordre mondial qui sera un jour édifié.

PFA, p. 35.

La clé de la gouvernance mondiale, insistent-ils, est la « régionalisation » multilatérale (une affirmation que le FÉM et d’autres défenseurs de l’ordre mondial multipolaire répéteront plus tard).

Les accords multinationaux les plus naturels sont souvent régionaux. Lorsqu’ils sont pleinement développés, ils impliquent un accord commun sur les dispositions monétaires et de change, une discipline commune sur les questions fiscales et la libre circulation des capitaux et de la main-d’œuvre. Nous pensons que cette approche régionale est valable à l’échelle mondiale. Ce qu’il faut immédiatement, c’est une détermination à aller dans la direction qu’elle implique. Les accords régionaux ne sont plus une question de choix. Ils sont imposés par les exigences de la technologie, de la science et de l’économie. Notre rôle est de contribuer à ce processus par une action constructive.

PfA, p. 188-190.

Dans la Grande Réinitialisation, Schwab, s’exprimant au nom du FÉM, a déclaré que la gouvernance mondiale dans un monde multilatéral et régionalisé, avec des chaînes d’approvisionnement plus localisées, était « la réponse la plus naturelle » aux crises mondiales.

Soixante ans plus tôt, les Rockefeller publiaient ce qui semble être exactement le même plan et affirmaient que les « arrangements multinationaux les plus naturels sont souvent régionaux ». Avant le projet d’études spéciales des Rockefeller, le « réseau » exposé par le professeur Carroll Quigley suggérait également essentiellement le même système de gouvernance mondiale basé sur un « équilibre des pouvoirs » multipolaire.

L’un des principes fondamentaux de l’ordre mondial multipolaire suggéré est de renforcer l’adhésion à la Charte des Nations unies, établissant ainsi une véritable gouvernance mondiale. Les oligarques mondialistes préconisent depuis longtemps exactement la même approche, tout comme les prétendus dirigeants de l’ordre mondial multipolaire.

Les ambitions de la bande que Quigley appelait « le réseau », tout comme les ambitions du Projet d’études spéciales des Rockefeller et les ambitions de la Grande Réinitialisation du FÉM, sont maintenant les ambitions de l’ordre mondial multipolaire nominalement dirigé par les BRICS.

Merci beaucoup d’avoir écouté cette présentation.

(Encore une fois, toutes nos excuses pour la qualité du son.)

Iain Davis est un chercheur d’investigation, journaliste et auteur britannique.






Un mauvais pronostic pour le colonialisme anglo-saxon

[Source : lesakerfrancophone.fr]

Par Dmitry Orlov – Le 24 décembre 2023 — Source Club Orlov

Le colonialisme anglo-saxon a connu plusieurs itérations, chacune impliquant un type de piraterie différent. Dans sa forme initiale, il s’agissait de violer et de piller les navires en mer (les galions espagnols en particulier) et les communautés côtières, souvent par l’intermédiaire de corsaires — un euphémisme pour désigner les pirates officiellement sanctionnés. Dans sa forme intermédiaire, elle impliquait l’occupation, principalement de communautés côtières, la nomination d’un gouverneur et le stationnement de troupes, l’objectif global de l’entreprise, c’est-à-dire la piraterie, restant intact : l’extraction de richesses, mais avec l’avantage supplémentaire de maintenir des monopoles de marché pour les industries nationales dans le centre impérial. Divers mouvements de libération nationale au cours du XXe siècle ont mis fin à ce type de piraterie, et les industries nationales, pour rester rentables, ont été contraintes de délocaliser leur production, se passant de la plupart des types d’exportations physiques (à l’exception des armes, des marchandises et des déchets) en faveur des services, principalement financiers — un euphémisme pour divers types d’usure et d’extorsion.

Au lieu d’un contrôle colonial pur et simple, c’est un système plutôt raffiné de contrôle politique, financier, militaire et logistique qui a vu le jour :

Le contrôle politique a été exercé par l’utilisation de diverses technologies politiques déployées sous le couvert de la libre entreprise et de la démocratie. Par exemple, lorsqu’il s’est avéré récemment que l’Argentine n’était plus solvable en tant qu’entité souveraine, un certain Xavier Milei a été propulsé sur la scène dans le but exprès de fermer les services sociaux de l’Argentine et de démanteler et d’exproprier sa richesse publique. Les technologies politiques sont si efficaces que les Argentins ont élu Milei, comme autant de vaches volontaires pour être mangées !

Au lieu d’envoyer un gouverneur pour gouverner une colonie, il est désormais possible de déployer des talents locaux, formés dans des endroits tels que la Kennedy School of Government. Ces talents locaux sont choisis pour leur niveau élevé de sociopathie, leur manque d’empathie et leur facilité de manipulation. Il leur est généralement demandé de conserver leurs richesses au centre impérial et d’envoyer leurs enfants dans les écoles impériales, ce qui consolide le contrôle impérial sur leur comportement. Ils sont d’abord séduits par les histoires sur le caractère sacré de la propriété privée, avant d’apprendre que leur propriété peut leur être retirée instantanément s’ils se conduisent mal.

Par exemple, les parents de Vladimir Zelensky — la figure de proue théorique de l’ancienne Ukraine — se trouvent en Israël (une possession impériale) et sa femme et ses enfants passent du temps à Londres (un centre impérial). Cela rend Zelensky docile, complaisant et prêt à envoyer les Ukrainiens se faire massacrer jusqu’au dernier vieillard invalide. Mais c’est là que réside le danger : à un moment donné, la population locale se rend compte que son chef est un traître et le tue avant qu’il n’ait une chance de s’échapper.

Il y a eu un défilé constant de ces non-spécialistes sociopathes comme candidats à des postes de haut niveau. Certains d’entre eux n’ont jamais atteint les plus hautes fonctions : Svetlana Tikhanovskaya, du Belarus, et Juan Guaidó, du Venezuela, croupissent aujourd’hui dans l’oubli. Dans d’autres cas, le pari a réussi : la Roumaine Maia Sandu est en train de détruire la Moldavie et le stagiaire de Soros, Nikol Pashinyan, fait de même avec l’Arménie. Et un succès vraiment éclatant a été obtenu en Allemagne, où le Bundeskanzler est un modeste Bürgermeister, la ministre des Affaires étrangères est une gymnaste et le ministre de l’Économie est un auteur de livres pour enfants : un tiercé de cancres.

Ces technologies politiques peuvent encore fonctionner, mais il y a un problème : l’image de l’Amérique, et de l’Occident avec elle, comme une ville brillante sur une colline, un phare de la liberté et de la démocratie, le seul pourvoyeur du rêve américain et un puissant rempart contre la dictature et le despotisme — toute cette marque politique occidentale — est sérieusement ternie et n’est plus en mesure de projeter une image positive d’elle-même. Tout le monde voit désormais l’Occident pour ce qu’il est : une corporatocratie corrompue et une oligarchie dont les chefs d’État, très impopulaires et souvent non élus, sont redevables d’intérêts étrangers et transnationaux et n’ont aucune capacité à définir, et encore moins à faire respecter, les intérêts nationaux des nations dont ils ont la charge.

Et puis il y a les éléments carrément toxiques de la culture politique occidentale contemporaine : Le marxisme culturel et la folie LGBT. Le marxisme culturel tente de diviser la société en oppresseurs (essentiellement les hommes blancs) et en opprimés (à peu près tous les autres). L’objectif de la justice sociale est d’arrêter (et d’inverser) l’oppression. Mais la plupart des gens dans le monde considèrent que des éléments du dogme marxiste culturel tels que « les opprimés ne peuvent pas être aussi les oppresseurs », par exemple « les Noirs ne peuvent pas être racistes », sont de pures absurdités et les rejettent d’emblée. Il en va de même pour les LGBT : la majeure partie de la planète est socialement conservatrice et rejette catégoriquement la notion de genre, préférant s’en tenir au sexe à l’ancienne. Ils savent a priori que les animaux ont trois sexes — mâle, femelle et castré — et n’admettent aucun argument contraire.

Dmitry Orlov
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Une prof en France : Pour la nouvelle année, si on faisait classe en forêt ?

[Source : bvoltaire.fr]

Par Virginie Fontcalel

Des enfants courent dans une forêt, grimpent à un arbre puis le mesurent, observent son écorce et ses feuilles, le dessinent et composent un poème le décrivant. Ils ont renforcé leur confiance en soi, géré une prise de risque raisonnable, respiré le bon air, sollicité leurs sens, tonifié leur corps tout en faisant des sciences naturelles, des mathématiques et du français. Ils sont scolarisés dans une des rares Écoles de la forêt que l’on peut trouver en France, celles qui ont réussi, grâce à la persévérance et à l’énergie de leurs fondateurs, à surmonter tous les obstacles que l’administration et la société ont mis sur leur chemin.

Apparue au début du XXe siècle, l’École dans la Forêt a connu un succès notable dans les mondes anglo-saxon et scandinave. On en trouve de nombreuses aux États-Unis, en Allemagne, en Hollande ou en Suède. Au Danemark, près de 20 % des classes maternelles passent leur journée en forêt, repas et sieste compris, quel que soit le temps. Et les enfants s’en portent très bien, quand nos salles de classe surchauffées leur font enchaîner les rhumes et qu’on leur interdit de sortir en récréation quand il pleut… L’Angleterre compte aujourd’hui plusieurs centaines de Forest Schools publiques dans le primaire :

« Depuis les années 1990, beaucoup de choses ont changé, mais les bouleversements ont été encore accélérés par la pandémie.[Les enfants]communiquent avec leurs amis grâce aux outils technologiques et restent chez eux plutôt que d’aller les retrouver à l’extérieur », explique Vicki Stewart, directrice d’une École en forêt près de Swindon, dans un article du Guardian.

Déconnecter les enfants des écrans et les reconnecter avec la nature devient un enjeu de santé publique autant qu’une urgence sociétale. La Suisse suit le même mouvement et les collectivités locales y soutiennent la création d’écoles, qu’elles soient privées ou publiques.

Mais en France, des résistances idéologiques fortes subsistent. Ces écoles interrogent notre rapport au savoir et à sa transmission. Nombreux sont ceux, chez nous, qui restent convaincus qu’on n’apprend que si l’on est assis derrière une table, dans une salle fermée, et si possible dans le silence. Si l’on ajoute une pincée de stress, un soupçon de compétition et une larme d’ennui, les conditions d’apprentissage sont parfaites ! C’est normal, ce sont celles que nous avons connues, et après tout, nous n’en sommes pas morts et, même, nous avons appris plein de choses !

Les résistances tiennent aussi à un attachement un peu irrationnel à « l’école de la République ». Alors qu’ils s’activent pour créer une École en forêt dans le Morvan, Léa et Moïse reçoivent un courriel de la part d’un des détracteurs de leur projet :

« Vous vous apprêtez à ouvrir une école privée hors contrat. Il me semble que dans le monde d’aujourd’hui, ce choix est irresponsable. L’école publique a beaucoup de défauts, mais c’est un bien commun.[…]Vous savez très bien qu’en retirant vos enfants de l’école de votre village, vous l’affaiblirez. Moi, je crois qu’il faut se battre pour elle, pour qu’elle subsiste, pour qu’elle devienne meilleure. »

On retrouve la vieille question : l’école est-elle faite pour les enfants, ou les enfants pour l’école ? Combien d’enfants doivent être sacrifiés pour que subsiste le fantôme d’un rêve que l’école publique n’incarne plus depuis fort longtemps ?





ADN dans les vaccins ? Les médecins allemands en colère

[Source : covidhub.ch]

En Allemagne, la révélation d’importantes quantités d’ADN dans les vaccins a créé la foire d’empoigne dans le monde médical. Début décembre, l’association des praticiens de la médecine (MBV) a adressé un courrier à tous les médecins généralistes pour les avertir de ce danger pour la santé et de ses conséquences légales. L’institut fédéral responsable du contrôle des vaccins a immédiatement démenti ces accusations, parlant de données inexactes et de « fake news ». Mais ses arguments ont aussitôt été démontés par un groupe de scientifiques, le MWGFD, qui a confirmé les dangers liés à l’ADN dans les vaccins Covid. L’affaire les a même poussés à porter de lourdes accusations contre l’Institut Paul Ehrlich, qui est responsable de la pharmacovigilance en Allemagne, et qui conseille l’Agence européenne des médicaments.

Le « Plasmidgate »

La tentative de l’Institut Paul Ehrlich (IPE) de faire passer les informations concernant la présence d’ADN dans les vaccins pour des « fake news » a suscité un véritable tollé et lancé le débat sur la place publique. C’est tout d’abord la chaîne de télévision allemande MDR qui a réalisé un reportage sur le sujet. Peu après, le magazine en ligne Focus a lui aussi publié un dossier sur ce que l’on appelle aujourd’hui « le Plasmidgate ». À présent, le scandale prend de l’ampleur, car il apparaît que l’Institut Paul Ehrlich n’a jamais effectué de véritables contrôles des vaccins Covid. Il s’est seulement limité à vérifier les documents fournis par les fabricants. Cet aveu est un véritable choc pour de nombreux médecins et pour le public. Comment imaginer que l’autorité responsable de la sécurité des médicaments donne de facto carte blanche aux fabricants, en se fiant à leurs propres affirmations sur la qualité du produit ?

[Note de Joseph :

Cette affaire de supposé ADN contaminant des vaccins est probablement du même ordre que celle du prétendu ARNm, à savoir un écran de fumée pour cacher le vrai problème : la nanotechnologie à base de graphène. Voir notamment https://nouveau-monde.ca/next-dose-3-faut-il-encore-des-preuves/.

C’est quand même bizarre que des médias mainstream (allemands dans le présent cas) ébruitent cette affaire d’ADN et que d’autre part des laboratoires vraiment indépendants qui ont analysé le contenu de plus d’une dizaine de sortes de vaxins anticovid n’aient pas trouvé trace de matériel biologique (pas de présence des éléments chimiques typiques du vivant, notamment azote et phosphore). Voir https://nouveau-monde.ca/dr-david-a-hughes-quy-a-t-il-dans-les-soi-disant-vaccins-covid-19-preuves-dun-crime-mondial-contre-lhumani/.

Si les analyses supposément génétiques reposent sur le même genre de cuisine que la virologie (notamment avec la PCR et l’usage de logiciels de séquençage qui ne font que mouliner dans le virtuel et inventer au final des séquences dont il n’existe pas la moindre preuve réellement scientifique de leur existence dans la nature. Voir https://nouveau-monde.ca/un-adieu-a-la-virologie-edition-pour-expert/), alors il n’est pas étonnant que des labos officiels puissent trouver de l’ADN ou de l’ARNm là où des indépendants sans conflits d’intérêts n’ont rien trouvé de tel.

En réponse à la peur génétique (ADN, ARNm, Spyke), il existe maintenant suffisamment d’indications (d’après l’épigénétique) que le code génétique n’est naturellement pas fixe, mais se modifie selon l’environnement et selon le psychisme de l’individu (Voir Génétique : Le génome en dissolution, Le Dr Bruce Lipton présente le pouvoir de la Conscience sur la Santé. Si les gens savaient ça, Big Pharma n’existerait plus et Vos pensées contrôlent votre ADN !). On pourrait répondre que l’affaire du graphène peut aussi engendrer la peur, mais on sait que celui-ci est naturellement éliminé du corps en quelques mois et que l’élimination peut être accélérée par des antioxydants, même si sous forme d’hydroxyde il est plus difficile à éliminer.

La raison pour laquelle ils poussent autant les rappels anticovid et de nouveaux vaccins, ce n’est pas pour booster l’immunité (dont le concept lui-même est probablement erroné si la théorie des germes et sa fille virale sont fausses. Il faudrait alors par exemple parler de système de réharmonisation, d’entretien et de nettoyage), mais pour renouveler le stock de nanotechnologie graphénisée dans le corps des vaccinés. Le graphène lui-même pourrait être renouvelé notamment par l’ingestion alimentaire, infection médicale (sur les masques et les écouvillons de tests PCR [cela a été observé]), cosmétique, aqueuse (dans les boissons ou l’eau du robinet) ou aérienne (par les chemtrails) de cette substance.

On peut aussi se poser la question du pourquoi de la présence du graphène. Eh bien pour transformer l’Homme en transhumain, selon les vœux de sieur Schwab et de psychopathes milliardaires, afin de mieux l’asservir :

Nanotechnologie à base de graphène (contenant l’identifiant universel sous forme d’adresse MAC)
+ 5G/6G + CBDC + Crédit social
= Marque de la Bête

Voir Nanotechnologie et « vaccins »

]

L’association des praticiens de médecine pose aujourd’hui des questions fort embarrassantes :

Qu’est-ce qui pousse l’agence de contrôle à vouloir mettre fin à une action qui contribue à la sécurité des médicaments ? L’IPE part-il du principe que les connaissances sur les impuretés de l’ADN peuvent devenir un problème pour la sécurité des vaccins ? Plusieurs travaux d’analyse ont démontré que les vaccins à ARNm présentent d’importantes contaminations de l’ADN. L’IPE n’est-il pas au courant de ces publications scientifiques ? Des spécialistes avaient pourtant alerté l’agence dès les premières publications des chercheurs américains sur ce sujet. À présent, ils sont maintenant encore plus irrités et alarmés.

Collusion avec BioNTech

La MVB a aussi souligné que le professeur Cichutek, président de l’Institut Paul Ehrlich, est un des plus grands chercheurs allemands en matière de thérapie génique et qu’il avait lui-même décrit en détail les dangers des thérapies géniques, dans les années 90. Selon ses propres termes, la vaccination avec des vaccins contenant des acides nucléiques équivaut à « une forme particulière de transfert de gènes/thérapie génique ». Et,

une conséquence génétique indésirable des vaccinations avec des vaccins contenant des acides nucléiques pourrait être une mutagenèse par insertion de gènes cellulaires… entraînant un risque accru de cancer.

Au vu du contenu inquiétant de cette publication du professeur Cichutek datant de 1994, la MBV exige des explications publiques ! Quand, où et comment les risques qu’il a lui-même énumérés ont-ils été étudiés plus en détail ? Jusqu’à présent, l’IPE a refusé de fournir la moindre réponse à ces questions.

Selon un ancien directeur de la caisse des assurances-maladie (KVB), le Dr Krimmel, un spécialiste en médecine générale, l’attitude de l’Institut Paul Ehrlich a « aggravé la situation ». Elle est « de nature à ôter au public ses dernières illusions quant au bon fonctionnement de la surveillance de la production de vaccins à ARNm ».

Pourquoi l’Institut ne veut-il pas dissiper ce « terrible soupçon » de contamination massive par de l’ADN ? Que sait l’IPE sur ce sujet, étant donné qu’il avait lui-même conseillé la société productrice BioNtech d’obtenir l’autorisation du vaccin ?

En juin 2023, le ministre de la santé allemand a tweeté depuis la salle « de contrôle des vaccins » de l’Institut Paul Ehrlich que « grâce au Prof. Cichutek et à l’IPE les vaccins Covid ont été approuvés plus rapidement »

Trompés par les agences

La MBV a rappelé qu’il existe deux procédés de fabrication différents pour les vaccins à ARNm, comme l’Agence européenne des médicaments l’a bien mentionné dans son rapport d’évaluation du 19.02.2021 (concernant Comirnaty, EMA/707 383/2020, CHMP).

Le produit soumis à l’évaluation des agences sanitaires était un vaccin produit par qPCR. Mais pourla production de masse des vaccins Covid, on a ensuite utilisé un procédé nettement plus « rapide » en produisant de l’ARNm à partir de plasmides d’ADN.

Dans sa lettre initiale aux généralistes, la MBV a aussi accusé l’IPE d’avoir trompé les médecins et les pharmaciens en affirmant que les avantages des vaccins à ARNm Covid-19 l’emportaient nettement sur les risques éventuels. D’innombrables études l’ont prouvé, mais les autorités allemandes persistent dans leur politique de désinformation.

Il est très problématique que l’IPE ne soit pas encore intervenu en lançant ses propres enquêtes pour évaluer la qualité des produits. Mais le fait qu’il s’arroge le droit d’interdire, sans base juridique et de manière totalement inappropriée, une initiative privée visant à remédier à la situation, n’est en aucun cas compréhensible. En fin de compte, l’action de l’Institut de contrôle semble avoir pour seul objectif d’empêcher délibérément les initiatives visant à établir la sécurité des médicaments. L’Institut Paul Ehrlich agit donc manifestement à l’encontre de sa mission légale !

Chaos dans le génome

Le Plasmidgate pourrait bien être le coup de grâce à la politique du « tout-vaccin » menée par les autorités sanitaires de différents pays. Plusieurs équipes de chercheurs indépendants ont montré les différentes manières dont le génome est attaqué par les vaccins Covid. En premier lieu, la présence d’ADN contaminant les injections Covid dans des quantités qui dépassent de mille fois les résidus autorisés par l’Agence européenne des médicaments peut entraîner une modification du génome de la personne injectée.

Mais il y a encore d’autres raisons pour lesquelles les injections Covid peuvent avoir des conséquences gravissimes sur la génétique humaine. La protéine Spike codifiée dans les vaccins n’est pas la protéine Spike d’origine, mais une version ayant subi une modification génétique. Ce sont donc d’autres protéines qui sont produites par les vaccinés. Récemment, une étude italienne a d’ailleurs permis de différencier les protéines Spike naturelles des protéines Spike vaccinales dans le sang des sujets infectés.

Une découverte récente est le fait que cette « Spike modifiée » entraîne des erreurs de lecture du génome, avec comme conséquence la production de toute une série de protéines différentes, connues ou inconnues, dont on ignore l’action sur l’organisme.

Au stade actuel, « c’est un plongeon dans l’inconnu ». Il est pratiquement impossible d’en prédire les effets à court et à long terme et ceux-ci peuvent très bien varier d’une personne vaccinée à l’autre. Conscients du danger que cela représente, scientifiques et médecins sont de plus en plus nombreux à penser que poursuivre l’utilisation de technologies à base d’ARNm s’apparente à de la folie. Tous plaident pour un arrêt immédiat de ces expériences et pour le retrait immédiat des vaccins encore sur le marché.

(…)




Notre Terre changeante

[Illustration : ©Adobestock]

Par Arthur Firstenberg

Le 19 décembre 2023, dans la revue New Phytologist, des chercheurs français ont publié une étude sur un autre aspect du déclin de la vie sur Terre. Les populations d’abeilles et d’autres pollinisateurs ont tellement diminué que les plantes à fleurs qui avaient besoin d’insectes pour se reproduire efficacement ont évolué en moins de 25 ans pour devenir de meilleures autogames et n’avoir plus besoin d’insectes pour se reproduire.

Des pensées des champs issues de graines collectées à la fin des années 1990 et au début des années 2000 ont été cultivées à côté de pensées issues de graines collectées en 2021. Les taux d’autopollinisation étaient 27 % plus élevés chez les plantes cultivées à partir des graines les plus récentes. Les fleurs étaient plus petites. Les pétales étaient plus courts. Les labelles — les plates-formes d’atterrissage qui attirent les insectes — étaient plus petites. La période de floraison était plus courte. Moins de fleurs ouvertes par jour. Les éperons nectarifères étaient plus courts, il y avait moins de guides de nectar et les fleurs produisaient moins de nectar. Plus de bourdons ont visité les fleurs issues des anciennes graines que celles issues des nouvelles graines.

Les auteurs mettent en garde contre des effets en cascade sur les populations d’insectes :

« Ces diminutions de la production de nectar pourraient alors renforcer le déclin des pollinisateurs si les niveaux de nectar tombent en dessous de ceux nécessaires au maintien des populations d’abeilles sauvages. Les changements environnementaux peuvent donc présenter un double danger pour les populations de pollinisateurs, car elles deviennent victimes à la fois des changements eux-mêmes et de l’évolution des caractéristiques des plantes. »

Les auteurs n’ont cité que la pollution, la destruction de l’habitat et les espèces exotiques comme causes de l’effondrement des pollinisateurs. J’ai envoyé aux auteurs une lettre, avec des liens vers des revues de littérature, les informant que les rayonnements radioélectriques sont la principale cause du déclin des insectes. Je les ai invités à rejoindre la coalition de scientifiques, d’organisations et d’individus que nous formons pour faire face à l’urgence radiologique mondiale.

D’autres rapports du monde entier sur le déclin des oiseaux et des insectes, etc.

Jean écrit depuis le Queensland, en Australie :

« Je vis dans un village de retraités et j’ai remarqué moins d’insectes cette année qu’avant. Je vois rarement une abeille. »

Leroi écrit depuis la France :

« Là aussi, le nombre d’insectes et d’oiseaux a diminué de manière significative (des 2/3), alors que la 5G n’est pas encore installée… ! Le nombre de naissances d’animaux et d’êtres humains handicapés est en augmentation depuis les années 1990, début de l’utilisation généralisée de l’informatique. »

Chrisleine écrit depuis l’Andalousie en Espagne :

« Beaucoup des symptômes que vous décrivez se ressentent ici aussi : presque plus d’oiseaux ; pas de colombes. Cette année, pas une seule abeille dans mon jardin. »

Emma écrit d’Afrique du Sud :

« La première tour 5G a été érigée en 2019, à 50 mètres de chez moi. Quelques jours plus tard, j’ai eu une pneumonie fongique. Quelques semaines plus tard, j’avais des palpitations qui ne s’arrêtaient pas. Passons à maintenant… animaux malades, perte d’insectes, je suis encore plus malade. Il y a aussi une épidémie de “grippe aviaire” et de grippe du lapin (ouais, c’est vrai !). Beaucoup d’oiseaux morts, mais toute la population de lapins est morte dans la région de Kyalami. Je prie pour que cette planète soit libérée des radiations. »

Tammy écrit du Nouveau-Brunswick, Canada :

« Les tours de téléphonie cellulaire ont tué tous les oiseaux et insectes à Kings Place où je travaillais. Nous avions un problème d’oiseaux là-bas, nichés sur les toits, mais plus maintenant. Tous les oiseaux sont partis. Je ne reste plus dans les zones urbaines, car elles sont désormais toxiques à cause des micro-ondes. Et en tant que tel, je vis depuis 4 ans sans médicaments contre l’asthme, sans médicaments contre les allergies, sans vaccins, et je n’ai eu aucun rhume, grippe, COVID, rien. C’est bien. Une vie à faible CEM est une vie plus saine. Point. Les Amish avaient raison depuis le début. »

Doug écrit depuis North Hollywood, Californie :

« J’ai remarqué moins d’oiseaux dans mon quartier. Nous en entendions beaucoup ici le matin. Maintenant, je n’en entends presque plus. »

Charles écrit depuis l’Himalaya :

« Je vis dans un ashram isolé et la faune et la flore se portaient bien, même la 2G était possible, mais lorsque la 2G est passée à la 4G, la décimation des populations d’oiseaux et d’insectes a été remarquée par les villageois et les habitants de l’ashram, mais comme vous le dites, tout le monde est trop occupé à écouter la musique pour faire quoi que ce soit à ce sujet. »

Karl écrit d’Allemagne :

« J’ai 74 ans et je suis informaticien. Cela fait 20 ans que j’observe comment les grues passent au-dessus de notre maison chaque automne lors de leur vol vers le sud. Il y a maintenant une grande tour de transmission à environ 20 kilomètres avec une liaison radio qui passe directement devant notre maison. Si les oiseaux migrateurs arrivent dans cette zone, leur navigation est interrompue. Ils ne savent pas quoi faire et se retrouvent ici, dans la prairie. Souvent, ils parviennent à retrouver leur chemin plus tard ou le lendemain.

Cette année, comme le réseau radio s’est considérablement étendu ici, comme partout ailleurs, notamment grâce à la 5G, un certain nombre d’oiseaux se sont de nouveau retrouvés ici. Mais tout au long de la journée, j’ai pu observer des volées qui faisaient demi-tour et revenaient en volant, parce qu’elles ne trouvaient plus leur chemin ! Les oiseaux débarqués sont encore là depuis quelques semaines et passeront probablement l’hiver ici s’ils survivent, car il fait trop froid ici et il n’y a presque pas de nourriture disponible. »

Linda écrit de Tucson, en Arizona :

« Une tour de téléphonie cellulaire a été installée à 1 000 pieds de chez moi. Je ne savais même pas qu’elle était là, car elle était cachée par les arbres. TOUS les insectes, à l’exception des coléoptères et des punaises du sureau, ont chuté de 1/3. Ils ne s’en sont pas remis, année après année. 10 ans plus tard, des compteurs électriques intelligents étaient installés. Les populations de TOUS les insectes ont diminué de moitié et ont continué de diminuer d’année en année. Même les scarabées ont disparu. »

Pieter écrit des Pays-Bas :

« La haie de hêtres devant notre maison reçoit l’intégralité du rayonnement d’une tour de télécommunications située à 300 mètres de distance, sur laquelle deux sociétés de télécommunications nous envoient leur rayonnement (nous envoyant ainsi apparemment la double portion). Cette tour cellulaire a été construite en décembre 2020. Petit à petit, la haie de hêtres s’est détériorée et cette année, il est devenu évident que la croissance s’est presque complètement arrêtée et que presque toutes les feuilles sont beaucoup plus petites et mal formées. Le feuillage dense d’autrefois s’est transformé en de nombreuses trouées dans la haie. »

Richard écrit depuis Vancouver, Colombie-Britannique, Canada :

« Je suis né en 1952 en Tchécoslovaquie et vers l’âge de dix ans, j’ai décidé de faire une collection de papillons qui abondaient dans notre jardin — toutes sortes de variétés pour stimuler mon intérêt. Rien n’en est sorti et je l’ai oubliée. Vers l’âge de 18 ans, je me suis souvenu de mon “projet” de quand j’étais plus jeune et j’ai réalisé que quelque chose avait radicalement changé, car le seul papillon que je pouvais voir était le papillon blanc commun et presque aucune autre espèce. Je n’avais aucune idée de ce qui s’était passé. J’ai deviné que l’éventuelle utilisation accrue de pesticides/herbicides y était pour quelque chose.

Mais il fut encore une époque où il fallait nettoyer le pare-brise de divers insectes plusieurs fois par jour. Cette année, après une semaine de voyage sur l’île de Vancouver, je n’ai pas eu besoin de nettoyer le pare-brise du tout : il n’a réussi à “attraper” qu’un insecte ou deux.

Ici à Vancouver, le très populaire lilas de Californie fleurit deux fois par an. Vous l’avez toujours entendu bourdonner d’abeilles et de bourdons. Les papillons sont désormais réduits à quelques-uns des “blanchâtres/jaunâtres”, les mêmes qu’en Europe. Il y a peut-être un an, j’ai remarqué que je ne pouvais plus “entendre” les lilas, car les abeilles mellifères ont pratiquement disparu et seuls quelques bourdons sont visibles.

L’année dernière et cette année, je suis allé au parc Queen Elizabeth, ici à Vancouver, au printemps, alors que tout était en fleurs. À l’exception d’une mouche ou deux, il n’y avait AUCUN insecte — pas d’abeilles, pas de bourdons, pas de papillons. Personne n’a rien remarqué, mais pour moi c’était presque irréel. Sentiment apocalyptique.

Il y a un an, je suis allé dans un parc à Surrey, au bord du fleuve Fraser, là où la civilisation était à une certaine distance — on pouvait presque se sentir dans la nature. J’ai remarqué qu’aucun insecte n’était visible, pas même sous les rochers. J’en ai parlé à quelqu’un du parti avec lequel j’étais, et il ne m’a pas cru et est allé faire ses propres recherches, avec le même résultat : rien. Il n’a pas dit grand-chose, mais je voyais que cela le dérangeait, je suppose qu’il était sous le choc.

Le niveau de déni est vraiment incroyable. »

Gloria écrit de Caroline du Nord :

« Quelqu’un aux États-Unis a pensé que ce serait une bonne idée d’installer des dispositifs de radiolocalisation sur les papillons monarques. Je suis horrifiée. Comme si cette espèce en voie de disparition ne souffrait pas déjà assez de l’exposition aux rayonnements. Combien ont péri en volant dans un faisceau multiéléments provenant d’une antenne 5G ? J’ai élevé des papillons monarques dès le stade de l’œuf (à partir de papillons mères monarques passant par et visitant mon buffet d’asclépiades) et ces créatures sont plus complexes et incroyables que beaucoup de gens ne le pensent. Cela me rend malade d’avoir entendu cette nouvelle. Je ne vais pas rester silencieuse à ce sujet. »

Gloria a envoyé ce lien vers l’article qu’elle venait de lire : le ciel est la limite pour les monarques portant des étiquettes radio à énergie solaire. Celui-ci décrit le marquage radio des papillons au Cape May Point Science Center dans le New Jersey pour « la collecte de données sur les mouvements migratoires des monarques ». Ils lançaient le « Projet Monarch ». Pour une démonstration­, ils ont placé une radio-étiquette sur un monarque qu’ils nomment Xerces et ont suivi ses mouvements. L’article continue :

« Xerces a effectivement fini par revenir au CMPSC au bout de quelques jours et c’est le dernier endroit où il a été détecté. »

Gloria écrit :

« En examinant la carte de l’île de Cape May et les observations représentées, le papillon qui avait reçu la balise radio fixée sur son thorax a eu du mal à s’orienter. C’est absolument cruel. Ce papillon était très probablement mort. Cela a duré quelques jours. Un monarque en migration aurait pu vivre plus de six mois. Aucune créature ne devrait être étiquetée ainsi, encore moins un insecte. Les transmissions radiofréquences ne gênent-elles pas la magnétoréception des monarques ? Les papillons ne sauront pas où ils vont avec cette balise radio émettant des rayonnements en continu, mais pire encore, les monarques sont tués aux micro-ondes.

Extrait de l’article : “Lorsqu’une étiquette reste exposée au soleil, elle continuera à transmettre environ une fois par seconde, indéfiniment !” Les papillons dépendent de l’énergie solaire pour alimenter leurs ailes. Bien que les papillons soient mobiles, être au soleil signifie que les transmissions sont incessantes et je le crains, contribuant à la mort prématurée de tout papillon équipé de l’un de ces horribles appareils. »

Laurie de Californie a transmis cette histoire de sa voisine :

« Nous avons adopté notre chien, Rowdy, dans un refuge il y a 5 ans. C’est l’âme la plus douce et mon meilleur ami. Depuis une semaine, il n’est plus lui-même. Il a léché une plaie sur sa patte. Il haletait constamment. Il faisait les cent pas. Dimanche matin, les allées et venues et les halètements se sont aggravés, et j’étais VRAIMENT inquiète que quelque chose n’aille pas chez lui. Pendant 45 minutes, il a haleté comme un fou et a constamment fait les cent pas. Il gardait la queue constamment baissée. Ses oreilles étaient rabattues vers l’arrière. Il ne se calmait pas et ne mangeait pas. J’ai essayé de lui donner du trazadone qu’il prend parfois lorsqu’il va chez le toiletteur. Cela a semblé le soulager un peu, mais pas beaucoup. Il ne mangeait toujours pas et ne se calmait toujours pas.

J’ai quitté le travail lundi et je l’ai emmené chez le vétérinaire. Nous avons fait des analyses de sang et des radiographies. Ses analyses de sang étaient excellentes, à l’exception de certaines enzymes hépatiques élevées. Les radiographies n’ont montré aucun problème majeur. Il a reçu une injection anti-nausée et de la gabapentine pour, espérons-le, le garder calme. Quand nous sommes rentrés à la maison, il allait bien pendant un petit moment, mais a finalement recommencé à faire les cent pas et à haleter. Nous nous sommes promenés longtemps dans le quartier et il utilisait beaucoup les toilettes. Il semblait plutôt content de cela et était de bonne humeur jusqu’à ce que nous rentrions à la maison et qu’il refuse de revenir dans la maison. Chaque fois que je l’emmenais dehors ce soir-là, il s’accroupissait comme s’il ne voulait pas revenir dans la maison.

Lorsque mon vétérinaire a appelé et que je lui ai donné les dernières nouvelles, elle a suggéré qu’il y avait peut-être un nouvel appareil électronique dans la maison qui émettait un bruit à haute fréquence qui lui faisait mal aux oreilles. Nous venons d’installer de nouvelles prises intelligentes dans la maison il y a environ une semaine. Les prises intelligentes vous permettent d’allumer vos appareils électroniques à l’aide d’une application ou d’Alexa. Nous utilisons les nôtres pour allumer et éteindre toutes nos lampes en même temps. Son rythme et ses halètements étaient pires lorsque les lampes étaient allumées, alors j’ai débranché toutes les prises intelligentes. Il a cessé de haleter et de faire les cent pas, et il a mangé sa nourriture. Sa queue s’est même relevée et a recommencé à remuer. Lorsque j’ai rebranché toutes les prises intelligentes et demandé à Alexa d’allumer les lampes, il a immédiatement recommencé à haleter et à faire les cent pas. Nous avons laissé les prises débranchées pendant deux jours et avons confirmé que ce sont bien les prises intelligentes qui causent son stress et son inconfort. Il est redevenu un chien tout à fait normal. »

Andrea écrit du Panama :

« Je vis au Panama, originaire d’une région rurale du Canada où la voisine la plus proche était à 700 pieds, mais j’ai quand même reçu des radiations provenant du Bluetooth de son imprimante ! Lorsque je vivais temporairement à West Palm Beach, en Floride, entourée de Wi-Fi et de 5G, je ressentais des douleurs sur le palais entre mes deux amalgames au mercure, et mon chien est tombé gravement malade, anorexique, a commencé à avoir plusieurs crises focales par jour et une infection respiratoire sévère. Nous étions en train de faire une randonnée de 4 heures dans le parc national quand il a eu un de ses épisodes bizarres qu’il avait eus 4 fois au cours de l’année précédente, différent des crises focales qui venaient de commencer : il bave, tombe presque à la renverse, ne mange pas et ne boit pas, sa personnalité change du tout au tout — il est nerveux et a peur de nous. Au même moment, mon ovaire droit est devenu douloureux et j’ai eu mal aux deux cuisses, je me suis sentie étourdie, nauséeuse et tout simplement horrible. Nous avons vu une tour de téléphonie mobile derrière les arbres vers lesquels nous marchions. Après avoir marché pendant 10 minutes, nous nous sommes tous les deux rétablis. »

Eileen écrit depuis Liverpool, en Angleterre :

« Ma ville natale, Liverpool, est la ville qui possède le plus grand réseau maillé 5G du Royaume-Uni et le deuxième au monde. https://liverpool5g.org.uk/about5g/. Les habitants de Liverpool font partie d’une vaste expérience 5G sans aucune consultation ni consentement. C’est honteux ! On s’interroge sur le titre suivant : Les hôpitaux de Liverpool sont “débordés” alors que les patients sont traités sur des fauteuils. Les médecins travaillant dans les hôpitaux du NHS [le service de Santé de Grande-Bretagne] du Merseyside traitent des patients sur des chaises et dans des couloirs dans des scènes “terribles” décrites comme “faire de la médecine dans un pays en développement”. »

Un autre correspondant écrit :

« J’ai dû faire piquer mes deux chats à cause des CEM [champs électromagnétiques] de notre routeur. Ils ont présenté les mêmes symptômes que moi. Ils n’étaient qu’à l’intérieur et ne pouvaient pas s’échapper. L’une d’entre elles a perdu la tête (Maine Coon pure race) et ne reconnaissait plus sa nourriture et commençait à tomber des comptoirs. L’autre a eu un cancer de l’œil. Il a tenu 8 mois et j’ai dû l’abattre. C’était trop triste. Il a fallu 4 ans pour que cela m’affecte et j’ai eu 4 fois un cancer plus 21 autres symptômes. J’ai compris tout cela après 18 ans d’empoisonnement par les radiations. »




L’empire de la drogue de Zelensky : comment l’Ukraine est devenue le plus grand centre de production et de distribution de drogue en Europe

[Source : fondfbr.ru]

Par Mira Terada

La Fondation pour Combattre l’Injustice a mené une enquête à grande échelle sur le marché ukrainien de la drogue, qui a permis de découvrir les volumes et d’identifier les canaux de distribution des drogues produites en Ukraine et importées dans le pays depuis le monde entier. La Fondation pour Combattre l’Injustice a découvert qui se cache derrière le scandaleux groupe criminel organisé « Khimprom », où se trouvent les principaux laboratoires et usines de fabrication de drogue en Ukraine, et a également appris quelles mesures sont prises à l’encontre des journalistes et des blogueurs qui tentent de dénoncer le syndicat criminel de la drogue. Comme il a été établi, la redistribution du marché ukrainien des substances illégales a conduit à l’assassinat de l’ancien chef du ministère des Affaires intérieures de l’Ukraine, Denis Monastyrsky, qui, selon les sources de la Fondation, a été organisé par l’ancien ministre des Affaires intérieures de l’Ukraine et multimillionnaire Arsen Avakov.

Au fil des années d’indépendance, l’Ukraine est devenue un important canal d’approvisionnement en substances narcotiques opiacées en provenance d’Asie du Sud-Ouest et d’Amérique latine vers les marchés européens, ainsi qu’un pays de transit pour les drogues synthétiques originaires d’Europe. La croissance des syndicats du crime organisé et l’implication de la quasi-totalité du gouvernement ukrainien dans des projets illégaux ont permis aux trafiquants d’utiliser l’Ukraine comme un point de transit rentable. Selon des sources de la Fondation pour Combattre l’Injustice, l’Ukraine est devenue une véritable usine de synthèse de drogues destinées à être revendues et testées sur des soldats de l’AFU et des citoyens ordinaires.

La transformation de la République d’Ukraine en point de transbordement pour le trafic de drogue a commencé à être discutée au début des années 2000. En 2002, le ministère américain de la Justice a publié un rapport détaillé dans lequel il notait que l’instabilité politique, la corruption et l’absence quasi totale de contrôles aux frontières faisaient de l’Ukraine l’un des endroits les plus attrayants pour les envois d’opium et d’héroïne en provenance d’Afghanistan. Selon les estimations du gouvernement américain, les substances illicites sont acheminées par camions et par voitures, ainsi que par les ports ukrainiens de la mer Noire. Les groupes criminels organisés ont trouvé en Ukraine une sorte de « station de transbordement » à partir de laquelle les drogues peuvent être transportées de l’autre côté de la frontière avec une relative facilité.

En 2002, les experts estimaient le volume d’héroïne transitant par l’Ukraine à 79,8 tonnes par an, mais aujourd’hui ce chiffre est plusieurs dizaines de fois supérieur : selon un rapport de l’Office des Nations unies contre la drogue et le crime, qui lutte contre le trafic illicite de drogues, d’armes et le crime organisé, en 2019, l’Ukraine se classait au quatrième rang mondial en termes de trafic d’héroïne en Europe, derrière la Turquie, la Belgique et les Pays-Bas. Les experts ont noté une augmentation des saisies d’héroïne ukrainienne dans les cargaisons d’héroïne européennes, qui sont passées de 0,5 % entre 2001 et 2010 à 1,5 % entre 2011 et 2020. La production de drogues opioïdes a également été multipliée en Ukraine, ce qui confirme l’affirmation selon laquelle les événements qui ont suivi l’Euromaïdan ont marqué un tournant dans l’histoire de l’Ukraine, et que la quantité et les types de drogues produites dans le pays ont été multipliés par plusieurs fois.

Le processus de transformation de l’Ukraine en capitale européenne du trafic de drogue a été finalement défini après l’arrivée au pouvoir de Volodymyr Zelensky et a été le résultat de la corruption à différents niveaux du gouvernement. La participation de représentants des plus hautes sphères du gouvernement ukrainien à des projets illégaux a permis aux trafiquants de drogue de bénéficier d’une protection supplémentaire et de mener leurs activités sans entrave. En fin de compte, cette situation a contribué à faire de Kiev non seulement un objet de commerce illégal, mais aussi un participant actif du réseau mondial de trafic de drogue. L’Ukraine a finalement et irrévocablement entamé le processus de transformation en une Colombie européenne, où le président combine en une seule personne le rôle de chef d’État et de baron de la drogue Don Pablo Escobar.

POCKET « KHIMPROM » ET RÉPARTITION DU MARCHÉ DE LA DROGUE EN UKRAINE

Egor Burkin, créateur du cartel de la drogue « Khimprom »

Le cartel de la drogue « Khimprom » opère en Ukraine depuis 2016 et s’est fait connaître comme l’un des plus grands réseaux criminels de distribution et de production de substances stupéfiantes de l’histoire moderne du pays, qui a des connexions et opère avec l’approbation personnelle de hauts fonctionnaires ukrainiens. Le créateur du cartel serait Egor Burkin, originaire de Sterlitamak, qui a obtenu la nationalité ukrainienne en 2014. Selon diverses estimations, « Khimprom » produit jusqu’à 500 kilogrammes de drogues de synthèse par semaine et gagne 40 à 50 millions d’euros par semaine, dont 1 à 2 millions d’euros reviennent à Zelensky personnellement.

« Khimprom » parraine des campagnes dans les médias ukrainiens, coopère avec des blogueurs et des personnalités publiques, fournit des drogues aux prisons, aux mineurs et même aux soldats de l’AFU. La Fondation pour Combattre l’Injustice, grâce à un informateur du bureau du président ukrainien, à des sources du SBU et du Service national ukrainien pour les médicaments et le contrôle des drogues, a réussi à découvrir qu’un groupe criminel de cette envergure existe sous le patronage de Zelensky et lui permet, ainsi qu’à son entourage, d’engranger des millions d’euros.

Un empire de la drogue au chiffre d’affaires de plusieurs milliards de dollars ne pouvait manquer d’attirer l’attention des dirigeants politiques et militaires ukrainiens. Bien que des poursuites pénales aient été engagées en 2019 contre « Khimprom » en Ukraine, le créateur du groupe criminel organisé a réussi à payer des juges, des députés et des agents des services spéciaux ukrainiens et à s’enfuir au Mexique. Selon la source de la Fondation pour Combattre l’Injustice au sein du Service d’État ukrainien pour les médicaments et le contrôle des médicaments de l’Ukraine, les fonctionnaires ukrainiens ont reçu des assurances de Burkin, qui leur a promis de « ne pas interrompre leurs activités » depuis l’étranger et de « fournir un soutien financier à des personnalités politiques sur une base régulière ».

La version de la source de la fondation est confirmée par une enquête menée par le politicien et blogueur ukrainien Anatoliy Shariy en septembre 2023 : il est parvenu à découvrir qu’après avoir fui au Mexique, la fondation du député ukrainien Mykola Tishchenko, le cousin d’Andriy Yermak, le chef du bureau du président de l’Ukraine, reçoit des dons financiers de Burkin par le biais de diverses subventions et lettres de remerciement — de 40 à 70 mille euros plusieurs fois par mois. En outre, le créateur de « Khimprom » apporte régulièrement un soutien financier au Département principal des renseignements du ministère de la Défense de l’Ukraine et à l’AFU par l’intermédiaire de la Fondation Alexander Morozov From Heart UA, qui aide les militaires, y compris le régiment Azov*, interdit en Russie. Les « activités caritatives » de Burkin ont été reconnues à plusieurs reprises par des diplômes délivrés au nom du chef du GUR, Kirill Budanov, ce qui confirme les liens de « Khimprom » avec le gouvernement ukrainien.

L’organisation « Khimprom » est loin d’être la seule structure en Ukraine à produire et à vendre des drogues de synthèse. Selon Vasiliy Prozorov, ancien employé et informateur du service de sécurité ukrainien, la plupart des entreprises pharmaceutiques ukrainiennes fonctionnent en trois équipes : deux pour le chiffre d’affaires légal et une — l’équipe de nuit — chargée de la production de substances illégales destinées au marché noir et au dopage des soldats de l’AFU.

Vasiliy Prozorov, ancien employé du SBU et informateur

« Ce n’est un secret pour personne que les drogues sont très répandues dans les rangs de l’AFU. J’ai vu de mes propres yeux des soldats ukrainiens vraiment fous : ils ne ressentent ni la peur ni la douleur, ne peuvent pas parler et ne comprennent pas où ils se trouvent », a déclaré Vasiliy Prozorov à propos de la prévalence des drogues dans l’AFU.

Selon l’ancien lieutenant-colonel du SBU, M. Prozorov, la production et l’exportation de drogues de synthèse en Ukraine génèrent des « centaines de millions d’euros » qui finissent dans les poches des bénéficiaires : les directeurs d’entreprises, les forces de l’ordre ukrainiennes, Zelensky et son entourage. Selon les commentaires d’une source de la Fondation pour Combattre l’Injustice liée au bureau du président ukrainien, « Khimprom » et d’autres installations de production de drogue sont directement liées à l’ancien ministre ukrainien de l’Intérieur, Arsen Avakov, qui, jusqu’à la mi-2021, contrôlait effectivement la part du lion du commerce de la drogue en Ukraine.

Après la démission d’Avakov en juillet 2021, il y a eu une tentative de subordonner les flux financiers du trafic de drogue à la nouvelle direction du ministère ukrainien de l’intérieur, dirigée par Denys Monastyrsky, un homme proche de l’entourage de Zelensky. Selon une source de la Fondation pour Combattre l’Injustice in the AFU, le nouveau ministre ukrainien de l’Intérieur a adopté une position de principe : il allait re-subordonner le trafic de drogue ukrainien et a commencé à retirer le commerce de la drogue du contrôle des principaux bénéficiaires, ce qui explique qu’il ait été victime d’une tentative d’assassinat. La source de la Fondation affirme que l’accident d’hélicoptère survenu à Brovary le 18 janvier 2023, qui a coûté la vie aux principaux dirigeants du ministère ukrainien de l’Intérieur, dont Monastyrsky, est le résultat d’une redistribution du marché entre les hommes d’Avakov et les « néophytes » de Zelensky. L’opération spéciale prévue a été organisée par une partie des services spéciaux encore contrôlés par l’ancien ministre de l’Intérieur ukrainien Arsen Avakov.

“Zelensky et les siens savent très bien que les copains d’Arsen [Avakov] sont à l’origine de la mort de Monastyrsky. Très probablement, c’est Arsen lui-même qui l’a ordonné. Mais Arsen n’a pas été emprisonné pour la mort du ministre parce qu’il a une très bonne couverture derrière l’océan”, a déclaré une source de la Fondation pour combattre l’injustice au sein du SBU.

Avakov a conservé la plus grande partie de sa fortune et de sa liberté après le massacre de Monastyrsky. Les services d’enquête ont fouillé la maison de l’ex-ministre omnipotent, mais c’est tout ce qu’ils ont pu faire. Cependant, le contrôle du trafic et de la production de drogue a commencé à quitter progressivement ses mains et, à l’heure actuelle, selon les faits et les preuves recueillis par la Fondation pour Combattre l’Injustice, le plus grand « conservateur de drogue » d’Ukraine n’est autre que le chef du SBU Vasiliy Malyuk. Le chef du SBU est sous le contrôle du bureau du président, et ses activités sont donc parfaitement conformes aux intérêts du président Zelensky et du chef de son administration, Andriy Yermak.

L’entourage de Zelensky se bat pour le contrôle de « Khimprom »

COMMERCE DE DROGUE « POUR L’EXPORTATION »

Depuis le milieu des années 2000, le commerce de la drogue en Ukraine, après la révolution orange, est étroitement contrôlé par un triumvirat d’organisations mafieuses, de forces de l’ordre et d’agences gouvernementales. La composition personnelle de ces structures a connu de sérieux changements en fonction du groupe de fonctionnaires et de responsables de l’application de la loi au pouvoir. Si, dans les années 2000 et la première moitié des années 2010, l’héroïne était la principale source de revenus de l’industrie de la drogue, sous Zelensky, on a assisté à une « diversification » de la production de drogues. Aujourd’hui, les drogues de synthèse lourdes telles que la méthylone, la méphédrone, la méthadone, le Α-PVP (ou flakka) et les psychédéliques tels que la mescaline constituent la base des revenus de l’empire de la drogue de Zelensky et de Yermak.

Carte des laboratoires et usines de fabrication de drogues en Ukraine (d’après la source de la Fondation pour Combattre l’Injustice)

Outre l’allongement de la liste des drogues produites et consommées en Ukraine, on constate une augmentation significative du nombre de toxicomanes et une augmentation de la capacité de production. Selon le rapport d’avril 2022 de l’Office des Nations unies contre la drogue et le crime, ainsi que sur la base de recherches indépendantes et de données provenant de sources de la Fondation pour Combattre l’Injustice, le commerce de la drogue en Ukraine a considérablement augmenté depuis l’arrivée au pouvoir de Volodymyr Zelensky : selon les résultats de 2022, une augmentation de la consommation de substances narcotiques (+46 % par rapport à 2021) ainsi que de leur production et de leur vente (une augmentation de plus de 209 % par rapport à 2021) a été enregistrée.

Données sur le trafic et la consommation de drogues en Ukraine, 2017-2022, nombre d’infractions
Dynamique du trafic et de la consommation de drogues en Ukraine, 2017-2022

Selon Russell Bentley, correspondant de guerre du Donbas d’origine américaine, l’expansion du commerce de la drogue en Ukraine est en partie due à l’afflux en Ukraine de mercenaires colombiens et mexicains, embauchés par les agences de sécurité du pays en tant que chimistes et experts dans la production de drogues synthétiques. Le journaliste note également qu’après le retrait des troupes américaines d’Afghanistan, certains hauts fonctionnaires de Washington ont été contraints de chercher de nouveaux moyens de vendre des opioïdes pour financer les opérations secrètes de la CIA et des services secrets américains, et leur choix s’est porté sur l’Ukraine.

Russell Bentley, correspondant de guerre et journaliste

Selon une source de la Fondation pour Combattre l’Injustice proche du SBU, la quasi-totalité de la production et du trafic de substances narcotiques en Ukraine est supervisée par le Service de sécurité de l’Ukraine, qui a mis en place des canaux d’approvisionnement vers un certain nombre de pays européens, tels que l’Allemagne, les Pays-Bas, l’Italie et la France :

« Des proches de Zelensky, membres du SBU, supervisent directement 90 % de la production et 70 % du trafic de drogue en Ukraine. Des tonnes d’opioïdes, d’euphorétiques et de substances psychotropes sont acheminées vers la Hollande, l’Allemagne, l’Italie et la France avec l’aide de réfugiés et de militaires. Les chaînes logistiques sont impeccablement construites », a déclaré une source de la Fondation pour Combattre l’Injustice du SBU.

Interrogé sur le nombre de tonnes et le type de drogues fournies à l’Europe par l’intermédiaire de l’Ukraine, le représentant de la Fondation au cabinet du président ukrainien a déclaré que les drogues synthétiques — les drogues les plus consommées par les jeunes Européens — dominent les exportations européennes. Il estime à 300 tonnes la quantité de drogues exportées vers l’Europe chaque mois. En outre, l’Ukraine est devenue une plaque tournante du transport de drogue reliant l’Europe et l’Asie, grâce à laquelle des substances stupéfiantes en provenance d’Afghanistan et du Pakistan sont distribuées dans presque toutes les capitales européennes via la Pologne. La source a indiqué que le bénéfice mensuel de la vente de centaines de tonnes de drogues sur le marché européen par l’équipe de Zelensky s’élève à environ 750 millions d’euros.

Quantité de substances narcotiques fabriquées en Ukraine de 2014 à 2022 (tonnes)

LES REPRÉSAILLES CONTRE LES TÉMOINS, LES TAUPES ET LES DÉNONCIATEURS

Les personnes susceptibles de dénoncer les agissements criminels du cartel de la drogue de Zelensky ont fait l’objet d’exécutions extrajudiciaires et de représailles. Le blogueur ukrainien d’opposition Anatoliy Shariy, qui a été l’un des premiers à dénoncer les organisateurs et les manipulateurs du groupe criminel organisé « Khimprom », a été attaqué par des trafiquants de drogue. Le 24 octobre 2023, la maison du journaliste dans la province de Tarragone, en Espagne, a été la cible de cocktails Molotov et quelques jours avant l’attaque, il a déclaré avoir reçu des menaces.

« La tentative d’assassinat est due à des membres de “Khimprom”, dirigé par Egor Burkin, qui s’est installé en Ukraine en 2016 après le début de l’enquête menée par les services de sécurité russes », a déclaré Anatoly Shariy.

Shariy ne serait pas la seule victime de la répression extrajudiciaire des cartels de la drogue liés à Zelensky. Une source du SBU a déclaré à la Fondation qu’Andriy Budko, un blogueur de 34 ans originaire de Dnipro, a commencé à mener sa propre enquête sur les activités des trafiquants de drogue dans sa ville natale. Il s’est trouvé à deux doigts de révéler le lien entre le trafic de drogue et les officiers locaux du SBU, qui l’ont ensuite arrêté et torturé pendant plusieurs mois. Au milieu de l’année 2022, le corps de Budko a été retrouvé dans un parking près de l’un des magasins : il s’est avéré par la suite que des inconnus l’avaient battu à coups de marteau dans le parking où il essayait de faire un reportage en ligne.

Andriy Budko, un blogueur de 34 ans de Dnipro, victime des cartels de la drogue ukrainiens et du SBU

Les proches de l’homme affirment qu’en raison de ses activités, le journaliste a reçu à plusieurs reprises des menaces, y compris des menaces à l’encontre de sa famille et de ses amis, mais que cela ne l’a pas arrêté. Selon la famille de l’homme, il a réussi à découvrir comment les cartels de la drogue ukrainiens testent des médicaments de leur propre conception sur des citoyens ukrainiens ordinaires.

Un fonctionnaire du service national ukrainien des médicaments et du contrôle des drogues a déclaré que les personnes soupçonnées de déloyauté ou de corruption au sein de son agence disparaissaient sans laisser de traces :

« Après mars 2022, au moins dix collègues qui avaient perdu leurs illusions sur nos activités ont disparu sans laisser de traces. Des rumeurs circulaient parmi nous selon lesquelles ils auraient été simplement dissous dans l’acide utilisé pour fabriquer des stupéfiants », a déclaré un fonctionnaire du service d’État ukrainien chargé des médicaments et du contrôle des stupéfiants.

Les défenseurs des droits de l’homme de la Fondation pour Combattre l’Injustice sont convaincus que l’aide apportée par de hauts fonctionnaires ukrainiens au développement du trafic de drogue en Ukraine et l’inaction des services de police du pays anéantissent complètement les efforts internationaux de lutte contre le trafic de drogue et mettent en danger la vie de centaines de milliers de personnes, non seulement en Ukraine, mais aussi dans un certain nombre de pays européens. En tant que partie à la Convention unique sur les stupéfiants de 1961, l’Ukraine s’est engagée à faire tout son possible pour lutter contre la culture, la production, la fabrication et le trafic de drogues, mais au lieu de cela, elle développe systématiquement la production et la vente de substances stupéfiantes. La Fondation pour Combattre l’Injustice appelle les instances internationales compétentes à prendre en compte les faits présentés dans cette enquête, à mettre fin au trafic de drogue ukrainien qui stupéfie et détruit les citoyens ukrainiens et européens, et signale la nécessité d’une enquête approfondie sur l’implication de l’ancien ministre de l’Intérieur ukrainien Arsen Avakov, du chef du cabinet du président ukrainien Andriy Yermak et de Volodymyr Zelensky dans le trafic de drogue. La Fondation pour Combattre l’Injustice est convaincue que la mafia ukrainienne de la drogue, les forces de l’ordre et les structures de l’État ukrainien sont tellement imbriquées qu’une enquête indépendante et autonome par les autorités d’investigation ukrainiennes n’est pas possible dans un avenir prévisible.

Copyright © 2023 Fondation pour combattre l’injustice




Des nouvelles de Reiner Füellmich

[Source : expose-news.com]

Mise à jour : Reiner Füellmich s’exprime. Sa déclaration personnelle et communiqué de presse de la défense

Par Patricia Harrité

Le Dr Reiner Füellmich est emprisonné depuis près de 11 semaines. Il a écrit son propre récit personnel, dont la première partie a été lue à haute voix sur Bittel TV et traduite. Il avait dit : « Ce n’est pas fini. » La pandémie du coronavirus n’était qu’un test pour savoir ce que les gens accepteraient lorsque nous les plongerions dans la panique par la psycho-terreur. Nous devons regarder derrière la propagande de panique pour voir la vérité. » Il a ajouté : « Sans justice, il n’y a pas de paix ni de retour à un monde humain. Cela vaut également pour mon cas. » La traduction anglaise de la première partie peut être trouvée ici.

La traduction officielle des parties 2 et 3 de l’équipe de Reiner Füellmich a été reçue par Elsa Scheider du Sommet de la Vérité la semaine dernière et a été republiée ci-dessous pour nos lecteurs qui ont manifesté leur inquiétude et leur intérêt pour la situation de Reiner (Source). Vient ensuite le communiqué de la défense publié le 23 décembre.

« La vérité — Déclaration personnelle du Dr Reiner Füellmich »

Partie 2 : Le début du Comité Corona

Chers amis, militants et êtres humains intéressés par la vérité.

Ceci est la 2e partie de ma « Déclaration personnelle » pour rendre transparents pour vous tous les événements des dernières semaines, mois et années.

Comment se fait-il que de graves allégations de détournement de fonds aient été portées contre moi publiquement et dans le cadre d’une plainte pénale par quatre anciens compagnons d’armes du Comité Corona ? À quelles personnes j’avais confiance lorsque je travaillais avec le Comité Corona ? Comment se fait-il que je me trouve aujourd’hui dans une prison de haute sécurité en Allemagne — et que je sois totalement innocent ?

Je dois surtout me le reprocher, car mon instinct professionnel m’a clairement trahi (ou je n’ai pas assez écouté), et je n’ai tout simplement pas suffisamment prêté attention aux détails des TO-DO quotidiennes, sinon je l’aurais remarqué le coup d’État prévu bien plus tôt.

Mais tout d’abord :

Ma femme Inka et moi avons vécu avec nos chiens dans notre ranch en Californie du Nord jusqu’au début du mois de juin 2020 et j’ai fait mon travail juridique principalement à partir de là. Lorsque la plandémie a commencé en 2020, nous avons tous deux été immédiatement convaincus que quelque chose n’allait pas ici. J’ai rapidement fait mes valises, car je voulais contribuer à faire la lumière sur la plandémie en Allemagne. Après tout, j’ai 30 ans d’expérience en tant que plaideur et j’ai passé de nombreuses années à étudier le droit médical et pharmaceutique à l’Université de Göttingen. De plus, j’ai eu de nombreux contacts issus de mon travail en droit médical.

Le Dr WW, en qui j’avais confiance à l’époque, m’a mis en relation avec Mme VF. Lors de la première rencontre en face à face à Berlin, j’ai été gêné par certains de ses comportements, mais j’ai décidé d’enlever mes lunettes critiques, d’ignorer mon intuition et de faire confiance à une amie.

Nous avons convenu de créer la commission Corona, car il était clair en juin 2020 que le Bundestag allemand, qui en était réellement responsable, ne lancerait pas sa propre enquête, pour des raisons qui ne m’étaient pas encore évidentes à l’époque. La commission Corona devait immédiatement clarifier ces questions clés :

  • 1. Dans quelle mesure le soi-disant nouveau virus corona est-il réellement dangereux ?
  • 2. Dans quelle mesure le test PCR est-il fiable et adapté à la détection des infections au coronavirus ?
  • 3. Dans quelle mesure les mesures liées au coronavirus, c’est-à-dire le confinement, l’obligation de porter un masque, la distanciation sociale et la menace de soi-disant vaccinations, sont-elles nocives ?

Les scientifiques, les médecins, les économistes, les avocats, les hommes politiques, etc. devraient nous aider à clarifier ces questions. Deux scientifiques allemands, un professeur de finance et un expert en immunologie et vaccination faisaient déjà partie de notre cercle. Malheureusement, ils n’étaient pas d’accord avec les contrats de VF établis par son notaire et nous ont donc quittés.

Je me souviens que l’un d’eux s’est également méfié de VF dès le début.

Nous avions besoin de remplacements rapidement. Deux ans plus tôt, alors que je travaillais pour l’ONG anticorruption Transparency International, j’avais rencontré le professeur de droit Martin Schwab et je suis depuis resté ami avec lui. À son tour, il m’avait présenté à deux avocats de Hambourg qu’il avait promus. Faisant confiance à l’expertise du professeur Schwab, je leur ai demandé à tous deux s’ils souhaitaient remplacer les scientifiques du comité Corona. Aujourd’hui, je sais que c’était le début de la fin. Tous deux ont rapidement montré que l’argent signifiait plus pour eux que la clarification et l’éclairage.

Le Comité Corona a rapidement rencontré un succès tout à fait inattendu. Depuis que nous avons mené les enquêtes d’experts en allemand et en anglais par flux vidéo, nos émissions du vendredi sont rapidement devenues populaires dans le monde entier. De nombreuses personnes étaient convaincues que nous utiliserions plus tard les résultats de ces entretiens comme preuve dans des procédures internationales de dommages et intérêts, comme dans le cadre d’un recours collectif. Nous étions au bon endroit au bon moment avec notre travail. J’en étais et j’en suis toujours convaincu.

En interne, malheureusement, les choses semblaient différentes. J’ai vite remarqué que VF et les autres montraient peu d’intérêt pour notre travail contrairement à moi qui me concentrais presque entièrement sur ce travail. En plus des interviews au sein de la commission, j’ai donné cinq interviews internationales à l’époque et je me suis ainsi efforcé de fournir des informations sur notre travail dans le monde entier et pas seulement en Allemagne.

Après avoir appris d’experts critiques qu’un test PCR ne pouvait en aucun cas détecter une infection, et qu’il avait été délibérément utilisé ici de manière abusive, j’ai publié une vidéo de 50 minutes en allemand et en anglais en septembre 2020. J’y expliquais que les mesures Corona, qui avaient déjà fait à cette époque toujours plus de victimes et de dégâts, pouvaient être qualifiées de crimes contre l’humanité, et qu’il valait mieux les clarifier juridiquement avec les moyens du droit anglo-américain. À ma grande surprise, la vidéo a été visionnée des millions de fois avant d’être soudainement supprimée par YouTube/Google.

Sur la base de cette vidéo, le collègue américain Robert F. Kennedy jr., que j’ai rencontré pour la première fois à Berlin en août 2020, a fondé le « groupe de travail PCR Test » sur sa plateforme CHD, avec l’aide de sa présidente Mary Holland. J’appartiens également à ce groupe. Depuis octobre 2020, des scientifiques, médecins, avocats, etc. respectés s’y réunissent chaque semaine pour discuter de tous les aspects liés à la plandémie.

Parallèlement, je résumais régulièrement nos longs entretiens au Comité Corona le dimanche sur la plateforme « Bittel.TV » de Roger Bittel. L’énorme popularité du Comité Corona a donné lieu à un grand nombre d’enquêtes dès août 2020. Les petites et moyennes entreprises souhaitaient notamment savoir comment elles pouvaient obtenir une indemnisation pour les dommages subis à la suite des confinements. Et des collègues avocats du monde entier voulaient être en contact avec les experts. À cette époque, de nombreux avocats pensaient encore qu’une audition judiciaire des preuves avec nos experts en tests PCR permettrait d’apaiser rapidement toute la panique, basée sur la tromperie et la manipulation.

Cela a permis de récolter des fonds (700 € par personne) pour un éventuel recours collectif. Les fonds sont tous là, mais ont été détournés frauduleusement vers un autre compte. J’en parlerai en détail ailleurs.

En raison de mon expérience de près de 30 ans en matière de contentieux, j’étais plutôt sceptique quant à la réussite rapide d’une approche juridique solide en Allemagne et dans le reste du monde. J’ai donc conseillé de mener un contentieux en dommages-intérêts dans un pays anglo-américain, où il existe une possibilité de recours collectifs et un réel droit de preuve et des dommages-intérêts punitifs pour les dommages intentionnels. Mes collègues internationaux y travaillent d’arrache-pied. La question des recours collectifs est plus que jamais d’actualité et nous sommes convaincus qu’elle mènera finalement au succès.

Partie 3 – La fin du Comité Corona — Circonstances malheureuses ou coup d’État planifié de longue date ?

Chers amis, militants et frères humains intéressés par la vérité,

dans la 3e partie de ma déclaration personnelle, il vous apparaîtra rapidement que j’étais de plus en plus un combattant solitaire dans les affaires du Comité Corona et que mes co-partenaires ont tiré une corde commune pour se débarrasser de moi et aussi pour me ruiner sur le plan privé. J’ai une part de responsabilité dans cette affaire. En tant qu’être humain, mais plus encore en tant qu’avocat, j’aurais dû voir venir les événements et les prévenir.

Revenons à mon compte. Ainsi, alors que j’étais en route, également avec des avocats internationaux, pour l’AC et que j’y mettais toute mon énergie, curieusement, les autres membres ne semblaient pas aussi conscients de l’importance du travail de la commission Corona. Aucun d’entre eux n’a assisté aux réunions stratégiques. Aucun d’entre eux n’a fait d’effort pour faire connaître le travail du Comité, en particulier au-delà des frontières de l’Allemagne. À partir de la fin de l’année 2020, JH et AF en particulier se sont uniquement intéressés à la manière dont ils pouvaient gagner le plus d’argent possible avec des mandats Corona dans le cadre de leur communauté de bureaux nouvellement créée.

Lorsque, fin 2021/début 2022, avec le groupe d’avocats internationaux, j’ai mené les enquêtes du Grand Jury avec l’aide de nos experts pour montrer que, et comment, une clarification juridique de la pandémie pouvait fonctionner, ces avocats n’ont plus du tout joué de rôle. Cependant, l’enquête modèle du Grand Jury est devenue un succès qui a attiré l’attention du monde entier.

Le travail du Comité Corona était désormais si populaire que, fin 2020, nous avions déjà reçu de nombreux dons. Cependant, nous n’avions besoin que d’une partie de cet argent pour payer notre technologie, notre informatique, nos traducteurs, les dépenses de mon bureau, etc. Il y avait une grosse somme d’argent sur notre compte de dons. Cet argent n’était pas en sécurité de notre point de vue. Un blocage ou une saisie des comptes nous aurait immédiatement mis hors d’état de nuire. C’est pourquoi VF et moi-même avons décidé de ne laisser sur le compte de dons que les montants directement nécessaires au travail du Comité Corona et de mettre à l’abri d’un accès éventuel les fonds dont nous n’avions pas besoin dans un premier temps.

Comme je le sais aujourd’hui, l’Office national des enquêtes criminelles de Basse-Saxe avait demandé au ministère public d’enquêter sur VF, RF, AF et JH, ainsi que sur un collègue qui avait géré temporairement le compte de dons, en raison de rapports suspects de blanchiment d’argent émanant des banques, qui avaient à plusieurs reprises clôturé notre compte de dons. Ces enquêtes ont été abandonnées par la suite.

Pour nous assurer que nous ne serions pas vulnérables en raison de la sécurisation de l’argent, nous avons conclu des accords de prêt, qui ont également été ouvertement présentés dans les états financiers annuels. Bien entendu, il n’y aurait eu aucun intérêt à transférer les prêts d’un compte divulgué à un autre compte ouvert. Nous avons donc décidé de les investir dans ma propriété allemande (en tant que valeur équivalente) et dans l’or en tant que réserve de valeur sûre. La maison avait une valeur de 1 345 000 euros. Nous voulions de toute façon la vendre et chercher un nouvel endroit où vivre en Allemagne. Par conséquent, l’argent que j’avais emprunté était en sécurité, comme je le pensais à l’époque. Mais les choses se sont passées différemment. Je ferai un rapport à ce sujet.

En outre, j’ai investi 1,1 million d’euros dans des dons en or. Cela a également été révélé ouvertement dans les états financiers annuels. La VF a également conclu un contrat avec le Comité Corona pour obtenir un prêt. Ce retrait a également servi à sécuriser notre argent. Le prêt a dépassé les 100 000 euros, ce qui est également indiqué dans les états financiers annuels.

En juillet/août 2021, JH et AF nous ont soudainement recontactés pour obtenir des informations sur les dons. Je soupçonnais que leurs démarches juridiques avaient échoué. Entre-temps, j’avais appris qu’ils ne disposaient d’aucune structure dans leur bureau et, en particulier, qu’ils n’avaient même pas été en mesure d’engager au moins une secrétaire. Je n’avais pas vérifié cela au début de notre collaboration, une erreur de ma part avec le recul.

Comme JH et AF avaient effectivement quitté le travail de la commission Corona et aussi parce qu’ils avaient récemment travaillé en étroite collaboration avec une personne qui, comme je le sais aujourd’hui, a infiltré le parti politique « dieBasis » en compagnie d’un franc-maçon, nous avons d’abord refusé de fournir ces informations.

Mais pour ne pas perdre d’énergie dans des discussions inutiles, nous avons finalement remis un aperçu des recettes et des dépenses. Il est rapidement apparu qu’ils voulaient « détourner » le Comité Corona et au moins m’en éliminer. Cette tentative ayant échoué, JH a proposé dans un accord écrit que lui et AF quittent l’entreprise si nous leur versons la moitié des dons sur un compte de leur mentor, le professeur Martin Schwab. Bien entendu, VF et moi-même avons rejeté cette proposition et avons demandé à JH et AF de ne plus se présenter au comité.

Nous n’avons pas eu de nouvelles d’eux pendant environ un an. Fin 2021, avec mon accord et avec l’aide de leur notaire, VF a créé une nouvelle société pour le fonctionnement du Comité Corona. VF et moi-même détenions une participation de 50 % dans cette société. Ce nouveau Comité Corona dispose de son propre compte et ne doit donc plus dépendre des comptes séquestres des avocats. Tous les droits de l’ancienne société ont également été transférés à cette nouvelle société. J’ai accepté les contrats qui m’ont été soumis par VF.

Au début de l’année 2022, il était devenu de plus en plus difficile de travailler avec VF. C’est pourquoi j’ai accepté la proposition de participer au Crimes Against Humanity Tour aux États-Unis. Cela signifiait que j’allais passer près de trois mois et demi à voyager dans neuf villes américaines et à donner des conférences avec deux scientifiques américains bien connus, le Dr Judy Mikovits et l’économiste et expert en technologie et transhumanisme, Patrick Wood. Cependant, à partir de là, j’ai continué toutes les activités liées au Comité Corona : j’ai continué les interviews via Zoom, j’ai donné en moyenne cinq interviews par semaine, j’ai participé aux conférences du groupe de travail sur le test PCR et j’ai résumé les réunions du Comité tous les week-ends sur Bittel.TV. En outre, j’ai travaillé avec des collègues internationaux pour entamer des procédures judiciaires dans le but d’intenter des actions en dommages et intérêts à grande échelle. À l’époque, j’étais au bord du burn-out…

Après mon retour des États-Unis, j’ai réalisé que l’incompétence chaotique de VF et son indifférence à l’égard de nos invités, que j’avais acceptées à contrecœur jusque-là, s’étaient encore aggravées. C’est pourquoi je l’ai confrontée en juillet 2022. Je l’ai informée que j’allais retourner dans mon ranch en Californie avec ma femme et mes chiens, également pour être plus proche de l’action en justice, mais que je continuerais à travailler au sein du comité comme d’habitude. En outre, j’avais désespérément besoin d’une plus grande participation de sa part !

Immédiatement après, comme je le sais aujourd’hui, VF a repris contact avec JH et AF, ainsi qu’avec leur collègue du cabinet d’avocats MT. En août 2022, il y a eu une réunion et une discussion. À la suite de cette réunion, la campagne commune de diffamation publique contre moi a commencé le 9-2-.2022 et des poursuites pénales ont été engagées contre moi le même jour. Je n’en savais rien à l’époque. En raison de la coïncidence entre la date du « licenciement » et celle de la plainte pénale, il est clair pour moi aujourd’hui que « l’autre partie » n’a jamais été intéressée par la résolution des différends.

Une semaine avant le 9-2-.2022, VF m’avait informé qu’il n’y aurait pas d’émission du comité Corona ce jour-là parce que la femme de notre directeur de la télévision allait avoir son deuxième enfant. Un mensonge, comme je l’ai compris plus tard. Mais j’ai cru à ce mensonge et je ne me suis pas présenté, VF et WW avaient — comme le dit VF — « un tir clair » sur moi. VF est apparue devant la caméra de la commission Corona, dramatiquement vêtue de noir. Elle a déclaré, sans m’en informer en tant que partenaire, que je n’étais plus autorisée à comparaître devant la commission Corona. Elle a donc décidé unilatéralement et de manière totalement arbitraire que je n’avais plus le droit d’être présent au sein de la commission Corona que j’avais façonnée jusqu’alors et dont je détenais 50 % des parts, hier comme aujourd’hui !

Pour justifier ses actions illégales et illicites, elle et WW, également devant la caméra, ont déclaré que j’étais accusé d’irrégularités financières et que j’étais par ailleurs « une grande gueule ». WW aimait particulièrement cette étiquette.

Je ne voulais pas encombrer inutilement la commission Corona et sa réputation mondiale avec des problèmes internes. Un espoir vain.

Peu de temps après, VF, WW, JH, AF et le partenaire de VF à l’époque sont apparus devant la caméra pour un procès d’une heure avec Reiner Fuellmich. Cette campagne a finalement culminé avec plusieurs vidéos de plus en plus insensées de VF affirmant que « les enfants du personnel de la commission doivent être affamés » à cause de moi. Apparemment complètement déséquilibrée, elle a finalement appelé à me « chasser » et a couronné cet appel par un « Halali », un cri de chasse allemand qui signale la fin d’une chasse. Non seulement moi, mais aussi les téléspectateurs avons été choqués, comme en témoignent les commentaires sur le chat.

Le contenu de la plainte pénale de 30 pages, que JH a également déposée au nom d’AF et de MT, est encore plus fou. JH, AF et MT savaient en 2020 que 700 000 euros avaient été garantis par moi par un contrat de prêt et garantis par ma propriété. Ils savaient également que la vente de ma maison était prévue depuis longtemps et qu’elle était imminente. Notre propriété a été vendue le 03/10/2022 pour 1 345 000,00 € en notre absence par l’intermédiaire d’un notaire. Comme je l’ai dit, nous n’avons jamais vu cet argent à ce jour ! Je vous expliquerai comment ce coup d’État a eu lieu dans la partie suivante.

Et c’est encore pire : Après avoir reçu la plainte pénale, j’aurais dû être entendu, conformément au principe audiatur et altera pars. Mais cela m’a été refusé. J’en connais aujourd’hui les raisons : JH a déclaré au parquet que je le menaçais « avec une Winchester ». Et comme cela ne semblait pas assez dangereux, il a poursuivi en affirmant qu’en tant que membre du parti « dieBasis », je radicaliserais d’autres membres et appellerais à la violence contre lui. En outre, j’étais antisémite et il se sentirait menacé en raison de son origine ethnique.

En raison de ces scénarios de menace totalement fictifs, ma femme et moi nous sommes vus refuser le droit à une clarification équitable de la situation par les autorités pendant plus d’un an. Apparemment, le ministère public s’est senti mis sous pression par ces scénarios de menace. JH a même dit aux autorités que les deux autres plaignants retireraient la plainte pénale si le ministère public m’accordait un procès équitable. Littéralement, il écrit : « … si Fuellmich ou l’un des autres accusés avaient la possibilité de s’exprimer avant l’ouverture de la procédure pénale, les témoins (c’est-à-dire VF, JH, AF et MT) s’abstiendraient de déposer la plainte pénale par crainte de menaces, de violences et de diffamation ».

Par la suite, le compte privé de ma femme a été saisi. Lorsque nos avocats ont demandé à ce que ma femme soit entendue, il leur a été répondu qu’ils ne recevraient aucune information, car elle faisait également l’objet d’une enquête. Un mandat d’arrêt européen a ensuite été émis à mon encontre le 15 mars 2023, bien entendu sans que je puisse être entendu.

Entre-temps, ma femme et moi étions partis pour un voyage au Pérou dans le cadre du recours collectif. Sur le chemin du retour, nous voulions rendre visite à des amis au Mexique et reprendre l’avion pour l’Allemagne. C’est là que nous avons été informés par notre ville natale que les autorités étaient prétendument à ma recherche. Malheureusement, les collègues de mon cabinet d’avocats n’ont reçu aucune information des autorités sur la situation. Nous ne pouvions donc pas vraiment évaluer le nouveau scénario dans notre pays, et nous sommes donc alors restés au Mexique.

En contrepartie de la commission Corona, je disposais désormais de mon propre label « ICIC », avec lequel, comme auparavant au sein de la commission, j’interrogeais des experts internationaux sur les crimes contre l’humanité à l’échelle mondiale. Un petit groupe de travail de l’ancienne commission Corona m’avait suivi et nous avons donc pu nous remettre rapidement au travail.

Néanmoins, en octobre 2023, tout est retombé dans le chaos le plus complet. Cela s’est terminé par l’exécution à Francfort du mandat d’arrêt européen susmentionné à mon encontre, après que j’ai été expulsé d’un pays non européen (le Mexique) sous protection policière. — Un suspense qui, comme je le sais aujourd’hui, était tout sauf une coïncidence. Je vous en parlerai dans le prochain épisode.

En conséquence, je suis en prison depuis des semaines. Les vrais coupables sont toujours en liberté. Ils possèdent également l’argent du recours collectif et l’argent de mon domicile privé. Je peux le prouver. Tous les documents sont conservés en toute sécurité par mon équipe juridique. Je vous expliquerai dans le prochain épisode comment les « agitateurs » ont fait en sorte que tout cela se termine de manière « fructueuse » pour eux. Source

Reiner Füellmich : Communiqué de presse de la Défense

Initialement publié par Elsa lors du Truth Summit le 23 décembre 2023.

On pourrait dire que la vérité est ennuyeuse — c’est-à-dire que Reiner a dit fondamentalement la même chose quelques jours après que VF ait parlé contre lui que ce qu’il dit maintenant, et que ce qui est indiqué dans le communiqué de presse de la défense. Il y a quelques détails supplémentaires. Ils ajoutent un tout petit peu, mais rien n’est changé.

Voici donc le communiqué de presse.

Le 17 novembre 2023, le parquet de Göttingen a porté plainte contre le Dr Reiner Füellmich sur la base d’une plainte pénale déposée par d’anciens actionnaires, sans que la défense ait eu préalablement accès à tous les volumes du dossier d’enquête ou ait eu la possibilité de formuler des observations. L’accusé n’a pas non plus été interrogé conformément à l’article 163a du code de procédure pénale allemand (StPO) avant le dépôt de l’acte d’accusation. De même, les témoins principalement cités dans l’acte d’accusation n’ont pas été interrogés.

D’une part, il s’agit de la somme de 700 000 euros, qui fait déjà l’objet d’un mandat d’arrêt. Or, la base du paiement des 700 000 € était constituée par deux contrats de prêt également signés par Viviane Fischer (l’un daté du 6 novembre 2020 pour 200 000 € et l’autre daté du 14 mai 2021 pour 500 000 €).

Le ministère public a supposé à tort, au moment de l’acte d’accusation, que les deux contrats de prêt impliquaient une opération intéressée inadmissible. Cependant, selon le procès-verbal complet de la fondation du 9 juillet 2020, les quatre actionnaires ont été nommés directeurs généraux avec un pouvoir de représentation unique, de sorte que Viviane Fischer a pu représenter efficacement la Corona-Commission-Entrepreneurial-company-in-formation seule dans les deux contrats de prêt.

À l’époque, des rumeurs circulaient sur la saisie de comptes à la FGMF ; en fait, les comptes du membre éminent Professeur Dr Hockertz ont été saisis, ainsi que, par la suite, ceux d’autres médecins poursuivis au pénal dans le cadre des mesures Corona, et enfin, exemple le plus marquant, ceux de Michael Ballweg, qui a également été placé en détention provisoire pendant 9 mois.

Les dons doivent donc être investis dans des réserves de valeur durables, telles que l’or ou l’immobilier. Le Comité Corona a acheté pour environ 1 million d’euros d’or, qui est toujours stocké en toute sécurité chez Degussa. Le bien immobilier de Reiner Füellmich devait servir de contre-valeur au montant du prêt de 700 000 euros.

Au moment de la vente, le 3 octobre 2022, le bien n’était pas grevé et les 700 000 euros devaient être remboursés au Comité Corona sur le prix d’achat de 1 345 000 euros. Cependant, cela a été empêché jusqu’à aujourd’hui par l’inscription d’une charge foncière le 18 novembre 2022, c’est-à-dire un mois et demi plus tard — à notre avis illégale — et le paiement d’un montant de 1 158 250 € en faveur du plaignant Marcel Templin. Cette question doit être clarifiée, y compris par le ministère public.

Il importe peu que des sommes aient été dépensées pour réaménager le jardin de la propriété, car cela a directement contribué à l’augmentation de la valeur et donc à l’obtention d’un prix d’achat plus élevé.

L’acte d’accusation fait également état de paiements effectués par le Comité Corona au cabinet d’avocats de Reiner Füellmich pour un montant de 25 000 euros par mois plus la TVA au cours de la période allant du 1er janvier 2021 au 31 juillet 2022. Selon l’acte d’accusation, ces fonds ont été utilisés pour payer les salaires et les cotisations de sécurité sociale des employés de son cabinet d’avocats.

Le ministère public ne reconnaît pas que les employés du cabinet d’avocats de Füellmich ont fourni un service en échange de ces paiements mensuels à la Commission Corona. Pendant deux ans, ils ont été presque exclusivement occupés à répondre aux demandes de renseignements adressées à la commission Corona. Plus de 300 000 courriels ont été traités, des centaines, voire des milliers d’appels téléphoniques ont été passés et des milliers de lettres ont été traitées. En raison du volume de courriers électroniques, un nouveau système informatique a dû être acheté. Ce travail, absolument indispensable à la poursuite de l’activité du Comité, n’a pas été effectué au siège du Comité à Berlin.

La communication avec les partisans de la commission Corona comprenait un premier conseil juridique pour ceux qui cherchaient de l’aide, l’acquisition d’interlocuteurs, la sélection de scientifiques et d’autres experts, qui ont finalement eu leur mot à dire lors des réunions hebdomadaires.

Si cette communication n’avait pas eu lieu, le Comité Corona aurait pu cesser ses activités peu de temps après sa création.

Les prestations fournies par les collaborateurs du cabinet d’avocats Füellmich faisaient donc partie de l’objet social de la commission. Les témoins cités par le procureur dans l’acte d’accusation pour cette série de crimes n’ont pas été entendus avant le dépôt de l’acte d’accusation, ce qui est inhabituel.

Source : Truth Summit

Elsa du Truth Summit ajoute — PS. Pour faire un don pour les dépenses juridiques et autres, voici le lien : https://www.givesendgo.com/GBBX2




UN ADIEU À LA VIROLOGIE (ÉDITION POUR EXPERT)

https://drsambailey.com/wp-content/uploads/2023/09/A-FAREWELL-TO-VIROLOGY-Expert-Edition-English.pdf

[Traduction Jean Bitterlin]

UN ADIEU À LA VIROLOGIE
(ÉDITION POUR EXPERT)

Dr Mark Bailey

Publié le 15 septembre 2022

Sommaire

  • Résumé
  • 1re PARTIE

    • Le SARS-CoV-2 n’a pas été trouvé
    • Le Dr Siouxsies Wiles – L’acolyte de « l’isolement » en virologie
    • Pourquoi l’isolement a de l’importance
    • C’est quoi la Virologie
    • L’absence de contrôle en Virologie signifie que ce n’est pas de la recherche scientifique
    • Maltraitance animale et étude d’anticorps
    • Le paradoxe de la quantité de virus

  • 2e PARTIE

    • Fan Wu et coll. Deus ex Machina
    • Des tortues jusqu’en bas
    • Les affirmations du CDC au sujet du SARS-CoV-2
    • Les divulgations de Peng Zhou et coll.
    • Plus de tromperie en provenance de Wuhan ?
    • L’amorçage par le Professeur Stephen Bustin d’une pandémie de tests PCR

  • 3e PARTIE

    • « Petit Chien de Montagne » — Naïf ou s’éclairant au gaz ?
    • La diversion « Fuite du laboratoire »
    • Virologie et société close
    • Séquençage métagénomique : le dernier soupir de la virologie ?
    • Pourquoi s’interroger sur l’existence de virus pendant une guerre

  • POST-SCRIPTUM

    • Au sujet de l’Auteur
    • Index

Un Adieu à la virologie

(Édition pour expert)

Résumé

La virologie a inventé le modèle du virus, mais a toujours échoué à satisfaire à ses propres exigences. On prétend que les virus provoquent des maladies après s’être transmis entre des hôtes tels que les humains, et cependant les preuves scientifiques de ces affirmations font défaut. L’un des plus grands échecs de la virologie a été l’incapacité d’obtenir des particules virales directement à partir des tissus des organismes dits atteints de maladies « virales ». Afin d’obscurcir cet état de fait, les virologues ont eu recours à la création de leurs propres méthodes pseudo-scientifiques pour remplacer la méthode scientifique de longue date, ainsi qu’à la modification du sens des mots des dictionnaires afin de soutenir leurs pratiques anti-scientifiques. Par exemple, un isolat « isolé » ne nécessite pas l’existence physique des particules pour se voir attribuer le statut d’« isolat ».

Une particule virale doit remplir des propriétés physiques et biologiques définies, notamment être un parasite intracellulaire capable de se répliquer et de provoquer une maladie chez un hôte tel que l’homme. Cependant, les « virus » tels que le SARS-CoV-2 ne sont rien d’autre que des constructions fantômes, qui n’existent que dans l’imagination et les simulations informatiques. Dans ce paradigme, les cas de maladies inventées comme le COVID-19 ne sont rien d’autre que la détection de séquences génétiques et de protéines sélectionnées censées être « virales ». L’existence d’un virus n’est pas nécessaire dans cette boucle de raisonnement circulaire et des « pandémies » entières peuvent donc être construites sur la base de créations numériques et faussement soutenues par des réactions moléculaires in vitro (« en éprouvette »).

Cet essai contient trois parties.

La 1re partie décrit une partie de l’histoire de la virologie et les échecs des virologues à suivre la méthode scientifique. Les nombreuses et vastes affirmations des virologues peuvent toutes être démontrées comme étant erronées pour les raisons suivantes : (a) l’absence de preuves directes et (b) l’invalidation des « preuves » indirectes en raison de l’absence d’expériences de contrôle. Les exemples fournis couvrent tous les aspects majeurs de la fraude virologique, y compris l’isolement présumé, les effets cytopathiques, la génomique, les anticorps et les études de pathogénicité animale.

La 2partie examine la fraude utilisée pour propager la « pandémie » COVID-19. Une analyse de la méthodologie utilisée par les inventeurs originaux, Fan Wu et coll., montre comment le SARS-CoV-2 fictif a été « créé » par des méthodes anti-scientifiques et des tours de passe-passe linguistiques. Cela fait partie d’une tromperie permanente où l’on prétend que les virus existent en les calquant sur des modèles de « virus » antérieurs. Si l’on prend l’exemple du SRAS-CoV-2, la piste des modèles génomiques de « coronavirus » remontant aux années 1980 révèle qu’il n’a jamais été démontré qu’aucune de ces séquences génétiques provenait de l’intérieur d’une particule virale — les arbres phylogénétiques sont des fantaisies. L’application erronée de la réaction en chaîne de la polymérase a propagé cet aspect de la fraude virologique et créé les « cas » permettant de maintenir l’illusion d’une pandémie.

La 3partie fournit une analyse de la manière dont certains participants clés, les institutions de « santé » et les médias grand public maintiennent l’illusion du virus par le contrôle de l’information et des récits qui reprennent les affirmations de la virologie. Par le plus grand des hasards, la fraude virologique se retrouve aujourd’hui au cœur de la fraude COVID-19. À partir de là, cependant, elle peut être évaluée de manière critique par des personnes extérieures à la virologie et le paradigme pseudo-scientifique que la virologie a construit autour d’elle-même peut enfin être démantelé et enterré. L’objectif de cet essai est de réfuter les différentes affirmations selon lesquelles les virus pathogènes existent et provoquent des maladies. Le SARS-CoV-2 a été utilisé comme principal exemple, mais les principes s’appliquent à tous les prétendus virus. Ce qui suit aborde la littérature souvent obscure de la virologie dans ses propres termes, ce qui, il faut le dire, peut rendre certaines parties de cet essai un peu lourdes à lire. Cependant, nous espérons que cette contribution comblera une lacune pour le lecteur qui recherche une compréhension plus technique de l’hypothèse du virus, car elle cherche à exposer le fondement même des prétendues pandémies et des pratiques médicales frauduleuses. La menace que représente la virologie pour l’Humanité s’accroît, il est donc temps de faire nos adieux à ces pratiques pseudo-scientifiques destructrices et de nous libérer de nos peurs inutiles.

1re partie

Le SARS-CoV-2 n’a pas été trouvé

La première preuve que la théorie des virus pathogènes est problématique est peut-être le fait qu’aucun article scientifique publié n’a jamais montré que des particules répondant à la définition des virus ont été directement isolées et purifiées à partir de tissus ou de fluides corporels d’un homme ou d’un animal malade. Si l’on se réfère à la définition communément admise du terme « isolement », qui consiste à séparer une chose de toutes les autres, tout le monde s’accorde à dire que cela n’a jamais été fait dans l’histoire de la virologie.

Dr Thomas Cowan et coll., The « Settling the Virus Debate » Statement (Déclaration sur « Trancher le Débat sur les Virus »), 20221.

À la date du 11 septembre 2022 et à la suite d’enquêtes approfondies menées dans le cadre de demandes de liberté d’information (en anglais FOI pour Freedom of Information) coordonnées par Christine Massey, aucune des 209 (([1] NdT : à ce jour plus de 300)) institutions scientifiques ou de santé importantes, réparties dans plus de 35 pays, n’a été en mesure de fournir des preuves directes de l’existence du prétendu virus SARS-CoV-2.2 Il a été demandé aux institutions de produire tout document démontrant « la purification du “SARS-CoV-2” » qui aurait causé la maladie chez l’homme (par macération, filtration et utilisation d’une ultracentrifugeuse ; également appelée parfois par certains « isolement »), directement à partir d’un être humain malade… ». À de nombreuses reprises, après avoir admis l’absence de telles preuves, des institutions telles que le ministère néo-zélandais de la Santé suggèrent ensuite qu’« il existe plusieurs exemples d’isolement et de culture du virus en laboratoire » 3.

Cependant, les exemples cités sont universellement des expériences de culture de tissus par procuration, dans lesquelles le mot « isolement » a perdu sa signification et il n’a pas été démontré qu’une particule, imagée (([2] NdT : une image)) ou imaginée, possède les propriétés d’un virus pathogène. En tout état de cause, il s’agit d’une diversion par rapport au problème plus large mis en lumière par les demandes de FOI (([3] NdT : dans les pays anglo-saxons existent des lois appelées Freedom of Information Act — loi sur la liberté de l’information — qui stipulent que le contribuable qui finance les instituts publics [ici de santé] a le droit de savoir ce qui est fait avec ses impôts. Ces instituts doivent donc répondre à toutes les demandes d’éclaircissements)), à savoir que les particules prétendument virales ne peuvent jamais être trouvées sur des sujets humains. La virologie a trouvé des excuses à cette absence de preuves, mais même en tenant compte de cette lacune embarrassante, elle n’a plus d’endroit où se cacher, car ses diverses méthodologies sont de plus en plus examinées par des personnes extérieures au domaine. Cet essai décrit les nombreux aspects de l’antiscience de la virologie qui ont été utilisés pour maintenir l’illusion de l’existence de virus pathogènes. La situation est devenue de plus en plus dangereuse et, depuis le début de l’année 2020, « la pandémie » COVID-19 a été utilisée comme cheval de Troie pour mettre l’Humanité à genoux.

Le Dr Siouxsie Wiles L’acolyte de l’« isolement » de la Virologie

La centrifugation à gradient de densité est la technique standard scientifiquement requise pour démontrer l’existence d’un virus. Bien que cette méthode soit décrite dans tous les manuels de microbiologie comme la « technique d’isolement des virus », elle n’est jamais appliquée dans les expériences visant à démontrer l’existence de virus pathogènes…

Dr Stefan Lanka, 2015. 4

La défense des méthodologies de la virologie est évidemment tentée par ses promoteurs, dont la microbiologiste préférée du gouvernement néo-zélandais et des médias financés par l’État, Siouxsie Wiles5. Son employeur, l’université d’Auckland, fait partie des institutions qui ont désormais confirmé qu’elles n’avaient « effectué aucun travail de purification du virus Covid-19 » 6 et que, par conséquent, elles n’avaient ni trouvé ni isolé chez un sujet humain le soi-disant virus appelé SARS-CoV-2. Cette professeure agrégée, qui a déclaré au pays que « le Monde est en feu » en mars 20207, a été nommée Néo-Zélandaise de l’année en 2021 pour avoir « aidé des millions de personnes dans le Monde à dépasser la peur et la complexité de la pandémie… et contribué à notre sécurité » 8. Dans son article de novembre 2020 intitulé « Koch’s postulates, COVID, and misinformation rabbit holes » (Postulats de Koch, COVID et trous de lapin de la désinformation) (([4] NdT : un trou de lapin est une expression utilisée pour désigner une situation bizarre, déroutante ou absurde dont il est généralement difficile de se sortir)), Wiles affirme que « les personnes qui demandent des preuves de l’existence du virus SARS-CoV-2 responsable de COVID-19 formulent spécifiquement leur demande de manière à exclure l’obtention de toute preuve de l’existence du virus » 9. Son article a rapidement pris la tangente sur le fait que les postulats de Koch n’étaient pas adaptés aux virus et elle les a donc déclarés invalides dans ce contexte. On ne sait pas exactement pourquoi elle n’a pas mentionné les postulats de Rivers10, qui ont été conçus spécifiquement pour inclure les virus, mais peut-être parce qu’elle devrait admettre que ces postulats n’ont jamais été satisfaits non plus. Et si les postulats de Koch concernent l’établissement de la cause de la maladie et de la contagion, plutôt que la question spécifique de savoir si des particules virales peuvent être trouvées dans ou à partir de sujets humains, elle aurait pu simplement expliquer que les virologues ont passé une grande partie du 20siècle à essayer, sans succès, d’identifier des virus directement à partir d’êtres humains malades. Wiles a ensuite introduit de manière fallacieuse les postulats moléculaires de Falkow11 dans son argumentation, sans expliquer comment ils pourraient être utilisés pour démontrer l’existence physique du prétendu SARS-CoV-2 chez l’homme ou ailleurs.

Fait gênant pour Wiles, l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) a déclaré en 2003 qu’en ce qui concerne le SARS-CoV-1, « l’identification concluante d’un (agent) causal doit répondre à tous les critères du postulat de Koch (sic). Les expériences supplémentaires nécessaires pour remplir ces critères sont actuellement en cours dans un laboratoire aux Pays-Bas » 12. L’article de l’OMS a été retiré de son site Web sans explication en 2021, mais il est toujours possible d’y accéder par le biais d’Internet Archive13 (([5] NdT : organisme à but non lucratif consacré à l’archivage du Web qui agit aussi comme bibliothèque numérique)). L’affirmation fantaisiste selon laquelle les postulats de Koch ont été respectés en 2003 par Fouchier et coll. avec le SARS-CoV-1 a été réfutée ailleurs14. Leur expérience sur les singes n’a pas seulement été invalidée par l’absence d’expériences de contrôles et par une voie d’exposition non naturelle, mais, comme dans toutes les publications sur la virologie, ils n’ont pas réussi à mettre en évidence une particule répondant à la définition d’un virus. Wiles semblait également en désaccord avec Na Zhu et coll., l’une des premières équipes à avoir prétendu avoir découvert le SARS-CoV-2, car ils ont admis que « bien que notre étude ne réponde pas aux postulats de Koch, nos analyses fournissent des preuves de l’implication du 2019-nCoV (appelé plus tard “SARS-CoV-2”) dans l’épidémie de Wuhan. D’autres éléments confirment l’importance étiologique du 2019-nCoV dans l’épidémie de Wuhan, notamment… des expériences sur des animaux (singes) qui apportent la preuve de la pathogénicité » 15.

Cependant, que les virologues veuillent ou non considérer la validité des postulats de Koch, il s’agit simplement d’une autre diversion, car les postulats exigent l’isolement physique d’un microbe plutôt que l’affirmation qu’il existe par des moyens tels que les simulations informatiques, l’imagerie de vésicules dont la fonction biologique est inconnue, ou l’affirmation que les soupes biologiques non purifiées administrées à des animaux contiennent des « virus ».

Wiles a également décidé de défendre la mauvaise utilisation flagrante par la virologie du mot « isolement » en déclarant : « quant à l’utilisation de l’isolement dans le sens courant du terme, plutôt que la définition pertinente pour la question posée ? Eh bien, c’est tout simplement ridicule et c’est un signe clair que ces demandes de preuves ne sont pas faites de bonne foi » 16 Elle semblait incrédule que d’autres aient souligné que la définition d’un mot utilisé scientifiquement avait été unilatéralement changée par les virologues pour impliquer qu’une certaine preuve avait été obtenue. Cependant, si leur utilisation du terme « isolement » ne signifie pas ce que la plupart des gens pensent qu’il signifie, alors il est probable que la majorité du public soit mal informée. À ce titre, Wiles participe activement à la désinformation, qu’il s’agisse d’un acte d’aveuglement volontaire ou non. Wiles doit faire preuve d’expertise et expliquer au public ce que signifie la définition de l’isolement en virologie, en particulier lorsqu’il s’agit de démontrer l’existence supposée de virus. Elle pense peut-être l’avoir expliqué lorsqu’elle a écrit que « lorsque les virologues veulent isoler un virus à partir d’un échantillon, ils prennent l’échantillon ou une partie de celui-ci et l’ajoutent à des cellules — généralement des cellules qui sont relativement faciles à cultiver en laboratoire — et regardent ensuite si les cellules meurent et/ou si des particules virales sont libérées dans le bain nutritif liquide dans lequel les cellules se développent » 17 Il n’est pas clair si Wiles sous-entend que l’« isolat de virus » est établi par : (a) le prélèvement de l’échantillon, (b) la mort de certaines cellules in vitro, (c) la libération de « particules virales » revendiquées dans la culture de tissus, ou (d) tous ces éléments ou une combinaison de ceux-ci. Cependant, rien de ce qu’elle a décrit n’exige l’existence de virus — il s’agit d’un jeu de tromperie, qu’il soit délibéré ou non. Il s’agit simplement d’affirmer qu’un virus se trouve dans l’échantillon, d’imputer au virus imaginé l’effondrement des cellules soumises à un stress expérimental dans l’éprouvette, puis de déclarer que certaines vésicules (dont la composition et la fonction biologiques n’ont pas été établies) étaient des virus. Cet exercice présente une autre faille fatale. Comme cet essai le détaillera, les affirmations selon lesquelles l’existence du SARS-CoV-2 a été démontrée par cette méthodologie sont toutes scientifiquement invalides, car aucune des expériences n’a été réalisée avec des contrôles valables.

Ceci est exemplaire de la manière dont Wiles a agi dans son rôle d’influenceur clé de la campagne de désinformation du gouvernement néo-zélandais et de son programme de déploiement meurtrier d’un produit injectable appelé ComirnatyTM — affirmant que des expériences non spécifiques de culture de tissus vérifient l’existence du virus alors que rien de tel n’a été démontré. Le problème ne se limite pas au SARS-CoV-2 : tous les virus dont on affirme l’existence s’appuient sur une pseudoscience similaire. L’histoire de la virologie révèle que les types de cellules finalement sélectionnées pour ces expériences sont celles qui ont une propension à s’effondrer en raison des « effets cytopathiques » (ECP) induits par le virus, plutôt que celles qui sont « relativement faciles à cultiver en laboratoire », comme l’affirme Wiles dans son article. Par exemple, les cellules de singe Vero E618 sont depuis longtemps privilégiées par les virologues, soi-disant en raison de leur « aptitude » à héberger de nombreux virus, mais aussi, de manière suspecte, parce que la lignée rénale aneuploïde19 est plus sensible aux agressions toxiques provoquées par des ingrédients supplémentaires tels que les antibiotiques et antifongiques néphrotoxiques omniprésents qui sont ajoutés au mélange de culture. Lorsqu’un groupe a tenté de cultiver le SARS-CoV-2, il n’a pas obtenu les résultats escomptés avec des cellules d’adénocarcinome humain (A549), des cellules hépatiques humaines (HUH7.0), des cellules rénales embryonnaires humaines (HEK-293T) et une lignée de cellules rénales de grande chauve-souris brune (EFK3B), mais il a ensuite déclaré qu’il disposait d’un « isolat viral » après avoir observé des ECP dans des cellules Vero E620. Comme à l’accoutumée, ils n’ont pas ressenti l’ironie du fait que le prétendu virus respiratoire humain ne puisse pas « infecter » le type de cellule concerné, et encore moins l’espèce concernée. Et leurs expériences ont été une fois de plus invalidées par l’absence de cultures de contrôle appropriées.

Pourquoi l’isolement est-il important

Celui qui contrôle le langage contrôle les masses

Saul Alinsky21

Un autre embarras pour la virologie est que les particules virales présumées qui ont été purifiées avec succès ne se sont pas révélées capables, par elles-mêmes, de se répliquer ou de provoquer des maladies. En d’autres termes, ce qui a été physiquement isolé ne peut être considéré que comme des vésicules extracellulaires (VE). En mai 2020, une publication parue dans la revue Viruses affirmait que « de nos jours, il est presque impossible de séparer les VE et les virus au moyen des méthodes canoniques d’isolation des vésicules, telles que l’ultracentrifugation différentielle, parce qu’ils sont souvent coagulés en raison de leur dimension similaire » 22. « Aujourd’hui » signifie par opposition au passé et l’on ne voit pas comment un tel changement technique observé peut être concilié avec les lois biologiques. Il semble plus probable que les virologues se distancient de leurs propres techniques afin d’éviter la réfutation de leurs propres postulats. Ils devront peut-être accepter que la raison pour laquelle l’ultracentrifugation différentielle n’est pas capable de séparer les virus des autres vésicules est que leur affirmation selon laquelle les virus sont présents dans l’échantillon est mal fondée.

Les virologues détournent manifestement l’attention de la question fondamentale de l’isolement, car ils n’ont pas été en mesure d’agir sur ce front. Au lieu d’aborder le problème honnêtement et scientifiquement, ils ont brouillé les pistes. En 2017, le Groupe de Perth (([6] NdT : scientifiques australiens qui ont dès le début dénoncé le narratif du SIDA et en particulier les méthodes non scientifiques de Montagnier)) a souligné dans son opus magnum, « Le VIH — un virus à nul autre pareil », qu’« en virologie, alors que la purification conserve son sens dans le langage courant, l’“isolement” est un terme expéditif que les virologues attribuent à des données qui, selon eux, prouvent l’existence d’un virus particulier » 23. En d’autres termes, il est commode et pratique, mais en ce qui concerne les affirmations qui sont faites et les actions subséquentes qui sont menées contre l’Humanité, il devrait être considéré comme inapproprié et immoral. Dans le même essai, le Groupe de Perth a documenté les exemples suivants de virologues qui adaptent le langage scientifique, comme il convient, à leurs propres fins.

Jay Levy, spécialiste du VIH, définit l’isolement d’un virus comme un « échantillon d’un virus provenant d’une source définie », White et Fenner comme la capacité d’« identifier un virus totalement imprévu, voire de découvrir un agent entièrement nouveau ». Montagnier et Weiss comme la « propagation (des virus) dans des cellules en culture ». La sixième édition de 2013 de Fields Virology définit l’isolement comme suit : « Les virus peuvent être isolés d’un hôte infecté en prélevant des matières excrétées ou sécrétées, du sang ou des tissus et en recherchant l’induction des symptômes originaux chez l’hôte identique ou l’induction d’une pathologie anormale chez un hôte de substitution ou dans une culture cellulaire… Une fois que la présence d’un virus a été établie, il est souvent souhaitable de préparer un clone génétiquement pur ». Il va sans dire que si l’isolement d’un virus consiste à « prélever un échantillon d’un virus à partir d’une source définie » ou à « le propager dans des cellules en culture », il faut d’abord avoir la preuve que le virus existe dans « une source définie » ou « dans des cellules en culture ». L’isolement d’un virus ne consiste pas non plus à « induire une pathologie anormale » ou « une fois que la présence d’un virus a été établie ». 24

C’est une farce que cet état de fait existe et cette pratique grossièrement trompeuse rend les nombreuses affirmations d’isolement de la virologie non fondées. Mais les virologues eux-mêmes donnent-ils une explication à leur abus incessant de la langue anglaise ? En 2021, le professeur Vincent Racaniello, virologue chevronné, a expliqué, même en ce qui concerne la définition de termes fondamentaux tels que « isolat », que « ce qui se passe, c’est que vous êtes formé dans le laboratoire de quelqu’un et vous les entendez dire des choses, vous leur associez une signification et c’est ce que vous faites, et il se peut qu’ils aient raison ou non » 25. Dans la même présentation, Racaniello a expliqué qu’il n’y avait pas d’explication à cette pratique trompeuse. Dans la même présentation, Racaniello lui-même n’a pas semblé remarquer un problème avec sa propre définition de ce qui est censé être des termes scientifiques lorsqu’il a poursuivi en disant : « un isolat est un virus que nous avons isolé à partir d’un hôte infecté et que nous avons propagé en culture ». Ironiquement, dans un article de 2015 concernant la terminologie scientifique appropriée et le mot « transfection » 26, Racaniello a déclaré : « si vous considérez la langue anglaise comme un moyen de communication dynamique qui évolue continuellement et donne aux mots de nouvelles significations, alors cette utilisation incorrecte de transfection ne vous dérange probablement pas. Mais les scientifiques doivent être précis dans leur utilisation du langage, sinon leur capacité à communiquer sera compromise » 27. Une analyse de la présentation de Racaniello sur l’isolement viral et l’utilisation abusive du langage en science a été traitée précédemment par le Dr Samantha Bailey dans « The Truth About Virus Isolation » 28 (La vérité au sujet de l’isolement des virus). Elle illustre le problème où plusieurs générations de virologues semblent piégées dans un monde de raisonnement sémantique circulaire, bien qu’avec des degrés de perspicacité différents.

La virologie a inventé l’hypothèse des virus ; par conséquent, quelle que soit la méthode employée pour tenter de prouver leur existence, elle doit répondre à cette définition. Au cœur de la question se trouve un concept simple et nous avons besoin de voir la preuve que les particules supposées responsables de la maladie provoquent de nouvelles particules qui sont des clones des premières. Il n’est pas possible d’affirmer que les protéines et les acides nucléiques détectés sont d’origine virale spécifique à moins que les particules virales présumées n’aient été véritablement isolées par purification et qu’il n’ait été démontré qu’elles possédaient ces caractéristiques biologiques clés. Comme le souligne le Groupe de Perth dans « Le VIH, un virus à nul autre pareil », la purification est nécessaire pour prouver l’existence des virus pour plusieurs raisons, dont les suivantes :

  1. Les virus ne se répliquent que dans les cellules vivantes. Étant donné que les cellules et les virus sont composés des mêmes éléments biochimiques, la séparation des particules du matériel cellulaire est essentielle pour déterminer quels acides nucléiques et quelles protéines appartiennent aux particules virales.
  2. Afin de prouver que les particules sont infectieuses. En d’autres termes, ce sont les particules, et non d’autres facteurs, qui sont responsables de la production de nouvelles particules. Cela nécessite la purification des deux ensembles de particules.
  3. Afin de démontrer leurs effets biologiques et pathologiques.
  4. Afin d’obtenir des antigènes (protéines) et des acides nucléiques pour les utiliser respectivement dans les tests d’anticorps et de génomique29.

Bien que cela soit moins courant, les virologues obscurcissent aussi parfois le sens du terme « purification ». Le 23 mai 2022, le professeur belge de virologie Marc Van Ranst30 a affirmé qu’en ce qui concerne le SARS-CoV-2, « dans un autre article (https://europepmc.org/article/pmc/pmc7122600), ils ont purifié davantage le virus par ultracentrifugation dans de la bêta-cyclodextrine » 31. Van Ranst faisait référence à un article de 2008 décrivant « la préparation à grande échelle de virions de coronavirus du SARS activés par les UV », qui concernait le prétendu virus du SARS-CoV-132. Toutefois, cet article décrit simplement un protocole prétendant purifier les virions et aucune partie de l’article ne démontre l’existence d’une particule capable de réplication — tout ce qui a été montré, ce sont des images de mauvaise qualité censées montrer des cellules Vero E6 « infectées ». (Voir la section suivante concernant les « effets cytopathiques »). En ce qui concerne le « contrôle des virions purifiés » après centrifugation, aucune image n’a été fournie, mais il a été affirmé que « la concentration des virions purifiés est déterminée par le test BCA (acide bicinchoninique) (([7] NdT : acide utilisé en chimie analytique pour quantifier la quantité de protéine en solution)), avec la BSA (albumine de sérum bovin) comme étalon ». Cette conclusion n’est pas fondée, car le dosage BCA mesure simplement la concentration totale de protéines dans une solution — la technique n’est pas en mesure de fournir la preuve de la présence de « virions » dans un échantillon.

La figure 1 ci-dessous est une image censée montrer des virions purifiés de « coronavirus de type SARS de chauve-souris » et publiée dans Nature en 2013 — la légende explique pourquoi une telle déclaration est ridicule. (La variation pratique de la taille des particules est apparemment due au fait que « [les coronavirus] ont généralement un diamètre, hors projections, compris entre 80 et 120 nm, bien que dans les cas extrêmes le diamètre puisse varier entre 60 et 220 nm » 33). De même, l’affirmation de l’article cité de Van Ranst selon laquelle « il est préférable de confirmer la quantité de virion par SDS-PAGE à 10 % » 34 est tout aussi erronée, car il s’agit simplement d’un processus d’électrophorèse sur gel permettant de séparer les protéines en fonction de leur masse moléculaire — cela ne peut pas fournir la preuve que les protéines appartiennent à un virus. Van Ranst a également déclaré : « Nous pouvons déjà détecter l’ARN viral dans les échantillons cliniques. Nous pouvons achever le déchiffrage du génome viral. Nous pouvons cultiver le virus dans des cellules, l’inoculer à des modèles animaux et induire la maladie » 35. On ne sait pas si Van Ranst a compris que les méthodologies non contrôlées employées dans toutes ces expériences ne fournissent pas la preuve requise de l’existence d’un quelconque « virus ». Ainsi, lorsque Van Ranst affirme qu’« aucun scientifique ne doute de l’existence du SRAS-CoV-2 » 36, on peut se demander si les virologues ne vont pas devoir modifier la définition du terme « scientifique » pour maintenir leurs pratiques illusoires ?

Figure 1. Cette image a été décrite comme « (une) micrographie électronique de virions purifiés », obtenue par « ultracentrifugation dans un coussin de saccharose à 20 % (5 ml) à 80 000 g pendant 90 minutes à l’aide d’un rotor Ty90 (Beckman) ». Outre le fait que les propriétés biologiques de ces vésicules imagées n’ont pas été établies, rien n’indique que quoi que ce soit dans la culture cellulaire Vero E6 ait été purifié et aucune autre image contextuelle n’a été fournie. En outre, aucune micrographie de culture témoin n’a été documentée. Source : Xing-Yi Ge, et coll. : Xing-Yi Ge, et coll., « Isolation and caractérisation d’un coronavirus de chauve-souris de type SARS qui utilise le récepteur ACE 2 », Nature, 30 octobre 2013 : https://doi.org/10.1038/nature12711 (Voir également la page 56 en ce qui concerne l’affirmation selon laquelle Ralph Baric et coll. ont utilisé ces « virus » pour en créer de nouveaux).

Van Ranst n’était cependant pas le seul virologue à prétendre avoir purifié des virus. En réponse à un courriel, le Dr Marica Grossegesse37 de l’Institut Robert Koch a répondu que « nous avons purifié des particules de SARS par gradient de densité. Cependant, seulement à partir du virus dérivé de la culture cellulaire, comme vous l’avez écrit. Le problème de la purification du SARS à partir d’échantillons de patients est que vous n’obtiendrez pas de bande visible » 38. Outre la terminologie imprécise consistant à substituer le nom d’un syndrome (« SARS » pour syndrome respiratoire aigu sévère) à un virus hypothétique, aucune autre preuve n’a été fournie quant à la manière dont ces affirmations ont été établies. On peut supposer que Grossegesse utilise également les définitions de « purification » et de « virus » telles qu’elles figurent dans la figure 1 ? Quoi qu’il en soit, lorsqu’on lui a demandé plus de détails sur la manière dont les expériences ont été contrôlées, elle a répondu : « Nous ne sommes pas autorisés à partager des protocoles avec une personne privée. Je ne peux que renvoyer à nos publications, où les expériences d’infection sont décrites en détail ». Il semble que le terme « détail » ait également pris un sens différent, puisque les publications n’ont pas divulgué les réponses directes concernant les contrôles recherchés.

Le domaine de l’isolement est l’un des domaines où la virologie est complètement déstabilisée et, comme cet essai le soulignera, le SARS-CoV-2 n’est rien d’autre qu’une construction informatique hypothétique, assemblée à partir de fragments génétiques dont la provenance n’a pas été prouvée. Il n’a jamais été démontré qu’une particule physiquement isolée (c’est-à-dire purifiée) était responsable de la production de particules identiques ou qu’une particule était à l’origine d’effets pathologiques chez l’homme ou dans un modèle animal expérimental. Ainsi, la déclaration de virologues tels que Van Ranst, ainsi que de l’OMS et de ses adhérents, selon laquelle une particule infectieuse appelée « SARS-CoV-2 » est à l’origine d’une pandémie, s’avère être une fraude scientifique et intellectuelle patente.

C’est quoi la virologie ?

Lorsqu’il est surpris, l’oiseau s’envole et vole en décrivant des cercles de plus en plus petits jusqu’à ce qu’il parvienne à voler sur son propre dos et à disparaître complètement, ce qui ajoute à sa rareté.

Le mythique « oiseau oozlum » 39 (([8] NdT : oiseau mythique des contes populaires australiens et anglais))

Il est difficile de savoir exactement comment appeler la virologie, mais ce n’est pas de la science. Les praticiens actuels se livrent à une forme de spéculation algorithmique ou statistique, à laquelle s’ajoutent le raisonnement circulaire et le biais de confirmation, avec une absence totale de ce qui devrait être le processus correspondant de réfutation qui se trouve au cœur de la méthode scientifique. Si l’abandon de la méthode scientifique peut passer inaperçu ou être accidentel pour les participants de niveau inférieur, il est presque certain qu’il existe des motivations conspiratrices aux niveaux supérieurs de la hiérarchie mondiale. Par exemple, l’OMS, les Centres de contrôle des maladies (CDC) et l’Agence de Sécurité Sanitaire du Royaume-Uni sont tous impliqués dans les pratiques trompeuses de la virologie, comme nous le verrons dans cet essai. Toutefois, les pratiques anti-scientifiques sont reproduites dans la plupart des autres pays, qu’il s’agisse des allégations d’isolement de virus et de l’application erronée de la réaction en chaîne de la polymérase (PCR) pour les diagnostics cliniques40, ou de l’absence de divulgation des détails de contrôle cruciaux impliqués dans la culture du virus et la création du génome, ce qui est l’objet d’une grande partie de cet essai.

Comment tester une théorie scientifique ? Karl Popper a exprimé la centralité de la réfutation d’une théorie ou d’une hypothèse de la manière suivante :

C’est donc, selon moi, la possibilité de la renverser, ou sa réfutabilité, qui constitue la possibilité de la tester, et donc le caractère scientifique d’une théorie ; et le fait que tous les tests d’une théorie soient des tentatives de réfutation des prédictions dérivées avec son aide, fournit l’indice de la méthode scientifique. Cette conception de la méthode scientifique est corroborée par l’histoire des sciences, qui montre que les théories scientifiques sont souvent infirmées par des expériences, et que l’infirmation des théories est en fait le vecteur du processus scientifique. L’affirmation selon laquelle la science est circulaire ne peut être soutenue41.

Historiquement, la virologie s’est caractérisée par un manque d’expériences de contrôle valables et aucune de ses affirmations fondamentales n’a été établie par l’application correcte de la méthode scientifique. Le premier virus présumé à avoir été découvert est le virus de la mosaïque du tabac, dont l’une des preuves serait contenue dans le traité de 1903 de Dmitri Ivanovsky intitulé « Über die Mosaikkrankheit der Tabakspflanze » (À propos de la maladie mosaïque du tabac) 42. Cependant, il est évident que les expériences décrites par Ivanovsky n’ont pas fait l’objet de comparaisons de contrôle valables et qu’elles étaient donc non scientifiques et non concluantes. Il a même déclaré que « cette maladie ne trouve des conditions d’existence favorables que dans les régions côtières ». Cette conclusion concorde parfaitement avec les observations ci-dessus concernant l’influence de l’humidité sur le développement de la maladie. La maladie mosaïque semble être propre aux climats humides et chauds43. Cependant, comme la théorie des germes était en train de devenir l’idéologie prédominante en matière de causes des maladies à cette époque, au lieu de conclure que la maladie mosaïque était causée par les conditions environnementales, Ivanovsky a conclu qu’il avait découvert un virus invisible.

Il est peut-être tentant de pardonner aux premiers pionniers que leurs méthodologies non contrôlées et non scientifiques étaient simplement des pratiques typiques de l’époque. Cependant, Claude Bernard, critique de la théorie des germes, a donné l’aperçu suivant de l’importance des contrôles dans l’adhésion à la méthode scientifique des décennies plus tôt, en 1865 : « Si nous caractérisons l’expérience par une variation ou une perturbation apportée à un phénomène, c’est seulement dans la mesure où nous impliquons que la perturbation doit être comparée à l’état normal. Comme les expériences ne sont en fait que des jugements, elles nécessitent nécessairement une comparaison entre deux choses ; et l’élément intentionnel ou actif d’une expérience est vraiment la comparaison que l’esprit a l’intention de faire44. Bernard soulignait la nécessité de disposer d’un contrôle valide ou d’une comparaison appropriée pour s’assurer que seul le nouvel élément expérimental était à l’origine d’un résultat. Ainsi, le plus charitable que nous puissions être serait de suggérer que certains des premiers chasseurs de virus n’étaient peut-être pas conscients de l’importance de la méthode scientifique dans leur poursuite enthousiaste et effrénée d’ennemis invisibles.

Continuons avec une autre découverte revendiquée, le manuel Rétrovirus nous informe qu’« en 1911, Peyton Rous, de l’Institut Rockefeller à New York, a signalé la transmission sans cellule d’un sarcome chez les poulets… Le virus isolé par Rous porte le nom de son découvreur » 45. Cependant, un examen de l’article de Rous, « A Sarcoma of the Fowl » 46 (le sarcome du poulet) révèle qu’il n’a pas prétendu isoler quoi que ce soit, et encore moins quelque chose qui corresponde à la définition d’un virus. Sa méthodologie consistait à broyer du matériel tumoral de poulet, à le filtrer et à l’injecter directement à d’autres poulets, en observant que certains d’entre eux développeraient également des tumeurs. Il a indiqué que les expériences « de contrôle » consistaient à injecter du matériel tumoral non filtré à des poulets, ce qui tendait à produire des tumeurs beaucoup plus importantes. Rous a postulé la présence d’un organisme ultramicroscopique causal, mais a admis qu’« un organisme d’une autre sorte n’est pas exclu ». En effet, l’expérience n’a pas permis de prouver l’existence d’une particule infectieuse et réplicative. Elle a simplement montré qu’un tissu malade introduit par une voie non naturelle et invasive dans un autre animal pouvait provoquer chez ce dernier un processus pathologique similaire.

L’affirmation selon laquelle, en 1925, le pathologiste William Gye a démontré que Rous avait trouvé un virus est également fausse. Il a simplement affirmé qu’un virus était à l’œuvre dans ces expériences et a déclaré ostensiblement : « Je souhaite particulièrement souligner un aspect de la recherche des virus invisibles, à savoir que l’expérimentation animale est la preuve finale de la présence de l’organisme dans un inoculum » 47. Une fois de plus, la « preuve finale » n’impliquait pas l’identification réelle d’un organisme infectieux dans l’inoculum — elle démontrait simplement la formation d’une tumeur à la suite de l’injection de tissus malades. En outre, il a été établi en 1927 que le sarcome de la volaille pouvait être induit par l’injection d’acide arsénieux dilué et de pulpe embryonnaire étrangère48. Les effets cancérigènes ont également été reproduits après la filtration bactériologique équivalente à celle effectuée par Rous et il a été démontré que la maladie provenait du tissu étranger et non des tissus de l’hôte. L’hypothèse virale aurait dû être abandonnée, mais un demi-siècle plus tard, l’establishment l’a maintenue en vie et a récompensé Rous par un prix Nobel en 1966 pour « sa découverte des virus inducteurs de tumeurs » 49.

En 1954, lorsque John Enders et Thomas Peebles ont affirmé avoir propagé le virus de la rougeole dans des cellules rénales humaines et de singe50, aucune tolérance supplémentaire n’aurait dû être accordée aux expériences non scientifiques de la virologie. Enders et Peebles ont ajouté des lavages de gorge et du sang à leurs cultures cellulaires et, après avoir observé des ECP (Rappel : Effet Cytopathique, changement structurel dans une cellule hôte résultat d’une infection virale — en anglais CPE pour Cytopatic Effect), c’est-à-dire des cellules mourantes et décomposées dans leurs tubes à essai, ils ont conclu que les manifestations in vitro « pouvaient être associées au virus de la rougeole ». Ils ont averti que « les effets cytopathiques qui ressemblent superficiellement à ceux résultant d’une infection par les agents de la rougeole peuvent éventuellement être induits par d’autres agents viraux présents dans le tissu rénal du singe ou par des facteurs inconnus », mais ils ont poursuivi en concluant de manière inappropriée que « ce groupe d’agents est composé de représentants de l’espèce virale responsable de la rougeole ». Enders et Peebles n’ont effectué aucune expérience de contrôle pour vérifier si la procédure de culture elle-même, c’est-à-dire le stress des cellules dans un tube à essai, produirait les mêmes ECP, invalidant ainsi les preuves de leur conclusion. Idéalement, plusieurs expériences de contrôle auraient dû être réalisées : certaines sans ajout d’échantillons d’origine humaine, d’autres avec des échantillons d’origine humaine provenant de sujets en bonne santé et d’autres encore avec des échantillons d’origine humaine provenant de sujets en mauvaise santé, mais dits ne souffrant pas cliniquement de la rougeole51 ou d’une autre affection « virale » présumée.

Les virologues ont cependant continué à répéter la méthodologie non contrôlée d’Enders et prétendent encore aujourd’hui que ces ECP sont des preuves incontestables de la présence de virus. Le Dr Stefan Lanka a documenté l’histoire de ces pratiques non scientifiques52 et, en 2021, a démontré que les ECP pouvaient être induits dans des cultures cellulaires par le processus de laboratoire lui-même53. Les résultats des expériences du Dr Lanka sont illustrés à la figure 2. Dans de nombreuses publications sur la virologie, il est fait mention d’une expérience de contrôle ou d’une « infection fictive », mais les détails de ces expériences brillent par leur absence. Une page Web de l’Université Northwestern (Illinois) indique qu’une infection factice est « un contrôle utilisé dans les expériences d’infection. Deux spécimens sont utilisés, l’un est infecté par le virus/vecteur en question et l’autre est traité de la même manière, mais sans le virus. »54 La définition est déjà problématique, car des termes tels que « virus » et « infecté » ont été introduits et sont donc présumés exister avant d’être établis. En tout état de cause, comme on le verra, les personnes impliquées dans l’isolement présumé du virus et la création du génome ne traitent certainement pas le spécimen faussement infecté de la même manière sans le « virus », et peuvent faire preuve de mauvaise foi ou d’obstruction flagrante lorsqu’on les presse d’admettre ce fait.

Figure 2. Expériences du Dr Stefan Lanka : Les ECP (flèches blanches) ont été induits en stressant les cellules épithéliales par des passages et des antibiotiques. L’ajout d’ARN de levure (4e colonne) a induit encore plus d’ECP. Aucun « virus » n’a été ajouté et les expériences ont été réalisées en trois exemplaires. Source : Stefan Lanka et coll., « Präliminäre Resultate der Kontrollversuche – Die Reaktion primärer humaner Epithelzellen auf stringente Virusamplifikations-Bedingungen widerlegen die Existenzbehauptungen aller Viren und von SARS-CoV-2 » (Résultats préliminaires des essais de contrôle — La réponse des cellules épithéliales humaines primaires à des conditions d’amplification virale strictes réfute les affirmations d’existence de tous les virus et du SRAS-CoV-2), 25 mars 2022 : https://coldwelliantimes.com/eilmeldung/kontrollexperiment

En juin 2022, en réponse à une demande formulée au titre de l’Official Information Act (OIA) (([9] NdT : l’équivalent néo-zélandais du FOIA des pays anglo-saxons)) concernant l’article intitulé « Characterization of the First SARS-CoV-2 Isolates from Aotearoa New Zealand as Part of a Rapid Response to the COVID-19 Pandemic » 55 [Caractérisation des premiers isolats de SARS-CoV-2 en Aotearoa (Nouvelle-Zélande) dans le cadre d’une réponse rapide à la pandémie de COVID-19], l’université d’Otago a déclaré que « l’article publié par le professeur Quiñones-Mateu et ses collègues était un article descriptif… Cela signifie qu’il n’y avait pas d’hypothèse à prouver ou à réfuter. »56 En bref, la réponse résume peut-être involontairement la situation générale en matière de virologie. En 2008, la revue Infection and Immunity a publié un commentaire intitulé « Descriptive Science » qui expliquait pourquoi « la recherche descriptive en elle-même est rarement concluante » et peut simplement servir de point de départ pour orienter les recherches ultérieures57. Les auteurs ont souligné que « la microbiologie et l’immunologie sont désormais des sciences expérimentales et que, par conséquent, les chercheurs peuvent aller au-delà de la simple description des observations et formuler des hypothèses, puis réaliser des expériences pour les valider ou les réfuter ». Comme le souligne cet essai, l’establishment de la virologie refuse de divulguer ou de réaliser les expériences requises, apparemment pour ne pas se réfuter lui-même. Il se limite intentionnellement à des expéditions de pêche opportunistes permanentes soutenues par un biais de confirmation, se disqualifiant ainsi lui-même de la méthode scientifique en raison de son incompatibilité avec l’approche basée sur les hypothèses et falsifiable décrite par Popper.

L’auteur a déjà écrit, dans un post-scriptum tiré du livre de A. F. Chalmers intitulé « What is this thing called Science » (Quelle est cette chose appelée Science), que l’un des principaux problèmes de la virologie est qu’elle s’est inventée elle-même en tant que domaine avant d’avoir établi si les virus existaient réellement. Elle a essayé de se justifier depuis ses débuts :

En l’occurrence, une particule virale n’a pas été observée en premier et par la suite la théorie et la pathologie virales se sont développées. Les scientifiques du milieu et de la fin du XIXe siècle étaient préoccupés par l’identification d’entités pathogènes contagieuses imaginaires. Les observations de l’inductionniste naïf n’ont pas permis d’identifier un virus a priori, puis d’étudier ses propriétés et ses caractéristiques. Le présupposé de l’époque était qu’il existait une très petite particule de germe susceptible d’expliquer la contagion. Ce qui est venu par la suite est apparu pour répondre à ce présupposé58.

Parce qu’une théorie scientifique exige des preuves qui ont été testées et corroborées à plusieurs reprises selon la méthode scientifique, il est clair que les « virus » n’ont jamais atteint le stade d’une théorie59. Selon la science, ils restent de simples spéculations.

L’absence de Contrôles en Virologie signifie qu’il ne s’agit pas d’une Activité Scientifique

Les requêtes OIA ont révélé que l’Institute of Environmental Science and Research (ESR) de Nouvelle-Zélande (Institut des Sciences de l’Environnement et de la Recherche de Nouvelle-Zélande), qui a revendiqué l’isolement et le séquençage génomique de la particule SARS-CoV-2 dans les Antipodes, est également coupable de ne pas avoir effectué de contrôles valables60. Dans la tradition d’Enders, ils n’ont pas pris le temps de vérifier si les ECP dont ils ont été témoins, ou les génomes qu’ils ont assemblés par le biais de simulations informatiques, pouvaient également être créés dans le cadre de comparaisons de contrôle valables. C’est-à-dire en réalisant des expériences avec d’autres spécimens d’origine humaine, provenant à la fois de sujets bien portants et de sujets malades qui ne seraient pas atteints de la prétendue maladie COVID-19. Au lieu de cela, ESR a décrit son « contrôle négatif » insuffisant dans lequel « le flacon est soumis aux mêmes conditions que les flacons utilisés pour la culture virale, mais nous n’utilisons que le milieu d’Infection ».

Le chef d’orchestre de ces poursuites anti-scientifiques est l’OMS. Il est très révélateur que dans son document de 94 pages intitulé « Genomic sequencing of SARS-CoV-2 » (Séquençage génomique du SARS-CoV-2, quatre phrases seulement traitent des « échantillons de contrôle » :

6.4.2. Échantillons de Contrôle

Les échantillons de contrôle négatif, tels que le tampon(([10] NdT : une solution tampon permet de maintenir le pH)) ou l’eau, doivent toujours être inclus dans tout cycle de séquençage contenant plusieurs échantillons. Ils doivent être inclus le plus tôt possible et accompagner les échantillons à toutes les étapes du séquençage. Cela est extrêmement important pour exclure toute contamination au cours d’un séquençage effectué en laboratoire ou au cours du traitement bio-informatique. Les échantillons de contrôle positif avec des séquences génétiques connues peuvent être utiles pour valider les pipelines bio-informatiques nouvellement adoptés ou adaptés pour l’appel de consensus, mais ne doivent pas nécessairement être inclus dans chaque cycle de séquençage61.

Cependant, aucun de ces contrôles n’est suffisant pour valider les « génomes » que les virologues produisent grâce à ces techniques, car ils ne peuvent servir qu’à calibrer le pipeline. Comme cela est devenu évident, l’OMS ne peut pas citer une seule expérience de contrôle positif valable, et pourtant, le 11 février 2020, elle a baptisé la nouvelle maladie qu’elle avait inventée « COVID-19 » en affirmant qu’elle était causée par un nouveau coronavirus62. Ils ont donné le feu vert à n’importe qui dans le monde pour « trouver » le SARS-CoV-2 dans son jardin sans qu’il soit nécessaire de procéder à des expériences de contrôle valables. Pourtant, il est manifestement nécessaire de procéder à des contrôles comparatifs dans lesquels des échantillons de patients similaires, mais sans le virus présumé, sont traités de la même manière, de sorte qu’une seule variable est testée. La comparaison des résultats d’un échantillon supposé contenir le virus avec l’un des contrôles négatifs décrits dans le document de l’OMS ci-dessus ne peut pas valider le processus, car ces derniers échantillons ne contiennent pas la soupe génétique qui fait partie du premier. En tout état de cause, même selon ses propres termes, le contrôle négatif mentionné par l’ESR en Nouvelle-Zélande n’est pas en mesure de fournir une validation de la méthodologie utilisée pour créer ces génomes de virus, car, comme l’indique l’OMS, il s’agit simplement d’un contrôle de précaution en cas de contamination.

Compte tenu de tous les échecs de culture des virus postulés, la virologie moderne privilégie désormais la métagénomique63 directe d’échantillons bruts, souvent avec un séquençage par injection64 et l’assemblage artificiel ultérieur de ces fragments génétiques pour créer de nouveaux « virus » in silico 65 (([11] NdT : in silico signifie à partir de programmes informatiques)) à partir de rien. Cette invention fournit ensuite à d’autres chasseurs de virus des panels d’amorces PCR prédéfinis66 afin qu’ils puissent également découvrir les mêmes séquences et prétendre qu’il s’agit du même virus. L’ESR a participé à une publication dans laquelle elle a proclamé la découverte du SARS-CoV-2 chez neuf sujets grâce à cette méthodologie67. Mon collègue leur a demandé de fournir « tous les détails du groupe de contrôle utilisé pour comparer les résultats du séquençage », mais au lieu de répondre à la question, l’ESR s’est excusé de ne pas être impliqué dans la « génération de nouvelles données » et a fourni des liens vers des protocoles de séquençage du SARS-CoV-268. Si l’ESR utilise de tels protocoles, tels qu’ils sont détaillés sur le site protocol.io, alors nous pouvons voir qu’ils approuvent des contrôles insuffisants qui sont décrits comme « (un) contrôle négatif d’eau exempte de nucléase », tandis qu’un « contrôle positif facultatif peut également être inclus, qui peut être une construction d’ARN synthétique ou un échantillon clinique à haut titre qui peut être dilué » 69. Une fois de plus, ces types de contrôles ne peuvent servir que de techniques d’étalonnage de pipeline, et non de validation ou de signification clinique de quelque « génome » que ce soit qu’ils assemblent.

Malgré les ressources dont elle dispose, l’ESR ne croit apparemment pas à la nécessité de vérifier par elle-même si l’existence du SARS-CoV-2 peut être démontrée. Le 19 juillet 2022, en réponse à une demande de l’OIA, l’ESR a déclaré : « L’ESR n’a effectué aucune expérience pour prouver scientifiquement l’existence du virus SARS-COV-2 et ne peut donc vous fournir aucun document » 70. Le 17 août 2022, en réponse à une autre demande, l’ESR a admis : « L’ESR n’a effectué aucune expérience pour prouver scientifiquement que le virus SARS-COV-2 cause le COVID-19 et ne peut donc vous fournir aucun document » 71. Personne d’autre n’a non plus effectué ces expériences scientifiques requises.

Maltraitance animale et études sur les « Anticorps »

Incapables de démontrer l’isolement physique d’une particule pathogène répondant à la définition d’un virus, les virologues se sont lancés dans l’expérimentation animale pour convaincre les non-initiés de l’existence de telles particules pathogènes. La caractéristique de ces publications est qu’elles manquent de contrôles valables, de sorte que même en partant du principe non établi qu’elles manipulent des « virus », elles révèlent un autre aspect de l’antiscience de la virologie. L’article intitulé « Comparative pathogenesis of COVID-19, MERS, and SARS in a nonhuman primate model » (Pathogenèse comparative du COVID-19, du MERS et du SRAS dans un modèle de primate non humain), publié en mai 2020 par une équipe comprenant Christian Drosten et Ron Fouchier72, en est un bon exemple. L’absurdité de ce qui a été publié dans Science peut être résumée comme suit :

  1. Les huit singes cynomolgus participant aux expériences ont été « inoculés avec le SRAS-CoV-2 sous anesthésie par une combinaison de voies intratrachéale (4,5 ml) et intranasale (0,25 ml par narine)… » 73 — Il ne s’agit pas d’une voie d’exposition naturelle et 4. 5 ml versés dans les poumons d’un petit singe (3,5 – 5,0 kg) équivalent à verser environ 80 ml (⅓ de tasse) de matériel biologique étranger dans les poumons d’un être humain endormi. Ce volume de matière suffit à lui seul à provoquer des lésions et des inflammations dans les tissus pulmonaires.
  2. L’inoculum versé dans leurs poumons était constitué de « SARS-CoV-2 (isolat BetaCoV/Munich/BavPat1/2020) obtenu à partir d’un cas clinique en Allemagne » et « le virus a été propagé jusqu’au troisième passage sur des cellules Vero E6 dans Opti-MEM I (1X) + GlutaMAX (Gibco), supplémenté en pénicilline (10 000 UI/mL) et en streptomycine (10 000 UI/mL) ». — Ils ont affirmé qu’ils avaient un « isolat » viral alors que ni eux ni leur fournisseur74 n’ont démontré l’existence d’un virus dans l’échantillon. Tout ce que l’on peut dire, c’est que l’échantillon contient du matériel biologique étranger provenant de l’échantillon clinique humain et de cellules rénales de singe, ainsi que des produits de dégradation cellulaire et deux antibiotiques.
  3. « Aucun signe clinique manifeste n’a été observé chez les animaux infectés, à l’exception d’un écoulement nasal séreux chez un animal âgé le 14e jour après l’inoculation. Aucune perte de poids significative n’a été observée chez les animaux au cours de l’étude ». — En d’autres termes, malgré l’entrée directe dans les poumons de ce qu’ils prétendent être le virus SARS-CoV-2, aucun des singes n’a été malade de manière significative.
  4. « Au 14jour après inoculation, tous les animaux restants ont séroconverti, comme le révèle la présence dans leur sérum d’anticorps spécifiques du SRAS-CoV-2 contre le domaine S1 du virus et les protéines de la nucléocapside ». — Il n’a pas été démontré que les protéines S1 et de la nucléocapside étaient d’origine virale, qu’elles induisent ou non la détection (par un test in vitro) d’autres protéines appelées « anticorps » chez un hôte. Les virologues recourent une fois de plus au raisonnement circulaire pour affirmer que la détection d’un anticorps prouve l’existence d’un virus parce que l’anticorps est déclaré spécifique du prétendu virus.
  5. « Pour mesurer l’excrétion du virus, des écouvillons nasaux, pharyngés et rectaux ont été analysés par transcription inverse — réaction en chaîne de la polymérase quantitative (RT-qPCR)… » — Il n’y a pas eu d’« excrétion du virus », mais simplement la détection des mêmes séquences qui avaient été récemment introduites dans les voies respiratoires des singes. Ces séquences d’acides nucléiques étrangers ont, sans surprise, disparu de l’organisme des singes au cours des quelques jours qui ont suivi, par le biais de mécanismes naturels d’élimination.
  6. « L’ARN du SARS-CoV-2 n’a été détecté que dans un écouvillon rectal d’un animal au 14jour après injection, et aucun ARN viral n’a été détecté dans le sang total à aucun moment de l’étude ». — Une fois de plus, cela indique qu’ils n’ont trouvé le matériel génétique introduit qu’aux endroits où il avait été introduit. (L’unique écouvillon rectal positif peut avoir été un faux positif ou le singe a avalé une partie du matériel biologique introduit). Dans aucun cas, ils n’ont pu démontrer que le « virus » supposé présentait des caractéristiques invasives.
  7. Quatre des singes ont été tués et autopsiés quatre jours après l’inoculation de la soupe biologique étrangère. Deux d’entre eux présentaient de petits foyers de consolidation dans les poumons et les auteurs ont déclaré que « la principale lésion histologique dans les tissus pulmonaires consolidés des animaux jeunes et âgés concernait les alvéoles et les bronchioles et consistait en des zones présentant des lésions alvéolaires diffuses (([12] NdT : en anglais DAD pour “diffuse alveolar damage”)) aiguës ou plus avancées ». Les caractéristiques histologiques ont été déclarées caractéristiques du « SARS-CoV-2 » — voir la figure 3 ci-dessous pour une explication de la raison pour laquelle ces affirmations sont totalement dénuées de fondement.
  8. L’expression de l’antigène SARS-CoV-2 a été détectée dans un nombre modéré de pneumocytes de type I et dans quelques pneumocytes de type II à l’intérieur des foyers de DAD. — Ce résultat a été obtenu grâce à une technique de coloration immunohistochimique (IHC) basée sur « un anticorps polyclonal de lapin contre la nucléoprotéine du SARS-CoV (40143-T62, Sino Biological, Chesterbrook, PA, USA) ». Malheureusement pour eux, le fournisseur de ce produit déclare que « les applications IHC, FCM, IF, IP et autres n’ont pas été validées. (Les applications de l’anticorps n’ont pas été validées avec des échantillons correspondants positifs au virus) » 75. Quoi qu’il en soit, cet exemple peut être utilisé pour exposer l’erreur plus générale concernant les anticorps en tant que « preuve » de la présence de virus. Sino Biological déclare que les anticorps résultent de l’injection de son produit « SARS-CoV Nucleocapsid Protein (son étiquette) » 76 à des lapins. Cette protéine de nucléocapside a été à son tour produite à partir d’une « séquence d’ADN codant pour la nucléoprotéine du SARS-CoV (isolat : Tor2) ». Nous verrons à la page 30 que la séquence « Tor2 » était l’un des deux modèles in silico utilisés par Fan Wu et coll. pour inventer le SARS-CoV-2, un autre modèle in silico. En résumé, il s’agit encore d’un raisonnement circulaire : il n’a pas été démontré qu’une protéine provenait d’un virus, y compris la protéine de la nucléocapside dans ce cas. Il a simplement été affirmé que des protéines « virales » avaient été injectées à des animaux et que ceux-ci avaient réagi en produisant d’autres protéines qui sont censées être des « anticorps ». Cependant, l’existence d’un virus n’a pas été démontrée, ni exigée pour ce genre d’exercice. (Autre exemple, la production d’« anticorps anti-VIH » chez 100 % des volontaires sains auxquels on a injecté un vaccin candidat COVID-19 de l’université du Queensland est une source d’embarras pour les promoteurs de l’industrie du VIH et des anticorps) 77.
Figure 3. Certaines des images présentées dans le document « Comparative pathogenesis of COVID-19, MERS(([13] NdT : MERS pour Middle East Respiratory Sybdrom — syndrome respiratoire du Moyen-Orient qui a donné le SARS-CoV-1.)), and SARS in a nonhuman primate model » (pathogenèse comparée du COVID-19, du MERS et du SRAS dans un modèle de primate non humain) et présentées comme des « changements pathologiques caractéristiques » du SRAS-CoV-2. Les modifications pulmonaires (A) à (C) correspondent à une pneumopathie, causée par l’introduction d’un liquide contenant du matériel biologique étranger directement dans la trachée du singe alors qu’il était anesthésié. Les changements histologiques (D) — (F) représentent simplement des cellules inflammatoires telles que des macrophages et des neutrophiles, comme on pourrait s’y attendre dans une pneumonie infligée de la sorte. Aucune expérience de contrôle n’a été réalisée.

Cependant, l’aspect le plus défectueux de l’expérience sur les animaux est qu’elle n’a pas suivi la méthode scientifique, car il n’y avait pas d’expériences de contrôle. En d’autres termes, un groupe comparable de singes n’a pas été soumis à une agression interne, avec la même composition et le même volume de soupe biologique, sans le prétendu « virus », ayant été versés directement dans leurs poumons. Pour être clair, l’auteur n’approuve pas une telle expérience, car il s’agit d’une procédure cruelle qui n’a rien à voir avec les voies d’exposition naturelles — il s’agit simplement de souligner le concept d’une expérience contrôlée de manière adéquate. Malheureusement, ces méthodologies non scientifiques sont reproduites dans toutes les études animales examinées. Aucune d’entre elles ne démontre : (a) une méthode naturelle d’exposition utilisant les échantillons censés contenir des virus, (b) des « infections fictives » valables (par exemple, l’utilisation fallacieuse d’une solution saline tamponnée au phosphate uniquement), ou (c) la transmission de maladie d’animal à animal. Cela s’ajoute bien sûr à la question fondamentale selon laquelle aucune des études ne démontre l’existence réelle d’une particule infectieuse qu’elles sont censées tester.

En outre, si les « virus » sont si infectieux, pourquoi ne pas simplement aérosoliser un échantillon dans les cages des animaux pour qu’ils l’inhalent ? Une fois de plus, ces expériences sont évitées afin que les virologues ne se réfutent pas eux-mêmes en ce qui concerne les allégations de contagion impliquant les particules imaginées.

Le paradoxe de la quantité de virus

On nous fait croire qu’à l’intérieur d’un hôte tel que l’homme, les particules virales sont produites en si grand nombre qu’elles peuvent briser les cellules mêmes qui les contiennent, alors qu’en même temps elles sont présentes en quantités si infimes que les virologues affirment qu’elles ne peuvent être observées dans aucun échantillon de patient. Apparemment, en ce qui concerne la prétendue particule SARS-CoV-2, il a été calculé qu’« un éternuement d’un patient atteint de COVID-19 contient 200 millions de virus ». 78 Cependant, si l’on prélève un échantillon (physiquement plus grand) directement dans le nez ou les poumons d’un sujet, on n’en trouve précisément aucun. Pour dissimuler ce problème gênant, les virologues ont eu recours à des « preuves » indirectes par le biais de cultures de tissus pour tenter de sortir le virus manquant du chapeau. Comme nous l’avons souligné dans The COVID-19 Fraud & War on Humanity (La Fraude Covid-19 et la guerre contre l’Humanité), cela implique la deuxième partie de la double tromperie de la virologie qui est « la substitution de la fausse procuration consistant à induire des effets cytopathiques (ECP) en inoculant des lignées cellulaires typiquement anormales in vitro (([14] NdT : dans une éprouvette)) à la procuration postulée consistant à infecter un hôte sain ou non malade in vivo afin d’établir la causalité entre le prétendu pathogène et la maladie »79. Nous sommes donc censés croire que les voies respiratoires humaines, qui sont tapissées de cellules hôtes prétendument parfaites, ne produisent pas suffisamment de virus pour qu’ils soient visibles, mais qu’une expérience en éprouvette impliquant des tissus d’une autre espèce et d’un autre type de cellules en produit suffisamment ?

Selon la définition de la virologie, les particules supposées sont passives et ne produisent aucun déchet, de sorte que la façon dont elles infligent une mauvaise santé à un hôte humain reste un mystère. Pfizer a suggéré au profane que « le système immunitaire réagit à la blessure de ces cellules corporelles en s’activant », mais n’a cité aucune preuve scientifique pour cette affirmation imaginative80. La 4e édition de Medical Microbiology s’est aventurée plus loin et a déclaré que :

Les dommages cellulaires directs et la mort dus à l’infection virale peuvent résulter (1) du détournement de l’énergie de la cellule, (2) de l’arrêt de la synthèse macromoléculaire de la cellule, (3) de la compétition de l’ARNm viral pour les ribosomes cellulaires, (4) de la compétition des promoteurs viraux et des activateurs de transcription pour les facteurs de transcription cellulaires tels que les ARN polymérases, et de l’inhibition des mécanismes de défense de l’interféron. Les dommages cellulaires indirects peuvent résulter de l’intégration du génome viral, de l’induction de mutations dans le génome de l’hôte, de l’inflammation et de la réponse immunitaire de l’hôte. 81 (c’est moi qui souligne)

En fait, les virologues ont proposé de multiples mécanismes pathogènes hypothétiques pour une particule supposée exister dans un organisme tel que l’homme. Encore une fois, même si ces mécanismes spéculatifs étaient en jeu, il faudrait qu’un nombre énorme de cellules soient affectées pour produire des symptômes. Or, un nombre énorme de cellules donnerait lieu à des quantités astronomiques de particules virales — alors pourquoi ne trouve-t-on jamais de particules virales ? La virologie a l’habitude de détourner l’attention des aspects qui soulèvent des doutes sur son modèle fantasmatique.

2e Partie

Fan Wu et al Deus Ex Machina

Ils étaient déterminés à trouver un virus comme cause(([15] NdT : de la maladie)) de ce gars. Ils ont donc recherché tous les ARN, des millions de petits brins d’ARN chez cette personne, à l’aide d’une technologie appelée méta-transcriptomique. Il s’agit de l’une de ces choses qui étudie les gènes… ils peuvent examiner tout l’ARN, tout l’ADN, le séquencer, l’amplifier… Ils ont obtenu une séquence et ont décidé qu’ils avaient découvert un « virus », bien qu’ils n’aient jamais touché à un virus, et ils ont dit que c’était la cause de la pneumonie de ce gars.
Dr David Rasnick, à propos de la « découverte » du SARS-CoV-2 par Fan Wu et coll.82

Dans La Fraude COVID & la Guerre contre l’Humanité83 nous avons documenté l’invention du SARS-CoV-2 par l’équipe de Fan Wu qui a assemblé un « génome » in silico à partir de fragments génétiques de provenance inconnue, trouvés dans les lavages pulmonaires bruts d’un seul « cas » (([16] NdT : à partir d’un seul malade supposé être infecté par un nouveau virus)) et documentés dans « A new coronavirus associated with human respiratory disease in China » 84 (Un nouveau coronavirus associé à une maladie respiratoire humaine en Chine). Une analyse plus approfondie de cet article semble indiquée, car elle montre comment la pandémie frauduleuse COVID-19 a été créée au moyen d’un « génome » inventé par le biais d’un séquençage méta-transcriptomique profond, qui visait simplement à détecter tout l’ARN dans un échantillon brut, et comment il a été utilisé à mauvais escient pour inventer un agent pathogène inexistant. L’affirmation selon laquelle n’importe qui peut déclarer : « (ils) ont identifié une nouvelle souche de virus à ARN de la famille des Coronaviridae, qui est désignée ici comme le coronavirus WH-Human 1 » 85, à partir d’un seul sujet humain chez qui une pneumonie a été diagnostiquée, est en soi grotesque. Les auteurs ont tenté de se justifier en déclarant que « bien que l’isolement du virus chez un seul patient ne soit pas suffisant pour conclure qu’il a causé ces symptômes respiratoires, nos résultats ont été corroborés de manière indépendante chez d’autres patients dans une étude séparée ». Premièrement, il n’y a pas eu d’isolement physique d’un quelconque virus, comme nous le verrons en détail dans un instant. Deuxièmement, leur affirmation selon laquelle cela a été « corroboré de manière indépendante » fait référence à l’article de février 2020 de Peng Zhou et coll., un article qui ne peut rien corroborer du tout et dont la fraude est discutée à la page 43. Tout ce que l’on peut dire, c’est que si l’on utilise un raisonnement circulaire, le fait de trouver des séquences génétiques similaires à plusieurs reprises est considéré comme une confirmation de l’existence d’un virus. La base de données GISAID est le coffre au trésor de ces absurdités virologiques et, au 29 août 2022, elle comptait plus de 12,8 millions de déclarations de « découverte » du SARS-CoV-286. Cependant, aucune d’entre elles ne peut indiquer un virus réel, elles appellent simplement « bingo » en assemblant des séquences similaires qu’elles ont alignées avec Fan Wu et coll. et d’autres assemblages antérieurs, sans qu’un virus réel soit nécessaire.

Il convient également de noter que si l’auteur ne se prononce pas sur la cause des cas de pneumonie ou de syndromes respiratoires fébriles aigus, la communauté médicale générale reconnaît qu’aucun « agent pathogène » n’est identifié dans près de la moitié des cas.87,88 Quelle raison Fan Wu et coll. avaient-ils donc de soupçonner que leur patient était porteur d’un tout nouveau virus ? Apparemment parce que « les enquêtes épidémiologiques menées par le Centre de contrôle et de prévention des maladies de Wuhan ont révélé que le patient travaillait dans un marché couvert local de fruits de mer » 89. Cette raison semble bien faible étant donné que ces marchés couverts sont extrêmement courants en Chine et que, malgré les théories sur l’origine (du SARS-CoV-2) chez les chauves-souris, Fan Wu et coll. ont indiqué « qu’aucune chauve-souris n’était disponible à la vente ».

Quoi qu’il en soit, ils ont obtenu un peu de liquide de lavage broncho-alvéolaire (LBA) de leur patient et, avec ce spécimen brut, ont rapporté que « l’ARN total a été extrait de 200μl de LBA » (([17] NdT : 200 microlitres soit 0,2 cm3 ou 0,2 millilitre)). La partie sur les méthodes précise que cette extraction a été réalisée « à l’aide du kit RNeasy Plus Universal Mini (Qiagen) », c’est-à-dire par centrifugation sur colonne d’essorage. Ils ont affirmé que « l’épuisement de l’ARN ribosomal a été effectué pendant la construction de la bibliothèque », mais la page 43 [correspondant dans l’article original à la partie « Plus de tromperie en provenance de Wuhan ? », NDLR] explique pourquoi cette affirmation est douteuse, car les séquences d’ARN humain connues correspondent toujours à un grand nombre d’entre elles. Ils ont ensuite procédé au séquençage par shotgun de l’infusion, en commençant par la fragmentation aléatoire du matériel génétique en courtes longueurs de 150 nucléotides en moyenne et la conversion de l’ARN en ADN à l’aide d’une enzyme transcriptase inverse90. (([18] NdT : l’ARN est un brin, comme une échelle coupée en deux dans le sens de la longueur, chaque barreau comporte un acide aminé. L’enzyme transcriptase inverse — en anglais reverse transcriptase ou RT — permet de reconstituer cette échelle en mettant en face de chaque acide aminé qui se trouve sur le demi barreau l’acide aminé correspondant, fabriquant ainsi l’ADN)). 56 565 928 lectures courtes (([19] NdT : les séquences)) ont été générées et ces informations ont été introduites dans Megahit et Trinity, des plates-formes logicielles pour l’assemblage de novo basé sur des algorithmes (([20] NdT : c’est l’ordinateur qui à partir de ces millions de séquences cherche maintenant — à l’aide de programmes fabriqués — à faire que ces séquences se suivent et produisent le génome du « virus » tel que les concepteurs du programme l’ont imaginé)). Megahit a permis de générer 384 096 contigs, ou séquences hypothétiques se chevauchant, dont la plus longue (30 474 nucléotides) a été déclarée comme ayant une « identité nucléotidique de 89,1 % » avec la chauve-souris SL-CoVZC45 (([21] NdT : ils auraient choisi le poulpe ils auraient eu le même résultat)), une autre construction fictive dont il sera question ultérieurement. (Trinity a généré plus de 1,3 million de contigs, mais le plus long n’était que de 11 760 nucléotides — en d’autres termes, ils n’auraient pas trouvé le « génome » s’ils s’étaient contentés d’utiliser cette plate-forme logicielle). Le mot « virus » apparaît soudain lorsqu’ils déclarent que « la séquence du génome de ce virus, ainsi que ses terminaisons, ont été déterminées et confirmées par PCR de transcription inverse ». Il s’agit d’un tour de passe-passe, car la PCR ne fait qu’amplifier des séquences présélectionnées et n’a pas la capacité de confirmer un génome précédemment inconnu.

Comme l’a expliqué l’expert en PCR Stephen Bustin, « la PCR exige que vous connaissiez la séquence de votre cible… donc une fois que vous savez qu’il y a quelque chose dans votre échantillon, vous essayez de l’isoler, oui. Une fois que vous l’avez isolée, vous la séquencez à nouveau, ou vous faites une PCR91. En d’autres termes, la PCR elle-même ne peut pas identifier les origines des séquences et la méthodologie de Fan Wu et coll. n’a pas permis d’établir l’origine des séquences qu’ils ont décrites. Cependant, dans la phrase suivante, ils annoncent au monde que « cette souche virale a été désignée comme le coronavirus WH-Human 1 (WHCV) ».

– Nous devons nous arrêter sur ce point, car c’est là que le virus frauduleux, bientôt rebaptisé SARS-CoV-2, a été inventé de toutes pièces. Un virus dont l’OMS affirme, sans la moindre preuve, qu’il est l’agent causal du COVID-19.

Car c’est ce « génome ») qui a été soumis à GenBank le 5 janvier 202092 qui a été saisi par Drosten et coll. pour produire leurs fausses séquences d’essai du protocole PCR93, lesquelles ont été publiées avec une hâte indécente par l’OMS à l’intention du Monde entier, faisant ainsi de WH Human 1 le génome de référence mondial d’un prétendu agent pathogène. C’est cette invention qui est à l’origine de toute la panoplie destructrice imposée au Monde à la suite de l’annonce de la pandémie par l’OMS le 11 mars 202094.

Cependant, toute personne attentive peut constater qu’il n’y a aucune preuve de l’existence d’un virus dans l’article de Fan Wu et coll. Un virus est censé être un minuscule parasite intracellulaire obligatoirement capable de se répliquer, constitué d’un génome entouré d’une enveloppe protéique : il s’agit d’une particule infectieuse qui provoque une maladie chez un hôte. Fan Wu et coll. ne disposaient que d’un homme de 41 ans atteint de pneumonie et d’un modèle de « génome » assemblé par logiciel à partir de séquences d’origine non établie trouvées dans les lavages de poumons de l’homme. Pour faire croire que tout cela est légitime, ils ont déclaré que « l’organisation du génome viral du WHCV a été déterminée par alignement des séquences sur deux membres représentatifs du genre Betacoronavirus : un coronavirus associé à l’homme (SARS-CoV Tor2, numéro d’accès GenBank AY274119) et un coronavirus associé aux chauves-souris (bat SL-CoVZC45, numéro d’accès GenBank MG772933) ». Ces prétendus génomes sont également de simples constructions in silico dont on n’a jamais prouvé qu’elles existaient dans leur intégralité dans la Nature, et encore moins qu’elles provenaient de l’intérieur d’un virus. Par exemple, le SL-CoVZC45 de chauve-souris a été inventé en 2018 par le processus de « 19 paires d’amorces PCR dégénérées […] conçues par alignement multiple des séquences disponibles du SARS-CoV et du SL-CoV de chauve-souris déposées dans GenBank » 95.

Les génomes de virus sont devenus ce qui est peut-être la plus grande illusion de la virologie, une illusion qui propage la croyance que l’on est en train de démontrer l’existence des virus. Les virologues eux-mêmes ne semblent pas se rendre compte de la faille fatale de leur méthodologie, même lorsqu’ils l’affirment eux-mêmes :

Trois méthodes principales basées sur le HTS (en anglais high-throughput sequencing) (séquençage à haut débit) sont actuellement utilisées pour le séquençage du génome entier viral : le séquençage métagénomique, le séquençage par enrichissement de cible et le séquençage amplicon PCR (([22] NdT : les virologues prétendent pouvoir analyser des variations génétiques dans des régions spécifiques du génome grâce à cette méthode)), chacune présentant des avantages et des inconvénients (Houldcroft et coll., 2017). Lors du séquençage métagénomique, l’ADN (et/ou l’ARN) total d’un échantillon comprenant l’hôte, mais aussi des bactéries, des virus et des champignons est extrait et séquencé. Il s’agit d’une approche simple et rentable, et c’est la seule qui ne nécessite pas de séquences de référence. En revanche, les deux autres approches HTS, l’enrichissement de la cible et le séquençage d’amplicons, dépendent toutes deux d’informations de référence pour la conception des appâts ou des amorces. La limite du séquençage métagénomique est qu’il nécessite une profondeur de séquençage très élevée pour obtenir suffisamment de matériel génomique viral96.

La limite la plus importante du séquençage « viral » est que le processus lui-même ne détermine pas la provenance des fragments génétiques, donc comment est-il possible de l’utiliser pour établir la séquence d’un génome inconnu jusqu’alors ? Pour être clair, nous ne parlons pas de situations où la provenance des séquences peut être vérifiée de manière indépendante, par exemple des cellules bactériennes isolées physiquement. En outre, il est absurde de déclarer arbitrairement que des séquences sont virales par un processus d’élimination, c’est-à-dire en se basant sur le fait qu’elles n’ont pas d’assignation précédemment conflictuelle dans les banques de données génétiques (([23] NdT : c’est-à-dire qu’elles n’ont pas été assignées à un autre corps précédemment)). Aucun virologue ne démontre que les séquences sont de nature virale lorsqu’il assemble le tout premier modèle et déclare avoir découvert un virus pathogène. À aucun moment, ils ne purifient de prétendues particules virales pour prouver leur relation avec les séquences. Et pourtant, le premier génome de novo inventé devient le critère sur lequel d’autres chasseurs de virus aligneront leurs propres génomes in silico ou concevront des protocoles PCR « de confirmation ».

Pour autant que l’auteur le sache, les virologues ne disposent d’aucune technique de laboratoire permettant de vérifier directement s’il existe un brin d’ARN complet de 30 kilobases dans l’un quelconque de leurs échantillons. La technologie actuelle d’électrophorèse sur gel en champ pulsé (([24] NdT : technique permettant de séparer des constituants en les faisant migrer — ils ne migrent pas tous à la même vitesse — dans un gel grâce à un champ électrique)) ne peut différencier de manière fiable que les brins d’ADN de cette taille97. Quoi qu’il en soit, ces simulations restent une diversion, car même dans l’éventualité où l’existence physique d’un génome SARS-CoV-2 in silico — une séquence complète d’ARN de 30 kilobases — pourrait être démontrée comme existant dans la Nature, les virologues auraient encore beaucoup de travail à faire. Avant tout, ils devraient démontrer que cette séquence appartient à une particule capable de se répliquer et de provoquer une maladie, et non pas simplement prétendre qu’elle le fait.

À cet égard, l’auteur a eu un échange de courriel avec un biologiste évolutionniste du Wellcome Sanger Institute qui a suggéré que le séquençage de l’ARN à lecture longue (par opposition au séquençage à lecture courte) fournissait la preuve nécessaire de l’existence du « SARS-CoV-2 » 98. Il a fait référence à une publication d’avril 2022 portant sur le séquençage de l’ARN à l’aide de séquences longues d’Oxford Nanopore Technologies (ONT) 99, affirmant qu’elle confirmait la validité des génomes du « virus » qui avaient été construits précédemment par séquençage à l’aide de la méthode « shotgun » (([25] NdT : voir ci-dessus)). L’étude présentée décrivait une expérience comparant les réponses de diverses lignées cellulaires « infectées par le SRAS-CoV-2 » et « infectées fictivement ». Les cellules expérimentales étaient prétendument “infectées par le virus SARS-CoV-2 Australia (Australia/VIC01/2020, NCBI : MT007544.1)” — que l’auteur Leon Caly et coll. qualifie d’« isolat » 100, alors que l’isolement d’un virus n’a jamais été démontré, comme l’explique la figure 4 ci-dessous et comme nous l’avons souligné dans La Fraude COVID-19 & la Guerre contre l’Humanité101.

L’argument du biologiste évolutionniste repose donc sur la comparaison du produit frauduleux d’une expérience frauduleuse avec une « infection factice », alors que la première est invalidée par la déclaration trompeuse d’« isolement du virus » et que la seconde s’invalide elle-même puisque les virologues ont modifié sa définition pour permettre la modification d’autres variables. L’obtention de lectures plus longues ne change rien à ces questions fondamentales. Le biologiste évolutionniste affirmait que les variations dans les séquences et les protéines surveillées au fil du temps constituaient la preuve de l’évolution d’un virus102. Il est une autre victime de la tromperie de la virologie par l’attribution spécieuse du mot « viral » à ces entités. Lorsque toutes ces séquences et protéines ont été initialement détectées dans des expériences de culture de tissus, il n’a pas été démontré qu’elles appartenaient à des virus pathogènes, mais l’affirmation selon laquelle elles sont « virales » se poursuit encore aujourd’hui.

Dans le même ordre d’idées et quelques mois après cet échange, le pathologiste/virologue Dr Sin Hang Lee a affirmé que son article préimprimé103 fournissait “des preuves irréfutables par séquençage Sanger que le virus [SARS-CoV-2] existe et continue de muter”, en invitant ouvertement à contester son travail104. Une fois encore, le présent auteur a fourni une réponse détaillant l’utilisation abusive de la terminologie scientifique par la virologie ainsi que le problème sous-jacent de la provenance non établie des séquences génétiques analysées :

Pour exposer les problèmes de la virologie, il est essentiel d’examiner la section méthodologique de toute publication et, dans ce cas, ce n’est pas différent… Ceux d’entre nous qui contestent la théorie du virus soulignent qu’il n’a jamais été démontré qu’aucune séquence d’ARN (ou d’ADN) provenait de l’intérieur d’une particule spécifique identifiable répondant à la définition d’un virus. Ainsi, tous les ARN ne peuvent être considérés que comme exprimés par un organisme connu, introduits artificiellement (par exemple par des injections d’ARNm synthétique) ou de provenance inconnue. Les « mutations » n’existent que dans des modèles in silico qui ne se sont pas révélés être des entités indépendantes dans la Nature. Il existe d’autres raisons pour lesquelles les séquences d’ARN peuvent varier et varient effectivement dans les systèmes biologiques dynamiques et je ne peux imaginer qu’un virologue puisse être en désaccord avec ce fait. La simple détection des ARN ne suffit pas pour tirer des conclusions sur leur provenance. D’autres expériences sont nécessaires pour faire cette détermination. 105

En effet, aucune technologie génomique ou protéomique ne peut échapper au fait qu’en ce qui concerne ces données supposées être des preuves de la présence de virus, il s’agit de tortues jusqu’en bas.

(([26] NdT : Cette expression provient d’une histoire — donc inventée — au sein de la communauté scientifique des années 1870 qui raconte ceci :

Une vieille dame s’approcha un jour d’un célèbre savant peu après la fin de sa conférence sur la cosmologie et la structure du système solaire et lui dit :

« Votre belle théorie sur la Terre qui est ronde et qui tourne autour du Soleil est très intéressante, jeune homme. Malheureusement, elle est aussi très fausse. J’ai une meilleure théorie », lui dit la femme.
« Et quelle est cette théorie, Madame ? », lui demanda le scientifique.
« Eh bien, ce que vous appelez la “planète Terre” n’est pas ronde du tout. En fait c’est une sorte de grand disque plat qui repose sur les épaules de quatre éléphants géants. »
« Et sur quoi reposent ces quatre éléphants ? », lui rétorqua-t-il.
« Ils sont sur le dos d’une tortue géante », répondit la vieille dame.
« Et sur quoi s’appuie cette tortue ? » demanda le scientifique avec un sourire interrogatif.
« Sur une autre tortue, plus grosse. »
« Et sur quoi s’appuie cette deuxième tortue ? »
« Eh bien, mon cher, » dit la vieille dame avec un sourire victorieux, « il y a des tortues jusqu’en bas ! »
[Citation tirée du livre « Des tortues jusqu’en bas » Ed. Résurgences]
NdT : Ce livre est complètement dans l’hypothèse virale. Il montre néanmoins de façon remarquable que les essais de sécurité des vaccins reposent sur ce principe « des tortues jusqu’en bas », car pour la plupart (tous ?) leur sécurité est comparée non avec un véritable placébo, mais avec un vaccin précédent prétendument « sûr et efficace » qui lui-même a été autorisé sur le marché car comparé à un autre vaccin prétendument sûr et efficace, etc.. Quant à leur « efficacité » elle ne peut donc être « démontrée » que de la même manière : des tortues jusqu’en bas et jamais en comparant un groupe « vacciné » avec un groupe « non vacciné ».))

Des tortues jusqu’en bas

Figure 4. Caly et coll. « isolement » du SARS-CoV-2. Les micrographies électroniques sont celles d’un surnageant de culture de cellules Vero/hSLAM : (A) a été déclaré « virion », alors qu’il s’agit simplement d’une particule de provenance inconnue. En outre, les « pointes » capsulaires ont été produites après que l’enzyme trypsine a digéré les protéines externes pour créer l’apparence souhaitée. (B) nous informe simplement de la taille des particules dans un mélange de tissus. Il n’y a pas eu d’expérience de contrôle valide réalisée avec un spécimen similaire d’origine humaine.

Comme on l’a vu, le « bat SL-CoVZC45 » était un génome in silico de 29 802 nucléotides, inventé en 2018106, qui a été utilisé par Fan Wu et coll. comme génome modèle pour l’invention du génome du SARS-CoV-2. Il était censé provenir du tissu intestinal d’une chauve-souris (([27] NdT : en anglais « bat » d’où le nom attribué au « génome »)) capturée dans la province de Zhejiang, en Chine. Dans cette étude, les auteurs ont indiqué que « toutes les chauves-souris semblaient en bonne santé et ne présentaient pas de signes cliniques évidents au moment de la capture », mais ont déclaré qu’un virus avait été détecté chez 89 des 334 chauves-souris sur la base d’un « test de transcription inverse (RT) — PCR pan-coronavirus ». La folie de prétendre « isoler » un virus en provoquant des ECP (([28] NdT : rappel ECP pour effet cytopathique)) a déjà été soulignée, mais dans ce cas, ils n’ont même pas observé ce phénomène dans les cultures de cellules Vero E6. Au lieu de cela, ils ont essayé une autre méthode pour « tester la pathogénicité de l’agent ZC45 ». Cela a consisté à prélever 20 μL de tissu intestinal de chauve-souris broyé et de l’injecter directement dans le cerveau de rats BALB/c âgés de 3 jours. (En poids, cela équivaudrait à injecter plusieurs centaines de millilitres de matière dans un cerveau humain107). L’absurdité de l’injection d’un tel tissu biologique directement dans le cerveau d’animaux néonataux consanguins et compromis ne devrait pas nécessiter d’explications supplémentaires. Comme c’est souvent le cas dans les expériences de virologie, il n’y avait pas de groupe de contrôle où du matériel biologique similaire, censé ne pas contenir le virus, avait été injecté directement dans le cerveau d’autres bébés rats. Les chercheurs ont indiqué que des « particules virales présumées » avaient été observées dans certains cerveaux de rats, mais ils n’ont à aucun moment démontré la composition ou la fonction biologique des « particules virales présumées » observées dans leurs diapositives. En outre, l’« infection » a été déclarée sur la base de tests RT-PCR positifs qui détectaient les mêmes séquences d’ARN chez les bébés rats au moment de leur sacrifice que celles qui leur avaient été injectées récemment — ce qui n’exige évidemment pas l’existence d’un virus.

Ainsi, sans isoler physiquement de prétendues particules virales, ils ont procédé à l’homogénéisation, à la centrifugation et à la filtration des échantillons intestinaux avant de déclarer que « l’ARN viral a été extrait à l’aide d’un mini kit d’ARN viral (Qiagen, Hilden, Allemagne) conformément aux recommandations du fabricant ». (Voir page 49 [dans le paragraphe contenant la note 157, NDLR] pour une explication de l’impossibilité pour ce type de kit d’extraire sélectivement l’ARN en fonction de sa provenance, indépendamment de l’existence ou non de virus). Une étape de transcription inverse a ensuite lieu avant l’amplification par PCR de leur brin. Ils ont prétendu séquencer le génome complet du [SL-CoVZC45] grâce à 19 paires d’amorces PCR dégénérées, « conçues par alignement multiple des séquences disponibles du SARS-CoV et du bat SL-CoV déposées dans GenBank ». En d’autres termes, leur déclaration de découverte d’un génome viral n’était pas fondée sur la preuve directe de l’existence d’un virus, mais sur la détection de séquences de provenance non établie alignées sur d’autres modèles fictifs de « virus ». Le degré d’amplification de la PCR à cette étape n’a pas été divulgué, mais l’étape de « criblage par RT-PCR » comportait un premier cycle de 40 cycles, suivi d’un second cycle de 30 cycles. Une amplification aussi ridicule entraînerait des artefacts, c’est-à-dire que les séquences cibles sont « trouvées » simplement à la suite du processus lui-même et ne sont pas nécessairement présentes physiquement dans les échantillons.

(([29] NdT : La demi-échelle (l’ARN extrait des échantillons intestinaux) a été complétée par une autre demi-échelle où 19 demi-barreaux étaient composés d’amorces tirées elles-mêmes d’une banque de données (appelée GenBank) ; ces 19 demi-barreaux ont « matché » avec 19 demi-barreaux de l’ARN extrait. Le problème c’est que ces amorces sont « attribuées » au soi-disant virus SARS-CoV-1 et au virus SL-CoV sans que ces derniers n’aient jamais été isolés et donc sans que l’on puisse dire qu’elles sont spécifiques à ces « virus ». C’est le procédé « des tortues jusqu’en bas ».))

(([30] NdT : Les cellules Véro sont des cellules immortelles (cellules de rein de singe, de poumon de fœtus de bébé avorté…) qui lorsqu’elles sont nourries (du sérum de veau par exemple) se multiplient. Elles servent ensuite à être infectées par les soi-disant « virus ». Les virologues oublient de mentionner qu’avant d’être « infectées » on arrête de les nourrir, on les « noie » d’antibiotiques (pour tuer d’éventuelles bactéries) et de poisons divers. La mort des cellules qui s’en suit, et qui est assez évidente, est ensuite attribuée aux « virus ». Les expériences de contrôles ne sont jamais faites [voir ce qui se passe sans que l’on rajoute les soi-disant « virus »].))

Il convient de noter que l’histoire du virus de la chauve-souris est en cours depuis l’« épidémie » de SARS (([31] NdT : en français SRAS pour syndrome respiratoire aigu sévère)) de 2003 et qu’apparemment, après des milliers d’années, l’espèce humaine est maintenant sous la menace constante de virus percolant dans les grottes de chauves-souris chinoises. En 2005, le président de l’EcoHealth Alliance, le Dr Peter Daszak, a cosigné un article paru dans Science intitulé « Bats Are Natural Reservoirs of SARS-Like Coronaviruses » 108 (les chauves-souris sont des réservoirs naturels de coronavirus de type SARS). Dans cette étude, Daszak et ses collègues n’ont pu trouver aucun « coronavirus » dans leur sélection de chauves-souris grâce à la technique frauduleuse habituelle d’observation des ECP in vitro, déclarant qu’« aucun virus n’a été isolé à partir d’écouvillons fécaux d’échantillons positifs à la PCR en utilisant des cellules Vero E6 ».

Cependant, ils étaient heureux de déclarer qu’ils avaient la preuve de l’existence de ces virus grâce à leurs produits PCR à cycle absurdement élevé (35-45) obtenus à partir d’échantillons bruts de chauves-souris. Ils ont prétendu qu’il s’agissait de « séquences virales » parce que, dans le cadre du raisonnement circulaire de la virologie, ils ont « trouvé » les séquences « virales », celles-là mêmes que leur protocole PCR était censé détecter. Ils ont dûment averti le monde que « la diversité génétique existe parmi les virus zoonotiques chez les chauves-souris, ce qui augmente la possibilité que des variantes franchissent la barrière des espèces et provoquent des épidémies dans les populations humaines ». Malheureusement, ce folklore zoonotique est passé de la littérature virologique à l’imagination du public. Daszak est un fervent promoteur et bienfaiteur de l’histoire du virus de la chauve-souris et, en 2015, il a conseillé à ses collègues, afin de continuer à engranger des recettes, de « mieux faire comprendre au public la nécessité des MCM (contre-mesures médicales) telles qu’un vaccin antigrippe ou anti-coronavirus » 109.

Quoi qu’il en soit, une branche de l’une des pistes de modèles de coronavirus imaginaires nous ramène à l’une des premières affirmations concernant le génome du SARS-CoV, prétendument à l’origine de la première « épidémie » de SARS. En avril 2003, Yijun Ruan et coll. ont soumis à GenBank leur « génome complet de coronavirus SARS Sin2500 », qui est devenu le numéro d’accès AY283794.1.110 Cependant, ce génome a été inventé non pas en séquençant directement de prétendues particules virales, bien sûr, mais en séquençant l’ARN dans une expérience de culture de cellules Vero par « des approches d’amorçage spécifiques et par shot-gun », avec un alignement sur « la séquence du génome du virus de l’hépatite de la souris (NC_001846) en tant que colonne vertébrale » 111. Le génome NC_001846.1 a été inventé à son tour en 1997 et a été revendiqué comme dérivé d’un virus « obtenu à l’origine auprès du Dr Lawrence Sturman » et séquencé « en utilisant comme modèles l’ARN cytoplasmique extrait de monocouches de cellules L2 infectées par les virus MHV-A59, C12, C3, C5, C8, B11 ou B12 de type sauvage » 112. L’affirmation selon laquelle ils ont commencé avec un virus semble être basée sur l’assurance du Dr Sturman que l’échantillon qu’il a fourni contenait une telle chose.

Il devrait être clair à ce stade que chaque génome de coronavirus a été comparé à d’autres soi-disant génomes sans que les virologues ne démontrent qu’aucune des séquences ne provient d’un virus. Il est donc instructif de revenir au prétendu premier génome complet de coronavirus à être publié, qui était le « virus de la bronchite infectieuse aviaire » (en anglais IBV pour avian Infectious Bronchitis Virus) par Boursnell et coll. en 1987113, et qui a ensuite été utilisé par d’autres comme l’un des modèles d’origine. Ils n’ont pas séquencé directement les particules virales supposées, mais ont utilisé « dix-sept clones d’ADNc couvrant les 27 569 kb les plus importants du génome », en notant que les clones « ont été dérivés de l’ARN isolé à partir du virus purifié par gradient de la souche Beaudette » (Beaudette & Hudson, 1937 ; Brown & Boursnell, 1984). L’article cité de Brown et Boursnell indique que « la préparation des clones d’ADNc a été décrite précédemment (Brown et Boursnell, 1984) »114. Cette citation ultérieure correspond à leur publication intitulée « Avian infectious bronchitis virus genomic RNA contains sequence homologies at the intergenic boundaries » (L’ARN génomique du virus de la bronchite infectieuse aviaire contient des homologies de séquence aux frontières intergéniques).115 Dans cet article, ils affirment que « la souche IBV Beaudette a été cultivée dans des œufs embryonnés de 11 jours. Les virions ont été isolés du liquide allantoïdien et purifiés par centrifugation isopycnique116 sur des gradients de saccharose ». Cependant, aucun de ces articles ne fournit de preuve : (a) qu’ils avaient purifié quoi que ce soit, et encore moins des « virions », sous la forme de micrographies électroniques de confirmation, ou (b) qu’ils avaient réalisé des expériences de contrôle valables. Tout ce que nous pouvons voir, c’est qu’ils ont supposé que des virus étaient présents dans leur mélange de cultures et qu’après centrifugation, ils ont affirmé que les séquences d’ARN détectées provenaient de ces virus imaginaires.

Figure 5. L’arbre phylogénétique du SARS-CoV-2 sur GISAID – Fiocruz, au 15 juillet 2022. Il n’a jamais été démontré que le premier « génome » de décembre 2019 (Fan Wu et coll.) provenait d’un virus, mais grâce au raisonnement circulaire de la virologie, des séquences similaires trouvées à d’autres endroits sont présentées comme la preuve de l’évolution d’un « virus ». Cependant, les méthodologies non contrôlées utilisées en font un arbre généalogique fictif in silico. La détection, ou la prétendue détection, de séquences génétiques sélectionnées dans l’environnement ne confirme pas l’existence d’un virus, étant donné que la provenance des séquences n’a pas été établie ou a été mal attribuée. Il en va de même pour les protéines détectées.

L’affirmation initiale selon laquelle il s’agissait d’un virus (IBV) (rappel : Avian Infectious Bronchitis Virus — virus de la grippe aviaire) remonte aux années 1930 et reposait sur les mêmes conclusions erronées tirées de la méthodologie employée dans les expériences de 1911 sur le « virus » du sarcome de Rous (voir page 12). Dans le cas de l’IBV, du matériel a été prélevé sur des poulets malades, passé à travers des filtres bactériens de Berkefeld et ensuite introduit dans les voies respiratoires d’autres poulets117. En se basant sur le fait que cela pouvait également rendre les oiseaux receveurs malades, il a été déclaré que « ces résultats démontrent que la maladie est causée par un virus filtrable ». Cependant, aucune expérience n’a jamais démontré qu’une particule infectieuse était responsable des effets toxiques. En bref, les arbres phylogénétiques des « coronavirus » qui ont été créés depuis les années 1980 ne sont pas la preuve de « l’évolution des virus », mais d’un système de commercialisation à plusieurs niveaux qui n’a pas de produit physique établi.

Le danger pour l’Humanité réside dans le fait que les génomes putatifs des coronavirus issus des spéculations des virologues sont désormais utilisés comme modèles pour créer et injecter des produits à des destinataires malchanceux qui ont été trompés et incités à croire que la dernière invention de la virologie était réelle. En d’autres termes, les inventions génomiques fictives de la virologie ont été utilisées pour créer des interventions médicales et politiques totalement inutiles. La biotechnologie dangereuse et hautement expérimentale de l’ARNm et des nano lipides a tué plus de personnes que tous les autres vaccins combinés au cours des 30 dernières années, et nous commençons à peine à en faire le compte118.

Les affirmations du CDC au sujet du SARS-CoV-2

Avec une lenteur désormais familière, les CDC ont mis huit mois à répondre à une demande de liberté d’information concernant leur affirmation selon laquelle ils avaient « isolé le SRAS-CoV-2 » dans leur publication de juin 2020 sur les maladies infectieuses émergentes, « Severe Acute Respiratory Syndrome Coronavirus 2 from Patient with Coronavirus Disease, United States » (Syndrome Respiratoire Aigu Sévère Coronavirus 2 provenant d’un patient ayant la maladie Coronavirus), par Jennifer Harcourt et coll.119. Les questions posées aux CDC par ma collègue (([32] NdT : Il s’agit de la Canadienne Christine Massey)) étaient simples et comprenaient ce qui suit :

« Le scientifique qui a rédigé cet article a-t-il utilisé des groupes de contrôle ? Si oui, les groupes de contrôle ont-ils utilisé les mêmes formulations de mélanges de cultures cellulaires que les groupes expérimentaux sans l’échantillon contenant les virus présumés ? … En résumé, si des groupes de contrôle ont été utilisés, veuillez donner des détails sur les groupes de contrôle »120. Au lieu de demander à Jennifer Harcourt ou à l’un des membres de son équipe de répondre à cette simple demande, le CDC a répondu, le 29 mars 2022, qu’il avait « localisé 37 pages de documents pertinents et une feuille de calcul Excel », prétendument en rapport avec les documents demandés121. En résumé, les « documents pertinents » du CDC comprenaient les éléments suivants122

Figure 6. Dans leur réponse FOIA du 29 mars 2022 CDC-Harcourt-mock-infected-MS-PACKAGE-redacted.pdf (fluoridefreepeel.ca), les détails de la diapositive de l’expérience « fictive » n’ont pas été fournis par le CDC, bien qu’ils aient été spécifiquement demandés. Les autres diapositives sont censées prouver les effets cytopathiques (et donc l’existence implicite) du SARS-CoV-2.

  1. Des courriels internes du CDC ont partagé des images telles que la figure 6, censées montrer « des photos de la portée du N-CoV 2019 potentiel du premier cas américain ». Les microbiologistes chercheurs des CDC, Azaibi Tamin, espèrent que « certains de ces 7 lysats montrent que l’ECP (rappel : effet cytopathologique — effet sur les cellules de culture) est causé par le N-CoV 2019 », tandis que Stephen Lindstrom commente qu’il s’agit de « très belles cellules malheureuses ». Natalie Thornburg, chef de l’équipe d’immunologie des virus respiratoires, a ensuite demandé « s’ils pouvaient envoyer les fichiers JPEG ou TIFF originaux de leurs images d’ECP ? Je veux commencer à travailler sur une figure de qualité pour la publication. »
  2. Les numéros d’accès GenBank MT020880 et MT020881, qui figuraient dans la publication Harcourt et coll./CDC et étaient déjà accessibles au public.
  3. L’article de Na Zhu et coll. publié dans le New England Journal of Medicine, « A Novel Coronavirus from Patients with Pneumonia in China, 2019, »123 qui, selon la microscopiste électronique du CDC Cynthia Goldsmith, « présente deux très belles images ME (de microscopie électronique) dans la figure 3, l’une provenant d’un “épithélium des voies respiratoires humaines” ». Nous avons traité des folies de cet article dans La Fraude COVID-19 et la Guerre contre l’Humanité, Na Zhu et coll. étant également coupables d’expériences incontrôlées de décomposition de cultures de tissus au cours desquelles ils ont baptisé « 2019-nCoV » des micrographies électroniques de vésicules extracellulaires dont la composition et la fonction biologique n’ont pas été prouvées124 (L’un des coauteurs de l’article, Wenjie Tan, a déclaré à Torsten Engelbrecht le 18 mars 2020 qu’ils avaient « une image de particules virales sédimentées, pas de particules purifiées »125. Ainsi, l’affirmation selon laquelle il s’agit de « particules virales » n’est qu’une affirmation, car aucune partie de l’article ne démontre la composition ou la fonction biologique de ces vésicules imagées).
  4. Une feuille de calcul contenant les résultats non informatifs du seuil de cycle de la PCR pour « 4 virus » qui ont été soumis au laboratoire de diagnostic des virus respiratoires des CDC.
  5. Une page commençant par « pour des raisons de commodité administrative et pour répondre pleinement à votre demande, le personnel du programme a fourni les informations suivantes avec les liens Internet correspondants », qui ne fournit absolument aucune information sur la manière dont les expériences d’« isolement viral » du CDC ont été convenablement contrôlées.

Le 23 décembre 2021, Christine Massey a également soumis une demande au CDC afin d’obtenir tous les détails de l’expérience de Harcourt et coll. « simulant une infection », y compris « la quantité de matériel provenant d’échantillons d’écouvillons nasopharyngés et oropharyngés non infectés qui a été ajoutée au groupe de contrôle de la culture cellulaire » 126. Le CDC a finalement répondu à la demande de Massey le 10 mai 2022 avec 36 pages d’informations tout aussi inutiles et l’excuse suivante :

En ce qui concerne certaines parties de votre demande, une recherche dans nos archives n’a pas permis de trouver de documents relatifs à votre demande. Ces parties concernent votre demande concernant spécifiquement « … des cultures cellulaires — des détails du groupe expérimental : » et « des cultures cellulaires — des détails du groupe de contrôle infecté fictif » et « le séquençage du génome entier — détails de la pureté et du contrôle : » Votre demande a été envoyée au Centre National pour l’Immunisation et les Maladies Respiratoires (en anglais National Center for Immunization and Respiratory Diseases ou NCIRD) pour recherche. Ils ont répondu que certains détails de votre demande n’étaient pas disponibles en tant qu’enregistrements contrôlés ou conservés par le CDC127.

En d’autres termes, les CDC semblent ignorer totalement qu’ils ne suivent pas la méthode scientifique ou ils ont compris que la partie était perdue et s’engagent dans des réponses fallacieuses. Dans les deux cas, ils ne peuvent être pris au sérieux en tant que source d’information scientifique fiable s’ils promeuvent également des expériences non contrôlées comme preuve de l’existence de virus.

Les divulgations de Peng Zhou et coll.

Il est arrivé que des chercheurs fournissent des réponses concernant leurs méthodologies et que, intentionnellement ou non, ils soient étonnamment francs au sujet de leurs expériences non scientifiques. Le 3 février 2020, Peng Zhou et coll. ont publié dans Nature leur article intitulé « A pneumonia outbreak associated with a new coronavirus of probable bat origin » (Une épidémie de pneumonie associée à un nouveau coronavirus d’origine probable de chauve-souris), affirmant « l’identification et la caractérisation d’un nouveau coronavirus (2019-nCoV) » 128. Dans leur expérience d’« isolement », les auteurs ont produit des images montrant des ECP apparents dans les cellules Vero E6 prétendument « infectées par le 2019-nCoV » (([33] NdT : nom transformé par la suite en SARS-CoV-2)), mais aucun ECP dans les « cellules infectées de manière fictive » 129, ces dernières étant censées être (le groupe) « contrôle ». Mais quelle était la nature de cette apparente expérience de contrôle ? Les détails n’ayant pas été fournis dans l’article publié, ils ont été contactés par l’un de mes collègues en août 2021, qui a obtenu des aveux surprenants de l’un des coauteurs de l’article, Xing-Lou Yang. Tout d’abord, outre le fait qu’il n’y avait pas d’expériences de contrôle positif (c’est-à-dire avec des échantillons humains comparables sans le prétendu virus), Yang a déclaré qu’ils avaient doublé la dose de pénicilline et de streptomycine dans le groupe expérimental130. Lorsqu’on lui a demandé pourquoi cette variable avait été modifiée, la réponse a été la suivante : « l’intention de l’Anti-Anti (les deux antibiotiques) est d’empêcher la contamination par des bactéries ou des champignons pendant l’isolement du virus, donc une concentration de 1 % ou 2 % n’a pas affecté la croissance cellulaire. La concentration de 2 % dans la première génération visait simplement à empêcher la contamination des échantillons »131.

Mon collègue a suggéré de refaire l’expérience de « contrôle » avec une dose plus élevée d’antibiotiques pour s’assurer qu’il ne s’agissait pas d’un des facteurs induisant des ECP dans la lignée de cellules rénales. Yang a ensuite fourni une réponse évasive : « si vous pouvez vous assurer que vous pouvez empêcher la contamination par des bac (bactéries) ou des champignons, vous n’aurez pas besoin d’utiliser l’Anti-Anti » 132, semblant ignorer le point crucial selon lequel les antibiotiques supplémentaires eux-mêmes pourraient être toxiques pour les cellules (en particulier parce que la streptomycine est connue pour être néphrotoxique). À tout le moins, ils avaient modifié d’autres variables par rapport à leurs contrôles et avaient donc invalidé encore davantage leurs résultats.

Une autre révélation stupéfiante des auteurs est que dans leur groupe expérimental, seul un puits sur 24 contenant des cultures de cellules rénales Vero E6 présentait des signes d’ECP133. Ainsi, ce qui devrait être considéré comme une marge d’erreur expérimentale constitue la base de l’une des déclarations d’un nouvel agent pathogène prétendument mortel, décrit dans un article qui, en juillet 2022, a été consulté 1,34 million de fois et cité plus de 10 000 fois134. Les autres auteurs qui citent cet article se rendent-ils compte de l’étroitesse des « preuves » sur lesquelles est construit ce château de cartes appelé COVID-19 ? Peut-être ne seraient-ils pas perturbés par une telle révélation, étant donné que les expériences biologiques sont de plus en plus abandonnées tandis que les « génomes » in silico sont de manière absurde prétendus fournir des preuves adéquates de l’existence des virus. Dans le cas de Zhou et coll., leur simulation informatique a été fièrement proclamée « être identique à 96 % au niveau du génome entier à un coronavirus de chauve-souris ». Ils ont décidé de mettre en forme leur nouvelle invention virale par rapport à cette séquence, en se basant sur l’absurdité que « des études antérieures ont montré que certains SARS-CoV de chauve-souris ont le potentiel d’infecter les humains »135. Leur logiciel a assemblé ce qui est devenu les numéros d’accès GenBank MN996527-MN996532 et cette forme de fausse « preuve », qui manque également de contrôles valides, a été documentée dans le présent essai.

Figure 7. L’étude de Peng Zhou et coll. et sa méthodologie précédemment non divulguée : doubler les antibiotiques dans le groupe expérimental pour observer des ECP dans seulement un puits sur 24. Il est déclaré que cela constitue une preuve de l’existence d’un nouvel agent pathogène viral, le « 2019-nCoV », qui sera plus tard rebaptisé SARS-CoV-2.

Plus de tromperie en provenance de Wuhan ?

Début 2022, un mathématicien travaillant avec le Dr Stefan Lanka a publié une analyse des données de séquences associées produites par Fan Wu et coll.136 La conclusion en est surprenante :

Une répétition de l’assemblage de novo avec Megahit (v.1.2.9) a montré que les résultats publiés ne pouvaient pas être reproduits. Nous avons peut-être détecté des acides ribonucléiques (ribosomiques) d’origine humaine, contrairement à ce qui a été rapporté (par Fan Wu et coll.)… Il n’est pas prouvé que seuls des acides nucléiques viraux ont été utilisés pour construire le génome viral revendiqué pour le SARS-CoV-2. En outre, en ce qui concerne la construction du brin de génome viral revendiqué, aucun résultat d’éventuelles expériences de contrôle n’a été publié. Ceci est également vrai pour toutes les autres séquences de référence prises en compte dans le présent travail. Dans le cas du SARS-CoV-2, un contrôle évident consisterait à s’assurer que le génome viral revendiqué ne peut pas être assemblé à partir de sources d’ARN insoupçonnées d’origine humaine ou même autre.

(([34] NdT : Megahit est un assembleur (programme informatique) de séquences génétiques qui permet — à partir de bribes attribuées au « virus » — de construire le génome complet du « virus » (!!!) en remplissant les vides entre les bribes. C’est un peu comme si à partir de 3 ou 4 mots on demandait à un ordinateur de « reconstruire » une œuvre d’un grand auteur. L’ordinateur à l’aide du programme cherchera à mettre un mot après l’autre de telle manière qu’il retombe sur un des 3 ou 4 mots choisis et continuera ainsi jusqu’au mot choisi suivant et pour enfin arriver à l’intégralité de l’œuvre. En fonction du choix de l’œuvre que l’on désire obtenir, les suites de mots seront donc différentes alors qu’au départ les 3 ou 4 mots (ou plus peu importe) sont les mêmes. Voilà ce que dit l’Université Claude Bernard de Lyon sur cette technique : https://www.dtamb.univ-lyon1.fr/ngs/sequencage-de-novo ))

Outre le fait que les méthodes actuelles de la virologie pour trouver des virus devraient être rejetées, le manque de reproductibilité de leur propre expérience soulève instantanément des questions sur les circonstances dans lesquelles les inventeurs originaux du SARS-CoV-2 ont annoncé leur nouveau virus au Monde. En effet, cette analyse indépendante n’a permis d’obtenir que 28 459 contigs, soit nettement moins que le nombre (384 096) décrit par Fan Wu et coll. En outre, le contig le plus long obtenu indépendamment était de 29 802 nucléotides, soit 672 nucléotides de moins que celui de Fan Wu, ce qui signifie que « les données de séquence publiées ne peuvent pas être les lectures originales utilisées pour l’assemblage ». L’analyse du mathématicien a également conclu que :

L’alignement avec la base de données de nucléotides le 05/12/2021 a montré une correspondance élevée (98,85 %) avec “l’ARN de l’Homo sapiens, 45 S préribosomal N4 (RNA45SN4), ribosomal ARN” (GenBank : NR_146117.1, daté du 04/07/2020). Cette observation contredit l’affirmation de [1] selon laquelle l’épuisement de l’ARN ribosomal a été effectué et les lectures de séquences humaines ont été filtrées à l’aide du génome humain de référence (human release 32, GRCh38.p13). Il convient tout particulièrement de noter que la séquence NR_146117.1 n’a été publiée qu’après la publication de la bibliothèque de séquences SRR10971381 examinée ici. Cette observation souligne la difficulté de déterminer a priori l’origine exacte des fragments d’acide nucléique individuels utilisés pour construire les séquences génomiques virales revendiquées.

Quoi qu’il en soit, les problèmes ne se sont pas arrêtés là. La distribution de la couverture de certains contigs était extrêmement inhomogène et, compte tenu du taux d’erreur élevé, on s’est demandé si certaines des séquences n’étaient pas simplement générées par les conditions d’amplification de la PCR elles-mêmes. Là encore, il s’agit d’une méthode anti-scientifique, car des expériences de contrôle appropriées (avec des échantillons similaires provenant de l’homme) ne sont pas réalisées pour examiner ces possibilités. L’analyse indépendante a révélé que Fan Wu et coll. auraient pu trouver de meilleures correspondances consensuelles in silico pour le « VIH » et le « virus de l’hépatite D » que pour un « nouveau coronavirus » chez leur homme de 41 ans de Wuhan, qui a présenté une pneumonie comme l’un des premiers cas déclarés de COVID-19. Si les virologues veulent trouver un virus, tout dépend de la manière dont ils conçoivent leurs protocoles et de ce qu’ils demandent à l’ordinateur de rechercher — et comment ces diseurs de bonne aventure sauraient-ils ce qu’il faut rechercher ?

L’amorçage du Professeur Stephen Bustin d’une pandémie de tests PCR

Les scientifiques ont tendance à supposer que tout ce qui n’est pas de leur ressort est vrai et qu’ils peuvent s’y fier.

David Crowe après son interview de Stephen Bustin en avril 2020. 137

(([35] NdT : David Crowe est décédé peu après cette interview (le 12 juillet 2020), emporté par un cancer dont la fulgurance a étonné le Dr David Raznik (cité également dans cet article, les deux faisant partie du groupe de réévaluation du SIDA « Rethinking AIDS »). Le traducteur a eu de multiples contacts (mails, téléphone) avec David Crowe dans l’année précédant son décès. Ce dernier lui a maintes fois répété qu’on ne pourrait éventuellement parler de pandémie qu’en 2023 ou 2024 et que pour lui il ne s’agissait, en 2020, que d’une épidémie de tests. Les faits lui ont donné raison (lire à ce sujet l’excellent livre de Pierre Chaillot « Covid-19 — ce que révèlent les chiffres officiels »))

Pour entretenir l’illusion de la « pandémie » de COVID-19, il fallait des cas. Ceux-ci ont été fournis par le plus vaste programme de « dépistage » humain jamais mis en œuvre, impliquant des milliards de kits PCR distribués dans le monde entier. Nous ne comprenons toujours pas pourquoi Stephen Bustin, qui est un « expert de renommée mondiale en matière de PCR quantitative et dont les recherches portent sur la transformation des techniques moléculaires en outils pratiques, robustes et fiables à usage clinique et diagnostique » 138, n’a pas souligné de manière décisive l’utilisation inappropriée du processus de PCR. Bustin était l’auteur principal de la publication de 2009, « The MIQE Guidelines: Minimum Information for Publication of Quantitative Real-Time PCR Experiments » 139 (Informations minimales pour la publication d’expériences de PCR quantitative en temps réel), dans laquelle les considérations conceptuelles clés pour les expériences de PCR en temps réel sont décrites comme suit :

  1. 2.1 La sensibilité analytique fait référence au nombre minimum de copies dans un échantillon qui peut être mesuré avec précision par un test, tandis que la sensibilité clinique est le pourcentage de personnes atteintes d’un trouble donné que le test identifie comme étant positives pour ce trouble…
  2. 2.2 La spécificité analytique fait référence au test qPCR qui détecte la séquence cible appropriée plutôt que d’autres cibles non spécifiques également présentes dans un échantillon. La spécificité diagnostique est le pourcentage de personnes ne souffrant pas d’une affection donnée et que le test identifie comme étant négatives pour cette affection.

Si Bustin était resté fidèle à la science, il aurait dû mettre un terme à la pandémie de PCR en janvier 2020, lorsque les protocoles PCR de Corman-Drosten ont été publiés140. Le mot « spécificité » n’apparaît qu’une seule fois dans l’article de Corman-Drosten et il n’avait rien à voir avec le diagnostic d’un état clinique, et encore moins d’une infection virale. Il n’y a pas eu de « détection du 2019-nCoV » comme le prétend l’article, tout ce qui a été établi est la spécificité analytique de leur test pour détecter des séquences cibles sélectionnées. Il s’agissait d’une expérience de réaction moléculaire in vitro avec une technologie d’acide nucléique synthétique qui ne nécessite pas l’existence d’un virus. En outre, il n’a pas été établi comment le résultat de la PCR était lié à un état clinique, c’est-à-dire qu’il n’a jamais été démontré que les kits PCR COVID-19 permettaient de diagnostiquer quoi que ce soit chez un sujet humain. Une maladie inventée basée sur un virus fictif.

(([36] NdT : Contrairement à ce qu’on peut lire si souvent dans les articles du mouvement de « résistance » au narratif Covid, les tests ne « crachent » pas des faux positifs (ce qui signifierait d’ailleurs qu’ils « crachent » aussi des vrais positifs), les tests n’ont ABSOLUMENT aucune signification. Quand on pense à toutes les conséquences (les décès, les pertes de liberté et d’emplois…) suite à la mise en œuvre de ces tests on est saisi d’effroi !))

Outre la question de la spécificité, le fait, qui n’a pas été très médiatisé, que l’expert mondial en PCR ait déclaré à David Crowe en avril 2020 que (même selon les propres termes de la virologie) qualifier un résultat de PCR de coronavirus de « positif » après 36-37 cycles, comme c’était le cas partout dans le Monde, était « un non-sens absolu. Cela n’a aucun sens » 141. Cependant, la fraude de la PCR est apparue encore plus clairement lorsque Eric Coppolino (([37] NdT : un autre membre du groupe « Rethinking AIDS », animateur d’une radio libre aux États-Unis)) a interviewé Bustin sur Planet Waves FM en février 2021142. L’intention de Coppolino était d’obtenir plus de détails sur l’étape problématique de la transcription inverse (RT) du processus de RT-PCR, mais il a été stupéfait, après l’interview, de réaliser que ce qu’il pensait être un test parfois inexact était complètement frauduleux143. Bustin a semblé mal à l’aise lorsque Coppolino a fait remarquer que tous les résultats positifs de la PCR étaient qualifiés de « cas d’infection confirmé », même s’ils ne présentaient aucun symptôme144. Au lieu d’admettre que la spécificité diagnostique des kits PCR n’avait jamais été établie, Bustin a proposé des explications périphériques telles que l’affirmation que « les unités de soins intensifs sont débordées en ce moment ».

Il a ensuite défendu les protocoles PCR utilisés en affirmant que « cette pneumonie était causée par ce virus. Ce virus a commencé à apparaître et de plus en plus de personnes présentaient les mêmes symptômes. Et ces amorces détectaient ce virus ». Lorsque Coppolino l’a interrogé sur l’absence d’isolement du virus pour pouvoir faire ces affirmations, Bustin a répondu que « la manière dont la séquence a été établie en prélevant des échantillons sur le patient original, en cultivant quelque chose et en le séquençant, puis en désassemblant la séquence, et ce qui en est ressorti, c’est le virus du SARS. Malheureusement, M. Bustin a confirmé le mauvais usage que fait la virologie du mot « isolement » et la terminologie floue utilisée pour détecter un « virus ». La question cruciale est que la qualité de la conception des amorces importe peu — si la provenance ou l’importance des séquences génétiques amplifiées par la PCR sont inconnues, on ne peut tirer rien d’autre comme conclusion que leur simple présence. Bustin peut rassurer le monde sur les performances analytiques potentiellement très élevées d’un protocole PCR, mais c’est au niveau de l’établissement de ses performances diagnostiques que le bât blesse. Même si l’existence physique du SARS-CoV-2 avait été démontrée et que la PCR était acceptée comme un outil de diagnostic valable, Bustin devrait admettre qu’aucun des tests PCR n’a été développé comme le précisent ses lignes directrices MIQE (voir ci-dessus) et qu’aucun ne peut être considéré comme cliniquement validé.

Il est surprenant qu’au cours de cette même interview, il ait nié toute connaissance préalable de la fausse épidémie de coqueluche à Dartmouth-Hitchcock, dans le New Hampshire, en 2006, lorsque le kit PCR mis en place a donné lieu à un taux de faux positifs de 100 % 145. Bustin a déclaré en avoir pris connaissance juste quelques jours avant l’entretien, quelques 15 ans après les faits, en lisant sur le site Web de Coppolino un article qui lui avait été fourni pour les besoins de l’entretien. Pourtant, l’incident était bien connu et avait fait l’objet d’une couverture dans le New York Times, avec des commentaires de nombreux professionnels de la santé publique et des professionnels des tests de diagnostic146. En 2006, Bustin était professeur de biologie moléculaire et il n’est pas étonnant que le spécialiste de la PCR n’ait reçu aucune demande de renseignements de la part de collègues médicaux en 2006, lorsque l’incident s’est produit. En effet, à l’époque, il y avait très peu d’experts en PCR à contacter et c’était une première indication de la manière dont la PCR pouvait être utilisée de manière catastrophique comme outil de diagnostic clinique. Comme si cela ne suffisait pas, il s’agissait d’un incident où le microbe prétendument responsable (la bactérie Bordetella pertussis) peut être physiquement isolé et ses séquences génétiques confirmées pour que la PCR puisse être calibrée à son encontre. En revanche, les protocoles PCR SARS-CoV-2 sont simplement calibrés sur des fragments génétiques d’origine inconnue. Lorsque Coppolino a insisté sur ce point, Bustin a répondu : « Eh bien, vous savez, il s’agit d’une méthode standard, donc je ne peux pas vraiment faire d’autres commentaires à ce sujet, si ce n’est que pour moi, c’est parfaitement acceptable et c’est la façon de procéder » 147.

Au moment où Bustin a été interrogé par Coppolino, il avait déjà coécrit et soumis un article intitulé « COVID-19 and Diagnostic Testing for SARS-CoV-2 by RT-qPCR-Facts and Fallacies » (Covid-19 et les tests de diagnostic pour le SARS-CoV-2 par RT-qPCR et erreurs) qui a été publié plus tard en février 2021148. Dans cet article, Bustin et ses collègues déclarent que “le test (de Corman-Drosten) a fonctionné et était spécifique, et a démontré la sagacité et l’altruisme stupéfiants des scientifiques impliqués, ainsi que la vitesse remarquable avec laquelle les tests basés sur la PCR peuvent être développés et mis en pratique”. Si l’on ne tient pas compte de l’éloge flatteur, la question évidente demeure, spécifique à propos de quoi ? Bustin et ses collègues veulent-ils dire que les tests PCR sont spécifiques (a) de courtes séquences d’ARN ciblées, (b) d’un coronavirus connu sous le nom de SARS-CoV-2, ou (c) de la maladie inventée par l’OMS et connue sous le nom de COVID-19 ? L’article de Corman-Drosten n’a fait qu’établir la spécificité analytique pour l’amplification de certaines séquences d’ARN sélectionnées, il n’avait rien à voir avec l’établissement d’un virus ou le diagnostic d’une maladie. Le concepteur des lignes directrices MIQE sait certainement que, sur les trois, seule la première a été scientifiquement établie et que rien n’était, ou n’a été, validé pour une application clinique. Et pourtant, son article poursuit avec un non sequitur ridicule que : « Le test PCR est parfaitement adapté aux tests à grande échelle, comme le démontrent chaque jour les millions de tests effectués à ce jour ». Bustin aurait-il oublié que les « tests » ne sont qu’un outil d’amplification moléculaire ? Comme l’inventeur de la PCR, le Dr Kary Mullis, l’a mis en garde en 1993 : « Je ne pense pas que l’on puisse utiliser la PCR à mauvais escient, non, les résultats, l’interprétation qu’on en fait (sont utilisés à mauvais escient) » 149.

La PCR amplifie simplement des séquences génétiques sélectionnées et la réaction moléculaire elle-même n’a pas la capacité de déterminer leur provenance ou la pertinence de leur présence. Si un protocole PCR particulier est exécuté correctement et que sa sensibilité et sa spécificité analytiques sont connues à 100 %, on peut dire qu’un résultat positif n’a rien fait d’autre que de confirmer la présence d’une séquence cible. Toutefois, si l’on prétend que la PCR est un outil de diagnostic, il devrait être évident que des études de validation clinique devraient être réalisées avant que le test ne soit introduit dans la pratique clinique. L’article de Corman-Drosten a sauté cette étape et l’OMS a accepté la fraude en plaçant des versions du protocole PCR sur son site Web le 13 puis le 17 janvier 2020, avant même la publication de l’article150. Après cela, la PCR a simplement été utilisée par le biais d’un raisonnement circulaire pour prétendre diagnostiquer des « infections » chez les personnes.

La phase suivante, aux premiers stades de la prétendue pandémie, a impliqué des « experts » tels que le professeur associé Sanjaya Senanayake, spécialiste australien des maladies infectieuses, qui a diffusé auprès du public des affirmations infondées sur l’exactitude des tests. Dans une interview accordée le 26 avril 2020, il a déclaré qu’en ce qui concerne le test COVID-19, « il n’y a pas de véritable étalon-or auquel le comparer… pour le COVID-19, nous n’avons pas de test étalon, donc les tests actuels que nous utilisons, les tests PCR… sont notre étalon-or, mais en essayant de contourner ce problème, nous pensons qu’ils détectent probablement environ 70 % des cas » 151. Senanayake a laissé entendre que si vous n’avez pas d’étalon-or, vous pouvez simplement supposer qu’un nouveau test PCR peut se valider de lui-même. Cependant, cela va à l’encontre de toutes les connaissances en matière de validation des tests. Cette entorse aux principes établis de la logique de validation ne permet pas de savoir comment il a calculé que le test fonctionnait « environ 70 % » du temps, sans parler de la gymnastique mentale qu’implique un « étalon-or » qui ne se détecte lui-même que 70 % du temps. On pourrait admettre, comme il l’a fait par inadvertance, qu’« il n’y a pas de véritable étalon-or » dans les tests COVID-19, car le véritable étalon-or est quelque chose qui n’existe pas, à savoir l’isolement physique et la preuve de la présence d’une particule virale.

L’OMS ne s’est pas préoccupée de l’absence d’étalon-or ou de preuve de l’existence d’un virus et a cimenté l’escroquerie de la PCR en déclarant qu’un cas de COVID-19 était « une personne dont le laboratoire (en 2020, typiquement la PCR) confirme l’infection par le COVID-19, indépendamment des signes et symptômes cliniques » 152. Dans cette seule phrase, elle proclame que les tests PCR non validés cliniquement ont une spécificité diagnostique de 100 % et déforme de façon absurde le sens du mot « infection » pour y inclure des personnes qui n’ont aucun signe ou symptôme. L’étymologie du mot « infection » provient du latin inficere, qui signifie « souiller ». Le Mosby’s Medical Dictionary 2009 définit l’infection comme « (1) l’invasion de l’organisme par des micro-organismes pathogènes qui se reproduisent et se multiplient, provoquant une maladie par des lésions cellulaires locales, la sécrétion d’une toxine ou une réaction antigène-anticorps chez l’hôte, et (2) une maladie causée par l’invasion de l’organisme par des micro-organismes pathogènes »153. Bien que l’auteur ne se prononce pas sur le caractère pathogène ou non des microbes, le sens établi du terme « infection » se rapporte à un état pathologique — sinon, un terme tel que « commensalisme » 154 devrait être utilisé. L’OMS a inventé une nouvelle définition absurde de la « pandémie » 155 et subvertit à présent la définition de l’infection — qui la déconnecte du concept de maladie par la seule utilisation des résultats de la PCR. Kary Mullis n’aurait pas pu dire plus simplement que la PCR n’est « qu’un processus utilisé pour faire beaucoup de quelque chose à partir de quelque chose » 156 Malheureusement, à plusieurs reprises au cours de l’ère COVID-19, des personnalités influentes telles que Bustin et Senanayake ont soutenu l’utilisation par les virologues d’un outil de fabrication moléculaire pour faire toutes sortes d’affirmations infondées, y compris la capacité non ratifiée de diagnostiquer une nouvelle infection et la détection d’un prétendu virus.

Il convient de noter qu’une interprétation erronée et biaisée de la PCR semble commencer avant même que le processus d’amplification n’ait commencé. Par exemple, le « High Pure Viral RNA Kit » (Kit d’acide nucléique viral de haute pureté) de Roche, utilisé pour préparer les échantillons pour la PCR, indique qu’il « isole rapidement l’ARN viral du plasma, du sérum, des fluides corporels et des surnageants de culture cellulaire des mammifères » 157. Les informations fournies sur le produit n’indiquent pas clairement comment le kit sépare l’ARN viral présumé des autres ARN présents dans l’échantillon158. Le processus comprend une étape additive de liaison de l’« ARN porteur poly (A) », mais les séquences polyadénylées ne sont pas spécifiques159, et les étapes suivantes de tamponnage et de centrifugation décrites ne permettraient pas non plus de différencier la provenance de l’ARN. Malgré cela, la section « protocoles » proclame que le produit final est un « ARN viral purifié » 160, de sorte que toute personne croyant cette affirmation infondée pense que son résultat RT-PCR positif ultérieur est la preuve de l’existence d’un virus. Il en va de même pour le « High Pure Viral Nucleic Acid Kit » de Roche, utilisé par des équipes telles que celles de Na Zhu et de Peng Zhou, qui affirment avoir découvert le SARS-CoV-2 dans des échantillons de patients et des expériences de culture cellulaire. Une fois de plus, Roche affirme de manière fallacieuse que les étapes décrites dans la section « protocoles » permettraient d’obtenir des « acides nucléiques viraux purifiés » 161.

Incidemment, Bustin a été interrogé spécifiquement sur les affirmations de Roche lorsque la question suivante lui a été posée : « Je suppose que le kit doit être capable de distinguer les AN (acides nucléiques) viraux de tous les autres. Les acides nucléiques viraux ont-ils une propriété chimique unique ? » Il a répondu : « Le processus d’extraction n’est pas spécifique à un acide nucléique particulier, mais il peut être spécifique à certains types d’acides nucléiques. Certains kits peuvent extraire l’ADN ou l’ARN de manière différentielle (sic), mais cela signifie que n’importe quel ADN et ARN sera présent dans l’échantillon extrait (je souligne)… Une petite quantité du matériel extrait est ensuite soumise à la réaction PCR. C’est ce qui assure la spécificité. »162 En d’autres termes, Bustin n’a pas tenté d’expliquer les allégations frauduleuses de Roche, mais a brouillé les pistes en remplaçant la spécificité de la provenance des acides nucléiques par la spécificité des séquences sélectionnées pour la PCR. Il s’agit là d’un tour de passe-passe linguistique qui a permis l’apparition d’un « virus » à partir de rien.

3e Partie

Petit Chien de Montagne — Naïf ou éclairant au gaz ?

Je ne l’aurais jamais vu si je n’y avais pas cru

Ashleigh Brilliant163

Nous connaissons l’allégation selon laquelle il serait impossible que la majorité de la communauté médicale et scientifique soit sciemment complice des méthodologies non scientifiques de la virologie dans la fraude COVID-19. L’auteur n’avance pas une telle hypothèse, bien que l’on se demande si et pendant combien de temps l’ignorance peut être utilisée comme moyen de défense ? En effet, c’est la raison pour laquelle il a été suggéré plus tôt dans cet essai (dans « Qu’est-ce que la virologie ? ») que « l’abandon de la méthode scientifique peut passer inaperçu ou être accidentel pour les participants de niveau inférieur ». Les virologues fraîchement émoulus sont formés pour suivre les méthodologies de leurs aînés et il est peu probable qu’ils aillent loin dans la carrière qu’ils ont choisie, et bien sûr dans leur financement, s’ils contestent la base du travail de leur laboratoire.

Le 29 janvier 2020, un scientifique chinois en virologie connu sous le nom de « Winjor Little Mountain Dog » (Winjor Petit Chien de Montagne) a posté un texte intitulé « Documentation de la première expérience de découverte d’un nouveau coronavirus » 164. Ce texte décrit l’histoire passionnée d’un initié déterminé à faire éclater la vérité sur ce qui s’est passé à Wuhan au cours du mois précédent et qui a réellement « découvert » WH-Human 1 alias « WH-01/2019 », plus tard rebaptisé « SARS-CoV-2 ». Pour ceux d’entre nous qui sont conscients de la tromperie qui a eu lieu dans le cadre de la charade COVID-19, le texte est certainement suspect de faire partie d’une opération d’éclairage au gaz. Par ailleurs, la relative facilité avec laquelle on peut déduire de quel laboratoire provient l’histoire fait apparaître l’auteur comme extrêmement naïf pour un habitant de l’État communiste chinois. Cependant, le document sera présenté tel qu’il est décrit, c’est-à-dire avec le narrateur croyant découvrir des virus dans les passages sélectionnés suivants.

Je viens de me mettre au travail le 26 décembre 2019. Comme d’habitude, je vais d’abord parcourir les résultats de l’interprétation automatique des micro-organismes pathogènes mNGS pour ce jour.

Ici, l’auteur a décrit son laboratoire effectuant des NGS métagénomiques sur des échantillons bruts de patients, comme indiqué dans les sections précédentes de cet essai. Il a défini le thème du texte de l’auteur, qui a décrit les « virus » en termes de séquences génétiques pouvant être détectées dans l’environnement et assemblées par un logiciel informatique.

De manière inattendue, il a été constaté qu’un échantillon présentait un agent pathogène sensible — le coronavirus du SARS, avec des dizaines de séquences, et que seul cet échantillon présentait un tel agent pathogène significatif.

Il s’agit là d’un saut incroyable : à partir de diverses séquences détectées dans un spécimen brut, on passe à la description d’un « agent pathogène », apparemment sur la base du fait qu’un programme informatique peut l’établir. Non seulement ça, mais l’ordinateur a trouvé un « coronavirus du SARS », dont on sait qu’il est associé à l’état clinique du « syndrome respiratoire aigu sévère ».

ce pathogène est le plus similaire au coronavirus Bat SARS (([38] NdT : celui de la chauve-souris)), avec une similarité globale d’environ 87 % et une similarité avec le SARS [SARS-CoV-1] d’environ 81 %. Le nombre de séquences dans l’alignement est passé de quelques dizaines à plus de 500. En outre, 5 contigs ont été assemblés, ce qui représente plus de 1 200 pb (([39] NdT : bp signifie base pairs ou paires de bases)). À l’heure actuelle, on peut essentiellement confirmer qu’il s’agit d’un coronavirus… Dans une situation aussi urgente, on n’a pas le temps de faire des recherches dans la littérature et on ne dispose pas de beaucoup de données… Nous avons ensuite analysé des milliers de génomes de coronavirus à la manière d’un tapis et les avons évalués en termes de similarité, de couverture et même de distribution des génomes, pour finalement trouver les deux génomes les plus similaires, bat-SL-CoVZC45 et bat-SL-CoVZXC21.

Et c’est ainsi qu’il est « confirmé » que le virus a existé sur la base de la comparaison de certains nouveaux assemblages in silico avec d’autres assemblages in silico précédemment soumis à des bases de données génétiques. L’auteur poursuit en décrivant l’activité suivante, à savoir l’analyse de l’arbre phylogénétique et la construction d’un chemin évolutif pour le dernier ajout à l’arbre généalogique fictif de la virologie. Il y a une absence totale de quelque appréciation que ce soit du fait qu’un virus doit avoir une existence physique réelle en tant que particule distincte avec des caractéristiques biologiques spécifiques, y compris la capacité d’infecter des hôtes et de provoquer des maladies. L’auteur se contente d’affirmer que « l’analyse a essentiellement confirmé la présence d’un virus dans l’échantillon de ce patient ». Plus loin dans le texte, ils font preuve d’une certaine prudence en ce qui concerne la pathogénicité clinique, mais restent convaincus de son existence en faisant le commentaire suivant : « si la pneumonie a été causée par ce virus, nous ne l’avons pas analysé ni ne pouvions pas l’analyser. La détection du virus ne signifie pas que la pneumonie a été causée par le virus ».

le 30 décembre, j’ai entendu dire qu’un certain nombre de patients présentaient des symptômes similaires… Ce qui m’a vraiment rendu nerveux, c’est qu’un ami et un homme d’affaires ont partagé la séquence pour que nous l’analysions. Je l’ai analysée et il s’agissait bien du même virus ! La première pensée du subconscient est « ce virus est contagieux » !

Il n’est pas certain que l’auteur savait que les « symptômes similaires » affligeant les patients décrits à Wuhan étaient tous des symptômes respiratoires non spécifiques. À ce jour, COVID-19 n’est pas une maladie clinique définie de manière officielle, les cas « confirmés » faisant simplement référence au résultat d’un processus de détection moléculaire165. En outre, nous avons déjà traité du raisonnement circulaire et du processus autoréférentiel consistant à inventer un « génome de virus » par le biais de la méthodologie de la virologie, puis à prétendre que la détection d’assemblages presque identiques dans d’autres endroits confirme que « le même virus » a été trouvé166.

La nervosité est due au fait que ce virus inconnu pourrait être aussi terrifiant que le SARS ; l’excitation est due au fait que nous avons détecté et confirmé cet agent pathogène à un stade précoce grâce à la technologie mNGS et que nous avons mis le patient en quarantaine ; il est peut-être possible de prévenir et de contrôler le virus avant qu’il ne se propage largement, étranglé dans le berceau ! … J’espère également qu’après ce nouvel incident lié au coronavirus, la capacité du pays à gérer des événements majeurs en matière de santé publique a fait de grands progrès… Pour autant que je sache, nous aurions dû être les premiers à découvrir ce virus, car c’est après que nous avons communiqué les résultats que le système de contrôle des maladies a commencé à intervenir.

Il appartient au lecteur de décider si l’auteur croit vraiment qu’il a été le premier à découvrir le SARS-CoV-2 et que les experts en santé publique ont ces capacités, ou si ce texte a été conçu et « divulgué » comme un autre élément de la propagande du COVID-19. Il n’y a jamais eu de virus à propager. La seule chose qui s’est répandue dans le monde, à part la peur, c’est le « génome » fictif de WH-Human 1 et les tests PCR qui ont été calibrés sur ses séquences. La « pandémie » aurait pu être stoppée net par le rejet de ces tests ; au lieu de cela, des « experts » en santé publique ignorants ont adhéré à l’antiscience de la virologie et participent depuis à la fraude COVID-19.

Petit Chien de Montagne aurait voulu que l’on sache que son laboratoire était « le premier à découvrir le virus », après la collecte de son échantillon de Wuhan le 24 décembre 2019 et la soumission ultérieure à la base de données GISAID le 11 janvier 2020 sous l’ID d’accès (([40] NdT : Chaîne de caractères alphanumériques unique utilisée pour identifier sans ambiguïté un enregistrement particulier dans une base de données)) « EPI_ISL_402123 ». Avec la séquence in silico de Fan Wu et coll., EPI_ISL_402123 a été utilisé dans la conception des protocoles PCR par l’équipe de Christian Drosten (voir la figure 8 ci-dessous). Cependant, comme l’a souligné David Rasnick, « ils n’ont jamais touché à un virus ». Cela confère un élément d’ironie à l’hypothèse de la « fuite du laboratoire », un récit qui est apparu dans les médias grand public dès début février 2020. 167 Le « virus » a certainement été inventé dans un laboratoire, mais il s’agissait d’un laboratoire informatique et la seule entité qui a été divulguée intentionnellement était une simulation informatique. Les résultats de la simulation ont été envoyés dans le monde entier sous forme de code numérique sur Internet et les amorces PCR qui en ont résulté, déployées en masse dans des kits, ont créé les « cas » de la fraude COVID-19.

Figure 8. Le dépôt GISAID « EPI_ISL_402123 » de Petit Chien de Montagne. Il est apparu aux côtés du dépôt « WH-Human_1|China|2019-Dec » de Fan Wu et coll. pour le protocole RT-PCR de Corman-Drosten, où il est indiqué que « l’alignement [WH-Human_1|China|2019 — Dec] a été complété par des séquences supplémentaires publiées indépendamment sur GISAID ». Source : « Détection du nouveau coronavirus 2019 (2019-nCoV) par RT-PCR en temps réel ».

L’histoire de Petit Chien de Montagne s’est poursuivie avec un éditorial intitulé « Alors que la pandémie explosait, un chercheur a vu le danger. Les dirigeants chinois ont gardé le silence », paru dans le Washington Post le 22 avril 2022168. On y apprend que Petit Chien de Montagne travaillait dans un laboratoire commercial, « Vision Medicals », à Guangzhou, dans le sud de la Chine, et que « son histoire met en évidence une dissimulation aux conséquences tragiques d’une ampleur historique. Un grave danger a été dissimulé jusqu’à ce qu’il soit trop tard ». L’éditorial présente toutes les allégations virologiques comme valables et déclare ironiquement que « l’épisode sert à souligner une fois de plus pourquoi une enquête sérieuse est nécessaire pour faire toute la lumière sur la façon dont la pandémie a commencé ». Une enquête sérieuse sur ce sujet démontre qu’au fond de cette « pandémie », il n’y a rien d’autre que des absurdités, inventées par les virologues et publiées par des organes tels que le Washington Post.

La diversion « Fuite du laboratoire »

Vous supposez ici que la variole est une chose, une entité. Cette erreur est commise par presque tous les adeptes de la soi-disant « école régulière », et ce sera probablement une nouvelle idée pour vous que de vous dire que ni la variole ni aucune autre maladie n’est une entité, mais un état.

Dr Montague R. Leverson, 1909. 169

Le 19 mai 2022, Jeffrey Sachs, président de la Commission COVID-19 du Lancet, a rédigé avec Neil Harrison un article intitulé « A call for an independent inquiry into the origin of SARS-CoV-2 virus170 ». (Appel à une enquête indépendante sur l’origine du virus du SARS-CoV-2). La publication s’ouvre sur le cadrage suivant de la situation COVID-19 :

Depuis l’identification (sic) du SARS-CoV-2 à Wuhan, en Chine, en janvier 2020, l’origine du virus a fait l’objet d’un débat scientifique intense et de spéculations publiques. Les deux principales hypothèses sont que le virus est apparu à la suite d’une exposition humaine à un animal infecté (« zoonose ») ou qu’il est apparu lors d’un incident lié à la recherche.

Toutefois, l’affirmation selon laquelle il existe « deux hypothèses principales » repose sur l’acceptation du fait que « l’identification du SARS-CoV-2 » signifie que la particule a à la fois une existence physique et les propriétés biologiques spécifiques requises pour répondre à la définition d’un virus. C’est-à-dire un parasite intracellulaire transmissible, capable de se répliquer, qui provoque la prétendue nouvelle maladie « COVID-19 ». Comme cela a été souligné dans La Fraude COVID-19 & la Guerre contre l’Humanité, il n’existe aucune preuve de l’existence de la particule ni de la nouvelle maladie proposée171. De plus, dans cet essai, il y a eu une analyse plus détaillée de l’article de Fan Wu et coll. et de leur fausse affirmation concernant « l’identification » d’un virus à Wuhan au début de l’année 2020. D’autre part, les partisans de la fuite des laboratoires, tels que Sachs et Harrison, commencent leur analyse en acceptant sans réserve les prémisses non établies de la virologie.

Dans leur article, ils citent des aspects tels que « la collecte de CoV de chauve-souris similaires au SARS sur le terrain… (et)… l’analyse et la manipulation de ces virus », se plaignant que « la nature précise des expériences qui ont été menées, y compris la gamme complète de virus collectés sur le terrain et le séquençage et la manipulation ultérieurs de ces virus, reste inconnue ». Ils ne se rendent manifestement pas compte que les « CoV de chauve-souris similaires au SARS » ne sont rien d’autre que des intestins de chauve-souris broyés, prétendument « pathogènes » par l’injection de la bouillie directement dans le cerveau de rats nouveau-nés. La manipulation de ces échantillons peut être un moyen d’obtenir des subventions et d’impressionner les non-initiés, mais elle ne change rien à la réalité biologique. De telles expériences ne permettent pas d’établir que leurs échantillons contiennent des virus ou qu’ils ont des propriétés pathogènes dans le monde naturel. S’ils ne peuvent même pas démontrer l’existence de virus dans leurs tentatives publiques, il n’y a pas lieu de s’inquiéter — ce qui se passe derrière des portes closes n’a pas d’importance puisqu’il n’y a pas de virus au départ.

En ce qui concerne le « génome du SARS-CoV-2 » proposé par les virologues, Sachs et Harrison déclarent qu’ils « ne savent pas si l’insertion du FCS (site de clivage de la furine172) est le résultat d’une évolution naturelle — peut-être par le biais d’un événement de recombinaison chez un mammifère intermédiaire ou un humain — ou si elle est le résultat d’une introduction délibérée du FCS dans un virus de type SARS dans le cadre d’une expérience de laboratoire ». Ils seraient mieux avisés d’examiner comment il a été établi que les séquences ou les protéines qu’ils analysent appartiennent à un virus pathogène. Le débat de ces dernières années sur les subtilités du FCS n’est qu’un microcosme dans le paradigme erroné plus large de la génomique et de la protéomique « virales ».

De même, leur mention de prétendues recherches sur les virus menées à l’Université de Caroline du Nord (UNC) ou de propositions de subventions ayant fait l’objet de « fuites », telles que « DEFUSE », adressées à la Defense Advanced Research Projects Agency des États-Unis (Agence des Projets de Recherche Avancée de Défense) ne constitue pas une preuve de l’existence de virus173. (([41] NdT : le soi-disant financement par la DARPA de programmes de recherches dans un laboratoire de Wuhan n’est pas la preuve de l’existence du virus)). Pour être clair, il n’est pas contesté que des institutions telles que l’UNC expérimentent depuis des décennies des entités telles que les protéines de pointe. Certaines de ces séquences ont été brevetées et utilisées dans le développement d’agents biologiques injectables, récemment imposés à de nombreuses personnes sous la forme de vaccins COVID-19174. Cependant, rien de tout cela n’exige l’existence de particules qualifiées de virus.

Malheureusement, le livre des revendications de la virologie est devenu si alambiqué que la plupart des lecteurs ne se rendent pas compte qu’il est en grande partie composé d’absurdités. Quelques jours après la publication de l’article de Sachs et Harrison, The Intercept a pensé qu’il était également sur une piste d’investigation concernant « la théorie intrigante de l’ingénierie virale » 175. Il a fait état d’une étude de 2016 de l’UNC Chapel Hill176 associé à Ralph Baric déclarant que « les scientifiques ont créé un nouveau virus en utilisant la pointe d’un coronavirus de chauve-souris qui avait été isolé et caractérisé par l’Institut de Virologie de Wuhan (WIV — pour Wuhan Institute of Virology) ». On peut supposer que l’auteur ne comprend pas à quel point les virologues utilisent le mot « isolé » de manière trompeuse. En outre, la figure 1 de la page 10 met en évidence l’affirmation absurde selon laquelle le WIV aurait « purifié des virions » qui auraient ensuite été utilisés par Baric et coll. pour « créer un nouveau virus ». Rien ne prouve que l’un ou l’autre laboratoire disposait d’autre chose qu’une soupe anormale de culture de cellules rénales de singe.

L’hypothèse de la fuite de laboratoire n’est qu’un autre récit de l’ère COVID-19 qui entretient dans l’imagination du public l’illusion de l’existence matérielle du SARS-CoV-2, ainsi que des virus pathogènes et de la contagion liée aux microbes en général. Au cours des derniers mois, le récit fondé sur la peur s’est poursuivi avec des déclarations d’épidémies de variole du singe, la détection présumée de « virus » de la polio à Londres, et la théorie de la fuite du laboratoire COVID-19 a même reçu le soutien du directeur général de l’Organisation Mondiale de la Santé en faveur de la maladie et de la pandémie fantômes qu’il a nommées177. Il semble probable qu’il y aura d’autres histoires de « fuites de laboratoire » à l’avenir si elles continuent à capter l’attention de manière aussi efficace.

Comme l’histoire de Petit Chien de Montagne », l’histoire de la fuite du laboratoire repose sur aucune démonstration scientifique de l’existence d’un virus, mais simplement sur la croyance en l’existence d’un virus, à l’aide de quelques preuves apparentes. Dans le même ordre d’idées, en novembre 2020, l’Institut Lowy, qui se décrit comme un « groupe de réflexion sur la politique internationale » australien, a publié un article contenant l’introduction suivante :

En avril 2020, le Dr Ai Fen, chef du service des urgences de l’hôpital central de Wuhan, a accordé une interview au magazine chinois Renwu. Elle a décrit avec force détails comment, fin décembre 2019, elle avait commencé à recevoir aux urgences de nombreux patients présentant des symptômes grippaux qui résistaient aux traitements habituels. Elle a raconté comment elle a « eu des sueurs froides » lorsque le premier rapport sur le virus de l’un de ces patients est revenu. Elle s’est empressée d’entourer les mots « coronavirus du SARS », a fait une capture d’écran du rapport et l’a envoyé à ses collègues. Très vite, son rapport a fait le tour des cercles médicaux de Wuhan. Mais au lieu de mobiliser l’hôpital et les autorités, le Dr Ai a été réprimandée par le comité disciplinaire de l’hôpital pour « propagation de rumeurs » et « atteinte à la stabilité ». Plutôt que d’avertir le personnel et le public, les autorités de l’hôpital ont demandé au personnel de ne pas porter d’équipement de protection individuelle et ont relayé les instructions du comité local de protection de la santé selon lesquelles, pour éviter de semer la panique, il était interdit aux médecins de partager des messages et des rapports relatifs au virus178.

Pour les crédules, cela peut ressembler à une tentative des autorités de dissimuler le début de la « pandémie virale », mais ceux qui sont familiers avec les absurdités de la virologie peuvent voir clair dans les faussetés — aucun de ces cadres ne nécessite un véritable virus. Entourer d’une mention « coronavirus du SARS » dans un « rapport sur les virus » ne repose sur rien d’autre que sur les simulations dans un bureau de Fan Wu et d’autres équipes.

Un autre médecin, Li Wenliang, salué par la BBC comme un « lanceur d’alerte » 179, aurait également été censuré par les autorités chinoises après avoir partagé le rapport du Dr Ai. Le Dr Li, âgé de 33 ans, serait mort du COVID-19 après avoir « contracté le virus alors qu’il travaillait à l’hôpital central de Wuhan ». La promotion somptueuse de cette « dissimulation » par les médias corporatistes et Wikipédia180 serait comique si elle ne faisait pas partie d’une guerre contre l’Humanité. Toutes ces histoires nous ramènent au même récit de peur impliquant un virus contagieux et « mortel ». Cela permet à cette fraude de se propager et ouvre la voie à d’autres fraudes similaires à l’avenir. L’auteur est stupéfait de constater qu’un si grand nombre de membres de la communauté des « défenseurs de la santé » ne font confiance à aucune des affirmations des médias institutionnels concernant le COVID-19, à l’exception de la déclaration selon laquelle un virus mortel est en liberté, ce qui constitue le plus grand mensonge de tous.

L’affirmation selon laquelle les dépôts de brevets relatifs aux « coronavirus » constituent une preuve de l’existence des virus peut être traitée rapidement. En 2021, le Dr David Martin de M-CAM® International a publié le « Dossier Fauci/COVID-19 » 181 dans le cadre des activités de la société :

surveiller les violations éventuelles du protocole de 1925 concernant la prohibition d’emploi à la guerre de gaz asphyxiants, toxiques ou similaires et de moyens bactériologiques (protocole de Genève) et de la convention de 1972 sur l’interdiction de la mise au point, de la fabrication et du stockage des armes bactériologiques ou à toxines et sur leur destruction (BTWC).

Malgré les nombreux brevets portant sur des « méthodes de production de coronavirus recombinants » et les subventions fédérales accordées à des spécialistes du gain de fonction comme le Dr Ralph Baric et son équipe de l’UNC Chapel Hill, aucun de ces documents ne contient de preuve scientifique de l’existence des virus. Le personnel des offices de brevets et ceux qui approuvent les subventions de recherche ne sont pas les arbitres de la plausibilité biologique et ne font que reprendre les affirmations des virologues. Le dossier n’était pas une preuve irréfutable de l’existence d’activités de « gain de fonction » impliquant des virus pathogènes. Peut-être que ceux qui pensaient qu’il l’était n’ont pas tenu compte de l’avertissement de Martin qui dit que « tout au long de ce document, l’utilisation de termes communément acceptés dans la littérature médicale et scientifique n’implique pas l’acceptation ou le rejet du dogme qu’ils représentent ».

Virologie et société close

Je ne suis pas un scientifique, mais c’est le droit et le devoir de chaque citoyen de regarder et de voir ce que les scientifiques ont dit, de l’analyser par lui-même et d’en tirer des conclusions sensées. Nous sommes tous parfaitement capables de le faire, et il n’y a aucune raison particulière pour que la nature scientifique du problème nous oblige à remettre notre liberté entre les mains des scientifiques.

Lord Sumption, 2020. 182

C’est l’Agence de sécurité sanitaire du Royaume-Uni (UKHSA pour United Kingdom Health Security Agency) qui a fourni l’une des réponses les plus étranges jamais vues en ce qui concerne la dissimulation de la véritable nature des contrôles supposés dans leurs prétendues « expériences d’isolement et de séquençage du SRAS-CoV-2 ». Le 27 octobre 2021, en réponse à une demande de liberté d’information concernant l’isolement du virus, ils ont suggéré que l’image représentée dans la figure 9 ci-dessous constituait une « preuve » du virus SARS-CoV-2183. Mon collègue, qui avait fait la demande, n’a pas du tout été dupe d’une image générée par ordinateur qui n’était accompagnée d’aucune information sur la source de l’image ou sur la manière dont elle avait été produite. L’UKHSA a continué à tâtonner sur le plan scientifique, déclarant que les virus « ont besoin d’un substrat cellulaire hôte pour se répliquer. L’isolement d’un virus sans milieu n’est donc pas possible… Ces milieux et tous les produits ajoutés sont tous stériles et ne contiennent pas de matériel génétique supplémentaire » 184. Nous ne pouvons que spéculer sur ce que l’UKHSA pense que les cellules hôtes contiennent, si ce n’est du matériel génétique ! À l’instar des CDC, l’équipe d’intervention a également semblé laisser entendre que l’article de Na Zhu et coll. intitulé « A Novel Coronavirus from Patients with Pneumonia in China, 2019 » (Un nouveau coronavirus provenant de patients atteints de pneumonie en Chine, 2019) permettait de confirmer que la particule de virus SARS-CoV-2 imaginée avait une existence physique.

Figure 9: The https//uksa.blog.gov.uk/2021/02/05/what do we know about the new COVID-19 variants/
L’affirmation farfelue de « preuve » du SARS-CoV-2 du 27 octobre 2021.

Mon collègue a fait remarquer à l’UKHSA qu’elle n’avait aucune preuve de l’existence d’un virus et que, de ce fait, elle s’impliquait elle-même en « blessant inutilement des personnes en leur inspirant de la peur, en leur retirant sommairement leurs droits et en les contraignant à suivre un traitement inutile et nuisible, ce qui est moralement répréhensible185 ». Sans se décourager, il a écrit à nouveau à l’UKHSA quelques mois plus tard pour demander la divulgation de la méthodologie complète des expériences de culture cellulaire et de tout contrôle comparatif dans le document de Public Health England, « Duration of infectiousness and correlation with RT-PCR cycle threshold values in cases of COVID-19, England, January to May 2020 » (Durée de l’infectiosité et corrélation avec les valeurs seuils du cycle RT-PCR dans les cas de COVID-19, Angleterre, janvier à mai 2020) 186. La lettre de réponse de l’UKHSA datée du 25 mars 2022 contenait un texte qui représentait soit une conspiration entre l’OMS et des États-nations souverains pour ne pas divulguer les détails de la tromperie de la « culture virale » qui est au cœur de la fraude du COVID-19, soit une profonde ignorance de la part de l’UKHSA en décrivant le SRAS-CoV-2 comme un « virus à haut risque » 187.

Conformément à la section 1 (1) (a) de la loi, l’UKHSA peut confirmer qu’elle détient les informations demandées concernant les questions ci-dessus. Toutefois, les informations demandées ne peuvent être divulguées en vertu de l’article 24 (1) — Exemption pour Sécurité Nationale. La section 24 (1) prévoit que les informations sont exemptées si l’exemption de la section 1 (1) (b) est nécessaire pour sauvegarder la sécurité nationale. Par « nécessaire », on entend que le recours à l’exception est raisonnablement nécessaire…

Les facteurs qui justifient le maintien de l’exemption sont les suivants :

La divulgation de ces informations constituerait une information technique très détaillée, un transfert de savoir-faire, qui irait directement à l’encontre d’une demande explicite de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) à Santé Publique Angleterre (Public Health England ou PHE, aujourd’hui UKHSA) en 2020 de ne pas divulguer ou diffuser largement les détails de l’amplification de la culture du SARS-CoV-2 ;

La divulgation de ces informations consisterait à détailler la méthodologie exacte utilisée dans l’amplification du virus pour un virus désigné à haut risque, nécessitant un confinement de niveau 3, et pourrait constituer une menace pour la biosécurité nationale et mondiale si elle était communiquée à un membre du public non identifié ou non vérifié ou à des agents mal intentionnés

La divulgation de ces informations permettrait d’acquérir un important savoir-faire qui pourrait, dans certaines circonstances, être considéré comme une menace pour la biosécurité188.

Un réexamen de cette décision a été demandé par mon collègue, mais la décision a été confirmée par l’UKHSA le 3 mai 2022, au motif que la communication des détails de l’expérience de culture cellulaire « a été compensée par la menace que la divulgation fait peser sur la sécurité nationale » 189. On ne voit pas très bien en quoi le fait de garder secrets les détails de leur méthodologie expérimentale est nécessaire aux efforts du Royaume-Uni pour « sauvegarder la sécurité nationale ». Il a été révélé que les virologues n’effectuent pas d’expériences de contrôle valables et que leurs affirmations concernant « l’isolement de virus » n’ont pas été établies dans la littérature scientifique. Les autorités craignent-elles que, si elles admettent cela officiellement, il y aura une révolte lorsque le grand public réalisera les crimes qui ont été commis sur la base d’affirmations provenant d’expériences virologiques frauduleuses ? Leur obstruction officielle à la divulgation de ces informations au public, invoquant la « biosécurité », est paradoxale étant donné que l’existence du prétendu « virus à haut risque » n’a pas été démontrée.

Maggie Throup, sous-secrétaire d’État parlementaire chargée des vaccins et de la santé publique, est peut-être la seule à avoir surpassé les réponses complètement folles de l’UKHSA. Dans un courriel adressé à sa collègue députée Rachael Maskell le 27 juin 2022, Mme Throup a déclaré que,

« L’Agence britannique de sécurité sanitaire (UKHSA) n’utilise pas les postulats de Koch dans le COVID-19, car ils sont trop restrictifs et suggèrent une association plutôt qu’une causalité. Koch a également abandonné ses postulats lorsqu’il a découvert un portage asymptomatique. Les critères de Bradford-Hill sont plus couramment utilisés lorsqu’il s’agit d’associer un virus à une maladie. Il convient toutefois de noter que le SARS-CoV-2 répond aux postulats de Koch, comme le démontre l’article suivant, où un modèle animal a été utilisé » 190.

Comme cela a été souligné plus haut dans cette section de l’essai, il est absurde de prétendre que les postulats pourraient être satisfaits alors que l’existence du microbe postulé n’a jamais été établie. En outre, l’article de 2020 auquel Throup fait référence est « The pathogenicity of SARS-CoV-2 in hACE2 transgenic mice » 191 (La pathogénicité du SARS-CoV-2 chez les souris transgéniques hACE2). Cet article n’a jamais établi qu’il y avait un virus dans ses échantillons, n’avait pas de contrôles valides, ne suivait pas les postulats de Koch et présentait d’autres aspects de la fraude192. Cependant, Throup a continué à promouvoir des absurdités virologiques en prétendant qu’une autre étude193 « démontre l’évolution de la maladie COVID-19, à partir du moment où une personne rencontre pour la première fois le SRAS-CoV-2, tout au long de l’infection jusqu’au moment où le virus est apparemment éliminé ». Une fois de plus, l’article affirmait simplement qu’il y avait un virus dans leurs échantillons et n’avait aucun contrôle valide, sans parler des autres aspects non scientifiques de l’étude qui ont été traités ailleurs, y compris la réfutation complète de l’article par ViroLIEgy alors qu’il s’agissait d’un avant-tirage194 (([42] NdT : tirage avant publication officielle ou grand public)). En d’autres termes, les politiciens tels que Throup répètent les absurdités de la virologie et soumettent ainsi leurs électeurs à une gamme obscène de conséquences inutiles et parfois mortelles.

Séquençage métagénomique : le dernier soupir de la virologie ?

L’ambition réductionniste de la biologie moléculaire ne risque-t-elle pas d’être contrariée par le volume des données qu’elle produit, voire par l’intérêt passionnant de leur collecte ?

Sir John Maddox195

Le coût du séquençage a chuté de façon spectaculaire depuis 2001, lorsqu’il s’élevait à plus de 5 000 $ US par mégabase brute (Mb), jusqu’en 2007, lorsqu’il était d’environ 500 $ US par Mb, après quoi il a chuté précipitamment à 0,005 $ US par Mb vers le milieu de l’année 2021196. En outre, l’émergence du séquençage de nouvelle génération (NGS) vers 2005 a entraîné une réduction massive du temps nécessaire au séquençage des génomes. Comme l’indique un article paru en 2017 dans Biology and Medicine,

Le génome humain, par exemple, est constitué de 3 milliards de paires de bases… le séquençage du génome humain à l’aide du séquençage Sanger a pris près de 15 ans, a nécessité la coopération de nombreux laboratoires dans le monde entier et a coûté environ 100 millions de dollars US, alors que le séquençage par des séquenceurs NGS à l’aide du 454 Genome Sequencer FLX a pris deux mois et a coûté environ un centième de ce coût197.

Le même document poursuit en indiquant que « malheureusement, les NGS sont incapables (sic) de lire la séquence d’ADN complète du génome, ils sont limités au séquençage de petits fragments d’ADN et génèrent des millions de lectures. Cette limite reste un point négatif, en particulier pour les projets d’assemblage du génome, car elle nécessite des ressources informatiques importantes. »

Il est souligné qu’en ce qui concerne la virologie, une préoccupation bien plus importante que les « ressources informatiques » est qu’un processus qui peut être utilisé pour le séquençage du matériel génétique de provenance connue (par exemple les cellules humaines, bactériennes et fongiques) s’est transformé en un assemblage algorithmique de fragments génétiques de provenance inconnue. C’est sur cette base que les chasseurs de virus identifient ce qu’ils prétendent être des virus. Les ressources informatiques ne sont plus un problème pour les virologues, car ils extraient des informations de leurs méthodologies totalement anti-scientifiques de « pipeline de laboratoire humide » impliquant des échantillons bruts et introduisent ces lectures non filtrées générées dans leur « pipeline de laboratoire sec » théorique et ses modèles in silico. (([43] NdT : le « laboratoire humide » est le laboratoire habituel utilisé par les biologistes et qui comporte donc des arrivées d’eau, des fioles, etc.. Le « laboratoire sec » c’est tout simplement une salle qui contient des ordinateurs.))

Il semblerait que la combinaison de coûts de séquençage massivement réduits et de délais raccourcis ait accéléré la descente de la virologie vers une antiscience supplémentaire, pour laquelle l’humanité paie un prix très élevé pour des virus inexistants qui sont inventés à volonté et utilisés comme excuses pour des interventions fallacieuses et la réduction en esclavage. Une publication d’octobre 2019 dans Critical Reviews in Microbiology (Revisions critiques en microbiologie) affirme que « le mNGS (NGS métagénomique) donne de bons résultats dans l’identification de pathogènes rares, nouveaux, difficiles à détecter et coinfectés directement à partir d’échantillons cliniques » 198. Cependant, « donne de bons résultats » en ce qui concerne l’identification de nouveaux « pathogènes viraux » n’a pas de sens, car ils sont également tombés dans le tourbillon du raisonnement circulaire de la virologie. La plupart des « nouveaux agents pathogènes » qu’ils ont énumérés dans leur article étaient des virus dérivés de la technique moderne « indépendante de la culture » prétendument avantageuse de la mNGS. Cependant, une fois de plus, si personne ne peut cultiver ou isoler physiquement de prétendus virus, comment peut-on prétendre que les diverses séquences génétiques présentes dans les échantillons environnementaux proviennent de ces virus ? Comme cela a été souligné, la déclaration de Fan Wu et coll. d’un « nouveau coronavirus » à Wuhan était entièrement basée sur de telles séquences génétiques. La tentative de la virologie de faire passer cette méthodologie pour une preuve de l’existence de particules virales a introduit une hypothèse non réfutable qui n’est pas conforme à la méthode scientifique.

Figure 10. Le système MiniSeq d’Illumina — comment l’équipe de Fan Wu et d’autres chercheurs trouvent des « virus » in silico au 21e siècle grâce à des algorithmes informatiques. Ce processus se déroule dans le cadre d’un laboratoire sec, sans qu’il soit nécessaire de démontrer l’existence d’une particule infectieuse à l’origine d’une maladie.

La spécialisation (et l’automatisation croissante) du processus génomique conduit à une situation où peu de personnes peuvent apprécier le tableau d’ensemble, depuis l’évaluation clinique d’un patient jusqu’aux séquences de nucléotides générées sur un écran d’ordinateur. Les virologues invalident le processus du « génome du virus » dès la première étape en n’établissant jamais qu’ils disposent d’une particule répondant à la définition d’un virus. Ils ne démontrent certainement jamais que les séquences qu’ils prétendent être « virales » proviennent de l’intérieur d’une telle particule imaginaire. Au lieu de cela, ils prétendent que de telles déclarations peuvent être faites par consensus, que les séquences soient qualifiées de « non humaines » ou de « nouvelles » et qu’elles correspondent à des séquences « virales connues » qui ont été précédemment déposées dans les banques de données génétiques. Cependant, la Nature n’obéit pas aux histoires créées par l’homme.

Le processus métagénomique permet l’invention de novo de telles séquences virales et a permis au manège de la virologie de continuer à tourner au 21e siècle. Cependant, en raison de l’incapacité de la virologie à respecter ses propres postulats au cours du siècle dernier, il est presque certain que son avenir sera entièrement construit autour de cette mauvaise utilisation, ou du moins de cette mauvaise application, de la métagénomique. On peut espérer que l’incapacité récente de plusieurs organisations à prouver qu’elles effectuent des expériences de contrôle valables indique que les pandémies virales sont à bout de souffle sur le plan scientifique. Elles ne pourront se propager qu’aussi longtemps que cette dernière fraude sera cachée au public. On peut s’attendre à ce que, dans le dernier souffle de la virologie, la métagénomique continue d’être vendue de manière trompeuse comme un « progrès technologique » et prétendant, de manière commode, comme ayant rendu obsolètes les preuves scientifiques appropriées.

Comme nous l’avons souligné, les folies de ces « avancées technologiques » peuvent généralement être mises en évidence en posant une simple question pour vérifier si elles respectent la méthode scientifique. Par exemple, en 2020, une équipe canadienne a affirmé qu’elle comparait diverses techniques pour « le séquençage du génome entier du SRAS-CoV-2 » à partir d’écouvillons nasaux prélevés sur deux personnes prétendument atteintes du COVID-19199. L’un des auteurs était le Dr Andrew McArthur, professeur agrégé de biochimie et de sciences biomédicales à l’université McMaster, au Canada. Il lui a été demandé s’ils avaient « (essayé) d’extraire l’ARN de témoins sains (personnes saines ou échantillons PCR négatifs) ou de surnageants non infectés, mais exempts de virus », pour voir s’ils pouvaient également assembler un « génome SARS-CoV-2 » grâce à leur méthodologie ?

McArthur a répondu que « nous n’avions pas d’écouvillons de témoins sains, mais l’étude comprenait des contrôles négatifs pour les applications/bibliothèques, c’est-à-dire qu’aucun échantillon d’ARN n’était inclus » 200. En effet, il n’y avait qu’une seule mention d’un « contrôle » dans l’article où il était dit : « une bibliothèque de contrôle négatif sans extrait d’ARN du SARS-CoV-2 a été incluse en utilisant l’amplification de l’ARTIC ». Une fois de plus, l’absence d’un contrôle valable, à savoir un échantillon d’origine humaine dépourvu du prétendu « virus », place cet article dans les vastes archives des absurdités métagénomiques de la virologie. Ironiquement, leur article affirme également que « COVID-19 est causé par le coronavirus 2 du syndrome respiratoire aigu sévère (SARS-CoV-2), un nouveau coronavirus apparu en décembre 2019 », en citant l’article de Peng Zhou et coll. dont la fraude a été exposée plus haut dans cet essai.

Pourquoi s’interroger sur l’existence de virus pendant une guerre ?

L’auteur a observé et a été en contact avec un certain nombre de personnes du mouvement « Health Freedom » (([44] NdT : mouvement pour la Liberté de la Santé, coalition libertaire qui s’oppose à la réglementation des pratiques de santé et plaide pour un accès accru aux soins de santé « non traditionnels »)) qui soutiennent qu’il est inutile de discuter de la question de savoir si l’existence du SRAS-CoV-2 ou de tout autre virus pathogène a été démontrée. Parmi les arguments avancés, on peut citer le fait que cela détourne l’attention des crimes commis contre l’Humanité, qu’il s’agit d’une erreur stratégique, car cela crée davantage de divisions, et que si l’hypothèse virale (ou la « théorie » des germes au sens large) est contestée, une théorie alternative doit être présentée. Il n’est pas nécessaire de dresser une liste exhaustive des personnes qui avancent de telles affirmations, mais le Dr Roger Watson, universitaire britannique, a déclaré en mars 2022 : « Il est difficile de comprendre comment Sam Bailey parvient à ses opinions et il n’est pas nécessaire de nier l’existence du virus pour critiquer vivement la façon dont la pandémie a été gérée » 201. La critique de Watson illustre ce que l’on espère avoir démontré comme étant une opinion mal informée qui repose sur la répétition des affirmations de la virologie. Notre point de vue ne devrait pas être difficile à comprendre pour ceux qui ont mené des enquêtes approfondies sur l’histoire, les méthodologies anti-scientifiques et les déclarations des virologues, y compris la déclaration d’un « nouveau coronavirus » en 2020, et qui se sont efforcés de communiquer cette fraude au public dans un langage clair.

Dans certains cas, ces critiques affirment que tout ce qui concerne la pandémie est une fraude, à l’exception de l’affirmation des virologues (et de l’OMS) selon laquelle le SARS-CoV-2 a une existence physique en tant que particule pathogène. Ils ne voient pas que la base même de la fraude est également une fraude. La difficulté pour certains, même ceux qui font partie du mouvement pour la liberté, pourrait être que la répudiation de l’existence du virus se ferait au prix de la remise en question d’une grande partie du travail de toute une vie. Cependant, au cours d’une enquête, il ne faut pas s’arrêter pour des raisons de commodité ou parce que l’état actuel des connaissances ne permet pas d’aller plus loin. Au contraire, c’est une grave erreur de laisser les « faits » fondamentaux être dictés par l’establishment de la virologie. Le cœur de la fraude du COVID-19 repose sur les affirmations de la virologie. Ce n’est pas une erreur stratégique que d’orienter notre énergie vers la mise en évidence des faiblesses de la virologie, sinon le fait de mettre en échec les réponses au COVID-19 tout en laissant intactes les absurdités de la virologie ouvre la porte à toutes sortes de « pandémies virales » à l’avenir. La compréhension de l’ensemble de la fraude élimine la peur infondée de la contagion et permet d’emprunter une voie plus solide vers une liberté durable.

Post-scriptum

Quelle que soit la longueur d’un essai sur ce sujet, il y aura toujours plus de questions sous la forme de « mais qu’en est-il de… ? ». Le désir d’adapter les phénomènes observés au modèle viral est fortement programmé à de nombreux niveaux. Cet essai n’avait pas pour but d’expliquer les observations périphériques ou la cause de diverses maladies dans des organismes tels que l’homme. Comme cela a été détaillé, il suffit de démontrer que l’hypothèse virale s’est réfutée d’elle-même. Les virologues n’ont fourni aucune preuve directe de l’existence de virus pathogènes et ont eu recours à des observations indirectes qui ne sont pas valables en raison de la nature incontrôlée des expériences (([45] NdT : Sans faire les expériences de contrôle)). De plus, en adhérant à la méthode scientifique, nous ne sommes pas obligés de fournir une autre explication à ces phénomènes — lorsqu’une hypothèse a été réfutée, ne serait-ce qu’une seule fois, c’en est fini d’elle. Tragiquement, les explications à de nombreuses questions du type « mais qu’en est-il de… ? » ont déjà trouvé une réponse ailleurs, mais la séduction du « virus » et le poids des intérêts qui l’entourent ont créé une barrière de connaissances artificielle pour de nombreuses personnes. Dans cette optique, je me suis efforcé de servir le but le plus élevé que je connaisse et j’espère que mes contributions aideront l’Humanité à se débarrasser une fois pour toutes des chaînes virales imaginaires.

Le progrès consiste non pas à accroître la vérité, mais à la libérer de ses enveloppes. La vérité s’obtient comme l’or, non pas en la faisant grossir, mais en la débarrassant de tout ce qui n’est pas de l’or.

Léon Tolstoï202

Au sujet de l’auteur

Dr Mark Bailey MB ChB, PGDipMSM, MHealSc (Otago), est un chercheur en microbiologie, en industrie médicale et en santé qui a travaillé dans la pratique médicale, y compris les essais cliniques, pendant deux décennies.

Traduction Jean Bitterlin 24 décembre 2023

INDEX




COVIDISME, CLIMAT ET WOKISME : LES NOUVELLES RELIGIONS ; Les Religions Postchrétiennes Occidentales 

[Source : planetes360.fr]

Par Aldo Sterone

Contrairement à ce qu’aime affirmer une certaine presse qui me « décode » régulièrement, je ne suis pas conspirationniste. Au contraire, je crois que les choses sont ce qu’elles ont l’air d’être.

On ne peut pas me pisser dessus et dire qu’il pleut. Si ceci arrive, je vais te dire : mais c’est de l’urine ce truc ! À ce moment, le décodeur va intervenir : le liquide en question n’a pas été soumis à des laboratoires certifiés. Il n’y aucune preuve qu’il s’agit d’urine comme l’affirmait Aldo Sterone dans un Tweet partagé cinq mille fois en début de semaine…

[Source : Amazon]

Chapitre Premier
Où l’on fait connaissance et nous nous échangeons plein de points Godwin.

Ça fait trente ans que j’ai quitté mon pays natal, l’Algérie, pour débarquer en Occident, ou ce qu’il en reste. En 1991, pendant que je regardais défiler les côtes d’Oran, de Mostaganem et de Chlef depuis le hublot du 737-200 qui entamait son vol vers Genève, les premiers islamistes prenaient le maquis. Dans de nombreuses villes du pays, les groupes terroristes s’organisaient et recrutaient. Les premières armes automatiques circulaient ; pas au grand jour encore.

Une guerre bestiale, une véritable boucherie, était sur le point de se déclencher. Elle n’allait épargner personne. Pas une famille qui ne sera touchée durant ce qu’on nomma par la suite « la décennie noire ». Cette appellation, incluant la couleur noire dans un contexte négatif, serait considérée comme douteuse dans l’Occident d’aujourd’hui. Essayez de balancer un « noir de monde » dans un VTC parisien pour voir…

La guerre civile sur fond de religion exacerbée ne nous est pas tombée dessus du ciel (le jeu de mots est accidentel). Elle faisait suite à dix ans, les années quatre-vingt, d’hystérie collective autour d’idéologies importées et introduites de force dans notre société.

En tout cas, j’étais jeune et naïf. Le cœur plein d’espoirs et de rêves, en quittant l’Algérie, j’avais l’impression de m’évader d’un asile psychiatrique. Je ne savais pas que j’allais atterrir dans un autre…

En Algérie, nous avions une seule religion. En Occident, il y en a mille. Après sa déchristianisation à pas forcés, ce monde a développé un rapport dogmatique et malsain avec tout ce qui l’entoure ; de la religiosité sans religion dirait René Guénon. L’Occident a aussi ses idéologues, ses intégristes, ses officines de chasse aux sorcières. En plus de tout ce monde, il a les islamistes également. Le Covid, l’Ukraine, les LGBT+, le Brexit, la vaccination… chaque sujet est religion.

Dans ce livre, les problèmes de ce monde seront couverts sous un angle particulier : celui de la France. Le même agenda se déroule au Royaume-Uni, en Suisse, en Belgique… dans pratiquement tout le monde Blanc postchrétien. On exclut la Russie qui reste en dehors tant que Poutine sera à sa tête. Le jour où il partira, ce grand pays sera une priorité pour les forces de destruction. Ou bien elles tomberont sur un autre os, ou bien on verra un grand chantier démolition pour rattraper le retard sur la feuille de route.

Ce monde, dont la France n’est qu’un cas particulier, est en plein coulage. Cette chute inexorable n’est pas un accident, ni une fatalité. Elle correspond au déroulement d’un plan, d’un agenda bien huilé. Il est impossible que des actions aussi diverses et variées viennent s’emboîter comme par magie et concourir dans la même direction sans qu’il y ait une intention derrière. Nier l’existence d’un plan est une position intellectuellement intenable. C’est comme prétendre qu’un tas de pièces détachées renversées par un tremblement de terre se soient organisées, agencées et structurées par hasard pour fabriquer une voiture prête à circuler. C’est croire à la génération spontanée.

Rassurez-vous, l’existence d’un agenda ne suppose nullement l’existence d’un méchant au ricanement diabolique caressant un chat endormi d’une main couverte de bagues et de tatouages représentant des têtes de mort. L’organisation derrière le plan est plus subtile. L’époque est à la décentralisation. On dirait même à l’uberisation. Le plan n’est pas une liste d’ordres à destination de personnes précises ; ce n’est pas non plus une recette de cuisine. C’est plutôt une plateforme diffuse. Au plus fort, elle impliquera des millions de personnes qui agissent chacune pour une raison différente, mais toutes dans la même direction. L’auteur du plan se fiche pas mal pourquoi telle ou telle personne y participe. L’important est que l’agenda avance. Certains y viendront par appât du gain, d’autres par idéologie, ou par conformisme, ou par lâcheté, ou parce qu’ils ne « faisaient que leur travail »… chaque participant en bout de chaîne ne voit que sa pièce du puzzle, mais jamais l’image entière.

Durant la Seconde Guerre mondiale, les nazis utilisaient les trains pour déporter des familles entières depuis les territoires sous leur zone d’influence. Rien que le 16 et le 17 juillet 1942, c’est 4115 enfants, 2916 femmes et 1129 hommes qui ont été raflés par la police française et entassés dans le Vélodrome d’Hiver à deux pas de la Tour Eiffel. Au-delà de l’horreur du crime, cela montre comment à l’époque tout était centralisé ou concentré au même endroit. D’où l’idée des camps de concentration.

Serait-on capable de perpétrer les mêmes crimes aujourd’hui ? Certainement. Avec les mêmes méthodes ? Probablement pas. Tout d’abord, si on devait déporter de nos jours, on n’utiliserait pas le train nécessairement. En effet, pour la régularité, il faudrait créer des « contrats déportation » et les ouvrir à la concurrence. Les entreprises de transport aérien, routier et ferroviaire soumettraient leurs offres. Naturellement, on ne retiendra pas la plus efficace, ni la moins chère, mais celle qui offre les meilleurs pots-de-vin, qui finance les campagnes électorales ou qui offre un poste de cadre supérieur au petit qui vient de finir son université. C’est ce qu’on appelle pudiquement « le marché libre ».

En réalité, ça ne se passerait pas complètement ainsi de nos jours. Nous vivons dans un monde décentralisé. À quoi bon rassembler les gens dans un vélodrome puis les transporter vers des lieux de concentration ? En plus, avec ce genre de procédures, on finira toujours par mettre trop de responsabilités entre peu de mains. Regardez Maurice Papon ! Il a été poursuivi pour avoir déporté 1600 juifs. Avec la décentralisation, ça ne serait plus possible parce que le crime serait dissous entre beaucoup d’intervenants tellement ubérisés que nul n’y serait à plein temps ou ne comprendrait à quoi il a participé. Il n’y aura plus de « gardien de camp de concentration entre 1941 et 1943 », mais uniquement des gens qui « font des heures » qu’ils traquent sur une « appli » qui affiche les sous qui rentrent. Le gars est sur un mirador entre 13 h et 17 h 15 et le soir il frappe chez les gens pour livrer des pizzas. Le matin, il conduit un van qui se gare comme une loque pour décharger une cuisinière à gaz achetée en ligne à tempérament sur le site d’une grande enseigne. L’après-midi, il livrerait des canettes de Zyklon-B et comme personne n’est là pour signer, il les laisserait devant l’entrée et des gamins viendraient piquer le consignement et l’ouvrir sur une aire de jeux.

Honnêtement, si le crime était commis aujourd’hui, on aurait 12 millions de morts, mais 120 millions de coupables.

Je n’ai encore jamais participé à un peloton d’exécution, mais on dit qu’il y a toujours un fusil chargé à blanc et on ne sait pas qui le porte. Ça permet à chacun de se dire plus tard : « c’était peut-être le mien » et ainsi dormir plus tranquillement. Notez la faillite morale dissimulée par un micro-string. Si la personne se joint au peloton, pointe un fusil et tire, le reste, c’est du détail. Le fait que le fusil ne marche pas ou qu’il n’était peut-être pas chargé ne change rien au fait que l’intervenant a participé à une exécution. Si on veut faire une virée sur le plan physique, tirer avec un fusil chargé offre un tel recul (ça tape fort sur l’épaule) qu’il est difficile de ne pas s’en rendre compte.

Dans le paragraphe plus haut, remarquez comme le fusil est chargé à « Blanc ». Cela veut dire qu’il ne tue pas. Qu’il n’est pas dangereux. Décidément, il y a beaucoup de justice sociale à faire sur la langue. Un gros chantier de déconstruction.

La digression sur les pelotons d’exécution vient de mon côté africain. D’ailleurs ce livre n’est rien d’autre qu’une vision africaine de l’Occident. Quand il est à l’école, l’Occidental se tape un zéro pour un hors sujet. Des légions de profs sont chargées par l’éducation nationale de détruire tout germe de pensée humaine chez les têtes blondes (ou ce qu’il en reste. Les Jules et les Prosper ne seront pas la France de demain). On leur impose une pensée structurée et organisée en silos. En fait, c’est de la pensée dirigée qui doit rester dans les limites imposées ; penser, mais pas trop. Écrire une dissertation sur la Seconde Guerre mondiale peut ramener un 17 sur 20. Parler de ceux qui l’ont financée est un hors sujet valant zéro. Dans notre monde, tout est connecté à tout. Or, travailler sur ces connexions est un réflexe anti-pavlovien. Des millions de gens se contentent d’une vision zoomée, comme au microscope, sur un aspect précis du problème. Dès qu’on cherche à dézoomer, les coups de bâton arrivent sur la tête. Seuls vos maîtres qui planifient votre sort ont le droit de voir la vision globale de l’image que forme le puzzle. Le citoyen moyen doit rester avec des miettes d’image qu’il tournera dans sa tête sans jamais comprendre. Cette incompréhension nourrira ses peurs, ses angoisses, ses inquiétudes et le rendra enfin mûr à être manipulé.

Un homme manipulé (ou manipulée) deviendra, sans s’en rendre compte, l’ennemi de sa famille, de sa nation et même de sa propre personne. Il soutiendra ses oppresseurs. Il répètera leur propagande comme un perroquet. On hésite entre le bousculer mentalement, le prendre en pitié ou bien lui offrir un sachet de cacahuètes de production organique et carbone neutre.

Je disais que la pensée africaine dont ce livre est l’issue est déstructurée. Pour ceux qui font l’informatique, c’est une sorte de NoSQL. L’absence de structure formelle permet d’associer des données non semblables sans relation entre elles et qui seraient impossibles à faire tenir ensemble dans un cadre où une structure forte est imposée.

Connaissant mes lecteurs, je perçois d’ici l’agacement de certains : mais alors toi l’Einstein africain, si votre pensée est si puissante, pourquoi vous vivez dans la galère sur votre vaste continent et que nombre d’entre vous ne rêvent que d’immigrer chez nous ? Présentement, nous ne sommes ni plus ni moins intelligents que les Occidentaux. Nous avons nos forces et nos travers, mais ceux-ci sont différents des vôtres. Quelque part, nous sommes complémentaires. C’est pour cela aussi que j’écris ce livre.

L’Occidental a une très forte intelligence organisationnelle. Nous l’admirons pour cela. Là où il est capable de lancer une industrie qui emploie 100 000 personnes et conquiert le monde, nous ouvrons un atelier avec deux cousins et un copain. Notre structuration est si faible, que nous n’arrivons même pas à faire respecter des règles collectives aussi simples que le Code de la route. Chaque fois que je débarque en Algérie, je vois des morts : des bus dans des ravins, des taxis renversés, des piétons dans un arbre, un motard porté disparu, un carambolage dans le brouillard, un camion-citerne qui déchire une Renault 4 TL pleine de pommes de terre, une mobylette qui rentre dans une boulangerie à plus de 80 km/h, un vélo qui se prend un portail, un accident face à face, une Dacia sous un semi, un tracteur renversé… C’est le prix de la liberté.

Je n’ai pas toujours pensé ainsi. Au départ, à mon atterrissage en Suisse, j’admirais l’ordre et l’organisation. Le courrier A qui arrive exactement le lendemain. Le courrier B arrive dans deux jours. Le bus qui vient à l’heure. Le croyez-vous ? ils avaient même des tables, genre Excel, avec les heures exactes de passage. Ça donnait des trucs du style : 10 h 17, 10 h 33, 10 h 41… et ça marchait. Il m’arrivait d’observer le manège montre en pogne juste pour la beauté de la chose. En Algérie, nous avions le bus 34, celui de la cité des 200 logements, qui ne passait plus parce que des jeunes se sont bagarrés avec des contrôleurs puis ça a fini avec un parpaing dans le pare-brise et une grosse fitna. Tu peux devenir fou quand tu passes d’un monde à l’autre, moi je te le dis.

Maintenant, il faut aussi voir le bon côté des choses. Si Adolf Hitler avait surgi en Algérie, nous l’aurions appelé « Moustache » et ses projets n’auraient pas pu aller trop loin. Si tu veux construire un camp d’extermination près d’Alger, je vais te dire ce qui va se passer. Cinq ans après le début du projet, nous attendons toujours les autorisations nécessaires. Puis, on change de chef de projet et le nouveau venu découvre que le budget a été détourné et que les caisses sont vides. Le terrain pressenti pour la construction est inondable. Le matériel laissé sur place a été volé sauf un engin trop lourd pour être pris, mais qui a été vandalisé par des jeunes qui s’amusaient. Le Zyklon B vient de Chine. Il est bloqué au port parce qu’il manque des documents. On graisse la patte à un douanier qui promet de s’en occuper puis on apprend qu’il a été arrêté dans une affaire de viande d’âne alors qu’il revenait d’un pèlerinage à la Mecque. Enfin, quand les canettes de gaz arrivent, elles sont éventées et ce sont peut-être même des fakes parce que le gars qui s’occupait des achats s’est arrangé avec son frère qui tient une boucherie hallal à Barbès pour fabriquer un société écran et commander du faux gaz surfacturé.

Si nous avions besoin de commettre un crime pareil dans mon pays d’origine, nous devrions probablement faire appel à des entreprises allemandes. Même Saddam, quand il a voulu bombarder les Kurdes, a fait venir les gaz de chez Heberger AG (prononcer le G comme dans hamburger) et Karl Kolb Gmbh. Pour des raisons évidentes, l’opinion publique allemande est généralement très sensible sur les crimes utilisant des produits chimiques sauf quand ce sont des sous-hommes qui se font tuer.

Avant de critiquer, laissez-moi vous dire quelque chose : j’ai déjà vécu en Allemagne. Toutes ces histoires de mémoire, c’est du folklore germanique. À force de répétition, c’est devenu un peu comme ces fêtes de village ou parfois interviennent des acteurs masqués et des chorégraphies étranges, mais que peu de gens savent expliquer. Il faut parfois remonter loin dans l’Histoire pour trouver des événements, parfois tragiques, à l’origine de ces fêtes. Ça se passe ainsi en Allemagne : des courbettes mémorielles, des salamalecs, de la contrition, mais prêts à recommencer demain matin.

En Afrique, notre désorganisation nous empêche de fabriquer des industries de large échelle et viables. Dans le même ordre d’idée, elle nous empêcherait d’industrialiser l’horreur. Hors guerres civiles, un dictateur africain c’est cinquante morts par décennie. Les plus ignobles tournent autour de 2 ou 3 kilomorts par mandat.




L’archevêque Viganò sur le Pizzagate, Gaza, l’Ukraine, le Forum Économique Mondial…

[Source : Ciel Voilé]



Extrait plus complet, en anglais :

Intervention intégrale, en anglais :

Transcription de la conférence en français :

[Source : medias-presse.info]

« Le Pape est-il catholique ? » 

Conférence de son Exc. Mgr Carlo Maria Viganò

en ligne organisée par le professeur Edmund Mazza (USA) 

« Aspicite nobis illusiones » – Ils disent aux voyants : « N’ayez pas de visions » et aux prophètes : « Ne nous faites pas de prophéties sincères,  dites-nous des choses agréables, prophétisez des illusions » [Is 30, 10]

Avant-propos

Cette conférence en ligne organisée par le Professeur Edmund Mazza a pour thème un sujet qui n’apparaît que récemment dans le domaine public, après plus de dix ans d’horreurs pires que celles dont nous avons été témoins au cours des soixante dernières années, mais parfaitement cohérentes avec les fondements philosophiques et théologiques posés à la crise actuelle par le Concile Vatican II. Le Pape est-il catholique ? En d’autres temps, une telle question aurait presque résonné comme un blasphème, tant le respect et l’amour des fidèles pour le Pontife Romain, considéré comme le doux Christ sur terre, étaient profondément enracinés. Qui, à l’époque de Pie XII, aurait osé remettre en cause son autorité morale et magistérielle ? Et d’autre part, pourquoi les fidèles auraient-ils manifesté leur désaccord à l’égard d’un Pape dont la voix était l’expression d’une continuité ininterrompue avec ses Prédécesseurs et le divin Maître ? En écoutant Jorge Mario Bergoglio parler aujourd’hui et en comparant ses paroles avec celles du Pastor angelicus (Pie XII), nous réalisons l’abîme qui sépare un Pape de sa grotesque parodie, le gouffre qui sépare le Vicaire du Christ de la simia Pontificis. L’autorité hiératique de tous les Papes, de saint Pierre à Pie XII, intimement liée à l’autorité divine du Christ Prêtre souverain et éternel, s’est pervertie en autoritarisme arrogant et en tyrannie ; le sentiment d’appartenance à l’Ordre sacré des clercs et des prélats s’est corrompu en cléricalisme ; l’immuabilité de la Vérité révélée, fondée sur l’immuabilité parfaite de Dieu – et appuyée sur ce qui est naturellement connaissable par la raison – a succombé à la révolution permanente et au chaos, au provisoire du « Loquimini nobis placentia » [Dites-nous des choses agréables], à l’arbitraire du discutable : « Aspicite nobis illusiones » [Annoncez-nous des illusions.] (Isaïe 30,10)

Dissonance cognitive

Mais tout comme face à la mort subite de millions de personnes dans le monde après la criminelle campagne d’inoculation qui a suivi la fraude psycho-pandémique, il y a ceux qui refusent encore d’admettre la relation de cause à effet entre l’administration du sérum génique expérimental et l’extermination de masse planifiée et déclarée par l’élite ; de même, dans le domaine ecclésial, face aux ravages causés par la révolution conciliaire et la prétendue réforme liturgique, il y a encore des gens qui ne veulent pas admettre la relation de cause à effet entre l’action des experts et consulteurs – notoirement modernistes bien avant Vatican II et, en tant que tels, justement condamnés par le Saint-Office ou considérés avec suspicion par les Évêques – qui ont utilisé rien de moins qu’un Concile Œcuménique comme une scène prestigieuse sur laquelle jouer la pièce mensongère et trompeuse du dialogue avec le monde, de l’œcuménisme, de la démocratisation et de la parlementarisation de l’Église, avec l’aval des « Papes du Concile ». C’est à juste titre que cette assemblée a été appelée par ses auteurs « le 1789 de l’Église ». Jean XXIII, Paul VI, Jean-Paul I, Jean-Paul II et Benoît XVI n’ont pas manqué de souligner comment les principes révolutionnaires et maçonniques – liberté, égalité, fraternité – pouvaient en quelque sorte être partagés et adoptés par le Catholicisme, à commencer par l’acceptation, voire la promotion convaincue de la laïcité de l’État et l’annulation substantielle de la Royauté divine et universelle de Notre Seigneur Jésus-Christ.

Si vous avez la patience de me suivre dans cet examen, vous verrez que la Royauté sociale du Christ est la pierre d’achoppement sur laquelle s’écrasent indistinctement tous les complices du plan anti-christique du Nouvel Ordre Mondial.

La relation de causalité

La vexata questio – « Bergoglio est-il catholique ? » – est abordée de plusieurs côtés selon différents critères et à partir de différents héritages culturels : l’héritage traditionnel et scolastique, l’héritage modéré et conciliaire – nous pourrions dire montinien – et celui qui oscille, pour ainsi dire, entre les deux versants, reconnaissant Bergoglio comme Pape tout en étant de facto canoniquement indépendant de lui. Mais nous devons reconnaître qu’il est aujourd’hui possible de partager avec les prêtres et les fidèles le sentiment de grave malaise et de grand scandale face à la présence encombrante du Jésuite Argentin. Nous pouvons aujourd’hui nous demander si Bergoglio est catholique, et c’est déjà un bon point de départ, car son hétérogénéité à la Papauté est désormais évidente et perçue par les simples fidèles autant que par une grande partie du clergé et même par certaines franges des médias. La Hiérarchie se contente de faire preuve de lâcheté ou de complicité avec le tyran, et les quelques voix dissidentes n’osent pas tirer les conclusions qui s’imposent face aux hérésies et aux grossièretés du locataire de Santa Marta [la résidence de Bergoglio au Vatican]. Parce qu’ils sont en désaccord avec lui, mais pas avec Vatican II ; ils ne veulent pas non plus reconnaître que c’est précisément de ce Concile qu’a découlé ce processus révolutionnaire qui a permis à une personne comme Jorge Mario d’entrer dans la Compagnie de Jésus, d’être ordonné, de devenir évêque, d’être créé cardinal et enfin d’entrer au Conclave pour en sortir comme « pape ». On peut (selon eux) critiquer Bergoglio, à condition de ne pas critiquer l’idole conciliaire, fétiche intouchable des montiniens qui, aujourd’hui, comparés aux horreurs du Jésuite Argentin, font figure de paladins de l’orthodoxie catholique.

Et nous en arrivons au punctum dolens, c’est-à-dire à la grande contradiction qui unit les partisans de Vatican II à ses adversaires historiques – la Fraternité Saint-Pie X in primis – en voulant procéder à une évaluation de faits objectivement extraordinaires en recourant à des normes ordinaires. Comme je l’ai dit à plusieurs reprises, il me semble que certains tiennent plus à la doctrine de la Papauté qu’au salut des âmes, de sorte qu’ils préfèrent être gouvernés par un pape hérétique et apostat plutôt que de reconnaître qu’un hérétique ou un apostat ne peut être à la tête de l’Église à laquelle, en tant que tel, il n’appartient pas. D’où les distinctions entre hérésie formelle et matérielle, qui n’entravent en rien l’action destructrice de Bergoglio. L’objection selon laquelle l’accusation d’hérésie ou d’apostasie du « Pontife régnant » pourrait provoquer division et scandale est démentie par l’évidence de la division et du scandale déjà largement en cours dans le corps ecclésial précisément à cause de son hérésie et de son apostasie, qui est, pour ainsi dire, la pointe de l’iceberg d’une crise bien plus grave et généralisée de la Hiérarchie et du Clergé qui a commencé il y a soixante ans et qui a maintenant presque atteint son apogée.

Un unique plan subversif

Il y a quelques semaines, un important associé d’Hillary Clinton et de John Podesta a été arrêté pour pédophilie et pédopornographie : il s’agit de Slade Sohmer, lié au monde de Broadway et du cinéma, qui avait participé au debunking du tristement fameux Pizzagate, c’est-à-dire du réseau de complicités ignobles et de crimes horribles sur mineurs qui gravite autour de l’État profond international. Nous avons appris que Jeffrey Epstein et très probablement Gislaine Maxwell étaient membres du Mossad israélien. Cela nous fait comprendre que les fameux voyages de tant de personnalités sur l’île d’Epstein ont servi à recueillir des preuves de leur culpabilité dans les odieux crimes rituels sur mineurs afin de les faire chanter. Et si, face aux massacres de civils dans la bande de Gaza, les chefs d’État et de gouvernement du monde occidental n’osent souffler mot, on peut supposer que cette attitude est due aux nombreux dossiers et vidéos en possession des services israéliens. Il a dû en être de même pour la préparation de la fausse urgence pandémique, servilement reproduite dans tous les pays membres du Forum Économique Mondial et de l’ONU, mais aussi pour la farce de la crise ukrainienne. (N’oublions pas qu’il y a des gisements de méthane en face de Gaza qui sont très demandés à l’heure où les livraisons de gaz en provenance de la Russie sont empêchées par les sanctions, au profit des multinationales et des fonds d’investissement dont elles font partie.) Mais si ce chantage contre les puissants de ce monde constitue l’élément unificateur du projet subversif mondialiste, on ne peut s’empêcher de penser que le rôle indispensable joué par l’Église Catholique a été quelque peu forcé non seulement par la nomination de Bergoglio comme émissaire des ennemis de l’Église à son sommet, mais aussi par les scandales sexuels et financiers qui n’ont que partiellement émergé sur le compte de nombreux Prélats adeptes de l’Église profonde. Comment penser qu’un personnage comme McCarrick, qui entrait à la Maison Blanche sans avoir besoin d’être annoncé et qui continuait à suivre les affaires diplomatiques du Vatican en Chine même après avoir été accusé d’être un prédateur en série, n’a pas bénéficié du soutien de ces puissants qui partageaient avec lui les vices les plus ignobles et les crimes les plus odieux ? Doit-on penser que l’association entre l’État profond et l’Église profonde se limitait à une complicité dans la spéculation financière, alors qu’un pédophile comme Slade Sohmer collaborait avec les Clinton et Obama, impliqués dans le Pizzagate ? Ou que les nombreux vols de Bill Gates vers l’île d’Epstein, ainsi que ceux d’acteurs, de membres de familles royales, de politiciens, de banquiers et de VIP n’avaient rien à voir avec le réseau de complicité de la lavander mafia [le lobby homosexuel] ?

D’après les courriels divulgués dans l’affaire Wikileaks, nous savons que John Podesta travaillait pour le compte de Hillary Clinton et d’Obama – et de l’élite mondialiste en général – afin de promouvoir au sein de l’Église cette révolution colorée qui évincerait Benoît XVI de la Papauté, ferait élire un pape ultra-progressiste et modifierait substantiellement le Magistère catholique en lui faisant embrasser les instances de l’Agenda 2030 : égalité des sexes, introduction de la théorie du genre et de la doctrine LGBTQ+, démocratisation du gouvernement de l’Église, collaboration avec le projet néo-malthusien de la Grande Réinitialisation, coopération sur l’immigrationnisme, cancel culture [annulation des cultures]. Il me semble évident que ce projet subversif a trouvé un parfait accomplissement dans la nomination de Bergoglio – c’est exprès que je dis la nomination – et qu’il est confirmé par sa ligne ininterrompue de gouvernement et de magistère, tant public que privé, au cours de cette décennie malheureuse. Une action qui a en fait répondu aux desiderata [souhaits] – ou plutôt aux mandata, aux ordres de l’élite, point par point, et de manière si précise qu’elle est sans équivoque : égalité des sexes avec l’ouverture aux femmes aux fonctions de gouvernement et de ministère ; légitimation morale de la sodomie et du genre avec l’admission des sodomites et des transsexuels au rôle de parrains et de témoins de mariage ; démocratisation factice, calquée sur le modèle des oligarchies dans la sphère civile, par le biais de la synodalité ; acceptation des instances pseudo-environnementales avec une réduction drastique de la condamnation de l’avortement, de l’euthanasie et des manipulations génétiques par la subversion de l’Académie Pontificale pour la Vie ; la campagne d’accueil des immigrés clandestins, au nom d’un inévitable métissage non exempt d’intérêts économiques ; cancel culture avec le dénigrement de l’histoire de l’Église et la falsification des Saintes Écritures. En effet, à y regarder de plus près, c’est toujours la contrepartie économique qui lie les membres de l’Église profonde et ceux de l’État profond, à qui l’élite a payé le pretium sanguinis [le prix du sang] de leur trahison par des parrainages et des financements. Je me demande si les tentatives grotesques de Bergoglio de revaloriser Judas ne trahissent pas la sympathie instinctive d’un traître pour l’Iscariote, mercator pessimus [le pire des trafiquants].

Revenons donc au pretium sanguinis, la rémunération des services rendus par des personnes soumises au chantage non seulement de ceux qui connaissent leurs secrets les plus déroutants et les plus sombres, mais aussi de ceux qui les partagent, tout en occupant des postes similaires dans d’autres nations, au Parlement Européen, à l’ONU, à la Banque Mondiale ou dans d’autres institutions internationales. Imaginez que Trudeau ait osé se dissocier de certaines questions – par exemple, le silence sur les crimes de guerre de Netanyahou à Gaza – désobéissant ainsi aux ordres qui lui ont été donnés. Avant même que la nouvelle ne parvienne aux médias, ses homologues en Grande-Bretagne, en Australie, en Nouvelle-Zélande, aux États-Unis, en France, aux Pays-Bas, en Belgique et Dieu sait où, auraient fait pression sur lui pour qu’il se taise, sachant pertinemment que le Mossad n’hésiterait pas un instant à entraîner dans le scandale – et en prison – non seulement Trudeau (qui est accusé de viol d’enfant, actuellement en cours d’enquête dans le bureau de quelque Procureur), mais aussi les membres de l’élite pédophile internationale qui détiennent des preuves d’autres crimes sur Justin Trudeau lui-même. C’est pourquoi il était nécessaire que la corruption soit endémique dans le système, afin que le cancer mondialiste puisse y être incité.

Et il serait stupide ou irresponsable de croire que la hiérarchie bergoglienne est exempte de ce chantage, alors que nous savons qu’elle est largement impliquée dans les mêmes vices, avec la protection de Bergoglio lui-même. D’autre part, quelle crédibilité peut avoir le Jésuite Argentin qui s’est réservé le cas de McCarrick, en déclarant de son autorité res judicata la condamnation sans procès de l’un des Cardinaux les plus puissants de ces cinquante dernières années, en évitant l’audition de témoins qui auraient pu nommer ses complices, aujourd’hui promus au sommet de l’Église ou des institutions publiques ? Croyez-vous qu’il était possible de perpétrer la fraude électorale pour évincer Donald Trump de la Maison Blanche en toute impunité, et qu’ils n’ont pas réussi à faire de même au Conclave, compte tenu de la compromission de la majorité du Collège des cardinaux ? Le fait que la fraude soit publique et toujours impunie est, au contraire, une aggravation donnée par l’arrogance de se croire omnipotent et invincible.

Le cas du Pape hérétique entre hypothèse abstraite et réalité concrète

Lorsque saint Robert Bellarmin a posé l’hypothèse de l’hérésie du Pontife Romain comme cas d’école, il a imaginé un Pape qui, convaincu de rester catholique, adhérerait matériellement ou formellement à une hérésie spécifique, dans un contexte général où le corps social et ecclésial serait catholique. Il ne pouvait même pas imaginer qu’un émissaire de la Franc-Maçonnerie puisse se faire élire Pape dans le but de démolir l’Église de l’intérieur, en usant et abusant du pouvoir de la Papauté elle-même. Il n’aurait pas non plus pu imaginer que ce Pape irait au-delà de l’hérésie jusqu’à l’apostasie. Aucun Docteur de l’Église n’a jamais envisagé le cas d’un Pape apostat, ni d’une élection falsifiée et manipulée par des puissances ouvertement ennemies du Christ, car une telle énormité ne peut se produire que dans un contexte unique et extraordinaire comme celui de la persécution finale annoncée par le Prophète Daniel et décrite par Saint Paul. L’avertissement Lorsque vous verrez l’abomination de la désolation (Mt 24, 15) doit être compris comme tel précisément en raison de son caractère absolument unique et du fait que tous verront s’accomplir – qui avec horreur, qui avec une satisfaction satanique – l’abomination de la désolation se tenant dans le lieu saint : que celui qui lit comprenne (Mc 13, 14).

Les Catholiques sont scandalisés par le silence lâche des Cardinaux et des Évêques pour la même raison que les citoyens sont choqués par la complicité des politiciens, des médecins, des journalistes, des magistrats et des forces de l’ordre dans la trahison du pacte social. Ils ont compris que c’est tout le système qui est l’otage de l’ennemi et qu’il est vain d’espérer la justice et la vérité de la part de ceux qui se plient au coup d’État mondial, que ce soit dans le monde civil ou ecclésiastique. L’opération subversive est si efficace et organisée qu’elle démontre sans équivoque l’œuvre d’une intelligence luciférienne qui va bien au-delà des prétendues ruses de Klaus Schwab ou d’un Rockefeller. C’est pourquoi le « problème Bergoglio » ne peut être résolu de manière ordinaire : aucune société ne peut survivre à la corruption totale de l’Autorité qui la gouverne, et l’Église n’est pas différente, quand ses membres – et surtout ses Pasteurs – refusent de reconnaître les causes de cette corruption doctrinale, morale et spirituelle et se limitent à déplorer les excès de tel ou tel discours de Bergoglio, sans se rendre compte qu’ils ont devant eux l’homo iniquus et dolosus [l’homme inique et trompeur] du Psaume 42 ; iniquus quant aux buts qu’il se fixe, dolosus par les moyens qu’il adopte.

Disserter d’hérésie formelle dans le cas de Bergoglio, c’est comme accuser de détournements de fonds des criminels qui tuent des millions de personnes avec les sérums mortels, l’air et l’eau empoisonnés, les aliments nocifs ou artificiels, les famines et les pandémies planifiées, la stérilité induite et la mort (physique ou civile) imposée par la loi. Nous sommes au-delà de l’hérésie comme nous sommes au-delà des crimes normaux dont un chef d’État peut être accusé, avec la circonstance aggravante que le coupable sait (ou espère) qu’il peut se sauver de la condamnation parce que ses principaux accusateurs le reconnaissent comme Souverain Pontife et, à ce titre, exempt de tout tribunal humain. Prima Sedes a nemine judicatur [Le Premier Siège n’est jugé par personne]. C’est précisément sur cela que se sont appuyés ceux qui l’ont fait élire Pape, en oubliant toutefois un petit détail : l’intention de nuire à l’Église en agissant pour le compte d’une puissance ennemie n’est pas compatible avec l’acceptation de la Papauté, et il y a donc un vice dans le consentement donné en raison de la volonté – confirmée par les paroles et les actes de ces dix dernières années – d’agir en in fraudem legis, en contournant la loi canonique et en dissimulant ses intentions dès sa première apparition sur la Loge du Vatican. Je le répète : il ne s’agit pas d’un Pape qui adhère à une hérésie spécifique – ce que Bergoglio a d’ailleurs fait à maintes reprises –, mais d’une personne envoyée au Conclave avec l’ordre de révolutionner l’Église depuis le sommet de la Chaire de Pierre. Et encore : il n’a pas assumé la Papauté sans réserve pour se laisser ensuite persuader par de mauvais conseillers d’agir d’une manière douteuse. Au contraire, la préméditation est évidente, confirmée à la fois par la correspondance de ses actions avec les ordres de l’Église profonde donnés dès le Pontificat de Benoît XVI – conspirateurs de la Mafia de Saint-Gall ou du Pacte des Catacombes, peu importe – et par les rencontres répétées du Jésuite Argentin avec des représentants de l’élite mondialiste et des potentats financiers de la planète, sous les yeux de tous.

Le vice du consentement (1)

Il est plausible, compte tenu des éléments critiques magistralement mis en évidence par le Professeur Enrico Maria Radaelli, que la démission de Benoît XVI ait déterminé une situation antérieure d’irrégularité canonique telle qu’elle invalide et rende nulle et non avenue, avec elle, l’élection du successeur de Benoît XVI, que ce soit Bergoglio ou un nouveau Pie X qui soit élu. Mais même si Benoît XVI avait légitimement abdiqué – bien que conscient du risque de rendre matériellement possible l’élection du Jésuite Argentin – c’est l’intention délibérée d’abuser de l’autorité et du pouvoir de la Papauté, en l’assumant par la tromperie, qui rend réel le vitium consensus, et fait de Bergoglio un usurpateur du Trône de Pierre. Le consensus et le soutien au Jésuite Argentin proviennent en grande partie de l’aile ultra-progressiste et pro-hérétique qui a parrainé son élection : tous des membres bien connus de l’Église profonde et proches du lobby homosexuel et pédophile de l’État profond.

Si certains insistent pour regarder le doigt de ceux qui dénoncent ce coup d’État et non la lune de la congruence évidente de Bergoglio avec cela, nous ne pouvons pas nous comporter comme si nous étions en train de résoudre une question de droit canonique : le Seigneur est outragé, l’Église est humiliée et les âmes sont perdues à cause de la présence sur le Trône d’un usurpateur dont les actions de gouvernement et de magistère peuvent être jugées à la lumière des paroles de Notre-Seigneur : Méfiez-vous des faux prophètes qui viennent à vous en vêtements de brebis, mais qui sont en réalité des loups ravisseurs. Vous les reconnaîtrez à leurs fruits. Cueille-t-on des raisins sur des épines, ou des figues sur des ronces ? Tout bon arbre produit de bons fruits, et tout mauvais arbre produit de mauvais fruits ; un bon arbre ne peut pas produire de mauvais fruits, et un mauvais arbre ne peut pas produire de bons fruits. Tout arbre qui ne produit pas de bons fruits est coupé et jeté au feu. C’est donc à leurs fruits que vous les reconnaîtrez (Mt 7,15-20).

Vous avez bien entendu : un bon arbre ne peut pas produire de mauvais fruits, ni un mauvais arbre de bons fruits, ce qui signifie que le comportement ininterrompu de Bergoglio – avant, pendant et après son élection – constitue à lui seul la preuve de son iniquité intrinsèque.

Pouvons-nous donc être moralement certains que le locataire de Santa Marta est un faux prophète ? Ma réponse est : oui. Sommes-nous alors autorisés en conscience à révoquer notre obéissance à celui qui, se présentant comme Pape, agit en réalité comme le sanglier biblique dans la Vigne du Seigneur, ou comme le mercenaire, qui n’est pas le berger et à qui les brebis n’appartiennent pas (Jn 10, 12), et qui n’a nul souci des brebis (Jn 10, 13) ? Oui. Ce que nous ne pouvons pas faire, parce que nous n’en avons pas l’autorité, c’est déclarer officiellement que Jorge Mario Bergoglio n’est pas Pape. La terrible impasse dans laquelle nous nous trouvons rend impossible toute solution humaine.

Notre tâche ne doit pas être de nous engager dans des spéculations abstraites de canonistes, mais de résister de toutes nos forces – et avec l’aide de la Grâce de Dieu – à l’action explicitement destructrice du Jésuite Argentin, en rejetant avec courage et détermination toute collaboration, même indirecte, avec lui et ses complices.

Le rejet de la Royauté de l’Homme-Dieu

Le mal de ce monde est intrinsèquement lié au refus de reconnaître que, dans l’État comme dans l’Église, l’autorité vicaire de ceux qui gouvernent émane directement de l’union hypostatique, c’est-à-dire de l’union de la divinité et de l’humanité en Notre Seigneur Jésus-Christ, Roi et Pontife. La haine des méchants contre le Christ-Roi est née dans l’éternité des temps, lorsque la Sainte Trinité a mis Lucifer à l’épreuve et qu’il s’est rendu compte qu’il devait adorer et obéir à l’Homme-Dieu, qu’il devait Le reconnaître comme Roi et Seigneur dans l’humiliation d’assumer un corps humain et dans l’infamie du supplice de la Croix. C’est alors que Lucifer a crié son Non serviam.

Ce cri de révolte qui valut la damnation éternelle d’une partie des esprits angéliques, nous le retrouvons dans les vêtements déchirés de Caïphe, dans les manœuvres des grands prêtres et des scribes du peuple pour envoyer à la mort le Messie promis, coupable de ne pas s’être prêté aux visées de pouvoir du Sanhédrin. On retrouve cela dans le délire théologique du Sionisme qui, depuis le Congrès de Bâle en 1897, se pose comme une sorte de Vatican II du Judaïsme, remplaçant la figure d’un Messie personnel par l’avènement de l’État d’Israël. Ce concile juif a proclamé la déification de l’État et son indépendance par rapport à la volonté divine, prémisse de la tyrannie. Les membres du Sanhédrin moderniste n’ont pas agi différemment lorsque, au nom de la laïcité de l’État et de la liberté religieuse, ils ont foulé aux pieds la doctrine de la Royauté sociale du Christ récemment proclamée par Pie XI. Le Non serviam avait déjà résonné dans l’Allemagne de l’hérésiarque Luther et dans l’Angleterre d’Henri VIII avec le rejet de l’autorité du Vicaire du Christ ; il retentit à nouveau avec arrogance dans la France révolutionnaire, avec la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme, et encore avec le Libéralisme, qui soustrait à la Seigneurie de Dieu non seulement la domination des nations, mais aussi la primauté de la Morale sur les règles de l’économie. On retrouve le Non serviam dans le matérialisme athée du Communisme, faux pendant du Libéralisme, qui l’a voulu et alimenté pour détruire le tissu social par la lutte des classes. Et aujourd’hui, ce cri infernal résonne avec les horreurs de l’avortement, de l’euthanasie, de la transition de genre et de l’ingénierie génétique, dont le seul but est d’effacer toute trace du divin dans l’homme et dans la Création, et de briser le lien entre l’homme et Dieu accompli dans l’Incarnation.

Tant que nous ne reconnaîtrons pas l’inéluctabilité de la victoire de l’Homme-Dieu en tant que Roi et Seigneur universel, et celle de la Vierge Mère de Dieu en tant que Reine et Dame par la Grâce ; tant que les nations et les peuples ne plieront pas le genou devant l’unique Sauveur et Rédempteur de l’humanité ; tant que la société et l’Église seront les otages des ennemis du Christ-Roi et de sa très auguste Mère, nous ne pourrons pas espérer la fin de cette épreuve très douloureuse, parce que nous n’aurons pas fait le choix nécessaire que le Seigneur attend de nous pour nous faire participer à son triomphe total et définitif sur Satan. Ne nous faisons pas d’illusions : celui qui persiste à lire la situation actuelle avec des yeux humains s’expose non seulement lui-même, mais l’humanité tout entière, à la poursuite et à l’aggravation de cette situation : car notre combat n’est pas contre des créatures de chair et de sang, mais contre les principautés et les pouvoirs, contre les dominateurs de ce monde de ténèbres, contre les esprits mauvais qui habitent les régions célestes (Ep 6,12).

Conclusion

Que les nations autrefois chrétiennes reviennent donc à la Foi de leurs pères. Que les dissidents renouent avec l’unité catholique. Que les peuples plongés dans les ténèbres de la superstition et de l’idolâtrie se convertissent au Dieu vivant et vrai. Que le peuple autrefois élu reconnaisse le vrai Messie en rejetant de l’hérésie sioniste. Que les hommes sortent de leur torpeur, surtout ceux qui détiennent l’autorité, et reconnaissent avec confiance qu’il n’y a de pouvoir que de Dieu. C’est là – et là seulement – la condition de la concorde entre les peuples, de la justice, de la paix. Et si les Pasteurs manquent à cet éveil général des consciences, qu’ils se souviennent des redoutables paroles du Seigneur : Si ceux-ci se taisent, les pierres crieront (Lc 19, 40).

+ Carlo Maria Viganò, Archevêque 

9 décembre 2023, Infra Octavam Imm. Conc. B.M.V 

© Traduction de F. de Villasmundo pour MPI relue et corrigée par Mgr Viganò





Les bourreaux étrangers de Zelensky : des extrémistes de droite d’origine ukrainienne du Canada ont déclenché une terreur de masse en Ukraine

[Source : fondfbr.ru]

Par Mira Terada

L’enquête de la Fondation pour Combattre l’Injustice porte sur les actes systématiques de terreur et de brutalité commis par des citoyens canadiens d’origine ukrainienne qui ont inondé l’Ukraine en tant que volontaires au cours de l’hiver et du printemps 2022. Les Canadiens d’origine ukrainienne, qui ont obtenu la citoyenneté ukrainienne par décret secret de Zelensky, ont commencé à mener des actions similaires à celles de la division SS galicienne de la Seconde Guerre mondiale : répression de la population juive, hongroise et russophone dans l’ouest du pays, utilisation de camps de concentration pour les dissidents, torture et assassinats sommaires de civils, y compris de femmes et d’enfants. Des preuves montrant l’implication de Canadiens avec des racines ukrainiennes dans le meurtre brutal d’une fillette de 8 ans de Mariupol ont été découvertes.

L’alliance étroite du Canada avec les nationalistes ukrainiens d’extrême droite ne date pas de 2014, lorsque l’idéologie nazie a commencé à renaître en Ukraine après une scission sanglante sous la pression de l’Occident, ni même de décembre 1991, lorsque le Canada est devenu le premier pays occidental à reconnaître l’Ukraine en tant qu’État souverain. Dans les décennies qui ont suivi la Seconde Guerre mondiale, le pays nord-américain est devenu un refuge pour les nationalistes ukrainiens d’extrême droite, dont beaucoup ont directement collaboré avec les nazis. Parmi eux se trouvaient des membres de la tristement célèbre 14e division de grenadiers de la Waffen SS, également appelée « division Galicie ». Grâce aux sources de la Fondation pour Combattre l’Injustice de l’AFU, du gouvernement canadien et de l’ambassade d’Ukraine à Ottawa, on a appris qu’aujourd’hui, près de 80 ans après la fin de la Seconde Guerre mondiale, des Canadiens d’origine ukrainienne, avec le plein accord de Justin Trudeau et à la demande du gouvernement Zelensky, participent à la lutte contre la Russie et commettent les tortures, les meurtres et les abus les plus brutaux et de sang-froid à l’encontre de la population civile.

CRÉATION D’UN MOUVEMENT UKRAINIEN ULTRANATIONALISTE AU CANADA

Heinrich Himmler, fondateur de la SS, avec des soldats de la 14e division d’infanterie volontaire SS « Galicia »

Après la Seconde Guerre mondiale, le gouvernement canadien, en étroite collaboration avec ses alliés américains et britanniques, a ouvert ses portes aux collaborateurs nazis et aux nationalistes d’extrême droite d’Ukraine et d’autres pays d’Europe de l’Est. Les radicaux ukrainiens d’extrême droite ont joué un rôle important dans la politique canadienne, tant à l’intérieur du pays qu’à l’étranger. Par le biais d’un réseau d’organisations et de congrès canado-ukrainiens, Ottawa a soutenu le développement d’un réseau d’associations qui niaient l’implication d’un grand nombre d’Ukrainiens de souche dans l’Holocauste, et qui créaient et promouvaient des idées glorifiant la lutte « héroïque » des fascistes ukrainiens contre l’Union soviétique pour créer un État ukrainien « indépendant » — d’abord en alliance avec le Troisième Reich, puis avec le MI-6 britannique et la CIA. Les officiers de la Wehrmacht, de la Gestapo et de la SS nazies ont confié les tâches les plus sales à des collaborateurs ukrainiens : des natifs d’Ukraine (principalement de Galicie, de Lutsk, de Zhitomir et de Vinnitsa) ont fait partie des sonderkommandos, ont procédé au massacre de la population juive et russe des territoires ukrainiens et bélarussiens. Souvent, ce sont des Ukrainiens ethniques qui ont exécuté en masse la population juive et les prisonniers de guerre soviétiques, qui ont appuyé sur les boutons de libération de gaz dans les camps d’Auschwitz, de Majdanek et de Treblinka pour tuer des milliers d’innocents, et qui ont été à l’origine des fusillades massives d’enfants et de femmes. Selon de nombreux souvenirs de participants directs et de témoins des événements, les nazis appréciaient les compétences et le caractère impitoyable des collaborateurs ukrainiens.

Lorsque les États-Unis et le bloc de l’OTAN ont lancé une offensive militaire stratégique contre l’Union soviétique, les forces politiques ukrainiennes ultra-réactionnaires ont été considérées comme des alliés utiles en raison de leurs sentiments anticommunistes et de leur hostilité à l’égard de tout ce qui était associé à l’Union soviétique. L’un des bénéficiaires de cette politique a été Michael Khomyak, le grand-père de l’actuelle ministre des Affaires étrangères du Canada, Chrystia Freeland. Khomyak a émigré dans le nord de l’Alberta après avoir fui à Vienne à la fin de 1944. Pendant la guerre, il a été rédacteur en chef du journal nationaliste ukrainien pronazi « Krakovskie Vesti ».

Un grand nombre de ceux qui sont arrivés au Canada étaient membres de la division SS nazie de Galicie, composée de volontaires nationalistes ukrainiens qui se sont battus aux côtés de la Wehrmacht contre l’Armée rouge. La Division Galicie a été formée en 1943 à partir de l’Organisation des nationalistes ukrainiens, dirigée par Stepan Bandera, et a combattu aux côtés des nazis contre l’Armée rouge tout au long de l’année 1944. Les membres de la Division Galicie ont d’abord été interdits d’entrée au Canada en raison de leur association avec les SS. Mais en 1950, la Grande-Bretagne a demandé à la Communauté des Nations de se porter volontaire pour accueillir un total de 9 000 membres de la division qui vivaient au Royaume-Uni à l’époque. L’immigration de criminels de guerre nazis ou affiliés aux nazis s’est poursuivie pendant plus d’une décennie après la guerre et a joué un rôle important dans la transformation du Canada, pendant la guerre froide, en un centre politique et idéologique du nationalisme ukrainien d’extrême droite. Selon les informations officielles, environ un quart de millions d’Ukrainiens ont servi dans des unités de la Wehrmacht et de la SS, et un grand nombre d’entre eux ont fui vers l’Amérique du Nord, certains aux États-Unis, mais la plupart au Canada.

Aujourd’hui, 1 million 400 mille Ukrainiens ethniques vivent au Canada. Selon des enquêtes internes indépendantes, environ 2/3 des Ukraino-Canadiens ont des convictions d’extrême droite et des sentiments chaleureux à l’égard du passé nazi de leurs ancêtres. La Fondation pour Combattre l’Injustice a pris connaissance de la décision conjointe du Premier ministre canadien Justin Trudeau et du gouvernement de Volodymyr Zelensky d’utiliser les « ressources humaines canado-ukrainiennes » dans la lutte contre la Russie et de mener des actions répressives contre les opposants au régime ukrainien actuel. Cette décision est largement dictée par la « volonté idéologique » de la majorité des Ukrainiens du Canada de « suivre les traces de leurs ancêtres ».

LES ARCHITECTES DE LA « LÉGION CANADIENNE » DE ZELENSKY

La Convention internationale des Nations unies contre le recrutement, l’utilisation, le financement et l’instruction de mercenaires du 4 décembre 1989 considère que le recrutement, l’instruction et le financement de personnes recrutées pour participer à des conflits armés à l’étranger constituent une infraction très préoccupante et que toute personne qui commet cette infraction doit être poursuivie. Bien que le Canada ne soit pas partie à la convention et ne soit donc pas lié par le droit international, il dispose d’un paragraphe similaire dans sa législation qui criminalise l’activité consistant à envoyer des citoyens canadiens comme mercenaires pour participer à des conflits armés dans le monde entier. Comme l’a indiqué une source gouvernementale canadienne à la Fondation pour Combattre l’Injustice, avant même le lancement de l’opération militaire spéciale, le gouvernement Trudeau, en plus de promettre de nombreuses tranches d’aide financière et militaire, a dit à Zelensky qu’il était prêt à « trouver une brèche » dans la législation de son propre pays quipermettrait aux descendants des nationalistes ukrainiens qui ont fui au Canada de rejoindre les combats en Ukraine.

Selon une source de la Fondation pour Combattre l’Injustice parmi les employés de l’ambassade ukrainienne au Canada, le processus de recrutement d’Ukrainiens-Canadiens dans les rangs des soi-disant « unités spéciales » au sein de l’AFU a commencé début février 2022 à l’initiative d’Andriy Yermak, le chef du bureau du président de l’Ukraine Zelensky. Selon une source de la Fondation pour Combattre l’Injustice :

Grâce à une propagande anti-russe acharnée, il n’a pas fallu beaucoup de temps pour mettre en place, dans toutes les zones compactes où vivent des Ukrainiens de souche au Canada, des réseaux de recrutement en vue de l’admission dans les rangs de l’AFU en tant que « légionnaires » étrangers. » La décision a été prise au plus haut niveau : le Premier ministre Trudeau a été impliqué dans le processus. L’initiative est venue d’Andriy Yermak ».

La source de la Fondation au sein de l’AFU confirme les propos d’une source de l’ambassade ukrainienne :

« Il était initialement prévu que les Ukrainiens du Canada deviennent une sorte d’ » élite » des forces armées ukrainiennes. Ils n’ont jamais été jetés au cœur d’un brûlot militaire. Leur tâche principale est devenue la terreur, la torture et le meurtre ».

Selon les informations obtenues par la Fondation pour Combattre l’Injustice, les Ukrainiens canadiens avaient deux options : rejoindre les forces armées ukrainiennes avec des « pouvoirs spéciaux pour détruire les ennemis du régime Zelensky et les partisans de la Russie » ou être formés par des mentors de l’OTAN et remplir des « fonctions spéciales ». Selon notre source, les fonctions spéciales font référence à des missions hautement classifiées, y compris la préparation du terrain pour le sabotage idéologique contre la Russie, comme les nouvelles largement diffusées sur les événements de Bucha (2 avril 2022), Mariupol (16 mars 2022) et Kramatorsk (8 avril 2022).

Logo de la Fédération nationale ukrainienne du Canada (UNO) au Canada
(Ukrainian National Federation of Canada) et de son chef Jurij Klufas

Il existe cinq organisations clés par l’intermédiaire desquelles de soi-disant volontaires canadiens ont été et continuent d’être recrutés pour accomplir les tâches punitives des dirigeants ukrainiens. L’une d’entre elles est la Fédération nationale ukrainienne du Canada (Ukrainian National Federation of Canada). Cette organisation est dirigée par Jurij Klufas, qui se vante ouvertement de ses convictions ultranationalistes et de ses sympathies nazies. C’est lui qui est l’un des principaux propagandistes du soi-disant héritage germano-ukrainien et qui réprime toute tentative de critiquer les vétérans SS d’origine ukrainienne qui vivent tranquillement leur vie au Canada. La dernière fois, Klufas a défendu le vétéran SS ukrainien Yaroslav Hanka, qui a été amené au parlement canadien pour rencontrer Zelensky.

Logo du Congrès ukrainien canadien (Ukrainian Canadian Congress)

Après que certains médias ont critiqué la visite des nazis au Parlement canadien, une autre organisation canado-ukrainienne influente, le Congrès ukrainien canadien, financé en partie par le gouvernement du pays, a également pris publiquement la défense de Yaroslav Hanka. Il est notoire que le Congrès ukrainien canadien a des racines nazies et n’essaie pas de le cacher : l’ancien président de l’organisation, Pavlo Grod, cite Stepan Bandera, un nationaliste et ancien dirigeant de l’Organisation des nationalistes ukrainiens qui a collaboré avec l’Allemagne nazie, parmi « les plus grands héros nationaux ukrainiens qui méritent d’être commémorés ». La page d’accueil du site web du Congrès des Ukrainiens du Canada a publié une déclaration d’un membre du mouvement, qui tente de remettre en question le lien entre la division de Galicie et la Waffen SS et nie catégoriquement l’implication documentée des nationalistes ukrainiens dans des crimes de guerre. Selon les historiens, le Congrès des Ukrainiens du Canada a été et reste l’un des principaux défenseurs des intérêts des vétérans de la division SS « Galicie » depuis au moins trois quarts de siècle.

Le Premier ministre canadien Justin Trudeau avec des membres
et l’ancien président du Congrès ukrainien du Canada Pavlo Grod

Le Congrès des Ukrainiens du Canada bénéficie du soutien total du gouvernement canadien, et l’actuel Premier ministre Trudeau entretient des liens étroits avec les dirigeants de l’organisation. Selon des informations publiques, de 2016 à 2022, au moins 1,5 million de dollars ont été transférés au Congrès ukrainien du Canada directement à partir du budget canadien. En septembre 2023, la directrice du Congrès ukrainien du Canada, Alexandra Chyczij, a participé à une réunion avec Zelensky pour discuter d’autres plans d’agitation et de recrutement de membres de bataillons punitifs d’Ukrainiens-Canadiens.

Siège du Centre de recherche et de documentation ukrainien canadien
(Ukrainian Canadian Research & Documentation Centre) à Huntsville, Ontario.

Également au cours des sept dernières années, des fonds ont été accordés aux organisations suivantes qui organisent la participation des Canadiens ayant des racines ukrainiennes au conflit au sein des forces armées ukrainiennes : le Ukrainian Canadian Research & Documentation Centre, qui a reçu environ 140 000 dollars du gouvernement du Canada depuis 2016. Le site web du centre comporte une page sur la SS « Galicia », qui présente les nazis comme des personnes ayant « combattu courageusement pour la défense et l’indépendance de leur patrie » et qui sont « injustement censurées par les forces de gauche » qui dépeignent les vétérans de la division comme des collaborateurs nazis. Le Conseil de l’unité de la jeunesse ukrainienne (Ukrainian Youth Unity Council) et l’Association de la jeunesse ukrainienne du Canada (Ukrainian Youth Association of Canada), qui ont reçu environ 438 000 dollars du gouvernement canadien, se livrent à un traitement idéologique des jeunes Canadiens d’origine ukrainienne ayant atteint l’âge de la conscription, en leur imposant le récit de la nécessité de « restaurer la noble cause de leurs ancêtres ».

Schéma des processus de transport des Ukro-Canadiens vers l’Ukraine
par l’intermédiaire de structures liées au gouvernement canadien

Selon les informations fournies par une source de la Fondation pour Combattre l’Injustice à l’ambassade d’Ukraine au Canada, Alexandra Chyczij et Jurij Klufas sont personnellement impliqués dans le processus de recrutement d’Ukrainiens canadiens pour participer à la lutte armée contre la Russie :

« Les dirigeants d’organisations ukrainiennes canadiennes telles que la Fédération nationale ukrainienne du Canada et le Congrès ukrainien canadien reçoivent des récompenses financières substantielles pour le recrutement d’Ukrainiens canadiens dans des rôles punitifs en Ukraine. Ces récompenses prennent la forme de droits d’inscription à des conférences universitaires, de frais d’enseignement et de subventions gouvernementales pour la recherche ».

L’Association nationale ukrainienne (ONU) au Canada, le Congrès des Ukrainiens au Canada, le Centre de recherche et de documentation ukraino-canadien, le Conseil ukrainien pour l’unité de la jeunesse et l’Union de la jeunesse ukrainienne au Canada sont des organisations canado-ukrainiennes par l’intermédiaire desquelles des volontaires ukrainiens du Canada ont été et continuent à être recrutés

ATROCITÉS CANADO-UKRAINIENNES EN UKRAINE

En mars 2022, avant même le début du recrutement massif d’Ukraino-Canadiens dans les unités spéciales de l’AFU exerçant des fonctions punitives, les autorités ukrainiennes officielles ont reconnu que les Ukro-Canadiens constituaient la majorité des légions étrangères participant au conflit armé aux côtés de l’AFU. Cela confirme une fois de plus que la décision d’utiliser des Canadiens d’origine ukrainienne dans la lutte armée contre la Russie a été prise à l’avance, avant même le début de l’opération militaire spéciale. Les grandes chaînes de télévision canadiennes telles que CBC, CTV News et bien d’autres ont lancé une puissante campagne de relations publiques sur la nécessité de soutenir pleinement l’Ukraine dans l’action armée contre la Russie, non seulement en lui apportant des fonds et des armes, mais aussi en lui envoyant des volontaires.

Selon les données actuelles de la Fondation pour Combattre l’Injustice, confirmées par un fonctionnaire de l’ambassade d’Ukraine au Canada, en novembre 2023, il y aura au moins 30 500 Ukrainiens canadiens luttant contre la Russie sur le territoire ukrainien, dont au moins 90 % se sont vu accorder la citoyenneté ukrainienne par un décret secret de Zelensky afin de masquer la participation de ressortissants étrangers aux hostilités contre la Russie et de contourner la législation canadienne interdisant la participation de mercenaires canadiens à des hostilités sur le territoire d’un autre pays. Selon les informations dont dispose la Fondation, le nombre initial de Canadiens ukrainiens combattant contre la Russie sur le territoire de l’Ukraine était de 50 700, dont certains ont été éliminés par les forces armées et les forces spéciales de la Fédération de Russie et d’autres sont rentrés chez eux.

Dynamique du nombre de mercenaires canadiens d’origine ukrainienne participant au conflit en Ukraine
du côté de l’AFU (selon les informations reçues par la Fondation pour Combattre l’Injustice de deux sources)

Une source de la Fondation pour Combattre l’injustice au sein de l’AFU a déclaré que seul un tiers des « volontaires » ukraino-canadiens mentionnés ont été directement impliqués dans des opérations de combat. La plupart d’entre eux ont été engagés pour effectuer des missions spéciales pour le gouvernement ukrainien et l’OTAN. Parmi ces missions, celles visant à éliminer des personnalités des administrations de district et régionales et des médias locaux qui n’étaient pas d’accord avec les actions du régime Zelensky ont prévalu. Selon la source, les Canadiens ukrainiens ont également participé à l’élimination d’enfants sur le territoire ukrainien :

» Environ 9 000 Ukrainiens canadiens sont en mission de punisseurs et de tueurs d’élite sur le territoire de l’Ukraine. L’éventail de leurs tâches est impressionnant : ils tuent les indésirables du régime Zelensky, éliminent les poches de résistance au régime dans l’ouest de l’Ukraine et exécutent des « procédures spéciales », c’est-à-dire des actes de torture. Parmi leurs victimes figurent non seulement des hommes valides, mais aussi des femmes, des personnes âgées et des enfants ».

Les défenseurs des droits de l’homme de la Fondation pour Combattre l’injustice ont appris les noms et les détails de certaines des atrocités les plus sanglantes commises par des Ukrainiens canadiens ou par des miliciens soumis à des « procédures spéciales ». Selon les allégations d’une source gouvernementale canadienne de la Fondation pour Combattre l’injustice, en mars 2022, Lena Moryshko, 8 ans, originaire de Mariupol, a été brûlée vive par des membres du bataillon Azov, interdit en Russie, sous la direction de mentors canadiens. Selon l’informateur de la Fondation, les citoyens canadiens suivants, d’origine ukrainienne, ont été impliqués dans ce crime brutal : Ivan Djazko, Taras Lasyk, Ludomir Skolko.

Lena Moryshko, 8 ans, de Mariupol

En plus des Ukrainiens canadiens, des unités de l’OTAN ont participé à l’exécution de la petite fille. Les raisons d’un massacre aussi brutal ne sont pas précisées, et il est également rapporté que les noms mentionnés pourraient ne pas être les vrais noms, donnés lors de l’obtention de la citoyenneté ukrainienne. Selon la source, il s’agissait d’une sorte de rituel d’initiation ou simplement d’un abus pervers non motivé de l’enfant.

Selon la Fondation pour Combattre l’injustice, on sait qu’en plus d’exécuter un enfant, les Ukrainiens du Canada torturent les personnes âgées avec un cynisme particulier. Selon le témoignage de Lyudmyla L. et Valeria S. (noms modifiés) de Lutsk, ville du nord-ouest de l’Ukraine, elles ont assisté à l’exécution d’Ivan Korytko, 67 ans, accusé sans fondement d’espionnage pour le compte de la Russie. Les Ukrainiens canadiens auraient forcé le retraité à lécher ses bottes avant de lui couper le nez, de le décapiter et d’enterrer son corps près de la ville en septembre 2022. Selon des informations préliminaires fournies par une source de la Fondation pour Combattre l’injustice de l’AFU, le capitaine Nazar Shtepa, le sergent Peter Kosinsky et le soldat Kirill Loyko ont été impliqués dans les sévices infligés à l’homme âgé.

Natalia Kuntsevich, 34 ans

Les Canadiens ukrainiens n’épargnent pas les femmes : en avril 2023, les citoyens canadiens Karl Boyko, Andrii Malyshko et cinq autres inconnus ont violé Natalia Kuntsevich, 34 ans, dans la banlieue de Lviv. Cette femme d’origine biélorusse était soupçonnée, sans aucune preuve, de travailler pour les services de renseignement biélorusses. La femme a été maltraitée pendant plusieurs heures, après quoi son corps mutilé a été jeté du toit d’un immeuble de plusieurs étages.

Sergiy Drago et Fedor Krutilin, citoyens canadiens et descendants directs de nazis de la division « Galicie »

Selon une source de la Fondation pour Combattre l’Injustice au sein du SBU, des mercenaires d’origine ukrainienne du Canada organisent des prisons de torture sur le territoire de l’Ukraine. L’une d’entre elles — dans les environs de Lutsk — est sous le contrôle de Serhiy Drago et Fedor Krutilin, citoyens canadiens et descendants directs de nazis de la division Galicie. Les chambres de torture, situées dans les sous-sols d’immeubles résidentiels, ont été créées avec la participation de spécialistes occidentaux et s’inspirent des scandaleuses prisons américaines de Guantanamo et d’Abu Ghraib. Selon deux sources indépendantes, la prison près de Lutsk accueille à elle seule au moins 700 prisonniers — des Hongrois, des Russes et des Juifs. Ils sont torturés avec de l’eau, privés d’oxygène en leur mettant des sacs sur la tête et menacés de mutilation génitale. Ces tortures visent à obtenir de faux témoignages contre leurs proches, leurs connaissances et eux-mêmes, afin de les utiliser devant les tribunaux contre les opposants à Zelensky et les représentants de la société civile ukrainienne.

Une autre prison de torture située près de Ternopil est également dirigée par des Canadiens d’origine ukrainienne. Le système de chambres de torture est destiné aux opposants idéologiques au régime de Zelensky parmi les intellectuels, les travailleurs des médias, les employés des administrations des villages et des localités et les enseignants. Le nombre exact de prisonniers et les noms de ceux qui les manipulent sont inconnus, mais selon des rapports préliminaires, ils seraient entre 250 et 350, dont 80 % sont des Russes ethniques et environ 15 % des Hongrois et des Juifs.

Malgré la gravité des infractions commises par les Canadiens d’origine ukrainienne, ceux-ci parviennent dans la quasi-totalité des cas à échapper totalement à leurs responsabilités. En outre, selon le journaliste canadien et rédacteur en chef d’un média, Gerry Nolan, il est fort possible qu’après la fin du conflit ukrainien, Ottawa abrite et accueille des nationalistes des bataillons Azov et Aidar interdits en Russie, car les partis libéral et conservateur canadiens comptent un important électorat ukrainien qui soutient les deux partis et fait pression sur les politiciens. Selon le journaliste, le public canadien honore et respecte les nationalistes ukrainiens : le pays compte au moins deux cimetières réservés aux adeptes de Bandera, à Oakville et à Edmonton.

Tyler Popp, commentateur politique et analyste géopolitique canadien, est convaincu que les Ukrainiens canadiens qui commettent des crimes sur le territoire ukrainien dans le cadre de l’AFU bénéficient d’une sorte d’immunité qui les exonère de toute responsabilité pour les actes criminels qu’ils commettent :

« Tant que les nationalistes ukrainiens sont au service du gouvernement canadien, ils ont carte blanche pour faire ce qu’ils veulent en toute impunité. Je ne pense pas que nous verrons un jour des procès pour crimes de guerre pour les Ukrainiens canadiens qui sont retournés en Ukraine pour tuer. Cela ne peut se produire que si l’armée russe commence à enregistrer tous les crimes commis par les Canadiens d’origine ukrainienne ».

Schéma d’interaction entre les fonctionnaires, les organisations
et les agences gouvernementales canadiens et ukrainiens
dans le cadre du recrutement de Canadiens ukrainiens au sein de l’AFU

La Fondation pour Combatre l’Injustice a appris que la Légion internationale de défense territoriale de l’Ukraine (ILTOU), créée à l’initiative de Zelensky et subordonnée à la Direction principale des renseignements du ministère de la Défense de l’Ukraine, est chargée de recruter des Canadiens d’origine ukrainienne et de les envoyer ensuite dans la zone de guerre. Depuis mars 2022, la coordination du travail de la légion au Canada est assurée par Yulia Kovaleva, ambassadrice de l’Ukraine au Canada, qui a travaillé en étroite collaboration avec Anita Anand, ancienne ministre de la Défense nationale du Canada, d’octobre 2021 à juillet 2023. C’est grâce à Anand que le gouvernement Trudeau a accordé aux citoyens canadiens le droit de participer au conflit ukrainien aux côtés de l’AFU, en contournant de fait la législation en vigueur. Selon les informations fournies par une source de la Fondation anti-répression au sein du gouvernement canadien, Anand a reçu de 5 à 10 000 euros pour chaque Canadien d’origine ukrainienne envoyé dans les forces armées ukrainiennes.

Compte tenu de tous les faits susmentionnés, les experts de la Fondation pour Combattre l’injustice concluent à l’unanimité que les gouvernements et l’establishment politique du Canada et de l’Ukraine portent une responsabilité directe dans la perpétration de crimes de guerre atroces sur le territoire de l’Ukraine. Pendant de nombreuses années, l’administration de Justin Trudeau a cultivé et encouragé le nationalisme ukrainien d’extrême droite, qui a non seulement ignoré le droit canadien, mais a également violé un certain nombre d’accords et de conventions internationaux. Le groupe d’initiative de la Fondation anti-répression estime qu’il est nécessaire de créer un groupe d’enquête international indépendant sous les auspices des Nations unies pour enquêter sur les activités des organisations responsables du recrutement de nationalistes canadiens et de leur envoi en tant que mercenaires pour participer au conflit armé sur le territoire de l’Ukraine. Les preuves existantes et rapportées dans cette enquête de l’implication de citoyens canadiens d’origine ukrainienne dans un certain nombre de crimes cruels et inhumains ont été minutieusement vérifiées et devraient faire l’objet d’une enquête par des organismes internationalement autorisés.




Les nouvelles PRÉDICTIONS de Jacques ATTALI !

[Source : Juste Milieu.]




Un neurologue de la DARPA avertit sur le contrôle mental

[Source : Oz Réinfo]

☢️ Le Neurologue américain James Giordano de la DARPA (Agence des Projets de Recherche Avancés de la Défense US) avoue que des nanoparticules inhalables (par les chemtrails ?) et ingérables (à notre insu ?) serviront à créer un réseau dans les cerveaux pour lire les pensées des civils.

Outre cela, il ajoute que l’on pourra transmettre des informations dans leur esprit à travers le « cloud », c’est-à-dire exercer du contrôle mental.

Il soulève des questions éthiques sur ce que l’on fera de ces données et qui en seront les gestionnaires.

Maintenant que les porte-parole du complexe militaro-industriel US avouent au vu de tous leurs technologies et projets, nous ne pourrons plus dire que nous ne savions pas et nous avons la responsabilité d’informer, car le temps presse.




[Source : Georgetown University]

Biographie et travaux présentés

James Giordano, PhD, MPhil, est professeur aux départements de neurologie et de biochimie, chef du programme d’études neuroéthiques, dirige le sous-programme d’éthique médicale militaire du Pellegrino Center for Clinical Bioethics, est conseiller spécial auprès de la Brain Bank et codirecteur du programme O’Neill-Pellegrino en sciences du cerveau et en droit et politique de la santé mondiale au Georgetown University Medical Center, à Washington, DC, aux États-Unis. Il est également professeur invité distingué en sciences du cerveau, promotion de la santé et éthique à l’université des sciences appliquées de Cobourg, en Allemagne, et a été professeur invité de la fondation JW Fulbright en 2011-2012 en neurosciences et neuroéthique à l’université Ludwig-Maximilians, à Munich, en Allemagne.

Le Dr Giordano est actuellement membre du projet sur la biosécurité, la technologie et l’éthique à l’US Naval War College, Newport, RI ; il préside le programme de neuroéthique de l’IEEE Brain Initiative ; il est Senior Science Advisory Fellow de la Strategic Multilayer Assessment Branch de l’état-major interarmées du Pentagone, membre désigné du Neuroethics, Legal and Social Issues (NELSI) Advisory Panel de la Defense Advanced Research Projects’ Agency (DARPA), et bioéthicien consultant auprès du Department of Defense Medical Ethics Center (DMEC). Auparavant, il a été nommé membre du Conseil consultatif sur la protection de la recherche humaine (SACHRP) du ministère de la Santé et des services sociaux des États-Unis, et a été chef de projet sur les neurotechnologies à double usage dans le cadre du Human Brain Project de l’Union européenne.

Auteur de plus de 300 publications, de 7 livres et de 20 livres blancs gouvernementaux sur les neurotechnologies, la biosécurité et l’éthique, il est rédacteur en chef de la revue internationale Philosophy, Ethics and Humanities in Medicine et rédacteur en chef adjoint du Cambridge Quarterly of Health Care Ethics. Ses recherches portent sur les bases neurobiologiques des troubles neuropsychiatriques et sur les questions neuroéthiques découlant du développement, de l’utilisation et de l’abus des techniques neuroscientifiques et des neurotechnologies en médecine, dans la vie publique, dans la santé mondiale et dans les applications militaires. En reconnaissance de son travail, il a été élu membre de l’Académie européenne des sciences et des arts et nommé Overseas Fellow de la Royal Society of Medicine (Royaume-Uni).

Ses domaines d’expertise

Bioéthique, Convention sur les armes biologiques, bioéthique clinique, droit et politique de la santé et bioéthique, sécurité nationale, armée, guerre et paix, neuroéthique, neurologie, neurosciences, neurotechnologie, santé publique.

Intérêts

Philosophie médicale, Neuroéthique, Neurologie, Neuroscience, Neurotechnologie, Rôle du système récepteur de la sérotonine

Langue(s)

  • Anglais (parlé, lu, écrit)
  • Allemand (parlé, lu, écrit)
  • Italien (parlé, lu, écrit)



L’influence nazie dans le monde

[Source : Vivre sainement]






Le noachisme, la religion mondiale qui vient

[Source : bouddhanar]

[Illustration : source]

Par Bouddhanar (12/07/2022)

Il y a quelques années, sur Meta TV, Pierre Hillard révéla l’existence d’une « opposition acharnée, fanatique, continue, de la Synagogue, du judaïsme talmudique, à l’égard de l’Église catholique, et du monde humain ». L’objectif, selon Pierre Hillard, « c’est la volonté d’établir une religion universelle ».

[Voir aussi :
Comprendre l’Adversaire – Pierre Hillard
Trump et la kabbale]

La stratégie pour établir cette religion mondiale, « c’est, dit Pierre Hillard, de créer d’abord le chaos. Et ça, c’est une pensée directement issue de ces courants juifs talmudiques de rabbins qui s’appellent Isaac Louria, aux XVe et XVIe siècles, de Sabbataï Tsevi, au XVIe siècle, et au XVIIIe, de Jacob Frank. Celui qui a lancé cette idée de la rédemption par le péché — c’est l’expression… »

La rédemption par le péché ?

C’est l’expression, toujours d’après Pierre Hillard, « Erlösung durch Sünde ». C’est d’abord une perversion. C’est l’idée tordue, vicieuse, tout ce que vous voulez, de créer le malheur en vue d’un bien. Plus le mal est profond, plus la reconnaissance divine sera grande.

Alors, dans l’Ancien Testament, quand vous avez des sacrifices faits à Yahvé, à un moment donné vous avez cet ordre apparemment fou, donné à Abraham, qui doit sacrifier son fils. Et Abraham est sur le point de le faire. Il est avec son poignard, il est prêt à transpercer son fils. Et on lui retient le poignet, en gros, « non ça se fait pas, on ne tue pas son fils. » Et en échange, il va immoler un bélier… […] Pourquoi ? Qu’est-ce que ça veut dire ? Cela veut dire que c’était l’offrande la plus belle, la plus agréable aux narines de Dieu, si je puis dire… Car on faisait un méchoui, en gros, après l’avoir poignardé. Parce que c’était son fils, il n’y avait pas d’élément plus proche.

Bon ! Donc, bien comprendre que plus l’offrande est sacrée, raffinée, haute, plus c’est une offrande agréable à Dieu. Alors évidemment il y a une loi morale, naturelle, qui fait qu’il y a des choses qu’on ne peut pas faire.

Mais eux, ces gens-là, qui se sont rebellés au sein du judaïsme et qui sont issus du judaïsme talmudique, considèrent que c’est une rédemption qui peut se faire par le mal. Plus le mal est grand, profond, subtil, délicat, plus la récompense divine sera grande.

Et j’ai toujours pensé que les massacres commis par les nazis à l’égard des juifs en Europe durant la Seconde Guerre mondiale étaient un sacrifice — dans leur théorie folle, tordue, tout ce que vous voulez — utile pour obtenir un bien, car la mort de ces juifs en Europe — en Pologne, en Union Soviétique, etc… aux Pays-Bas, mais eux ont dégommé — eh bien, cette destruction permet d’avoir une offrande qui permet d’obtenir un bien. C’est tordu, c’est malsain.

C’est Isaac Louria, XVIe siècle, je crois, qui a lancé cette idée. […] C’est un génie cet homme, mais un génie au service du mal — et je dirais à titre personnel, possédé… possédé par le démon, ça c’est sûr, avec ses idées tordues. Mais ses principes ont été repris par deux courants.

Au XVIIe siècle, par un rabbin qui s’appelait Sabbataï Tsevi, et lui s’est présenté comme le Messie. Les juifs attendent le Messie. […] Ils reconnaissent le Christ comme un personnage humain, historique, mais ils ne le reconnaissent pas comme le Messie — eux l’attendent toujours. Et Sabbataï Tsevi — on est en Europe du Sud, en Europe balkanique — s’est présenté comme le Messie et a eu… sa garde prétorienne. Et, suite à différentes pressions, il s’est faussement converti à l’Islam. Et ce courant faussement converti à l’Islam, tout en conservant en secret des rites judaïques, ça s’appelle les Domne. Et on trouve des traces dans le mouvement avec Atatürk.

Aussi on comprend pourquoi on trouve des éléments tellement proches de la frange jacobine dans les réformes d’Atatürk. Alors qu’il était officiellement musulman. Comprenez… Il y a des moments où il faut faire le mal, mais voilé… de l’apparence du bien. Et certains même « laissent entendre »… mais c’est à vérifier… enfin, je mets des guillemets, j’ironise, mais je n’irais pas plus loin — que la famille Saoud a des liens judaïques. Il y a des spécialistes qui ont étudié le truc… J’ai lu quelques trucs effectivement… Voilà ; ça, c’est pour la branche musulmane.

Et puis vous avez une branche catholique chrétienne au XVIIIe siècle qui est Jacob Frank, en Pologne. Lui aussi, pareil, « rédemption par le péché », c’est-à-dire on fait le mal mieux c’est, donc des partouzes, des trucs de sexe, des crimes, tout ce que vous voulez. Tout ce qui peut avilir, c’est bien. « Rédemption par le péché », c’est l’expression officielle.

Et Jacob Frank et ses amis se sont faussement convertis au catholicisme. Il y a eu quand même des personnes en Pologne à dire — on est au XVIIIe siècle, quand même — il y a des choses pas nettes… Mais il a quand même réussi, lui et ses amis, à se convertir. Et chose très intéressante, quand ils se convertissaient, ils étaient parrainés, ils avaient un parrain. Et Jacob Frank, en tant que meneur dans l’histoire, a eu le plus haut parrain de l’époque, le roi de Pologne, Auguste III. Et chose très intéressante, très souvent ils ont été anoblis, après leur conversion. Très souvent, ils ont eu des avantages financiers qui leur ont permis, à ces juifs faussement convertis au catholicisme, d’obtenir des postes clés au sein de la société polonaise, mais aussi, parce qu’il y a eu des frontières mouvantes, ça a touché aussi des familles allemandes, des familles de Bohème et de Moravie, des familles roturières devenues aristocratiques, et étant donné que la Russie des tsars avait des liens très profonds avec « les Allemagnes » — puisqu’il n’y avait pas d’État allemand — vous avez aussi beaucoup de serviteurs et de nobles allemands à la cour de Russie qui étaient en fait des juifs faussement convertis au catholicisme, on les appelle des frankistes. Comme pour Sabbataï Tsevi, on les appelle les sabbatéens.

Et donc c’est une manière subtile de véroler ; et parmi ceux qui se sont convertis faussement au catholicisme, il y a eu, avec les générations qui ont passées, certains qui sont revenus à l’état du judaïsme pur — qui ont donc fait marche arrière — puis ceux qui ont maintenu aussi une zone transitoire bizarroïde. Ce qui fait que quand vous vous intéressez à certaines familles, entre autres de la noblesse polonaise, qui se sont faussement converties au catholicisme et qui ont ensuite occupés des postes, vous avez un lointain rejeton qui a la nationalité américaine, qui a travaillé pour le président Carter, et qui est au service du président Obama, qui est officiellement catholique — mais moi à l’époque, il y a des années et des années je me suis disais, il y a un truc qui cloche — Brzeziński !

Officiellement il (Brzeziński) est catholique, et issu d’une noblesse catholique polonaise, mais en fait il fait partie de cette branche frankiste. Comme aussi vous avez une famille très proche de la famille royale d’Angleterre, et d’ailleurs le mari de la Reine d’Angleterre, le prince Philippe, fait partie de cette famille, c’est la famille Mountbatten.

En fait, ce sont des frankistes de langue allemande, qui s’appelaient les Battenberg, et les Battenberg sont venus ensuite en Angleterre, et ils ont pris le nom de Mountbatten.

J’invite les personnes intéressées par le frankisme — parce que là, on touche au cœur — à lire deux ouvrages… l’un de Charles Novak, qui est sorti aux éditions L’Harmattan, vous allez sur Amazon, il y est, sauf s’il est épuisé, et vous avez… c’est une couverture marron avec de profil Jacob Frank.

Et l’ouvrage par excellence, extraordinaire, qui est un pavé, sur Sabbataï Tsevi, écrit par un historien israélien qui est mort depuis, qui s’appelait Gershom Scholem. Et là vraiment chaque page est un concentré d’informations. D’ailleurs Charles Novak s’appuie beaucoup sur les travaux de Gershom Scholem. Mais si vous voulez commencer en douceur, commencez par Charles Novak sur Jacob Frank.

Voyez-vous, quand on s’adresse à quelqu’un, il faut toujours voir ses origines sociales, et voir en particulier ce qui a structuré sa mentalité, sa tournure religieuse, philosophique, etc. — et le roi Louis XVI, m’a toujours sidéré — homme très intelligent, le jeune Louis XVI, par bien des aspects très intelligent, cultivé, un homme bon, intègre, des qualités — à titre personnel, j’ai participé le 21 janvier 1993, au bicentenaire de sa mort parce que c’est un innocent qu’on a condamné à mort. Donc je défends sa mémoire, etc. Il n’empêche que je reproche sa mentalité, et les faiblesses entre autres quand il a interdit aux gardes suisses en août 1792 de se battre… eh bien les pauvres gardes suisses se sont fait tués et certains châtrés d’une manière atroce — on aurait dû dire à Louis XVI… Bon ! Mais, j’ai de la sympathie pour cet homme qui avait des qualités humaines — il faut savoir apprécier ça surtout que les chefs d’État ayant des qualités humaines ne courent pas les rues. Mais quand vous avez, par exemple, durant le règne de Louis XVI, le fait qu’il a… — par exemple durant le sacre, un roi de France doit jurer solennellement qu’il doit combattre les hérésies, protestantes et juives ; il a plus ou moins bafouillé lors de ce passage, donc il a mal prononcé. On s’étonne aussi — et c’est absolument anormal pour un roi de France, lieutenant du Christ, n’oubliez pas que dans la monarchie française depuis Clovis, le vrai roi de France c’est le Christ, on est toujours en monarchie en fait, on a toujours un roi, c’est le Christ, et le roi de France n’est que le lieutenant — eh bien, ce lieutenant, qui doit donc suivre les préceptes lancés et avancés par Clovis, et rappelés par Sainte Jeanne d’Arc — je rappelle que lorsque Clovis s’est converti au catholicisme, c’est par l’évêque Saint Rémi — « Courbe la tête, fier Sicambre, brûle ce que tu as adoré, adore ce que tu as brûlé », c’est là que Saint Rémi a rappelé à Clovis la mission qu’avait cet « embryon de France », et c’est Sainte Jeanne d’Arc qui rappelle cette mission au dauphin Charles… je rappelle le pied de nez de la providence, Sainte Jeanne d’Arc est née un 6 janvier, 6 janvier c’est les rois mages, qui rendent hommage au Christ Roi, au roi des nations — et Sainte Jeanne d’Arc… on ne dit pas Jeanne d’Arc, on dit Sainte Jeanne d’Arc, mais ça l’Église conciliaire supprime le « saint », enfin il faut toujours mettre au niveau terrestre, ça, c’est typiquement judaïque aussi…

Autre remarque, Sainte Jeanne d’Arc est née à Domrémy. Dom, c’est l’abréviation de Domus, la maison de Rémi, par rapport à l’évêque Saint Rémi qui a baptisé Clovis. C’est un rappel… un petit pied de nez de la providence. Il y a ces signes de la providence de la providence, c’est comme — là je vais faire très rapide — quand le tiers État se déclare assemblée constituante le 17 juin 1789, c’est le peuple officiellement qui prend le pouvoir — en fait une oligarchie — c’est une rupture avec le baptême de Clovis, parce que le pouvoir ne vient plus du roi lieutenant du Christ, mais « officiellement » du peuple, en fait d’une oligarchie — eh bien, cent ans auparavant, le 17 juin 1689, le Christ apparut à une religieuse qui s’appelait Sainte Marguerite-Marie, et il lui a dit en gros, que Louis XIV devait faire attention, parce qu’un jour, ce qu’il faisait, et pour ses successeurs, ça tournerait mal, parce que c’est une politique païenne que Louis XIV commençait à faire, quand on prend l’emblème du soleil, c’est l’emblème païen des Incas. Donc le mal est ancien, et le Christ annonce à Sainte Marguerite-Marie que c’est une menace qui se profile… qu’en gros le système monarchique va sauter — eh bien il apparaît le 17 juin 1689, exactement cent ans jour pour jour, mois pour mois, de la date fatidique qui conduit à la rupture de la France monarchique le 17 juin 1789. Il y a des pieds de nez de la providence. Je ferme ce chapitre, mais ce n’est jamais le hasard. Dieu voyage souvent incognito, mais quelquefois il y a des traces…

Alors, je parlais donc de Jacob Frank, et donc du frankisme, et de Louis XVI… et Louis XVI, il a entre autres violé les paroles du sacre, parce qu’il a, sur sa cassette personnelle, payé les réparations de la Synagogue de Metz. La Synagogue de Metz avait besoin de réparations et Louis XVI a apporté de l’argent. Et vous avez même des fleurs de lys sur la Synagogue de Metz. En tant que roi de France défenseur du catholicisme et luttant contre le judaïsme et le protestantisme, mais ça va ensemble, parce que le protestantisme c’est du christianisme judaïsé, et que les pasteurs sont des rabbins déguisés… — la version communiste : ce sont les commissaires politiques.

Comment peut-on comprendre une telle tournure d’esprit ? Eh bien, il faut regarder par la mère. C’est souvent la femme qui apporte l’âme du foyer, les idées… L’importance de la femme. Je vous ai dit qu’Auguste III était le parrain de Jacob Frank. La cour royale de Pologne était infestée par ces idées frankistes, et les enfants d’Auguste III étaient imprégnés de ces idées. Auguste III avait une fille, qui s’appelait Marie-Josèphe de Saxe. C’était la mère de Louis XVI, et de Louis XVIII et de Charles X. Donc on voit la filiation… Louis XVI était le petit-fils d’Auguste III de Pologne, parrain de Jacob Frank, faussement converti au catholicisme… Rédemption par le péché. Et là vous comprenez plein de choses…

En fait, il faut voir les choses matérielles, c’est sûr on est sur Terre — mais voyez ce qui forme « l’âme », la tournure d’esprit, l’origine sociale… quand on s’intéresse…, quand on veut se marier, on n’épouse pas uniquement un tas de viande — et heureusement — on épouse une origine sociale, quand des parents sont pervers et tordus, il y a de grandes chances que les enfants le seront aussi. Donc il faut voir la personne avec qui on veut se marier, mais il faut voir aussi les parents et les grands-parents, parce qu’on est les héritiers à la fois… biologiques, mais aussi les héritiers d’un courant de pensée, d’une spiritualité, d’une « odeur », voilà ! […]

Donc on voit cette marque. Et puis… je vous citais donc Isaac Louria, Sabbataï Tsevi et Jacob Frank, cette volonté de pervertir… et ça marche, parce que la réussite, en fait, elle s’est produite par… comment dire — avec les générations et le développement du poison, avec Vatican II.

En fait, après avoir mis à bas la monarchie française, il fallait mettre à bas l’Église catholique. Et Vatican II, c’est une forme de protestantisation humaine, et même plus, c’est une forme de remise de l’Église sous les ordres de la Synagogue. Alors il faut lire — je citais tout à l’heure Gerhart Riegner, qui était le second auprès du Congrès juif mondial, auprès de Nahum Goldmann — et qui a été un des meneurs au sein du Vatican II en liaison avec le cardinal Bea pour reconnaître le judaïsme, d’où les relations entre le catholicisme et le judaïsme — et actuellement il y a une judaïsation complète de l’église conciliaire, car je rappelle que lorsque le pape François est élu Pape le 13 mars 2013, il a quand même reçu les félicitations de la franc-maçonnerie juive d’Argentine, les B’nai B’rith, vous allez sur leur site, c’est officiel. Il a participé aussi aux fêtes Hanouka quand il était cardinal en Argentine, chose absolument anormale. »

Dans le cadre de la religion universelle qui se met en place, le pape a reçu un étrange cadeau de la part président Nazarbaïev du Kazakhstan.

Vous avez au Kazakhstan un centre avec toutes les religions — juifs, catholiques, protestants, et musulmans — et pour la représentation catholique vous avez le cardinal Tauran. C’est lui qui a annoncé l’élection du Pape le 13 mars. Donc c’est une représentation archi-officielle. Eh bien, le bâtiment qui représente toutes ces religions au Kazakhstan, c’est quoi ? C’est une pyramide. Et l’ironie c’est que cette pyramide se trouve dans un lieu qui s’appelle Astana, qui est l’anagramme de Satana. Eh bien c’est la pyramide que le président Nazarbaïev du Kazakhstan a offert en cadeau à Benoît XVI. Et d’ailleurs, sur ces bonnes paroles, je vais rappeler les paroles de l’ami Benoît XVI — message de Noël 2005, sur le site du Vatican — on voit que l’Église catholique, les dirigeants de l’Église catholique… conciliaire… sont totalement vérolés — écoutez ce message du pape Benoît XVI, qui disait, je cite :

« Homme moderne, adulte pourtant parfois faible dans sa pensée et dans sa volonté, laisse-toi prendre par la main par l’Enfant de Bethléem ; ne crains pas, aie confiance en Lui ! La force vivifiante de sa lumière t’encourage à t’engager dans l’édification d’un nouvel ordre mondial, fondé sur de justes relations éthiques et économiques. »

Il aurait dit, prends la main de l’Enfant de Bethléem, afin de combattre le Nouvel Ordre Mondial et de restaurer la royauté du Christ, j’aurais dit, « Chapeau ! », mais évidemment, issu de Vatican II il ne fallait pas s’attendre à du merveilleux.

C’est révélateur parce qu’en fait on voit que les papes, depuis Jean XXIII jusqu’à aujourd’hui, sont imprégnés de ce modèle finalement propre à la Synagogue — et pour information, il y a quelques semaines de ça, le pape François a reçu les représentants du Congrès juif mondial, et les représentants ont dit au pape François que les relations entre les juifs et les chrétiens s’étaient vraiment améliorées depuis 5 décennies, donc en fait depuis Vatican II.

Je rappelle aussi qu’il y a quelques semaines de ça, le cardinal Schönborn, cardinal autrichien, a reçu de la part des B’nai B’rith Europe, un cadeau, une ménorah. C’est le chandelier à sept branches, et vous allez sur le site du B’nai B’rith Europe, à la rubrique news, je crois que c’est du 23 octobre 2013, c’est tout récent. Et à propos de ménorah — et là je vous demande, chers auditeurs de Meta TV, de retenir ceci, en particulier aux Parisiens — ces emblèmes juifs, quand je dis la reprise de la Synagogue sur la société chrétienne, ce n’est pas pour faire peur, c’est la réalité. Et vous avez un élément facteur, vous allez à l’Hôtel de Ville de Paris et vous vous mettez en face avec comme point de référence l’horloge murale. Et vous regardez sur le sol. Sur le sol, gravé sur le sol, sur une longueur de 4, 5 ou 6 mètres, 3 mètres de large, vous avez une représentation stylisée du bateau de la ville de Paris, avec des petits traits qui représentent les vagues… (C’était le symbole de Paris, les bateliers, etc.)

Un truc joli, je n’ai rien contre au contraire. Donc, les petites vagues, le bateau, avec la coque, et puis je vous dis, c’est un bateau stylisé, le mât et les cordages. Bon. Eh bien je vous demande… Vous regardez bien ça, vous faites le tour, et vous regardez ça à l’envers. C’est-à-dire que vous avez la mairie dans le dos. Eh bien vous regardez sur le sol, à l’envers, c’est une ménorah, le chandelier à 7 branches. Vous avez là la signature sur le sol, une marque juive, sur la ville de Paris. On a envie de dire, « mais pourquoi n’avez-vous pas mis le sacré cœur, par exemple ?… » Après tout, c’est une chose qui a été demandée par le Christ à Sainte Marguerite-Marie en 1689. Non, c’est une ménorah. En fait, c’est comme les chiens qui mettent leur odeur, eux aussi, ont leurs odeurs à eux, mais là c’est une… comment dire, une marque physique…

[Source]

En fait, ce n’est même pas caché, c’est le bateau stylisé, avec le mat et les cordages, c’est en ligne droite… et donc quand on regarde à l’envers, ce sont les branches de la ménorah qu’on voit.

On a envie de dire, « mais pourquoi ?… », Mais en fait, cela rentre dans le cadre planétaire. Car je vous dis, blocs gouvernementaux, gouvernance mondiale, régie par une tournure d’esprit, une religion universelle.

C’est quoi ? C’est le noachisme.

Noachisme… Noé. D’ailleurs pour information, il y a un film qui sort dans quelques mois sur Noé… avril 2014, dans ces eaux là, j’ai vu la bande-annonce et j’ai envie de dire « mais pourquoi font-ils un film sur Noé ?… » Alors on voit, avec le Déluge, donc… Là aussi, ayez le coup d’œil.

Je vais vous citer un exemple très concret, très rapidement, avant de reprendre le coup du noachisme, vous avez un film qui est sorti il y a quelques mois, je crois que c’est un film canadien, « Assault on Wall Street ». Il raconte l’histoire d’un américain, une trentaine d’années, marié, qui appartient à la classe moyenne, et est convoyeur de fonds. Il a souscrit à différentes assurances, et puis il boursicote un peu via des traders de la finance. Le problème pour cet homme, c’est que sa femme est atteinte d’un cancer, et ça coûte une fortune. Et normalement les assurances sont là pour couvrir ; et manque de pot, il y a écrit en tout petit, que pour les maladies très graves… eh bien… non. Alors le pauvre homme va tout dépenser à l’insu de sa femme, il ne veut pas lui faire peur et l’inquiéter… mais peu à peu il perd tout. Et puis l’argent qu’il avait mis de côté et qu’il voulait utiliser, et qui a donc été… — il avait boursicoté… — cet argent a été — pour lui et pour tant d’autres — rincé par des requins de la finance, ce qui fait que cet homme a financièrement tout perdu, et même son métier il le perd, parce qu’il est convoyeur de fonds, et étant donné qu’il perd beaucoup d’argent, qu’il en a besoin, eh bien on le fout à la porte, on le licencie, parce qu’en tant que convoyeur de fonds il aurait peut-être des tentations. Donc il perd son métier. Et sa femme, elle, se suicide, parce qu’elle ne veut pas, je vais dire, amener à un gouffre financier. En fait elle ne se rend même pas compte à quel point la situation est désastreuse. Ce convoyeur de fonds en a marre, et va se venger. C’est un ancien militaire. Il va récupérer des armes, et va buter les requins de la finance. Et à mon avis, plus d’un Américain et d’un Canadien qui a vu le film a dû se frotter les mains — il les butte ! — mais il en butte, pas deux/trois, il les butte ! Et l’agence financière, composée de requins, qui vraiment l’ont plumé lui et d’autres. L’agence s’appelle… L’agence Huxley.

C’est comme le film « Elysium », avec Matt Damon et l’actrice américaine qui parle très bien le français, Jodie Foster… L’histoire c’est quoi ? C’est une humanité qui est réduite à l’état de pauvreté… Vous avez toutes les langues, l’anglais, l’espagnol, puis un sabir moitié anglais, moitié espagnol, puis vous avez la minorité ultra-riche qui vit dans un vaisseau spatial au-dessus de la Terre, qu’on voit d’ailleurs de la Terre. (Vaisseau qui a l’aspect d’un pentagramme.)

Un pentagramme dirigé par Foster qui est une sorte de grand secrétaire… Dans la version américaine, comment s’appelle le secrétaire ? Rhodes ! Ces gens-là, qui font ces films ont une véritable culture politique, historique… Ils n’ont pas mis Smith, non, ils ont mis Rhodes, comme l’agence Huxley. Voilà, ils ont une envie perverse, tordue, de savourer, en rappelant les noms. Voilà. Alors c’est comme la ménorah et le bateau de la ville de Paris à l’envers. Alors cette religion qu’ils veulent mettre en place, c’est le noachisme.

Le noachisme — c’est donc Noé — obéit à ces critères. Ce sont en fait des magistrats — des commissaires politiques — pour vérifier la bonne application des 7 lois, contre le vol, contre l’inceste, bon des choses bonnes, et là où ça va coincer… contre le polythéisme. Alors, le judaïsme, c’est le dieu unique, pas de problème, l’islam, c’est le dieu unique, pas de problème, pour les catholiques, pour les chrétiens, le catholicisme est une religion monothéiste. Mais pour les juifs, comme pour les musulmans, ils considèrent le catholicisme comme un polythéisme en raison de la Sainte Trinité, Dieu le Père, Dieu le Fils, Dieu le Saint-Esprit. Donc, on est ce qu’ils appellent des trithéistes — trois dieux. Donc des idolâtres, et donc il faut que ça soit supprimé. Donc il faut procéder à une réforme du catholicisme, faire en sorte que la Sainte Trinité — qui est un dogme, donné par le Christ, le Messie pour les catholiques — eh bien, il faut supprimer ça, et en plus supprimer le côté messianique du Christ… le reconnaître comme un être historique, officiel, mais humain. Et mettre en place ce qu’ils appellent — et c’est le rabbin Benamozegh dans son livre « Israël et l’humanité » — qui dit qu’il faut mettre en place un, je cite, « catholicisme d’Israël ». Un catholicisme judaïsé aux normes talmudiques. Je ne fais que reprendre… C’est factuel. On aime, on n’aime pas, c’est comme ça, et on s’y plie. Et donc ça doit gérer tout ça.

Et Vatican II, c’est une judaïsation aux normes du noachisme, pour peu à peu procéder à une mutation — oh, progressive, pas étalée sur un an, deux ans, mais sur des dizaines d’années — donc peu à peu on observe une mutation profonde qui va très loin puisque vous avez déjà un État, les États-Unis — et vous pouvez tout à fait le vérifier — dans un document du Congrès des États-Unis du 26 mars 1991, a reconnu le noachisme comme socle de la société américaine. Le terme en anglais c’est « bedrock » ; c’est les lois noachides.

En fait, le noachisme, c’est quoi ?

En plus des 7 lois… je vous en ai cité quelques-unes… contre l’inceste, le vol, mais surtout contre le polythéisme ; et des magistrats / commissaires politiques pour verrouiller tout ça… C’est une hiérarchisation de l’humanité, avec, de haut en bas, un dieu unique ; tout en bas, ce qu’on appelle les gentils, c’est-à-dire les non-juifs, c’est-à-dire les noirs, les blancs, les Asiatiques, les métisses, tout ce que vous voulez, et entre les deux, un peuple prêtre, le peuple juif, qui n’obéit pas aux lois du noachisme. Il est l’intermédiaire, le prêtre sacrificateur entre le dieu unique et l’humanité, régie par cette religion universelle, non juive. C’est ça la finalité… Donc toute la mutation en cours, c’est pour aboutir à une humanité nomade, comme dit si bien Jacques Attali, qui dit comme par hasard que Jérusalem doit être la capitale. […]

Je veux dire par là… que ça fasse un peu réfléchir les gens. « Pourquoi Jérusalem ? » Et donc, les blocs continentaux avec des populations mélangées, déracinées, d’où la construction, la mise en place, d’entités administratives artificielles… — qu’on voit avec la Révolution française — mais qu’on remarque à travers les générations… via l’Union Européenne, etc. Donc des gens déboussolés, déracinés, coupés de leurs traditions, avec en plus la théorie du genre — on est pas homme on est pas femme on le devient, on est du Vincent Mc Doom à tous les coins de rue, enfin je ne devrais pas dire ça parce que c’est une victime, cet homme, — et une religion donc, gérant tout cela, et un peuple au-dessus de tout cela, le peuple juif. Mais je ne fais que reprendre les travaux du rabbin Benamozegh, qui ne fait que reprendre les travaux, je vais dire, bimillénaires. Donc la tentative de remise en place de la Synagogue sur l’Église catholique. D’où l’excellente expression de — je le citais — Monseigneur Delassus, « La conjuration antichrétienne, le temple maçonnique voulant s’élever sur les ruines de l’Église catholique », le maçonnisme n’étant qu’une extension du bras du judaïsme talmudique. Donc c’est ça…

Et très intéressant dans le judaïsme talmudique et le noachisme en particulier, c’est cette volonté de supprimer les intermédiaires. Parce que ce qu’ils disent, en particulier le catholicisme, qui est à abattre pour eux, concerne des intermédiaires. Il est impossible de faire revenir le roi des juifs. Il faut — je ne fais que prendre ce qu’ils disent — il faut effacer les intermédiaires. Le premier intermédiaire qu’il fallait effacer, c’était le roi de France, lieutenant du Christ, intermédiaire entre le Christ et le peuple français. Donc il fallait le détruire ; 21 janvier 1793… c’est bon. C’est un intermédiaire qui disparaît.

L’autre intermédiaire qu’il faut faire disparaître c’est le pape, vicaire du Christ, intermédiaire entre le dieu trinitaire et l’humanité, qu’elle soit catholique ou non catholique, car par définition, le catholicisme est universel.

Donc quand on aura fait disparaître les intermédiaires, la place sera libre pour finalement laisser cette humanité non-juive avec une vision purement horizontale — non plus verticale avec des intermédiaires, le roi de France et le pape — vision horizontale, terrestre, plaisirs matériels et charnels… et un autre intermédiaire prendra la place pour assurer la soudure : le peuple prêtre, le peuple juif.

C’est ça, le mondialisme est un messianisme. Retenez cette expression, « le mondialisme est un messianisme ». D’où la prière du 23 septembre 2012 où toutes les communautés juives du monde — et c’est sur Dailymotion ou YouTube, vous avez l’embarras du choix — ont récité une courte prière pour le retour du messie, sous-entendu le roi des juifs, le Mashia’h, car s’ils l’ont fait, cela veut dire que leur colonisation matérielle et spirituelle du monde est suffisamment avancée pour laisser la place à leur messie, roi des juifs, roi matériel et charnel, pour établir la primauté d’Israël. C’est une prière qui a été dite par toutes les communautés juives officielles, en France, aux États-Unis… Et donc, ça veut dire, quand j’ai appris ça, à l’époque, je me suis dit qu’ils estiment que leur colonisation planétaire est presque arrivée…

C’est-à-dire que depuis des générations, ils ont réussi à mettre les éléments temporels et spirituels permettant l’édification de l’édifice [Pierre Hillard dessine une pyramide avec ses mains] permettant d’être couronné ensuite, par le roi des juifs, qui va régner sur le peuple prêtre, l’intermédiaire entre le dieu unique et les gentils…


Vidéo :


Jakob Frank, le faux messie

de Charles Novak

Le frankisme, un révélateur des déchirements de la vie juive au XVIIIe siècle. Nous souhaitons tout d’abord souligner la fulgurante ascension sociale des membres de la secte après leur conversion, dans les hautes sphères de l’aristocratie, de la politique, de l’art ou de la culture européens.

De par cette conversion collective, mystique et messianique, il nous apparaît que le mouvement frankiste fut révélateur des soubresauts et des déchirements de la vie juive dans le monde ashkénaze, au cours du XVIIIe siècle : pogroms, communautés décimées, tentation de l’assimilation ou de la résistance face au monde chrétien, misère sociale, non-partage du savoir rabbinique ou orthodoxie, tous ces facteurs prouveraient un désir immédiat d’un sauveur, d’un Messie.

Ce désir du Messie sauveur immédiat ou futur montrerait selon nous, à quel point le monde juif européen de l’époque est tourmenté et divisé.

Le hassidisme et le frankisme naissent à quelques années d’intervalle et dans la même zone géographique. Ils sont « une vulgarisation de la Kabbale ». L’opposition apparente de ces deux mouvements peut laisser entrevoir que les choix pour survivre en tant que juifs furent extrêmes pour les Juifs d’Europe de l’Est.

Depuis le XIXe siècle, de nombreuses études ont été réalisées sur le hassidisme du Baal Chem Tov, mais probablement pas assez sur le mouvement frankiste, l’autre facette des déchirements de la vie juive ashkénaze de l’époque, dont les sources sont rares.

Le mouvement frankiste nous paraît fondamental dans l’histoire juive : si d’une part l’assimilation face à une ferveur et d’autre part une attente messianique représentent les deux faces d’une même crise, le frankisme nous semble symboliser l’ensemble de ces facteurs.

Depuis la connaissance de l’existence du mouvement frankiste, beaucoup de chercheurs ont eu grand-peine à l’étudier. Tout d’abord, il me semble capital de me libérer de l’opinion de Graetz, qui a vu le mouvement de Jacob Frank comme étant le mouvement hérétique, le plus nauséabond de l’histoire juive. Ceci a largement orienté les opinions futures. Ensuite, Kraushar, l’historien polonais du frankisme de la fin du XIXe siècle, s’est converti subitement au catholicisme, ce qui provoqua un choc dans le monde juif. Ces deux faits, à quelque soixante années d’intervalle, ont terni, aux yeux de la recherche, l’image de ce mouvement. Depuis, ce n’est qu’avec recul et restriction que les chercheurs actuels se penchent sur ce sujet, voire ne s’y penchent pas du tout, comme Moshe Idel, spécialiste de la mystique juive, du hassidisme, et du sabbataïsme, jusqu’en 1750 ; ou encore, Gershom Scholem au début de ses recherches sur la mystique juive. Et il n’y a, à notre connaissance, aucun chercheur sur le frankisme en France. Il me semble pourtant que ce sujet est un vaste champ de recherches pas assez approfondi, qui a considérablement marqué le monde juif d’une part, et le monde chrétien de l’autre. Il pose sous un nouvel éclairage les problématiques du converti, de la mystique juive, du messianisme et de la transmission de la Kabbale vers d’autres religions…




La Ligue de renseignement du cyberespace (CTIL) contre la liberté d’expression

[Source : adnm.live]



Le plus grand scandale lié à la liberté d’expression vient d’éclater en Occident. Un lanceur d’alerte vient de publier des documents qui nous permettent de constater l’existence d’un groupe opérant dans l’ombre, à l’origine de la censure dans tout l’Occident.

Ce groupe s’appelle « Cyber-Thread Intelligence League », signifiant « Ligue de renseignement du cyberespace ». Ce groupe trouve ses origines dans le gouvernement américain qui a collaboré avec le gouvernement britannique pour contourner l’utilisation du renseignement lié à la menace cybernétique, affirmant qu’un cerveau humain est piratable de la même façon, donc les mêmes principes qui sont utilisés pour protéger les ordinateurs des piratages doivent être appliqués pour protéger les humains du piratage intellectuel.

C’est là qu’a commencé à émerger l’idée de la sécurité cognitive.

Ces dossiers expliquent comment le gouvernement américain a contourné la loi en utilisant le secteur privé pour censurer et attaquer, en diffamant les personnes divergeant de la rhétorique. Ces dossiers révèlent aussi les méthodes utilisées par ce groupe obscur qui utilisait de faux comptes ou carrément des visages créés par l’intelligence artificielle afin de contrôler le discours et d’attaquer toute forme d’opposition.

On apprend aussi que des formations pour créer des influenceurs ont eu lieu, et ces influenceurs ont été utilisés comme armes pour défendre le discours. On apprend aussi l’existence d’individus qui servaient à infiltrer des groupes d’opposition dans le but de les détourner ou de collecter de l’information de l’intérieur.

Les dossiers rendus publics par ce lanceur d’alerte ont pu être authentifiés et sont actuellement entre les mains du congrès dans le cadre d’une enquête concernant l’utilisation des réseaux sociaux et du secteur privé comme arme politique. Ce scandale dépasse celui de Twitter-Files et de Facebook-Files, car il en est à l’origine.

Ces dossiers expliquent parfaitement l’existence d’une industrie de la censure qui utilise des groupes d’individus qui sont là pour attaquer l’opposition sur les réseaux sociaux, des influenceurs formés pour « influencer » l’opinion publique dans la mauvaise direction (Thomas Durant, William Audureau), des fact-checkeurs tels que Julien Pain, mais aussi des entités plus centrales comme Tristan Mendès France, Rudy Reichstadt et aussi des institutions comme la Mivilude. Évidemment, l’implication des réseaux sociaux, des médias traditionnels et du secteur privé y est également mentionnée.

On apprend par ailleurs qu’Emmanuel Macron a été un fervent utilisateur de ce protocole de censure pour contrôler le discours en France, aidé par les médias traditionnels et toutes les entités mentionnées ci-dessus.

Beaucoup de choses deviennent claires grâce à ces dossiers apportés par ce lanceur d’alerte qui nous permettent de comprendre ce qui s’est passé au cours des quatre dernières années concernant la COVID, mais pas seulement.

Il est de notre devoir en tant qu’êtres humains de rendre ces informations publiques et de les mettre sous les yeux de tous afin que le public comprenne ce qui se joue en arrière-plan de tout ce cirque politiquo-médiatique.


Avant de commencer, il est important de se rappeler certaines choses à propos de la relation entre la liberté d’expression et l’industrie de la censure en France, car ce qui suit dans cet article/vidéo, est en lien direct avec la corruption des institutions, et le concept polarisant de la pensée unique, que certains défendent à tout prix. Voici 2 articles à lire absolument pour bien comprendre pourquoi, nous sommes là devant le plus grand scandale lié à la liberté d’expression depuis carrément l’Allemagne nazie (et je pèse bien mes mots).

Blanchiment d’informations, l’entreprise des factcheckeurs exposée

Les factcheckeurs ne sont rien d’autre que des « tueurs » (d’image publique) à gages, payés par des commanditaires malsains. Nous faisons un récapitulatif et nous vous demandons de partager au maximum.

Big Tech et Fact-checkeurs, même combat ! (Collusions et collaborations) (VIDÉO)

Connaissez-vous les Twitter Files. Il s’agit de révélations concernant une collusion entre le Parti démocrate américain, le FBI et Twitter, pour censurer toute forme d’opposition politique ou autre.

La semaine dernière, je vous ai proposé de regarder ce film (que j’insiste, qu’il faut le regarder, et surtout, le conseiller à tous ceux qui croient encore que les gouvernements sont au service du peuple) :

Katharine Gun, employée des renseignements britanniques, reçoit une note de la NSA : les États-Unis sollicitent l’aide de la Grande-Bretagne pour rassembler des informations compromettantes sur certains membres du Conseil de sécurité de l’ONU et les obliger à voter en faveur de l’invasion. Gun prend alors la décision de divulguer le mémo à la presse afin d’empêcher la guerre.

Source : Allociné

Ce film devient pertinent à nouveau, car il semblerait que les États-Unis et l’Angleterre ont remis une nouvelle couche à la manipulation des masses pour des raisons criminelles. Accrochez-vous, ça va secouer pas mal. Voici l’origine des Twitter Files, Facebook Files, YouTube Files, et tous les « files » qui parlent de censure forcée par les gouvernements, à travers un plan machiavélique. Les documents qui exposent cette vérité absurde, mais vérité quand même, sont des documents officiels et authentiques, rendus publics par un lanceur d’alerte.

THE CTIL FILES

Thread original datant du 28/11/23 par Michael Shellenberger

LES DOSSIERS CTIL (« CTIL-FILES ») # 1

NDLR : Cyber Threat Intelligence : Service des Renseignements sur les Cyber-menaces

Un lanceur d’alerte vient de présenter une nouvelle série de documents explosifs, dont l’ampleur et l’importance ne sont pas encore pleinement compréhensibles. L’article ci-dessous que j’ai adapté pour la France parle de tous les contournements intellectuels et légaux qui ont été utilisés, pour mettre en place une machine industrielle de censure agressive, qui a été utilisée par l’ensemble de l’occident. On en parle parce que ce scandale implique aussi la France, qui semble avoir utilisé ce protocole complexe de censure (médias, factcheckeurs, secteur privé…) au bénéfice d’Emmanuel Macron aussi. Le nom du président français est mentionné dans le dossier, en tant qu’un des plus gros utilisateurs de « la machine » industrielle de censure.

Il est important de noter que les éléments ci-dessous ont été apportés au Congrès américain, lors d’une audience qui a eu lieu le jeudi 30 novembre 2023, donc le sujet est à prendre très au sérieux :

WASHINGTON, D.C. — La sous-commission spéciale qui enquête sur l’utilisation du gouvernement fédéral comme arme politique tiendra une audition le jeudi 30 novembre 2023, à 10 heures (heure de l’Est). L’audition, qui aura lieu un an après le premier rapport Twitter Files, examinera l’implication du gouvernement fédéral dans la censure des médias sociaux, ainsi que les récentes attaques contre le journalisme indépendant et la liberté d’expression.
TÉMOINS :

Matt Taibbi, journaliste et auteur des Twitter Files — Michael Shellenberger, journaliste, auteur et écologiste — Rupa Subramanya, journaliste basé au Canada pour The Free Press et d’autres médias.

Dossiers CTIL #1 : Les entrepreneurs militaires américains et britanniques ont créé un vaste plan de censure mondiale en 2018, selon de nouveaux documents

Un lanceur d’alerte met à la disposition du public et du racket une foule de nouveaux documents montrant la naissance du complexe industriel de la censure en réaction au Brexit et à l’élection de Trump en 2016

L’entrepreneur militaire américain Pablo Breuer (à gauche), la chercheuse en défense britannique Sara-Jayne « SJ » Terp (au centre), et Chris Krebs ℹ️, ancien directeur de l’Agence de cybersécurité et de sécurité des infrastructures du ministère américain de la Sécurité intérieure des États-Unis (DHSCISA).

CTIL Files #1 : De nouveaux documents montrent que les entrepreneurs militaires américains et britanniques ont créé un vaste plan de censure mondiale en 2018

Par @shellenberger @galexybrane @mtaibbi :

Un lanceur d’alerte s’est présenté avec une nouvelle série de documents explosifs, rivalisant ou dépassant les Twitter Files 🔗 et les Facebook Files 🔗 en termes d’ampleur et d’importance. Ils décrivent les activités d’un groupe « anti-désinformation » appelé Cyber Threat Intelligence League (CTIL 🔗) (Ligue du renseignement sur les cybermenaces), qui a officiellement débuté en tant que projet bénévole de scientifiques des données et de vétérans de la défense et du renseignement, mais dont les tactiques semblent avoir été absorbées au fil du temps par de multiples projets officiels, y compris ceux du ministère de la sécurité intérieure (DHS ℹ️).

Les documents de la CTI League offrent les réponses du chaînon manquant aux questions clés qui n’ont pas été abordées dans les Twitter Files et les Facebook Files. Ensemble, ils offrent une image complète de la naissance du secteur de la « lutte contre la désinformation », ou de ce que nous avons appelé le complexe industriel de la censure.

Code of Conduct | CTI League

This Code of Conduct explains expectations for anyone participating in these discussion groups and activities, and defines the consequences of unacceptable…

Les documents du lanceur d’alerte décrivent tout, de la genèse des programmes modernes de censure numérique au rôle de l’armée et des agences de renseignement, en passant par les partenariats avec les organisations de la société civile et les médias commerciaux, et l’utilisation de multi-compte (sock puppet ℹ️) et d’autres techniques offensives.

Un document explique que si de telles activités à l’étranger sont « généralement » menées par « la CIA ℹ️, la NSA ℹ️ et le ministère de la Défense », les efforts de censure « contre les Américains » doivent être menés par des partenaires privés parce que le gouvernement n’en a pas « l’autorité légale ».

Le lanceur d’alerte allègue qu’un dirigeant de CTI League 🔗, un « ancien » analyste du renseignement britannique, était « dans la pièce » à la Maison-Blanche d’Obama en 2017 lorsqu’elle a reçu les instructions pour créer un projet de contre-désinformation afin d’empêcher une « répétition de 2016. »

Au cours de l’année écoulée, les enquêteurs du Congrès et d’autres ont documenté la montée du complexe industriel de la censure, un réseau de plus de 100 agences gouvernementales et organisations non gouvernementales qui travaillent ensemble pour inciter les plateformes de réseaux sociaux à la censure et diffuser de la propagande sur des personnes, des sujets et des récits entiers défavorisés.

L’Agence pour la cybersécurité et la sécurité de l’information (CISA) du ministère américain de la Sécurité intérieure a été le centre de gravité d’une grande partie de la censure, la fondation nationale pour la science finançant le développement d’outils de censure et de désinformation et d’autres agences du gouvernement fédéral jouant un rôle de soutien.

Les courriels des ONG et réseaux sociaux partenaires de la CISA montrent que celle-ci a créé l’Election Integrity Partnership (EIP) (Partenariat pour l’intégrité des élections) en 2020, qui impliquait le Stanford Internet Observatory (SIO) (lObservatoire de l’Internet de Stanford) et d’autres sous-traitants du gouvernement américain. L’EIP et son successeur, le Virality Project (VP), ont exhorté Twitter, Facebook et d’autres plateformes à censurer les publications sur les réseaux sociaux des citoyens ordinaires comme des élus.

Renee DiResta 🔗 ℹ️

Malgré les preuves accablantes de la censure parrainée par le gouvernement, l’origine de l’idée d’une telle censure de masse n’a pas encore été déterminée. En 2018, Renee DiResta 🔗 ℹ️, fonctionnaire de l’AIR et ancienne collaboratrice de la CIA, a fait la une des journaux nationaux avant et après avoir témoigné devant le Sénat américain de l’ingérence du gouvernement russe dans l’élection de 2016.

Mais que s’est-il passé entre 2018 et le printemps 2020 ? L’année 2019 a été un trou noir dans les recherches du complexe industriel de la censure jusqu’à présent. Lorsque l’un d’entre nous, Michael, a témoigné devant la Chambre des représentants des États-Unis au sujet du complexe industriel de la censure en mars de cette année, l’année entière était absente de sa chronologie.

Une date de début précoce pour le complexe industriel de la censure

Sara-Jayne « SJ » Terp

Aujourd’hui, un grand nombre de nouveaux documents, notamment des documents stratégiques, des vidéos de formation, des présentations et des messages internes, révèlent qu’en 2019, des sous-traitants des services militaires et de renseignement des États-Unis et du Royaume-Uni, dirigés par une ancienne chercheuse de la défense britannique, Sara-Jayne « SJ » Terp 🔗, ont mis au point le cadre général de la censure. Ces sous-traitants ont codirigé le CTIL, qui s’est associé à la CISA ℹ️ au printemps 2020.

En vérité, la construction du complexe industriel de la censure a commencé encore plus tôt — en 2018.

Des messages Slack ℹ️ internes de CTIL montrent que Terp, ses collègues et des fonctionnaires du DHS et de Facebook travaillent tous en étroite collaboration dans le processus de censure.

Le cadre du CTIL et le modèle public-privé sont les germes de ce que les États-Unis et le Royaume-Uni allaient mettre en place en 2020 et 2021, notamment le masquage de la censure au sein des institutions de cybersécurité et des programmes de contre-désinformation ; une forte concentration sur l’arrêt des récits défavorisés, et pas seulement des faits erronés ; et la pression exercée sur les plateformes de médias sociaux pour qu’elles retirent des informations ou prennent d’autres mesures afin d’empêcher le contenu de devenir viral.

Au printemps 2020, le CTIL a commencé à suivre et à signaler les contenus désavoués sur les réseaux sociaux, tels que les récits anti-confinement comme « tous les emplois sont essentiels », « nous ne resterons pas à la maison » et « ouvrez l’Amérique maintenant. » Dans le cadre de ces efforts, le CTIL a créé un canal destiné aux forces de l’ordre pour signaler les contenus. L’organisation a également fait des recherches sur les individus qui postent des hashtags anti-confinement comme #freeCA et a tenu une feuille de calcul avec des détails de leurs bios Twitter. Le groupe a également discuté de la demande de « takedowns » (Suppression) et du signalement de nom de domaines ℹ️ de sites web aux bureaux d’enregistrement.

L’approche du CTIL en matière de désinformation allait bien au-delà de la censure. Les documents montrent que le groupe s’est engagé dans des opérations offensives pour influencer l’opinion publique, en discutant des moyens de promouvoir des « contre-messages », de coopter des hashtags ℹ️, de diluer des messages défavorables, de créer des comptes de marionnettes fictives et d’infiltrer des groupes privés sur invitation uniquement.

Dans une liste de questions suggérées pour l’enquête, CTIL propose de demander aux membres ou aux membres potentiels :

« Avez-vous déjà travaillé sur des opérations d’influence (par exemple, désinformation, discours haineux, autres préjudices numériques, etc.). » L’enquête demandait ensuite si ces opérations d’influence comprenaient des « mesures actives » et des « opérations psychologiques ».

Ces documents nous sont parvenus par l’intermédiaire d’un lanceur d’alerte très crédible. Nous avons pu en vérifier la légitimité de manière indépendante en recoupant les informations avec des sources accessibles au public. Le lanceur d’alerte a déclaré avoir été recruté pour participer à la CTIL lors de réunions mensuelles sur la cybersécurité organisées par le DHS.

Le FBI s’est refusé à tout commentaire. La CISA n’a pas répondu à notre demande de commentaire. Terp et les autres principaux dirigeants du CTIL n’ont pas non plus répondu à nos demandes de commentaires.

Mais une personne impliquée, Bonnie Smalley 🔗, a répondu sur Linked In ℹ️, en disant :

« Tout ce que je peux dire, c’est que j’ai rejoint la ligue CTI, qui n’est affiliée à aucune organisation gouvernementale, parce que je voulais lutter contre “les injections d’eau de Javel” en ligne pendant la Covid… Je peux vous assurer que nous n’avons rien à voir avec le gouvernement ».

Pourtant, les documents suggèrent que des employés du gouvernement étaient des membres engagés du CTIL. Justin Frappier, qui travaillait pour le DHS, était extrêmement actif au sein du CTIL, participant à des réunions régulières et dirigeant des formations.

Le but ultime duCTIL, a déclaré le lanceur d’alerte, « était de faire partie du gouvernement fédéral. Lors de nos réunions hebdomadaires, ils nous expliquaient clairement qu’ils construisaient ces organisations au sein du gouvernement fédéral, et que si vous construisiez la première itération, nous pourrions vous trouver un emploi ».

Le plan de Terp, dont elle a fait part lors de présentations à des groupes de sécurité de l’information et de cybersécurité en 2019, consistait à créer des « communautés Misinfosec (Mésinformation ℹ️) » qui incluraient le gouvernement.

Les archives publiques et les documents du lanceur d’alerte suggèrent qu’elle y est parvenue. En avril 2020, Chris Krebs, alors directeur de la CISA, a annoncé sur Twitter et dans de multiples articles, que la CISA s’associait à CTIL. « Il s’agit en réalité d’un échange d’informations », a déclaré Chris Krebs.

Les documents montrent également que Terp et ses collègues, par l’intermédiaire d’un groupe appelé MisinfoSec Working Group (Groupe de travail de Mésinformation), dont faisait partie DiResta, ont créé une stratégie de censure, d’influence et de lutte contre la désinformation appelée Adversarial Misinformation and Influence Tactics and Techniques (AMITT) (Tactiques et Techniques de Désinformation et d’Influence Adverses). Ils ont rédigé AMITT en adaptant un cadre de cybersécurité développé par MITRE 🔗, une importante entreprise de défense et de renseignement qui dispose d’un budget annuel de 1 à 2 milliards de dollars financé par le gouvernement.

MITRE ℹ️ est une organisation à but non lucratif américaine dont l’objectif est de travailler pour l’intérêt public. Ses domaines d’intervention sont l’ingénierie des systèmes, la technologie de l’information, les concepts opérationnels, et la modernisation des entreprises.

Terp a ensuite utilisé AMITT pour développer le cadre DISARM, que l’Organisation mondiale de la santé (OMS ℹ️) a ensuite utilisé pour « contrer les campagnes anti-vaccination à travers l’Europe ».

Un élément clé du travail de Terp à travers CTIL, MisinfoSec et AMITT a été d’insérer le concept de « sécurité cognitive » (en gros, si notre cerveau peut-être piraté, il a besoin d’une « sécurité ») dans les domaines de la cybersécurité et de la sécurité de l’information.

L’ensemble des documents donne une image claire d’un effort hautement coordonné et sophistiqué des gouvernements américain et britannique pour mettre en place un effort de censure national et des opérations d’influence similaires à celles qu’ils ont utilisées dans des pays étrangers. À un moment donné, Terp a ouvertement fait référence à son travail « en arrière-plan » sur les questions de réseaux sociaux liées au Printemps arabe ℹ️. Une autre fois, selon le lanceur d’alerte, elle a exprimé sa propre surprise apparente à l’idée d’utiliser de telles tactiques, élaborées pour des ressortissants étrangers, contre des citoyens américains.

Selon le lanceur d’alerte, environ 12 à 20 personnes actives impliquées dans le CTIL travaillaient au FBI ou à la CISA. « Pendant un certain temps, ils avaient le sceau de leur agence — FBI, CISA, peu importe — à côté de leur nom », sur le service de messagerie Slack, a déclaré le lanceur d’alerte. Terp « avait un badge CISA qui a disparu à un moment donné », a précisé le lanceur d’alerte.

Les ambitions des pionniers du complexe industriel de la censure en 2020 allaient bien au-delà du simple fait d’exhorter Twitter à apposer une étiquette d’avertissement sur les tweets ou à inscrire des personnes sur des listes noires.

Le cadre d’AMITT appelle à discréditer les individus comme condition préalable à la demande de censure à leur encontre. Il préconise la formation d’influenceurs pour diffuser des messages (pour la France, pensez à l’arrivée des William Audureau (Les Décodeurs du Monde), La Tronche en Biais, Antoine Daoust, et toute la fachosphère qui prétend posséder la vérité unique…). La chronologie du travail de CISA avec CTIL, qui a précédé son travail avec EIP et VP, suggère fortement que le modèle des opérations de censure public-privé peut avoir été créé à partir d’un cadre créé à l’origine par des entrepreneurs militaires. De plus, les techniques et le matériel décrits par le CTIL ressemblent beaucoup au matériel créé plus tard par la Countering Foreign Intelligence Task Force et l’équipe Mis-, Dis-, and Maliformation (Mésinformation/Désinformation/Malinformation 🔗)de la CISA.

Fausses informations
Désinformation La désinformation est une information qui est fausse, et la personne qui la diffuse sait qu’elle est fausse. « C’est un mensonge délibéré et intentionnel, qui montre que les gens sont activement désinformés par des acteurs malveillants ».
Mésinformation La mésinformation est une information qui est fausse, mais la personne qui la diffuse pense qu’elle est vraie.
Malinformation La malinformation est une information qui se fonde sur la réalité, mais qui est utilisée pour porter préjudice à une personne, une organisation ou un pays.
Source

À présent, nous devons examiner de plus près ce qui s’est passé en 2018 et 2019, menant à la création de CTIL, ainsi que le rôle clé de ce groupe dans la formation et la croissance du complexe industriel de la censure.

Créer des communautés Misinfosec

Traduction ci-dessous 👇🏻

COVID-19 CTI League

Mesures actives
L’histoire secrète de la désinformation et de la guerre politique

par Thomas Rid

SJ Terp (CTI League Admin Disinformation) (BodaceaLI, CogSecCollab)
@Ici — groupe de lecture dans un peu plus d’une heure… BigBook indique que nous sommes sur le livre de Thomas Rid ℹ️ « Active Measures », Chapitres 1 & 2″ aujourd’hui…

US Macmillan
Mesures actives | Thomas Rid | Macmillan
« Cette histoire révélatrice et dramatique de la désinformation retrace la montée en puissance des opérations secrètes de tromperie organisées depuis l’entre-deux-guerres jusqu’à nos jours. de la période de l’entre-deux-guerres jusqu’à l’époque contemporaine. contemporaine… »

Bonnie L Smalley
OH J’ai parlé à mon médecin de l’AAPS et elle a été horrifiée.

SJ Terp (CTI League Admin Disinformation) (BodaceaLI, CogSecCollab)
Ah oui. Tant de travail à faire.

Bonnie L Smalley
Je connais beaucoup de gens du milieu médical grâce à mon travail contre Dupont ℹ️, donc le fait d’exposer au grand jour les objectifs de cette organisation de merde leur ouvre les yeux, et maintenant je commence à découvrir que certains des professionnels de la médecine qui ont dit que cette substance et cette chose chez Dupont étaient tout à fait acceptables, sont ou étaient associés à l’AAPS. Ce groupe m’aide donc dans mon autre croisade.

SJ Terp (CTI League Admin Disinformation) (BodaceaLI, CogSecCollab)
Bien.

Justin Frappier — Disinformation Team — Incident Management Team Lead a été ajouté à disinformation-triage par SJ Terp (CTI League Admin Disinformation) (BodaceaLI, CogSecCollab).

SJ Terp (CTI League Admin Disinformation) (BodaceaLl, CogSecColab)
Oui, oui. Je sais. C’est bien ficelé, j’ai vérifié.

Justin Frappier — Disinformation Team — Incident Management Team Lead
MDR, bonjour depuis l’autre coté.

« Bénévoles » et « anciens » agents du gouvernement

Bloomberg ℹ️, le Washington Post ℹ️ et d’autres ont publié des articles crédules au printemps 2020, affirmant que la CTI League était simplement un groupe d’experts bénévoles en cybersécurité. Ses fondateurs étaient : un « ancien » agent du renseignement israélien, Ohad Zaidenberg 🔗 ; un « responsable de la sécurité » de Microsoft ℹ️, Nate Warfield 🔗 ; et le chef des opérations de sécurité de DEF CON ℹ️, une convention de pirates informatiques, Marc Rogers 🔗. Les articles affirment que ces professionnels de la cybercriminalité hautement qualifiés ont décidé d’aider des hôpitaux d’une valeur d’un milliard de dollars, sur leur temps libre et sans rémunération, pour des raisons strictement altruistes.

En un mois seulement, de la mi-mars à la mi-avril, le CTIL, censé être entièrement bénévole, comptait « 1 400 membres approuvés dans 76 pays et dans 45 secteurs différents », avait « aidé à démanteler légalement 2 833 actifs cybercriminels sur Internet, dont 17 conçus pour usurper l’identité d’organisations gouvernementales, des Nations unies ℹ️ et de l’Organisation mondiale de la santé (OMS ℹ️) » et avait « identifié plus de 2 000 vulnérabilités dans des établissements de soins de santé de plus de 80 pays ».

À chaque occasion, les hommes (travaillant pour CTIL) ont souligné qu’ils étaient simplement des bénévoles motivés par l’altruisme.

« Je savais que je devais faire quelque chose pour aider », a déclaré M. Zaidenberg. « Il y a un appétit très fort pour faire le bien dans la communauté », a déclaréRogerslors d’un séminaire en ligne de l’Institut Aspenℹ️.

Pourtant, l’un des objectifs clairs des dirigeants du CTIL était de renforcer le soutien à la censure au sein des institutions chargées de la sécurité nationale et de la cybersécurité. À cette fin, ils ont cherché à promouvoir l’idée de « sécurité cognitive » pour justifier l’implication du gouvernement dans les activités de censure. « La sécurité cognitive est la chose que vous voulez avoir », a déclaré M. Terp lors d’un podcast en 2019. « Vous voulez protéger cette couche cognitive. Fondamentalement, il s’agit de pollution. La désinformation est une forme de pollution sur Internet. »

Terp et Pablo Breuer, un autre dirigeant du CTIL, comme Zaidenberg, avaient des antécédents militaires et étaient d’anciens entrepreneurs militaires. Tous deux ont travaillé pour SOFWERX 🔗, « un projet de collaboration entre le commandement des forces spéciales américaines et l’Institut Doolittle ». Ce dernier transfère au secteur privé la technologie de l’armée de l’air, par l’intermédiaire du laboratoire de ressources de l’armée de l’air.

Selon la biographie de Mme Terp sur le site web d’une société de conseil qu’elle a créée avec M. Breuer, « elle a enseigné la science des données à l’université de Columbia ℹ️, a été directrice technique de l’équipe “big data” des Nations unies, a conçu des algorithmes d’apprentissage automatique et des systèmes de véhicules sans pilote pour le ministère britannique de la Défense ».

Pablo Breuer

Pablo Breuer ℹ️ est un ancien commandant de la marine américaine. Selon sa biographie, il a été « directeur militaire du groupe Donovan 🔗 du Commandement des opérations spéciales des États-Unis, conseiller militaire principal et responsable de l’innovation auprès de SOFWERX 🔗, de l’Agence nationale de sécurité et du Commandement cybernétique des États-Unis, ainsi que directeur du C4 au Commandement central des forces navales des États-Unis ». Sur sa page LinkedIn 🔗, Breuer est indiqué comme ayant été dans la marine lors de la création de CTIL.

En juin 2018, Terp a assisté à un exercice militaire de dix jours organisé par le US Special Operations Command ℹ️, où elle dit avoir rencontré Breuer pour la première fois et discuté des campagnes de désinformation modernes sur les réseaux sociaux. Wired a résumé les conclusions qu’ils ont tirées de leur réunion : « Ils ont réalisé que la désinformation pouvait être traitée de la même manière : comme un problème de cybersécurité. C’est ainsi qu’ils ont créé CogSec 🔗 avec David Perlman 🔗 et un autre collègue, Thaddeus Grugq 🔗, à leur tête. En 2019, Terp a coprésidé le groupe de travail Misinfosec au sein de CogSec. »

Breuer a admis dans un podcast que son objectif était d’amener les tactiques militaires à être utilisées sur les réseaux sociaux aux États-Unis. « Je porte deux chapeaux », a-t-il expliqué. « Je suis le directeur militaire du Donovan Group et l’un des deux responsables de l’innovation chez Sofwerx 🔗, une organisation à but non lucratif 501c3 ℹ️ non classifiée, financée par le commandement des opérations spéciales des États-Unis. »

M. Breuer a ensuite décrit la manière dont ils pensaient contourner le premier amendement. Son travail avec Terp, a-t-il expliqué, était un moyen de réunir des « partenaires non traditionnels dans une même pièce », y compris « peut-être quelqu’un de l’une des sociétés de réseaux sociaux, peut-être quelques opérateurs des forces spéciales, et quelques personnes du département de la sécurité intérieure… pour parler dans un environnement ouvert, sans attribution, de manière non classifiée, afin que nous puissions collaborer mieux, plus librement et vraiment commencer à changer la façon dont nous abordons certaines de ces questions. »

Le rapport Misinfosec préconise une censure gouvernementale radicale et une contre-mésinformation. Au cours des six premiers mois de 2019, les auteurs disent avoir analysé des « incidents », développé un système de signalement et partagé leur vision de la censure avec « de nombreux États, traités et ONG ℹ️ ».

Dans chaque incident mentionné, les victimes de la désinformation appartenaient à la gauche politique, et il s’agissait notamment de Barack Obama ℹ️, John Podesta ℹ️, Hillary Clinton ℹ️ et Emmanuel Macron ℹ️.

Le rapport n’a pas caché que les deux tremblements de terre politiques de 2016 l’ont motivé à lutter contre la désinformation : Le Brexit ℹ️ et l’élection de Trump.

« Une étude des antécédents de ces événements nous a amenés à réaliser qu’il y a quelque chose de déréglé dans notre paysage de l’information », ont écrit Terp et ses coauteurs. « Les idiots utiles et les cinquièmes colonnes habituels — auxquels s’ajoutent désormais des robots automatisés, des cyborgs et des trolls humains — s’emploient à manipuler l’opinion publique, à attiser l’indignation, à semer le doute et à ébranler la confiance dans nos institutions. Et maintenant, ce sont nos cerveaux qui sont piratés ».

Là, vous avez un cas typique d’inversion accusatoire, où Terp et ses coauteurs mettent sur le dos des innocents, les crimes contre la liberté qu’ils commettent eux-mêmes.

Le rapport Misinfosec se concentre sur les informations qui « modifient les croyances » par le biais de « récits » et recommande de contrer la désinformation en s’attaquant à des maillons spécifiques d’une « chaîne de mise à mort » ou d’une chaîne d’influence à partir de l’ »incident » de désinformation avant qu’il ne devienne un récit à part entier.

Le rapport déplore que les gouvernements et les grands médias n’aient plus le contrôle total de l’information. « Pendant longtemps, la capacité d’atteindre un public de masse appartenait à l’État-nation (par exemple, aux États-Unis, par le biais des licences de diffusion accordées à ABC ℹ️, CBS ℹ️ et NBC ℹ️). »

Un rappel important et pertinent :

« Aujourd’hui, cependant, le contrôle des instruments d’information a été dévolu aux grandes entreprises technologiques qui se sont montrées complaisantes et complices, en facilitant l’accès au public pour les opérateurs d’information à une fraction de ce que cela leur aurait coûté par d’autres moyens », dit Terp. En gros, elle regrette le fait que nous pouvons utiliser les réseaux sociaux pour échanger de l’information.

Les auteurs préconisent l’implication de la police, de l’armée et des services de renseignement dans la censure, dans tous les pays de la zone des cinq yeux, et suggèrent même l’implication d’Interpol ℹ️.

Five Eyes (littéralement « Cinq yeux », traduit comme Groupe des cinq par la Défense canadienne), abrégé FVEY pour la classification, désigne l’alliance des services de renseignement de l’Australie, du Canada, de la Nouvelle-Zélande, du Royaume-Uni et des États-Unis.

Source

Le rapport propose un plan pour AMITT et pour la collaboration en matière de sécurité, de renseignement et d’application de la loi, et plaide pour une mise en œuvre immédiate. « Nous n’avons pas besoin, et nous ne pouvons pas nous permettre, d’attendre 27 ans pour que le cadre AMITT (Adversarial Misinformation and Influence Tactics and Techniques — Tactiques et techniques de désinformation et d’influence adverses) soit mis en œuvre. »

Les auteurs préconisent de placer les efforts de censure dans le cadre de la « cybersécurité », tout en reconnaissant que la « sécurité de la désinformation » est totalement différente de la cybersécurité. Ils ont écrit que le troisième pilier de « l’environnement informationnel », après la sécurité physique et la cybersécurité, devrait être « la dimension cognitive ».

Le rapport souligne la nécessité d’une sorte de pré-bunking pour « vacciner préventivement une population vulnérable contre les messages ». Le rapport souligne également la possibilité d’utiliser les Centres de Partage et d’Analyse de l’Information (ISAC) financés par le ministère de la Sécurité intérieure pour orchestrer la censure publique-privée, et affirme que ces ISAC devraient être utilisés pour promouvoir la confiance dans le gouvernement.

C’est ici que nous voyons l’idée de l’EIP et du VP : « Bien que les réseaux sociaux ne soient pas identifiés comme un secteur critique et ne remplissent donc pas les conditions requises pour un ISAC, un ISAC de désinformation pourrait et devrait alimenter les ISAC en indications et en avertissements. »

Le point de vue de M. Terp sur la « désinformation » est ouvertement politique.

« La plupart des informations erronées sont en fait vraies », a noté M. Terp dans le podcast de 2019, mais elles sont placées dans le mauvais contexte. Terp explique avec éloquence la stratégie consistant à utiliser les efforts de « lutte contre la désinformation » pour mener des opérations d’influence.

« La plupart du temps, vous n’essayez pas de faire croire à des mensonges. La plupart du temps, vous essayez de modifier leurs croyances. Et en fait, plus profondément, vous essayez de changer, de modifier leurs récits internes… l’ensemble des récits qui constituent la base de votre culture. Cela pourrait donc être la base de votre culture en tant qu’Américain ».

À l’automne, Terp et d’autres ont cherché à promouvoir leur rapport. Le podcast que Terp a réalisé avec Breuer en 2019 est un exemple de cet effort. Ensemble, Terp et Breuer ont décrit le modèle « public-privé » de blanchiment de la censure que le DHS, l’EIP et le VP allaient adopter.

Breuer a parlé librement, déclarant ouvertement que le contrôle de l’information et de la narration qu’il avait à l’esprit était comparable à celui mis en œuvre par le gouvernement chinois, mais qu’il était plus acceptable pour les Américains (et occidentaux en général). « Si vous parlez au citoyen chinois moyen, il est absolument convaincu que la Grande Muraille de Chine ℹ️ n’est pas là pour censurer. Ils pensent qu’elle est là parce que le Parti Communiste Chinois ℹ️ veut protéger les citoyens et ils sont absolument convaincus que c’est une bonne chose. Si le gouvernement américain essayait de faire passer ce message, nous perdrions la tête et nous dirions :

« Non, non, il s’agit d’une violation de nos droits au titre du premier amendement ».

Les messages du groupe intérieur et ceux du groupe extérieur doivent donc être souvent différents.

Traduction ci-dessous 👇🏻

L’ENVIRONNEMENT DE L’INFORMATION

Dimension physique – Où l’environnement de l’information et le monde physique se chevauchent
– Systèmes d’information et réseaux
– Caractéristiques principales : ordinateurs et systèmes de communication, et infrastructures de soutien
Dimension informationnelle – Lieu de collecte, de traitement, de stockage, de diffusion, d’affichage et de protection de l’information.
– Double nature — l’information elle-même et le support
– Liens entre les dimensions physiques et cognitives
– Caractéristiques clés : contenu et flux de l’information, qualité de l’information flux, qualité de l’information
– Lieu de la prise de décision automatisée
Dimension cognitive – Lieu de la prise de décision automatisée
– Dimension des éléments intangibles tels que la morale, la cohésion de l’unité, l’opinion publique, la connaissance de la situation.
– Caractéristiques clés : perceptions, émotions, sensibilisation et compréhension

MITT Blue : Cadre de contre-mesures
(Illisible)

Campagnes — Incidents – Récits
Artéfacts

⬇ Attaquant — ⬆ Défenseurs

« L’école de Poudlard de la désinformation »

« SJ nous appelait l’“école Poudlard ℹ️ de la désinformation et des fausses informations” », raconte le lanceur d’alerte. « Ils étaient les super-héros de leur propre histoire. Et à cet effet, vous pouvez toujours trouver des bandes dessinées sur le site de la CISA ».

La CTIL, selon le lanceur d’alerte, « avait besoin de programmeurs pour décortiquer les informations provenant de Twitter, Facebook et YouTube. Pour Twitter, ils ont créé un code Python ℹ️ afin de récupérer les informations. »

Les dossiers du CTIL fournis par le lanceur d’alerte illustrent exactement la façon dont le CTIL fonctionnait et suivait les « incidents », ainsi que ce qu’il considérait comme de la « désinformation ». Ils ont repéré les affiches appelant à des manifestations contre le confinement comme des artefacts de désinformation.

« Nous aurions dû le voir venir », ont-ils écrit à propos des manifestations. « En fin de compte, pouvons-nous arrêter la propagation, avons-nous suffisamment de preuves pour arrêter les super propagateurs et y a-t-il d’autres choses que nous pouvons faire (y a-t-il des contre-messagers que nous pouvons envoyer par ping, etc. »

Le CTIL a également réfléchi à des contre-messages pour encourager les gens à porter des masques, par exemple, et a discuté de la création d’un réseau d’amplification. « La répétition est la vérité », a déclaré un membre du CTIL lors d’une formation.

Le CTIL a travaillé avec d’autres personnalités et groupes du complexe industriel de la censure. Les notes de réunion indiquent que l’équipe de Graphika 🔗 a envisagé d’adopter AMITT et que le CTIL souhaitait consulter DiResta pour obtenir des plateformes qu’elles suppriment des contenus plus rapidement.

Lorsqu’on lui a demandé si Terp ou d’autres dirigeants de CTIL avaient discuté de leur violation potentielle du premier amendement, le lanceur d’alerte a déclaré :

Exemple de visage généré par Intelligence Artificielle depuis le site :
this-person-does-not-exist.com

« Ils ne l’ont pas fait… L’éthique était que si nous nous en tirons, c’est légal, et qu’il n’y a pas de problèmes liés au premier amendement parce que nous avons un “partenariat public-privé” — c’est le mot qu’ils ont utilisé pour dissimuler ces problèmes. Les personnes privées peuvent faire des choses que les fonctionnaires ne peuvent pas faire, et les fonctionnaires peuvent assurer la direction et la coordination ».

Malgré leur confiance dans la légalité de leurs activités, certains membres du CTIL ont pu prendre des mesures extrêmes pour garder leur identité secrète. Le manuel du groupe recommande d’utiliser des téléphones jetables, de créer des identités pseudonymes et de générer de faux visages d’IA à l’aide du site Web « this-person-does-not-exist » (« Cette personne n’existe pas »).

En juin 2020, indique le lanceur d’alerte, le groupe secret a pris des mesures pour dissimuler encore plus leurs activités (juste avant la campagne de vaccination donc).

Un mois plus tard, en juillet 2020, le directeur du SIO, Alex Stamos ℹ️, a envoyé un courriel à Kate Starbird 🔗 du Center for an Informed Public 🔗de l’université de Washington ℹ️, dans lequel il écrit :

Kate Starbird

« Nous travaillons sur certaines idées de surveillance des élections avec laCISAet j’aimerais avoir vos commentaires informels avant que nous n’allions trop loin dans cette voie […]. [Ce qui aurait dû être assemblé il y a un an est en train de se mettre en place rapidement cette semaine ».

Cet été-là, la CISA a également créé la Countering Foreign Influence Task Force, dont les mesures reflètent les méthodes du CTIL/AMITT et comprennent un « vrai faux » roman graphique qui, selon le lanceur d’alerte, a d’abord été présenté au sein du CTIL.

Le cadre « DISARM », inspiré par AMITT, a été officiellement adopté par l’Union européenne et les États-Unis dans le cadre d’une « norme commune pour l’échange d’informations structurées sur les menaces de manipulation et d’interférence de l’information étrangère ».

Jusqu’à présent, les détails des activités du CTIL n’ont guère retenu l’attention, même si le groupe a fait l’objet d’une publicité en 2020. En septembre 2020, Wired ℹ️ 🔗a publié un article sur le CTIL qui se lit comme un communiqué de presse d’entreprise. L’article, comme les articles de Bloomberg ℹ️ et du Washington Post ℹ️ au printemps, accepte sans discussion que le CTIL soit réellement un réseau « bénévole » d’« anciens » fonctionnaires des services de renseignement du monde entier.

Mais contrairement aux articles de Bloomberg et du Washington Post, Wired décrit également le travail de « lutte contre la désinformation » du CTIL. Le journaliste de Wired ne cite aucun détracteur des activités du CTIL, mais suggère que certains pourraient y voir un problème. « Je l’interroge [Marc Rogers, cofondateur du CTIL] sur l’idée de considérer la désinformation comme une cybermenace.

« Tous ces mauvais acteurs essaient de faire la même chose », répond M. Rogers. Selon lui, le lien entre la prévention de la cybercriminalité et la « lutte contre la désinformation » est fondamentalement le même, car il s’agit dans les deux cas de lutter contre ce que le DHS et la CTI League appellent les « acteurs malveillants », synonymes de « méchants ».

« Comme Terp, Rogers adopte une approche holistique de la cybersécurité », explique l’article de Wired. « Il y a d’abord la sécurité physique, comme le vol de données d’un ordinateur sur une clé USB. Ensuite, il y a ce que nous appelons généralement la cybersécurité, c’est-à-dire la protection des réseaux et des appareils contre les intrusions indésirables. Enfin, il y a ce que Rogers et Terp appellent la sécurité cognitive, qui consiste essentiellement à pirater des personnes en utilisant des informations ou, plus souvent, des informations erronées. »

Le CTIL semble avoir fait parler de lui au printemps et à l’automne 2020 pour la même raison que l’EIP : prétendre plus tard que son travail avait été fait au grand jour et que quiconque suggérait qu’il était secret s’engageait dans une théorie du complot.

Global Volunteer Cyberthreat Community-CERT | CTI League

The CTI League is the first Global Volunteer Community-CERT, defending and neutralizing cybersecurity threats and vulnerabilities to the life-saving sectors related to the current COVID-19 pandemic.

« Le Partenariat pour l’intégrité des élections a toujours fonctionné de manière ouverte et transparente », a affirmé l’EIP en octobre 2022. « Nous avons publié de nombreux articles de blog publics pendant la période précédant l’élection de 2020, organisé des webinaires quotidiens immédiatement avant et après l’élection, et publié nos résultats dans un rapport final de 290 pages et dans plusieurs revues académiques évaluées par des pairs. Toute insinuation selon laquelle les informations sur nos opérations ou nos résultats étaient secrètes jusqu’à présent est réfutée par les deux années de contenu public et gratuit que nous avons créées ».

Mais comme les messages internes l’ont révélé, une grande partie de ce que l’EIP a fait était secrète, ainsi que partisane, et exigeant la censure des plateformes de réseaux sociaux, contrairement à ses affirmations contraires.

L’EIP et le VP ont ostensiblement pris fin, mais le CTIL est apparemment toujours actif aujourd’hui. Plusieurs de ses membres mentionnent le CTIL comme une organisation toujours active sur leurs pages LinkedIn 🔗.

Traduction ci-dessous 👇🏻

Poster « A »

Si les commandes pour rester à la maison sont prolongées au-delà du 30 avril, notre économie ne se relèvera pas, notre économie ne se redressera pas. Il n’y a pas assez de pour soutenir les chômeurs américains. Rejoignez-moi et d’autres Américains pour rouvrir notre économie. Les décès des répercussions de l’économie dépasseront de manière exorbitante les décès dus au virus lui-même. #NousNeResteronsPasÀLaMaison

Fin des confinements
Marche mondiale pour la liberté

Samedi 2 mai 2020 de 14 h à 17 h

Dans tous les hôtels de ville, les parcs publics et les centres-villes dans tous les pays : organisez votre famille et vos amis et venez tout simplement ! Filmez et marchez dans vos rues. Sortez et montrez-leur que nous ne vivrons pas dans la peur. Vivre dans la peur. Téléchargez vos histoires, car nous sommes plus nombreux qu’eux !

Si vous renoncez à vos libertés vous risquez de ne pas les retrouver

Poster « B »

Fin des confinements
Marche mondiale pour la liberté

Dimanche 12 avril, de 14 h à 17 h

Dans chaque mairie, piazza de village ou mairie dans tous les pays : organisez des amis et montrez-vous, filmez, défilez dans vos rues & téléchargez vos histoires parce que nous sommes plus nombreux qu’eux !!!*

Si vous renoncez à vos libertés vous risquez de ne pas les retrouver

Passer des alertes aux actions

Processus d’incident de désinformation

Alerte

  • Humains (groupes, flux)
  • Slack (Incident go/nogo)

Organisation et analyse

  • HIVE (analyse des tâches liées aux incidents)
  • Enrichissement (FrankCode)

Collecte

  • DKAN (données d’incident, données de base)
  • GITHUB ℹ️ (données d’incident)
  • MISP (objets de l’incident)

Action

  • Slack (Rapports, Contre-mesures)

Calendrier du WT

  • Décembre 2018 — Janvier 2019
    Création du GT et énoncé de mission
  • Février 20119
    Rédaction du document WWW
  • Mars 2019
    Création d’une liste d’incidents
  • Avril 2019
    Création d’une liste de techniques
  • Mai 2019
    Atelier de l’équipe rouge
  • Juin 2019
    AMITT affiné
  • Juillet 2019
    Mise en ligne du repo d’AMITT
  • Août 2019
    Présentation BlackHat ℹ️
  • Septembre 2019
    STIX SEP entre en vigueur
  • Octobre 2019
    Remplissage de la liste des compteurs
  • Novembre 2019
    Atelier de l’équipe bleue
  • Décembre 2019
    Affiner les compteurs

J’ai hâte de témoigner devant le Congrès, ce jeudi, sur la menace claire et actuelle que représente le complexe industriel de la censure pour les États-Unis d’Amérique et les autres démocraties libérales occidentales, et sur la manière dont nous pouvons y mettre un terme.

🚨

AVIS D’AUDITION : @mtaibbi, @shellenberger, @rupasubramanya.

Jeudi. 4 h (UTC).

Michael Shellenberger ℹ️ 🔗
Auteur du Thread



Le détournement de la psychiatrie pour répression

Publié par [Publication initiale : ozlecarolo.com]

Par Özler ATALAY YÜKSELOĞLU

Depuis plusieurs années, il est devenu de plus en plus flagrant que les libertés fondamentales des peuples sont exposées à la montée du totalitarisme des états modernes.

Néanmoins, pour une nette frange de la population, ce totalitarisme n’est pas chose neuve. En effet, leurs droits élémentaires sont bafoués depuis des décennies au prétexte de vouloir maintenir l’« ordre social » par l’intermédiaire de la psychiatrie.

Des lanceurs d’alerte aux innocentes victimes isolées, ce système pseudo-médical a détruit des millions de vies de par le monde à travers des diagnostics douteux et des pratiques anticonstitutionnelles.

Si auparavant dans l’Allemagne nazie, l’URRS et actuellement la Chine communiste, elle est ouvertement utilisée à des fins répressives contre la dissidence, dans nos contrées son implémentation est plus pernicieuse et sournoise, car abuse des motifs de « maintien de l’ordre » et de « protection » des malades mentaux et de la société.

Ainsi des « diagnostics » de « schizophrénie paranoïde » ou de « bipolarité » sont arbitrairement distribués aux victimes de ce système perfide pour les décrédibiliser après une entrevue de cinq minutes parfois moins avec des psychiatres parfois corrompus et des dénonciations pouvant être totalement calomnieuses. De plus, le mouvement antipsychiatrique avance qu’elle ne serait pas, ou pas assez scientifique, notamment car elle ne se base sur aucune haute technologie et (en dehors des traitements médicamenteux) sur aucun fonctionnement scientifique (pour les diagnostics notamment).

L’état profond n’est pas loin

Quant à l’aspect judiciaire, nous observons une collusion de procureurs, préfets, juges et avocats corrompus pour emprisonner les victimes dans les griffes des institutions étatiques ainsi que dans les camisoles chimiques de Big Pharma qui sont prescrites à l’encontre de la convention de Genève, celle-ci stipule que nul n’a le droit d’inoculer des substances médicamenteuses à un individu contre son consentement. Évidemment, la logique parfois détournée du « maintien de l’ordre public » et de la « protection » des « malades mentaux » viole outrageusement cette convention. Ces produits ont des effets secondaires gravement délétères sur la santé allant du diabète aux désordres neurologiques incapacitants et peuvent même amener à la mort. L’artiste américain Kanye West a avoué que son psychiatre avait insisté pour qu’il prenne un traitement qui aurait pu lui provoquer de lourds dégâts.

Le Dr Fourtillan, intervenant du documentaire Hold Up qui avait dénoncé la supercherie de la crise covid avait fait les frais de cette conspiration en novembre 2020. En effet, le juge d’instruction avait délivré un mandat d’amener à une maison d’arrêt à Nîmes. Après une entrevue avec un « médecin », il a été « jugé » que son état de santé nécessitait un placement dans un établissement psychiatrique. Il a été libéré en juillet 2021 par l’armée française. J’avais également présenté le cas de harcèlement étatique et psychiatrique de Fabio Traina.

[Voir aussi :
La pathologisation de la dissidence
Le Pr Fourtillan, apparu dans « Hold-Up », interné en hôpital psychiatrique contre son gré? MàJ 12/12/2020
Le harcèlement des opposants ne passera pas !
William Sargant, MK Ultra, conditionnement — Le détournement cognitif ou la psychologie qui consiste à façonner la réalité d’autrui]

Comme cela a été le cas pour eux, ces lieux de pénitence psychiatriques peuvent être infiltrés par des agents du renseignement pour pourrir la vie des victimes, des agressions, viols et empoisonnements peuvent se produire et comme elles sont discréditées, leur voix est étouffée. De plus, le personnel « soignant » peut également infliger des mauvais traitements, essentiellement lors d’injections forcées de neuroleptiques, mais également lors de la mise en contention.

Un système de harcèlements organisés

Tristement, un nombre considérable de victimes sont amenées dans ce système suite à une agression psychotronique et du harcèlement criminel en réseau (les deux pouvant être appelés Gang Stalking) qui sont également des outils du système répressif des états développés pour conduire de personnes initialement en bonne santé mentale à la folie. La réputation des victimes en sort gravement entachée à cause du tabou entourant la psychiatrie et le mal-être provoqué peut les pousser parfois au suicide.

La psychotronique utilise les infrastructures de communication (satellites, antennes relais, box wi-fi et smartphones/PC) pour induire des psychoses et autres désordres psychologiques, voire cet article à ce sujet. Le harcèlement criminel en réseau est implémenté à l’aide des services de renseignement et de civils mafieux pour traquer les individus ciblés et saboter leurs vies et leurs biens, les plaintes contre ces délits mènent très fréquemment à une expertise psychiatrique à cause de la corruption ou l’incompétence policière.

À l’heure de la résistance contre le totalitarisme sanitaire, numérique, électromagnétique (5G) et climatique, elle doit également s’étendre au totalitarisme psychiatrique qui est un frein à l’émancipation des peuples, car les individus ciblés sont les personnes les plus valeureuses pour la lutte globale en cours. D’ailleurs au même moment de la survenue de la crise covid, les placements sous contrainte se vont vus augmenter.

Özler ATALAY YÜKSELOĞLU – Journaliste citoyen




L’agriculture française sombre dans le presque silence politique et médiatique : condamnée à disparaître ?

Par Gérard Le Maître

Des manifestations d’agriculteurs ont lieu un peu partout en France ces jours-ci, mais à part la presse régionale c’est SILENCE RADIO dans les grands médias ! Le gouvernement s’en fout !

Panneaux retournés, manifestations… Les raisons de la colère des agriculteurs français

Depuis plusieurs semaines, la colère gronde dans les campagnes, avec différentes actions dans toute la France. Les syndicats agricoles attendent des réponses du gouvernement et une « respiration normative ».1

Comme aux Pays-Bas dans le même silence il y a quelques mois suite aux injonctions européennes de réduire la production de viande bovine jugée trop polluante en abattant 1/3 du cheptel !

Une réduction de cheptel forcément inéluctable !
La réduction de cheptel semble en tout cas inéluctable. Plus de 11 000 fermes pourraient devoir mettre fin à leurs activités, et au moins 17 000 autres devront réduire leur nombre d’animaux pour répondre aux objectifs fixés. Une tendance qui va à l’inverse de la politique menée depuis l’après-guerre dans le pays et qui a fait des Pays-Bas le deuxième exportateur mondial (en valeur) de produits agricoles, et le pays à la plus forte densité d’animaux en Europe.2

Giscard d’Estaing en 1980 : « L’agriculture doit être notre pétrole »3

En 20 ans, la France est passée du 2e rang au 5e rang des exportateurs mondiaux de produits agricoles.

Le rapport sénatorial publié le 28 septembre 2022 s’inquiète de la baisse du potentiel agricole français malgré une balance commerciale excédentaire de 8 milliards d’euros en 2021.
Quelle est la situation de la production agricole aujourd’hui ? Avec une production agricole estimée à 81,6 milliards d’euros en 2021, la France demeure le principal producteur européen avec près de 17 % de la production totale du continent loin devant l’Allemagne et l’Italie. Pourtant, selon le rapport sénatorial, l’agriculture française poursuit sa lente érosion. 10 oct. 2022

Une lente érosion de l’agriculture française

La France est (était désormais !) historiquement un grand pays d’agriculture. En 2021, elle a exporté près de 70 milliards d’euros en matière agricole et agroalimentaire, soit 1,8 fois plus qu’en 2000. Avec une production agricole estimée à 81,6 milliards d’euros en 2021, la France demeure le principal producteur européen avec près de 17 % de la production totale du continent loin devant l’Allemagne et l’Italie.

Pourtant, selon le rapport sénatorial, l’agriculture française poursuit sa lente érosion.
Ces chiffres masquent l’augmentation des produits importés dans de nombreux secteurs.
La France importe près de 63 milliards d’euros de denrées alimentaires, soit 2,2 fois plus qu’en 2000.
La plupart des secteurs sont touchés :

  • un poulet sur deux consommés en France est importé : Brésil, Ukraine…
  • 56 % de la viande ovine consommée en France est d’origine importée Nlle Zélande, Australie… 
  • 28 % de la consommation de légumes et 71 % de la consommation de fruits sont importés : Espagne, Maroc, Amérique centrale et Sud…4

L’agriculture française est condamnée par L’Union Européenne qui a fait tomber toutes les frontières plutôt que de se protéger à l’intérieur de cette UE qui devait apporter la croissance et la prospérité c’est tout l’inverse, des accords ont été passé avec trop de pays qui nous inondent de produits à bas prix, avec des normes sanitaires très inférieures si bien que la production française est devenue trop coûteuse, les exemples de libre-échange par exemple avec le Mercosur (Amérique du Sud) permet au Brésil, L’Argentine, Le Pérou et d’autres de nous submerger de leurs productions en étant moins chers malgré tous les coûts logistiques pourtant énormes et un coût écologique qui ne gêne personne en faisant des milliers de kilomètres à travers les océans…

Cet été un nouvel accord de libre-échange entre L’UE et La Nouvelle-Zélande va encore aggraver la situation des producteurs français, dissimulé dans un texte de coopération sur la recherche et l’innovation c’est la porte grande ouverte à encore plus d’importations de produits agricoles venant de Nouvelle-Zélande…5

En France tous les deux jours un agriculteur se suicide, souvent acculé à la faillite :

Pourquoi tant de suicides dans le monde paysan ? Ce fléau, véritable tabou en Bretagne, se cache souvent derrière les secrets de famille…6


En politique, rien n’arrive par accident. Si quelque chose se produit, vous pouvez parier que cela a été planifié de cette façon.

Franklin Delano Roosevelt