Pourquoi la Secte trans/globaliste prolonge la guerre en Ukraine

03/04/2022 (2022-04-03)

Par Lucien SA Oulahbib

D’après Jacques Baud et Alexander Mercouris, il semble bien que certains membres de la Secte (UK, Commission européenne à la botte des USA made in Biden) pressent l’acteur-président à la tête du régime (ultra corrompu) installé encore à Kiev de refuser toute concession, alors que vu sa situation désespérée sur le terrain (contrairement à ce que raconte un Alexandre Adler, proxy de BHL) en particulier dans le Donbass (but de guerre russe en fait et non la chute même de Kiev comme on pouvait le croire un moment) et alors qu’il est sans doute lui-même sous la pression de certains de ses camarades oligarques/mafieux qui ne veulent pas tout perdre avec les « sanctions », cette arme à double tranchant, le clown-Président (adulé par ses émules à l’Ouest tant il symbolise bien la transition civilisationnelle actuelle) continue donc à piétiner (dans tous les sens du terme) sur toute avancée diplomatique faisant ainsi semblant d’avancer pour reculer aussitôt. Celui-ci a également les ultranationalistes — ou « ukro-nazis » — sur le dos aux abois à Marioupol (instruits peut-être par des forces spéciales françaises, à en croire les coups de téléphone répétés de Macron à Poutine)comme l’explique Christelle Néant précisant dans ce cas les informations données plus haut par Alexander Mercouris et le site anglophone « the duran » (infra).

Quoi qu’il en soit pour le moment, il apparaît bien que la Secte cherche à envenimer cette question « ukrainienne » aux multiples facettes (voir donc également, Livre noir, Alex Christoforou, Stratpol et the duran), alors que de plus en plus l’on apprend (et Jacques Baud l’a confirmé plus haut) que les troupes ultranationalistes dominant le régime de Kiev allaient s’abattre sur tout le Donbass attisées en sous-main par Biden pour faire diversion (étant embourbé par son fils et celui aussi de Nancy Pelosi dans des « affaires » douteuses à Kiev) et aussi par certaines franges ultra-LGBT en UK (et aussi ultra anti-russes comme en France et aux USA) qui veulent à tout prix casser la révolution dite conservatrice russe alors qu’il s’agit d’une révolution préservatrice des valeurs confortant et non pas détruisant le développement humain, comme d’ailleurs en France vient de l’admettre le rappeur Booba lorsqu’il se met à défendre les positions de Zemmour sur l’éducation queer donnée de plus en plus aux enfants et qu’avait voulu stopper Poutine lorsqu’il s’est opposé à Obama aux jeux de Sotchi.

On peut certes douter de cette guerre spirituelle comme le repoussent d’un haussement d’épaules méprisant les adeptes rigides du réalisme strict en termes géostratégiques et géopolitiques (telle la revue Conflits et nombre d’analystes pro républicains américains à la Guy Millière), alors que même sur ces plans-là, l’on peut également adopter la théorie du « pivot » cher à Brzezinski (dans Le grand échiquier par exemple) : en effet, il apparaît bien que la Russie, hors même Poutine, s’avère être aujourd’hui (depuis que Trump a été évincé) le « pivot » principal s’opposant à la prose sectaire trans/globaliste (par exemple Douguine).

Car cette prose sectaire est bel et bien devenue depuis quelques années le support référentiel symbolique pivot de la technostructure occidentale ayant délégué en sous-traitance depuis les révoltes des années 60 les circuits de production et de reproduction de la matière symbolique aux franges néo-léninistes (votant Macron au second tour) recyclées depuis les années 80 dans la trans queer idéocratie par une sorte de division du travail bien rodée. D’un côté, les faux libéraux (au sens de Locke et de Montesquieu) de la technostructure se sont mis aux manettes de l’affairisme global du trans/hygiénisme scientiste manipulant de plus en plus, via Big Pharma, gènes et organes génitaux (d’où la caractérisation de néo-nazisme ici aussi pas seulement en Ukraine). De l’autre côté, les néo-marcusiens et néo-léninistes s’étant hissés aux manettes de la fabrication idéocratique (dont Disney désormais en sus de Netflix, Hollywood, le cinéma européen, les radios et TV, la BBC, CNN, la radio publique française, la plupart des médias privés, les journaux, NYT bien sûr, et en France MédiaPart, Libération, Le Monde, l’Opinion qui se prétend « libéral », même Le Figaro est tombé dans leur escarcelle…) mettant ainsi au pas arts, médias, éducation scolaire et universitaire — jusqu’aux réseaux de diffusion comme Twitter, YouTube, Facebook… afin de mettre de plus en plus au pas les corps et les esprits (quitte à s’allier tactiquement au djihadisme chic pourtant aux antipodes) tout en défendant le contraire bien sûr (se croyant encore fidèles aux slogans de leur jeunesse de boomers), s’appuyant par exemple sur le concept ambigu de « bio-pouvoir » de Foucault alors qu’ils en sont devenus précisément le pivot central dans la machine de guerre idéocratique, en particulier hygiéniste et scientiste (comme l’a démontré le colloque international qui s’est tenu cette semaine du 30 mars au 2 avril en France)

Tout se tient par un certain biais, et d’ailleurs l’on a bien vu que les mêmes qui arboraient fièrement trois seringues (bientôt quatre) sur leur compte twitter y allongent aussi trois drapeaux ukrainiens, comme s’ils sentaient, à raison — hommage du diable à la vertu, qu’il s’agit de la même guerre, mais sous divers aspects, car s’il existe en effet des éléments spécifiques en matière géopolitique et géostratégique (avancée de l’OTAN malgré la promesse faite à Gorbatchev, présence de laboratoires bio-militaires US en Ukraine, violation des accords de Minsk 2 durant huit ans pourtant parrainés par l’Allemagne et la France dans ledit « format Normandie », concentration de troupes aux frontières du Donbass pour débuter l’affrontement avec la Russie qui ne pouvait pas laisser faire les massacres programmés et a donc dû attaquer préventivement au risque de s’être vu geler ensuite la moitié de ses avoirs en dollars et en euros, quoiqu’aujourd’hui contrecarré par l’obligation de payer en roubles les matières premières…). Tout cela s’avère être de plus en plus lié à cette volonté multiforme et tentaculaire de la Secte trans/humaniste visant à soumettre spirituellement et matériellement tous ceux qui s’opposent à leur modèle idéocratique trans)humaniste (et si Macron ou Mélenchon passent, cela ira en s’accélérant à l’encontre de ce que certains sportifs catalogués « musulmans » croient en faisant la chasse à Zemmour), la sous-traitance GPA en Ukraine en étant devenue par exemple le symbole par excellence.

Il ne tient qu’à nous pourtant de la contrecarrer fortement et fièrement : qui « nous » ? Si vous vous posez encore cette question, c’est que vous êtes toujours de l’autre côté du manche.

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