« J’aime l’odeur du napalm au petit matin »

[Source : nice-provence.info via santeglobale.world]

Par Pierre-Émile Blairon — 17 juillet 2024

Préambule de la rédaction [de Nice-Provence Info] : dans le texte qui suit, nous avons systématiquement abandonné le mot « chemtrail » au profit de « épandage chimique ».

Personne ne comprend a priori ce que veut dire « chemtrail », dont la prononciation est compliquée. Ce mot est un raccourci, comme savent le faire les Anglo-Saxons, de « chemical » (chimique) et « trail » (trainée), donc « traînée chimique ».

Par opposition à « chemtrail », les anglophones utilisent le vocable « contrail », traînée de condensation, qui est le résultat d’un processus naturel.

L’expression « épandage chimique » est plus explicite et conforme à notre langage.

« J’aime l’odeur du napalm au petit matin »

(à propos des épandages chimiques et autres « sables du Sahara »)

Apocalypse now!

Tout le monde se souvient du grand – et superbe — film de Francis Ford Coppola, Apocalypse now ! (1979, notre illustration ci-dessus) au titre tellement prédestiné, et de la réplique du colonel Kilgore reprise en titre ci-dessus (texte original : « I love the smell of napalm in the morning »). Ce film relate, d’une manière fictionnelle, un épisode de la guerre du Vietnam qui a opposé les Américains aux communistes vietnamiens de 1955 à 1975 et s’est achevée par la défaite peu glorieuse de l’oncle Sam1.

On connaît aussi la photo de Nick Ut, qui montre, en 1972, une petite vietnamienne, Kim Phuc, courante nue sur une route parce qu’elle vient d’être brûlée par un bombardement au napalm. « Cette « arme vicieuse, mélange inflammable d’essence gélifiée, de phosphore et de plastique qui colle à la peau et brûle les tissus jusqu’à l’os ».

Un « graffeur » britannique, Bansky, a repris la photo en 1994 pour en faire un montage, symbolique d’une certaine Amérique.

Cette phrase culte de ce film culte est typique de l’esprit américain, dominateur, arrogant, cynique, peu soucieux des dégâts que cette nation belliqueuse inflige, depuis sa création, à la nature et aux êtres vivants, brandissant en toutes occasions, le plus souvent inadéquates, la Bible, et déversant sur le monde son hypocrite moralité universaliste en même temps que ses bombes qui, elles, sont, de facto, beaucoup plus sincères.

Elle rend bien compte de la véritable nature des épandages chimiques que le Système ne cesse de déverser sur la planète par voie aérienne depuis de nombreuses années ; car ces épandages, s’ils ne suppriment pas instantanément tout ce qui vit, comme le font les avions américains dans cette séquence du film2, ont le même but, sous prétexte de « lutter » contre un improbable réchauffement climatique : dans un premier temps, d’instiller dans les masses la peur, le découragement et la soumission et, en dessein final, de réduire la population planétaire, les épandages toxiques ne constituant que l’un des volets du vaste panel de la méthodologie mise en place pour arriver à cette fin. Écoutez parler ce chef sioux qui a tout compris de ce qui se passe et qui désigne les coupables3 ; il sait de quoi il retourne : ses ancêtres ont été les premières victimes de la guerre bactériologique menée par les Blancs américains, Anglais à l’origine, contre la terre entière ; nous évoquons cet épisode douloureux dans le petit historique qui suit.

« Les sables du Sahara »

Ce n’est pas d’hier que Nice Provence Info s’intéresse à ce qui, au début, paraissait être un curieux phénomène, inexplicable, dont nous avions du mal à croire à l’existence, ce qui, pourtant, à l’évidence, ne pouvait constituer qu’une manipulation du climat, de la nature et donc, des êtres vivants dont les hommes sont, paraît-il, le fleuron ; vous pouvez consulter nos articles antérieurs sur le sujet4.

Mais les derniers événements ou, à vrai dire, les non-événements, climatiques, nous ont incités à revenir sur le sujet. Pourquoi « non-événement » ? Eh bien, parce que, traditionnellement — et il s’agit là d’une tradition multimillénaire — nous étions habitués à voir se dérouler les années suivant un processus naturel qui voyait se succéder les saisons ; nous n’y avons peut-être pas prêté attention les années précédentes, trop occupés à nous défendre contre le pseudo-virus, mais les années 2023–2024 ont été marquées par l’absence d’hiver, par l’absence de printemps et par l’absence de cet été qui a bien mal commencé.

Comme, l’année dernière, « on » nous a convaincus qu’il y avait « sécheresse », les édiles locaux se sont dépêchés, suivant les consignes des préfets macronistes, de fermer le débit des fontaines (lesquelles sont, pour la plupart, en circuit justement déjà « fermé ») ou l’arrêt des douches de plages ; depuis cette mémorable et stupide décision5 (à laquelle il n’a pas été mis fin), il n’a pas arrêté de pleuvoir sur la Provence et, me semble-t-il, sur toute la France, à quelques exceptions près (le Roussillon).

Le premier jour de l’été 2024 fut, sur l’ensemble de la Provence, une journée apocalyptique, tempétueuse et pluvieuse. Les nappes phréatiques sont maintenant pleines à ras bord, mais « on » nous persuade toujours que nous sommes en situation de sécheresse parce que les pluies que nous subissons fréquemment ne sont qu’une illusion, un « sentiment », comme le « sentiment » d’insécurité, par exemple.

Et puis sont arrivés les épisodes, cocasses et déprimants, de retombées de boues brunâtres et visqueuses déversées par le « ciel » dans une fréquence qui ne correspond à aucune de celles que nous avons vécues dans le passé qui se limitaient à une ou deux pluies par an ; il s’agit, cette année, d’au moins une fois par semaine. Le Français étant particulièrement attaché à sa voiture, il a vu, dans un désespoir à peine dissimulé, son véhicule se couvrir, à intervalles non réguliers, mais fréquents, de cette substance brunâtre qu’« on » veut nous faire passer pour des « sables du Sahara ». Nous sommes aujourd’hui (lorsque j’écris cet article en Luberon) début juillet 2024, il est 9 h 30, la température est de 21°, le ciel est voilé, blanc laiteux, le vent souffle ; il y a trois jours, nous avons encore subi une pluie de ces « sables du Sahara » ; les véhicules, les maisons, les plantes, les arbres, les fleurs, les fruits et les légumes (que nous mangeons), les insectes (qu’ils veulent nous faire manger), les animaux de toutes sortes, les vitres, les bancs, les terrasses, les vêtements, les sols, les piscines, les mers, les lacs et les rivières, tout est encore imprégné de cette mélasse brune et pâteuse.

Les personnes qui ont des piscines savent bien que ce sable n’est pas du sable puisqu’il contient des algues qui faut traiter chimiquement. Alors que le sable est utilisé pour filtrer l’eau, là, ce « sable » verdit l’eau des piscines. France Info confond même « sable » et « algue » :

Sable du Sahara : qu’est-ce que l’algue moutarde qui risque de faire tourner l’eau de votre piscine.

Les présumés « sables du Sahara » ne sont en fait que la conséquence visible et concrète d’épandages aériens chimiques.

15 heures, même jour : le ciel est en fond bleu, mais strié, quadrillé, à perte de vue,
par des centaines de traînées blanches.
16 heures : le mistral a tout dispersé.

J’ai voulu savoir ce qu’en disent les médias.

Eh bien, si vous recherchez par Google et que vous tapez « sables du Sahara », ils sont débonnaires, rassurants, vous donnent des conseils pour bien laver votre voiture, ou ne pas la laver du tout car, disent-ils, ça ne sert à rien parce que ces méchants sables maghrébins sont encore attendus pour dans trois ou quatre jours.

En revanche, si vous émettez un doute, du type : « sables du Sahara ou métaux lourds ? », ces mêmes médias vous renvoient sans ménagement à des officines de « vérification » qui vous traitent de complotiste. Et on tombe immédiatement sur le communiqué de l’AFP du 2 mai 2024, le pourvoyeur d’« infos » que tous les autres médias subventionnés doivent répercuter au garde-à-vous : “NON, un laboratoire n’a pas prouvé que les nuages de sable du Sahara sont en fait des composés nocifs largués intentionnellement. Des nuages de sable du Sahara atteignent régulièrement l’Europe, comme cela a été le cas fin mars 2024, jusqu’en Roumanie, et encore fin avril en France. Bien qu’il s’agisse d’un phénomène naturel, des internautes affirment, analyse d’un laboratoire bosnien à l’appui, que ce sable est largué intentionnellement par avion et chargé en substances nocives, reprenant ainsi la théorie complotiste des « épandages chimiques », selon laquelle les traînées laissées par les avions dans le ciel seraient les traces de produits chimiques. Mais la méthodologie de l’analyse citée est douteuse, ont souligné des experts, notamment parce les lieux et conditions de prélèvements des échantillons n’ont pas été vérifiés. Elle a en outre été réalisée à la demande d’un élu bosnien qui a reconnu lui-même qu’on ne pouvait pas en tirer de conclusions.”

Ah bon, si ce sont « des » experts qui l’ont dit… Des experts « certifiés AFP » ?

Mais nous sommes quand même allés écouter la version (sous-titrée en français) de ces vilains bosniaques qui ont l’outrecuidance de se poser des questions et de faire des analyses qu’on ne leur a pas demandées :



Le site tchèque American European News a publié en 2022 un article dans lequel on lit (déjà) :

Pas de sable du Sahara !

Une analyse chimique choquante de la poussière des voitures révèle que des métaux lourds et des éléments utilisés pour modifier le temps tombent du ciel ! Le laboratoire bosniaque a trouvé dans l’échantillon du nickel, du baryum et de l’aluminium dépassant de plus de 700 fois la limite connue, ainsi que d’autres métaux lourds ! Les avions couvrent le ciel avec des modificateurs météorologiques pour contrôler la lumière du soleil et bloquer les rayons UV frappant la planète. L’été a besoin des rayons UV pour tuer les virus, mais que se passe-t-il lorsque les rayons UV sont bloqués par la poudre ?

Cliquez sur l’image pour accéder au site (en tchèque)

Plus près de chez nous et très récemment, la sérieuse revue Science&Vie consacrait un article aux dangers de ces « sables du Sahara ». On peut y lire :

« Pourquoi cette masse de sable devient-elle une nuisance pour la santé ? Les particules de sable du Sahara ne sont pas les seules en cause. Elles s’associent souvent à des polluants atmosphériques, amplifiant ainsi leurs effets néfastes.

Des études montrent que ces particules peuvent transporter des virus ou des pesticides dangereux. En inhalant ces particules, les risques d’affections respiratoires telles que l’asthme ou la pneumonie augmentent considérablement.

Une étude menée par l’Institut de Veille Sanitaire des régions Provence-Alpes-Côte d’Azur et Corse (INVS) a également noté que certaines de ces poussières contenaient des champignons susceptibles de déclencher des réactions allergiques, des infections pulmonaires ou des affections cutanées chez l’homme. »

[source]

Des filaments aéroportés

Une version de ces épandages a été analysée par un autre laboratoire français, Analytica, situé à Cuers, près de Toulon, dans le Var ; il s’agit de « filaments aéroportés » qui contiennent des perturbateurs endocriniens, des métaux lourds, de fortes teneurs en aluminium, en baryum et en strontium ; pour ceux qui veulent aller plus loin, vous trouverez ci-joint les rapports de ces différentes analyses et les reportages effectués par les médias, notamment ce très honnête reportage de France 3 en mars 20146. Vous noterez sans peine la gêne des autorités officielles qui s’expriment sur le sujet ; quand elles s’expriment, car, selon le reportage, la plupart des responsables de ces organismes ont refusé de répondre aux questions des journalistes et ceux qui y répondent bottent en touche, comme ce responsable du « service technique environnement de l’aéroport Marseille-Provence » qui affirme qu’il n’a « jamais entendu parler d’épandages chimiques », qu’il « ne sait pas ce que c’est », ou comme ce médecin qui traite de « charlatans » ceux qui se posent des questions à ce sujet !

Un tel empressement à dénier toute intention malsaine, ou, au contraire, une telle discrétion, une telle unanimité dans le discours, et une telle agressivité de certains médias, de la part des collaborateurs du Système, ne présagent rien de bon. La discrétion sur ce sujet est de mise chez les écologistes politiques qui nous persécutent avec « LE Climat », mais qui ne connaissent pas la géo-ingénierie (techniques de contrôle et de modification du climat) et l’existence de ces épandages chimiques.

Car ça ne vous rappelle rien ? Ces mêmes officines de « vérification », qui ne sont rien d’autre que des outils de propagande et de diffusion de fausses nouvelles, ont agi avec les mêmes méthodes et avec les mêmes mots quand il fallait vous dissuader de rechercher les composants toxiques des pseudo-vaccins qu’on a administrés à 80 % de la population française et dont les effets morbides et létaux commencent à se manifester. Le vaste système de désinformation par ingénierie sociale élaboré lors de la grande manipulation sanitaire déclenchée par la secte mondialiste a perdu toute crédibilité. Nos bourreaux comploteurs seront obligés d’inventer d’autres machinations.

Les comploteurs élaborent des complots que les « complotistes » dénoncent.

Quelques précédents historiques

Régressons un peu dans le temps afin de trouver les premières manifestations de guerre bactériologique, ou biologique, ou bioclimatique.

1. Les couvertures contaminées par la variole

Nous ne remonterons qu’au XVIIIe siècle pour trouver la première trace d’une guerre bactériologique, elle est le fait du général anglais Harmherst (1717−1797), vainqueur des Français du Canada en 1760, et dont le personnage constituera une préfiguration de l’amoralité qui va caractériser le futur homo americanus bellicus.

Cet individu, dont une rue de Montréal portait encore récemment le nom avant de le faire tomber en disgrâce, avait imaginé, avec succès, de répandre une épidémie parmi les Amérindiens, qui ne voulaient pas se séparer de leurs terres au profit des envahisseurs anglais, en fournissant aux tribus insoumises des couvertures infectées par la variole. Le but avoué étant bien d’éradiquer totalement les tribus natives.

« Dommage pour les Indiens que les Français n’aient pas pu conserver le Canada, car ils leur auraient permis d’échapper à la volonté exterminatrice des Britanniques qui ont utilisé la méthode des couvertures infectées lors d’autres conflits, comme en Nouvelle-Zélande » écrit André Boyer dans son blog le 16 mai 20177.

Il a fallu 250 ans pour que Montréal cesse d’honorer le nom de ce sinistre personnage. Il faudra combien de temps pour prouver la culpabilité de la CIA dans les affaires que nous allons relater dans lesquelles l’Agence est soupçonnée d’être impliquée ?

2. Plusieurs morts dans une contamination par le LSD à Pont-Saint-Esprit

De 5 à 7 personnes ont péri à Pont-Saint-Esprit, une jolie petite ville historique du Gard traversée par le Rhône, de plus de 10 000 habitants actuellement, la moitié à l’époque, dans une curieuse épidémie, c’était en 1951. À première vue, il s’agissait d’une intoxication alimentaire qui aurait été causée par l’ergot du seigle, un champignon vénéneux qu’on peut trouver dans cette céréale et qui a la caractéristique de contenir de l’acide lysergique avec lequel on fabrique le LSD, une drogue hallucinogène. Ce qui explique que 30 Spiripontains ont été internés en hôpital psychiatrique, dont certains se sont suicidés en se jetant par la fenêtre.

En octobre 2009, coup de théâtre avec la parution d’un livre intitulé : A terrible mistake (Une terrible erreur) sous la plume d’un journaliste d’investigation (ce qui devrait être un pléonasme, mais ne l’est plus), un Américain dénommé Hank Albarelli qui enquête, dans ce livre, sur la mort mystérieuse d’un scientifique, Frank Olson, lié à des expériences conduites par la CIA sur le contrôle mental. Frank Olson s’est jeté du dixième étage, en 1953, par la fenêtre d’un hôtel de Manhattan ; son fils Eric rouvrira l’enquête après qu’elle a été clôturée dans un premier temps en échange d’un dédommagement versé par l’État américain à sa famille (750 000 dollars) et les excuses du président des États-Unis d’alors, Gerald Ford. Cette seconde enquête menée en 1994 démontrera que Frank Olson a été assassiné avant de passer par la fenêtre. Mais l’accord précédemment conclu par sa famille ne permettra pas de la valider.

Selon Albarelli, Olson aurait mené une expérience avec la CIA sur les habitants de Pont-Saint-Esprit pour tester le LSD comme arme de guerre, d’abord par pulvérisation aérienne, puis par contamination du pain, dans le cadre du programme MK/Naomi.

En 2015, un vidéaste, Olivier Pighetti, réalisera un documentaire intitulé Pont-Saint-Esprit, 1951 : 5 morts, 30 internés, 300 malades-Le complot de la CIA, qui sera diffusée sur France 3.

Bizarrement « la vidéo n’est pas disponible » sur le site de France-TV.

3. La tempête de décembre 1999 en France

Avec la création du système HAARP en 1993, les « dérèglements climatiques » de forte intensité vont se multiplier, telles ces tempêtes qui ont gravement touché la France en 1999.

Les 26, 27 et 28 décembre 1999, deux tempêtes successives, dénommées Lothar et Martin, ont mis à terre d’une manière fulgurante des millions d’arbres sur 968 000 hectares. Soufflant à la manière d’un ouragan, des vents atteignant 216 km/h ont ravagé principalement les régions du Sud-Ouest et du Nord-Est occasionnant près de 20 milliards de dollars de dégâts et la mort de 92 personnes en France (la tempête, ignorant les frontières, à la différence du nuage radioactif de Tchernobyl, s’est invitée en Allemagne et en Suisse, faisant au total, avec les victimes françaises, 142 morts).

Dans son livre, La guerre secrète contre les peuples, la regrettée Claire Séverac note (page 230 et suivantes) que « certains observateurs dont le journaliste Jean-Moïse Braitberg dans un article de VSD de juin 2 000, intitulé “Les services secrets fantasment : tempête de décembre 1999, phénomène naturel ou attaque terroriste ?” laissent entendre que ces tempêtes pourraient avoir été causées par une arme climatique utilisée afin de sanctionner l’attitude récalcitrante de la France sur la mondialisation, les OGM et le traité de l’AMI (Accord Multilatéral sur l’Investissement — le sigle étant plus sympathique que sa signification — NDLR). Cet accord économique se négociant dans le plus grand secret sous l’égide de l’OCDE depuis 1995. […] Avant les “tempêtes”, la France était parvenue à influencer de manière décisive la position des autres pays de l’Union européenne sur le refus des OGM, contribuant à l’échec des négociations de l’OMC à Seattle. Et, surtout, la France se retirait des négociations de l’AMI, provoquant l’échec de ce projet clé du processus de mondialisation. »

D’autres manipulations apparentées à la géo-ingénierie ont été dénoncées lors d’événements tragiques comme :

4— L’ouragan Erika

« Que des coïncidences ! L’ouragan Erika qui dévasta la Nouvelle-Calédonie le 14 mars 2003, et coûta très cher à la France… Un mois avant, Dominique de Villepin avait demandé la réunion du Conseil de sécurité de l’ONU, le 14 mars justement, afin d’évaluer la situation en Irak8. »

5— Le tremblement de terre d’Haïti

« En janvier 2010, Hugo Chavez (Président du Venezuela), citait un rapport de la flotte russe du Nord disant que le tremblement de terre qui a détruit Haïti a été provoqué par la marine américaine qui a testé un missile dit “sismique”, fonctionnant grâce à des générateurs impulsionnels à plasma, en mer des Caraïbes9 ». Par ailleurs, dans une vidéo10, Claire Séverac ajoute que cela permettrait à l’armée américaine d’investir Haïti sous prétexte humanitaire dans le but d’installer une base de surveillance entre Cuba et le Venezuela (d’où l’intervention de Chavez).

6— Les incendies d’Hawaï

pour l’occasion, nos médias ont ressorti le pack Bûchers-Inquisition, c’est le déchaînement des « factcheckers », en français : les officines de vérification estampillées politiquement correctes, c’est-à-dire tenues par des médias subventionnés grassement par le Système qui dénoncent à s’en égosiller les « complotistes » qui ont évoqué des brasiers provoqués par l’utilisation d’armes à énergie dirigée. Le 8 août 2023, des incendies d’une grande ampleur ont fait au moins 115 morts à Maui, une île de l’archipel hawaïen, prisée comme lieu de villégiature par quelques grandes fortunes américaines. Les témoins locaux ont parlé de rayons laser qui ciblaient des lieux bien précis et en épargnaient d’autres, afin d’en faire partir la population de souche11.

Le système Haarp

Haarp, High Frequency Active Auroral Research Program, est officiellement un programme de recherche américain consacré à l’étude de l’ionosphère. Les installations de ce programme sont situées en Alaska dans la région où l’on peut observer des aurores boréales, d’où son nom ; le site, d’une surface de 16 hectares, est planté de 180 antennes. Haarp

En fait, le site, avant sa cession par l’armée en 2015 à un organisme civil, en l’occurrence l’université de l’Alaska, était sous contrôle exclusif des militaires ; ce transfert stratégique tente de désamorcer les critiques.

Selon Claire Séverac,

« l’objectif officiel de Haarp est de générer un bouclier protecteur global capable de déceler et de contrer les avions ou les missiles ennemis qui s’engageraient dans l’espace aérien américain. […] Il permet également de communiquer avec les sous-marins en plongée profonde et peut scanner le sous-sol de la Terre entière et les mers à des profondeurs extrêmes. […] Haarp peut aussi être utilisé pour manipuler le climat en créant des perturbations atmosphériques sur d’autres continents avec toutes les conséquences que cela implique sur les écosystèmes. […] Le système agirait en parfaite corrélation avec les épandages chimiques. Le revers de la médaille est que ce réseau peut aussi interrompre toute forme de communication hertzienne et détruire ou détourner avions et missiles intercontinentaux.

En fait, l’objectif réel de Haarp semble être de pouvoir atteindre et bombarder à volonté n’importe quel point de la Terre et de l’espace proche avec un faisceau d’énergie directif ultra-puissant, sans utiliser de satellite12. »

D’où les « essais » que nous avons évoqués avec les « quelques précédents historiques ».

Les épandages chimiques : la guerre secrète contre les peuples

Claire Séverac a été l’une des premières lanceuses d’alerte à dévoiler l’existence des épandages chimiques. Aussi étrange que cela puisse paraître, Claire Séverac a fait carrière dans le show-business aux USA ; elle a composé de nombreuses chansons pour des chanteurs connus et a chanté elle-même, notamment en duo avec David Soul (le Hutch de la fameuse série Starsky et Hutch). C’est à partir de 2009 qu’elle se fait connaître en France en militant contre les méfaits de la vaccination, et en publiant un premier livre sur le sujet : Complot mondial contre la santé. Elle donnera à partir de ce moment de nombreuses conférences et dénoncera entre autres les épandages chimiques qui constituent pour elle le danger primordial pour la survie de l’espèce humaine ; elle tentera avec courage de réveiller ses contemporains, et ses compatriotes, ces pauvres Français, qu’on a connus plus éveillés, qui restent pour la plupart dans le déni ; elle cite, par ironie, le directeur du FBI, Edgar Hoover qui déclarait :

« L’individu est handicapé de se retrouver face à face avec une conspiration si monstrueuse qu’il ne peut pas croire qu’elle existe. »

Son livre le plus connu, Guerre secrète contre les peuples, paraîtra en 2015 ; il sera consacré aux diverses manipulations de la secte mondialiste, dont le programme Haarp, les épandages chimiques, les mesures pseudo-sanitaires, les empoisonnements par la nourriture, les guerres… qui viseraient tous, sous des formes différentes, un seul but : la réduction drastique de la population planétaire.

À propos des épandages chimiques, elle a posé des questions simples que tout le monde devrait se poser :

« Si les traînées de condensation (contrails) ne peuvent se former qu’à des températures au-dessous de — 40 °C et à un niveau d’humidité de 70 % ou plus, s’ils ne peuvent durer plus de trente minutes dans des conditions idéales et si les avions de ligne volent par obligation à plus de 8 km de haut, que sont ces grandes suspensions blanches qui s’étirent indéfiniment au-dessus des villes en formes géométriques précises et ces avions que l’on aperçoit distinctement ? […] Et s’il s’agit d’avions de ligne, pourquoi font-ils demi-tour ? Auraient-ils oublié quelque chose ? Comment expliquer qu’après leur passage dans un beau ciel bleu, celui-ci devienne laiteux avec formation de nuages ? Les les traînées de condensation n’ont jamais obscurci le ciel. » Écoutons-la :13.

Claire Séverac est morte le jour de Noël 2016 dans des conditions obscures après trois mois de maladie. Selon le Média en 4−4−2 :

« Elle gênait beaucoup trop de monde et son décès assez rapide est difficilement explicable. Elle était certaine d’avoir ingéré un poison à l’occasion des conférences qu’elle donnait dans toute la France depuis la sortie en septembre 2015 de son livre sur les épandages chimiques (abréviation de chemical trails). Elle pensait au polonium, un poison indétectable même au compteur Geiger, et à un cancer digestif aussi fulgurant qui avait effectivement peu de chances d’être naturel. »

Certaines personnes commencent cependant à se réveiller, notamment dans le milieu des pilotes de ligne en Amérique14 (l’État du Tennessee a même adopté une loi pour interdire les épandages chimiques : « L’injection volontaire, la libération ou la dispersion de produits chimiques dans l’air », et interdit « d’affecter la température, la météo ou l’intensité des rayons du soleil ») et en Europe15.

Enfin, un dernier témoignage, mais de poids : une scientifique de haut niveau, Kristen Meghan, ancienne spécialiste de l’environnement pour l’armée américaine, est devenue une dénonciatrice de la géo-ingénierie. Elle révèle que l’entreprise pour laquelle elle travaillait injectait des matières dangereuses dans l’atmosphère sous prétexte de lutter contre le changement climatique. Lorsqu’elle a commencé à poser des questions sérieuses, elle a été rapidement diabolisée. « Ces substances se retrouvent dans nos aliments et dans le sol », prévient-elle.

Souhaitons-lui bonne chance !

Un monde luciférien

Tout ceci nous ramène à ce que les USA sont devenus, en tout cas, au prisme de leurs dirigeants psychopathes, car les peuples du monde ne sont plus responsables des faits et gestes de leurs élites, ni même de les avoir mises en place. Les élections, quand il y en a, étant la plupart du temps truquées et leurs résultats convenus d’avance, négociés entre les partis, quels qu’ils soient, que les foules croient adversaires, voire ennemis, mais qui sont complices16. Pour exemple flagrant (flagrant pour les esprits éveillés), on peut se reporter aux dernières élections législatives en France le 7 juillet 2024. Le problème, c’est que ces personnes dévoyées, par le truchement de l’impérialisme américain et « occidental » (États-Unis, Europe de Bruxelles et Israël) ont pris le pouvoir sur l’ensemble de la planète et ont produit des petits clones à leur service à peu près partout dans le monde, et surtout en Europe, et surtout en France.

Lucifer est « le prince de ce monde », le maître de la Terre, de la matière… et de la secte sans âme qui s’en réclame, alors que Dieu règne sur les cieux ; le ciel est le domaine du spirituel.

[Voir aussi :
Lucifer n’est pas Satan]

L’ange rebelle, Lucifer (étymologiquement « le porteur de lumière »), par la loi d’inversion finale, obscurcit le ciel pour couper les liens entre Dieu et les hommes, entre la matière et la spiritualité ; les hommes qui se tournaient vers les cieux pour prier Dieu, en attendre ses bienfaits et la lumière qu’il prodigue par ses rayons de soleil, n’en reçoivent plus que des substances sales et poisseuses. Le monde est placé sous une chape de plomb — de métaux lourds — un ciel brumeux qui ne dispense plus que des immondices qui obscurcissent le ciel, comme le décrit cette intéressante vidéo :17.

L’historien grec Strabon a rapporté une entrevue entre des druides gaulois et Alexandre le Grand qui leur demanda ce que les Gaulois craignaient le plus ; ils répondirent cette phrase connue et répandue grâce aux albums d’Astérix, que ce qu’ils craignaient le plus était que « les cieux ne leur tombent sur la tête ».

Mais ils parlaient d’un avenir très lointain : notre époque ; les druides étaient réputés pour leurs prédictions et cette réponse se rattachait à ce qu’ils considéraient être la fin du monde, tout au moins du cycle, le même que celui que nous vivons, nous, leurs descendants, 2300 ans plus tard, car cette fin serait constituée par « un déluge tombé du ciel, composé d’eau et de feu, avant l’apparition d’un nouveau cycle où l’âme immortelle des hommes retrouverait sa place ».

Les promoteurs du transhumanisme se sont alliés à la secte mondialiste qui gouverne actuellement la planète en se plaçant sous l’égide de Satan et en le proclamant à chaque occasion ; les uns et les autres, sous l’emprise d’une vanité démentielle et démoniaque, l’hubris, ont pour ambition non seulement d’égaler Dieu, mais de le remplacer, de dominer le monde, la Terre, les hommes et les cieux ; quoi de plus simple et de plus exaltant, pour eux, de sentir leur puissance en étant ceux qui sont capables, comme les divinités furieuses des panthéons grecs et romains, de « faire la pluie et le beau temps » comme bon leur semble ?

Cependant cette puissance technologique étant essentiellement artificielle, tout comme leur intelligence, ces satanistes ne réussiront donc pas, in fine. Les « anges » rebelles tomberont de haut18 et leurs ailes seront déchiquetées dans un grand fracas de ferraille.

Pierre-Émile Blairon

Pour en savoir plus sur le sujet :
• Consultez le site de Association Citoyenne pour le Suivi, l’Étude et l’Information sur les Programmes d’Interventions Climatiques et Atmosphériques
• Prenez le temps de voir le film documentaire Bye, bye, blue sky