Sortir de l’instinct grégaire ?

06/09/2021 (2021-03-01)

Par Dr Nicole Delépine

« Ce n’est pas d’un vaccin pour s’immuniser contre les infections virales dont l’humanité a besoin, mais d’un vaccin contre la peur afin de s’immuniser contre la stratégie du choc et les manipulations politiques qui sont en train de l’asservir. »

Vincent Mathieu, Ph.D.

« L’instinct grégaire est animal. Il nous ravale au stade du mouton à quatre pattes, quand dans la crainte on s’aplatit, on s’agenouille comme cette petite chose qu’on tond allègrement depuis des siècles pour faire des vêtements nous réchauffant. Êtres frileux dans tous les sens du terme, que ces humains craintifs qui se cachent derrière le derrière de l’autre, collés les uns aux autres, formant une masse qui s’agglutine, tête en bas, au ras du sol, pour ignorer la clarté et la lumière que nous offre le ciel de nos propres idées. »

« Dociles, maladifs, médiocres » disait Nietzsche, parlant de ces personnes ayant gardé cet instinct bestial. Instinct nous poussant tous, plus ou moins, à courber l’échine, à redevenir des enfants marchant à quatre pattes et aussi obéissants qu’eux, par peur, « de manière aveugle et sans réflexion ». Ainsi le nazisme a pu voir le jour. Ainsi une foule a regardé une femme se faire abuser en pleine journée dans un métro bondé comme cela fut le cas à Lille récemment. C’est l’esprit d’égalité qui sous-tend probablement cet instinct primitif. Tous pareils, tous aussi poltrons et peureux, sans audace ni courage.1

Le plus fascinant dans la période que nous vivons est l’enthousiasme des foules et pas seulement françaises, pour se précipiter se faire tester, et pire se faire vacciner. Pourtant il faut vraiment vouloir ne pas savoir que le coronavirus de l’année 2019 est très peu mortel et en tous cas pas plus que la grippe qui n’a jamais entraîné un tel délire collectif.

Une hystérie mondiale qui continue malgré les preuves accumulées de la faible nocivité du virus, l’existence de traitements précoces efficaces, de la mascarade des tests PCR faux positifs à 97% quand ils sont utilisés en dépistage chez des gens sains, des doutes majeurs sur l’efficacité et la toxicité des vaccins dont l’expérimentation (phase 3) ne se terminera qu’en 2023.

Bizarre, bizarre, la ruée vers l’or (transformée en plomb) qui se poursuit malgré le défilé quotidien d’informations sur tel EHPAD allemand, puis norvégien ou espagnol dans lesquels un tiers des résidents autrefois bien portants sont morts très vite dans les jours ou semaines qui ont suivi l’injection vaccinale miraculeuse. Pour rejoindre le ciel plus vite ? Et bien sûr, sans recul suffisant, on ne sait que très peu de choses de ce qui pourrait se passer chez les vaccinés rencontrant le coronavirus d’ici quelques semaines. On peut être inquiet quand on connaît les expériences sur les animaux dans la tentative de vaccin contre les précédents coronavirus pathogènes, SRAS et le Mers et les décès des animaux vaccinés. Évidemment on aurait pu penser que cela rendrait prudents expérimentateurs apprentis sorciers, et citoyens cobayes, mais il n’en est rien. La puissance des médias répétant inlassablement les mêmes mensonges est fascinante et surtout inquiétante pour l’avenir de notre démocratie. Après les députés godillots (qui prolongent indéfiniment l’état d’urgence), de trop nombreux juges français qui valident sans examen réel tout ce qui vient de l’exécutif, les médias, dernier pilier de la démocratie se sont à leur tour agenouillés devant l’exécutif, empêchant le pluralisme de s’exprimer.

Pourtant les scientifiques et médecins réunis résument bien les éléments importants sur cette crise covid (suivre par exemple collectif ISOFIA sur Telegramm pour infos en temps réel).

Voici une petite synthèse.

1. Nous n’avons JAMAIS dans le passé, réussi à vacciner contre un coronavirus

Un vaccin efficace contre un coronavirus n’a jamais été mis au point. Les scientifiques ont essayé pendant des années de fabriquer un vaccin contre le SRAS et le MERS, toujours sans succès. En fait, certains des vaccins anti-SRAS ont causé une hypersensibilité au virus du SRAS. Cela signifie que les souris vaccinées pourraient potentiellement faire la maladie plus sévèrement que les souris non vaccinées.

2. ll faut habituellement de 5 à 10 ans pour qu’un vaccin soit entièrement mis au point, processus lent et ardu et de nombreuses années entre le développement et les essais jusqu’à l’approbation à l’usage public. Les différents vaccins pour Covid ont tous été développés et approuvés en moins d’un an. Bizarre ?

Aucun des vaccins n’a encore fait l’objet d’études appropriées. Beaucoup d’entre eux ont complètement sauté les premières études (animales en particulier), n’ont pas publié leurs données, et les études humaines tardives n’ont pas été évaluées par des pairs, ne se termineront pas avant 2023, ou ont été annulées après des « effets indésirables graves ».

3. Le « vaccin » Covid est basé sur une nouvelle technologie jamais approuvée pour utilisation sur l’homme. Alors que les vaccins traditionnels fonctionnent en exposant l’organisme à une souche affaiblie du micro-organisme responsable de la maladie, ces nouveaux vaccins Covid sont des vaccins à ARNm.

Théoriquement, les vaccins contre l’ARNm (acide ribonucléique messager) fonctionnent en injectant de l’ARNm viral dans l’organisme, où il se réplique dans les cellules et stimule l’organisme à reconnaître les protéines spike du virus et à produire des antigènes contre eux. Ils font l’objet de recherches depuis les années 1990, mais aucun vaccin contre l’ARNm n’a jamais été approuvé avant 2020.

4. Si le vaccin entraîne des accidents ou tue, les compagnies pharmaceutiques ne peuvent pas être poursuivies. Dès le printemps 2020, de nombreux gouvernements du monde entier ont accordé aux fabricants de vaccins l’immunité contre la responsabilité civile en se référant aux lois existantes ou en rédigeant de nouvelles lois.

La Loi de préparation au public et de préparation aux situations d’urgence (PREP) des États-Unis accorde l’immunité au moins jusqu’en 2024.

La loi UE sur l’approbation des produits fait de même, et des clauses de responsabilité confidentielle ont été signalées dans les contrats conclus par l’UE avec les fabricants de vaccins.

Le Royaume-Uni est allé encore plus loin, donnant au gouvernement et à ses employés une indemnité juridique permanente pour tout préjudice causé par le traitement d’un patient pour Covid19 ou « covid19 présumé ».

Or rappelons que 99,8% des gens survivent à Covid19.

Le taux de mortalité par infection par le Sars-Cov-2 est certainement beaucoup plus faible que tous les modèles initiaux prévus. À l’origine, il était massivement excessif, l’OMS a supposé 3,4%. Des études ultérieures ont montré qu’il est beaucoup plus faible, dans certains cas même en dessous de 0,1%. Un rapport publié dans le propre bulletin de recherche de l’OMS en octobre a révélé un CFR de 0,23 %, « ou peut-être significativement inférieur »

Cela signifie que même selon l’OMS, au moins 99,77 % des personnes infectées par le virus survivront.

Pourquoi tant de hâte ?

Nous sommes enfermés de fait depuis onze mois et l’obsession de tout un chacun est de sortir de prison. L’emprise des mondialistes qui ont concocté et appliqué ce plan terrible explique probablement les réactions tout à fait extravagantes envers les tests PCR et surtout les vaccins auxquelles nous assistons.

Une grande partie de la planète a subi cet enfermement doublé de bourrage de crâne pluriquotidien, transformant des milliards d’individus en adeptes d’une « secte covid19 » dont il est terriblement difficile de s’extraire comme de toute secte. Il nous faudrait des psychiatres efficaces et compétents pour une immense thérapie de groupe.

Jusqu’où courberons-nous l’échine ?

« En tant que professionnel de la santé mentale, j’ai entendu maintes histoires de personnes qui se sont mises à genoux devant leur intimidateur en pensant retrouver la paix et la vie d’avant. La peur, la culpabilisation et l’emprise sont les armes des manipulateurs pervers. Elles mènent les gens à faire bien des courbettes et les ingénieurs sociaux le savent très bien.

Telle une personne abusée, la population se trouve-t-elle présentement tétanisée et soumise devant le harcèlement brutal du gouvernement ? »

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Serions-nous atteints d’un syndrome de Stockholm ?3 Eric Fromm décrit un phénomène semblable dans son livre « la peur de la liberté ».

« Il élabore sur la façon dont le citoyen peut affectionner ou vénérer les figures autoritaires afin d’échapper à l’angoisse que provoquerait une remise en question ou une confrontation du régime politique. L’identification à la pensée dominante et l’idéalisation de ceux qui nous régentent deviennent les palliatifs à une réflexion complexe et rationnelle sur la situation sociale vécue ».

Un silence abyssal

On peut s’étonner et s’effarer de l’absence de réactions construites et raisonnées sur la gestion de cette pseudo-crise sanitaire construite depuis le début avec la mise sur le marché des tests PCR non spécifiques par le conseiller de Mme Merkel, C. Drosten actuellement poursuivi pour fausses déclarations médiatiques et conseils politiques inadaptés en Allemagne.

Les fausses prévisions des prophètes Ferguson en Angleterre et alter ego en Allemagne sur des modélisations mathématiques adaptées à la demande des politiques ont été dénoncées relativement tôt dans l’année 2020 et n’ont recueilli aucun écho ni des politiques de tous bords, ni des « intellectuels », artistes, universitaires en dehors de quelques exceptions dénommées curieusement lanceurs d’alerte.

Citons ici les révélations « colossales » de « Slobodan Despot, (8/02/2021 COVID-19)

Kolossale ! Les politiques dictaient les analyses « scientifiques » !

« La Welt-am-Sonntag du 7 février révèle qu’en mars 2020, un groupe de juristes du ministère fédéral de l’Intérieur allemand a pris contact avec diverses institutions scientifiques et médicales — dont le Robert-Koch-Institut de Berlin — et leur a demandé d’élaborer un modèle de propagation de l’épidémie sur la base de laquelle le ministère d’Horst Seehofer pourrait justifier les mesures les plus dures dans la lutte contre le coronavirus.

Dans les plus de 200 pages d’échanges par e-mail, on découvre par exemple que le secrétaire d’État Markus Kerber lui-même demande aux chercheurs de travailler à un modèle qui permette de justifier des « mesures préventives et répressives ». Selon ces échanges, les scientifiques ont rédigé, en étroite collaboration avec le ministère et en moins de quatre jours, un document astucieusement classifié « SECRET », que l’on a ensuite laissé filtrer dans la presse. La cerise sur le gâteau fut le scénario du pire prédisant un million de morts en Allemagne.

A Paris, comme à Berlin et ailleurs, pourtant, les politiques nous ont assuré qu’ils s’appuyaient sur les analyses des spécialistes — en particulier des médecins — pour prendre leurs décisions. Mais que faudra-t-il penser si l’on découvre que les analyses « scientifiques » ont été dictées — au sens propre — par les politiques eux-mêmes ? »

Idem au Québec :

« En date du 9 décembre 2020, le directeur de santé publique québécois, Dr Horacio Arruda, nous a confirmé que les directions de santé publique (DSP) au Québec n’ont pas recommandé la fermeture des lieux publics comme les restaurants et les cinémas. Ces décisions ont été totalement prises par le politique alors qu’on prétendait se baser sur des données scientifiques ».

Ces démonstrations de la tromperie monumentale changent-elles quelque chose ? Non, aujourd’hui circulent des pétitions afin que les vaccins soient accessibles à tous ! Mais ceux qui diffusent cette demande se rendent-ils compte qu’ils sont complètement captés par la « propagande vaccinale », comme pour n’importe quel objet commercial et font le jeu du gouvernement mondial qui veut nous soumettre, ne serait-ce que par le passeport vaccinal ?

« Nos intellectuels gradés semblent en effet vivre dans un monde désincarné du réel. Un monde où le simulacre est pris pour le vrai. C’est à croire qu’ils sont inconscients de l’impact des coteries oligarchiques sur la géopolitique internationale ».

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ET POURTANT il serait temps que les populations se réveillent de cette immense sidération organisée et discutent du but réel de cet abrutissement généralisé et organisé.

Ce n’est évidemment pas ce pauvre virus, mais bien le plan des milliardaires pour sortir de leur crise endémique depuis de nombreuses années et nous réduire en esclaves obéissants, pucés, dépossédés, sagement cloîtres dans des appartements loués (fin de la propriété individuelle) en échange du revenu universel minimal proposé par Hamon et cie.

« L’insécurité et l’impuissance propres à l’individu le mènent souvent à calquer sa pensée sur les idées dominantes. Sentir faire partie du groupe est parfois plus fort que le désir de trouver la vérité ».

La citation suivante de Bertrand Russell résume tout :

« Là où les enfants vont à l’école et que les écoles sont contrôlées par le gouvernement, les autorités peuvent fermer les esprits à tout ce qui est contraire à l’orthodoxie ». On leur apprend à parler et à penser pour ne blesser personne, utilisant un langage pauvre, non genré et carboneutre ».

Est-ce que le choc traumatique de la réalité va les réveiller alors que ce Grand Reset se met en place ?

Pour se remémorer le projet, écouter l’économiste Verhaeghe parler de son livre « le Grand Reset mythes et réalité ». Great Reset : mythes et réalités par Eric Verhaeghe (Vidéo) – Terre et Peuple – Résistance Identitaire Européenne

https://youtu.be/c2yfii_deGY

Petit résumé de la vidéo :

« Klaus Schwab a fondé le forum de Davos dans les années 1970 qui est une entreprise, initialement think tank de management. Thierry Malleret, le coauteur, est dans la sphère de la 2e gauche qui prétend vouloir une gauche libérale. (il cite Rocard).

Leur principe est que les grandes entreprises ont besoin de têtes pensantes. Le « soft power » est un pouvoir d’influence, ces gens n’imposent rien de fait. Ils font se rencontrer entre eux des gens qui ont besoin de se rencontrer, construisent un « mainstream » avec des personnes qui influencent les décisions des décideurs de façon feutrée.

Les idées du Great Reset : l’épidémie de coronavirus est l’occasion de mettre en place les idées qu’ils concoctaient et en particulier les idées de la quatrième révolution numérique. (voir livre de Schwab de 2017.)

On trouve dans le livre de Schwab et Malleret une compilation détaillée de toutes les technologies utilisées pour changer les comportements individuels. La surveillance généralisée, comme à Singapour, des promeneurs.

De façon explicite, les auteurs pensent que l’épidémie doit légitimer les outils de privation de la vie privée, traçage permanent savoir qui rencontre qui et en relation avec outils de reconnaissance faciale. Ce qui est prôné est Orwell 1984, la surveillance de l’individu au sens de la protection de la collectivité prioritaire sur l’individu.

Schwab prône la suppression de la propriété privée et veut imposer la location généralisée. L’économie circulaire est l’expropriation généralisée. Quelques grandes multinationales vont louer la TV, la machine à laver. Rien ne vous appartiendra plus. Outil de mort sociale, expropriation, collectivisation des biens.

Fascination de Schwab avec le dirigeant chinois invité à Davos en 2017 et cette année. Quelle est la relation d’intérêt entre KS et le président chinois ? Il faudrait investiguer dit Verhaeghe.

Néanmoins, les milliardaires et dirigeants à la tête du gouvernement mondial en gestation ne sont pas tous d’accord. Soros désapprouve les liens de KS avec le président chinois. Soros est pour la suppression des États-nations. Il finance les militants de décolonisation en France, mais reste très hostile au rapprochement avec la Chine et à l’inclination de l’Europe pour la stratégie chinoise.

Nous sommes dans une phase de décroissance du rendement du capital et donc il y a une dynamique économique du capitalisme à la suppression des frontières ; dans les syndicats des riches, il y a des divergences entre des puissants plus morcelés.

La Chine parie sur le multilatéralisme et certains pays pensent que les partenariats avec la Chine sont plus intéressants.

La question du Great Reset : où ferons-nous du profit demain ?

L’essentiel du profit est fondé sur la surconsommation, biens à obsolescence programmée et gaspillage. Cela ne pourra pas durer. Et donc, comment faire si on arrête de gaspiller ?

Chercher des substituts : transformer l’écologie en business. Ainsi, au lieu de les vendre, on va louer les biens aux gens, comme le font déjà Microsoft pour certains de ses programmes informatiques et de nombreux constructeurs de voitures. On va influencer par la pensée dominante l’économie circulaire, surveiller les gens. Œuvre d’une stratégie de faiblesse. Chant du cygne du capitalisme tel qu’on l’a connu. Ce n’est pas un modèle durable, car le totalitarisme des GAFAM est inacceptable pour les peuples.

En France, combat entre mondialistes et souverainistes ? Savoir si notre avenir passe par l’État-nation ou par une organisation comme l’UE.

Revenir à l’état nation, cela veut dire être compétitif. Il faudra 560 milliards d’euros dépensés pour le système de protection sociale en 2020. Il devrait être réduit à 400 milliards. Et pourtant ce qui a apporté la liberté est bien l’État-nation.

Ce qui est vraiment étonnant, c’est dans quelle mesure, nous, en tant que sociétés, permettons aux politiciens qui n’ont pas de qualifications en médecine de déployer des décrets draconiens.

Ces mesures sont vraiment l’intention de diviser la population pour prévenir les troubles civils parce que le système socialiste s’effondre et qu’ils avaient besoin d’une excuse pour jeter toutes les restrictions économiques par la fenêtre ».

Quand les gens se réveilleront-ils et se rendront-ils compte que tout cet ensemble de règlements, des masques5 aux confinements6, n’est vraiment qu’un moyen de suppression des libertés pour faire avancer le programme de l’oligarchie ?

Il ne s’agit pas de santé. Même le Washington Post, qui déteste le capitalisme, a dû admettre que les masques n’ont pas fonctionné pendant l’épidémie de grippe espagnole de 1918 où près de 3% de la population est morte7.

Voilà quelques mots extraits de la vidéo à écouter en totalité pour tous les détails. De plus en plus de personnes expriment des avis souvent différents sur le net et même parfois maintenant sur les radios et TV.

Diffusons-les en espérant faire sortir les covidiens de leur secte et pouvoir tous ensemble refaire société civilisée.


Notes

⚠ Les points de vue exprimés dans l’article ne sont pas nécessairement partagés par les (autres) auteurs et contributeurs du site Nouveau Monde.

  1. [1] Extrait de « à la recherche de la vérité, l’histoire de Clothilde » par Agnès Beaufeuil.[]
  2. [2] Ces éduqués non cultivés. L’ère de la pensée unique : Menace autoritaire et gouvernement mondial | Mondialisation — Centre de Recherche sur la Mondialisation[]
  3. [3] Le syndrome de Stockholm est un phénomène psychologique s’observant chez des otages qui vivent pendant une période prolongée avec leur(s) ravisseur(s). Le syndrome s’exprime par une sympathie et un sentiment de confiance grandissants de l’otage envers le ravisseur et une certaine hostilité ressentie à l’égard de ceux qui cherchent à combattre le ravisseur. Ce serait une manifestation inconsciente de l’instinct de survie permettant de se sentir hors de danger, mais aussi d’influer sur ses réelles chances de survie par cette fraternisation avec le ravisseur.[]
  4. [4] Ibid. 2[]
  5. [5] Aucune preuve scientifique que les masques obligatoires pour tous diminuent les contagions et la seule étude prospective randomisée sur le sujet (pourtant réalisée par ses partisans) a été incapable de prouver qu’il servait à quelque chose ![]
  6. [6] Toutes les études dans le monde réel des résultats sanitaires des confinements, couvre-feux et autres restrictions concluent qu’ils n’empêchent guère la propagation des virus, n’évitent au total aucune mort virale, mais causent infiniment plus de victimes par défaut de soins, anxiété, suicide, famine…[]
  7. [7] Toutes les études sur les causes de mort de cette pandémie et, en particulier, celle d’Antony Fauci, ont prouvé que la « deuxième vague » n’était pas virale, mais bactérienne.[]