Festival des personnes remarquables

[Source : alternative-academy.net]

Bande-annonce :

SANTE & MÉDECINE

Dr TADEUSZ NAWROCKI – 26/10/21 à 19h30

Spécialiste du système HLA depuis 40 ans – pour lequel il s’est passionné dès la découverte par l’immunologiste et Prix Nobel, Jean Dausset – le Dr Nawrocki met en place, dans les années 1990, la recherche HLA complète comme outil de singularisation anthropologique et ethnique. Puis il crée, en 2015, un fichier informatique : l’Haplotype (HLA), et mène des travaux sur la molécule HLA-G et la tolérance immunitaire de la grossesse.

Il compte 30 publications scientifiques dans les domaines de la cytogénétique, la génétique moléculaire, l’anthropologie médicale, l’odontologie, la  stomatologie et la biophysique. Au cours de sa carrière, le Dr Tadeusz Nawrocki a obtenu différents diplômes inter universitaires : de cancérologie, de méthodologie des essais cliniques des médicaments, environnement et santé, environnement et cancer, de médecine prédictive. Il a obtenu également un diplôme de l’Institut Pavlov de Saint-Petersbourg, un diplôme d’homéopathie et il s’est également formé en pharmacologie botanique ainsi qu’un diplôme universitaire de formation et recherche en anthropologie médicale DUFRAM. http:// acmeditions.com

THEME DE LA RENCONTRE : Le système HLA, un outil de diagnostic fascinant :

« En anthropologie, le système HLA est un outil qui permet d’individualiser chacun dans son appartenance ethnique, migratoire, géographique. En immunogénétique, le système HLA permet de comprendre pourquoi certaines comorbidités, qui se transmettent entre ascendant à descendants, sont activés en pathologie par leur juxtaposition sur l’haplotype. Ceci avec des susceptibilités microbiennes, virales, aux métaux lourds, véritables accélérateurs de certaines procédures maladives qu’elle soit cancéreuse, auto-immune, neurodégénérative. »

Dr GÉRARD DIEUZAIDE : 23/10/21 à 14h30

Le Docteur Gérard Dieuzaide est chirurgien-dentiste, conférencier, diplômé universitaire de posturologie et d’implantologie. Il s’intéresse depuis de nombreuses années plus particulièrement au problème occlusal dentaire, mais aussi à l‘électrosensibilité aux ondes, notamment à travers l’effet d’antenne et l’écho vibratoire de certains matériaux situés sur nos dents.

Il est l’auteur des livres « Libérez-vous de ces matières parasites » aux éditions Trédaniel, « Les maladies des ondes comment s’en préserver, électrosensibilité, fibromyalgie, fatigue chronique », « Si ça venait des dents », et « Testing thérapie » aux éditions Dangles.

Le Dr DIEUZAIDE a participé au documentaire  « Les sacrifiés des ondes » du réalisateur Jean-Yves Bilien avec entre autres le Professeur Luc Montagnier et le Professeur Dominique Belpomme. site : https://www.dieuzaide-electrosensibilite.com/fr

THEME DE LA RENCONTRE : Ces matériaux qui font « antenne » …

Certains matériaux font « antenne » avec les ondes ambiantes. Tester permet ainsi de donner à chacun les moyens de reconnaître certaines agressions environnementales, auto-induites,  proprioceptives, électromagnétiques   ou émotionnelles, de toute nature, en sachant lire et observer les réactions de son corps afin de s’en protéger. Mais tester permet également aux thérapeutes, quels qu’ils soient , médecins,  dentistes,  naturopathes, nutritionnistes, psychologue, osteopathes, etc..de respecter la célèbre maxime « primum non nocere »( D’abord ne pas nuire )qui est malheureusement trop souvent oubliée par la médecine moderne… Savoir tester donne les clés d’une méthode thérapeutique inédite qui est spectaculaire non seulement du fait des résultats obtenus mais aussi du fait de la diversité des incroyables améliorations de santé qui s’en suivent.

Enfin il faut savoir que les tests utilisés sont issus d’une jeune discipline de la médecine officielle, science que l’on appelle la Posturologie.

Dr DOMINIQUE ERAUD : 31/10/21 à 17h30

Homéopathie, Acupuncture, Phytothérapie, Nutrition –

Fondatrice du colloque Écomédecine, d’Intelligence Verte, de la CNMSE : Coordination Nationale Médicale Santé Environnement – Membre fondateur du RES : Réseau Environnement Santé Présidente Paris : Solidarité Homéopathie.

THEME DE LA RENCONTRE : Le dosage d’anticorps : un outil pour individualiser l’acte vaccinal.

Le dosage d’anticorps : un outil pour individualiser l’acte vaccinal. Une expérience menée avec l’Hôpital Privé Nord Parisien (HPNP) Une réflexion sur une vaccination sur mesure.

MARION KAPLAN  : 24/10/21 à 18h

Marion Kaplan est naturopathe, bio nutritionniste, spécialisée en Nutrithérapie et en micronutrition. Tout au long de sa vie elle a étudié avec des experts précurseurs comme le Dr Catherine Kousmine, Robert Masson, le Dr Jean Seignalet, le Pr Henri Joyeux, Dr Thadèe Nawrocki,  Pr Vincent Castronovo… Elle  s’est également passionnée pour les médecines énergétiques, comme l’homéopathie, l’acupuncture, la bio énergie, les médecines quantiques, mais également les médecines de compréhension de l’humain comme la PNL, le développement personnel, la spiritualité.  C’est une éternelle étudiante. Toutes ces compréhensions ont abouti à plus d’une vingtaine d’ouvrages sur l’alimentation et à l’organisation de nombreux congrès « quantique planète » et à son « Ecole des Sages ».Livres : Paléobiotique (Thierry Souccar), Powerbiotique (Trédaniel), sans gluten ni laitages (Jouvence)…Site : https://95degres.com

THEME DE LA RENCONTRE : Vivre en pleine santé après 64 ans, c’est possible ! Nous avons gagné en longévité, mais le temps de vie en bonne santé ne dépasse toujours pas 64 ans. A partir de cet âge, les statistiques démontrent que les maladies explosent, qu’elles soient de civilisation, auto immunes, infectieuses, virales, métaboliques ou autres.Pourtant, grâce aux progrès de la Médecine Préventive, nous avons tous les moyens pour prévenir plutôt que guérir.Nous avons accès maintenant à l’étude de notre génome qui nous permet de prendre les précautions et les résolutions qui ne nous ferons jamais basculer dans les maladies auxquelles nous sommes génétiquement prédisposés.

Dr Alain DUBLANCHET : 28/10/21 à 19h30

Médecin, biologiste honoraire des hôpitaux, ancien chef du laboratoire de microbiologie du Centre hospitalier de Villeneuve-Saint-Georges (Val-de-Marne) il a consacré son activité à la microbiologie médicale et à l’infectiologie. Il a publié de nombreux articles originaux concernant notamment l’étude des bactéries anaérobies et les résistances bactériennes aux antibiotiques.

Durant son activité hospitalière, ayant lui-même utilisé il y a plusieurs dizaines d’années des bactériophages pour traiter des infections ostéo-articulaires graves en impasse thérapeutique, il s’est attaché, à réintroduire la phagothérapie dans la communauté médicale et à correspondre avec les spécialistes français et étrangers. Il est l’auteur du chapitre « Phagothérapie » dans l’Encyclopédie Médico- Chirurgicale, et d’un ouvrage destiné au médecins généralistes et au grand public : « La phagothérapie : des virus pour combattre les infections. Renouveau d’un traitement au secours des antibiotiques ». Il a également écrit une biographie de Félix d’Hérelle, qui fut le découvreur du bactériophage en 1917 et le promoteur de la phagothérapie.  Livre : « La phagothérapie – Des virus pour combattre les infections » (Favre)  https://www.sesoignerengeorgie.com/docteurdublanchet.html

THEME DE LA RENCONTRE : De la découverte des bactériophages au développement de la phagothérapie !

Le développement continu des résistances bactériennes aux antibiotiques entraîne l’apparition d’infections de plus en plus souvent impossibles à maîtriser. Il en résulte des situations individuelles dramatiques qui met la médecine en échec. Il devient urgent de trouver une réponse. La phagothérapie, qui utilise des virus singuliers « mangeurs de bactéries » appelés bactériophages, est probablement la réponse la plus abouti à cette évolution inéluctable et préoccupante.

Dr DOMINIQUE BOURDIN : 27/10/21 à 16h  

Diplômé en Médecine du Sport et en Acupuncture, Dominique Bourdin bénéficie d’une solide expérience de médecin et de psychothérapeute (ayant exercé près de vingt ans la médecine générale et l’acupuncture, et la psychothérapie pendant plus de dix ans). Egalement formé en Sciences et en Théologie, sa quête est perpétuelle : comprendre l’être humain et le sens qu’il peut donner à sa vie.

Durant ces années d’expériences, les rencontres multiples et variées, la recherche, l’expérimentation lui ont permis de concevoir des techniques de soins performantes : la musicothérapie (ou holopsonie) qui stimule les ressources de la personne à travers l’ouïe, et la chromothérapie (ou luminothérapie de précision) qui agit sur toute la structure vibratoire du corps humain. https://www.holobiolistic.eu/new5/index.php

THEME DE LA RENCONTRE : La chromobiologie, une piste pour la médecine de demain ?

En développant une conception de l’être humain fondée sur la conscience, la lumière et les couleurs, la chromobiologie permet de comprendre les besoins et donc d’en prendre soin efficacement.

Elle propose aussi un outil thérapeutique pertinent dans une approche globale de la santé, non symptomatique, non analytique, centrée sur la personne et ses ressources plus que sur ses problèmes dans un accompagnement d’autoguérison et de prise de conscience.


Programme

Vendredi 22 Octobre 2021

14h Film « DE LA PSYCHOLOGIE A LA SPIRITUALITE » avec Thierry Janssen

18h Film « ENFANTS HYPERSENSIBLES, UN PRESENT POUR L’AVENIR »
        avec Jeanne Siaud-Facchin

20h Rencontre avec Jeanne Siaud-Facchin
 » Intelligence acérée & sensibilité exacerbée, une Alchimie pour demain ?
Échangeons ensemble !

Samedi 23 Octobre 2021

10h Projection de l’interview  » Aluminium, le corps Blessé … une invasion toxique » – Pr Christopher Exley

13h Projection du film : « Les sacrifiés des ondes « avec le Dr Gérard Dieuzaide

14h30 Rencontre avec le Dr Gérard Dieuzaide
« Le corps ne ment pas » Echangeons ensemble !

16h Projection du film : « LA ROUTE DE LA CONSCIENCE »

17h Interview de Philippe Guillemant : Comment adresser notre meilleur futur ?

18h Rencontre avec Philippe Guillemant 
Échangeons ensemble !

19h30 Rencontre avec Alexandre Rusanov
Le rôle des facteurs géologiques et géophysiques dans la pollution électromagnétique
Échangeons ensemble !

21h Projection du film : « LES GUERISSEURS, LA FOI, LA SCIENCE »

Dimanche 24 Octobre 2021

10h Projection du Film :  « LA TROUSSE D’URGENCE DE L’AROMATHÉRAPIE », avec le Dr Dominique Baudoux

14h Interview de Olivier Barbarroux : L’humain, fils de la terre, à la croisée des chemins

15h Rencontre avec Olivier Barbarroux
Échangeons ensemble !

16h30 Projection du Film : « CROQUE LA VIE »

18h Interview du Marion Kaplan  : Vivre en pleine santé après 64 ans, c’est possible !

19h Rencontre avec Marion Kaplan
Échangeons ensemble !

20h Interview du Dr Hervé Janecek : « Les ondes , la lumière,  les électrons en nutrition et en thérapie » ?

21h Rencontre avec le Dr Hervé Janecek
Échangeons ensemble !

22h00 Projection du Film : « GUERISON EXTRAORDINAIRE » avec Willy Barral

Lundi 25 Octobre 2021

10h Projection du Film :  » LE MOINE BLANC DE SHAOLIN » avec Andréas Beskow  

15h Projection du Film : « DERMO-OPTIQUE avec Antonin Poncik

18h30 Projection du Film : « CEUX QUI NE VEULENT PAS GUERIR » avec Jean-Philippe Brébion

19h30 Interview de JP Brébion : « Ne cherchons pas à vivre, cessons de survivre, la vie oeuvre en nous »

20h30 Rencontre avec Jean-Philippe Brébion
Échangeons ensemble !

Mardi 26 Octobre 2021

10h Projection du film : « LES GUERISSEURS DE L’IMPOSSIBLE »

14h Projection du film : « LA NOUVELLE BIOLOGIE CELLULAIRE » avec le Dr Bruce Lipton

16 h30 Interview du Dr Tadeusz Nawrocki : « Coronavirus & traitements » du Dr Tadeusz Nawrocki

19h30 Rencontre avec le Dr  Tadeusz Nawrocki
Le système HLA : Votre carte génétique tissulaire, un outil de diagnostic fascinant
Échangeons ensemble !

22h Projection du film : « LES ETAPES DE DEVELOPPEMENT DE L’ENFANT & DE L’ADOLESCENT »  avec Nathalie Brochard

Mercredi 27 Octobre 2021

10h Projection du film  : « MEDECINE, LE GRAND TOURNANT »

14h Projection du film : « GUERIR PAR L’AMOUR » avec le Dr Léonard Laskow

16h Rencontre avec le Dr Dominique Bourdin
L’utilisation de la lumière : A chaque couleur, sa fonction !

18 h30 Projection du film : « SEUL EST VAINCU CELUI QUI RENONCE » avec Babeth & Raphaël Colicci

20h Rencontre avec Raphaël Colicci : Le défi de la simplicité
Échangeons ensemble !

Jeudi 28 Octobre 2021

14h Projection du Film : « LES CHEMINS DE LA GUERISON »  avec le Dr Guy Londechamp

15h45 Interview du Dr Guy Londechamp : L’eau & La conscience

16h30 Rencontre avec le Dr Guy Londechamp Echangeons ensemble !

18h Projection du film « LA NATUROPATHIE VITALISTE » Ecole Dargère- Pierre-Valentin Marchesseau

19h30 Rencontre avec le Dr Alain Dublanchet
De la découverte des bactériophages au développement de la phagothérapie
Échangeons ensemble !

Vendredi 29 Octobre 2021

10h Projection du film « FUSION FROIDE » avec Jean-Paul Bibérian

14h  Projection du film : FREQUENCES ELECTROMAGNETIQUES DE L’ADN » avec le Pr Luc Montagnier

18h30 Interview du Dr Claude Touzet : Théorie neuronale de la cognition

20h Rencontre avec le Dr Claude Touzet
Échangeons ensemble !

Samedi 30 octobre 2021

10h Projection du film « AU DELÀ DU MIROIR » – Sylvie Ouellet

13h Projection du film « PHOTOBIOLOGIE – LUMINOTHERAPIE » – Dr Luc Benichou

14h15 Rencontre avec le Dr Luc Benichou
La lumière, l’eau et la cellule, 

15h30 Interview de Vahé Zartarian : L’humanité a-t-elle un avenir ?

16h30 Rencontre avec Vahé Zartarian 
Échangeons ensemble !

18h Projection du film : « MUSIQUE & THERAPIE » avec Marc Vella

19h Interview de Marc Vella : Le maître & la Grâce

20h Rencontre avec Marc Vella
Échangeons ensemble !

Dimanche 31 octobre 2021

10h Interview de Jean-Christophe Thiery : Et si nous parlions un peu de fraternité ?

11h Rencontre avec Jean-Christophe Thiery
Échangeons ensemble !

14h Interview de Patrice Van Eersel : Comment croire en l’avenir quand on a 30 ans

15h Rencontre avec Patrice Van Eersel
Échangeons ensemble !

16h Interview du Dr Dominique Eraud : « Le dosage d’anticorps : un outil pour individualiser l’acte vaccinal »

17h30 Rencontre avec le Dr Dominique Eraud
Échangeons ensemble !

19h30 Rencontre avec Philippe Desbrosses
Agriculture : nos semences en vérité. 
Échangeons ensemble !




Obligation vaccinale et totalitarisme : pas de clivage gauche-droite

Par Nicole et Gérard Delépine(([1] t.me/DrDelepine))

Obligation vaccinale et totalitarisme : pourquoi ce projet de loi ne clive-t-il plus gauche et droite ?

Peut -être parce que la gauche et la droite se sont noyées dans la pensée unique, système totalitaire développée depuis quarante ans et qui contribue à passer dans la vie réelle les délires de certaines minorités que les autres appuient en silence de peur d’être marginalisés.

Les exemples foisonnent avec la destruction de statues d’hommes célèbres ou le licenciement de musiciens accomplis dans les conservatoires anglais pour insuffisance de diversité. Ne voient-ils pas qu’ils reconstruisent des ghettos ?

La commission des lois a rejeté l’amendement de B. Jomier (ses liens avec les associations anti-sida et Gilead sont-ils trop connus ?).(([2] Le sénateur macroniste Bernard Jomier a déposé un amendement visant à sanctionner d’une amende pouvant aller jusqu’à 1500 euros les parents qui refusent de soumettre leurs enfants à la vaccination obligatoire. MàJ – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) ))

Mais le risque est entier pour le 13 octobre. Les citoyens doivent donc continuer à envoyer des mails, des courriers par poste et des demandes de rendez-vous aux sénateurs qui auront l’énorme responsabilité de rendre le totalitarisme visible, s’ils se laissaient aller à voter, ou laisser passer cet amendement par absence de l’hémicycle.(([3] joignez nos représentants !
sénateurs : 
https://www.voxpublic.org/spip.php?page=annuaire&cat=senateurs
députés :
https://www.voxpublic.org/spip.php?page=annuaire&cat=deputes
membres des cabinets Ministériels :
https://www.voxpublic.org/spip.php?page=annuaire&cat=cabmin
Des 4 Agences de presse :  
https://www.voxpublic.org/spip.php?page=annuaire&cat=medias&type_media=Agence%20de%20presse
et pour plus d’infos voir :
https://t.me/recensementeffetsecondaire/40101
Alice (Lili Liberté), [Oct 6, 2021 at 12 :54]
ANNUAIRE))

L’obligation vaccinale n’est absolument pas un sujet clivant droite/gauche
Monstrueuse pensée unique

Les totalitaires de l’obligation se retrouvent tragiquement autant à droite qu’à gauche (exemples : Yannick Jadot, Gérard Larcher, Valérie Rabault, Olivier Faure, Christian Estrosi, Fabien Roussel, Michel Onfray, Valérie Pécresse, Xavier Bertrand, Ségolène Royale, Robert Ménard, JC Lagarde, F Bayrou, … liste malheureusement non exhaustive) Comment en sommes-nous arrivés là ?

La menace totalitaire portée par B. Jomier est tellement mortifère que les politiques qui refusent de prendre position contre les obligations vaccinales sont largement complices de ceux qui les réclament. Leur silence est pesant, inacceptable, inexplicable, insupportable.

Il faut exiger le rejet sans condition du principe de l’obligation. Toute autre position est purement et simplement criminelle, tant les menaces sur les droits fondamentaux et la santé sont lourdes.

Si le principe de l’obligation d’un médicament expérimental est accepté, on ouvre la boîte de pandore de la médicalisation obligatoire de la population, toujours sous prétexte de prévention, comme expliqué par Marc Girard (par exemple dans cet article à lire absolument dans sa totalité tant il est d’actualité bien que paru en 2017 et que nous rappelle justement Ben Lyo.

On peut lire sur le blog du Dr Marc Girard en mars 2020 et en rappel de l’élargissement de l’obligation vaccinale à 11 vaccins des nourrissons, la remarque suivante tellement d’actualité.

https://www.rolandsimion.org/elargissement-obligations-vaccinales-lanceurs-dalerte/

« On s’interroge sur la modération des réactions qui ont accueilli le récent projet gouvernemental d’élargir – et considérablement – les obligations vaccinales en vigueur dans notre pays, malgré les risques d’un tel élargissement et la perspective qu’il ne cesse ensuite de se voir accentué par d’autres obligations encore moins justifiables d’un point de vue médico-scientifique ou économique.

On s’interroge d’autant plus qu’aucun des « lanceurs d’alerte » médiatiquement patentés n’avait éprouvé le besoin de la moindre mise en garde relativement à un coup de force pourtant aussi prévisible. »

« Un rapide inventaire des contributions mises en ligne sur le présent site permet de recenser, depuis janvier 2010, pas moins de 45 articles évoquant comme très préoccupante la menace d’un tel élargissement des obligations vaccinales, et désignant répétitivement la mystification Médiator comme micro-scandale destiné à détourner l’attention des citoyens en attendant que l’administration sanitaire ne passe à l’acte sur ce projet dont les bénéficiaires ne sont ni les bébés, ni les enfants, ni les contribuables de notre pays.

On termine en examinant les principaux facteurs pouvant expliquer l’aveuglement du public par rapport à la stratégie pourtant grossière qui ouvre désormais aux prédateurs du complexe médico-pharmaceutique un boulevard pour réaliser leurs rêves les plus fous. »

Et combien avait-il raison, notre ami Marc Girard en prévoyant les catastrophes successives que le silence (relatif) sur l’obligation vaccinale des tous petits allait permettre à l’avenir :
Étrange épidémie de mutité chez les lanceurs d’alerte

« On ne peut pas dire que la décision d’élargir les obligations vaccinales, annoncée depuis le 26/06/2017, soulève des réactions proportionnées à son potentiel pourtant vertigineux d’inconvénients facilement prévisibles, auquel il convient d’ajouter le risque non moins évident d’un renforcement de plus en plus contraignant une fois testée la capacité de résistance citoyenne à ce coup de force1.

Exactement comme avec l’évolution – scientifiquement injustifiable – du calendrier vaccinal, mais cette fois avec l’appui de loi et de la force publique, il est facile d’anticiper qu’une fois rassurés sur l’acceptabilité de leur connivence avec la pègre médico-pharmaceutique, nos responsables politiques n’auront aucune inhibition à charger la barque : on verra bientôt l’obligation de se vacciner contre la grippe ou contre les HPV, pour ne point parler de l’élargissement desdites obligations à la population adulte – pourquoi se gêner ?… Et pourquoi limiter les obligations aux vaccins, quand – des échographies obstétricales aux mammographies et autres dépistages foireux, en passant par l’hypercholestérolémie et l’hypertension artérielle – il existe tant d’autres médicalisations qui n’attendent qu’un claquement de doigts de nos dirigeants pour se voir imposées au bon peuple 2? »

(…) De la sorte, la médecine se trouvera la première activité humaine à avoir accompli le rêve ultime du capitalisme sauvage : réduire les gens au statut de fourmis tout juste bonnes à travailler jusqu’à l’épuisement pour payer du fruit de leur misérable salaire des biens qui n’auront d’autre utilité que remplir les poches de ceux qui les fabriquent.

(…)

Enfin réalisé sous l’impulsion de Big Pharma, ce rêve ultime du capitalisme passera forcément par l’officialisation d’une novlangue confondant santé et thérapeutique, rançon et bénéfice, solidarité et esclavage.

Depuis G. Orwell, on sait que l’avènement d’une telle novlangue implique forcément le contrôle d’une Police de la pensée : il est tristement évident que mes confrères, dans leur immense majorité, ne se feront pas prier pour jouer ce rôle20.

Ils ont déjà commencé, d’ailleurs : pensez au mois “rose” qui s’annonce…En attendant la prochaine alerte grippale…”

Mais en ce domaine comme en d’autres 42, le capitalisme international sera redevable à la patrie de Robespierre de la French touch consistant, cette fois, à carrément inscrire dans le marbre de la Loi que les citoyens sont désormais forcés d’acheter des biens dont ils n’ont nul besoin et dont la dangerosité devrait aller de soi43 . »

Nos ancêtres s’interrogeaient sur l’au-delà, sur ce que l’on doit à autrui, sur l’instruction des pauvres, sur la possession des moyens de production et sur le partage de la valeur ajoutée : Narcisse contemporain se demande avec anxiété s’il fera caca demain à la bonne heure, si ce sera dur ou liquide – tandis qu’assis sur la cuvette des chiottes, il feuillettera avec passion toute revue afin d’y trouver le dernier produit-miracle susceptible de régulariser son transit intestinal (ou d’apaiser son côlon irritable)32. »

Une médicalisation peut parfaitement être assimilée à une torture si elle est réalisée sans le consentement éclairé de celui qui la subit. 

Le politique doit protéger les citoyens des prédateurs, pas accompagner leur business.

De nombreuses lois ont été édictées depuis le procès de Nuremberg qui aboutit au code de Nuremberg traduit en normes éthiques internationales par l’association médicale mondiale qui se réunit environ tous les trois ans pour empêcher de traiter les individus contre leur volonté. Après la déclaration d’Helsinki, la convention d’Oviedo est un texte international opposable aux pays signataires dont la France. Depuis la crise du covid, on piétine les lois nationales (loi Kouchner, loi Huriet, etc.) et internationales. Pour combien de temps sans réaction majeure ?

Ces lois existent parce que des régimes politiques ont commis des horreurs, en s’appuyant sur des lois dictatoriales, sur les forces armées (des récits terribles parviennent actuellement de l’Australie à ce sujet).

Ne transigeons jamais sur le principe abominable de l’obligation vaccinale, qui n’est rien d’autre qu’une folie criminelle imprescriptible et illimitée.  Dans la hiérarchie des crimes, la vaccination obligatoire, de surcroit par des produits expérimentaux figure au niveau le plus élevé.

Et pourtant, cette obligation n’a évidemment rien de sanitaire  

le Journal Europeen d’épidémiologie publie une étude de Harvard qui démontre qu il n’y a aucun lien entre le taux de vaccination et l’évolution de la pandémie.

Non, la vaccination n’a pas fait reculer l’épidémie !  Dirigée par SV Subramanian à la Harvard TH Chan School of Public Health, cette étude a collecté et analysé des données jusqu’au 3 septembre 2021. Elle démonte les dires des plateaux télés.

Non les vaccins n’ont pas fait reculer la pandémie qui est cyclique.

Sa disparition interviendra si des variants moins virulents apparaissent et si une part suffisante de la population a été en contact avec le virus.

https://link.springer.com/article/10.1007/s10654-021-00808-7

Les vaccins sont actuellement la principale stratégie pour lutter contre le COVID-19 dans le monde occidental.  le récit lié à la recrudescence continue de nouveaux cas aux États-Unis  serait expliqué par les zones à faible taux de vaccination [ 1 ].

 Un récit similaire a également été observé dans des pays comme l’Allemagne et le Royaume-Uni [ 2 ]. 

Dans le même temps, Israël, salué pour ses taux de vaccination rapides et élevés, a également connu une résurgence substantielle des cas de COVID-19 [ 3 ]. 

Nous avons étudié la relation entre le pourcentage de la population entièrement vaccinée et les nouveaux cas de COVID-19 dans 68 pays et dans 2947 comtés aux États-Unis.

Pour ces pays, il ne semble pas y avoir de relation discernable entre le pourcentage de la population complètement vaccinée et les nouveaux cas de COVID-19

En fait, la ligne de tendance suggère une association légèrement positive telle que les pays avec un pourcentage plus élevé de population entièrement vaccinée ont des cas de COVID-19 plus élevés pour 1 million de personnes

Notamment, Israël, avec plus de 60 % de sa population entièrement vaccinée, a enregistré les cas de COVID-19 les plus élevés pour 1 million de personnes. 

L’absence d’association significative entre le pourcentage de population entièrement vaccinée et les nouveaux cas de COVID-19 est encore illustrée, par exemple, par l’exemple de l’Islande, mais aussi Chypre, Malte, Singapour}

Ces pays ont plus de 75 % de leur population entièrement vaccinée et ont plus de cas de COVID-19 pour 1 million d’habitants que des pays comme le Vietnam et l’Afrique du Sud qui ont environ 10 % de leur population entièrement vaccinée.

Cette étude confirme celle de Juan Chamie 

LA VACCINATION OBLIGATOIRE DES PLUS DE 60 ANS N’A AUCUN IMPACT SUR LA MORTALITE

90% ou 100% de plus de 60 ans vaccinés : pratiquement aucun impact sur la mortalité, c’est ce qui est constaté à partir de l’observation de dizaines de comtés américains.

L’étude mathématique de l’institut Pasteur est donc mise à mal ; 40% ou 90% de vaccinés, il y a une petite différence mais aucune dans ce qui peut être espéré d’une vaccination obligatoire Ajoutons que les effets secondaires ne sont pas pris en compte….

Jadis les soviétiques disposaient de la meilleure école de mathématiciens du monde, ils obtenaient des prévisions totalement fausses à partir de constructions mathématiques merveilleusement justes

Un analyste observe des données justes et il explique, il ne s’agit pas de prévisions mais d’observations, c’est toute la différence !

Juan Chamie, Senior Data Analyst at FLCCC à Cambridge (USA) vient de publier une étude sur l’impact du pourcentage de vaccinés de plus de 60 ans sur le taux de mortalité covid.

 Il observe des centaines de comtés américains du même état ou d’état voisins avec donc des données structurelles comparables. Dans certains le pourcentage de vaccinés de plus de 60 ans est élevé, dans d’autre au même moment, il plus faible.

L’augmentation du nombre de vaccinés se traduit-elle par une baisse des décès covid ?

 entre des comtés dans lesquels 70% des personnes à risques sont vaccinées et d’autres dans lesquels on dépasse les 90%, il n’y a pas de différence significative.

Réduire de 10 à 0% le nombre de non vaccinés parmi les plus de 60 ans n’aurait aucun effet significatif sur leur mortalité

Et le monde se réveille

Grève nationale contre la vaccination en Israël – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca)

Nombreuses autres manifestations partout dans le monde y compris à Genève dont ce n’est pas l’habitude.

Manifestation contre le pass sanitaire ce samedi à Genève
© Fabrice COFFRINI / AFP

Et surtout les citoyens interpellent leurs élus sur la gravité d’instaurer une pseudo vaccination obligatoire chez les bébés pour une thérapie génique expérimentale non testée et dont les résultats chez les enfants plus âgés sont déjà très inquiétants. Gardez-vous bien chers élus de vous engager dans ce piège qui ne vous a probablement pas été explicité en totalité.

Et vous, candidats à la gestion du pays, ne laissez pas ce sujet majeur de côté, les Français ne comprennent pas.

Et signez la pétition

https://petitions.senat.fr/initiatives/i-629

DROITS DE L’ENFANT

« Au regard de la Convention relative aux Droits de l’Enfant (CDE) et du droit français, il apparaît une carence législative sur la situation des enfants lors d’un état d’urgence.

Ce vide législatif a autorisé le gouvernement français à imposer en milieu scolaire, à partir de mai 2020, un protocole sanitaire de plus en plus contraignant, sans documents justificatifs, et sans considération des débats d’experts inhérents au contexte sanitaire.

Or l’efficacité et la pertinence de protocole ont largement été remises en question la communauté scientifique et pédiatrique.

Par cette pétition, nous demandons que cette carence législative soit comblée au plus vite dans les textes législatifs nationaux.

Nous demandons que la loi exige que toute décision contrevenant aux droits fondamentaux de l’enfant soit scientifiquement solidement justifiée et motivée.

Sans cela, le risque est réel de ne plus assurer dignement sa santé, sa liberté et sa protection. »

Pour ceux qui veulent leur écrire(([4] https://www.lejdd.fr/Politique/lappel-de-38-parlementaires-socialistes-oui-a-la-vaccination-obligatoire-contre-le-covid-19-4061142?fbclid=IwAR2I2AdzuqYoHVciRnm1upc4uYmgbcIsBauUY0kEniueViHT663xx9JO-Ic
2021.08.31. PROPOSITION DE LOI
Instaurant la vaccination obligatoire contre le SARS-CoV-2    Enregistré à la Présidence du Sénat le 31 août 2021
http://www.senat.fr/leg/ppl20-811.html)):

Députés

Sénateurs




Pétition — Covid19 : dites-nous la vérité sur les chiffres de la vaccination et de ses effets secondaires !

[Source : leslignesbougent.org]

Par Thibaut Masco

Cela fait 18 mois que l’on nous martèle chaque jour ou presque les chiffres du Covid : 

  • Nombre de contaminations 
  • Nombre de décès 
  • Nombre de vaccinés (1è dose, 2è dose, …énième dose)

Ces chiffres-là, extrêmement anxiogènes, le gouvernement n’a aucun scrupule à nous les soumettre, tous les jours.

Mais on ne nous parle pas de pourcentage de la population (« 0,00X pourcent a été contaminé aujourd’hui), NON, on nous donne des chiffres bruts. 

C’est vrai que cela fait bien plus peur.

Pourtant, depuis le début de la pandémie, qui vous a dit sur une chaîne de grande écoute, lors d’un point presse ou dans les journaux :

  • Combien de personnes ont eu des effets secondaires après une vaccination (légers ou graves) ;
  • Combien de personnes ont développé un « Covid long vaccinal » après s’être fait injecter un vaccin ?

Sans doute Personne.

Pourtant, un rapport de l’ANSM (agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé) datant du début du mois de septembre annonce ces chiffres [1] : 

  • 5’832 cas d’effets indésirables ;
  • Dont 25 % de formes graves !

Depuis le début de la campagne de vaccination ?

Pas du tout.

En deux semaines, du 20 août au 2 septembre 2021.

Qui vous en a parlé ? 

Sur cette même période, 269’668 nouveaux cas de Covid étaient enregistrés sur le territoire français [2].

En deux semaines donc, plus de 2 % de la population française a rencontré des effets secondaires dus aux vaccins.

C’est du jamais vu !

Au total, depuis le début de la vaccination, ce sont 84 501 cas d’effets secondaires qui ont été recensés en France. 

Parmi les vaccinés, 75 % ont développé des formes « légères ». Ils ont reporté : 

  • Des affections du système nerveux
  • Des troubles gastro-intestinaux
  • Des gênes musculaires
  • Des gênes cutanées
  • Des troubles vasculaires
  • Des infections
  • Des affections respiratoires
  • Des affections des organes sexuels (parties génitales, seins)
  • Des douleurs au point d’injection

Les autres 25 % (soit plus de 21’000 personnes), eux, ont subi des formes graves :

  • Troubles nerveux
  • Troubles vasculaires
  • Troubles cardiaques
  • Des « troubles généraux »
  • Affections respiratoire set thoraciques (dont les fameuses thromboses et myocardites)
  • Affections gastro-intestinales (dont les hépatites)
  • Troubles musculaires
  • Infections graves
  • Affections cutanée graves
  • Affections de l’oreille

Face à cela, les laboratoires et les autorités nous répètent que les effets secondaires sont bien moins graves que les risques d’attraper le virus.

Pourtant, ils sont bien réels.

Et face à ce danger, nous sommes en droit d’être informés du risque que nous courons en nous faisant vacciner et de résultats véritables de la vaccination massive.

On nous répète, depuis des mois que « le vaccin est sans danger » !

Cela n’est pas le cas.

Gouvernants, nous ne maîtrisons pas la politique de santé que vous nous imposez depuis un an et demi, mais nous sommes en droit d’exiger de la transparence.

Nous voulons connaître les véritables chiffres de la vaccination et de ses effets secondaires :

  • les effets secondaires légers comme les graves ;
  • les effets secondaires à court terme (24 heures, 72 heures, 1 semaine et 2 semaines) ;
  • les effets secondaires à plus long terme (au-delà de deux semaines et pendant plusieurs années).

Mais où sont ces chiffres ?

Nous demandons à ce que ces chiffres soient publiés quotidiennement, au même titre que le nombre de contaminations et de décès liés au Covid, pour que les citoyens puissent exercer librement leur choix de se faire vacciner ou non, avec à leur disposition toutes les informations nécessaires sur le rapport bénéfice/risque.

Je signe la pétition

Source

[1] https://ansm.sante.fr/uploads/2021/09/13/vaccins-covid-19-fiche-de-synhtese-vf-20210910.pdf

[2] https://ourworldindata.org/covid-cases




Les 30 faits vitaux COVID que vous devez savoir pour vous aider à formuler et à soutenir vos arguments avec des amis ou des étrangers

[Extraits de : Guy Boulianne : auteur, éditeur et journaliste indépendant]

[Ndlr : voir les détails et références sur
Les 30 faits vitaux COVID que vous devez savoir pour vous aider à formuler et à soutenir vos arguments avec des amis ou des étrangers – Guy Boulianne : auteur, éditeur et journaliste indépendant]

[Voir aussi :
Spartacus : « Au diable l’enfer. Vous ne détruirez pas l’Amérique et le monde libre, et vous n’aurez pas votre nouvel ordre mondial » — La lettre anonyme contre la COVID est devenue virale – Guy Boulianne : auteur, éditeur et journaliste indépendant]

Guy Boulianne Par Guy Boulianne

« Voici des faits et des sources clés sur la prétendue « pandémie », qui vous aideront à comprendre ce qui est arrivé au monde depuis janvier 2020 et à éclairer tous vos amis qui pourraient être encore piégés dans le brouillard de la nouvelle normalité. »

OffGuardian le 22 septembre dernier


PARTIE I : « DÉCÈS DUS AU COVID » & MORTALITÉ

1. Le taux de survie de « Covid » est supérieur à 99%. 

Les experts médicaux du gouvernement se sont donné beaucoup de mal pour souligner, dès le début de la pandémie, que la grande majorité de la population n’est en aucun cas en danger face au Covid.

2. Il n’y a eu AUCUNE surmortalité inhabituelle. 

La presse a qualifié 2020 d’« année la plus meurtrière du Royaume-Uni depuis la Seconde Guerre mondiale », mais cela est trompeur car elle ignore l’augmentation massive de la population depuis cette époque. (…)

Par cette mesure, 2020 n’est même pas la pire année de mortalité depuis 2000. En fait, depuis 1943, seulement 9 ans ont été meilleurs que 2020.

3. Le nombre de « morts de Covid » est artificiellement gonflé. 

Des pays du monde entier ont défini un « décès de Covid » comme un « décès quelle qu’en soit la cause dans les 28/30/60 jours suivant un test positif ».

4. La grande majorité des décès par covid ont des comorbidités graves. 

En mars 2020, le gouvernement italien a publié des statistiques montrant que 99,2% de leurs « décès Covid» présentaient au moins une comorbidité grave. Ceux-ci comprenaient le cancer, les maladies cardiaques, la démence, la maladie d’Alzheimer, l’insuffisance rénale et le diabète (entre autres). Plus de 50 % d’entre eux avaient au moins trois affections préexistantes graves.

Cette tendance s’est maintenue dans tous les autres pays au cours de la « pandémie ». Une demande FOIA d’octobre 2020 à l’ONS du Royaume-Uni a révélé que moins de 10 % du nombre officiel de « décès par Covid » à cette époque avait la Covid comme seule cause de décès.

5. L’âge moyen du « décès Covid » est supérieur à l’espérance de vie moyenne. 

L’âge moyen d’un « décès de Covid » au Royaume-Uni est de 82,5 ans. En Italie, c’est 86. Allemagne, 83. Suisse, 86. Canada, 86. Les États-Unis, 78, Australie, 82. Dans presque tous les cas, l’âge médian d’un « décès Covid » est supérieur à l’espérance de vie nationale.

En tant que telle, pour la majeure partie du monde, la « pandémie » a eu peu ou pas d’impact sur l’espérance de vie. Comparez cela avec la grippe espagnole, qui a entraîné une baisse de 28 % de l’espérance de vie aux États-Unis en un peu plus d’un an. [source]

6. La mortalité due à la Covid reflète exactement la courbe de mortalité naturelle.

Des études statistiques du Royaume-Uni et de l’Inde ont montré que la courbe de « décès de Covid » suit presque exactement la courbe de mortalité attendue :

OffGuardian -03
OffGuardian -04

Le risque de décès « de la Covid » suit, presque exactement, votre risque de décès de fond en général.

La faible augmentation pour certains des groupes d’âge plus âgés peut s’expliquer par d’autres facteurs. [faits 7, 9 et 19]

7. Il y a eu une augmentation massive de l’utilisation de DNR « illégaux ». 

Les chiens de garde et les agences gouvernementales ont signalé une augmentation considérable de l’utilisation des ordres de non-réanimation (DNR) au cours des vingt derniers mois. Aux États-Unis, les hôpitaux considéraient comme des « DNR universels » pour tout patient testé positif pour la Covid, et les infirmières dénonciatrices ont admis que le système DNR avait été abusé à New York.


PARTIE II : VERROUILLAGES

8. Les confinements n’empêchent pas la propagation des maladies. 

Il y a peu ou pas de preuves que les verrouillages ont un impact sur la limitation des « décès de Covid ». Si vous comparez des régions verrouillées à des régions qui ne l’ont pas fait, vous ne pouvez voir aucune tendance.

9. Les confinements tuent des gens. 

Il existe des preuves solides que les blocages – par le biais de dommages sociaux, économiques et autres pour la santé publique – sont plus mortels que le « virus ».

Le Dr David Nabarro, envoyé spécial de l’Organisation Mondiale de la Santé pour la Covid-19, a qualifié les fermetures de « catastrophe mondiale » en octobre 2020 :

Nous, à l’Organisation Mondiale de la Santé, ne préconisons pas le confinement comme principal moyen de contrôle du virus […] il semble que la pauvreté mondiale pourrait doubler d’ici l’année prochaine. Nous pourrions bien avoir au moins un doublement de la malnutrition infantile […] C’est une terrible et horrible catastrophe mondiale.

10. Les hôpitaux n’ont jamais été anormalement surchargés. 

Le principal argument utilisé pour défendre les blocages est que « l’aplatissement de la courbe » empêcherait un afflux rapide de cas et protégerait les systèmes de santé de l’effondrement. Mais la plupart des systèmes de santé n’ont jamais été sur le point de s’effondrer.


PARTIE III : TESTS PCR

11. Les tests PCR n’ont pas été conçus pour diagnostiquer une maladie. 

Le test Reverse-Transcriptase Polymerase Chain Reaction (RT-PCR) est décrit dans les médias comme le « Standard Or » pour le diagnostic de Covid. Mais l’inventeur du procédé, lauréat du prix Nobel, n’a jamais eu l’intention de l’utiliser comme outil de diagnostic, et l’a déclaré publiquement :

La PCR est juste un processus qui vous permet de faire beaucoup de quelque chose à partir de quelque chose. Cela ne vous dit pas que vous êtes malade ou que la chose avec laquelle vous vous êtes retrouvé allait vous faire du mal ou quelque chose comme ça.

12. Les tests PCR ont toujours été inexacts et peu fiables. 

Les tests PCR « Standard Or » pour Covid sont connus pour produire de nombreux résultats faussement positifs, en réagissant à du matériel ADN qui n’est pas spécifique au Sars-Cov-2.

13. Les valeurs CT des tests PCR sont trop élevées. 

Les tests PCR sont exécutés en cycles, le nombre de cycles que vous utilisez pour obtenir votre résultat est connu sous le nom de « seuil de cycle » ou valeur CT. Kary Mullis a déclaré : 

« Si vous devez faire plus de 40 cycles[…] il y a quelque chose qui ne va vraiment pas avec votre PCR. »

14. Les tests PCR admis par l’Organisation mondiale de la santé ont produit des faux positifs. 

En décembre 2020, l’OMS a publié une note d’information sur le processus de PCR demandant aux laboratoires de se méfier des valeurs CT élevées provoquant des résultats faussement positifs :

Lorsque les échantillons renvoient une valeur Ct élevée, cela signifie que de nombreux cycles ont été nécessaires pour détecter le virus. Dans certaines circonstances, la distinction entre le bruit de fond et la présence réelle du virus cible est difficile à établir.

15. La base scientifique des tests Covid est discutable. 

Le génome du virus Sars-Cov-2 aurait été séquencé par des scientifiques chinois en décembre 2019, puis publié le 10 janvier 2020. Moins de deux semaines plus tard, des virologues allemands (Christian Drosten et al.) auraient utilisé le génome pour créer des tests pour les tests PCR.


PARTIE IV : « INFECTION ASYMPTOMATIQUE »

16. La majorité des infections à Covid sont « asymptomatiques ». 

Dès mars 2020, des études réalisées en Italie suggéraient que 50 à 75 % des tests Covid positifs ne présentaient aucun symptôme. Une autre étude britannique d’août 2020 a révélé que 86 % des « patients Covid » ne présentaient aucun symptôme viral.

Il est littéralement impossible de faire la différence entre un « cas asymptomatique » et un résultat de test faussement positif.

17. Il existe très peu de preuves étayant le prétendu danger de « transmission asymptomatique ». 

En juin 2020, le Dr Maria Van Kerkhove, chef de l’unité maladies émergentes et zoonoses de l’OMS, a déclaré :

D’après les données dont nous disposons, il semble encore rare qu’une personne asymptomatique transmette réellement à un individu secondaire.

Une méta-analyse des études Covid, publiée par le Journal of the American Medical Association (JAMA) en décembre 2020, a révélé que les porteurs asymptomatiques avaient moins de 1% de chance d’infecter les personnes au sein de leur foyer


PARTIE V : VENTILATEURS

18. La ventilation n’est PAS un traitement contre les virus respiratoires. 

La ventilation mécanique n’est pas, et n’a jamais été, un traitement recommandé pour les infections respiratoires de quelque nature que ce soit. Au début de la pandémie, de nombreux médecins se sont manifestés pour remettre en cause l’utilisation de ventilateurs pour traiter le « Covid ».

19. Les ventilateurs ont tué des gens. 

Mettre sous respirateur quelqu’un qui souffre de la grippe, d’une pneumonie, d’une maladie pulmonaire obstructive chronique ou de toute autre affection qui restreint la respiration ou affecte les poumons, n’atténuera aucun de ces symptômes. En fait, cela aggravera presque certainement la situation et en tuera beaucoup.

Les tubes d’intubation sont une source potentielle d’infection connue sous le nom de « pneumonie associée à un ventilateur », qui, selon des études, affecte jusqu’à 28 % de toutes les personnes sous ventilateur et tue 20 à 55 % des personnes infectées.

La ventilation mécanique endommage également la structure physique des poumons, entraînant des « lésions pulmonaires induites par le ventilateur », qui peuvent avoir un impact considérable sur la qualité de vie et même entraîner la mort.


PARTIE VI : MASQUES

20. Les masques ne fonctionnent pas. 

Au moins une douzaine d’études scientifiques ont montré que les masques ne font rien pour arrêter la propagation des virus respiratoires. Une méta-analyse publiée par le CDC en mai 2020 n’a révélé « aucune réduction significative de la transmission de la grippe avec l’utilisation de masques faciaux ». Une autre étude portant sur plus de 8 000 sujets a révélé que les masques « ne semblaient pas être efficaces contre les infections respiratoires virales confirmées en laboratoire ni contre les infections respiratoires cliniques ». Il y en a littéralement trop pour les citer tous, mais vous pouvez les lire : [ 1 ][ 2 ][ 3 ][ 4 ][ 5 ][ 6 ][ 7 ][ 8 ][ 9 ][ 10 ] Ou lire un résumé par SPR ici.

Alors que certaines études ont été réalisées en prétendant montrer que les masques fonctionnent pour la Covid, elles sont toutes sérieusement imparfaites. L’une s’est appuyé sur des enquêtes autodéclarées comme données. Une autre a été si mal conçue qu’un panel d’experts demande qu’il soit retiré. Une troisième a été retirée après que ses prédictions se soient avérées totalement inexactes.

21. Les masques sont mauvais pour la santé. 

Le port d’un masque pendant de longues périodes, le port du même masque plus d’une fois et d’autres aspects des masques en tissu peuvent être mauvais pour votre santé. Une longue étude sur les effets néfastes du port du masque a été récemment publiée par l’ International Journal of Environmental Research and Public Health.

Le Dr James Meehan a signalé en août 2020 qu’il observait une augmentation de la pneumonie bactérienne, des infections fongiques et des éruptions cutanées du visage. Les masques sont également connus pour contenir des microfibres de plastique, qui endommagent les poumons lorsqu’elles sont inhalées et peuvent être potentiellement cancérigènes.

Les enfants portant des masques encouragent la respiration buccale, ce qui entraîne des déformations du visage. Partout dans le monde, des personnes se sont évanouies à cause d’un empoisonnement au CO2 alors qu’elles portaient leurs masques, et certains enfants en Chine ont même subi un arrêt cardiaque soudain .

22. Les masques sont mauvais pour la planète.

Des millions et des millions de masques jetables sont utilisés par mois depuis plus d’un an. Un rapport de l’ONU a révélé que la pandémie de Covid-19 entraînera probablement un doublement des déchets plastiques au cours des prochaines années, et la grande majorité d’entre eux sont des masques faciaux.

Le rapport poursuit en avertissant que ces masques (et d’autres déchets médicaux) obstrueront les systèmes d’égouts et d’irrigation, ce qui aura des effets néfastes sur la santé publique, l’irrigation et l’agriculture.

Une étude de l’Université de Swansea a révélé que « des métaux lourds et des fibres plastiques étaient libérés lorsque des masques jetables étaient immergés dans l’eau ». Ces matériaux sont toxiques pour les humains et la faune.


PARTIE VII : VACCINS

23. Les « vaccins » contre la Covid sont totalement inédits. 

Avant 2020, aucun vaccin efficace contre un coronavirus humain  n’avait jamais été développé. Depuis, nous en aurions fabriqué 20 en 18 mois.

Les scientifiques tentent de développer un vaccin contre le SRAS et le MERS depuis des années avec peu de succès. Certains des vaccins contre le SRAS qui ont échoué ont en fait provoqué une hypersensibilité au virus du SRAS. Cela signifie que les souris vaccinées pourraient potentiellement contracter la maladie « plus gravement » que les souris non vaccinées. Une autre tentative a causé des dommages au foie chez les furets.

Alors que les vaccins traditionnels fonctionnent en exposant le corps à une souche affaiblie du micro-organisme responsable de la maladie, ces nouveaux vaccins Covid sont des vaccins à ARNm.

Les vaccins à ARNm (acide ribonucléique messager) fonctionnent théoriquement en injectant de l’ARNm viral dans le corps, où il se réplique à l’intérieur de vos cellules et encourage votre corps à reconnaître et à fabriquer des antigènes pour les « protéines de pointe » du virus. Ils font l’objet de recherches depuis les années 1990, mais avant 2020, aucun vaccin à ARNm n’avait jamais été approuvé.

24. Les vaccins ne confèrent pas d’immunité et n’empêchent pas la transmission. 

Il est volontiers admis que les « vaccins » Covid ne confèrent pas d’immunité contre l’infection et ne vous empêchent pas de transmettre la maladie à d’autres. En effet, un article du British Medical Journal a souligné que les études sur les vaccins n’étaient même pas conçues pour essayer d’évaluer si les « vaccins » limitaient la transmission.

Les fabricants de vaccins eux-mêmes, lors de la sortie des thérapies géniques à base d’ARNm non testées, ont clairement indiqué que « l’efficacité » de leur produit était basée sur la  « réduction de la gravité des symptômes ».

25. Les vaccins ont été précipités et ont des effets à long terme inconnus. 

Le développement d’un vaccin est un processus lent et laborieux. Habituellement, du développement aux tests et finalement à l’approbation pour un usage public, il faut de nombreuses années. Les différents vaccins contre la Covid ont tous été développés et approuvés en moins d’un an. De toute évidence, il ne peut y avoir de données de sécurité à long terme sur des produits chimiques qui ont moins d’un an.

26. Les fabricants de vaccins ont obtenu une indemnité légale en cas de préjudice. 

La Public Readiness and Emergency Preparedness Act (PREP) des États-Unis accorde l’immunité jusqu’en 2024 au moins. La loi de l’UE sur les licences de produits fait de même, et il existe des rapports de clauses de responsabilité confidentielle dans les contrats que l’UE a signés avec les fabricants de vaccins.


PARTIE VIII : TROMPERIE ET PRESCIENCE

27. L’UE préparait des « passeports pour les vaccins » au moins un AN avant le début de la pandémie. 

Les contre-mesures COVID proposées, présentées au public comme des mesures d’urgence improvisées, existent depuis avant l’émergence de la maladie.

Deux documents de l’UE publiés en 2018, le « 2018 State of Vaccine Confidence » et un rapport technique intitulé « Conception et mise en œuvre d’un système d’information sur la vaccination » ont discuté de la plausibilité d’un système de surveillance de la vaccination à l’échelle de l’UE. Ces documents ont été regroupés dans la « Feuille de route vaccinale » 2019 qui a établi (entre autres) une « étude de faisabilité » sur les passeports vaccinaux pour commencer en 2019 et se terminer en 2021 :

28. Un « exercice d’entraînement » a prédit la pandémie quelques semaines seulement avant son début. 

En octobre 2019, le Forum économique mondial et l’Université Johns Hopkins ont organisé l’événement 201. Il s’agissait d’un exercice d’entraînement basé sur un coronavirus zoonotique déclenchant une pandémie mondiale. L’exercice a été parrainé par la Fondation Bill et Melinda Gates et l’alliance vaccinale GAVI.

L’exercice a publié ses conclusions et recommandations en novembre 2019 sous la forme d’un « appel à l’action ». Un mois plus tard, la Chine enregistre son premier cas de « Covid ».

29. Depuis le début de 2020, la grippe a « disparu ». 

Aux États-Unis, depuis février 2020, les cas de grippe auraient diminué de plus de 98 %.

30. L’élite a fait fortune pendant la pandémie. 

Depuis le début du confinement, les personnes les plus riches sont devenues considérablement plus riches. Forbes a rapporté que 40 nouveaux milliardaires ont été créés « pour lutter contre le coronavirus », dont 9 sont des fabricants de vaccins.

Business Insider a rapporté que « les milliardaires ont vu leur valeur nette augmenter d’un demi-billion de dollars » en octobre 2020. Il est clair que ce nombre sera encore plus grand maintenant.


Ce sont les faits vitaux de la pandémie, présentés ici comme une ressource pour vous aider à formuler et à soutenir vos arguments avec des amis ou des étrangers. Merci à tous les chercheurs qui ont rassemblé et collecté ces informations au cours des vingt derniers mois, en particulier Swiss Policy Research.



L’heure de la justice

[Source : rumble.com ou odysee.com]

Le Symposium interdisciplinaire sur le covid-19 s’est tenu le 29 et 30 Juillet 2021. À travers une réunion d’experts en médecine, en économie ou encore en journalisme, ce symposium cherche à rétablir la vérité sur les événements auxquels nous assistons depuis bientôt 2 ans. Il essaye de répondre à des questions telles que : D’où vient le SARS-Cov-2 ? Est-il d’origine naturelle ou fabriqué par l’homme ? S’il est fabriqué par l’homme, par qui et pourquoi a-t-il été fabriqué ? Quelle est la réelle efficacité des vaccins ? Y a-t-il un agenda dissimulé derrière ce vaste théâtre « sanitaire » ? Quelles sont les conséquences économiques et sociales des mesures restrictives ? Ont-elles réellement été prises pour des raisons sanitaires ? Quelles solutions avons-nous pour sortir de cette situation catastrophique ?
Des figures comme celles de Reiner Fuellmich, Vera Sharav, Sucharit Bhakdi, Mike Yeadon, Catherine Austin Fitts, Denis Rancourt ou Richard Werner nous fournissent des interventions de grande qualité et nous apportent des éléments clefs.

✨ Ce symposium a été réalisé grâce à un partenariat entre :
Doctors for Covid Ethics : https://doctors4covidethics.org
Children’s Health Defense : https://childrenshealthdefense.eu
UK Column :https://www.ukcolumn.org

📝 La traduction a été réalisée par :
Jeanne Traduction : https://odysee.com/@JeanneTraduction:a
Quadrillage Traduction : https://odysee.com/@QuadrillageTraduction:1
Quantum Leap Traduction : https://odysee.com/@quantumleaptraduction:2
Mention spéciale à Elo, qui depuis des mois nous apporte son aide précieuse dans la traduction ♥️




































France — La 3e dose vaccinale programmée pour tous les professionnels de santé

[Source : solidarites-sante.gouv.fr]




Pr Arne Burkhardt : « Sur 10 autopsies, 5 décès sont très probablement liés à la vaccination »

[Source : lemediaen442.fr]

Par Jacqueline

Avant de voir la vidéo sur le Pr Burkhart, une précision sur les composants des globules blancs : les granulocytes font partie du système de l’immunité innée ; les lymphocytes constituent l’immunité acquise.

Prof. Burkhardt : « Sur 10 autopsies, 5 décès sont très probablement liés à la vaccination »



Prof. Burkhardt : « Sur 10 autopsies, 5 décès sont très probablement liés à la vaccination ».
Le prof. Burkhardt, qui a vu près de 40 000 autopsies et 500 000 biopsies, constate que sur les 10 cas de décès post-vaccination autopsiés ici, 5 sont très probablement liés à la vaccination.
Il constate : « Il y a des infiltrations lymphocytaires dans tous les tissus et organes ».

Cette vidéo propose un long extrait de la première partie de la conférence de presse du 20.09.21 : Mort par vaccination Composants non déclarés des vaccins COVID-19.

Sommaire :
00 :00 Fin de la présentation des 10 cas.
02 :04 Conclusions : 5 décès sur 10 fort probablement liés à la vaccination.
02 :33 Diagnostics de myocardites avec infiltrations lymphocytaires. « Ces myocardites sont la conséquence de composants de virus ».
08 :44 Diagnostics de cas d’alvéolites.
10 :09 Présentation des cas avec soupçons de corrélations avec la vaccination. 1) Phénomènes auto-immuns.
11 :30 Modifications endothéliales.
13 :28 Agglutination des érythrocytes.
15 :37 : Vascularites et périvascularites.
16 :53 : Amas de lymphocytes, infiltrations inflammatoires et exemples.
22 :12 : Déplétion ou épuisement.
22 :35 : Cas Sjögren.
24 :23 : Corps étrangers, contamination, adjuvents dans la substance.

Liens vers d’autres extraits traduits en français de la conférence de presse:

* Pr. Bergholz: effets secondaires vaccins COVID: «Au niveau européen nous parlons de 100 000 cas. »: 
https://rumble.com/vmto3d-pr.-bergholz-effets-secondaires-vaccins-covid-au-niveau-europen-nous-parlon.html

* Dr. Arne Burkhardt: « 30 à 40 % des décès survenant après la vaccination sont dus à cette dernière. »: 
https://rumble.com/vmwq79-dr.-arne-burkhardt-30-40-des-dcs-survenant-aprs-la-vaccination-sont-dus-cet.html

* Prof. Burkhadt: « Le personnel vaccinant devrait aspirer avant d’injecter le vaccin! »: 
https://rumble.com/vn0kjl-prof.-burkhadt-le-personnel-vaccinant-devrait-aspirer-avant-dinjecter-le-va.html

* Prises de vues de restes de vaccins: Dr. Uta Langer, Bärbel Ghitalla et Helena Krenn – Extrait de la conférence de presse du 20.09.21. VostFR:
https://rumble.com/vn6k4x-prises-de-vues-de-restes-de-vaccins-extrait-de-la-confrence-de-presse-du-20.html

* Prises de vues de restes de vaccins: Dr. Hubmer-Mogg – Extrait de la conférence de presse du 20.09.21.:
https://rumble.com/vn6xib-prises-de-vues-de-restes-de-vaccins-dr.-hubmer-mogg-extrait-de-la-conf.-de-.html

Les effets indésirables de la vaccination covid

Point commun des autopsies du Pr Burkhardt : les lymphocytes (pas les granulocytes) se répandent dans tous les tissus et tous les organes où ils ne devraient pas être. Ils sont une réponse immunitaire excessive qui se retourne contre elle-même, avec risque de maladies auto-immunes, de destruction d’organes (foie, poumon, thyroïde, glande salivaire), d’épuisement des organes lymphatiques, d’accélération du développement du cancer, de thrombose et finalement de réduction de la capacité immunitaire « externe ». Certaines personnes avaient avant la vaccination des maladies rares — tel le syndrome de Sjögren des glandes salivaires — mais les retrouver si nombreuses dans un groupe réduit de dix personnes est totalement impossible.

L’acier inoxydable dans les vaccins Moderna

Le 20 septembre 2021, lors d’une conférence de presse, les Dr Uta Langer, Bärbel Ghitalla et Helena Krennont montré des particules de corps étrangers (de 40µu à 0,5 mm) au microscope optique. L’institut Paul Ehrlich n’a rien vu dans les vaccins — et rien cherché non plus —, alors que n’importe qui peut utiliser un microscope optique.
Les Japonais ont été les seuls à voir des particules d’acier inoxydable, dans des vaccins Moderna (1,63 million de doses). Moderna a répondu que l’acier était utilisé dans le corps humain pour les valves artificielles, etc. et qu’il ne présentait donc aucun danger. « Que celui qui a assassiné avec un poignard vienne dire au tribunal que son couteau étant en acier, il ne pouvait faire de mal ! » commente, pince-sans-rire, le Pr Burkhardt. Plus sérieusement : les corps étrangers sont dangereux, ils peuvent provoquer des micro-embolies.

La pépite sur les vaccins

Le physicien Eric Balm remporte la pépite ! À propos de particules aimantées (avant la découverte des Japonais d’acier inoxydable dans les vaccins Moderna), il a déclaré à la BBC : « Outre le fait qu’aucun métal ne se trouve dans les vaccins, nous nous sommes quand même prêtés au jeu en nous posant la question de savoir comment ce matériau pourrait être administré ? Pour s’injecter des particules aimantées, il faudrait que celles-ci soient extrêmement petites pour entrer dans une aiguille de “moins d’un millimètre de diamètre” ». Eh oui, Mr Balm ! des particules de 40 µu à 0,5 mm entrent bien dans une aiguille de moins d’un millimètre.

Prudence médicale contre prudence commerciale

Le Pr Burkhadt s’étonne que l’acte d’aspiration ne soit plus pratiqué avant l’injection : « Le personnel vaccinant devrait aspirer avant d’injecter le vaccin ! » Une remontée de sang alerterait le soignant. Cela éviterait d’injecter directement le produit dans un vaisseau sanguin. C’est pour cela que la vaccination doit être entre les mains des médecins, constate le Pr Burkhadt. Or cet acte a été supprimé par l’OMS. Aucune aspiration ne doit être réalisée avant l’injection du vaccin car bouger l’extrémité coupante de l’aiguille augmente la douleur. Et confier l’acte d’injection à plus de monde augmente la diffusion des vaccins. Le risque d’introduire l’aiguille dans un petit vaisseau sanguin — il y en a toujours dans les muscles — pourrait être pourtant évité par ce geste. Les avis sont donc partagés. D’un côté la prudence médicale du Pr Burkhadt, de l’autre la prudence commerciale de l’OMS. A vous de juger !




l’ANSM, gendarme français du médicament, se désintéresse totalement du fait que la dispensation des quatre vaccins anti-Covid soit réalisée de manière illégale

[Source : AIMSIB]

[Photo : Le siège de l’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM), le 17 octobre 2017 à Paris. Photo d’illustration. (ALAIN JOCARD / AFP)]

Des vaccins écoulés sans aucune AMMc valide, c’est possible?

Par Dr Vincent Reliquet

Des vaccins écoulés sans aucune AMMc valide, c’est possible?

Nous nous sommes fait l’écho récemment (1) de ce que l’ANSM,  gendarme Français du médicament, se désintéressait totalement du fait qu’à ce jour la dispensation des quatre vaccins anti-Covid puisse être réalisée de manière parfaitement illégale sur son sol: En effet, celle-ci se trouvait incapable de documenter que les Autorisations de Mise sur le Marché Conditionnelles (AMMc) régissant l’écoulement de ces produits n’existent encore… Vient alors le temps d’interroger l’Agence Européenne du Médicament à ce sujet, cette puissante institution gère donc ce dossier pour l’ensemble des États membres qui apparemment lui vouent une confiance sans limite, au point de ne plus souhaiter jamais lui opposer le moindre contrôle national. Au final on s’alarme, ou plutôt on se désespère car il n’y a plus de pilote dans l’avion. Bonne lecture.

AMM conditionnelle, définition

Par rigueur nous ne nous risquerons pas à citer une autre source que la plus officielle pour ce qui est de la France, c’est ici: (2)

Vaccination infoservice.fr

On en comprend l’évidence et la nécessité:

En cas de péril sanitaire avéré l’attribution d’une AMMc à un produit de santé innovant doit demeurer possible en urgence si on le pense probablement efficient et si on lui suppose un bénéfice probablement supérieur aux risques que la population va encourir par son utilisation.

S’agissant des vaccins Covid cette AMMc sera dite centralisée, à l’EMA, à nouveau pour des raisons d’efficience accrue, après que cette décision ait été avalisée par la Commission Européenne. L’AMMc est alors accordée à tous les états membres ensemble.  Seule l’EMA reste donc pilote et maîtresse du dossier dans les suites, ce qui n’obère aucunement aux pays de procéder à leur propres actions de vigilance sanitaire et juridique, ce que manifestement l’ANSM Française ne souhaite pas réaliser dans ce dossier.

AMM conditionnelle, la particularité temporelle qui change tout

Dans la mesure où le rapport bénéfice sur risque demeure hypothétique, encore plus pour ces produits innovants que pour les autres, le législateur a raccourci le délai de validité de 5 ans pour une AMM standard à 1 an seulement, charge aux industriels de présenter pendant ce délai les réponses aux questions laissés en suspens vu l’urgence de la délivrance, toute AMMc qui ne se trouve pas confortée par les rapports manquants au départ se devrait donc d’être interrompue à ce terme. Ainsi,

  • « Conformément au règlement (CE) no 726/2004, les autorisations de mise sur le marché conditionnelles auront une durée de validité d’un an renouvelable. Le délai pour l’introduction d’une demande de renouvellement doit être de six mois avant l’expiration de l’autorisation de mise sur le marché et l’avis de l’Agence européenne des médicaments (ci-après dénommée « l’Agence ») sur la demande devra être adopté dans les quatre-vingt-dix jours suivant la réception de celle-ci. Afin d’assurer que les médicaments ne sont pas retirés du marché sauf pour des raisons de santé publique, pour autant que la demande de renouvellement soit introduite dans les délais, l’autorisation de mise sur le marché conditionnelle doit être valable jusqu’à ce que la Commission prenne une décision fondée sur la procédure d’évaluation de la demande de renouvellement ». (3)

Compte tenu de ce qui précède et nous remercions chaudement le CTIAP de Cholet  sous la vigilance des Drs.  Amine Umlil (4) et Catherine Frade (5) qui en avaient inspiré  son article,

Les dates limites de dépôt des compléments de preuves de qualité pour la substance active et le produit fini pour les quatre industriels en lice se clôturaient en :
– Juillet 2021 pour BioNTech/Pfizer ;
– Juin 2021 pour Moderna ;
– Juin 2021 pour AstraZeneca ;
– Août 2021 pour Janssen.

A noter qu’en plus, s’agissant des deux premiers, des modifications d’excipients ont eu lieu au décours de la mise sur le marché de ces produits et que l’un des quatre a carrément changé de nom.  Et qu’avons-nous pu lire à ce sujet dans la presse spécialisée médicale et scientifique internationale? Rien. Que devaient impérativement documenter les industriels?

AMMc, les contenus scientifiques qui devaient être divulgués

Deux tableaux vont éviter de grands discours, merci encore à Catherine Frade de les avoir compilés en annexe dans son article. Nous ne nous bornerons qu’à l’étude des deux dossiers encore commercialisés en France (Pfizer et Moderna) puisque les vaccins AstraZeneca et Janssen ne sont plus importés en France depuis déjà des semaines: (6)

Annexe IIE AMM Pfizer
Annexe IIE de l’AMM Moderna, page 15

Ainsi, Pfizer s’était engagé à démontrer la qualité de ses excipients ALC-0315 et ALC-1559la caractérisation de son produit fini, le process en matière de contrôle de qualité ainsi que sa stratégie de contrôle de qualité finale pour Juillet 2021, et Moderna devait démontrer « une qualité constante du produit«  autour essentiellement de la stabilité des substances utilisées ainsi que « revoir les spécifications…/… du produit fini«  pour Juin 2021.

Pourquoi un tel silence médiatique autour de ces données essentielles à la sécurité des consommateurs si ces documents avaient été effectivement transmis en temps et en heure à l’EMA? Il faut donc admettre que ces données n’ont pas été publiées parce que les résultats réels seraient possiblement dévastateurs pour les dossiers des deux industriels encore en lice.

On en vient alors à se demander pour quelle raison l’EMA n’a pas sévi immédiatement en suspendant immédiatement les AMMc de ces deux vaccins aux termes évoqués plus haut.

EMA et AMMc, l’histoire d’une permissivité sans fin

Dans un bref article en date de 2017 (7) la revue Prescrire nous apprenait ainsi qu’entre 2006 et 2016  pas moins de 30 médicaments avaient fait  l’objet d’AMM conditionnelles, et que sur ces 30, 17 vivaient encore sous ce régime en  2016 alors qu’ils auraient dû l’abandonner dans l’année et seulement 11 ont été converties en AMM classique pendant que 2 ont été retirées à la demande de la firme propriétaire (8). La fin de cet article se passe de commentaire:
– » …/… l’arrivée d’un médicament sur le marché environ 4 ans plus tôt par rapport à une AMM classique, les patients ayant ainsi accès plus tôt à des médicaments nouveaux. Mais accès à quel bénéfice thérapeutique ? À quels effets indésirables ? Des questions qui restent sans réponse si l’EMA n’est pas plus exigeante, avec le risque de laisser longtemps les patients exposés à des médicaments dont la balance bénéfices-risques n’est pas favorable« .

Ainsi « oublier » la surveillance renforcée d’un médicament récent donc très peu évalué se révèle monnaie courante à l’EMA. Pour comprendre un tel dysfonctionnement il faut se pencher sur la structuration de cette agence hors norme.

L’EMA, bastion financier privé…

Juridiquement, l’EMA ne dépend même pas de la CEE. On peine à y croire, mais en 2019,

L’Agence européenne du médicament tirait son budget de fonctionnement  des redevances payées par l’industrie pharmaceutique à hauteur de 85,70 % pour seulement 14,29 %  à partir des deniers de la CEE (9) au point que cette institution a été qualifié un temps par le Sénat Français « d’objet juridique non identifié ». (10)

Les demandes de transmissions de documents adressés à l’EMA demeurent généralement lettre morte ou sont livrées avec une lenteur exaspérante propre à réduire à néant tout travail de recherche, comme Gøtzsche et Jørgensen  l’avaient démontré en 2011. (11)

La revue Prescrire avait soulevé un immense scandale très vite étouffé en 2017,  documentant que certains membres de l’EMA délivraient régulièrement des « conseils secrets et payants » aux firmes afin d’ »améliorer » leurs chances d’enregistrement, laissant naturellement la porte ouverte à toutes les supputations de corruption passive. On retiendra de cet article un élément qui nous intéresse au plus au point ici:
– » 71 % des demandes d’AMM conditionnelle qui ont suivi les conseils scientifiques de l’EMA ont abouti à une AMM, contre 40 % de celles qui ne les ont pas suivis. Ces chiffres peuvent s’interpréter de différentes façons. Mais l’opacité des procédures soulève la question d’éventuels compromis et influences, dus à une trop grande proximité entre les personnels des firmes et ceux de l’EMA« . (12)

On ne s’étonnera donc pas de cette triple et fatale constatation réalisée par europaforum.lu en 2012: (13)

  • A l’Agence européenne du médicament (EMA) ou à l’Agence de sécurité des aliments (EFSA), les déclarations d’intérêts des experts divergeaient parfois d’une année à l’autre sans que l’administration ne s’en inquiète ou ne leur demande des clarifications. Ou bien, comme à l’ECHA, un employé n’a pas déclaré tous ses emplois des derniers cinq ans, comme c’est requis, et personne n’a comparé CV et déclaration d’intérêts.
  • A l’EMA, l’agence a relevé un conflit d’intérêts chez un membre du comité scientifique et avait conclu que l’expert ne pouvait plus en faire partie. Pourtant, ce dernier a continué à participer aux réunions du comité et son mandat a même été renouvelé par la Commission européenne pour trois ans. Par la suite, sa déclaration d’intérêts mise à jour ne mentionnait plus les données qui avaient mené à la conclusion qu’il se trouvait en situation de conflit d’intérêts.
  • A la même EMA, deux membres du comité scientifique se sont vus classés comme des personnes présentant un risque très bas en termes de conflit d’intérêts, alors qu’elles avaient travaillé pour des compagnies pharmaceutiques, ce qui aurait dû conduire à ce qu’on les classe à un niveau de risque plus élevé selon les règles qui ont cours au sein de l’EMA et à certaines restrictions de leur travail d’experts.

Ce dossier serait incomplet sans évoquer le cursus exemplaire de porosité de sa directrice générale, l’Irlandaise Emer Cooke. Après avoir débuté dans l’industrie pharmaceutique elle a intégré les autorités de règlementation de son pays puis en 1991 elle rejoint le temple industriel du médicament, l’Association Européenne de l’Industrie Pharmaceutique (EFPIA) dont on supputait en 2019 un budget de lobbying officiellement compris entre 4 651 809 (14) et 5 414 776 euros. (15)

AFP – F. Walschaerts

L’lEFPIA dispose d’une « branche vaccin » dans laquelle sont évidemment représentés de nombreux industriels du secteur. A partir de 1998 et pour quatre ans elle prit la direction du département pharmaceutique de la Commission européenne. On la retrouve ensuite à l’EMA puis plusieurs années à l’OMS, le déménagement de l’EMA de Londres à Amsterdam en 2020 la plaça à la tête de l’institution depuis. (16) On comprend aisément qu’un choix pareil ne peut être interprété autrement que comme une main-mise officielle des industriels du secteur sur le fonctionnement déjà gravement perturbée de l’EMA.

A noter d’ailleurs que c’est l’IEFPIA qui a poussé l’Union européenne a apporter une « immunité juridique totale » à ses membres, les rendant ainsi totalement non responsables des effets indésirables graves générés par les vaccins anti-Covid. (17)

… Au centre d’une CEE gangrenée par le lobbying

Et c’est celle-ci, considérablement influencée voire infiltrée par le secteur pharmaceutique, qui choisit les molécules à mettre sur le marché après avis de l’EMA.

Prétextant du secret des affaires tous les contrats liant les firmes à la Commission européenne demeurent non divulgués, même auprès des membres de la Commission du contrôle budgétaire de l’Union dont c’est le rôle le plus primordial. (18)

Le poids financier du lobbying pharmaceutique auprès des institutions européennes a été évalué à 16,3 M€ en 2015 par l’ONG bruxelloise CEO et ne pourrait refléter que la partie immergée de l’iceberg des financements opaques. Fort logiquement ces masses d’argent déversées auprès des institutions européennes ouvrent aux industriels la porte des commissions parlementaires, c’est ainsi que « pendant la dernière mandature les dix laboratoires pharmaceutiques les plus gros ont ainsi eu 112 réunions importantes avec la Commission Juncker, et 60 accès au Parlement« . (19)

Les actes corruptifs font rage à la Commission, se souvenir par exemple que celle-ci a acheté en octobre 2020 pour 1,2 milliards d’€ de remdesivir, quelques jours avant que l’OMS ne déclare le produit parfaitement inefficace, à ce jour il semble qu’aucun remboursement n’ait jamais eu lieu. (20)

Le CV de la présidente de la Commission européenne paraît à première vue sans tache. Madame Ursula Von der Leyen est allemande, ancienne Ministre de la la Famille, puis du Travail, puis de la Défense dans son pays. Economiste elle est aussi médecin. Son diplôme est entaché de soupçons de plagiats massifs mais celui-ci ne lui a été au final jamais retiré. (21) Elle se serait également inventée un poste à l’Université de Stanford qu’elle n’a jamais obtenu.

REUTERS / Francois Lenoir

Les soupçons de conflits d’intérêts de la Présidente sont écrasants. Elle aurait par exemple présidé pendant 5 ans une commission sur « l’analyse des changements systémiques dans les chaînes de valeur entraînés par l’intelligence artificielle » pour laquelle le cabinet MacKinsey, qui avait embauché son propre fils, aurait touché 5,5M€ de la Commission Européenne. Son mari est médecin, Directeur de Orgenesis Inc. entreprise de biotech orientée vers les thérapies cellulaires et génétiques. (22) L’entreprise aurait lancé le programme appelé BioShield, conçu pour accélérer la découverte et la validation potentielles d’anticorps humains neutralisants en vue d’atténuer la propagation de virus tels que la COVID-19. 

Citons le dernier scandale en date qui éclabousse à nouveau la présidente, elle a reconnu avoir détruit l’ensemble des SMS échangés par elle avec Robert Bourla, le PDG américain de Pfizer, ainsi que la listes des appels téléphoniques échangés entre eux alors que l’ensemble des correspondances professionnelles des membres de l’Union est sensé appartenir à l’Union, l’article du Courrier des stratèges nous en donne une description effarante. (23)

Qu’attendre de l’EMA

Probablement, rien et pour  quatre raisons. Notre requête référencée ASK-94876 du 24/09/2021 a déjà produit les réponses suivantes:

1- Correspondance non conforme: Après que les Associations AIMSIB, Bonsens et LNPLV avaient mandaté Maître Jean-Charles Teissèdre pour réclamer en leurs noms des preuves de validité persistante de ces AMMc, la première réponse a été que les demandes doivent être adressées dans la seule langue autorisée à l’EMA, l’anglais.

2- Arguties juridiques sans rapport avec la demande formulée: Il a été ainsi annoncé que chaque demandeur ne pouvait réclamer plus de deux documents à la fois. Notre réclamation impose qu’on nous apporte un corpus de preuves quant à la licité des AMMc de deux vaccins, deux « documents » ne réussiront jamais à nous convaincre.

3- Demande de transmission de la demande de l’ANSM à l’EMA à propos de la validité des AMMc:   « you will receive a reply via a secure Eudralink within 15 working days. The Agency may extend this period by a further 15 working days in exceptional circumstances in accordance with the Regulation. Should such an extension be applied by the Agency, you will be informed at the time. » 15 à 30 jours pour recevoir une simple copie de mail.

4- Temps de réponse estimé à l’envoi de notre requête: « Regarding the answer(s) required as a reply to your questions, please note that we are currently processing them and you will receive them in due course. » (Trad: Concernant la ou les réponses requises pour répondre à vos questions, veuillez noter que nous les traitons actuellement et que vous les recevrez en temps voulu.)

Nous ne partons pas pour faire mentir les conclusions de Gøtzsche et Jørgensen mentionné plus haut. Sur le fond un arrêt récent de la Cour Européenne en date du 22/01/2020 doit nous faire comprendre que les industriels réclameront encore une fois le maintien du secret des affaires pour ne pas transmettre leurs données, et ceci sera probalement, voire certainement entériné par l’EMA, lisez plutôt:

.../…  » Aux points 91 à 93 de cet arrêt, le Tribunal a souligné que la requérante n’avait apporté aucun élément permettant de comprendre les raisons pour lesquelles les occultations effectuées par l’EMA n’étaient pas suffisantes. Il a rappelé que, selon la politique de l’EMA elle-même, cette dernière ne divulguait pas d’informations commerciales confidentielles, telles que les informations détaillées concernant la qualité et la fabrication des médicaments, de…/… (24)

Conclusion

Dans « la vraie vie », un conducteur privé de son permis de conduire ne sera absolument jamais autorisé à continuer à conduire. Un avionneur qui perd son certificat de navigabilité pour un modèle d’appareil voit immédiatement l’entièreté de ses avions cloués au sol pendant des mois (25)  mais en matière de produit de santé en général et de vaccin en particulier, la permissivité absolue demeure de mise.

Il est absolument inadmissible qu’aucune voix ne se fasse entendre en Europe (politiciens, journalistes, médecins, chercheurs, juristes) pour réclamer que les Lois européennes de protection des consommateurs soit appliquées. Il est inouï, totalement totalitaire de prétendre  imposer en France un vaccin en phase III  dont l’Autorisation de Mise sur le Marché est peut-être complètement inexistante depuis des mois.

Qui pourra encore faire à nouveau respecter le droit et la plus légitime protection des européens face à cette folie vaccinale actuelle?

Dr Vincent Reliquet
Octobre 2021

Notes et sources

(1) https://www.aimsib.org/2021/09/17/moratoire-sur-la-loi-francaise-dobligation-vaccinale-des-soignants-vite/
(2) https://professionnels.vaccination-info-service.fr/FAQ/Repondre-aux-questions-sur-la-vaccination-COVID/Qu-est-ce-qu-une-autorisation-de-mise-sur-le-marche-conditionnelle
(3) Règlement Européen 2006, Point 9, préambule
(4)  « Inédit. Exclusif. Vaccins contre la Covid-19 : des incertitudes même sur la qualité intrinsèque des produits, sur leurs procédés de fabrication, sur les lots commercialisés… selon les documents officiels publiés par l’Agence européenne du médicament » (EMA) 02/04/2021 Dr A. Umlil. http://ctiapchcholet.blogspot.com/2021/04/inedit-exclusif-vaccins-contre-la-covid.html
(5) http://www.catherinefrade.com/blog/2021/04/01/eclairage-sur-les-donnees-publiques-europeennes-des-amm-conditionnelles-pour-les-4-vaccins-covid-19-31-mars-2021/
(6) https://www.aimsib.org/2021/09/12/soignants-contaminants-ca-va-etre-pire-en-bonus-la-francafrique-revient/
(7) « AMMc, avec très peu de données » Page 856 • La revue Prescrire • Novembre 2017 • Tome 37 N° 409
(8) – EMA “Conditional marketing authorisation – Report on ten years of experience at the European Medicines Agency” 2017 : 42 pages
(9) « Rapport concernant la décharge sur l’exécution du budget de l’Agence européenne des médicaments pour l’exercice 2019 » (2020/2157(DEC)), Commission du contrôle budgétaire Rapporteur: Ryszard Czarnecki https://www.europarl.europa.eu/doceo/document/A-9-2021-0073_FR.pdf
(10) https://www.senat.fr/rap/r05-404-2/r05-404-257.html
(11) Gøtzsche PC, Jørgensen AW. Opening up data at the European Medicines Agency. BMJ. 2011 May 10;342:d2686. doi: 10.1136/bmj.d2686. PMID: 21558364. https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/21558364/
(12) Agence européenne du médicament : une aide opaque aux firmes https://www.prescrire.org/Fr/3/31/53660/0/NewsDetails.aspx
(13) https://europaforum.public.lu/fr/actualites/2012/10/eca-agences-conflit-interets/index.html
(14) https://lobbyfacts.eu/representative/0e0020135cfc4775bb5a4bd0313b120d/european-federation-of-pharmaceutical-industries-and-associations
(15) https://www.republique-souveraine.fr/2019/05/04/european-federation-of-pharmaceutical-industries-and-associations-efpia/
(16) https://www.profession-gendarme.com/la-directrice-generale-de-lagence-europeenne-des-medicaments-emer-cooke-a-la-solde-des-labos/
(17) https://www.mediapart.fr/journal/france/170920/vaccin-contre-le-covid-19-le-lobby-pharmaceutique-se-dedouane-par-avance?onglet=full
(18) https://www.aimsib.org/2021/01/24/hesitants-a-la-vaccination-anti-covid-voila-qui-va-vous-decider/
(19) https://multinationales.org/Comment-l-industrie-pharmaceutique-a-pris-d-assaut-les-institutions-europeennes
(20) https://www.marianne.net/politique/union-europeenne/remdesivir-inefficace-comment-la-commission-europeenne-sest-laissee-seduire-par-gilead
(21) https://www.welt.de/politik/deutschland/article146956797/Kritiker-bewerten-Arbeit-als-eindeutiges-Plagiat.html
(22) https://www.zonebourse.com/barons-bourse/Heiko-von-der-Leyen-0NQRH5-E/biographie/
(23) https://lecourrierdesstrateges.fr/2021/09/25/ursula-von-der-leyen-a-t-elle-instaure-une-diplomatie-personnelle-parallele-avec-le-pdg-de-pfizer/
(24) https://curia.europa.eu/juris/document/document.jsf;jsessionid=CC2A121378B1B992BACB6833B99700D7?text=&docid=222502&pageIndex=0&doclang=FR&mode=lst&dir=&occ=first&part=1&cid=4750303 point 30
(25) https://www.rtbf.be/info/societe/detail_tous-les-boeing-737-max-cloues-au-sol-depuis-un-an-6-questions-pour-comprendre?id=10451449




Bientôt des « vaccins » à ARNm dans votre assiette ?

[Source : Centre de Recherche sur la Mondialisation]

Aujourd’hui, les scientifiques qui poussent à la vaccination veulent transformer votre épicerie en vaccins à ARNm

Par Lance Johnson

L’agenda mondial pour vacciner chaque homme, femme et enfant en voie d’aboutir directement dans votre assiette. Une équipe de scientifiques de l’Université de Californie à Riverside étudie des moyens de transformer vos ÉPICERIES en vaccins à ARNm. Afin de lutter contre « l’hésitation à la vaccination » chez la population, ces scientifiques veulent distribuer des protéines de pointe [protéine Spike] du coronavirus dans tous les aliments. Cette expérience pourrait donner naissance à un nouveau paradigme de vaccination qui donnerait à Big Pharma un contrôle total sur l’approvisionnement alimentaire, car ils tentent de modifier génétiquement les aliments pour inonder la population avec plus de protéines de pointe de coagulation sanguine.

Est-ce la raison pour laquelle Bill Gates, investisseur en OGM et en vaccins, achète des terres agricoles à travers les États-Unis ? Tous les vaccins actuels et les centaines de futures expériences vaccinales seront-ils réalisés par le biais de l’approvisionnement alimentaire ?

La modification génétique de l’approvisionnement alimentaire pourrait bientôt être utilisée pour vacciner la population

L’avenir de la guerre biologique et de l’expérimentation humaine sera probablement réalisé grâce à l’approvisionnement alimentaire et sera présenté comme sans danger. En modifiant le cytoplasme des plantes comestibles, les scientifiques espèrent introduire des toxines de protéine Spike, produite comme étrangère, dans vos aliments. Ces scientifiques qui cherchent à promouvoir les vaccins, font déjà des expériences sur les plants de laitue et d’épinards, afin de développer une nouvelle espèce de légumes verts qui peut vacciner les gens plus souvent et de manière moins invasive. Ces nouvelles variétés de légumes peuvent également être cultivées à la maison. Les scientifiques travaillent sur un moyen de quantifier le dosage exact  de protéines de pointe dans une plante tout en démontrant que la plante peut reproduire suffisamment d’ARNm pour surpasser l’approvisionnement actuel en vaccins.

 « Idéalement, une seule plante produirait suffisamment d’ARNm pour vacciner une seule personne », Juan Pablo Giraldo, chercheur principal et professeur agrégé au Département de botanique et des sciences végétales de l’UCR. « Nous testons cette approche avec des épinards et de la laitue et avons des objectifs à long terme de personnes qui la cultivent dans leurs propres jardins », a-t-il ajouté. « Les agriculteurs pourraient également éventuellement en faire pousser des champs entiers. »

Giraldo s’efforce de démontrer que les vaccins contenant de l’ADN mRNA peuvent être intégrés avec succès dans les cellules végétales. Pour ce faire, les chercheurs ont l’intention de modifier le chloroplaste de la cellule végétale. Le chloroplaste absorbe l’énergie du soleil et la convertit en sucre et en autres molécules dont la plante a besoin pour croître. Les scientifiques veulent interférer avec ce processus naturel et demander au cytoplasme de générer des protéines de pointe et d’autres molécules étrangères qui peuvent être introduites sous forme d’antigènes dans l’homme.

Giraldo et son équipe ont déjà démontré que le chloroplaste est capable d’exprimer des gènes étrangers qui ne font pas partie de la conception naturelle de la plante. Cette modification génétique a été réalisée en enfermant du matériel génétique étranger dans un boîtier protecteur, puis en l’insérant dans les cellules de la plante. L’objectif est d’introduire ces OGM chez l’homme afin que leur système immunitaire puisse être programmé pour lutter contre les antigènes et les séquences virales que les scientifiques ont présélectionnés et conçus.

Un nouveau paradigme de vaccins à base alimentaire est-il sur nous ?

À l’UC San DiegoNicole Steinmetz a déjà développé des nanotechnologies qui peuvent fournir du matériel génétique au chloroplaste des plantes. Steinmetz bricole des nanoparticules de virus végétal et les réutilise pour administrer des gènes étrangers dans les cellules de la plante.

Ce n’est pas la seule expérience de vaccin comestible actuellement en cours. Des scientifiques de l’Université d’Ottawa travaillent sur un vaccin comestible contre les coronavirus depuis plus d’un an.

L’Hôpital d’Ottawa teste déjà le premier prototype. Ce vaccin comestible exprime des antigènes viraux à l’intérieur des plants de laitue et d’épinards. Leur objectif est de délivrer les protéines de pointe au corps humain sans altérer la synthèse protéique des cellules humaines. L’approvisionnement actuel en vaccins doit être maintenu au réfrigérateur à des températures extrêmement basses. Si cet effort de recherche peut démontrer l’administration de protéines de pointe dans tout l’approvisionnement alimentaire, l’approvisionnement actuel en vaccins pourrait être supprimé au profit d’un nouveau paradigme de vaccination alimentaire. Cette expérience pourrait à jamais modifier l’approvisionnement alimentaire, transformant des aliments sains et curatifs en terrains de jeu de guerre biologique que les mondialistes peuvent utiliser pour exploiter la race humaine.

Lance Johnson

Les sources :

CTVNews.ca

NaturalNews.com

News.ecr.edu

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L’image en vedette provient de Natural News

Lien vers l’article original:

Now Vaccine-pushing Scientists Want to Turn Your Groceries into mRNA Vaccinesle 24 septembre 2021.

Traduit pas Maya pour Mondialisation.ca 

La source originale de cet article est Mondialisation.ca

Copyright © Lance Johnson, Mondialisation.ca, 2021




Gabriel Serville : « 70% des Guyanais refusent la vaccination, il faut de la transparence »

[Source : francesoir.fr]

Auteur(s): FranceSoir

Alors que la situation sanitaire s’aggrave aux Antilles, certains dénoncent un manque de volonté de la population à se faire vacciner, tandis que d’autres déplorent une mauvaise gestion de la crise sanitaire : des soignants martiniquais parlent même d’«euthanasie active» dans un contexte de refus de soin.



Récemment élu président de la collectivité territoriale de Guyane, Gabriel Serville a répondu à nos questions sur la situation sanitaire, ainsi que sur les enjeux présents dans sa région de France Outre-mer. Il demande le dialogue en Guyane, il a entre autres mis en place des comités citoyens pour la transparence afin de lutter contre les avis extrêmes et de trouver un équilibre en société.

Ancien proviseur de lycée, maire, et député pendant neuf ans avant d’être élu à son poste actuel, il a fait partie de l’actualité dernièrement avec Christiane Taubira, également guyanaise, à qui a été également reproché de ne pas appeler sans réserve à la vaccination. M. Serville avait expliqué qu’il n’a pas été élu pour ses positions sur la situation sanitaire et qu’il ne souhaite pas confondre tous les sujets. Il appelle à la discussion et à écouter chaque discours, également ceux des médecins antillais critiquant la gestion de la situation sanitaire aux Antilles.

Le président de la CTG revient également sur le développement de la Guyane, il explique formellement qu’il y a toujours une « mainmise coloniale » sur la gestion de ce territoire par l’État français.




APPEL AUX SÉNATEURS POUR REFUSER L’OBLIGATION V antiCovid CHEZ LES ENFANTS

Par Nicole et Gérard Delépine

Merci aux sénateurs qui ont rejeté la proposition de loi Jomier en commission.

Cette Proposition de loi du groupe socialiste veut rendre obligatoire pour les enfants la vaccination contre le SARS-Cov-2. Elle sera soumise à nouveau au Sénat, le 13 octobre.

Comme médecins, nous sommes affligés qu’un confrère puisse proposer une telle mesure contraire à l’état réel de la science, au principe de précaution et au serment d’Hippocrate : « d’abord ne pas nuire ».

  • Peut-il ignorer que les enfants sains ne peuvent en espérer aucun bénéfice personnel ?
  • Ignore-t-il que les enfants ne constituent pas un facteur réel de contamination ?
  • Ignore-t-il que les pseudo vaccins actuels n’empêchent ni d’attraper la maladie ni de la transmettre ?
  • Ignore-t-il que l’immunité collective n’est qu’un mythe dénoncé par des agences sanitaires ?
  • Ignore-t-il que les pseudo vaccins actuels sont expérimentaux ? Et qu’obliger quelqu’un à subir un traitement expérimental est contraire à la convention d’Oviedo que la France a signée ?
  • Ignore-t-il que ces traitements représentent un danger réel pour les enfants avec déjà des morts ?

RAPPEL DES FAITS ETABLIS

Les enfants sains ne peuvent espérer aucun bénéfice personnel des injections

D’après Santé publique France, 7 à 10 enfants meurent chaque année de la grippe saisonnière contre laquelle le vaccin antigrippal n’est pas indiqué, sauf chez ceux qui souffrent de lourdes comorbidités.

Durant l’année 2020, on a recensé en France 4 décès d’enfants attribués au Covid et tous souffraient auparavant de pathologies lourdes. Cette bénignité du Covid chez l’enfant sain est confirmée par toute la littérature mondiale et toutes les sociétés de pédiatrie.

Les enfants ne peuvent donc espérer aucun bénéfice personnel de cette pseudo vaccination même si elle était parfaitement efficace.

Les enfants ne constituent pas un facteur réel de transmission du Covid

Plus de 20 études épidémiologiques dans une dizaine de pays ont recherché opiniâtrement des contaminations à partir d’enfants de moins de 18 ans : aucune n’a pu mettre en évidence un seul exemple réellement probant.(([1] Jonas F Ludvigsson Children are unlikely to be the main drivers of the Covid-19 pandemic – A systematic review Acta Paediatr 2020 Aug ; 109(8) :1525-1530. doi : 10.1111/apa.15371. Epub 2020 Jun 17.
Children are unlikely to be the main drivers of the COVID-19 pandemic – A systematic review – PubMed (nih.gov) ))(([2] Indrė Stacevičienė A cross-sectional study of screening for coronavirus disease 2019 (Covid-19) at the pediatric emergency department in Vilnius during the first wave of the pandemic Eur J Pediatr25 févr.2021.
A cross-sectional study of screening for coronavirus disease 2019 (COVID-19) at the pediatric emergency department in Vilnius during the first wave of the pandemic – PubMed (nih.gov)
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC7906570/pdf/431_2021_Article_3999.pdf))(([3] Benjamin Lee and William V. Raszka Covid-19 Transmission and Children : The Child Is Not to Blame Pediatrics August 2020, 146 (2) e2020004879 ; DOI :
COVID-19 Transmission and Children: The Child Is Not to Blame – PubMed (nih.gov) ))

L’étude de l’INSERM(([4] Kostas DANIS et al pour Santé Publique France Cluster of coronavirus disease 2019 (Covid-19) in the French Alps, 2020 Clinical Infectious Diseases Oxford University Press for the Infectious Diseases Society of America.
Cluster of Coronavirus Disease 2019 (COVID-19) in the French Alps, February 2020 | Clinical Infectious Diseases | Oxford Academic (oup.com))) est très démonstrative. L’enfant des Contamines, en contact alors qu’il était malade, avec 172 personnes, dont 112 élèves et professeurs dans trois écoles et un ski-club n’a contaminé personne, même pas les deux autres enfants de sa fratrie.

L’étude de l’institut Pasteur(([5] A Fontanet et al SARS-CoV-2 infection in primary schools in northern France : A retrospective cohort study in an area of high transmission medRxiv 2020
SARS-CoV-2 infection in primary schools in northern France: A retrospective cohort study in an area of high transmission | medRxiv)) sur les écoles primaires de Crépy-en-Valois a porté sur 1340 personnes, dont 139 infectées (81 adultes et 58 enfants). Aucun des enfants malades pendant qu’il fréquentait l’école n’a contaminé quiconque, qu’il s’agisse d’autres élèves ou d’adultes.

L’étude Coville, du groupe Activ (Association clinique et thérapeutique infantile du Val-de-Marne) dirigé par le professeur Robert Cohen, vice-président de la Société française de pédiatrie a porté sur 600 enfants, de la naissance à l’âge de 15 ans a conclu : « sans histoire de Covid parental, l’enfant n’a rien. »

Aux Pays-Bas, les enfants âgés de 0 à 17 ans ne représentent que 1,3 % de tous les patients déclarés avec Covid-19 (alors qu’ils représentent 20,7 % de la population). Seulement 0,6 % des hospitalisations et aucun décès signalé concernaient des enfants de moins de 18 ans. Une étude des ménages aux Pays-Bas a rapporté des données sur 116 enfants de 1 à 16 ans et aucun enfant de moins de 12 ans n’a été le premier infecté de la famille.

En Irlande,(([6] Heavey L, Casey G, Kelly C, et al. No evidence of secondary transmission of Covid-19 from children attending school in Ireland, 2020. Euro Surveill 2020 ; 25 :2000903.
No evidence of secondary transmission of COVID-19 from children attending school in Ireland, 2020 – PubMed (nih.gov))) avant la fermeture des écoles, aucun cas de contamination scolaire n’a été détecté parmi les 924 enfants et 101 adultes au contact de six infectés (trois enfants, trois adultes).

En Australie(([7] Centre national de recherche et de surveillance de la vaccination. Covid-19 dans les écoles — L’expérience en NSW. Nouvelle-Galles du Sud, Australie : Centre national de recherche et de surveillance sur l’immunisation ; 2020Google Scholar)) 9 élèves et 9 membres du personnel infectés par le SRAS-CoV-2 dans 15 écoles ont eu des contacts étroits avec un total de 735 élèves et 128 membres du personnel. Seules 2 infections secondaires ont été identifiées dont 1 élève du primaire potentiellement infecté par un membre du personnel.

En Suisse(([8] Posfay-Barbe KM, Wagner N, Gauthey M, et al. Covid-19 in Children and the Dynamics of Infection in Families. Pediatrics. 2020 ; 146(2) :
https://pediatrics.aappublications.org/content/146/2/e20201576)): sur un total de 4310 patients atteints du SRAS-CoV-2, seulement 40 étaient âgés de moins de 16 ans (0,9 %). Parmi les 111 contacts familiaux positifs des enfants étudiés, les mères prédominaient (n = 39), suivies des pères (n = 32), des frères et sœurs pédiatriques (n = 23), des frères et sœurs adultes (n = 8) et des grands-parents (n = 7).

En Finlande, un enfant de 12 ans qui allait à l’école durant sa maladie a été en contact avec 121 personnes et n’en a contaminé aucune.

En Grèce, l’analyse épidémiologique de 23 clusters touchant 109 personnes (66 adultes et 43 enfants) n’a retrouvé aucun cas de transmission à partir d’un enfant.

De même, la persistance ou la reprise des activités scolaires n’ont été suivies nulle part d’une reprise de l’épidémie. Après 20 mois d’épidémie et plus de 235 175 106 cas (au 6/10/2021) confirmés de Covid-19, après analyse des publications internationales référencées par PubMed (plus de onze mille sur Covid et enfant), aucun cas de transmission du virus par un enfant infecté n’a pu être formellement démontré.

Alors pourquoi certains, niant les faits établis, prétendent que la vaccination des enfants serait utile pour contrôler le Covid ? La vaccination des enfants ne peut pas protéger les aînés. 

Les pseudo vaccins actuels n’empêchent ni d’attraper la maladie, ni de faire des formes graves, ni de la transmettre 

L’exemple des pays champions de la vaccination montre que les pseudo vaccins actuels n’empêchent ni d’attraper, ni de transmettre la maladie. Depuis l’apparition du variant Delta, les reprises de l’épidémie dans les pays les plus vaccinés, souvent plus fortes que les poussées précédentes, montrent que même une couverture vaccinale très élevée ne protège ni les vaccinés ni les autres.

L’inefficacité de l’injection Pfizer à empêcher la diffusion de la maladie est démontrée dans tous les pays qui ont beaucoup vacciné. L’exemple d’Israël est à cet égard démonstratif.

Le 5 août dernier, sur Channel 13 TV News, le Dr Kobi Haviv, directeur médical de l’hôpital Herzog de Jérusalem déclarait : « 95 % des patients sévères sont vaccinés » et « 85 à 90 % des hospitalisations concernent des personnes entièrement vaccinées »

L’immunité collective n’est qu’un mythe dénoncé par des agences sanitaires

Mais Monsieur Bernard Jomier feint de l’ignorer lorsqu’il récite sa croyance en la pseudo vaccination en essayant de tromper ses collègues sénateurs en prétendant que la pseudo vaccination serait le « seul moyen d’atteindre une protection collective suffisante », et de « transformer l’épidémie en un phénomène à bas bruit avec d’éventuelles résurgences saisonnières, tout en conciliant l’impératif de protection de la santé publique et un traitement égalitaire de nos concitoyens » dans la conclusion de son rapport à ses collègues.

Il reconnaît que « le variant Delta, avec son plus haut degré de transmissibilité, a changé la donne et nécessite désormais un taux d’immunité de la population (vaccinale ou acquise après infection) compris entre 90 % et 95 % ». Mais il fait semblant d’ignorer qu’un tel taux de couverture vaccinale ne pourra pas être atteint en France et que les représentants de nombreuses agences sanitaires majeures de pays qui ont atteint ce niveau d’injection en ont reconnu l’échec de l’espoir d’immunité collective par les pseudo vaccins.

Ainsi en Islande où devant la recrudescence de l’épidémie malgré un taux d’injection dépassant 93 %

L’épidémiologiste en chef, Orólfur Gudnason déclarait : « obtenir l’immunité collective par la vaccination générale est hors d’atteinte. » pendant que le directeur de l’hôpital universitaire national Páll Matthiasson affirmait « Cette pandémie et d’autres sont là pour rester » « Nous devons renforcer le système de santé pour qu’il ne soit pas toujours au bord de l’effondrement ».

Ainsi en Grande-Bretagne championne de l’injection Astra Zeneca qui n’a pas évité une récidive majeure de l’épidémie depuis juillet 21 :

Le chef de l’Oxford Vaccine Group et l’un des pères du vaccin AstraZeneca, Andrew Pollard a déclaré devant les députés « L’immunité collective n’est qu’un mythe »

À Singapour comme à Hong Kong, l’échec cuisant de la vaccination a fait revoir la stratégie sanitaire officielle passant de l’objectif « zéro Covid par la vaccination » au « vivre avec ».

En France, le professeur Fischer chargé de la vaccination qui affirmait il y a quelques mois qu’on atteindrait bientôt l’immunité collective par la vaccination se montre maintenant beaucoup plus prudent.

« Si l’immunité de groupe peut être atteinte ou non, je ne sais pas, c’est devenu un challenge très ambitieux que je ne trancherai pas »

Il n’y a plus guère que Bernard Jomier et un quarteron d’académiciens probablement trop liés à l’industrie pharmaceutique et/ou mal informés pour croire encore au contrôle de l’épidémie par les pseudo vaccins Covid.

Les pseudo vaccins actuels sont expérimentaux

Pour le vérifier, il suffit de consulter le site officiel américain clinicaltrials.gov qui montre que la fin des essais phase 3 n’est pas attendue avant 2023.

Or obliger quelqu’un à subir un traitement expérimental est contraire à la convention d’Oviedo que la France a signée. Cette convention d’Oviedo ne fait que transcrire dans la loi internationale, la déclaration d’Helsinki élaborée par l’Association Médicale Mondiale après le procès des médecins de Nuremberg condamnant certains d’entre eux à la pendaison pour avoir administré des traitements expérimentaux (pour la moitié des candidats vaccins) sans le consentement libre et éclairé des intéressés.

Ces traitements expérimentaux représentent un danger réel, particulièrement pour les enfants et adolescents

Les péricardites post vaccinales ont été signalées pour la première fois en Israël depuis plusieurs mois. Comme cette maladie est naturellement exceptionnelle chez l’enfant le lien de causalité est hautement probable.

Depuis lors, une étude américaine réalisée à partir du VAERS a montré dès juin 2021 que les garçons en bonne santé âgés de 12 à 17 ans présentaient un taux d’hospitalisation dû à une inflammation cardiaque plus élevé après leur deuxième vaccination ARNm Covid-19 que le taux d’hospitalisation attendu pour le Covid-19 dans ce groupe d’âge.

Une analyse par le CDC (l’autorité américaine de Santé) des rapports d’inflammation cardiaque signalés après l’administration du vaccin Covid-19 l’a confirmé et cette complication des pseudo vaccins est maintenant inscrite dans la notice d’utilisation de ces médicaments aux USA. Rappelons la gravité de cette complication qui peut aboutir à la mort et lorsqu’elle guérit, peut laisser de lourdes séquelles interdisant les efforts prolongés comme la pratique des sports et annulant tout espoir de carrière sportive professionnelle.(([9] La myocardite inflammation du muscle cardiaque, péricardite : inflammation des sacs protecteurs entourant le cœur. Les deux sont des conditions extrêmement graves en raison du rôle vital que joue le cœur pour maintenir une personne en vie et du fait que le muscle cardiaque ne peut pas se régénérer. Une myocardite grave peut entraîner un arrêt cardiaque et faire perdre des années à la vie d’une personne.)) La guérison rapide et définitive est un mensonge. Des accidents neurologiques divers ont également été rapportés depuis plusieurs mois (paralysie faciale, cécité, certes rares, mais inacceptables pour une maladie sans risque chez l’enfant sain.

Les données récentes de septembre 2021 chez les enfants soumis au pseudovaccin confirment ces premières indications et sont très inquiétantes aux USA(([10] The Covid-19 Vaccines have harmed and killed more children in the USA than all other vaccines combined according to official data (wordpress.com) ))

Et à nouveau cette information tragique : les vaccins Covid-19 ont nui et tué plus d’enfants aux États-Unis que tous les autres vaccins combinés selon les données officielles(([11] Search Results from the VAERS Database (medalerts.org) ))

BY DAILY EXPOSE ON SEPTEMBER 20, 2021

De nouveaux chiffres du système de déclaration des événements indésirables vaccinaux (VAERS) des Centers for Disease Control and Prevention (CDC) des États-Unis montrent que les enfants souffrent après avoir été vaccinés contre le Covid-19, avec de nombreux malades graves, handicapés et, dans certains cas, décès.

Du 1er janvier 1991 au 30 novembre 2020, donc sur deux décennies, un mois avant que le premier vaccin contre le Covid-19 ne reçoive une autorisation d’utilisation d’urgence aux États-Unis, il n’y avait qu’un total de 6 068 décès enregistrés (principalement des bébés nourrissons) en raison de tous les vaccins disponibles.

Mais au 10 septembre 2021, en moins d’un an, plus de 3,1 millions d’accidents avaient été enregistrés dans le VAERS en raison des vaccins Covid-19, ainsi que 80 337 visites aux urgences, 60 565 hospitalisations, 19 210 incapacités permanentes, 15 012 événements mettant la vie en danger et 14 925 décès.

Il y a également eu 1 614 décès fœtaux enregistrés à la suite de femmes enceintes recevant un vaccin contre le Covid-19, bien qu’aucune femme enceinte n’ait participé à un seul essai clinique pour aucun des vaccins anti-Covid 19.

Une recherche dans la base de données VAERS montre qu’il n’y a eu aucun décès fœtal à la suite de femmes enceintes recevant un vaccin antigrippal en 2021, et 16 décès fœtaux à la suite de femmes enceintes recevant un vaccin antigrippal en 2020.

Les pseudo vaccins anti-Covid représentent donc un risque de mort fœtale cent fois plus élevé que le vaccin contre la grippe

Pourquoi les autorités continuent-elles de recommander aux femmes enceintes de se faire vacciner contre le Covid-19 ?

Les dernières données VAERS publiées le 10 septembre 2021 montrent également comment les enfants qui ont un risque pratiquement nul de souffrir d’une maladie grave due au Covid-19, souffrent des vaccins Covid-19.

Il y a eu 21 décès, 77 incapacités permanentes, 2 019 visites aux urgences, 942 hospitalisations et 165 événements mettant la vie en danger chez les enfants de moins de 17 ans en raison des vaccins contre le Covid-19.

De plus, les vaccins contre le Covid-19 ont causé 21 fois plus de décès, près de 8 fois plus d’incapacités, 40 fois plus de visites aux urgences, 36 fois plus d’hospitalisations et 18 fois plus d’événements mettant la vie en danger chez les enfants de moins de 17 ans que tous les autres vaccins disponibles combinés (depuis le début des injections antiCovid).

Une autre recherche dans la base de données VAERS pour la thrombose (caillots sanguins), un effet secondaire connu des vaccins Covid-19, montre qu’il y a eu 91 rapports contre les vaccins Covid-19 chez les ados de 12 à 20 ans jusqu’au 10 septembre 2021.

La même recherche pour tous les autres vaccins disponibles montre que seulement 4 cas de thrombose ont été enregistrés. Cela signifie que les cas de thrombose sont 23 fois plus élevés chez les adolescents qui ont reçu une injection anti-Covid 19.

Et pourtant malgré ces énormes alertes sur l’impact dévastateur sur les adolescents aux États-Unis, la FDA et le CDC sont sur le point d’approuver le vaccin de Pfizer pour une utilisation chez les enfants de plus de 5 ans, le Dr Fauci déclarant même qu’il pourrait être approuvé pour une utilisation chez des enfants aussi jeunes que 6 mois d’ici Noël !

Big Pharma a toujours le pouvoir.

Les données récentes de l’office national de statistiques anglais sont (ONS) également très inquiétantes pour les enfants(([12] Augmentation de 63 % des décès chez les adolescents au Royaume-Uni — Morts après vaccination (wordpress.com) ))

« Les données de l’ONS pour 2021 montrent qu’entre le 25 juin 2021 et le 17 septembre 2021, il y a eu 217 décès parmi les adolescents âgés de 15 à 19 ans, ce qui signifie que les décès chez les adolescents de plus de 15 ans étaient 47 % plus élevés qu’à la même période en 2020.

La différence ? L’augmentation du nombre de décès d’adolescents en 2021 a coïncidé avec l’offre du vaccin Covid-19, comme le montrent les données du NHS qui peuvent être téléchargées,(([13] Statistics » Covid-19 Vaccinations Archive (england.nhs.uk) )) et accessibles sur le site Web du NHS, montre qu’au 27 juin 2021 plus de 147 000 personnes de moins de l’âge sur 18 avaient reçu au moins une dose d’un vaccin contre le Covid-19 ».

L’Agence de réglementation des produits de santé et de médecine anglaise a ouvertement admis qu’elle soupçonnait la myocardite et la péricardite d’être des effets secondaires potentiels des vaccins Pfizer et Moderna Covid-19, en particulier chez les jeunes hommes.

UK Medicine Regulator a ajouté officiellement des avertissements concernant la myocardite et la péricardite aux étiquettes de sécurité des vaccins Covid-19. L’EMA également et les généralistes ont reçu des lettres les incitant à expliquer ce risque aux futurs vaccinés. Mais s’ils le font, qui se vaccinera ? Et si les médecins ne vaccinent plus, ils se font tancer par les ARS et l’ordre des médecins…

Les données sont maintenant publiées pour que les autorités voient, une augmentation de 63 % des décès d’adolescents masculins depuis qu’ils ont commencé à recevoir le vaccin antiCovid-19, elles doivent enquêter sur cela et cesser immédiatement le déploiement de cette injection expérimentale aux enfants.(([14] https://theexpose.uk/2021/10/04/teen-boy-deaths-increased-by-63-percent-since-they-had-Covid-vaccine/))

En Angleterre, la bataille continue ! Le mardi 5 septembre, Chris Whitty, le médecin-chef anglais a décidé d’annuler le Comité mixte sur la vaccination et de conseiller au gouvernement de proposer le « vaccin » anti-Covid 19 à tous les enfants du secondaire en bonne santé. Cela a jusqu’à présent conduit à augmenter de 400 % le nombre de décès chez les enfants de sexe masculin par rapport à la même période en 2020.(([15] Investigation : Deaths among male Children have increased by 400% since Chris Whitty decided they should have the Covid-19 Vaccine – The Expose))

Il y a environ 15,6 millions de personnes âgées de 19 ans et moins au Royaume-Uni, ce qui signifie que seulement 1 enfant et adolescent avec comorbidité grave, sur 410 526 serait décédé du Covid-19 en 18 mois. Seulement 1 enfant sur 1,7 million serait mort du Covid-19 en 18 mois, sans comorbidité connue.

Il n’y avait donc aucune excuse pour imposer cette injection dans les écoles et les journaux se demandent si le médecin-chef a compris qu’il mettait ainsi en danger la vie des enfants anglais.

Cependant, les gens se sont battus devant les tribunaux pour annuler la décision du médecin en chef de l’Angleterre(([16] UK Judge orders Government to provide evidence in court that justifies Covid-19 Vaccination of Children in legal challenge to halt roll-out of the jabs to Kids – The Expose)) selon laquelle les enfants devraient recevoir une injection expérimentale de Covid-19, malheureusement en vain jusqu’à présent.

Un juge a ordonné au gouvernement britannique de soumettre des preuves justifiant la vaccination des enfants contre le Covid-19, leur donnant une date limite du lundi 11 octobre.

L’ordre de l’honorable juge Jay est le bienvenu après que la révélation, le jeudi 30 septembre, que depuis que les adolescents de plus de 15 ans ont reçu le vaccin Covid-19, les décès dans ce groupe d’âge ont augmenté de 47 % par rapport à la même période en 2020.

Mais l’examen par la Cour traîne depuis le premier septembre sans suspension des injections, et les drames se poursuivent…

Alors pourquoi en France cette proposition de loi susceptible de mettre en danger nos enfants, après toutes ces informations provenant des sources officielles ?

Mr le Sénateur Jomier et les autres signataires de cette proposition de loi sont-ils à ce point désinformés ? Qui les informe ? Qui sera responsable et coupable ?

Ne représenteraient-ils que des lobbyistes des entreprises du médicament ?

Les antécédents du docteur Jomier dans l’expérience « Paris sans Sida » plaideraient pour cette dernière possibilité.

En 2015-2016 alors que Bernard Jomier était adjoint à la mairie de Paris, chargé de la Santé, il a mis en œuvre la politique « vers Paris sans sida » faisant la promotion d’un médicament préventif de GILEAD ; la PrEP.  Dans un article de juin 2017, Hervé Latapie dénonçait certaines pratiques de l’industrie pharmaceutique et des liens d’intérêts affectant l’indépendance des décisions.

« Ainsi le consensus en faveur de la promotion de la PrEP à grande échelle s’est construit grâce à l’action de certains acteurs très impliqués, aux motivations complexes et non dénuées de conflits d’intérêts.

« La firme Gilead va donc se retrouver à tous les niveaux de la mise en place de la PrEP : apports financiers directs auprès des associations de lutte contre le sida ou d’organismes de santé communautaires gays, conventions de recherche avec des services hospitaliers, mise en place d’essais démonstratifs, émoluments et autres cadeaux distribués auprès de professionnels de santé (billets d’avion business, séjours hôteliers de hauts grade, inscriptions onéreuses à des congrès, bourses d’études ou de recherches…), encarts publicitaires offerts à la presse gay ».

En 2018, l’initiative « vers Paris sans sida » recevait 530 000 euros de conventions du laboratoire Gilead.  Après cinq ans de cette promotion de la PrEP qui a rapporté beaucoup à Gilead, le bilan sanitaire global est très mitigé(([17] D’après santé publique France l’incidence du sida à Paris s’est stabilisée (en grande partie grâce à l’accroissement sensible du dépistage) mais l’abandon trop fréquent du préservatif par ceux qui se croient ainsi protégés par le PrEP a été suivi par une augmentation de 20 à 30 % des autres maladies sexuellement transmissibles (syphilis, gonorrhée, chlamydia) ))(([18] ? ))

Gilead ? Toujours Gilead, que personne n’a pu oublier et dont les liens d’intérêt avec les anti Raoult, médecins de plateau permanents et les promoteurs du tragique Remdesivir ont constitué un des feuilletons de l’année 2020. 

EFFETS INDÉSIRABLES RELATÉS PAR LES AGENCES OFFICIELLES DES THÉRAPIES GÉNIQUES

Quelques éléments complémentaires à leur fournir ainsi qu’à tous les candidats à la présidentielle tragiquement silencieux alors que ces drames se jouent sous leurs yeux

En UE selon le site officiel de l’agence européenne du médicament(([19] https://adrreports.eu/fr/)):

Tableau comparatif des Myocardites déclarées sur Eudravigilance pour les 12-17 ans et les 12-17 ans complètement vaccinées en France complètement superposables.

ET GLOBALEMENT EN UNION EUROPÉENNE

Plus de 26 000 décès reconnus par l’agence et plus d’un million d’accidents notés comme graves par EudraVigilance. Un tel risque, une fois connu, avec ces sources officielles est — il acceptable surtout chez les jeunes qui ne risquent rien du Covid ?

Et comme aux USA, le nombre de décès post Vax antiCovid a flambé depuis les injections antiCovid.

TOUS les décès, pour TOUS les vaccins répertoriés, depuis 2010 dans la base de données de pharmacovigilance européenne EudraVigilance, année par année.

En conclusion, il faut refuser cette obligation chez des enfants en particulier, et exiger un moratoire devant l’accumulation des effets secondaires, dont certains graves, et des décès chez des personnes en bonne santé.

Ceci d’autant plus que l’épidémie est terminée comme le réseau sentinelle le démontre.(([20] Réseau Sentinelles — Semaine 39))

Merci aux sénateurs qui ont refusé de voter cette proposition de loi contraire aux données actuelles de la science et espérons qu’ils pourront convaincre leurs collègues.

Encourageons— les tous à refuser définitivement cette proposition dangereuse. Chacun a le droit à l’erreur, mais persévérer est diabolique surtout quand il s’agit d’enfants et donc de l’avenir de la nation.

Et tous les politiques de tous les bords devraient s’emparer de ce risque énorme pour les jeunes et s’opposer à ce danger imminent et impossible à nier. Sinon, comment croire à leur intérêt pour les Français et singulièrement sa jeunesse ?

Et nous citoyens, contactons-les par tous les moyens pour les informer et qu’aucun ne puisse dire plus tard « je ne savais pas » !

sénateurs :

https://www.voxpublic.org/spip.php?page=annuaire&cat=senateurs

De tous les députés :

https://www.voxpublic.org/spip.php?page=annuaire&cat=deputes





Euthanasiés parce qu’ils avaient le Covid !

[Source : Alternatif Bien-Être (alternatif-bien-etre.com)]

Par Rodolphe Bacquet

Chers amis,

Il y a quelques jours, en Chine, trois chats ont été euthanasiés… parce qu’ils avaient été testés positifs au Covid-19.(([1] L’euthanasie de trois chats positifs au Covid-19 fait polémique en Chine (courrierinternational.com) ))

Ces trois chats appartenaient à la même personne, une habitante de Harbin (province du Heilongjiang). Les vétérinaires ne lui ont pas demandé son avis pour la mise à mort de ses chats.

Pire, malgré son opposition désespérée et ses suppliques, ils les ont tués pour « le bien de la collectivité ». 

Cela vous choque ?

Si l’objet de mon message vous a choqué… c’est bien.

Si le détail de cette nouvelle apparemment sans importance – après tout, des milliers d’animaux sont euthanasiés chaque jour sans que cela n’émeuve personne – vous choque aussi… c’est encore mieux. C’est qu’il y a encore de l’espoir.

Il y a encore deux ans, que l’on euthanasie ces trois animaux au lieu de tenter de les soigner aurait ému bien au-delà du cercle des défenseurs des animaux.

Pire, que cette triple euthanasie soit opérée sans le consentement de leur propriétaire et pour assurer la « sécurité » d’une ville chinoise… serait passée pour une extravagance supplémentaire de ce régime autoritaire.

Exactement comme le confinement d’une ville entière, Wuhan, nous avait paru si « exotique » : « ça, ça n’est possible qu’en Chine ! », s’était-on dit… pas vrai ?

Jusqu’à ce que cela se produise à nos portes – en Italie – et finalement… bel et bien chez nous.

Il y a deux ans également, le port du masque généralisé nous semblait un « trait culturel » typiquement asiatique…

… Les vaccinodromes, une manifestation de l’autorité que des régimes d’un autre âge exercent sur des masses dociles…

… La nécessité de devoir présenter un QR code dévoilant des informations sur votre santé pour obtenir la permission de vous asseoir à la terrasse d’un café ou de monter dans un train, une trouvaille issue d’un roman d’anticipation de George Orwell ou Philipp K. Dick…

Tout cela, qui nous paraissait inouï, inimaginable chez nous, a pourtant eu lieu, a lieu en ce moment-même.

Cela a choqué plusieurs d’entre nous, et j’en fais partie, vous le savez.

Mais cela a, en fin de compte, a été accepté et intégré par la majorité de la population avec une rapidité et une facilité déconcertantes.

Cette façon de nous « accoutumer », par petites touches, à des mesures toxiques, porte un nom : la mithridatisation.

Et nous vivons, aujourd’hui, une forme de mithridatisation collective, sociale et sanitaire.

Comment on s’accoutume au poison

Ce mot un peu compliqué de « mithridatisation » vient du roi antique Mithridate le Grand, qui régnait sur le Pont-Euxin au Ier siècle avant J.-C.

Buste en marbre de Mithridate VI le Grand, musée du Louvre

Mithridate avait de nombreux ennemis, à l’intérieur de son royaume comme à l’extérieur, qui en voulaient à sa vie – et le roi en avait parfaitement conscience.

Or, la méthode la plus discrète et radicale à la fois pour se débarrasser d’un rival ou d’un adversaire politique était à l’époque l’empoisonnement.

Sachant qu’il lui était impossible de contrôler toute boisson et toute nourriture dans laquelle un espion aurait pu verser du poison, Mithridate adopta une méthode originale : il devint lui-même expert en poisons… et en ingéra chaque jour, à petites doses.

Alors qu’une dose massive et unique de poison aurait pu le tuer, ces petites doses quotidiennes de poison non seulement ne le tuaient pas, mais le rendaient plus résistant.

C’est l’accoutumance de son organisme au poison qui protégea Mithridate du risque d’empoisonnement.

Cette méthode fut un succès au-delà de toute espérance… qui se retourna contre lui.

Finalement détrôné, Mithridate voulut se suicider en absorbant une dose massive de poison, mais n’y parvint pas : son corps s’y était trop accoutumé !

Mithridate fut donc passé au fil de l’épée par les soldats de son propre fils, qui lui avait ravi son trône. Une fin déshonorante et brutale.

La mithridatisation des esprits

La mithridatisation, c’est donc cela : l’absorption à faible dose d’un poison, auquel on s’accoutume.

On commence par de toutes petites doses, qu’on augmente à mesure que l’on y devient insensible.

Lorsque l’organisme ingère une quantité plus importante de ce même produit toxique, le cas échéant, on y survit.

[Ndlr : Est-ce que l’organisme s’habitue au mercure, au plomb ou à l’arsenic qui s’accumulent dans le corps jusqu’à produire des effets notables et indésirables sur l’organisme, à le rendre malade ou même à le tuer ? Est-ce qu’il peut même s’habituer au cyanure et à des toxines encore plus radicales ? Il est plus prudent de ne pas tenter ce genre d’approche avec tous les poisons, surtout lorsque ceux-ci ne s’éliminent pas naturellement et rapidement du corps. C’est la dose qui fait le poison. N’importe quelle plante médicinale, n’importe quel aliment, même de l’eau, peuvent devenir nocifs à trop haute dose.]

La crise du Covid-19 a sonné le départ d’une étrange mithridatisation des esprits.

[Ndlr : il s’agit de ce que d’autres ont appelé la méthode des petits pas qui consiste à aller vers l’objectif par étapes, avec au besoin une halte entre deux étapes données pour laisser le temps de récupérer après la tension imposée lors de l’étape précédente. En physique, que l’on applique une torsion progressive ou rapide à une barre métallique ne change pas grand-chose au résultat : si la tension accumulée devient trop forte, la barre se rompt. En psychologie, si l’on applique une tension trop forte et trop soutenue à un individu, il se brise. En politique, ceux qui veulent amener des changements sociétaux ou structurels doivent veiller à faire redescendre la tension à certains moments s’ils ne veulent pas provoquer une explosion. Et dans le cas de la crise Covid, il y a donc eu des périodes de relâchement des mesures avant de mieux repartir pour de nouvelles encore plus radicales.
Voir aussi Le contrôle mental au temps du Covid]

Le poison de cette mithridatisation, ce n’est pas le virus, ce sont les mesures qui s’accumulent pour, nous dit-on, nous en « protéger ». 

L’énormité de cette mithridatisation nous dépasse déjà.

Il y a deux ans, le principe du pass sanitaire, hormis peut-être quelques technocrates fadas biberonnés aux GAFA,(([2] Les géants du numérique qui, de fait, contrôlent hors de toute réglementation étatique, l’information et l’économie contemporaines : Google, Amazon, Facebook, Apple.)) nous aurait semblé révoltant. Plus qu’inapplicable : inimaginable.

Mais la privation de liberté « pour le bien de tous » s’est faite à petites doses.

Il y a eu certes le choc du premier confinement, mais tout, ensuite, s’est déroulé par touches subtiles, comme sur un tableau impressionniste :

  • Les attestations de sorties ;
  • Le port du masque obligatoire ;
  • Le couvre-feu ;
  • La quarantaine ;
  • Les tests obligatoires, gratuits, puis payants ;
  • La vaccination « conseillée », puis « encouragée » et finalement de facto obligatoire…

Nous avons avalé toutes ces mesures empoisonnées. Une à une. Chacune allant un peu plus loin que la précédente, jusqu’à cet état de fait inquiétant : la discrimination pour raisons médicales.    

Nos sociétés championnes de la lutte anti-discrimination ont beau jeu

Nos démocraties occidentales modernes, qui se targuent de lutter :

  • contre la discrimination raciale,
  • contre la discrimination religieuse,
  • contre la discrimination sexuelle,
  • contre la discrimination pour préférences sexuelles…

… ont en fin de compte créé de toutes pièces une toute nouvelle discrimination : la discrimination vaccinale.

L’être humain est un animal social, d’accord, mais c’est surtout un animal discriminant. 

Il faut qu’il discrimine, c’est comme ça.

S’il ne peut plus discriminer selon que vous êtes blanc ou noir, homme ou femme, chrétien ou musulman, homo ou hétéro, français, belge ou marocain… il trouvera autre chose.

Il vous discriminera parce que vous avez les pieds grecs ou égyptiens, parce que vous êtes riche ou pauvre, parce que vous êtes plutôt thé que café.

Les problèmes sérieux commencent quand l’État prend en charge cette discrimination

C’est-à-dire quand l’État légifère sur l’achat de certains hommes comme esclaves par d’autres réputés « libres », sur les droits accordés à une confession religieuse et pas à une autre, sur la possibilité ou non des femmes d’accéder à l’éducation.

L’État français, ni pionnier, ni bon dernier, vient de créer une société dotée de deux nouvelles « classes » de citoyens : les vaccinés et le non-vaccinés, les premiers ayant plus de droits que les seconds.  

Oh, nous pouvons nous enorgueillir, dans nos pays occidentaux développés, d’avoir conquis la liberté de confession, la liberté d’orientation sexuelle… Mais nous sommes, en parallèle, en train de mettre fin à la liberté de choix médical.  

Nous vivons depuis si longtemps déjà dans l’invraisemblable que nous avons laissé passer cette discrimination inédite sans y prendre garde. Par mithridatisation.

Nous vivons depuis si longtemps dans l’épouvante, entretenue par les médias, que cette discrimination nous paraît presque « normale », et même pour certains… indispensable. Par mithridatisation.

Nous vivons depuis si longtemps dans l’intimidation, entretenue par les gouvernements, que nous acceptons d’une âme égale qu’ils décident à notre place à quelle heure entrer et sortir de chez nous, ou si nos enfants doivent ou non se faire injecter des produits pharmaceutiques créés il y a moins d’un an.

Par mithridatisation. Par petites touches.

C’est ainsi que nous laissons cette politique toxique nous empoisonner en tant que société, et en tant qu’êtres humains.

Mais attendez : ce n’est pas terminé.

Voici deux autres exemples d’une actualité brûlante de cette mithridatisation en marche.

Suisse : 50 francs pour l’incitation à la vaccination

En Suisse, le Conseil Fédéral a, dans le sillage de la France, instauré autoritairement l’obligation de présenter un « certificat Covid », équivalent de notre pass sanitaire.  

La mesure a choqué bon nombre d’habitants de ce pays à très forte tradition démocratique et la Suisse, pour la première fois depuis des décennies, connaît depuis régulièrement des manifestations à Berne, sa capitale, contre cette mesure.

Mais, cette semaine, le Conseil Fédéral a décidé d’aller plus loin dans sa politique « tout-vaccin » en ayant l’idée d’offrir un « bon-cadeau » de 50 francs suisses à toute personne convaincant un proche de se faire vacciner.(([3] Annonces du Conseil fédéral – Vaccination: un bon de 50 francs à ceux qui persuadent leurs proches – Le Matin))

A priori ça n’est pas « nouveau ».

Aux États-Unis, le gouvernement du New Jersey offrait une bière à toute personne allant se faire faire une injection anti-Covid.(([4] Covid-19 aux États-Unis. Une bière offerte contre une dose de vaccin dans le New Jersey (ouest-france.fr) ))

Le gouvernement chinois de Hong-Kong incitait, lui, à la vaccination en offrant aux bons élèves des billets de loterie pour gagner une Tesla ou un appartement de luxe.(([5] Un vaccin contre une Tesla, à Hong Kong des loteries pour stimuler la campagne | Le HuffPost (huffingtonpost.fr) ))

[Ndlr : aux États-Unis et au Québec, des loteries vaccination ont été mises en place, avec possibilité de gagner jusqu’à un million de dollars si on se fait vacciner.]

Mais cela s’adressait à toute personne susceptible de se faire vacciner… Pas à son entourage, pour la convaincre d’y aller !

Le Conseil Fédéral suisse a bel et bien franchi un pas supplémentaire, qui en dit long sur la conception qu’ont nos gouvernements de la santé : quelque chose qui s’achète… et que l’on peut vendre.

À présent je vous demande : cela vous choque-t-il ?

Israël : 3ème dose obligatoire pour garder un pass sanitaire valide

Israël est, vous le savez, le pays « en avance » en termes de politique vaccinale anti-Covid. Ils ont été :

  • les premiers à vacciner en masse,
  • les premiers à instaurer un pass sanitaire (et rappelez-vous, à ce moment-là, Emmanuel Macron a juré ses grands dieux que JA-MAIS il ne mettrait en place un système équivalent)…
  • et les premiers à connaître un rebond spectaculaire des contaminations et des décès dans la population vaccinée.

Ce terrible désaveu n’empêche pas le gouvernement actuel de s’entêter dans sa politique vaccinale :

« Les passeports verts, délivrés aux personnes vaccinées ou guéries du Covid-19, seront remplacés dès ce dimanche en Israël. Ceux déjà délivrés seront annulés. Près de deux millions de citoyens ne pourront plus accéder à certains espaces publics sans un résultat de test négatif. »(([6] Deux millions de vaccinés israéliens privés de pass sanitaire s’ils ne prennent pas de 3e dose – 03.10.2021, Sputnik France (sputniknews.com) ))

En Israël comme en France, la troisième dose a d’abord été présentée comme « optionnelle »… jusqu’à aujourd’hui, où elle est de facto obligatoire.

Les promesses n’engagent décidément que ceux qui y croient…

Quant à ceux qui ont encore l’innocence de se dire « bon, allez, une troisième dose, et c’est enfin terminé »… sachez qu’en fait de « troisième dose » la nouvelle réglementation israélienne stipule que le pass sanitaire sera valide pendant six mois après l’administration de la dernière dose

Cela vous choque-t-il ?

Le poison de la lassitude

Si tout cela vous choque, comme je vous l’écrivais plus haut, c’est qu’il y a encore de l’espoir.

Car le propre de la mithridatisation, c’est de nous rendre insensible.

Nous regardons tous ces pas supplémentaires vers l’indignité, vers la confiscation de notre consentement, vers la discrimination pour raisons médicales, d’un œil las.

Moi le premier. Que croyez-vous ? Je me lasse de vous parler du Covid… du pass sanitaire… des injections et de ses effets secondaires… des milliers de morts directes ou indirectes sacrifiées sur l’autel du « bien collectif »… C’est usant.

J’en ai marre, comme vous. J’ai envie de penser à autre chose. De passer à autre chose.

Or, c’est précisément là qu’est le danger.

Je me lasse de vous en parler, je deviens désabusé… mais les mesures qui continuent à être appliquées, celles qui s’apprêtent à être prises (la prolongation du pass au-delà du 15 novembre, la généralisation de la troisième dose…), elles, n’ont pas cessé d’être problématiques : elles sont même pires !  

Mais nous sommes habitués. Anesthésiés. Mithridatisés.

C’est ce qui permet à l’inimaginable il y a encore quelques semaines ou mois de se produire sous nos yeux. Pas à pas. Par petites touches. L’air de rien.

Aujourd’hui ce sont des chats qui sont euthanasiés en Chine. Pourquoi pas demain ici en Europe ? Et pourquoi pas, demain, des patients humains ?

Toujours pour la même raison : le « bien collectif ».

Aujourd’hui c’est la Suisse qui propose un billet de 50 pour « inciter » votre ami, votre cousin ou votre petit frère à se faire vacciner. Pourquoi pas la France demain ? Et puis, ce cadeau pour l’incitation ne pourrait-il pas devenir un cadeau pour… délation de non-vaccination ?

Pour le « bien collectif ».

Aujourd’hui c’est la troisième dose qui est obligatoire en Israël. Et demain, pourquoi pas en France ? Et puis, pourquoi pas la quatrième dose, et puis la suivante ?

Vous ne croyez pas à tout cela ?

Mais il y a deux ans, auriez-vous cru au confinement du pays entier ?

Il y a six mois, auriez-vous cru que nos gestes quotidiens seraient déterminés par une injection médicale ?

On vous dira que c’est pour le bien collectif. Même si toutes les données indiquent le contraire.

La Norvège, la Suède, le Danemark, n’ont pas ou plus de pass sanitaire. Y’a-t-il une hécatombe dans ces pays ? Non.

Mais en France, en Suisse, en Italie, en Israël évidemment, les gouvernements soutiennent que c’est la seule voie de sortie possible de la crise.

Ces mêmes pays qui s’assoient allègrement sur le million d’effets secondaires des injections anti-Covid officiellement reconnues par l’OMS… pour la seule Europe.(([7] Plus d’un million d’effets secondaires du vaccin en Europe reconnus par l’OMS – Le Courrier des Stratèges (lecourrierdesstrateges.fr) ))

Oui, la mithridatisation, l’anesthésie, la lassitude, sont dangereuses. C’est cela qui nous fait baisser la garde : nous sommes choqués, révoltés au départ (certains d’entre nous en tout cas). Puis résignés. Puis habitués.

Mais la force de l’habitude ne change rien au caractère moralement indigne de cette politique de santé, ni surtout aux dégâts qu’elle provoque.

Le caractère choquant de mon mail reflète mon dégoût quand j’ai appris l’euthanasie de ces animaux. Que cela me choque, m’a rassuré : je ne suis pas entièrement mithridatisé.

Peut-être vous non plus, si vous avez ouvert ce message.

Alors… Alors il faut continuer. Je continue à protester par ces lettres et surtout à lutter, à ma modeste échelle, contre les dégâts provoqués par cette insensée politique sanitaire.

Que faire contre cet empoisonnement ? Distribuer l’antipoison

Je ne peux pas immobiliser ce rouleau-compresseur qu’est l’injection en masse, voulue par un accord gouvernemental et pharmaceutique, d’un produit médical dont les effets secondaires commencent à être aussi effrayants que documentés.

Mais je peux, je l’espère, réunir les moyens de vous aider à prévenir et traiter ces effets secondaires si, pour X raison, vous vous êtes fait vacciner ou connaissez quelqu’un qui en souffre.

Ces moyens, je ne les sors pas de mon chapeau : il s’agit de solutions appliquées par des thérapeutes intègres et courageux, qui sont aujourd’hui dans une situation de résistants face à une armée d’occupation : ils continuent à traiter leurs patients, coûte que coûte, et surtout en bravant les intimidations, les menaces.

Portez-vous bien,

Rodolphe Bacquet





Pourquoi deviendrait-il si urgent de faire abolir la peine de mort à l’échelle internationale ??

Par Diane Vincero

Est-ce qu’au vu des milliers de plaintes pour crimes contre l’Humanité, déposées dans tous les pays (à l’échelle nationale, comme européenne, comme internationale), les dirigeants français (entre autres) ne pendraient pas conscience que leur tête est mise à prix, au sens littéral du terme ??

Donc, voilà un abus supplémentaire, une volonté supplémentaire de la part des dirigeants d’aménager les lois dans le sens qui les arrange. Tout cela présenté, une fois de plus, de façon très mielleuse, très onctueuse, en mettant en avant que « la peine de mort est une peine honteuse », et bla-bla…

Et les centaines de milliers de morts et de handicaps graves provoqués par l’obligation vaccinale covid, c’est quoi ??? N’est-ce pas pire qu’un meurtre « habituel », dans le sens où ces meurtres là, par la vaccination, ont été commis SCIEMMENT, sous une apparence mielleuse, onctueuse, de « vouloir protéger le peuple » alors que partout ont été soulevés ces effets catastrophiques de cette vaccination !!!! 

Lorsque les procès éclateront, tous ces dirigeants voudront encore se cacher, comme d’habitude, derrière de « beaux principes, bien mielleux » qui seront : « nous ne savions pas que les vaccins pouvaient entraîner tous ces effets secondaires, on nous l’avait caché. », « Nous avons pris soin de nous appuyer sur la HAS », etc., etc.. 

Mais, ce manège ne tient pas, puisqu’eux et nous savons les liens TRÈS étroits entretenus DEPUIS DES DÉCENNIES entre Big Pharma et toutes ces « autorités de santé », ces conseils de l’ordre des médecins, ces personnalités politiques, etc., etc., etc. qui montrent bien que l’intérêt de toutes ces personnes n’était certainement pas dans la protection du peuple (et ce à l’échelle mondiale). 

D’ailleurs, première décision extrêmement honteuse, scandaleuse qui est d’avoir accordé à Big Pharma, et ce dès 2003 (environ) que les laboratoires pharmaceutiques soient dégagés de toute responsabilité en cas d’effets secondaires engendrés par leurs vaccins !!!!!! Qui les a dégagés de ces responsabilités ??? Les politiques…….

Mais encore une fois, qui parmi les citoyens ordinaires est dégagé de toute responsabilité sur les conséquences de ses actes ??????!!!! Vous n’avez qu’à regarder la tornade d’amendes qui s’abat actuellement sur les automobilistes qui osent dépasser légèrement les limitations de vitesse drastiques qui viennent d’être mises en place : pour le « moindre clignement d’œil de travers », le citoyen lui est sanctionné. 

Il est question par ailleurs d’augmenter les sanctions pour les non-vaccinés avec des amendes lourdes.

Donc, les dirigeants sont excellents quand il s’agit de donner des leçons, de sanctionner à tout va, en se cachant systématiquement derrière le masque de prétextes onctueux « pour le bien du peuple », mais comme ils devront répondre de leurs actes et décisions, ils anticipent déjà la levée de toute responsabilité….

D’ailleurs, il vient d’être question de dégager les dirigeants français de toute responsabilité dans la campagne covid !!!

Mais arrêtez !!!!!!!!! Cela dépasse l’entendement !!!!! 

Dans les corps de métier régaliens, il y a des devises comme « Force et Honneur », « Honneur et Patrie », etc., etc.  

Donc, on bourre le mou des policiers, gendarmes, militaires, de devises vertueuses, de valeurs, ALORS QUE PENDANT CE TEMPS, LES DIRIGEANTS EUX, BAFOUENT TOUTE ÉTHIQUE, TOUTES LES VALEURS FONDAMENTALES, etc., etc. SOUS NOS YEUX !!!!!!!!!!!! 

Où est leur force ? Où est leur probité ? Où est leur honneur ??? Ils ont été jusqu’à obliger les médecins à ne pas utiliser des traitements qui guérissent du covid, et les ont amenés à vacciner, alors que la devise des médecins est « Primum non nocere » (« d’abord, ne pas nuire »).

Au passage, on peut lire dans Wikipedia que

« Un ministère régalien est un ministère qui répond aux fonctions régaliennes de l’État, c’est-à-dire les fonctions dont la responsabilité doit normalement être prise par l’État et qu’il ne doit pas déléguer à des sociétés privées1. »

Alors pourquoi certaines amendes, etc., etc. sont-elles confiées à des sociétés privées ???

STOP !!! STOP !!!

Dirigeants, vous avez dépassé les bornes depuis plus de 18 mois !!!

En conclusion : cessez de vous cacher derrière de prétendues bonnes intentions et assumez vos responsabilités, comme l’éducation nationale l’enseigne aux enfants dès la maternelle….. Vous n’êtes pas des enfants de maternelle, et, vous n’en avez aucunement l’innocence… Si vous avez pu leurrer une catégorie de population, les autres voient clair dans votre jeu !!!! 

La manipulation destructrice fonctionne en 3 étapes : mettre en avant de « beaux principes » avec des arguments tellement onctueux qu’on pourrait y croire. Ensuite, on culpabilise à tout va « vous êtes de mauvais citoyens, des non-vaccinés, des délinquants routiers, vous coûtez cher à la SS, etc., etc., etc. », et enfin, il y a l’argent, le nerf de la guerre ; ici en l’occurrence, les milliards que gagne Big Pharma avec ses vaccins, ses médicaments, etc., etc., etc.

Un exemple, quand on parle du « trou de la SS » : comment expliquer que les médicaments déjà anciens qui ne coûtent plus rien sont retirés du marché, alors qu’ils fonctionnaient très bien chez les patients, et ce, au profit de « nouvelles » molécules qui coûtent très cher ??????? Si on regardait de près ce mode de fonctionnement entre Big Pharma, les dirigeants de la SS et les dirigeants politiques, on serait certainement très surpris de tout ce qui se passe depuis des décennies…




Québec, où ceux qui recommandent des vitamines sont accusés d’exercice illégal de la médecine, mais les journalistes qui poussent à la vaccination ne le sont pas

[Source : Le Tribunal de l’infaux (tribunaldelinfaux.com)]

Exercice illégal de la médecine pour les pushers de vitamines, mais pas de vaccins

Les journalistes et les élus peuvent-ils dire aux gens « allez vous faire vacciner »? N’est-ce pas un acte réservé aux médecins que de suggérer un traitement médical?

C’est ce qu’a déclaré en mars dernier la juge Duchesneau dans l’affaire Maison Jacynthe, reconnue coupable d’exercice illégal de la médecine.

Dans son jugement, la juge a clairement dit que le simple fait de suggérer un traitement et d’affirmer qu’il améliorerait la santé étaient des actes réservés aux médecins.

Armée de cette jurisprudence, l’auteure de ces lignes a donc vérifié auprès du Collège des médecins en quoi consiste l’exercice illégal de la médecine avant de faire une plainte contre Richard Martineau, Denise Bombardier et Vincent Marissal, lesquels ont tous dit aux gens « aller vous faire vacciner ». Mme Bombardier l’a même suggéré au ministre de la Santé, disant qu’il devrait le faire pour « rassurer les autres », alors que M. Martineau est allé jusqu’à dire « vous allez vous sentir bien » après la piqûre.

La responsable des relations avec les médias du Collège des médecins, Leslie Labranche, a confirmé que « toute personne qui n’est pas médecin ne peut en aucun cas suggérer un traitement contre une maladie » et que cela comprend « les médicaments vendus sans ordonnance comme les produits naturels, les vitamines ou, par exemple, un sirop pour le rhume ».

Une fois l’information sur l’exercice illégal corroborée par le Collège, l’auteure a fait parvenir à ce dernier une plainte formelle, laquelle a été immédiatement rejetée par le responsable des enquêtes en exercice illégal de la médecine, Marc Legault, vétéran de la Gendarmerie Royale du Canada et des Forces armées canadiennes.  

Étrangement, le vétéran est incapable de faire la différence entre un ordre et une opinion. Voici sa réponse à la plainte :

« Le fait qu’une personne a une opinion sur le vaccin, qu’il soit pour ou contre, cela ne consiste pas de l’exercice illégal de la médecine. »

L’auteure a tenté de lui expliquer que l’impératif est employé pour donner des commandements, pas des opinions. Elle lui a rappelé au passage que, dans leurs publicités, il est interdit aux pharmaceutiques de suggérer aux téléspectateurs de prendre les médicaments promus, puisque cela équivaut à prescrire. La prescription est un acte réservé aux médecins, de là la mention systématique dans les publicités : « parlez-en à votre médecin ».

L’auteure a voulu confirmer que s’il est légal pour n’importe quel quidam de dire « allez vous faire vacciner », l’inverse est aussi vrai. Que vous soyez livreur de pizza ou astronaute, vous pouvez dire aux gens de ne pas se faire injecter avec un traitement expérimental dont la « mortalité inédite dans l’histoire de la médecine moderne » est passée sous silence dans les médias. Non?

Homme de peu de mots, M. Legault a réitéré sa compréhension très suspecte du langage et sa réponse demeure nébuleuse :

« La section d’exercice illégal de la médecine ne va pas faire enquête sur des gens qui recommandent de prendre le vaccin, ou faire enquête sur des gens qui sont contre le vaccin. »

(Soulignements ajoutés)

Est-ce dire qu’il est légal de suggérer des injections, mais illégal de suggérer le contraire? Est-il légal d’être contre les injections, mais illégal de suggérer de ne pas les prendre?

M. Legault a signifié qu’il n’a « rien d’autre à ajouter », donc la question demeure sans réponse pour l’instant.

Nous vivons à une époque démente où des médecins se font menacer de sanctions parce qu’ils s’expriment sur leur champ de compétences, alors que des journalistes peuvent recommander des traitements expérimentaux à toute la population.

Voici tous les échanges dans l’ordre, lesquels démontrent une fois de plus que chaque jour de la Saga covidienne mélange avec brio l’absurde de Kafka et l’ubuesque de Ionesco.


De : Julie Levesque <XXXXXXX>
Envoyé : 7 juillet 2021 10:01
À : Marc Legault <MLegault@cmq.org>; Info <info@cmq.org>
Objet : Question sur l’exercice illegal de la médecine

Bonjour,

Je suis journaliste indépendante et j’aimerais vérifier avec vous ce qui constitue un exercice illegal de la médecine.

En mars dernier, Maison Jacynthe a été condamnée pour exercice illegal de la médecine. Dans le jugement, on peut lire:

“[43]     Par conséquent, le fait de soigner ou prétendre soigner une personne qui croit ou prétend souffrir d’un problème de la santé par un traitement quelconque lorsque l’on n’est pas médecin constitue de l’exercice illégal de la médecine.

[44]      Il en va de même de poser un diagnostic ou suggérer un traitement dans le but de pallier à un problème de santé[14]. En fait, le seul fait de laisser entendre que l’on peut améliorer la santé suffit[15].

[45]      Diagnostiquer les maladies, déterminer le traitement médical et le prescrire constituent donc des actes réservés[16].”

(Vous trouverez le jugement ici:
https://www.canlii.org/fr/qc/qccq/doc/2021/2021qccq1874/2021qccq1874.html?searchUrlHash=AAAAAQAPbWFpc29uIGphY3ludGhlAAAAAAE&resultIndex=1#_edn15)

Selon ce jugement, je comprends que toute personne qui n’est pas médecin ne peut en aucun cas suggérer un traitement contre une maladie. Est-ce que cela comprend les médicament vendus sans ordonnance comme les produits naturels, les vitamines ou, par exemple, un sirop pour le rhume?

Je vous remercie d’avance pour votre réponse.

Cordialement,

Julie Lévesque

Montréal, le 3 octobre 2021

Julie Lévesque
XXXXX

Dr Mauril Gaudreault
Président
Collège des médecins du Québec
1250, boul. René-Lévesque Ouest, bureau 3500,
Montréal (Québec) H3B 0G2

Objet : Plainte contre Richard Martineau, Denise Bombardier et Vincent Marissal pour exercice illégal de la médecine

Monsieur,

À l’émission de Richard Martineau le 16 mars 2021, Denise Bombardier a affirmé à deux reprises que « le ministre [Christian Dubé] devrait aller se faire vacciner […] pour l’exemplarité de la chose, il devrait aller se faire vacciner pour rassurer les gens ».

Richard Martineau lui a répondu qu’« il faut vraiment enfoncer le message que c’est très important de se faire vacciner ». 

Dans sa chronique du 25 mars 2021, M. Martineau a dit : « Allez vous faire vacciner, vous allez vous sentir tellement bien ensuite. »

Dans une publication Facebook le 23 avril 2021, le député de Rosemont Vincent Marissal a écrit : « N’hésitez pas, allez vous faire vacciner! ».

Selon le site du Collège des médecins, ces propos constituent un exercice illégal de la médecine, puisque Mme Bombardier, [M. Marissal] et M. Martineau se livrent à une activité réservée aux médecins.

La juge Nathalie Duchesneau l’a clairement exprimé dans sa décision dans Collège des médecins du Québec c. Limoges : « […] suggérer un traitement dans le but de pallier à un problème de santé [et] le seul fait de laisser entendre que l’on peut améliorer la santé suffit » pour constituer un exercice illégal de la médecine. Elle ajoute : « […] déterminer le traitement médical et le prescrire constituent donc des actes réservés ».

Dans un courriel au Collège des médecins le 7 juillet 2021, j’ai posé la question suivante :

« Selon ce jugement, je comprends que toute personne qui n’est pas médecin ne peut en aucun cas suggérer un traitement contre une maladie. Est-ce que cela comprend les médicaments vendus sans ordonnance comme les produits naturels, les vitamines ou, par exemple, un sirop pour le rhume? »

La réponse de Leslie Labranche, conseillère principale – relations médias de la Direction des communications et des affaires publiques du Collège, est sans équivoque. Elle répond : « C’est exact. »

Si « toute personne qui n’est pas médecin ne peut en aucun cas suggérer un traitement contre une maladie » incluant « des médicaments vendus sans ordonnance », cela est d’autant plus vrai en ce qui concerne les vaccins.

Mme Bombardier suggère d’ailleurs que le ministre de la Santé devrait se faire vacciner, non pas pour un quelconque bienfait pour sa santé, mais seulement « pour rassurer les gens ». Je n’ai pas trouvé d’article se rattachant à cette situation particulière dans le Code des professions ni dans la Loi médicale, mais je suppose que si un non-professionnel ne peut pas suggérer un traitement pour pallier un problème de santé, il ne devrait pas pouvoir suggérer à quelqu’un de prendre un traitement uniquement dans le but rassurer d’autres personnes sur son innocuité.

Je souhaite donc déposer une plainte formelle contre Richard Martineau, Denise Bombardier et Vincent Marissal, respectivement chroniqueur et chroniqueuse chez Québecor, et député de Rosemont pour exercice illégal de la médecine.

Vous trouverez ci-dessous une copie de mon échange avec Leslie Labranche.

Merci de confirmer la réception de ce courriel et de m’indiquer la marche à suivre pour cette plainte.

Veuillez agréer, Monsieur, mes salutations distinguées.

Julie Lévesque

De : Julie Levesque <XXXXXX>
Envoyé : 5 octobre 2021 12:09
À : Marc Legault <MLegault@cmq.org>
Objet : Objet : Collège des médecins

Bonjour M. Legault,

Merci pour votre réponse rapide.

Je vous envoyais cette plainte à titre de citoyenne, mais maintenant je me questionne à titre de journaliste indépendante et au nom de la Fondation pour la défense des droits et libertés du peuple, qui a intenté plusieurs recours contre le gouvernement du Québec en lien avec la crise actuelle.

Je suis un peu confuse puisque votre opinion semble contredire celle de votre collègue Leslie Labranche et de la juge Nathalie Duchesneau, pour qui « suggérer un traitement dans le but de pallier à un problème de santé » constitue un exercice illégal de la médecine.

Mme Labranche m’a même confirmé que suggérer des médicaments vendus sans ordonnance constitue un acte réservé aux professionnels de la santé. Je comprends mal comment le fait de suggérer un vaccin ne l’est pas.

Vous dites que les trois personnes visées par ma plainte expriment une opinion, mais il s’agit plutôt d’un commandement ou d’une forte recommandation puisqu’elles emploient toutes l’impératif, par exemple, « allez vous faire vacciner ». Selon Le Robert, l’impératif est un « [m]ode grammatical qui exprime le commandement et la défense ».

D’ailleurs, les publicités de médicaments comportent toutes la mention « parlez-en à votre médecin », justement parce qu’une compagnie pharmaceutique « ne peut pas ordonner directement à des téléspectateurs de prendre [un médicament] ».

Le Center for Health Journalism explique clairement cette mention. Il s’agit d’une couverture « éthique » et « légale », puisqu’ordonner à quelqu’un de prendre un médicament équivaut à prescrire :

« What does “Talk to your doctor” (TTYD) mean? Essentially, it’s a legal and ethical security blanket. Only people with medical licenses can prescribe medication or provide care. Pharmaceutical companies can’t directly instruct TV viewers to take Enbrel; that would be prescribing. » 

https://centerforhealthjournalism.org/2015/09/21/world-full-drug-ads-and-online-advice-talk-your-doctor-more-clich%C3%A9

Cela correspond à la définition de la juge Duchesneau :

 « Le mot “prescrire” correspond, dans son sens courant, au mot “recommander[20] et suppose que cette recommandation est faite de manière verbale ou écrite[21]. »

https://www.canlii.org/fr/qc/qccq/doc/2021/2021qccq1874/2021qccq1874.html?searchUrlHash=AAAAAQAPbWFpc29uIGphY3ludGhlAAAAAAE&resultIndex=1#_edn15

Parmi les actes réservés aux médecins cités dans l’article 31 de la Loi médicale figurent :

« 2°    prescrire les examens diagnostiques;

4°    déterminer le traitement médical;

5°    prescrire les médicaments et les autres substances;

6°    prescrire les traitements »

Si « ordonner » et « recommander », c’est « prescrire », les trois personnes visées par ma plainte, en ordonnant ou en recommandant aux gens d’aller se faire vacciner, ont prescrit des vaccins, donc ont exercé illégalement la médecine.

Vous dites cependant que ce n’est pas le cas.

Vous dites : « Le fait qu’une personne a une opinion sur le vaccin, qu’il soit pour ou contre, cela ne consiste pas de l’exercice illégal de la médecine. »

Si je comprends bien votre point de vue, le fait d’ordonner ou de recommander fortement à la population de se faire vacciner parce qu’elle en tirera des bienfaits ou simplement pour rassurer les autres ne constitue pas un exercice illégal de la médecine, mais une simple opinion.

Si c’est le cas, l’inverse est aussi vrai. Une personne qui n’est pas un professionnel de la santé peut ordonner ou suggérer fortement à la population de ne pas se faire vacciner parce que les risques sont plus grands que les bénéfices, puisqu’il s’agit d’une opinion sur les vaccins.

Pourriez-vous me confirmer que c’est effectivement le cas?

Merci d’avance pour vos explications.

Cordialement,

Julie Lévesque




Le scandale des pots-de-vin de Big Pharma éclate en Australie, entraînant la chute de six fonctionnaires corrompus et du Premier ministre australien Berejiklian

[Source : resistance-mondiale.com]

Gladys Berejiklian et plus d’une demi-douzaine de membres du personnel de la Nouvelle-Galles du Sud et de l’Australie ont démissionné, honteux de leur implication dans un vaste programme de corruption contre le coronavirus de Wuhan (Covid-19).

Berejiklian et ses camarades auraient reçu des dizaines de millions de dollars de Big Pharma en échange d’avoir poussé les blocages et maintenant les « vaccins », détruisant d’innombrables vies et entreprises dans le processus.

Selon un ancien membre du parlement australien, Pfizer et AstraZeneca ont tous deux payé des lobbyistes pour imposer des vaccins à la population, assurant ainsi un flux constant de profits mal acquis.

Juste avant sa démission, Berejiklian a été vue sur un écran géant à Qudos Bank Arena à Sydney en train de dire aux enfants qui étaient rassemblés dans le cadre d’une campagne de vaccination de masse qu’il est nécessaire de se faire piquer contre le virus chinois pour rester “en sécurité” et “en bonne santé”. . “

Clive Palmer, chef du United Australia Party, a déclaré qu’on avait promis à Berejiklian qu’elle ne serait pas inculpée dans une enquête pour corruption si elle imposait une obligation vaccinale. Elle aurait accepté cette offre et aurait depuis démissionné de son poste.

Il y a fort à parier que ce n’est que la partie émergée de l’iceberg, et que d’autres inculpations et démissions sont à venir, tant en Australie qu’à l’étranger. Peut-être que toutes ces révélations entraîneront bientôt la fin des obligations vaccinales et du pass sanitaire.

Toute la cabale du covid doit être abattue à la hâte

Berejiklian affirme que c’était une “décision difficile” pour elle de démissionner, juste après qu’un groupe de surveillance de la corruption a annoncé qu’il enquêtait sur sa “faute présumée”.

Son vice-Premier ministre John Barilaro a également démissionné, citant la pression constante des médias et une affaire de diffamation en cours contre le YouTuber Jordan Shanks, qui, selon Barilaro, est une “grande raison” pour laquelle il s’est officiellement retiré de la politique.

Shanks, quant à lui, affirme que Barilaro ment et l’accuse faussement d’être un “raciste”. Barilaro a en outre appelé Shanks “un escroc dans l’âme, propulsé par des spaghettis”.

Avec la disparition de ces deux Covidiens de service, la Nouvelle-Galles du Sud (NSW) serait dans un état de «désarroi politique et de chaos». Beaucoup se demandent ce qui se passera ensuite et dans combien de temps la région pourrait atteindre la « liberté post-Covid ».

En plus de Berejiklian et Barilaro, la Nouvelle-Galles du Sud a perdu un ministre de haut rang et trois membres vétérans du parlement de la Coalition. Il est également prévu qu’un nouveau trésorier remplace l’actuel.

Parfois, le désarroi politique et le chaos sont nécessaires pour extirper les serpents, et on ne peut qu’espérer que la même chose se produise aux États-Unis. À l’heure actuelle, les Américains doivent faire face à un régime illégitime qui n’a pas été légalement élu, mais qui essaie de forcer le pays à la même tyrannie qui a été imposée en Nouvelle-Galles du Sud.

Avec cette vague de démissions, l’espoir est que ceci se répande dans le monde entier à chaque endroit où la tyrannie de la grippe Fauci balaie le pays. Nous, le peuple, devons faire pression pour que chaque dernier criminel covid démissionne ou soit renvoyé – sans exceptions.

« Vous savez, quand cette histoire de virus a débuté et que j’ai commencé à entendre des choses sur « Big Pharma », j’étais sceptique », a admis un commentateur de Creative Destruction Media sur ce qu’il ressentait au tout début de tout cela.

« Mais maintenant, je suis convaincu que tout cela est une arnaque de plusieurs milliards de dollars. Maintenant, nous obtenons enfin des preuves et une connaissance d’initié de la corruption impliquée et c’est vraiment TRÈS laid. »

Les dernières nouvelles sur l’onde de choc des démissions qui vont probablement arriver alors que de plus en plus de fraudes au coronavirus de Wuhan (Covid-19) sont exposées peuvent être trouvées sur Collapse.news.

Les sources de cet article incluent :

Traduction de l’article :

Big Pharma payola scandal erupts in Australia takes down six corrupt officials and Australian Premier Berejiklian – NaturalNews.com




Une véritable bombe : le « Vaccine Death Report » du Dr. Vladimir Zelenko enfin traduit en français !

[Source : Sott.net]

Voici le fameux rapport au format PDF du Dr. Vladimir Zelenko qui a soigné Trump ainsi que d’autres hommes politiques et nombre de patients avec l’hydroxychloroquine entre autres…

zelenko
Dr Vladimir Zelenko

On peut considérer ce document comme l’analyse et le résumé les plus importants de ce qui se passe sur la planète, où ces mondialistes génocidaires entreprennent des meurtres de masse à une échelle sans précédent qui dépasse l’entendement. Nous sommes dans une guerre contre le mal, dont l’objectif principal est le contrôle et la mort.

Existe-t-il des preuves des millions de décès et d’événements indésirables graves résultant des injections expérimentales de COVID-19 ?

Par David John Sorensen & Dr. Vladimir Zelenko, M.D- Septembre 2021.

BUT : L’objectif de ce rapport est de montrer comment, dans le monde entier, des millions de personnes sont mortes et des centaines de millions d’événements indésirables graves se sont produits après des injections de la thérapie génique expérimentale à ARNm. Nous révélons également le risque réel d’un génocide sans précédent.

FAITS : Notre objectif est de ne présenter que des faits scientifiques et de nous tenir à l’écart des affirmations non fondées. Les données sont claires et vérifiables. Des références peuvent être trouvées avec toutes les informations présentées, qui sont fournies comme point de départ pour une enquête plus approfondie.

COMPLICITÉ : Les données suggèrent que nous sommes peut-être en train d’assister au plus grand meurtre de masse organisé de l’histoire de notre monde. La gravité de cette situation nous oblige à poser cette question cruciale : nous lèverons-nous pour défendre des milliards d’innocents ? Ou préférerons-nous le profit personnel à la justice, et serons nous complices ? Des réseaux d’avocats du monde entier préparent des actions collectives en justice pour poursuivre tous ceux qui servent cet agenda criminel. À tous ceux qui ont été complices jusqu’à présent, nous disons : il est encore temps de se retourner et de choisir le camp de la vérité. S’il vous plaît, faites le bon choix.

À L’ÉCHELLE MONDIALE : Bien que ce rapport se concentre sur la situation aux États-Unis, il s’applique également au reste du monde, car le même type d’injections expérimentales avec des taux de mortalité similaires – et des systèmes de corruption comparables pour cacher ces chiffres – est utilisé dans le monde entier. C’est pourquoi nous encourageons tout le monde dans le monde à partager ce rapport. Puisse-t-il être un signal d’alarme pour l’ensemble de l’humanité.

Source de l’article : Le Grand Réveil

N’hésitez donc pas à consulter ce rapport ci-dessous au format pdf :

[Voir aussi :
Le Dr Zelenko qui a soigné 6000 patients de la Covid alerte sur les « vaccins »
Dr Zelenko — l’interview qui révèle tout]




Nous devons collecter toutes les preuves de la forfaiture de nos élites

Par Alain Tortosa

Nous devons collecter toutes les preuves de la forfaiture de nos élites.
Nous devons nous préparer activement à contrer le fameux « on ne savait pas ».
Quand la dictature va tomber, les responsables
et les complices vont plaider l’obéissance aux ordres et l’ignorance.

Comme après la Deuxième Guerre mondiale : « On savait pas qu’il y avait des camps, si on avait su… ».

J’en appelle à moi-même et à tous les résistants qui œuvrent depuis des mois pour le rétablissement de la vérité scientifique et des droits de l’homme. Lors de la prochaine débâcle nous allons assister à une destruction massive des preuves, à la suppression d’archives et à une tentative inédite de réécriture de l’histoire. À ce titre je voudrais saluer l’initiative de Crowdbunker, parmi d’autres, qui archive de nombreuses vidéos déjà censurées ou qui le seront bientôt. Quand la dictature va se fissurer, un maximum de « collabos » vont retourner leur veste, mentir, détruire des preuves, pour tenter de passer pour des « résistants ». Il est encore temps, car ils se croient invincibles et pensent être à l’abri de toute démocratie.

Nous devons donc archiver toutes les interviews écrites et audiovisuelles qui les incriminent, mais aussi toutes les preuves qui attestent que les données étaient connues depuis le mois de mars 2020 et même avant pour certaines.

Le travail est titanesque, ne serait-ce qu’en France, quand on pense au nombre de médecins, ministres, politiques, personnes d’influences (artistes…), enseignants, journalistes, préfets, juges, policiers, gendarmes, juristes, fonctionnaires, enseignes commerciales… qui ont manipulé, menti, traqué, condamné, pour contraindre les honnêtes gens à accepter l’inacceptable. Nous allons devoir réécouter et relire toutes les interventions télévisuelles ou écrites et archiver toutes les prises de paroles de chacun.

Il y a probablement des dizaines de milliers de complices en lumière ou de l’ombre qui devront répondre devant la justice quand elle sera enfin de retour.

La méthode de défense des personnes incriminées sera double, comme d’habitude…

  • L’obéissance à la hiérarchie. Il n’y a pas grand-chose à dire sur cette défense des lâches. Les textes de loi existent déjà et nul ne peut se réfugier derrière sa hiérarchie avec son « je n’ai fait qu’obéir aux ordres ». Nous pourrons d’ailleurs amener la preuve que de nombreux « collabos » sont allés bien au-delà des ordres et des lois scélérates. Ils ont fait du zèle dans tous les échelons de l’administration.
  • Le manque de données. C’est là le gros du travail d’archives. Toutes les pourritures de la plus insignifiante à la plus corrompue, de la plus débile à la plus décorée, ne manqueront pas de dire « on ne savait pas » pour l’ensemble des horreurs qu’ils ont imposé ou encouragé. Il va donc falloir apporter tous les éléments de preuves attestant des mensonges. Ils auront beau chercher, ils n’arriveront pas à prouver l’agissement par ignorance. Soit nous amènerons la preuve que l’on savait, soit nous amènerons la preuve qu’il y avait doute sans consensus. Pour les sujets où il pouvait demeurer ce doute, pourquoi le principe de précaution a-t-il été systématiquement balayé au profit de la mesure la plus dictatoriale possible et dont les conséquences néfastes étaient connues par avance pour un bénéfice hypothétique ? Si nous — résistants, lanceurs d’alerte, soignants, scientifiques, hommes de loi, simples citoyens — savions… alors eux aussi pouvaient disposer des mêmes connaissances et ceci d’autant plus qu’ils étaient proches du pouvoir et des sphères d’influence.

Et les mensonges ne manquent pas !

  • Mensonges et manipulation de l’opinion publique en usant systématiquement de la peur.
  • Mensonges sur l’honnêteté des laboratoires pharmaceutiques, du lobbying et de la corruption.
  • Mensonges en niant la corruption des médecins, soignants, artistes, restaurateurs, entreprises, politiques, fonctionnaires, etc. dont on a acheté le silence à coup de milliards d’euros.
  • Mensonges sur la « certitude » de l’origine du virus.
  • Mensonges sur la prétendue indépendance de l’OMS.
  • Mensonges sur l’ampleur de la crise et son aspect prétendument « exceptionnel ».
  • Mensonges sur les publics touchés, les personnes à risque.
  • Mensonges sur la dangerosité intrinsèque du virus.
  • Mensonges sur le taux d’incidence.
  • Mensonges sur le nombre de vrais malades du Covid..
  • Mensonges sur le nombre d’hospitalisations pour Covid.
  • Mensonges sur le nombre et le pourcentage de personnes en réanimation (soin intensif).
  • Mensonges sur le nombre de morts imputés au Covid.
  • Mensonges sur l’absence de traumatismes chez les enfants.
  • Mensonges sur la prétendue efficacité des gestes barrières.
  • Mensonges sur la prétendue efficacité du masque.
  • Mensonges sur la prétendue innocuité du masque.
  • Mensonges sur la prétendue efficacité des confinements.
  • Mensonges sur la prétendue efficacité du couvre-feu.
  • Mensonges sur la prétendue efficacité de la fermeture des commerces dits non-essentiels.
  • Mensonges sur l’absence affirmée de traitements.
  • Mensonges sur la dangerosité de molécules inoffensives.
  • Mensonges et omerta sur les personnes âgées interdites de traitements et tuées au Rivotril.
  • Mensonges pour promouvoir l’interdiction d’accès aux soins.
  • Mensonges pour interdire aux médecins de prescrire.
  • Mensonges sur la prétendue ouverture de lits d’hospitalisation quand on les fermait.
  • Mensonges pour tuer la réputation de médicaments efficaces et « gratuits ».
  • Mensonges sur l’absence de conflits d’intérêts des « spécialistes ».
  • Mensonges pour promouvoir des molécules dangereuses (et inefficaces).
  • Mensonges sur le mythe de l’immunité vaccinale de masse.
  • Mensonges sur la prétendue impossibilité d’une immunité naturelle de masse.
  • Mensonges pour dénigrer l’AstraZeneca au profit de l’ARN Messager.
  • Mensonges sur la prétendue efficacité des thérapies dites vaccinales.
  • Mensonge sur la prétendue innocuité de ces substances expérimentales et ARNm.
  • Mensonges pour faire croire au public que les tests de sécurité avaient été conduits.
  • Mensonges pour camoufler ou interdire la remontée des effets secondaires graves des injections.
  • Mensonges sur la prétendue absence de mortalité post-vaccinale.
  • Mensonges pour vendre de la 3e dose de vaccins non mis à jour.
  • Mensonges sur les annonces disant qu’il n’y aurait jamais de passe sanitaire.
  • Mensonges identiques concernant l’obligation vaccinale.
  • Mensonges sur la prétendue efficacité du passe-sanitaire qui ne vise que l’obligation vaccinale et l’extorsion du consentement.
  • Mensonges sur le fait que le passe-sanitaire serait devenu naturel et entré dans les mœurs.
  • Mensonges pour dénigrer toute parole autre.
  • Mensonges sur un prétendu consensus scientifique qui n’a JAMAIS existé.
  • Mensonges pour transformer l’annonce et la parole médiatique en « loi ».
  • Mensonges pour faire du résistant un être asocial, débile, complotiste ou antisémite.
  • Mensonges sur le nombre de personnes opposées aux lois liberticides ou sur le nombre de manifestants.
  • Etc.

Pour amener la vérité factuelle historique et scientifique, nous devons mener de front plusieurs travaux majeurs, mais nous devons surtout créer et centraliser :

  • Un fichier des données scientifiques et statistiques par thème (masque, confinement, traitements, vaccins…) Répertorier et dater les données. Ce travail a d’ores et déjà était largement mené notamment par Reinfocovid.
  • Un fichier de lanceurs d’alertes, de scientifiques, de médecins honnêtes et de juristes. Répertorier et dater les déclarations de chacun qui ont été censurées ou dénigrées.
  • Un fichier d’acteurs et de complices de la dictature. Répertorier et dater les affirmations mensongères, tromperies, manipulations, demandes de privations de liberté, conflits d’intérêts de tel ou tel, etc. C’est probablement le plus gros du travail. Ne serait-ce que pour répertorier tous les acteurs.

C’est par recoupement et corrélation des données scientifiques ou statistiques connues à la date de l’affirmation que nous pourrons prouver le mensonge ou la manipulation et contrer le « on ne savait pas ».

Prenons quelques exemples :

  • Le témoignage d’un « médecin » qui à la date du X affirme que sa hiérarchie lui interdit de signaler les effets secondaires des vaccins.
  • Le témoignage d’un médecin qui affirme traiter ses patients avec succès avec les molécules dénigrées ou interdites.
  • Le témoignage d’un soignant menacé par l’ordre des médecins ou l’ARS.
  • Un maire qui lors du 1er confinement va au-delà de la loi et interdit à ses citoyens de sortir à plus de 100m de chez eux.
  • Un préfet qui rend le masque obligatoire dans des écoles alors même que le protocole sanitaire ne l’impose pas.
  • Un directeur d’école qui ne fait pas enlever les masques lorsqu’ils ne sont plus obligatoires ou qui parque des élèves, les punit s’ils portent mal la muselière.
  • Un rectorat qui n’accepte pas les certificats médicaux d’exemption de port du masque.
  • Un journaliste qui dit que la situation est catastrophique en Suède et que l’absence de confinement est un échec.
  • Un enseignant de sport qui oblige ses élèves à porter un masque durant l’activité sportive.
  • Un commerce qui propose des offres aux clients vaccinés.
  • Un médecin qui incite son patient qui n’est pas à risque à se vacciner alors même que les risques de l’injection sont déjà connus et qu’il ne l’informe pas.
  • Un commerce qui impose le masque à l’intérieur alors même que la loi ne l’oblige pas.
  • Une entreprise qui fait pression pour la vaccination de ses employés en dehors de tout cadre légal.
  • Une entreprise qui licencie un employé pour non-port du masque.
  • Un ministre qui affirme que 80 % des hospitalisés sont non vaccinés.
  • Tel journaliste qui le répète comme étant une vérité.
  • Un médecin qui dénigre une molécule inoffensive et qui fait la promotion d’une autre molécule dangereuse et hors de prix.
  • Un enseignant qui harcèle un enfant pour qu’il porte parfaitement la muselière et ignore ses maux.
  • Un médecin qui est invité des centaines de fois dans les médias alors qu’il a des conflits d’intérêts.
  • Un politique qui vote le confinement, la vaccination obligatoire ou l’urgence sanitaire.
  • Un médecin qui affirme que le port du masque en population générale a prouvé son efficacité.
  • Un journaliste qui reprend à son compte les dépêches AFP sans la moindre vérification.
  • Un membre du conseil scientifique qui ment sur des chiffres.
  • Un épidémiologiste qui promet 400 000 morts dont les prévisions sont systématiquement erronées et qui est réinvité à l’infini.
  • Un politique qui affirme que le confinement a sauvé des vies.
  • Un média qui supprime de ses archives une publication ou une interview en fonction des propos « complotistes » qui ont été tenus.
  • Un « vérificateur » de l’information qui se contente d’interroger uniquement les personnes qui affirment La Vérité Officielle pour « prouver » que l’affirmation contraire est donc une « fake news ».
  • Un journaliste qui affirme que le vaccin est la seule voie vers une immunité vaccinale de masse.
  • (Liste non exhaustive).

Ces quelques exemples montrent à quel point l’entreprise est titanesque à l’échelle d’un pays alors imaginez toute la planète.

Mais c’est en listant les faits scientifiques, en listant les déclarations des résistants et en listant les déclarations des incriminés que nous pourrons acquérir les éléments de preuve. Ainsi à la libération nous serons prêts, nos dossiers seront prêts pour les dizaines de milliers de plaintes individuelles et collectives qui seront déposées. Ce n’est pas à nous de les déclarer coupables ni de les juger ou les condamner, mais c’est à nous d’amener et de faire en sorte qu’aucun complice ne soit oublié et que les preuves ne soient pas « égarées ».

J’invite donc toutes les forces de la résistance à se réunir et commencer à travailler d’arrache-pied sur le sujet. Il faudra sans doute créer une plate-forme commune participative pour mener à bien ce juste projet.

Merci.

Alain Tortosa.

8 octobre 2021 https://7milliards.fr/tortosa20211008-collecter-et-sauvegarder-les-preuves.pdf




Lettre ouverte aux politiques de tous bords, aux députés et sénateurs et candidats à la Présidence

Par N. et G. Delépine(([1] Sur telegram t.me/DrDelepine))

L’état actuel de notre système de soins, des libertés publiques, et en particulier les libertés de soigner et celle d’être soigné, doit investir les débats

Les médias mainstream et les politiques se comportent comme si l’après Covid était acquis et ne posait plus aucun problème.

Ils veulent nous persuader qu’un consensus, une fausse évidence de l’accord de tous pour l’injection génique existerait. Que le respect des libertés fondamentales de circuler, de se réunir, de travailler, la liberté vaccinale, le passe ne serait pas un sujet politique majeur ! De qui se moque-t-on ?

Peut-on à nouveau imaginer une présidentielle sans débat sur le système de soins, la liberté de soigner, comme en 2016, alors que les hôpitaux publics et privés se vident de leur personnel et qu’en conséquence des pans entiers de nos hôpitaux ferment jour après jour et que les déserts médicaux se multiplient ? Les Français en subissent déjà les dégâts avec la suppression continue de lits et la régression de la qualité des soins…

L’apartheid a été instauré aux pays des droits de l’homme ! Au moins vingt-cinq millions de Français se sentent discriminés, les « vaccinaux prudents »(([2] Ceux qui attendent la publication des résultats définitifs des essais en cours qui devraient être terminés en 2023)) mis au ban de la société, dont les 300 000 soignants suspendus ou qui risquent de l’être, et les pompiers, mais aussi au moins cinq millions à dix millions de « malgré nous », les personnes qui ont été contraintes à se faire injecter par extorsion de consentement par un chantage ignoble au droit de travailler, de prendre le train ou l’avion, d’aller au restaurants, au spectacle ou aux musées, de faire du sport en équipe ou en compétition.

Toutes ces personnes ne comprennent absolument pas que la perte de liberté et le pass sanitaire ne soient pas débattus entre candidats déclarés ou putatifs. Dans quel monde vivent-ils, ces politiques ?

D’autant que l’instauration d’un pass a été suivie dans la plupart des cas d’une augmentation importante des nouvelles contaminations quotidiennes comme en Tchéquie :

En Roumanie :

Ou en Autriche :

La vie des exclus est devenue une réclusion volontaire à domicile. Et beaucoup de ceux qui sont titulaires actuels d’un passe craignent de les rejoindre devant la perspective inacceptable d’être soumis à nouvelles injections de plus en plus dangereuses selon toutes les études sérieuses.

La proportionnalité des restrictions rapportées à l’objectif de sauvegarde de la santé publique qu’elles sont censées poursuivre, réclamée par le défenseur des droits, n’est pas respectée puisque d’après les données du réseau sentinelle, l’épidémie est terminée en France.

Ce pass et cette obligation vaccinale ouverte ou cachée via les extorsions de consentement sont inacceptables et d’ailleurs condamnés par le conseil de l’Europe, imposés y compris aux enfants (quand des pays proches comme la Grande-Bretagne ou le Danemark n’en ont pas).

Les violences continues faites aux enfants par le port du masque alors que le coronavirus a disparu sont inacceptables, d’autant que leur suppression dans des pays européens de plus en plus nombreux n’est nulle part suivie d’une reprise de l’épidémie.

Croire que les restrictions majeures injustifiées des libertés publiques et l’obligation de fait du pseudovaccin pour ceux qui veulent poursuivre leurs activités normales n’intéresseraient pas les candidats est un non-sens.

Nous dire que le candidat élu fera ce qu’il faut après l’élection relève de la croyance au Père Noël.

Aucun président ne pourra être élu, sans un positionnement très clair sur ce sujet qui perturbe la vie de tous les habitants. Faire semblant que tout va bien avec le pass et le vax relève de la méthode Coué bien connue des médias et de trop d’élus.

Chaque jour, une nouvelle lettre ouverte aux sénateurs, aux députés, au Président apparaît sur le net de personnes concernées ou de groupes, avec la demande aux citoyens de partager, d’écrire personnellement à nos élus et en particulier aux sénateurs qui doivent examiner le 13 octobre un projet d’obligation étendue chez les nourrissons avec un douzième vaccin qui n’est qu’une thérapie génique EXPÉRIMENTALE avec tous les risques que l’on commence à découvrir et à entrevoir.

Appel de détresse face au projet de vaccination universelle anticovid : lettre ouverte aux sénateurs — Docteur Nicole Delépine (docteur.nicoledelepine.fr) le 22 sept

« Actuellement, en septembre 2021, malgré le spectre des variants, le réseau sentinelle dénombre en France, zéro cas pour 100 000 enfants et 9/100000 chez l’adulte, soit très en dessous des seuils d’alerte qui font habituellement prendre des mesures préventives (173/100000 pour la grippe).

Le vaccin ne permet pas l’immunité collective

Il est malheureusement démontré et reconnu par de multiples agences sanitaires nationales et par l’OMS que les vaccins anticovid actuels ne permettent pas d’obtenir l’immunité collective recherchée par une vaccination universelle. Même le Pr Fischer, son avocat n’y croit plus. Les pays hautement vaccinés font face à une mortalité élevée dans les suites immédiates des campagnes de vaccination ; (…) ».

Il faut cesser l’injection génique : appel de survivants de l’Holocauste à la CPI — Docteur Nicole Delépine (docteur.nicoledelepine.fr) le premier octobre

https://nouveau-monde.ca/appel-au-rassemblement le 5 octobre 2021 avec des modèles de lettres à envoyer aux élus, et voir https://www.comitedesalutpublic.fr/

La commission des lois du Sénat : premier espoir

a rejeté l’amendement qui voulait rendre obligatoire l’injection génique expérimentale, ce qui est réconfortant et justifie la poursuite d’informations venant de multiples sources à nos sénateurs.

[Info Public Sénat] Vaccination obligatoire contre le covid-19 : le texte rejeté en commission au Sénat | Public Senat

Et ce jour, nous partageons un nouvel appel à cesser ces injections mortifères écrit par un professeur des universités, chirurgien, résumant l’avis de très nombreux confrères qui le félicitent largement.

Le Professeur Jean Gabriel Balique, Membre de l’Académie Nationale de Chirurgie(([3] jgbalique@gmail.com))

À propos du projet d’obligation vaccinale. Lettre ouverte Le 2 octobre 2021 Mesdames les Sénatrices, Messieurs les Sénateurs, Mesdames les Députées, Messieurs les Députés,

« Au moment où vous allez discuter de l’obligation vaccinale, il est de mon devoir en tant que médecin, père et grand-père, de vous alerter sur la catastrophe sanitaire qui se déroule sous nos yeux, à l’ombre des autorités de tutelle.

Je précise d’emblée que je ne suis ni complotiste ni anti-vaccin (je me fais régulièrement vacciner contre la grippe et je n’ai pas des a priori envers les vaccins “classiques” rendus obligatoires dans notre pays).

Le vaccin contre la Covid 19, en novembre 2020, devait nous sauver et nous ramener à une vie normale. Maintenant que nous avons du recul, il devient plus “facile” de faire le bilan du bénéfice-risque de la stratégie vaccinale.

La première constatation qui s’impose est que le “vaccin” ne protège pas et n’empêche pas de contaminer (cf. déclaration du Ministre de la Santé Olivier Véran devant le Conseil d’État au mois d’avril 2021). »

COMMENTONS CE PASSAGE

L’exemple d’Israël que nos autorités ont pris comme modèle montre qu’une couverture vaccinale record et des restrictions sévères ne préviennent pas une récidive de l’épidémie avec une intensité accrue avec des hospitalisations en hausse et des réanimations débordées de personnes vaccinées ! On ne cite plus Israël actuellement ! Une étude parue dans European Journal of Epidemiology le 30 septembre 2021 confirme que les pays où le pourcentage de population vaccinée est le plus élevé, ont un nombre de cas de Covid-19 pour 1 million d’habitants plus élevé (exemple Israël, Portugal, Islande…).

Suite de la lettre ouverte du Pr Balique

« Nous n’avons jamais vu en médecine imposer un traitement ou une vaccination qui ne marche pas (sauf pour les personnes à risque où la balance bénéfice/risque est différente). Ceci ne serait pas dramatique si cette stratégie n’était pas à l’origine de complications graves, mortelles, inadmissibles et éthiquement insupportables pour tout médecin qui, tous les jours, se bat, pour soulager et soigner des patients.

Les médecins “du terrain” croient encore au serment d’Hippocrate qui a été leur guide depuis des siècles et que les politiques les obligent à bafouer.

Les principes fondamentaux du serment, dont “primum non nocere” (avant tout ne pas nuire), le secret médical, le consentement libre et éclairé… ont été écartés d’un revers de main par décret. Comme vous le savez, ce vaccin est en cours de phase d’expérimentation, phase 3 de mise au point d’un médicament. Maintenant que cette phase, déclenchée au niveau mondial, a du recul, les médecins du terrain voient apparaître de nombreuses complications.

Au 2 octobre 2021, l’agence européenne du médicament, l’EMA, recensait 26 523 décès liés formellement au vaccin et 2 millions de complications dont 1 million graves.

Ces chiffres ne représentent qu’une partie des cas observés. En France, l’Agence nationale du médicament (ANSM) dans son rapport du 16 septembre 2021 rapporte 22 559 cas graves parmi lesquels des décès. De nombreux cas ne sont pas rapportés pour différentes raisons.

En France, l’expérience du terrain rapportée par les médecins de ville et hospitaliers montre clairement l’accroissement des complications survenant dans les semaines suivant la vaccination : de nombreux cas de paralysie faciale, de myocardite et péricardite dans les suites précoces de la vaccination, des complications cardio-vasculaires (Infarctus, AVC) chez des sujets relativement jeunes et pas forcément à risque cardio-vasculaire, de nombreux cas de thrombose veineuse et d’embolie pulmonaire.

Les médecins signalent une élévation fréquente des marqueurs de thrombose (D-Dimères) parfois à des taux anormalement élevés, une fatigue et altération de l’état général accélérée chez les patients âgés, des cancers jusque-là contrôlés, explosent après vaccination, des maladies auto-immunes comme des polyarthrites, des thyroïdites se dérèglent dans les semaines qui suivent la vaccination.

L’ANSM indique comme “signaux confirmés” la myocardite et la péricardite de survenue précoce après la vaccination avec les vaccins Comirnaty (Pfizer/BioNTech) et Moderna sans donner le nombre exact de malades et en minimisant la pathologie alors que les complications et les séquelles à long terme peuvent être graves.

Depuis le début de la vaccination des 12-18 ans, 206 cas d’effets indésirables graves (dont des décès) ont été rapportés avec le vaccin Comirnaty et 18 cas graves avec Moderna alors que nous sommes à peine à 3 mois et demi de vaccination dans ce groupe d’âge.

Il s’agit de jeunes qui n’étaient pas à risque de forme grave ni de décès du Covid, mais qui vont garder probablement à vie des séquelles de la vaccination.

Ces derniers jours, deux adolescentes sans facteurs de risques viennent de décéder et un jeune a été amputé d’une jambe, 15 jours après le vaccin. N’est-ce pas un sacrifice que la société fait et quel est le prix à payer ? À partir de combien de décès d’adolescents diriez-vous STOP à la vaccination des jeunes qui n’ont rien à gagner, car ils sont à risque infime de forme grave et de décès du Covid ?

Chez les femmes, des troubles des règles, des fausses couches ou des morts du fœtus in utero au cours des grossesses sont observés.

Comment se fait-il que la Direction Générale de la Santé autorise la vaccination dès le premier trimestre de la grossesse alors que les données sur la sécurité du vaccin chez les femmes enceintes sont très limitées et incomplètes ? Où est le principe de précaution ? Toutes ces complications surviennent précocement après la vaccination chez des personnes sans antécédent ayant une vie normale.

Elles surviennent aussi chez des sportifs qui ont dû arrêter leur activité après avoir été vaccinés, hypothéquant leur carrière : Jérémy Chardy et Christophe Lemaitre en sont les exemples les plus célèbres…

Parallèlement dans la même population de personnes jeunes sans co-morbidité, non vaccinées il n’y a aucun décès du Covid, seules sont exposées les personnes à risque, c’est pour cette population-là que le “vaccin” peut avoir une certaine protection.… /… Malheureusement ces complications sont passées sous silence, elles ne remontent pas aux tutelles ou celles-ci ne veulent pas les voir.

Ce drame humain sanitaire ne va faire qu’empirer avec la persistance de cette vaccination et la multiplication probable des doses. La mise au point d’un essai de vaccin anti H1N1 a été arrêté pour beaucoup moins de complications. Aucun des vaccins obligatoires n’a entraîné de telles complications. Actuellement les médecins voient plus de patients en consultations pour des complications du vaccin que du Covid lui-même. La balance bénéfice/risque n’est pas en faveur du “vaccin” dans cette population. Pourquoi voulez-vous encore rendre obligatoire un “remède” plus dangereux que la maladie chez les personnes sans risques !

Il est urgent d’en tirer les conséquences, au moment où l’immunité naturelle se développe, où le variant Delta s’avère beaucoup moins agressif et que l’épidémie décroît. Ne recommencez pas le syndrome de Tchernobyl où l’on nous a affirmé que le nuage nucléaire radio-actif s’était arrêté à la frontière. N’oubliez pas le scandale du Sang contaminé. À ce sujet, savez-vous que l’Établissement français du sang exige un délai de 28 jours après vaccination avec vaccin atténué (Rougeole, Rubéole, Oreillons, Fièvre jaune…), mais ne prend aucune précaution quant aux donneurs de sang récemment vaccinés avec ces nouveaux vaccins dont on connaît incomplètement la biodistribution dans le corps.

N’est-ce pas encore une fois une ignorance du principe de précaution et un potentiel scandale à venir ? Même si vous n’êtes pas médecin, regardez autour de vous ce qui se passe, recherchez l’information.

Vous avez le droit de vous informer, car vous êtes nos représentants. La vérité commence à éclater. Déjà le vaccin Astra Zeneca a été interdit chez les moins de 55 ans à la suite de thromboses (c’est dire l’innocuité de ces vaccins !) puis récemment le Janssen et progressivement on voit des États remettre en cause la pseudo vaccination généralisée :

Au Royaume-Uni, la vaccination est interdite aux moins de 15 ans et ils viennent de renoncer à la pseudo vaccination obligatoire
Au Texas l’injection anticovid des jeunes est interdite.
Au Danemark, seules sont vaccinées les personnes à risques et il y a une liberté totale retrouvée sans pass sanitaire.
En Afrique, on observe une mortalité 10 fois inférieure à la nôtre alors qu’il n’y a que 2 % de vaccinés (on leur annonçait une catastrophe sanitaire !)

Tous ces soignants, médecins, infirmières, aides-soignants, mais aussi pompiers qui sont montrés du doigt ne sont pas des anti-vaccins, mais des vaccinaux prudents redoutent les effets de pseudo vaccins(([4] Ce ne sont pas des vaccins selon Pasteur, car ils ne contiennent aucun antigène)) encore en expérimentation dont ils voient dans leur pratique directement les effets néfastes.

Ces soignants “du terrain” voient de vrais malades, contrairement aux médecins des plateaux télé qui extrapolent à partir de chiffres issus de simulations mathématiques dont la plupart se sont avérées erronées. Dans cette crise il ne doit pas y avoir de couleur politique, mais un consensus pour défendre la santé des Français qui vous ont élus.

Au nom de toutes les victimes, au nom de tous ces soignants muselés qui ne peuvent pas s’exprimer sous peine de sanctions, du jamais vu dans un pays soi-disant de liberté, je vous demande de regarder au-delà des chiffres officiels totalement manipulés par les médias et de refuser la vaccination obligatoire, à plus forte raison pour les enfants dont on met en danger l’avenir.…/…

FAITES AU MINIMUM UN MORATOIRE, au cours duquel vous pourrez entendre l’avis de nombreux médecins, scientifiques et autres qui essayent de se faire entendre, mais qui sont systématiquement boycottés quand leur avis va à l’encontre de la politique sanitaire gouvernementale.

Il faut aussi ré-évaluer la fiabilité des tests utilisés, discuter des traitements actuellement proposés.

Supprimer le passe sanitaire et faites arrêter la propagande honteuse et mensongère sur la vaccination : “tous vaccinés = tous protégés” slogan complètement faux, on le sait maintenant !

Levez les sanctions de tous les soignants non vaccinés interdits d’exercer alors qu’ils sont passionnés par leur vocation et qui ne sont pas devenus plus dangereux le 15 septembre que le 15 juin ».

Certains hôpitaux malgré l’interdit continuent à juste titre d’employer des personnels non vaccinés pour pouvoir maintenir leur activité sans aucune conséquence sanitaire, mais en créant une inégalité criante par rapport à ceux qui ne peuvent pas travailler. Rappelez-vous que vous les avez encensés lors de la première vague et qu’un certain nombre d’entre eux sont morts pendant cette vague faute de masques et de moyens de protection.

LA STRATÉGIE IMPOSÉE EST DÉCONNECTÉE DE LA RÉALITÉ :

c’est une pandémie qui s’accompagne d’une mortalité de 0,05 %, représentée par les personnes à risque, la moyenne d’âge des décès est de 83 ans, un peu moins actuellement, car les personnes les plus fragiles sont décédées lors de la première vague. Que l’on propose une vaccination est logique à condition d’avoir un vrai vaccin ce qui n’est pas encore le cas et en respectant la volonté de chacun (il ne s’agit pas d’Ebola, d’une méningite ou de la variole…).

En attendant, en cas de maladie, il est possible de proposer, à un stade précoce, des traitements. De nombreux médecins les ont prescrits avec succès. Ils peuvent même être proposés à titre préventif chez les personnes à risque. Ces personnes sont connues et peuvent donc être protégées isolément (notamment par ce « vaccin » dont c’est la seule indication) sans pénaliser le reste de la population.

Sachez que vous aurez été informé et que le moment venu, lorsque la vérité éclatera, car elle éclatera tôt ou tard compte tenu de l’accumulation des données scientifiques et des données du terrain sur les complications, votre responsabilité risque d’être engagée.

En espérant être entendu au nom des victimes du vaccin et des soignants qui refusent cette expérimentation et en restant à votre disposition, je vous prie de croire, Messieurs et Mesdames les élus (es), en mes respectueuses salutations.

Professeur Jean Gabriel BALIQUE, Membre de l’Académie Nationale de Chirurgie »

Merci Mr Le Professeur pour cette belle lettre qui résume bien ce que nous, médecins fidèles au serment d’Hippocrate ressentons. Espérons que vous serez entendu…

Des professeurs de droit conseillent de rappeler aux élus l’expérience de Papon :

« Je vous recommande de diffuser largement cette mise en garde solennelle d’un professeur de médecine et de préciser à vos éventuels destinataires parlementaires que si les choses devaient se gâter sérieusement, nous serions dans le cadre de poursuites pour “crime contre l’humanité”. En ce domaine il n’y a ni prescription, ni immunité parlementaire ou autre. 

Papon l’a appris à ses dépens sur le tard, et pourtant il avait des circonstances atténuantes, car la France était occupée par une puissance totalitaire, ce qui n’est pas le cas en ce moment… »

En résumé et comme le conseille également Éric Verhaeghe

Continuer à écrire en masse aux sénateurs (contre la loi d’obligation vaccinale) et aux députés (contre la prolongation de l’état d’urgence et du pass sanitaire, et contre toutes les mesures « sanitaires »).

Il y a actuellement 4 cas de covid pour 100 000 habitants, bulletin du Réseau de surveillance Sentinelles du 29/9/2021, et ce taux est très bas depuis novembre 2020, le seuil épidémique étant de 173 cas / 100 000 h.

Toutes leurs adresses sont sur www.voxpublic.org, rubrique « Annuaires partagés ».

« Attention, danger ! Le texte rejeté reviendra.

Le Courrier des Stratèges suit ce dossier depuis plusieurs mois. Le 1er juillet, nous vous avions averti du rôle joué par Bernard Jomier, qui sert de poisson-pilote à Emmanuel Macron et Olivier Véran. Plus récemment, nous vous avons montré combien une réélection d’Emmanuel Macron rendrait quasi-certaine une vaccination obligatoire contre le Covid. 

Ce qui doit inquiéter le plus, c’est le type d’argumentation développée, purement planiste, quantitative et volontariste sans aucun rapport avec le réel d’une palette de vaccins à dispositions encore peu efficaces et comportant des effets secondaires beaucoup plus nombreux que pour d’autres vaccins. Comme l’a dit Éric Verhaeghe dans ces colonnes, la vaccination obligatoire est “fâchée avec le principe de précaution‘.  C’est pourtant le moment de se rappeler la formule de Chesterton sur la folie — ici idéologique — qui consiste à ‘avoir tout perdu sauf la raison’. Le texte reviendra, parce qu’ainsi le veut la raison technocratique. Le jour même où la proposition de texte est rejetée, la Haute Autorité de Santé recommande une troisième dose de vaccin Pfizer pour les soignants soumis depuis seulement le début août à la vaccination obligatoire. Et l’expérience des assemblées conduit à redouter un passage à l’usure ou par surprise, lors d’une discussion parlementaire en petits effectifs. Il va falloir rester très vigilants. »(([5] Le rejet du texte du PS pour la vaccination obligatoire ne signifie pas que le danger soit écarté —Le Courrier des Stratèges (lecourrierdesstrateges.fr) ))

L’heure est grave et personne ne doit se croire dispenser de se battre pour la liberté de soigner, pour le libre choix thérapeutique et en particulier pour la liberté vaccinale.

Aucun politique ne pourra être choisi par le peuple s’il ne défend pas le peuple et aujourd’hui s’il ne bat pas pour le libérer MAINTENANT de l’état d’urgence pseudo- sanitaire complètement injustifiable, des masques et des injections mortifères. REGAGNONS NOS LIBERTÉS AVANT QU’IL NE SOIT TROP TARD COMME L’EXPLIQUENT LES SURVIVANTS DES CAMPS.





Lettre ouverte aux présidents des conseils de l’Ordre et à tous mes confrères cliniciens

Chers amis,

Lettre ouverte aux autorités que mon papa (médecin retraité et chercheur vivant en France et vacciné à regret) a rédigée après avoir enfin creusé les sujets Covid-19 et vaccins. Ces sujets ne l’avaient pas fort intéressé jusque-là, puis il a décidé d’ouvrir les placards… et gloups. 

6 pages qui valent la peine d’être lues et diffusées intelligemment je trouve.

Amicalement, Julie

Julie STEVENS

À La Hulpe

Marsac le 01/10/2021

Cher Confrère,

Je suis médecin, retraité depuis 5 ans et fort de 45 ans d’une expérience clinique particulièrement éclectique : médecine hospitalo-universitaire, médecine interne, médecine générale (en Belgique) et cardiologie (en France). Depuis ma retraite, je ne n’avais suivi que de loin l’épidémie de Covid-19 jusqu’à ce que, il y a quelques mois, suivant les conseils des « autorités » politiques et sanitaires, je reçoive, la seconde injection du Vaccin Astra-Zeneca. Or, depuis lors, je souffre de douleurs musculaires diffuses et de transpirations à l’effort qui me donnent le sentiment d’avoir vieilli de 10 ans. Ces effets secondaires invalidants ainsi que l’émergence évidente, dans mon entourage proche, d’autres effets secondaires nullement bénins et d’une défiance croissante vis-à-vis des contraintes imposées par ces « autorités » m’ont poussé à tenter d’éclairer au mieux ma lanterne. Et si j’écris cette lettre, c’est parce que je sors atterré de ce que j’ai découvert.

J’ai très logiquement cherché d’abord les données scientifiques et médicales objectives concernant cette nouvelle maladie, mais en y incluant intentionnellement le discours de ces confrères cliniciens éprouvés ou de ces scientifiques à la compétence incontestée que ces mêmes « autorités » et la plupart des médias qualifient — depuis la pandémie — de « complotistes ». La raison en est que l’Histoire nous a très souvent appris que les « complotistes » vilipendés un temps par les « autorités » en place s’avèrent devenir, quelques années plus tard, des héros, des « résistants » au pouvoir en place et des sauveurs de notre humanité et de ses valeurs profondes. Nous applaudissons ainsi aujourd’hui ceux qui ont résisté aux autorités nazies comme ceux qui se battent pour la défense de ces mêmes valeurs en Afghanistan, en Russie ou en Chine. Notez que ces « complotistes » sont toujours, au départ, largement minoritaires. La vérité et la vertu exigent du courage et riment rarement avec le discours majoritaire du pouvoir en place.

J’ai eu la chance de découvrir, dès le début de mon enquête, une vidéo publiée en juin dernier par un médecin américain de réputation internationale, le Dr Richard Fleming.(([1] « Event 2021 » par le Dr Richard Fleming, version doublée vocalement en français :
https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/fleming-presentation)) En quatre heures de conférence, il brosse un tableau du « dessous des cartes » de cette épidémie qui font frissonner d’horreur en moi autant le passionné de science que le vieux clinicien. Son discours me convainc parce qu’il fonde ses propos exclusivement sur des faits objectifs, vérifiables et incontestables (émanant de documents publiés par les institutions qui ont « autorité » dans leur domaine). Je suis de plus particulièrement sensible à son discours parce qu’il a une formation et une expérience très proche de la mienne (clinicien en médecine interne et cardiologie et chercheur depuis 53 ans). Son palmarès est prestigieux : 500 publications scientifiques et une théorie des maladies cardiovasculaires aujourd’hui reprise dans les classiques « textbooks » de cardiologie. Quant à son enquête — fouillée et compétente —, elle présente tous les signes d’une grande rigueur scientifique et morale. Comme les conclusions qu’il tire de son enquête sont diamétralement opposées à ce que nous présentent lesdites « autorités », il me semble que, selon leurs critères, son discours devrait être qualifié de « complotiste ».

Le scientifique et le clinicien en moi se trouvent donc confrontés à un dilemme moral. Si je pratiquais encore, devrais-je me fier aveuglément aux contraintes imposées par les « autorités » ou au contraire écouter mon « intime conviction » — à savoir que ses propos sont fondés — et donc entrer en « résistance » ? Heureusement, je ne pratique plus la médecine, ce qui m’offre une liberté d’expression que n’ont plus les cliniciens en fonction puisque ceux qui ne soumettent pas aux règles imposées par lesdites « autorités » sont menacés de perdre leur autorisation de pratiquer.

Ce problème « moral » est en réalité extrêmement grave et repose, à mon sens, sur la question de la légitimité (et des limites) de cette « autorité » que s’attribuent aujourd’hui certaines institutions politiques, scientifiques et sanitaires au nom de l’idée qu’elles se font du bien public et de leur fonction dans la santé des citoyens. La fonction des politiciens est de gérer au mieux l’organisation de la société, celle de la Science de présenter des données objectives aux preneurs de décision et celle des institutions sanitaires d’organiser au mieux le réseau de la santé et l’information des médecins. Jusqu’ici, toutes ces institutions sont largement diffusées par la plupart des médias.

Aucune de ces institutions, toutefois, n’est en droit de se substituer aux médecins cliniciens dans les décisions qu’ils prennent, en âme et conscience, dans le dialogue singulier qui les lie (par la confiance) à leurs malades. C’est là une fonction spécifique à la profession médicale. Même un conseil de l’ordre n’a pas le droit d’intervenir de façon coercitive sur la liberté de conscience du médecin. Il contreviendrait ainsi gravement aux principes mêmes qu’il est censé défendre : ceux du serment d’Hippocrate (qui sacralise la valeur de l’individu et du dialogue singulier) et celui, fondamental, du « primum non nocere ». Il est particulièrement regrettable de constater que, dans cette pandémie, les premiers concernés par le respect de ces principes — les médecins généralistes — ont été totalement écartés des lieux de décision au profit de spécialistes certes pointus, mais inévitablement moins concernés que ces derniers par la dimension humaine du problème.

Les contraintes qu’imposent aujourd’hui ces « autorités » à la liberté diagnostique et thérapeutique des médecins sont incompatibles avec les valeurs sacrées de leur métier, valeurs auxquelles ils ont tous juré fidélité au début de leur carrière. Au vu de la tournure que prennent les événements dans cette pandémie, j’en viens à penser que le serment d’Hippocrate qui lie tous les cliniciens — mais ne contraint aucune institution — constitue le dernier rempart de la défense des valeurs humaines fondamentales face à la puissance manipulatrice et médiatique des mondes politiques, économiques et même scientifiques. Après tous les scandales (sang contaminé, grippe H1N1, Mediator, Vioxx etc…) qui ont ébranlé ces honorables institutions, il faudrait être d’une grande naïveté pour croire encore en l’absolue pureté de leurs motivations.

Ces institutions, à l’image de toute notre société, ont quasiment sacralisé la Science. Cependant, quarante ans de réflexion profonde sur les rapports entre science et médecine m’ont fait clairement comprendre que ce mode de connaissance est, par principe (d’objectivité, de causalité et de réductionnisme) aveugle à la dimension subjective de la réalité. Cela signifie que la Science appliquée unilatéralement à la médecine est aveugle à la réalité du sujet. Elle ne peut voir dans l’organisme humain qu’un objet dénué de toute « profondeur ». C’est d’ailleurs cette « cécité sélective » de la Science qui explique son incapacité — avouée par tous les chercheurs honnêtes — à définir la vie et la conscience.

La « scientocratie »(([2] Terme que j’emprunte au doyen du barreau de Grenoble, Me Jean-Pierre Joseph
https://www.francesoir.fr/opinions-entretiens/pass-sanitaire-ou-pass-suicidaire)) est en réalité la philosophie qui, jusqu’ici, a inspiré la logique décisionnelle des « autorités » sanitaires et politiques, mais cette philosophie souffre d’une « inhumanité » intrinsèque. C’est donc le rôle, me semble-t-il, des vrais cliniciens de rendre au sujet et à l’individu une place centrale face aux arguments objectifs, mais exclusivement statistiques des autorités sanitaires et politiques.

La remarquable vidéo du Dr Fleming a le désavantage de durer quatre heures et d’entrer souvent dans des détails techniques qui ne sont vraiment pertinents que pour des initiés. Il me semble toutefois que son message devrait être connu de tous les cliniciens embarqués en confiance (par naturelle « soumission à l’autorité ») dans une entreprise d’envergure mondiale qui a fait sauter tous les verrous de sécurité mis en place depuis des décennies par nos institutions démocratiques : le code de Nuremberg (1946), la convention internationale en matière d’expérimentation humaine (1966), la déclaration d’Helsinki sur l’éthique de la recherche (1964), la convention sur les armes biologiques (1975) et — ce qui devrait intéresser les membres des conseils de l’ordre — le code éthique de l’association des médecins américains.

Aujourd’hui je suis vraiment en colère et je sais ma colère juste. Les « autorités » auxquelles je m’étais fié ont trompé ma confiance et continuent à tromper (par négligence ou compromission, je ne sais) celle de mes pairs à propos

  • (1) de la fiabilité du travail de contrôle des essais cliniques avant la mise sur le marché des vaccins,
  • (2) de l’efficacité des vaccins et, plus grave encore,
  • (3) de leur toxicité. Toutefois, personnellement, ce qui a le plus violemment heurté mon « âme » de chercheur et de médecin, c’est
  • (4) l’occultation délibérée par des « autorités » scientifiques et politiques de l’origine non pas « naturelle », mais « chimérique » (artificielle) du virus responsable de la pandémie.

1— Fiabilité des études préliminaires :

La FDA et l’ANSM ont accordé aux industriels du médicament l’autorisation de la procédure d’urgence (EUA) malgré le non-respect d’une de ses conditions impératives, l’inexistence d’alternatives thérapeutiques. Ceci leur a permis de raccourcir la durée des expérimentations de 10 ans à 11 mois. De plus, les instances responsables de la vérification des expérimentations (FDA, ANSM) — entièrement pilotées par ces industriels — n’ont pas fait correctement leur travail de lecture critique des statistiques des résultats publiées. Une lecture plus attentive (dénoncée par Fleming et d’autres experts(([3] Par exemple Christine Cotton, biostatisticienne forte de 23 ans d’expérience dans la lecture critique des essais cliniques
https://www.francesoir.fr/videos-les-debriefings/debriefing-de-christine-cotton-expertise-des-resultats-des-essais-des-4)) leur aurait montré une réalité qu’aujourd’hui même les « autorités » acceptent, à savoir que le vaccin ne protège ni du risque de réinfection, ni du risque de contagion, ni (bien évidemment) d’une infection par les inévitables variants.

2— Efficacité du vaccin :

Une lecture critique des essais cliniques réalisés avant mise sur le marché montre que l’efficacité (voisinant les 90 % selon les industriels) a en fait été évaluée sur base d’un paramètre — le « risque relatif » — qui n’a pas de signification clinique alors qu’exprimé sur base du paramètre cliniquement pertinent généralement utilisé (le « risque absolu »), cette efficacité voisine plutôt les 1 %. La « manipulation » des chiffres (et de l’incompétence des citoyens et des médecins en matière de statistique) est flagrante, mais inacceptable. De plus, une lecture attentive démontre, à partir des résultats présentés par les firmes que, par exemple, l’efficacité des vaccins n’est pas statistiquement significative chez les sujets de plus de 70 ans, pourtant les premiers bénéficiaires du vaccin. Si j’avais su cela, jamais je ne me serais fait vacciner.

Quant aux études faites après mise sur le marché, on trouve — quand on les cherche — des preuves accablantes de nombreux cas d’infections et d’hospitalisations pour la Covid-19 chez des patients dûment vaccinés.

3— L’étude critique de la toxicité potentielle des vaccins est encore plus effrayante.

Le « rapport bénéfice/risque » avancé par les firmes correspond à une grossière manipulation des statistiques. Des responsables compétents n’auraient jamais permis sa mise sur le marché en temps normal. Aujourd’hui que des millions de gens ont été vaccinés, la chose est évidente. Le site américain de recensement des « effets indésirables » des vaccins (VAERS) recense en mai 2021 plus de 4 000 morts et 17 200 effets secondaires sévères. Une étude européenne de pharmacovigilance recense, elle près de 20 000 morts et 800 0000 cas d’effets secondaires jugés « graves ». En France, l’ANMS recensait en juillet 2021 900 décès et 8 700 cas d’effets secondaires graves pour le seul vaccin Pfizer. Pour rappel, l’épidémie de grippe porcine en 1976 aux USA (célèbre scandale sanitaire) a été arrêtée quand on a recensé 25 morts après une campagne de publicité semblablement orchestrée par les « autorités » politiques et sanitaires qui avait amené 46 millions d’Américains à se faire vacciner.

Le statisticien en santé publique (l’autorité ultime de la « scientocratie ») va mettre ces chiffres en balance avec le nombre (supposé) de « vies sauvées » grâce au vaccin. Aux yeux de tout médecin vivant une relation de confiance avec son patient (la base du serment d’Hippocrate), ce calcul est inacceptable parce qu’en prescrivant ou administrant un médicament qui peut causer la mort ou un handicap grave à son patient il n’est en rien excusable puisque, s’il connaît le risque statistique du vaccin qu’il propose, il est déontologiquement obligé de donner cette information à son patient et d’obtenir son consentement « libre et éclairé ». En rendant le vaccin obligatoire, les « autorités » sanitaires et politiques bafouent ouvertement ces principes fondamentaux de la médecine au nom de statistiques portant sur l’incidence (potentielle) et la mortalité (inférieure à 0,1 %) d’une maladie virale « naturelle » (cf. point 4).

Mourir de la Covid est certes un drame pour les proches, mais cette mort est « naturelle » (pour autant qu’on croie le virus de la Covid-19 naturel). Par contre, mourir à cause d’un vaccin qu’on a forcé le médecin à administrer ou le malade à accepter contre sa volonté, sa conscience dûment éclairée ou son intime conviction est tout simplement un sacrilège, une atteinte inacceptable aux valeurs fondamentales (sacrées) de l’homme. C’est là que moi personnellement je décide d’entrer en résistance et de donner raison à tous ces citoyens anonymes et soignants de plus en plus en plus nombreux qui, se fondant sur leur profonde intuition (l’intime conviction), s’opposent aux directives des autorités. L’attitude de ces autorités politiques et sanitaires est aujourd’hui inacceptable du point de vue de l’éthique médicale. En dépossédant les médecins de leur fonction spécifique, elles se rendent en réalité complices de ce que certains appellent un « crime contre l’humanité ».

4— Du caractère « naturel » du virus de la Covid-19.

Toutes ces « révélations » génèrent chez moi une profonde colère, mais celles qui, dans cette vidéo, m’ont personnellement le plus effrayé sont d’ordre scientifique et pas médical. Elles concernent la protéine spike, l’acteur majeur de cette pandémie et la cible visée par les vaccins. J’ignorais, avant la lecture de cette vidéo, que cette protéine (les « épines » du virus) commune à tous les coronavirus est, dans le cas du SARS-Cov 2, une pure « chimère » c’est-à-dire le résultat de manipulations génétiques menées patiemment depuis 20 ans dans des laboratoires de virologie largement financés par le ministère de la Défense (!!!) des USA (laboratoire de Ralph Baric) puis « améliorés » par des virologues chinois dans l’institut de Wuhan (laboratoire de Shi Zhengli). Ces études portant sur le « gain de fonction » des virus visent à « améliorer » la virulence du virus pour la race humaine et sa capacité à pénétrer dans le cerveau. C’est donc indubitablement une arme biologique. Ces bricoleurs de virus ont en effet « inséré » dans la protéine spike du coronavirus de la chauve-souris (H4U4), totalement inoffensif pour l’homme, des fragments du virus du sida (insert de 590 acides aminés) et de celui de l’hépatite C ainsi qu’un court « insert » appelé PRRA constitué de 4 acides aminés (codés par 12 nucléotides) absents de toutes les autres souches naturelles de coronavirus et impossibles à attribuer à des mutations naturelles puisqu’il faudrait qu’apparaisse simultanément la mutation de 12 nucléotides successifs du génome.

De plus, en déformant la protéine, ces trois inserts ont créé à son extrémité un domaine dit de type « prion », c’est-à-dire semblable à l’agent de la vache folle. Et, de fait, on peut induire expérimentalement ce type de maladie (encéphalopathie spongiforme) chez les souris génétiquement modifiées (dites « humanisée ») après infection par le SARS-Cov-2. Le SARS-Cov-2 est donc, incontestablement à mon sens, un virus artificiel — une « chimère » — dont la création a « bypassé » tous les processus de sélection naturelle. Tous les gouvernements impliqués dans la mise au point de cette chimère (les USA, la Chine, mais aussi la France cofondatrice de l’institut de Wuhan) se sont empressés de nous faire passer ce virus pour une zoonose (le fameux pangolin) ou le résultat de mutations (naturelles). Mais une chimère n’est pas un mutant (naturel) et j’ai le sentiment que tout est fait « quelque part » pour que cette vérité embarrassante — mais cruciale dans le procès de la thèse du complotisme — soit tue.

5— De la vaccination obligatoire et généralisée.

Nous devons prendre conscience, nous médecins cliniciens, que les vaccins actuels contre ce « monstre » de la biotechnologie forcent nos propres cellules à synthétiser en millions d’exemplaires cette protéine chimérique imaginée et créée de toutes pièces par des scientifiques irresponsables. Le simple principe de précaution devrait nous pousser à redoubler de vigilance vis-à-vis de ce vaccin doublement atypique (technologie à ARN messager/nanoparticules lipidiques et antigène spike artificiel), mais les médecins généralistes, témoins les plus concernés par la santé individuelle de leurs patients et source la plus fiable des éventuels effets secondaires ont été écartés des centres de décision gérés par les autorités politiques, sanitaires et scientifiques. Avec un an et demi de recul, nous disposons aujourd’hui de statistiques de mortalité, de létalité et du rapport bénéfice/risque des différents vaccins commercialisés. Nous avons le devoir de les analyser objectivement et, personnellement, ils me glacent d’effroi.

Alors que le risque de mourir est quasiment nul
pour un Covid « naturel » entre 0 à 14 ans,
il est non nul pour l’administration du vaccin.
Or, cette seule réalité n’empêche pas les autorités
de prévoir une vaccination obligatoire de tous les enfants.

Dans la tranche d’âge entre 15 et 44 ans, le rapport bénéfice-risque est à peu près égal à 1 (seuil maximal admissible), mais si on évalue ce même rapport chez les sujets sans « comorbidité » (c’est-à-dire la majorité de cette population), il grimpe à 3 (1,5 à 4,4), ce qui signifie qu’il est trois fois plus toxique qu’efficace. Un parent ou un patient dûment éclairé de ces chiffres refuserait très certainement le vaccin. Comme personne n’est en droit de prétendre remplacer la responsabilité parentale ou personnelle dans une telle situation, les « autorités » ont balayé ce droit et manipulé l’information au nom d’une « immunité collective » dont nous savons aujourd’hui qu’elle ne sera jamais réalisée par les vaccins puisqu’ils ne protègent ni des réinfections, ni de la contagiosité, ni des variants.

Il est plus que temps, me semble-t-il, messieurs les présidents des conseils de l’ordre et chers confrères cliniciens, d’ouvrir nos yeux à des réalités que les « autorités » impliquées jusqu’au cou dans une politique unilatérale ne peuvent pas regarder en face sans perdre la face. Nous avons maintenant un recul suffisant face à cette maladie nouvelle. Le corps médical — et en particulier les omnipraticiens, premiers acteurs responsables dans une pandémie, et les conseils de l’ordre, seuls remparts officiels de l’éthique médicale — peut-il continuer à se « soumettre à une autorité » qui nous a dépossédés de ce qui fait toute la valeur éthique de notre métier, sa « densité humaine ». Comme le rappelle à plusieurs reprises mon collègue Richard Fleming : « Qu’en est-il si ceux qui prétendent soigner le problème (les “autorités” politiques et scientifiques et l’industrie biotechnologique) sont aussi ceux qui l’ont créé ? »

Si, après avoir visionné en intégralité la vidéo du Dr Fleming et, si possible aussi, celle de Christine Cotton ou du Dr de Lorgeril (deux spécialistes français de la lecture critique des statistiques dans les études cliniques) vous continuez, chers confrères à accorder votre confiance au discours des « autorités », je crains fort que vous ne puissiez rétablir — quand la vérité sera enfin établie — la confiance de la population en une médecine qu’elle jugera, à juste titre, très sévèrement.

Tout le monde sait que la pandémie a créé en quelques mois une vague de décès (en rien comparable à celle la grippe espagnole ou de la peste), une secousse sans précédent de l’économie mondiale, mais aussi quelques heureux, les neuf nouveaux milliardaires de l’industrie du vaccin et des tests biologiques. À titre d’exemple, le patron de la firme Moderna — qui ne cache pas publiquement son rêve de créer une médecine préventive fondée sur la manipulation (le « piratage », dit-il même) du génome, le plus précieux trésor de chaque organisme vivant que la Nature a mis plusieurs milliards d’années à sélectionner. En apprenant que ses gains personnels en 2020 (4.3 milliards de $) ont été exemptés d’impôts (cadeau de l’État du Delaware), et placés dans des paradis fiscaux (cadeau de la Suisse qui abrite le siège social de sa société), j’ai peine à croire en la pureté des objectifs humanitaires de ce genre d’industrie. Il est très loin le temps où le Dr Sabin, inventeur du vaccin de la polio, avait fait don de son brevet aux enfants de l’humanité.

La seule façon, me semble-t-il, chers confrères — et mon exhorte s’adresse également à tous les soignants, parents et jeunes — de résister à la puissance de ces géants est, je pense, d’entrer massivement en « résistance » et d’unir les voix de plus en plus nombreuses de ceux qui devinent — sans souvent pouvoir le démontrer — que quelque chose de fondamental à l’homme est en train de pourrir dans notre société capitaliste et hyperlibérale. En tant qu’humain, médecin, père et grand-père soucieux du devenir des générations futures, il me semble que cette démarche relève du noble « devoir civique ».

Très confraternellement,

Jean Stevens, 82 140 Saint Antonin (France)

P.S. Au moment d’envoyer cette lettre, j’apprends la courageuse démission de l’ordre des médecins d’un médecin de Montpellier à qui ses « autorités sanitaires » avaient refusé qu’il publie des résultats (très inquiétants) concernant les effets secondaires graves dans 83 EPHAD.(([4] http://youtu.be/Vdg4vVmFy5g)) Il souligne au passage l’inquiétante augmentation des effets secondaires du vaccin Pfizer (+160 % en deux mois).





Project Veritas 5 : Pfizer a dissimulé aux chrétiens américains l’utilisation de cellules de fœtus dans la fabrication du vaccin anti-Covid

Par Edouard Husson

Cinquième vidéo de Project Veritas sur les vaccins. Une lanceuse d’alerte employée par Pfizer a divulgué une chaîne de courriels envoyés par des cadres de l’entreprise pour discuter de la meilleure façon de cacher au public des informations sur l’utilisation de lignées de cellules fœtales provenant de cellules de fœtus (avortés) dans le développement du vaccin contre le COVID. Ce problème peut sembler lointain aux Européens mais aux Etats-Unis la querelle de l’avortement est centrale. Et Pfizer a menti aux Américains sur ce point comme sur d’autres.

Dans la cinquième vidéo sur les vaccins publiée par Project Veritas, la lanceuse d’alerte Melissa Strickler, employée chez Pfizer, a porté à la connaissance du public une série de courriels entre des cadres supérieurs de Pfizer, dont le vice-président et directeur de la gstion des risques Philip Dormitzer et la directrice de la recherche au plan mondial Vanessa Gelman. Ils  discutent du scénario approprié et de la “réponse approuvée” à utiliser pour éviter de divulguer au public des informations sur l’utilisation de lignées de cellules fœtales dans la création du vaccin.

Une culture du mensonge selon la lanceuse d’alerte

Melissa Strickler travaille chez Pfizer depuis une dizaine d’années et fait partie du service qualité de l’une des plus grandes usines de l’entreprise. Elle a accidentellement découvert cette série de courriels.

“Ce qui m’a troublée, c’est qu’ils voulaient garder le secret”, a déclaré Mme Strickler au fondateur de Project Veritas, James O’Keefe. “Ils ne voulaient pas vraiment que l’on sache qu’ils utilisaient les cellules de reins d’embryons humains pour réaliser l’étude. Ils sont tellement trompeurs dans leurs courriels… ils sont vraiment trompeurs et font attention à leurs mots, et cela m’a empêché de les croire.” Pourtant, entre eux, les dirigeants de Pfizer sont explicites : “Une ou plusieurs lignées cellulaires dont l’origine peut être retracée jusqu’au tissu fœtal humain ont été utilisées dans des tests de laboratoire associés au programme de vaccination.”

Pfizer voulait absolument éviter une polémique lancée par les « pro-vie » aux Etats-Unis

Pourquoi se préoccuper de ce sujet ? Le Saint-Siège semble avoir donné en décembre 2020 une interprétation très large des enjeux de la vaccination en précisant que le caractère de nécessité absolue de la vaccination pouvait, éventuellement, l’emporter sur le caractère répréhensible du recours à des cellules prélevées sur des fœtus avortés. Cependant le Saint-Siège n’a pas aboli l’idée qu’il s’agissait d’une exception liée à un caractère d’urgence. Et une partie des catholiques américains ne partageant pas l’idée que le vaccin soit la seule parade au COVID 19, l’entreprise basée aux Etats-Unis ne voulait en aucun cas que se déclenche un débat aux Etats-Unis qui aurait pu ébranler la position très « provaxx » du Pape François. Et ceci d’autant plus que les protestants américains auraient eu une convergence de vue avec les catholiques. 




La HAS exprime ses craintes sur le vaccin et son impact sur les défenses immunitaires

[Source : lecourrierdesstrateges.fr]

Par Éric Verhaeghe

Plus personne désormais ne remet en cause la très faible efficacité du vaccin (et deux études scientifiques que nous citons ici, publiées dans le prestigieux New England Journal Of Medicine, le démontrent). Malgré l’évidence répétée que la vaccination n’empêchera pas de nouvelles vagues de contaminations, et malgré une reconnaissance par l’EMA de nouveaux effets secondaires du vaccin Pfizer, la Haute Autorité de Santé française préconise désormais une 3è dose de vaccin. En reconnaissant parfaitement que, pour les jeunes générations, le bénéfice-risque est discutable. La logique des sacrifices humains s’affiche au grand jour.

Si la caste mondialisée qui nous dirige était capable d’un minimum de raison et de souplesse face à ses certitudes religieuses, elle examinerait posément ce que signifie aujourd’hui l’analyse bénéfice-risque du vaccin Pfizer, sans y mettre d’orgueil idéologique ni de considération dogmatique sur l’utilité de la vaccination en général. Car, redisons-le, le vaccin à ARN Messager que nous sommes contraints de subir (on suivra ici avec attention la décision du Conseil d’Etat en référé sur l’obligation vaccinale en Polynésie) n’est pas un vaccin comme les autres. C’est un jeune vaccin qui soulève, de l’aveu même de nos autorités scientifiques, de sérieux problèmes de santé et d’efficacité.  

Mais, sans prendre la moindre précaution, nos autorités maintiennent contre toute rationalité une logique de sacrifice qui soulève de graves questions éthiques. 

L’agence européenne élargit la liste des effets secondaires graves

La presse subventionnée ne l’a évidemment pas relevé, mais l’Agence Européenne du Médicament (EMA) vient d’élargir la liste des effets secondaires du vaccin Pfizer. Elle reconnaît désormais comme nouveaux effets secondaires les érythèmes multiples et la perte du toucher. 

Ceux qui méconnaîtraient la liste des effets secondaires reconnus de ce vaccin, nous la rappelons ici :

Comme on le voit, on y trouve aussi l’asthénie, la léthargie, la perte d’appétit, des sueurs nocturnes, des désordres menstruels et des inflammations des reins. Nous le répétons, il y a tout lieu de penser que cette énumération est extrêmement limitative par rapport à la réalité. Mais elle prouve que les autorités sanitaires ne peuvent pas faire comme si elles ne savaient que le vaccin Pfizer posait des problèmes de santé. 

Des études soulignent l’inefficacité du vaccin

Dans le même temps, la prestigieuse revue scientifique New England Journal of Medicine vient de publier deux études qui démontrent l’inefficacité forte des vaccins dans la lutte contre l’épidémie. 

Une étude israélienne conclut ceci :

Six months after receipt of the second dose of the BNT162b2 vaccine, humoral response was substantially decreased, especially among men, among persons 65 years of age or older, and among persons with immunosuppression.

Autrement dit, la réponse immunitaire au virus permise par le vaccin ne dure pas six mois, ce qui pose un vrai problème quant à l’efficacité dudit vaccin. 

Une étude qatarie confirme ces résultats :

BNT162b2-induced protection against SARS-COV-2 infection appeared to wane rapidly following its peak after the second dose, but protection against hospitalization and death persisted at a robust level for 6 months after the second dose. (Funded by Weill Cornell Medicine–Qatar and others.)

Traduction : la protection apportée par le vaccin diminue rapidement, même si (c’est la version officielle) la protection contre les formes graves ou mortelles se maintient à un niveau robuste pendant six mois après la seconde dose. 

Conclusion : le vaccin ne fonctionne que très peu de temps après la deuxième dose pour empêcher la circulation active du virus (être contaminé et contaminer les autres), et il n’empêche les cas graves que pendant six mois. Ces constats ne proviennent pas de quelconques sites complotistes, mais de sources parfaitement autorisées et non contestées par les grands défenseurs du vaccin. 

La Haute Autorité de Santé dresse des constats pires

C’est à la lumière de ces études qu’il faut lire les deux derniers avis rendus hier par la Haute Autorité de Santé sur la troisième dose de vaccin. Un premier avis élargit le périmètre de la dose de rappel aux personnels soignants. Un second texte donne une recommandation au gouvernement sur la dose de rappel de Pfizer, à distinguer de la troisième dose. 

Chacun de ces avis mérite d’être lu, car ils révèlent tous deux des considérations qui constitueront un jour des imprudences bien plus graves que l’affaire du sang contaminé. 

Le premier avis, qui préconise une dose de rappel pour les soignants, explique sans ambiguïté que l’efficacité du vaccin baisse rapidement, et qu’il n’empêche pas la circulation de la maladie. Il justifie la dose de rappel (soit six mois après la deuxième dose, et non quelques semaines après celle-ci comme pour la “troisième” dose, il faut suivre ces distinctions jésuitiques) par la nécessité de diminuer les contaminations des “plus fragiles” mais certainement pas de les empêcher…

Mais la conclusion de l’avis est particulièrement assassine au regard du risque que la Haute Autorité de Santé fait prendre à la population :

La HAS considère que l’amélioration de la situation sanitaire et les données encore limitées sur les conséquences d’un déclin de l’efficacité vaccinale au cours du temps chez le jeune adulte sans comorbidité ne justifient pas à ce stade de recommander l’administration d’une dose supplémentaire en population générale. 

Donc, il est clairement établi que les données sur le bénéfice-risque de la vaccination pour les jeunes adultes est loin d’être clair ! Malgré ce manque de connaissance, la Haute Autorité exige, pour “protéger” les autres, que ces jeunes adultes se vaccinent s’ils sont soignants. 

Quelle façon tordue de reconnaître que la vaccination est potentiellement plus dangereuses que la non-vaccination chez les adultes sans comorbidité ! Quel scandale sanitaire que de reconnaître sans l’assumer les sacrifices humaines auxquels on promet ces jeunes adultes, pour mieux protéger nos petits vieux…

La Haute Autorité de Santé reconnaît qu’elle ne sait pas si une 3è dose sert à quelque chose

Mais c’est surtout le second avis, baptisé “recommandation”, qui mérite son pesant de cacahuètes. Dans un premier temps, il donne des chiffres officiels sur le taux d’échec du vaccin, bien plus élevé que les données affichées par l’Agence Européenne du Médicament lors de l’attribution de l’autorisation de mise sur le marché conditionnelle. 

Nous laissons ici le lecteur se forger sa propre opinion :

Mais de cet avis, nous retiendrons des phrases explicites qui montrent que le principe de précaution est ici totalement balayé au nom d’une doctrine fondée sur l’acceptation consciente de sacrifices individuels au nom du bien du “groupe” (réduit en l’espèce à quelques membres apeurés). 

Ainsi, on retrouve cette phrase :

  • Les données limitées d’une étude rétrospective israélienne (avec seulement 245 infections survenues chez des personnes ayant reçu une dose de rappel en Israël), montrent que l’administration d’une dose de rappel est associée à une diminution statistiquement significative de la charge virale en comparaison à celle des personnes primovaccinées qui n’avaient pas reçu leur dose de rappel, suggérant ainsi que l’administration d’un rappel diminuerait la charge virale et de fait, probablement la contagiosité des personnes développant une infection par le SARS-CoV-2 (variant Delta).

De façon totalement ahurissante, la Haute Autorité de Santé reconnaît qu’elle fonde sa recommandation sur des “données limitées”… “suggérant”… “que l’administration d’un rappel diminuerait la charge virale et de fait, probablement la contagiosité”. On se pince pour vérifier que l’on ne rêve pas. 

Ainsi, la décision d’obliger les soignants à recevoir une troisième dose se fonde sur une étude aux “données limitées” qui suggère l’efficacité du procédé, et “probablement” la baisse de la contagiosité. Nous sommes ici non plus dans le domaine de la science, mais de la spéculation. 

Souvenons-nous des arguments opposés à l’hydroxychloroquine ou à l’ivermectine : malgré des études positives, les autorités sanitaires en demandaient toujours plus, pour, au final, interdire ces traitements. En revanche, la pauvreté des données sur le vaccin Pfizer ne semble pas être un obstacle à la reconduction de son utilisation. 

Deux poids deux mesures ! Mais une certitude est acquise : dès qu’il s’agit de vaccin, la suggestion, la vraisemblance, le conditionnel, l’indigence des données suffisent largement pour établir des preuves scientifiques. 

La HAS ne dit pas tout sur ses inquiétudes profondes

Nous laissons chaque lecteur lire la recommandation de la Haute Autorité de Santé au prisme des doutes qu’elle laisse transparaître sans oser les écrire clairement. Mais on sent partout, dans cet avis, la gêne de ceux qui sont pris de doutes mais qui, dans le climat ambiant de détestation et de bannissement, n’osent guère prendre la parole pour dénoncer l’imposture. 

Nous retiendrons seulement les dernières phrases qui en disent long sur les craintes de ses membres :

Par ailleurs, la HAS insiste sur le fait que l’essai de phase 3 devra être poursuivi afin de pouvoir disposer de données d’immunogénicité, d’efficacité et de tolérance à plus long terme et souhaite être informée des résultats des analyses en sous-groupes dans cet essai, ainsi que des études mises en place dans le cadre du Plan de Gestion des Risques (PGR). La HAS souhaiterait également disposer d’informations complémentaires sur l’acceptabilité de la vaccination, en particulier sur les motifs des refus de vaccination chez les professionnels du secteur de la santé et du médico-social.

Cet avis sera revu en fonction de l’évolution des connaissances, notamment au regard des données d’efficacité et de sécurité en conditions réelles d’utilisation sur un plus long terme (données israéliennes notamment), des résultats complets des essais de phase 3 chez l’adulte, ainsi que des données épidémiologiques et de pharmacovigilance.

Autrement dit, la HAS ne cache pas son inquiétude sur la tolérance à long terme vis-à-vis du vaccin, et sur les conséquences en matière “d’immunogénicité”. Ce terme savant recouvre la probable baisse durable de défenses immunitaires chez les personnes vaccinées. Tiens ! tiens !

En outre, elle commence à se poser des questions sur le refus du vaccin chez les médecins et les soignants… Elle indique clairement que la mise sur le marché doit rester conditionnelle tant que des données à plus long terme ne sont pas mises à jour. 

Toutes ces précautions devraient naturellement conduire à suspendre la vaccination en attendant d’y voir plus clair. C’est la rationalité même qui l’exige. Mais les talibans au pouvoir ne sont plus, depuis longtemps, dans le domaine de la raison. 




Des médecins allemands établissent un lien de causalité élevé entre vaccins anti-covid et décès de patients

[Source : lecourrierdesstrateges.fr]

Par Lalaina Andriamparany

Outre les effets secondaires parfois graves, des cas de décès ont été répertoriés après une vaccination. Et, en Allemagne, il est possible de passer de la constatation de corrélations à l’établissement d’une causalité. La conférence de presse qui s’est tenue le 20 septembre 2021 avec le professeur Dr. Arne Burkhardt et le Professeur Dr. Walter Lang à Reutlingen fait grand bruit outre-Rhin. Lors de cette séance, ces deux scientifiques ont validé le rapport se focalisant sur les liens entre les décès et la vaccination anti-covid, appuyé par des autopsies et établi par l’un des médecins allemands les plus respectés, le Professeur Peter Schirmacher.

Décès en lien avec les injections selon les autopsies

À Heidelberg, le Prof. Dr. Peter Schirmacher a récemment mis en exergue une corrélation entre les vaccins contre le Covid-19 et 40 % des décès qui sont apparus dans les 14 jours suivant la vaccination.  

Lors des autopsies, les scientifiques ont pris l’option de mobiliser des matériels à la pointe de la nouvelle technologie pour arriver à établir un lien entre la vaccination et les décès de plusieurs vaccinés. Les résultats ont ainsi révélé que les injections engendrent une « crise de folie des lymphocytes (Lymphozyten-Amok)». Pour se mettre dans le contexte, on rappellera que les lymphocytes forment une sous-catégorie de globules blancs qui sont responsables des réactions immunitaires.

Cette crise est essentiellement due à : une surproduction de lymphocytes ou hyperplasie, un déstockage des organes lymphatiques qui contribue à la réduction des facultés immunitaires externes, un réflexe immunitaire abusif capable d’engendrer des maladies auto-immunes et l’apparition inattendue de ganglions lymphatiques au niveau de quelques organes à l’instar des poumons, de l’utérus, des glandes salivaires …

Face à ces effets secondaires, force est de constater que cette conférence de presse a eu l’effet d’une bombe à retardement.

Des phénomènes jusqu’alors inconnus

Les autopsies ont également fait sortir les deux médecins légistes de leur zone de confort, surpris de découvrir pour la première fois de leur carrière de nouveaux profils de maladie.

Le Prof. Dr. Burkhard n’a pas manqué de déclarer que  « Parmi ce que je vous montre, il y a beaucoup de choses que j’ai vues pour la première fois. Je ne peux pas encore vous nommer certaines choses, car je cherche toujours des noms pour les désigner» et dans la même foulée, il ajoute “Des effets graves sont probablement diagnostiqués à tort comme des crises cardiaques par de nombreux pathologistes. On trouve des accumulations de lymphocytes partout”.

Dans le Courrier des Stratèges, nous avons déjà évoqué le fait que l’Agence Européenne du Médicament (EMA) a élargi la liste des effets secondaires des vaccins anti-covidLa HAS exprime même ses craintes sur le vaccin et son impact sur les défenses immunitaires.

Des maladies auto-immunes d’une grande rareté

Des autopsies découlent trois différentes maladies rares qui relèvent toutes du domaine de l’auto-immunité : la vasculite leucoclasmique de la peau, le syndrome de Sjögren ainsi que la maladie de Hashimoto.

En Allemagne, seuls 20 décès ont été reconnus comme étant provoqués par la vaccination. Toutefois, de janvier à juillet 2021, période correspondant au lancement de la campagne de vaccination, on compte  1 230 décès post-vaccinaux déclarés. Selon certains spécialistes, seuls 10% de ces cas sont déclarés. Et si seulement 40% des décès post-vaccinaux, déclarés et non-déclarés, étaient réellement dûs aux vaccins anti-Covid, il faudrait constater plusieurs milliers de décès directement causés par le vaccin.  




PCB : Réponse à la conférence de presse aérienne de François entre Bratislava et Rome

Par Élie, Patriarche du Patriarcat Catholique Byzantin

[Photo : Le Pape écoute une question lors de la conférence de presse sur le vol Bratislava-Rome, le 15 septembre 2021.  (Vatican Media)]

Le journaliste Bohumil Petrik (Denník Štandard) :

« La vaccination a divisé les chrétiens, également en Slovaquie. Vous dites que se faire vacciner est un acte d’amour. … Il y a différentes approches dans les différents diocèses sur ce point. Alors, on aimerait tous savoir comment s’entendre, comment se réconcilier sur cette question. »

Citation de François :

« … l’incertitude concernant la réputation de certains vaccins qui ne sont rien d’autre que de l’eau distillée. Cela a apeuré les gens. Puis, d’autres qui disent que c’est un danger, car avec le vaccin, vous êtes infecté… Je ne sais pas bien l’expliquer : certains disent que les vaccins ne sont pas suffisamment testés. Au Vatican, tout le monde est vacciné, sauf un petit groupe… »

Commentaire : Bergoglio admet qu’il ne sait pas bien l’expliquer, mais malgré cela, il utilise l’autorité papale afin de promouvoir des slogans tels que « le vaccin pour tous », « cela doit être fait », « se faire vacciner est un acte d’amour ». La réalité, aujourd’hui, c’est que le fabricant, le gouvernement ou le professionnel de la santé qui vous injecte le vaccin refusent d’assumer la responsabilité de ce vaccin, mais si vous refusez de vous faire vacciner, vous êtes étiqueté comme étant un(e) irresponsable ! Et Bergoglio ajoute que vous n’avez pas non plus d’amour !

Que disent les meilleurs scientifiques et experts ? En plus de beaucoup d’autres, mentionnons juste un récent avertissement urgent du professeur S. Bhakdi d’Allemagne, qui a de nombreuses années d’expérience dans la recherche en tant que microbiologiste et virologue. Il parle de la fraude mondiale au Covid, et d’une fraude encore plus grande concernant la vaccination mondiale contre le Covid. Il met en garde :

« Ne permettez à personne de vous faire de la propagande afin que vous obteniez la deuxième dose ! Si vous avez déjà reçu la première injection et que tout va bien pour vous, remerciez Dieu pour cela. Mais assurez-vous de ne pas obtenir la seconde injection, car alors le danger est vraiment grand. Les lymphocytes tueurs attaquent le corps et peuvent bloquer les vaisseaux sanguins… ce qui peut conduire à une maladie auto-immune, où le corps commence à s’attaquer lui-même ».

Les médecins allemands sont choqués par l’apparence du sang après la vaccination contre le covid-19, et déclarent n’avoir rien vu de tel en 30 à 40 ans de pratique. (https://odysee.com/videoghj:1)

Seule l’immunité innée — immunité « générale » à large spectre — peut mettre fin à cette soi-disant pandémie. Les vaccins ne peuvent jamais arrêter la mutation, l’infectiosité ou la transmission du covid-19, pour la simple raison que ces vaccins ne perçoivent jamais l’avenir, et même le CDC admet qu’ils ne peuvent pas empêcher l’infection ou la transmission. Actuellement, 2,4 milliards de personnes dans le monde sont vaccinées. Même si la vaccination prenait fin maintenant, un milliard de personnes dans le monde pourraient en mourir dans les trois prochaines années.

Ce sont des faits disponibles auprès des experts aujourd’hui. Dans ce contexte, il est choquant que si quelqu’un en Slovaquie souhaite assister à une célébration religieuse avec Bergoglio, la condition était qu’il devienne un rat de laboratoire et reçoive deux doses de vaccin expérimental. Le Code de Nuremberg inclut les expériences effectuées sur les êtres humains parmi les crimes contre l’humanité. Bergoglio ne le sait-il pas ? N’a-t-il pas pitié de ces gens ? Sera-t-il responsable des conséquences, qu’il s’agisse de mutilations ou de décès prématurés chez les jeunes ?

Un vrai berger est obligé de mettre en garde radicalement contre ces dangereux vaccins sur base d’informations véridiques provenant d’experts incorruptibles. Faire appel à ou prendre ses sources à partir des arguments provenant des médias mainstream ou de politiciens corrompus, constitue une trahison du service pastoral. C’est ce que Bergoglio, qui est un faux berger, fait.

Journaliste Gerard O’Connell (America Magazine) :

« … Comme vous le savez, aux États-Unis, après les dernières élections, il y a eu une discussion parmi les évêques concernant le fait de donner la communion aux politiciens qui ont soutenu les lois pro-avortement. Il y a des évêques qui veulent refuser la communion au président et à d’autres. Que pensez-vous de cette réalité, et que recommandez-vous aux évêques ? ».

Citation de François :

« Celui qui pratique un avortement tue. À la troisième semaine de conception, tous les organes sont déjà là. Tous. Même l’ADN. … C’est une vie humaine. Cette vie humaine doit être respectée. Ce principe est si clair. … Est-il juste, est-ce juste, de tuer une vie humaine pour résoudre un problème ? Est-il juste d’engager un tueur à gages pour résoudre un problème ? … C’est pourquoi l’Église est si stricte sur cette question, car accepter cela, c’est un peu comme accepter un meurtre quotidien ».

Commentaire : Ici, Bergoglio dit la pure vérité, exactement comme l’Église l’a toujours prêché. Mais quel paradoxe qu’en même temps, il promeuve cyniquement un vaccin qui contient des tissus arrachés à un bébé à naître, avant que ce bébé ne soit tué ! Il impose avec véhémence ce vaccin à tout le monde, et dit de manière manipulatrice que c’est un acte d’amour !

Il ne répond pas du tout à la question de savoir si la position des évêques américains qui veulent refuser la communion aux partisans publics de l’avortement, c’est-à-dire du meurtre, est correcte ou non. Il est de son devoir d’avertir et d’admonester les politiciens catholiques aux États-Unis et, en outre, non seulement de leur refuser la communion, mais même de les expulser publiquement de l’Église s’ils continuent à promouvoir le meurtre d’enfants à naître et refusent de se repentir. Bergoglio élude cependant cette question et soutient publiquement ces politiciens, même au cours de la campagne électorale.

On sait également que Bergoglio a fait l’éloge d’un avorteur notoire en Italie, responsable de plus de dix mille avortements ! De plus, il l’a béni pour la suite du « travail ». Selon l’enseignement de l’Église, non seulement ceux qui ont avorté sont accusés de meurtre, mais aussi ceux qui y ont participé. Bergoglio bénit les meurtres de masse, appelle le meurtre « travail » et lui donne une décoration papale. C’est pourquoi il est également passible d’une peine pour le meurtre d’enfants à naître. De plus, il est de son devoir d’avertir les politiciens, et s’il ne le fait pas, les paroles de saint Basile s’appliquent à lui :

« Celui qui a le devoir de réprimander dans l’Église et ne le fait pas sera puni comme un meurtrier ».

Citation de Bergoglio :

« Vous souvenez-vous de la tempête provoquée par Amoris Laetitia ? “Hérésie, hérésie !” Dieu merci, il y avait le cardinal Schönborn, un grand théologien qui a clarifié les choses… »

Commentaire : L’exhortation Amoris Laetitia contient-elle des hérésies, ou est-elle orthodoxe ? Pourquoi François, depuis plusieurs années, n’a-t-il pas du tout répondu aux doutes de quatre cardinaux ? Pourquoi n’a-t-il pas répondu à la Correction Filiale émise par les intellectuels et théologiens catholiques ? Au lieu de cela, il fait appel au théologien hérétique Schönborn. Schönborn est connu pour promouvoir l’homosexualité, et a maintenant transformé la cathédrale de Vienne en centre de vaccination.

Journaliste Stefano Maria Paci (télévision italienne Sky TG24) :

« La question concerne la famille : vous en avez parlé avec les autorités hongroises, et hier est arrivée la nouvelle d’une résolution au Parlement européen, résolution qui invite les États membres à reconnaître les mariages homosexuels. Que pensez-vous de ceci ? »

Citation de François :

« Ce sont des lois qui essaient d’améliorer la situation de nombreuses personnes d’orientations sexuelles différentes. Et c’est important… Les États ont la possibilité de les soutenir civilement, de donner une sécurité par l’héritage [l’assurance] santé… »

Commentaire : L’année dernière, dans un documentaire intitulé « François », le pseudo-pape a publiquement soutenu, pour la première fois, la légalisation du mariage homosexuel et de l’adoption d’enfants par les homosexuels. Comme il y avait beaucoup de bruit à ce sujet, on a rapidement soutenu qu’il ne s’agissait que d’un film. Mais Bergoglio ne se défendit pas, il se tut. Et à présent, dans l’avion, au moment où le Parlement européen a publié une résolution, il (François) soutient ouvertement le mariage civil entre personnes du même sexe.

L’enseignement de l’Église est qu’un catholique qui est enclin à l’homosexualité doit combattre cette concupiscence pécheresse, et éviter la prochaine occasion de pécher parce que le salut de son âme immortelle est en jeu. Le mariage homosexuel signifie légaliser l’obstination dans le péché, et rejeter la repentance salvatrice. Si Bergoglio dit qu’ils sont des enfants de Dieu qui n’ont pas besoin de se repentir, et que l’Église doit les accompagner, alors nous demandons : pour aller où ? Vers l’abîme de l’enfer ?

Bergoglio est coupable d’un plus grand péché que les homosexuels, parce qu’il abuse de la plus haute autorité ecclésiastique afin de légaliser le péché.

La sodomie fait tomber une malédiction et l’Écriture met en garde contre elle, parlant du feu temporel et éternel (Jud 1:7 ; 2P 2:6).

De plus, l’homosexualité est désormais associée à une anti-législation décadente, qui promeut l’idéologie du genre, la chirurgie de conversion sexuelle et le vol d’enfants par les services sociaux.

Il est gênant que la plus haute autorité ecclésiastique utilise l’héritage ou l’assurance-maladie comme argument en matière de mariage homosexuel, ferme les yeux sur les dégâts moraux pour les individus et la société, et boycotte la chose la plus importante, qui est le salut de l’âme.

+ Élie

Patriarche du Patriarcat Catholique Byzantin

+ Méthode OSBMr + Timothée OSBMr

Evêques secrétaires

Le 16 septembre 2021

Réponse à la conférence de presse aérienne de François entre Bratislava et Rome

Le Patriarcat Catholique Byzantin (PCB) est une communauté de moines, de prêtres et d’évêques vivant dans des monastères. Le PCB est dirigé par le patriarche Élie, en collaboration avec deux évêques secrétaires, Timothée et Méthode. Ce patriarcat est né de la nécessité de défendre les vérités chrétiennes fondamentales contre les hérésies et l’apostasie. Le PCB ne reconnaît pas le pseudo-pape Bergoglio, et ne lui est pas subordonné.

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Grève nationale contre la vaccination en Israël

[Source : Cogiito]

Par Shai Shelly & Philippe A. Jandrok

La grande grève a commencé en Israël

ISRAËL S’ÉVEILLE ENFIN, ET CRIE STOP AU CRIME VACCINAL ET AU MENSONGE D’ÉTAT.

Alors que la presse israélienne aux ordres, refuse de diffuser l’information de cette prise de conscience, le peuple manifeste aujourd’hui son épuisement et son ras-le-bol face à la situation COVID et aux vaccinations criminelles dans tout le pays. Les voitures s’accumulent, se mettent les unes derrière les autres pour bloquer la circulation, le peuple ferme le pays d’une ville a l’autre, toutes les villes sont désormais solidaires dans ce combats pour la vie, pour la survie de tout un peuple.

La négation de la science a pour conséquence, la privation des libertés mais également le massacre de la population israélienne et internationale à l’échèle d’un nouvel Holocauste comme l’affirme le Dr Zelenko à New York, Vera Sharav rescapée des camps et combien d’autres ?

https://www.youtube.com/embed/NGoWgYHl7Os



Le peuple israélien ne supporte plus cette privation de liberté et ce nouvel holocauste organisé par les laboratoires, les industriels de la pharmacie, les banques et le gouvernement Israélien.

Les preuves scientifiques sont criantes, ils ne peuvent plus mentir, ils ne peuvent plus les cacher, les vaccins anti-COVID sont dangereux, mortels, destructeurs de la vie ; le jour de la révolte pour la vérité et l’humanité est enfin arrivé… en Israël.

En ce jour béni, les voitures bloquent tout le pays et toutes les rotondes par des opérations escargots.

DES DIZAINES DE MILLIERS DE CITOYENS ONT PORTÉ PLAINTE CONTRE LA POLICE ET LE GOUVERNEMENT POUR CRIMES CONTRE L’HUMANITÉ

Des centaines de milliers de personnes sont dans les rues à manifester et ils ne vont pas cesser de bloquer le pays tant que le gouvernement n’annulera pas le passeport vert et les obligations vaccinales.

La vérité est enfin découverte par le peuple, malgré les dissimulations de Facebook, Youtube et les médias techno-nazis, les vaccins Pfizer ont tué des centaines de milliers de personnes dans tout le pays, alors que le ministre de la santé a déclaré officiellement :

“QU’IL N’Y AVAIT PAS DE VICTIMES VACCINALES APRÈS LA TROISIÈME INJECTION”.

20 000 citoyens ont témoigné que les israéliens sont soit blessés avec de graves effets secondaires, soit ils décèdent rapidement après les injections du vaccin Pfizer.

Le peuple Israélien veut mettre un terme à ce massacre et réclame de retrouver son statut d’êtres humains libres comme avant le déclenchement de la crise pandémique du Coronavirus.

Nous sommes à l’ère des révélations, les psychopathes organisateurs de cette pandémie ne pourront plus se cacher et leurs complices hommes et femmes politiques, médecins, personnels soignants, fonctionnaires, policiers, toutes ces personnes qui ont joué un rôle dans ce crime contre l’humanité devront rendre des comptes.

Klaus Schwab, grand ordonnateur du Forum Economique Mondial nous averti de sa fausse bienveillance et de sa prochaine globale cyber attaque – car nous pensons qu’il n’y est pas étranger – pour empêcher l’humanité d’accéder à la véritable information et pour permettre aux banques d’imposer la monnaie numérique en pillant l’argent des citoyens du monde entier. Cette opération sert également à tous ces criminels pour s’échapper, se cacher et tenter de garder le contrôle sur notre humanité.

Restons lucides, ne cédons à aucune panique, celles et ceux qui portent la lumière de la vérité devront tenir bon face à la tempête qui s’affaiblit de jour en jour. Le peuple vaincra car, il est dans la vérité.

Il ne tient qu’à nous toutes et tous, êtres bienveillants de faire s’écrouler ce géant aux pieds d’argile.





https://www.facebook.com/nurit.orvieto/videos/289437172731496

THE GREAT STRIKE HAS BEGUN IN ISRAEL




Molnupiravir : futur scandale ou avancée ?

[Source : covid-factuel.fr]

Par ZOLA

Tous les journaux, nationaux et régionaux, saluent une grande avancée dans la lutte contre la covid, après les déclarations de Merck concernant son futur traitement précoce en comprimés. Il réduirait de 50% hospitalisations et décès, sans effets secondaires, mais qui est allé voir ce qui pouvait se cacher derrière cette étude que certains commencent à critiquer ?

Vous verrez qu’il sera rapidement validé par les autorités sanitaires, avec une seule étude financée par le labo qui n’a aucun conflit d’intérêts [on tousse], alors que les mêmes autorités refusent d’autres produits, plus efficaces (75% au lieu de 50%, et surtout plus “safe”), malgré plus de 60 études, provenant de scientifiques non liés financièrement à une autorisation. Il est vrai qu’à plus de 712 dollars le traitement (coût de fabrication 17 dollars), multiplié par des milliards, la dot est plus intéressante qu’un produit qui ne coûte rien et ne rapporte rien. Rappelons que l’»indépendante» EMA est financée à 85% par les redevances des laboratoires sur les AMM accordées. Vous comprendrez aussi mieux pourquoi Merck a lancé en même temps une campagne de dénigrement de l’ivermectine. Ce qui est moins compréhensible est le soutien des autorités sanitaires et de scientifiques dans cette campagne, reprise par toute la presse.

Les virus sont particulièrement difficiles à attaquer avec des médicaments. Ils produisent des copies d’eux-mêmes, en pénétrant et détournant des fonctions cellulaires de l’hôte pour se reproduire. Le problème est de détruire le virus sans endommager les cellules, et quand on y arrive, le résultat n’est pas durable car les virus mutent pour survivre, tout comme les bactéries acquièrent des résistances aux antibiotiques. S’il y a eu quelques avancées thérapeutiques anti virales, on ne les trouve que contre les affections chroniques comme le VIH, l’herpès et l’hépatite C, mais pas pour les affections aigues comme la dengue, le chikungunya ou le virus du Nil occidental, et plus récemment le SARS ou le MERS, voire la grippe tout court, sans traitement depuis des décennies. Le Sars-Cov-2 aura peut-être permis des découvertes comme celle de l’ivermectine, dont le mode d’action empêche les virus de pénétrer dans les cellules, et déjà saluée pour son action contre ces affections aigues sans traitement. Nous en entendrons parler à l’avenir, en mono, bi ou trithérapie, car barrée aujourd’hui pour des raisons financières, elle n’a pas dit son dernier mot. Elle n’a toutefois pas l’exclusivité d’une découverte thérapeutique contre les virus.

Le Molnupiravir serait un antiviral à large spectre. La molécule n’est pas ancienne, elle a 40 ans, et si elle n’a pas percé, ce qu’a fait très rapidement l’ivermectine, c’est en raison de certaines craintes. En effet, du fait de son mode d’action, il fait partie d’une catégorie de produits, les « nucléosides mutagènes », qui n’empêchent pas le virus de se répliquer, mais qui introduisent des erreurs dans l’ARN du virus qui sont ensuite répliquées jusqu’à sa disparition. Le grain de sable qui fait dérailler la machine.

Le Molnupiravir est métabolisé en ribonucléotide triphosphate, qui va se substituer à la cytidine triphopsphate ou à l’uridine triphosphate, comme support de l’enzyme ARN polymérase, ce qui engendre des erreurs dans la copie du brin d’ARN du virus, empêchant sa reproduction.

La crainte est que ce mode d’action présente un risque mutagène. En biologie un mutagène est un agent qui change le génome (l’ADN) d’un organisme, ce qui entraîne des mutations génétiques. Sont classés par exemple comme mutagènes l’Acyclovir, mais aussi la Dépakine et surtout la Thalidomide de sinistre mémoire. 

Notons que la première commercialisation de la Thalidomide (sous le nom de Grippex) était pour la grippe ! Notons également que le laboratoire Ridgeback Biotherapeutics qui a acheté la molécule le 19 mars 2020, et qui le développe actuellement avec Merck qui a racheté les droits, souhaitait le développer au départ également pour la grippe avec moultes subsides du National Institute of Health.

Le Molnupiravir présenterait peu d’effets secondaires (comme le Remdesivir et les vaccins sur les premières études), » mais un doute persiste sur le risque d’éventuels effets mutagènes pour l’homme à moyen ou long terme, voire sur plusieurs générations (risque démontré chez d’autres mammifères) », peut-on lire dans la page Wikipédia. Si le Molnupiravir n’a pas montré de problème dans des études chez le furet, plusieurs autres nucléosides ont été abandonnés par le passé alors qu’ils n’ont pas montré non plus de problème chez l’animal. 

C’est le cas de la Zidovudine (Retrovir), administrée à des femmes enceintes en Espagne de 2000 à 2009, entrainant 6,9% de malformations congénitales (uniquement majeures, en excluant les malformations mineures type angiomes, naevus, kystes ovariens,..). C’est le cas également en 2012 d’un traitement contre l’hépatite C, pour lequel Bristol-Myers Squibb avait déboursé 2,5 milliards, qui en quelques mois s’est montré source de problèmes graves lors de la phase d’essais sur l’homme, ayant conduit à l’abandon.

En 2012, la société Pharmasset Inc. (Gilead) avait abandonné ses études sur le Molnupiravir en raison de la crainte qu’il soit mutagène et n’entraîne des malformations congénitales, en vertu du principe de précaution.

En raison de ce risque, en novembre 2019, plus d’un mois avant que la Chine ne rende publique le début de l’épidémie de COVID-19 à Wuhan l’immunologiste Rick Bright, directeur de la Biomedical Advanced Research and Development Authority avait alerté les autorités contre son utilisation dans les affections virales, des chercheurs avaient déjà étudié de manière intensive le principe actif du molnupiravir, et découvert in vitro et in vivo (chez l’animal) que si cette molécule inhibait effectivement la réplication d’une gamme de virus à ARN (dont la grippe), elle avait des effets mutagènes potentiels très préoccupants sur les organismes colonisés par ces virus. Il dénonçait également des conflits d’intérêts et pressions de l’administration Trump, avec petits arrangements financiers entre amis. Comme il insistait, dénonçant l’injection de fonds publics (300 millions de dollars), il sera démis de ses fonction le 20 avril 2020 suite à son refus de débloquer des fonds pour la société Ridgeback Biotherapeutics, qui en avait déjà obtenu du NIH pour des études contre la grippe. Il sera réhabilité par l’administration Biden, après enquête confirmant ses dires.

Le premier résultat du Molnupiravir sur le Sars-Cov-2, est une étude sur 202 patients, étude menée par le Dr Wendy Painter, épouse de Georges Painter (président de l’Emory Institute for Drug Development), qui a lancé l’aventure avec Wendy Holman , directrice co-fondatrice de Ridgeback Biotherapeutics en 2015, après une carrière dans la finance.

En mars 2021, des chercheurs de l’Université de Caroline du Nord à Chapel Hill ont présenté une étude sur l’ingrédient principal du médicament lors de la même conférence sur les maladies infectieuses où Ridgeback a présenté ses données. Les chercheurs de l’université ont déclaré, sur la base de leurs tests, que l’utilisation du molnupiravir devrait être limitée à ceux susceptibles d’obtenir les plus grands avantages, “en raison des risques à long terme inconnus associés à l’exposition systémique à un mutagène de l’ADN”. Merck a refusé de commenter les recherches de l’UNC.

D’un autre côté, certains scientifiques disent que, parce que le médicament n’est destiné à être utilisé que pendant cinq jours, le risque est limité. Bright a également mis un peu d’eau dans son vin “Toute préoccupation que j’avais à propos d’un groupe universitaire ou d’une petite startup essayant d’aller trop vite, celles-ci ont été atténuées lorsque Merck s’est impliqué”, dit-il, ajoutant qu’il faisait confiance au fabricant de médicaments pour effectuer les bonnes études de sécurité.  Je ne vois pas ce que le changement de propriétaire pourrait changer aux propriétés de la molécule, et si Merck dit avoir étudié à des doses plus élevées et pendant des périodes plus longues que celles qui seraient administrées aux humains, ayant racheté les droits en mai, quel est le recul de ces études ?

S’il ne s’agit que de craintes, liées à des inconvénients avérés concernant des molécules voisines ayant le même mode d’action, la prudence impose un peu de recul, mais le rapport bénéfice/risque et le principe de précaution, ont-ils encore une certaine valeur quand on voit ce qui est fait depuis le début de la crise, où les seuls médicaments proposés sont expérimentaux, sans recul, et achetés avant publications des seuls laboratoires. Dans le même temps, on refuse d’expérimenter des médicaments éprouvés, distribués depuis des décennies à des milliards d’individus, avec des résultats publiés par nombre de scientifiques qui n’ont pas d’intérêts directs à leur distribution.

Enfin, pour sourire une peu : Merck, financé par les autorités américaines, aurait mis en veille des études en cours du Molnupiravir contre l’encéphalite équine vénézuélienne, alors que dans le même temps, les mêmes, Merck et autorités, accusent l’ivermectine d’être un médicament pour les chevaux à ne pas utiliser chez l’homme ! Et devinez qu’est-ce que l’on prescrit ausssi contre l’encéphalite équine vénézuélienne ? Je vous le donne en mille : de l’ivermectine ! Le monde se porterait-il mieux si les vétérinaires remplaçaient les médecins ?

MONEYPIRAVIR

Pour ceux qui veulent aller plus loin, un article très pointu de Nature sur le mode d’action, et qui conclut sur la prudence à adopter face au risque mutagène observé chez les mammifères.




Covid-19 : l’étau se resserre autour du docteur Anthony Fauci

[Source : voltairenet.org]

The Intercept a publié le 23 septembre 2021 une demande de subvention d’EcoHealth Alliance soumise à la DARPA (Defense Advanced Research Projects Agency) en 2018.(([1] « Leaked Grant Proposal Details High-Risk Coronavirus Research] », Sharon Lerner & Maia Hibbett, The Intercept, September 23 2021.)) On peut y lire que cette société se propose de créer en laboratoire un virus artificiel à partir de coronavirus de chauve-souris.(([2] https://www.documentcloud.org/documents/21066966-defuse-proposal))

L’ancien conseiller économique du président Donald Trump, Peter Navarro, a par ailleurs révélé qu’EcoHealth Alliance a servi au docteur Anthony Fauci à détourner de l’argent public US pour financer des recherches — illégales aux États-Unis — effectuées par le laboratoire P4 de Wuhan (Chine).

Le directeur d’EcoHealth Alliance, Peter Daszak, est l’auteur principal de la pétition, parue dans The Lancet,(([3] « Statement in support of the scientists, public health professionals, and medical professionals of China combatting COVID-19 », The Lancet, February 19, 2020.)) pour soutenir les professionnels de santé de Wuhan injustement accusés d’être responsables de l’épidémie de Covid-19. Peter Daszak a aussi été membre de la Mission d’information de l’OMS à Wuhan.

Alex Jones (InfoWars) a diffusé, le 4 septembre 2021, deux extraits d’une vidéo diffusée par la chaîne publique états-unienne CSPAN, en octobre 2019, d’une table ronde sur la création d’un vaccin universel contre la grippe.(([4] « Monday Night Emergency Broadcast : Video of Fauci and HHS Plotting to Stage Massive Health Scare Using “New Virus” Emerges », InfoWars, September 4, 2021.))

Les experts y débattent de la nécessité
• de modifier la procédure d’habilitation des vaccins contre la grippe et
• de changer la manière dont on produit les vaccins contre la grippe et de les remplacer par des système ARN messager.
Ils constatent que l’industrie pharmaceutique ne franchira pas le pas car la grippe n’est pas une maladie qui fait peur.

Le docteur Anthony Fauci déclare alors en substance qu’il faudrait un choc, une épidémie d’une sorte de grippe beaucoup plus mortelle, pour que l’industrie pharmaceutique et l’Humanité avancent.

Anthony Fauci est directeur, depuis 1984, de l’Institut national US des allergies et maladies infectieuses (National Institute of Allergy and Infectious Diseases). Il a été un collaborateur du secrétaire à la Défense Donald Rumsfeld et a milité en 2004 pour son projet de confinement des personnes saines. Il est membre de « L’Aube rouge »,(([5] « Le Covid-19 et l’Aube rouge », par Thierry Meyssan, Réseau Voltaire, 28 avril 2020.)) le groupe qui a milité en 2020 pour l’application du plan de confinement des personnes saines à l’occasion de l’épidémie de Covid-19. Il a été nommé par le président Donald Trump à la cellule de crise sur la Covid-19 et a été maintenu à ce poste par le président Joe Biden.





Les mécanismes des régimes totalitaires

[Extrait de Viol des esprits et psychose de masse – Anthropo-logiques]

Audition donnée devant la Commission Corona de l’avocat allemand Reiner Fuellmich par le Pr Mattias Desmet. Celui-ci enseigne la psychologie clinique à l’université de Gand en Belgique et s’est spécialisé dans la « formation de masse » typique des régimes totalitaires.

Dans un exposé brillant, il présente un modèle effectivement éclairant quant aux conditions préalables nécessaires, mais aussi à la dynamique propre des dérives de l’ordre de celle dans laquelle nous sommes.

Laquelle se caractérise en effet par un « état préalable » de la société, fait de niveaux élevés de mal-être et de perte de sens. Soulignant les taux stupéfiants (littéralement) de consommation de médicaments psychotropes dans nos différents pays ainsi que de marqueurs de souffrance psychique comme le burn-out et les dépressions, le Pr Desmet souligne que nous étions déjà des sociétés souffrant de fort taux d’anxiété et de frustration psychique diffuses, amplifiées par la perte de liens sociaux. Il en résulte une société déboussolée, avec des individus en proie à des affects d’autant plus douloureux qu’ils ne savent pas les attribuer à une cause en particulier. Cette souffrance « flottante » est d’autant plus redoutable que tout facteur obvie apparaissant porte en lui le risque de précipiter les deux principaux processus inconscients mis en lumière par Freud : le déplacement et la condensation.

Un agent comme le coronavirus peut ainsi devenir la cible de cette projection massive sur laquelle les individus vont décharger mais aussi investir massivement leur souffrance diffuse : grâce au Covid, ils savent enfin (ou croient savoir bien sûr) pourquoi ils sont aussi angoissés et déboussolés.

La captation de cet investissement pulsionnel par le narratif officiel devient un jeu d’enfant : dans une configuration élémentaire « à la » triangle de Karpmann (que Desmet ne mentionne pas), les gens s’éprouvent victimes ou à risque de l’être avec un bourreau identifié (le redoutable virus, auquel se retrouvent agglutinés ceux qui contestent le narratif officiel -complotistes et antivaxx selon les étiquettes de circonstance- désignés eux aussi comme des « dangers publics » ) et un sauveur qui l’est tout autant (les autorités protectrices et le « vaccin » salvateur).

Dans ce processus, les individus se soulagent efficacement de leur souffrance diffuse, avec de surcroît le sentiment de participer à une communauté héroïque, recréant ainsi le sentiment d’être en liens d’une manière où ils se sentent prêts à tous les sacrifices. Le Pr Desmet insiste sur le fait que la participation à la dérive totalitaire est tout sauf égoïste : elle est à l’inverse solidaire, altruiste et même sacrificielle. Ce que confirme la facilité avec laquelle les peuples renoncent actuellement à leurs droits et libertés.

Une fois cet « engoncement » dans un narratif fantasmatique réalisé, le piège s’est refermé : le risque qu’il y aurait à ouvrir les yeux, à comprendre la réalité de la situation, à mesurer aussi l’étendue et la gravité des manipulations et maltraitances subies de la part de dirigeants en qui ils avaient placé leur confiance implique nécessairement le risque d’être renvoyé à la souffrance flottante, perspective psychiquement insupportable. Ce qui explique pourquoi les « covidistes » (autorités et population) sont si peu intéressés par les faits, les chiffres et les données. A tel point qu’ils les rejettent même avec acharnement et une hostilité marquée envers ceux qui cherchent à les en informer.

Un paramètre frappant de ce processus est que ce ne sont de loin pas les personnes les mieux éduquées ou soi-disant les plus aptes à la pensée critique qui se trouvent être les mieux protégés face à cette dérive délirante. Au contraire ! Les « élites » sont d’autant plus à risque que leur narcissisme social rend difficile pour elle l’admission de leurs erreurs ou dérapages. Les biais cognitifs de confirmation, amplifiés par la pensée grégaire et la supériorité de caste, rend à l’inverse les médecins, scientifiques, universitaires, avocats, psychologues, dirigeants d’entreprise, cadres et journalistes d’autant plus à risque de s’enfermer dans des postures délirantes.

Les chiffres insensés que continue à produire la Task Force scientifique suisse dans ses hallucinations modélisatoires en est un bon exemple : après avoir prétendu à l’encontre de toute réalité que les confinements avaient sauvé des dizaines de milliers de vies (là où la vraie science montre qu’il n’ont pas eu d’impact favorable) sa vice-présidente Samia Hurst est venue il y a peu expliquer aux médias complaisants que le pass sanitaire allait permettre maintenant d’éviter des dizaines de milliers d’hospitalisations, là où les meilleurs épidémiologistes ont montré son inutilité en ce sens. A part aligner les « 0 » après un nombre entier dans de parfaits fantasmes pseudoscentifiques, les élucubrations de la Task Force ne sont rien d’autre depuis le début de l’épidémie de Covid que des productions proprement délirantes au regard des critères de la vraie science.

Symptôme d’un mal plus profond : comme le problème n’est pas intellectuel ou logique, les données véridiques ne peuvent rien pour ces psychismes azimutés. Qui se tiennent parmi hélas dans une grande bouffée psychotique pour le plus grand malheur de la population.

Alors comment sortir de l’ornière ?! Mattias Desmet souligne qu’il y a toujours dans les formations de masse une répartition inégale de la population : à peu près 30% est captive de l’hypnose collective et ne dispose pas de la ressource nécessaire à la remettre en question. 40% de la population est simplement emportée par le mouvement, mais tout en conservant la ressource latente de se questionner et de sentir intuitivement que quelque chose ne joue pas. En particulier dans la présentation absurde des données. Enfin, de 20 à 30% de la population est constituée de personnes qui ont une immunité psychique face à la formation de masse. Elles ont vocation à être des gardiens des valeurs humaines et du bon sens, avec pour objectif principal de garder le dialogue ouvert avec les 40% de personnes « récupérables ».

Cette audition est si éclairante, si fondamentale, que je ne peux qu’en recommander vivement le visionnement. Fuellmich et son équipe poussent évidemment les questions plus loin, notamment quant à la possible « ingénierie » délibérée et impliquant donc une responsabilité pénale de certains acteurs. La suite est à découvrir ici :



  • Article « Masse und Macht renommées « La formation de masse » par Mattias Desmet » par Valoloz sur son blog de Mediapart : cliquer ici.
  • Dr. Mattias Desmet – psychological crisis and mass formation, podcast (en anglais) : cliquer ici.

[Voir aussi :
LE MEURTRE DE L’ESPRIT ou comment la peur mène à la psychose de masse
Psychose collective — Comment une population entière devient psychiquement malade
Comment la peur court-circuite le raisonnement
William Sargant, MK Ultra, conditionnement — Le détournement cognitif ou la psychologie qui consiste à façonner la réalité d’autrui
Psychopathologie du totalitarisme — Le délire paranoïaque, les aspects du projet totalitaire, et comment sortir de l’aliénation collective
« Covid 19, un virus et des hommes » : petit essai de psychopathologie apocalyptique
Décryptage de la Pandémie de Covid-19. Un exercice d’ingénierie sociale
La psychologie inquiétante derrière le vaccin Covid : HYPNOSE DE MASSE et CULTE du SUICIDE
Ingénierie sociale – Le monde est sous hypnose
Le contrôle mental au temps du Covid
Macron utilise l’expérience de Asch pour maintenir les français dans la peur du Covid
Le documentaire Hold-Up et l’interview d’Ariane Bilheran à propos de la crise mondiale Covid-19
Dernier appel avant embarquement pour suicide collectif
Témoignage de Brian Gerrish à Reiner Füllmich : La « pandémie » que l’on nous a lancée pour nous effrayer pourrait en fait être la chose qui nous fera redevenir plus humain
Covid et destruction psychique: SOS psychiatres !
Des études montrent que la religion et la spiritualité sont positivement liées à une bonne santé mentale. La nouvelle science de la neurothéologie
De l’eugénisme à l’hygiène sociale ou le contrôle mental comme moyen de gérer les masses
Éteignez la télévision – La programmation neurolinguistique a été utilisée contre les populations dans de nombreux pays et le Royaume-Uni pourrait être aux commandes
Soumission à l’autorité : l’obéissance n’est pas ce que Stanley Milgram croyait
Covid : comment l’irrationalité s’est emparée de nos sociétés
Le cerveau électronique
Covid-19 : La destruction systématique de la psyché humaine
Crise du covid : les scientifiques britanniques admettent avoir utilisé la peur pour aider leur gouvernement à contrôler la population]




Aucun lien entre le taux de vaccination et l’évolution de l’épidémie d’après Harvard

[Source : LE BLOG DE PATRICE GIBERTIE (pgibertie.com)]

LE JOURNAL EUROPÉEN D’ÉPIDÉMIOLOGIE publie une étude de Harvard qui DÉMONTRE QU IL N Y A AUCUN LIEN ENTRE LE TAUX DE VACCINATION et l’évolution de la pandémie. Nous nous en doutions en comparant les courbes de 2021 et de 2020, mais cent fois par jour la rengaine : la vaccination a fait reculer l’épidémie !

Dirigée par SV Subramanian à la Harvard TH Chan School of Public Health, cette étude, collectant et analysant des données jusqu’au 3 septembre 2021 démonte les dires des plateaux télé.

Non les vaccins n’ont pas reculer la pandémie qui est cyclique. Sa disparition interviendra si des variants moins virulents apparaissent et si une part suffisante de la population a été en contact avec le virus

https://link.springer.com/article/10.1007/s10654-021-00808-7

Les vaccins sont actuellement la principale stratégie pour lutter contre le Covid-19 dans le monde. Le récit lié à la recrudescence continue de nouveaux cas aux États-Unis (É.-U.) serait expliqué par les zones à faible taux de vaccination.(([1] Vaccinations CDC. CDC COVID data tracker. Centers for Disease Control and Prevention. 2021. 
https://covid.cdc.gov/covid-data-tracker/#vaccinations.)) Un récit similaire a également été observé dans des pays comme l’Allemagne et le Royaume-Uni.(([2] Nicolas E. Germany mulls restrictions for unvaccinated as cases soar. EUobserver; 2021. 
https://euobserver.com/coronavirus/152534.)) Dans le même temps, Israël, salué pour ses taux de vaccination rapides et élevés, a également connu une résurgence substantielle des cas de Covid-19.(([3] Estrin D. Highly vaccinated Israel is seeing a dramatic surge in New COVID cases. Here’s why. NPR; 2021. 
https://www.npr.org/sections/goatsandsoda/2021/08/20/1029628471/highly-vaccinated-israel-is-seeing-a-dramatic-surge-in-new-covid-cases-heres-why.)) Nous étudions la relation entre le pourcentage de la population entièrement vaccinée et les nouveaux cas de Covid-19 dans 68 pays et dans 2947 comtés aux États-Unis.

Pour les pays, il ne semble pas y avoir de relation discernable entre le pourcentage de la population complètement vaccinée et les nouveaux cas de Covid-19. En fait, la ligne de tendance suggère une association légèrement positive telle que les pays avec un pourcentage plus élevé de population entièrement vaccinée ont des cas de Covid-19 plus élevés pour 1 million de personnes.

Notamment, Israël, avec plus de 60 % de sa population entièrement vaccinée, a enregistré les cas de Covid-19 les plus élevés pour 1 million de personnes.

L’absence d’association significative entre le pourcentage de population entièrement vaccinée et les nouveaux cas de Covid-19 est encore illustrée, par exemple, par la comparaison de l’Islande et du Portugal. Les deux pays ont plus de 75 % de leur population entièrement vaccinée et ont plus de cas de Covid-19 pour 1 million d’habitants que des pays comme le Vietnam et l’Afrique du Sud qui ont environ 10 % de leur population entièrement vaccinée.

En résumé, même si des efforts doivent être faits pour encourager les populations à se faire vacciner, cela doit être fait avec humilité et respect. La stigmatisation des populations peut faire plus de mal que de bien.

Cette étude confirme celle de Juan Chamie :

LA VACCINATION OBLIGATOIRE DES PLUS DE 60 ANS N’A AUCUN IMPACT SUR LA MORTALITÉ

90 % ou 100 % de plus de 60 ans vaccinés : pratiquement aucun impact sur la mortalité. C’est ce qui est constaté à partir de l’observation de dizaines de comtés américains. L’étude mathématique de l’Institut Pasteur mise à mal.

40 % ou 90 % de vaccinés, il y a une petite différence, mais aucune dans ce qui peut être espéré d’une vaccination obligatoire Ajoutons que les effets secondaires ne sont pas pris en compte….

Que se passe-t-il quand les plus vulnérables sont presque tous vaccinés ? Selon les médecins de plateaux télé et de Pasteur (les mêmes), la mortalité s’effondre, car les mathématiques l’ont démontré !!!

Jadis les Soviétiques disposaient de la meilleure école de mathématiciens du monde, ils obtenaient des prévisions totalement fausses à partir de constructions mathématiques merveilleusement justes

Un bon data analyste observe des données justes et il explique, il ne s’agit pas de prévisions, mais d’observations, c’est toute la différence !

Juan Chamie est Senior Data Analyst at FLCCC à Cambridge (USA) il vient de publier une étude sur l’impact du pourcentage de vaccinés de plus de 60 ans sur le taux de mortalité Covid. Il observe des centaines de comtés américains du même état ou d’états voisins avec donc des données structurelles comparables. Dans certains, le pourcentage de vaccinés de plus de 60 ans est élevé. Dans d’autres au même moment, il plus faible.

L’augmentation du nombre de vaccinés se traduit elle par une baisse des décès Covid ?

La vérification ne va pas vraiment dans le sens attendu, entre des comtés dans lesquels 70 % des personnes à risques sont vaccinées et d’autres dans lesquels on dépasse les 90 % il n’y a pas de différence significative

Réduire de 10 à 0 % le nombre de non vaccinés parmi les plus de 60 ans n’aurait aucun effet significatif sur leur mortalité





Au sujet de la vaccination obligatoire




Lien entre relations sociales et santé

[Source : plos.org]

Relations sociales et risque de mortalité : une revue méta-analytique

Résumé

Contexte

La qualité et la quantité des relations sociales des individus
ont été liées non seulement à la santé mentale.
mais aussi à la morbidité et à la mortalité.

Objectifs

Cette revue méta-analytique a été menée pour déterminer dans quelle mesure les relations sociales influencent le risque de mortalité, quels aspects des relations sociales sont les plus prédictifs et quels facteurs peuvent modérer le risque.

Extraction des données

Les données ont été extraites sur plusieurs caractéristiques des participants, y compris la cause de la mortalité, l’état de santé initial et les conditions de santé préexistantes, ainsi que sur les caractéristiques de l’étude, y compris la durée du suivi et le type d’évaluation des relations sociales.nes bleues) 

Résultats

Dans l’ensemble des 148 études (308 849 participants), la taille de l’effet moyen pondéré par les effets aléatoires était OR = 1,50 (IC à 95 % : 1,42 à 1,59), ce qui indique une probabilité de survie accrue de 50 % pour les participants ayant des relations sociales plus fortes. Ce résultat est resté cohérent quels que soient l’âge, le sexe, l’état de santé initial, la cause du décès et la période de suivi. Des différences significatives ont été constatées selon le type de mesure sociale évaluée (p<0,001) ; l’association était la plus forte pour les mesures complexes de l’intégration sociale (OR = 1,91 ; IC 95 % 1,63 à 2,23) et la plus faible pour les indicateurs binaires du statut résidentiel (vivre seul ou avec d’autres) (OR = 1,19 ; IC 95 % 0,99 à 1,44).

Conclusions

L’influence des relations sociales sur le risque de mortalité
est comparable aux facteurs de risque de mortalité bien établis.


[Source : infochretienne.com]

Comment vivre heureux et en bonne santé ?
Découvrez la réponse des scientifiques d’Harvard

Quand les équipes de recherche d’Harvard ont interrogé les jeunes adultes de la génération Y sur le but de leur vie, et la manière avec laquelle ils pensaient accéder au bonheur, 80% d’entre eux ont reconnu vouloir être riche et 50% célèbre ! Mais qu’est-ce qui nous rend vraiment heureux et en bonne santé pour toute la vie ? 4 générations de chercheurs se sont succédées tout au long d’une étude inédite, réalisée sur un échantillon de 724 hommes pendant 75 ans. Et la réponse à cette grande question est désormais connue et démontrée scientifiquement. Elle n’est en aucun cas liée à la richesse, à la célébrité ou au travail.



Cette étude est la plus longue jamais réalisée. 75 ans d’enquêtes, de questionnaires, d’entretiens, d’analyses médicales, de scanners, conduits par 4 directeurs de recherche successifs, ont permis d’étudier de manière scientifique ce qui rend vraiment les gens heureux.

Le projet initié par l’Université d’Harvard a démarré en 1938. 2 groupes de jeunes garçons de 19 à 20 ans ont été constitués. Le premier était formé par des étudiants de Harvard en deuxième année. Des jeunes garçons pauvres des bas quartiers du Boston des années 30 constituait le deuxième groupe. 60 de ces hommes sont toujours en vie aujourd’hui.

L’étude a commencé par des entretiens avec les garçons et leurs parents, ainsi que des analyses médicales variées. Tous les 2 ans, le rituel s’est répété, s’étoffant peu à peu, au fur et à mesure des progrès de la science et de l’imagerie médicale.

Les jeunes hommes sont devenus ouvriers, maçons, avocats, médecins… L’un d’eux est même devenu président des États-Unis ! Certains sont devenus alcooliques, schyzophrènes… Quelques-uns ont pris l’ascenseur social et d’autres ont fait le chemin inverse.

Aujourd’hui l’étude s’est élargie et porte sur les épouses, les enfants et petits-enfants. Des dizaines de milliers de pages de données ont été collectées autour de cette passionnante étude, pour pouvoir répondre à la grande question de la recette du bonheur.

« Comment vivre heureux et en bonne santé ? »

La réponse est simple :

Ni l’argent, ni le travail, ni la célébrité ne sont nécessaires au bonheur et à la bonne santé.
C’est la nature de nos relations qui compte.

Les relations harmonieuses nous rendent plus heureux et en meilleure santé !

Selon l’actuel directeur de recherche, le psychiatre Robert Waldinger, l’étude au long cours enseigne 3 grandes leçons :

  • Les connexions sociales sont d’une importance capitale et la solitude tue. Les personnes les plus connectées à leurs amis à leurs familles sont en meilleure santé. Mais la solitude est toxique. Les gens isolés socialement voient leur santé décliner en milieu de vie, et leurs fonctions cérébrales ralentissent plus vite.
  • Ce n’est pas le nombre d’amis qui compte, ce n’est pas non plus le fait de vivre en couple, mais c’est la qualité des relations avec ses proches qui importe. Vivre en conflit est désastreux pour la santé, alors que les relations chaleureuses protègent notre santé. Les quinquagénaires qui ont de bonnes relations deviennent des octogénaires en bonne santé.
  • Les relations de qualité ne protègent pas que notre corps. Elles protègent également notre cerveau. Les personnes qui ont des relations de qualité à 80 ans, ont moins de problèmes de mémorisation et le cerveau est mieux protégé. Certains couples d’octogénaires se disputent, mais tant qu’ils peuvent compter l’un sur l’autre, leur mémoire ne flanche pas.

Le psychiatre conclut sa présentation ainsi :

« On aimerait une solution facile… Les relations sont désordonnées et compliquées. C’est un dur labeur de s’accrocher à sa famille et ses amis, ce n’est ni sexy ni glamour. C’est tout le long de la vie. Ça ne finit jamais ! »

Les querelles et les mauvaises relations laissent des empreintes indélébiles en nous. Laissons nos écrans pour des temps de qualités, allons discuter pendant de longues marches, préservons les relations avec nos proches.

Nul besoin de la richesse, de la célébrité ou d’un travail valorisant, une belle vie se construit avec de bonnes relations.

« On n’a pas le temps, si brève est la vie, pour les chamailleries, les excuses, l’animosité, les appels à rendre des comptes. On n’a que le temps pour aimer et pas un instant de plus, pour ainsi dire, que pour ça. »

Mark Twain

H.L.


[Source : PubMed (nih.gov)]

Dans la maladie et dans la santé :
La corégulation de l’inflammation et du comportement social

Résumé

Bien qu’il ait été communément admis que le système immunitaire et les processus qui régissent le comportement social sont des entités distinctes et non communicantes, les recherches menées au cours des dernières décennies suggèrent le contraire.

Des preuves considérables montrent maintenant que
les processus inflammatoires et le comportement social
sont en fait de puissants régulateurs les uns des autres.

Cette revue résume d’abord les preuves que les processus inflammatoires régulent le comportement social, conduisant à des changements caractéristiques qui peuvent aider un individu à naviguer dans l’environnement social pendant les périodes de maladie. Plus précisément, cette revue montre que l’inflammation :

  • (1) augmente la sensibilité neuronale liée à la menace pour les expériences sociales négatives (par exemple, le rejet, les réactions sociales négatives), probablement pour augmenter la sensibilité aux menaces pour le bien-être ou la sécurité afin de les éviter
  • et (2) augmente la sensibilité neuronale liée à la récompense pour les expériences sociales positives (par exemple, voir des personnes proches et recevoir des réactions sociales positives), probablement pour augmenter la motivation liée à l’approche des autres qui pourraient fournir un soutien et des soins pendant la maladie.

Ensuite, cette revue résume les preuves montrant que le comportement social régule également certains aspects de l’activité inflammatoire, préparant le corps à des situations dans lesquelles les blessures et les infections sont plus probables (isolement social). Ici, nous passons en revue les recherches montrant :

  • (1) que l’exposition à des facteurs de stress social augmente l’activité pro-inflammatoire,
  • (2) que les individus qui sont plus isolés socialement (c’est-à-dire solitaires) présentent une activité pro-inflammatoire accrue,
  • et (3) que les individus qui sont plus isolés socialement présentent une activité pro-inflammatoire accrue en réponse à un défi inflammatoire ou à un facteur de stress social. Les implications de la corégulation de l’inflammation et du comportement social sont discutées.



Project Veritas : des scientifiques de Pfizer piégés en caméra cachée sur la vaccination ?

[Source : RT en français]

Trois hommes interrogés à leur insu par le média conservateur Project Veritas, présentés comme des scientifiques travaillant pour l’entreprise pharmaceutique américaine Pfizer, se sont exprimés sans filtre sur la vaccination contre le Covid-19.

Le média conservateur américain Project Veritas – connu pour diffuser des enregistrements en caméras cachées – a mis en ligne le 5 octobre une vidéo d’une dizaine de minutes dans laquelle apparaissent à tour de rôle des protagonistes présentés comme des scientifiques du laboratoire Pfizer, filmés à leur insu lors de conversations informelles sur la vaccination contre le Covid-19. A l’heure où nous écrivons ces lignes, la vidéo en question a déjà cumulé plusieurs millions de vues, toutes plateformes confondues.

Les différents profils qui apparaissent à l’écran émettent en premier lieu de sérieuses réserves concernant la pertinence de la stratégie vaccinale en vigueur aux Etats-Unis. «Il s’agit juste de rendre la vie impossible à tous les non-vaccinés», jusqu’à les faire céder, «Si vous empêchez les non-vaccinés de faire quoi que ce soit, en permettant aux vaccinés de faire ce qu’ils veulent, les gens finissent par se dire : « Putain, laissez-moi juste me faire vacciner »», résume par exemple l’un des protagonistes.

«Tout se résume au profit», dénonce un protagoniste

Ils pointent en outre une recherche excessive de profit dans le secteur pharmaceutique qui, selon certains interlocuteurs de Project Veritas, aurait joué un rôle significatif pour écarter des traitements contre le coronavirus. «Vous avez des entreprises qui ont reçu énormément d’argent pour produire des vaccins et [les traitements par anticorps monoclonaux] sont mis de côté juste pour l’argent, c’est dégoûtant», déplore ainsi un des hommes interrogés à son insu, faisant ici référence à des anticorps fabriqués spécifiquement pour traiter une maladie, dont l’arrivée en France avait d’ailleurs été annoncée par le gouvernement en février 2021.

«J’ai vraiment l’impression de travailler pour une entreprise diabolique, tout se résume au profit alors que mon rôle est d’aider les gens, pas de faire des millions de dollars, ça pose un dilemme d’ordre moral […]. En ce moment, notre entreprise est dirigée par l’argent du Covid», surenchérit le même personnage à d’autres moments de la vidéo.

Vous ne parlez pas de choses qui pourraient vous causer du tort à vous, ou à Big pharma

Enfin, les interlocuteurs de Project Veritas décrivent le climat de censure auquel ils seraient confrontés, évoquant notamment une surveillance accrue sur leur lieu de travail. «On nous répète que « le vaccin est plus sûr que le Covid ». Genre, franchement, on a du faire tellement de séminaires là-dessus, tu n’as pas idée. Genre, on doit s’assoir pendant des heures et des heures en mode « Vous ne pouvez pas parler de cela… ce n’est pas public »», affirme l’un d’entre eux. «Il y a des yeux et des oreilles partout […] à Pfizer, dans les locaux. Donc vous ne parlez pas de choses qui pourraient vous causer du tort à vous, ou à Big pharma», abonde encore en ce sens un autre. 

Project Veritas, qui n’a pas précisé comment avait été obtenus ces propos ni dans quel contexte, a fait le choix de révéler l’identité de ses interlocuteurs, tous présentés comme scientifiques travaillant pour le laboratoire américain : Chris Croce, Rahul Khandke ou encore Nicholas Karl. Pour ce dernier, le média américain a d’ailleurs publié une autre vidéo dans laquelle le protagoniste semble réaliser qu’il a été filmé sans le savoir.

Nicholas Karl aurait depuis supprimé son compte sur Linkedin selon Eric Spracklen de Project Veritas. 

Fondée par James O’Keefe, cette organisation militante conservatrice publie régulièrement du contenu multimédia obtenu dans le cadre de caméras cachées ou encore d’enregistrements téléphoniques, parfois sujets à controverse.

De l’autre côté de l’Atlantique, l’Agence européenne des médicaments (EMA) vient de donner, le 4 octobre, son accord pour envisager l’administration d’une troisième dose du vaccin Pfizer-BioNtech pour les plus de 18 ans, «au moins six mois après la deuxième dose». Selon elle, ce rappel renforce la protection face au Covid-19.




« Je n’en peux plus »

[Source en allemand : multipolar-magazin.de]

Dans une lettre ouverte, un collaborateur d’ARD critique un an et demi de reportages sur la Covid-19. Ole Skambraks travaille depuis 12 ans comme collaborateur éditorial et rédacteur en chef de la radio publique.


Par OLE SKAMBRAKS

Je ne peux plus me taire. Je ne peux plus accepter sans mot dire ce qui se passe depuis maintenant un an et demi chez mon employeur, la radiodiffusion de service public. Les statuts et les traités d’État sur les médias consacrent des éléments tels que « l’équilibre », la « cohésion sociale » et la « diversité » dans la couverture médiatique. C’est tout le contraire qui se pratique. Il n’y a pas de véritable discours et d’échange dans lequel toutes les composantes de la société se retrouvent.

Dès le début, j’ai estimé que la radiodiffusion de service public devait remplir précisément cet espace : promouvoir le dialogue entre les partisans de l’action et les critiques, entre les personnes qui ont peur du virus et les personnes qui ont peur de perdre leurs droits fondamentaux, entre les partisans de la vaccination et les sceptiques de la vaccination. Mais depuis un an et demi, l’espace de discussion s’est considérablement rétréci.

Les scientifiques et les experts respectés avant la Covid-19, qui ont reçu un espace dans le discours public, sont soudainement des cinglés, des porteurs de chapeaux d’aluminium ou des covidiots. L’exemple cité est celui de Wolfgang Wodarg. Il est médecin spécialiste, épidémiologiste et politicien de longue date en santé. Jusqu’à la crise Covid, il a également siégé au conseil d’administration de Transparency International. En 2010, en tant que président de la commission de la santé publique du Conseil de l’Europe, il a mis au jour l’influence de l’industrie pharmaceutique dans la pandémie de grippe porcine. À l’époque, il pouvait exprimer personnellement son opinion à la radio publique, et ce n’est plus possible depuis la Covid-19. Il a été remplacé par ce que l’on appelle des vérificateurs de faits [ou « fact checkers » en anglais] qui le discréditent.

Un consensus paralysant

Au lieu d’un échange de vues ouvert, un « consensus scientifique » a été proclamé, qu’il convient de défendre. Ceux qui en doutent et réclament une perspective multidimensionnelle sur la pandémie récoltent l’indignation et l’hésitation.

Ce schéma fonctionne aussi au sein des rédactions. Depuis un an et demi, je ne travaille plus dans les actualités quotidiennes, ce dont je suis très heureux. Dans ma position actuelle, je ne participe pas aux décisions sur les questions qui seront traitées ni sur la manière dont elles le seront. Je décris ici ma perception des conférences de rédaction et d’une analyse de la couverture médiatique. Pendant longtemps, je n’ai pas osé sortir du rôle d’observateur, le prétendu consensus semblait trop absolu et à l’unisson.

Depuis quelques mois, je m’aventure sur la glace [au risque de glisser] et j’apporte ici et là une remarque critique lors de conférences. Il est souvent suivi d’un silence affecté, parfois d’un « merci pour l’indication » et parfois d’une leçon sur les raisons pour lesquelles ce n’est pas vrai. Cela n’a jamais donné lieu à des reportages.

Le résultat d’un an et demi de Covid-19 est une division de la société sans équivalent [dans l’Histoire]. La radiodiffusion de service public y a largement contribué. Elle assume de moins en moins sa responsabilité de construire des ponts entre les camps et de promouvoir les échanges.

On avance souvent l’argument selon lequel les critiques constituent une petite minorité qui n’a pas besoin d’être concertée, à qui il ne faut pas accorder trop de place pour des raisons de proportion. Cela devrait être réfuté au plus tard depuis le référendum en Suisse sur les mesures sanitaires. Bien qu’il n’y ait pas non plus d’échanges de vues libres dans les médias, le vote n’y a été que de 60 pour le gouvernement contre 40.(([1] L’exception était la couverture du référendum, pendant laquelle la télévision suisse était tenue de donner aux deux parties la même place de diffusion (vidéo ici) )) Peut-on parler d’une petite minorité à 40 % des suffrages exprimés ? Il convient de mentionner que le gouvernement suisse avait lié l’aide Covid au vote, ce qui a pu influencer la décision de certains de cocher le « oui » [en faveur du gouvernement].

Les développements de cette crise se déroulent à tant de niveaux, avec des répercussions sur toutes les composantes de la société, qu’en ce moment même, il faut non pas moins d’espace de débat, mais plus de liberté de débat.

Ceci n’est pas révélateur de tout ce qui est discuté à la radio publique, mais de ce qui n’est pas évoqué. Les raisons en sont multiples et nécessitent une analyse interne honnête. Les publications du chercheur en médias et ancien conseiller de la radio MDR Uwe Krüger peuvent y contribuer, comme par exemple son livre « Grand public — Pourquoi nous ne faisons plus confiance aux médias ».

Quoi qu’il en soit, il faut beaucoup de courage pour nager à contre-courant lors de conférences où des sujets sont débattus et discutés. Souvent, c’est celui qui est le plus éloquent qui peut présenter ses arguments, qui les imposent, et en cas de doute, c’est bien sûr la direction de la rédaction qui décide. Très tôt, l’équation a été que la critique des mesures sanitaires appartient au spectre de droite. Quel rédacteur en chef ose encore formuler une pensée contraire ?

Questions en suspens

Ainsi, la liste des incohérences et des questions en suspens qui n’ont pas reçu de rapports substantiels est très large :

  • Pourquoi en savons-nous si peu dans la recherche de « gain de fonction » sur la façon de rendre les virus plus dangereux pour l’homme ?
  • Pourquoi la nouvelle loi sur la protection contre les infections stipule-t-elle que le droit fondamental à l’intégrité physique et l’inviolabilité du logement peuvent désormais être restreints, indépendamment d’une situation épidémique ?
  • Pourquoi les personnes qui avaient déjà eu la Covid-19 doivent-elles se faire vacciner alors qu’elles sont au moins aussi bien protégées que les personnes vaccinées ?
  • Pourquoi ne parle-t-on pas de l’événement 201 et des exercices pandémiques mondiaux avant la propagation du SRAS-CoV-2 ou seulement en liaison avec des mythes conspirationnistes ?(([2] Les autres exercices d’urgence pandémique étaient « Clade X » (2018), « Atlantic Storm » (2005), « Global Mercury » (2003) et « Dark Winter » (2001). Ces exercices ont toujours porté sur la gestion de l’information.))
  • Pourquoi le document interne du ministère fédéral de l’Intérieur, connu des médias, n’a-t-il pas été publié dans son intégralité — et a-t-il été discuté par l’opinion publique ? — alors qu’il demandait que les autorités aient un « effet de choc » pour mettre en évidence les effets de la pandémie Covid sur la société humaine ?
  • Pourquoi l’étude du Professeur Ioannidis sur le taux de survie (99,41 % chez les moins de 70 ans) n’arrive-t-elle pas à faire les gros titres, alors que les projections fatalement fausses de l’Imperial College l’ont déjà fait (Neil Fergusson a prédit un demi-million de morts de la Covid-19 au Royaume-Uni au printemps 2020 et plus de 2 millions aux États-Unis) ?
  • Pourquoi un rapport d’expertise a-t-il été établi pour le ministère fédéral de la Santé que le taux d’utilisation des hôpitaux par les patients de Covid-19 n’était que de 2 % en 2020 ?
  • Pourquoi Brême a-t-elle de loin l’incidence la plus élevée (113 le 4/10/2021) et de loin le taux de vaccination le plus élevé en Allemagne (79 %) ?
  • Pourquoi des paiements de 4 millions d’euros ont-ils été versés sur un compte familial de la commissaire européenne chargée de la santé, Stella Kyriakides, responsable de la conclusion des premiers contrats européens de vaccins avec les groupes pharmaceutiques ?(([3] Panorama a fait état des paiements, mais le rôle des Kyriakides dans les contrats de vaccin anti-Covid n’a pas été clairement indiqué. Pour le reste, le sujet n’a pas eu beaucoup d’importance dans les médias.))
  • Pourquoi les personnes ayant de graves effets vaccinaux ne sont-elles pas dépeintes dans la même mesure qu’en 2020 les personnes atteintes de Covid-19 l’étaient ?(([4] Par exemple, la radio publique n’a guère parlé du musicien britannique Eric Clapton, qui a développé de vives réactions après la vaccination et qui les regrette aujourd’hui.))
  • Pourquoi personne ne s’inquiète-t-il de l’impropre comptage des « cas » de contamination ?(([5] Selon l’ICR, il y a un « cas » si un vacciné présente à la fois un test positif et des symptômes — pour les personnes non vaccinées, un test positif suffit. De cette manière, les personnes non vaccinées sont statistiquement plus importantes.))
  • Pourquoi les Pays-Bas signalent-ils beaucoup plus d’effets indésirables des vaccins Covid-19 que les autres pays ?
  • Pourquoi la description de l’efficacité des vaccins Covid-19 du côté de l’Institut Paul Ehrlich a-t-elle changé trois fois au cours des dernières semaines ? « Les vaccins Covid-19 protègent contre les infections par le virus SRAS-CoV-2. » (15 août 2021) « Les vaccins Covid-19 protègent contre toute infection grave par le virus SRAS-CoV-2 » (7. « Les vaccins Covid-19 sont indiqués pour l’immunisation active pour la prévention de la maladie de Covid-19 causée par le virus SRAS-CoV-2 » (27 septembre 2021)(([6] sous la rubrique « Liste des vaccins autorisés » ; éditions de sites web précédents de PEI accessibles via les archives Internet Wayback Machine (ici, ici, et ici).))

Je voudrais aborder quelques points en détail.

« Gain de fonction » et « Fuite de laboratoire »

En ce qui concerne la recherche sur le gain de fonction — c’est la recherche pour rendre les virus plus dangereux, ce qui a été pratiqué à l’Institut de virologie de Wuhan, en Chine, et financé par les États-Unis — je n’ai rien entendu ni lu de substantiel à ce jour. Cette recherche a lieu dans ce que l’on appelle les laboratoires P4, où l’on travaille depuis des décennies à la manière dont les virus présents dans le règne animal peuvent être modifiés pour devenir dangereux pour l’homme. Jusqu’à présent, ARD et ZDF ont fait un grand pas en avant sur cette question, alors qu’il faut clairement discuter de cette question. Une première question à débattre pourrait être, par exemple, la suivante : voulons-nous, en tant que société, une telle recherche ?

La théorie de la fuite du laboratoire — c’est-à-dire l’hypothèse que le SRAS-CoV-2 est issu d’un laboratoire — a fait l’objet de nombreux rapports. Il convient de mentionner que cette question a été immédiatement qualifiée de mythe conspirationniste l’année dernière. Les médias alternatifs qui ont suivi cette piste ont été bannis des réseaux sociaux tels que YouTube et Twitter et les informations ont été supprimées. Les scientifiques qui ont exprimé cette thèse ont été massivement attaqués. Aujourd’hui, la théorie de la « fuite du laboratoire » est au moins aussi plausible que la transmission par une chauve-souris. Le journaliste d’investigation américain Paul Thacker a publié dans le British Medical Journal les résultats de ses recherches minutieuses. À ce sujet, le Dr Ingrid Mühlhauser, professeur de sciences de la santé à l’Université de Hambourg, écrit :

« Pas à pas, il montre [Thacker] comment les opérateurs d’un groupe de laboratoires américain développent de manière ciblée une théorie du complot pour masquer leur accident de laboratoire à Wuhan comme un complot. Le mythe est soutenu par des magazines prestigieux comme le Lancet. Les journalistes scientifiques et les prestataires de services de vérification des faits prennent en charge les informations sans réfléchir. Les scientifiques impliqués se taisent de peur de perdre du prestige et du soutien pour leur recherche. Facebook bloque pendant près d’un an les messages qui remettent en question l’origine naturelle du SRAS-CoV-2. Si la thèse de l’accident de laboratoire était confirmée, ZDF et d’autres médias auraient défendu les mythes conspirationnistes. »

Ivermectine et alternatives à la vaccination

Depuis des mois, on voit également qu’il existe des traitements efficaces et peu coûteux contre la Covid-19 qui [pourtant et officiellement] ne doivent pas être utilisés. Les données à ce sujet sont claires. Mais les campagnes pseudo-scientifiques de désinformation contre ces moyens sont révélatrices de l’état de notre médecine. L’hydroxychloroquine est connue depuis des décennies et a été utilisée des millions de fois contre le paludisme et les maladies rhumatismales. L’année dernière, elle a été soudainement déclaré dangereuse. La déclaration du président Donald Trump selon laquelle l’hydroxychloroquine est un « changement de jeu » a fait le reste pour la discréditer. La raison politique ne permettait plus une confrontation scientifique sur l’HCQ [l’hydroxychloroquine].

Tous les médias ont largement parlé de la situation catastrophique en Inde due à la prolifération du Delta au printemps (à l’époque, on parlait encore de la variante indienne du virus). En revanche, le fait que l’Inde ait maîtrisé la situation assez rapidement et que le médicament ivermectine ait joué un rôle déterminant à cet égard dans de grands États comme l’Uttar Pradesh ne valait plus la peine d’être rapporté.(([7] L’OMS a même fait l’éloge de l’État indien de l’Uttar Pradesh pour sa politique covidienne, mais sans mentionner l’ivermectine. Le taux de vaccination dans l’Uttar Pradesh est inférieur à 10 %.))

L’ivermectine est également autorisée provisoirement en République tchèque et en Slovaquie pour le traitement des patients atteints de Covid-19. C’est tout de même ce que rapporte le MDR, mais avec une connotation négative.

Dans la liste des médicaments possibles de la Bayerische Rundfunk, l’ivermectine n’est même pas mentionnée, et à l’hydroxychloroquine sont citées seulement des études négatives et non positives.

La molécule clofoctol a également démontré un bon effet contre le SRAS-CoV-2 lors des tests effectués en laboratoire au cours de l’été 2020. Jusqu’en 2005, l’antibiotique était commercialisé en France et en Italie sous les noms d’Octofene et Gramplus. À plusieurs reprises, les autorités françaises ont empêché l’Institut Pasteur de Lille de réaliser une étude portant sur des patients atteints de Covid-19. Après plusieurs tentatives, ils ont recruté le premier patient début septembre.

Pourquoi les autorités sanitaires s’opposent-elles avec véhémence aux traitements qui auraient été disponibles dès le début de la pandémie ? Pour ce faire, j’aurais souhaité des recherches d’investigation de l’ARD ! Il convient de mentionner que les nouveaux vaccins anti-Covid n’ont pu obtenir une autorisation d’urgence que parce qu’il n’existait pas de traitement officiellement reconnu pour le SRAS-CoV-2.

Il ne s’agit pas de vanter n’importe quel remède miracle contre la Covid-19. Je voudrais mettre en évidence des faits qui n’ont pas reçu l’attention nécessaire. Dès le début, le discours public a fait état de l’opinion selon laquelle seule une vaccination peut y remédier. L’OMS est même allée temporairement jusqu’à modifier la définition de « l’immunité collective » dans le sens où celle-ci ne peut être obtenue que par la vaccination et non plus par une infection antérieure comme c’était le cas jusqu’à présent.

Et si la voie empruntée était une impasse ?

Questions sur l’efficacité vaccinale

Les données des pays où les taux de vaccination sont particulièrement élevés montrent que les infections par le SRAS-CoV-2 ne sont pas rares, même chez les personnes entièrement vaccinées, mais qu’elles sont monnaie courante. Le Dr Kobi Haviv, directeur de l’hôpital Herzog à Jérusalem, dit que 85 à 90 % des personnes gravement malades sont doublement vaccinées dans ses soins intensifs.(([8] Voir aussi la réunion de la FDA du 17 septembre 2021, à 5:47:25))

Le magazine Science écrit en référence à tout Israël : « Le 15 août, 514 Israéliens ont été hospitalisés avec des maladies graves ou critiques de Covid-19… Parmi ces 514 personnes, 59 % étaient entièrement vaccinées. Parmi les personnes vaccinées, 87 % avaient 60 ans ou plus. » Science cite un conseiller du gouvernement israélien qui dit : « L’une des grandes histoires d’Israël est : « Les vaccins fonctionnent, mais pas assez bien ».

En outre, il est désormais évident que les personnes vaccinées ont en elles (et le répandent) autant de matériel viral de la variante Delta que les personnes non vaccinées.

Qu’en est-il de ces données en Allemagne ? — Un verrouillage spécifiquement pour les personnes non ou insuffisamment vaccinées ou : la règle 2G. La société est de facto divisée en deux classes. Les personnes vaccinées retrouvent leurs libertés (parce qu’elles ne représentent [soi-disant] aucun risque pour les autres), les personnes non vaccinées (car présentant un risque potentiel pour les autres) doivent se soumettre à des tests qu’elles sont censées payer elles-mêmes et ne reçoivent plus de paiement de salaire en cas de quarantaine. De même, les interdictions d’emploi et les licenciements dus au statut vaccinal ne sont plus exclus et les caisses de maladie pourraient imposer à l’avenir des tarifs moins favorables aux non-vaccinés. Pourquoi cette pression sur les non-vaccinés ? D’un point de vue scientifique, ce n’est pas justifiable et très dommageable sur le plan social.

Les anticorps générés par la vaccination diminuent considérablement au bout de quelques mois. Le regard porté sur Israël montre qu’après la deuxième vaccination, il y a maintenant la troisième dose pour l’ensemble de la population et que la quatrième est déjà annoncée. Ceux qui ne rafraîchissent pas la vaccination au bout de six mois ne sont plus considérés comme immunisés et perdent leur « passeport vert » (la carte de vaccination numérique introduite par Israël). Aux États-Unis, Joe Biden parle maintenant de boosters anti-Covid à injecter tous les 5 mois. Marion Pepper, immunologue à l’Université de Washington, remet toutefois en question cette stratégie. Elle a déclaré au New York Times que « la stimulation répétée des défenses de l’organisme peut aussi conduire à un phénomène appelé « l’épuisement immunitaire » ».

On discute peu du fait que l’infection naturelle peut créer une immunité nettement plus robuste. Des anticorps ultrapuissants ou une « super-immunité » ont été trouvés chez des personnes infectées par le SRAS-CoV-2 l’année dernière. Ces anticorps réagissent à plus de 20 mutations virales différentes et sont conservés plus longtemps que les anticorps générés par le vaccin.

Après tout, le ministre de la Santé, Jens Spahn, vient d’annoncer qu’une détection d’anticorps serait également autorisée. Toutefois, pour être officiellement considéré comme immunisé, une vaccination doit toujours suivre. Qui comprend cette logique ? Une interview de CNN avec le Dr Anthony Fauci, président de l’Institut national de santé (l’équivalent américain de l’ICR), illustre l’absurdité. Jusqu’à présent, les personnes ayant une immunité naturelle ne sont pas prises en considération par la politique !

Je connais un médecin qui essaie désespérément d’obtenir une réponse de la part des autorités sanitaires et de l’ICR à ce sujet : un de ses patients a un titre d’anticorps IgG de 400 UI/ml, bien plus que beaucoup de vaccins. Son infection Covid remonte à plus de six mois, donc il n’est plus considéré comme immunisé. La réponse qu’il a reçue était : « Vaccinez-le ! », ce que le médecin refuse de faire [du fait de l’immunité naturelle acquise].

Absence de compréhension journalistique de base

Le moyen de sortir de la pandémie, prôné par la politique et les médias, s’avère être un abonnement de vaccination permanente. Les scientifiques qui demandent une approche différente sur la Covid n’obtiennent toujours pas une place adéquate dans les médias publics, comme l’a montré une fois de plus la couverture médiatique parfois diffamatoire de l’action #allesaufdentisch. Au lieu de discuter avec les participants du contenu des vidéos, des experts ont été recherchés pour discréditer la campagne. Ce faisant, les justiciables font exactement l’erreur qu’ils accusent #allesaufdentisch.

Le journaliste du Spiegel Anton Rainer a déclaré dans l’interview du CES à propos de l’action vidéo qu’il ne s’agissait pas d’interviews au sens classique du terme : « En principe, on voit deux personnes se donnant raison l’une à l’autre. » J’ai eu mal au ventre après avoir écouté la couverture de ma chaîne et j’ai été totalement irrité par l’absence de compréhension journalistique fondamentale de laisser l’autre partie prendre la parole.(([9] Les rapports les plus justes viennent du BR, où, là aussi, on a débattu, mais pas seulement avec une partie. Le MDR offre sur son portail de médias une analyse complète et différenciée.)) J’ai fait part de mes préoccupations par courrier électronique aux parties concernées et à la direction de la rédaction.

Une mention classique dans les conférences est qu’un sujet est « déjà traité ». Par exemple, lorsque j’ai évoqué la très probable sous-couverture des complications vaccinales. Oui, c’est vrai, le sujet a été abordé avec l’expert de la maison qui a conclu — c’est peu surprenant — qu’il n’y avait pas de sous-couverture. « L’autre côté » est mentionné ici et là, mais très rarement sous la forme de parler réellement aux personnes qui adoptent des points de vue critiques.

Les critiques sous pression

Les critiques les plus claires doivent s’attendre à des perquisitions, poursuites, fermeture de compte, transfert ou licenciement, jusqu’à l’internement en psychiatrie. Même s’il s’agit d’opinions dont on ne partage pas les positions, cela ne doit pas exister dans un État de droit.

Aux États-Unis, on discute déjà de la question de savoir si la critique scientifique doit être considérée comme un « hate crime » (crime de haine). La Fondation Rockefeller a décerné 13,5 millions de dollars pour la censure de la désinformation dans le domaine de la santé.

Jörg Schönenborn, directeur de la télévision WDR, a déclaré : « Les faits sont des faits qui sont établis ». Si tel était le cas, comment est-il possible que des scientifiques se disputent sans cesse à huis clos et soient même profondément divisés sur certaines questions assez fondamentales ? Tant que nous ne nous en rendrons pas compte, toute hypothèse d’objectivité présumée conduira à une impasse. Nous ne pouvons que nous rapprocher de la réalité — et cela ne peut se faire que dans un discours ouvert d’opinions et de connaissances scientifiques.

Ce qui se passe en ce moment n’est pas une lutte sincère contre les « fausses nouvelles ». On a plutôt l’impression que toute information, toute preuve ou discussion contraire au récit officiel est interdite.

Un exemple récent est la vidéo objective et scientifiquement transparente de l’informaticien Marcel Barz. Lors d’une analyse de données brutes, Barz constate avec étonnement que ni les chiffres relatifs à la surmortalité, ni à l’occupation des lits, ni à l’infection ne correspondent à ce que nous avons lu ou entendu des médias et de la politique depuis un an et demi. Il montre également comment ces données peuvent constituer une pandémie et explique pourquoi c’est malhonnête pour lui. La vidéo a été supprimée par YouTube après 145 000 visonnements au bout de trois jours (et n’a été de nouveau rendue accessible qu’après l’opposition de Barz et beaucoup de protestation). La raison invoquée est la « désinformation médicale ». Ici aussi, la question est la suivante : qui a pris une telle décision, et sur quelle base ?

Les fact checkers du contrefacteur discréditent Marcel Barz comme un faux. Le jugement de Correctiv est un peu plus clément (Barz y a répondu publiquement et en détail). L’expertise réalisée pour le ministère fédéral de la Santé, qui montre que le taux d’utilisation des hôpitaux par les patients atteints de Covid-19 en 2020 n’était que de 2 %, lui donne raison. Barz a contacté la presse avec son analyse, mais n’a pas reçu d’attention. Dans un discours qui fonctionne, nos médias l’inviteraient au débat.

Des millions de fois, le contenu sur les sujets Covid a été supprimé, comme le montre la journaliste Laurie Clarke dans le British Medical Journal, Facebook et Cie sont des entreprises privées et peuvent donc décider de ce qui sera publié sur leurs plateformes. Mais peuvent-ils contrôler le discours ?

La radiodiffusion de service public pourrait apporter un équilibre important en assurant un échange de vues ouvert. Malheureusement, mauvaise indication !

Passeports d’application numériques et surveillance

Les fondations Gates et Rockefeller ont conçu et financé les directives de l’OMS pour les passeports d’application numériques. Ceux-ci sont maintenant introduits dans le monde entier. Ce n’est qu’avec eux que la vie publique doit être possible, qu’il s’agisse de prendre le tramway, de prendre un café ou de recevoir un traitement médical. L’exemple français montre que cette carte d’identité numérique doit être maintenue même après la fin de la pandémie. La députée Emanuelle Ménard a demandé l’ajout suivant dans le texte de loi : le passeport de vaccination numérique « prendra fin si la propagation du virus ne présente plus un risque suffisant pour justifier son application ». Son amendement a été rejeté. Le pas vers le contrôle mondial de la population, voire vers l’État de surveillance, par le biais de projets tels que ID2020, est donc très petit.

L’Australie teste maintenant une demande de reconnaissance faciale pour s’assurer que les gens restent en quarantaine à la maison. Israël utilise des bracelets électroniques. Dans une ville italienne, des drones sont testés pour mesurer la température des visiteurs de la plage, et en France, la loi est en cours de modification pour permettre la surveillance par drones à grande échelle.

Tous ces sujets nécessitent des échanges intenses et critiques au sein de la société. Mais il n’a pas lieu suffisamment dans la couverture médiatique de nos radiodiffuseurs et n’a pas fait l’objet d’une campagne électorale.

Point de vue rétréci

La manière dont le point de vue du discours est rétréci est révélatrice des « gardiens de la porte de l’information ». Jan Böhmermann fournit un exemple récent en demandant que le virologue Hendrik Streeck et le professeur Alexander S. Kekulé ne soient plus en place parce qu’ils ne sont pas compétents.

Outre le fait que les deux médecins ont une Vita [?] extrêmement respectable, Böhmermann a ainsi réajusté ses œillères. Ne faut-il même plus entendre les gens qui présentent leur critique du cours du gouvernement avec des gants de velours ?

La limitation du discours est désormais telle que la Bayerische Rundfunk n’a pas diffusé à plusieurs reprises, lors de la retransmission des débats parlementaires du parlement régional, les discours de députés critiques à l’égard des mesures.

Telle est la nouvelle conception de la démocratie de la radiodiffusion de service public ? Les plateformes médiatiques alternatives prospèrent d’abord parce que les personnes établies ne remplissent plus leurs fonctions de correctif démocratique.

Quelque chose a mal tourné

Pendant longtemps, j’ai pu dire avec fierté et joie que je travaillais à la radio publique. De nombreux formats, recherches et contenus exceptionnels viennent d’ARD, de ZDF et de la radio allemande. Les normes de qualité sont extrêmement élevées et des milliers de collaborateurs font un excellent travail, même sous une pression accrue sur les coûts et des objectifs d’économie. Mais quelque chose a mal tourné avec la Covid-19. Soudain, je perçois une vue de tunnel et des œillères et un prétendu consensus qui n’est plus remis en question.(([10] Je ne veux pas parler d’une véritable « opinion unique » des justiciables publics. Il y a toujours eu des contributions critiques et des changements de cap dans les rapports. Mais c’est toujours une question de contexte, de temps d’antenne et d’étendue de la façon dont un sujet est traité. Mes observations ont également été faites par d’autres collègues.))

La chaîne autrichienne Servus TV montre qu’il en va autrement. Dans l’émission « Corona-Quartet » / « Talk im Hanger 7 », les partisans et les critiques prennent également la parole. Pourquoi cela ne serait-il pas possible à la télévision allemande ?(([11] Des formats frais comme « Sur le canapé » du ZDF donnent de l’espoir, même si je ne pense pas qu’il y aura bientôt une Karina Reiß ou un Wolfgang Wodarg.)) « Il ne faut pas donner une place à tous les cinglés », c’est la réponse rapide. Il faut éviter le faux équilibre, le fait que les opinions sérieuses et peu sérieuses soient entendues doit être évité. — Un argument d’homicide involontaire qui n’est pas scientifique. Le principe fondamental de la science est le doute, la remise en question, la vérification. Si ça n’a plus lieu, la science deviendra une religion. [Ndlr : c’est déjà le cas en médecine, en climatologie et dans d’autres domaines politisés.]

Oui, il y a en fait un faux équilibre. C’est la tache aveugle qui est revenue dans nos esprits, qui ne permet plus une véritable confrontation. On se jette des faits apparents, mais on ne peut plus s’écouter. Le mépris remplace la compréhension, la lutte contre l’autre opinion remplace la tolérance. Les valeurs fondamentales de notre société sont balancées par-dessus bord. Ici, on dit que les gens qui ne veulent pas se faire vacciner sont fous, qu’ils disent : « Honte aux brebis endormies ».

Pendant que nous nous disputons, nous ne réalisons pas que le monde qui nous entoure change à une vitesse fulgurante. Presque tous les domaines de notre vie sont en pleine transformation. La manière dont cela se passe est déterminante pour notre capacité de coopération, de compassion et de conscience de nous-mêmes et de nos paroles et de nos actes. Pour notre santé mentale, nous ferions bien d’ouvrir l’espace de débat, avec attention, respect et compréhension des différentes perspectives.(([12] L’initiative « Dialogue culture » ouvre des approches valables qui peuvent également intéresser les formats de médias.))

En écrivant ces lignes, j’ai l’impression d’être un hérétique, quelqu’un qui commet une trahison et qui doit s’attendre à une punition. Ce n’est peut-être pas le cas. Je ne risquerai peut-être pas mon travail et la liberté d’expression et le pluralisme ne sont pas menacés. Je le souhaite vivement et je me réjouis d’un échange constructif avec mes collègues.

Ole Skambraks

ole.skambraks@protonmail.com

À propos de l’auteur :

Ole Skambraks, né en 1979, a étudié les sciences politiques et le français à l’Université Queen Mary, à Londres et à la gestion des médias à l’ESCP Business School, Paris. Il était présentateur, reporter et auteur à Radio France Internationale, rédacteur en ligne et community manager chez cafebabel.com, directeur de l’émission du matin chez MDR Spoutnik et rédacteur chez WDR Funkhaus Europa / Cosmo. Actuellement, il travaille en tant que rédacteur en chef dans la gestion/conception de son de programmes chez SWR2.

Informations complémentaires de l’auteur

P.S. Pour les vérificateurs factuels et les personnes intéressées par une perspective multiple, voici les contre-positions aux points abordés dans le texte :

Étude ARD-ZDF

https://www.rnd.de/medien/kritik-an-corona-berichterstattung-von-ard-und-zdf-sender-wehren-sich-gegen-medienstudie-C3B4FEKAMNBFBNTKGO5EETMR3E.html

Pr John Ioannidis

https://www.faz.net/aktuell/wissen/forscher-john-ioannidis-verharmlost-corona-und-provoziert-17290403.html

Imperial College Modelling

https://blogs.bmj.com/bmj/2020/10/07/Covid-19-modelling-the-pandemic/

Gain of function reserch

https://www.gavi.org/vaccineswork/next-pandemic/nipah-virus

Hydroxychloroquine/ivermectine

https://www.br.de/nachrichten/wissen/corona-malaria-mittel-hydroxychloroquin-bei-Covid-19-unwirksam,RtghbZ4

https://www.who.int/publications/i/item/WHO-2019-nCoV-therapeutics-2021.2

https://www.forbes.com/sites/siladityaray/2021/05/11/indian-state-will-offer-ivermectin-to-entire-adult-population—even-as-who-warns-against-its-use-as-Covid-19-treatment/

Immunité des personnes vaccinées

https://www.biorxiv.org/content/10.1101/2021.08.23.457229v1

Immunité des convalescents

https://science.orf.at/stories/3208411/?utm_source=pocket-newtab-global-de-DE

https://www.businessinsider.com/fauci-why-covid-vaccines-work-better-than-natural-infection-alone-2021-5

Percées / pandémie

https://www.spektrum.de/news/corona-impfung-wie-viele-geimpfte-liegen-im-krankenhaus/1921090#Echobox=1631206725

https://www.mdr.de/wissen/covid-corona-impfdurchbrueche-sind-selten-100.html

https://www.businessinsider.de/wissenschaft/gesundheit/neue-daten-risiko-an-Covid-19-zu-sterben-fuer-ungeimpfte-elfmal-hoeher-a/

Pseudo-experts / Négationnistes / PRINCIPE PLURV

https://www.ndr.de/nachrichten/info/82-Coronavirus-Update-Die-Lage-ist-ernst,podcastcoronavirus300.html#Argument

Notes :




Le sénateur macroniste Bernard Jomier a déposé un amendement visant à sanctionner d’une amende pouvant aller jusqu’à 1500 euros les parents qui refusent de soumettre leurs enfants à la vaccination obligatoire. MàJ

[Source : Ma France]

[Photo : Wikimedia Commons]

Par jipp

Jomier : Celui là, il ne faudra pas l’oublier non plus le jour ou l’on soldera les comptes

Image

Docteur P.E.B
@DocteurPEB1·

La DICTATURE n’a plus de limite ! Le sénateur macroniste Bernard Jomier a déposé aujourd’hui un amendement visant à sanctionner d’une amende pouvant aller jusqu’à 1500 euros les parents qui refusent de soumettre leurs enfants à la #VaccinationObligatoire à compter du 01/01/2022 

https://twitter.com/AntiJupiter_TER/status/1445051972529311745?ref_src=twsrc%5Etfw%7Ctwcamp%5Etweetembed%7Ctwterm%5E1445051972529311745%7Ctwgr%5E%7Ctwcon%5Es1_&ref_url=https%3A%2F%2Fby-jipp.blogspot.com%2F2021%2F10%2Fjomier-il-ne-faudra-pas-loublier-non.html

Mise à jour : Extrait FranceSoir :

Bernard Jomier, sénateur depuis 2017 et médecin très impliqué dans Vers Paris Sans Sida qui a été « aidé » par Gilead

En 2015 2016 alors que Bernard Jomier était adjoint à la mairie de Paris, chargé de la Santé, il a mis en œuvre la politique « vers Paris sans sida » en 2014.  Il était déjà membre de la commission des affaires sociales (1) sur l’enquête de la Cour des comptes sur la politique de prévention et de prise en charge du VIH. (Rapport du 3 juillet 2019 Numéro 624).

Dans un article de juin 2017 d’Hervé Latapie sur le site de Médiapart, était évoquée la PrEP (consistant à faire prendre des médicaments à des non malades !).  Il y dénonçait déjà certaines pratiques de l’industrie pharmaceutique et des liens d’intérêts affectant l’indépendance des décisions.

Hervé Latapie écrivait « Il va être difficile d’en sortir pour en limiter les dégâts, tant il est compliqué de déconstruire une idéologie et de remettre en cause des intérêts socio-économiques établis par cette politique. »

« Ainsi le consensus en faveur de la promotion de la PrEP à grande échelle s’est construit grâce à l’action de certains acteurs très impliqués, aux motivations complexes et non dénuées de conflits d’intérêts. Il est regrettable que l’on n’ait pas davantage écouté et pris en compte les critiques formulées par de nombreuses personnes, moins intégrées dans les institutions dominantes, mais présentes sur le terrain, et donc tout aussi légitimes pour évaluer l’attractivité et l’efficacité de la prévention auprès du public gay. Leurs propositions alternatives risquent bel et bien de s’imposer très vite, lorsque les promesses excessivement optimistes des partisans de la PrEP s’effriteront. »

Latapie continue en expliquant « La firme Gilead va donc se retrouver à tous les niveaux de la mise en place de la PrEP : apports financiers directs auprès des associations de lutte contre le sida ou d’organismes de santé communautaires gays, conventions de recherche avec des services hospitaliers, mise en place d’essais démonstratifs, émoluments et autres cadeaux distribués auprès de professionnels de santé (billets d’avion business, séjours hôteliers de hauts grade, inscription onéreuses à des congrès, bourses d’études ou de recherches, …), encarts publicitaires offerts à la presse gay. Le tout se déroule d’une manière assez habile, Gilead n’apparait pas forcément au premier plan, tout se passe comme si le laboratoire avait réussi à déléguer à des acteurs non commerciaux (associations, médecins, …) la campagne de promotion de son produit PrEP. »

En 2018 l’initiative « vers Paris sans sida » recevait 530 000 euros de conventions du laboratoire Gilead.  

On retrouve dans le rapport de la commission de l’époque, les professeurs Delfraissy, Molina, Yazdanpanah, ainsi que le laboratoire Gilead, des liens d’intérêts et des sommes substantielles d’argent en jeu.  

Latapie concluait en 2017

« On retrouve dans cette histoire tout le savoir-faire habituel de l’industrie pharmaceutique pour gérer son commerce, planifier des essais thérapeutiques, contrôler les prix, s’appuyer sur les particularités locales de chaque sphère géographique du marché et surtout, bien manier son pouvoir d’influence grâce à des moyens financiers énormes. »




En octobre 2019, Rick Bright et Fauci évoquaient déjà un nouveau virus chinois pour faire accepter rapidement un vaccin à ARNm

[Source : ]

https://twitter.com/LMarchal3/status/1445390348977573897

Pour plus de détails, voir :
En 2019, Anthony Fauci proposait de contourner les essais cliniques de vaccins à ARNm et, avec l’aide d’une crise perturbatrice, de les lancer sur le marché sans avoir besoin de dix ans de tests – Guy Boulianne : auteur, éditeur et journaliste indépendant